il n'y a pas de strabisme apparent, et cepen- dant, par suite d'une
paralysie
ou parésie d'un ou plusieurs muscles du globe,
reporte sur le schéma. Quand on est fixé sur le siège précis d'une
paralysie
(par exemple, une paralysie du droit externe),
d on est fixé sur le siège précis d'une paralysie (par exemple, une
paralysie
du droit externe), on peut se servir des méthodes
t l'action ,d'un muscle, doser son msmn- sance. " ' De plus, la
paralysie
isolée d'un - muscle, du globe imprime au cha
te qu'à la périphérie du champ du Fig. 18. Champ du regard .dans la
paralysie
du droit interne de l'OD (Morax). - 1.'ig. 19
droit interne de l'OD (Morax). - 1.'ig. 19. Champ du regard dans la
paralysie
du nerf moteur oculaire commun de l'OG. - L'e
varient, on le conçoit, avec- les muscles paralysés et le degré de
paralysie
. ' " . On peut également utiliser le mur quadri
que. Parmi les nombreux troubles ocu- laires du diabète (cataracte,
paralysie
des muscles, rétinite, hémorra- gies), on peut
., le pathé- tique, quelquefois même le trijumeau ou le facial. Les
paralysies
ou ranesthésie sont du côté opposé à l'hémianop
des nerfs optiques, la diminution de l'acuité visuelle centrale, la
paralysie
concomitante de certains nerfs de la base du cr
te : Symptômes de méningite : modifications du pouls, constipation.
Paralysie
des nerfs de la face ou des yeux. Céphalées.- A
que l'inspection directe du fond de l'oeil à l'ophtalmoscope. ni
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES Symptômes. Str
r légèrement en dedans ou en dehors du point de passage habituel.
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 511 Le regard p
déniants ou de jeunes personnes louchent sans présenter la moindre
paralysie
. Ce strabisme est dû, dans l'immense majorité d
érer et par les symptômes suivants qui appartiennent seulement, aux
paralysies
. Diplopie (Voir Partie technique, p. 20). La di
ans l'atteindre. - ' - , Cette épreuve réussit constamment dans les
paralysies
récentes,' tant qu'une nouvelle adaptation n'es
erreurs de loca- lisation produites par l'apparition brusque de la
paralysie
oculaire. Déviation secondaire plus grande que
il se distingue des autres variétés de nystagamus (Voir Nystagmus).
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A
PLOPIE. Tous les signes précédents qui accompagnent les parésies ou
paralysies
des muscles moteurs des globes servent à établi
her et analyser tous pour arriver à déterminer le siège exact de la
paralysie
. Dans certaines paralysies très accentuées, la dé
arriver à déterminer le siège exact de la paralysie. Dans certaines
paralysies
très accentuées, la déviation oculaire en un se
mettent, à elles seules, de reconnaitre les muscles paralysés (Voir
Paralysie
complète du M. O. G., du 5f. o. E.). Mais, le plu
ysie complète du M. O. G., du 5f. o. E.). Mais, le plus souvent, la
paralysie
est incomplète, il y a seulement parésie, la dévi
ans la vue, de vertiges, d'étourdissements, de vision double. Ces
paralysies
incomplètes sont d'un diagnostic difficile, mais
mployée seule, que nous allons faire le diagnostic très exact de la
paralysie
. En présence d'une paralysie oculaire il faut d
faire le diagnostic très exact de la paralysie. En présence d'une
paralysie
oculaire il faut déterminer successive- ment :
un seul. Lequel des douze muscles moteurs des globes est atteint de
paralysie
? La paralysie de chaque muscle, nous le verron
es douze muscles moteurs des globes est atteint de paralysie ? La
paralysie
de chaque muscle, nous le verrons, donne lieu il
ensuite quel est celui des douze muscles moteurs des globes dont la
paralysie
amène les mêmes troubles. C'est un procédé long
émoire se refuse à enregistrer les douze schémas symptomatiques des
paralysies
de chacun des douze muscles moteurs des globes.
PARALYSEES DES MUSCLES .MOTEURS DES GLOBES. ) ! 5 Diagnostic de la
paralysie
d'un seul muscle. - Le malade ayant un verre ro
oisée. (]-'il en dehors, fausse image en dedans (diplopie croisée),
paralysie
de l'adduction. (B) Diplopie homonyme. OEil en de
monyme. OEil en dedans, fausse image en dehors (diplopie homonyme),
paralysie
de l'abduction. l'ig. 4J. (A) Diplopie verlical
licale, fausse image supérieure. OEil en bas, fausse image en haut,
paralysie
de l'élévation. (11) Diplopie verticale, fausse i
ticale, fausse image inférieure. OEil en haut, fausse image en bas,
paralysie
de l'abaissement. gaz TROUBLES NERVEUX DE L'APP
I). Ou l'image fausse est projetée en dehors (diplopie homonyme). .
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 65 Voilà le dia
e seule, sans qu'il soit besoin d'utiliser les autres symptômes des
paralysies
oculaires : déviation du globe, fausse projec-
oration au mur quadrillé permet au besoin de mesurer le degré de la
paralysie
oculaire et d'en suivre la marche progressive ou
sphère sur le mur quadrillé. 1 1 Fig. 48. - Schémas de diplopie.
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 67 Diagnostic q
diagnostic est facile (Voir p. (i9). Vérification du diagnostic de
paralysie
d'un muscle. Quand, au moyen de la méthode rapi
défaut dans le muscle paralysé (Voir à la suite Aspect clinique des
paralysies
) . Aspects cliniques suivant le siège DE la lés
c du siège. Quand, il l'aide de la diplopie ou des autres signes de
paralysie
, on a déterminé le muscle ou les muscles attein
Suivons les voies optiques de la périphérie vers les centres. 1°
Paralysie
d'un muscle. Voici, pour chacun des muscles, un
io- logique du muscle; 2° Les déviations de l'oeil résultant. de la
paralysie
du muscle ; 5° Les caractères de la diplopie (t
muscle ; 5° Les caractères de la diplopie (tig. 48 et ! >-9).
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES
ée. Ces troubles pupillaires et accommodateurs sont normaux dans la
paralysie
totale du M. 0. C., puisque ce nerf tient sous
té de tous les mus- cles intrinsèques du globe oculaire. Dans les
paralysies
incomplètes on retrouve les mêmes symptômes moi
incomplètes on retrouve les mêmes symptômes moins accentués. 4°
Paralysie
d'origine pé- donculo-protubérantielle. Les p
ntués. 4° Paralysie d'origine pé- donculo-protubérantielle. Les
paralysies
d'origine pédonculo- protubérantielle s'accompa
ber et de Millard-Gubler. Syndrome de Weber (lésion pédonculaire) :
paralysie
du M. 0. C. d'un 1 i ? 51. - Schéma des régions
eur des membres non entre-croisé (syndrome de 311llal'fl-Guhler).
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté d
YSIES DES MUSCLES MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté de la lésion) ;
paralysie
de la face et des membres du côté opposé (fig.
(fig. 52 A). Syndrome Millard-Guble1' (lésion protubérantielle) :
paralysie
du M. 0. E. et du facial d'un côté (côté de la
paralysie du M. 0. E. et du facial d'un côté (côté de la lésion) ;
paralysie
des membres du côté opposé (fig. 52 B). Des l
n détaillée. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires :
paralysie
du facial, des membres et de l'oculogyre du mêm
trabisme convergent). 72 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
paralysie
de l'oculogyre d'un côté ; paralysie du facial et
ERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'oculogyre d'un côté ;
paralysie
du facial et des membres du côté opposé (fig. 5
a- lysie du facial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion);
paralysie
des membres du côté opposé (fig. 55 C). Dans
ésion); paralysie des membres du côté opposé (fig. 55 C). Dans la
paralysie
de l'oculogyre droit ou gauche, les mouvements co
protuleraticlles supérieures (les deux yeux regardent à droite).
PARALYSIES
'DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Syndrome de
ES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Syndrome de Benediht (de Vienne).
Paralysie
de la IIIe paire accompagnée d'hémiplégie crois
rotubérantiel supé- rieur de Reymond-Cestan. En même temps qu'une
paralysie
des mouvements de latéralité des yeux, il exi
tagmus. Tous ces troubles oculaires ont une origine bulbaire. 5°
Paralysie
par lésion isolée des noyaux pédonculo- protubé
aralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo- protubérantiels.
Paralysies
dissociées. Les noyaux d'origine des nerfs oculo-
es les uns des autres. Ils peuvent être lésés séparément. De là des
paralysies
dissociées de l'iris, de l'accommodation, d'un
commodation, d'un ou 'de quelques-uns des muscles extrinsèques. Les
paralysies
dissociées sont d'ordinaire le fait, [POULARD.]
arrière du côté du cerveau, pour gagner les noyaux d'origine. Les
paralysies
totales du M. 0. C. sont plutôt le fait d'une lés
lésion inter- médiaire portant sur le tronc nerveux. Cependant une
paralysie
d'origine tronculaire peut aussi présenter des
rinsèque, ou atteindre séparément l'iris et l'accom- modation (Voir
Paralysie
de l'iris, p. 86, et P. de l'accommodation, p.
'accommodation, p. 9G). Cette ophtalmoplégie intrinsèque, type de
paralysie
dissociée duM. O. C., est en général considérée
. Cette inté- grité de la musculature intrinsèque contraste avec la
paralysie
des muscles extrinsèques. ' Cette paralysie,
que contraste avec la paralysie des muscles extrinsèques. ' Cette
paralysie
, ordinairement bilatérale, donne au malade un asp
aut, en bas, le malade est obligé de mouvoir la tète ou le corps.
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Cette ophtal
tit souvent à l'ophialmoplégie totale. Elle [POULARD.] Fig. 51. -
Paralysie
bulbaire asthénique. 76 TROUBLES NERVEUX DE L'A
mplique de phénomènes bulbaires (polyurie, glycosurie, albuminurie,
paralysie
glosso-labio-laryngée) ou médullaires (atrophie
encore à ce groupe qu'il faut rattacher les ophtalmoplégies de la-
paralysie
bulbaire asthénique (fig. 54). ' Paralysie du d
ophtalmoplégies de la- paralysie bulbaire asthénique (fig. 54). '
Paralysie
du droit externe d'origine nucléaire. Le droit ex
cond cas, au moment, où le regard veut se porter du côté de la
paralysie
, l'aeil sain se met tout à fait en dedans dan
om- missure interne de- l'aeil (fig. 56). Dans le premier cas
paralysie
nucieairej, u y a paralysie associée des mouvemen
l'aeil (fig. 56). Dans le premier cas paralysie nucieairej, u y a
paralysie
associée des mouvements ae laté- ralité des deu
e laté- ralité des deux yeux vers le côté paralysé. Dans le second (
paralysie
radiculaire), il y a seulement paralysie d'un d
paralysé. Dans le second (paralysie radiculaire), il y a seulement
paralysie
d'un des moteurs oculaires- externes,, et si l'
inférieure. A, lésion touchant le noyau du M. 0. E. et le facial (
paralysie
nucléaire) ; B, lésion touchant les racines protu
touchant les racines protubé- rantielles du facial et du M. 0. E. (
paralysie
radiculaire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES M
ntielles du facial et du M. 0. E. (paralysie radiculaire) (llorax).
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie
laire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6°
Paralysie
par lésion des centres et voies supranu- cléair
chéma (d'après Iilocd et Onanolf) pour montrer la différence entre la
paralysie
protubérantielle et la paralysie radiculaire. P
our montrer la différence entre la paralysie protubérantielle et la
paralysie
radiculaire. Paralysie protubérantielle : quand o
ce entre la paralysie protubérantielle et la paralysie radiculaire.
Paralysie
protubérantielle : quand on demande au malade d
du côté paralysé, les yeux se mettent en strabisme convergent (5).
Paralysie
nucléaire : la déviation persiste, quel que soit
e rendre au noyau mésocéphaliquc du côté opposé. Il se fait dans la
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1 région
Ces notions, bien qu'imprécises, vont nous aider à comprendre les
paralysies
associées. Troubles moteurs oculaires associés.
e réelle des nerfs oculo-moteurs, les lésions ne produisent plus la
paralysie
isolée des muscles ou des troncs nerveux. La pa
sent plus la paralysie isolée des muscles ou des troncs nerveux. La
paralysie
qu'on observe est associée ou combinée; elle est
vements associés de convergence et de divergence. Ces différentes
paralysies
peuvent se présenter isolées on réunies à plusi
présenter isolées on réunies à plusieurs chez le même individu. Les
paralysies
associées des mouve- ments de latéralité sont d
d'origine motrice. Les déviations conjuguées peuvent résulter d'une
paralysie
associée du mouvement en sens opposé de la dévi
yndrome type Foville dans les lésions pédonculaires ou cérébrales :
paralysie
du facial, des membres et de l'oculogyre du même
protubérantielle supérieure : para- lysie de l'oculogyre d'un côté;
paralysie
du facial et des membres du côté opposé. C'est
ly- sie du facial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion) ;
paralysie
des membres du côté opposé. C'est un syndrome d
r mo- difié (fig. 55 C). Tel est le sens de la déviation dans les
paralysies
; il est tout opposé dans les contractures. C'
viation conjuguée, le malade regarde l'hémisphère lésé quand il y a
paralysie
, il regarde ses membres con- vulsés quand il y
s lésions protubérantiellcs, le malade regarde ses membres s'il y a
paralysie
, et sa lésion s'il y a convulsion. b) Déviati
l'existence de déviations conjuguées exclusivement sensorielles.
Paralysies
associées Beaucoup de déviations conjuguées, so
Paralysies associées Beaucoup de déviations conjuguées, sont des
paralysies
associées, la déviation conjuguée d'un côté étant
des paralysies associées, la déviation conjuguée d'un côté étant le
PARALYSIES
DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 81 f résultat d
e PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 81 f résultat d'une,
paralysie
, du côté opposé. Ces paralysies associées de laté
URS DES GLOBES. 81 f résultat d'une, paralysie, du côté opposé. Ces
paralysies
associées de laté- ralité ont les mêmes causes
provoquées par une altération sur la voie des oculogyres. Quant aux
paralysies
associées d'élévation, d'abaissement, de conver-
: C'l's VARIABLES SUIVANT LA CAUSE. (Diagnostic étiologique.) Les
paralysies
oculaires varient dans leurs caractères, non seul
s productrices. Je me contente d'énumérer les différentes causes de
paralysie
en ren- voyant le lecteur aux chapitres consacr
il la suite d'un choc sur la tète, même légcr, on peut observer des
paralysies
oculaires. Le plus souvent, c'est une paralysie
peut observer des paralysies oculaires. Le plus souvent, c'est une
paralysie
du M. 0. E. d'un côté ou des deux côtés. Cette pa
c'est une paralysie du M. 0. E. d'un côté ou des deux côtés. Cette
paralysie
est le résultat d'une fêlure du rocher sur la c
ucun des symptômes graves habituels dans les fractures du crâne. La
paralysie
des deux M. O. E. et le stra- bisme convergent
smc dans l'orbite. Dou- leurs quelquefois, exophlahnie unilatérale,
paralysies
dissociées. Tumeurs cérébrales (base). La tuber
lus fréquentes. Réaction méningée, vomissements, céphalée continue,
paralysies
multiples et diffuses, troubles de la vue, de l
-céréhrales. Tumeurs du 4° ventricule. Polioencéphalile supérieure.
Paralysie
bulbaire asthénique. Sclérose en plaques. Para-
re), le plus souvent ce sont des spasmes (ptosis spasuiodiques). La
paralysie
de l'O. M. C. et l'ulllt,111uopléic ly·stérid«c o
C. et l'ulllt,111uopléic ly·stérid«c ont été signalées. Migraine :
paralysie
du JI. 0. C. seul, totale, récidivante, précédée
sant de Gerlier ou Kuteisagari des Japonais. Il est certain que les
paralysies
oculaires présentent quelquefois des variations
importe de remarquer le rôle important rempli, dans l'étiologie des
paralysies
oculaires, par les infections ou intoxications au
'ophtalmique, branche du trijumeau. ' TROUBLES PUPILLAIRES. 85 La
paralysie
de l'appareil nerveux irido-constricteur amène l'
excitation amène l'irido-consiric- tion (myosis spasmodique). La
paralysie
de l'appareil nerveux irido-dilatatcur, qu'il vie
xamen soigneux de la pupille elle-même. ; . Mydriase paralytique (
paralysie
du M. 0. C.). La lumière, l'accom- modation, la
ntracture le sphincter, la diminue, si, comme cela est de règle, la
paralysie
du M. 0. C. s'arrête au relais du ganglion opht
nts chimiques : l'atropine produit une mydriase maxima, ajoutant la
paralysie
du sphincter au spasme du dilatateur. La cocaïne
uit étant déjà obtenu avant son instillation. Myosis paralytique (
paralysie
du grand sympathique). - Le rétrécis- sement n'
oduit une dilatation modérée, les deux £ TROUBLES PUPILLAIRES. 85
paralysies
(sphincter, dilatateur) agissant en sens contrair
rine produit un myosis maximum ajoutant le spasme du sphincter à la
paralysie
du dilatateur. Les notions que nous venons de d
vec conservation des réflexes; plus tard la pupille se resserre par
paralysie
du sympathique, et enfin, aux approches de la m
enfin, aux approches de la mort, la pupille se dilate à nouveau par
paralysie
et, perd toute réaction. Infections générales,
ardive qui accompagne les maladies nerveuses géné- ralisées (tabès,
paralysie
générale, etc.), il y a donc une mydriase préco
tions alimentaires (botulisme). Les mêmes intoxications que pour la
paralysie
de l'accommodation (Voir Accommodation). Affect
n observe dans le goilrc exphotallllique rentre-dans ce groupe. ,
Paralysie
du M. 0. C. La dilatation pupillaire qui existe d
Paralysie du M. 0. C. La dilatation pupillaire qui existe dans la
paralysie
du M. 0. C. est une dilatation moyenne, bien moin
e organique. Dans la plupart des cas, vous trouverez le labes ou la
paralysie
générale, moins souvent une- lésion de l'encéph
ait de la syphilis ou d'une affection nerveuse comme le tabès ou la
paralysie
générale, qui elles-mêmes sont le résultat de la
s sou- vent, c'est la syphilis cérébrale et spinale, le tubes et la
paralysie
générale. L'existence d'un myosis doit attirer
sis doit attirer l'attention d'abord sur ces trois affections. La
paralysie
du sympathique cervical provoque un myosis paraly
pupillaire. Ces déformations pupillaires ont été constatées dans la
paralysie
géné- rale, le tabès, on a même pensé en faire
lité, on les rencontre souvent chez des personnes âgées indemnes de
paralysie
générale, de tabès et de toute autre maladie ne
ul oeil peuvent, on le conçoit, amener une inégalité pu- pillaire :
paralysie
du constricteur ou contracture du dilatateur donn
teur ou contracture du dilatateur donnant la dilatation pupillaire;
paralysie
du dilatateur ou spasme du constric- teur donna
nt pupillaire. L'inégale répartition, sur les deux pupilles, de ces
paralysies
et contractures, amène l'inégalité pupillaire.
une (f /l'ecl'ion lIe1'- veatse, plus particulièrement le tabès, la
paralysie
générale, la syphilis cérébro-spinale sous tout
rculeuse...). On le voit aussi pendant la période de régression des
paralysies
de l'iris. Troubles réflexes DE la pupille. P
et souvent, de longtemps, la première manifestation du tabès, de la
paralysie
générale, de la syphilis cérébro-spinale. Certa
entis. Ce phénomène se voit particulièrement dans le tabès, dans la
paralysie
générale. Réflexe pupillaire aux excitations cu
rs, que chez des personnes atteintes d'affections nerveuses (tabès,
paralysie
générale). On n'en connaît pas bien exactement
l'accom- modation reçoit son innervation du M. 0. C. La section ou
paralysie
du M. U. C. supprime l'accommodation; son excit
il aurait des filets desaccommodatenrs provenant du sympathique.
Paralysie
de l'accommodation Age. L'accommodation, très p
tre connues. Ou s'exposerait autrement à mettre sur le compte d'une
paralysie
ce qui est l'effet habituel des années. (l est,
nnées. (l est, par suite de ces faits, difficile de con- stater une
paralysie
de l'accommodation chez une personne âgée. Cette
ment ou au déplacement du cristallin, elles ne résultent pas d'une
paralysie
du muscle accommodateur. La première, au contra
outes les autres circonstances, de beaucoup les plus nombreuses, la
paralysie
de l'accommodation est le résultat d'un trouble n
d'intoxication nombreux auxquels elle donne lieu, amène souvent une
paralysie
bilatérale de l'accommodation. Et cette paralysie
amène souvent une paralysie bilatérale de l'accommodation. Et cette
paralysie
présente ceci de particulier qu'elle porte excl
ullement la contractilité de l'iris (type isolé). L'existence d'une
paralysie
isolée de l'accommodation doit faire penser à l'i
édecin, prouvent leur nature diphtérique en amenant à leur suiteune
paralysie
de l'accommodation. Elle a donc, dans ces conditi
une valeur séméiologique importante. En d'autres circonstances la
paralysie
de l'accommodation s'accompagne d'autres lésion
associé). La syphilis donne plus fréquemment que la diphtérie, des
paralysies
de l'accommodation. Mais on ne rencontre pas le
en même temps paralysé. Toute la musculature intrinsèque est prise (
paralysie
intrinsèque). Nous verrons que l'iris peut être t
ement sur quels points du système nerveux agit la syphilis dans ces
paralysies
. Probablement sur les noyaux d'origine. Cette h
ent sur les noyaux d'origine. Cette hypothèse permet d'expliquer la
paralysie
dissociée du M. 0. C. Mais la syphilis pourrait
s du M. 0. G. N a-t-on pas vu la compression du M. 0. C. donner des
paralysies
dissociées. Certaines intoxications alimentaire
s. Certaines intoxications alimentaires (Botulisme). Là encore la
paralysie
de l'accommodation peut être isolée ou associée à
es de la courbure du cristallin sont bien difficiles à apprécier.
Paralysie
du moteur oculaire commun. La paralysie du moteur
ien difficiles à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun. La
paralysie
du moteur oculaire commun quelle qu'en soit la
commun quelle qu'en soit la cause, traumatisme, compression, tabès,
paralysie
générale, s'accompagne de paralysie de l'accommod
raumatisme, compression, tabès, paralysie générale, s'accompagne de
paralysie
de l'accommodation. Tantôt, c'est nue paralysie
le, s'accompagne de paralysie de l'accommodation. Tantôt, c'est nue
paralysie
complète, le muscle ciliaire ne se contractant
, le muscle ciliaire ne se contractant nullement; tantôt, c'est une
paralysie
incomplète simple, parésie, laissant encore pos
n. CO\'fR : lC1'lJltl : de L'ACCOMMODATION. Bien plus rare que la
paralysie
, la contracture de l'accommodation, appelée enc
VI TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES PTOSIS paralytique.
Paralysie
DU 11ELE\'EIiII de LA paupière supérieure. Symp
es du ptosis. Souvent la chute de la paupière est accompagnée de la
paralysie
de quelques branches motrices du globe oculaire
paralysie de quelques branches motrices du globe oculaire ou d'une
paralysie
des muscles intrinsèques. Le ptosis n'est, en c
ques. Le ptosis n'est, en ce cas, que la manifestation d'une de ces
paralysies
dissociées que j'ai déjà eu l'occasion de dé- c
M. 0. C. est pris, le ptosis n'est qu'un symptôme obligatoire de la
paralysie
du M. 0. C..(p. 69). Le ptosis peut aussi accom
0. C..(p. 69). Le ptosis peut aussi accompagner une hémiplégie, mie
paralysie
faciale. C'est ce qu'on voit dans le syndrome d
me de Weber, où il y a, d'un côté du corps, hémiplégie, de l'autre,
paralysie
du M. 0. C. avec ptosis. .Mais il existe aussi
logue se produit dans l'adipose palpébrale (ptosis adi- peux). La
paralysie
du grand sympathique amène un ptosis léger, auque
cle ou le filet nerveux du' releveur dans l'orbite, peut donner une
paralysie
isolée de l'élévation palpébrale. Elle peut aus
symptômes de compression des autres organes de la cavité orbitaire (
paralysie
des autres nerfs mo- teurs, troubles sensitifs
ophtalmie, etc.). Une lésion du tronc M. 0. C. donne en général une
paralysie
de [POULARDE 1 Fig. 60. - Ptosis myopathique.
M. 0. C. (p. 69). Cependant on peut, même en ce cas, rencontrer la
paralysie
dissociée d'une ou quelques branches du M. 0. C
ériphérique, donner un ptosis isolé. C'est là le lieu d'origine des
paralysies
dissociées, des ophtahnoplégies intérieure, exté-
. - Étiologie. - Les causes du ptosis sont les mêmes que celles des
paralysies
oculaires en général (Voir p. 81). Signalons cepe
élévateur du globe oculaire. 1..\GOI'IITAL)IIE PAIULYTllJCE. ..
Paralysie
de l'oumculaire des paupières. La lagoplualmie.
pébrale. La tagopinalune paralytique est toujours accompagnée d'une
paralysie
faciale du même côté. Elle est due il la paraly
ccompagnée d'une paralysie faciale du même côté. Elle est due il la
paralysie
d'un des muscles inner- vés par le nerf facial,
res. Je ne m'occupe ici que des troubles oculaires consécutifs à la
paralysie
de ce muscle, et laisse de côté tout ce qui a t
se de côté tout ce qui a trait aux symptômes ou à l'étiologie de la
paralysie
faciale (Voir Paralysie faciale). Dans une para
trait aux symptômes ou à l'étiologie de la paralysie faciale (Voir
Paralysie
faciale). Dans une paralysie faciale périphériq
tiologie de la paralysie faciale (Voir Paralysie faciale). Dans une
paralysie
faciale périphérique, totale, intéressant à la fo
existe un véritable larmoiement. Tous ces symptômes résultent de la
paralysie
du muscle orbiculaire. Ayant perdu sa ('olill'a
le long du bord palpé- bral inférieur. Le larmoiement est dû il la
paralysie
du musclc Ilo IIorner, portion de l'orbiculaire
iveau de laquelle la cornée reste découverte.. Dans quelques cas de
paralysie
orbiculaire on a constaté l'absence de- larmoie
acial contiendrait des filets sécréteurs des larmes (comme Fig. 61.
Paralysie
faciale gauche.- TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PA
ntéressera pas les filets sécrétoires et donnera du larmoiement par
paralysie
du muscle de Corner; au contraire, une lésion i
- prime les filets sécrétoires et par suite la sécrétion lacrymale (
paralysie
de l'orbiculaire .sans larmoiement). Un signe q
ne qui dénote la prise du grand nerf pétreux superficiel, c'est une
paralysie
de la luette et du voile du palais. [POULARD.]
paralysie de la luette et du voile du palais. [POULARD.] Fig. 62.
Paralysie
faciale gauche. Le malade essaye vainement de fer
mlysies du facial inférieur . La lagophtalmie n'existe que dans les
paralysies
périphériques du facial dues à une lésion siége
ant entre le noyau hulbaire et la périphérie. ' Cependant, dans les
paralysies
centrales, l'orbiculaire n'est pas intact et
Diagnostic différentiel. La lagophtalmie accompagne, en général, la
paralysie
faciale, mais on peut encore la rencontrer dans b
fréquente d'ulcérations à la partie inférieure de la cornée. (Voir
Paralysie
faciale.) Traitement. C'est celui de la paralys
a cornée. (Voir Paralysie faciale.) Traitement. C'est celui de la
paralysie
faciale. Si au bout de plu- sieurs mois le trai
sécrétion..11 n'est pas nécessaire d'invoquer un trouble nerveux.
Paralysies
musculaires. Se voient quelquefois. Paralysie de
un trouble nerveux. Paralysies musculaires. Se voient quelquefois.
Paralysie
de la con- vergence (Moebius), des abducteurs (
mus s'accompagne souvent d'autres manifestations : névrite optique,
paralysies
oculaires, symptômes de méningite. Syphilis cér
es minutes, provoquées ou exagérées par l'exci- tation lumineuse.
Paralysies
ou parésies oculaires. Ce n'esl point un véritabl
nts lacry- maux oblitérés oit évcrsés, oblitération du canal nasal,
paralysie
de l'orhi- culaire, etc.). Cependant, il faut r
rbitaire anastomosé avec le nerf lacrymal. Voilà pourquoi certaines
paralysies
faciales intrapétreuses diminuent la section la
u trijumeau (cornée, conjonctive, etc.) amène du lar- moiement ; sa
paralysie
, une diminution de la sécrétion lacrymale de ca
xillaire supérieur, la diminution de la sécrétion lacrymale dans la
paralysie
du PHATIQUE XEUROL. 8 · (foulard. 1 l I¡ TR
xe (trijumeau). Mais, comment expliquer l'abolition, dans certaines
paralysies
du triju- meau, non seulement de la sécrétion r
htalll11e). L'by- posécrétion lacrymale peut être le résultat d'une
paralysie
faciale quand la lésion atteint les filets sécr
ailleurs étudié le trajet (Voir p. 104). Elle existe enfin dans la
paralysie
du nel'f (¡'iju- meau. Sécrétions anormales.
lésion d'autres organes butbo-protuberantieis. On observe aussi des
paralysies
alternes sensitives (anesthésie faciale d'un cô
ésie des membres du côté opposé). Il peut t y avoir anes- thésie et
paralysie
faciale d'un cote avec paralysie des membres du
Il peut t y avoir anes- thésie et paralysie faciale d'un cote avec
paralysie
des membres du côté opposé, l'anesthésie facial
au syndrome de Millard-Gubler. On voit même la superposition d'une
paralysie
alterne motrice et d'une paralysie alterne sens
voit même la superposition d'une paralysie alterne motrice et d'une
paralysie
alterne sensitive. C'est dans cette variété d'a
esoin delà dyschromatopsie du daltonisme. Au cours d'un tabès d'une
paralysie
générale, une diminution de la vision accompagnée
s ganglions centraux. - Ilémianopsie à caractères spéciaux (p. 55);
Paralysies
associées sou- vent (p. 70); Troubles pupillair
); Compres- sion d'un nerf crânien M. 0, C., M. 0. E. ; Pathétique (
paralysies
) (p. 00); Trijumeau (névralgie, anesthésie) (p.
ralytique, met en évidence le rôle tro- phique de la 5° paire. La
paralysie
du facial, en dehors des cas où le nerf est direc
uïe, ouïe douloureuse, ver- tiges) qui sont en rapport, non avec la
paralysie
du muscle interne du marteau, comme l'écrivent
stique traduisant l'épuisement nerveux, au même litre que certaines
paralysies
passagères. - II. ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES D
ement dans quelques affections du système ner- veux, au début de la
paralysie
générale notamment. L'hyperacousie a été donnée
rale notamment. L'hyperacousie a été donnée comme un symptôme de la
paralysie
faciale. Elle se rencontre aussi dans quelques
reuses gaines vides. Il est fréquent dans celle forme de trouver la
paralysie
faciale associée à la surdité et au vertige.
labyrintlïique;.50 des troubles oculo-mcteurs réflexes (parésie ou
paralysie
de la 6° paire, déviation con- 1 - [LANNOIS.]
ns symptômes dont la pathogénie n'est pas complètement élucidée, la
paralysie
de l'abduccns, par exemple. , I. TROUBLES NER
ORGANIQUES D'ORIGINE OTIQUE Nous décrirons sous cette rubrique la
paralysie
, faciale et les C01J1pl1 : - cations infra-crân
ennes des otites. - [LANNOIS.] HO ? MALADIES DE L'OREILLE. - 1°
Paralysie
faciale. La paralysie du facial peut coexister
[LANNOIS.] HO ? MALADIES DE L'OREILLE. - 1° Paralysie faciale. La
paralysie
du facial peut coexister avec celle de l'acoust
rant la pyramide rocheuse. Mais dans un très grand nombre de cas la
paralysie
faciale est consé- cutive à une lésion de l'ore
la paroi labyrinthique, sont responsables du plus grand nombre des
paralysies
faciales d'origine otique. Les extractions mala
de et surtout l'évidement pétro-mastoïdien total, comptent aussi la
paralysie
faciale parmi leurs complications les plus fréq
arrhales ou franchement inflammatoires, peuvent aussi déterminer la
paralysie
faciale : on sait que Deleau et surtout Roche s
ale : on sait que Deleau et surtout Roche soutinrent que toutes les
paralysies
faciales étaient d'origine otique. Il y avait l
inflammations. légères de la caisse ne puis- sent se compliquer de
paralysie
faciale : un certain nombre des cas de paralysi
t se compliquer de paralysie faciale : un certain nombre des cas de
paralysie
faciale rhumatismale ou a frigorie sont d'origine
même largement déhiscente. D'ailleurs cette origine otique de la
paralysie
faciale explique mieux que toute autre théorie
ignalé des cas d'hémiplégie (peut-être étaient-ils hystériques), de
paralysie
faciale réflexe disparaissant par l'enlèvement d'
. La mydriase unilatérale, la chute de la paupière, la diplopie par
paralysie
dissociée du moteur oculaire commun. La plus fr
r oculaire commun. La plus fréquente et la plus intéressante de ces
paralysies
est la paralysie du mo- teur oculaire externe d
La plus fréquente et la plus intéressante de ces paralysies est la
paralysie
du mo- teur oculaire externe dont j'ai vu et pu
que. Il va de soi que cette forme bénigne n'a rien à faire avec les
paralysies
qui se montrent au milieu de l'appareil 1 grave
exes vaso-moteurs, la migraine, l'affaissement de l'aile du nez, la
paralysie
et la diplégie faciales. Quant au nerf olfactif
e olfactive. Cet obstacle. pourra être une atrésie des narines, une
paralysie
faciale avec flaccidité de l'aile du nez, un ép
le tabès et au début delà - . LANNOIS.] 150 . MALADIES DU NEZ.
paralysie
générale. Les vieillards ont souvent de l'anosmié
te optique, la névrite rétro-bulbaire et l'atrophie papillaire, les
paralysies
limitées à l'abduceiis, les ol3litllrrioplébies d
e et l'absence relative des bruits subjectifs, et qui traduisent la
paralysie
de l'appareil vestibulaire, le vertige rotatoir
s par Gerlier : type, de l'endormi (ptosis), type du recueillement (
paralysie
des extenseurs de la tête), type de l'aveugle i
ment (paralysie des extenseurs de la tête), type de l'aveugle ivre (
paralysie
des membres inférieurs). Les parésies des mem-
aire en rapport avec les mouvements profes- sionnels habituels : la
paralysie
des extenseurs, « paralysie du trayeur », est l
vements profes- sionnels habituels : la paralysie des extenseurs, «
paralysie
du trayeur », est la plus fréquente. La parésie
n cérébelleuse. Ce vertige peut être parfois d'origine visuelle par
paralysie
oculaire; il semble pouvoir être aussi uniqueme
byrinthe, il faut opposer le syndrome vestibulaire de iiaymoud, par
paralysie
ou déficit de l'appareil veslibulaire. Ce défau
dinaire et la plus gênante du vertige oculaire est la diplopie, par
paralysie
ou contracture des muscles de l'mil d'ori- gine
syphilis cérébrale ou méningée, au cours et surtout au début de la
paralysie
générale, les vertiges ne sont pas très rares;
t des jambes, trouble cérébelleux; 3° des trou- bles oculo-motcurs (
paralysie
de la 0U paire, déviation conjuguée, nys- tagmu
la migraine ophtalmique, dans la maladie de Basedow, au début de la
paralysie
agilanle (Charcot et Yulpian). z Dans la neur
l est important et facile en somme de reconnaître l'existence d'une
paralysie
, il est une question plus difficile il résoudre
hémiplégie s'accusent d'ordinaire, et, même si le coma persiste. la
paralysie
devient plus nette, mise en évidence par des cont
ndent de l'étiologie et de l'âge du malade. Mais en dehors même des
paralysies
, la convalescence ménage de nombreux accidents,
njonctivale) et des pupilles; de noter le degré de résolution ou de
paralysie
, les contractures, les convulsions. En étudiant
d'un traumatisme, d'un empoisonnement, ou survient au cours d'une
paralysie
générale, d'une méningite, d'une maladie cardiaqu
tion requise. Il est fréquent d'observer le coma progressif dans la
paralysie
géné- Tale, des ictus dans le tabès et la sclér
e sopor, étant (le règle au cours de la syphilis cérébrale. Dans la
paralysie
générale au contraire, la narco- iepsic est fré
quises des lèvres, de la langue, du voile du palais, du larynx. Des
paralysies
laryngées peuvent également la déterminer, soit
s-nucléaires de la phonation et de l'articulation. 11 s'agit ici de
paralysies
bulbaires vraies accompagnées d'amyotrophie et
hie musculaire et les contractions fibrillaires font défaut dans la
paralysie
d'origine cérébrale ou paralysie pseudo-bulbaire.
s fibrillaires font défaut dans la paralysie d'origine cérébrale ou
paralysie
pseudo-bulbaire. Les ma- lades présentent du ri
bouche est entr'ouverte, laissant couler une salive abon- dante. La
paralysie
labio-glosso-laryngée est d'abord incomplète : se
n intelligible, limités seulement sur ce point par le degré de leur
paralysie
motrice. Il existe; un autre type d'anarthrie t
oix des malades est soufflée, éteinte; l'émission en est faible. La
paralysie
des cordes vocales se traduit non seulement par
tivement chez le même individu. Cette dysphonie s'observe en cas de
paralysie
unilatérale des cordes vocales. Enfin, la parés
divers ordres : benn- plégie faciale ou totale, uni ou hilatérale,
paralysies
isolées du type glosso-labio-Iaryngé, dysphagie
peuvent être d'origine périphérique, bulbaire ou centrale. Dans les
paralysies
laryngées,, le malade est aphone, la voix souff
s, cor- rectement formés. Le son en est seulement étouffé. Dans les
paralysies
linguales existent surtout des troubles de la p
au début des para- lysies du voile du palais, les labiales dans les
paralysies
des lèvres. Nous n'insisterons ni sur les signe
nctionnels, troubles de la déglutition, de la respiration, etc. Ces
paralysies
sont consécutives ou bien à des névrites infect
quelquefois.de légers troubles de la formation des labiales dans la
paralysie
faciale. Les muscles atteints présentent de l'a
rve fréquemment un syndrome labio-glosso-laryngé ou pharyngé. Des
paralysies
isolées de l'hypoglosse peuvent s'observer cepend
'hypoglosse peuvent s'observer cependant dans la sgringomyélie, des
paralysies
dissociées des cordes vocales dans le tabes. Ma
ciées des cordes vocales dans le tabes. Mais, nous le répétons, les
paralysies
complexes sont les plus habituelles ; on les ob
le mutisme devient absolu. Un syndrome analogue s'observe dans les
paralysies
bulbaires des poliencéphaliles à locali- sation
aire déjà intense. Le facial supérieur est toujours intact dans les
paralysies
bulbaires étudiées; il est atteint dans la para
tact dans les paralysies bulbaires étudiées; il est atteint dans la
paralysie
bulbaire familiale. - IMOVTIER.] 200 LES TROU
la dysarthrie linguale et l'affaiblissement intellectuel. Dans la
paralysie
générale enfin, les troubles du langage sont cara
d'aussi violents efforts pour émettre les sons du langage. Dans lu
paralysie
agitante, le malade; parle encore avec effort, ma
le de Lamy). On le rencontre également dans l'¡;pilepsie et dans la
paralysie
générale. Mais il est un bégaiement essentiel don
de basse. Des variations de timbre s'observent également élans les
paralysies
laryngées dissociées, qu'elles soient d'origine
ée à des obstacles mécaniques, l'agraphie totale s'observe dans tes
paralysies
du bras droit chez les droitiers (pu n'ont pas eu
tremblement, ]'afa,1. : Íe, la clrorée, les spasmes ou crampes, lu
paralysie
. Dans le tremblement, quelle que soit sa nature
ose trémulante héréditaire. Il est beaucoup plus irrégulier dans la
paralysie
générale. Les malades atteints de sclérose en pla
; le trem- blement y est presque exclusivement horizontal. Dans la
paralysie
agitante enfin, l'écriture est tout spécialemen
supérieur droit chez les droi- tiers, gauche chez les gauchers, la
paralysie
en un mot détermine enfin des troubles considér
s chez les aliénés des troubles mécaniques. 11 en est ainsi dans la
paralysie
géné- rale. En effet, les paralytiques généraux
normaux du langage indépendant de la démence, de l'idiotie et de la
paralysie
. EXAMEN D'UN APHASIQUE *i I. Comment se fait
? du voile du palais ? du larynx ? Ces organes présentent-ils de la
paralysie
ou un trouble quelconque dans teur fonctionneme
n des signes normaux du langage, indépendant de la démence et de la
paralysie
. Ces altérations dépendent d'une destruction, p
les aphasiques de Wernicke purs sont au contraire indemnes de toute
paralysie
, avons-nous dit. Les aphasiques de Broca sont sil
'il y ait apraxie, il ne doit y avoir ni anestllésie, ni ataxie. ni
paralysie
, ni surdité verbale, ni agnosie, ni trouble du ju
rition de l'intelligence des choses ». L'APRAXIE. 223 (absence de
paralysie
, d'ataxie. de tremblement, de choree, d'aihétosc)
rait les prendre pour des psellrlo-bulbaires; mais ils n'ont pas de
paralysie
à proprement parler, ils présentent seulement d
s avec ou sans aphasie, et dans les processus diffus, encéphalites,
paralysie
générale, méningites aiguës, au cours delà déme
reconnus. Il convient de distinguer avec soin l'agnosie tactile des
paralysies
motrices ou sensitives, l'agnosie visuelle des
anie aiguë, délires hallu- cinatoires, confusion mentale délirante,
paralysie
générale, etc.). 11 faut écouter, sans les inte
personnalités. La diction des aliénés est souvent modifiée. Dans la
paralysie
générale, l'excitation maniaque, les délires mé
assonance tels qu'on les observe dans l'('\l'll;1t1011 maniaque, la
paralysie
générale n'ont pas de significa- tion : au cont
niquc que l'on observe dans la stupeur, la démence, certains cas de
paralysie
générale, aucune émotion ne se traduit sur le v
res et ne les retrouvant pas, s'imaginent qu'on les vole. Dans la
paralysie
générale les idées de persécution, quand elles ex
n. De telles idées s'obser- vent avec une grande; fréquence dans la
paralysie
générale; les sujets possèdent des pierres préc
ez les débiles atteints d'excitation maniaque et dans la lsezt.clo-
paralysie
générale alcoolique. Les idées de satisfaction, d
ains débiles. Elle s sont fréquentes dans la forme dépressive de la
paralysie
gélll'- rale, coexistent alors souvent avec des
mutilations volontaircs. Les idées de négation s'observent dans la
paralysie
générale, elles peuvent même apparaître au débu
té. - Ces idées ont été décrites par Cotard. On les observe dans la
paralysie
générale et la mélancolie. Chez les paralytique
ctions mentales. Elles sont fréquentes dans la phase initiale de la
paralysie
générale et même peuvent être le sym- ptôme rév
meilleurs sédatifs de l'agitation maniaque survenant au cours de la
paralysie
générale. Ergotine Yvon. En injecter un demi-ce
ree ou d'hémiathétose. ' b) Idiotie diplégique. Dans ce cas, il y a
paralysie
des quatre membres. Bourneville et Crouzon ont
s (roubles de foutes les fonctions. Cependant, il est des cas où la
paralysie
générale' infantile' a pu prendre les allures c
açon .tout' à fait nette le cerveau des adultes qui succombent à la
paralysie
générale. , . 5° Idiotie symptomatique de sclér
ons de l'idiotie . sont non seule- ment les symptômes associés à la
paralysie
que nous avons déjà men- tionnés, mais c'est su
t d'abord pour expliquer le phénomène du syndrome de Brown-Séquard (
paralysie
avec anesthésie croisée dans les lésions unilat
syndrome de Brown-Sequard, elle occupe le côté corres- pondant à la
paralysie
motrice (Dejerine). F) Sens musculaire. - tc te
dans un grand nombre d'hémiplégies où soit la contraction, soit la
paralysie
rendent la palpation impossible, le sens stéréo
stéréognostique ne peut pas être étudié. 11 en est de même dans les
paralysies
datant de l'enfance (hémiplégie cérébrale infan
les paralysies datant de l'enfance (hémiplégie cérébrale infantile,
paralysie
obstétricale). Ici. les sujets, de par leur imp
i intéressent le ruban de lleil médian ; elle peut s'accompagner de
paralysie
totale ou partielle de la z` paire, d'ataxie, d
ne du côté opposé), on peut également avoir de l'hémianesthésie. La
paralysie
de la 3e paire, accompagnée de l'hémiplégie crois
rver de l'hémianesthésie plus ou moins marquée et des douleurs. Les
paralysies
oculaires, surtout dans les mouvements associés
ubles sensitifs se superposent aux troubles moteurs et l'on a des «
paralysies
alternes sezsitivo-uot,7°ices ». C'est le syndr
ernes sezsitivo-uot,7°ices ». C'est le syndrome de Millarrl-Gubler (
paralysie
des membres d'un côté, avec paralysie faciale e
syndrome de Millarrl-Gubler (paralysie des membres d'un côté, avec
paralysie
faciale et strabisme interne du -côté opposé), au
tremblement statique, de la dysarthrie et enfin, fait capital, une
paralysie
oculaire des mouvements associés de bilatéralit
, dans le syndrome de Brown-Séquard, de l'anesthésie d'un côté avec
paralysie
du côté opposé, avec ou sans hyperesthésie. Dia
droite de la moelle par coups de tranchet; laminectomie. A droite,
paralysie
motrice du membre inférieur, avec hyperesthésie
x les troubles moteurs et sensitifs sont également variables. A une
paralysie
motrice spasmodique intense peuvent correspondr
, à une paraplégie sensitive marquée correspond ordinaire- ment une
paralysie
motrice grave. Lorsque la paralysie est flasque,
correspond ordinaire- ment une paralysie motrice grave. Lorsque la
paralysie
est flasque, totale et persistante, l'anesthési
re. , A part les cas de lésions intéressant uniquement les racines (
paralysies
radiculaires, radiculites), dont nous étudieron
gaces, car ils disparaissent très peu de jours après le début de la
paralysie
; c'est là ce qui expliquerait la rareté avec la
: ce sont les plaies accidentelles, les sections chirurgicales, les
paralysies
obstétricales, les traumatismes de la région ;
dehors du rachis, les troubles sensitifs s'accompagnent toujours de
paralysie
motrice homologue il topographie parallèle et r
lésion intm-rachidienne, le parallélisme entre l'anes- thésie et la
paralysie
n'est pas constant; les racines antérieures et po
môme temps les racines et la moelle. Nous avons donc à étudier les
paralysies
radicu- laires par lésion des racines seules; n
lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux troubles moteurs (
paralysie
radiculaire sensilivo- 111Ol¡'ice des plexus),
ilivo- 111Ol¡'ice des plexus), ou plus rarement ils existent seuls (
paralysie
radi- culaire sensitive pure). La clinique mont
e, s'il est possible de conslater des lésions isolées d'une racine (
paralysie
uii°adiczclai°e), il arrive beaucoup plus fréqu
i des types cliniques reconnus aujour- d'hui comme classiques. I.
PARALYSIES
RADICULAIRES SENSITIVES DU PLEXUS BRACHIAL Ce
sitil's qui, à eux seuls, suffisent pour établir le dia- gnostic de
paralysie
radiculaire, s'ajoutent ordinairement des trouble
l'innervation motrice des mêmes racines (5" et (;' cerv.), soit une
paralysie
du biceps, du deltoïde, du brachial antérieur e
ançant un peu sur les faces antérieure et postérieure du membre. La
paralysie
motrice occupe tous les petits muscles de la main
les fléchisseurs de la main. Le fait pathognomonique de ce type de
paralysie
, qui en rend le diagnostic, facile, est l'exist
en rend le diagnostic, facile, est l'existence, du même côté que la
paralysie
, du syndrome sympathique (De je ri ne-KIlim pk l'
dans le type inférieur. D) Type complexe. Type uniradiculaire. Les
paralysies
com- plexes sont très fréquentes en clinique ;
xes sont très fréquentes en clinique ; l'anesthésie, de même que la
paralysie
motrice, occupe des régions appartenant à la fois
ur du plexus (5e, 7e et 8e racines cer- vicales, par exemple). La
paralysie
uniràdiculai1'e est tout à fait exceptionnelle.
. La paralysie uniràdiculai1'e est tout à fait exceptionnelle. E)
Paralysies
radiculaires sensitives pures. La paralysie radi-
ait exceptionnelle. E) Paralysies radiculaires sensitives pures. La
paralysie
radi- culaire sensitive pure du plexus brachial
ogie la notion nouvelle des « radiculites » (Voir plus loin). II.
PARALYSIES
RADICULAIRES DES PLEXUS LOMBAIRE ET SACRÉ Com
r non pas à la lettre, mais avec une certaine largeur d'esprit. Les
paralysies
radiculaires du plexus lombaire, ou sacré s'obs
scend jusqu'à la 2° vertèbre lombaire) participe à la lésion. Ces
paralysies
ordinairement complexes et frappant plusieurs rac
au); aussi les troubles moteurs sont habituels et consistent en une
paralysie
flasque des membres infé- rieurs ; il existe, e
s n'avons étudie jusqu'ici, à propos des troubles observés dans les
paralysies
radiculaires des plexus lombaire et sacré, que ce
hapitre traitant des « Troubles de la inutilité ». Diagnostic des
paralysies
radiculaires et des lésions médullaires. On sai
racines proprement dites. Lorsqu'on se trouve one en présence d'une
paralysie
dont les troubles sensitifs, aussi bien que les
d'être suffisants pour le diagnostic, puisqu'on peut rencontrer des
paralysies
purement radiculaires bilatérales, et que la diss
ue, ne font presque jamais défaut. LES RADICULITES Ht. A côté des
paralysies
radiculaires obstétricales ou chirurgicales, des
ntôt les troubles sen- sitifs sont associés aux troubles moteurs (
paralysie
des nerfs mixtes, névrites sensitivo-mot1'i-
sie des nerfs mixtes, névrites sensitivo-mot1'i- ces), tantôt les
paralysies
sensi- tives existent seules (paralysie des n
mot1'i- ces), tantôt les paralysies sensi- tives existent seules (
paralysie
des nerfs sensitifs* ou névrites sensitives p
ériques étant connue, il sera facile de diagnostiquer la variété de
paralysie
à laquelle on a affaire. On se rappellera qu'en
aux territoires sensitifs des extrémités des membres. ' Fig. '39.
Paralysie
du cubital par luxation du coude. Anesthésie du p
erveux, par exemple dans les psychoses toxiques, les dé- mences, la
paralysie
générale. Dans la paralysie générale progressive,
psychoses toxiques, les dé- mences, la paralysie générale. Dans la
paralysie
générale progressive, ils peuvent prendre la fo
ue ou monoptégique, et, dans le cas d'association du tabès el de la
paralysie
générale, se distribuer suivant une topographie
cessus inflammatoires de méningo-cncéphalite diffuse au cours de la
paralysie
générale ; enfin dans les hémorragies méningées
ine oplzlctlzrtojléiyzte, l'accès d'hémicrànie se com- plique d'une
paralysie
de la troisième paire, qui peut même remplacer la
onstitué par du ptosis, du strabisme externe, de la diplopie, de la
paralysie
de l'accommodation, de la dilata- tiun pupillai
repos de quelques minutes. Ce sont les signes avant-coureurs d'une
paralysie
définitivement constituée et survenant dans la
de froid. L'intensité de ces sensations aug- mente à mesure que la
paralysie
se développe, et, comme cette dernière, elle di
re du côté de l'hëmicrànie, c'est la forme clinique encore appelée;
paralysie
oculo-motrice périodique ou récidivante. Cette
e appelée; paralysie oculo-motrice périodique ou récidivante. Cette
paralysie
peut dans cer- tains cas persister. Certaines
moelle dans la forme tabétique, dans les scléroses combinées de la
paralysie
générale el dans les formes subaiguës. Dans la
ue amena la réapparition du réflexe rotulien du côté atteint par la
paralysie
. Enfin on peut observer les troubles des réflex
e la ineielle. " En général, dans les compressions de la moelle, la
paralysie
reste flasque au début de la maladie, il y a al
us les conclusions des. recherches de Babinski (pu a observé que la
paralysie
flasque, intense, -complète, pouvait ne s'accom
la poliomyélite antérieure chronique de l'enfant, ("est-il-dire la
paralysie
infantile. Cette aboli- tion des réflexes qui q
aît et lorsqu'elle entraîne le coma, la résolution musculaire et la
paralysie
. Il en est de même de la méningite cérébro-spin
et le pronostic de ces affections. Dans les maladies mentales, la
paralysie
générale est la seule qui offre d'une façon fré
-paranoïa, l'abolition du réflexe patellaire doit faire penser à la
paralysie
géné- rale. M. Marandon de Montyel a étudié le
S l'alt I,'l,\ : 1H1.\ DI : S RI,ILI : \I;S. 4 ! 4.ï périodes de la
paralysie
générale; il semble, d'après lui, que le réflexe
rès lui, que le réflexe rotulien soit d'autant moins atteint que la
paralysie
générale est plus avancée. Le maximum des altér
bres inférieurs est le plus sou- vent liée aux symptômes suivants :
paralysie
, signe de Babinski, troubles des fonctions des
Erb : c'est la paraplégie; spasmodique des mem- bres inférieurs, la
paralysie
localisée aux muscles fléchisseurs et au muscle
L'exagération peut s'observer dans l'hémiplégie des le début de la
paralysie
. Ganault, dans le service de Pierre Marie à Bic
UZON]' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est également un symptôme de la
paralysie
générale. Dans cette affection les réflexes ten
4/5 des cas. Celle exagération s'observe surtout dès le début de la
paralysie
générale : ; suivant quelques ailleurs, elle es
rin est exagéré. Quelque- fois, l'exagération des réflexes élans la
paralysie
générale est telle qu'elle peut permettre d'aff
ation des réflexes ne se maintient pas dans toute l'évolution de la
paralysie
géné- 'rale, elle tend à diminuer après les pro
de la lésion, en plus de l'exagération des réflexes, il existe une
paralysie
motrice, de l'hyperes- - lhésie avec une zonesu
ène a pu se rencontrer quelquefois, quoique assez rarement, dans la
paralysie
générale. Le phénomène de Babinski ne se rencon
atrophie Charcot-Marie, ni dans la maladie de Parkinson, ni dans la
paralysie
infantile, ni dans la chorée, ni dans la sciatiqu
e Montyel a étudié le réflexe crémastérien aux trois périodes de la
paralysie
générale : il est altéré dans 80 pour 100 des cas
te affection. Le réflexe pharyngé l'ait également, défaut dans la
paralysie
pharyngée ]mlbaire et pS('IHlo-bu]baire. Le r
par des lésions de la subs- tance grise médullaire, comme dans la
paralysie
infantile ou par lésion musculaire comme dans l
5u millièmes de seconde a été constaté chez (les sujets atteints de
paralysie
spasmodique dont les réflexes sont particulièreme
les l'excitabilité directe des muscles n'est guère modifiée (tabès,
paralysie
générale progressive des aliénés). C) Sa produc
GIE - - Par le D' O. CROUZON L'hémiplégie est, par définition, la
paralysie
motrice d'un côté du corps, mais il se produit
les renseignements fournis par le malade au sujet d'une attaque de
paralysie
à telle ou telle époque, on ne soupçonnerait mê
oncée, les malades qui en sont atteints présentent dès le début une
paralysie
très marquée et parfois presque complète de tou
es, on voit qu'il ne peut se tenir debout. D'une façon générale, la
paralysie
pour les membres est beaucoup plus prononcée da
urtout remarquer Wcr- nicke et Mann, dans l'hémiplégie cérébrale la
paralysie
ne frappe pas isolément tel ou tel muscle, mais
es moteurs des globes oculaires participeraient générale- ment à la
paralysie
, d'après Mirallié et Desclaux, Wilson, Chaillous
les lésions des hémisphères, le malade re- garde sa lésion s'il y a
paralysie
, il regarde ses membres convulsés s'il y a cont
les cas où l'hémiplégie est bien prononcée; lorsque au contraire la
paralysie
est d'intensité médiocre ou légère, il est rare
es membres qui ont été le siège des manifestations convulsives, une
paralysie
d'aspect (et de nature) tout à fait hémiplégique
heures après les convulsions; il peut arriver d'ailleurs que cette
paralysie
transitoire devienne perma- nente et on a alors
nann ('), qui con- siste en une sorte d'agnosie des mouvements sans
paralysie
réelle; c'est ainsi que l'on voit les malades q
ans certains cas en imposer pour l'hémi- plégie organique, c'est lu
paralysie
agilccrtle, qui. connue on sait, a un début uni
noyau lenticulaire sont volontiers bilatérales) aller jus- qu'à la
paralysie
pseudo-bulbaire. Quand c'est la couche optique qu
existe dans la capsule interne des localisations très nettes de la
paralysie
sur tel ou tel segment de membre, sur la face,
s, les lésions limitées de la capsule interne ne déterminent pas de
paralysies
localisées, de nionopif. gies du membre supérie
f crânien situé dans son voisinage, ce qui donnera des symptômes de
paralysie
, ou plus rarement d'anesthésie dans le domaine
us sont : le type Millard-Gubler (hémiplégie des membres d'un côté,
paralysie
faciale de l'autre côté) et le type dit syndrome
le type dit syndrome de Weber (hémiplégie des membres d'un côté et
paralysie
du moteur ocu- laire commun de l'autre côté). C
st atteinte, ce n'est [CROUZON] ] 472 in HÉMIPLÉGIE. - plus une
paralysie
que l'on observe mais une anesthésie localisée à
s le nom de Syndrome de Benedikt, elle consiste en ce que, avec une
paralysie
de la IULE paire d'un côté (comme dans le syndrom
Type Foville du syndrome de Millard-Gubler (Grasset) : d'un côté
paralysie
des membres, de l'autre, paralysie du facial et d
ard-Gubler (Grasset) : d'un côté paralysie des membres, de l'autre,
paralysie
du facial et d'un oculo- gyre. Syndrome de Mi
yndrome pédonculaire (Pierre Marie et Crouzon) : hémiplégie gauche,
paralysie
faciale droite, paralysie du trijumeau droit et
re Marie et Crouzon) : hémiplégie gauche, paralysie faciale droite,
paralysie
du trijumeau droit et paralysie de l'oculomoteu
e gauche, paralysie faciale droite, paralysie du trijumeau droit et
paralysie
de l'oculomoteur commun droit. Type Foville du
mmun droit. Type Foville du syndrome de Weber (Grasset) : d'un côté
paralysie
des membres et de la face, de l'autre paralysie
rasset) : d'un côté paralysie des membres et de la face, de l'autre
paralysie
d'un oculogyre. llémispasme facial alterne (Bri
logyre. llémispasme facial alterne (Brissaud et Sicard) : d'un côté
paralysie
des membres, de l'autre spasme de la face. Sy
nedikt inférieur (Combe) : d'un côté hérnitrem- blement, de l'autre
paralysie
faciale. Hémianesthésie alterne (Raymond) : d'u
alterne (Raymond) : d'un côté anesthésie des mem- bres avec ou sans
paralysie
, de l'autre anesthésie de la face avec on sans
ec ou sans paralysie, de l'autre anesthésie de la face avec on sans
paralysie
. ' Syndrome cérébelleux alterne de Babinski et
Syndrome cérébelleux alterne de Babinski et Nageottc : d'un côté
paralysie
des membres, de l'autre, troubles cérébelleux, hé
miplégie alterne du type Avellis : d'un côté hémiplégie, de l'autre
paralysie
du voile du palais et de la corde vocale. Hémip
incoordination, mouvements choréo-athétosiques, troubles sensitifs,
paralysie
faible, de l'autre paralysie des mouvements assoc
oréo-athétosiques, troubles sensitifs, paralysie faible, de l'autre
paralysie
des mouvements associés d'abduc- tion des yeux.
drome de la calotte pédonculaire (Gruner et Bertolotti) : d'un côté
paralysie
sensitivo-motrice, de l'autre paralysie des mouve
et Bertolotti) : d'un côté paralysie sensitivo-motrice, de l'autre
paralysie
des mouvements associés d'élévation, d'abaissem
manifestation assez rare. La distri- HÉMIPLÉGIE. 475 hution de la
paralysie
aux différents groupes moteurs est, d'après Man
iplégie spinale, la face n'est pas atteinte, et qu'ordinairement la
paralysie
est plus marquée pour le membre inférieur que p
ale. - Il. Hémiplégie non organique, d'origine névropathique. Les
paralysies
de ce genre peuvent simuler, de très près, l'hémi
ctéristique la jambe paralysée, mais malgré tout ils marchent. La
paralysie
des hystériques porte de préférence sur un certai
asmodique, elle l'est d'emblée; la contracture ne succède pas à une
paralysie
flasque. Dans certains cas la recherche des sti
s tardivement et sont bien moins marqués qu'aux membres atteints de
paralysie
. En même temps, l'épaule du côté normal se port
a position primitive. Babinski suppose que ce mouvement est du à la
paralysie
des muscles qui étendent la cuisse sur le bassi
pyramidale. Signe de Charles Bell. Charles Bell a signalé, dans la
paralysie
faciale, un mouvement de rotation du globe de l
errière la paupière supérieure : ce signe est également un signe de
paralysie
or- ganique et ne peut être reproduit par l'act
MOUVEMENTS ASSOCIÉS. , 481 proche, des mouvements associés dans la
paralysie
faciale : quand le malade veut rire il ferme in
nts importants de diagnostic. Dans ce cas, une céphalée, une légère
paralysie
du membre inférieur et supérieur du côté gauche
le fruste presque ambulatoire, et l'évolution de la maladie vers la
paralysie
spinale de l'adulte, avec atrophie, confirma notr
rs. Dans l'intervalle des crises, ce signe disparaissait. Dans la
paralysie
générale, il a été constaté par Darcanne (Congrès
. tCROUZONA PARAPLÉGIE par le Dr MOUTIER La paraplégie est la
paralysie
motrice des membres inférieurs. Elle peut être
syndrome désigné sous le nom de tétraplégie. Dans certains cas, la
paralysie
s'accuse da- vantage aux membres supérieurs, pa
la , [MOUTIER.] 488 PARAPLEGIE. spasticité cédant le pas il la
paralysie
. En explorant la résistance offerte à la flexio
ce qu'il présente une con- tracture considérable, soit parce que la
paralysie
l'emporte sur la contrac- ture. Lorsque la cont
s. Il n'existe point de troubles tro- phiques. si ce n'est dans les
paralysies
d'origine centrale. Les escarres sont fréquente
laire, de relâchement des sphincters et d'affaiblissement, sinon de
paralysie
, de la sangle abdominale. Comme dans les parapl
nt, le syndrome de 131'ozorr-Sc·clrccrncl est carac- térisé par une
paralysie
spasmodique directe du membre inférieur, c'est-
ions, semblables en apparence, provoquent tantôt l'apparition d'une
paralysie
spasmo- dique, tantôt d'une flaccidité totale.
eront, le neurone périphérique pouvant être tardivement altéré) les
paralysies
dépendant de l'irritation, de la sclérose, de l
itation, de la sclérose, de l'agénésie du faisceau pyra- midal, les
paralysies
consécutives aux sections incomplètes de la 'moel
complètes de la 'moelle. On a signalé des sections incomplètes avec
paralysies
flasques dont la raison s'explique mal en dehor
s, la marche est impos- sible, sans qu'il v ait à proprement parler
paralysie
. Démarches ataxo-cérébelleuses. Ces troubles de
ficulté de la marche dont sont responsables il la fois l'ataxie, la
paralysie
et l'atrophie musculaire. Les états vertigine
ons fibro-ten- dinellses, Ces rétractions s'observent à la suite de
paralysies
des exten- seurs du pied ou de contractures des
bles déterminés par la rigidité musculaire. Il en est ainsi dans la
paralysie
agitrlllie où le malade, le tronc penché en avant
iable. Lorsque la section de la moelle est immédiatement totale, la
paralysie
demeure immuablement flasque; nous aurons l'occ
présente un syn- drome clinique caractérisé par une tétraplégie. La
paralysie
est progres- sive, spasmodique, prononcée surto
mbre. Il semble même y avoir, à première vue, plutôt spasticité que
paralysie
. En réalité, celle-ci existe et même à un degré
uérisons même, selon Erb. Il est exceptionnel que les progrès de la
paralysie
con- finent le malade au lit. Le pronostic est
s, raideur de la colonne vertébrale (Kernig). Il survient alors une
paralysie
flasque d'instauration rapide, puis, avec une r
lutôt en faveur d'une paraplégie fonction- nelle, bien qu'une telle
paralysie
puisse rarement à vrai dire s'ac- compagner d'a
dépendant nettement de processus infectieux, caractérisées par une
paralysie
flasque et une évolution rapide, souvent fatale.
Ce sont les méningo-myélites, les myélites, les poliomyélites et la
paralysie
de l.artcl r y/, .. Occupons-nous d'abord des
ichoreuse secondaire ter- mine rapidement cette brève évolution. La
paralysie
est parfois ascen- dante a la période terminale
inique est peu ardu sans doute en des cas aussi antinomiques que la
paralysie
infantile ou la polynévrite progressive de l'al
llure subaiguë ou chronique, la polynévrite offrir le tableau d'une
paralysie
aiguë, fébrile, généralisée. Nous nous efforceron
quelques indications pratiqués. La poliomyélite, qu'il s'agisse de
paralysie
infantile ou de paralysie chez l'adulte, est un
iqués. La poliomyélite, qu'il s'agisse de paralysie infantile ou de
paralysie
chez l'adulte, est une affection fébrile, frapp
sque et massive un territoire musculaire très étendu. Plus tard, la
paralysie
ré- trocède et se localise en certains groupes
elever de troubles circulatoires ou toxiques. De ce nombre sont les
paralysies
transitoires de la période préataxique du tabès e
n désespoir de cause, attribué à des troubles toxi- 'lues certaines
paralysies
intermittentes, telles que les paralysies des p
les toxi- 'lues certaines paralysies intermittentes, telles que les
paralysies
des paludéens. Plus intéressantes sont les pcra
e de la dispropor- tion entre la cause et l'effet, l'accident et la
paralysie
. Ce sont la des cas relativement faciles; d'aut
ous ne ferons que les men- tionner. De cet ordre- sont en effet les
paralysies
dites réflexes du goitre exophtalmique et des u
ites réflexes du goitre exophtalmique et des urinaires. Ce sont des
paralysies
intermittentes, caractérisées par un « giving-i
urement hypo- thétique ; on a seulement fait observer que, pour les
paralysies
urinaires tout au moins, il convenait d'être as
rome des enfants nés avant terme. Il n'y a chez eux que fort peu de
paralysie
. Il existe surtout de la raideur et une contrac
ic serait facilité par l'étude des réflexes. Us sont abolis dans la
paralysie
infantile, exagérés avec extension de l'orteil da
dividu la coexistence d'une hémiplégie cérébrale infantile et d'une
paralysie
infantile (Pierre Marie). Dans de tels cas, il
infantile (Pierre Marie). Dans de tels cas, il existe du côté de la
paralysie
infantile de l'abolition des réflexes, de l'atr
impossible. On peut constater un degré variable de contracture; la
paralysie
peut être au contraire absolument flasque. 11 y
dia- gnostic rapidement formuté. C'est ainsi que parmi les fameuses
paralysies
urinaires, bien peu probablement ressortissent
ouleurs sur le trajet du phrénique. Du hoquet, des vomissements, la
paralysie
du diaphragme peuvent encore traduire les lésio
du bras. Le syndrome médullaire peut reproduire soit le type de la
paralysie
radiculaire totale, soit les types de la paralysi
it le type de la paralysie radiculaire totale, soit les types de la
paralysie
radiculaire supérieure ou inférieure. L'atteint
membre inférieur avec parti- cipation de la plante du pied, par une
paralysie
flasque ou plus sou- vent une parésie des fessi
figures et le texte de la séméiologie des troubles radiculaires.
PARALYSIE
PÉRIODIQUE FAMILIALE par le D' CROUZON 1'esi.
D' CROUZON 1'esi.phal a désigné sous ce nom « un cas remarquable de
paralysie
périodique des quatre extrémités », avec dispar
ec disparition simultanée de l'exci- tabilité électrique pendant la
paralysie
(Berliner ¡llinische TV ochensch1'ift, août 188
disparition de l'excitabilité électrique et des réflexes pendant la
paralysie
. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité
lle, le début ne se fait pas brusquement et, d'une façon totale, la
paralysie
ne survient que dans les muscles inactifs. Il y
terons, d'après Cousot [Bévue de Médecine, 1887), l'évolution de la
paralysie
chez un malade qui s'exerçait à un travail de c
et les sphincters sont en général respectés. Les carac- tères de la
paralysie
sont les suivants : Elle peut être complète ou
nication, est l'abolition de l'excitabilité élec- trique pendant la
paralysie
. Cette abolition est plus ou moins complète, el
que sur les nerfs. Ce caractère est constant ; les ICROUZON.] 20
PARALYSIE
PÉRIODIQUE FAMILIALE. réflexes, du reste, sont
reste, sont également supprimés ou diminués pendant l'accès. Cette
paralysie
est flasque, la sensibilité et les organes des se
organes des sens sont en général respectés. La disparition de la
paralysie
est progressive quand la maladie s'est constitu
ois, il est incontestable qu'il faut la différencier totalement des
paralysies
palu- déennes. D'autre part, les affections que
e fera d'après la triade symptomatique que nous venons de décrire :
paralysie
périodique, abolition transitoire de l'excitabi
LE par Georges GUILLAIN Avant de faire l'étude séniéiologique des
paralysies
, avant de décrire la topographie des troubles d
muscles du corps humain et aussi les troubles qui résultent de leur
paralysie
isolée. La connaissance précise de la myologie es
bref et d'éviter des répé- titions dans la description des diverses
paralysies
, car il suffira de se rapporter à la physiologi
le il celle du deltoïde quoique moindre ; aussi les symptômes de la
paralysie
du del- toïde seront-ils atténués si le sus-épi
il celle du deltoïde, il peut atténuer les troubles produits par la
paralysie
de ce muscle. Réciproquement, le deltoïde intact
intact compense les MUSCLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. M5 effets de la
paralysie
du sus-épineux. Duchenne a insisté sur ce fait qu
ant et en haut. , C'est un muscle d'une puissance faible; aussi sa.
paralysie
n'amène pas de troubles importants. Sous-scap
ceps, la supination et la flexion, peuvent être suppléées, aussi sa
paralysie
n'abolit pas complètement l'une et l'autre. Dan
per, le bra- chial antérieur fléchit le bras sur l'avant-bras. La
paralysie
isolée du brachial antérieur n'empêche pas la fle
coné peut suppléer dans une certaine mesure le triceps paralysé. La
paralysie
simultanée du triceps et de l'anconé rend impossi
du coude, ce qui atténue l'importance fonctionnelle résultant de la
paralysie
. Quand les extenseurs de l'avant-bras sont para
nimum d'am- plitude quand celle-ci est dans la flexion forcée. La
paralysie
du grand palmaire, du petit palmaire, du cubital
long fléchisseur propre, n'agit pas sur le premier métacarpien. La
paralysie
de ce muscle, bien que n'entraînant que la perl
Le long supinateur est donc à la fois pronateur et supi- nateur. La
paralysie
du long supinateur est facile à constater en pria
adial de l'avant-bras. Il est extenseur et adducteur de la main. La
paralysie
de ce muscle amène une déviation permanente de la
lité en dehors qui est utile dans la pronation et la supination. La
paralysie
de ce muscle n'amène pas de troubles appréciabl
er métacarpien et porte le premier métacar- pien en abduction. La
paralysie
du court extenseur empêche l'extension du pouce e
pouce et entraîne la chute de ce doigt dans la paume de la main, la
paralysie
du long abducteur et du long extenseur exagère
rrière et en dedans vers le deuxième méta- carpien. Dans les cas de
paralysie
des muscles thénariens, le long exten- seur, pa
t doigt du médius, et aussi de rapprocher l'index de ce doigt. La
paralysie
des interosseux est parfois incomplète, le malade
de rapprocher les doigts étendus caractérise le premier degré de la
paralysie
des interosseux. La paralysie des lombricaux et
caractérise le premier degré de la paralysie des interosseux. La
paralysie
des lombricaux et des interosseux a pour conséque
étant debout, que le bassin s'incline du côte opposé à celui de la
paralysie
au moment où le corps repose sur le membre infé
n en dehors déterminé par le couturier n'est pas très énergique. La
paralysie
isolée de ce muscle n'entraîne pas de troubles fo
d'être pincé dans l'extension de la jambe sur la cuisse. Dans la
paralysie
du quadriceps, on constate que le. malade, étan
a marche est très difficile; la montée d'un escalier impossible. La
paralysie
peut prédominer sur certains chefs du muscle. S
dans. Il est fléchisseur, adducteur, rotateur en dedans du pied. La
paralysie
dujaudjicr antérieur détermine un pied bot équi
n valgus dans les efforts de flexion du pied. Consécutivement il la
paralysie
du jambier antérieur, on constate l'hypertrophi
e, le bord interne du pied est a peine plus élevé que l'externe. La
paralysie
du jambier postérieur a pour con- séquence un p
trapèze, le rhomboïde, l'angulaire de l'omoplate sont nor- maux, la
paralysie
du grand dentelé n'amène pas de déformations pers
attention surine déformation particulière du thorax dans les cas de
paralysie
isolée du muscle grand dentelé; elle ne se voit
as influencés par la contraction du diaphragme. Quand il existe une
paralysie
bilatérale du diaphragme, on constate il chaque
n de repos d'autres muscles peuvent suppléer le diaphragme. Dans la
paralysie
unilatérale du diaphragme on observe par la vue e
nférieurs par exemple, avoir un rôle dans l'action de grimper. La
paralysie
du trapèze se traduit par des signes différents s
ignes différents suivant la partie ! de muscle qui est affectée. La
paralysie
de la partie supérieure ne se constate que dans
la ligne médiane, le moignon de l'épaule se porte en avant ; si la
paralysie
est bilatérale le dos est arrondi et la poitrin
scle grand dentelé corrige la déviation de l'épaule. Dans le cas de
paralysie
du trapèze, le rhomboïde est seul capable de ra
ant, ce qui est dû à l'action prépondérante du grand dentelé. Cette
paralysie
annihilant un moyen de fixité important de l'om
son point fixe sur l'omoplate il incline la tête de son côté. La
paralysie
de l'angulaire n'amène pas de troubles importants
bliques en liant et en dedans, portent la face du côté opposé. La
paralysie
des extenseurs dorsaux et cervicaux produit une c
e de gravité ne reste pas en arrière de la base de sustentation. La
paralysie
des extenseurs du cou a pour conséquence une cy
sale et une exagération légère de la courbure dorso-loinbaire. La
paralysie
bilatérale des extenseurs lombaires, fréquente da
ntrairement à ce que l'on observe dans la lordose consécutive si la
paralysie
des fléchisseurs du rachis, c'est-à-dire des musc
se pas par le sacrum, mais par cet os ou même en avant de lui. La
paralysie
unilatérale des muscles spinaux lombaires et dors
tres.. L'ablation de ces centres a pour consé- quence de véritables
paralysies
qui d'ailleurs s'amendent ultérieurement. Ch. K
rtie supérieure, moyenne ou inférieure de la zone rolan- dique. Les
paralysies
très limitées par lésion corticale sont exception
xcitation d'une racine donnée [G GUILLAIN.] 600 SÉlItIOLOf;1E DES
PARALYSIES
D'ORIGINE RADICULAIRE. amène des mouvenients pa
ection d'une racine, d'après Ferrier et Yeo, ne provoquerait pas la
paralysie
complète des muscles correspondants, car ils re
lectro-physiolo- giques de Erb, qui font époque dans l'histoire des
paralysies
radicu- laires du plexus brachial. Duchenne (de
exus brachial. Duchenne (de Boulogne) avait signalé, une variété de
paralysie
obstétricale intéressant des muscles du bras inne
as innervés par des nerfs différents. Erb localise cette variété de
paralysie
dans les 5e et 6° nerfs cervicaux. Le professeu
plu- sieurs centimètres. La conséquence de cette résection fut une
paralysie
des muscles scalènes antérieurs, sous-épineux,
l'innervation motrice des nerfs rachidiens 1. 604 SEMEIOLOGIE .DES
PARALYSIES
'mty.uvL .ltA.UlI...UlJiUllli.. . TOPOGRAPHIE R
...UlJiUllli.. . TOPOGRAPHIE RADICULAIRE; 605 60U SÉMIOLOGIE DES -
PARALYSIES
D'ORIGINE -RADICULAIRE. « - TOPOGRAPHIE RADICUL
609 610 - 1 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. LES
PARALYSIES
RADICULAIRES.. 611, sale inférieure (de la sixi
r abord d'une grande sim- plicité, est souvent fort délicate. LES
PARALYSIES
RADICULAIRES - - PARALYSIES RADICULAIRES DU P
icité, est souvent fort délicate. LES PARALYSIES RADICULAIRES - -
PARALYSIES
RADICULAIRES DU PLEXUS BRACHIAL Les principal
LYSIES RADICULAIRES DU PLEXUS BRACHIAL Les principales causes des
paralysies
radicu- laires du plexus brachial sont : la sec
e la carotide primitive). Le mécanisme des diJ1érentes variétés des
paralysies
radiculaires est longuement étudié dans une mon
bliée sur ce sujet avec Pierre lluval (P. Duval et G. Guillain. Les
paralysies
radiculaires du plexus brachial. Paris, 11)01).
Paris, 11)01). Il existe eu clinique trois variétés principales de
paralysies
radicu- laires : 1" la paralysie radiculaire su
que trois variétés principales de paralysies radicu- laires : 1" la
paralysie
radiculaire supérieure (paralysie dite du type Du
paralysies radicu- laires : 1" la paralysie radiculaire supérieure (
paralysie
dite du type Du- chennc-I;rh); 2° la paralysie
iculaire supérieure (paralysie dite du type Du- chennc-I;rh); 2° la
paralysie
radiculaire inférieure, paralysie du type Ktmnp
e du type Du- chennc-I;rh); 2° la paralysie radiculaire inférieure,
paralysie
du type Ktmnpke ou paralysie avec syndrome symp
° la paralysie radiculaire inférieure, paralysie du type Ktmnpke ou
paralysie
avec syndrome sympathique; 5" la paralysie radi-
lysie du type Ktmnpke ou paralysie avec syndrome sympathique; 5" la
paralysie
radi- cniairctotate. Dans la paralysie radicu
yndrome sympathique; 5" la paralysie radi- cniairctotate. Dans la
paralysie
radiculaire supérieure, les muscles paralysés son
grand dentelé, le court supinateur. Le malade; atteint d'une telle
paralysie
, c'est d'ailleurs le plus souvent ou après une
ant paralysé, le malade ne peut fléchir Lavant-bras sur le bras. La
paralysie
du brachial antérieur, . LES PARALYSIES RADICUL
Lavant-bras sur le bras. La paralysie du brachial antérieur, . LES
PARALYSIES
RADICULAIRES.. 615 le fléchisseur indépendant d
ment quand l'avant-bras est demi- fléchi. Chez un malade atteint de
paralysie
du biceps et du court supi- nateur, le mouvemen
peut constater facilement, par l'impossibilité de la supination, la
paralysie
du court supinateur. ' La paralysie du biceps,
sibilité de la supination, la paralysie du court supinateur. ' La
paralysie
du biceps, du brachial antérieur, du long supinat
ppléances sont possibles par d'autres muscles de l'avant-bras. La
paralysie
totale du deltoïde a pour conséquence une immobil
ité pour lui de s'habiller seul. On comprend facilement que si à la
paralysie
du muscle deltoïde s'ajoutent des troubles paréti
ire, aucune suppléance ne pouvant se faire au muscle deltoïde. La
paralysie
associée du deltoïde et du sous-épineux se tradui
t à mesure que celle-ci trace de nouveaux caractères. Si, dans la
paralysie
radiculaire supérieure, les mouvements de flexion
agonistes ne sont pas paralysés. L anesthésie, qui existe dans la
paralysie
radiculaire supérieure, se coustate dans la sph
tanée du nerf circonflexe, du [G. GUILLAIN.1 : ûJ4 SÉMIOLOGIE DES
PARALYSIES
D'ORIGINE -RADICULAIRE. nerf radial, du nerf mu
i est innervée par la sixième et la septième cer- vicale. » .' La
paralysie
radiadaire inférieure, paralysie du type Illicnzp
la septième cer- vicale. » .' La paralysie radiadaire inférieure,
paralysie
du type Illicnzplce, paralysie avec syndrome sy
La paralysie radiadaire inférieure, paralysie du type Illicnzplce,
paralysie
avec syndrome sympathique^ est Créée par les lési
re racine dor- sale. En cas de traumatisme il arrive parfois que la
paralysie
radiculaire inférieure soit consécutive à une .
éventualité rare, car il est de beaucoup plus fréquent de -voir une
paralysie
radiculaire totale ne laisser comme reliquat qu'u
r une paralysie radiculaire totale ne laisser comme reliquat qu'une
paralysie
radiculaire supérieure. Les lésions des racines i
Les lésions des racines inférieures du -plexus brachial amènent une
paralysie
dans le territoire du nerf médian et du nerf cu
x sont paralysés. Paralysés aussi les fléchisseurs de la main. La
paralysie
des lombricaux et des interosseux a pour conséque
médius. Quant à l'index, son extenseur le rapproche du médius. La
paralysie
des muscles de l'éminence thénar a nécessairement
des mouvements de flexion, d'abduction, d'opposi- tion du pouce. La
paralysie
des muscles de l'éminence hypothénar amène la p
i en être écarté, il ne peut plus être fléchi. Sans insister sur la
paralysie
de chaque muscle, on comprend que la main de- v
uvements de la ceinture scapulaire s'exécutent avec facilité. Si la
paralysie
radiculaire inférieure est d'un pronostic grave,
s'améliore pas, alors la main prend le type qu'on observe dans les
paralysies
du. nerf cubital, le type de la griffe cubitale.
e et troisième phalanges, au contraire, sont fléchies.. Dans la LES
PARALYSIES
RADICULAIRES. fila n'ill'c cubitale typique, c'
l'annulaire et de l'auriculaire que celle altitude se voit; dans la
paralysie
radiculaire inférieure, l'impotence des muscles
ans les lésions périphériques du nerf cubital. D'ailleurs, dans les
paralysies
radiculaires, il est très fréquent de voir cert
d'une façon très pré- cise. Les (rouilles de la sensibilité dans la
paralysie
radiculaire inférieure se mollirent il la moiti
trois centimètres au-dessus du coude. Ce qui caractérise surtout la
paralysie
radiculaire inférieure et en rend le diagnostic
des larmes, de la sécrétion de la sueur du coté correspondant il la
paralysie
. Tous ces phénomènes sont sous la dépendance d'
lésion du sympathique cervical, le myosis est la conséquence de la
paralysie
des fibres radiées de l'iris, le rétrécisse- me
la conséquence de la para- lysie du muscle de Millier. Lorsque la
paralysie
radiculaire est. totale, la monoplégie brachiale
innervé par le nerf spinal. Les troubles de la sensibilité dans la
paralysie
radiculaire totale sont étendus à presque tout
ième nerf intercostal. Le syndrome sympathique existe comme dans la
paralysie
radiculaire inl'érieare. ,1'ai remarqué, dans plu
ysie radiculaire inl'érieare. ,1'ai remarqué, dans plusieurs cas de
paralysie
radiculaire, une diminution très nette de la pres
, une diminution très nette de la pression artérielle du côté de la
paralysie
. La paralysie radiculaire totale n'est pas la v
on très nette de la pression artérielle du côté de la paralysie. La
paralysie
radiculaire totale n'est pas la variété le plus
le plus f'réquem- ment consécutive il des traumatismes violents. La
paralysie
n'est d'ail- ce. GUILLAIN.] glu G SÉMÉIOLOGIE
e que durant un laps de tcmps très court, et 'il subsiste, soit une
paralysie
radiculaire supérieure, soit une paralysie radi
t 'il subsiste, soit une paralysie radiculaire supérieure, soit une
paralysie
radiculaire inférieure, soit un type complexe.
rieure, soit un type complexe. A côté des trois types principaux de
paralysies
radiculaires que je viens d'étudier, on peut dé
nt et au seg- ment supérieur et au segment inférieur du plexus. Ces
paralysies
sont très fréquentes en clinique, elles ne se p
-on peut supposer réalisées les modalités les plus différentes. Les
paralysies
uniradiculaires sont très rares. Les paralysies r
us différentes. Les paralysies uniradiculaires sont très rares. Les
paralysies
radicu- laires sensitives pures, sans troubles
concomitants, sont excep- tionnelles. Le diagnostic du siège des
paralysies
radiculaires se fera par l'étude des signes ocu
siège de la lésion radiculaire. Quant à préciser s'il s'agit d'une
paralysie
radiculaire intrarachidienne ou d'une paralysie d
r s'il s'agit d'une paralysie radiculaire intrarachidienne ou d'une
paralysie
du plexus proprement dit, il faut avouer que, s
ion étiologique, ce diag- nostic est presque impossible. Seules les
paralysies
des branches termi- nales du plexus seront diff
nches termi- nales du plexus seront différenciées avec facilité des
paralysies
du type e radiculaire. Quelques formes cliniq
ies radiculaires du plexus brachial méritent d'être signalées : les
paralysies
radiculaires trauma- tiques, les paralysies rad
d'être signalées : les paralysies radiculaires trauma- tiques, les
paralysies
radiculaires obstétricales, les paralysies 1'adic
ires trauma- tiques, les paralysies radiculaires obstétricales, les
paralysies
1'adicu- [aires dans les pachyméningites et les
ans les pachyméningites et les compressions intraraclaidiennes, les
paralysies
radiculaires dans la syphilis. Paralysies radic
intraraclaidiennes, les paralysies radiculaires dans la syphilis.
Paralysies
radiculaires traumatiques* Qu'elle survienne il l
l'épaule, du port de lourds fardeaux ou pour toute autre cause, la
paralysie
radiculaire frau- matique a toujours un début b
t seulement lors de la levée de cet appareil que l'on constatera la
paralysie
radiculaire. Les phénomènes douloureux sont sou
depuis le creux sus-claviculaire jusqu'au niveau de la région . LES
PARALYSIES
RADICULAIRES, 617 deltoïdicnnc, jusque vers le
ont généralement disparu., . Les troubles moteurs observés dans les
paralysies
radiculaires trauma- tiqucs sont très variables
ables. On a rencontré dans ces cas toutes les variétés possibles de
paralysies
radiculaires : la paralysie totale, la paralysie
s cas toutes les variétés possibles de paralysies radiculaires : la
paralysie
totale, la paralysie radi- culaire supérieure,
étés possibles de paralysies radiculaires : la paralysie totale, la
paralysie
radi- culaire supérieure, la paralysie radicula
es : la paralysie totale, la paralysie radi- culaire supérieure, la
paralysie
radiculaire inférieure, des types com- plexes.
paralysie radiculaire inférieure, des types com- plexes. Souvent la
paralysie
, les premiers jours, est totale ou semble telle
, est totale ou semble telle, et il ne subsistera rapidement qu'une
paralysie
limitée à certains groupes musculaires. Souvent
de les premiers jours, on peut constater que malgré l'apparence .de
paralysie
totale, le groupe radiculaire inférieur est moi
rs en clinique moins prononcés, passagers et réparables. Dans les
paralysies
radiculaires traumatiques on peut voir des muscle
en cite plusieurs exemples. Les troubles de la sensibilité dans les
paralysies
radiculaires trauma- tiques ne sont pas toujour
anky- loses, rétractions tendineuses qui peuvent survenir dans les
paralysies
graves et non traitées. Les troubles de la sens
ilité sont passés sous silence. Les classiques disent que, dans les
paralysies
radiculaires supérieures, les troubles de la sens
ÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. la topographie de la
paralysie
motrice. Or cette bande d'hypocsthésie est souv
bilité il plusieurs jours d'intervalle chez des malades atteints de
paralysies
radi- culaires traumatiques, j'ai vu souvent la
radiculaire diminuer, s'interrompre, dispa- raitre. Dans les cas de
paralysies
graves, les troubles de la sensibilité peuvent
haut quelle était leur topo- graphie dans les diverses variétés de
paralysies
radiculaires, mais de même que les types schéma
paralysies radiculaires, mais de même que les types schématiques de
paralysie
motrice ne se rencontrent pas toujours en clini
ontrent pas toujours en clinique, de même les types schématiques de
paralysie
sensitive ne se trouveront pas toujours, et on
lies ou seulement diminuées. Dans un cas de Charcot, concernant une
paralysie
radiculaire de la première paire dorsale, l'anest
titudes peuvent être altérés. · En somme, on peut dire que dans les
paralysies
radiculaires trauma- tiques, les troubles de la
ur topographie radiculaire. Les troubles de la sensibilité dans les
paralysies
graves persistent; dans les paralysies moins grav
s de la sensibilité dans les paralysies graves persistent; dans les
paralysies
moins graves, frequein- mcnt ils diminuent et r
alade que longtemps après son accident, il peut ne subsister qu'une
paralysie
du type Duchenne-Erb, par exemple, sans trouble
ment ou l'hyperélévalion de l'épaule, mouvements qui produisent les
paralysies
radiculaires, le ganglion rachi- dien tond à fa
pture de leurs cylindres- axes ou du moins leur attrition, d'où une
paralysie
motrice, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAI
moins leur attrition, d'où une paralysie motrice, et que dans . LES
PARALYSIES
RADICULAIRES. CI9 les racines postérieures il y
s sensitifs ne persistent pas. Donc, on peut conclure que, dans les
paralysies
radiculaires trautnatillues, la persistance des
s réparables ou non réparables des racines postérieures. Dans les
paralysies
radiculaires traumatiques totales ou il type infé
escence existe d'une façon presque constante. Le pronostic de ces
paralysies
dépend du degré des lésions radicu- laires caus
on complète avec intégrité de la fonction du membre est possible.
Paralysies
radiculaires obstétricales. Les paralysies radicu
du membre est possible. Paralysies radiculaires obstétricales. Les
paralysies
radiculaires obstétricales sont le plus souvent
Les paralysies radiculaires obstétricales sont le plus souvent des
paralysies
radiculaires supérieures; on a toutefois signal
des paralysies radiculaires supérieures; on a toutefois signalé des
paralysies
totales et des paralysies radiculaires inférieu
s supérieures; on a toutefois signalé des paralysies totales et des
paralysies
radiculaires inférieures. Les signes oculo-pupi
oculo-pupillaire de Dejerine-Klulllpke n'a pas été observé dans les
paralysies
obstétricales ». Celle opinion est exagérée, li
bstétricales ». Celle opinion est exagérée, liroca a cité un cas de
paralysie
radiculaire obstétricale avec troubles oculo-In
ique bien, puisque la lésion de la première racine dorsale dans les
paralysies
traumatiques se l'ait, ainsi que je Pai montré
aire l'enfant, que l'on pourra déterminer les muscles paralysés. La
paralysie
est-elle totale, alors le bras pend inerte et i
solument indispensable chez l'enfant pour voir la topographie de la
paralysie
motrice. Il existe fréquemment chez les enfants
trice. Il existe fréquemment chez les enfants, en même temps que la
paralysie
radiculaire, d'aulrcs lésions traumatiques (fra
la clavicule, fracture de l'omoplate). - Si l'on peut constater des
paralysies
radiculaires obstétricales à pro- nostic bénin,
N.] 620 0 . SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. les
paralysies
sont souvent causées par l'arrachement radiculair
Comby, Broca ont attiré. l'attention sur ce pronos- tic sérieux des
paralysies
obstétricales. Le squelette osseux peut ne pas
lysé assez semblable à celui que l'on constate dans certains cas de
paralysie
infantile. Raymond et Iluet ont insisté sur cet
insisté sur cet arrêt de développement du squelette consécutif aux
paralysies
radicu- laires survenant pendant la période de
de de croissance. Les accoucheurs admettent le plus souvent que les
paralysies
, observées après un accouchement spontané, ont
n. Comby dit qu'au point de vue du pronostic on doit distinguer les
paralysies
qui surviennent dans les présentations de la tê
résentation de la tête, le pronostic est géné- ralement bénin et la
paralysie
est curable. Dans la présentation du siège, les
plus grave. Cela revient à la loi que nous avons posée au sujet des
paralysies
radiculaires traumatiqucs : le pronostic dépend
traumatiqucs : le pronostic dépend de l'intensité du traumatisme.
Paralysies
radiculaires dans les pachyméningites, dans les c
pachyméningites, dans les com- pressions intrarachidiennes. - 'Les
paralysies
radiculaires que l'on constate dans les pachymé
ment reconnue (tuberculose vertébrale, cancer, syringomyélie). La
paralysie
radiculaire, dans ces cas, a un début lent, les p
plus violentes et plus persistantes que celles constatées dans les
paralysies
radiculaires traumatiques. Contrairement aussi
culaires traumatiques. Contrairement aussi à ce qu'on voit dans les
paralysies
radiculaires trau- matiques, les symptômes sens
souvent des symptômes de compression de la moelle ou de myélite.
Paralysies
radiculaires dans la syphilis. Les paralysies du
moelle ou de myélite. Paralysies radiculaires dans la syphilis. Les
paralysies
du type radiculaire que l'on peut observer dans
'infiltration méningée, se rapprochent par leur symptomatologie des
paralysies
radiculaires par pachyméningite. 11 est rare d'ai
de syphilis médullaire ou cérébrale. De Peters a fait une étude des
paralysies
que l'on observe dans certains cas de syphilis
syphilis héréditaire avec altération radiculaire. Certaines de ces
paralysies
ont la symptomatologie des paralysies radiculaire
radiculaire. Certaines de ces paralysies ont la symptomatologie des
paralysies
radiculaires supé- rieures obstétricales, d'aut
lysies radiculaires supé- rieures obstétricales, d'autres celle des
paralysies
radiculaires inférieures. Dans les cas de paral
tres celle des paralysies radiculaires inférieures. Dans les cas de
paralysie
atteignant le segment radiculaire inférieur, De
e se joint aux symptômes précédents. Les lésions qui produisent ces
paralysies
sy- philitiques peuvent s'étendre en haut et do
paralysies sy- philitiques peuvent s'étendre en haut et donner une
paralysie
des muscles de la nuque, ou en bas dans la régi
cles de la nuque, ou en bas dans la région lombaire et produire des
paralysies
des extrémités inférieures. Il peut exister des
peresthésie et des contractures isolées, mais il s'agit toujours de
paralysies
flasques; les contractures, quand elles existen
ées sans jamais envahir tout un membre, comme cela se voit dans les
paralysies
d'ori- gine cérébrale. La nature syphilitique d
les paralysies d'ori- gine cérébrale. La nature syphilitique de ces
paralysies
est prouvée par ce fait qu'il existe souvent ch
apide que donne le traitement spéci- fique. De Peters pense que ces
paralysies
sont dues à un processus inflam- matoire, sous
cines nerveuses avec participation des méninges adjacentes. il. -
PARALYSIES
RADICULAIRES DU PLEXUS LOMBAIRE ET DU PLEXUS SACR
- PARALYSIES RADICULAIRES DU PLEXUS LOMBAIRE ET DU PLEXUS SACRE Les
paralysies
radiculaires du plexus lombaire et du plexus sacr
es. $MONOPLÉGIE BRACHIALE Avant d'entreprendre la soneiologic des
paralysies
des nerfs périphéri- ques crâniens et rachidien
nerfs périphériques, forme une transition logique entre l'étude des
paralysies
il topographie radiculaire et celle des paralys
ntre l'étude des paralysies il topographie radiculaire et celle des
paralysies
à topographie périphérique. En présence d'un ma
la pre- mière- question qui se pose est de savoir s'il s'agit d'une
paralysie
orga- nique ou d'une paralysie fonctionnelle, d
pose est de savoir s'il s'agit d'une paralysie orga- nique ou d'une
paralysie
fonctionnelle, de l'hystérie. , CC GUILLAIN.]
eurs heures ou plusieurs jours après le traumatisme, qu'apparaît la
paralysie
. Dans les paralysies organiques quelques muscle
eurs jours après le traumatisme, qu'apparaît la paralysie. Dans les
paralysies
organiques quelques muscles sont parfois moins
érique ; il existe une anes- thésic il type spécial superposée a la
paralysie
musculaire, enfin l'examen du malade permettra
rmettra de reconnaître l'état moulai si spécial du pithiatisme. Ces
paralysies
peuvent guérir rapidement par les méthodes de psy
d'origine corticale est facile il reconnaître. Après une période de
paralysie
flasque les contractures se montrent : les réfl
les poliomyélites peu- vent amener des monoptegies brachiales. La
paralysie
infantile se reconnaîtra par son début, fébrile,
ar son début, fébrile, l'absence des troubles de la sensibilité; la
paralysie
se localise il certains groupes musculaires qui
st par des caractères analogues que se reconnaitra chez l'adulte la
paralysie
spinale aiguë ou subaiguë qui est d'aittcurs ra
membres inférieurs. La monoplégie brachiale peut être créée par une
paralysie
radicu- laire totale. La paralysie est flasque,
rachiale peut être créée par une paralysie radicu- laire totale. La
paralysie
est flasque, les réflexes sont abolis, les troubl
est flasque, les réflexes sont abolis, les troubles SÉMIOLOGIE DES
PARALYSIES
DES NEUFS CRANIENS. 62", pculo-pupillaires, le
ulo-pupillaires, le syndrome sympathique sont, caractéristiques des
paralysies
radiculaires; la sensibilité, même quand l'ancsth
fait par les rameaux perforants du 2 et du 5'' nerf intercostal. La
paralysie
radiculaire totale' est le plus fréquemment, cons
st le plus fréquemment, consécutive à des traumatismes violents. La
paralysie
d'ailleurs n'esl, dans la majorité des cas, tot
durant un laps de temps relativement court et il subsiste soit une
paralysie
radiculaire supérieure, soil unejtaralysie radicu
SPINAUX LES TROUBLES DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPHIE PÉRIPHÉRIQUE
Paralysie
faciale. La paralysie faciale est souvent la cons
S DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPHIE PÉRIPHÉRIQUE Paralysie faciale. La
paralysie
faciale est souvent la conséquence de lésions I
parotide, adenopathics, A ce groupe etiologiquc doit être jointe la
paralysie
faciale des nouveau-nés qui reconnaît deux vari
ux et prolongés, et surtout en cas de rétrécissement du bassin. Ces
paralysies
obstétricales, le plus souvent unilatérales, ne s
aves et disparaissent au bout de quelques semaines. Certains cas de
paralysie
faciale congénitale sont causés par l'agénésie du
ctions inflammatoires de l'oreille moyenne peuvent se compliquer de
paralysie
faciale. Un observe la paralysie faciale dans le
e moyenne peuvent se compliquer de paralysie faciale. Un observe la
paralysie
faciale dans le tabes, le dia- bète, la goutte.
rve la paralysie faciale dans le tabes, le dia- bète, la goutte. La
paralysie
faciale dite a {'rig01'e est très fréquente. Ne
la conséquence d'une névrite infectieuse ou toxique. D'ailleurs la
paralysie
faciale se voit, dans un grand nombre de. malad
zona s'accompagne assez fréquemment de para- lysie faciale. , La
paralysie
faciale centrale est causée par les lésions siége
nerf depuis la corticalité jusqu la protubé- rance. On oppose cette
paralysie
centrale du nerf facial à la paralysie périphér
tubé- rance. On oppose cette paralysie centrale du nerf facial à la
paralysie
périphérique déterminée par toutes les lésions
ntielle jusqu'à la terminaison du nerf. Le principal symptôme de la
paralysie
faciale est la déviation de la face (tortura fa
puv-Dutemps ont insisté sur un phénomène palpébral constant dans la
paralysie
faciale périphérique; voici en quoi il consiste
eure. Ce fait, en apparence paradoxal, est d'autant plus net que la
paralysie
de l'orbiculaire est plus complète. Un mouvemen
globe de l'oeil, normalement, se convulsé en haut. Dans les cas de
paralysie
faciale il entraine et relève dans son mou- vem
dirige en bas. Il en est de même pour la paupière inférieure. La
paralysie
du muscle de Ilorner a pour conséquence 1 épqmora
elle semble tombante, l'orifice de la narine est moins large. La
paralysie
de l'orbiculaire des lèvres a pour conséquence la
déviation de la bouche, la difficulté de prononcer les labiales. La
paralysie
du buc- cinateur empêche le malade de souffler,
moins grande quantité dans la narine du côté malade par suite de la
paralysie
de l'aile du nez. Le goût est diminué ou aboli
es auteurs, au relâchement de la membrane du tympan par suite de la
paralysie
du muscle de Poirier. D'après Collé, cotte hypera
sie et les autres troubles auditifs susceptibles de s'associer à la
paralysie
faciale périphé- rique seraient imputables à un
labyrinthe de la lésion, qui détermine dans le canal de Fallope la
paralysie
faciale. Des troubles trophiques et vaso-moteur
s troubles trophiques et vaso-moteurs se constatent parfois dans la
paralysie
faciale : atrophie des muscles paralysés, altérat
porcclainec de la peau du côté para- lysé. D'après Straus, dans les
paralysies
faciales périphériques il la suite d'une inject
t tantôt diminuée, tantôt augmentée du côté paralysé. Parfois, la
paralysie
faciale est accompagnée de douleurs; celles-ci
meau, elles siègent presque toujours au pourtour de l'oreille. La
paralysie
faciale bénigne guérit en une ou deux semaines sa
e bénigne guérit en une ou deux semaines sans laisser de traces. La
paralysie
faciale grave dure cinq à six mois, parfois dav
parfois davantage, elle peut même ne pas guérir. Le pronostic d'une
paralysie
faciale repose surtout sur l'examen électrique.
ue galvanique, la réaction de dégénérescence est incom- plète. La
paralysie
faciale peut, se terminer par contracture, celte
s et des mouvements cloniques dans les muscles contrac- tures. La
paralysie
faciale récidive parfois chez certains sujets, ta
. GUILLAIN.] 626 SÉMÉ10L0G1E DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS La
paralysie
faciale périphérique présente plusieurs formes cl
ente plusieurs formes cliniques dépendant du siège de la lésion. La
paralysie
faciale centrale a une symptomatologie un peu s
une symptomatologie un peu spéciale. Le diagnostic du siège de la
paralysie
faciale périphérique se fera ana- tomiquement p
du canal de Fallope, par exemple dans la parotide, il y a seulement
paralysie
des branches innervant les muscles pcauciers de
D'après Iiocstcr, la coexistence de l'hypoacousie nerveuse avec la
paralysie
faciale indiquerait que le siège de celle-ci se
ppression de la sécrétion lacrymale s'ob- serverait dans des cas de
paralysie
faciale alors que la lésion siège au voisinage
nique précédent, il l'exception toutefois des troubles du goût. Les
paralysies
faciales d'origine basilaire s'accompagnent sou
s paralysies faciales d'origine basilaire s'accompagnent souvent de
paralysies
d'autres nerfs crâniens (trijumeau. auditif, mo
st incapable de fixer le siège exact, de la lésion qui détermine la
paralysie
faciale périphérique. Dans la paralysie, faciale
la lésion qui détermine la paralysie faciale périphérique. Dans la
paralysie
, faciale a (rigore, qui est la forme la plus ha
agnostic topographique exact des lésions ne puisse être précisé. La
paralysie
faciale d'origine cérébrale est accompagnée le pl
sion des paupières il la suite d'excitation conjonctivale ; dans la
paralysie
faciale périphérique nu contraire, ces mouvemen
réactions électriques. On donne encore comme signccaractensquedeht
paralysie
faciale d'origine cérébrale l'intégrité du facial
té toutefois n'est que relative. En effet, l'hémiplégique qui a une
paralysie
du facial inférieur ferme l'oeil avec heaucoup mo
ts pour la tenir close. On peut remarquer aussi que dans les cas de
paralysie
faciale d'origine cérébrale, même lorsque le fa
Les rides du front sont généralement moins accentuées du côté de la
paralysie
. Les mouvements du sourcil sont limités. Chez les
s'observc parfois au niveau de la face, mais ce fait est rare. La
paralysie
faciale d'origine nucléaire se comporte comme la
rare. La paralysie faciale d'origine nucléaire se comporte comme la
paralysie
faciale périphérique. Souvent on constate l'att
Je signalerai encore l'existence possible de diplégies faciales.
Paralysie
de la branche motrice du trijumeau. Cette paralys
égies faciales. Paralysie de la branche motrice du trijumeau. Cette
paralysie
peut avoir une origine nucléaire, elle peut êtr
r des lésions méningées ou basilaires, elle s'observe aussi dans la
paralysie
pseudo- bulbaires. On pourrait d'ailleurs schém
pourrait d'ailleurs schématiser les différents types cliniques des
paralysies
de la branche motrice du trijumeau, de même que l
eau, de même que l'on schématise les différents types cliniques des
paralysies
faciales et décrire ainsi des paralysies périph
érents types cliniques des paralysies faciales et décrire ainsi des
paralysies
périphériques, nucléaires et centrales. 1 a par
ainsi des paralysies périphériques, nucléaires et centrales. 1 a
paralysie
de la branche motrice du trijumeau pour conséquen
a paralysie de la branche motrice du trijumeau pour conséquence la
paralysie
des muscles masticateurs innervés par ce nerf. Ai
'élévation de la mâchoire se fait avec moins de force du côté de la
paralysie
, les aliments sont masti- qués du côté sain. Le
té sain. Les muscles ptérygoïdiens sont aussi paralysés. Lorsque la
paralysie
de la branche motrice du trijumeau est bilatérale
férieur est impossible. Les .symptômes qui pourraient être dus à la
paralysie
du muscle sphéno-slaphylin et du muscle interne
éno-slaphylin et du muscle interne du marteau ne sont pas précisés.
Paralysie
du nerf glosso-pharyngien. La symptomatologie de
és. Paralysie du nerf glosso-pharyngien. La symptomatologie de la
paralysie
du nerf glosso-pharyngien n'est pas précisée, car
e la paralysie du nerf glosso-pharyngien n'est pas précisée, car la
paralysie
isolée de ce nerf ne s'observe pas en clinique,
ésé en général en même temps que le pneumogastrique et le spinal.
Paralysie
du pneumogastrique. Les causes principales de la
matologie résultant, au niveau du poumon et du tube digestif, de la
paralysie
du vague, mais les troubles cardiaques et laryngé
LYSIES DES ]NERFS CRANIENS tachycardie ne soit accentuée que si la.
paralysie
du pneumogastrique est bilatérale, Cette tachyc
naissance du nerf récurrent, on observe des troubles laryngés, une
paralysie
des. muscles du larynx innervés par ce nerf. La
en pendant la respiration que pendant la phonation. Dans les cas de
paralysie
unilatérale la corde vocale du côté sain peut s
de troubles très nets de la voix. 11 n'en est pas de même en cas de
paralysie
bilatérale, l'aphonie est alors com- plète et l
On trouvera d'ailleurs dans le chapitre de cet ouvrage consacré aux
paralysies
laryngées la des- cription détaillée des paraly
ge consacré aux paralysies laryngées la des- cription détaillée des
paralysies
récurrentielles. Max Egger a observé chez une t
alysies récurrentielles. Max Egger a observé chez une tabétique une
paralysie
bilatérale du pneumogastrique pulmonaire qui se
doute pour cause une para- lysie transitoire du pneumogastrique.
Paralysie
du nerf spinal. La branche externe du spinal inne
; elle donne des filets aussi au plexus cardiaque. Les causes de la
paralysie
du spinal sont : les traumatismes, les com- pre
ons nucléaires (syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique); la
paralysie
du, spinal observée dans le tabes dépend soit d
, La névrite spinale d'origine otite, Thèse de Paris, 1905). , La
paralysie
de la branche externe du spinal se traduit par la
). , La paralysie de la branche externe du spinal se traduit par la
paralysie
des muscles sterno-mastoïdien et trapèze. , Q
exion de la tête n'est possible qu'avec les muscles accessoires. La
paralysie
du muscle trapèze (voir p. 570) a pour conséquenc
e du thorax, alors qu'il s'en rapproche quand le trapèze agit. La
paralysie
, de la branche interne du spinal a pour conséquen
e des troubles de la phonation et, de la déglutition. Lorsque cotte
paralysie
est bilatérale le pouls est. accéléré. Paraly
n. Lorsque cotte paralysie est bilatérale le pouls est. accéléré.
Paralysie
du nerf hypoglosse. La paralysie de l'hypoglosse
bilatérale le pouls est. accéléré. Paralysie du nerf hypoglosse. La
paralysie
de l'hypoglosse s'ob- serve à la suite des trau
nette. Lorsque les doux hypoglosses sont paralysés, ainsi dans les
paralysies
bulbaires, les troubles moteurs, la difficulté de
ficulté de la phonation et de la déglutition sont très accentués.
Paralysie
du nerf phrénique. Le phrénique peut être comprim
eut être comprimé par des tumeurs, abcès, anévrisnics. Ailleurs, la
paralysie
du nerf est créée par des traumatismes. dos pol
poliomyélites), ou des centres respira- toires du bulbe amènent la
paralysie
du diaphragme. La paralysie du phrénique se tra
s respira- toires du bulbe amènent la paralysie du diaphragme. La
paralysie
du phrénique se traduit par la paralysie du muscl
aralysie du diaphragme. La paralysie du phrénique se traduit par la
paralysie
du muscle dia- phragme (voir p. 505). Les régio
viculairc du trapèze) puissent suppléer en partie le diaphragme, la
paralysie
de ce muscle est toutefois très grave lorsque l
tion pulmonaire), car l'asphyxieront être rapide. Dans les cas de
paralysie
unilatérale du phrénique, on constate une asymé
tre les deux bases du thorax lors des mouvements respiratoires. .
Paralysie
du nerf circonflexe. Les causes de la paralysie d
respiratoires. . Paralysie du nerf circonflexe. Les causes de la
paralysie
du nerf circonflexe sont : les traumatismes de
squ'à trois ou quatre travers de doigt au-dessus de l'épicondylu.
Paralysie
du nerf radial. La paralysie du nerf radial peut
de doigt au-dessus de l'épicondylu. Paralysie du nerf radial. La
paralysie
du nerf radial peut être déterminée par des ble
meil de l'ivresse. Le froid est souvent incriminé comme cause de la
paralysie
radiale (paralysie rhumatismale, paralysie a fr
Le froid est souvent incriminé comme cause de la paralysie radiale (
paralysie
rhumatismale, paralysie a frigore). Dans quelques
riminé comme cause de la paralysie radiale (paralysie rhumatismale,
paralysie
a frigore). Dans quelques cas le muscle court r
ent autour de l'humérus et de la tôle radiale (Dehovect Tlruhl). La
paralysie
du nerf radial peut être créée par une névrite ni
radial peut être créée par une névrite nifcc- tieuse ou toxique; la
paralysie
radiale saturnine est. extrêmement fré- quente.
ue; la paralysie radiale saturnine est. extrêmement fré- quente. La
paralysie
radiale se voit aussi au cours du faites. . , L
diale se voit aussi au cours du faites. . , Le malade atteint d'une
paralysie
du nerf radial se présente, en géné- ral, l'ava
s interosseux. La limitation des mouvements des doigts que cause la
paralysie
des extenseurs des pre- mières phalanges rend d
les mouvements de latéralité de la main ne peuvent, plus se faire (
paralysie
du cubital postérieur et du premier radial exte
échisseurs sont rapprochés les uns des autres consécutivement il la
paralysie
des extenseurs, de sorte que si artificiellemen
n des doigts se fait avec autant de puissance que normalement. La
paralysie
du court supinateur a pour conséquence l'impossib
ain en même temps qu'un fléchisseur de l'avant-bras sur le bras. La
paralysie
du long supinateur est facile à constater : la ma
ue la lésion du nerf radial a son siège dans le creux axillain', la
paralysie
, du triceps est complète et tous les mouvements d
la sensibilité sont fort peu importants dans la plupart des cas de
paralysie
radiale; dans les paralysies a frigore ou par com
u importants dans la plupart des cas de paralysie radiale; dans les
paralysies
a frigore ou par com- pression on ne les observ
dorsale du poignet que l'on observe principalement dans les cas de
paralysie
saturnine; il s'agit d'une tumé- faction presqu
du carpe est une lésion bénigne qui rétrocède complètement quand la
paralysie
guérit. La-durée et révolution d'une paralysi
plètement quand la paralysie guérit. La-durée et révolution d'une
paralysie
radiale, dépendent essentielle- ment de sa caus
araly- sies périphériques, sur l'état des réactions électriques. La
paralysie
[G GCILLAIN ] li;)2 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIE
érison complète survient toujours. Parmi les formes cliniques de la
paralysie
radiale, une des plus inté- ressantes à connaît
paralysie radiale, une des plus inté- ressantes à connaître est la
paralysie
radiale d'origine saturnine. Elle est bilatéral
specté. Il faut se rappeler que, d'après Bernhardt, certains cas de
paralysies
radiales par compression axillaire ne s'accompa
alysies radiales par compression axillaire ne s'accompagnent pas de
paralysie
du long supinateur. Paralysie du nerf cubital.
axillaire ne s'accompagnent pas de paralysie du long supinateur.
Paralysie
du nerf cubital. La paralysie du nerf cubital s'o
pas de paralysie du long supinateur. Paralysie du nerf cubital. La
paralysie
du nerf cubital s'observe à la suite dès trauma
s ou toxiques (alcool, lèpre, syphilis, fièvre typhoïde, etc.). Lps
paralysies
professionnelles sont assez fréquentes (menuisi
t abolis. L'adduction du pouce est impossible. Consécutivement à la
paralysie
des interosseux, la flexion des premières phala
ion des objets. L'atrophie musculaire, qui est la conséquence de la
paralysie
du cubital, détermine une grillé spéciale bien
re et à l'auriculaire. - t'anesthesip n'est pas constante dans la
paralysie
du cubital. Quand elle existe on observe les tr
e l'annulaire et de la première phalange de l'index et du médius.
Paralysie
du nerf médian. La paralysie du nerf médian est c
re phalange de l'index et du médius. Paralysie du nerf médian. La
paralysie
du nerf médian est consé- cutive à des traumati
abducteur, opposant, court fléchisseur) et les loinbricaux. . La
paralysie
complète du médian a des conséquences sérieuses.
troubles de la sensibilité font très souvent défaut dans les cas de
paralysie
du nerf médian. Quand ils existent, ils occupent
uis moitié externe des deux dernières phalanges de l'annulaire)..
Paralysie
du nerf crural. Les causes les plus fréquentes de
.. Paralysie du nerf crural. Les causes les plus fréquentes de la
paralysie
du nerf crural sont : les tral1luatismes (section
rcée et en abduction. Les ailleurs pensent que la pathogénie de ces
paralysies
? r.TT11,l.Ar/V] 654 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES
ue, le pectiné, le moyen adducteur; sa lésion a pour conséquence la
paralysie
de ces différents muscles (voir pp. 542, 545, :
enou, à la partie interne de la jambe et au bord interne du pied.
Paralysie
du nerf sciatique. La paralysie du nerf sciatique
jambe et au bord interne du pied. Paralysie du nerf sciatique. La
paralysie
du nerf sciatique peut porter soit sur le tronc
poplité externe ou le sciatique poplité interne. Les causes de ces
paralysies
sont : les traumatismes, l'élongation, la compr
plus fréquentes parmi les névrites toxiques. Souques a signalé une
paralysie
isolée du nerf tibial antérieur, survenue il la s
t, dans l'étude mvologiqle, les symptômes et les conséquences de la
paralysie
isolée du jambier antérieur, du long exten- seu
ue la jambe, est on n'est pas fléchie, atteint 50° à ! 0°; dans les
paralysies
très accentuées, elle peut être assez pro- 1. L
ns les paralysies très accentuées, elle peut être assez pro- 1. Les
paralysies
obstétricales sont le plus souvent limitées au sc
est en extension. t Lorsque des troubles sensitifs existent dans la
paralysie
du sciatique poplité externe, ceux-ci s'observe
antérieure et les deux tiers de la face postérieure de la jambe. La
paralysie
du sciatique poplité interne a pour conséquence l
olis. On trouvera plus haut les symptômes et les conséquences de la
paralysie
du triceps sural, du long fléchisseur commun de
orteils, des inter- osseux du pied (voir pages 549, 551, 555). La
paralysie
du tronc du nerf sciatique a pour conséquence la
555). La paralysie du tronc du nerf sciatique a pour conséquence la
paralysie
, des muscles innervés par le sciatique poplité
tique poplité externe et le sciatique po- plité interne et aussi la
paralysie
des muscles biceps fémoral, demi- tendineux et
rs et les troubles trophiques sont relativement, fréquents dans les
paralysies
graves du nerf sciatique. [G. GUILLAIN.] 1 MA
ns bulbaires (tabès, syringobutbie), les lésions graves du cerveau (
paralysie
générale), certains troubles démentiels s'accompa
ailleurs combien ce réflexe de la toux est facilement déterminé par
PARALYSIES
DU LARYNX. 615 l'irritation d'autres rameaux du
quées dans certaines stations thermajy. , dans le même sens. M IL
PARALYSIES
DU LARYNX Les paralysies du larynx sont le plus
ns thermajy. , dans le même sens. M IL PARALYSIES DU LARYNX Les
paralysies
du larynx sont le plus souvent unilatérales : les
ous ajoutons que les expérimentateurs n'ont jamais pu déterminer la
paralysie
des adducteurs par des lésions destruc- tives d
re, il semble bien qu'une lésion corticale ne doive pas produire de
paralysie
unilatérale du larynx. Et cependant, un assez g
cependant, un assez grand nombre d'observations ont été publiées de
paralysies
laryngées, soit chez des hémiplégiques qui n'on
sympa- thique, sur la présence d'un coeur dilaté : il conclut à une
paralysie
ré- currentielle incomplète avec participation
, il oppose le fait, spécifié dans le protocole de l'examen, que la
paralysie
avait iiiiitio- bilisé la corde en position cad
ur asseoir l'hémiplégie laryngée corticale sur des bases solides.
PARALYSIES
DU LARYNX. 645 2° Hémiplégie bulbaire du larynx
. PARALYSIES DU LARYNX. 645 2° Hémiplégie bulbaire du larynx. Les
paralysies
bul- baires du larynx sont mieux connues, bien
tinue à donner lieu à de vives discussions. Disons de suite que les
paralysies
du larynx d'origine bul- haire sont souvent bil
a plupart, dans les autres parties de cet ouvrage. On trouvera la
paralysie
du larynx parfois unilatérale, dans la paralysie
ge. On trouvera la paralysie du larynx parfois unilatérale, dans la
paralysie
tabio-tosso-Iaryngée, dans l'hémi-paralysie bul
alysie bulbaire chronique (Eisen- lohr, Schreiber, Krause), dans la
paralysie
bulbaire apoplectiforme. Gottstcin a rapporté d
forme. Gottstcin a rapporté des cas de ramollissement bulbaire avec
paralysie
complète d'une corde, et Eisenlohr a vu la dest
isenlohr a vu la destruction du noyau du vago- spinal entraîner une
paralysie
récurrenlielle totale avec hémi-anesthésie lary
er d'anormal au larynx. Rethi a noté, dans 15 cas sans autopsie, la
paralysie
isolée du posticus. Dans la syringomyélie, Carl
ralysie isolée du posticus. Dans la syringomyélie, Carlaz a vu deux
paralysies
du récurrent sur 17 cas el 5 fois la paralysie
e, Carlaz a vu deux paralysies du récurrent sur 17 cas el 5 fois la
paralysie
du crico-aryténomicn postérieur, Ivanoff, sur t
énomicn postérieur, Ivanoff, sur tO cas personnels, a vu souvent la
paralysie
du récurrent d'un côté et la paralysie d'un des
personnels, a vu souvent la paralysie du récurrent d'un côté et la
paralysie
d'un des muselés quelconques de l'autre côté : la
é et la paralysie d'un des muselés quelconques de l'autre côté : la
paralysie
des dilatateurs est exceptionnelle. Mais c'es
s. Sur 7'1 cas delaryngoplégietabé- tique, Burger a noté 43 fois la
paralysie
des dilatateurs, 8 fois seulement unilatérale ;
ois la paralysie des dilatateurs, 8 fois seulement unilatérale ; la
paralysie
du dilatateur était associée 7 l'ois il la paraly
unilatérale ; la paralysie du dilatateur était associée 7 l'ois il la
paralysie
du thyro-aryténoidien interne, celui-ci n'étant
, celui-ci n'étant d'ailleurs touché isolément que 2 fois. Quant la
paralysie
récnrrentielle avec position cadavérique de la
'a été relevée que li l'ois. De même Kahn. sur 10 cas. n'a vu que 2
paralysies
récurrcntielles pour 14 paralysies du postérieur;
e Kahn. sur 10 cas. n'a vu que 2 paralysies récurrcntielles pour 14
paralysies
du postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, not
paralysies du postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! )
paralysies
du postérieur pour 9 paralysies récurrentielles
et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) paralysies du postérieur pour 9
paralysies
récurrentielles. Il est donc manifeste que la l
bles de la sensi- bilité -avec voix rauque ou seulement voilée, par
paralysie
du crico- thyroïdien et relâchement des cordes.
par paralysie du crico- thyroïdien et relâchement des cordes. Les
paralysies
du récurrent ont beaucoup plus d'importance. Nous
ionnels, et j'observe en ce moment unebasedowienne qui présente une
paralysie
de la corde droite en position intermédiaire co
le basedowisme (Garel), peuvent aussi compter dans tétto- logie des
paralysies
récurrentielles. Mais ce sont surtout les tumeu
ismes de la crosse de l'aorte, a tel point qu'on a pu considérer la
paralysie
de la corde vocale gauche, en position interméd
c de l'anévrisme. De même, mais avec une moins grande fréquence, la
paralysie
récurrenlielle de la corde droite correspond il
phage, etc., diagnostic si facilité aujourd'hui par la radioscopie.
PARALYSIES
DU LARYNX. 647 i A côté de ces causes de heauco
'expliquer le cas de Roque et Chalier. Enfin il existe un groupe de
paralysies
récurrentielles toxiques, bien étudiées dans ce
ies infec- tieuses qu'il faut incriminer : nous avons déjà cité les
paralysies
de la diphtérie. 11 faut y ajouter celles de la
ans des ganglions trachéaux (Lubet-Barbon). Osier a insisté sur les
paralysies
récurrentielles de la fièvre typhoïde ainsi que
Lazarus) et même les injec- tions de sérum comme ayant pu donner la
paralysie
du récurrent. Ruault considère comme probable l
Ce n'est pas le lieu d'indiquer longuement ici les symptômes de la
paralysie
récurrentielle et il faut laisser aux laryngologi
thétisent dans la loi de Semon qui s'énonce ainsi : Dans toutes les
paralysies
organiques progressives des ncrfs laryngés, la
s cas sans autopsie ont été décrits par Cartaz et IL Krause dans la
paralysie
pseudo-bulbaire et j'ai moi-mème fait allusion à
s de la para- lysie labio-glosso-Iaryngée, peuvent donner lieu à la
paralysie
bilatérale : on l'a vue dans les paralysies bul
peuvent donner lieu à la paralysie bilatérale : on l'a vue dans les
paralysies
bulbaires apoplectil'ormes, dans le tabès. Les
dans les paralysies bulbaires apoplectil'ormes, dans le tabès. Les
paralysies
doubles d'origine périphérique ont été bien étudi
simultanément et également touchés. 5° Hémiplégies associées. Les
paralysies
laryngées associées offrent deux types différen
ssociées offrent deux types différents. Dans le premier, les autres
paralysies
portent sur les muscles innervés par le vago-sp
d'abord limités, ils puissent parfois s'étendre. De fait il y a des
paralysies
multiples des nerfs crâniens où, ;'1 côté de lé
erfs crâniens où, ;'1 côté de lésions du vago-spinal, on a noté des
paralysies
du facial, du moteur oculaire externe, du sympa
outes les conditions étiologiques que nous avons indiquées pour les
paralysies
du récurrent se retrouvent ici, depuis les lésion
Avellis. C'est le plus commun. 11 consiste dans l'association de la
paralysie
du voile du palais avec la paralysie de la cord
siste dans l'association de la paralysie du voile du palais avec la
paralysie
de la corde vocale du même côté et il se compre
es. J'en observe actuellement un cas chez un jeune homme atteint de
paralysie
infantile du membre inférieur. B) Syndrome de S
rome de Schmidt. L'hémiplégie paiato-laryngec s'accom- pagne ici de
paralysie
du trapèze et du steJ'l1o-cl()ido-masloïdien, c'e
C) Syndrome de Jackson. Il est caractérisé par l'adjonction de la
paralysie
de la moitié de la langue. On dit qu'il est compl
plet lorsqu'il s'associe au syndrome de Schmidt, c'est-à-dire il la
paralysie
du sterno- mastoïdien et du trapèze, incomplet
'Avellis (hémiplégie palato-laryngée). Il s'agit le plus souvent de
paralysies
bul- baires, parfois aussi d'atteinte de l'hypo
t intra- crànien. D) Syndrome de Tapia. C'est l'association de la
paralysie
d'une corde avec celle de la langue, le voile d
cependant de citer sa possibilité dans les tumeurs cérébrales et la
paralysie
générale progressive, mais dans ce dernier cas
nstitue une phase de l'atteinte des noyaux bulbaires qui précède la
paralysie
. Aussi retrouverions-nous ici les affections qu
-nous ici les affections que nous avons énumérées à l'étiologie des
paralysies
, la paralysie lahio-gloao-laryngée, les hémor-
ffections que nous avons énumérées à l'étiologie des paralysies, la
paralysie
lahio-gloao-laryngée, les hémor- ragies et les
tabes, nous l'avons vu, se caractérise déjà par la fréquence de la
paralysie
des abducteurs : à celle-ci vient s'adjoindre l
re nous devons nous répéter : le spasme est la première étape de la
paralysie
récurrentielle. Ce sont donc les mêmes causes d
nt donc les mêmes causes déjà énumérées pour les hémiplégies et les
paralysies
laryngées que nous allons retrouver : la seule co
hiques purs ces mêmes parties restent très longtemps indemnes. La
paralysie
est souvent très difficile à distinguer de l'atro
nt très difficile à distinguer de l'atrophie intis- culaire ; toute
paralysie
complète, d'origine organique, et la plupart \
toute paralysie complète, d'origine organique, et la plupart \ des
paralysies
incomplètes sont suivies, à plus ou moins brève é
servées est insuffi- sant pour assurer le fonctionnement du muscle.
Paralysie
et amyotrophie vont donc très souvent ensemble,
être une cause. L'atrophie musculaire est facile à distinguer de la
paralysie
dans les cas où la diminution du volume des mus
aire est tout et la gène fonctionnelle est le seul symptôme : or la
paralysie
ne se manifeste pas autrement, et le diagnostic n
ue pour conserver un syndrome clinique, différencié seulement de la
paralysie
vraie par sa lente et progressive évo- lution.
lution. En réalité, dans l'un et l'autre cas, à notre sens, il y a
paralysie
, dans l'un et l'autre cas c'est la gêne fonctio
ais le degré de ce trouble est essentiellement différent dans les «
paralysies
» presque toujours rapides et dans les « amyotro-
lentes, et cette différence justifie parfaitement la séparation des
paralysies
et des amyotrophies d'origine spinale. FORMES C
ans des muscles préalablement paralysés (atrophies consécutives aux
paralysies
diverses d'origine centrale ou périphérique). C
'adolescence : a) myopathiques : toutes les formes des myopathies :
paralysie
pseudo-hypertro- phique de Duchenne; Leyden-Moe
HIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESSIVES. 665 B) Consécutives à une
paralysie
: a) D'origine médullaire : paralysie spinale i
. 665 B) Consécutives à une paralysie : a) D'origine médullaire :
paralysie
spinale infantile ; paralysie spinale aiguë de
paralysie : a) D'origine médullaire : paralysie spinale infantile ;
paralysie
spinale aiguë de l'adulte ; liématomyélie ; myé
de l'adulte ; liématomyélie ; myélites. b) D'origine cérébrale :
paralysies
cérébrales infantiles : hémiplégie, etc.; hémi-
C'est ainsi que l'atrophie Werdiii,-I-Ioffrriaiin, myélopathie, la
paralysie
pseudo-hypertrophique et la forme Leyden- Moebi
n et Gasne, 45 et 40 ans dans deux cas d Erb. 48 ans dans un cas de
paralysie
pseudo- hypertrophique de JlIIlC Sacara, 50 ans
dilec- tion le sexe masculin. Cette prédilection est maxima pour la
paralysie
pseudo-hypertrophique : cette affection ne frap
ts de cette maladie (=). On voit assez souvent dans les familles la
paralysie
pseudo- hypertrophique atteindre presque exclus
exemple, la myotonie de la maladie de Thomsen et la myoplégie de la
paralysie
familiale périodique, affections auxquelles Odd
sez importante pour caractériser une des formes de la myopathie, la
paralysie
pseudo-hypertrophique ; elle est très fréquente
ie ; en revanche elle n'est constante dans aucune d'elles ; dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique même, la pseudo-hypertrop
ouve assez souvent au niveau des muscles atrophiés à la suite d'une
paralysie
, de la paralysie infantile, par exemple. Gordon
t au niveau des muscles atrophiés à la suite d'une paralysie, de la
paralysie
infantile, par exemple. Gordon (') a signalé ré
-Dejerine (Friedreich, Landouzy et Dejerine) ('), ainsi que dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique (Marinesco). Leur cause ser
ne sont pas rares dans les atrophies localisées consécutives à une
paralysie
. L'examen électrique des muscles des myopathiqu
phique, la syringomyélie (Schlesinger, Dejerine et Thomas), dans la
paralysie
infantile, dans certaines atrophies névritiques ;
ongénitale. Pourtant la lenteur est variable suivant les formes; la
paralysie
pseudo-hyperlrophique, qui est la plus précoce,
si de très nombreuses années; les amyotrophies consé- cutives à une
paralysie
(paralysie infantile, hémiplégie, etc.), n'ont pa
nombreuses années; les amyotrophies consé- cutives à une paralysie (
paralysie
infantile, hémiplégie, etc.), n'ont pas par ell
athie, et en particulier dans la l'orme scapulo-huméralc et dans la
paralysie
1»cudo-lrypertrol>liclue (Mme Sacara) où pou
ranspiration est souvent abondante : chez les 15 sujets atteints de
paralysie
pseudo-hypertrophique qu'elle a examinés, Mme Sac
la plante des pieds. La sclérodermie a été signalée dans un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique par Ballet et Del- lierm
ond qui ont constaté anatomiqucmcnt l'hypertrophie du coeur dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique. de 1. Mme Sacaiia. Rl'v.
point qu'en 1861 ('), dans son travail initial, il avait dénommé la
paralysie
pseudo-hypertrophique « paralysie hypertrophique
vail initial, il avait dénommé la paralysie pseudo-hypertrophique «
paralysie
hypertrophique de l'en- fance de cause cérébral
tis, etc. etc., Ces troubles mentaux sont surtout fréquents dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, mais ils ont été signalés
e des quatre membres et du cou; il considère, avec Goldflam, que la
paralysie
périodique n'est qu'une myopathie primitive. Mari
4), puis Gui- non. Verriest ont signalé des cas d'association de la
paralysie
pseudo-hy- pertrophique avec la forme facio-sca
un âge moins avancé, c'est-à-dire qu'on les observe surtout dans la
paralysie
pseudo-hypertro- phique, mais ils peuvent exist
ce moment la pseudo-hypertro- phie est toujours assez nette. Si la
paralysie
a débuté dans la toute première enfance, l'enfa
- Cette variété, relativement- rare, atteint tout d'abord, comme la
paralysie
pseudo-hypertrophique, 9 les membres inférieurs
s, très tardivement les épaules et les membres supérieurs; comme la
paralysie
pseudo-hypertrophique. elle progresse de la rac
de Damaschino, Dut.il, Dejerine. etc. On a dénommé cette variété «
paralysie
pseudo-hyper/1'Ophique sans hypertrophie » ..
ude et les mèmes troubles de la marche et des mouve- ments que la
paralysie
pseudo-hypertro- phique : station les jambes éc
logues à ceux qui accompagnent les arnyolrophies post-paralytiques (
paralysie
infantile, etc.). 1. GoitDo ? 1. or 11er ? Il.1
r lit, ils n'appprennent pas à se tenir do- bout ni à marcher. La
paralysie
et l'atrophie s'étendent en même temps aux muscle
nspiratoire de l'abdomen), soit il l'atteinte des noyaux bulbaires (
paralysie
tabio-gtosso-taryngée). Ces crises sont peut-être
te progressive des cornes antérieures et des faisceaux latéraux. La
paralysie
iabio-gtosso-taryngée est la terminaison ordinair
ntractions fibrillaires et jamais de réaction de dégénérescence. La
paralysie
et la contracture se joi- gnent rapidement à l'
=lrau-Duchenne a été signalé aussi dans un certain nombre de cas de
paralysie
générale (Bail, Mac Dowald, Voisin et Hanot, Re
hilitique : ce que nous venons de dire du tabes est applicable à la
paralysie
générale. Dans certaines névrites on peut obser
n réalité des m/élopatlhies toxiques. L'évolution de l'atrophie, la
paralysie
plus ou moins marquée du début, la notion étiol
de ces amyotrophies secondaires soit à une lésion locale soit à une
paralysie
, c'est, contrairement aux amyotrophies primitiv
ne région malade, soit à des muscles déterminés il l'avance par une
paralysie
préalable, Dans cet article de séméiologie prat
nce un arrêt de développement du squelette du membre et simuler une
paralysie
infantile. 1. HAi.ipi ! K ? îe(i. médic de No
ernard. Arch. de médoc, 1900, p. 31ft. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 711 enflammée se paralyse; mais parfois elle a
muscles préalablement paralysés d'un ou de plusieurs membres ; la
paralysie
est le phénomène morbide initial et prédominant,
- leurs d'une fréquence et d'une intensité variable suivant, que la
paralysie
est d'origine organique ou fonctionnelle, et, d
athiques, héréditaires ou acquises. a) Atrophies consécutives à une
paralysie
d'origine médullaire. Ces atrophies s'observent
re nerveuse, etc.; mais dans ces cas il est difficile de dire si la
paralysie
précède véritablement l'atrophie, il semble que
ire (ceinture pelvienne et. membres infé- rieurs). .. - . Dans la
paralysie
spinale infantile l'atrophie ne se montre que lon
Atrophie considérable du membre inférieur gauche à la suite d'une
paralysie
spinale infantile. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
e d'une paralysie spinale infantile. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 715 surtout hémorragiques, souvent latentes, d
conditions que chez l'enfant, mais elle est beaucoup plus rare ; la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte, dont la réalité avai
rophie consécutive à une hématomyélie est toujours secondaire à une
paralysie
brusque : elle est toujours accompagnée de troubl
Dans les myélites qui se traduisent par une paraplégie ou par une
paralysie
ascendante, l'atrophie est rare et légère; on con
fs et surtout des racines; l'apparition des périodes successives de
paralysie
flasque et de paralysie avec contracture, avec
s; l'apparition des périodes successives de paralysie flasque et de
paralysie
avec contracture, avec ou sans troubles trophique
agnostic de compression médullaire. b) Atrophies consécutives à une
paralysie
d'origine cérébrale. Dans toutes' les paralysie
consécutives à une paralysie d'origine cérébrale. Dans toutes' les
paralysies
cérébrales infantiles, hémi- plégie, diplégie,
épaisseur, mais n'est nullement proportionnelle à l'intensité de la
paralysie
. Dans la paraplégie cérébrale infantile, le tro
ette au niveau des membres supérieurs. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 715 culaire chez des hémiplégiques, où les ner
hémiplégiques est très persistante. c) Atrophies consécutives à une
paralysie
d'origine périphérique. Toutes les lésions des
ique. Toutes les lésions des nerfs moteurs ou mixtes provoquent des
paralysies
suivies d'atrophie musculaire : ces lésions son
s. Ce qui les distingue surtout, c'est d'une part l'adjonction à la
paralysie
atrophique d'un certain nombre de symptômes sen
e, hyperidrose, ulcérations, etc.) sont très fréquem- ment liés aux
paralysies
atrophiques d'origine périphérique. Le caractèr
, racines). Dans les sections, plaies et contusions d'un nerf, la
paralysie
et l'amyotrophie sont superposées, l'atrophie s
1. Driiove. Soc médic des Irôp., 1881. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 717 est complète ou incomplète. A la suite des
A la suite des sec- tions incomplètes, des plaies ou contusions, la
paralysie
, l'atrophie et les troubles objectifs de la sen
u partielle. Les compressions des nerfs sont une cause fréquente de
paralysies
amyotrophiques. La compression peut se produire
rs. les paveurs, les parqueteurs, etc Dans ces différents cas, la
paralysie
et l'amyotrophie peuvent être très prononcées d
exsudai tuberculeux, etc.; elle est la cause la plus ordinaire des
paralysies
obstétricales. En dehors de cette dernière variét
718 ATROPHIES MUSCULAIRES. La symptomatologie peut être celle d'une
paralysie
radiculaire supé- rieure, inférieure ou totale.
e paralysie radiculaire supé- rieure, inférieure ou totale. Dans la
paralysie
radiculaire supérieure, les muscles frappés son
culo-culané et radial, parfois du circonflexe et du médian. Dans la
paralysie
radiculaire inférieure, les muscles atteints so
re, rétrécissement de la fente palpébrale) sont constants. Dans les
paralysies
radiculaires totales, on observe la combinaison d
bles moteurs, sensitifs et trophiques des deux formes précédentes :
paralysie
atrophique des muscles de la main, de l'avant-bra
Elles sont assez souvent bilatérales. Elles se manifestent par une
paralysie
atro- phique, localisée : pour le plexus sacré
tébrales ou intra-rachidiennes peuvent simuler toutes les formes de
paralysies
des plexus que nous venons d'indiquer; elles pe
spinale dans le tabes, il semble bien probable qu'un bon nombre des
paralysies
amyotro- phiques diversement localisées dans ce
s à des com- pressions radiculaires. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 719 2. Lésions inflammatoires des nerfs : névr
s) ('), marquée par une douleur violente presque aussitôt suivie de
paralysie
complète. Dans tous ces cas les troubles sensit
s de la sensibi- lité objective (ordinaires, mais inconstants), les
paralysies
; un peu plus tard l'atrophie envahit en masse l
es névrites localisées, la. localisation seule est différente. La
paralysie
atrophique est généralement plus intense et plus
s des formes très rapides, aiguës ou suraiguës, qui rap- pellent la
paralysie
ascendante aiguë de Landry et dont l'anatomie et
et le désiré d'extension des névrites multiples ou généralisées, la
paralysie
amyotro- phique est le plus souvent longue et s
he, puis des cuisses, de l'abdomen, des mains et des avant-bras; la
paralysie
et l'atro- phie envahissent d'abord les extense
rieurs, l'abdomen, le thorax, le cou; elle est caractérisée par une
paralysie
flasque avec troubles sensitifs objectifs et réac
usculaire est rare. La guérison rapide ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 725 est la règle, hormis le cas où les nerfs c
s, souvent au seul nerf cubital. Les troubles consistent surtout en
paralysies
douloureuses circonscrites ; l'atrophie muscula
vec ou sans amyotrophies ; quelquefois on observe le syndrome de la
paralysie
ascendante aiguë. Parmi les névrites infectieus
hésies, l'hyperesthésie cutanée et musculaire précèdent toujours la
paralysie
; la paralysie et l'atrophie sont cependant presq
esthésie cutanée et musculaire précèdent toujours la paralysie ; la
paralysie
et l'atrophie sont cependant presque constantes ;
ssion de l'alcool. Le type ordinaire de la névrite saturnine est la
paralysie
des muscles innervés par le radial, à l'excepti
les ou se généraliser il la presque totalité de la musculature. Les
paralysies
sont d'ordinaire curables, parfois très lenteme
, très diversement localisés et parfois parcellaires. On a cité des
paralysies
amyotrophiques plus ou moins douloureuses du cubi
du péronier, du circonflexe, des extenseurs du pied et des orteils (
paralysie
diabétique de Charcot), etc. : elles sont génér
ement passagères. Dans la goutte, dans le rhumatisme chronique, les
paralysies
amyotro- phiques douloureuses ne sont pas rares
oulement du pied sur son bord interne. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
PARALYSIE
. 725 vrotiques fixent ce pied en extension, alo
ilis. Les muscles les plus divers peuvent être isolément frappés de
paralysie
atrophique dans le tabès, en particulier certai
rs. Il est probable qu'elles relèvent de la même pathogénie que les
paralysies
atrophiques des membres, surtout de l'altératio
Des lésions en apparence névritiques observées dans le cours de la
paralysie
générale ou à la suite d'hémorragies venlriculcri
doute une pathogénie ana- logue. cl) Atrophies consécutives à une
paralysie
d'origine fonctionnelle. - Atrophie musculaire
grand pectoral seul, etc.). Elle débute quelques semaines après la
paralysie
et évolue rapidement; elle est rarement très in
d'exécuter autrement que dans l'eau (lluehzerineyer) (*). Dans les
paralysies
amyo- trophiques névritiques, il ne faudra proc
sera tout à fait indi- quée, même de façon très prolongée, dans la
paralysie
infantile qui est essentiellement une paralysie
prolongée, dans la paralysie infantile qui est essentiellement une
paralysie
flasque ; elle sera ,des plus utiles aussi dans
le. Il faudra aussi prévenir l'es altitudes vicieuses, suites de la
paralysie
, de l'amyotrophie et des rétractions fibro-tend
résultats par- ticulièrement intéressants dans un certain nombre de
paralysies
infantiles. La laxité excessive de certaines' a
a été notamment préconisée contre le pied bot flasque de certaines
paralysies
infantiles (Ducroquet et Launay). Des apparei
aladies congénitales diverses : myotonie congénitale, Fried- reich,
paralysie
périodique, autres variétés de myopathie, absence
s : réflexes tendineux exagérés : Sclérose latérale amyotrophique :
paralysie
spasmodique des mem- bres supérieurs; parfois p
trophique : paralysie spasmodique des mem- bres supérieurs; parfois
paralysie
labio-glosso-laryngée; évolu- tion rapide (2-5
isée (mem- bres inférieurs), ni contractions fibrillaires, ni R. D;
paralysie
spasmodique, tremblement, nystagmus, troubles v
généralement limi- tées ; durée prolongée. B) Consécutives A une
paralysie
: atrophie de tout ou partie des muscles préalabl
tômes propres à l'affection paralytique : a) D'origine médullaire :
paralysie
spinale infantile; paralysie spinale aiguë de l
aralytique : a) D'origine médullaire : paralysie spinale infantile;
paralysie
spinale aiguë de l'adulte; hématomyélie ; myéli
yélie ; myélites ; compression médullaire. b) D'origine cérébrale :
paralysies
cérébrales infantiles : hémiplégies, etc.; hémi-
des membres; tendance il la régression. 2. Caractères associés :
paralysie
; troubles sensitifs subjectifs constants (dou-
u clinique évolue beaucoup plus rapidement que le tabes. Enfin la
paralysie
générale, dans l'étiologie de laquelle la syphili
art à un faible degré; l'asthénie, plus ou moins accusée, mais sans
paralysie
vraie, sans trouble notable de la force de chaq
Ieuses peuvent le provoquer. L'association d'hémiplégie alterne, de
paralysies
des nerfs bulbaires et de divers symptômes bulbo-
t très accentuée ; ces (roubles sont sans doute dus à un mélange de
paralysie
, d'hypotonie, d'atrophie musculaire et de contr
que constante des réflexes rotuliens; la présence très fréquente de
paralysies
oculaires ou de troubles ataxiques des mus- cle
t une forme ataxique. En réalité, il s'agit dans les deux cas d'une
paralysie
de cause fonctionnelle, qui, comme toutes les p
x cas d'une paralysie de cause fonctionnelle, qui, comme toutes les
paralysies
hystériques, est essentiel- lement systématique
es cérébelleux inférieurs) : Syndrome associé à hémiplégie alterne,
paralysies
- ~" bulbaires, symptômes bulbaires (glycosurie
le était pratiquée depuis longtemps déjà avec succès dans certaines
paralysies
, hémiplégie, paraplégie spas- modique, paralysi
ès dans certaines paralysies, hémiplégie, paraplégie spas- modique,
paralysie
agitante, etc., avait donné d'assez mauvais résul
fait défaut aux muscles, ni dans l'une ni dans l'autre il n'y a de
paralysie
ou d'atrophie. La physiologie pathologique et l
ne seule articulation, il faut commencer par la rééduca- tion de la
paralysie
(stade « paralytique » du tabes) avant de pouvoir
tions. Ajoutons qu'à l'hémiplégie linguale est souvent associée une
paralysie
faciale également homonyme. b Il existe d'autre
alysie faciale également homonyme. b Il existe d'autres variétés de
paralysies
motrices, soit que le faisceau pyramidal se tro
es deux côtés, et l'on observe une hémi- plégie double, soit que la
paralysie
et l'atrophie linguales demeurent iso- lées, un
nerfs bul- baires, le spinal révèle sa lésion individuelle par une
paralysie
isolée du sterno-cléido-mastoïdien et du trapèz
rapèze. Cette dernière éventualité est, à vrai dire, assez rare, la
paralysie
isolée du sterno et du trapèze relevant surtout
s. En somme, le syndrome bul- baire classique par excellence est la
paralysie
labio-glosso-laryngée. Le malade a la bouche en
o-bulbaires (V. les chapitres spéciaux à ces deux affections). La
paralysie
des lèvres et des joues réduit encore le vocabula
mise encore. Souffler et siffler sont impossibles. Gêné déjà par la
paralysie
de l'oro-pharynx, le cheminement des ali- ments
ent des ali- ments, à peine ou point du tout mâchés par suite de la
paralysie
des masticateurs', est encore entravé par la pa
suite de la paralysie des masticateurs', est encore entravé par la
paralysie
des constricteurs du 1. Lorsque l'atrophie est
angulation angoissante, parfois presque permanente. Ajoutons que la
paralysie
du voile donne à la voix un timbre nasillard. L
arfois. L'épuisement vocal est hàtif, l'aphonie fréquente. Enfin la
paralysie
des dilatateurs laryngés provoque une dyspnée p
bservation, sans que son mécanisme, soit bien précis, inhibition ou
paralysie
, action élec- tive sur le foie ou sur le pancré
ordinairement d'une hémi- plégie linguale homonyme par rapport à la
paralysie
faciale. Sont, plus particulièrement bulbaires
émiatrophie linguale homonymes avec hémiplégie croisée des membres (
paralysie
alterne type Revilliod-Gonkowski), ou bien une
erne type Revilliod-Gonkowski), ou bien une hémiplégie croisée avec
paralysie
homonyme des YIIF et V" paires avec kératite ne
talement à la mort. Le syndrome nucléaire bulbaire; c'est-à-dire la
paralysie
labio-glosso- laryngée s'observe tantôt dans de
dividualisé fait défaut. SYNDROMES ET MALADIES BULBAIRES. ' 805
Paralysie
labio-glosso-palato-laryngée (Charcot) à marche l
érose en plaques, syringomyélie par exemple). Le diagnostic de la
paralysie
Iabio-glosso-laryngée bulbaire est simple en gé
uvent donner un syndrome analogue au syndrome purement nucléaire.
Paralysie
labio-glosso-laryngée à marche rapide. Poliencéph
ls, précipitant l'évolution morbide sans permettre l'apparition des
paralysies
. En d'autres cas, l'allure est moins effrayante :
nt guérir cependant, soit complètement, soit avec quelque reliquat,
paralysie
linguale ou surdité. Ce syndrome bulbaire aigu es
nfection spinale ascendante, telle que l'on peut l'observer dans la
paralysie
de Landry et dans la rage. Syndrome labyrinth
es : la tête s'incline en arrière ou se fléchit sur la poitrine. La
paralysie
unilatérale d'un nerf crânien serait un signe i
tricule, et, comprimant le bulbe d'arrière en avant, déterminer des
paralysies
nucléaires. L'on a parfois en telle occurrence
ne rare complexité : Brissaud, dans un cas de tuberculose, note une
paralysie
faciale droite associée il une névralgie partie
hez un syphilitique du reste guéri par le trai- tement, observe une
paralysie
glosso-labio-palato-pharyng('.e avec hémia trop
; ils sont habituellement secondaires à une lésion du labyrinthe.
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE par le Dr MOUTIER La paralysi
n du labyrinthe. PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE par le Dr MOUTIER La
paralysie
pseudo-bulbaire est caractérisée par un ensemble
s en plus, les désordres spéciaux dont le groupement constitue-, la
paralysie
1>seudo-hulhaire, ou mieux, comme l'appelait
s. On notera cependant que l'évolution de la ma- [MOUTIER.] ] 808
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE. r ladie n'est pas uniforme, ma
eur déchéance lorsque le rire ou les larmes s'opposent à toute ten-
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIR. 809 tative d'entretien avec leu
drome pseudo-bulbaire. Rire spasmo- dique (d'après Brissaud). 810
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE. tation, pousse les sons, les é
un ànonnernent dénué de sens, souvent saccadé, haché. Il existe une
paralysie
notable des lèvres, de la langue et du voile du
ralysie notable des lèvres, de la langue et du voile du palais. Ces
paralysies
et la très grave dysphagie qu'elles entraînent ne
e par- fois légers, mais ils ne sont guère absents. On a signalé la
paralysie
éventuelle des cordes vocales. Le réflexe phary
amého- rées par le traitement antisyphililique. II existe enfin une
paralysie
pseudo-bulbaire infantile, et même une paralysi
I existe enfin une paralysie pseudo-bulbaire infantile, et même une
paralysie
congénitale liées lune et l'autre à de gros acc
Maladie caractérisée seulement après plusieurs ictus successifs, la
paralysie
pseudo-bulbaire avec le faciès particulier qu'ell
es émotionnelles désordonnées, ses troubles de la mastication et de
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE. 811 la déglutition, de la déma
abitude, il est vrai. Différencier la pseudo-paralysie bulbaire des
paralysies
bulbaires vraies peut être plus difficile : on
cependant si l'on se reporte aux descriptions précédentes. Dans la
paralysie
bulbaire aiguë apoplecli forme, l'ictus est uni
Les troubles qui surviennent ensuite comprennent non seu- lement la
paralysie
labio-glosso-laryngée, mais les autres éléments d
u un individu atteint de sclérose en plaques qu'évolue lentement la
paralysie
labio-glosso-laryngée de Duchenne. L'insidiosit
me central de l'articulation des mots est atteint, [MOUTIER.] 812
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE. c'est-à-dire chez l'anarthriqu
s. Hémiplégique droit (s'il est gaucher), et généralement frappé de
paralysie
intense, l'anar- thrique parle de voix forte ;
maladies bulbaires et cérébelleuses, les chorées, les migraines, la
paralysie
agitattle, la paralysie générale, les mala- die
rébelleuses, les chorées, les migraines, la paralysie agitattle, la
paralysie
générale, les mala- dies mentales, etc. La pl
goureux, mais l'asthénie atteint une importance primordiale dans la
paralysie
périodique de Westphal. De fait, il semble plut
Westphal. De fait, il semble plutôt s'agir ici de myasthénie que de
paralysie
à propre- ment parler (V oirchap. Paraplégie).
pinale. Cette affection porte divers noms : asthénie bulbo-spinale,
paralysie
bulbaire asthénique, syndrome d'Erb-Goldflctm.
ymptômes bulbaires. - Ils marquent, avons-nous. dit, le début de la
paralysie
bulbaire asthénique; le malade s'aperçoit sou
le. Dans la'myasthénie, MYASTHÉNIE. 817 il n'existe ni parésie ni
paralysie
. On peut s'en assurer en laissant un muscle se
ou lent, ne présente jamais de phé- nomènes régressifs. Il y a une
paralysie
définitive avec D. R., et non pas une simple fa
ns cas (méningite tuberculeuse), la convulsion est remplacée par la
paralysie
, l'excitation de l'écorce cérébrale à un mo- me
structrice (hémor- ragie, ramollissement), il peut y avoir d'emblée
paralysie
durable. Il ne faut pas cependant se contenter
s formes qui tendent il la généralisation, enfin et surtout sur les
paralysies
durables consécutives. Valeur séméiologique des
ns la sclérose cérébrale chro- nique vous constaterez qu'il v a des
paralysies
ou des contractures et on vous aura dit qu'elle
On reconnaîtra la cause en recherchant les signes essentiels de la
paralysie
générale, tremblement, troubles de la parole, s
auxquelles succé- dera bientôt un état comateux avec hémiplégie ou
paralysie
des quatre membres. Elle est fréquente chez les
suivants : céphalée et dou- leurs localisées, parésie hémiplégique,
paralysie
d'un nerf crânien, oedème papillaire en faveur
rt des intoxications. Enfin, le rythme peut être lent comme dans la
paralysie
agitante, les oscillations sont de 4 à 5 1/2 par
r pen- dant l'accomplissement de cet acte chez certains trembleurs (
paralysie
agitante). Enfin, il peut s'exagérer et on peut
eut être enfin chronique comme dans la sclérose en plaques, dans la
paralysie
agitante, dans la maladie de Basedow. Mais, il
rdon Holilles a décrit un tremblement analogue. Tremblement dans la
paralysie
générale. Il se présente quelque- fois au repos
ew- Y o1'k Médical Journal, 11 octobre 1890) dit que sur 47 .cas de
paralysie
agi- tante qu'il a examinés, il y avait fois tr
e d'une émotion,- d'une frayeur, d'un traumatisme, d'une attaque de
paralysie
ou d'une attaque d'hystérie. - . Quelquefois
e la maladie de Basedow, le tremble- ment alcoolique et celui de la
paralysie
générale. Ce tremblement ne s'efface que pendan
avons dit, simule le trem- blement alcoolique, le tremblement de la
paralysie
générale cl le trem- blement de la maladie de B
par les mouvements volontaires et simulent d'une façon frappante la
paralysie
générale, quelquefois le tremblement sénile, qu
ralysie générale, quelquefois le tremblement sénile, quelquefois la
paralysie
agitante, comme dans les cas de Rendu, d'Oppcnh
les de la face. dans quelques cas rares, il peut être assimilé a la
paralysie
agitante. Lc.trembtement Ulacul'ielestun trembl
discussions. Ce trem- blement est de rythme moyen comme celui de la
paralysie
agitante, il existe au repos, sauf dans de rare
olle) ; mais on peut dire qu'elle est rarement affaiblie jusqu'à la
paralysie
complète. D'autre part, dans certains cas, l'ex
parler tout d'abord de la chorée molle ou chorée paralyti- que, la
paralysie
survient chez le choréique de deux façons différe
ter une chorée très manifeste au cours de laquelle apparaissent des
paralysies
de type variable : ce sont les paralysies chez le
laquelle apparaissent des paralysies de type variable : ce sont les
paralysies
chez les cho- réiques (Ollive, Thèse de Paris,
1885), mais, à côté de ces troubles, il existe d'autres cas, où la
paralysie
domine la scène et dans laquelle les mouvements
HORÉE DES ENFANTS. OU CHORÉE DE SYDENHAM. 857 Nous avons vu que ces
paralysies
dans la chorée ont fait l'objet, de nombreux tr
suivant l'époque à laquelle elles apparaissent, être qualifiées de
paralysies
pré-choréiques, inter-choréiques ou post-cho- r
efois cette disparition de contractions sous l'influence 1. Ollive.
Paralysie
chez les choréiques. Thèse de Paris, 1885. Pémsso
son. Amyo- Irophic dans la chorée. Thèse de Bordeaux, 1891. Ronnou.
Paralysie
de la chorée,. Gazelle hebdomadaire de Bordeaux
horée,. Gazelle hebdomadaire de Bordeaux, 1889. Amyotrophie dans la
paralysie
de la choréc. Thèse de Bordeaux, '1891. Michel.
e inhabile ou par la maladresse des mains. Quand il est brusque, la
paralysie
est d'emblée complète, elle peut être généralis
tits mouvements choréi- formes à intervalles éloignés : ou bien la.
paralysie
est localisée (hémi- plégie, paraplégie ou mono
ée vulgaire, aussi souvent a-t-on pu prendre cette maladie pour une
paralysie
infantile ou pour une. polynévrite. L'évolution
démence pour plusieurs auteurs serait assez analogue il celle de la
paralysie
générale (Osier, Facklam). Évolution. La marc
-Mitchell, Charcot, Lépùie,- Raymond. L'hémichorée peut précéder la
paralysie
de quelques jours, suivant immédiatement l'ic-
la maladie de Basedow (Dieulafoy). On les observe également dans la
paralysie
générale. MYOCLONIES par le Dr CROUZON On a
erses myoclonies au cours de maladies du système nerveux et dans la
paralysie
générale (Hermann, Méditz. Oboz, '1899). On la
odique orientent le "diagnostic vers. la sclérose en pla- ques ; la
paralysie
agitantesm;a reconnue à ce tremblement si spécial
vé non seulement une impotence fonctionnelle, mais les signes d'une
paralysie
organique véritable, particulièrement des adduc
, elle se différencie immédiatement des états. de contracture ou de
paralysie
dans lesquels les membres sont figés en une pos
ou de déficit banaux : on les rencontre ainsi dans la stupidité, la
paralysie
générale, l'épilepsie, la mélancolie. Les attit
ans la sclérose en plaques. Féré l'a rencon- trée également dans la
paralysie
générale où il a décrit un aplatisse- ment du p
ares dans cer- taines affections comme la sclérose en plaques ou la
paralysie
générale, dans d'autres, au contraire, elles fe
s, sur les membres paralysés, quelle que soit l'étiologie .de cette
paralysie
, et. même chez les individus simple- ment attei
, d'une façon très générale, sur tous les membres qu'immobilise une
paralysie
de date ancienne déjà. De même, llilyl)elké),(i
udo- hypel'l1'ophique., Des faits analogues s'ob- servent dans la
paralysie
infantile. * , Dans certains cas, l'adipose est
is réduction du membre entier; de tels laits s'observent dans les
paralysies
et dans lés hémiplégies infantiles.. Parfois l'
- Scoliose dans la syringomyélie (d'après Ilal- lion). Fig. 14.
Paralysie
infantile avec atrophie considérable de tout
vers la syringomyélie. On a signalé des lésions analogues dans la
paralysie
générale ; mais les faits de cet ordre demeur
ture peut s'élever encore dans un certain nombre de mala- dies : la
paralysie
bulbaire progressive, quand elle atteint le centr
eint le centre thermique, peut provoquer l'hyperthermie, de même la
paralysie
bul- baire asthénique est quelquefois caractéri
nfin, les élévations de température se voient encore au début de la
paralysie
infantile, dans certaines myélites aiguës. Elles
moment des attaques congestives de la sclérose en plaques et de la
paralysie
générale. - Dans les névrites, la température p
le. Cet état de mal épiloptique, même quand il se rencontre dans la
paralysie
générale ou dans l'élrilcpsie jacl : .onnienne,
essive. Jules Voisin, Roger Voisin et ! {euh l'ont observée dans la
paralysie
générale infantile. [O. CROUZON.] 958 TROUBLE
des troubles assez caractéristiques de la réaction sudorale dans la
paralysie
faciale : c'est la réaction la pilocarpine. Strau
sudation provoquée par une injection de pilocarpine dans un cas de
paralysie
faciale périphérique, a constaté un retard de la
bulbaires ; dans tous les syndromes bul- baires : tumeurs du bulbe,
paralysie
bulbaire progressive, la dyspnée peut être un s
ntiel; enfin la dyspnée peut s'obscrver dans les névrites, dans les
paralysies
diphtériques. Les (roubles respiratoires peuv
peut s'observer dans l'alcoolisme; c'est une des localisations des
paralysies
alcooliques au cours de la gros- sesse (Dufour
celle des hémorragies et des ramollissements bulbaires; celle de la
paralysie
labio-glosso-Iaryngée, celle de la sclérose en pl
sivement à l'hystérie et au labes, quoiqu'on en ait signalé dans la
paralysie
générale avec des caractères analogues à ceux d
e inaperçue et l'incontinence parait primitive. En présence d'une
paralysie
générale il semble qu'il n'y ait pas de phénomè
enfin, l'ineon- tincnce est absolue, totale et définitive quand la
paralysie
est devenue complète. Chez les hystériques, l
l'incontinence vraie, il est très important de distinguer s'il y a
paralysie
du sphincter ou regorgement. Un examen est presqu
tus qui augmente les influences congestives. Enfin la parésie et la
paralysie
vcsi- cale ont pour conséquence la rétention, c
ce rapidement à l'impuissance définitive. Il en est de même dans la
paralysie
générale. Dans le tabès les troubles génitaux s
édée de masturbation, dans la syphilis cérébrale et surtout dans la
paralysie
générale à la première période. Elle est au déb
ntraire, la reprise de la masturbation qui les provoque. l'ans la
paralysie
générale, l'onanisme est souvent un signe du débu
encéphale, telles que l'hémorragie ou le ramollissement, et dans la
paralysie
générale; toutefois, il y a lieu de rechercher si
ont l'hystérie, les hémorragies et ramollissements céré- braux, les
paralysies
périphériques de la cinquième paire, les lésions
n peut observer également des névralgies au cours du tabès ou de la
paralysie
générale, des dysesllu'sies après la crise épilep
y avoir agueusie totale il la suite des crises d'épilepsie. Dans la
paralysie
faciale enfin, dans les lésions nucléaires de l
lésions nucléaires de l'intermédiaire de Wrisberg et dans certaines
paralysies
Itl)l o- ? l osso-1 aiyn crées, des troubles anal
viciations de la sensation, telles que les peu- vent provoquer une
paralysie
faciale otitique, des maladies du l'oie ou de l
ilité linguale. Parmi ces troubles se rangent les tremblements, les
paralysies
, les contractures et spasmes. Les tremblements
pprécier seu- lement lorsque la langue est tirée hors de la bouche (
paralysie
générale, par exemple). Les tremblements peuv
[F. MOUTIER] MU TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la
paralysie
générale, la langue exécute des mouvements désor-
r le début d'un accès, comme il peut se produire il sa suite. Les
paralysies
de la langue sont uni- ou bilatérales. Ces paraly
suite. Les paralysies de la langue sont uni- ou bilatérales. Ces
paralysies
généralisées peuvent être fonctionnelles ou org
nctionnelles ou organiques et s'accompagner ou non d'atrophie. La
paralysie
totale de la langue sans atrophie se voit chaque
étriques et multiples réalisent un syn- drome spécial l'appelant la
paralysie
tabio-gtosso-taryngée; les malades qui en sont
t intellectuel variable et le reliquat d'une double hémiplégie. Lue
paralysie
ou mieux une parésie totale, sans atrophie fait e
ésie, de glycosurie, de polyurie, d'albuminurie, il s'agit alors de
paralysie
bulbaire aiguë, lice le plus souvent à un foyer
piratoires et cardiaques. Cette évolution est caractéristique de la
paralysie
bulbaire progressive de Duchesne. La langue bul
attribué il de la parésie de la langue les troubles constants de la
paralysie
générale, fréquents de la sclérose en pla- ques
iques présentent quelquefois de la para- lysie avec atrophie. Les
paralysies
de la langue n'atteignant qu'un côté de l'organe
jM7( ? ? ? r ? c cervicale hyperlro- phique, [tins rarement dans la
paralysie
générale et la syphilis des rentres. Dans Ions
., tous signes qui permettent d'établir le diagnostic. Enfin, les
paralysies
généralement accompagnées de troubles divers, a
une thérapeutique, surtout antisyphilitique, souvent effective. La
paralysie
de la septième paire s'accompagne, quand elle est
être déviée du côté malade : on est en droit de songer alors à une
paralysie
faciale compliquée d'une atteinte de la douzième
sur l'alrophin suffisamment étudiée plus haut en même temps que les
paralysies
. L'hypertrophie de la langue peut porter sur un
droïde. On a signalé encore l'accroissement de la langue dans la
paralysie
pseudo-hype1'/rophique. Cet accroissement est p
s moteurs se superpo- sent des troubles de la sensibilité. Dans les
paralysies
bilatérales, la mas- tication est pénible, et l
propulsion et les mouvements de déduction sont impossibles dans la
paralysie
des ptérygoïdiens. Les paralysies du trijumea
duction sont impossibles dans la paralysie des ptérygoïdiens. Les
paralysies
du trijumeau peuvent déterminer des troubles dire
umeau peuvent déterminer des troubles directs de la déglutition par
paralysie
du péristaphylin externe et du mylo-hyoï- dien.
paralysie du péristaphylin externe et du mylo-hyoï- dien. Quand la
paralysie
est unilatérale, les signes sont les mêmes, mais
péristaphylin reçoit un rameau du trijumeau. Voile du palais. Les
paralysies
du voile du palais sont faciles à reconnaître.
troubles électriques manquent en général. Tel est le tableau d'une
paralysie
périphérique , [F. MOUTIER.] .] 984 TROUBLES
diverses), souvent accompagnée de .troubles moteurs généralisés. La
paralysie
peut êtrè unilatérale : le voile est rétréci d'
ur la langue. . - : le voile du palais est abaissé en masse dans la
paralysie
des pérista- phylins ; l'arc de ses piliers pos
marqué des liquides par le liez; mais la voix est nasonnée dans la
paralysie
des péris- taphylins seulement. Ces troubles
polioencéphalites inférieures de diverses causes. (Voir plus haut :
Paralysie
de la langue.) La paralysie du voile d'origine
s de diverses causes. (Voir plus haut : Paralysie de la langue.) La
paralysie
du voile d'origine bulbaire peut se combiner à
e.) La paralysie du voile d'origine bulbaire peut se combiner à une
paralysie
récurren- tielle homonyme (syndrome d'Avellis)
ielle homonyme (syndrome d'Avellis) à la même lésion accompagnée de
paralysie
du trapèze et du sterno-cléido-mastoïdien (syndro
En dehors des indications banales relatives au traitement de toute
paralysie
, signalons simplement dans ces conditions l'impor
avant d'admettre l'existence d'un simple trouble fonctionnel. La
paralysie
du pharynx' est à peu près toujours d'origine név
spasme est douloureux et fait obstacle à la sonde oesophagienne; la
paralysie
n'arrête pas celle-ci et n'est pas douloureuse.
dents paralytiques et des accidents spastiques. Nous négligerons la
paralysie
de l'oesophage dont l'existence est peu précise
salive. 11 est facile de recon- naître le goitre exophtalmique, la
paralysie
agitante, la rage même ; enfin, dans les cas pl
Il saint tantôt de troubles sécrétoires, tantôt d'anesthésies ou de
paralysies
musculaires. Diarrhées paroxystiques. Elles son
e post-paroxystiques, peuvent annoncer les crises ordinaires. ? .
Paralysies
intestinales. La constipation d'origine nerveuse
e) pu liée à de l'anes- thésie rectale [hystérie (Grasset)]. " La
paralysie
intestinale doit être recherchée au cours de la m
ividu, désormais inconscient, comme dans les dernières phases de la
paralysie
générale, dans la démence sénile et le coma. (V
xaminer les réflexes dans tous les cas de constipation rebelle avec
paralysie
du sphincter externe de l'anus. Troubles hystér
us solaire intéres- sent l'intestin. Dans certains cas (syndrome de
paralysie
), il y a une diarrhée fétide, sanglante et inco
isé dans les péritonites; on l'a signalé en outre dans le tabès, la
paralysie
générale, dans un cas de gliome fusiforme de la s
lytique Gâtisme et psychopathies. Le gâtisme est fréquent dans la
paralysie
générale, où il traduit la déchéance de l'individ
agie n'est pas exceptionnelle dans un grand nombre d'états, dans la
paralysie
géné- rale par exemple. Enfin, des idées divers
rculeux, spina ventosa syphilitique. ! < ! . Attitudes vicieuses :
paralysies
, atrophie, contracture, accessoirement rétracti
llongement des os avec amincissement et rétraction tendineuse, sans
paralysie
ni modification de l'excitabilité électrique : on
us. boudinés, inégaux. 1050 SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN. lépreuse, une
paralysie
radiculaire du plexus brachial peuvent provoquer
st souvent difficile de se rendre compte si c'est J"amyotrophie, la
paralysie
ou la contracture qui a été la cause originelle
plus fréquemment infantile que congénitale, elle résulte alors une
paralysie
infantile : elle peut prendre des altitudes var
ales. On observe la main-bote paraly- tique à la suite de certaines
paralysies
infan- tiles (`) (6g. 14) ou de paralysies spin
à la suite de certaines paralysies infan- tiles (`) (6g. 14) ou de
paralysies
spinales aiguës de l'adulte, à la période flacc
ès atrophies musculaires progressives myélo- pathiques, quand, à la
paralysie
des muscles des mains qui déterminé la main d'A
scles des mains qui déterminé la main d'Aran-Duchenne se joint la
paralysie
des muscles des avant-bras qui provoque là « ma
ains-botes paralytiques. -, La localisation de l'atrophie .ou de la
paralysie
soit sur les extenseurs, soit sur les fléchisse
pertro- phique, qui peut s'observer exception-, nellement dans la
paralysie
infantile (Seelgmüller, Dejerine), mais que l'o
in degré de supination. Cette altitude est due à 1 atrophie ou à la
paralysie
des muscles. 1 . Il est.rare de constater chez
es. 1 . Il est.rare de constater chez l'adulte la persistance d'une
paralysie
infantile au membre supérieur ; quand la lésion
g. 14. - Atrophie du mem- bré supérieur droit il la ' suite d'une
paralysie
in- fantile.. Main-bote para- lytique, flasqu
extenseurs et supinateurs. Suivant le degré variable d'atrophie, de
paralysie
ou de contracture de ces muscles, les doigts peuv
gnet on voit les doigts se fléchir plus fortement dans la main. une
paralysie
permanente du hras, elle est trop haut placée pou
ons fibreuses. B) Déviations des DOIGTS sur la main : GRIFFES. La
paralysie
ou l'atrophie des muscles innervés par un des ner
in d'Aran-Duc)¡enne, etc. La griffe radiale est caractérisée par la
paralysie
des extenseurs des doigts et du poignet. Dans l
à plat, ne peul être portée ni vers le côté radial par suite de la
paralysie
du premier radial, ni vers le côté cubital par
aralysie du premier radial, ni vers le côté cubital par suite de la
paralysie
du cubital postérieur. Le pouce ne peut être port
l postérieur. Le pouce ne peut être porté en dehors par suite de la
paralysie
de son long abducteur. Si l'on fait fléchir l'a
s du nerf radial, section, ecrasementou, plus souvent, compression (
paralysies
dücs ct fit/o°c ? ) ; encore le long supinatcurcs
a corde contractée durant la flexion active de l'avant- bras ; la
paralysie
est gé- néralement bilatérale et cu- rable.
lyné- vrite toxique ou infectieuse que la névrite saturnine, la
paralysie
n'est presque ja- mais limitée au domaine du
omaine du nerf radial. Dans le tabes on observe . - parfois une
paralysie
radiale passagère, prenant le long supinateur, du
exus brachial ou de ses racines produisent exception- nellement une
paralysie
radiale. Il en est de même de certaines lésions
e. Il en est de même de certaines lésions médullaires ou méningées,
paralysie
infantile, atrophie musculaire pro- gressive au
ningite cervicale, etc.... La griffe cubitale (fig. 17) comporte la
paralysie
des interosseux, des muscles hypothénar, de l'a
pression, surtout au poignet ou dans la gouttière olécrÙnienne; les
paralysies
par compression sont quel- quefois professionne
ho ! d la grippe, dans l'alcoolisme. - La griffe médiane amène la
paralysie
de tous les muscles antérieurs de l'avant-bras
d'Aran-Duchenneest constituée par l'association d'atro- phie ou de
paralysie
des muscles de la main dans le domaine a la foi
ent dans les compressions et hémisections de la moelle et dans la
paralysie
mlantlle. L atrophie .musculaire type Ltiarcot-ji
ne luxation du rachis ; sur le plexus brachial peu- vent porter des
paralysies
traumatiques ou obstétricales; sur les troncs d
xiques (arsénicisme;- alcoolisme exceptionnellement en dehors de la
paralysie
des extenseurs du pied, saturnisme exceptionnel
s extenseurs du pied, saturnisme exceptionnellement en dehors de la
paralysie
radiale, -etc.). Les douleurs pseudo-névralgiques
nt par leur attitude, mais par leurs mouvements anormaux. Dans la
paralysie
agitante les mains participent à la rigidité musc
ouvements athétosiques, toujours bilatéraux et non accompagnés de
paralysie
, sejoint une rigidité musculaire générale, de
: la même déforma- tion peut être produite, on le conçoit, par la
paralysie
ou l'atrophie d'un muscle ou d'un groupe de mus
pourtant des caractères généraux différentiels en rapport avec la
paralysie
ou la contrac- ture et sans rapport avec les mu
t les muscles paralysés ou contractures qui les dé- terminent. La
paralysie
de tous les muscles du pied produit un pied balla
e plutôt que d'un pied-bot paralytique. ' En dehors de ce cas. la
paralysie
ou l'atrophie isolée de certains muscles d'une
ion interne, le court péronier en abduction et rotation externe. La
paralysie
isolée de ces muscles ne déterminerait pas de d
es pieds-bols spasmodiques, on peut diagnostiquer s'il s agit d'une
paralysie
ou d'une atrophie de certains muscles ou d'une co
] '1052 SÉMIOLOGIE DU PIED. ou partiel,. Il peut être dù à une'
paralysie
spinale congénitale qui est très exceptionnelle
ause de la para- lysie des membres inférieurs et du.pied-hot; cette
paralysie
s'accompagne fréquemment de troubles . sensitif
s; il est moins creux et la griffe est moins accusée. 0 n Dans la
paralysie
infantile, poliomyélite aiguë de l'enfance, on
équin varus {Rg. 9) /parfois l'équin direct, par prédominance de la
paralysie
sur les muscles innervés par le sciatique popli
s pied- creux. Rarement on observe un talus pied-creux direct par
paralysie
du tri- ceps sural. Dans la poliomyélite aigu
g. 9 et 10. Deux variétés fréquentes de déformation des pieds dans la
paralysie
infantile portant sur les membres inférieurs. "
observe le plus souvent un pied-bot équin direct ou équin varus par
paralysie
de tous les muscles innervés par le sciatique }
mouve- ments de flexion du pied sauf après adduction préalable par
paralysie
isolée du jambier antérieur. d) Dans les myop
mme nous l'avons dit, le Lctlzsspied- creux (fig. 1 1 ) est dû- une
paralysie
du triceps sural seul (talus pied-creux direc
lats acquis avec pieds-bots paralytiques : nous rappellerons que la
paralysie
du long péronier latéral détermine un pied-plat
(par suite du glissement de l'astragale sur le calcanéum) ; si à la
paralysie
du long péronier se joint celle du flé- chisseu
sseur commun des orteils, il y a un talus pied-plat direct; si à la
paralysie
de ces muscles se joint celle de l'extenseur comm
, [A. LÉRL] Fig. 11. Talus pied-creux il la suit.( d'une ancienne
paralysie
infantile (paru lysie alruphiquc surtout du tri
discutée : il serait dû soit à une arthrite (Gosselin), soit à une
paralysie
du long péronier (Duchenne), soit à une contrac
s premières phalanges et flexion des deux autres. Elle est due à la
paralysie
ou à l'atrophie des interosseux dont le rôle ph
premières phalanges et extension des deux autres. Elle est due à la
paralysie
de l'extenseur commun des orteils et de l'exten
ur commun des orteils et de l'extenseur propre du gros orteil, sans
paralysie
des inter- osseux ; elle peut être due à la con
in. On observe sa forme paralytique dans certaines para- lysies, la
paralysie
alcoolique en particulier, sa forme spasmodique d
s mouvements que l'on peut constater au niveau des pieds. Dans la
paralysie
agitante on ne voit guère de mouvements des ort
l'enfance de Dejerine et Sottas. ' Myopathies. Maladie de Thomsen.
Paralysies
périodiques familiales. Myoclonies. Aptitude co
syndrome de Babinski caractéristique de la syphilis (Vaquez). La
paralysie
du moteur oculaire commun survenant subitement, e
subitement, est également un stigmate de syphilis : en effet, si la
paralysie
de la 6e paire, est l'apanage du diabète, on pe
souvent liée à la syphilis. Enfin nous avons écarté le tabès et la
paralysie
générale qui sont consi- dérés par la majorité
m- mes en dehors du milieu fréquenté par la syphilis ; rareté de la
paralysie
générale chez les ecclésiastiques, etc. Tille
on était positive dans deux cas d'hydro- céphalie et dans un cas de
paralysie
pscudo-bulbail'c. Nous ne saurions mieux donner
nées ont moins de chance d'être suivies plus tard du tabès ou de la
paralysie
générale. Le traitement des manifestations nerv
le mécanisme a été étudié dans la méningite tuberculeuse et dans la
paralysie
générale par Anglade et Chevreaux; les lymphocy
s deux cas de Vaillant et Tixier. Liquide céphalo-rachidien dans la
paralysie
générale. - La consta- tation de la lymphocytos
paralysie générale. - La consta- tation de la lymphocytose dans la
paralysie
générale a été faite par René LIQUIDE CPHALO-RA
nstaté cette lymphocytose au cours des poussées conges- tives de la
paralysie
générale. On a constaté aussi d'autres faits anor
opsie de paralytiques généraux. Enfin, dans le tabes, comme dans la
paralysie
générale, la réaction de Wassermmn a été trouvé
atives et s'opposent très nette- ment aux résultats obtenus dans la
paralysie
générale. Dans l'épilepsie, dans la manie, dans
e culture, un moyen pratique de diagnostic. Cyto-diagnostic dans la
paralysie
infantile. Dans la paralysie infan- tile, la ré
de diagnostic. Cyto-diagnostic dans la paralysie infantile. Dans la
paralysie
infan- tile, la réaction méningée a été variabl
halo-rachidien au cours d'une évo- lution de symptômes rappelant la
paralysie
infantile, il s'agissait donc alors de méningit
Achard et Grenet ont observé des cas de lymphocytose au cours de la
paralysie
infantile. Widal a observé trois cas négatifs,
infantile. Widal a observé trois cas négatifs, mais dans ces cas la
paralysie
infantile était éteinte. Il semble donc que dan
Il semble donc que dans un certain nombre de cas, le syndrome de la
paralysie
infantile soit créé par la méningite cérébro-spin
méningite cérébro-spinale, que dans un deuxième groupe de faits, la
paralysie
infantile s'accompagne de réac- tion méningée l
lymphocytose très légère, bien inférieure à celle du tabès et de la
paralysie
générale. Cytologie dans la méningite chronique
Claude et Sérary y ont trouvé la lymphocytose. Cytologie dans la
paralysie
agitante : la chorée chronique, le deli- rium t
hocytique dans les oreillons (Chauffard et. Boidin), au cours d'une
paralysie
faciale ourlienne (Dopter), dans les pro- cessu
philis nerveuse. L'existence d'une lymphocytose dans le tabes et la
paralysie
générale, affections dont la nature syphilitique
et Grenet (Société de Neurologie, 5 mars 1905). Tel est encore la
paralysie
faciale de la période secondaire de Thibierge e
ingitiques qui peuvent être le premier symptôme d'un tabès ou d'une
paralysie
générale il longue échéance ; hypothèse admise
syndrome cérébral, l'absence habituelle de rétraction du ventre, de
paralysie
motrice des membres, de parésie vaso-motrice, sph
ppenheim). Les signes pédonculaires sont le ptosis, la diplopie par
paralysie
de la troisième paire (Mocquin), le nystagmus (
évralgie légère du trijumeau (von Beck), le strabisme divergent par
paralysie
de la sixième paire, la parésie masticatrice ou
; si l'on peut préciser les rapports qui, parfois, semblent unir la
paralysie
asthénique d'Erb-Goldflamm aux anomalies de l'a
CULAIRES. 1155 compliquer de mydriase, d'inégalité pupillaire et de
paralysie
irienne. L'évolution est plus longue, plus irré
tingue du coma méningitique par sa durée, plus longue, l'absence de
paralysies
, de troubles vaso- moteurs,, de température, du
e, dou- leurs violentes dans les lombes 1'1 les membres inférieurs,
paralysie
des sphincters ano-vesicaux, on a le droit de s
athies tabétiques et syringomyéliques, les atrophies osseuses de la
paralysie
infantile et des scléroses cérébrales infantiles,
ra joué un rôle nul ou tout au plus le rote de cause occasionnelle,
paralysie
générale, tabès, sclérose en plaques, etc. ; la
ico-dorsatc ou 101llho-dorsale avec déviation compensa- trice. La
paralysie
infantile frappant une zone [tins ou moins étendu
signalée pal' lIuchcl11H' de lloulognc; il semble qu'en général la
paralysie
infantile portant, sur un des côtés du thorax amè
horax amène une scoliose il convexité dirigée vers le côté sain. la
paralysie
infantile portant sur un des côtés de la région
rement étudié (s) les résultats fournis par la radiographie dans la
paralysie
infantile. La faiblesse du développement des os
al du même âge, deux termes peuvent caractériser le squelette de la
paralysie
infantile : ce. sont des os clairs el grêles.
rétraction douloureuse des^. membres inférieurs due à une ancienne
paralysie
infantile. Dans la sclérose en plaques, les rés
nce du 50 novembre 1906). ? . 13 : vwsm. De la radiothérapie dans les
paralysies
spasmodiques spinales (Soc. méd. des Hôpitaux d
eur début ou à des périodes peu avancées. On l'a constatée dans des
paralysies
cérébrales récentes, dans la paralysie générale
. On l'a constatée dans des paralysies cérébrales récentes, dans la
paralysie
générale progressive, dans des cas de tumeur cé
adies, elle se montre sur des muscles paraissant encore indemnes de
paralysie
et d'atrophie, c'est souvent un indice de leurs
c'est souvent un indice de leurs altérations prochaines. Dans les
paralysies
périphériques on trouve quelquefois, au début, de
citabilité électrique; il en est ainsi, par exemple, dans certaines
paralysies
faciales; celles-ci peuvent rester légères, mai
lus complexes constituant la réaction de dégénérescence. Dans des
paralysies
toxiques, notamment dans des paralysies ducs à
de dégénérescence. Dans des paralysies toxiques, notamment dans des
paralysies
ducs à l'intoxication par le sulfure de carbone
les myélites, dans le tabes, dans la sclérose en plaques, dans des
paralysies
par compression de la moelle. L'excitabilité él
er jusqua l'abolition lorsque l'atrophie est très grande. Parmi les
paralysies
périphériques il en est qui ne donnent lieu, le p
la diminution simple de l'excitabilité électrique, telles sont les
paralysies
ducs à de la compression passagère et modérée d
alysies ducs à de la compression passagère et modérée des nerfs, la
paralysie
radiale par exemple dans la grande majorité des
ité au niveau des parties lésées. Dans certains cas, cependant, ces
paralysies
par compression dépendent de lésions suf- DIMIN
a réparation se produit encore le plus souvent, mais la durée de la
paralysie
est beaucoup plus longue que dans les cas avec
ns les cas avec simple diminution de l'excitabilité électrique. Des
paralysies
périphériques par névrites toxiques ou infectieus
imple des réactions électriques;. en est ainsi dans certains cas de
paralysie
par intoxication smfo-carbonéc, dans des paraly
certains cas de paralysie par intoxication smfo-carbonéc, dans des
paralysies
alcooliques, dans certaines formes de paralysie
carbonéc, dans des paralysies alcooliques, dans certaines formes de
paralysies
diphtériques, etc.; le pronostic de ces paralysie
taines formes de paralysies diphtériques, etc.; le pronostic de ces
paralysies
est générale- ment assez hénin. Dans d'autres c
t générale- ment assez hénin. Dans d'autres cas les mêmes genres de
paralysies
s'ac- compagnent de réaction de dégénérescence
il est fréquent de les voir apparaître ainsi tardive- ment dans la
paralysie
faciale. Période d'état de la DR. Par période d
ives, ainsi qu'on le voit dans des névrites toxiques, telles que la
paralysie
saturnine dans certaines de ses formes. En rapp
fait habituellement défaut; ainsi on ne la rencontre pas. dans les
paralysies
cérébrales par hémorragies, par ramollissements
agies, par ramollissements ou par tumeurs. Dans ce dernier genre de
paralysies
, cependant, si la DR fait toujours défaut au ni
e aussi dans les lésions des noyaux bulbaires qui donnent lieu à la
paralysie
lal)io-glosso-laryiigée; elle n'est pas toujours
les principales indications. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (
paralysie
infantile et paralysie spinale antérieure de l'
ions. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (paralysie infantile et
paralysie
spinale antérieure de l'adulte), la DR se prése
de la DR. Le froid agit encore en provoquant des névrites avec DR,
paralysies
dites a frigorie et paralysies rhumatismales. D
en provoquant des névrites avec DR, paralysies dites a frigorie et
paralysies
rhumatismales. Dans la plupart de ces cas, la D
orme complète, suivant la gravité des lésions. Dans quelques cas de
paralysies
toxiques la DR fait défaut; elle manque, par ex
sies toxiques la DR fait défaut; elle manque, par exemple, dans des
paralysies
sulfo-carbonées légères, mais elle se rencontre
elle se rencontre dans des cas plus graves. Dans la plupart de ces
paralysies
toxiques, la DR se localise plus particulièreme
alcooliques. Dans les névrites infectieuses, la DR est habituelle,
paralysies
consé- cutives à la diphtérie, à certaines angi
due; c'est ce qu'on observe, par exemple, clans certaines formes de
paralysies
diphtériques, alors que dans d'autres, la DR es
rononcée. Celle-ci peut faire défaut dans les formes légères de ces
paralysies
. Dans les affections primitives des muscles, il
Ainsi on ne l'observe pas dans les diverses formes de la myopathie,
paralysie
pseudo-hypertrophique, myopathie facio-scapulo-
r des modifications de la formule polaire de l'excitation. Dans les
paralysies
et atrophies musculaires réflexes d'origine artic
ie, chorée, myoclonies, la DR fait défaut. Dans les quelques cas de
paralysies
ou d'atrophies musculaires observées chez des h
nos- tic ('). Ainsi, pour prendre un exemple souvent cité, dans les
paralysies
1. Dans certains cas de lésions des neurones mo
-DIAGNOSTIC. faciales dites a frigore ou rhumatismales, et dans les
paralysies
faciales d'origine infectieuse, la DR complète
ralysies faciales d'origine infectieuse, la DR complète indique une
paralysie
grave, qui ne guérira certainement pas avant si
ure secondaire plus ou moins prononcée. La DR partielle indique une
paralysie
de moyenne intensité devant guérir vraisemblabl
re secondaire peut être souvent évitée. L'absence de DR indique une
paralysie
légère, devant guérir rapidement en quelques sema
cture secondaire. Le même pronostic ne saurait être établi pour des
paralysies
faciales dont la cause peut être persistante, c
paralysies faciales dont la cause peut être persistante, comme les
paralysies
faciales d'origine otitique, les paralysies fac
persistante, comme les paralysies faciales d'origine otitique, les
paralysies
faciales par compression produites par des tume
au contraire, la cause persiste et continue son action nocive, une
paralysie
légère peut faire place il une paralysie de moy
nue son action nocive, une paralysie légère peut faire place il une
paralysie
de moyenne intensité, ou celle-ci à une paralys
aire place il une paralysie de moyenne intensité, ou celle-ci à une
paralysie
plus grave. RÉACTION MYOTONIQUE f La réaction
étudiées par Erb et Goldflam auxquelles on donne souvent le nom de
paralysie
bulbaire asthénique. Il existe dans ces cas de
rmeture même fréquemment répétées; cependant j'ai vu dans un cas de
paralysie
asthé- nique grave des excitations galvaniques
ppeler aussi que cette réaction n'est pas constante dans toutes les
paralysies
asthéniques; on l'a vue manquer dans des cas où
, plus ou moins prononcée, dans d'autres affections, telles que des
paralysies
cérébrales (1 ? enedil;t), des cas de maladie d
s de maladie de Basedow, de poliocncéphalites, de poliomyélites, de
paralysies
hystériques, de neurasthénies (raumatiques. On
l'épilepsie avec aliénation (Boccolari et Borsari, d'Arman) dans la
paralysie
générale, dans la folie alcoolique et dans l'idio
s vaso- moteurs accentués. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (
paralysie
infantile et paralysie spinale de l'adulte), Vi
tués. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (paralysie infantile et
paralysie
spinale de l'adulte), Vigouroux a constaté une
dans l'encé- phale les neurones moteurs centraux nous prendrons les
paralysies
par hémorragie cérébrale, l'hémiplégie cérébral
é et on abuse parfois encore de ce traitement périphérique dans les
paralysies
cérébrales. Il peut présenter, en effet, des in
re que latente. Ces inconvénients sont moins à redouter lorsque les
paralysies
restent flasques et qu'il n'y a pas exagération
é une atrophie parfois assez prononcée de certains muscles dans les
paralysies
cérébrales, leur excita- bilité faradique est g
s amène parfois une amélioration assez grande et assez rapide de la
paralysie
. Si cette amélioration fait défaut après quelqu
vaniques ont été utilisés aussi pour le traitement périphérique des
paralysies
cérébrales, le plus souvent sous la forme de ga
iphériques, nucléaires, radiculaires. ou funicu- laires, telles que
paralysies
des nerfs moteurs du globe oculaire, paralysie
laires, telles que paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire,
paralysie
faciale, etc. ; les indications relatives au tr
loppements dans lesquels nous sommes entrés sur le trai- tement des
paralysies
par lésions du cerveau et de l'encéphale peuvent
dant, on pourra attendre moins longtemps que pour le traitement des
paralysies
cérébrales. La galvanisation continue de la m
quée sur la colonne vertébrale. Dans le traitement périphérique des
paralysies
médullaires nous don- nerons d'abord la préfére
est utilisable dans les mêmes conditions que pour le traitement des
paralysies
cérébrales. Suivant les cas on la fait porter d
iques peut être appliqué suivant les procédés indiqués à propos des
paralysies
cérébrales. Ce genre de traitement doit être au
ment doit être aussi employé avec prudence. Dans beaucoup de cas de
paralysies
médullaires, la contracture est moins à redouter
ysies médullaires, la contracture est moins à redouter que dans les
paralysies
cérébrales ; dans d'autres elle existe aussi et.
ieure aiguë. Qu'elle se présente sous la forme la plus fréquente de
paralysie
spinale infantile, ou sous la forme plus rare d
uente de paralysie spinale infantile, ou sous la forme plus rare de
paralysie
spinale antérieure des adolescents ou de l'adulte
ien qu'assez semblables en apparence au début et donnant lieu à des
paralysies
très accusées et assez étendues, suivent sponta
On peut commencer le traitement par la galvanisation continue delà
PARALYSIE
INFANTILE. 1 U7 moelle. Si la paralysie est loc
lvanisation continue delà PARALYSIE INFANTILE. 1 U7 moelle. Si la
paralysie
est localisée sur les membres inférieurs, on plac
région dorsale supérieure, ou encore sur la paroi abdominale. Si la
paralysie
est localisée sur les membres supérieurs, on pl
st uiili- sable dans l'un ou l'autre des cas précédents, lorsque la
paralysie
est localisée aux membres supérieurs ou aux mem
membres inférieurs; il est par- ticulièrement applicable lorsque la
paralysie
atteint à la fois membres supérieurs et membres
e sur la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale. Lorsque la
paralysie
porte sur les membres snpe- rieurs on fait plon
cles restés sains ou peu atteints, pour ne pas augmenter les déloi-
PARALYSIE
INFANTILE. 1299 mations qui résultent parfois d
vrite se mollirent généralement bons et sont souvent assez rapides.
Paralysies
par lésions des nerfs ou de leurs racines, lésion
névrites, etc. Dans la pratique on se trouve souvent en présence de
paralysies
limitées au territoire périphérique d'un ou de
itoire périphérique d'un ou de plusieurs nerfs ; d'autres fois, les
paralysies
sont distribuées suivant une topographie indiqu
ère indication à remplir dans le traitement de ces divers genres de
paralysies
est de rechercher quelle a pu être leur cause.,
s deux bouts d'un nerf sec- tionné, etc.). Lorsque la cause de la
paralysie
a été supprimée, ou lorsqu'elle n'a agi que d'u
é supprimée, ou lorsqu'elle n'a agi que d'une façon transitoire, la
paralysie
persiste néanmoins et peut se prolonger pendant
erveuses périphériques; elles se rencontrent parfois aussi dans les
paralysies
d'origine radiculaire, ou dans les paralysies des
arfois aussi dans les paralysies d'origine radiculaire, ou dans les
paralysies
des plexus; elles sont habituelles dans les par
ou dans les paralysies des plexus; elles sont habituelles dans les
paralysies
dues à une compression modérée et transitoire d
alysies dues à une compression modérée et transitoire des nerfs, la
paralysie
radiale du sommeil, par exemple, (exceptionnell
observé dans des cas d'ivresse profonde avec sommeil prolongé). Ces
paralysies
sont habituellement légères et pourraient guéri
jours ou tous les deux jours. Dans un grand nombre d'autres cas de
paralysies
périphériques par névrites localisées ou par lé
. Parfois des indications particulières résultent de la cause de la
paralysie
. Ainsi lors- qu'une cicatrice dure et plus on m
plus on moins exubérante est une cause qui produit ou entretient la
paralysie
par la compression ou l'irritation d'un nerf, o
à tenir et la direction il donner au traitement dans la plupart des
paralysies
périphériques funiculaires, réticulaires ou radie
alysies périphériques funiculaires, réticulaires ou radieulaires; ,
PARALYSIE
FATALE., , l~>or> elles sont applicables
ez l'enfant comme chez l'adulte; elles sont appli- nables.aussi aux
paralysies
ohstétricales qui, le plus souvent, portent sur
achial, soit en partie seulement, soit en totalité. Dans ces cas de
paralysies
radiculaires les lésions ne sont pas habituelle
taines parties 'du membre paralysé le trai- tement indiqué pour les
paralysies
légères, alors que pour d'autres parties il fau
ur d'autres parties il faut appliquer le traitement convenant à des
paralysies
plus graves avec DR partielle ou avec DR complè
ies plus graves avec DR partielle ou avec DR complète. - Dans les
paralysies
périphériques de quelques nerfs, le traitement
porte certaines particularités que nous devons indiquer brièvement.
Paralysies
faciales. Au point de' vue du traitement, les par
rièvement. Paralysies faciales. Au point de' vue du traitement, les
paralysies
Faciales périphériques peuvent être divisées en
n conservées ou sont altérées seulement en quantité sans DR, et les
paralysies
dans lesquelles existe de la DR soit partielle,
s lesquelles existe de la DR soit partielle, soit complète. - Les
paralysies
du premier groupe, celles qui ne présentent pas d
ies du premier groupe, celles qui ne présentent pas de DR, sont des
paralysies
légères, dans lesquelles la réparation tend à se
deux ou trois fois par semaine. Il ne faut pas oublier que dans les
paralysies
plus graves les manifestations de DR ne se mont
rable de commencer pendant les premières semaines le traitement des
paralysies
faciales légères avec les courants galvaniques
ales légères avec les courants galvaniques comme s'il s'agissait de
paralysies
plus graves. Dans les 'paralysies faciales avec
com- - plète, on voit assez souvent, à la période de réparation, la
paralysie
rem- placée peu à peu par de la contracture plu
la contracture plus ou moins prononcée. Ce mode de terminaison des
paralysies
faciales graves s'observe même dans des paralys
terminaison des paralysies faciales graves s'observe même dans des
paralysies
abandonnées a elles-mêmes et n'ayant été soumises
eillait de conduire avec prudence- le traitement électrique de la .
paralysie
faciale. Nous croyons avec la plupart des électro
] 150G s : > ÉLECTROTHÉRAPIE.. - contemporains qu'au début des
paralysies
faciales avec DR il est préfé- rable de ne pas
triangulaire des lèvres. L'électrode excitatrice est placée sur les
PARALYSIE
FACIALE. 1307 points où l'excitation des muscle
ontinu suivant l'un ou l'autre des procédés déjà indiqués. Dans les
paralysies
faciales avec DR la réparation ne se fait jamais
lle-ci ne se v développe que lorsque la période de réparation de la
paralysie
est com- ! mencée, et elle se montre surtout lors
gmenter, il faut arrêter définitivement le traitement électrique.
Paralysies
des nerfs moteurs du globe oculaire. Dans le trai
es des nerfs moteurs du globe oculaire. Dans le traite- ment de ces
paralysies
on peut se borner le plus souvent à des appiicn-
l la nuque sur la ligne médiane ou sur le côté opposé à celui de la
paralysie
; la cathode, de forme et de dimensions appropriée
cate et nous paraît ne.devoir être tenté qu'exceptionnellement. 1
Paralysies
du voile du palais. On a conseillé de traiter ces
5 a 10 m. A. On agit ensuite de la même, façon sur l'autre côté.
Paralysies
du larynx. Ces paralysies pourront être traitées
suite de la même, façon sur l'autre côté. Paralysies du larynx. Ces
paralysies
pourront être traitées aussi en plaçant extérie
tes en ayant soin de rythmer les excitations dans ce dernier cas.
Paralysies
de la langue. A ces paralysies on peut appliquer
s excitations dans ce dernier cas. Paralysies de la langue. A ces
paralysies
on peut appliquer la même direction du traiteme
pliquer la même direction du traitement que celle indiquée pour les
paralysies
du larynx en plaçant l'une des électrodes, la c
essus chronique portant sur les neurones moteurs périphériques. Les
paralysies
et les atrophies musculaires qui résul- tent de
es d'électrisation qui pourraient augmenter la spas- modicité. La
paralysie
labio-glosso-Iaryngée se montre souvent comme exp
t essayer la galvanisation continue de la manière indiquée pour les
paralysies
du voile du palais, du larynx et de la langue.
odes d'électrisation tentés contre les autres loca- lisations de la
paralysie
et de l'atrophie; généralement l'évolution pro-
aires progressives). Les diverses formes de la myopathie primitive,
paralysie
pseudo-hyper- trophique de Duchenne, atrophie J
diqué précédemment pour la galvanisation de la moelle il propos des
paralysies
cérébrales ou médullaires et des poliomyélites.
ie domine. Lorsqu'aux symptômes tabétiques habituels s'ajoutent des
paralysies
plus ou moins localisées, avec atrophies muscul
pliquer le traitement déjà indiqué contre ce genre de lésions. Les
paralysies
des nerfs moteurs des globes oculaires sont assez
IV. - NÉVROSES ET AFFECTIONS DIVERSES, GOITRE EXOPHTALMIQUE, ' ,
PARALYSIE
AGITANTE, ETC. Hystérie. Les accidents patholog
t et de faire intervenir d'autres modes d'électrisation. Dans les
paralysies
hystériques les réactions électriques sont, comme
uggestion aidant, on voit guérir rapidement ou assez rapidement des
paralysies
hystériques, surtout lorsqu'elles sont récentes
nt en général plus difficilement et peut même faire défaut dans les
paralysies
plus anciennes. Les anesthésies hystériques n
ouer le médecin dans leur production. Lorsqu'elles accompagnent des
paralysies
elles disparaissent fréquemment en même temps que
t-on pas bien fixé encore sur la valeur de ce mode de traitement.
Paralysie
agitante. Le traitement par l'électricité a été s
itante. Le traitement par l'électricité a été souvent tenté dans la
paralysie
agitante ou maladie de Parkinson, mais sans rés
ar des crises débutant par un spasme des vaso-moteurs suivi de leur
paralysie
: il s'y ajoute parfois des gangrènes plus ou m
é froid sont des adjuvants utiles au traitement général. Dans les
paralysies
dépendant de lésions organiques les douches local
raitement d'ailleurs ne sera jamais l'ait dans la phase aiguë d'une
paralysie
. Le massage sous l'eau, les mouvements spontané
modalités thérapeutiques à conseiller dans les cas d'hémiplégie, de
paralysie
. Les contractures bénéficient, surtout de la ch
siologie, 554. Accommodation. Exploration, ? 25. - TIIOUBLES, 96.
Paralysie
, ses causes. Affections du globe, 96. Action de
lésion locale. A des lésions vasculaires, 707. Consécutives à une
paralysie
. La paralysie est d'origine médullaire, 711.
A des lésions vasculaires, 707. Consécutives à une paralysie. La
paralysie
est d'origine médullaire, 711. d'origine cérébr
ide céphalorachi- dien, '1'128, -Résultats généraux, 1129. Tabès.
Paralysie
générale, 1152. Ma- ladies mentales. Zona, '1.1
e, 20 ? mensuration, 22. Dans le diagnostic des muscles oculaires
paralysies
, 6U . Diplopie croisée, homonyme, verticale, 62
efc, de Rosenbach, 107. Modification de la sécrétion lacry- male,
paralysies
oculaires, troubles de la vue, 108. Exostoses
é extrinsèque, 1(i. - exploration de la motilité intrinsèque, 22. -
paralysies
des muscles moteurs, 58. Glossy-skin, 111a.
é, 978. Troubles de la mo- tilité, 979. Traitement électrique des
paralysies
, 1509. Larynx. Centres moteurs corticaux, 657.
hésie. l'a- reslhésies, 1141. Névralgies. Troubles réflexes, 642.
Paralysies
. Hémiplé- gie corticale, 645. Hémiplégie bul-
- Slt : mne glottique pho- nique, 655. Traitement électrique des
paralysies
, 1508. Lecture, examen dans l'aphasie. Lecture
eds, 1058. - associés, 477. - dans l'hémiplégie, 476. - z dans la
paralysie
faciale, 480 : - com- pensateurs des vertiges,
réaction de dégénérescence, 1259. - physiologie. Séméiologie des
paralysies
musculaires isolées, 521, de l'avant-bras, para
olo- gie, 555.-de l'épaule, 521. - de 1'oeil, dynamométrie, 18. -
paralysies
, 61, 68. - de l'oreille externe. Innervation,
physiologie, 58'1. - de la cuisse, para- lysies, 542. de la jambe,
paralysies
, 546. - de la main, paralysies, 534. - des go
e, para- lysies, 542. de la jambe, paralysies, 546. - de la main,
paralysies
, 534. - des gouttières vertébrales, 575. - du
paralysies, 534. - des gouttières vertébrales, 575. - du bassin,
paralysies
, 559. - du bras, paralysies, 521, 524. du cou,
tières vertébrales, 575. - du bassin, paralysies, 559. - du bras,
paralysies
, 521, 524. du cou, 556. - du pied, 552. du thor
816. ' . Myasthénies épisodiques, 813. Mala- dies familiales.-
Paralysie
périodique, 814. Vertige paralysant, 814. Mya
baires, 157. - dans ses centres céré- braux, 159. - circonflexe,
paralysie
, 630. - crural, névralgie, 594. - paralysie,
, 159. - circonflexe, paralysie, 630. - crural, névralgie, 594. -
paralysie
, 655. - cubital, paralysie, 652. - facial, para
ysie, 630. - crural, névralgie, 594. - paralysie, 655. - cubital,
paralysie
, 652. - facial, paralysie, 625. - glosso-phar
lgie, 594. - paralysie, 655. - cubital, paralysie, 652. - facial,
paralysie
, 625. - glosso-pharyngien, paralysie, 627. - z
l, paralysie, 652. - facial, paralysie, 625. - glosso-pharyngien,
paralysie
, 627. - z honteux interne, névralgie, 594. -
aralysie, 627. - z honteux interne, névralgie, 594. - hypoglosse,
paralysie
, G29. - laby- rinthique, lésion. Ataxie, 765. -
e supérieur, névralgie, 587. - Injection d'alcool, 425. - médian,
paralysie
, 652. - moteur oculaire commun, pa- ralysie,
ralysie, 69. et parahsie de l'ac- commodation, 97. - - - externe,
paralysie
, 69. - olfactif, exploration électriyue,1271.-o
ue, 4371. , lésions dans les tumeurs cérébrales, 121. pathétique,
paralysie
, 69. phrénique, névralgie, 591. - -, paralysie,
, 121. pathétique, paralysie, 69. phrénique, névralgie, 591. - -,
paralysie
, 629. pneumogastrique, paralysie, 627. radial
phrénique, névralgie, 591. - -, paralysie, 629. pneumogastrique,
paralysie
, 627. radial, paralysie, 650. - sciatique, né
91. - -, paralysie, 629. pneumogastrique, paralysie, 627. radial,
paralysie
, 650. - sciatique, névralgie, 595. -, paralysie
sie, 627. radial, paralysie, 650. - sciatique, névralgie, 595. -,
paralysie
, 654. - spinal, paralysie, 628. h'ty'tfment,
e, 650. - sciatique, névralgie, 595. -, paralysie, 654. - spinal,
paralysie
, 628. h'ty'tfment, lésions, phénomènes auricula
, lésions, phénomènes auriculaires, 128. - -, névralgie, 586. - ?
paralysie
de la branche motrice, 627 f Nerfs, lésions,
, névralgies, ? 88, 389. - coccygiens, névralgies, 595. - crâniens,
paralysies
, 625. -, lésions, réaction de dégénérescence,
es, 1269. - senso- riels, exploration électrique, '1269. spinaux,
paralysies
, 025. Neurasthénie et fatigue de l'accommo- d
171, 804. - Yoy. Bonnier. Noyaux bulbo-prolubéranliels, lésions.
Paralysies
de la motilité oculaire, 73. Nystagmus, 60. - h
extérieure, extrinsèque, 74. - totale, nucléaire progressive, 75. -
Paralysie
du droit externe d'origine nucléaire, 76. O
nalgésique, 925. Paracousies, 151. Paraffine, inclusions, 1555.
Paralysie
agitante, tremblement, 840. - La main, 1040. Le
hocytose rachidienne, Il 32. 8 ? - 1594. INDEX ALPHABÉTIQUE-,
Paralysie
labio-{Jlosso-li : l1'yngée, 800. à inarche len
2. - Défor- mation des pieds, 1055. - Cytodiagnos- tic, 1156. -
Paralysies
d'origine médullaire, atro- phies musculaires s
60.- Diagnos- Tlc des muscles paralysés, 61. - Dia- gnostic de la
paralysie
d'un seul muscle, gaz. - Diagnostic quand plusi
du siège, 68. - Aspects cliniques suivant le siège de la lésion.
Paralysie
d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerve
ues suivant le siège de la lésion. Paralysie d'un mus- cle, 68. -
Paralysie
d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc nerveu
ion. Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux,
paralysie
d'un tronc nerveux, 69. Paralysie d'origine péd
- Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc nerveux, 69.
Paralysie
d'origine pédonculo-protubé- rantielle, 70. Par
erveux, 69. Paralysie d'origine pédonculo-protubé- rantielle, 70.
Paralysie
par lésion isolée des noyaux pédonculo-protuhér
e par lésion isolée des noyaux pédonculo-protuhéran- tiels, 75. -
Paralysie
par lésion des centres et voies supra-nucléaire
Troubles moteurs oculaires associés. Dé- viations conjuguées, 79. -
Paralysies
associées, 80. - Aspects variables sui- vant
ales, 998. - isolées des muscles, séméiologie, 521. radiculaires.
Paralysies
du plexus bra- chial, 611. Type radiculaire sup
radiculaire inférieur avec syndrome sympathique (Kluinpke), 614.
Paralysie
radiculaire totale, 615. Tvpes complexes ; 616.
, 1185. Paresthésies du larynx, 641. Parkinson (Maladie de). Voy.
Paralysie
agitante. ? Parole, troubles. Toute conversat
- ' Paupières, exploration, 32. - Troubles de la motilité, 98. -
Paralysie
du rele- veut de la paupière supérieure, 98. -
é, 98. - Paralysie du rele- veut de la paupière supérieure, 98. -
Paralysie
de l'orbiculaire, 105. - Trou- bles palpébraux
Paralysie de l'orbiculaire, 105. - Trou- bles palpébraux dans la
paralysie
faciale périphérique, 103. - dans la paralysie
s palpébraux dans la paralysie faciale périphérique, 103. - dans la
paralysie
du facial inférieur, 106. Peau des zzopatltiq
125. Lésions, hémianesthésie, 514. ' Pédonculo-protubérantielle. (
Paralysies
oculaires d'origine -), 70, 75. Percussion de
type su- périeur, type inférieur, 357. Type total, type complexe.
Paralysies
radicu- laires sensitives pures, 358. Névral-
ralysies radicu- laires sensitives pures, 358. Névral- gies, 590.
Paralysies
radiculaires, 611. - Lésions et compressions, a
ns, atrophies secondaires, 717. 7 . ' - lombaire, névralgie, 595.
Paralysies
radiculaires, 621. - Lésions et com- pression
ons et com- pressions, atrophies secondaires, 718. - lombo-sacré.
Paralysies
radiculaires, 558. - Type total (lombo-sacré).
o-sacré). - Syndrome de la queue de cheval, 559. - Diagnostic des
paralysies
radiculaires et des lésions médullaires, 342. C
lésions médullaires, 342. Com- pression. Pied bot, 1055. - sacré.
Paralysies
radiculaires, 621. Lésions et compressions, atr
ence, 1256. Pseudo-appendicite hystérique, 1000. Pseudo-bulbaire (
Paralysie
-). Symp- tômes, 807. - Evolution. Formes cli-
5. Queue de cheval (Syndrome de la -), 559, 517. - Diagnostic des
paralysies
radiculaires et des lésions médullaires, 542.
Sympathique, lésions, phénomènes auri- culaires, 128. - cervical et
paralysie
de l'accommodation, 97. Syndactylie, 101 Ii,
a sclérose en plaques, 858. - dans la maladie de Friedreich, - la
paralysie
générale, 859. - la maladie de Parkinson, 840.
i- ques, 279. Voile du palais, 985. - Traitement électrique des
paralysies
, 1508. z Voix eunuchoïde, G5G.' Volonté chez
irmait-« il. Nous étions tombé pour la première fois sur une « de ces
paralysies
analgésiques des extrémités supé-« rieures qui fo
cornes antérieures et aussi les faisceaux latéraux, car il existe une
paralysie
avec atrophie ; les cornes postérieures et les fa
nt expliquer ces phénomènes. — Caractères nettement hystériques de la
paralysie
.— Stigmates hystériques, petites attaques. — Rôle
toujours ou presque toujours ainsi que cela se passe dans les cas de
paralysie
hystéro-traumatique. Un élément sensitif quelconq
'il existe surtout au moment des vertiges un peu de contracture ou de
paralysie
des muscles droits, internes ou externes. Vous
t les mieux accentués. Pour ne prendre que les signes locaux de cette
paralysie
que présente Desf..., ceux-ci suffiraient à eux s
insisté sur le genre spécial de limitation de l'anesthésie dans les
paralysies
hystériques. Ici, dans une monoplégïe brachiale,
tel tremblement n'est pas produit par une sclérose en plaques ou une
paralysie
agitante, ou encore une maladie de Basedow, mais
iaire comme nombre de vibrations entre le n° 1 et le n° 2. Imite la
paralysie
agitante ou le tremblement sénile. Imite la mal
Imite la maladie de Basedow, le tremblement alcoolique, celui de la
paralysie
générale. Imite le tremblement de la sclérose e
s'il est rapide, on le désigne sous la dénomination de vibratoire. La
paralysie
agitante est le prototype du tremblement oscillat
oire ; la maladie de Basedow, les tremblements de l'alcoolisme, de la
paralysie
générale sont au contraire vibratoires. Tous ont
simulées par l'hystérie. Vous n'ignorez pas que le tremblement de la
paralysie
agitante, de la sclérose en plaques, de la maladi
e à oscillations lentes du tremblement hystérique, celui qui imite la
paralysie
agitante, nous fait également défaut pour le mome
, nous pénétrerons plus avant dans le détail. (1) Il est des cas de
paralysie
hystérique où l'imitation de la paralysie spasmod
il. (1) Il est des cas de paralysie hystérique où l'imitation de la
paralysie
spasmodique de cause organique est parfaite. Alor
térique, il ne peut être attribué ni à la maladie de Basedow, ni à la
paralysie
générale progressive, ni à l'alcoolisme, dont les
la micromégalopsie pour l'oeil gauche, sans dyschromatopsie. Pas de
paralysie
ni de contracture, mais faiblesse générale. Le ma
trière, 1891. (G. G.). Sur un cas de migraine ophthalmoplégique. [
Paralysie
oculo-motrice périodique). Leçon du 16 mai 1890
trice périodique). Leçon du 16 mai 1890). Sommaire. — Synonymie :
paralysie
oculo-motrice récidivante. Migraine ophthalmiquo
tor, Saundby, Parinaud et Marie, etc.. Période de douleur; période de
paralysie
portant sur tous les filets de la 3e paire ; péri
est que dans cette migraine-là il y a accompagnement nécessaire d'une
paralysie
d'un des nerfs moteurs oculaires communs ; et, re
emarquez-le bien, car c'est là un trait saillant, caractéristique, la
paralysie
porte non seulement sur les branches qui se rende
utchinson du nom d'ophthalmoplégie interne celle où, au contraire, la
paralysie
porte exclusivement sur les muscles ciliaires et
ons du complexus morbide ont été faites, on le désigne sous le nom de
paralysie
oculo-motrice récidivante (Manz, Mauthner) ou de
le nom de paralysie oculo-motrice récidivante (Manz, Mauthner) ou de
paralysie
oculo-motrice périodique (Joachim, Senator). A ce
un rôle considérable, car, en somme, dans cette sorte de migraine, la
paralysie
de l'oculo-moteur n'apparaît jamais, autant qu'on
supérieur, etc., les symptômes oculaires seraient représentés par une
paralysie
du moteur oculaire commun. Chose remarquable, c'e
rquable, c'est toujours en pareil cas, ainsi que j'ai dit déjà, d'une
paralysie
totale de l'oculo-moteur qu'il s'agit et, en outr
e paralysie totale de l'oculo-moteur qu'il s'agit et, en outre, cette
paralysie
est en quelque sorte exclusive; elle n'intéresse
s nerfs moteurs clo l'œil. Les effets symptomatiques de ce genre de
paralysie
sont naturellement ceux que vous avez prévus : st
trice dans le domaine de la 3e paire, diplopie spéciale à ce genre de
paralysie
; de plus tous les caractères de l'ophthalmoplégie
; de plus tous les caractères de l'ophthalmoplégie interne, à savoir:
paralysie
de l'accommodation : le malade ne peut plus lire
e ordinaire 9 un verre fortement convexe peut seul ramener la vision;
paralysie
de l'iris manifeste non seulement dans les mouvem
uvons là, remarquez-le en passant, les caractères qui distinguent les
paralysies
périphériques ou basilaires de l'oculo-moteur com
paralysies périphériques ou basilaires de l'oculo-moteur commun, des
paralysies
dites nucléaires du même nerf. Un autre trait e
presque spécifique et fort singulier incontestablement, c'est que la
paralysie
oculo-motrice n'occupe jamais qu'un seul œil; ell
répète, dès le premier accès, on pourra prévoir si la migraine et la
paralysie
, clans l'évolution de la maladie, se localiseront
t que des résultats négatifs. Messieurs, il n'y a pas que l'élément
paralysie
à considérer clans la migraine ophthalmoplégique
ne brusquement, comme par enchantement, au moment même où apparaît la
paralysie
oculo-motrice. Celle-ci semble jouer là, en somme
se et les vomissements disparaissent rapidement pour faire place à la
paralysie
qui persistera ensuite pendant une période de tem
qui s'accompagne de vomissements est de 10 à 14 jours, tandis que la
paralysie
oculaire persiste pendant un mois et plus. Il est
égie ont été pendant longtemps précédés par des accès migraineux sans
paralysie
oculaire. Ce genre de migraine paraît surtout f
oduire depuis 18 mois environ, mais le dernier a laissé après lui une
paralysie
complète du moteur oculaire commun, qui depuis ce
depuis cette époque ne s'est pas amendée. Il est à craindre que cette
paralysie
soit désormais un fait accompli. Ceci ne rap-pell
ent unfort bel exemple (Berlin, klin. Wochens, — 6 janvier 1890). Ces
paralysies
récidivantes de l'ataxie ne s'accompagnent ni de
e ou la jeunesse, à l'âge de 4, 5, 15 ans, que débute généralement la
paralysie
oculo-motrice récidivante ; mais il y a quelques
e voir là un rapprochement à établir entre la migraine vulgaire et la
paralysie
oculo-motrice récidivante ? Quoiqu'il en soit,
s les caractères signalés à propos du premier accès. Les symptômes de
paralysie
oculo-motrice, qui se sont produits ensuite con
du droit supérieur, ptosis incomplet. Diplopie caractéristique de la
paralysie
de la 3e paire; mais, de plus, et ceci est une an
t ceci est une anomalie notoire, il y a diplopie croisée révélant une
paralysie
concomitante du moteur oculaire externe. C'est l'
C'est l'unique fois, je pense, jusqu'ici, que cette association de la
paralysie
de l'abducens ait été remarquée dans la migraine
observations, aujourd'hui encore fort restreint, se multipliera. La
paralysie
ne porte pas seulement sur les muscles extérieurs
ni par l'action de la lumière, ni par celle de la convergence. Il y a
paralysie
très prononcée des muscles ciliaires révélée par
manentes ; il s'agirait là de simples «fluxions» avec excitation puis
paralysie
vaso-motrice consécutive, comparables à celles do
, rien à ajouter à cette constatation sommaire. Pour ce qui est de la
paralysie
oculo-motrice, tout porte à croire que c'est d'un
Au bout de trois semaines, la douleur cesse et est remplacée par une
paralysie
oculo-motrice, en tout semblable à celle du premi
tête reparaissait, parfois avec nausées et vomissements, suivie d'une
paralysie
oculo-motrice qui durait un ou plusieurs jours, d
nt laquelle tout était à l'état normal. Ni migraines, ni symptômes de
paralysie
oculaire. Le 28 janvier 1890, la malade dut se
le ptosis est encore appréciable, quoique peu accentué. Les signes de
paralysie
de la 3e paire du côté droit, avec légère atteint
ut + 3.50 D. pour ramener le punctum proximum à 0,25. Par conséquent,
paralysie
de l'accommodation complète. Og : M = — 0,50. I
as appréciable objectivement. — Pas de spasme des muscles associés. —
Paralysie
de l'accommodation complète à droite ; parésie si
accommodation, ni par l'action de la lumière. — Ce qui domine dans la
paralysie
, c'est celle du droit interne. La diplopie, de
droit interne. La diplopie, de croisée (en face— correspondant à la
paralysie
du droit interne) devient homonyme quand on porte
ntes. Evolution de co symptôme parallèlement à l'accident hystérique (
paralysie
, contracture) qu'il accompagne d'ordinaire. Expér
(anesthésie ou hyperesthésie), tantôt avec des troubles du mouvement (
paralysies
et contractures). Il s'agissait presque toujours
mêlé à d'autres symptômes d'hystérie locale tels que l'anesthésie, la
paralysie
ou la contracture. Dans ce dernier cas, l'œdème b
quemment sujet. Puis, une nuit, pendant son sommeil, se développa une
paralysie
de la main droite, avec gonflement violacé et ref
spontanément, comme il était venu. En juin 1889 il eut une nouvelle
paralysie
de la même main, et cette fois avec dissociation
issait en général avec les phénomènes locaux vulgaires, contractures,
paralysies
, qu'il accompagne. C'est donc surtout sur ces der
s régulièrement tous les jours. On s'aperçut alors que chaque jour la
paralysie
se reproduisait un peu plus tard que la veille. O
ent peut-être pas toute l'étendue qu'ils ont normalement, donc pas de
paralysie
dans les mouvements de cette articulation. Quant
la mettre enjeu. Sur une complication peu connue de la sciatique.
Paralysie
amyotrophique dans le domaine du poplité (1). I
peut la compliquer. (Arch. gén. de mèd., 1875). (2) Bianchi. — Des
paralysies
traumatiques des membres inférieurs chez les nouv
a suite d'accouchements laborieux, dans lesquels s'était produite une
paralysie
avec amyotrophie localisée dans le domaine du ner
à l'aide du forceps, il a vu survenir une sciatique accompagnée d'une
paralysie
incurable, avec amyotrophie dégénérative des musc
datant de deu* mois. La jambe de ce côté était (1) Lefebvre. — Des
paralysies
traumatiques des membres inférieurs. Th. Paris, 1
raumatiques des membres inférieurs. Th. Paris, 1876. (2) Brivois. —
Paralysies
traumatiques du membre inférieur consécutives à l
écutives à l'accouchement laborieux. Th. Paris, 1876. (3) Dorion. —
Paralysies
du nerf sciatiqus poplité externe d'origine pelvi
à Bianchi. En voici un résumé succinct : Observation I (résumée). —
Paralysie
avec atrophie du membre inférieur gauche consécut
ts dans le domaine du nerf sciatique poplité externe. — (Bianchi. Des
paralysies
traumatiques des membres inférieurs. Th. Paris,18
ont perdu leur excitabilité électrique. Le pied est tombant ; il y a
paralysie
avec atrophie des extenseurs. » La localisation n
nous empruntons à la thèse de Lefebvre. Observation II (résumée). —
Paralysie
partielle de la jambe gauche consécutive a l'acco
lle de la jambe gauche consécutive a l'accouchement. — (Lefebvre. Des
paralysies
iraumatiques des membres inférieurs. Th. Paris, 1
de essaie de se lever, mais ne peut marcher qu'avec des béquilles. La
paralysie
reste limitée aux muscles qui relèvent le pied, l
cupé seulement le domaine du nerf sciatique poplité externe. Puis une
paralysie
survient portant exclusivement sur les extcn- s
indiqué par l'exploration électrique. Observation1 III (résumée). —
Paralysie
partielle de la jambe gauche consécutive a l'acco
de la jambe droite e celle de la jambe gauche. Remarquons que cette
paralysie
et cette atrophie, dues sans aucun doute à la név
cre. En tous cas, ce qu'il faut retenir de cet exemple, c'est que ces
paralysies
sont fort tenaces et d'une guérison difficile, si
s suivant est encore emprunté à Lefebvre. Observation IV (résumée).—
Paralysie
partielle du membre inférieur droit consécutive à
. citée.) Accouchement le 4 juin 1874. Presque tout de suite après,
paralysie
du membre inférieur droit, dont elle s'aperçoit h
Accouchement laborieux suivi d'une fistule uréthro-vaginale et d'une
paralysie
partielle, du membre inférieur droit. (Lefebvre.
jambe. En marchant, le pied tombe et traîne. On constate alors une
paralysie
complète, avec inexcitabilitô électrique, des mus
sesse ; accouchement naturel et facile ; phlegmon du ligament large ;
paralysie
du nerf sciatique poplitè externe. (Dorion. Des p
ent large ; paralysie du nerf sciatique poplitè externe. (Dorion. Des
paralysies
du nerf sciatique poplitè externe d'origine pelvi
pportables ». Ces engourdissements font bientôt place à une véritable
paralysie
delà jambe et du pied. La cuisse se fléchit surle
igine du nerf dans le petit bassin, se compliquer d'accidents graves,
paralysie
, atrophie musculaire, localisés exclusivement dan
. Lefebvre (1), qui cherche à établir dans son travail que toutes les
paralysies
traumatiques consécutives à l'accouchement « sont
r conséquent le nerf sciatique poplité externe qui est le siège de la
paralysie
. Cette opinion s'appuie sur un fait anatomique
n accouchement pratiqué à l'aide du forceps, s'était compliquée d'une
paralysie
incurable avec atrophie dégénérative des muscles
localisation étroite au domaine du sciatique poplité externe de toute
paralysie
des membres inférieurs consécutive à l'accoucheme
n lui clans les cas où l'on constate à la suite de l'accouchement une
paralysie
limitée à la zone de distribution du sciatique po
atique poplité externe serait seule comprimée et de là naîtraient ces
paralysies
localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs q
es paralysies localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs que les
paralysies
par compression du sciatique consécutives à l'acc
à-dessus l'opinion de M. Lefebvre et montre que dans bien des cas les
paralysies
occupaient également à un plus ou moins haut degr
e l'anomalie anatomique dont il parle, découle la rareté relative des
paralysies
absolument pures du sciatique poplité externe. C'
ui vient tout d'abord à l'esprit, surtout si l'on veut considérer les
paralysies
comme ce qu'elles sont en réalité, c'est-à-dire c
e M. le Pr Charcot. Observation VII (personnelle). — Sciatique avec
paralysie
et atrophie dègènèrative des muscles extenseurs d
produire. L'examen des mouvements du pied démontre qu'il existe une
paralysie
très accentuée des extenseurs du pied et des orte
alisés au domaine du nerf tibial antérieur seul en ce qui concerne la
paralysie
, à tout le domaine du sciatique poplité externe e
t à la tête, toujours à droite. Jamais de chute de la paupière, ni de
paralysie
des muscles de l'œil. Cet état, avec des rémissio
xiste pas, on ne peut nier cependant avoir eu affaire à une véritable
paralysie
des extenseurs de la jambe. Le pied tombant, la d
ration typique. Observation IX (personnelle). — Sciatique droite. —
Paralysie
avec réaction de dégénérescence des muscles de la
es années. Dans I'Observation VII, nous avons vu l'anesthésie et la
paralysie
musculaire prendre à peu de chose près le même dé
qu'il existe des troubles de deux ordres : tout d'abord une véritable
paralysie
des extenseurs et de tous les muscles de la régio
te avec atrophie dégénérative des muscles. Un cas de sciatique avec
paralysie
amyotro-phique dans le domaine du poplité, déterm
er sous ce titre : « Sur une complication peu connue de la sciatique,
paralysie
amyotrophique, dans le domaine du poplité. » (Voi
ns le domaine du poplité. » (Voir plus haut, N° VII.) Le fait de la
paralysie
amyotrophique poplitée compliquant une sciatique
ronier et malléolaire. Un médecin qu'elle consulta la traita pour une
paralysie
et l'électrisa tous les deux jours. La douleur
meaux, mais à une production fibro-tendineuse. Déjà, dans certaines
paralysies
des extenseurs par névrite et en particulier dans
aines paralysies des extenseurs par névrite et en particulier dans la
paralysie
alcoolique, en outre des œdèmes et des troubles t
uin, et il faudra, ainsi que M. Charcot l'a souvent conseillé dans la
paralysie
alcoolique, faire intervenir la chirurgie et prat
o-tendineuses. Cette particularité explique comment, dans le cas de
paralysie
des extenseurs du pied, nous ne voyons pas, comme
oir débuté par le nerf poplité externe et d'avoir amené rapidement la
paralysie
amyotrophique. Elle s'est généralisée ensuite et
erver une nouvelle complication de la sciatique, je veux parler de la
paralysie
amyotrophique dans le domaine du poplité (V. plus
miner les choses de plus près, avant d'attribuer à l'alcoolisme cette
paralysie
douloureuse. Afin de procéder méthodiquement à l'
assant, qu'à la suite d'accouchements laborieux on observe parfois la
paralysie
du nerf sciatique. Les thèses de Bianchi, de MM.
laisse donc de côté les différentes théories émises pour expliquer la
paralysie
dans ces cas (1) et j'arrive à une cause à laquel
rales qu'après avoir été unilatérales pendant un temps assez long. La
paralysie
motrice n'affecte presque jamais toute l'étendue
u du plexus sacré. En général, il existe de la rétention d'urine, une
paralysie
atrophique, avec réaction de dégénérescence des m
unilatérale simple, c'est-à-dire primitive, pouvait s'accompagner de
paralysie
avec atrophie des muscles innervés par le péronie
péronier (V. plus haut le n° VII) et que, la douleur disparue, cette
paralysie
persistante était capable de constituer une vérit
sera absolue? Je n'ose le croire; l'expérience m'a appris combien la
paralysie
avec amyotrophie est tenace en pareil cas. Le côt
alite de Wernicke), Ophthalmoplegie externe-névrose. Analogie avec la
paralysie
bulbaire inférieure ou labio-glosso-laryngée. Tab
s Guinon et E. Parmentier : De Vophthalmoplégie externe combinée à la
paralysie
glosso-labio-laryngée et à Vatrophie mus-culaire
a fixité des traits tient ici à une rigidité des muscles et non à une
paralysie
; l'œil est plutôt grand ouvert, les sourcils son
es ; et ceci nous conduit à reconnaître que ces signes dérivent d'une
paralysie
de toutes les branches extérieures ou externes du
e, releveur de la paupière. Et, remarquez-le bien, non seulement la
paralysie
porte sur les branches du moteur oculaire commun
n et les réflexes pupillaires contrastent par leur intégrité, avec la
paralysie
totale ou presque totale des muscles extérieurs.
été créée par Hutchinson pour l'opposer à la première, et désigner la
paralysie
des muscles ciliaires et iriens. Il existe là,
paralysés. C'est là, comme on le dit, un des grands caractères des
paralysies
nucléaires du globe de l'œil. Toutefois, ce carac
iation des troubles fonctionnels des muscles internes et externes. La
paralysie
par compression de l'oculo-moteur comportera à pe
et généralement que le terme ophthal-moplégie externe est synonyme de
paralysie
nucléaire ; c'est sur les noyaux d'origine des ne
on. Un coup de froid, par exemple, frappera directement comme dans la
paralysie
faciale a frigore l'extrémité des nerfs musculair
moins de 31 autopsies confirmât!ves (son mémoire porte sur 220 cas de
paralysie
nucléaire). Le groupement de ces autopsies montre
amyotrophique. C'est aussi de cette façon que sont envahis, dans la
paralysie
bulbaire inférieure, les noyaux moteurs de l'hypo
t. Il s'agit dans les cas que nous allons considérer d'une sorte de
paralysie
bulbaire supérieure, comparable à tous égards à l
sorte de paralysie bulbaire supérieure, comparable à tous égards à la
paralysie
bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lés
ivement sur les cornes antérieures. Ce rapprochement entre les deux
paralysies
bulbaires paraît d'autant plus légitime que l'on
parfois les deux affections se confondre l'une dans l'autre. Ainsi la
paralysie
bulbaire inférieure se complique parfois de paral
autre. Ainsi la paralysie bulbaire inférieure se complique parfois de
paralysie
bulbaire supérieure et inversement. Je fais all
lysie bulbaire supérieure et inversement. Je fais allusion ici à la
paralysie
bulbaire inférieure sans participation du faiscea
publications hâtives, que cette espèce-là n'existe pas, et que toute
paralysie
labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à
es autrefois publiées, et qui mettent hors de doute l'existence de la
paralysie
glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des
é recueilli dans mon service et sera bientôt publié. Dans le cas de
paralysie
bulbaire inférieure, ce sont les noyaux de l'hypo
us et de la partie inférieure du ventricule, alors que dans le cas de
paralysie
bulbaire supérieure, ce sont les noyaux de l'ocul
phthalmoplégie externe de cette catégorie constitue donc une sorte de
paralysie
bulbaire supérieure, qui, je le répète, « fait le
sie bulbaire supérieure, qui, je le répète, « fait le pendant » de la
paralysie
bulbaire inférieure à laquelle se rattache la par
ndant » de la paralysie bulbaire inférieure à laquelle se rattache la
paralysie
labio-glosso-laryngée non accompagnée de sclérose
s prise au bout de 4 ans d'ophthal-moplégie, de gêne de la parole, de
paralysie
glosso- laryngée, morte par syncope), de Rosenh
n'a pas progressé au bout de 25 ans. Plus rares sont les cas où la
paralysie
bulbaire supérieure succède à l'inférieure. On pe
ment les signes de l'ophthalmoplégie externe. — Il s'agit alors d'une
paralysie
labio-glosso-laryngée ascendante. 2° Les cas de
ors d'une paralysie labio-glosso-laryngée ascendante. 2° Les cas de
paralysie
bulbaire supérieure isolée sont peut-être les plu
'autres maladies des centres nerveux, parmi lesquels on peut citer la
paralysie
générale et surtout l'a fax ie locomotrice. A c
s la période préataxique. liest moins souvent donné de rencontrer une
paralysie
double des muscles de l'œil sous forme d'Ophthalm
urs qui semblent prétendre que, dans l'ataxie locomotrice, toutes les
paralysies
et amyotrophies relèvent de névrites périphérique
le est alors beaucoup plus fixe et plus difficile à déraciner que les
paralysies
oculaires unilatérales, qui se dissipent en génér
bout de trois à quatre mois. Il est possible, d'autre part, que ces
paralysies
bulbaires supérieures aient une tendance descenda
du type Du-chenne-Aran (poliomyélite antérieure chronique), et de la
paralysie
labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire inférie
lite antérieure chronique), et de la paralysie labio-glosso-laryngée (
paralysie
bulbaire inférieure). L'analogie entre les deux o
que, car il n'y a aucun trouble concomitant de la sensibilité, pas de
paralysie
de la vessie et du rectum, les réflexes restant n
de poliomyélite antérieure subaiguë, répondant au type clinique de la
paralysie
spinale antérieure subaiguë, qui, anatomique-ment
ur spontanée, ou à la pression des muscles, aucune prédominance de la
paralysie
dans les extenseurs, aucune trace enfin de la r
faut rapporter l'amyotro-phie des membres, tandis que le ptosis et la
paralysie
des muscles oculaires qui l'accompagnent relèvent
ous en offrir la primeur. XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe (
paralysie
bulbaire supérieure) combinée soit à la paralysie
almoplégie externe (paralysie bulbaire supérieure) combinée soit à la
paralysie
labio-glosso laryngée (paralysie bulbaire totale)
baire supérieure) combinée soit à la paralysie labio-glosso laryngée (
paralysie
bulbaire totale), soit à l'atrophie musculaire gé
que des noyaux moteurs du bulbe protubérantiel, peut se combiner à la
paralysie
labio-glosso-laryngée qui résulte de la lésion si
le épinière. Dans le premier cas cette combinaison donne lieu à une
paralysie
bulbaire totale dont le début peut se faire soit
du bulbe. La première des observations qui suivent est un exemple de
paralysie
bulbaire totale à (1) Ces observations sont ext
; 1891, noS 1, 2, 3 et 4 : De Vophthalmoplegic externe combinée à la
paralysie
labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculaire
oculaires. Le Dr Meyer, consulté, constate d'abord « en septembre une
paralysie
de la sixième paire gauche, puis en octobre une p
ptembre une paralysie de la sixième paire gauche, puis en octobre une
paralysie
incomplète de la troisième paire droite. Les pupi
strabisme divergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la
paralysie
du moteur oculaire commun de côté droit. Traiteme
pour la première fois par M. Troisier à la fin de septembre 1889. La
paralysie
de la troisième paire droite n'était pas modifiée
nts. Le 4 novembre, première consultation de M. Charcot. On note la
paralysie
oculaire. Pas d'autres symptômes. Pupilles peu se
aractéristique, elle est surtout déterminée par la prédominance de la
paralysie
sur l'œil droit. L'accommodation n'est pas alté
phie au niveau des membres. Il s'agit là bien nettement d'un cas de
paralysie
bulbaire totale à début ophthalmoplégique. Dans l
égique. Dans le suivant, le début se fait au contraire par les signes
paralysie
la-bio-glosso-laryngée. On peut le classer sous l
alysie la-bio-glosso-laryngée. On peut le classer sous la rubrique de
paralysie
bulbaire totale à début glossoplégique. Obs. II
que de paralysie bulbaire totale à début glossoplégique. Obs. II. —
Paralysie
bulbaire totale-ä début glossoplégique; paralysie
gique. Obs. II. — Paralysie bulbaire totale-ä début glossoplégique;
paralysie
faciale; Ophthalmoplegie externe (1). Jeune fil
bent. Nasonne-ment très accentué. Elle ne peut souffler ni siffler.
Paralysie
faciale supérieure pas absolue. Cependant impossi
aire progressive le plus souvent et de la façon la plus accentuée. La
paralysie
labio-glosso-laryngée occupe clans ces cas seul
beaucoup moins prononcé que l'atrophie musculaire et les symptômes de
paralysie
bulbaire supérieure. On ne saurait dire quelle es
ntéressés. L'ophthalmoplégie externe est accompagnée d'une ébauche de
paralysie
bulbaire inférieure : la déglutition est légèreme
resque d'hébétude tout spécial. Il n'existe cependant aucune trace de
paralysie
faciale ni à droite ni à gauche. Les yeux seuls s
ltats suivants : Myopie = — 0,75 ; O. D. = 5/7 ; 0. G. — 5/10. Pas de
paralysie
de l'accommodation. Le punctum proximum est à 10
n des cordes n'est pas absolue; il reste un très léger hiatus. Pas de
paralysie
, ni d'altération de la muqueuse en dehors de la l
ccentuée et qu'elle n'atteigne que les cuisses. Mais les symptômes de
paralysie
labio-glosso-laryngée ont assez notablement augme
lération du pouls ni de crises d'étouîfement. En ce qui concerne la
paralysie
bulbaire supérieure, aucun autre noyau ne paraît
faut. Les réflexes sont absents aux membres supérieurs et il n'y a ni
paralysie
des sphincters ni modification de la sensibilité.
édé de Dransart et de Pagenstecher). Examen de M. Parinaud: 0. D. —
Paralysie
de l'adduction et de l'abduction assez complète;
d: 0. D. — Paralysie de l'adduction et de l'abduction assez complète;
paralysie
moins complète de l'élévation ; l'abaissement s'e
nt à mettre en mouvement. On ne constate pas de signes bien nets de
paralysie
faciale nucléaire. Le front présente à peu près s
Mais on peut constater quelques signes, peu accentués à la vérité, de
paralysie
bulbaire inférieure. Il existe une certaine gêne
avant. Au niveau des membres supérieurs, la faiblesse va jusqu'à la
paralysie
. L'atrophie est très accentuée au niveau du delto
d'établir le diagnostic. Ce sont ceux dans lesquels aux phénomènes de
paralysie
bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les si
qui résulte clo l'association du faciès dTIutchinson avec celui de la
paralysie
labio-glosso-laryngée. Qu'on veuille bien seuleme
ins de les connaître. En tout cas l'absence, dans la myopathie, d'une
paralysie
labio-glosso-laryngée qui ne tarderait pas à se p
vie à l'intoxication plombique, on aurait pu penser un instant à une
paralysie
saturnine (Obs. III). Mais cette hypothèse ne pou
e. \i) Déjerine-Klumpke (Mme). — Des polynévrites en général et des
paralysies
et atrophies saturnines en particulier. Th. Paris
œil gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les signes d'une
paralysie
bulbaire inférieure qui s'était développée ensuit
rieure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la langue,
paralysie
des muscles du voile du palais et du pharynx, de
fara-dique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde attaque de
paralysie
dura plus d'un an et guérit complètement. Le mala
et guérit complètement. Le malade ne conserva qu'un certain degré de
paralysie
du droit externe de chaque œil, produisant un lég
des cornes antérieures. A cet égard nous savons, par l'histoire de la
paralysie
spinale infantile et des atrophies musculaires pr
gie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper;
paralysie
double des extenseurs du pied avec atrophie muscu
moins passagère. J'ai vu moi-même des exemples de ce genre, plusieurs
paralysies
alternes en particulier, qui ont été consignés,
reux paragraphe qui est complètement à remanier. Quand il parle des
paralysies
dans le diabète (p. 35) ' Ch. Bouchard. — De la
abolition des réflexes patellaires. Là aussi, on a dit que lorsque la
paralysie
n'est pas complète, c'est-à-dire lorsque le malad
pliquer le nom de démarche de stepper et qui paraît tenir à ce que la
paralysie
musculaire dans les membres inférieurs prédomine
me moteur, la démarche de stepper, dû vraisemblablement surtout à une
paralysie
musculaire portant principalement sur les extense
on d'abord et l'avant-pied ensuite. En effet, il existe une véritable
paralysie
des extenseurs du pied, principalement à droite.
nd vous voyez cela, vous devez penser naturellement tout d'abord à la
paralysie
alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des ré
de la sensibilité, presque toujours présents à un haut degré dans la
paralysie
alcoolique et qui consistent en sensations 1 Le
léger pendant le jour. Malgré cette différence, l'analogie avec la
paralysie
alcoolique se complète encore par la présence d'a
en extension. Cela est encore bien analogue à ce qui se passe dans la
paralysie
alcoolique classique; et ceci aussi, à savoir qu'
gé depuis la précédente leçon. Mais cela tient sans doute à ce que la
paralysie
des extenseurs du pied, qui le tient immédiatemen
s la marche la pointe du pied tombante de traîner sur le sol. Si la
paralysie
n'est pas complètement guérie au point de vue fon
sensations, vous le savez, Messieurs, se remarquent également dans la
paralysie
alcoolique, ce qui tend encore à accentuer les tr
n est la conséquence. A propos d'un cas d'hystérie masculine : 1°
Paralysie
dissociée du facial inférieur d'origine hystériqu
stérie masculine en France et à l'étranger. — Description d'un cas de
paralysie
faciale d'origine hystérique portant seulement su
ateurs et grand zygomatique. — Superposition de l'anestbésie et de la
paralysie
. — Diversité des opinions concernant l'existence
e la paralysie. — Diversité des opinions concernant l'existence de la
paralysie
faciale dans l'hystérie. Sa rareté relativement a
notre cas, début de la névrose à l'occasion d'un traumatisme et de la
paralysie
faciale à la suite d'un autre traumatisme subi da
En effet, il nous présente un exemple bien avéré, bien authentique de
paralysie
faciale hystérique, dont l'existence, jusque dans
, jusque dans ces derniers temps, m'avait paru fort problématique. La
paralysie
, qui porte sur le domaine du facial inférieur, es
ntifiques, double emploi, je m'empresse de vous avertir que ce cas de
paralysie
faciale hystérique est celui-là même qui a été pr
rappellerai tout à l'heure comment s'est constituée la question de la
paralysie
faciale chez les hystériques et comment, jusque d
entrique du champ visuel. Maintenant c'est sur les caractères de la
paralysie
faciale annoncée que je veux insister. Au repos
réactions électro-musculaires sont parfaitement normales, bien que la
paralysie
remonte environ à trois ans, et qu'il n'y a nulle
a nulle trace de spasme ni de secousses musculaires. Voilà donc une
paralysie
faciale bien constatée chez un hystérique et qui
is prendre les choses d'un peu loin. En 1856, dans une leçon sur la
paralysie
hystérique ïodd écrivait les lignes suivantes 1 :
e hystérique ïodd écrivait les lignes suivantes 1 : « L'étendue de la
paralysie
des membres, alors qu'il n'y en a pas trace dans
nt en faveur de la nature hystérique de l'affection : car bien que la
paralysie
hystérique puisse occuper toutes les parties du t
plégie vulgaire. » Ce n'est pas qu'une déviation de la face appelée
paralysie
n'ait été notée dans diverses publications, en op
te est en rotation en gauche. Peut-on trouver là les caractères d'une
paralysie
faciale droite? J'en dirai autant du cas plus anc
ien de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y avait hémiplégie des membres et
paralysie
totale de la face d'un côté. Soumis à l'analyse,
, p. 299), j'écrivais : « Tant qu'on ne m'aura pas démontré que les
paralysies
faciales des hystériques ne sont pas des hémispas
sterai dans ma négation, prêt à me rendre toutefois pour le cas où la
paralysie
faciale, dont pour le moment je conteste l'existe
pitaux en 1890 et 1891. Elles établissent que si, dans l'hystérie, la
paralysie
faciale est un fait exceptionnel, si elle est sin
un malade2. Quelque temps après, M. Ghantemesse publiait trois cas de
paralysie
faciale hystérique3 avec monoplégie brachiale,
1890. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas, la
paralysie
est peu accentuée et qu'il y a toujours anesthési
hez les hystériques \ Il s'agit dans son travail de spasmes et non de
paralysies
; mais les deux groupes de faits doivent être évid
'hui, tout en maintenant que dans la très grande majorité des cas, la
paralysie
faciale n'accompagne pas l'hémiplégie hystériqu
accompagner quelquefois. Veuillez remarquer que, quanta présent, la
paralysie
du facial inférieur chez un hystérique, semble se
s. Enfin plusieurs fois on a pu l'observer, isolée en dehors de toute
paralysie
notoire des membres, circonstance peu fréquente d
ire de l'hémiplégie faciale capsulaire, et qui, dans la catégorie des
paralysies
corticales, n'est représentée que par quelques ca
agira de rechercher dans quelles circonstances se produisent soit les
paralysies
faciales hystériques, soit les déviations d'origi
asmodique. Peut-être serait-ce ici le lieu de rappeler que dans les
paralysies
hystériques la face ne semble point placée sous l
ne semble point placée sous le même régime que les membres et que la
paralysie
y est, comparativement au spasme, beaucoup moins
mes de la face sont faciles à réaliser par suggestion, tandis que les
paralysies
faciales, du moins dans ma propre expérience, ne
l a la bouche de travers ». Cela a été la première constatation de la
paralysie
faciale qui existe encore aujourd'hui et que nous
que sur les points frappés et dans leur voisinage, fait apparaître la
paralysie
faciale et l'anesthésie qui s'y superpose. Mais l
e simulatrice du syndrome de Weber. Sommaire. — Syndrome de Weber :
Paralysie
delà troisième paire d'un côté et des membres du
hémiplégies alternes, dont fait partie le syndrome de Millard-Gubler (
paralysie
faciale totale d'un côté, hémiplégie des membres
s en question le ptosis est dû au spasme de l'orbiculaire et non à la
paralysie
du releveur. Ptosis paralytique et ptosis spasm
mbante, et avait présenté simultanément une parésie d'abord, puis une
paralysie
complète des membres du côté droit. En présence d
sion naissait tout naturellement qu'il devait s'agir là d'un genre de
paralysie
alterne sur lequel je donnerai tout à l'heure que
interne du pédoncule cérébral produit un syndrome caractérisé par une
paralysie
alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et des
ervateurs, Gubler3 avait déjà, il est vrai, vu et noté cette sorte de
paralysie
alterne, mais malheureusement, son cas était comp
lle est, je le répète, beaucoup trop complexe pour servir de type aux
paralysies
pédonculo-protubérantielles. Dans îe cas de Mayor
Durant la vie, on avait constaté une hémiplégie du côté droit et une
paralysie
de l'oculo-moteur commun du côté opposé. Il est
ébral, alors que, du vivant des malades, on n'avait point constaté la
paralysie
alterne caractéristique. Inutile de vous dire que
ctérisées cliniquement par le syndrome de Weber, c'est-à-dire par une
paralysie
alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté
moteur oculaire commun et le pédoncule et produire en conséquence une
paralysie
alterne spéciale, et que les deux nerfs de la tro
e altération qui détruira ces deux bandelettes amènera fatalement une
paralysie
des membres, du facial inférieur et de l'hypoglos
e le nerf ocuîo-moteur, le second élément de ce syndrome, à savoir la
paralysie
directe de la troisième paire, sera réalisé. Il f
ports intra-pédonculaires est indispensable pour l'interprétation des
paralysies
partielles de la troisième paire dans le syndro
de premier ordre. 11 faut, pour bien comprendre l'existence de ces
paralysies
partielles, considérer, d'une part, le groupement
des fibres de l'oculo-moteur; elle donne l'explication naturelle des
paralysies
incomplètes ou partielles de la troisième paire
soient pris à l'exclusion des autres. Dans ces conditions, c'est une
paralysie
partielle que vous rencontrerez. Quand elle est
ation des mouvements oculaires dans tous les sens, sauf en dehors, la
paralysie
de l'accommodation et la dilatation delà pupille.
rs, la paralysie de l'accommodation et la dilatation delà pupille. La
paralysie
incomplète varie suivant les cas; quoique plus ra
roite que celle du côté opposé. De même vous concevez aisément que la
paralysie
, combinaison rare mais possible, en somme, puisse
e muscle releveur de la paupière. Je n'insiste sur l'existence de ces
paralysies
incomplètes de l'oculo-moteur que parce que nous
tout à l'heure un cas de ce genre. 1 Oyon. — Hémiplégie gauche avec
paralysie
alterne de la troisième paire droite résultant d'
Telles sont, Messieurs, les conditions anatomiques qui régissent les
paralysies
alternes pédonculo-prolu-bérantielles ou protubér
n manière de contraste, je veux vous rappeler rapidement ce qu'est la
paralysie
protubérantielle inférieure ou bulbo-prolubéranti
il de Gubler2, mais il faut reconnaître que Gubler a trouvé le nom de
paralysie
alterne qui devait désormais lui servir d'étiquet
e syndrome de Millard-Gubler est caractérisé par la coïncidence d'une
paralysie
faciale totale d'un côté avec une paralysie des m
par la coïncidence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une
paralysie
des membres du côté opposé du corps. Dans les cas
sie des membres du côté opposé du corps. Dans les cas de ce genre, la
paralysie
du facial se comporte comme une paralysie périphé
ans les cas de ce genre, la paralysie du facial se comporte comme une
paralysie
périphérique au point de vue de son étendue et de
riques. Quelquefois cette hémiplégie faciale peut se compliquer d'une
paralysie
de l'abducens ou de la cinquième paire. L'anato
ptième paire et le faisceau pyramidal, et vous aurez ainsi imaginé la
paralysie
alterne vulgaire, autrement dit, le syndrome Mill
e concevoir en même temps une lésion de l'abducens et, par suite, une
paralysie
de la sixième paire, du même côté que la paralysi
et, par suite, une paralysie de la sixième paire, du même côté que la
paralysie
faciale, venant compliquer le tableau classique.
tater dans une de nos dernières leçons. En réalité, qu'il s'agisse de
paralysie
pédon-culo-protubérantielle ou de paralysie bulbo
éalité, qu'il s'agisse de paralysie pédon-culo-protubérantielle ou de
paralysie
bulbo-protubé-rantielle, c'est toujours le siège
t intéressés, et cette lésion se traduit, comme vous le savez, par la
paralysie
du facial inférieur et par la déviation de la lan
feu, etc., fut mise en œuvre, sans le moindre succès du reste? Cette
paralysie
qui avait respecté la face disparut peu à peu, sp
ue. Et, phénomène qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la
paralysie
était, paraît-il, accompagnée d'une hémianesthési
ractères que je viens de relever devant vous. Lorsque survint cette
paralysie
des membres, déjà, depuis deux ans, cette jeuue f
ore le constater aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une
paralysie
du moteur oculaire commun et réduirait-il à néant
, quelque singulière que paraisse tout d'abord cette dissociation, la
paralysie
de la troisième paire peut en somme se borner au
érique et avoir un tubercule dans la protubérance, d'où relèverait la
paralysie
de la paupière, les paralysies du moteur oculaire
ans la protubérance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les
paralysies
du moteur oculaire commun étant jusqu'ici inconnu
?). Un pareil raisonnement serait évidemment logique s'il y avait ici
paralysie
de la paupière. Mais, s'il n'y a pas paralysie, c
gique s'il y avait ici paralysie de la paupière. Mais, s'il n'y a pas
paralysie
, comment donc, m'objeclercz-vous, expliquer cette
ette paupière tombante ? Eh bien, je crois qu'il s'agit ici, non de
paralysie
, mais de spasme pur et simple. Je sais bien que c
caractères habituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme ou d'une
paralysie
? Question délicate, s'il en fut, et difficile à r
n oculiste très distingué qui me la renvoya avec la note suivante : «
Paralysie
de la troisième paire, un peu de décoloration de
pour vous montrer les difficultés du diagnostic entre le spasme et la
paralysie
de la paupière. Il serait vraiment utile, dans de
e dernière, un tabétique avec chute complète de la paupière due à une
paralysie
totale de la troisième paire. Or, chez cet homme,
M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de*réaction. Sur un cas de
paralysie
radieulaire de la première paire dorsale; Avec
a légèrement et ne tarda pas à se cicatriser. Gomme effets immédiats,
paralysie
des membres supérieur et inférieur droits, de ce
aut distinguer ce qui appartient à chacun d'eux. A droite, existe une
paralysie
spasmodique très marquée ; le membre est raidi en
oies ; il fournit également l'innervation du muscle de Mùller dont la
paralysie
détermine l'enfoncement du globe de l'œil. Or, ce
pas ; il marche sur le bord externe de son pied, comme s'il avait une
paralysie
des péronés. Le membre est absolument raide ou
derrière lui balaie le sol. Remarques de Todd. Spasme glosso-labié et
paralysie
faciale. Le nom de démarche hélipode (de sXicraw,
d'un menu tremblement, vous n'hésitez pas à dire qu'il est atteint de
paralysie
agitante. Eh bien ! chez les hémiplégiques, la dé
ge d'un livre trop oublié de Todd, intitulé : Leçons cliniques sur la
paralysie
et sur certaines maladies du cerveau. Il y a là u
ambe paralysée en avant. Elle porte son tronc sur le côté opposé à la
paralysie
et repose le poids du corps sur la jambe saine ;
u malade qui balaie le sol en marchant, qu'il n'a généralement pas de
paralysie
faciale ; c'est également mon avis. Examinez la f
faciale ; c'est également mon avis. Examinez la face, il n'y a pas de
paralysie
, mais un état spasmodique des muscles du côté gau
ession ou d'infiltration qui se traduisent cli-niquement, soit par la
paralysie
des muscles de l'œil, soit par la névrite optique
s très circonscrites de l'écorce des circonvolutions motrices dans la
paralysie
générale, etc., etc. L'objection est fondée et je
sins germains présentent une tare névropathique : l'un est atteint de
paralysie
infantile, l'autre est mort aliéné à l'asile Sain
même que coexisteraient des altérations basilaires : névrite optique,
paralysie
du moteur oculaire commun, etc..., dans ce cas-là
peu moins d'un an, M. Lemoine a publié, dans le Mercredi Médical, une
paralysie
des muscles de l'œil chez une femme atteinte de s
dans l'espèce, serait à peu près décisive : une névrite optique, une
paralysie
du moteur oculaire commun, par exemple ? Absolume
ue qui agit par compression au lieu d'agir par irritation. Toutes ces
paralysies
se peuvent guérir, si l'on procède avec énergie e
re consultation, dans l'état où vous l'avez vu, c'est-à-dire avec une
paralysie
de la face du côté gauche, avec une monoplégie br
ue le remarque M. Uhthoff, M. Charcot et son école ont montré que les
paralysies
des muscles de l'oeil s'expliquent par les lésion
100 examens de sclérose multilo-culaire envisagés au point de vue des
paralysies
des muscles des yeux, il a trouvé : a). Parésie
rgence. 3. e). Ophthalmoplegie externe. 2. Soit au total, 17 cas de
paralysie
. Il est à remarquer que, contrairement à ce qui a
est à remarquer que, contrairement à ce qui a lieu dans le tabès, la
paralysie
de l'ab-ducens serait ici plus fréquente que cell
que celle du moteur oculaire commun, quoique considérées en bloc les
paralysies
des muscles de l'œil soient un peu plus fréquente
ique avec nystagmus). Tous les deux présentent de l'am-blyopie et une
paralysie
unilatérale de l'abducens. Chez l'un, on trouve
t une paralysie unilatérale de l'abducens. Chez l'un, on trouve une
paralysie
de la sixième paire gauche et de la diplopie avec
duré jusqu'à l'âge de douze ans. Cette malade présente, en plus, une
paralysie
conjuguée de la sixième paire gauche sans diplopi
s en clinique par une paraplégie spasmo-dique simple ou compliquée de
paralysie
des réservoirs, d'eschares,etc.,et revêtant dans
que l'embarras de la parole, l'hébétude du faciès, le nystagmus, les
paralysies
oculaires, les lésions de la papille.....qui pe
s, par la dysarthrie typique et par une diplopie due à l'existence de
paralysies
associées. Il s'agit là d'un cas fruste, fruste p
s difficiles, la véritable solution du problème. Note sur un cas de
Paralysie
du Moteur oculaire externe et du Facial, avec att
après l'apparition de ces nouveaux phénomènes, tout à coup survint la
paralysie
faciale droite. Un matin, en se réveillant, la ma
'en aperçut. Pas d'attaque pendant la nuit précédente. A ce moment la
paralysie
était plus accentuée qu'elle n'est aujourd'hui, l
il existe de ce côté quelques secousses de trépidation spinale. La
paralysie
faciale droite a tous les caractères de la paraly
on spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la
paralysie
périphérique, c'est-à-dire que le muscle orbicula
par l'un de nous le 12 mars 1890 et a donné les résultats suivants :
Paralysie
complète de de la 6e paire droite avec spasme ass
de de la 6e paire droite avec spasme associé du droit interne gauche.
Paralysie
de l'orbiculaire droit liée à la paralysie facial
é du droit interne gauche. Paralysie de l'orbiculaire droit liée à la
paralysie
faciale de même côté. Début de la diplopie il y a
me côté. Début de la diplopie il y a quatre mois, huit jours avant la
paralysie
faciale. Pupilles normales. Pas de lésions du fon
complètement conservé des deux côtés. Il existe un certain degré de
paralysie
du voile du palais, qui est flasque à la vue, bie
de détails les yeux de cette malade, on voit qu'il existe : 1° Une
paralysie
de l'orbiculaire de l'œil droit, liée à la paraly
xiste : 1° Une paralysie de l'orbiculaire de l'œil droit, liée à la
paralysie
faciale. C'est cette paralysie de l'orbiculaire q
'orbiculaire de l'œil droit, liée à la paralysie faciale. C'est cette
paralysie
de l'orbiculaire qui détermine l'inégalité des fe
qu'il ne faudrait pas attribuer à un ptosis de l'œil gauche. 2° Une
paralysie
de la 6e paire du même côté présentant les partic
es particularités suivantes. Au repos pas de strabisme, bien que la
paralysie
du droit externe de l'œil droit soit à peu près c
liniques, a insisté sur ces déviations particulières de l'œil dans la
paralysie
du droit externe. Déjà l'un de nous, dans un mémo
), avait attiré l'attention sur les spasmes qui compliquent certaines
paralysies
des muscles de l'œil. Ces spasmes, qui intéressen
ture primitive, tantôt on prend l'œil sain pour l'œil malade, car une
paralysie
peu accusée peut développer sur l'autre œil un st
otre malade, il s'agit d'un trouble du même (1) Parinaud. Spasme et
Paralysie
des muscles de Vœil (Gaz. hebd. de méd. et de chi
entre d'innervation de l'œil. Les spasmes qui compliquent certaines
paralysies
de l'œil semblent être le propre des paralysies p
compliquent certaines paralysies de l'œil semblent être le propre des
paralysies
périphériques. Est-il possible chez cette jeune
foyer quelconque dans la moitié inférieure de la protubérance. Cette
paralysie
totale du facial et de l'abducens ne peut guère s
estruction du noyau de l'abducens s'accompagne généralement, outre la
paralysie
du droit externe, d'une paralysie du droit intern
s'accompagne généralement, outre la paralysie du droit externe, d'une
paralysie
du droit interne du côté opposé et se caractérise
des fibres communicantes. Il ne s'agit donc pas ici d'une véritable
paralysie
nucléaire. La lésion, qu'on ne saurait cependant,
lésion, qu'on ne saurait cependant, en raison de la combinaison de la
paralysie
du facial et de l'abducens, localiser ailleurs qu
es phénomènes présentés par notre malade. Elle est atteinte, outre la
paralysie
du facial et de l'abducens du côté droit, d'une h
effet, les lésions de la protubérance, lorsqu'elles s'accompagnent de
paralysies
du côté des membres, ce qui n'est d'ailleurs pas
uche, tandis que nous constatons une hémiplégie du même côté que la
paralysie
faciale. Si notre malade était gauchère, — et ell
mais on ne peut avoir de renseignements précis sur la nature de cette
paralysie
. Antécédents personnels. — Rien de bien remarqu
nt expliquer ces phénomènes. — Caractères nettement hystériques de la
paralysie
. — Stigmates hystériques, petites attaques. — Rôl
vibratoire. .... 46 IV. Sur un cas de migraine ophthalmoplégique (
Paralysie
oeulo-motrice périodique). ¦ (Leçon). Sommair
sie oeulo-motrice périodique). ¦ (Leçon). Sommaire. — Synonymie :
paralysie
oculo-motrice récidivante. Migraine ophthalmique
r, Saundby, Parinaud et Marie, etc.... Période de douleur; période de
paralysie
portant sur tous les filets de la 3e paire ; péri
ntes. Evolution de ce symptôme parallèlement à l'accident hystérique (
paralysie
, contracture) qu'il accompagne d'ordinaire. Expér
..... . 117 VII. Sur une complication peu connue de la sciatique [
paralysie
amyolrophique dans le domaine du poplitè). (Tra
Guinon et E. Parmentier). . . 127 VIII. Un cas de sciatique avec
paralysie
amyotrophique dans le domaine du poplilé, détermi
alite de Wernicke), ophthalmoplégie externe-névrose. Analogie avec la
paralysie
bulbaire inférieure ou labio-glosso-laryngëe. Tab
aigus et subaigus ... 189 XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe (
paralysie
bulbaire supérieure) combinée soit à la paralysie
almoplégie externe (paralysie bulbaire supérieure) combinée soit à la
paralysie
labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire totale^
baire supérieure) combinée soit à la paralysie labio-glosso-laryngée (
paralysie
bulbaire totale^, soit à l'atrophie musculaire gé
d'un cas de syringomyélie, type Morvan. 243 XIII. Sur »in cas de
Paralysie
diabétique. 1 (Leçon). Sommaire. —Accidents n
gie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper;
paralysie
double des extenseurs du pied avec atrophie muscu
ue...........279 XIV. A propos d'un cas d'hystérie masculine : 10
Paralysie
dissociée du facial inférieur d'origine hystériqu
nateur et grand zygomatique. — Superposition de l'anesthésie et de la
paralysie
. — Diversité des opinions concernant l'existence
e la paralysie. — Diversité des opinions concernant l'existence de la
paralysie
faciale dans l'hystérie. Sa rareté relativement a
otre cas, début de la névrose à l'occasion d'un traumatisme, et de la
paralysie
faciale à la suite d'un autre trauma tisme subi
ce du syndrome de YVeber. Leçon). Sommaire. — Syndrome de Weber :
paralysie
de la troisième paire d'un côté et des membres du
hémiplégies alternes, dont fait partie le syndrome de Millard-Gubler (
paralysie
faciale totale d'un côté, hémiplégie des membres
en question, le ptosis est dû au spasme de l'orbiculaire et non à la
paralysie
du rele-veur. Ptosis paralytique et ptosis spas
premier et abaissé dans le second.........308 XVI. Sur un cas de
paralysie
radiculaire de la première paire dorsale, avec lé
derrière lui balaie le sol. Remarques de Todd. Spasme glosso-labié et
paralysie
faciale. Le nom de démarche hèlipode (de iMoaa, t
ste par effacement........;..........399 XXII. Note sur un cas de
Paralysie
du Moteur oculaire externe et du Facial, avec att
te, 159, 166 ; — dans l'hystérie et la syringomyélie, 41 ; — dans les
paralysies
hystériques, 36. Artérite syphilitique cérébral
ileptiques, 430. Brown-Séquard (Syndrome de), 338, 346. Bulbaire:
paralysie
— isolée, 197, c Cécité dans la sclérose en pla
hystérique, 122. D Démarche chez les hémiplégiques. 363; —dans la
paralysie
agitante, 363. Déviation primitive dans le stra
ite, 271 ; — et tabes, 278 ; — et glycosurie, 258. Diplopie dans la
paralysie
du nerf moteur oculaire externe, 422. Dissociat
iale, 393 ; parésie consécutive aux a'taques d'—, 375. F Facial :
paralysie
complète du nerf —, 420; paralysie du — dans l'hy
a'taques d'—, 375. F Facial : paralysie complète du nerf —, 420;
paralysie
du — dans l'hystérie. (v. Paralysie faciale hysté
aralysie complète du nerf —, 420; paralysie du — dans l'hystérie. (v.
Paralysie
faciale hystérique ) Faciès d'Hutchinson, 190;
8 ; démarche dans 1'—, 363; — alterne, 317, 318, 427; — combinée à la
paralysie
complète du facial et du moteur oculaire externe
e hystérique, 365 ; Hémispasme glosso-labié dans 1'—, 298, 306 368;
Paralysie
faciale dans Y—, 290 ; Agents provocateurs de 1'—
mie pathologique, 17 ; — observation, 18. Moteur oculaire externe :
paralysie
du nerf —, 420 ; — spasme associé dans cette para
aire externe : paralysie du nerf —, 420 ; — spasme associé dans cette
paralysie
, 425 ; — pathogénie de ce spasme, 425 : — diplopi
paralysie, 425 ; — pathogénie de ce spasme, 425 : — diplopie dans la
paralysie
du nerf, 422. Myosis dans les lésions du plexus
be, 195 ; — dans la maladie de Basedow, 196; — isolée, 198; — dans la
paralysie
générale et l'ataxie locomotrice, 177; — combiné
Panaris analgésique, 9 ; — dans la syringomyélie, 248, 254, 357.
Paralysie
alterne, 313, 317. Paralysie et anesthésie dans
ans la syringomyélie, 248, 254, 357. Paralysie alterne, 313, 317.
Paralysie
et anesthésie dans le syndrome de Brown-Séquard,
. Paralysie et anesthésie dans le syndrome de Brown-Séquard, 346.
Paralysie
oculo-motrice périodique, 70 (voir Migraine oph-t
ie oculo-motrice périodique, 70 (voir Migraine oph-thalmoplégique).
Paralysie
agitante : démarche dans la —, 50 ; tremblement h
ue, 387. Réflexes rotuliens dans le diabète, 265. S Sciatique :
paralysie
amyotrophi-que dans le domaine du nerf poplité da
paralytique et du ptosis spasmodique, 325. Spasme associé dans les
paralysies
des muscles oculaires, 424. Strabisme : déviati
types morbides qui s'appellent l'atrophie musculaire progressive, la
paralysie
infantile, la paralysie pseudo-hypertrophique, la
pellent l'atrophie musculaire progressive, la paralysie infantile, la
paralysie
pseudo-hypertrophique, la paralysie glosso-laryng
ssive, la paralysie infantile, la paralysie pseudo-hypertrophique, la
paralysie
glosso-laryngée, l'ataxie locomotrice enfin. Cett
taines lésions articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. —
Paralysie
et atrophie musculaire consécutives. — Modificati
palement l'action du triceps qui reste aujourd'hui en défaut. Cette
paralysie
limitée aux extenseurs du genou se révélera encor
omme cela a lieu après la section expérimentale des nerfs, ou dans la
paralysie
infantile, quand il y a destruction des cellules
and il y a destruction des cellules motrices, ou bien encore dans les
paralysies
faciales graves. En pareil cas, et c'est là un
s avons soigneusement étudiés. En résumé, ce malade est atteint d'une
paralysie
avec atrophie simple, presque exclusivement local
agnostic. On sait aujourd'hui, d'après des études nombreuses1, que la
paralysie
atrophique des muscles extenseurs ou prédominant
che est devenue moins difficile. La relation qui existe entre cette
paralysie
qui persiste au bout d'un an et un traumatisme lé
turelle, aujourd'hui assez bien connue après les travaux récents, des
paralysies
atrophiques articulaires ou de cause articulaire.
ites pro-topalhiques, spontanées ou traumatiques, qui déterminent les
paralysies
atrophiques, sont des arthrites douloureuses, d'u
Pour ce qui est de la persistance des accidents deutéropa-thiques (
paralysie
et atrophie) après la cessation de l'affection pr
e), c'est en quelque sorte la règle; et c'est là, dans l'histoire des
paralysies
amyotrophiques de cause articulaire le fait peut-
e deuté-ropathique, et c'est en conséquence de cette affection que la
paralysie
et. l'atrophie se produisent. Mais en quoi consis
nnaissons les effets de l'altération profonde de ces éléments dans la
paralysie
infantile, où il y a réaction de dégénérescence,
s muscles; nous avons notamment traité avec succès, par ce moyen, une
paralysie
faciale ancienne, d'origine périphérique, et dans
eu occasion de relever les analogies considérables qui rapprochent la
paralysie
spasmodique des membres chez les hystériques, ou
ou celles qui ne relèvent d'aucune affection spinale matérielle, des
paralysies
spasmodiques hémiplégiques ou paraplégiques qui s
D'ailleurs, pour déterminer la contracture dans un membre atteint de
paralysie
flasque, un traumatisme violent n'est pas nécessa
r ces faits dans l'esprit est la suivante : 11 existe dans ces cas de
paralysies
qui reconnaissent pour cause une lésion matériell
ets que dans les cas où il existe une lésion des centres nerveux ; la
paralysie
spasmo-dique des membres sans rigidité pourra, da
ans rigidité pourra, dans les mêmes conditions, se transformer en une
paralysie
avec conlraclure et rigidité articulaire. Je po
Je vais vous présenter un malade qui nous ramènera à l'étude de ces
paralysies
amyolrophiques qui nous ont occupé récemment. V
tiels, avec ce que nous avons vu chez l'employé du télégraphe dont la
paralysie
atrophique s'est développée en conséquence d'un t
trauma-tiques, ce retentissement sur le centre spinal, d'où dérive la
paralysie
amyotrophique prédominant sur les extenseurs l.
nduit à vous faire remarquer que, si, dans certaines athropathies, la
paralysie
amyotrophique est, comme dans le cas précédent, l
ns intérêt, d'ailleurs, de faire ressortir expressément qu'a côté des
paralysies
amyotrophiques de cause articulaire, il existe de
II. Migraine ophthalmique se manifestant à la période initiale de la
paralysie
générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire
pe d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose, main de la
paralysie
agitante. — Les déviations articulaires du rhumat
ion spinale développée suivant le mécanisme des actes réflexes. — II.
Paralysie
générale progressive. — Migraine ophthalmique au
ments involontaires spéciaux de l'athétose, et en Fig. 9. — Main de
paralysie
agitante, rappelant la déformation du type de fle
té prolongée des muscles antagonistes. On sait, du reste, que dans la
paralysie
agitante, les muscles des membres et du tronc son
re, une dépression de ces mêmes propriétés, à laquelle se rattache la
paralysie
amyotrophique. 11 faut ajouter que ces deux mod
sivement sous l'influence de l'action musculaire; Il est atteint de
paralysie
générale progressive, et si nous considérons chez
pète, que ce cas, aujourd'hui que l'on sait qu'il existe une forme de
paralysie
générale où le délire ambitieux ne figure pas, dé
tieux ne figure pas, désignée sous le nom de forme paralytique, ou de
paralysie
générale sans aliénation. Mais ce qui fait l'in
Je vous rappellerai que, d'après M. Jules Falret1, on admet que la
paralysie
générale qui, parvenue à son complet développemen
uvements fibrillaires, incertitude de la marche, titubation. C'est la
paralysie
générale sans aliénation. Ces malades ont conscie
et se répétant un nombre varié de fois avant que les caractères de la
paralysie
générale ne s'établissent décidément à l'état per
la migraine figurent parmi les accidents prodomiques congestifs delà
paralysie
générale progressive. Cette combinaison est, sans
maladie qui a motivé son admission dans cet asile paraît avoir été la
paralysie
générale progressive, si on en juge par ce fait q
cinq faits du même genre que j'ai personnellement observés). 5° La
paralysie
paraplégique ou hémiplégique, avec exaltation, ou
ent tuméfié. Cet état rappelle ce que l'on voit, dans certains cas de
paralysie
infantile de date ancienne. La sensibilité, surto
xistence de cette lésion spinale, déjà révélée d'un autre côté par la
paralysie
des sphincters vésical et anal et par l'asthénie
s, sont profondément altérés ou détruits; ainsi, par exemple, dans la
paralysie
infantile après la période de réparation, ou enco
correspondant à la partie affectée du centre spinal ; ainsi, dans la
paralysie
infantile du membre inférieur gauche, on peut voi
s pas ici. Dans les affections méningo-myéliti-ques, nous aurions une
paralysie
ou uneparésie des membres 1. Bernard et Féré. —
ration électrique méthodique. Une particularité intéressante de cette
paralysie
atrophique, c'est qu'elle porte surtout sur les m
spasmodique, avec participation de la vessie et du rectum. Mais la
paralysie
des membres inférieurs n'est pas une paralysie at
t du rectum. Mais la paralysie des membres inférieurs n'est pas une
paralysie
atrophique comme celle des membres supérieurs, el
e sont pris ; quoi qu'il en soit, pendant plus d'un an, il exista une
paralysie
atrophique des membres supérieurs avec griffe rad
aralysie atrophique des membres supérieurs avec griffe radiale et une
paralysie
spas-modique des membres inférieurs avec flexion
e malade est venu nous consulter, le 3 mars 1883, il n'existe plus de
paralysie
, plus d'aphasie motrice, il peut écrire courammen
n'existe aucune déviation de la face ou de la langue, aucune trace de
paralysie
des membres supérieurs et inférieurs. La marche e
pathiques. — Amyotrophies protopathi-ques. — Myopathies primitives. —
Paralysie
pseudo-hypertrophique. — Forme juvénile de Erb. —
changement de volume des muscles. Forme de Leyden. — Analogies de la
paralysie
pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de
Ses caractères. — Cette dernière forme est analogue aux précédentes.—
Paralysie
pseudo-hypertrophique,forme juvénile de Erb, form
ie primitive. Comme exemple de ce genre d'affection, on peut citer la
paralysie
pseudo-hypertro-phique ou rnyosclérosique de Duch
e l'avait soupçonné tout d'abord. Mais cette forme de myopathie, la
paralysie
pseudo-hyper-trophique, telle qu'elle est sortie
es spinales, que rarement, on les a assimilées cliniquement. Ainsi la
paralysie
pseudo-hypertrophique est une maladie de l'enfanc
t il est atteint et qui revêt chez lui les caractères cliniques de la
paralysie
myosclérosique de Duchenne, a débuté pendant l'en
s du bras. Et c'est là le seul point de ressemblance qui rapproche la
paralysie
myosclérosique de l'amyotrophie progressive de ca
ment mis en valeur. Le maladie présente de grandes ¦analogies avec la
paralysie
pseudo-hypertrophique, ainsi ¦que le relève d'ail
inférieurs peuvent être pris à leur tour, les mollets, comme dans la
paralysie
pseudo-hypertrophîque, restant en général indemne
otrophies de cause spinale. Mais se dis-tingue-t-elle également de la
paralysie
pseudo-hypertrophi-que?Je ne le crois pas, et ici
t prendre, un élément essentiel à la constitution de l'affection dite
paralysie
pseudo-hypertrophique. Je suis en mesure de vous
a transition entre la forme juvénile avec amyotrophie d'un côté et la
paralysie
pseudo-hypertrophique de l'autre. Chez le jeune
ionnelle, la forme d'atrophie juvénile d'Erb, moins l'atrophie, et la
paralysie
pseudo-hypertrophique, moins l'hypertrophie. Il n
ume. Où faire rentrer ce cas, dans la forme juvénile deErb, dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique de Duchenne? Non Messieurs,
i produisent la flexion dorsale du pied sont atrophiés, comme dans la
paralysie
alcoolique, par exemple, ainsi que j'ai eu récemm
voici donc déjà en présence de trois formes cliniques, à savoir : la
paralysie
pseudo-hypertrophique, la forme juvénile de W. Er
t elle parle comme si elle avait de la bouillie dans la bouche. Cette
paralysie
de l'orbiculaire donne à la physionomie un caract
plus, entre ces deux formes, et par conséquent, une analogie avec la
paralysie
pseudo-hypertrophi-que. Celte proposition serait
imitives qui comprennent, mais seulement à titre de variétés :. 1° la
paralysie
vscudo-hypertrophique; 2° la forme juvénile de l'
a sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. — Tremblement de la
paralysie
agitante et tremblement senile. — Tremblements à
— Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel, de la
paralysie
générale, de la maladie de Basedow. Ghorée : Ca
istreur. La par-lie 2 de notre figure représente le tremblement de la
paralysie
agitante. On voit tout de suite, au premier cou
t que dans la sclérose en plaques. Rappelez-vous aussi que, dans la
paralysie
agitante, le tremblement n'atteint en général pas
tremblement alcoolique ; 2° Le tremblement mercuriel; 3° Celui de la
paralysie
générale ; 4° Enfin celui de la maladie de Basedo
la connaissait pas au point de vue anatomo-pathologi-que, l'appelait
paralysie
choréiforme. Je veux donc vous dire quelques mots
on. père, qui était très violent, est mort à 60 ans, à la suite d'une
paralysie
survenue sans attaques. Sa mère, morte tuberculeu
ilieu entre le tremblement à oscillations lentes, tel que celui de la
paralysie
agitante, par exemple, et les tremblements vibrat
emblements vibratoires, ou autrement dit à oscillations rapides de la
paralysie
générale et de la maladie de Basedow. Il ne s'exa
veuse, les contractures permanentes, certaines arthralgies, certaines
paralysies
, des hémorrhagies s'opérant par diverses voies, e
it porté sur la partie antérieure de l'épaule gauche. Aucune trace de
paralysie
ou de parésie même, soit au membre inférieur corr
ace; pas traces non plus, malgré la date ancienne déjà du début de la
paralysie
, d'atrophie des muscles paralysés, circonstance q
soit spontanée, soit provoquée par les mouvements actifs ou passifs.
Paralysie
incomplète du membre supérieur gauche. Le malad
'heure. Enfin, le 25 juin, c'est-à-dire 22 jours après le début de la
paralysie
, celle-ci était devenue absolument complète *. Le
obtuse sur le tronc, la face, le membre inférieur. L'anesthésie et la
paralysie
restèrent telles quelles au membre supérieur. Le
la vue ; pouls de Corrigan ; pouls capillaire sensible au front. La
paralysie
motrice du membre supérieur gauche, qui se présen
modification des réactions électriques des muscles, dans un cas où la
paralysie
datait de 10 mois, devait faire repousser du prem
lité, permettaient de rejeter l'idée qu'il s'agissait là d'une de ces
paralysies
, bien étudiée par M. le professeur Le Fort et par
e d'une monoplégie brachiale gauche. Mais, dans cette supposition, la
paralysie
serait survenue tout à coup, à la suite d'un ictu
s'en faut, avec cette vue. En effet, la limitation à un membre de la
paralysie
motrice, sans participation, à aucune époque, du
ent largement, vous le savez, pour révéler la nature hystérique d'une
paralysie
. En conséquence, le diagnostic « hystérie » éta
ces modifications brusques qui ne sont pas rares, dans l'histoire des
paralysies
hystériques, des paralysies flexibles en particul
ui ne sont pas rares, dans l'histoire des paralysies hystériques, des
paralysies
flexibles en particulier. En tout cas, on pouvait
e, un seul instant, pendant une longue période de près de 10 mois. La
paralysie
motrice n'était pas complètement guérie, sans dou
étais nullement inquiet — soit dit en passant, — sur l'issue de cette
paralysie
artificiellement reproduite, car je sais, par exp
contient celte intéressante observation, à propos d'une étude sur les
paralysies
hystériques par traumatisme, que je compte vous p
conque, aucune déviation de la bouche ou de la langue, aucun degré de
paralysie
dans le membre inférieur droit ; il s'agissait do
M. Troisier, qui constate à son tour, neuf jours après le début de la
paralysie
, tous les faits que nous signalons actuellement d
de contracture. Cela rappelle la flaccidité de la monoplégie dans la
paralysie
infantile spinale. Mais ici les réflexes tendineu
ndis que, vous le savez, il en est tout autrement dans cette forme de
paralysie
spinale. D'ailleurs, et c'est là un caractère dis
. D'ailleurs, et c'est là un caractère distinctif absolu, bien que la
paralysie
soit établie depuis quatre mois, il n'y a pas cep
s gauche, 22 cent. B. Il existe aussi sur ce membre, en outre de la
paralysie
du mouvement, des troubles profonds de la sensibi
es au sens musculaire, dans toutes les parties qui correspondent à la
paralysie
motrice ; absence complète de rigidité des partie
ée in extenso, par Mlle Klumpke, dans son intéressant travail sur les
paralysies
radicu-laires du plexus brachial. (Revue de médec
médecine, 5e année, n° 7, 10 juillet 1585, p. 604.) vint à lui, la
paralysie
motrice des divers segments du membre était absol
exus. (Brain, april 1884, pp. 70 et s.) miné, en ce qui concerne la
paralysie
motrice et les troubles trophiques, tant musculai
les muscles ont conservé, malgré la date déjà ancienne du début de la
paralysie
, leur volume et leur relief normaux, ils ne prése
si remarquable de la non-participation des doigts et de la main à la
paralysie
motrice et à l'anesthésie, si fortement accentués
s hysté-rogènes, attaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la
paralysie
du bras. Paralysies psychiques: leur production
ques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras.
Paralysies
psychiques: leur production par suggestion dans l
saire d'insister, qu'il ne s'agit pas là non plus d'un exemple de ces
paralysies
amyo-trophiques qui se produisent quelquefois en
du côté droit, pourrait, il est vrai, ainsi que cela se voit dans la
paralysie
infantile spinale, produire une monoplégie brachi
t dès l'origine abolis. Enfin, toute trace d'anesthésie cutanée ou de
paralysie
du sens musculaire ferait défaut. Il est vrai qu'
la langue, ni le membre inférieur n'ont présenté le moindre degré de
paralysie
ou même de parésie. Dès l'origine, je le répète,
rai qu'une lésion corticale suffisamment accentuée pour provoquer une
paralysie
aussi complète et aussi durable 1. Çharcot et T
trace de rigidité; bien au contraire, nous notons expressément que la
paralysie
motrice est ici remarquable par la mollesse, la f
ésions limitées aux circonvolutions médianes, dans lesquels, outre la
paralysie
motrice, on a noté expressément que la sensibilit
nse, dans l'écorce grise de l'hémisphère cérébral du côté opposé à la
paralysie
et, plus précisément, dans la zone motrice du bra
faveur de cette opinion les preuves abondent. Oui, dans notre cas, la
paralysie
motrice, l'anesthésie et le reste se rapportent à
e monoculaire pourra s'en suivre. C'est ainsi qu'on l'observe dans la
paralysie
de l'accommodation produite par l'atropine, dans
Porcz... ne diffèrent pas de ceux qui distinguent certaines formes de
paralysies
hystériques bien avérées ; c'est ce dont on pourr
rai, en premier lieu, Vabsence de toute participation de la face à la
paralysie
, fait mis en relief par Todd \ Althaus, Hasse 2,
éactions électriques, de toute atrophie des muscles alors même que la
paralysie
date de plusieurs mois et, dans ces mêmes conditi
portée au plus haut point et telle qu'on ne l'observe guère dans les
paralysies
de cause cérébrale reconnaissant une autre origin
dit., p. 351. — 12e leçon. « Remarquez, en premier lieu, l'absence de
paralysie
faciale et de déviation de la langue, lorsque cel
us brachiall. Je ne voudrais pas dire, tant s'en faut, que toutes les
paralysies
hystériques présentent nécessairement l'ensemble
^ue lorsque ces caractères se trouvent coexister dans un cas donné de
paralysie
, la nature de celle-ci ne saurait rester douteuse
e tous les caractères qui spécifient cliniquement certaines formes de
paralysie
. En résumé, vous le voyez, tous les symptômes que
onoplégie brachiale, à la suite d'une chute ; seulement, chez lui, la
paralysie
occupe le membre supérieur gauche, et c'est la pa
s la chute, a étéfappée. Le 11 mars, lors de notre premier examen, la
paralysie
était com- Fig. 58]et 59 — Observation de Greuz
t assez vraisemblable, et nous avons conclu, en fin de compte, que la
paralysie
dépendait d'une lésion dijnamique localisée dans
de ces attaques que s'est manifesté tout à coup, le 21 mars, dans la
paralysie
motrice, l'amendement que vous pouvez constater a
; car, évidemment, le pronostic n'est plus ici ce qu'il eût été si la
paralysie
se fut développée à la suite d'une lésion destr
monoplégie brachiale, qui ont fait l'objet des précédentes leçons, la
paralysie
survenue à la suite d'un traumatisme, est de natu
e lésion organique destructive. Sans doute, chez nos deux malades, la
paralysie
, déjà de date ancienne, pourra persister, tout hy
général et les résultats de leur mise en œuvre, en ce qui concerne la
paralysie
, si j'en juge d'après mon expérience, pourraient
reconnaître, du moins en partie, le mécanisme de la production de ces
paralysies
hystériques trau-matiques. Ce problème, hérissé
de plus sur un sujet qui nous a occupés déjà1, je veux parler de ces
paralysies
singulières qui ont été désignées sous le nom de
er de ces paralysies singulières qui ont été désignées sous le nom de
paralysies
psychiques, paralysies dépendant d'une idée 1.
ngulières qui ont été désignées sous le nom de paralysies psychiques,
paralysies
dépendant d'une idée 1. J. M. Charcot, Lezioni
lisi psi-chiche, p. 103, 110. Milano, 1885. (P. dépendent on idea),
paralysies
par imagination (P. dure h Einbildung),je ne dis
imagination (P. dure h Einbildung),je ne dis pas, remarquez-le bien,
paralysies
imaginaires; car, en somme, ces impuissances motr
nt le diagnostic très difficile. Depuis fort longtemps connues, ces
paralysies
ont été pour la première fois étudiées d'une faço
. On sait fort bien sans doute que, dans certaines circonstances, une
paralysie
pourra être produite par une idée et aussi qu'une
que l'idée inculquée étant dans une expérience de ce genre, celle de
paralysie
, une paralysie réelle pourra, en effet, s'ensuivr
ulquée étant dans une expérience de ce genre, celle de paralysie, une
paralysie
réelle pourra, en effet, s'ensuivre ; et nous ver
essayer de justifier en vous rendant témoins de la production de ces
paralysies
dites par suggestion, lesquelles pourront être à
pourront être à bon droit considérées comme représentant le type des
paralysies
psychiques. Au préalable, je crois devoir vous
bide, par exemple de l'impuissance motrice d'un dé ses membres, cette
paralysie
se réalise en effet, objectivement, s'offrant ain
i, et c'est là un point qui nous intéresse au premier chef, que cette
paralysie
que nous aurons faite par voie de suggestion, nou
par suggestion. On prévoit aisément, d'après cela, que l'étude de ces
paralysies
artificiellement provoquées puisse être appelée à
lée à éclairer d'un jour nouveau l'histoire du groupe tout entier des
paralysies
psychiques. Après ces préliminaires, procédons
tion première. Vous voyez qu'après quelques minutes de discussion, la
paralysie
s'établit en effet définitivement. En réalité, no
iculations de ce membre. , En résumé, nous sommes en présence d'une
paralysie
rao-noplégique complète, marquée par la flaccidit
faire disparaître. — Production successive chez la même malade de la
paralysie
des différents segments du membre supérieur (épau
ndineux disparaissent simultanément dans les parties atteintes par la
paralysie
. — La monoplégie peut être déterminée artificiell
ous l'avons annoncé, de procéder successivement à la production de la
paralysie
isolée de chacun des segments du membre. En premi
de l'olécrâne *. Tel est le territoire d'anesthésie qui répond à la
paralysie
isolée de l'épaule. Nous allons voir les choses s
on que nous avons employé à l'instant, nous déterminons maintenant la
paralysie
des mouvements de l'articulation du coude. Aussit
re, à la suite d'une nouvelle suggestion analogue aux précédentes, la
paralysie
ne se fait pas attendre, si bien qu'en ce moment
enir surtout, il se trouve, vous l'avez, sans doute, remarqué, que la
paralysie
que nous venons de déterminer chez Greuz...., par
itement libres; et, dans les deux cas également, partout où existe la
paralysie
du mouvement, il y a anesthésie cutanée et profon
nsibilité dans ces mêmes parties; de telle sorte, que, maintenant, la
paralysie
artificiellement produite est redevenue sur tous
n nombre de cas. En premier lieu, je vais travailler à « défaire » la
paralysie
artificielle de Greuz.,.. en opérant segment par
istribution de l'anesthésie qui correspond, pour chaque segment, à la
paralysie
motrice. Actuellement je vais répéter chez une
temps me le permet tait. Toujours, chez les sujets de ce genre, la
paralysie
du membre non atteint d'anesthésie, déterminée pa
e remarquer, même chez les hystériques hémianesthé-siques, obtenir la
paralysie
motrice, sans accompagnement aucun de troubles de
émianeslhésiques, auxquelles j'ai suggéré, purement et simplement, la
paralysie
motrice du membre sans rien dire de la sensibilit
. Elle est relative, vous l'avez compris, au mode de production de la
paralysie
. Chez nos deux hommes, vous ne l'avez pas oublié,
emmes hypnotisées, c'est de la suggestion par la parole que relève la
paralysie
. Eh bien, Messieurs, cette différence en apparenc
plus, quil lui soit devenu étranger. Presque aussitôt d'ailleurs, la
paralysie
se réalise en effet ; elle atteint rapidement son
u moment de la chute, non plus qu'à l'époque un peu postérieure où la
paralysie
s'est définitivement établie chez eux. Mais, à ce
cquis assez de force pour se réaliser objectivement, sous la forme de
paralysie
. La sensation dont il s'agit aurait donc joué dan
vous exposions tout à l'heure, à savoir que chez nos deux malades, la
paralysie
se serait produite par un mécanisme analogue à ce
n mécanisme analogue à celui qui, chez les hypnotiques, détermine les
paralysies
par suggestion. Les tentatives diverses d'hypnoli
— ce dont d'ailleurs nous sommes parfaitement convaincus, — que leur
paralysie
, malgré sa longue durée n'est point incurable, et
e corps et l'esprit, p. 269), est prouvée par la guérison soudaine de
paralysies
imaginaires (?), due à une injonction énergique.
ir quelquefois pour effet de déterminer brusquement la guérison d'une
paralysie
psychique datant peut-être de fort loin et qui ju
n du monde, le rôle de thaumaturge, même lorsqu'il s'agit d'un cas de
paralysie
psychique bien avéré ; l'injonction est un instru
serait due, au moins en grande partie, la réalisation objective de la
paralysie
2 ; si cela est, on concevra que la répétition de
ne affection purement locale en apparence, telle que, par exemple, la
paralysie
ou la contracture d'un membre. Chez le malade q
de que je vous présente aujourd'hui, il ne s'agit, à la vérité, ni de
paralysie
ni de contracture, mais bien — c'est du moins l'a
. le professeur Lannelongue). Petite fille ce 13 ans. Père atteint de
paralysie
infantile; mère ayant eu des attaques hystériques
quels à la suite d'un traumatisme de l'épaule, s'était développée une
paralysie
hystérique du bras correspondant. Je vous ai fait
ysie hystérique du bras correspondant. Je vous ai fait voir que cette
paralysie
pouvait être reproduite de toutes pièces, chez de
emple, portant sur un membre peut-elle devenir alors l'occasion d'une
paralysie
, d'une contracture ou d'une arlhral-gie. C'est po
ulant des maladies organiques, bien qu'elles ne soient autres que des
paralysies
dynamiques, psychiques, fort analogues pour le mo
s paralysies dynamiques, psychiques, fort analogues pour le moins aux
paralysies
hystériques. Je regrette de ne pouvoir m'arrrêt
tique. Vous l'avez vu, en effet, la douleur peut être, de même que la
paralysie
, suggérée dans l'état hypnotique, soit au moyen d
r sur une partie quelconque du membre. Ainsi, de même qu'il y a des
paralysies
psychiques produites par ce que nous appelions, d
, à proprement parler, transformé la coxalgie avec contracture en une
paralysie
hystérique flasque, répondant véritablement au ty
le plus parfait. Combien de temps vont persister ces phénomènes de
paralysie
? De une heure à une heure et demie environ; puis
ticulaires, etc., mais déterminer, même temporairement, une véritable
paralysie
motrice et sensitive d'un membre, cela dépasse le
, une anes-thésie de la peau, puis des parties profondes et enfin une
paralysie
motrice transitoire complète du membre, avec pert
x ; ce que c'est que le shock local : son rôle dans la production des
paralysies
hystéro-traumatiques. — Application d'un appareil
rvenus à produire, pendant la période somnambulique, ce même genre de
paralysie
, en appliquant un coup de poing d'intensité modér
il se produit une aneslhésie culanée et profonde en même temps qu'une
paralysie
motrice plus ou moins accentuée» lesquelles, vrai
relever qu'il y a là comme une esquisse, un rudiment, un germe de la
paralysie
hystérique traumatique, et l'on comprend que chez
e, et l'on comprend que chez un sujet prédisposé psychiquement, cette
paralysie
rudimentaire provoquée par le choc se réalise et
la circulation, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et
paralysie
motrices) avec menace de sphacèle. Tous les accid
ropos, vous relèverez immédiatement qu'aujourd'hui ce n'est pas une
paralysie
llaccide que nous avons sous les yeux, mais bien
ion portant sur un tronc nerveux aurait pu, à la rigueur, produire la
paralysie
d'un groupe musculaire, des extenseurs, par exemp
émoire qui fait par- 1. Babinski, De L'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques (Progrès médical, 1886. — Arch. de JS
aire à laquelle je m'étais jusque-là rattaché sans réserve, — que les
paralysies
motrices hystériques paraissent être régulièremen
avons étudiées dans nos précédentes leçons ; pourquoi, dis-je, cette
paralysie
molle du début s'est elle transformée par la suit
ort classique du reste, de monoplégie hystéro-traumatique Chez lui la
paralysie
est survenue à la suite d'un léger « tamponnement
ue nous avons obtenus dans cette série d'études 1 : L'existence d'une
paralysie
motrice sur le membre mis à l'épreuve n'est pas n
l appropriés, mais parfaitement distincts. D'un aulre côté, dans la
paralysie
labio-glosso-laryngée en général, jusque dans sa
t notre deuxième malade offre un exemple complet, — bien qu'existe la
paralysie
des mouvements généraux des lèvres, de la langue,
s ces phénomènes pourraient se rencontrer, sans doute, dans un cas de
paralysie
labio-glosso-laryngée, d'origine bulbaire — et, à
e : s'il ne peut parler, ce malade crie encore, tout au moins. Il y a
paralysie
et atrophie de la langue ; sa bouche est élargie,
ie motrice qui est en scène, mais bien Y anarlhrie, conséquence de la
paralysie
des mouvements généraux de la langue et des lèvre
t journellement, au contraire, des malades atteintes d'anarlhrie, par
paralysie
labio-glosso-laryngée. Cependant, vous reconnaîtr
t autre que celui qui, suivant nous, rend compte de la production des
paralysies
dites psychiques ou mentales, si vous l'aimez mie
lier, les Laçons XXI et XXII. APPENDICE I. Deux nouveaux cas de
paralysie
hystéro-traumatique chez l'homme, fragments d'une
Babinski et Berbèz. (Voir les Leçons XX, XXI et XXII.) 1° cas de
paralysie
rystéro-traumatique survenue a la suite d'un acci
r'ouverte. Cela avait fait penser d'abord qu'il y avait là, à droite,
paralysie
du facial inférieur. Mais avec plus d'attention o
mais il mange. Les membres supérieurs ne présentent aucune trace de
paralysie
, ni d'insensibilité, seulement la force dynamomét
ont pas flasques, ifs ne présentent pas non plus les caractères de la
paralysie
spasmodique ; pas d'exagération des réflexes rotu
muscles dont les réactions électriques sont normales ; pas traces de
paralysie
de la vessie et du rectum. La recherche des sti
Fig. 86 et 87. — Distribution des zones d'anesthésie dans les cas de
paralysie
partie des divers segments des membres, artificie
s la période somnambulique on détermine chez elle, par suggestion, la
paralysie
totale du membre inférieur répondant au côté non
e, que la paraplégie elle-même offre chez lui tous les caractères des
paralysies
hystériques psychiques ou nlentales, comme on vou
bulique, on vient à déterminer chez elles, par voie de suggestion, la
paralysie
motrice et sensitive totale du membre inférieur,
se montre en même temps très accentuée. Donc, en ce qui concerne la
paralysie
, le cas de Lelog... ne diffère cliniquement, par
, des cas où, mez les hystériques hémianesthésiques hypnolisables, la
paralysie
des membres inférieurs a été provoquée par voie d
n voit cette idée se réaliser effectivement sous la forme spéciale de
paralysie
qui vient d'être décrite, on ne peut guère, dans
déterminer, par suggestion orale, ou par l'application d'un coup, la
paralysie
partielle ou totale d'un membre inférieur. Dans l
a paralysie partielle ou totale d'un membre inférieur. Dans le cas de
paralysie
partielle des mouvements d'une jointure, hanche,
une hypothèse très plausible que, chez Lelog..., la production de la
paralysie
a eu pour point de départ un processus analogue.
que dans ces conditions-là, il n'est point rare de voir survenir des
paralysies
comparables cliniquement à celles dont il est que
de précédentes leçons1 relativement au mécanisme du développement des
paralysies
hystéro-trauma-tiques, mécanisme dans lequel ce s
uvement, présentant en un mot tous les caractères qui distinguent les
paralysies
hys-téro-traumatiques, considérées dans leur type
t considérable et se réaliser enfin objeclivement sous la forme d'une
paralysie
complète, absolue. Cette théorie peut, on le co
liquer de tous points à l'interprétation du mode de développement des
paralysies
hystéro-traumatiques qui se produisent à l'état d
onstance est, soit dit en passant, bien propre à montrer pourquoi les
paralysies
psychiques consécutives à une contusion occupent
ent d'être proposée. On sait que, chez l'homme, une émo- l. Sur les
paralysies
émotives, voir surtout : R. B. Todd. Clin. Lect.
lus qu'à déterminer pourquoi c'est dans les membres inférieurs que la
paralysie
hystéro-lraumatique s'est développée chez lui. On
er que chez Lelog..., comme dans la plupart des cas du même genre, la
paralysie
ne s'est pas produile au moment même de l'acciden
ncore pendant 3 ou 4 jours; de telle sorte qu'on peut affirmer que la
paralysie
motrice n'a pas été immédiatement complète. 5° Le
plégie motrice est complète; seul le trapèze peut élever l'épaule. La
paralysie
est du genre flasque, les réflexes tendineux ne s
ts de la main sont violacés froids, comme cela se voit dans certaines
paralysies
organiques Cependant les muscles présentent des r
branlement cérébral produit par le choc nerveux. On remarquera que la
paralysie
motrice n'a pas été complète du premier coup et q
X, XXI, XXII. 2. Voir J. Babinski De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques. (Arch. de Neurologie, nos 34 et 35.
pport avec les centres d'idôation, il s'ensuivrait nécessairement une
paralysie
complète des mouvements volontaires de ce membre.
ulté de Mon!- \ pellier, avait déjà, en 1789, reconnu l'existence, de
paralysies
motrices dépendant de la perle du sotivemr^e if^
se, ainsi qu'on l'a dit (p. 336), déterminer chez quelques sujets une
paralysie
motrice complète sans accompagnement d'un trouble
on, dis-je, est suivie, d'après nos observations, non seulement de la
paralysie
du mouvement, maU encore de la perte de la sensib
ons du sens musculaire. On pourrait dire que, dans ce dernier cas, la
paralysie
de l'appareil fondamental du mouvement volontaire
tal du mouvement volontaire, entraîne avec elle, en quelque sorte, la
paralysie
de l'appareil de perfectionnement. Il est vraisem
Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 30 ces faits de
paralysie
par suggestion hypnotique, comme dans bon nombre
paralysie par suggestion hypnotique, comme dans bon nombre de cas de
paralysie
hystérique avec flaccidité, reconnaissant d'aille
'ordre purement réflexe, qui, en pareille occurrence, s'ajoutent à la
paralysie
des mouvements volontaires. Les quelques passag
ondamental des mouvements volontaires. Par contre, l'étude des cas de
paralysie
psychique portant uniquement sur le mouvement, fe
quatre jours, à notre consultation du mardi, s'est présenté un cas de
paralysie
motrice, à début brusque, digne de fixer votre at
, aucun vestige de convulsion, en un mot aucun phénomène cérébral; la
paralysie
occupe le membre inférieur et le membre supérieur
malade chez ses parents. Les jours suivants, 1er, 2, 3 décembre, la
paralysie
de la jambe droite s'amenda légèrement et progres
ure, repris en partie ses forces et ne présente plus les signes d'une
paralysie
véritable et totale, mais plutôt ceux d'une parés
ce fait que la face ne présente aucune déviation, qu'il n'y a aucune
paralysie
de l'orbiculaire des lèvres; on ne constate non p
paralysie de l'orbiculaire des lèvres; on ne constate non plus aucune
paralysie
des muscles du tronc. En somme, la paralysie prés
constate non plus aucune paralysie des muscles du tronc. En somme, la
paralysie
présentée par cette malade est non pas, à proprem
ôté paralysé que du côté sain; nous avons donc affaire, non pas à une
paralysie
spasmodique, mais à une paralysie flasque. Nous
s avons donc affaire, non pas à une paralysie spasmodique, mais à une
paralysie
flasque. Nous allons passer maintenant à l'exam
compagne d'une anesthésie absolue limitée au bras du même côté que la
paralysie
, et avec abolition du sens musculaire; enfin, tou
e anesthésie concordant absolument comme siège et comme degré avec la
paralysie
des membres. Ce n'est pas davantage une hémiplégi
une hémiplégie de nature spinale, car, dans ce cas, vous le savez, la
paralysie
et l'anesthésie devraient être croisées, tandis q
tés imaginaires de diagnostic, la nature purement hystérique de cette
paralysie
s'impose avec la plus grande évidence après l'exa
lus tard, la sensibilité existait dans tout le membre supérieur et la
paralysie
avait disparu ; la malade se servait de son bras
furent absolument normales. IV. De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques *. (Voir la Leçon XXV). Parmi les
lus une règle. Quatre malades du service de M. Charcot, atteints de
paralysie
hystérique, présentent en effet dans les membres
s l'une de ces deux dernières observations, il y a prédominance de la
paralysie
et de l'atrophie dans le membre supérieur ; dans
lle était déjà appréciable tout au plus 15 jours après le début de la
paralysie
, et un mois et demi après, elle était très accent
ervation de monoplégie brachiale, 10 jours après la disparition de la
paralysie
, qui avait été brusque, la circonférence du bra
s très accentuée et qu'elle peut manquer complètement, même quand une
paralysie
dure depuis longtemps déjà ; c'est ainsi que chez
des sur lesquels M. Charcot s'est fondé pour établir cette variété de
paralysie
, et dont les observations ont été publiées dans l
. » « L'aphonie est d'autant plus complète qu'elle résulte et de la
paralysie
des muscles du larynx et de la paralysie des musc
ète qu'elle résulte et de la paralysie des muscles du larynx et de la
paralysie
des muscles du diaphragme. » Briquet cite cependa
s longtemps sujette à de violentes convulsions fréquemment suivies de
paralysie
temporaire des muscles qui avaient été le plus fo
iences (1753) l'histoire d'une jeune fille de quatorze ans frappée de
paralysie
et de perte de la parole par suite de frayeur.
lus loin, MM. Liouville et Debove semblent rapporter le mutisme à une
paralysie
musculaire : « D'autres fois, disent-ils, elle (l
me à une paralysie musculaire : « D'autres fois, disent-ils, elle (la
paralysie
) intéresse certains appareils musculaires, tels q
e l'hystérique qui fait le sujet de l'observation I, cherche dans une
paralysie
d'un nerf spécial l'explication des phénomènes d'
e mutisme un trouble psychique central, analogue à celui qui amène la
paralysie
d'un membre, l'abolition de tout ou partie du cha
disparut sous l'influence d'une saignée ; au réveil, il y avait de la
paralysie
avec insensibilité de la jambe gauche et de plus,
x fois, il tenta de se suicider. La dernière attaque de mutisme et de
paralysie
remonte à quatre mois, pendant un voyage au Havre
novembre 1885. A son entrée, il traîne encore un peu la jambe ; la
paralysie
a diminué depuis une huitaine de jours, mais le m
x questions qu'on lui pose par écrit, ou en parlant très haut. Pas de
paralysie
, pas de troubles de la sensibilité. Les mouvement
on organique, ni aucun phénomène inflammatoire, et le diagnostic fut:
paralysie
des cordes vocales par défaut d'innervation des m
particulier, les muscles tenseurs des cordes vocales. Il y avait donc
paralysie
du pneumogastrique dans la portion laryngée et, d
alysie du pneumogastrique dans la portion laryngée et, dans l'espèce,
paralysie
des filets moteurs du laryngé supérieur. L'exam
l. Tous ceux qui l'ont examinée ont été d'accord sur le diagnostic de
paralysie
hystérique des muscles du larynx. Divers traiteme
douleur ovarienne, la malade ne paraît présenter rien d'anormal. La
paralysie
laryngée n'est pas seulement une paralysie du mou
enter rien d'anormal. La paralysie laryngée n'est pas seulement une
paralysie
du mouvement; elle est aussi une paralysie du sen
ée n'est pas seulement une paralysie du mouvement; elle est aussi une
paralysie
du sentiment. On peut promener le doigt dans l'ar
L'examen laryngoscopique, pratiqué par le Dr Moura, fit constater une
paralysie
des cordes vocales; celles-ci font un mouvement p
âgé de 22 ans, entre le 14 avril dans le service de Sevestre pour une
paralysie
du bras gauche survenue brusquement la veille. Il
s s'aperçoit que son bras gauche est inerte. Le 14, on constate cette
paralysie
avec hémianesthésie gauche incomplète; le lendema
tte paralysie avec hémianesthésie gauche incomplète; le lendemain, la
paralysie
disparaît. Pas de dyschromatopsie. Du 14 au 28
ui faire dire oui, non, à voix basse. La voix revint peu après, et la
paralysie
des jambes disparut également d'une façon complèt
es jambes. Durant ces quatre années, les symptômes ont souvent varié,
paralysie
des mains il y a 15 mois. Depuis dix mois, elle n
suite parler lentement et recouvra la parole d'une façon complète. La
paralysie
des jambes disparut plus lentement. Obs. XVI. —
sourd-muet et paralysé du côté gauche. Il ne sait ni lire, ni écrire.
Paralysie
complète du mouvement et du sentiment du côté gau
erture triangulaire en arrière, en d'autres termes, qu'il y avait une
paralysie
des aryténoïdes, laissant un espace au travers du
lète à droite. L'examen laryngoscopique ne révèle aucune lésion, ni
paralysie
, ni contractures. L'application du miroir est fac
qu'au réveil, au retour du sentiment, on constate, avec ou sans autre
paralysie
, le mutisme absolu. D'autres fois, la perte de la
ssion au sujet de cette distinction entre l'aphonie et l'aphasie. Les
paralysies
hystériques du larynx sont très fréquentes ; cert
sur les abducteurs. Suivant les muscles atteints, suivant le degré de
paralysie
, l'aphonie est plus ou moins complète. Il y a ext
si le professeur Revilliod n'avait cherché à expliquer par une simple
paralysie
d'un des muscles du larynx les troubles observés
hme du gosier et du vestibule de la glotte, troubles dépendants d'une
paralysie
du larynx supérieur. Le malade était, à son entré
rt, de son côté, à démontrer que cette sorte de mutisme est due à une
paralysie
de ce nerf, lors même qu'on observe souvent le mu
ie sans mutisme.....Quoi qu'il en soit, cette triade symptomatique (
paralysie
du crico-thyroïdien, aneslhésie de l'isthme et du
vements d'adduction et d'abduction, c'est-à-dire lorsqu'il indique la
paralysie
du laryngé supérieur et l'état normal du récurren
de cette affection. » Je ne saurais admettre ces conclusions. Que la
paralysie
du crico-thyroïdien, coïncidant avec l'intégrité
n degré d'aphonie plus ou moins complète, c'est encore vrai. Mais une
paralysie
du laryngé supérieur ne peut expliquer le mutisme
let, comme je l'ai observé moi-même ; quand j'ai examiné ce malade la
paralysie
laryngée était cependant moins localisée ; le cri
à cette interprétation les faits où il existait, avec du mutisme, une
paralysie
laryngée portant sur d'autres muscles que le cric
ïdien. Dans le cas de Jarvis (voy. obs. XVIII), il s'agissait d'une
paralysie
de l'ary-aryténoïdien ; dans celui du Dr Thermes,
ary-aryténoïdien ; dans celui du Dr Thermes, Krishaber avait noté une
paralysie
d'un abducteur. Dans certains cas, comme dans cet
complexes, rien de particulier ; on a constaté, au laryngoscope, des
paralysies
des muscles tenseurs et adducteurs crico-thyroï
des traits typiques de ce phénomène ; l'aphonie hystérique simple, la
paralysie
d'un des groupes de muscles du larynx, est très f
ins prononcée, le trouble fonctionnel qui résulte de cette parésie ou
paralysie
ne peut donner l'explication de l'ensemble du phé
a pas, chez l'hystérique, de déviation de la bouche, de la langue, de
paralysie
faciale. C'est la présence, très passagère, de ce
e d'hémiplégie; cette hémiplégie siégeait à droite et s'accompagna de
paralysie
de la langue. Au bout de quelque temps, la parole
mplète et permanente de la parole. Depuis cette époque, il existe une
paralysie
labio-glosso-pharyngo-laryngée pseudo-bulbaire te
culation (on ne peut juger de cette dernière faculté, par suite de la
paralysie
labio-glosso-laryngée), mais elle a perdu le méca
perte des mouvements coordonnés est d'ailleurs indépendante de toute
paralysie
ou parésie des mouvements vulgaires, ainsi qu'on
taines lésions articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. —
Paralysie
et atrophie musculaire consécutives. — Modificati
II. migraine ophtiialmique se manifestant a la période initiale de la
paralysie
générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire
pe d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose. main de la
paralysie
agitante. — Les déviations articulaires du rhumat
ion spinale développée suivant le mécanisme des actes réflexes. — II.
Paralysie
générale progressive. — Migraine ophthalmique au
pathiques. — Amyotrophies protopa-thiques. — Myopathies primitives. —
Paralysie
pseudo-hypertrophique. Forme juvénile de Erb. — M
hangement de volume des muscles. — Forme de Leyden. — Analogies de la
paralysie
pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de
Ses caractères. Cette dernière forme est analogue aux précédentes. —
Paralysie
pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, for
la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. Tremblement de la
paralysie
agitante et tremblement senile. — Tremblements à
— Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel, de la
paralysie
générale, de la maladie de Basedow. (Ihorée : C
es hys-térogènes, plaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la
paralysie
du bras. Paralysies psychiques ; leur productio
ques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras.
Paralysies
psychiques ; leur production par suggestion dans
faire disparaître. — Production successive chez la même malade de la
paralysie
des différents segments du membre supérieur (épau
ndineux disparaissent simultanément dans les parties atteintes par la
paralysie
. — La monoplégie peut être déterminée artificiell
ux. Ce que c'est que le shock local : son rôle dans la production des
paralysies
hystéro-traumatiques. — Application d'un appareil
ériques hypnotisables... 422 APPENDICE. I. — Deux nouveaux cas de
paralysie
hystéro-traumatique chez l'homme; fragment d'une
....................... 471 IV. — De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques, d'après les leçons de M. Charcot, pa
ue, 135; — dans la poliomyélite antérieure chronique, 195; — dans les
paralysies
hystéro-trauniatiques, 305 ; — dans l'atrophie mu
; — Mutisme —, 422. Hystérogènes (Zones), 86. Hystéro-traumatiques (
Paralysies
), 299, 399. I Imitation, 17. Isolement dans
ontusion du sciatique, 131. Migraine ophthalmique au débu t de la
paralysie
générale, 72. Monoplégies hystériques, 299, 400 ;
er; 316; — Absence de participation de la face, 325; — Réalisation de
paralysies
identiques dans la phase somnambulique de l'hypno
ntion chirurgicale contre les rétractions celluleuses de la —, 150.
Paralysie
agitante, 69; — consécutive aux traumatismes arti
Polyopic monoculaire des hystériques, 323. Pseudo-hypertrophique (
Paralysie
), 322. Psychique (Influence) sur la terminaison
ence) sur la terminaison des affections hystériques, 359, 360, 397. —
Paralysies
—, 335. R Railway spine, 250, 355. Réflexes
nsibilité (Troubles de la) chez les hystériques, 253, 255; — dans les
paralysies
hystéro-traumatiques 303, 319; — dans la paralysi
isme, hystérique, 432. Somnambulisme, 339 — Caractères du —, 339. —
Paralysies
par suggestion dans le —, 341. Spasme de la fac
tion dans le —, 341. Spasme de la face dans l'hystérie simulant une
paralysie
faciale, 414. Spécialisation de l'enseignement
tériques chez l'homme, 253 ; — leur importance pour le diagnostic des
paralysies
hystéro-traumatiques, 321. Strychnisme, 44. S
atiques, 321. Strychnisme, 44. Stupeur locale, 404. Suggestion (
Paralysies
par), 341; — Caractères des — , 342; — Analogies
(Paralysies par), 341; — Caractères des — , 342; — Analogies avec les
paralysies
hystéro-traumatiques, 344, 351, 402 ; — traumatiq
212; — hystérique, 212 ; — alcoolique, 213 ; mercuriel, 413; — de la
paralysie
générale, 413; — de la maladie de Basedow, 413.
, s'est éclairée d'un jour inattendu. On a appris entre autres que la
paralysie
, dite essentielle, des enfants relève d'une myéli
lgurantes symp-tomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la
paralysie
générale progressive et l'alcoolisme chronique. —
arie des vertèbres dorsales avait présenté, outre la para-plégie, une
paralysie
complète avec contracture des membres supérieurs.
x catégories principales. Dans la première, il s'agit d'une véritable
paralysie
motrice, avec ou sans contracture, occupant l'un
-rieurs ou tous les deux à la fois ; dans la seconde, il n'y a pas de
paralysie
proprement dite, mais il se produit dans les mem-
t limité de la région dorsale delà moelle, on observe, en outre de la
paralysie
des membres inférieurs que celle-ci détermine, ta
s que celle-ci détermine, tantôt des symptômes ataxi-ques, tantôt une
paralysie
plus ou moins prononcée dans les membres supérieu
fs viscéraux (reins, utérus) produit dans les membres inférieurs, une
paralysie
temporaire. Quoi qu'il en soit, il paraît bien di
genre, des symptômes permanents tels que sont, soit l'ataxie, soit la
paralysie
avec ou sans contracture des membres supérieurs,
primitive occupe les parties supérieures de la région dorsale. Or, la
paralysie
des membres supérieurs, tôt ou tard suivie d'une
des cordons postérieurs, on n'observe dans les membres su-périeurs ni
paralysie
, ni contracture, ni mouvements ataxiques. — Si, a
embres supérieurs seront atteints d'incoordination motrice. Enfin, la
paralysie
et la contracture apparaîtraient dans les cas où
ainsi qu'on les nomme encore. Ce sont: Io Les symptômes céphaliques (
paralysie
d'un nerf moteur avec toutes ses conséquences, am
rgeur. Les accès fulgurants s'observent aussi assez souvent dans la
paralysie
générale progressive ; ils doivent certainement ê
estphal, sont un accompagnement fréquent des lésions ordinaires de la
paralysie
générale. J'ai été consulté, il y a quelques an
-trice. Ils ont tous deux présenté ultérieurement les symptômes de la
paralysie
générale progressive. Je ne doute pas que, chez e
dies spinales autres que la sclérose postérieure, par exemple dans la
paralysie
générale spinale. Celte dernière affection, lorsq
rétine, dans la glycosurie, la rétino-choroïdite syphili-tique et la
paralysie
générale. De la neuro-rétinite. — Ses formes, s
n point, l'aspect de l'atrophie papillaire tabé-tique. Enfin, dans la
paralysie
générale, on observe quelquefois une lésion de la
ons spinales tabétiques se rencon-trent, dans quelques cas, liées àia
paralysie
générale, et cette circonstance permet peut-être
e la moelle. On vit peu de jours après sur-venir successivement : une
paralysie
complète du mouvement dans le membre inférieur ga
Par analogie avec ce qui a lieu dans l'atrophie musculaire et dans la
paralysie
infantile où la lésion trophique musculaire est é
nt les premiers symptômes qui frap-pent l'attention du médecin et, la
paralysie
étant donnée, il s'agit pour lui de remonter jusq
rs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal vertébral cancéreux.
Paralysie
douloureuse des cancéreux. — Douleur ; ses caract
tique convenable fit disparaître, en cinquante heures, toute trace de
paralysie
. Dans ces deux cas, assez exceptionnels, d'ailleu
rétro-grade guère ; ils signalent seulement les cas dans lesquels la
paralysie
des membres supérieurs, après avoir été plus ou m
es même, et, du côté des muscles, l'atrophie plus ou moins rapide, la
paralysie
, la contracture. Au reste, la nature inflammatoir
t. 1870, p. 331. 2 Loc. cit. Alors, celle-ci peut se montrer sans
paralysie
proprement dite ; suivant M. Benedickt \ la contr
seule révélation du mal vertébral cancéreux; mais les symptômes de la
paralysie
par compression de la moelle pourront venir s'y s
symptômes. — Prédominance, an début, des troubles moteurs : parésie,
paralysie
avec flaccidité, rigidité temporaire, con-tractur
n spinale. Celle-ci 's'est traduite cliniquement par des symptômes de
paralysie
qui, pendant plusieurs mois, comme c'est l'habitu
sations. En revanche, les troubles purement moteurs, la parésie ou la
paralysie
plus ou moins complète des membres inférieurs son
agit d'une simple parésie, mais celle-ci se transforme bientôt en une
paralysie
plus ou moins absolue, avec flaccidité des membre
ation clinique. Ainsi que je vous le disais tout à l'heure, dans la
paralysie
par compression, la sensibilité ne se modifie en
de préférence, mais non pas cependant d'une façon exclusive, dans les
paralysies
par compression spinale; elles ne s'ob-servent, a
gré, dans la paraplégie par compression que dans toute autre forme de
paralysie
des membres inférieurs. Mais il ne faudrait pas,
nt, ainsi que les les points correspondant aux parties atleintes de
paralysie
mo-trice, présentent, relativement aux parties ho
lévation plus ou moins prononcée de la température, conséquence de la
paralysie
vaso-motrice. La sen-sibilité, sur toute l'étendu
plégie spinale. De plus, les troubles moteurs concomitants — parésie,
paralysie
avec ou sans contracture — se montre-raient, dans
e. C'est ainsi que se produit l'hémianesthésie croi-sée. Quant à la
paralysie
motrice qui s'observe au-dessous de la lésion hém
cas, la contracture permanente ne tarderait pas à se surajouter à la
paralysie
déterminée dans les membres par la lésion spinale
. Nous nous occuperons, en premier lieu, d'une forme singu-lière de
paralysie
qu'on peut rencontrer en pareils cas et que nous
dénomination, assurément très pratique, de paraplégie cervicale i. La
paralysie
occupe alors, soit un seul des mem-bres supérieur
un certain degré, aura nécessairement tôt ou tard, pour résultat, une
paralysie
portant, suivant le cas, soit sur un seul de ces
e portant, suivant le cas, soit sur un seul de ces membres isolément,
paralysie
toute pé-riphérique et qui se traduira à peu près
, Messieurs, je le repète, mettre en doute l'existence de la forme de
paralysie
des membres supérieurs sur laquelle j'ap-pelle vo
ous lesquels elle se présente et qui per-mettent de la distinguer des
paralysies
cervicales liées à la compression périphérique de
consécutivement un abcès rétropharyngien. Pendant deux ans environ la
paralysie
s'était montrée limitée aux membres su-périeurs ;
gion cervico-brachiale de la moelle épi-nière pourrait déterminer une
paralysie
motrice bornée aux membres supérieurs. Vous n'ign
aux membres supérieurs. Vous n'ignorez pas que, dans certains cas de
paralysie
infantile spinale, la paraplégie cervicale s'ob-s
de la région cervicale de la moelle épi-nière, et ayant déterminé une
paralysie
motrice limitée aux membres supé-rieurs. Ces deux
ur intraspinale cervicale a déterminé dans les membres supérieurs une
paralysie
se rap-prochant, à beaucoup d'égards, du type inf
ent cervical, au niveau de l'origine des 6° et 7e nerfs cervicaux. La
paralysie
envahit d'abord graduellement le membre supé-rieu
lontairement. La mort survint environ six mois après l'invasion de la
paralysie
. Jusqu'au der nier moment les mouvements volontai
emps encore, à l'état d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute
paralysie
motrice des membres, constituant pour ainsi dire,
e ne m'étendrai pas plus longuement ici sur cette dernière variété de
paralysie
cervicale d'origine spinale; elle sera ail-leurs
'une manière continue, pendant plusieurs semaines, sans adjonction de
paralysie
des membres, ainsi que le démontre une observatio
s le mouvement commença à s'affaiblir dans les membres inférieurs. La
paralysie
motrice s'accusa aussi pro-gressivement dans ces
ec les crises gastriques de l'ataxie locomotrice progressive et de la
paralysie
générale spinale 5 ; mais il importe surtout, au
ion de la moelle cervicale, quelquefois bien avant l'apparition de la
paralysie
des membres 2. On peut en dire autant des trouble
2 Brown-Séquard. — Diagnostic et traitement des principales formes de
paralysie
des membres inférieurs. Paris, 1864, p. 73. — W.
s et au-dessous de ce point, on observerait les phénomènes suivants :
paralysie
des mouvements à droite n'occupant guère que la j
lésions des nerfs périphériques. Les douleurs pseudo-névralgiques, la
paralysie
motrice et l'anesthésie, varieraient nécessaireme
ail d'appli-cation. TROISIÈME PARTIE Des amyotrophies spinales.
Paralysie
spinale infantile; — Paralysie spinale de l'adult
PARTIE Des amyotrophies spinales. Paralysie spinale infantile; —
Paralysie
spinale de l'adulte; — Atrophie musculaire progre
elc. Charcot. Œuvres complètes, t. ii. I 1 NEUVIÈME LEÇON 5
Paralysie
infantile Sommaire. — Myopathies spinales ou de
lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise.
Paralysie
spinale infantile.— Elle sera considérée comme ma
s, déformations, pied bot paralytique). Anatomie pathologique de la
paralysie
infantile. — Lésions des muscles aux diverses pér
ffise de citer, à titre d'exemple, \a.paralysie infantile spinale, la
paralysie
générale spinale, récemment décrite par M. Duchen
i n'a pas encore reçu droit de domicile dans les cadres classiques, h
paralysie
glosso-labio-laryngée, certaines formes de l'atro
duite par un instrument pénétrant dans le canal rachidien ; en-fin la
paralysie
infantile. Parmi ces lésions spinales d"origine
a-lon la maladie singulière qu'on désigne vulgairement sous le nom de
paralysie
infantile. C'est là, en effet, l'un des types les
accusés de la manière la plus frappante ; partant, dans l'espèce, la
paralysie
infantile peut être présentée comme une maladie d
ssentiel de la pa-ralysie infantile, de telle sorte que, à côté de la
paralysie
spi-nale de V enfance, il y a lieu défaire une pl
connu avec lui4, et que je relèverai à mon tour. 1 Laborde. — D2 la
paralysie
(dite essentielle ) de ienfance. Paris, 1864, p.
ufl. Stuttgart, 1860, p. 60. 3 Duchenne (de Boulogne) fils. — De la
paralysie
atrophique graisseuse de Venfance. Paris, 1864, p
nce de deux périodes. Première période. 1° Le mode d'invasion de la
paralysie
in-fantile est, vous le savez, des plus remarquab
. Ces symptômes paralytiques offrent de grandes variétés de siège. La
paralysie
est parfois absolue, complète, intéresse les quat
lusi-vement les deux membres supérieurs — enfin, il est des cas où la
paralysie
, atteignant seulement les membres infé-rieurs, re
-rieurs, revêt la forme paraplégique. En résumé, on observe ici une
paralysie
complète, absolue, avec flaccidité des membres, a
'altérations un peu ac-cusées de la sensibilité, contrastant avec une
paralysie
motrice aussi absolue, aussi complète, est un des
solue, aussi complète, est un des caractères les plus frappants de la
paralysie
infantile Voici encore un nouveau trait. Aune é
sieurs, les caractères les plus saillants de la première période delà
paralysie
infantile ; je vous demande la permission de les
. 3 Volkmann. — Klin. Vortrtige, p. J . 1° Invasion brusque de la
paralysie
motrice qui atteint du premier coup son summum d'
contractilité faradique dans un certain nombre de muscles frappés de
paralysie
. 3° Absence de troubles marqués de la sensibili
nt nous venons de vous entretenir, inaugure la seconde pé-riode de la
paralysie
infantile. Elle commence à s'accuser du deuxième
aisseux. Elle con-stitue, d'ailleurs, l'un des traits saillants de la
paralysie
infantile et elle semble s'accuser plus vite, dan
s rapide. Ainsi, d'après M. Duchenne (de Boulogne), elle est, dans la
paralysie
infantile, déjà très apparente au bout d'un mois,
nullement en rapport nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la
paralysie
et de l'atrophie musculaires. Ainsi, suivant un
, suivant une remarque de Duchenne (de Boulogne), un membre frappé de
paralysie
infantile pourra avoir perdu la plupart de ses mu
que, dans un autre cas, la diminution en longueur du membre frappé de
paralysie
peut aller jusqu'à S ou 6 centi-mètres, bien que,
ne bonne partie du jour. Il dit même avoir vu quatre ou cinq fois une
paralysie
infantile tout à fait temporaire, et aboutissant,
De même que l'atrophie, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la
paralysie
spinale infantile que dans toutes les autres form
s la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres formes de
paralysie
des membres". C'est peut-être le lieu défaire rem
sur tous les muscles 1 R. Volkmann, loc. cit.,]). 6. « Même dans la
paralysie
infantile très limi-tée et très incomplète, les t
formités commencent à s'accuser. Ainsi se développe le pied bot de la
paralysie
infantile qui est le pied bot paralytique par exc
ointures permet de distinguer à coup sûr le pied bot résul-tant de la
paralysie
infantile du pied bot congénital, alors même que
ée à l'âge de cinq ans. Tels sont les caractères fondamentaux de la
paralysie
infan-tile spinale considérée dans son mode régul
ne durée exceptionnelles ; il en est d'autres où, après la fièvre, la
paralysie
, au lieu d'atteindre tout à coup son plus haut de
e, à mon avis, ils peuvent servir à établir un trait d'union entre la
paralysie
in-fantile spinale et les autres maladies du grou
l'on étudie les muscles altérés à une époque éloignée du début de la
paralysie
ainsi que nous avons Volkmann, loc, cit., p. 5.
me de l'affection décrite par Duchenne (de Boulo-gne), sous le nom de
paralysie
pseudo-hypertrophique ou myo-sclérosique. C'est l
ous faire connaître que, malgré cette analogie d'ordre secondaire, la
paralysie
infantile diffère cependant essentiellement de la
le moment de vous faire remarquer que la lésion spinale qui, dans la
paralysie
infantile, ne fait jamais défaut, manque au con
rvations, conformes d'ailleurs en cela à celles de Cohnheim — dans la
paralysie
myo-sclérosi-que. La surcharge graisseuse, bien
intéressante la fois, et le plus neuf de l'histoire anatomique de la
paralysie
infantile. Aussi crois-je utile d'entrer à ce pro
mme étant l'organe où les lésions primordiales et fondamentales de la
paralysie
infantile devaient être cherchées. C'était, de le
s régulières, relativement à la nécroscopie du centre spinal, dans la
paralysie
infantile. Dès 1864, nous avions reconnu, M. V.
partie des altérations spinales qui président au dévelop-pement de la
paralysie
infantile. Mais c'était, il faut le dire, la part
ie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la
paralysie
infantile a été, pour la première fois, signalée
il s'est agi là, bien que les auteurs ne le disent point, d'un cas de
paralysie
infantile spinale. L'époque de la vie où la malad
e plus contribué à déterminer le caractère des lésions spinales de la
paralysie
infantile, est celle que nous avons faite l'an pa
ée Wilson, qui succomba à la phtisie pulmonaire à l'âge de 45 ans. La
paralysie
, chez cette femme, s'était développée tout à coup
r droit. — Pièce recueillie à la Sal-pêtrière chez^une femme morte de
paralysie
générale à l'âge de cinquante ans. — Atrophie fib
n et Prévost et dans celui de L. Clarke, est un fait constant dans la
paralysie
infantile spi-nale et cïoù dérivent les principau
ù dérivent les principaux symptômes de la mala-die, en particulier la
paralysie
ainsi que l'atrophie des mus-cles ; nous avons, e
aux considérations suivantes qui concernent plus particulièrement la
paralysie
infantile. Relativement à notre première conclu
i; c'est ce que j'essaierai de faire prochainement. DIXIÈME LEGÓN
Paralysie
spinale de l'adulte. — Nouvelles recherches conce
ulte. — Nouvelles recherches concernant l'anatomie pathologique de la
paralysie
spinale infantile. — Amyotrophies consécutives au
hies consécutives aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. —
Paralysie
spinale de l'adulte : Historique. — Exposé d'un c
oulogne). — Faits personnels. — Analogies étroites qui rapprochent la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte et celle de l'enfant. —
x récents concernant l'anatomie et la physiologie pathologiques de la
paralysie
spinale infantile; ils confirment sur les points
Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la
paralysie
infantile, systématiquement limitées aux cornes a
e mus-culaire, développées dans l'adolescence ou chez l'adulte, et la
paralysie
des jeunes enfants. Je voudrais établir devant
Je voudrais établir devant vous la réalité de l'existence de cette
paralysie
spinale de l'adulte comparable à la paralysie inf
de l'existence de cette paralysie spinale de l'adulte comparable à la
paralysie
infantile spinale. J'espère y parvenir, en exposa
manqué de vous faire remarquer, ailleurs que les enfants, atteints de
paralysie
spinale, se plaignent quelquefois de semblables d
des membres affectés et est l'un des traits les plus sail-lants de la
paralysie
infantile. Pour en revenir au cas de M. Duchenn
olument inertes. Quatre jours plus tard, la fiè-vre avait cessé. La
paralysie
du mouvement persista pendant deux mois, sans mod
ue l'atrophie y était déjà manifeste. Six mois après le début de la
paralysie
, un examen attentif faisait reconnaître des désor
nus ou mal interprétés. Or, d'après ce que j'ai lu ou vu, la forme de
paralysie
spinale dont il s'agit, ne serait pas, tant s'en
e des sujets auxquels ils ont trait (19 ans 1 Plusieurs exemples de
paralysie
spinale de l'adulte ont été, dans ces der-niers t
tion entre l'observation qui procède et celles qui appartiennent à la
paralysie
infantile proprement dite. Obs. I. — M. X... es
itifs ou négatifs permet-tait de rapprocher le cas de M. X... du type
paralysie
infan-tile spinale. Me fondant en dernier lieu su
s de sa lon-gue carrière, la rétrocession normale des accidents de la
paralysie
spinale in-fantile être entravée par une rechute.
, mérite cependant de lui être comparé. Il peut être rapproché de ces
paralysies
temporaires décrites par Kennedy, et dont l'histo
ar Kennedy, et dont l'histoire ne saurait être séparée de celle de la
paralysie
infantile permanente. Ors. II. — Charles R...,
Il paraît bien établi que, ce jour-là, il n'avait plus de fièvre. La
paralysie
fut accompagnée, dès l'origine, d'une flaccidité
nt, je l'espère, Mes-sieurs, à mettre en évidence que certains cas de
paralysie
spi-nale aiguë, observés chez l'adulte, sont, au
dulte, sont, au point de vue clini-que, tout à fait assimilables à la
paralysie
spinale des jeunes enfants. Il resterait à déterm
points re-latifs à Yanatornie et à la physiologie pathologiques de la
paralysie
infantile spinale. Je trouverai ainsi l'occasion
1873, janvier, p. 80), se rapproche incontestable-ment beaucoup de la
paralysie
spinale infantile ; elle en diffère à quelques ég
araissent être un caractère constant de la lésion spinale propre à la
paralysie
atrophique des jeunes enfants. (J.-M. G.) plus
° Ce qui caractérise surtout, anatomiquement, la lésion spinale de la
paralysie
infantile, c'est la localisation étroite, systéma
es cellules nerveuses des cornes antérieures dans la pathogénie de la
paralysie
infantile et dts amyotrophies spinales progressiv
premier rang dans la caractéristique de la lésion spinale propre à la
paralysie
infan-tile. La localisation si remarquable des
mollissement rouge doit être compté parmi les lésions spi-nales de la
paralysie
infantile. Mais rien ne démontre, quant à présent
guë centrale vulgaire, les altérations de la moelle épinière, dans la
paralysie
des enfants, peuvent atteindre leur plus haut deg
rtaines formes, par exemple, d'atrophie musculaire progressive, ou de
paralysie
bulbaire (Fig. 10, C, D). 5° Enfin, une dernièr
les principaux traits viennent d'être rappelés, est constante dans la
paralysie
infantile , c'est là un fait capital que j'ai f
ût une con-séquence de l'inertie fonctionnelle des membres frappés de
paralysie
, car elle n'a rien de commun avec l'altération pa
lésions musculaires fort semblables à celles qui s'observent dans la
paralysie
des jeunes enfants 3. L'opinion que je me suis
ial, puis toute la série des acci-dents qui bientôt lui succèdent. La
paralysie
motrice, marquée par la suppression de la tonicit
lyo-myelitisanterior acutissima pour désigner la lésion spinale de la
paralysie
infantile (Loc. cit. n° 1, p. 3). Je crois téphro
ériphériques, dans les premières semai-nes qui suivent le début de la
paralysie
infantile, n'a pas en-core été reconnu de visu.
a-tions cliniques, de troubles durables de la sensibilité cutanée, de
paralysie
du rectum ou de la vessie, de troubles trophiques
e tient, vous le savez, un rang éminent dans la caractéristique de la
paralysie
infantile et elle contri-bue, pour une bonne part
it d'ailleurs son origine, pro-duira nécessairement, à l'instar de la
paralysie
infantile, la paralysie motrice avec l'atrophie r
e, pro-duira nécessairement, à l'instar de la paralysie infantile, la
paralysie
motrice avec l'atrophie rapide des muscles paraly
heure et qui font régu-lièrement défaut dans la symptomatologie de la
paralysie
in-fantile en raison même de la circonscription s
at s'opère souvent brusquement, et il peut être mar-qué comme dans la
paralysie
infantile, par un appareil fébrile plus ou moins
iennent qu'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la
paralysie
motrice avec flaccidité complète, amoindrissement
anesthésie cutanée plus ou moins profonde des membres pa-ralysés, la
paralysie
de la vessie et du rectum, l'émission d'u-rines a
vres complètes, t. h. 14 ment cités, font absolument défaut dans ia
paralysie
infantile, sont, au contraire, un fait vulgaire d
es phénomènes, qui, ainsi que le montre l'analyse physiologique de la
paralysie
infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cell
hies spinales aiguës, nous avons pris pour objet un type régulier, la
paralysie
infantile où les lésions spinales sont systématiq
reproduit en quelque sorte, je le repète, dans le mode chronique, la
paralysie
infantile, est relativement fort simple. Ainsi, l
faisceaux musculaires. Ce fait contraste avec ce que l'on sait des
paralysies
propre-ment dites ou par défaut d action nerveuse
re-ment dites ou par défaut d action nerveuse. Soit, par exemple, une
paralysie
des membres inférieurs déterminée par une compres
bstance grise, il est de règle qu'un de-gré plus ou moins prononcé de
paralysie
par suppression de l'action nerveuse s'ajoute aux
ode chronique, les altérations que nous avons décrites à propos de la
paralysie
infantile, et il y a lieu de supposer, comme dans
e recueil (année 1870, p. 247). Je l'ai présentée comme un exemple de
paralysie
glosso-laryngée. Obs. I, recueillie par M. Gomb
compensa-tion dans le reste de la colonne rachidienne. — Symptômes de
paralysie
labio-glosso-laryngée avec atrophie manifeste de
e de l'amyotrophie progressive protopathique, de même que celle de la
paralysie
infantile, ne peut être recon- La contractilité
s I et II ne peuvent guère être considérées que comme des exemples de
paralysie
spinale infantile, et l'observation VI, remarquab
e se rapporter naturellement au type créé par Duchenne sous le nom de
paralysie
spinale de l'adulte. Un pareil laisser-aller en m
Cruveilhier. — Biqletin di VAcadémie de médecine, 1833. — Id. Sur la
paralysie
musculaire atrophique, 5° série, t. VII, janvier
ici, le phénomène primitif ; elle ne s'accompagne pas tout d'abord de
paralysie
par interruption de l'influx nerveux parce que ce
ons musculaires de l'amyotrophie spinale protopathique à celles de la
paralysie
infantile. Ce sujetd'histologie pathologique a
res cir-\ constances, s'observe assez fréquemment dans le cours de la
paralysie
générale progressive : C'est là une coïncidence q
au. J'y reviendrai quand j'étudierai les amyotrophies bulbaires et la
paralysie
labio-glosso-laryngée. V. Fig, 20. — Coupe tr
oupe de la langue dans un cas de sclérose latérale amyotrophique avec
paralysie
labio-glosso-laryngée. souvent. Dans ces divers
es propres à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la
paralysie
motrice. — Contracture permanente spasmodique. —
partenant à M. Leyden. Elles ont été pu-bliées, comme des exemples de
paralysie
bulbaire avec amyotrophie musculaire progressive,
graphiques, semble croire qu'il a eu là, sous les yeux, un exemple de
paralysie
pseudo-hypertrophique telle que l'entend M. Duche
), dans la nou-velle édition de son livre3, a ouvert sous le tilre de
Paralysie
générale spinale diffuse subaiguë un chapitre où
es soient successivement, et dans un assez bref délai frappés tous de
paralysie
avec atrophie, ou, pour ce qui concerne spécialem
ur ce qui concerne spécialement les membres infé-rieurs, seulement de
paralysie
. Le malade, après quelques mois, un ou deux ans,
hie des masses musculaires, tandis que, dans la sclérose latérale, la
paralysie
domine certainement la situa-tion ; l'atrophie de
mpuissance motrice. En somme, il s'agit, dans ce cas, d'une véritable
paralysie
accompagnée ou plutôt suivie d'une atrophie plus
nt témoigne, entre autres, le cas de M. 0. Barth. IV. La forme de
paralysie
amyotrophique qui nous occupe s'ac-cuse le plus s
gie offre ce premier trait particulier qu'elle ne se complique pas de
paralysie
de la vessie ou du rectum et qu'il n'y a aucune
s qui, par leur réunion, composent le syndrome désigné sous le nom de
paralysie
làbio-glosso-la-ryngée. Nous ne ferons que signal
equel nous devrons revenir lorsque nous traiterons en particulier des
paralysies
de cause bulbaire. Je mentionnerai seulement, p
rties les plus curieuses du tableau, les symptômes suivants : 1° La
paralysie
de la langue amenant une gêne de la déglu-tition
tissée, comme ridée, et agitée de mouvements vermicu-laires ; 2° La
paralysie
du voile du palais qui rend la parole nason-née e
e du voile du palais qui rend la parole nason-née et concourt avec la
paralysie
laryngée à la gêne de la dé-glutition ; 3° Cell
urdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (
paralysie
, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthé
iode (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie,
paralysie
et contracture des membres inférieurs.) — Caractè
e. ~ Amyotroptiie consécutive à la se érose en plaques disséminées.
Paralysie
générale spinale subaiguë. — Analogies avec la pa
sséminées. Paralysie générale spinale subaiguë. — Analogies avec la
paralysie
infan-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépen
trophies indépendantes d'une lésion de la moelle épinière ; exemples.
Paralysie
pseudo-hypertrophique;— am.\otrophie saturnine.
ophique, la lésion symétrique des cordons latéraux, d'où résultent la
paralysie
et la contracture, se mon-tre la première, tandis
autres, plusieurs observations de M. Westphal relatives à des cas de
paralysie
générale progressive. (J.-M. G) ropathique. L'u
s difficile de fournir la raison anatomique et physiologique de cette
paralysie
et de comprendre, à ce double point de vue, l'abs
i dire obligatoire, de la contracture, dans les membres paralysés. La
paralysie
motrice est ici déterminée j par la formation du
logne) a le premier décrite, il y a longtemps de cela, sous le nom de
paralysie
générale spinale et que, pour mon compte, je ne c
er, aussi succinctement que possible, les principaux caractères de la
paralysie
générale spinale subaiguë. C'est une maladie de
a consigné l'influence du froid, du sé-jour dans un lieu humide. La
paralysie
générale spinale est envahissante, sans être pour
, vous allez le reconnaître, le type de la para-lysie infantile. La
paralysie
débute soit par les membres inférieurs, soit par
vessie et du rectum sont respectées, quelle que soit l'étendue de la
paralysie
et il ne se produit jamais d'es-carres. L'atrop
apparaître dans les membres paralysés, rappelle ce qu'on voit dans la
paralysie
infantile. Bien qu'elle prédomine sur certains mu
dans la sclérose latérale symétrique et que nous retrouverons dans la
paralysie
labio-glosso-laryngée proprement dite. En pa-reil
ans son évolution lente, qui s'étend parfois sur plusieurs années, la
paralysie
générale spinale subaiguë est sujette à des amen-
me un rapprochement curieux, qu'il n'est pas rare d'observer, dans la
paralysie
générale spinale, des troubles gasiriques, surven
e ce groupe, je citerai seulement, à titre d'exemple, la maladie dite
paralysie
pseudo-hypertrophique et les amyotrophies satur-n
xcès si l'on ne veut pas courir le risque de tout compro-mettre. La
paralysie
pseudo-hyperthrophique, dite encore myosclé-rosiq
fêtât anatomique des muscles et de la moelle cpi-nière dans un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique. In Archiv. de physio-logie
L'observation dont il s'agit est relative à un jeune sujet atteint de
paralysie
pseudo-hypertrophique qui a succombé à l'hôpital
57.) M. Duchenne (de Boulogne) l'a reproduite dans son mémoire sur la
paralysie
musculaire pseudo-hypertrophique (Archi-ves génér
ani-festèrent, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de
paralysie
motrice. La paralysie s'aggrava progressivement e
s membres inférieurs, les premiers symptômes de paralysie motrice. La
paralysie
s'aggrava progressivement et s'étendit aux membre
ivé de la plupart de ses mouvements. En même temps que progressait la
paralysie
des mouvements, des douleurs plus ou moins vives,
ards, celles qu'on trouve uniformément signalées dans tous les cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique jusqu'ici publiés ; mais ce
ons musculaires dont il s'agit n'appariient absolument en propre à la
paralysie
pseudo-hypertrophique, et ne saurait, par conséqu
peut se produire, à titre de complication éventuelle, encore dan« la
paralysie
infan-tile (l.aborde, thèse inau? , 1s64 ; — Prév
'auteur que je viens de citer, lorsque, refusant toute autonomie à la
paralysie
pseudo-hypertrophique, il avance que tous les fai
lui seul pour en démontrer l'inanité. D'après ces observations, la
paralysie
pseudo-hypertrophi-que doit être considérée comme
men microscopique Fig. 27. — Coupe transversale d'un muscle dans la
paralysie
pseudo-hypertro-phique. (Phase intermédiaire entr
proque a rendues Fig. 28. — Coupe longitudinale d'un muscle dans la
paralysie
pseudo-hypertro-phique (deuxième période du proce
e l'invasion du tissu adipeux se produit, à une certaine époque de la
paralysie
pseudo-hypertrophique, d'une manière fatale, au m
ce, un caractère vraiment distinctif; si bien que la dénomination de.
paralysie
myo-sclérosique, proposée par Duchenne (de Boulog
viendraient seulement aux périodes avancées. VI. L'histoire de la
paralysie
pseudo-hyperlrophique nous offre, vous le voyez,
altération a été retrouvée chez une femme de mon ser-vice atteinte de
paralysie
saturnine par M. Gombault, mon interne, qui, de p
s'est traduite, dans ces cas, ainsi qu'on eût pu le prévoir, par une
paralysie
avec amyotrophie dans le membre correspondant à l
Les troubles dits cephaliques tels que l'amblyopie ou l'amaurose, la
paralysie
des muscles mo-teurs de l'œil, appartiennent égal
émiplégiques dura-bles, consécutives à une lésion cérébrale en foyer,
paralysie
générale progressive, myélite partielle transvers
telligence, des désordres fonctionnels de la vessie ou du rectum, des
paralysies
des muscles moteurs oculaires, des lésions muscul
rve plutôt une pa-résie, une faiblesse des membres inférieurs, qu'une
paralysie
, dans l'acception littérale du mot. Les symptômes
emaines après la rétention apparaissent les premiers symptô-mes de la
paralysie
dus membres inférieurs ; à l'autopsie, ramollisse
eurs cas où les membres supérieurs ont été à leur tour envahis par la
paralysie
. Enfin, dans les cas graves, il est assez habitue
inférieur du côté correspondant à la fracture. Peu après survint une
paralysie
complète avec atrophie musculaire, dans le membre
toc cit. 4 Leyden, loc. cit., p. 21. une paraplégie, et enfin une
paralysie
des membres supé-rieurs. L'atrophie musculaire, a
parfois des soubresauts, lorsqu'un jour, en août 1875, survinrent la
paralysie
vésicale et des douleurs lombaires. Peu après, de
férieur droit, qui bientôt, en même temps que le moignon, fut pris de
paralysie
motrice avec flaccidité. Au bout de quelques jour
R. Leroy d'Étiolés ont eu surtout en vue dans leurs descriptions. La
paralysie
se montre ici absolument dans les mêmes circon-st
se rattache à la myélite partielle de cause rénale ou vésicale. La
paralysie
ne s'étend jamais aux membres supérieurs; il s'ag
lleurs plutôt là d'un affaiblissement parétique des membres que d'une
paralysie
proprement dite ; le pouvoir réflexe de la moelle
dite ; le pouvoir réflexe de la moelle n'est jamais accru ; jamais la
paralysie
, soit de la vessie, soit du rectum, ne vient s'ad
ganes entre les doigts, il se produit dans les membres inférieurs une
paralysie
du mouvement, laquelle persiste tant que dure la
, ainsi queje vous l'ai annoncé en commençant, un troisième groupe de
paralysies
urinaires. Les cas, en fort petit nombre, qui le
s lésions uro-génitales n'ont pas seules le pouvoir de déterminer des
paralysies
du 1 Wurzburg. Verhand, 1868. C.habcqt. Œuvre
-dissements, ni sensations quelconques rappelant une aura ; jamais de
paralysie
ni de parésie temporaires. A l'origine, c'est-à
e qu'auparavant. Ce n'est donc pas, vous le voyez, en détermi-nant la
paralysie
complète du nerf auditif que le sulfate de quinin
tion d'un foyer intra-cérébral d'hémor-ragie ou de ramollissement, la
paralysie
motrice, si le cas est favorable, s'atténue progr
re d'hômianesthé- soient montrés ; ou bien, si le cas est grave, la
paralysie
per-siste telle qu'elle, avec ou sans accompagnem
caractères des agitations de la chorée que du tremblement propre à la
paralysie
agitante ou du trem-blement sénile. J'ajouterai q
festement1. Après avoir reconnu, tout d'a-bord, l'absence chez lui de
paralysie
motrice, — et à part la céphalalgie, — de trouble
sé pourra être mis à exécution, l'insuccès sera l'exception *. 1 La
paralysie
motrice transitoire d'un membre, survenant tout à
e absence dont la durée n'avait pas dépassé le terme ordinaire, d'une
paralysie
subite affectant le membre supérieur gauche. En r
lument inerte, flasque, pendant le long du corps. Je constatai que la
paralysie
était limitée au membre supérieur gauche qu'elle
suivie d'un épuisement mo-mentané dont la traduction clinique est la
paralysie
tempo-raire avec flaccidité, qui s'observe en réa
ture du muscle sterno-mastoïdien du côté droit. Cinq jours après, une
paralysie
incomplète du mouvement, avec obnubilation de la
les accidents qui ont rapidement terminé l'existence de la malade, la
paralysie
progressive des muscles respiratoires. Le nombre
e jeu régulier de la cage thoracique. Toutefois, pour expliquer une
paralysie
aussi complète, dans les muscles pourvus de fibre
— Atrophie des muscles de la langue et de ïorbicidaire des lèvres. —
Paralysie
avec rigidité des membres inférieurs. — Atrophie
rononciation et tous les autres phénomènes rappelant le tableau de la
paralysie
labio-glosso-pharyngée s'étaient aggravés sans qu
naient norma-lement et, en particulier, il n'y avait pas de signes de
paralysie
diaphragmatique. Les membres inférieurs présent
or-nes antérieures de la moelle. — Atrophie musculaire progressive. —
Paralysie
glosso-laryngée. Elisabeth P..., 58 ans, est en
ur gauche, est un peu moins prononcée dans celui du côté droit. Cette
paralysie
s'accompagne d'un certain degré de contracture ;
tiplication évidente des noyaux de la névroglie. Note sur un cas de
paralysie
glosso-laryngée suivi d'au-topsie ; par J.-M. Gha
che au type clinique créé par M. Duchenne(de Boulogne) sous le nom de
paralysie
mus-culaire progressive de la langue, du voile du
s l'altération du noyau de l'hy-poglosse, mais bien l'existence d'une
paralysie
musculaire en partie au moins indépendante de l
encontrée déjà à propos de l'atrophie musculaire progressive et de la
paralysie
infantile spinale 2. Évidemment, on ne saurait, d
is étages dans le bulbe l'ensemble symptomatique connu sous le nom de
paralysie
glosso-labio-laryngée 3. L'anatomie pathologique
ans notre observation. 2 Dans l'atrophie musculaire progressive, la
paralysie
musculaire sans atrophie et l'atrophie sans paral
progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l'atrophie sans
paralysie
se trouvent souvent entremêlées sur les mêmes poi
l'état anatomique des muscles et de la moelle épinière dans un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophi-que; par J.-M. Charcot. (Voy
naient d'un jeune sujet atteint de l'affection décrite sous le nom de
paralysie
pseado-hypertro-phique ou myosclerosique, et qui
867 M. Duchenne (de Boulogne) l'a repro-duite dans son mémoire sur la
paralysie
musculaire pseudo-hypertrophique 2. Une bonne pho
arques relatives à l'anatomie et à la physiologie pathologiques de la
paralysie
pseudo-hyper-trophiqe suivront les principaux poi
lles finissent par Fig. 34. —Coupe transversale d'un muscle dans la
paralysie
pseudo-hyperthrophiqve (Phase intermé-diaire entr
ormation nouvelle Fig. 35.— Coupe longitudinale d'un muscle dans la
paralysie
pstudo-hypertrophique (Deuxième pé-riode du proce
général, le mode d'évolution de l'altéra-tion musculaire propre à la
paralysie
pseudo-hypertrophique. A l'origine, à part l'épai
tion définitive. En quoi consiste le processus morbide qui, dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, détermine l'altération du
ce, un caractère vraiment distinctif; si bien que la déno-mination de
paralysie
myosclérosique, proposée par Du-chenne (de Boulog
. Bans ces derniers temps, on a plusieurs fois émis l'opi-nion que la
paralysie
pseudo-hypertrophique, qui, à quelques égards, se
conduisent naturellement, c'est que, suivant toute vraisemblance, la
paralysie
pseudo-hyper- trophique doit être considérée co
ormulée. Cette observation est rapportée, en effet, par l'auteur à la
paralysie
pseudo-hyper-trophique et elle est suivie d'une r
membres inférieurs, les premiers symptômes de pa-ralysie motrice. La
paralysie
s'aggrava progressivement et s'é-tendit aux membr
vé de la plupart de ses mouvements. En même temps que progres-sait la
paralysie
des mouvements, des douleurs plus ou moins vives
appeler très brièvement les principaux traits au type classique de la
paralysie
pseudo-hyperfrophique. L'âge relativement avancé
gards celles qu'on trouve uniformément signalées dans tous les cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique jusqu'ici publiés ; mais ce
ne des lésions musculaires dont il s'agit n'appartient en propre à la
paralysie
pseudo-hypertrophique et ne saurait, par consé-qu
la suite des lésions traumatiques des nerfs 1 et dans quelques cas de
paralysie
infantile spinale 2 ; quant à la substitution gra
peut se produire, à titre de complication éventuelle, encore dans la
paralysie
infantile 3, dans l'atrophie musculaire progressi
alysie infantile 3, dans l'atrophie musculaire progressive *, dans la
paralysie
spinale de l'adulte 5, et dans bien d'autres circ
auteur que je viens de citer, lorsque, refusant toute autono-mie à la
paralysie
pseudo-hypertrophique, il avance que tous les fai
nité. — Après avoir reconnu que les altérations musculaires dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique ne relèvent pas de l'atro-p
y, Archives de physiologie, t. III, 1870, p. 34. 3 Laborde. — De la
paralysie
de l'enfance. Paris, 1864. — Prévost, — Comptes-r
écider à l'égard de l'état anatomique des nerfs périphériques dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, il est nécessaire d'entre-
nt de 32 ans, a eu des convulsions à 8 mois qui ont été suivies d'une
paralysie
du côté gauche. A partir de cette époque jusqu'à
ion II. — Maur..,, âgée de 33 ans. A 9 mois : con-vulsions suivies de
paralysie
du côté gauche. Accès d'épilepsie à 14 ans. Auj
s, de convulsions qui ont duré quatre heures et ont été suivies d'une
paralysie
incomplète du côté gauche. La para-lysie aurait d
sparu deux mois plus tard. A 6 ans, convulsions pendant cinq heures :
paralysie
incomplète des membres du côté gauche. — A 7 ans
ulgurantes symptomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la
paralysie
gé-nérale progressive et l'alcoolisme chronique.
a rétine, dans li glycosurie, la rétino-choroïdite syphilitique et la
paralysie
générale. De la neuro-rétinite. — ^es formes, s
s symptômes. — Prédominance, au début, des troubles moteurs: parésie,
paralysie
avec flaccidité, rigidité temporaire, con-tractur
.............................................. 141 NEUVIÈME LEÇON
paralysie
infantile. Sommaire. — Myopathies spinales ou d
lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise.
Paralysie
spinale infantile. — Elle sera considérée comme m
s, déformations, pied bot paralytique). Anatomie pathologique de la
paralysie
infantile. — Les lésions des mus-cles aux diverse
s nerveuses.................................... h63 DIXIÈME LEÇON
paralysie
spinale de l'adulte. — nouvelles concernant l'ana
le de l'adulte. — nouvelles concernant l'anatomie patho-logique de la
paralysie
spinale infantile. — amyotrophies consécuti-ves a
ies consécuti-ves aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. —
Paralysie
spinale de l'adulte : Historique. — Exposé d'un c
oulogne). — Faits personnels. — Analogies étroites qui rapprochent la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte et celle de l'enfant. —
x récents concernant l'anatomie tt la physiologie pathologiques de la
paralysie
spinale infantile ; ils confirment sur les points
Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la
paralysie
infantile, systématiquement limitées aux cornes a
es propres à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la
paralysie
motrice. — Contracture permanente spasmodique. —
urdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (
paralysie
, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthé
iode (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie,
paralysie
et contracture des membres inférieurs.) — Caractè
ie. Amyotrophie consécutive à la sclérose en plaques disséminées.
Paralysie
générale spinale subaiguë. — Analogies avec la pa
sséminées. Paralysie générale spinale subaiguë. — Analogies avec la
paralysie
infan-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépen
trophies indépendantes d'une lésion de la moelle épinière ; exemples.
Paralysie
pseudo-hypertrophique ; — amyotrophie saturnine.
térale symétrique amyotrophique........- 439 VI. Note sur un cas de
paralysie
labio-glosso-laryngée suivi d'au-topsie..........
l'état anatomique des muscles et de la moelle épinière dans un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique...........................
yélite aiguë centrale, 215. — Dans la pachy méningite, 215. — Dans la
paralysie
générale spinale, 280. — Dans la paralysie infant
méningite, 215. — Dans la paralysie générale spinale, 280. — Dans la
paralysie
infantile, ni, 175. — Dans la paraplégie cervical
5, 355,387. Bulbe rachidien, 432, 456, 458, 470. (V. Moelle, Nerfs,
Paralysie
glosso-laryngée, sclérose.) C Cancer vertéb
re protopathique, 220. Dans la myélite aiguë centrale, 209. — Dans la
paralysie
générale spinale, 190. — Dans lu paralysie infant
ë centrale, 209. — Dans la paralysie générale spinale, 190. — Dans lu
paralysie
infantile, 170. — Dans la. paraplé-gie par compre
mus-culaire, 222. — Dans la sclérose latérale amyotrophique, 256. (V.
Paralysie
infantile.) Dégénérations secondaires, 24, 25,
29, 318. Dysphagie dans la compression de la moelle, 151. — Dans la
paralysie
glosso-laryngée, 463, 474. E Embolie de l'a
angue (Lésions de la) dans les amyotrophies, 441, 445, 454. — Dans la
paralysie
labio-glosso-la-ryngée, 466, 467. Leçons de cho
de cheval, 159. — Lésions trauma-tiques, 21C. — Etat de la — dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie,
o-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie, Bulbe-, Cellules, Cornes,
Paralysies
glosso-laryngée et infantile, Scléroses, etc.
sec-tion des), 205. — Bulbaires (Lé-sions des), 42. (V. Amyotrophies,
Paralysies
, etc.) — Cérébraux (Atrophie des), 5, 43. — Optiq
-tige de Meniere, 342, 346. Os (Arrêt de développement des) dans la
paralysie
infantile, 122. (V. Ar-thropathies, Ataxies.) O
. — Cervicale hyper-trophique, 120, 215, 271, 274. — Gommeuse, 390.
Paralysie
agitante, 371. — Par com-pression, 125. — Général
ses gastriques, 37. — Fréquence du — dans l'ataxie, 37. — Dans la
paralysie
glosso-la-ryngée, 428, 455,456,465.—Ralentis-seme
. — Du protoplasma, 21. Pseudo-névralgies (Des), 109,112. — Dans la
paralysie
cervicale, 142. Psoriasis palmaire syphilitique
gurantes, 66. — Arthropathies, 67 ; — Hémiparaplé-gie spinale, 13»; —
Paralysie
spi-nale aiguë de l'adulte, 192 ; — P. glosso-lar
113 ; — traitement, 413. Vessie (Contracture du col de la), 127. —
Paralysie
, 127. — Théorie de Budge, relative à l'action du
. — Troubles de la — dans la compression de la moelle, 127. — Dans la
paralysie
spinale aiguë, dans la myélite aiguë, 209. — Dans
s moteurs. Ce que l'on observe de beaucoup le plus souvent c'est la
paralysie
flasque avec abolition des réflexes. Elle peut
téristiques de la syphilis des artères. - Rarement on observe des
paralysies
spasmodiques, avec raideurs, contractures, exag
Mais ces troubles sont très passagers, souvent précurseurs de la
paralysie
. Ils relèvent de l'irritation corticale par isché
'est là un signe trop rare pour qu'on puisse compter sur lui. Les
paralysies
oculaires sont très rares ; elles n'existent gu
1 Thibierge. Gaz. des Hôpitaux, 1889. 2 En dehors bien entendu des
paralysies
précoces passagères, sponta- nément curables, q
un surmenage quelconque elle fléchit, et c'est, suivant le cas, une
paralysie
, des phénomènes aphasiques ou un léger trouble
symptôme qu'un peu d'en- gourdissement de la région paralysée. ' La
paralysie
est limitée, mais elle est le plus souvent comp
sa main retomber inerte, sa jambe fléchir ou sa face se dévier. La
paralysie
dure un, deux, trois jours, puis rétrocède même
out sur les nerfs craniens. Nous rapportons plus loin un exemple de
paralysie
de la sixième paire pro- duite par un anévrisme
igraine ophtalmique; que souvent on peut dès cette période voir des
paralysies
oculaires, dues probablement à l'action du viru
une forme intellec- tuelle c présentant beaucoup de symptômes de la
paralysie
générale, mais dont la [nature syphilitique se
ormes par les pro- dromes mais aussi parce que, outre les signes de
paralysie
générale, il y a certains symptômes d'endartéri
l'aphasie transitoire, etc. 11 Il est probable que ces symptômes de
paralysie
générale ne relèvent pas directement des lésion
Lés cas bien connus où la syphilis cérébrale prend le masque de la
paralysie
générale ne nous ont pas paru se rattacher à la
droit exécutent tous les mouvements et- avec une force normale. La
paralysie
est localisée aux muscles moteurs de la main et
poignet et les premières phalanges, mais sans force. On trouve une
paralysie
très nette du facial inférieur gauche : .' sill
alement. La motilité de l'oeil droit est intacte. Il - y a donc une
paralysie
périphérique de la sixième paire gauche. Aucun
e membres sont en réso- lution ; la respiration est stertoreuse; la
paralysie
faciale gauche s'est accentuée, la malade fume
nous reste à interpréter trois symptômes : la monoplégie droite, la
paralysie
de l'abducens et du facial gauches. Clini- quem
pouvait t admettre une, deux ou trois lésions. L'existence d'une
paralysie
du droit externe, sans aucun trouble du côté du
la sixième paire gauche. Pouvait-on aussi lui faire expliquer la
paralysie
faciale gauche et la monoplégie brachiale droite
ls. UhtholT', sur 150 cas de syphilis cérébrale a relevé 26 fois la
paralysie
de la sixième paire; 11 fois elle était accompa
hilitique, présentant, à la suite d'un rictus apoplec- tiforme, une
paralysie
de la sixième paire gauche avec hémi- plégie dr
ce et dysarthrie. Le traitement antisyphilitique fit disparaître la
paralysie
oculaire, l'hémi- plégie diminua mais sans disp
res destinées au facial de l'autre côté. D'autre part, dit-il, la
paralysie
faciale n'atteignant que le facial inférieur ne
ie faciale n'atteignant que le facial inférieur ne pouvait être une
paralysie
périphérique. localisation au pli courbe) ; arr
r le processus. Dans notre cas la difficulté était analogue'pour la
paralysie
de la septième paire : si la paralysie faciale
culté était analogue'pour la paralysie de la septième paire : si la
paralysie
faciale gauche avait été totale on aurait pu in
aît des observations semblables; dans un cas de Raymond* il y avait
paralysie
simultanée des sixième, septième et douzième pa
observation de Gajlciewicz il y avait hémiplégie gauche incomplète,
paralysie
des sixième et septième paires droites. L'auteu
les sixième et septième paires du même côté. Le type cérébral de la
paralysie
faciale gauche dans notre cas ne nous permettai
rachiale droite pouvait-elle être attribuée à la même lésion que la
paralysie
de l'abducens ? Nous n'avions pas la même raiso
epousser la compression de la pyramide, puisque dans notre cas la
paralysie
, n'atteignant que le bras, respectait la face du
: deux lésions hé- misphériques pour la monoplégie brachiale et la
paralysie
fa- ciale, une lésion basale pour la paralysie
égie brachiale et la paralysie fa- ciale, une lésion basale pour la
paralysie
de l'abducens gauche. Quant à l'ictus terminal,
(Sainte-Anue). CHAPITRE PREMIER R Historique. 1.- L'éLude de la
paralysie
générale a fait de grands pro- grès. Mais depui
équents, constants. Il faut avouer pourtant que si l'histoire de la
paralysie
générale est vieille, il n'y a qu'une dizaine d
econnu depuis longtemps déjà que le processus inflammatoire de la
paralysie
générale ne se localise pas uniquement au cerveau
tent entre les lésions nerveuses, médullaires et cérébrales dans la
paralysie
générale. M. Auguste Voisin', dans son traité,
décrit les moindres signes et signale les troubles trophiques de la
paralysie
générale, sans dire pourtant si les symptômes t
res. Dans le remarquable article du dictionnaire Dechambre sur la
paralysie
générale, MM. Christian et Ilitti ne pensent po
propreté auxquels les paralytiques sont soumis ». 1 Calmeil. De la
paralysie
considérée chez les aliénés, 1826. . Magnan. -
es centres nerveux. Paris, 1876, p. 70. 3 A. Voisin. Traité de la
paralysie
générale des aliénés, 1879, p. 152. TROUBLES
Ballet et Blocq s, les troubles trophiques sont fort rares dans la
paralysie
générale : en l'absence de compli- cations, et,
ine de Charcot-Bouchard, t. VI, p. 1042. 8 Magnan et Sérieux. De la
paralysie
générale, p. 47. 7 Arnaud. Sur la période termi
paralysie générale, p. 47. 7 Arnaud. Sur la période terminale de la
paralysie
générale et sur la mort des pamlytiglles généra
logie, juin 1897, p. 441). 24 CLINIQUE MENTALE. terminale de la
paralysie
générale, dit que ces troubles « ne sont, à bea
sur l'existence ni sur la fréquence des troubles trophiques dans la
paralysie
générale. II. Il est étrange que ces troubles t
cutif d'un processus inflammatoire. Et l'on trouve en effet dans la
paralysie
générale des lésions de tout le système nerveux
alite diffuse est une maladie de tout le système nerveux. Dans la
paralysie
générale, les cellules corticales sont pro- fon
3. Sur les fines altérations de I'écorce. 3 Magnan Rapports de la
paralysie
générale el de la folie, mémoire couronné par l
erver l'importance des troubles de l'innervation vaso-motrice de la
paralysie
générale, au point de vue de la marche clinique
oint de vue de la marche clinique de la maladie, insiste sur 'les
paralysies
vasculaires constatées aux différents stades de l
les paralysies vasculaires constatées aux différents stades de la
paralysie
générale. Elles sont analogues aux paralysies exp
ifférents stades de la paralysie générale. Elles sont analogues aux
paralysies
expé- rimentales de Claude Bernard, dues aux se
878, dans ses Leçons cliniques, signala les lésions nerveuses de la
paralysie
géné- ' Magnan. De la lésion anatomique de la p
euses de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion anatomique de la
paralysie
générale. Thèse de Tans, 1866, p. 15. a Trait
aré. Recherches sur l'anatomie, pallzolo ! lique et la nature de la
paralysie
générale (Annales 71étlico -psycho 1., 1S65). "
ons du cerveau el certaines lésions de la moelle el des nerfs de la
paralysie
générale (Gaz. des Hôpitaux, mars 1871). 26 C
verses paires crâ- niennes, il expliqua leur rôle important dans la
paralysie
générale. Plus tard, se basant sur l'examen his
du nerf optique peut devancer de plusieurs années l'éclosion de la
paralysie
géné- rale. Krafft-Ebing 2 considère l'amblyo
tre- ment dit, les troubles trophiques sont-ils fréquents dans la
paralysie
générale ? On sait que les troubles trophiques
a sclérose du nerf 'Optique et des nerfs moteurs de l'oeil clans la
paralysie
générale (Archives de physiol. norm. et pallcol.,
- drons plus loin sur l'indolence des troubles trophiques dans la
paralysie
générale.) Ces mauvaises conditions entravent l
ent les recherches statis- tiques. Si les troubles trophiques de la
paralysie
générale étaient aussi bruyants que ceux du tab
vons écarté de notre liste ceux qui errent sur les frontières de la
paralysie
générale, un pied dans la démence paralytique e
ous avons observé de cette façon 24 femmes et 33 hommes atteints de
paralysie
progressive : 28 8 CLINIQUE MENTALE. Sur ces
ite périphérique. Ranvier5 d'abord. I)tiisBoddaerL6 ' Klippel. - La
paralysie
générale, lésions et symptômes spéciaux, formes
oculaires. L'appareil de la vision, dès les premiers travaux sur la
paralysie
générale, a attiré l'attention des cliniciens.
chaque fois que la vue était troublée chez les malades atteints de
paralysie
générale. Il parla aussi d'un oedème péripupill
férents faits, examina indistinctement tous ses malades atteints de
paralysie
géné- rale. Dans au moins les deux tiers des ca
trois ans avant l'apparition des signes cliniques ordinaires de la
paralysie
générale. La pupille se modifie en couleur, pâl
uvent plus difficile de reconnaître un état * Magnan et Sérieux. La
paralysie
générale, p. 19. 2 Galezowski. Sur les altérati
(Union août 1866). ' Magnan. Signes essentiels et accessoires de la
paralysie
générale (Gaz. des 116pi1., 12, li, 19 et 23 ma
13). 0 Neil Jameson Hepburn. Symptômes oculaires précoces dans la
paralysie
générale (Vol. LI, p. 301, i, American Journal of
» disait M. Ballet dans une leçon sur les troubles oculaires de la
paralysie
générale. Enfin, Chariot2 et ses élèves, Parina
au et des annexes. Le revêtement cutané est souvent atteint dans la
paralysie
générale. Ce sont tantôt des éruptions aiguës
ptions aiguës apparaissent et disparaissent à un moment donné de la
paralysie
générale; nous avons observé qu'elles se manife
re de nos observations. ' S. Ballet. Les troubles oculaires dans la
paralysie
générale (Pro- grès médical, 1893, t. II, p. 43
tion à l'élude de la pathologie et de l'anatomie pathologique de la
paralysie
générale (Arch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante
rch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante. Les troubles trophiques de la
paralysie
générale (Gaz. heb., 1894, p. 98). TROUBLES T
le 12 août 1896. Certificat de M. le Dr Pactet : « Est atteint de
paralysie
générale. Affaiblissement des facultés mentales
décembre 1896. Certificat immédiat de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées ambitieuses. Hésitation de
pupillaire. » M. le Dr Vallon a également porté le diagnostic de
paralysie
générale « avec affaiblissement intellectuel et p
llejuif, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées de satisfaction et quelques p
f le 14 septembre 1896. Certificat de M. Briand : « Est atteinte de
paralysie
générale avec agitation et idees incohérentes d
ns, jardinier. Certificat immédiat du 10 juillet : « Est atteint de
paralysie
générale. Idées ambitieuses. Emotivilé. Hésitat
en est pas moins vrai qu'elles sont la et n'existaient pas avant la
paralysie
générale. Elles sont survenues au cours de la m
ra. - Le purpura est considéré comme trouble circu- latoire dans la
paralysie
générale. Cependant l'apparition et la disparit
La malade L... Elisa, cinquante-un ans, modiste, a été atteinte de
paralysie
générale ; affaiblissement des facultés intellect
e 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec préoccupations hypocondriaques et
s atteints de zona. Schüle note aussi les éruptions de zona dans la
paralysie
générale. Pour Krafft-Ebing, le zona n'est pas
ralysie générale. Pour Krafft-Ebing, le zona n'est pas rare dans la
paralysie
géné- rale. Dans la thèse de M. Gonnet 10 nous
P. Sérieux et deux à l'auteur de la-thèse. Le zona existe dans là
paralysie
générale sans aucun doute. Il y est même assez
faites à la Salpêtrière, t. I, 5° édit., 1884. . Foville. Article
Paralysie
générale, in Dict. Dechambre. ° Fèvre. - Des al
8 Ramadier. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans la
paralysie
générale (Thèse de Paris, 1884). 9 Schiile. Tra
souvent inaperçu. Il peut survenir avant l'éclosion confirmée de la
paralysie
générale. Tout dernièrement,- à propos d'un cas
homme de trente ans qui présentait six mois après des phénomènes de
paralysie
générale, M. Danlos' demandait dans une communi
venu quelques mois avant les signes physiques et psy- chiques de la
paralysie
générale (observation VIII). Observation VU. Zo
-sept ans, journalière. Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec irritabilité. Légère excitation p
is ni l'un ni l'autre ne faisaient excès de boissons. Début de la
paralysie
en 1892. A cette époque, la malade a eu de l'ap
juif, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec idées de satisfaction ; propos inco
, chez elle, a précédé de quelques mois les premiers troubles de la
paralysie
générale, et par l'eschare qui a rapidement évo
écu- bitus dorsal. Elle n'était ni alcoolique ni syphilitique. La
paralysie
générale a marché il grands pas : six mois après
t-huit ans, menuisier. ' Certificat de M. Vallon : « Est atteint de
paralysie
générale. Affaiblissement des facultés mentales
st due à M. Lanceraux' : le malade ayant succombé, le diagnostic de
paralysie
générale fut confirmé par l'autopsie. Mais c'es
ejuif le 29 avril 1892. Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec idées de satisfaction, propos incoh
athologique, 1879, t. II, p. 71. 2 Christian. Mal perforant dans la
paralysie
générale (Annales médico-psych., 1882, p. 230).
dico-psych., 1882, p. 230). 3 Marandon de Montyel. Mal perforant et
paralysie
générale (Encé- phale), 1888, p. 257. j z * B
phale), 1888, p. 257. j z * Barthélémy. Du mal perforant dans la
paralysie
générale (Thèse de Paris, 1890). TROUBLES TRO
bumine dans les urines. L'eschare. Un des troubles trophiques de la
paralysie
générale les plus connus, c'est l'eschare. Elle
soit d'un état général de cachexie (Durante 3). Elle existe dans la
paralysie
générale ; elle n'est pas due seulement à la ma
offroy. Annales nédico scla., 1865. 2 Frégevu. Des eschares dans la
paralysie
générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil.
42 CLINIQUE MENTALE. L'eschare peut apparaître dès le début de la
paralysie
géné- rale, ainsi que le signalent MM. Christia
uif le 38 octobre 1896. Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec idées ambitieuses. Propos incohér
signé le certificat suivant : a Alcoolisme chroni- que tendant à la
paralysie
générale. Hallucinations pénibles. Idées de per
juif le 1er avril 189G. Certificat de M. Briand : « Est atteinte de
paralysie
générale avec idées hypocondriaques. Légère hésit
a déboité quatre dents ». Syphilis ? Réflexion. Dès le début de la
paralysie
générale, la malade commence à perdre ses dents
L'intelligence baissait de jour en jour, le moi s'effondrait, et la
paralysie
marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit.
in 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec préoccupations hypocondriaques, i
e 19 décembre 1896. Certificat de M. le Dl' Vallon : Est atteint de
paralysie
générale. Affaiblissement des facultés mentales.
llejuif le 23 novembre 1895. Certificat immédiat : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées incohérentes de satisfactio
r 1896, avec le certificat suivant de I. \Iannau : « Est atteint de
paralysie
générale. Apathie. Indifférence. Cons- cience t
tabilités réflexes. Aussi le trouve-t-on, comme le premier, dans la
paralysie
spinale spasmodique, la sclérose latérale amyotro
e et mécanique du radical et des muscles qu'il anime dans un cas de
paralysie
par compression de radical, Tableaux. Tracés. L
n elle est périnucléaire (intoxication expérimentale par l'arsenic,
paralysie
de Landry), ou encore elle peut être diffuse pa
sque cons- tamment la défectuosité est unilatérale; il n'y a pas de
paralysie
ni de troubles fonctionnels essentiels. Ce sont
t on a comprimé la moelle lombaire avec une forte ligature de soie (
paralysie
complète des pattes postérieures), on trouve au
ésultat chez un chien tué cinq jours après écrasement de la moelle (
paralysie
complète). Un troisième chien tué le 24° jour a
stic. Ce syndrome est composé de trois phénomèmes principaux : 1°
paralysie
du membre superieur du côté de la lésion, avec
t avoir été témoins de faits ana- logues. SOCIÉTÉS SAVANTES. 83
Paralysie
générale juvénile hérédo-syphilitique. M. Solli
sept ans, ayant présenté successivement la plupart des signes de la
paralysie
générale : hésitation de la parole, inégalité pup
ne parle ni de l'excitation ni de l'insomnie, si fréquentes dans la
paralysie
générale. Les dents n'ont pas le caractère décrit
sie ne vienne pas confirmer le diagnostic. Il fait remarquer que la
paralysie
générale n'a pas le même aspect dans l'enfance
nte mater- nelle étaient aliénées. M. Christian ne croit pas à la
paralysie
générale dans l'enfance pour lui la plupart des
nte lajeune fille de M. Sollier doit faire écarter le diagnostic de
paralysie
gêné raie. M. 1313RAND. On ne peut nier l'exi
ralysie gêné raie. M. 1313RAND. On ne peut nier l'existence de la
paralysie
géné- rale juvénile. Elle se préseute avec une
ire. M. Vallon. Quant à l'autopsie d'un jeune sujet, soupçonné de
paralysie
générale, on trouve tous les signes macroscopique
de paralysie générale, on trouve tous les signes macroscopiques de
paralysie
générale, il est bien difficile de nier ce diagno
iques. 84 SOCIÉTÉS savantes. M : Voisin a aussi observé un cas de
paralysie
générale chez une jeune fille. La syphilis du p
malades. Séance du 23 mai 1897. I. M. le professeur Ko.tewvhorr..
Paralysie
bulbaire asthénique. Présentation de la malade
donné, malgré ses particularités, peut être rapporté justement à la
paralysie
bul- baire asthénique. Pourtant beaucoup de phé
ion du tronc cérébral, ce qui donne la possibilité ,de rapporter la
paralysie
asthénique bulbaire à la catégorie des maladies
'épilepsie partielle, quelquefois bien limitée. On peut dire que la
paralysie
flasque n'appartient pas au tableau de lasyphil
sie flasque n'appartient pas au tableau de lasyphilis méningée. Les
paralysies
sont il peu près toujours accompagnées, dès leu
ance des lésions de l'écorce et rappelle celle de cer- tains cas de
paralysie
générale grave. L'iclits apoplectique, moins gr
st une convulsion épileptiforme isolée , sans autres symptômes; une
paralysie
oculaire brusque, des phé- nomènes aphasiques é
moitié de la face et hémiplégie du côté opposé, syndrome de Weber ,
paralysie
de la sixième paire et hémiplégie du côté oppos
llard devant les yeux, chute, mais sans perte de connaissance, sans
paralysie
consécutive. Le tout ne dura que quelques minut
mplète des deux côtés. Pupilles égales, dilatées, immobiles. Pas de
paralysie
oculaire. L'hémiplégie persiste avec les mêmes
pouvaient faire penser qu'à une localisation méningée. L'absence de
paralysie
dans le domaine des nerfs crâniens, l'absence d
fait bien pour les mouvements exé- cutés au lit. Il n'y a pas de
paralysie
musculaire,pas d'asthénie bien pronon- 120 CLIN
siste assez bien aux mouvements qu'on imprime à ses membres. Pas de
paralysie
faciale. Abolition complète des réflexes rotuli
le difficilement et à voix basse; il n'y a ni lésions laryngées, ni
paralysie
des cordes vocales. Dyspnée assez intense. Un p
gmenté, la marche est normale. Il y a encore un très léger degré de
paralysie
faciale, et de parésie du membre supérieur. Réf
diverses, et avec vérification indiscutable du diagnostic. Nous LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 127 7 nous sommes d'ailleurs néanmoin
ultant de l'association de lésions diverses. CLINIQUE MENTALE. LA
PARALYSIE
GENERALE'; Par le Dr Alexandrk PARIS, \Iéseci
etc., faisant du type classique, ou donné comme tel, la soi-disant
paralysie
générale proprement dite, une affection surtout
on disserte depuis plus d'un demi siècle sur cette ques- tion de la
paralysie
générale sans parvenir à l'élucider, sans 1 Com
tes les lésions que l'on voudrait comprendre sous la dénomination «
paralysie
générale», c'est peut-être parce que l'on a fai
que l'on a fait fausse route. Les descriptions classiques du type «
paralysie
générale » n'impliqueraient-clles pas déjà par
-clles pas déjà par elles-mêmes l'existence de diverses variétés de
paralysies
générales ? Mon but est surtout d'établir qu'au
e comme constituant une entité morbide. On dit, par exemple, que la
paralysie
générale peut affec- ter diverses formes, une f
ement à l'existence ou à la non- existence d'hallucinations dans la
paralysie
générale n'in- diquent-elles pas par leur diver
impliquent-elles pas qu'il peut y avoir halluci- nations dans telle
paralysie
générale ou plutôt dans la période paralytiform
on. Quelle est l'étio- logie spéciale, la pathogénie spéciale de la
paralysie
géné- rale entrecoupée de rémissions courtes, q
de rémissions courtes, quelle est l'étiologie, la pathogénie de la
paralysie
générale entrecoupée de remissions très longues
s très longues et comment se fait-il qu'il y ait à côté d'elles une
paralysie
générale à marche progressive et LA PARALYSIE G
à côté d'elles une paralysie générale à marche progressive et LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 129 continue ? Evidemment ces évoluti
as les mêmes dans tous les cas. On attribue généralement aussi à la
paralysie
générale proprement dite une durée assez variab
ence d'étiologie que peut être attribuée la différence de durée des
paralysies
générales chez l'homme et chez la femme ? Qua
rapports avec la symptomatologie et l'étio- logie : pour les uns la
paralysie
générale est due à une alté- ration inflammatoi
ymptomatologie, la marche et les termi- naisons de cette soi-disant
paralysie
générale. Il a fallu quelques cas de guérison,
tiques, pour que l'on songe à diminuer l'étendue du domaine de la
paralysie
générale proprement dite; mais, comme dans ces
par exemple, la pseudo-paralysie générale alcoolique, la pseudo-
paralysie
générale saturnine. Tous les individus qui font
n pour en faire une entité morbide. Mais, me dira-t-on encore, la
paralysie
générale alcoo- lique, la phase paralytiforme,
l'ont z Phase paralytiforme de l'alcoolisme et du saturnisme. LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 131 toujours triste ou qui passent pa
ent diverses prétendues complications signalées dans le cours des
paralysies
générales, convulsions épileptiformes, contrac-
telles ou telles intoxications aboutissant à une période dite de
paralysie
générale. C'est une probabilité à laquelle les
tenté d'augmen- ter le nombre des pseudo-paralysies générales. La
paralysie
générale conservée encore comme type et à laque
ictus congestif ou par marasme. Dn reste, l'opinion qui veut que la
paralysie
générale pro- prement dite soit toujours d'orig
quelques-unes encore : l' Si l'hérédo-sypliilis peut être cause de
paralysie
géné- rale, comme on l'en accuse, comment se fa
is se rencontrent dans tous les rangs de la société et cependant la
paralysie
générale est extrêmement rare, je pourrais même
Ceci dit pour établir qu'il n'est pas très logique de prendre LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 133 pour type des états paralytiforme
ype des états paralytiformes indûment baptisés de la dénomination «
paralysie
générale » un état pathologique dont l'étiologi
cutable et aussi obscure, et pour montrer que ce soi-disant type de
paralysie
générale pourrait aussi bien, sinon avec plus d
et moins discutée. Mais nous ne trouvons pas là, en somme, cette
paralysie
générale classique, tronc en quelque sorte de l
paralysie générale classique, tronc en quelque sorte de la vieille
paralysie
générale ébranchée ? Je crois aussi qu'il peut
s caractères de ces pseudo-paralysies générales donne la soi-disant
paralysie
générale proprement dite, décrite comme type. E
ordinaire et d'illogique, par exemple, à admettre que la soi-disant
paralysie
générale typique est le résultat d'intoxication
causes aggravantes plus nombreuses à une cause prédominante que la
paralysie
géné- rale de l'homme est habituellement de plu
femme ? Enfin, je le répète, les des- criptions classiques du type
paralysie
générale ne sont-elles pas la synthèse de tous
tous les symptômes, de tous les caractères observés dans toutes les
paralysies
ou pseudo-paralysies générales, synthèse établi
MENTALE. Il n'y a donc pas plus lieu, à mon sens, d'admettre une
paralysie
générale entité morbide, qu'il ne serait logique
que de faire une entité morbide de l'ascite ou de l'anasarque. La
paralysie
générale se réduit en dernière analyse aune agglo
n ne manquerait pas de m'objecter que je ne vois comme causes de la
paralysie
générale que des intoxications banales, alcooli
etale ou par conhtitu- tion acquise défectueuse et cette soi-disant
paralysie
géné- rale, en réalité cette phase ultime d'aut
ie la symptomatologie d'une entité morbide ? `' La dénomination c
paralysie
générale » ne rappelle pres- que rien du passé,
s cardiaques, de cancer du foie, etc. Cette façon d'envisager les
paralysies
générales ne peut être nettement établie que pa
aujourd'hui, est simplement de placer la question de l'étude de la
paralysie
générale sur un terrain sensible- ment différen
per- mettront bientôt, en présence de cas rappelant nos anciennes
paralysies
générales et les renseignements commémoratifs a
appartenant à la folie commune, de celles présentées au cours de la
paralysie
générale, laquelle se montre relativement fréqu
que 7 cas. Combien cette proportion change, si l'on fait rentrer la
paralysie
générale dans la syphilis cérébrale ! La théo
nérale dans la syphilis cérébrale ! La théorie syphilitique de la
paralysie
générale a gagné du terrain dans ces dernières
ments directs de démonstration des rapports entre la syphilis et la
paralysie
générale se résument en un seul, la statistique
cette maladie infectieuse doit jouer un rôle dansl'étiotogie de la
paralysie
générale ' ? D'autre part, il est démontré qu'i
xiste des pays où la syphilis est très répandue, et où cependant la
paralysie
générale est inconnue ou à peu près. Ce qu'il
inconnue ou à peu près. Ce qu'il faudrait démontrer, c'est que la
paralysie
générale dérive de la syphilis, qu'il existe un
as faite que la syphilis est l'antécédent nécessaire, obligé, de la
paralysie
générale, tant qu'on en sera réduit à invoquer
professeur Fournier, quand il a décrit, sous le nom de a pseudo-
paralysie
générale syphilitique », une encéphalopathie due
syphilis et présentant à peu près l'ensemble symptomatique de la
paralysie
générale. C'est là une affection dont la nature n
0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. pas le cas, malheureusement, pour la
paralysie
générale vraie. (Annales med : co-ps ! /c/t0of/
s formes do maladies mentales. Parmi ces dernières, c'est dans la
paralysie
générale que celle analgésie se rencontre avec
ence de ce symptôme est à peu près la même dans le tabes et dans la
paralysie
générale, ce qui pourrait être REVUE DE PATHOLO
Latah et la folie. R. DE XXII. Une maladie mentale (autre que la
paralysie
générale) associée £ au tares Dolt\Lls; par P.-
ction mentale qui est presque exclusivement annexée au tabes est la
paralysie
générale : le cas dont il s'agit est une except
ien que le certificat d'admission à l'asile portât le diagnostic de
paralysie
générale, le médecin qui l'avait signé ne relev
même des troubles de la sensibilité allant jusqu'au délire; mais de
paralysie
générale, nul symptôme. L'autopsie d'ailleurs r
les symptômes classiques de l'ataxie. sans aucune des lésions de la
paralysie
générale. Quant aux attaques épileptiformes, il
nt adoptée, l'affection mentale n'a nullement revêtu la forme de la
paralysie
générale. R. DE Musgrave-Clay. XXIII. L'héréd
e chez 90 p. 100 des aliénés. R. M. C. XXIV. L'augmentation DE la
paralysie
générale EN ANGLETERRE ET DANS LE PAYS DE GALLE
. 2° Il existe des preuves d'un accrois- sement de la tendance à la
paralysie
générale. 3° Cette ten- dance est surtout marqu
on peut établir un parallélisme étroit entre l'accroissement de la
paralysie
générale et les habitudes d'ivrognerie. 8° Les
ologiques qui jouent le rôle le plus important dans la genèse de la
paralysie
générale sont l'alcoolisme, les excès vénériens
femme diminuent d'importance en tant que facteurs effectifs de la
paralysie
générale, qui parait tirer son origine des instin
que des instincts altruistes. 9° La prédomi- nance croissante de la
paralysie
générale indique une modifica- tion dans le typ
rses psychopathies. P. K. XXVI. Contribution A la casuistique DE la
paralysie
générale MIDI- fiée; par J. Bielkowsky. (Centra
les autres symptômes appartiennent aussi bien à ['hystérie qu'à la
paralysie
générale. Pour arriver à établir le diagnostic
à la paralysie générale. Pour arriver à établir le diagnostic de la
paralysie
géné- rale l'auteur se base : sur la précocité
les considérations relatives à la symp- tomatologie comparée de .la
paralysie
générale et de l'hystérie. L'ensemble de ces sy
de l'hystérie. L'ensemble de ces symptômes (anesthésie, parésie ou
paralysie
des pupilles, gâtisme, amnésie, oedème du pied
tuel sont caractéristiques de 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. la
paralysie
générale. Le malade meurt d'ailleurs dans le mara
al pendant la convalescence. A. Fenayrou. XXXIII. Neurasthénie ET
paralysie
générale; par M. E. Régis. (Presse médicale, 7
D'après l'auteur, dans le diagnostic de la neurasthénie et de la
paralysie
générale au début, la première question à se pose
somption des plus sérieuses contre l'existence ou l'imminence de la
paralysie
générale ; en effet, il est rare que cette derniè
qui dépen- dent de la syphilis ; quand la syphilis n'existe pas, la
paralysie
géné- rale peut être à peu près sûrement écarté
opathie, n'ont que l'image, l'apparence, mais surtout la peur de la
paralysie
générale. Les cérébraux, descendants de congest
e ces cérébras- thénies infectieuses se rapprochent tellement de la
paralysie
géné- rale, par leur origine, par leurs symptôm
sthénie serait un véritable com- mencement, susceptible d'arrêt, de
paralysie
générale. A. L' ENATRUU. XXXIV. Nouvelle addi
athique cervical, cause des principaux symptômes de la maladie ; la
paralysie
du muscle lisse orbitaire interne ferait dispar
utes les chances possibles de guérison. A. V. XV. Discussion SUR L\
paralysie
générale, les soins hygiéniques ET ùLLDICUx A D
très grand effort musculaire pour retenir son cheval emballé, d'une
paralysie
des deux membres supérieurs. Quelques minutes p
ralysie des deux membres supérieurs. Quelques minutes plus tard, la
paralysie
gagna les muscles du tronc et la jambe droite ;
teur d'une bro- chure Sur la diminution du poids du cerveau dans la
paralysie
géné- rale, et d'un autre travail intitulé : Le
ôté des troubles trophiques aigus de la peau et des annexes dans la
paralysie
générale, il existe d'autres troubles, à évolut
le 18 août 1896. M. le D'' Pacteta porté le diagnostic suivant : «
Paralysie
géné- rale. Affaiblissement des facultés mental
égalité pupillaire. » M. le Dr Vallon a également diagnos- tiqué la
paralysie
générale avec * affaiblissement intellectuel et
le 15 décembre 1896, avec le certificat suivant : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées de satisfaction : cons- cie
an est grand, gros, bien musclé. Il est à la deuxième période de la
paralysie
générale. La sensibilité cutanée est abolie TRO
nérale. La sensibilité cutanée est abolie TROUBLES trophiques DE la
paralysie
générale. 179 sur tout le corps. Légère alopéci
d'accidents cérébraux. J... Gabriel est à la seconde période de la
paralysie
générale. 11 est petit, gros, rouge. Souriant e
il 1894, avec le certificat suivant de M. Magnan : c Est atteint de
paralysie
générale avec idées incohérentes de satisfaction.
des facultés psychiques. Faiblesse musculaire du côté droit, pas de
paralysie
. Inégalilé pupillaire. Anesthésie cutanée génér
. TROUBLES trophiques DES ongles. Les troubles des ongles dans la
paralysie
générale ont été signalés par M. E. Régis'. Les
par M. E. Régis'. Les ongles sont atteints très fréquemment dans la
paralysie
générale. Nous avons observé 17 cas de troubles
B... Marie, âgée de trente-deux ans, journalière, « est atteinte de
paralysie
générale avec apathie, indifférence ; cons- cie
égis. Un cas de dystrophie et de chute spontanée des ongles dans la
paralysie
générale progressive (Gaz. médicale de Paris, 188
896. Le certificat de M. Magnan est ainsi conçu : « Est atteinte de
paralysie
générale avec apathie, indifférence; conscience
3 janvier 1895, avec ce certificat de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale, avec idées ambitieuses. Propos inco-
re 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec accidents alcooliques. Excitation
if le 14 janvier 1897. Certificat de M. Magnan : c Est atteint de
paralysie
générale avec idées de satisfaction. Propos inc
embre 1896 avec le certificat suivant de M. Magnan : Est atteint de
paralysie
générale avec apathie. Indifférence. Conscience
Inconscience'de sa situa- tion. Lenteur et hésitation de la parole.
Paralysie
générale pro- bable. » Le diagnostic a été af
présente maintenant tous les signes psychiques et somatiques de la
paralysie
générale : idées puériles de richesse et de sat
illejuif le 14 octobre 1896. Certificat immédiat : a Est atteint de
paralysie
générale. Affai- blissement intellectuel et phy
5 bulence nocturne. Pupille droite un peu plus large. Craintes de
paralysie
générale. » Ces craintes ont été confirmées plu
confirmées plus tard < Le malade, M... Aristide, est atteint de
paralysie
générale, dit M. Vallon dans son certificat du
re 1896. 11 présente tous [les signes psychiques et physiques de la
paralysie
générale, tels que affaiblissement con- sidérab
lo- pécie commence un peu avant les signes caractéristiques de la
paralysie
générale., La paralysie déclarée, l'alopécie pa
u avant les signes caractéristiques de la paralysie générale., La
paralysie
déclarée, l'alopécie paraît marcher à grands pa
e, puis le processus s'arrête. Le caractère de l'alopécie dans la
paralysie
générale est d'être disséminée sur tout le cuir
f le 16 décembre 1892, avec le certificat suivant : Est atteinte de
paralysie
générale avec idées mélancoliques, hésitation d
. M. le Dr Daonet a signé le certificat suivant : Est atteinte de
paralysie
générale. Affaiblissement des facultés, actes inc
les; excitation ; insomnie. Pupilles res- TROUBLES TROPHIQUES DE la
paralysie
générale. 187 serrées et inégales. Quelques acc
serrées et inégales. Quelques accrocs de la parole. Tendance à la
paralysie
générale ». Le certificat de quinzaine est plus c
. Le certificat de quinzaine est plus concluant : « Est atteinte de
paralysie
générale d'origine alcoolique avec idées vagues
4 894, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec apathie, indifférence et cons- ci
13 juillet 1896 avec le certificat suivant : <t Est atteinte de
paralysie
générale, affaiblissement des facultés; embarras
at suivant de M. Magnan : « Est atteinte 188 CLINIQUE MENTALE. de
paralysie
générale avec idées de satisfaction; propos incoh
e 1896 avec le certificat suivant de M. Dagonet : « Est atteinte de
paralysie
générale; affaiblissement des facultés; actes i
à Villejuif le 23 mai 1894. Certificat immédiat : « Est atteint de
paralysie
générale, idées mélancoliques. Préoccupations h
d'escharres. L'alopécie est vieille, elle parait antérieure à la
paralysie
géné- rale. On s'est aperçu dans le service qu'
E GÉNÉRALE. 189 Certificat immédiat de M. Vallon : « Est atteint de
paralysie
générale. Affaiblissement intellectuel et physi
ût 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées incohérentes de satisfaction.
de la parole, habitudes alcooliques. » La mère est morte après une
paralysie
de dix ans. Syphilis ? Depuis très longtemps B.
mais à un degré moindre. Elle est à l'apogée depuis le début de la
paralysie
générale. Presque tout le cuir chevelu est dépo
if le 12 janvier 1897. Certificat de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées de satisfaction. Hésitation
e 1896, avec ce certificat immédiat de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées de satisfaction. Hésitation
s affaiblie. II a une forte alopécie depuis le commencement de la
paralysie
générale. Elle est disséminée sur tout le cuir
Est TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 atteint de
paralysie
générale avec idées de satisfaction. Hésitation
e le juin 1895. Certificat immédiat de M. Magnan : « Est atteint de
paralysie
générale avec idées incohérentes de satisfactio
ctobre 1895. M. Vallon rédige le rapport suivant : « Est atteint de
paralysie
générale. Affaiblissement intellectuel et phy-
xes ne présentent pas seules des troubles trophiques au cours de la
paralysie
générale : le système locomoteur est sujet auss
n du doigt suffît souvent à briser les côtes sur le cadavre ». La
paralysie
générale, « dans la plupart des cas, produit un
auteurs. Toute- fois, l'existence des fractures spontanées dans la
paralysie
générale n'est pas admise d'une façon absolue'p
d'un homme de 43 ans, ancien alcoolique, depuis six mois atteint de
paralysie
générale. Une première fracture des deux os de
cordons antérieurs. L'association de l'atrophie musculaire et de la
paralysie
générale trouve son explication dans la nature
nature même de ces lésions. » L'existence de l'amyotrophie dans la
paralysie
générale ne supportait plus de doute. Depuis, l
Joffroy9, entre autres, émet à plusieurs reprises l'opi- nion de la
paralysie
générale débutant par « les cellules motrices e
n que par celles du cerveau. ' Shaw. - Des arlhropallties dans la
paralysie
générale. (A,eh. ol med. o f 11 ew-l-orl,·, 188
ie musculaire dans lapai al. gêner. (Th. de Paris, 1876.) " Bail.
Paralysie
générale lra ? imatiqzie. (Encéphale, 1888.) 0
s tard, M. Joffi-oyl, dans un article sur les formes spinales de la
paralysie
générale, pense que les émi- nences thénars son
ppel 1, reprenant la question à propos des symptômes spéciaux de la
paralysie
générale, conclut que l'amyotrophie peut revêti
scles de la main gauche. ' Joflroy. Sur les formes spinales de la
paralysie
générale. (Journal de méd. et de chir. pratique
pratiques, 1894, p. 280.) ' Hoche. De l'atrophie musculaire dans la
paralysie
générale. (Be-liîi. Klii ? . iVoch, 3 septembre
91.) " Hertng. Arch. of Psychiatrie, XXVII, 2, p. 541. ` Klippel.
Paralysie
générale, lésions et symptômes spéciaux. (Aclr.
1895, avec le certificat suivant de Ai. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec idées de satisfaction. Cons- cien
névrite périphérique, elle n'en existe pas moins cependant dans la
paralysie
générale, et constitue un des principaux troubl
8 décembre 1806 avec ce certificat de M. Magnan : « Est atteinte de
paralysie
générale avec apathie, indifférence : conscienc
ailleurs nous les avons étudiés seulement à un moment donné de leur
paralysie
générale. Sans doute, pour donner la statistiqu
ant ces cas douteux, où l'alopécie semble être bien antérieure à la
paralysie
générale, il nous reste encore le chiffre respe
commentaire. Elle est, sans doute, un des troubles trophiques de la
paralysie
générale. Elle existe chez l'homme sain, il est
s mains ou des pieds. 3 fois le zona ; dans un cas, il a précédé la
paralysie
géné- rale. Trois de nos malades ont subi un am
térations DES PETITS vaisseaux DE QUELQUES ORGANES INTERNES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE; pal' ANGIOLELLA (Il Manicomio, anno X
par exception seulement la première. Cela confirme l'opinion que la
paralysie
générale est essentiellement une maladie, très di
s émise, de la difficulté de résoudre la question étiologique de la
paralysie
générale par les données anatomiques et c'est u
cas où l'auteur les a rencontrés le plus souvent étaient des cas de
paralysie
générale, de folie alcoolique, et diverses form
re qu'elle est éloignée du psûchê. P. KERAVAL. LI. Observation DE
paralysie
générale secondaire (tabétique) avec DÉGÉNÉRESC
mence. Confirmé en 1890. Eu 1804 on constate chez lui des signes de
paralysie
bulbaire, bientôt suivie d'ataxis locomutrice q
ui va eu s'accusant de plus en plus. A la fin de 1894 il existe une
paralysie
générale au début, Mort le 16 avril 189. On tro
vomissements, de la constipation, de l'abat- tement, du délire, des
paralysies
des nerfs crâniens, des attaques épileptiformes
un malade REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 225. qui a présenté de la
paralysie
des membres supérieurs, portant sur les muscles
onvenablement est due à l'incoordination des mouvements et non à la
paralysie
; dans les deux, enfin, le réflexe patellaire est
symétriques pour produire cette hémi- anopsie. A. FEYAYROU. XIX.
Paralysie
BULLAIRE asthénique descendante avec autopsie (Sy
u'ici aucune lésion anatomique à l'au- topsie de sujets atteints de
paralysie
bulbaire asthénique ou syn- drome d'Erb. MM.
d'Erb. MM. Widal et Marinesco, ayant observé un malade atteint de
paralysie
bulbaire asthénique descendante, ont procédé aprè
mais leur nature et leur degré varient. On peut donc admettre que
paralysie
bulbaire asthénique et polioencéphalomyélite sont
hase para- lytique et n'aboutit qu'au bout d'un certain temps à une
paralysie
permanente, il n'y a eu dans le cas présent qu'
permanente, il n'y a eu dans le cas présent qu'un seul accès et la
paralysie
, qui en a été la consénuence, a persisté. Ces deu
ésultat dès le premier accès. ' A. FENaYROU. XXII. LES causes DES
paralysies
récurrentielles ; par M. M. LARMOYEZ. (Presse m
la physiologie palhologique du nerf récurrent et la pathogénie des
paralysies
récurrentielles, et for- mule les conclusions s
tic de ces para- lysies : L'opinion classique, d'après laquelle une
paralysie
du récurrent est toujours incurable, demande à
ande à être revisée. A côté 236 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des
paralysies
récurrentielles, toujours fonction de lésions mor
d'une affection mortelle. On peut établir trois types principaux de
paralysies
récurren- tielles : 1° La paralysie récurrenlie
blir trois types principaux de paralysies récurren- tielles : 1° La
paralysie
récurrenlielle grave, qui mène à la mort, du fa
qui mène à la mort, du fait des lésions qui l'ont déterminée; 2° la
paralysie
récurreu- tielle incurable, bénigne, simple inf
igne, simple infirmité compatible avec une survie indéfinie ; 30 la
paralysie
récurrentielle et bénigne qui guérit sans laiss
le traitement des idées fixes elles-mêmes. » - A. FENAYROU. XXIV.
Paralysie
ascendante aiguë; par MM. Hirtz et LESNÉ. (Pres
mptomato- logie, de l'évolution et de l'anatomie pathologique de la
paralysie
ascendante aiguë, les auteurs rapportent un cas
ois d'une grossesse, de la parésie, presque aussitôt transformée en
paralysie
, des membres inférieurs, puis du membre supérie
particularités suivantes : début brusque en état de santé parfaite;
paralysie
ascendante ne gagnant pas le bulbe; altérations
mentaux, disparition complète de la céphalée et diminu- tion de la
paralysie
. Cette amélioration alla s'accentuant pendant q
ique d'une lésion organique comme dans la période prodromique do la
paralysie
générale pro- BIBLIOGRAPHIE. 265 "ressive. C'
atégorie de neurasthéniques, et l'amélioration d'un grand nombre de
paralysies
et d'atrophies musculaires, il peut être néfast
cellules de l'encéphale; cette dernière hypothèse expliquerait les
paralysies
(par inhibition) consécutives aux accès convuls
1), médecin des hôpitaux (1859). On lui doit entre autres travaux :
Paralysie
hystérique (Thèse 4552);-rolie rhumatismale ; S
nvulsions t't dix mois. Glaucome probable et perle de 1'oeil droit.
Paralysie
du côté droit. Augmentation de la tête vers dix
mois malade avec des accès de délire et une photophobie intense. Ni
paralysies
, ni contractures. La fin de la grossesse ne fut
nua progressivement, s'atrophia, la vue disparut. En même temps une
paralysie
presque complète du côté droit se déclarait. M.
e l'insula, de la région occipitale suffisent à rendre compte de la
paralysie
gauche et des troubles de la vue. L'hydrocéphal
ilis spinale, l'auteur résume la méningite syphilitique spinale, la
paralysie
spinale syphilitique, la myélite transverse syp
es symptômes cérébraux transi- toires tels que céphalées nocturnes,
paralysies
des muscles de l'eeil ; une grande variation da
uant la trace d'une première atteinte qui avait guéri. F. B. XLV.
Paralysie
brachiale DU TYPE D'ERB, chez un enfant DE SEPT A
un trau- matisme qui rendait très difficile le diagnostic entre une
paralysie
brachiale radiculaire et une forme d'atrophie m
n temps immodéré, présenta au bout de quelque temps des troubles de
paralysie
brachiale. Il ne présenta aucun accident immédi
ieur présentent leurs mouve- ments normaux. Il n'y a d'ailleurs pas
paralysie
absolue dans les muscles atteints, mais un fort
érêtclinique parlaprésence des signes s inaccoutumés dans un cas de
paralysie
bulbaire incontestable. La maladie a débuté à l
uté à l'âge de treize ans par l'affaiblissement de la voix suivi de
paralysie
du voile du palais; ensuite sont venus : la dif
ticateurs et de ceux de la partie infé- rieure de la face, enfin la
paralysie
des deux droits externes. Tous ces phénomènes p
e du mollet. E. Margouliès. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 LV.
Paralysie
hystérique du grand dentelé gauche; par M. BU-
ychologie expérimentale, 1897, septembre, 110 9, p. 656-658). Les
paralysies
des muscles isolés sont extrêmement rares dans
tte, Traité de l'hystérie, t. II, p. 56), il s'agissait aussi de la
paralysie
isolée du grand dentelé gauche. Le malade de M.
plate atteinte et de l'épaule gauche). La nature hystérique de la
paralysie
(malgré la préseuce de l'ac- cident traumatique
e) est fondée par l'auteur : 1° sur la prédomi- nance du côté de la
paralysie
d'autres accidents hystériques (sensi- tivo-sen
le muscle paralysé; 3° sur l'absence d'atrophie après deux mois de
paralysie
persistante. E. MARGOULIÈS. LVI. Trismus hyst
Considérée en elle-même, elle ne peut ni dans le tabes, ni dans la
paralysie
générale, avoir une valeur pathognomonique ; to
s affections. La fréquence à peu près la même dans le tabès et la
paralysie
générale est un nouvel argument en faveur de l'un
, à l'amerzfia de Meynert ; 4° la paranoïa; 5° les démences ; 6° la
paralysie
générale ; 7° les folies névrosiques (folie neu
t de vue diagnostique. Dans les autres maladies du système nerveux,
paralysie
générale, paralysie agi- tante, etc., les éléme
e. Dans les autres maladies du système nerveux, paralysie générale,
paralysie
agi- tante, etc., les éléments manquent pour mo
insi plus ou moins promptement. 18. Contribution ci l'étude de la
paralysie
générale aiguë; - par E.-F. Richault. Ce trav
s de para- lysie générale à marche rapide. Il ne s'occupe pas de la
paralysie
générale des maladies aiguës. 19. Contributio
uës. 19. Contribution à l'étude des rapports de l'hystérie et de la
paralysie
générale; par J.-V. ROBErjT.. La question des
par J.-V. ROBErjT.. La question des rapports de l'hystérie et de la
paralysie
générale comprend deux termes : 1° l'associatio
rique venant par bouffées se montrer sur le fond démentiel de la
paralysie
générale. Par contre, les accidents hystériques s
ont à l'épilepsie. Enfin, l'hystérie peut emprunter le masque de la
paralysie
générale, et la démasquer est chose parfois diffi
tard « De même que dans l'ordre des mouvements apparents il y a des
paralysies
, des convul- sions, des contractures, etc., de
tonome des fibres de ces faisceaux; en clinique, l'anesthésie et la
paralysie
résultent quelquefois d'embolie et de thrombose
ion nerveuse, il ne les expliquerait pas par lui-même. . Dans les
paralysies
causées par des lésions du cerveau, on voit sou-
es des cornes antérieures persister longtemps en bon état. Dans les
paralysies
relevant d'une dégénération du faisceau py- ram
l'exagération des réflexes, par la réaction électrique normale. Les
paralysies
hystériques peuvent guérir après plusieurs années
ents décrits au début de cette observation, à la même cause que les
paralysies
passagères, l'ischurie, l'anurie, l'aphasie, le
é plus haut, et qu'elle a disparu brusquement au même titre que les
paralysies
diverses et les troubles aphasiques dont elle a
e : Hémiplégie motrice, hyperesthésie cutanée, anesthésie profonde,
paralysie
vaso-motrice, exagération des réflexes tendineu
superficielle complète, conservation de la sensibilité profonde. C.
Paralysie
de la vessie et du rectum. Lemaitre passe en re
moteurs consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier type : .'
Paralysie
motrice limitée au membre inférieur; troubles sen
lésion : au dessous de la neuvième vertèbre dorsale. Second type :
Paralysie
motrice et troubles sensitifs remontant au-dessus
se compliquent fréquemment de manifesta- tions en rapport avec une
paralysie
du grand sympathique cervi- cal et du nerf phré
compression peuvent prédominer sur les symptômes de l'hémisection (
paralysie
motrice bilatérale), par suite de la formation
ervations rapportées par l'auteur montrent que dans quelques cas de
paralysie
de certains muscles le sujet arrive à substitue
paralysé l'action de muscles sains. Dans le premier cas il y avait
paralysie
complète du muscle del- toïde des deux côtés, m
re obtenue dans des conditions tout à fait opposées, d'abord par la
paralysie
de ses muscles, ensuite par leur contracture. O
contracture de ces prolongements eux-mêmes qui, mis dans un état de
paralysie
, produisent le sommeil physiolo- pique. L'aut
Elle se présente avec une allure tellement identique à celle de la
paralysie
générale de l'adulte, qu'il semble que les obse
s partage cette opinion. M. CHRISTIAV. La première observation de
paralysie
générale juvénile est plus ancienne que ne le p
que du cerveau qui n'ait pu, à un mo- ment, simuler cliniquement la
paralysie
générale . La méningite chronique elle-même, qu
ique elle-même, qu'on ^invoque comme lésion caractéris- tique de la
paralysie
générale, se rencontre dans d'autres formes men
Je ne demande d'ailleurs qu'à être convaincu de l'exis- tence de la
paralysie
générale juvénile, mais j'estime que cette démo
encore faite. M. A. Voisin. Il y a quarante ans qu'une thèse sur la
paralysie
générale juvénile a été publiée. On n'invoquait
nce de certains auteurs à vouloir admettre cette pathogénie, car la
paralysie
générale est inconnue dans les pays musulmans o
hilis est au contraire très répandue. M. BRIA-4D. La rareté de la
paralysie
générale chez les Arabes peut s'expliquer, sans
des excès, dans la période d'exci- tation. M. Charpentier. Si la
paralysie
générale était d'origine syphi- litique, les es
yphilitiques. sociétés savantes. 413 Les lésions cérébrales de la
paralysie
générale étudiées par la méthode de Nissl. M.
gues une série de dessins reproduisant fidèlement les lésions de la
paralysie
gé- nérale préparées par la méthode de Nissl. C
problèmes relatifs à la succession des lésions, dans le cours de la
paralysie
générale. S'agit-il tout d'abord d'une encéphalit
t sur ce qu'il pensait autrefois sur l'étiologie syphilitique de la
paralysie
générale, admet maintenant cette étio- logie co
, quand elles sont bien faites; 2° l'étude étiolo- gique des cas de
paralysie
féminine ; 3° celle de la paralysie géné- rale
'étude étiolo- gique des cas de paralysie féminine ; 3° celle de la
paralysie
géné- rale juvénile; 4° les expériences d'inocu
B. Séance du 28 mars 1898.- Présidence DE M. Mueriot. Syphilis el
paralysie
générale. M. Brunet, répondant à la communicati
Ballet, expose qu'il ne croit pas à l'étiologie syphilitique de la
paralysie
générale. Sa conviction repose sur cette opinio
a paralysie générale. Sa conviction repose sur cette opinion que la
paralysie
générale est inconnue chez les Arabes qui serai
à laquelle il ne croyait pas à une relation entre la syphilis et la
paralysie
générale. Il craint qu'en plaçant la dis- 4'14
dans les deux cas. Il ne s'explique pas pourquoi les lésions de la
paralysie
générale resteraient cantonnées dans le centre
an, 80 p. 100 des habitants seraient syphilitiques, et cependant la
paralysie
générale y serait inconnue. L'objection tirée
rolifération nucléaire est la lésion caractéristique du début de la
paralysie
générale. Il n'employait que l'hématoxyline com
La syphilis ne doit pas, selon lui, être invoquée comme cause de la
paralysie
générale. S'il n'y avait là qu'une seule et mêm
ttribue la prétention d'avoir dé- crit le premier les lésions de la
paralysie
générale. Elles ont été découvertes par M.Magna
dire que la syphilis est fréquente chez les musulmans alors que la
paralysie
générale y SOCIÉTÉS SAVANTES. 415 j est incon
l'argument sans valeur. Il ne suffit pas, en effet, de dire que la
paralysie
générale est rare dans les pays à syphilis; il fa
ale est rare dans les pays à syphilis; il faudrait démontrer que la
paralysie
générale existe dans une région où la syphilis
uise certaines lésions ? La syphilis ne conduit pas fatalement à la
paralysie
générale. Une longue ascendance de cerveaux sur
Je reconnais que le traitement spécifique est inefficace dans la
paralysie
générale; mais cet argument suffit-il pour élimin
qu'on doute aujourd'hui de l'origine syphilitique du tabès de Erb (
paralysie
spasmodique) Et cepen- dant le mercure et l'iod
ant. M. Charpentier. M. Ballet nous demande de lui prouver que la
paralysie
générale existe dans un pays où la syphilis serai
ays enchan- teur ! ! ! M. ARNAUD. Un médecin avait annoncé que la
paralysie
géné- rale ne tarderait pas à apparaître pour l
d'y être importée. Quinze ans après on signalait le premier cas de
paralysie
générale. MM. Ritti et Toulouse constatent qu'à
e galopante de la démence progressive, S. et W. invoquent un cas de
paralysie
générale à forme galopante, qu'ils ont eu l'oc-
n pouvait nettement distinguer les symptômes caractéristiques de la
paralysie
générale. Passant à l'évolution de la maladie,
des maladies nerveuses, le 24 novembre 1895, avec des phénomènes de
paralysie
complète du bras gauche, de parésie du bras droit
la respi- ration et de la déglutition. Au mois de mars survint une
paralysie
complète des muscles des globes oculaires. Mort
parésie du nerf facial droit, anesthésie du trijumeau du même côté,
paralysie
des membres du côté droit avec atrophie muscula
de, âgée de quarante-un ans, présentait tous les phéno- mènes de la
paralysie
de M ? Klumpke, lesquels s'étaient dévelop- pés
s ans et demi, ayant débuté apparemment d'une façon brusque par une
paralysie
spasmodique des membres du côté gauche avec dim
c et de la jambe droite. Quelques mois plus tard vint s'ajouter une
paralysie
motrice des membres du côté droit avec diminuti
muscles du tronc semblent complètement paralyses. Il n'y a pas de
paralysie
du diaphragme. Il y a de l'incontinence de l'urin
rce et l'on sent et voit se durcir le biceps d'une façon normale.
Paralysie
complète du triceps brachial. L'adduction et l'ab
rapèze se con- tracte bien dans ses diverses portions. En résumé.
Paralysie
: interosseux et lombricaux, fléchisseurs super
llet, Abbe, Bennett, Cbipault, etc., etc. Au point de vue moteur la
paralysie
se localisait exactement des deux côtés dans le
ent incomplètement paralysées, mais nous pouvions admettre soit une
paralysie
incomplète de ces racines, soit, ce que l'on ad
vivant le syndrome de Brown-Se- quard. A aucun moment cependant la
paralysie
ou les trou- bles de la sensibilité du côté opp
e dans les lésions de l'hémisphère droit. Fréquence plus grande des
paralysies
fonctionnelles par perturba- tions dynamiques r
le mécanisme, dans le mémoire). P. Keraval. LXXXIX. Observation DE
paralysie
du tact ; par DUMERS. ' (z\Tettrolord. Centrulb
oubles de la motilité et de la sensibilité com- mune, tandis que la
paralysie
purement tactile a persisté. - %. P. Kebaval.
g. Centralbl. XVI, 189-1.) Il n'est pas démontré qu'il existe une
paralysie
faciale unilaté- rale isolée congénitale (atrop
rophie faciale infantile). Voici une obser- vation dans laquelle la
paralysie
faciale unilatérale datait des pre- miers jours
primitif, cela serait indispensable. Au point de vue clinique, les
paralysies
faciales unilatérales qui, datant de la premièr
t, à tous égards, présenter le même complexus symptomatique que les
paralysies
congénitales; on n'a certes pas encore constaté
e, choréique, pendant les rémis- sions de la première période de la
paralysie
générale. Pour guider les médecins étrangers à
urs. Mais s'il s'agit de pachyméningite hémorrhagique au cours delà
paralysie
générale, de l'alcoolisme, ou de la syphilis, l
. D'' F. DEVAY. XV. Considérations critiques sur l'étioloflie de la
paralysie
générale et de la syphilis comme facteur essent
ions, comme le saturnisme et la fièvre typhoïde, dans l'étude de la
paralysie
générale ; mais ils ne peuvent expliquer BIBLIO
e générale ; mais ils ne peuvent expliquer BIBLIOGRAPHIE. 509 les
paralysies
générales juvéniles, les paralysies générales con
liquer BIBLIOGRAPHIE. 509 les paralysies générales juvéniles, les
paralysies
générales conju- gales ni les paralysies généra
s générales juvéniles, les paralysies générales conju- gales ni les
paralysies
générales produites par un véritable con- tage.
itaire ou acquise, peut être la cause de toutes les modalités de la
paralysie
générale ; elle peut parfaitement produire les
alysie générale ; elle peut parfaitement produire les lésions de la
paralysie
générale qui, sou- vent, peut être appelée syph
. n La thérapeutique iodurée et mercurielle est puissante dans la
paralysie
générale au début, et confirme encore l'étiologie
traitements du goitre exophtalmique. Bodin (Léonce). Essai sur les
paralysies
ascendantes aiguës. Etude cli- nique et anatomi
et atrophie musculaire dans la syringomyélie. Marion (Abel). De la
paralysie
vésicale dans le paludisme aigu. Marher (Albert
es hallucinations verbales plisyco-motrices. Martinet (Henri). La
paralysie
ascendante aiguë (syndrcfme de Landry). Etude lil
el (Josepli-Ptul). Etudes sur les complications de la coque- luche (
paralysie
dans la coqueluche).- Moussu (Auguste-Léopold).
e. Nathanson (Josué-G.). Etude critique de la trépanation dans la
paralysie
générale. Kieonoff (Serge). Contribution à l'élud
ont dus à une lésion limitée (troubles du pouls, de la respiration,
paralysies
oculaires). Le diagnostic, incertain au début,
ar Itobortson, 161 . Facial Allures électriques du nerf dans la
paralysie
par compression, par Loewentlial, 51. Fatigue
225. Nécrologie. Mesnet, 269. Ed. Seguin, 424. Neurasthénie et
paralysie
générale, par Régis, 154. , 'par Her- .man, 3
Becltterew, 215. OSTÉITE déformante de Paget, par L. Lévi, 397.
Paralysie
bulbaire asthénique, par Kojewnilcoff, 88 ; par
kler, 318. - lystérique du giand dentelé, pr.Bluineilaou, 323.
Paralysie
générale. Troubles tro- hiques dans la -, par C
par Douetti, 409. Tabès. Maladie mentale associée au autre que la
paralysie
géné- rale, par Macdonald et D,,tvidson, 147.
u après une attaque et rappelant tout à fait le trem- blement de la
paralysie
agitante. M. IIughlings Jackson formulait son o
u entre les tremblements à oscillations lentes, tel que celui de la
paralysie
agitante, par exemple, et les trem- blements vi
blements vibratoires ou autrement dits à oscillations rapides de la
paralysie
générale et de la maladie de Basedow. Il ne s'exa
existe entre certaines de ces formes et le tremblement, soit de la
paralysie
agitante, soit de la sclérose en plaques. Dans
rieur qui rappelle à s'y méprendre l'aspect des malades atteints de
paralysie
agitante, de sclérose en plaques ou d'une autre
aisemblance, l'explication de ces guéri- sons quasi miraculeuses de
paralysies
agitantes obtenues par un simple jeu de miroirs
nu que présentent parfois les alcooliques et les sujets atteints de
paralysie
générale. Mais on n'observe pas toujours cette
rhythmiques analogues à ceux que présentent les sujets atteints de
paralysie
spas- modique lorsque le phénomène de l'épileps
venons de décrire : ce sont le tremblement alcoolique, celui de la
paralysie
générale, et surtout le tremblement de la maladie
de Basedow se distinguait des tremblements de l'alcoolisme et de la
paralysie
générale. Le seul trait de dissemblance qu'il ait
mbre supérieur, tandis que, dans les autres maladies (alcoolisme et
paralysie
générale), les muscles des doigts sont particuliè
rie, loc. cit. Fie. 21. - Tracé V. Hystérie. FIG. 22. - Tracé VI.
Paralysie
générale. Fie. 23. Trace VU. \Ial,mlie'Je Based
ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 43 contraire, dans la
paralysie
générale et l'alcoolisme, on obtient ainsi un t
ments, soit de la maladie de Basedow, soit de l'alcoolisme ou de la
paralysie
générale. En insistant sur la très grande analogi
ces troubles morbides du corps qui sont causés par les idées. » Les
paralysies
« on idea » de Russel Reynolds sont aussi' des pa
es. » Les paralysies « on idea » de Russel Reynolds sont aussi' des
paralysies
suggestives. Enfin ces suggestions et auto-su
ction vrai- ment délirante et je n'cus plus de peine à supprimer la
paralysie
. Mais laissons de côté ces cas extrêmes où la c
le se révèle avec son luxe habituel de stigmates, ses attaques, ses
paralysies
ou ses contractures. L'état mental ne se modifi
es cuisses, absolument comme pourrait faire un individu' atteint de
paralysie
pseudo-hypertrophique dont les muscles sacro- l
aiblesse déjà très marquée de ses membres 'inférieurs se changer en
paralysie
. « Il avait cette idée-1 : ') en tête ». Tel ét
9). Motilité. - Il n'existe chez cet homme, à proprement parler, ni
paralysie
ni contracture. Pas traces d'hémispasme glosso-
is on ne peut avoir de renseignements précis sur la nature de cette
paralysie
. Antécédents personnels. - Rien de bien remarqu
des malades. A part quelques cas de syncope passagère, deux cas de
paralysie
radiale temporaire par compression, nous n'avon
ua; par contre, la paresthésie se maintint avec opiniâtreté, et les
paralysies
des muscles de l'oeil, l'atrophie du nerf optique
ent signalées, nous avons observé comme accidents anormaux : 1° une
paralysie
du bras droit (il y avait MODIFICATIONS DE LA T
SUSPENSION. 131 dans ce cas une atrophie musculaire progressive, la
paralysie
peut donc à peine être considérée comme une sui
'auteur que nous venons de citer. , Erb admet que tous ces cas de
paralysie
amyotrophique sont sous la dépendance d'une alt
ns et par leurs causes ». M. Raymond est porté à croire « que les
paralysies
amyotrophiques en rapport avec une névrite mult
ralysies amyotrophiques en rapport avec une névrite multiple et les
paralysies
amyotrophiques d'origine manifestement spinale
des polynévrites, l'auteur décrit un type de polynévrite à forme de
paralysie
générale spinale, mais n'insiste pas sur la paral
te à forme de paralysie générale spinale, mais n'insiste pas sur la
paralysie
spinale aiguë. Toutefois, Mme Déjerine-KIumpke
ge pas ici le diagnostic de certaines formes de polynévrite avec la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte, et n'ait en vue, sem
sie spinale aiguë de l'adulte, et n'ait en vue, semble-t-il, que la
paralysie
générale spinale diffuse de Duchenne. Nous ne
travail publié récemment par M. Déjerine3. Cet auteur, étendant aux
paralysies
spinales en général et à la paralysie spinale ant
e3. Cet auteur, étendant aux paralysies spinales en général et à la
paralysie
spinale antérieure aiguë de l'adulte en particu
particulier, les conclusions formulées autrefois par Leyden sur la
paralysie
générale spinale de Duchenne, affirme la nature
générale spinale de Duchenne, affirme la nature périphérique de la
paralysie
spinale aiguë. L'un de nous a combattu cette op
p. 31 ell9. 2. J. Déjerine, De la nature périphérique de certaines
paralysies
dites spinales aiguës de l'adulte (Archives de
0-1881, p. 387-131). 4. Paul Blocq, De la nature « centrale » de la
Paralysie
spinale aiguë de l'adulle (Bull. méd., 20 avril
lement les rapports de la polynévrite à forme amyotrophique avec la
paralysie
générale spinale antérieure aiguë et subaiguë d
inale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte (laissant de côté la
paralysie
générale spinale diffuse). Il nous a été donné, e
ite qui revêtent jusqu'à un certain point l'appareil clinique de la
paralysie
spinale aiguë. D'autre part, il importe de main
ace, en réalité, dans la nosographie actuelle, pour deux groupes de
paralysies
amyotrophiques à symptomatologie et à étiologie
ncerne la nature même de la polynévrite. II La poliomyélite de la
paralysie
infantile n'est pas actuellement mise en doute,
tile n'est pas actuellement mise en doute, et ce sont les formes de
paralysie
spinale de l'adulte qui ont été seules discutée
mes de paralysie spinale de l'adulte qui ont été seules discutées :
paralysie
spinale antérieure aiguë de l'adulte, paralysie
seules discutées : paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte,
paralysie
spinale de l'adulte à marche subaiguë ou chroniqu
paralysie spinale de l'adulte à marche subaiguë ou chronique, et
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë. N'ayant pu
gerons volontairement ici. Nous reproduirons d'abord deux cas de
paralysie
spinale aiguë, qui ne paraissent pas jusqu'à pr
eux observations (d'Immermann et de Leyden), qui se rapportent à la
paralysie
spinale ascendante aiguë de Landry, plutôt qu'à
t à la paralysie spinale ascendante aiguë de Landry, plutôt qu'à la
paralysie
spinale antérieure aiguë de l'adulte. L'auteur
e, qu'il aurait été moins affirmatif sur l'identité de nature de la
paralysie
spinale infantile et de la paralysie spinale an
sur l'identité de nature de la paralysie spinale infantile et de la
paralysie
spinale antérieure aiguë de l'adulte, si l'hist
au point de vue anatomique. L'existence et la nature spinale de la
paralysie
aiguë de l'adulte y sont établies et ce fait conf
ration, mais présente cette observation (ainsi que quatre autres de
paralysie
infantile) à l'appui des idées émises autrefois
ralysés. Pas de douleurs. Tem- pérature : m. 38°, s. 39°. Le 23, la
paralysie
reste complète. Le 24, le 25, le 26, la tempéra
(six jours après le début), la température redevient nor- male, la
paralysie
est encore généralisée, mais plus accentuée aux
e jambier antérieur gauche. Sept mois après (août), on constate une
paralysie
atrophique des muscles de la ceinture scapulair
opinion, l'analogie supposée antérieurement entre les lésions de la
paralysie
infantile et de la paralysie spinale aiguë de l
antérieurement entre les lésions de la paralysie infantile et de la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte. Dans ces deux cas, i
blesse augmenta graduellement de telle sorte qu'en octobre 1884, la
paralysie
était assez avancée pour qu'il fût impossible à
s troubles portaient exclusivement sur la motilité. Il existait une
paralysie
flasque avec atrophie musculaire des quatre membr
musculaires étaient inégalement atteints, mais la répartition de la
paralysie
n'était conforme à aucun type. Le deltoïde, le
elconque des organes thoraciqucs et abdominaux. Ultérieurement la
paralysie
progressa et attaqua les muscles encore indemne
uchenne. Ce sagace observateur avait donc raison de soutenir que la
paralysie
spinale antérieure subaiguë ne différait de la pa
subaiguë ne différait de la para- lysie spinale enfantile et de la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte que par une évolution
eut se présenter dans des conditions assez dif- férentes. Dans la
paralysie
faciale, par le faitde l'impotence de l'orbiculai
rture palpébrale prend des dimensions exagérées, surtout lorsque la
paralysie
résulte-d'une section totale du nerf facial. Ce t
section totale du nerf facial. Ce trouble est moins marqué dans la
paralysie
dite a frigore; il manque dans la 156 NOUVELLE
anque dans la 156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S1L1'1 : TPII : RE.
paralysie
d'origine centrale, qui pourtant produit plus sou
i pourtant produit plus souvent qu'on ne le dit un certain degré de
paralysie
de l'orbiculaire. En outre de cette logopllthal
ption à cette règle, et tout récemment j'observais une hystérique à
paralysie
nocturne avec amnésie verbale permanente, chez
oubles du langage ne sont dus chez les paralytiques généraux à tune
paralysie
. Ce sont des troubles ataxiques ou spasmodiques.
1, p. 74). Christian, De la nature des troubles musculaires dans la
paralysie
générale, 1881. - Descourlis, Étal de forces chez
E LA S.1L1'l : 'l'I;II;I,E. ryngiennes et bronchiques; rarement une
paralysie
de la septième paire, plus souvent une angine d
DE LA SALPÊTRIÈRE DE L'OPIITIIALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA
PARALYSIE
LABIO-GLOSSO-LARYNG1 : E ET A L'ATROPHIE MUSCUL
sur le caractère systématique des lésions. Négligeant à dessein les
paralysies
musculaires extérieures de l'oeil par tumeurs,
nts de son étendue. Nous avons ainsi réuni bon nombre d'exemples de
paralysie
bulbaire supérieure isolée ou combinée à la par
d'exemples de paralysie bulbaire supérieure isolée ou combinée à la
paralysie
bulbaire inférieure et il la poliomyélite. Ce s
et l'expérimentation et donne fréquemment l'occasion d'observer la
paralysie
des muscles extérieurs de l'oeil avec l'intégri
égie externe non compliquée est devenue pour ainsi dire synonyme de
paralysie
nucléaire. Sans doute l'ophthalmoplégie externe
onc oculo-moteur à la base du crâne n'expliquerait pas davantage la
paralysie
exclusive des muscles extérieurs des yeux, à moin
e considérable d'ophthalmoplégies totales purement extérieures ? La
paralysie
par compression du nerf porte donc presque fata
avec gonflement de la paupière supérieure droite, diplopie, ptosis,
paralysie
complète de tous les muscles moteurs de l'oeil;
almoplégie s'est développée ici dans les mêmes circonstances que la
paralysie
faciale périphérique dite rhumatismale. Ainsi que
érique dite rhumatismale. Ainsi que cela se voit parfois dans celle
paralysie
, il y avait des signes d'une affection périphériq
phérique. Dans ce cas, c'est à la suite d'un coup de fleuret que la
paralysie
atteignit successivement les différents muscles e
e, présentait tous les symptômes de l'ophthalmo- plégie classique :
paralysie
à peu près complète de tous les muscles de l'oeil
externe double, sans autres phénomènes en foyer notables, est une
paralysie
nucléaire; car il n'y a pas moyen d'expliquer aut
nier signe a donc une valeur incontestable pour le diagnostic de la
paralysie
nucléaire. Est-ce à dire que la participation d
dire que la participation de la musculature interne de l'oeil à la
paralysie
s'oppose à ce diagnostic ? Evidemment non; la l
ette dernière localisation. Enfin nous ne devons pas oublier que la
paralysie
oculaire se pré- sente parfois comme véritable
dans son intéressant mémoire sur l'ophthal- moplégie externe et les
paralysies
des nerfs moteurs bulbaires dans leur rapport a
rassik', l'autre personnel, l'ophthalmoplégie externe combinée à la
paralysie
du facial et de l'hypoglosse faisait partie du
E LA SALPÊTRIÈRE. Il POLIOENCÉPIALITE SUPÉRIEURE ET INFÉRIEURE.
Paralysie
bulbaire supérieure avec ébauche de paralysie bul
RIEURE ET INFÉRIEURE. Paralysie bulbaire supérieure avec ébauche de
paralysie
bulbaire inférieure. - Le noyau du moteur ocula
avec intégrité des mouvements de l'iris et du muscle ciliaire à la
paralysie
labio-glosso-laryngée. Dans sa leçon sur le suj
oit parfois les deux affections se confondre l'une avec l'autre. La
paralysie
de la musculature extérieure de l'oeil constitue
lysie de la musculature extérieure de l'oeil constitue une sorte de
paralysie
bulbaire supérieure comparable à tous égards à
orte de paralysie bulbaire supérieure comparable à tous égards à la
paralysie
bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lés
ieures. « Je fais allusion ici, dit M. le professseur Charcot, à la
paralysie
bulbaire inférieure sans participation du faisc
là n'existe ¡;pas et DE L'OPHTIIALMOPLÉGIE EXTERNE. 191 que toute
paralysie
labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à
s autrefois publiées et qui mettent hors de doute l'existence de la
paralysie
glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des
'ophthalmoplégie externe est pour le bulbe supé- rieur ce qu'est la
paralysie
glosso-labio-laryngée pour le bulbe infé- rieur
témoin le cas rapporté par Birdsall2, où l'oeil droit fut frappé de
paralysie
un an et demi avant l'oeil gauche. Exceptionnelle
ur : chez un malade de Lichtheim, le ptosis précéda de trois ans la
paralysie
des autres muscles. Une fois l'ophthalmoplégie
192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE. Régulièrement, dans la
paralysie
oculomotrice isolée, les deux yeux sont dirigés
tte fixité du regard, cette immobilité des yeux sans déviation, une
paralysie
de toute la muscula- ture extérieure. Souvent l
plus ou moins fortement la tête en arrière; Fait remarquable, la
paralysie
du releveur de la paupière n'est jamais aussi c
fixité des traits tient ici à une rigidité des muscles et non à une
paralysie
; l'oeil est plutôt grand ouvert; les sourcils s
rapide examen permet de se renseigner sur le degré de parésie ou de
paralysie
des différents muscles extérieurs de l'oeil. Poin
e dans le stra- o 1. Blanc, Le Nerf moteur oculaire commun et ses
paralysies
. Thèse de Paris, 1886, p. 92. DE L'OPHTUALMOP
images. Il est vrai que d'autres auteurs admettent en pareil cas la
paralysie
simultanée des muscles antagonistes, ce qui sup
leau symptomatique de l'ophthalmoplégie , externe. De même que la
paralysie
glosso-labio-Itryngée se complète peu à peu, av
mais très fréquemment le pathétique et l'abducens participent à la
paralysie
, qui s'étend ainsi à toute la musculature extérie
légie totale (Birdsall)'. Jeune homme de dix-huit ans atteint d'une
paralysie
totale des droits, des obliques et des releveur
le. Son mé- decin constate une chute légère des deux paupières, une
paralysie
prononcée du droit externe droit et déjà une ce
très pénible surtout lorsqu'elle se meut. Nous sommes en face d'une
paralysie
qui a frappé à la fois toutes les paires motric
ENIILE PAHMENTÏER, Interne, médaille d'or des hôpitaux. 1. Gayet,
Paralysie
totale de tous les muscles moteurs des deux yeux,
. Il semble cepen- dant qu'il s'est agit dans ce cas d'une forme de
paralysie
spinale subaiguë. Les altérations anatomiques
térations siège il la région dorsale, ce qui explique assez bien la
paralysie
atro- phique du diaphragme constatée pendant la
e que nous produi- sons, établissent péremptoirement l'existence de
paralysies
aiguës, subaiguës et chroniques de l'adulte lié
, elle était paralysée de tous les membres, avec prédominance de la
paralysie
à gauche. Après un séjour de trente-six jours à
e, les quatre membres étaient paralysés. Comme la première fois, la
paralysie
avait été progressivement et la malade avait vu
ine. Pas d'eschares. Bras gauche beaucoup plus faible que le droit,
paralysie
des extenseurs plus marquée que des fléchisseur
nie persistante, intelligence intacte, Amaigrissement considérable.
Paralysie
incomplète des quatre membres, plus marquée à g
riffe ? Côlé gauche ; c'est à peine si elle peut soulever le coude.
Paralysie
complète du deltoïde et des muscles qui s'insèren
ntractilité bien plus grande ici pour un courant électrique faible.
Paralysie
du dia- phragme. Dépression épigastrique pendan
de vicieuse des mains s'exagère. C'est le type de la griffe dans la
paralysie
des interosseux. Très légère flexion du poignet s
on des impressions ther- miques, Ziehl1 cite entre autres un cas de
paralysie
du sciatique poplité externe avec anesthésie à
e de la Clinique des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE
PARALYSIE
DU MOTEUR OCULAIRE EXTERNE ET DU FACIAL AVEC
près l'apparition de ces nouveaux phénomènes tout à coup survint la
paralysie
faciale droite. Un matin en se réveillant la ma
aperçut. Pas. d'attaque pendant la nuit précédente. A ce moment la
paralysie
était plus accentuée qu'elle n'est aujourd'hui, l
l existe de ce côté quelques secousses de trépidation spinale. La
paralysie
faciale droite a tous les caractères de la paraly
on spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la
paralysie
péri- phérique, c'est-à-dire que le muscle orbi
Phototype négatif A LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne & Longuet T
PARALYSIE
DU FACIAL & DE L'ABDUCENS DU COTÉ DROIT Fig
n secondaire. LECROSNIER & BABÉ éditeurs NOTE SUR UN cvs DE
PARALYSIE
. 7 primitive et il fit de ce caractère un signe
ntre d'innervation de l'oeil. Les spasmes qui compliquent certaines
paralysies
de l'aeil semblent t être le propre des paralys
iquent certaines paralysies de l'aeil semblent t être le propre des
paralysies
périphériques. Est-il possible chez cette jeune
oyer quelconque dans la moitié inférieure de la protubérance. Cette
paralysie
totale du facial et de l'abducens ne peut guère s
truction du noyau de l'abducens s'accompagne généralement, outre la
paralysie
du droit externe, d'une paralysie du droit inte
accompagne généralement, outre la paralysie du droit externe, d'une
paralysie
du droit interne du côté opposé et se caractérise
des fibres communicantes. Il ne s'agit donc pas ici d'une véritable
paralysie
nucléaire. La lé- sion, qu'on ne saurait cepend
sion, qu'on ne saurait cependant, en raison de la combinaison de la
paralysie
du facial et de l'abducens, localiser ailleurs qu
0 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a NOTE SUR UN CAS DE
PARALYSIE
. 229 relevé 11 tubercules, contre 5 sarcomes, 5
énomènes présentés 1\ par notre malade. Elle est atteinte, outre la
paralysie
du facial et de l'abducens du côté droit, d'une
les lésions de la protubérance, lors- 1 qu'elles s'accompagnent de
paralysies
du côté des membres, ce qui 1 n'est d'ailleurs
rents. Il a, du côté paternel, un cousin germain qui est atteint de
paralysie
générale et un autre très violent et très empor
produise à la. longue, comme dans certains cas de contracture ou de
paralysie
spas- modique', des rétractions fibreuses qui r
onnement du ventre qui peuvent être attribués a un certain degré de
paralysie
des muscles intestinaux déterminée par le médicam
t été formulé il y a vingt ans par cet observateur était celui de :
paralysie
spinale aiguë. Il est certain qu'à cette époque,
sait pour ainsi dire. On avait affaire, en effet, à une atteinte de
paralysie
atrophique généralisée, précédée d'un raptus fé
de paralysie atrophique généralisée, précédée d'un raptus fébrile,
paralysie
ayant plus ou moins rétrocédé ultérieurement, p
va nous montrer qu'il diffère cliniquement à bien des égards de la
paralysie
spinale aiguë de Duchenne. Rappelons que cet ém
cette dernière forme sur les bases suivantes : d, Début subit de la
paralysie
en général avec fièvre, ou quelquefois sans fiè
s convulsions (fièvre ne durant guère que trois à huit jours); 2°
Paralysie
complète ou en masse au début, allant en diminuan
la camisole, et qui se prolonge huit jours. Au bout de ce temps, la
paralysie
rétrocède en partie. Cette histoire diffère consi
stoire diffère considé- rablement, comme on le voit, de celle de la
paralysie
spinale. : De plus, il survient une récidive (c
n, mais ceux-ci sont peu marqués, et ne procèdent pas comme dans la
paralysie
spinale. Le retrait de l'atrophie ne se fait pa
t là, à aucun point de vue, la symptomatologie ni l'évolution de la
paralysie
spinale. Après ces signes négatifs en quelque s
osé seul de ces documents, il ressort suffisamment qu'il existe des
paralysies
amyotrophiques qui présentent la symptoma- tolo
paralysies amyotrophiques qui présentent la symptoma- tologie de la
paralysie
spinale, aiguë et subaiguë, de Duchenne, et sont
s observations, en conclure à l'abandon de la théorie médullaire de
paralysies
spinales. Mais ces faits présentent-ils entre e
des extrémités et de la sphère cérébrale. Ce sont, d'une part, des
paralysies
amyotrophiques et des troubles de la sensibilité,
termine soit par la mort soit parla guérison, ou encore laisse une
paralysie
amyotrophique stationnaire. Ce dernier trouble
stade de début sous forme d'état général fébrile, du délire, et des
paralysies
amyotro- phiques ; celles-ci ultérieurement rét
, sous l'influence d'une maladie générale grave, aurait réalisé des
paralysies
toxiques particulièrement intenses ? Mais cette
it n'est pas isolé. D'autre part, ne voit-on pas, cliniquement, les
paralysies
psychiques de l'hystérie se compliquer fréquemm
en général sous forme de délire intense plus ou moins prolongé, de
paralysies
et de convulsions. Etant données alors, d'une p
pond exactement à la maladie décrite par Duchenne sous le nom de
paralysie
spinale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte.
xer d'une façon certaine les relations qu'affectent entre elles les
paralysies
amyotro- 1. l'lilial, Revue de médecine, mai 18
, loc. cil., p. 1013. DE L'OPIITHALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA
PARALYSIE
GLOSSO-LABIO-LARYNGME ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
de Lichtheim complétée par Dufour. L'ophthalmoplégie externe et la
paralysie
glosso-labio-laryngée de- viennent parfois enva
aux de la protubérance, de manière à se combiner réciproquement. La
paralysie
1. Voy. le numéro 5, 1890. 2. Camuset, Union
à chacun des noyaux; elle descend par degré, si bien qu'au début la
paralysie
bulbaire inférieure qui la complique est à pein
omplique est à peine ébauchée. Voici, pour commencer, un exemple de
paralysie
du facial supérieur : Ons. V. - Ophthalmoplégie
nerve soient paralysés au même titre que les muscles des yeux. La
paralysie
du facial inférieur n'est pas très-rare au cours
f, Ro- senstein, Hutchinson, Rosenthal, pour ne citerque les cas de
paralysie
bulbaire partielle. uns. VI. - Ophthalmoplégi
et un ans. Sans cause connue, sans complication, appa- rition d'une
paralysie
incomplète de l'oculo-moteur gauche : pupille int
deux mois après les débuts de la paré- sie de l'oculo-moteur droit,
paralysie
des deux droits externes qui se com- plète en q
ble au malade que ses oreilles sont bouchées. Par moments, sorte de
paralysie
de l'extension il la main droite. Même état à l
fre de diplopie depuis six se- maines et l'on constate à droite une
paralysie
complète de la 3° paire avec mydriase et parési
de la piqûre du e ventricule lui permit de porter le diagnostic de
paralysie
oculaire d'origine nucléaire. Depuis lors, les op
thalmoplégie externe à marche descendante; il ne s'agit plus ici de
paralysie
du moteur-oculaire commun, mais de paralysie du
ne s'agit plus ici de paralysie du moteur-oculaire commun, mais de
paralysie
du moteur-oculaire externe et du pathé- tique a
fférents, en son milieu comme en ses deux extrémités. OBs. XII. -
Paralysie
de la 3° paire droite. Glycosurie.- Paralysie f
trémités. OBs. XII. - Paralysie de la 3° paire droite. Glycosurie.-
Paralysie
faciale gauche antérieure (Despagnet'). . 1.g
ixante ans, n'a jamais eu la syphilis. En novembre 1879 il a eu une
paralysie
faciale gauche avec déviation de la bouche et de
c déviation de la bouche et de la langue. On porta le diagnostic de
paralysie
faciale a frigorie. - Guérison (purgatifs, bains
ix fois par nuit. Nous le voyons le 18 février. Nous constatons une
paralysie
très prononcée de la 3° paire droite avec ptosi
pas d'ataxie, ni rhumatisme, ni refroidissement ayant pu causer la
paralysie
. Urine = 4 litres par jour. Densité = 1,038 à -
e sucre par litre. On soumet le malade au régime antidiabétique. La
paralysie
n'a disparu qu'au bout de trois mois. uns. XI
. La paralysie n'a disparu qu'au bout de trois mois. uns. XIII. -
Paralysie
du muscle droit externe du côté droit accom- pa
itude décrite si soigneuse- ment par Giraud-Teulon, je reconnus une
paralysie
du muscle droit externe. L'oeil droit, en effet
e plus denses qu'elle. Plus de doute, la question étiologique de la
paralysie
du droit externe commençait à s'éclaircir, et j
énomènes urinaires, nous aurions pu errer longtemps et croire à une
paralysie
rhumatismale ou a frigore sans songer à la ratt
rigoureuse- ment institué nous a donné une amélioration telle de la
paralysie
, qu'à cette heure elle est corrigée par une pré
elle est corrigée par une présence de trois degrés..Heureusement la
paralysie
a participé parallèlement à cetle amélioration ai
llèlement à cetle amélioration ainsi que la polydipsie. Ces. XIV. -
Paralysie
nucléaire de l'abducens et polyurie (Steinheim 1)
he et vomit. Quinze jours après l'accident, l'auteur cons- tate une
paralysie
complète du moteur externe gauche sans autre lési
tique au plancher du 1° ventricule. Au bout de quatre se- maines la
paralysie
est en partie guérie, la polyurie a diminué, le s
et irien. La lésion de ces centres se traduit par la parésie ou la
paralysie
du muscle ciliaire et du muscle constricteur de
appartient à Rosenthal, l'affection commence par la mydriase et la
paralysie
de l'accommodation. Puis, la lésion saute des c
ente ans fut atteint trois ans après un chancre d'une mydriase avec
paralysie
de l'accommodation du côté droit. Trois mois aprè
ion des mouve- ments en haut et en bas. Pas de tabes. Ons. XVI. -
Paralysie
des muscles oculaires de cause centrale (Licli-
ive des paupières supérieures. Présentement, celle malade offre une
paralysie
bilatérale du moteur oculaire commun, et du 1.
GG). 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. côté gauche une
paralysie
presque complète du moteur oculaire externe et
naires. Vu l'intégrité des nerfs ciliaires, on ne peut songer à une
paralysie
péri- phérique d'origine intra-cranienne, à une
nent du moteur oculaire externe, puisque, à gauche, on constate une
paralysie
de ce nerf. L'origine intra-orbitairc se trouve
. 1889) nous pouvions constater chez J. B... les mêmes symptômes de
paralysie
ocu- laire décrits huit mois auparavant; l'affe
P11TH1LI01'L1;GIE EXTERNE. 297 Jusqu'ici il n'a été question que de
paralysie
bulbaire ébauchée; il est temps d'arriver aux c
st temps d'arriver aux cas d'ophthalmoplégie externe accompagnée de
paralysie
bulbaire complète. Dans cette polioencéphalite to
soit par la partie infé- rieure du champ moteur du 4e ventricule.
Paralysie
bulbaire totale à début o7ellzcclmolégiqice. Les
niquer. 11 est bien entendu qu'il ne s'agit dans ce chapitre que de
paralysie
labio-glosso-laryngée se présentant sous une fo
ne pouvait ni siffler ni souffler. Aussi l'auteur conclut-il à une
paralysie
nucléaire de l'oculo-moteur et de la 6' paire d
ouvements oculaires permel de constater ce qui suit : OEil gauche :
paralysie
complète des muscles droits supérieur et inférieu
ens sont conservés, et il n'y a aucun symptôme d'ataxie. En résumé,
paralysie
des deux oculo-moleurs et de la Ge paire droite,
rès son entrée à l'hospice des Quinze-Vingts, le malade est pris de
paralysie
du pharynx avec anesthésie complète. Les aliments
arition de l'ophthalmoplégie que le malade de Duboys fut atteint de
paralysie
bulbaire inférieure. Au dire du malade, les acc
ébut des premiers symptômes oculaires. Ons. XIX. Ophthalmoplégie et
paralysie
bulbaire (de Graefe'). Homme de quarante ans. S
et, à gauche, léger ptosis et parésie du droit interne. En 1863,
paralysie
de l'oculo-moteur gauche, qui resta plus faible q
été malade. - - Au mois de septembre 1875, elle est atteinte d'une
paralysie
de la 6e paire droite avec diplopie.. ' Au pr
e), gêne croissante de la parole et bientôt dysphagie. Peu à peu la
paralysie
labio-glosso-larYI1(Jée s'affirme. La malade ne
des cas semblables émanant de Fôrsler. OBs. XXI. Ophthalmoplégie et
paralysie
bulbaire (Rosenstein 2). Femme de quarante et u
aupière gauche, mobilité des yeux très affaiblie. Le 18 avril 1878.
paralysie
du voile du palais; le 30 avril, difficulté de
ux. Réaction pupillaire et accommodation conservées. - Signes de la
paralysie
de l'hypo- glosse. Acuité visuelle à droite Fo-
particulièrement le plus petit morceau de pain ne peut être avalé.
Paralysie
faciale évidenle. Le 8 juin, parésie de tous le
mbes. La malade quitte la clinique. (.(Evidemment, elleest morte de
paralysie
bul- baire progressive peu de temps après. »
essives : la première, phase ophthalmoplégique, pendant laquelle la
paralysie
de la muscula- ture extérieure des yeux se comp
e début de l'ophthal- moplégie l'invasion bulbaire s'affirme par la
paralysie
du voile du palais, la difficulté de la parole,
ue. La phase intercalaire peut même faire complètement défaut. La
paralysie
est totale d'emblée chez le malade d'Etter; mais
ocède au bout de deux mois pour aboutir à la guérison. Ois. XXII.
Paralysie
bulbaire supérieure et inférieure à marche aigu
hez une jeune fille de vingt-sept ans, jusque-là bien portante, une
paralysie
en partie partielle, en partie totale des nerfs
ontra une para- lysie presque complète des deux oculo-moteurs, avec
paralysie
de la pupille et de l'accommodation et ptosis d
iens, il est à remarquer que, le lendemain du début de l'affection (
paralysie
de l'accommodation), il existait déjà une grand
359 (Fait 31). 30 ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les
paralysies
rétrogradent successivement et se dissipent dans
à son sujet. Ons. XX111 (communiquée par MM. Charcot et Troisier). -
Paralysie
bul- baire totale à début oplatlaalniopléiq2ce.
aires. Le Dl' )lever consulté, constate d'abord « en septembre, une
paralysie
de la sixième paire gauche, puis en octobre une
mbre, une paralysie de la sixième paire gauche, puis en octobre une
paralysie
incomplète de la troisième paire droite. Les pu
strabisme divergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la
paralysie
du moteur oculaire commun du côté droit. Traite
r la première fois par M. Troisier à la fin de sep- tembre 1880. La
paralysie
de la troisième paire droite n'était pas modifiée
nts. Le 4 novembre, première consultation de M. Charcot. On note la
paralysie
oculaire. Pas d'autres symptômes. Pupilles peu
actéristique, elle est surtout déterminée par la prédominance de la
paralysie
sur l'oeil droit. L'accommodation n'est pas alt
niveau des membres. Nous terminerons ici la nomenclature des cas de
paralysie
bulbaire totale il début ophthalmoplégique. Dan
occuper maintenant, le début se fait au contraire par les signes de
paralysie
labio-glosso-laryngée. On peut les classer sous l
ysie labio-glosso-laryngée. On peut les classer sous la rubrique de
paralysie
bulbaire totale à début glossoplégique. Paralys
la rubrique de paralysie bulbaire totale à début glossoplégique.
Paralysie
bulbaire totale if, début glossoplégique. - La pa
oplégique. Paralysie bulbaire totale if, début glossoplégique. - La
paralysie
bulbaire inférieure à marche ascendante est le
alysie bulbaire inférieure à marche ascendante est le pendant de la
paralysie
bulbaire supérieure à marche descendante et peu
ment progressif de l'ouïe. il est tout à fait exceptionnel que la
paralysie
affecte la partie supé- rieure de la face; néan
u noyau oculo-moteur suivant les autres, nous voilà bien près de la
paralysie
bulbaire supérieure; nous en avons une ébauche
ns les cas suivants. Romberg, cité par Eulenburg, a vu survenir une
paralysie
bilatérale 1. Wachsmuth, Ueber progressive bulb
raité des maladies du système nerveux que Hérard a vu deux fois une
paralysie
unilatérale du moteur oculaire commun apparaître
sie unilatérale du moteur oculaire commun apparaître au cours d'une
paralysie
glosso-labio-laryngée etBenedikt aurait constaté
e glosso-labio-laryngée etBenedikt aurait constaté dans deux cas de
paralysie
progressive de tous les nerfs crâniens les même
rard présentait, en même temps que les symp- tômes classiques de la
paralysie
glosso-labio-laryngée, une chute incom- plète d
che, et de l'affaiblissement de la vue. C'est le premier exemple de
paralysie
bul- baire inférieure avec ophtlialmoplégie qui
eure avec ophtlialmoplégie qui ait été publié (ol804). Ons. XXIV. -
Paralysie
labio-glosso-laryngée compliquée de paralysie d
(ol804). Ons. XXIV. - Paralysie labio-glosso-laryngée compliquée de
paralysie
du moteur oculaire commun chez une femme d'une
vée; la vue diminua notablement, il n'existait pas 1. Hérard, De la
paralysie
,losso-labio-laryngée (Soc. méd. des hôpitaux, in
la grippe. L'autopsie n'a pu être faite. Cas. XXV (personnelle).
Paralysie
bulbaire totale ci début glossoplégique; paraly
V (personnelle). Paralysie bulbaire totale ci début glossoplégique;
paralysie
faciale; ophthalmoplégie externe. Jeune fille d
mbent. Nasonnement très accentué. Elle ne peut souffler ni siffler.
Paralysie
faciale supérieure pas absolue. Cependant impossi
iLITl; De l'étude qui précède, il résulte que l'oplithalmoplégie ou
paralysie
bulbaire supérieure est bien l'analogue de la p
moplégie ou paralysie bulbaire supérieure est bien l'analogue de la
paralysie
labio-glosso laryngée ou paralysie bulbaire inf
rieure est bien l'analogue de la paralysie labio-glosso laryngée ou
paralysie
bulbaire inférieure, et que dans les deux cas il
tricule. On peut en dire autant de l'atrophie muscu- laire et de la
paralysie
labio-glosso-laryngée qui la complique parfois;
ssus si nous n'avions pour nous guider les lésions trouvées dans la
paralysie
spinale antérieure chronique ou subaiguë et dan
myélites systématiques sont représentées ici par une préparation de
paralysie
infantile (PI. XLIII). 11 s'agit d'une coupe fait
e nerveux. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T III PL XLI11
PARALYSIE
INFANTILE ( RÉGION CERVICALE ) NOUVELLE ICONO
A MOELLE ÉPINIÈRE. 311 EXPLICATION DES PLANCHES Planche .lGlll. -
Paralysie
infantile ; Région cervicale, a, Corne antérieure
altérée; d, Tractus pie-mérien; e, Vaisseau. Fc. 77. - Schéma do la
paralysie
infantile. rtc. 78. - Sciérose en plaques. su
uinon et A. Dutil, 1. Moteur oculaire externe (Note sur un cas de
paralysie
du- et du facial avec atteinte de l'orbiculaire
Eniirz-6, 177. 1 Ophthatmoplégie externe (De l' - combinée à I la
paralysie
labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculair
sis nostras, 42. Eruptions bromurées, 40, 41. Facial et abducens (
Paralysie
du -), 34. Hystérie masculine (État mental et f
de -), 1, 2, 5; fruste, 3; sco- liose, 4. Myélite diffuse, 51.
Paralysie
infantile, 43. Pattpte7'etipefteUM(Retractionné
rvan (Schémas de sensibilité dans la ma- ladie de -), 5, 6, 7, 8.
Paralysie
infantile, 77. z Poliomyélites et polynévrites,
Nous mettons entre les mains du sujet qui ne présente aucune trace de
paralysie
soit dans les membres inférieurs, soit dans les m
iologiques dont il s'agit. Telles sont les vésanies de tout genre, la
paralysie
agitante, l'épilepsie, la chorée, etc., etc., et
urrait, si vous n'êtes pas prévenus, vous mettre dans l'embarras. Une
paralysie
est venue compliquer la chorée, direz-vous? En ré
ûr, n'y montrerait aucune modification des réactions électriques ; la
paralysie
s'est développée progressivement, sans fièvre, et
ements choréiques ont précédé dans les membres inertes aujourd'hui la
paralysie
. Ce n'est donc pas de paralysie infantile spinale
ns les membres inertes aujourd'hui la paralysie. Ce n'est donc pas de
paralysie
infantile spinale, qu'il s'agit; et immédiatement
rès par le fait d'une maladie organique du cœur. C'est ainsi que la
paralysie
choréique se termine toujours, autant que je sach
t que je sache. La guérison ici est la règle, même dans les cas où la
paralysie
est complète et plus ou moins généralisée. La cho
thèse inaugurale du docteur G. Ollive. Cette thèse a pour titre « Des
paralysies
chez les choréiques » ; elle a été soutenue à Par
lons, vous pouvez vous retirer. Tout cela guérira très bien ; même la
paralysie
des membres inférieurs. Vous en avez peut-être en
mbre, c'eat-à-dire vingt-trois jours après la leçon du 30 octobre. La
paralysie
des jambes a disparu depuis une Huitaine de jours
sements, et le lendemain au réveil il y avait dans ce même membre une
paralysie
très accentuée. Le même jour, le membre supérieur
plégie. Il ne suffirait pas actuellement de parler sommairement d'une
paralysie
plus ou moins intense, survenue plus ou moins sub
roite ; vous ne considérerez pas cette déviation comme l'indice d'une
paralysie
du facial inférieur, si vous relevez avec soin l'
eure. C'est, vous l'avez compris, l'hémispasme facial et non pas la
paralysie
faciale qui est ici en jeu, et cette constatation
issement permanent très prononcé du champ visuel à droite, côté de la
paralysie
motrice, tandis qu'à gauche, le champ visuel est
gestion à l'état de veille pourra être efficace en ce qui concerne la
paralysie
, suivant la méthode dont je vous ai donné les règ
on les retrouverait chez les animaux avec tous leurs caractères: — 1°
Paralysie
motrice complète avec flaccidité du membre inféri
le; —2° Pas d'élévation de température de ce côté ; —3° Pas traces de
paralysie
motrice, pas d'atrophie, pas d'exagération des ré
és chez notre sujet : A. Côté gauche : 1° Il n'existe plus trace de
paralysie
motrice dans le membre inférieur. Celle-ci aurait
le avec hémianesthésie croisée. a. Côté anesthésié. b. Côté de la
paralysie
de mouvement. c. Cicatrice de la plaie. Voilà
Vous n'ignorez pas en effet que dans les cas hystéro-traumatiques les
paralysies
avec i. Günstige formen von Hemilâsion des Rück
stérique ; 2° Amyotrophie par lésion articulaire ; 3° Deux cas de
paralysie
faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Ca
extension de la jambe, était fort prononcée. C'est évidemment d'une
paralysie
amyotrophique qu'il s'agissait ici et cette amyot
le âgée de douze ans accompagnée de sa mère ; elle est atteinte d'une
paralysie
faciale complète du côté gauche (paralysie périph
; elle est atteinte d'une paralysie faciale complète du côté gauche (
paralysie
périphérique); l'œil gauche ne peut pas se fermer
périphérique); l'œil gauche ne peut pas se fermer complètement. Cette
paralysie
date de dix-huit jours, on s'en est aperçu un soi
auche (1). M. Charcot : Vous connaissez nos idées relativement à la
paralysie
faciale dite a frigore. Souvent l'impression du f
cause occasionnelle. Il ne faut jamais négliger, quand il s'agit de
paralysie
faciale dite rhumatismale,ainsi que M.Neumannfabi
'en est assez sur ce cas. Voici qu'on nous amène un second exemple de
paralysie
faciale périphérique, autant que j'en puis juger
tement) : Vingt-huit ans. M. Charcot : Depuis quand avez-vous cette
paralysie
? Le malade : Depuis onze jours. M. Charcot :
n. J'avais •dormi comme de coutume. M. Charcot : Le pronostic de la
paralysie
, comme durée, ne pourra être fourni, vous le save
de M. Neumann : De la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la
paralysie
faciale dite « « frigore » (Union médicale, 15 no
le précédent, vient confirmer nos idées relatives à l'étiologie de la
paralysie
faciale dite à frigore. Mais pénétrons plus avant
uditeurs) : Eh bien, Messieurs, qu'en pensez-vous ? Voilà deux cas de
paralysie
faciale périphérique pris au hasard ; ne sont-ils
rdi 20 Novembre 1888 CINQUIÈME LEÇON 1er Malade. — Cas complexe :
paralysie
spinale infantile, paraplégie alcoolique, attaque
e alcoolique, attaques hystéro-épileptiques. 2°, 3e, et 4e Malades. —
Paralysie
faciale périphérique. 1er Malade. I Messieurs
-ci sont flasques dans l'articulation tibio-tarsienne par suite de la
paralysie
des extenseurs et il en résulte que, en retombant
out à l'heure, les gens qui marchent en steppant ont généralement une
paralysie
plus ou moins prononcée des extenseurs des pieds,
Chez notre homme vous constatez aisément, lorsqu'il est assis, cette
paralysie
et vous remarquez qu'elle est absolue à gauche, t
l'intoxication saturnine, bien qu'il y soit un fait exceptionnel, la
paralysie
en pareil cas portant principalement et dans la r
les troubles de sensibilité, se retrouvent au plus haut degré dans la
paralysie
alcoolique qui peut être considérée comme un type
sé qui précède ne vient directement à rencontre cle l'hypothèse d'une
paralysie
alcoolique. Toutefois, pour bien apprécier la sit
st devenue à un moment donné permanente. Les premiers symptômes de la
paralysie
actuelle paraissent remonter à sept ou huit ans.
r cliniquement, dans les conditions où nous sommes, l'existence de la
paralysie
alcoolique. Pour ne pas entrer à propos des car
ur ne pas entrer à propos des caractères cliniques de cette espèce de
paralysie
, dans une description en règle, je vous prierai d
à nouveau, sans s'accompagner, cependant, comme dans le temps, d'une
paralysie
complète ; et, par l'accumulation de toutes ces c
qu'il a été frappé de très bonne heure, vers l'âge de dix mois, d'une
paralysie
spinale infantile de forme paraplégique développé
de forme paraplégique développée à la suite de « convulsions ». Cette
paralysie
a été la cause que de tous temps à partir de l'âg
ombait fréquemment à terre sur les genoux. » Aux reliquats de cette
paralysie
infantile sont donc venus se surajouter les phéno
e, on peut, si je ne me trompe, à côté des lésions qui relèvent de la
paralysie
alcoolique, discerner celles qui constituent les
croyons devoir rattacher, en particulier, l'inégale répartition de la
paralysie
et de l'atrophie dôgénérative des muscles des mem
ale répartition des affections musculaires est chose vulgaire dans la
paralysie
infantile, tandis que, dans la paralysie alcooliq
s est chose vulgaire dans la paralysie infantile, tandis que, dans la
paralysie
alcoolique, ces lésions sont à peu près uniformém
périphérique alcoolique. Etant donné donc l'existence passée d'une
paralysie
infantile spinale dont les vestiges sont encorepa
une opinion que je professe depuis longtemps : c'est à savoir que la
paralysie
infantile spinale serait, au même titre que l'ata
infantile spinale serait, au même titre que l'ataxie locomotrice, la
paralysie
générale, i'épilepsie, l'hystérie, etc., un membr
sait que lui aussi a eu des « convulsions » et qu'il a été frappé de
paralysie
infantile. Nous avons mentionné déjà que l'une
alcoolisme du père retentir sur lui septième enfant, sous la forme de
paralysie
infantile spinale, alors que six de ses frères et
des successives : l'une, la première, marquée par la production de la
paralysie
spinale infantile ; l'autre, la seconde en date,
ire. L'alcoolisme du père a retenti sur le fils sous la forme de la
paralysie
infantile spinale. Les abus du fils, dont le père
hui est ici l'affection dominante vraiment active ; les lésions de la
paralysie
infantile spinale, aggravées un moment par celles
Hélas, pauvre « Don Juan » ! 2e Malade Trois malades atteints de
paralysie
faciale périphérique sont introduits. M. Charco
n dernier (Voir Leçons du mardi, 1887-88, p. 463) comme un exemple de
paralysie
faciale douloureuse. En effet, le dimanche 3 juin
œil droit complètement. Le lendemain la bouche était de travers et la
paralysie
faciale était absolue. L'application du froid dan
oid dans ce cas paraît avoir contribué à provoquer l'apparition de la
paralysie
; mais on pouvait recueillir dans les antécédents
tre développées presque en même temps, peut-être en même temps que la
paralysie
et elles n'ont pas survécu longtemps à son début;
on début; d'après cela, conformément aux conclusions de M. Testaz, la
paralysie
devrait être considérée comme bénigne, facilement
é des cas que la classification établie par M. le professeur Erb, des
paralysies
faciales en forme légère, moyenne, et grave, clas
blié par Y Union médicale (15 novembre 1888). On peut voir des cas de
paralysie
faciale qui, paraissant, au point de vue des réac
r un pronostic grave, guérissent cependant rapidement, tandis que des
paralysies
dites bénignes, d'après les réactions électriques
çon avec l'intensité et la durée de la maladie ; et nous avons vu des
paralysies
faciales, ne s'accompagnant d'aucun changement da
e plus qu'il reste encore quelque chose à faire sur ce chapitre de la
paralysie
faciale qu'on pourrait croire à peu près complète
omplètement épuisé. 3e et 4e Malades Il s'agit ici de deux cas de
paralysie
faciale périphérique de date récente. Le premie
ête et en même temps de douleurs derrière l'oreille du côté droit. La
paralysie
faciale a paru deux jours après. Impossibilité de
nerveuse. Le second malade, âgé de 18 ans. est également atteint de
paralysie
faciale depuis une huitaine de jours; c'est de la
ans la famille ou chez le sujet lui-même est restée sans résultat. La
paralysie
est très accentuée dans tout le côté gauche de la
sans exception ; ainsi dans l'hystérie, dans le mal comitial, dans la
paralysie
agitante, dans la maladie de Basedowe dans les vé
mbre supérieur gauche ; de ce côté, il n'y a pas, à proprement parler
paralysie
mais seulement parésie. Le dynamomètre pressé p
nts, fort remarquable assurément, et qui paraît appartenir aux seules
paralysies
hystériques ; non pas qu'on le rencontre, bien en
ains chez un employé de chemin de fer âgé de 56 ans. 4° Deux cas de
paralysie
infantile spinale présentant quelques anomalies.
chock nerveux ressenti dans; un accident de chemin de fer. À savoir :
paralysie
agitante, épilepsie, vésanie, sclérose en plaques
n désigne assez vulgairement, d'après Duchene de Boulogne, clu nom de
paralysie
spinale de l'enfance (1). Immédiatement, ceux d'e
s et l'autre a atteint sa vingtième année ; vous n'ignorez pas que la
paralysie
infantile, comme on l'appelle encore sans autre a
au préalable un aperçu sommaire de l'histoire symptomatologique de la
paralysie
infantile considérée dans sa forme classique. Je
ystème nerveux, t. II, p. 163,— oette leçon date de juillet 1870), la
paralysie
infantile peut être considérée, pour le commençan
ntre dans la moelle épinière, chez les sujets qui ont été atteints de
paralysie
infantile spinale peuvent se montrer étroitement
tionnels qui constituent à proprement parler la symptomatologie de la
paralysie
infantile spinale. Au processus morbide qui rap
es des cornes antérieures et en détruit un certain nombre, répond une
paralysie
motrice plus ou moins complète du membre ou des m
ttachés anatomique-ihent et physiologiquement au foyer spinal ; Cette
paralysie
est souvent dès l'origine absolue, complète, marq
s de Brown-Sequard et autres, et confirmé par l'histoire même de la
paralysie
infantile. Pas de troubles vésicaux, du moins dan
ogressivement à l'état normal. Sur les membres qui ont été frappés de
paralysie
il en est un ou deux qui se dégagent en grande pa
Kennedy, celle de Frey comme des exemples fort rares du reste, d'une
paralysie
infantile spinale terminée par une vraie guérison
compte, d'observer dans le temps un fait de ce genre, dans lequel la
paralysie
absolue, complète de l'un des membres inférieurs,
sser de traces. N'allez donc pas constamment, en présence d'un cas de
paralysie
spinale infantile,annoncer la perte totale et néc
s ne sont pas à craindre, cependant il ne faut jamais oublier qu'à la
paralysie
infantile de date ancienne correspond nécessairem
it que quelquefois chez des sujets devenus infirmes par le fait de la
paralysie
infantile, on voit plus ou moins tardivement se d
peler les grands traits de l'évolution normale, si vous voulez, de la
paralysie
infantile considérée dans son type vulgaire, j'en
onduit par l'étude des antécédents héréditaires des sujets frappés de
paralysie
infantile, à penser que la maladie dont il s'agit
alytique général (Voir le tableau ci-dessous) : Grand-père paternel
Paralysie
générale progressive Père Sain Mère Saine D
ssive Père Sain Mère Saine Deux enfants : 1° Pille frappée de
paralysie
infantile à l'âge de 18 mois. 2° Pille frappée
ppée de paralysie infantile à l'âge de 18 mois. 2° Pille frappée de
paralysie
infantile à l'âge de 3 ans 1/2. 1. L'hérédité d
886, p. 204. Je relèverai à ce propos que plusieurs fois j'ai vu la
paralysie
générale progressive survenir chez des sujets qui
e survenir chez des sujets qui dans l'enfance avaient été atteints de
paralysie
infantile. Le cas auquel est relative la figure 5
précisément un exemple de ce genre. Un second tableau montrerait la
paralysie
infantile survenant chez le descendant d'une gran
e occupant les gros orteils). Un fils frappé à l'âge de 4 ans d'une
paralysie
infantile spinale typique. Ces faits tendent év
pinale typique. Ces faits tendent évidemment à faire reconnaître la
paralysie
infantile comme une maladie d'hérédité nerveuse.
ical (janvier 1888), M. le Dr Cordier publiait treize observations de
paralysie
infantile développée dans l'espace de deux mois s
une population qui ne dépasse pas 1.500 âmes. De là à conclure que la
paralysie
infantile est une maladie infectieuse, peut-être
Fig. 33. — Coupe de la moelle à la région cervicale dans vin cas de
paralysie
infantile du membre supérieur droit. — Pièce recu
ur droit. — Pièce recueillie à la Salpêtrière chez une femme morte de
paralysie
générale à l'âge de 50 ans. sans quelque réserv
e, car en somme cette très curieuse histoire d'une petite épidémie de
paralysie
spinale infantile, constitue encore, à l'heure qu
L'enfant a une sœur morte en Las âge qui était née avec une sorte de
paralysie
d'un des membres supérieurs, probablement d'une p
ne sorte de paralysie d'un des membres supérieurs, probablement d'une
paralysie
obstétricale. Lui, n'avait jamais été malade et
règle, en effet, ainsi que je le faisais remarquer en commençant, la
paralysie
infantile paraît évoluer sans s'accompagner de ph
es douleurs qui précèdent quelquefois de quelques jours le début delà
paralysie
,et quipersistent parfois cinq ou six mois après,
ce n'est toutefois sur un point que jt relèverai tout à l'heure. La
paralysie
, à l'origine, ainsi qu'on l'a dit, était complète
n peu de fièvre et se coucha. Le lendemain, au réveil, on constate la
paralysie
complète du membre inférieur gauche dans sa total
e jour, la fièvre paraît-il était tombée et néanmoins, ce jour-là, la
paralysie
s'est étendue au membre supérieur droit. Aucune t
mbre supérieur droit. Aucune trace de douleurs. Mais, par contre, une
paralysie
vésicale dont il n'existe plus la moindre trace s
e vous le savez et qui paraît être relativement moins rare lorsque la
paralysie
spinale frappe les adultes. La période de rétro
es nous a donc conduit 1. Il existe en outre, chez cette malade une
paralysie
conjuguée des muscles oculaires dans les mouvemen
stérie a. Appareil moteur de l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). —
Paralysie
par lésion d'un nerf moteur de l'-ml (noyau bulba
nêrf périphérique). Diplo-pie consécutive. Sclérose en plaques : 1°
Paralysies
dans les mouvements associés des yeux, nécessaire
pie spéciale consécutive. 2° Nystagmus. Hystérie : 1° Quelquefois
paralysies
associées. 2° Spasmes des paupières. 3° Diplo
La diplopie, dans l'ataxie est, dans la règle, la conséquence de la
paralysie
d'un des muscles moteurs de l'œil; dans la scléro
ans la sclérose en plaques, au contraire, elle est surtout liée à une
paralysie
des mouvements associés des deux yeux. Une diplop
des fois parlé des choréesmolles et je vous ai fait remarquer que la
paralysie
véritablement choréique ne paraît pas avoir de gr
ce qu'il disait. M. Charcot. — S'est-il agi là d'une combinaisou de
paralysie
générale progressive avec l'ataxie? C'est on ne p
u'après l'ouverture d'un abcès par congestion dans le mal de Pott, la
paralysie
des membres inférieurs qui existait auparavant di
vations dans lesquelles, après avoir duré une ou plusieurs années, la
paralysie
par mal de Pott a guéri cependant sans laisser d'
quer, constitue un des caractères cliniques les plus intéressants des
paralysies
hystéro-traumatiques en particulier, et en généra
des paralysies hystéro-traumatiques en particulier, et en général des
paralysies
hystériques psychiques. S'agit-il donc chez notre
emple de ce qui a lieu dans les cas où il s'agit de la production des
paralysies
hystéro-traumatiques en conséquence d'un choc loc
téristiques en pareil cas, de façon à reproduire le type univoque des
paralysies
hystéro-psychiques. Pour ce qui est de la paral
e univoque des paralysies hystéro-psychiques. Pour ce qui est de la
paralysie
des membres supérieurs, qui se présente comme l'o
u haut d'un échafaudage ; l'hystérie à part, il en avait été 1. Des
paralysies
hyste'ro-traumaliques chez Vhomme, Semaine médica
), âgé de 41 ans. Pas de syphilis. Un oncle paternel a été atteint de
paralysie
générale progressive. Début en 1887 par de l'impu
s est plutôt à considérer : ainsi,les symptômes céphaliques, tels que
paralysies
oculaires, phénomènes laryngés, ou encore les cri
Enfin, dans un cinquième cas, est survenu à la suite d'une séance une
paralysie
radiale évidemment déterminée par la compression.
une paralysie radiale évidemment déterminée par la compression.Cette
paralysie
a disparu très rapidement. Nous devons noter en
rs du tabès, la suspension a été appliquée à huit sujets atteints cle
paralysie
spasmodique, à trois sujets affectés de la maladi
is sujets affectés de la maladie de Friedreich, enfin à quatre cas de
paralysie
agitante (maladie cle Parkinson). Aucun des mal
ions n'a pas dépassé encore six séances. Par contre dans les cas de
paralysie
agitante,— nous relevons en passant qu'il s'est a
tite goutteuse; invasion soudaine du vertige ab aure lœsa : diplopie,
paralysie
faciale transitoire. Le vertige s'établit à Tétat
est bien certainement de cela qu'il s'agit, — s'est accompagnée d'une
paralysie
du nerf facial gauche, offrant tous les caractère
ne paralysie du nerf facial gauche, offrant tous les caractères de la
paralysie
périphérique classique dite rhumatismale ; cette
ères de la paralysie périphérique classique dite rhumatismale ; cette
paralysie
a cédé d'elle-même au bout d'une huitaine de jour
introduite dans la science par M» Neumann, notion d'après laquelle la
paralysie
de ce genre est souvent une maladie d'hérédité'
squ'à prétendre, bien entendu, ni M. Neumannnon plus je pense, que la
paralysie
faciale périphérique n'est jamais une affection t
as, personne n'ignore que, dans un groupe de faits assez nombreux, la
paralysie
faciale périphérique est, purement et simplement,
n'est pas difficile de comprendre anatomiquement la production d'une
paralysie
faciale en conséquence d'une otite moyenne : on s
e dire que telle a été, suivant nous, la raison de l'apparition d'une
paralysie
faciale transitoire chez notre homme dans les cir
eille gauche et des bourdonnements presque constants ont survécu à la
paralysie
faciale qui du reste, ainsi que nous l'avons fait
ar moments laquelle n'a pas reparu depuis, et aussi l'existence d'une
paralysie
faciale en tout semblable à celle qui s'était pro
des premiers symptômes d'obnubilation auditive. Cette fois encore, la
paralysie
a été absolument transitoire ; sa durée n'a pas d
es ne lui appartiennent pas en propre, la diplopie à répétition et la
paralysie
faciale transitoire signalées tout à l'heure, ne
peut-être, non encore suffisamment remarqué. Pour ce qui est de la
paralysie
faciale, nous avons dit plus haut quel a dû être
qu'en se propageant au canal de Fallope l'inflammation a déterminé la
paralysie
. La coexistence, d'ailleurs, d'une paralysie faci
lammation a déterminé la paralysie. La coexistence, d'ailleurs, d'une
paralysie
faciale périphérique avec une otite accompagnée d
e, et l'occlusion du méat gauche ne le mobilise pas. Le vertige et la
paralysie
faciale reconnaissent la même cause, à savoir l'o
udaine, dans laquelle on voit se reproduire, à part la diplopie et la
paralysie
faciale, tous les phénomènes signalés, lors du
c'est, on peut le dire, avec le tremblement alcoolique et celui de la
paralysie
générale progressive, un de ceux dont les oscilla
ercuriel qui s'en rapproche beaucoup en donne seulement 5, 6 ou 7, la
paralysie
agitante en donnant, elle, de 3 à 6 seulement dan
Ajoutons que vis-à-vis du tremblement alcoolique et de celui de la
paralysie
générale progressive, le tremblement de la maladi
globes oculaires, fait reconnaître l'existence d'un certain degré de
paralysie
de la convergence accompagné de diplopie, symptôm
est dit qu'il y a 3 ans, il a existé pendant 10 mois une diplopie par
paralysie
des droits externes pour laquelle elle a été trai
défaut, il existe par contre encore de la diplopie homonyme due à une
paralysie
incomplète de la 6e paire à droite. Enfin depuis
asion de relever, vous ne l'avez pas oublié, dans notre étude sur les
paralysies
psychiques et qui ici contribueront à fixer le di
mptomes neurasthéniques stigmates hystériques «tifs et sensoriels
paralysies
hystériques attaques ou équivalentes d'attaqu
s tabétiques avec vomissements noirs. 2e Cas. — Chez un israélite :
paralysie
et contracture hystériques développées à la suite
d'autres fois enfin,la maladie au bout de trois ans a abouti à une «
paralysie
(?) des membres inférieurs », etc., etc.,de telle
axie sont chose curable ; il en est de même des crises laryngées, des
paralysies
des muscles moteurs de l'œil, des crises vesicale
de la raucité de la voix et aussi du cornage. Il existe en effet une
paralysie
incomplète de la corde vocale gauche, ou autremen
vant moi, rapprochent étroitement notre cas, des exemples nombreux de
paralysies
hystéro-traumatiques, avec ou sans accompagnement
réflexe psychique, à la production dans les membres intéressés, de la
paralysie
et de la contracture, et celles-ci ont revêtu, ai
en pareille circonstance, tous les caractères des contractures et des
paralysies
hystériques. 1. 11 est à remarquer que dans ce
fait une intéressante étude dans sa thèse d'agrégation, et enfin des
paralysies
périphériques dont nous devons la depcription aux
point de vue clinique, particulièrement intéressante à consulter. Les
paralysies
en question sont, tantôt des monoplégies, comme c
avait lieu dans l'observation de M. Rendu. Ce sont, en tout cas, des
paralysies
avec flaccidité, accompagnées de gonflement, d'em
ophiques encore. On s'accorde assez généralement à faire dépendre ces
paralysies
et les troubles trophiques concomitants de l'exis
ue survenir inopinément de l'apathie, de l'embarras de la parole, des
paralysies
motrices des membres avec ou sans contracture; pl
toxication par l'oxyde de carbone au même titre que les amnésies, les
paralysies
par névrite périphérique, ou les ramollissements
nifestation de la névrose chez un sujet prédisposé. Les amnésies, les
paralysies
en question, méritent véritablement, par conséque
s avons bien des fois invoqué pour expliquer le développement de ces «
paralysies
psychiques »,« dépendent on Idea» comme les appel
tent à quatre ou cinq mois. C'est en raison de l'existence de cette
paralysie
, dont je veux vous laisser le soin de faire vous-
mOdique, l'absence de réflexes rotuliens et du phénomène du pied ; la
paralysie
affectant d'une façon prédominante les extenseurs
ensemble suffisent, en grande partie, pour caractériser une classe de
paralysies
, relevant, ainsi que certaines études récentes te
classe dans laquelle, en tout eas, le premier rang est occupé par les
paralysies
toxiques. Mais examinonsles choses plus attenti
ons fibro-tendineuses, désignent particulièrement, dans la classe des
paralysies
par névrites périphériques, celles qui relèvent d
sur le rôle important que jouent ces rétractions dans la clinique des
paralysies
alcooliques, dans une leçon que le Bulletin médic
mener des déviations et de nécessiter à un moment donné, — lorsque la
paralysie
est guérie, — une intervention chirurgicale, peuv
? On sait que certaines rétractions fibreuses indépendantes de toute
paralysie
, comme la rétraction de l'aponévrose palmaire, pa
te même leçon, j'attribuais à la rétraction fibro-tendineuse dans les
paralysies
alcooliques. La rétraction en question, disais-
re aux paraplégies spasmodiques: elle peut se montrer encore dans des
paralysies
où la déformation ne dépend pas d'une contracture
pas d'une contracture spasmodique des muscles ; tel est le cas de la
paralysie
alcoolique. H y a dans ces cas-là, vraisemblablem
e chute du pied, analogue à la chute du poignet qu'on observe dans la
paralysie
saturnine ; rien ne retient la flexion du pied, q
J'ai obsené deux cas de ce genre dans lesquels, après gué-rison de la
paralysie
, l'intervention chirurgicale, entre les mains de
,ainsi qu'on l'a vu, ne sont pas un fait absolument constant dans les
paralysies
alcooliques, elles y sont cependant un fait très
nt pas autre part au même degré, de telle sorte que, quand dans une
paralysie
présentant d'ailleurs les caractères que nous avo
marquons en passant que la présence fréquente des rétractions dans la
paralysie
alcoolique, n'est pas chose faite pour surprendre
ent des membres in.'érieurs observé par M. Lancereaux, dans un cas de
paralysie
alcoolique. Dans ce cas, il y avait flexion de la
liqués sur les muscles postérieurs de la cuisse. Voir : Brissaud, Des
paralysies
toxiques, thèse d'agrég. Paris, 1886, p. 25. pe
ns de relever, nous avons de quoi compléter le tableau clinique de la
paralysie
alcoolique. C'est bien d'elle qu'il s'agit décidé
'il s'agit décidément dans notre cas; je ne crois pas qu'il existe de
paralysies
autres que celle-là dans lesquelles on retrouve c
vous attendre à rencontrer fréquement chez les individus atteints de
paralysie
alcoolique. Il enest demêmedes Vêves particuliers
je vous ai raconté souvent l'histoire d'un cas dans lequel j'ai vu la
paralysie
alcoolique chez un « gentleman » guérir trois foi
se suicidant. A part la question des récidives, le pronostic de la
paralysie
alcoolique d'après ce qui a été dit vous paraîtra
vous sachiez cependant que, de temps à autre, on rencontre des cas de
paralysie
alcoolique se présentant absolument avec toutes l
l).Deux fois j'ai assisté,nonpas impassible, je vous 1. Voir sur la
paralysie
alcoolique, la Leçon du mardi G mars 1688. prie
chose d'imprévu. En général,en effet c'est du côté où se montrent la
paralysie
motrice et les troubles de la sensibilité que siè
jambe gauche, 34 cc. 2. Babinski. De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques. Arcb. de Neurologie vol. II, juillet
ge de 34 ans chez un homme qui à l'âge de 2 ans, avait été atteint de
paralysie
spinale infantile. 2° Chez un homme de 24 ans :
ve, développée chez un sujet qui, dans l'enfance, avait été frappé de
paralysie
spinale aiguë, affection dont il porte encore les
obligé d'abandonner il y a 3 ans. Malgré l'infirmité produite par la
paralysie
infantile, laquelle gène l'action des membres inf
t-il, assez fatiguant. 55 Voici ce qu'il raconte concernant cette
paralysie
d'enfance dont il sera question plus d'une fois e
aveur de la thèse que je soutiens depuis longtemps, à savoir : que la
paralysie
spinale infantile est moins une maladie accidente
sieurs, la situation d'un sujet chez lequel, comme c'est la règle, la
paralysie
infantile a laissé subsister après elle, pour tou
ilité osseuse sur ce membre supérieur droit qui, un instant frappé de
paralysie
complète, s'était cependant, dans la période de r
ère ? Cela certes, n'est pas aussi démontré. On sait bien que dans la
paralysie
spinale aiguë de l'enfance il n'y a pas, à propre
ion sérieuse. Mais voilà qu'il y a 4 ans, 34 ans après l'époque où la
paralysie
spinale infantile a cessé d'évoluer, sans qu'une
s auparavant, après avoir été un moment sérieusement impliqué dans la
paralysie
infantile, s'était à peu près complètement dégagé
ble qu'aux membres inférieurs présentent les jambes par le fait de la
paralysie
d'enfance ; il semble que les masses musculaires
, je le répète, reproduit en quelque sorte dans le mode chronique, la
paralysie
spinale infantile, est relativement fort simple.
ues (1). Autrefois je n'avais à citer, comme exemple du genre, que la
paralysie
dite pseudo-hypertrophique, laquelle peut évoluer
ce groupe, je citerai seulement à titre « d'exemple, la maladie dite
paralysie
pseudo-hypertrophique... Je me propose de montrer
roupe. Celui-ci, en effet, doit embrasser aujourd'hui, en outre de la
paralysie
myosclérosique de Duchenne, non pas comme espèces
s individus qui dix, quinze, vingt ans auparavant ont été atteints de
paralysie
infantile spinale, ne sont pas tout à fait rares
amille. Plus haut je vous ai dit, et je maintiens l'assertion, que la
paralysie
atrophique infantile ne récidive point, à proprem
ronique s'est fait dix, quinze, vingt ans après l'époque où a sévi la
paralysie
de l'enfance. Le plus souvent, ce sont les membre
nt répandue, les individus qui ont subi autrefois les atteintes de la
paralysie
infantile spinale, ne sont pas pour cela à l'abri
ituelles, les plus classiques, si l'on peut ainsi parler, ont avec la
paralysie
infantile un trait commun : c'est que, comme dans
et, E. Thomas. De l'atrophie musculaire progressive, consécutive à la
paralysie
infantile, Thèse de Genève 1886. — Sattler. Contr
rendre à son tour lentement et s'atrophier. Dans ces observations, la
paralysie
atrophique de nouvelle formation est restée local
les cellules ganglionnaires est le point de départ des lésions de la
paralysie
infantile spinale. (Nord. med. Arkiv. Stockholm 1
on a signalé des troubles nerveux divers et plus particulièrement des
paralysies
. Dans l'espèce, celles-ci ne sont point très rare
énins et de courte durée, parmi lesquels figurent au premier rang les
paralysies
. Mais quels sont exactement les caractères cliniq
aralysies. Mais quels sont exactement les caractères cliniques de ces
paralysies
des foudroyés ou kerauno-paralysies, comme vous v
nt-elles au contraire, tout simplement, dans les cadres vulgaires des
paralysies
traumatiques ? C'est ce qu'on ne saurait encore d
che, la chute, puis la perte de conscience qui ont suivi, et enfin la
paralysie
de ce membre constatée lors du réveil ?Tout cela
puissants, si je ne me trompe, doit être tiré de la description de la
paralysie
produite chez lui, autant qu'on en peut juger, au
r tous les points avec ceux qu'on assigne, ajuste titre je crois, aux
paralysies
déterminées par la fulguration dans des circonsta
le de vous présenter maintenant, relativement à ce qu'on sait sur les
paralysies
des foudroyés. Vous n'ignorez pas que ces paralys
'on sait sur les paralysies des foudroyés. Vous n'ignorez pas que ces
paralysies
peuvent être jusqu'à un certain point reproduites
la fulguration partielle ; c'est dans ce dernier cas surtout que les
paralysies
kerauno-expérimentales ont été étudiées. Que le c
gé sur un membre dans le sens de la longueur ou transversalement, les
paralysies
produites immédiatement après le choc, sont marqu
la sensibilité à savoir : anesthésie cutanée et profonde ; 2° par des
paralysies
motrices plus ou moins prononcées, avec diminutio
ion temporaire de l'excitabilité électrique. Un des caractères de ces
paralysies
, c'est que, quoi qu'on fasse, elles ne sont pas d
n nombre de caractères cliniques qui paraissent propres à ce genre de
paralysies
. Il suffit, pour s'en convaincre, d'étudier avec
ement groupées, dans l'intéressante monographie de Sestier (4). Ces
paralysies
d'ailleurs, dans l'espèce, paraissent être un fai
le choc, ou bien dès le réveil, s'il y a eu perte de connaissance, la
paralysie
existe, complète ou incomplète suivant les cas.
es p. ¿-'03, et Sestier, Passim. 4. Loc. cit. . II, p. 112; art. 3.
Paralysie
des foudroyés. de ce genre. On n'y voit pas, mê
les plus intenses, et alors qu'il s'agit d'une forme paraplégique, de
paralysie
de la vessie et du rectum, non plus que des escha
u près toujours, ainsi que l'indiquent encore d'autres caractères, de
paralysies
périphériques. Leur siège et leur étendue sont
a hémiplégie gauche plus ou moins complète. Mais il est des cas où la
paralysie
s'étend bien au-delà du point frappé par la foudr
un homme qui portait une toute petite plaie sur la cuisse gauche, la
paralysie
s'étendait à tout le membre inférieur gauche ; el
érieurs sous forme paraplégique, dans un cas du même genre. Enfin, la
paralysie
affecte quelquefois des individus qui sans avoir
e frappa de mort une vieille dame et sa nièce, à Borlington (1). La
paralysie
peut revêtir la forme d'une hémiplégie, d'une par
plus fréquent,d'une monoplégie pure. Dans un cas, il s'est agi d'une
paralysie
alterne. « Une femme fut atteinte par la foudre p
és par la foudre. » Un autre caractère est que, dès le début de ces
paralysies
, on peut le dire, tout le mal est fait ; elles ne
urte. On voit, par les 28 observation rassemblées par Sestier, que la
paralysie
n'a pas dépassé 24 heures dans 12 cas, c'est-à-di
ux ou trois mois. Vous voyez qu'en somme, par les grands côtés, les
paralysies
par fulguration chez l'homme et celles artificiel
ent identiques. Il nous faut rechercher maintenant messieurs, si la
paralysie
ou mieux la parésie — car il s'agit là d'une form
; mais il est un point, cependant, et un point capital, par lequel la
paralysie
de notre malade s'éloigne du tableau classique :
bre. IV Il résulte donc de l'observation du cas, messieurs,que la
paralysie
de notre homme qui n'était pour ainsi dire qu'éba
aperçu absolument de rien. Voici maintenant ce qui est relatif à la
paralysie
motrice. Le malade marche en boitant, sans frotte
us ne relevons rien qui ne puisse rentrer dans la caractéristique des
paralysies
par fulguration, mais voici maintenant une série
ment, nos dernières constatations nous obligent à sortir du cadre des
paralysies
par fulguration : elles nous ont fait retrouver e
nt chez notre sujet, au moment même où il dit avoir ressenti le coup,
paralysie
par fulguration, et c'est sur cette paralysie que
avoir ressenti le coup, paralysie par fulguration, et c'est sur cette
paralysie
que, ultérieurement la paralysie hystérique est v
par fulguration, et c'est sur cette paralysie que, ultérieurement la
paralysie
hystérique est venue se greffer. Vous prévoyez ce
ute, un choc électrique, local, immédiatement suivi d'une esquisse de
paralysie
dans le membre frappé. Puis à la faveur de l'état
ui que produit l'hypnotisme, compléter, si l'on peut ainsi parler, la
paralysie
hystérique déjà existante, et l'amplifier en cons
autrement dit, d'une sorte de rumination mentale. C'est ainsi que la
paralysie
est venue se superposer à l'ébauche de paralysie
. C'est ainsi que la paralysie est venue se superposer à l'ébauche de
paralysie
déterminée par le choc électrique et c'est dans c
lui parut lourd et bientôt se reproduisit, comme la première fois la
paralysie
du mou- 1. Virchow's Archiv., 1880, t. LXXX, p.
que pas de reconnaître qu'il existe des analogies frappantes entre la
paralysie
observée chez ce malade et les paralysies hystéri
nalogies frappantes entre la paralysie observée chez ce malade et les
paralysies
hystériques : même invasion brusque, même guériso
droite produite par la foudre. Guérison. Réapparition passagère de la
paralysie
à l'occasion de chaque orage. 62 insensible e
alysie à l'occasion de chaque orage. 62 insensible et flasque. La
paralysie
dura telle quelle pendant trois mois, mais ce ne
que laguérison ait été absolument complète, puisque, depuis lors, la
paralysie
reparaît pendant quelques heures à l'occasion de
couleurs de l'arc-en-ciel (scotome scintillant ?) on voit, dis-je, la
paralysie
se reproduire sur le membre supérieur droit avec
sans succès, de déterminer, en dehors de l'orage, le retour de cette
paralysie
, par l'application sur le membre de l'électrisati
saute aux yeux dans ce cas : c'est d'elle évidemment que relève cette
paralysie
récidivant à l'occasion des orages. Mais « peut-o
obile sur son siège, pendant peut-être dix minutes. Le lendemain, une
paralysie
incomplète pour le mouvement, mais très prononcée
s contractions fîbrillaires se voient 4. Soc. de Biologie, 1887-88.
Paralysie
par courant électrique d'origine tellurique. — Gu
ce cas, bien qu'elle y soit facile à reconnaître ; il n'y voit qu'une
paralysie
par courant électrique d'origine tellurique. Quat
fait l'objet de la présente étude, en ce sens que, dans toutes, à une
paralysie
produite par la commotion électrique, est venue s
commotion électrique, est venue se surajoutera diverses échéances, la
paralysie
hystérique. Les cas dans lesquels l'hystérie s'es
certain nombre (1) ; mais je n'ai voulu parler ici que de ceux où la
paralysie
s'est produite immédiatement à la suite du choc é
° Lorsqu'une fulguration partielle aura déterminé la production d'une
paralysie
relevant directement de l'action électrique, si l
de l'action électrique, si l'hystérie, par suite, entre en scène, la
paralysie
hystérique pourra se superposer et ensuite se sub
ralysie hystérique pourra se superposer et ensuite se substituer à la
paralysie
primitive. 1. Les spasmes de la face et des pau
a dans le membre inférieur gauche et le retint trois jours au lit. La
paralysie
motrice ne fut pas de longue durée et, depuis lon
ée, le goût, l'odorat, l'ouïe sont à l'état normal des deux côtés. La
paralysie
motrice d'autrefois, ainsi que nous l'avons déjà
emble ou les actes partiels ne laissent rien à désirer. Il n'y a ni
paralysie
, ni ataxie. Les réflexes patellaires sont parfait
veloppe rapidement, si la lésion spinale évolue suivant le mode aigu (
paralysie
spinale infantile), ou au contraire, d'une façon
n des muscles. On sait encore très positivement, par l'histoire de la
paralysie
infantile d'un côté et de l'autre par celle de l'
stinction entre a. les symptômes leucomyéliques latéraux: parésies ou
paralysies
de genre spasmodique, et b. les symptômes leucomy
dissociation des divers modes de la sensibilité, ou autrement dit de
paralysie
sensitive partielle, appliquée au diagnostic 67
et on n'a pas relevé 1. Babinski. De Vatrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques. — Arch, de Neurologie, numéro 34 et
mbre supérieur. Ainsi, vous le voyez, nous trouvons ici, liée à une
paralysie
de l'extrémité supérieure droite, cette dissociat
périodes distinctes. La première a commencé il y a, trois ans par une
paralysie
de cette même main droite, dont il est de nouveau
s, tact, douleur, sensibilité au froid et au chaud. La durée de cette
paralysie
a été de douze mois environ, durant lesquels il y
mps, le retour à l'état normal était complet sur toute la ligne. La
paralysie
nouvelle qui s'offre aujourd'hui à notre étude s'
t symétriques et réguliers. Il n'y a aucune apparence de spasme ni de
paralysie
. La langue est tirée droite et se meut dans tous
ique (2) ? » APPENDICE ¹ 2 Rétractions fibro-tendineuses dans les
paralysies
spasmodiques par lésions organiques spinales, dan
les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales, dans les
paralysies
alcooliques et dans la contracture spasmodique hy
rvention chirurgicale, et c'est sur cette intervention dans un cas de
paralysie
spasmodique d'origine spinale que je veux particu
Cette période douloureuse a duré six mois ; puis s'est développée une
paralysie
avec amyotrophie des membres supérieurs qui prése
rement, c'est ce qui s'est passé du côté des membres inférieurs. La
paralysie
spasmodique s'atténua de plus en plus, et même à
, fait de longues courses à pied, ne présente pas la moindre trace de
paralysie
spasmodique, et comme vestige de l'affection dont
er un autre cas du même genre. Ici, l'affection a été moins grave, la
paralysie
spasmodique n'a jamais été qu'ébauchée, c'est-à-d
des réflexes tendineux. Aujourd'hui, il n'y a que des vestiges de la
paralysie
lombaire marquée seulement par des réflexes rotul
it une paraplégie spasmodique avec flexion des membres dans lequel la
paralysie
a guéri au bout de deux ans, sans qu'on pût con
? On sait que certaines rétractions fibreuses, indépendantes de toute
paralysie
, comme la rétraction de l'aponévrose palmaire, re
e aux paraplégies spasmodiques ; elle peut se montrer encore dans des
paralysies
où la déformation ne dépend par d'une contracture
ion ne dépend par d'une contracture des muscles; tel est le cas de la
paralysie
alcoolique, dont je vous présente un exemple. I
e chute du pied, analogue à la chute du poignet qu'on observe dans la
paralysie
saturnine ; rien ne retient la flexion du pied —
iarticulaires et des raccourcissements de tendons se produire dans la
paralysie
alcoolique, si l'on remarque, ainsi que M. Lancer
hose vulgaire dans les membres inférieurs chez les sujets atteints de
paralysie
alcoolique, et c'est là une circonstance qui pouv
tance qui pouvait être prévue dans un cas où le point de départ de la
paralysie
est une lésion inflammatoire des nerfs périphériq
des ongles, la peau lisse sont fréquents dans les parties où siège la
paralysie
alcoolique. Mais je ne veux pas m'étendre plus lo
ication de rétractions fibreuses qui peut survenir dans divers cas de
paralysie
spasmodique ou non spasmodique peut nécessiter l'
tance de cette défor^ mation doit être cherchée, comme dans le cas de
paralysie
organique que je vous citais tout à l'heure, dans
syncopes et qui paraissent bien avoir été des crises hystériques, une
paralysie
transitoire du membre supérieur gauche avec anest
compliquer les contractures hystériques, comme elles compliquent les
paralysies
organiques. Je pourrais même citer trois exemples
nait d'être paralysé du côté gauche et il ajoutait aussitôt que cette
paralysie
lui était venue « à la suite d'un coup de foudre
t complètement insensibles. Durant les deux jours qui suivirent, la
paralysie
s'améliora surtout au membre inférieur; le malade
ut et de faire une course un peu longue. Au membre supérieur, dont la
paralysie
était complète, absolue le premier jour (30 juill
Quanta la face, au dire du malade, elle n'a pas été touchéee par la
paralysie
; à aucun moment sa bouche ne s'est déviée dans u
ace, quelque attentif que fût l'examen, on ne découvrait pas trace de
paralysie
ni de contracture. Au repos, les traits étaient b
tement libres. Le membre supérieur pend inerte le long du tronc. La
paralysie
du membre supérieur gauche est totale, et à peu p
en présence du malade, de façon à être bien entendu de lui, que cette
paralysie
va disparaître, à coup sûr, sous l'influence d'un
acuité auditive à gauche ; le pharynx a recouvré sa sensibilité. La
paralysie
motrice s'est également amendée, mais à un moindr
e à croire qu'elle est définitive. On remarquera que dans ce cas la
paralysie
très certainement n'a pas été pro;luit par le «ho
ave)........... 117 — — (Chorée de Sydenham )........... 131 — — (
Paralysie
infantile)............ 144 — — — ............ 1
ude) ... 73 Fig. 20,21 — (Atrophie) ... 74 Fig. 22. — Alcoolisme,
paralysie
infantile, hystérie (Sensibilité) . 97 Fig. 23
. 30,31.'—H)stéro-neurasthénie (Champ visuel) ...... 137 Fig. 32. —
Paralysie
infantile (Lésions médullaires, région lombaire)
Fig. 71.-- Hystérie mâle (Contracture)............. 350 Fig. 72,73.—
Paralysie
hystérique (Sensibilité).......... 351 Fig. 74,
2 Fig. 95.—Foudre globulaire................... 439 Fig. 96,97. —
Paralysie
de foudroyés ethyslérie (Sensibilité) . . 454 F
2°. Amyotrophie par lésion articulaire......... 72 3°. Deux cas de
paralysie
faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Cas
................... 80 CINQUIÈME LEÇON 1ermalade. —Cas complexe :
paralysie
spinale infantile, paraplégie alcoolique, attaque
oolique, attaques hystéro-épileptiques ... 84 2e, 3e et 4e malades. —
Paralysie
faciale périphérique ... 100 SIXIÈME LEÇON 1°
hemin de fer âgé de 56 ans..................... 131 4°. Deux cas de
paralysie
infantile spinale présentant quelques anomalies..
e, puis otite goutteuse; invasion du vertige ab aure lœsa : diplopie,
paralysie
faciale soudaine transitoire. Le vertige s'établi
noirs........................... 331 2° cas. — Chez unisraélite :
paralysie
et contractures hystériques développées à la suit
de 34 ans chez un homme qui, à l'âge de 2 ans, avait été atteint de
paralysie
spinale infantile......... 407 G) *° Chez un
e ..... 527 Appendice n°2. — Rétractions fibro-tendineuses dans les
paralysies
spasmodiques par lésions organiques spinales dans
les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales dans les
paralysies
alcooliques et dans la contracture spas-modique h
109, 110. Agraphie et abasie, 359. Alcoolique (Paraplégie). (Voy.
Paralysie
alcoolique.) — Tremblement, 232. Alcoolisme, 84
nésie. — dans l'empoisonnement par l'oxyde de carbone, 369. — dans la
paralysie
alcoolique. — et choc nerveux, 133. Amnésie tra
énération, 77. — Théorie, 77. Amyotrophie spinale progressive de la
paralysie
infantile, 144. (Voy. Atrophie musculaire.) Amy
aralysie infantile, 144. (Voy. Atrophie musculaire.) Amyotrophique (
Paralysie
), 76. Analgésie syringomyélique, 495, 496. An
(Voy. Abasie.) Atrophie musculaire, —dans l'hystérie,403. — dans la
paralysie
alcoolique, 85, 86. — de cause articulaire, 75. —
et myopathie, 413. — Diagnostic, 414. Atr. musc. sp. prog. dans la
paralysie
infantile, 91, 144, 147, 149, 407,416. —Mécanisme
émange, 336. Démarche.— dans le Vertige de Ménière, 228. — dans les
paralysies
toxiques, 84. — du Steppeur, 83. — et Suspension,
ues de sommeil), 63. Double personnalité. 327. Douleurs. —dans la
paralysie
alcoolique, 87. _ en ceinture, 153. — Fulgurantes
. Effondrement des jambes, 157. Electriques (Réactions).— dans la
paralysie
alcoolique, 86, 383. — dans la paralysie infantil
riques (Réactions).— dans la paralysie alcoolique, 86, 383. — dans la
paralysie
infantile, 143. — (Traitement) de la maladie de B
raitement) de la maladie de Basedow, 239, 240. Electro-pronostic et
paralysie
faciale, 101. Enfants du siège, 116. EpiLEPsn
t.) eulenbourg, 164,166. Euphorie (Périodes d'), 431. Extenseurs (
Paralysies
des), 84. F Facial (Trajet du nerf), 225. F
Paralysies des), 84. F Facial (Trajet du nerf), 225. Faciale. —
Paralysie
(Voy. Paralysie faciale). Falret, 321, 323. Fai
84. F Facial (Trajet du nerf), 225. Faciale. — Paralysie (Voy.
Paralysie
faciale). Falret, 321, 323. Faisceaux postérieu
Feltström, 449. Feré, 5, 179, 277, 320. Fibrillaires (Secousses) et
paralysie
faciale, 101. Fièvre. — Dans la chorée, 106 sq.
e de). —et suspension, 217, 220, 221. — Nystagmus, 164. Froid. — et
paralysie
faciale, 100. Fulguration.— (Amnésie dans la),
thénie, 457. — (Lésions produites parla), 446, 447. Fulguration. — (
Paralysies
par), 436,441,446, 448, 449. — à distance, 451. —
ie de Basedow, 236, 239, 241. — dans la neurasthénie, 35. — dans la
paralysie
faciale, 78, 101, 225 — dans la paralysie infanti
neurasthénie, 35. — dans la paralysie faciale, 78, 101, 225 — dans la
paralysie
infantile, 144,146, 408.--dans la syringomyélie,
0. Hyperexcitabilité neuro-musculaire, 70. Hyperesthesie, dans la
paralysie
alcoolique 86, 87. Hypnotisme, 52. — Contagion,
fulguration, 457. Hystérie provoquée par la foudre, 457, 543 sq. —
Paralysies
dans l'hystérie par fulguration 453, sq. 456, 457
aphasie, 247, 249, 250. — Nutrition dans l'attaque de sommeil, 69. —
Paralysie
, 521. — Paraplégie (diagnostic avec Fabasie), 366
synoptique, 298, 299. — Tremblement, 530, 531. Hystéro-traumatique.—
Paralysie
, 352. — Mécanisme, 62, 352. I Ictus laryngé,
82, 487, 488, 496, 520. Kelsch, 339, 340. Kennedy, 143. Kerauno
paralysies
, 436. Keser, 111. Kirchner, 230. Klippel, 7
(atrophie des nerfs) dans le tabès, 158. Otite goutteuse, 224. — et
Paralysie
faciale, 225. — Pathogénie, 225. Ovarienne (Eff
ns l'empoisonnement par 1'), 369. — (Hystérie causée par 1'), 370. — (
Paralysie
dans l'empoisonnement par 1'), 376. — (Ramollis
anaris analgésique (Mal. de Morvan), 498. Papille tabétique, 164.
Paralysie
agitante. ( Voy. Parkinson (maladie de). Paraly
abétique, 164. Paralysie agitante. ( Voy. Parkinson (maladie de).
Paralysie
alcoolique. —(Amnésies dans la), 389. — Diagnosti
roubles trophiques, 383, 384, 386, 540. — Troubles vasomoteurs, 86.
Paralysie
amyotrophique, 76. Paralysie choréique, 38. P
86, 540. — Troubles vasomoteurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76.
Paralysie
choréique, 38. Paralysie faciale, 78, 100.— Ele
eurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76. Paralysie choréique, 38.
Paralysie
faciale, 78, 100.— Electro-pronostic, 101. — et o
, 101, 225. — Périphérique, 102, 225. — (Pronostic de la), 79, 101.
Paralysie
générale.— et paralysie infantile, 144, 145. — Tr
ue, 102, 225. — (Pronostic de la), 79, 101. Paralysie générale.— et
paralysie
infantile, 144, 145. — Tremblement, 232. Paraly
ie générale.— et paralysie infantile, 144, 145. — Tremblement, 232.
Paralysie
hystérique.— Paraplégie, etc* ( Voy. hystérie, hy
etc* ( Voy. hystérie, hystérique, hystéro-neu-rasthénie, etc., etc.
Paralysie
infantile.— 38,91,140. (Amyotrophic de la),144, (
phic spinale progressive (Voy. aussi atrophie musculaire),407. — et
paralysie
générale, 144, 145. — (Electro-pronostic), 143.
iques, 143. — Symptômes, 142. — Troubles trophiques, 143, 144, 409.
Paralysie
par fulguration et hystérie 453 sq. 456, 457, 459
Paralysie par fulguration et hystérie 453 sq. 456, 457, 459, 460. '
Paralysie
sensitive partielle, 295. Paralysies des extens
453 sq. 456, 457, 459, 460. ' Paralysie sensitive partielle, 295.
Paralysies
des extenseurs, 84. Paralysies des foudroyés, 4
aralysie sensitive partielle, 295. Paralysies des extenseurs, 84.
Paralysies
des foudroyés, 463. (Voy. aussi Fulguration). P
urs, 84. Paralysies des foudroyés, 463. (Voy. aussi Fulguration).
Paralysies
et productions cellulo-fibreu-ses, 384, 385. Pa
uration). Paralysies et productions cellulo-fibreu-ses, 384, 385.
Paralysies
psychiques, 281.— sensibilité, 281. 77 Paraly
es, 384, 385. Paralysies psychiques, 281.— sensibilité, 281. 77
Paralysies
toxiques, 84, 344, 376. Paralytique.— Abasie,47
364. — Chorée, 38, 171. Paraplégie.— alcoolique, 85. ( Voy. aussi:
paralysie
alcoolique.) — Dans la maladie de Basedow, 235, 2
ystéro-neu-rasthénie. — (Modifications) dans le tic convulsif, 464. —
Paralysies
, 281. — (Stigmates) dans le tic, 16. — (Trouble
ves. — chez les nerveux, 372.— dans l'alcoolisme, 288, 389. — dans la
paralysie
alcoolique, 389. — dans l'hystérie, 292, 294. — d
, 248. Sensibilité. — dans la paraplégie alcoolique, 85. — Dans les
paralysies
toxiques, 85. Sestier, 443, 445, 446, 447, 448,
540, 543. Tessier, 243. Testaz, 101. Thermiques (Troubles) dans la
paralysie
alcoolique), 85. Thermoanesthésie syringomyéliq
topinard, 332. Tourdes, 446, 450. Toux hystérique, 4, 7. Toxiques (
Paralysies
), 84, 344. Transfert, 283. Traumatique (Névrose
531. — de la maladie de Basedow, 231, 232, 234, 236, 239, 241 — de la
paralysie
générale, 232 — hystérique, 471, 472, 530, 531. —
t hystérie, 37. V Valleix, 24. ' Vasomoteurs (Troubles) dans la
paralysie
alcoolique, 86. Vertige de ménière, 80, 225, 22
. — à crises distinctes, 228,230. Démarche 228. — Diplopie, 226. — et
paralysie
faciale, 226, — permanent, 228, 230. — Traitement
DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES
PARALYSIES
HYSTERIQUES ' 1 Par le Dr J. BABINSKI, Chef
nt il est question sont, des hystériques, qu'ils sont atteints de
paralysie
hystérique, et que l'amyotrophie qu'ils présent
noncée, qui se développe une semaine en- viron après le début de la
paralysie
, et qui a les caractères électriques de l'atrop
tantôt flasque, tantôt contracturé. Sept jours après le début de sa
paralysie
, le médecin lui a appliqué sur la tempe gauche
même époque, c'est-à-dire une semaine environ après le début de la
paralysie
, le membre supérieur a commence à s'atrophier.
ppréciable; les deux jambes paraissent avoir la même force. Mais la
paralysie
et l'anesthésie du membre supérieur DE L'ATROPH
il, ma boule a disparu » ; et il parle comme par le passé. - 4. -
Paralysie
et anesthésie du membre supérieur gauche dans l
inq heures), et la sensibilité jusqu'à neuf heures du soir; puis la
paralysie
et l'anesthésie se rétablissent avec les carac-
ême aspect que le premier jour où le malade a été examiné. 14. La
paralysie
reparaît au réveil du malade. 21. La paralysie
té examiné. 14. La paralysie reparaît au réveil du malade. 21. La
paralysie
persiste. On recommence la flagellation ; il su
lation ; il survient une attaque ; mais à la suite de l'attaque, la
paralysie
et l'anesthésie dispa- raissent pendant une heu
u côté opposé. Nous donnons cette observation comme un exemple de
paralysie
hystérique avec amyotrophie; mais il faut fonde
musculaire se comprend très bien puisque cette complication dans la
paralysie
d'origine cérébrale a été fréquemment signalée
de dire comment on peut expliquer ce symptôme soit au début de la
paralysie
, soit dans ses phases ultérieures; mais, pour q
réellement trois périodes bien dis- tinctes dans le cours de cette
paralysie
, et échelonnées comme il suit : 1° paralysie av
dans le cours de cette paralysie, et échelonnées comme il suit : 1°
paralysie
avec contracture; 2" para- lysie flasque; 3° pa
il suit : 1° paralysie avec contracture; 2" para- lysie flasque; 3°
paralysie
avec contracture; enfin, la contracture établie
moindre fatigue; tout cela est bien de nature hysté- rique. La
paralysie
de notre malade, si on l'étudie attenti- vement
est accompagnée de quelques symptômes qui n'appartiennent pas à la
paralysie
corlicale. Si nous examinons en particulier la
t pas à la paralysie corlicale. Si nous examinons en particulier la
paralysie
brachiale, en négligeant les troubles moteurs d
de la sensibilité profonde et du sens musculaire; or, si dans les
paralysies
corticales il peut y avoir quelques troubles se
ces arguments sont déjà plus que suffisants pour établir que cette
paralysie
est bien de nature hystérique et pour rejeter l
ie est bien de nature hystérique et pour rejeter l'hy- pothèse de
paralysie
corticale. Mais il est encore un fait plus impo
tte idée et qui convaincrait les plus sceptiques, c'est que cette
paralysie
, sous l'influence d'une simple flagellation pra
, il nous paraît de toute évidence qu'elle doit être rattachée à la
paralysie
hystérique et qu'il ne peut être question d'une
qu'il ne peut être question d'une atrophie indépendante de cette
paralysie
et qui ne ferait que coïncider avec elle; en ef
paralysés, elle s'est développée peu de temps après le début de la
paralysie
et s'est atténuée après sa disparition. Nous
en même temps trans- ' fert de la sensibilité; depuis ce moment, la
paralysie
a une tendance à s'atténuer de plus en plus et
apoplectiformes. En 1863 à la suite d'une attaque, il aurait eu une
paralysie
du côté DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 19 .gauche
taques se sont re- produites parfois jusqu'à huit fois par jour. La
paralysie
du bras disparut la première, puis la motilité
a sensibilité à gauche. La plaie se cicatrisa repidement, mais la
paralysie
persistant toujours le malade fut transféré dans
l'esprit, quand on réfléchit aux conditions dans les- quelles la
paralysie
s'est produite, est qu'elle dépend directement
du cerveau. Remarquons d'abord que le malade, avant l'attaque de
paralysie
pour laquelle il est entré à l'hôpital et que n
r de traces. Il est très vraisemblable que ces deux atta- ques de
paralysie
se sont produites sous l'influence d'une même c
matisme a agi : le choc a porté sur le côté gauche de la tête et la
paralysie
des membres s'est développée du même côté, dans
ccidité des membres paralysés ? Ne devrait-il pas y avoir, dans une
paralysie
de cette nature, dont le début remonte à plus d
s semble qu'il faut écarter cette hypothèse et admettre que cette
paralysie
doit reconnaître pour cause quelque modifica- t
atteint, à n'en pas douter, d'hystérie, il devient probable que la
paralysie
est de nature hystérique. - C'est cette opinion
sion; mais on peuty arriver aussi directement en montrant que cette
paralysie
présente quelques caractères qui sont propres à
relevées dans son travail sur les monoplégies hysté- riques ; la
paralysie
paraît donc en rapport intime avec l'anesthésie
n, nous voulons parler de l'action que l'aimanta exercé sur cette
paralysie
, qui s'est atténuée sous l'influence de son app
luence de son application. Il s'agit donc bien certainement d'une
paralysie
hystérique. DU TARES COMBINÉ. 27 Eu ce qui co
'observation précédente, qu'elle se lie de toute évi- dence à cette
paralysie
et qu'elle ne peut relever d'une autre cause. E
lle est bien plus accentuée dans le membre supérieur dans lequel la
paralysie
est plus tenace; elle s'est développée après le
ralysie est plus tenace; elle s'est développée après le début de la
paralysie
, et, depuis que la paralysie a diminué d'intens
s'est développée après le début de la paralysie, et, depuis que la
paralysie
a diminué d'intensité, elle s'est atténuée à so
d'objection faite à ce principe. . Le second groupe de symptômes (
paralysies
et sur- tout contractures) veut dire lésions de
n diffuse dans le cerveau et de lésion systématisée dans la moelle (
paralysie
générale et ataxie locomotrice); on peut aussi
paraplégies complètes avecanesthésie, exagération des réflexes et
paralysie
des sphincters qui montrent que la partie infér
ésies, incoordination motrice), des symptômes du tabes spasmodique (
paralysies
ou pa- résies et surtout contractures ou autres
- ture motrice avec les images positives suggérées, taudis que la
paralysie
serait identique avec les phéno- , mènes produi
ré par les expériences; en voici un exemple : on peut provoquer une
paralysie
d'un membre sans mot dire, par quelques passés
E PATHOLOGIE NERVEUSE t. MYÉLITE SUBAIGUE DES CORNES antérieures. -
Paralysie
avec ATROPHIE GRADUELLE DE TOUS LES MUSCLES DU
ervation, relative à un jeune homme de dix-sept ans, chez lequel la
paralysie
ne s'est complétée qu'au bout de quinze jours,
es antérieures, intermédiaire au point de vue de sa marche entre la
paralysie
spinale de l'adulte et la paralysie générale sp
nt de vue de sa marche entre la paralysie spinale de l'adulte et la
paralysie
générale spinale, à marche diffuse et curable,
) On trouve dans ce travail outre la relation de plusieurs cas de
paralysie
faciale empruntés à différents auteurs une nouvel
lution frontale ascendante (un tiers inférieur) du côté opposé à la
paralysie
. Les considérations qui suivent sont des tinées
ble que ces faits peuvent avoir au point de vue du diagnostic de la
paralysie
générale au début, l'auteur fait remarquer qu'i
énés et internés dans un asile. R. M. C. XVI. Sur quelques CaS DE
paralysie
générale avec sclérose latérale de la MOELL1 :
ur rapporte cinq observations (dont quatre suivies d'au- topsie) de
paralysie
générale s'accompagnant chez de jeunes su- jets
es sur un état d'imbécillité déjà ancien. R. M. C. XXI. UN cas de
paralysie
générale avec P.ICÜYMÉNINGIT1 : : par <'h0 H
gique des faits. 13. \I. C. XXIX. Contribution a L'Ét'IOLOGIE DE la
paralysie
IIOGRES51VE, en TENANT PLUS p.\nTlCULrÈl\E1 ! E
I,1;11.IRD. (Allg. Zeitsclv. f. Psych. XLI, 4-.1.) Les causes de la
paralysie
générale sont en première ligne la lutte pour l
s ÉPENDYMAIR6 : dans LE domaine DES ventricules latéraux, dans la
paralysie
générale (Contribution à l'étude de l'hyperplasie
dans des formes psychopathiques où il n'existe ni convulsions, ni
paralysies
, ni ataxies. L'auteur passe en revue les troubles
sécutif à l'usage du haschisch, 13 pour dé- lire alcoolique, 6 pour
paralysie
générale; 403 sont sortis, parmi lesquels 94 gu
intoxication cannabiuique. P. K. XLII. Sur LES rapports ENTRE la
paralysie
PROGRESSIVE ET la syphilis ; par M. GOLDSTEIN.
d'affections psychiques, ils sont bien plus fréquemment atteints de
paralysie
générale que de toute .autre psychose ; en seco
élevé. Mais la syphilis est- elle le facteur propre, direct, de la
paralysie
générale ? Comme la plupart des paralytiques gé
ns morales), comme il n'existe aucune différence -clinique entre la
paralysie
générale qui succède à la syphilis et celle qui
signe anatomo-pathologique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 87 de la
paralysie
générale syphilitique, comme le traitement mer-
inue la force de résistance du cerveau et peut ouvrir la porte à la
paralysie
géné- rale, à l'égal d'une influence nocive que
rale, à l'égal d'une influence nocive quelconque. La cause de la
paralysie
générale nous reste donccomplètement inconnue. P.
arts et il existait une dimi- nution concentrique du champ visuel :
paralysie
du facial droit, parésie de l'hypoglosse et de
tion podalique (pinceau électrique), produit du sommeil (2 cas de
paralysie
générale). P. K. VII. Traitement DES psychoses
pendant deux, trois, voire six mois (1879-1885.) P. K. IX. Cas DE
paralysie
DE LANDRY guérie par L'ERGOTINF par SORGENFREY.
nner une nouvelle médication, le malade s'améliore, puis guérit. La
paralysie
de Landry ne résulterait-elle pas de troubles v
erait-elle pas de troubles vaso-moteurs ? P. K. X. Encore UN cas DE
paralysie
par INJECTION sous-cutanée d'éther; par H. NEUM
aume de la main (même région); puis, tout disparait, si ce n'est la
paralysie
du ventre de l'extenseur commun des doigts qui
Pas de convulsions pharyngo-oesophagiennes. En même temps que cette
paralysie
faciale droite, on note, outre les phénomènes d
e de phénomènes spas- modiques sur un territoire nerveux atteint de
paralysie
péri- phérique ? Ce n'est d'ailleurs pas consta
s pas constant dans les cas qu'il a fournis à GüLerbock; il y avait
paralysie
flasque complète du fa- cial. Mais les mouvemen
f. Klin. med., VU, 4, un cas dans lequel, malgré l'existence d'une
paralysie
faciale grave, il y a eu des convulsions. La pl
des observateurs, en présence de tétanos de ce genre, regardent la
paralysie
fa- ciale comme légère au point de vue électro-
présente un malade atteint de sclérose latérale amyotrophique avec
paralysie
bulbaire. - Homme de trente ans; à la suite de
tale et l'ophthalmoplégie 3. M. WESTPHAL. Sur un cas remarquable de
paralysie
périodique des quatre extrémités. Sera publié a
M. REIIAK. La littérature médicale renferme plusieurs exemples de
paralysie
spinale intermittente semblables sans aucune alté
cune altéra- tion de l'excitabilité électrique. ' M. Senator. Ces
paralysies
malariennes se peuvent montrer sans qu'il y ait
xpériences, l'ex- citabilité électrique disparaît quand survient la
paralysie
, et re- paraît quand la circulation est rétabli
extrémités inférieures. En même temps, délire alcoolique et donble
paralysie
de l'oculomoteur externe, de sorte qu'au début
ontracter pendant l'acte de la convergence; encore plus rare est la
paralysie
du muscle accommodateur. Parmi les malades obse
son de la rigidité des pupilles à la lumière, étaient soupçonnés de
paralysie
générale, la moitié d'entre eux devint tabétique
e combine de la manière la plus variée quant au temps avec d'autres
paralysies
de l'uculo-moteur commun, ou se rencontre seul.
Il importe du reste, de bien distinguer l'inertie pupillaire de la
paralysie
de l'accommodateur, car elles peuvent exister ou
iscussion : M. Oppenheim a vu un fait dans lequel, à la suite d'une
paralysie
de l'oculomoteur commun et du trijumeau du côté
philis spinale, la chorée, les tumeurs cérébrales, l'hémiplégie, la
paralysie
saturnine, l'hys- téro-épilepsie, l'épilepsie,
e, l'aphasie, le railwa3·-spine, la para- lysie pseudo-bulbaire, la
paralysie
générale, la sclérose en plaques, la paralysie
pseudo-bulbaire, la paralysie générale, la sclérose en plaques, la
paralysie
bulbaire et le tabes. Dans la chorée, il s'agit p
mités du même côté, sous 1 influence des onctions mer- curielles. -
Paralysie
saturnine : six cas sans altération ; un cas ca
ie saturnine : six cas sans altération ; un cas caractérisé par une
paralysie
de la corde vocale gauche ; un autre fait, dans
un cas de gliosarcome du corps strié et du lobe temporal gauches;
paralysie
de la moitié droite du larynx; bien qu'on ne puis
ne localisation exacte, ce fait, de concert avec une observation de
paralysie
pseudo-bulbaire, qui sera mentionnée' plus tard
un très petit nombre d'endroits irrégulièrement disposés. Pseudo-
paralysie
bulbaire ; un cas;-l'autopsie démontra plusieurs
marquablement pénible, voix grave, modification du timbre (grosse).
Paralysie
générale, la parole nasonnée a paru sous ladépen-
aptitude pleine et entière. - Sclérose en plaques : état semblable.
Paralysie
bulbaire progressive; fréquemment,paré- sies un
lysie bulbaire progressive; fréquemment,paré- sies unilatérales, ou
paralysies
totales du voile du palais, des cons- tricteurs
fixées, immobiles au milieu du larynx, c'est là ce qu'on appelle la
paralysie
postérieure due, d'après les expériences de Kra
lequel à la suite d'une infection syphilitique, dans le cours d'une
paralysie
bulbaire, survint sou- dain une sensation de co
de trouble fonctionnel grossier, l'orateur à observé 13 parésies ou
paralysies
de toute espèce qui parfois viennent, s'en vont
la voix. Voici, par exemple, un professeur tabétique qui, malgré la
paralysie
d'une corde vocale put continuer à en- SOCIÉTÉS
iquement la glotte. Discussion : M. Thomsen. Dans un des faits de
paralysie
générale visés par l'orateur il y avait eu, bie
ire, à peu près comme dans le pied-bot paralytique, en ma- tière de
paralysie
spinale infantile ou de déchet congénital de ce
1R : 1USE. Je ne nie pas, d'une manière générale, l'existence d'une
paralysie
postérieure centrale ou périphérique. Maïs la pa-
te multi- loculaire. - Préparation à l'appui. Il s'agit d'un cas de
paralysie
atrophique des extrémités inférieures chez un h
bide. En même temps, l'orateur communique plusieurs observations de
paralysie
alcoolique, les unes amélio- rées, les autres g
uttières vertébrales. Cu. F. IV. Des rémissions dans le cours de la
paralysie
générale ;] par J.-R. Larroque. (Thèse, 1886.)
ar J.-R. Larroque. (Thèse, 1886.) L'histoire des rémissions dans la
paralysie
générale date de Boyle, et, depuis lors, elle a
nous donnions un aperçu de ses conclusions. Les rémissions de la
paralysie
générale dont l'existence ne peut 126 bibliogra
nt les plus fréquentes. Elles s'observent dans toutes les formes de
paralysie
générale, mais principale- ment dans les formes
ent jouer un rôle dans leur production. On les voit surtout dans la
paralysie
générale à double forme dont elles reculent le
syphilitiques ou saturnines que l'auteur confond d'ailleurs avec la
paralysie
générale vraie. - Chez les femmes qui présentent
son de Charenton, pour un mémoire intitulé : Des rémissions dans la
paralysie
générale. Une mention honorable a été accor- dé
suivre.) Archives, t. XII. 1 1 DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES
PARALYSIES
HYSTÉRIQUES'; (suite et fin). , Par le Dr BAB
de la sensibilité et du mouvement dans tout le côté droit ; cette
paralysie
aurait duré près d'un an et aurait disparu il. la
jour; au bout d'un certain temps, l'état s'améliora de nouveau; la
paralysie
du membre supérieur finit par disparaître; le m
e heures ; on a obtenu un transfert incomplet de la sensibilité. La
paralysie
est tou- jcurs dans le même état; l'amyotrophie
édentes, que la malade dont il est ici question est atteint d'une
paralysie
hystérique avec amyotrophie. 162 CLINIQUE NERVE
et dont nous nous occupons. Nous devons maintenant prouver que la
paralysie
de ce malade est bien de nature hys- térique et
e à une autre affection. Supposons en effet qu'il s'agisse là d'une
paralysie
due à une lésion organique, à une lésion de l'e
de la face, la prédomi- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 163 nance de la
paralysie
dans le membre inférieur, et la diminution des
et le malade étant un hystéri- que, il est logique de mettre cette
paralysie
sur le compte de l'hystérie; du reste, cette hé
attaque hystérique. Nous ferons encore remarquer que l'aspect de la
paralysie
du membre inférieur présente exactement les car
érieur présente exactement les carac- tères que Todd a assignés aux
paralysies
crurales, de nature hystérique. Voici, en effet
alysé en avant, cette personne incline le tronc du côté opposé à la
paralysie
, faisant reposer tout son poids sur le côté sai
elle prédomine de beaucoup dans le membre inférieur, dans lequel la
paralysie
est le plus marquée , et les caractères de cett
nsorielle. La pa- ralysie flasque au début se transforme bientôt en
paralysie
avec contracture et les muscles du côté malade
vait pas de troubles psychiques. Huit jours après le début de cette
paralysie
le ma- lade est entré dans le service de M. Moi
s pendant une durée de deux mois. Trois mois après le début de la
paralysie
, commença une nouvelle phase, la contracture di
début de cette amélioration, le malade était complètement guéri. La
paralysie
avait duré en tout quatre mois et demi. Le 2
che est complètement paralysé comme le jour de l'accident, et cette
paralysie
est flasque. Le membre inférieur gauche est un
'atténuant sans cesse depuis le 15 mars, a complètement disparu, la
paralysie
est redevenue flasque. 3 av2,il.- Depuis deux
uffisant pour établir rigoureusement qu'il s'est agi chez lui d'une
paralysie
hystérique, avec amyotrophie. Il nous semble mê
. 169 évidemment la placer flans l'hémisphère droit, puis- que la
paralysie
est à gauche ? L'hémianesthésie sensi- tivo-sen
difficile à soutenir ; car, la localisation pres- que absolue de la
paralysie
au membre supérieur n'est guère conciliable ave
émianesthésie, l'autre dans les circonvolutions, en rapport avec la
paralysie
. Mais avec cette hypothèse comment pourrait-on
faits, de rejeter l'hypothèse de lésion* organique et de mettre la
paralysie
sur le compte d'une affection dynamique des cen
il nous paraît tout naturel de la rattacher à la même cause que la
paralysie
; du reste, l'hémianesthésie sensitivo-sensorie
vons affaire à un hystérique. Dès lors, il devient évident que la
paralysie
doit être aussi mise sur le compte de l'hys- té
mpte de l'hys- térie. Ainsi donc, les caractères présentés par la
paralysie
nous ont conduit à établir qu'elle relevait d'u
dé sur ce que le malade est un hystérique, pour sou- tenir que la
paralysie
devait être aussi de nature hys- térique. L'a
e paralysé, ayant débuté peu de temps après le commencement de la
paralysie
et s'étant atténuée lorsque les mouve- ments so
enus, il est de toute évidence qu'elle se rattache étroitement à la
paralysie
hystérique et qu'elle ne peut relever d'une aut
leurs enfants. N'a jamais entendu dire qu'il y ait eu aucun cas de
paralysie
, ni d'attaques d'aucune sorte, ni d'aliénation
, depuis sa sortie, ne s'est guère modifié. En ce qui concerne la
paralysie
avec contracture, pas de changement. L'amyotrop
depuis son accident à vivre dans l'oisiveté et à se ser- vir de sa
paralysie
pour se livrer à la mendicité, craignant sans d
discuter lou- guement pour démontrer qu'il s'agit la encore d'une
paralysie
hystérique avec amyotrophie. L'existence de l'h
e dyspnée, sont des arguments tout à fait suffisants». Quant à la
paralysie
, elle présente des caractères qui permettent d'
s le membre paralysé qui doit être de toute évidence rattachée à la
paralysie
hystérique. Les muscles devaient être examinés
ite d'un violent traumatisme sur l'épaule droite, est atteint d'une
paralysie
complète du bras droit. Dans les premiers jours
ent. - On l'électrisa, mais sans succès, et M. Brun supposant une
paralysie
hystéro-traumatique, l'envoya à l'Hôtel-Dieu dans
entrée à l'Hôtel-Dieu. - Son état général est toujours très bon. La
paralysie
du membre supérieur droit est complète et flasq
nts moyens ont été employés pour chercher à faire disparaître cette
paralysie
(massage, électrisation, flagellation sur la ré
stic. Il s'agit là, sans qu'il soit possible de le contester, d'une
paralysie
hys- térique. Mous relèverons particulièrement
servations que nous avons rappor- tées, qu'il s'agissait bien là de
paralysies
hystériques, que l'atrophie musculaire dépendai
stériques, que l'atrophie musculaire dépendait étroitement de ces
paralysies
, et que, par conséquent, elle était de nature h
ulaires que l'on observe dans la maladie d'Aran-Duchenne, dans la
paralysie
spinale de l'adulte, dans les myopathies primit
asy- métrie puur ainsi dire normale, c'est-à-dire antérieure à la
paralysie
. Nous ne le croyons pas, car le malade est droi
lume analogue, et il nous semble que dans un grand nombre de cas de
paralysie
hysté- rique, sinon dans la majorité, il existe
l'Ob- servation I, quinze jours tout au plus après le début de la
paralysie
, elle était déjà appréciable, et un mois et dem
II comme dans la précédente, un mois et demi après le début de la
paralysie
, il y avait entre les bras et les avant-bras ga
volume normal. -Dans l'Observation IV, unmoisalirès le moment où la
paralysie
avait commencé à s'atté- nuer, la diminution de
s dépasser certaines limites; ce fait tient sans doute à ce que les
paralysies
hysté- riques n'ont pasd'habitude une très gran
s observations, l'atrophie rester stationnaire, alors même que la
paralysie
persiste, et n'a aucune tendance à ré- trocéder
roite absolue, l'atrophie musculaire, malgré la persistance de la
paralysie
, ne s'est pas exagérée depuis que le malade est
ophie, voici ce qui nous semble la caractériser : lorsque, dans une
paralysie
hystérique, elle doit se développer, elle le fa
190 CLINIQUE nerveuse. reste alors stationnaire, lors même que la
paralysie
persiste; enfin, lorsque la motilité. revient,
sous l'influence du massage. Or, trois ans après la guérison de la
paralysie
, l'atrophie musculaire était encore notable. En
très accentuée et qu'elle peut manquer complètement même quand une
paralysie
dure depuis longtemps déjà. C'est ainsi que che
sur lesquels M. Charcot s'est fondé pour établir cette variété de
paralysie
, et dont les observations ont été publiées dans
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades étaient atteints de
paralysie
hystéri- que ; c'est là un second point qu'il a
des de M. Charcot sur ce point, les ca- ractères spécifiques de ces
paralysies
, nous savons les différencier de toutes les aut
nous pouvons dire en présence d'un hysté- rique paralytique, si la
paralysie
est indépendante de cette névrose et ne fait qu
ntraire, si elle est sous sa dépendance. La nature hystérique de la
paralysie
ainsi démontrée chez nos malades, il devenait é
agnostic d'hystérie, aurait-il osé aller plus loin et attribuer ces
paralysies
à l'hystérie ? Ne connaissant les caractères pr
paralysies à l'hystérie ? Ne connaissant les caractères propres des
paralysies
hystériques que d'une façon très imparfaite, il
le silence qu'o.i a gardé à leur égard. RECUEIL DE FAITS CAS DE
PARALYSIE
SPINALE ASCENDANTE AIGUË (Paralysie LANDRY), ob
gard. RECUEIL DE FAITS CAS DE PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË (
Paralysie
LANDRY), observé à la clinique thérapeutique du
f. Depuis 1859, époque à laquelle Landry a, le premier, décrit la
paralysie
ascendante aiguë spinale jusqu'à nos jours, on a
ladie, quoique notre cas s'éloigne peut-être du type régulier de la
paralysie
ascendante aiguë. Voici le cas : Le malade Ni
'il pouvait à peine la lever. Le jour suivant, les phénomènes de la
paralysie
augmentèrent de telle façon que le malade pouva
le ventre et sur le dos; sur le pénis près du frein, du côté DE LA
PARALYSIE
SPINALE ASCENDANTE AIGUË. 199 droit, se trouve
La respiration est accélérée, superficielle, gênée par suite de la
paralysie
du diaphragme ; la parole est indistincte avec
est involontaire, la mort survient à la suite des phénomènes de la
paralysie
du coeur et de l'oedème des poumons. Le profess
férieure. Le coeur n'offre aucun changement, tandis que, dans DE LA
PARALYSIE
SPINALE ASCENDANTE AIGUË. '201 l'aorle, on trou
la mort. Bien que la maladie s'éloigne du caractère classique de la
paralysie
Landry, puisque des modifications chroniques de
ntre absolument dans le cadre de tous les cas connus sous le nom de
paralysie
ascendante aiguë, ou paralysie Landry. EXPLIC
e tous les cas connus sous le nom de paralysie ascendante aiguë, ou
paralysie
Landry. EXPLICATION DE LA PLANCHE I Frg. 1. -
début des accidents. Le membre supérieur droit était le siège d'une
paralysie
avec contracture rappelant tout à fait comme as
e paralysie avec contracture rappelant tout à fait comme aspect les
paralysies
cérébrales de date ancienne. Le bras absolument
res membres, le tronc et la face ne présentaient rien d'anormal; ni
paralysie
, ni anesthésie. Sauf l'impotence absolue du bra
me parut évident que j'avais affaire à 204 RECUEIL DE FAITS. une
paralysie
hystérique, et bien que le temps me pressât je vo
, où, au commencement, il y avait une légère aphasie ainsi qu'une
paralysie
du côté droit; avec cette distinction que la pl
AK. (Cwtralbl., t'. Neruen- heilk., 1885.) Observation originale.
Paralysie
faciale gauche s'étant gra- duellement développ
zoster lacio-cervical révèle une étiologie commune au zona et à la
paralysie
; il y a eu dans l'espèce inflammation de fibres
Après huit jours de douleurs dans l'oreille droite, s'installe une
paralysie
périphéri- que complète, du même côté; en même
objectifs, la parésie de l'oculomoteur externe gauche, l'absence de
paralysie
complète et de reaction dégénérative, l'ataxie de
électrique. Six mois plus tard, il présente suc- cessivement de la
paralysie
spasmodique de la jambe gauche, une incontinenc
t de phthisie pulmonaire, at- leint depuis l'âge de trois ans d'une
paralysie
infantile à forme hémiplégique (légère atteinte
xie très prononcée, avec chute et projection en avant, absence de
paralysie
: intégrité de la vue et de l'ouie; absence d'att
halique, état de mauvaise humeur, d'hypochondrie, de mélancolie, et
paralysie
d'un ou de plusieurs des muscles droits ou obli
e arrive à faire cesser la blépharoptose. P. K. XXXIII. Un cas DE
paralysie
DES MUSCLES DE L'OEIL A la suite DE diphthérite
phthérite DE la gorge; par W. IIIiTHOFF. Contribution A l'étude DES
paralysies
DIPIITIIÉRITIQUES : par B. AIENDEL (Neurol. Cen
83 de diphthérie pharyngée modérée; le 4 octobre, on constatait une
paralysie
du voile du palais; le 2 novembre, commencèrent
ulaires et des troubles delà m otiii té volontaire aboutissant aune
paralysie
bilatérale absolue de l'ensemble des muscles des
se greffe une bronchite catarrhale diffuse de l'albumi- nurie ; la
paralysie
s'étend et se complète ; le pneumo-gastrique ce
es deux articulations tibiales inférieures, on voit s'installer une
paralysie
incomplète, accompagnée de troubles de la sensi
upant non seulement les territoires neuro-musculaires où a siégé la
paralysie
, mais ceux qui n'ont cessé de se montrer indemn
i alcoolisme, ni aucun élément prédisposant. P. K. XXXVI. Sur LES
paralysies
du nerf 31ÉD1 \N par M. BERNHARDT (Centrcal6l.
ive due à la myite ou nlyosite propagée) ; -1 mais en même lemps la
paralysie
complèle a pu être empê- chée, ou la restitutio
- lysie du muscle droit externe d'un des yeux, de concert avec la
paralysie
du muscle droit interne de l'autre oeil sans que
u noyau de l'ocumoloteur externe'. Nouvelle- observation à l'appui.
Paralysie
du facial droit dans sa totalilé : hyperexcitab
s ne réagissent plus sous l'influence des deux espèces de courants;
paralysie
passagère bi-latérale de l'ocumoloteur externe
diagnostic différentiel entre la poliomyélite antérieure subaiguë (
paralysie
atrophique étendue, dès le début, avec diminuti
se les éléments à l'aide desquels on peut distinguer l'ataxie d'une
paralysie
alcoolique (paralysie atro- phique se montrant
de desquels on peut distinguer l'ataxie d'une paralysie alcoolique (
paralysie
atro- phique se montrant dès le début et marcha
leprésentedesphénomènes encéphaliques : céphalagie, vomis- sements,
paralysie
à évolution lente se rapportant à la zone motri
pli- quée 'd'idées de persécution, de divagations complètes, avec
paralysie
absolue de la vessie et du rectum, gangrène du dé
chulz rattache les phénomènes spasmodiques d'origine spinale, et la
paralysie
vésico-rectale imputés à tort à la compression
paraissait, selon la nomenclature deFried. Schultze, en proieà une
paralysie
mixte aiguë, à la fois descendante,' à la fois as
bres avec anesthésie et troubles vasomoteurs; sur ce, parésie, puis
paralysie
absolue, des extrémi- tés inférieures avecperte
urine) et douleurs très prononcées tout le long du rachis; mort par
paralysie
de la respiration. Diagnostic ainsi formulé : m
igure à l'appui). P. K. XLVIII. Sur une FORME TOUTE particulière DE
paralysie
SPAS- MODIQUE accompagnée DE PHÉNOMÈNES cérébra
es troubles de l'innervation dans les extrémités supérieures, de la
paralysie
spasmodique des membres inférieurs, sans atroph
ravers les femmes sans les toucher. Le nystagmus, la bradylalie, la
paralysie
spasmo- dique, l'absence d'atrophie, rapprochen
suit l'accident, s'aggraveraient plus tard. P. KÉRAVAL. L. De la
paralysie
saturnine; par SCHULTZE (Arch. f. Psych., XVI,
t-cinq ans, saturnin depuis cinq ans, est, en juin C882, atteint de
paralysie
de l'avant-bras droit; six mois après, l'avant-
s droit; six mois après, l'avant-bras gauche est pris. Dès lors, la
paralysie
porte surtout : à droite, sur les extenseurs de
indre les nerfs périphériques les premiers, et que c'est lorsque la
paralysie
se généralise que l'on rencontre une lésion cen
e toucher le nerf; la présence d'une réaction dégénérative avant la
paralysie
ou même sans qu'il existe de paralysie plaidera
action dégénérative avant la paralysie ou même sans qu'il existe de
paralysie
plaiderait en faveur de la myopathie primitive,
opos de l'ob- servation présente, sur l'évolution progressive de la
paralysie
, malgré le changement de milieu, évolution qu'i
volontairement. Il avait aussi des attaques avec demi-conscience et
paralysie
de la langue. Il peut encore prononcer des sons
onienne et la folie. M. KNECHT. Des phénomènes catatoniques dans la
paralysie
géné- ruile. - Dans ces dernières années, on a
ychoses présentant, pendant leur évolution, tantôt le tableau de la
paralysie
générale, tantôt celui de la catatonie au sens de
co- lique très net, puis, soudain se montrent des symptômes d'une
paralysie
générale rapidement progressive qui termine la vi
ans le second groupe, nous trouvons d'abord l'aspect clinique de la
paralysie
générale ultérieurement remplacée par des accid
l'examen nécroscopique, ne laisse aucun doute sur l'existence d'une
paralysie
générale finale. Mais avail-on affaire à une para
); voici alors qu'interviennent les éléments symptomatiques de la
paralysie
progressive, la déchéance psychique et physique m
t à deux observations du second groupe : début par des symptômes de
paralysie
générale, et plus lard calatouie typique avec a
roite assez tenace; il semble qu'on assiste au stade terminal de la
paralysie
générale, et cependant tout disparait presque com
de permettent à peine de regarder la première observation comme une
paralysie
générale, c'est plutôt un cas de catatonie ou s
du genou, l'immobilité pupillaire permanente, sont en faveur d'une
paralysie
générale très probable quoique pour le moment (
s de sens (Froenkel); les cas de catatonie seraient donc des cas de
paralysie
générale pro- longée (Ideler). M. ,TASTItOWIT
s les- quelles il est difficile de distinguer s'il y a catatonie ou
paralysie
générale. M. Vogelgesang. Une paralytique gén
ntraîne un pronostic fàcheux que lorsqu'il s'y ajoute des signes de
paralysie
générale. M. HANS LOEllR. Action du système de
nt qu'en 1881 et en février 1883, il a été atteint de paraly- sie :
paralysie
des deux jambes et du bras droit, la première f
sie : paralysie des deux jambes et du bras droit, la première fois,
paralysie
des jambes, la seconde. Du 14 août à novembre 1
ôt des convulsions, tantôt des symptômes de sténocardie, tantôt des
paralysies
, des rétentions d'urine, des vomissements rebel
euts nerveux : les jambes d'E... ont été paralysées deux fois et la
paralysie
a disparu sans laisser de traces ; la rétention
coup privé de l'usage de la jambe gauche, ensuite de la droite; la
paralysie
dura près de deux mois et disparut sans traces.
x mois et disparut sans traces. Le 25 décembre de la même année, la
paralysie
recommença aussi inopinément que la première fo
icularités du caractère du patient, enclin à se croire malade, la
paralysie
qui avait déjà eu lieu et qui avait bientôt dis
de vingt et un ans, entre à l'hôpital le 27 mai 1884, atteint d'une
paralysie
des deux jambes. Des questions préalables expli
u'il venait de sortir de l'hôpital, où il était entré à cause d'une
paralysie
de la jambe droite. La maladie actuelle s'était
l'usage des jambes et, cinq jours après son entrée, à l'hôpital, la
paralysie
s'em- para aussi du bras droit. L'examen du mal
rdinaires, c'est que le malade peut tout de même marcher, malgré la
paralysie
de la jambe gauche. En marchant il traîne la ja
cérébrale suivie d'anesthésie; malgré une durée de deux mois de la
paralysie
, la contrac- ture tardive ne s'est pas développ
dans l'avant-bras il ne distingue pas une différence de 5°; pas de
paralysies
et de con- tracture musculaire; mais les réflex
tendi- neux du genou et du tendon d'Achille sont exagérés. Pas de
paralysie
. La démarche est restée comme au 17 janvier, mais
Le mutisme (cas 3' et 9'). Le mutisme du 2° cas était causé par la
paralysie
des cordes vocales; celui du 3" paraissait être
u souvent l'observer sur les extré- mités, mais il n'y avait pas de
paralysie
des cordes vocales. Le troisième malade n'a pas
tilité sous la forme d'hémi- plégie (cas 6); le 5e malade avait une
paralysie
des membres inférieurs et du bras droit; cinq m
nts de paraplégie (cas 1, 3, 4, 8 et 11). Dans ces derniers cas, la
paralysie
était accompagnée de phénomènes spasmodiques qu
dre avec des lésions organiques de la moelle épi- nière, lorsque la
paralysie
des membres inférieurs est compliquée d'une rét
dos. Ce qui caractérise ici l'hys- térie, c'est la combinaison des
paralysies
de nature cérébro-spinale à des affections de n
la combinaison d'une paraplégie avec une hémianes- thésie, d'une
paralysie
des cordes vocales, de la sur- dité, la combina
ma- cropie, la diplopie unioculaire, l'achromatopsie). Enfin les
paralysies
elles-mêmes offrent des particularités frap- pa
é ni la fréquence, ni l'in- tensité des attaques. Le traitement des
paralysies
a eu plus de succès. L'exercice a été le plus e
e ou une autre et où on employait les remèdes ordinaires contre les
paralysies
, ces dernières restaient au statu quo; mais, au
droite avec trouble de la parole qui était devenue indistincte ; la
paralysie
a persisté pendant deux mois ; actuellement, il
erveux. - Hère, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-huit ans sans
paralysie
, ni démence. - Grands parents paternels et mate
ré, paupières épaisses, mains enflées le soir, pas d'al- buminurie,
paralysie
de la glotte et aphonie qui cède à un traite- m
n trois jours) produit des troubles nerveux généraux : convulsions,
paralysie
fonctionnelle, hébétude mentale et enfin idioti
res thyroïdiennes inférieures, Kocher), à l'anémie consécutive à la
paralysie
des dilatateurs de la glotte, à une lésion des
nt détruite, car la destruc- tion totale implique naturellement une
paralysie
permanente des mouvements du côté opposé. REV
Le malade a été hémiplégique, mais petit à petit (sept semaines) la
paralysie
disparut. Vers quinze ans, le malade a commencé
flexion du poignet, et l'avant-bras était en supination. Avec cette
paralysie
motrice, il y avait une perte de la sensibilité
e de la sensibilité tactile et du sens musculaire, accompagnée de
paralysie
motrice, due à une lésion de l'écorce. On ne saur
fornicatus à la couronne radiée peuvent avoir été atteintes. Cette
paralysie
sensitive et motrice avait disparu graduellemen
ur droit était ensuite pris, et enfin le membre supérieur droit. La
paralysie
du membre supérieur gauche succédait sou- vent
très intéressant et très important. Le jour suivant, il y a eu une
paralysie
motrice par- tiellede la face du côté gauche, u
eu une paralysie motrice par- tiellede la face du côté gauche, une
paralysie
complète du membre supérieur gauche depuis et y
parésie est intéressante comme étant sans aucun doute un exemple de
paralysie
hystérique chez un homme, et son rapport avec l
'écoulent, je pense, des détails ci-dessus : 1° Chez l'homme, une
paralysie
temporaire motrice corticale et peut-être la pe
nt le centre moteur des mou- vements perdus; 2° Chez l'homme, une
paralysie
temporaire de la sensibilité et de la moibilité
e l'hystérie. V. SECTION DE pédiatrie M. RANKE (de Munich). De la
paralysie
infantile cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a
infantile cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de
paralysie
cérébrale corres- pondant au tableau morbide de
s, Cotard, Bour- neville et ses élèves. BIBLIOGRAPHIE. 411 i la
paralysie
était surtout accentuée sur le bras, arrêté dans
ntellectuels, un garçon devint, quatre ans après l'inva- sion de la
paralysie
, épileptique. Dans tous les cas, la paralysie n
ès l'inva- sion de la paralysie, épileptique. Dans tous les cas, la
paralysie
n'était pas flasque, comme cela a lieu dans la
Atrophie musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire dans les
paralysies
des hystériques, par Babinski, 1,154. Autopsi
toire, parMayser, 85. Démence et aphasie, 79. Diphthéritiques (
paralysies
), 223. Dormeuse de la Salpêtrière, 422. Dyscr
eptique (folie), par Fischer, 61; (automatisme), 241. Ergotine et
paralysie
de Landrv, 101. Érysipèle et psychose, 80.
et paralysie de Landrv, 101. Érysipèle et psychose, 80. Ether (
paralysie
par injection sous-cutanée d'), 101 . Évasion
ial inférieur (origine corti- cale du), par Raymond, 58. Faciale (
paralysie
), compliquée de zona, 212. Fibres nerveuses à
(dans les troupes russes), par Oseretkowsky, 265. Hystériques (
paralysies
), I, 154; - (amblyopie), par lIitier, 126; -
rf accessoire de Willis (ori- gine centrale du), 104. Nerf médian(
paralysies
du), 226. Névralgie de la cinquième paire ave
à la suite de l'em- poisonuement par 1'), 216. l'achyméningite et
paralysie
gé- nérale, par Savage, 73. Paralysie (de Lan
, 216. l'achyméningite et paralysie gé- nérale, par Savage, 73.
Paralysie
(de Landry, guérie par l'ergoline), 101 ; (par
plitliéntrques), 223 - (sa- turnine), 238; -(syphiliques), 409.
Paralysie
générale (troubles de la faculté de lire dans l
de la), par Larroque, 125 : - (histo- logie pathologique), 403.
Paralysies
hystériques, 1, 154. Pendaison (tentative de su
6. Ruban de Reil (anatomie du), 102, 110. Sclérose (latérale et
paralysie
générale), par Savage, 71 ; (latérale avec pa
(latérale et paralysie générale), par Savage, 71 ; (latérale avec
paralysie
bul- baire, 112; (systématique combinée), 209
tentatives de) , 78. j Suicidés (cerveaux des), 89. Syphilis et
paralysie
générale, 80, 86. Système nerveux central (an
ne première attaque de coliques. Vers le même temps, il fut pris de
paralysie
qui semble avoir été une paralysie atrophique g
rs le même temps, il fut pris de paralysie qui semble avoir été une
paralysie
atrophique généralisée, et pour laquelle il a été
b... que par l'existence d'un liséré gingival léger. Il n'existe ni
paralysie
, ni atrophie mus- culaire qu'on soit en droit d
1887. Il présente un liséré plombique très net. Il n'ajamais eu de
paralysies
, et n'a pas remarqué chez lui, jus- qu'à ces de
nt hystérique avec les troubles de la parole, qu'on observe dans la
paralysie
générale et dans la sclérose en plaques. Nous y
nts anormaux en quatre catégories : z11, tremblement au repos (type
paralysie
agi- tante); - 2° tremblement dans les mouvemen
are encore, et qui n'est même pas classique- ment signalé, c'est la
paralysie
consécutive du membre. Ce fait appelle immédiat
fait appelle immédiatement un rapprochement entre notre cas et les
paralysies
choréiques qui, elles, sont communes et classiq
conduit à plusieurs reprises et présentait un exemple typique de
paralysie
choréique. L'enfant est arrivé avec une hémiparés
ade le 19 février 1885, et au bout de cinq jours, elle présente une
paralysie
presque complète des membres inférieurs, de l'i
e M. le professeur Masius, qui en quarante- huit heures est pris de
paralysie
des membres inférieurs et d'in- continence des
axiques, la leucorrhée, la goutte, le rhumatisme, l'épi- lepsie, la
paralysie
et l'ataxie. Le plus souvent, il exerce une act
ont : 1° la marche rapide de l'affection (moins de deux ans); 2° la
paralysie
des muscles respirateurs et notamment du diaphrag
la paralysie des muscles respirateurs et notamment du diaphragme,
paralysie
qui a été la cause efficiente de la mort; 3" ['ex
sensibilité générale et des facultés intellec- tuelles, rareté des
paralysies
. Ces divers phénomènes, associés en plus ou moi
a terreur. 11 en rapproche une chorée rhu- matismale (Ohs. IV), une
paralysie
générale avec mouvements choréiques (Obs. V), -
ibilité motrice ou cas pur d'ophtalmoplégi progressive bilatérale :
paralysie
de tous les muscles animant le globe oculaire e
ement bulbo-protubérantielle (de Watteville). P. K. IX. UN cas DE
paralysie
isolée DU regard EN haut, avec AUTOPSIE, par R.
quement intéressante par les particula- rités que voici. Nystagmus,
paralysie
des deux yeux en haut, mais intégrité de tous l
on entre la démence simple, com- pliquée decettelésion centrale, la
paralysie
, générale, et la sclérose en plaques. Or. l'aut
éminée des deux troncs ner- veux, avait produit un syndrome unique (
paralysie
des branches innervant le droit supérieur et l'
THOLOGIE NERVEUSE. XIII. CONTRIBUTION A l'étude ET au mécanisme DES
paralysies
DES MUSCLES DE L'OEIL CHRONIQUES, PROGRESSIVES,
postérieur de la deuxième lemporale gauche. P. K. XXV. Un cas DE
paralysie
par COMPRESSION (pendant LE sommeil) : l. paral
XXV. Un cas DE paralysie par COMPRESSION (pendant LE sommeil) : l.
paralysie
GRAVEET complexe du bras gauche; par S.-H. SCHEIB
cs nerveux du bras pendant un profond sommeil de deux heures, cette
paralysie
porta, ce qui en fait un cas unique, sur tous l
gères; aux extrémités supé- rieures, spasmes passagers suivis d'une
paralysie
qui dure des heures et même des demi-journées.
y a impossibilité d'exécuter l'acte le plus simple. Mais jamais la
paralysie
n'est véritable et persistante. Idem pour les ex-
érance; par L. BRUNS. t11- : urol. Centralbl. 1886.) Observation.
Paralysie
de l'ocutomoteur externe gauche et paré- sie du
glande pinéale. Comme dans toutes les observations de ce genre, ni
paralysie
, ni troubles de la sensibilité. Etude cri- tiqu
hobie ; et comme d'autre part il était persuadé que les accès et la
paralysie
étaient des symptômes Archives, t. XX. 6 82 r
rente-huit ans, sujet depuis neuf ans à des attaques périodiques de
paralysie
dont la durée varie de quelques jours à deux ou
ans, maigre, aspect de névrophate, souffre depuis quatre ans d'une
paralysie
des membres inférieurs, accompagnée de sensatio
améliora- tion est assez marquée, le malade peut se lever ; mais la
paralysie
n'a pas disparu : tout en reconnaissant chez lu
une période, un épisode, de processus morbides com- plexes tels que
paralysie
générale, hystérie, folie circulaire, quelques
ure DES fibres NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU, DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET D'AUTRES MALADIES MEN- TALES ; par
linique, atiatomopatliologique et histologique de treize : faits de
paralysies
générales à formes diverses ; six cas de démenc
; sept de psychopathies fonction- nelles. Conclusions. - Oui, la
paralysie
générale s'accompagne toujours d'atrophie plus
pas s'illusion- ner. Cette atrophie n'est pas caractéristique de la
paralysie
gé- nérale ou de lésions parentes, puisqu'on la
ns une catégorie d'autres maladies n'ayant rien de commun avec la
paralysie
générale, notamment dans les affections cérébrale
es fibres intra-corlicales et les altérations interstitielles de la
paralysie
générale ; la paralysie générale est par conséq
es et les altérations interstitielles de la paralysie générale ; la
paralysie
générale est par conséquent loin d'être toujour
ujours une encéphalite interstitielle; en revanche, en aucun cas de
paralysie
générale avancée, ou ne notera l'absence de lés
les hématomes en question se rencontrent plus fréquem- ment dans la
paralysie
générale que dans toute autre forme de folie, c
ue dans toute autre forme de folie, c'est que c'est surtout dans la
paralysie
générale que se réalisent les conditions les pl
omme dans le coma ou le collapsus des maladies aiguës. 5° Dans la
paralysie
générale, le pouls varie suivant les phases de
quelques-uns de ses principaux traits, ce cas ressemble à un cas de
paralysie
générale; mais ni durant le séjour à l'asile, n
xpansion qui caractérisent si communément la période de début de la
paralysie
générale vraie. D'autre part, le caractère préd
Il s'agit d'un homme de 4U ans, sobre, dont un oncle est mort de
paralysie
générale, cl que son métier force à vivre depuis
s. Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la
paralysie
. 2° Z..., trente-quatre an-, pas d'antécédents
- Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la
paralysie
. Ces deux malades, lors de leur entrée à l'asil
'on observe communément, leur affection simulait à s'y méprendre la
paralysie
générale. Ces faits montrent une fois de plus a
ment torsqu'onaatfaireàla fièvre typhoïde, que, lorsqu'il s'agit de
paralysie
générale, les maladies suppura- tives sont cell
ait aucun excès, n'ayant subi aucun accident propre à déterminer la
paralysie
générale, prend accidentellementlasyphilis, est a
encéphalite et myélite diffuse, revêtant la forme symptomatique de
paralysie
générale. Inactivité du traitement spécifique.
ières années, affaiblissement intellectuel très prononcé. Jamais de
paralysie
ni d'autres accidents physiques. Meurt à soixan
ostic ne peut hésiter qu'entre l'espèce mor- bide considérée et une
paralysie
du plexus brachial. Mais la topo- graphie de l'
e, d'autant plus qu'aujourd'hui, voilà de cela quatre semaines, les
paralysies
de la sensibilité et de la motilité ont con- se
ment le long des cordons postérieurs. AI. OTTO (de Dalldorf). De la
paralysie
pseurlo-IJ1lLbail'e. Ayant eu dans ces dernière
rnières années l'occasion d'observer chez les aliénés quatre cas de
paralysie
la bio ? 1 osso -pliat-y iizée, et d'en autopsier
mixte cérébro-hulbaire et montrent une fois de plus la rareté de la
paralysie
cérébrale pure. L'artério-sclerose syphilitique
a prochaine séance. 11. Brie montre le cerveau d'une femme morte de
paralysie
géné- rale syphilitique ( ? ) Le segment antéri
ytiques généraux. Ne conviendrait-il pas de désigner sous le nom de
paralysie
géné- rale tabétique, la paralysie générale ave
l pas de désigner sous le nom de paralysie géné- rale tabétique, la
paralysie
générale avec lésion des cordons posté- rieurs
les syphilitiques sont cinq fois pius en butte à l'at- teinte de la
paralysie
générale. M. Thomsen. La thérapeutique du tabes
ue du tabes n'a rien à gagner des progrès de la thérapeutique de la
paralysie
générale et vice versa. Quel est celui d'entre
générale et vice versa. Quel est celui d'entre nous qui a guéri la
paralysie
générale par un traitement antisyphilitique ? L
c de l'aflection est discuté avec soin et bien établi. P. B. III.
Paralysies
de la chorée (chorée paralysante), par E. HONDOT.
éorie de la désagrégation, pour nous rendre compte de la nature des
paralysies
, des contractures hystériques, voire môme des i
ongestive, paralytique, mélancolique et expansive, sur les diverses
paralysies
générales, sur leur diagnostic différentiel, sur
sur leur diagnostic différentiel, sur les variétés cliniques de la
paralysie
générale; puis son étude de bibliographie. 127
ire. Les symptômes leucomyélitiques latéraux se traduisent par la
paralysie
du genre spasmodique les leucomyélitiques postéri
s se montrent à nouveau plus fortes. C'est alors que prédomine la
paralysie
générale. En temps de guerre, 28 p. 100 des indiv
HOLOGIE NERVEUSE SUR UNE COMPLICATION PEU CONNUE DE LA SCIATIQUE (
PARALYSIE
.1ll1'OTLtOPIILQUE DANS LE DOMAINE DU POPLITÉE)
l'aide du forceps, il a vu survenir une sciatique accompagnée d'une
paralysie
incurable^ avec amyotrophie dégénérative, des m
vec amyotrophie dégénérative, des muscles du mollet. ' Bianchi. De*
paralysies
traumatiques des membres inférieurs chez les no
s chez les nouvelles accouchées. Th. Paris, 1867. - Lefebvre. Des
paralysies
traumatiques des membres inférieurs.. Th. Paris
raumatiques des membres inférieurs.. Th. Paris, 1876 3 Brivois. -
Paralysies
traumatiques du membre inférieur consécutives i
cutives il l'accouchement laborieux. Th. Paris, 1876. 4 Dorion. -
Paralysies
du nerf sciatique poplité externe a'origine pel-
ont perdu leur excitabilité électrique. Le pied est tombant; il y a
paralysie
avec atrophie des extenseurs. La localisation n
nous empruntons à la thèse de Lefebvre. - OBSERVATION II (résumée).
Paralysie
partielle de la jambe gauche consécutive à l'ac
e de la jambe gauche consécutive à l'accouchement. - (LEFFBVRE. Des
paralysies
t1'aU- matiques des membres inférieurs. Th. Par
essaie de se lever, mais ne peut marcher qu'avec des béquilles. La
paralysie
reste limitée aux muscles qui relèvent le pied,
eulement le domaine du nerf sciatique poplité ex- ' terne. Puis une
paralysie
survient portant exclusive- ment sur les extens
e la jambe droite et celle de la jambe gauche. Remarquons que cette
paralysie
et cette atrophie, dues sans aucun doute à la n
. En tous cas, ce qu'il fautretenir de cet exemple, c'est que ces
paralysies
sont fort tenaces et d'une guérison diffi- cile
suivant est encore emprunté à Lefebvre. Observation IV (résumée). -
Paralysie
partielle du membre infé- rieur droit consécuti
chement laborieux suivi d'une fistule 1t1'éthl'o-vllginale et d'une
paralysie
partielle du membre in- férieur droit. (LErrnvn
ambe. En marchant, le pied tombe et traîne. On constate alors une
paralysie
complète, avec inexcitabilité électrique, des m
ssesse; accouchement naturel et facile; phlegmon du ligament large;
paralysie
du nerf sciatique poplité externe (DORION. Des
ent large; paralysie du nerf sciatique poplité externe (DORION. Des
paralysies
du nerf sciatique poplité externe d'origine pel
les >. Ces engourdisse- ments font bientôt place à une véritable
paralysie
de la jambe et du pied. La cuisse se fléchit su
onséquent le iierf sciatique poplité externe qui est le siège de la
paralysie
. Cette opinion s'appuie sur un fait anatomique
accouchement pratiqué à l'aide du forceps, s'était compliquée d'une
paralysie
incurable avec atrophie dégénérative des muscle
calisation étroite au domaine du sciatique poplité externe de toute
paralysie
des membres inférieurs consécutive à l'accouche
ui dans les cas où l'on constate à la suite de l'accou- chement une
paralysie
limitée à la zone de distribution du sciatique
ique poplité externe serait seule comprimée et de là naîtraient ces
paralysies
localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs q
es paralysies localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs que les
paralysies
par compression du sciatique consécutives à l'a
ssus l'opinion de M. Lefebvre et montre que dans bien des cas les
paralysies
occupaient également à un plus ou ' Dorion. -'l
ient tout d'abord à l'esprit, surtout si l'on veut considérer les
paralysies
comme 'ce qu'elles sont en réalité, c'est-à- di
duire. L'examen des mouvements du pied démontre qu'il existe une ,
paralysie
très accentuée des extenseurs du pied et des orte
au domaine du nerf tibial antérieur seul en ce qui con- cerne la
paralysie
, à tout ce domaine du sciatique poplité externe
a la tête, toujours à droite. Jamais de chute de la paupière, ni de
paralysie
des muscles de l'oeil. Cet état, avec des rémis
ION DE LA SCIATIQUE. 169 cependant avoir eu affaire à une véritable
paralysie
des extenseurs de la jambe. Le pied tombant, la
la mcti- lité dominent toute la scène. Il s'agit cette fois d'une
paralysie
avec réaction de dégénération typique. Observat
nération typique. Observation IX (personnelle). Sciatique droite. -
Paralysie
avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dég
E. 1 -Il Dans ['Observation VII, nous avons vu l'anesthésie et la
paralysie
musculaire prendre à peu de chose près le même
'il existe des troubles de deux ordres : tout d'abord une véritable
paralysie
des extenseurs et de tous les muscles de la rég
ble en forme de casque. - Puis survient une hemiparésie gauche avec
paralysie
faciale. Malheureusement la malade, tout en aff
le. Malheureusement la malade, tout en affirmant la réalité de la
paralysie
de la face, ne peut préciser suffisamment le sens
rapport avec la symptomatologie présentée par notre malade, est la
paralysie
agitante. La caractéristique classique- de la p
ade, est la paralysie agitante. La caractéristique classique- de la
paralysie
agitante est l'existence d'un tremblement se pr
cillation verticale, et pas plus. En outre, le tremblement de la
paralysie
agitante cesse aussitôt que le sujet veut accompl
s de la ville, offre un si remarquable échantillon. Enfin dans la
paralysie
agitante, la tête est le plus souvent respectée
anormaux. Cet ensemble de preuves suffit, je le crois, à écarter la
paralysie
agitante. Puisque le tremblement des membres pe
u près toujours, en effet, à rapporter un tremblement au type de la
paralysie
agitante ou à celui de la sclérose en plaques.
ent au repos, cessant par la contraction musculaire, caractérise la
paralysie
agitante. Le tremblement qui se manifeste penda
re malade diffère des deux variétés de tremblement appartenant à la
paralysie
agitante et à la sclé- rose en plaques : . - ,-
emblement une névrose à part, ayant sa place distincte à côté de la
paralysie
agitante. S'il en était ainsi, notre tâche sera
niques et distinguer, comme je l'ai fait plus haut : le type de la
paralysie
agitante, le type'de la sclérose en plaques, le t
rgyrique, les mouvements rythmés de la- maladie de Basedow et de la
paralysie
agitante. La deuxième comprend le tremblement s
qu'on aurait décrits jadis, sans hésitation, comme des exemples de
paralysie
agitante ou de tremblement sénile de cuuse psyc
pareille diminution des excréta azotés et phosphatiques. Dans la
paralysie
agitante, les choses paraissent aussi se' 206 '
fait chez notre malade comme dans l'hystérie, et non comme dans la
paralysie
agitante et le goitre exophtal- mique. On a éta
gie violente en forme de casque, et, enfin, elle fut atteinte d'une
paralysie
faciale. - Le fait de la paralysie, avons-nous
, enfin, elle fut atteinte d'une paralysie faciale. - Le fait de la
paralysie
, avons-nous dit, n'est point douteux; ce qui es
'est point douteux; ce qui est plus obscur, c'est le siège de cette
paralysie
: la malade croit se rappeler que les traits ét
étaient déviés vers la gauche, ce qui permettrait de conclure à une
paralysie
faciale droite; mais, en raison du temps écoulé
ent attiré l'attention, et qui consiste dans « une hémiparésie avec
paralysie
croisée du moteur ocu- laire commun, et tremble
ens de la déviation de la face, la démonstration soit faite d'une
paralysie
faciale droite chez notre malade (la paralysie de
ion soit faite d'une paralysie faciale droite chez notre malade (la
paralysie
de la face pouvant remplacer celle du moteur oc
t fonc- tionnelle au début, soit devenue organique dans la suite.
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 211 Le diagnos
'emploi avec celui du chlorure d'or. 212 CLINIQUE NERVEUSE. DES
PARALYSIES
CONSÉCUTIVES A L'EMPOISONNEMENT PAR LA VAPEUR D
saud 2 consacrait dans sa thèse d'agrégation tout un chapitre à ces
paralysies
. Cependant, malgré toutes ces recherches, elles
coïncidence. ' ' Bourdon. - Thèse, Paris 1843. ' Brissaud. - Des
paralysies
toxiques. Thèse d'agrégation, 1886. PARALYSIES
' Brissaud. - Des paralysies toxiques. Thèse d'agrégation, 1886.
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 213 DESCRIPTIO
. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 213 DESCRIPTION DES
PARALYSIES
. Etiologie. - Les paralysies peuvent se produir
APEUR DE CHARBON 213 DESCRIPTION DES PARALYSIES. Etiologie. - Les
paralysies
peuvent se produire toutes les fois qu'il y a d
généralisée qui cesse au bout de quelques heures ; d'autres fois la
paralysie
- et c'est alors que nous devons l'étudier - se
- Nous avons relevé avec soin dans les auteurs les observations de
paralysies
succédant à l'empoisonnement par le charbon, et
qui frappe tout d'abord c'est qu'au point de vue symptomatique ces
paralysies
affectent les formes les plus diverses : tantôt
g supinateur n'est pas indiqué. Il y a encore trois observations de
paralysie
des extenseurs des doigts 1 : dans tous ces cas
y.1Jip. par le charbon (J)'c ? ye'Ke7'. de Méd., 186n). Schachmann.
Paralysie
par le charbon (France ,1l¿d" 188G). Bourdon, l
, cit. - . Rendu. - Société médicale des Hôpitaux, l3jawicr 1S8'.
PARALYSIES
CAUSEES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 215 particuliè
jambe et l'insensibilité du pied complète. Au membre supérieur, la
paralysie
s'est localisée d'emblée ; mais ses caractères
eitscll1'ijl für chirurgie, 188 l, Bd. XX, li. 1 î6. 3 Larochp. Des
paralysies
consécutives it l'intoxicalion par la vapeur de
Ann. d'hyg. publ" novembre 1881. s Lancereaux cité in Thuse Simon.
Paralysies
par l'oxyde de carbone. Paris, 1883. - Comhy. C
le type classique de l'hémi- plégie par lésion cérébrale vulgaire :
paralysie
du bras, de la jambe et d'une partie de la face
lus souvent, les troubles de la sensibilité viennent compliquer les
paralysies
; ils font défaut cependant dans plus de la moi
une asphyxie par le charbon. (Ar- chives de Médec. navale, 1877.)
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 2'17 'i n'a pa
limitée à la région paralysée. Dans toutes les observa- tions où la
paralysie
ne frappait dans un membre qu'un certain groupe
alade dont M. Rendu a rapporté l'histoire, qui présentait, avec une
paralysie
des extenseurs de l'avant-bras et de la jambe,
ubles de la nutrition. Ils ont été signalés dans presque toutes les
paralysies
ayant duré un certain temps; ils ne manquent da
ve dans le membre paralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten ' de
paralysie
du membre supérieur, il y avait un empâtement d
n aspect rouge bleuâtre. De même, Leudet, chez un malade atteint de
paralysie
du mem- bre inférieur droit, signale une rougeu
parition d'un pemphigus généralisé coïncidant avec des symptômes de
paralysie
, d'un zona se montrant sur le trajet du trijume
pès ? de troubles trophiques variés. C'est ainsi que dans un cas de
paralysie
de l'avant- bras (Rendu) la peau des doigts éta
noxyvei-giriztîtg, Berlin, 1868, résumé in Virchow Jahresbericht.
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 219 9 ques obs
e la contractilité galvanique. M. Rendu a cons- taté dans un cas de
paralysie
des extenseurs, que la réaction électrique étai
avant la contractilité volontaire. Leudet, dans un cas analogue de
paralysie
des extenseurs, Lytten, Bourdon, dans deux cas
préciable ; dans un autre, on les a trouvés abolis. Marche. - Les
paralysies
consécutives à l'empoi- sonnement par le charbo
, survenant au bout d'un temps plus ou moins long : en six jours (
paralysie
des extenseurs), en trois mois (monoplégie brac
, les observations ne di- sent pas quelles ont été les suites de la
paralysie
. Dans les hémiplégies la guérison est la règle,
formes où la sensibilité, est profondé- 1 Hùrchzimer. - Loc. cit.
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 221 ment touch
ue alors à des lésions cérébrales facilement reconnaissables. Les
paralysies
généralisées onttoujours été suivies de mort, c
deux observations très nettes. Dans l'une, due à M.Lancereaux3, la
paralysie
ne s'est montrée que deux mois après l'asphyxie
à un membre inférieur, ensuite paraplégie, troubles des sphincters,
paralysie
des membres supérieurs, du nerf facial, et mort
es membres supérieurs, du nerf facial, et mort avec des signes de
paralysie
labio-glosso-larynée. Anatomie pathologique. -
a nature des lésions : la mort n'est presque jamais le fait de la
paralysie
. On a bien trouvé des lésions diverses, 1 Klebs
isait, l'autopsie d'un individu qui avait présenté des symptômes de
paralysie
ascendante aiguë. Le cerveau et la moelle parai
s alté- rations nerveuses au niveau du membre inférieur par où la
paralysie
avait débuté. Là, les branches du plexus sacré
ma- lade d'Alberti mourut de pyohémie après avoir pré- senté une
paralysie
complète de la jambe droite; les résultats de l
t par l'oxyde de carbone (Journal de Médecine de Bordeaux, 1883).
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 223 augmentati
les, plutôt qu'aux nerfs le principal rôle dans la production de la
paralysie
. C'est aussi l'opinion des anciens auteurs (Bou
une hémiplé- gie droite complète offrant tous les caractères des
paralysies
organiques; la mort survint au bout de deux moi
sion des arté- rioles du -cerveau, stase sanguine déterminant une
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 235 mortifica
x et à produire des thromboses et des embolies. Pathogénie. - Les
paralysies
déterminées par l'oxyde de carbone reproduisent
one reproduisent tous les types. A côté de l'hémiplégie et même des
paralysies
généralisées il y a des troubles moteurs locali
le premier abord, peut-on affirmer que le mode de production de ces
paralysies
doit varier : il n'y a pas de lésion pathogéniq
riences sur l'intoxica- tion oxycarbonée, n'a jamais pu produire de
paralysie
. Bourdon et Klebs n'ont pas été plus heureux. R
. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. d'hui à la théorie périphérique de la
paralysie
satur- nine : peut-être en serait-il de même po
rait-il de même pour le charbon. Le premier, Leudet a pensé que les
paralysies
par le charbon pouvaient être dues à des névrit
ve à la suite de l'empoisonnement; c'est à elles qu'il attribue les
paralysies
, d'autant plus que dans un cas l'autopsie a mon
- due par Brissaud. , , Il est certain, en effet, que souvent les
paralysies
oxycarbonées présentent les caractères que l'on
onées présentent les caractères que l'on attri- bue aujourd'hui aux
paralysies
périphériques. C'est d'abord leur limitation fr
ervations si nettes de Schachmann et de Bourdon qui ont trait à une
paralysie
des exten- seurs, cette origine périphérique ne
accidents après que le poison a été éliminé du sang ne peut être
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 227 invoquée
7 invoquée contre cette théorie : ne voit-on pas assez souvent la
paralysie
saturnine ou alcoolique se mon- trer longtemps
est aussi l'opinion de M. Rendu. Chez une malade qui présentait une
paralysie
des extenseurs de la jambe, de l'avant-bras et
s intra-craniennes des nerfs.. On a également tenté d'expliquer ces
paralysies
par les altérations' que subit le sang sous l'i
là une hypothèse qui ne repose sur aucune donnée anatomique. Les
paralysies
par l'oxyde de carbone peuvent-elles être d'ori
e dire que les autres hémiplégies et sur- tout les autres formes de
paralysies
reconnaissent la même cause. On peut se demande
explicites. Pour nous, passant en revue tous ces accidents, nous
PARALYSIES
CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 229 sommes co
que dans un certain nombre d'in- toxications elle peut produire des
paralysies
: pourquoi n'en serait-il pas de l'intoxication
oupçonner l'hystérie; une obser- vation de Baur' d'anesthésie et de
paralysie
d'un côté du corps succéda au coma ; la face ét
t cité dans Wirchow /«/M'M6e;-icA ? 1868). 230 CLINIQUE NERVEUSE. -
PARALYSIES
. présenta à la suite d'une parésie des quatre m
observation publiée par Laroche, l'oxyde de car- bone détermina une
paralysie
générale de la sensibi- lité à la douleur et au
rs ; il est aussi naturel d'admettre qu'elle amènera à sa suite des
paralysies
; peut-être même dans cette hypothèse, le coma q
231 façon certaine, s'il y a lieu, le rôle de l'hystérie dans les
paralysies
consécutives à l'empoisonnement par le charbon.
esseur Charcot a démontré par l'étude clinique et expérimentale des
paralysies
hystéro-traumatiques que deux éléments étaient
tal spécial ; 2° un traumatisme qui est l'agent provocateur de la
paralysie
. L'état mental spécial qui prépare le terrain sur
circulation, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et
paralysie
motrice) avec menace de sphacèle '.Ces accident
u choc a montré leur importance dans le mécanisme psychologique des
paralysies
hystéro-traumatiques. D'après lui, ils consiste
logique peut être considéré comme un rudiment, « une esquisse de la
paralysie
hystérique 1 Groeningen. - liber den Shock. '
le cerveau à recevoir sans résistance toutes les suggestions, « la
paralysie
rudimentaire provoquée par le choc se réalise e
ppartienne plus, qu'il lui soit devenu étranger ». J A propos d'une
paralysie
de la main provoquée par l'action de donner un
e l'on pourrait constater en la cherchant ». Si les observations de
paralysie
hystéro-traumatique sont aujourd'hui nombreuses
é des phénomènes physiologiques du choc nerveux local et à côté des
paralysies
hystéro-trau- matique ? Par la durée des accide
s phénomènes manifestement exagérés du choc local : anes- thésie,
paralysie
, sensation d'engourdissement et d'absence du me
absence du membre, et les caractères habituels mais passagers des
paralysies
psychiques dues au traumatisme : répartition de
ibilités, pa- résie. Il s'agissait donc en réalité d'un rudiment de
paralysie
psychique. Faisons remarquer enfin- que noire
troubles hystériques, alcoolisme, asphyxie locale, érythromélalgie,
paralysie
vasomo- trice. Ces faits rappellent de loin la
HOLOGIQUES ; par M. BERNHARDT. (Centralbl. f. Nervenh., 1886.) I.
Paralysie
périphérique isolée du nerf sus-scapulaire gauche
ion inférieure du deltoïde. III. Contribution à la pathologie des
paralysies
faciales périphé- riques. - Première observatio
des paralysies faciales périphé- riques. - Première observation. -
Paralysie
, probablement par contre-coup, due à une lésion
coup, due à une lésion de la base du crâne.- Seconde obser- vation.
Paralysie
parotite moyenne. - Dans les deux cas, la paral
bser- vation. Paralysie parotite moyenne. - Dans les deux cas, la
paralysie
, quoique franchement périphérique, respecta la br
THOLOGIE NERVEUSE. protéiforme de l'innervation' est un symptôme de
paralysie
géné- rale; Il est bien plus fréquent que le my
ut. Excellentes descriptions, parfaite dis- cussion. P. K. XXXIX.
Paralysie
périphérique ISOLÉE DU NERF SUS-SCAPULAIRE gauc
aduira, d'une façon tout inattendue, par de l'hémianesthésie, de la
paralysie
hystérique. La conception n'a donc rien à voir
istence concomitante de symptômes d'excita- tion et de symptômes de
paralysie
prouve que ce nerf contient et des fibres vasoc
lourdeur accoutumés. P. K. L. Cas rare DE NÉVRITE ascendante avec
paralysie
réflexe (ex- pression consacrée) DE la moelle;
ellaire; démarche ataxique; signe de Romberg. Quelques jours après,
paralysie
des bras. Enfin, at- teinte des fibres motrices
leptogène de la zone et le nombre des accès. P. Keraval. LIV. DE la
paralysie
faciale A répétition ; par P. J. Moebius. (Cent
Observation. - En 1868, à la suite d'un refroidissement intense,
paralysie
faciale indolenle du côté droit : durée trois sem
e indolenle du côté droit : durée trois semaines. En 1878, nouvelle
paralysie
faciale gauche, mais avec douleurs vio- lentes
le droite , le 3° jour, dans la joue droite et les dents, et alors,
paralysie
faciale droite complète en 24 heures. Puis les
mpression du froid : intégrité du goût et de l'ouïe. Le 8e jour, la
paralysie
est complète et totale, mais l'excitabilité éle
le 30e jour tout va mieux,le 45e jour amélioration progressive.- La
paralysie
faciale à répétition n'est pas une paralysie pé
ation progressive.- La paralysie faciale à répétition n'est pas une
paralysie
périodique ; c'est une espèce de paralysie ordi
répétition n'est pas une paralysie périodique ; c'est une espèce de
paralysie
ordinaire rhumatismale qui ne reparaît plusieurs
es vaisseaux de la peau par prédisposition congénitale et non à une
paralysie
des vaso-constricteurs; ce relâchement des vaisse
; l'affection persiste. P. K. LVII. SUR quelques cas INSOLITES DE
paralysie
saturnine ; - par P. J. 11OBBIUS. (Central, f.
J. 11OBBIUS. (Central, f. Neruezzh., 1886.) Trois observations^ La
paralysie
connue sous le nom de para- lysie des Tailleurs
nom de para- lysie des Tailleurs de lime est très probablement une
paralysie
saturnine. A un moment donné de leur travail, c
oliques - guérison ou amélioration proverbiale des gens du métier -
paralysie
typique des extenseurs et allures de l'excitabi
pas. Autopsie incomplète, inutilisable. P. Keraval. LXVIII. DE la
paralysie
du NERF péronier; par M. BERNHARDT, (Centralbl.
(Centralbl. f. Nervenheillc, 1888.) Trois observations. L'une de
paralysie
périphérique unilatérale par pression : électri
e unilatérale par pression : électrisation, guérison. - L'autre, de
paralysie
d'ori- gine cérébrale ' : un traumatisme ayant
du membre inférieur gauche et en particulier du pied. - 06s. III :
paralysie
tabétique partielle, grave, unilatérale des muscl
lée ( ? ) P. K. XXIII. Contribution A l'anatomie pathologique DE la
paralysie
PRO- CRESSIVE DES aliénés ; par P. 11RONTHAL. (
e et sont d'autant plus marquées que la maladie progresse (démence,
paralysie
géné- rale). C'est suivant ce plan que l'auteur
é des diverses causes attribuées à la maladie. D'après l'auteur, la
paralysie
générale résulterait toujours de plusieurs caus
'aliénation mentale en général, la syphilis prédispose surtout à la
paralysie
générale. L'hérédité donne cependant à un paral
taire a uno allure empesée. La syphilis, au contraire, ne marque la
paralysie
générale d'aucun signe particulier. Les excès sex
ébrale à lésion diffuse, le traitement spécifique n'agit pas sur la
paralysie
générale, même quand la sy- philis est certaine
hilis est certaine. P. K. XXVI. CONTRIBUTION A la casuistique DE la
paralysie
PROGRESSIVE DES aliénés; par L. ACKER (Allg. Ze
g. Zeitschr. f. Psychiat., XLIV, 1.) Relation abrégée des 14 cas de
paralysie
générale, terminée par la mort à l'asile d'Lioh
même qui en ce point est déprimé. Un peu de parésie faciale droite,
paralysie
du bras droit contracturé en flexion au niveau de
chronique localisée ayant produit l'appareil symptoma- tique de la
paralysie
générale (convulsions, troubles somatiques) ; l
trente-quatre ans, buveur, présente le tableau symptomatique de la
paralysie
générale ; le tabes se mon- REVUE D'ÉLECTROTHÉR
physiologie pathologiques XXXII LÉSIONS anatomiques dans un cas DE
paralysie
DIPIITHÉ- RITIQUE ; par W.-C. 11RAUSS. (Neurol.
'ordre du jour. M. DUBUISSON lit un rapport sur l'étiologie de la
paralysie
générale, concluant à la nécessité de nouvelles
expose ensuite ses recherches sur la fréquence et l'étiologie de la
paralysie
générale, qui lui paraît augmenter de fréquence,
umatisme, qu'on ne considère pas ordi- nairement comme une cause de
paralysie
générale. M. RÉGNIER fait une communication sur
communication sur les rapports de la syphi- lis cérébrale et de la
paralysie
générale progressive, ainsi que sur l'in- fluen
de cette affection. II sépare nettement la syphilis cérébrale de la
paralysie
générale, admettant que celle-ci n'est nullemen
z un paralytique général, par exemple. En un mot il n'existe pas de
paralysie
générale syphilitique. M. Régis parle ensuite d
syphilis chez les paralytiques généraux plus de 85 fois sur 100. La
paralysie
générale survient douze ou treize ans après l'i
it un travail sur le rôle des myélopathies dans l'étio- logie de la
paralysie
générale. Les relations du tabes et de la paraly-
es, dit qu'il ne possède dans sa statistique de 560 observations de
paralysie
générale que 9 cas de syphilis certaine. Il est
yphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébrale pour des
paralysies
générales. Le traite- ment, lorsqu'il est emplo
la syphilis chez les paralytiques généraux. Mais il croit la vraie
paralysie
générale syphilitique fort rare. Elle ne se dis
e générale syphilitique fort rare. Elle ne se distingue guère de la
paralysie
générale ordinaire, le traitement restant sans
est vraisemblable que la syphilis seule ne suffit pas pour créer la
paralysie
générale. Son rôle est réel, mais il est diffic
e de déterminer son mode d'action. M. LAURENT fait remarquer que la
paralysie
générale et la syphi- lis sont plus fréquentes
Rouen) lit un travail intitulé : Considérations sur l'urine dans la
paralysie
générale. Dans le délire dépressif, il y a dimi
joint la misère, le sur- menage, la paresse ; 8° les démences de la
paralysie
générale précoce; 9° les démences précoces de c
tes de Lyon, le prochain Congrès. M. CULLERRE lit une note sur la
paralysie
générale conjugale. - Il a observé trois femmes
alysie générale conjugale. - Il a observé trois femmes atteintes de
paralysie
générale dont les maris étaient également paral
l et des Allemands, que c'est toujours la syphilis qui détermine la
paralysie
générale conjugale, lui parait loin d'être sati
but de la démence consé- cutive au ramollissement cérébral et de la
paralysie
générale, et elle est ordinairement limitée à u
e période variable et s'étend à tous les faits de cette période. La
paralysie
générale et la manie consécutives à des traumat
provoquer toutes les formes d'aliénation, mais principalement la
paralysie
générale et la manie. Il faut intervenir rapideme
la suite de plusieurs accès de convulsions qui furent suivies d'une
paralysie
avec atrophie du côté droit. Depuis cette époqu
ret. M. Doutrebente (de Blois) rapporte plusieurs observations de
paralysies
générales améliorées ou guéries par le traitement
s où il est impossible de faire le diagnostic différentiel entre la
paralysie
générale vraie et la pseudo-paralysie générale
iques de la parole, alors même que le délire paraîtrait celui de la
paralysie
générale vraie. ' M. COSTE DE LAGRAVE (de Rouen
, t. XX, p. 117. 284 SOCIÉTÉS savantes. recherches relatives à la
paralysie
générale peuvent nous montrer des résultats qui
e sur les difficultés que présente le diagnostic différentiel de la
paralysie
générale dans les différentes formes de la fuli
ce du 30 juin 1890. - PRÉSIDENCE DE M. BLL. Les intoxications et la
paralysie
générale. - M. Charpentier exa- mine : i° les é
les états pathologiques qu'il il est fréquent de rencontrer dans la
paralysie
générale; 2° la pathogénie de la paralysie géné-
nt de rencontrer dans la paralysie générale; 2° la pathogénie de la
paralysie
géné- rale par intoxication ; 3° les états phys
elle est vue. Ses conclusions sont les suivantes : 10 à côté de la
paralysie
générale par congestion propre des folies conge
ale par congestion propre des folies congestives se termi- nant par
paralysie
générale, il y a lieu de grouper sous le nom de
nant par paralysie générale, il y a lieu de grouper sous le nom de
paralysie
générale par intoxication, les pseudo-paralysies
, les pseudo-paralysies géné- rales déjà admises et d'y joindre les
paralysies
générales dues à la goutte, au diabète, à l'art
me, au tabagisme et à la suralimentation; -2° dans la théorie de la
paralysie
générale par intoxication, l'ordre de successio
s folies toxi- ques ; de l'incurabilité et des cas curables dans la
paralysie
géné- rale et les démences toxiques sans produc
la paralysie géné- rale et les démences toxiques sans production de
paralysie
géné- rale ; -4° la paralysie générale par into
démences toxiques sans production de paralysie géné- rale ; -4° la
paralysie
générale par intoxication ne se produit pas, ou
oses convulsives ou des insomnies chroniques ; - 5° l'absence de la
paralysie
géné- rale dans ces conditions serait due à une
ce tissu à proliférer suffisamment pour produire les lésions de la
paralysie
générale. Une révolte à Ville-Evrard. - M. MARA
du revêtement gris, elles disparaissent, non pas seulement dans la
paralysie
générale, mais aussi dans la démence de quelque
ses (ataxie locomolrice progressive, sclérose en plaques, hystérie,
paralysie
agitante). Volume m-8° de 169 pages avec 5 figu
ut affirmer aussi maintenant que la chorée rythmée, le mutisme, les
paralysies
et les contrac- tures, les anesthésies et hypér
se fondant sur cet argument que M. Charcot a démontré que certaines
paralysies
traumatiques sont sous la dépendance de l'hysté
des névropathes. Les relations de ce syndrome avec la goutte, la
paralysie
générale, l'épilepsie, le tabes, ont été dans p
l'autopsie d'un homme de trente- sept ans, qui avait succombé à une
paralysie
générale, je découvris enfin la bandelette diag
ous rangeons : l'hémiplégie d'origine cérébrale sans hémypiopie, la
paralysie
générale progressive, la chorée, l'épilepsie, p
ypiopie, la paralysie générale progressive, la chorée, l'épilepsie,
paralysie
agitante, goitre exoph- talmique, et nous ne ci
sies et des points hystérogènes. Quelques-uns ont été atteints de
paralysie
motrice. Leurs observations sont consignées dan
inverse dans certains cas, comme ceux de spasme d'accommodation, de
paralysie
des mus- cles de l'oeil, etc. Ces cas sont suff
ves de suicide. - La mère est morte à l'Hôtel-Dieu d'une attaque de
paralysie
. ' Communication faite au Congrès de médecine m
enlevés, la chose fi7t-elle compatible avec la vie, il y aurait une
paralysie
si complète et si durable du mouvement et une a
question de savoir si les lésions n'ont pas causé une perte ou une
paralysie
de quelque chose de plus élevé. Ou peut donner
-J. MoeBlUs, (Centr. nerf., 1886.) On accepte généralement que la
paralysie
des muscles rotateurs de l'oeil et de l'élévate
BSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX ET EN PARTICULIER DANS LA
PARALYSIE
progressive; par M. Friedmann. (Neurol. Central
es cérébraux. Mais la première (générale) parait plus spéciale à la
paralysie
générale, tandis que la seconde (diffuse simple
la seconde (diffuse simple) a été observée par M. Friedmann dans la
paralysie
générale et l'idiotie. Toutefois, on peut, chez
il faudrait tâcher. d'examiner leur état tout à fait au début de la
paralysie
générale. Il y a lieu de maintenir du reste la
Il y a lieu de maintenir du reste la division de Ziegler entre la
paralysie
générale interstitielle et la paralysie générale
ivision de Ziegler entre la paralysie générale interstitielle et la
paralysie
générale paren- chymateuse ; cette dernière rés
ération dégénérative. C'est-à-dire qu'il n'y a pas dans ce genre de
paralysie
générale d'inflammation; plus ou moins systématiq
rébrale, qu'il y ait ou non lésion du fond de l'oeil, notamment une
paralysie
générale ou une apoplexie imminente. Un champ v
c'est la démence organique et la démence sénile proprement dite; la
paralysie
générale ex- trêmement rare après cinquante ans
avant professeur allemand ; une argumentation se lit. P. K. LVII.
Paralysie
générale avec tabès CHEZ UNE FILLETTE DE treize
NTRIBUTION A la connaissance DE la marche ET DE L'ÉTIO- LOGIE DE la
paralysie
générale; par B. ASCHER. (Allg. ZeiGSClh. f. Ps
e eux, malades entre 35 et 50 ans, >ont morts entre 40 et 45. La
paralysie
géné- rale marche plus vite chez les jeunes hom
accidents d'épilepsie; tantôt à des phénomènes qui rappe- laient la
paralysie
générale. L'auteur fait remarquer dans l'espèce
ulaire; par TH. TILING. (Allg. Zeitsch. f. Psych. XLVI. 2, 3.) La
paralysie
alcoolique s'accompagne généralement d'aliénation
psychose qui subsista. P. K. 444 BIBLIOGRAPHIE LXIX. Aphasie ET
paralysie
générale des aliénés ; par A. ROSENTRAL. (Centr
is, à la maison de Charenton, pré- sentant tous les symptômes de la
paralysie
générale..., sauf cette bienveillance dont on a
ses (atnxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie,
paralysie
agilanle). Volume m-8° de 169 pages avec 5 ligu
, 78 ; - loca- lisation de l'- sensorielle, par Lagrier, 243 ; et
paralysie
gé- nérale, par Rosenthal, 444. Asiles pour b
120 : - clampotrophie primitive progres- sive, par Bourguet, 121;
paralysie
de la chorée, par Roudot, 121; anesthésie dan
es, par Fischer, 239. Diphtérique, anatomie pathologique, de la
paralysie
-, par Krauss. 251. Doute, folie du - par Kow
uel chez les épileptiques, par Kowa- lenski, 109. Intoxication,
paralysie
générale et- par Charpentier, 208. Ivresse au
off- mann, 240 ; - parésie bilatérale du pathétique, par 2'il ;
paralysie
du péronier, par l3ernharcÎt, z extirpation du
avec troubles psychiques, par Korsakow, î : 4; ascendante a \ec
paralysie
réflexe de la moelle, par 'l'Ilissen, 2H; - tro
Il' - 390. Pachymémnciih chez les aliénés, par Wiglesworth, 97.
Paralysie
, isolée du regard en haut, par Thornsen, 72; -
e saturnine, par I\loebius, 248, par Krauss, 266. (Voir nerfs.)
Paralysie
loÉ11ÉILILE, état des fibres a myéline du cerve
Syphilis, rapports de la - avec la démence paralytique, 110; et
paralysie
générale, par Thornsen, par Zichen, 251 ; - sym
ports du et de la démence paralytique, par i, Westphal, 283; avec
paralysie
gé- nérale, par Struempell, 441. Tendineux, d
, N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE AVEC LÉSIONS TABÉTIFORMES DES
clinique des maladies * mentales. La question des rapports de la
paralysie
générale et du tabes spinal postérieur a soulev
incidemment cette question dans son rapport sur le diagnostic de la
paralysie
générale, mais sans en montrer les incertitudes
sément à conclure'qu'il y ait association. D'après cet auteur, la
paralysie
générale parait faire partie des symptômes pré-
stime satisfait en admettant que « le plus souvent les symptômes de
paralysie
générale, quand ils viennent compliquer l'ataxi
de rémission des symp- tômes tabétiques en exprimant l'idée que la
paralysie
géné- rale paraît arrêter la marche de l'ataxie
'ataxie locomotrice; il cite le cas d'un malade « qui a guéri d'une
paralysie
générale très grave et dont les symptômes avaie
s'attache à distinguer les symptômes mentaux du tabes de ceux de la
paralysie
générale, il n'hésite pas à conclure à l'associ
s à conclure à l'association des deux maladies. t Baillarger. De la
paralysie
générale dans ses rapports avec l'ataxie locomo
e locomotrice. (Ama. médico-psychol., t. VIII, 1862.) UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 3 Il n'est pas un mot de son
faire supposer qu'il ait pensé à des lésions spinales propres à la
paralysie
générale, différentes de celles du tabes, mais
e en 1885 S il estime qu'il faut parfois se méfier du diagnostic de
paralysie
générale chez les médullaires délirants, car, d
ve des troubles oculaires qui appartiennent plutôt au tabes qu'à la
paralysie
générale ; il est vrai que l'on relève aussi de
aussi des troubles intellectuels susceptibles d'être rapportés à la
paralysie
générale. Mais- cela est loin de suffire pour c
ces termes : oc C'est surtout, dit-il, lorsque les symptômes de la
paralysie
géné- rale éclatent chez un malade atteint d'un
ue pour ' Baillarger. Des rapports de l'ataxie locomotrice et de la
paralysie
générale. (Annales médico-psychologiques, 1885.
ter. Quoi qu'il en soit, la question des rapports du tabes et de la
paralysie
générale est loin d'avoir été réso- lue par Bai
eurs, sans mettre en doute l'existence simultanée du tabes et de la
paralysie
générale, les résultats fournis par la clinique
abétiformes entièrement imputables aux localisations spinales de la
paralysie
générale. Pour lui, les phénomènes tabétiformes
du tabes n'a pas la même localisation anatomique que celle de la
paralysie
générale. Parfois cependant, l'examen insuffisant
pel 2 conclut dans le même sens. Mais il faut bien dire que dans la
paralysie
générale, la localisation des lésions des cordo
facile si l'on ne prend pas soin d'examiner de 1 A. Joffroy. De la
paralysie
générale à forme lctbélizte. (Nouvelle Iconogra
izte. (Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1895.) - Klippel.
Paralysie
générale. Lésions el symptômes spinaux. Formes
pinales. (Archives de Médecine expér., n° 1, 1891.) . UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 5 près, d'analyser exactemen
on. Elle retire un plus grand intérêt de ce fait qu'il s'agit d'une
paralysie
générale juvénile. On verra, par les détails an
ciable, de l'inégalité des pupilles, la droite est plus UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 7 dilatée que la gauche, ni
e, grince des dents durant de longues heures. Bref le diagnostic de
paralysie
générale juvénile vient de s'imposer lorsqu'une
existe peu de fibres saines ; on y voit les vestiges de UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 9 fibres en voie de disparit
Ioinbaire. (Elle a subi une déformation post-moitem.) UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3. Moelle dorsale.
dyme est comblé comme dans les coupes sous- jacentes. UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 13 L'épaississement des méni
aux autres. Fig. 6. - Moelle cervicale inférieure. UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. Il 1; b) Etage supérieur (ft
aux et occipitaux montre les lésions dont l'ensemble caractérise la
paralysie
générale. Aux lobes frontal et pariétal le rése
t les caractères de cette paraplégie pouvaient faire songer à une
paralysie
hystérique plutôt qu'à une lésion organique de la
ément, sans qu'il soit tenu compte de la succession des UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 17 7 étages, les coupes de l
t que d'établir un rapprochement entre l'ataxie loco- motrice et la
paralysie
générale, s'il ne venait en concor- dance avec
te atrophie, visible à l'oeil nu, correspond la dégéné- UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 19 rescence granuleuse des c
clusion déjà formulée à diverses reprises par l'un de nous ' due la
paralysie
générale « ne s'en prend pas comme l'ataxie à u
. (Archives de Méd. e,1'pél ? le' nov. 1892, page 850.) UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE JUVÉNILE. 21 sans nul doute, mais c'es
t, peut être uti- lisé pour l'étude des relations du tabes et de la
paralysie
générale. Sans doute, nous l'avons déjà dit, le
mont-Ferrand, en parlant de l'étude des relations du tabes et de la
paralysie
générale : On ne pourra arriver à résoudre cett
mentale de Jlelgi'lue, 18\H.) Henry. Délire des néga- tions dans la
paralysie
générale. (Thèse Paris 1890.) De Sauctts. Délir
rarement poussée aussi loin que dans les démences secondaires et la
paralysie
géné- rale. L'auteur cite deux jeunes étudian
nalée par les auteurs. M. Marfan rappelle qu'il a observé un cas de
paralysie
infantile développée au cours d'une varicelle;
ue, dont l'analyse très détaillée conduit l'auteur au diagnostic de
paralysie
labio-glosso-lar3-ngée ou po- lyencéplialite in
ave et rare, à évolution rapide, il y a donc lieu de subordonner la
paralysie
glosao-labio-laryngée la sclérose laté- rale am
rties du cerveau. B. Il y avait hémiplégie totale droite, mais sans
paralysie
du facial supérieur, et cependant la lésion intér
s qu'il y avait destruction du pied de la frontale ascendante, sans
paralysie
linguale, ni pharyngée, ni laryngée, ni mastica
par contraction spasmodiquedes capillaires ou passage du sang par
paralysie
; la question n'est pas résolue. Il y a peut-être
e sa maladie une névrite des membres inférieurs et supérieurs, avec
paralysie
des extenseurs de la main et des muscles de la
grave. Elle débute par un engourdissement de la faiblesse puis une
paralysie
plus ou moins complète des membres inférieurs,
inférieurs, la pointe du pied, traîne à terre, le malade steppe. La
paralysie
s'étend principalement dans la zone . z du scia
ent l'affection atteint les membres inférieurs, dans ce cas, il y a
paralysie
des exten- seurs. Les troubles sensitifs sont
tous les noyaux d'origine de l'oculo- moteur. Dans certains cas de
paralysies
périodiques transformées en paralysies permanen
moteur. Dans certains cas de paralysies périodiques transformées en
paralysies
permanentes, les phénomènes observés pourraient
e le tabes s'ac- compagne d'amaurose, de troubles intellectuels, de
paralysies
réelles ou d'hypereslhésie profonde ; enfin, da
s, le pouls plus vigoureux, etc., etc. G. D. VIII. Traitement DE la
paralysie
générale DES aliénés ; par GODDING (Brilish méd
t alors dans son lit, respirant facile- ment. On constata alors une
paralysie
absolue, sensitive et motrice du bras droit, et
nse de MM. Mai- ret et Vires à la communication de M. Ballet sur la
paralysie
générale. MM. Mairet et Vires déclarent que, da
airet et Vires déclarent que, dans leur livre sur l'étiologie de la
paralysie
générale, ils se sont laissé simplement diriger
irmation, nous démontrer que leurs quatre premières observations de
paralysie
générale arthritique, s'appliquent bien réellem
erveuses. - En ce qui concerne les rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale, il dit qu'à Vanves M. Falret et lui r
les femmes, ils n'ont pas vu depuis plus de dix ans un seul cas de
paralysie
générale ; une fois seulement ils l'ont soupçonné
, ne démontrent mathématiquement que la syphilis est la cause de la
paralysie
générale, au moins donnent-ils à cette hypothès
. La cause principale des divergences qui règnent au sujet de' la
paralysie
générale lui paraît résider dans l'extension abus
e l'ensemble des symptômes nécessaires que l'on a décrit à tort des
paralysies
générales sans aliénation, sans démence, des pa
à tort des paralysies générales sans aliénation, sans démence, des
paralysies
secondaire, athéromateuse ou arthritique, sans lé
anatomiques, etc. Et ce sont ces faits, indûment rapportés à la z
paralysie
générale, qui ont créé la confusion actuelle. Le
t légitimement occû- per. M. TOULOUSE demande si M. Arnaud met la
paralysie
générale sans délire au même plan que les paral
. Arnaud met la paralysie générale sans délire au même plan que les
paralysies
générales arthritiques. Les premières sont beau
s, elles sont plus qu'hypothétiques. M. ARNAUD admet l'existence de
paralysie
sans délire, mais ne la croit pas très fréquent
sa parole, embarras dont il ne s'aperçoit pas, est un bon signe de
paralysie
générale sur lequel les auteurs ont peu- Insisté.
anique. M. Vallon est étonné d'entendre dire par M. Arnaud que la
paralysie
générale sans délire est rare. Sans pouvoir appor
ller. Il entre donc à l'asile public où il n'est pas douteux que la
paralysie
générale sans délire est très commune. J'ajoute
commune. J'ajouterai que la forme et la marche de la démence de la
paralysie
générale ont une importance au moins égale à ce
e soit affirmée, pour qu'on soit autorisé à porter le diagnostic de
paralysie
générale, Marcel BRI\ND. SOCIÉTÉ DE NEUROPATHOL
bout de quatre à six semaines après l'injection, et entraînent des
paralysies
motrices. Il est à sup- 70., SOCIÉTÉS SAVANTE
ns qu'il a trouvées dans les cellules de la moelle dans les cas des
paralysies
diphtéritiques doivent être consi- dérées comme
ation de la sensibilité, avec, pourtant, affaiblis- sement du tact.
Paralysies
dans les domaines des nerfs cubital, médian, pé
maison de Lavaur. (Le Temps, 18 juin.) BIBLIOGRAPHIE. 1-. La
Paralysie
géné7·ale (Etiologie, Pathogénie, Traitement); pa
livre que MM. Mairet et Vires viennent de consacrer à l'étude de la
paralysie
générale constitue une oeuvre scientifique d'une
personnelle s'accroît ici de l'autorité'de ses auteurs. Le terme de
paralysie
générale s'applique à une conception cli- nique
le côté clinique qui a permis à MM. Mairet et Vires de faire de la
paralysie
générale une étude étiologique et pathogénique.
la deuxième partie. Enfin, essayer de pénétrer la pathogénie de la
paralysie
géné- rale appelait un complément, presque un c
Dans plusieurs observations, l'hérédité arthritique a produit la
paralysie
générale, et cela, par l'intermédiaire de la séni
t comme l'indique la symptomatologie qui a toujours été celle de la
paralysie
générale sénile. Quant aux autres circonstances
ide réalisé par la diathèse. La caractéristi- que clinique de cette
paralysie
générale diathésique, c'est la rareté et la fug
é et l'inten- sité de la démence, faisant en quelque sorte de celle
paralysie
générale diathésique une véritable démence para
rganiques du cerveau rencontrées chez les ascendants, telles que la
paralysie
générale, les ramollisse- ments cérébraux suivi
poplexie. Cette hérédité ainsi comprise peut-elle être une cause de
paralysie
géné- rale ? L'hérédité similaire parait suscep
e produire chez le des- cendant une prédisposition aboutissant à la
paralysie
générale, mais les auteurs ne possèdent qu'une
générale, mais les auteurs ne possèdent qu'une seule observation de
paralysie
générale héréditairement transmise; les observa
ment créant chez les descendants une prédisposition à l'égard de la
paralysie
géné- rale ; enfin, des observations plus nombr
érébralité, née d'une hérédité par attaques, peut être une cause de
paralysie
générale. L'étude clinique établit que les paraly
e une cause de paralysie générale. L'étude clinique établit que les
paralysies
générales, par ramollissement chez les ascendan
ales, par ramollissement chez les ascendants, ont les allures de la
paralysie
générale sénile et que les paralysies générales n
endants, ont les allures de la paralysie générale sénile et que les
paralysies
générales nées de l'hérédité par attaques ont l
ies générales nées de l'hérédité par attaques ont les allures de la
paralysie
générale ordinaire avec prédominance nette de l
L'hérédité alcoolique est aussi une cause pathogène puissante de
paralysie
générale, et la paralysie générale est alors préc
st aussi une cause pathogène puissante de paralysie générale, et la
paralysie
générale est alors précoee,'puis- qu'elle peut
raître dès l'époque de la puberté; sous cette même influence, si la
paralysie
générale survient plus tard, elle est due à une
t qui revient à l'al- coolisme du sujet dans le développement de la
paralysie
générale. Les recherches expérimentales de Mair
que l'alcoolisme chronique peut produire la 76; bibliographie.
paralysie
générale; la clinique a confirmé les résultats de
résultats de l'expéri- mentation. L'alcoolisme chronique produit la
paralysie
générale vraie, mais il ne la produit pas d'emb
pas d'emblée; il va une longue période préparatoire. De plus, cette
paralysie
générale est à marche lente, comporte des rémis
es intermissions, peut-être même des guéiisons. Le lien qui unit.la
paralysie
générale à l'alcoolisme chronique se trouve dan
giques précédemment examinées en regard de leur produit supposé, la
paralysie
générale, ont été admises au rang de causes pat
de même. En réalité, il n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une
paralysie
cérébrale à forme de paralysie générale, ou mie
t rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à forme de
paralysie
générale, ou mieux d'une paralysie généralisée
e paralysie cérébrale à forme de paralysie générale, ou mieux d'une
paralysie
généralisée syphilitique. L'hérédité tuberculeu
isolément, ne doit pas non plus être considérée comme un facteur de
paralysie
géné- rale. 1 L'influence de l'hérédité menta
aucun rôle étiolo- gique et pathogénique dans la réalisation de la
paralysie
géné- rale. Quant aux infections aiguës, inca
uant aux infections aiguës, incapables de créer de toutes pièces la
paralysie
générale, elles créent une prédisposition ou cons
rio-sclérose. Le traumatisme et les excès divers ne conduisent à la
paralysie
générale que sur un terrain préparé. Quant à l'
rait être mise en cause. Toutes les statistiques établissent que la
paralysie
générale est plus fréquente chez l'homme que ch
sait atteindre presque exclusive- ment les hommes, on trouve que la
paralysie
générale se ren- contre aussi fréquemment chez
t nerveuse ont un rôle absolument nul. ' Abordant la genèse de la
paralysie
générale, les auteurs la résu- ment de la façon
vitale de l'en- semble de l'organisme; 3° la méionexie aboutit à la
paralysie
générale ou par le processus de la sénilité, ou
ré la non-identité du processus, on retrouve l'imité clinique de la
paralysie
générale. Derrière cette unité clinique, que tr
ouve que «la dégénération est à la base du travail anatomique de la
paralysie
générale. L'inflammation qui caractérise ce tra
et sur les autres parties du cerveau ». Malgré l'unité clinique, la
paralysie
générale n'est pas une dans sa nature, et MM. M
et MM. Mairet et Vires admettent quatre groupes patho- géniques de
paralysies
générales. Le premier groupe est constitué parl
ques de paralysies générales. Le premier groupe est constitué parla
paralysie
générale, maladie locale, les trois autres groupe
trois autres groupes sont des maladies localisées et comprennent la
paralysie
générale sénile, la paralysie générale pai arth
maladies localisées et comprennent la paralysie générale sénile, la
paralysie
générale pai arthritisme, et la paralysie génÉT
lysie générale sénile, la paralysie générale pai arthritisme, et la
paralysie
génÉT raie alcoolique. III. Cette longue étud
- tement pathogénique devait différer suivant qu'il s'agissait de
paralysie
générale sénile, de paralysie générale arthtitiqu
différer suivant qu'il s'agissait de paralysie générale sénile, de
paralysie
générale arthtitique, de paralysie générale alc
paralysie générale sénile, de paralysie générale arthtitique, de
paralysie
générale alcoolique. Enfin, le traitement symptom
'intérêt qui s'attache à la constatation des lésions spinales de la
paralysie
générale. La clinique nous laisse entrevoir que
sujets notoirement paralytiques géné- raux et dont le diagnostic de
paralysie
générale avait été contrôlé et vérifié par les
stème nerveux, ' Contribution il l'élude des lésions spinales de la
paralysie
générale. (Thèse de Toulouse, mars 1898.) L
ndre rang parmi les signes macroscopiques les plus importants de la
paralysie
générale. Elle est peut-être quelquefois la seu
oelle, avant d'avoir démontré que ces lésions existent bien dans la
paralysie
générale. Il nous importait seulement de signal
réquente que la chro- matolyse. Elle s'observe dans tous les cas de
paralysie
géné- rale à longue durée, celle qui s'accompag
nt il s'agit dans une des observations de la thèse de Sou- cail. La
paralysie
générale se présentait avec des symptômes si pe
stion cérébrale, et l'autopsie nous montra toutes les lésions de la
paralysie
générale. Les lésions médullaires, observées ap
tutifs de l'axe médullaire sont suscep- tibles de s'altérer dans la
paralysie
générale. Essayons d'in- 90 ANATOMIE PATHOLOG
du cerveau ou des racines postérieures. Disons tout de suite que la
paralysie
générale épargné les premières d'une façon à pe
u'une émanation cylindraxile, est considérée comme la règle dans la
paralysie
générale. Il était donc logique d'admettre, à p
achant combien les troubles de la sensibilité sont graves dans la
paralysie
générale. L'atrophie de la cellule radiculaire
édé de Golgi nous a déjà fait constater qu'elle a proliféré dans la
paralysie
générale. Est-ce unique- ment pour remplir.les
ans les détails de son processus. Dans la pellagre, comme dans la
paralysie
générale, observe Wassale, il s'agit d'une dégé
pathologie générale : des lésions médullaires, comme celles de la
paralysie
générale, peuvent être produites par des poi- s
n'avons pas l'intention d'ouvrir ici un débat sur l'étiologie de la
paralysie
générale. Nos observations sont trop mal docume
0 des cas. La fréquence de la syphilis dans les anté- cédents de la
paralysie
générale a été d'ailleurs, affirmée en France p
Donc, la clinique nous oblige à tenir compte de la syphilis dans la
paralysie
générale, et l'anatomie patholo- gique nous amè
tas, etc. Tout récemment, un auteur allemand, parlant d'un cas de
paralysie
générale juvénile, affirme qu'elle est due à la
es sont appelées à jouer un rôle considérable dans l'histoire de la
paralysie
générale. Les faits arrivent chaque jour plus n
de signes de névrites. Presque toutes les lésions médullaires de la
paralysie
générale peu- vent s'expliquer déjà par le peu
s des lésions analogues. Y. Des lésions spinales comme celles de la
paralysie
géné- rale ne se rencontrent pas seulement dans
u latéral, leur topographie rappelant alors celle des lésions de la
paralysie
générale. Dans quel- ques-uns de ces cas, l'alt
une étude spéciale. Est-ce à dire que les lésions médullaires de la
paralysie
générale soient banales, communes à un grand no
nne place à côté des meilleurs signes anatomo-pathologiques de la
paralysie
générale. Et, s'il en est ainsi, nous aurons à
s. On devrait voir alors les signes du tabes s'ajouter à ceux de la
paralysie
générale. Quand elle n'est pas arrivée à ce deg
grossièrement appréciée. C'est dans la période prodromique de la
paralysie
générale que les symptômes spinaux et névritiqu
econnus porteurs de lésions médullaires. Les lésions spinales de la
paralysie
générale peuvent intéresser tous les éléments c
à un autre point de vue, les lésions médullaires observées dans la
paralysie
générale ne sont pas absolument caractéristique
e la faradisation est contre-indiquée dans les cas où comme dans la
paralysie
pseudohypertrophique et certains autres il y a
nus au laboratoire d'électrothérapie de la Charité, en traitant les
paralysies
saturnines par les courants alternatifs à basse
encéphalite en question d'autant qu'il y a eu infec- tion. - 5° Les
paralysies
du nerf oculo-moteur commun droit et du pathéti
oit extrêmement congestionné, [pourrait-on penser pour expliquer sa
paralysie
, à la lésion du faisceau longitudinal supé- rie
- .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 117 suels des deux côtés, sans
paralysie
des muscles des yeux. Blépha- roptose bilatéral
évrite multiloculaire. Guérison. P. Keraval. XXVIII. Observation DE
paralysie
DE l'oculomoteur commun A réci- DIVES périodiqu
G. ILIdTSCIiIiIN. (Neurolog. Ce7ll7'albl., XVI, 1797.) . Type de
paralysie
de l'oculomoteur commun gauche d'origine maremm
s'agit d'une affection périphérique de l'oculomoteur, puisque la
paralysie
musculaire s'accompagne d'un trouble -de la réact
rait que de la mydriase. Une lésion nucléaire enlraine rarement une
paralysie
des muscles intrinsèques de l'ml ; de plu, en c
ément organique. P. Keraval. XXIX. Contribution A la pathologie DES
paralysies
bulbospinales SPAS3fODICO-ATROPHIQUES; par A. H
Etude d'un cas de sclérose latérale amyotrophique combinée à une
paralysie
bulbaire progressive; analyse microscopique par l
par celle de Weigert. Figures. En d'autres termes, il s'agit d'une
paralysie
nucléaire bulbospinale spasmodique qui, après u
t même des cordons postérieurs (Brissaud) ; le bilan anatomique des
paralysies
bulbospinales spas. modico-atrophiques se prése
ation; ces auteurs n'ont rencontré que les lésions corticales de la
paralysie
générale. Ici, en outre de la lésion corticale,
librement les jambes au lit, mais ne peut marcher. En six jours, la
paralysie
des bras disparait presque complètement; le pat
r H. Deterxhnn (Neurolog. Centralbl., XVI, 1897,) il s'agit d'une
paralysie
motrice portant sur les trois nerfs du bras dro
nt sur les trois nerfs du bras droit, atteignant surtout le radial (
paralysie
totale du long supinateur, parésie de l'extense
ier et deuxième lombricaux). C'est le complexus symptomalique de la
paralysie
par compression pen- dant le sommeil ou la narc
ession pen- dant le sommeil ou la narcose chloroformique, mais avec
paralysie
des trois nerfs tandis que d'ordinaire un seul
yés pour une opération antérieure, s'il n'y avait en même temps une
paralysie
de la sensibilité qui n'est pas en rapport avec
ue disparaissait donc lais- sant à jour le complexus clinique d'une
paralysie
par compression. P. KERAVAL. 134 REVUE DE P
i seuls ont de la valeur pour le chercheur. - . 1. Observation de
paralysie
de Erb-Klumpke, consécutive à l'influenza (névr
diculaire du plexus brachial, supérieur et inférieur). - En un mot,
paralysie
combinée de Erb-Klumpke. Phénomènes initiaux ce
é de l'élévation de l'angle de l'omoplate et du rhomboïde malgré la
paralysie
totale du plexus. Il n'y a pas non plus de réac
présente une attaque d'apo- plexie suivie d'hémiplégie droite saus
paralysie
faciale, ni aphasie. L'hémiplégie s'amende peu
a science la meilleure explication est la suivante : le tabes et la
paralysie
progressive sont des affections éminemment dégé
nce personnelle (Il opérations), M. Jaboulay reste convaincu que la
paralysie
artificielle du sympathique cer- vical, qu'il a
N H8 varia. Contribution il l'étude de la 1'é/J/i sipii dans la
paralysie
générale iio de novembre 1891. ' Les obsèques
irurricale. La jambe droite se trouve à cette époque atteinte d'une
paralysie
absolue, à gauche persistent quelques mouvement
domaine des nerfs craniens et dans la partie supérieure du corps.
Paralysie
inférieure absolue. Les jambes sont fixées en ext
membres supérieurs, principalement dans les segments périphériques.
Paralysie
des muscles de la moitié inférieure du tronc; l
du diaphragme. Déglutition difficile. Mouvements du cou restreints;
paralysie
presque absolue des mains. Bientôt la connaissa
5-38°). Diarrhées - profuses, urines purulentes : Le 27 novembre,
paralysie
du voile du palais bilatéral. Le 6 décembre, la
'exa- men découvre de ce côté une surdité absolue. Le 8 décembre,
paralysie
du nerf facial droit à type périphé- rique (par
eu impor- tantes : cas de Schultze ', de Richter= et le nôtre. La
paralysie
n'est pas plus constante ; cependant dans les o
ait analogue dans notre observation, seulement en sens inverse : la
paralysie
s'étendait de bas en haut. La marche de l'aff
lire halluci- natoire, délire aigu, délire de persécution, démence,
paralysie
générale, puis neurasthénie, états neurasthénif
t. ' Un autre malade, cité par Vène dans sa thèse, est atteint de
paralysie
générale après une cure radicale de hernie. Il av
nt sur l'analogie des troubles psychiques post-opératoires avec les
paralysies
hystéro-trauma- tiques, fait une large part à l
ès une piqûre d'aiguille à la main conserver pendant des années une
paralysie
du bras correspondant. Une autre malade, ayant
grès une observation démontrant une fois de plus les rapports de la
paralysie
générale et de la dégénérescence mentale. Il s'
Il meurt en mars 1898 après avoir présenté toutes les phases de la
paralysie
générale. A l'autopsie, lésions classiques de c
cette maladie. M. Joffroy se demande quelle est ici la cause de la
paralysie
générale. Après avoir éliminé la syphilis, l'al
à un si haut degré. On a objecté à cette étiologie la rareté de la
paralysie
générale parmi les aliénés internés depuis longte
SOCIÉTÉS SAVANTES. ment notés chez les sujets atteints plus tard de
paralysie
générale cela tient en partie à ce qu'ils ont l
est un argument en faveur de l'opinion qu'il soutient, que dans la
paralysie
générale, la lésion cellulaire est primitive et i
générescence n'a qu'une influence secondaire dans l'étiologie de la
paralysie
générale. M. Régis rappelle les cas publiés par
e les cas publiés par M. Christian, et en outre les observations de
paralysie
générale relevées chez les imbéciles. Peut-être
t-être faut-il incriminer là souvent, la syphilis héréditaire; i la
paralysie
générale juvénile prouve que la syphilis hérédita
a dégénéres- cence sa grande part d'influence dans l'éclosion de la
paralysie
générale. Il n'a apporté qu'un fait, parce que
ations presque analogues. M. Charpentier fait observer combien la
paralysie
générale est fréquente chez les dégénérés et co
nt évidemment pas une activité cérébrale suffisante pour mériter la
paralysie
générale. M. ARNAUD rappelle qu'on a signalé un
signalé un certain nombre de fois, pas plus de dix, il est vrai, la
paralysie
générale chez les imbéciles. Pour son compte pe
elle soit d'origine cérébrale ou spinale, est toujours suivie d'une
paralysie
spasmodique avec exagération des réflexes. Celte
e entre la dégénérescence des cordons latéraux de la moelle et la
paralysie
avec contracture permanente. Le cas que je vien
réflexes rotuliens, secousses musculaires, trépidation épileptoïde,
paralysie
des sphincters, etc., etc. Cet état persista dura
voir déclarer en défaut la théorie de Charcot sur les relations des
paralysies
spasmodiques avec les dégénéres- cences seconda
es conclusions un peu hâtives des auteurs qui, ayant cons- taté des
paralysies
flaccides à la suite de compression ou de lésions
lérose cérébro-spinale est surtout connue des aliénistes : c'est la
paralysie
.générale sans délire. Au point de vue anatomiq
Or, c'est ici qu'apparait nettement la parenté entre cette forme de
paralysie
générale et la sclérose latérale amyotrophique.
- jections, des photographies relatives à des malades atteints de
paralysie
pseudo-bulbaires, de torticolis mental, d'acromég
re mises sur le compte des lésions vasculo- conjonctives. Dans la
paralysie
générale qui parait être également une affec- t
emble actuellement inadmissible, c'est que dans les formes pures de
paralysie
générale il puisse exister des lésions vasculai
, le facial supérieur l'était aussi, mais à un moindre degré. Cette
paralysie
se traduit par l'abaissement de la queue du sou
s d'hémiplégie présentent la participation du facial supérieur à la
paralysie
; trois SOCIÉTÉS SAVANTES. 245 fois la fente
. La ligature du vaisseau fut faite le même jour; il en résulta une
paralysie
de tout l'avant-bras, intéressant par conséquen
nerveux (section ou compression du médian), ni par le mécanisme des
paralysies
réflexes, ni enfin par une forme d'hystéro-trau
topsie ; enfin, MM. Ballet et Duthil ont récemment pu provoquer des
paralysies
en anémiant la moelle par la com- pression de l
e-cinq ans, frappée, à la suite d'une application de forceps, d'une
paralysie
avec anesthésie des membres inférieurs jusqu'au
ion faite avec le cou- rant ou simplement l'appareil qui efface les
paralysies
hystériques. Deuxième cas. Femme de soixante-qu
moyens propres à atténuer les sensations anormales du tabétique.
Paralysie
périphérique d'origine traumatique. Troubles réfl
irurgicale au niveau du creux poplité, très bien conduite, amena la
paralysie
complète du sciatique poplité externe avec réac
e poplité externe avec réaction de dégénéres- cence complète. Cette
paralysie
évolua en l'espace de six mois. En même temps,
ion statique au contraire présente, tous les avantages. Un cas de
paralysie
faciale double d'origine 6ulbceir·e. Traitement
ysie faciale double d'origine 6ulbceir·e. Traitement électrique des
paralysies
faciales. M. 11lALLY rapporte l'observation d'u
t, loin d'avoir de la rigidité dans les muscles du cou, il a eu une
paralysie
des extenseurs avec tendance à la flexion et im
ne jouent qu'un rôle tout à fait secondaire. A. Eenayrou. L. LES
paralysies
DU VOILE DU palais ET LE NERF facial ; par M. M
d avec la physiologie, la clinique montre qu'il existe des faits de
paralysie
du voile par lésions du vago-spinal. L'auteur en
vago-spinal. L'auteur en rapporte un, dans lequel il a observé une
paralysie
du voile du palais avec paralysie récurrentiell
un, dans lequel il a observé une paralysie du voile du palais avec
paralysie
récurrentielle et paralysie linguale, sans para
é une paralysie du voile du palais avec paralysie récurrentielle et
paralysie
linguale, sans paralysie de la face, provoquée,
palais avec paralysie récurrentielle et paralysie linguale, sans
paralysie
de la face, provoquée, ainsi que l'autopsie l'a é
es cliniciens, il est vrai, disent avoir observé un grand nombre de
paralysies
faciales accompagnées de paralysies du voile du p
voir observé un grand nombre de paralysies faciales accompagnées de
paralysies
du voile du palais, et l'on ne peut sans parti
arde néanmoins comme une exception clinique celle association d'une
paralysie
du voile avec une paralysie faciale, et pense q
eption clinique celle association d'une paralysie du voile avec une
paralysie
faciale, et pense que les cas qui en ont été ra
jours, la faiblesse des membres inférieurs s'est transformée en une
paralysie
complète; les membres supérieurs ont été ensuit
les membres supérieurs ont été ensuite envahis, à leur tour, par la
paralysie
; peu après, se sont produits des troubles céréb
ito-urinaires; l'autre d'origine également traumatique et suivie de
paralysie
transitoire des quatre membres. A. M. LIV. Co
mbres thoraciques, la para- plégie foudroyante, coïncidant avec une
paralysie
vésicale subite, l'extension des troubles nerve
de ce faisceau (hémiplégie, monoplégie) ou dans sa partie spinale (
paralysie
flasque ou para- plégie spasmodique). G. D.
caprice et qui l'en distrait. A. Marie. LXVII. Myélite localisée (
paralysie
des quatre membres); par B. 13RAUVELL. (British
raumatique de la colonne vertébrale au niveau de la 5e verticale.
Paralysie
et anesthésie transitoires suivies d'atrophie ave
6° vertèbres cervicales. L'auteur rapproche un cas analogue où des
paralysies
viscérales (vésicale et intestinale) disparuren
aralysies viscérales (vésicale et intestinale) disparurent avec les
paralysies
transitoires des membres. Traitement dans les d
on. De nombreuses observations accompagnent le texte A. V. LXXIV.
Paralysie
réflexe DU DELTOÏDE DE cause articulaire. Dépla
suite d'une luxation de l'épaule en avant, on observe par- fois une
paralysie
du deltoïde et de quelques muscles voisins et un
segment brachial est allongé, la tête de l'humérus par suite de la
paralysie
du deltoïde et de la laxité des ligaments aband
t une infirmité redoutable. L'auteur étudie d'abord quelle sorte de
paralysie
frappe le del- toïde et montre quel est le rôle
paralysie frappe le del- toïde et montre quel est le rôle de cette
paralysie
dans la genèse des accidents. La paralysie n'
l est le rôle de cette paralysie dans la genèse des accidents. La
paralysie
n'est due ni à une myosite, ni aune névrose ; ell
qu'il s'agisse ici d'une affection myélopathique, c'est bien là la
paralysie
spasmodique amyotrophique de Charcot, l'atrophi
lésion organique des cornes antérieures de la moelle provoquant des
paralysies
, des amyotrophies graves et une laxité articula
déplacement secondaire de la tête humorale. D'autre part jamais une
paralysie
du circonflexe ou du plexus brachial ne s'accom
quin est donc autorisé à formuler les conclusions suivantes : cette
paralysie
est myélopathique et répond au type de la paral
ivantes : cette paralysie est myélopathique et répond au type de la
paralysie
spasmodique articulaire ; c'est cette origine q
la laxité articulaire; le déplacement ne se produit pas lorsque la
paralysie
reconnaît une autre cause. A. Vigouroux. LXXV
nfants sont d'ordinaire d'une humeur douce et agréable. , Dans la
paralysie
infantile d'origine cérébrale, l'état mental pré-
oculaires analo- gues en rapport avec les lésions cérébrales de la
paralysie
générale (Thèse Paris, 1890). A. Marie. REV
sion cérébrale, et provenir, par exemple, de l'excitation ou de la
paralysie
de l'encéphale. L'augmentation de la pression int
e hémiplégique ? Autant de problèmes non encore réso- lus. Dans les
paralysies
périphériques légères, il peut y avoir aussi di
le accompagnée de lenteur indirecte de la contraction {Loewenthal ;
paralysie
du radial par compression). 3° La résistance du
ibliographiques permettent-ils DE DIAGNOSTI- QUER l'existence DE la
paralysie
générale par l'examen H1STOLO- 316 REVUE D'AN
st appelée dans ces cas à rendre de réels services. G. DENY. III.
Paralysie
paroxystique DE nature épileptique ; par H. Higie
nce par de la pa- resthésie de la jambe qui est bientôt atteinte de
paralysie
motrice Il n'est pas rare de voir les symptômes
t favorablement; enfin, il y a eu énorme fréquence de ce,s accès de
paralysie
tran- sitoire, jusqu'à vingt en un jour, ce qui
gier se rallie à la théorie de Loevenfeld, du phénomène d'arrêt. La
paralysie
survenant ici soit en plein repos, soit pendant
'est l'agent générateur des phénomènes d'arrêt. L'association de la
paralysie
à des paresthésies semble indiquer que l'arrêt de
nantes. P. KERAVAL. IV. Des SYMPTOMES prodromiques principaux DE la
paralysie
GÉNÉ- RALE QUI PRÉCÈDENT DE LONGTEMPS LA MANIFE
all constitueraient les deux signes prodromiques prin- cipaux de la
paralysie
générale; ils pourraient être constatés de deux
, sans que l'on constate d'autres signes du tabès, le soupçon d'une
paralysie
générale est justifié et il se confirmera le pl
des stigmates de neuras- thénie. Les autres signes précoces de la
paralysie
générale sont les ophtalmoplégies, en particuli
i l'étude des rapports anle et posl mortcin de l'épilepsie et de la
paralysie
générale. M. Péon. - Il existe fréquemment entr
u'il y a entre les attaques épileptiformes (si fré- quentes dans la
paralysie
générale) et les accès de l'épilepsie vraie. -
uvent on voit survenir brusquement dans le cours de l'épilepsie une
paralysie
très irrégulière dans son mode de pro- duction
sie, d'abord locale, progressive quant à son étendue, diffère de la
paralysie
générale qui, générale d'emblée, ne progresse qu'
n certificat des troubles musculaires qui peuvent se rattacher à la
paralysie
géné- rale. Vers fin décembre apparaissent des
ppant des difficultés que présente le diagnostic différentiel de la
paralysie
générale et de l'épilepsie compliquée de troubles
mence paralytique avec la démence épileptique qui s'accom- pagne de
paralysie
généralisée et d'embarras plus ou moins ac. cus
isée et d'embarras plus ou moins ac. cusé de la parole. s) Que la
paralysie
générale naisse dans le cours de l'épilepsie ch
u'au mois d'avril 1858 on ne constate encore aucun signe évident de
paralysie
générale ; tandis que le reste de l'année se pa
de l'année se passe dans la torpeur mentale avec quelques signes de
paralysie
. 1859. Dès le mois de janvier, R... est pris de
es, le bulbe 7, et le cervelet 135 grammes. Dans certains cas, la
paralysie
générale est une complication de l'épilepsie, e
uand il s'agit du diagnostic différentiel entre l'épi- lepsie et la
paralysie
générale. Résumé et conclusions. - 1 On peut co
peut constater chez certains épileptiques tous les symptômes de la
paralysie
générale. a) Symptômes physiques. - Embarras de
s épileptiques donne plus ou moins les lésions macroscopiques de la
paralysie
générale : Les membranes viscérales du cerveau
à la substance corticale ramollie, diffèrent si peu de celles de la
paralysie
générale -qu'il n'y aurait qu'une prédominance
ars 1898 une courbature légère. Le 6 avril, apparition rapide d'une
paralysie
de la jambe droite, le 7 avril, le matin, paralys
on rapide d'une paralysie de la jambe droite, le 7 avril, le matin,
paralysie
brusque de la jambe gauche en même temps qu'une
t élevée jusqu'au niveau de la troisième côte ; il se manifeste une
paralysie
des muscles abdominaux, dorsaux et intercostaux
SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE ; Par le D E. JIARANDON DE IONTYEL, *1
aux symptômes physiques et psychiques de la LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GENERALE. 377 paralysie générale à l'aide d'une
psychiques de la LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GENERALE. 377
paralysie
générale à l'aide d'une méthode d'investigation d
ale. Nous avons eu soin d'éliminer tous les sujets chez lesquels la
paralysie
générale n'était pas pure, se compliquait d'une
part, en autant de chapitres distincts, chacun des symptômes de la
paralysie
générale ; puis, cette étude analytique terminé
les travaux les plus récents relativement à l'état du tact dans la
paralysie
générale. Nous serons parfois fort embarrassé d
l'analgésie et à l'hyperal- gésie. - Le seul Traité complet de la
paralysie
générale qui ait été publié chez nous dans ces
plus précieux pour le diagnostic et un traitement précoce que la
paralysie
générale est d'ordinaire à début lent et insidieu
assagère et, selon Mickle, engendrerait des LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 379 conceptions délirantes hyponchond
de la moelle. Pour MM. Christian etRitti,qui ontécrit l'article : «
Paralysie
générale » du Dictionnaire encyclopédique des s
tactile chez les mêmes paralysés généraux aux trois périodes de la
paralysie
générale. Si nous nous adressons aux auteurs ét
elquefois on voit apparaître de bonne heure LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 381 l'anesthésie; il n'est pas rare a
are comparativement au stade précédent. A la dernière période de la
paralysie
générale le sens du tact est sujet à être grand
iffres à l'appui, dans quelle proportion le tact est altéré dans la
paralysie
générale et à chaque période en particulier; qu
t possible d'arriver néanmoins à des résul- LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 383 tats assez positifs pour être enr
qui lors de leur admission étaient tous à la première période de la
paralysie
générale. Mais de ces 108 paralytiques il n'en
, ils se répartissent ainsi qu'il suit : LE SENS TACTILE ET LA.
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 385 cette loi, mais il s'est trouvé q
a mala- die. - Nous obtenons en effet : LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 387 progrès de la maladie. De rares à
es périodes. Pour ce dernier nous avons : LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 389 tions à mesure que la paralysie g
LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 389 tions à mesure que la
paralysie
générale progresse et leur absence complète à l
u une irritation de la zone rolandique. R. C. LXXXVI11. Note sur la
paralysie
du facial SUPÉRIEUR dans L'JIÉ511- . PLEG)E par
us. IC0720Cf1'. de la Salpétrière, n° 3, 1898.) L'existence de la
paralysie
faciale dans l'hémiplégie hystérique est depuis
les hémiplégiques, c'est la persistance des signes ordinaires de la
paralysie
du facial supérieur, dont l'auteur donne une obse
urologique, février 1898.) E. B. XCIIL LE SIGNE DE CH. BELL dans la
paralysie
faciale périphérique ; par le Dr P. BONNIER.
le premier signalé en 1823, au phénomène suivant : dans le cas de
paralysie
faciale périphérique, quand le sujet fait vaineme
itation labyrinthique, et celle-éi accompagne très fréquem- ment la
paralysie
faciale. M. Bernhardt a critiqué la théorie de
bstance grise ; voilà pourquoi ladite compression ne produit qu'une
paralysie
flaccide. Mais il ne faudrait pas qu'elle se pro-
être intellectuellement, est atteint à l'âge de vingt-quatre ans de
paralysie
faciale gauche totale. Huit jours après débuten
les inégaux, durant quatre années, puis disparaissent. Cependant la
paralysie
faciale persiste encore, avec quelque tendance
ues franches, ont apparu sur un territoire antérieurement frappé de
paralysie
, permettent de se ranger au diagnostic du spasm
la dégéné- nérescence. J. SÉGLAS. CV. Gangrène DES PIEDS dans la
paralysie
générale ; par J. LORD. (British med. Journal,
ou action sur les centres nerveux produit l'anesthésie des sens, la
paralysie
du système moteur ; par lui les centres supé- r
ymptômes physiques et intellectuels sont connus : cachexie, ataxie,
paralysie
des sphincters d'un côté, de l'autre affaibliss
OGI QUE. Séance du 25 juillet 1808. - Présidence DE M. MEURIOL La
paralysie
générale. Rapport sur l'ouvrage de Funaioli. -
ge de Funaioli. - M. AnNAUD analyse l'ouvrage de M. Funaioli sur la
paralysie
géné- raie. C'est une étude à la fois clinique
e l'autopsie d'un cas dont le diagnostic clinique porté avait été :
paralysie
pseudo-bulbaire, crises subintrantes d'épilepsi
rs de la région inflammatoire propre- ment dite. Les symptômes de
paralysie
pseudo-bulbaire, observés pendant la vie, relèv
i des atta- ques convulsives corticales prolongées, en dehors de la
paralysie
générale, comme signes d'une dégénérescence dif
écorce. 6° Les attaques congestives épileptiformes ordinaires de la
paralysie
générale proviennent aussi d'une irrita- tion r
vent servir que d'agent accessoire non provo- cateur. 7° Les cas de
paralysie
générale à attaques convulsives corticales prol
KERAVAL, VIII. Contribution A la statistique et A l'étiologie delà
paralysie
générale progressive des aliénés; par I. GREIDE
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 471 I A cet égard, l'auteur a observé la
paralysie
générale à l'âge de vingt et un ans (âge minimu
el et de son école a donné de bons résultats : la description de la
paralysie
générale des aliénés, par exemple; mais, pour l
avant de pouvoir la traiter. Nous savons tous que si l'on exclut la
paralysie
générale et la folie épileptique 80 p. 100 au moi
e patellaire étudié chez les mêmes malades aux trois PÉRIODES DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE : par le D1' 11.1naDO\ DE 111oNTYEL.
TYEL. Les conclusions de l'auteur sont les suivantes : 1. Dans la
paralysie
générale, le réflexe patellaire est bien plus s
qu'à la troisième période. 4. C'est dans la forme dépressive de la
paralysie
générale que le réflexe palellaire est le plus
P. Keraval. XIX. LES signes DE dégénérescence (extérieurs) dans la
paralysie
PROGRESSIVE AVEC QUELQUES POINTS RELATIFS A CEf
soit plus tard. Le paralytique est un être presque prédestiné à la
paralysie
générale, dont le cerveau, invalide dès la nais
portantes. La syphilis, en tout cas, n'est jamais la seule cause de
paralysie
générale, elle n'est qu'une cause préparatoire
ubi l'inva- lidité préalable : il est très rare qu'elle engendre la
paralysie
générale directement. Toujours d'autres causes
fération du tissu interstitiel constitue le premier processus de la
paralysie
générale, ou si c'est l'atrophie des éléments n
ES PSYCHO-NEVROSES AIGUËS ET CONTRIBUTION ANATOMIQUE A l'ÉTUDÉDE LA
PARALYSIE
SPINALE SPASMODIQUE; par DONAGGIO. (Riv. S. cli f
inférieure de la moelle sacrée est atteinte parce qu'il existe une
paralysie
motrice et sensitive de la région vésico rectal
n effet le traumatisme aurait particulièrement porté à droite et la
paralysie
de la jambe droite a duré bien plus longtemps q
s jours; les racines postérieures auraient le plus souffert, car la
paralysie
motrice a presque complè- tement disparu; cette
tte lésion des racines postérieures est du reste compatible avec la
paralysie
dissociée de la sensibilité, et l'anes- Lliésie
ntripètes, il est légitime de dire que l'ataxie consécutive à cette
paralysie
est une ataxie centripète. Qu'est-ce qu'une ala
n électrique de l'écorce du cerveau sur les extrémités atteintes de
paralysie
centripète. Il a vu l'excitation de l'écorce pr
rtains cas d'hystérie. Le diagnostic souvent liés difficile avec la
paralysie
générale au début se fait par les signes physiq
e cranio- faciale dans l' - spasmodique infantile, par Féré, 303.
Paralysie
du facial supérieur dans l ? par Féré, 402.
et son traitement, par Robertson, 4 : ! i. Myélite transverse et
paralysie
flac. cide, par Urissaud, 226. Épidémie de -
que suri' par .Marie A. et Vigouroux, 210. OCLI.01l0l EII commun.
Paralysie
de l'- par IvIIatschl : ln, 117. OEoi.ue mono
ale hypertro- phiqueet pseudo-tabès alcoolique, par Luppi, 292.
Paralysie
spinale spasmodique. par 1 Uonannio 593. - péri
onner.m.j.butbairssspas- modlco-atrophiques, par Hoche, 117. î.
Paralysie
générai e progressa e. Sur un cas de juvénile a
urs, compliquée bientôt d'une atrophie musculaire géné- ralisée. La
paralysie
et l'atrophie ont évolué avec une très grande rap
èrement ses bras, grâce à l'action des muscles trapèzes. Partout la
paralysie
se compliquait d'une atrophie musculaire considér
nt l'état général était satisfaisant, mais qui était atteinte d'une
paralysie
complète des membres et du tronc compliquée d'une
cles du cou et ceux de la tète étaient respectés par l'atrophie. La
paralysie
et l'atrophie mus- culaire s'accompagnaient de
constatons chez notre malade, ensemble symptomatique dominé par la
paralysie
motrice, l'atro- phie musculaire, t'anesthésie,
participation des cordons latéraux nous ren- drait compte de cette
paralysie
motrice absolue que nous constatons chez notre
'il a été pratiqué par M. le docteur Sauvineau : Examen des yeux.
Paralysie
incomplète de la 3e paire gauche (ptosis droit
épondérance d'action de l'abaisseur (droit interne) par suite de la
paralysie
de l'autre abaisseur (grand oblique). Dans le m
à droite des deux yeux, mouvement qui se fait très incomplètement (
paralysie
complète de la 6e paire droite, incomplète du d
'2/3. 0. G. V. = 1/3. Accommodation normale à droite. A gauche
paralysie
de l'accommodation ; il y a donc de ce côté une o
20 kilogs. M. G. = 17 kilogs. On ne constate pas d'atrophie, pas de
paralysie
. La force musculaire est conservée intégralemen
on intégrité leur aspect extérieur. Il n'y a pas d'atrophie, pas de
paralysie
. Pas de perte de la force musculaire. Les réf
ifestent des troubles oculaires à évolution rapide, aboutissant aux
paralysies
multiples actuelles. A quelle affection avons-
us renoncer à l'idée d'une tumeur gommeuse. C'est en présence d'une
paralysie
complexe que nous nous trouvons. Il faudrait do
par suite de sa prédilection pour l'espace interpédoncu- laire, la
paralysie
est double et le plus souvent totale. Le signe d'
u'exceptionnellement que la syphilis cérébrale se manifeste par les
paralysies
partielles du genre de notre malade. Il n'en
une objection irréfutable, puisque nous attribuons la cause de ces
paralysies
oculaires à un tabes supérieur. On constate ass
exécution de cer- tains travaux qui exigent un peu d'adresse. Les
paralysies
oculaires de V... présentent les caractères que l
caractères que leur a dé- crits le professeur Fournier. Ce sont des
paralysies
partielles, presque par- cellaires pour l'oeil
ristique nouvelle : il nous sem- ble qu'on peut les rattacher à ces
paralysies
résolutives, spontanément ? 'e- (1) N.1GEOTTC e
e professeur Fournier. En un mot, nous nous trouvons en présence de
paralysies
nu- cléaires et leur distribution spéciale ne s
soin. Troubles musculaires. Il n'y a pas eu à proprement parler de
paralysie
des muscles ; si le malade n'a pu se servir ais
érieurs. En plus, l'atrophie musculaire s'est établie d'emblée sans
paralysie
antérieure, et c'est là une raison nouvelle qui
de TlioLtiseù).- '. Fis. 7. Hémichorée hystérique (Bras). Fiq. 8.
Paralysie
agitante (Pied et' main). 1 Fio. 9. Amyotaxie
résence de ce tableau clinique, et en se basant sur la limite de la
paralysie
, sur celle, plus nette, de l'anesthésie, enfin su
de ce moment, les phénomènes se simplifient en ce qui con- cerne la
paralysie
: l'envabissementdes cordons antéro-latéraux, l'é
ine par la destruction des faisceaux pyramidaux direct et croisé la
paralysie
de la moitié correspon- dante du corps et par s
s mêmes raisons la tumeur droite est la cause efficiente de l'hémi-
paralysie
droite et de l'hémianesthésie gauche. Bien plus
téressant seulement la 2e paire dorsale, se rattachent l'absence de
paralysie
du bras droit (intégrité du plexus) et une zone d
roisé : de cette hémisection de la moelle motrice gauche résulte la
paralysie
motrice de la moitié gauche du corps au-dessus
sensitifs (S) du corps. Pour toute la figure, on a repré- senté la
paralysie
motrice par la teinte noire, l'anesthésie par les
mi- daux droits) au niveau de la 2e paire dorsale MD2, détermine la
paralysie
droite du corps au-dessus de la lésion, zone PD
e remarquer, à ce propos, que nos premières connais- sances sur les
paralysies
spinales dans la syphilis acquise, se rattachent
femme assise à côté de lui. Peut-être est-il occupé à guérir une
paralysie
ou une contracture hys- térique, Fixant ses yeu
Chez cet enfant né de parents syphilitiques au moins le père a la
paralysie
apparente des premiers mois de la naissance et qu
e tenir debout et détacher du sol ses membres rendus rigides par la
paralysie
. , .. · En somme, actuellement, l'aspect cliniq
E DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 111 iiiiale iiiais ne différant guère de la
paralysie
spastique décrite par Charcot et par Erb au cou
ua le rôle d'agent provoca- teur de la vérole qui sommeillait. « La
paralysie
,dit-il,n'était pas simple- ment infantile, mais
érieurs ; sphincters intacts. Pas de fièvre. L'auteur pensait une
paralysie
infantile lorsque, le surlendemain, il constata
ut d'un mois avec une éruption cutanée. Guérison en G jours de la
paralysie
, attribuée à l'administration de la li- queur d
e nous ne connaissons que par le compte rendu ci-dessus. (3) BAnnE.
Paralysie
des membres supérieurs chez une petite fille atte
op- sie. L'auteur,sans préciser lesiègede la lésion,conclut à une
paralysie
vraie après avoir éliminé la pseudo-paralysie d
e réponse de Pollak (Id., no 2, 1896) dans lesquels il est parlé de
paralysies
et de contractures des membres chez des enfants
lysie faciale et aphasie. Cette dernière disparut bientôt, mais la
paralysie
du bras, en particulier, persista pendant une a
es réflexes rotuliens. Intelligence intacte. Le 12 novembre, légère
paralysie
faciale droite avec ptosis, état demi- comateux
ires ; pas de troubles de la sen- sibilité spéciale. Voix nasonnée.
Paralysie
de l'orbiculaire des lèvres qui doivent être éc
120 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE mouvements sont abolis.
Paralysie
du voile du palais avec perte de ses réflexes,
amélioration très nette ; la parole devint beaucoup plus facile, la
paralysie
de l'orbiculaire tendant à disparaître. L'auteu
génitale. - A 1 an 1/2, apparition d'une cyphose cervicale et d'une
paralysie
spas- modique des membres inférieurs ; en 1 an
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE A 7 ans, deuxième attaque de
paralysie
spasmodique avec incontinence- d'urine ; guéris
ent pas paralysés et ce n'est guère là l'évolution habituelle de la
paralysie
par J compression. Quant à l'influence curati
tive du traitement spécifique, il faut noter aussi que deux fois la
paralysie
a guéri spontanément, ou sous l'influence d'un
ines, forte éruption cutanée; dans les 5 premiers mois survient une
paralysie
simultanée des 4 membres don la guérison, est c
e en un an. L'enfant-est fort intelligent. Au cours de la 2e année,
paralysie
du bras gauche qui dure six semaines et guérit.
bras gauche qui dure six semaines et guérit. t. ' - . - A 4 ans,
paralysie
spasmodique des membres inférieurs avec inconti-
es termes : . « Il existe, chez les enfants, une forme typique de
paralysie
spasmodique desmembres inférieurs qu'on doit di
bilité, sa tendance aux récidives (alternati- ves de guérison et de
paralysie
) et l'absence clinique de symptômes céré- In'au
mptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette forme est rapprocher de la
paralysie
syphilitique spasmodique observée dans la syphi
iques. Pour notre part, nous dirions volontiers qu'entre le type de
paralysie
spasmodique décrit par Erb et les faits de rigi
début subit de la paraplégie, on pourrait penser qu'il s'agit d'une
paralysie
par compres- sion due à une ostéo-cbondrite gom
processus si leurs altérations n'ont pas été la cause unique de la
paralysie
. Quelque interprétation qu'on admette, les fait
jourd'hui, ne se serait guère accentuée qu'après l'apparition de la
paralysie
des membres infé- rieurs, un an après, dit la m
le affectionnait alors. En 1870, quelque temps après le début de la
paralysie
, elle a été conduite à l'hôpital des Enfants-Ma
ans, l'impotence des membres inférieurs est res- tée complète. A la
paralysie
flasque,ont succédé de la raideur, puis des défor
uption cutanée ni de chute des che- veux. , Depuis le début de sa
paralysie
, elle n'a fait qu'une seule maladie, la rougeole.
térieurement des lésions de même nature de la voûte palatine. La
paralysie
spasmodique est rèstée statiounaire.' . 3e caté
urs ; les muscles intercostaux ne fonc- tionnent pas( ? ). Pas de
paralysie
de la face, mais difficulté de détourner (everlin
Peut détacher les bras du corps ; meilleurs mouvements des jambes ;
paralysie
des sphincters. 28 novembre. Peut mouvoir les b
asion des phénomènes paraplégiques. «.Il se produisit peu à peu une
paralysie
qui affecta d'abord les extrémités inférieures pu
t enfin la jambe droite. Sensibilité intacte des membres paralysés;
paralysie
des sphinc- ters, de la vessie et de l'anus. Es
us R..., âgé de 19 ans 1 ? ait' été atteint, en juillet 1892, d'une
paralysie
complète des membres inférieurs tendant il enva
du bulbe, puisqu'il a existé de la diplopie et un certain degré de
paralysie
des muscles innervés par l'hypoglosse. , « Et
LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 133 un sentiment de
paralysie
des membres inférieurs. Il faut donc croire qu'il
es membres supérieurs et la localisation toute parti- culière de la
paralysie
sur les membres inférieurs, montrent (en dehors d
Elle parlait facilement; elle ne s'est pas aperçue qu'elle eut une
paralysie
de la face. - Au bout de 15 jours, les membres
ceux de la partie gaucho, il semble qu'il ait existé de ce côté une
paralysie
faciale infé- rieure aujourd'hui atténuée. Or
fert antérieure- ment'de maladies nerveuses, qui fut atteinte d'une
paralysie
flasque subaiguë desmembres inférieurs et d'une
supérieurs. La sensibilité était à peu près intacte; il exista une
paralysie
transitoire des sphincters. 1 On pensa à la syp
rties supérieures de la moelle, peut-être dans le bulbe. De plus la
paralysie
était flasque. Les deux cas inédits qui vont su
quatre membres s'accentua insensiblement mais ne devint jamais une
paralysie
complète, puisqu'elle pouvait se traîner dans sa
ls sont légère- ment rétractés. Les deux membres sont atteints de
paralysie
presque complète avec un peu de contracture. On
L'examen de la mus- culature externe dénote pour l'oeil gauche, une
paralysie
de l'oblique supérieur caractérisée par un stra
intien de l'équilibre du tronc étant souvent, eux aussi, frappés de
paralysie
ou d'a- trophie. On ne peut penser à attribue
ingomyélie lui a fourni plusieurs cas. La maladie de Friedreich, la
paralysie
infantile, le tabès surtout, contribuent à grossi
ésen- tant des lésions articulaires, des névrites douloureuses, des
paralysies
. ix 13 190 NOUVELLE ICONOGRAPU1E DE LA SALPÊT
'est liquide, doit être forcée. Le 3 octobre, la malade meurt d'une
paralysie
du coeur, malgré les excitants employés. Pend
sypllilis,'c'est-à,-dire dans les maladies qui comme le tabès, la [-
paralysie
générale progressive, comptent. la syphilis comme
DE DEUX SYMPTOMES RARES DANS LE COURS DU V. TABES DORSALIS ,
PARALYSIE
DANS LE DOMAINE D'UN NERF SPINAL (CRURAL) ET TR
l les trois épisodes intéressants de ce tabès. , Ce sont : A. Une
paralysie
passagère' mais totale des extenseurs de la jam
gros épanchement hé- morrhagique extra et intra-articulaire. fl.
Paralysie
du crural droit. 1° Dans les premiers jours de
mbre. Si l'on interroge B... sur l'état de sa jambe au moment où la
paralysie
fut complète et détermina le séjour au lit, on
à exécu- ter. Il remuait les orteils. Il est bien évident que la
paralysie
qui a porté sur le quadriceps de la cuisse droi
se droite a eu une durée relativement longue (3 mois), et que cette
paralysie
a été à peu près complète. Le quadriceps, a été
érieur est normale, et l'atrophie a disparu. A quoi attribuer cette
paralysie
localisée au nerf crural droit si ce n'est au t
e cause d'intoxication. , C'est donc en somme une des formes de ces
paralysies
passagères qu'on peut observer au cours du tabè
er au cours du tabès et surtout dans la période de début. Quand ces
paralysies
mêlent, comme c'est le cas chez notre malade, les
symptomatologie ne com- porte qu'exceptionnellement des troubles de
paralysie
motrice et le tabès bulbaire qui a pour manifes
rice et le tabès bulbaire qui a pour manifestations habituelles des
paralysies
à localisations diverses. » Et autre part (3)
: « Ce qui est insolite, c'est de \oir le tabès s'annoncer par une
paralysie
complète d'un membre isolé, ou d'un groupe de mus
isolé, ou d'un groupe de mus- cles, si on en excepte toutefois les
paralysies
des muscles de l'oeil. » Bien que nos recherche
glige trop. M. le professeur Fournier sur 224 cas de tabès relève 1
paralysie
des mus- cles extenseurs du poignet et 1 ])ai-;
rs du poignet et 1 ])ai-;i del toï(liciiiie ; lrieclreicll cite une
paralysie
des adducteurs de la cuisse; Marius Carre celle d
éronier. M. Ray- mond (4) cite 3 observations, une de Gcrhardt avec
paralysie
incomplète du diaphragme, une de Martius, paral
e Gcrhardt avec paralysie incomplète du diaphragme, une de Martius,
paralysie
du spinal et une de Schullze do Bonn, paralysie
me, une de Martius, paralysie du spinal et une de Schullze do Bonn,
paralysie
des muscles masticateurs. Bien que ces deux derni
Vlorton Prince (5), où existait, chez un tabé- tique au début, une
paralysie
motrice de la main droite. L'étude de ces paral
e au début, une paralysie motrice de la main droite. L'étude de ces
paralysies
a soulevé différents problèmes touchant leur (1
lons dans cette étude ni de l'hémiplégie ni de la paraplégie ni des
paralysies
oculaires au cours du tabès. (2) Raymond, Malad
r certains points avec,Vulpian affirmait l'origine tabétique de ces
paralysies
. D'autres, comme Minor, incriminent l'action di
s ferons observer dès maintenant que, dans le cas de cet auteur, la
paralysie
était en quelque sorte segmentaire, occupant la m
mes lésions pourraient être et ont été invoquées pour expliquer les
paralysies
dont nous nous occupons. Nous nous permettrons
on périphérique... Si l'excitation normale vient à dispa- raître la
paralysie
surviendra. Pourquoi cette paralysie n'est-elle p
rmale vient à dispa- raître la paralysie surviendra. Pourquoi cette
paralysie
n'est-elle pas per- manente ? Grâce, aux divisi
la lésion du protoneurone centripète est la règle, trouve-t-on ces
paralysies
assez rarement ? Nous désirons également attire
ns les observations citées plus haut de Martin et Schullze, que ces
paralysies
, quoique passagères, s'accompagnent fréquemment d
marchent de pair; l'évolution de l'atrophie est liée à celle de la
paralysie
, d'où les phénomènes atrophiques ne peuvenl 1 ê
atrophiques ne peuvenl 1 être bien constatés que dans les cas où la
paralysie
aura une certaine durée (1). A la fin de ce r
rapide exposé, nous dirons avec M. le Professeur Four- nier que ces
paralysies
de la période préataxique sont « résolutives, Tap
tater, atrophiques et qu'il y a lieu de séparer cette atrophie avec
paralysie
de la période de début du tabes, de l'atrophie qu
e, l'autre stable, ou progressive, non curable. Cliniquement, une
paralysie
même localisée, mais localisée à un seg- ment d
as tout particulièrement étudiés par Mal Raymond et Nageotte, ni de
paralysie
générale venant compliquer le tabes. Qu'ad- vie
e tabes. Qu'ad- vieJlclra-t-il cle ce malade ? Versera-t-il dans la
paralysie
générale ? La chose est possible, mais en l'éta
re rlû a cons- taté ces mêmes atrophies musculaires accompagnant la
paralysie
de début du tabes. DE L'hÉMARTHROSE TABÉTIQUE 2
ater que ce mouvement de trombone, ainsi dénommé par Magnan dans la
paralysie
générale, ne trouve pas sa place naturelle dans
des membres inférieurs et supérieurs. Les au- teurs de l'article «
Paralysie
générale » du Traité de médecine le considè- re
E DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPLTIi7LIiD.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIV0- MOTEURS CONS
s hôpitaux, M. J. Comby, je suis à même de vous présenter un cas de
paralysie
arsenicale. Il y a longtemps que j'étais à la r
é la ques- tion de savoir si, dans ce qu'on a décrit sous le nom de
paralysies
arseni- cales, il y avait en jeu une polynévrit
ges classiques, on ne trouve que des descriptions fragmentaires des
paralysies
arsenicales, des descriptions auxquelles on peu
vrite, tantôt à la myélite, on a trop négligé ce qui n'était pas la
paralysie
; on n'a voulu voir que cette dernière. Or, quand
te alcoolique, je désirais si vivement avoir sous la main un cas de
paralysie
arsenicale. Si l'occasion s'est longtemps fait
casion s'est longtemps fait attendre, est-ce à dire que ce genre de
paralysie
soit d'une grande rareté, ainsi que d'aucuns l'
, des districts, comme ceux qu'habitent des arsé- nicophages, où la
paralysie
arsenicale est fréquente. C'est ainsi que j'au-
Buller, ce con- frère a observé pour sa part, soixante-douze cas de
paralysie
arsenicale ! Je suis convaincu aussi, que bien
is convaincu aussi, que bien souvent il a dû arriver que des cas de
paralysie
arsenicale n'ont pas été attribués à leur véritab
ition des troubles moteurs. Toujours est-il que la connaissance des
paralysies
arsenicales re- monte, déjà à loin, jusqu'au XI
yre (1), il résulte que déjà Pierre d'Al- bano (2) avait signalé la
paralysie
et les contractures comme des suites possibles
chet (5), avec la collaboration de M. Marie. (1) Imhekt-Coumîeyke,
Paralysie
arsenicale. Gazette médicale de Paris, 1858, p. 5
Annales d'hygiène publi- que, 1889, t. XXII, p. 13'7, 356 et 4G0.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 323 P
rien à dési- rer, voire que l'enfant avait pris de l'embonpoint. La
paralysie
motrice était complète aux membres inférieurs ;
risation et des bains sulfureux. Une dizaine de jours plus tard, la
paralysie
gagna les membres supé- rieurs ; elle s'étendit
travers. L'état mental de l'enfant est resté normal. Cet état de
paralysie
quasi généralisée avait mis une quinzaine de jour
avait mis une quinzaine de jours à se constituer. A aucun moment la
paralysie
ne s'est accompagnée d'une atrophie musculaire
le 25 mai on notait la disparition des troubles en rapport avec la
paralysie
des sphincters, ainsi que le retour de la motil
reste plus aujourd'hui (30 juin) que des résidus de son attaque de
paralysie
. * .. Vous pouvez constater d'abord que les
e dégénérescence. A la cuisse, l'excitabilité électrique est sensi-
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 325 b
hiques, et ce sera tout. Cette fillette, au cours de son attaque de
paralysie
, a présenté une petite eschare au siège. Vous p
aujourd'hui complète- ment cicatrisée. Messieurs, la cause de la
paralysie
présentée par cet enfant ne saurait faire l'obj
enfant ne saurait faire l'objet d'un doute. C'est bien d'un cas de
paralysie
arsenicale qu'il s'agit en la circonstance, et
aralysie arsenicale qu'il s'agit en la circonstance, et d'un cas de
paralysie
consécutive à un empoi- sonnement médicamenteux
er les' principaux : Pour ce qui est du siège anatomique de cette
paralysie
, la question est moins facile à trancher; elle
à trancher; elle se pose de nouveau en ces termes : s'agit-il d'une
paralysie
par polynévrite ? s'agit-il d'une paralysie spina
ermes : s'agit-il d'une paralysie par polynévrite ? s'agit-il d'une
paralysie
spinale ? Ainsi que je vous le rappelais tout à
tion. Je vous ai montré que les deux opinions, celle qui fait de la
paralysie
arsenicale l'expression d'une poly- névrite et
ession d'une poly- névrite et celle qui la rattache aux groupes des
paralysies
spinales, comp- 326 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
point de vue du pronostic, se ron- dre compte, dans un cas donné de
paralysie
arsenicale, de la nature myéli- tique ou polyné
nervous and mental disease, 188G, nos 9 et 10. (2) Comby, Un cas de
paralysie
arsenicale chez une fillette de sept ans, Bulleti
des maladies du système nerveux, ire série, Paris, 1896, p. 269.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 327 p
p. 269. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 327
paralysies
arsenicales sont nécessairement d'origine central
r lesquels je lafonde. Pour moi les accidents qu'on englobe dans la
paralysie
arsenicale sont leplus souvent l'expression d'u
ns quelles circonstances vous êtes exposés à rencontrer ce genre de
paralysies
. Ces circonstances peuvent se ramener à trois cat
constances peuvent se ramener à trois caté- gorges 1° On a vu des
paralysies
survenir à la suite d'un empoisonnement arse- n
alors le médecin sera en mesure de se renseigner sur la cause delà
paralysie
,par les aveux de la victime-ou causé par une mé
à l'insu de la vie" time. Ne perdez pas de vue, d'ailleurs, que la
paralysie
peut se montrer longtemps après les manifestati
'élimination n'est' complète qu'au bout de quelques semaines. 2° La
paralysie
peqt être la conséquence d'un empoisonnement suba
ette adjonction ait été l'oeuvre d'une main criminelle. 3° Enfin la
paralysie
peut se développer dans le cours d'un empoison-
en revue ; je vous donnerai ensuite une description d'ensemble des
paralysies
arseni- cales. A. Paralysies. Paralysies cons
scription d'ensemble des paralysies arseni- cales. A. Paralysies.
Paralysies
consécutives Il un empoisonnement aigu.- Quoi q
isonnement aigu.- Quoi qu'il en soit de l'époque d'apparition de la
paralysie
et des circons- tances au milieu desquelles cel
e la cuisse le sont plus que les muscles de la face postérieure. La
paralysie
atteint son apogée en l'espace de quatre à cinq s
a aller en s'accentuant, (1) P. Brouardel et G. Pochet, loc. Cil.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIVO-MOTEURS 329 e
olue peut être la conséquence des manifestations douloureuses. La
paralysie
et l'atrophie qui l'accompagne sont curables ; da
'atrophie qui l'accompagne sont curables ; dans les cas heureux, la
paralysie
commence à se dissiper cinq ou six semaines après
ment. Il est loin d'en être toujours ainsi. Il peut se faire que la
paralysie
et l'atro- phie, tout en rétrocédant dans l'ord
idus irré- médiables. Etant donnée la prépondérance fréquente de la
paralysie
et de l'atrophie du côté des extenseurs, on con
e la description donnée Fig. 30. Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 331 p
ses.. Il est il noter encore que ces déformations, à l'instar de la
paralysie
et de l'atrophie, sont généralement plus pronon
eure nous avons relevé cette particularité, en ce qui con- cerné la
paralysie
, chez la petite fille que je vous ai présentée.
chez la petite fille que je vous ai présentée. Si j'ajoute que les
paralysies
arsenicales consécutives à un empoisonne- ment
faudra être réservé sur la question de pronostic, en présence d'une
paralysie
arsenicale de ce premier groupe. L'un des malad
ans à l'hôpital (pleurésie exsudative et pneumonie chronique). b)
Paralysies
consécutives Il un empoisonnement subaigu. Il est
sies consécutives Il un empoisonnement subaigu. Il est rare que ces
paralysies
s'observent à la suite d'un empoisonnement d'orig
ment lent, et à diriger les soupçons sur l'arsenic. Or peu à peu la
paralysie
et l'atrophie s'emparèrent des membres de la mala
teurs reflétaient à la fois la parésie et l'incoordination. Puis la
paralysie
devint complète aux membres ; elle s'étendit à ce
loppait une sensation de chaleur. Les muscles et les troncs nerveux
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SE\SITIVO-11OTEURS 333
on subaiguë, parmi lesquels il y a des chan- ces de voir figurer la
paralysie
arsenicale. Enfin dans le remarquable rapport d
etPouchet, que je vous ai déjà cité, vous trouverez des exemples de
paralysies
arsenicales d'origine vraisemblablement aliment
é-Beaussier). , - Le plus souvent l'empoisonnement subaigu, dont la
paralysie
.arsenicale est une conséquence, reconnaît une
s. La pression des muscles et des nerfs exaspérait ces douleurs. La
paralysie
envahit les membres supérieurs. Il n'est pas dit
is,161-sqti'oii le ramena il l'hôpi- tal. Il avait été frappé d'une
paralysie
, qui avait envahi les quatre membres ainsi que
de l'anesthésie cutanée et une faiblesse motrice qui a dégénéré en
paralysie
. Celle-ci était limitée aux membres ; elle s'est
n. Bulletin of thc .John's Ilopkins Ilospital, avril 1893, ne 30.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 335 J
cette énumération de faits. Je viens de vous donner des exemples de
paralysie
arsenicale qui se rap- portent aux principales
- cale. Leroy (d'Etiolles)(·1),Iiraus (2) ontpublié des exemples de
paralysies
arsenicales, survenues dans ces conditions. D
e, dans son ensemble, une évolution en tout semblable à celle de la
paralysie
con- sécutive'à un empoisonnement causé par une
s consécutifs à des empoisonnements criminels par l'arsenic (4), la
paralysie
peut se lo- caliser dans les membres inférieurs
emps. De là elle se propage aux mus- (1) LEROY (d'Etiolles), Sur la
paralysie
causée par l'arsenic. Gazette hebdomadaire de m
te hebdomadaire de médecine et de chirurgie, 1857. (2) KnAus, Des
paralysies
sans lésions matérielles appréciables. Liège, 185
communication à l'Académie de médecine (21 juillet 1S96), « Sur les
paralysies
toniques en général et la paralysie arsenicale en
e (21 juillet 1S96), « Sur les paralysies toniques en général et la
paralysie
arsenicale en particulier », s'est attaché préc
s, comme des membres de polichinelle. Ne perdez pas de vue que la
paralysie
arsenicale consécutive il un em- poisonnement s
ns les cas du précédent groupe, en ce sens que, traitée à temps, la
paralysie
guérit totalement, sans laisser de résidus sous
s, que nous avons vu subsister dans des cas du premier groupe. c)
Paralysies
consécutives à un empoisonnement chronique. Elles
uses. Le plus jeune de ces garçons fut pris de la même manière. \
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS H37 V
ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS H37 Voilà donc un exemple bien net de
paralysie
arsenicale survenue à la suite d'un véritable e
t et à l'odorat de la victime. Un des plus remarquables exemples de
paralysie
arsenicale survenue dans de pareilles conditions
persistait encore en partie, plus d'un an après l'apparition de la
paralysie
. En compulsant les recueils de méde- (1) E. Vid
blance, mélangé aux aliments, par une main criminelle. Je passe aux
paralysies
arsenicales consécutives à un empoisonnement ch
chronique telle que l'eczéma, le psoriasis, que l'on a observé des
paralysies
de cette catégorie. Voici une relation abrégée
s exemples du même genre. A côté de ces faits se placent ceux où la
paralysie
arsenicale est surve- nue à la suite d'un empoi
'un enfant mort-né; mais dans l'intervalle elle avait contracté une
paralysie
de la sensibilité et du mouvement, aux membres
ilité de marcher, et longtemps après elle conserva des traces de sa
paralysie
. J'en arrive aux cas de paralysie arsenicale sy
elle conserva des traces de sa paralysie. J'en arrive aux cas de
paralysie
arsenicale symptomatique d'un empoi- sonnement
es d'hygiène publique et de médecine légale, 1874, t. XLII, p. 406.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSIT1V0-liOTEURS . 339
essions sont connues pour fournir leur contingent de victimes de la
paralysie
arsenicale. Enfin, depuis longtemps il est admi
ique, attirait l'attention des médecins et des au- torités, sur les
paralysies
consécutives à un empoisonnement de pareille or
famille, qui avaient été frappés de diplopie, par conséquent d'une
paralysie
des muscles de l'aeil, pour avoir. couché dans
taxie arsenicale. Messsieurs, jusqu'ici je ne vous ai parlé que des
paralysies
arsenicales ; or la paralysie du mouvement n'estp
usqu'ici je ne vous ai parlé que des paralysies arsenicales ; or la
paralysie
du mouvement n'estpas le seul désordre qu'on ob
urs et à la suite des empoisonnements par l'arsenic. Quelquefois la
paralysie
, à ses débuts et lorsqu'elle n'est pas encore c
résie, et subsister jusqu'au bout. En un mot, de même qu'il y a une
paralysie
ar- senicale, il y a une alaxie arsenicale. L'a
onclu, en fin de compte, qu'indé- pendamment de la forme commune de
paralysie
arsenicale, où l'incoordina- tion peut s'associ
INA, On pseudo-litbes from arsenical oisonin7. Brain, janvier 1887.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 341 C
tremblement ar- senical qui peut se rencontrer seul ou associé à la
paralysie
, à l'incoordi- nation motrice. Il s'agit d'un t
ignées d'un empoisonnement par l'arsenic, et parmi ces désordres la
paralysie
motrice tient habituellement une place prépondé
e phase touche il sa fin. C'est à ce moment qu'en thèse générale la
paralysie
fait son apparition. Dessinit in paralysim, ainsi
issure des paupières et du scrotum. De toule façon, et avant que la
paralysie
soit nettement constituée, des troubles de la s
ie, céphalalgie continue, tels sont les signes avant-coureurs de la
paralysie
. Puis les pieds et les mains sont frappés d'une
mode d'envahissement est à peu près constant ; presque toujours la
paralysie
est, à ses débuts, chiropodale. Les troubles de
ussi les troncs nerveux sont devenus douloureux à la pression. La
paralysie
peut rester limitée aux extrémités des membres, g
blement. Mais ce n'est point là le cas habituel. Le plus souvent la
paralysie
poursuit sa marche envahissante ; elle se propage
à de la tachy- cardie. Bientôt l'atrophie musculaire s'associe à la
paralysie
; atrophie dif- fuserais qui atteint un degré ex
type chiropodal, consécutif à un empoisonnement arsenical aigu .
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-nIOTEUIiS 343
SENSITIVO-nIOTEUIiS 343 rétablissement fonctionnel suit de près. La
paralysie
rétrocède dans l'or- dre inverse de celui qu'el
orme de rétrac- tions tendineuses. Je ne connais pas de cas où' une
paralysie
arsenicale ait été la cause unique et immédiate
empoisonnements de Rouen ont suc- combé après avoir présenté de la
paralysie
motrice. Il semble que dans ces trois cas la mo
motrice. Il semble que dans ces trois cas la mort soit survenue par
paralysie
du coeur (1). En tout état de cause, chez deux
astro-intestinaux du début affectent une moin- dre violence, que la
paralysie
a une moindre tendance à se généraliser, qu'ell
et P. Marie, se rapporte à la for- me incomplète et circonscrite de
paralysie
arsenicale, qui embrasse des cas de ce second g
se des cas de ce second groupe. Or, dans un grand nombre de cas, la
paralysie
arse- nicale, qu'elle se développe à la suite d
t le suhlratunl d'un pseudo-tabes, est curable au même titre que la
paralysie
de même origine. Enfin parmi les troubles sen
e le système nerveux. Dans l'un et l'autre cas, disai-je, c'est une
paralysie
amyotrophiclue qui prédomine sur les autres man
s autres manifestai ions morbides. Dans 1'tiii et l'autre cas cette
paralysie
est annoncée et accompagnée par des phénomènes de
es douleurs qui peu- vent être très violentes. Dans les deux cas la
paralysie
débute par les extré- mités des membres. Dans l
phale. Dans les deux cas, on observe, mais, à titre tout à fait ex-
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 345 c
ituelle. - Quels que soient le degré et l'extension atteints par la
paralysie
et l'a- trophie musculaire, le retour à l'état
ion alcoolique ou une intoxication arsenicale. Dans les deux cas la
paralysie
amyotrophique peut laisser des traces ineffaçable
ractions tendineuses. Dans les deux cas l'ataxie peut s'associer la
paralysie
, à une paralysie incomplète bien entendu ; dans l
ses. Dans les deux cas l'ataxie peut s'associer la paralysie, à une
paralysie
incomplète bien entendu ; dans les deux cas la
sie, à une paralysie incomplète bien entendu ; dans les deux cas la
paralysie
motrice peut s'effacer devant l'incoordination mo
els font défaut ? Nullement. Je vous ferai remarquer d'abord que la
paralysie
alcoolique se montre rarement à la suite d'un e
t, par des visions d'animaux. Il est rare aussi que dans les cas de
paralysie
alcoolique, les troubles sensitifs, phénomènes de
u- leurs spontanées, anesthésie, soient aussi accentués que dans la
paralysie
arsenicale. Jamais la paralysie alcoolique ne s
soient aussi accentués que dans la paralysie arsenicale. Jamais la
paralysie
alcoolique ne s'accompagne d'une desqua- mation
me dans cette dernière. Jamais, autant que je sache. dans un cas de
paralysie
arsenicale, l'amnésie et les autres troubles in
ains et aux pieds, sont différentes dans les deux cas. Dans ceux de
paralysie
arsenicale, les petits muscles de la main et de
ntdes doigts et des orteils (fi.3G); ces mouvements sont Fig. 36.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTNURS 347 g
ents dans le poignet se font encore sans difficulté. Dans le cas de
paralysie
alcoolique, les premiers mouvements atteints so
ceux qui se passent dans les poignets et dans les cou-de-pieds; la
paralysie
frappe d'abord les muscles extenseurs et flé- c
nstate une voussure anormale de la plante (fig. 4.1 et 42). Dans la
paralysie
alcoolique, les rétractions tendineuses intéresse
Fig. 38. -, - -, o. 348 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
paralysie
arsenicale, les déformations se produisent surtou
nt surtout aux jointures des doigts et des orteils; dans les cas de
paralysie
alcoolique, elles se pas- sent surtout dans les
ents du diagnostic différentiel de la pa- résie arsenicale et de la
paralysie
alcoolique. Ces mêmes éléments vous serviront à
lysie alcoolique. Ces mêmes éléments vous serviront à distinguer la
paralysie
arsenicale des aulrcs variétés de poly- névrite
exander (1), a cm devoir exposer le dia- gnostic différentiel de la
paralysie
arsenicale et de la syringomyélie, sous prétext
arsenicale et de la syringomyélie, sous prétexte que dans un cas de
paralysie
arsenicale publié par Gerhardt, l'au- (1) ALEX.
/;t'7 (flahilitationsschrift, Breslau, 1889). Fig. 39. Fie. 40.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 349 t
vous ne serez jamais en peine de distinguer la syringomyélie d'une
paralysie
arsenicale. e. ' Enfin il importe que vous ay
Fig. 42. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE En somme, la
paralysie
arsenicale, ou, pour parler plus exactement, les
i leur assigne en quelque sorte une place à part dans le groupe des
paralysies
toxiques, si tant est que l'on considère à la f
qu'à dire, à l'exemple de P. Muller (1), qu'en présence d'un cas de
paralysie
arseni- cale, le diagnostic s'impose d'une faço
nd on a eu l'occasion de faire con- naissance avec cette variété de
paralysie
, on a de grandes chances de dé- pister son orig
antécé- dente ou actuelle fait défaut. Pronostic Le pronostic des
paralysies
arsenicales mérite de nous arrêter quelques ins
nts. Je crois vous avoir gravé dans l'esprit cette no- tion, que la
paralysie
arsenicale ne comporte point par elle-même un pro
éventualité a surtout des chances de se réaliser dans le cas d'une
paralysie
arsenicale consécutive à un empoisonnement aigu
t violent, suraigu ; sa vie n'est plus en danger. Mais voici que la
paralysie
se déclare, insidieuse à ses débuts. Il faut d'
insidieuse à ses débuts. Il faut d'abord que vous sachiez que cette
paralysie
qui, ne l'oubliez pas, peut être tardive, est b
eh, 'loc. cit. (2) P. 13ROU.111UEL et POUCHET, loc. cit., p. 471.
PARALYSIES
ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 351 t
il faut aussi faire vos réserves eu égard à l'issue finale de cette
paralysie
. Il vous, faut prévoir qu'une infirmité incurable
e ne m'arrêterai pas longuement à ce qui concerne le traitement des
paralysies
arsenicales. Vous n'avez qu'à vous reporter à ce
poisons. Parmi les auteurs qui se sont occupés du traitement de la
paralysie
ar- senicale, quelques-uns ont insisté sur l'ut
L, 158. Les Nams et les Bossus dans l'Art, par Henry MEME, 161.
Paralysies
arsenicales, par le Professeur F. RAYMOND, 321.
RAYMOND (P.). Syringomyélie avec anes- thésie totale, 5. RAYMOND.
Paralysies
arsénicales, 321. Rtcmca (PAUL) et MEIGE (Henry
nière, 13, 14, 15, 16, 17. Maccus, statuette en bronze, 43 et 44.
Paralysies
arsenicales, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38
. le professeur CHARCOT A PROPOS D'UN CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE : 1°
PARALYSIE
DISSOCIÉE DU FACIAL INFÉRIEUR D'ORIGINE HYSTÉRI
térie mascu- hne en France et à l'étranger. Descliption d'un cas de
paralysie
faciale d'origine hystérique portant seulement
ateurs et grand zygomatique. Superposition de l'anesthésie et de la
paralysie
. Diversité des opinions concernant l'existence de
re cas, début de la névrose a l'occasion d'un traumatisme, et de la
paralysie
faciale à la suite d'un autre traumatisme subi da
n effet il nous présente un exemple bien avéré, bien authentique de
paralysie
faciale hystérique, dont l'existence, jusque da
usque dans .ces derniers temps, m'avait paru fort problématique. La
paralysie
, qui porte sur le domaine du facial inférieur,
iques. double emploi, je m'em- presse de vous avertir que ce cas de
paralysie
faciale hystérique est celui-là même qui a été
ppellerai tout à l'heure comment s'est constituée la question de la
paralysie
faciale chez les hystériques et comment, jusque
'12 CLINIQUE NERVEUSE. Maintenant c'est sur les caractères de la
paralysie
faciale annoncée que je veux insister. Au rep
actions électro-musculaires sont parfaitement normales, bien que la
paralysie
remonte environ à trois ans, et qu'il n'y a nul
nulle trace de spasme ni de secousses musculaires. Voilà donc une
paralysie
faciale bien constatée chez un hystérique et qu
rendre les choses d'un peu loin. . En 1856, dans une leçon sur la
paralysie
hystérique Todd écrivait les lignes suivantes '
stérique Todd écrivait les lignes suivantes ' : « L'étendue de la
paralysie
des membres, alors qu'il n'y en a pas trace dan
en faveur de la nature hystérique de l'affection : car bien que la
paralysie
hystérique puisse occuper toutes les parties du
ie vulgaire. » Ce n'est pas qu'une déviation de la face appelée
paralysie
n'ait été notée dans diverses publications, en
en rotation en gauche. Peut-on trouver là les carac- tères d'une
paralysie
faciale droite ? J'en dirai autant du cas plus
n de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y avait hémiplégie des membres et
paralysie
totale de la face d'un côté. Soumis à l'analyse
l/1éd" 1888), - CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. t5 pas démontré que les
paralysies
faciales des hystériques ne sont pas des hémisp
ai dans ma négation, prêt à me rendre toutefois pour le cas où la
paralysie
faciale, dont pour le moment je conteste l'exis
x en 1890 et 1891. 'Elles éta- blissent que si, dans l'hystérie, la
paralysie
faciale est un fait exceptionnel, si elle est s
SE. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas, la
paralysie
est peu accentuée et qu'il y a toujours anesthé
es hystériques '. Il s'agit dans son travail de spasmes et non de
paralysies
; mais les deux groupes de faits doivent être év
i, tout en maintenant que dans la très 'grande majorité des cas, la
paralysie
faciale 'Gilles de la Tourette. - De la superpo
compagner quelquefois. , Veuillez remarquer que, quanta présent, la
paralysie
du facial inférieur chez un hystérique, semble
Enfin plusieurs fois on a pu l'observer, isolée en dehors de toute
paralysie
notoire des membres, circonstance peu fréquente
re de l'hémiplégie faciale capsulaire, et qui dans la catégorie des
paralysies
corticales n'est repré- sentée que par quelques
ira de rechercher dans quelles circonstances se produisent soit les
paralysies
faciales hystériques soit les déviations d'orig
modique. Peut-être serait-ce ici le lieu de rappeler que dans les
paralysies
hystériques la face ne semble point placée sous
semble point placée sous le même régime que les membres et que la
paralysie
y est, comparativement au spasme, beau- coup mo
s de la face sont faciles à réaliser par suggestion, tandis que les
paralysies
faciales, du moins dans ma propre expérience, n
sur les points frappés et dans leur voisinage, fait apparaître la
paralysie
faciale et l'anesthésie qui s'y superpose. Mais
le tout intérieurement. » Plus loin : « Ma pensée git, il me CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 31 semble, à la poitrine, à
lement de la personnalité. PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE
PARALYSIE
11YS1');BO-TRrIUIIaTIQUG DES QUATRE MEMBRES;
peu dont l'étude ait été aussi profondément fouillée que celle des
paralysies
hystéro-trau- matiques. Le professeur Charcot e
upérieurs et infé- rieurs : quelques jours après se développait une
paralysie
des quatre membres dont le degré était en rappo
nce de secousses analogues il celles de la chorée électrique. Les
paralysies
hystériques des quatre membres ne sont point ch
n'a observé que six cas de ce genre. Chevallier, qui a fait de ces
paralysies
généralisées une étude spéciale, n'a pu en réun
que vingt et une observa- tions. Dans plus de la moitié des cas, la
paralysie
s'est montrée .à la suite d'une attaque convuls
n cas analogue après un accident de chemin de fer. Briquet a vu une
paralysie
complète survenir chez une hysté- rique à la su
quatre membres. Dans toutes ces observations relativement CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 33 anciennes, on ne trouve
erbez, dans l'observa- tion IV de sa thèse a noté une tendance à la
paralysie
des quatre membres. OB S I ? Il VAT 10 iN.
pas moi ! ... Les gendarmes ! » Pas d'attaques convulsives, pas de
paralysie
. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 30.
endarmes ! » Pas d'attaques convulsives, pas de paralysie. CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 33 30. - Légère parésie des
ification s'eol produite : les mem- bres inférieurs sont frappés de
paralysie
; les membres supérieurs sont parésiés. Tig. 1
nsion de la jambe est possible, mais on y résiste très aisément. La
paralysie
est flas- que, les jambes inertes, retombent lo
tion d'une « élevure de la peau D blanche. Tronc. Motilité. Pas de
paralysie
des muscles abdominaux ni des sphincters. Sen
roite bande verticale d'anesthésie réunit les bottes du mem- CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 37 bre inférieur à la régio
avoir conservé sa sensibi- lité. Face. Motilité. Pas de trace de
paralysie
faciale ni d'hémis- pasme glosso-labié. Sensibi
bile dans tous les sens. Actuellement, nous avons sous les yeux une
paralysie
complète et flasque des quatre membres. A la
té à la température n'a été recheichép que pour les membres. CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 39 9 thorax, le cou jusqu'a
ne de sensibilité normale pour tous les modes comprenant les CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 41 doigts, et limitée en ha
s pour fous les modes d'ex- citation. Motilité. Disparition de la
paralysie
des membres supérieurs. Dynamomètre : MD : 30 K
llé : Sensibilité à la température et à la piqûre seulement. CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 'M duite : le membre supéri
s, nous avons revu la malade : des troubles moteurs et 10. CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 4o sensitifs si généralisés
fiants, de l'autre des secousses électriques. Pour ce qui est de la
paralysie
des quatre membres, elle a présenté les caractè
des quatre membres, elle a présenté les caractères fondamentaux des
paralysies
hystéro- traumatiques. Il s'agissait d'une pa
mentaux des paralysies hystéro- traumatiques. Il s'agissait d'une
paralysie
flasque avec perturbations pro- fondes de la se
usculaire, sensibilité arti- culaire. Gomme c'est la règle dans les
paralysies
hystéro-trau- matiques il y a eu une période de
e méditation ; ce laps de temps nécessaire pour l'élaboration de la
paralysie
a été plus consi- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. dér
que pour les membres inférieurs et en rapport comme la durée de la
paralysie
avec l'intensité différente du traumatisme. Sig
l'intensité différente du traumatisme. Signalons enfin l'absence de
paralysie
faciale, fait sur lequel M. le professeur Charcot
dorsale et palmaire, des mains; la zone sensible à la tempé- CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. 47 'l rature gagne chaque j
n'y a pas bien longtemps, sur l'ab- sence de ce phénomène dans les
paralysies
hystéro-traumati- ques pour éliminer l'hypothès
nsisté sur l'existence d'atrophie musculaire assez accusée dans les
paralysies
hystériques. Pour ce qui est des changements de
es, nous voyons que ces phé- nomènes peuvent se rencontrer dans des
paralysies
psychiques dont la nature est indiscutable : no
st noté que les doigts sont vio- lacés, froids comme dans certaines
paralysies
organiques. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. Perte de
se, caractérisée par des secousses, des attaques convul- sives, des
paralysies
, du coma, et une terminaison le plus souvent mo
ou - Charcot. Maladies du système nerveux, t. III, p. 460. CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES.. , 49 vements brusques, rap
" Comment interpréter cette paraplégie suivie à bref délai d'une
paralysie
des membres supérieurs ? S'agit-il d'une para-
greffer une para- \ plégie psychique ? Avons-nous eu affaire à une
paralysie
consécutive à une attaque convulsive sans l'int
rente ? Peut-on, au contraire, ratta- ' cher le développement de la
paralysie
des quatre membres à des traumatismes localisés
t expliquer : il n'a pas été publié en effet, que nous sachions, de
paralysie
émotive des membres supérieurs. Quelle est do
ces troubles moteurs si généra- lisés ? On connaît le mécanisme des
paralysies
hystéro-trauma- . tiques : dans le somnambulism
ssance motrice tend à se réaliser objectivement sous la forme d'une
paralysie
complète, absolue. Cette idée, qui s'implante a
otre observation, tous les éléments nécessaires à l'élaboration des
paralysies
psychiques d'après le processus que nous ve- no
réparé pour la transformation par auto-suggestion d'une im- ,CAS DE
PARALYSIE
DES QUATRE MEMBRES. Si puissance musculaire pas
ALYSIE DES QUATRE MEMBRES. Si puissance musculaire passagère en une
paralysie
complète. Si nous nous reportons à l'observatio
par l'immobilisation forcée n'a-t-elle pu faire naître une idée de
paralysie
qui, dans un cerveau incapable de réac- tion, s
qui, dans un cerveau incapable de réac- tion, s'est transformée en
paralysie
complète et permanente. En résumé, sans néglige
avons mis en pratique les précep- tes du professeur Charcot : à une
paralysie
psychique, nous avons opposé un traitement psyc
phénomènes portant le nom de para- lysie de Brown-Séquard; c'est la
paralysie
des mouvements avec hypéresthésie dans les part
tion, j'ai voulu faire plus ample connaissance'du tableau de la,
paralysie
de Brown-Séquard chez le cobaye, et j'ai fait plu
sensibilité, étaient toujours les mêmes; c'est-à-dire qu'il y avait
paralysie
complète des mouvements dans la patte posté- ri
région dorsale, les phénomènes de la motilité consistaient en une
paralysie
complète de la patte postérieure du côté corres-
dépendance était à noter dans les cas, où l'ani- mal atteint d'une
paralysie
complète de Brown-Séquard crevait ou par hasard
on re- marque la possibilité des mouvements du côté gauche et la
paralysie
com- plète du côté droit. La sensibilité cuta
e moitié de la partie dor- sale de la moelle épinière, il s'en suit
paralysie
complète de ' l'extrémité postérieure du côté c
patte et desdoigts est surtout affaiblie, mais il n'y a point de
paralysie
complète. Les phénomènes de sensibilité sont
dans ce cas, il y avait en même temps un tableau in- complet de la
paralysie
de Brown-Séquard, incomplet parce que dans la p
ns la patte postérieure du côté de la section, il n'y avait pas une
paralysie
complète, mais il y avait une parésie pro- nonc
tique seulement au bout de cinq à dix jours, suivant le degré de la
paralysie
précédente. Mais les cas de la seconde catégori
e bassin est tant soit peu alfaissé; on remarquait en même temps la
paralysie
des mouvements volou- taires de l'extrémité gau
uste deux mois. L'opération du côté gauche latéral fut suivie d'une
paralysie
et de l'hyperesthésie de l'extrémité gauche pos-
ication du Dl' Blocq, qui a attiré l'attention sur cette variété de
paralysie
motrice passée jusqu'alors inaperçue, ou plutôt
l'astasie-abasie doit être considérée comme une des modalités de la
paralysie
hystéri- que. M. Jaccoud, qui l'a observée le p
8 REVUE CRITIQUE. motrices simples, des phénomènes de parésie ou de
paralysie
d'origine corticale, au chapitre des fonctions
igine corticale, au chapitre des fonctions motrices du cerveau. Les
paralysies
de la motilité et de la sensibilité, non seulem
es de la motilité et de la sensibilité, non seulement transitoires (
paralysies
motrices et sensitives post- épileptiques), mai
éesàl'épilepsiejacksonienne. Tantôt les convulsions pré- cèdent ces
paralysies
permanentes (c'est le cas ordinaire), tantôt le
ent ces paralysies permanentes (c'est le cas ordinaire), tantôt les
paralysies
précèdent les convulsions, tantôt des phé- nomè
eur de ces circonvolutions. Il en résultera simultanément : '1° une
paralysie
des membres ; 2° des convul- sions de la face.
certains groupes musculaires, et dont la destruc- tion entraîne la
paralysie
, sont de vrais centres moteurs, et non simpleme
irmé ces vues de Seppilli'. A côté du complexus symptomatique de la
paralysie
générale pro- gressive, des accès d'épilepsie j
ne topographie moins fixe que les lésions capables de provoquer des
paralysies
per- manentes 1 n. Mais la raison principale de
fléchisseurs ; la jambe gauche pré- sentait aussi un léger degré de
paralysie
et de contracture. La sensibilité tactile des e
ciani et par Tamburini, c'est que, dans l'épi- lepsie comme dans la
paralysie
, dans les phénomènes d'exagé- ration fonctionne
taliens invoquent pour expliquer la disparition des parésies ou des
paralysies
de la motilité consécutives aux lésions destruc
té- 124 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. rieure (
paralysie
bulbaire). Lésion symétrique des noyanx des ner
(Voy. Juh2·bïcch. med. Wien, 1886, p. 627.) P. Keraval. VI. D'UNE
paralysie
PÉRIPHÉRIQUE ISOLÉE DU NERF SUS-SCAPULAIRE DROI
oite porta. C'est à la suite de cet accident qu'il se développa une
paralysie
périphé- rique isolée avec atrophie des muscles
été la forme de la lésion ini- tiale (dégénérescences descendantes,
paralysie
générale), on voit, au niveau de la partie supé
veau de paralytique général de vingt-cinq ans; - 40 un cerveau de
paralysie
générale tabétique chez une femme; 5° un cer- v
de paralysie générale tabétique chez une femme; 5° un cer- veau de
paralysie
générale typique; 6° un cerveau de mélan- coliq
rveau de mélan- colique (femme morte phthisi'1ue); 7° un cerveau de
paralysie
générale probable chez l'homme; 8° un cerveau d
rveau de paralysie générale probable chez l'homme; 8° un cerveau de
paralysie
générale tabétique (femme). La conclusion est q
XVIII. Du GENRE et DE la fréquence des lésions DE la moelle dans la
paralysie
progressive ; par KOEUElILI;<¡. (.lIt ! ]. Zei
ersistante du phénomène du genou; amblyopie, alcoolisme, nystagmus,
paralysie
de l'ocu- lomoteur commun, délire, tremblements
onne lecture d'une observation de M. Brignier-Corbeau sur un cas de
paralysie
compliqué de délire aigu. M. B. Séance solenn
onnet, auteur d'un travail sur les Rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale. Un seul mémoire avait été présenté. P
cas de tumeur de la couche optique, dans lequel il n'y avait pas de
paralysie
des mou- vements mimiques. , - Séance du 18 j
sont caractérisés par : la céphalée persistante, l'épilepsie et les
paralysies
partielles mais durables, la démence croissante
la question de folie paralytique et de démence paralytique dans la
paralysie
générale et le délire des dégénérés et le délir
à l'ordre du jour : Du rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la
paralysie
générale. Mardi 4 août : A. A 9 heures du matin
programme sont : 1° Du rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la
paralysie
générale. Rapporteur : M. le Dr Brun. 2 De la r
JOSSELCT (A.). Contribution à l'étude de la polynévrite il forme de
paralysie
générale spinale antérieure subaigue et rapide. V
. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE
PARALYSIE
RADICULAIRE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE, AVEC
s qui mérite de nous arrêter; il mentionne seulement un de CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 163 ses oncles, a
gèrement et ne tarda pas à se cicatriser. Comme effets immédiats,
paralysie
des membres supérieur et inférieur droits, de c
London. XXXIX. ' Thèse de Paris. 1890, p. 188. ' P. 181. CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 165 l'a montré Vi
distinguer ce qui appartient à chacuu d'eux. A droite, existe une
paralysie
spasmodique très marquée; le membre est raidi e
Leçons sur les Mal. du syst. nerveux, t. II, p. 116 et 292. CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 167 C'est là, pou
us ne nous trom- pons, satisfaisant dans tous ses détails. CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 169' - Et d'abord
actiles y sont conservées, et simplement un peu émoussées. CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 171 vous allez vo
umpke. - Parai, rad. du plexus brachial. Rev. de méd., 1S85. CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 173 lysie détermi
t pri- mitif. Vous trouverez des renseignements à ce sujet CAS DE
PARALYSIE
DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 175 dans un mémoi
e et quatrième ventricules, après avoir percé le corps calleux. Une
paralysie
gauche, également progressive, le coma et la mo
tences dans le rythme et l'intensité (44 respirations à la minute).
Paralysie
de la vessie depuis le 3 décembre. Nécessité de
elligibles ; puis la paupière droite a été frappée de parésie et de
paralysie
pro- gressive, à mesure que la partie voisine d
dre à la crise du 186 CLINIQUE NERVEUSE. '22 novembre, date de la
paralysie
de la paupière. Le même jour, dans la même cris
orer le corps cal- leux et arriver dans la troisième ventricule. La
paralysie
subite, le tremblement convulsif et consécutif
tion, les intermittences dans le rythme et l'intensité du pouls, la
paralysie
de la vessie, coïncident avec l'arrivée du pus
ours à des lésions de la surface du cerveau ou des méninges, et les
paralysies
, à des lésions centrales. Si ce fait laissait e
de convulsions, les hémorrhagies centrales rarement, et toujours de
paralysies
. Les convulsions infantiles, celles de la paral
et toujours de paralysies. Les convulsions infantiles, celles de la
paralysie
générale, ne sont que l'expression de poussées
onvulsif n'a été remarqué ; le malade a succombé à des symptômes de
paralysie
progressive, d'atonie, de marasme, dans le calm
rieure du corps. 2 novembre. L'état général est satisfaisant. Une
paralysie
complète et une anesthésie des deux extré- mité
de l'ancienne hémisection de la moelle. Alors, dans le cas d'une
paralysie
de la même extrémité postérieure, en même temps
chez un cobaye bien portant jusqu'alors le tableau ordinaire de la
paralysie
de lirown-béquard en faisant la section d'une m
a région de deettssatio pyramidum, on peut obtenir le tableau de la
paralysie
de Brown- Séquard, même en faisant l'hémisectio
re au niveau de la sixième vertèbre dorsale et il en est résulté la
paralysie
des deux extré- mités du côté droit; sept semai
, les nouvelles voies motrices de la moelle passent du côté de la
paralysie
, au niveau des racines de l'extrémité postérieure
ig. 27). Aussitôt après l'opération, on remarque chez le cobaye une
paralysie
complète des mouvements volontaires de la jambe
nique, après quoi, le cobaye a crevé en deux minutes, à cause d'nne
paralysie
du coeur et de la respiration. A l'autopsie, on
atteint légèrement le côté droit de la moelle, car outre une pleine
paralysie
des mouve- ments de l'extrémité gauche postérie
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 203 renflement lombaire il se produisit une
paralysie
complète de l'extrémité qui, étant privée après
f du système nerveux, ni comme hypnotique; dans la mélancolie et la
paralysie
générale, mêmes effets négatifs et de plus à do
d'épilepsie. Malheureuse- ment il produit à la longue une sorte de
paralysie
généralisée; ce stade du sulfonalisme est inévi
urtout sédative, indirectement hypnotique. Le sommeil résulte de la
paralysie
des nerfs sensitifs et moteurs et de la diminut
hargé du rapport sur le Rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la
paralysie
géiit;î,ale. Il a commencé par un histo- rique
pas de différence fondamen- tale entre l'alcoolisme chronique et la
paralysie
générale, et croient, comme autrefois, que la m
refusent à l'alcoo- lisme le droit de produire de toutes pièces la
paralysie
générale, et pensent que ce que l'on appelle la
pièces la paralysie générale, et pensent que ce que l'on appelle la
paralysie
générale alcoolique n'est, au fond, qu'un état
ssent une distinction très nette entre l'alcoolisme chronique et la
paralysie
générale; ils admettent une paralysie générale de
l'alcoolisme chronique et la paralysie générale; ils admettent une
paralysie
générale de nature alcoolique, pouvant être que
Examinant ensuite la géogra- phie médicale de l'alcoolisme et de la
paralysie
générale, il arrive à cette conclusion, qu'il r
orbé en grande quantité par les gens du Nord n'engendre pas plus la
paralysie
générale que chez les gens du Midi, qui en cons
boisson. Mais ces excès n'avaient lieu que depuis le début de la
paralysie
générale, de sorte qu'ils étaient l'effet et non
encéphalite, l'alcoo- lisme n'est guère susceptible de fabriquer la
paralysie
générale que sur des terrains vésaniques, céréb
porteur a joint à cet exposé, qui aboutit en somme à regarder la z
paralysie
générale comme absolument distincte de l'alcoolis
d'une discussion sur le rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la
paralysie
générale. M. Magnan range en quatre groupes les
endances principales des différents auteurs : 1° Pour les uns, la
paralysie
générale est habituellement due à l'alcoolisme
des pseudo-paralysies générales alcooliques ; 3° Pour d'autres, la
paralysie
générale et l'alcoolisme sont deux élats distin
s distincts, mais l'alcoolisme chronique peut parfois conduire à la
paralysie
générale ; . 4° Pour d'autres, enfin, l'alcooli
on de l'alcoolisme chronique, l'un pour la démence, l'autre pour la
paralysie
générale, se basent, non seulement sur la physiol
f qui conduit à la démence avec faiblesse musculaire eL souvent aux
paralysies
partielles. Mais de plus avec la stéatose les-
nombreux d'alcoolisés chroniques, est celui qui s'achemine vers la
paralysie
générale. . Au bout d'un temps plus ou moins lo
mme atteint d'une pseudo-paralysie générale alcoolique et non d'une
paralysie
générale vraie. Dans une troisième catégorie de
moins, comme les malades précédents, ni vers la démence, ni vers la
paralysie
générale. Ces alcoolisés sont les prédisposés,
et quelquefois aussi de l'inégalité pupillaire donnent l'idée d'une
paralysie
générale, et, comme l'amélioration est obtenue
tes, ne sont autre que des alcoolisés chroniques abou- tissant à la
paralysie
générale. Eu résumé, nous pouvons dire que les
lisme chronique conduit habituellement à la démence et parfois à la
paralysie
générale. M. A. Carrier lit ensuite un mémoir
t : Documents statistiques pour servir à l'étude des causes de la
paralysie
générale. » De leurs observations sur 205 malades
de fréquence. Plus on cherche les antécédents héréditaires dans la
paralysie
générale plus on les trouve. On peut donc la co
erches expérimentales sur l'alcoolisme chronique ^comme cause de la
paralysie
. » Après une période d'excitation de '.cinq à s
es; du septième au neuvième mois, accentuation de la démence et des
paralysies
. Les crises épileptiformes apparaissent. Si l'o
, des frayeurs, puis plus tard des symptômes analogues à ceux de la
paralysie
géné- rale vraie. Si on ajoute de quatre à cinq
voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- logue aux attaques de
paralysie
générale spinale. M. Magnan félicite l'auteur d
ractères cliniques qui résultent de l'al- coolisme concomitant à la
paralysie
générale : -. 1° Au point de vue de la sensibil
iques autopsiés. (Note sur la rareté des lésions viscérales dans la
paralysie
générale.) L'étude de M. Charpentier a porté su
en état d'excitation maniaque à l'entrée et montrant des signes de
paralysie
générale cliniquement cons- tatés. 83 de ces ma
ire les conclusions suivantes : 1° Rien ne permet d'affirmer que la
paralysie
générale alcoolique n'existe pas ; 2° C'est c
le alcoolique n'existe pas ; 2° C'est chez les alcooliques que la
paralysie
acquiert son maximum de fréquence. En cinq ans
En cinq ans nous avons trouvé 83 alcooliques avérés sur 135 cas de
paralysie
générale ; 3° La forme spéciale de la paralysie
és sur 135 cas de paralysie générale ; 3° La forme spéciale de la
paralysie
générale est déterminée par les symptômes de l'
déterminée par les symptômes de l'intoxication alcoolique; 4° La
paralysie
générale est plus grave chez les gros buveurs qui
grave chez les gros buveurs qui, avant le début des symptômes de la
paralysie
générale, n'ont jamais présenté de troubles cér
alcoolique peut produire tout le complexus symptoma- tique dénommé
paralysie
générale sans qu'à l'autopsie on trouve des lés
e sans qu'à l'autopsie on trouve des lésions caractéristiques de la
paralysie
générale, c'est-à-dire la sclérose cellulaire,
oliférante, diffuse sans para- lysie générale, mais il peut y avoir
paralysie
générale sans cette lésion caractéristique; 7
xposée à la Société médico-psychologique de Paris pour expliquer la
paralysie
générale, appliquée à l'intoxication alcoolique
d'après ces expériences, cause de lésions analogues à celles de la
paralysie
générale de l'homme. M. MADAME signale l'infl
s alcools sur leur consommation et le développement parallèle de la
paralysie
générale. M. CAMUSET lit un mémoire où il concl
es documents cliniques et statistiques relatifs à l'étiologie de la
paralysie
générale. L'auteur en conclut au rapport étroit
pport étroit existant entre l'alcoolisme chronique d'une part et la
paralysie
générale de l'autre, mais sans trancher la ques
irmer la théorie de l'encéphalite inters- titielle initiale dans la
paralysie
générale des aliénés. Il considère au contraire
le microscope décèle la coexistence des deux lésions, comme dans la
paralysie
générale, le mécanisme en est tout différent. A
relativement à l'affirmation de '1\[' Pierret concernant des cas de
paralysie
générale sans encé- phalite interstitielle. C'e
sie sans que du vivant de la malade rien n'ait pu faire prévoir une
paralysie
générale. ' Archives, t. XXII. IG () 242 SOCI
our lui-même en ce qui a trait aux rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale. ' En attendant des documents statisti
rveux. M. ContnEMALE communique un mémoire sur les rapports de la
paralysie
générale précoce avec l'alcoolisme ancestral. L'a
rappelle que dans sa thèse (88) il a déjà indiqué le rapport que la
paralysie
générale précoce affecte avec l'alcoolisme ance
. BOUBILA (de Marseille). - Des chlorures d'or et de sodium dans la
paralysie
générale. Les résultats du traitement par le chlo
apide et la cachexie paralytique. M. REY. - Trépan dans un cas de
paralysie
générale. Il y a tout lieu de croire que le mal
ne Comme le vertige, l'épilepsie essentielle ou symp- tomatique, la
paralysie
générale peut donc tirer profit de l'inter- ven
un degré bien plus faible sur l'oeil gauche. M. BERNHARDT. - Des
paralysies
du péronier (sciatique poplité externe). Observ
paralysies du péronier (sciatique poplité externe). Observation de
paralysie
par compression longtemps pro- longée dans le j
ar compression longtemps pro- longée dans le jarret, de même que la
paralysie
du radial si fré- quente par semblable cause. P
ble cause. Par comparaison, l'orateur présente un malade atteint de
paralysie
cérébrale de l'extrémité inférieure gauche et e
écembre 1888. - Présidence DE M. WESTPHAL. M. SPERLING présente une
paralysie
du péronier produite par une 1 Voy. Archives de
est tombée entre le tiers moyen et le tiers inférieur de la jambe.
Paralysie
du mouvement et de la sensibilité cutanée. M.
ie du mouvement et de la sensibilité cutanée. M. SPERLING.- De la
paralysie
isolée dit nerf sus-scapulaire gauche sans moti
L'évolution de la maladie comprend trois stades dans l'espèce : 1°
paralysie
de tout le bras gauche, brusque, avec douleurs
es tendineux de ce membre. M. ŸBSTPÜAL. Chez un malade atteint de
paralysie
progressive des muscles des yeux, on trouve une
UHTHOFF présente un homme de quarante ans ayant depuis six mois une
paralysie
de l'oculomoteur commun du côté droit ainsi qu'
is une paralysie de l'oculomoteur commun du côté droit ainsi qu'une
paralysie
du trijumeau du même côté (branches sensitives
publié dans le Centrtrlb, f. Nervenheil1¡, 1889 2. M. Berniurdt.
Paralysie
périphérique isolée du nerf sus-scapu- laire dr
extrêmementintonse; en même temps elle présenta les symptômes de la
paralysie
générale (immobilité SOCIÉTÉS SAVANTES. : 2ï
le début de la chorée. A l'autopsie, on trouvait des lésions de la
paralysie
générale. Sous le microscope, on examina à l'ét
nticulaire normal. \l. SIE- MERUNG. A coup sûr pas non plus dans la
paralysie
générale. M. Remak présente un malade porteur d
encore une activité psy- chique considérable '(folie systématique,
paralysie
générale, hys- térie), tandis que l'automatisme
Paul BLOCQ. IX. Contribution a l'étude de la polynévrite à forme de
paralysie
gé- nérale spinale antérieure subaiguè et rapid
tème nerveux; pro- fesseur Binswanger : anatomie pathologique de la
paralysie
géné- rale ; Drs llloeli et Marinesco : syphili
OSSELET (A.). - Contribution à l'étude de la polynévrite à forme de
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë et rapide. V
LINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epilepsie, diabète,
paralysie
tagitante. Depuis trois ans l'épilepsie et le
tante. Depuis trois ans l'épilepsie et le diabète ont disparu. La
paralysie
agitante seule persiste. . TABLEAU VII ASSOCI
tomatique de la maladie de Basedow (Ballet), entre le diabète et la
paralysie
agi- tante (Topinard), entre le diabète et l'hy
s formes d'aliénation mentale les plus diverses, l'alcoo- lisme, la
paralysie
générale, la démence sénile, etc. Mais en cela,
t de la langue accompagnée d'anesthésie de la région affectée et de
paralysie
des nerfs ocu- lomoteurs. A l'autopsie, on a tr
irent, dans la région du plexus brachial droit, des phénomènes de
paralysie
et d'anesthésie, accompagnées de dilatation de la
hia facialis progressiva. Messager de Psychiatrie, 1888. (Russe )
PARALYSIE
radiculaire BRACHIALE TOTALE. 357 BuuM. Ueber H
1890. HOSPICE DE la Salpêtrière. - SERVICE DE M. CHARCOT. CAS DE
PARALYSIE
RADICULAIRE BRACHIALE TOTALE; Par le D' ONANOFF
t plus pour lui. Quoiqu'il en soit, il se produit immédiatement une
paralysie
brachiale tolale, flasque, avec anesthésie part
les mouvemeuts du bras, de l'avant-bras et de Fig. 30. Fig. 31.
paralysie
radiculaire brachiale totale. 359 main sont abs
itait donc d'être rapporté d'un côté, parce que les observations de
paralysies
radiculaires brachiales totales ne sont pas nom
une douzaine; d'un autre côté, parce qu'il parait s'agit ici d'une
paralysie
radiculaire brachiale totale pure. En effet, l'
ulaires brachiales totales depuis les travaux de M. Charcot sur les
paralysies
brachiales hystéro-traumatiques. Il est cepen-
recherches; il est possible qu'on les trouverait également dans les
paralysies
supérieures surve- nant à la suite d'une sectio
ines à la suite d'un névrome occupant le tronc commun de ces deux
paralysie
radiculaire brachiale totale. 361 racines; aprè
début suivie d'un abaissement. Si l'on considère, d'autre part, les
paralysies
hystéro-traumatiques avec anesthésie, on trouve
u- laire observée chez notre malade, et attribuée en général à la
paralysie
du muscle de Mùller. Or, le muscle de 111üller es
re muscles orbitaires de l'oeil, à savoir l'orbitaire inférieur. La
paralysie
n'amènerait donc qu'un déplacement partiel du g
artiel du globe et, pour avoir la rétraction signalée plus haut, la
paralysie
des trois autres serait nécessaire, c'est ce qu
ère paternelle, morte à quatre-vingt-huit ans; pas de démence ni de
paralysie
. Grand-père maternel, mort vers quatre-vingt-ne
ach. Voici des coupes du bulbe d'un individu ayant succombé à une
paralysie
bulbaire. (P. Kronthal.) Au milieu du noyau d'ori
microsco- pique normal. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La
paralysie
générale A Gucrr.; par le Dr PEETERS. (Bztll. de
t ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALB. 403 Sur ces 668 cas de
paralysie
générale, aucun n'a été observé avant l'âge de
ui se comprend aisément, l'âge auquel se développe de préférence la
paralysie
générale étant également celui où l'on est le p
entre le mariage et la folie paralytique. ' G. D. Il. Syphilis ET
paralysie
générale; par le Dr CUYLITS. (BüLi. de la Soc.
iénation quelconque chez l'héréditaire nerveux; ils pro- duisent la
paralysie
générale quand cet héréditaire est syphilitique
ésulte donc de cette conception pathogénique que pour constituer la
paralysie
générale, deux éléments sont nécessaires : l'hé
rien n'autorisait à en supposer l'existence. G. D. IV. NOTE sur la
paralysie
générale D'ORIGINE syphilitique; par le Dr CAMU
ol., février 1891.) La question des rapports de la syphilis avec la
paralysie
gêné* raie est l'ordre du jour : d'un intérêt m
e la question : « La syphilis est-elle un facteur étiologique de la
paralysie
générale ? » Encore ces sta- tistiques ne peuve
lysie générale : quand la syphilis précède de peu le début de la
paralysie
générale et qu'on est naturellement porté à lui a
ellement porté à lui attribuer une influence étiologique réelle, la
paralysie
généialese distingue- t-elle par quelques carac
d, dans lesquelles la syphilis avait précédé d'un an le début de la
paralysie
générale et où la durée de l'affection a été re
1° La lenteur de l'évolution s'observe particulièrement dans les
paralysies
générales que l'on a le plus de raison de considé
EVUE *DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 405 de l'ataxie locomotrice et de la
paralysie
générale vient encore jus- tifier cette opinion
e trophique survenu à titre de symptôme épi- sodique au cours d'une
paralysie
générale. E. B. z VI. Contribution A l'étude DE
d'une paralysie générale. E. B. z VI. Contribution A l'étude DE la
paralysie
générale considérée chez LES arabes; par le Dr
es; par le Dr 1VEILIiON. {Annales médico-psychol., juin 1891.) La
paralysie
générale est-elle, comme on l'a dit, un résultat
proportion de 2,61 p. 200;-d'où cette première conclusion que la.
paralysie
générale est très rare chez les Arabes, ce qui ti
ainsi un ter- r rain pathologique favorable au développement de la
paralysie
, générale. , Il .11 t'I ? > » 1 En résumé
la paralysie, générale. , Il .11 t'I ? > » 1 En résumé : 1° la
paralysie
générale est rare chez les Arabes et. elle revê
ualité de ceux qui en sont atteints est une nouvelle' preuve que la
paralysie
générale est surtout une maladie de la - civili
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , VII. DE LA FRÉQUENCE RELATIVE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE CIIFZ LES laïques ET CHEZ LES religieu
BOUCIIAUD. {Annales médico-psychol, juin 1891.) L'étiologie de la
paralysie
générale est, malgré les documents accumulés, l
x. Une première conséquence tirée par l'auteur de la rareté de la
paralysie
générale chez les religieux est que la nature de
d'aliénation mentale simple. Donc, s'ils sont rarement atteints de
paralysie
générale, cela tient à ce que cette maladie rés
travaux intellectuels excessifs, du surmenage, fournis- ' sent à la
paralysie
générale son plus fort contingent : et pourtant
ent partie des professions libérales sont très rarement atteints de
paralysie
. Les professions libérales ne sont donc pas par
des aliénistes, se trouve confirmée par la statistique, puisque la
paralysie
générale est très rare chez les religieux qui p
ins certain que la syphilis est reconnue comme une des causes de la
paralysie
générale. Or, elle est, c'est bien entendu, exc
qui fait jouer à la syphilis un grand rôle dans la production de la
paralysie
générale, est celle qui se rapproche le plus de
-para- lysie générale. Or, si l'alcoolisme est une des causes de la
paralysie
générale, on comprend que cette sorte d'intoxic
pour ainsi dire pas chez les religieux, il doit en être ainsi de la
paralysie
générale. En somme il résulte des statistiques
e il résulte des statistiques produites que chez les reli- gieux la
paralysie
générale est excessivement rare et il ne semble
teurs qui contribuent le plus efficacement au développe- ment de la
paralysie
générale. E. B. VIII. Observation DE folie ÉROT
orce centrifuge. Conclusions : Dans l'état actuel de la science, la
paralysie
générale a pour substratum primitif une lébion
mes de l'hystérie avec la gliose spinale, la syphilis cérébrale, la
paralysie
faciale périphé- rique. En revanche l'hystérie
qui ne sont pas encore totalement détruites. P. K. XIX. UN cas DE
paralysie
DE PLUSIEURS NERFS crâniens ; par E. Mindel. (N
IEURS NERFS crâniens ; par E. Mindel. (Neurol. centralbl., 1890.)
Paralysie
du facial et de l'oculomoteur communs d'un côté;
t par se réunir en une surface commune. M. ZACFIER. - Deux cas de
paralysie
générale aiguë. La première observation concern
un stade de mélancolie prodomique de plusieurs mois, fut atteint de
paralysie
générale qui évolua en quatre semaines. Chez l'
sie générale qui évolua en quatre semaines. Chez l'autre malade, la
paralysie
géné- rale dura environ deux mois et demi. Dans
res SOCIÉTÉS SAVANTES. 417 myéliniques. Il existe donc des cas de
paralysie
générale ayant pour substratum anatomique primi
suspension. Cette méthode a été appliquée à 23 malades affectés de
paralysie
générale (11 observ.) de vésanies avec hallucin
te, les forces diminuent. Deux paralyti- ques furent atteints d'une
paralysie
du nerf péronier, l'excitabilité électrique sub
citabilité électrique subit peu de changement, et d'ailleurs, cette
paralysie
rétrocéda; la suspension ne modifia en rien l'é
Discussion.- M. Richter redoute l'emploi de la suspension dans la
paralysie
générale. - M. l\IOELI. Quels que soient les al
u 14 juillet 1890. - Présidence DE NI. SANDER. M. MENDEL. Un cas de
paralysie
de plusieurs nerfs crâniens. Voy. Neurol. Centr
DE M. SaNDeR. M. REMAK communique à la Société l'Observation d'une
paralysie
bulbaire chez une fillette de douze ans. Evolut
891. 426 SOCIÉTÉS savantes. Discussion. M. BanIVnnnnT rappelle la
paralysie
bulbaire de l'enfance constatée par Berger sur
qu'il range ainsi par ordre de bénignité criminelle décroissante :
paralysie
générale, infériorités cérébrales (imbécillité,
urtout à propos d'une observation de M. Déjerine, ayant trait à une
paralysie
par névrite périphérique survenue chez un tabét
antécédents pathologiques de l'aliéné n'est pas moins importante (
paralysie
générale, épilepsie, etc.). Mais c'est surtout lo
rédacteur-gérant, Bourneville. TABLE DES MATIÈRES Alcoolisme 'et
paralysie
générale, par liousset, 233 ; Magnan, 23'F ;
opiques ho- monymes, par Peterson, 290 ; z Polynévrite à forme de
paralysie
générale spinale antérieure subai- guë et rap
Mutisme mélancolique, pathogénie du -, par Séglas, 267. Nerfs,
paralysie
de plusieurs - crdr : iens, par Mendel, 4l1 ; -
BUR commun, nouveau groupe cellulaire de l ? par Vestphal 269 ; -
paralysie
de l ? par UhthotI, 270. OEIL, chez les alién
l ? par UhthotI, 270. OEIL, chez les aliénés, par Royer, 261 ;
paralysie
progressive des mus- cles de l ? par Westphal,
400. Ostéomalacie dans l'aliénation men- tale, par Wagner, 408.
Paralysie
, bulbaire, par Remak, 275, 125; - radiculaire d
possible de mettre ces lésions sur le compte de l'anesthésie et de la
paralysie
motrice, par suite des-quelles l'animal reste con
La découverte des nerfs vaso-moteurs et des effets que déter-mine la
paralysie
de ces nerfs ne devait pas modifier essentielle-m
t des raci-nes de la grosse portion du trijumeau, il n'y avait pas eu
paralysie
complète de la partie sensible du nerf, car la. s
uelques exemples ? Celles-ci sont-elles dues à une irritation ou à la
paralysie
des nerfs vaso-moteurs? Ou bien dépendent-elles d
.'t pari . 2. Duménil. — Contributions pour servir à l'histoire des
paralysies
périphé-riques, spécialement de la névrite. In Ga
lité électrique, suivies d'atrophie rapide des muscles dans le cas de
paralysie
rhumatismale du nerf facial et de lésions irritat
la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs :
paralysie
infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte
blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte,
paralysie
générale spinale ('Duehenne, de Boulogne), atroph
que de grands progrès ont été accomplis dans l'histoire clinique des
paralysies
sous l'influence des tra-vaux de M. Duehenne (de
que d'un examen fait à l'œil nu. Au rapport de M. Schiff, lorsque la
paralysie
consécutive à la section du nerf, date de loin, l
loc. cit., p. 175. 3. Vulpian, loc. cit., p. 246. —Dans les cas do
paralysie
consécutive à lasec-tion des nerfs, outre l'atrop
s en premier lieu les phénomènes qui ont été observés dans les cas de
paralysie
périphérique du nerf facial et, en particulier, l
ralysie périphérique du nerf facial et, en particulier, lorsque cette
paralysie
résulte de l'impression du froid (paralysie rhuma
articulier, lorsque cette paralysie résulte de l'impression du froid (
paralysie
rhumatismale, a frigore). M. Duehenne (de Boulogn
le début de l'affaiblissement de la contractilité électrique dans la
paralysie
rhumatismale du nerf facial, et le terme assigné
de l'assertion de M. Duchenne. Tout récemment encore, dans un cas de
paralysie
rhumatismale du nerf facial, M.le Dr Erb, ayant é
ontraction. Le même phénomène s'observe communément dans les cas de
paralysie
périphérique du nerf facial autres que ceux qui d
res que ceux qui dépeudent de l'impression du froid et aussi dans les
paralysies
traumatiques des nerfs et des membres.Ces dernièr
le dixième ou même dès le cinquième jour, dans les muscles frappés de
paralysie
(3). L'observation clinique démontre, vousnel'i
uin 1870, p. 298. 3. Duchenne (de Boulogne), loc. cit. Obs.,p. 191.
Paralysie
, suite de luxation scapulo-humérale, — Obs., p. 1
. 191. Paralysie, suite de luxation scapulo-humérale, — Obs., p. 193.
Paralysie
, suite de contusion du nerf cubital. règle géné
ge de cette dernière. Le 22 mars 1867, il se développe subitement une
paralysie
presque complète du nerf facial gauche. La paraly
e subitement une paralysie presque complète du nerf facial gauche. La
paralysie
est surtout prononcée au muscle frontal. La contr
té pour la première fois par Baierlacher, en 1859 (1), dans un cas de
paralysie
faciale, aété observé depuis dans les mêmes circo
été observé depuis dans les mêmes circonstances ou dans divers cas de
paralysies
consécutives à la lésion traumatique des nerfs mi
(3), Ziemssen (4), Rosenthal(5), Meyer (6), par Briickner(7), dans la
paralysie
pseudo-hyperfrophique, et par Hammond, enfin, dan
ns la paralysie pseudo-hyperfrophique, et par Hammond, enfin, dans la
paralysie
infantile. Un voit d'après cela que le galvanis
vanisme pourrait accuser encore des contractions dans bien des cas de
paralysie
, soif rhumatismale, soit traumatique, où l'explor
a valeur; il permettrait toujours de maintenir le contraste entre les
paralysies
par lésions des nerfs que nous offre ordinai-reme
ar lésions des nerfs que nous offre ordinai-rement la clinique et les
paralysies
qu'on détermine chez l'ani- 1. Baierlacher. — B
ant d'en déterminer l'apla-tissement complet. Il n'est pas jusqu'à la
paralysie
dite rhuma-tismale ou à frigore du nerf facial qu
issement ou la perte de la contractilité est, vous le savez, après la
paralysie
motrice qui, dans la grande majorité des cas, ouv
lle épinière, telles quel'hématomyélie, la myélite aiguë centrale, la
paralysie
infantile, affections dans lesquelles lalésion in
n nerf, ne saurait être rattachée tout entière à l'alté- 1 Dans les
paralysies
consécutives aux lésions traumatiques des nerfs m
nsidérer ces lésions comme la conséquence plus ou moins directe d'une
paralysie
des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralys
ins directe d'une paralysie des nerfs vaso-moteurs concomitante de la
paralysie
des nerfs moteurs musculaires. Parmi les argument
ous nous bornerons à faire ressortir que les signes nécessaires de la
paralysie
vaso-motrice, — la réplétion des vaisseaux sangui
ez les sujets qui, à la suite de la lésion d'un nerf, présen-tent une
paralysie
avec diminution rapide de la contractilité électr
es rappellent absolument celles qu'a signalées M. Erb dans les cas de
paralysie
faciale qu'il a observés chez l'homme. C'est da
je l'ai fait voir (i), d'après ce méca-nisme, que les symptômes de la
paralysie
générale spinale ou de l'amyotrophie progressive
-trique, survenant hâtivement dans les muscles des membres frappés de
paralysie
, est un symptôme qui paraît constant. Il a été co
nage immédiat des cornes antérieures de la substance grise (1 ). La
paralysie
infantile spinale est, quant à présent, le type l
uit à admettre, comme une hypo-thèse très vraisemblable, que, dans la
paralysie
infantile spi-nale, un travail d'irritation surai
sur certains muscles, cinq ou six jours à peine progressive, de la
paralysie
infantile, de la myélite aiguë centrale, et en gé
rk, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules nerveuses motrices dans la
paralysie
infantile, consultez : Prévost, in Comptes vendus
e la Société de Biologie, 1866, p. 215 . — Charcot et Joffroy. Cas de
paralysie
infantile spinale, avec lésions des cor-nes antér
son pro-nostic est certainement moins sombre (2). Relativement à la
paralysie
spinale deVadulte etklpara-lysie générale spinale
tachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses motrices. La
paralysie
spinale de l'adulte rappelle celle de l'enfance p
ment des par-ties non encore affectées, distinguent, au contraire, la
paralysie
générale spinale et larapprochent de l'atrophie m
ne partie d'un membre sont frappés en masse, presque uniformément, de
paralysie
ou d'atrophie; ils présentent, déjà, aune époque
des faits, aujourd'hui en certain nombre, empruntés à Thistoire de la
paralysie
labio-glosso-laryngée et de la sclérose en plaque
utifs aux altérations de la moelle épinière. Dans la pathogénie de la
paralysie
infantile et des diverses formes de l'amyotrophie
sions cérébrales en foyer. Il se manifeste sur les membres frappés de
paralysie
, principalement à la région fessière ; son import
can, une éruption de zona apparut sur la cuisse du côté paralysé ; la
paralysie
motrice était surve-nue à peu près en même temps
question suggère à l'auteur : « Une circonstance curieuse, liée à la
paralysie
des extrémités inférieures, est bien mise en reli
a suite des blessures de ce genre, il se produit chez les animaux une
paralysie
du mouvement dans le membre inférieur du côté où
et il offre de plus une élévation notable de la température liée à la
paralysie
vaso-motrice. Le membre du côté opposé à la lésio
érale gauche de la moelle épinière. Il seproduisit immédiate-ment une
paralysie
du mouvement qui, d'abord étendue aux deux membre
sur une moitié latérale de la moelle épinière à la région dorsale, la
paralysie
du mouvement survenir dans le membre inférieur co
16 février, au matin, on note ce qui suit : Membre inférieur gauche :
paralysie
complète du mouvement. Le membre est dans la flac
vait remarqué que les mouvements imprimés au genou gauche (côté de la
paralysie
motrice) étaient un peu douloureux ; au-jourd'hui
la troisième paire dorsale.Lejour môme de l'accident, on constate une
paralysie
complète et une hypéresthésie du membre inférieur
était ammoniacale. Le malade succomba dix jours après le début de la
paralysie
. A l'autopsie, on reconnut, après un examen atten
de faits. L'eschare a été signalée dès le oe jour après le début delà
paralysie
dans un cas rapporté par M. Duckworth (2), le 6e
rejeter au se-cond plan l'influence de la pression, celle aussi de la
paralysie
vaso-motrice, qui peut faire complètement défaut,
es. C'est ainsi que l'eschare sacrée fait généralement défaut dans la
paralysie
infantile spinale et dans la paralysie spinale de
it généralement défaut dans la paralysie infantile spinale et dans la
paralysie
spinale de l'adulte, affections qui sont caractér
venir le siège d'une arthro-pathie subaigë chez une femme atteinte de
paralysie
consécutive au mal de Pott. Ce fait a été consign
nchement intra-articulaire, occupant l'un des genoux, au moment où la
paralysie
commençait à envahir les membres inférieurs (1).
sur-tout : 1° Leur limitation aux jointures des membres frappés de
paralysie
; 2° L'époque en général déterminée à laquelle el
ncipalement du déplacement des surfaces articulaire occasionné par la
paralysie
des muscles qui enveloppent la jointure. 1. Cha
d: observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre de la
paralysie
vaso-motrice: elles doivent former une catégorie
iff n'hésite pas à les considérer comme les effets très simples de la
paralysie
des nerfs vaso-moteurs. Je suis,pourmon compte,
Ollier. — Journal de physiologie, t. VI, p. 108. par le fait de la
paralysie
des vaso- moteurs, sous l'influence du plus léger
mène fait défaut; il en est ainsidanslamyélitepartielle(2),et dans la
paralysie
infantile (3), il en est de même dans les cas à é
reconnaissaient en réalité pour origine l'hypérémie consécutive à la
paralysie
des nerfs vaso-moteurs. L'hypérémie neuro-paral
hare fessière occupe précisément le côté du corps qui, en vertu de ia
paralysie
motrice, présente une élévation relative de la te
aso-moteurs peut rendre compte des phénomènes que n'expli-quentpas la
paralysie
de ces mômes nerfs. Prenons d'abord l'irri-tation
la théorie, que la para-lysie vaso-motrice. Or, s'il est vrai que la
paralysie
vaso-mo-trice, alors même qu'elle est poussée trè
trophiques, il ne saurait évidemment en être autrement de cette même
paralysie
produite sous l'influence de l'excitation des dil
A. Biesadecki. — Stri-cker's Handbuch, p. 595. » DEUXIÈME PARTIE
Paralysie
agitante et sclérose en plaques disséminées. CI
gitante et sclérose en plaques disséminées. CINQUIÈME LEÇON De la
paralysie
agitante. Sommaire. — Du tremblement en général
n de M. Gubler. — Le tremblement d'après Galien. — Indépendance de la
paralysie
agitante et de la sclérose en plaques. — Recherch
Travaux français : MM. G. Sée, Trousseau, Charcot et Vulpian. — La
paralysie
agitante prend droit de domicile dans les traités
e domicile dans les traités classiques. Caractères fondamentaux de la
paralysie
agitante. — C'est une maladie de la seconde pér
t. — Sensation habituelle de chaleur excessive. — Température dans la
paralysie
agitante. — Influence de la nature des convulsion
; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques. — Durée de la
paralysie
agitante. Résultats nécroscopiques. —Inconstanc
gitante. Résultats nécroscopiques. —Inconstance des lésions dans la
paralysie
agitante: fixité des lésions dans la sclérose en
hériques. — Causes prédisposantes. — L'âge joue un certain rôle: la
paralysie
agi-tante se montre plus tard que la sclérose en
tions qui doivent faire l'objet de nos premières études cliniques, la
paralysie
agitante et la sclé-rose en plaques disséminées,
ons à faire valoir, ainsi que vous le reconnaîtrez par la suite. ha
paralysie
agitante, qui nous occupera tout d'abord et dont
uvrage intitulé : Essay on the shaking Palsy. Depuis cette époque, la
paralysie
agitante a été maintes fois mentionnée en Anglete
chorée, réu-nit dans un tableau succinct les principaux traits de la
paralysie
agitante. Trois ans plus fard, M. Vulpian et moi
s,nous avons tracé une histoire assez complète, pour l'épo-que, de la
paralysie
agitante. A partir de là, cette maladie acquier
pe nullement à ce reproche, il existe une confu-sion absolue entre la
paralysie
agitante et la sclérose en pla-ques . La ligne de
ctères sur lesquels je vais insister. CARACTÈRES FONDAMENTAUX DE LA
PARALYSIE
AGITANTE. La paralysie agitante,dégagée,Messieu
is insister. CARACTÈRES FONDAMENTAUX DE LA PARALYSIE AGITANTE. La
paralysie
agitante,dégagée,Messieurs, des éléments étran-
. II, p. 184. Art. Paralysis agi-tans, par W.-R. Sanders. 2. Sur la
paralysie
agitante et la sclérose en plaques généralisées.
me, viennent encore appuyer notre opinion à savoir que, jusqu'ici, la
paralysie
agitante ne reconnait aucune lésion matérielle dé
citer d'assez nombreux exemples du même genre. Les symptômes de la
paralysie
agitante n'ont pas tous une égale valeur. Le plus
mi les symptômes les plus importants de la maladie. La marche de la
paralysie
agitante est lente, progressive. Sa durée est lon
ide. Tels sont. Messieurs, les caractères les plus généraux de la
paralysie
agitante. Mais, afin de mieux vous faire saisir l
anière dont se fait le début. Les observations nous apprennent que la
paralysie
agitante se développe tantôt lentement, progressi
qui, ultérieurement, a été affecté de douleurs et de tremblement. La
paralysie
agitante qui éclate de cette façon se comporte d'
t, de un à deux ou trois ans environ. C. Période d'état. Lorsque la
paralysie
agitante a acquis son parfait développement, le t
des particularités qui appartiennent en propre au trem-blement de la
paralysie
agitante; je ne crois pas qu'on les ren-contre da
tomatologie delà sclérose en plaques disséminées, n'existepas dans la
paralysie
agitante. Les muscles de la mâchoire, eux non plu
nc lui-même est pres- Fig. 8. — Attitude habituelle dans les cas de
paralysie
agitante un peu pronon-cée. — Attitude d'une main
ile, pour peu que l'on soit pré-venu. Il n'y a pas, en effet, dans la
paralysie
agitante, la tuméfaction et la rigidité articulai
Tous ces symptômes suffisent pour démontrer qu'on a affaire,ici à la
paralysie
agitante. Cependant, el bien que la maladie remon
uis trois mois. On voit, par là, qu'il est possible de reconnaître la
paralysie
agitante en l'absence même du tremblement. (B). —
montre ou ne s'accuse profondément que dans les phases avancées de la
paralysie
agitante. Or, lorsqu'elle commence à se manifeste
Ann Phillips, âgée de 47 ans, chez laquelle tous les symptômes de la
paralysie
agitante existaient, moins le tremblement, qui es
Un mot encore sur la démarche particulière aux malades at-teintes de
paralysie
agitante. Vous avez vu quelques-unes de nos malad
cinq personnes du même âge que nos malades, on constate que, dans la
paralysie
agitante, loin d'être conservée, la force dynamom
hez deux de nos malades, à une période relativement peu avancée de la
paralysie
agitante, que chez la plus ancienne. Dans ces tro
figurent dans le tableau symptomatologique de maladies autres que la
paralysie
agi-tante, dans certaines lésions du cerveau, par
dernier cas, ils sont liés sou-vent aux vertiges, tandis que dans la
paralysie
agitante les mouvements de propulsion ou de rétro
t pas, Messieurs, les seuls qui méritent de fixer votre attention. La
paralysie
agitante n'est pas seulement une maladie des plus
-Alexandre. Getle femme est parvenue à une période plus avancée de la
paralysie
agitante que les deux malades citées dans les not
des impres-sions sensitives cutanées n'est nullement altérée dans la
paralysie
agitante. Le froid, le chaud, le plus léger frôle
générales que le sont celles qui se manifestent dans certains cas de
paralysie
agi-tante ne pas donner lieu pourtant à une accum
tions thermométriques, que nous avons plusieurs fois répétées dans la
paralysie
agi-tante et dans quelques cas de chorée avec agi
e (1). A ce propos, il serait intéressant de rechercher si, dans la
paralysie
agitante, de même que cela a lieu, d'après M. Ben
de ces analyses que l'excrétion des sulfates serait di-minuée dans la
paralysie
agitante, contrairement à l'opinion avancée par M
pneumonie ; j'ai noté la même chose chez plusieurs sujets atteints de
paralysie
agitante. Cette complication tient-elle à l'habit
35.) (B.) N'oublions pas, Messieurs, que, d'une façon générale, la
paralysie
agitante est une des affections graves du système
j'ai insisté avec minutie sur la description symptomatolo-gique de la
paralysie
agitante, c'est qu'elle constitue, encore aujourd
es pratiquéesjusqu'à présent chez des indi-vidus supposés atteints de
paralysie
agitante, sont susceptibles d'être rangées en tro
nsignés dans les auteurs. J'ai observé, pour mon compte, trois cas de
paralysie
agitante bien caractérisée, dans lesquels les rés
ques auteurs, Bamberger, Lebert, Skoda, par exemple, sous le titre de
paralysie
agitante et dans lesquelles ont été rencontrées d
ont les cas de Bamberger, Lebert, Skoda. S'agissait-il vraiment de la
paralysie
agitante ou avait-on sous les yeux le tableau cli
idérations qui précèdent vous montrent,Messieurs, que la lésion de la
paralysie
agitante est encore à trouver (1). La physiolog
instant sur ce sujet, j'ai hâte de terminer l'histoire clinique de la
paralysie
agitante, en vous exposant ce que nous savons rel
son,mais même d'un amendement sérieux dans un cas bien authentique de
paralysie
agitante. Etiologie. A. Parmi les causes extéri
ticisme sous ce rapport. Des femmes de la Salpêtrière, atteintes de
paralysie
agitante interrogées par nous, beaucoup ont vu le
mi les faits pathologiques qu'il cite, trois paraissent relatifs à la
paralysie
agitante (2 femmes âgées, l'une de 51 ans et l'au
passée sous si-lence par la plupart des médecins qui ontécrit sur la
paralysie
agitante,à savoir Y irritation de certains nerfs
elle qui nous autorise à douter qu'il se soit agi, dans ce cas, de la
paralysie
agitante. La femme d'un de nos confrères de la
rapprocher du fait précédent celui d'une sage-femme atteinte aussi de
paralysie
agitante. Cette malade que j'ai observée à la Sal
r en revue. Relativement à Yâge, nous devons faire remarquer que la
paralysie
agitante n'estpas, ainsi qu'on l'a avancé, une ma
ulogne) (1).—hesexene paraît exercer au-cune action pathogénique : la
paralysie
agitante est aussi com-mune chez l'homme que chez
vation d'une jeune fille du service de M. Sircdey qui l'ut frappée de
paralysie
agitante à l'âge de 15 à 16 ans. « Vers la fin du
, viendraient à l'appui de cette opinion. Mais même dans ces pays, la
paralysie
agitante n'est pas très commune. M. Sanders, dans
de Galles, et s'étendant de 1855 à 1863, a relevé 205 cas de mort par
paralysie
agitante, c'est-à-dire en moyenne par an (14 homm
e. Un mot, en terminant, Messieurs, sur les moyens thérapeutiques. La
paralysie
agitante guérit quelque-fois, cela est incontesta
a vu également un de ses malades guérir. Ces citations montrent quela
paralysie
agitante n'est pas incurable. Mais nous devons re
geux, dit-on, dans la chorée, seraient demeurés impuissants contre la
paralysie
agitante ; c'est du moins ce qui ressort de la pr
de camphre chez deux malades du service de M . Charcot, atteintes de
paralysie
agitante de-puis plusieurs années. Dans les premi
on, je vous ai cité comme exemple de tremblement dupremier groupe, la
paralysie
agitante dont je vous ai tracé l'histoire. Chem
l'écriture : caractères qui le font distinguer du trem-blement de la
paralysie
agitante, de la chorée, de la paralysie générale
tinguer du trem-blement de la paralysie agitante, de la chorée, de la
paralysie
générale et de l'incoordination motrice de l'atax
ste, fit le visiteur. Il y a en outre de la chorée ou peut-être de la
paralysie
agitante. » Le malade fut ensuite interrogé. Il r
plus complexes. Voici maintenant des symptômes qui appartiennent à la
paralysie
générale. N'allons pas plus loin ; votre malade r
mplet, de la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. C. La
paralysie
agitante estsurtout la maladieavec laquelle cette
alors notre élève, à oppo-ser dans un parallèle cette affection à la
paralysie
agitante, afin de mieux faire ressortir les contr
faire ressortir les contrastes (1). On sait commentM. Or- 1. Sur la
paralysie
agitante et la sclérose en plaques généralisées.
d'un cas observé à la cliniquede Skoda, cas dans lequel le diagnostic
Paralysie
agitante avait été porté pendant la vie et que, à
e relevé, que le tremblemen t, con trairement à ce qui a lieu dans la
paralysie
agi-tante ordinaire, ne se montrait que lors des
). Pendan l la vie, le professeur liasse avait établi le diagnostic :
paralysie
agitante et néanmoins on insiste, dans la descrip
vais entrer à ce propos dans quelques détails. Le tremblement de la
paralysie
agitante existe aussibienà l'état de repos des me
ureuse estplongée dans un sommeil profond. 11 est des cas où, dans la
paralysie
agitante, le tremblement se montre seulement par
e à votre observation, ce carac-tère particulier du tremblement de la
paralysie
agitante. Vous observerez en outre, chez ces deux
emblement delà tête me paraît être un fait à peu près général dans la
paralysie
agitante : j'ajouterai que, dans cette affection,
plaques a été quelquefois désignée sous les noms de chorée rythmique,
paralysie
choréiforme. Il est toujours facile cependant d
'ai vue ridée à sa surface, comme cela s'observe dans certains cas de
paralysie
labio-glosso-laryngée avec atrophie des muscles l
le se rapproche, à beaucoup d'égards, du symptôme correspondant de la
paralysie
générale progressive. Je crois même que, dans bie
rcon-stance que, dans la sclérose multiloculaire, de même que dans la
paralysie
générale, l'émission des mots est parfois précédé
de la circulation etmême de la respiration. Ce sont là des symptômes ^
paralysie
bulbaire progressive qui doi-vent donner l'éveil
us inté-ressant qu'il u'appartient ni à l'ataxie locomotrice, ni à la
paralysie
agitante et qu'il peut, par conséquent, aider au
s occu-pations ; mais un jour vient enfin où, par l'aggravation de la
paralysie
motrice, ils peuvent être confinés au lit. Les me
. —Considérations générales sur les attaques apoplecti-formes dans la
paralysie
générale et dans les cas de lésions cérébrales en
en plaques. —Première, seconde et troisième périodes. — Symptômes de
paralysie
bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclér
fois plusieurs points de l'axe cérébro-spinal, en particulier dans la
paralysie
générale progressive. C'est même dans cette derni
u'elles peuvent revêtir. Aussi la description de ces attaques dans la
paralysie
générale progres-sive a-t-elle motivé de nombreus
iculées descendantes. Entre ces lésions partielles du cerveau et la
paralysie
géné-rale progressive, il semble au premier abord
ons de M. Magnan et celles de M. Wesl-phal ont fait voir que, dans la
paralysie
générale, aux lésions de la périencéphalite se su
. Wesfphal dans les attaques épileptiformes et apoplecfi-formes de la
paralysie
générale progressive; je les ai retrou-vées dans
y avait atrophie générale, rigidité et raccourcissement des membres,
paralysie
, ainsi que cela se voit généralement en pareil ca
comportent exactement dans la sclérose multilo-culaire, comme dans la
paralysie
générale progressive et dans les cas de lésions
e du corps, dans les attaques apoplectiformes et épileptiformes de la
paralysie
générale et de quelques autres affections cérébro
yélite centrale subaiguë ou chronique qui produit les symptômes de la
paralysie
générale spinale. Mais je ne veux pas m'arrêter
r d'une manière toute spéciale, l'apparition de quelques symptômes de
paralysie
de bulbaire, parce qu'ils sont capables, en s'agg
augmenté d'intensité et, de plus, il s'y est ajouté des symptômes de
paralysie
bulbaire. Ceux-ci se sont aggravés assez rapideme
e de six à dix années (1) ; cela établit un nouveau contraste avec la
paralysie
agitante dont la durée normale est beaucoup plus
bientôt, de l'exis-tence à peu près constante de la parésie ou de la
paralysie
des membres, suivis tôt ou tard de contracture pe
ng espace de temps qui s'écoule avant l'époque où ils font place à la
paralysie
complète et à la contreture permanente. B. Ce q
ns. Elle mourut à l'âge de 14 ans et demi. Bésumé : nystagnms léger :
paralysie
faciale droite; a taxi e très prononcée des extré
dre l'ischurie calculeuse et l'ischurie hystéri-que . Observation. —
Paralysie
et contracture hystériques. — Hémianesthésie com-
te de M. Lebreton (1). 1. Lebreton. —Des différentes variétés de la
paralysie
hystérique. Thèse de Paris, 1868. J'éprouve que
ieur qu'à l'inférieur et s'accompagnant de flacci-dité. A la face, la
paralysie
affecte d'ordinaire le buccinateuret l'orbiculair
es ; le plus souvent aussi la langue est tirée du côté paralysé. A la
paralysie
du mouvement se surajoute une paralysie des nerfs
tirée du côté paralysé. A la paralysie du mouvement se surajoute une
paralysie
des nerfs vaso-moteurs qui se traduit par une élé
aque suivie d'hémiplégie, le 25 octobre 1851. Deux mois plus tard, la
paralysie
des extrémités disparut, de telle sorte que le ma
se de la moitié correspondante du corps. Au bout de cinq semaines, la
paralysie
motrice diminua.—Sfév. 1853. Les mouve-ments sont
la secousse clonique de la chorée, tantôt celles du tremblement de la
paralysie
agitantee tremblementliémila-téral se montre quel
, et i l commence à apparaître, dans ce dernier cas, à l'époque où la
paralysie
motrice commence à s'amender. La lésion consiste
u'elle est, même en l'absence des convulsions. L'hémianesthésie, la
paralysie
, la contracture, les points douloureux fixes, s
plupart des symptômes permanents del'hystérie, tels que contracture,
paralysie
, hémianesthé-sie, etc. ; mais elle a une action s
ade voit des animaux effrayants, des squelettes, des spectres; 2° une
paralysie
de la vessie ; 3° une paralysie du pharynx ; 4°en
des squelettes, des spectres; 2° une paralysie de la vessie ; 3° une
paralysie
du pharynx ; 4°enfin, une contracture permanente
vez que cettemême.trépida-tionfse rencontretrèsjhabituellementdans|la
paralysie
avec con-tracture, liée à une lésion organique sp
n sur le tremblement particulier qui, chez certains sujets atteint de
paralysie
ou seule-ment de parésie des membres intérieurs,
n Berliner Klin. Woschenschrift. 1875, n° 26.) Dans quelques cas de
paralysie
des membres supérieurs, lorsqu'il s'agit par exem
l'a montré M. Brown-Séquard, occuperait le côté du corps opposé à la
paralysie
motrice. 3° Nous axions à relever encore bien d
iigen, 1869), on devrait à M. Althaus d'avoir signalé l'absence de la
paralysie
faciale et de la déviation de la bouche et de la
vait, lui aussi, être invoqué en faveur de l'origine hystérique de la
paralysie
. Ainsi, tandis que le membre supérieur était dans
ir ? Qu'adviendra-t-ilde ces malades ? Depuis deux ou trois ans, la
paralysie
avec la contracture a persisté, chez elles, sans
saint Louis),et dans lequel on trouve l'histoire de plusieurs cas de
paralysie
guérie gauche. Finalement, les seuls vestiges d
présenta à minuit, dans le bras gauche, où l'on avait constaté de la
paralysie
, mais pas d'insensibilité, des soubresauts modéré
t-à dire dans les conditions où se manifestent très ordinairement les
paralysies
et les con-tractures, les mouvements choréiformes
initivement cessé. (B.) APPENDICE APPENDICE i. Observation de
paralysie
agitante. (Voir la Planche I, qui représente l'
I, qui représente l'attitude caractéristique des malades atteints de
paralysie
agitante) Antécédents. — Cause probable de la p
atteints de paralysie agitante) Antécédents. — Cause probable de la
paralysie
agitante. — Début : faiblesse qui envahit success
veuse, s'emportait tacitement, mais n'avait pas de trem-blement ni de
paralysie
. Sa sœur unique est morte d'une pleu-résie à 40 a
té assez vive. (B.) Du tremblement dans la maladie de Parkinson. (
Paralysie
agitante). M. Charcot a consacré une bonne part
rcot a consacré une bonne partie de sa leçon du 19 novembre 1876 à la
paralysie
agitante en insistant toute-fois plus particulièr
t d'abord, M. Charcot s'est attaché à montrer que la dé-nomination de
paralysie
agitante est impropre. 11 est, en effet, singulie
gitante est impropre. 11 est, en effet, singulier de donner le nom de
paralysie
à une affection dans laquelle, pendant longtemps,
elle, pendant longtemps, la force musculaire est con-servée. Le mot «
paralysie
», outre qu'il n'est pas justifié, a encore l'inc
cultés intellectuelles. Le qualificatif « agitante » ajouté au mot «
paralysie
» n'est pas non plus absolument exact — au moins
elle. On sait que M. Charcot s'est efforcé de séparer nettement la
paralysie
agitante d'une autre maladie, très intéressante,
orsqu'il compare le tremblement dans la sclérose en plaqueset dans la
paralysie
agitante, M. Charcot s'exprime ainsi à ce sujet à
arcot s'exprime ainsi à ce sujet à propos de deux femmes atteintes de
paralysie
agitante : « Vous observerez, en outre, que che
mblement de la tête me paraît être un fait à peu près général dans la
paralysie
agitante. (Loc. cit., p. 203). L'opinion de M.
it et ontavancé que les oscillations rythmiques, dans certains cas de
paralysie
agitante, portent également sur Vextrémité céphal
phalique. (Voir Mouv. Méd., 6 mai.) Il faut donc répéter que, dans la
paralysie
agitante, les mouvements qui animent quelquefois
ez M. R____ tous les autres caractères assignés par M. Charcot à la
paralysie
agitante étaient présents et avaient acquis une i
e- loppement des phénomènes d'hystérie locale. II. Traumatisme et
paralysie
agitante ». 1. On sait que certaines affections
parut brusquement en même temps que la douleur ; il était survenu une
paralysie
complète portante la fois sur le sentiment et sur
omènes qui viennent d'êtres décrits, à savoir : l'hémia-nesthésie, la
paralysie
, l'ovarie, les spasmes divers, etc., persis-taien
eut, toutefois, être à son tour remplacée par une parésie ou même une
paralysie
avec résolution des muscles. Ces accidents, dév
au groupe provisoire des névroses. C'est le cas, par exemple, pour la
paralysie
agitante ou maladie deParkinson. M. Charcot a r
2 ans, présente depuis 4 ans environ, les symp-tômes classiques de la
paralysie
agitante limitée au côté droit du corps. Contrair
ations vulgaires. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I
paralysie
agitante Attitude d'une malade atteinte de para
PLANCHE I paralysie agitante Attitude d'une malade atteinte de
paralysie
agitante (1874). (Voir l'observa-tion de celte ma
snier, Editeurs, Charcot. Œuvres complètes, t. i. SU PLANCHE II
PARALYSIE
AGITANTE Attitude de la même malade en 1879.
lité électrique, suivies d'atrophie rapide des muscles dans Je cas de
paralysie
rhumatismale du nerf facial et de lésions irritat
la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs :
paralysie
infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte
blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte,
paralysie
générale spinale (Duchenne, de Boulogne), atrophi
sions cérébrales en loyer. Il se manifeste sur les membres frappés de
paralysie
, principalement à la région fessière ; son import
: observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre cle la
paralysie
vaso-motrice; elles doivent former une catégorie
es. —Conclusions....................... 125 CINQUIÈME LEÇON dé la
paralysie
agitante. Sommaire. — Du tremblement en général
n de M. Gubler. — Le tremblement d'après Galien. — Indépendance de la
paralysie
agitante et de la sclérose en plaques. — Recherch
Travaux français: A1M. G. Sée, Trousseau, Charcot et Vulpian. — La
paralysie
agitante prend droit de domicile dans les traités
e domicile dans les traités classiques. Caractères fondamentaux de la
paralysie
agitante. — C'est une maladie delà seconde péri
t. — Sensation habituelle de chaleur excessive. — Température dans la
paralysie
agitante. — Influence de la nature des convulsion
; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques. — Durée de la
paralysie
agitante. Résultats nécroscopiques. — Inconstan
itante. Résultats nécroscopiques. — Inconstance des lésions dans la
paralysie
agitante: fixité des lésions dans la sclérose en
hériques. — Causes prédisposantes. — L'âge joue un certain rôle: la
paralysie
agi-tante se montre plus tard que la sclérose en
l'écriture : caractères qui le font distinguer du trem-blement de la
paralysie
agitante, de la chorée, de la paralysie générale
tinguer du trem-blement de la paralysie agitante, de la chorée, de la
paralysie
générale et de l'incoordination motrice de l'atax
— Considérations générales sur les attaques apoplecti-formes dans la
paralysie
générale et dans les cas de lésions cérébrales en
n plaques. —Première, seconde et troisième périodes. — Symptômes de
paralysie
bulbaire. — Des formes et de la durée de la scl
ntre l'ischurie calculeuse et l'ischurie hystéri-que. Observation. —
Paralysie
et contracture hystériques. — Hémianesthésie com-
................................. 386 APPENDICE I. Observation de
paralysie
agitante................................ 409 IL
érie locale ................................ 449 II. Traumatisme et
paralysie
agitante.......................... 457 VIII. Re
-laires consécutives aux affections du - . 72. — Lésions du — dans la
paralysie
agitante, 182 ; — dans la sclérose en plaques, 19
e des grandeurs dans la sclé-rose en plaques, 238. Démarche dans la
paralysie
agitante, 175. Diplopie dans la sclérose en pla
Douleurs fulgurantes fPathogénie des), 78. Dynamométrie clans la
paralysie
agi-tante, 163, 174. E Ecchymoses viscérales
dans les lésions spinales, 127. Ecriture (Spécimens de 1') dans la
paralysie
agitante, 167, 421 ; — dans la sclérose en plaque
5, 58 ; — dans la sclérose en plaques, 241. Fève de Calabar dans la
paralysie
agitante, 187 ; — dans la sclérose en plaques, no
04. — Relations entre l'hémianesthésie, l'hyperesthésie ovarienne, la
paralysie
et la con-tracture, 304 , 330. — Caractères qui l
296. ii Langue (Contracture de la), 346. Latéropulsion dans la
paralysie
agitante, 419. Lèpre anesthésique, 31. Lésion
de la), 11, 19. Muscles (Affections trophiques des), 36 ; — dans la
paralysie
infantile, 68. (V. Amyotrophies, Atrophie muscula
sur les —, 194; — dilatateurs, 149. (V. Corde du Tympan) ; — facial (
Paralysie
du), 39; — glandulaires (Irritation des), 145 ; —
n, Hyperesthésie ova-rienne.) Ovarie hystérique, 286, 304, 320. P
Paralysie
agitante, 155, 317, 409, 414. —Historique, 160. —
le spinale de l'adulte, 71 ; ses analogies et ses différences avec la
paralysie
infantile, 71. — hystérique, 287, 351 et passim.
e la), 22 ; — lisse, 25, 32. Petit mal épileptique, 375. Pharynx (
Paralysie
du), 346. Phlegmon (Faux), 25, 86. Pied (Défo
attaques apoplecti-ques, 254, 256. Préambule, 1. Propulsion dans la
paralysie
agi-tante, 163 ; — note, 173, 175, 411. Putamen,
d'urine chez les hystéri-ques, 277, 353, 356. Rétropuesion dans la
paralysie
agi-tante, 163 ; note, 173 ; 175, 411. Rigidité
163 ; note, 173 ; 175, 411. Rigidité des membres et du cou dans la
paralysie
agitante, 159. S Salivation dans la paralysie
s et du cou dans la paralysie agitante, 159. S Salivation dans la
paralysie
agi-tante, 169. Sclérodermie, 25. Sclérose fasc
es dissémiu ées .(Lé-sions des cellules motrices dans la—), 72 ; — et
paralysie
agitante. 159, — Historique, 190. — Anato-mie mac
épendant de l'irrita-tion du grand sympathique cervical 139; —dans la
paralysie
agitante, 178 ;—dans les attaques apoplecti-forme
rave du cerveau lui-même, nous voulons parler de l'aphasie et des
paralysies
. Il est possible, nous aurons à revenir sur ce
résolution, mais on constate facilement 10 CLINIQUE NERVEUSE. une
paralysie
absolue du mouvement dans les membres supé- rie
hyses mastoïdes. Le 30, l'état est le même mais un peu amélioré; la
paralysie
et l'aphasie persistent, mais la déviation des
et l'aphasie persistent, mais la déviation des yeux a disparu et la
paralysie
faciale est très atténuée. Le retour de la sensib
mouvements assez faibles d'ailleurs dans les membres paralysés. La
paralysie
de la face s'est complètement dissipée. Il répo
1885, nous avons appris que Thoreau était complètement guéri de sa
paralysie
et que depuis plus d'un an il s'était placé dan
ement, puisque l'aphasie disparut au bout de quelques jours et la
paralysie
après quelques mois. Cette thrombose nous sembl
guës, et surtout dans la méningite tubercu- leuse, où l'on voit des
paralysies
partielles très diverses, échappant à toute for
courir à une théra- peutique immédiate et énergique. NÉVRALGIE ET
PARALYSIE
OCULAIRE A RETOUR PÉRIODIQUE, CONSTITUANT UN SY
rée dans les Bulletins de la Société, [). 283, 1885. NÉVRALGIE ET
PARALYSIE
OCULAIRE. 17 règles, les crises ont diminué d'i
t un accès de moyenne intensité, a donné les résultats suivants :
Paralysie
de la troisième paire gauche intéressant toutes l
u releveur de la paupière supérieure qui fonctionne normalement. La
paralysie
est incomplète, le droit interne est le plus in
oit interne est le plus intéressé. Diplopie caractéristique de la
paralysie
des droits interne, supérieur, inférieur, et du
quand on fait réagir la pupille par la lumière ou la convergence.
Paralysie
incomplète de l'accommodation H m = + 1,25 D da
u d'accès. Les symptômes oculaires persistent à l'exception de la
paralysie
du droit inférieur qui a disparu. Il n'y a pas de
nd lieu par l'asso- ! ciation de deux symptômes, la névralgie et la
paralysie
AIHI3,.t, XI. 2 t8 : . CLINIQUE NERVEUSE. d
c chute de la paupière supérieure ; dispa- rition progressive de la
paralysie
en huit semaines. Depuis lors, les accidents se
sept ans qui, depuis l'âge de treize ans, tous les mois/avait une
paralysie
de l'oculo-moteur commun gauche. Celle-ci commen-
., 1883, n° 10, d'après l'analyse donnée par Moblus. NÉVRALGIE ET
PARALYSIE
OCULAIRE. 19 durait trois jours, et coïncidait
ET PARALYSIE OCULAIRE. 19 durait trois jours, et coïncidait avec la
paralysie
oculaire. On remarqua que le ptosis disparaissa
l redevenaient libres le troisième jour, mais que la mydriase et la
paralysie
de l'accommodation étaient encore peu modifiées
e, et enfin survenait du ptosis. Saundby trouva pendant l'accès une
paralysie
com- plète des muscles droits interne, supérieu
interne, supérieur, inférieur, ptosis, dilatation de la pupille et
paralysie
de l'accommodation; au bout de quelques jours ,
semaines après le commencement de l'accès, il existait encore de la
paralysie
du droit supérieur, de la parésie du droit infé
itaires, fut pour la première fois, à l'âge de cinq ans, pris d'une
paralysie
du moteur oculaire commun de l'oeil droit en mê
nausées, de douleurs céphaliques et oculaires ; depuis lors, cette
paralysie
revient régulièrement une ou deux fois par an (
ar an (mai et octobre) toujours accompagnée des mômes prodromes. La
paralysie
est complète (ptosis absolu, paralysie des droi
gnée des mômes prodromes. La paralysie est complète (ptosis absolu,
paralysie
des droits supérieur, 1 Lancet, 2 sept. 1882, d
0 CLINIQUE NERVEUSE. interné et inférieur, immobilité pupillaire et
paralysie
de l'ac- commodation), et dure quelques semaine
e, a des attaques d'épilepsie. L'auteur fait remarquer. : 1° que la
paralysie
de l'oculo-moteur est, lorsqu'elle s'établit, a
incomplet fut observé à la suite d'un choc moral intense et que la
paralysie
se trouva augmentée après un accès d'angoisse n
sement concentrique tout à fait propor- tionnel à l'intensité de la
paralysie
, augmentant ou diminuant avec celle-ci. Au plus
aralysie, augmentant ou diminuant avec celle-ci. Au plus fort de la
paralysie
, le champ visuel de l'oeil droit ne mesurait qu
s dans la tempe gauche puis aboutissant à de la photophobie et à la
paralysie
de l'oculo- moteur commun ; ces accès duraient
elque temps, il persiste même dans l'inter- valle un léger degré de
paralysie
du moteur oculaire commun. Une tentative faite
cette affection doit être rapprochée de la migraine. névralgie ET
paralysie
oculaire. 21 Observation VII (résumée)'. Jeune
aient de temps en temps. Depuis l'âge de quatorze ou quinze ans, la
paralysie
oculaire se montre très souvent, environ toutes
mêmes douleurs de tête hémicrâ- niennes qui, dès l'apparition de la
paralysie
, diminuaient et ne tardaient pas à cesser compl
et ne tardaient pas à cesser complètement. Quant à la durée de la
paralysie
, elle était très variable; tantôt elle disparaiss
ant aurait, d'après le malade, quel- quefois diminué la durée de la
paralysie
. Dans l'intervalle des accès, la disparition de
on de la douleur de tète était seule complète, mais non celle de la
paralysie
, car, d'après le malade, il conservait une pupi
té nasal. Observation VIII. (R. Saundby). Un cas de migraine avec
paralysie
de la y paire (Lancet, 10 janvier 1885). William
la partie supérieure de la. face est tout à fait nor- névralgie ET
paralysie
oculaire. 23 mâle ; la langue se tire bien droi
. L'examen des yeux fait par Ealès le 6 septembre n'a montré aucune
paralysie
des muscles ni aucune altération du fond de l'o
e début de l'affection), comme un cas de « migraine récurrente avec
paralysie
de la 3- paire », et rappelle qu'il y a deux an
il ait connaissance jusqu'à présent : Wilks parle il est vrai de la
paralysie
de la 3° paire dans la migraine mais sans citer
r, d'autre part, a décrit une forme de ptosis qu'il attribue à la
paralysie
des fibres musculaires lisses de Mùller qui se re
et douleurs, suivis, après .un laps de temps plus ou moins long, de
paralysies
ocu- laires avec diplopie et strabisme; ces par
ins long, de paralysies ocu- laires avec diplopie et strabisme; ces
paralysies
ont, elles aussi, une durée variable et peuvent
d'une façon rigoureuse. En intitulant ce travail : « Névralgie et
paralysie
oculaire à retour périodique », névralgie ET pa
Névralgie et paralysie oculaire à retour périodique », névralgie ET
paralysie
oculaire. 25 nous avons eu surtout en vue d'ind
ans aucune affection oculaire (2 septembre 1884). - Le, 8 septembre
paralysie
totale du moteur ocu- laire commun gauche; cell
ire, elle était sujette au même accident. Le 14 octobre, de nouveau
paralysie
totale persistant jusqu'à la fin d'octobre. - L
e d'accepter l'opinion émise par Weiss que, chez cette malade, la
paralysie
de la troisième paire était due à une inflam- m
lammation dont chaque poussée se serait traduite par une attaque de
paralysie
. Certes les dernières attaques, celles qu'a obs
ttre quelque doute à cet égard), elle a dès l'enfance présenté la
paralysie
oculaire à retour périodique, nous ne pouvons a
dans laquelle on constata l'existence d'une exsudation NÉVRALGIE ET
PARALYSIE
OCULAIRE. 27 plastique du cerveau englobant com
ctères tout spéciaux avec les cas assez nom- breux où il existe des
paralysies
oculaires à répétition. Dans cette série de cas
1884 et enfin en janvier 1885. C'est surtout dans le tabès que ces
paralysies
à rechutes ou même à récidives sont fréquentes.
à trouver toujours des symptômes tabétiques évidents, lorsque ces
paralysies
éclatent; il n'est pas rare de voir des malades
on se caractérise. C'est ce qui a fait méconnaître la nature de ces
paralysies
que l'on considérait comme rhumatismales et bén
nt. Un malade vient consulter l'un de nous il y a deux ans pour une
paralysie
de la sixième paire gauche ; il raconte que, di
paru deux fois encore depuis cette époque ; comme il sait que ces
paralysies
guérissent facilement, il n'y attache pas une g
gravation des autres symptômes. Il en est quelquefois ainsi dans la
paralysie
générale, dans certaines formes de syphilis cér
nant visiblement les lésions cérébrales diagnostiquées à gauche, la
paralysie
se généralise, les contrac- tures augmentent et
ubordination et de correspondance parfaite de l'anesthésie et de la
paralysie
motrice, admise par Hitzig, Nothnagel et, depui
rconvolutions (la pariétale et la frontale ascendantes) produit une
paralysie
motrice, parce que ces circonvolutions constitu
s, etc.; 2" foyer cortical du lobe frontal gauche ; extension de la
paralysie
au côté droit du corps, aphasie, etc. Bid... (J
est fré- quent) l'abolition de la faculté du langage (alalie) sans
paralysie
de la langue (glosoplégie); nous remarquons, en
moitié droite du corps, libre la veille, est frappée à son tour de
paralysie
, moins complète celle-ci que ne l'était l'hémiplé
ine de la troisième paire : en effet, il n'a jamais été constaté de
paralysie
alterne de ce nerf, ni du moteur oculaire commu
face et des membres. On n'a jamais non plus observé l'hémiopie, la
paralysie
du grand oblique de l'oeil, etc. ; signes habit
on la règle, déterminé l'aphasie véritable (perte de la parole sans
paralysie
de la langue); 20 Que les lésions destructive
dique (frontale ascendante et lobule paracentral) ont pro- duit une
paralysie
exclusivement motrice ; 3° Qu'une lésion destru
ux ne s'est traduite par aucun symptôme particulier, autre que la
paralysie
motrice, du côté opposé; 4° Que l'hémiplégie ré
es fibres du coeur, qui, dans certains cas, détermine une véritable
paralysie
cardiaque avec collapsus. Les faits de ce genre
bligé de garder le lit ; on ne constate cepen- dant aucune trace de
paralysie
proprement dite, bien que le sujet ait à peine
Bientôt le coma devient de plus en plus profond; il n'y a pas de
paralysie
, et la sensibilité à la douleur, à la piqûre, au
Ce coma se termina en quatre jours par la mort; il n'y eut pas de
paralysie
; mais, à deux ou trois reprises, le dernier jour,
un certain degré 71 REVUE CRITIQUE. d'hyperesthésie, mais pas de
paralysie
. Au bout de quelques jours, ces symptômes cédèr
niques ininterrompues dans les muscles des jambes et du dos, de la
paralysie
vésico-rectale. Cystite catarrhale avec frissons;
s fibres nerveuses dans les colonnes de Clarke. P. K. II. SUR LES
paralysies
spinales avec ataxie; par L. Loewenfeld. (Arch.
troubles moteurs et sensitifs. Ce sont : de l'affaiblissement, delà
paralysie
, réguliè- rement ou irrégulièrement, symétrique
ostérieurs. P. K. 78 revue DE pathologie nerveuse. III. Un cas DE
paralysie
ascendante aiguë; parJ. HOFFMANN (Arch. f. Psyc
ans la région des pyramides et des cor- dons latéraux expliquant la
paralysie
et la parésie motrice des ex- trémités, tuméfac
hique. La sclérose latérale amyotrophique ne peut être confondue (
paralysie
bulbaire, contractures - La paralysie pseudo- h
hique ne peut être confondue (paralysie bulbaire, contractures - La
paralysie
pseudo- hypertrophique s'accompagne toujours d'
dont un homme. D'après eux, dans la plupart des cas d'hystérie, la
paralysie
de la sensibilité cutanée est non pas totale su
arac- térisent les autres arthropathies des ataxiques. G. D. XII.
Paralysie
double par les béquilles; par M. C. VINAY. (Lyo
plus fréquente, selon lui, qu'on ne le croit généralement dans les
paralysies
par les béquilles, et il ajoute quelques précepte
s la folie catato- nique systématique ou non (une observ.), dans la
paralysie
générale au début (une observ.). P. K. REVUE
. CONTRIBUTION A la pathologie ET A l'anatomie PATHOLO- GIQUE DE la
paralysie
progressive ; par ZACHER. (Arch. f. Psych., XV,
e ici. Le voici : Sur le romplextrs symptomatique spasmodique de la
paralysie
progressive. Long mémoire qui est basé sur cinq
tique très détaillée. Conclusions. 1° Le syndrome spasmodique de la
paralysie
progressive peut être pro- duit soit par des al
u pyramidal; . 2° L'évolution toute spéciale de ce syndrome dans la
paralysie
pro- gressive doit, suivant toutes probabilités
le quatrième a trait à un malade qui présentait les symptômes de la
paralysie
générale des aliénés; dans le cinquième cas, il
e que de bien faibleschances de guérison. R. NI. C. IX. Un cas DE
paralysie
générale chez une jeune femme; début A L'AGE DE
monter encore plus haut. Il existe déjà dans la science deux cas de
paralysie
générale à début exceptionnellement précoce (se
es symptômes moteurs qui sont si nettement caracté- ristiques de la
paralysie
générale ont toujours été très accusés ; 3° que
sommaire des deux observations : la première a trait à un cas de
paralysie
générale au début; dans la seconde, il s'agit d'u
urt une demi-heure après. A l'autopsie, on trouve les lésions de la
paralysie
générale et début, et en outre, une congestion
ouleurs très violentes, nombreuses sensations anormales, finalement
paralysie
complote de la sensibilité, de la motilité, des
tliésiquesperçoiveutles piqûres d'aiguilles, maisellessont obtuses.
Paralysie
de la vessie. Mort à quatre heures du matin par
ièmes. Peut-être vaut-il la peine de mentionner la prédominance des
paralysies
des muscles de l'oett chez les tabétiques ayant
uuLLea. Myélite des &teut'.s.L'orateur communique quatre cas de
paralysie
spinale alcoolique (sans autopsie). Les deux ca
es, puis soudain se produisit de la paraplégie rapidement suivie de
paralysie
des deux extrémités supérieures avec douleurs v
actures M. Skixigmuller. Sur l'hémiunesthésic. Cas intéressant de
paralysie
de la sensibilité et de la motilité, ayant pendan
opie, la déviation de la langue, l'asymétrie du voile du palais, la
paralysie
faciale unies à l'hémianestliésie sansova.rie,
xtirpation du ganglion cervical supérieur, mais cela provient de la
paralysie
du muscle organique de Millier. L'abaissement d
survient, on arrive à la guérir, on doit pouvoir, dans le cas de
paralysie
, mettre à l'abri des accidents du décubitus la pe
uempell. De l'encéphalite aiguë des enfants (poliencéphalite aiguë,
paralysie
infantile c'6('f(t). Cette affection, proche pa
ralysie infantile c'6('f(t). Cette affection, proche pareille de la
paralysie
infantile spinale, qui, au lieu de la substance
st ordinairement qu'à la suite de ce syndro.ne que l'on iemarque la
paralysie
d'une moitié du corps : hémiplégie SOCIÉTÉS SAV
ote dans laquelle sont envisagés les rapports de l'hystérie avec la
paralysie
générale chez la femme. Sur trente femmes attei
la paralysie générale chez la femme. Sur trente femmes atteintes de
paralysie
générale, l'orateur aurait noté sept fois les s
lte de l'examen minu- tieux des sept cas cités, que la marche de la
paralysie
générale n'est nullement influencée du fait de
ses manifestations s'atténuent en général au sur et à mesure que la
paralysie
générale se développe et s'aggrave. Dansla même
ns que, d'autre part, il se produisit une dénutrition sensible. Une
paralysie
complète se montra au bras gauche, mais cessa s
spontanément après une durée de quelques semaines. Par contre, une
paralysie
de la jambe droite resta permanente et existe enc
s- sibilité de provoquer la moindre suggestion. Dans cet état, la
paralysie
de la jambe droite disparaît, mais la vue se tiou
avait été précédée d'une autre communication de M. Verriest sur les
paralysies
par l'inconscience que nous nous bornons a ment
r l'existence d'une altération particulière de tissu osseux dans la
paralysie
générale. Pour combattre cette opinion, M. Chri
permis de supposer qu'elles sont antérieures au développement de la
paralysie
générale, et, d'autre part, à supposer même qu'
u point de vue histologique, rien ne démontre qu'il existe, dans la
paralysie
générale, une altération spéciale du tissu osse
des encore. Si tout le monde, en effet, s'entend lorsqu'on parle de
paralysie
générale, d'idiotie, de crétinisme, etc., il n'
dalité revêtue par la maladie, qui avait débuté avec l'aspect de la
paralysie
générale et dont la terminaison heureuse ressem
er l'exis- aliénation mentale; FIÈVRE catarrhale. 131 tence d'une
paralysie
générale au début ; cependant quelques signes s
sychiques et somatiques qui rappellent ceux qu'on rencontre dans la
paralysie
générale. Puis, les symptômes somatiques dispar
ale pen- dant assez longtemps, modalité qui rappelait celle de la
paralysie
générale à son début, s'explique aisé- ment ; c
ar analogie, avec ce que nous,, savons du siège des lésions dans la
paralysie
générale, de dire que, chez notre malade, le tr
n moment par la maladie mentale, laquelle avait l'apparence de la
paralysie
générale, pour établir la modalité de ce tra- v
à une méningo-encéphalite, qu'elle revête le masque ordinaire de la
paralysie
géné- rale, une vésanie simple à laquelle se su
bles circulatoires pouvant, d'après ce savant maître, simuler cette
paralysie
, M. Baillargera donné, on le sait, aux faits de
nom de folie para- lytique. - 1 Baillarger. Sur la théorie de Id
paralysie
générale. De la folié paralytique et de la déme
cherche à établir. Cet argument est relatif aux cas de guérison de
paralysie
générale rapportés par les auteurs. Pour l'émin
générale rapportés par les auteurs. Pour l'éminent aliéniste, la
paralysie
générale ne peut guérir; il ne comprend pas la
téristique anatomique de cette mata- die ; les faits de guérison de
paralysie
générale rap- portés par les auteurs sont des c
minai- son heureuse d'une maladie qui a présenté les signes de la
paralysie
générale n'est pas un motif suffisant pour nous
xie locomotrice progressive, la sclérose latérale amyotrophique, la
paralysie
spinale aiguë de l'enfant et de l'adulte, etc.
En 1867, dans un travail consacré à l'étude de la moelle dans la
paralysie
générale des aliénés2, West- phal cite quelques
génitale, etc.), prennent le dessus et l'existence simultanée de la
paralysie
spinale spastique est simple- ment indiquée par
de la paralysie spinale spastique est simple- ment indiquée par la
paralysie
, les tensions muscu- 1 Erb. flandb. d. spec. Pa
e, et leur diagnostic est facilité par la présence des signes de la
paralysie
des autres nerfs crâniens ou d'une hémiplégie c
urs après la blessure, perte de connaissance, hémiplégie droite. La
paralysie
et la perte de la mémoire durèrent deux ou troi
sultat de mes recher- ches : Il ne présente aucun symptôme net de
paralysie
, d'anesthésie, ni d'aphasie. La langue est dévi
d bien ; mémoire faible, faiblesse musculaire générale, mais pas de
paralysie
localisée. Vue et ouïe normales. Sensibilité au
mère maternelle génoise, morte à soixante-dix ans, à la suite d'une
paralysie
généralisée avec troubles de la parole et de la
mme de cinquante ans environ, chez lequel on avait diagnostiqué une
paralysie
générale; il ne pouvait redresser la colonne ve
Il n'y a alors que peu de cas, il n'y a même que certains stades de
paralysie
centrale non atropllique, dans lesquels l'excitab
la pluralité des faits, dans la majorité des stades de cesformes de
paralysies
, la quantité de l'excitabilité mécanique du mus
la contraction totale, celle-ci est ordinairement diminuée dans la
paralysie
flasque, augmentée dans la paralysie avec rigid
ordinairement diminuée dans la paralysie flasque, augmentée dans la
paralysie
avec rigidité : la contraction locale n'est poi
: la contraction locale n'est point altérée dans ces états. 3" Les
paralysies
atrophiques s'ac- compagnent de modifications n
'autopsie. P. K. XIX. SUR un cas d'affection spinale avec cécité ET
paralysie
géné- RALE. Diagnostic précoce par constatation
il n'y aurait que peu de folies : 1° les folies organiques dont la
paralysie
générale est le type; 2° les folies vésaniques;
un marasme qui se prolongea plusieurs mois pour se terminer par la
paralysie
de toutes les extrémités. Rougeole dans sa neuv
céphalite a progressé après l'accouchement et s'est traduite par la
paralysie
du quinzième mois de la vie. Puis s'est opérée un
viennent en très petit nombre se faire traiter par le médecin. La
paralysie
générale ne parait pas être très fréquente; l'aut
omme causes. 111. GOLDSTGIN. Sur les rapports delà syphilis avec la
paralysie
progressive. Mémoire publié in extenso à part '
émoire lu au congrès international de Copenhague, suivant lequel la
paralysie
générale serait un acci- dent tardif de la syph
'avis que le traitement antisyphilitique accélère l'évolution de la
paralysie
générale. M. jASTHOWtTZ. Au sein même de cett
is d'un rapport intime. Il convient, en outre, de se rappeicrque la
paralysie
géné- rale atteint chez la femme, presque exclu
ite. M. Ener, raconte l'histoire d'une femme publique atteinte de
paralysie
générale consécutive à la syphilis; la paralysie
blique atteinte de paralysie générale consécutive à la syphilis; la
paralysie
générale n'évolua pas du tout rapidement, la ma
de médecine que sur 100 filles publiques, il n'avait observé aucune
paralysie
générale ; cela n'a rien de surprenant, car dans
renant, car dans un service de syphilitiques on peut méconnaître la
paralysie
géné- rale. M. FALK. Dans les temps les plusr
FALK. Dans les temps les plusreculés, la syphilis, pas plus que la
paralysie
générale, ne constituaient des affections si fré-
onnelle s'accompagne de foyers de ramollissement ou de gommes, sans
paralysie
générale concomitante. M. JASTItO\1'1TZ. Les
t sans doute donner naissance à des psychoses qui ne sont pas de la
paralysie
générale; elles représentent des affections en
qui avoisinent les asiles. Quoi qu'il en soit, la syphilis dans la
paralysie
générale atteint une proportion centésimale plu
vées interstitielles de la moelle. G. BALL. De l'hérédité dans la
paralysie
générale. (En français.) 1 Voy. Archives de Neu
290 SOCIÉTÉS SAVANTES.- Il. ROUMKLL. Du rôle de la syphilis dans la
paralysie
générale. (En français.) J. EuLENBURG. Les né
passif : aux phénomènes d'excitation succèdent des phéno- mènes de
paralysie
. La paralysie se traduit d'abord par le sopor e
phénomènes d'excitation succèdent des phéno- mènes de paralysie. La
paralysie
se traduit d'abord par le sopor et le coma; fin
nd l'altération de la substance ner- veuse est généralisée, par une
paralysie
généralisée. Ces notions sont de toute antiquit
lles qu'est assise la pathologie, les phénomènes d'excitation et de
paralysie
formant par leur com- binaison autant de signes
t des syn- dromes identiques qui résultent de l'excitation ou de la
paralysie
de la substance nerveuse. Ils n'ont pas d'auton
nalyse pathogénétique, d'étudier séparément : 1° l'excitation et la
paralysie
du cerveau; 2° les lésions du cerveau ; 3° la c
latiou d'un grand asile spécial à Langenhagen. Augmentation de la
paralysie
générale et des troubles mentaux imputables à l'é
, présente trois malades atteints de tabès, et un malade affecté de
paralysie
spinale spasmo- dique. Dans un cas de tabes ata
d'inappétence et offrait le signe de Romberg. Le malade atteint de
paralysie
spinale spasmodique est un musi- cien né en 845
e d'une pneumonie double, souffre, il y a quatre ans de cela, d'une
paralysie
spinale spasmodique, ne l'empêchant pas de vaqu
(de Râle). Sur la po<t0<)tt/( ! <e antérieure aiguë et la
paralysie
de Landry, Un jeune homme de vingt-deux ans aur
parésie modé- rée des extrémités inférieures, et, le lendemain une
paralysie
complète qui gagne la paroi musculaire de l'abd
lité ; excitabilité électrique normale; pendant quatre jours légère
paralysie
de la vessie, nul trouble de la.défécation. Pui
es paralysés : pas de convulsions fibrillaires dans ces muscles. La
paralysie
des extrémités supé- rieures s'améliore bientôt
yélite antérieure aiguë qui emprunte le tableau symptomatique de la
paralysie
de Landry, mais il importe de remarquer qu'il s
e réaction dégénérative des muscles paralysés. Ce qui prouve que la
paralysie
de Landry et la polio- myélite antérieure aiguë
ures aboutissant, au troisième mois de la grossesse, à une complète
paralysie
des mêmes extrémités; celle paralysie subsiste
la grossesse, à une complète paralysie des mêmes extrémités; celle
paralysie
subsiste pendant tout le cours de la grossesse.
'enfant succombe peu après. Quatre jours plus tard, ou constate une
paralysie
flasque des deux jambes; exagération du phénomè
s. A deux reprises différentes, aphonie passagère; au laryngoscope,
paralysie
des cordes vocales. La gué- rison s'effectue av
le grave, telle que myélite ou sclérose disséminée, mais bien à une
paralysie
purement fonctionnelle. Il est à croire que la
à celle des hystériques, par excitation centripète; il s'agit d'une
paralysie
hystériforme. La cyanose, le refroidisse- ment,
nées; ce furent : de la démence absolument distincte de celle de la
paralysie
générale, des anomalies psychiques va- riables
ion systé- matique de la moelle. S'agit-il de la distinguer de la
paralysie
générale et, notam- ment, des cas dans lesquels
ient des phénomènes tabétiques , il faut d'abord se rappeler que la
paralysie
générale ne possède pas d'état anatomo-pathotog
prouve que les troubles somatiques et le trouble de la parole de la
paralysie
générale ne sont pas en rapport avec cette déch
ance. Fuerstner a, dans ces derniers temps, examiné des cerveaux de
paralysie
générale : il n'y avait ni tubérosités ni granu
VIII, 90 et 336, IX, 401.. s Id. SOCIÉTÉS SAVANTES. 307 à la
paralysie
générale certains complexus symptomatiques céré-
er et des lésions vasculaires), car le symptôme fondamen- tal de la
paralysie
générale est la démence. Or, la démence, mis à
allure toute différente dans l'affection qui nous occupe et dans la
paralysie
générale. La qualité et la quantité des diverse
s caractérise avec netteté. De plus, dans les cas décorés à tort de
paralysie
générale, il est fréquent de voir les autres ph
ale, il est fréquent de voir les autres phénomènes somatiques de la
paralysie
générale n'exister que partiellement, et à un f
et l'évolution en est tout autre. Ces cas sont donc à séparer de la
paralysie
générale classique, typique. Sans doute, une ca
et, d'après Fuerstner, ce sont les cas où le tabès se combine à la
paralysie
générale. Quant au processus qui fait le sujet
s symptômes cérébraux plus vastes rappelant les perturbations de la
paralysie
générale, auxquels se joignent alors l'atrophie
ttaques d'épilepsie, de l'aphasie, un ensemble morbide rappelant la
paralysie
générale, enfin de l'atrophie des nerfs optique
aux complets « à cet égard. » M. Schultze (d'Iieidelhern). Sur la
paralysie
saturnine. Com- munication provisoire sur un ca
ur la paralysie saturnine. Com- munication provisoire sur un cas de
paralysie
saturnine avec atrophie, chez un homme de vingt
. Cependant, qu'on veuille bien remarquer que, dans tous les cas de
paralysie
générale examinés par lui, (au nombre de douze)
au reste un appui à la manière de voir de Zacher, selon laquelle la
paralysie
générale se traduit cliniquement par des tablea
e. Forel a, sur cette constatation clinique, basé sa division de la
paralysie
générale en trois groupes. Ce serait un travail
s idiots. Eh bien ! la parenté entre les troubles psychiques delà
paralysie
générale et ceux de la sénilité a, de tout temps,
de l'expression de sénilité précoce appliquée aux premiers; dans la
paralysie
générale, la lésion, qui porte princi- palement
ques nous conduirait trop loin. M. Grashey (de Wùrzbourâ). Sur la
paralysie
agitante. Cet au- teur a étudié de près le rhyt
eur a étudié de près le rhythme des tremblements dans quatre cas de
paralysie
agitante chez des individus de soixante-quatorze
épileptique et, pour une part, dans les attaques congestives de la
paralysie
générale (où le coma est le plus fré- quent), v
ement à la manie, à la mélancolie, à l'hystérie, à la stupeur, à la
paralysie
générale. Ces semi-délires qui durent plusieurs
ômes spinaux en question se compliquent de phénomènes bulbaires :
paralysie
du voile du palais, troubles de l'innervation du
DE DE LA NÉVRITE SEG.IENTAIRE (altérations DES NERFS dans un cas DE
paralysie
diphthéritique) ; Par MM. A. PITRES, professeur
onnement lent par le plomb et n'ayant présenté aucun phénomène de
paralysie
diffuse ou localisée, M. Gombault a observé un
e névrite traumatique. Le même auteur l'a rencontrée encore dans la
paralysie
diphthéritique et chez un sujet dont l'affectio
et dont l'affection avait évolué clinique- ment sous la forme d'une
paralysie
ascendante aiguë '. Toutefois, la névrite segme
e description, P. Meyer seul a signalé son existence dans un cas de
paralysie
diphthé- ritique '. Au cours de nombreuses ét
ccasion d'observer des faits analogues lorsque l'examen d'un cas de
paralysie
diphthéritique généralisée nous a permis de con
tanée consécutive à l'application d'un vésicatoire. Am- blyopie ;
paralysie
du voile du palais ; paralysie, des quatre memb
tion d'un vésicatoire. Am- blyopie ; paralysie du voile du palais ;
paralysie
, des quatre membres avec troubles de la sensibi
établi, quitta l'hôpital 1 Il. leyer. Recherches anatomiques sur la
paralysie
diphthéritique. (Ai-eh. fiw putk. anal. Bil. LX
du coton. Au- cun trouble du côté des sphincters. 3 septembre. -
Paralysie
et anesthésie absolues du bras gauche qui conti
peut indiquer les diverses attitudes qu'on leur communique. 15. La
paralysie
des membres inférieurs est devenue complète, ab
on croissante, rapide des troubles respiratoires et cardiaques : la
paralysie
du diaphragme disparait et le coeur reprend son
sensibilité. A ce moment les quatre membres sont donc frappés de
paralysie
flasque, complète et totale. Les masses musculair
rennent alors le caractère d'un rongement excessivement pénible. La
paralysie
reste complète et absolue. Les masses musculair
tir dans le bras et la jambe gauches, surtout pendant la nuit. La
paralysie
du bras et de la jambe droits commence à s'a- m
ntracte une diphthérie cutanée et pré- sente peu de temps après une
paralysie
progressive, généralisée, complète de la motili
paralysie progressive, généralisée, complète de la motilité. Cette
paralysie
s'accompagne de troubles profonds de la sensibi
nce si frappante avec l'évolution que l'on attribue d'ordinaire aux
paralysies
diphthéri- tiques, le début par les troubles de
théri- tiques, le début par les troubles de l'accommodation et la
paralysie
du voile du palais, l'envahissement ulté- rieur
e nous inclinerions volontiers à voir dans l'espèce un exemple de
paralysie
d'origine diphthéritique. S'il en est réellemen
discutée de cette complication. Ils établissent, en effet, qu'une
paralysie
généralisée, absolue de la sensibilité et de la
s et des nerfs une simple consé- quence. Chez un sujet atteint de
paralysie
diphthéritique, P. Meyer a a constaté également
echerches sur les lésions du système nerveux péri- phérique dans la
paralysie
diphthéritique (Archives de physiologie, 1878.)
lt dans les différents cas qu'il a étudiés, et par P. Meyer dans la
paralysie
diphthé- ritique ; elle semble donc constituer
La forme segmentaire de la névrite que nous avons observée dans la
paralysie
diphthéritique est en elle- même fort intéressa
USE. pas pourquoi on qualifierait de folie une contracture ou une
paralysie
que l'on peut produire isolément chez certains
jamais l'individu ne pourra remuer soir membre, correspondant, une
paralysie
complète suivra cette lésion, et avec la dégéné
ue tout d'un coup, sans autre changement visible et en sa place une
paralysie
se pré- senta. De plus, il n'existe pas d'exemp
tuliens surtout à gauche. Marche raide, en contractures. Mélange de
paralysie
et de raideur. Marche renversé en arrière et qu
tro- phiques et vaso-moteurs). Les troubles oculaires (diplopie,
paralysie
oculaire, amblyopie, cécité) ont été notés dans
onnés (dans les membres inférieurs) sans que les mots de parésie ou
paralysie
soient pro- noncés. Enfin, dans les 27 autres
s. * R. 11. C. XXI. Un cas DE tumeur endothéliale DE la DURE-MÈRE :
Paralysie
générale; parT. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of
des crises convulsives limitées au bras droit, la deuxième par une
paralysie
de ce bras, la troisième par l'apparition de cris
tifs à' I*élon-aliou et à la lésion des nerfs. Il en tire que toute
paralysie
motrice périphérique absolue d'un nerf mixte entr
artielle. Passant ensuite à ses observations person- nelles sur les
paralysies
légères (Cas. I et II), il constate que les phé
II), il constate que les phénomènes tendineux font défaut dans les
paralysies
spiuo- périphériques absolues, légères, sans mo
n dégénérative consécutive des muscles,- même lorsqu'il n'existe ni
paralysie
ni modification considérable de l'excitabilité
ification considérable de l'excitabilité des nerfs; dans toutes les
paralysies
dégénératives graves, d'ori- gine névritique ou
graves, d'ori- gine névritique ou poliomyélitique. Dans les cas de
paralysie
grave, atrophique, à lésion intense du nerf ou
sculaire correspondant, ne se montre très probablement que dans les
paralysies
spinales atrophiques (poliomyélite antérieure).
ce des phénomènes tendineux constitue la règle : a, dans toutes les
paralysies
flasques graves amyotio- phiques (à suppression
vement périphérique, des troncs nerveux mixtes, peut-être même sans
paralysie
; c, dans la paralysie périphérique absolue, et
es troncs nerveux mixtes, peut-être même sans paralysie; c, dans la
paralysie
périphérique absolue, et peut-être aussi dans la
sorte que c'est à peine si l'on avait pensé à la possibilité de la
paralysie
générale : toutefois la succession des convulsi
t de rattacher ce cas à aucune autre catégorie pathologique qu'à la
paralysie
générale. L'auteur fait remarquer à ce propos c
es enfants du malade les risques d'hérédité sont, en présence d'une
paralysie
générale, bien moindres qu'ils ne l'eussent été
muscles de la face : l'aspect du malade suggérerait l'idée d'une
paralysie
générale, mais il n'y a aucun affaiblissement men
ioration marquée. « 4° Le sang est au-dessous de la normale dans la
paralysie
gé- « nérale, et cette infériorité est plus mar
fériorité est plus marquée à la période active « et à la période de
paralysie
complète de la maladie que durant « les période
roche souvent par la nature du délire, de la période initiale de la
paralysie
générale. La durée de l'accès de manie peut êtr
s, pour des lésions cérébro-spinales graves. De même, il existe une
paralysie
musculaire progressive d'origine périphérique (
ve d'origine périphérique (myopathie et névrite primitive) et une
paralysie
musculaire progressive d'origine centrale (poliom
pectives de 0,001 ; 0,003 ; 0,005 et davantage ; on a constaté delà
paralysie
plus oumoins marquée et des convulsions des ext
symptômes qu'on observe dans la myélite circons- crite destructive (
paralysie
et anesthésie des membres inférieurs, troubles
a symtomatologie est exacte- ment celle de la sclérose en plaques :
paralysie
avec contractures, tremblement à l'occasion des
arner,2jS. Balbutiement écrit chez les idiots, 4 37. Béquilles (
paralysie
double par). 85. Buveurs (myélite des) par Seel
cz, 291 ? atroplue desfibres myé- line dans l'écorce du dans la
paralysie
proâressive), pacZacher, 30S ; ^zones motrices)
Hémianopsie d'origine centrale, par Ségtiiii, 176. Hérédité de la
paralysie
générale, 289. Hoematorachis, 100. Hypnotis
ande), par Richer, 152. Hystérie et morphinisme, 398. Hystérie et
paralysie
générale, 119. Hystérie et rhumatisme, 216. H
ons consé- cutives à l'injection de), 441. Oculaire (névralgie et
paralysie
- à retour périodique, constituant un syndrom
ques généraux), par Christian, 121. Ozone et névropathies, 111.
Paralysie
agitante, par Grasley, 312. Paralysie z mann,
Ozone et névropathies, 111. Paralysie agitante, par Grasley, 312.
Paralysie
z mann, 78. Paralysie double par béquilles, p
. Paralysie agitante, par Grasley, 312. Paralysie z mann, 78.
Paralysie
double par béquilles, par Vinas, 85. Paralysi
ie z mann, 78. Paralysie double par béquilles, par Vinas, 85.
Paralysie
générale, 87, 257, 286; (chez une jeune femme),
57, 286; (chez une jeune femme), par Wi- i gleswoitli, 92, 420.
Paralysie
saturnine, par Schulze, 308. Paralysies spina
i gleswoitli, 92, 420. Paralysie saturnine, par Schulze, 308.
Paralysies
spinales avec ataxie, par Leewenfelcl, 77. Pa
e, 308. Paralysies spinales avec ataxie, par Leewenfelcl, 77.
Paralysie
spinale spasmodique, par Nicol, 296. Paraplég
- Personnalité multiple, 119. l'oliomyelite antérieure aiguë et
paralysie
de Landry, par Immer- mann, 30. Pouls lent, é
Fi iediiianti, 315. 25s, 44s. Spinale (affection avec cécité et
paralysie
générale),parWestpha), 257. Suggestion hypnot
re des racines postérieures coupées 2. Hering ayant toujours appelé
paralysie
centripète l'abolition de la fonction des nerfs
l appelle également ataxie centripète celle qui se produit après la
paralysie
centripète. L'accord existant entre les résulta
d'où ils partent. L'ataxie centripète n'apparaît-elle qu'après la
paralysie
centripète des nerfs de la peau, des muscles, des
, des muscles, des articu- lations, etc. ? Doit-on l'attribuer à la
paralysie
simultanée de nerfs centripètes fonctionnelleme
éments les tremblements alcoo- liques, neurasthéniques, celui de la
paralysie
agitante, et d'autres maladies nerveuses. Son a
t complète. · R. de lIlUSGRAVE-CL.1Y. III. Manie avec amaurose et
paralysie
: gliome probable ; par W. J. VINCENT. {y/te Jo
on I. Homme de quarante-huit ans, marié depuis vingt ans : en 1894,
paralysie
faciale passagère suivie d'excitation mentale e
malades qui font le sujet de ces deux observations sont atteints de
paralysie
générale. Ils n'en présentent pas assurément le
vient une douleur hépatique et une prostration considé- rable, avec
paralysie
des muscles volontaires, relâchement des sphinc
tance chez les enfants. La rigidité accompagnant ordinairement la
paralysie
, on devait se demander s'il n'y avait pas un ce
plus atteintes par la roideur; l'auteur croit avoir découvert cette
paralysie
, en constatant avec quelle difficulté les malad
ne attitude fléchie, qui appartient également à la sénilité et à la
paralysie
; c'est une attitude de fai- blesse, ou en d'au
une attitude de fai- blesse, ou en d'autres termes une attitude de
paralysie
, aussi légère que l'on voudra, mais enfin de pa
attitude de paralysie, aussi légère que l'on voudra, mais enfin de
paralysie
. Il est à prévoir que l'on trouvera dans d'autr
trouvera dans d'autres muscles un certain degré de faiblesse ou de
paralysie
légère, et l'auteur pense que l'extrême sensibili
qu'elle soit due à d'autres causes que les causes « morales » ; 2°
paralysie
générale des aliénés. Cette classification ne r
les phrénopathies (vésanies, folies alcooliques aiguë et chronique,
paralysie
générale, folie de la ménopause, etc.) ; entre
vice de conformation con- génital. R. ni.-C. XVI. Etiologie de la
paralysie
générale ; par Sérieux. (Revue de médecine, fév
re l'accident primitif et l'apparition des premiers symptômes de la
paralysie
générale REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 61 semb
is semble de beaucoup la cause déterminante la plus fréquente de la
paralysie
générale, mais qu'en somme le rôle principal do
jourd'hui que la syphilis n'exerce pas une action spécifique sur la
paralysie
géné- rale, mais une action toxique pouvant êtr
celui de Patrick). L'enfant présente les manifestations suivantes :
paralysie
cérébrale infantile bilatérale, imbécillité ou
ieurement compléter, voire même modifier mes conclusions. Pour la
paralysie
générale : lu signalons par un anamnèse détaill
à considérer les altérations des cordons pos- térieurs propres à la
paralysie
générale comme étant de nature exogène et sembl
montre d'abord deux bustes grandeur nature dont l'un représente la
paralysie
labio-glosso laryngée et l'autre le faciès myop
atteinte de la maladie de Parkinson. Sur deux cas avec autopsie de
paralysie
spinale antérieure subaiguë ; par Philippe et C
et cellules cordonales. Ces deux faits démontrent l'existence de la
paralysie
spinale antérieure subai- guë, niée par certain
dans une cer- taine mesure, en réalisant les traits cliniques de la
paralysie
géné- n«le spinale subaiguë. Dans les trois aff
(de Genève), ' l3auc (d'Edimbourg), Contribution à l'élude de la
Paralysie
musculaire progressive de la forme familiale ;
les réflexes tendineux et osseux sont absents des deux côtés et la
paralysie
est tout à fait flasque, sans contracture, sans
ngomyélie ; par Préobrajensky (de Moscou). , Autopsie d'un cas de
paralysie
infantile; par Sitta (de Prague). Séance du mut
i- culaires antérieures et postérieures. Dans les nombreux cas de
paralysie
infantile que j'ai eu l'occasion d'étudier, les f
polio-myélite infantile, ce qui du reste était facile à prévoir. La
paralysie
ascendante de Landry est le plus souvent sous l
élite disséminée, la polio-myélite en foyer, analogue à celle de la
paralysie
infantile. ] On peut favoriser l'apparition des
alade de 59 ans. Depuis dix-huit mois douleurs dans le bras gauche.
Paralysie
du membre supérieur gauche depuis huit mois, fa
ition des achillens et des cutanés placentaires, l'atro- phie et la
paralysie
flasque des extenseurs et des fléchisseurs du p
de Nissl, les ganglions spinaux dans deux cas de tabès associé à la
paralysie
générale. N'ayant trouvé que de légères modific
songe à l'unité de cause, si souvent revendiquée, du tabes et de la
paralysie
générale. Outre les lésions des racines postéri
cines postérieures et des racines anté- rieures, il existe, dans la
paralysie
générale, de véritables névrites périphériques
ent donc aux pro- cessus de dégénération du névraxe. Dans un cas de
paralysie
générale observé par A. floche, les muscles éta
e, quant à l'excitabilité galvanique du muscle, dans le tabes et la
paralysie
générale : la réac- tion caractéristique est mo
amusculaires, etc. Hoche, sans nier les affinités du tabes et de la
paralysie
générale, ni leur étiologie commune, la syphili
Mobius qui, au point de vue étiologique, aj réuni le tabes et la
paralysie
générale sous la rubrique mélasyphilis, ni du côt
nt localisées d'une seule et même maladie.1 - Suivant ces idées, la
paralysie
générale n'est qu'un épisode du tabès, le tabes
érale n'est qu'un épisode du tabès, le tabes une forme fruste de la
paralysie
générale, et, alors même qu'aucun symptôme psyc
a vie, on trouve dans le cerveau des tabétiques les lésions de la
paralysie
générale. A quoi Hoche répond en posant quelques
mple, dans la démence sénile ? . Suivant Nageotte, le tabès et la
paralysie
générale coexistent si fréquemment qu'on les re
étiques avérés deviennent paralytiques généraux, soit sous forme de
paralysie
générale vulgaire, soit sous forme delypémanie,
- tiques généraux sont tabétiques. Mais, loin de démontrer que la
paralysie
générale est accompagnée de tabes dans les deux
uée par Pierre Marie ainsi que par Hoche, ne signale sur 118 cas de
paralysie
générale que 28 fois seulement les lésions cara
e des cordons postérieurs n'est pas beaucoup plus fréquente dans la
paralysie
générale que celle des cordons laté- raux. Dans
eux, qui ne contiennent aucun rapport de conti- Nageotte,. Tabès et
paralysie
générale. Th. Paris, 1893. S Fi\l'i;tnel'. ZUI'
es. Enfin, l'association ou complication fréquente du tabes avec la
paralysie
générale, et inversement, ne permettent pas de
is peut sans doute s'associer à une véritable maladie mentale, à la
paralysie
générale des aliénés. La question des rappoits du
ie générale des aliénés. La question des rappoits du tabes et de la
paralysie
générale est encore pendante. Pour Moebius, les d
ctions. Ajoutez que la dégénération des cordons postérieurs dans la
paralysie
générale n'est pas de même nature que dans le t
ale n'est pas de même nature que dans le tabbes véritable.' Dans la
paralysie
géné- rale, ce ne sont pas les prolongements de
mprimer sous l'influence d'un traumatisme. - Reste à expli- quer la
paralysie
motrice qui a probablement été causée par 138 R
ariations d'aspect ou de présence de la subs- tance chromophile. La
paralysie
générale présente à ce point de vue particulier
s avec faiblesse dans les membres aboutissant progressivement à une
paralysie
plus ou moins complète des mem- bres. Les troub
ésentait : 1° une atro- phie musculaire progressive non précédée de
paralysie
, ayant débuté dans l'épaule et'le bras gauche (
e même la flexion du tronc peut s'effectuer malgré l'atrophie ou la
paralysie
des muscles abdominaux, par la seule force de l
le peut, en effet, car la sciatique n'entraine jamais une complète
paralysie
des muscles affectés, et son élongation, par su
n de la sensibilité du système pileux. Deux observations. Un cas de
paralysie
de Brown-Séquard ; la sensibilité du système pi
concernant le tabès dorsal, l'atrophie musculaire progressive, la
paralysie
spinale spasmodique, la poliomyélite antérieure.
ANA (de New-York) et Marinesco (de Bucharest). COMMUNICATIONS S
Paralysie
Radiculaire supérieure du Plexus Brachial chez un
(de Paris). Une jeune enfant est atteinte, à l'àge de un an, d'une
paralysie
du plexus brachial avec réaction de dégénéresce
e limitée au groupe radiculaire supérieur. La distinction d'avec la
paralysie
spinale infantile peut être faite par l'uniform
oute période fébrile d'invasion et par la cause qui a produit cette
paralysie
(distension du plexus brachial par chute sur le
es V° et VI' racines cervicales. Sur l'évolution de quelques cas de
Paralysies
Radiculaires du Plexus Brachial; pur E. HuEr (d
s Brachial; pur E. HuEr (de Paris). Parmi une trentaine de cas de
paralysies
radiculaires du plexus brachial, observées par
e. Comparées il des névrites traumatiques des troncs nerveux, les
paralysies
radiculaires du plexus brachial semblent comporte
rieures et a sur ces cellules une influence directe. Pathogénie des
Paralysies
Radiculaires trctumalirprs du Plexus Brachial;
M. HuEr, DUVAL et.GLILLlII\ (de Pans). Nous avons observé 26 cas de
paralysies
radiculaires trau- matiques du plexus brachial
es du plexus brachial au point de vue clinique et élec- trique. Ces
paralysies
ont reconnu des causes très diverses (port de l
rouvé l'abaissement de l'épaule, soit l'hyperélevation du bras; les
paralysies
radiculaires sont fonctions de ces deux causes.
eproduit sur le cadavre les divers mouvements qui avaient amené ces
paralysies
en clinique. Nous avons vu que dans l'élévation
ieures se rompent après les racines antérieures. Le pro- nostic des
paralysies
radiculaires, l'existence des troubles d'anes-
le. Dans le cas actuel les lésions rappellent celles de cer- taines
paralysies
générales de l'adulte; ces lésions sont rares dan
été normal. Il semble toutefois que son idiotie, son gâtisme et sa
paralysie
aient surtout été marqués après une rougeole qu
s pro- noncés, mais passagers. Les troubles moteurs consistent en
paralysies
partielles (mono- plégie, hémiplégie); les réfl
et familiale ; 2° Le genre du début ; 3° Les caractères mêmes de la
paralysie
; 4° Son concours et sa terminaison ; 5° L'état
rculatoires, respiratoires ou thermiques. 3° Les caractères de la
paralysie
. Dans l'hémiplégie hysté- rique, la paralysie s
Les caractères de la paralysie. Dans l'hémiplégie hysté- rique, la
paralysie
s'établit à la fois sur le membre supérieur et
stinguer du mutisme hystérique. II. L'hypotonicité musculaire et la
paralysie
. 1. Déviation conjuguée des yeux. L'amplitude d
les yeux un objet qui se meut dans les directions laté- rales. 2.
Paralysie
faciale : le malade « fume la PIPE » ; le facial
de « fume la PIPE » ; le facial SUPÉ- rieur est souvent atteint. La
paralysie
faciale peut être « systé- matique » et ne se m
que dans les mouvements mimiques. Dans l'hémiplégie hystérique, la
paralysie
faciale est excessive- ment rare : ce qu'on voi
de la langue et la dysartiirie typique en rapport avec le degré de
paralysie
de cet organe. Dans l'hys- térie, la déviation
e, déviation du côté opposé, etc.). - 4. L'intensité relative de la
paralysie
des membres et des groupes musculaires d'un mem
ires associés des extrémités paraly- sées. - 6. L'évolution de la
paralysie
dans les cas sans ictus présente ordinairement
fait d'une manière régulière : quel que soit le degré maximum de la
paralysie
établie à la suite d'un,¡ apoplexie, elle subit
térie. L'absence du réflexe abdominal et crémastérien du côté de la
paralysie
seule au début de l'hémiplégie doit être prise en
- sidération. ' VI. L'7eé)nicéneslleésie est moins accusée que la
paralysie
, le degré de l'auestliésie n'est pas nécessaire
non organiques. Je me base pour avancer cette idée sur deux cas de
paralysie
alcoolique dans lesquels le réflexe de Babinski
organique, de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la
paralysie
. Un hystérique peut, il est vrai, dans certains c
'hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une part que la
paralysie
, en raison de son mode d'évolution, de l'ac- ti
, que l'exagération des réflexes tendi- neux, disparaissant avec la
paralysie
, devait être intimement liée à l'hystérie.. 1
nt par ses caractères celle que l'on observe parfois au cours de la
paralysie
générale. Séance de l'après-midi. - PnLSiDEKCE
e le rechercher dans toutes les affections pouvant déterminer de la
paralysie
spasmodique : Le malade se tenait debout, les m
ait unilatéral et ne portait que sur la jambe droite. Deux cas de
Paralysie
alterne. Troubles de la sensibilité; par Cn. 11
ngue vers la droite, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 3 sans autre signe de
paralysie
facial; intégrité motrice des membres, mais exa
ncomplète de tout ce coté, le malade perd ses membres dans son lit.
Paralysie
du droit externe gauche; la face est indemne de
cedens spasmos solvit » s'est trouvé, en la circonstance, erroné.
Paralysie
générale syphilitique à gommes osseuses. M. Mar
mmes osseuses. M. Marie rapporte aussi l'observation de deux cas de
paralysie
générale syphilitique avec gommes osseuses sur
litiques, mais il- semble aussi avoir « donné un coup de fouet à la
paralysie
générale. L'un des malades a succombé après tro
tres et non pas des anxieux chroniques. Troubles du langage dans la
paralysie
générale. M. DIDE communique, au nom de M. Char
même trépidation épileptoïde dans un cas de rhumatisme chronique.
Paralysies
associées des muscles des yeux. bill. liarsionn
yeux. bill. liarsionn et CESTAN ont observé chez deux malades une
paralysie
des mouvements de latéralité des yeux et une hémi
et de la VIe paire. Ils présentent en outre un malade atteint d'une
paralysie
de l'élévalion, de la conver- gence et de la la
e de l'élévalion, de la conver- gence et de la latéralité des yeux,
paralysie
survenue subitement, associée à une hémiplégie
ougé depuis dix ans. Les auteurs voient là un nouvel exemple de ces
paralysies
asso- ciées'des globes oculaires décrites par l
en est ainsi en particulier pour la variété décrite sous le nom de
paralysie
périodique ou transitoire et nous verrons dans
it. Parmi ses ascendants directs, personne n'a jamais été frappé de
paralysie
; son père est mort d'hydropisie. Il a eu huit
ux fils aînés ont été paralysés de la même façon que le père. Cette
paralysie
les a frappés après vingt ans..L'un d'entré eux
au moment de son arrivée sous les drapeaux. Le sujet raconte que la
paralysie
qu'il a observée chez ses deux fils ressemblait a
mère est bien por- tante. C'est à luge de trente-deux ans que la
paralysie
s'est manifestée, sans prodromes. Brusquement u
ont striés, épais, friables. Le sujet dit encore qu'au moment de la
paralysie
, le gros orteil de ce côté aurait été « mort ». O
ans trois endroits ( ? ) du membre inférieur gauche au moment de la
paralysie
, persisteraient encore sous la forme de douleurs
es des sphincters. Il n'y en aurait jamais eu, même au moment de la
paralysie
. Les membres supérieurs ont conservé toute leur
après cette période de repos, était la conséquence de l'attaque de
paralysie
qu'il nous décrit. A l'âge de dix-neuf ans, le
UE NERVEUSE. gissant bien à la lumière et à l'accommodation. Pas de
paralysies
oculaires. Champ visuel normal, vue bonne. Bles
ouches.- MALADIE NERVEUSE s FAMILULE. 199. La première attaque de
paralysie
remonte en z. Le malade' sarclait des légumes,
ncier nettement de nos observations. Dans sa forme la plus pure, la
paralysie
spasmodique familiale se résume dans la formule
rsch 2, Willy Taylor3, Mitehell ? Krewer 5, Putnam 1 ont décrit des
paralysies
fami- liales périodiques ou transitoires qui ne
qui à la suite d'une maladie infectieuse fut affecté de crises de
paralysie
progressive des quatre membres, revenant d'abor
rticulaire ou musculaire, besoin d'agir, inquié- tude physique). La
paralysie
débutait par les bras ou le plus souvent par-le
ue lourde, les muscles de la face épargnés. A l'acmé il y avait une
paralysie
absolue de tous les segments deslmembres. On co
uvaient être incomplets : quand le malade copiait de la musique, la
paralysie
envahissait la jambe et le bras inactifs, le br
prenait que quand le travail était fini. Si le malade marchait, la
paralysie
se localisait longtemps aux bras. L'auteur en f
la paralysie se localisait longtemps aux bras. L'auteur en fait une
paralysie
par inhi- bition. La- malade de Cavaré, relatée
: quarante-huit heures après un accouche- ment, elle fut frappée de
paralysie
périodique des quatre membres, envahissant même
fièvre malarique à dix-huit ans, fut frappé à plusieurs reprises de
paralysie
des quatre membres avec gène' de la parole, de
eilheillc, 1892. , 1 MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 209 s'agit d'une
paralysie
spastique récidivante observée chez deux enfant
affection, frappant les individus jeunes, se caractérisait par une
paralysie
brusque, flasque, totale des membres et du dos
r les muscles qui sont altérés d'une façon caractéristique dans les
paralysies
familiales. L'affection aurait ainsi de grandes
-cinq ans, qui en avril 1898, brusquement fut frappée la nuit d'une
paralysie
complète du pied droit et de la main gauche. L'
. Les régions atteintes étaient en état d'anesthésie complète. La
paralysie
avait disparu complètement, lorsque au mois d'a
sujet présenta de nouveau les mêmes symptômes. Après trois jours la
paralysie
se ' Nouvelle contribution A la paralysie parox
mes. Après trois jours la paralysie se ' Nouvelle contribution A la
paralysie
paroxysmale familiale. (Deutsche Zeilsch. sur A
usqu'à la. moitié, denovembre. L'important travail de Donath sur la
paralysie
périodique, traumatique a eu-le gros avantage d
iliaux, (Cousot, Goldflamm, Ilirsch, Bernhardt, Tay- loi\ etc.). La
paralysies
frappe tautôt.les3 membres supé- rieurs, tantôt
ction; ilirappelle-Kopinionide Goldflamm mettant eu parallèles la
paralysie
périudique-avec : le systèmemeuro-ntusculaire dû
chute de voiture fut prise brusquement,' le troi- sième jour, d'une
paralysie
, de- tout# le- corps,- sans troubles de la paro
taques semblables se répétèrent pendant les cinq jours suivants. La
paralysie
envahissait rapidement toutes les extrémités, p
pour bien faire ressortir'toute la' différence qui existe entre ces
paralysies
-spinales- intermittentes ou, périodiques et le
n doit, en dernier ressort, les considérer comme un type spécial de
paralysie
spasmodique familiale essentiellement transitoi
'étude approfondie des maladies cérébrales organiques, y compris la
paralysie
générale. C'est là une vérité qui ne fait aucun
tation ; dans la manie chronique, résultats satisfaisants ; dans la
paralysie
générale, bons résultats contre l'extrême excit
assez peu accusé pour · passer inaperçu) ; puis bientôt survient la
paralysie
d'une branche ou de toutes les branches du mote
e, d'oedème des paupières, d'écoulement catarrhal ou purulent, de
paralysie
des autres muscles de l'oeil, et, très rarement,
s muscles de l'oeil, et, très rarement, comme dans le cas actuel de
paralysie
d'une des branches du trijumeau. Le pronostic e
III. Un cas d'hémiplégie croisée avec, comme symptôme saillant, une
paralysie
du pharynx; origine syphilitique; par Heinrich
ort simple ; mais ce qui est intéressant et moins commun, c'est une
paralysie
du pharynx très accusée et très persistante, su
x très accusée et très persistante, surtout par comparaison avec la
paralysie
des autres régions. Cette paralysie pharyngée é
surtout par comparaison avec la paralysie des autres régions. Cette
paralysie
pharyngée était évidemment complète, puisqu'une
s'y est limitée. Quelques cas à marche rapide pouvaient simuler la
paralysie
ascendante aiguë de Landry. Chez un petit nombre
oitié gauche du pharynx sont en état de parésie. Au laryngoscope,
paralysie
complète de la corde vocale gauche. Les battement
nt plus ou moins dilatées. Trois malades avaient des syncopes. La
paralysie
, sous une forme ou sous une autre, a été notée
al et localisateur, il faut ajouter à ce groupe sous le numéro 5 la
paralysie
. Quant aux symptômes précoces, ce sont ceux que
l. DE Musgrave CLAY. XXIII. Un cas de syphilis spinale précoce avec
paralysie
deBrown Séquard; par Henry Bartox Jacobs. (I'he
datait que d'un an, et qui présentait le tableau incomplet d'une
paralysie
croisée du mouvement du côté droit avec douleurs
ité dite musculaire étant de- meurées peu ou point modifiées. Cette
paralysie
est celle à la- quelle Brown Séquard qui, le pr
cher qu'à une lésion unilatérale de la moelle. Le type pur de cette
paralysie
est très rare dans la syphilis spinale, mais sa
uement l'opinion de divers auteurs tant sur la syphilis que sur les
paralysies
d'origine médullaire, puis revenant au cas qu'i
tre unila- térale et située du côté de la moelle correspondant à la
paralysie
motrice. - La nature de la lésion demeure nat
ou un retard des grands symptômes d'incoordination. La diplôpie, la
paralysie
des cordes vocales ont aussi été observées à la
rtines, Recherches sur les troubles du goût et de l'odorat dans les
paralysies
générales progressives ; Nadiejda Stiena, Des f
c plus de lassi- tude. Il est maintenant allongé dans son lit. La
paralysie
parait aujourd'hui complète ci gauche mais plus
apidité de la marche des phénomènes : la parésie faisant place à la
paralysie
, les troubles pupillaires faisant leur appariti
cérébral droit ce qui donnait l'explication de la parésie el de la
paralysie
à gauche. La compression du nerf auditif, à son
dans la poitrine de ce même côté. Puis cessation de la miction, et
paralysie
presque complète des membres inférieurs, de la
que. Bevan-Lewis a observé ces corps en grand nombre dans un cas de
paralysie
bulbaire. On ne les rencontre guère hors de la
mparables à la série des symptômes que l'on observe souvent dans la
paralysie
générale. La psychologie du nouveau-né. étudiée
s observés se décom- posent de la manière suivante : 1° Cinq cas de
paralysie
générale. 2° Cinq cas de démence sénile. 3° Qua
cifique de la substance grise et celui de la substance blanche : 1°
Paralysie
générale : S. G. 1 )40 S. B. 1042 2° Démence sé
'aliénation mentale. Ce n'est que dans les folies aiguës et dans la
paralysie
générale, que la chromatolyse acquiert une fréq
. XIX. Recherches sur les troubles du goût et de l'odorat dans la
paralysie
générale progressive; par le D1' de 1\l.1eT11ES.
ution de l'olfaction peut être considérée comme un des signes de la
paralysie
générale. Sur 22 paralytiques, il a trouvé ce s
sel s'impose donc à tout médecin en présence d'un malade suspect de
paralysie
générale. ' G. D. XX. De l'influence de la dé
épilepsie idiopathique débute dans le plus grand nombre des cas. La
paralysie
générale figure dans l'ensemble pour 9 p. 100 e
OLOGIE MENTALE. 3l9 9 3°manie; 4" folie épileptique; 5° démence; 60
paralysie
générale; 8° La tendance au suicide est très fr
l'un considère que sur les 87 décès, 23 aliénés étaient atteints de
paralysie
gêné) aie; pour les femmes dont 7 seulement ont s
mélancolie, 41 ? p. 100; manie, 3-2,5 p. 100 ; démence, 20 p. 100;
paralysie
générale, 6 p. 100. Renvoyés guéris, 12,6 p. 10
ie, un peu plus longtemps chez les femmes que chez les hommes. La
paralysie
générale fait exactement 4 fois plus de victimes
t les troublesque l'on cons- tate aujourd'hui. Il est atteint d'une
paralysie
faciale droite com- plète avec UR, d'une paraly
st atteint d'une paralysie faciale droite com- plète avec UR, d'une
paralysie
du moteur oculaire externe droit, de nystagmus,
, on sait que l'hémiplégie protubérantielle est alterne, lorsque la
paralysie
faciale a les caractères de la paralysie péri-
le est alterne, lorsque la paralysie faciale a les caractères de la
paralysie
péri- phérique. Est-ce donc là un fait en opp
apparence, car, en réalité, on n'a pas affaire ici à une véritable
paralysie
des membres, liée, comme la paralysie alterne,
s affaire ici à une véritable paralysie des membres, liée, comme la
paralysie
alterne, à une altération du système pyra- mida
ertaine brusquerie. Il s'agit. là d'un phénomène qui n'est ni de la
paralysie
ni de l'mcoordina- tion, mais'qui consiste en u
très encourageants. M. Poolard présente une malade atteinte d'une
paralysie
d'abaissement des globes oculaires. M'. PHCUARM
poumons et embolie cancéreuse dans la région du rocher qui crée une
paralysie
faciale périphérique par compression du nerf da
observé aussi chez un homme au cours d'un can- cer de l'estomac une
paralysie
faciale due à un noyau cancéreux comprimant le
de la névroglie la coloration rouge du reste de la préparation. -
Paralysie
associée îles muscles droits supérieurs. MM. 1\
ient l'observation et. les photogra- phies d'une malade atteinte de
paralysie
hystérique des muscles droits supérieurs. 11 lu
cun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en plaques ou
paralysie
générale. A131. Brissaud et Monod. Il s'agit d'
s'agit d'un malade pour lequel malgré des signes incontestables de
paralysie
générale le dia- gnostic a pu être hésitant en
lombaire ont pu confirmer le diagnostic d'ailleurs fort probable de
paralysie
générale. M. JORFROY à propos de ce malade insi
ce malade insiste sur la contingence de la plupart des signes de la
paralysie
générale sauf pour l'affai- blissement intellec
ent les cas de mélancolie appartenant à la période initiale de la
paralysie
générale ou à une phase de la folie circulaire. L
blance presque identique des lésions représentées avec celles de la
paralysie
générale. D'ailleurs certains auteurs après avoir
rs gaines gorgées de noyaux sont beaucoup plus intenses que dans la
paralysie
générale, au lieu que l'atrophie et la raréfac-
asculaire était primitive. Ne pour- rait-on en conclure que dans la
paralysie
générale où l'aspect est inverse, la fonte cell
l'élude de l'analomie pa- thologique el de l'liislopalkoloyie de la
paralysie
générale. ln-8° de 16'pages avec 2 planches hor
ation d'un centre moteur cortical entraîne toute autre chose qu'une
paralysie
complète et irré- médiable des muscles innervés
, répara- bles, et des désordres qui n'ont rien de commun avec la
paralysie
motrice, dans le sens propre du mot, dans le sens
désordres relèvent bien plus de l'incoordination motrice que de la
paralysie
; on les désigne couramment sous le nom d'ataxi
ions convulsives. L'opération a entraîné' comme suite immédiate une
paralysie
complète du pouce, une parésie complète de la m
res de vaisseaux pie-mériens. Au bout de trois jours, l'aphasie, la
paralysie
des septième et neuvième paires étaient en voie
épileptogènes, on procéda à leur extirpation. Il s'en est suivi une
paralysie
de la partie inférieure de la moitié droite du
cal, et une aphasie complète, qui a persisté pendant neuf jours. La
paralysie
a mis trois semaines à se dissiper. Le malade a
de la moitié droite du visage et de la bouche étaient frappés d'une
paralysie
complète. La sensibilité était intacte dans les
était intacte dans les parties paralysées. Le ler avril suivant, la
paralysie
motrice était complète, à la main droite et au co
sur une épaisseur de 2 millimètres 4/2. Le malade a pré- senté une
paralysie
passagère du membre supérieur droit. Les attaqu
ingt-huit dans les vingt-quatre heures. Elles étaient suivies d'une
paralysie
du membre supérieur gauche et de la moitié gauc
la raideur dans les doigts de la main gauche. Le cinquième jour, la
paralysie
avait envahi les fléchis- seurs des doigts, les
es doigts et le poignet ont été trouvés paralysés, à droite ; cette
paralysie
prédominait dans les fléchisseurs. Les mouvemen
et de l'épaule s'exécutaient également sans vigueur, de ce côté. La
paralysie
mit un certain temps à se dissiper; on n'a pas
es doigts de la main droite; cette main était atteinte d'une légère
paralysie
. Les jours suivants, la paralysie motrice est a
main était atteinte d'une légère paralysie. Les jours suivants, la
paralysie
motrice est allée en s'amendant. Le malade a quit
traitement par l'électricité et les bains chlorurés sodiques, cette
paralysie
s'est amendée lentement. Quatre années après l'
) CLINIQUE NERVEUSE. main gauche. Deux jours après, on constata une
paralysie
de la main gauche ; elle persista une dizaine d
e cette notion : L'extirpation d'un centre moteur n'entraîne pas de
paralysie
durable de la partie qui est censée tirer son i
désordres moteurs qui relèvent de l'incoordination plutôt que de la
paralysie
et qui, en tout cas, se dissipent au bout de qu
noyau, et elle peut être la seule preuve clinique appréciable d'une
paralysie
pré-existante de la troisième paire. - 4° Ell
arguments suivants : a. Cette iridoplégie accompagne, ou suit, une
paralysie
du moteur oculaire. b. A l'appui de l'opinion
de la parole ou léger embarras delà langue un peu tremblée, pas de
paralysie
des membres, pas de trou- bles de la sensibilit
s désordres de l'équi- libre, jointe au nystagmus et à l'absence de
paralysies
et de bruits dans les oreilles, indique une aff
le bulbe. Cette dernière hypothèse est la plus probable, car une
paralysie
du facial gauche se développa par degrés dans les
dans les jours qui suivirent la première attaque convulsive. Cette
paralysie
s'ex- plique par la compression du tronc du fac
Souques. (Noitu. Iconogr. de la Salpélrière, n° 2, 1900.) Double
paralysie
alterne supérieure, plus accentuée à gauche, RE
ringomyélie, présentent des troubles trophiques plus accentués ; la
paralysie
infantile qui ne porte que sur les cellules mot
rais, 3u3 gr. 5. P. KERAVaL. XXXIII. Contribution au diagnostic des
paralysies
hystériques ; parM.-N. Fedorow. (Obozrénié psic
rve parfois, dépend d'un spasme des muscles du visage, et non d'une
paralysie
faciale ; 3° Le bras reprend ses fonctions plus
e ; 3° Le bras reprend ses fonctions plus tôt que la jambe ; 4° Les
paralysies
des muscles des yeux sont douteuses et se rappo
à 26 ans d'un ictus apoplecti- forme suivi de contracture, puis de
paralysie
flasque. Croyant à une tumeur le médecin traita
qui ont été jusqu'ici observées ont souvent présenté notamment une
paralysie
prédominante d'un des membres inférieurs avec h
RS. (Revue de médecine, août 1900.) Observation de plusieurs cas de
paralysie
médullaire' chez des nouveaux nés syphilitiques
nouveaux nés syphilitiques sans aucun trouble cérébral. Il y avait
paralysie
des membres supérieurs et quelquefois des infé-
aient souvent, en outre, une forme caractéristique, par suite d'une
paralysie
prédominante des muscles innervés par le radial
ilis plus que partout ailleurs on trouvera la parésie au lien de la
paralysie
, la rigidité légère au lieu des contractures, l'a
pupille d'Argyll-Robertson, si caractéris- tique du tabès et de la
paralysie
générale ne l'est pas de la syphilis; 4° la for
u manque à droite et est exagéré à gauche; qu'il n'y a ni ataxie ni
paralysie
des bras; que les muscles de la face sont norma
ovoque des mouvements convulsifs. La mort soudaine parait due à une
paralysie
par compression des centres cardiaques et respi
, cette association n'est pas rare. R. de Musgrave-Clay. LVII. La
Paralysie
de Landry; par W.-H. HAYNES. (Tlte New 1 oi-k M
.-H. HAYNES. (Tlte New 1 oi-k Médical Journal, 27 mai 1899 ) , La
paralysie
de Landry peut être considérée comme une mala-
trois ou quatre mois; et l'état spécial qui la caractérise est une
paralysie
flasque de toutes les extrémités, avec perte des
es généraux bien accusés, outre ceux de la méningite qui précède la
paralysie
, et les symptômes cérébraux dans la forme céréb
bro-spinale; dans la forme ordinaire de poliomyélite antérieure, la
paralysie
est-limitée à certains groupes musculaires, et
ntres crâniens sont intéressés, tandis que, en règle géné- rale, la
paralysie
de Landry n'atteint que les nerfs spinaux moteurs
du système nerveux très analogues à celles que l'on observe dans la
paralysie
de Landry. - R. de Musgrave-Clay. LV111. Un cas
le aura été constatée. On ne la rencontre pas dans la démence de la
paralysie
générale. Après la démence c'est dans la stupeu
et qui, par ses manifesta- tions cliniques rappelle de très près la
paralysie
générale, avec cette différence qu'elle est ass
dégénérescence. Le diagnostic différentiel est à faire avec : 1° la
paralysie
générale; 2° la manie alcoolique aiguë simple. Da
simple. Dans la plupart des cas, le diagnostic différentiel avec la
paralysie
générale reste pendant longtemps impossible.
manifeste dans les affections dites parasyphilitiques, à savoir, la
paralysie
générale et le tabes. Son opinion sur la pathog
guement et ingénieusement cette manière de voir en ce qui touche la
paralysie
générale. Il insiste en termi- nant sur un poin
où c'est sou- vent après les cas bénins que l'on voit apparaître la
paralysie
diphtéritique : de même pour certains cas de pa
pparaître la paralysie diphtéritique : de même pour certains cas de
paralysie
générale ou de tabes, dans lesquels le malade n
ns parasyphilitiques. Enfin l'auteur cite la forme juvé- nile de la
paralysie
générale comme l'argument le plus fort en faveu
re la syphilis comme le facteur étiologique le plus important de la
paralysie
générale. R. DE Musgrave-Clay. XLV. Folie et
se est si commune. R. DE Musgrave-Clay. XLVIII. Sept cents cas de
paralysie
générale des aliénés : analyse de tous les cas
semblable que beaucoup d'entre nous s'attendent en ce qui touche la
paralysie
générale); mais à l'heure actuelle nous avons p
e, frappée d'hémiplégie droite avec aphasie motrice et sensorielle,
paralysie
du facial et de l'hypoglosse (langue déviée à à
sociation de la sensibilité en forme de veste, brûlures et panaris,
paralysie
atrophique des mains, exagération des réflexes
isme, apo- plexie cérébrale, embolie de l'articulation sylvienne et
paralysie
traumatique du plexus brachial. Bien que les
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. 1 Un nouveau cas de
paralysie
générée' avec syphilis héréditaire ; * Nv\ Pa
la bonne fortune de publier, il y a dix-huit ans, le premier cas de
paralysie
générale juvénile connu en France et le premier
uis 1883. dans l'étude de la question. A cette époque, en effet, la
paralysie
générale au-dessous de vingt ans, des adolescen
représentée par une centaine d'observations émanées ' A'o/e sur la
paralysie
générale prématurée, A propos d'un cas remar- q
Journal cie« mécl. de Bordeaux et l'Encéphale, 1883.) 2 Un cas de
paralysie
générale à l'âge de dix-sept ans. (Bull. de la
Journal de de Bordeaux et l'Encéphale, 1885.) Deux nouveaux cas de
paralysie
générale juvénile avec syphilis héréditaire. (B
ettres de cette époque, dont j'ai eu des spécimens sous les yeux.
paralysie
générale ET syphilis héréditaire. 451 Son voyag
qui s'observent de façon si typique chez le paralytique général.
paralysie
générale ET SYPHILIS héréditaire. 453 Tel était
il n'ait jamais éprouvé d'ictus congestif, tous les symptômes de sa
paralysie
générale se sont, dans ces derniers temps surto
le diagnostic chez mon malade. C'est, à n'en pas douter, un cas de
paralysie
générale juvénile, ayant débuté à l'âge de dix-
our la majorité des auteurs aujourd'hui, le facteur essentiel de la
paralysie
-juvénile. On a vu que les renseignements de
um. Mais elle succomba, jeune encore, par suite de cancer utérin.
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET SYPHtHS HÉRÉDITAIRE. 455 Je puis do
st fils et petit-fils de pellagreux. Voici donc un nouveau cas de
paralysie
générale juvénile à l'origine duquel on trouve
ine de Bordeaux. · Il y a là une accumulation de faits qui, dans la
paralysie
générale juvénile comme dans la paralysie génér
ion de faits qui, dans la paralysie générale juvénile comme dans la
paralysie
générale des adultes, dénoncent nettement la sy
nier ; avec ceci en plus de significatif que le fils ' Thiry. De la
paralysie
générale dans le jeune âge. (Thèse de Kancv, 18
dans le jeune âge. (Thèse de Kancv, 1898.) ' - 2 L. Delmas. De la
paralysie
générale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux,
adie chez le sujet. - Il en est ainsi, la plupart du temps, dans la
paralysie
géné- rale juvénile qui, sauf de rares exceptio
particularité, qui se retrouve, bien qu'à un degré moindre, dans la
paralysie
générale de la femme, comme dans celle de l'ado
eaux, 1900.) E. Régis. Quelques réflexions générales à propos de la
paralysie
générale juvénile. (Annales n : f'(co-yc/to ? y
énérale juvénile. (Annales n : f'(co-yc/to ? yK('6',mai-juu] 1898.)
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET SYPHILIS HÉRÉDITAIRE. 457 rentre au
ment, et j'insiste 1 nouveau sur le caractère effacé, fruste, de la
paralysie
générale juvénile et sur la nécessite d'y songe
ux point traiter icicette, question de fractures spontanées dans la
paralysie
générale, où elle est encore discutée, et je me
ale, la facilité aux fractures, dans certaines maladies, comme la
paralysie
générale, n'a d'égale on le sait, que leur facili
sivement, inclus les membres paralysés, de même que la figure. La
paralysie
faciale n'existe pas. L'avant-bras droit en flexi
miplégie produite deux ans auparavant. Bras contracture en flexion.
Paralysie
. Jambe légalement rigide. Hëuexes tendineux exa
attaquée d'épilepsie dès l'âge de huit ans, avec cécité complète et
paralysie
. Après l'opération, la paralysie, la cécité et
huit ans, avec cécité complète et paralysie. Après l'opération, la
paralysie
, la cécité et les attaques disparurent définiti
u le résultat suivant. Vingt malades (hommes et femmes) atteints de
paralysie
générale vraie, mais sans alcoolisme, ont donné
la défectuosité iutellectuel'e, d'autres signes de dégénérescence :
paralysies
infantiles hémilatérales, cérébrales et spinales,
'occasion de parler. Bournlville. LIV. Contribution à l'étude de la
paralysie
progressive infanto- juvénile ; par G1\Nul.l. (
es d'une lésion du cerveau. Il est très-probable qu'il s'agit d'une
paralysie
générale, à forme démentielle, com- pliquée de
ux serait le locus zrzinoris 7-esisteizlix : paraplégie maternelle,
paralysie
infantile ou rachitisme d'une soeur Le ma- lade
es maladies mentales, telles que le délire chronique primitif et la
paralysie
générale, -débutent parfois par un stade extrao
. La néoformation vasculaire expliquerait la disparition rapide des
paralysies
ainsi que l'aphasie consécutives aux attaques a
on que vous venez d'enlendresoulève un autre problème que celui des
paralysies
générales juvéniles. Je veux parler de celui de
peut-il exister en dehors de l'entité morbide ? Ou bien la pseudo-
paralysie
générale alcoolique saturnine, syphilitique, arth
que saturnine, syphilitique, arthriti- que, etc., n'est-elle qu'une
paralysie
générale vraie, en rémission ou guérie, survenu
des cas mal observés pouvant, à la rigueur, être confondus avec la
paralysie
générale sans cependant la simuler ? La questio
la communication que vous venez d'entendre, s'agit-il d'une de ces
paralysies
juvé- niles, sur lesquelles mon savant ami Régi
assez diffus pour se traduire par un syndrome rappelant celui de la
paralysie
générale. Que serait donc alors la paralysie gé
rappelant celui de la paralysie générale. Que serait donc alors la
paralysie
générale vraie ? Sans préjuger de l'ordre de su
facée que la démence soit globale et que la lésion soit celle de la
paralysie
générale, les partisans de l'étiologie syphilitiq
lescluellés on passe histologiquement de la syphilis cérébrale à la
paralysie
générale. La même interprétation s'applique tout
l montre la transition insensible de l'alcoolisme chronique vers la
paralysie
générale qu'à ceux signalés par M. Klippel quand
lés par M. Klippel quand il dé- crivait dans ces temps derniers une
paralysie
générale d'origine rhumatismale. M. Toulouse
Lialy-ie générale, qu'il y a lieu de croire qu'il s'agit bien d'une
paralysie
juvénile. Parfois celle-ci revêt la' marque de
loin. J'aimerais mieux admettre que le syn- drome hormis le cas de
paralysie
générale vraie, est seulement un syndrome simul
SOCIÉTÉS SAVANTES. 503 rallierais assez volontiers au diagnostic de
paralysie
générale juvé- nile vraie, car elle se rapproch
était peu aisée à différencier de celle qui caractérise un début de
paralysie
générale. M. Buiand. Ce qui m'a fait surtout ré
d'une façon tout à fait niaise et absurde. Les signes physiques de
paralysie
générale consistent' en un trouble d'ailleurs l
vation c'est la- présence d'hal- lucinations psychomotrices dans la
paralysie
générale, dont il n'existe que 9 observations,
es psychomoteurs. - M. f3sr»o. La sialoribée n'est pas rare dans la
paralysie
générale; elle s'explique, le plus souvent, par
M. Babinski (avis confirmé par M. Parinaud), il se serait agi d'une
paralysie
du mouvement associé d'abaissement, paralysie de
l se serait agi d'une paralysie du mouvement associé d'abaissement,
paralysie
de nature organique et d'origine supranucléaire
le spasme des élévateurs est bien primitif et non consécutif à une
paralysie
de l'abaissement, dont il conteste la réalité.
res intrin- sèques. On n'a pas affaire, dit M. Marie, une véritable
paralysie
de l'abaissement, car en plaçant la tête du mal
étendu, tant s'en faut, qu'à l'état normal. Il y a donc bien de la
paralysie
ou de la parésie.de l'abaissement. Dès lors il
permis de considérer le spasme comme un phénomène secondaire à la
paralysie
. Cela n'a rien d'irrationnel, cela est même confo
tion des antagonistes dans les cas de · " SOCIÉTÉS SAVANTES. 51 L
paralysie
localisée dans un groupe de muscles, comme, par e
localisée dans un groupe de muscles, comme, par exem- ple. dans la
paralysie
des extenseurs delà main où les effets d'ex- te
oquent une flexion de la main. Scruder a du reste observé un cas de
paralysie
de l'abaissement très analogue à celui qui nous
essentiel qui permette de séparer ce cas des autres observations de
paralysie
des mouvements associés des yeux qui ont été pu
ne peut y avotr d'exagération des réflexes tendineux an côté de la
paralysie
. Je crois donc que chez ce malade il y a tout a
e, les lésions étaient multiples. Celles qui avaient déter- miné la
paralysie
alterne siégeaient sur la capsule interne et le
nnerait vraisemblablement que les signes communs de la myopathie.
Paralysie
radiale double subite. M. P. MAîuE présente un
é altérée. Or, après une seule débauche alcoolique est survenue une
paralysie
radiale bilatérale. Il a donc fallu l'intervent
de l'intoxication pour que la com- pression réussisse à produire la
paralysie
. Des faits semblables ont d'ailleurs été déjà s
de Calassi-\'estphal. Le malade, âgé de cinquante ans, présente une
paralysie
des deux muscles droits supérieurs et une parésie
épileptiforme. En 1883, on nota une mydriase de l'oeil gauche et la
paralysie
de l'accommodation. Au mois d'août 1898, on con
e actuellement ; en outre, il exista pendant quelques mi- nutes une
paralysie
du nerf abducens gauche. Les phénomènes pupilla
i n'y a qu'une lésion de quelques arcs réflexes qui s'y rendent. La
paralysie
des mouvements en haut et en bas peut être expliq
inairement que dans les affections dégé- nératives primitives. 3°
Paralysie
pseti@io-btilb ii2,e. Biplégie faciale et ophlnlm
mpos- sibles lorsque leur direction se définit dans la pensée. 4°
Paralysie
pMMo-6M/6a ! )'e. Ophtvlznopléyie dissociée itléo
fomes de folie épileptique, que de différencier plusieurs types de
paralysie
générale. Secrétaires des séances : G. RossouMO
Vient ensuite une revue historique des troubles pupillaires dans la
paralysie
générale. En comparant, dans les tableaux qui son
s, tandis que le trouble observé est constant ou progressif dans la
paralysie
géné- rale, la démence senile, et les démences
gnomonique, car, certains auteurs (l'auzi) ont observé même dans la
paralysie
générale, la variabilité. L'analyse qui précè
en particulier pour ce qui a trait aux troubles pupillaires de la
paralysie
générale, de la mélancolie sénile ou présénile et
Maladies des nerfs périfériques : a) névralgie, b) convulsions, c)
paralysies
, d) névrite simple, e) poli-névrites; 2° Maladi
e amyotrophique, h) poly-myélites antérieures, h) syriugomyélie, 1)
paralysie
de Brown-Sequart, m) lésions des queues de cheval
rt, m) lésions des queues de cheval, n) amyotrophie progressive, o)
paralysie
bulbaire progressive. 4° Maladies organiques co
névrose traumatique, e) chorée (mirr.), f) myoclonus multiplexe, h)
paralysie
agitante, k) tétanos traumatique, 1) tétanie, i
31 1 530 AVIS A NOS ABONNÉS. Stewart (B.-S ). Vecrease of gênerai
paralysies
of the Insane in En gland and ccales. - In-8» d
Andriezen, 54. TABLE DES MATIÈRES. 531; Manie avec aman rose et
paralysie
; ghome probable, par Vincent, 45. Emphysème
AHAC[;L&E et le Ouide magnétique, par F. Lirgnault, 189, 347.
Paralysie
spinale antérieure suh- par Cestan et Philippe,
ues avec amyotro- 17111e, par lolicli111(l, 240. -- en plaque» ou
paralysie
générale, p.u BI issaud et 10110(l. 316. Allé-
la folie, par Dawson, 5. spinale par Sptllcr, ? 50. -spinale avec
paralysie
tle t3rown-Sequard, par Jaiohs. ? 5G : par Brou
'ont pas, malgré les apparences, une grande valeur sémiologique. La
paralysie
, c'est-à-dire la privation du mouvement volonta
ie s'impose à tout neurologiste. Je vous ai dit précédemment que la
paralysie
pouvait être reproduite par la volonté, à moins
cant la loi sui- vante : la volonté est impuissante à engendrer des
paralysies
identiques à celles qui sont sous la dépendance
pendance d'une altération des nerfs. Envi- sageons, par exemple, la
paralysie
vulgaire du nerf radial ; sans doute la chute d
cier à son gré, comme le fait involontairement le malade atteint de
paralysie
radiale, dans un mouvement énergique de flexion d
et qui, à tant d'égards, est du plus haut intérêt en neurologie. La
paralysie
de la troisième paire ainsi que celle de la six
qui peut être simulé dans une certaine mesure ; mais, outre que la
paralysie
complète de la troisième paire détermine de la
elle, lors- qu'elle porte, par exemple, sur le droit interne, et la
paralysie
périphé- rique de la sixième paire donnent nais
jectif d'autant plus remarquable qu'il permet même de distinguer la
paralysie
de la sixième paire due à une lésion périphériq
lorsque le malade s'efforce de porter son regard vers le côté de la
paralysie
, ce qui tient sans doute à ce que le noyau de la
erveuses au droit interne du côté opposé et que, par conséquent, la
paralysie
nucléaire du droit externe d'un oeil s'associe
us l'intérêt qui s'attache, au point de vue du diagnostic, dans les
paralysies
des nerfs moteurs, à la dissociation de mouveme
étrie faciale tient bien à du spasme ou si elle n'est pas due à une
paralysie
de la face du côté opposé ; en effet vous devez
; ce défaut d'occlusion de l'oeil gauche ne dépendrait-il pas d'une
paralysie
de l'orbi- culaire ? Comment résoudre ce problè
culaire commun et nous permet d'établir que ce sujet est atteint de
paralysie
et non de spasme ; de plus nous pouvons affirme
aralysie et non de spasme ; de plus nous pouvons affirmer que cette
paralysie
n'est pas psychique, car cette dissociation de
a pas moyen de feindre. J'ai eu l'occasion de vous dire que dans la
paralysie
complète de la troi- sième paire la pupille est
certains cas même, les troubles pupil- laires s'accompagnent d'une
paralysie
de l'accommodation ; c'est là l'oph- talmoplégi
station d'une affection méningée capable de conduire au tabès, à la
paralysie
générale ou la syphilis conglomérée des centres
e souvent lieu à un trouble oculaire qui lui est spécial; c'est une
paralysie
double de l'accommodation, coïncidant avec l'in
ux, il devient facile de déjouer la simulation et de reconnaître la
paralysie
légitime de l'accommodation, qui peut ainsi êtr
s'il s'agit d'une dysphonie hystérique. Si l'on constate chez lui la
paralysie
d'unccorde vocale, paralysie dont les caractère
stérique. Si l'on constate chez lui la paralysie d'unccorde vocale,
paralysie
dont les caractères ne peuvent être reproduits
'hémiplégie; si l'on constate chez un hémiplé- gique, du côté de la
paralysie
, une exagération des réflexes rotulien, achillé
iétés normales (Erb). C'est ce qu'on observe habituellement dans la
paralysie
radiale vulgaire. Enfin j'attire votre attentio
és en deux groupes : d'une part, les troubles transitoires (crises,
paralysies
, contractures, mutisme, etc.) ; d'autre part, pré
tionnable, susceptible d'être atteint d'une hémianesthésie ou d'une
paralysie
hystérique, pourra tout aussi bien se suggérer
exe consécutif à la piqûre de la plante du pied peut subir dans les
paralysies
crurales reconnaissant pour cause une affection
e lésion de l'hémisphère cérébral droit, remontant à trois ans ; la
paralysie
occupe le membre inférieur, le membre supérieur e
s orteils sont presque complètement abolis ; c'est à la face que la
paralysie
est le moins accentuée ; la malade marche en fa
voquée des deux côtés, mais elle est plus prononcée à droite, où la
paralysie
est plus mar- quée. La malade suivante est at
de la moelle par arme à feu. Du côté gauche, qui est le siège d'une
paralysie
spasmodique, la piqûre de la plante du pied don
d'eux était atteint d'hémiplégie gauche remontant à trois ans ; la
paralysie
était flasque au membre inférieur ; le membre sup
plégie gauche. Le phénomène des orteils existait dès le début de la
paralysie
et trois mois plus tard, la para- lysie étant t
ils. Le phénomène des orteils n'est pas en relation directe avec la
paralysie
au point de vue de l'intensité : il est très ma
l peut être fort peu accusé et faire même défaut dans des cas où la
paralysie
est très prononcée. Généralement du côté opposé
ù la paralysie est très prononcée. Généralement du côté opposé à la
paralysie
, le réflexe cutané plantaire est normal ; parfo
rbides, le réflexe cutané plantaire était redevenu normal. Dans les
paralysies
spinales spasmodiques, quelle qu'en soit la cause
ou abolition des réflexes tendineux. Je l'ai constaté du côté de la
paralysie
, dans un cas d'hémiplégie spinale avec anesthésie
la motilité à forme hémiplégique ou à forme paraplégique, par de la
paralysie
flasque ou par de la contracture. Il n'existait p
amidal, n'en dénote pas la gravité. Il peut exister dans des cas de
paralysies
très légères, de paralysie curable et disparaît
ravité. Il peut exister dans des cas de paralysies très légères, de
paralysie
curable et disparaître après guérison; il peut
phénomène des orteils fait parfois défaut dans un membre atteint de
paralysie
spasmodique avec exagération des réflexes tendi
st parfois très marqué. Il m'a paru surtout très développé dans les
paralysies
spasmodiques congénitales accompagnées d'athéto
arition des autres troubles caractérisant les névrites (dou- leurs,
paralysies
, amyotrophies, etc.). Parfois la réapparition des
celles d'Erb. Terminons par l'étude des réflexes tendineux dans la
paralysie
pério- dique, affection très rare en France, ob
hie musculaire progressive et de la myasthénie. Pendant la crise de
paralysie
, qui occupe généralement les quatre membres, le t
ent d'autres symptômes : RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 65
paralysie
, contracture, etc., mais elle peut se présenter a
e la surréflectivité est géné- ralement proportionnée à celle de la
paralysie
. La surréflectivité dans l'hémiplégie organique
de disparaître. Sa régression coïncide, du reste, avec celle de la
paralysie
. Choisissons, comme autre exemple d'hémiplégie
émispasme plutôt que d'hémiplégie à proprement parler : l'élément «
paralysie
» est accessoire ou nul, l'élément « spasme » uni
moelle. La surréflectivité dans les lésions de la moelle (') De la
paralysie
par compression du faisceau pyramidal sans dégéné
. Examinons d'abord le type morbide décrit par Erb sous le nom de
paralysie
spinale spastique et dénommé par Charcot tabès do
isés en deux catégories. Dans les uns, malgré la régres- sion de la
paralysie
, la surréflectivité se maintient; c'est qu'il y a
ction réflexe du masséter. Contrairement à ce qu'on observe dans la
paralysie
spastique d'Erb, la surréflectivité peut, dans
ans réaction de dégénérescence, sans secousses fibrillaires et sans
paralysie
, lorsqu'elle s'accompagne de surréflectivité, e
ubor- donnée à l'état où ils se trouvaient avant l'apparition de la
paralysie
. Voici un certain nombre de types que l'on obse
eurologique, 191 1. t. Il, p. t5 i) que chez des sujets atteints de
paralysie
avec contracture liée à des lésions du système py
servé. Dans l'hémiplégie organique, on peut observer, du côté de la
paralysie
, des perturbations de même ordre. Rosenbach a
s ; b) motricité volontaire profondément troublée ; il peut y avoir
paralysie
complète ; c) réflexes tendineux parfois exagérés
nt les réflexes tendineux dans des membres qu'elle avait frappés de
paralysie
ou de contracture. C'était une donnée classique
de contracture. C'était une donnée classique que l'hémiplégie et la
paralysie
hystériques se manifesteraient parfois par des ca
ractères extrinsèques fournissaient seuls le moyen de discerner les
paralysies
hystériques des paralysies organiques : une par
issaient seuls le moyen de discerner les paralysies hystériques des
paralysies
organiques : une paraplégie ou une hémiplégie s
t de vue qui nous occupe. Après avoir indûment incorporé des cas de
paralysie
organique dans le domaine de l'hystérie, on éta
ne action pareille à celle des lésions nerveuses qui engendrent des
paralysies
ou des contractures ; cette conclusion, d'aille
servations nombreuses desquelles s'est dégagée cette notion que les
paralysies
s'accompagnant d'irréflectivité ou de surréflec
ie organique, de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la
paralysie
. Un hystérique peut, il est vrai, dans certains c
l'hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une part que la
paralysie
, en rai- son de son mode d'évolution, de l'acti
rt, que l'exagération des réflexes tendineux, disparaissant avec la
paralysie
, devait être intimement liée à l'hystérie. « Il
empêcha pas de marcher et ne dura que 48 heures environ. Quant à la
paralysie
brachiale, après être restée complète pendant que
l'avant-bras sur le bras est aussi nettement plus fort du côté de la
paralysie
. Le mem- bre supérieur gauche est sensiblement
on de la main paralysée, dans l'expérience d, sont dues à ce que la
paralysie
libère les mouve- ments passifs des entraves qu
s à l'état normal par l'acti- vité musculaire. En résumé, dans la
paralysie
organique, l'abolition des mouvements actifs, l
la suite d'une vive émotion, on n'hésitera guère à admettre que la
paralysie
relève de l'hystérie. Il ne me vient certes p
ériques, les stigmates pouvant faire complè- tement défaut dans les
paralysies
hystériques et l'hystérie ne mettant pas à l'ab
'a que peu ou pas conscience. Il y a lieu de supposer que, dans une
paralysie
, ces deux ordres de mouvements peuvent être troub
, passons à l'examen des faits. Pour commencer, occupons-nous de la
paralysie
faciale. Mon intention n'est pas de faire ici u
s d'hémiplégie faciale que nous avons en vue. Étudions d'abord la
paralysie
faciale dans l'hémiplégie organique. A l'état d
est atteint, ce qui n'est pas rare, surtout au début, avant que la
paralysie
n'ait commencé à rétro- grader, les plis du fro
e serait l'inverse de celle qui vient d'être décrite; du côté de la
paralysie
le sillon naso-labial, après avoir été effacé,
es sont contractures, un abaissement de la commissure du côté de la
paralysie
, comme dans la période de flaccidité. Les mou
est plus élevée et le sillon naso- labial plus marqué du côté de la
paralysie
. Je dois faire remarquer, tou- HÉMIPLÉGIE ORGAN
ns à attirer maintenant votre attention d'abord sur ce point que la
paralysie
faciale est limitée au côté hémiplégie et ensuite
u plus saillant que les autres. Je dois vous dire, enfin, que cette
paralysie
est soumise à des règles sinon à des lois, la c
oumise à des règles sinon à des lois, la contracture succédant à la
paralysie
flasque et les troubles de motilité s'atténuant
ecueillies depuis n'ont fait que confirmer (-». L'existence de la
paralysie
flasque dans l'hystérie a été longtemps mise en
s devant la Société médicale (), des faits tendant à montrer que la
paralysie
faciale hystérique a un aspect cli- nique tout
spect cli- nique tout particulier qui permet de la distinguer de la
paralysie
faciale liée à l'hémiplégie organique. On peu
iée à l'hémiplégie organique. On peut observer dans cette espèce de
paralysie
faciale un abaissement de la commissure comme d
de paralysie faciale un abaissement de la commissure comme dans la
paralysie
organique, mais, contraire- ment à ce qui a lie
est une manifestation de leur activité. Jamais on n'observe dans la
paralysie
faciale hystérique l'abaissement du sourcil ni l'
u sourcil ni l'efface- ment des plis du front qui dépendent dans la
paralysie
organique d'une diminution ou d'une abolition d
de toute perturbation de ce mode d'activité des muscles donne à la
paralysie
faciale hystérique comme du reste aux paralysie
muscles donne à la paralysie faciale hystérique comme du reste aux
paralysies
hystériques en général, quelle qu'en soit la lo
mise et que je soutiens. La langue est parfois déviée du côté de la
paralysie
faciale et à un faible degré, comme dans la par
du côté de la paralysie faciale et à un faible degré, comme dans la
paralysie
organique, mais, contrairement à ce qu'on obser
angue; elle peut aussi s'opérer du côté opposé à celui qu'occupe la
paralysie
de la face. Les troubles sont rarement limités
imités d'une manière rigoureuse à un côté de la face, comme dans la
paralysie
organique. Contrairement encore à celle-ci la p
mme dans la paralysie organique. Contrairement encore à celle-ci la
paralysie
faciale hystérique est ordi- nairement une para
à celle-ci la paralysie faciale hystérique est ordi- nairement une
paralysie
systématique, c'est-à-dire qu'elle ne porte que s
sure labiale est tout à fait impossible. Enfin l'évolution de la
paralysie
faciale hystérique est capricieuse et n'est pas
le hystérique est capricieuse et n'est pas soumise aux règles de la
paralysie
organique. Les phénomènes spasmodiques ne succè
nstant à l'autre. Après cette étude comparative des deux espèces de
paralysie
faciale, je veux vous entretenir d'une perturba
e trouble le signe du peaucier. Ce signe peut exister aussi dans la
paralysie
faciale périphérique, le peaucier étant en partie
commissure labiale ainsi que l'effacement des plis du front dans la
paralysie
faciale de l'hémiplégie organique étaient dus à
rqué du côté du membre atrophié, même quand l'atrophie relève d'une
paralysie
hystérique. J'appelle maintenant votre attentio
plus tardivement et sont bien moins marqués qu'au membre atteint de
paralysie
(voir fig. 4) ; en même temps, l'épaule du côté
i étroitement que possible, on arrive plus facilement du côté de la
paralysie
que du côté sain à soulever la jambe en exerçan
pourrait-on prévoir théoriquement qu'il doit faire défaut quand la
paralysie
est complète et, l'observation confirme cette v
ise depuis me confirme dans cette manière de voir. J'estime que les
paralysies
hystériques en général et l'hémiplégie hystériq
parfois à des difficultés de dia- gnostic qui tiennent à ce qu'une
paralysie
ou une contracture hystérique est susceptible d
ou une contracture hystérique est susceptible de s'associer il une
paralysie
organique ou encore de se développer sur un mem
bolis. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 105 Dans les
paralysies
hystériques je n'ai jamais observé le phénomène d
est particulièrement pré- cieuse, car elle permet d'affirmer que la
paralysie
est organique. Les résultats de mes recherches
des atteints d'hémiplégie organique spasmodique, à condition que la
paralysie
du membre supérieur soit assez marquée ; je n'a
rganique ne pourrait être que très imparfaitement simulée. Enfin la
paralysie
des membres présente, comme la paralysie faciale,
aitement simulée. Enfin la paralysie des membres présente, comme la
paralysie
faciale, des caractères distinctifs dans son mo
cture succède à la flaccidité, l'amélioration est progressive et la
paralysie
n'est pas sujette à des alternatives en bien et
e dans l'hémiplégie hystérique ; l'évolution en est capricieuse, la
paralysie
peut rester indéfiniment flasque, comme elle peut
privé de votre appui, l'atti- tude que vous lui aurez imprimée. La
paralysie
aura transitoirement disparu. Ce caractère, qui
érie, il faut au préalable chercher à comprendre le mécanisme de la
paralysie
hystérique. Certains médecins admettent que l'a
nique que l'on a considéré l'hystérie comme capable d'engendrer des
paralysies
identiques au point de vue clinique à celles qu
'en suis convaincu. L'idée qu'on doit se faire du mécanisme de la
paralysie
hystérique est tout autre. Ce phénomène, de m
applicable à un groupe de faits. J'ajoute à ce qui précède que les
paralysies
hystériques peuvent être reproduites expériment
ts hypnotisés par la suggestion et l'identité de ces deux ordres de
paralysies
semble bien montrer que la paralysie qui relève
dentité de ces deux ordres de paralysies semble bien montrer que la
paralysie
qui relève de l'hystérie a pour origine la sug-
Je ne veux pas m'arrêter davantage sur l'étude du mécanisme de la
paralysie
hystérique ; cela nécessiterait de longs développ
prendre, et c'est là le but que je me proposais d'atteindre, que la
paralysie
hystérique étant un trouble psychique, le résul-
t de l'action. io8 SÉMIOLOGIE On comprend ainsi fort .bien que la
paralysie
hystérique n'atteint ni la tonicité musculaire,
t à ce qui a lieu dans les affections organiques de l'encéphale, la
paralysie
hystérique puisse être systématique, qu'elle so
rganique de l'hémiplégie hystérique : Hémiplégie organique. i. La
paralysie
est limitée à un côté du corps. 2" La paralys
rganique. i. La paralysie est limitée à un côté du corps. 2" La
paralysie
n'est pas systématique. Si, par exemple, à la f
endant l'exécution des mou- vements bilatéraux synergiques. 3" La
paralysie
atteint les mouvements volontaires conscients,
combinée de la cuisse et du tronc. Hémiplégie hystérique. i° La
paralysie
n'est pas toujours limi- tée à un côté du corps
à un côté du corps. Cette remarque s'applique particulièrement à la
paralysie
de la face, où les troubles sont générale- me
de la face, où les troubles sont générale- ment bilatéraux. 2° La
paralysie
est parfois systémati- que ; il en est presque
ite.) 4° La langue est en général légèrement déviée du côté de la
paralysie
. 5° Il y a, principalement au début, de 1 /ty
ture succède à la flaccidité ; l'amélioration est progressive ; la
paralysie
n'est pas sujette à des alternatives en bien et
(Suite.) 4° La langue est parfois légèrement déviée du côté de la
paralysie
, mais la déviation de la langue peut aussi être
aussi être très prononcée, ou encore s'opérer du côté opposé à la
paralysie
. ' 5° Il n'y a pas d'hypotonicité muscu- lair
érieure de la protubérance, se manifeste d'un côté du corps par une
paralysie
des membres pouvant présenter tous les caractèr
iennent à l'hémiplégie vulgaire, et du côté opposé du corps par une
paralysie
de la sixième paire ainsi que de la septième pa
si que de la septième paire ; cette dernière a les caractères de la
paralysie
faciale dite périphérique avec DR. La paralysie d
es caractères de la paralysie faciale dite périphérique avec DR. La
paralysie
des troncs nerveux et la DR étant étrangères à
résence dans l'hémiplégie alterne facilite encore le diagnostic. La
paralysie
de la troisième paire aide aussi à écarter l'hypo
ractérise par les symptômes de l'hémiplégie vulgaire associés à une
paralysie
du nerf moteur oculaire commun qui occupe l'autre
le jugement et le raisonnement, elle ne se rendait pas compte de sa
paralysie
. Mais elle présentait de la confusion mentale.
aussi quelques hémiplégiques qui, sans ignorer l'existence de leur
paralysie
, semblaient n'y attacher aucune importance, comme
cette dissimulation eût été absolument vaine, car l'existence de la
paralysie
ne pouvait échapper à l'attention de personne.
ent créent des lésions étendues et doivent laisser à leur suite une
paralysie
plus ou moins complète. Ils seraient l'expression
teur avait déjà indiqué qu'ils existaient d'ordinaire du côté de la
paralysie
motrice ; dans un cas cependant il les avaient
condaire. Une lésion en foyer de la moelle, dit-il, peut causer une
paralysie
spastique extrême et perte du contrôle sphinctéri
e ce genre que j'ai déjà rappelée. Mais il faut savoir aussi qu'une
paralysie
complète due à une compression de la moelle, ac
ubles de la sensibilité remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La
paralysie
des membres inférieurs est complète et ne cède
premiers jours, alors que le malade est encore dans le coma, que la
paralysie
est complète et la surréflectivité tendineuse d'h
s ; b) motricité volontaire profondément troublée ; il peut y avoir
paralysie
complète ; c) réflexes tendineux parfois exagérés
toïde. ' Des expériences que j'ai faites sur des sujets atteints de
paralysie
avec contracture liée à des lésions du système
ement spécifique qui, il y a quatre ans, fut pris brusquement d'une
paralysie
du membre inférieur gauche avec troubles sen- s
ntes : le pincement des téguments de tout le côté droit (côté de la
paralysie
où il existait aussi de l'hyperalgésie), et cela
e exercerait sur le sympathique en produisant une irritation ou une
paralysie
de ce nerf. Sans contester qu'il en soit ainsi
tée exercerait sur le sympathique droit; on admet, en effet, que la
paralysie
du nerf sympathique dans cette région produit u
tion que le myosis doit tenir à une tout autre cause ; en effet, la
paralysie
du sympa- thique, quelque complète qu'elle soit
liée à aucune lésion du globe oculaire, et n'est pas associée à une
paralysie
de la troisième paire, est l'indice d'une altér
chez qui on constate ce phénomène est un candidat au tabes ou à la
paralysie
géné- rale. J'estime que, chez la malade qui no
on du globe oculaire et du nerf optique et n'est pas associée à une
paralysie
de la 3" paire, constitue un signe de syphilis
e le sujet chez qui on le constate est un can- didat au tabes, à la
paralysie
générale, ou à la syphilis cérébro-spinale conf
e à l'examen ophtalmoscopique ; la notion de siège s'appuie sur une
paralysie
du facial et du moteur oculaire externe gauches,
n avant 198 SÉMIOLOGIE E ne saurait en effet être attribuée à une
paralysie
des muscles qui dans la marche impriment au tro
que j'avais observé déjà dans l'hémiplégie organique du côté de la
paralysie
, et je rappelle l'explication que j'en avais donn
t abolie ('). HYPEREXC1TABlLITÉ ÉLECTRIQUE DU NERF FACIAL DANS LA
PARALYSIE
FACIALE^1) On admet généralement que dans les p
L DANS LA PARALYSIE FACIALE^1) On admet généralement que dans les
paralysies
liées à des lésions des nerfs moteurs, l'excita
aurait annoncé une guérison rapide. Cependant le temps passe et la
paralysie
ne subit aucune modification sensible. A l'exam
lbo-protubérantielle a évolué d'une manière assez singu- lière ; la
paralysie
faciale en a été la première manifestation et lon
abilité électrique des nerfs a déjà été notée bien souvent dans les
paralysies
liées à des lésions des nerfs, dans la paralysie
souvent dans les paralysies liées à des lésions des nerfs, dans la
paralysie
faciale en particulier, mais tous les auteurs s
l'observe que pendant les premiers jours qui suivent le début de la
paralysie
. Or, dans ce cas, elle dure depuis fort longtemps
fort longtemps et aujour- d'hui, plus d'un an après le début de la
paralysie
, elle est extrêmement prononcée. z Abstractio
singularité, l'hémiplégie faciale présente ici les caractères de la
paralysie
faciale dite périphérique, dépendant d'une alté
tie périphérique, une hyperexcitabilité durable et associée à de la
paralysie
. Ils montrent aussi qu'une paralysie faciale n'
té durable et associée à de la paralysie. Ils montrent aussi qu'une
paralysie
faciale n'est pas nécessairement bénigne et ne
phie musculaire progres- sive, de poliomyélite antérieure aiguë, de
paralysie
saturnine des exten- R LECTROLO CI E 225 seur
ent à se faire sentir. » Dans de nombreux cas de contractures, de
paralysies
ou de parésies d'ordre réflexe siégeant au memb
électriques d'hypothermie locale dans les cas de contractures ou de
paralysies
dites fonctionnelles et plus parti- culièrement
inski et Froment ont étudié, il y a déjà longtemps, dans des cas de
paralysies
et de contractures consécutives à des traumatisme
excitation voltaïque. Ils ont insisté sur la (') Quand il s'agit de
paralysies
réflexes du membre supérieur avec hypothermie, la
s contractures et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de
paralysie
avec réaction de dégénérescence. La surexcitabi
mise aujourd'hui par la plupart des neurolo- gistes, entre diverses
paralysies
et contractures réunies antérieurement dans le
rieurement dans le cadre des troubles dits fonctionnels : parmi ces
paralysies
et contractures, les unes, qui ne s'accompagnen
la mémoire a diminué beaucoup depuis quelque temps. Il n'y a pas de
paralysie
localisée. Les réflexes tendineux sont exagérés,
frappé d'abord par son aspect béat qui me fait songer à un début de
paralysie
générale. Il répond cependant correctement aux
le de reconnaître, grâce à certains caractères intrinsèques, que la
paralysie
était due à une compression des centres nerveux ;
de magasin, entre le 9 avril 1908 à la Pitié. Il est atteint d'une
paralysie
qui occupe tout le côté droit du corps, qui aurai
ilepsie Jacksonienne en nous fondant seu- lement sur ce fait que la
paralysie
du bras, quoi qu'elle ait débuté il y a six moi
n de nous a montré en effet, que ces carac- tères appartiennent aux
paralysies
par compression des centres nerveux ('). Le 3 m
J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux, 24 mars 18qq). 6) De la
paralysie
par compression du faisceau pyramidal, sans dégén
e plus que dans les néoplasmes intra-crâniens avec hémi- plégie, la
paralysie
peut siéger du même côté que le néoplasme. Elle
les symptômes soient attribués à de l'artério-sclé- rose ou à de la
paralysie
générale. Un jour, on constate que la vue du ma
plus communs de l'hémiplégie organique, qu'il fait défaut dans les
paralysies
psychiques, on peut considérer ce signe comme per
une déviation de la bouche, qui aurait été sous la dépendance d'une
paralysie
faciale gauche. De plus il avait des vertiges ; i
s de juillet de la même année se développa brusquement, dit-il, une
paralysie
faciale du côté droit et une paralysie complète a
ppa brusquement, dit-il, une paralysie faciale du côté droit et une
paralysie
complète avec anesthésie du membre inférieur et
et devint difficile à comprendre. 286 AFFECTIONS DU CERVELET La
paralysie
motrice du membre supérieur et du membre inférieu
tagmus, sont liés aussi à l'altération des fibres cérébelleuses. La
paralysie
du voile du palais est provoquée par l'altérati
la déglutition dans la moitié droite du pharynx. Il n'existe aucune
paralysie
du voile ; le malade ne rejette pas les liquides
symp- tômes qu'on observe dans la myélite circonscrite destructive (
paralysie
et anesthésie des membres inférieurs, troubles
tés individuelles, présentaient, comme trait com- mun, une forme de
paralysie
crurale caractérisée à sa période d'état par un
a déformation. Il y a lieu de rechercher si cette forme clinique de
paralysie
spasmo- dique correspond à un état anatomique p
Babinski. Archives de médecine expé- rimentale, 18gi. III DE LA
PARALYSIE
PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL SANS DÉ
raît fort instruc- J tive au point de vue de la symptomatologie des
paralysies
par com- pression du système pyramidal et du di
gnostic le plus probable me paraît être le suivant : artérite céré-
PARALYSIE
PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 327 brale
it sin- gulier que l'aphasie eût éveillé en son esprit l'idée d'une
paralysie
loca- lisée précisément du côté où elle siège e
ccentue ; la parole est lente et, outre la difficulté que le malade
PARALYSIE
PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 329 éprou
mots, il présente un mode d'articulation rappelant l'embarras de la
paralysie
générale ; les réflexes sont toujours normaux, l'
analogues et je savais qu'une lésion de ce genre peut produire des
paralysies
s'accompagnant d'une sorte de contracture susce
que les réflexes subissent la moindre perturbation. Mais comme les
paralysies
et les contractures hystériques ont aussi pour
de signe intrinsèque permettant de différencier ces deux espèces de
paralysies
et, pour mettre ce trait en évidence, il me par
dence, il me paraîtrait juste de dénommer, jusqu'à nouvel ordre, la
paralysie
qui nous occupe ici « paralysie organique, pseu
dénommer, jusqu'à nouvel ordre, la paralysie qui nous occupe ici «
paralysie
organique, pseudo-hystérique ». C'est à l'aide de
, ce qui m'a surtout paru un argument capital contre l'hypothèse de
paralysie
hystérique, c'est-à-dire d'un trouble reconnais
rouble reconnaissant pour cause l'auto- suggestion, c'est que cette
paralysie
occupait le territoire correspondant exactement
e c'est qu'une compression du faisceau pyramidal peut engendrer une
paralysie
avec contracture plus ou moins prononcée, duran
d elle est associée à d'autres signes rendant l'hypothèse de tumeur
PARALYSIE
PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? céréb
SION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette forme de
paralysie
constitue un argument de grande valeur à l'appu
un point essentiel, cette contracture n'est pas, comme celle de la
paralysie
spastique spinale, nécessairement associée à une
peu probable. Serait-ce, comme l'a supposé Iorel-Lavallée, pour la
paralysie
générale conjugale, parce que certains virus sy
vé aussi deux fois des conjoints atteints l'un de tabes, l'autre de
paralysie
générale ; j'ai vu enfin, récemment, une femme at
aralysie générale ; j'ai vu enfin, récemment, une femme atteinte de
paralysie
spasmodique associée à de l'atrophie papillaire,
ion de phénomènes cérébraux ou de phénomènes bulbaires (hémiplégie,
paralysie
faciale, paralysie de la langue, troubles mentaux
érébraux ou de phénomènes bulbaires (hémiplégie, paralysie faciale,
paralysie
de la langue, troubles mentaux) à la névrite ré
nutieuse les zones des racines sacrées chez les malades atteints de
paralysie
avec troubles de la sensibilité, et ne pas adme
de la sensibilité tactile et douloureuse. Fig. 36. E..., 62 ans.
Paralysie
médul- laire. Troubles de la sensibilité tactil
la première fois, nous constatons les phénomènes suivants : t La
paralysie
des membres inférieurs qui sont contracturés est
teté et lui semblent « couverts de brouillard ». Il n'existe pas de
paralysies
de la musculature externe des yeux, tous les mo
et, contrairement à ce qu'on avait observé avant l'opéra- tion, la
paralysie
prédomine à droite, où elle est complète, tandis
a malade dès son réveil, et qui faisaient défaut avant l'opération (
paralysie
du côté droit et anesthésie du côté gauche), ne
i3. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES (¡ni Quelques semaines plus tard, la
paralysie
des membres inférieurs est complète, et la sens
bles de la sensibilité, remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La
paralysie
des membres inférieurs est complète et ne cède pa
oubles légers ; 2° Une compression de la moelle peut déterminer une
paralysie
complète, avec contracture, d'une très longue d
de rétrocéder et de disparaître totalement ; 3° La régression d'une
paralysie
avec contracture après extraction de la néoplas
téré par le processus inflammatoire ? je ne sau- rais le dire. La
paralysie
crurale était manifestement, ainsi que le prouven
tte idée n'a rien de révolutionnaire quand on considère que dans la
paralysie
générale progressive et dans le tabes, affectio
riété de lésion du nerf radial peut être mise en opposition avec la
paralysie
radiale par compression qui est. très commune et
n qui est. très commune et bien connue. Tandis que dans celle-ci la
paralysie
siège à l'avant-bras et se manifeste par une im
et n'atteignent pas la motilité d'une manière bien appré- ciable.
PARALYSIE
CUBITALE (') En tenant compte seulement de cert
estes divers, on peut reconnaitre, presque sans cause d'erreur, une
paralysie
périphérique. Lorsque le pouce est placé en add
ange qui est étendue. Cette silhouette du pouce se modifie dans les
paralysies
du cubital : quand le pouce se porte en adducti
ette attitude particulière s'explique par l'intervention, en cas de
paralysie
de l'adduc- teur du pouce, d'une adduction de s
tion synergique du long fléchisseur. (1) Les signes objectifs de la
paralysie
de l'adducteur du pouce (en collaboration avec J.
eurs je suis porté à croire qu'il y a une certaine parenté entre la
paralysie
faciale périphérique et l'hémispasme facial pér
ir, qu'on peut voir, dans la para- lysie faciale périphérique, à la
paralysie
musculaire succéder un état spas- modique ayant
'applique à toutes les variétés. Dans une forme de la myopathie, la
paralysie
pseudo-hypertrophique avec ou sans hypertrophie
s grandes manifestations de l'hystérie, les crises ner- veuses, les
paralysies
, les contractures, les anesthésies. Quels en sont
ir des guérisons par suggestion. Déclarer à un malade atteint d'une
paralysie
psychique que ce trouble est purement imaginair
s que tous les grands accidents hystériques, toutes les variétés de
paralysies
, de contractures, d'anesthésies, toutes les for
uire chez un grand hypnotique l'hémiplégie faciale périphérique, la
paralysie
radiale vulgaire, le sujet en expérience, quelle
laire d'où dérive la déformation caractéristique de la face dans la
paralysie
du nerf (') J'ai déjà développé cette idée dans
as l'action du long supinateur de celle du biceps, comme le fait la
paralysie
radiale. De même que tous les grands accidents
fs, de beaucoup les plus importants, du reste, les anesthésies, les
paralysies
, les contractures, les crises, etc., qui sont s
vement ; la suggestion ne peut la faire naître ; elle est liée à la
paralysie
ou à la contracture hysté- rique qu'elle ne pré
ions, j'es- (') Voir à ce sujet : De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques, par J. Babinski. Travail publié en
de la D R ; aucune autre cause que l'hystérie ne peut produire une
paralysie
de ce genre ; mais si nous sommes arrivés à cet
ion de l'atrophie musculaire très peu de temps après le début de la
paralysie
et la disparrition rapide de l'atro- phie suiva
ition rapide de l'atro- phie suivant de très près la guérison de la
paralysie
, il eût été impossible d'affirmer l'existence d
ets où une exagération des réflexes tendineux aurait accompagné une
paralysie
hystérique et aurait disparu après la guérison,
utant du phénomène des orteils, de l'immo- bilité pupillaire, de la
paralysie
limitée au territoire d'un nerf, comme, par exe
a paralysie limitée au territoire d'un nerf, comme, par exemple, la
paralysie
du moteur oculaire commun ou la paralysie du mo
f, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la
paralysie
du moteur oculaire externe. Les observations de
e la tête et l'hyperesthésie ovarienne. Les crises ou attaques, les
paralysies
, les contractures, l'aphonie, le mutisme, etc.,
er les attaques et les anesthésies dont il a été déjà question, les
paralysies
qui pourraient revêtir toutes sortes d'aspects,
s caractères des para- lysies périphériques, par exemple ceux de la
paralysie
radiale, de la paralysie de la 3e paire ou de l
sies périphériques, par exemple ceux de la paralysie radiale, de la
paralysie
de la 3e paire ou de la 6e paire. On a décrit aus
le rétrécissement du 468 HYSTËRIE-PITHIATIS;11Ê champ visuel, les
paralysies
oculaires, déjà signalés, on observerait aussi
manifestations nerveuses telles que les grandes attaques, certaines
paralysies
, certaines contrac- tures, l'hémianesthésie sen
affir- mations sont acceptées, si l'hallucination visuelle ou si la
paralysie
est réalisée, on peut dire que le sujet en expé
été suggestionné. Au contraire, déclarer à un malade atteint d'une
paralysie
psychique que le trouble dont il est atteint do
suggestionnable, quelque hynoptisable qu'il soit, les traits de la
paralysie
faciale périphérique, de la paralysie radiale, de
qu'il soit, les traits de la paralysie faciale périphérique, de la
paralysie
radiale, de la paralysie de la 3e paire, de l'h
e la paralysie faciale périphérique, de la paralysie radiale, de la
paralysie
de la 3e paire, de l'hémiplégie organique ou de
de la paralysie de la 3e paire, de l'hémiplégie organique ou de la
paralysie
organique ; il serait même impossible d'obtenir
primitifs, de beau- coup les plus importants, les anesthésies, les
paralysies
, les contractures, les crises, le mutisme, etc.
vement ; la suggestion ne peut la faire naître ; elle est liée à la
paralysie
ou à la contracture hystérique qu'elle ne précède
s vous auriez (1) Voir ce sujet : De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques, par J. Babinski (Archives de Neuro
r naissance à des crises nerveuses sous des for- mes variées, à des
paralysies
qui occupent un membre, un segment de membre, u
aut-il en conclure que toutes les for- mes d'attaques nerveuses, de
paralysies
, d'anesthésies, d'hyperesthésies, d'aphonie, d'
ire ; elle est incapable de reproduire un des traits essentiels des
paralysies
liées à une lésion du système pyramidal. Pour
raisons, je soutiens que l'hystérie ne donne jamais naissance à des
paralysies
limitées au territoire d'un nerf périphérique.
mars goli). CONCEPTION DE L'HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 479 9 de
paralysie
de la 3e paire qu'on a qualifiée d'hystérique, pa
ue les sujets qui en étaient atteints étaient hystériques et que la
paralysie
, après avoir duré quelque temps, a disparu rapi
dans la période préataxi- que du tabes il se développe souvent des
paralysies
oculaires ayant préci- sément pour caractère de
ans l'hématose, mais elle est incapable de donner nais- sance à une
paralysie
vraie des cordes vocales, à de l'oedème de la glo
on verbale de dormir, on a développé certains troubles nerveux, des
paralysies
, des contractures, des anesthésies que l'on peu
à rebelle aux moyens curatifs habituels, s'est buté à l'idée que sa
paralysie
est incurable et la persuasion, à ce point de vue
ivant : « Puisque le médecin a une pareille action sur moi, que les
paralysies
apparaissent et disparaissent à son injonction, i
sa disposition aucun moyen sûr de distinguer ces deux espè- ces de
paralysie
. On admettait, en effet, que l'hémiplégie hystéri
endus stigmates de l'hystérie, les circonstances dans lesquelles la
paralysie
avait pris naissance étaient les seules données p
ion car- diaque, n'ayant aucun trouble de la sensibilité et dont la
paralysie
n'avait pas été précédée de quelque émotion. In
ganique, des troubles vosomoteurs, de l'hypo- thermie du côté de la
paralysie
; l'on était amené fatalement à en déduire que
e de ce terme). Ce sont des accidents tels que certaines espèces de
paralysies
, de contractures, d'anesthésies, etc., rangés,
er les principaux d'entre eux ; ce sont des crises convulsives, des
paralysies
, des contractures très variées quant à leur mod
es autres signes sont d'ordre négatif ; je dis, par exemple, qu'une
paralysie
est très vraisemblablement le résultat d'une su
i, sauf exception, accompagnent, en nombre plus ou moins grand, les
paralysies
ayant une autre origine. J'ajoute, par parenthè
ience que j'ai pratiquée le plus souvent avec succès dans le cas de
paralysie
brachiale d'origine suggestive : je soulève le
erte, ainsi que cela a lieu infailliblement à chaque essai dans les
paralysies
organiques, se maintient dans l'espace, à l'ins
nt concluante, et il me parait facile d'interpréter ce fait : cette
paralysie
d'origine suggestive, qui, comme je l'ai fait rem
entrée sur ce point ; celle-ci vient-elle à être mise en défaut, la
paralysie
disparaît ; en réalité, mon expérience est un p
procédé psychothérapique conduisant à une guérison momentanée de la
paralysie
et donnant à son évolution une marque toute par
ngement dans le cours des idées ? Le malade, cessant de penser à sa
paralysie
, recouvre tout natu- DÉMEMBREMENT DE L'HYSTÉRIE
ets suggestionnables, produire, par exemple, suivant mon désir, une
paralysie
limitée au bras ou occu- pant tout un côté du c
hystérie d'il y a vingt à vingt-cinq ans. Les grands accidents, ces
paralysies
, ces contrac- tures qui duraient des années et
s facile de faire disparaître par persuasion à l'état de veille une
paralysie
ou une contracture hystérique que d'hypnotiser
onné, aussi- tôt après la catastrophe, d'en voir un seul atteint de
paralysie
, de contrac- ture ou de crises convulsives. Les
ne crise convulsive; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de
paralysie
ou de contracture. Des enquêtes du même ordre o
jamais vu de phénomènes hystériques tels que crises, contractures,
paralysie
d'un ou plusieurs membres..le n'ai vu que des p
ler en opposition avec cette manière de voir. Il s'agit d'un cas de
paralysie
de la main, sans aucun signe dénotant l'existen
a guerre on paraissait avoir oublié complètement l'existence de ces
paralysies
amyotrophiques et de ces contractures dites réf
qui avaient été si bien décrites par Charcot et par Vulpian. Toute
paralysie
ou toute contracture ne présen- tant aucun des
peuvent aussi être observées dans le syndrome de Wolkmann, dans les
paralysies
et contrac- 1 tures d'ordre réflexe (Gougerot e
r ou d'abolir la réflectivité cutanée. TROUBLES DE LA FUTILITÉ.
Paralysies
hystériques. Les paralysies hystériques répondent
ité cutanée. TROUBLES DE LA FUTILITÉ. Paralysies hystériques. Les
paralysies
hystériques répondent aux types les plus variés
brachiales ou crurales. La plus fréquente de toutes ces formes de
paralysie
semble être la para- plégie. Elle se développe
ore des troubles moteurs simulant plus ou moins grossière- ment des
paralysies
du plexus brachial ou des paralysies radiales.
s ou moins grossière- ment des paralysies du plexus brachial ou des
paralysies
radiales. L'astasie-abasie, simple ou trépidant
u trépidante, avec les caractères classiques, ou d'autres formes de
paralysies
systématiques ne sont pas rares en neurologie d
ement dits, étaient le résultat de l'immobilisation produite par la
paralysie
ou la contracture et rentraient dans ce groupe
Nous nous contenterons de dire, et la suite le montrera, que si une
paralysie
hystérique peut provoquer une légère thermo-asy
ltéra- tions des empreintes digitales sont exceptionnelles dans les
paralysies
névrosiques. « On ne les constate jamais, ajout
rophiques des phanères (hyper ou hypotrychose) font défaut dans les
paralysies
dites fonction- nelles, exception faite pour le
é- nie. Il n'est pas rare d'observer des accidents hystériques, des
paralysies
, des contractures, diverses formes d'astasie-ab
véritable autonomie. Il s'agit de contractures ou d'hypertonies, de
paralysies
ou plutôt d'états parétiques qui se développent c
areil cas des contractures associées ou non à l'amyotrophie ou à la
paralysie
amyotrophique. L'exal- tation des réflexes para
Pour ce qui est de la persistance des accidents deuthéropathiques (
paralysie
et atrophie) après la cessation de l'affection
une du concept hystérie. On avait décrit, autrefois, sous le nom de
paralysies
sympathiques tout un groupe assez hétéroclite d
nom de paralysies sympathiques tout un groupe assez hétéroclite de
paralysies
provoquées dans certaines régions du corps par
ion d'un organe qui en est plus ou moins éloigné. Ce sont ces mêmes
paralysies
que Graves et Brown-Séquard dénommèrent ultérie
s paralysies que Graves et Brown-Séquard dénommèrent ultérieurement
paralysies
réflexes, et que Jaccoud et Weir- Mitchell prop
es réflexes, et que Jaccoud et Weir- Mitchell proposèrent d'appeler
paralysies
d'origine périphérique ou para- lysies par irri
monie ; l'amaurose -consécutive aux contusions du nerf frontal; les
paralysies
du bras observées à la suite de plaies par arme
uel étaient tombées les observations anciennes de contracture et de
paralysies
amyotrophiques, dites réflexes, d'origine arti-
ppelait également, il y a quelques années, contrac- tures réflexes,
paralysies
réflexes, tremblement réflexes, une foule d'ac-
que. » Dès nos premières communications sur les contractures et les
paralysies
réflexes, nous insistions à nouveau sur l'impor
it encore les remarques suivantes (2) : « Je ne conteste pas qu'une
paralysie
pithiatique puisse déterminer, sous l'influence
ité fonctionnelle, de l'hypothermie, de la thermoasymétrie quand la
paralysie
est unilatérale, mais en pareil cas le trouble n'
nciennes. L'observation attentive d'un malade présentant un type de
paralysie
(') H. Meige, Mm° Ath. Bénisty et Mule G. Lévy,
es une orientation nouvelle Il s'agissait d'un blessé atteint d'une
paralysie
flasque de la main et des doigts consécutive à
qui égalait, si elle ne la dépassait, l'hypotonie observée dans les
paralysies
consécutives aux lésions des nerfs les plus pro
t Foix et de Sicard. Le rapprochement de ces diverses catégories de
paralysies
et de contractures, ayant toutes pour caractère
e les autres étaient de même nature. (') J. Babinski et J. Froment,
Paralysie
et hypolbonic réflexes avec surexcitabilité mécan
lte de ce qui précède que ces formes diverses de contractures et de
paralysies
observées pendant la guerre, sur la nature desque
Nous les avons décrites sous la dénomination de contractures et de
paralysies
ou de parésies d'ordre réflexe, parce qu'elles se
s ou de parésies d'ordre réflexe, parce qu'elles se rapprochent des
paralysies
amyotrophiques et des contractures, dites réfle
s fonctionnels. Les (') .J. Babinski et J. Froment, Contractures et
paralysies
traumatiques d'ordre réflexe. Presse Médicale,
roment et ,1. Heitz, Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les
paralysies
et les contractures d'ordre réflexe. Annales de
bre, notamment à son extrémité; il diffère par ces caractères de la
paralysie
('-) ou de la contracture pithiatique qui est g
ou (') Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (
paralysies
et contractures) dits « fonctionnels et la cond
66 (conclusions). (2) Nous tenons à faire remarquer que le terme de
paralysie
qui dérive du mot grec 7tOtPC,),ÚElV (délier, r
ité quel qu'en soit le degré d'inlensité rentre dans le cadre de la
paralysie
. Cette observation a pour but de mettre le lect
matiques quelques types cliniques qui s'imposent à l'attention : la
paralysie
amyotrophique du quadriceps, la contracture des
travail suivant : Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les
paralysies
ou contractures d'ordre réflexe. Babinski, From
s contractures et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de
paralysie
avec réaction de dégénérescence. La surexcitabili
laxité articulaire. (') J. Babinski et J. Froment, Contractures et
paralysies
traumatiques d'ordre réflexe. Presse Médicale,
les (2). L'abolition du réflexe cutané plantaire, observée dans les
paralysies
consécutives au traumatisme, était considérée r
t Balba1ls, Troubles de la température locale 1\ propos d'un cas de
paralysie
, dite réflexe, du membre inférieur, Société de Ne
oclohre Igdi. ) IL Gougerot et A. Charpentier, Troubles réflexes et
paralysies
réflexes consécutifs aux bles- sures des extrém
Les rétractions sont exceptionnelles, au contraire, dans les cas de
paralysie
ou de contracture pithiatique et encore leur réal
parésies d'ordre réflexe. Elle fait défaut dans les contractures et
paralysies
hystériques pures. Les ongles aussi présenten
. . ASSOCIATIONS lIYSTÉRO-RÉFLEXES ET 013G : 1 ? '0-ILI'LEXES Les
paralysies
et les contractures liées à des lésions du systèm
euvent être reconnus. Si les diverses affections qui produisent des
paralysies
et des contractures se présentaient toujours à l'
oici ce qu'on observe : d'une part, dans le domaine du cubital, une
paralysie
avec réaction de dégénérescence des muscles hyp
s hypothénar, adducteur du pouce et interosseux ; d'autre part, une
paralysie
incomplète des muscles de la main innervés par
ien des cas de lésion limi- tée au nerf radial, ayant déterminé une
paralysie
des extenseurs, on observe, outre une forte hyp
ération des réflexes osso-tendineux. Il est incontestable que cette
paralysie
est pour une part d'ordre réflexe ; toutefois,
onstaté jusqu'à présent de mono- plégie complète mais seulement des
paralysies
discrètes n'atteignant d'une manière notable qu
une parésie, à une méiopragie réflexe tenace on voit se joindre une
paralysie
hystérique intense mais pouvant rétrocéder promp-
ian, envisageant uniquement les cas d'amyotrophie simple et ceux de
paralysie
amyotrophique, et considérant l'exagération de
re une dépression de ces mêmes propriétés à laquelle se rattache la
paralysie
amyotrophique. » Il faut ajouter que ces deux m
vent se trouver combinés chez un même sujet. « Même dans les cas de
paralysie
amyotrophique, ajoute encore Charcot, du moins
flexes à proprement parler. Quoi qu'il en soit, qu'il s'agisse de
paralysie
flasque avec amyotrophie (') J.-M. Charcot, Leç
é tendineuse, dont Charcot avait déjà montré la fré- quence dans la
paralysie
amyotrophique réflexe, est encore plus commune
e sympathique. Quelle est la nature de ce trouble : s'agit-il d'une
paralysie
? C'est une hypothèse qui ne paraît pas concili
is ce mécanisme doit être au moins exceptionnel. En effet, dans les
paralysies
et contractures que nous étudions, mis à part l
rologie, j'ai fait observer que les phénomènes décrits sous le nom de
paralysies
et contractures réflexes ne répondaient pas dan
accès de tétanie. De plus, comme dans les contractures et dans les
paralysies
réflexes, on a observé dans la tétanie l'exalta
7. (3) Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (
paralysies
et contractures) dits fonctionnels et sur la co
pondant à cette deuxième catégorie se pré- sentent sous l'aspect de
paralysies
ou de contractures, plus ou moins complètes, de
lades, les symptômes oculaires furent la névrite oedémateuse et une
paralysie
du moteur oculaire externe (2 fois la VIe paire
tir de DI. Après l'opération, pratiquée par de Martel, il y eut une
paralysie
des deux bras, mais rapidement la motilité du c
mbres inférieurs qui augmentèrent en raison de la progression de la
paralysie
; ils s'étendirent aux muscles de la paroi abdo
nsité de la compression que traduisait sans doute l'intensité de la
paralysie
spasmodique en flexion permanente. 600 THÉRAPEU
pouvait déjà exécuter quelques mouvements, tandis que jusque-là la
paralysie
avait été totale. Après plusieurs mois, la guéris
fait méritait d'être rapporté. VII DE LA RADIOTHÉRAPIE DANS LES
PARALYSIES
SPASMODIQUES SPINALES IJ. Babinski.] Publié
aux de Paris, séance du 3o novembre igo6). RADIOTHÉRAPIE DANS LES
PARALYSIES
SPASMODIQUES S Giâ le faisceau pyramidal n'est
blables aux miens. Je présente maintenant un autre sujet atteint de
paralysie
spasmodique d'origine spinale, que j'ai soumis
tinue sans cesse à s'aggraver et dans le courant du mois de mars la
paralysie
des membres inférieurs devient complète. Elle e
uis. Jusqu'au commencement d'octobre il n'y a aucun changement : la
paralysie
reste complète. Le 2 octobre on observe quelq
sa fortune à des oeuvres philanthropiques. RADIOTHÉRAPIE DANS. LES
PARALYSIES
SPASMODIQUES (il;) la 2e lombaire. D'ailleurs à
aible que la gauche. J'ajoute que la démarche n'est pas celle de la
paralysie
spasmodique commune, car la pointe du pied se sou
, en dehors du mal de Pott et de la syphilis, on n'observe guère de
paralysie
spasmodique qui, après avoir atteint un pareil de
e Biologie, 20 février 1886). ib. De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques (Archives de Neurologie, 1886, nos
ation avec Onanoff. Société de Biologie, r février 1888). 22. De la
paralysie
pyocyanique. Etude anatomique et clinique (en col
avec Desnos. Société médicale des Hôpitaux, 8 juillet 1892). 34.
Paralysie
hystérique systématique. Paralysie partielle ou s
Hôpitaux, 8 juillet 1892). 34. Paralysie hystérique systématique.
Paralysie
partielle ou systématique des fonc- tions motri
ue des fonc- tions motrices du membre inférieur gauche (Id.). 35.
Paralysie
hystérique systématique. Paralysie faciale hystér
mbre inférieur gauche (Id.). 35. Paralysie hystérique systématique.
Paralysie
faciale hystérique (Id., 4 novembre 1892). 36
et dans d'autres états pathologiques (Id., 2 décembre 1892). 38.
Paralysie
faciale hystérique (Id., 16 décembre 1892). 39.
tié. Gazette des Hôpitaux, numéros des 5 et 8 mai igoo). 60. Sur la
paralysie
du mouvement associé de l'abaissement des yeux (S
Hôpi- taux, 21 février rgo3). 9 I. Lymphocytose dans le tabes et
paralysie
générale (Société de Neurologie, 5 mars 1903. 1
(ld., Ier décembre tgo4). 1 l 1. Hémiplégie spasmodique infantile.
Paralysie
post-spasmodique (Id.). 112. Cyanose des rétine
bre igo5). 121. Hyperexcitabilité électrique du nerf facial dans la
paralysie
faciale (Société de Neurologie, g novembre igo5
ie cérébelleuse (Société de Neurologie, 5 juillet igo6). 127. De la
paralysie
par compression du faisceau pyramidal, sans dégén
ologie de Paris, 7 février 1907). 133. De la radiothérapie dans les
paralysies
spasmodiques spinales (Société médicale des Hôp
a persistance de zones sensibles à topograpgie radiculaire dans les
paralysies
médullaires avec anesthésie (en collaboration ave
de guerre (Société de Neurologie, 7 janvier rgr5). 21 : 1. De la
paralysie
radiale due à la compression du nerf par les béqu
Société médicale des Hôpitaux, 5 mai 1916). 236. Contractures et
paralysies
d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment. R
LIOGRAPHIQUE 63t 1 24 1 Des troubles moteurs et thermiques dans les
paralysies
et la contracture d'ordre réflexe (en collabora
s résection d'un anévrisme axillaire chez un blessé, présentant une
paralysie
complète du plexus brachial du même côté (en co
rganique et sans dégénération du système pyramidal 315 III. De la
paralysie
par compression du faisceau pyramidal sans dégéné
e des rayons T............... 606 VII. De la radiothérapie dans les
paralysies
spasmodiques spinales 612 viii. - Radiothérapie
'aliénation mentale ou de certaines névroses, comme l'épilepsie, la
paralysie
agitante, etc. , sont aussi du domaine de la ne
sen- soriels, les phénomènes d'ordre somatique prédomi- nent. La
paralysie
générale constitue en quelque sorte une transit
il faut être doué d'une irritabilité spéciale. D'ailleurs, si la
paralysie
générale n'a que des rapports de parenté peu ma
italité, etc.), admettent 1 Doutrehente. - Note sur la marche de la
paralysie
générale citez 1rs héréditaires. (Ann. méd.psyc
1833, p. 401, 405, 428.) LA FAMILLE N1 : \'ROP.ITIIfIUr. 9 que la
paralysie
générale n'est point de la famille des vésanies
s convulsions, l'hystérie, l'idiotie, l'épilepsie, le strabisme, la
paralysie
, les névralgies, les fièvres cérébrales, l'apop
la chorée', ces troubles mentaux sont loin d'être rares. Dans la
paralysie
agitante, Patrick, Lorain, Lasègue, mais surtou
est un proche parent de la famille névropathique. D'autres fois, la
paralysie
agitante se transforme elle- même en d'autres a
ans, ISS3.) 2 ? PATHOLOGIE GÉNÉRALE. Observation XXII. - mye P...
Paralysie
agitante. Fille aliénée (atteinte avant sa mère
Observation XXIII. Dr X..., paralytique général.- Père atteint de
paralysie
agitante. Observation XXIV.-I..., quarante-sept
t de paralysie agitante. Observation XXIV.-I..., quarante-sept ans.
Paralysie
agitante. - Oncle maternel aliéné (manie aiguë)
r de phénomènes épileptiformes ou marquer la première période de la
paralysie
générale ou de l'ataxie locomotrice (Charcot) '
Magnan, etc., etc., ont montré ses connexions fré- quentes avec la
paralysie
générale avec laquelle elle semble se confondre
le semble se confondre. Mais, en dehors de sa combinaison avec la
paralysie
générale, on a depuis longtemps signalé des tro
s accès maniaques ayant duré cinq ou six mois. Un frère est mort de
paralysie
générale, un autre a été hypocondriaque. Obse
ion XXXVIII. Trima S..., ataxique. - Frère mort à trente-six ans de
paralysie
générale. Observation XXXIX. M. X... de .\I...)
ychyques avait du reste déjà été notée par Thomsen lui-même 3. La
paralysie
atrophique de l'infance affecte aussi des liens
t s'associer à des troubles mentaux 6. Observation LIX. - M. D...
Paralysie
infantile à dix-huit ans. Père aliéné. Grand-pè
I, 1879, p. iS.) 38 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. Observation LX1. M. D...
Paralysie
spinale de l'adulte. - Mère, plusieurs accès de
e vient d'être pris à trente-cinq ans d'une paraplégie subito. La
paralysie
pseuclo-lael°ti°uphiue, dont l'hérédité a été m
oeur avait eu des convulsions et un frère commençait à être pris de
paralysie
pseudo-hypertrophique. Plus Grasset. - Truite d
erveux, 2- édit., p. 431. 1. 'Gowers. Pseudo-hyperlrophzc 1nuscutw'
paralysies
. London, 1879, p. 21. 3 Mahot. - De la paraly
ophzc 1nuscutw' paralysies. London, 1879, p. 21. 3 Mahot. - De la
paralysie
pseudo-hypertrophique. Thèse, 1877, p. 17. 1877
ent intellectuel et même l'imbécillité' chez les sujets atteints de
paralysie
pseudo-hypertrophique ; c'est sur cette coïncid
ptionnelle qu'elle ne le paraît. Observation LXIV. D..., vingt ans,
paralysie
pseudo- hypertrophique. - Son grand-père et un
été atteints de tremblements ( ? ). Oncle maternel migraineux. La
paralysie
labio-glosso-laryngée peut être aussi rattachée
rattachée à la famille. Observation L1V. - 111. X..., atteint de
paralysie
labio- gtosso-laryngée. Frère mélancolique. Niè
lle et Brissaud. D'autres se rapprochent des troubles mentaux de la
paralysie
[générale et peuvent s'expliquer par ce fait qu
peut encore souvent être édifié sur les maladies de la moelle, les
paralysies
, les convulsions de l'en- fance, etc., un certa
nature à jeter quelque jour sur la question. II. Observation. -
Paralysie
spasmodique des quatre membres. - Douleurs au n
tômes sont rares, fugaces et légers. b) l11otitité, II existe une
paralysie
très avancée des membres supérieurs et inférieu
t il n'est pas possible à la malade de se servir de ses mains. La
paralysie
des membres est une paralysie spasmodique. La c
alade de se servir de ses mains. La paralysie des membres est une
paralysie
spasmodique. La contracture n'est pas assez pro
x qui dé- pendaient de la lésion du cordon latéral, à savoir : la
paralysie
avec contracture des quatre membres, et l'exagé
nt : 1° anesthésie plan- taire, diminution du sens musculaire, puis
paralysie
de la vessie; 2° contracture en flexion des mem
qu'il n'y a jamais eu d'anesthésie, jamais nous n'avons constaté de
paralysie
. Toutefois, à différentes reprises et pendant t
à six heures par jour. A la suite, on s'est aperçu qu'il avait une
paralysie
du côté gauche; on assure que « les mouvements
e connaissance. Ce qui manque à cette épilepsie partielle, c'est la
paralysie
post- épileptique et l'élévation de température
e calme de la malade dans les inter- valles des accès, l'absence de
paralysie
post-épileptique et surtout t l'absence d'éléva
la plus grande valeur : l'absence d'élévation de température et de
paralysie
excluait l'idée du mal comitial ou d'épilepsie
bre considérable des attaques, compatible avec la vie, l'absence de
paralysie
localisée, à la suite de ces attaques, l'appari
par,l'iu- fluence indirecte du traumatisme sur cette partie. Une
paralysie
immédiate du bulbe semble, d'après le résultat
cou- rant de l'année, plusieurs cas de troubles de la parole, par
paralysie
des muscles articulateurs, dépendant soit d'une
travail se divise en quatre parties. Les troubles de la parole par
paralysie
des muscles articu- lateurs peuvent, en effet,
s, les lésions des centres oro-linguaux ne provoqueraient pas une
paralysie
complète, mais seulement une légère faiblesse u
ale ascendante, elle détermine de la glossoplégie, c'est-à-dire une
paralysie
des muscles articulateurs. La localisation anat
p. 23). Lé- sion traumatique étendue, par une balle de revolver;
paralysie
faciale à gauche et difficulté pour sortir la l
re et d'hypertrophie du coeur; il est frappé, après une attaque, de
paralysie
de la langue. La langue avait conservé son aspe
bout de la langue pouvait alors être déglutie facile- ment. Aucune
paralysie
appréciable dans les membres. L'action des musc
ard, monoplégie brachio-faciale gauche. Il y avait alors aphasie et
paralysie
de tous les mouvements volontaires de la bouche
lant celui de la para- lysie labio-g lasso-laryngée. Ces faits de
paralysie
labio-glosso-laryngée d'origine cérébrale ont é
s ajouter le cas cité plus haut de Barlow qui est un bel exemple de
paralysie
glosso-labiée corticale, et un cas nouveau que
de tous ces faits : Observation 1 (recueillie par M. Oulmont). -
Paralysie
glosso-labiée. Lésion des deux noyaux lenticula
s bords postérieurs. Observation II (recueillie par M'. Oulmont). -
Paralysie
glosso-labiée. Foyers ocreux dans la queue des
ours d'aucun ren- seignement. Ce qui frappe tout d'abord, c'est une
paralysie
faciale, localisée à la moitié inférieure de la
entend un peu, quand on crie très fort près de son oreille. Aucune
paralysie
des membres, motrice ou sensitive. La malade se
t contient un liquide lactescent. Observation III (déjà citée). -
Paralysie
glosso-labiée corti- cale et aphasie. (Barlow.
B/'ilish med. Journal, 1877.) Pendant la vie, aphasie, symptômes de
paralysie
glosso- labiée, monoplégie brachio-faciale gauc
postérieure des frontales moyenne et inférieure. Observation IV. -
Paralysie
glosso-labiée ; lésion superficielle du lobe mo
et résumée. Femme de vingt-cinq ans. Début brusque. Symptômes de
paralysie
glosso-labiée. Autopsie. - (Froriep.) Dans l'hé
ce interne était tapissée par une membrane jaune. Observation V ?
Paralysie
Inbi()-gloss()-phaJ',1/lIgée d'origine cérébral
er a prouvé l'intégrité absolue de ces parties. Observation VI. -
Paralysie
pseudo-bulbaire par lésion cÙé- branle bilatéra
fection en 1817 : perte de connaissance qui dure trois heures, puis
paralysie
du côté gauche (jambe, bras et face). Pendant t
dans sa moitié externe el sur toute sa longueur. Observation VII.
Paralysie
glosso-labiée à forme pseudo- bulbaire. - Lésio
on. Quant aux liquides, ils sont souvent rejetés par le nez. Pas de
paralysie
faciale. Pas de troubles du côté des sens spéci
roubles du côté des sens spéciaux (vue, ouïe, goût, odorat). Pas de
paralysie
de l'orbicu- laire des paupières ni des muscles
er, si ce n'est un affaiblisse- ment général ; mais il n'y a pas de
paralysie
proprement dite, et le malade peut faire tous l
Pendant son séjour dans nos salles, nous n'avons constaté que cette
paralysie
des lèvres, de la langue et du voile du palais.
Dans tous ces faits, nous relevons les principaux symptômes de la
paralysie
buib'aire' progressive, a savoir : la paralysie
x symptômes de la paralysie buib'aire' progressive, a savoir : la
paralysie
de la langue, des lèvres et du voite du palais.
7<m reiitiel ? 1 ' , , . , ' , lmi , y S ? lv\i ')·tyw Dans la
paralysie
glo5so.1abiée cérébrale, le début ? F5 ..nt ,.y v
' d'b'" .d' \ 1"1111 ? 'l' . en un mot, dans te mode de début de ia
paralysie
, ...1,¡ ? It ? I.t' tf P'. i· 111 f si dR'1"11
n 1 t "'(tun'tI ? L ? 11nt de Duchéune; de pltis, dans celle-cI, la
paralysie
est t . % . 6 , %tè 0 t,. 1 1'T't ? {rv f".J"j
"I ' "Ilff'l'oi ? c l ;14/1 DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 1115 La
paralysie
glosso-labiée d'origine cérébrale,'une fois con
constituée, trois particularités serviront à la dis- tinguer de la
paralysie
bulbaire progressive : la con- servation des ré
phiés, et la contractilité électrique est affaiblie; dans un cas de
paralysie
bulbaire progressive, Erb a même trouvé les sig
ni ( il, e Cil l' .. i. «j m .1 Enfin, de même qu'il existe dans la
paralysie
glosso- 1 ... JI' 1 ? t 1 t ( t labiée d'orig
III" 1 Il 1 Ir. 1 ! t J, l' tomes cérébraux qui font défaut dans la
paralysie
bul- baire progressive, de même il existe dans
J" t'd ci- »< - ' , t , J r , ? syncopale,. tandis que, dans la
paralysie
glosso-labiée am, '" l ,\, \. 1 - \ . d'origi
se donner lieu aux symptômes de la ii-ni "]* Ot ' u . i'i J t * z
paralysie
glosso-labiée ; mais, de' fait, ainsi que le ,
ré plus ou moins prononcé, 166 PATHOLOGIE NERVEUSE. des signes de
paralysie
glosso-labiée. Qu'on suppose une lésion de l'hé
para- lysie de certains muscles du côté gauche de la langue, une
paralysie
du facial inférieur, une difficulté plus ou moi
es lésions du cerveau susceptibles de donner lieu au syndrome de la
paralysie
glosso- labiée ? A ce point de vue, les faits
ait celui de Rosenthal également cité plus haut : pen- dant la vie,
paralysie
de la langue, parole et dégluti- tion très diff
e. Il est à remarquer que le cas de Ma- gnus est le premier fait de
paralysie
glosso-labiée ccre- , braIe produite par une lé
frontale ascendante) se traduisent par le syndrome clinique de la
paralysie
labio-glosso-laryngée. Le faisceau frontal infé
lésions de ce faisceau, qui donnent lieu au tableau clinique de la
paralysie
glosso-labiée, sont le plus souvent bilatérales
nc- tions sont abolies, et alors apparaissent les symptômes de la
paralysie
glosso-labiée. Ce mémoire était à l'impression
même sujet. Le travail de Ross contient quelques faits nouveaux de
paralysie
glosso-labiée céré- brale, dont nous allons don
e dissiminée ayant présenté pendant la vie tous les symptômes d'une
paralysie
bulbaire progressive. A l'autopsie, pas de lési
s infé- rieurs, et articulation des mots de plus en plus difficile.
Paralysie
faciale inférieure double, parole à peu près in
avec perte de connaissance incomplète, à laquelle avait succédé une
paralysie
du membre supérieur droit, et la perte de la pa
ombilic, incontinence d'urine et des matières, es- chare au sacrum.
Paralysie
faciale inférieure droite (l'orbicu- laire para
faciale inférieure droite (l'orbicu- laire parait atteint). Pas de
paralysie
linguale. Le malade prononce bien les syllabes
n'est pas spécial aux goutteux, on le rencontre quelquefois dans la
paralysie
générale; 1 A. Mossé. - Contribution Il l'étude
une fois la combinaison chez le même individu de la goutte et de la
paralysie
agi- tante. Observation LXXVII. M. J. G..., q
hirondel a noté plusieurs fois la coexistence de la goutte et de la
paralysie
agitante dans la même famille. Parmi les trou
ons momen- tanées du côté droit de la face. Garrod cite un cas de
paralysie
faciale ayant cessé au moment où apparaissait u
urtout lieu aux formes aiguës, surtout à la manie, quelquefois à la
paralysie
générale (Rayner). Dans la goutte chronique, on
montré un malade chez lequel la goutte paraît avoir fait place à la
paralysie
générale. Observation LXXVIII. - M. A..., cinqu
pleurésie, tel autre d'un rhumatisme articulaire , tel autre d'une
paralysie
faciale, tel autre d'une sciatique, etc., la mê
lade du service de M. Alillard à l'hôpital Lariboisière, atteint de
paralysie
bulbaire avec hémialrophie de la langue, dans l
est parfaitement caractérisée; incoordination des mouvements sans
paralysie
ni contracture. A l'entrée du malade à l'hôpita
été paralysée à gauche, le sens de l'ouïe a été aboli du même côté (
paralysie
de la septième paire). - En même temps est surv
rvenue de la diplopie, avec strabisme interne de l'oeil gauche, par
paralysie
du moteur oculaire externe. La pointe de la lan
s qu'on lui disait être de nature rhumatismale. Un peu plus tard,
paralysie
de la jambe droite survenue brusquement. Un t
peu d'atrophie des deux papilles plus prononcée à gauche, et une
paralysie
des muscles droit interne et externe des deux côt
ée; - suppression des réflexes rotulif'ns : - symptômes oculaires :
paralysie
incomplète delà DE LHL·'.\I1.\'l'IWPIIIC DE L\
noté, c'est la coïncidence avec"lav lésion1 des muscles linguaux de
paralysies
oculaires. Dans le cas de M. Cuffer on voit sig
est vrai, des troubles de la vision;' dans celui' de M. Vidal, une
paralysie
de la sixième paire.'1 Chez la malade Leisier,
lle qu'elle est aujourd'hui généralement ad- mise. Et, en fait, les
paralysies
oculaires ont toujours semblé d'une interprétat
ée, comme on dit souvent. Aussi a-t- il fallu pour qu'on comprît la
paralysie
glosso-labio- laryngée, par exemple, qu'on la r
'incoordination motrice étant, bien en- tendu, mise à part- soit de
paralysies
, soit d'atrophies. Les paralysies sont plus co
n- tendu, mise à part- soit de paralysies , soit d'atrophies. Les
paralysies
sont plus communes dans l'ataxie qu'on ne l'ava
un certain nombre et nous-mêmes en avons observé plusieurs cas. Ces
paralysies
sont très variables quant à leur siège et à leu
affaire à une véritable hémiplégie (De- bove, Pierret, Vidal). Ces
paralysies
complètes ou incomplètes, quant à leur degré, s
ents est encore très obs- cure. M. Pierret pense qu'il s'agit là de
paralysies
réflexes. « Les expériences de Harless Cyon, di
ent beaucoup de leur irritabilité. D'un autre côté, l'existence des
paralysies
réflexes, si bien indiquées par M. Brown-Sequar
ve sa démonstration dans l'étude clinique des malades atteints de
paralysie
, et dans quelques faits anatomo- pathologiques.
d'admission à l'hospice de la Salpêtrière porte comme diagnostic :
Paralysie
de la partie inférieure des jam- bes... Au lit,
me sensitif, je veux dire des cordons postérieurs. Eh bien ! si les
paralysies
qui se produisent dans le domaine de l'innervat
'observait déjà M. Pierret en 1876, qu'il en est de même pour les
paralysies
bulbaires. Ces dernières peuvent intéresser les
trijumeau, par les troisième, quatrième et sixième paires; de là la
paralysie
possible de l'azygos de la luette (Pierret, Vid
SE. des muscles oculaires qui sont de notion vulgaire. Toutes ces
paralysies
, comme celles des membres, sont, par essence, l
ROPIIIr nE LA LANGUE. 1217 phiques bulbaires (atrophie delà langue,
paralysie
des muscles oculaires, etc.), on se livre à une
qui viennent le voir, leur témoigne gratitude et affection. Aucune
paralysie
. Au- cune attaque épileptiforme ? 1 j. " , 29
ou la contracture des sphincters, soit, et le plus souvent, par la
paralysie
des fibres propres de la vessie. La rétention
e, on évacue encore une cer- taine quantité d'urine. Quelquefois la
paralysie
de la vessie se traduit par une grande difficul
igueur, même quand il se fait par l'intermédiaire d'une sonde. La
paralysie
de la vessie s'accompagne fréquemment de la per
2-opltique, ces fonc- tions sont aussi indemnes. La rétention par
paralysie
se rencontre encore dans quelques affections tr
minant dans certains cas où la vessie est très atteinte bien que la
paralysie
des membres inférieurs soit peu prononcée relat
tre d'exception que l'on observe l'impuissance de la vessie dans la
paralysie
diphthérilique ; et on ne la signale guère dans
alysie diphthérilique ; et on ne la signale guère dans le cours des
paralysies
toxiques. La rétention par spasme des sphincter
nes conditions et en particulier dans l'ataxie locomotrice, dans la
paralysie
générale, dans quelques 1 M. Van Lair cite (Sym
aire. Dans les myélites transverses, l'anesthésie s'ac- compagne de
paralysie
de la vessie ou des sphincters, suivant le sièg
istent d'une ma- nière continue dans aucune affection cérébrale; la
paralysie
générale des aliénés, qui parait dans certains
rdons latéraux, ni dans la sclérose latérale amyotrophique, dans la
paralysie
infantile, dans la paralysie spinale de l'adult
lérose latérale amyotrophique, dans la paralysie infantile, dans la
paralysie
spinale de l'adulte, dans l'atrophie musculaire
pinale de l'adulte, dans l'atrophie musculaire progressive, dans la
paralysie
générale spinale, et, en particulier, dans la v
la paralysie générale spinale, et, en particulier, dans la variété
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë de Duchenn
pondant à la 0 élexe de grave. b) Dans d'autres cas, répondant à la
paralysie
réflexe de. Brown-Séquard, les symptômes sont b
dans l'affection des voies urinaires (Charcot). On a expliqué ces
paralysies
réflexes par un phénomène d'arrêt dû à l'irritati
es sujets nerveux; il est per- mis de comparer quelques-unes de ces
paralysies
aux paraly- sies qui se développent chez les hy
'urine' se présente à des degrés très divers suivant le degré de la
paralysie
vésicale elle-même fort va- riable. Certains ma
e n'est point spécial à l'ataxie, mais peut se ren- contrer dans la
paralysie
générale et dans certains cas de tu- meurs du m
ntion complète. Ce dernier mode d'apparition n'est pas spécial à la
paralysie
vésicale, or sait qu'il existe un certain nombr
es périodes, ces troubles sont t transitoires au même degré que les
paralysies
oculaires, les phénomènes laryngés, etc. Il peu
itation. Dans l'année 1882 (deux années après), il était pris d'une
paralysie
des deux membres inférieurs, qui a disparu après
t facile et régulière, sans aucune espèce de boiterie. G. D. VII.
Paralysie
saturnine DES EXTENSEURS DR la main par INTOXICA-
servation est intéressante en raison de la cause qui a déterminé la
paralysie
. - Le malade ayant renversé, par mégarde, un to
ation géné- rale. G. D. 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VIII.
Paralysie
DIPHTHERITIQUR; par M. DAMASCHINO. (Journal de mé
chirurgie pratiques, t. LUI, 1882.) L'auteur rapporte quatre cas de
paralysie
diphthéritique : deux d'entre elles restèrent l
qui, trois fois dans le cours de la même année, fut atteinte d'une
paralysie
des membres inférieurs, qui survint et disparut
membres inférieurs, qui survint et disparut brusquement. G. D. X.
Paralysie
PSEUDO-HYPERTROPHIQUE; par M. DAMASCHINO. (Jour
suite de cet accident on observa une perte de connaissance, et une
paralysie
de la motilité et de la sensibilité de tout le cô
une éruption furonculeuse. Un mois après le début des acci- dents,
paralysie
de l'oculo-moteur externe gauche, parésie légère
troubles circulatoires graves, collapsus sans délire), il admet une
paralysie
du coeur dont la fibre musculaire est dégénérée
es signalé des faits du même genre " CH. F. XVIII. GOITRR. Mort par
paralysie
des coudes vocales; par J. SElTZ. (c'angenbcc/¡
z les rejette absolument, pour admettre qu'il n'a pu y avoir qu'une
paralysie
des récurrents; bien qu'il n'y ait pas eu d'exa
eur, l'ataxie est proche parente des vésanies, de l'hystérie, de la
paralysie
générale, du mal comitial; à quelques égards, e
tielle. Car, d'une part, on pourrait soutenir que les lésions de la
paralysie
gé- nérale, lorsqu'elles se manifestent en même
e la diffusion de ces dernières à l'encéphale, etque par conséquent
paralysie
générale et ataxie ne sont pas, dans l'espèce,
e. Mais il est bon nombre de troubles nerveux autres que ceux de la
paralysie
générale qui viennent, dans certains cas, se su
Larclicr qui soutenait que dans les lé- sions protubérantielles la
paralysie
de la face siège du même côté que la paralysie
protubérantielles la paralysie de la face siège du même côté que la
paralysie
des membres, on admet généralement depuis le sa
es membres, on admet généralement depuis le savait de Gubler que la
paralysie
est alterne. M. Rondot a réuni à un cas personn
u sans ictus par une impotence graduelle et unilatérale. Tantôt, la
paralysie
d'emblée complète et unilaté- rale a compris en
du côté opposé une hémiplégie des membres et de la face. - Celte
paralysie
moins intense habituellement à la face qu'aux mem
nce, grise interposés entre les fibres motrices. 1 CH. F. IV. Des
paralysies
chez les choréiques ; par G. OLLIVE. Thèse de P
ques ; par G. OLLIVE. Thèse de Paris, 1883. Sous le titre : « Des
paralysies
chez les choréiques» (Charcot), M. Ollive décri
ysies chez les choréiques» (Charcot), M. Ollive décrit une forme de
paralysie
assez rare qui a été dési- gnée sous les noms d
e des mouvements, mais à l'affaiblissement musculaire; peu à peu la
paralysie
toujours flasque se complète et peut se général
accompagnée ordinai- rement -de légers mouvements choréiformes. La
paralysie
qui se développe dans' le cours' ou. la fin de
r les convulsions. Dans tous lés cas,'le pronostic est bénin; cette
paralysie
guérit tou- jours. M. Ollive préconise le trait
a mort dans la chorée; par Il.\NNEQUIN. Thèse de Paris. 1883. - 1
Paralysie
glosso-labiée cérébrale; par PuicA. Thèse de Pa-
(faisceau géniculé) se rencontreraient dans les cas d'aphasie, de
paralysie
des muscles de la langue, de la face, du voile du
viée à gauche. Face paralysée incomplè- tement. Pupilles sensibles.
Paralysie
complète du bras et de la jambe. L'articulation
, nouvelle attaque avec perte de connaissance et accentuation de la
paralysie
à gauche. Etat actuel. Malade très affaissé au
de trouve parfaitement les mots dont il a besoin pour s'exprimer.
Paralysie
légère du voile du palais (rejet des aliments par
s (rejet des aliments parles fosses nasales et nasonnement). Pas de
paralysie
des lèvres, ni de salivation. Gêne de la déglut
ité. Pas de troubles de la vue, de l'ouïe, ni de l'odorat. Pas de
paralysie
des muscles de l'oeil. Rien du côté du facial sup
paralysie des muscles de l'oeil. Rien du côté du facial supérieur.
Paralysie
faciale inférieure gauche. Réflexes conservés,
. Pas d'atrophie des muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Paralysie
légère du bras gauche, qui peut encore faire qu
ctilité faradique. Pas de contractures ni de troubles trophiques.
Paralysie
complète de la jambe gauche. - Pas de troubles
e, ni albumine dans l'urine. Yers le 15 janvier, on remarque que la
paralysie
s'accentue davantage à gauche. Le bras est deve
et inférieurs; le facial inférieur droit étant peu atteint). Cette
paralysie
est complète, flasque, sans convul- sions, ni c
s. Yeux convulsés en haut et à gauche, sans déviation de la tête.
Paralysie
faciale inférieure droite. Résolution des membres
à gauche. Observation IV. Embarras de la parole par glossoplégie.
Paralysie
incomplète du voile du palais. Foyer de ra- mol
vec peine et le malade ne peut ni souffler une bougie ni siffler.
Paralysie
incomplète du voile du palais; nasonnement et r
ganes des sens, du facial supérieur et des muscles des yeux. Pas de
paralysie
des membres. Mort par épanchement pleural. A
nce. (7 ? 11.) Dans ces trois observations se trouve signalée une
paralysie
de la langue, avec troubles dans l'articulation
n II, cette glossoplégie s'accompagne de gêne de la déglutition, de
paralysie
incomplète du voile du palais et d'hémiplégie p
semble clinique qui rappelle jusqu'à un certain point celui de la
paralysie
glossolabiée. Les symptômes rele- vés dans l'Ob
dernière affection, puisqu'en même temps que la glossoplégie et la
paralysie
du voile du palais, il est dit que « les lèvres
d deux observations d'affection de la moelle, caractérisées par une
paralysie
des quatre extrémités, dans lesquelles le phéno
ance de l'entrecroisement inférieur des pyra- mides. Ma)grece)a, la
paralysie
se limita pendant la vie au domaine du facial d
tration de la région du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE
paralysie
combinée DU bras ET DE l'épaule, DE EAB; par Os
dont les lésions sont localisées aux cornes grises antérieures, la
paralysie
infantile, la paralysie spinale de l'adulte, l'
ocalisées aux cornes grises antérieures, la paralysie infantile, la
paralysie
spinale de l'adulte, l'atrophie musculaire prog
ogressive, laparalysie-labio-glosso- laryngée et peut-être aussi la
paralysie
générale spinale subaiguè de Duchenne, constitu
se borneà l'un des côtés. Famille d'épileptiques jusqu'au bisaïeul.
Paralysie
spinale spasmodique chez le père. II. Enfant de
éflexes dans les deux jambes, sans ataxie ni signe deRomberg, de la
paralysie
vésico- rectale, enfin des élancements avec con
ois observations avec autopsie finement détaillées : Observation I.
Paralysie
des extrémités du côté droit avec convulsions d
II. Céphalalgie. Vomissements. Convulsions (emprostl1otonos). Puis,
paralysie
de l'oculo-moteur ex terne gauche et de la moit
articulaires (résorption molécule à molécule); les autres, de la
paralysie
et des contractions des muscles périartieutaires
ion a l'étude des localisations spiniles (Autopsie ' d'une ancienne
paralysie
infantile avec atrophie très localisée) ; z par
Femme de vingt-cinq ans. morte plithisique, avait, à la suite d'une
paralysie
atrophique de l'enfance, une atrophie considérabl
et hypothénar et des muscles inter- osseux de la main droite, avec
paralysie
de ces mêmes muscles ¡ '1'101' photolithogT1phi
ose à des troubles intellectuels comme l'ont observé M. Lancereaux (
paralysie
toxique) et Kirchgasser (de Cologne). Ce dernie
aussi la possibi- lité de l'action du froid sur la production de la
paralysie
géné- rale ; mais qu'elle réserve propos de la
'établissement exposé par lui. M. Westphal prend la parole sur la
paralysie
progressive de la totalité des muscles de l'oei
oelle. L'auteur en met sous les yeux de ses confrères trois cas. La
paralysie
progressive des muscles oculaires s'effectua le
s nerfs crâniens se trouvent égale- ment pris, comme le démontre la
paralysie
des muscles de la bouche, de la langue, du voil
nquième paire. Troubles de la parole se rappro- chant de ceux de la
paralysie
bulbaire sans en présenter tous les caractères.
urs communs, pathétiques des deux côtés. Sur trente-deux faits de
paralysie
de tous les muscles de l'oeil, dont six observés
e décider si Il utchinson a eu raison d'attribuer le syndrome de la
paralysie
oculaire progressive (ophthalmoplégie externe de
mais il niait obstinément avoir jamais été infecté. Conclusions. La
paralysie
progressive de tous les muscles de l'oeil, qui
ui peut également s'allier à l'impotence des muscles touchés par la
paralysie
bulbaire, est en rapport d'une part avec une af
cide osmique, puis ammoniaque). L'auteur a actuellement neuf cas de
paralysie
générale examinés par ce procédé dans lesquels,
cas, cette destruction a été constatée à des stades précoces de la
paralysie
générale, avant même que la né- vroglie ait pré
use en général. En admettant même que cette constalation regarde la
paralysie
générale seule, voudrait-elle dire que l'atroph
lytique. Quant à l'encéphalite, elle manque dans les cas récents de
paralysie
générale, tandis qu'elle existe de concert avec
aussi, que l'encéphalite interstitielle soit caractéristique de la
paralysie
générale. Elle peut faire défaut si complètemen
ssivement enfanté un genre différent d'anatomie microscopique de la
paralysie
générale (exsudat visqueux de Rokitansky;- hyper-
tient son opinion. L'encéphalite interstitielle est la lésion de la
paralysie
générale, ce qui ne veut pas dire que d'autres
pathologiques ne puissent se traduire par le tableau clinique de la
paralysie
générale, mais le rapport est exact. Il en appe
nées, il a examiné tous les cerveaux de paralysés généraux. Dans la
paralysie
générale récente, il a toujours trouvé des foyers
a vu chez Flechsig de ces foyers, qu'il regarde comme propres à la
paralysie
générale. M. llITZIG (de Halle) ne partage pas
diverses préparations l'on puisse dire; cette pièce provient d'une
paralysie
générale, celte autre n'en provient pas. La sec
s groupes de petites cellules et les manifestations cliniques de la
paralysie
générale. Mais l'origine de ces désordres doit
à dégager la nature interstitielle du processus. Au reste, pour la
paralysie
générale, de même que pour le mal de Bright, il
ARNDT (de Greisswald). S'il est vrai que dans la plupart des cas de
paralysie
générale, on constate un processus inflammatoire
ques (anévrysmes) avaient probablement été le point de départ de la
paralysie
générale. L'inflammation doit être écartée dans
uve par conséquent rien en faveur de la théorie inflammatoire de Ja
paralysie
générale. Sans doute la paralysie progressive p
de la théorie inflammatoire de Ja paralysie générale. Sans doute la
paralysie
progressive peut avoir une genèse multiple, mai
nt anatomique dont il gagne toujours le même bord. De même, dans la
paralysie
générale, certaines cellules gan- glionnaires o
es cel- lules malades ne se colorent qu'à moitié. Enfin, au lieu de
paralysie
SOCIETES SAVANTES. 37 1 générale, il faut dir
lieu de paralysie SOCIETES SAVANTES. 37 1 générale, il faut dire
paralysie
progressive, et savoirque le cerveau du paralyt
atrophie fondamentale des éléments corticaux. Tuczek a raison. La
paralysie
générale résulte, au fond, d'une anomalie dans l'
destruction du noyau len tll'U lai l'e sont caraclérisées pal' une
paralysie
plus marquée du membre supérieur que du membre
alysie plus marquée du membre supérieur que du membre inférieur; la
paralysie
du membre inférieur serait, dans l'espèce, plut
un rapport fixe entre l'état de l'oeil et la durée, la marche de la
paralysie
générale; loin de là, souvent l'atrophie pa- pi
hthahnoscope est impuissant à lui seul à donner le diagnostic de la
paralysie
pro- gressive, il nous apprend que l'état troub
erveux central d'un homme ayant succombé à la forme tabétique de la
paralysie
générale progressive (voy. l'observation dans les
, des vertiges, le mal de tête, de la spermatorrlcée, leçons sur la
paralysie
générale, de l'épilepsie par malformation du cr
. De l'hérédité morbide et de ses manifestations vésaniques dans la
paralysie
générale, par S lurON. Thèse de Paris, 1883. Da
ts symptomatiques nécessaires de la maladie sont la dé- mence et la
paralysie
, et que le délire n'est qu'accessoire. Le dé- l
taires ou personnels. Le délire qui peut précéder l'invasion de la
paralysie
générale revêt les caractères de la vésanie pure,
ne rémis- sion apparente. Ca. F. Baillarger. Sur la théorie de la
paralysie
générale, etc. (Ann. méd. psych. 1883.) 396 I
iphériques dans les entorses et en particulier des atrophies et des
paralysies
musculaires ; par ANTELMY. Thèse de Paris, 1884
1 I-)5 ; (sur la commotion du), par Ttlmus. 135. Choréiques(des
paralysies
chez les), par Ollive, 276. Colonie annexe de
ses rapports avec le), par Meyer et Bayer, 337. Goitre (mort par
paralysie
des cordes vocales), par Seitz, 253. Hémiplég
dité morbide (de 1' ' et de ses manifestations vésaniques dans la
paralysie
générale), par Sau- ton, 395. Hérédité nerveu
traction des muscles moteurs de l'), par Bechtereff, 121. OEil (
paralysie
progressive de la totalité des muscles de 1' ch
ps genouillés jusqu'aux corps genouillés), par Bechtereff, 123.
Paralysies
chez les choréiques (des), par Ollive, 276. P
ff, 123. Paralysies chez les choréiques (des), par Ollive, 276.
Paralysie
combinée du bras et de l'épaule, par Vierordt,
. Paralysie combinée du bras et de l'épaule, par Vierordt, 333.
Paralysie
diphthéritique, par Da- maschino, 248. Paraly
Vierordt, 333. Paralysie diphthéritique, par Da- maschino, 248.
Paralysie
générale (anatomie patlio- logique), 379; (de l
aniques dans la), 395. Paraplégie hystérique, par Moizard, 248.
Paralysie
pseudo-hypertrophique, par Damaschino, 248. P
d, 248. Paralysie pseudo-hypertrophique, par Damaschino, 248.
Paralysie
saturnine, 247. Pédoncule cérébelleux supérieur
Schwarz, 343. Restiforme (corps), par Monakow, 124. Saturnine (
paralysie
- des exten- seurs de la main par intoxication
nt de compa- gnie avec les troubles de la motilité, sous forme de
paralysie
, c'est-à-dire d'aneshcsie. Plus tard ces troubl
ent les troubles de la vessie accompagnent pres- que constamment la
paralysie
de la sensibilité et de la motilité, à une étap
éjà formu- lée, à savoir que dans l'immense majorité des cas, les
paralysies
, provenant de l'emploi de scaphandres ne sont p
riable pour tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas, C'(',St-21-dll'e,
paralysie
motrice et sensitive, rétention d'urines et de
t l'invasion de l'accident. Surdité psychique; lourdeur de la tète.
Paralysie
brusque qui ctpi-is successivement et 1res rapide
ois quarts d'heure, dispa- rait complètement pour faire place à une
paralysie
brusque et complète du membre supérieur droit,
ers le coucher du soleil, ce membre était complètement dégagé de sa
paralysie
. Le 20 mars, à son réveil, il voit que son extr
u à J'aide de deux appuis. Depuis ce moment, l'amélioration de la
paralysie
a si rapidement progressé, que le 8 avril il a pu
te- ment la durée de cet intervalle : le malade ayant remarqué sa
paralysie
dans les conditions suivantes : l'accident a éc
l s'endort, et le lendemain matin, à son réveil, il cons- tate la
paralysie
de ses membres inférieurs, évidemment survenue
raplé- gie n'était précédée, ni accompagnée, ni suivie d'au- cune
paralysie
de membres supérieurs. Il n'en est pas de même
pour le malade de l'OBSERVATION XX, qui avait en même temps que la
paralysie
de ses membres inférieurs un peu de paralysie a
en même temps que la paralysie de ses membres inférieurs un peu de
paralysie
aux supérieurs. Ce qu'il y a surtout de remarqu
qu'il y a surtout de remarquable c'est le mode d'in- vasion de la
paralysie
du malade de l'ÛBSKRVATioN XXI, qui a saisi suc
ue membre inférieur était précédée pendant quelques moments d'une
paralysie
du supérieur correspondant, de sorte qu'en quel
étaient paralytiques, le malade ne remuait plus que la tête. Les
paralysies
des membres supérieurs, qui ont accompagné la p
ette altération est repré- sentée chez nos malades sous la forme de
paralysie
. La 'sensibilité aurait été complètement abolie
troisième au contraire, de la réten- tion. C..E'uo<Mo7t de la
paralysie
. La période para- lytique finit de jouer son rô
du drame morbide par la disparition graduelle et com- plète de la
paralysie
, qui, après avoir duré un temps variable, rétro
est ce qui est arrivé chez les trois malades. La durée totale de la
paralysie
a été très variable; ainsi chez le malade de 1'
ent après la disparition de 116 CLINIQUE NERVEUSE. toute trace de
paralysie
. On distingue très nettement deux ordres de sym
son apparition pendant la période paralytique, dès le début de la
paralysie
et persiste après la guérison de celle-ci, cons
cé à avoir la sensation d'un corset de fer, à la même époque que la
paralysie
, tandis que le nôtre, (OBs. XXI) a commencé à s
errée dans un étau, au moment même de la disparition-complète de la
paralysie
; cette sensation servant en quelque sorte de sy
plutôt c'était un ataxique ébauché. 6° Anesthésie en plaques. La
paralysie
de la sen- sibilité qui a été constatée au mome
e : à ce 'moment, sa place au tableau clinique est secondaire, la
paralysie
étant l'élément qui domine de la situa- tion du
le troisième. Le temps qui s'est écoulé entre la disparition de la
paralysie
et le commencement de l'ataxie marqué par la fa
ifor- mité apparaît par une symptomatologie presque inva- riable,
paralysie
, auesthésie, troubles de la vessie et du rectum
chez nos trois malades. En effet, le tableau clinique dégagé de sa
paralysie
après quelque temps, aboutit invariablement à u
marchait sur un sol tapissé d'épongés. Il n'y avait aucune trace de
paralysie
des membres ou de la face. Pas de moindre trouble
ormaux. Pas do picotements. Il n'y a nulle part la moindre trace de
paralysie
motrice. Pas de troubles myatrophiques, les mus
abolition des réflexes des membres inférieurs, sans aucune trace de
paralysie
, sans myatrophie et sans symptômes du côté de l
iculations. Vers le coucher du soleil, faiblesse se transformant en
paralysie
com- plète du membre inférieur droit. Abolition
r droit, laquelle dans un délai de deux heures se transforme en une
paralysie
complète. La sen- sibilité du membre inférieur
Les mois suivants, son membre se dé- gageait de plus en plus de sa
paralysie
et il marchait de mieux en mieux. A cette époqu
de marcher sans appui. Au mois. d'août, dégagement progressif de la
paralysie
. Secousses. Épilepsic spinale spontanée. Contra
oyait sauvé, quand au bout de ce faible délai, le sujet est pris de
paralysie
subite et com- plète de son membre inférieur dr
sans appui. Au mois d'août son membre est dégagé plus encore de sa
paralysie
. A cette époque notre homme a eu des secousses
rvalle entre la disparition de ces symptômes et l'explo- sion de la
paralysie
. o ! Mpeg'ie du membre inférieur gauche. Abolit
ravait pour faire place elle-même, vers le coucher du soleil, à une
paralysie
complète, le malade ne pouvant faire aucun mouv
minutes environ, ces douleurs disparaissent pour faire place à une
paralysie
complète du membre inférieur droit. La sensibil
s'use très rapidement. Le membre inférieur gauche n'a pas trace de
paralysie
. Rien aux supérieurs et à la face. Il y a une exa
deux fois en une abolition complète, Obier- vation XXIV et XXVI. La
paralysie
de la sensibilité paraît, dans la majorité des
es engourdissements, agra- vation de la parésie. - Le 20 septembre,
paralysie
complète .de ce membre, localisation- des doule
obre, faiblesse du membre inférieur droit. Etat actuel (6 octobre).
Paralysie
et atrophie dégénérative dominante dans la sphè
ésie cutanée cor- respondant à très peu de chose près à celle de la
paralysie
motrice. Parésie spastique au membre inférieur
Rien du côté de la vessie du rectum et des organes génitaux. Pas de
paralysie
aux membres inférieur et supérieur gauches. Il
x phénomènes qui viennentse joindre au tableau clinique; ce sont la
paralysie
et, un peu plus tard, la myatrophie du membre s
ait très important, c'est la localisation presque exclu- sive de la
paralysie
et de la myatrophieaux muscles qui sont sous la
g supinateur. Nous assistons de la sorte à une nouvelle espèce de
paralysie
radiculaire du plexus brachial survenant par l'
ulanée qui correspondait, à très peu de chose près, à celle de la
paralysie
motrice. Rappelons enfin, cela mérite de fixer
de fixer l'attention, la rapidité de la guérison, aussi bien de la
paralysie
radiculaire de notre malade que des autres trou
és, un état ner- veux spécial caractérisé par des contractures, des
paralysies
, des troubles divers de l'intelligence. Cet éta
qu'à présent on n'a jamais pu fournir une observation pro- bante de
paralysie
flasque de la face dans l'hystérie, tandis que
que de la face dans l'hystérie, tandis que du côté des membres, ces
paralysies
sont, comme on le sait, très fréquentes. L'ex
ypnotiques, quand on provoque par suggestion le développement d'une
paralysie
llaccide dans un membre, on lui fait perdre, pe
perdre, pendant la durée GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 103 de cette
paralysie
, toutes les propriétés somatiques, qui per- sis
s actives. P. K.. V. Altération DES centres nerveux dans un ,C1S DE
paralysie
infantile cérébrale; par WALLENBERG. (Arch. f.
érébrale; par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observation de
paralysie
cérébrale infantile, suite d'endocardite. Accid
t cette augmentation de poids se remarque plus spécialement dans la
paralysie
générale, où le coeur est très sou- vent hypert
plus précoce que chez les sujets sains d'esprit. Cependant, dans la
paralysie
géné- rale, l'épaississement des tuniques artér
sera publié Mt extenso.) M. Zaciier (deStephausfeld). Surdeuxcas de
paralysie
progressive. Deux observations dans lesquelles
agner la partie la plus inférieure de la moelle. Dans les deux cas,
paralysies
simple- ment transitoires. (Le mémoire sera pub
phale (épilepsie, hystérie, apoplexie commune, sclérose en plaques,
paralysie
générale, méningite). Voilà la matière des deux
mécanique, électrique. Nous signalerons plus particuliè- rement les
paralysies
, les mouvements anormaux (ataxie, trem- blement
ns l'eeil gauche (il n'a pas été fait d'examen ophthalmoscopique) ;
paralysie
presque complète dans la région du nerf oculomo
s marqué et myose spinale. Dans un cas (le troisième), il y avait
paralysie
du nerf oculo-moteur; dans un cas, arthro- path
-uns vont même, dans la question de l'étio- Jogie du tabes et de la
paralysie
progressive, qui s'y rattache si intimement, ju
s de'maladies nerveuses, le nombre des juifs frappés de tabes ou de
paralysie
progressive était considérablement moindre que
ifs, il y avait 2 paralytiques, soit 0,7 p. 100. Par conséquent, la
paralysie
progressive s'est aussi ÉTUDE DE L'ETIOLOGIE DU
. Parmi les malades atteints d'affections nerveuses, le tabes et la
paralysie
progressive se rencontrent avec une égale fréqu
e progressive = 0, 7 1). 100; chez les Musses : tabès = 3,2 p. 100;
paralysie
= 4,8. 100. 2). Chez les liasses, la syphilis s
cinq fois plus fréquemment que chez les Juifs. 3). Le tabès et la
paralysie
progressive se rencontrent aussi cinq fois plus
ue cette fréquence indubitablement plus prononcée du tabès et de la
paralysie
progressive chez les Russes ne provienne que de
auparavant la syphilis, il se trouve autant de cas de tabes et de
paralysie
progressive que sur cent Russes dans les ÉTUDE
idée qui ressort de ma statistique, c'est-à-dire que le tabes et la
paralysie
progressive ne se rencontrent plus rarement che
avait pas un seul juif . Il y avait en tout cinquante-trois cas de
paralysie
progressive, dont quarante-huit indubitables et
ans 6 cas, elle n'avait pas existé. Par conséquent, dans les cas de
paralysie
progres- sive, la syphilis se trouvait dans une
ans une proportion de 60 p. 100. 11 y avait trois juifs atteints de
paralysie
progressive, soit deux hommes et une femme, la
lle n'a- vait pas existé. Pas de données sur la femme atteinte de
paralysie
progressive. Nous voyons ce qui suit dans cette
qui suit dans cette intéressante statistique : 1). Le tabes-et la
paralysie
progressive se rencontrent ci peu de chose près
de malades, soixante cas indubitables de tabes et quarante-huit de
paralysie
). 2). La syphilis se rencontre dans une proport
ncontre dans une proportion égale dans l'anamnèse du tabès et de la
paralysie
pro- gressive; et cela, dans 60 p. 100 des cas
47 Juifs, il n'y avait aucun cas de tabes et trois cas seulement de
paralysie
. Cette dernière conclu- sion confirme entièreme
ièrement notre observation sur la rareté relative du tabès et de la
paralysie
chez les Juifs. Examinons cependant les donné
. 207 syphilis dans l'anamnèse. Il y avait 69 malades atteints de
paralysie
progressive (61 hommes et 8 femmes); dans ce no
probables, dans plus de 72 p. 100. Parmi les femmes atteintes de
paralysie
: Dans deux cas, il y avait eu syphilis; dans d
. Parmi les malades atteints d'affections nerveuses, le tabes et la
paralysie
se rencontrent aussi souvent l'une que l'autre
l'une que l'autre (soixante-six cas de tabes, soixante- neuf cas de
paralysie
). 2). La syphilis se retrouve dans l'anamnèse d
able dans les deux yeux, du côté opposé à la lésion, -à cause de la
paralysie
des deux rétines du côté correspondant à la lés
hologique de Paris. F. FORME PARALYTIQUE SPINALE TRANSITOIRE. Les
paralysies
qui appartiennent aux différentes formes décrit
formes décrites jusqu'à présent sont plus du moins durables. Les
paralysies
au contraire de la forme paralytique, que nous
s minutes, quelques heures, ou quelques jours tout au plus. . Les
paralysies
transitoires sont très fréquentes; je me borner
ument in- sensibles. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes. Cette
paralysie
n'a duré qu'un quart d'heure environ, au bout d
nférieur gauche, qui dans quelques minutes s'est transformée en une
paralysie
complète. Il ne peut pas nous donner de renseig
mbres inférieurs ; 2° le type de double paraplégie et 3° le type de
paralysie
partielle. Quel que soit le type que cette form
oudaineté ou brusquerie de l'invasion et B disparition rapide de la
paralysie
en quelques minutes, en quelques heures ou en q
geur n'aurait eu ni'perte de connaissance, ni bouche de travers, ni
paralysie
des membres, ni autres troublées cépha- liques.
as d'autres symptômes céphaliques. Pas de bouche de travers. Pas de
paralysie
de membres. Pas de troubles de la sensibilité,
vers, ni perte de connaissance ni autre symptôme céphalique, pas de
paralysie
des extrémités. La durée totale de cette aphasi
ement ce qu'on lui disait. , Pas de perte de connaissance, pas de
paralysie
des membres, pas de bouche de travers enfin pas
en. Pas de perte de connaissance; pas de bouche de travers ; pas de
paralysie
des extrémités; pas d'autres symptômes quelconq
tômes céphaliques. Il n'aurait eu non plus ni bouche de travers, ni
paralysie
des extrémités, ni autres troubles quelconques.
n'y a pas d'autres symptômes céphaliques. Il n'y a aucune trace de
paralysie
nulle part. Il n'existe pas de troubles de la s
sements, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la parole, ni
paralysie
, soit de la face, soit des extrémités, enfin aucu
é quelques petits vertiges n'aurait eu ni perte de connaissance, ni
paralysie
aucune. Le tableau clinique était exclusivement
peur. Pas de vertiges. Pas d'autres symp- tômes céphaliques. Pas de
paralysie
. Enlin il n'y aurait rien eu nulle part. A 10 h
jamais réapparu. 4. FORME CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes
paralysies
d'origine cérébrale n'ont DES ACCIDENTS PAR L'E
ent, cliniquement, tantôt le type d'hémiplégie et tantôt le type de
paralysie
partielle. A). Type d'hémiplégie. De ce type no
uré seul isolé une heure et demie. Au bout de ce laps de temps, une
paralysie
du membre inférieur gauche survint. A ce moment
'estomac, sans gonflement au moins apparent, en même temps qu'une
paralysie
du membre supérieur non plus le gauche, ce qui lu
pas cette fois-ci de travers,'au moins d'une 'façon visible. Cette
paralysie
dure deux heures, au bout desquelles il est pris
te paralysie dure deux heures, au bout desquelles il est pris d'une
paralysie
du membre inférieur droit, sans troubles de la
fond de la mer, il était atteint des mêmes accidents, à savoir une
paralysie
du membre supérieur tantôt gauche tantôt droit
ralysie du membre supérieur tantôt gauche tantôt droit avec ou sans
paralysie
faciale apparente, paralysie précédée toujours
antôt gauche tantôt droit avec ou sans paralysie faciale apparente,
paralysie
précédée toujours des troubles oculaires, brûlu
après un temps qui varie entre une demi-heure et deux heures d'une
paralysie
du membre droit correspondant avec des douleurs
symptômes quelconques. Etat actuel (5 août 1884). Rien. B). Type de
paralysie
partielle. De ce type nous avons deux observati
avons deux observations intéressantes dont l'une est un exemple de
paralysie
de la face et du membre supérieur gauche. a).
xemple de paralysie de la face et du membre supérieur gauche. a).
Paralysie
faciale. ' Observation XLVII. Aggelis Couroup
. Dix minutes après l'enlèvement du casque, le plongeur est pris de
paralysie
faciale gauche. Il fermait l'oeil gauche aussi
il gauche aussi bien que le droit. Il n'y aurait eu aucune trace de
paralysie
des extrémités. Pas de vertiges, ni de perte de
iques. 11 n'y aurait non plus d'autres symptômes quelconques. Cette
paralysie
faciale a duré à peu près une demi-heure, au bo
tement bien. Au bout de ce temps, tout d'un coup, il est pris de
paralysie
complète du membre supérieur gauche. La bouche, e
mer l'oeil gauche aussi bien que le droit. Il n'y a aucune trace de
paralysie
au membre supérieur droit et aux inférieurs. Sa
et, il a commencé à pouvoir exécuter quelques petits mouvements. Sa
paralysie
faciale aurait été améliorée. Ses immersions co
ve même parfois que les objets légers lui échappent des mains. La
paralysie
prédomine incontestablement aux muscles innervés
ade après trois mois, le 20 novembre 1884. 11 n'y a aucune trace de
paralysie
, soit faciale, soit du membre supérieur gauche
uvons ici encore les mêmes caractères qui servent à spécialiser les
paralysies
cérébrales d'origine scaphandrienne, à savoir :
lucinations , des ordres , des rêves, le frapper d'anesthésie et de
paralysie
. L'étude de la suggestion ouvre à la psychologi
ditive. On pou- vait, au contraire, par ce procédé faire naitre une
paralysie
flasque ou spasmcdique; toutefois la suggestion
jours, ces symptômes atteignent leur maximum ; cinq jours après la
paralysie
du voile du palais disparaît, et deux semaines
M. Korniloff a éliminé plusieurs diagnostics, entre autres celui de
paralysie
diphtéritique, vu l'absence d'antécédents ; ;.
rs et Bechterew. Les symptômes présentés réalisent le tableau de la
paralysie
de Brown-Séquard; mais, tandis que la perte de
n-Séquard; mais, tandis que la perte de la sensibilité persiste, la
paralysie
motrice disparait au bout de quelques semaines;
uche de la moelle au niveau de la dixième vertèbre dorsale amène la
paralysie
du membre inférieur gauche, paralysie qui dispa
ème vertèbre dorsale amène la paralysie du membre inférieur gauche,
paralysie
qui disparait au bout de trois semaines. Si alo
à les lésions de la myélite avaient altéré la moelle à ce niveau.
Paralysie
spinale périodique. Sous ce titre M. Greydenberg
étendu sur le dos, sans pou- voir faire aucun mouvement, jamais de
paralysie
des muscles de le face ni de la langue, quelque
la moelle (mouvement associé unilatéral du côté paralysé). Dans la
paralysie
spasmodique, souvent spontané- ment, même penda
TEltl'ttl.r'AT10\ de l'état de la SE1SI- bilité DANS LE TARES ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE TAUÉTIQUE ; par 0. Rinswanger. (Neurol
Cyon, Laevemberg, Scoluclia, Loysaner, 13echtereiv). P. K. DE LA
PARALYSIE
ASCENDANTE SUITE DE COQUELUCHE; par Il. J. MOEB
ni modification de l'excitabilité électrique. Prompte guérison. La
paralysie
procéda par sauts, sans toucher aux muscles abd
able. Infection probablement ana- ]ogue à celle qui donne lieu à la
paralysie
diphtbéritidue (toxine coqueluchale). L'auteur
la moelle. Myélite ititersti. tielle des faisceaux pyramidaux (d'où
paralysie
avec exagération des phénomènes tendineux), et
re cause générale. P. K. IX. Des troubles DE l'ouïe en DES cas DE
paralysie
faciale périphérique légère; par 0. IlosF.Nj3.i
Trois observations prouvant que, même dans les formes légères de
paralysie
faciale rhumatismale, il peut exister un trouble
u nerf du muscle de l'étrier ; en tous les cas il existe une légère
paralysie
du tronc de l'acoustique. P. KERAYAL. AfHBT03
S ; par INI. Bernhardt (Centralbl. f. Nei-ve ? iheill ? 1887). I.
Paralysie
traumatique du radial. Coup de couteau lancé à
bascule naturelle du manche, le nerf contre les os (contusion). IL
Paralysie
partielle de la sensibilité (gliome central de
grise centrale de la même région. Pas d'autopsie. P. K. XII. De LA
PARALYSIE
SIMULTANÉE DE PLUSIEURS NERFS CRANIENS; par P.-
ol- Cent1·a161., 188). , ' Relation des accès de migraine avec la
paralysie
bulbaire et l'ophthalmoplégie. Minceur et élroi
la syphilis. Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII. DE LA
PARALYSIE
DU MOUVEMENT DE CONVERGENCE DES YEUX AU début d
dorsal; par A. DE VATTRYIL1.E (iYeu ? ,ol. Cen- Une observation de
paralysie
isolée de la convergence avec en- térorrhée, pa
bienveillance qu'on donne comme signe diagnostic différentiel de la
paralysie
générale, dans la folie à double forme et je do
es d'origine spinale (paresthésies, phénomènes d'excita- tion et de
paralysie
motrices, accidents vaso-moteurs). Sur plus de
peau dans les anesthésies cutanées, les atrophies musculaires, les
paralysies
, atrophiques i. Dans l'hystérie et l'hystéroépi
souvent rapidement et d'une manière inattendue, la forme changeant (
paralysie
progressive, neuras- thénie psychopathique). Le
sant SOCIÉTÉS SAVANTES. 307 1 cesser ce traitement peut couper la
paralysie
générale. M. Mes- chede rapporte encore un exem
Auerbacll), que M. Nasse a dû en rabattre relativement aux faits de
paralysie
générale qu'il avait annoncés comme guéris (Wer
cés comme guéris (Werner), que les seuls symptômes essentiels de la
paralysie
générale sont les troubles de la parole (Werner
la mégalomanie n'appartient pas, il s'en faut, exclusivement à la
paralysie
générale (Arndt), qu'il existe une paralysie géné
ut, exclusivement à la paralysie générale (Arndt), qu'il existe une
paralysie
générale et une folie paralytique comme le veut
eux un peu prolongé, associé à des manifestations spinales et à des
paralysies
des muscles de l'oeil; l'affaiblissement de la
, épilepsie), soit des maladies nerveuses organiques, et surtout la
paralysie
générale souvent anticipée. 11 était intéressan
lité. Après la disparition de ces troubles du début, il reste une
paralysie
du membre correspondant à la lésion, paralysie qu
début, il reste une paralysie du membre correspondant à la lésion,
paralysie
qui se dissipe ensuite progressivement pour dis
in de la Société d'anatomie de Paris, 1881, p. 233. Morvan. De la
paralysie
analgésique, etc. (Gazelle hebdomadaire, ilo 35,
francs. Question : Des difficultés du diagnostic différentiel de la
paralysie
générale avec les diverses formes de la folie.
par nier eux-mêmes toute suppléance fonctionnelle des phénomènes de
paralysie
par les aires " circonvoisines (Carville et Dur
ois, s'il s'agit d'un centre moteur par exemple, la parésie ou la
paralysie
du groupe musculaire correspondant : la destruc
s, le siège et l'extension des lésions minima, qui ont produit la
paralysie
permanente des parties dont on veut déter- LES
celle-ci a été d'assez longue durée pour qu'on soit certain que la
paralysie
ou la perte absolue de la fonc- tion du centre
perle dès. fonctions motrices volontaires n'a atteint le degré de
paralysie
observé que par une complication des phénomènes
? TUDE DE 1.'I'sTI0LOG1E DU T.1BES. 363 3 de tabès et de 1 cas de
paralysie
chez des Juifs pen- dant 3 ans soit sensiblemen
ns soit sensiblement inférieur à la somme de 130 cas de tabes et de
paralysie
chez des Russes, ces 4 malades sont pris sur 89
s de tabes, soit 0,8 p. 100. Sur 4.700 Russes il y avait 124 cas de
paralysie
, soit 2,6 p. 100. Sur 696 Juifs, il y avait 6 c
s de paralysie, soit 2,6 p. 100. Sur 696 Juifs, il y avait 6 cas de
paralysie
, soit 0,8 p. 100. Mais ici, en ce qui concerne
EUSE. tout 3 cas de tabès, soit 4 p. 400. De même pour les cas de
paralysie
chez les Juifs, j'ai pris le plus grand chiffre
- firmation de notre statistique, c'est-à-dire que le tabes et la
paralysie
progressive se rencontrent aussi sou- vent l'un
bes sur plus de 300 Juifs atteints de maladies nerveuses; quanta la
paralysie
, nous jugeons d'après les renseignements que no
uifs, mais qu'il ne peut indiquer qu'un seul cas de Juif atteint de
paralysie
, malade qui se trouve encore actuellement dans
Il me reste aussi à relever le fait que chez les Juifs atteints de
paralysie
et de tabes, la syphilis dans l'a- namnèse est
Depuis que je pratique, j'ai eu 3 cas certains de Juifs atteints de
paralysie
et 2 cas de probables. Ces cinq cas avaient eu
. Par consé- quent je connais 4 cas de Juifs atteints pour sûr de
paralysie
et dans ce nombre, 3 avaient eu la syphilis, ce
, ce qui donne 75 p. 100; en y joignant encore 2 cas probables de
paralysie
progressive, nous aurons 5 ma- lades atteints d
decins que la principale cause du développe- ment du tabes et de la
paralysie
progressive est, dans la très grande majorité d
ns sujette à la syphilis. , Si le développement du tabès et de la
paralysie
pro-. gressive était soumis aux mêmes lois que
Juifs que nous tî,otive-iois le î2îaxi- «7 ! des cas de tabès et de
paralysie
et cependant les faits prouvent tout le contrai
e la condition fondamentale pour le développement du tabès et de la
paralysie
pi'agressive n'est pas une tendance innée aux a
gie, chez un autre l'apparition du tabes, chez un troisième de la
paralysie
progressive, ceci. c'est une question tout à fa
abes comme une affection nerveuse post-sypliili tique, analogue aux
paralysies
et ataxies post-fébriles, post- diphthéritiques
D'après les indications précises du malade, il s'agissait ici d'une
paralysie
typique du nerf radial, et, étant donnés l'intell
s. En conséquence, il faut croire que c'était très probablement une
paralysie
de nerf radial avec intégrité des muscles supin
e qui existe depuis nombre d'années, et ayant eu précédemment une
paralysie
saturnine, des constipations, des coliques et u
es diverses affections ner- veuses intermittentes, spécialement des
paralysies
intermittentes et des paralysies semblables qui
s intermittentes, spécialement des paralysies intermittentes et des
paralysies
semblables qui sont 380 PATHOLOGIE NERVEUSE.
lical, 188î, n° 'r't. '.7o'/)'n. of. Neurol., 188'2, il- 1. * Des
paralysies
, de leurs rapports, etc. (.4rcl. Ydiléi ? 1860.)
id. Les paraplégies et l'ataxie du mouv. Paris, 1864, p. 405. ' Des
paralysies
e.seitt. Ann. méd. de la Flandre occid. 1853. Des
tte intoxication s'est manifestée d'abord par des coliques et une
paralysie
du bras et douze ans plus tard, le malade entra
et ce dernier dit lui-même dans sa classique descrip- tion' « la
paralysie
des nerfs moteurs (de )'oei))... peut même manq
e nerveux, 1879, t. 1, p. 232 cl 233. a 1`" GClilÎpil, 17. tt8. 1
Paralysies
localisées, p. 638. étude DE l'etiolcgie du tab
s l'histoire des cas de pseudo-tabes, parce qu'il s'y trou- 1 Des
paralysies
toxiques, 1886, p. 38. ' .9nch. f. Psch. Bi. \l
n alcoo- licce; il m'est arrivé à moi-même d'observer deux cas de
paralysie
alcoolique (l'un est cité dans la thèse de M. K
tail dans la clinique de 111. le professeur Kojew- nikoff en cas de
paralysie
arsenicale dans lequel outre la dégénération ex
aru complètement et définitivement par une crise de sommeil. Pas de
paralysie
. Il n'a pas conservé le souvenir de ce qui s'est
s bien. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes céphaliques. Pas de
paralysie
. Les fonctions de la vessie, du rectum et des o
à s'aggraver, à empirer jusqu'au moment où la déter- mination de la
paralysie
complète du nerf auditif, la cophose, met fin à
di. Quelques minutes après, il se porte par- faitement bien. Pas de
paralysie
, pas d'autres symptômes. Le lendemain malin, il
temps, les membres supérieurs étaient com- plètement dégagés de la
paralysie
, il a pu en outre se tenir debout et faire quel
au total .trois heures, au bout desquelles elle a été suivie d'une
paralysie
aussi bien de la sensi- bilité que de la motili
r). Symptômes spinaux. Le fait qui domine l'état maladif, c'est une
paralysie
des. membres inférieurs qui est beaucoup plus a
xécutait un mouve- ment très visible de redressement en dedans. Ces
paralysies
nous expliquent parfaitement la diplopie du mal
omine et occupe le premier rang, que par des symptômes céphaliques (
paralysie
du droit externe, du droit interne de l'oeil ga
i ont suivi la perte, de con- naissance et précédé l'invasion de la
paralysie
dans son accident de novembre 1874. On avait là
uait plus la cornée de la sclérotique. Il n'y avait aucune trace de
paralysie
. 412 CLINIQUE NERVEUSE. Si on le pinçait, on
ntenses qui ont duré cinq minutes environ. Au bout de ce temps, une
paralysie
de la sensibilité et de la motilité survint au
de la motilité survint au plongeur ; pas d'autres symptômes. Cette
paralysie
a duré une heure et demie, au bout de laquelle le
général sans perte de connaissance et presque en même temps, d'une
paralysie
de la sensibilité et de la motilité des quatre
a été remplacé par un engourdissement très fort suivi bientôt d'une
paralysie
du membre supérieur et inférieur droit; sa bouc
fférente à tout ce qu'il voulait dire. Au bout d'une demi heure, la
paralysie
et l'aphasie ont complètement disparu et le len
ment qui s'étendait de l'estomac aux pieds et qui a été suivi d'une
paralysie
des membres inférieurs qui est devenue complète
on lumineuse. Bientôt après, le malade est atteint subitement d'une
paralysie
du membre supérieur et inférieur droit, la bouc
casque, c'était dix heures du matin, le plongeur est atteint d'une
paralysie
complète des membres inférieurs, qui a été bien-
ce absolue. A une heure du soir, cet homme revient complètement. La
paralysie
n'était plus com- plète ; le malade a pu se ten
s. A 5 heures du soir, il revient à son état normal. Pas trace de
paralysie
. La sensibilité est normale, il a pu rendre ses u
la constitution duquel ont contribué la perte de connaissance et la
paralysie
spinale transi- toire. Enfin le quatrième est u
é, comme on le pense bien ; les douleurs d'estnmac persistent; la
paralysie
de la partie inférieure du corps était complète e
de celui de la sensibilité. La vessie et le rectum participent à la
paralysie
. De plus, il porte à la partie postérieure et i
le marasme trois mois après son accident. Il y avait un mois que la
paralysie
de la vessie avait cessé; mais il n'avait eu au
alytique scaphandrier survit. Quant à la marche ultérieure de ces
paralysies
et leurs pronostics, je me suis déjà lon- gueme
er les paroles suivantes de Paul Bert : « Mais trop fréquemment les
paralysies
des mem- bres inférieurs sont persistantes, et
pas encore observé de mort par les progrès seuls' et naturels de la
paralysie
. ACCIDENTS MORTELS. Le plongeur à scaphandre
rait donné quelques signes d'intelligence et de souffrance; mais la
paralysie
des membres est restée complète. , Le travail d
musculaire assez caractéristiques, mais qui ne constituent pas des
paralysies
proprement dites; ces cas sont considérés, à la
e particulière, qui tiennent tantôt de la contracture, tantôt de la
paralysie
, sans qu'il soit tou- jours facile de préciser
bes oculaires sont intéressés. Dans le cas n° 65, il s'agit d'une
paralysie
de la divergence qui est une modalité de la paral
s'agit d'une paralysie de la divergence qui est une modalité de la
paralysie
de la convergence signalée par M. Parinaud (Arc
signalée par M. Parinaud (Archives de Aleu2,o- logie, 1885). Cette
paralysie
, qui parait relever de la lésion d'un centre sp
ce tient à de la contracture du mouvement de convergence ou à une
paralysie
proprement dite du mouvement de divergence. Le
prement dite du mouvement de divergence. Le n° 43 est un exemple de
paralysie
associée ou conjuguée des deux sixièmes paires,
cas de ce genre ne doivent point être confondus avec le précédent (
paralysie
de la divergence). La diplopie n'offre pas les
pas les mêmes caractères. Contrairement à ce qui se passe dans la
paralysie
de la divergence, le défaut de mouvement est ap
dent. L'ophthalmoplégie est incomplète et il y a prédominence de la
paralysie
du droit externe gauche avec strabisme. Ce mala
e du mouvement des paupières assez singulier. Il semble y avoir une
paralysie
incomplète des deux antago- nistes, le releveur
e ; quelquefois plusieurs cellules sont vacuolisées. Etude sur la
paralysie
alcoolique. M. Korsakoff a publié un des traité
vrite multiple est basé sur la disposition de l'anesthésie et de la
paralysie
. Paralysie diplaléotique. M. Noriiiloff a discu
e est basé sur la disposition de l'anesthésie et de la paralysie.
Paralysie
diplaléotique. M. Noriiiloff a discuté la questio
Paralysie diplaléotique. M. Noriiiloff a discuté la question des
paralysies
diphtéritiques à propos de l'observation sui- v
symptômes à une névrite multi- ple pour les raisons suivantes : la
paralysie
de la sensibilité et du mouvement augmentent du
és. Il divise les paraly- sies de la diphtérie en deux groupes : 1°
paralysies
diphtéritiques proprement dites dues à la névri
iphtéritiques proprement dites dues à la névrite multiple ; 2°, les
paralysies
consécutives aux lésions diphtéritiques soit de
de quarante-sept ans éprouve des douleurs et des crampes, puis une
paralysie
des membres inférieurs ; vingt- quatre heures a
énomènes. Au moment de l'examen, on trouve les symptômes suivants :
paralysie
complète de tous les muscles du bassin, des mem
eut pas se localiser. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 467 Un cas de
paralysie
ascendante aiguë ( ? ). De l'observation précéd
procher l'histoire du malade suivant, rapportée par M. Platonoff.
Paralysie
débutant par les membres inférieurs, puis gagnant
nglions tuméfiés. . Lésions du système, nerveux sympathique dans la
paralysie
générale. -L'examen microscopique du nerf et de
'examen microscopique du nerf et des ganglions sympathiques dans la
paralysie
générale a fait découvrir à M. Popoff deux ordr
s atteints de maladies mentales; ils ne sont plus fréquents dans la
paralysie
générale qu'en raison des soins que réclame l'é
rlitsky doit publier un travail sur l'anatomie patholo- gique de la
paralysie
alcoolique. 11 veut démontrer que les lésions p
les symptômes ressemblaient d'une manière frappante à ceux de .la
paralysie
générale progressive (inégalité papillaire, embar
t était des plus graves; il présentait en- core les symptômes de la
paralysie
générale et ceux de l'in- toxication saturnine.
re de Varsovie, nous avons vu un cas de tabès dorsalis compliqué de
paralysie
générale des aliénés. A la clinique de M. Mierj
celui d'une hémisection gauche de la moelle (analgésie 'gauche ;
paralysie
, atrophie musculaire à droite) ; avec dévia- ti
sbourg. Nous y avons vu, pour la première fois en Russie, un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique vraie chez un en- fant de
n. de illie ? jiewsl;y, . 4"an., fasc. I, 1886. bavidofï. - De la
paralysie
générale progressive dans le jeune âge. - h·clt
térie chez l'homme (soldat). Le dlédeciti, n° 44, 9887. Un cas de
paralysie
spinale périodique. Le Médecin, no 48, 1887.
Journ. tleAlie,jicwsky, 4° an., fasc. 11, 1087. Korsakoff. De la
paralysie
alcoolique. 3[oscoit, 1887. De la pathogénie de
De la paralysie alcoolique. 3[oscoit, 1887. De la pathogénie de la
paralysie
spinale atrophique et de ., la névrite multiple
sionnés par des cysticerques. Revue de Médecine, 1886. Un cas de
paralysie
ascendanle aiguë de,Landry (sans au- topsie). A
es altérations anatomo-pathologiques du grand sym- pathique dans la
paralysie
générale.- Revue de Médecine, 1886. 478 REVUE
édi- taire. Morel avait été amené à créer, pour donner place à la
paralysie
générale dans sa classification un groupe artif
t surtout par une sorte d'abru- tissement avec vertiges, céphalies,
paralysies
transitoires, nausées et aussi des troubles dig
tous ceux de l'économie. Elle se manifeste par de la douleur, de la
paralysie
avec atrophie de certains groupes atteignant fa
la 2c vertèbre cervicale deux fois de suite. Il présentait de la
paralysie
du membre supérieur, de la parésie du membre infé
ian, 119. Myélite aiguë d'origine toxique, 463. Nerfs crâniens (
paralysie
des), par iloebi il s, 292. Nerfs périphériqu
. Optiques (lobes chez les poissons osseux), par Auerbach, 304.
Paralysie
alcoolique, 463. Paralysie ascendante aiguë, 46
poissons osseux), par Auerbach, 304. Paralysie alcoolique, 463.
Paralysie
ascendante aiguë, 467 : suite de coqueluche, pa
e ascendante aiguë, 467 : suite de coqueluche, par Môbius, 289.
Paralysie
diphtêritique, 465. Paralysie faciale (troubles
e de coqueluche, par Môbius, 289. Paralysie diphtêritique, 465.
Paralysie
faciale (troubles de l'ouïe dans la) par Rosenb
aralysie faciale (troubles de l'ouïe dans la) par Rosenbach, 291.
Paralysie
infantile (altérations des centres nerveux dans
tions des centres nerveux dans un cas de), par Wallenberg, 110.
Paralysie
progressive, par Zacher, 131. 0 Paralysie dan
par Wallenberg, 110. Paralysie progressive, par Zacher, 131. 0
Paralysie
dans le mal de Polt, par Althaus, 290. Pédonc
ontinue), par Poetz, 299. Sympathique (lésions du système dans la
paralysie
générale, 467. Synostoses crâniennes prématurée
par linor, 183, 362; sensibilité dans le -, par Binswanger, 288 ;
paralysie
des mouvements de convergence des yeux, au dé
Vaso-moteurs (trajet central des nerfs), par Hehvig, 108. Yeux (
paralysie
des mouvements de convergence des - au début du
tance de cette intégrité du facial supérieur pour diffé- rencier la
paralysie
faciale d'origine centrale de la paralysie faci
r pour diffé- rencier la paralysie faciale d'origine centrale de la
paralysie
faciale périphérique. Cette intégrité est passé
rieur dans les lésions cérébrales comme signe différentiel avec la
paralysie
faciale périphérique. Bientôt cependant Mahot,
e. Bientôt cependant Mahot, Gubler avaient montré l'existence de la
paralysie
de l'orbiculaire des paupières dans l'hémiplégi
ulaire des paupières dans l'hémiplégie alterne. Legendre note cette
paralysie
dans l'hémiplégie ordinaire et remarque la chut
voir soutenu contre Récamier la participation de l'orbiculaire à la
paralysie
, dans l'hémi- plégie faciale de cause cérébrale
Simoneau admet la participation de l'orbiculaire des paupières à la
paralysie
: « Dans l'hémiplégie de cause centrale, les ma
er l'oeil sain isolément. Dans tous nos cas nous avons trouvé de la
paralysie
de l'orbiculaire, qui ne pourra plus être niée
as d'hémiplégie de cause centrale. » Coingt(1878) fait rentrer la
paralysie
de l'orbiculaire dans l'hémiplégie faciale ; el
tré, depuis trois ans, quatre malades chez lesquels il existait une
paralysie
de l'orbiculaire en même temps qu'une hémiplégi
nombre de cas d'hémiplégie soit lésé, cela n'est pas douteux. La
paralysie
de ce muscle se traduit par le degré divers de
ont éloignées de celles des classiques. Loin d'être l'exception, la
paralysie
du facial supérieur est la règle dans l'hémiplé
e sont fortement lésés. Parfois cette parésie peut aller jusqu'à la
paralysie
. Ces troubles du facial supérieur confirment la
serait allonger inutilement ce travail. L'existence possible de la
paralysie
du facial supé- rieur n'est niée par personne;
u- sions de Pugliese : un homme de trente-cinq ans est atteint de
paralysie
faciale centrale. Au repos tout le facial gauche
enue. 11 est un fait certain, c'est que chez les hémiplégiques la
paralysie
du facial supérieur n'attire pas immédiatement l'
idité de la joue, l'asymétrie faciale montrent, même au repos, la
paralysie
du facial inférieur, du côté du facial supérieur
tout semble normal. Si l'on s'en tient à un examen superficiel, la
paralysie
du facial supérieur n'ap- paraît pas. Pour la m
é beaucoup moindre que les muscles des membres. Pour dévoiler cette
paralysie
latente, il a fallu employer le moyen suivant :
izontal : la langue est déviée à droite; le malade peut siffler. La
paralysie
du facial inférieur est donc peu marquée. De mê
xante-huit ans. Hémiplégie droite avec aphasie à soixante-cinq aus.
Paralysie
prédominante sur le membre inférieur ; contract
oite à cinquante-trois ans. Aphasie motrice en voie d'amélioration.
Paralysie
prédominante dans le membre supérieur; diminuti
roit, mais cela n'a aucune valeur car le malade affirme qu'avant sa
paralysie
il était incapable de le faire. Observation X
es de la sen- sibilité, contracture, exagération des réflexes. La
paralysie
faciale serait, au dire de la malade, beaucoup mo
surtout au membre supérieur qui est de beaucoup le plus atteint.
Paralysie
du facial inférieur. La commissure buccale droite
du côté gauche. La malade n'a jamais pu, même avant son attaque de
paralysie
, fermer un oeil isolément. Observation XIV. -
nvier 1896. Contracture très accentuée surtout au membre inférieur;
paralysie
prédominante au membre supérieur. Crises de lar
Crises de larmes involontaires, spasmodiques quand on l'interroge.
Paralysie
du facial inférieur gauche. La commissure buccale
égie gauche avec contracture prédominant sur le membre supérieur.
Paralysie
nette du facial inférieur gauche. Les rides du fr
nt aucun des deux yeux ; il ne pouvait d'ailleurs le faire avant sa
paralysie
. Observation XXII. -J... Jean, hémiplégique gau
le gauche. Il se meut aussi par saccades. Le malade, même avant la
paralysie
, n'a jamais pu fermer isolément un oeil. Observ
anesthésie incomplète datant de deux an-. 14 CLINIQUE NERVEUSE.
Paralysie
du facial inférieur droit. Le facial supérieur es
re, il se meut par saccades. Cet homme n'a jamais pu, même avant sa
paralysie
, fermer un oeil iso lément. Observation 1\IY.
que totalement abolis ; ne peut marcher qu'à l'aide d'une chaise.
Paralysie
du facial inférieur gauche avec tendance à la con
Duplay, Simoneau, Coingt et Pugliese. Loin d'être l'exception, la
paralysie
du facial supérieur est la règle dans l'hémiplégi
'un côté à l'autre malgré tous les artifices. Quand au contraire la
paralysie
a aboli l'action du facial inférieur, la paraly
au contraire la paralysie a aboli l'action du facial inférieur, la
paralysie
du facial supérieur est aussi très nette, et faci
rès nette, et facile à mettre en évidence. D'ailleurs le degré de
paralysie
du facial supérieur est toujours beaucoup infér
e du facial supérieur est toujours beaucoup inférieur à celui de la
paralysie
du facial inférieur. A cela rien d'étonnant. Il
itre que les muscles du tronc par exemple. Pour tous ces muscles la
paralysie
existe, mais atténuée et pour ainsi dire latent
ste, mais atténuée et pour ainsi dire latente. En tout cas, cette
paralysie
du facial supérieur dans l'hémi- plégie cérébra
érébrale n'est pas aussi intense que celle que l'on observe dans la
paralysie
faciale périphérique. Ici le facial supérieur e
qu'elle garde toute sa valeur pour le diagnostic différentiel de la
paralysie
faciale centrale et de la paralysie périphériqu
e diagnostic différentiel de la paralysie faciale centrale et de la
paralysie
périphérique. Latente, la paralysie du facial s
sie faciale centrale et de la paralysie périphérique. Latente, la
paralysie
du facial supérieur est masquée par la déformat
t abaissement du sourcil est un des signes les plus constants de la
paralysie
du facial supé- rieur. Les rides du front son
'enquérir avec soin auprès du malade pour savoir si jadis, avant sa
paralysie
, il pouvait fermer un oeil iso- lément. Il ne f
alors qu'il le faisait jadis, ce sujet est un indice certain de la
paralysie
du facial supérieur. Si le malade ne peut fer
ache la troisième circonvolution frontale. Dans le cas de Milla2 la
paralysie
totale du facial gauche tenait à la des- tructi
droite avec aphasie qui s'amendèrent peu à peu, ne laissant qu'une
paralysie
faciale droite totale occupant le facial supéri
re-Jean, 83 ans (Obs. VII). Le facial inférieur était paralysé ; la
paralysie
du facial supérieur se caractérisait parla chut
foyer d'apoplexie du rayon lenticulaire entraîner simultanément la
paralysie
du facial supérieur et inférieur, évidemment pa
ne et inférieure du noyau caudé comme cause d'une hémiplégie avec
paralysie
du facial supérieur et inférieur. Coingt a obse
Coingt a observé chez le professeur Charcot un hémiplé- gique avec
paralysie
du facial supérieur tout entier (orbicu- laire,
ves : La première concerne le nommé L... Louis (Obs. XVI). Ici la
paralysie
du facial supérieur était assez marquée. Le corte
re supérieure, innervé par le moteur oculaire commun participe à la
paralysie
. La fente palpébrale est maintenue ouverte par
du côté paralysé. Au premier abord, il y a là un paradoxe. Dans la
paralysie
faciale périphé- rique, l'oeil du côté paralyse
e cette question, rappelons que la coïncidence d'un ptosis et d'une
paralysie
faciale chez un hémiplégique a été depuis longt
ssement cérébral. Prévost' publie six obser- vations de ptosis avec
paralysie
faciale chez des hémiplé- giques ; Chouppe rela
un cas remarquable où chez un hémiplégique le ptosis s'allie à une
paralysie
du facial infé- rieur et du facial Supérieur ;
du facial Supérieur ; Pitons a signalé un fait célèbre de ptosis et
paralysie
faciale avec lésion cérébrale très combinée ; L
en font foi ; mais dans-l'immense majorité des cas il accompagne la
paralysie
du facial. - Comment peut on expliquer ce sym
t de la fente palpébrale n'a d'autre expli- cation plausible que la
paralysie
même de l'orbiculaire : « De même que dans la p
ible que la paralysie même de l'orbiculaire : « De même que dans la
paralysie
radiale, les muscles fléchisseurs, innervés par
ar le médian, se contractent avec moins d'énergie, de même, dans la
paralysie
de l'orbiculaire, le releveur de la paupière es
cette manière de voir. La comparaison avec ce qui se passe dans la
paralysie
ra- diale est inexacte. Ici les extenseurs sont
est pour cela qu'ils se con- tractent avec moins d'énergie. Dans la
paralysie
de l'orbicu- laire, si l'assimilation était exa
ités, c'est-à-dire élargir la fente palpébrale, de même que dans la
paralysie
radiale les fléchisseurs, non contre-balancés p
ud puisse être admise : c'est l'état de la fente palpébrale dans la
paralysie
faciale périphérique. Ici la fente palpé- brale
r L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 25 ' l'oeil paralysé. Or, dans la
paralysie
faciale périphérique, la paralysie de l'orbicul
' l'oeil paralysé. Or, dans la paralysie faciale périphérique, la
paralysie
de l'orbiculaire est complète, absolue; le releve
e releveur privé de son antagoniste. comme les fléchisseurs dans la
paralysie
radiale, rapproche ses deux extrémités et dans
as à une critique sévère des faits. En fait il existe que dans la
paralysie
faciale périphé- rique la fente palpébrale est
a fente palpébrale est toujours élargie et que dans certains cas de
paralysie
faciale centrale elle peut être dimi- nuée, rét
ns l'hémiplégie avec l'élargissement de la fente palpébrale dans la
paralysie
faciale périphérique, il 26 CLINIQUE NERVEUSE
encore admettre la participation du moteur ocu-' laire commun à la
paralysie
. Souvent (thèse Coingt) on voit signalée l'inég
uguée de la tête et des yeux. Exception- nellement même on a vu une
paralysie
de l'oeil. La participation du moteur oculaire
péhrale est plus largement ouverte du côté paralysé, c'est que la
paralysie
a frappé davantage l'orbiculaire et que le rele
reste à dire un mot de l'époque d'apparition et de l'évolution des
paralysies
du facial supérieur et du moteur oculaire commu
upérieur et du moteur oculaire commun chez les hémiplégiques. Ces
paralysies
sont très fréquentes, nous n'osons dire cons- t
e Broadbent et Charcot. Il est exceptionnellement rare de voir la
paralysie
du facial supérieur et du moteur oculaire com-
s auteurs et comment on a pu soutenir qu'il échappait toujours à la
paralysie
. Coaclzcsioas. - 1° Dans toute hémiplégie d'ori
Coaclzcsioas. - 1° Dans toute hémiplégie d'origine céré- brale, la
paralysie
du facial supérieur est de règle toutes les, fo
les, fois que le facial inférieur est lui-même paralysé. 20 Cette
paralysie
du facial supérieur est toujours beau- coup moi
ial inférieur ; elle est aussi beaucoup moins accentuée que dans la
paralysie
faciale périphérique. 3° Dans l'hémiplégie, l
dans la paralysie faciale périphérique. 3° Dans l'hémiplégie, la
paralysie
du facial supérieur est pour ainsi dire latente
s'expliquer que par la participation du moteur oculaire commun à la
paralysie
. 5° L'intégrité relative du facial supérieur et
cérébrospinales comme, par exemple dans la neurasthénie ou dans la
paralysie
générale à début mélanco- lique et hypochondria
'étouffer « ça part du ventre et ça remonte à la gorge >. Pas de
paralysie
d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence
e traitement médico-pédagogique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I.
Paralysie
du voile du palais et du facial inférieur droit a
inférieur droit. Les troubles uerveux observés ont consisté en une
paralysie
complète du voile du palais et des muscles du p
des troubles cardiaques (tachycardie); les signes classiques de la
paralysie
du facial inférieur droit, et enfin des trouble
s les plus constants des polynévrites. A. Fenayrou. Il. Un cas de
paralysie
ascendante aiguë ; par MM. Roger et JosuL. {Pre
esse médicale, 27 juillet 1898.) Observation d'un malade atteint de
paralysie
ascendante aiguë. à l'autopsie duquel des lésio
dans laquelle ce microbe soit signalé comme l'agent pathogène de la
paralysie
ascendante aiguë. Elle temps à confirmer l'opin
es agents microbiens les plus variés. A. FENAYROU. III. Un cas de
paralysie
faciale double d'origine bulbaire; par 11. lirl
rdier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un signe clinique nouveau des
paralysies
faciales d'origine périphérique. Ce signe consi
de s'abstenir de traiter par l'électricité les malades atteints de
paralysie
faciale grave, c'est-à-dire avec réaction de dégé
ontractures. L'emploi de l'électricité doit être réservé aux cas de
paralysie
faciale avec réaction partielle de dégé- néresc
ir l'évolution de la maladie. Il s'agis- sait d'un homme atteint de
paralysie
faciale double. Selon les prévisions de M. Mall
ait normale, tandis que 60 REVUE DE l'A'l'llOLOGIE NERVEUSE. la
paralysie
a persisté, avec peu de tendance à la guôrison, d
oniques pourrait peut-être expliquer certains troubles ocu- laires (
paralysie
apparente de certains muscles de 1'0-,il avec int
lue ou à ou à peu près complète de ces mêmes muscles), ou laryngés (
paralysie
des cordes vocales avec troubles respira- toire
ouvoir accélérateur de la nutrition. A. Fenayrou. VIII. Un cas de
paralysie
juvénile avec syphilis héréditaire ; par le D'
par le Dr Saporito porte à 75 environ les cas aujourd'hui connus de
paralysie
générale juvénile avérée : il cons- titue, en o
ifications essentielles. P. Keraval. XIV. Myokymie dans un cas de
paralysie
saturnine ; par 0. BuuEn. · (Neurolog. CenlrulG
ion debout, l'effort, les coliques augmentent. L'amélioration de la
paralysie
saturnine coïncide avec une amélioration corres
avec la rareté rela- tive des lésions spinales antérieures dans la
paralysie
saturnine, permettent de supposer une irritatio
t amyotrophie; un cas de tumeur du cervelet avec triade complète et
paralysie
double de la sixième paire ; un cas de tumeur d
gie avec hémianesthésie ; un cas de tumeur de la protubérance avec
paralysie
alterne : paralysie des sixième et septière paire
ésie ; un cas de tumeur de la protubérance avec paralysie alterne :
paralysie
des sixième et septière paires d'un côté, hémip
septière paires d'un côté, hémiplégie de l'autre ; un second cas de
paralysie
alterne avec paralysie des sixième, septième et
té, hémiplégie de l'autre ; un second cas de paralysie alterne avec
paralysie
des sixième, septième et douzième paire à droite,
'un malade qui, devenu syphilitique en septembre 1894, présenta une
paralysie
syphili- tique avec dissociation syringomyétiqu
erculeuse, a déterminé une monoplégie du membre inférieur droit par
paralysie
radiculaire, avec un éry- thème polymorphe. A u
ourra cependant diminuer jusqu'à un certain point l'intensité de la
paralysie
et de la contracture, et éviter complètement l'ar
ou- driaques, enfin, et il y a lieu d'insister sur ce point,avec la
paralysie
générale, diagnostic différentiel souvent si di
des' phénomènes hystériques particuliers tels que les attaques, les
paralysies
, les contractures, les troubles tro- phiques et
elui de la contracture hystérique, des myélites spasmodiques, de la
paralysie
infantile, des polynévrites. Enfin, l'auteur ém
nsemble symptomati- que suivant; douleurs parfois à type fulgurant,
paralysie
des sphincters, inégalité pupillaire, parfois d
utiles ainsi que l'application de l'électricité faradique dans les
paralysies
flasques et l'électricité galvanique dans les myé
ois deux à trois heures. Consécutivement, accès d'épilepsie. Pas de
paralysie
, mais idiotie complète. Durant les six premiers m
re 1897-1898, M. IOISSEL : Contribution à l'étude du diagnostic des
paralysies
hystériques et de la pseudo-paralysie syphiliti
ltiples qui existent au pointde vue symptomatique entre le tubes et
paralysie
géné- rale se propose de rechercher dans cette
ance généralement attribuée à l'absence du réflexe rotulien dans la
paralysie
générale, alors que ce réflexe ne manque que ch
Typique, le phénomène ne l'est certainement pas, et d'ailleurs la
paralysie
générale ne possède pas de signes pathogno- mon
s de signes pathogno- moniques ; mais rapprochée d'autres signes de
paralysie
générale, l'analgésie cubitale aura toujours un
ences personnelles dans sa polyclinique de Berlin, sur le tabes, la
paralysie
générale et différentes névroses, a trouvé ce s
conclusion légitime de cette statistique ? Nos résultats pour la
paralysie
générale sont-ils de nature à faire admettre av
aleur quelconque au point de vue du dia- gnostic différentiel de la
paralysie
générale ? ou, faut-il con- clure avec Boedeker
- tôme qui existe, il est vrai, dans une grosse moitié des cas de
paralysie
générale, mais qui atteint chez les autres alié-
dmettons volontiers avec Cramer que : réuni à d'autres symptômes de
paralysie
générale, le signe de Biernacki pourra constitu
la malade est mort il y a huit ans, probablement à la suite d'une
paralysie
générale, d'après ce que raconte la mère de la ma
100 environ des cas, nous avons trouvé les lésions confirmées de la
paralysie
générale ; ici la mélancolie n'a été que le tab
a été que le tableau clinique extérieur (l'Itabitus clinique) d'une
paralysie
générale dépressive à début mélancolique. Comme
ellules nerveuses, de la cellule pyramidale en particulier, dans la
paralysie
générale ; par le D' Anglade. La méthode de G
ne. Les résultats fournis par la méthode de Nissi, appliqués à la
paralysie
générale, donnent des indications dignes d'intérê
générale, donnent des indications dignes d'intérêt. Dans un cas de
paralysie
générale à marche rapide, les prépara- tions fa
nt porté sur 2 cas de délire aigu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de
paralysie
générale, si cas de folie séuile et 31 cas de d
ur aiguë, il y avait des colibacilles. Dans aucun des quatre cas de
paralysie
générale ne se trouvait le même micro-organisme.
nt à lui, il était paralysé du côté gauche, bras, main et jambe. La
paralysie
d'abord incomplète à la jambe progressa rapidem
ation se rapporte à une femme de vingt-trois ans qui présentait une
paralysie
partielle de la jambe droite et une paralysie t
ns qui présentait une paralysie partielle de la jambe droite et une
paralysie
totale du bras droit avec flexion des doigts sur
c flexion des doigts sur la paume de la main. L'apparition de cette
paralysie
avait été pré- cédée par des maux de tête, des
; elle a encore cependant de la peine à trouver le mot propre. La
paralysie
de la partie supérieure du bras a totalement dis-
Séance dit 28 novembre. -PRÉSIDENCE de M. Meuriot. Etiologie de la
paralysie
générale (suite de la discussion). M. Vallon. L
. Vallon. Lorsque M. Sollier vous a communiqué son obser- vation de
paralysie
générale d'origine licrédo-sypliiiitique, je vous
ts épileptiformes d'origine syphilitique possible. Le diagnostic de
paralysie
générale, de mon jeune malade avait été porté p
ent surtout dans la forme délirante de la P. G. On prétend que la
paralysie
générale n'exerce aucune influence sur la desce
l'étiologie hérédo-syphi- litique pour conclure à l'hérédité de la
paralysie
générale. Il se dit que si la syphilis est asse
. Il se dit que si la syphilis est assez maligne pour déterminer la
paralysie
générale elle pourra tout aussi bien déterminer
Vallon. Il me semble que le jour où une syphilis bénigne produit la
paralysie
générale elle cesse d'être bénigne. M. BRI.IND
BRI.IND demande à M. Ballet si la terminaison de la syphilis par la
paralysie
générale est liée à la bénignité même de l'infect
ons de syphilis ter- tiaire associées aux lésions habituelles de la
paralysie
générale. On peut invoquer ces faits en faveur
s en faveur du peu d'influence de la syphilis sur l'étiologie de la
paralysie
générale et les considérer comme une simple coï
nement pas sans exercer une certaine influence sur l'éclosion de la
paralysie
générale ; mais son rôle se borne là.-On ne peu
ne quatrième période de la diathèse spé- cifique. Les lésions de la
paralysie
générale sont des lésions ana- logues à celles
ondre l'anatomie pathologique. M. Vallon. Puisque les lésions de la
paralysie
générale sont dues à une toxine et que nous con
la syphilis est l'agent producteur de la toxine ? M. JoFFROY. La
paralysie
générale se montre quelquefois moins de deux an
cette discussion que ce seul fait, à savoir que les lésions- de la
paralysie
générale paraissent procéder d'une toxine et je
ENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA.
PARALYSIE
GÉNÉRALE ' ; ; Par le D E. MARANDON DE MONTYEL,
tement lui avait supprimé la verge et qu'il LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 191 n'était plus un homme ; il affirm
ue, ainsi que les sensations subjectives de LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 193 la peau dans la paralysie général
e LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 193 la peau dans la
paralysie
générale et qu'un rapport entre ces choses n'es
développement de la maladie. Mais aux deux premières périodes de la
paralysie
générale, à la première surtout il existe une g
e les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la
paralysie
générale sont l'apanage des sujets à troubles m
chez les mêmes paralysés géné- raux du début à la terminaison de la
paralysie
. Ils apportent, les réflexes étudiés chez les m
es réflexes étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes de la
paralysie
générale : Crémaslérien in Archives de physiologi
Soc. de blécl. ment, cle 13e1ligae, 1897. LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 199 croyons-nous, quelques faits nouv
vantes : I. En suivant les mêmes malades aux trois périodes de la
paralysie
générale, nous avons réussi dans 70 p. 100 de n
de l'autre se montrent en sens inverse aux diverses périodes de la
paralysie
générale ; les deux premiers, avec leur maxi- m
s ressenties dans la peau par les malades ; LE SENS TACTILE ET LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 201 1 c'est seulement à titre tout à
tact qui serait d'un grand secours pour le diagnostic précoce de la
paralysie
générale, c'est l'anesthésie transitoire'précéd
riode, à en juger par l'évolution de nos cas, que la marche de la
paralysie
générale ne sera ni suraiguë ni à longue évolutio
, surtout chez un homme, elles peu- vent faire penser à un début de
paralysie
générale. Le pronostic des désordres mentaux pé
nd 72eztî-ologist, avril 1898.) E. B. VII. Diagnostic précoce de la
paralysie
progressive; pau le U Iloca. Quand on songe a
GIE MENTALE 215 un homme occupant une haute situation et atteint de
paralysie
générale au début, quand on réfléchit aux domma
aquelle l'auteur attire l'attention sur le diagnostic précoce de la
paralysie
générale. M. Hoche étudie tout d'abord les rapp
abès et de la para- lysie générale pour conclure que le tabes et la
paralysie
générale sont deux affections différentes mais
ndeur, etc. Puis se trouve discuté le diagnostic différentiel de la
paralysie
générale au début avec la neurasthénie, diagnos
sa famille ou de causer des scandales, le diagnostic précoce de la
paralysie
générale évite aussi pour lui les excès de tout
logiques, août 1898.) E. B REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 2L7 Les
paralysies
générales progressives ; par Klippel. (Mono- gr
de caractère nettement inflammatoire. C'est ainsi qu'il groupe les
paralysies
générales en trois grandes classes : paralysies
si qu'il groupe les paralysies générales en trois grandes classes :
paralysies
générales inflammatoires primitives ; para- lys
ires primitives ; para- lysies générales secondaires ou associées ;
paralysies
générales dégénératives, parfois spécifiques ;
oupe des formes inflammatoires. 0 L'auteur tire de sa théorie des
paralysies
générales secondaires parauto-intoxication une
nt dit par son évolution même, mais qui touche aux frontières de la
paralysie
générale puisqu'un alcoolique non traité à temp
étiques, scléreuses, névritiques, amyotrophiques et bulbaires de la
paralysie
générale sont passées en revue ; enfin, dans to
ration ne se produit pas. L'amaigrissement est très rapide ; pas de
paralysie
, ni de troubles gastriques ; il y a de la const
de l'hystérie, de la chorée, de l'alcoolisme, du morphinisme, de la
paralysie
générale, de la démence sénile. (Annales médico
la forme de névrites péri- phériques aigus avec myosites, oedèmes,
paralysies
et rétractions atrophiques avec contractures co
a d'abord de la faiblesse dans 'les muscles de l'épaule, puis de la
paralysie
et de l'atrophie de ces mêmes muscles; ensuite
aitement bromure. M. Il. XXVIII. Hypothèses sur la pathogénie des
paralysies
hystériques; parle Dr Guinaiid (Revue de médeci
travaux de M. Mathias Duval et Itamon y Cajal sur le neurone. Les
paralysies
passagères tiendraient à un défaut momentané de
sous ou améliorations ont été obtenues par l'auteur dans des cas de
paralysies
rebelles, principalement chez des neuras- théni
dont l'observation est relatée dans ce travail n'a présenté qu'une
paralysie
limitée au bras droit, apparaissant sous forme
tard se manifestèrent quelques trou- bles de la sensibilité et une
paralysie
qui persista et s'étendit aux deux membres du m
ments du bras ou une des artères qui l'alimentent el déterminer une
paralysie
ptssagere du membre par le fait de la compressi
ait amené une altération profonde du centre moteur et par suite une
paralysie
permamente. Enfin, dans les derniers temps de l
1"ENAYROU. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 231 XXXHL Deux cas de
paralysie
radiculaire obstétricale du plexus brachial. Ex
) L'orateur rapporte les observations de deux enfants atteints de
paralysie
radiculaire obstétricale du plexus brachial, du t
e plus grand danger qu'il ait jamais couru. A. 1 ENAYROU. XXXVII.
Paralysie
alcoolique et polynévrite infectieuse ; par le
SE. gangrène, etc. correspondent exactement avec la névrite ou la
paralysie
alcoolique chronique, généralement incurable. L
une manière complète, les symptômes d'amnésie. A. IENraoo. XXXIX.
Paralysie
faciale guérie en trois semaines par le salicylat
Catiiin. (Revue médicale, 8 octobre 1898.) Observation d'un cas de
paralysie
faciale survenue chez un jeune homme de dix-hui
membres inférieurs beaucoup plus fréquent chez les enfants que les
paralysies
et les contractures, l'aphonie, le blépharospas
eux auteuis, car le plus grand nombre des cas d'hystérie grave, les
paralysies
et contractures, l'astasie-abasie, et surtout l
à l'arrivée à l'hôpital, qui réussit bien dans toutes les formes de
paralysie
et de contrac- ture, dans l'astasie-abasie, l'a
héréditaire et ceux sur lesquels pèse une hérédité antérieure à la
paralysie
générale. Pour que les faits qui pourront être ap
s faits qui pourront être appor- tés en faveur de l'influence de la
paralysie
générale sur la descen- dance soient probants,
de ceux conçus postérieurement à elle, mais avant l'éclosion de la
paralysie
générale et de ceux conçus après l'apparition d
dont les parents avaient été manifeste- ment atteints eux-mêmes de
paralysie
générale. J'ai pu me con- vaincre du diagnostic
Pour M. CHRISTIAN, si les enfants naissent avant l'éclosion de la
paralysie
générale, ils seront indemnes. S'ils naissent apr
ent être consécutives à la sénilité ou exister antérieurement. La
paralysie
générale et les intoxications peu vent s'en accom
. Il y aura donc lieudans ces cas, de faire le diagnostic avec la
paralysie
générale et aussi avec les psychoses tardives o
à leur tour survenir et entraî- ner la mort plus ou moins rapide.
Paralysie
générale. Chez les paralytiques généraux un des
ec idée de toute-puissance incohérente et non coordonnée. Dans la
paralysie
générale à forme dépressive mélanco- lique ou h
des phénomènes ataxiformes qui rappellent de plus ou moins près la
paralysie
générale. Signalons enfin : les troubles gast
excitation motrice vive. La démence aiguë est caractérisée par la
paralysie
profonde et rapide de toutes les fonctions psyc
que et la moelle complètement sec- tionnée : dans ces trois cas, la
paralysie
flasque avec abolition des réflexes s'est produ
ue quand on sondait le malade. Trois fois le début a été lent. La
paralysie
flasque' a toujours été précédée d'un état spas
ctobre 1898.), L'auteur étudie successivement à ce point de vue les
paralysies
F.16. 310 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVII. Sur un cas de
paralysie
ascendante aiguë sans lésion histolo- gique des
m antityphique et qui, au cours de sa convalescence, fut pris d'une
paralysie
ascendante aiguë. L'affection commença par les
les membres supérieurs, enfin les muscles de la res- piration. La
paralysie
fut complète, avec atteinte des sphincters. La se
2) appartiennent au sexe féminin. R. C. XXXVI. Sur une variété de
paralysie
associée du muscle grand- dentelé (grand-dentel
onogr. de la Sulpélriène, n° 0, 1898.) Dans le cadre très vaste des
paralysies
associées qui intéressent le grand-dentelé, il
ysies associées qui intéressent le grand-dentelé, il en est une, la
paralysie
du grand-dentelé associée à celle du trapèze sc
clairement ce travail : 1° Il existe une variété particulière de
paralysie
associée du muscle grand-dentelé et du trapèze
s caractères cliniques, mérite une place spéciale dans le cadre des
paralysies
du grand-dentelé; 2° le trapèze scapulaire forme
tiraillement de leurs nerfs respectifs; 5° les caractères de cette
paralysie
associée varient sui- vant l'attitude du bras :
ue, décembre 1898.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 35 LUI.
Paralysie
pseudo-bulbaire; par le D1' Lad. HASK-OVEC. ' L
r l'auteur sont les suivants : i° Hémiplégie' du côté gauche avec
paralysie
des branches infé- rieures du nerf facial du mê
année, hémiplégie droite, suivie d'une hémihy- peresthésie et d'une
paralysie
de toutes les branches du nerf facial du même c
re forcé. 5° Artériosclérose généralisée. Il s'agit ici d'un cas de
paralysie
pseudo-bulbaire partielle d'origine cérébrale.
ssante et elle semble être très importante dans le diagnostic de la
paralysie
pseudo- bulbaire d'origine cérébrale. (Revue ne
cas de maladies organiques du système nerveux, notamment dans la
paralysie
générale, dans la sclérose en plaques et plus fré
éressante tendant à répandre cette notion encore peu connue : « Une
paralysie
grave, plus ou moins géné- ralisée, à marche ai
é des rémissions déconcertantes qui surviennent dans le cours de la
paralysie
générale confirmée et surtout des paralysies pr
ent dans le cours de la paralysie générale confirmée et surtout des
paralysies
progressives avec ou sans délire qu'on observe
comprenant toutes les intoxi- cations cérébrales y compris même la
paralysie
générale ; 2° les psychoses constitutionnelles
serve dans un grand nombre d'affections mentales, notamment dans la
paralysie
générale, dans l'épilepsie, l'éclampsie. M. Bal
ttaque d'influenza, présentait, disait sa famille, des symptômes de
paralysie
. Le début de l'attaque d'influenza remon- tait
int celle du stepper, signalée par Charcot. Il y avait, en réalité,
paralysie
des fléchisseurs, coïnci- dant avec celle des e
de la vision, elle eut du strabisme interne de l'oeil gauche; donc,
paralysie
du droit externe. De plus, nous avons constaté
églutition était difficile, sinon impossible, car il n'y eut jamais
paralysie
complète. 392 SOCIÉTÉS SAVANTES. Rien à l'e
sés pendant l'expiration). Il y avait donc parésie du muscle et non
paralysie
. Bien entendu, il y eut atrophie musculaire ; l
l'existence de l'alcoolisme : ainsi le steppage, l'amyotrophie, la
paralysie
d'un des muscles du globe oculaire, les trouble
dans la névrite périphérique . Dans la poliomyélite antérieure, la
paralysie
laisse souvent in- demmes les extrémités des me
erfs de l'avant-bras se trouvèrent pris ; signe d'Argyll Robertson,
paralysie
de la sixième paire, enfin certains symptômes d
s nerveux et la masse musculaire, la réaction de dégénérescence, la
paralysie
, l'amyotrophie, la position du pied, le steppag
troubles physiques (5 ont de l'arthrilisme, 4 de la débilité, 3 des
paralysies
infantiles, 2 sont tuberculeux, 2 chlorofiques, 2
érie, t. VU. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Vallon cite un cas de
paralysie
générale qui s'est amendée à la suite d'une opé
infectieuse de la sclérose en plaqnes (Kahler et Pick, P. Marie).
Paralysie
alterne supérieure MM cours d'une méningite tuber
gion paracentrale. Huit jours après se développe, en 12 heures, une
paralysie
alterne supérieure (syndrome de Weber) constitu
ontrée avec certitude. M. 1)'ASTR09 dépose un rapport sur un cas de
paralysie
alterne supérieure survenue chez un enfant de t
ité; tels les convulsions, les tics, les troubles de la marche, les
paralysies
psychiques, qui ne peuvent pas toujours être at
lotitpelliet-. 1899. Imprimerie 0). Boeiiiii. Kovalevsky (P.). - La
paralysie
générale au point de vue médico- légal. Brochur
un état mélancolique symptomatique de l'alcoolisme par exemple, de
paralysie
générale, etc... Et nous fûmes ainsi amené à po
(Xeitrologiscltcs Ceiilrulblall, nos 4 et 5, 1898). Du rapport des
paralysies
cérébrales chez )'enfant avec diverses catégori
si l'intelligence est plus ou moins intacte, on peut incriminer la
paralysie
infantile qui provoque l'aphasie motrice, le mu
Le balbutiement des adultes soit d'origine corticale comme dans la
paralysie
générale, soit d'origine subcorticale comme dans
ns la paralysie générale, soit d'origine subcorticale comme dans la
paralysie
tabio-giosso laryngée, n'est pas susceptible de
re manifestation hystérique sous forme d'un accès de mu- tisme sans
paralysie
, sans cécité et sans surdité verbales, sans trou-
is, comme le premier, il cessa brusquement et ne s'accompagna ni de
paralysie
, ni de surdité et de cécité verbales, ni de tro
lusieurs semaines. Ces accès de mutisme ne se sont accompagés ni de
paralysie
, ni de cécité et de surdité verbales, ni de tro
aux publics. Dans ce groupe on a réformé pour « aliénation mentale,
paralysie
géné- SOCIÉTÉS SAVANTES. 479 raie, idiotie
ux trois groupes précédents, on voit que « l'aliénation mentale, la
paralysie
générale, l'idiotie » ont nécessité pour le reste
débuts de SOCIÉTÉS SAVANTES. 481 l'aliénation et surtout de la
paralysie
générale, l'alcoolisme dans ses manifestations
ents et de douleurs vagues dans le membre inférieur gauche, puis de
paralysie
avec atrophie en masse et hypoesthésie à tous l
VANTES. 487 7 nution de l'excitabilité, mais il n'existe pas de RD.
Paralysie
des réservoirs. Pas de troubles trophiques. Pas
es affections pouvant présenter le tableau symptomatique constaté :
paralysie
hystérique, toxique ou infectieuse, polyné- vri
Nous avons observé des malades répondant à ces différents stades.
Paralysie
pse2tdo-bulbaire. MM. Marie et ViGOUROux. Les a
s auteurs rapportent trois obseo- vations de malades présentant des
paralysies
d'origine d'apparence bulbaire. La première c
attaque-; nerveuses présentant le tableau clinique com- plet de la
paralysie
pseudo-bulbaire de Rrissaud, avec paralysie de
linique com- plet de la paralysie pseudo-bulbaire de Rrissaud, avec
paralysie
de la langue, parésie du voile du palais, troub
mme de cinquante-quatre ans, qui, depuis sept ans, à la suite d'une
paralysie
des quatre membres, présente une abolition tota
matières. Le 14, les mouvements athétosiques prédominent à gauche,
paralysie
complète des sphincters. Le 21, abattement extr
médical du 31 juillet 1898. SOCIÉTÉS SAVANTES. 497 7 Un eus de
paralysie
de Landry. M. Bo)NET. Il s'agit d'un ouvrier, â
peut marcher, les jambes fléchissent. A partir de ce moment, cette
paralysie
bilatérale pro- gresse rapidement ut symétrique
pes musculaires dans l'ordre indiqué par Landry. Dans la soirée, la
paralysie
flasque des deux jambes est complète. Nous voyo
e affection. Etat général bon, pas de fièvre, intelligence normale,
paralysie
complète et flasque des deux membres inférieurs
oubles trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor- males. La
paralysie
suit une marche rapidement ascendante, mais res
que quelques heures plus tard. Alors surviennent des phénomènes de
paralysie
bulbaire : déglutition difficile presque imposs
respiration embarrassée, crises de dyspnée et de suffocation; la
paralysie
des inspirateurs et du diaphragme en particulier
es progrès ; mort par asphyxie quatre jours après le début de cette
paralysie
ascendante aiguë. Autopsie. - Congestion des po
euse. A son entrée dans le service du Dr l'luyette, on constate une
paralysie
complète de tout le côté gauche, face comprise,
est pris de vertiges avec perte de connaissance de courte durée, de
paralysie
incomplète du membre supérieur droit, augmentan
pas ce qu'on lui demandé ; aphasie, hémiplégie droite complète avec
paralysie
légère de la moitié correspondante de la face ;
indemne. Huit heures après, cette parésie augmente ; il existe une
paralysie
très prononcée des membres supérieur et inférie
quelques heures avant, le côté opposé. Pas de fièvre. Le lendemain,
paralysie
complète, flasque, sans convulsions, ni contrac
s en équin varus. Sensi- bilité diminuée aux membres inférieurs. La
paralysie
gagne les muscles du cou et de la nuque : déglu
ante-six heures après le début de ces accidents, les symp- tômes de
paralysie
bulbaire augmentent ; voix affaiblie, soufflée,
quent bien la brus- querie du début, la rapidité d'évolution de ces
paralysies
par com- pression médullaire. Le point de dépar
l'autopsie d'une vache surmenée qui s'affaissa brusquement avec une
paralysie
du train postérieur, une infiltration hémorragi
ongrès pour l'avancement des sciences (Marseille, 1891, p. 756). La
paralysie
atteignit progressivement les deux pieds, les deu
é des membres supérieurs. Ce malade succomba avec des phénomènes de
paralysie
bulbaire semblables à ceux qui exis- taient dan
taient dans notre observation IV et la marche progressive de cette
paralysie
ascendante pouvait faire songer à l'existence d'u
neurasthénique, migraine (i aura ; par Lasiacq-Dounoy. Un cas de
paralysie
infantile traité par l'électricité ; par Citoz.
te et de thyroïde en clinique (Bois et Kerr). Troubles oculaires et
paralysie
générale (Dawson et Rambaud). Assistance famili
einte de , par Gau- tier, 362. Gawn nenEl.i. Sur une variété de
paralysie
associée du muscle - , par Souques et Duvai, 31
rvés à la clinique du professeur P. Delati- nis, par Assimis, 61.
Paralysie
alterne supérieure au cours d'une tuberculeus
Marie et Vigouroux, 188. Un cas de de Landry, pai Boinet, 497.
Paralysie
générale. Du sens tactile étudié chez les mêmes
corps; toutefois un des malades de M. Verneuil serait mort d'une
paralysie
générale, ce qui indiquerait plutôt une prédisp
éniste, ces manifestations seraient fréquemment les prodromes de la
paralysie
générale. Cette opinion est partagée par M. Bes
88,ï, 2` ? I. Cf., p. 223, l'ii-nl)oitaiit paragraphe consacré 1 la
paralysie
générale progressive des aliénés, et les tiacés d
s', sica- ractéristiques dans certaines formes d'excitation de la
paralysie
générale. La diffusion des impulsions vo- lonta
ns retrouvé également dans la thèse de Lebreton 2, consacrée à la
paralysie
hystérique, les lignes suivantes, qui montrent qu
il «.Hystérie des enfants 7 », Romei, dans une observation nommée *
Paralysie
infantile du seul acte de la marche 8 », expose
un hémisphère produit - l'hémiopie permanente du côté opposé par la
paralysie
des moitiés correspondantes des deux rétines, t
cécité complète de l'oeil opposé, mais 1 hémiopie homonyme par la
paralysie
des côféscorrespondants desdeux rétines. Il l'a o
pansement, la plaie était entièrement guérie. Résultat. - Aucune
paralysie
musculaire. L'animal semble avoir un trouble de
ésultat avec l'exception d'une ]¡émianelhe,ie droite avec un peu de
paralysie
du bras droit ( ! ). Le dix-neuvième jour on fi
t aucun autre symptôme ni moteur ni sensitif, il n'y a ni ptosis ni
paralysie
ocu- laire et la sensibilité de la conjonction
n du tractus optique causera non seulement l'hémiopie mais aussi la
paralysie
de la réaction re- flexe de la pupille à la lum
remier, produit avec l'hémiopie l'amblyopie de l'oeil opposé par la
paralysie
du centre de la vision claire. Cette affection co
mes de sensibilité spéciale ou gé- néiale et absolument sans aucune
paralysie
motrice. Les résultats contraires obtenus par q
ils entrent dans leur troisième catégorie. P. K. Il. Trois cas DE
paralysie
PROGRESSIVE avec lésion en FOYER dans H capsule
il n'existe, dit M. Zacher, aucun signe clinique qui caractérise la
paralysie
géné- rale syphilitique ; les altérations des p
e dix-sept paralytiques généraux. Conclusion. Dans bien des cas, la
paralysie
générale modifie l'excitabilité gal- vanique no
ymptomatique de la sénilité, de l'épilepsie, de l'alcoolisme, de la
paralysie
générale, des psychoses périodiques et une foli
teur ou le patient du milieu de 1865 à 1888. P. K. XXI. UN cas DE
paralysie
alcoolique avec lésion centrale; par K. ScnAFFE
on centrale; par K. ScnAFFER. (Ncurol. Cenlralbl., 1889.) Type de
paralysie
semblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ; atr
onvenablement traités, sont éminemment curables. - R. M. C. XXVI.
Paralysie
générale simulant une tumeur cérébrale , par G.
accompagnement des lésions que l'on rencontre communé- ment dans la
paralysie
générale. Il est possible toutefois qu'une méni
ment la dose. Ce procédé convient surtout à la démence sénile, à la
paralysie
générale, à l'épilepsie, à la manie périodique;
mme); 1 myélite chronique (homme); 1 névrose traumatique (homme); 3
paralysies
agitantes (femmes). ' Nombreux tableaux; étude
ique. M. 8. Séance du 23 novembre 1890. Les intoxications cl la
paralysie
générale (suite). M. A. Voisin reproche M. Char
uite). M. A. Voisin reproche M. Charpentier d'employer l'expression
paralysie
gêné- SOCIETES SAVANTES. d31 v z raie sans
fusion dans laquelle tombent tant de médecins, en donnant le nom de
paralysie
générale à des états qui ne rentrent pas dans l
alysie générale à des états qui ne rentrent pas dans le cadre de la
paralysie
générale des aliénés. Notre collègue, ajoute M.
générale des aliénés. Notre collègue, ajoute M. Voisin, admet comme
paralysies
générales des états morbides liés à la pellagre
el et le fait proliférer. M. Charpentier s'attache à montrer que la
paralysie
générale ne se développe pas d'ordinaire chez l
ns, c'est-à-dire du lôle important de l'élé- ment congestif dans la
paralysie
générale des aliénés. Les fous chroniques sont
Enfin, je ne reconnais pas dans le tra- vail de notre collègue, la
paralysie
générale que nous voyons tous les jours et,de p
s, il ne saurait y avoir confusion dans l'esprit de personne sur la
paralysie
géné- rale des aliénés qu'il décrit; il n'a pas
r tour son fonctionnement. M. ]<'AL1U,T, Il peut se faire que la
paralysie
générale survienne chez des rhumatisants ou des
une relation de cause à effet entre les maladies infectieuses et la
paralysie
générale. Rien ne le prouve. M. MARANDON DE n
abord aucun rapport entre une maladie infectieuse quelconque et la
paralysie
générale, mais il ne 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. n
ne serait pas convaincu par la statistique. On sait en effet que la
paralysie
générale se développe surtout entre trente à tr
entant des phénomènes paralytiques, on ne rencontre pas chez eux la
paralysie
générale des aliénés, mais une forme spéciale d
z eux la paralysie générale des aliénés, mais une forme spéciale de
paralysie
. M. B. xv. CONGRÈS DES NEUROLOGUES ET AL1G\IS'C
l y a huit ans, il présente, depuis cinq années, de l'ataxie, de la
paralysie
de la vessie et du rectum, des douleurs fulgura
une phlegmasie antérieure, tout ce second volume est consacré il la
paralysie
générale et au crétinisme, à la paralysie génér
volume est consacré il la paralysie générale et au crétinisme, à la
paralysie
générale, surtout, que M. Baillarger a fouillée
re hypochondnaque d'obstruction ou de destruction d'organes et la
paralysie
générale, de telle sorte que les conceptions déli
es. Et aussi les recherches sur les rapports delà pellagre et de la
paralysie
générale. Les auteurs qui avaient étudié la folie
Baillarger-'eut mérite d'avoir recodnu comme caractéristique de la
paralysie
générale, opinion que confirma l'anatomie patho-
tion sur lesquelles M. Baillarger tablera sa théorie dualiste de la
paralysie
générale, que nous retrouverons dans la partie sy
ère. Ces six mémoires mettent bien en relief l'existence : 1° d'une
paralysie
générale sans délire, caractérisée, seulement a
lytique ; 30 des rémissions fréquentes dans la forme maniaque de la
paralysie
générale en rapport avec la fréquence des guéri
re complètement la manie avec délire des grandeurs, de la véritable
paralysie
générale, qui reste une dé- mence paralytique t
uverte des rapports entre la coloration ardoisée du cerveau dans la
paralysie
générale et les escharres du sacrum, puis la de
rtants : l'un constatant que les hémisphères peuvent perdre dans la
paralysie
générale plus d'un quart de leur poids, alors que
paration de la suhs- tance grise et de la substance blanche dans la
paralysie
générale. BIBLIOGRAPHIE. 147 Î Nous arrivons
euvre de M. Baillarger, je veux parler de sa théorie dualiste de la
paralysie
générale. Cette affection, chacun le reconnaît,
e de la première, il invoque, sans compter les faits indéniables de
paralysie
générale sans délire où existe la seule aboliti
malades chez lesquels les symptômes psychiques et somatiques, de la
paralysie
générale persistent une année et plus sans être l
s'expliquer alors par de simples troubles circulatoires; cas où la
paralysie
générale ayant été plus ou moins caractérisée p
e plus revenir et la maladie se terminer par la démence simple sans
paralysie
; pseudo-paralysies générales alcooliques consti
paralysies générales alcooliques constituées par plusieurs accès de
paralysie
générale se terminant par la guérison ; enfin,
frant à chaque retour tous les symptômes de la forme maniaque de la
paralysie
générale. Je ne saurais, dans cet article bibli
abonnés 2 fr. Peterson (f'.). elinical Sludy of Forlyseven cases of
paralysies
agi- tans. Brocbuie in-8° de 18 pages. New-l'ot
é. Messieurs, Vous savez en quoi consistent, le plus souvent, les
paralysies
alcooliques, et en particulier, la variété para
es alcooliques, et en particulier, la variété paraplégique de ces
paralysies
, dont nous devons la connaissance à Wilks, Lockar
vous a été fournie plusieurs fois d'étudier dans notre service, la
paralysie
alcoolique pseudo-tabétique, dont M. Charcot a
, et sur les caractères de laquelle j'ai ap- pelé votre attention :
paralysie
affectant à peu près également les deux membres
l'origine du processus névritique, auquel sont liées par- fois les
paralysies
amyotrophiques de l'alcoolisme chronique. Vous
le membre tout d'un coup en se cam- brant, appartient à toutes les
paralysies
ou parésies des exten- seurs de la jambe. Mais
e malade et en écoutant son histoire, que nous avions affaire à une
paralysie
alcoolique. Cette histoire peut être résumée en
e suppose avec raison, une impotence musculaire complète, une vraie
paralysie
flaccide ; son membre pend inerte, comme dans l
ne vraie paralysie flaccide ; son membre pend inerte, comme dans la
paralysie
hystérique limitée à une seule jambe, et il est
que limitée à une seule jambe, et il est assez remarquable que la
paralysie
motrice soit, comme la douleur, plus prononcée le
dé chez notre malade avec une exaspération de ses douleurs et de sa
paralysie
. D'autre part, ce n'est pas le premier trouble
e précoce. Au nomhre de ces signes figurent, en première ligne, les
paralysies
oculaires transi- toires, puis le signe d'Argyl
fait remarquer M. Charcot, au cours de 174 CLINIQUE NERVEUSE. la
paralysie
alcoolique. C'est d'abord une tristesse profonde,
omotrice est une'maladie essentiellement progressive, tandis que la
paralysie
alcoolique est sujette, ainsi que nous le disait
e du régime. Ainsi, tout concourt à justifier notre diagnostic de
paralysie
alcoolique. Il n'y a pas lieu de s'arrêter aux
arrêter aux objections qu'on pourrait tirer de Zunilatéralité de la
paralysie
, ni même de sa limita- tion à un territoire ner
névrites alcooliques, il n'en est pas moins vrai que le nombre des
paralysies
partielles augmente de jour en jour, à mesure q
maladie 1. Vous trouverez, dans les recueils, des observations de
paralysie
radiale, de paralysie cubitale, de paralysie du c
verez, dans les recueils, des observations de paralysie radiale, de
paralysie
cubitale, de paralysie du circon- flexe, voire
s, des observations de paralysie radiale, de paralysie cubitale, de
paralysie
du circon- flexe, voire même de paralysie facia
de paralysie cubitale, de paralysie du circon- flexe, voire même de
paralysie
faciale2. Vous savez, d'autre part, qu'il exist
e de paralysie faciale2. Vous savez, d'autre part, qu'il existe des
paralysies
généralisées, affectant une allure rapide, auss
ndry. Il n'est donc pas surprenant qu'entre ces types extrêmes de
paralysies
partielles et de paralysies généralisées, figure
rprenant qu'entre ces types extrêmes de paralysies partielles et de
paralysies
généralisées, figure un type intermédiaire de p
lles et de paralysies généralisées, figure un type intermédiaire de
paralysies
limitées à un plexus ou à une portion de plexus
bonne thèse de Boisvert : Elude clinique des formes atténuées de la
paralysie
alcoolique ; Paris, 1888, n° 369. 1 P. Strubing
iennement connue est celle qui se traduit chez les saturnins par la
paralysie
radiale. Longtemps on a admis que le plomb, aus
E. tégrité presque constante du muscle long supinateur dans cette
paralysie
, si elle était d'origine exclusivement périphériq
névrite saturnine, on se heurtait encore à cette difficulté, que la
paralysie
des saturnins, étant presque exclusivement motr
élites antérieures, dont le carac- tère clinique fondamental est la
paralysie
amyotrophique permit un instant de supposer que
est la paralysie amyotrophique permit un instant de supposer que la
paralysie
saturnine était, elle aussi, la conséquence d'u
e que les troubles de la sensibilité font défaut aussi bien dans la
paralysie
satur- nine que dans la myélite antérieure. L'o
tur- nine que dans la myélite antérieure. L'origine spinale de la
paralysie
saturnine, admise en principe par Andral, Aber-
dans un grand nombre de ré- gions de la moelle (il s'agissait d'une
paralysie
des quatre mem- bres), les cellules nerveuses é
fs, et, si, comme l'enseignait depuis longtemps déjà M. Charcot, la
paralysie
saturnine ne résulte pas du processus de myélit
fs périphériques. Assurément la névrite joue un grand rôle dans les
paralysies
alcooliques ; cela est incontestable. C'est d'e
ve de l'alcool. D'ailleurs, il ne faudrait pas croire que, dans les
paralysies
alcooliques, la moelle épinière soit toujours a
he palhological Society ofloitdon, 1888, t. XXXIX. Korsakoff. De la
paralysie
alcoolique, Moscou, 1887. DES CENTRES TROPHIQUE
rique des hémiplégiques et des ataxiques, mais encore à cer- taines
paralysies
alcooliques circonscrites telles que celle dont
on- vulsion réflexe saltatoire de Bamberger, se traduit par de la
paralysie
spasmodique, des réflexes exaltés de la trépidati
une des causes provocatrices de l'astasie-abasie ; çe serait une «
paralysie
émotive * suivie d'une auto-suggestion d'impuis
en Vorgilnge hinneigt. 218 pathologie NERVEUSE. cation entre la «
paralysie
émotive », dont parle Blocq, entre les paralysi
cation entre la « paralysie émotive », dont parle Blocq, entre les
paralysies
psychiques « dependent on idea ', » dont parle
le vers le milieu de la région dorsale (fig. 24). Malgré une légère
paralysie
dans le même côté, il n'y avait aucun trouble d
s deux cornes anté- rieure et postérieure (fig. 25), il y avait une
paralysie
motrice * presque complète dans la jambe du mêm
it une certaine difficulté à vider sa vessie. Peu après, il eut une
paralysie
temporaire des sphincters, et de la vessie et du
époque de mon examen, un mois après l'attaque, il avait guéri de sa
paralysie
de la jambe gauche, mais à droite il était touj
e. (La fin au prochain numéro.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I.
Paralysie
DISSOCIÉE du NERF SCI1TIQUE poplité extfrne. (Par
grippe, chez un employé de commerce, âgé de trente-quatre ans, une
paralysie
dissociée au nerf péronier, des muscles péronie
b, arsenic, mercure, sulfure et. oxyde de car- bone) produisent des
paralysies
analogues. P. B. 11.UN cas DE chorée chronique
plète; 2° d'une abolition ab- solue du sens musculaire; et 3° d'une
paralysie
des muscles exten- seurs de la main gauche cons
hique. (Lyon hléd.,1889,t.LVL) 1 G. D. VI. Amnésie traumatique ET
paralysie
DE 1 OCULO-3fOTEUR commun; par le Dr SCHNELL.
un escalier, il perd connaissance et présente à son réveil : 1° une
paralysie
de l'oculomoteur commun ; 2° une amnésie à la f
tions avec autopsie. L'Observation II, est un exemple de tabes avec
paralysie
bilaté- rale de la partie postérieure du tronc;
traduit par une ophthalmopiégie to- tale d'un type obscur (sorte de
paralysie
pseudo-nucléaire). P. K. XV. DE l'aphasie opt
ffecte la forme convulsive. On ne constate d'anomalies pupillaires (
paralysie
complète myosis - modification de l'excitabilit
ique, la maladie de Bright, le myxoedème, l'épilepsie, le tabes, la
paralysie
générale, l'acromé- galie, le saturnisme, la sy
phère opéré. A. B. IL CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique DE la.
paralysie
INFAN- TILE CliRi3BBALE; par TH. HOVE1/. (Arch.
IDIOTE ÉPILEPTIQUE. - CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique DE la
paralysie
infantile cérébrale; par TH. ZACHER. (Archiv. f
sychiat., XXI, 1.) Ces fibres s'atrophient et disparaissent dans la
paralysie
géné- rale, la mélancolie avec stupeur, la foli
moignent d'un délire général avec insomnie, et d'oedèmes locaux par
paralysie
des vaso-constricteurs; un entraînement spé- ci
M. Bruns (de Hanovre) présente à la Société une malade atteinte de
paralysie
du médian et du cubital. Le 12 novembre 1889, tan
uccessives de la sensibilité, perte de la motion de posi- tion), de
paralysie
sphinctérienne, de paralysies flasques de la ma
perte de la motion de posi- tion), de paralysie sphinctérienne, de
paralysies
flasques de la main. Nystagmus dès le début; tr
uenza déterminer une névrite multitoculaire, et chez un soldat, une
paralysie
soudaine du bras droit. Pendant l'épidémie, on
il s'agit d'un homme de trente-cinq ans, entré à l'hôpital pour une
paralysie
du bras gauche, une pa- resie du membre inférie
f des vaso-constricteurs ou du spasme arrivant consécutivement à la
paralysie
des vaso-dilatateurs. Ce qui confir- merait cet
imultanément et les conditions nécessaires pour la production de la
paralysie
et les conditions indispensables pour détermine
consacrées aux maladies du système nerveux. L'analyse d'un cas de
paralysie
radiculaire du plexus cervical est particulière
remarquable. Nous citerons aussi la série de leçons consacrées aux
paralysies
, diphtériqueset alcooliques. L'au- teur rapport
l en existe deux va- riétés principales : ceux qui ressemblent à la
paralysie
agitante, et ceux qui ressemblent à la sclérose
nombre incalculable de maladies, les douleurs, les rhumatismes, les
paralysies
, les névralgies, les migrâmes, les vertiges,
des vésanies et à l'exa- men judicieux des formes si variées de la
paralysie
générale. Nous devons à sa mémoire de citer, en
par une monoma- niaque sur la personne d'un magistrat (1863). La
paralysie
générale, à laquelle nous arrivons maintenant, a
: Délire hypochondriaque comme symptôme et signe précurseur de la
paralysie
générale (1860). De l'inégalité pupillaire comme
etc... (1850). - De l'ataxie locomotrice dans ses rapports avec la
paralysie
générale (1861). De la paralysie générale dans se
omotrice dans ses rapports avec la paralysie générale (1861). De la
paralysie
générale dans ses rapports avec la pellagre. -
stance blanche superficielle des circonvolutions du cerveau dans la
paralysie
générale. Sur une altération du cerveau caracté
ubstance grise et de la substance blanche des circonvolutions de la
paralysie
générale. De la cause ana- tomique de quelques
ralytiques (1886). - De la coloration ardoi- sée du cerveau dans la
paralysie
générale et de ses rapports avec les eschares d
ses rapports avec les eschares du sacrum. - De la découverte de la
paralysie
générale et des doctrines émises par les premie
rale et des doctrines émises par les premiers auteurs. Notes sur la
paralysie
générale (1849). Démence paralytique et manie a
élire ambi- tieux (1858). Des rémissions de la forme maniaque de la
paralysie
générale. De la guérison de la paralysie généra
de la forme maniaque de la paralysie générale. De la guérison de la
paralysie
générale et de la théorie des pseudo-folies par
avec prédominance du délire des grandeurs dans ses rapports avec la
paralysie
générale (1866). - Des rémissions et de la démenc
rale (1866). - Des rémissions et de la démence dans certains cas de
paralysie
générale (1879). - Influence des suppu- rations
ons sur la guérison de la folie paralytique (1858). - Théorie de la
paralysie
générale : théorie dualiste, théorie interne. E
ante, et avait présenté simultanément une parésie d'abord, puis une
paralysie
complète des mem- bres du côté droit. En présen
on naissait tout naturellement qu'il devait s'agir là d'un genre de
paralysie
alterne sur lequel je donnerai tout à l'heure q
rne du pédoncule cérébral produit un syndrome caractérisé par une
paralysie
alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et d
vateurs, Gubler' avait déjà, il est vrai, vu et noté cette sorte de
paralysie
alterne, mais malheu- reusement, son cas était
est, je le répète, beaucoup trop complexe pour servir de type aux
paralysies
pédonculo-protubérantielles. Dans ie cas de May
urant la vie, on avait constaté une hémiplégie du côté droit et une
paralysie
de l'oculo-moteur commun du côté opposé. Il e
al, alors que,, du vivant des malades, on n'avait point constaté la
paralysie
alterne caractéristique. Inutile de vous dire q
ée. Paris, 1SG1, 2° édit., p. 376. 326 CLINIQUE NERVEUSE. par une
paralysie
alterne de l'oculo moteur commun d'un ; côté (c
tération qui détruira ces deux bande- lettes amènera fatalement une
paralysie
des membres, du facial inférieur et de l'hypogl
le nerf oculo-moteur, le second élément de ce syndrome, à savoir la
paralysie
directe de la troisième paire, sera réalisé. Il
intra- pédonculaires est indispensable pour l'interprétation des
paralysies
partielles de la troisième paire dans le syndro
es fibres de l'oculo-moteur; elle donne l'explication naturelle des
paralysies
incomplètes ou partielles de la troisième paire
oient pris à l'exclusion des autres. Dans ces conditions, c'est une
paralysie
partielle que vous rencontrerez. Quand elle e
ion des mouvements oculaires dans tous les sens, sauf en dehors, la
paralysie
de l'accommodation et la dilatation de la pupil
la paralysie de l'accommodation et la dilatation de la pupille. La
paralysie
incomplète varie suivant les cas; quoique plus
e que celle du côté opposé. De même vous con- cevez aisément que la
paralysie
, combinaison rare mais possible, en somme, puis
muscle releveur de la paupière. Je n'insiste sur l'existence de ces
paralysies
incomplètes de l'oculo- moteur que parce que no
elles sont, Messieurs, les conditions anatomiques qui régissent les
paralysies
alternes pédonculo-protu- bérantielles ou protu
nière de contraste, je veux vous rappeler rapidement ce qu'est la
paralysie
protubérantielle inférieure ou bulbo-protubéran
e syndrome lJ11llal'd-Gublel', déuo- ' Oyon. Hémiplégie gauche avec
paralysie
alterne de la troisième paire droite résultant
e Gubler', mais il faut reconnaître que Gubler a trouvé le nom de
paralysie
alterne qui devait désormais lui servir d'étiqu
syndrome de Millard-Gubler est caractérisé par la coïncidence d'une
paralysie
faciale totale d'un côté avec une paralysie des
la coïncidence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une
paralysie
des membres du côté opposé du corps. Dans les,
des membres du côté opposé du corps. Dans les, cas de ce genre, la
paralysie
du facial se 'comporte comme une paralysie péri
les, cas de ce genre, la paralysie du facial se 'comporte comme une
paralysie
périphérique au point de vue de son étendue et
[Quelquefois cette hémiplégie faciale peut se compli- quer d'une
paralysie
de l'abducens ou de la cinquième paire. L'ana
me paire et le faisceau pyra- midal, et vous aurez ainsi imaginé la
paralysie
alterne vulgaire, autrement dit, le syndrome Mi
oncevoir en même temps une. lésion de l'abducens et, par suite, une
paralysie
de la sixième paire, du même côté que la paraly
, par suite, une paralysie de la sixième paire, du même côté que la
paralysie
faciale, venant compliquer le tableau classique
ter dans une de nos dernières leçons. Eu réalité, qu'il s'agisse de
paralysie
pédon- culo-protubérantielle ou de paralysie bu
ité, qu'il s'agisse de paralysie pédon- culo-protubérantielle ou de
paralysie
bulbo-protubé- rantielle, c'est toujours le siè
intéressés et cette lésion se traduit, comme vous le savez, par la
paralysie
du facial inférieur et par la déviation de la l
etc., fut mise en oeuvre, sans le moindre succès du reste ? Cette
paralysie
qui avait respecté la face dis- parut peu à peu
. Et, phénomène qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la
paralysie
motrice était, paraît-il, accompagnée d'une hém
ractères que je viens de relever devant vous. Lorsque survint celte
paralysie
des membres, déjà, depuis deux ans, cette jeune
le constater aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une
paralysie
du moteur oculaire commun et réduirait-il à néa
ique et avoir un tubercule dans la protubérance, d'où relèverait la
paralysie
de la paupière, les paralysies du moteur oculai
s la protubérance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les
paralysies
du moteur oculaire com- mun étant jusqu'ici inc
Un pareil raisonnement serait évidemment logique s'il y avait ici
paralysie
de la paupière. Mais, s'il n'y a pas paralysie,
e s'il y avait ici paralysie de la paupière. Mais, s'il n'y a pas
paralysie
, comment donc, m'objecterez-vous, expliquer cet
cette paupière tombante ? Eh bien, je crois qu'il s'agit ici non de
paralysie
mais de spasme pur et simple. Je sais bien que
ractères habituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme ou d'une
paralysie
? Question délicate, s'il en fut, et difficile
oculiste très distingué qui me la renvoya avec la note suivante : «
Paralysie
de la troisième paire, un peu de décoloration d
nière, un tabétique avec chute complète de la paupière due à une
paralysie
totale de la troisième paire. Or, 1 Ces jours d
ique et les troubles de la parole, de la sclérose en plaques, de la
paralysie
glosso-labio-la- ryngée et de l'aphasie d'autre
e votre malade a un peu la façon de parler d'un individu atteint de
paralysie
générale,» -11. Gehin-Roze. «Votre sujet est-il b
n vient de comparer son trouble de la parole au tremble- ment de la
paralysie
générale. Peut-être pourrait-on trouver également
le tremblement de la parole dans la sclelose en plaques ou dans la
paralysie
losso-l abm-laryuée. Je ne crois pas que ce soi
idérable qu'il est obligé de faire pour vaincre- disons le mot - la
paralysie
des différents organes et les tics convulsifs d
les troubles de la parole cons- tatés par M. Ballet relèvent de la
paralysie
générale, de la sclérose ' P. 21, loc. cit. 2
troubles de la pa- role, constatés par M. Ballet, relevaient de la
paralysie
géné- rale, de la sclérose en plaques ou de tou
e réaction aux excitations sensitives. Les membres n'avaient pas de
paralysie
motrice, mais on aurait dit qu'ils étaient lour
res dont l'excitation produit des mouvements définis, produit de la
paralysie
des mêmes mouvements du côté opposé du corps va
la destruction de ces centres. Quand la destruction est complète la
paralysie
est permanente et entraîne une dégénérescence d
jugée de la tête et des yeux fut de courte durée relativement et la
paralysie
faciale partielle, d'abord perceptible, disparu
ure de la scissure de Rolando de l'hémisphère gauche, produisit une
paralysie
de la jambe droite, sans trouble de la sensibilit
spéciale. L'extirpation de la circonvolution marginale, produit la
paralysie
des mouvements que laisse intacts la destructio
our produire un effet mar- qué. A l'ablation bilatérale, succède la
paralysie
la plus absolue des muscles du tronc.. « L'at
re que ces centres soient détruits des deux côtés, pour obtenir une
paralysie
. Krause chez les chiens, Semon et liorsley chez l
qui sont indépendants et spécialement volon- taires. D'où, dans la
paralysie
corticale, le bras est plus paralysé que la jam
tance grise des centres respectifs, . produisent invariablement une
paralysie
des mouvements volon- taires dans les parties c
ue amènent une hémiplégie, mais des lésions limitées produisent des
paralysies
limitées ou une monoplégie de la face, du bras,
1 cas de monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral, 15 de
paralysie
du bras et de la jambe par lésion du lobule par
r lésion de la moitié inférieure de la zone rolandique et 10 cas de
paralysie
faciale par lésion du tiers inférieur de cette
s'appliquer aux facultés en général et aux sens spéciaux. A part la
paralysie
motrice, je n'ai jamais pu découvrir le moindre
ment pour nous convaincre qu'une lésion de l'écorce qui produit une
paralysie
du mouvement volontaire n'est pas nécessairemen
s, disent-ils, ainsi obtenue nous n'avons obtenu seule- ment qu'une
paralysie
musculaire, incomplète comme résultat de l'opér
t aucune diminution de la sensibilité dans les parties atteintes de
paralysie
. Le ramollissement par les thromboses produites
roduites par le cautère n'eut pour effet qu'un état plus complet de
paralysie
musculaire, mais la sensibilité du côté opposé
rminées ou vagues. Il est aussi incontes- table que chez l'homme la
paralysie
par lésion de la zone motrice est dans la major
t réuni beaucoup d'autres lésions de la zone motrice certicale avec
paralysie
, dans les- quelles les différents modes de sens
nsitifs, quel- ques fois au moins sinon toujours, accompagnaient la
paralysie
motrice. Les données sur lesquelles ces conclus
émontré que des lésions destructives produisent invariablement -une
paralysie
motrice, locale ou généralisée suivant la posit
lisée suivant la position et l'étendue de la lésion. Un seul cas de
paralysie
par lésion de la zone motrice corticale sans tr
e se gangrena après avoir pré- senté de l'anesthésie. Des 15 cas de
paralysie
du bras et de la jambe par lésion du lobule par
ouble de la sensibilité disparaît enfin pendant t que persistait la
paralysie
motrice. Dans ce cas, la lésion atteignait le g
ésions de la moitié inférieure de la zone de Rolando produisant une
paralysie
de la face et du bras, la sensibilité était int
hénetis situé dans la circonvolution de Broca auraitcausé ( ! ) une
paralysie
du côté droit de la face et du bras et l'anesthés
adie du tiers inférieur de la zone de Rolando produisant une simple
paralysie
faciale, la sensi- bilité était intacte dans 4,
s symptômes indiquaient une lésion corticale. Dans un cas récent de
paralysie
absolue du bras droit avec surdité ver- bale et
ussi entre ledegre de l'altération de la sensibilité et celui de la
paralysie
motrice. La paralysie motrice a éte absoule, ta
l'altération de la sensibilité et celui de la paralysie motrice. La
paralysie
motrice a éte absoule, tandis que l'altération
bilité était légère et confinée a un ou au plus 2 à 3 doigts; ou la
paralysie
motrice a été limitée, tandis que l'altération
bilité tactile, d'abord obser- vée a ensuite disparu, tandis que la
paralysie
motrice a persisté. Et quand, en plus, nous con
sensibilité musculaire et tactile peut être abolie en l'absence de
paralysie
motrice, état que l'on peut reproduire expérime
ement dislaiitsl'uli de l'autre et que nous ne pouvons attribuer la
paralysie
motrice à aucune altération de la sensibilité t
tiqué comme due à une tumeur dans la région du pli courbe. Pas de
paralysie
du mouvement, mais une très légère atteinte de la
osé du corps. Les lésions corticales de la zone motrice causant une
paralysie
complète peuvent se produire sans aucun trouble
ble du sens muscu- laire et la perte du sens musculaire sans aucune
paralysie
. Je suis d'accord avec Bastian, James3 et d'aut
des fibres qui les réunissent aux centres sensitifs de l'ecorce, la
paralysie
pré- sente les mêmes caractères que celle qui s
ont été toujours associées avec une altération psychique, à part la
paralysie
de la face etdes membres. Les effets de l'excitat
parus, la destruction ultérieure de la zone préfiontale produit une
paralysie
de la tête et des yeux, exactement de la même na-
central, l'animal vécut seulement 24 heures. Il n'y avait aucune
paralysie
des muscles de la face ni des membres, quoique le
ement la déviation conjuguée de la tête et des yeux, mais aussi une
paralysie
temporaire des mouvements ~ qui se produisent p
ue la destruction de la région frontale chez les chiens produit une
paralysie
des muscles du tronc et il appelle la région fron
ue à une altération directe ou indirecte des centres. En plus de la
paralysie
deces mouve- ments de la tête et des yeux par l
était spé- cialement atteinte, et dans tous, une absence totale de
paralysie
des membres. Quoique j'aie pris tant de votre
ins, elle provoque des phéno- mènes d'impulsion, de tremblement, de
paralysie
des muscles de l'appareil respiratoire et déter
t que peu dechose à attendre de cette méthode dans la démence et la
paralysie
générale. Enfin, l'électricité peut rendre des
pas associé à d'autres formes mentales, telles que l'alcoolisme, la
paralysie
générale. Les hallucinations de la vue se renco
ieuses seules, sans idées de persécution, comme on les voit dans la
paralysie
générale, n'ont jamais été observées par Schüle
s de ceux qu'il croit être ses ennemis. 5° Manie. Démence sénile.
Paralysie
générale. Alcoolisme Le délire des persécutions
lsions violentes, on observe souvent des idées de persécution. La
paralysie
générale présente, elle aussi, dans quelques cas
re de persécu- tion ; dans d'autres cas enfin éclate subitement une
paralysie
géné- rale, latente lusque-là. La conclusion
tions personnelles. l'. K. IMPORTANCE pratique DE L1 question DE La
paralysie
générale SYPHILITIQUE,; par TuolSEN. (Allg. Zci
TIQUE,; par TuolSEN. (Allg. Zcitsch. f. Psychiat. XLIV, 5.) Sur 416
paralysies
générales appartenant à la population infé- rie
E MENTALE. syphilis, 53 l'ont eue selon toutes probabilités. Sur 24
paralysies
générales empruntées à l'asile privé de Hertz,
coulé quatorze ans entre l'infection syphilitique et le début de la
paralysie
générale; les paralytiques généraux à sclérose
es syphilitiques certains. Il faut donc désormais étudier à part la
paralysie
genérale compliquée de lésions des cordons la-
ralysie genérale compliquée de lésions des cordons la- téraux et la
paralysie
générale compliquée de lésions des cordons post
lle, car généralement alors les accidents cérébraux sont ceux de la
paralysie
générale. P. K. XXXV. DE VINGT-SIX cas de paral
nt ceux de la paralysie générale. P. K. XXXV. DE VINGT-SIX cas de
paralysie
PROGRESSIVE CHEZ la femme ; par L. GnEPPIN. (Al
ue confirmant les assertions des autres auteurs. P. K. XXXVI. DE la
paralysie
DE la main par l'application DES MENOTTES; , pa
ation DES MENOTTES; , par EULENDU11G. (Neurol. Ce7aL'albl. 1889.)
Paralysie
du médian comprimé dans son trajet superficiel au
- pondérant dès la naissance; chez l'aliéné non dégénéré. par une
paralysie
occasionnelle des fonctions supérieures. J. S.
ividu malade. M. le professeur KojEWMhon'- a lu un travail sur la
paralysie
alcoolique fondé sur de nombreuses observations
de nombreuses observations personnelles. Le tableau clinique de la
paralysie
alcoolique se caractérise par un trouble de l'a
centres; les extenseurs.sont plus touchés que les fléchisseurs. Les
paralysies
portent un caractère périphérique et se dévelop
substratum anatomique de la forme cli- nique connue sous le nom de
paralysie
alcoolique est constitué par la névrite multipl
levUSCh, \68; (service des) en France, 472. Amnésie traumatiqueet
paralysie
du moteur oculaire commun par Sc'tnell, 265.
entres ! , par Monakow, 283. Oreille de Morel, par Binder, 281.
Paralysie
générale avec lésions de la capsule interne, pa
cation, par A. Voisin, J30; - syphili- tique, par Thomsen, 451.
Paralysie
alcoolique avec lésion centrale, par Schaiffer,
s trois premières vertèbres thoraciques, l'atrophie des jambes avec
paralysie
la contmc- ture des tendons du jarret et de lar
duisait par une paraplégie spasmodique : . celui de Gerhart', où la
paralysie
demeura spasmodique pendant quatre ans et demi,
nous a semblé que l'intérêt croissant qui s'at- tache à l'étude des
paralysies
flaccides ne devait pas nous porter à oublier l
membres inférieurs, les four- millements des membres supérieurs, la
paralysie
radiale, l'hématurie, la polyurie, les vertiges
tibles de déterminer les engourdissements, les four- millements, la
paralysie
radiale, etc. Lorsqu'elles sont très longues -
paraît surtout peu solide sur ses jambes bien qu'il n'y ait pas de
paralysie
proprement dite. Pas de signe de Romberg. Atrop
s facultés intellectuelles restèrent toujours intactes. G. D. VIII.
Paralysie
faciale double d'origine périphérique ; par M.
'observation fait l'objet de ce travail qu'il s'agissait bien d'une
paralysie
faciale périphérique étaient : 1° la participatio
familial, ni contractures fibrillaires, ni troubles vaso-moteur, ni
paralysie
avec ataxie, ni troubles oculo-moteurs, ni trou
teurs, ni troubles de la sensibilité ; il ne représente donc ni une
paralysie
pseudo-hypertrophique, ni un type d'amyotrophie
auteurs placent en « situation d'attente ». R. C. XVI. Un cas de
paralysie
bulbaire supérieure chronique ; par H UDO- VERN
son observation est intéressante par l'apparition unilatérale de la
paralysie
et la longue durée (6 ans) de son installation sa
étaillée de 47 observations, dont quelques-unes person-. nelles, de
paralysie
causée primitivement ou secondairement par des
complète et qui céda par le sevrage et un traitement ioduré. XXVII.
Paralysie
faciale double d'origine périphérique ; par DEC
roubles de la salivation et de la gus- tation. L'auteur croit à une
paralysie
rhumatismale ou a frigore, dont la lésion siége
aphie sur les crises gastriques du tabes par S. Basch. A. M. XXX.
Paralysie
poste anesthésique; par LECZINSKY (net- 1'01'" Al
net- 1'01'" Aledi- cal Record, 21 octobre 1899.) L'auteur nie les
paralysies
dues à l'anesthésie généralisée par les agents
ordinaires (chloroforme, éther, etc.) Il les fait rentrer dans les
paralysies
périphériques accidentelles dues à des compress
pendant la nuit, etc., etc. - SIMON. XL. Un cas de syndrome d'Erb. (
Paralysie
bulbaire asthénique) ; par les D" Long et `iTI$
travail, plaide en faveur de l'origine toxique et infectieuse de la
paralysie
bul- baire asthénique. Pendant une première pha
l s'agit d'un cocher de trente-neuf ans, qui, soudain est frappé de
paralysie
des membres supérieurs, symétrique. La paralysie
dain est frappé de paralysie des membres supérieurs, symétrique. La
paralysie
porte surtout sur les extenseurs de l'avant-bra
citabilité faradique et galvanique sans réaction dégénérative. A la
paralysie
prennent part les muscles qui rapprochent l'épa
hystériques, 3 hystéro-épilep- tiques, 2 goitres exophthalmiques, 3
paralysies
faciales, dans la migraine, la névralgie du tri
la névralgie du trijumeau, la parésie du cubital, l'athé- tose, la
paralysie
combinée du facial et de l'oculo-moteur commun,
inée du facial et de l'oculo-moteur commun, la manie hystérique, la
paralysie
agitante, la neurasthénie, le rhu- matisme, la
une hémorragie, il y a eu hématomyélie. Cela est démontré par la
paralysie
atrophique, bilatérale, des territoires du radial
étendue variable, car, pendant un certain temps il a existé de la
paralysie
du péronier droit, qui cinq mois plus tard avait
cinq mois plus tard avait absolument disparu; il y a eu encore une
paralysie
des plus évi- dente du grand dentelé droit, qui
solées de la moelle lombaire et de la moelle sacrée ressort : de la
paralysie
passagère du péronier droit, de la faiblesse de
rchives, 2° série, t. XIII. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. La
paralysie
du grand dentelé, du radial et du cubital résulte
patellaires abdominaux et crémastériens, les troubles sensibles, la
paralysie
du péronier, la faiblesse sphinctérienne, indiq
, du cinquième lombaire avec les premier et deuxième sacrés droits (
paralysie
du péronier) ainsi que des troisième à cinquièm
du procédé artificiel de Jendrassik. Le pronostic est grave. Les
paralysies
des deux régions bilaté- rales du radial et du
re l'apaisement des accidents tabétiques déjà anciens du fait d'une
paralysie
générale. Quel a été l'effet des eaux sulfureus
ut accusé chez les jeunes épileptiques. P. KERAVAL. LI. Un cas de
paralysie
bulbaire aiguë chez une enfant; par KOLL9R1TS.
isent l'auteur à écarter pour le diagnostic anatomo-pathologique la
paralysie
bulbaire vraie, les pseudo-paralysies bulbaires
Iconogr. de la Salpétriére, n° 2, 1901.) .) Quatre observations :
paralysie
chez un marchand de nouveautés crampe des piani
on nerveuse partielle d'où tremblement, destruc- tion complète d'où
paralysie
. L'auteur serait disposé à admettre que ces dif
de son travail sont l'ataxie locomotrice, la sclorose multiple, la
paralysie
agitante et la parésie générale, mot par lequel
lysie agitante et la parésie générale, mot par lequel il désigne la
paralysie
générale. Ce mémoire. est un simple exposé de l
s, plus intenses la nuit, sans fris- sons ni fièvre apparente; puis
paralysie
des membres inférieurs (droit chez l'un, gauche
e, absente chez le premier, le début a été beaucoup plus rapide, la
paralysie
plus intense, l'atrophie consécutive prédominan
lysie infantile douloureuse; 4° La topographie radiculaire de cette
paralysie
atrophique qui intéresse les dernières paires l
premières sacrées; 5° Les ressemblances de ces monoplégies avec les
paralysies
atrophiques consécutives à la méningite cérébro
pprochée de celle des amyotrophies spinales, en parti- culier de la
paralysie
infantile. En effet les conséquences de la para
culier de la paralysie infantile. En effet les conséquences de la
paralysie
infantile ne sont pas seulement représentées par
paralysé et trop dépourvu de réflexes pour l'âge de- sa maladie.
Paralysie
infantile avec disposition radiculaire. MM. HUE
la valeur du signa épilepsie partielle SOCIÉTÉS SAVANTES. 01 avec
paralysie
au point de vue chirurgical, mais seulement au
x, par la rapidité de son évolution, par la marche ascendante de la
paralysie
, par la terminaison mortelle. Au point de vue
es manifestations bul- baires, de l'évolution et de la marche de la
paralysie
, de la persis- tance des phénomènes généraux ap
DE M. LE professeur A. Pitres. ' , ... ? 1 i Étude sur six cas de
paralysie
hystéro-alcoolique bénigne du membre supérieur.
scription qu'en a faite Charcot. C'étaient des exemples typiques de
paralysies
hystériques à distribution franche- ment segmen
as subi de traumatismes violents. Le début discret, insidieux de la
paralysie
, sa symptomatologie fruste, atténuée, ne parais
atégorie des accidents hystériques. Il s'agissait cependant bien de
paralysies
hystériques, car il - suffit dans tous les cas
ivre mettront en relief les principaux caractères de cette forme de
paralysie
des membres supérieurs. Observation I. Bern..
itres le mercredi, ne se plaignant de rien autre chose que de cette
paralysie
de la main droite per- sistante depuis quarante
s de l'avant-bras provoque une secousse normale et égale des deux
PARALYSIE
HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. \ 99 côtés. Pas de sensatio
auche. Les autres organes des sens sont normaux. Le diagnostic de
paralysie
hystéro-alcoolique bénigne des ma- nouvriers ét
veuse. Gu... est marié, père de deux enfants bien portants aussi.
PARALYSIE
HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. - 101 Antécédents personnel
marquées d'alcoolisme, bien qu'à l'occasion il boive volontiers un
PARALYSIE
HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. '103 petit verre; mais dura
sante qui, au bout de quelques instants, l'ont forcé à Fifl. II,.
PARALYSIE
HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 105 lâcher son outil. A ce
t sujet à des attaques d'hystérie, et deux filles en bonne santé.
PARALYSIE
UYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 107 i Histoire de la maladi
uillet 1901. - Le malade ne se plaint de rien autre chose que de la
paralysie
de sa main droite. Cette main n'est ni rouge ni
et deux s'étaient enivrés quelques heures avant l'apparition de la
paralysie
(obs. 1 et II). Dans ces deux cas, la paralysie
l'apparition de la paralysie (obs. 1 et II). Dans ces deux cas, la
paralysie
s'est-installée la nuit; dans les quatre autres
Jamais nous n'avons constaté une distribution systématique de la
paralysie
dans un groupe de muscles physiologiquement dif
nsi- bilité cutanée, affectant une distribution nettement segmen-
PARALYSIE
HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 109 taire. C'était de l'ane
tant entre l'étendue de ces troubles sensitifs et l'extension de la
paralysie
motrice. Dans l'observation I, où la paralysie
et l'extension de la paralysie motrice. Dans l'observation I, où la
paralysie
était limitée à la main, une large plaque d'ane
ans l'observation V la main seule était hypoesthésique, bien que la
paralysie
s'étendit à tout l'avant-bras. Bien que le fa
uccédé dans cet ordre, puisque chez l'un de nos malades (obs. V) la
paralysie
motrice a totalement disparu avant que la sensi
, plutôt que par leur nature, de ceux qui caractérisent les grandes
paralysies
hystériques. Le traitement que nous avons emplo
urs été efficace. Il est à remarquer que dans les cas récents où la
paralysie
ne datait que de deux à quatre jours, la guéris
adie durait depuis plusieurs semaines. Cela semble prouver que la
paralysie
devient plus rebelle à mesure qu'elle persiste.
médecine, novembre 1900.) Il s'agit d'un sujet qui présentait une
paralysie
complète des. quatre membres et même des muscle
lés s'atténuant pro- gressivement, on ne peut guère admettre qu'une
paralysie
par hémorrhagie intra-rachidienne et compressio
' IV. Numération des globules blancs du sang dans quelques cas de
paralysie
générale ; par C.-Il. JENKS. (The Americccn Journ
trouver un signe aidant à la diagnose des premières périodes de la
paralysie
générale. L'auteur procédait au prélèvement du
ue cette théorie jetterait quelque lumière sur les anes- thésies et
paralysies
hystériques. Par rétraction, la continuité des
couches. Il y a quelques années, elle est atteinte sans motifs de
paralysie
agitante, qui occupe successivement le membre sup
ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. résumé par eux. Examen clinique :
paralysie
spinale à marche lente et progressive survenue
ure de l'aorte, il y a eu, dès les deux ou trois premières minutes,
paralysie
complète des extrémités postérieures. Les pièce
RAYMOND a vu deux cas analogues d'origine blennorrha- gique. - -
Paralysie
associée des globes oculaires. M. CESTAN montre
nnel, diminution de la sensibilité, trouble spécial de la parole et
paralysie
oculaire très marquée rendant presque nuls les
e. Après un coma de dix-huit heures le malade revint à lui avec une
paralysie
complète du facial inférieur, déviation de la l
berculeux sclérosant et le processus est ici analogue à celui de la
paralysie
générale et la tuberculose comme l'a dit Klippe
comme l'a dit Klippel pourrait bien engendrer comme la syphilis la
paralysie
générale, et se ranger parmi les autres causes
et les autres affections diffuses dégénératives du système nerveux (
paralysie
générale et démence sénile). - . Discussion.
sation de l'intérieur ouvrier. Conférence. In-18. PLcmN et ALLAIID.
Paralysie
faciale et paralysie des mouvements associés de
ouvrier. Conférence. In-18. PLcmN et ALLAIID. Paralysie faciale et
paralysie
des mouvements associés de latéralité des globe
ion en moins ou vice versa. Cette fois le premier rang revient à la
paralysie
géné- rale et le dernier à la vésanie, entre le
se montre pourtant d'une fréquence égale à la dermographie dans la
paralysie
générale, égale à l'affaiblissement dans la déb
tions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE MENTALE.
paralysie
générale et pour cela de suivre les mêmes sujets
ns de la peau que nous avons ren- contrées aux trois périodes de la
paralysie
générale : soit 19 sujets à la première, 20 à l
esse jusqu'à l'âge de trois ans, fait pendant près d'une minute une
paralysie
de tous les muscles de la langue qui tombe en a
encore bloqué -E- Tout se débloque. + Sentez la face, la langue :
paralysie
de la langue -f- Soubresaut ? Régression jusqu'à
is entre en crise -)- La langue se paralyse -j- Louis m'explique sa
paralysie
par ce fait qu'un fil qui part de la base de la
de l'oreillle. Régression jusqu'à t'age de trois ans; progression.
Paralysie
de la langue avec soubresaut Grande hyperesthés
ises de contractures, de mouvements toniques, les soubresauts, la
paralysie
de la langue sont allés en diminuant de quantité
e et de l'imbécillité 1. G. D. IV. De la rareté et des causes de la
paralysie
générale dans le canton de Fribourg; par le Dr
int de l'asile de Marsens depuis vingt-trois ans, a constaté que la
paralysie
générale y était très rare. Dans les cinq derni
des hommes et 3 chez des femmes. Pour expliquer cette rareté de la
paralysie
générale, le Dr Remy invoque la vie passive, ex
enfants de Bicêtre. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3)7 ï la
paralysie
générale. Cette affection serait due surtout aux
V. Contribution à l'étude des rapports de 1 impaludisme et de la
paralysie
générale; par MARANDON de 10,NI'YEL. (Revue de mé
portent sur plu- sieurs années de recherches. Chez ces malades, la
paralysie
géné- rale se trouvait liée soit zv l'impaludis
paludiens ayant sou- vent correspondu avec une recrudescence de la
paralysie
générale. A noter que ces malades étaient tous
r conclure que l'infection paludéenne peut à elle seule produire la
paralysie
générale et c'est à l'avenir d'éclaircir cette
érescence et la difficulté d'y remédier. SDION. XII. Trois cas de
paralysie
générale chez des femmes jeunes; par W.-L. Worc
de. Mort de tuberculose pulmonaire à vingt- deux ans. Lésions de la
paralysie
générale. Poids : 815 grammes. Les cerveaux des
vient ainsi il l'appui du pre- mier. Smou. XV. L'étiologie de la
paralysie
progressive; par le professeur li. v. KRAFFT-ËB
nity, 1900, p. (jI¡5-ûû8.) , , Deux mots résument l'étiologie de la
paralysie
: syphilis et civi- lisation, et le traitement
ssi la difficulté du diagnostic la modification que parait subir la
paralysie
générale depuis une dizaine d'années, se tradui
ce préambule, l'auteur établit les diagnostics différentiels de la
paralysie
avec les affec- tions suivantes : alcoolisme ch
o-moteurs, d'où des changements circulatoires (spasme vasculaire ou
paralysie
). Mais la rareté de la concomitance d'une psych
rie. P . KERAVAL XXXII. Matériaux pour servir au'diagnostic de la
paralysie
géné- rale ; par A.-W. Tmor.r;ren'. (06orénié p
ont les cas de neurasthénie cer- taine qui passe graduellement à la
paralysie
générale. Deux observa- tions, qui montrent la
ement à la paralysie générale. Deux observa- tions, qui montrent la
paralysie
générale s'insinuant imperceptible- ment, et ne
essemblent de très près par leur évolution et leurs symptômes, à la
paralysie
générale : l'observation correspondante revendi
olie périodique s'ac- compagne souvent de phénomènes qui sentent la
paralysie
géné- rale sans cependant que celle-ci soit évi
n de démence sénile, en imposant, dans les premiers jours, pour une
paralysie
géné- rale. Mais il s'agit d'un homme de soixan
oins courtes, où le tableau clinique est très voisin de celui de la
paralysie
générale. En voici un exemple : à un certain mo
adie, imposent le diagnos- tic ; -6° quelquefois, très rarement, la
paralysie
générale, à son début, ressemble à la folie sys
commémoratifs ne trahissent ni le début, ni le déloppe- 'ment de la
paralysie
générale, mais chez qui il existe : des trou- -
peuvent présenter à un plus ou moins grand degré, le tableau de la
paralysie
géné- 23G 6 REVUE DE PATHOLOGIE MKNTRLE. raie
des troubles moteurs qui puisse être regardé comme spécifique de la
paralysie
générale : l'absence ou l'inégalité de réaction d
bles mentaux, il n'en est pas un qui soit exclusivement propre à la
paralysie
générale : le plus enrelief, le délire des gran
ement se rencontrer en d'autres maladies ; - 4° le diagnostic de la
paralysie
générale ne se peut établir que par la réunion
teinte des diverses fonctions mentales est pleinement spéciale à la
paralysie
générale : [elle dérive de l'essence même du pr
le au sein des classes intelligentes et de la neurasthénie et de la
paralysie
générale, il n'est pas rare d'observer chez le
nte, qui parfois traîne bien des années, au stade prodromiqne de la
paralysie
générale. P. KÉRA'AL. XXXIII. Des perversions
gaire, mais qui est at- teinte d'un phénomène assez singulier. Sans
paralysie
, sans - sociétés savantes. 2't3 stigmates d'h
droite et les phéno- mène sspastiques. G. RossoLmo. - Note sur la
paralysie
faciale récidivante. Le symptôme complexe de l'
troisième paire. L'auteur admet par analo- gie la possibilité d'une
paralysie
faciale périodique (récidivante), faisant parti
neuf 248 sociétés savantes. , années la malade eut deux fois une
paralysie
faciale du côté gauche et deux fois une paralys
eut deux fois une paralysie faciale du côté gauche et deux fois une
paralysie
faciale du côté droit. La première fois l'ap- p
alysie faciale du côté droit. La première fois l'ap- parition de la
paralysie
faciale a été précédée d'un accès très fort de
écédée d'un accès très fort de migraine occipitale du même côté; la
paralysie
faciale survint deux jours plus tard d'une faço
s comme les autres- fois (de deux à cinq mois). La cause de cette
paralysie
doit être recherchée probablement dans les troubl
e provoqués par l'hémicranie. Discussion. M. Minor rappelle que les
paralysies
récidivantes s'observent aussi dans le diabète
diabète et dans la tuberculose. M. Mou- ATOV émet l'hypothèse d'une
paralysie
faciale d'origine paludé- enne. , M. V. lIIou
ngite de la base, avec état démentiel rappelant les symptômes de la
paralysie
générale (le diagnostic de p. g. fut porté dans
de ces 60 observations. Chapitre II. Etiologie et pathologie de la
paralysie
générale . Dans cet article, l'auteur fait surt
l'auteur fait surtout -ressortir l'influence de la syphilis sur la
paralysie
générale. Nous donnerons un court aperçu des au
us donnerons un court aperçu des autres articles : Syphilis dans la
paralysie
générale des aliénés; parH.-W. LEWIS. Observati
térieur ou spinal et des vérifications périphériques dans un cas de
paralysie
générale accompagnées d'éruptions bulleuses ; M
tion des couches cellulaires profondes de l'écorce, et diagnostiqué
paralysie
générale ; par Mort. Un cas d'anémie pernicie
s trois cas, qui n'ont pu être classés, ont présenté l'aspect d'une
paralysie
progressive, à évolution lente vers la démence.
ne paralysie progressive, à évolution lente vers la démence. Pas de
paralysies
des bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incont
1897. Antécédents héréditaires. Père mort à quarante ans d'une «
paralysie
au cerveau», interné. Etait dans l'industrie, aff
par L.-E. 13REGMAN. (Neurolog. Centrant" XIX, 1900.) Observation de
paralysie
périphérique de l'oculo-moteur com- mun associé
de paralysie périphérique de l'oculo-moteur com- mun associée à une
paralysie
du pathétique, chez un homme de cinquante-cinq
alors qu'il-était ivre, d'un escalier de 20 marches, n'avait pas de
paralysie
nucléaire, encore moins de paralysie fasciculaire
de 20 marches, n'avait pas de paralysie nucléaire, encore moins de
paralysie
fasciculaire : impos- sible d'admettre un foyer
ue, de tabes avec ataxie, avec arthropathie du genou, de chorée, de
paralysie
du péronier ; à des circulaires à la phase mani
n : 312- . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' de
paralysie
unilatérale de l'oculomoteur commun dans laquelle
ydriatique de l'occlusion de l'oeil. Pour finir, une observation de
paralysie
unilatérale de l'iris, suite de traumatisme, da
vé (en dehors des ictus) que chez deux malades. - En dehors de la
paralysie
générale, la perte des réflexes pupillaires est
ombé à une attaque apoplectiforme. M. SOLLIER pense que 1 idée de
paralysie
générale doit être écar- tée parce que le malad
à celui qui vient d'être rapporté et pour lequel le dia- gnostic de
paralysie
générale devait être écarté. Un hypochon- driaq
e, de souche arthritique et cancéreuse, présentant les symptômes de
paralysie
générale, onze ans après l'apparition d'une syp
guérie. En même temps qu'apparais- saient les premiers signes de la
paralysie
générale, ce malade faisait; au cours d'une pér
sse peut s'observer chez les hommes et se rencontre surtout dans la
paralysie
générale. il mélite de constituer une variété n
hrist. Cette idée qui peut se retrouver partout, aussi bien dans la
paralysie
générale que dans les vésanies, ne saurait être
leplique transitoire. ' M. IlEVEROca (de Kral) a observé des cas de
paralysie
des mem- bres inférieurs survenue après des par
ffections où la motilité de l'iris est ou va être atteinte : tabès,
paralysie
générale, syphilis. ' On la rencontre bien au
re intacts, être ' · considéré comme un signe probable de tabes, de
paralysie
géné- rale, de syphilis, et que sa valeur séméi
une remarque qui s'applique aussi naturellement au tabès et à la
paralysie
générale. Aujourd'hui, la plupart des médecins, é
ontiennent ni sucre ni albumine. La sensibilité est normale. Pas de
paralysie
, aucun signe de rachitisme. Aucun sligmate de s
fin le caractère des accès d'épilepsie généralisée. On constate une
paralysie
faciale gauche et une paralysie du bras du même
lepsie généralisée. On constate une paralysie faciale gauche et une
paralysie
du bras du même côté. La température monte jusq
déterminé la mort. A noter dans ce cas la présence de phénomènes de
paralysie
, notamment de la paralysie de la face et du bra
dans ce cas la présence de phénomènes de paralysie, notamment de la
paralysie
de la face et du bras du côté gauche, chose ass
sologiques en faveur des relations causales entre la syphilis el la
paralysie
générale. Jusqu'à présent les seuls arguments e
ent les seuls arguments en faveur de l'origine syphi- litique de la
paralysie
générale sont basés sur la méthode statis- tiqu
ononcée avec ataxie profonde. Les réflexes rotuliens sont exagérés.
Paralysie
bila- térale de la sixième paire. Anesthésie du
o-ulyéllte syphilitique); 2° des altérations caractéristiques de la
paralysie
générale, sous forme d'épendymite granuleuse et
sie), dans lesquels on voit des ictus apopleetiformes répétés, avec
paralysies
transitoires à la suite d'une infection syphili
achy- méningite hémorragique), ayant le caractère de celles de la
paralysie
générale; 2° des ictus apopleetiformes transitoir
e la syphilis tertiaire avec des-symptômes clini- ques isolés de la
paralysie
générale, offre un argument nosolo- gique en fa
e, offre un argument nosolo- gique en faveur de la dépendance de la
paralysie
générale de la syphilis (acquise ou héréditarie
r d'argument nosologique pour la causalité entre la sypliilis et la
paralysie
générale. IVI. 1 lONSTArÇTINOWSKY pense que l
es affections du système nerveux. .AI. Butzke fait remarquer que la
paralysie
générale est telle- ment rare dans les cas de l
ns avant la mort, et pourtant on n'a pas assisté à l'éclosion de la
paralysie
générale ni au point de vue clinique, ni au poi
clue des ictus apoplec- tiformes, mais non de tout le tableau de la
paralysie
générale. JI. Versilotf pense que les ictus apo
tra- tum anatomique, qui peuvent les simuler, particulièrement la
paralysie
générale progressive. - Les accès aigus ou suba
ronique simulent très souvent, du moins temporairement, un début de
paralysie
générale. Le cyto-diagnostic négatif dans le pr
. Le diagnostic peut donc se poser entre la démence sénile, et la
paralysie
générale; l'absence d'éléments figurés dans le li
pas conclure de la présence de ces mêmes éléments au diagnostic de
paralysie
générale, car on risquerait de la confondre ave
itabilité morbide des centres thermogènes, que des convulsions, des
paralysies
et des contractures par suite d'un fonctionneme
diographique et chirurgien de l'asile des aliénés. Observation de
paralysie
générale gémellaire homomorphe (Délire des néga
eptembre 1888. ' Soukhanof. Iilinikitschesky journal, no 4, 1900.
PARALYSIE
GÉNÉRALE GÉMELLAIRE HOMOMORPHE. 371 Pas d'antéc
ernement. Il présentait lors de son admission tous les signes de la
paralysie
générale progressive à forme lypémaniaque avec
le chagrin éprouvé par ce dernier lors de la mort de sa femme. La
paralysie
générale évolua très rapidement, l'affaiblissemen
diagnostic ne tarda pas a être confirmé; les signes physiques de la
paralysie
générale apparurent. Les idées délirantes moins
29 mai 1899. Notons que sur ces entrefaites, sa femme, atteinte de
paralysie
générale après l'internement de son mari, était
ervalle, l'un à trente- neuf ans, l'autre à quarante-sept ans de la
paralysie
géné- rale progresive à forme mélancolique avec
d'abord l'apparition chez les deux frères de la même affection, la
paralysie
générale, survenant sans cause apparente; c'est
n de folie induite dans ce cas par la simple raison qu'il s'agit de
paralysie
générale, que les jumeaux ne vivaient pas ensem
tant une contribution très originale à l'étude de l'étiologie de la
paralysie
générale. Un cas intéressant de paralysie facia
tude de l'étiologie de la paralysie générale. Un cas intéressant de
paralysie
faciale double d'origine périphérique; Par le
périphérique; Par le D' DIAX-DELGADO. On a écrit beaucoup sur la
paralysie
faciale, mais le cas que je vais rapporter, mér
crois d'être publié. Il s'agit d'un malade qui a souffert de, deux
paralysies
faciales périphériques en trois ans, mais compl
L'histoire du malade est la suivante. M. S ? âgé de soixante-deux
PARALYSIE
FACIALE DOUBLE. 373 ans, constitution, bien por
a à ma consultation en septembre 1898. avec la face classique de la
paralysie
faciale périphérique. Le malade interrogé dit q
bitement, et sans troubles cérébraux. A première vue, la nouvelle
paralysie
était exactement la même que celle qu'il avait
s à un autre ? Indubitablement du point lésé, qui, dans la première
paralysie
, devait être en dehors du canal de Fal- loppe,
faire un bon pronostic dans les 374 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
paralysies
faciales périphériques, il faut faire une minutie
ublier, car c'est un cas original devoir, chez le même malade, deux
paralysies
facia- les périphériques : une du côté droit, l
grave. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LVII. Étiologie de certaines
paralysies
radiales ; par Lannois. (Société des Sciences m
implement à ce moment là d'être vraiment paralysée. Le lendemain la
paralysie
était devenue com- plète. Un traitement électri
LXI. Hémiplégie alterne avec participation de la sixième paire et
paralysie
ultérieure de la corde vocale; par Lannois. (Soci
l y a vingt- cinq ans, à la suite de deux attaques successives, une
paralysie
du type Millard-Gubler. L'hémiplégie faciale dr
ment, l'hémiplégie gauche a varié d'intensité. Eu même temps que la
paralysie
faciale, il s'était produit une paralysie du mo
é. Eu même temps que la paralysie faciale, il s'était produit une
paralysie
du moteur oculaire externe droit et le malade ava
ar un mécanisme analogue à celui qui s'observe dans certains cas de
paralysie
infan- tile à extension tardive. G. C. LXII.
vicariante des muscles insérés sur les con- dyles du bras, dans la
paralysie
complète des fléchisseurs propres de l'avant-br
XIX, 1900.) Voici un jeune homme de vingt-huit ans, atteint d'une
paralysie
traumatique du plexus brachial droit du type Du
tique du plexus brachial droit du type Duchenne-Erb. En dépit d'une
paralysie
complète de tous les fléchisseurs propres de l'
it cependant encore d'une grande utilité. » P. Keraval. LXIII. La
paralysie
atrophique isolée du nerf musculo-cutané, avec
erdait sa force : il diminua de volume graduellement. Il existe une
paralysie
du musculo-cutané, seul atteint, qui ne saurait
une névrite spontanée, fait sans précédent. C'est un cas unique de
paralysie
exactement limitée au nerf en question atteint
n également atteint. Le pronostic n'est pas favorable, parce que la
paralysie
a presque un an de durée. Mais on n'a pas encor
USE. Dans les cas d'empoisonnement intense, on a noté parésies et
paralysies
, allant à l'impotence totale et à l'atrophie, de
exé- cutés. P. ¡(¡¡¡¡AVAL. LXVIII. De la syphilis comme cause de
paralysie
infantile cérébrale; par W. KOENIG. (Neurolog.
s la Dettische Zeilschrift f. Nervenheilk., t. XIII, établi que les
paralysies
infantiles cérébrales avaient pour facteurs éti
héréditaire : elles appartiennent aux formes de transition entre la
paralysie
infantile cérébrale et l'idiotie simple. P. Ker
t impossible de l'amener à lire et à écrire. Pas du tout, jamais de
paralysie
, point d'attaques d'apo- plexie. On trouve, à
clo- nisme, sans signes de dégénérescence des voies conductrices.
Paralysies
des muscles des yeux se manifestant d'abord par u
t être aussi rattachée aux troubles de la vision en rapport avec la
paralysie
des muscles des yeux. Genèse lentement progress
us symptomatique du tabes. P. Keraval. s LXXXII. Observation de
paralysie
des racines inférieures du plexus brachial, con
roite était ressortie par le dos. Le 21 juillet 1899, il existe une
paralysie
dégénérative grave, avec atrophie musculaire, t
syphilis céré- bro-spinale peut-se manifester : 1° Méningite : les
paralysies
des nerfs crâniens, tardives dans la méningite
ssible au traitement ; Î5° Lésions cérébrales diffuses, simulant la
paralysie
générale pro- gressiue : ici encore diagnostic
gressiue : ici encore diagnostic souvent difficile, d'autant que la
paralysie
générale étant une maladie des syphilitiques, il
t beaucoup plus influencé par le traitement que le tabes vrai ; '7°
Paralysie
spasmodique : quand elle est syphilitique elle s'
ses conditions atmosphériques. Il estime qu'il faut admettre que la
paralysie
vasomotrice est la con- dition fondamentale de
latérales et antérieures^ de la moelle, comme on l'observe dans la
paralysie
spinale syphilitique. Au point de vue des sympt
que le pronostic est plus favorable que dans les cas ordinaires de
paralysie
spinale syphilitique ou de myélite trans- verse
nicale) ou à la diphtérie. R. DE MLISG1(AVE-CLAY. XCII. Anesthésie.
Paralysie
périphérique : observation d'un cas peu commun
thésie. Paralysie périphérique : observation d'un cas peu commun de
paralysie
brachiale bilatérale survenue pendant la narcos
tion est capricieuse et indépendante de toute notion anatomique. La
paralysie
peut accompagner l'anesthésie, mais le plus sou
aiblesse musculaire : toutefois, l'anesthésie accompagne souvent la
paralysie
hystérique. DE >tIUGR9`'C-CL.1T. Suicide d
ment dans les progressives alcooliques, ne manquent jamais dans les
paralysies
vraies, et peuvent être prouvées par l'autopsie
obe temporal droit. L'examen histologique confirme le diagnostic de
paralysie
géné- rale. Cette topographie de la lésion co
, les auteurs proposent de distinguer une forme senso- rielle de la
paralysie
générale, caractérisée au point de vue clini- 4
intensité exceptionnelle. Méningite c¿1'ébl'o-spin,lle à forme de
paralysie
infantile. Cyto-diagnostic. MM. liaruonn et S
-diagnostic. MM. liaruonn et SiCARD présentent un enfant atteint de
paralysie
double à topographie radiculaire supérieure des
fections par la proportion réciproque des mono et polynucléaires.
Paralysie
infantile d'un bras avec topographie radiculaire
e infantile d'un bras avec topographie radiculaire supérieure de la
paralysie
. MM. DUPRÉ et IIUET présentent une enfant de di
t IIUET présentent une enfant de dix-neuf mois, atteinte à un an de
paralysie
infantile avec lésions limitées au bras droit e
ic de polyomyélie antérieure aiguë sur l'apparition pré- coce de la
paralysie
, sur l'absence de douleurs et l'absence de raid
io- lentes douleurs dans les cuisses et subit consécutivement une
paralysie
des quatre membres sans troubles de la sensibilit
lysie toxique par névrite périaxile et rappelle en tout point la
paralysie
diphtérique. M. 13Antnsr.r. D'autant plus que l
souvent accompagnées de troubles centraux. 0 ' M. PAI11XAUD. Les
paralysies
toxiques ont souvent, en effet, une localisatio
, en effet, une localisation double, symétrique et systématique. La
paralysie
diphtérique oculaire frappe en effet l'accomoda
centrales en même temps que périphériques. Il en est ainsi de la
paralysie
alcoolique. MM. Babinsky et Nageotte rapportent
ions organiques des centres nerveux où la mort subite se rencontre (
paralysie
BIBLIOGRAPHIE. 425 générale, tabès, épilepsie
e et le ménin- gocoqué. ' G. C. XVI. Les nerfs de l'orbite, leurs
paralysies
dans les traumalismes du crâne; par le Dl' FERR
rédural et intradural des nerfs de l'orbite. - Pour M. Ferron les
paralysies
des nerfs de l'orbite sont un symptôme fréquent
anatomo-pathologiclues, l'auteur prouve qu'on ne peut rattacher la
paralysie
des nerfs moteurs ni à une lésion des centres c
act est plus souvent atteinte par des traits . de fracture. ' Ces
paralysies
peuvent être primitives : dues à la fracture elle
nt dans les cas d'une fracture de la base. Contre l'amaurose, les
paralysies
musculaires on pourra tenter l'action d'injecti
e strychnine, de courants continus, de l'iodure de potassium. Si la
paralysie
musculaire persiste, le chi- rurgien peut arriv
Nemet-Saroslak en Carinthie, alitée depuis dix ans par suite d'une
paralysie
, eut une telle frayeur en voyant la foudre pénétr
a malade éprouve une grande fatigue, mais elle ne présente pas de
paralysie
post-paroxystique. D'ailleurs, les attaques sont
ente aucun signe somatique, susceptible d'éveiller le soupçon d'une
paralysie
1'ig. 23. 440 CLINIQUE NERVEUSE. générale c
, la maladeéprouveune grande lassitude, elle n'a jamais présenté de
paralysie
post- paroxystique. Somme toute, ces attaques s
on état normal ; à ce moment-là, elle ne présentait aucune trace de
paralysie
. Quinze jours plus tard, les mêmes accidents se
celle de parler. Cette fois encore, elle n'a eu ni convulsions, ni
paralysie
. 444 CLINIQUE NERVEUSE. Le lendemain, C... ét
ion des nerfs moteurs de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de
paralysie
motrice dans les membres (compression des pédon
rement physique pour lequel il semble moins nécessaire. Là encore
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE. 487 7 il donne la clef et l
t tout examen somatique ». RECUEIL DE FAITS. Cinq observations de
paralysie
générale conjugale; . PAR LES DOCTEURS P. IiR
tières. Médecin adjoint de l'asile d'Annenliercs. L'Etiologie de la
paralysie
générale, est un chapitre tou- jours ouvert et
é, aussi croyons- nous utile de publier aujourd'hui ces cinq cas de
paralysie
générale conjugale que nous avons pu réunir. L'
ple, le mari infecté au régiment, fait quinze ans plus tard de la
paralysie
générale tandis qu'apparaissent chez la femme l
té, les influences morales que nous trouverons à l'origine de cette
paralysie
générale dont ies causes si variées et la natur
son mari, elle présentait depuis un certain temps déjà un état de
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE. 489 dépression mélancolique
ors de son retour, elle présente actuellement tous les signes de la
paralysie
générale progressive, arrivée à une période trè
mi stupide ; on ne constate pas chez lui les signes physiques de la
paralysie
générale. 11 n'en est plus de même en janvier 1
e 1896, elle présente tous les signes physiques et psychiques d'une
paralysie
générale progres- sive en pleine évolution, de
la roue d'une machine à cintrer, le visage ensanglanté, il rentre
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE. 491 chez lui très troublé;
et on,doit l'interner le 25 mars 1889. Son état est le suivant :
paralysie
générale progressive parvenue à une période trè
ytique général à trente-neuf ans, à la suite de chagrins multiples (
paralysie
générale il forme mélancolique avec idées de né
, il est mort ou presque mort, n'a plus de jambes, rien ne va plus.
Paralysie
générale probable, bien que les signes physique
ions ne semblent pas plaider en faveur de l'unité étiologique de la
paralysie
géné- rale : dans la première, la syphilis nous
leurs sur ce fait intéressant que son frère jumeau est mort d'une
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE. 493 paralysie générale de m
son frère jumeau est mort d'une PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 493
paralysie
générale de même forme, survenue également sans
voir son mari interné que notre enquête attribue l'apparition de la
paralysie
géné- rale chez la femme. Dans aucun de ces c
t avoir joué le plus grand rôle dans l'ap- parition chez elle de la
paralysie
générale. Dans les cinq cas l'affection évolua
onclure ce qui suit : 1° Le rétrécissement du champ visuel, dans la
paralysie
géné- rale, est un phénomène plus ou moins cons
e de l'inégalité des pupilles, pro- duite expérimentalement dans la
paralysie
générale ; par J. Pilez. (Neurolog. Cenll'albl.
umière et à l'accommodation des deux côtés (0. Schwarz); 2° dans la
paralysie
générale, on peut faire alterner l'inégalité pu-
sée par la combinaison de symptômes relevant du tabes dorsal, de la
paralysie
agitante, de la démence paralytique. L'ataxie e
ombinée. Elle aurait pour éléments principaux le substra- tum de la
paralysie
agitante fortement teinté de tabes, auquel s'aj
le de Weil. Quelle en est la genèse ? . La syphilis se voit dans la
paralysie
agitante comme dans le tabès; la diminution voi
ès; la diminution voire l'abolition des réflexes s'observe dans les
paralysies
agitantes prolongées, par suite d'altérations des
n est aisée. P. Keraval. VL. Le rôle de la tare héréditaire dans la
paralysie
progressive des aliénés ; par P. NAECEE. (Neuro
tare héréditaire sont donc, pour l'auteur, d'importants facteurs de
paralysie
générale, mais pour que la syphilis agisse, il
qui est rare, la syphilis ou une autre cause suffit à engendrer la
paralysie
générale, c'est qu'elle détermine secon- dairem
- dairement la constitution spéciale du cerveau qui fait mûrir la
paralysie
générale avec ou sans causes occasionnelles : cec
de la prédisposition congé- nitale anormale du cerveau propre à la
paralysie
générale et à d'autres maladies mentales, mais
héréditaire lourde et multiple n'est pas aussi ' fréquente dans la
paralysie
générale que dans d'autres psychoses. . , 1 P.
s. M. LEREDDE. La nature syphilitique du tabes, comme celle de la
paralysie
générale peut être démontrée d'une manière mathé-
nvénient. G. C. XXIII. Etude clinique des formes unilatérales de la
paralysie
agi- tante; par Louis Allcuaun. (Th. Lon,1900-1
ipaux tremblements post-hémi- plégiques, pouvant en imposer pour la
paralysie
agitante unilaté- rale, sont l'hémichorée et l'
périphériques de la parole normalement cons- titués ; 4° Absence de
paralysie
ou d'atrophie du tronc et des membres. Dans c
oteurs, les organes périphériques de la parole sont intacts, pas de
paralysies
ni de contractures; les stigmates de dégéné- re
tituées sont par ordre de fréquence : les excitations maniaques, la
paralysie
générale, la mélancolie avec ten- dance au suic
sent, par contre, fréquemment à titre épisodique. Mettant à part la
paralysie
générale, la plupart de ces formes se terminent
dique, mais seulement des périodes de rémission, qui, comme dans la
paralysie
générale. se terminent par la démence. Il est g
Fayolle 376. - alterne avec participation de la sixième paire et
paralysie
ultérieure de la corde lucale, par Lannois, 3
globules TABLE DES MATIÈRES J11 blancs du- dans quelques cas de
paralysie
générale, par C. H.Jenko, - 132. Sclérose EN
ool, par Legrain, ;j2 : : ? He- lations causales eutre la - et la
paralysie
générale, par \fourato(f, 340. De la - comme ca
aralysie générale, par \fourato(f, 340. De la - comme cause de la
paralysie
infantile cérébrale, par Koenig, 381 Synytômest
pas de syphilis. Un oncle, âgé de quarante-deux ans, est atteint de
paralysie
progressive. Le grand-père, fils unique, est mort
sept enfants : six sont morts après soixante-dix ans, dont un de
paralysie
; tous étaient des coléreux, des originaux; le sep
à ce point de vue, la malade s'éloigne du type décrit ont amené les
paralysies
, tant du côté paternel que du côté maternel, il
ent ? D'ailleurs dans les trois autres observations, nous voyons la
paralysie
par lésion* cérébrale figurer constamment au no
s lésions en foyer alors que l'on ac- cueille volontiers les cas de
paralysie
piogressive. Certainement, dans les deux maladi
riques présents dans tous les cas : la paraplégie (premier cas), la
paralysie
crurale avec démarche de Todd, bégaiement et br
es abdominal et plantaire qui, selon Rosen- bach, s'observe dans la
paralysie
organique et par la démarche hélicopoïde. Celle
érite d'avoir fait connaître ce précieux moyen de diagnostic*. La
paralysie
faciale, pourvu qu'elle soit bornée au facial '
s. A cette époque, en se trouvant à travailler au-dessous 1 Ballet.
Paralysie
faciale hystérique. (Soc. méd. des Ildp., 21 nov.
ie faciale hystérique. (Soc. méd. des Ildp., 21 nov. 1890.) Ballet.
Paralysie
faciale hysléri Jue, thèse de Paris, 1891 ? ris
let. Paralysie faciale hysléri Jue, thèse de Paris, 1891 ? risquez.
Paralysie
faciale hystérique. (Bull. méd., 1891.) D2 PATH
t de temps à autre en forme de crises; après une de ces crises, une
paralysie
du membre droit. jusqu'alors sain se produisit;
une paralysie du membre droit. jusqu'alors sain se produisit; celte
paralysie
était complètement flasque et se révélait seule
o..., était tirée vers la gauche; il y avait donc probablement une-
paralysie
du.facial 58 PATHOLOGIE NERVEUSE. - droit, év
Puis, l'hémiplégie n'a pas eu l'évolution que l'on observe dans les
paralysies
symp- tomatiques de la pachyméningite ; tous le
'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 59 3° L'absence de
paralysie
du facial ' ; 4° Le caractère contradictoire de
- retombait lourdement comme une masse inerte. Nous avions donc une
paralysie
qui tenait contempo- rainement de la paralysie
Nous avions donc une paralysie qui tenait contempo- rainement de la
paralysie
flasque et de la spasmodique; or, ce fait se co
faut pas considérer ceci comme un argument absolu. Non seulement la
paralysie
faciale peut être absente dans les lésions capsu-
e faciale peut être absente dans les lésions capsu- laires, mais la
paralysie
peut respecter le membre inférieur correspon- d
curieuse de l'hémiplégie, participant à la fois du caractère de la
paralysie
flasque et spasmodique, le développement enfin
t l'action directe sur les membres ne pouvait donner raison de leur
paralysie
, constituaient un ensemble d'arguments très sol
ioration est plus lente, mais non moins réelle et pro- gressive. Sa
paralysie
s'accompagne avec une anesthésie qui i a le car
ont montrés contemporainement avec le début et l'amélioration de la
paralysie
dans le membre infé- rieur ; donc il n'y a pas
ale comme de nature différente. . 3° Les crises de rachialgie et la
paralysie
de la jambe droite, survenue brusquement à la s
il ne sait ce que cela lui a produit dans l'épine, certainement la
paralysie
se présen- tera... » etc., etc. Quelques jour
rès, l'auto-suggestion a achevé son oeuvre; elle se révèle avec une
paralysie
de la jambe droite sur la nature de laquelle il
de B..., nous avons une puissante raison en plus pour qualifier sa
paralysie
avec plus de précision par une paralysie . Fig.
en plus pour qualifier sa paralysie avec plus de précision par une
paralysie
. Fig. 14. - Examen du 16 août 1892. L'HYSTÉR
avec un état mental très caractéristique, qui a donné origine à une
paralysie
hystérique non moins typique. Et l'apparition d
ée par le fait du traumatisme. Or, qui pourrait nier que ces deux
paralysies
et les états morbides qui leur ont donné origine
ant l'analyse de notre cas, il nous reste à expli- quer pourquoi la
paralysie
prit la forme hémiplégique. En premier lieu, no
une légère contusion. Or, mon éminent maître a démontré comment la
paralysie
hystérique se manifeste avec facilité dans les
propos, est resté classique l'exemple de la femme qui présenta une
paralysie
des extenseurs de la main après avoir donné une
RVEAU. notre cas, cette doctrine nous explique encore pourquoi la
paralysie
prédomine dans le bras. Pour ce qui est de la p
urquoi la paralysie prédomine dans le bras. Pour ce qui est de la
paralysie
de la jambe, nous devons nous rappeler comment
ralysent; c'est donc à son auto-suggestionnabilité que B... doit sa
paralysie
crurale. Du reste, l'épisode sur lequel nous av
s avons insisté rend cette explication très probable. Pourquoi la
paralysie
frappa la jambe gauche ? Pour ce fait, l'explic
il en soit, nous croyons avoir bien démontré qu'il s'agit ici d'une
paralysie
hystéro-traumatique. Ce cas nous démontre que d
té. Par contre, c'est par centaines qu'on y trouve les guérisons de
paralysies
, mais je crois que celles-ci ont toujours été d
ue le professeur Russel Reynolds 2 a qualifiées du terme général de
paralysies
« dépendant on idea D. Je sais bien qu'aujourd'
n cause, semblent portés à reconnaître que la guérison subite des
paralysies
ou des convulsions n'a rien qui sorte du domain
tion of the imagination. ).on- don, Churchill, 1872. 2 Remarks on
paralysies
and olhers disorders of motion and sensa- lion
apparence contraire, de la même nature, de la même essence que les
paralysies
dont je parlais tout à l'heure. La guérison p
'heure. La guérison plus ou moins soudaine des convulsions et des
paralysies
était autrefois considérée comme un miracle théra
ables eux aussi de la même faith-healing que les convulsions et les
paralysies
, c'en serait donc fini du miracle. Pourquoi j
de la demoiselle Fourcroy et de Marie-Anne Couronneau, atteintes de
paralysie
et de con- tracture hystérique. Je prends ces d
prétendent que la guérison des convulsions, des contractures et des
paralysies
d'origine hystérique, est d'un ordre trop natur
fluence de l'esprit sur le corps, et la disparition spontanée des
paralysies
hystériques ne vaut pas qu'on fasse appel à une
la malade avait été frappée tout d'un coup, pendant la nuit, d'une
paralysie
de tout le côté gauche. « Il lui prit un engo
it un engourdissement dans le bras gauche qui, la nuit, dégénéra en
paralysie
qui lui ôta tout l'usage de tout le côté gauche
tant la vertu bienfaisante qu'elle y avoit puisée. Forcée de par sa
paralysie
de se tenir constamment sur le dos, elle se ret
ifficultés ; la nature hystérique des vomissements sanglants, de la
paralysie
, n'eût pas fait de doute, mais cette paralysie
nts sanglants, de la paralysie, n'eût pas fait de doute, mais cette
paralysie
s'accompagnait d'atrophie : Eh bien, il est pér
é aujourd'hui que l'atrophie musculaire accompagne assez souvent la
paralysie
ou la contracture hystérique pour qu'il ait été
orte raison ce déterminisme est-il encore plus évi- dent lorsque la
paralysie
s'accompagne d'atrophie, lorsque l'oedème produ
e ulcération en voie de cicatrisation. 1 L'élément contracture ou
paralysie
peut apparaître ou dis- paraitre soudainement.
abli, nous sommes aptes à marcher de nouveau. Mais si pendant cette
paralysie
les muscles se sont atrophiés, le membre né rep
g. J'ai examiné leurs membres atteints quelques jours auparavant de
paralysie
ou de contracture, et j'ai assisté à la dispari
resque toujours quelque temps encore après la guérison de l'élément
paralysie
ou contracture 1. En résumé, je crois que, pour
aient été suivies de parésie et d'atrophie. Et d'abord il n'y a pas
paralysie
générale (ni troubles de la parole, ni mégaloma
croscope; cellules nerveuses normales. Rien qui puisse expliquer la
paralysie
des extrémités gauches; pas de foyer dans la zo
urnisme chronique professionnel (coliques de plomb, cépha- lalgies,
paralysie
typique des extenseurs, avec réaction dégénéra-
pas alcoolique; alternatives irrégulières de gaieté et d'angoisse.
Paralysie
bilatérale de l'oculomoteur externe, mais passa
s, 1891.) E. B. XVII. Contribution L'ÉTUDE delà rémission dans la
paralysie
générale ; par le Dr Guillemin. Lorsqu'une ré
ar le Dr Guillemin. Lorsqu'une rémission se produit, au cours d'une
paralysie
géné- rale, on est en droit d'admettre que l'él
ise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale ramollie, lésions d'une
paralysie
générale arri- vée à une période avancée et que
onstantes. P. K. IX. DES troubles sensitifs ET VASO-MOTEURS dans la
paralysie
faciale rhumatismale; par L. de fRA\KL-HOCfIR'.
KL-HOCfIR'.1RT. (Neurolog. CentralGl., 1891.) Soit : vingt cas de
paralysie
faciale rhumatismale (début brusque sous l'infl
ux avec élévation de la température; tous accidents accompagnant la
paralysie
. Parfois complications de troubles du goût. Exc
icrique. P. KERAVAL.. XVII. DE la dégénérescence secondaire dans la
paralysie
infantile cérébrale; par GIERLICIi. (Archiv f.
K. XIX. Démonstration A l'actif DE l'anatomie pathologique DE la
paralysie
générale progressive; par BINSW.1NGER. (Neurol. C
cales aux altérations diffuses simul- tanées de l'écorce. C'est une
paralysie
générale entée sur la syphilis. P. K. XX. DES
syphilis. P. K. XX. DES altérations DE la COUCHE OPTIQUE dans la
paralysie
PROGRESSIVE; par G. ZAGARI. (Neurolog. Centralb
cinq observations. Conclusions. Les couches optiques sont, dans la
paralysie
générale, souvent le siège d'une altération toute
- sac du cardia. M. FUERSTNER. De la névrite périphérique dans la
paralysie
générale. Voici deux observations personnelles
dans la paralysie générale. Voici deux observations personnelles de
paralysie
générale typique. On constate dans le premier c
ation des cordons postérieurs. Dans le premier cas, il existait une
paralysie
du grand dentelé droit, avec réaction dégénérat
droit, avec réaction dégénérative ; dans le second cas; c'était une
paralysie
des péroniers (réaction dégénérative). L'examen a
typhoïde grave, dut pendant, un an, rester les genoux étendus. Une
paralysie
des péroniers s'ensuivit. M. WILDERIUTIi racont
d'aphasie, de la paraphasie, une phase d'excitation maniaque, de la
paralysie
du bras; puis tous ces phénomènes disparaissent.
mme de quarante-neuf ans qui, à la suite d'un ictus, présenta de la
paralysie
de la motilité et de la sensibilité dans la moiti
terminaison des neurites et surtout de la neurite qui détermine la
paralysie
du facial s'expli- queraient par les lésions co
uerait une contre-indication. II). M. le Dr ¡\IOURATOW. Un cas de
paralysie
ascendante de Landry. - Paralysie des quatre ex
). M. le Dr ¡\IOURATOW. Un cas de paralysie ascendante de Landry. -
Paralysie
des quatre extrémités, des muscles du tronc, du d
r Netchaiew rappelle à ce propos l'opinion de Roux qui considère la
paralysie
de Landry comme une forme de la rage paralytiqu
syphilitique et alcoolique, offrait les symptômes du tabes et de la
paralysie
alcoo- lique. L'étiologie complexe de la maladi
11 s'agit d'un enfant de -sept ans, qui fut pris d'une attaque de
paralysie
atrophique aiguë, présentant les symptômes caract
puis des douleurs sur le trajet des nerfs du côté gauche, suivis de
paralysie
survinrent, et rétrocédèrent : la paralysie atr
côté gauche, suivis de paralysie survinrent, et rétrocédèrent : la
paralysie
atrophique primitive du bras persis- tant. Il y
es maladies mentales, les chapitres de la Folie systématisée, de la
Paralysie
générale, des Folies toxiques. Bien que remanié
erveux central et périphé- rique : maladie de Charcot, polynévrite,
paralysie
pseudo-hyper- trophique, maladie de Thomsen, et
es; ce sont par exemple, l'incontinence nocturne, l'héméralopie, la
paralysie
nocturne, signalée par Weir-Milchell, et résult
ir-Milchell, et résultant d'un défaut d'exci- tation physiologique (
paralysie
par iatirritation), la chorée du réveil. A côté
ins parfaitement soit la sclérose latérale amyotrophique, soit la
paralysie
du type Duchenne-Aran. Cette question du diagno
ais il a été observé. En pareil cas, on se trouve en présence d'une
paralysie
atrophique des deux membres supérieurs, dont l'
en deux mots comment la scission s'est faite : dès cette époque, la
paralysie
dite pseudo-hypertrophique, maladie progressive
e analogue, ou pour mieux dire, comme franchement identique, à la
paralysie
pseudo-hypertrophique. Il affirme et les recher
actères suivants : coïncidant fréquemment mais non toujours avec la
paralysie
ou l'anesthésie des membres où elles se produis
rions que ce fait démontre, comme le nôtre, l'indépendance de la
paralysie
du sens musculaire et du signe de Romberg. Axen
en dehors, sans qu'il y ait détachement du scapulum, comme dans la
paralysie
du grand dentelé. D'une façon générale, l'épaul
après ses membres inférieurs, à la manière des malades atteints de
paralysie
pseudo-hyperlroplrique. Cependant, quand elle fai
-cinq ans, il y a quinze mois, attaque subite, hémiplégie droite et
paralysie
faciale gauche. Aujourd'hui sa face est norma
lésion; et probablement au niveau de la protubérance ainsi que la
paralysie
croisée l'indique déjà. CLINIQUE OTOLOGIQUE ANN
in de l'asile d'aliénés de Villejuif.. Le nommé B... est atteint de
paralysie
générale à la dernière période : complètement d
malade n'est mort que plusieurs mois plus tard des pro- grès de la
paralysie
générale dont il était atteint. Ce fait est un
ts, généralement bien cons- titués physiquement et n'offrant pas de
paralysie
. L'origine des tics chez Ros... est intéressant
rtante, si le malade ne devient pas sitio- phobe, tous les aliénés (
paralysie
générale exceptée) augmentent de poids, les uns
u, cela souvent quand survient la guérison (Obs. I à XIII). Dans la
paralysie
générale, bien que la nutrition soit vicieuse,
psychique, sinon la commotion mécanique elle-même. P. K. V. DE la
paralysie
chronique PROGRESSIVE DES MUSCLES DES YEUX, 1 t
es pairs. Il n'y a pas du reste de symptôme patbo- gnomonique de la
paralysie
nucléaire; le diagnostic repose sur l'examen de
c repose sur l'examen de l'espèce, de l'étendue, de la marche de la
paralysie
des - muscles des yeux et la simultanéité des s
éité des signes spinaux et céré- braux. Il y a cependant des cas de
paralysie
chronique des muscles des yeux indemnes cliniqu
central; par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 1891.) Observation.
Paralysie
croisée comprenant : adroite, tout le facial; à
on du premier ictus à l'âge de trente ans, l'intégrité du coeur, la
paralysie
de plusieurs nerfs cra- niens, la fugacité des
on DE syphilis DU système nerveux central BEVL- tant l'aspect d'une
paralysie
générale tabétique; par M. BRASCH. (Neurol. Cen
uperstition. (Reo. méd. de la Suisse Romande, 1891.) G. DENY. IX.
Paralysies
hystériques provoquées par la crainte DES exame
ui par crainte de ses examens a eu, en cinq accès, quatre crises de
paralysie
hystérique de l'un ou de l'autre bras, directem
idée de l'électricité. (Rev. méd. Suisse Romande, 1891.) G. D. X.
Paralysie
hystérique CHEZ UN garçon de treize ANS. SUGGES-
oïdien : en effet, dans quelques cas d'aliénation mentale, comme la
paralysie
générale, cas dans lesquels se rencontrent le p
ts du bras droit et quelques symptômes d'aphasie. Ces phénomènes de
paralysie
s'accentuent et le lende- main le malade présen
de paralysie s'accentuent et le lende- main le malade présente une
paralysie
complète du côté droit. Deux jours après l'extr
oteurs sont peut-être le rouage intermédiaire. P. K. XXIII. DE la
paralysie
spinale SYPHILITIQUE; par W. Erb. (Neurolog. Ce
ndrait à admettre comme type l'existence d'une sclé- rose latérale (
paralysie
'spinale spasmodique), presque toujours liée à
s spinales syphilitiques, cette 270 REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE.
paralysie
spasmodique peut-elle être considérée comme un ty
précis ? C'est une question d'autopsies. - P. K. XXIV. UN CAS DE
PARALYSIE
BULBAIRE SANS LÉSIONS ANATOMIQUES; par H. SÉN :
ntralbl., 1892.) Diagnostic par exclusion. P. K. XXVII. UN cas DE
paralysie
traumatique bilatérale dans LE domaine du plexu
cales. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 271 XXVIII. UN CAS DE
PARALYSIE
ISOLÉE DU NERF MUSCULO-CUTANÉ AVEC REMARQUES SU
TE communication; par BERN- IIARDT. (Neurolog. Centralbl., 1892.)
Paralysie
isolée du biceps droit par compression du nerf mu
eux jours après, trismus, convulsions cloniques du masséter gauche,
paralysie
du facial gauche entier, contracture du masséter
us petit effort. On cons- tate à cette époque : cicatrice pénienne,
paralysie
réflexe despupilles avec myosis, hypoalgésie et
ntiment en modifiant l'activité. Ce sont des faits à rapprocher des
paralysies
psychiques. Chez l'homme arrivé à l'âge mûr, M.
roche de la faiblesse irritable limitée des cas précédents et de la
paralysie
agitante typique. M. Edinger. Moelle épinière a
érimentaux. A petites doses, en tous ces cas, il y a en même temps,
paralysie
sensorielle et in- tellectuelle, conjointement
'hyperexcitabilité motrice ; quand l'intoxication progresse, il y a
paralysie
du système locomoteur. C'est avec le nitrite d'
ensorielles et intellectuelles, mais en même temps se développe une
paralysie
motrice centrale progressive. La genèse des p
veloppe une paralysie motrice centrale progressive. La genèse des
paralysies
du système moteur est propre à tous lespoisons
affaiblissement permanent de l'activité volontaire, ainsi que la
paralysie
motrice aiguë, d'origine centrale. Le thé, au con
atteints. L'affection débute à la première année de la vie, par une
paralysie
, à marche subaiguë ou chronique, des muscles 28
des enfants ne dépassa l'âge de cinq ans ; ils furent tués par une
paralysie
des muscles du tronc avec lésion secondaire des
. La dyspnée passée, huitjours après cet accident ; on constate une
paralysie
de la branche supérieure et de la branche moyen
oite avec diffi- culté de la mastication et de la déglutition ; une
paralysie
de la corde vocale droite. Le nerf laryngé est
ique à la suite d'un coryza, amenant la mort en quelques heures par
paralysie
des centres respiratoires. - L'autre observation
dent. Le onzième jour coma grave avec 42 pulsations, acci- dents de
paralysie
et d'excitation de tout le côté gauche du corps.
s sur le compte de la tare dégénérative déjà signalée. Rareté de la
paralysie
générale. ' . - Comment faut-il assister et tra
e. En premier lieu, H n'y avait pas la plus légère manifestation de
paralysie
; l'intellect de l'enfant n'était pas fortement
ompris le rapport du cas, parce qu'il n'y avait pas de symptômes de
paralysie
; il y avait quelques contractures des muscles;
eulement aux aliénistes, mais encore aux psychologues. P. S. VII.
Paralysies
et contractures hystériques; par Paul RICHER, 9 v
gardent toujours leur yaleur propre. M. Richer ne s'occupe que des
paralysies
et des contractures permanentes, et laisse de c
uvrage est divisé en deux parties : dans la première, il étudie les
paralysies
et les contractures hysté- riques en général; d
atisme et enfin des im- pressions morales. La symptomatologie des
paralysies
est exposée avec de grands détails. M. Richer d
l'amyosthénie, qui n'est qu'un léger degré de la 'paralysie; 2° la
paralysie
vulgaire qui répond aux cas les plus communémen
ie vulgaire qui répond aux cas les plus communément observés; 3° la
paralysie
par sup- pression des mouvements coordonnés (as
ant ensuite à la physiologie pathologique des con- tractures et des
paralysies
hystériques, défend l'opinion que la contractur
sacrées au traitement, M. Richer aborde l'étude des contractures et
paralysies
localisées, monoplégies, hémiplégies, paraplégi
onoplégies, hémiplégies, paraplégies, quadriplégies, puis celle des
paralysies
et contractures partielles proprement dites, tell
, l. XXV. 20 306 BIBLIOGRAPHIE. ture, la coxalgie hystérique, les
paralysies
et contractures du dia- phragme, celles du lary
asie, les vomissements, la tympanitc, le spasme anal, et enfin, les
paralysies
à contractures des organes génito-urinaires.
ns chaque variété. Les dysbasies motrices peuvent être akinétiques (
paralysies
), parakinétiques (convulsions), hyperkiné- tiqu
ulaires), para- trophiques (dystrophies musculaires, arthropathies,
paralysie
agi- tante), et hypertrophiques (maladie de Tho
use, comme dans la sciatique, ou paralytique comme dans certaines
paralysies
partielles, dans la paralysie infantile, dans l'h
ou paralytique comme dans certaines paralysies partielles, dans la
paralysie
infantile, dans l'hémiplégie flasque hystérique
de Friedreich est à la fois titubante et ataxique, que celle de la
paralysie
générale est titubante et paralytique, etc. Les
issement - névrosique du cerveau. Il insiste en particulier sur les
paralysies
des yeux, et sur leur valeur sémeiologique dans
e de l'évolution, de la symptomatologie et du trai- tement de cette
paralysie
, ils viennent encore confirmer ce que notre ill
y avait une différence de volume auparavant. Au dire du malade, la
paralysie
aurait augmenté depuis son apparition. Le premier
ments de sa maladie. Examen du membre supérieur droit. Motilité. La
paralysie
atteint tous les muscles de la main, de l'avant
ts. Quand la main est en pronation,"elle est tombante comme dans la
paralysie
radiale; quand elle est en supination, les doig
peut-être due au spasme vasculaire). C'est ce que l'on voit dans la
paralysie
radiale vulgaire. Seulement ici, c'est total.
, car d'après une lettre qu'il a écrite à un malade de sa salle, la
paralysie
est rede- venue complète. Il s'agit ici d'un
veillé, consciemment ou inconsciemment, dans son cerveau, l'idée de
paralysie
bra- chiale. Cette idée a germé pendant trois o
n pendant de longs mois. De cette comparaison a dû naître l'idée de
paralysie
. Tout à fait singulier chez notre malade est l'
act. Cette monoplégie ressemble, à ce point de vue, beaucoup à la
paralysie
spinale par lésion de la corne antérieure; mais
, ni vertiges, ni céphalalgie, etc., au moment où s'est produite la
paralysie
. Du reste, ce qui lève tous les doutes, c'est l
remarquer, même chez les hystériques hémianesthésiques, obtenir la
paralysie
motrice, sans accompagnement aucun de troubles
es- thésiques, auxquelles j'ai suggéré purement et simplement, la
paralysie
motrice du membre sans rien dire de la sensibilit
ement hystérique et hypnotisable; nous avons provoqué chez elle une
paralysie
brachiale, par suggestion, sans lui suggérer l'
é, anesthésie ou hyperesthésie, tantôt à des troubles du mouvement (
paralysies
et contrac- tions) cet oedème bleu des hystériq
z lui, le malade se déshabille sans diffi- culté ; jusque là pas de
paralysie
. Le lendemain, en se réveillant, son bras droit
, il entra à Saint-Antoine (service de M. Gingeot); on constate une
paralysie
absolue des doigts, du poignet, du coude TROIS
qu'après le retour de sa motilité et beaucoup plus lentement que la
paralysie
motrice. L'électrisation, la balnéation sul- fu
toire de ce malade est la suivante : Il avait dès le début de sa
paralysie
un hémispasme facial du côté gauche, accompagné
e. Après quelques soins, il fut reconduit à pied à son domicile. La
paralysie
du membre supérieur gauche n'a pas cessé d'exis
6° réflexe rotulien un peu brusque, mais pas de trépidation, pas de
paralysie
spasmodique. B. Quant à la paralysie post-traum
s pas de trépidation, pas de paralysie spasmodique. B. Quant à la
paralysie
post-traumatique du membre supérieur gauche, el
membre supérieur gauche, elle présente les caractères suivants :
Paralysie
complète des mouvements, dont l'épaule est le cen
: Paralysie complète des mouvements, dont l'épaule est le centre;
paralysie
incomplète des mouvements d'extension et de flexi
gnostic sur ce point est bien assuré. Mais comment interpréter la
paralysie
du bras qui est sur- venue sous l'influence du
sme a fait naître. A la lésion du plexus doivent être rapportées la
paralysie
du mouvement et la sen- sibilité qui ont suivi
on de la nature orga- nique des lésions auxquelles se rattachait la
paralysie
de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE.
e la monoplégie. Dans six cas, nous avons noté le saturnisme, où la
paralysie
se développait soit après surmenage soit après
rovocatrice avait été la cause occasionnelle du développement de la
paralysie
. Deux malades avaient déjà été atteints de para-
du membre semble avoir quelque influence sur le développement de la
paralysie
, car nous avons vu chez deux malades après un t
bilisation du membre dans un appareil de fracture se développer une
paralysie
; chez qui la simple immobilisation sans trauma
tion sans trauma préalable avait été suffisante po ur provoquer une
paralysie
brachiale. Période de méditation. On entend par
l'apparition de la cause accidentelle jusqu'à la réalisation de la
paralysie
psychique. Dans seize cas, il nous a été imposs
les choses, ont été comme il suit : 384 CLINIQUE NERVEUSE. de la
paralysie
brachiale un autre membre du même côté est plus
7 des attaques d'hystérie; 4 l'ovarie. Résultat du traitement. La
paralysie
hystérique peut dis- paraître spontanément sans
othérapie ou encore d'autres procédés. Dans la majorité des cas, la
paralysie
motrice et sensitive se dissipe ou s'améliore p
deux améliorations ou guérisons et quatre cas sans changement de la
paralysie
. Tels sont les résultats observés dans les dive
XIV, p. 177). 14-16. B,1BINSIiI. De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hys- tériques. (Archives de Neurologie, t. XII,
phique osseux ayant pour siège les vertèbres. On connaît des cas de
paralysie
trophique de l'enfance où les muscles du dos av
principal rôle à cette cause, nous sommes prêt à reconnaître que la
paralysie
des muscles spinaux a eu aussi une certaine act
'elle n'a pas manqué de rendre la déformation plus accentuée; cette
paralysie
a même peut-être fait qu'il ne s'est pas produi
anoïa et les folies à base anatomique comme le» intoxications et la
paralysie
générale (\Ville). En somme, le fond de la mala
allucinations sont rares ; l'aspect du malade est particulier. La
paralysie
générale, même à marche aiguë, s'accompagne de
ipait, mais le délire systématisé persistait. 4° Démence organique,
paralysie
générale, etc. - Un seul para- lytique général
et sur la katatonie en général. R. M.-C. XLIII. Les rapports DE la
paralysie
générale DES aliénés avec la SYPllILIS; par Jac
Les recherches poursuivies par M..Tacobson sur l'étiologie de la
paralysie
générale l'ont amené à conclure que la syphilis e
ntercurrente à laquelle l'a singulièrement prédis- posé son état de
paralysie
: la plus commune de ces maladies ter- minales
Ces cas ne sont pas communs. Des antécédents syphilitiques dans la
paralysie
générale. M. LE- FIr.InTaE donne lecture d'un t
Voisin considère aussi la syphilis comme une cause peu fréquente de
paralysie
générale. (Voir l'opinion de Jacobson, p. 385.)
5.) M. Vallon. Si la syphilis joue un rôle dans l'étiologie de la
paralysie
générale, ce rôle n'est que très secondaire. Il n
t des causes complexes et que la recherche d'une cause unique de la
paralysie
générale sera probablement en palhologie m enta
eptembre 1881); La stigmatisée de S... (Ibid.) ; L'insanité dans la
paralysie
agitante (Congrès de Londres, 1881 (en anglais) e
ie de la puberté ou hébéphrénie (Encéphale, 1884); Hérédité dans la
paralysie
générale (Congrès de Copenhague, 1884) ; -- Ar-
iener lIfediz1l ! sch lVoclaezschrift. Gasnier (A.). - Etude sur la
paralysie
faciale hystérique. Vol. in-8" de 156 p., avec
on pouvait par une analyse minutieuse faire le diagnostic entre une
paralysie
organique et une paralysie proprement hystériqu
minutieuse faire le diagnostic entre une paralysie organique et une
paralysie
proprement hystérique 2. Les com- mémoratifs, l
s évident qu'il serait ridicule d'interpréter psychologiquement une
paralysie
avant d'avoir démontré par les analyses précéde
agnostic et d'analyse des maladies nerveuses. Il a montré que cette
paralysie
pouvait se reproduire par sug- gestion soit che
sprit du sujet une idée et une émotion analogues produi- saient des
paralysies
tout à fait identiques dans leurs carac- tères
accidents naturels'. « Bans certaines circonstances, disait-il, une
paralysie
pourra être produite par 'Une idée"'... En rais
localisés comme les précédents, des hyperesthésies, des tics, des
paralysies
, des spasmes ne semblent en relation avec au- c
é- doublement de la personnalité. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS.
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. Par le D' CHABIlERT, de T
ds ébranlements psychiques. Les auteurs classiques affirment que la
paralysie
agitante et le tremblement sénile débutent quel
es.- Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 300.
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. 439 Le cas de paralysie a
isme, t. I, p. 300. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 439 Le cas de
paralysie
agitante que nous publions répond, dans une cer
sure, aux desiderata formulés par M. Pitres. Il établit : 1" que la
paralysie
agitante peut s'observer chez un individu ayant
enté des manifestations convulsives de nature hystérique; 2° que la
paralysie
agitante peut coexister avec des stigmates hyst
il existe un peu d'endolorissement et la fatigue arrive de suite.
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. 441 Jusqu'en septembre, a
Fig. 52. Reproduction d'un croquis fait par M. le D' Lafforâue.
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. 443 mate. La tête, néanmo
ement si, par exemple, le maladu Fig. 51. . Fig. 55. Fig, 56.
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. 445 tient sa main forteme
gauche, 35. La mensura- tion fournit les résultats suivants : -.
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. 447 mais il y a de la dys
emblement. Donc, au point de vue des symptômes réputés propres à la
paralysie
agitante, le cas est des plus classiques, l'on
rès grande Fig. 57. Rétrécissement. Champ visuel de Joseph G...
PARALYSIE
AGITANTE ET HYSTÉRIE. 449 l'obnubilation de l'o
e écartée d'emblée, car on n'a cons- taté ni ictus apoplectique, ni
paralysie
motrice ; aussi, pouvons- nous considérer les u
confrère et ami, M. le Dr Olivier, nous obser- vons un autre cas de
paralysie
agitante où l'examen campimétrique pra- tiqué p
et des fléchisseurs de la main exagérés. En somme, cas vulgaire de
paralysie
agitante en voie de développement, dont tout l'
plement superposition de deux névroses, ou bien si l'hystérie et la
paralysie
agitante ne sont ? en réalité qu'une seule et mêm
de reconnaitre que les symptômes ressortissant à l'hystérie et à la
paralysie
agitante, si l'on en excepte la rigi- dité musc
stigmates habi- tuels ont coexisté avec les signes essentiels de la
paralysie
agitante. Or, toutes ces particularités ne sign
fet sédatif suffi- sant. J. Séglas. II. DE la trépanation dans la
paralysie
générale; par le Dr MAGNER. 11 existe, dans l
dans la paralysie générale; par le Dr MAGNER. 11 existe, dans la
paralysie
générale une quantité anormale de liquide dans
heureux, l'auteur conclut à l'opportunité de la trépanation dans la
paralysie
générale, et pense qu'au moyen de cette méthode
omnie, dans la période d'exaltation de la folie circulaire, dans la
paralysie
générale, l'hyoscine rend, lorsqu'elle est bien
ffet. On la trouvera utile, au contraire, dans le tremblement de la
paralysie
agitante et dans l'alcoolisme chronique. L'ab
ses vues personnelles. R. M.-C. LŸXIII, Quelques cas anormaux de
paralysie
générale ; par BOVVILLE BRADLEY Fox. (The Journ
urnal of Mental Science, juillet 1891.) Il s'agit de quatre. cas de
paralysie
générale remarquables à divers titres; le premi
aral- 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lèlement, les symptômes de
paralysie
du mouvement qui produi- sent l'asymétrie et le
Najotte, interne des hôpitaux, pour sa thèse sur les Ropports de la
paralysie
générale avec le tabes. Une mention hono- rable
du même asile, pour son Élude du trem- blement de la langue dans la
paralysie
générale. Prix Bel.homme.-111. Séglas, rapporte
tent le cas patholo- gique suivant : chez une malade atteinte d'une
paralysie
faciale périphérique ex otitide, l'examen micro
ut de l'affection mentale. M. NEISSER présente un malade affecté de
paralysie
progressive avec complications d'atrophie muscu
par les symptômes suivants : trouble de la connaissance; 'délire;
paralysie
plusieurs nerfs crâniens ; aphasie, et qui n'étai
ian de l'hémisphère cé- rébral dans ses couches superficielles; des
paralysies
flasques mais surtout avec rigidité, des rigidi
membres inférieurs, tantôt hémiplégique, tantôt généralisée; les
paralysies
, les chorées peuvent manquer, et c'est cette vari
, 142; troubles du langage chez les aliénés, par Séglas, 302; z
paralysies
et contractures hystéri- ques, par Richer, 304;
ossolimo, 133 : défi- nitions récentes del ? par Ja- net, p. 17; -
paralysie
agitante et -, par Chabbertï 'r81 ; - à deux,
be. 260. ' 1'.%IESTII,Slr des extrémités, par La- quer, 28 Í.
Paralysie
, agitante et hystérie, par Chabbert, 438; ascen
ion (délire de) par Falret, 118; J. Voisin, 395. Plexus brachial,
paralysie
limitée du -, par Bernhardt, 270. Pliomyélite
lements chez les vieillards, par Sacaze, 267. Trépanation dans la
paralysie
géné- rale, par Wagner, 451. Trijumeau, racin
el (appareil), réaction galva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux,
paralysie
chronique des muscles des -, par Siemerling,
. Par le Dr E. NEU11AN.1. Lorsque chez un individu atteint d'une
paralysie
faciale périphérique, l'hémiplégie ne peut être
t. Il est d'ailleurs incontestable que, dans un certain nombre de
paralysies
faciales, dites a (l'igol'e ou appe- lées encor
ellement invoquées par les malades pour expli- quer l'origine de la
paralysie
. Bérard a pensé que dans ces cas il se produisa
ns des points différents, suivant le plus ou moins de gravité de la
paralysie
. Ainsi, dans les cas légers, la lésion serait h
eptique. Trousseau, dans sa clinique, rapporte une observation de
paralysie
faciale produite instantanément chez un individ
cousse nerveuse, ni le froid; l'origine du mal reste inconnue et la
paralysie
faciale semble alors spontanée. Quoi qu'il en s
parente ou qu'elle semble se produire spontanément, il est, DE LA
PARALYSIE
FACIALE. Il suivant nous, une condition indispe
l'a étayée sur de nombreux documents empruntés à la clinique. La
paralysie
faciale dite a frigore ne fait pas exception à
trouvaient pas un terrain préparé d'avance. L'individu atteint de
paralysie
faciale est un névro- pathe ; il porte en lui d
l'a appelée M. Ch. Féré. Ces considérations sur l'étiologie de la
paralysie
faciale dite a frigore ne sont pas une simple v
parmi ceux qu'il nous a été donné d'observer; c'est l'ensemble des
paralysies
fa- ciales que nous avons eu à traiter depuis s
avons personnellement étudiés, ce n'est pas que les observations de
paralysies
faciales a frigore soient rares dans la littéra
édité. Dans tous les faits rapportés dans ce travail il s'agit de
paralysies
faciales périphériques, sine naateria, portant
soixante-cinq ans, bien portant ; mère morte, il y a quatre DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 5 ans, nous dit-il, d'une affection ne
huit mois ; un frère, aujourd'hui âgé de vingt-deux ans, a eu de la
paralysie
infan-. tile à l'âge de cinq ans ; un autre frè
voir fait des excès alcooliques et vénériens; pas de syphilis. La
paralysie
faciale pour laquelle il vient nous consulter le
ru à gauche. L'oeil gauche ne se ferme pas ; épiphora. En un mot,
paralysie
complète du nerf facial gauche. Le malade se plai
'est dans ces conditions qu'il a été pris, le 4 janvier 1882, d'une
paralysie
faciale du côté droit, sans qu'il puisse se rap
un refroidissement pendant les quelques jours qui ont précédé. La
paralysie
faciale est totale et porte sur toutes les branch
F... a eu souvent des crises convulsives de nature hystérique. La
paralysie
faciale qui occupe le côté gauche porte sur tous
s dans la région mastoïdienne gauche qui ont apparu la veille de la
paralysie
et ont persisté pendant quatre jours. Réactions
santé, cependant elle est très nerveuse et très impressionnable. La
paralysie
faciale droite dont elle est atteinte est surve
s, nous est adressé le 3 juin 1883.- Antécédents de famille : DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 7 Père mortparalytiquegénéral; mère né
de la neurasthénie pas de syphilis; - pas d'excès alcooliques. La
paralysie
faciale qui date de cinq jours occupe le côté d
les ne subissent aucune modifica- tion pendant toute la durée de la
paralysie
dont il ne reste plus de trace au bout de deux
ts personnels : Nervosisme très marqué. Convulsions dans l'enfance.
Paralysie
faciale du côté gauche datant d'il y a liuitjou
hyse mastoïde; le surlendemain se manifestent tous les signes de la
paralysie
faciale du coté gauche ; l'hémiplégie est totale.
une parfaite santé; l'autre, qui vient d'avoir neuf ans, a eu de la
paralysie
infantile à la suite de laquelle il lui est res
re claudication de la jambe droite. , 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. La
paralysie
faciale pour laquelle Mme F... vient nous con-
x ans. Antécédents héréditaires : Père atteint depuis quatre ans de
paralysie
agitante ; un oncle paternel a un tic convulsif
avril 1886) sans cause appréciable pour lui, il a été frappé d'une
paralysie
de la face du côté gauche, paralysie périphériq
our lui, il a été frappé d'une paralysie de la face du côté gauche,
paralysie
périphérique portant sur toutes les branches du
u la bonne fortune de recueillir à la Salpêtrière à la con- DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 9 sultation de M. le professeur Charco
r Charcot (26 avril 1887), l'histoire bien curieuse de trois cas de
paralysie
faciale a frigore survenus chez des membres de
l, 1887), soit' trois mois après le début de l'affection avec une
paralysie
faciale incomplètement guérie. La contractilité
... a eu, il y a quatre ans, à la suite d'un refroidisse- ment, une
paralysie
faciale du côté gauche; la guérison n'a pas été
ns, employé, a eu, à l'âge de treize ans à la suite d'un froid, une
paralysie
, faciale droite qui a duré environ cinq mois et
a un an, nouvelle hémiplégie faciale du même côté ; cette dernière
paralysie
de la septième paire a guéri au bout d'un mois
prépondérant de la tare nerveuse héréditaire dans l'étiologie de la
paralysie
faciale a frigore. En présence de ces trois par
iologie de la paralysie faciale a frigore. En présence de ces trois
paralysies
faciales survenues chez les membres de la même
ire est manifeste et indéniable; il nous reste maintenant à DE LA
PARALYSIE
FACIALE. il 1 faire la relation ' de 5 autres c
estations nerveuses qui, chez la plupart, ont pré- cédé ou suivi la
paralysie
faciale, la coexistence d'autres états morbides
ie de faits, nous sommes sur le terrain de la névropathie et que la
paralysie
faciale, loin de constituer chez nos malades un
tique depuis plusieurs années déjà. Il y a huitjours (12 mai 1885),
paralysie
faciale survenant brusquement ; la malade ne s'
ne sait à quelle cause imputer l'hémiplégie. Il s'agit bien d'une
paralysie
périphérique complète portant sur tous les muscle
s'être exposé au froid, qu'il a été pris, il y a cinq jours, d'une
paralysie
de la septième paire occupant le côté gauche de
) ; c'est donc pour la troisième fois que M. D... est atteint d'une
paralysie
de la septième paire. Tous les muscles innervés
e porter un pronostic très favorable. Au bout de trois semaines, la
paralysie
avait totalement disparu. Observation XVI. M. M
assez longtemps et qui a à peu près disparu aujourd'hui. , DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 13 Le 25 mars 1886, M. M... a été expo
douleurs vives au niveau de l'apophyse mastoïde ; le surlendemain,
paralysie
du nerf facial droit; la paralysie est complète
se mastoïde ; le surlendemain, paralysie du nerf facial droit; la
paralysie
est complète. Abolition de la contractilité farad
nsiblement au mois de décembre, soit neuf mois après le début de la
paralysie
; les muscles se contractaient normalement sous
du système nerveux et sans autre cause apparente qu'est survenue la
paralysie
faciale. Elle date déjà de six semaines quand n
e six semaines quand nous voyons le malade pour la première fois.
Paralysie
complète de toutes les branches de la septième
ant de février dernier, c'est-à-dire neuf mois après le début de la
paralysie
. Les faits cliniques que nous venons de relater
rveuse dans l'étiologie de l'hémiplé- 14 PATHOLOGIE NERVEUSE. DE LA
PARALYSIE
FACIALE. gie faciale friore et pour faire resso
friore et pour faire ressortir les liens étroits qui unissent cette
paralysie
aux autres maladies du système nerveux et, en p
ccès dégoutte chez le goutteux, de même le froid peut provoquer une
paralysie
faciale chez le névro- pathe ; mais ce n'est là
et chaque fois qu'on se trouve en présence d'un sujet atteint de
paralysie
faciale, survenue en dehors de toute lésion org
r une hémiplégie de la face. Affection essentiellement nerveuse, la
paralysie
fa- ciale rhumatismale doit donc être définitiv
encore un grand nombre de névroses; confondue alors souvent avec la
paralysie
agitante, on en trouve encore des observations
ne s'agit là ni d'épilepsie procursive ni de chorée, niais bien de
paralysie
agitante. 1 Tulpius. 06 ! e''M. naéd. Amsterdam
ou de spasmes coordonnés, nous paraissent se rapporter plutôt à la
paralysie
agitante qu'à l'épi- lepsie procursive : tous c
u de la rue, éprouva au mois de juillet 1836 unenouvelle attaque de
paralysie
du côté gauche de laface avecperte du sentiment
raitement des maladies nerveuses, ,1811, p. 32.) RECUEIL DE FAITS
PARALYSIE
GÉNÉRALE. ALCOOLISME CHRONIQUE. TROUBLES TABÉTI
TS PARALYSIE GÉNÉRALE. ALCOOLISME CHRONIQUE. TROUBLES TABÉTIQUES;
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONFIRMÉE. LÉSIONS DE DÉNUTRITION ;
teignent une à une; et il y a quelque chose de très spécial dans la
paralysie
générale, c'est que l'individu tombé dans le ma
e-de cinquante degrés et fait une énorme 80 RECUEIL DE FAITS. DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. saillie sous la peau. - C'est le plus
xemple qu'on puisse présenter des conditions de dénutrition dans la
paralysie
générale et, en particulier, du système osseux.
athologique osseux, mais dans l'ataxie locomotrice. - Mais, pour la
paralysie
générale, il est certain, et nos investigations
ent, et à toute force, voir une méningo-encéphalite diffuse dans la
paralysie
générale, pour prouver la dénutrition de l'orga
er pourquoi tous les auteurs parlent de méningo-encéphalite dans la
paralysie
géné- rale lorsque eux-mêmes, dans leurs observ
(OEuvl'es complètes, t. III), Rey Régis (de Montpellier,) parle de
paralysies
motrices dé- pendant de la perte du « souvenir
es. D'après Leroy d'Etiolles et Becquerel, Sandras con- naissait la
paralysie
du sentiment musculaire et on faisait mention d
s musculaire « sens du mouvement ». Landry dans ses mémoires sur la
paralysie
du sentiment de l'activité mus- culaire en 1852
ouvement après que la force a exercé son action. Landry (Traité des
Paralysies
, 1859), s'appuyant sur des données pathologique
ndamental des mouvements volontaires. Par contre l'étude des cas de
paralysie
psychique, portant uniquement sur le mouvement,
ilité consécutive à la destruction des centres moteurs est due à la
paralysie
du sens musculaire. Le fait de la restauration
llaire, car dans ce cas l'anesthésie se réduit à une parésie, à des
paralysies
partielles intéressant tel ou tel mode de sensi
anesthésie alterne, l'autre bras ne serait pas épargné; il y aurait
paralysie
motrice, hyperesthésie et troubles trophiques d
rut LI ente-six heures après sa naissance. S. V. Note sur UN cas DE
paralysie
radiculaire spontanée du PLEXUS brachial; par l
s, sans antécédents héréditaires, qui présentait du côté gauche une
paralysie
avec atrophie des muscles deltoïde, biceps, bra
es à leur point d'envergure entre les scalènes : tvpo supérieur des
paralysies
radiculaires du plexus brachial. Les paralysies
tvpo supérieur des paralysies radiculaires du plexus brachial. Les
paralysies
de cette nature se produisent habituellement so
oint le plus important est la preuve donnée que la cause des cas de
paralysies
extensibles, de types très variés, est l'inflam
ulement, sans que les centres nerveux soient touchés. Les formes de
paralysies
par suite de névrites multiples n'ont pas été d
aît graduellement une faiblesse motrice et dans les mauvais cas une
paralysie
complète dont souffrent davantage les extrémité
u près exclusivement chez les hystériques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 117
Paralysie
générale avec délire hypochondriaque et attaques
empêcher de juger du niveau mental des malades. Le diagnostic de la
paralysie
générale ne pouvait, dans l'espèce, qu'être sou
de la certitude. M. Magnan ne croit pas qu'il y ait certitude de
paralysie
géné- rale : l'inégalité pupillaire et l'eschar
Par H. RENDU, médecin agrégé de l'hôpital Necker. La réalité des
paralysies
hystéro-traumatiques n'est plus aujourd'hui à d
culaire, tantôt par une contracture rigide, le plus souvent par une
paralysie
flasque. Il n'est pas besoin pour, produire ces
ns cette note, n'est pas de reve- nir sur l'histoire générale de la
paralysie
psycho-trau- matique, mais d'insister sur certa
nce est peu évidente. Nous voulons parler, plus spécialement, de la
paralysie
partielle limitée à la main et à une portion de
LES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 1 j ! ) soient les plus communes parmi les
paralysies
psy- chiques d'origine traumatique. Elles affec
ue, prouvent d'une façon presque absolue la nature psychique de ces
paralysies
. Le premier con- siste dans la circonscription
nt la réaction de dégénérescence, quelle que fût l'ancienneté de la
paralysie
. D'ordinaire, avons-nous dit, la monoplégie bra
ourants continus, cette con- tracture disparaît et fait place à une
paralysie
flasque fonctionnelle, laquelle dure deux ans e
uer que dans ce fait, ainsi du reste que dans la plupart des cas de
paralysie
psycho-trau- matique, il n'y a pas une corrélat
que, il n'y a pas une corrélation immédiate ni instantanée entre la
paralysie
(ou la contracture) et le choc. C'est d'ordinai
nent que tardivement : on dirait que le malade prépare et médite sa
paralysie
: l'expression est-de M. Charcot. Cela est si
ent traumatisme. Le relevé des observations les plus con- nues de
paralysie
du membre supérieur est, à cet égard, singulièr
er qui, tombant de son siège, se contusionna fortement l'épaule. La
paralysie
du mou- vement et de la sensibilité survint cin
rurgie, 29 mai 1883. f83 PATHOLOGIE NERVEUSE. est d'autres où la
paralysie
a succédé à un trauma- tisme insignifiant. Ains
antes, des stigmates de l'hystérie. A côté du fait matériel de la
paralysie
, on retrouve les principaux traits de la névros
tances où le diagnos- tic s'impose en quelque sorte; c'est quand la
paralysie
partielle est manifestement consécutive à une a
nts continus de la nuque à l'avant- bras ; disparition rapide de la
paralysie
et de l'anesthésie, per- sistance de l'hypérest
ctionnelle de tout le bras, avec des mouvements choréiformes, et la
paralysie
sensi- tivo-motrice de la main et du poignet es
dans une attaque et se fait une ecchy- mose légère. Il survient une
paralysie
en manchette de l'avant-bras (sensibi- lité e
en manchette de l'avant-bras (sensibi- lité et mouvement). Cette
paralysie
monte jusqu'au coude. Disparition su- bite de
Cette paralysie monte jusqu'au coude. Disparition su- bite de la
paralysie
le 5 janvier au réveil. » Il est regrettable qu
vation de M. Berbez ne donne pas plus de détails sur cette dernière
paralysie
localisée à l'avant-bras et à la main : toutefo
t elle qui semble avoir déterminé la localisation de cette dernière
paralysie
. Il se passe là des phénomènes absolument compa
cette im- pression persiste et engendre la notion cérébrale d'une
paralysie
plus ou moins durable. L'observation suivante q
étermine, en même temps que des phénomènes d'hystérie générale, une
paralysie
partielle sensitivo- motrice de la main et de l
l'avant-bras gauche. Chez cette malade comme chez le précédent, la
paralysie
semble avoir été la première manifestation d'un
re sans hésitation, d'affirmer la na- ture psycho-traumatique de la
paralysie
. Voici mainte- nant un fait encore plus curieux
ie eût été inexplicable, et même avec les notions actuelles sur les
paralysies
psychotraumatiques, nom- bre de médecins hésite
ommande, même lorsqu'elle a les yeux fer- més. Il n'y a donc pas de
paralysie
, au sens propre du mot. 11 n'y a pas non plus d
e à type spinal, fortement entaché d'hypochondrie et. atteint d'une
paralysie
fonctionnelle sans atrophie musculaire et sans
bénéfice de la santé générale, mais sans aucune amélioration de la
paralysie
locale, qui garda les mêmes caractères que le p
tre ans, à se produire. Nous avons vu que c'est la règle pour les
paralysies
psychotraumatiques : néanmoins la durée des acc
ré tous les caractères que l'on retrouve toujours eu pareil cas; la
paralysie
motrice incomplète, associée à la conservation
ette dernière variété d'anesthésie (qui peut manquer dans certaines
paralysies
hystériques) a une valeur considérable quand on
e caractère typique qui à lui seul suffisait pour faire affirmer la
paralysie
nerveuse, à savoir la terminaison brusque en ma
qui ne militent en faveur de l'origine purement nerveuse de cette
paralysie
. L'anesthésie qui pendant près d'un mois avait
une hystérie grave, avec perte de connaissance, anesthésie diffuse,
paralysie
plus ou moins générali- sée : la monoplégie qui
t, mais l'hystérie se révèle par ses stigmates habituels. Enfin, la
paralysie
partielle peut constituer l'unique manifestatio
er lieu à des erreurs de dia- gnostic et être considérées comme des
paralysies
pé- riphériques liées à des névrites partielles
econ- naîtra toujours leur véritable nature en considérant que la
paralysie
motrice est en général beaucoup moins prononcée
mois, achèvera la démonstration de la nature névropathique de ces
paralysies
fonctionnelles. NOTE ADDITIONNELLE Au moment
e, est atteinte d'une impotence fonction- nelle du bras droit, sans
paralysie
motrice véritable, mais avec une anesthésie et
du plexus brachial, car il y aurait de l'atrophie muscu- laire, une
paralysie
motrice complète, une anesthésie moin- dre, des
ertain degré d'atrophie muscu- laire n'est pas incompatible avec la
paralysie
hystérique, et d'ailleurs cette lésion paraît a
egistre purement et simplement sa guéri- son. Or, l'hypothèse do la
paralysie
et de l'analgésie hysté- riques, qui dans ce ca
nt de se manifester par l'un de ses symptômes capitaux, à savoir la
paralysie
motrice. Par exclusion, et faute d'explication
. II. Rendu. PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES SUR L'ÉTIOLOGIE DE LA.
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ L'HOMME; Par le Dr Jules CHRIST
IAN, Médecin dc In Afaison nationale de Charenton. Dans l'article
Paralysie
générale que mon col- lègue Ritti et moi nous a
ue des sciences médicales, nous avons pu dire : « L'étiologie de la
paralysie
générale, malgré « les documents accumulés, est
lètement de côté tout ce qui a trait à la 206 PATHOLOGIE MENTALE.
paralysie
générale chez la femme, me bornant stricte- men
ette étude singulièrement complexe et difficile, c'est que, dans la
paralysie
générale comme dans toute autre maladie 'mental
importance de ce pro- blème. Si, en effet, il était démontré que la
paralysie
générale n'est apparue qu'au commencement du si
i ont agi de toute éternilé; il est donc infiniment probable que la
paralysie
géné- rale elle-même a toujours existé. C'est m
a toujours existé. C'est mon entière conviction. Il est arrivé à la
paralysie
générale ce qui s'est produit pour d'autres mal
ui s'est produit pour d'autres maladies (la fièvre typhoïde DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 207 par exemple), qui, elles aussi, o
'entité morbide qu'à une époque rapprochée de nous. Encore, pour la
paralysie
générale, quelques-uns de ses symptômes ont été
à la diète, saigné à blanc; en quelques jours il avait disparu. La
paralysie
générale ne pouvait con- quérir sa place légiti
fréquence. Calmeil le croit. Après avoir constaté d'a- bord que la
paralysie
générale entrait pour -^- dans le chiffre des h
. Je n'en serais pas étonné, car j'incline à croire moi-même que la
paralysie
générale devient réelle- ment plus fréquente. J
éduirai les raisons plus loin. -t' Age. Bayle disait : « Elle (la
paralysie
générale, « ou comme il l'appelait, la méningit
e, « d'acquérir de la fortune, des honneurs et des places, DE. LA
PARALYSIE
GENERALE. 2()9 « il est essentiellement dominé
confirmée depuis, par tous les observateurs; il reste établi que la
paralysie
générale est une maladie de l'âge mûr; elle fra
ans. Toutes les statistiques sont d'accord sur ce point; les cas de
paralysie
générale précoce (avant 25 ans), ou tardive (ap
ient encore plus forte, et nous serons obligés d'admettre que «la
paralysie
générale frappe de préférence les hommes mariés
éoc- cupations, d'inquiétudes, qui, tout compte fait, coin- DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 211 pense et au delà les inconvénient
squ'à la plus élevée, dans laquelle on ne rencontre des exemples de
paralysie
générale. Ainsi, à 119aréville, sur 84 malades,
ofessions dans le tableau suivant : 212 PATHOLOGIE MENTALE. DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 213 Ce tableau ne peut avoir pour sig
e montrer, contrairement à une opinion généralement reçue, que la
paralysie
générale n'est pas exclusive aux hommes des cla
ite, mais en pleine période d'activité. Remarquons aussi que, si la
paralysie
générale est fréquente dans l'armée, elle l'est
ivi les événements de 1870-71, le nombre des militaires atteints de
paralysie
générale était devenu plus considérable; les év
ement à croire, depuis les travaux de Lunier et Doutrebente, que la
paralysie
générale n'est pas héréditaire à la façon de la
la folie proprement dite, que son hérédité est une hérédité DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 215 de tendances congestives ou céréb
e convaincu que l'alcoolisme n'est que très rarement la cause de la
paralysie
générale. Il est vrai que presque tous les para
ue certains alcooliques finissent par présenter les symptômes de la
paralysie
générale : ne serait-ce pas la pseudo-paralysie
érale alcoolique, dont la marche diffère notablement de celle de la
paralysie
générale classique ? Excès vénériens. =Ce que
en Irlancle, où cependant l'alcoolisme est très répandu. ' DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 217 se montraient en réalité, depuis
de leur existence, la syphilis. De là à attribuer à la syphilis la
paralysie
générale elle-même, il n'y avait qu'un pas, qui
rmine des accidents qui peuvent jusqu'à un certain point simuler la
paralysie
générale (psczcdo- paralysie générale syphiliti
jusqu'à un certain point simuler la paralysie générale (psczcdo-
paralysie
générale syphilitique) . En réalité, je ne puis
lysie générale syphilitique) . En réalité, je ne puis croire que la
paralysie
géné- rale soit jamais de nature syphilitique.
ent le fonctionnement du cerveau; mais la méningo-encéphalite de la
paralysie
générale n'est pas une altération de nature syp
enveloppes, puis aux os. Jamais rien de pareil ne se voit dans la
paralysie
générale, dont les lésions anatomiques ont touj
si éner- gique et si bien conduit qu'ait été le traitement, DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 219 jamais je n'ai vu la paralysie gé
le traitement, DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 219 jamais je n'ai vu la
paralysie
générale enrayée dans sa marche. Il y a mieux
rche. Il y a mieux : quand, en même temps que les symptômes de la
paralysie
générale, existaient chez le malade des altérat
rincipale. C'est donc chez moi une conviction absolue, que, si la
paralysie
générale atteint souvent d'anciens vérolés, ell
a syphilis : je n'ai jamais trouvé que les lésions classiques de la
paralysie
géné- rale. Traumatismes du crâne. Je les ai
te traumatique du coude). Je con- nais des faits similaires pour la
paralysie
générale : chez un malade, il y avait eu, deux
étant égaré pendant la nuit dans une tourmente de neige, ne DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 221 retrouva son chemin qu'au matin.
ue ces causes aient dû exercer une influence prédispo- sante à la
paralysie
générale, même lorsque celle-ci n'a éclaté que
ler, ou d'autres du même genre, peu- vent déterminer directement la
paralysie
générale. On sait qu'à la suite de certaines af
lement dans les membres inférieurs, le voile du pa- lais, etc. Ces
paralysies
généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE
première fois par Gubler, n'ont absolument rien de commun avec la
paralysie
générale; elles sont d'une tout autre nature et
n bien éta- blie, il ne me paraît pas impossible cependant que la
paralysie
générale survienne peu de temps après une malad
oses de quinine. Il eut de la peine à se remettre ; la cou- DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 223 valescence fut interminable, et o
elle : l'ataxie tenant à une sclérose de la moelle épinière et la
paralysie
générale s'accompagnant d'une sclérose du cerve
e paraît justifiée en aucune façon. Cliniquement d'ail- leurs, la
paralysie
générale ne survient que très rare- ment chez l
èle de la i Bulletin de la Soc. de médecine de Paris, 1879. DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 225 face consécutif. A peine remis, i
it-il unrappoit t à établir entre l'abcès du siuus maxillaire et la
paralysie
générale : c'est ce que je me suis souvent dema
me suis souvent demandé. En résumé, la question des rapports de la
paralysie
générale avec les affections aiguës, ou chroniq
lles que nous avons données, le D' Hitti et moi, dans notre article
Paralysie
générale, du Dictionnaire de Decliambre. DE L
article Paralysie générale, du Dictionnaire de Decliambre. DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 227 t Le cas suivant est encore plus
it quelques mois après. Déjà V... donnait des signes non douteux de
paralysie
générale : des attaques épileptiformes l'emport
- gent de l'oeil du côté blessé. Vers 1882, premiers signes de la
paralysie
générale à laquelle il succomba trois ans plus
trent 1 Elle a été reproduite récemment dans une thèse. r DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 229 que dans l'étiologie de la paraly
èse. r DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 229 que dans l'étiologie de la
paralysie
générale, il faut toujours s'attendre à rencont
l convient de se demander s'il n'existe pas une prédisposition à la
paralysie
générale. Or, à cet'égard uu premier point me p
eux-là seuls succombent à qui manque la force de résistance DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 231 nécessaire, et c'est dans cette c
re, et c'est dans cette catégorie que je range les prédisposés à la
paralysie
générale. Pour eux également, le moindre écart
e qu'il soit, sera encore de trop pour eux; il les surmènera, et la
paralysie
générale sera le résultat final. D'ailleurs,
ique, St-Cyr, Navale), qui fournissent le plus fort contingent à la
paralysie
générale. Ainsi, sur 68 officiers paralytiques
nt les considérations qui précèdent, je crois que l'étiologie de la
paralysie
générale peut se réduire aux termes suivants :
précède dans une formule générale, je dirais que « la cause de la
paralysie
générale, c'est le surmenage du cerveau dans l'
il y est arrivé par des considérations toutes différentes. DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 233 insomnie, etc.). Au début, le tro
placer dans les vaisseaux cérébraux l'origine des lé- sions de la
paralysie
générale \ Un dernier mot pour expliquer ce que
isais en commençant au sujet de l'augmentation de fréquence de la
paralysie
générale depuis qu'elle est connue. Cette augme
plasies scléreuses, etc. » 1) . 5î9). 234 PATHOLOGIE MENTALE. DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. ardente, chacun arrivait presque sûre
gnore où il est, dit qu'il est avec des serruriers. On constate une
paralysie
incomplets de la face ; le sillon naso- labial
détriment de tous les autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE · I.
Paralysie
générale, des aliénés; par TH. MEYNERT. (Jahi,b
s. On peut affirmer pourtant sans attendre plus longtemps que les
paralysies
hystériques survenant à l'occasion d'un trauma-
eu de folies cu- rables chez les sous-officiers; prédominance de la
paralysie
géné- rale et de la folie systématique. Les off
accès d'agitation maniaque simple, mais il faut aussi craindre une
paralysie
générale peul-être spécifique. M. Falret conclut
is pensé, d'après la manière d'être du malade, à un commencement de
paralysie
générale. M. JASTROWITZ. A-t-on abandonné l'act
issement congénital ou acquis des facultés intellectuels ; 2° d'une
paralysie
de la volonté (mélancolie) ; 3° d'idées déliran
e mélancolie, - b) à la suite de lésions du cerveau, c) sénile ; 5°
paralysie
générale progressive ; - 6° folie hystérique ;
avec une rigueur scientifique remarquable, affirme l'identité de la
paralysie
labio-nloso-lar3·née avec les symptômes bulbaires
l'analogie des lésions impose l'obligation de ne plus voir dans la
paralysie
bulbaire' une entité morbide distincte mais seu
adie de Charcot. - C'est ainsi que l'un des symptômes fondamentaux,
paralysie
, atrophie musculaire, contracture, pourra faire
'un bras, au réveil elle se trouve paralysée de ce bras; mais cette
paralysie
n'est pas simple, elle s'accompagne de contract
ées à ce membre, et souvent aussi de douleurs vives. Quelquefois la
paralysie
suggérée ne se limite pas au membre désigné, ma
nous avons précédemment signalés. Par suggestion, on lui donne une
paralysie
du membre supérieur gau- che, avec contracture
comme la première fois. Il en est de même pour la suggestion d'une
paralysie
brachiale droite, laquelle s'accompa- gne de co
l'ordre donné. Pendant son sommeil, nous lui suggérons d'avoir une
paralysie
croisée du bras droit et de la jambe gauche; la
avoir une paralysie croisée du bras droit et de la jambe gauche; la
paralysie
croisée se produit parfaitement au réveil et s'
s; l'histoire du réveil et l'action des zones hypnofrénatrices; les
paralysies
suggérées qui ont aussi des caractères fixes, s
t du malade. Le certificat de M. Lasègue est ainsi conçu : Idiotie,
paralysie
, épilepsie probable. z ' Le certificat'de quinz
ues. Pupilles égales, contractions musculaires faibles, mais pas de
paralysie
. T. 38°,2. Le malade a gardé toute sa connais-
ôpital de Sa/.¡bals/'¡e1' ! J, à Stockholm pour 1885.) A. R. XII.
Paralysies
radiculaires supérieures du plexus brachial, d'
tteint d'abord de quelques troubles sensitifs fuga- ces, puis d'une
paralysie
des muscles de l'épaule et du bras cor- respond
du massage, etc. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 407 XILI.
PARALYSIE
INFANTILE ; TUBERCULOSE PULMONAIRE ; HÉMIPLÉGIE
1886, t. lui.) Homme de quarante-trois ans qui, à la suite d'une
paralysie
infantile, conserva une impotence presque absol
rès toujours z par la contracture (Brissaud), et quelquefois par la
paralysie
(Ricoux). Le diagnostic pour être complet doit
. Quelques remarques sur le rapport QUI EXISTE entre LE TABES OU LA
PARALYSIE
PROGRESSIVE ET LA SYPHILIS ; par A. STRUEMPELL.
ent (anamnestiques, avortements répétés). Il en est de même pour la
paralysie
générale. De plus, ces deux maladies peuvent se
ions anatomiques du tabesse rencontrent très habituellement dans la
paralysie
géné- rale. Ce sont donc les mêmes agents nocif
vement, du moins surtout au début, certains territoires du cerveau (
paralysie
générale). P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
hagique récent occupant le tiers moyen de la frontale ascen- dante (
paralysie
complète du bras droit), empiétant un peu sur l
piétant un peu sur le tiers supérieur de celle même circonvolution (
paralysie
incom- plète du membre inférieur droit) et qui
let des mouvements du bras et de la face), mais ayant pro- duit une
paralysie
isolée de la mimique dans la moitié gauche de l
Korsakoff, 298. Ophthalmie chez les aliénés par Cou- derc, 304.
Paralysie
faciale a frigore (du rôle de la prédisposition
disposition nerveuse dans l'étiologie de la), par Neu- mann, 1.
Paralysie
générale, par Bonnet, 79; par Meynert, 270, - a
herches sur l'étiologie de la chez l'homme, par Christian, 205.
Paralysie
infantile (tubercule céré- brale, par Sigaux, 4
5. Paralysie infantile (tubercule céré- brale, par Sigaux, 407.
Paralysie
radiculaire spontanée du plexus brachial, par I
lysie radiculaire spontanée du plexus brachial, par I)ufourt,110;
paralysie
radiculaire supé- rieure du plexus brachial d'o
verbale, par Perret, 108. Syphilis (rapports entre le tabès ou la
paralysie
générale et la), par Striempell, 410.. Tumeur
a sensibilité et la parésie généralisée (accompagnée plus tard de
paralysie
localisée du membre inférieur du côté opposé au
après, la jambe droite se prend et la paraplégie est complète. La
paralysie
du rectum et de la vessie s'y ajoute. L'atrophi
les réactions électriques restent normales. Aussi étant donnée uue
paralysie
(hémiplégie, paraplégie, monoplégie), si on obs
EUTIQUE. l'électricité sur la tête ne donnera de résultats. Dans la
paralysie
qui succède à l'hémorragie cérébrale, l'électri
brale, l'électricité peut produire une amélioration passagère. La
paralysie
glosso-labio laryngée peut être améliorée; il fau
l'affection aiguë. C'est ainsi que dans la poliomyélite antérieure (
paralysie
infantile), l'électri- cité employée, après la
tabes peut parfois en bénéficier. Dans les névrites périphériques (
paralysie
faciale y comprise), on prétend que l'électrothér
encore. L'électricité reste sans action, sauf par le moral, dans la
paralysie
agitante, les différents spasmes et tics. On a
e placés au premier plan par Heine dont la thèse était d'opposer la
paralysie
infantile vulgaire, fiasque avec atrophie muscu
xe entre le syndrome connu sous les noms de tabès spasmodique, de
paralysie
spinale spastique et la sclérose des cordons laté
de quelques symptômes parmi lesquels dominent la contracture et la
paralysie
motrice. Les faits démontrent qu'à l'heure actu
nu sous le nom de main de singe. Nous sommes donc en présence d'une
paralysie
labio.losso- laryngée et d'une atrophie muscula
st là qu'un diagnostic clinique les relations qui existent entre la
paralysie
labio-glosso- laryngée, l'atrophie musculaire p
l fut admis que l'une et l'autre de ces affections s'associent à la
paralysie
labio-glosso-laryngée soit que les manifestatio
cot et par lui-même. Il est tout aussi net dans l'affirmation d'une
paralysie
labio- glosso-laryngée avec lésions strictement
Un autre exemple de synergies fonctionnelles se rencontre dans les
paralysies
pseudo-bulbaires où certaines paralysies peuven
lles se rencontre dans les paralysies pseudo-bulbaires où certaines
paralysies
peuvent s'améliorer grâce à la suppléance des f
COU. Séance du 12 avril 1896. M. le professeur KOJEVNIKOFF. De la
paralysie
asthénique bulbaire (avec démonstration d'une m
5 le malade mourut subitement d'une pneumonie d'origine grippale (
paralysie
de respiration ? ). La nutrition avec une sonde
liqué et de certaines particularités, qui le distinguent des cas de
paralysies
asthéniques, décrites déjà auparavant. 1° on y
euse ; cet épuisement est un symptôme le plus caractéristique de la
paralysie
bulbaire asthénique en géné- ral ; les changeme
t dans le cas cité, d'après l'auteur, très caractéristiques pour la
paralysie
bulbaire asthénique, ce qui donne à l'auteur le
KORNILOFF hésite à rapporter totalement ce cas à la catégorie de la
paralysie
asthénique, vu qu'il existe ici une réaction de d
lus juste de donner dans ce cas à la maladie en question, le nom de
paralysie
asthénique générale et non bulbaire, vu la vari
haut, fait ce cas très précieux ; il admet que dans certains cas de
paralysie
asthénique des degrés différents de lésion des
bles à ce qu'on observe pendant l'atrophie musculaire ou pendant la
paralysie
du grand dentelé antérieur (tension de tous les
ns comprendre, selon l'au- teur, la possibilité de l'apparition des
paralysies
hystériques et des contractures dans de tels mu
e professeur Kojevnikoff. Séance du 10 mai 1896. I. M. Mouratoff.
Paralysie
cérébrale bilatérale congénitale, comme entité
symptômes prin- cipaux de cette affection l'auteur rapporte : 1° la
paralysie
spasmo- dique des membres inférieurs présentant
des mouvements associés des yeux de tous les deux côtés, mais [sans
paralysie
des muscles isolés de l'appareil ocu ! o-moleur
l ne resta qu'une différence des pupilles. Quant à l'amnésie et aux
paralysies
, ces phénomènes disparaissaient bien plus lente
ssants (pendant une première période le malade semble atteint d'une
paralysie
ascendante aiguë de Landry, tandis que la secon
Raymond éta- blit qu'au point de vue anatomo-pathologique dans la «
paralysie
ascendante aiguë de Landry, dans la poliomyélit
rieure, de pseudo-tabes, de prédominance des troubles sensitifs, de
paralysie
générale), de paralysies arsénicales, de paraly
de prédominance des troubles sensitifs, de paralysie générale), de
paralysies
arsénicales, de paralysies et névrites typhi- q
es sensitifs, de paralysie générale), de paralysies arsénicales, de
paralysies
et névrites typhi- ques (celles-ci sont essenti
nalyse de faits cliniques isolés. La XIX" leçon est consacrée à une
paralysie
radi- culaire motrice du plexus brachial droit,
otrice du plexus brachial droit, et qui réalise l'association d'une
paralysie
radiculaire complète du type Erb, et d'une para-
e Erb, et d'une para- lysie radiculaire inférieure incomplète, avec
paralysie
associée du sous-épineux et du grand dentelé. L
u au munde en état d'asphyxie apparente, a pré- senté d'abord de la
paralysie
flasque du membre supérieur droit avec arrêt de
and rôle dans la symptomatologie de l'ataxie. La production d'une
paralysie
alterne d'origine embolique est fort rare. Le p
able par la présence d'une hémianesthésie croisée. L'histoire de la
paralysie
alterne est complétée par l'étude d'un cas rema
st ainsi que le professeur Raymond a pu montrer à ses élèves, une
paralysie
alterne limitée à la face. A droite il existe une
es, une paralysie alterne limitée à la face. A droite il existe une
paralysie
de la troisième paire avec parésie de la sixièm
ie faciale limitée au facial inférieur. Dans toutes ces variétés de
paralysie
alterne on peut localiser rigoureusement les lé
nion de quelques rares auteurs sur les lésions matérielles dans les
paralysies
arsénicales. Suivent quelques considérations sur
ureau. Soir : Discussion de la première question : diagnostic de la
paralysie
générale. Rapporteur : M. Arnaud. Mardi 3 août.
Verbal Obsessions and Pseudohallucinations. » 2. Pathogénie de la
paralysie
générale des aliénés; délimitation de cette mal
axie locomotrice progressive, l'atrophie musculaire progressive, la
paralysie
atrophiquc de l'enfance et son analogue chez l'
paralysie atrophiquc de l'enfance et son analogue chez l'adulte, la
paralysie
labio-glosso- laryngée, la paralysie pseudohype
son analogue chez l'adulte, la paralysie labio-glosso- laryngée, la
paralysie
pseudohypertrophique... Comme ces types sont re
spécial, si l'on peut ainsi dire, que la multiplicité des causes ».
Paralysie
labio- glosso-larngée, p. 297 : « Nos connaissa
'hui. » Dans le Manuel de médecine, t. III, vous trouvez, article
Paralysie
labio-glossolaryngée, p. 3U4 : « On ne sait rien
- Sclérose en plaques, p. 327 : « L'étiologie est fort obs- cure. »
Paralysie
aGrophique de l'enfance, p. 337 : « L'étiologie
abord les polynévrites dont nous venons de parler. C'est ensuite la
paralysie
générale; on discute beaucoup ses rapports avec
tation de ces faits me paraît être d'ad- mettre dans le tabes et la
paralysie
générale, deux groupes de lésions bien distinct
nés de sclérose, car la sclérose joue un réel et grand rôle dans la
paralysie
générale. Vous avez encore l'association du tab
nt fréquentes Ho CLINIQUE NERVEUSE. dans les mollets. Il n'y a ni
paralysie
motrice, ni amyotro- phie ; mais seulement un p
out du petit doigt de l'annulaire et du médius. Il n'y avait pas de
paralysie
de la face ni de la langue. La sensi- bilité ét
Sur les neuf autres cas, il y en avait quatre de mélancolie, un de
paralysie
générale à forme dépressive, et quatre de démence
fait deux groupes, l'un composé des cas de mélancolie et du cas de
paralysie
générale, l'autre formé par les cas de démence
Il. BELTAY. il ? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XII. UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE, FORME HYPOCONDRIAQUE, AVEC symptômes
aractérisé du type nommé par les auteurs forme hypocondriaque de la
paralysie
générale. Aucune faiblesse de la mémoire, ni au
r un aperçu sur la spméiologie de l'alcoo- lisme chronique et de la
paralysie
générale. A. Marie. XV. INVERSION sexuelle; par
issane conservée réponses exactes aux questions posées. Pas d'autre
paralysie
qu'une impossibilité transitoire de tourner les
es, attaques épilepti- formes fréquentes suivies de coma, jamais de
paralysie
, marasme progressif; carphologie, coma et mort
ux à gauche avec contracture; réflexes patellaire augmentés. Pas de
paralysie
. Autopsie : invasion de tout le lobe frontal ga
quand le nerf olfactif est intéressé par la lésion ; 4° parésie ou
paralysie
(face, bras, jambe) presque toujours légères et
s d'antécédents pathologiques, affaiblis- sement progressif jusqu'à
paralysie
complète avec atrophie des épaules et des bras.
la dégénérescence myxomateuse. II. Homme 23 ans, pas d'antécédents,
paralysie
presque com- plète avec atrophie des bras; paré
nt, il reste six heures =ans connaissance et revient à lui avec une
paralysie
du bras droit qui est devenue définitive, ensui
rmes le fais- ceau de Bield serait le sien. ' P. K. XI. UN cas DE
paralysie
DU nerf récurrent gauche DUE A UN ANÉ- vrisme d
urique. On peut grouper dans le même ordre de faits certains cas de
paralysies
transitoires. La connaissance de ces faits a un
ontracture énergique. La hanche est inlacte. Il ne s'agit pas là de
paralysie
. D'ailleurs l'examen du rachis reste négatif. L
e syndrome ? Non. Une lésion unilatérale de la moelle produirait la
paralysie
du même côté- et l'anesthésie du côté opposé. I
e qui confirmait absolument le diagnostic. P. RELL1Y. XI. Un C\S DE
paralysie
du trijumeau ; par W.-R. GOwrRS. (Edillbourgh M
ation détaillée d'une femme de qua- rante-cinq ans qui présente une
paralysie
complète et isolée du trijumeau, sans autres ac
lysés. Les mouve- ments' de la langue et du voile conservés; pas de
paralysie
des muscles de la face ni de l'oeil. Tout se bo
sie des muscles de la face ni de l'oeil. Tout se bornait donc à une
paralysie
sensitive et motrice du trijumeau droit. Les
uelque temps après, Ja sixième paire fut atteinte et il survint une
paralysie
du muscle droit externe. Le diagnostic de la lé
'odorat tient aux altérations de la muqueuse nasale, causées par la
paralysie
du trijumeau. L'ouïe était aussi un peu diminuée,
des accidents, l'état de la malade est le même : elle conserve une
paralysie
totale et isolée du trijumeau. On note cependan
omoteur externe. P. KERAVAL. XVII. Contribution LA pathologie DES
paralysies
DU plexus brachial; par P. Sciiuster. (Neurolog
ntralbl., XV, 1896.) Observation caractérisée par l'existence d'une
paralysie
complète de tous les muscles du bras et de pres
nnels. Ce sont surtout des spasmes et tremblements musculaires avec
paralysies
. Les phénomènes paralytiques souvent généralisé
oulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière. Première QUESTION : -
Paralysie
générale. Après la lecture par M. Ritti, de deu
ves (Seine), sur la première question du Congrès : Diagnostic de la
paralysie
générale. Les points essentiels de cette étude
ropositions sur les- quelles la discussion pouvait être engagée. La
paralysie
générale, maladie intermédiaire aux psychoses e
meningo-encéphalile chronique diffuse). Ceci élimine la préten- due
paralysie
générale sans aliénation et les états psychopathi
Bien qu'ayant des caractères distincts, aucun des symptômes de la
paralysie
générale n'est pathognomonique. On n'est pas auto
iculiers que j'ai essayé de décrire, est le symptôme cardinal de la
paralysie
générale ; elle constitue un véritable stig- ma
lir un diagnostic légitime (certaines folies congestives et pseudo-
paralysies
); il faut alors se résigner à attendre que l'évol
symptômes vienne faire la lumière. - A la période prodromique, la
paralysie
générale peut être soupçonnée, mais il n'existe p
pratiques pour le diagnostic. A partir de cinquante-cinq ans, la
paralysie
générale devient vraiment- rare. En présence d'
nvient de redoubler d'atten- tion et de n'admettre le diagnostic de
paralysie
générale que sous le bénéfice d'un inventaire r
nir que l'athérome cérébral généralisé peut simuler cliniquement la
paralysie
générale et que, d'autre part, il peut lui être
gie vraie, si elle n'est pas de nature à faire éliminer d'emblée la
paralysie
générale, doit imposer un doute persistant; les
sie générale, doit imposer un doute persistant; les probabilités de
paralysie
générale sont, dans ces cas, très faibles, et,
OCIÉTÉS SAVANTES. 245 rapport de M. Arnaud, sur les relations de la
paralysie
générale avec les maladies infectieuses. Je sui
. convaincu de l'importance de l'infection dans la pathogénie de la
paralysie
générale. J'ai montré antérieurement combien ét
alytiques généraux (80 à 90 °/0) ; les cas relativement nombreux de
paralysie
générale juvénile consti- tuent un nouvel argum
existait pas. Il en est de même des cas, plus rares il est vrai, de
paralysie
générale conjugale, lesquels ne peu- vent guère
ue n'a pas encore démontré là nature syphilitique des lésions de la
paralysie
générale ; je con- nais cependant un certain no
jouent les maladies infectieuses aiguës dans la palho= génie de la
paralysie
générale est moins bien établi que celui de la
elui de la syphilis; cependant, on a déjà rapporté plusieurs cas de
paralysie
générale développés consécutivement à la grippe
lus rarement à des maladies aiguës. Cette théorie infectieuse de la
paralysie
générale est-elle incom- : patible avec celle d
e de provoquer' l'apparition des lésions encéphaliques propres à la
paralysie
gêné-- rale, il ne s'ensuit pas qu'elle ne puis
lieu à un complexus symptomatique presque iden- tique à celui de la
paralysie
générale; de là le nom de pseudo-. paralysie gé
tique à celui de la paralysie générale; de là le nom de pseudo-.
paralysie
générale syphilitique sous lequel on a pris l'hab
diagnostic que si elles revê- tent le cachet démentiel propre à la
paralysie
générale. Je' me sépare de M. Régis relativemen
M. Régis relativement au rôle de la syphilis dans l'étiologie de la
paralysie
générale. La syphilis ne fait, selon moi, que p
excès vénériens, etc. A l'appui de la théorie syphilitique de la
paralysie
générale, M. Régis a invoqué les cas où cette m
e façon incontestable tous les signes physiques et psychiques de la
paralysie
générale, et cependant ni M. Magnan - qui a éga
ement examiné ce malade- ni moi n'avons osé porter le diagnoslic de
paralysie
générale. Pourquoi ? parce que la para- lysie g
nt présenté de concep- tions délirantes. Sur 32 malades atteints de
paralysie
générale confirmée observés en ville, il y en a
nsidéré pendant quelque temps comme presque patlronomo- nique de la
paralysie
générale, n'a, en réalité, aucune valeur diagno
philitique de M. Régis, j'invoquerai la plus grande fréquence de la
paralysie
générale chez l'homme que chez la femme. M. C
ens qui considèrent trop souvent comme d'origine syphilitique les
paralysies
générales survenant chez un individu entaché de s
ilis. SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 Î Il admet, par contre, nettement la
paralysie
générale alcoolique qui survient chez des indiv
antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon). - Il y a deux signes de la
paralysie
générale qui, de très fréquents qu'ils étaient
nier, on pourrait croire que la démence est un signe de début de la
paralysie
géné- rale ; or, il est loin d'eu être toujours
d'eu être toujours ainsi. On observe à la période prodromique de la
paralysie
générale une surexcitation de toutes les facult
GIRAUD. - Ce n'est pas seulement avec l'excitation maniaque que la
paralysie
générale peut être confondue au début; il n'est
é- lancolique ou hypocondriaque, et qui ont versé ensuite dans la
paralysie
générale après une période déiirante plus ou moin
, qui est un exposé très complet de la question du diagnostic de la
paralysie
générale, il résulte qu'aucun signe vraiment pa
et l'ophtalmo- plégie. Rien d'étonnant à cela, puisque le terme de
paralysie
géné- rale ne satisfait personne et correspond
ne saurait nier aujourd'hui la transformation du tabès ascendant en
paralysie
générale, et inversement de la paralysie généra
tion du tabès ascendant en paralysie générale, et inversement de la
paralysie
générale en tabès descendant. Les quelques path
s initiales se traduisent par des convulsions épilepti- formes, des
paralysies
à la première période; la décadence intel- lect
manifestations de l'artériosclérose généralisée d'avec celles de la
paralysie
générale : On ne peut donc pas admettre, selon mo
ne peut donc pas admettre, selon moi, l'existence d'une variété de
paralysie
générale d'origine athéroma- teuse. En revanche
ension plus grande de la syphilis. Je dois ajouter du reste, que la
paralysie
générale d'ori- gine syphilitique diffère par c
ou plutôt était paralysé. 11 s'agit bien, en effet, d'une véritable
paralysie
psychique, comparable aux paralysies hystérique
bien, en effet, d'une véritable paralysie psychique, comparable aux
paralysies
hystériques ordinaires. Chez .d'autres petits m
epuis quelque temps a produit une légère amélioration. Trois cas de
paralysie
hystérique chez l'enfant. Valeur thérapeutique
ique .et diagnostique de l'électricité. M. Destarac montre que la
paralysie
hystérique chez l'enfant a été méconnue et est
aculté de médecine de Montpellier, qui a parlé de l'étiologie de la
paralysie
générale, qu'il a étudiée dans plus de mille ca
e de sa moitié droite. En même temps ou bientôt après fut notée une
paralysie
du nerf moteur oculaire externe du même côté. A
es locaux suivants : hémiatrophie de la moitié droite de la langue,
paralysie
du palais, de la corde vocale et du nerf abduct
. Au mois de mars de 1896, second accès avec céphalagie, vertige et
paralysie
de l'abducteur de l'oeil gauche à développement
ransformation en atrophie des deux côtés. Hémiatropsie bitemporale.
Paralysie
de l'abducteur de l'oeil gauche. Paralysie des
émiatropsie bitemporale. Paralysie de l'abducteur de l'oeil gauche.
Paralysie
des deux muscles de la fente vocale, qui sont i
. Hémiatrophie gauche de la langue avec tiraille- ment fibrillaire.
Paralysie
du palais mou du côté gauche. Troisième cas. -
phie de la langue du côté droit avec tiraille- ments fibrillaires ;
paralysie
du palais mou du même côté ; paraly- sie de la
rde vocale droite; anesthésie de tout le palais mou et du pharynx ;
paralysie
complète de l'abducteur de l'oeil gauche et par
ains auleurs; il ne voit pas d'obstacles pour l'expli- cation de la
paralysie
du palais mou dans les trois cas par une lésion
CLINIQUE MENTALE. PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES SOI-DISANT
PARALYSIES
GÉNÉRALES PROGRESSIVES ; Par le D''ALEX vxuRE P
assibles de critiques. On englobe, en effet, sous la dénomination «
paralysie
générale », des affections ou des intoxications
de chercher les causes et l'évolution première des affections dites
paralysies
géné- rales, et de les opposer aux terminaisons
naisons; on verrait proba- blement ainsi pourquoi telles soi-disant
paralysies
générales finissent de telle façon, pourquoi te
mmes habitués à isoler comme entité morbide, sous la dénomination «
paralysie
générale », alors qu'il n'est que phase d'une m
tc., conduisent à des maladies souvent englobées sous l'étiquette «
paralysie
générale », bion qu'elles n'aient pas eu même s
ette différenciation qui impose une nouvelle étude de la soi-disant
paralysie
générale, lorsqu'il dit (loc. cil., p. 444), pa
en tenant simplement à la façon actuellement commune d'envisager la
paralysie
générale, je trouve que l'opinion de notre émin
e donnant une idée exacte relativement aux termi- naisons de ladite
paralysie
générale. En effet, pour qui a depuis quelque t
ses et de la symptomatologie ou des termi- naisons de la soi-disant
paralysie
générale, parce que nous ne tenons pas suffisam
grave; il guérit de son angine; mais huit jours après sur- vient la
paralysie
du voile du palais, avec le nasonnement carac-
appétit. De plus, cette paraplégie n'avait pas été' précédée de la
paralysie
du voile du palais, puis cette paraplégie était
ident est donc assez remarquable. L'enfant s'était fait lui-même sa
paralysie
en regar- dant son frère paralysé. Observatio
, disent les parents, c'est dans ce même mois qu'il a été frappé de
paralysie
et à la même lune. Nous remarquons déjà, qu'il
nt a de la peine à se mouvoir. « Mais vous lui faites vous-mêmes sa
paralysie
, m'écriai-je indi- gné, vous lui répétez sans c
cident : le mode de début, le traumatisme qui est il. la tête de la
paralysie
, l'évolution de la maladie, sa disparition tota
es épaules. Disparition au bout de trois jours. - Six jours après
paralysie
complète et flasque du bras gauche, suivie au bou
eux jambes. Guérison rapide de la parésie (3 jours). Guérison de la
paralysie
brachiale (22 jours). Enfant chétif ayant prése
ong du corps, les doigls étaient allongés et inerte ? . C'était une
paralysie
flasque, les réflexes étaient conservés, la sensi
n'avait pas disparu, les sphincters n'étaient pas atteints. Mais la
paralysie
ne devait pas s'arrêter là, deux jours après (1
urs après (10 mai), c'était le tour des deux jambes. Cette fois, la
paralysie
n'était pas complète, c'était une très grande f
balançant. Cette parésie s'effaçait au bout de trois jours, mais la
paralysie
brachiale persistait toujours. Enfin, le 20 mai
. Le 30, la guérison était complète. Le diagnostic au début de la
paralysie
devait'se faire avec la paralysie infantile ; m
e. Le diagnostic au début de la paralysie devait'se faire avec la
paralysie
infantile ; mais dans la polyomyélile antérieure
lexes sont ordinairement abolis, ou tout au moins diminués, puis la
paralysie
frappe d'emblée le petit malade; dans une seule
e déformation, achève de fixer le diagnostic de contracture et de
paralysie
hystérique. 013SFRVATIO.iVl.-Pseudo-n2éiziîzgil
enfant, a bien l'air de ressembler à de l'hémiplégie hystérique, la
paralysie
ayant duré trois semaines sans laisser de trace
use, 1896). Sa' mère a eu de l'anesthésie hystéro-traumatique, sans
paralysie
(Obs. IV de la thèse ci-dessus). Comme antécé
e nature. L'enfant tombe à terre paralysé de la jambe droite; cette
paralysie
survient en deuxjours sans que l'état général d
à la hanche. Cette fois nous nous trouvons nettement en face d'une
paralysie
hystérique; les réflexes sont conservés. Au bout
nt une tare héréditaire très pro- fonde présentant à quatre ans une
paralysie
hystérique très nette, six mois avant une fièvr
en un hystérique que nous avons devant nous, ainsi que l'indique la
paralysie
, sans parler de. cette fièvre sur la nature de
e hystérique, je m'appuie pour cela sur la tare héréditaire, sur la
paralysie
nettement hystérique présentée dans le cours de
ans l'anesthésie hystérique, dans l'anesthésie traumatique, dans la
paralysie
saturnine (3 observations en tout), aucune altéra
tation, puis de douleurs dans le dos et dans la nuque et, enfin, de
paralysie
du membre inférieur gauche et du membre supérie
élimitée localement dans chaque cas, ainsi par exemple que dans les
paralysies
. J. SÉGL.\S. XV. Contribution A l'étude DE la p
e dans les paralysies. J. SÉGL.\S. XV. Contribution A l'étude DE la
paralysie
BULBAIRE unilatérale ; par'Gaetano GEROUZI. (Ri
, une hémicranie gauche qui s'accompagna, au bout de huit jours, de
paralysie
du moteur oculaire commun et du moteur oculaire
aire externe du côté gauche; guérison au bout de quinze jours de la
paralysie
du moteur oculaire commun, persis- tance pendan
ie du moteur oculaire commun, persis- tance pendant huit mois de la
paralysie
du moteur oculaire externe ; pendant cette péri
ie partielle du moteur oculaire commun droit, puis, dix mois après,
paralysie
de la sixième paire gauche. Au bout d'un mois de
romuré, disparition de l'ophtalmoplégie, sauf en ce qui concerne la
paralysie
du droit supérieur et du réflexe lumineux du cô
lle est bilatérale, elle ne l'est généralement pas d'emblée, chaque
paralysie
étant, dans la plupart des cas, précédée d'une
plupart des cas, précédée d'une hémicranie correspondante ; 4° La
paralysie
peut frapper le nerf moteur oculaire externe to
ais il n'a pas encore été observé de migraine ophtalmoplégique avec
paralysie
isolée du moteur oculaire externe. La paralysie
htalmoplégique avec paralysie isolée du moteur oculaire externe. La
paralysie
du moteur oculaire commun n'est pas invariablem
ont ces affections spasmodiques que Erb a décrites sous le nom de
paralysie
spinale spastique. Il s'agit là de lésions intére
saisit quelque chose. Rien ou presque rien au repos. Aucun signe de
paralysie
musculaire, pas d'altération élec- trique, pas
ies; par DESIL1YES. (No1'llwndie médicale, 9, 1896.) , - XXX. Les
paralysies
DE l'enfant, par HLIPR. (Normandie médicale, il
et, consacré à la même question. M. Carrier 1rt un rapport sur la
paralysie
générale juvénile chez les hêrédo-syphilitiques
e sur ce rapport pour préconiser le traite- ment spécifique dans la
paralysie
générale d'origine nettement syphilitique. M.
it qu'il faut toujours attribuer à une cause hérédo syphilitique la
paralysie
générale juvénile. Les cas sont plus fré- quent
é, fut autopsié par M. Sabrazès et présentait toutes les lésions de
paralysie
générale. M. BEZY fait remarquer que dans nombr
e affection. 33G SOCIÉTÉS SAVANTES. Etiologie et pathogénie de la
paralysie
générale. MM. Mairet et Vires (de Montpellier).
mes demandé si derrière l'unité symptomatique et anatomique de la
paralysie
générale ne se cache pas une diversité de nature.
lucider cette question, nous avons réuni toutes nos observations de
paralysie
générale ; après avoir éliminé celles où les ren-
les causes morales. Ces divers facteurs peuvent-ils être cause de
paralysie
générale ? Nos recherches nous ont amené aux conc
une action pathogène. En particulier, la syphilis ne produit pas la
paralysie
générale vraie ; elle donne naissance, du côté
ues qui peuvent s'exprimer symptomatiquement sous les allures de la
paralysie
générale, elle donne naissance à une syphilis cér
énérale, elle donne naissance à une syphilis céré- brale à forme de
paralysie
générale. En résumé, les causes pathogènes de l
forme de paralysie générale. En résumé, les causes pathogènes de la
paralysie
générale sont : les hérédités arthritique alcoo
naissance à une prédisposition qui peut aboutir par elle-même à la
paralysie
générale, ou bien fournissent un terrain favora
tion et l'inflam- mation des tissus, que l'a1'lhl itisme produit la
paralysie
générale, et dans ces cas l'affection prend, en
ns ces cas l'affection prend, en général. tous les caractères de la
paralysie
générale sénile. A l'autopsie de ces diathéiques,
théiques, alors même qu'ils n'auraient pas présenté, au début de la
paralysie
géné- rale, la forme sénile, on trouve au coeur
nc la dégénération, l'inflammation qui font, dans ce cas, éclore la
paralysie
générale. L'hérédité alcoolique peut produire s
tion sont les deux modes suivant lesquels l'alcoolisme aboutit à la
paralysie
générale. . - Ce que nous venons de dire de l
le (arthritisme, alcoolisme). 11 existe donc deux grands groupes de
paralysie
générale, l'un maladie locale du système nerveu
peuvent présenter des états analogues à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 339
paralysie
générale, comme nous l'avons observé au Brésil et
outient l'avis de Sachs et de Féré, que l'épilepsie spontanée et la
paralysie
infantile sont deux maladies conformes et de la
. Ce cas peut être regardé comme une forme intermédiaire entre la
paralysie
infantile et l'épilepsie spontanée. On y constate
e principal ; les hémiplégies infan- tiles peuvent s'accompagner de
paralysies
, d'idiotie et d'épilepsie en différents degrés
s- modique très marquée des membres inférieurs avec anesthésie et
paralysie
presque complète des sphincters. Pour quelque t
ps il y eut une amélioration, mais bientôt tous les phénomènes delà
paralysie
spasmodique s'aggravèrent visiblement et il appar
ie spasmodique s'aggravèrent visiblement et il apparut en outre une
paralysie
des muscles oculaires avec nystagmus, un trembl
res augmentèrent jusqu'à une paraplégie complète avec anesthésie et
paralysie
des sphincters. Quatre ans après le début de la
fin du séjour du malade à la clinique il se déclara subitement une
paralysie
complète du membre supé- rieur gauche et le len
paralysie complète du membre supé- rieur gauche et le lendemain une
paralysie
du membre inférieur gauche, aphonie, dysarthrie
on voit que les os ne présentent aucune altération. M. Minor. De la
paralysie
faciale partielle d'origine congénitale. - Ayan
de Schultze, de Bernhart (1894-1897) et de Remak, qui ont décrit la
paralysie
congénitale unilatérale, envahissant seulement
ur, en janvier 1895, et alors on constata les phénomènes suivants :
paralysie
du nerf facial droit; lagophthalmie médiocre, a
ine sous l'arc zygomatique et dans la région du muscle huccinateur,
paralysie
complète du côté droit du muscle frontal, du so
ent des con- tractions électriques correspond à la distribution des
paralysies
; dans tous les muscles paralysés et atrophiés,
contre très souvent une semblable distribution des lésions dans les
paralysies
périphériques invétérées du nerf facial, et pour
raison on peut considérer comme prouvé qu'on a affaire ici à une
paralysie
d'origine centrale et non périphérique. M. le p
fait remarquer, que si même on peut admettre ici l'existence d'une
paralysie
périphérique, la distri- bution des paralysies
ici l'existence d'une paralysie périphérique, la distri- bution des
paralysies
et des atrophies présente tout de même beaucoup
pas encore des paraly- sies nettes; les névrites qui sont cause des
paralysies
se développent plus tard. Le rapporteur suppo
re est élargi. En comparant ces deux cas, le rapporteur nota que la
paralysie
cérébrale infantile d'origine traumatique possède
apporté un- cas très '. , .1 . BIBLIOGRAPHIE. 361 curieux), les
paralysies
psychiques, etc., etc., sont des accidents psyc
Académie de médecine en 1891 (prix Civrieux) pour un travail sur la
Paralysie
générale, CAMUSET avait été fait chevalier de l
qu'il ne peut plus remuer le bras, on puisse entraîner de suite la
paralysie
, paralysie que l'on fera disparaître aussi aisé
eut plus remuer le bras, on puisse entraîner de suite la paralysie,
paralysie
que l'on fera disparaître aussi aisément qu'on
. Observation XVIII. Chorée rythmique chez un enfant de huit ans.
Paralysie
spinale ((trophique, Chorée rythmique (danse de
de Saint-Guy) chez un enfant de huit ans qui avait été frappé d'une
paralysie
spinale atrophique à deux ans et demi et qui pr
u'une seule fois dans mon cabinet : 1896. Août. Garçon de huit ans.
Paralysie
à deux ans et demi, atrophie consécutive de la
elle préci- sion) la méningite (observations G, 7, 8, 9, '10) ; les
paralysies
et contractures organiques (observations 1, 3,4
, sclérose latérale amyotro- phique qui frappe à l'âge viril, de la
paralysie
agitante, etc. Sa Ainsi que l'hystérie virile,
smeestuneexcellentemélhode de traitement des accidents hystériques,
paralysies
, contrac- tures etc., chez les sujets hypnotisa
entale ù la Faculté. Les troubles trophiques sont fréquents dans la
paralysie
générale. Cela se comprend facilement étant don
hospice llarcoulra le 11 mars 1897, avec des symptômes bien nets de
paralysie
générale ; en cherchant les antécédents hérédi-
al peut produire un complexus symptomatique semblable à celui de la
paralysie
générale, mais avec conservation très nette.de
orbide par le sujet; plus les troubles symptomatiques indiquent une
paralysie
générale avancée, plus le malheureux a conscien
conscience de la gravité de son état, ce qui est l'inverse dans la
paralysie
générale vraie. Évi- demment le trional exerçai
s avaient généralement eu la syphilis (36), cinq à dix ans avant la
paralysie
générale. Voici des autres causes de paralysie
q à dix ans avant la paralysie générale. Voici des autres causes de
paralysie
générale que l'on pouvait noter chez eux : 41
relatives à l'étude des obsessions, l'étiologie et la nature de la
paralysie
générale et du tabès et enfin la récente découv
pression de cinq à six minutes de durée. Cette fois, en général, la
paralysie
est plus durable. Elle ne s'efface complètement
s la troisième semaine apparaissent les signes avant-coureurs de la
paralysie
; c'est dire que la malade avait commencé à sent
et un engourdissement qui fut remplacé la cinquième semaine par une
paralysie
et une anesthésie des mains et des pieds. Voici
quoi nous n'avons pu la photographier toute nue. A la suite de la
paralysie
des fléchisseurs des pieds (extenseurs des doig
a cause de celte accélération ? Elle peut paraître ou bien après la
paralysie
du centre ou de l'appareil périphérique du nerf
r appareil périphérique au moyen de l'atropine. Or, ce n'est pas la
paralysie
du nerf vague qui entraîne l'accélération du po
radioscopie. M. j\IAIXNEIt, de Prague. Le caractère familial de la
paralysie
musculaire hypertrophique est démontré de nouve
doute sur la nature de la maladie. - La question, s'il y a dans la
paralysie
musculaire hypertrophique des lésions anatomiqu
orées selon les mêmes méthodes de coloration. Considérations sur lu
paralysie
générale. 1\1. CH, Vallon (de Paris). Suivant l
onstituent une sorte de trépied qui est la base étio- logique de la
paralysie
générale. Quelquefois, en l'absence d'antécéden
racte la syphilis et, de plus, se livre à des excès alcooliques. La
paralysie
générale est intimement liée aux autres allection
On a prétendu que la syphilis et l'alcool ne produisaient pas la
paralysie
générale vraie, mais seulement des pseudo-paralys
s'appuyant sur les recherches histologiques de M. Biswinger. De la
paralysie
progressive chez la femme. M. B. GREIDENBERG (d
ive chez la femme. M. B. GREIDENBERG (de Simphéropol). - Les cas de
paralysie
gêné raie chez la femme sont devenus ces dernie
ut naturellement par être partout les mêmes. La propagation de la
paralysie
progressive dans les différentes classes de la
ns les classes moyennes et les classes élevées; chez les hommes, la
paralysie
pro- gressive, d'aristocratique qu'elle était,
singularités qui lui donnent un cachet particulier. Le cours de la
paralysie
progressive est plus lent chez les femmes que c
ntes principales : 1. Dans le tabes dor- salis on peut observer des
paralysies
amyotrophiques très graves et répandues, même l
ns histologiques à peine appréciables et très circonscrites. 2. Ces
paralysies
amyotrophiques sont en dépendance, la plupart,
crises jack- sonniennes. Enfin, une période terminale de coma et de
paralysie
. Souvent une ou deux périodes manquent, ou les
; par MM. D. Courtade et J.-F. Guyon; Contribution à l'étude des
paralysies
du trijumeau chez l'homme ; par MM. E. Long et Ma
xe pharyngien étudié sur les mêmes malades aux trois périodes de la
paralysie
générale; par le Dr E. Marandon de Montyel. N
s les formes de folie, manie, mélancolie, paranoia, folie du doute,
paralysie
générale, sont représentées. Cepeudant, l'auteu
A LA CASUISTIQUE ET A LA SYMPTOMATOLOGIE DR LA PARALYSIEASTUÉNIQDE (
paralysie
bulbaire sans lésions anatomiques),. par J. r ?
heilk. VI); on trouve, dans ce cas, à. l'autopsie lès lésions de la
paralysie
subaiguë. P. KERA VAL. XXXV. Deux cas DE parapl
uchements) qui confirme cette manière de 'soir. P. RELLAY. XXXVI.
Paralysie
DU MOTEUR oculaire commun par névrite hémor- RI
s par suite d'une lésion corticale unilatérale; l'exis- tence d'une
paralysie
d'origine corticale est rendue impossible par c
apporté un seul cas où la lésion d'un lobe frontal ait entraîné une
paralysie
des muscles de l'oeil du côté opposé, autre qu'
ne trouve pas d'autres accidents nerveux. Tout se borne donc à une
paralysie
complète de la troisième paire droite. Le diagn
'il a subi. P. KERAVAL. XL. Contribution A la symptomatologie de la
paralysie
faciale; par T. Cobn. (l'eu7·olo. CeK<)'«<
une lésion de la base du côté gauche (hématome probable, Maginsky).
Paralysie
faciale complète, totale, en apparence, et cepe
u facial. Mais l'ouïe est troublée, ce trouble n'a pas précédé la
paralysie
faciale, car, autrement, il eùt été remarqué; i
e du voile du palais, mais cela s'est déjà vu bien souvent dans les
paralysies
faciales périphériques à siège élevé. Les commé
uscles de la cein- ture scapulaire ; 2° Troubles de la sensibilité;
paralysie
partielle de la sensibilité à la douleur et à l
; on doit admettre par contre une affection lépreuse en face d'une
paralysie
faciale périphérique de nerfs sensibles à la pres
r que l'excitation apparente de la fonction faisant disparaître les
paralysies
hystéri- ques n'est en effet que l'abolition de
d) sont d'une utilité indiscutable dans le traitement du tabes, des
paralysies
alcooliques (paraplegia alcoolica) et de cer- t
és sensorielles sensitives et motrices en produisant fréquemment la
paralysie
, spastique quelquefois. Les accidents d'ordre p
chez les basedowiens, ce qui tient à un phénomène musculaire, à la
paralysie
du muscle orbitaire interne, et non au resserre
la manie, l'alcoolisme, la mélancolie et la folie systématisée, la
paralysie
générale et la démence. Les sorties par guériso
s. D. bibliographie. 537 X. Etude sur les hallucinations dans' la
paralysie
générale progressive ; par le Dr P>;Yn>;.
les passent facilement inaperçues. Les troubles de perception de la
paralysie
générale ont les carac- tères du délire dans ce
ais ne sont pas des'hallucinés. Les deux pre- mières périodes de la
paralysie
générale et les formes mélancoliques sont les p
ations hystériques. » DurAMP. ' X111. Contribution ci l'élude de la
paralysie
générale alcoolique; par le De Iilnorr. (Thèse
ésente alors avec un tableau clinique spécial. Le nombre des cas de
paralysie
générale a subi dans ces trente dernières année
thmes, par Sabra- zès, 333. TABLE DES MATIERES. 551 Brachial.
Paralysies
du plexus par Schuster, '232. Lésions du plex
par Edel, 327. Convulsifs. Accès - corticaux de la langue dans la
paralysie
géné- rale, par Mouratoff, 80. Cordon latéral
231. P «aldéhydes. Note sur l'emploi de la -, par Daman, 'i08.
Paralysie
asthénique hulhaire, par lioevnil : off, 73. -
commun, par Gibson et Turner, 502. - faciale, . par Colin, 506.
Paralysie
générale. Accès convul. sifs dans la -, par Mou
trosta- tiques dans la -, par Leduc et Maixner, 445. Récurrent.
Paralysie
du - due à un anévrysme de l'aorte, 155. Règl
re ! , 163. Tremblement congénital, par Eshner, 321. Trijumeau.
Paralysie
du -, par Gowers, 227. TNIONAL. Emploi du -,
de plus en plus rapprochée d'une interprétation psychique'. » « Les
paralysies
par segment de membre, disait'M. G. Guinon, son
ussi bien que des cons- tipations, des ballonnements du ventre, des
paralysies
ou des spasmes des sphincters, des troubles du
et particulière- ment dans les membres qui sont le plus atteint de
paralysie
... Une malade remarquait elle-même qu'elle ne s
idées fixes persistantes, plus ou moins consciemment, ainsi que les
paralysies
et les contractures, expliquées par M. Char- co
actions et des erreurs de sen- sation, aux amnésies des doutes, aux
paralysies
des hésitations du mouvement volontaire qui ont
11. Breuer 'c Iren op. cil., p. 3. 2 A)oebins, op. ('il., p. 1 .
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. '29 perçues
USE, QUELQUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUDE COMPARA- 'l'I1'I; DES
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉ- RISQUES; r Par
le soin de faire une étude 30 CLINIQUE NERVEUSE. comparative des
paralysies
motrices organiques et hystériques, basée sur l
opinions.. I. Il faudra commencer par quelques remarques sur les
paralysies
motrices organiques, d'ailleurs généralement ad
linique nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies motrices, la
paralysie
périphéro-spinale (ou bulbaire) et la paralysie
lysies motrices, la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et la
paralysie
cérébrale. Cette distinction est parfaitement en
rnes antérieures. » La différence essentielle de ces deux sortes de
paralysies
, en clinique, est la suivante : La paralysie pé
ces deux sortes de paralysies, en clinique, est la suivante : La
paralysie
périphéro-spinale est une paralysie détaillée, la
clinique, est la suivante : La paralysie périphéro-spinale est une
paralysie
détaillée, la para- lysie cérébrale est une par
inale est une paralysie détaillée, la para- lysie cérébrale est une
paralysie
en masse. Le type de la pre- mière est la paral
rébrale est une paralysie en masse. Le type de la pre- mière est la
paralysie
faciale dans la maladie de Bell, la para- lysie
règle fixe pour que l'un des éléments péri- phériques échappe à la
paralysie
, tandis que l'autre en souffre d'une manière co
alysie, tandis que l'autre en souffre d'une manière constante. La
paralysie
cérébrale, au contraire, est toujours une affec-
e biceps du bras, le tibial isolément, etc., et s'il y a des excep-
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 31 1 lions
t une fonction de laquelle ils sont l'instrument unique. Dans les
paralysies
cérébrales des extrémités, on peut remar- quer
est plus paralysée que l'épaule. Il n'y a pas, que je sache, une
paralysie
cérébrale isolée de l'épaule, la main conservant
nservant sa motilité, tandis que le contraire est la règle dans les
paralysies
qui ne sont pas complètes. Dans une étude cri
ché de montrer que la cause de cette différence importante entre la
paralysie
périphéro-spinale et la paralysie cérébrale doi
te différence importante entre la paralysie périphéro-spinale et la
paralysie
cérébrale doit être cherchée dans la structure
point pour point, élément pour élément. J'ai proposé de dénommer la
paralysie
détaillée périphéro-spinale, para- lysie de pro
des fibres, pour ainsi dire représentatives et je propose, pour la
paralysie
céré- brale, le nom de paralysie de représentat
ésentatives et je propose, pour la paralysie céré- brale, le nom de
paralysie
de représentation. Naturellement, quand la para
ale, le nom de paralysie de représentation. Naturellement, quand la
paralysie
de projection est totale et d'une grande étendu
e projection est totale et d'une grande étendue, elle est aussi une
paralysie
en masse, et son grand caractère distinctif est
e, et son grand caractère distinctif est effacé. D'autre part, la
paralysie
corticale, qui se distingue parmi les paralysies
é. D'autre part, la paralysie corticale, qui se distingue parmi les
paralysies
céré- brales par sa plus grande aptitude à la.d
sente 32 CLINIQUE NERVEUSE. cependant toujours le caractère d'une
paralysie
par représen- tation. Les autres différences
paralysie par représen- tation. Les autres différences entre les
paralysies
de projection et de représentation sont bien co
premier caractère différentiel que nous avons relevé, à savoir :
paralysie
détaillée ou en masse. On a assez souvent attri
ne façon plus précise elle simule les caractères des deux sortes de
paralysies
organiques, s'il y a des paralysies hystériques
s caractères des deux sortes de paralysies organiques, s'il y a des
paralysies
hystériques de projection et des paralysies hys
rganiques, s'il y a des paralysies hystériques de projection et des
paralysies
hystériques de re- présentation, comme dans la
premier fait important se détache : l'hystérie ne simule jamais les
paralysies
périphéro-spinales ou de projection; les paraly
le jamais les paralysies périphéro-spinales ou de projection; les
paralysies
hystériques partagent seulement les caractères de
les paralysies hystériques partagent seulement les caractères des
paralysies
organiques de représentation. C'est là un fait bi
es de représentation. C'est là un fait bien intéressant, puisque la
paralysie
de Bell, la paralysie ra- diale, etc., sont par
C'est là un fait bien intéressant, puisque la paralysie de Bell, la
paralysie
ra- diale, etc., sont parmi les affections les
ci, de manière à éviter toute confusion, que je ne traite que de la
paralysie
hystérique flasque et non de la contracture hys
a contracture hystérique. Il me parait im- possible de soumettre la
paralysie
et la contracture hystériques aux mêmes règles.
ie et la contracture hystériques aux mêmes règles. Ce n'est que des
paralysies
hystériques flasques qu'on peut soutenir qu'ell
est l'instrument unique d'une fonction, qu'elles sont toujours des
paralysies
en niasse, et qu'elles correspondent sous ce ra
aralysies en niasse, et qu'elles correspondent sous ce rapport à la
paralysie
de représentation, ou cérébrale organique. En o
nutrition des parties paralysées et leurs reactions électriques, la
paralysie
hystérique présente les mêmes carac- tères que
ues, la paralysie hystérique présente les mêmes carac- tères que la
paralysie
cérébrale organique. Si la paralysio hystérique
ébrale organique. Si la paralysio hystérique se rattache ainsi à la
paralysie
cérébrale et particulièrement à la paralysie co
se rattache ainsi à la paralysie cérébrale et particulièrement à la
paralysie
corticale, qui pré- sente une plus grande facil
ly- sies cérébrales organiques, il savoir que le segment périphé-
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 33 rique es
On n'a pas la moindre difficulté de produire artificiel- lement une
paralysie
isolée de la cuisse, de la jambe, etc., et on p
a jambe, etc., et on peut assez souvent retrouver, en clinique, ces
paralysies
isolées, en contradiction avec les règles de la
que, ces paralysies isolées, en contradiction avec les règles de la
paralysie
orga- nique cérébrale. Sous ce rapport import
la paralysie orga- nique cérébrale. Sous ce rapport important, la
paralysie
hystérique est pour ainsi dire intermédiaire en
la paralysie hystérique est pour ainsi dire intermédiaire entre la
paralysie
de projection et la paralysie de représentation
r ainsi dire intermédiaire entre la paralysie de projection et la
paralysie
de représentation organique. Si elle ne possède p
s'en faut, sujette aux strictes lois qui régissent la dernière, la
paralysie
cérébrale. Ces res- trictions faites, on peut s
lysie cérébrale. Ces res- trictions faites, on peut soutenir que la
paralysie
hystérique est aussi une paralysie de représent
faites, on peut soutenir que la paralysie hystérique est aussi une
paralysie
de représentation, mais d'une repré- 1 sentatio
ion, je me propose d'étudier les autres traits distinctifs entre la
paralysie
hysté- rique et la paralysie corticale, type le
les autres traits distinctifs entre la paralysie hysté- rique et la
paralysie
corticale, type le plus parfait de la para- lys
caractères dis- tinctifs, nous l'avons déjà mentionné, c'est que la
paralysie
hystérique, peut être beaucoup plus dissociée,
hystérique, peut être beaucoup plus dissociée, systématisée que la
paralysie
cérébrale. Les symptômes de la paralysie orga-
ociée, systématisée que la paralysie cérébrale. Les symptômes de la
paralysie
orga- nique se retrouvent comme morcelés dans l
omme morcelés dans l'hystérie. De l'hémi- plégie commune organique (
paralysie
des membres supérieur et inférieur et du facial
et inférieur et du facial inférieur) l'hystérie ne reproduit que la
paralysie
des membres et dissocie même assez souvent, et
et dissocie même assez souvent, et avec la plus grande facilité, la
paralysie
du bras de celle de la jambe sous forme de mono
Chemin faisant, je ferai remarquer que ce caractère important de la
paralysie
hystérique de la jambe que M. Charcot a relevé d'
ie, la partie centrale (la hanche) ne jouit pas de ce privilège, la
paralysie
y est aussi complète que dans la partie périphé-
as inédits. Ce même pouvoir de dissociation se ma- nifeste dans les
paralysies
isolées d'un segment de membre avec intégrité c
uisition postérieure, qui est la plus atteinte en conséquence de la
paralysie
. La paralysie hystérique présente de plus un au
eure, qui est la plus atteinte en conséquence de la paralysie. La
paralysie
hystérique présente de plus un autre carac- tèr
ossible. C'est un caractère qui ne se montre pas seulement dans les
paralysies
, mais aussi dans les contractures et les anesth
vent reproduire qu'une faible esquisse. Il en est de même pour les
paralysies
. Elles sont souvent on ne peut plus absolues; l
nnu pour y persister longuement. Au contraire, on sait que, dans la
paralysie
orga- nique, la parésie est toujours plus fréqu
aralysie orga- nique, la parésie est toujours plus fréquente que la
paralysie
absolue. La paralysie hystérique est donc d'u
parésie est toujours plus fréquente que la paralysie absolue. La
paralysie
hystérique est donc d'une limitation exacte et
alités à la fois et c'est en cela qu'elle contraste le plus avec la
paralysie
cérébrale organique, dans laquelle, d'une maniè
ysie cérébrale organique, dans laquelle, d'une manière constante,
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 35 ces deux
e cette monoplé- gie augmentera en intensité, qu'elle deviendra une
paralysie
absolue, elle perdra son caractère de monoplégi
pas devenir absolue et reslée délimitée à la fois. C'est ce que la
paralysie
hystérique peut, au contraire, fort bien réalis
ou la face. De plus, au niveau du bras, elle est aussi forte qu'une
paralysie
peut l'être, et c'est là une différence frappan
paralysie peut l'être, et c'est là une différence frappante avec la
paralysie
organique, différence qui prête grandement à pe
nce qui prête grandement à penser. Naturellement, il y a des cas de
paralysie
hystérique dans lesquels l'intensité n'esi pas
t un peu les limites de notre sujet. Je constaterai d'abord que les
paralysies
hystériques s'accom- pagnent beaucoup plus souv
pagnent beaucoup plus souvent de troubles de la sensibilité que les
paralysies
organiques. En général, ceux-ci sont plus profo
i me paraît digne d'être relevé, c'est qu'il y a quelques formes de
paralysie
cérébrale qui ne se trouvent pas réalisées dans
qui ne se trouvent pas réalisées dans l'hystérie, pas plus que les
paralysies
péri- phéro-spinales de projection. Il faut cit
i- phéro-spinales de projection. Il faut citer en premier lieu la
paralysie
du facial inférieur, la manifestation la plus fré
ection organique du cerveau et, si je me permets de passer dans les
paralysies
sensorielles pour un moment, l'hé- mianopsie la
ais il me faut prendre les choses comme elles sont actuellement. La
paralysie
faciale hystérique est fortement contestée par
pense, elle ne le sera jamais. Maintenant, d'où vient-il que les
paralysies
hystériques, tout en simulant de près les paral
ent-il que les paralysies hystériques, tout en simulant de près les
paralysies
corticales, s'en écartent par les traits distin
drait une bonne et importante partie de la théorie de la névrose.
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 37 III. Il
ndre doute sur les conditions qui dominent la symptomatologie de la
paralysie
cérébrale. Ce sont les faits de l'anatomie, la
la périphérie à la moelle, est la base de la différence entre la
paralysie
de projection et celle de représentation. De même
n et celle de représentation. De même, chaque détail clinique de la
paralysie
de représentation peut trouver son explication
ons déduire la construction du cerveau des caractères cliniques des
paralysies
. Nous croyons à un parallélisme parfait entre c
Ainsi s'il n'y a pas une grande facilité de dissociation pour la
paralysie
cérébrale commune, c'est parce que les fibres de
rtie de leur trajet intracérébral pour être lésées isolément. Si la
paralysie
corticale montre plus de tendance aux mono- plé
l, crural, etc., va en croissant jusqu'à l'écorce. Si de toutes les
paralysies
corticales celle de la main est la plus complèt
ps. Si le seg- ment périphérique d'une extrémité souffre plus de la
paralysie
que le segment central, nous supposons que les
ciations remarquables qu'on observe si souvent dans la clinique des
paralysies
corticales : aphasie motrice et hémiplégie droi
asma; elle en est l'expression clinique, comme tous les détails des
paralysies
cérébrales sont l'expres- sion clinique d'un fa
comme elle trouve son expression dans les caractères cliniques des
paralysies
cérébrales, il est évidem- ment impossible que
le que cette anatomie puisse expliquer les traits distinctifs de la
paralysie
hystérique. Pour cette raison, il n'est pas per
omie cérébrale des conclusions basées sur la symptomatologie de ces
paralysies
. Assurément il faut s'adresser à la nature de l
ure de la lésion pour obtenir cette explication difficile. Dans les
paralysies
organi- ques, la nature de la lésion joue un rô
ées de structure du système nerveux produisent les caractères de la
paralysie
organique, que nous avons rele- vés. Quelle pou
des lésions organiques vraies, qu'elles soient légères et fugaces.
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 39 Il est n
ES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 39 Il est nécessaire que les
paralysies
produites par les lésions de cet ordre, partage
ar les lésions de cet ordre, partagent en tout les caractères de la
paralysie
organique. L'oedème, l'anémie ne pourraient, pl
et le ramollissement, produire la dissociation et l'in- tensité des
paralysies
hystériques. La seule différence serait que la
nsité des paralysies hystériques. La seule différence serait que la
paralysie
par l'oedème, par la constriction vasculaire et
par la constriction vasculaire etc., doit être moins durable que la
paralysie
par destruction du tissu nerveux. Toutes les au
et l'anatomie du système nerveux déterminera les pro- priétés de la
paralysie
aussi bien dans le cas d'anémie fugace que dans
tions organiques passagères. J'affirme par contre que la lésion des
paralysies
hystériques doit être tout à fait indépendante
tomie du système nerveux, puisque l'hys- térie se comporte dans ses
paralysies
et autres manifestations comme si l'anatomie n'
e n'en avait nulle connaissance. Un bon nombre des caractères des
paralysies
hystériques justifient en vérité cette affirmat
tion des nerfs et c'est pour cette raison qu'elle ne simule pas les
paralysies
périphéro-spinales ou de projection ; elle ne c
sine sous les vête- ments. Il n'y a pas de raison pour joindre à la
paralysie
du bras la paralysie de la face. L'hystérique q
ents. Il n'y a pas de raison pour joindre à la paralysie du bras la
paralysie
de la face. L'hystérique qui ne sait pas parler
ancées dans les der- niers numéros des Archives de Neurologie ; les
paralysies
hys- 40 CLINIQUE NERVEUSE. tériques en donnen
de développer comment pourrait être la lésion qui est la cause des
paralysies
hystériques. Je ne dis pas que je montrerai com
nduire à une concep- tion qui ne contredit pas aux propriétés de la
paralysie
hysté- rique, en tant qu'elle diffère de la par
priétés de la paralysie hysté- rique, en tant qu'elle diffère de la
paralysie
organique céré- brale. , Je prendrai le mot «
laire des organes et du corps en général, qui est en jeu dans les
paralysies
hystériques comme dans les anesthésies, etc. Ce
tiles et surtout visuelles. Si elle détermine les caractères de la
paralysie
hystérique, celle-là doit bien se montrer igno-
de toute notion de l'anatomie du sys- tème nerveux. La lésion de la
paralysie
hystérique sera donc une altération de la conce
emple. Mais de quelle sorte est cette altération pour pro- duire la
paralysie
? PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES
quelle sorte est cette altération pour pro- duire la paralysie ?
PARALYSIES
MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 41 Considér
RICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 41 Considérée psychologiquement la
paralysie
du bras consiste dans le fait que la conception
solution du problème que nous avons posé, car dans tous les cas de
paralysie
hystérique on trouve que l'organe paralysé ou l
nte avec le souvenir de l'événement, du trauma, qui a produit cette
paralysie
. C'est M. Charcot qui nous a enseigné le premie
les stigmates) par le même mécanisme que Charcot a reconnu dans les
paralysies
traumatiques. Mais nous donnons aussi la raison
rmer d'après l'enseignement de M. Charcot, que la lésion dans les
paralysies
hystériques ne consiste pas en autre chose que da
cient. Mais même si ce mécanisme n'a pas lieu, s'il faut pour la
paralysie
hystérique toujours une idée autosuggestive dir
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 43 l'altération dans la
paralysie
hystérique devrait être, pour expliquer ses dif
sie hystérique devrait être, pour expliquer ses différences avec la
paralysie
organique céré- brale. REVUE D'ANATOMIE ET DE
gique complète. Cinq observations très détaillées. Observation 1.
Paralysie
des deux pattes postérieures, lésions inflam- m
nerfs périphériques. Observation Il. Attaques épilep- tiformes avec
paralysie
des quatre pattes. Nombreuses hémorrhagies de t
érescence très accentuée des nerfs périphériques.- Observation III.
Paralysie
spinale aiguë, vacuolisation des cellules nerve
riques; hémorrhagies capillaires dans la moelle. - OGselw2tioz Il ?
Paralysie
d'un seul membre, vacuolisation des cellules ne
les nerfs périphériques sont atteints et c'est alors qu'apparaît la
paralysie
. Mais les nerfs périphériques et les muscles so
IE TOUTE SPECIALE AFFECTANT TROIS FRÈRES ET SOEURS SOUS LA FORME DE
PARALYSIE
PROGRESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIRES ÉTENDUES
IV. Contribution A la pathologie ET A l'anatomie pathologique DE la
paralysie
générale ET notamment A l'étude DES altérations
IPHÉRIQUES; par fUERSTNER. (A1'ch. f Psychiat., XXIV, 1.) Dans la
paralysie
générale, peut-il y avoir lésion concurrente de
118 hommes,27 femmes. En ce qui concerne les lésions spinales de la
paralysie
générale, celles qui sont de beaucoup les plus
s observations existantes jusqu'ici ne permet pas de prouver que la
paralysie
progressive soit le'facteur direct d'une névrite
idée plus précise sur le pro- cessus pathologique si complexe de la
paralysie
générale ? Quand on pense que ces recherches on
e l'auteur n'admet pas la folie simple de nature syphilitique, m la
paralysie
générale syphilitique; mais il admet que la syp
que de la para- lysie générale et pour cet aspect propose le nom de
paralysie
géné- ralisée. Pour M. Mairet, toutes les lésio
qui ne guérissent jamais qui causent l'incurabilité de beaucoup de
paralysies
généralisées. La description est assez vague; d
re formes : folie simple, folie démentielle, folie démentielle avec
paralysie
localisée, folie démentielle avec paralysie gén
folie démentielle avec paralysie localisée, folie démentielle avec
paralysie
généralisée. Le délire n'a pas une forme unique
ts, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs partiels (muscles de l'oeil);
paralysie
faciale, hémiplégie ' · plus fréquente. Ces l
hologiques, 1851) ; Classification et diagnostic différentiel de la
paralysie
générale; Paris, 1852 ; (Annales médico-psychol
iscussions impor- tantes qui eurent lieu dans cette Société, sur la
paralysie
générale, la mnnonznnie au point de vue légal,
la suite : du côté de l'ap- pareil musculaire, il se développe une
paralysie
spasmodique, qui affecte, au membre supérieur,
z les 118'Russes syphilitiques,-il y a 22 cas de tabes et 10 cas'de
paralysie
générale, tandis que les femmes syphilitiques ont
ytiques gêné-11 raux ; chez les syphilitiques juives;pas'unè'seitle
paralysie
générale' et`1 cas de'tabes.')1 ! " '' 'rrtli.
riques; les réflexes superficiels étaient abolis ; l'atyôphiéjet la
paralysie
"de's muscles fléchisseurs ,'du' pied étaient^ t
ir in . I..lfU ! \ : ! 1 Il-' i b- If >' «j vù '< a. XI1. DES
paralysies
du' plexus 'brachial et 'du trouble de la sensi
. J.. J ...t"fJt't JJn'I'11J 1" \ ? 1 Il Ii, , : * Presque toutes les
paralysies
décrites sous le nom de paralysies du plexus br
1 Il Ii, , : * Presque toutes les paralysies décrites sous le nom de
paralysies
du plexus brachial tiennent à une lésion non pa
as du lacis du plexus, mais bien des racines nerveuses ? Exemple la
paralysie
totale et iiifé, rieure (terminologie allemande
r résection, des cinquième et sixième racines cervicales (Rose) ;la
paralysie
la plus étendue est celle des cas de Beevoret R
1 lii ,1 - Il : y a lieu en. tout'cas' de' désigner sous le nom de
paralysies
d'Erb, celles qui tiennent' à la paralysie des
désigner sous le nom de paralysies d'Erb, celles qui tiennent' à la
paralysie
des cinquième et sixième racines (paralysies su
lles qui tiennent' à la paralysie des cinquième et sixième racines (
paralysies
supérieuresidu plexus), dont, celle.de Erb n'est
rudimentaires. Observation de Borntroeger; observation de l'auteur.
Paralysie
périphérique comprenant les nerfs axillaire, ! I
' , ca. 1 ? [ t Les troubles) de la sensibilité,,1 étendus dans les
paralysies
qui» siègent' sur la partie inférieure du plexu
nn coup'de lance dans la' poitrine. Il eût, il y a quatre'ans', une
paralysie
faciale due au froid. Pas de ren- seignements p
· : Jl1'Í'w t ,a ? a qdô. , ,c.r`t ? u f, XXI. DE l'aphasie dans la
paralysie
générale ; par B. 1SCIIEB. . : '«ni ' ! ,fI' (A
térisée par : 1° survivance' et'longue durée de -l'aphasie dans la.
paralysie
générale, sans accidents paralytiques -du côté
xamen' des planches. ' ' ' P. K. ! - 1 1 l . / " , XXXIV. Un cas de
paralysie
faciale congénitale; par F. Schultze. , (Neurol
i-no'. '' {J(P I.J 1\, n ir.,71 il ' , r ,1 \ ,[/ ? m , \1 XXXVII.
Paralysie
spinale syphilitique (type-Erb) ; par MUCHIN et P
)rl HH' If.-¡b J'CI. ? .... , n, W tr ,1 ? Perte de connaissance, !
paralysie
de la mptilité et de la sensibi- J¡lité du 1 cô
e et impotence des membres. M. BBDDEBERG. Nouvelles observations de
paralysie
générale progres- sive à marche circulaire, ou
vations de paralysie générale progres- sive à marche circulaire, ou
paralysie
générale à double forme. Observation L-H... de
un paralytique. Il est plus exact de dire que, dans le cours de la
paralysie
générale, il y a eu un syndrome vésanique cycliqu
s'était d'abord amélioré, rétro- cède. Elles sont indiquées dans la
paralysie
générale, dans les lésions localisées de l'écor
nte (1868) son cours à la Salpê- trière, décrivit, entre autres, la
paralysie
agitante, la sclérose en plaques, jusque-là con
les leçons sur les troubles trophiques, venaient les leçons sur la
paralysie
agitante et la sclérose en plaques. Il ne les m
éniate de potasse et le bromure de camphre dans le traitement de la
paralysie
agitante et de quelques autres tremblements; le
ome de Weber, 1891 ; - A propos d'un cas d'hystérie masculine : 1 °
paralysie
dissociée du facial infé- rieur d'origine hysté
uelques autres maladies des centres nerveux, 1802 ; - Sur un cas de
paralysie
générale progressive à début très précoce par u
s de mutisme hystérique chez l'homme. - 1887 : Deux nouveaux cas de
paralysie
hysléro-trltu- matique chez l'homme ; La maladi
ne abarlicaclccire; Arthropathies syrin- gomyéliques et le syndrome
paralysie
labio-glosso-laryngée PI'O{]I'eS- sive dans le
lle cru- rale et tuberculose de la région pa1'acentl'ale : - 1892 :
Paralysie
générale chez l'adolescent (leçon recueillie pa
stic entre l'hémiplégie eapsulaire et l'hémiplégie hystérique ; Des
paralysies
hystéro-traumatiques chez l'homme (1887) ; - Scia
892). Bulletin médical : Rétractions fibi o-leizdii2etises dans les
paralysies
spasmodiques par lésions organiques spinales et
trophie spinale à forme scapulo-humérale, comme con- séquence d'une
paralysie
infantile contractée 35 ans auparavant ; De la
étude comparative d'après les formes mentales. Tout d'abord dans la
paralysie
générale. Observation I. Emile Sem..., trente
paralysie générale. Observation I. Emile Sem..., trente-six ans,
paralysie
géné- rale à la première période avec violente
s de duboisine. Observation II. - Emile Merl..., quarante-deux ans;
paralysie
générale à la première période, avec violente a
e-huit heures. Observation IV. Eugène Roll..., cinquante et un ans;
paralysie
générale à la première période ; agitation à pe
aits suivants : Observation V. - Félix Hasc..., quarante et un ans;
paralysie
générale à la première période; agitation à peu
physiulogique. Observation VI. - Charles Col..., trente-quatre ans;
paralysie
générale à la première période; très violente a
de la gorge. Observation VII. -Arthur Laff..., quarante-cinq ans;
paralysie
générale à la première période; agitation à peu
ou moins grande. Observation IX. Edouard Carb..., trente-huit ans;
paralysie
générale à la première période avec violente ag
d'amaigrissement. Observation X. Alfred Ceml..., quarante-cinq ans;
paralysie
générale à la première période avec agitation à
sse de la gorge. Observation XI. - Adrien Lor..., trente et un ans;
paralysie
générale à la première période avec vive agitat
es rapprochant de ceux que nous avons signa- lés plus haut, dans la
paralysie
générale, il ressort que le paralytique a été b
nière générale, dans la manie que dans la lypémanie. VIIL-Dans la
paralysie
générale la duboisine a eu une action complète
utumance à la duboisine a été plus fréquente et plus rapide dans la
paralysie
générale que dans les vésanies en général, la m
la lypémanie chro- nique ; elle a été sensiblement la même^dans la
paralysie
géné- rale que dans la lypémanie aiguë, elle a
L'action incomplète de la duboisine a été moins fré- quente dans la
paralysie
générale que dans les vésanies en général mais
le il est vrai de dire que la du- boisine a été plus active dans la
paralysie
générale que dans les vésanies, dans la manie q
sociétés savantes. 263 Séance du 4 février 1892. M. CIIOSTEK. Des
paralysies
ischémiqucs . M. MAYER. Présentation de névropa
e la fréquence et de l'importance diagnostique de ce symptôme de la
paralysie
géné- rale, l'orateur traite des caractères dif
transmettent le réflexe pupillaire. Voici un malade atteint d'une
paralysie
unilatéale de l'oculomoteur commun; on constate e
olente avec crises épileptiformes démence rapide, sans délire, sans
paralysies
, ni contractures; titu- bation rendant la march
rmes chroniques et aux démences, pour atteindre son maximum dans la
paralysie
générale. C'est également chez les déments et l
ccombe au bout de trois mois et demi, à une attaque assez légère de
paralysie
, accompagnée d'une congestion intense des- deux
ante : Mélancolie 32 p. 100; Manie 27 p. 100; Dé- mence, 24 p. 100;
Paralysie
générale et épilepsie, respectivement 1,9 p. 10
: Ii : ' J . t' '1"- ? ' XXXIX. Contribution A l'étiologie DE la
paralysie
générale PRO- GRESSIVE ; par OEEBERE. (Allg. Ze
CIÉTÉS SAVANTES. ,Trois d'entre eux ne présentaient, comme cause de
paralysie
géné- rale que la syphilis antérieure, chez tou
, 1 Voici un tableau synoptique de la proportion des causes de la
paralysie
générale chezjes cent paralytiques généraux en qu
ptomatique qui les caractérise tous les quatre n'est ni celui de la
paralysie
bulbaire chronique, atrophique, progressive, ni
ralysie bulbaire chronique, atrophique, progressive, ni celui de la
paralysie
pseudo- bulbaire, ni celui de la paralysie bulb
gressive, ni celui de la paralysie pseudo- bulbaire, ni celui de la
paralysie
bulbaire aiguë, il n'appartient pas davantage à
de la moelle. M. JOLLY. En effet, le complexus symptomatique de la
paralysie
spinale spasmodique a pour substratum des foyer
ple les préparations anatomiques prove- nant d'un malade affecté de
paralysie
spinale spasmodique, qui se complique d'érysipè
élite chronique peuvent se traduire par le complexus clinique de la
paralysie
spinale spasmodique. Mais cela n'empêche que la
re de la moelle peut, durant des années, présenter le tableau de la
paralysie
spinale spasmodique ; si, plus tard les réflexe
e-'des lésions communes auxicordons latéraux et posté- rieurs, sans
paralysie
générale, et que maints cas d'affection pure de
atéraux, faut-il le passer sous silence ? S'il existe un tabes avec
paralysie
ou une paralysie spinale spasmodique avec ataxi
le passer sous silence ? S'il existe un tabes avec paralysie ou une
paralysie
spinale spasmodique avec ataxie, et si ces variét
ations. Cela n'empêche évidemment qu'il y ait des cas de tabès avec
paralysie
tenant à une autre lésion, et qu'en certains SO
t paralysé du côté gauche depuis novembre de l'année précédente. La
paralysie
s'est installée brusquement sans perte de conna
rique en la mettant en parallèle avec le même, phéno- mène dans les
paralysies
organiques. M. GOLDCHEIDEIt. Contribution ci l'
com- plète. M. OPPENIIEIhi. Contribution ci la pathologie dans la
paralysie
spi- nale atrophique chronique.1 1 Mémoire pu
rer au phénomène analogue qui se passe chez les malades atteints de
paralysie
agitante : On sait en effet que chez ceux-ci ce
ent, la parole se rapprochait davantage de celle qu'on note dans la
paralysie
glossolabiée; mais on vient de voir que dans pl
e on aurait pu le supposer a priori. Il signale également un-cas de
paralysie
saturnine avec tremblement des cordes qui coïnc
T DU SUBSTRATUM ANATOMO-PATHOLOGIQUE DU DÉLIRE DE GRANDEURS DANS LA
PARALYSIE
PROGRESSIVE ; par S. KoRN- FELD et G. BIKELES.
lacune du jugement commune à bien des hommes, mais exagéréedans la
paralysie
géné- rale, en vertu de laquelle l'individu ne
ée. P. KERAVAL.. XLVII. CONTRIBUTION au diagnostic anatomique DE la
paralysie
GÉNÉRALE PAR L'ÉTAT ANATOMO-PATHOLOGIQUE DE LA
matique a été l'effet simul- tané d'un seul et même agent nocif. La
paralysie
générale serait l'effet non de la forme de lési
ion du sens génital (obses- sions). P. K. XLIX. La diathèse DE la
paralysie
générale; par G. R.-WILSON. (The journal of Men
usement appli- cable à la conception de M. Wilson relativement à la
paralysie
générale. Son intention dans ce travail est d'i
tre, dit-il, peut-on aller jusqu'à reconnaître une diathèse « de la
paralysie
générale, une tendance organique vers cette ma-
hémoglobine sont peu marquées dans la mélancolie, l'épilepsie et la
paralysie
générale ; dans cette dernière maladie toutefoi
m qui dépasse de beaucoup le chiffre normal) a été constaté dans la
paralysie
générale, et le minimum dans la démence seconda
; - 2° la totalité des résidus solides atteint son maximum dans la
paralysie
générale, son minimum dans la démence secon- da
3° l'homme sain n'excrète pas plus d'urée que l'aliéné ; 4° dans la
paralysie
générale, l'épilepsie et la mélancolie, la quan
e est augmentée chez les aliénés ; elle atteint son maximum dans la
paralysie
générale, l'épilepsie et la démence ; 6° le tau
et la démence ; 6° le taux de la créatinine est plus élevé dans la
paralysie
générale, et la démence qu'à l'état de santé ; 7°
même pour les muscles atrophiés (para- lysie faciale rhumatismale,
paralysie
traumatique du péronier, névrite du nerf péroni
évrite du nerf péronier, myélite chronique, syringomyélie). Dans la
paralysie
faciale rhumatismale, le courant faradique produi
res, et quand elles existent, c'est surtout (en laissant de côté la
paralysie
géné- rale) dans la manie et la mélancolie chon
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 409 ractéristiques de la
paralysie
générale : il y a cependant quelques remarques
que si rarement, présente, en effet cette double altération dans la
paralysie
générale, et ne la présente guère que là ; mais
es des artères soient environ cinq fois plus communes que dans la
paralysie
générale. On a également noté ici, beaucoup plus
x autres altérations qui, elles aussi, sont plus fréquentes dans la
paralysie
générale que partout ailleurs, ce sont : la dil
portion des cerveaux à configuration simple est plus élevée dans la
paralysie
générale que dans la plupart des autres maladie
- blissement général des mouvements volontaires qui aboutit à une
paralysie
complète avec incontinence urinaire et fécale, ab
es troubles des organes pelviens et par le fait que, en dépit d'une
paralysie
qui semblait complète, la malade était en état
u'on provoquait ses pleurs. La chorée peut être combinée avec de la
paralysie
hystérique. M. Minor croit avec Gowers qu'il es
ilatérale des muscles en question. M. Remak a lui-même constaté une
paralysie
unilatérale de ce genre avec luxation para- lyt
ue du maxillaire inférieur et ouverture de la bouche dans un cas de
paralysie
bulbaire apoplectique, dans son travail intitulé
tique, dans son travail intitulé Contribution à la pathologie de la
paralysie
bulbaire. Quant à Y hémihypéresthésie croisée o
e affecté d'hé- mianesthésie croisée du trijumeau et accompagnée de
paralysie
des cordesvocales chez lequel il existait des s
les. M. Oppenheim. Je traite en ce moment un tabétique affecté de
paralysie
delà sensibilité et de la motilité dans le domain
l'assis- tance familiale des aliénés » ; « Sur la pathogénie de la
paralysie
sue- ciale atroplaique et de la neurile multipl
ralysie sue- ciale atroplaique et de la neurile multiple »; « De la
paralysie
acQQ- lique, etc. » BIBLIOGRAPHIE. 427 -1 d
les psychoses de la maladie de 430 BIBLIOGRAPHIE. Basedow, de la
paralysie
agitante, etc; 1,;) les psychoses et psycho- né
ions chroniques. Le troisième, groupe contient : le délire aigu, la
paralysie
générale, la démence sénile, les affections organ
st une excellente méthode de traitement des accidents hystériques :
paralysies
, contractures, spasmes, etc., chez les sujets h
nt de cinq mois. Gué- rison (une séance) ; 2° Chez le même enfant :
Paralysie
hystéro- traumatique datant de un mois. Guériso
n'y avait jamais eu de fractures, mais en revanche il existait une
paralysie
hystéro-traumatique avec anesthésie du membre j
ue joue la suggestion dans l'éclosion des acci- dents hystériques :
paralysie
, contracture, etc. C'est une loi chez le paysan
e de fracture, entraînant l'idée d'impuissance fonctionnelle, et la
paralysie
psychique est produite. Seulement dans ce cas l
e, et la paralysie psychique est produite. Seulement dans ce cas la
paralysie
s'est produite plus rapidement que M. le profes
rveuses, vint un jour à mon cabinet; elle était aphone et avait une
paralysie
du bras droit. Après la constatation des prin-
l'hystérie j'endors la jeune fille et lui enlève instantanément sa
paralysie
du membre. La voix revient aussitôt; elle parle
dents tels que l'anorexie, les vomissements, les contractures, les
paralysies
, en lui disant que ce liquide la guérira, que d
par la personne sur elle-même, sug- gestion qui produit si bien les
paralysies
, contractures, peut égale- ment les faire dispa
bres inférieurs et supérieurs avaient conservé leur vigueur. Pas de
paralysie
, ni parésie. Le masque de la face n'est pas alt
ociées. Comme c'est la myopathie qui domine la scène, supposons une
paralysie
, une contracture survenant subitement et dispar
p loin. Que de vieil- lards paralytiques, que d'enfants atteints de
paralysie
infantile ne m'a-t-on pas conduits à ma consult
heresse de la gorge accélération du pouls). Action sédative dans la
paralysie
agitante grave à la dosé de 0,0002 à 0,0003, de
TOMO-PATHO - · 1 11, 1 A , fil 1 il. ,nI m . 1 , LOGIQUES dans la
paralysie
faciale périphérique NON spécifique ; par L. D.
.' t ' ;il f) t f , ; .n. Tj ; Etude microscopique dans un cas de(
paralysie
faciale consécutive à une otite. Celte étude mo
`diyns `lh'pârnlsie périplvé- rique du facial. On observe dans les
paralysies
faciales périphé- riques graves une déviation c
iation de la langue précé- demment constatée, ne provient pas de la
paralysie
de quelque muscle lingual que ce soit, elle est
ci''la physiologiedû â`icbcin'dè Re); mais la' constatation d'une^
paralysie
^ partielle 'de la sensibilité à l'égard'dë'Ia'c
tent' 'de supposer'' Inexistence Ilécla syringoni3,e- lié. Puis, la
paralysie
partielle. de, la sensibilité et, en particulier
ruz trauzzfcv - l Bâus ! 'Cortt.i6ution la symptoinatologie (le, la
paralysie
. isolée ''du grand dentelé ? 'Publié ïin, exten
les fois'qu'il-y a'dégénérescence'du' muscle. Ainsi, dans un cas de
paralysie
saturnine des péroniers, il y avait atrophie musc
lle; le 13 septembre, hémiparésie faciale à gauche; le 16 décembre,
paralysie
du pathétique droit, parésie des branches palat
ars 1880, troisième ictus apoplectique avec aphasie; le 29 juillet,
paralysie
complète de l'oculomoteur com- mun gauche, avec
juillet, paralysie complète de l'oculomoteur com- mun gauche, avec
paralysie
de la pupille absolument immobile et mydriase;
'en dise E. Pflüger, la cocaïne agit encore, dans les cas où il y a
paralysie
du sympathique (complexus symptoma- tique de Ho
nt encore excitables. Cela ne se voit-il pas dans beaucoup d'autres
paralysies
motrices, quand la dégéné- rescence n'est pas t
mot qui fait image, l'équilibre du vélocipède. Il y a en réa- lité
paralysie
des extrémités des membres inférieurs par névrite
t plus rationnel et plus efficace. Je n'en veux pour exemple que la
paralysie
infantile et la paralysie spinale antérieure ch
fficace. Je n'en veux pour exemple que la paralysie infantile et la
paralysie
spinale antérieure chronique. Conseiller l'hydr
dans la syphilis cérébrale, par Heilbronner, 132; de l' - dans la
paralysie
générale, par Ascher, "142 ; l'attaque hysté-
1 1, Catatonie,1 des symptômes 'de' ' dans le cours;> de ' la -
paralysie
1 générale chez la femme ? par ' Naecl : e, 3
ps plus ou moins long, comme dans quelques cas de contracture ou de
paralysie
, des rétractions fibreuses'. S'il en est ainsi
tin médical, N° 7, I An « Rétractions fiiJro-teI1lEneliscs dans les
paralysies
spasmodiques par lésions organiques spinales et
rice pure, comme on sait, l'impuissance motrice n'est pas due à une
paralysie
des mouvements ordinaires, puisque le malade se
De même dans l'astasie, l'impuis- sance motrice ne tient pas à une
paralysie
des mou- vements généraux puisque le malade exé
musculaire ,, une variété de tremblement saturnin précurseur de la
paralysie
. Employé dans ce sens le terme n'a pas survécu. 1
forme spéciale d'impotence motrice des membres inférieurs » et les
paralysies
psychiques; mais, cette fois encore, nous ne tr
es pa- ralytiques, mais souvent elle existe sans aucune espèce de
paralysie
. La malade, dans ces cas, n'a pas de troubles d
, excrétions, s'ac- complissaient, du reste, régulièrement, mais la
paralysie
de la marche persistant, l'enfant fut amené à l
s cet auteur a appliqué au diagnostic du siège de la lésion dans la
paralysie
faciale les résultats que donne la sudation par
e les résultats que donne la sudation par la pilo- carpine. Dans la
paralysie
d'origine périphérique, il ya un retard d'une à
ussi persister un peu plus longtemps de ce côté, tandis que dans la
paralysie
d'origine cérébrale la fonction est égale des d
gale des deux côtés du corps. On ne trouve aucun signe de tabes, de
paralysie
générale, de tumeur cérébrale d'hystérie. 12
a faiblesse des jambes, des maux de tête, etc., lorsque survint une
paralysie
de la jambe droite. La céphalal- gie limitée au
seule dans laquelle, avec les symptômes les plus manifestes d'une
paralysie
du sympathique cervical, on s'est trouvé en pré
ncontre pas habituellement, comme nous le verrons dans les cas de
paralysie
du sympathique cervical. On trouve encore dans
nn est un peu douloureuse. Dans cette deuxième observation il y a
paralysie
des fibres vaso-motrices, comme dans l'observat
ation produisant l'éphidrose et la mydriase sur- venait un stade de
paralysie
avec les phénomènes habituels. Les variations s
t, par anticipation, que telle n'est pas la marche habituelle de la
paralysie
du sympathique cervical, et que, dans les expér
ne par une hémiplégie droite comprenant le facial; blépharoptose et
paralysie
du droit interne de ce côté, para- lysie de l'h
auche. Contraction paradoxale. Puis tout disparaît, mais bientôt la
paralysie
reparaît sur les extrémi- tés. Finalement, la p
bientôt la paralysie reparaît sur les extrémi- tés. Finalement, la
paralysie
de l'hypoglosse droit remplace celle de l'hypog
dans la gorge, et légère dysphagie, ayant précédé de trois mois la
paralysie
générale; l'autre de parésie fonctionnelle d'une
e progressive. P. K. V. CONTRIBUTION au rapport qui EXISTE ENTRE la
paralysie
GÉNÉ- RALE ET la syphilis. Contribution casuist
tribution casuistique ; par W. Sommer (Neural. Centralbl., 1886.)
Paralysie
générale chez un jeune homme de vingt ans, qui av
ui avait été infecté au sein par sa nourrice. P. K. VI. UN cas DE
paralysie
progressive, compliquée DE sclérose LATÉ- RALE
ATÉ- RALE AMYOTROPIIIQUE; par ZACHER. (Neurol. Centralbl., 4886.)
Paralysie
générale avec dégénérescence des faisceaux pyrami
ns latéraux a été la première en date; d'où une première période de
paralysie
spasmodique; puis, les organes périphériques so
se commettre des erreurs de localisation considérables. P. K, IX.
Paralysie
générale associée A DE l'aphasie SENSO- RIELLE;
novembre 1887. Présidence de M. Magnan. Période pré-délirante de la
paralysie
générale. - M. Christian, énumère un certain no
rbides qu'il a notés chez beaucoup de malades atteints plus Lard de
paralysie
générale et qui, sous leur apparente diversité,
u'il a énumérés et d'en constituer la période pré-déli- rante de la
paralysie
générale. M. GARNIER tout eu reconnaissant l'in
ns en tous les points du revêtement cutané; il ne présentait aucune
paralysie
motrice. Mais il paraissait complètement aveugl
le professeur 1 oEns'rwa (d'Ileidelberâ). Lésions spinales dans, la
paralysie
progressive. Il y a des cas de paralysie générale
Lésions spinales dans, la paralysie progressive. Il y a des cas de
paralysie
générale dans lesquels, des années durant, les
é ces diverses lésions spi- nales, les altérations cérébrales de la
paralysie
générale sont toujours itentiques à elles-mêmes
es à elles-mêmes ? Y a-t-il par exemple, dans les cas de tabes avec
paralysie
générale, celte atrophie des fibres corticales
isceaux pyra- midaux étant demeurés indemnes; les altérations de la
paralysie
générale portaient-elles sur les mêmes parties
he à fumier qui l'étend sans connaissance. Pendant longtemps après,
paralysie
des extrémités droites et de la jambe gauche. E
ur KAST (de Fribourg). Contribution à l'anatomie pathologique de la
paralysie
infantile cérébrale. On ne connaît cette maladi
ver la question anatomo- pathologique. Remarquons d'ailleurs que la
paralysie
infantile spinale tend, après le premier assaut
spinale tend, après le premier assaut, à décroître, tandis que la
paralysie
infantile cérébrale tend à progresser. M. le Do
e Fribourg). Sur un cas de rhumatisme articulaire aigu compliqué de
paralysie
spinale. - Homme de cin- quante-sept ans. Le 18
la moelle épinière et le bulbe chez un homme de quarante-huit ans.
Paralysie
progressive de la motilité et de la sen- sibili
face, une sensa- tion annulaire au petit doigt du côté droit, de la
paralysie
des extrémités droites, dans un cas même, des e
t à cause de maux de tête fréquents, soit de chutes épilcptique, de
paralysie
, de nervosité extrême. De tels enfanls étant in
de syphilis constitution avec zona et ictère (Gaz. hebd., 1858); -
Paralysie
de certains muscles de l'oeil et rapports avec
articles dans le Dictionnaire de médecine et chirurgie pratiques :
Paralysie
yéné- rctle; Nymphomanie; Lypémanic ; Manie; Hy
882); - Contribution à l'étude des rapports entre la syphilis et la
paralysie
générale (1879); Symptômes passagers de paralysie
la syphilis et la paralysie générale (1879); Symptômes passagers de
paralysie
générale chez un épileptique (1879); Des relati
que (1879); Des relations entre les troubles de la motilité dans la
paralysie
générale et les lésions de la couche corticale
ales (1877); -- Les aliénés voyageurs ou migrateurs ( ! 87'); De la
paralysie
générale par propagation (1873); - Moyens prati
i syphilis. Personne de ses pa- rents ne présente de phénomènes, de
paralysie
, de crampes, d'a- trophies, de psychose, etc. J
i l'occasion du développe- ment de l'affection porte à croire à une
paralysie
psychique. Or, on sait que la paralysie hystéri
ection porte à croire à une paralysie psychique. Or, on sait que la
paralysie
hystérique se présente sous deux formes cliniqu
termé- diaires qui font la transition. Dans un premier groupe, la
paralysie
est avec flaccidité, dans l'autre, la para- lys
M. Charcot a beaucoup insisté dans ses leçons 1, que cette sorte de
paralysie
émotive peut dans certains cas, en particulier
l'hyperthermie et enfin l'hyper- sudation. Dans beaucoup de cas de
paralysie
du sym- pathique-cervical, ce dernier symptôme
geur, hyperthermie hypéridrose et myosis que l'on a affaire à une
paralysie
du tronc du sympathique cer- vical. Mais comm
les nombreuses observations où une phase d'excitation a précédé une
paralysie
du sympathique cervical on a bien noté cette my
pas avec ceux de M. Nicati qui a montré que la première phase d'une
paralysie
du sympathique était une période d'excitation c
ait remarquer que MM. Poincaré et Bonnet ont parfois trouvé dans la
paralysie
générale une pigmentation marquée et une scléro
non plus que dans le cas suivant dû à Brigidi. Il s'agissait d'une
paralysie
pseudo-hypertrophique et l'on trouva dans les g
es du nerf grand sympathique. (Arch. de Physiol., 1882.) Nicati. -
Paralysie
du symp. cervical, Zurich, 1873. Analyse in Rev
tion mentale, à constituer des espèces pathologiques distinctes. La
paralysie
générale reste la seule indiscutée jusqu'à présen
et plus particulièrement mus- culaires accompagnent, comme dans la
paralysie
générale, et aussi fréquemment que dans cette m
importance met en parallèle avec les phénomènes paralytiques de la
paralysie
générale, on trouve encore d'autres caractères
nie. Jusqu'à un certain point, cette forme serait un pen- dant à la
paralysie
générale avec ou sans délire des grandeurs; ana
. Ce fait seraità opposer à la prédominance de la pneumonie dans la
paralysie
générale. / L'étiologie n'offre rien de bien pa
tte affection est assez favorable contraire- - z ment à celui de la
paralysie
générale; les habitudes d'onanisme antérieure l
t autopsies de catatoniques, et il institue une comparaison avec la
paralysie
générale. Il y aurait au début de la maladie un
rganisation des exsudats. Contrairement à ce qui se g passe dans la
paralysie
générale, il n'y a ordinairement pas d'hémorrha
ent des cavités cérébrales, contrairement à ce qui se passe dans la
paralysie
générale. De plus, la Catatonie a une prédilect
ainsi caractérisée se rapproche par sa signification clinique de la
paralysie
générale avec ou sans idées de gran- deur, dans
veux moteur qui, dans ce cas, auraient au contraire le caractère de
paralysies
. ' Près de ces deux formes de maladies si disti
tivo-sensorielle et de légère contracture principale- ment au bras,
paralysie
hémiaciale incomplète du même côté que l'hémipl
hagie cérébrale, à une at- taque apoplectiforme dans le cours de la
paralysie
générale, vu les symptômes d'aliénation mentale
ne léthargie qui dura dix-huit mois, d'où il sortit avec une : <
paralysie
du pied gauche ». La léthargie ne récidiva pas
t défaut, la résolution musculaire étant plus ou moins complète, la
paralysie
ou la contracture ne se limitent pas exactement
morrhagie, ramollissement, tu- meur, attaques apoplectiformes de la
paralysie
générale, etc. ? Evidemment, en matière d'hys
ramollissement, tumeurs ; dans les attaques apoplec- tiformes de la
paralysie
générale ou de la sclérose en plaques; dans l'é
'hémiplégie hystérique, ni la face ni la langue, ne sont prises; la
paralysie
est limitée au membre supérieur et inférieur et
ir de la tendance à devenir rigides. Dans la promenade, quand cette
paralysie
est complète, le malade tire sa jambe après lui
. Charcot 2, et avec lui MM. Brissaud et P. Marier ce n'est plus de
paralysie
, mais bien de spasmes dont il s'agit ici. La co
sain ; enfin, il peut être reproduit par suggestion, tandis que la
paralysie
faciale d'origine centrale ne peut être obtenue
différents signes. Pas un de ces auteurs ne signale, en effet, une
paralysie
véritable du facial inférieur : on trouve même,
éritable du facial inférieur : on trouve même, parmi ces faits, des
paralysies
du facial supé- rieur (Lebreton', Dumontpallier
e vue du diagnostic différentiel. 1 Des différentes variétés delà
paralysie
hystérique. Th. Paris, 1868, obs. XVI. 2 Apop
uatre ans et sept mois et demi. L'autopsie révéla les lésions de la
paralysie
générale. Nous en tenant exclusivement à la que
de M. Rey : « L'hystérie s'atténue ou disparaît dans le cours de la
paralysie
générale ; il est probable que dans beaucoup de
(Annales médico-psychologiques, 1885, t. I, p. 20.) ' Note sur la
paralysie
générale chez la femme; de l'hystérie chez les
générale chez la femme; de l'hystérie chez les femmes atteintes de
paralysie
générale. (Annales médico-psychologiques, 1885,
se. Ce médicament serait indiqué dans les agitations modérées de la
paralysie
générale, mais son triomphe est la mélancolie a
s des dégénérés les plus avancés se manifeste par l'alcoolisme, les
paralysies
, les altérations du caractère, la déséquilibratio
ffecté de tumeur cérébrale. Les symptômes contraires à l'idée d'une
paralysie
générale étaient le contraste entre cette profond
la papille optique (papille étranglée). Au milieu de janvier 1887,
paralysie
de la jambe et du bras droits; mort fin janvier
i- guées par cette artère. M. MUFLLER. Les formes initiales de la
paralysie
générale ne sont pas toujours aussi faciles à é
à la suite de deux, attaques apoplectiformes, n'ayant pas laissé de
paralysie
après elles, agitation, activité improductive,
vomissements, inappé- tence, fièvre légère. Le 15 mai, brusquement,
paralysie
incomplète du bras droit, aphasie ; le malade n
tremblement pendant les mouvements intentionnels, le nystagmus, les
paralysies
associées des yeux, paralysie de la convergence
s intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des yeux,
paralysie
de la convergence, l'insuffisance des droits inte
, 2 fr. 75. 1`IATAIEU-SICAUD (H.). De l'étiologie héréditaire de la
paralysie
spi- nale infantile aiguë. Brochure in-8- de 80
soler. « Abolition progressive de la coordination des mouvements et
paralysie
apparente contrastant avec l'intégrité de la fo
durant la vie du malade, le diagnostic de sclérose en plaques ou de
paralysie
bulbaire progressive, ont été surpris de ne déc
par une vaste hémorrhagie cérébrale, que l'état malades atteints de
paralysie
générale, de sclérose en ' Voir à ce sujet : We
ES SUR LE ROLE DE LA PRÉDISPOSITION NERVEUSE DANS L'ÉTIOLOGIE DE LA
PARALYSIE
FACIALE DITE A F,11[GOIiE,- Par le Dr E. NEU)
, un mémoire consacré à l'Etude des condi- tions êliologiques de la
paralysie
faciale. Laissant de côté les hémiplégies de la
uées par une hémorrhagie ou par un ramollissement du cerveau, les
paralysies
de la septième paire placées sous la dépendance
s qui peu- vent être occasionnées par un traumatisme ou par DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 355 une carie du rocher, en un mot tou
LA PARALYSIE FACIALE. 355 une carie du rocher, en un mot toutes les
paralysies
se rattachant à une lésion bien déterminée, nou
nt exclusivement sur le terrain de la clinique, que dans toutes ces
paralysies
faciales, connues autrefois sous le nom d'idiop
les causes habituellement invoquées pour expliquer l'origine de la
paralysie
faciale, sont purement secondaires et qu'elles
ppelle l'hérédité nerveuse. Si, au lieu d'établir l'étiologie de la
paralysie
faciale avec des hypothèses banales, on veut la
d au médecin qu'il y a dans la famille des hystériques, des DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 357 choréiques, des épileptiques, des
IALE. 357 choréiques, des épileptiques, des individus atteints de
paralysie
générale ou d'aliénation mentale sous une forme
d'aliénation mentale sous une forme quelconque, etc. Et alors cette
paralysie
faciale qui apparaissait, au premier abord, com
ice d'électrothérapie de la Salpêtrière le 4 juillet 1887, avec une
paralysie
faciale du côté droit. Pas de renseignements au
quinze jours, le 27 juin, elle a été prise sans cause connue d'une
paralysie
faciale occupant le côté droit. L'hémiplégie po
n, elle a été prise brusquement, sans cause connue pour elle, d'une
paralysie
faciale occupant le côté gauche de la face. Tou
n doute sur la susceptibilité native de son système ner- veux. La
paralysie
faciale n'a pas été chez elle un accident isolé
r attester l'existence delà diathèse nerveuse chez la mère. DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 359 Dans tous les faits dont la relati
e présente à l'hospice de la Salpêtrière le 9 juin 1887. Elle a une
paralysie
faciale du côté gauche qui date du 35 août 4881;,
e, se présente au service d'électrothérapie, le juin 1887, avec une
paralysie
faciale du côté gauche. Antécédents héréditaire
s exposée au froid et ne sait à quelle cause elle doit rapporter la
paralysie
. L'impotence fonctionnelle porte sur tous les m
S... est toujours restée très nerveuse et très impressionnable . La
paralysie
date de deux mois environ ; elle est survenue bru
réaction de dégéné- rescence très nette dans les muscles frappés de
paralysie
. Observation VI. C... (Louis-François), employé
au service d'électrothérapie le 21 juin 1887; il est atteint d'une
paralysie
faciale droite. Antécédents de famille : Père a
jamais eu aucun acci- dent nerveux; interrogé sur les causes de sa
paralysie
, C... nous dit qu'il ne sait a quoi l'attribuer
érescence dans tous les muscles innervés par le facial droit. DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 361 Observation VII. B... (Désirée), q
rapie le S janvier 1888 ; elle est atteinte depuis huit jours d'une
paralysie
faciale qui occupe le côté droit de la face. An
s dou- leurs de tête. Pas d'autre accident nerveux à signaler. La
paralysie
faciale est survenue sans motif apparent; c'est l
apparent; c'est le matin, au réveil, que L... s'en est aperçue. La
paralysie
est totale avec réaction de dégénérescence comp
présente à la Salpêtrière le 24 janvier 1888 ; il est atteint d'une
paralysie
faciale siégeant du côté droit. ' Antécédents h
; il croit devoir rapporter l'hémi- plégie à un refroidissement; la
paralysie
porle sur tous les mus- cles innervés par le fa
arcot le 7 février 1888; il est atteint depuis trois semaines d'une
paralysie
faciale gauche; le malade croit pouvoir l'attribu
dées noires; cet état psychique a persisté pendant trois mois. La
paralysie
faciale est totale, elle s'accompagne de troubles
grandes névroses et les affections du groupe psychopathique DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 363 qui occupent la première place par
ccidents nerveux et parait, du reste, jouir d'une bonne santé. La
paralysie
faciale qui occupe le côté gauche de la figure es
graines. Il y a douze ans, elle a été prise sans cause connue d'une
paralysie
faciale du côté droit ; cette hémiplégie de la
inze jours Mariette R... s'est réveillée le matin avec une nouvelle
paralysie
faciale occupant cette fois-ci le côté gauche.
nvient de signaler une autre particularité; c'est la récidive de la
paralysie
de la septième paire. Ces récidives, qui ne son
ont pas signalées par les auteurs- classiques dans l'histoire de la
paralysie
faciale, sans être très communes, ne doivent né
rtait à un sujet qui, en moins de trois ans, fut atteint de trois
paralysies
faciales l'une du côté droit et les deux autres
gauche de la face. Mobius, qui avait déjà fait connaître un cas de
paralysie
faciale récidi- vante ( ? J ? ? t. CCVII), rapp
huit ans qui, à la suite d'un refroidissement, avait eu en 1868 une
paralysie
faciale à droite. Puis, en 1876, il avait été p
faciale à droite. Puis, en 1876, il avait été pris d'une nouvelle
paralysie
faciale, mais cette fois à gauche. Enfin en 188
e dans une voiture ouverte, il vit se développer encore une fois la
paralysie
faciale à droite. M. Charcot nous a cité le c
cot nous a cité le cas d'une femme qui a eu jusqu'à quatre accès de
paralysie
faciale, alternant à droite et à gauche. Tout r
fesseur Troschel (de Kiew) communiquait à M. Charcot l'his- DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 365 toire d'un malade hystéro-épilepti
oire d'un malade hystéro-épileptique qui a été atteint deux fois de
paralysie
faciale. Voici le résumé de cette observation d
gauche dont il ne reste plus de trace; il y a quatre ans, deuxième
paralysie
faciale du côté droit, incom- plètement guérie.
etc. Les faits dont il vient d'être question montrent bien que la
paralysie
faciale peut récidiver et que ces réci- dives,
n- trée qu'en 1886. Il y a huit jours, le malade a été pris d'une
paralysie
faciale gauche qu'il croit devoir rapporter au
édisposé, devient ataxique, et au cours de la maladie, il prend une
paralysie
faciale. Il est à peine besoin de dire qu'il ne
ire ne figure pas au nombre des phénomènes céphaliques du tabes. La
paralysie
de la face est également indépendante de la syp
r dans la syphilis cérébrale,, si le facial vient à être touché, la
paralysie
est presque joujours partielle et le facial sup
et le facial supérieur reste indemne; tel n'est pas le cas DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 367 de cet homme qui a été frappé d'un
DE LA PARALYSIE FACIALE. 367 de cet homme qui a été frappé d'une
paralysie
faciale complète. Quelque sceptique que l'on so
roit du rôle de la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la
paralysie
faciale, il faut cependant convenir que, dans l
des parents, le bec de lièvre, l'hystérie, l'ataxie locomotrice, la
paralysie
générale et la folie : Observation XVI. D...
ienne), âgée de quatorze ans, a été atteinte il y a cinq mois d'une
paralysie
faciale du côté droit. Cette hémiplégie est sur
n'a jamais eu de crises convulsives; rougeole dans l'enfance. La
paralysie
faciale intéresse tous les muscles innervés par l
s, se présente au service d'électrothérapie le 9 juin 1887 avec une
paralysie
de la face {côté droit). Antécédents héréditair
, vient nous consulter le 3 novembre 1887 ; elle est atteinte d'une
paralysie
faciale du côté droit ; la malade nous donne le
t; convulsions dans l'enfance, névralgies faciales fréquentes. La
paralysie
faciale date de cinq jours, lamaladene sait quell
rmales. Nous avons déjà indiqué dans notre premier travail que la
paralysie
faciale (c'est là encore un caractère important
actère important qui la rapproche de certaines autres mala- DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 369 dies héréditaires du système nerve
thérapie de la Salpêtrière le 16 juillet 188î. Il est atteint d'une
paralysie
faciale gauche. Antécédents héréditaires : Père
trois ans, a eu, il y a huit ans à la suite d'une émotion vive, une
paralysie
faciale du côté droit qui a duré trois semaines
us affirme qu'il a toujours été bien portant, quoique ner- veux. La
paralysie
faciale chez ce malade date de trois semaines;
l'histoire d'une famille de névropathes voués pour ainsi dire à la
paralysie
faciale. Cette remarqua- ble observation, dont
à M. le professeur Charcot, ne comprend pas moins de cinq cas de
paralysie
de la septième paire, observés chez des membres
est l'hérédité directe, similaire, mise en pleine lumière, c'est la
paralysie
Archives, t. XV. 24 370 CLINIQUE NERVEUSE.
s préféré la reproduire sous forme de tableau généalogique. DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 371 est une affection fortuite, accide
conque. Les choses ne se passent pas ainsi; les malades atteints de
paralysie
de la septième paire sont tous ce qu'on pourrai
lement variées : tantôt c'est un froid qui parait avoir provoqué la
paralysie
; d'au- tres fois, c'est une émotion; d'autres f
al. 372 CLINIQUE NERVEUSE. Dans cette étude sur l'éliologie de la
paralysie
faciale, nous avons jusqu'ici laissé complèteme
cela nous sommes d'accord avec les auteurs clas- siques, que si la
paralysie
faciale peut surgir à tout âge, elle est plus f
x atteintes du froid que les femmes, la fréquence plus grande de la
paralysie
faciale chez celles-ci serait, d'une part, un a
adie. Il est incontestable, en effet, que la femme est plus DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 373 entachée de nervosisme que l'homme
d'ordre secon- daire, pour mettre en lumière la vraie cause de la
paralysie
faciale. L'histoire des malades, l'histoire de
capital que joue la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la
paralysie
faciale dite a frigore. Après avoir établi la v
de nom- breux traits d'union à toutes les maladies nerveuses, la
paralysie
faciale est parente à un degré beaucoup plus ra
z les ascen- dants ou chez les collatéraux des sujets atteints de
paralysie
de la septième paire, on retrouve toujours, ' 3
pilepsie, l'hystérie ou la chorée, soit les vésanies, soit enfin la
paralysie
générale progressive. Les maladies de la moelle
que les troubles psychiques sont fréquents dans le tabes et que la
paralysie
générale vient souvent se greffer sur l'ataxie
concorder pour dire à l'observateur que chez les sujets frappés de
paralysie
de la face, c'est le cer- veau qui constitue le
onnaissances sur l'anatomie et la physiologie patho- logiques de la
paralysie
faciale ne nous autorisent pas à aller au delà.
trique des nerfs et des muscles qu'Erb a basé sa classification des
paralysies
faciales qu'il a divisées en trois groupes : da
qu'il a divisées en trois groupes : dans le premier groupe DE LA
PARALYSIE
FACIALE. -375 (forme légère), il n'y a aucune a
e un à deux mois. Dans le troisième groupe vien- nent se ranger les
paralysies
à forme grave avec réaction de dégénérescence c
m- porte de nombreuses exceptions. Brenner rapporte un exemple de
paralysie
faciale guérie en peu de temps et qui cependant
sence presque totale de modifications des réactions électriques. La
paralysie
faciale chez ce malade, complète dès les premie
t minime et nullement en rapport avec l'intensité et la durée de la
paralysie
; au lieu de trouver la réaction de dégénérescen
ractilité électrique, mais n'expliquait en rien l'intensité de la
paralysie
. M. Déjerine terminait ainsi sa communica- tion
on : « Il est difficile, pour ne pas dire plus, de com- prendre une
paralysie
faciale par compression, persis- tant plus d'un
t des troubles marqués dans l'état de la con- tractilité. » DE LA
PARALYSIE
FACIALE. 377 Nous avons eu également occasion d
on avec l'intensité et la durée de la maladie; et nous avons vu des
paralysies
faciales ne s'accom- pagnant d'aucun changement
nous possédons, il est difficile de pénétrer la nature intime de la
paralysie
faciale dite a frigore. En présence de ces in
iplégies de la face qui s'offrent à notre observation à l'état de
paralysies
isolées ? Nous ne le pensons pas. Il y a là des
opérera dans l'avenir et qu'on arrivera à distraire de ce groupe de
paralysies
faciales, réputées périphéri- ques, un certain
rie. En réalité la physiologie et l'anatomie pathologi- que de la
paralysie
faciale sont encore à faire et dans l'état actu
ses, mais quel que soit exactement le substra- tum anatomique de la
paralysie
faciale, la question étiologique n'en reste pas
eraient constantes, peut-elle infir- mer notre manière de voir ? La
paralysie
générale progressive, l'ataxie locomotrice, la
voir ? La paralysie générale progressive, l'ataxie locomotrice, la
paralysie
infan- tile, ne sont-elles pas des affections à
produire dans le cours de ces études. Quoi qu'il en soit, que la
paralysie
faciale dite a DE l'épilepsie PROCURSIVE. 379
as moins la prédisposition nerveuse héréditaire. L'histoire de la
paralysie
faciale, si improprement appelée a frigore, vie
Yeux excavés, respiration plus fréquente, la bouche ouverte. Pas de
paralysie
des membres, mais résolution DE l'épilepsie PRO
tème nerveux moteur et des fonctions musculaires (sauf pourtant les
paralysies
). Sans con- sidérer les cas où ces symptômes pe
ts cata- toniques chez les déments. Il n'est' pas même jusqu'à la
paralysie
générale qui ne puisse aussi, dans son cours, s
es phéno- mènes catatoniques variés. A côté des symptômes dits de
paralysie
, on peut rencontrer des phénomènes convulsifs v
ressant travail de Knecht 1, rapportant des cas de combinai- son de
paralysie
générale et de catatonie. M. Sage 2 a, de son c
u secondaires. Vogelgesang et Jastrowitz la signalent aussi dans la
paralysie
générale. Les gestes stéréotypés, comparables à
DE PATHOLOGIE MENTALE XII. TABES ACCOMPAGNÉ DE FOLIE SYSTÉMATIQUE ;
PARALYSIE
GÉNÉRALE terminale; par W. Sommer. [AU. Zeitsch
es suivi de folie systématique hallucinatoire; douze ans plus tard,
paralysie
générale.- Anato- mie pathologique. Lésions tab
LOGIE MENTALE. phalie; oedème chronique diffus); stade congestif de
paralysie
générale (hypérémie des méninges et de l'ensemb
à la Clinique deLaipzig pendant les années in et 1885, il y a eu 88
paralysies
générales vraies. Dans ce nombre, 5 avaient eu
soit une dizaine d'années entre l'infection et l'appa- rition de la
paralysie
générale (20 cas), soit entre dix et vingt ans
4,6 p. 100. C'est entre 34 et 45 ans qu'apparaît le plus souvent la
paralysie
générale. On y trouve les deux tiers ou les tro
te pas, d'après la statistique, de forme clinique particu- lière de
paralysie
générale syphilitique. Le traitement spécifique
ervation est celle d'un nègre âgé de cinquante- six ans, atteint de
paralysie
générale qui, trois ans auparavant, avait prése
en certains endroits les cheveux devinrent gris du même côté que la
paralysie
. Dans le troisième cas, les plaques d'atrophie
blable à la Société de médecine. M. Féré. - La glycosurie dans la
paralysie
générale n'a rien qui doive surprendre. Ne sait
M. KLEIN lit une note sur l'origine des idées délirantes dans la
paralysie
générale. Du délire chronique. (Suite de la dis
,4; 5, 6, 7, 8 centi- mètres. M. Bernhardt communique : Un cas de
paralysie
périphérique isolée du nerf sus-scapulaire gauc
rémité supérieure gauche à étiologie reniai - quable. - Deux cas de
paralysie
faciale périphérique présentant certaines parti
rnine de la langue. Saturnin franc de quarante-deux ans, atteint de
paralysie
des extenseurs du côté droit avec paralysie bil
te-deux ans, atteint de paralysie des extenseurs du côté droit avec
paralysie
bilatérale des cordes vocales (raucité de la vo
du 7 juin 1886. - Présidence de M. Westphal. il. Thomsen. Un cas de
paralysie
isolée du regard en haut, avec ' goy. Archives
procédé chez dix. M. Bernhardt. Contribution à la pathologie de la
paralysie
satur- nine. Il s'agit de six tailleurs de lime
ine. Il s'agit de six tailleurs de limes. On constata, en effet, la
paralysie
et l'atrophie des muscles de l'éminence thénar et
as chez les saturnins exerçant les professions plus différentes, la
paralysie
classique commune des extenseurs de concert ave
ose. Conservation delà réaction pupillaire. Légère névrite optique.
Paralysie
des membres inférieurs. Parésie des membres sup
rtie antéro-latérale de la moitié gauche de la langue, ainsi qu'une
paralysie
progressive des muscles de l'oeil (opthalmoplég
-quatre ans, jusque-là bien portante; ictus apoplectiforme suivi de
paralysie
des extrémités, surtout de l'extrémité supérieu
, des foyers de cellules granuleuses. M. OPPENHEIM. Sur un cas de
paralysie
bulbaire chronique pro- gressive sans lésion an
de la mastication et de la déglutition, aggravation graduelle de la
paralysie
; pas d'atrophie; intégrité de la vie mentale,
i, il y a quelques semaines, a vu se développer graduellement de la
paralysie
avec atrophie musculaire de l'érni- nence théna
ésidence de M. W. SANDER. M. Bernhardt présente un malade ayant une
paralysie
trauma- tique du radial (voy. Centralbl. f. Ner
ession exercée par l'appareil, avait entraîné la complication de la
paralysie
presque complète de tous les autres nerfs du pl
affectés de réaction dégénérative. Au com- mencement de février, la
paralysie
surajoutée ayant déjà rétro- cédé, M. Remak dir
cédé, M. Remak dirigea un traitement galvanique régulier contre la
paralysie
parfaite du radial ; à la fin du même mois, le pr
n'est guère possible de savoir ce qui est advenu du radial mais une
paralysie
si complète et si grave n'appartient pas à une
caractérisés par la co-existence de l'atrophie musculaire et d'une
paralysie
partielle de la sensibilité du même membre, par
aire et d'une paralysie partielle de la sensibilité du même membre,
paralysie
généralement très étendue. Dans le cas de M. Op
. C'est plutôt un cérébelleux. M. UnTttOPF. Il y a aussi une double
paralysie
de l'oculo-moteur externe, M. Remak ne connaît
uls, névrite optique, vomissements. M. BER1VHARDT parle de quelques
paralysies
des extrémités supé- rieures intéressantes au p
ntéressantes au point de vue étiologique. Il s'agit d'un exemple de
paralysie
du radial et de trois faits de paralysie, soit
Il s'agit d'un exemple de paralysie du radial et de trois faits de
paralysie
, soit uni, soit bi-latérale, portant sur tous l
arcel BAUDOUIN-. ,186 bibliographie. VI. Hystérie et traumatisme (
paralysies
, contractures . arthralgies, hystél'o-traumatiq
smes prédisposés pour déterminer des accidents divers : ce sont les
paralysies
flasques ou rigides, ou encore les arthralgies,
tations hystériques se rencontrent de préférence chez la femme. Les
paralysies
revêtent la plupart des formes connues, hémiplé
ns, rayonnant autour des jointures, comme centre quand il s'agit de
paralysies
segmentaires et limitées par une ligne que sa c
ectriques des muscles sont normales, quelle que soit la durée de la
paralysie
. Lors de paralysies rigides, avec exaltation de
es sont normales, quelle que soit la durée de la paralysie. Lors de
paralysies
rigides, avec exaltation des réflexes tendi- ne
. - De t'électrométrie et de t'électl'o-rliagnoslic il propos de la
paralysie
faciale de Ch. Bell. Volnme in-8° de 9 pages avec
s l'hémicranie, par Wilerne, 302. Paraldéhyde, par Sommer, 302.
Paralysie
faciulu a frigore, par Neu- lllallll, 3J'1. P
mer, 302. Paralysie faciulu a frigore, par Neu- lllallll, 3J'1.
Paralysie
générale et syphilis, par Son])))er,HO;(et apha
l'état des différents muscles : j'ob- serve au niveau du visage une
paralysie
droite des plus nettes; je puis la mettre en év
on de siffler, gon- flement des joues, etc.). Il n'y a pas trace de
paralysie
faciale supérieure : le frontal et l'orbiculair
ment des deux côtés. On ne trouve pas non plus chez la malade de
paralysie
du voile du palais ; la voix n'est pas nasonnée
apèze du côté droit. Les membres supérieurs ne présentent pas une
paralysie
vraie, au sens propre du mot, mais plutôt une p
s des sens, une anosmie à peu près complète, du côté de la face une
paralysie
faciale infé- rieure droite, du côté des membre
les signes locali- sateurs, l'ophtatmoplégie externe et interne, la
paralysie
faciale inférieure droite, les troubles parétiq
vement de la fonction. Ces derniers n'atteignent jamais au degré de
paralysie
, se limitant seulement par un affaiblisse- ÉTUD
acines posté- rieures et les altérations qu'elles subissent dans la
paralysie
géné- rale des aliénés. , Jusqu'à une date ré
ut au moins un rôle impor- tant dans sa marche progressive. Dans la
paralysie
générale on' trouve les mêmes altérations nerve
ifestes, dans les limites et au prorata des altérations. Citons : 3
paralysies
générales, 2 polynévrites alcooliques, 1 suppur
e de la 5° paire à gauche et intégrité de la 7°; adroite il y avait
paralysie
complète de l'oculomoteur commun et cependant l
uloureux rhumatismal guéri. Cette disparition est constante dans la
paralysie
faciale. Sur 25 tabétiques, il était chez 23, dim
droite, ayant débuté à la suite d'un traumatisme du crâne suivi de
paralysie
oculaire et d'épilepsie jacksonienne. Ii. C.
r, n'avait fait mention des déformations rachitiques au cours de la
paralysie
agitante. Les auteurs ont rassemblé 17 observat
. Mal vertébral sous-occipital avec luxation du crâne en ar- rière.
Paralysie
atrophique bilatérale de la langue par com- pre
t du crâne et ensuite à la nuque. Quelque temps après survint une
paralysie
progressive du côté gauche qui envahit bientôt le
che de la poitrine, et que le cou s'immobilise. Deux mois après, la
paralysie
des membres réapparaît et condamne le malade à
ordinaires mais à l'exclu- sion des affections telles que tabes et
paralysie
générale. L'auteur admet les lésions parasyphil
un peu d'albumine et de l'hé- matoporphyrine. L'état s'aggrave. Une
paralysie
flasque atteint d'abord les jambes, puis monte
urrait expli- quer la curabilité de certaines paraplégies graves.
Paralysie
alterne double incomplète chez un enfant de huit
s d'un syndrome de Weber incomplet et double,- caractérisée par une
paralysie
du nerf facial inférieur droit, du ptosis doubl
érieur droit, du ptosis double, de l'ophtalmoplégie externe gauche (
paralysie
du droit interne, du droit inférieur gauche, pe
différentes de l'un à l'autre au point de vue anatomo-pathologique (
paralysie
générale infantile, porencéphalie, etc...). D
ystème nerveux. n (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Un nouveau cas de
paralysie
générale conjugale; Par le Dr A. CULLERRE Le
mise la nommée D..., veuve R..., âgée de cinquante ans, atteinte de
paralysie
générale à la seconde période. Ses antécédents
verrons tout à l'heure que cette affection répond au diagnostic de
paralysie
géné- rale. A l'entrée on constate les phénom
, loquacité bruyante, érotisme, satisfaction ; elle- NOUVEAU CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE. 117 7 veut se marier, aller
accidents cérébraux qui se sont succédé dans l'ordre habituel de la
paralysie
générale progressive. Il était gardien de phare
. » Ce double cas, comme on le voit, constitue un nouveau fait de
paralysie
générale conjugale, car les renseignements four
él exemple comme militant en faveur de l'origine syphilitique de la
paralysie
générale. Quant aux causes de ce singulier phén
s). En 1890, au Congrès de Rouen, j'ai publié les premiers cas de
paralysie
générale conjugale observés dans notre pays2. D
c'est-à-dire pour que vous ne transformiez pas cette monoplégie en
paralysie
apparente des quatre membres et du corps. Cette
i, puisque j'ai confiance en vous). " 2° Vous êtes atteinte d'une
paralysie
partielle et pour vous en débarrasser, je suis
paralysée d'aucun membre. Pour vous prouver que je puis défaire une
paralysie
, il me suffit de frotter votre jambe gauche...
cin m'a paralysée entiè- rement, et il m'enlève une partie de cette
paralysie
. (A ce moment, le centre 0, le « mot commande a
organes qui ne l'étaient pas auparavant, il vient de défaire une
paralysie
qu'il avait provoquée, il peut guérir les paralys
de défaire une paralysie qu'il avait provoquée, il peut guérir les
paralysies
. Réveil et guérison. ou grande amélioration de
e Grasset appelle le centre O.En fait, on n'observe jamais dans les
paralysies
suggérées ni exagération des réflexes tendineux
n n'a pas encore présenté à la Société de Neurologie un seul cas de
paralysie
nettement hystérique ou suggérée, vierge de tou
en persuasif employé pour raviver sa mémoire. Il y a eu véritable
paralysie
momentanée des centres psychiques. Chez l'hypnoti
é et l'imagination pour- raient réaliser à l'état normal. Aussi les
paralysies
, les contrac- tures, les troubles de sensibilit
h3 pnotiques dif- fèrent-ils par certains caractères très nets des
paralysies
, des con- tractures, des troubles sensitifs obs
aliénés des troubles des fonctions motrices de l'iris; toutefois la
paralysie
générale fournit autant de cas que toutes les a
rogressive. Le premier groupe con- cerne les maladies autres que la
paralysie
générale et la démence sénile, tandis que dans
tômes peuvent se rencontrer. On s'occupera spéciale- ment ici de la
paralysie
générale, L'auteur rappelle les différents symp
usion mentale. G. DENY. 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VIII. La
paralysie
progressive d'après les documents de l'hôpital
alytique pour 20 admissions féminines. Les causes principales de la
paralysie
générale sont : la syphilis, l'alcoolisme et l'
quand il est frappé d'un ictus apoplectique avec aphasie motrice,
paralysie
flasque du bras droit, légère parésie faciale, à
s, non plus que l'excitabilité musculaire, en ce qu'il n'y a pas de
paralysies
locales, tandis que les parties périphériques d
gré l'absence de lésions organiques au pharynx, à l'oeso- phage, de
paralysies
musculaires de la région. La dysphagie psy- chi
gle for life, a une grande influence étiologique, c'est-à-dire à la
paralysie
générale; -5° Les Juifs sont fort disposés aux
l. Dr A. Marie. XXX. A propos du diagnostic de l'épilepsie et de la
paralysie
géné- rale ; par 11111. d. SÉGLAS et Henri Fran
24 septembre 1902). Il est quelquefois difficile de distinguer la
paralysie
générale de l'épilepsie, surtout s'il s'agit d'
mais n'est-il que cela ? On a signalé du reste la coexistence de la
paralysie
générale et de l'épilepsie. L'observation prolo
ou organique. G. Carrier. XXXII. Les rémissions spontanées de la
paralysie
générale tabé- tique ; par M. PIERRET (Lyon méd
s'élève contre cette affirmation qui prétend que si le tabes et la
paralysie
générale, spécifiques toujours, ne guérissent p
ca- tions systématiques du tabes. 11 peut en être de même pour la
paralysie
générale. M. Pierret reproche en somme aux aute
qui se sont occupés récemment de la thérapeutique du tabes et de la
paralysie
générale, de ne pas définir nettement à quel ta
encontre fréquemment dans l'évolution de cette maladie. La forme de
paralysie
générale qui précède, accompagne ou suit le tab
accompagne ou suit le tabes se distingue, d'après M. Pierret, de la
paralysie
générale proprement dite, par des différences c
l'on trouve dans la marche, sont les ten- dances régressives de la
paralysie
tabétique. Son évolution est coupée d'arrêts br
ierret ces rémissions sont propres à la maladie et caractérisent la
paralysie
générale tabétique qu'il rapproche des paralysi
t caractérisent la paralysie générale tabétique qu'il rapproche des
paralysies
générales toxiques, en particulier de l'alcooliqu
omme moment déterminant de la crise. G. C. XXXIV. Etiologie de la
paralysie
générale; par Arthur W. HURD (The American jour
02, p. 565, 574). La syphilis est la cause la plus habituelle de la
paralysie
géné- rale. Elle peut agir soit directement, so
térieurement syphilitiques. SIMON. XXXV. Diagnostic précoce de la
paralysie
générale; par F. X. DER- cum (The Ame·icaz jour
'affaiblissement et de déchéance intellectuels qui caractérisent la
paralysie
générale. Ce contraste est mis en relief dans l
ées sont à lire en entier. SIMON. XXXVI. Fréquence comparée de la
paralysie
générale; par Charles- J. WAGNER (TAs Amcrican
595). D'après les statistiques analysées dans ce travail : 1° la
paralysie
générale représente à peu près 8.75 p. 100 des
etc., interviennent éga- lement. SIMON. XXXVII. Traitement de la
paralysie
générale; par Edward COWLES (The American journ
able. Mais l'auteur passe en revue les théories pathogéniques de la
paralysie
générale et de ses accidents, et montre ce qu'e
folie à double forme pour finir dans la démence, avec des signes de
paralysie
générale. Ce malade était, en outre, syphilitiq
elet avec pachyménin- gite sans aucune des lésions classiques de la
paralysie
générale. M. Vallon croit que le diagnostic de
folie à double forme. M. TOULOUSE a relevé des observations où la
paralysie
générale - SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 débutait pa
débutait par des accès de folie intermittente. Loin d'exclure la
paralysie
générale, l'intermittence est peut-être considéré
t peut-être considérée comme un signe du début. ' . M. Ballet. La
paralysie
générale débute parfois par des symptômes pouva
e penser à la folie intermittente qu'ils simulent. D'autres fois la
paralysie
générale vient compliquer une folie intermitten
elles sont la signature anatomo-pathologique des toxi-infections.
Paralysies
générales à longue durée. M. Brunet rapporte qu
M. TOULOUSE croit qu'il faut distinguer les cas où le diagnostic de
paralysie
générale a pu être posé dès le début, de ceux où
de paralysie générale a pu être posé dès le début, de ceux où la
paralysie
générale est venue compliquer une ancienne vésani
l. - M. Brunet n'a jamais observé de vésanies se terminant par la
paralysie
générale. M. Dupré. Si la paralysie générale po
vésanies se terminant par la paralysie générale. M. Dupré. Si la
paralysie
générale pouvait être considérée comme une comp
on observerait plus fréquemment cette terminaison. M. Ballet. La
paralysie
générale qui s'observe dans le cours d'une vésa
syphilis cérébrale et dont l'état démentiel rappelait celui de la
paralysie
générale. M IZ,LIPPL fait remarquer que toutes
trépidation épileptoïde ni signe des orteils. 11 n'existe aucune
paralysie
des sphincters et les membres supé- riaurs sont
communication à la séance de la Société du 4 juin 1903, il y a une
paralysie
latente des moteurs oculaires dans l'hémiplégie
ture. BIBLIOGRAPHIE. V. Etude sur les troubles trophiques dans la
paralysie
générale; par M. Paul HÉRISSEY, thèse de Paris,
M. Paul HÉRISSEY, thèse de Paris, 1903. Si certains chapitres de la
paralysie
générale peuvent paraître épuisés à force d'êtr
sa thèse un exposé très documenté des troubles trophiques dans la
paralysie
générale. La classification est la suivante : T
e, la chorée de S ! /deH/t6tN ! ,la sui-di-i ? izilité,l'athélose, la
paralysie
spastique infantile, l'hystérie, la psychose po
ssement du pédoncule, l'encé- phalite tuberculeuse hémorragique, la
paralysie
de Landry, les myélites, etc. b. Névroses : é
HÈmssEY (Paul). Etude clinique sur les troubles trophiques dans la
paralysie
générale. Librairie C. : laud, 3, rue Racine." In
rée le 3 juillet 1899. A présenté dès son entrée tous les signes de
paralysie
générale à forme maniaque. Le 10 septembre 1903,
ans ; entrée le 21 avril 1903. A présenté à l'entrée les signes de
paralysie
générale à forme maniaque. Actuellement, le 10
o..., 45 ans, entrée le 10 avril 1903. Dès son entrée, symptômes de
paralysie
générale à forme maniaque, avec signes physique
chronique dont on relève les stigmates, et des signes physiques de
paralysie
générale. Aujourd'hui, 8 septembre 1903, les ma
te-huit ans; entrée le 29 mai 1903. Elle ne présente aucun signe de
paralysie
générale. Elle est excitée et croit qu'on a dép
e à deux tentatives de suicide. Signes physiques caractéristiques :
paralysie
faciale gauche ; les - pupilles sont dilatées,
r ? femme Gai..., trente ans, entrée le 15 novembre 1901. Signes de
paralysie
générale avec halluci- nations génitales très i
gie flasque desdeuxmem- bres inférieurs, accompagnée d'une complète
paralysie
des membres supérieurs, d'une paralysie faciale
accompagnée d'une complète paralysie des membres supérieurs, d'une
paralysie
faciale droite, d'une hémiplégie lin- guale du
. - Affaiblissemen intellectuel avec quelques idées de persécution.
Paralysie
faciale gauche survenue à la suite d'un ictus.
fond de l'oeil ou d'aspects du fond de l'oeil indé- pendants de la
paralysie
générale, ou, si l'on préfère, de lésions qui n
atiquée la section du sciatique, du crural et de l'obturateur, d'où
paralysie
complète de la'jambe, les muscles de cette jambe,
ëlle fut pratiquée au niveau de la sixième ver- tèbre dorsale, d'où
paralysie
flasque du train postérieur : lors- qu'apparut
if de celui-ci, noyau moteur du trijumeau. Il est exagéré dans la
paralysie
pseudobulbaire, et parfois dans la paralysie géné
Il est exagéré dans la paralysie pseudobulbaire, et parfois dans la
paralysie
générale. Ne pas le confondre avec les tremblem
sse, maux de tête, vomissements, vertiges, dysarthrie, convulsions,
paralysie
de l'oculomoteur commun, neurorétinite avec hém
aire dont presque tous les neurones sont en rétraction complète. La
paralysie
est totale. Les réflexes rotulien, plantaire et
ette région que de rares fibres dans les cor- dons postérieurs), la
paralysie
motrice avait conservé jusqu'à la fin les carac
laire. G. C. L. Du signe de l'orbiculaire dans le diagnoctic de- la
paralysie
faciale; par L. Bard. (Lyon médical, 10 lévrier
901, n° 6 p. 218). Parmi les moyens propres à mettre en évidence la
paralysie
du facial supérieur, le plus efficace est le si
e du 244 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. signe de l'orbiculaire dans la
paralysie
faciale hémiplégique, mais il a constaté qu'il
gique, mais il a constaté qu'il faisait complètement défaut dans la
paralysie
faciale périphérique. Non seulement, la fermetu
ordre ; il est appelé à accentuer la séparation sympto- matique des
paralysies
faciales centrales et périphériques et à deveni
devenir un des éléments de leur diagnostic differentiel. G. C. LI.
Paralysie
motrice et sensitive consécutive à l'injection de
quinine dans le liquide céphalo-rachidien. Il en est résulté une
paralysie
vraie motrice et sensitive du périné et des organ
lus de sa cystite, mais elle a de l'inconti- nence d'urine et de la
paralysie
du rectum. Une injection de qui- nine dans le v
age d'un nerf paralyse définitivement ce nerf. Chez cette malade la
paralysie
du cône terminal est aussi défini- tive. Le rés
t la terminaison ordinaire d'un grand nombre de cas de ce genre. La
paralysie
générale, comme on l'a 250 ? asiles^ d'aliénés.
nte chez les imbéciles, où elle est précoce le tableau exact, de la
paralysie
générale de l'adoles- cence. Ce travail est acc
diagnostique des symptômes oculaires aux différentes périodes de la
paralysie
générale, appuyée sur des observations personne
faciale dans l'érysipèle. MM. Gnnmra et P. Thaon relatent un cas de
paralysie
faciale périphérique droite survenue dans-la co
ns troubles nerveux apparaissent à la suite de l'érysipèle tels que
paralysie
faciale, névralgies, troubles oculaires paraiss
s cellulaires de la moelle. Un phénomène palpébral constant dans la
paralysie
faciale périphérique. M. Cestak montre les ph
stak montre les photographies d'un cas du phénomène palpébral de la
paralysie
faciale qui consiste en ce que le malade peut b
érieur à la paupière, muscle dont la tonicité est conservée dans la
paralysie
faciale. - Lèpre et névrite hypertrophique .
s avoir commencé cette profession, fut atteint successivement d'une
paralysie
des mem- bres inférieurs, puis des membres supé
. Les auteurs discutent l'origine centrale ou périphéri- que de ces
paralysies
, et insistent en terminant sur les infractions
teur s'attache à démontrer en les étudiant suc- cessivement dans la
paralysie
générale où elles permettent sou- vent, dès le
agnostique des symptômes oculaires aux différentes pério- des de la
paralysie
générale, appuyée surtout sur des observations
ssible à cause de la douleur ressentie dans l'aine. Par ailleurs la
paralysie
motrice n'est pas complète, elle est sous la dé
solument direct avec la douleur. D'autre part, vous ne constatez ni
paralysie
flasque, ni contracture. L'exagération de la re
he qui domine le tableau morbide. Vous voyez qu'il s'agit ici d'une
paralysie
de plexus, para- lysie totale, mais incomplète,
des plexus. Contrairement à ce que nous observons dans les cas de
paralysies
radiculaires classiques, par arrachement, vous
on vasculo-nerveuse imprime un cachet tout spécial à cette sorte de
paralysies
radiculaires. Aux douleurs vives, lancinantes;
vaso-muleurs, manquent bien rarement. Rarement, avons-nous dit, ces
paralysies
sont complètes. La paralysie est plus sensitive
ment. Rarement, avons-nous dit, ces paralysies sont complètes. La
paralysie
est plus sensitive que motrice et les types clas-
de Neurologie de Paris, en 1901. Il s'agissait dans l'espèce d'une
paralysie
radiculaire surtout inférieure avec syndrome de
rôme, consiste, vous ne l'ignorez pas, dans la coexistence avec une
paralysie
radiculaire inférieure, d'un myosis du côlé de
devons toute- fois considérer celle-ci comme exceptionnelle. Ces
paralysies
radiculaires de plexus, vous les distinguerez f
lysies radiculaires de plexus, vous les distinguerez facilement des
paralysies
radiculaires de siège intrarachi- dien. Vous au
elques années se présenter à notre examen à cette clinique pour une
paralysie
faciale droite totale à type périphérique. Cett
pour une paralysie faciale droite totale à type périphérique. Cette
paralysie
était devenue brusquement dans la nuit. Son t
dater du jour de son installation à Moulins. RECUEIL DE FAITS.
Paralysie
saturnine à type partiel Aran-Duchenne. PAR '
insi que de curabilité à peu près complète. . En effet les cas de
paralysie
saturnine ne frappant qu'un petit nombre de mus
Para- lysie incomplète des doigts et du poignet »' il s'agit une
paralysie
très accentuée du court abducteur de pouce, sans
jch. and Xervenkr. 1876-1877. 'T\NQUEREL DES Planches. Essai sur la
paralysie
du plomb 'ou saturnine. Thèse 4S3r. 310 ' REC
es muscles de la main soient tous atteints; il existait en plus une
paralysie
de l'extenseur propre du gros orteil droit. "
étaient pris sans que les extenseurs du poignet parti- cipent à la
paralysie
.111°l Déjerine-Iïlumplte en z1889 dit que « la
ipent à la paralysie.111°l Déjerine-Iïlumplte en z1889 dit que « la
paralysie
des petits muscles de la main est souvent parti
ouce et le premier interosseux. » Elle rapporte des observations de
paralysies
partielles du 'type Aran-Duchenne, mais accompa
aralysies partielles du 'type Aran-Duchenne, mais accompagnées de
paralysies
d'autres régions. Villaret2 cite de même Gowers
ies d'autres régions. Villaret2 cite de même Gowers qui a décrit la
paralysie
des petits muscles de la main con- nexe le plus
alysie des petits muscles de la main con- nexe le plus souvent à la
paralysie
des extenseurs, mais qui peut évoluer pour son
il cite enfin Ber- nhardt qui a publié deux observations où, .sans
paralysie
des extenseurs l'éminence thénar une fois, les
on la variabilité du tableau clinique : on a même publié des cas de
paralysie
limitée au seul deltoïde, au long supinateur. I
deltoïde, au long supinateur. Il en est d'ailleurs de même d'autres
paralysies
toxiques, diphtériques par exemple. Ballet3 dis
ymond' ¡ ' JI"'a DI : .ICItI\E-IVLU31PICE. Polynévrites en général;
paralysie
el atro- phie saturnine en particulier. Th. Par
hie saturnine en particulier. Th. Paris, 1889. 3 Maurich YfLLvnE'r.
Paralysies
saturnines ; Revue générale : Gazette des hôpit
niques du système nerveux : 1895-90; Leçons sur les polynévrites.
PARALYSIE
SATURTINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 31 t ét
flexe). Le même auteur signale le peu de tendance à se diffuser des
paralysies
post-typhiques et il cite des observations de d
e de vue pendant quelque temps,mais les phénomènes d'atrophie et de
paralysie
ne faisant qu'augmenter nous le revoyons quinze
son avec le côté sain. 11 n'existe pas d'autre signe appréciable de
paralysie
des extenseurs. - Notons enfin que la sensibili
n à noter. - ' L'examen électrique donne les résultats suivants :
PARALYSIE
SATURNINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 313 mas
a permis de porter dans cette observation le diagnostic ferme de
paralysie
saturnine. Si ce dernier est en général aisé à
ntrale repose toujours sur la coexis- tence, dans le saturnisme, de
paralysie
et d'atrophie pour peu que la durée excède une
s n'envisageons d'ailleurs pas ici le diagnostic dogma- tique de la
paralysie
saturnine dans son ensemble, et nous ne nous ar
arrêterons pas davantage sur la confusion possible avec les autres
paralysies
d'origine centro-médullaire, voire myopathique.
ntro-médullaire, voire myopathique. Mais nous devons mentionner les
paralysies
d'ordre périphérique, traumatiques et surtout i
nent leur instrument entre le pouce et l'index de la main gauche.
PARALYSIE
SATURNINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 315 Duc
il se rattacha à l'idée d'intoxication saturnine, remarquant que la
paralysie
des muscles de la main s'observe surtout dans l
ogique de faire entrer' cette conception en ligne de compte que les
paralysies
saturnines type Aran- Duchenne se rencontrent s
e l'avant-bras très amincis, ayant l'aspect atrophiés de ceux de la
paralysie
infan- tile, se laissant très facilement traver
lignes, vertiges, titubation ébrieuse avec latéropulsion à gauche ;
paralysie
de la déglutition avec hoquet et vomissements e
ue l'excitation de ce nerf s'accompagne d'exophtalmie, alors que la
paralysie
de ce système détermine l'enophtalmie. Peut-on
aduisant l'ex- citation des filets cardiaques et thyroïdiens, et la
paralysie
des nerfs oculaires ? Telles sont les questions
e M. Duplant, tout en faisant cette restriction que dans son cas la
paralysie
ne porterait que sur les fibres atteignant le m
gie cérébrale gauche et qui quatre mois plus tard. sans ictus, sans
paralysie
reprit de l'aphasie par un de ces phénomènes de
Sérieux et 1[GoT (Noua. Iconog1'. de la Salpêtrière, n° 4. 1902).
Paralysie
générale vérifiée à l'autopsie, ayant présenté à
états vésaniques les plus divers, imbécillité, hystérie, épilepsie,
paralysie
générale, démence sénile, mélancolie, confusion
.) Observation curieuse d'un homme de trente-sept ans, atteint de
paralysie
générale qui succomba à la rupture dans la traché
PSYCHOLOGIQUE Séance du 29 février 1904. Présidence de M. Brunet.
Paralysie
générale et syphilis cérébrale. M,l", TISSOT, i
syphilisée à vingt ans et entrée à Ville- Evrard avec des signes de
paralysie
générale ; elle y exprime un délire absurde d'é
ces lésions spéci- fiques, on constate les lésions ordinaires de la
paralysie
générale, tant macroscopiques qu'histologiques.
urs très vite dissi- pées. Cette association de lésions diffuses de
paralysie
générale et de lésions locales de syphilis est
allon rappelant que les hallucinations de la vue sont rares dans la
paralysie
générale, demande si la localisation des lésions
M. Vallon. La rareté de l'association des lésions diffuses de la
paralysie
générale, avec les lésions circonscrites de la sy
quoi beaucoup d'observateurs nient l'étiologie syphi- litique de la
paralysie
générale. CD 111, BRUXET l'ait remarquer qu'il
ns syphilitiques avec celles qu'on rencontre habituellement dans la
paralysie
générale, se ren- contre beaucoup plus fréquemm
M. Klippel a décrit cette concomitance, dans ce qu'il appelle les
paralysies
générales associées. Délire consécutif à des pr
rieur. Surfaces articulaires et osseuses intactes (radio- graphie).
Paralysie
des muscles de l'avant-bras et de la main inner
olynévrite toxique, névrite saturnine unila- térale des extenseurs,
paralysie
périphérique du facial), ils ont constaté, en c
ent marqué de l'éclat de l'écran sur les muscles malades. Plusieurs
paralysies
Infantiles ont été exa- minées et toujours sur
aucoup la luminosité de l'écran. Enfin, chose-inattendue, dans deux
paralysies
hystériques flasques (une hémiplégie, une mono-
E Séance du mardi 1 décembre 1903, Présidence de M. Jules Voisin.
Paralysie
vésicale, d'ovine hystérique, guérie par un procé
me de vingt-cinq ans présente, à la suite d'une grosse émotion, une
paralysie
vésicale telle que pen- dant trois semaines con
ues, 22 d'incontinence d'urine, 469 de névralgie ou migraine, 52 de
paralysies
diverses, et, en outre, des cas d'oedème hystériq
L'auteur rapporte quelques observations marquantes de mutisme, de
paralysie
et de chorée; dans tous ces cas, la suggestion hy
onstre anencéphale. 2° En 1903 : Ch. Dopter. Etude pathogénique des
paralysies
cen- trales de nature auto-toxique. - Laignel-l
aujourd'hui attirer votre attention sur les signes oculaires de la
paralysie
générale, et vous montrer le rôle souvent décis
nte dans la clientèle hospitalière que dans la clientèle privée, la
paralysie
.générale du moins à ses débuts, est d'un diagn
e- ment les idées, ne constituent le plus souvent, au début de la
paralysie
générale des signes assez caractérisés pour per
es forment un ensemble tel que -l'on doit immédiatement'penser à la
paralysie
générale et qu'on est presque en mesure d'affir
s le cabinet du médecin. Leur importance dans le diagnostic de la
paralysie
géné- rale est considérable, leur fréquence trè
en microscopique après centrifugation. DES SIGNES OCULAIRES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 355 ainsi que se trouve justifié le c
onséquent, dans la majorité des cas, dans la première période de la
paralysie
générale. Sur ces 227 malades, 212 ont présenté
M. Gilbert Ballet a consacré autrefois aux troubles oculaires de la
paralysie
générale il en est fait mention 'comme s'observ
ns constaté cette irrégularité du con- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 357 î tour irien sans que ce symptôme
NÉRALE. 357 î tour irien sans que ce symptôme soit accompagnée de
paralysie
ou de parésie du réflexe lumineux et dans ces deu
s deux cas nous avons vu par la suite la parésie d'abord, puis la
paralysie
du réflexe lumineux s'établir. Pas plus que le
eux réflexes, lumineux et accommodateur, peuvent être lésés dans la
paralysie
générale, mais, je m'empresse de le dire, ils l
ent dans le tabes, vous allez voir qu'il ne l'est pas moins dans la
paralysie
générale, bien qu'on puisse le ren- contrer aus
e à épeler à haute voix les lettres de DES SIGNES OCULAIRES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 359 l'échelle optométrique, et de cet
us avons dit que le réflexe lumineux, est très souvent lésé dans la
paralysie
générale, et chez nos 227 malades 171 fois il a
les à la lumière avec réaction normale à l'accommodation. 2°X...,
paralysie
générale (examen du Dr Schrameck), 30 octobre 1
28 juil- let 1902, réflexes lumineux tout à fait réduits. 3°X...,
Paralysie
générale (examen du Der Schrameck) 18 juin 1902
est un malade du service, l'autre un malade de la ville. 1° X...,
paralysie
générale, 10r examen : inégalité pupil- laire a
mmodateur est lui, beaucoup moins sou- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 361 vent lésé, dans l'affection qui n
extrêmement rare, et que souvent, même à une période avancée de la
paralysie
générale, le réflexe accommodateur reste normal
ertaines restrictions à la formule de M. Ballet di sant que dans la
paralysie
générale, il s'agit en somme d'une « ophtalmopl
est perdue du fait même de la para- lysie générale. De sorte que la
paralysie
de l'accommodatiou ne nous semble guère être un
datiou ne nous semble guère être un des symptômes oculaires de la
paralysie
générale. , Et, si nous voulions retenir la for
des troubles de l'iris, on peut encore DES SIGNES OCULAIRES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 363 trouver, chez les paralytiques gé
autre trouble des muscles innervés par la Ille paire, 14 fois des
paralysies
ou parésies des muscles sous la dépendance de c
sies des muscles sous la dépendance de cette 1111 paire, 5 fois des
paralysies
de la IV,, paire, 5 fois du nystagmus, 2 fois d
Assez fréquemment chez nos malades qui présentaient des parésies ou
paralysies
musculaires nous avons trouvé également des sym
ques de la papille, etc.), l'affection prenant ainsi l'aspect de la
paralysie
générale tabétiforme. Le fond de l'oeil; a touj
o-rachi- dien n'a pas une valeur absolue pour le diagnostic de la
paralysie
générale » j'en dirai tout autant, et avec plus d
raison encore, pour les troubles oculaires constatés au début de la
paralysie
générale. Les signes oculaires concourent grand
AS. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil : Le sommeil dans la
paralysie
faciale, in Revue Neurologique, no 18, 30 septe
é par la neurasthénie et autres affec- tions débilitantes (diabète,
paralysie
générale, etc.), et cette 376 PHYSIOLOGIE PATHO
II. Sur la présence fréquente de granulations de l'épendyme dans la
paralysie
générale; par J.-V. 13LACHFORD (The Journal of
agnostique; qu'ils peuvent même être trompeurs et faire penser à la
paralysie
générale en particulier. Il n'en est pas de même
idents nerveux qui consistent en perte de connaissance immé- diate,
paralysies
, convulsions et tremblements, troubles de la sen-
gués de l'hystéro-traumatisme et former un groupe à part; comme les
paralysies
produites par la fulguration, que Charcot a sép
edème dans les premiers instants qui ont suivi l'attaque montre que
paralysie
et gonflement relèvent de la même lésion; il pl
du delirium tremens dont il différencie les lésions dé celles de la
paralysie
générale. Dans le dernier chapitre, l'auteur co
ile de Leyme (Lot). , « Les idées délirantes de persécution dans la
paralysie
générale ne sont en général ni systématisées, n
à peu près dans le même sens : « Les idées de persécu- tion dans la
paralysie
générale sont rares, elles apparaissent en géné
que jusqu'ici les idées de persécution ont été considérées dans la
paralysie
générale comme un épiphénomène qui n'imprime au
bien avouer que la plupart du temps elles tiennent peu de place 1
Paralysie
générale, in Collect. Séauté, 189L ' PARALYTIQU
malades qui nous ont frappé justement par la forme anormale de leur
paralysie
générale, c'esL-à-dire par l'exis- tence simult
le de Leyme, C... présente les signes physiques et psychiques de la
paralysie
générale. A l'examen somatique on constate les
ssi violent ni aussi agressif. 1903. Décembre. - Le diagnostic de
paralysie
générale porté- au début se confirme par des tr
pour préciser certains faits; tout cela confirme l'évolution de la
paralysie
générale. Avril. - Même état ; est taciturne et
les hallucinations, d'un facteur étiologique, autre que le syndrome
paralysie
générale. 464 CLINIQUE MENTALE. Baillarger
1899), donne à l'appui de cette thèse une statistique de 59 cas de
paralysie
générale, avec idées de persécution, chez qui i
de persé- cution remontant à cinq ans), serait un prédisposé. La
paralysie
générale survenant alors comme une maladie sura
ucune hypothèse ni aucune théorie, nous pensons avec Sérieux que la
paralysie
générale est capable seule d'engendrer par 'des
d'activité volontaires, ou involontaires et automatiques, et de la
paralysie
qui succède à l'ablation de l'aire Rolandique, et
ique des aires Rolandiques démontre d'une manière évi- dente que la
paralysie
qui en résulte est purement volitionnelle. Les
s, où aux convulsions jacksoniennes simples, on voit se joindre une
paralysie
plus ou moins permanente, les probabi- lités en
es. Il. de MUSGRAVE-CLAY, XXVI. Des rémissions thérapeutiques de la
Paralysie
générale; par M. DEVAY (Lyon médical, 15 et 22
faveur de l'influence du traitement spécifique sur' la marche de la
paralysie
générale. Ce sont de nouvelles preuves, dit l'a
appui de l'opinion qui tend à admettre la nature syphilitique de la
paralysie
générale. Sur 42 malades traités à l'Asile, il re
t la règle grâce au traitement. En somme, M. Devay conclut que la
paralysie
générale n'est ni alcoolique, ni arthritique, n
est au surmenage qui résulte de cet effort journalier qu'est due la
paralysie
. Le traumatisme, ici, s'est produit par un doub
extenseurs des pieds. Musculature de la cuisse intacte. Atrophie et
paralysie
des fessiers. Tremble- ments fibrillaires.Intég
tion de douleurs fulgurantes dans la jambe droite il y a dix ans.
Paralysies
et atrophies successives dans l'espace de trois a
ropagation des douleurs fulgurantes aux extré- mités supérieures.
Paralysie
du groupe des muscles extenseurs et du deltoïde.
achilléens. Mais ces deux derniers symptômes sont tributaires de la
paralysie
musculaire. Pas d'Argyll. Tous les troncs nerve
de même que les masses musculaires. ' Poliomyélite de l'adulte et
paralysie
infantile. MM. A. TZAR et S.-A.-K. `VILSON prés
l'adulte avec lésions en foyer absolument analogues à celles de la
paralysie
infantile. Le malade était mort à trente ans, l
es de la paralysie infantile. Le malade était mort à trente ans, la
paralysie
datait de l'âge de vingt-trois ans. Le début av
es importants de l'état général et d'albuminurie, comme un début de
paralysie
infantile; les deux membres inférieurs s'étaien
à leur tour, de sorte que le tableau clinique avait été celui d'une
paralysie
ascendante aiguë. 11 n'y avait pas eu de troubl
ection n'avait plus progressé, et l'on avait porté le diagnostic de
paralysie
ascendante aiguë d'origine probablement polynév
et inférieure. Ces foyers avaient absolument l'aspect des foyers de
paralysie
infantile ancienne ; au centre de la plupart d'
e l'adulte absolument semblables à celles que l'on trouve dans la
paralysie
infantile. Van Gehuchten avait rapporté un cas du
M. nlOLTCnAN01·P, S. SOUKIIANOFF. Séance DU 29 novembre 1902 ,
Paralysie
générale et grossesse. S.-A.SouKUANOFF.La gross
aralysie générale et grossesse. S.-A.SouKUANOFF.La grossesse dansla
paralysie
générale n'est pas si souvent observée qu'on au
ce fait tient, à ce qu'il paraît, à ce que les femmes atteintes de
paralysie
générale, sont pour la plupart stériles. Les ca
la plupart stériles. Les cas, envisagés par certains auteurs, comme
paralysie
générale, s'étant développée en liaison avec la p
e puerpérale, doivent être rapportés aussi à la grossesse dans la
paralysie
générale. L'existenee de la paralysie générale se
aussi à la grossesse dans la paralysie générale. L'existenee de la
paralysie
générale se reflète 508 SOCIÉTÉS savantes. pe
ssesse et les couches ne sont pas sans influence sur le cours de la
paralysie
générale, et cette influence n'est pas égale da
ns différents cas. Dans le cas du rapporteur, la grossesse dans la,
paralysie
générale a été observée chez une femme de 22 an
e avec contractures. L.-S. 1llNOa insiste sur ce fait que dans la
paralysie
générale de paire avec la lésion fondamentale p
Trouble particulier dans la représentation du temps dans un cas de
paralysie
générale (avec présentation du malade). V.-W. V
ANE, le 28 septembre de 1902, avec des phéno- mènes très marqués de
paralysie
générale, les premiers symptômes de laquelle se
tions. A.-N. Bernstein rappelle que le trouble de mémoire dans la
paralysie
générale ne se propage pas, en somme, toujours ég
que l'immortelle découverte de Ba)le quand, en 1822, il fondait la
Paralysie
générale, en établissant l'unité de cette malad
ut considérer cet écart comme accidentel. Le degré d'hérédité de la
paralysie
générale est très discuté : quelques auteurs vo
52 seulement pour les hommes. Il résulterait de ces chiffres que la
paralysie
géné- rale est moins héréditaire que plusieurs
que l'on attribue actuellement à la syphilis dans l'étiologie de la
paralysie
générale. , . Il reste à considérer le bloc des
t probablement semblable à celui qui prépare le développement de la
paralysie
générale chez l'adulte. La syphilis détermine d
octrine permet de se représenter le mode d'action du poison dans la
paralysie
géné- rale juvénile que nous avons de très fort
oit pas que le rapport qui existe entre la syphilis parentale et la
paralysie
générale juvénile soit un rapport d'infection d
ue dft'aHaqued ? par Ijinel-Saiiglé. 239. AP.1\-DI;CBE\NE. Voir
Paralysie
sa- lu mine. Archives de médecine expéninenla
par 13nmhicci, 387. [^ophtalmie. Voir Syndrome l's('ENUY\tE. Voir
Paralysie
générale. I'.pii.epsii : . Un cas il' avec g»om
cy otoxines spécifiques des -, par 1 : II1, 387. - Enslsls. Voir.
Paralysie
. Etat de mal. Un cas d' compliqué de SI il 1'
! AL VERTEBRAL. Sous-occipital avec luxation du crâne en arrière.
Paralysie
atrophique bilatéiale de la langue par compress
dérées comme stigmates de dégé- nPrescence, par Ilnrri·rnn, 3n.
Paralysie
. Voir Mal vertébral. - alterne double incomplèt
nérale, par f3laultford, 379. Des rémissions thérapeutiques de la
paralysie
générale, par Devay. 19 ? - généiale et grosses
exophtalmique, par Callum. 229. Signes oculaires. Des - dans la
paralysie
générale, par Joffroy, 353. Société médico-ps
psychique, par Bechterew, 151. Etude sur les - trophiques dans la
paralysie
générale, par IIAJÏs- sey. 177. - du mouvement
e presque toujours dans l'hémiplégie cérébrale infantile ou dans la
paralysie
infantile, trou- bles nerveux qui expliquent pe
; et une telle origine est attribuée par Leyden à la scoliose de la
paralysie
infantile. D'autre part, on sait que la section
ourci. Pas d'incordination motrice des membres supérieurs. Pas de
paralysies
. Tous les mouvements sont possibles, tant aux mem
re que la déviation n'est pas secondaire à une altération nerveuse,
paralysie
, névralgie, etc. Certains auteurs considèrent l
t séparées entr'elles (Voir Og,2), En d'autres termes il existe une
paralysie
bilatérale et symétrique des muscles adducteurs d
troubles laryngiens chez notre malade peuvent se résumer ainsi :
Paralysie
des muscles adducteurs ou paralysie de phonation,
de peuvent se résumer ainsi : Paralysie des muscles adducteurs ou
paralysie
de phonation, avec intégrité des muscles tenseu
Intégrité des muscles tenseurs et abducteurs du larynx. Fig. 2. -
Paralysie
bilatérale des adducteurs (Phonation-émission de
et qui dans l'émission de la voyelle e ne se relève qu'à moitié, La
paralysie
du voile se montre bien quand la malade veut aval
e la première portion du pharynx sont parésiés : Il existe donc une
paralysie
limitée au voile du palais et au muscle constrict
ules. En plus il existe de troubles laryngiens caractérisés par une
paralysie
de la phonation et une insuffisance fonction- n
ostic de myopathie, et que dans celte dernière on n'observe pas des
paralysies
du voile du palais ou du larynx. Notre cas ne p
contractions fibrillaires, les données de l'examen électri- que, la
paralysie
du voile du palais et du larynx, voilà autant de
qu'il soit permis d'admettre cette extension (1), et déclare que la
paralysie
iabio-giosso-iaryngée appartient en propre à la
te, de même que toute atrophie myélopathique qui se termine par une
paralysie
labio-glosso- laryngée. Je crois que l'on pui
t le plo- sis de ta tête, c'est-à-dire le syndrome clinique dû à la
paralysie
des mus- cles extenseurs de la tête, a relaté l
ble analogie avec le nôtre. La séméiologie et le diagnostic de la
paralysie
des muscles de la nuque ont été illustrés d'une
sont respectées. Il existe toutefois une atrophie de la langue, une
paralysie
symétrique du voile du palais et une paralysie
ie de la langue, une paralysie symétrique du voile du palais et une
paralysie
d'abduction des cordes vocales dans l'inspirati
ue Schlodtmann (1) avait attiré l'attention sur ce fait que dans la
paralysie
périphérique du nerf spinal le trapèze s'atrophie
z tous les deux nous re- trouvons le même syndrome constitué par la
paralysie
du voile, la para- lysie laryngée et la paralys
constitué par la paralysie du voile, la para- lysie laryngée et la
paralysie
des muscles extenseurs de la tête. En présence
de la lésion reste facilité et, comme dit Ferrio, en présence d'une
paralysie
atrophique bilatérale du stel'J1o-clèido-mastoï
bilatérale du stel'J1o-clèido-mastoïdien et du trapèze, jointe à la
paralysie
atrophique des muscles innervés par les premiers
espo loto, in niforrna Medica, n° 119, 1895. (2) Brissaud et Bauer,
Paralysie
de l'hypoglosse, du spinal et de quelques rami/ic
du crâne avait produit une lésion des VIe, VIII" et XI" paires avec
paralysie
du voile du palais et du larynx tandis que la sen
a la malade et constata une amo- trophie de la langue à gauche, une
paralysie
du voile du même côté et une position cadavériq
u palais, mais il est très pro- bant au contraire par le fait de la
paralysie
de la corde vocale gauche qui assurément était
staté et fait constater par des laryngologistes, qu'il existait une
paralysie
du larynx localisée aux muscles arytliénoïdes et
it par des contractions cloniques ou des tremblements, soit par une
paralysie
*, qui se manifestent seulement pendant l'exercice
nctionnelles. Mais ce mot d'impotence évoque, en général, l'idée de
paralysie
ou d'atrophie musculaire; or, celles-ci sont l'
nnelle avec pression des muscles ou des nerfs. Mais ces douleurs ou
paralysies
une fois établies ne sont pas électives; elles
sont la parésie musculaire et un ex- cès d'irritabilité. Lorsque la
paralysie
est complète, le membre atteint cesse bientôt d
emblements; un troisiè- me, de destruction complète, produirait les
paralysies
. Ce ne sont là qu'hypothèses, dont la preuve an
rofessionnelle. Remak (194) a observé une crampe des écrivains avec
paralysie
et atrophie du fléchisseur du pouce droit, et n
lles. Celles-ci se traduisant soit par des névralgies, soit par des
paralysies
, apparaissent à la suite de l'attitude profession
constamment le fer avec les deux mains, peu- vent voir survenir une
paralysie
dans le territoire du médian, avec atro- phie d
l'éminence thénar et des interosseux [Côster (38)]. C'est encore la
paralysie
du muscle long fléchis- seur du pouce gauche (3
baguettes. On pourrait multiplier les exemples de névralgies ou de
paralysies
professionnelles, car presque tous les métiers
e confondre les névroses professionnelles avec certaines crampes ou
paralysies
, sous la dépendance d'une névrite, qui sont pro
onoplégies ou paraplégies : dans un cas, le tableau fut celui de la
paralysie
ascendante de Landry. Les phénomènes d'excitati
ésion et le type de l3énédiclt caractérisé par une hémiparésie avec
paralysie
croisée du nerf oculo-moteur commun et avec le
e com- plète, sans avoir jamais perdu réellement connaissance. La
paralysie
dura six mois, puis il retrouva le fonctionnement
ubles sphinctériens, ni de troubles trophi- ques importants, pas de
paralysies
oculaires, linguales, de ptyalisme, de trou- bl
ntes de toux et des phénomènes d'engouement ; il y a du reste de la
paralysie
du voile du palais. Crises sosmoc"M.ENfS sont p
y est pour rien. CHARLES Bell, le premier, différencia nettement la
paralysie
du nerf de celle de la mimique proprement dite, u
e ou pleurer quoique porteur d'une hémi- plégie complète et même de
paralysie
bilatérale. Ce sont là des faits uni- versellem
liques de plomb, puis un jour des fourmillements passagers, et sans
paralysie
, dans le bras droit. Deux ans plus tard il fut
énomène d'arrêt qui n'implique pas nécessairement l'existence d'une
paralysie
véritable. Dans certains cas, au contraire, on
sie véritable. Dans certains cas, au contraire, on a pu observer la
paralysie
évidente d'un muscle déterminé. Duchenne cite u
in gauche pour pouvoir continuer l'écriture. Il s'agissait là d'une
paralysie
fonctionnelle des muscles de l'épaule, en parti
e des écrivains se combine à la forme spasmodique ; il y a dès lors
paralysie
des doigts, puis spasme. Les caractères graphol
et de le distinguer -du tremblement delà sclérose en plaques, de la
paralysie
générale, de l'éthylisme, de la sénilité, etc.
ésite, à cause de l'état mental de M. A... à faire le diagnostic de
paralysie
générale au début ; mais le malade n'est pas sy
à confondre ces troubles avecceux que l'on observe parfois dans la
paralysie
générale, la maladie de Parkinson, la sclérose
Quelquefois la névrose se caractérise par un spasme, qui comme la
paralysie
peut affecter un ou plusieurs doigts. Reuter,cite
crampe des -flûtistes se manifeste soit par un spasme, soit par une
paralysie
fonctionnelle d'un ou plusieurs doigts ; les deux
te professionnel, et cessant avec lui, avec ce que l'on a appelé la
paralysie
des ciseaux ; cet instrument appuyant constamme
er à la longue 218 MACÉ DE LÉPINAY une atrophie des muscles, d'où
paralysie
flaccide, mais permanente, et non plus élective
d'où paralysie flaccide, mais permanente, et non plus élective. La
paralysie
des ciseaux rentre dans les paralysies professi
nte, et non plus élective. La paralysie des ciseaux rentre dans les
paralysies
professionnelles, mals non dans les névroses co
) a appelé hémiplégie héphestique (de 'H<pcw1roç, Vul- cain), ou
paralysie
des forgerons, paralysie survenant à la suite de
hestique (de 'H<pcw1roç, Vul- cain), ou paralysie des forgerons,
paralysie
survenant à la suite de l'exer- cice de la prof
ssent point. Il sera dès lors facile d'éliminer les né- vralgies et
paralysies
d'occupation, les spasmes banaux, les tics, et
ison les troubles moteurs des maladies organiques : chorées, tabès,
paralysie
générale, maladie de Parkinson, qui s'accom- pa
ette par l'exploration roentgénienne : par exemple, dans des cas de
paralysie
infantile (1) et de syringomyélie, chez les alién
adiographique. (1) ACIIAIIO et L. Lévi, Radiographie des os dans la
paralysie
infantile, Nouvelle iconographie de la Salpêtri
ds changements, le développement semble s'être fait normalement. La
paralysie
des muscles de la face n'est pas encore bien accu
ités, le pied-bot, les rétractions tendineuses. Les phénomènes de
paralysie
et de dégénérescence nerveuse sont par- ticuliè
s les groupes musculaires. Le coeur lui-même est un peu tou- ché.La
paralysie
, la pseudo-hypertrophie et l'atrophie se répartis
pendant toute la nuit ; on constata dès le début des accidents une
paralysie
faciale droite prédominant sur le facial inférieu
ont complètement cessé ; les troubles de la parole ont disparu, la
paralysie
faciale droite persiste ; l'ouïe est douloureuse
re irritable de M... s'est encore exagéré depuis l'apparition de la
paralysie
faciale. L'oedème des membres inférieurs présente
mé- decine, 96 session), est en état d'hypotonie : parésie, atonie,
paralysie
, son groupe antagoniste est en hypertonie : con
ous ce nom, comme le font certains écrivains, les névralgies et les
paralysies
d'occupation, affections provoquées par l'exerc
ge professionnel, réagiraient par un spasme, un tremblement, ou une
paralysie
, dans le territoire musculaire correspondant. P
fonc- tionnel coutumier. On pourra ainsi éliminer les névralgies et
paralysies
d'occupation, de même que toutes les affections
sme de la physionomie humaine, 1876, Paris. - Spasme fonctionnel et
paralysie
musculaire fonctionnelle. Bull. de thérap., 1860.
stes et des violonistes, Wien, med. Wochen., 1902. 176. DESTOT. -
Paralysie
cubitale par l'usage de la bicyclette. Gaz. hop.,
oc. biol. ,1889, p. 98 . Epicondylalgie. Rev. méd., 1897, n, 2. -
Paralysie
d'occupation. Rev. méd., 1898, n° 10. 178. Fran
- Coup d'oeil sur quelques appareils destinés aux malades affectés de
paralysie
partielle des membres. Bull. gén. thér., 1860.
, qui avait momentanément diminué la veille, de- vient complète. La
paralysie
de la moitié droite de la face du type facial inf
une accentuation plus marquée de ces mouvements inconscients. La
paralysie
qui existait, la veille, du côté droit, a diminué
e clinique médicale de l'Hôtel-Dieu pour une hémiplégie droite avec
paralysies
oculaires, faciale et troubles marqués de la pa
'elle est malade depuis 15 ans ; en 1896, elle a été atteinte d'une
paralysie
de la jambe droite qui est surve- nue progressi
elle a été prise brusquement d'un ictus apoplectiforme suivi d'une
paralysie
delà face et du bras du côté droit, d'aphasie, d'
que. A son entrée, à l'Hôtel-Dieu, en janvier 1905, on constate une
paralysie
du type facial inférieur, d'origine cérébrale, av
facial inférieur, d'origine cérébrale, avec hé- miplégie droite et
paralysie
des nerfs moteurs oculaires commun et externe,
protl1 béran tielle). Les muscle* masticateurs sont atteints d'une
paralysie
incomplète, la mas- tication est difficile ; le
de petits mouvements rythmiques concomitants. En janvier 1908, la
paralysie
faciale droite s'est encore accentuée; aucun mo
. Les muscles faciaux paralysés ne sont pas atrophiés. Il reste une
paralysie
complète des muscles droits inférieurs et de la
eur prononcée surtout du côté gauche de la face. Le 4 juin 1908, la
paralysie
faciale droite a augmenté, la moitié droite de
divergent, une déviation en bas, en dehors, à gauche, ainsi qu'une
paralysie
des muscles droits supérieur, inférieur, intern
e des muscles droits supérieur, inférieur, interne, avec ptosis par
paralysie
de la paupière supérieure et dila- tation de la
a paupière supérieure et dila- tation de la pupille, en un mot, une
paralysie
par compression du nerf moteur oculaire commun.
e par compression du nerf moteur oculaire commun. Le début de cette
paralysie
ne s'est pas accompagné d'ictus. En somme, la m
ntant encore la gêne de la vision. La diplopie, en rapport avec les
paralysies
oculaires précédentes, est très marquée. L'acui
nt dans le coma ; la température s'abaisse et se maintient ruz ; la
paralysie
des membres est flasque, complète, les mouvemen
s infectieux sur une cornée insuffisamment protégée par suite de la
paralysie
de la paupière supérieure. L'oeil droit est por
et déterminant le syndrome de Mil- lard-Gubler caractérisé par une
paralysie
du moteur oculaire externe de l'oeil gauche, de
ar une paralysie du moteur oculaire externe de l'oeil gauche, de la
paralysie
faciale totale gauche, de l'hémiplégie droite com
es d'une intoxication grave, myocardite, albuminurie accompagnée de
paralysie
des membres inférieurs, d'atrophie musculaire r
issent des escarres très étendues, au sacrum et au talon gauche, la
paralysie
devient flasque, l'incontinence succède à la ré
que d'être bien limitée, mais complète, l'atrophie musculaire et la
paralysie
sont complètes pour les muscles qui sont attein
es deux maladies. ' Puis j'étudierai (P.), dans un autre chapitrera
paralysie
des muscles du tronc, surtout des muscles abdom
cles du tronc, surtout des muscles abdominaux, en traitant de cette
paralysie
, d'abord pendant les premiers temps (les premie
ant le plus souvent à la méningite cérébro-spinale avec laquelle la
paralysie
infantile a été fré- quemment confondue ». Ma
sidérés comme dus à la méningite ne sont autre chose que des cas de
paralysie
infantile méconnus et dont les lésions ont amen
de la maladie au début et, en outre, sur la première apparition des
paralysies
au début de la maladie. Quant aux symptômes que
om- mes bornés à des indications, aussi courtes que possible sur la
paralysie
pour donner une idée générale de son extension.
e générale de son extension. Cette restriction ne con- cerne que la
paralysie
des muscles des membres ; quant aux troubles des
'état des réflexes tendi- neux sont traités aussi brièvement que la
paralysie
des muscles des mem- bres, et pour les mêmes ra
forment un groupe spécial, et aussi un cas avec une forme unique de
paralysie
persistante des muscles abdominaux, seront rapp
s observations sont réparties en groupes, d'après l'extension de la
paralysie
aux membres (un, deux ou plusieurs) au début de l
raide et avait l'opisthotonos de la nuque ; il y avait en outre une
paralysie
complète du membre inférieur droit. t, 384 PE
elques mouve- ments du membre inférieur droit, particulièrement une
paralysie
de ta flexion dorsale du pied. Cependant elle p
presque une semaine. Pendant ce temps 390 PETREN ET EHRENBERG une
paralysie
de tout le membre inférieur droit s'est déclarée
demain, elle a pu se tenir debout. Le surlende- main il y avait une
paralysie
complète des membres inférieurs et du tronc ou
as de symptômes en ce qui con- cerne les membres supérieurs. Pas de
paralysie
de la vessie. Pendant ce temps là des douleurs
sont contradic- toires. Etat le février. - Il y a maintenant une
paralysie
presque complète du membre inférieur droit et u
faibles, quand il a essayé de quitter le lit. La nuit suivante, une
paralysie
complète des deux mem- bres inférieurs s'est dé
urs et de la vessie a commencé. Etal le 12 novembre. - Il y a une
paralysie
presque complète du membre inférieur droit et u
ur de la nuque persiste encore à un certain degré le 4 décembre. La
paralysie
de la vessie avait disparu au bout de deux jours.
as droit. Elat le 22 août. La malade a tout le dos raide. Il y aune
paralysie
des deux membres inférieurs et une parésie de l
le long du dos, mais n'a pas eu, dit-il, de raideur de la nuque. La
paralysie
est venue au bout de quatre jours et a atteint le
emi. Immédiatement après cette fièvre les parents ont ob- servé une
paralysie
des membres inférieurs et supérieurs qui n'a pas
difficulté à mouvoir le mem- bre supérieur droit. Le lendemain, une
paralysie
réelle-de ce membre et un commencement de parés
resque pendant une semaine, d'après le malade. Il y avait alors une
paralysie
de la vessie et il a été cathétérisé une semaine.
trophie très prononcée. En regardant de plus près l'extension de la
paralysie
, on constate que ces symptômes ne vont pas en a
ent vers les extré- mités des membres. C'est ainsi qu'il existe une
paralysie
complète de l'épaule droite, pendant que les mo
le corps ». Cet état a persisté trois jours ; le troisième jour la
paralysie
est venue et en même temps les douleurs se sont
alysie est venue et en même temps les douleurs se sont apaisées. La
paralysie
a été complète dans les deux membres inférieurs,
rès lentement. Le 4 juin 1908, j'examine le malade et je trouve une
paralysie
complète de quelques-uns des mouvements des mem
plète de quelques-uns des mouvements des membres inférieurs ; cette
paralysie
n'est pas symétrique et elle n'augmente pas rég
s réflexes abdominaux persistent et ne sont pas affaiblis. Il a une
paralysie
de presque tous les mouvements des deux épaules a
tobre se sont déclarées une faiblesse des membres inférieurs et une
paralysie
de la vessie, qui a fait qu'on a été obligé de
sie, qui a fait qu'on a été obligé de le cathéténser. Le lendemain la
paralysie
des membres inférieurs est complète. La céphala
1er juillet. Au début, en janvier, on constate l'état suivant : la
paralysie
des membres inférieurs est encore complète et com
aux se présentent au début de la maladie avant l'appari- tion de la
paralysie
. Il .n'y a qu'un seul cas (XIV) sans indication n
un peu plus tard à droite également. Dis cette même après- midi, la
paralysie
du membre inférieur gauche est devenue complète e
e. La nuit elle a bien dormi. Le 8 novembre au matin elle avait une
paralysie
complète des membres inférieurs. De plus elle,a
r la colonne vertébrale, elle ne sent pas de douleurs. Il y a une
paralysie
complète des deux membres inférieurs qui sont abs
tion des muscles abdominaux. Pas de réflexes abdominaux. Il y a une
paralysie
complète de la vessie et la malade est cathétér
bles moteurs correspond parfaitement à une poliomyélite aiguë : une
paralysie
des deux membres inférieurs, qui se développe a
asymétriquement, mais, en très peu de temps, presque aussitôt, une
paralysie
du tronc et dans les deux jours suivants une pa
arésie des bras également et, au moins pour les membres inférieurs,
paralysie
d'un pur type flasque sans réflexes tendineux. Co
l'absence complète des symptômes généraux avant l'apparition de la
paralysie
a été pour nous une autre raison très forte con
a malade a subi à la clinique des changements très remarquables. La
paralysie
flasque des membres inférieurs a passé peu à pe
ous l'influence d'irritations extérieures. Dans l'état acluel de la
paralysie
, il n'y a aucune difficulté à conclure que nous
on a vu des cas où il y a des symptômes méningitiques, mais où une
paralysie
ne se déclare ja- mais. Wickman et Leegaard ont
idémie de poliomyélite aiguë, il y a, dans la plupart des 'cas, des
paralysies
du type ordinaire, même s'il faut concéder que
, des paralysies du type ordinaire, même s'il faut concéder que ces
paralysies
ne se dévelop- pent pas nécessairement dans tou
méningite cérébro- spinale épidémique, il ne se présente jamais de
paralysies
de ce type, mais il n'est pas rare, comme on sa
mentation de la pression et une lymphocytose pure. Quand il y a les
paralysies
caractéristiques de la poliomyélite, le diagnosti
, c'est le fait que ces cas avec symptômes méningitiques, mais sans
paralysie
, sont apparus au milieu d'une épidémie de poliomy
éreuse avec celles des cas de poliomyélite, abstraction faite de la
paralysie
elle- même, il nous semble qu'il existe des dif
ifférentiel entre les cas de poliomyélite avec méningite, mais sans
paralysie
, et les méningites séreuses restera certainement
rdinaire des maladies épidémiques. ? 2 PETRÉN ET EHRENBERG SUR LA
PARALYSIE
DES MUSCLES DU TRONC. par Petren Sur la paral
ENBERG SUR LA PARALYSIE DES MUSCLES DU TRONC. par Petren Sur la
paralysie
des muscles abdominaux. Il y a quelques années,
Sur la paralysie des muscles abdominaux. Il y a quelques années, la
paralysie
des muscles du tronc dans la poliomyélite aiguë
Dejerine et Thomas). En premier lieu, parmi les conséquences de la
paralysie
des muscles du tronc, on a sur- tout fixé l'att
des muscles du dos (Gowers, Dejerine et Thomas, Sachs). Quant à la
paralysie
des muscles abdominaux, ce n'est que dans ces d
publié tout dernièrement quelques statistiques sur la fréquence des
paralysies
des muscles abdominaux : les voici. Collins et Ro
s abdominaux : les voici. Collins et Romeisel' (22) ont observé une
paralysie
des muscles abdominaux dans cas sur 176, et Bra
sur 76. Baumann rapporte que, sur 85 cas, il en a observé deux avec
paralysie
des muscles abdominaux et deux avec pa- ralysie
arésie du tronc sur 23, et sur 198 cas, Lovett en a observé 40 avec
paralysie
du dos et 19 avec paralysie des muscles abdomin
ur 198 cas, Lovett en a observé 40 avec paralysie du dos et 19 avec
paralysie
des muscles abdominaux. En outre, Collins et Ro
scles abdominaux. En outre, Collins et Romeiser (23) ont trouvé une
paralysie
des muscles abdominaux dans 29 cas et des muscles
les 14 autres. Wickman me semble avoir approfondi la question de la
paralysie
des muscles abdominaux, car il fait une distinc
des muscles abdominaux, car il fait une distinction nette entre la
paralysie
apparaissant pendant la phase aiguë et la paral
nette entre la paralysie apparaissant pendant la phase aiguë et la
paralysie
persistante. D'après ÉTUDES CLINIQUES SUR LA PO
POLIOMYÉLITE AIGUË 423 son opinion, on aurait à la phase aiguë une
paralysie
des muscles abdo- minaux dans tous les cas où i
Il faut ici remarquer que dans les cas où Bramwell avait trouvé une
paralysie
des muscles abdominaux, il y avait également de
ment des troubles moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de
paralysie
du tronc, que Johannessen a publiés, il y avait
avoir combien de temps on peut encore espérer une régression de ces
paralysies
. Certes, il est difficile d'indiquer comme répons
ois, et peut- être même davantage, avant de pouvoir être sûr que la
paralysie
des muscles abdominaux persistera (quant aux pa
rs antérieurs où l'on a décrit des troubles moteurs provenant d'une
paralysie
des muscles ab- dominaux, pour donner une idée
érentes sous lesquelles ces troubles se présentent. Mais, comme ces
paralysies
peuvent s'amé- liorer, ou disparaître même aprè
être sûrs que tous les cas cités ci-dessous soient des exemples de
paralysies
persistantes. Cependant nous noterons, dans les d
ntes. Cependant nous noterons, dans les différents cas, l'âge de la
paralysie
, quand l'observation en a été faite. Une paraly
s, l'âge de la paralysie, quand l'observation en a été faite. Une
paralysie
de tous les muscles abdominaux a été observée par
maladie) et par Fowler (huit mois ; il y avait une scoliose). Une
paralysie
unilatérale, mais complète, des muscles abdominau
bout de deux semaines ; mais il semble que, dans ce dernier cas, la
paralysie
ait disparu au cours de l'observation postérieu
vé trois semaines après le début de la ma- ladie, où il y avait une
paralysie
unilatérale de la moitié inférieure des mus- cl
; le grand droit du côté atteint était conservé, mais affaibli. Une
paralysie
unilatérale de la moitié supérieure des muscles a
ermann a été publié par V. Baracz. Un type tout à fait différent de
paralysie
des muscles abdominaux a été décrit par Strassb
s muscles abdominaux a été décrit par Strassburger ; il y avait une
paralysie
des deux grands droits, mais les deux transvers
ncore un autre type qui a été décrit par Loewegren ; il y avait une
paralysie
des muscles abdominaux (aussi des grandes droits)
Dennett rapporte un cas où il a observé, 7 mois après le début, une
paralysie
des muscles abdominaux au-dessus de l'ombilic.
'ombilic. Lafetra indique très brièvement qu'il a vu deux cas d'une
paralysie
unila- térale des muscles obliques, mais sans d
s de la motilité qu'il a observés. Leischner a vu un cas avec une
paralysie
unilatérale des muscles abdo- minaux transverse
e on le voit, nous avons un certain nombre de formes différentes de
paralysie
des muscles abdominaux. Cependant il me semble qu
e qu'on n'a pas toujours prêté assez d'attention aux détails de ces
paralysies
, surtout à l'état du grand oblique. Les sympt
s paralysies, surtout à l'état du grand oblique. Les symptômes de
paralysie
des muscles abdominaux que nous avons observés
ce expiraloire. En considérant ces symptômes comme des signes d'une
paralysie
des muscles abdominaux, il ne faut pas oublier le
sont là les symptômes bien connus comme étant la conséquence d'une
paralysie
de tous les muscles abdomi- naux. Il est aussi
de règle que tous ces muscles soient atteints quand il s'agit d'une
paralysie
dans la phase aiguë de la maladie, et Wickman a
stitue proba- blement un moyen précieux pour étudier le degré de la
paralysie
des muscles abdominaux, surtout des grands droi
orte sur cinq mois à peu près de- puis le début de la maladie et la
paralysie
de tous les muscles abdominaux était cette fois
XXV, nous avons vu une parésie des muscles abdominaux, mais pas une
paralysie
complète; la maladie durait alors depuis 9 mois.
presque à notre surprise une amélioration assez considérable de la
paralysie
. En conséquence, cette observation nous montre
à auparavant. Dans tous nos cas cités jusqu'ici, il s'est agi d'une
paralysie
de tous les muscles abdominaux ou d'une parésie
ux au même degré. Cepen- dant, nous avons observé dans deux cas des
paralysies
partielles des mus- cles abdominaux. L'un de ce
de douleurs quand on exerce une pression sur la colonne vertébrale.
Paralysie
presque complète du membre inférieur droit, par
a parésie du membre inférieur gauche a aug- menté, et le 18 juin la
paralysie
du membre inférieur droit est complète et celle
douleurs, si l'on presse la région fessière. Etat le 17 août. La
paralysie
des membres inférieurs est tout à fait la même
e des muscles du dos, qui sont les extenseurs du tronc. La forme de
paralysie
des muscles abdominaux que l'on observe dans ce
ans ce cas n'a pas été décrite jusqu'ici. Quant à l'extension de la
paralysie
, le cas correspond dans l'ensemble au cas de Lo
, autant que je peux en juger, unique : c'est en ce qui concerne la
paralysie
unilatérale du grand oblique. Lafetra rapporte
lysie unilatérale du grand oblique. Lafetra rapporte qu'il a vu des
paralysies
unilatérales des muscles obliques, mais il ne d
symp- tômes constatés. La conséquence la plus remarquable de cette
paralysie
, c'est la déformation du thorax qui se manifest
u moins en général. Une telle déformation du thorax résultant d'une
paralysie
de l'un des deux grands obliques n'a pas été dé-
férieure de ces muscles est réduite à droite. Nous avons trouvé une
paralysie
de l'un des deux grands obliques (droit) et nou
obliques (droit) et nous avons constaté, comme conséquence de cette
paralysie
, la même asymétrie du thorax qui se manifeste p
e et qui a ici presque la forme d'une hernie. Cette conséquence des
paralysies
partielles des muscles abdominaux a été déjà pl
déjà plusieurs fois observée (Medin, Ibrahim et Hermann). Sur la
paralysie
des muscles du dos. Quant à la paralysie des mu
ahim et Hermann). Sur la paralysie des muscles du dos. Quant à la
paralysie
des muscles du dos, il est difficile de constater
de constater son existence pendant la phase aiguë, quand il ya une
paralysie
des muscles abdominaux et que,par conséquent, l
probable qu'on a toujours, quand il y a au début de la maladie une
paralysie
des muscles abdominaux, en même temps une paral
la maladie une paralysie des muscles abdominaux, en même temps une
paralysie
des muscles du dos. D'ailleurs, on n'avait jusqu'
muscles du dos. D'ailleurs, on n'avait jusqu'ici prêté attention la
paralysie
des muscles du dos que presque uniquement dans le
tionnement des muscles du dos, car la malade a eu tout le temps une
paralysie
complète des mus- cles abdominaux et est toujou
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV, la
paralysie
des muscles du dos se montre par l'im- possibil
; par moments on constate du strabisme interne de l'oeil gauche par
paralysie
du droit externe gauche qui amène de la diplopi
u; tremblement de la langue. On observe aussi quelques signes de la
paralysie
progressive : faiblesse de la mémoire, troubles d
ire une spondylose du type Bechterew compliquée de phénomènes de la
paralysie
pro- gressive. Quant à l'origine de la maladi
cordent tout à fait avec celles qu'on trouve habituellement dans la
paralysie
générale progressive. Certaines modili- cations
ngo-myélite à évo- lution lente, sont probablement liées aussi à la
paralysie
générale. Quant à la dégénérescence des racines
la syphilis et que, d'autre part, il a présenté des symptômes de la
paralysie
générale progressive, on peut se demander, natu
s os ou bien des lésions parasyphilitiques survenues au cours de la
paralysie
générale progressive. Dans le premier cas, il s'a
chronique ou l'arthrite gommeuse,manquent également. Etant donné la
paralysie
générale du malade, on peut supposer un trouble
de la même origine que la sclérose vasculaire. Cependant, comme la
paralysie
générale, tout en pro- xxti 34 506 ROUDNEW
lieu si ces lésions étaient d'origine rhumatismale. Ainsi, ni la
paralysie
générale, à elle seule, ni le refroidissement, ne
Il faut donc admettre l'association de ces deux causes : syphilis (
paralysie
géné- rale) et refroidissement. Nous imaginon
trouvé des conditions convenables à son développement : syphilis et
paralysie
générale. Il en est résulté des altérations grave
des trous et des fentes de la base, elle donne l'exophtalmie et la
paralysie
des nerfs crâniens ; chez Lippi, ces symptômes ma
es troubles de la respiration. Je remarquerai, d'abord, que déjà la
paralysie
des muscles abdominaux cause, si elle est compl
rmales et n'ont qu'une force très diminuée. Dans notre cas XIX avec
paralysie
complète des muscles abdominaux, nous n'avions
qu'on ne pouvait attribuer la pneumonie- seule. Toutefois, quand la
paralysie
n'atteint pas les muscles de la respi- ration a
ent l'idée émise par Wickman, qu'on aura probablement ^toujours une
paralysie
des muscles abdominaux quand il va paralysie et
ablement ^toujours une paralysie des muscles abdominaux quand il va
paralysie
et des membres inférieurs et de l'un au moins d
MYÉLITE AIGUË 547 7 présentant l'extension indiquée ci-dessus de la
paralysie
des membres, des troubles de la respiration tho
troubles de la respiration thoracique, c'est-à-dire ou faiblesse ou
paralysie
(exception faite, bien entendu, pour les parties
ette question, il y en a deux (XVII, XVIII) où il y a eu parésie ou
paralysie
des deux membres inférieurs et de l'un ou des deu
aura toujours des troubles de la respiration thora- cique quand la
paralysie
a atteint à la fois les membres inférieurs et les
s inférieurs. La motilité du bras droit est très restreinte. Il y a
paralysie
du tronc, paralysie aussi de la vessie et le mala
ilité du bras droit est très restreinte. Il y a paralysie du tronc,
paralysie
aussi de la vessie et le malade a été cathétéri
ensation très nette qu'il va mourir d'une suffocation causée par la
paralysie
des mou- vements respiratoires et il déclare lu
espiratoires, si l'on in- terrompt la respiration artificielle ; la
paralysie
de la déglutition continue à être Complète. P
être Complète. Pendant le cours du jour on remarque qu'il y a une
paralysie
de la vessie (cependant il a pu uriner lui-même
OMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plus mauvais. Puis il meurt, d'une
paralysie
du coeur, semble- t-il, entre 2 et 3 3 heures d
e ces trois cas nous donnent des exemples de types diffé- rents des
paralysies
respiratoires. Dans le cas XXXI, nous avons le pu
ysies respiratoires. Dans le cas XXXI, nous avons le pur type d'une
paralysie
du diaphragme, tandis que la respiration thoraciq
on thoracique est conservée. Il est intéressant de remarquer que la
paralysie
n'avait atteint, dans ce cas, que l'un des memb
une lésion ne s'étendant pas au-dessous de la moelle cervicale. Une
paralysie
du diaphragme dans la poliomyélite semble être ra
te semble être rare. Wickman en publie deux cas (dans tous deux, la
paralysie
avait com- mencé par les membres inférieurs), m
cemment j'ai eu l'occasion d'observer pendant longtemps un cas avec
paralysie
absolument complète de la respiration thoracique.
compression de la moelle dans la région du renflement cervical avec
paralysie
et anesthésie complètes au-dessous de la lésion.
tant presque disparus. Cela dépen- dait évidemment, en outre, de la
paralysie
absolue des muscles abdomi- naux que présentait
accès de bronchite, être près de suffoquer. Wickman conclut que la
paralysie
des muscles intercostaux serait mieux supportée
la paralysie des muscles intercostaux serait mieux supportée que la
paralysie
du diaphragme. Cette observation que nous avons f
BERG n'appuie pas cette conclusion, au moins pas dans les cas où la
paralysie
atteint en même temps les muscles intercostaux
s abdominaux. En traitant des troubles respiratoires causés par des
paralysies
spinales, je veux aussi attirer l'attention sur
vons faite dans le cas XXVI publié ci-dessus. Comme il s'agit d'une
paralysie
com- plète due à une lésion spinale des segment
ausent des contractions involontaires des mus- cles atteints par la
paralysie
spasmodique. Nous croyons que cette dernière su
morts pen- dant la phase aiguë (XXXII, XXXIII), il s'est agi d'une
paralysie
complète de la respiration, exception faite pou
teurs auxiliaires du cou. Dans le cas XXXII, il y avait d'abord une
paralysie
de la respiration thora- cique et plus tard (c'
a point eu la conscience troublée jusqu'au dernier moment. Comme la
paralysie
avait commencé par les membres inférieurs et qu
mencé par les membres inférieurs et qu'il est survenu plus tard une
paralysie
de l'un des membres supérieurs également, ce ca
rieurs également, ce cas nous fournit un exemple du vrai type d'une
paralysie
ascendante. Dans le cas XXXIII, j'ai observé ég
aralysie ascendante. Dans le cas XXXIII, j'ai observé également une
paralysie
, tant de la ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLIT
a première fois le malade, et, par conséquent, je ne sais pas si la
paralysie
]de la respiration a commencé par le diaphragme ou
nées par le malade, on ne peut décider si les premiers signes de la
paralysie
sont apparus au tronc ou aux membres supérieurs
le bulbe a été également atteint, ce cas nous est un exemple d'une
paralysie
se répandant et dans la direction ascendante et
scendante et dans la direction descendante. Wickman remarque que la
paralysie
, chez les malades qui meurent de la maladie, peut
Cependant, il ne donne pas d'exemple d'un cas de cette espèce avec
paralysie
descendante. Dans le cas XXXIII, j'ai vu ce qui
comme probable que, pour une mort par suffoca- tion résullant d'une
paralysie
aiguë et presque complète de la respiration due
II, il y avait une dysphagie et dans le cas XXXIII j'ai observé une
paralysie
complète de la déglutition, une déviation de la
x derniers cas de poliomyélite, je ne crois pas, néanmoins, que les
paralysies
de la respi- ration qui ont été observées puiss
lésion du bulbe. D'abord, il faut remarquer qu'il n'a pas existé de
paralysie
des fibres motrices du pneumogastrique, caria v
ut-être pas assez fait la distinction entre les symptômes dus à des
paralysies
spinales des muscles de la respiration et ceux
, nous ne pouvons rapporter un tel arrêt de la respiration qu'à une
paralysie
du centre respiratoire du bulbe. Ce qui est surto
dit, il faut rapporter l'arrêt de la respiration dans ces cas à une
paralysie
du centre respiratoire dans le bulbe. Dans les ca
ités ci-dessus, il n'est pas difficile de trouver la cause de cette
paralysie
: dans trois cas, il y avait une tumeur du cervel
heyne-Stokes). Mais la question de savoir s'il existe des formes de
paralysie
de la respiralion se rapportant à une affection d
nheim), ou qu'ils ne le sont jamais. Medin a rapporte deux cas avec
paralysie
de la vessie, qui disparu en peu de temps, et W
opor- tion de 33 0/0. Il est bien évident que cette fréquence de la
paralysie
de la vessie que j'ai observée ne correspond pa
de Wickman, mais de 16, 7 0 0 si l'on ne regarde que les cas où une
paralysie
s'est déclarée. Mais si l'on prend seulement le
voir prêté une cer- taine attention à ce fait, car ils indiquent la
paralysie
infantile comme « rarement mortelle » ; mais il
t comme une règle presque sans exception qu'il restera toujours une
paralysie
(Gowers, Oppenheim). Sur ce point aussi Pierre Ma
fait observé dans la plupart des cas de poliomyélite qu'au début la
paralysie
est plus diffuse et que plus tard elle se limit
le ici d' « une amélioration très considérable » pour les cas où la
paralysie
ou parésie des muscles les plus atteints montrent
is, à peu près guérie. Observation X, enfant âgée de 7 ans, d'abord
paralysie
complète des deux membres inférieurs ; après 12
moteurs des mem- bres ont presque disparu, mais il reste encore une
paralysie
partielle des muscles abdominaux. Observation
muscles abdominaux. Observation XII, garçon âgé de 16 ans, d'abord
paralysie
complète d'un membre inférieur, parésie de l'au
eurs de l'épaule. - Observation XIII, femme âgée de 33 ans, d'abord
paralysie
complète des deux membres inférieurs et du tron
à une guérison absolue ou à peu près telle, même s'il a existé une
paralysie
complète de tout un membre inférieur et une par
. XII). (Ici je pourrais citer aussi le cas XIII, où il y avait une
paralysie
complète des deux membres inférieurs, quoi- que
ète. De même, le cas X doit être rap- porté ici, parce qu'il y a eu
paralysie
complète des deux membres infé- rieurs et que l
ologie, on indique presque toujours comme ma- ladies différentes la
paralysie
spinale infantile et la poliomyélite (ou pa- ra
sidérés comme dus à la méningite ne sont autre chose que des cas de
paralysie
infantile méconnus et dont les lésions ont amené
ut Medin qui a décrit un certain nombre de formes différentes de la
paralysie
infantile qui se rapporteraient à des localisatio
ositif, il n'y avait pas de clonus. On constatait en même temps une
paralysie
du droit interne de l'oeil gauche. La sensibili
Foyers inflammatoires et nécrobiotiques avec sclérose secondaire. (
Paralysie
générale). Cas de H. Bond, etc. b) Symétrique
et XII" paires, puis atteignant la XIe paire et bientôt amenant la
paralysie
de tous les noyaux bulbaires et la mort. L'évol
iNaAzzmi). 1 LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES CONSÉCUTIVES A LA
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE PAR * le D' Paul ALESSANDRI
éviés avec les doigts en griffe. La difformité était bilatérale, la
paralysie
était à peu près la même des deux côtés et loca
T.XXtI.Pt.LXIX ATROPHIES MUSCULAIRES TARTIVES CONSÉCUTIVES A LA
PARALYSIE
INFANTILE 4 (isilessandrini) Masson et Cie. E
myé- lite antérieure aiguë lombaire,qui produisit des deuxcôtés une
paralysie
de quelques muscles antérieurs des jambes et du
le caractère flasque et progressif du côté proximal ou distal de la
paralysie
, sans notable R. D. ; l'abolition des réflexes pr
liomyélite chronique, soit en considérant la marche, soit parce que
paralysie
et atrophie muscu- laire ont progressé parallèl
ralysie et atrophie muscu- laire ont progressé parallèlement, et la
paralysie
n'a pas précédé l'atro- phie. Contre la sclér
ects nous obligent à conclure que chez notre malade déjà alteint de
paralysie
spinale infantile dépendant d'une poliomyélite
troubles atropbiques et paralytiques chez des individus atteints de
paralysie
spinale infantile : ce fut Raymond qui éveilla l'
ente sur le développement des atrophies tardives, consécutives à la
paralysie
infantile. On a attribué une grande importance, c
e. On a cependant décrit des atrophies musculaires qui ont suivi la
paralysie
infantile à une distance de 40 ans (Garbset) et
membres qui étaient restés paralysés au moment de l'invasion de la
paralysie
infantile et qui en avaient été délivrés au mom
omme, juge de tribunal, qui, à l'âge de deux ans, fut atteint d'une
paralysie
spinale infantile, qui lui laissa une parésie d'u
musculaire spinale est démontrée par les atrophies consécutives aux
paralysies
spinales infantiles. En effet, dans notre cas e
hies tardives du type spinal aussi en des individus frappés par une
paralysie
cérébrale infantile comme dans le cas décrit pa
appelle les étroits rapports pathogéniques entre les deux formes de
paralysie
infan- tile (Vizioli, Strümpell, etc.). , Dan
ondaires. Thèse de Montpellier, 1875. COUDOIN. Etude clinique de la
paralysie
spinale aiguë et de l'atrophie musculaire progr
me individu. Thèse de Paris, 1819. Quinquauii. Elude clinique de la
paralysie
spinale aiguë el de l'atrophie muscu- laire pro
Kinderheilk., t. XIII, p. 315. OULEIDNT et NEUMANN. Influence de la
paralysie
infantile sur le développement ulté- rieur de l
tte médicale de Paris, 1881, p. 154. SAUZE. - Etude clinique sur la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte. Thèse de Paris, 1881
le aiguë de l'adulte. Thèse de Paris, 1881. LANDouzy et DRJERiNE.
Paralysie
spinale à marche rapide. Revue de médecine, 188
elatrophie. Inaug. Dissert., Berlin, 1890. STEHNR. Rapports de la
paralysie
infantile avec la paralysie spinale aiguë de l'
Berlin, 1890. STEHNR. Rapports de la paralysie infantile avec la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte et l'atrophie muscula
ntérieures aiguë, subaiguë et chronique de l'aaultll greffée sur la
paralysie
infantile. Revue de médecine, 1893. t. 1, p. 1.
les relations de l'atrophie musculaire progressive de l'adulte avec
paralysie
infantile. Thèse de Paris, 1894. 660 ALESSANDRI
sson, Paris, 1899. Atrophies musculaires tardives consécutives à la
paralysie
infantile. Quatorzième leçon. P. Marie. - La
gique, 1905, no 4. CRonzox. Reprises de paraplégie sur une ancienne
paralysie
infantile. Société neurol., séance 7 février 19
e Weber dit seulement qu'il était « possible » qu'il eût existé une
paralysie
due à une affection cérébrale (qui avait d'aill
d'une poliomyélite, un autre d'une poliencéphalite, les autres sans
paralysie
) ; Pierre Marie et Rossi (chez le même malade,
arie et Rossi (chez le même malade, poliomyélite qui avait causé la
paralysie
de l'un des membres inférieurs et poliencéphali
e l'un des membres inférieurs et poliencéphalite qui avait causé la
paralysie
de l'autre; examen anatomique) ; Neurath (71) (
déjà dit, Medin considère la polynévrite comme une des formes de la
paralysie
infantile. J'indiquerai d'abord les raisons donné
ie de guérison, il s'agirait de la polynévrite, dans les cas où une
paralysie
persiste, il s'agirait d'une poliomyélite. Wickma
nombre de cas où la poliomyélite ne peut être douteuse, mais où la
paralysie
disparaît en peu de temps; et de même, il est trè
est très fréquent, d'après mon opinion, c'esl même la règle-que la
paralysie
soit plus étendue au début de la poliomyélite q
due au début de la poliomyélite que plus tard, ce qui prouve que la
paralysie
causée par le processus morbide de la poliomyélit
vants, l'incompétence musculaire a augmenté, mais sans entraîner de
paralysie
complète, sinon de la flexion dorsale des pieds.
sensations de fourmillement aux mains et une faiblesse des mains. La
paralysie
a continué à augmenter pendant le temps qu'il e
tés. Pas de symptômes pour les nerfs crâniens. Il y a presque une
paralysie
complète pour les mouvements des pieds et des o
es épaules la force est diminuée, mais beaucoup mieux conservée. La
paralysie
est partout flasque. Le malade peut s'asseoir d
mps passés à la clini- que. Le 28 décembre, nous avons constaté une
paralysie
complète pour les mouvements des pieds et des o
intenant le malade ne peut plus s'asseoir sans s'aider des bras. La
paralysie
des parties périphériques des membres supérieur
énéral les membres inférieurs auxquels s'atta- que de préférence la
paralysie
. Mais, si dans la poliomyélite la paralysie s'é
a- que de préférence la paralysie. Mais, si dans la poliomyélite la
paralysie
s'étend ailleurs qu'aux membres inférieurs, ell
, nous trouvons des règles absolument autres pour l'extension de la
paralysie
dans la polynévrite ; car ici la paralysie se pro
s pour l'extension de la paralysie dans la polynévrite ; car ici la
paralysie
se propage très sou- vent des membres inférieur
t dans le cas XXXVI où le contraste était très remarquable entre la
paralysie
très accusée pour tous les membres et la motili
le malade est entré à la clinique. En outre, la répartition de la
paralysie
entre les muscles du même membre montre souvent
onstater même aux membres inférieurs ; cardans la poliomyé- lite la
paralysie
peut se localiser tout à fait irrégulièrement, pa
de la hanche et de la cuisse. Au contraire, dans la polynévrite, la
paralysie
est très régulièrement la plus marquée pour les
sont pas complètement paralysés. Cette loi de l'augmentation de la
paralysie
en allant vers les extrémités des membres a été
ans les trois cas de polynévrite publiés ici. S'il y a une phase de
paralysie
complète de tous les muscles du membre, on peut
tre plus distinctement encore ; car, dans cette dernière maladie la
paralysie
est le plus souvent localisée surtout dans les mu
ingitiques avec une lymphocytose du liquide céphalo-rachidien et la
paralysie
ne s'étendant qu'à un membre. Au contraire, dan
mptômes méningitiques, pas de début brusque de la maladie, mais une
paralysie
des quatre membres qui a disparu en premier lieu
ymptômes pendant deux semaines, au début, douleurs dans les doigts,
paralysie
symétrique des quatre membres et des nerfs crâ-
nt de vue anatomique ou fonctionnel. Medin a décrit une forme de la
paralysie
infantile qu'il nomme ataxie aiguë. Car il a ob
eurs. Il ne s'agissait pas d'enfants mais, dans tous les cas, d'une
paralysie
qui atteignait aussi les nerfs crâniens. Par co
vons faire la distinction entre les cas d'après l'exten- sion de la
paralysie
. Mais il ne me semble pas qu'on soit fondé à indi
on soit fondé à indiquer comme des formes différentes les cas où la
paralysie
a atteint par exem- ple 2 ou 4 membres. Il sera
e la maladie. Wickman a décrit comme formes spéciales les cas où la
paralysie
a un type ascendant ou un type descendant. Cela
un type descendant. Cela ne me semble pas très fondé, parce que la
paralysie
est ascendante presque dans la plupart des cas où
e la paralysie est ascendante presque dans la plupart des cas où la
paralysie
atteint des parties du corps autres que les membr
les membres inférieurs. Il serait plus vrai de parler des cas avec
paralysie
d'un type descendant comme d'une forme spéciale
ions anatomiques et enfin de ce que les symptômes de la phase de la
paralysie
sont en réalité tou- jours du même type. La c
use spécifique. BIBLIOGRAPHIE 1. Achard (CI[,) et GHEXET (II.). -
Paralysie
infantile el lymphocytose arachnoïdienne, Revue
1872. 30. Duquennoy (P.). - Sur une forme à début douloureux de la
paralysie
infantile. Thèse pour le doctoral, Paris, 1898.
t Mém. de la Soc. méd., 1903, p. 623. 39. Guinon (L.) et PARIS. -
Paralysie
infantile avec réaction méningée, Bull. et Mém.
II, p. 315, 1894. 50. Laurent (0,), - Symptômes prémonitoires de la
paralysie
spinale aiguë, Thèse pour le doctorat, Paris, 1
, chez un même malade de la paraplégie cérébrale infantile et de la
paralysie
spinale infantile, Bull. et Mém. de la Soc. méd.,
, Nordiskt;Medicinskt Arkiv, t. XXVIII, 1S96. 66. L'étal aigu de la
paralysie
infantile, Archives de méd. des enfants, t. I, p.
1897. 83. Raymond et Sicard. Méningite cérébro-spinale à forme de
paralysie
infantile, cytodiagnostic, Rev. neurol., t. X,
chez un même malade de la paraplégie cérébrale infan- tile el de la
paralysie
spinale infantile, Nouv. Iconog, de la Salp., t.
;lriimpell's paralysis (polio-encephalilis) combined wilh infantile
paralysie
, The Lancet, 1899, t. II, p. 23. 109. Zarrsnx (
oyens, soit parce qu'ils ont été détruits par une lésion organique (
paralysie
générale), soit parce qu'ils ne sont pas encore
IEII)IITTE, 605. Atrophies musculaires tardives consécutives à la
paralysie
infantile (1 pl. ), par ALESS.4\- diiim, 650.
LOTTI, 253. (Osléite déformante de -) (2 pl,),par Ravenna, 524.
Paralysie
infantile, par Petren et EIIIIEN- DERG, 372, 54
LESS\¡';DR1XI, Les atrophies musculaires tardives consécutives à la
paralysie
spi- nale infantile (1 pi.), 650. ALQuiER. Su
XIII à LXVIII. Alrophies musculaires tardives consécuti- ves à la
paralysie
infantile (ALESSANDniNi), LXIX. Aveugles dans
arait y avoir ni tumeur cérébrale (intégrité du fond de l'oeil), ni
paralysie
générale, ni syphilis, ni épilepsie. Aucun des sy
ntre, se croyant enceinte du diable. Dans d'autres cas (démences,
paralysies
générales, etc.), la mort est la conséquence ac
au pyramidal. (Revue neuro- logique, février 1899.) E. B. VIL Des
paralysies
généralisées dans la fièvre typhoïde ; par le D
éralisées dans la fièvre typhoïde ; par le Dr Etienne. Les cas de
paralysies
généralisées, diffuses, au cours de la fièvre t
on de pathologie générale nerveuse. La complication constituant les
paralysies
généralisées, observées 52 REVUE DE PATHOLOGIE
Landry (secondaire). IL Syndrome manifestant la polynévrite. III.
Paralysie
généralisée de type mixte traduisant la lésion co
la tumeur. A. Fenayrou. XIII. Sur le phénomène de Ch. Bell dans la
paralysie
faciale péri- phérique et sur sa valeur pronost
es malades, des deux sexes, il n'y avait, à ce jour, aucun cas de
paralysie
générale. Voici, en terminant, quelques renseig
g oce ! '= ! C/t/. Brochure in-8° de 2t pages. Sano (F.). Un cas de
paralysie
d'origine scarlalineuse. Brochure in-8° de 5 pa
très nerveuse, elle a eu des attaques de nerfs, elle a une sorte de
paralysie
du bras gauche accompagnée de troubles de la se
u une maladie grave, des convulsions qui ont laissé après elles une
paralysie
incomplète du côté gauche. Chen... nous a montr
Les deux maladies susceptibles d'expliquer le fait actuel sont : la
paralysie
infantile et l'hémiplégie cérébrale infan- ' P.
ARRET DE DÉVELOPPEMENT DE L'HUMÉRUS GAUCHE. 121 1 tile. C'est à la
paralysie
infantile que l'on pense d'abord : les déformat
es, l'écart minimum a été de 91,66 à '100. t llé( : Jère. Un cas de
paralysie
spinale infantile avec participation du nerf fa
aude et par l'automatisme psychologique ou pathologique. G. D. V.
Paralysie
générale chez une imbécile; par le Dr CoLr.EanE.
ez cette imbécile, entrée à l'asile avec les signes cliniques d'une
paralysie
générale associée, le cerveau proprement dit pesa
proprement dit pesait '73' ! grammes et l'encéphale entier 872. La
paralysie
générale ne serait donc pas le monopole des gen
ns algésique étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la
paralysie
générale ; par le De MARANDON de Montyel. (l3ac
9.) E. Bu : >. \II. Du rôle de l'hérédité dans l'étiologie de la
paralysie
générale; par J. CROCQ. (JOUI'n de Neurologie,
CQ. (JOUI'n de Neurologie, 1899, nos si et 7 ) D'après l'auteur, la
paralysie
générale ne serait qu'une des nom- breuses mani
3 : lhONr·. Sur les altérations du système nerveux central dans les
paralysies
saturnines. En introduisant des préparations sa
n se basant sur un cas ancien, examiné anatomiquement, admet que la
paralysie
saturnine relève de la poly- névrite. M. Soukua
développement du cerveau par la distension de la boite crânienne.
Paralysie
générale juvénile. M. TOULOUSE communique l'obs
trouvait à l'autopsie des lésions que M. Tou- louse attribue à une
paralysie
générale juvénile. Pour lui la para- lysie géné
e précoce chez les épileptiques ne sont que des formes méconnues de
paralysie
générale. M. ARKAUD. Avant d'étendre le domai
e paralysie générale. M. ARKAUD. Avant d'étendre le domaine de la
paralysie
géné- rale, il conviendrait de la delimiter exa
ec tous les caractères de l'épilepsie classique sans aucun signe de
paralysie
générale. Puis, brusquement, elle manifeste tou
es faits cliniques et l'autopsie. Il ne croit pas qu'il s'agisse de
paralysie
générale juvénile. M. TOULOUSE. Avant de déli
nérale juvénile. M. TOULOUSE. Avant de délimiter le domaine de la
paralysie
générale, il convient de connaître toutes les v
nde quel diagnostic il conviendrait d'appliquer. M. ARNAUD. Si la
paralysie
générale est encore dans une période d'évolutio
une épileptique. M. Toulouse ne pense pas que l'histologie de la
paralysie
géné- rale soit en voie d'évolution. Ce qui lui
dans l'épilepsie essentielle. Us sont relativement rares dans la
paralysie
générale. Marcel Briand. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE.
ique pour comprimer les fibres radiculaires. Hémiplégie gauche et
paralysie
alterne de l`c sensibilité. M. Ballet. Il est a
aduisant une lésion de la moitié gauche de la moelle cervicale. Une
paralysie
alterne de la sensibilité indique une lésion da
et. Sans doute, on peut, par suggestion, obtenir le transfert d'une
paralysie
ou d'une contracture, comme on peut aussi guéri
a suggestion. Or, quand chez un malade, atteint, par exemple, de la
paralysie
d'un membre, on applique l'aimant sur le membre
e sain, le malade, par suggestion, pourra bien faire disparaître la
paralysie
, mais il ne la fera point passer dans le membre
e est aboli dans la cécité corticale, conservé dans certains cas de
paralysie
des mouvements des yeux (V. plus loin) dans la pa
ins cas de paralysie des mouvements des yeux (V. plus loin) dans la
paralysie
pseudo-bulbaire. '18 : 2 PHYSIOLOGIE. tion
ément. Cela nous fait déjà prévoir que nous ne trouverons jamais de
paralysies
de ces musles sur uu seul oeil, dans les lésion
t établi ; une lésion unilaté- rale pourra déterminer une véritable
paralysie
, de même qu'une lésion unilatérale peut quelque
cas rares, la lésion des deux centres du même côté peut produire la
paralysie
du releveur. La plosis d'origine corticale nous
ples ou très éten- dues. Il n'est pas impossible cependant que la
paralysie
des mus- cles palpébraux puisse être due à la l
de la langue, des lèvres, du pharynx et du larynx, c'est dans les
paralysies
pseudo-bulbaires que nous devions chercher l'ex
ix mois après, attaque convulsive suivie de mono- plégie gauche, de
paralysie
complète des mouvements volontaires de la langu
in Wernicke Arch. f. Psych. t. XX, p. 273). Le malade atteint de
paralysie
pseudo-bulbaire présentait du côté des yeux les
r cette malade. Etendue dans son lit, avec le masque immobile de la
paralysie
pseudo-bulbaire, la malade n'attirait nullement
ev. de méd., 1877 ; p. 917). Femme de vingt-cinq ans, atteinte de
paralysie
pseudo-bulbaire, à la suite de plusieurs ictus.
avec sensa- tion de gêne et de pesanteur dans le bras gauche, puis
paralysie
de la jambe gauche avec hémianestésie. Un an ap
emier cas, il s'agissait d'un homme de soixante-cinq ans atteint de
paralysie
pseudo-bulbaire, et présentant une paralysie in
te-cinq ans atteint de paralysie pseudo-bulbaire, et présentant une
paralysie
incomplète des mouvements de latéralité des yeu
econd cas, un malade âgé de quarante-neuf ans, atteint également de
paralysie
pseudo- bulbaire, présentait des mouvements de
cinquante-deux ans, charpentier, atteint après plu- sieurs ictus de
paralysie
pseudo-bulbaire, et présentant une impossibilit
ique que nous avons décrit. Il assimile absolument ces troubles aux
paralysies
pseudo-bulbaires, et propose le nom d'ophtalmop
urquoi les troubles oculaires sont .si ' rarement signalés dans les
paralysies
pseudo-bulbaires. , ' ' Wernicke, loc. cil ?
aduelle des symptômes : malaise, céphalée. vomissements, confusion,
paralysies
, la terminaison fatale dans le coma avec ou san
et tombe dans le coma d'où il ne sortira pas. Parfois apparaît une
paralysie
d'un côté, mais le plus sou- vent il n'y a pas
aît une paralysie d'un côté, mais le plus sou- vent il n'y a pas de
paralysie
» (Watson). Broadbent a complété cette descript
anesthésie et du sopor. Il attire l'attention sur un léger degré de
paralysie
faciale, sur la déviation latérale des yeux pre
menton et les yeux sont fixés à droite ; on constate en outre de la
paralysie
faciale gauche : l'orbiculaire des paupières es
qui demeurent con- tracturés ; les membres gauches sont en état de
paralysie
flasque et les paupières sont abaissées. Déviat
fume la pipe des deux côtés, affaisse- ment des- deux commissures,
paralysie
flasque à gauche. Dans la soirée, l'oeil gauche
Pupille droite dilatée au maximum ; la gauche demeure punctiforme.
Paralysie
flasque totale à gauche ; la con- tracture a di
blés vertigineux, le malade tombe, sans perte de connaissance, sans
paralysie
, avec seulement une sensation de faiblesse ; ou
issance ; enfin' le seul symptôme de début peut être une attaque de
paralysie
qui disparaît rapidement. L'absence de perte de
parfois elle n'apparaît, dans les cas dont le début se fait par une
paralysie
brusque qu'après cette dernière ; elle n'est mê
où le coma terminal s'installe. Dans les cas les plus typiques, la
paralysie
apparaît gra- duellement tantôt par une paresse
t tantôt par une paresse croissante de tout un côté, tantôt par des
paralysies
partielles successivement surajoutées. Ainsi da
urs pan exemple après la disparition rapide d'une légère attaque de
paralysie
du début, se produire brusquement une hémiplégi
'intensité dès le début sous forme d'une hémi- plégie flasque. La
paralysie
pèut être précédée de phénomènes convul- sifs.
également complète (obs. de Puech et obs. III). Dans les cas où la
paralysie
s'est établie progressivement, la marche des tr
ccroît progressivement jusqu'à l'hémianesthésie complète lorsque la
paralysie
est totale, sans toutefois arriver toujours à c
ées et accidentelles, l'ostéoporose, l'état des os du crâne dans la
paralysie
générale, les hyperostoses, le ramollisse- ment
l'artère mésentérique supé- rieure pendant une heure détermine une
paralysie
des extrémités postérieures et l'animal meurt q
té et de la sensibilité dans les membres postérieurs, mais point de
paralysie
complète. L'anémie de la moelle lombaire et sac
s. P. Keraval. XIII. Contribution au traitement du tabes et de la
paralysie
géné- rale ; par ADLEU, (Centralbl. f. 6e ? : /
ort, légère mydriase, ptosis léger; parole impercep- tible ; pas de
paralysies
ni d'anesthésies; faiblesse et oppression crois
l'ouïe et du délire de persécution. On a signalé aussi des pseudo-
paralysies
générales, dont les autopsies n'ont révélé en auc
ment dans l'exci- tation maniaque pure, la folie à double forme, la
paralysie
géné- rale au début, l'imbécillité et en partic
es tumeurs encé- phaliques opérées. Baillet (Arsène-Auguste). Les
paralysies
urémiqucs. - Bakradzé (Marie). Contribution à l
Julien). Comment meurent les épi- leptiques. Ballet (Victor). De la
paralysie
bulbo-spinale ctsllté- nique ou symptôme ! l'Ea
. Dauphin (Léon). Les causes d'ordre général dans l'éliologie de la
paralysie
faciale périphérique. Decrelte (Edouard). Défor
el de la question de l'awoeboi : ,me nerveux. Doré. La mort dans la
paralysie
générale. Dorliat (Alexis). Contribution à l'ét
. Dupau (Georges). Du zona et en particulier du zona facial dans la
paralysie
générale. Duquennoy (Paul). Sur une forme à déb
générale. Duquennoy (Paul). Sur une forme à début douloureux de la
paralysie
infantile. Edwards (Frédéric). Contribution d l
ralysie infantile. Edwards (Frédéric). Contribution d l'élude de la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte et de sanature. - Eve
lysie spinale aiguë de l'adulte et de sanature. - Evesque (Joseph).
Paralysies
du plexus brachial consécutives aux luxations d
Contribution à l'étude des hernies épigastriques. Foix (Jean). Des
paralysies
posl- typhiques.- Fouqueau (Ernest-Paul). Obser
nd). Des déformations persistantes irréductibles des pieds dans les
paralysies
alcooliques. Gauthier (Ernest). Des mouve- ment
gorse (Joseph). BIBLIOGRAPHIE. 251 Diagnostic et traitement de la
paralysie
spinale infantile par l'élec- tricité. -Landis
ploi thérapeutique. Liautaud (Julien). Du délire des actes dans la'
paralysie
générale. Lorrain (Maurice). Contri- bution à l
les femmes enceintes. Meillon (Alired). Contribution à l'étude des
paralysies
du larynx centrale. Métais (Abel). De la recher
tures. Penot (Alexandre). Contribution à l'étude du délire dans la
paralysie
générale. - Perrée (Albert). Elude des rayons de
Contribution Ci l'étude des lésions spinales pos- térieures dans la
paralysie
générale. Rebière-Laborde (Léon). t-ontribtttio
t tombants. Facial supérieur intact. Au membre supérieur gauche, la
paralysie
estcomplète avec début d'une contracture en fle
l'inten- sité qu'ils offrent aujourd'hui. État actuel (19 mars).
Paralysie
faciale droite totale ayant respecté les muscle
lité. Membre supérieur droit. Impotence absolue de lout le membre ;
paralysie
flasque. La température parait plus élevée que
u niveau de l'olécrâne. Membre inférieur droit. -Impotence absolue.
Paralysie
flasque. La température parait plus élevée. ,
que lésion obscure de l'écorce comme origine. F. B. XX. Un cas de
paralysie
d'origine saturnine; par M. Sano. (JOli1 ? de N
-deux ans, qui au septième jour d'une scarlatine, fut atteint d'une
paralysie
progressive des deux membres supérieurs, précéd
mitiale. XXX. Un cas de spasme avec contraction hémiplégique sans
paralysie
; par Gmnaccn Stewart. (British med. Journal, jan-
n par le traitement mixte. (Revisla. med. cir., 5 î3.) XXXV. Sur la
paralysie
diphtéritique ; par Frédéric BATTEURS. (l31lisl
i. L'auteur conclut à la probabilité de lésion domi- nante dans les
paralysies
diphtériques, consistant en une dégénérescence
Corthy. Il n'existe ni épilepsie ni hystérie. P. Keraval. XL. Des
paralysies
faciales récidivantes ; par M. UKRKuRDT. (Nelll
M. UKRKuRDT. (Nelll'olog. Cenlralbl., XVIII, 1899.) 11 s'agit des
paralysies
faciales périphériques survenant à plu- sieurs
correspondantes. Conclusions. - 1° Elles représentent 7 p. 100 des
paralysies
faciales; 2° Les hommes en paraissent plus fréq
e fréquence est entre vingt et cinquante ans. C'est aussi )'àge des
paralysies
faciales périphériques; - 4° Le récidive a lieu s
récidive a lieu soit bientôt (quelques semaines) après la première
paralysie
, soit bien des années après; '.i° Une seconde r
cinq ans, rarement sept ans; - 6° Le côté atteint par la première
paralysie
n'est pas fréquenté par les récidives, mais il n'
ves constituent dans la pluralité des cas des formes plus graves de
paralysie
(électri. quement parlant) due les premières pa
us graves de paralysie (électri. quement parlant) due les premières
paralysies
; 12° Un certain nombre de paralysies faciales r
ent parlant) due les premières paralysies; 12° Un certain nombre de
paralysies
faciales récidivantes (10 p. 100 à peu près) dé
urs occuper le coté atteint à l'origine; 13° Une autre catégorie de
paralysies
faciales récidivantes est formée par celles qui
e un rôle dans l'espèce; - HO Une troisième catégorie est celle des
paralysies
faciales des diabétiques (5 p. 100); - 15° Une qu
iabétiques (5 p. 100); - 15° Une qua- trième est constituée par les
paralysies
faciales des nerveux ou héréditaires prédisposé
ité des cas de ce genre; - 18° L'origine infectieuse ou toxique des
paralysies
faciales périphériques est très admissible mais
est très admissible mais non prouvée; 19° Une première atteinte de
paralysie
faciale confère-t-elle l'im- munité ? La récidi
tisfaisante applicable à la plu- ralité des cas de répétition d'une
paralysie
faciale périphérique chez le même individu. P.
ite. » P. Keraval. 1LIII. Contribution au diagnostic électrique des
paralysies
de l'oculomoteur commun; par J.-K.-A. WEIlTIIEI
Mais on n'a point fait d'essais sur ce sujet chez l'homme, dans les
paralysies
de l'oculomoteur commun. Pansier (Electrothérap
l'évolution cor- respond, dans les divers cas, a l'évolution de la
paralysie
. Dans les cas de moyenne gravité, l'excitabilit
a- teur dans les cas de-moyenne gravité et dans les cas graves de
paralysie
périphérique de l'oculomoteur commun. Dans les ca
la maladie dans son ensemble a une durée de six semaines. Dans les
paralysies
nucléaires et fasciculaires de l'oculomoteur co
cette pré- vision ; en aucun cas de blépharoptose produite par une
paralysie
fasciculaire ou nucléaire, il n'a pu être obten
cas de blépha- roptose congénitale. Aucune réaction, dans un cas de
paralysie
de l'oculomoteur commun récidivante, malgré le
est donc probablement un signe de réaction dégé- nérative dans les
paralysies
de moyenne gravité et dans les para- lysies gra
'excitabilité parait manquer dans la blépharoptose produite par les
paralysies
nucléaires et fasciculaires ainsi que dans les
e par les paralysies nucléaires et fasciculaires ainsi que dans les
paralysies
légères et récidivantes ; - 9° L'impossibilité
, en tout cas, simple quoiqu'il y ait des points de contact avec la
paralysie
infantile cérébrale à forme monoplé- gique, ave
emarquer que son observation ressemble à quelques obser- vations de
paralysie
faciale locale puisque le malade ne pouvait fer
que ne permet pas d'en contester l'existence. 3° Examen d'un cas de
paralysie
générale. Il s'agit d'un homme de quarante-neuf
tion des substances extrac- tives éliminées. R. C. XIV. Un cas de
paralysie
générale des aliénés chez une enfant; par John
onze ans et morte à dix-sept et présentant tousles symptômes de la
paralysie
générale. Syphilis congénitale chez quatre frèr
tirer leur origine de l'infection syphi- litique. Au sujet de la
paralysie
générale, les opinions sont très parta- gées. U
oupe d'aliénistes estime que la syphilis peut donner naissance à la
paralysie
générale ; un second groupe refuse à la syphili
cond groupe refuse à la syphilis la possibilité d'être une cause de
paralysie
générale, admettant seulement une coïncidence e
lis ne donne pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 329 naissance à une
paralysie
générale vraie mais à une forme men- tale qui l
server non seule- ment la pseudo-paralysie générale, mais encore la
paralysie
géné- rale vraie. Etroitement unie à l'histoire
la paralysie géné- rale vraie. Etroitement unie à l'histoire de la
paralysie
générale est celle du Labes. Sur 100 ataxique
roubles physiques du côté delà démarche et de la parole et même des
paralysies
fugaces. Ces malades auraient pu être facilemen
parole avec l'hésitation si caractéris- tique qu'on observe dans la
paralysie
générale. Ces cinq aliénées présentaient toutef
caractère du délire mul- tiple, non motivé et contradictoire de la
paralysie
générale. Enfin, l'examen psychologique des lés
tache aucune impor- tance à l'atrophie du cerveau comme signe de la
paralysie
générale. At. Christian se montre surpris d'ent
'éclosion d'affections nerveuses ou mentales variées. , Un cas de
paralysie
générale avec hallucination. M. Truelle donne l
e avec hallucination. M. Truelle donne lecture d'une observation de
paralysie
géné- rale accompagnée d'hallucinations de l'ou
e un peu triste, qui présenta progressivement tous les signes de la
paralysie
générale, en même temps que se montraient des h
délictueux. Discutant ensuite la genèse des hallucinations dans la
paralysie
générale, M. Truelle adopte la théorie de M. Ma
n de cette loi générale formulée par M. Magnan qui veut que dans la
paralysie
générale la vigueur du délire soit conditionnée
parole et la mimique, et ne répond aucunement aux questions. Pas de
paralysies
, légère rigi- dité dans les muscles des jambes
térieure dans l'écorce cérébrale. D1 PRLOBHAJh'1\bhY. - Deux cas de
paralysies
bizarres : . P... présente deux malades (mère e
pects on constata chez le fils la voix nasonée, des vertiges et une
paralysie
de tous les quatre membres. Actuellement le mal
e para- lysé. La prédominance des douleurs et l'unilatéralité de.la
paralysie
du péronier font admettre qu'il s'agit dans ce
paraplégie motrice. Amélioration consécutive avec persistance de la
paralysie
des nerfs péroniers (musculo-cutanés), ndtammeu
malade quitte l'hôpital au bout de deux mois après l'accident avec
paralysie
bilatérale des nerfs péroniers. Diagnostic : Hé
bservation tV. Homme âgé de dix-huit ans fait un faux pas et tombe.
Paralysie
croissante des deux jambes; plus tard amélio- r
des deux jambes; plus tard amélio- ration progressive. Il reste une
paralysie
complète du nerf mus- culo-cutané du côté droit
le domaine du plexus sacral, notamment des muscles fessiers et une
paralysie
complète des deux nerfs musculo-cutanés. Au bou
ype nettement péronier, plus balancement dans le bassin et lordose (
paralysie
des fessiers). Abaissement de l'excitabilité élec
décembre 1896, en pleine santé apparente, par une faiblesse et une
paralysie
brusque des deux bras. Il n'y eut ni ver- tige,
ni ver- tige, ni faiblesse des jambes. A l'examen, on constate une
paralysie
complète des extenseurs de l'avant-bras des deu
II. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. portion directe avec le degré de la
paralysie
des muscles correspon- dants. Hypoesthésie légè
gauche. Les organes internes sont intacts. L'apparition brusque des
paralysies
, la bilatéralité et le carac- tère segmentaire
sur 40 de démence précoce (IÜaepelin), dans les 28 cas examinés de
paralysie
générale, dans 8 cas d'im- bécillité congénital
avec excitation et délire de possession. L... fait remarquer que la
paralysie
générale chez les hystériques porte un cachet s
au commencement du deuxième mois apparaissent des parésies et des
paralysies
, principalement dans les extrémités postérieures,
avant terme, caractérisée par l'état spas- modique plus que par la
paralysie
, ne se compliquant ni de phé- nomènes convulsif
début des diplégies cérébrales proprement dites. La spasticité, la
paralysie
, les troubles intellectuels, les mouvements bib
mpue de formes symptomatiques, depuis la simple rigidité jusqu'à la
paralysie
avec idiotie totale. Il n'est pas possible d'isol
'autre part prédis- posés aux affections du système cérébro-spinal (
paralysie
infantile, affections convulsives), et à toutes
PAUL COURMONT et BONNE (de Layon). ? . ? Bien que l'histoire des
paralysies
ascendantes aigtil5-se, fasse plus complète de
e la polynévrite motrice comme cause plus ou moins exclusive de ces
paralysies
. Il ést aussi un certain nombre de points sur l
ont totalement paralysés, les membres supérieurs également; cette
paralysie
est flasque, sans contracture. Les muscles du tro
la pupille gauche est plus dilatée. Il est difficile, à cause de la
paralysie
de juger de l'état de la sensibilité cutanée qu
Le 8 avril, l'état est considérablement aggravé. Persistance de la
paralysie
flasque généralisée. L'aphonie est complète ; la
fait est également consigné dans presque toutes les observations de
paralysie
asceiipante où le bulbe a été examiné. On ne sa
e nôtre pour prouver une fois de plus la nature infectieuse de la
paralysie
ascendante, mais de leur groupement nous tente-
patholo- gique n'expliquent pas, c'est la marche régulière de ces
paralysies
, marche progressive de bas en haut, atteignant
as exclusivement les cornes anté- rieures, et l'on sait que dans la
paralysie
infantile, affection où celte pathogénie vascul
Chantemesse et Ramond. Soc. de Biol., 23 juillet 1898. Épidémie de
paralysie
ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE
ut récemment, Schultze' 1 par une ponction lombaire, dans un cas de
paralysie
infantile, trouva du pneumocoque dans le liquid
remier cas une poliomyélite anté- rieure plus ou moins généralisée (
paralysie
infantile... etc..) et, dans le second, une par
généralisée (paralysie infantile... etc..) et, dans le second, une
paralysie
ascendante. Une telle hypo- thèse ne peut sans
. Une telle hypo- thèse ne peut sans doute s'appliquer qu'au cas de
paralysie
ascendante par myélite. Mais si l'on considère
de celui de Weichselbaum) est un de ceux que l'on incrimine dans la
paralysie
infantile (Schultze) ou dans^la méningite céréb
entral ou périphérique dans les maladies donnant lieu au syndrome «
paralysie
ascendante » ou maladie de Landry. Ce dernier a
ogique ont permis de décrire sous le nom de maladie de Landry ou de
paralysie
ascendante tous les cas où se réalisait l'ensem
ne de ses cliniques', l'examen du système nerveux dans les cas de
paralysies
ascendantes a fourni les résultats suivants. ·1
et du bulbe en particulier, peut donner naissance au tableau d'une
paralysie
ascendante typique ». J, Ross et S. Bury ont dé
endu encore plus formellement l'identité de la polynévrite et de la
paralysie
ascendante aiguë. Tout récemment encore, Krewer
La polynévrite chro- nique serait une condition sina qua non de la
paralysie
de Landry ! D'autres auteurs se sont au contr
ie médullaire. Pour Senator notamment on ne doit donner le nom de
paralysie
de Landry qu'aux cas de paralysie extensive exclu
mment on ne doit donner le nom de paralysie de Landry qu'aux cas de
paralysie
extensive exclu- sivement motrice sans troubles
tuelle, la pathogénie exclusivement névritique pour tous les cas de
paralysie
ascendante ne peut plus être légitimement soute
Les quatre faits qu'il apporte peuvent uniquement démontrer que la
paralysie
ascendante d'origine médullaire peut se greffer
l'opinion de Sénator et regarder comme un entité morbide les cas de
paralysie
ascendante aiguë avec symptômes purement moteur
eurs et lésion exclusivement médullaire et lui réserver le nom de
paralysie
de Landry ? Laissant de côté les cas complexes
e viennent compliquer le tableau, faut-il distinguer deux formes de
paralysie
ascen- dante, l'une névritique, l'autre médulla
dans sa thèse a tenté une catégorisation de ces typcs ' Bodin. Les
paralysies
ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE
sont dans la réalité des choses, ces lignes de démarcation entre la
paralysie
ascendante aiguë, la poliomyélite antérieure ai
d'un syndrome qui reflète plus ou moins fidèlement les traits de la
paralysie
de Landry, il est souvent impossible de décider
attacher le nom de maladie de Landry à la forme médullaire pure de
paralysie
ascendante aurait le grand inconvénient à l'heu
S PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 373 Conclusions. - 1° Il est des cas de
paralysie
ascendante à forme motrice pure, dus à des lési
fection du liquide céphalo-rachidien constatée dans certains cas de
paralysie
ascendante semble pouvoir expli- quer, mieux qu
t d'autre part sur l'identité des microbes causant ordinairement la
paralysie
ascendante, la méningite cérébro- spinale et pa
n ait obtenu de bons effets. L'auteur insiste sur l'épilepsie et la
paralysie
générale. Il est à remarquer, pour l'épilepsie,
e l'indique le tableau des Il cas cités dans le travail. Quant à la
paralysie
générale, il n'existe pas de meilleur témoignag
médicale, et d'en augmenter l'impôt. - P. KERAVAL. XXV. Tabes et
paralysie
générale dans leurs rapports avec la syphilis;
rtout du nerf optique, le tabes 422 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. et la
paralysie
générale. Strumpell désigne le tabes et la paraly
EUTIQUE. et la paralysie générale. Strumpell désigne le tabes et la
paralysie
générale sous le nom d'affections, para, méta o
- noménales sont aux maladies infectieuses aiguës, exemples : les
paralysies
et ataxies post-diphtéritiques qui succèdent aux
s'expliquer cette marche progressive quand on range le tabes et la
paralysie
générale sur le même rang que les manifestations
tre ces lésions scléreuses d'origine syphilitique du tabes et de la
paralysie
générale, on doit au mercure associer le protar
veloppement de la diplé- gie, ni à la suite de la disparition de la
paralysie
faciale, on ne constata de lésions d'autres ner
comprendre la raison pour laquelle les inoculations entraînent des
paralysies
puisque le malade fut inoculé en même temps que
urs après chez le second malade. Dans les deux cas, en revanche, la
paralysie
fut légère et le processus polynévritique, qui
n excès de liquide cérébro-spinal. Après la ponction, au lieu d'une
paralysie
complète, il n'y a plus qu'une ataxie modérée e
i les épisodes aigus qui surviennent au cours des états chroniques (
paralysie
géné- rale, démences, délires systématisés, ètc
itique, estatleintde tabes en '1893, puis présente des symptômes de
paralysie
générale en 1807. Sous l'influence d'excès alco
de et de violentes impulsions. Cette complica- tion délirante de la
paralysie
générale semble«due à l'héré- dité du malade do
nie de ses hallucinations psycho-motrices, ' .Magnan et Séiieux. La
paralysie
générale. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES. 471
ecin du service des aliénés de- la maison cen- trale de Gaillon : «
Paralysie
générale progressive, embarras de la parole. id
er et voici le résultat de notre examen confirmant le diagnostic de
paralysie
générale : Affaiblissement intellectuel avec pe
diagnostic, c'est qu'à côté des pai alysies névritiques, à côté des
paralysies
hémiplégiques d'origine centrale, on peut encor
le diagnostic entre la névrite périphérique d'origine toxique et la
paralysie
hystérique reste hésitant, l'examen électrique
lus diverses, lésions méningo-encéphaliques (tumeurs, hémorrhagies,
paralysie
générale, méningites aiguës), grandes infection
IV. Les plis cutanés formés par les adducteurs de la cuisse dans la
paralysie
infantile, par J.-K.-A. WEl\TI ! 1M Salomonson. (
us tard aux adducteurs un point d'application moins favorable. La
paralysie
infantile spinale, ou cérébrale, en portant attei
modifie la forme et la situation du pli cutané des adducteurs. Leur
paralysie
, dans la poliomyélite, se traduit par un pli cu
il y a une différence de hauteur de un à trois centimètres. Dans la
paralysie
d'origine cérébrale, il s'abaisse de cinq à dix
s, 1893, p. 2, 23, 39, 100, 109, fil). P. 11CR : 1V1L. LVI. De la
paralysie
phosphorée; par S.-E. HExscuEa. (Neurolog. Cet'
ambes, au lit, conser- vaient leur mobilité. Puis est apparue de la
paralysie
des doigts. Le patient ne put se lever que neuf
par l'attaque d'é- pilepsie, a lieu, dans la majorité des cas, une
paralysie
plus ou moins longue (faible) des intestins et
ar para- lysie des adducteurs des cordes vocales. P. Keraval. LX.
Paralysie
radiale consécutive à des attaques d'épilepsie ;
dlku. (Neu2'°loy. Centralbl., XVII., 189S.) Chez deux épileptiques,
paralysies
post-paroxystiques, paraly- sies totales du rad
s du radial droit d'origine périphérique. On pouvait pen- ser à une
paralysie
traumatique pendant un accès ou par com- pressi
ou par com- pression pendant le sommeil. Mais Gowers a signalé les
paralysies
par contraction vive du triceps, pendant une ex
tre le muscle et l'os et à contusionner le nerf. Pourquoi donc la
paralysie
du radial est-elle néanmoins rare à la suite de
. (Neurol. Ccnll'albl., XVII, 1898.) La soudaine apparition d'une
paralysie
flasque de la jambe droite, succédant à des dou
PATHOLOGIE NERVEUSE. 491 farado-cutanée et farado-musculaire, à la
paralysie
; pas de con- traction sous l'action du courant,
courant, pas de douleurs non plus aux forts courants faradiques. La
paralysie
comprend les muscles in- nervés par les plexus
1 y a donc eu une cécité verbale (aphasie sensorielle) simple, sans
paralysie
, malgré l'extrême étendue du traumatisme. Les s
leptoïde. Le diagnostic hésite entre une épilepsie traumatique, une
paralysie
ou une pseudo- paralysie générale alcoolique, e
ite entre une épilepsie traumatique, une paralysie ou une pseudo-
paralysie
générale alcoolique, et une tumeur cérébrale. L'a
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXVIII. Contribution à la pathologie des
paralysies
du médian par M. Bernhardt. (Neurolog. Ces<)
ues à la suite de fièvre typhoïde. P. KERA VAL. LXX. Observation de
paralysie
traumatique du plexus brachial (paralysie combi
AL. LXX. Observation de paralysie traumatique du plexus brachial (
paralysie
combinée du bras et de l'épaule de lE/'b); par Cu
de lE/'b); par Cuir. RASCII. (Neccrolog. Centralbl., XVII, 1898.)
Paralysie
soudaine du bras gauche par extension brusque en
vailler lui a manqué (confirmé par son médecin); il n'y a pas eu de
paralysie
flasque du tout. Il n'y a pas eu non plus disto
du tout. Il n'y a pas eu non plus distorsion des traits du visage,
paralysie
faciale, paralysie du voile du palais, paralysi
pas eu non plus distorsion des traits du visage, paralysie faciale,
paralysie
du voile du palais, paralysie de la langue. Il
traits du visage, paralysie faciale, paralysie du voile du palais,
paralysie
de la langue. Il n'existe pas de contrac- tures
anche, les spasmes musculaires légers ne sont pas habituels dans la
paralysie
par apoplexie ; ce sont ces spasmes qui entrave
ou; par A. 1101-F- MANN. (Neuroloy. Centl'albl., XVIII, 1899.) I.
Paralysie
périphérique de l'hypoglosse. Figure. On cons-
. Paralysie périphérique de l'hypoglosse. Figure. On cons- tate une
paralysie
atrophique isolée de la moitié gauche de la lan
, parce que la malade (âgée de dix-sept ans) ne s'est aperçue de la
paralysie
qu'alors que déjà l'atrophie de la langue était
escence sans aucune tendance à la guérison au bout de douze mois de
paralysie
; -l'absence de contracture de la moitié paralys
i se forme l'incur- vation du raphé du côté sain contracté. » II.
Paralysie
isolée du nerf axillaire. Figure. Etiologie par-
sort derrière le cou près de la colonne vertébrale. Use produit une
paralysie
isolée de la partie motrice de l'axillaire limi
faisant décrire un angle de 45°. Or il est classique, que, dans la
paralysie
du deltoïde le bras ne peut être éloigné du cor
finalement, du côté gauche, si bien qu'en trois ou quatre jours la
paralysie
est généralisée. Quatre jours plus tard, vomiss
e la tête, du facial, de la langue, de la parole, de la déglutition
paralysie
flasque des deux jambes faiblesse des réflexes
réflexes patellaires d'ailleurs égaux absence de réflexes cutanés
paralysie
du bras droit et du bras gauche (celui-ci est moi
la rate et des viscères. Le 2 juin, la tête penche un peu à droite;
paralysie
flasque des deux bras ; pas de réflexes patella
la maladie.^ Atteinte ultérieure des deux oculomoteurs communs ;
paralysie
complète des muscles extrinsèques et intrinsèques
trinsèques des yeux. Aucun autre sens n'est atteint. Il n'existe ni
paralysie
ni convulsions localisées. Le néoplasme occupe
du liquide cérébro-spinal (Bath, Heusser, Hippel). Les variétés de
paralysies
des muscles des yeux tiennent aux al- lures var
et mélancolique) et les épisodes aigus des affections chroniques (
paralysie
générale, lésions cérébrales en foyers, délires s
embre. Présidence de M. JOFFROY. MM. DEJEUNE et l3cnNnEm. Un cas de
paralysie
radiale par com- pression, avec autopsie. La ma
radiale par com- pression, avec autopsie. La malade présentait une
paralysie
radiale, qui, par sa physionomie clinique et su
derne reste incapable de nous renseigner sur la lésion qui, dans la
paralysie
radiale par compression, empêche l'excitation é
primés. Il rappelle qu'il n'a jamais pu créer expérimentalement une
paralysie
par compression, du type qu'on observe chez l'h
rtout alcoolique ; infections variées). La SOCIÉTÉS SAVANTES. 513
paralysie
radiale par compression se déclare seulement chez
r une tare antérieure. M. B,BiNsKi a pu faire expérimentalement une
paralysie
qui, par certains caractères, ressemblait à la
lement une paralysie qui, par certains caractères, ressemblait à la
paralysie
radiale de l'homme, mais les phénomènes étaient
bulbo-protubérantielle, avec hémiplégie alterne sensitivo- motrice,
paralysie
périphérique du nerf facial et kératite neuro-
sens -, étudié chez les mêmes malades aux trois pé- riodes de la
paralysie
générale, par ! \1arandoll de Montyel, 142. A
Aménorrhée. Sur l' - nerveuse, par Conlon,jou, ? 85. Anasthésies.
paralysies
et alllyotro- pilles en tranches, par Crocq,
reuse, par Brissaud, 157. Compression. Des différentes formes de
paralysie
due à la - de la moelle épinière. Leur physiolo
hes, 425. Contraction de l'es. tomac dans l' -, par Ossipow, 488.
Paralysie
radiale consécutive il des attaques cI ? par Ad
Orteils. Du phénomène des - dans l'épilepsie, par Babinski, 156.
Paralysie
. Sur les altérations du système nerveux central
, 502. radiale par compressions, par 11lJenue et Bernhetm. 512.
Paralysie
nu'n.mr. Hémiplégie gau- che et - sensibilité,
che et - sensibilité, par Ballet. 159. TABLE DES MATIÈRES. S37
Paralysie
faciale. Sur le phéno- mène de Bell dans la - p
et Frenkel, 56. Des - récnlmantes, pal' Be ! nl>al'dt, 3La.
Paralysie
générale chez une imbé- cile, par Cullerre, 141
aire chez lesdiabétillues, pal Maréchal, 48. Saturnine. Un cas de
paralysie
d'origine -, par Sano, 307. SCI,Tliil i. Trai
ptitiset , par Touche, 52. Contribution au traitement du et de la
paralysie
générale par Ailler, 230. Le labjlll1thique,
irée par la méthode de coloration de Nissl, par Schafler, 403. et
paralysie
générale dans leurs rapports avec la syphilis
uns, 493. Tampanite gastrique, par W vald, 510. Typhoïde. Des
paralysies
g-éném11- sées dans la fièvre , par Etienne,
e à l'aide de l'écriture, mais hien qu'il n'y ait aucune paresse ou
paralysie
des doigts en ce moment, il ne trace que des ca
e sorte : maladie proto-palhiqiie. Cela parait être le cas, dans la
paralysie
générale avec attaques dites congestives. Les
bien se présenter à nous de nouveau, dans la le- çon prochaine. '
PARALYSIE
BILATÉRALE DU DELTOIDE PAR ÉLONGATION DES DEUX
table « cas d'étude M. Il s'agit, pour vous le dire de suite, d'une
paralysie
deltoïdienne, survenue dans des conditions fort
ite d'attirer l'attention à beaucoup de titres. Tout d'abord, celle
paralysie
deltoïdienne est double, symétrique et rigoureu
eloppements qu'elle exige, c'est-à- dire pour commencer l'étude des
paralysies
motrices, considérées au dou- ble point de vue
discuter les trois points suivants : ce malade est-il atteint d'une
paralysie
isolée du muscle deltoïde, ou bien la paralysie s
st-il atteint d'une paralysie isolée du muscle deltoïde, ou bien la
paralysie
s'étend- elle à des muscles qui, comme le grand
moelle, le nerf ou le muscle ? Quel est enfin le mécanisme de cette
paralysie
? 14 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
es secousses ii"ril- la ires qui persistèrent quelques heures et la
paralysie
s'était établie dans ce même côté. Seules, les
ce, M. Souques, mon' chef de clinique, a constaté l'existence d'une
paralysie
deltoïdienne double PARALYSIE BILATÉRALE DU DEL
linique, a constaté l'existence d'une paralysie deltoïdienne double
PARALYSIE
BILATÉRALE DU DELTOIDE 15 qui subsiste encore a
re aujourd'hui, comme je vous le montrerai dans un ins- tant. Cette
paralysie
bilatérale était, et est encore, plus accusée à d
retirer. Nous nous trouvions donc bien en présence des signes d'une
paralysie
dettoïdienne. Vous savez tous, je suppose,. que
e puis m'exprimer ainsi. Il s'agit, ;i n'en pas douter, d'un cas de
paralysie
deltoïdienne bilatérale. Mais y a-t-il exclusiv
s de paralysie deltoïdienne bilatérale. Mais y a-t-il exclusivement
paralysie
des muscles deltoïdes ? En d'autres termes, la
lusivement paralysie des muscles deltoïdes ? En d'autres termes, la
paralysie
ne s'étend-elle pas soit au grand dentelé, soit a
est, dans une certaine mesure, synergique de celle du deltoïde ?
PARALYSIE
BILATÉRALE DU DELTOIDE 17 Si je pose cette ques
nts. Duchenne de Boulogne (1) a fait remarquer que l'atrophie ou la
paralysie
du grand dentelé n'occasionne aucune difformité
al s'écarte de la paroi thoracique. Ce mouvement fera défaut, si la
paralysie
du grand dentelé s'associe à la paralysie du de
vement fera défaut, si la paralysie du grand dentelé s'associe à la
paralysie
du deltoïde. D'autre part, Duchenne avait égale
a montré une contractilité intacte. - Quant à l'association de la
paralysie
du sous-épineux à celle du deltoïde, elle se tr
e celle-ci trace de nouveaux caractères. Je pourrais ajouter que la
paralysie
du sous-épineux apporte encore une gêne semblab
ortir par contraste l'existence, dans le cas qui nous occupe, d'une
paralysie
isolée des deux muscles deltoïdes. L'étiologie, d
si. . .. * Les circonstances dans lesquelles est survenue cette
paralysie
bilatérale (1) Duchenne. De l'électrisation loc
irer notre attention, devaient naturellement nous faire songera une
paralysie
par compression el distension du nerf circonfle
prise et gardée par notre malade, durant la nuit qui a précédé sa
paralysie
, le nerf circonflexe se trouve soumis à une tensi
ble en vérité, notre malade s'est réveillé, le 14 octobre, avec une
paralysie
bideltoïdienne, après avoir dormi toute la nuit d
s et tronc d'un cadavre) disséquée M. A. Julien. 1 Fig. 1 et 2.
PARALYSIE
BILATÉRALE DU DELTOIDE 19 cas de ces paralysies
. 1 Fig. 1 et 2. PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 19 cas de ces
paralysies
radiales, dites a frigorie, qui surviennent penda
leur qui en résulte, se prolonge assez' longtemps pour produire une
paralysie
plus ou moins durable du nerf radial. Comme dan
durable du nerf radial. Comme dans un certain nombre de cas, celle
paralysie
a été obser- vée chez des gens qui avaient dorm
striction. Mon collègue et ami Debove (1) a montré récemment que la
paralysie
radiale se produisait par- fois à la suite de c
e croire que c'est par un mécanisme analogue qu'a dû se produire la
paralysie
des deltoïdes chez notre malade. ' Je suis sû
lade. ' Je suis sûr qu'en m'entendant discuter l'étiologie de cette
paralysie
bi- de) toïdienne, vous vous demandez comment i
derrière la tète, ne se paralysent pas leurs muscles deltoïdes. La
paralysie
deltoïdienne, surve- nant dans ces conditions,
utres cadavres, examinés par la (I) DI : BON LI 1,"I' lllIUIlL. Des
paralysies
par élongation des nerfs. Médecine moderne. 1802,
quoi l'altitude en question a-t-elle provoqué chez noire malade une
paralysie
deltoïdienne ? Pourquoi nom- bre de personnes,
sonnes, s'endormant dans la même position, se réveillent-elles sans
paralysie
? Parce que, chez le premier, le nerf circonflexe
ière et que je tenais à souligner expressément. Du moment que cette
paralysie
bilatérale a été la conséquence d'un véritable
en recon- naître la nature. Il s'agit ici, à n'en pas douter, d'une
paralysie
neuroti- que, c'est-à-dire, consécutive à des a
se trouve, d'ailleurs, corroboré par les données de la clinique. La
paralysie
motrice, chez notre malade, s'accompagne d'hypoes
ffirait, à la ri- gueur, pour affirmer que nous avons affaire à une
paralysie
par lésion d'un nerf mixte. En outre, l'examen
cornes antérieures de la moelle. Par consé- quent la cause de cette
paralysie
deltoïdienne ne peut siéger que dans les' centr
dans certaines attitudes ou pendant la distension des organes ».
PARALYSIE
BILATÉRALE DU DELTOIDE 21 Or, la première hypot
nes antérieures, doit être rejetée dans le cas actuel. En effet, la
paralysie
n'a été ici ni de- vancée ni accompagnée par l'
re, qui pourrait peut-être se présenter à votre esprit, celle d'une
paralysie
hystéro-traumatique. Mais d'abord la constatation
omme Il priori, nous arrivons à cette conclusion qu'il s'agit d'une
paralysie
d'origine neuroti jne, consécutive à / une cont
semble inutile de revenir sur la symptomatologie très simple de la
paralysie
du deltoïde l'histoire de notre malade vous a suf
ons générales d'or- dre étiologique. Les causes habituelles de la
paralysie
unilatérale du deltoïde peuvent se résumer en t
arthrite de l'arti- . culation scapulo-humérale, traumatismes. Les
paralysies
traumatiques du deltoïde sonl, de beaucoup, les
HIE DE LA SALPÈTRIÈRE - ne connais pour mon compte aucun exemple de
paralysie
bilatérale du deltoïde, survenue dans les mêmes
mes conditions (1). Je serai bref, Messieurs sur le pronostic de la
paralysie
deltoïdienne. Il dépend, d'une manière générale
en jeu. Chez notre malade, ce pronostic est des plus favorables. La
paralysie
est déjà en voie de résolution ; l'atrophie muscu
antes et d'enseignements féconds. (1) Il existe quelques faits de
paralysie
traumatique bilatérale dans le domaine du plexu
isches Cenlmlblat 1892), peut servir de type. Il s'agit d'un cas de
paralysie
bilatérale du type Duchenne Erb, chez une femme
maladies cutanées et syphilitiques, hôpital Saint-Louis, pour une «
paralysie
» des membres inférieurs. La mère bien portante
un mot laissait peu à désirer, les 4 membres semblaient frappés de
paralysie
, au moins les membres inférieurs. De même, l'en
s- tate de la trépidation spinale, surtout marquée à gauche. Pas de
paralysie
du sphincter vésical ou anal ; l'enfant « a été
-syphili- tique de l'affection est également manifeste. \ DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOF
IQUE DES MALADIES MENTALES. L'étude des relations du tabes et de la
paralysie
générale, quoique rajeunie dans ces derniers te
myélite chronique précèdent l'apparition du tableau clinique de la
paralysie
générale. « Il existe certainement, dit-il, des c
et neurologistes, à Cleruiont- Ferrand, 1894. (2) Calmeil, De la
paralysie
considérée chez les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 :
lysie considérée chez les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 : jO. ' DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 31 C'est vers la mêm
s : cet auteur décrit en effet diverses lésions médullaires dans la
paralysie
géné- rale, entre autres la dégénération grise
à une maladie spinale indépendante, mais à une lésion propre de la
paralysie
générale, laquelle peut débuter par la moelle ou'
atomie. patho- logique, que les rapports de cette affection avec la
paralysie
générale pu- rent être envisagés nettement. E
arger montra que les symptômes de la maladie de Du- chenne et de la
paralysie
générale pouvaient s'associer. Puis Westphal, d
question un nouveau pas. M. Raymond a développé ce thème, que « la
paralysie
générale et le tabes dorsalis sont deux maladie
ranger parmi les défenseurs de l'opinion qui fait du tabes et de la
paralysie
générale « une seule et môme maladie », opinion d
t M. Ballet et moi, nous avons soutenu au contraire que si tabes et
paralysie
générale pouvaient parfois, quoique rarement, exi
e-ci fait assez fréquemment défaut soit dans le tabes, soit dans la
paralysie
32 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE gé
de 3 0/0), conclut aussi à la dualité nosologique du tabès et de la
paralysie
générale. Au congrès de Blois, M. Pierret envis
ale. Au congrès de Blois, M. Pierret envisage le tabes associé a la
paralysie
générale comme une affection systématique intér
donnant lieu au tableau clinique de la démence paralytique pure ou
paralysie
générale sans délire. M. Fournier, invoquant le
s qui figurent à la fois dans le tableau clinique du tabes et de la
paralysie
gé- nérale, invoquant aussi les faits cliniques
lysie gé- nérale, invoquant aussi les faits cliniques dans lesquels
paralysie
géné- rale et tabes s'associent chez le même su
eux organes, de manière à consti- tuer ainsi soit le tabes, soit la
paralysie
générale, soit le « tabes cérébro- spinal ». Da
i alors comme un exemple incontestable d'association de tabes et de
paralysie
générale. Le malade meurt les circonstances me
émontre qu'il s'agit, non d'une association de tabes dorsalis et de
paralysie
générale, mais simple- ment d'une paralysie gén
de tabes dorsalis et de paralysie générale, mais simple- ment d'une
paralysie
générale ayant débuté par la moelle avec prédomi-
'occasion d'aborder ce sujet dans les leçons que j'ai faites sur la
paralysie
générale et j'ai pu citer plu- sieurs faits cli
niques considérés jusqu'alors comme des associations de tabes et de
paralysie
générale se rapportent à l'une des DE LA PARALY
s de tabes et de paralysie générale se rapportent à l'une des DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33 formes spinales
E LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33 formes spinales de la
paralysie
générale. En particulier dans cette leçon j'ai
les conclusions que j'avais cru pouvoir adopter. ' Observation. -
PARALYSIE
générale A début spinal , SIMULANT LE TABES. -
ité pupillaire qui ne laissaient pas de doute sur l'existence d'une
paralysie
générale. A plusieurs reprises il s'était produit
transitoire d'une durée de 5 il 10 minutes pendant lesquelles DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 35 l'impossibilité d
médian et le septum intermédiaire sont épaissis et fibreux. . DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 37 Le faisceau pyram
l IV. L Battaille C' Editeurs, a Paris IMP MONROCO a iarm s DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postér
tellec- tuel. Puis quelques années après le début, les signes de la
paralysie
géné- rale s'établissent en même temps que ceux
e d'ailleurs- quelques autres faits analogues : ils montrent que la
paralysie
générale peut débuter par des symptômes spi- na
aladie pour faire place aux symptômes encéphaliques habituels de la
paralysie
générale, enfin que la lésion spinale en pareil
confondue. Je n'entends pas dire pour cela que le tabes vrai et la
paralysie
géné- rale ne puissent s'associer comme le l'on
il l'a- venir de ne pas interpréter de cette manière, les cas où la
paralysie
géné- rate débutant par des manifestations spin
at. für Prakt. Derm. Ilamburg, Band XIX, 1891. , UN CAS DE , ,.
PARALYSIE
BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 1 1 PAR ÉLONGAT
sseur Raymond a récemment présenté à son cours un malade atteint de
paralysie
bideltoïdienne isolée, survenue dans des conditio
rois heures après, les secousses fibrillaires s'y sont montrées et la
paralysie
du bras s'est établie. Ces secousses musculaire
Nouv. ICONOGR. DU LA SALPnui..RE T. VIII PL. 1111 & IX. DOUBLE
PARALYSIE
DU DELTOIDE (Attitude du malade dans l'extensio
(Attitude du malade dans l'extension maximum des bras). UN CAS DE
PARALYSIE
BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 55 schéma annexé
de. Notre maître, M. Raymond, a fait res- sortir l'intérêt de cette
paralysie
bideltoïdienne, en insistant sur sa bilaté- ral
bot paralytique, un pied dont l'attitude vicieuse est le fait d'une
paralysie
des ex- tenseurs du pied. Quant au reste,, le
se lever, elle s'aperçut que sa jambe gauche était paralysée. Cette
paralysie
était flasque; elle s'accompa- gna presque dès
ement en mé- decine dans le service de M. le Dr B,,ti-tli', pour la
paralysie
de la jambe gauche. , t 1 Voici, en quelques
seudo-né- vralgies simulant une sciatique d'abord unilatérale, avec
paralysie
motrice partielle et incomplète ; la gibbosité,
it peu à peu, mais non sans conserver de -traces de son atteinte de
paralysie
. Actuellement, il est impotent delà jambe gauch
avons affaire à une affection qui emprunte des traits en partie aux
paralysies
périphériques, en partie aux paralysies centrales
te des traits en partie aux paralysies périphériques, en partie aux
paralysies
centrales. Pour qu'il en soit ainsi, il faut qu
de la miction et de la défécation, en rapport, à la fois, avec une
paralysie
des sphincters et avec une anesthésie de la vessi
LA SALPÊTRIÈRE B. TROUBLES DE la motilité. Ils se réduisent à une
paralysie
plus ou moins complète, souvent tran- sitoire,
s qui ont pour siège la vessie et le rectum. Presque toujours, la
paralysie
est limitée aux muscles fessiers et à ceux de l
rvés par le crural restent indemnes. Donc, dans les cas types, la
paralysie
motrice est incomplète aux mem- bres inférieurs
jamais. Voici leurs caractères : Par suite de l'anesthésie et de la
paralysie
motrice de la vessie, les ma- lades présentent
uniques musculaires de leur vessie étant paralysées. Et comme cette
paralysie
atteint, dans une certaine mesure, le sphincter
qui s'est dissipée au bout de quelque temps, pour faire place à une
paralysie
de la vessie et du rectum. L'autopsie a révélé
A la suite d'une chute sur la région du sa- crum s'est montrée une
paralysie
motrice des jambes, avec de l'engour- dissement
es jambes, avec de l'engour- dissement, de la rétention d'urine. La
paralysie
motrice et l'engourdisse- ment se sont dissipés
des troubles de la miction et de la défécation, en rapport avec une
paralysie
sensitive et motrice de la vessie et du rectum.
e cheval, ne subissent que rarement une aggravation progressive. La
paralysie
motrice aussi bien que l'anesthésie peuvent per
ts : atténuation des douleurs ; diminution de l'anesthésie et de la
paralysie
motrice aux membres inférieurs. Contre la paral
ésie et de la paralysie motrice aux membres inférieurs. Contre la
paralysie
de la vessie et du gros intestin, vous pourrez re
rai d'abord deux catégories de cas, suivant que des phéno- mènes de
paralysie
sensitivo-motrice, siégeant aux membres inférieur
ns la pra- tique. Vous êtes en présence d'un malade affecté d'une
paralysie
sensitivo-mo- trice aux membres inférieurs, par
affecté d'une paralysie sensitivo-mo- trice aux membres inférieurs,
paralysie
à disposition approximativement symétrique. En
nterprétation très facile, est celle où, aux membres inférieurs, la
paralysie
sensitivo-motrice est complète : l'anesthésie o
xus lombaire et sacré. , b) Une seconde éventualité est celle où la
paralysie
sensitivo-motrice est incomplète aux membres in
té des pieds sauf à une bande située le long du bord interne). La
paralysie
motrice respecte les muscles de la région antérie
ne para- lysie du rectum et de la vessie, s'associent également une
paralysie
sens- tivo-motrice incomplète des membres infér
ce qui avait lieu dans les cas des deux précédentes catégories, la
paralysie
n'intéresse qu'une partie des territoires inner
x du tri plexus sacré. Ainsi dans une observation d'Eulenburg, la
paralysie
, tant sensitive que motrice, intéressait le dom
ient été occasionnés par la luxation de la 5e vertèbre lombaire, la
paralysie
sensitivo-motrice, aux membres inférieurs, étai
ce même plexus. D'où cette conclusion : Que la distribution de la
paralysie
, telle qu'elle était réalisée chez le malade d'
miction et de la défécation, en rapport avec une anesthésie et une
paralysie
de la vessie et du rectum, et associée à une zone
(fracture de la première vertèbre lombaire), et se réduisaient à la
paralysie
de la vessie et du rectum, il l'impuissance gén
manifestations sui- vantes : a) Des symptômes en rapport avec une
paralysie
de la vessie seulement t ou de la vessie et du
nesthésie de la zone génito-périnéo-ano-fessi8re, et, en outre, une
paralysie
sensitivo-motrice de la région cutanée et des m
mes symptômes, avec cette différence qu'aux membres infé- rieurs la
paralysie
sensitivo-motrice est limitée aux domaines innerv
res infé- SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 103 rieurs, la
paralysie
sensitivo-motrice s'étend à tout le domaine inner
sitivo-motrice s'étend à tout le domaine innervé par le sciatique :
paralysie
des muscles de la région postérieure de la cuis
l et obturateur) du plexus lombaire (Affection ayant occasionné une
paralysie
complète des racines du plexus sacré et une par
ccasionné une paralysie complète des racines du plexus sacré et une
paralysie
incomplète des racines du plexus lombaire). g)
paralysie incomplète des racines du plexus lombaire). g) Enfin, une
paralysie
sensitivo-motrice complète de la totalité des m
ie remontant jusqu'à la partie inférieure du ventre et du dos, avec
paralysie
de la vessie et du rectum (Affection intra-spin
lombaire se traduisent par les symptômes de notre catégorie g) :
Paralysie
totale des membres inférieurs, avec suppression d
l n'y a pas lieu de compter sur une rétrocession des symptômes ; la
paralysie
de la vessie et du rectum et le développement d'u
ns de la queue de cheval (catégorie e) : Aux membres inférieurs, la
paralysie
motrice se limite aux muscles fes- siers, aux m
partie des symptômes rétrocèdent, y compris ceux en rapport avec la
paralysie
de la vessie et du gros intestin. Les malades éch
ites (luxation, fracture), siégeant au niveau de la 5e lombaire, la
paralysie
sensitivo-motrice présentera, aux membres infér
spectant t le territoire d'innervation du péronier. 6° Enfin, une
paralysie
isolée de la vessie et du rectum pourra être oc-
la malade avait été frappée tout d'un coup, pendant la nuit, d'une
paralysie
de tout le côté gauche. « Il lui prit un engour
un engourdissement dans le bras gauche qui, la nuit, dégé- néra en
paralysie
qui luiôta tout l'usage de tout le côté gauche ;
i détermine un engorgement des ganglions axillaires ; phénomènes de
paralysie
s'accompagnant d'atro- phie musculaire ; guéris
ysie s'accompagnant d'atro- phie musculaire ; guérison subite de la
paralysie
et progressive de l'atro- phie ; disparition de
sa paraplégie qui durait depuis vingt et un ans. « En même temps la
paralysie
se dissipe et s'évanouit : une chair saine et s
n vous les énonçant sommairement : 1° Symptômes en rapport avec une
paralysie
de la vessie seulement ou de la vessie et du re
ivement à une chute sur la région sacrée, un individu est frappé de
paralysie
motrice avec engourdissement des membres inféri
engourdissement des membres inférieurs, avec rétention d'urine. La
paralysie
motrice et l'en- gourdissement se dissipent au
n du cône terminal et non d'une lésion de la queue de cheval, d'une
paralysie
nucléaire et non d'une/ paralysie radiculaire.
sion de la queue de cheval, d'une paralysie nucléaire et non d'une/
paralysie
radiculaire. N'allez pas croire, Messieurs, que
un individu qui, à la suile d'une chute sur le siège, avait eu une
paralysie
des deux membres inférieurs. Au bout de quinze jo
exa-, men, pratiqué six mois plus Lard, permettait de constater une
paralysie
sensitivo-motrice limitée au domaine d'innervat
cinquième vertèbre lombaire, au point où les nerfs respectés par la
paralysie
s'échappent du canal rachidien. L'autopsie de c
idien. Dans le pre- mier cas, vous vous trouverez en présence d'une
paralysie
nucléaire et, dans le second, d'une paralysie r
rez en présence d'une paralysie nucléaire et, dans le second, d'une
paralysie
radiculaire. Le principal signe différentiel entr
culaire. Le principal signe différentiel entre ces deux variétés de
paralysie
consisterait, d'après Schultze, dans ce fait qu
es où la sen- sibilité était normale. \ Des trois affections : la
paralysie
périphérique de la sensibilité, l'hysté- rie et
nséquemmeut provoquer des désordres psychiques, des convulsions, la
paralysie
, l'anaslbésie, des altérations dans les fonctio
ur accorde parmi les autres symptômes de l'hystérie. De même que la
paralysie
dans le cours de l'hystérie peut se développer
depuis Charcot sous le nom de syndrome de Weber, caractérisé par la
paralysie
de la 111" paire d'un côté et des membres de l'
" paire d'un côté et des membres de l'autre. On pourrait ajouter la
paralysie
alterne de la VIe paire qui a été observée à la
alysie de la langue est alors homonyme. On observe en effet avec la
paralysie
de la face et des membres d'un côté, la déviati
peu prononcé ; il est transitoire et, les noyaux étant intacts, la
paralysie
ne s'accompagne pas d'hémiatrophie de la lan- g
ophie de la lan- gue. , A part ces cas d'hémiplégie cérébrale, la
paralysie
unilatérale de la lan- gue n'a guère été observ
emple d'hémiplégie alterne de l'hypoglosse, était com- pliqué d'une
paralysie
de la Vle et Vlle paires et concernait un enfant,
hémiplégie complète des membres supérieur et inférieur droits, sans
paralysie
faciale, sans aphasie motrice ou sensorielle, fai
très inférieur de son trajet. On pouvait constater enfin : 2° une
paralysie
complète avec déviation il gauche et atrophie d
nomènes pouvant faire soupçonner une affection du système nerveux :
paralysies
, douleurs diverses, troubles des sphincters. Le
ctions du ressort de la patho- logie nerveuse (céphalées, vertiges,
paralysies
, perles de connaissance, etc.), ou enfin il la
s phénomènes oculaires. Elle les a re- marqués en même temps que la
paralysie
de la main droite, dès que le catarrhe de la ro
en passant, l'apparition simultanée des troubles oculaires et de la
paralysie
motrice, apparition insidieuse, presque latente
on-Meyer (1) a cité un cas d'ophtalmoplégie externe, associée à une
paralysie
des membres inférieurs et de certains nerfs crâni
pris de rougeole, le 22 mars 1894, et, quelques jours plus tard, de
paralysie
des membres avec inconti- nence des matières et
eul côté, la langue tirée de travers, il a vraiment le masque de la
paralysie
faciale. Une femme arrive, juchée sur les épaul
rs la station debout fut impossible. Le 13e jour de la mala- die la
paralysie
des sphincters vésical et anal s'ajouta à la para
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les troubles trophiques et la
paralysie
des sphincters sont habituels dans les lésions
tête violents, à paroxysmes vespéraux, elle fut prise subitement de
paralysie
du côté gauche de la face. L'oeil gau- che étai
a jambe droite, qui devint bientôt impotente; au bout de 3 jours la
paralysie
était complète. En même temps survenait une réten
taxie locomotrice. Etat actuel. La malade est clouée au lit par une
paralysie
absolue de tous les muscles de la moitié inféri
cinq ou six fois de suite, sans que la malade en ait conscience. La
paralysie
est flasque; les réflexes cutanés et tendineux so
dès accidents graves de la syphilis cérébro-spinale : céphalalgies,
paralysie
faciale transitoire, impo- tence passagère des
que. (1) Soi tas, Contribution à l'élude anatomique et clinique des
paralysies
spinales syphilitiques, th. de Paris, 1894, R
permanente, et dans les cas qu'il cite elle était toujours liée aux
paralysies
ou aux contractures des membres inférieurs. Bie
rs. Bien qu'il ne soit pas facile de démêler ce qui appartient à la
paralysie
ou à la contracture qui peuvent également donne
nce à l'incon- tinence d'urine, nous pensons qu'il s'agit ici d'une
paralysie
du sphinc- ter vésical, et nous pensons que cet
i d'une paralysie du sphinc- ter vésical, et nous pensons que cette
paralysie
est complètement indé- 360 NOUVELLE ICONOGRAPHI
a dépendance non d'une contracture du corps de la vessie mais d'une
paralysie
du sphincter, l'anesthésie de cette région supe
aralysie du sphincter, l'anesthésie de cette région superposée à la
paralysie
, le fait que l'incontinence est surtout nocturn
ayant eu l'occasion d'examiner et de dessiner la plupart des cas de
paralysie
agitante qui se sont présentés à la Salpêtrière d
ilatérale d'a- (1) P. RICHE". Habitude extérieure et faciès dans la
paralysie
agitante. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 188
de la Salpêtrière, 1888, p. 213. (2) Voy. A. DU'CIL. Sur un cas de
paralysie
agitante à forme hémiplégique avec atti- tude a
he permet défaire le diagnostic. Il s'agit d'un cas typi-' . que de
paralysie
agitante. Faciès. La face est figée, sans expre
ne au facies certaines analogies avec celui des malades atteints de
paralysie
gtosso-tabio-taryngée (1). Un seul fait semble
te ne s'applique donc pas d'une manière absolue à tous les cas de
paralysie
agitante ; mais elle reste vraie pour le type d
rend suffisamment compte de la difficulté (1) P. Richer, Un type de
paralysie
agitante, Nouv. lconogr.de la SalpGtriére,1888,p.
c'est-à-dire du côté de la blessure le spasme et du côté opposé la
paralysie
. Il se peut du reste que l'un survienne et poin
eu de temps sont morts apoplectiques ; d'autres d'eux ont porté une
paralysie
d'un côté, mais ils ont vécu deux ans. Quant à
ésion médullaire), par GILLES DE la TOURETTE et MARINESCO, 203.
Paralysie
générale à forme tabétique, par A. -10leFROY, 3
03. Paralysie générale à forme tabétique, par A. -10leFROY, 30.
Paralysie
bilatérale' du deltoïde, par F. RkYlIOND, 13.
OY, 30. Paralysie bilatérale' du deltoïde, par F. RkYlIOND, 13.
Paralysie
bilatérale du deltoïde (un cas), par Souques et
t. Migraine ophtalmique et aphasie, 3. J. B. CIIARCOT et Souques.
Paralysie
bi- latérale du deltoide, 53. Chipault (A.).
aiguë, 325. RAYMOND (F.). Hématomyélie du cône ter- minal, 149.
Paralysie
bilatérale du deltoïde, 13. Étude d'ensemble su
XLIII. Ostéite déformante de Paget (Lésion mé- dullaire),XXXV.
Paralysie
générale ci forme tabétique (coupes de la moell
Paralysie générale ci forme tabétique (coupes de la moelle), IV.
Paralysie
bilatérale du deltoïde, VIII et IX. Pelade po
56, 57. Ostéite déformante de Paget, lésion mé- dullaire, 52.
Paralysie
bilatérale du deltoïde. Trou- bles sensitifs, 1
E PSYCIIIATIiIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE Professeur : R. Weber
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE PAR R H. FLOU
le a présenté des troubles oculaires. A l'asile, le diagnostic de
paralysie
générale est confirmé par la ponction lombaire
nt été observées chez des oty- céphales par Herzog, Strebel, etc.
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 17 Physiquement
erf optique très avancée, vision z1/10. En avril 1907 : oeil droit,
paralysie
totale de la Ill- paire, ptosis, vision = 1 ; gué
es n'appartiennent pas sans aucun doute au tableau cli- nique de la
paralysie
générale. Leur début est antérieur, puisqu'ils on
du nerf optique, ces signes oculaires indiquent qu'il s'agit d'une
paralysie
de la III- paire. Mais, tandis que cette paraly
'il s'agit d'une paralysie de la III- paire. Mais, tandis que cette
paralysie
se produisait d'une façon transitoire dans le dom
intrinsèque (dilatation et rigidité pupillaires des deux côtés, par
paralysie
totale de la constriction). On verra plus loin la
e allongée un bourrelet symétrique correspondant au trou occipital,
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UN 011'Ci : ltiALIQUE PARALYSIE G
au trou occipital, PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN 011'Ci : ltiALIQUE
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 19 Le bulbe rac
et le cerveau et les épaississements de la pie-mère dépendent de la
paralysie
générale. Ce diagnostic a été confirmé par l'ex
rine (fig. 3); à l'examen microscopique la présence de vaisseaux en
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE OXTCEPHALIQUE 21 spirale et d
nsuite à la périphérie ? Une fréquence relativement plus grande des
paralysies
de la Ille paire par rapport à celle de la VI° pa
e' et /' sur une autre série de 10 coupes passant plus en F ? 3.
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 23 dehors et in
ns plus loin quelle explication possible on pourrait en donner. '
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE ORYCÉPHAL1QUE 25 Asymétrie de
compte des symptômes d'hypertension subite et passagère : crises et
paralysies
transitoires dans le domaine de l'oculo- moteur
transitoires dans le domaine de l'oculo- moteur commun. Quant à la
paralysie
permanente de la musculature intrinsèque de l'o
rculation par collaté- (1) Weber, Nouvelle Iconographie, 2, 1905.
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCEPHALIQUE 27 raies, beauc
efoulement de liquide céphalo- rachidien qui en résulte ; . 2° La
paralysie
de la IIIe paire dépend aussi de la pression intr
e paire dépend aussi de la pression intraventri- culaire. C'est une
paralysie
nucléaire, le noyau se trouvant sous le seuil d
roubles de la sensibilité ne sont pas constatés ; il y a absence de
paralysies
véritables. Qu'un de nos malades exécute un sim
r à celui des muscles extenseurs. 66 MADAME ATHANASSIO-BENISTY I.
Paralysies
radiales. Le radial est le nerf de l'extension.
ignet et des doigts et le long abducteur du pouce. Aussi, en cas de
paralysie
radiale, y a-t-il chute immédiate et très prono
ue soient la nature et la gravité de la lésion, presque toujours la
paralysie
des muscles extenseurs du poignet et des doigts e
portant en dedans (adduction). En cas dé lésion du nerf radial, la
paralysie
de ces trois muscles est presque toujours simul
al au niveau du plexus brachial. Pour bien mettre en évidence cette
paralysie
des extenseurs de la main, il faut avoir soin d
genre ne se produira au niveau des premières phalanges. En cas de
paralysie
radiale, l'abduction du pouce est impossible (par
court supinateur. Ce dernier seul produit la supination. Dans la
paralysie
radiale, le mouvement de supination est aboli.
oires et à créer des sup- pléances inattendues. Pour remédier aux
paralysies
radiales, plusieurs modèles d'appareils ont été
g. B, C, D, E et pl. XXI, fig. A). Celle attitude s'explique par la
paralysie
des interosseux et des deux lombricaux internes
ent pas toujours à expliquer la hauteur de la lésion et le'degré de
paralysie
du fléchisseur profond et des interosseux. Il s
modique, puis ils ont pris défini- tivement l'attitude en griffe.
Paralysies
partielles, dissociées. Les paralysies partielles
vement l'attitude en griffe. Paralysies partielles, dissociées. Les
paralysies
partielles, incom- plètes, dissociées du cubita
l'aisselle ou du bras. Le type le plus fréquent est réalisé par la
paralysie
des interosseux etdes hypothénariens avec simpl
plus accentuée pour les quatrième et cinquième. ^ La fréquence des
paralysies
cubitales partielles et la prédominance des tro
état normal, sans être cependant en extension complète. Malgré la
paralysie
complète du fléchisseur sublime et des faisceaux
aspect de la main est celui que nous venons de décrire à propos des
paralysies
complètes. Le bord externe du nerf médian est r
d interne au contraire est très souvent lésé, d'où la fréquence des
paralysies
des fléchisseurs des doigts dans les cas si nom
plus sèche. L'atrophie musculaire est moins marquée que dans les
paralysies
com- plètes, et n'est appréciable qu'au niveau
aractéristiques. On doit distinguer deux types cliniques : A. Les
paralysies
complètes. B. Les paralysies incomplètes. A.
inguer deux types cliniques : A. Les paralysies complètes. B. Les
paralysies
incomplètes. A. Paralysies complètes. Lorsqu'
accentuée, mais irréductible. ` B. - Paralysies incomplètes. Les
paralysies
incomplètes des nerfs médian et cubital réalisent
de section complète décrits plus haut. Deuxième type. Lorsque la
paralysie
prédomine sur les interosseux, les thénariens e
variables, il y a lieu de tenir compte, d'une part, du degré de la
paralysie
des interosseux et des fléchisseurs ; d'autre p
suivant la lésion ? Peut-être aussi faut-il tenir compte, dans ces
paralysies
incomplètes, du retour progressif, mais inégal,
nerfs PÉRIPHÉRIQUES. Toutes les fois qu'aux signes habituels de la
paralysie
d'un ou plusieurs nerfs du membre supérieur s'a
nt le rhumatisme chronique (pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI.
Paralysies
ET contractures dites réflexes. Enfin, on peut
différentes, bien que cette division soit très schématique : 1° les
paralysies
avec contractures, qui sont les plus typiques ;
ractures, qui sont les plus typiques ; 2° les contractures ; 3° les
paralysies
flasques avec hypotonie. 1 Paralysies avec co
° les contractures ; 3° les paralysies flasques avec hypotonie. 1
Paralysies
avec contractures. - Synonymie : « main figée »
ies avec contractures. - Synonymie : « main figée » de Henry Meige,
paralysie
globale de la main de Pitres, acromyotonie de S
ge, paralysie globale de la main de Pitres, acromyotonie de Sicard,
paralysie
d'ordre réflexe de Babinski et Froment, paratonie
es affec- tions organiques et les différencient des contractures et
paralysies
hysté- riques ou pithiatiques. - 2° Contractu
x restant allongé). mique. Société de neurologie, 4 novembre 1915 ;
Paralysie
et hypotonie réflexes avec surexcitabililé méca
es muscles. Académie de médecine, 11 janvier 1916 ; Contractures et
paralysies
traumatiques d'ordre réflexe. Presse mé- dicale
MM. Pierre Marie et Foix (1) ont décrit comme une forme spéciale de
paralysie
paratonique de la main certains cas du type connu
s manifestations hystériques ; qui sont des hypotonies plus que des
paralysies
, des hypertonies plus que des contractures; qui s
ôp., 4 février 1916. (2) J. Babinski et P. Froment, Contractures et
paralysies
traumaliques d'ordre réflexe Presse médicale, 2
r, car il s'accompagnail, /ainsi que nous venons de le" dire, d'une
paralysie
partielle et incomplète du médian. Cette paraly
le" dire, d'une paralysie partielle et incomplète du médian. Cette
paralysie
ne pouvait être considérée comme responsable de
interprétés par Pierre Marie et Foix comme des formes spéciales de
paralysie
paratonique et nommés par Sicard acromyolonies.
ONIQUES DE LA MAIN 83 0. Observation I. Main DU lanceur DE COUTEAU.
Paralysie
de l'adduc- teur du pouce par lésion de C™' et
es efforts thérapeutiques au redressement volontaire de la main. La
paralysie
hystérique des flé- chisseurs, des abducteurs e
t-bras est relevé et en pronation, on a vaguement l'apparence d'une
paralysie
radiale ; cependant les doigts restent dans le pr
oubles moteurs par lésions nerveuses organiques, quand il s'agit de
paralysie
ou d'hypotonie par lésion radi- culaire comme d
paralysie ou d'hypotonie par lésion radi- culaire comme dans I (re
paralysie
de l'adducteur du pouce par lésion de C'III, »)
fonctionnelle surajoutée (IX, chute de la main sur le poignet avec
paralysie
des doigts après perforation de l'extrémité infér
après perforation de l'extrémité inférieure de l'avant- bras; VIII,
paralysie
hystérique de la main après fracture de l'humérus
tend aux autres nerfs périphériques la conception classique pour la
paralysie
faciale, tantôt on peut songer aux anomalies d'in
par un processus différent et jusqu'à un certain point antagoniste,
paralysie
ou destruction dans un cas, excitation, irritat
me avec l'avant-bras 132 LÉRI un angle très obtus, comme dans les
paralysies
les plus incomplètes ou même comme chez la plup
ui leur permet de laisser tomber la main tout autant , que claus la
paralysie
radiale la plus complète. Enfin, si l'hypotonie
que que l'hystérie ne peut reproduire et que ne déterminent pas les
paralysies
purement fonction- nelles, elle peut du moins ê
aphies ci-contre (PI. XXX). Les figures A, B et C représentent, des
paralysies
radiales avec section complète du nerf ; on y v
riable. Les figures D et E montrent des sujets qui n'avaient aucune
paralysie
radiale : on voit que l'attitude hypotonique pe
nique peut être aussi ou plus pro- noncée que dans n'importe quelle
paralysie
radiale totale. En A, on a une attitude extrême
férieur du bras, fracture de l'humérus) ; tous les autres signes de
paralysie
radiale complète, cliniques et électriques ; on t
fibres nerveuses. En D, il s'agissait d'un sujet qui présentait une
paralysie
du cubital, mais aucune trace de paralysie du r
sujet qui présentait une paralysie du cubital, mais aucune trace de
paralysie
du radial ; c'est sur notre demande, pour servi
il s'agissait d'un sujet qui simula de lui-même, et fort bien, une
paralysie
radiale, au point de nous avoir longuement induit
n et ayant vu des para- lysies saturnines, connaissait fort bien la
paralysie
radiale avant la guerre ; bien que n'en ayant j
de façon à relâcher ses ligaments. Quoi qu'il en soit, la prétendue
paralysie
, après avoir longtemps duré, céda comme par enc
calleuse de la main opposée. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de
paralysie
dans le domaine du radial ; les mouvements du p
ues des blessures du médian ou de la branche interne du sciatique :
paralysie
généralement très réduite ou nulle, pas d'anesthé
altéré, avec ou sans blessure extérieure, avec ou sans douleurs ou
paralysie
concomitante ; il faut et il suffit, pour que l
rs, il paraît en effet tout à fait sans rapport avec le degré de la
paralysie
; nous avons ainsi observé un certain nombre de
ité, dans un cas où les douleurs accusées étaient vives, mais où la
paralysie
était extrêmement atténuée et très limitée. Dan
e les formes très doulou- reuses ne déterminent très souvent qu'une
paralysie
fort restreinte. Ce que nous pouvons dire, c'es
atique aussi bien avec un minimum de douleurs qu'avec un minimum de
paralysie
: plusieurs malades, déjà retournés au front, n
essure siégeait au tiers supérieur de la cuisse; les douleurs et la
paralysie
étaient extrêmement prononcées. Le nerf était e
le cas B, la blessure siégeait au tiers supérieur de la cuisse; la
paralysie
.était incomplète, surtout dans le domaine du scia
louché dans le creux poplité ; les douleurs étaient vives, mais la
paralysie
presque nulle ; une amélioration rapide suivit
n, degré le plus fréquent : lésion au tiers supérieur de la cuisse,
paralysie
très incomplète, amyotrophie marquée ; améliora
que dans les cas précédents ; dans le premier*il y avait une grosse
paralysie
; dans le second, une paralysie très légère. Ce
ns le premier*il y avait une grosse paralysie ; dans le second, une
paralysie
très légère. Ce dernier fut opéré ; le sciatiqu
ouleurs furent vives, mais pendant quelques semaines seulement ; la
paralysie
ne fut que très légère. Chez ce malade, nous co
le pied était gonflé, violacé et desquamant ; il y avait une grosse
paralysie
et une légère alro- phie du mollet. La figure
'une blessure du sciatique à la fesse, il ne s'était produit qu'une
paralysie
très légère et presque 140 LÉRI pas de douleu
yotrophie progressive du mollet (4 cent.) et une accentuation de la
paralysie
. Les figures E et F montrent le pied effilé dan
x ans auparavant ; il n'y avait presque pas eu ni de douleurs ni de
paralysie
, et le malade était retourné au front; il en fut
bscures. On sait que Trélat invoquait une origine vasculaire et une
paralysie
vaso- motrice incomplète apportant un excès de
n, disait-il. Mais on ne voit ni comment ni pourquoi existerait une
paralysie
vaso-motrice ainsi localisée. - D'autres auteur
bras fut placé dans une gouttière. Il ne paraissait pas y avoir de
paralysie
des troncs nerveux. Les mouvements des doigts, qu
au Bon-Pasteur. Antécédents. Coup de chaleur ( ? ) en juin 1898.
Paralysie
gauche ayant duré trois mois. Ancien migraineux
ras au-dessus du lit. Lagophtalmos avec écart de un centimètre sans
paralysie
. Les mouvements de la tête sont faibles, mais p
ue d'après les rensei- gnements qui m'ont été fournis, aucun cas de
paralysie
infantile n'a été signalé au cours,de l'année 1
actérisée par l'apparition des acci- dents moteurs, généralement de
paralysie
ou de parésie. Elle est parfois presque immédia
ITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES z) 17 graves, la
paralysie
flasque peut être absolue, complète et totale : d
mbres ; pas le plus petit mouvement de l'orteil ou d'un doigt. La
paralysie
peut n'être que partielle ; dans l'observation XI
se produisent plus qu'à l'occasion de la descente d'escalier. La
paralysie
a souvent été non seulement partielle, mais aussi
urs sont totalement indemnes. Enfin, de partielle et incomplète, la
paralysie
peut se compléter et se généraliser : dans l'ob
jour, alors que la paraplégie se faisait complète et totale, que la
paralysie
était ascendante, mais que n'existaient pas enc
sont encore intenses, avec crises d'exacerbation quand s'établit la
paralysie
totale et complète ; elles ont disparu dès le 4
aiguës diffuses et myelites tz'ansvez'ses causées pa" l'agent de la
paralysie
infantile. Société médicale des hôpitaux, 27 mars
x, 27 mars 1914, p. 571. ' 12) FLLLER EXGLA;\D, Sur quelques cas de
paralysies
épidémiques, observées en lIampshi1'f'. Brit. r
que la symptomatologie a été assez diffuse : troubles moteurs avec
paralysie
totale ou parésie ; état spasmodique ; troubles s
; état spasmodique ; troubles sen- sitifs ; en somme, symptômes de
paralysie
diffuse, bien plus diffuse qu'il n'est habituel
, bien plus diffuse qu'il n'est habituel dans la poliomyélite de la
paralysie
infantile. Dans nos cas cependant, la symptomat
ariantes, et Fuller England déjà ne voulait intituler ces cas que «
Paralysies
épidémiques ». Le cas 2 s'est terminé rapidemen
précisés, qu'il est difficile d'affirmer si l'impotence tient à la
paralysie
et non à la douleur, quand souvent on pense à l
es nerfs crâniens (para- lysie faciale, oculaire, et dysphagie). La
paralysie
faciale est apparue avant les autres symptômes.
de 14 ans. Affection non seulement des quatre membres, mais encore
paralysie
faciale, parésie du voile du palais, du dia- ph
de 10 ans. - Symptômes correspondant à une poly- névrite. Là aussi
paralysie
faciale et du voile du palais. Depuis, développem
URENT. Syphilis de 5 ans. Trois ans après l'infection syphilitique,
paralysie
transitoire d'un bras et du releveur de paupière
ire. Symptômes d'une polynévrite. De plus la parole très difficile,
paralysie
faciale des deux côtés. A la ponetion lombaire
cés aux membres supérieurs. Douleurs fortes aux membres supérieurs.
Paralysie
unilatérale faciale, de l'abducens et de l'oculom
de 3 mois. D'abord névralgies intenses aux membres supérieurs, puis
paralysie
des quatre membres. Mort 4 mois plus tard (symptô
paralysie des quatre membres. Mort 4 mois plus tard (symptô- mes de
paralysie
des pneumogastriques des deux côtés). Par l'exame
pport sur l'état des méninges. CESTAN (obs. I). Syphilis de 1 mois.
Paralysie
d'abord d'un bras, puis de l'autre. Pas de symp
'autre. CI D 238 ' PETREN CESTAN (obs. II). - Syphilis de 1 mois.
Paralysie
des quatre membres, Deux mois plus tard, érupti
riel au bout de quelques mois. SCHULTZE. Syphilis de quelques mois.
Paralysie
ascendante, finissant par la mort par paralysie
s de quelques mois. Paralysie ascendante, finissant par la mort par
paralysie
de la respiration. Réflexes rotuliens conservés.
scute pas la présence d'une polyné- vrite (1893), seulement « d'une
paralysie
flasque de syphilis ». FonDYCE. « Outbreak of e
examine la description de ces cas, il ne s'agit pas seulement d'une
paralysie
faciale double qui peut encore former un symptôme
dysen- terie dont le malade a guéri, mais ensuite est survenue une
paralysie
du type d'une polynévrite, qui était ascendante
plus tardivement (pendant les six dernières semaines de la vie) une
paralysie
des jambes. La moelle et le cerveau très mous (
ade a reçu un traitement iodo- mercuriel. Pendant ce traitement, la
paralysie
faciale s'est améliorée, mais la paraplégie est
mais la paraplégie est devenue complète. Vers la fin de juillet, la
paralysie
faciale est guérie, mais il est survenu encore
et, la paralysie faciale est guérie, mais il est survenu encore une
paralysie
des bras. lia succombé à une pneumonie au comme
évrite syphilitique. Il me semble que tout parle pour l'idée que la
paralysie
faciale, qui a été guérie pendant le traitement a
en tout cas pro- bable que la polynévrite qui était la cause de la
paralysie
des membres est due à l'intoxication mercuriell
'ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. - ATROPHIE musculaire PURE sans
paralysie
par. tiraillement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL
ement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL - Atrophie musculaire PURE, sans
paralysie
, dans LE domaine DU PLEXUS supérieur, quatorze
OT-IIÎARIE. PAR André LÉRI. , 1 Atrophie musculaire pure sans
paralysie
par tiraillement DU PLEXUS brachial (en colla
liques des nerfs mixtes périphériques ou des plexus déterminent des
paralysies
motrices et parfois sensitives; tardivement peu-
alité ou dans une partie des muscles préalablement paralysés ; « la
paralysie
est le phénomène initial et prédominant, c'est
re des exceptions ; l'atrophie musculaire peut survenir sans aucune
paralysie
préalable et comme un phénomène initial-; fait
,A Salpêtrière. T. XXVIII. PL. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE PURE SANS
PARALYSIE
PAR TIRAILLEMENT DU PLEXUS BRACHIAL (A. Léri
hie n'est pas très prononcée, il n'y a pas et il n'y a jamais eu de
paralysie
. Il n'y a et il n'y a eu aucun trouble sensitif
sement portant surtout sur le bord cubital. Mais il n'y a eu aucune
paralysie
, aucune anesthésie, et, trois mois après, l'atr
erait faci- lement inaperçue. II Atrophie musculaire PURE, sans
paralysie
, dans LE domaine DU plexus brachial supérieur,
ion d'un malade chez qui survint une atrophie musculaire pure, sans
paralysie
préalable, à la suite d'un trau- matisme indire
tro- phie survint également dans le domaine du plexus brachial sans
paralysie
préalable. Elle en diffère à deux points de vue
LP) : 'l'RII : R);. T. XXVIII. Pal. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE SANS
PARALYSIE
DANS LE DOMAINE DU PLEXUS SUPÉRIEUR 14 ANS APRÈ
au bout de 8 à 10 jours, il retourna en classe, sans douleur, sans
paralysie
aucune. Depuis bien longtemps il ne songeait pl
urvenue dans tout le groupe des muscles de Duchenne-Erb sans aucune
paralysie
préalable, et qu'il n'existe encore actuellemen
ucune paralysie préalable, et qu'il n'existe encore actuellement ni
paralysie
ni aucun trouble de sensibilité objective ; 2°
sclérose latérale amyotrophique ou bien s'associe au tabes ou à la
paralysie
générale. 1 L'exactitude de cette conception
en y comptant ceux où l'amyotrophie était associée au tabès ou à la
paralysie
générale. D'autres faits'analogues ont encore'é
pinale, presqu'au même titre qu'elle est la cause du tabès et de la
paralysie
générale. (1) A. Léri, Atrophies musculaires
lésions médullaires en foyers tout à fait analogues à celles de la
paralysie
infantile, à savoir l'observation de Van Gehuch
irurgien des hôpitaux à l'Université de Montpellier, de Paris. La
paralysie
faciale unilatérale est très fréquente. La VII· p
t même méconnues. Nous avons eu récemment l'occasion d'observer une
paralysie
faciale bilatérale d'origine périphérique. Les
ques, origine congénitale avec malformations concomitantes pour les
paralysies
nucléaires. Le premier cas connu est celui publ
it des monographies documentées à ce sujet. Déjerine cite un cas de
paralysie
faciale double à frigore datant de trois 'mois. D
évié à droite (PL L). Il y a une certaine gêne respiratoire. Pas de
paralysies
oculaires. Pupilles égales, régulières, contracti
origines, quelle en est la nature ? Nous éliminerons facilement la
paralysie
faciale par lésion cérébrale.. Dans ces conditi
s'agit d'une diplégie. La lésion cérébrale susceptible d'amener une
paralysie
faciale siège sur l'écorce au niveau du centre
lésion circonscrite d'un hémisphère soit susceptible d'ame- ner une
paralysie
faciale, par contre il est à peu près impossible
e l'excitabilité mus- culaire qui ne se rencontrent jamais dans les
paralysies
d'origine cérébrale. Seule persiste l'hypothèse
r une diplégie faciale d'origine nucléaire, nous dirons même que la
paralysie
nucléaire est relativement assez souvent bilatéra
peuvent arriver à ce résultat. Mais, toujours dans ce' cas, il y a
paralysie
des nerfs moteurs de l'oeil (Vle paire surtout).
latérales. DIPLÉGIE FACIALE 277 Le diagnostic Sera facile. Par la
paralysie
de la corde du tympan, il y a diminution ou abo
de la langue avec sécheresse plus ou moins marquée de la bouche. La
paralysie
des muscles de l'étrier et du marteau amène une h
ction nasale causée par la déviation de la cloison. Il n'y a pas de
paralysie
des muscles de l'étrier et du marteau. La légèr
aciale sont toutes deux atteintes avec cependant prédominance de la
paralysie
dans le territoire temporo-facial (frontal, orbic
es. L'origine obstétricale ? Nous ne le croyons pas. Si c'était une
paralysie
par compression bilatérale due à une applicatio
ine toxique ou infectieuse ? C'est plus plausible. Ce n'est pas une
paralysie
faciale au cours d'une polynévrite. Il n'y a pas
n'y a pas d'autres terri- toires nerveux atteints. Ce n'est pas une
paralysie
consécutive à une po- liomyélite aiguë de l'enf
ons l'intégrité relative de l'audition à gauche, ce- pendant que la
paralysie
faciale est plus marquée de ce côté. Dans ces c
tion de la cloison. Actuellement D... n'est pas du tout gêné par sa
paralysie
. Il ne se rend pas compte qu'il existe pour lui
in- givo-lahial. En somme D... n'a jamais attiré l'attention sur sa
paralysie
. Par contre, dans le territoire facial supérieu
s les muscles de cette région sont tributaires de la VIle paire. La
paralysie
est totale. Seuls les releveurs de la paupière su
ès examen, on serait peut-être tenté de croire que seule existe une
paralysie
bilatérale du facial supérieur. Il n'en est rien.
la section du nerf opposé ? ? Il est aussi extraordinaire que la
paralysie
des deux orbiculaires et du (1) Elle est exposé
plète. Au point de vue évolution, D... est et restera affligé d'une
paralysie
faciale double. La prosoplégie est beaucoup tro
1895, deux observations de dysarthrie, qu'il décrit sous le nom de
paralysie
pseudo-bulbaire infantile. Son élève l'eritz(8)
our articuler les mots. Déjerine insiste sur les deux variétés de
paralysie
pseudo-bulbaire de l'enfant selon que l'élément
observation 11, qui est un exemple typique de cette forme mixte de
paralysie
pseudo-bul- haire infantile. - Le caractère e
x fermés. Photophobie. 24. - Etat général grave. Torpeur. Pouls 60.
Paralysie
faciale à gauche. Déviation de la bouche percep
ues mots comme réponse, et la réponse est presque imperceptible. La
paralysie
faciale est plus accentuée. On remar- que des d
. Pouls environ 42. , 30 et 31 janvier et le,, février. - Les mêmes
paralysies
, état général meilleur. La céphalée moins inten
Pouls 58. Apyrexie. En l'observant j'ai constaté l'existence d'une
paralysie
faciale gauche, flasque, bien accentuée. Para
xistence d'une paralysie faciale gauche, flasque, bien accentuée.
Paralysie
du bras gauche en forte contracture. Paralysie
e, bien accentuée. Paralysie du bras gauche en forte contracture.
Paralysie
spartique de la jambe du même côté. C'est-à dire
ssivement dans 18 jours. Elle a commencé par des contractures et la
paralysie
du bras, la paralysie de la face et, en dernier
s. Elle a commencé par des contractures et la paralysie du bras, la
paralysie
de la face et, en dernier lieu, apparut la para
ie du bras, la paralysie de la face et, en dernier lieu, apparut la
paralysie
de la jambe. 2° Des accès jacksoniens qui ont p
flexe olécrânien très vif sans correspondant du côté opposé (1). La
paralysie
faciale s'est déjà améliorée. 1 L'état généra
lle présente des indices d'hémiplégie du côté gauche, avec complète
paralysie
du bras et de la jambe gauches, ainsi que de la
plusieurs jours. Lorsqu'il a repris connaissance, on a remarqué une
paralysie
du côté droit et une difficulté de la parole. La
qua aussitôt la rééducation psycho-motrice, malgré le diagnostic de
paralysie
du récurrent inscrit sur un des billets d'hôpitau
e aphonie hystérique et un syndrome sympathique oculo-pupillaire de
paralysie
avec hémianidrose cervico-faciale par blessure
de l'anidrose associée au syndrome sympathique oculo-pupillaire de
paralysie
sans troubles vaso-moteurs, nous avons fait quel-
ici, alors que Purves Stewart (1) le considère comme aboli dans la
paralysie
du sympathique cervical. La pupille droite est
nie hystérique sans bitonalité et sans signes laryngoscopi- ques de
paralysie
récurrentielle. Ces 4 ordres de symptômes doive
ent d'éviter l'erreur. 2° Syndrome sympathique cervical dissocié de
paralysie
. Le syndrome oculo-sympathique de paralysie, li
ue cervical dissocié de paralysie. Le syndrome oculo-sympathique de
paralysie
, lié à une paralysie radi- culaire et réalisant
de paralysie. Le syndrome oculo-sympathique de paralysie, lié à une
paralysie
radi- culaire et réalisant le syndrome de Mme D
Avant la guerre, on l'avait observé dans environ 18 0/0 des cas de
paralysie
totale ou inférieure du plexus brachial et Mme Dé
la suite de blessures, les syndromes de Claude Bernard- Horner sans
paralysie
radiculaire. C'est ce qui fait une partie de l'in
AIGNEL-LAVASTINE ET COURBON Ici le syndrome sympathique cervical de
paralysie
, comme c'est la règle, n'est pas complet. Odoul
s, -le myosis diminue nettement dans l'obscurité. Résul- tant de la
paralysie
du muscle dilatateur de la pupille, cette pupille
ebalancer la lésion paralytique de celui-ci. 2° L'énophtalmie par
paralysie
du muscle orbitaire non strié de Muller qui, à
si son action locale atténuait les effets oculo- pupillaires de la
paralysie
du sympathique cervical. B. - Par contre, au po
au point de vue oculaire manquent : , 1° Le « psczido- ptosis » par
paralysie
de la partie non striée (tarsienne supérieure)
les cas de lésion thoracique supérieure, peut être rapportée à une
paralysie
des nerfs inhibiteurs. Qnant à l'hémianidrose
t pas de même chez une'malade de Stewart (1), atteinte également de
paralysie
du sympathique cervical droit avec hémianidrose
ltation vagotonique produite . ¡ ; (1) BRANCHE J. et CORNIL L.,
Paralysie
totale du plexus brachial gauche, paraly- sie r
32 LAIGNEL-LAVASTINE ET COURBON ' par l'atropine avant la phase de.
paralysie
et qu'a bien décrite récemment Petzetakis (1).
t qu'a bien décrite récemment Petzetakis (1). C'est sans doute La
paralysie
du sympathique, antagoniste du vague, qui a per
chimiques, tels que l'atropine, l'adrénaline, la cocaïne, en cas de
paralysie
locale du sympathique et les difficultés de leur
? Pierre Marie. Lésion par balle dans la région du plexus brachial.
Paralysie
et atrophie prédominant sur les muscles périscapu
avec atrophie du membre supérieur droit prédominant à l'épaule. La
paralysie
et l'atrophie des muscles périsca- pulaires est
plusieurs semaines. - Etat en février 1916. Le malade présente une
paralysie
incomplète avec atrophie moyenne du membre supé
alysie incomplète avec atrophie moyenne du membre supérieur gauche.
Paralysie
et atrophie : \OU\" 1 1-1 1 [<'.n\HK,UAi'ii[
cardiaque, nous possédons un moyen très commode pour distinguer les
paralysies
larynx- gées dues à la lésion unilatérale du pn
rt à 30 ans d'embolie sans avoir présenté d'atrophie musculaire, de
paralysie
, ni de tremblement. Lui-même marcha de bonne he
ns électriques. Il n'existe aucun symptôme d'ordre neurologique, ni
paralysie
, ni anesthésie. L'examen du système nerveux a é
xtension de la tumeur peut être telle qu'il y ait, par compression,
paralysie
de nerfs crâniens. Outre les signes indiqués, o
vages, par BENON et LEINBERGER, 297. Atrophie musculaire pure, sans
paralysie
, par tiraillement du plexus brachial, par Lér
Oxycéphaliqzte(Paralysiegénérale chez une - ), par Flournoy, 15.
Paralysie
générale chez une oxycéphalique, par Flournoy,
ar Monis, 306. ' Sympathique cervical (Syndrome - ocu- laire de
paralysie
avec hémianidrose TABLE DES MATIÈRES 455 S ce
Etienne (G.). Myélites aiguës épidémiques, 199. FLOOaNOY (IL).
Paralysie
générale chez une oxycéphalique, 15. INGVAR (
pertrophique de l'adulte (DIDE et Courjon), 1 fig. Oxycéphalie et
paralysie
générale (FLOUK- 1\OY) , IX. Paralysie généra
), 1 fig. Oxycéphalie et paralysie générale (FLOUK- 1\OY) , IX.
Paralysie
générale chez uné oxycéphali- que (FLOURNOY), I
UNE ÉRUPTION CUTANÉE L. BATTAILLI : : CIE Editeurs DIAGNOSTIC DES
PARALYSIES
SYPHILITIQUES 5 vés à la Salpêtrière dans le se
elle. Elle peut les détacher mais avec peine du plan du lit mais la
paralysie
des membres inférieurs pour être incomplète n'en
g. Les membres supérieurs participent dans une certaine mesure à la
paralysie
: la pression des mains est très faible, la mal
orme de la contraction se rapproche de celle qu'on observe dans les
paralysies
toxiques (alcool, etc.) ». Traitement parles in
jours absents. Le diagnostic de myélite syphilitique produisant une
paralysie
flasque presque complète des membres inférieurs
bres su- périeurs, s'imposait ici étant donnée la coïncidence de la
paralysie
avec l'apparition des syphilides papulo-squamen
l'absence de troubles sensitifs toujours rares d'ailleurs dans ces
paralysies
incomplètes. Cependant on pouvait encore émettr
ques et vaso-moteurs de la peau et peut-être une prédominance de la
paralysie
du côté des groupes exten- seurs, joints à la d
asses musculai- res du mollet permettaient peut-être de penser à la
paralysie
alcoolique. La profession de cette femme vendeu
dans une certaine mesure. On pouvait encore et surtout penser à une
paralysie
hystérique étant données les attaques convulsiv
convulsives antérieures, cet état mental parliculier DIAGNOSTIC DES
PARALYSIES
SYPHILIT1QES 7 avec lacunes de la mémoire; mais
il n'y avait actuellement aucun stig- mate sensitivo-sensoriel, la
paralysie
semblait avoir débuté insidieuse- ment ; de plu
nt de vue d'une association de l'alcoolisme avec la syphilis. Les
paralysies
flasques d'origine syphilitique qui revêtent le p
que si l'on n'était pas intervenu par un trai- tement approprié, la
paralysie
dans notre cas, se fut rapidement aggravée. M.
a communiqué l'observation d'un malade de cet ordre chez lequel la
paralysie
des 4 membres lui presque subite et devint très
vons observé dans le service de M. Charcot chez une jeune femme une
paralysie
presque complète des membres inférieurs avec trou
ouvait alors en présence de trois types distincts de myopathie : la
paralysie
pseudo-hypertrophique ; la forme juvénile de l'at
risé par l'impossibilité de l'occlusion des paupières causée par la
paralysie
de ce muscle et plus tard avec M. Déjérine fond
unes des for- mes cliniques de la myopathie progressive primitive ;
paralysie
pseudo-hyperlrophique, forme juvénile de Br6, a
IE PROGRESSIVE DU TYPE LANDOUZY-DLJERINE 9 identité de nature de la
paralysie
pseudo-hypertrophiqueet delà forme de Erb, étab
es, on pouvait rapprocher l'un de l'autre les deux types extrêmes :
paralysie
pseudo-hypertrophique et forme de Lan- douzy-Dé
s deux formes ce que M. Erb avait fait pour la forme juvénile et la
paralysie
pseudo-hypertrophique. On connais- sait avant l
seudo-hypertrophique. On connais- sait avant lui l'atrophie dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique (myopa- thie avec prédomi
la nature purement muscu- (1) Bédard et Rémond. Note sur un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénére
que leur volume augmentait. C'est bien là la caractéristique de la
paralysie
pseudo-hypertrophique : à savoir des muscles gros
isée en des points qui sont habituellement les plus atteintsdans la
paralysie
pseudo- hypertrophique pure décrite par Duchenn
il y manquait le signe cleLandouzy, l'inocclusion des paupières par
paralysie
de l'orbiculaire. Mais est-ce là une raison suf
e n'est plus permis. Mais en son absence, l'aspect de la bouche, la
paralysie
de l'orbiculaire des lèvres, le rire en travers
M. P. Marie et moi, à l'identité des formes diverses de myopathie :
paralysie
pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, f
e l'atrophie, lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du
s cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées comme dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique,' la forme scapulo-huméra
hère gauche. Les événements semblent en elfet lui donner raison; la
paralysie
s'accentue, en conservant la forme hémiplé- giq
s l'articulation de la parole qui rappelle de loin le langage de la
paralysie
géné- rale et qui n'apparaît d'ailleurs que par
tervalles. Les fondions organiques s'exécutent bien. Au cours de sa
paralysie
, légère poussée d'impétigo. Constipation habitu
lysie, légère poussée d'impétigo. Constipation habituelle. Avant sa
paralysie
, légère bron- chite, scarlatine bénigne. Les
tout, sur l'amélioration notable qui se mani- festait déjà dans la
paralysie
du petit malade. Son examen dut intéresser vive-
t hémiplégique d'autrefois n'avait pas gardé la moindre trace de sa
paralysie
; il était bien portant, quoi- que un peu grêle
ur être réputée de nature organique ? La contracture avait suivi la
paralysie
flasque des membres, el l'atrophie musculaire a
ue s'il s'agit de lésions destructives de ces centres moteurs et de
paralysies
partielles consécutives. Ce rapport entre les l
est que les lésions destructives des centres moteurs entraînent des
paralysies
permanentes, tandis que les lésions irri- tcrtü
ssif des attaques, calme dans les intervalles des accès, absence de
paralysies
post-épileptiques et d'élévation de température ;
si la température reste normale, si les accès ne sont pas suivis de
paralysies
, si enfin il n'y a pas de déchéance cérébrale et
lègue et ami Souques à la consultation externe de la S3lpètrière.
Paralysie
spinale : ))/<t)t< ! /<'. jf ? M/f'M<
é- sion organique, puisque c'est la moelle qui est en cause dans la
paralysie
spinale infantile et non l'écorce cérébrale. Re
viennent encore confirmer les caractères de l'attaque, l'absence de
paralysies
consécutives et enfin, l'état de l'intelligence e
ccès, leur constante délimitation au côté droit, l'absence de toute
paralysie
consécutive et de toute déchéance cérébrale ou
gorie de contractures, les contractures tardives ou secondaires aux
paralysies
par- tielles de l'écorce. Ce ne sont pas les
après l'atta- que, et dans ce cas, elles peuvent encore précéder la
paralysie
d'un temps plus ou moins long, elles sont dites
dives dont le début est lent, la marche graduelle comme celle de la
paralysie
primi- tive ; les contractures précoces à début
ivant ordinairement des attaques convulsives et pouvant précéder la
paralysie
complète des parties primitivement atteintes de
tardives qui résultent de la transformation en con- tracture d'une
paralysie
primitive, voici comment s'exprime M. P. Ri- ch
alysie primitive, voici comment s'exprime M. P. Ri- cher (2) : « La
paralysie
(hystérique) est souvent un terrain favorable pou
de la contracture, et de même que cela se rencontre dans les cas de
paralysie
organique, il n'est pas rare devoir la contractur
'est pas rare devoir la contracture envahir les membres atteints de
paralysie
hystérique. Mais le mode d'in- vasion de la con
s souvent, il est brusque, contrairement à ce qui se passe pour les
paralysies
organiques. Tout d'un coup, à la suite d'un tra
plus rare, mais il offre les plus grandes analogies avec les cas de
paralysies
organiques avec contractures tardives ». Quant
cru utile d'insister sur ce point. | 2. Lésions destructives. c).
Paralysies
partielles Ce qui a été dit dans le paragraphe
édent au sujet des contractures est en grande partie applicable aux
paralysies
partielles par lésions limi- tées de l'écorce c
es pne-paralytiques, les rapports qui unissent la contracture il la
paralysie
peuvent encore devenir plus étroits, la success
emment encore du parallèle physiologique de la contracture et de la
paralysie
qui, obéissant aux mêmes causes, frappent égale
à des lésions irritatives des centres ner- veux, elle maintient les
paralysies
dans le cadre -de leurs lésions dest.ruc- tires
rveau. Il n'y a de rapports il peu près fixes qu'entre la forme des
paralysies
partielles permanentes et le siège des lésions
ctives de l'écorce. C'est pourquoi nous pouvons distinguer pour les
paralysies
partielles, bien mieux que pour les contracture
les troubles de la sensibilité seront com- plètement absents et la
paralysie
primitive ne tardera pas à être suivie d'une ex
n- trer que même pour ces formes, les erreurs sont faciles. « Les
paralysies
corticales, dit M. P. Richer, sont celles qui off
Richer, sont celles qui offrent les plus grandes analogies avec les
paralysies
hystériques : en effet, ces paraly- sies sont l
lent et progressif, il arrive souvent que l'amyosthénie précède la
paralysie
complète et que celle-ci s'installe par degrés,
l'hystérie qui ne se trahit par aucun autre signe ; la nature de la
paralysie
reste alors d'autant mieux méconnue que l'influ
la para- lysie, soit qu'il y ait eu un long intervalle entre cette
paralysie
et le choc initial. Enfin, dans les paralysies
ntervalle entre cette paralysie et le choc initial. Enfin, dans les
paralysies
hystériques aussi bien que dans les paralysies
ial. Enfin, dans les paralysies hystériques aussi bien que dans les
paralysies
corticales, on peut constater la persistance de l
longtemps encore, que si l'hystérie pou- vait copier exactement les
paralysies
des membres, elle respectait toujours la face.
omplexe par ce double l'ait que l'hémispasme facial peut simuler la
paralysie
du côté opposé, ainsi qu'en témoigne une observ
et Voulet (2), et que cet hémispasme peut lui- même accompagner la
paralysie
, l'hémispasme occupant un côté de la face et la
pagner la paralysie, l'hémispasme occupant un côté de la face et la
paralysie
l'autre côté (3). Si nombreuses que soient les
aux du diagnostic. Tandis que cette anesthésie fait défaut dans les
paralysies
cor- ticales, elle atteint dans les paralysies
fait défaut dans les paralysies cor- ticales, elle atteint dans les
paralysies
hystériques non seulement la peau, mais les par
cultés de diagnostic on était exposé chez les enfants pour qui les
paralysies
et les contractures sont souvent les premières,
lé- sions du larynx, traumatismes portant directement sur le crâne,
paralysies
partielles pouvant être d'origine corticale et
même accès et n'entraînent jamais de perte de connaissance. Pas de
paralysies
, ni de contractures. Le mutisme est absolu. Qua
u nom de l'auteur qui l'a décrit pour la première fois en 1865, une
paralysie
alterne du nerf moteur ocu- laire commun d'un c
es du côté opposé. Le syndrome de 11lillal'd-Gubler consiste en une
paralysie
faciale totale d'un côté et une hémiplégie des
e fait dominant et caractéristique de ces deux syndromes, c'est la.
paralysie
alterne, cette forme de paralysie devant évoque
de ces deux syndromes, c'est la. paralysie alterne, cette forme de
paralysie
devant évoquer tout d'abord l'idée d'une lésion p
lésion protubéran- lielle. Il n'est pas difficile d'expliquer la
paralysie
alterne quand on considère .le NOUVELLE ICONOGR
t beaucoup plus difficile d'expliquer dans le syndrome de Weber les
paralysies
partielles du nerf de la 3e paire et, par exemple
es partielles du nerf de la 3e paire et, par exemple, le ptosis par
paralysie
isolée du muscle releveur de la paupière. La lési
r rapporté par M. Charcot, nous aurions pu pla- cer un autre cas de
paralysie
alterne hystérique simulant le syndrome de 111
e malade se présentait donc avec la triade symptomatique suivante :
paralysie
, anesthésie et troubles trophiques dans le territ
esquels le nerf médian a été lésé, et qui, outre l'anesthésie et la
paralysie
consécutives à l'accident, ont présenté tous de
et alors s'ensuivront des troubles de la motilité, avec atrophie et
paralysie
des muscles; d'autres fois c'est sur les cornes
) ; d'autres fois, elle a succédé à un ictus et à des phénomènes de
paralysie
qu'on était tenté d'abord de rapporter à une lé
commencer par établir que ces troubles sont constamment le fait de
paralysies
des muscles oculai- res, les spasmes des mêmes
il est indispensable de marquer la sépara- tion clinique entre les
paralysies
périphériques et les paralysies centrales. (1)
la sépara- tion clinique entre les paralysies périphériques et les
paralysies
centrales. (1) ST-ANGE, Rev. méclic. Toulouse 1
nt un certain temps du spasme du muscle associé de l'autre oeil. La
paralysie
du même muscle d'origine centrale (nucléaire, s
léaire, sus-nucléaire ou corticale) s'accompagne au contraire de la
paralysie
de ce môme muscle associé (Pa- rinaud). D'apr
ès le même auteur, le second moyen que nous ayons de distinguer ces
paralysies
centrales des paralysies périphériques, c'est de
ond moyen que nous ayons de distinguer ces paralysies centrales des
paralysies
périphériques, c'est de bien étudier et de bien
s, c'est de bien étudier et de bien définir les différents types de
paralysies
centrales. Or, un carac- tère domine tous les a
ysies centrales. Or, un carac- tère domine tous les autres dans les
paralysies
d'origine centrale, celui des paralysies dissoc
e tous les autres dans les paralysies d'origine centrale, celui des
paralysies
dissociées ou associées. S'agit-il de paralysies
entrale, celui des paralysies dissociées ou associées. S'agit-il de
paralysies
dissociées* ! Si ces paralysies ne sont pas d'o
ssociées ou associées. S'agit-il de paralysies dissociées* ! Si ces
paralysies
ne sont pas d'origine périphérique, on ne peut le
e, on ne peut les imputer qu'à des lésions nucléaires. S'agit-il de
paralysies
associées, de certaines formes d'ophlalmoplégie
ire, doi- vent être associés et conjugués. On n'a jamais observé de
paralysie
corticale par exemple de l'un des six muscles e
e lésion hémisphérique du côté opposé. C'est donc la seule forme de
paralysie
dissociée qui, dans les paralysies de l'ap- par
osé. C'est donc la seule forme de paralysie dissociée qui, dans les
paralysies
de l'ap- pareil de la vision, puisse reconnaîtr
ment sus-nucléaire. Telles sont en résumé les principales formes de
paralysies
oculaires, d'origine périphérique ou centrale,
de ce qui a lieu pour les troubles moteurs de cause organi- que, la
paralysie
de ces muscles est l'exception dans l'hystérie et
it préciser souvent celui des deux états qui domine, contracture ou
paralysie
, et qu'enfin, ces deux états peuvent coexister (4
pu fournir encore dans l'hystérie une seule observation précise de
paralysie
isolée des muscles oculo-moteurs. On a décrit p
nces, dit M. Charcot, des oculistes de pro- fession en on[ fait une
paralysie
de la 3° paire d'un pronostic très sombre. Il i
pronostic très sombre. Il importe donc de ne pas s'y tromper. La
paralysie
du muscle releveur de la paupière est simulée dan
e, tandis que dans le ptosis vrai le malade cherche à suppléer à la
paralysie
du releveur par la contraction du frontal et l'
uniqués est la même dans toute l'étendue des deux mem- bres. Pas de
paralysies
. Réflexes rotuliens conservés. Pas de troubles sp
ue do la peau. Pas de crises convulsives, pas de contractures ni de
paralysies
. Pupilles éga- les ; regard un peu vague, mais
eloir, Baude et Thibierge a eu de l'anesthésie périorbitaire et une
paralysie
bilatérale de l'orbiculaire palpébral. Celui de M
bres et le tronc aucune déformation notable. Il n'a aucune trace de
paralysie
, ni de contracture, ni de phénomènes spasmodi-
ès peu d'importance des lésions macroscopiques. Elle correspond aux
paralysies
syphilitiques que l'on considérait autrefois co
Syphilis datant de 1 an. Paraplégie complète développée en 7 jours :
paralysie
flasque d'abord, puis contracture au bout de 3
sement va en augmentant graduelle- ment, si bien que le 7e jour, la
paralysie
est absolue : en même temps survien- nent des d
te à se cicatriser, s'accompagne d'un érysipèle. Janvier 1890. La
paralysie
, qui avait été llasque jusqu'ici, s'accompagne
g. 4. M. Scb. professeur d'une école moyenne, marié, âgé de 36 ans.
Paralysie
générale progressive. La maladie com- mença en
ubles trophiques en particulier, l'examen (1) a prouvé, que dans la
paralysie
générale progressive, les muscles ne subis- sen
de doute dans la question du caractère des pa- ralysies ; dans ces
paralysies
, on n'observe pas de réaction de dégénéres- cen
s, on n'observe pas de réaction de dégénéres- cence et même pour la
paralysie
générale progressive, l'observation a prouvé de
esse des remarques faites par deux sa- vants (2) qui disent que les
paralysies
oculaires d'origine corticale n'ont (1) Schùlz.
un savant fort compétent prouvent que, dans certaines formes de la
paralysie
générale progressive, c'est un état maladif atrop
eut, pendant son séjour à l'hôpital, plusieurs ictus non suivis de
paralysies
. Elle présentait de la lenteur de la parole, et u
non guérie. Il y a 2 mois, nouvel ictus apoplectiforme non suivi de
paralysie
; même accident il y a 3 semaines. Survient alo
faut, surtout quand l'interrogatoire se prolonge. Elle présente une
paralysie
presque complète des deux membres inférieurs. D
cerbations, parfois même état comateux passager ; ou bien c'est une
paralysie
d'un nerf crâ- nien et tout spécialement d'un d
que survenus dans le cours de la pre- mière année de l'infection. -
Paralysie
de la 3e paire, céphalées nocturnes ac- compagn
ntes et né- cessitaient des piqûres de morphine. Puis apparut une
paralysie
des membres supérieurs et inférieurs gauches sa
e des membres supérieurs et inférieurs gauches sans ictus. ' ' La
paralysie
de la jambe gauche s'est établie progressivement
d'une pièce de 5 francs. Elle met un mois à guérir. Depuis que la
paralysie
des membres du côté gauche est survenue, la malad
troubles cérébraux congestifs subits. Douleurs en cein- ture. La
paralysie
devient un peu moins accentuée dans le membre inf
ribles du côté gauche. Sensation de torsion du globe oculaire. Puis
paralysie
du moteur oculaire externe gaucho avec myo- sis
o avec myo- sis. Les douleurs disparaissent le jour où s'établit la
paralysie
oculaire. ET.\T actuel (7 juillet 1892). Mala
grie, notablement anémique. Organes thoraciques absolument sains.
Paralysie
très marquée, mais, toutefois incomplète du membr
che, légère et n'entravant pas la marche. Etat t stationnaire de la
paralysie
oculaire. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 22
té difficile de- puis cette époque; mais jamais le malade n'a eu de
paralysie
complète, l'obligeant à garder le lit. Examen
la moelle. Dans uneseconde phase de la maladie, l'apparition d'une
paralysie
dans le domaine des nerfs crâniens, d'accidents d
les nuits. Au bout de quelques jours, envahissement de la moelle :
paralysie
des si membres. Antélio- ration considérable pa
née au bout de quelques jours d'un état géné- ral des plus graves :
paralysie
complète des 4 membres et de la langue, (fini-
a main, sans réaction de dégéné- rescence. Phénomènes céphaliques :
paralysie
totale du moteur oculaire commun à gauche, quin
du globe de l'oeil, sauf pour les mouvements en dehors. Il y a donc
paralysie
totale de la 3e paire gauche. L'examen ophtal
lé- sion du fond de l'oeil. Rien d'anormal dans l'oeil droit pas de
paralysie
as- sociée. L'on ne remarque pas d'asymétrie
ande sa sortie. Elle peut être considérée comme guérie, sauf que la
paralysie
de l'oculo-moteur gauche n'est pas tout à fait di
s la région lombaire et dans les membres inférieurs, précé- dant la
paralysie
. Examiné à ce moment, le malade se présente attei
ne cérébral en apparence. Mais l'examen des yeux fait découvrir une
paralysie
de l'ac- commodation avec perte des réflexes pu
i aboutit à une paraplégie complète dans l'es- pace de 24 heures.
Paralysie
flasque au début, avec exagération des réflexes t
mènes cérébraux légers et transitoires. - Iné- galité pupillaire et
paralysie
de l'accommodation de l'oeil gauche.- A l'oplrtlc
ÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 23j Troubles du côté des sphincters. La
paralysie
du sphincter vésical persiste ; l'in- continenc
rammes. Pointes de feu sur la colonne vertébrale. 5 juin 1892. La
paralysie
motrice a encore augmenté aux membres infé- rie
t très accentuée : la pupille gauche est toujours la plus large. La
paralysie
de l'accommodation persiste dans l'oeil du même
chare sacrée au début. 15 juillet 1892. - Amélioration légère de la
paralysie
motrice, surtout à gauche. Les troubles objecti
illes sont parfaitement égales et réagissent bien il la lumière. La
paralysie
de l'accommodation qui existait à gauche a mainte
ures de la myélite centrale aiguë. Les accidents médullai- res, les
paralysies
se développent avec une grande rapidité, parfois
go-myélite. DE LA nIÉNINGO-niYÉLITE SYPIIILITIQUE 237 PÉRIODE DES
PARALYSIES
MÉDULLAIRES Des diverses formes de paraplégies
modique des muscles, et compliquée d'une façon presque constante de
paralysie
des sphincters. On peut d'ail- leurs admettre,
t fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUES communes. Cette forme de
paralysies
syphilitiques répond, avons-nous dit, au type c
loi absolue en pathologie : les accidents du côté de la moelle, les
paralysies
peuvent apparaître sans avoir été précédées des
omme un type morbide à part, auquel il proposait la dénomination de
paralysie
spinale syphilitique. Le développement de la ma
La démarche spasmodique est alors typique. Mais, règle générale, la
paralysie
à propre- ment parler reste peu accentuée : on
d'impuissance sexuelle. Tel esten résumé le tableau clinique de la
paralysie
spinale syphilitique d'Erb. L'auteur ajoute que
pit de toutes les médications mises en usage. Erb déclare que cetle
paralysie
spinale syphilitique, lorsqu'elle existe isolée
une des formes cliniques incontestable- ment les plus fréquentes de
paralysie
médullaire syphilitique. Nous avons eu celle an
te, par exemple, réalise dans ses moindres détails le tableau de la
paralysie
spinale syphilitique telle que Erb la comprend.
membres inférieurs, qui l'oblige à garder le lit quelques jours. La
paralysie
n'est pas complète, et la marche est bien- tôt
arqué le début des accidents nerveux. ' Mentionnons par exemple les
paralysies
oculaires persistantes, ou plus on moins complè
rs passagères, une exaltation notable des ré- flexes tendineux sans
paralysies
... etc. Nous avons insisté assez longuement sur
rions également invoquer les observations V et VI comme exemples de
paralysies
spinales, précédées d'une poussée de méningite
raux en question peuvent d'ailleurs être très variés, suivant lui :
paralysies
oculaires, lésions ophtalmoscopi- clues; ou bie
ppeler, parmi les accidents nerveux delà syphilis, la fréquence des
paralysies
oculaires, bien connue depuis les travaux de M.
1889, nos 48 et 49). 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
paralysies
sont souvent incomplètes, partielles, transitoire
l'examen oculaire pratiqué par M. Parinaud permit de découvrir une
paralysie
de l'accommodation, avec perte des mouvements r
met de rattacher dans ces conditions, les symptômes observés il une
paralysie
incomplète de l'o- culo-moteur commun. - Dans
exceptionnels dans cette forme. Ainsi que le fait remarquer Erb, la
paralysie
reste incomplète dans tous les cas ; et, dans l
e de la marche, due à l'état spasmodique des membres inférieurs, la
paralysie
motrice à proprement parler existe à peine. L'a
dire, la forme la plus favorable, au point de vue du pronostic, des
paralysies
médullaires de la syphilis, et que l'a- méliora
condamner le malade au lit d'une façon définitive ou à peu près; la
paralysie
motrice peut être alors très marquée, bien qu'ell
quée sur un des mem- bres inférieurs que sur l'autre, tandis que la
paralysie
du mouvement est plus profonde du côté opposé i
t à une paraplégie com- plète dans l'espace de quelques jours, avec
paralysie
du momement, de la sensibilité, des sphincters,
complète. A son en- trée à l'hôpital, le lendemain, on constate une
paralysie
flasque absolue des deux membres pelviens, avec
d'urine complète, 2 jours avant que la paraplégie se produise. La
paralysie
des membres inférieurs survient en une nuit (Siem
eur mode d'apparition et dans leur évo- lution ultérieure, avec les
paralysies
cérébrales de même nature, qui sont dues à des
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de paraplégies syphilitiques. C'est une
paralysie
absolue du mouvement que l'on observe ici le pl
ilité électrique peut cependant demeurer intacte (Siemerling). La
paralysie
complète du rectum et de la vessie est une règle
se traduisit par une grande faiblesse des quatre membres mais sans
paralysie
à proprement parler (1). Ces variantes dans le
son début, des accidents cérébraux plus ou moins graves, céphalées,
paralysies
oculaires. Les paralysies spinales syphilitique
ébraux plus ou moins graves, céphalées, paralysies oculaires. Les
paralysies
spinales syphilitiques caractérisent la deuxième
ractérisent la deuxième périodes celle des lésions médullaires. Ces
paralysies
, dans les formes les plus com- munes, se présen
sphincters de la vessie et du rectum. La nature syphilitique de ces
paralysies
pourra être soupçonnée à bon droit, non pas en
renant pour base d'un diagnostic différentiel les carac [ères de la
paralysie
elle-même, mais en se fondant sur les particulari
et sa figure prend une expression lamentable de désespoir. Pas de
paralysies
, pas d'anesthésies. Il voit assez bien-, dit-il ;
et couverts d'ecchy- moses multiples. La face a dû participer il la
paralysie
, car avait, dit-il, beau- coup de difficulté à
neuse- ment et fit même une leçon sur lui, portant le diagnostic de
paralysie
par ful- guration. Pendant 8 mois, il suivit un
atrices. A la deuxième séance, le malade fut subitement guéri de sa
paralysie
: il put se lever et marcher. La sensibilité, t
les consulter le Dr Viemont qui lui délivra un nouveau certificat :
paralysie
et attaques d'épilepsie survenues à la suite d'
ause de la douleur. Cette douleur excitait déjà lors de la première
paralysie
. Les membres paralysés sont contracturés, surto
s par une dou- leur dans l'épaule ; mais pas de contracture, pas de
paralysie
. La pression des mains est forte. La marche e
i détermine l'arrêt de développement en masse d'un membre frappé de
paralysie
infantile au cours de la première ou de la se-
HOSPICE DE B1CÉTRE DES SYMPTOMES CATATONIQUES AU COURS DE LA.
PARALYSIE
GÉNÉRALE PAR J. SÉGLAS, Médecin de l'hospic
t travail, signalait l'existence des symptômes catatoniques dans la
paralysie
générale. Bien que confirmé depuis par d'autres o
t de noter par intervalles, dans le tableau clinique si varié de la
paralysie
générale, quelques symptômes dont la réunion re-
'observateur les états catatoniques au début ou dans le cours de la
paralysie
générale. En voici deux exemples : Observatio
les : Observation 1 B..., 38 ans. Syphilis; tabes antérieur, puis
paralysie
générale dont les premiers symptômes remontent
ées de satisfaction et de richesses. Voilà donc une. observation de
paralysie
générale au cours de laquelle on voit à deux re
tic ne présentait ici aucune difficulté, puisqu'il s'agissait d'une
paralysie
générale avérée, reconnue déjà comme telle depuis
mplet. Bien que l'on fût en garde contre l'existence possible d'une
paralysie
générale, le diagnostic définitif dut rester un
lèvres, des mains; réflexes rotu- liens abolis, signe de Homberg ;
paralysie
générale manifeste ; syphilis à 20 ans. Jusqu'à
pprocher celles dans lesquelles on observe seulement au cours de la
paralysie
géné- rale, à l'état isolé, quelques-uns des él
DE LA PARALYSIE GENERALE DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 21 bres en flexion forcée, on s'était
on III M... Julien, employé, 41 ans à l'entrée, le 31 janvier 1903.
Paralysie
géné- rale dont le début apparent remonte au mo
, les symptômes sont beaucoup plus rares que les précédents dans la
paralysie
générale ; aussi l'observation suivante n'en est-
DE LA PARALYSIE GENERAL ! DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 23 idées de persécution ne sont que de
publié jadis un cas de stéréotypie (ticaérophagique) au début d'une
paralysie
générale (Sem. méd ? 1899, n° 2). Mon interne, M.
V... Paul, employé de commerce, 34 ans, entré le 3 décembre 1906.
Paralysie
générale avancée ; signes physiques, affaiblissem
L... Louis, voyageur de commerce, 40 ans, entré le 14 février 1900.
Paralysie
générale confirmée ; signes physiques, affaibliss
n X M... Edouard, négociant en vins, 45 ans, entré le 2 mai 1906.
Paralysie
générale avancée ; signes physiques ; affaiblisse
s ; accrocs de la parole. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 27 t Par la suite, la démenée s'acce
. Elle consulte Panas et Galezowski qui diagnostiquent en outre une
paralysie
du moteur oculaire externe droitet con- cluent
puy-Dutemps qui a constaté : ptosis léger de la paupière gau- che ;
paralysie
des deux droits- externes et des deux droits supé
la sensibilité osseuse, les phénomènes oculaires : signe d'Argyll,
paralysies
diverses de la mus- culature externe, atrophie
ou de la marche dans certaines affections, comme les myopathies, la
paralysie
agitante (2), Cet aperçu général de l'oeuvre ac
nt. Ce symptôme a disparu aujourd'hui. Etat actuel [Février 1907).-
Paralysie
complète de la 3e paire à droite (ptosis, strab
mydriase, la musculature interne de l'oeil n'est pas touchée par la
paralysie
. A gauche : ptosis incomplet, globe oculaire no
commissures. De plus, celles-ci ne sont pas abaissées comme dans la
paralysie
glosso-labiée, bien que la malade ait un peu l'
feste que cet aspect et le défaut d'occlusion buccale sont dus à la
paralysie
du maxillaire inférieur qui est tombant. D'ai
I. XXIV, fig. 2). Ainsi, en dépit des apparences, il n'y a point de
paralysie
dans le do- maine du facial. Si l'on vient à ra
ude naturelle au repos ; la bouche reste entr'ouverte par suite de la
paralysie
des massieters. B. Occlusion volontaire de la
en regardant de pro- fil la malade pendant qu'elle mange. Pas de
paralysie
objectivement appréciable du voile du palais ; ma
che est normale ; aucun trouble de coordination des membres, pas de
paralysie
. Réflexes tendineux. Le réflexe du genou est ab
un très léger changement en mieux, 120 LAMY au point de vue de la
paralysie
de la mâchoire inférieure. La bouche n'est plus
plégie (sans participation de la musculature interne de l'oeil), et
paralysie
de la branche motrice de la 5e paire : on pourr
ni douleurs, ni anesthésie dans le domaine du triju- meau. Enfin la
paralysie
et l'atrophie des masticateurs est un phénomène
(1) GUINON et PARMBNTIER, De l'ophtalmoplégie externe combinée à la
paralysie
glosso-labio-laryngée et à l'atrophie musculair
, qui offrait, comme notre malade, une ophtalmoplégie totale et une
paralysie
atrophique des muscles innervés par la branche mo
e la moitié inférieure de la face offre l'aspect « pleurard » de la
paralysie
glosso- labio-laryngée à première vue, surtout
bouche reste entr'ouverte. Mais à l'examen, on voit qu'il n'y a ni
paralysie
ni atrophie prononcées dans le domaine du facia
llement ouverte, et perdent-ils leur salive par les commissures. La
paralysie
de la branche motrice du trijumeau est un sympt
classiques déclarent ne se pro- duire que très tardivement dans les
paralysies
bulbaires chroniques. Ici, l'atrophie et la par
ent dans les paralysies bulbaires chroniques. Ici, l'atrophie et la
paralysie
des masséters l'emportent sur les troubles dans
Z UN même malade DE LA [PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET DE LA
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE AUTOPSIE. PAR ITALO ROSSI
AUTOPSIE. PAR ITALO ROSSI La doctrine de l'analogie entre la
paralysie
spinale infantile et l'hémi- plégie cérébrale i
es que nous les relevons dans les autopsies les plus habituelles de
paralysie
cérébrale infantile, les lésions de début. Or, se
'identité anato- mique de l'hémiplégie cérébrale infantile et de la
paralysie
spinale infan- tile, dont le processus initial
orable on verra quelque jour l'hémiplégie cérébrale infantile et la
paralysie
spinale infantile coïncider chez le même sujet,
re, d'un cas de coexistence de paraplégie cérébrale infantile et de
paralysie
spinale infantile. Ce cas qui a été, de la pa
par son extrême rareté. Il nous montre aussi que l'ana- logie de la
paralysie
spinale infantile et de l'hémiplégie cérébrale in
comme l'hémiplégie cérébrale infantile, n'est qu'une variété de la
paralysie
céré- brale infantile ; leur étiologie est à pe
l est à noter que le grand-père et le père auraient été atteints de
paralysie
dans les dernières années de leur vie ; mère vi
diminution NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XX. PI. XXV
PARALYSIE
CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTIL
e de la Salpêtrière T. XX. PI. XXV PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTIL
ire, on peut dire qu'il existe dans tous les segments du membre une
paralysie
presque absolue. . Il existe des troubles vaso-
petite. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊJR1ÈRE. T. XX, PI. XXVI
PARALYSIE
CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTIL
DE la SALPÊJR1ÈRE. T. XX, PI. XXVI PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE (1. Rossi) . PARAPLÉGIE CÉR
raphie de la Salpêtrière T. XX. Pli. XXVIII II d Ville c IV c
PARALYSIE
CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTIL
li. XXVIII II d Ville c IV c PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE (I. Rossi). - -. PARAPLÉG
sure cal loso-marginale. C'est à ce foyer que doit être rapporté la
paralysie
cérébrale infantile de notre malade. Dans la
auche de la moelle. C'est à ce foyer que nous devons rap- porter la
paralysie
spinale infantile du membre inférieur gauche. N
é dans notre cas particulier. e PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE hT
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE 131 Il faut aussi noter la pr
e de Babinski des deux côtés, même dans le membre gauche atteint de
paralysie
infantile, presque complète- ment^ paralysé, en
nce du signe de Babinski a été, bien que rarement, signalée dans la
paralysie
spinale infantile et diversement interprétée. Pou
ente d'une façon typique l'ensemble des phénomènes spastiques de la
paralysie
cérébrale infantile ? S'il en était t réellemen
s cette époque relevé les similitudes de début et d'évolution de la
paralysie
spinale infantile et de l'hémiplégie cérébrale
1903 tt la Société de Neurologie et Psychiatrie de Vienne, 3 cas de
paralysie
spinale infan- tile d'un seul membre inférieur
flexe cutané plantaire en extension, dans un cas du même côté de la
paralysie
, dans les deux autres cas du côté opposé. Redlich
emarquer que la présence du signe de Babinski du côté op- posé à la
paralysie
pouvait relever de deux causes : soit d'une attei
d'une lésion cérébrale concomitante, comme on peut en voir dans la
paralysie
spinale infantile. (2) VzIOLI, Emiplegia cérébr
anatomique,ont amené des tentatives d'une conception nouvelle de la
paralysie
spinale infantile. Selon cette conception le ca
t avec une affection spinale à processus anatomique bien défini, la
paralysie
spinale infantile. Les deux affections,en effet
tion céré- brale du même processus qui dans la moelle engendrait la
paralysie
spi- nale infantile. Et comme il était convainc
nalogies liant entre elles l'hémiplégie cérébrale infan- tile et la
paralysie
spinale infantile. Pour Sii-ümpel en effet, les d
eur non seulement dans les phénomènes cliniques (distribution de la
paralysie
, crises épileptiformes, athétose), mais aussi d
effet plus affirmatif que Strümpell sur la nature infectieuse de la
paralysie
spinale infantile et de beaucoup des cas d'hémi
ore soutenable, même sur le terrain anatomique, l'analogie entre la
paralysie
spinale infantile et. une certaine variété au moi
s, les tubes nerveux et les vaisseaux. Mais c'est l'étude de cas de
paralysie
spinale infantile suivis d'autopsie peu de jour
ylor(18),Praetorius(l9),Ballen(20) concordent pour démontrer que la
paralysie
spinale infantile est due à un processus d'infl
rre Marie et Strümpell entre l'hémiplégie cérébrale infantile et la
paralysie
spinale infantile, on peut répondre affirmative
eçu de solides confirmations. En effet, la nature infectieuse de la
paralysie
spinale infantile, soutenue d'abord par Seelig-
ie, Archiv. de Physiol., janvier 1885. 138 ITALO ROSSI ni dans la
paralysie
infantile, ni dans l'hémiplégie cérébrale infanti
uelques jours, furent presque simultané- ment atteints, la soeur de
paralysie
atrophique spinale, le frère d'hémiplé- gie spa
s qui chez deux d'en- tre eux affectèrent le tableau clinique de la
paralysie
spinale infantile, chez le troisième celui de l
e infantile. Buccelli (4) (1897) rapporte une épidémie de 18 cas de
paralysie
infan- tile, à forme tantôt spinale, tantôt cér
es où plusieurs membres furent frappés, les uns étaient atteints de
paralysie
spinale infantile, d'autres de paralysie cérébral
es uns étaient atteints de paralysie spinale infantile, d'autres de
paralysie
cérébrale infantile (hé- miplégie ou diplégie s
Il résulterait de ces statistiques que la courbe de fréquence de la
paralysie
spinale infantile et de la paralysie cérébrale
e la courbe de fréquence de la paralysie spinale infantile et de la
paralysie
cérébrale infantile est parallèle et qu'elle at
onvulsions. Peu de jours après cet état, se développa chez l'un une
paralysie
spinale, chez l'autre une hémiplégie cérébrale
140 : *ITALO ROSSI brachiale droite, caractère cérébral, et d'une
paralysie
spinale infantile du membre inférieur droit, su
igidité muscu- laire, exagération des réflexes tendineux), el d'une
paralysie
flasque loca- lisée aux muscles de la jambe gau
bout de quel- ques jours survient une ophtalmoplégie droite et une
paralysie
du mem- bre inférieur, droit qui très rapidemen
flexes tendineux, peu ou pas d'atrophie musculaire),; à droite, une
paralysie
flaccide du membre inférieur (avec atrophie mus
s- inférieures. Dans les deux semaines suivantes, atténuation de la
paralysie
qui se limita à certains groupes musculaires. L'e
siduels d'une poliomyélite antérieure aiguë (atrophie muscu- laire,
paralysie
flaccide, abolition des réflexes rotulien, achill
e. . Toutes ces observations laissent présumer que l'analogie de la
paralysie
infantile et d'une certaine variété au moins de
gie de la paralysie infantile et d'une certaine variété au moins de
paralysie
cérébrale infantile, n'est pas seulement étiolo
teurs, serait l'équivalent cérébral du proces- sus anatomique de la
paralysie
spinale infantile. Or cette démonstration n'a p
t. Nous les résumerons brièvement. On sait que dans quelques cas de
paralysie
spinale infantile, la paralysie des différents
t. On sait que dans quelques cas de paralysie spinale infantile, la
paralysie
des différents nerfs crâniens a pu être observé
nd même la possibilité de l'extension du processus anatomique de la
paralysie
spinale infantile vers le bulbe, la protubéranc
que l'on ne peut,par conséquent observer l'évolution ultérieure des
paralysies
de ce genre ! » Les nerfs le plus fréquemment p
VII°, la XIIe et la VIe paires, mais parfois on a aussi observé la
paralysie
de la XIe paire (Medin), de la X" [Medin, Huet
la moelle disparaissent presque complètement et il ne reste que la
paralysie
d'un ou de plusieurs nerfs crâniens [Auerbach (
observées par lui de poliomyélite constata de nombreux exemples de
paralysies
des nerfs crâniens. Elles s'associaient parfois à
omènes polynévritiques dans les membres inférieurs, parfois à de la
paralysie
spinale infantile. D'autres fois encore elles res
e et d'agitation, chez lequel au 4.e jour de la maladie survint une
paralysie
des extrémités inférieures, flaccide, avec perte
t aussi de la dysphagie. L'autopsie montra, outre les lésions de la
paralysie
spinale infantile dans la moelle, des petits fo
(2) publié en 1894. Un homme de 43 ans, minus habens, présente une
paralysie
spinale infantile de la jambe droite, avec racc
ie musculaire, abolition des réflexes tendineux, pied équin ; cette
paralysie
date de Cage de 5 ans, époque à laquelle le mal
supérieur et du lobe frontal de l'hémisphère gauche, et un foyer de
paralysie
infantile dans la moelle lombaire, à droite, av
la zone motrice, auraient pu donner lieu au tableau clinique de la
paralysie
cérébrale infantile. Il est inutile, croyons-no
endre vers le bulbe et la moelle, s'accompagner des symptômes de la
paralysie
bulbaire aiguë et de la paralysie spinale (Kaiser
s'accompagner des symptômes de la paralysie bulbaire aiguë et de la
paralysie
spinale (Kaiser) (1), de façon à donner la poli
agique et la poliomyélite aiguë. Il existe d'autre part, entre la
paralysie
spinale infantile et une cer- taine variété de
ntre la paralysie spinale infantile et une cer- taine variété de la
paralysie
cérébrale infantile, des analogies étiologiques
nalogue à celui de la poliomyélite puisse être une des causes de la
paralysie
cérébrale infan- tile est rendue très vraisembl
que l'agent toxi-infectieux commun agisse dans la pathogénie de la
paralysie
cérébrale inlantile non pas toujours (1) Kaiser
miques ou hémorragiques, que pourrait être due dans certains cas la
paralysie
cérébrale infantile. Même dans ces cas l'analog
rébrale infantile. Même dans ces cas l'analogie anatomique entre la
paralysie
spinale infantile et la variété de paralysie cé
ie anatomique entre la paralysie spinale infantile et la variété de
paralysie
cérébrale infantile d'origine infectieuse ne sera
qu'il nous a toujours prodigués. (1) Il va sans dire que les cas de
paralysie
cérébrale infantile observée au cours de maladi
ormation lymphatique plus abondante que ne le fait l'hyperhémie par
paralysie
des vaso-constricteurs. Quoi qu'il en soit, et
tite malade de Rapin le début a été fébrile semblable à celui de la
paralysie
infantile. Dans un descasdeHer- toge le trophoe
e. L'intérêt clinique de ce cas, dû à l'association très rare d'une
paralysie
alterne supérieure et d'une hémianopsie homonym
lète- ment fermée et dans tout le côté droit, y compris la face, la
paralysie
était devenue complète. Le malade aurait eu en
n très spéciale, « obli- quement » pour ainsi dire. Il existe une
paralysie
presque complète de l'oculo-moteur commun gauche.
ement et sans ictus véritable, une hémiplégie droite accompagnée de
paralysie
presque complète de la 111° paire gauche et d'h
mois suivants amélioration légère de l'hémi- plégie ainsi que de la
paralysie
de la IIIe paire. L'examen fait dans le'service
typi- que, avec participation du facial et de l'hypoglosse ; 2° une
paralysie
presque complète de l'oculo-moteur gauche (paup
complète de l'oculo-moteur gauche (paupière gauche à demi- fermée,
paralysie
des droits supérieur et inférieur, intégrité part
e Weber sont loin d'être fréquentes dans la littérature, les cas de
paralysie
alterne supérieure associés à l'hémianopsie sont
es conditions anatomiques et pathologiques de l'as- sociation de la
paralysie
alterne supérieure et de l'hémianopsie homonyme,
outer ainsi au syndrome caractéristique du pédoncule céré- bral, la
paralysie
alterne supérieure, celui de la bandelette optiqu
complexus symptomatique représenté par une hémiparésie droite, une
paralysie
totale de la III' paire gauche, et une hémianopsi
natomique n'ait pas été faite jusqu'ici - que l'as- sociation de la
paralysie
alterne supérieure et de l'hémianopsie puisse ê
urs d'une syphilis céré- brale. Dans cette observation en effet, la
paralysie
alterne supérieure n'était pas due, comme c'est
e adjacente et au corps genouillé externe, produire - en plus de la
paralysie
alterne supérieure une hémanopsie homonyme qui se
gauche et la parésie de la IIIe paire droite. L'association de la
paralysie
alterne supérieure et de l'hémianopsie peut êtr
la partie antéro-interne du pé- doncule, puisse être la cause d'une
paralysie
alterne supérieure. En effet, dans le foyer de
ecueilli des faits anatomiques de cet ordre et a bien montré que la
paralysie
alterne supé- rieure est « fonction de l'oblité
ces conditions un double foyer, l'un pédonculaire, déter- minant la
paralysie
alterne supérieure, l'autre temporo-occipital pro
it en plus déterminé de l'hémianopsie qui était ainsi associée à la
paralysie
alterne supérieure produite par le foyer pédoncu-
complexussympto- matique représenté par une hémiplégie gauche, une
paralysie
presque complète de la troisième paire droite e
re considérée comme d'origine corticale et due elle aussi, comme la
paralysie
alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'art
rtère cérébrale postérieure. Pour lui, le complexus sympto- matique
paralysie
alterne supérieure plus hémianopsie - est caracté
gée et complète, on observe une hémiplégie gauche très accusée, une
paralysie
de la III0 paire droite, une hémianopsie gauche
rtère cérébrale postérieure droite. A cause de l'amélioration de la
paralysie
de la IIIe paire et de l'hémiplé- gie, dans les
ccipital) pourrait se traduire par cette association de symptômes :
paralysie
alterne supérieure avec hémianopsie ». Pour l'a
, qui dans notre cas avait donné lieu à l'association morbide de la
paralysie
alterne supérieure et de l'hé- mianopsie, n'est
utre point digne, d'être relevé dans notre observation, concerne la
paralysie
de la IIIe paire. Nous avons vu d'une part qu'il
lysie de la IIIe paire. Nous avons vu d'une part qu'il existait une
paralysie
de la IIIe paire intéressant presque complètement
à la lumière mais aussi à l'accommodation, et existait en outre une
paralysie
de l'ac- commodation. Nous avons vu d'autre par
e la conservation des fibres radiculaires médianes, rapproché de la
paralysie
complète de la musculature interne de l'oeil se
ute rigueur objecter que l'abolition des réflexes pupillaires et la
paralysie
de l'accommodation soient sous la dépendance di
nutes, il fut pris de douleurs générales, de fourmillement, puis de
paralysie
et d'anesthésie com- plètes des membres inférie
Fièvre 38° 2. Le corps, sauf la tête et le cou, était atteint d'une
paralysie
flasque et d'une anesthésie complète. Pas de réfl
ité normale existait une cein- ture d'hyperesthésie douloureuse. La
paralysie
des membres supérieurs (aussi bien que des infé
t ça et là des petits foyers hémorragiques. Ces faits expliquent la
paralysie
des membres supérieurs et l'absence des réflexes
dans l'enfance. D'ordi- naire, à cet âge, on la diagnostique comme
paralysie
spinale infantile ; cela constitue une erreur d
ée des parents du petit patient qui le con- sidèrent condamné à une
paralysie
incurable. Ce qui est encore plus fâcheux, c'es
usieurs médecins, qui formulèrent de co mun accord le diagnostic de
paralysie
spinale infantile, ce qui comportait pronostic
antile, ce qui comportait pronostic d'incurabilité par rapport à la
paralysie
. Le 14 décembre de la même année, c'est-à-dire
ormalement ; on n'observa rien de semblable, cette localisation de la
paralysie
et de l'atrophie, si caractéristique de la para
lisation de la paralysie et de l'atrophie, si caractéristique de la
paralysie
spinale infantile. Le petit malade fut tout à f
voir les divers segments des quatre extrémités : on diagnostiqua la
paralysie
infantile et l'on émit le pronostic en conséquenc
aralysés, d'abord constante et ensuite avec des interruptions. La
paralysie
s'améliora lentement et progressivement, avec ass
tence d'intenses dou- leurs provoquées ; il existait, en outre, une
paralysie
incomplète, flaccide, des quatre extrémités, et
pouce ; la flexion de la main droite était impossible à cause de la
paralysie
du médian ; elle restait assise, bien qu'incli-
r de la maladie, je l'examinai et observai les symptômes suivants :
paralysie
généralisée flaccide, totale et complète, au cou,
de, totale et complète, au cou, au tronc et aux extrémités ; double
paralysie
faciale incomplète ; ophtalmoplégie externe tot
t de la maladie par une légère fièvre et le lent développement delà
paralysie
, qui se fait comme par poussées successives (cas
oussées successives (cas 1 et 2), et non brusquement, comme dans la
paralysie
spinale infantile sont une don- née d'une impor
tiques ; d'autre part elles s'observent, bien que rarement, dans la
paralysie
spinale infantile, probablement quand il s'agit
que l'ont observé plusieurs auteurs, participent, quelquefois de la
paralysie
de la polynévrite (cas 5), et l'on doit remarquer
ion du mouve- ment pupillaire. La tendance à plus d'intensité de la
paralysie
dans la périphérie que dans les racines des mem
investigation. La période de régression si caractéristique de la
paralysie
spinale infan- tile, quand elle est généralisée
t avec persévérance. Lorsqu'on peut déterminer la topographie de la
paralysie
ou des troubles objectifs de la sensibilité, co
rine qui, d'autre part, a été le premier à démon- trer que, dans la
paralysie
spinale infantile, la topographie est radiculaire
e des membres, constituent un symptôme qui, non seulement exclut la
paralysie
spinale infantile, mais encore caraeté- rise le
escence ou une abolition de réaction, bien plus étendue que dans la
paralysie
spinale in- fantile, ce qui éclaire déjà le dia
pas de réaction de dégénération, et alors nous pouvons éliminer la
paralysie
spinale infantile, ou bien elle existe, comme dan
i est un exemple d'une forme particulière, non encore décrite de la
paralysie
pseudo-hypertrophique de Duchenne. Mais ces temps
rieurs. - Les mollets présentent l'as- pect pseudo-athlétique de la
paralysie
pseudo-hypertrophique de Duchenne ; ils sont gl
vons chez cet enfant, à côté de l'aspect classique desmollels de la
paralysie
pseudo-liypertrophique, une hyper- trophie exce
repris sa position première la mydriase n'est pas plus prononcée ;
paralysie
totale de l'accommodation qui dure une huitaine
des auteurs assignent à ces deux formes. a) Mydriase paralytique (
paralysie
de la 1111, paire). La pupille pré- sente une d
enkel (2) ont été obligés d'accepter l'existence simultanée « d'une
paralysie
des filets mo- (1) CoppEz, Arch. d'Opht., 1903.
ait obligé, pour expliquer l'ac- tion de l'atropine, d'invoquer une
paralysie
de la III° paire et une excita- (1) COPPEZ, loc
olutions fortes. Ainsi donc, l'expérimentation nous démontre que la
paralysie
des cel- lules sympathiques du ganglion ciliair
est pas en contradic- tion avec la mydriase moyenne, que produit la
paralysie
du moteur ocu- laire commun, et ces deux types
res- sions rétiniennes, de la convergence, de la douleur, etc... La
paralysie
de ces filets ne fait qu'interrompre l'arc réfl
- Nous croyons avoir démontré que cette my- driase était due à une
paralysie
du sphincter. Or, si cette paralysie était MYDR
tte my- driase était due à une paralysie du sphincter. Or, si cette
paralysie
était MYDRIASE HYSTÉRIQUE 249 organique, il n
l'électricité ou que l'instillation d'unegoutte d'eau. En outre une
paralysie
organique durant depuis aussi longtemps aurait
ais nous les croyons incapables d'avoir provoqué à elles seules une
paralysie
du sphincter. b) La possibilité d'une crampe pr
tion sur lui. c) Il nous faut donc envisager la possibilité d'une
paralysie
hystérique du sphincter de l'iris. Cette hypoth
d sympathique cervical, sans tenir compte du ganglion ciliaire ; la
paralysie
de la IIIe paire ne pouvant pro- duire seule ce
lir que la forme paralytique peut seprésenter sous deux types : 1
Paralysie
du moteur oculaire commun : les signes sont ident
e du moteur oculaire commun : les signes sont identiques à ceux des
paralysies
organiques ; il y a fréquemment des paralysies co
dentiques à ceux des paralysies organiques ; il y a fréquemment des
paralysies
conco- mitantes du muscle ciliaire ou de certai
mitantes du muscle ciliaire ou de certains muscles extrinsèques. 2°
Paralysie
du sphincter : la mydriase est maximale et toutes
cclusion glottique nécessaire à l'émission vocale ; il y a donc une
paralysie
de la corde vocale droite. Du côté des yeux, s'
yndromes assez voisins : le syndrome d'Avellis, caractérisé par une
paralysie
unilatérale et homologue du voile du palais et du
e part d'infiltration péri-vasculaire telle qu'on l'observe dans la
paralysie
générale. On dit en pareil cas « que les parois
ne me semble pas tout à fait sans importance au point de vue de la
paralysie
générale. Du reste, j'ai fait des constatations a
trémolo très frappant. Par contre il n'existe nulle part la moindre
paralysie
. Crises épileptiques fréquentes. Cécité toujour
lagreuse existe-t-elle cbez eux ou est-ce une simple combinaison de
paralysie
générale spécifique avec un terrain préparé par l
ut réaliser un état identique cliniquement et pathologiquement à la
paralysie
générale des aliénés. Ces cas n'infirment en ri
la paralysie générale des aliénés. Ces cas n'infirment en rien les
paralysies
générales autres dont ils sont distincts et que
euse (3). (1) ANGLADE et Latreille, Les lésions du cervelet dans la
paralysie
générale. L'En- cephale, numéro d'octobre 1907.
puis quelques jours. A la suite de ces crises jacksonniennes il y a
paralysie
post-épileptoïde même du membre supérieur droit
l y a paralysie post-épileptoïde même du membre supérieur droit. La
paralysie
dure dix à quinze minutes. Il existe aujourd'hui
le traumatisme ancien et le sarcome actuel. (1) BABIft561, De la
paralysie
par compression du faisceau pyramidal sans dégenê
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PL LXVI A B
PARALYSIE
PSEUDO- BULBAIRE (Raymond et Alquier.) Coupes
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXVII L D
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE , ('Raymond el .tllquicr.) C.
uin. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXVIII
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE ('7&tyfHOf;c ? M;'t'rJ E
IÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SEANCE du 2 mai 1907). SUR UN CAS DE
PARALYSIE
PSEUDO-BULBAIRE, PAR R F. RAYMOND et L. ALQUI
u point de vue du diagnostic et de la signification nosologique des
paralysies
pseudo-bulbaires. La malade, âgée de 77 ans,éta
la Salpêtrière, salle Cruveilhier,avec les signes classiques d'une
paralysie
pseudo-bulbaire dont il nous a été impos- ble d
e, en particulier, du côté du pouls ni de la res- piration ; pas de
paralysie
des muscles innervés par le bulbe, dont les mouve
et maladroits. Le réflexe mas- sétérin est exagéré. Il n'y a pas de
paralysie
des muscles de l'oeil. Le diagnostic porté étai
paralysie des muscles de l'oeil. Le diagnostic porté était celui de
paralysie
pseudo-bulbaire. Pourtant, aux symptômes classi
us, de parole scandée. Ces symptômes sont rarement observés dans la
paralysie
pseudo-bulbaire et auraient pu, 'avons-nous dit,
ut faire ressortir l'intérêt que présente, au point - SUR UN CAS DE
PARALYSIE
PSEUDO-BULB.11RE 373 de vue nosologique, la top
même cru pouvoir alors mettre en doute l'existence nosologique des
paralysies
pseudo-bul- baires. Aujourd'hui, la question ne
plus tôt. En 1900, Comte (Th. Doct. Paris) publie plusieurs cas de
paralysie
pseudo-bulbaire avec lésions du pédoncule céréb
des olives : les gros foyers bulbaires donnent naissance, non à la
paralysie
pseudo-bulbaire, mais à la paralysie bulbaire apo
es donnent naissance, non à la paralysie pseudo-bulbaire, mais à la
paralysie
bulbaire apoplectiforme : il existe, d'ailleurs
intéressant le cas que présente ce sont ' deux ordres de faits : la
paralysie
flasque et les graves dystrophies ostéo- 446 BE
utre l'abolition des réflexes rotulien et achilléen, nous avons une
paralysie
avec amyotrophie, et l'inexcitabilité faradique
fection à début brusque et fébrile, avec les allures de celui de la
paralysie
infantile et on doit se demander avec l'au- teu
vait vu que le phénomène se rencontre manifestement dans les cas de
paralysie
complète du nerf facial, ou seulement de sa branc
nt les paupières serrées. En effet, en invitant un sujet atteint de
paralysie
faciale à fermer les paupières, du côté de cett
teint de paralysie faciale à fermer les paupières, du côté de cette
paralysie
, au travers des paupières demi-fer- mées, on vo
mène est bien plus manifeste en cas de lagophtalmos consécutif à la
paralysie
faciale, et si l'on invite le sujet à fermer av
PHÉNOMÈNE DE CHARLES BELL 511 bien des individus, spécialement avec
paralysie
complète du facial, la cornée disparaît si comp
ysiolo- gique et qui se manifeste plus spécialement dans les cas de
paralysie
du facial (puisque l'on voit alors le bulbe ocu
décrit comme un symptôme pathognomonique d'une forme spéciale de la
paralysie
faciale. Cette erreur, cependant,doit être abso
et clinique. MM. Bordier et Frenkel 14.j disent que dans une légère
paralysie
péri- phérique du facial avec bon pronostic, ce
énomène fait toujours défaut, tandis qu'il existe toujours dans une
paralysie
avec réaction dégénérative. En examinant le mou
ces auteurs, doit être retenu comme un signe d'améliora- tion de la
paralysie
. M. Bernhardt (5) en confirmant ce qui avait ét
ue ce phénomène se voit plus manifestement dans le côté où siège la
paralysie
du facial (c'est-à-dire du côté où est im- poss
eture complète des paupières). Naturellement il est confus dans les
paralysies
faciales centrales, puisque dans ces cas les bran
ut à fait prises ; au contraire, il est ma- nifeste dans les cas de
paralysies
périphériques du facial, que celles-ci soient g
l a une signification diagnostique, dans le cas où la gravité d'une
paralysie
périphérique du facial ne peut être déter- miné
ique, SI 2 POLIMANTI car avec l'amélioration ou la guérison de la
paralysie
faciale,le phénomène de Bell devient toujours p
et l'iris sont protégés (unique défense qui soit possible dans les
paralysies
du facial). Cet auteur, enfin, consi- dère comm
es deux tiers infé- rieurs du facial) et il en conclut que dans les
paralysies
faciales péri- phériques, qu'elles existent dès
(19) observa une faiblesse de l'orbiculaire dans un cas, après une
paralysie
de 1'0culoll1oteur. On peut en dire autant des
gstein et de M. Kempner(20). Dans cedernier cas il s'agissait d'une
paralysie
nucléaire de tous les muscles oculaires unie à
d'une paralysie nucléaire de tous les muscles oculaires unie à une
paralysie
des muscles innervés par le facial supérieur dr
pourrait obtenir la fermeture de 1 orbiculaire dans certains cas de
paralysie
complète de l'oblique inférieur. Dans le cas d'
n aurait dû avoir une contraction de l'orbiculaire, quand, avec une
paralysie
de l'élévateur on cherchait à faire fermer les pa
faire fermer les paupières. En parcourant la littérature des cas de
paralysie
faciale on voit que les auteurs ne parlent pas
du noyau de la IIIe paire. Dans le cas publié par M. Pardo (22) de
paralysie
périphérique du fa- cial qui existait depuis 26
e douleur. D'après cet auteur, une observation, faite sur un cas de
paralysie
double du facial déciderait la question, c'est-à-
oir aussi si dans la littérature se trouvaient rapportés des cas de
paralysie
double du facial dans lesquels on eùt fait des ob
e 42, vol. 1 de sa « Neurologie des Auges » et qui présen- tait une
paralysie
double du facial, il me répondit que « zeigte in
mène de Ch. Bell a été rapporté par M. Cassirer (31) dans un cas de
paralysie
double du facial chez une femme. ' SUR LE PHÉ
E DE CHARLES BELL Si 7 De tout rela l'on doit conclure que dans les
paralysies
doubles .la racial on obtient le phénomène de C
4. BORDIER ET FIIE'JOEL. - Sur un nouveau phénomène observé dans la
paralysie
faciale périphérique et sur la valeur prognosti
rique, 243 LAMY, Poli encéphalite chronique ; ophtal- moplégie et
paralysie
bilatérale de la branche motrice du trijumeau ;
ence chez un ? me mlllade de paraplégie cérébrale infantile et de
paralysie
spinale infantile. Autopsie '4 ni.), 12-2. Ro
), par E. Long, 46. Catit toniques (symptômes) au CO'II'S de la
paralysie
qértérale (2 pl ), par SÉGLAS, 18. Cervelet [at
34. Oslétm syphilitique (2 pl.), par Quartier et DESCOMPES, 84.
Paralysie
¡ ? udo bulbaire (3 pl.), par RAY- TfOP7D et AL
u cervelet (ITALO ROSSI), VII, VIII, IX. Catatonie au cours de la
paralysie
géné- rale (J. SEGLAS), 1, l1. Cervelet sénil
ARTIER et P. DEscoNips), X, XI. Paraplégie cérébrale infantile et
paralysie
spinale infantile (1 Rossi), XXV a XXVIII. Pa
infantile et paralysie spinale infantile (1 Rossi), XXV a XXVIII.
Paralysie
pseudo-bulbaire (Raymond et AL- QUlER), LXVI à
imanti), LXXXIX. Poliencéphalite chronique. Ophtalmoplé- gie et
paralysie
des muscles mastica- teurs (H. LAMY), XXIV. P
s l'hystérie a\ec des caractères similaires. Les troubles moteurs :
paralysies
, convulsions, incoordination, trem- blements, s
tremblements rappelant d'une manière frappante tantôt le type de la
paralysie
agitante, tantôt celui de la sclérose en plaque
mouvement le maxillaire illfé- rieur se met à trembler. Absence de
paralysie
faciale. Les paupières sont à demi closes et an
ste, cette hémiplégie présente encore actuellement le caractère des
paralysies
hystériques : la face est res- pectée ; la lang
de trente-sept ans, a eu dans son enfance des convulsions et de la
paralysie
infantile qui lui a laissé des déformations indél
érogènes et spasmo- frénatrice, le mutisme passé, l'hémiplégie sans
paralysie
faciale, sans exagération des réflexes, etc. Se
Les vertiges, le trem- blement intentionnel qui siège du côté de la
paralysie
sensitivo-mo- trice, tout dépend de la névrose
d'éclampsie, trois semaines après l'avortement, qu'est survenue la
paralysie
des membres inférieurs. Le début a dû être rapi
demander si la névrose ne coexistait pas ici avec le tabes, avec la
paralysie
agitante, avec la sclérose en plaques. L'évé- n
te justesse. La parésie des bras, le trem- blement intentionnel, la
paralysie
avec rigidité des membres inférieurs, l'exagéra
un accompagnement rare de la pa- raplégie hystérique. En outre, la
paralysie
était accompagnée d'un tremblement intense « co
LA SALPÊTRIÈRE. dont l'une, de longue durée, n'était liée à aucune
paralysie
laryngée et guérit spontanément. En présence
heim ' publie une observation de névrose bul- baire ayant simulé la
paralysie
glosso-laryngée et dans laquelle l'au- topsie r
e qu'il existe une névrose qui se montre sous les sym- ptômes d'une
paralysie
labio-glosso-laryngée sans atrophie. » Bris- to
d'une rougeole, est pris subitement, sans cause appréciable, d'une
paralysie
de la langue, puis d'un état léthargique, duran
n de la parole, dégluti- lion pénible et difficile. Constipation et
paralysie
de la vessie. Quelques semaines après, le matin
sitho-motrice du côté gauclie avec tremblement intentionnel. Pas de
paralysie
dans le do- maine du facial. Contraction parado
radoxale disparaît. Quelques jours après, amélioration complète. La
paralysie
et la rigidité s'amendent très nota- blement, s
s rigides et violacés jusqu'illa hauteur des coudes. Le 1G octobre,
paralysie
avec refroidissement des membres inférieurs. Le
mbres supérieurs plus violent. Vertiges et chutes. Le le, novembre,
paralysie
des quatre extrémités qui dure une demi-heure.
uit. - Le 20, température élevée. Incontinence d'urine. - Le 21, la
paralysie
se dissipe et le malade reprend sa connaissance
us marqué à gauche qu'à droite ; pas de trépidation spinale. Pas de
paralysie
faciale. Tempérament hautement hystérique. Il par
ystème nerveux, t. IL DE L'OPIITHALMOPLËGIE EXTERNE COMBINÉE A LA
PARALYSIE
GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
éressés. L'ophthalmoplégie externe est accompagnée d'une ébauche de
paralysie
bulbaire inférieure : la déglutition est légèreme
ndant 5G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. aucune Irace de
paralysie
faciale ni à droite ni à gauche. Les yeux seuls s
es cordes n'est pas absolue; il reste un très léger hiatus.' Pas de
paralysie
, ni d'altération de la muqueuse en dehors de la
ut. Les réflexes sont absents aux membres supérieurs et il n'y a ni
paralysie
des sphincters ni modification de la sensibilit
art et de Pagenslecher). '. 1 ' . Examen de M. Parinaud : , 0. D.
Paralysie
de l'adduction et de l'abduction assez complète
, 0. D. Paralysie de l'adduction et de l'abduction assez complète;
paralysie
moins complète de l'élévation; l'abais- sement
u d'écaille qui fait vibrer les cordes. Cela rappelle la main de la
paralysie
agitante. L'aisselle droite est le siège d'un
« L'oedème se superpose presque toujours à une contracture ou à une
paralysie
d'un membre. » Nous eussions volontiers étudié
ues : chorée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours,
paralysies
, contractures, etc. Le 16 mars 1890, nous l'h
ées ou diffuses, rappelant plus ou moins le tableau clinique de ! a
paralysie
générale de l'adulte; ce sont les encéphalites,
d'autres peuvent par des efforts volontaires faire disparaître des
paralysies
suggérées. Mais dans ces deux seuls cas où l'on
aspect bien connu des malades affectés de trémulationalcoolique, de
paralysie
générale ou bien du tremblement symptomatique de
lements vibratoires déjà décrites (tremble- ments alcoolique, de la
paralysie
générale progressive, de la maladie de Basedow)
naient des vertiges et de la diplopie. L'examen objectif montra une
paralysie
spasmodique des extrémités avec démarche incertai
cédées d'aura typique. Quand elles sont suivies d'hémiplégie, cette
paralysie
revêt d'ordinaire les caractères sensitivo-mote
-moteurs des hémiplégies hystériques : hémia- nesthésie, absence de
paralysie
faciale ou spasme glosso-labié, démarche spécia
ES SIMULATEURS DES PARAPLÉGIES SPINALES Déterminer la cause d'une
paralysie
des membres inférieurs est un des problèmes les
nt obscur qui demande de nouvelles recherches. Assurément, dans une
paralysie
des membres inférieurs consécutive à une fractu
variétés de paraplégies organiques; et si, en somme, dans un cas de
paralysie
organique, le plus souvent la méprise ne pourrait
s près de nous, Leyden 3 constate que, « de toutes les formes de la
paralysie
hystérique, la pa- raplégie est celle qui resse
sie hystérique, la pa- raplégie est celle qui ressemble le plus aux
paralysies
causées par les maladies organiques de la moell
al nervous affection, London, 1837, p. 47. 2. Mesnot, Etude sur les
paralysies
hystériques, Thèse de Paris, 1852, p. 34. 3. Le
i\. 10 138 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'étude des
paralysies
hystériques de nombreuses leçons, il semblerait
'deux affections coexistâmes. Quelle que soit sa cause première, la
paralysie
organique des membres inférieurs peut être comp
tion constante; il est fréquent de voir, chez un même malade, une
paralysie
d'abord flasque devenir, brusquement ou peu à peu
ans, démontré l'influence des traumatismes sur le développement des
paralysies
hystériques, d'avoir étudié et précisé leurs cara
tudié et précisé leurs caractères et de les avoir différenciées des
paralysies
organiques d'origine céré- brale ou spinale. Il
le. Il a montré, avec une rigueur incomparable, l'iden- tité de ces
paralysies
et de celles que l'on peut produire par suggestio
u élevé, choc violent, accident de chemin de fer, peut produire une
paralysie
des membres inférieurs. Dans les cas typiques,
une paralysie des membres inférieurs. Dans les cas typiques, ce'te
paralysie
est caractérisée par un ensemble de symptômes q
suivantes mettront en lumière. Oss. XXVII (résumée) (Charcot, Des
paralysies
hystéro-traumatiques chez l'homme. Paraplégie e
dans le dos; ses jambes se dérobent et il tombe par terre avec une
paralysie
des mem- bres inférieurs. Son patron l'emmène d
de constater que les douleurs rachidiennes soient si vives, que la
paralysie
vésicale ait disparu, puis sur- tout que survie
peu d'arthralgie du côté de la hanche. Sa démarche est celle de la
paralysie
hystérique. Troubles de la sensibilité. Le memb
et le fait est aussi certain que possible. Quand on ren- contre une
paralysie
possédant les caractères précédents, on peut êt
les caractères précédents, on peut être certain qu'il s'agit d'une
paralysie
hystérique; « il n'est pas possible qu'il s'agi
paralysie hystérique; « il n'est pas possible qu'il s'agisse d'une
paralysie
d'un autre ordre ». 1 Obs. XXVIII (Berbez, Hy
XVIII (Berbez, Hystérie et traumatisme. Th. de Paris, 1887. p.106).
Paralysie
hystéro-traumatique consécutive ci une contusion
légie organique était manifeste. Le traumatisme, les ecchymoses, la
paralysie
des membres inférieurs, etc., tout pouvait fair
modérément, avec la main, la région dorsale, pour déterminer une
paralysie
des membres inférieurs. Cette paralysie motrice s
orsale, pour déterminer une paralysie des membres inférieurs. Cette
paralysie
motrice s'accom- pagne de troubles de la sensib
nt la délimitation est identique à celle que l'on constate dans les
paralysies
hystéro-trauma- tiques. Nous avons fréquemment
traumatisée » expéri- mentalement, elle tombe brusquement avec une
paralysie
des membres inférieurs. Les troubles moteurs so
bs. XXVIII), on se convaincra de l'identité de ces deux variétés de
paralysies
. L'anesthésie respecte les organes géni- taux :
uis une cystite survient. Février 1889. Nouvel examen minutieux. La
paralysie
du mouvement 1. ThQrnburn, A contribution to th
rvation comme terme de compa- raison, pour montrer les rapports des
paralysies
organiques et des paraplégies hystériques, tout
n malade qui, consécutivement à un traumatisme, se trouve frappé de
paralysie
des membres inférieurs, il faut donc penser à l
est exceptionnelle dans la paraplégie hystérique, commune dans les
paralysies
médullaires d'ordre trauma- tique. L'incontinen
ise 150 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. psychiquement sa
paralysie
avant de l'objectiver. Il n'est pas rare cepend
aussitôt après l'accident, mais il ne s'agit pas là d'une véritable
paralysie
; l'impotence relève alors des contusions, des p
veux. (il suivre.) . DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA
PARALYSIE
GLOSSO-LAB10-LARYL\GÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAI
sant à mettre en mouvement. On ne constate pas de signe bien net de
paralysie
faciale nucléaire. Le front présente à peu près
entièrement par la volonté; il n'existe ni à droite ni à gauche de
paralysie
de l'orbiculaire des paupières. Mais on peut
is on peut constater quelques signes, peu accentués à la vérité, de
paralysie
bulbaire inférieure. Il existe une certaine gêne
e de l'oeil droit, puis de la diplopie, plus tard du ptosis, et une
paralysie
du sphincter irien à l'accommodation, une paralys
ptosis, et une paralysie du sphincter irien à l'accommodation, une
paralysie
du droit interne et du droit inférieur du même
r du même côté; à gauche, ptosis, légère dilatation pupil- laire et
paralysie
de l'abduccns.-Les phénomènes persistèrent une an
loppa une atrophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main,
paralysie
et atrophie du premier'interosseux, de l'émi- 1
'impuissance génésique. Il s'agit là d'un cas de complication de la
paralysie
nucléaire des yeux par l'atrophie musculaire pr
que l'atrophie du membre inférieur droit commença à apparaître. La
paralysie
porte aujourd'hui sur tous les muscles de l'oeil,
fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858; sa mère est morte d'une
paralysie
qui commença par les pieds et dura sept à huit an
ard enfin il eut une troisième attaque. Aucune d'elles ne laissa de
paralysie
à la suite. Jusqu'à vingt ans il n'eut pas d'au
ttre au traitement iodé, parce qu'il n'avait pas eu la syphilis. Sa
paralysie
du côté droit l'obligeait à se servir de béquille
chs, ne peuvent être inter- prétés autrement que dans le sens d'une
paralysie
nucléaire et d'une poliomyélite. La perte des
et en dehors; immobilité complète dans tous les autres sens. Pas de
paralysie
interne des yeux, pas d'altération de la vue, p
e la cinquième paire motrice, de l'hypoglosse, du vague accessoire (
paralysie
des sterno-mastoïdiens)etduglossopharyngien sont
te, s'est ajoutée au sentiment de faiblesse dans les extrémités une
paralysie
de l'oculo-moteur droit qui persiste encore auj
de la première paire motrice, de l'hypoglosse, du vague accessoire (
paralysie
des sterno-mastoïdiens) et du glosso-pharyngien.
lard; les traits sont effacés, aplatis et rappellent l'aspect d'une
paralysie
faciale. Les lèvres sont distendues, l'orifice
on les observe chez des malades un peu avancés en âge, à simuler la
paralysie
agi- tante. Les oscillations qui les composent
s font ressembler d'une manière frappante aux individus affectés de
paralysie
agitante. Un très bel exemple de cette simulati
u près la même époque, dans une note qui a pour titre Sur un cas de
paralysie
agitante, forme originale de la névrose traumat
logies qui existaient entre ces deux cas et le type classique de la
paralysie
agitante, M. Oppenheim, qui avait porté tout d'
itante, M. Oppenheim, qui avait porté tout d'abord le diagnostic de
paralysie
agitans, énumère les différentes raisons qui lu
symétriques et réguliers. Il n'y a aucune apparence de spasme ni de
paralysie
. La langue est tirée droite et se meut dans tou
ique à forme vibratoire et les tremblements également rapides de la
paralysie
géné- rale, de la maladie de Basedow et de l'in
llations par seconde. État de la motilité. Il n'y a pas de trace de
paralysie
dans le côlé droit. La malade boite un peu en
ètrièrc. IV. 15 DE L'OPIITHALiIIOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA
PARALYSIE
GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
es bulbo-cérébraux (Seelimüller). Dans l'observation suivante, la
paralysie
bulbaire inférieure fait, dès le début, partie
x-neuf ans, polisseuse, qui souffre, depuis six mois environ, d'une
paralysie
faciale gauche et de plus a de temps en temps d
cause apparente de la maladie. La malade présente actuellement une
paralysie
faciale gauche, une parésie bilatérale de l'hyp
ésie du vague et du glossopharyngien, avec ophthalmoplégie externe (
paralysie
des deux releveurs de la paupière, du droit int
du droit interne du côté droit et du droit externe du côté gauche,
paralysie
des deux droits supérieurs et des deux obliques
ère, tantôt la diplopie, tantôt la diminution de l'acuité visuelle (
paralysie
de l'accommodation) qui attire tout d'abord l'att
affec- tion s'affirme par la lenteur, l'hésitation avec laquelle la
paralysie
oculaire se complète : témoin le cas de Bristow
r au bout d'un an, un an et demi, la poliomyélite se com- pliqua de
paralysie
bulbaire supérieure. La localisation essentiell
meillé pendant quatre ans, elle paraît se réveiller aujourd'hui; la
paralysie
glossolabiolaryngée qui vient de se déclarer ne t
ique et progressif; il n'est malade que depuis deux ans, et déjà la
paralysie
bulbaire est menaçante. Polioencéphalomyélite s
La rapidité avec laquelle l'ophthalmoplégie externe se combine à la
paralysie
et à l'amyotrophie, constitue le trait caractéris
x, les phénomènes fébriles, signalés dans certaines observations de
paralysie
générale spinale antérieure subai- guë, firent
rvations de polioencéphalomyélite que nous étudions. Début par la
paralysie
bulbo-protubérantielle. Eicchorst rapporte que
elle. Eicchorst rapporte que sa malade fut atteinte tout d'abord de
paralysie
faciale gauche et de diplopie passagère, et que
ut de même chez notre malade de l'observation XXVII. Début par la
paralysie
des membres inférieurs. Chez Peyn... la paralys
I. Début par la paralysie des membres inférieurs. Chez Peyn... la
paralysie
débuta par les membres inférieurs, ainsi qu'il ar
thalmoplégie apparut sous forme de ptosis. Presque en même temps la
paralysie
s'étendit aux membres supérieurs, en commençant
ent à ce qui se passe dans la polioencéphalomyélite chro- nique, la
paralysie
est ici le premier phénomène en date : c'est elle
capables de serrer un objet. Malgré cette inégale répartition de la
paralysie
et de l'amyotrophie, l'aflection progressa si b
c de la lésion spinale, diag- nostic que vient encore corroborer la
paralysie
de la musculature exté- rieure des yeux. Tels
presque dire la simultanéité avec laquelle l'ophthalmoplégie et la
paralysie
amvotrophiqusrétaient délar : é.es,.laaxlarche pr
se rappelle quelle fut la fin de la malade de Eichhorst, comment la
paralysie
glosso-labio-laryngée entraîna la mort six mois
s accidents. N'allait-il pas en être de même chez Peyn... menacé de
paralysie
bulbaire ? Tout en faisant de justes réserves s
s, le ptosis est moins apparent. Il n'y a pas la moindre ébauche de
paralysie
bulbaire. Seuls les membres supérieurs sont res
établir le diagnostic. Ce sont ceux dans lesquels aux phénomènes de
paralysie
bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les
i résulte de l'association du faciès d'lIutchinson avec celui de la
paralysie
labio-glosso-laryngée. Qu'on veuille bien seule
s de les connaître. En tout cas l'absence dans la myo- pathie d'une
paralysie
labio-glosso-laryngée qui ne larderait pas à se
vie à l'intoxication plombique, on aurait pu penser un instant aune
paralysie
saturnine (obs. XXV). Mais cette hypothèse ne pou
, pas de saturnisme. En 1880, il fut pris, sans cause connue, d'une
paralysie
des releveurs des paupières, étendue bientôt au
l gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les signes d'une
paralysie
bulbaire infé- rieure qui s'était développée en
eure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la langue,
paralysie
des muscles du voile du palais et du pharynx, de
alpêtrière. 1. Déjeriue-Klumpke, Des polynévrites en général et des
paralysies
et atrophies saturnines en particulier. Tli. Pa
faradique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde attaque de
paralysie
dura plus d'un an et guérit complètement. Le ma
t guérit complètement. Le malade ne conserva qu'un certain degré de
paralysie
du droit externe de chaque oeil, produisant un
ophies. On sait quelle obscurité règne encore sur l'étiologie de la
paralysie
glosso-Iabio-laryngée et de l'atrophie musculai
ent ce qui est à craindre chez Brau..., qui présente une ébauche de
paralysie
glosso-labio-laryngée. A en juger par les obser
la mort parait fatale dès que se manifestent les premiers signes de
paralysie
bulbaire. Dans le cas contraire, il est possibl
our l'ophthalmoplégie avec ataxie locomotrice, sclérose en plaques,
paralysie
générale progressive, psy- chose. Dans ces auto
gales, réaction normale à la lumière, accommodation normale. Double
paralysie
faciale complète, avec paralysie du facial supé
ère, accommodation normale. Double paralysie faciale complète, avec
paralysie
du facial supérieur : paralysie du voile du palai
le paralysie faciale complète, avec paralysie du facial supérieur :
paralysie
du voile du palais. Affaiblissement des muscles
ou, de plusieurs groupes des membres supérieurs et inférieurs. Pas de
paralysie
dc la langue. Pas d'atrophie. Pas de troubles d
r en jour, deviennent plus nombreux lies travaux démontrant quc les
paralysies
et les autres phénomènes en apparence d'origine
es. En tout cas il n'est pas vraisemblable qu'il s'agisse ici d'une
paralysie
multiple périphérique. Le développement éminemmen
simile ce processus scléreux initial avec celui qui donne lieu à la
paralysie
labio-glosso- laryngée et à la sclérose latéral
'18M, yVestphali avait trouvé, chez un tabétique avec psychose2 et
paralysie
oculaire, une atrophie des nerfs oculomoteurs com
les Archiv sur Psychiatrie und Nervenkrankheiten, un nouveau cas de
paralysie
oculaire, un des plus beaux cas, dit-il, en rai
attaque; perte de connaissance partielle pendant deux jours avec la
paralysie
du bras droit. Troisième attaque, onze mois plus
, onze mois plus tard, avec perte de connaissance de trois jours et
paralysie
du côté droit. A la suite de cette dernière atl
Nous terminerons la série d'examens microscopiques concernantles
paralysies
chroniques et progressives des muscles oculaires
à celte observation que nous citons presque in extenso. OBs. XL.
Paralysie
chronique et progressive des muscles de l'oeil.
suit. Ptosis double plus accusé à droite, myosis double permanent,
paralysie
presque complète de l'oculomoteur et du trochléai
caractéristique de la myélite aiguë et signalé par Benedild dans la
paralysie
bulbaire progressive. Jusqu'ici cette altératio
endance il l'élévation de la pupille en haut el en dehors, dus à la
paralysie
de la troisième paire; enfin l'intégrité de l'ac-
ssent les accidents morbides caracté- risés essentiellement par une
paralysie
bilatérale plus ou moins com- plète des muscles
morbide ne fait aucun doute pour Thomsen, d'autant mieux que des
paralysies
semblables des muscles oculaires ne sont point ra
la névrite alcoolique. Thomsen croit en effet qu'une partie de ces
paralysies
oculaires sont d'origine centrale. Il cite à l'
orvans'clte Krankheil. DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA
PARALYSIE
GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
pathologique, voici une obser- vation d'ophthalmoplégie aiguë avec
paralysie
du voile du palais, d'origine diphthéritique. M
étaient atteints de névrite parenchymateuse et'interstitielle. La
paralysie
toxique de la musculature extérieure de l'oeil ne
toujours aussi malheureusement; on sait depuis long- temps que les
paralysies
oculaires diphthéritiques peuvent guérir au mêm
sies oculaires diphthéritiques peuvent guérir au même titre que les
paralysies
des membres; mais jusqu'à ces dernières années
pas attaché à spécifier la forme sous laquelle se présentaient ces
paralysies
oculaires. Rappelons en passant que Uhthoff par
une diphthérie pharyngée, guérie le 28 septembre. Dès le 4 octobre,
paralysie
du voile palatin; le 2 novembre, troubles visuels
. Ptose palpébrale double plus marquée à droite. Sur l'oeil droit :
paralysie
du muscle droit interne et parésie des droits e
sie des droits externe, supérieur et inférieur. Sur l'oeil gauche :
paralysie
des muscles droits. Aucun trouble de l'accom- m
ion, aucun rétrécissement du champ visuel. Parésie du facial droit.
Paralysie
du voile palatin. Parésie des muscles de la nuque
e. Mort le 11 novembre par aggravation des symp- tômes existants et
paralysie
des poumons. Le cerveau seul a été autopsié. Ri
érite bien le 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nom de
paralysie
bulbaire supérieure proposé par M. le professeur
supérieure proposé par M. le professeur 1 Charcot, qui réserve à la
paralysie
labio-glosso-laryngée le nom de pa- ralysie bul
ire inférieure. 2° Toute curable qu'elle soit dans certains cas, la
paralysie
double de la musculature extérieure de l'oeil e
n pronostic i réservé que justifie la complication éventuelle de la
paralysie
labio- glosso-laryngée. - t. 3° La poliencéph
ce bulbo-protubéranticlle; débute ordinairement par la ^jjs- «Un-1^
paralysie
bulbaire supérieure, c'est-à-dire par l'ophthalmo
légie. Il est , ' exceptionnel de voir cette dernière compliquer la
paralysie
bulbaire ; inférieure. 4° De même que la para
compliquer la paralysie bulbaire ; inférieure. 4° De même que la
paralysie
labio-glosso-laryngée (poliencéphalite ' inféri
lioeacéplzaLomélite. ! 5° L'absence de troubles de la sensibilité, de
paralysie
de la vessie ou 1 du rectum, la perte des réfle
lite antérieure chronique), tantôt avec ceux du type clinique de la
paralysie
spinale antérieure subaiguë. 1 7° Quelle que so
est fréquente chez nos malades, en dehors même de tout symptôme de
paralysie
générale dont elle n'est nullement caractéristi
possible d'une commis- sure (asymétrie congénitale, contractures on
paralysies
de causes diverses), la saillie totale et la pr
ple bifidité de la luette, ses déviations congénitales ou acquises (
paralysies
de causes diverses). EXAMEN MORPHOLOGIQUE CHEZ
ctions chirurgicales ou à des maladies antérieures ou coexistantes (
paralysie
infantile, amyotrophies ou contractures de caus
TE') CHAPITRE IV PARAPLÉGIES HYSTÉRO-SPONTANÉES SIMULATRICES La
paralysie
hystérique des membres inférieurs n'a pas besoin
e paraplégie hystéro-spontanée. Mais, en somme, ces deux groupes de
paralysies
sont liés par les liens les plus étroits. Dans
uivent. OBs. XXX (inédite). llémiparaplégie hystérique simulant une
paralysie
d'origine syphilitique. F...nd Louis, menuisier
uble. M. Parinaud qui l'examina à cette époque fit le diagnostic de
paralysie
de la convergence, et conseilla l'iodure de pot
de fut pris d'une autre affec- tion des yeux. On constata alors une
paralysie
de l'orbiculaire liée à une paralysie faciale g
s yeux. On constata alors une paralysie de l'orbiculaire liée à une
paralysie
faciale gauche incomplète, la disparition de la d
. Il était très amélioré, et, quinze jours après, la guérison de sa
paralysie
était complète. Quelque temps après, il fut pris
ogie, 188G). Dans ces deux observations, la nature hystérique de la
paralysie
ne semble pas contestable : les stigmates sensi
le formuler, en déclarant qu'on risque facilement de confondre ces
paralysies
« avec des lésions organiques ÉTUDE DES SYNDROM
HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 305 de la moelle épinière, lorsque la
paralysie
des membres inférieurs est compliquée d'une rét
a coexis- tence des stigmates hystériques, sur la guérison de cette
paralysie
, etc. î on écarta l'idée d'une myélite spécifiq
ôt suivie de contracture. Vingt mois après, elle se complique d'une
paralysie
des réservoirs. Et depuis cinq ans, cette paraplé
ement complexe et que des réserves pourraient sembler légitimes. La
paralysie
des sphincters est chose relativement rare dans
Malgré cette longue durée, le mode de début et les caractères de
paralysie
écartent toute idée d'une affection organique de
Brieger, Cha1'ité-Annale, 1887, p. 140). L'auteur diagnostique une
paralysie
spasmodique de nature saturnine due à une lésio
ésie, ou plutôt hypodynamie du membre supérieur gauche, mais pas de
paralysie
véritable; la malade se sert de sa main et de s
ce de M. le D' G. Vallet). Para- plégie hystérique spasmodique avec
paralysie
des sphincters. Mlle M... a dix-neuf ans. Elle
mois de janvier 1888 au mois d'avril, la main gauche fut frappée de
paralysie
survenue tout d'un coup, complète dès le premie
n avouer qu'une paraplégie qui se présente avec impotence complète,
paralysie
des sphincters vésical et rectal, exagération d
emps de métrorrhagies, lorsque le 9 février 1890, elle fut prise de
paralysie
des membres inférieurs dans les conditions suiv
e soit d'ordre traumatique ou spontanée, flasque ou spasmodique, la
paralysie
des membres inférieurs est la seule mani- ÉTUDE
réaliser. N'est-ce pas absolument conforme au mécanisme général des
paralysies
hystériques, à ce mécanisme psychique sur leque
ial à la description d'un désordre neuro-musculaire qui n'est ni la
paralysie
ni la contracture et qui cependant lient de l'u
tracture-. Cet état spécial du système neuro-musculaire tient de la
paralysie
en ce qu'il coïncide le plus souvent avec un af
ce chapitre d'un ouvrage de notre collaborateur Paul Richer sur les
Paralysies
et les contractures hystériques qui doit paraît
nt musculaire peut être plus considérable et atteindre presque à la
paralysie
. Duchenne de Boulogne 3a°3 NOUVELLE ICONOGRAPHI
as, il ne cesse pas d'être- symétrique, et ne s'accompagne d'aucune
paralysie
localisée qui puisse le faire rapprocher des fa
. On constata aussi, à cette même époque, la déviation des yeux, la
paralysie
faciale et les troubles du langage. Ces divers ac
pontanément le bras, ou bien quand on le lui ordonne, sans trace de
paralysie
. Si on pince la jambe de ce côté, il la retire, m
, les phénomènes morbides sont multiples. Et d'abord,'] on noie une
paralysie
faciale complète et totale du côté gauche. Celle
ôté gauche. Celle hémi- ( plégie présente tous les caractères de la
paralysie
faciale périphérique : dis- I parition des sill
articulières. L'existence de la glossoplégie n'est pas douteuse; la
paralysie
de l'hy- poglosse se traduit en effet par des t
impossibilité de tirer la langue hors de la bouche. Du reste, cette
paralysie
n'est pas exceptionnelle dans le syndrome Milla
n'est pas exceptionnelle dans le syndrome Millard-Gubler. « Dans la
paralysie
alterne, dit Notlinagel', s'adjoint assez souve
ême temps qu'une para- lysie de l'hypoglosse on constate encore une
paralysie
de l'abdllcens. Quoique, au dire de Nothnagel,
dire de Nothnagel, celle-ci soit plus rare que la précé- dente, la
paralysie
de la sixième paire s'adjoint assez souvent à cel
sés, et c'est là un fait qui méritait d'être souligné. Cette double
paralysie
de l'hypoglosse et de l'oculo-moteur externe, j
système nCl'\Cl1'1 : . 1. Parinaud et G. Guinon, Note sur un cas de
paralysie
du moteur oculaire externe et du facial, etc. (
e. Les réactions électriques se troublent assez rapidement dans les
paralysies
spinales. Mais il ne faut pas oublier que ces t
utanée. Il est incontestable que l'anesthésie peut manquer dans les
paralysies
hystériques, quoique Spring dise dans son Traité
e d'une récidive. 4.° Les commémoraii fs permettront d'éliminer les
paralysies
toxiques ou infectieuses. Il faudra encore él
rcher la cause de la paraplégie. Erard a pourtant signalé un cas de
paralysie
des membres inférieurs chez une femme atteinte
éliminer successivement pour arriver par exclusion au diagnostic de
paralysie
hystérique. Les para- plégies par compression m
atisme; dans tous les cas, ils ne sont pas sous la dépendance d'une
paralysie
oculaire ni d'une lésion du fond de l'oeil, tous
hystériques avec 1. 1,;tljitibhi, De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques (Progr. méd., 1886, n° li, cl Archi
st déjà appréciable, tout au plus quinze jours après le début de la
paralysie
... La rétrocession de l'atrophie semble pouvoir
origine hystérique peut quelquefois envahir des membres indemnes de
paralysie
ou de contracture. Géné- ralement alors elle se
grande hystérique du nom de Van- delinc. Cette maladeeutun jour une
paralysie
du, long péronier latéral qui s'accompagna d'at
action de dégénérescence. Au bout de dix-huit mois l'atrophie et la
paralysie
disparurent. En somme, il s'agit là d'une varié
ite), Amyotrophie hystérique simulant l'atrophie mus- culaire de la
paralysie
infantile. Cécile Vil..le, seize ans, vient le
par M. Vigoureux (24 juin et 31 juillet 1890). 1° A la face, pas de
paralysie
faciale périphérique. Spasmes du côté droit, pe
pas davantage qu'il s'agisse d'une lésion spinale, d'une véritable
paralysie
infantile avec atrophie. Dans la paralysie spi-
spinale, d'une véritable paralysie infantile avec atrophie. Dans la
paralysie
spi- nale de l'enfance, la forme hémiplégique e
lais ne présentent d'atrophie; il y a seulement un degré notable de
paralysie
des muscles du voile du palais, elles aliments,
mique. Le fait n'est pas douteux, et en voici les raisons : 1° La
paralysie
infantile spinale avec atrophie remonte il l'âge
er la question. M. Gombault n'a-t-il pas signalé l'apparition de la
paralysie
infantile à un âge déjà avancé ? Mais cette hyp
nt se tirer des caractères mêmes de l'amyotrophie : ' 1. Charcot,
Paralysie
spinale infantile; paraplégie alcoolique. Attaque
des stigmates de la névrose. C'est tantôt sur un membre affecté de
paralysie
ou de contracture, tan- tôt sur une région anes
URS ». 449 ciaux, l'hystérie ne s'imposait pas en présence de cette
paralysie
avec oedème bleu et dissociation syringomyéliqu
apparition brusque, apoplec- tiforme, est tout à fait analogue aux
paralysies
hystériques précédées d'ictus étudiées par MM.
» nerveux ressenti dans un accident de chemin de fer... à savoir :
paralysie
agitante, vésanie, épilepsie, sclérose en plaqu
s qu'elle frappe à des degrés divers. Enfin c'est une atrophie sans
paralysie
ou avec paralysie secondaire. 3° L'oedème vio
des degrés divers. Enfin c'est une atrophie sans paralysie ou avec
paralysie
secondaire. 3° L'oedème violacé du dosde lama i
dit M. Charcot, avec les phénomènes locaux vulgaires, contractures,
paralysies
, qu'il accom- pagne.» Le massage, le transfert
ie, l'oedème des membres infé- rieurs, la rupture des vaisseaux, la
paralysie
temporaire des membres supérieurs, sont imputab
ui-même (5). Le D'' Blocq (5) cite le cas d'un tabétique atteint de
paralysie
générale des aliénés à qui le médecin a permis,
a été appliquée dans la neurasthénie, l'hystérie, l'impuissance, la
paralysie
agilante, les névralgies et dans les méningo-my
harcot, Althaus, Ilausalter et Adam. Ils font remarquer que dans la
paralysie
agitante les résultats obtenus ne se rapportent
e plu- sieurs séances de suspension, les douleurs ont diminué et la
paralysie
s'est suffisamment améliorée pour permettre au
ait remarquer dans leurs observations Mendel et Eulenburg. Dans les
paralysies
spasmodiques les résultat ssont insignifiants; qu
du magné- tisme. Elle mourut également chez Mesmer des suites d'une
paralysie
compliquée de cécité. A droite, le tombeau de
l croyait son fluide capable de guérir un cancer de l'utérus ou une
paralysie
orga- nique ? Peu lui importait certainement, p
lt et Dalciue, 362. Ophthalmoplégie externe (De l'- combinée à la
paralysie
labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculair
s purent observer. En 1866, Bouchut, relatant trois observations de
paralysie
générale, signale dans chacune d'elles l'existe
érations indi- quées par Galezowski ; 3° Parfois, et au début de la
paralysie
générale, la papille est hyperhémiée, les artèr
rose, connue depuis Calmeil, pouvait donc surve- nir au cours de la
paralysie
générale, et, alors que Billod n'en cite que tr
thèse inaugurale, comptait, en 1877, au nombre des symptômes de la
paralysie
générale, l'atro- phie papillaire. Il avait exa
X. 3 tard de troubles mentaux qui se développèrent au cours de la
paralysie
générale. En'1883, Hirschberg, s'occupant des t
e. En'1883, Hirschberg, s'occupant des troubles oculaires dans la
paralysie
générale, s'exprime ainsi : « L'atrophie des nerf
; d'après Mendel, on ne la rencontre que dans4à5 5 p.100 des cas de
paralysie
générale ». Il cite l'observation d'un homme âg
la l'attention sur une maladie du système nerveux, fit suspecter la
paralysie
géné- rale qui s'affirma par la suite. Uhthof
et Bickeston, trois ans plus tard (1889) trou- vent, sur 66 cas de
paralysie
générale, une minorité considé- rable de névrit
ne manie pure et qui cependant succomba, douze mois plus tard, à la
paralysie
générale ». Gilbert Ballet, en 1893, rapporte u
troubles oculaires avant même que tous les autres symp- tômes de la
paralysie
générale ne fussent devenus nets : 1° Le nerf o
ations de l'oeil qu'il a trouvées plus que partout ailleurs dans la
paralysie
générale. Après avoir signalé l'inégalité pupil
paralysie générale. Après avoir signalé l'inégalité pupillaire, la
paralysie
des muscles, l'atrophie du nerf opti- que, il s
suffise de dire qu'ils présentaient la plupart des symptômes de la
paralysie
générale, qu'aucun n'était tabétique, et que ch
it dans la proportion de 82,35 p. 100. Chez sept malades, dont la
paralysie
générale avait déjà atteint une période avancée
on était assez bonne. Il serait peut-être témé- raire d'inculper la
paralysie
générale, mais le manque de myopie, dans ce cas
ait de l'atrophie blanche bilatérale et l'observation montre que la
paralysie
générale débuta chez lui par la perte de la vue
il, les uns étaient en rémission, les autres étaient atteints d'une
paralysie
générale à évolution lente, 8 d'entre eux étaie
cune systématisation. Mémoire abolie. Signes physiques : marqués de
paralysie
générale. Tremblement fibrillaire de la langue,
égénérescence. Athérome artériel. Il présente tous les signes de la
paralysie
générale à la der- nière période. Sa mémoire es
cérébrale, nous a permis de constater les lésions ordinaires de la
paralysie
générale au niveau des circonvolutions frontale
rné d'urgence. Il présentait à l'entrée la plupart des signes de la
paralysie
générale progressive. Etat m6H<t"6s facultés
e atrophie papil- laire blanche des deux côtés. L'évolution de la
paralysie
générale fut assez rapide et V..., très amaigri
es à celles qui frappent les cellules nerveuses de l'écorce dans la
paralysie
générale. 2° La papille dont les fibres nerveus
le tabès ; les lésions parenchymateuses sont moins marquées dans la
paralysie
générale; enfin sur une section transversale du
e-ci serait en somme insulaire dans le tabes et annulaire dans la
paralysie
générale. Nous aurons du reste l'occasion de reve
n qui n'en présentent point. IL -On trouve chez 7 malades dont la
paralysie
générale a déjà atteint une période avancée, 5
2)y, Loiidon, 1879. Boy. Étude clinique du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale. Thèse de Paris, 1879. zD Nettlesiii
al science, 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles oculaires dans la
paralysie
gêné- rale progressive. Progrès médical, juin 1
e. The British Med. Jotti-il., 1898. KLRAVAL. Le diagnostic de la
paralysie
générale. Echo inécli- cal du Nord, avril 1898,
de la motilité notamment étaient alors confondues sous le nom de
paralysies
, c'est-à-dire considérées comme des phéno- mène
e syndrome séparé par Duchenne de Boulogne et Romberg du groupe des
paralysies
, caractérisé par l'in- coordination et non par
à marcher. Ce qui est plus vrai, c'est que bien souvent, dans les
paralysies
notamment, les troubles fonctionnels dépassent
tains muscles n'est pas possible, ces muscles sont paralysés. Les
paralysies
au cours du tabes sont bien connues et nous ne
raideur de la démarche. A ce moment se développe très lentement une
paralysie
, qui devient complète après des semaines ou des
les nerfs des muscles de l'oeil, ou le glosso-pharyngien. Jamais de
paralysie
des sphincters, ni des muscles de la queue. Les
te ; alors, ou la para- lysie cède radicalement, ou il persiste une
paralysie
de quelques nerfs. L'évolution comporte plusieu
dant des années, précéder d'autres manifestations du tabes ou de la
paralysie
générale, dès que ces derniers apparaissent, la
ces derniers apparaissent, la marche de la maladie, surtout de la
paralysie
générale, se précipite. On doit donc, a priori, c
ri- toire encore trop peu exploré. Du reste, les phénomènes de la
paralysie
du sympathique sont tout autres (Heddoeus), et l'
vec l'acide picrique un picrate spécial. sociétés savantes. 103
Paralysie
radiculaire obstétricale. lILHuET a suivi 20 ca
103 Paralysie radiculaire obstétricale. lILHuET a suivi 20 cas de
paralysie
obstétricale du membre supé- rieur et en présen
cale du membre supé- rieur et en présente 4 cas à la société. Cette
paralysie
est causée par l'élongation du plexus au passag
tion de l'amyotrophie, dans ce même cas, il y a eu des symptômes de
paralysie
labio- glosso-laryngée (voie nasonnée) ; langue
surun avant-bras[après résection du coude. SOCIÉTÉS SAVANTES. 108
Paralysie
sensitivo-motrice /(sco-spasmofM6, avec cypho-sco
rs ni de symptômes rondiculaires. Malgré le caractère flasque de la
paralysie
, on cons- tate l'exagération des réflexes rotul
, est bien portante, nerveuse. Une soeur est morte à la suite d'une
paralysie
survenue subitement. Un oncle maternel aurait e
tervenir. Intérêt du diagnostic au point de vue du traitement. IL
Paralysie
du nerf cubital et contracture consécutive « Main
ction de l'arcade palmaire : le premier cas, chez une femme dont la
paralysie
du nerf facial se manifesta au réveil chlorofor
main présentait la déformation en pince. La genèse exacte de cette
paralysie
, affirmée par l'examen électrique, n'a pas pu ê
reçu une balle dans l'avant-bras ; traumatisme suivi aussitôt de la
paralysie
de la main. ' 1H. Un cas d'ostéite déformante
de la face avec début con- génital. VIII. Nouveaux détails sur la
paralysie
asthénique, dont una observation avec autopsie;
urologie, t. IV, p. 501. 189-1. 2° série.) On l'a aussi appelée :
paralysie
bulbaire sans lésions, névrose bulbaire, paraly
aussi appelée : paralysie bulbaire sans lésions, névrose bulbaire,
paralysie
myasthénique (Oppenlieim), myasthénie grave pse
sthénique (Oppenlieim), myasthénie grave pseudoparalytique (Jolly),
paralysie
bulbaire asthéuique(Strümpell), myasthénie géné
myasthénie tout court (Uuverricht.) Elle est plus fréquente que la
paralysie
bulbaire de Duchenne. I. L'auteur fait remarque
ue les relations qu'on a voulu établir entre les néo- plasmes et la
paralysie
asthénique sont hypothétiques, et que les théor
beau jour, par sécré- tion d'une substance toxique spéciale, de la
paralysie
asthénique, Tel est le cas des lipomes des rein
E NERVEUSE. 181 celui-ci fonctionne un peu pour que se produise une
paralysie
complète. L'épuisement du territoire paralysé s
ble des éléments qui précèdent et des signes différentiels entre la
paralysie
asthénique et la polio- encéphalo-myélite aiguë
le foyer purement mental du mouvement volontaire semble intact, la
paralysie
musculaire sur- vient quand le malade lance à p
quemment l'abou- tissant de ce défaut de coordination. G. C. XIV.
Paralysie
asthénique d'Erb; par 111. JossEnwn. (Société des
sente un cas typique de l'affection qu'Erb a décrite sous le nom de
paralysie
bulbaire asthénique. Elle se caractérise surtou
surtout par des signes bulbaires comparables à la fois à ceux de la
paralysie
labio-glosso-laryngée de Duchenne et à ceux de
les qui sont atteints de parésie, de fatigue précoce, plutôt que de
paralysie
; par l'absence d'atrophie, par la participation
méningites, notamment dans la méningite cérébro-spinale. G. C. XVI.
Paralysie
radiculaire totale du plexus brachial gauche et p
sente un malade qui, immédiatement après un grave accident, eut une
paralysie
flasque du membre supérieur et du membre inféri
une chute de la paupière du myosis ; pen- dant quelques jours, les
paralysies
sont restées flasques, puis il y eut des fourmi
llements et un retour de la motilité dans le mem- bre inférieur, La
paralysie
du membre supérieur est restée flasque avec lég
outre, une anesthésie complète du membre supérieur; il n'y a pas de
paralysie
faciale ; le malade craint la lumière; voit bie
jets éloignés et mal les objets rapprochés. Il s'agit, en somme, de
paralysie
radiculaire totale avec phéno- mènes oculaires
asmodique. Ce qu'il y a d'intéres- sant, c'est la coïncidence d'une
paralysie
médullaire et d'une para- lysie périphérique. O
e malade qui, en résumé, a présenté les phénomènes suivants : de la
paralysie
ou de la parésie dans le domaine des VII, IX, X
roubles incontestables de la déglutition et de la phonation, pas de
paralysie
oculaire ni de troubles sensoriels ou sensitifs
te immédiate qui a cédé à une reprise du traitement. G. C. XVIII.
Paralysie
agitante avec tremblement limité aux membres su
es de Lyon, 26 juin 1901.) M. Collet rapporte une observation 'de
paralysie
agitante avec tremblement limité aux membres su
à la dose de 0,001, puis de 0,002. L'auteur fait remarquer que la
paralysie
agitante atteint excep- tionnellement la face.
ine nasal. » qui n'a aucune pré- tention pathogénique. G. C. XXI.
Paralysie
hystéro-saturnine du nerf radial ; par JOSSERAND.
i albuminurie) qui subitement fut pris au milieu de son repas d'une
paralysie
des extenseurs de l'avant-bras droit, et cela,
a décrites chez les ouvriers qui manient le plomb. Le diagnostic de
paralysie
radiale, d'origine saturnine paraissait probabl
nombreuses anomalies : l'unilatéralité, le début apoplectiforme, la
paralysie
du long supinateur. Les fléchisseurs sont attei
uleurs, pas d'atrophie. Devant ce tableau, M. Josserand songe à une
paralysie
hystéri- que. La distribution de l'anesthésie e
matique, toxique. G. C. 188 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXII.
Paralysie
asthénique bulbo-spinale; par Leclerc (Société
2 décembre 1901). M. Leclerc présente une malade avec le sydrôme de
paralysie
athénique bulbo-spinale. A ce propos, il rappel
nique bulbo-spinale. A ce propos, il rappelle que. l'appellation de
paralysie
asthénique bulbo-spinale a prévalu sur celle d'as
e observation concernant un garçon de dix-sept ans qui présente une
paralysie
totale et complète du moteur oculaire commun ga
lysie totale et complète du moteur oculaire commun gauche, avec une
paralysie
partielle du moteur oculaire commun droit (comp
egrettable, mais facile à éviter dans l'avenir. Le diagnostic de la
paralysie
générale au début n'est pas tellement difficile
dence de M. MOTET Contribution à l'élude du cylo-diagnostic dans la
paralysie
gé- aaérale. III1L. Guc.nn et Dun.os communiq
ie gé- aaérale. III1L. Guc.nn et Dun.os communiquent trois cas de
paralysie
générale, assez difficile à diagnostiquer : dan
élire alcoolique, niais la présence de lymphocytes fit craindre une
paralysie
générale ; en effet, ce pro- nostic ne tarda pa
ttente. La constatation des lym- phocytes confirma le diagnostic de
paralysie
générale, caractérisée d'ailleurs, par de l'iné
roisième cas, il s'agit d'une confusion mentale simple. simulant la
paralysie
générale. Le liquide céphalo-rachidien ne conte
ction lombaire, comme un élément considérable de diagnostic de la
paralysie
générale. La présence des éléments est un signe d
pupillaire et le signe d'Argyll. Elle permet de diagnostiquer la
paralysie
générale de l'al- coolisme chronique et constit
l- coolisme chronique et constitue un symptôme pathogénomique des
paralysies
générales douteuses. M. Legrain croit que la pa
mique des paralysies générales douteuses. M. Legrain croit que la
paralysie
générale n'est pas la seule affection dans laqu
e a une importance considé- rable dans le diagnostice précoce de la
paralysie
générale. Cepen- dant on trouve aussi des lymph
toutes les formes de syphilis cérébrales ne se terminent pas par la
paralysie
générale. M. JoFFROY espère qu'un jour le cyto-
éningo-encéphalite diffuse. M. NAGEOTTE. Il en sera peut-être de la
paralysie
générale, comme il en est du tabès, dont nous c
zona. M. V1GOUROUx. Les lymphocytes, bien que permanentes dans la
paralysie
générale, se présentent en nombre peu variable.
'écorce, le cervelet et les centres labyrinthiques. Sur un cas de
paralysie
alterne avec déviation conjuguée de la tête et
aucun sens électives. Les altérations tabétiques comme celles de la
paralysie
générale sont donc une classe spéciale de lésions
a syringomyélie. Contribution à l'étude de l'origine centrale de la
paralysie
saturnine. Observation avec autopsie. MM. Cl.
séjours à la Salpêtrière en 1893, 1896, 1900, pour des accidents de
paralysie
amyotrophique. C'est un peintre-verrier qui a d
ade tousse aisément et il a des bronchites longues chaque hiver. Sa
paralysie
a débuté en 1893, arrivant en quelques semaines
ie cutanée; douleurs dans les poignets). A ses derniers séjours, la
paralysie
amyotrophique est surtout marquée aux extrémité
qui ont toujours soutenu l'origine centrale de certaines formes Se
paralysie
saturnine, notamment pour la forme généralisée
d'opérations l'apparition de maladies jusque-là méconnues, comme la
paralysie
générale, par exemple, dont le début réel remon
e a eu des migraines et a présenté à quelques mois d'intervalle une
paralysie
faciale du côté droit et une hémiplégie du côté
ite; pas de signes d'hystérie. Signification, non encore élucidée;,
paralysie
générale probable. RuFLEXfos. Il est regretta
le probable. RuFLEXfos. Il est regrettable que le diagnostic de
paralysie
générale probable posé à la fin de l'observation
TUDE DES PSYCHOSES POST-OPÉRATOIRES. 231 la jeune fille est mort de
paralysie
générale; son père, sa mère et son frère se por
dents de la strychnine, du tétanos, du délire aigu, du tabes, de la
paralysie
générale, Nous connaissons bien les altérations c
~ P. IGRAVAL. XVI. Altérations des os de la face consécutives à la
paralysie
faciale ; par J.-K.-A. WERTIiE[M-SALOMONSO,4. (
pt ans, atteints depuis l'âge de dix ans et de trois ans et demi de
paralysie
faciale gauche. Il existe une hyper- trophie de
mberg, Lehrb, p. 248. Il ne peut y avoir de rapport direct entre la
paralysie
faciale et l'hypertrophie osseuse. Celle-ci tie
l'accroissement : celui-ci s'est donné carrière du côté malade. La
paralysie
ayant eu lieu aux âges indiqués, le développement
protubé- rantielle, et d'autre part il put constater des signes de
paralysie
alterne : une hémianesthésie droite totale pour
plète pour la face, coïncidant avec une hémi- parésie gauche et une
paralysie
complète de la corde vocale gauche. M. Lépine
ions multiples pour expliquera la fois l'hémianesthésie alterne, la
paralysie
et le syn- drome cérébelleux. G. C. REVUE D'A
a une déviation très marquée de la langue à droite, il existait une
paralysie
de l'hypoglosse droit. Cette paralysie rétro- c
ue à droite, il existait une paralysie de l'hypoglosse droit. Cette
paralysie
rétro- céda assez rapidement. Il y a quinze jou
ourquoi les troubles gustatifs n'accompagnent pas habituellement la
paralysie
faciale d'origine basilaire. ' L'auteur insis
lésion de la base ; il attire aussi l'attention sur la rareté de la
paralysie
de l'hypoglosse dansle mal de Pott sous-occipit
BOURNEVILLE. XXXIV. Névralgie paresthésique sur un membreatteint de
paralysie
infantile; par le Dr SOLLIER {Journal de Neurol
r le Dr SOLLIER {Journal de Neurologie, 1900, n°2). XXXV. Un cas de
paralysie
segmentaire; par van Gehuchten {Journal de Neur
e de quarante-sept -ans, qui est atteint, de- puis cinq mois, d'une
paralysie
des muscles des jambes et des pieds avec abolit
la substance grise. On se trouverait donc en présence d'une de ces
paralysies
segmentaires pour l'explication desquelles M. B
on. {Revue neurologique, septembre 1901.) E. B. XXXVII. Un cas de
paralysie
bulbaire asthénique suivi d'autopsie; par les D
t défaut et les réactions électriques sont normales. Cette forme de
paralysie
bulbaire a été appelée successivement : paralys
s. Cette forme de paralysie bulbaire a été appelée successivement :
paralysie
bulbaire sans lésion anato- mique, paralysie bu
pelée successivement : paralysie bulbaire sans lésion anato- mique,
paralysie
bulbaire asthénique, maladie d'Erb; elle est mi
ire asthénique, maladie d'Erb; elle est mieux connue sous le nom de
paralysie
bulbaire asthénique ou syndrome d'Erb. La plu
ant cas rapporté par les auteurs présente tous les caractères de la
paralysie
bulbaire asthénique : ophtalmoplégie externe, p
ne saurait à elle seule faire conclure à la nature organique de la
paralysie
bulbaire asthénique, qui est REVUE DE PATHOLOGI
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 277 7 XXXVIII. Trois observations de
paralysie
des mouvements associés des globes oculaires; p
rice gauche, avec participa- tion du facial inférieur gauche, d'une
paralysie
des mouvements associés de latéralité des deux
longitudinaux postérieurs et s'étant tra- duit cliniquement par une
paralysie
des mouvements associés de latéralité vers la d
permanent de l'oeil droit. Chez un 3° malade, existent, d'abord une
paralysie
de l'élévation, puis, à un moindre degré, une p
d'abord une paralysie de l'élévation, puis, à un moindre degré, une
paralysie
de la latéra- lité et, enfin, à un degré moins
de la latéra- lité et, enfin, à un degré moins prononcé encore, une
paralysie
delà convergence. Ces accidents ont succédé à u
bilité est exagérée. D'autre part, dans ces quatre observations, la
paralysie
était nettement localisée au segment jambier. C
scendant plus bas que le genou, on est conduit à admettre que cette
paralysie
est d'origine centrale. 11 y aurait donc dans l
cornes antérieures. M. H. LV. Un cas de migraine ophtalmoplégique (
paralysie
oculo-motrice périodique ou récidivante) ; par
Il s'agit d'un jeune homme de vingt-trois ans, qui présentait une
paralysie
complète de tous les muscles innervés par les sci
. LXII. Sur un réflexe anormal du facial inférieur dans un cas de
paralysie
pseudo-bulbaire ; par le D'' l'cRac : as. II s'
'' l'cRac : as. II s'agit d'un malade atteint, sans aucun doute, de
paralysie
pseudo-bulbaire. Le voile du palais ne répond
econnaît pas son innervation motrice dans le facial; 3° que dans la
paralysie
pseudo-bulbaire les réflexes à centre bul- bair
peuvent être ran- gées dans ce groupe : la maladie de Thomsen et la
paralysie
familiale périodique. Cliniquement, la maladie
action musuculaire et le terme de myotonie la définit très bien. La
paralysie
familiale périodique est constituée par des att
régulières et imprévues. Qu'il s'agisse de maladie de Thomsen ou de
paralysie
pério- dique familiale, le trouble moteur résum
il existe des relations étroites entre la maladie de Tbomsen et la
paralysie
familiale périodique. D'autre part, ces deux af
LYXI. Sclérose en plaques à symptômes transitoires et récidivants.
Paralysie
temporaire des mouvements associés des yeux pour
l. En 1901, réapparition des accidents, cette fois sous la forme de
paralysie
associée des mouvements de latéralité des yeux
on progressive des troubles, avec cette double particularité que la
paralysie
associée a fait place à un simple nystagmus et
nent à l'appui de ceux rapportés par M. Bienvenu. Traitement de la
paralysie
générale par les injections intrarachi- diennes
uence dans son mode d'action; de plus, les lésions dominantes de la
paralysie
générale sont d'ordre inflammatoire. Ces divers
ses considérations ont engagé l'auteur à tenter le traitement de la
paralysie
générale par les injections intrarachidiennes d
le et l'automatisme joue un rôle plus grand qu'à l'état nor- mal.
Paralysie
double du pneumogastrique pulmonaire. M. Max EG
e inspirations par minute. La survie tient probablement à ce que la
paralysie
pneumogastrique s'est installée lentement et pr
ntre un jeune homme qui eut à quatre ans des convulsions suivies de
paralysie
des quatre membre, A huit ans il put marcher de
r longueur normale. 11 ne s'agit donc pas vraisemblablement d'une
paralysie
infantile. Ne serait-ce pas un de ces cas d'atrop
phalo-myélite aiguë. 11 n'est d'ailleurs pas impossible de voir des
paralysies
infantiles sans diminution du squelette et le mal
aro- xysmes. A ces symptômes s'ajoutent des attaques soudaines de
paralysie
et des contractures en flexion des bras qui, rapp
omme secondaires, ont pu aboutir à l'ulcération de la cornée, à des
paralysies
oeulo-motrices graves et à la perte de l'oeil.
ter uniquement une légère diploplie croisée, reliquat de l'ancienne
paralysie
de la troisième paire droite survenue en 1880.
isamment durable et persistante. RECUEIL DE FAITS. Fibromatose et
paralysie
générale; ParleD.l. CUf.L>JIiR);. L'affect
un cas jus- 360 RECUEIL DE FAITS. qu'ici unique, croyons-nous, de
paralysie
générale chez une femme atteinte de dcrmofibrom
ieu d'incriminer quelque autre cause occasionnelle dans ce cas de
paralysie
générale. Nous ignorons notamment si cette mala
s, ce cas viendrait s'ajouter à ceux déjà nombreux, où l'on voit la
paralysie
générale frapper des prédisposés, des dégénérés
e mêmes des imbéciles. En 1888, M. L-F. Arnaud publiait deux cas de
paralysie
générale chez des imbéciles, rappelait deux obs
e Gagnerot, dans sa thèse intitulée, « De la prédisposition dans la
paralysie
générale » donnait des exemples de paralysie éc
prédisposition dans la paralysie générale » donnait des exemples de
paralysie
éclose sur le terrain de la dégéné- rescence2.
rescence2. En 1897, Luigi Cappelletti publiait un. mémoire sur la
paralysie
générale chez les imbéciles'. En 1898, je donna
ériodes régulières et ne varient point. ' L.-F. ARNAUD. Deux cas de
paralysie
générale avec autopsie chez des imbéciles (Anna
CAI ? ELLr'L11, Ilevisla sper. (li Frenialria, 1897. 'A. Cullerre.
Paralysie
générale chez une imbécile (Annales méllico- ps
nnales médico-psyclaologiques, mai- décembre 1902). E. Blin. XVI.
Paralysie
générale à marche rapide avec crises d'angoisse;
vec angoisse précordiale et tachycardie à 140 marqua le début d'une
paralysie
générale à marche rapide dont la durée n'excéda
rapport aux autres aphasiques, tout en étant réellement diminuée.
Paralysie
flasque avec dissociation des réflexes. M. DÉJF
Ballet a trouvé la lymphocytose 5 fois sur 8 tabès et 6 fois sur 8
paralysies
générales. M. Souques l'a trouvée 3 fois abonda
s lentement, en traînant. Le tonus musculaire-est exagéré. Point de
paralysies
, quoique les mouvements se fassent sans force s
ée et la pseudo sclérose de Strumpeli et pose le dia- gnostic de la
paralysie
infantile bilatérale, ne se rapportant pas à la
blement d'intention ne sont pas exclus du symptomocomplexus de la
paralysie
infantile, d'après les paroles de Frend. Cas II
écoree de l'hémisphère droite; mais il était superfi- ciel, car les
paralysies
n'étaient pas stables. Excluant le trauma- tism
les papilles réagissaient bien ; on constata une diplopie, due à la
paralysie
de l'abducteur droit et un affaiblissement très
ication d'une autre maladie psychique quelconque, par exemple de la
paralysie
générale, de la démence précoce, de la démence
us ce rapport ; d'après nos données la tare hérédi- ' taire dans la
paralysie
générale est notée approximative- ment dans 75
langue, dit-il, et tous les muscles des en- virons, d'une espèce de
paralysie
qui s'est augmentée d'une ma- nière insensible,
e spécifique de mon mal. Mais, bien loin de m'en sentir soulagé, ma
paralysie
augmentoit toujours'* ». Fagon lui ordonna les
danger. Il s'agis- sait probablement d'une pneumonie. Quant à la
paralysie
, elle « suivit régulièrement son premier cours,
ente, et l'im- puissance où je me trouvois de cracher à cause de la
paralysie
qui rendoit immobiles les nerfs et les muscles
après une observation directe mais de courte durée. 11 s'agit de la
paralysie
labio-glosso- laryngée. Due à l'altération des
t insidieux. Elle se manifeste d'abord par une dysarthrie, due à la
paralysie
de la langue et des lèvres, et qui aboutit bien
s lèvres, et qui aboutit bientôt à l'anarthrie, puis à l'alalie par
paralysie
du larynx. Déjà sont apparus, avec la paralysie
puis à l'alalie par paralysie du larynx. Déjà sont apparus, avec la
paralysie
du pharynx, des troubles de la déglutition qui
ystème nerveux. En effet, elle tomba « pçu à peu dans une espèce de
paralysie
qui, lui ôtant insensiblement l'usage de ses memb
'on lui avait accordée jusqu'ici. 11 semble que le premier stade de
paralysie
(perte de l'incitabilité parfatique ou anesthés
XXX. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil. Le sommeil dans la
paralysie
faciale ; par MM. VASCHIDE et 1'unras. De l'ana
; par MM. VASCHIDE et 1'unras. De l'analyse délicate de deux cas de
paralysie
faciale, les auteurs tirent les déductions suiv
faciale, les auteurs tirent les déductions suivantes : I. Dans la
paralysie
faciale, l'écartement palpébral du côté paralys
l semble due chez l'individu' normal comme chez le sujet atteint de
paralysie
faciale, à un relâchement du releveur de la pau
tomiques et fonction- nelles de l'écorce dans ces maladies ; 2° Des
paralysies
partielles et del'émoussement du sens du goût;
observations cliniques détaillées, deux de syringomyélie et deux de
paralysie
infantile présentant des atrophies musculaires
ont recherché l'albumine dans le liquide céphalo-rachidien dans la
paralysie
générale et le tabes. La présence de l'albumine
on ne donne à l'état normal qu'un louche léger, dans le tabes et la
paralysie
générale, on obtient au contraire un nuage très
uand on chauffe le liquide céphalo-rachidien d'un malade atteint de
paralysie
générale, de méningite chronique, on observe un
e ET 0. Crouzon présentent un homme atteint d'hémiplégie gauche, de
paralysie
de l'oculomoteur commun droit, de paralysie lac
d'hémiplégie gauche, de paralysie de l'oculomoteur commun droit, de
paralysie
laciale droite, de paralysie du trijumeau droit.
ysie de l'oculomoteur commun droit, de paralysie laciale droite, de
paralysie
du trijumeau droit. Ce syndrome ne répond ni au
similaire. Ce début précoce de cette affection est exceptionnel.
Paralysie
radiculaire du type Klzi ? ? iplie d'origine trau
s. MM. Armand UELILLE ET MaxEGGER présentent un malade atteint de
paralysie
radiculaire du type Iclumpke qui s'écarte du type
e classique par certains caractères particuliers. 11 s'agit d'une
paralysie
d'origine traumatiqne presque exclusi- vement s
rieux et si spécial. Examen histologique des nerfs dans un cas de
paralysie
radiculaire du plexus brachial. MM. Max EGCEr
IÉTÉS SAVANTES. 475 miner histologiquement les nerfs dans un cas de
paralysie
radi- culaire totale du plexus brachial d'origi
dame de quarante ans, qu'on disait atteinte depuis six mois d'une
paralysie
des jambes. Elle déclarait ne pas pouvoir se leve
de sorte que l'aspect du malade rappelle au premier coup d'oeil la
paralysie
agitante. Les mouvements sont lents et maladroits
aralytique, mais elle n'est pas tout à fait caractéristique pour la
paralysie
générale : ici il y a plus de conformité et plus
ndant la déglu- tition le malade avale souvent de travers. Point de
paralysie
, de convulsions, ni de contractures. Dans les m
progressa plus rapidement sans aucune cause visible. Ayant exclu la
paralysie
agitante et la sclérose disséminée, l'auteur s'
syctiopatliiques : dégénérescence, épilepsie, hystérie- alcoolisme,
paralysie
générale, vésanies. Dans le dernier chapitre, i
nnable. Déclarer à un malade atteint de monoplégie psychique que sa
paralysie
va disparaître dans quelques ins- tants sous l'
rses autres affections 2 ; Contractures organique et hystérique3;
Paralysie
faciale hystérique \ etc.. Dans tous ces travau
' Contractures organiques et hystériques (1S93), G. Masson, édit. '
Paralysie
faciale hystérique (1892), G. Masson, édit. 508
ment et capable de produire des manifestations extraordinaires, des
paralysies
et des contractures entous points semblables à
lésions encéphaliques ou médullaires. Jamais l'hystérie ne fera une
paralysie
radiale avec con- ' servation de la contraction
saturnine en réalise couramment. Jamais l'hystérie ne réalisera une
paralysie
spasmodique avec incon- tinence des matières, i
s les plus diverses. Et il cite : une observation d'hémiplégie avec
paralysie
mo- trice organique (contracture, exagération d
'hémianesthésie par l'application d'un aimant) ; une observation de
paralysie
faciale consécutive à une fracture du rocher, a
ouchement avec diverses manifes- tations pathologiques (ictus de la
paralysie
générale, délires épilep- tiques), qui ne peuve
rés par la section médullaire de leur centre tonique cérébral, d'où
paralysie
flasque, tansdis que les réflexes tendineux et
HOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans la
paralysie
agitante, par Collet (Société des sciences médi
M. Collet a recherché les formes anormales du tremblement dans la
paralysie
agitante, ce symptôme étant un des caractères pre
de ces différentes formes cliniques du tremblement. G. C. LXXVI.
Paralysies
et crises laryngées dans le tabes ; par M. COLLET
vrier 1902). M. Collet a pu réunir trois observations de tabes avec
paralysies
et crises laryngées, qui lui suggèrent les conc
ises laryngées, qui lui suggèrent les conclusions suivantes : 1° La
paralysie
des dilatateurs de la glotte peut simuler la cris
ptômes avant de conclure à l'existence des crises laryngées ; 2° La
paralysie
des dilatateurs de la glotte prédispose aux cri
nerf laryngé supérieur ; 3° Il y a habituellement, dans les cas de
paralysie
des dilatateurs de la glotte, coexistence d'une
HOLOGIE NERVEUSE. présentait pas d'autres phénomènes nerveux, ni de
paralysie
des nerfs crâniens. , Se basant sur de faible
un diagnostic et ne fait que signaler le fait. G. Carrier. LXXVIII.
Paralysie
générale et syphilis en apparence bénigne; par
dence le rôle important que joue la syphilis dans l'étiologie de la
paralysie
générale. D'après sa statistique, elle est cert
roportion de 30 p. 100. Pour l'auteur, l'origine syphilitique de la
paralysie
générale n'est presque plus à discuter; c'est un
de temps après une scarlatine chez une enfant jeune (cinq ans). La
paralysie
siège à droite, tandis que beaucoup d'ob- serva
gauche. Enfin la migraine dont elle souffrait souvent avant que la
paralysie
se développât a diminué à mesure que cette dern
s'y rapportent. R. C. ' LXXXIX. Diplégie faciale congénitale avec
paralysies
oculaires et troubles de la déglutition ; par D
bonnes conditions, qui est atteint depuis sanaissance d'une double
paralysie
faciale accompagnée d'ophthalmoplébie et de troub
velopper cette contracture à la phase de régression partielle d'une
paralysie
complète du sphincter irien. 11 y a donc deux f
scle» des lèvres et de la lace, doigts, etc.). Plus tard, les vaso-
paralysies
s'accusent jusque dans les viscères en produisant
ème chez le malade dont j'ai présenté l'observation récemment. La
paralysie
motrice des deux membres supérieurs avait été pré
y avait dans les cas du rapporteur quelque chose de semblable à la
paralysie
de Brown-Séquard avec une localisation haute.
e grande résistance au cou- rant centripète. L'autopsie d'un cas de
paralysie
totale du plexus brachial a montré que l'existe
ingite, y compris le cri hydrencé- phalique, agitations, strabisme.
paralysie
, immobilité pupillaire, etc. La ponction lombai
teur 111. le D'' CLAUS (d'Anvers), b. Neurologie : Histologie de la
paralysie
générale, Rapporteur : 11. le Dol KLtpeEL (de P
e et le traitement du-, par More), 314. Crises d'angoisse. Voir
Paralysie
. Cruauté. Voir Volupté. CYTG-UInGOST1G, Contr
ir Volupté. CYTG-UInGOST1G, Contribution à l'é- tude du - dans la
paralysie
générale, par Guiard et Dullos, 196. Dégénéré
' -, l'hys- térie et l'idiotie, par Dournevilfe, 391. Enu. Voir
Paralysie
. Etats psychiques anormaux. Obser- vation d'
in, par Demou- chv, 477. TABLE DES MATIÈRES. S83 Fibromvtose et
paralysie
générale, par Cullerre, 359. Folie incendiair
ni sont affectés d'épilepsie, de folie systématisée chronique, de
paralysie
générale progressive, par Ilermauu, 457. par
oses chez les par Treuga. Kernig. Voir Méningite. Klumpke. Voir
Paralysie
. 586 TABLE DES MATIÈRES. LAIIINECT0AItE. Voir
ssoliiiio, 536. Nécrologie. 125. l'ebvré. 308. Nerf cubital. Voir
Paralysie
. -ra- dial. Voir Paralysie. Tumeur du acousti
125. l'ebvré. 308. Nerf cubital. Voir Paralysie. -ra- dial. Voir
Paralysie
. Tumeur du acoustique, I)at, Lél)iiie, 208. o
terne. Voir Poly- névrite. Examen lustologique des dans un cas de
paralysie
ra(li- culaire du plexus brachial, par Egger
Xnmnern, p. 237, 335. pares- tlvésique sur un membre atteint de
paralysie
infantile, par Sollier, 275. I Névrite sciati
3. Les et les impulsions, par l'itres et Régis, 4S5. OE;L. Voir
Paralysie
générale. Oreille et hystérie, par Fleurv-Cha-
ar Josserand. 184. - radi- culaiie du plexus brachial gau- che et
paralysie
temporaire des membres intérieurs du même côt
r Crocq, 278. Sur un anormal du facial infé- rieur dans un cas de
paralysie
pseudo-bulbaire, par Yerrers.83. Voir Paralys
ur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire, par Yerrers.83. Voir
Paralysie
. La vulvo- anal, par Itossolimo, 45. Religieu
ier. 286. - en plaques à symptômes transitoires et récidi- vants.
Paralysie
temporaire des mouvements associés des yeux p
naire (Arch. générales de médecine, 1866). 2 Klippel et Dumas. Des
paralysies
uaso-mnlrices dans leurs l'U]J- ports avec l'ét
frappe surtout l'Arabe, le Ka- byle restant presque indemne; 19 la
paralysie
générale est très rare chez les Arabes; elle es
EZ L'ADULTE AVEC ALTÉR \TIONS ANATOMIQUES SEMBLABLES A CELLES DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE ; par le DI IONDUR.1NT. Il s'agit d'
système nerveux central analogues à celles qu'on rencontre dans la
paralysie
générale, qui semble établir l'existence de rappo
sive et certaines autres maladies neuro-dégénératives, notamment la
paralysie
générale. (The alienist and neurologist, juille
aiguë. (The alienist and neizrologist, oct. 1890.) E. B. III. LA
PARALYSIE
DES ÉCRIVAINS N'EST PAS DUE A L'ÉCRITURE SEULE;
EULE; par le D1' Hugues. L'élude de nombreux cas de crampes ou de
paralysies
des écri- vains a conduit l'auteur à cette conc
es dillérentes variétés de névroses professionnelles, telles que la
paralysie
des écrivains, la paralysie des musiciens, la c
évroses professionnelles, telles que la paralysie des écrivains, la
paralysie
des musiciens, la crampe des choristes, la para
écrivains, la paralysie des musiciens, la crampe des choristes, la
paralysie
des graveurs, etc ? la profession n'est pas le se
où l'infection syphilitique joue exactement le même rôle, c'est la
paralysie
générale qui se rattache, sous bien des rapports,
moins un an, myosis bilatéral avec immobilité réflexe des pupilles,
paralysie
de l'oculomoteur externe du côté droit. Affaibl
t plusieurs mois, rien de nouveau. C'est alors que, en trois jours,
paralysie
pharyngée - totale, parésie gauche du facial (t
tômes : gomme du lobe temporal. P. 1\ÉIIA YAL. VIII. Observation DE
paralysie
isolée DE L'IITPOGLOSSE DU côté DROIT, TRÈS pro
difficulté à parler surtout à articuler les r et s. On constate une
paralysie
de l'hypoglosse; la langue dévie un peu à gauch
auche et formé par la moitié droite un peu recoquillée. Il y a donc
paralysie
de l'hypo- glosse droit avec hémialrophie au dé
rès fortement atteint les racines intra-bulbaires ce qui donne à la
paralysie
un cachet péri- phérique. Bientôt la langue se
ine. Le malade parle comme s'il avait une blessure de Ja langue. La
paralysie
avec atrophie est des plus nettes. Ea R ; Ka SZ
l'étude du début et de l'évolution (novemlire 1892 août 1894) à une
paralysie
périphé- rique grave, comme celle qui succède à
ystème nerveux central avec troubles trophiques. A. M. XI. Cas DE
paralysie
DE LANDRY; par Herbert RoBsoN. (Bristish med. J
ne fille de quatorze ans d'une famille de tuberculeux. L'attaque de
paralysie
débuta par de la photophobie avec cépha- lée li
'on en juge par l'éclosion précose des anesthésies des membres avec
paralysie
et contracture des extrémités. A. M. XIII. Co
n, Cullen, Sauvage et bien d'autres auteurs anciens ont signalé les
paralysies
dans Ja convalescence des fièvres continues. La
on sur le mal de Menière et l'hyperesthésic acoustique. A. M. XV.
Paralysie
DES sixième ET septième paire coïncidant avec l
ite vraisemblablement d'une hémorragie légère au cours des quintes,
paralysie
du moteur oculaire externe et du facial gauches.
ire externe et du facial gauches. Physionomie caractéristique de la
paralysie
faciale périphérique avec stabisme convergent (
s fonctions psychiques. On peut observer dans le tabes dorsalis des
paralysies
amyotro- phiques graves et diffuses, même quand
ine appréciables et tout à fait circonscrites. En pareil ça ? , ces
paralysies
amyotrophiques dépendent le plus souvent d'une
s dissé- minés dans les racines spinales elles-mêmes. J. S. XXIV.
Paralysie
conjuguée DES mouvements DE latéralité DES YEUX;
ue à celles des Drs llamadier et Tambroni. J. S. XXVII. UN CAS DE
PARALYSIE
POST-DIPHTÉR1T1QUE AVEC AUTOPSIE; J par M. F. S
. En 1894, exagéra- tion de tous les symptômes, impotence complète,
paralysie
atro- phique des bras, contracture des membres
aralysie atro- phique des bras, contracture des membres inférieurs,
paralysie
de la vessie, de tout temps peu de douleurs; di
de - n'en a pas conscience. P. 11E11AV : 1L. XXXI. Observation DE
paralysie
facule datant DE la première EN- Fange ; atroph
. f3Rl : c.w. (Ncurolog. Ceit ? -albl., XX, 1896.) Observation I.
Paralysie
faciale consécutive à une méningite tuberculeus
omplètement englué de ce magma. Observation II. Jeune cultivateur ;
paralysie
faciale droite, pré- cédée de névralgie doulour
faiblesse du bras droit. Deux semaines plus tard, il s'y ajoute une
paralysie
de la moitié gauche de la face avec paresthésie
érieures et légère faiblesse du mouvement. Quatorze jours après, la
paralysie
faciale gauche a disparu, tandis que la paralys
e jours après, la paralysie faciale gauche a disparu, tandis que la
paralysie
faciale droite augmente et ne s'améliore que pe
e la para- lysie faciale gauche, qui parait plutôt encadrée dans la
paralysie
faciale droite plus grave qu'elle ; finalement,
ctrique, ce qui nous engage à êlre réservé quant au pronostic d'une
paralysie
faciale récente. P. IiEBA ? 1L. , XXXIII. Contr
l'ordre du jour de la prochaine séance. La période terminale de la
paralysie
générale. M. ARNAUD. - Les auteurs sont unanime
marasme complets. Mais il importe de rele- ver que, dans ce cas, la
paralysie
générale était compliquée de lésions médullaire
aralysie générale était compliquée de lésions médullaires étendues (
paralysie
vraie, atrophies, contrac- tures permanentes, e
nt, comme le veut. l'opinion traditionnelle, une complication de la
paralysie
générale, mais qu'il en constitue un symptôme p
jusqu'à la contracture et qui sont décrits depuis longtemps dans la
paralysie
générale. Les malades qui meurent debout ne pré
mplication ou une phase de la maladie ? On considérait autrefois la
paralysie
générale comme une complication de toutes les v
tes les vésanies. Les anciens auteurs ont ainsi pu englober dans la
paralysie
plusieurs affections différentes, par exemple l
is les ictus doivent être envisagés comme partie inté- grante de la
paralysie
générale. Les paralytiques généraux peuvent mou
eu de divergences dans les deux pays au sujet du délire aigu, de le
paralysie
générale, de la démence sénile, des lésions cér
c cris et perte de connaissance ayant duré deux heures et suivie de
paralysie
avec contracture douloureuse en flexion forcée
ésentés par ces animaux; nous ne pouvons que les résumer. Ce sont :
paralysie
du train pos- térieur (motilité, sensibilité) ;
herche B1CTÉBIOSCOPIQUE SUR L'ÉCORCE cérébrale D'INDIVIDUS MORTS DE
paralysie
générale PROGRESSIVE; par PICCININO. (Ann. di n
no XIV, fasse. 1, 11.) Recherches faites sur un malade atteint de
paralysie
générale, ayant en une fracture du crâne, et su
tuelsdu délire éthylique. Ces femmes ne présentaient aucun signe de
paralysie
générale ou d'hystérie et leur maladie a évolué
On sait, qu'en dehors des délires toxiques, de l'hystérie et de la
paralysie
générale, où elles sont déjà très rares, on ren
tte diathèse vasculaire il les attribue à la névrose elle-même, par
paralysie
vaso-motrice. III. CONTRIBUTION A l'étude DE l'
e. Il n'est rien dit, dans ce travail, de la lombo-ponction dans la
paralysie
générale, pratiquée dans ces dernières années à
, les lésions bnlbaires, etc..., par cer- taines névroses, comme la
paralysie
agitante, l'hystérie, l'épi- lepsie, par les af
qu'à treize ans et demi, il n'eut plus de crise convulsive, mais sa
paralysie
ne se modifia pas, non plus que son intelligence
onstant, quoique variable en degré, dans l'hémiplégie infantile, la
paralysie
se compliqua d'un arrêt de développement. Les m
sans cèdent promptement à la suggestion. La chorée, l'épilepsie, la
paralysie
agitante lui sont rebelles, bien que dans la pa
pilepsie, la paralysie agitante lui sont rebelles, bien que dans la
paralysie
agitante, on puisse souventprovoquerle reposnoc-
bitude du chloral et des autres hypnotiques lui cède facilement. La
paralysie
faciale post-hémiplégique est influencée par la s
post-hémiplégique est influencée par la sug- gestion, tandis que la
paralysie
faciale périphérique ne l'est aucu- nement : le
naissance, en plus de l'épilepsie, à des degrés variables, à de la
paralysie
, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébrau
urnal of insanily, juillet 1896.) E. B. XVII. Examen DE CENT cas DE
paralysie
générale; par DI' PHELPS. ~ De l'étude de 100 c
s DE paralysie générale; par DI' PHELPS. ~ De l'étude de 100 cas de
paralysie
générale, l'auteur déduit que si la paralysie g
l'étude de 100 cas de paralysie générale, l'auteur déduit que si la
paralysie
générale correspond bien à une entité clinique,
lies qui rendent souvent le diagnostic hésitant. C'est ainsi que la
paralysie
générale de nature syphilitique et la « maladie
psie ancienne. Aussi M. Phelps serait-il d'avis d'étendre le nom de
paralysie
.générale au groupe des symptômes les plus comm
ilis, 'à son avis, est-elle l'élément étiologique prédominant de la
paralysie
géné- rale. Beaucoup des variétés et des symptô
c impulsions irrésistibles, de délire aigu, de délire chronique, de
paralysie
générale, etc. Bien que toutes ces formes ne so
ologie mentale. 229 folie épileptique et hystérique et même dans la
paralysie
géné- rale. Observations; expériences. P. K.
mes principaux [de l'hydrocé. phalie primitive : il insiste sur les
paralysies
et les convulsions épi- leptoïdes, telles que n
plus dignes d'être'notées. La première a trait, suivant lui, à une
paralysie
de la naissance (on sait que Gowers désigne ain
stic tou- tefois, est à faire entre une hémiplégie infantile et une
paralysie
de la naissance congénitale. L'observation ne r
e révèle aucune cause ordinaire, non plus que les convulsions ou la
paralysie
sou- daine qui sont ordinairement les premiers
e hors de cause, puisqu'il n'y a pas eu de début brusque, et que la
paralysie
, assez légère, est géné- rale et non limitée à
e faire exception pour l'état mental particulier qui accompagne les
paralysies
alcoo- liques ; 5° La folie apparaît avec une
mois de la vie et aboutissant à l'idiotie com- plète ; - parésie ou
paralysie
(qui peut être flasque ou spasmo- dique) de la
présentait pas (comme l'a dit M. Weber) d'analogie avec celui de la
paralysie
générale. , M. JoREs. Sur l'anatomie pathologiq
ple là lèvre supérieure quand on le touchait au front) ; , 4°*Des
paralysies
permanentes des muscles moteurs des paupières.
e des parties seulement des neurones soient détruites comme dans la
paralysie
générale, que tout l'élément nerveux, cellules et
ssées par la mort totale ou partielle de l'élément nerveux. Dans la
paralysie
générale en particulier, on voit d'énormes quan
neumonie : l'un des points à noter dans cette observation, c'est la
paralysie
du grand dentelé ; deux autres points à noter,
intoxication alcoolique aiguë CHEZ UN JEUNE enfant : CONVULSIONS ET
PARALYSIE
D'ORIGINE CÉRÉBRALE ; NÉVRITE MULTIPLE; par C.-
au côté gauche; à droite une REVUE DE pathologie NERVEUSE. 321 1
paralysie
qui parait surtout sur le bras; on constata en ou
celui des épilepsies par intoxication. H. DE MUSGRAYE CLAY. XLIX.
Paralysie
motrice du larynx ; par J. A. Mac CASSY. (Nezv-
nal, 26 septemhre 1890.) L'auteur publie cinq observations, deux de
paralysie
unilatérale thyréo-aryténoïde - une de paralysi
ervations, deux de paralysie unilatérale thyréo-aryténoïde - une de
paralysie
chronique bulbaire chez un aliéné, une de paral
énoïde - une de paralysie chronique bulbaire chez un aliéné, une de
paralysie
bilatérale des muscles crico-aryténoi- diens la
alement la psychologie. Il. DE lIZUSGR.1\'E CL.1Y. LI. Trois cas DE
paralysie
DE 13110N\-SEQU.1RD, avec quelques REMARQUES SU
ent été caractéristiques de la dégénérescence du tractus pyramidal (
paralysie
avec rigidité spas- modique, sans atrophie marq
perte du sens musculaire est le plus incertain des symptômes de la
paralysie
de Brown-Sequard. L'auteur examine et discute l
sser indemnes les fibres de la sensibi- lité générale. - Les cas de
paralysie
de Brown-Sequard paraissent démontrer que toute
° Deux soeurs de vingt-trois et vingt-six ans. L'ainée présente une
paralysie
spastique des deux jambes (les bras ne sont pas i
une atrophie musculaire progressive (et fréquemment aussi avec une
paralysie
spastique des membres inférieurs) ; il se rappr
de ces diverses formes de lésions héréditaires des voies motrices;
paralysie
spinale spastique, atrophie musculaire familial
e ramollissement (artério-sclérose). L'aphasie motrice totale et la
paralysie
du bras droit observées pendant la vie s'étaien
par une maladie infectieuse. Puis viennent la forme centrale de la
paralysie
de Landry, la myélite aiguë à foyers multiples,
a sclérose multiple, la myélite transverse. La forme centrale de la
paralysie
de Landry est une maladie du territoire des art
rares. On rencontre d'ailleurs toutes les formes de transition : la
paralysie
infantile spinale n'est pas strictement limitée
cette dernière distinction perd elle-même de sa valeur, puisque la
paralysie
spinale infautile peut se continuer, à l'âge adul
xamen histologique montrent que -dans ce cas il ne s'agissait ni de
paralysie
générale, ni de psychose sénile, La coïncidence
a plupart des médecins parlent correctement la langue allemande. La
paralysie
générale est rare au Japon (2 p. 100), et ne fr
s mises il l'ordre du jour : Pathologie mentale. - Diagnostic de la
paralysie
générale. Rapporteur : M. le Dr Arnaud, médecin
nerveux de la Salpêtrière présentant les symptômes classiques de la
paralysie
saturnine (accompagnée d'ailleurs d'autres symp
896 la consultation externe de la Salpêtrière. Elle se plaint d'une
paralysie
qui serait survenue presque subitement trois jo
six ou huitjours sans pouvoir supporter la moindre nourriture. La
paralysie
des extenseurs des avant-bras et des mains, pour
é cutanée est normale dans tous ses modes. La malade ne présente de
paralysie
en aucun autre point du corps. M. Huetqui a eu
e suivante : Réactions électriques en rapport avec le diagnostic de
paralysie
saturnine. Réaction de dégénérescence très pron
On se trouve donc en présence d'une affection du plexus bra- chial (
paralysie
de Duchenne-Erb), provoquée très probablement p
paires cervicales, comme cela existe dans les cas typiques de cette
paralysie
, mais aussi de la racine de la septième paire.
ET SUR L'ÉTAT DE CES CELLULES DANS LE TABES SIMPLE OU ASSOCIÉ A LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE; par G. MaRINESCO. L'auteur a examiné
y rechercher l'état des cellules des colonnes de Clarke. Dans la
paralysie
générale, ces cellules sont augmentées de volum
e de Clarke existent aussi, mais moins accentuées. Dans le cas de
paralysie
générale comme dans ceux de tabès, les cellules
362 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rison; une
paralysie
du nerf musculo-cutané du côté gauche. Comme il
t conservée, mais diminuée, dans le biceps gauche dont néanmoins la
paralysie
est persistante, l'auteur croit que le plexus d
atteint au-dessus de la clavicule des deux côtés. Il y aurait donc
paralysie
partielle bilatérale du plexus de Erb. Il s'agit
de même nature, mais moins graves, le singe présente des signes de
paralysie
très accusée et sa guérison est possible, mais
est possible, mais très lente. Il en est de même chez l'homme où la
paralysie
est très persistante. L'auteur pourrait montr
ure ces deux ordres de facteurs, il faut y ajouter, dans les cas de
paralysie
générale ou de marasme précoce, le facteur orga
ec lui que les faits cliniques récents, tels que les rémissions, la
paralysie
générale à double forme et surtout les pseudo-p
'une entité pathologique impropre à les expliquer. Il estime que la
paralysie
générale, telle que nous la connaissons, est un
ytique, essentielle- ment constituée par de la démence et par de la
paralysie
progres- sive, et prenant le mot dans ce sens i
décrire quelques- nnes do formes les plus communes qui simulent la
paralysie
géné- rale. Les maladies auxquelles se rattache
ent lieu à des dialogues que le malade entendait. R. M. C. LV. La
paralysie
générale A DÉBUT précoce; par Alzheimer. (Allg.
ravail, le plus complet que nous connaissions sur la question de la
paralysie
générale juvénile, se divise en trois parties :
ois parties : I. L'auteur a rassemblé en un tableau tous les cas de
paralysie
générale à début précoce publiés jusqu'à ce jou
sie spinale. Mort dans le marasme paralytique. ' Le diagnostic de
paralysie
générale a été confirmé par l'autopsie 378 revu
lutôt à une lésion circonscrite qu'à une affection diffuse comme la
paralysie
générale ; aussi nombre de médecins spécialiste
brale, de tumeur du cerveau, de sclérose multiple, sans penser à la
paralysie
générale. A l'autopsie, lésions habituelles de la
eur. III. De l'examen des 41 observations actuellement connues de
paralysie
générale à début précoce, Alzheimer tire les conc
l'adulte, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la forme précoce de la
paralysie
générale est aussi fréquente chez la femme que
ce de l'hérédité névropathique est donc plus considé- rable dans la
paralysie
à début précoce que dans la paralysie des adult
c plus considé- rable dans la paralysie à début précoce que dans la
paralysie
des adultes, et même que dans les psychoses. Da
adultes, et même que dans les psychoses. Dans 5 cas on a noté la
paralysie
générale chpz le père, dans un sixième cas la par
n a noté la paralysie générale chpz le père, dans un sixième cas la
paralysie
chez la mère, et dans un autre la paralysie pro
dans un sixième cas la paralysie chez la mère, et dans un autre la
paralysie
probable chez la mère. L'hérédité similaire se
que). Si on laisse de côté, dans les anté- cédents héréditaires. la
paralysie
générale, les troubles d'origine syphilitique,
ement et restent longtemps au second plan; c) la prédominance de la
paralysie
, dès le début, d'un côté du corps ou au niveau
e con- tentent de dire que l'on a trouvé les lésions typiques de la
paralysie
progressive. Quelques-uns donnent plus de détai
sions des ganglions de la hase (dégénérescence). 9° Fréquence de la
paralysie
juvénile. Alzheimer a observé 3 cas de paralysi
9° Fréquence de la paralysie juvénile. Alzheimer a observé 3 cas de
paralysie
juvénile contre 3 deparalysie générale chez les a
z les adultes. Paul Sérieux. LVI. SUR LE diagnostic précoce DE la
paralysie
générale ; par M. Gnoss (lieidelberg). Au sta
générale ; par M. Gnoss (lieidelberg). Au stade prodromique de la
paralysie
générale, c'est le diagnos- tic différentiel av
ment aux neurasthéniques, a une influence des plus fâcheuses sur la
paralysie
générale au début. Cette dernière affection a en
affectioh n'est plus douteuse lorsqu'il se produit des symptômes de
paralysie
motrice ou des signes évi- dents d'affaiblissem
les troubles les plus caractéristiques et les plus frappants de la
paralysie
générale au début, il faut citer les actes anor
asthénie, alors qu'ils sont en réalité les symptômes du début de la
paralysie
générale (spéculations incon- sidérées ou même
entre la neurasthénie et le stade prodromique neurasthénique de la
paralysie
générale. L'âge auquel apparaît la maladie peut
onnelle et débute presque toujours dès la jeunesse. Au contraire la
paralysie
géné- rale est une maladie de l'âge adulte : su
eut mettre en évidence ces causes, il faudra toujours soupçonner la
paralysie
générale quand on verra la neuras- thénie se mo
dans lesquels une rechute s'est produite avec tous les signes de la
paralysie
générale. En voici deux brièvement résumés :
cèdent, le premier accès n'a pas été considéré comme relevant de la
paralysie
générale, surtout par suite de l'absence de sig
à cinquante-cinq ans. Ce seul fait aurait dû faire soupçonner la
paralysie
générale et peut-être qu'un examen minutieux des
s sont les états de confusion et l'amentia. Il faut encore citer la
paralysie
générale. Il y a trois ans, se trouvait à la Cl
umatisme crânien ou qui ont eu une affection cérébrale orga- nique (
paralysie
infantile cérébrale). Fürstner cite plusieurs exe
organiques (tumeurs, lésions vasculaires par allié- rome, syphilis;
paralysie
générale). Furstner termine en décrivant les ac
e une démence profonde. - Cette marche rappelle assez celle de la
paralysie
générale avec laquelle la catatonie a encore un
nt présentés sous l'aspect clinique d'une tumeur cérébrale ou de la
paralysie
générale, tandis que .la dégénérescence hyaline
'admission dans un asile. Plus lard, la céphalée, les vertiges, les
paralysies
motrices, les troubles de la vue conduisent le
es apoplexies répétées ont réalisé une forme clinique analogue à la
paralysie
générale. La plupart des malades étaient âgés d
ésultats de l'autopsie, sont faciles à distinguer des lésions de la
paralysie
générale et de la démence sénile; on peut sans
symptômes physiques. L'auteur se croit autorisé à admettre entre la
paralysie
générale d'une part, et la démence sénile de l'
affection périphérique, vu la distribution des atrophies à type de
paralysie
alternante. M. KOll : o ! ILOFF. Myosite multip
qu'au degré de l'immobilité. Deux jours plus tard on a constaté une
paralysie
presque com- plète des bras et des jambes, surt
nes postépilep- tiques moteurs, secrétaires et psychiques. Pour les
paralysies
la théorie de l'anémie ne peut que compléter ce
es prodromaux qui précèdent de longtemps les manifestations de la
paralysie
générale. Rapporteur : professeur 'faouEN. de Bon
e). - III. Des modifications de l'image 428 8 varia morbide de la
paralysie
progressive des aliénés durant les trente derni
DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. SUR LA PÉRIODE TERMINALE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET SUR LA MORT DES PARALYTIQUES GÉNÉRA
ARNAUD, Médecin de la maison de santé de Vanves. L'histoire de la
paralysie
générale a donné lieu, en ce qui concerne ses p
uoi consiste cette opinion. Bayle ', qui a établi la division de la
paralysie
générale en trois périodes, distinguait trois d
es, les aliénés paralytiques, à leur déclin, ' L.-F. Calmeil. De la
paralysie
considérée chez les aliénés. Paris, J.-B. Baill
mes. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1859. PÉRIODE TERMINALE DE LA
PARALYSIE
GENERALE. '435 végètent dans leur lit, ne pouva
alors seulement leur déchéance irrémédiable justifie le terme de
paralysie
générale... C'est donc à son mode de terminaison
t et finit par succomber sous l'in- fluence seule des progrès de la
paralysie
générale... » Sans insister autant, le professe
sez souvent de diarrhée et de marasme (p. 860). A la 3° période, la
paralysie
envahit les membres enfin, des eschares se déve
ales, 2° édition. Paris, 0. Doin, 1892. 3 Magnan et Sérieux. - La
paralysie
générale, collection Léauté. Paris, Masson, 189
tronc et des extrémités continuent à s'accentuer pour arriver à une
paralysie
complète ; de sorte que le malade devient incap
e de multiplier ces citations. Dans tous les travaux consacrés à la
paralysie
générale on retrouve une description à peu près
duction E. Laurent. Paris, Maloine, 1897. PÉRIODE TERMINALE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 437 à la dernière période de leur mal
Il n'est pas rare du tout de voir des paralyti- ques mourir de leur
paralysie
générale, et non d'un accident quelconque, ayan
été indiquée, même à titre exceptionnel. J'ai réuni tous nos cas de
paralysie
générale terminée par la mort, pendant ces sept
n n'est pas de décrire dans son ensemble la période terminale de la
paralysie
générale, ni d'étudier com- plètement la mort d
s utiles en clinique. Tous mes malades étant des hommes, c'est à la
paralysie
438 PATHOLOGIE MENTALE. générale masculine se
és par tous les auteurs comme caractérisant la période finale de la
paralysie
générale. Aucun n'a eu d'eschare véri- table. C
e représente les 4/5 du total des 33 morts. PÉRIODE TERMINALE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 439 2. Dans le 2e groupe, celui des m
oupe, celui des morts par affection intercur- rente, étrangère à la
paralysie
générale, nous trouvons 6 cas : trois fois, mor
près avoir présenté tous les signes physiques et psychiques d'une
paralysie
générale expansive, y compris plusieurs ictus don
traversé une période d'affaiblissement considérable. La durée de la
paralysie
géné- rale, dans ces cas, a été assez courte :
iode d'affaiblissement plus ou moins marqué. La durée moyenne de la
paralysie
générale a été ici notablement plus longue que
eur prodiguer des soins minutieux d'hygiène PÉRIODE TERMINALE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 441 et de propreté; de leur appliquer
exposés ces malades. Il serait évidemment exagéré de dénier à la
paralysie
géné- rale toute espèce d'influence dans la pro
n très grand nombre de cas, elles ne sont pas un effet direct de la
paralysie
générale. Sur ce point, d'ailleurs, plusieurs a
us les auteurs signalent la fréquence des ictus dans le cours de la
paralysie
générale, ils ne leur attribuent guère qu'un ti
ie par bol alimen- taire, etc. arrêterait la marche naturelle de la
paralysie
générale, marche naturelle dont l'aboutissèment
poplectiformes ou épilepti- formes non comme une complication de la
paralysie
générale, mais comme un symtôme propre de la ma
ignés dans ce travail. J'ai dit plus haut que, dans les cas où la
paralysie
générale s'est terminée par une période plus ou
chez les malades qui sont morts debout. 1 PÉRIODE TERMINALE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 443 Ces deux catégories de malades m'
données, établir deux grandes variétés dans l'aspect clinique de la
paralysie
générale à son déclin : une première variété se
t ne surviendrait qu'après une période d'impotence musculaire (sans
paralysie
vraie) et de séjour obligé au lit; dans cette s
mes. Toute interprétation laissée de côté, il reste qu'en fait la
paralysie
générale se termine de façons diverses et qu'il y
, l'intéressante thèse de M. Trénel. Symptômes spasmodiques dans la
paralysie
générale. Paris, Steinheil, 1894. 444 PATHOLOGI
III. Quant aux troubles trophiques, si libéralement attribués à la
paralysie
générale, la plupart deviendront exceptionnels
'existence de variétés distinctes dans les dernières périodes de la
paralysie
générale. Contrairement à l'opinion traditionne
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la
paralysie
ascendante aiguë (paralysie DE LANDRY) ; par Pl
SE. LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la paralysie ascendante aiguë (
paralysie
DE LANDRY) ; par Plarce HALLES et James EwiNG. (N
4 juillet 1896.) Les auteurs se proposent : 1° de décrire un cas de
paralysie
ascendante aiguë, principalement au point de vu
rieurs à Landry comme caractéristiques de la maladie à savoir : une
paralysie
ascendante aiguë, causant la mort par envahisse
auteurs ont été amenés à formuler les conclusions suivantes : La
paralysie
ascendante aiguë est une toxhémie aiguë dans la
La possibilité de la présence des lésions caractéristiques de la
paralysie
de Landry dans les nerfs périphériques résulte d'
ibres nerveuses. Il est actuellement impossible de contester que la
paralysie
ascen- dante aiguë peut évoluer jusqu'à la mort
l avec congestion de la faceetincertitude de la démarche, mais sans
paralysie
, sans perte de connaissance, sans trouble du la
ie a débuté par des phéno- mènes d'ophtalmoplégie : six mois après,
paralysie
brusque de la main droite, bientôt suivie d'atr
rophie progressive de l'avant-bras et de l'épaule. L'atrophie et la
paralysie
persistent sans changement pendant trois mois,
is, puis s'aggravent progressivement pendant deux ans; puis ensuite
paralysie
et atrophie du deltoïde, des muscles de la régi
e. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 LIII. UN cas DE
paralysie
BULBAIRE AIGUË, avec remarques SUR la pathogéni
ar W. AUZAL. (New-York médical Journal, 14 mars 1896.) Les cas de
paralysie
bulbaire aiguë ne sont pas communs, et celui qu
lement involontaire de la salive. Pas de déviation de la luette.
Paralysie
de la moitié droite de la langue, gênant la déglu
considérations étendues sur la pathogénie et le diagnostic de la
paralysie
bulbaire aiguë. R. DE MUSGBAVE-GLAY. LIX. LE di
acture active commençante. On la rencontre dans les hémiplégies, la
paralysie
agitante, etc. Il y a généralement concordance
oureuses continuèrent avec une violence extraordinaire ; peu à peu,
paralysie
des extrémités infé- rieures et rétention d'uri
n s'ag- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 463 grave ; il n'y a pas de
paralysie
vraie, mais la douleur et la raideur des muscle
facteurs du syndrome clinique, à savoir l'hé- miplégie droite et la
paralysie
du moteur oculaire commun gauche. L'état athéro
t faiblement toxique. (Revue neurologique, août 1896) E. B. LXIV.
Paralysie
P03T-PUERPÉftALE par NÉVRITE périphérique ; par
évrite généralisée ou loca- lisée aux membres supérieurs. Quant aux
paralysies
des membres inférieurs consécutives à l'accouch
on. Paraplégie absolue et immédiate, offrant les carac- tères d'une
paralysie
par névrite. Suites de couches fébriles avec RE
comprimé dans le bassin pendant un accouchement laborieux et qu'une
paralysie
immédiate peut en résulter : mais cette paralysie
borieux et qu'une paralysie immédiate peut en résulter : mais cette
paralysie
sera vraisemblablement bénigne et de courte dur
st and rzezcro- logist, juillet 1896.) E. B. LXXVII. Genèse DE la
paralysie
faciale DITE rhumatismale ; . par J. NEUMANN. (
teurs : 1° La substance nerveuse est plus ou moins prédisposée à la
paralysie
par hérédité ou des modifications acquises (dia
Si la lésion est limitée aux cornes anté- rieures, on observe de la
paralysie
motrice et de l'atrophie muscu- laire, tandis q
suivent les cordons postérieurs en dehors de la substance grise.
Paralysie
motrice, atrophie musculaire, anesthésies diverse
ns les affections de la moelle. Dans la polyomyélite antérieure, la
paralysie
motrice est étendue et complète dès le début. P
es antérieures. Il en est de même dans la syrll1go- myélie. Dans la
paralysie
musculaire progressive, la paralysie résulte de
s la syrll1go- myélie. Dans la paralysie musculaire progressive, la
paralysie
résulte de la dégénérescence des cylindraxes, d
trophie de leurs cellules d'origine. Dans la myélite transverse, la
paralysie
est d'ordinaire complète au-dessous du siège de
-dessous du siège de la lésion. L'atrophie musculaire accompagne la
paralysie
motrice quand la lésion siège dans la substance
un temps très court quel- ques symptômes d'une lésion unilatérale.
Paralysie
totale de la vessie et du rectum. Douleurs dans
ans cette zone et pins tard dans la par- tie interne des deux bras.
Paralysie
de la vessie et du rectum. Abolition du réflexe
nnent en propre à la terreur et aussi à l'hystérie, ce sont : 1° la
paralysie
complète, frappant plus particulièrement les ja
ou symptômes d'une autre psychose. Les délires systématisés de la
paralysie
générale semblent être le fait d'un paradoxe. L
és de la paralysie générale semblent être le fait d'un paradoxe. La
paralysie
générale étant psychiquement caractérisée par l
149. Chorée chronique avec alternances semblables il celles de la
paralysie
générale, par Boudurant, 45. - congénitale, p
E CLARKE. Cellules de la - dans le tabes simple ou asso- cié à la
paralysie
générale, par nlarmesco, 358. COLOR ITIOX du
Lelloch, 151. Ecriture en miroir, par Allen, 121. Ecrivains. La
paralysie
des - n'est pas due à l'écriture seule, par H
par Lichtschein, 216. - en justice, par Bell, 317. Hyio4-,LobsE.
Paralysie
isolée de il -, par Marina, '50. D04 TABLE
ard des d'habitude, par Wood Renon et Yellowlées, 315. LAiIDRY.
Paralysie
de -, par Rob- son, 52. Langage intérieur dan
-, par Rob- son, 52. Langage intérieur dans les scléroses et la
paralysie
,par Trommer, 370. Larynx. Paralysie motrice du
ieur dans les scléroses et la paralysie,par Trommer, 370. Larynx.
Paralysie
motrice du , par Mac Cassy, 322. Législation
e Mormyrus, 480. PAJET. Maladie osseuse de -, par Devay, f6S.
Paralysie
des l'le et Vile paires coïncidant avec la coqu
, par Lamy, 472. - Faciale dite rhumatismale, par Neumann, 474.
Paralysie
générale. Période termi- nale de la -, par Arma
les fonctions du système nerveaux, produit de la somnolence, de la
paralysie
. Elle peut simuler l'action con- vulsivante de
doses, produit de la fatigue, de l'apathie, de la parésie et de la
paralysie
, ou même la mort avec dyspnée et arrêt consé- c
nt présenlé . une mégalomanie sans couleur, de la dysarthrie, de la
paralysie
du facial et des pupilles. C'est ce qu'il appel
e la paralysie du facial et des pupilles. C'est ce qu'il appelle la
paralysie
générale - typique. 11 donne trois observations
dant, quant à la topographie " de la dégénérescence avec les cas de
paralysie
générale typique, '* en présente cependant un d
' '' pas dit que les fibres les plus résistantes à la lésion de la
paralysie
n générale sont celles qui, chez le foetus, se
e de l'écorce d'associa- tion. » *"' Eh bien, nous voyons dans la
paralysie
générale. la pariétale / ascendante tout aussi
z la nature associative de la pariétale ascendante. >' ' · La
paralysie
générale typique, accompagnée ou non de tabès, *'
ig comme des centres d'association. Storch, de. son côté, dans la
paralysie
générale atypique, dans celle qui se traduit mo
calcarine), la première temporale. Ce sont les cas que Storch nomme
paralysies
générales atypiques; ils sont atypiques tant pa
cliniquement, proportionnellement aux altérations de ce lobe, de la
paralysie
générale démentielle, typique. La paralysie gén
ons de ce lobe, de la paralysie générale démentielle, typique. La
paralysie
générale atypique forme, en somme, le pendant de
La paralysie générale atypique forme, en somme, le pendant de la
paralysie
générale typique. La première se traduit par un l
étale ascendante était moins lésée que la frontale ascendante. La
paralysie
générale épargne donc exactement le territoire de
auditive. Tout ceci' indique que la dégénérescence corticale de la
paralysie
géné- rale est une affection élective de l'écor
'un membre. 1 >1111. EGGeR et. Déjerine communiquent deux cas de
paralysie
radiculaire par arrachement, compliquée d'hémal
osseuse au diapason (ce qui expliquerait la non-flacci- dité de sa
paralysie
). Il y a donc dissociation possible des autres
° de 6 pages. Extrait de la Revue Neurologique. Pechin et ALL\RD. -
Paralysie
faciale et paralysie des mouvements 80 AVIS A N
de la Revue Neurologique. Pechin et ALL\RD. - Paralysie faciale et
paralysie
des mouvements 80 AVIS A NOS ABONNES. associé
t ans. Début de la maladie en novembre 1900, par céphalées. Bientôt
paralysie
de toutes les branches de la troisième paire ga
pière. L'oeil est en strabisme externe permanent. On constate une
paralysie
complète de toutes les. branches de la troisième
plète qu'à gauche ; c'est ainsi que le ptosis et le stra- Fig. 4. -
Paralysie
de la troisième paire gauche avec ptosis, démar
parésiées ; il a donc semblé qu'il existait à ce moment une légère
paralysie
des mouvements associés de latéralité (examen d
2° Troubles de la motilité. Il n'existe pas à proprement parler une
paralysie
motrice. La force musculaire est bien conservée à
che et la jambe droite étant lancée irrégulièrement dans la Fig. 6.
Paralysie
du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERV
droite. coup à celle de la sclérose en plaques. Il n'existe ni
paralysie
faciale, ni paralysie du voile du palais, ni dé
lle de la sclérose en plaques. Il n'existe ni paralysie faciale, ni
paralysie
du voile du palais, ni déviation de la langue,
s son lit, cependant on ne constate pas, au sens strict du mot, une
paralysie
motrice des membres. Les céphalées sont toujour
la pie-mère pédonculaire (p. 20 et91). Notre malade présentait des
paralysies
oculaires associées à des troubles moteurs des
des membres et à des troubles de la parole. L'explication de ces
paralysies
oculaires est facile à don- ner : la tumeur a d
deux phases dans l'histoire oculaire du malade, une phase initiale,
paralysie
complète de la troisième paire gauche, une phas
complète de la troisième paire gauche, une phase terminale, double
paralysie
des deux troisièmes paires, complète à gau- che
moteurs du bras et de la jambe du côté droit ne consistaient ni en
paralysie
motrice proprement dite ni en phénomènes tels q
notre malade ces troubles moteurs existaient indépendants de toute
paralysie
motrice des membres pro- prement dite. Quelle
érantielles et se caractérisaient d'une manière essentielle par une
paralysie
motrice vraie du bras et de la jambe gauche du
bras et de la jambe gauche du côté opposé à la lésion, et par des
paralysies
des nerfs crâniens et une asynergie cérébelleuse
en déterminant des troubles moteurs des membres du même côté que la
paralysie
des nerfs crâniens, c'est-à-dire du côté de la
que les troubles moteurs des membres du côté droit, asso- ciés à la
paralysie
de la troisième paire gauche, consistent non en
ciés à la paralysie de la troisième paire gauche, consistent non en
paralysie
motrice vraie, mais en incoordination, en ataxi
uxion de poitrine à la suite de laquelle il a présenté une sorte de
paralysie
des membres inférieurs (ataxie-abasie ? ) qui a
ples, comme par exemple, une anorexie, une contracture, ou bien une
paralysie
qui sont présentés à la Vierge miraculeuse par
s en remuer aucune partie non plus que si j'étais morte ». 5° Des
paralysies
hystériques A un moment, Thérèse a tout le corp
malade dont l'observatiou sert de base à ce travail présentait une
paralysie
motrice des membres inférieurs et de la partie in
moins volatil. G. Deny. XIV. A propos du signe de Ch.-Bell dans la
paralysie
faciale péri- phérique ; par le D1' BOUCH.1UD (
ournal de 1'eurolo- gie 1901, n°24.) Chez la patiente atteinte de
paralysie
faciale périphérique dont l'histoire est rappor
un homme atteint de tabes. Ce phénomène n'est donc pas spécial à la
paralysie
faciale périphérique, mais son interpré- tation
ne action des anesthésiques sur les centres supérieurs et non à une
paralysie
des centres médullaires. G. D. XIX. Réflexe pla
e abréviation de la transmission du son par les os du crâne dans la
paralysie
infantile cérébrale, la syphilis céré- brale, l
, s'accompagnant d'altérations incontesta- bles des tissus, dans la
paralysie
générale, par exemple, les stigmates ou les com
l'idiotie est rare dans les cas de syphilis congénitale, 2* que la
paralysie
générale est ordinairement une consé- quence de
i celle-ci a été grave, avec symptômes secondaires très accusés, la
paralysie
générale peut apparaître dans les deux ans, com
olie chro- nique. li. DE Musgrave-Clay. VI. La décroissance de la
paralysie
générale des aliénés en Angleterre et dans le P
se- ment établis et puisés a bonne source, l'auteur montre que la
paralysie
générale a commencé à décroître en Angleterre en
ncontestable que les différentes formes de dégénérescence nerveuse (
paralysie
générale, ataxie, etc.), ainsi que le défaut de
er des états neuro-pathologiques et particulièrement la folie et la
paralysie
générale. On admet aujourd'hui que l'alcoolis
l'alcoolismeet la syphilis sont les deux principaux facteurs de la
paralysie
générale ; l'auteur a tou- jours combattu cette
rthodoxes), et il constate que les névroses de dégénérescence et la
paralysie
générale sont communes dans les deux classes, ce
< ? 2oiscitiii. Quelles sont donc les causes déterminantes de la
paralysie
générale chez les juifs ? La première cause se
diverses circonstances est résulté le récent accroisse- ment de la
paralysie
générale chez les juifs. Les statistiques doive
coïncidence, i G. D. · 158 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. II. Les
paralysies
post-anesthésiques; par le D1' de Bucii. (Journ
1' de Bucii. (Journ. de Neurologie, ]903, n° 2.) Les trois cas de
paralysie
post-anesthésiques rapportés dans cette note co
roisième a été atteinte d'hémiplégie droite, avec aphasie, etc. Ces
paralysies
ont été observées dans les vingt-quatre heures
k. rattacher ces accidents paralytiques : il s'agirait en un mot de
paralysies
toxiques et non hystériques comme l'admettent q
IV. Un cas de névrite radiculaire double du plexus brachial avec
paralysie
unilatérale complète de la troisième paire simula
GIE NERVEUSE. 159 droits, douleurs qui furent bientôt suivies d'une
paralysie
radiculaii e du type Erb, avec atrophie des mus
ait devint bilatéral ; de plus il survint deux faits nouveaux : une
paralysie
graduelle et totale du nerf de la troisième pai
s'il s'était agi d'une pachyméningite cervicale hypertrophique, la
paralysie
n'aurait pas suivid'aussi près les douleurs spo
urait pas suivid'aussi près les douleurs spontanées, et enfin cette
paralysie
n'aurait pas affecté le type d'Erb; elle aurait
mbres inférieurs. " G. D. 160 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VIII.
Paralysie
labio-glosso-laryngée (Atrophie chronique des n
qui fut atteinte successivement à l'âge de soixante-deux ans d'une
paralysie
des lèvres, de la lan- gue et des cordes vocale
nnel et partant curable, cette affection peut entraîner la mort par
paralysie
respiratoire. Le traitement consiste dans le re
e à la sécrétion des larmes ? Voici ce que dit la clinique. Dans la
paralysie
faciale, on observe, du même côté, soit, le plu
mais après la réinstallation de l'incitabilité volontaire. Dans la
paralysie
faciale rhumatismale, il ne survient de trouble
ale rhumatismale, il ne survient de trouble lacrymal que lorsque la
paralysie
siège dans le voisinage du gan- glion géniculé
glion géniculé (trouble simultané des larmes et du goût). Dans la
paralysie
faciale d'origine basale, on observe également le
s du trijumeau, ou du sympathique mélangées. P. KERAYAL. XIV. Les
paralysies
laryngées et leur importance en médecine généra
. Bonne revue des notions que nous possédons actuellement sur les
paralysies
laryngées et sur l'utilité qu'il y a pour le lary
dictionnaire, c'est le réveil d'une image visuelle particulière.
Paralysie
générale ci forme sensorielle. 1t. P. Sérieux c
xamen microscopique fait par M. Rabaud, confirme le dia- gnostic de
paralysie
générale. L'existence d'une lésion bien localis
eux. On est autorisé à'décrire à part une variété sensorielle de la
paralysie
générale, comprenant les cas caractérisés par l
es troubles de la sphère du langage (symptômes d'excitation ou de
paralysie
) tels que : aphasie motrice, hallucinations motri
naissance de cette variété clinique et anatomo-patholo- gique de la
paralysie
générale est intéressante au point de vue du di
diffuse, mais doivent faire pensera à cette forme sensorielle de la
paralysie
générale liée à des foyers circonscrits de méni
iagnostique des symptômes oculaires, aux différentes périodes de la
Paralysie
générale; valeur appuyée surtout sur des observat
du somnambulisme donnèrent lieu à des discussions intéressantes. La
paralysie
générale occupa la Société dès 188. Neuf séance
e époque, à élucider cette question. Parchappe dit nettement que la
paralysie
générale « forme une espèce distincte du genre
re et le rapport de cause à effet n'est ni constant ni absolu. '-
Paralysie
radiculaire traurualique du plexus brachial avec
V et CROUPON présentent un malade de soixante-dix ans atteint d'une
paralysie
radiculaire du plexus brachial survenue à l'âge
survenue à l'âge de quatorze mois par une traction sur le bras. La
paralysie
radiculaire a été primitivement totale et s'est
s insistent sur l'absence des troubles de la sensibilité dans cette
paralysie
radiculaire, qui s'explique par l'adultération
on s'explique ainsi les analogies cliniques qui exis- tent entre la
paralysie
infantile et les paralysies radiculaires, la to
logies cliniques qui exis- tent entre la paralysie infantile et les
paralysies
radiculaires, la topographie des troubles moteu
aralysies radiculaires, la topographie des troubles moteurs dans la
paralysie
infantile affec- tant d'ailleurs une topographi
quent semblent de nature à éclairer la pathogénie non seulement des
paralysies
centrales sur- venant aux cours des états logiq
ymé- ningite tuberculeuse primitive. Il Lionne rapporte un cas de
paralysie
générale à marche rapide avec crises d'angoisse
ur, en 183, avec une thèse Sur la folie paralytique et les diverses
paralysies
générales. Très mûri, d'un sens clinique très s
uvre vraiment remarquable ; il a fixé nos idées sur la marche de la
paralysie
générale, sur ses variétés habituelles, sur les
est si vaste. Jules Falret développa et compléta ses idées sur la
paralysie
générale dans plusieurs études ultérieures, don
ons men- tales et délires toxiques d'origine externe ou interne (la
paralysie
générale et le myxoedème sont compris dans les
? 7 z ARCHIVES DE NEUROLO^È le, X - CLINIQUE MENTALE. La
paralysie
générale d'après les données de la clinique psy
femmes. De tous ces malades il y en avait 682 qui souffraient de
paralysie
générale, 590 hommes et 92 femmes. Si nous pre-
venons de citer, relatifs, nous aurons les résultats suivants : '
paralysie
générale. ' 195 du nombre des hommes paralytiqu
quatre années. - Concernant la division des malades, atteints de
paralysie
générale en groupes d'après l'âge, nous nous so
roupe à part, de même que les malades de ce genre, chez lesquels la
paralysie
générale a manifesté après soixante ans, ont ét
cinq années. De 67.3 paralytiques (hommes et femmes ensemble) :
paralysie
générale. 197 grand nombre de malades revient a
s hommes à l'âge correspondant. Vu la rareté comparative des cas de
paralysie
générale dans l'âge très jeune, nous allons cit
dans l'âge très jeune, nous allons citer in extenso trois cas de
paralysie
générale juvénile. Observation I. Malade B...,
inscrite leur position de famille, peuvent être répartis ainsi :
PARALYSIE
GÉNÉRALE. '199 200 . CLINIQUE MENTALE. sion q
pêtres, à condition de la vie à la campagne, ne prédispose pas à la
paralysie
géné- rale. En examinant la signification de
ès nos données, nous eûmes les résultats suivants : Tableau V -
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 201 ment.de la paralysie générale, co
ats suivants : Tableau V - PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 ment.de la
paralysie
générale, comme moment étiologique, doit être e
nt à l'examen de la fréquence de la syphilis dans l'anamnèse de 'la
paralysie
générale. 520 hommes et 67 femmes ont été répar
plus courte de trois ans (trois cas). Ainsi donc, dans 90 p. 100 de
paralysie
générale chez les hommes, les périodes entre l'
nous basant sur nos données, nous avons pu obtenir ce qui suit :
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 203 Chez les paralytiques femmes, on
difications qui se sont manifestées dans l'évolution externe de la
paralysie
générale nous avons déterminé pour chaque derni
dernière période de quatre ans la quantité des malades atteints de
paralysie
générale, en forme démente et de para- lysie gé
démentes au nombre des formes maniaques, chez les hommes était :
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 205 ment et nous avons constaté que c
s psychoses d'intoxication, les troubles mentaux névropathiques, la
paralysie
générale. Etiologie : Fréquence. Généralement t
fait le diagnostic différentiel avec la démence précoce simple, la
paralysie
générale progressive et les idiots épileptiques
s maladies mentales. Rapporteur : " M. Trenel ; 2° Histologie de la
paralysie
générale. Rapporteur : M. Ir.irrrr,; 3° Questio
t très efficaces dans le traitement d'accidents neurasthéniques, de
paralysies
, d'anesthésies, etc. M. Paul Il y a plus de vin
hystérique, astasie, abasie, ptosis, spasmes musculaires, parésie,
paralysie
, diarrhée nerveuse, pollakiurie. Les troubles s
ice Dessaignes, à Blois). In-8» de 17t pages. . Vianny (Ch.). Les
paralysies
des nerfs périphériques et la systé- matisation
même nuit. (Le Temps 1r août.) RECUEIL DE FAITS. Sur un cas de
paralysie
générale et d'alcoolisme; Par MM. TRUELLE et PE
nt. Le 12, G... a gâté au lit; le 14 on note de l'em- SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 305 barras de la parol
stertoreuse. Il urine sous lui. Deuxième attaque à 4 heures. Pas de
paralysie
consécu- tive. Mais jusqu'au milieu de juillet,
éralisé, les pupilles restent inégales, la droite plus grande, avec
paralysie
de l'accommodation. Puis l'état s'améliore; l'agi
er son travail. Le 4, nouvelle attaque épileptiforme, toujours sans
paralysie
con- sécutive ; pendant quelques jours, G... ac
quelques bouffées ambitieuses, mais sans suite notam- SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GENERALE ET D'ALCOOLISME 307 ment à la suite de
lement debout et marche péniblement ; mais pas de contracture ni de
paralysie
dans aucun membre. Le lendemain, cette aggravat
lever qu'il marche difficilement en traînant la jambe SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 309 « droite. Depuis t
sme chronique, troubles circulatoires de l'encéphalo- SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 311 méningite que l'au
dantes. 312 RECUEILS DE FAITS. ' cette affection; 3° Produire une
paralysie
générale qui ne diffère de la paralysie général
affection; 3° Produire une paralysie générale qui ne diffère de la
paralysie
générale vraie que par des points de détail : c
uis bientôt apparaissent des attaques épileptiformes non suivies de
paralysie
. Après cinq mois de séjour à l'asile survient u
Quant à savoir si l'on a eu affaire à ce que M. Klippel nomme une
paralysie
générale inflammatoire primitive, ou bien une p
nomme une paralysie générale inflammatoire primitive, ou bien une
paralysie
générale associée à d'autres lésions d'en- céph
d'autres lésions d'en- céphalite due à l'alcoolisme, ou bien à une
paralysie
générale dégénérative ou pseudo-paralysie génér
après les résultats obtenus, nous pensons avoir affaire à un cas de
paralysie
générale alcoolique. Et c'est sans doute à cett
it là un obstacle suffisant pour nier l'origine alcoolique de cette
paralysie
générale. L'HYSTERIE DE SAINTE THERESE Par LE
volonté, la mémoire ne sont pas perdues, mais sont dans un état de
paralysie
ou de demi-sommeil dont on ne peut se réveiller
al. De l'utilité de la ponction lombaire pour le diagnostic de la
paralysie
générale. MM. A. Joffroy et E. Mercier. Dans un
y et E. Mercier. Dans un grand nombre de cas' - le diagnostic de la
paralysie
générale, impossible par les anciens moyens d'i
ments blancs dans le liquide céphalo-rachidien permet d'affirmer la
paralysie
générale, tandis que leur absence permet de rej
e cas où le diagnostic est difficile. Ils pensent qu'au début de la
paralysie
générale l'augmentation du nombre des éléments
vritique de Korsakofr. La ponction lombaire permet de distinguer la
paralysie
géné- rale des diverses formes de l'alcoolisme,
dans ces cas. La ponction lombaire permet aussi de distinguer la
paralysie
générale, au début, d'une psychose, et en parti
éments blancs chez un aphasique permet d'at- tribuer l'aphasie à la
paralysie
générale dans certains cas où sans la ponction
ès rares où la ponction lombaire ne peut servir au diagnostic de la
paralysie
générale. Ce sont ceux où il existe une autre a
est le plus constant et le plus précoce des signes physiques de la
paralysie
générale, et sa découverte a fait faire un prog
st entré à la cli- nique il y a sept ans avec tous les signes de la
paralysie
générale, puis après une période d'amélioration
pas révélé d'éléments. 11 ne faudrait pas en conclure que dans ces
paralysies
générales prolongées, l'absence des éléments so
ts à évolution rapide. Ainsi pas plus qu'aucun autre symptôme de la
paralysie
générale, la présence des éléments n'a une vale
dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la
paralysie
générale se rencontrant chez les héréditaires v
ion dans la for- mule cytologique dans les phases si diverses de la
paralysie
géné- rale, ou encore au moment des ictus, fréq
contrôle des effets produits par ce traitement dans certains cas de
paralysie
générale. Nos observations sont encore trop p
leucocytaire avec les diverses phases cliniques ou les ictus de la
paralysie
générale, nos obser- vations, trop peu nombreus
s éléments nocifs auxquels on attribue généralement la genèse de la
paralysie
générale. Syphilis, alcoolisme, surmenage physi
en rémission qui n'en présentaient pas. Chez sept malades, dont la
paralysie
générale avait déjà atteint une période avancée
cléroses céré- brales atrophiques, et même dans certaines formes de
paralysie
générale. Enfin dans les scléroses tubéreuses h
e, avait été celle d'une méningite basilaire (troubles cérébelleux;
paralysie
faciale périphérique ; ophtalmoplégies, trouble
et rapidement progressifs jusqu'à la sur- dité), ophtalmoplégies et
paralysie
faciale souvent unilatérales ; symptômes habitu
n fondé de cette hypothèse. Observations de deux frères atteints de
paralysie
générale appartenant ci une famille de dégénéré
dont il s'agit présentaient l'un et l'autre les signes très nets de
paralysie
géné- rale, embarras de la parole, inégalité pu
dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la
paralysie
générale se rencon- trait chez les héréditaires
évolution plus longue de la maladie, donnent un aspect spécial à la
paralysie
générale surve- nant chez les dégénérés. SOCI
des corps opto-striés aux cornes anté- - rieures de la moelle. La
paralysie
générale au début devant les magistrats. .M. Ma
massage sera utile aux tabétiques. il leur servira aussi contre les
paralysies
, les atrophies, les fractures et les entorses q
ndrome-a été noté dans diverses affections de l'axe cérébrospinal :
paralysie
générale, démences alcoolique et sénile, aphémi
symptômes derrière lesquels il faut chercher la base organique, la
paralysie
générale particu- lièrement (Voisin, Ballet, Fo
s étaient caractérisés par une hémiplégie droite avec contractions;
paralysie
faciale très peu accentuée, secousses convulsiv
tuée, secousses convulsives dans la langue au début des mouvements,
paralysie
légère du voile du palais; diminution de l'acui
s. De la sortie refusée des aliénés, par Biaute. Traitement de la
paralysie
générale. M. Devay (de Lyon) a soumis au traite
mis au traitement spécifique mixte intensif, depuis 1896, 90 cas de
paralysie
générale. 11 expose les résultats de cette méth
uler son opinion sur la théorie de la nature parasyphilitique de la
paralysie
géné- rale, aussi bien que du tabes, théorie qu
orie qui a été préjudiciable au traitement de ces affections. Toute
paralysie
générale doit être soumise à un traitement inte
les accidents comateux dont on l'accuse. Fausse grossesse dans la
paralysie
générale. M. Dupré. On sait que chez les paraly
st présenté à nous avec les signes, somatiques et psychiques, de la
paralysie
générale, auxquels s'étaient ajoutés, sous l'in
ssesse somatique et de délire démentiel de grossesse au cours de la
paralysie
générale. Paralysie générale précoce chez un dé
délire démentiel de grossesse au cours de la paralysie générale.
Paralysie
générale précoce chez un débile /tc;'eo-syp/<i
de vingt-trois ans qui a suc- combé, au bout de trois années, à une
paralysie
générale à forme démentielle simple, non délira
t, d'une part, le rôle de l'hérédo-syphilis dansl'étio- logie de la
paralysie
générale, et, d'autre part, la fréquence de cet
ce de la circulafion locale,' , permet de distinguer la rougeur par
paralysie
vaso-motrice de la rougeur par vaso-dilatation
me des troubles urinaires. Discussion : MM. Dupré et Régis. De la
paralysie
générale chez les dégénérés. M. de PEHHY (Borde
s qui viennent corroborer l'aspect spécial que l'on a attribué à la
paralysie
générale chez les dégénérés. Les antécé- dents
servation qui confirme la marche rapide attribuée généralement à la
paralysie
générale chez les débiles. Il rapporte aussi le
maladie de Friedreich (to cas), de diverses vésanies autres que la
paralysie
générale. Au contraire, ils ont pu le constater
drait plutôt admettre que le signe d'Arcyll dénonce un tabes ou une
paralysie
générale initiaux évoluant, soit à l'état isolé
ographie. , d'autres naissent infirmes, sourds-muets ou atteints de
paralysies
partielles (pieds-bots, etc.). Ce n'est point,
Orbites peu excavés. Yeux mobiles, ni exophtalmie, ni strabisme, ni
paralysie
; iris bleu ; pupilles réagissant bien ; l'acui
ment conduite jusqu'ici. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XV. De la
paralysie
bilatérale du nerf facial (diplégie faciale) ;
1900). Deux observations accompagnées de figures témoignent d'une
paralysie
totale du facial des deux côtés, consécutive à un
e idiote de dix ans, issue d'une famille de névropathes, indemne de
paralysie
ou de symptô nés de lésions en foyer. A la suit
che, une secousse matérielle. Il y a six mois, il s'est produit une
paralysie
du bras droit qui en a presque absolument suppr
ans une poliomyé- lite bénigne. XIX. Contribution à l'étude de la
paralysie
isolée du muscle grand dentelé; par A. Souques
onstituée par l'atrophie musculaire myélopathique pro- gressive, la
paralysie
labio-glosso-laryngée progressive, l'ophtal- mo
e neurologique, novembre 1899.) Observation de syringomyélie avec
paralysie
et atrophie des muscles de la main gauche, para
ngomyélie avec paralysie et atrophie des muscles de la main gauche,
paralysie
du muscle orbito-palpébrat' gauche, exagération
acine dorsale et de la huitième racine cervicale, rend compte de la
paralysie
et de l'atrophie des muscles de la main et des
saire à la production d'un ramollissement. E. B. XXXVIII. Un cas de
paralysie
faciale d'origine périphérique com- binée avec
cas de paralysie faciale d'origine périphérique com- binée avec une
paralysie
du nerf oculo-moteur. externe du même côté; par
de la diplopie. Pas d'autre lésion. On se trouve en présence d'une
paralysie
faciale périphérique, due sans doute à un proce
euse; par contre on sait l'insuccès de la méthode dans le tabes, la
paralysie
générale, certains néo- plasmes cérébraux. Tous
analyse les résultats dans nombre d'affections (méningites aiguës,
paralysie
générale, tabès, syringomyélie. méninge-myélite
l'attaque d'apoplexie, de la mort subite, du ramollissement, de la
paralysie
générale, d'un corps étranger dans l'oreille, d
tion de la manie, mais moins souvent, et l'on peut voir survenir la
paralysie
géné- raie : un trait commun à noter dans les c
es dans les cas de folie puerpérale. 1. DE IUf,AAVE-CL : 1Y. XIV.
Paralysie
générale et syphilis : revue critique ; par W.-H.
ue soit l'importance de la syphilis comme facteur étiologique de la
paralysie
générale, le mercure est ici sans effet. Mais l
ment que toute autre cause, dans les statistiques écologiques de la
paralysie
générale ; on a montré aussi que les chiffres f
plai- dent dans le même sens. ZD Contre l'opinion qui fait de la
paralysie
générale une affection para-syphililique, il n'
des éléments de la civilisation qui aide la syphilis à engendrer la
paralysie
générale, et en d'autres termes, de quelle façon
ique qui résulté de ces don- nées c'est que la syphilis ne donne la
paralysie
. générale qu'à la condition d'être bénigne, red
amais demandé jusqu'ici si ce n'est pas le mercure qui détermine la
paralysie
générale. Marshatko a étudié avec beaucoup de s
e étude analogue reste à faire sur les rapports du mercure et de la
paralysie
générale. - Déjà en 18G1 Kussmaul déclarait que
ion suggère la pensée qu'une enquête analogue sur la question de la
paralysie
générale pourrait être faite chez les industrie
ure. · On a supposé que l'immunité des Mahométans à l'égard de la
paralysie
générale était due à la simplicité de leur manièr
asses pauvres de l'Angleterre, et surtout celles de l'Italie, où la
paralysie
générale abonde, ne peuvent véritablement pas ê
es classes les plus pauvres que se rencontre le plus fréquemment la
paralysie
générale. On peut conclure de toutes ces donnée
données que la syphilis est un antécédent tellement ordinaire de la
paralysie
générale, que les cas non-syphilitiques, s'il e
ue de devenir paralytique général. Mais la question de savoir si la
paralysie
générale est due à la syphilis per se ou la mer
ulsif conscient. E. B. XXI. Essai sur la pathogénie du délire de la
paralysie
générale ; par le 1),, LALANDE. (Annales 12étli
es 12étliCO-,PS ! ICI1010gi(IIICS, février 1900.) Le délire de la
paralysie
générale, quelle que soit sa forme, possède sep
es *. 1° Le phénomène de l'hallucinalion excepté, le délire de la
paralysie
générale est expliqué par la perte graduelle de l
'anomalie intellectuelle. L'auteur estime que la plupart des cas de
paralysies
générales juvéniles décrits au cours de ces der
on comparée des troubles de la sensibilité aux trois périodes de la
paralysie
générale ; par le De MARANDON de MO.4- TYEL (Bi
reuse et génitale étudiées simultanément, à toutes les phases de la
paralysie
géné- rale chez 14 malades, l'auteur tire un ce
u Dr Beriswan- ger, à Iéna. On désigna sa maladie sous le nom de cl
paralysie
à forme atypique ». Pendant que M. Ireland ache
urs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux deux périodes dans la
paralysie
générale précoce et de l'âge moyen que dans la
is et le traumatisme. AI. IIAMEL XXXV. Contribution à l'étude des
paralysies
psychiques ; par llAL'sEn et Lostat JACOB. (Reç
s se rapportent à des sujets non hystériques, et ayant présenté une
paralysie
de cause vraisembla- blement psychique. Ce qu'i
ement psychique. Ce qu'il y a de particulier à noter, c'est que ces
paralysies
affectaient, soit exclusivement, soit de préféren
ues, il est peut-être préférable de les ranger simplement parmi les
paralysies
psychiques, afin de ne pas trop étendre le cadr
R. de Musgrave-Clay. XXXVIII. L'action toxique dans la genèse de la
paralysie
générale; par F. Robertson. (Brit. cnecl. Journ
après des recherches histologiques per- sonnelles, cette vue que la
paralysie
générale est une réaction de tous les tissus im
eux effets d'un même état du système nerveux central. ' Un cas de
paralysie
radiculaire supérieure bilatérale du plexus bra-
aru douteux, la radiographie permit d'établir celui de mal de Pott.
Paralysie
pseudo-bulbaire chez un jeune homme de vingl-huil
surventes dans la même journée. Signe des orteils. M. Dufour. La
paralysie
pseudo-bulbaire est, le plus géné- ralement, le
é incomplètement dans la suite, laissant les signes très nets de la
paralysie
pseudo-bulbaire. - Le signe des orteils de Babi
différence de la mortalité entre 1900 et 1901. tient aux décès par
paralysie
générale, part entièrement nombreux en 1901, à
(23), qui ont fourni le plus grand nombre des dé- cès. En 1898, la
paralysie
générale ne venait qu'en quatrième rang; mais d
. Mère alcoo- lique et meurtrière, 188. Drames de 1' -, 285. Voir
Paralysie
. Aliénés. Les en liberté, 74, 32t, 397, 398,
dhecteur de l'asile des de Tournai blessé par un fou, 78. - Voir
Paralysie
générale. Essai à l'asile de Pau du traitement
lt;ee. Voir Gros orteil. liEI.L. A propos du signe de - dans la
paralysie
faciale périphérique, par L3ouchaucl, 143. -
oxication et-par SégJas, ; 516. Essai sur la pathogénie du 1 d la
paralysie
générale,, par Lalande, 517. Démence. Altérat
par Roilitninn 593, Fascia Voir Réflexe. Fausse - grossesse, Voir
Paralysie
générale. Fibres des cordons postérieurs qui
mas, 64. Un cas de - radi- cuiairc double du plexus brachial avec
paralysie
unilatérale com- plète de la troisième paire si
r Atlianassio, 465. 'DÉ1(Ehystérique, par Dufour, 176. OEIL. Voir
paralysie
générale, Ongles. Voir aliénés. Pachyméningit
. Voir ? zévi,ile. Papillome ÉPITIIÉLI01DE. Voir noyau - rouge.
Paralysie
faciale périphérique. Voir Bell, La décroissanc
s de - faciale (1-ot-i 1gilie péi ipliérique coin- binée avec une
paralysie
du nerf oculo-moteur externe du môme côté; pa
hilis cérébrale sept mois après l'accident, par Clumrt, 437. Voir
Paralysie
générale. Syringomyélie. Main de prédicateur.
ettachycardie.patBaitet et Delherm, 533. Trichotillomanie. - Voir
Paralysie
générale . ' Trophonévrose IléMiati-OPIliClUe
olution comparée des - de la sensibilité aux trois périodes de la
paralysie
générale, par Marandon de Mon- tyel, 520. mot
ons du même ordre, mais bien moins nettes que chez l'homme. DE LA
PARALYSIE
PVOCYAXIQUE 13 Quelle est la cause de ce phénom
ode où celle des filets nerveux inlra-musculaires est abolie. DE LA
PARALYSIE
PYOCYANIQUE (EN COIXAUO11AT10N 1\ EC CTIAlIIII\
TIAlIIII\) Voici les résultats de nos études sur ce sujet z) : La
paralysie
est produite par l'inoculation des microbes ou l'
t-être pas sans intérêt de faire remarquer à ce sujet que certaines
paralysies
infectieuses observées chez l'homme, la paralysie
et que certaines paralysies infectieuses observées chez l'homme, la
paralysie
diphtérique entre autres, se développent, très
maladie. Les membres postérieurs sont atteints les premiers. Cette
paralysie
est de nature spasmodique ; les réflexes tendin
es. Le mode de ter- minaison n'est pas toujours le même. Lorsque la
paralysie
est géné- ralisée, la mort est la terminaison h
t géné- ralisée, la mort est la terminaison habituelle. Parfois ces
paralysies
finissent par disparaître. ' Nos recherches a
x central des lapins paralysés, et cela aux diverses périodes de la
paralysie
qui, dans deux cas, remontait à deux mois. \ous
été absolument négatifs. Une s'agit pas là, comme on le voit, d'une
paralysie
banale, niais PARALYSIE DIPHTÉRIQUE 17 bien d
Une s'agit pas là, comme on le voit, d'une paralysie banale, niais
PARALYSIE
DIPHTÉRIQUE 17 bien d'une affection ayant sa ph
n d'une affection ayant sa physionomie propre, au même titre que la
paralysie
saturnine ou alcoolique de l'homme. Nous ferons
. Nous ferons remarquer, au sujet de l'absence de lésions dans la
paralysie
pyocyanique, que les recherches ultérieures entre
yocyanique, que les recherches ultérieures entreprises sur d'autres
paralysies
infectieuses (par exemple sur la paralysie expéri
ntreprises sur d'autres paralysies infectieuses (par exemple sur la
paralysie
expéri- mentale observée par Gilbert et Lion co
, soit d'un organisme qui provoque une infection secondaire (25).
PARALYSIE
DIPHTÉRIQUE J'ai fait des recherches anatomo-pa
E DIPHTÉRIQUE J'ai fait des recherches anatomo-pathologiques sur la
paralysie
diph- térique expérimentale obtenue par Roux et
et, si d'une part on admet, ce qui est tout à fait légitime, que la
paralysie
diphtérique est identique chez l'homme, quant à s
phtérique est identique chez l'homme, quant à sa patho- génie, à la
paralysie
diphtérique expérimentale, si d'autre part on se
phtérique expérimentale, si d'autre part on se rappelle que dans la
paralysie
diphtérique de l'homme on trouve des altération
s. Fractures spontanées et parfois signe de Babinski dans un cas de
paralysie
infantile avec reprise tardive» (Revue neurolog
d'eux était atteint d'hémiplégie gauche remontant à trois ans ; la
paralysie
était flasque au membre inférieur; le membre supé
plégie gauche. Le phénomène des orteils existait dès le début de la
paralysie
et, trois mois plus tard, la paralysie étant to
existait dès le début de la paralysie et, trois mois plus tard, la
paralysie
étant toujours flasque et les réflexes tendineu
sité du phénomène des orteils n'est pas proportionnée à celle de la
paralysie
; ce signe est très marqué dans certains cas où
l peut être fort peu accusé et même faire défaut dans des cas où la
paralysie
est très prononcée. « Généralement, du côté opp
a paralysie est très prononcée. « Généralement, du côté opposé à la
paralysie
, le réflexe cutané plantaire est normal ; parfo
, le réflexe cutané plantaire était rede- venu normal. « Dans les
paralysies
spinales spasmodiques, quelle qu'en soit la cau
u abolition des réflexes tendineux. Je l'ai constaté, du côté de la
paralysie
, dans un cas d'hémiplégie spinale avec anes- th
amidal, n'en dénote pas la gravité. Il peut exister dans des cas de
paralysie
très légère, de para- lysie curable, et dispara
phénomène des orteils fait parfois défaut dans un membre atteint de
paralysie
spasmodique avec exagération des réflexes ten-
othèse d'attaque hystérique. Je l'ai constaté assez souvent dans la
paralysie
infantile spinale (Revue neurologique, 1910, 11
st parfois très marqué. 11 m'a paru surtout très développé dans les
paralysies
spasmodiques congénitales accompagnées d'athéto
l'hémiparésie que dans l'hémiplégie et enfin plus commun dans' les
paralysies
d'origine spinale que dans celles qui dépendent
on du globe oculaire et du nerf optique et n'est pas associée à une
paralysie
de la troisième RÉFLEXES PUPILLAIRES ;,9 pair
ate est un candidat à la syphilis cérébro-spinale, au tabes et à la
paralysie
générale. Nous fai- sions ressortir que ce trou
er la syphilis, doit faire craindre l'évolution d'un tabes ou d'une
paralysie
générale progressive, doit faire instituer sans
es pupillaires, la syphilis et certaines maladies nerveuses (tabes,
paralysie
générale progressive) », in Bulletins de la Soc
nous avons fixées, car l'abolition du réflexe s'accompagnait d'une
paralysie
plus ou moins complète de la 3" paire. Mais en
ur à remplir ses fonctions d'inspecteur de police ; il présente une
paralysie
de la sixième paire à droite et un peu de conge
nous considérons comme le résultat de la syphilis diffuse : tabes.
paralysie
générale, signe de Robertson, soit isolé (voir
suffisamment établi pour exclure la possibilité d'un tabcs ou d'une
paralysie
générale ; dans 2 cas même, ces diagnostics son
ensuite rétablie définitivement. Dans un cas, elle était liée à la
paralysie
générale, dans l'autre, au tabes. « Il est à re
alisation de l'amyotrophie, les diverses formes de la myopathie (la
paralysie
pscudo-hypertrophique avec ou sans hypertrophie,
riété de lésion du nerf radial peut être mise en opposition avec la
paralysie
radiale par compression qui est très commune et b
on qui est très commune et bien connue. Tandis que dans celle-ci la
paralysie
siège à l'avant-bras et se manifeste par une im
s et n'atteignent pas la motilité d'une manière bien appréciable.
PARALYSIE
FACIALE On admet généralement que, dans les par
ppréciable. PARALYSIE FACIALE On admet généralement que, dans les
paralysies
liées à des lésions des nerfs moteurs, l'excita
phérique, une surexcitahililé électrique durable et associée à la
paralysie
. Ils montrent qu'une paralysie faciale n'est pa
lectrique durable et associée à la paralysie. Ils montrent qu'une
paralysie
faciale n'est pas nécessairement béni- gne et n
e « périphérique » dont on se sert pour désigner la variété d'hémi-
paralysie
de la face liée à une lésion de ces mêmes organes
urs, je suis porté à croire qu'il y a une certaine parenté entre la
paralysie
faciale périphérique et l'hémispasme facial pér
; j'ajoute, à l'appui de cette opi- nion, qu'on peut voir, dans la
paralysie
faciale périphérique, succéder à la paralysie m
on peut voir, dans la paralysie faciale périphérique, succéder à la
paralysie
musculaire un état spasmodique ayant de grandes a
avail de C. Negro sur « l'IIémispasme facial comme équivalent de la
paralysie
faciale périphérique» » (Gazella degli Ospedali
139). A pro- pos de la parenté que Negro cherche à établir entre la
paralysie
périphérique et l'hémispasme facial périphéliqu
eux où l'un des con- joints étant tabétique, l'autre est atteint de
paralysie
générale. Afin de réunir ces deux modes d'assoc
portés, il s'agit de conjoints dont l'un est atteint de tabes ou de
paralysie
générale et dont l'autre, ne présentant aucun s
et, les idées de Fournier sur les liens qui unissent le tabes et la
paralysie
générale à la syphilis ne sont plus contestées
symptômes qu'on observe dans la myélite circonscrite destruc- tive (
paralysie
et anesthésie des membres inférieurs, troubles da
e manière exclusive et que l'hysté- rie est capable d'engendrer une
paralysie
ayant le même aspect symp- tomatique. C'est sur
nce de ces moyens. Estimant que pour bien connaître la nature d'une
paralysie
il est essentiel d'envisager les diverses forme
ment ce trouble le signe du peaucier. Il peut exister aussi dans la
paralysie
faciale périphérique, le peaucier étant innervé
que possible contre le sol, on arrive plus facilement du côté de la
paralysie
que du côté sain à soulever la jambe par une trac
ourrait-on prévoir théori- quement qu'il doit faire défaut quand la
paralysie
est complète ; c'est ce que l'observation confi
tteints d'hémiplégie organique avec contracture, à condition que la
paralysie
du membre supérieur soit assez marquée : jamais
tandis que les mouvements unilatéraux sont abolis d'un côté : la
paralysie
est « systématique » (34, 35, 38). Si l'on envisa
e temps que les mouvements actifs essentiels (voir p. 13o). Dans la
paralysie
hystérique, l'abolition de ceux-ci pourrait coï
té. A la vérité, c'est là un fait banal qui s'applique à toutes les
paralysies
organiques et sur lequel il n'y aurait pas lieu
irer l'attention s'il ne contrastait avec ce qu'on observe dans les
paralysies
hystériques. Voici, par exemple, deux sujets at
privé de votre appui, l'atti- tude que vous lui aurez imprimée ; la
paralysie
aura transitoirement disparu. Cette variabilité
ion de la main paralysée dans l'expérience d, sont dues à ce que la
paralysie
libère les mouvements passifs des entraves qui
observé avec Clunet (i51) un fait d'hémiplégie homo- latérale : la
paralysie
occupait le côté droit du corps et la nécropsie
de dégénération secondaire, et d'en reconnaître la nature (127). La
paralysie
, en pareil cas, même après plusieurs mois de du
érieur seporte en avant, ne saurait, en effet. être attribuée à une
paralysie
des muscles qui dans la marche impriment au tro
que j'avais observé déjà dans l'hémiplégie organique du côté de la
paralysie
, et je rappelle l'explication que j'en avais do
ultent de cette étude : Une lésion bulbaire peut, sans engendrer de
paralysie
de la moti- lité volontaire, provoquer des trou
suppurée, de commotion laby- rinthique, de syphilis cérébrale avec
paralysie
faciale et acoustique, de maladie de Ménière.
plus communs de l'hémiplégie organique, qu'il fait défaut dans les
paralysies
psychiques, on peut admettre qu'il permet de di
e de l'aorte, étaient attribués autrefois à une irritation ou à une
paralysie
du nerf sympathique résultant d'une compression
à aucune lésion des globes oculaires et n'étant pas associés à une
paralysie
de la 3e paire, réalisaient les conditions requ
et même à des gangrènes de la peau, à de l'oedème sous-cutané à des
paralysies
laryngées, du spasme glottique, de l'oedème de
ns points fonda- mentaux, toute nouvelle. L'étude comparative des
paralysies
hystériques et des paralysies organiques avait
ute nouvelle. L'étude comparative des paralysies hystériques et des
paralysies
organiques avait d'abord fixé mon attention et,
avait frappé. On croyait, je le rap- pelle, que ces deux espèces de
paralysies
étaient capables de se manifester par les mêmes
dits stigmates, que ceux-ci, d'autre part, peuvent s'associer à une
paralysie
organique ; la présence ou l'absence d'une anes
it donc autoriser à affirmer ou à nier la nature hysté- rique d'une
paralysie
; de même, la présence ou l'absence de signes s
yphilis, ne donne pas le droit d'admettre ou d'écarter l'idée d'une
paralysie
organique. Dès lors la nécessité de soumettre l
furent publiés en 1893, m'amenèrent à cette conclusion que dans les
paralysies
et les contractures hystériques pures il n'existe
igine bien différente : chez tel malade, réel- lement atteint d'une
paralysie
hystérique, on croyait à tort trouver des réfle
logique, observable, cela va sans dire, chez un individu atteint de
paralysie
hystérique aussi bien que chez un sujet sain, j'a
indiqué ailleurs (p. 1 6) toute une série do signes appartenant aux
paralysies
organiques et faisant défaut dans les paralysies
es appartenant aux paralysies organiques et faisant défaut dans les
paralysies
hysté- riques. Il n'est pas nécessaire d'y reve
uement les caractères des trou- bles moteurs, on peut distinguer la
paralysie
faciale hystérique de la paraly sie faciale org
eut, en particulier, reproduire divers phé- nomènes appartenant aux
paralysies
organiques dont ils constituent, par conséquent
conséquent, des attributs; que le diagnostic de ces deux espèces do
paralysies
, au lieu de s'appuyer sur des caractères extrinsè
premier de ces groupes appartiennent : des crises convulsives, des
paralysies
, des contractures variées, des tremblements, des
venir (grandes attaques de nerfs, chorées épidémiques du moyen âge,
paralysies
guéries « miraculeusement »). J'ai proposé de l
ractères seront faciles à distinguer do ceux qui appartiennent à la
paralysie
faciale. » HYSTÉRIE. - PITHIATISME 20." On ne
donné, aussitôt après la catastrophe, d'en voir un seul atteint de
paralysie
, de contracture ou de crises convulsives. Les étu
crise con- vulsive ; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de
paralysie
ou de contracture. Des enquêtes du même ordre
s'est manifestée sur la nature pithiatique de la contracture, de la
paralysie
flasque, des anesthésies hystériques, qui sont
'hystérie traumatique. « Les contractures pithiatiqnes,toutcommeles
paralysies
proprement dites, sont devenues faciles à recon
220 INDEX RIRLIOGRAPIIIQUE r5. De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques (Archives de Neu- rologie, 1886, nO
vec Desnos. Société médi- cale des Hôpitaux, 8 juillet 18g2). 34.
Paralysie
hystérique systématique. Paralysie partielle ou s
s Hôpitaux, 8 juillet 18g2). 34. Paralysie hystérique systématique.
Paralysie
partielle ou systématique des fonctions motrice
ique des fonctions motrices du membre intérieur gauche (Id.). 30.
Paralysie
hystérique systématique. Paralysie faciale hystér
mbre intérieur gauche (Id.). 30. Paralysie hystérique systématique.
Paralysie
faciale hystérique (Icl., Il no- vembre 18q2).
t dans d'autres états pathologi- ques (Id., 2 décembre 1892). 38.
Paralysie
faciale liystérique(Id., 16 décembre 18qq). 3g.
ié. Gazette des Hôpitaux, numéros des 5 et 8 mai 1\)00). Go. Sur la
paralysie
du mouvement associé de l'abaissement des yeux (S
ôpitaux, 2 1 février t go3). () 1. Lymphocytose dans le tabes et la
paralysie
générale (Société de Neurologie, 5 mars igo3).
les (Id., il' décembre tyo4). in. Hémiplégie spasmodique infantile.
Paralysie
posl-spasmodique (Id.). 1 12. Cyanose des rétin
re igo5). 121. Ilypcrexcitabilité électrique du nerf facial dans la
paralysie
faciale (Société de Neurologie, f) novembre igo
ie cérébelleuse (Société de Neurologie, 5 juillet 1906). 127. De la
paralysie
par compression du faisceau pyramidal, sans dégén
logie de Paris, 7 février 1 907). 133. De la radiothérapie dans les
paralysies
spasmodiques spinales (Société médi- cale des H
a persistance de zones sensibles à topographie radiculaire dans les
paralysies
médullaires avec anesthésie (en collaboration ave
contractilité électrique des muscles striés après la mort 14 De la
paralysie
pyocyanique 15 Arthropathies expérimentales Il
De la paralysie pyocyanique 15 Arthropathies expérimentales Il
Paralysie
diphtérique . 17 Vertige voltaïque. Lésions lab
e 77 Radiothérapie 78 Névrite radiale....................... 7g
Paralysie
faciale 80 Ilémispasme facial périphérique 81
aternelle, excès de boisson. Cousine germaine '12 THÉRAPEUTIQUE. ^
paralysie
consécutive à des convulsions. Cousine germaine s
dernier le degré de la destruction. - Dans les maladies comme la
paralysie
générale par exemple où la cellule nerveuse s'a
. Durante dans un cas de sclérose combinée enfin et surtout dans la
paralysie
générale : Aucune maladie n'offre peut-être des
et de la cellule ' Contribution ci l'ancelonaie pathologique de la
paralysie
générale. (Congrès de Médecine mentale. Blois,
de ce genre ont été constatées par Ballet et IIenriquez 1 dans la
paralysie
diphtérique. Dans la substance blanche, MM. Cha
ostic du vivant, hérédité convergente. A. M. lit. UNE épidémie DE
paralysie
infantile; par Andrew MACPHAIL. (British médica
idéré d'abord comme rhumatisant, il fut ensuite pris pour un cas de
paralysie
de Landry. Au bout de deux mois, il présentait
des muscles du tronc et des membres ; par 13.RLO ? C'est un cas de
paralysie
de Erb avec lordose chez un enfant de cinq ans,
novembre 1894.) or Marie. z 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI.
Paralysie
laryngée dans LES affections NERVEUSES CHRONIQU
lut à la fréquence des altérations fonctionnelles du larynx dans la
paralysie
générale. Les adducteurs seraient les muscles l
Les adducteurs seraient les muscles le plus souvent atteints par la
paralysie
. Il n'est pas néces- saire que la paralysie gén
souvent atteints par la paralysie. Il n'est pas néces- saire que la
paralysie
générale soit associée au tabès, les altéra- ti
rcher et ne peut se tenir debout sans aide. Puis l'atrophie avec la
paralysie
^ gagne supra et infra, frappant des groupes mu
et, en tout dernier lieu, les muscles des mains et des pieds. La
paralysie
, toujours flasque, progresse parallèlement avec
plégies, monoplégies, aphasies); on y constate invariablement de la
paralysie
faciale seule (lésion du segment inférieur des
BEEVOR.et Balance. (British médical journal, 5 janvier 1895.) La
paralysie
avait envahi successivement le cou-de-pied, le ge
temps plus ou moins long ayant précédé leur apparition. Reste la
paralysie
générale pour laquelle des tentatives ont été f
s guéris, mais arrêtés dans leur évolution, sorles de rémissions de
paralysie
générale. Enfin, con- formément aux vues hardie
ds des bras étaient à peu près normaux. Il n'y avait ni parésie, ni
paralysie
d'aucun muscle; aucun nerf crânien ne paraissai
existence d'une tumeur cérébrale et permettait de les localiser. La
paralysie
du bras gauche et les troubles sensoriels dont il
ommençant à l'extrémité des doigts et remontant le long du bras. La
paralysie
a diminué depuis l'opéra- tion. Le malade peut
médecine mentale de Belgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouveau type de
paralysie
associée des mouvements horizon/aux des yeux. B
ces phénomènes et les lésions nécropsiques, principalement dans la
paralysie
générale, et Mickle', après de nombreuses autop
, semble s'être con- vaincu que la plupart des hallucinations de la
paralysie
géné- rale sont liées d'une façon intime à des
iques, des tumeurs cérébrales, et s'observerait communément dans la
paralysie
générale. Or, nous savons que les choses ne se
nous savons que les choses ne se passent pas ainsi et que, dans la
paralysie
générale par exemple, il n'est pas rare de trou
ujet sain, demeurât accessible à des impres- sions d'art. Dans la
paralysie
générale on voit souvent des malades, norma- le
i l'on considère séparément les altérations neuro-musculaires de la
paralysie
géné- rale, et si on les compare avec les modif
ressemblance entre ces altérations neuro-mus- culaires propres à la
paralysie
générale et celles qui se rencontrent dans les
u cette remarque ne s'applique qu'aux cas purement idiopathiques de
paralysie
générale, et nulle- ment à ceux où l'alcool et
son, l'auteur estime que les altérations qui se rencontrent dans la
paralysie
générale sont certainement comparables à celles
la moelle, proliféra- tion qui est un caractère si essentiel de la
paralysie
générale, et que l'on observe si souvent dans l
ns 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. des cas rapidement mortels de
paralysie
générale, dans lesquels les altérations cérébra
ons de la sen- sibilité ou du mouvement couramment observés dans la
paralysie
générale : en effet les lésions nerveuses périp
ns quelques cas d'alaxie locomotrice et ceux qui appartiennent à la
paralysie
générale. S'agit-il ici d'une ataxie locomotrice
'agit-il ici d'une ataxie locomotrice à symptômes mentaux, ou d'une
paralysie
générale à symptômes alaxiques ? En faveur de c
r des crises con- vulsives plaident contre l'ataxie en faveur de la
paralysie
générale. La rareté des cas de ce genre mixte c
lièrement aiguë. Mais si, d'autre part, on a eu affaire à un cas de
paralysie
générale avec symptômes ataxiques, on doit le c
sus morbides jju4-«eprretrouv^nt au fond du tabes dorsalis et de la
paralysie
! ! é11hal-&, , . : 1) ? H. 11 .C. '¡' ? '
ue, faite sommairement devant un Congrès. IL M. C. XII. UN cas DE
paralysie
GENER \LE chez UNE FILLETTE DE NEUF ANS ET neuf
ations constatées a l'autopsie, ce cas est bien et dûment un cas de
paralysie
générale, remarquable surtout par l'âge de la m
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , Il est incontestable que les cas de
paralysie
générale chez les très jeunes sujets, fort rare
s recherches dans les conclu- sions suivantes : 1° dans huit cas de
paralysie
générale examinés à une période relativement pr
sure que la maladie progressait; 3° dans les onze cas étudiés de la
paralysie
générale avancée, l'excrétion des sulfates comb
nt rigoureusement semblables à ce que l'on observe à la suite des
paralysies
passagères qui succèdent aux convulsions épilepti
que les vertiges et les nausées, d'un degré plus ou moins accusé de
paralysie
oculaire. R. DE MUSGRAVE CLAY. SUR la peptonu
ls du pneumogastrique se rencontrent fréquemment chez les aliénés :
paralysie
des muscles du pharynx, dans la démence paralyt
me du pharynx dans l'hystérie, l'aura épilep- tique, l'hypocondrie;
paralysie
et spasme du larynx, troubles de l'innervation
paralysie et spasme du larynx, troubles de l'innervation cardiaque;
paralysie
des fibres de l'oesophage, dans la paralysie gé
innervation cardiaque; paralysie des fibres de l'oesophage, dans la
paralysie
générale; troubles gastriques dans la mélancolie,
la paralysie générale; troubles gastriques dans la mélancolie, la
paralysie
générale, l'épilepsie, etc. L'auteur passe en rev
a fièvre est un signe important, mais elle peut se produire dans la
paralysie
générale, dans i'amentiar On tiendra compte aus
sur le diagnostic avec l'amen- tia, avec le délire de collapsus, la
paralysie
générale, la folie pério- dique, la folie hébép
de médecine légale de Maschka (1882); la Folie morale (1879), la
Paralysie
générale progressive (Iahrb. f. Psychiatr., 1879)
lalor (Arch. f. Psychiatrie, XVII, 36,i). 1 Voyez Korsakow. De la
paralysie
alcoolique, thèse de Moscou, 1887, p. 300, 301.
178 s ANATOMIE PATHOLOGIQUE. nographie bien connue, intitulée De la
paralysie
alcoolique, plus nettement et plus définitiveme
'itis H-c/t. Az·clz., B. 112, 1888, p. 237-259). 2 Willin.Alcoholie
paralysies
with central lésion (illed. 11'ews. July 13). V
s l'ouvrage de M. le professeur Kojéwnikow 1 sont cités cinq cas de
paralysie
alcoolique avec autopsie, où l'on trouva dans l
es postérieures que dans les inférieures. ' Prof. Kojéwnikow. De la
paralysie
alcoolique. Westnik psycliiatrü, 1891, f. Il, p
s pieds se paralysaient de plus en plus. En réalité, le degré de la
paralysie
devint si fort que le malade fut obligé de gard
leurs dans les jambes, pas de migraines. Aucun cas de démence ou de
paralysie
.] Pas de consanguinité; inégalité d'âge de cinq
x cellules nerveuses, aux fibres nerveuses; 2° clinique- ment, à la
paralysie
générale, à la folie alcoolique, à l'idiotie ép
continua à se plaindre de céphalalgie. Le 21 février, on note une
paralysie
presque complète des muscles du côté gauche de
ite, et qu'il y a lieu de craindre un abcès du cerveau. Le 27, la
paralysie
du côté gauche de la face est complète, la pros
rès émoussée. - Du 5 au 7 mars tous les symptômes s'aggravent et la
paralysie
s'étend au bras gauche où elle devient vite com
'étend au bras gauche où elle devient vite complète. Du 8 au 11, la
paralysie
se généralise, et une opération est décidée, ma
pachyméningite hémorragique interne, qui sont si fréquents dans la
paralysie
générale, ne sont pas rares dans la folie sénil
lle entraine avec elle du tissu cérébral, comme cela arrive dans la
paralysie
générale. Tous les cerveaux séniles d'aliénés q
exemple dans la polynévrite alcoolique, dans la diphtérie, dans la
paralysie
générale des aliénés ; le fait parait demeurer
ée d'une diminution de la résistance musculaire ou de parésie ou de
paralysie
évidente des extrémités inférieures, de phénomè
espond à la névrite multiple. L'abolition du réflexe du genou, avec
paralysie
flasque, atrophie, et perte de la sensibilité f
vorables, la respiration ne subit d'ordinaire aucun changement. Les
paralysies
générales ou locales, les troubles de l'action
ues intra-craniennes, et devient ainsi presque pathognomonique. Les
paralysies
beaucoup plus communes dans les autres lésions,
la base serait cinq fois plus fréquent dans la démence que dans la
paralysie
générale, où il le considère d'ail- leurs comme
ation, bien qu'elle soit incontestablement plus fré- quente dans la
paralysie
générale : elle peut d'ailleurs se rencon- trer
lésions très diverses de cet organe; ils manquent rarement dans la
paralysie
générale, mais n'ont pas la valeur d'un signe c
on. P. Keraval. XXII. DE l'atrophie musculaire dégénérative dans la
paralysie
PROGRESSIVE; par A. HocHE. (Aelii-010g. Cent·al
et leur répartition, se distinguent de l'atrophie ordi- naire de la
paralysie
générale, et, par la netteté des altérations qu
ique. M. Hoche discute à ce sujet l'opinion de Nageotte pour qui la
paralysie
générale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes
nérale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes une forme fruste de
paralysie
générale. P. K. XXIII. UNE gomme dans la RÉGION
lles avec conservation de la réaction à l'accommo- dation (tabes et
paralysie
générale), et ceux de la perte unilatérale 232
l'alcool. A neuf ans il commença à fumer, et jusqu'au moment de sa
paralysie
il fumait de dix à quarante cigarettes par jour.
l'état de peintre, et l'exerça dix-mois : c'est alors que parut la
paralysie
, précédée de douleurs vives et aiguës dans le d
ré gingival. Il paraît évident à l'auteur qu'il s'agissait là d'une
paralysie
toxique liée à une triple intoxication (alcool,
verses formes de paraplégie. R. de MUSGRAVE CLAY. XLII. Un cas DE
paralysie
bulbaire UNILATÉRALE SUIi41GUE, AVFC autopsie;
fred Wiener. (The New-York Médical Journal, 14 juillet 1894.) Les
paralysies
bulbaires unilatérales sont peu communes et l'au-
tuberculeux. Le premier signe qui attira l'attention du côté d'une
paralysie
bulbaire fut une déviation de la langue à droit
tion était difficile, moins difficile cependant que dans les cas de
paralysie
bilatérale. Les aliments solides étaient mieux
it due à une lésion du récurrent laryngé droit, ayant déterminé une
paralysie
unilatérale complète à droite. Les fonctions qu
ration. Tel est le résumé clinique de ce cas qui a commencé par une
paralysie
unilatérale de la langue, des parties molles du
rynx du côté droit pour aboutir, peut de temps avant la mort, à une
paralysie
bila- térale incomplète. - L'auteur indique e
its anato- miques. Cliniquernent : développement en dix jours d'une
paralysie
unilatérale complète du côté droit de la langue
note un tremblement des mains et des pieds, plus ample que dans la
paralysie
agitante. En cas d'émotion, un peu de trem- ble
font immédiatement écarter la démence paralytique aussi bien que la
paralysie
agitante. Il ne paraît guère plus légi- time d'
ication dans 33. L'asthénie musculaire, souvent qualifiée à tort de
paralysie
ou de parésie, a été observée 48 fois ; elle a
u quatrième ven- tricule ; cette compression peut donner lieu à une
paralysie
des cinquième, sixième, septième, huitième, neu
lésion, les convulsion*, - et, parmi les symptômes secondaires, les
paralysies
nucléaires, la polyurie, la glycosurie, les tre
ans ce cas confirma le diagnostic. Les symptômes étaient ceux de la
paralysie
générale; leur disparition sous l'influence du tr
efois à craindre ici que le malade ne finisse par succom- ber à une
paralysie
générale de nature spécifique. Dans le second c
quième observation est celle d'une gomme de la protubé- rance, avec
paralysie
croisée : la guérison fut obtenue, sauf en ce q
e de la sensibilité réflexe à la lumière et il l'accommodation); 3°
paralysie
des muscles oculaires; 4° paralysie 276 6 REVUE
ière et il l'accommodation); 3° paralysie des muscles oculaires; 4°
paralysie
276 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. irréguliè
de ceux des yeux, du larynx et de la langue. On la constate dans la
paralysie
générale des aliénés, où elle modifie à la fois l
oire ET rétrécissement concentrique du champ visuel D\1\, un cas DE
paralysie
1NP1NTILE d'origine CËR)'- Ber \LE; par W* Koen
.) L'auteur fait remarquer qu'on désigne souvent sous les noms de
paralysie
bulbaire chronique ou aiguë et pseudoparalysie bu
r sous le nom de méningomyélite chronique. Lrvor.r.. LV. UN CS DE
paralysie
isolée traumatique par LÉSION A la base DU NERF
s caverneux, où il se place au côté externe de la carotide interne.
Paralysie
complète, mais ten- dance à la régénérescence.
maladies nerveuses en 14 ans (1890-94) il n'y avait que 135 cas de
paralysie
faciale périphérique, soit 2 p. 100. Le tableau
autopsie faite par Minkowski d'un suicidé en pleine évolution d'une
paralysie
faciale rhuma- tismale grave, vient, de concert
e l'a dit Moebius, et comme le confirme l'autopsie de Minkowski, la
paralysie
faciale rhumatismale est probablementune espèce
juvant, comme dans la pneumonie fibrineuse. Le facial réagit par la
paralysie
parce qu'il est le seul moteur; il est aussi pr
. \ 1) grâce aux anastomoses. Ainsi s'établit la bilatéralité de la
paralysie
faciale ou diplégie. En voici un beau type. D'a
ysie faciale ou diplégie. En voici un beau type. D'abord une légère
paralysie
faciale à droite tradui- sant l'atteinte du ner
tympan (troubles du goût); six mois après, récidive du même côté (
paralysie
de moyenne gravité;. Alors le processus morbide p
ial supérieur, puis, quand cette branche a récupéré sa motilité, la
paralysie
reparaît et sévit sur le facial inférieur. Les
- dessus du point de départ de la corde du tympan. A ce moment la
paralysie
disparaît du côté gauche, le dernier pris; il ne
affaiblir la résistance de l'orga- nisme, prédispose l'homme à une
paralysie
faciale, pourvu qu'il s'expose à l'agent nocif
s. Pendant plusieurs années l'affection reste stationnaire, puis la
paralysie
spasmodique s'établit définitivement, les contrac
t recouvré leur intégrité. Les troubles sensitifs ont disparu. Puis
paralysie
transitoire de la troisième paire et quelques p
entant d'une part le syndrome de Mil- lard-Gublér, c'est-à-dire une
paralysie
du facial et du moteur ocu- laire externe d'un
jambes qui augmenta peu à peu. Bientôt cet homme fut atteint d'une
paralysie
spasmodique, de contractions douloureuses et de
lement en une déforma- tion syringomyélique plus ou moins complète.
Paralysie
des sphincters, crises pseudo-angineuses, léger
tout chez. VARIA. * 313 les personnes atteintes dans l'enfance de
paralysie
infantile qui, quinze; vingt, quarante ans aprè
res nerveux. La maladie affecte alors le plus souvent le type de la
paralysie
spinale aiguë ou de l'atrophie musculaire progr
ou psychique ; dans tous ces cas aussi l'oedème a fait suite à une
paralysie
, une parésie ou une contracture des membres att
asme des vaso-moteurs. Pour Pitres au con- traire il s'agit de leur
paralysie
; Trintignan dans sa descrip- tion de la pathog
s tous les cas l'oedème était précédé, en dehors du traumatisme, de
paralysie
, de parésie ou de contracture du membre atteint
e ou d'oedème sont donc favorisées dans un membre immobilisé par la
paralysie
ou la contracture. En même temps les vaisseaux
ion de la paraly- sie ou de la contracture ; les troubles que cette
paralysie
ou cette contracture a provoqués se contre-bala
'autre part il n'y a aucune donnée pour l'origine centrale de cette
paralysie
. On ne peut de même considérer comme primitifs
EWARD. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) , La forme de
paralysie
générale qui s'associe à la force locomo- trice
jours possible. Les recherches de l'auteur ont porté sur 317 cas de
paralysie
générale, parmi lesquels 85 p. 100 appartenaien
épileptiformes géné- rales ou partielles, attaques apoplectiformes,
paralysies
passagères) sont plus fréquentes dans la forme
les cas tabétiques. - L'atrophie de la moelle est la règle dans la
paralysie
générale ; mais il est à noter que dans la form
its les plus saillants, qu'il existe deux types ou deux variélés de
paralysie
générale, l'une qui se présente associée à la s
nement cette manière de voir. R. M.-C. XXVIII. LES rapports DE la
paralysie
générale DES aliénés ET DES affections chroniqu
t les suivants : 1° La présence du rein granuleux contracté dans la
paralysie
générale est très fréquente; 2° La similitude
R. \1.-C. XXXII. SUR les relations cliniques ET pathologiques DE la
paralysie
générale des aliénés ; par REGINALD FARRAR. (Th
teur lui-même : « Mon but dans ce travail a été de démontrer que la
paralysie
générale n'est à aucun point de vue une maladie
le. J'admets que l'on puisse utilement conserver la dénomination de
paralysie
générale comme désignant suffisam- ment un type
éphalite corticale comprend non seulement toutes les variétés de la
paralysie
générale, mais beaucoup d'autres états que l'on
s que l'on a à tort, essayé jusqu'à présent de différencier de la
paralysie
générale, car toutes les variétés de l'encéphalit
e se rencontre dans beaucoup de psychoses, particulièrement dans la
paralysie
générale, où sa durée est ordinairement longue
: on l'observe surtout chez les hommes et plus spécialement dans la
paralysie
générale. Le début est soudain ou progressif :
ur la diarrhée aqueuse, celle que l'on rencontre si souvent dans la
paralysie
générale, elle parait due à une irritation cent
gue dans la moelle, et Bevan Lewis attribue l'excès de liquide à la
paralysie
des nerfs splanchniques (nerfs vaso-moteurs de
ore aidée par l'augmentation des mouvements péristaltiques. Cette
paralysie
vaso-motrice est probablement la cause de la prés
épartissent ainsi au point de vue des formes d'aliénation mentale :
paralysie
générale, 18 cas ; démence sénile, 12 cas; méla
sions suivantes : 1° La résistance des côtes à la fracture, dans la
paralysie
géné- rale est d'ordinaire considérablement inf
S rapports qui existent ENTRE LES maladies chroniques DU rein ET la
paralysie
générale DES aliénés; par Hubert-C. Bristowe. (
es, d'une forme ou d'une autre, sont extrêmement com- munes dans la
paralysie
générale. Mais il est obligé de reconnaître en
ner naissance à une maladie du cerveau, et que cette maladie est la
paralysie
générale des aliénés. R. M.-C. XLI. La FOLIE
able de la manie (321 cas de manie sur un total de 473 aliénés). La
paralysie
générale est extrêmement rare : sur le même chi
t. I. 23 z354 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .XLVII. Observation DE
paralysie
générale associée A une atrophie musculaire pro
groupes de cas : celui du type actuel et un autre dans lequel - la
paralysie
générale précéderait l'atrophie ? On ne sait. Y a
t. Y aurait-il lieu de tenir pour accidentelle la coexistence de la
paralysie
géné- rale et de l'atrophie, ou de considérer c
des nombreuses moelles de paralytiques généraux. P. K. XLVIII. Des
paralysies
psychiques ; par C. S. Freund. (Neurolog. Cent1
sychiques ; par C. S. Freund. (Neurolog. Cent1'anl., XIV, z.) Les
paralysies
hystériques sont des paralysies psychiques, mais
(Neurolog. Cent1'anl., XIV, z.) Les paralysies hystériques sont des
paralysies
psychiques, mais toute paralysie psychique n'es
s paralysies hystériques sont des paralysies psychiques, mais toute
paralysie
psychique n'est pas hystérique. La paralysie psy-
psychiques, mais toute paralysie psychique n'est pas hystérique. La
paralysie
psy- chique est une paralysie centrale qui port
ie psychique n'est pas hystérique. La paralysie psy- chique est une
paralysie
centrale qui porte sur des formes déter- minées
minées du mouvement mais non sur quelques muscles isolés. Dans ces
paralysies
, les mouvements sont suspendus exactement dans
nécessaire aux mouve- ments. En ce cas, il y a arrêt de mouvements,
paralysie
psychique pour l'ensemble du territoire des fib
e par l'exercice résultant de l'expérience. La classification des
paralysies
psychiques se résume en : paralysie psychique g
érience. La classification des paralysies psychiques se résume en :
paralysie
psychique généralisée par abdication de l'ensem
ar abdication de l'ensemble de la vie concep- tuelle ou stupeur, et
paralysie
psychique d'une partie du corps par le détourne
ne est altérée. P. K. LI. Contribution A la symptomatologie DE L1
paralysie
générale ET DE l'épilepsie; par H1LLENBERG. (Ne
.) Etude très complète dont nous extrairons le principal. Dans la
paralysie
générale (48 h., 12 f.) comparée à un nombre ég
sthésie n'est qu'un phénomène rare du complexus symptomatique de la
paralysie
générale. Les pupilles sont, chez les paralytiq
bitale est un signe de la maladie, quand on n'a pas affaire à de la
paralysie
générale ; notamment s'il s'agit d'épilepsie di
DE l'urine dans LES MALADIES MENTALES, ET, EN PARTICULIER, DANS LA
PARALYSIE
PRO- GRESSIVE des aliénés; par P.-R. SIEGMUND.
7 p. 100). Elle faisait défaut chez tout autre aliéné. P. K. LIV.
Paralysie
hystérique avec contracture ET troubles mentaux ;
tales qu'on n'avait jusque-là rencontrées que chez le blanc : la
paralysie
générale, la dipsomanie, l'intoxication par l'opi
jambes qui augmenta peu à peu. Bientôt cet homme fut atteint d'une
paralysie
spasmodique, de contractions douloureuses et de
lement en une déforma- tion syringomyélique plus ou moins complète.
Paralysie
des Fi ! J,23. UI3sEW'A'l'10\ II. - Prolongem
osthémi- plégiques c'est-à-dire une alternance entre, la période de
paralysie
complète et les troubles moteurs variés, altern
THOLOGIE NERVEUSE. 369 d'eau et maniant du minium.Il y a trois ans,
paralysie
de l'extrémité supérieure gauche qui disparait
ularité du pouls; celui-ci devient très petit, il y a embryocardie,
paralysie
partielle du facial droit ou plutôt des deux ra
res du côté gauche, parésie de la moitié gauche du voile du palais,
paralysie
et plus tard paré- sie de la corde vocale gauch
zz, r t. XXVII, 1. I, 1895.) Deux cas d'ophtatmoplégie : 1° Une
paralysie
plus ou moins complète des muscles des yeux (l'
epté) survient brusquement, chez un alcoolique. Vertige, délire. La
paralysie
persiste adroite; à gauche, parésie. Mort au bo
ingt-sept ans. Terrain syphilitique. Symp- tômes de tabès au début.
Paralysie
complète des muscles de l'oeil des deux côtés;
Pas d'autopsie. L'auteur après avoir discuté ce cas croit que cette
paralysie
peut être expliquée par un exsudat méningétique
ciale gauche; vertiges ; vomissements ; troubles de la déglutition,
paralysie
du mouvement du plan du regard à gau- che ; par
tion de la sensibilité dans les membres du côté droit, c'est-à-dire
paralysie
croisée du facial, de l'oculomoteur externe, du
milial manquent. La marche de la maladie. est éminemment lente; les
paralysies
et les contractures n'ont pu être observées jus
la troi- sième côte et des jambes; absence des réflexes tendineux;
paralysie
de la vessie et du rectum; troubles vasomoteurs
E RUPTURE NON traumatique DE la VESSIE CHEZ DES malades atteints DE
paralysie
générale; par Herting. (Archiv f. Psychiatrie a
s. Suit une revue des lésions pathologiques des vaisseaux dans la
paralysie
générale, la syphilis cérébrale, etc... P. K. L
ois- santes. F. BOISSIER. LXIX. Anatomie pathologique d'un cas DE
PARALYSIE
infantile; par F. TItÉVELLAN. {Drain, été et au
liénés en Anglete7,i,e est ajournée; 2° M. limucc6ra. Sur un cas de
paralysie
chronique des muscles de l'oeil (avec présentat
nt une amaurose totale de l'oeil gauche. A l'asile, on constate une
paralysie
complète de l'oculo-moteur commun du côté gauche
l'oculomoteur gauches. L'examen clinique ayant fait con- stater une
paralysie
complète de l'oculomoteur gauche et une pa- ral
oculomoteurs étaient dégénérés dans leur totalité. 2° M. MENDEL.
Paralysie
générale et tabes chez le mari et la femme. Il
mme. Il s'agit d'une femme de quarante ans atteinte du tabes avec
paralysie
générale. Son mari, syphilitique, est mort de par
tabes avec paralysie générale. Son mari, syphilitique, est mort de
paralysie
générale dans un asile d'aliénés. On n'a pu fai
in temps : la femme a été en effet soignée il y a deux ans pour une
paralysie
oculaire. 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion :
ICE. A la clinique du professeur Binswanger (Iéna), il est mort, de
paralysie
générale, après dix ans de maladie, -une femme
il par appareil; l'astasie- abasie hystérique est décrite après les
paralysies
. L'auteur envisage ensuite les syndromes hystér
olgi nous avons pu cons- tater cette dernière lésion au début de la
paralysie
générale ' . Au point de vue pathologique les p
e l'atrophie musculaire progressive. Les muscles s'atrophient ; les
paralysies
ne se produisent qu'en raison du degré de cette
432 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. vulgaire et de la forme tabétique de la
paralysie
générale des aliénés, a établi les différences
noire mémoire : Lésions et symptômes spinaux, formes spinales de la
paralysie
générale. (.4rele. de méd. expérimentale et d'a
d'atrophie de la papille dans les formes spinales tabétiques de la
paralysie
générale 2 dont la lésion primitive est dans d'
faits doivent être très rares. Ainsi dans la forme tabétique de la
paralysie
générale où la lésion occupe d'abord des neuron
tisme du genou suivi d'arthrite à quatre ans. - Aggrava- tion de la
paralysie
et contracture des membres inférieurs. - Abcès
paraplégie inférieure. Si, d'après le père, on n'a pas remarqué de
paralysie
à la nais- sance, il n'y a plus de doute sur sa
ation intellectuelle ; b) par une hémiplégie du côté droit, par une
paralysie
de la jambe gauche, et enfin c) par l'attitude
ngénitale. \ 464 RECUEIL DE FAITS. inférieur se complique d'une
paralysie
du membre inférieur gauche. Il semblerait donc
nts, rigidité, arrêt de développement, etc.) des membres frappés de
paralysie
. Rappelons que l'arrêt de développe- ' Cette op
ti serrurier de seize ans présente un affaiblissement général, avec
paralysie
partielle du bras droit. C'est la paralysie du
lissement général, avec paralysie partielle du bras droit. C'est la
paralysie
du plexus brachial de Erb, avec dégé- nérescenc
dégénérescence moindre des sus et sous- épineux et sous-scapulaire,
paralysie
de la sensibilité dans le terri- toire des nerf
parait être un signe pathogno- monique, un élément de diagnostic de
paralysie
générale (chez l'homme), mais elle existe aussi
), mais elle existe aussi dans l'épilepsie. Quand on soup- çonne la
paralysie
générale, l'existence de cette analgésie parait
cette psychopathie organique, son absence semble militer contre la
paralysie
générale. Mais, chez la femme, ni la conservati
ulnaire ne peuvent servir d'élément de diagnostic pour ou contre la
paralysie
générale. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
OGIE PATHOLOGIQUES. 479 - L'analgésie ulnaire a pour cause, dans la
paralysie
générale, la déchéance des éléments histologiqu
lypémaniaques. J. SEGLAS. LXI. SUR QUELQUES problèmes relatifs A la
paralysie
générale ; par le Dr Angiolklla. (Il manicomio,
du processus anatomique, à son extension, à l'augmentation de la
paralysie
, aux variétés cliniques, au traitement. Il semb
emble que le processus anatomo-palhologique qui est à la base de la
paralysie
générale soit le plus souvent l'effet de sub s-
régions soient atteintes de pré- férence. L'augmentation des cas de
paralysie
générale résulte de toutes les causes dégénérat
etc. J. S. LXVI. LES caractères cliniques différentiels ENTRE la
paralysie
générale syphilitique ET non syphilitique; par
tc., on peut affirmer que la syphilis n'est qu'une des causes de la
paralysie
générale, grave si l'on veut, mais pas autre ch
, grave si l'on veut, mais pas autre chose. Entre la syphilis et la
paralysie
générale il n'y a pas le terme moyen de pseudo-
uand la syphilis céré- brale prend le moins du monde l'aspect de la
paralysie
générale, c'est de celte dernière qu'il s'agit
, mais les trois derniers doigts ont toujours la situation due à la
paralysie
du cubital, le pouce et l'index sont en extensi
e à la paralysie du cubital, le pouce et l'index sont en extension.
Paralysie
persistante des mus- cles innervés par le média
elleux ne se sont montrés que dans la dernière année, ainsi que des
paralysies
oculaires d'apparence nucléaire, du tremble- me
t et par conséquent simulés. Il ne croit donc pas à l'existence des
paralysies
hystériques des pupilles, du moteur oculaire ex
upilles, du moteur oculaire externe, de la fièvre hystérique, de la
paralysie
d'une corde vocale, etc. Il n'a obseivé jusqu'i
ystérique n'avait pas d'autre cause. La répartition et la forme des
paralysies
et des anesthésies démon- trent en outre que ce
nt les suivantes : paranoia, démence, affaiblissement intellectuel,
paralysie
générale, épilepsie, manie, mélancolie. Au poin
lérodactylie de Bail ne peut être confondue ne s'accompagnant ni de
paralysies
, ni d'analgésie. La sclérodermie a bien été dif
seudo-tabes post-inrectieux. Il s'agit là d'un malade atteint d'une
paralysie
périphérique des extenseurs des membres inférie
(Archives de Neurologie, 1893, nos 73 et 74.) Deux grands types de
paralysie
infantile. M. Grasset s'attache à différencier
sie infantile. M. Grasset s'attache à différencier nettement ici la
paralysie
spinale atrophique de la paralysie cérébrale sp
à différencier nettement ici la paralysie spinale atrophique de la
paralysie
cérébrale spasmodique de l'enfance. z Mal de Po
oint de la moelle que celui qui est en rapport avec la gibbosité.
Paralysie
ascendante à rétrocession. A propos de deux obser
312, Genèse des accès d ? 1 par de Bechterew, 355. Symptômes delà
paralysie
générale et de l ? par Iüllenberg, 350. TABLE
n - prolongée chez certaines aliénées, par Fronda, 482. Laryngée.
Paralysie
- dans les aflec- tions nerveuses chroniques, p
meurtre sous l'influence d'une -, par Vallon, 81. Oculomoteur.
Paralysie
isolée trau- matique du nerf' - externe, par
, par Koeppen 280. Panaris analgésique, par Bourne- ville, 441.
Paralysie
psychique, par Freund, 354. associée à uneatrop
, par Wiener, 265 - ascendante à rétrocession par Grasset, 494.
Paralysie
l'ACI1LE. Etiologie de la- péripliéuque, par Ha
Récidive et diplégie dans la rhu- matismale, parHubschmann, 28a.
Paralysie
générale I'RGGfiESSI\ E. Al- térations neuro-mu
es généraux. Sulfates dans dans l'urine des -, par Turner, 138.
Paralysie
infantile. Une épidémie de -, par Macphail, 45.
s les affections cérébrales, par de Bechterew, 57. Plexus DE ERB.
Paralysie
complète du -, par Weber, 474. Pneumogastriqu
? 293. Urine. Altération de l'- dans les maladies mentales et la
paralysie
générale, par Siegmund, 357. Urique. Diathèse
VEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX,
Paralysie
générale, M.NIN(-0-MYÉLITE vasculaire diffuse E
bien autrement fréquentes de l'axe médullo-cérébral, le tabes et la
paralysie
générale. Mais, sur ce point, l'étude statistiq
quelle voie on pourra arriver à la solution de ce problème, pour la
paralysie
générale au moins, car pour le tabes la tâche e
t. XXVII. 1 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. substratum anatomique de la
paralysie
générale, évoluant chez des syphilitiques, est
ns les questions si controversées de l'origine syphi- litique de la
paralysie
générale des aliénés et.de la nature de son pro
eux, compare bien les lésions de l'écorce cérébrale, dans un cas de
paralysie
générale, à celles de la syphilis médullaire, i
ne ne sont pas assez convaincants.. Pour ma part, je crois que la
paralysie
générale est neuf fois sur dix d'origine syphil
ine syphilitique et que son substratum ana- tomique, je parle de la
paralysie
générale vraie, est une inflammation interstiti
stion et à montrer que, dans les cas syphilitiques, la lésion de la
paralysie
générale est une lésion histologique- 4 PATHOLO
est à la méningo- myélite gommeuse et que, par conséquent, entre la
paralysie
générale vraie et la pseudo-paralysie générale
eux qu'on ne le croit actuellement. Ceci est vrai pour les cas de
paralysie
générale syphilitique , qui forment, d'après les
, d'après les statistiques bien faites (Régis), les 9/10 des cas de
paralysie
générale; pour les autres, si réellement elles
ableau clinique qui ressemble d'une façon frappante à celui de la
paralysie
0 -énérale. (Cas de Mendel, Beît. klin. Woch., 18
e la base du cerveau. Elle pré- sentait les signes manifestes d'une
paralysie
générale au début et, de plus, des manifestatio
détails à cette époque, a révélé une très curieuse combinaison de
paralysie
générale, de tabes légitime et d'une méningo-myél
aire qui ne différait en rien de celle que l'on rencontre dans la
paralysie
générale ; il' ne manquait que la participation d
ouver que ce sont les vaisseaux qui commencent le processus dans la
paralysie
générale syphilitique, puisqu'il montre leur lé
ilis datant de quatorze ans. Céphalalgie. Attaque apoplectifoi-ine.
Paralysie
du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremble
aperçoit le globe oculaire dévié en dehors avec la pupille dilatée (
paralysie
de la troisième paire) ; la pupille droite, moy
cette méningo- encéphalite vasculaire diffuse, qui est la lésion de
paralysie
géné- rale légitime; 2° Cette lésion vasculai
llé. En un mot c'est la lésion typique que l'on rencontre dans la
paralysie
générale légitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA SYPHIL
rent-ils un peu mieux qu'à l'état sain, ainsi qu'on le voit dans la
paralysie
géné- rale. Quant aux fibres tangentielles, ell
re, et par conséquent ne peuvent être invo- quées pour expliquer la
paralysie
du nerf moteur oculaire commun droit. Au contra
ris de diplo- pie et va consulter M. de Wecker qui diagnostique une
paralysie
du droit externe droit et lui fait, pendant cin
e est dans un état comateux ; la langue est sèche ; il n'y a pas de
paralysie
appréciable. T. 39°3. Mort le 9 novembre 1893 à
au contraire absolument aux lésions vasculaires du cerveau dans la
paralysie
générale et de la moelle dans la méningo- myéli
Cerveau. On trouve les lésions vasculaires caractéristiques de la
paralysie
générale dans toutes les régions de l'écorce, sau
me, J : .-l'incapacité ou le'retard de la°marçhe,< : h3S,ti5S,cles
paralysies
ou contractures. ^ ^ ^ , 22<*\-ï/w«w.v-j.>
'épilepsie survient au même 'titre, que' des contractures, que des'
paralysies
, que l'idiotie; il s'agit alors' d'idiotie ordina
Il y a des.cas dans lesquels ? pendant le stade'prodromique de la
paralysie
générale,' il" se produit des' attaques d'aphasie
par jours et par années qu'appa- raissent les signes'évidents de la
paralysie
générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l'' ? '
rva- tions. ' ' ., ' l'' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes DE
paralysie
congénitale DES muscles DES yeux; paé L.' B.Gé
rresponsabilité dans les cas d'accès de manie aiguë ou subaiguë, de
paralysie
générale, de mélancolie, dans les actes violent
1fI07( ? ? sltfi' l' h> yJ XI. Contribution- a l'étiologie DE la
paralysie
GÉNÉRALE;.par ? ! >'>. ' » TH. Kans. (411
rossesse, accouchement) ; 2° la femme- folle est moins sujette à la
paralysie
générale, aux accidents des organes urinaires,
signalé, la terminaison., par de .véritables délires classés (deux
paralysies
générales et une. typemanie anxieuse) de trois
s sous les deux chefs suivants : 1° le saturnisme peut) produire la
paralysie
générale vraie : il y a une paralysie générale
saturnisme peut) produire la paralysie générale vraie : il y a une
paralysie
générale d'origine saturnine ;- 20 le saturnism
'origine saturnine ;- 20 le saturnisme est incapable de produire la
paralysie
générale; il peut seulement en emprunter le mas
intégrante ; les autres sont communs à la pseudo-paralysie et à la
paralysie
générale vraie. La pseudo-paralysie saturnine n
à, le plus souvent, de cas de rémission comme on en observe dans la
paralysie
générale ordinaire. M. Vallon rapporte, en outr
me des pseudo-paralytiques, mais qui n'en ont pas moins abouti à la
paralysie
générale vraie et à la mort. La pseudo-paralysie
saturnine n'est qu'une phase dans l'évolution du saturnisme vers la
paralysie
générale, mais le processus n'est pas fatalement
s mêmes critiques : l'alcoolisme, a-t-on affirmé, ne produit pas la
paralysie
générale vraie, mais seulement une forme fruste
eudo-paralysie générale alcoolique. Celle-ci se distinguerait de la
paralysie
générale vraie par les antécédents, le mode de
euls pseudo-paralytiques : le faciès, les troubles pupillaires, les
paralysies
partielles, l'aspect des concep- tions délirant
tique. La marche nettement régressive ou la guérison de la pseudo-
paralysie
alcoolique, et par suite son pronostic favorable,
stic favorable, en seraient les principaux signes différentiels, la
paralysie
générale vraie tendant toujours vers la mort. M
e souvent des régressions, c'est' que le processus anatomique de la
paralysie
générale ne s'organise qu'après une série de po
donc qu'une phase de transition entre l'alcoolisme chronique et la
paralysie
générale; M. Vallon rappelle, à ce pro- pos, le
ants. (Premier internement pour délire alcoolique avec symptômes de
paralysie
générale. Sortie par amélioration. Quatre mois
par amélioration. Quatre mois plus tard, deuxième internement pour
paralysie
générale. -Autopsie.) ' En dehors des observati
rale alcoolique, a définitivement pris les caractères de la vraie
paralysie
générale. M. Vallon pense que la théorie des ps
alade amélioré ayant été perdu de vue; d'autre part, on sait que la
paralysie
générale vraie peut s'arrêter dans ses première
es périodes de transition entre le saturnisme ou l'alcoolisme et la
paralysie
générale ; les guérisons de pseudo-para- lysie
lysie générale ne sont que des cas de rémission ou de guérison de
paralysie
générale vraie. ' Le mémoire de M. Vallon donne
DE DE LA' SYPHILIS DU'* SYSTÈME" NERVEUX, ''3- ' z , - .* ' fca
Paralysie
générale, 3rÉNILIGG-111YL : LITE , VASCULAIRE dif
> ce' 1r1 seaux enflammés qui frappent au premier, abord dans la
paralysie
générale; c'est pourtant bien exactement] la (
syphilitique ''qui présente 'les' symptômes les a plus nets de la
paralysie
gêné-)' ! ''raie des`aliénéselle='n'ar pas"1'1
.. p , r ? i, ft r -1 . ! conférences, cliniques de l'an dernier. (
Paralysie
. générale chez l'ig : o2G ? ·riLres ? mvélineWl
qui. ne me parait être v autre, chose. que, la lésion typique de la
paralysie
, générale observée chez les syphi- litiques'1 ?
dème cérébral' d'origine rénale, considéré comme cause de certaines
paralysies
chez les vieillards (Sur la pathogénie''de cert
omme qui présentait à la fois les symptômes du tabes et -ceux de la
paralysie
générale; le tabes avait débuté assez rapidemen
complète, mais transitoire,' ainsi qu'on l'observe quelquefois ; la
paralysie
générale affectait la forme de Requin ; l'évolu
cérébrale ? des symptômes qui sont souvent les précurseurs de la
paralysie
générale, mais aucun accident ultérieur 'n'était
i déjà décrites dans les observations I et II; ce sont celles de la
paralysie
générale syphilitique; la seule diffé- rence qu
sence d'adhérences méningées, fait qui n'est pas rare, même dans la
paralysie
générale la plus avancée, ainsi' que je viens e
je crois pouvoir tirer les conclusions sui- vantes : .- e Dans la
paralysie
générale, d'origine syphilitique, l'altération
la même signification. 134 PATHOLOGIE NER'EÜSE, ` ' '" ' "* La
paralysie
générale, au moins celle. qui est syphilitique,'
lite vasculaire diffuse, n'est pas encore para- lytique général. La
paralysie
générale ne survient que lorsque - l'élément ne
tat, mental qui est, loin d'être sain et qui pourtant n'est pas, la
paralysie
générale ; ces malades ont bien quelques .sympt
andet science clinique. Les symptômes douloureux du début, puis les
paralysies
des 136 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nerfs
urs rapports avec la syphilis, l'idée de l'origine spécifique de la
paralysie
générale n'était pas encore mûre; aussi M. Four
encore mûre; aussi M. Fournier n'a'-t-il' pas mis le diagnostic de'
paralysie
générale vraie sur les faits de. démence syphili-
la ménopause entraine souvent-la mélancolie de- la ménopause, ou la
paralysie
générale, souvent aussi' la folie systématique
et les morts portent sur les mélancolies graves des gens âgés, les
paralysies
générales post-inllueuziques; enfin, il y a eu,
e ne se montre que quelques jours à quelques semaines plus tard; la
paralysie
générale peut survenir six mois après l'accès d
es,le4délirium@, tréméns; 25, p.,100 ? f · ? ,, yn , .. .f', ? d.
Paralysie
générale, grave, à évolution rapide, en moins de
groupe c.) l'issue dépend du substratum même de l'individu taré. La
paralysie
, . générale grippale comporte un'très mauvais p
`. ? C · " ' ' .1 · . 17 l«'- » T ,. -. , XXXIV. Les cause ? de, la
paralysie
générale (statistique de l'asile ? in " Saint-Yon
? in " Saint-Yon) ; par le D1' Nicoulan. t - -, , ' L'examen de ta
paralysie
générale, sous l'aspect étiologique, est, r dep
s c'est la Ç syphilis qui' constitue la' cause par excellence de la
paralysie
géné- rate ? pour d'autres c'est l'alcool ? pui
semblablement invoquer; une fois ou l'autre, dans l'éliologie de la
paralysie
générale; ' mais, alcoolisme, vérole, surmenage,
ls que : attaques congestives subintrantes, gangrènes du décubitus,
paralysie
et spasmes de la vessie, attaques apoplectiques
asmes de la vessie, attaques apoplectiques laissant après elles des
paralysies
, accès de folie périodique. Les mois inconstant
de ophthalmo-parésie externe ataxie des extrémités- étourdissements
paralysie
des deux extrémités supérieures et du membre in
s pendant trois à quatre semaines. Puis la parésie se transforme eu
paralysie
des membres inférieurs avec oedème musculaire,
; folie neurasthé- sique (1). , La maladie de Basedow tient à une
paralysie
du centre vascu- laire du bulbe; de là, hypérém
EY, de St-Louis. D'après Erb, les symptômes pathognomoniques de la'
paralysie
spinale spécifique seraient : 1° la paraplégie
'eurolo,gist, 389, XIV, 3.) A'. AL '1 .'t, 4 .12 ? 1 f n - .. XV.
Paralysie
cérébrale spasmodique DE .ERH ; par Manuel CARM
un arrêt congénital de développement des faisceaux pyramidaux,' ces
paralysies
sont apparues consécutivement à des accidents c
ibres et l'embarras' de la parole s'est atténué; dans d'autres, les
paralysies
des''membres sont restées identiques à celles des
OB. (Archiv f. Psychiat., , -- XXIV, 3.) . Quatre observations de
paralysie
aiguë de Brown-Sequard, autre- ment dit hématom
raplégique, les deux jambes sont anesthésiques. Le jour suivant, la
paralysie
monte, il meurt. On diagnostique une hémorrhagie
ronostic défavorable. P. K. XIX. Contribution A LA pathologie DE la
paralysie
spinale ATRO- PHIQUE chronique; par H. OPPECIIL
XXIV, 3.) Cinq observations avec autopsies.- La mieux étudiée des
paralysies
de ce genre, c'est la sclérose laté- rale amyol
rale ayant revêtu l'aspect d'une poliomyélite antérieure chronique (
paralysie
Ilasque). Observation IV. Phénomènes paralytiqu
ÉHAVAL. ŸI1. Recherches SUR LE bilan DE la nutrition dans UN cas DE
PARALYSIE
agitante fruste; par A. SCHOEFER. (Archiv f. Ps
iat., XXIV, 3.) Conclusion : 1° Le malade en question, atteint de
paralysie
agitante avec symptômes de' chorée t héréditair
idérées comme0'de°s^'phério,mè'nés's"ec°ondairés,.f D'après lui, la
paralysie
agitante est caractérisée par une vaseularisatio'
ans les névroses chroniquesrd'origine fonctionnelle, telles que lai(
paralysie
agitante,a'chorée,3l'épilepsieethla maladie de
ides. C'es t ainsit que ,1'on (peut expliquer, les origines,. de"la
paralysie
l agi- tante,^ du oitra : exophtalmique,(denlaz
extrémités 'inférieures favec idiplopie intermittente ; en '1878, :
paralysie
.passagère 'de 'l'oeil droit ? Excès sexuels et
erplasie inflammatoire de la névro- glie dans la zone tabétique. La
paralysie
du bras tenait à un foyer de rarrlollissement r
t trem- blement de-la jambe d'un côté.. Ce sont aussi des sortes de
paralysie
agitante; peu ou pas de trembleme ! 1. L;,pu ou
es de dévelop- - piment. Faut-il,enfin de compte les rattacher à la
paralysie
agitante ou, pour être plus éxact,là'lalpseudo-
tion dans'laqueHe.]e : signe'foncti6nnet'Ie plus important ,de, la(
paralysie
) du. gi,andç dentelé; 1 fait) coniplètemeiit 'déf
,wSy.ï .KjkoH .A- 3 irh ;ai I'X* ri .or Ce n'est pas tout. Dans la
paralysie
, du grand dentelé, le, bras étant au- repos,, i
ve), dans ceux du bras gauche et de l'éminence théiiar, de'ee côté (
paralysie
par. propagation à la moelle),danslé grand pect
articipent aux troubles de la sensibilité ; phé- nomènes bulbaires (
paralysie
unilatérale' du voile du palais et des cordes v
nd il s'agit des nombres'et des dates. Inhabi- leté des mains, sans
paralysie
, ni trouble de la sensibilité cutanée, trèsf lé
s, avee, troubles vaso-moteurs ,et sécrétions, anormales, r-r,;) a-
paralysie
,des ! ' nerfs crâniens y compris les syinpi8me
une syringomyélie. Atrophie musculaire des extrémités-supérieures -
paralysie
dissociée hémilatérale de la sensibilité - trou
I n - . 1 - Etude nosographique. Trois observations : tabes dorsal;
paralysie
spinale syphilitique; association de tabès et d
tabès et de 'paralysie spinale syphilitique. '' Conclusion. 1° La
paralysie
spinale syphilitique est assez fréquente, mais
re dépendant du centre cortical où siégeait 1a9 tumeur ; en s outre
paralysie
progressive. Il faut ajouter .des symptômes gén
e fit cesser tout à fait chez la malade les accès épileptiques,' la
paralysie
, malgré la large extirpation de' substances cér
décembre, parésie bilatérale de l'oculo-moteur externe ; à droite,
paralysie
complète de tous les rameaux de l'oculo-moteur
e complète de tous les rameaux de l'oculo-moteur commun ; à gauche,
paralysie
totale du rameau interne de ce nerf. A droite,
'Intégrité des organes des sens et des organes internes. Plus tard,
paralysie
des'4uatre'extréiiii tés ave( ? pat, intervalles,
' ' ' , it, Au point de' vue clinique, il s'agissait de deux cas de
paralysie
générale, sans particularité spéciales à noter.
pariétale gauche ; légère parésie du facial inférieur droit. Pas de
paralysie
. Papille étranglée. Paraphasie en répétant; pei
omme le poing, adhérente à la dure-mère. A la suite de l'opération,
paralysie
des extrémités droites, impossibilité de parler
miques; intégrité 'de la perception de rétroaction des membres.' Ni
paralysie
, ni atexie.De temps à autre, incertitude des7mo
. Démarche extré- mement'incertaine, même' après rétrocession d'une
paralysie
de l'oculomoteur-» externe ? vertiges nombreux,
iges nombreux, mouvements des maxillaires limités, d'un, côté; puis
paralysie
croisée de l'oculo- moteur externe qui tend à d
r. e canlharidate de potasse est un bon moyen thérapeutique dans la
paralysie
générale^de^date récente., rc,t Le phosphate de
qui me semblent augmenter avec le. temps, à mesure que progresse la
paralysie
générale. M. Voisin demande si l'état des réfle
a faite, d'après mes indications sur les réflexes oculaires dans la
paralysie
générale. Il n'y a pas de règles fiaes à cet ég
- . y. ' v r·' .i v z ' ' il = 9%ll ? a iF .9'74D ? n61 IV. De la
paralysie
générale chez : les Ara6és;.paryleIDsPASCaLIS.
U'Oiii trouve; 'pour cette, catégorie' de malades, le diagnostic de
paralysie
générale, sur les registres de l'asile. De- 187
, tandis qu'elle a été de 9,8 p. 100 parmi les aliénés français. La
paralysie
générale chez les Arabes ne présente guère, com
rême. Après avoir conclu à la rareté et à ^apparition tardive de la
paralysie
générale chez les Arabes,'M.' Pascalis ên trôil
s ên trôilvé l'explication dans l'absence de certaines causes'de la
paralysie
générale, telles que la suracti- vité intellect
coi'nci deàt avec 1 l'ap p 'aritioi, éL l'augmentatioil,.des cas'de
paralysie
^générale.' Quant à la syphili ? bien que, fréquen
- cérébral et que leurs lésions destructives ne provoquent pas de
paralysie
des mouvements. Est-ce à dire que les doctrines
ses lésions destruc- tives doivent nécessairement donner lieu à des
paralysies
motrices ; mais par contre,' les lésions destru
era.tout,naturellement porté à la considérer comme la cause- de. la
paralysie
et voilà une observation contra- dictoire à cla
, avëe.lëumême caractère;2cependant,opar.asuite des progrès de la
paralysie
, elles -,tendent devenir,,plus confuses." ZD je
nnu' comme la con- séquence z ^primitive düëà9üne'`neili`ü=ângio-
paralysie
et non à un traumatisme ou a une périeliondrite.
nitale''ou~ acquise du cerveau ' (démence', idiotie, ! imbécillité,
paralysie
générale), ensuite dans ? les vésanies à délire
1 no."%RJ . n 't LXI. Contribution A l'étude DE L E1'fOLOGIE de la"
paralysie
générale; ..< ! ja pal,le' D ? CBtsTLw. (Iti
Recherches, statistiques^sur^ l'augmentation ^progressive; de la
paralysie
générale, l'iulluence dusoxe, de J'étatcivii,cond
r.' l'enfance et. l'adolescence comiiie jouissant, à l'égard dénia»
paralysie
, générale, ,d'une.immunité absolue. L'au- teur
ur a, rassemblé huit, cas, dont.deux.personnels, dans lesquels la z
paralysie
générale est survenue vers l'époque de la puberté
lie deux observations intéressantes; la première est relative à une
paralysie
générale ayant fait son apparition à l'âge de d
enseigne sur ses antécédents,, on1 aurait' certainement 'cru 'à une
paralysie
généiâlétrvul;âir;é; sâiîsétioloie'spécifque`L'ét
*V f LXX11.V RecUERCHES^'sU11JUNÏ3 C1R1.11'lo\'I)Is TYPE DANS 'a LA
PARALYSIE
générale; par F. ST-JOIIII 13ULLEN (Tlte Joi21v
odifications des réflexes envisagés 'aux différentes périodes de la
paralysie
générale; : B : l les autres touchant l'ensembl
u conclusions générales pro- ' 'prément 'jîites.' " °I. Dans la, .0
paralysie
r- -énérale l'altération ? des 'réflexes est la
ans, dans le service de M. Marcel Briand, une femme, atteinte de
paralysie
générale, en proie à des hallucinations motrices
ces particularités nous ont paru dignes d'intérêt. Observation '.
Paralysie
générale. (Signes somatiques et psychiques.) Ac
if, dans le service de M. Marcel Briand, qui porte le diagnostic de
paralysie
générale. , ` , Etat actuel. On constate à son
'- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de
paralysie
générale. L'histoire clinique de la malade est
sticateur) est un plié- y nomène banal'à la période. avancée, dé la
paralysie
générale (mâchonnement, grincement des' dents),
"diits'très accentué est un symptôme de 1 la- dernièrépériode'de la
paralysie
* générale' qui se mani- feste. alors= quer le p
hallucinations motrices verbales n'ont guère été étu- diées dans la
paralysie
générale : il n'en est, pas fait mention dans.
=.- de Gellhorn 3, d'Obersteinerl sur les hallucinations dans la
paralysie
générale, ni enfin dans les travaux cités'précéde
ses dont ils'ont été, l'objet.) s Girma. Des hallucinations dans la
paralysie
générale. Thèse Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9·
i ? >0 r···f lt.-v.Kspf 'h nfg 'l{ ? }f'l"l , Observation,. XIV.
Paralysie
générale à la première période : étât·stationli
evanche, dans les pages consacrées aux conceptions délirantes de la
paralysie
progressive, une courte -notice que nous reprod
ses détails, fait allusion à, l'existence' chez un sujet atteint de
paralysie
générale- (dia- gnostic confirmé par l'autopsie
i l i* ? "'->' , .14, ? ff ? -r tu 1. ' .1 ? l.e4 14 nels de la
paralysie
générale (aphasie, surdité verbale, acci- " *L
talysi ? ' i-a ' . (S' -Ir, , ! Magnan." Kena; cas d'aphasie dans la
paralysie
générale. (Soc. de Biologie, 8 nov. 1879.) Loca
. (Soc. de Biologie, 8 nov. 1879.) Localisations cérébrales dans la
paralysie
gé- nérale. Lésions^ accidentelles (congestions
', et Rappelons aussi les cas de Hirt' (mouvements convutsifs, puis,
paralysie
aussi les cas de Hirt1 (mouvements corivulsifs,
uis,paralysie aussi les cas de Hirt1 (mouvements corivulsifs, puis,
paralysie
, isolée double des. muscles. masticateurs, par
0 , ? I, - . , 0. ;d, 11-1 < t ' s , ". ....Irtl ' MÛ suivis de
paralysie
des muscles masticateurs; autopsie : rame)- >
de la partie adjacente de la frontale ascendante) ? * dé Barlovy3' (
paralysie
4de tous les , mouvements volontaires de la' bo
nstituent' souvent lés' ., ' a .. seuls troubles moteurs' dans la
paralysie
générale ! " On a signalé à i apparition du ttn
eçons cliniques, M. Magnan a montré, en effet" qu'au '"début de la'
paralysie
générale et" pendant' les' rémissions on pouvait
ation augmentait; à'deux reprises, un ictus étant venu aggraver la-
paralysie
générale, le délire systématique s'effaça pour
ipaux : a) Existence des hallucinations motrices verbales dans la
paralysie
générale. - b) Association étroite des hallucin
enferme, entre autres, le centre masticateur). f) Existence dans la
paralysie
générale non seulement d'hal- lucinations isolé
iété extrême des accès délirants que l'on peut ren- contrer dans la
paralysie
générale ' : les uns greffés sur la dé- 1 Voir
greffés sur la dé- 1 Voir sur ce sujet : Magnan et Paul Sérieux. La
paralysie
géné- 7,ale, vol. de l'Encyclopédie scientifiqu
essio"ns, amène' tinédimiriùtiôïigéilérale ? detensiôu' et causé la
paralysie
. La présence dé l'alcool provoque nécessairemen
ET (DE-, PHYSIOLOGIE,,PATHOLOGI QUES. 377 provoque; fatalement une
paralysie
n générilisée,chez, les sujets qui ne'peuvent p
an oh Jq d.9'ItLG(JrLtlTT eecmoiy 2t1 fiez LUI. Les lésions dans la
paralysie
générale; par le Dr J DAGON>Jx. JfT ? tI40 2
s sur là nature aiiato- ^mique, et, les, lésions complexes de^, la,
paralysie
générale. Tout t d'abord, "il, remarque- qu.'il
1,JI l'I , . trouve a laide du microscope, a tous. les degrés de la
paralysie
, les modifications histologiques de la phlogose
terstitiel' le principal rôle dans les lésions histologiques de' la
paralysie
générale. Il se passerait delà S6't- r e 7' dan
lules nerveuses. Enfin, depuis que ^ Tuczek1 eut' constaté' dans la
paralysie
générale^la disparition des ' lïb'res'liérveûës
érieurs de la moelle. ^ j-, ? ,,tir<,a,x. ? 8'; - uJ- Lorsque la
paralysie
générale a présenté une certaine durée, les srl
et la stase lymphatique, jouent un -rôle' des plus néfastes danstla
paralysie
générale : ils'favorisent, la dégénérescence et
, l'absence de peptone'dans l'urine permettrait d'écarter l'idée de
paralysie
générale. » . -lA"lâ suite de'ses recherches, M
mptôme 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .. tijtd.nf"Ht ? * delà
paralysie
"énéi,ale 1() Parce que la pept,iiui,jej se renco
ordre psychique ; 4°. parce que, si elle est plus fréquente dans.la
paralysie
âénéiale,que dans les autres formes de maladies
° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT CHEZ UN SYPH
t d'actualité : les relations étiolo- giques de la syphilis avec la
paralysie
générale, et les rap- ports de la paralysie gén
de la syphilis avec la paralysie générale, et les rap- ports de la
paralysie
générale et du tabes. En ce qui concerne la pre
e dans les deux tiers et même dans les quatre cinquièmes des cas,la
paralysie
générale reconnaîtrait la syphilis comme un de
prédisposition héréditaire. Eu égard aux rapports du tabès et de la
paralysie
générale, s'appuyant sur l'association assez ha
tre, nous publions l'observation suivante : 1 Fournier. Syphilis et
paralysie
générale. (Bulletin médical du 26 avril 1893.)
nérale. (Bulletin médical du 26 avril 1893.) ' Fournier. Tabès et
paralysie
générale. (Bulletin médical du 11 juin 1893.)
tudesde layie; ( ^ ^ xc ? sane auiq hait u ui·rrnanoa ? #s Jmruob
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME DE * TABES AU DÉBUT. 403 1 En
sultats ont étéiessmvHLnts-" - - ri tr' '· '1rW -*i"" <*, , ..
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. ' 405 et se
rnant sa fille, le délireiest survenu brusquement, un* matin, alors
PARALYSIE
GÉNÉRALE .'A FORME DE TABES AU DÉBUT.. t< 407
cembre. Aggravation de tous les phénomènes. Dans l'ordre physique,,
paralysie
des sphincters ; la malade, urine sous elle', p
, ment qu'elle parle des prétendues tentatives d'empoisonnement ?
PARALYSIE
GÉNÉRALES FORME ; DE TABES AU DÉBUT. 409 son an
e période, leur signification est des plus nettes, ils précisent la
paralysie
générale progressive. Pour ceux de la première
on évoque aussitôt l'idée de tabes. Par conséquent, tabes au début,
paralysie
à la fin, telle serait la rubrique sous laquell
jour, .il. s'agirait. d'un cas de , tabès. ayant versé dans,la r.t
paralysie
générale. Mais, ce^ diagnostic,' pour si1, vraise
1 J.-1T. Cliarcot. Z.epoH ! du mardi, 1887-1888, p. 267. > ^ç-a
PARALYSIE
GÉNÉRALE "A* FORME^DE TABES AU DÉBUT. ? 411 *"
nd. Dictionnaire des sciences médicales, article Tabes, p. 310. ,
PARALYSIE
GÉNÉRALE'A FORME 'DE TABES AU DÉBUT. 413 et, da
eux pupilles : * la 4 droite' plus ! dilatée que la gauche; a droite"
paralysie
'du sphincter de l'iris et légère parésie du mu
à- droite, .toute {contraction fait défaut; à gauche, en.plus`dé la
paralysie
dès muscles iriensjparésiemarquj ! e, du muscle
la marche,des phénomènes pupillaires démontre jusqu'à l'évidence la
paralysie
progressive ^et graduelle de la f musculature i
dev ir.- ,externes p d el k,oe.1 ? tandis s z qu r chez 1 la 3[j
paralysie
des muscles externes 1 tandis quechez]la.'xi ma
que certainement de la'paras lysie générale'. » ,2 csdsi '91 a La
paralysie
del'iris. et,de l'accommodation, constituant ce
complète, et sa valeurs. 9 au point, dewuee du diagnostici.der la.
paralysie
générale,* se id résume,enices termes : t« ! En
19 mfT .srn.a) ' Gilbert Ballet. `- Les troubles ^oculaires dans la
paralysie
générale .^ progressive. (Progrès' médical du 1
naud. Communication à M. G. BaUct ? M troubles oculaire31eq dans la
paralysie
générale progressive.. (Progrès médical . du 10,
' Gilbert BaUet. - 2.oc. c ? . ;-49» ? û-t V-V ? <n 1» ? 339 su
PARALYSIE
GÉNÉRALE'A'FORME'DE TABES AU DÉBUT. 418 part; d
ement' définis, ressortissant1 sansccontestation' ' r possible à.la
paralysie
générale ? fciMid ? t r`°tJ^ 1 OL)2 M", Par sui
vient-il' de conclure à''un c'as*'de tabès'ayant '* versé dans'^la"
paralysie
générale ? 'Mais; cette' hypothèse est inadmiss
s3fulgtirationstetvléstcîises`'mscé= n raies ;,ou bien, à'un'caside
paralysie
"générale compliqué'de tabès : fruste ? mais,"i
est "vrai, -va' l'encontre de'' la doc- trine.' cérébrale de; la !
paralysie
généra ! e'*pbùr laquelle -tout' le ? processus
leçon de M. le professeur J Joffroy : Sur les formes spinales de la
paralysie
générale, in Journal " de Médecine et de Chirur
(Jendrassik) '. Et pour- quoi n'è,séiait 1. i pas.de même pour la,
paralysie
générale ? C e p'é n d a' in't 1 1 oane - n'est
sions reputees propres au ta ce qui n'implique .pas que tabès et
paralysie
générale, soient; une seule ., et . même entité
clure deux maladies distinctes ? ou d'avancer que le, tabès. et la
paralysie
sont l'expression d'un état morbide général, comm
aladies de la moelle, par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1 ..y ? v n
PARALYSIE
GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. 417 ' Quant
anifestations paralytiques, nous ne pouvons y-souscrire'Faire'de la
paralysie
générale ou du tabès une étape tertiaire, en qu
moins qu'à déclarer qu'en dehors de la syphilis, il n'y a point de
paralysie
. Et, sans vou- loir tomber dans un excès contra
, il n'a offert aucun signe ou symptôme prémonitoire de tabes ou de
paralysie
, bien que jamais il n'ait ' Grasset, Archives d
hie musculaire progressive, tabes, para- lysies bulbaireset dans la
paralysie
faciale. L'électrode indifférente employée dans
E D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. 443 ' y Dans certaines
paralysies
d'origine incontestablement périphé- 'rique,^ l
'excitabilité faradique 4, se'constate dès les premiers jours de la
paralysie
.'Dans les paraly- sies périphériques persistant
nerveuses comme très limitée, attendu que dans un certain nombre de
paralysies
faciales invétérées il n'a pu obtenir la réacti
ides progrès. La durée du traitement varie, comme dans les autres
paralysies
, suivant le degré du mal et son' extension... '
y· ? 2,1. .a. ,. ? s M. 'DE6E. Quelques phénomènes appartenant à la
paralysie
géiié- rale progressive. - L'auteur étudie d'ab
il y avait égalité des pupilles; un seul de ceux-ci pré- sentait la
paralysie
réflexe bilatérale, chez les 34 autres, on cons-
t atteints d'inéga- lité pupillaire; on constata chez eux 7 fois la
paralysie
complète ou presque complète d'une iris, exclus
pillaire dont 51 cas ? de troubles de. la motilité des pupilles (19
paralysies
unilatérales z 32 lésions de nerfs). Il est bon d
est évident que la'sypliilis'est une des causes' principales'de' la
paralysie
générale/'Mais le''terrain étant' préparé par l
Mais le''terrain étant' préparé par la syphilis,' une fois' que' la
paralysie
générale y a germé, elle devient indépendante à
il t ..t., ? - ). h <' yr' -) ? 'i M. Koenig. Une forme rare de
paralysie
infantile, d'origine céré- bi-ale. -,Il s'agit
'puis'celte époque, à la suite de chaque attaque, il se produit une
paralysie
passagère du côté droit; mais la parésie du'fac
ien a-t-il été atteint ? il est impossible de rien préciser, car la
paralysie
pharyngée peut dépendre aussi du nerf accessoir
et acabit. , i , DiscussioN : M. Bruns appelle l'attention sur la
paralysie
du voile du palais,. sans altération du facial.
nervé par l'accessoire ou l'hypoglosse. Jamais l'orateur n'a vu de*
paralysie
faciale pure, accompagnée de, paralysie, du' vo
Jamais l'orateur n'a vu de* paralysie faciale pure, accompagnée de,
paralysie
, du' voile" du palais; mais il a vu la paralysi
e, accompagnée de, paralysie, du' voile" du palais; mais il a vu la
paralysie
du voile du palais'se produire dans un cas de p
il a vu la paralysie du voile du palais'se produire dans un cas de
paralysie
périphérique du nerf accessoire et de'l'hypogloss
maladies suivantes : 1°, névroses (hystérie, neurasthénie, chorée,
paralysie
.agitante, crampes professionnelles); 2° les mala
rofessionnelles); 2° les maladies de la moelle (ataxie locomotrice,
paralysie
infantile, hémorragie et commotion, myélite chr
, sclérose latérale amyotropluque, atrophie musculaire progressive,
paralysies
consécutives aux maladies aiguës ou infectieuse
u, hypérémie des méninges, épanche- mentsisaiiguins intra-craniens,
paralysie
générale); 4° névral- gies et névrites (migrain
et chronique, névrites périphériques, sciatiques vraies); - 5° les
paralysies
motrices d'origine périphé- rique ; 6° les trou
avec ou sans anomalies et qui son tf des' types caractéristiques de
paralysie
.générale;, l'auteur .termine par une étude de
pathologie des centres nerveux (encan- glais), 9860;-Leçons sur les
paralysies
des membres inférieurs, 1865 ; Leço ? ? sur le
alatin, existence du renflement du , bourrelet , par Noecke, 214.
Paralysie
isolée du grand dentelé, » par Bruns, 186; un c
m ? . bolie" de l'artère fémorale, par ' Chvosteck, 196.,ri , .
Paralysie
AGITANTE, nutrition dans ' un cas de fruste, pa
dans ' un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\ .. - n'
paralysie
cérébrale spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151
- n' paralysie cérébrale spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151.
Paralysie
infantile, une forme rare de . d'origine cérébr
tile, une forme rare de . d'origine cérébrale, par Kcenig,,454.
Paralysie
générale progressive , contribution à l'étiolog
Sérieux, 321; lésions dans la -, par Dagonet, 377. ` ' w - " ("I
Paralysie
spinale atrophique chro- nique, par Oppenheim,'
2, 201. "' ,i5 nH '·'i . Parole, troubles de la passagers dans la
paralysie
'progressive, par Koenig, 40; troubles de la -,
le, par Sommer, 208. Visuel, rétrécissement du champ- , dans la
paralysie
générale progres- sive, par Bikeles et Kornfeld
par Bikeles et Kornfeld,138. , » , * J -Ml, Yeux, deux causes de
paralysie
con- génitale des muscles des , par Bacli, z0
rieurs plus ou moins repliés sont aussi contractures. Il existe une
paralysie
du facial inférieur droit, le malade fume la pipe
et pour résumer celte observation : Cliniquement : au début : Coma,
paralysie
faciale droite, paralysie du bras gauche, contr
ation : Cliniquement : au début : Coma, paralysie faciale droite,
paralysie
du bras gauche, contracture des membres inférieur
lade présentait nettement une hémiplégie gauche. Or on sait que les
paralysies
localisées, l'hémiplégie par exemple, constitue
ls il fut soumis : Ainsi le soir de son entrée, il présentait de la
paralysie
du facial inférieur droit et du bras gauche, et
cit et ceux d'excitation s'y rencontrent et s'y entre- mêlent ; les
paralysies
flasques, les contractures, les crises d'épilep
sens génital étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la
paralysie
générale; Par le D' E. MARANDON DE 110\TYEL,
au même moment toute la symptomatologie physique et mentale de la
paralysie
générale. Ce travail, le troisième, est consacré
ociété de Médecine mentale de Belgique, 1898. DU SENS GÉNITAL DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 17 naire, vous répondra sincèrement q
es appréciations contenues dans les travaux les plus récents sur la
paralysie
générale et relatives aux modifications du sens
ts d'excitation, nous apprend M. Sollier, la première période de la
paralysie
générale est celui où l'éro- tisme est le plus
autres prouesses du même genre. MM. Christian DU SENS GÉNITAL DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 19 et Ritti sont d'avis que l'excitat
génitales, dans beaucoup de cas, un an et plus avant le début de la
paralysie
générale confirmée. Cet auteur, lui aussi, ne s
r- ches systématiques poursuivies du début à la terminaison de la
paralysie
générale chez les mêmes malades. Les fonctions
ctueux, même d'actes crimi- nels. Plus tard, avec les progrès de la
paralysie
, l'excitation anormale et la fonction sexuelle
recherches patiemment poursuivies du début à la termi- naison de la
paralysie
générale sur.108 sujets nous apporte- ront des
30 à la seconde; enfin il en est quatre qui . DU SENS GÉNITAL DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 21 depuis plusieurs années sont resté
ien qu'ils présentent les signes physiques caractéristiques de la
paralysie
générale. Les constatations opérées sur ces 108
cependant sacrifiaient souvent à Vénus; s'en- DU SENS GÉNITAL DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 23 dormaient-ils après des coïts même
stent tant sur l'excitation génitale à la période prodromique de la
paralysie
générale, c'est qu'elle constitue un fait posit
ons pour nos 1599 constatations d'auormalité. DU SENS GÉNITAL DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 25 tions, elles existent et dès lors
Dans tous les cas, un fait est indéniable : leur existence dans la
paralysie
générale. On comprendra qu'il ne nous a pas été
les que nous avons notés se répartissent aux trois périodes de la
paralysie
générale. 26 CLINIQUE MENTALE. alités, incapa
des, il est fourni par le tableau suivant : DU SENS GÉNITAL DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 27 7 n'existent qu'à ce moment. Il es
sens génital et les diverses formes mentales que peut présenter la
paralysie
générale, formes expansives, dépressives et mix
t-deux mois, attention, pat oie, préhension, mastica- tion nulles ;
paralysie
des membres ; grincement des dents ; accès de c
s, longs et très maigres. Les avant-bras sont fléchis sur les bras.
Paralysie
et contracture prédominant à gauche. La préhens
n que ceux de la Planche II. ZD REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I.
Paralysie
générale chez l'enfant; par J. THOJ ! S01\ et 1'e
prison pendant une partie de sa grossesse '. R. M. C. VU. Un cas de
paralysie
générale juvénile; par A. Hrmx 1301'LE. (The Jo
uelle on diag- nostique à son entrée à l'asile, malgré son âge, une
paralysie
générale, diagnostic que l'autopsie confirma.
gnaler, c'est la connexion étroite qui paraît avoir existé entre la
paralysie
géné- rale et la puberté. Les phénomènes de la
é entre la paralysie géné- rale et la puberté. Les phénomènes de la
paralysie
générale en effet ont fait leur apparition à l'
complète ici son étude antérieure (Revue clemécl.) de la pseudo-
paralysie
générale arthritique par dégénérescences athéroma
t vrai que l'athéro- masie peut dans certains cas coïncider avec la
paralysie
générale vraie qui dans ces faits s'est greffée
rentiel. Si parfois le tableau clinique est identique à celui de la
paralysie
générale, il peut aussi se présenter quelques d
, démence plus accusée ; délire auto-toxique, au lieu que dans la
paralysie
générale il est plutôt auto-infectieux). La coexi
rs de leur diffusion n'ont pas le moindre rapport avec celles de la
paralysie
générale et impliquent un processus morbide ess
éralisé et progressif; troubles de la parole caractéristiques de la
paralysie
générale, tremblement de la langue, inégalité p
nérescence observés chez des enfants et ressemblant beau- coup à la
paralysie
générale. Ce mémoire se termine par quelques co
et l'ouïe paraissent normales; les autres sens sont intacts. Pas de
paralysie
; l'enfant marche et court sans assistance. Il es
l'espèce la plus inférieure; 4° malades à la dernière période de la
paralysie
générale ; 5° la plupart des épilep- tiques ; 6
est vraiment impos- sible de rattacher à l'hystérie ou aux tics.
Paralysie
du mouvement associé de l'abaissement des yeux.
as d'un spasme d'ori- gine psychique des élévateurs mais bien d'une
paralysie
des droits inférieurs d'origine organique centr
urvenant après un ictus. M. Parinaud qui a étudié précisément ces
paralysies
associées assure que ce cas rentre parfaitement
ssi, par suggestion pendant le sommeil naturel. L'hypnotisme et les
paralysies
psychiques motrices. M. BÉRiLLON. Le phénomène
u un segment de membre peut être paralysé par suggestion. Que ces
paralysies
psychiques soient obtenues chez un sujet hypnotis
tiellement l'état d'hypnotisme. Il est curieux de constater que ces
paralysies
psychiques suggérées n'étonnent nullement le su
en vous et elle pense bien que vous saurez la débarrasser de cette
paralysie
que vous venez de lui donner. Mais, faites-lui
e plus éloignée : si, par exemple, demain elle se réveille avec une
paralysie
que vous lui aurez suggérée aujourd'hui, elle n
ou extérieure, des malaises, des douleurs, même des parésies et des
paralysies
ayant eu comme générateur l'élément psychique,
de douze ans, était devenue extrêmement difficile par suite d'une
paralysie
d'enfant sur- venue dès son plus bas âge ; en
er L... avait été mordu au bras par un cheval de telle façon que la
paralysie
totale des doigts et des tendons du poignet s'e
séries les plus fortes lais- sant presque toujours après elles une
paralysie
ou parésie du bras gauche qui se dissipait peu
réditaires. Syphilis conceptionnelle ; le mari est mort en effet de
paralysie
générale ; la malade aurait eu 9 grossesses, et
que le signe d'Argyll est un des meilleurs signes du tabes et de la
paralysie
générale. Or, il ne faut pas oublier le rôle si
iplégie cérébrale gauche, de telle sorte qu'il se présente avec une
paralysie
spasmodique créée par une double lésion cérébra
vant de l'enfance, la gauche provo- quée par la syphilis cérébrale,
paralysie
qui évolue avec des douleurs fulgurantes et le
tre en bâti- ments. Il aurait eu beaucoup de coliques de plomb, des
paralysies
«alumines, mais pas d'attaques d'éclampsie. Sa
qu'ici dans la période post hémiplégique, dans les diplégies, la
paralysie
générale et l'idiotie, les parahsies médullaires
ScuÉPILOFF. VII. Remarques sur les lésions observées dans un cas de
paralysie
spinale chronique d'origine syphilitique ; par
Le malade observé présente assez bien le cortège de symptômes de la
paralysie
syphilitique spinale d'Erb avec quelques diffé-
rconvolutions autour de la lésion, et Gierlich a montré que dans la
paralysie
infantile céré- brale on ne rencontre pas de dé
cinquante-trois ans ; troubles présentant d'abord les signes de la
paralysie
générale et enfin ceux d'une tumeur, hémi- plég
L'intérêt de cette observation réside dans ce fait que malgré la
paralysie
des quatre membres présentée par le malade la voi
alade, de la cause et des caractères de l'ictus, de l'évolution des
paralysies
et des anesthésies, on pourra dans un grand nom
a malade qui fait l'objet de cette observation était atteinte d'une
paralysie
de tous les nerfs du globe oculaire associée à un
ulaires centrales ; elle n'est pas non plus extra-orbitaire, car la
paralysie
des deux .branches orbitaires du trijumeau ne p
opsie, surdité) : c) troubles moteurs (para- lysies des extrémités,
paralysie
des muscles laryngés, aphonie) ; d) troubles vi
peut enfin souvent accompagner les convulsions unilatérales dans la
paralysie
générale et se montre parfois au cours de l'uré-
ertébrales. P. KERAVAL. XVI. Une observation de tabes dorsal avec
paralysie
bulbaire; par M. 13c,oco. (lCUI-010g. Cezzt,rab
'aorte ascendante. Le malade (qui vit encore) présente en outre une
paralysie
bulbaire par lésion de la région des noyaux c'e
alysie bulbaire par lésion de la région des noyaux c'est-à-dire une
paralysie
glossolabiopharyngée. comme dans les deux seuls
Science, mars 1889) et de Charcot (Progrès médical, 17 juin 1893).
Paralysies
des muscles des yeux; troubles dans le domaine du
domaine du trijumeau ; atrophie du nerf optique ; phénomènes de la
paralysie
bulbaire progressive ; symptômes classiques du
nt cependant avoir rétrocédé ; l'ataxie est peu prononcée. Il y a
paralysie
laryngée mais l'image laryngoscopique est celle
est celle que l'on obtient en pareil cas dans le tabes. Or, dans la
paralysie
larynsée bulbaire la paralysie atteint les addu
areil cas dans le tabes. Or, dans la paralysie larynsée bulbaire la
paralysie
atteint les adducteurs des cordes vocales, pres
coexistence d'une lésion cérébrale localisée '. L'hérédité dans la
paralysie
générale. - M. HAMELINE donne communication d'u
travail accompagné d'observations cliniques sur l'hérédité dans la
paralysie
générale et en particulier dans l'hérédité simi
. En ce qui concerne l'hérédité des paralytiques en général : 1° La
paralysie
générale n'apparaît que dans près de la moitié
hez l'enfant, où son existence est encore controuvée. L'étude des
paralysies
alternes fournit chaque jour des types clinique
Le professeur en profite pour esquisser les différentes variétés de
paralysies
alternes, motrices et sensitives. Les polioencé
ique ou mésocéphale. Les véritables para- lysies oculaires sont des
paralysies
dissociées, passagères, de courte durée et faci
i- phérique. La leçon suivante (IX) est consacrée à l'étude de la
paralysie
bulbaire asthénique : le syndrome de Erb-Goldfl
passer en revue les associations morbides principales du tabes :
paralysie
générale, syphilis des centres nerveux, ophtalmie
gnostic. Témoin le fait de syringomyélie chez un malade, atteint de
paralysie
saturnine. Bien que connue depuis peu d'années,
uis une mise au point par- faite de la question de la myoclonie. La
paralysie
générale juvénile, si difficile le plus souvent
matique. par le Dr Séglas, médecin de Bicêtre. La vraie cause de la
paralysie
générale, par le professeur Wladimir Tschisch (
s Drs Ch. Vallon et Wahl (de Paris). Sur la période terminale de la
paralysie
générale et sur la mort des paralytiques généra
thologiques de la rougeur émotive, par le Dr Hartenberg (de Paris).
Paralysie
générale progressive chez un sujet ayant présen
es tics, les décharges épileptiques et hysté- riques, ainsi que les
paralysies
. Si je rassemble des phénomènes aussi divers en
par une étude d'ensemble' sur les contractions pathologiques et les
paralysies
, à poser les lois suivantes : Première loi. Cha
Une même cause peut produire plusieurs variétés de secousses et de
paralysies
; Troisième tol. Les diverses variétés de secous
ralysies; Troisième tol. Les diverses variétés de secousses et de
paralysies
peuvent se transformer les unes dans les autres
de secousses et de 1 Cil. Binet-Sany-lé. Lois des secousses et des
paralysies
. Théorie des /«t'o-<7Mep ? )/c. ? (en prépar
<7Mep ? )/c. ? (en préparation). 212 PHYSIOLOGIE pathologique.
paralysies
peuvent se transformer les unes dans les autres
tumeur cérébrale, etc.) ; 4° Soit à une déchirure ou à une rupture (
paralysies
trau- matiques diverses). Dès qu'un conducteu
statées en correspondance avec les secousses pathologiques et les
paralysies
: z10 Aspect brillant du corps du neurone; 2° a
2° Ou bien les ondes nerveuses-ne passent plus, et il existe une
paralysie
qui peut aussi être en partie masquée par les s
trique est absolument imperméable, il n'y a pas de décharges, et la
paralysie
est complète. Cette théorie fait comprendre pou
is transitoire survenant sans cause évidente. ' A. FOULARD. XXIX.
Paralysie
de Landry; remarques sur la classification; par
.-L;. CLAHK. (Jour, of IICI-V. and ment. Diseuse, avril 1900.) La
paralysie
de Landry n'existe pas comme entité morbide. t11
, aucun des symptômes décrits par Landry n'est fondamental. 1° La
paralysie
flaccide commençant par les extrémités infé- i
fection. Il n'y a donc qu'un certain nombre de cas dans lesquels la
paralysie
ascendante de Landry soit réellement ascendante
cial. Il est donc évident qu'aucun des symptômes classiques de la
paralysie
de Landry ne saurait, à la lumière de nos connais
le corte et les racines nerveuses (Bailey et Ewing). Pour Meyer, la
paralysie
de Landry est un syndrôme auquel correspondent
ez les personnes mortes de ce que nous avons l'habi- tude d'appeler
paralysie
de Landry. Il n'y a, ici non plus, aucune unité
aladie est plutôt atténuée qu'établie par une telle affirmation. La
paralysie
de Landry rentre alors tout simplement dans la
ions pathologiques, le vague de l'étiologie, il est probable que la
paralysie
de Landry ne représente pas un processus auquel
igus. La mort survint au bout de douze jours, avec des symptômes de
paralysie
bulbaire. Les lésions constatées à l'autopsie c
urant qui à la suite d'une chute dans un escalier fut atteint d'une
paralysie
fiasque des quatre membres. Cette paralysie qui
ier fut atteint d'une paralysie fiasque des quatre membres. Cette
paralysie
qui fut suivie d'une atrophie rapide rétrocéda au
onservation des réflexes cutanés. Pas de troubles sensitifs, pas de
paralysie
des sphincters, aucune modi- lication de l'inte
d'une chute sur le dos. (Journal de Neurologie, 1900, n° 6.) XLI.
Paralysie
générale et Syphilis; par MM. Sérieux et F.\RNA-
ntes : la syphilis est de beaucoup la cause la plus fréquente de la
paralysie
générale ; on la trouve certaine ou probable da
L'hérédité paraît être le terrain nécessaire au développement de la
paralysie
générale. La période qui s'écoule entre l'infecti
érale. La période qui s'écoule entre l'infection syphilitique et la
paralysie
générale confirmée est en moyenne de quatorze à
onner naissance chez des prédisposés à la méningo-encé- phalite. La
paralysie
générale ne mérite donc plus les dénomina- tion
son vivant, les signes d'une ophtalmoplégie nucléaire progressive :
paralysie
du moteur oculaire commun gauche et parésie du
sie du même nerf du côté droit ; névrite optique surtout à droite ;
paralysie
du facial inférieur droit; dysarthrie par parés
l'hémiplégie droite, facial inférieur droit compris et enfin de la
paralysie
de la langue. A. FENAYROU. XLIII. La congestion
morbide, en créant les monomanies, bientôt la détermina- tion de la
paralysie
générale et l'appréciation plus exacte des dif-
, More]) doit être , SECTION DE PSYCHIATRIE. 21b distinguée de la
paralysie
générale progressive et de la démence épileptiq
térograde, comme dans les cas de psychoses polynévritiques; 9° La
paralysie
générale progressive juvénile se distance de'la
; 9° La paralysie générale progressive juvénile se distance de'la
paralysie
générale progressive de l'adulte par l'absence d'
s des malades sont plus ou moins accentuées. La vraie cause de la
paralysie
progressive. M. le professeur WLADLI1lR Tscmscl
I1lR Tscmscll (Faculté de Dorpat). 1° La vraie et seule cause de la
paralysie
générale progressive, c'est la syphilis non tra
ent traiter longtemps et soigneusement n'ont pas été atteints de la
paralysie
générale; 3° L'hérédité pathologique et la dégé
ue et la dégénérescence ne jouent aucun rôle dans l'étiologie de la
paralysie
générale; 4° Les personnes qui ont de visibles
hysiques et psychi- ques, ne sont atteintes que très rarement de la
paralysie
progres- sive ou de la syphilis cérébrale. ,
rédisposition héréditaire joue un grand rôle dans l'étiologie de la
paralysie
générale. M. GREIDENllEIIG. - La syphilis ne pe
G. - La syphilis ne peut être considérée comme la seule cause de la
paralysie
générale. - M. LALANNE. - A la maison de santé
t syphilitiques. Sur l'origine onirique de certains délires dans la
paralysie
générale. MM. Régis et LALANNE. - Le délire o
ysie générale. MM. Régis et LALANNE. - Le délire onirique dans la
paralysie
générale, tel qu'il résulte au moins de nos que
nt lié à la per- sonnalité du sujet. Fractures spontanées dans la
paralysie
générale. M. LALANNE. De même que dans le tabes
période préparalytique comme première et unique manifestation de la
paralysie
générale. L'auteur rapporte quatre cas à l'appu
traitement des phobies inhibitoires. Sur la période terminale de la
paralysie
générale et sur la mort des paralytiques généra
ntent pas ces phénomènes spasmodiques. La période terminale de la
paralysie
générale présente donc deux variétés cliniques :
celui des malades qui ont succombé à une affection étran- gère à la
paralysie
générale. Le troisième renferme les malades emp
ctrine classique, l'ictus cérébral n'est pas une complication de la
paralysie
générale, mais bien un symptôme intrinsèque; il e
e rencontrent d'ailleurs associées la neurasthénie et l'hystérie.
Paralysie
générale progressive chez un sujet ayant présenté
ité : anesthésies, hype ? 'esthésies; - les troubles delamotilité :
paralysies
, contractures et spasmes en les considérant sui
lpian nous apprenaient à distinguer cette sclérose en plaques de la
paralysie
agitante, de la maladie de Par- kinson, jusque-
urs de cette même période, une origine analogue fut recon- nue à la
paralysie
infantile. Déjà précédemment, Heine et Duchenne
t Vulpian, de Clarke, de Charcot et Joffroy, il fut démontré que la
paralysie
spinale infantile avait pour substra- tum une a
de voir à l'inter- prétation des tremblements, des convulsions, des
paralysies
. De ce dernier point de vue, je ne dirai rien;
lamptiques ; IL Epileptiques ; 111. Syphilitiques (et aussi de la
paralysie
générale infantile); IV. Cas paralytiques. 1.
lancher du crâne. La syphilis est, d'ailleurs, une cause commune de
paralysie
générale infantile. Depuis que le D1' Clouslo
, un cas de l'affection chez un garçon de seize ans, sous le nom de
Paralysie
générale de développement, 100 observations env
l'examen post mortem, les lésions macroscopiques ordinaires de la
paralysie
générale furent relevées. Dans tous ces cas, l'at
isseaux (Archives de Neurologie). IV. Dans les cas paralytiques, la
paralysie
peut survenir avant ou après la naissance, mais
s premiers cas du groupe iraunzalique qui s'offrent à nous sont des
paralysies
de la naissance, dues aune pression sur la tête à
des infirmités physiques. Les statistiques semblent montrer que les
paralysies
de la naissance sont plutôt dues à la négligeec
gique de l'idiotie. M. TOULOUSE a soulevé ensuite la question de la
Paralysie
géné- mie infantile et discuté avec M. Régis la
o-syphilis. Ces cas forment avec l'idiotie ordinaire d'une part, la
paralysie
générale infantile et juvénile une série d'inte
des résultats thérapeutiques, en dehors de la mélancolie' ? Dans la
paralysie
générale et la démence précoce, l'auteur a obte
iques de l'aphasie motrice ordi- naire, avec ou sans agraphie, avec
paralysies
, monoplégies ou hémiplégies, accès épileptiform
compagnée de mouvements ctllvéto.i- formes et ({taxi/ormes et d'une
paralysie
des mouvements associés des yeux ; néoplasie tu
isait l'association d'une hémiplégie sensitivo-motrice gauche à une
paralysie
oculaire, le tout survenu sans ictus, et accompa-
it incertaine, par moment titubante. Enfin le malade présentait une
paralysie
des mouvements associés de latéralité des deux
ablement à l'in- terruption de ces dernières fibres qu'était due la
paralysie
des mouvements associés de latéralité vers la d
léaire, au voisinage des tubercules qua- drijumeaux postérieurs des
paralysies
associées des mouvements de latéralité des glob
iées des mouvements de latéralité des globes oculaires. Un cas de
paralysie
bulbaire aslhénique suivi d'autopsie; par . J.
en- tait les symptômes suivants : une ophtalmoplégie externe, une
paralysie
des muscles innervés parle facial (supérieur et i
ysie des muscles innervés parle facial (supérieur et inférieur) une
paralysie
presque complète de la langue ; une parésie des
orrespond au syndrome décrit par Erb et connu encore sous le nom de
paralysie
bulbaire asthénique. A l'autopsie il n'existait
ance et peut être rapprochée de celle qu'on observe dans les cas de
paralysie
pseudo-bulbaire. Cette observation ne saurait c
ttre de conclure d'une façon définitive à la nature organique de la
paralysie
bul- baire asthénique qui est peut être moins u
Dans les myopathies, c'est le type d'extension qui domine ; dans la
paralysie
agitante c'est au contraire le type de flexion.
rouve cette thèse par l'analyse des faits pathologiques tels que la
paralysie
tactile, l'aphasie sensorielle, etc. Ces vues son
n'ont pas été constatés, et d'autre part, on peut observer dans la
paralysie
générale des manifestations catatoniques. . Ça
De sérieuses difficultés se rencontrent pour le diagnostic avec la
paralysie
générale. Les cas qui surviennent entre quarante-
sans période prodromique parlent en faveur de la mélan- colie ; la
paralysie
générale sera admise s'il existe des signes d'af-
même procédé que nous employons dans le trai- tement de différentes
paralysies
. Sans nous arrêter plus longtemps sur l'histori
ie. Quel est le processus de l'action du massage méthodique dans la
paralysie
? On , croit, et c'est l'opinion d'une majeure
QUE DES HÉMIPLÉGIQUES. 367 Î des mouvements des membres atteints de
paralysie
. La gym- nastique rationnelle est produite par
it encore d'autres phénomènes bulbaires, comme le nasil- lement, la
paralysie
du côté droit du palais, la difficulté de la pa
comme un agent peu utile, lorsqu'on masse les régions atteintes de
paralysie
. En résumé, nous croyons le traitement masso-mé
femmes) atteints de maladies mentales proprement dites (psychoses,
paralysie
générale, psychoses épi- leptiques ou hystériqn
dit bouton de Munich'. MI : Grashey raconte avoir observé un cas de
paralysie
radiale chez un malade camisolé dont on avait i
à sang froid. Chez le chien elles sont ordinairement suivies de la
paralysie
défi- nitive du coeur, sauf quelquefois chez le
ulaire chez l'homme il existe un paral- lélisme complet. Dans les
paralysies
simples 'sans troubles trophiques ou avec atrop
sain et en rapport avec le degré de l'impuissance motrice. Dans la
paralysie
simple et la paralysie atrophique la variation
c le degré de l'impuissance motrice. Dans la paralysie simple et la
paralysie
atrophique la variation négative s'établit rapi
action se manifeste très évidemment avec ses deux phases. Dans la
paralysie
compliquée d'atrophie musculaire avec affai- bl
du muscle par un processus de dégénérescence. Dans certains cas de
paralysie
atrophique dégénérative la seconde phase du coura
e cette affec- t'ou de l'hémiplégie spasmodique infantile, et de la
paralysie
spasmodique familiale, mais cela permet aussi d
pasmodique familiale, mais cela permet aussi de la distinguer de la
paralysie
infantile où la reaction de dégénérescence existe
le. S. Leduc a communiqué un procédé de Traitement électrique des
paralysies
périphériques. Il emploie le courant galvanique s
ésolutive marquée qui s'exerce sur la névrite chronique cause de la
paralysie
. Elle produit l'état cathéleclrotonique qui augme
hie musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~nerf médian; une
paralysie
du nerf cubital à la suite d'une fractm de l'hu
ensuite rapidement l'atrophie musculaire. Le troisième cas est une
paralysie
réflexe des muscles court fléchisseur, opposant
omment comprendre que les lésions, dans un cas, n'engendrent pas de
paralysie
, alors qu'elles en pro- duisent dans l'autre, c
er paraissant calqué sur le premier. Eh bien ! il m'a semblé que la
paralysie
qui survenait dans ces cas, avait besoin, pour
rpérale, etc.) ; SECTION DE psychiatrie. 429 M. TOULOUSE. Dans la
paralysie
générale on observe des lésions cellulaires sem
du professeur MURET.) Recherches sur le réflexe plantaire dans la
paralysie
générale ; AI;DIN-DGLTL : II,, et T Il. IlOU'I)
aines maladies du système nerveux central et en particulier pour la
paralysie
générale. Frappés, non seulement par la pénurie
vons eu l'idée d'étudier plus particulièrement les réflexes dans la
paralysie
générale, en limitant nos recherches à l'étude
abouti les différents auteurs. Sepilli' croit remarquer que dans la
paralysie
générale, le fait le plus fréquent est la perma
différent dans la moelle. 11 divise ainsi en trois types les cas de
paralysie
générale qui peuvent'se présenter. Premier ty
sie on trouve une lésion des cordons postérieurs ; Deuxième type.
Paralysie
avec sclérose latérale de la moelle : les réfle
e tli mcd,legale), fasc. 3 (1882) et 1 (1883). 2 Beatley. General
paralysies
of the insane. li. G5, avril 18Sj). RÉFLEXE PLA
ysies of the insane. li. G5, avril 18Sj). RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 451 culier sur le réflexe plantaire d
LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 451 culier sur le réflexe plantaire dans la
paralysie
générale. Dans sa thèse inaugurale, Bettencourt
outit à des conclusions toutes différentes. Il admet que, dans la
paralysie
générale, les réflexes tendineux sont exagérés da
plantaire. Ces. Aâostini 3 dit que dans la première période de la
paralysie
générale, il y a défaut ou diminution des réflexe
tenc : ourt-liodrigues. Contribution à l'élude des réflexes dans la
paralysie
générale des aliénés. Thèse de Paris, 1880. y I
iénés. Thèse de Paris, 1880. y Itenaiul. Elude des réflexes dans la
paralysie
générale el recherches statistiques sur l'étiol
es jus- qu'alors, Cestan rappelle que Babinski a publié un cas de
paralysie
générale avec suppression des réflexes tendineux
exes tendineux et phénomène des .orteils. Et Cestan dit : « Dans la
paralysie
générale et surtout dans la forme clinique dési
générale et surtout dans la forme clinique désignée sous le nom de
paralysie
générale associée au tubes d'origine syphi- lit
n doive s'attacher à rechercher l'état du réflexe plantaire dans la
paralysie
générale, mais qu'il soit encore indispensable
res du réflexe cutané plantaire sous ses différentes formes dans la
paralysie
générale, nous décrirons en quelques mots ce qu
certains 1 Gazette des hôpitaux, 1900. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. li53 cas pathologiques, l'excitation
ches ont porté sur trente-cinq malades présentant le syndrome de la
paralysie
générale. Nous aurions pu avoir une base statis
réflexe rotulien ou du réflexe plantaire. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 459 A. En ce qui concerne l'état du r
59 A. En ce qui concerne l'état du réflexe plantaire : 1° Dans la
paralysie
générale, le réflexe plantaire serait plus souv
de ces réflexes et la période évolutive il laquelle est parvenue la
paralysie
générale, d'une part, et la nature de celle mal
n rapport entre le réflexe plantaire et le réflexe rotulien dans la
paralysie
générale vraie. b). Au contraire, dans quelques
la paralysie générale vraie. b). Au contraire, dans quelques cas de
paralysie
généra- lisée syphilitique (pseudo-paralysie gé
at des réflexes soit rotulien, soit plantaire, et la nature de la
paralysie
générale observée. Ceci pour la paralysie général
taire, et la nature de la paralysie générale observée. Ceci pour la
paralysie
générale vraie. 4° Au contraire, dans la plup
lysie générale vraie. 4° Au contraire, dans la plupart des cas de
paralysie
géné- ralisée syphilitique, nous avons observé
ystème pyramidal, mais tout à fait indépendant, croyons-nous, de sa
paralysie
géné- rale. Si, comme le veut Babinski, le ph
pui de l'opinion qui trace une ligne de séparation absolue entre la
paralysie
générale vraie et la prétendue paralysie généra
éparation absolue entre la paralysie générale vraie et la prétendue
paralysie
générale syphilitique. Nos constatations tenden
Nos constatations tendent, en effet, à prouver que, dans les cas de
paralysie
généralisée syphilitique, il existerait un trou
n 1898 dans les Archives médicales d'Angers. (Du tremblement à la
paralysie
, 1898-1899-1900.) Charles IW rr-S.wcu : . ENS
X, p. 193 et 371. 474 ENSEIGNEMENT. (signe de \Veslphal), sur la
paralysie
générale, l'agoraphobie, l'inversion sexuelle.
Vallon et WAUL (Paris). 11 résulte de l'étude de nom- breux cas de
paralysie
générale que l'on trouve fréquemment dans les f
rès laquelle la lésion transversale supra-lombaire est suivie d'une
paralysie
qui demeure station- naire, accompagnée par l'a
M. Bruns rapporte les cas de compression médullaire accompagnés de
paralysie
et d'anesthésie et dans lesquels le moindre attou
survenus à deux jours d'intervalle (1895). Pas d'hémiplégie, pas de
paralysie
faciale, pas de paralysie de la langue. Parole
tervalle (1895). Pas d'hémiplégie, pas de paralysie faciale, pas de
paralysie
de la langue. Parole spontanée : vocabulaire ré
ses de l'écorce du cerveau révélées par la méthode de Golgi dans la
paralysie
générale ; par A. Agapôff. (Neurologie Centrufb
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 519 XXXIII. Lésion anatomique dans un cas de
paralysie
uni-latérale de l'oculomoteur commun au cours d
as de paralysie uni-latérale de l'oculomoteur commun au cours de la
paralysie
générale ; par 0. JULIUSBERGER et L. KAPLAN. (N
Il s'agitd'une femme morte à l'Age de cinquante-un ans, atteinte de
paralysie
générale à l'âge de quarante ans (son mari avait
la syphi- lis), elle était en outre depuis cinq ans affectée d'une
paralysie
de l'oculomoteur commun du côté droit (mydriase
e maîtresse de~sa paupière. On trouva, l'autopsie les lésions de la
paralysie
générale et une atrophie microscopique de l'ocu
, une lésion primaire des cellules, exactement comme dans le cas de
paralysie
progressive multilo- culaires des muscles des y
cles des yeux. Il est intéressant de rapprocher la continuité de la
paralysie
unilatérale qui nous occupe (cinq ans de durée)
signes de compression médullaire localisée aux points intéressés.
Paralysie
du grand dentelé. - M. Souquer présente une malad
chés et portés en arrière et en haut. L'examen électrique dénote la
paralysie
du grand dentelé et du trapèze scapulaire, la b
ort ayant lésé les nerfs correspondant à ces groupes musculaires.
Paralysie
infantile avec scoliose tardive. M. Marie présent
M. Marie présente un malade, qui ayant subi à l'âge de cinq ans une
paralysie
infantile du membre inférieur droit, a recommen
graphies relatives à d'autres cas iden- tiques dont l'un montre une
paralysie
infantile à trois ans amé- liorée avec scoliose
s après guérison de la fièvre typhoïde. Réflexe plantaire dans la
paralysie
générale. MM. A. DELTEIL et Bouvière (de Montpe
ste pas de rapport entre les réflexes plantaire et rotulien dans la
paralysie
générale vraie. Il y 52 : 2 sociétés savantes.
e et intitulée : ' Recherches sur le phénomène des' orteils dans la
paralysie
générale. Ce réflexe serait souvent le seul ind
serait souvent le seul indice de lésions pyramidales au cours de la
paralysie
générale. Zona thoracique en bande horizontale.
ri des suggestions pendant le sommeil naturel; elle lui suggère des
paralysies
psychiques, des antipathies, des répulsions ; e
nose. Appareil pour produire Il-, par Lemesle, 522. Hypnotisme et
paralysies
psychiques motrices, par Bérillon, 68. -chez
erveuses rie 1'01- corce dansia, par Agapoff, 514. - Lésion de la
paralysie
de l'oculomoteur commun dans la - , par Kapla
519. Réflexe plantaire daus la -, par Delteil et Bouvière, 52t.
Paralysie
du mouvement associé de l'abaissement des yeux,
ions non - des cordons postérieurs, par Bruce, 509. Tabès, avec
paralysie
bulbaire, par Bloch, 155. Question du syphi-
re. T. XXVI. Pl. II FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 6.
Paralysie
supra-bulbaire. - 9. Diplégie cérébrale ; rires e
lus souvent, de diplégies spasmodiques, sous des aspects variés. La
paralysie
et la contracture, en règle générale, prédomine
ominent dans les membres inférieurs, mais les cas de contracture et
paralysie
généralisées dans lesquels le syndrome de Liltl
re avec évidence, ne sont pas rares (PI. 1 il V). L'intensité de la
paralysie
et de la contracture est extrêmement variable c
pas. Au contraire de ceux- là, il existe d'autres malades chez qui
paralysie
el contracture atteignent le degré le plus élev
uents. Quelquefois, chez des malades pré- sentant des phénomènes de
paralysie
et de contracture minimes, les mou- vements ano
brale sont, presque toujours, accompagnés de signes cliniques de la
paralysie
pseudo-bulbaire. Celle-ci se présente, quelquef
langue, etc. Quelques cas curieux sont à signaler, dans lesquels la
paralysie
supra- bulbaire constitue un élément prédominan
teté et lui semblent « couverts de brouillard ». Il n'existe pas de
paralysies
de la musculature ex- terne des yeux, tous les
'écartent bien, mais avec une « légère hésitation » ; il n'y a pas de
paralysie
ni d'atrophie. La voix n'est ni.enrouée ni bito
es nombreuses et profondes, consislance moindre de celte moitié. La
paralysie
, correspondant à l'atrophie, répond bien au typ
st pas isolée. Les symptômes les plus fréquemment associés sont les
paralysies
du voile du palais, du larynx, du trapèze et du
ato-laryngée), syndrome de Schmidt (hémiplégie palato-laryngée avec
paralysie
homo- nyme du sterno-cléido-mastoïdien et du tr
, 16 novembre 19t2 un cas complexe de syndrome de Jackson, qui, aux
paralysies
non moins glosso-palato-laryn- gée, sterno-cléi
so-palato-laryn- gée, sterno-cléido-mastoïdien et trapèze, unit une
paralysie
faciale et des troubles sym- palhiques du même
pation de ganglions sous-maxillaires. hémiatrophie linguale 35 La
paralysie
faciale est assez rarement associée à l'hémiatrop
t assez éloignés. Huet et Lejonne ont ce- pendant signalé un cas de
paralysie
faciale et d'hémiatrophie linguale ho- monymes
natomiquement expliquer. Pour produire une atrophie linguale et une
paralysie
faciale alterne, il faudrait deux lésions bulba
e lésion bulbo-protubérantielle droite, susceptible de provoquer la
paralysie
faciale droite, ne s'accompagnerait, au cas où
alterne et non comme ici d'une hémiparésie du même côté. Par contre
paralysie
faciale et hémiparésie des membres ho- monymes
n : bulbaire pour r hémiatrophie linguale gauche, cérébrale pour la
paralysie
faciale et l'hémiparésie droites. B. - 8ans dis
boissons alcooli- ques. Le malade se plaint principalement de la
paralysie
des membres inférieurs et de douleurs continues
: douleurs persistantes à l'endroit indiqué, surtout au côté droit,
paralysie
complète des membres inférieurs, suppression de
à l'endroit comprimé. 27. 4 heures de l'après-midi, le même jour.
Paralysie
spasmodique ; mouvements involontaires; réflexes
; tem- pérature 38°, pouls 140. Etat général satisfaisant. 28. -
Paralysie
spasmodique ; le genou gauche replié, commence à
nd de 3-4 doigts en travers. 4 avril. Pulsations du coeur égales.
Paralysie
spasmodique. Réflexes très vifs ; première appa
t des symptômes de lésion transversale de la moelle, marqués par la
paralysie
complète spasmodique des extrémités inférieures e
eau clinique après le traitement, en dehors de la persistance de la
paralysie
à caractères spasmodiques, considérée comme sym
s et des jambes. Clonus du pied ; phénomène bilatéral de Babinski ;
paralysie
des pieds et des orteils ; parésie des mouvemen
t du mouvement dans les articulations des hanches et des genoux, la
paralysie
des mouvements pour les pieds et les orteils (d
inférieures mais avec une certaine limitation et un faible degré de
paralysie
; réflexes ab- dominaux (supérieurs seuls) faib
ans celle des vertèbres lombaires. Accroissement des symp- tômes de
paralysie
. L'ensemble des symptômes indiqués formant prog
atteinte. 5-21 septembre. -'Le malade marche seul sans symptômes de
paralysie
ou caractère spastique ; on n'aperçoit l'augmen
extrémi- tés inférieures dans l'état de tonicité spastique extrême,
paralysie
presque complète; soulèvement des extrémités, i
ments morphologiques ; écoulement du liquide à tension très minime;
paralysie
des extrémités inférieures. Ainsi donc une femm
-latéral, était aplatie. xxvi t 50 ROTSTADT 27, 5 h. du soir.
Paralysie
flasque des extrémités inférieures ; réflexes t
de l'état présent ; faible réflexe plantaire bilatéral. 28-29. -
Paralysie
flasque ; réflexes patellaires et achilléens très
hilléens très faibles ; température 38c. 30. - Continuation de la
paralysie
des extrémités inférieures; escarre ex- térieur
les pieds et les genoux ; rétention d'urine ; constipation. 31. -
Paralysie
flasque ; manque de réflexes patellaires ; réflex
escarres. Liquide céphalo-rachidien jaunâtre, stérile, transparent.
Paralysie
flasque. 23. Etat général empirant avec manque
contraire en une zone éloignée de l'endroit le plus com- primé. La
paralysie
flasque des extrémités inférieures, immédiatement
considérée comme un signe défavorable; nous savons cependant que la
paralysie
flasque peut avoir un caractère passager. Toute
lysie flasque peut avoir un caractère passager. Toutefois, comme la
paralysie
flasque continuait, comme les escarres devenaie
acilement supprimée). Ainsi donc l'issue défavorable du traitement (
paralysie
flasque, escarres, constipation grave rebelle, su
emme de 40 ans. Le cours inégal, l'origine et l'accroissement de la
paralysie
du membre inférieur droit et beaucoup plus tard c
uer du reste que l'observation I, témoignant du développement de la
paralysie
des extrémités inférieures dans le sens ascendant
comme cela a justement eu lieu dans notre observation II. Malgré la
paralysie
récidivée des extrémités infé- rieures,l'amélio
e de flanc dans l'hémiplégie organique. Bien au contraire, c'est la
paralysie
du tibial antérieur et du postérieur (rele- veu
uction, dont les dimensions se réduisent. D'autre côté c'est à la
paralysie
des péroniers, antérieur et postérieur, à celle
DE DE PRAGUE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU SYSTÈME NERVEUX . DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE PAR LAD. HASKOVEC et J. BASTA. (de
avons eu l'occasion d'examiner le système nerveux dans deux cas de
paralysie
agitante typique et avancée. Dans le premier ca
née. Dans l'autre il s'agissait d'un malade.de 62 ans atteint d'une
paralysie
agitante très prononcée accompagnée d'une raide
e postérieure (grossissement plus fort). DU SYSTÈME NERVEUX BANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 129 oblique, sont épaissies et forment
(Immersion ; a et b niveaux différents). DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 13 L tort cellules de Schwann, et ress
. 11. Même coupe. Cellules névralgiques. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 133 ture anatomique des nerfs périphér
eau intra-médullaire des nerfs périphériques dans le premier cas de
paralysie
agitante avec le réseau névroglique dans la sub
haltigen peripheren Ner- ven mil besonderer Bereichsichlig2411g der
Paralysies
agilans (Neurolog. Centralblatt, 1912, n° 22).
u dist. quelques minutes, alcool, xylol. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 135 sous le nom de cell ules araclllwï
bryonnaire avec celui des animaux adultes. Fig. 14 - Premier cas de
paralysie
agitante. Ecorce cérébrale. Mêmes méthodes. Cel
Mêmes méthodes. Cellules névrogliques. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 137 Nous avons eu l'occasion, de même,
oetus, se compose de cellules et d'une subs- Fie. 15. Second cas de
paralysie
agitante. Cervelet. Même méthode. . Cellules né
ique d'un nouveau-né et la rigidité de ce même tissu dans un cas de
paralysie
agitante. Nous sommes d'accord avec les auteurs
roglique' avec jeunes cellules rondes. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 139 la figure 29, excepté les fibres r
apparaît très clairement dans la figure 20. FIO, 19. Premier cas de
paralysie
agitante. Ecorce cérébrale. Stratum zonale. Eis
le. Stratum zonale. Eisath-Alzheim er. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 141 . La figure 2 représente les coupe
ion particulière dans notre premier cas. , Fig. 20. Second cas de
paralysie
agitante. Flemming. Cellules radiculaires. Imme
ch der Neurologie von Levandowsky, 1912). ' FIG. 21. Premier cas de
paralysie
agitante. Lobe frontal et précentral (Formol. C
« et 6 à divers niveaux. Fic. 22. La cellule « z3 du premier cas de
paralysie
agitante (LÜelschowsyy), ' » la cellule du seco
(Cajal). a et à à un différent niveau. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA.
PARALYSIE
AGITANTE 143 De même nous n'avons pu trouver de
e, selon Spielmeyer (2), un rôle important dans la pathogénie de la
paralysie
agitante. Il décrit une forme particulière des
ans la substance blanche du système nerveux central dans six cas de
paralysie
agitante. s'agit de cellules assez volumineuses
e ces altérations de la névroglie soient patho- gnomoniques pour la
paralysie
agitante. Il insiste sur le fait qu'on les trou
es processus morbides. IV Dans les vaisseaux dans nos deux cas de
paralysie
agitante, nous avons trouvé des signes d'une lé
cas, quelques tubercules dissé- minés. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE 145 Quant aux vaisseaux dans la paraly
NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 145 Quant aux vaisseaux dans la
paralysie
agitante, plusieurs auteurs insis- teut de même
ério-sclérose en tant que l'acteur important dans l'étiologie de la
paralysie
agitante. La dégénérescence hyaline des capil-
e dans les nerfs périphé- riques, surtout dans notre premier cas de
paralysie
agitante. Dans les éléments cellulaires du tiss
ues el dans la substance blanche du système nerveux central dans la
paralysie
agitante au point de vue pathogénique, surtout
aux glandes endocrines un rôle quelconque dans la pathogénie de la
paralysie
agitante, on pourrait soutenir que l'altération
i donne, quoiqu'il lui soit difficile de le démontrer à cause de la
paralysie
des membres, du cou, de la déglutition et l'imp
le amblyopique et présente une parésie du VIl" à droite, liée à une
paralysie
des quatre membres, des muscles du cou, de la dé-
partie du cerveau et éventuellement qu'il s'agissait d'une forme de
paralysie
pseudo-bulbaire des enfants. Cela est dû ou à d
ance. De même dans celle forme spéciale il existe une diplégie avec
paralysie
, ou parésie des lèvres, de la langue, du palais
part, s'il existe dès le principe dysarthrie, anarthrie, dysphagie,
paralysie
des muscles de la mastication, de la VII paire,
plégie, parésie, ou pa- ralysie du palais et du larynx, aphonie, la
paralysie
du corps est unilaté- rale et il peut aussi y a
s est unilaté- rale et il peut aussi y avoir des formes alternes de
paralysie
. Il existe en outre de fréquents (roubles de la
este du tableau cli- nique de mon cas se détache complètement de la
paralysie
bulbaire aiguë des enfants. C'est d'autant plus
lbe. D'autre part, la poliencéphalomyélite est caractérisée par une
paralysie
essentiellement amyotrophique, fait qui ne se t
la Ve paire, bourdonnements dans les oreilles) ; la parésie, ou la
paralysie
des extrémités, est fréquemment unilatérale d'a
équemment unilatérale d'abord, pour devenir ensuite bilatérale, les
paralysies
peu- vent aussi être alternes. Dans mon observa
ettre chez mon malade, sont des faitsexcep- tionnellement rares. La
paralysie
spinale aiguë ascendante (forme de Lan- dry), q
te conception, aussi bien pour un processus névritique que pour une
paralysie
de Landry. L'existence d'une forme de myasthéni
ut au plus entrer en discussion au début chez mon malade. Sur cette
paralysie
bulbaire spéciale l'attention pouvait se porter,
s. Dans ces derniers cas toutefois, on n'atteint jamais la complète
paralysie
de tous les membres, comme on l'a constaté chez
au plus, suspecter qu'il s'agit d'un indi- vidu, lequel, atteint de
paralysie
bulbaire, a été atteint d'infection mala- rienn
Xe paires, donnait l'explica- tion, non seulement du mutisme, de la
paralysie
de la langue, du facial droit, des membres ajou
a aucune connaissance de. l'existence, dans sa famille, d'un cas de
paralysie
ou d'atrophie musculaire, ou d'une difformité que
ravail dans la lit- térature médicale. , UNIVERSITE DE BUCAREST
PARALYSIE
PUERPÉRALE DU NERF SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE, D
de suite une application de forceps. L'enfant est extrait mort :
PARALYSIE
PUERPÉRALE DU NERF SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE 231
ces renseignements bibliographiques. FACULTÉ DE MÉDECINE DE LYON
PARALYSIE
ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR PROPRE DU POUCE PAR
de Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. XXXVII
PARALYSIE
ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR PROPRE DU POUCE , (Chi
eralld). Masson & Cie, Éditeurs. PhototH)I Beiiliaud - Pans
PARALYSIE
ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 235 refusa ;
ement passager en résulta, sans fracture ni luxation ni raideurs ni
paralysie
ou parésie consécutives. Il y a trois ans il qu
rictionner le pouce, appliquer des pommades, tout fut inutile et la
paralysie
persista telle quelle, les jours suivants. Exam
omplète du muscle, deux mois et demi seulement après le début de la
paralysie
; on aurait pu s'attendre à trouver encore soil u
ment être accepté. Considérations cliniques. Ce malade présente une
paralysie
du mou- vement d'extension du pouce ; l'adducti
ainsi que la flexion (1) La réaction longitudinale n'existe pas.
PARALYSIE
ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 237 et que le
, s'il ne clôt pas d'emblée toute discussion sur la nature de cette
paralysie
, apporte, on va le voir, au débat, des éléments
u pouce gauche est le seul paralysé. C'est donc, non seulement, une
paralysie
isolée, du pouce, mais encore une paralysie dis
onc, non seulement, une paralysie isolée, du pouce, mais encore une
paralysie
dissociée, élective car elle a respecté tous les
e certitude, nous pouvons rechercher la nature et le siège de cette
paralysie
. Il ne s'agit sûrement pas d'une paralysie hyst
ure et le siège de cette paralysie. Il ne s'agit sûrement pas d'une
paralysie
hystérique. L'absence de tout stigmate et les r
ue en font foi. Nous ne som- mes certainement pas en présence d'une
paralysie
organique Ce n'est pas non plus, une paralysie
as en présence d'une paralysie organique Ce n'est pas non plus, une
paralysie
d'origine cérébrale corticale. Le tableau cliniqu
e d'origine cérébrale corticale. Le tableau clinique qu'a tracé des
paralysies
corticales du pouce Lemonon dans sa thèse (1),
les considérer comme normales (2). Enfin on peut affirmer que celte
paralysie
n'est pas due à une section nerveuse, le malade
et de la puissance de la contraction qu'elle peul paraître (1) Les
paralysies
corticales du pouce, Thèse de LEMONON, Lyon, 1907
forme à coup sûr bien étrange. Devons-nous plutôt considérer celte
paralysie
comme le résultat d'une névrite ? Il est vrai,
doute alors re- levé une DR. Une fois la dégénérescence complète la
paralysie
serait ap- parue d'une manière apoplectiforme e
iologie. Très difficile aussi à élucider est l'é- tiologie de cette
paralysie
: aucun traumatisme, aucune section nerveuse. O
thologie de Brouardel, Gilbbrt et TuoINoT ! par MARiNEsco, p. 20.
PARALYSIE
ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 239 pas par l
ous les jours plusieurs heures par jour et pendant 27 ans. Que la
paralysie
n'ait frappé qu'un seul muscle de l'économie, cel
des hôpitaux, le 4 mars 1913. 240 CLUZET ET NOVÉ-JOSSERAND de la
paralysie
ne fut qu'une circonstance occasionnelle ; le ter
en- nes déjà anciennes, d'OEttinger (1) et de l3oisvert (2) sur les
paralysies
alcooliques ne contiennent aucune observation s
on se rapprochant de la nôtre par une électivité aussi grande de la
paralysie
. A défaut de faits semblables, nos recherches,
ésence de cas analogues. Ho/jmann (3) a publié une observa- tion de
paralysie
alrophique isolée du nerf musculo-cutané, très ex
ée, fait sans précédent n. Souques et Castaigne (4) on[ observé une
paralysie
isolée du muscle grand denlelé. Ils signalent q
t dans le nôtre plus absolue. « Il est possible, disent-ils, que la
paralysie
du muscle soit incomplète, mais les excitations
surmenage est hors de doute » ; et à ce sujet ils rappellent que la
paralysie
des tambours, d'après les travaux de Bruns et Zen
à leur excès de fonctionnement. Au surplus, parmi les cas connus de
paralysie
isolée da grand denlelé, la grande majorité n'a
ières qui l'auraient entourée, expliquerait-elle, (1) Elude sur les
paralysies
alcooliques à type de névrites multiples. Thèse d
TINGEII, Paris, 1885. (2) Etude clinique des formes atténuées de la
paralysie
alcoolique : paralysie d'un seul nerf. Thèse de
(2) Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique :
paralysie
d'un seul nerf. Thèse de BOISVFRT, Paris, 1888.
lée du muscle grand dentelé, Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1899.
PARALYSIE
ISOLEE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 241 au fond,
899. PARALYSIE ISOLEE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 241 au fond, ces
paralysies
à étiologie si imprécise et attribuées, bien à re
nt le peu de consis- tance d'une telle supposition ; tels aussi ces
paralysies
du pouce des jeunes tambours. Au moins, notre
bsolument surdesba- ses scientifiques l'étiologie alcoolique de ces
paralysies
si localisées, d'al- lure si curieuse, aura du
t par des études dirigées dans ce sens à creuser l'étiologie de ces
paralysies
localisées à l'extrême et dites « de surmenage»
surmenage». En terminant, insistons sur le pronostic sévère de la
paralysie
que nous avons observée ; la fonction parait de
ablir jamais ; le traite- ment électrique est resté sans effet ; la
paralysie
, aussi complète qu'au premier jour, semble défi
de voir. On a encore noté l'association de la sclérodermie avec la
paralysie
agi- tante [Panegrossi (10), Palmieri (11), Fra
nce de pétrole et présentant en outre des phénomènes né- vritiques (
paralysies
, douleurs). Ballet et Bauer (10) ont présenté à
vitiligo chez un malade pré- sentant le signe d'Argyll,du myoss,une
paralysie
de la corde vocale gau- che, mais sans troubles
cher ma fille. Parole répétée. - Constitutionnel - constitusonel.
Paralysie
-(exact). Perplexité - perplexiqueté. Mirobol
gauche (avec écoulement de pus assez abondant) qui fut suivie d'une
paralysie
faciale. L'accouchement fut normal. Quinze jours
rmal. Quinze jours plus tard, elle res- sentit, du même côté que la
paralysie
faciale, une céphalée extrêmement vio- lente. O
nt plusieurs secondes. Le réflexe olécranien est très exagéré. La
paralysie
et la contracture sont beaucoup moins marquées au
Bernheim. 342 DEJERINE ET AN DRÉ-THOMAS A la face on constate une
paralysie
faciale gauche totale (facial supérieur et faci
loyé, à cause de la répugnance qu'éprouve la malade à s'y regarder (
paralysie
faciale gauche) ; on y a suppléé par le toucher,
cinq ans et demi. La malade prononce difficilement à cause de sa
paralysie
faciale gauche, extrêmement accentuée et du man
'est pas émotive. La mimique est conservée, autant toutefois que la
paralysie
faciale gauche le permet. Paralysie faciale g
rvée, autant toutefois que la paralysie faciale gauche le permet.
Paralysie
faciale gauche extrêmement prononcée ; impossibil
ment des traits du côté gauche; bout du nez rejeté à droite. Pas de
paralysies
oculaires. La langue et le voile du palais ne s
la malade était atteinte simul- tanément d'hémiplégie droite et de
paralysie
faciale gauche, et que les mouvements des lèvre
SYNCINÉTIQUES DE LA FACE LIÉS AU CLIGNEMENT DES PAUPIÈRES DANS LES
PARALYSIES
FACIALES PÉRIPHÉRIQUES ANCIENNES, SIMULANT LES
, Agrégé de la Faculté de médecine de Bordeaux. On sait que les
paralysies
faciales périphériques, d'intensité moyenne, so
ki, etc., l'analyse de ces mouvements convulsifs survenant après la
paralysie
du nerf facial est devenue plus précise, et l'o
de la lèvre supérieure ou dans les zygoma- tiques, au moment où la
paralysie
faciale quittait la période de flaccidité pour
s élec- trothérapeutes qui assistent de très près à l'évolution des
paralysies
facia- les, et, en 1905, M. Huet (1) donnait un
nt dans le som- meil. De telles convulsions faciales succédant à la
paralysie
de la VIIe paire ont pu même être décrites sous
biale que signale Dejerine (1) dans la période de contracture de la
paralysie
faciale périphérique. La répétition monotone de c
t signalés dans tous les traités et dans beaucoup d'observations de
paralysie
faciale avec contrac- ture. Ces mouvements asso
cil s'abaisse en même temps. Or, chez certains malades, atteints de
paralysie
faciale ancienne parvenue au stade de contractu
S ET ABAD1E décrit par Babinski '(1) et étudié par Lamy (2) dans la
paralysie
faciale périphérique : d'après ce dernier obser
s convulsifs qui peuvent s'observer la période de contracture de la
paralysie
faciale périphérique. Bien que, de ces phénomènes
cliniques. Or, nous avons remarqué que, dans un certain nom- bre de
paralysies
faciales anciennes, d'origine périphérique, s'acc
con· sultation des maladies nerveuses, le 18 février 1905, pour une
paralysie
faciale ancienne. Rien n'est signaler dans se
qui l'obligeait à veiller une partie des nuits, fut atteinte d'une
paralysie
du côté gauche de (1) Babinski, Hémispasme faci
les Conlraclions synergiques paradoxales observées à la suite de la
paralysie
faciale périphérique. Nouv. Iconogr. de la Salpêt
En somme, tout le côté gauche de la face était immobile, atteint de
paralysie
complète : avec cela, le goût avait diminué, la m
lle ; elle eut, paraît-il, à ce moment quelque peu de fièvre. Cette
paralysie
faciale gauche s'améliora spontanément, mais au b
spasmodique de l'hémiface gauche qui fit progressivement place à la
paralysie
de ce côté : les traits se dévièrent une second
r, de faire la moue étaient absolument impos- sibles au début de la
paralysie
faciale. Actuellement, la malade peut silller,
èvres. La parole articulée est normale aujourd'hui ; au début de la
paralysie
faciale, au contraire, Pair gonflait la joue gauc
ent depuis. Les troubles du goût qui se mon- trèrent au début de la
paralysie
ont disparu aujourd'hui ; pas de salivation. La
iface gauche. L'explora- tion a été pratiquée depuis le début de la
paralysie
à plusieurs reprises. A la date du 20 février 1
rvation peut se résumer ainsi : Une femme de 38 ans est atteinte de
paralysie
faciale gauche périphé- rique, du type a frigor
Exami- née à ce moment, la malade présente : 1° Des reliquats de
paralysie
faciale gauche, se traduisant, à l'état de repo
asme facial essentiel, on trouve, dans certaines, l'existence d'une
paralysie
faciale périphérique antérieure il l'apparition d
t mention, à côté de l'hémispasme fa- cial, de symptômes actuels de
paralysie
faciale plus ou moins accentuée. N'est-on pas a
ions faciales », chez une jeune fille de quinze ans, atteinte d'une
paralysie
faciale survenue à l'âge de trois ans, offrant en
urvenue à l'âge de trois ans, offrant en- core les caractères d'une
paralysie
flasque sans aucune apparence de contracture se
ans aucune apparence de contracture secondaire. - Iluer et Lejonne,
Paralysie
faciale el hémialropliie linguale droites ayant
riphérique de Babinski et l'hémispasme qui succède quelquefois à la
paralysie
faciale périphérique. D'ailleurs, cette hypothè
é-Tnouns, Contri- bution à l'étude de l'analomie pathologique de la
paralysie
faciale périphérique et de l'hémispasme facial.
un seul oeil ou les deux. Dans l'état spasmodique qui succède à la
paralysie
faciale, les phéno- mènes ne se passent pas aut
fait isolé. Nous avons pu observer en effet une vingtaine de cas de
paralysies
faciales périphériques, parvenues à la phase de
de contestation. En second lieu, nous avons observé dans six cas de
paralysies
faciales périphériques anciennes t'existenced'u
r achever cette démonstration, il fallait chez un malade atteint de
paralysie
faciale ancienne, du type périphérique, parvenue
ion des maladies nerveuses, le 8 juillet 1905. Elle est atteinte de
paralysie
faciale ancienne et se plaint de troubles céréb
a insensiblement du côté gauche : au bout de sept à huit heures, la
paralysie
faciale était complète, la malade était dans l'im
tous les traits étaient déviés fortement du côté droit. Avec cette
paralysie
faciale apparurent bien d'autres symptômes qui al
alade fixait son re- gard un moment; il n'y eut cependant jamais de
paralysies
oculaires; ces troubles de la vue persistèrent
a- ractère devint impressionnable, emporté et méchant. Quant à la
paralysie
faciale, elle ne fut jamais traitée par l'électro
à faibles doses, de bromures et d'iodures à doses assez élevées. La
paralysie
resta trois mois sans la moindre amélioration,
ifeste.il y a deux mois, c'est-à-dire deux ans après le début de la
paralysie
faciale, les phénomènes paralytiques en étaient a
utres muscles. La paroie articulée, gênée légèrement au début de la
paralysie
, est normale aujourd'hui. Dans l'ouverture de
Là mastication est aujourd'hui normale : autrefois, au début de la
paralysie
faciale et pendant longtemps, la malade était o
e la salivation pendant trois ou quatre mois après l'apparition de sa
paralysie
faciale. Elle n'a pas eu de troubles de l'ouïe.
s muscles faite pour la première fois deux ans après le début de sa
paralysie
faciale donne les résul- tats suivants : Exci
hémiface gauche est tou- jours le même avec les mêmes reliquats de
paralysie
faciale. On constate de nouveau les mêmes secou
ation peul se résumer ainsi : . Une femme de 33 ans est atteinte de
paralysie
faciale gauche du type périphérique. Elle n'est
e. Examinée à ce moment, la malade présente : 1° Des reliquats de
paralysie
faciale gauche, se traduisant par une dimi- nut
assurément, de cas absolument comparables. Tous avaient trait à des
paralysies
faciales périphériques anciennes, avec état spa
état spasmodique quelquefois même fort léger. Quelques-unes de ces
paralysies
dataient de l'enfance, et certaines avaient plus
é de confirmer notre opinion. Il nous parait démontré que, dans les
paralysies
faciales du type péri- phérique parvenues à la
aux mouvements associés involontaires qui ont été décrits dans les
paralysies
faciales périphériques. Dans son travail sur l'
mas, l'aspect clinique était celui de l'hémispasme secondaire à une
paralysie
faciale périphérique ancienne en grande partie
vant l'apparition de ces mouvements de la face, le malade n'a eu de
paralysie
faciale quelconque. Examen du malade. Le malade
ou périphérique dans la sphère du facial inférieur (nombreux cas de
paralysie
faciale, deux cas de paraly- sie générale précé
face, il faut distinguer ceux qui apparaissent dans certains cas de
paralysies
faciales, du type périphérique, parvenues à la
du peaucier du cou. Elles ont été observées en particulier dans une
paralysie
faciale vieille de vingt ans et qui pouvait être
ia est que cette syncinésie peut se rencontrer dans certains cas de
paralysie
faciale d'origine centrale. ' 396 . PITRES ET A
a face, depuis longtemps décrits dans la phase de contracture de la
paralysie
faciale périphérique. Spasmes syn- cinétiques l
ttentionné peut être soutenue trop longtemps sans fatigue. Pas de
paralysie
des sphincters en dehors des périodes de crise.
urtout dans la zone du facial inférieur ; il semble qu'il y ait une
paralysie
faciale gauche. Cette apparence est bientôt trans
nt se contracter mais sont très paresseuses. Pas de strabisme ni de
paralysies
oculaires. La sensibilité dans tous ses modes e
.Or l'urémie peut s'accompagner de céphalée,de troubles visuels, de
paralysies
plus ou moins complètes, de Kernig (méningites ur
es catégories, des symptômes cérébraux (céphalée, troubles visuels,
paralysies
de la face et du membre supérieur gauches) des sy
e au lit depuis de longues années, ii n'existe aucun phé- nomène de
paralysie
; la malade exécute très correctement des mouveme
e remarque s'impose tout d'abord : c'est que dans ce dernier cas la
paralysie
l'emporte de beaucoup sur la déformation. Ce fait
tique du pied avec lésions articulaires, mais bien de phénomènes de
paralysie
qui, localisés au niveau des muscles de la régi
oppement. A l'autopsie furent relevées les lésions ordinaires de la
paralysie
générale; à noter en outre l'existence d'une pe
radiculaire est exprimée par les douleurs extrêmement violentes, la
paralysie
flasque avec atrophie musculaire, la modification
une syphilis du névraxe, ou par les méningites alcooliques. Dans la
paralysie
générale la proportion varie de la normale jusq
ale e. delle cliniche, août. VEIIHVOGEN et DusTE.i7teso ? Mfm<
paralysie
de Landry avec syndrome de Froin. Mal de Poil c
par La Salle ARCfiAIIDAU1.T, 20. Long extenseur propre du pouce,
paralysie
isolée, Par CLUZET et NO\ ? IOSSEI;ANU, 234.
Chagas, 1. Nerveux (Système) (Contribution à l'étude du - dans la
paralysie
agitante), par Haskovec et HAST.\, 127. Névro
lude de la base du crâne dans la maladie de -), par LI : RI, 452.
Paralysie
a.qitanie (Contribution à l'étude du système ne
justice et de la bonté, par DIDE et Mlle LEC2QOE, 56. Puerpérale (
Paralysie
- du nerf sciatique poplité externe du côté gau
l'aphasie de Broca, par Dejerine et André-Thomas, 331. Sciatique (
Paralysie
puerpérale du nerf - z poplité externe du c"té
ci- nétiques de la face liés au clignement des paupières dans les
paralysies
faciales pé- riphériques O1lCiennes,simulant le
cinétiques de la face liés au clignement des paupié- res dans les
paralysies
faciales périphéri- que.. anciennes, ,.Í1l1alan
ci- nétiques de lu face liés un clignement des paupières dans les
paralysies
fa;iules, 36a André-Thomas et Déjerixe. De la
T\ 1.1.) et IIAsKovEc (Lad.) F.tu<1e du système, nerveux dans la
paralysie
agi- tante, 127. Itvouet. (J.) et lAHG\ROT (J
itale avec symptômes bulbaires, 209. CLUZET et Novii JOSSEI1.1ND.
Paralysie
isolée du long extenseur propre du poure, 234.
(de Prague). Contribution à l'étude du système ner- veux dans la
paralysie
agitante, 127. Hnvtek (J. (de Prague) Sur un ra
plité externe du côté gauche, 230. Nové-Josserand iL.) et CLUZET.
Paralysie
isolée du long extenseur propre du pouce, 234
sycinétiques de la face liés au clignement des paupières dans les
paralysies
faciales, 365. Radovici lA.) et Marinesco Sur l
. Diabète insipide et infantilisme, 410. ZAHAHESCU (N.) et Noïca.
Paralysie
puer- pérale du nerf sciatique poplité externe
LIX et LX. Paget (Maladie de), hase du crâne (Léri), LXV à LXX.
Paralysie
isolée du long extenseur propre du pouce (Cluze
es forces est très nette au membre supérieur droit. Il n'y a pas de
paralysie
faciale. Les divers sphincters fonctionnent bie
nution de la sensibilité du même côté. La face ne présentait aucune
paralysie
, mais la tête était non pas déviée, mais portée l
l'auteur l'occasion de citer des observations de délires combinés :
paralysie
générale, alcoolisme, délire des négations, dél
deux de folie systématique (avec et sans halluci- nation'-), une de
paralysie
générale, une de démence secondaire. La puerpér
n, devient à peine perceptible. Il y a en outre, toujours à droite,
paralysie
du sphincter irien, parésie du facial, parésie de
ies font partie. (Revue neurologique, janv. 1895.) E. B. XX. Delà
paralysie
générale A FORME tabétique; par M. 1l' Dr JOFFIIO
et ont eu cours sur les rapports qui existent entre le tabes et la
paralysie
générale, car, dès f,almil, on avait déjà noté
fréquente des symptômes de l'ataxie locomotrice et de ceux de la
paralysie
générale. La paralysie générale, dans le cas d'as
mes de l'ataxie locomotrice et de ceux de la paralysie générale. La
paralysie
générale, dans le cas d'association, est la con
ssus patho- logique établi dans la moelle (Jaccoud). Le tabes et la
paralysie
générale sont deux affections qui s'as-ocient f
stituent en réalité qu'une maladie unique (Raymond). Le tabes et la
paralysie
générale sont deux affections différentes, elles
ie nerveuse (Ballet et Joffroy). Le tabès se rencontre combiné à la
paralysie
générale dans la proportion de 3 p. 100, c'est
0, c'est une dualité pathologique (Renaut). Le tabes associé à la
paralysie
générale constitue une maladie systématique affec
associations des deux affections ne sont en réalité que des cas de
paralysie
générale à forme tabétique. La paralysie généra
en réalité que des cas de paralysie générale à forme tabétique. La
paralysie
générale débute alors par des symptômes spinaux
se. Quelques années après, les signes physiques et psychiques de la
paralysie
générale apparaissent et s'accentuent de plus e
t. A l'autopsie : lésions macroscopiques cérébralesclassiques de la
paralysie
générale. A la moelle, lésions histologiques mu
r l'inculpée, états qu'accompa- gnaient des troubles visuels et une
paralysie
de toutes les fonctions psychiques. L'auteur te
ent fréquemment à des affections graves du cerveau et de la moelle (
paralysie
générale, apoplexie, tabes, sclérose en plaques
naissance (accouchement naturel) que sa mère s'est aperçue de cette
paralysie
faciale du côté droit, avec atrophie des muscle
thorax. Réaction de dégénérescence dans un grand nombre de muscles.
Paralysie
des deux sixièmes paires. Etat général mauvais,
l'affection répond au diagnostic de pachymé- ningite cervicale avec
paralysie
atrophique des membres supérieurs, avec des sym
de devenir complètement impotent. A la Salpêtrière on constate :
paralysie
presque complète du membre inférieur gauche, lé
que sur la fibre musculaire. Dans le premier groupe on trouve la
paralysie
spinale infantile, l'atrophie musculaire progre
le infantile, l'atrophie musculaire progressive, les atrophies avec
paralysies
dues à des uévrites périphériques multiples ou
de réactions électriques anormales. A ce groupe appartiennent : la
paralysie
pseudo-hypertrophique et ces nombreuses variétés
ique peut être symptomatique d'autres affections protopathiques, la
paralysie
générale, par exem- ple..Toutes ces considérati
rmettent pas de donner toujours un pronostic favorable. C. XVIII.
Paralysie
bilatérale DU DELTO1DE par élongation DES deux
atin il se réveille ne pouvant plus lever les bras. Il existait une
paralysie
deltoïdienne double. Le sujet peut à peine es
tielle de dégénéres- cence dans les mêmes muscles. Il y a doue bien
paralysie
des del- toïdes. D'autres muscles sont-ils para
les sous-épineux fonctionnent normalement. La cause de cette double
paralysie
réside dans la distension et la, compression de
tout parce qu'il n'y a pas d'atrophie musculaire. L'hypolhèse d'une
paralysie
hystéro-lraumalique ne convient pas non plus, p
pêtrière, 1894, n° 6.) On désigne sous le nom de signe de Weber une
paralysie
croisée comprenant le moteur oculaire d'un côté
ieur ainsi que la moitié du corps du,côté opposé. La cause de cette
paralysie
croisée consiste en une lésion de la troisième
plégie gauche qui se localise au membre supérieur et en même temps,
paralysie
, de la troisième paire droite. Le traitement an
ans. Hémiphégie com- plète droite respectant le facial supérieur et
paralysie
de la troisième paire gauche. Embarras de la pa
e de la troisième paire gauche. Embarras de la parole comme dans la
paralysie
gé- nérale, la motilité de la langue est demeur
le de Villejuif pour leur mémoire sur les Rapports du tabès avec la
paralysie
générale. 91. B. BIBLIOGRAPHIE. I. Traité cli
olume de la seconde partie du Traité de l'hystérie est consacré aux
paralysies
et contractures hystériques, aux manifes- tatio
les de l'hystérie et au traitement. Dans le chapitre trai- tant des
paralysies
et contractures des muscles de la tête et du tron
e intéressante discussion sur l'existence longtemps contestée de la
paralysie
faciale hystérique qui définitivement doit être
définitivement doit être admise et qu'on peut considérer comme une
paralysie
faciale systématique depuis le mémoire de M. Ba
rter sa contribution à l'étude des rapports entre la syphilis et la
paralysie
générale. L'auteur fait observer avec raison qu
riser à ranger cette infection au premier rang des facteurs de la
paralysie
générale. Voici d'ailleurs un tableau assez démon
. Voici d'ailleurs un tableau assez démonstratif : TOTAL DES CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE 126 asiles d'aliénés. 87 de l'encéph
TRAITEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 117 une cause physiologique,
paralysie
, atrophie de tel ou tel élé- ment d'organe. La
8 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Il s'agit d'une
paralysie
générale traumatique consécutive à une lésion e
I. Démence; accès vertigineux; raideur musculaire et attitude de la
paralysie
agitante; rélropulsion. Arlério-sclérose. Mort
. Contribution A la connaissance : DE l'anatomie pathologique DE la
paralysie
AGIT.1NTE ET DE SES rapports avec certaines MALA-
ses, l'abondance des corps amyloïdes, que l'on trouve aussi dans la
paralysie
agitante. Quant à l'épaississement des vaisseaux,
illards autrement bien portants le haut degré qu'il atteint dans la
paralysie
agitante; chez le vieillard, on ne rencontre pa
vasculaire. Ces lésions anatomiques expliquent la contracture de la
paralysie
agitante. (Voy. Démange, Contracture tabétique.
u tremblement, symptôme le plus important et le plus précoce, de la
paralysie
agitante, il n'a pas de substratum anatamo- pat
albl., XIII, 1894.) Individu bien portant, présentant une espèce de
paralysie
par- tielle du facial localisée dans les muscle
YN- GIEN, DE L'ACCESSOIRE ET DE L'HYPOGLOSSE A PROPOS D'UN CAS DE
paralysie
BULBKIRE; par W. Adrien TUANEA et W. BULLOCH. (Br
défaut d'ar- ticulation et de déglutition; puis elle présenta de la
paralysie
des cordes vocales et une atrophie des inteross
so-pharyngien. - Il tire ses arguments de plusieurs observations de
paralysie
bul- baire et delà section expérimentale du glo
ent l'allure subaiguë. La démence d'emblée est tout à fait rare. La
paralysie
générale figure pour environ 3,5 p. 100 (20 p.
dans ses véritables causes. R. DE l\ ! USGRAVE CLAY. XXVII. SUR la
paralysie
générale A la PÉRIODE DU DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE
lemiss. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) Les cas de
paralysie
générale à la période de l'adolescence ou de la
, en somme, celles que l'on a coutume de rencontrer dans les cas de
paralysie
générale à forme lente avec excitation mentale
ées de richesse et plus tard de persécution, qui firent penser à la
paralysie
générale ; mais en présence des alternatives de
taques pendant son internement. Cependant, dans l'hypothèse d'une
paralysie
générale, on aurait pu penser que les crises ép
s pour de l'épilepsie vraie : mais tous les signes somatiques de la
paralysie
générale faisaient absolument défaut. L'état du
fication historique DE L'ÉTUDE DES rapports ENTRE la SYPHILIS ET la
PARALYSIE
générale progressive ; par le professeur P. KOV
Tous les auleurs qui donnent un aperçu historique de l'étude de la
paralysie
générale aff1l'men l Il Il' ESl1lal'ch elE-seu fu
miers à attirer l'attention sur les rapports de la syphilis avec la
paralysie
et à avancer que la syphilis est une des graves c
alysie et à avancer que la syphilis est une des graves causes de la
paralysie
. Ce dernier fait est juste, mais les recherches d
ue, mars 1895.) E.B. XXXIII. SYMPTÔMES oculaires précoces dans la
paralysie
générale; par le Dr Jameson HEPBURN. D'après
, alors que leur diminution se rencontre dans la plupart des cas de
paralysie
générale. Lorsqu'il y a tendance à l'excitation
guérison au bout de six mois. Le second cas ressemble assez à de la
paralysie
générale au début chez une femme prédisposée pa
qu'il lui fut impossible de se tenir debout; elle se mit au lit; la
paralysie
s'accentua rapidement; le 28, rétention d'urine
rétention d'urine. Le 3 février, voici ce que M. Dutil a constaté :
paralysie
à peu près complète des membres inférieurs. La
plissent qu'avec un effort énergique de la part de la malade. La
paralysie
est flasque; pas de trace de raideur; les réflexe
la Salpêtrière. Le 20 février, elle était dans l'état suivant : La
paralysie
est absolue. Le réflexe rotu- lien du côté gauc
embres inférieurs et dans la partie inférieure du tronc, de plus la
paralysie
subite des membres inférieurs nous indiquent qu
daires de la maladie, tremblements, contractures et convulsions,
paralysies
, troubles respiratoires, digestifs, oculaires, et
decine légale ? M. Trenel (de Vannes) communique une observation de
paralysie
généraleavec maladie de Basedow et tabes combin
re exophtalmique semble lié au tabes qui paraît lui-même comme la
paralysie
générale être d'origine spécifique. . Archives,
observations d'accès de vagabondage chez des individus atteints de
paralysie
générale ; mais les caractères d'incohérence qui
du professeur JOLLY. Professeur BINSWANGER. La. délimitation de la
paralysie
générale. Cette question, des plus difficiles à
ogiques ou cliniques; qui permettent d'affirmer l'exis- tence de la
paralysie
générale ? Parmi les signes anatomiques microsc
s récents; en outre, elles peuvent être rencontrées en dehors de la
paralysie
générale. De même pour l'atrophie de l'écorce q
résumé, aucun de ces signes ne peut, à lui seul, faire affirmer la
paralysie
générale; l'absence d'une quelconque de ces lés
n de ces diverses altéra- tions permet d'admettre l'existence de la
paralysie
générale. Il en est de même pour les lésions mi
mes cliniques, aucun n'est pathognomonique. Il faut séparer de la
paralysie
générale typique deux formes qui s'en distingue
uteur admet, avec M. Binswanger, qu'il y a lieu de distinguer de la
paralysie
générale une dégénération du cerveau d'origine
M. TuczEK. - La difficulté est de trouver une délimitation de la
paralysie
générale au point de vue clinique. Parmi les form
t de vue clinique. Parmi les formes qui doivent être séparées de la
paralysie
progressive par le manque de rapport entre l'in
des fibres à myéline, qui se rencontre même dans les cas récents de
paralysie
générale. On l'a signalée également dans les ps
niles, les intoxications, les arrêts du développement. Mais dans la
paralysie
générale la disparition des fibres à myéline préd
itié des cas. On ne peut pas dire que les lésions vasculaires de la
paralysie
générale ne sont pas des lésions syphilitiques.
seule, avoir grande importance. Parmi les formes qui simulent la
paralysie
générale, il a observé un cas de folie alcoolique
tômes provoqués par une lésion en foyer de ceux qui relèvent de la
paralysie
générale. Les difficultés deviennent considérable
le premier en Allemagne à défendre l'origine syphilitique de la ^
paralysie
générale, thèse actuellement admise par la plupar
générale, thèse actuellement admise par la plupart des médecins. La
paralysie
générale n'est pas pour cela une affection syph
ne immobilité .des pupilles, sans qu'il soit atteint de tabès ou de
paralysie
générale. ' M. Alzheimer. L'atrophie nrtério-
nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette forme doit être séparée de la
paralysie
générale. La maladie, due 'à des lésions athéro
umeur, l'euphorie peuvent faire confondre cette affec- tion avec la
paralysie
générale. L'encéphalite progressive sous- corti
aut rapprocher cette forme de la démence sénile et l'éloigner de la
paralysie
générale. Mais la démence sénile est une affect
la fuite des idées, des modifications de l'humeur, des symptômes de
paralysie
psychique ou motrice. La catalepsie, l'extase,
EUSE. ÉTUDE SUR LA \fÉNI\GO-11YL,LITE DIFFUSE DANS LE TABES, . LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE ET LA SYPHILIS SPINALE ; Par le Dur NA
us exactement, peut-être, les rapports qui unissent le tabes à la
paralysie
générale et même aux affections syphilitiques loc
ue névrite trans- verse pour le tabes, -méningo-encéphalite pour la
paralysie
générale, méningo-myélite plus ou moins circons
s cas absolument classiques; d'ailleurs tous les cas de tabes et de
paralysie
générale, isolés ou unis, qui ont passé sous no
ièrement de ce qui a trait à la moelle épinière. Observation I. -
Paralysie
générale, symptômes tabétiformes, mé- ningo-myé
troubles somaliques et intellectuels permettent de diagnostiquer la
paralysie
générale ; les symptômes médullaires par contre
ires sont relativement moins atteints que dans beau- coup de cas de
paralysie
cérébrale. Les fibres à myéline sont relativeme
éphalite vasculaire diffuse, qui est le substratum anatomique de la
paralysie
générale, et l'absence de lésions des cordons p
de l'écorce cérébrale , décrite par M. Magnan dans quelques cas de
paralysie
générale, bien que sa nature soit totalement di
ion a débuté, pour envahir ultérieu- rement le cerveau et causer la
paralysie
générale. Cette lacune s'explique sans doute pa
soit d'ailleurs l'intimité des liens qui unis- sent le tabes et la
paralysie
générale. Quant à la cause de l'abolition des r
qui l'obligea à faire un séjour à l'hôpital, deux ans plus tard des
paralysies
ocu- laires, de l'impuissance génitale; enfin e
es égales, rétrécies, signe d'Ar=yll-Roberlson. Ily aen outre de la
paralysie
des troisième et sixième paires et une exoph- t
ales et présentent le signe d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de
paralysie
oculaire. L'état mental et le caractère ne para
e cas la répétition exacte du précédent. . Observation IV. Tabès;
paralysie
générale; méningo-myélite diffuse; plaque de my
utopsie montre des lésions très avancées de tabes et des lésions de
paralysie
générale à peine visibles à l'oeil nu, mais parfa
cellules rondes. D'ailleurs, ce n'est pas là une exception dans la
paralysie
générale ; les descriptions des auteurs montren
que la méningo- myélite est plutôt la règle et dans tous les cas de
paralysie
générale. pure z cas) ou compliquée de tabes (6
aissée l'étude de neuf cas de tabes, dont trois non compliqués de
paralysie
, est que cette lésion est constante, à des degrés
u'en avant; nous avons toujours trouvé, dans le tabes comme dans la
paralysie
générale, une réparti- tion à peu près égale àt
tes au premier abord, et qui pour- tant sont unies au tabes et à la
paralysie
générale par des liens étiologiques étroits; no
ec celles qui, dans le cerveau, sont le substratum anatomique de la
paralysie
générale; notre maître a traité ce point avec u
, de tous les faits que nous venons de passer en revue, que dans la
paralysie
géné- rale, le tabes et les myélites syphilitiq
ours relativement peu intense, quel que fut l'âge du tabes ou de la
paralysie
générale ; nous croyons pouvoir en conclure qu'
is c'est un fait dont les lé-' sions vasculaires du cerveau dans la
paralysie
générale dé- montrent largement la réalité ; il
dire que notre démonstration se fonde uniquement sur des cas où la
paralysie
générale avait précédé le tabes. Il ne faut d'a
et veineuses que nous avons toujours rencontré dans le tabes et la
paralysie
générale. Dans un cas de méningite tuberculeuse
de lui donner naissance peuvent en même temps produire le tabes, la
paralysie
générale et, peut-être, des lé- sions circonscr
très possible que certains symptômes médullaires du tabes et de la
paralysie
générale relèvent exclusivement de cette lésion
rstitielle transverse. CONCLUSIONS. -I. Il existe dans le tabes, la
paralysie
géné- rale et les myélites syphilitiques, un pr
léaires électifs. II. Les lésions de l'écorce cérébrale cause de la
paralysie
générale, celles des nerfs radiculaires - cause
e compression céré- brale : coma complet, pouls lent, phénomènes de
paralysie
et d'excitation unilatéraux, parésie du facial,
cardinaux de la névrite se ren- contrent chez la malade : douleur,
paralysie
, atrophie musculaire, troubles trophiques. La p
de la température. Affai- blissement intellectuel. En décembre 1891
paralysie
flasque, y compris les membres du côté gauche.
e obtenue par le cathétérisme contient un peu d'albumine. A droite,
paralysie
mo- trice, sensibilité conservée. Mort au bout
lpébrale. La pupille droite est contractée et ne réagit pas. Pas de
paralysie
de la face. On diagnostique une lésion du sympa-
uccédé à l'intervention chirurgicale. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVII.
Paralysie
bilatérale du NERF facial; par le Dr 1<foNaoos
céda à un traitement général accompagné d'un traitement local de la
paralysie
. Le second cas a trait à une paralysie bilatéra
'un traitement local de la paralysie. Le second cas a trait à une
paralysie
bilatérale complète du facial à forme douloureu
ogist, janvier 1895.) E. B. XXVIII. SUR UNE variété particulière DE
paralysie
alterne; par le professeur RAYMOND. Parmi les
erne; par le professeur RAYMOND. Parmi les nombreuses variétés de
paralysies
alternes, il en est deux qui ont jusqu'ici atti
r, est caractérisée par une hémiplégie commune, coexistant avec une
paralysie
de la troisième paire, du côté opposé, c'est-à-
. M. le professeur Raymond montre un exemple d'une variété rare de
paralysie
alterne : il s'agit d'un cas d'hémiplégie droite,
terne : il s'agit d'un cas d'hémiplégie droite, coexistant avec une
paralysie
du moteur oculaire externe gauche. - Pour qu'un
on unilatérale produise une hémiplégie vulgaire, coexistant avec la
paralysie
de l'abducens du côté opposé,' elle doit répond
neumonie du côté gauche. Mort six jours après le commencement de la
paralysie
du côté gauche. ' L'abcès était complètement
certains cas de lésions éten- dues du cerveau, par exemple dans la
paralysie
générale ; c. chorée congénitale et athétose do
ion des diverses hypothèses, l'auteur estime qu'il s'agit ici de la
paralysie
spasmodique de Erb, c'est-à-dire du tabes dorsa
gauche et le tronc. Des phénomènes bulbaires et probable- ment une
paralysie
du diaphragme terminèrent la scène. L'exa- men
driaque, ou de négation, ils n'ont pas eu de troubles moteurs de la
paralysie
générale. - La première malade contracte la syp
es hebdomadaires ou journalières réclamées par M. Gi- raud. De la
paralysie
vaso-motrice dans ses rapports avec l'état affect
mence juvénile » nous semble assez indiqué. On pourrait songer à la
paralysie
générale juvénile, mais bien des symptômes impo
inq nous nous demandons, si dans l'espace de onze ans une véritable
paralysie
générale ne se serait pas déjà manifestée par d
t IscovEsco (de Paris). Sur le signe du cubital (analgésie) dans la
paralysie
générale. Décrit par Biernacki, dans le tabes,
cas d'accidents hystéri- 340 « SOCIÉTÉS SAVANTES. : formes dans la
paralysie
générale ». C'est un cas assez rare d'asso- cia
paralysie générale ». C'est un cas assez rare d'asso- ciation de la
paralysie
générale et de l'hystérie. Cette observation '
question. M. Régis réclame la priorité; il a indiqué l'arrêt de la
paralysie
générale par l'hystérie. M. Piéchaud (de Bordea
estait pas moins solide. Le danger devait venir d'ailleurs' : de là
paralysie
pseudo-hypertrophique dont les formes ont été s
, soit qu'elle marche avec plus de rapi- bibliographie. 34b dite (
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë de Duchenne)
lyomyélite antérieure : dans la sclérose latérale amyotrophique, la
paralysie
infantile, la syringomyélie. Les coupes colorée
ystérie tardive (hystérie débutant chez le vieillard). HALl PRÉ. La
paralysie
pseudo-bulbaire d'origine cérébrale. LEBL.is. De
hypodermiques de Om ? 25. Aux doses de 0mm,7 on obtient déjà de la
paralysie
motrice des deux jambes, de l'affaissement des mu
ncore venu de classer le trépan parmi les modes de traitement de la
paralysie
générale. Quant au grattage des circonvolutions
les paralytiques, n'est à conseiller ni dans la vésanie, ni dans la
paralysie
générale comme calmant diurne. En effet, si son
ogique. (An- nales médico-psychologiques, mai 189b.) E. B. X. LES
paralysies
faciales OTITIQUES : UN cas traité par résection
Drs A. CHIPAULT et DALEINE. La lésion otitique provocatrice d'une
paralysie
faciale, peut agir sur le nerf en des points le
son trajet pétreux et déter- miner diverses variétés anatomiques de
paralysie
faciale otitique qui sont parfois possibles à d
oit par l'examen de l'otite causale. La recherche de la cause de la
paralysie
permet d'établir parmi les formes de la paralys
la cause de la paralysie permet d'établir parmi les formes de la
paralysie
faciale une véritable échelle de gravité ascendan
du nerf avec le pus. Le pronostic spontané des diverses variétés de
paralysie
otitique, peut être notablement amélioré par un
hez un malade atteint de nécrose labyrinthique et mastoïdienne avec
paralysie
faciale complète. Le nerf ne fut nul- lement. l
au cours de l'intervention, que suivit une diminution marquée de la
paralysie
. A propos de la relation de ce cas, MM. Chi- pa
, XIII, 2, 3.) Décrite pour la première fois par Duchenne, 18GO, la
paralysie
, labio-glosso-laryngée fut étudiée analomiqueme
ant : des individus de vingt à quarante ans sont pris subitement de
paralysie
dans le domaine des nerfs craniens ou de grandes
n certain exercice musculaire, arriver à cons- tituer de véritables
paralysies
généralement passagères. Dans un certain nombre
nt rapide et progressif des symptômes, le caractère particulier des
paralysies
, la faiblesse des extrémités, la variation fréq
une faiblesse particulière des membres. Le cachet particulier, des
paralysies
si bien décrit par Goldflam se retrouvait surto
ication de ce genre. P. K. XXXI. LE COMPLEXUS symptomatique DE la
paralysie
spinale spasmodique COMME ÉPIPHÉNOMÈNE D'UNE LÉ
le semblable à celle des observations de Minkowsky ou de Strumpell (
paralysie
spinale spasmodique ou forme spasmodique de la
XXXVI. LÉSIONS MAL DÉFINIES DE LA COLONNE VERTÉBRALE, SUIVIES DE
PARALYSIE
DE LONGUE DURÉE; AMÉLIORATION PAR LA SUSPENSION E
antes, dégénérées, présentaient une réduction considérable. Dans la
paralysie
générale, l'étude des lésions des cordons posté-
toujours une perte définitive des réflexes profonds des jambes avec
paralysie
flasque, et quelquefois atrophie peu marquée de
e travail. " " P. S. XXXIX. SUR l'augmentation de fréquence de la
paralysie
générale, SES RAPPORTS AVEC LES FACTEURS SOCIOL
nd Neurologie, 1895, XIII, 2, 3.) L'augmentation de fréquence de la
paralysie
générale, quoique indiscutable d'après l'opinio
on dans la région de l'asile, soit sur l'augmentation du nombre des
paralysies
générales, par rapport aux sujets atteints d'au
ne statistique d'Allhaus, de Londres, de 1838 à 1850, le nombre des
paralysies
générales dans les asiles d'aliénés anglais s'é
'après Mendel, on pouvait, en 1870, évaluer ainsi la proportion des
paralysies
générales dans les asiles d'aliénés. REVUE DE P
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . En 1860 le rapport entre le nombre des
paralysies
générales hommes et femmes était dans les asile
importantes. Moreau, en 1850, constatait déjà la progression de la
paralysie
générale et en rendait coupable le progrès de l
la femme de la société actuelleaperdu son immunité relative pour la
paralysie
générale. Le même fait explique la différence de
tivité de l'homme. Il faut aussi tenir compte au point de vue de la
paralysie
géné- rale de l'influence de la civilisalion eu
ées d'Arabes de 1860 à 1890 il n'y eut jusqu'en 1877 au- cun cas de
paralysie
générale. De 1877, sur 253 admissions il y eut
s européens. Ils présentaient presque tous la forme classique de la
paralysie
générale, la forme maniaque. L'origine urbaine
nces agricoles du Schlewig-Holstein et de Hanovre la proportion des
paralysies
générales était de 4,56 p. 100 alors que dans l
proportion de 75 p. 100 pour la syphilis. Comme l'apparition de la
paralysie
générale, dans la majorité des cas, a lieu cinq
nte ans, on s'explique facilement l'époque ordinaire du début de la
paralysie
générale. La syphilis, en règle générale, étant
ge contribuera à sa progression et, en consé- quence, à celle de la
paralysie
générale. Dans sa statistique,OEbecke trouve ch
ies par les prêtres catholiques sont assez intéressantes. Sur 2,000
paralysies
générales observées par Iirafit-);bin, il n'y e
que alors que de nombreuses recherches sur la proportion des cas de
paralysie
générale chez les officiers par rapport aux aut
é. Il donne naissance à un tableau qui rappelle souvent celui de la
paralysie
générale dont elle est quelquefois plutôt le si
TUDES statistiques ET CLINIQUES POUR SERVIR A la connaissance DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ LA FEMME; par R. \VOLLEBEnG. (Arc
oyen de trente-six à quarante ans. Evolution analogue à celle de la
paralysie
générale chez l'homme; la démence cepen- dant d
été relevée chez 51 p. 100 des malades. L'hérédité semble rendre la
paralysie
générale plus précoce, 50 p. 100 avaient de l'i
cutanés, cette der- nière étant elle-même sous la dépendance de la
paralysie
des vaso- moteurs. L'alcool n'est donc ni un al
Tuczek sur l'atrophie des fibres à myéline intra-corticales dans la
paralysie
générale (1884), cette lésion a été constatée c
roniques évoluant vers la démence, il reste, comme caractérisant la
paralysie
générale, l'existence cons- tante de la lésion
jamais rencontré l'atrophie des fibres de l'écorce en dehors de la
paralysie
générale, sinon dans les intoxications, les arr
ant la fréquence des symptômes spasmodiques et contractures dans la
paralysie
générale, l'auteur les rapproche des tremblemen
ts choréoïdes et des acci- dents analogues qu'on rencontre dans les
paralysies
spinales spas- modiques, les scléroses et la sy
que amène ainsi l'auteur à conclure à la combinaison possible de la
paralysie
générale avec ces affections spinales diverses
mment de sa combinaison avec les phénomènes de la névrite multiple (
paralysies
, amyotrophies, troubles de la sensibilité), pré
les cérébraux se montrent les symptômes de la névrite multiple. a).
Paralysie
amyotrophique des membres inférieurs, plus ou m
membres supérieurs. Dans les cas très graves peuvent s'ajouter des
paralysies
des muscles du tronc, du diaphragme, des muscle
oculomoteurs, des troubles de la miction, de la tachycardie, de la
paralysie
du coeur. L'évolution de la paralysie est variabl
ion, de la tachycardie, de la paralysie du coeur. L'évolution de la
paralysie
est variable, tantôt lente, chronique; tantôt g
ité, désordres de la mémoire, agitation, délire; l'apparition d'une
paralysie
4G'l- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. amyotrophi
puis se développa brus- quement une polynévrite très accentuée avec
paralysie
complète des muscles des membres, du tronc et d
ire, exogène par consé- quent, du tabes qui complique si souvent la
paralysie
généralepro- gressive. Dans une moelle de paral
paralytique, faisant ainsi faire un pas de plus à cette idée que la
paralysie
générale n'est qu'une maladie d'origine infectieu
nne vertébrale, l'allaiblissement progressif des membres jusqu'à la
paralysie
, l'hypotrophie générale, l'émission de cris inc
e leurs défectuosités psy- chiques, tandis qu'au contraire, dans la
paralysie
générale, la perte de la conscience de l'état m
rs après la naissance. Au onzième jour, attaque apoplectiforme avec
paralysie
du côté droit. Les convulsions continuent ensui
aires d'un sujet atteint de démence sénite. M. NEISSER (de Leubus).
Paralysie
progressive avec atrophie muscu- laire, spinale
ieurs. Dans ce cas, contrairement aux faits connus actuellement, la
paralysie
progressive a précédé l'apparition de J'atrophi
le, impossibilité de se tenir debout; puis sociétés savantes. 481
paralysie
du moteur oculaire externe droit, ptosis bilatéra
inéga- lité pnpillaire (pupille droite plus large), léger degré de
paralysie
du facial droit. Au point de vue psychique : ét
quels il a abouti lui- même, l'auteur fait remarquer que les cas de
paralysie
générale qui lui ont servi étaient des cas anci
t-elle pas une signification importante dans le diagnostic de la
paralysie
générale, bien que ce signe ne se rencontre chez
r cent aliénés non paralytiques. Associé aux autres symptômes de la
paralysie
progressive, le signe du cubital aura donc une
linique, des recherches sur le signe de Biernacki dans le tabes, la
paralysie
générale et diverses névroses. L'importance de
dans une thèse. Il convient de signaler ici un autre symptôme de la
paralysie
SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 générale au début : l'
se plaint de céphalée, de vertiges, de crampes dans les extrémités.
Paralysie
survenue brus- quement des deux moteurs oculair
de préparations). Un paralytique général tabétique pré- sentait une
paralysie
du moteur oculaire commnn droit coïnci- dant av
Labyrintiiique . Le nerf -, par Bounier, 151. L.1\f\ECTOIIE pour
paralysie
congé- nitale, par Chipault, 375. LAUDHY : Ma
y, 321. MÉNING011YÉLlTG. Etude sur la z diffuse dans le tabes, la
paralysie
générale et la syphilis spinale par Nageotte,
kewicz, 45. Pachyméningite cervicale syphilitique par Lamy, G3.
Paralysie
AGITA : 1TE et ses rapports avec certaines mala
vec certaines maladies nerveuses de vieillesse par liedlich, 139.
Paralysie
générale. Statistiques sur les anomalies somati
, par Hepburn, 164. Délimita- tion de la -, par Binswanger, 258.
Paralysie
vaso-motrlce dans ' ses rapports avec l'état af
Signe du cubital dans la , par lloedeker et Fal- kenberg, 189.
PARALYSIE
bilatérale du deltoïde par élongation des deux
, 479. Syndrome de Weber, par Souques et Londe, 77. Syphilis et
paralysie
générale, par Kovalewsky, 163. Syphilitiques.
oint de vue avec quelque soin, n'ont présenté dans les membres de
paralysie
, ni surtout de paralysie localisée. Tous mar- c
e soin, n'ont présenté dans les membres de paralysie, ni surtout de
paralysie
localisée. Tous mar- chaient et sautaient, rési
maux un certain degré de parésie, il ne s'est produit chez aucun de
paralysie
véritable. Et cependant les nerfs périphériqu
rent dans le membre supérieur correspondant sans s'accompagner de
paralysie
motrice véritable , et on ne tarda pas à consta
1 ' ' M. Pierret a soutenu que l'incoordination était le fait de
paralysies
limitées à certains muscles. Nous ne les' avons
chement d'un muscle par atonie ne doit pas être con- fondu avec sa
paralysie
, ni même avec sa parésie. Sous l'influence d'un
e si confus des paraplégies. Ce clinicien éminent distin- gua des
paralysies
une affection dans laquelle la force musculaire
le qui revient à l'alcoolisme dans l'étiologie de certains cas de
paralysie
générale, suivons les changements pro- duits ch
fait naître un délire alcoolique qui, masquant les symptômes de la
paralysie
générale, rend impossible toute appréciation ex
t suiv. Genève, 1878. DÉLIRES MULTIPLES. 53 mènes moteurs de la
paralysie
, et, dans les cas aigus, lorsque des frémisseme
s de telles conditions, le malade est à la pre- mière période de la
paralysie
générale, il ne se pré- sente pas sous les deho
nution des accidents alcooliques et appari- tion des symptômes de «
paralysie
générale » ; c'est-à- dire qu'aux premiers jour
nus, il devient facile de reconstituer la période prodromique de la
paralysie
générale ainsi traversée par un accès de délire
, matité aux deux sommets en arrière, quelques petits râles, pas de
paralysie
. 1879. 13 janvier. - Quatre accès dans l'après-
en dehors. Les jointures sont rigides à des degrés variables. - La
paralysie
n'est pas absolue, car l'enfant parvient à port
nes, tels que l'aimant, on pouvait obtenir la guérison de certaines
paralysies
motrices. Les deux observations suivantes vienn
tirée du côté gauche, ce qui, de prime abord, semble indiquer une
paralysie
droite, et par conséquent, une paralysie alterne
abord, semble indiquer une paralysie droite, et par conséquent, une
paralysie
alterne ; mais il n'en est rien, car les mouvem
s 19, 20 et 21 mars, peu de change- ments dans l'état du malade. La
paralysie
motrice a peu dimi- nué ; le malade distingue u
ous savons du reste par l'analyse de faits semblables que, dans les
paralysies
motrices liées aux anesthésies, la paralysie mo
blables que, dans les paralysies motrices liées aux anesthésies, la
paralysie
motrice est à son maximum dans les premiers jou
ée; la malade voit et entend ce qui se passe autour d'elle, mais la
paralysie
faciale rend ses réponses à peu près inintellig
e la main paralysée. La sensibilité n'a pas reparu. 31 mars. - La
paralysie
semble céder un peu. - La malade peut soulever
sin (France méd. nos 89, 90. 4 878) ; du même auteur : Traité de la
paralysie
générale des aliénés. 1879; et, Bull. Acad. de
te, par ordre décroissant, la lypémanie avec agitation (36°,81), la
paralysie
progressive (36°,63), la démence avec agi- tati
la lypémanie simple et dans la démence simple, tandis que, dans la
paralysie
progressive et dans la lypémanie avec agitation
avons des exemples dans la pathologie nerveuse. Ne voit-on pas la
paralysie
des muscles de l'omoplate contrarier un mouve-
points, car, dans les observations, on ne note pas en détail chaque
paralysie
musculaire isolément. L'argument nous paraît as
est évident que le plus souvent on indique dans les observations la
paralysie
de la face ou celle des membres, mais qu'on ne
de la face ou celle des membres, mais qu'on ne recherche guère une
paralysie
du grand dorsal chez un hémiplégique, ou bien c
des membres, M. Vallin, rappelait une observation dans laquelle une
paralysie
du trapèze obser- vée chez un soldat avait succ
ations pos- sibles des élévations thermiques du cuir chevelu et des
paralysies
vaso- motrices des régions céphalique, ainsi qu
curieux de déviation conjuguée des yeux, cas dans lequel il y avait
paralysie
du droit externe de l'oeil droit, en même temps
uis, M. Graux * ayant choisi pour sujet de thèse inaugurale 1 De la
paralysie
du moteur oculaire externe avec déviation; thèse
e, qui se font du même côté que la lésion ; 2° Les déviations par
paralysie
, qui se font du côté opposé à la lésion. L. LAN
rve dans les affections de la corde du tympan chez l'homme. Si la
paralysie
du facial au-dessus de l'origine de la corde RE
qualités nor- males du côté respecté, tandis que de l'autre côté la
paralysie
est complète. Quant à la sensibilité, elle es
ne rapidité telle que, dès la troisième ou la quatrième semaine, la
paralysie
n'est plus guère reconnaissable, sauf dans les
es motrices sont inégalement réparties dans ces cordons, puisque la
paralysie
est presque unilatérale le jour même de l'hémis
on à gauche au-dessus de la première, et, à partir de ce moment, la
paralysie
et l'anesthésie sont complètes et définitives d
E. le 17 janvier 1880, dans un état de délire et d'hébétude, avec
paralysie
du côté gauche. Un mois auparavant, cet homme a
eure, complètement aphasique et paralysé' de tout le côté droit. La
paralysie
ne dura que quelques heures, mais l'aphasie per
février 1880, p. 275.) Un homme de 38 ans eut, en février 4877, une
paralysie
du tri- jumeau et du facial du côté droit ; cet
77, une paralysie du tri- jumeau et du facial du côté droit ; cette
paralysie
avait été précé- dée d'une violente céphalée et
tte paralysie avait été précé- dée d'une violente céphalée et d'une
paralysie
du moteur oculaire commun droit. En mars 1879,
u moteur oculaire commun droit. En mars 1879, hémiplégie gauche; la
paralysie
des nerfs crâniens persistant, cette hémiplégie
crâniens persistant, cette hémiplégie guérit. En somme, cé- phalée,
paralysie
du moteur commun, paralysie du trijumeau et du
émiplégie guérit. En somme, cé- phalée, paralysie du moteur commun,
paralysie
du trijumeau et du facial droits, hémiplégie ga
ilatées, surtout la droite, très paresseuses à la lumière. - Légère
paralysie
faciale à gauche ; un peu de monoplégie brachia
iers jours, la malade resta au lit, paraissant comprendre, avec une
paralysie
faciale très marquée. La température oscilla, d
) 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. III. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE CHEZ UN HALLUCINÉ MORT DE CONGESTION C
doute sur l'exactitude parfaite des résultats de l'opération. VI.
Paralysie
générale ET manie SURAIGUE ; par M. DOUTREBENTE
e sujet de cette observation a été atteint en 1878 d'une attaque de
paralysie
générale très nette ; sorti en état de rémissio
e. (Ami. méd. psych., mars 1880.) VII. Faits DE rémission dans la
paralysie
générale A la . suite DE suppurations prolongée
Il. d'O. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 155 II. SUR LE TRAITEMENT DE LA
PARALYSIE
DANS LE PREMIER AGE; par H. G. DAvis. (Boston m
manière et dans le même ordre qui leur avait été enseigné avant la
paralysie
. Chez les enfants, la paralysie survient à un â
leur avait été enseigné avant la paralysie. Chez les enfants, la
paralysie
survient à un âge où n'existe encore aucune habi-
chaque cas ; l'âge du malade, le temps écoulé depuis le début de la
paralysie
, l'aptitude de l'enfant à suivre les instructio
teur a une telle confiance dans le succès de son traite- ment « des
paralysies
fonctionnelles par l'éducation de la volonté »,
pas avoir tort; le point délicat est de savoir ce qu'il entend par
paralysie
fonctionnelle ; car il rapporte un cas de guéri
n cas de guérison obtenue par sa méthode, chez un enfant atteint de
paralysie
du deltoïde avec atrophie muscu- laire complète
aralysie du deltoïde avec atrophie muscu- laire complète; or, cette
paralysie
atrophique du deltoïde chez l'enfant, n'est pas
le; c'est, on le sait, une des localisations caractéristiques de la
paralysie
infantile, dont la lésion anatomique n'est plus
. Paris, 1880. V° Adrien Delahaye et Lecrosnier éditeurs. IV. Des
paralysies
dans les maladies aiguës ; par le Dr L. LANDOUZY.
alite. M. Chauvet ne croit pas la syphilis capable de pro- duire la
paralysie
générale, mais il admet que des symptômes analo
on, devoir restreindre son sujet à ce qu'on appelait autrefois, les
paralysies
essentielles ; encore a-t-il dû se limiter aux
lles ; encore a-t-il dû se limiter aux akinésies, à l'exclusion des
paralysies
de la sensibilité et des nerfs vasculaires. En
reste répondre au titre même de la thèse que de décrire toutes les
paralysies
motrices survenant à titre d'épiphénomène au co
able. Un des premiers chapitres est consacré, et pour cause, à la
paralysie
diphthérique dont les allures particulières, l'an
thérie. Dans les chapitres suivants, M. Landouzy passe en revue les
paralysies
liées aux affections typhoïdes, intestinales (
moires de cet auteur. C'est ainsi que M. Landouzy prend à partie la
paralysie
angineuse vulgaire, et qu'il la fait rentrer da
e la paralysie angineuse vulgaire, et qu'il la fait rentrer dans la
paralysie
diphthérique quand elle est grave, et la nie pr
et la nie presque quand l'angine est légère. Cette négation de la
paralysie
angineuse ne sera peut-être pas admise sans dis-
s frustes d'angine diphthérique : elles s'accompagneraient alors de
paralysie
: ce serait en quelque sorte la signature de ce
t pendant depuis longtemps, il semble bien démontré que souvent ces
paralysies
réflexes étaient l'expression d'une myélite don
partie de la thèse de M. Landouzy est consacrée à la pathogénie des
paralysies
étudiées dans la première partie et à des consi
itement de ces complications des maladies aiguës. Sauf le cas de la
paralysie
diphthérique, il n'existe guère de don- nées an
nées anatomiques suffisantes pour décider de la pathogénie de ces
paralysies
. Il est permis de dire qu'elles ne sont pas essen
s qui permettront dé- sormais de reprendre en détail chacune de ces
paralysies
en ayant un point de départ dans le remarquable
alyse que nous allons faire du tremblement sénile et de celui de la
paralysie
agitante montrera encore mieux le rôle indispen
dire de celui qui se produit lorsque,, la contracture existant, une
paralysie
incomplète'' permet encore à ces malades un cer
actions réflexes du triceps, et vice versa. il , l .i ` i Dans la
paralysie
agitante, la contracture est un des phénomènes
du pouce. L'observation suivante, prise sur un véritable type de
paralysie
agitante, indique bien l'état des divers groupe
uis. Le malade présente tous les symptômes caractéristiques de la
paralysie
agitante ; immobilité de la face, roideur du tron
tracés. Tous ceux que nous avons pris chez les sujets atteints, de
paralysie
agitante ne sont en quelque sorte , que la repr
de la même inter- prétation. En dehors de ces types classiques de
paralysie
agi- tante, il existe quelquefois des cas dans
rvation I ? «<iS' s "'\ )ú.I1111V ij^Tf^'i ex "If Convulsions;
paralysie
infantile. Vertiges. Epilepsie. l3rîcluré etecà
nvulsions pendant plus de 12 heures; figure décomposée; à la suite,
paralysie
de la jambe droite';le bràs du même côté aurait
emble 'symptomatique 1 indique qu'il s'agissait là sans doute d'une
paralysie
, infantile. De 2 à 10 ans, traite- ! ment par l'é
"'1 , , Les premiers accidents ressemblent beaucoup à ceux de, la
paralysie
infantile ;, malheureusement l'examen de la moe
,, de migraines, ni d'attaques,de nerfs. [Père, mort à 85 ans, sans
paralysie
. - ftlète, morte après quatre jours de maladie
ite, M... se tient assis sur son lit et ne présente aucune trace de
paralysie
ni de contrac- ture. L'appétit est perdu; la la
^ étaient indemnes, ce qui explique parfaitement- lîab.- sence de
paralysie
, relevée durant' 'la vie.'11 111nt`I" il,q 5 ^
rouble des cellules nerveuses, décrit par M. Mier- zejewsky dans la
paralysie
générale des aliénés, a été reconnu par nous su
ppellent tout à fait celles que M. jMierzejewsky a décrites dans la
paralysie
générale des aliénés. La connaissance des faits
I n Il ? il1 ." f,1 fil, zejewsky a décrit le développement dans la
paralysie
J .J/. < .... ? ? ,"i i, i . |ii ? i 11 ? Jn
? ,. 1 1." "J.. r enéra e ' nôûs "'avns pas 'un ' sule'f'o'ls rè-
paralysie
générale, nous n'avons pas une seule fois re- D
celles que l'on rencontre dans DE LAT DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 255 la
paralysie
générale progressive. Elles en diffèrent cepen-
diési avec'tant de-^soin; d'un" autres côté, si tandis que, dans la
paralysie
générale' classique ylardésion .atteint.surtout
leptique , ne sontmcornparables'f que ? de loin aux symptômes de la
paralysie
! . générale. Ce m'est qu'à ,la dernière, pério
s- treint d'ailleurs, qui, outre l'épilepsie, sont atteints de la
paralysie
générale ordinaire ; en pareil cas, la 'paralys
mmédiate sur l'anesthé- sie des hystériques nilmème sur' certaines,
paralysies
du mou- vement, et encore moins de vérifier l'a
qu'elle ne s'accompagne pas de contracture musculaire. VIII. DE LA
PARALYSIE
RÉFLEXE ET DE LA NÉVRITE MIGRATRICE; par TREUB.
expériences invoquées par Lewisson et Nothnagel pour expliquer les
paralysies
dites ré- flexes : jamais Treub n'a vu une exci
fût, être suivie d'une abolition du pouvoir excito-moteur ou d'une
paralysie
motrice complète d'un membre. - REVUE DE PHYS
u que, dans ces cas, alors qu'une lésion expérimentale engendre une
paralysie
à distance, la lésion pa- ralysigène se propage
ntres nerveux, d'une façon centripète. Dans ce cas, il s'agit d'une
paralysie
névritique, symptomatique de névrite. Sur six l
scères abdominaux; 2° Altération due à l'hémorrhagie consécutive et
paralysie
du centre altéré qui n'est plus excitable, indi
en- tral du nerf dépresseur du même côté). C. Après excitation et
paralysie
consécutive de l'un des deux centres vaso-dilat
t de la multiplication des chiffres inférieurs. Ch. FcRi : . SUR la
paralysie
saturnine ; par le Dr ALFRED Kast, médecin assi
d'action. Dans les expériences de Mason, il n'y aurait donc pas de
paralysie
saturnine, mais un simple trouble inflammatoire
et mécanique (par le gonflement). L'auteur ajoute le résumé d'une
paralysie
saturnine (chez un fondeur de caractères) qui p
hez un fondeur de caractères) qui présente le tableau ordinaire :
paralysie
des extenseurs, etc. On y constate une fois de pl
i les muscles du thénar fonctionnaient parfai- tement sans trace de
paralysie
ou de faiblesse ; mais ils pré- sentaient la ré
angue, de la face et des muscles respiratoires. Il n'y avait aucune
paralysie
; le coeur était normal et le pouls tou- jours
s de. la mo'eaMcAe de,, la ./cure. infé- gcrieure, diminution fleja
paralysie
? \ 'C' '1 i ['[boIT' 1'1 ! ,mc¡I/UJl -dn iTur
ée* de son affection, mais on, put constater tous- les signes d'une
paralysie
. complète de'facial. sI. Le 18 décembre, l'exam
IJd"'}l : d(f 0 ! 1 't;)1 I.lVll , t 1 JU ........... XIII. CAS DE
paralysie
du grand dentelé A droite. (Serratus major) ; p
ntelé droit étaient sans influence. Il s'agissait donc bienb (Tune,
paralysie
du¡ muscle, grand, dentelé. (Serratus major des t
1 Sb 5 2Vr.r'Tr;rr anse t9 92fH1b'rm st)B3 e11 £ q em9Ía XIV.,DE·LA
PARALYSIE
FACIALE A FRIGORE' ET, EX) PARTICULIER DE 1 SON
et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tent'de'Iocatiser la cause de la
paralysie
, mais n ? aucune relation nécessaire'avec le'de
ction des» cour : ènts'r'électriqûés'surA ? nerf et le' muscle ? la
paralysie
est* de courte'durée ' ;'la 'o'l ? l'Ison est l
iq asI tE>$;1.61 ne 88'IS¡m Le Dr Parinaud croit, que, parmi'les
paralysies
de la troi- sième paire sans mydriase et sans p
parmi'les paralysies de la troi- sième paire sans mydriase et sans
paralysie
de l'accommoda- tion i"en) estlqui.'rsout1.just
te'p;1r dès- : lésiJs intra-cérébrales et constituer une variété dé
paralysie
dissociée ? '' répondant à des lésions isolées-
p ? ^ ..f .fj ? <.)n r ? vrnj'Vi [ili^ILl.'a.l"8 mydiase et sans
paralysie
de 1 accommodation on pourrait dire, queicesica
rl> u : J1'I uu s on ! , *ldm9B 91bJ,Lr.m EJ XVI. Observation DE
PARALYSIE
PSEUDO-HYPERTROPHIQÙE;par" CORNIL. ASoc. médic.
bservation' estldèmble : - d"àbbrd;1 iII's'àg1t t d'un^cas, type de
paralysie
1 pseudo-hyplrtroplliqlïe;)jJ1ensúitê'/ l'affec
de la première dorsale). Le membre supérieur gauche' présentait une
paralysie
complète - , . ? [ ? - 1 1 fi' , f ? ïi ? ,li I
' la jambe' gauches P... , 1-1 .,f ? r ? tc galiel s jointes à la
paralysie
du moteur oculaire commun droit por- taient, d'
lle^se perdait graduellement. ' L'hémiplégie gauche partielle et la
paralysie
du moteur ocu- laire commun droit, observés; pe
tobre, le malade pouvait marcher, mais en chancelant un peu. Pas de
paralysie
; réflexe ro- tulie,n 1 np ? naI. ,Le 11, octobr
et la démarche devient 'chancelante^' bien" qu'il' n'y ait" aucune
paralysie
dés membres. ? "' ' 1 1 ? ? ut I] n'y a général
eur qui ne peut suffire au travail exagéré subitement imposé par la
paralysie
- des artères.^De plus, la paralysie des gros v
agéré subitement imposé par la paralysie - des artères.^De plus, la
paralysie
des gros vaisseauXt abdomi- naux leur permettra
de l'urine, ni l'anesthésie qu'il faut "1 mettre en'cause, mais' la
paralysie
vaso-motrice et l'hyperémie consécutive; "il ad
rr ou, éclate un accès maniaque, nous aurions à prononcer le mot de
paralysie
généralé; sans' l'hésitation" de' M. Lasègue. e
ise M. Lasègue, à ranger le malade' dans une classe admise, dans la
paralysie
générale, sauf à convenir que cette classe cont
1880,' p. 266.) Un enfant de trois ans et trois mois présentait une
paralysie
avec contracture du bras et de la jambe droite
que l'intempé- rance, soit des affections organiques telles que la
paralysie
.générale, soit des influences héréditaires, so
s observé dans les classes supérieures de la société un seul cas de
paralysie
gé- nérale due à l'alcool, il pense que celui-c
tribue 50 p. 100 des cas de folie à l'alcoo- lisme, et croit que la
paralysie
générale n'est presque jamais due à l'alcoolism
'organisme : celui-ci produirait d'abord une excita- tion, puis une
paralysie
des centres nerveux en commençant par les plus
ltat que de produire l'anarchie mentale. M. 1\1oULD (Cheadle). La
paralysie
générale reconnaît souvent pour cause l'alcooli
de 15 mois. Cet enfant présentait, dès le jour de sa naissance, une
paralysie
musculaire de tous ses membres, jointe à la con
vie intra-utérine : quant aux contractures, il les explique par les
paralysies
musculaires, qu'on a pu constater sur le vivant
et la sclérose des circonvolu- tions centrales s'accompagnaient de
paralysie
des mouvements volontaires et de contractures,
t de développement des circonvo- lutions centrales, il existait une
paralysie
ou une parésie du côté opposé du corps. Obser
grincementsde dents, de dé- viations oculaires, de diplopie, ni de
paralysie
des membres; le ventre n'est pas rétracté et l'
upposée n'eût siégé en dehors des points auxquels correspondent les
paralysies
ordinaires, (auquel cas tout diagnostic est dis
dinaires, (auquel cas tout diagnostic est discutable), l'absence de
paralysie
et d'accidents épileptiformes chez cette malade
y a donc une certaine raideur des muscles du dos. Ni diplopie, ni
paralysie
, ni troubles de la sensibilité. Dans ses moments
embres, elle paraît cepen- dant un peu obtuse du côté droit. Aucune
paralysie
. Les mouvements des mains sur la couverture con
il gauche semble un peu plus petit, plus fermé que le droit. Pas do
paralysie
faciale. La constipation est très prononcée; on
381 La sensibilité est conservée des deux côtés, il n'y a pas de
paralysie
ni de contracture des jambes; les réflexes planta
mparable à celui de l'athétose qu'à celui de la chorée. Il n'y a ni
paralysie
faciale, ni contrac- ture du masque. La raideur
it eu des convulsions du côté droit. En présence des accidents de
paralysie
, localisée quoique fugace, qui ont été observés
e dans le lobe frontal de l'hémisphère droit, qui n'a occasionné ni
paralysie
, ni convulsions, ni con- tracture, ce qu'expliq
ffecte des analogies frappantes avec la méningo-encéphalite de la
paralysie
générale. Enfin, malgré l'évidente hy- 1 Archiv
e expérimentale comme en pathologie. Elle peut avoir pour cause une
paralysie
vaso-motrice par suite de section, d'altération
que toute valeur aux cas d'hémiplégie dans lesquels on constate une
paralysie
plus marquée du bras que de la jambe. Certains
ui réunit le pre- mier (1875. Encyclop. de Ziemssen) sous le nom de
paralysie
spinale spasmodique les divers phénomènes ci-de
Troubles divers de la sensibilité. H. D'OLIER. XLIV. SUR UN cas DE
paralysie
DES quatre extrémités ET DES MUSCLES DU TORSE,
nça. Il n'y eut pas le plus léger trouble de la sensibilité, pas de
paralysie
de la vessie ou du rectum, pas de fièvre. Le mi
ce que les mêmes symptômes ne pourraient être produits que par une
paralysie
de tous les nerfs périphé- riques. L'auteur pen
ynbee, on observe le plus souvent, outre les phénomènes partiels de
paralysie
, des convulsions qui manqueraient au contraire,
e la parole depuis six semaines. Au moment de l'entrée à l'hôpital,
paralysie
faciale droite, aphasie, albuminurie, à l'optha
nts syphilitiques paraissant bien éta- blis et datant de trois ans.
Paralysie
subite des deux côtés; au bout de deux ou trois
en commentant cette observation, qu'il ne s'explique pas comment la
paralysie
a pu rester limitée à un seul côté, étant donné
ation de pesanteur dans les membres gauches et huit jours plus tard
paralysie
complète de ces membres et du côté correspondan
subit. Trois jours après, nouvelle attaque; vomissements fréquents,
paralysie
de la main gauche. Cinq jours après l'entrée à
observer aussi d'ailleurs les formes convulsives, épileptiques, les
paralysies
partielles, etc., les manifestations, qu'elles
ement des battemements du coeur, imminence d'asphyxie. C. T. LVI.
Paralysie
bilatérale DES muscles DU larynx INNERVÉS par L
. ORMEROD. (The Lancet, 13 mars . 1880.) Autant sont communes les
paralysies
unilatérales des muscles du larynx ou même les
munes les paralysies unilatérales des muscles du larynx ou même les
paralysies
bilatérales des muscles isolés, autant seraient
des muscles isolés, autant seraient rares, d'après M. Ormerod, les
paralysies
bilatérales intéressant dans sa totalité l'appa
quatorze cas de cette maladie, se décomposant ainsi : trois cas de
paralysie
bilatérale complète de chaque côté ; huit cas d
s cas de paralysie bilatérale complète de chaque côté ; huit cas de
paralysie
bilatérale incom- plète d'un côté; enfin deux c
s de paralysie bilatérale incom- plète d'un côté; enfin deux cas de
paralysie
bilatérale incomplète des deux côtés. Comme on
plète des deux côtés. Comme on le voit, l'inégale intensité de la
paralysie
des deux côtés du larynx paraît être le cas le pl
'examen laryngoscopique permit alors de constater l'existence d'une
paralysie
bilatérale du larynx, incomplète à gauche, et e
ssivement employés sans amener aucune amélioration. H. D'O. LVII.
Paralysie
respiratoire aiguë du larynx; par P. Kocii. (An
e, d'après M. Beard, que chez des filles neurosthé- niques ; 9° des
paralysies
partielles et passagères qui seraient fréquente
nt fréquentes dans la neurosthénie et souvent confondues avec les
paralysies
hystériques; enfin, 10° des maladies organiques d
milieu de juin, on constate chez lui le type clinique complet de la
paralysie
générale. Le 25 janvier 1877, exanthème scarlat
orté sur la psychose. Ainsi les formes secon- daires confinant à la
paralysie
générale ou à la démence se- raient moins sujet
il fallait s'enquérir. Peut-être même pourrait-on trouver dans des
paralysies
du gros intestin la raison de ce défaut d'excré-
leptique, et l'observation indique expressément qu'il y avait de la
paralysie
du pharynx, delaparalysie vésicale. On peut sup
faiblesse des fibres musculaires des parois membraneuses, et cette
paralysie
se trouve exagérée quand l'influx nerveux lui-m
ies avec conscience ». H. D'O. XXXVIII. UNE LEÇON CLINIQUE SUR la
paralysie
générale; par A.-E. MACDONALD. (The médical Rec
teur donne dans cette leçon une description clinique complète de la
paralysie
générale en présentant chemin faisant un certai
alité pupillaire, qu'il l'a maintes fois rencontrée en dehors de la
paralysie
générale, mais qu'elle n'en est pas moins patho
M. XLI. DE L'ENCÉPHALOPATHIE saturnine dans SES rapports avec la
paralysie
générale; par E. RÉGIS. Existe-t-il une paralys
apports avec la paralysie générale; par E. RÉGIS. Existe-t-il une
paralysie
générale saturnine, ou en d'autres termes le sa
e saturnine, ou en d'autres termes le saturnisme peut-il causer une
paralysie
générale vraie ? 2 Telle est la question que ré
entre les symptômes du saturnisme à un certain degré et ceux de la
paralysie
générale. Cependant les différen- ces sont cons
he, différence de pronostic. Pour la dernière, nulle difficulté, la
paralysie
générale essentiellement incurable, la pseudo-p
l a des caractères absolument inverses dans les deux affections. La
paralysie
générale débute lentement, insidieu- sement et
idées de persécutions, tous ces phénomènes étant fréquents dans la
paralysie
générale. Il se peut pourtant qu'à l'analyse on
'excitation et la première période d'exaltation fonctionnelle de la
paralysie
générale; il n'y manque que le ca- chet démenti
pendant, comme l'accès mélancolique, qu'à une manifes- tation de la
paralysie
générale. 4° Observation de M. Baillarger. Femm
it pouvant expliquer l'hémiplégie. M. Bail- larger ne fait dater la
paralysie
générale que de l'époque de l'accès maniaque. R
met de conserver des doutes sur le non-existence dès le début de la
paralysie
générale. (Annales médico-psycholog ., sept. 18
ncéphale et de ses mem- branes. Le délire ressemblait à celui de la
paralysie
générale dont les signes physiques manquaient.
de la rigidité musculaire portant également sur les deux côtés; la
paralysie
persista à la suite de cet accès. Peu de temps
neree e della pelle, 1880.) Observation d'un syphilitique frappé de
paralysie
du bras droit avec hémianesthésie environ un an
3 -ncMgs.chedg a trouvé, e ? 9P ? 1 . ·. m.,JJ ku jl atteint de
paralysie
agitante, un îlot de substance. griser, situé a
dre aussi des autres phénomènes de l'hystérie. La contracture, la
paralysie
, la chorée hystériques sont tout aussi bien que l
servés àla Salpêtrière (contracture), puis par M. Millier de Gratz (
paralysie
). Ils sont devenus depuis tellement nombreux qu
ueparle degré de ceux quinous ontservi de texte jusqu'à présent. La
paralysie
n'est qu'une exagération de l'amyosthénie qui a
que le fait remarquer M. Charcot, la para- lysie hystérique est une
paralysie
à contracture. L'amaurose est MÉTALLOSCOPIE, ME
. Le malade était un petit garçon de deux ans et demi, atteint de
paralysie
infantile, occupant lemembre inférieur droit ; il
occupant lemembre inférieur droit ; il est mort de diplitliérie. La
paralysie
infantile datait de quatre mois et demi. 0 Da
nterruption du cordon nerveux depuis le début jusqu'à la' fin de la
paralysie
. Après avoir résumé l'état de la question, d'ap
mprend l'ensemble des altéra- tions histologiques correspondant aux
paralysies
légères déterminées dans les expériences en que
se et le muscle reprend son aspect normal d'autant plus vite que la
paralysie
a duré moins de temps. Le tissu conjonctif intr
ques, il aurait toujours réussi. P. K. XIV. DE QUELQUES formes DE
paralysie
D'ORIGINE spinale ET périphérique; par C. EISEN
.) Il s'agit, de trois observations concernant : La première, une
paralysie
saturnine, déterminée par une névrite parenclay
priorité ou la production secondaire de la névrite parrapport à la
paralysie
musculaire : à cet égard, le Dr Eisenlohr appelle
e. iles deux autres observations se rapportent à l'histoire de la
paralysie
infantile spinale. Les pièces anatomiques exa-
substance blanche normale (renflement lombaire); telle encore cette
paralysie
générale des aliénés présentant une pénétra- ti
n temporo-pariétale (Hitzig et Ferrier) ; l'hémi- plégie gauche, la
paralysie
de la langue, des masticateurs et du droit exte
par le néoplasme de la moitié droite de la protubérance annulaire (
paralysie
alterne); enfin, les accès épileptiformes sont
ments ; 4° Vertiges; 5° Altération des nerfs moteurs (spasmes et
paralysies
) ? 6° Altération des. nerfs sensitifs (face, me
semble des symptômes d'une lésion en foyer (contracture du bras et
paralysie
de la jambe du même côté), compliqués de thromb
u champ postéro-externe des cordons postérieurs ; symptomatologie :
paralysie
et contracture des extrémités inférieures, trou
endineux, incontinence d'urine. III. De tabes dorsal typique avec
paralysie
finale des extré- mités inférieures, ataxie et
des vaso-constricteurs-des exsudais sanguins buccaux, du fait d'une
paralysie
des vaso-constricteurs en un endroit limité, l'
la thèse de Vincent, qui a étudié le myosis dans le tabès, dans la
paralysie
générale et dans plusieurs autres maladies du s
expansion nor- male, ou même être anormalement dilatées. Dans la
paralysie
progressive des aliénés, l'immobilité pupil- la
l'abolition du réflexe tendineux ? 2 C. T. LXXXVI. Remarques SUR la
paralysie
DU MUSCLE grand DENTELÉ, d'après une observatio
UR la paralysie DU MUSCLE grand DENTELÉ, d'après une observation de
paralysies
atrophiques multiples consécutives au typhus ab
tations paralytiques au bras droit ; quel- ques semaines plus tard,
paralysie
de l'avant-bras gauche. Trois mois après, quand
avant-bras gau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 601 che atrophie et
paralysie
complètes des muscles animés par le nerf radial
et paresthésie du pouce et de l'index gauches ; un peu plus tard,
paralysie
et atrophie de la partie antérieure du deltoïde
s auteurs, son malade pouvait élever le bras du côté où siégeait la
paralysie
du grand dentelé, non pas seulement jusqu'à l'h
it une très nette dans le cas en question. L'auteur pense que ces
paralysies
, avec atrophie, ont été plus probablement de caus
ts DE la sclérose multiloculaire DU SYSTÈME nerveux central avec la
paralysie
générale progressive des aliénés ; par le profe
s, convulsions, parole lente, scandée, mono- tone ; et celles de la
paralysie
générale (délire des grandeurs, tremblements fi
hémorrhagies stomacales dans LE COURS DES AFFECTIONS MENTALES AVEC
PARALYSIE
par Julius KRUEG. (A1'chiv. sur Psychiatrie und
tique, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. Schiff, elles sont dues à la
paralysie
des vaso-moteurs de l'estomac. Pour Ebstein, à
ucune. LXI. Archives cliniques. (Ami. Méd. Psych., janvier 188t.)
Paralysie
générale chez un imbécile, observation de M. Chri
le, observation de M. Chris- 61 se REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tian ;-
Paralysie
générale amenée àrémission par des bains pro- l
ation de la cataracte, observation de M. Baillarger; Démonomanie et
paralysie
générale, observation d'Esquirol. REVUE DE THÉR
peu de temps seulement, il l'applique dans les cas de chorée et de
paralysie
.. Sur neuf cas de chorée, deux fois les effets
hémianesthésie. Dans le premier cas, la guérison fut complète ; la
paralysie
du mouvement aussi bien que de la sensibilité d
troubles ont été observés depuis un léger érythème facial, dû à la
paralysie
vaso-motrice, jusqu'à l'incapacité presque enti
ro- forme et acide formique. Troubles cirulatoires succédant à la
paralysie
vaso-motrice, etc., oedèmes, ulcérations, etc.
l en est de même pour la belladone et l'hyoscyamine. Dans un cas de
paralysie
agitante, par la combinaison de la quinine et d
résistants et torpides. Les névralgies par irritation spinale, les
paralysies
motrices d'origine péri- phérique, les troubles
née et la dilatation pupillaire; 2° la forme angioparaly tique avec
paralysie
vaso-motrice, produisant la congestion unilatér
tent paralysés. Quand les enfants survivent indéfiniment, tantôt la
paralysie
reste définitivement constituée sous la forme h
nitivement constituée sous la forme hémiplégique; d'autres fois, la
paralysie
diminue peu à peu et il ne reste plus qu'une pa
ie cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez les,premiers, la
paralysie
y est moins prononcée, et les jointures n'ont g
remiers ,mois qui suivent l'état de mal convulsif 'qui a précédé la
paralysie
. L'arrivée de l'accès est annoncée par une aura
connaît ces manifestations, ce sont des troubles de nutrition, des
paralysies
partielles, des anesthésies limitées ; aux trou
des, l'état lisse de la peau; la contracture accompagne souvent les
paralysies
limitées; enfin les troubles de la sensibilité
par Ilartdegeu, 583 ; -parKussmaul et)Ieyer ? 8". Grand dentelé (
paralysie
du), par Baumler, 600. Glycosurie (rapports d
, par Galezowski, 475. Hémorrhagies de l'estomac au cours de la
paralysie
, par Krueg, 608. Hémorrhagie cérébrale, sous-ar
Neurasthénie (conséquences de la), par G. Beard, 470. Névrite (
paralysie
réflexe et), mi- , gratrice, par Treub, 278.
ride et James, 474. Otite (méningite aiguë après), par Ross, je
Paralysies
dans les maladies aiguës, par Landouzy, 166.
oss, je Paralysies dans les maladies aiguës, par Landouzy, 166.
Paralysie
, des quatre membres et du'torse (par une myélit
66; du larynx et ses rapports avec la tétanie, par Haddon, 467.
Paralysie
(traitement de la) dans le premier âge, par Dav
aralysie (traitement de la) dans le premier âge, par Davis, '153.
Paralysie
agitante(altérationsprotn- bérantielles de la),
ie agitante(altérationsprotn- bérantielles de la), par Luys, 326.
Paralysie
chez l'enfant (traitement de la), par Davis, 33
26. Paralysie chez l'enfant (traitement de la), par Davis, 334.
Paralysie
chez l'enfant, par Brad- fort, 301. Paralysie
, par Davis, 334. Paralysie chez l'enfant, par Brad- fort, 301.
Paralysie
faciale (pronostic de la), à frigore, par de Wa
sie faciale (pronostic de la), à frigore, par de Wattevitle, 298.
Paralysie
du grand dentelé, par Banda, 298. Paralysie g
de Wattevitle, 298. Paralysie du grand dentelé, par Banda, 298.
Paralysie
générale (lésions de la), chez un halluciné, pa
149; par Macdonald, 483; et encé- phalopathies, par Régis, 484.
Paralysie
générale (études graphi- ques sur la), par Cham
aralysie générale (études graphi- ques sur la), par Chambard,326.
Paralysie
générale {rapports de la), et de la sclérose mu
e la), et de la sclérose multiloculaire, par Fr. Schultze, 607.
Paralysie
pseudo - hypertrophique cinq cas de), par Steel
e cinq cas de), par Steele et Kings- ley, 297; par Cornil, 300.
Paralysie
infantile (examen de la moelle dans un cas de),
ile (examen de la moelle dans un cas de), par B. Bramwell, 573.
Paralysie
réflexe et névrite migra- trice, par Treub, 278
573. Paralysie réflexe et névrite migra- trice, par Treub, 278.
Paralysie
(sur la), saturnine, par Kast, 282. Paralysie
, par Treub, 278. Paralysie (sur la), saturnine, par Kast, 282.
Paralysie
spinale, par Eisenlohr. 578. Paraplégie spasm
8. Paraplégie spasmodique (trois cas de), par J. Hussell, li53.
Paralysie
de la 3e paire, dissociée dans la syphilis céré
mpératures cérébrales (tempéra- tures périphériques et), dans les
paralysies
, par Blaise, 34 ? ;- par Maragliano, 633. Tem
Thérapeutique. Traitement de la folie, par Burman, 154 ; de la
paralysie
dans le premier âge, par Davis, 155; la tonga c
CULAIRE. il quant au nom que Seeligmùller donne à cette maladie «
Paralysie
spinale hypertrophique spasmodique » , nous ver
supérieurs ou des muscles de la langue et de la face.- Quant à la
paralysie
pseudo-hypertrophique, nous ne voyons pas qu'el
s étaient hypertrophiés, il peut être bon de rappeler que dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, c'est d'une véritable pa
ue dans la paralysie pseudo-hypertrophique, c'est d'une véritable
paralysie
qu'il s'agit; les muscles les plus volumineux s
et. En tout cas, nous ne saurions souscrire à la qua- lification de
paralysie
spinale spasmodique hypertro- 2 1. CLINIQUE NER
use et même erronée sur plusieurs points : d'abord ce n'est pas une
paralysie
, et quant à la na- ture hypertrophique, elle no
CIENCE. ! 17 et ils ne s'en doutent pas. On peut donc dire que la
paralysie
générale est une maladie essentiellement in- co
qui met sur la voie du diagnostic de la maladie. En dehors de la
paralysie
générale et de l'épilepsie, mes observations pr
En deux mots, on peut dire que cliniquement on avait affaire à une
paralysie
spasmodique des membres inférieurs, accompagnée
ole et de l'intelligence. Migraine OPIITIL1L)IIQUI : au DÉBUT d'une
paralysie
générale ; par le Dr H. P.1RI\.1UD. Dans une
ans le Progrès médical, M. le professeur Charcot signale des cas de
paralysie
générale dont le début est marqué par des accès
de distribution avaient pour l'expli- cation de certaines formes de
paralysie
labio-glosso-laryngée (Voy. Arcla. de Phys., 18
ile, la petite malade adoptant le même mode de manger que dans la
paralysie
associée du facial et du trijumeau (branche masti
lève sa nourriture ou qu'on reste longtemps sans s'occuper d'elle :
paralysie
totale du tronc et des extrémités, sans raideur
fonction sera entravée quand l'appareil musculaire ne jouera plus (
paralysie
faciale), quand la soupape muqueuse n'ouvrira p
troubles du côté delà sensibilité, et de réflexes patellaires ; une
paralysie
vésicale modérée avec incontinence nocturne et
la suite d'un rhuma- tisme articulaire aigu, est sous le coup d'une
paralysie
des extenseurs de l'avant-bras gauche, et de tr
ices sont demeurées excellentes, excepté à droite, où il existe une
paralysie
presque absolue du jambier antérieur, ainsi qu'
auteur de trois étages sur le siège en 1874. Perte de connaissance,
paralysie
passagère des bras, pa- raplégie pendant trois
n novembre. Folie systé- matique chronique typique. Amaigrissement.
Paralysie
pres- que complète. Ilyperesthésie des jambes.
al, l'une étant pour lui le point de départ de l'autre. P. K. IX.
Paralysie
BULBAIRE apoplectique avec anesthésie AL- TERNE
iennent les lésions du bulbe, celles de la pro- tubérance, avec les
paralysies
alternes et celles des pédoncules. M. Duret ter
question n'est pas élucidée. Jeudi 22 juin. Séance de jour. De la
paralysie
saturnine, par le D1' Weber (de Boston). On sait
encives était cependant peu apparent. M. Putnam a vu un cas où la
paralysie
saturnine simulait la myélite ; la guérison fut
fait et il croit que souvent le diagnostic est impossible entre la
paralysie
saturnine et l'inflam- mation des cornes grises
ises; mais contrairement au Dr Weber, il loca- lise la lésion de la
paralysie
saturnine dans la moelle. M. Edes était autrefo
, membres correspondants. Observation de myélite des cornes grises (
paralysie
spinale), par M. GinEY.Après avoir fait l'histo
culaire pro- gressive, l'angine de poitrine, la maladie de Bell, la
paralysie
diphthérique, etc. 11 a échoué dans la chorée ;
V. Mars 1883. N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PA
UVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PARINAUD. Dans l'élude des
paralysies
motrices de l'oeil, on semble admettre que la l
ansions de ces noyaux dans les autres parties de l'encéphale. Les
paralysies
d'origine centrale revêtent deux formes particu
le revêtent deux formes particulièrement intéressantes. Ce sont les
paralysies
partielles ou dissociées de la troisième paire,
es j'ai déjà appelé l'attention (Société de Biologie, 1880), et les
paralysies
des mouvements associés des yeux qui font l'obj
ces faits, a déjà signalé les connexions qui les expliquent. - La
paralysie
conjuguée des mouvements de latéralité peut nou
. Il n'est pae sans intérêt de rappeler que le point de départ de
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces trava
X. 147 ces travaux a été dans l'observation clinique. En 1858, la
paralysie
conjuguée latérale a été bien décrite par M. Fo
décrite par M. Foville fils qui, remarquant ses rapports avec la
paralysie
alterne que MM. MiHard et Gubler venaient de fa
es, vint confirmer ses prévisions et démontrer que cette forme de
paralysie
relève d'une lésion siégeant au ni- veau de l'e
fait par des fibres commissurantes; car une incision, même super-
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 149 ficielle,
rprétation des faits ; aussi me bornerai-je à citer des exemples de
paralysie
des prin- cipales formes de mouvements associés
ves pour servir à leur étude anato- mique. Lorsque les types de ces
paralysies
seront bien connus, on distinguera plus facilem
oir trouver de précieux éléments dans cet ordre de symptômes. Ces
paralysies
sont loin d'être rares, et il est sin- gulier q
par les caractères de la diplopie. Or, on méconnaîtra forcément les
paralysies
associées, si l'on se borne à l'étude de la dip
existe, elle n'offre généralement rien de caractéris- tique. Les
paralysies
de ce genre seront surtout re- connues par l'ex
ar l'exploration objective des mouvements oculaires. Les faits de
paralysie
des mouvements conjugués latéraux commencent d'
is antérieurs ; il a en outre remarqué qu'il y a d'autres formes de
paralysies
associées, dont il cite des exemples, et que j'
placent dans le même sens, par rapport à l'axe du corps. Ils sont
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 151 très nomb
l'axe antéro-postérieur que l'on trouve souvent modi- fiés dans les
paralysies
musculaires. Je les signalerai dans les observa
cile de grouper les formes plus com- plexes. J'étudierai donc les
paralysies
des mouvements sui- vants : a) Mouvements par
NERVEUSE. A. Mouvements parallèles horizontaux. Observation I. -
Paralysie
conjuguée latérale gauche. Parésie du côté droi
e instinctive, elle n'est occasionnée ni par la contracture,niparla
paralysie
des muscles du cou. La paralysie oculaire intér
nnée ni par la contracture,niparla paralysie des muscles du cou. La
paralysie
oculaire intéresse à la fois le droit externe d
rgence. Tous les autres mouvements ont leur amplitude normale. La
paralysie
conjuguée est d'ailleurs incomplète, elle n'occa-
fait apparaître la diplopie, qui présente tous les caractères de la
paralysie
de la sixième paire gauche (Images homonymes sa
fs i ce malade m'ont été fournis par son médecin M. le Dur Girou.
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 153 diane.) L
48 kilog. à gauche. Le 2-2 juillet, je constate l'état suivant : la
paralysie
conju- guée est plus prononcée; elle s'accompag
sont normaux. La diplopie con- serve toujours les caractères de la
paralysie
de la sixième paire gauche. Les pupilles sont é
marquée à tomber à droite, dès que le malade essaie de marcher. La
paralysie
de la face est très peu prononcée ; on constate
ralytiques ont été limités aux muscles de l'oeil. Cette forme de
paralysie
, qui me fit porter dès le début le diagnostic d
à la recherche de la diplopie, laquelle signifiait simple- ment :
paralysie
incomplète de la sixième paire gauche. Lorsqu'u
gauche. Lorsqu'une lésion de la protubérance produit le syndrome
paralysie
conjugée des yeux, hémiplégie, et paralysie fac
e produit le syndrome paralysie conjugée des yeux, hémiplégie, et
paralysie
faciale, cette dernière est ordinairement du mê
lysie faciale, cette dernière est ordinairement du même côté que la
paralysie
oculaire, qui est également celui de la lésion
he; mais j'ai fait remarquer qu'elle n'était le résultat ni d'une
paralysie
, ni d'une contracture des muscles du cou, que l
du champ visuel où la vision était meilleure. Ces attitudes sont
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 155 fréquente
PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 155 fréquentes dans les
paralysies
oculaires. La déviation, du reste, serait dans
déviation des yeux et du côté opposé à la lésion. Observation II.
Paralysie
conjuguée congénitale droite. Nystagmus dans la
ible dans aucune direction. Observation III. Sclérose en plaques.
Paralysie
conjuguée latérale droite. Nystagmus. Paralysie
clérose en plaques. Paralysie conjuguée latérale droite. Nystagmus.
Paralysie
de l'hypoglosse avec atrophie de la langue du c
Symptômes oculaires. Impossibilité de porter le regard à droite. La
paralysie
intéresse le muscle droit externe droit et le d
us prononcé pour l'oeil droit, où il est même exagéré du fait de la
paralysie
à peu près complète de l'abducteur. Le regard à
signalerai la déviation de la langue à gauche en rapport avec la
paralysie
de l'hypoglosse et l'atrophie de l'organe du côté
hie de l'organe du côté droit. Le facial n'est pas intéressé. Les
paralysies
associées sont fréquentes dans la sclérose en p
souvent défaut et qu'elle n'existe pour ainsi dire jamais quand la
paralysie
est ancienne. Dans la sclérose en plaques, la p
is quand la paralysie est ancienne. Dans la sclérose en plaques, la
paralysie
conjuguée est presque toujours accompagnée de n
nystagmus. Cette coïncidence n'est pas propre à cette affection,
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIES DES YEUX. 157 et nous l
ulement dans l'Observa- tion 111, mais dans l'Observation II, où la
paralysie
conjuguée et le nystagmus sont d'origine congén
res. Il n'y a pas lieu dès lors de s'étonner qu'il coïncide avec la
paralysie
de ces mouvements. Lorsque la paralysie conjugu
er qu'il coïncide avec la paralysie de ces mouvements. Lorsque la
paralysie
conjuguée latérale est peu prononcée, son diagn
onvergence. Dans les cas douteux, le diagnostic se pose entre une
paralysie
de la sixième paire, c'est-à-dire du muscle dro
ie de la sixième paire, c'est-à-dire du muscle droit externe, et la
paralysie
conjuguée. Or, dans le cas de paralysie du droi
muscle droit externe, et la paralysie conjuguée. Or, dans le cas de
paralysie
du droit externe de cause périphérique, le droi
raction exagérée. Il y a même des cas que j'ai signalés (Spasnze et
paralysie
des muscles de Poeil, Gazette hebdomadaire, 187
sence d'une hémiparésie des muscles du côté opposé et surtout d'une
paralysie
alterne de la face et des membres appellera l'a
ie conjuguée. B. Mouvements parallèles verticaux. Observation IV.
Paralysie
de l'élévation et de l'abaissement dans les deu
ans les deux yeux avec conservation des mouvements de laté- ralité.
Paralysie
de la convergence. Sey..., 67 ans. Pas de malad
onsulter le 8 février. Je constate comme phé- nomènes oculaires une
paralysie
à peu près absolue de l'éléva- lion et de l' ab
- lion et de l' abaissement dans les deux yeux. L'impotence fonc-
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 1 .}'J tionne
it fixer les deux yeux simul- tanément ou séparément. Tandis que la
paralysie
est complète et égale dans les deux yeux pour r
d'une sorte d'impulsion ; qu'elle ne s'accompagne pas d'ailleurs de
paralysie
appréciable des mem- bres. La sensibilité cutan
ons d'une lésion voisine. La tendance à tomber du côté gauche, sans
paralysie
appréciable des membres, plaide également dans
lésion occupait manifestement ce siège. Quant au mécanisme de la
paralysie
associée dans les deux yeux, je ne tenterai pas
tenterai pas de l'expliquer. Je ferai seulement remarquer que cette
paralysie
n'est pas aussi complexe qu'elle semble l'être
noyau, vers l'angle supérieur du quatrième ventricule. L'absence de
paralysie
du droit interne pour les mouvements de latéral
it interne pour les mouvements de latéralité s'explique très bien
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 161 par le fi
ux ont insisté. L'observation suivante nous offre le même type de
paralysie
moins complet. Observation V. Paralysie du mouv
ous offre le même type de paralysie moins complet. Observation V.
Paralysie
du mouvement de convergence et d'élévation dans
d'un objet rapproché développe un strabisme divergent du fait de la
paralysie
complète du mou- vement de convergence. Les m
hmidt (loco citato), nous aurons trois variétés d'une même forme de
paralysie
ainsi constituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS
trois variétés d'une même forme de paralysie ainsi constituées :
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 163 peut, lir
ent apparaître, même avec un verre coloré. Il existe en outre une
paralysie
à peu près complète de l'ac- commodation sans m
té- rieure du pédoncule. Il est aplati à son origine et divisé en
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 165 quatre 'o
e utilisée pour une locali- sation précise telle que la comporte la
paralysie
du mouvement de convergence. Nous devons cepend
dans l'observation suivante. Observation VII. Sclérose en plaques.
Paralysie
du mouvement de convergence. 11-e Ane.... cin
ergence. Les .observations suivantes appartiennent à une forme de
paralysie
caractérisée par l'impossibilité de ramener les
e parallélisme. Le trou- ble moteur ne peut pas s'expliquer par une
paralysie
partielle de l'un des muscles abducteurs droit
ir qu'en désignant les faits de ce genre du nom un peu incorrect de
paralysie
du mouve- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
faits de ce genre du nom un peu incorrect de paralysie du mouve-
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 167 Î ment de
nt de divergence, j'ai surtout pour but de les oppo- ser aux cas de
paralysie
de la convergence, dont ils forment assez exact
lésions unilatérales des mouvements d'abduc- tion. Cette forme de
paralysie
est essentiellement caracté- risée par une dipl
ppeler combien les images ont de la ten- dance à s'écarter, dans la
paralysie
même très légère d'un muscle, quand on porte la
ans toutes les directions du regard. Cette diplopie, imputable à la
paralysie
du mouvement de divergence, est ici d'autant pl
e divergence, est ici d'autant plus remarquable qu'elle est asso-
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. IG9 ciée à un
pas, dans les faits de ce genre, de s'arrêter au dia- gnostic de
paralysie
de la quatrième paire, bien que l'erreur soit p
m'en convaincre en consul- tant d'anciennes observations. Dans la
paralysie
conjuguée latérale, double et incom- plète, com
e interprétation qui explique celle que je viens de décrire par une
paralysie
des mouvements parallèles, lesquels ayant une g
plitude dans l'état physiologique, produisent toujours, dans leur
paralysie
, un écartement plus ou moins prononcé des image
ment intéressé. On se rend très bien compte au contraire de cette
PARALYSIE
DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171 forme de
cette faiblesse aug- menta progressivement et devint une véritable
paralysie
ren- dant impossibles tous les mouvements volon
ieure droite : parésie du tri- ceps et des muscles de l'avant-bras,
paralysie
absolue des flé- chisseurs des doigts, atrophie
épourvu de toute sensibilité aux membres inférieurs, en proie à une
paralysie
motrice géné- ralisée, et présentant dans une é
t d'ouverture de l'anode et du kathode dans différentes maladies (
paralysie
faciale de Bell, section nerveuse ancienne, atrop
alogues à ceux obtenus par les sections nerveuses chez les animaux,
paralysie
pseudo-hypertrophique; les formules normales y
a science. P. M. XVII. Le TREHXLEMKNT sénile et ses nwrouus avec la
paralysie
AG ! T.1N'fF.; parE. Démange. [Revue de médecin
à la nature de l'affection, l'auteur, se basant sur l'existence de
paralysies
agitantes frustes si différentes des cas ordinair
a duré deux mois et demi. D. B. XXII. MAL perforant du pied dans la
paralysie
générale. (Note communiquée à la Société de méd
ette note comprend l'histoire détaillée de deux malades atteints de
paralysie
générale chez lesquels s'est développé un mal per
istian, tient compte de la rareté relative du mal perforant dans la
paralysie
générale, car il ne connaît pas d'autres cas que
iiidienne, les troubles rectaux et vésicaux avaient fait écarter la
paralysie
ascendante aiguë. D. B. XXIV. THE NERVOUS SYMPT
de citations exactes, l'auteur a voulu montrer qu'à l'instar de la
paralysie
générale et de la sclérose en plaques, l'ataxie
ir- , montre quelques photographies concer- nant un nouveau fait de
paralysie
isolée du muscle grand dentelé, survenue chez u
les hommes, que l'on ren- contre bien plus de syphilitiques dans la
paralysie
générale que dans toute autre forme de psychose
e la vérole. La question des rapports des excès alcooliques avec la
paralysie
générale provoque les observations de M. Grurr.
Grurr. Les faits qu'il a recueillis l'entraînent à conclure que la
paralysie
générale d'ori- gine alcoolique se différencie
e la paralysie générale d'ori- gine alcoolique se différencie de la
paralysie
générale ordinaire. La première se fait.effecti
rgi- randière. Thèse de Paris, 1883. Contribution à l'étude de la
paralysie
bilatérale des dilatateurs de la glotte ; ,- pa
De l'hystérie gastrique; par Deniau. Thèse de Paris, 1883. De la
paralysie
du nerf radial par compression temporaire; par
supérieurs de la circonvolution pariétale ascendante, détermine une
paralysie
des deux membres (supérieur et inférieur) du cô
ysie des deux membres (supérieur et inférieur) du côté opposé, sans
paralysie
de la face H. Et plus loin, ils ajoutaient : «
ére'etc' gauclze. ltla- q(es d'épilepsie partielle. Extension de la
paralysie
au membre supérieur gauche. Plaque de méningite
bras gauche resta paralysé. ' État actuel (9 mars). Il existe une
paralysie
flaccide du membre supérieur et du membre infér
82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Au membre inférieur, la
paralysie
est absolue. Tout au plus la malade peut-elle e
ire, tuberculose méningée. Et se fondant sur )la localisation de la
paralysie
au membre infé- rieur dans les premiers, temps
nse. R. 59; P. 120. DES LOCALISATIONS MOTRICES PU CERVEAU. 277 La
paralysie
motrice est toujours absolue. Le membre infé- r
.. En résumé, dans lé cas précédent, nous avons eu affaire à une.
paralysie
limitée tout d'abord au membre . ues, o ·m i y.
lle n'a pas dormi de la nuit, cause.des,doulçurs dans la jambe : La
paralysie
dulmembro. inférieur gauche., est complète : 'l
lques jours après -cet accident, nous constatons chez le malade une
paralysie
motrice complète, occupant tout le membre infér
;rpd'li,ls;8 ? Diarrhée, et aspect cachectique. Le surlendemain, la
paralysie
s'étendait au bras gauche ; d'abord simple paré
ie s'étendait au bras gauche ; d'abord simple parésie, mais bientôt
paralysie
to- tale avec sensation de, froid aux extrémité
`)It>JWtif W lyJ , oici un z complelus ctintque.peu commun ? une
paralysie
limitée 11 1,1 i' .«Ullljl.il' i I -' 1 1 J d
., - ? ' 1 ' -.1 1 ? t isolée ou secondairement associée a a autres
paralysies
la ? . a 1 iy ,l ? "') ? "*>;" ? a,y ? ^ /rk
itive de l'un,des membres] pelviens et plus tard ex- tension de- la
paralysie
, au, memhre"supérieur,,corr es- pondant ; dans
, memhre"supérieur,,corr es- pondant ; dans ceux de la seconde, la;
paralysie
, jusqu'à la fin, est Testée limitée.à la jambe.
é lui-même les premiers symptômes de la tuberculose, fut pris d'une
paralysie
avec lnjpcresthésie du membre inférieur \ gauch
upérieur : Ils'ait'd'un homme de cinquante et un ans,'ayaht eu une.
paralysie
dé-la jambe droite complète, incurable,3- accom
a jambe droite complète, incurable,3- accompagnée au- début d'une
paralysie
partielle et rapidement guérie du bras droit, à
ralysie complète de la jambe droite, puis, au septième jour, une
paralysie
du bras droit. A la suite de la tré- panation,
au lobule paracentral et qui s'était traduite ciiniquement par' une
paralysie
localisée au membre inférieur du coté opposé. Nou
"filbts 1 niôtèüg 'd'ufi" iierf, 1 iiii,te l'pour ' provo- quer des
paralysies
'ou''des"amyotrophies. 'En'fait;1 l'hypothèse é
ne se produiraient-elles pas plus fréquemment dans le cours- de la
paralysie
spinale infantile ou de l'atrophie musculaire p
5011 1 tr1·n·w· rlyvl r 11..111 , 1, n Iff lï 1 1tn ,.mï ; u . de
paralysie
; la face restait, tirée à gauche, la malade, étai
déepaiâlysie flâsqué eôüqde' 1 nepeuventfemouvon" tes'symptômes de
paralysie
ilasque ou de cb'ntracturéstes plus accusées'l'
re,, un peu plus tortueux a'gauche. Opacité du cristallin a droite.
Paralysie
des deux moteurs oculaires externes ? strabisme
rités que présente l'observation que nous .venons, de signaler : la
paralysie
faciale, la lésion trophique.de la face à bulle
u ;, laire des cornes antérieures de la moelle ? Plusieurs cas de
paralysie
localisées, comme ceux de M. Erb, survenus souven
1 se ? » 10 , -il VU ? v ., 2°, par les exsudats ménmgiens, dans la
paralysie
générale des ' '. f , ' L' 'I "'D : U ? IIIUOII
parence périphérique, , lé, même doute peut s'élever à propos de la
paralysie
saturnine du membre supérieur -.«par exemple, q
r" - i ment combine correspondant, mais non pas nécessairement la
paralysie
de'chaque muscle' qui entre`en action' Le' degré'
1%.·'( ,itro(rt i|, i,j.,T|ftPsi. r»'r.r-r ,~ ...1, , .,..... r : j
paralysie
dun muscle innerve par plusieurs racines dépendra
mun , à la plupart , des muscles animes par' le " radial dans ? la0
paralysie
saturl7 nine;'pat : exelpplé;ou`'côniinerit il
1t1 n'D" n - Les -lésion's, limitées 'de la moelle dans, des cas'de
paralysie
,. , . n tn , r SI W· JtutJ6t.W ? aa -. 1 1) i
nsibilité, l'intégrité de la contractilité électrique excluaient la
paralysie
générale spi- nale antérieure subaiguë de Duche
ysie générale spi- nale antérieure subaiguë de Duchenne. Quant à la"
paralysie
spinale générale diffuse subaiguë du môme auteu
s éléments médullaires, pareille à celle qui permet la guérison des
paralysies
et des amyotro- phies réflexes, la guérison de
on des paralysies et des amyotro- phies réflexes, la guérison de la
paralysie
générale spinale an- térieure subaiguë., Gommen
vidus sains d'esprit;' il a choisi comme - terme de- comparaison la
paralysie
générale qui ''constitue, à - ,son sens, unei m
VI. Contribution A L\ pathologie et A l'anatomie pathologique DE LA
PARALYSIE
PROGRESSIVE; par Vacher. (AL'clv. f. l'srll. ît.
rvenl ? \llf, f.) ,Io ° L'auteur relate une observation complète de
paralysie
générale ayant en oliti e 1)1'éSelzté 1c syndro
ie générale ayant en oliti e 1)1'éSelzté 1c syndrome clinique de la
paralysie
spinale spasmodique, sans que l'examen microsco
s la rubrique : Une forme mixte, cotis/t- tuant la transition de la
paralysie
progressive, ci la sclérose multilocu- Liire en
e; dans le cerveau, de la congestion corticale et des lésions de la
paralysie
générale sans foyers scléreux nulle part. Intég
;, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION.DES cordons postérieurs dans la
PARALYSIE
GÉNÉRALE ? , par C.,\1'ESTrIIAL.I(.lrclv. f. Ps
i in n Ili if i ... 1 Il, - i Ï 1 (If, ,. ,). ,' t Les=deux cas de
paralysie
générale progressive, dont il s'agit ici, sont'
d'une machine du côté atteint),, combinées avec les symptômes de là
paralysie
géné- rale. On note également des tremblements
? i / REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 délire aigu relevant de la
paralysie
générale. « Il est certain, ajoute-t-il, que bi
its sous le titre de délire aigu, ressortissént comme celui-ci à la
paralysie
générale. » P. K. XXIII. SUIt LI ? l'R.\ITEllRN
soirée, il était complètement rétabli etn'of- frait aucune trace de
paralysie
. Le 17 mai, les mêmes phénomènes, moins les con
e à forme larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). Certaines formes de
paralysie
générale se manifestent aussi par des symptômes
rras de la prononciation a aussi fait penser à la possibilité d'une
paralysie
générale. Ce ne sont là que de simples conjectu
euses de Berlin', dans lequel l'autopsie décelait les lésions de la
paralysie
générale. Or, malgré l'existence d'un névrome f
emande pas davantage de spécifier si l'origine de la vésanie est la
paralysie
générale, l'hystérie ou l'épilepsie, mais uniquem
xante ans, M'autopsie desquels on constate à la fois des lésions de
paralysie
générale (adhérences, épaississement des méning
s symptômes psychiques et somatiques mixtes, relevant les uns de la
paralysie
générale, les autres de l'athérome plus ou moin
faire ad- mettre l'opinion de l'auteur. M. Cullerre n'admet pas la
paralysie
générale sénile de M. A. Voisin, qui, dans les
é une prédominance des lésions athéromateuses sur les lésions de la
paralysie
générale, rares ou partielles ; parce que l'adm
rale, rares ou partielles ; parce que l'admission de cette forme de
paralysie
générale sénile subordonnée presque uniquement
quement à l'athérome généralisé, porterait atteinte à l'unité de la
paralysie
générale. L'auteur, dans ses conclusions, dit q
tifs, qui ne sont pas sans analogie avec ceux qu'on observe dans la
paralysie
générale : quelques malades présentent de l'em-
lie. En outre, dans certains cas, il peut y avoir confusion avec la
paralysie
générale ; la distinction est d'autant plus diffi
alysie générale ; la distinction est d'autant plus difficile que la
paralysie
générale peut affecter la forme circulaire (Espia
lac'stre, Fabre, etc.) et que la folie à double forme peut comme la
paralysie
générale se développer concurremment avec l'ataxi
ce, l'idiotie et les vésanies. L'antagonisme de l'épilepsie avec la
paralysie
générale est nettement affirmé; par contre, iacoi
es faits mêmes de SI. Bénard et le myosis, symptôme principal de la
paralysie
du sympathique, n'est jamais VARIA. 419 signa
es d'aliénés de Itussie (1848), sa thèse d'agrégation (1853) sur la
paralysie
générale progressive, des mémoires variés dans
onge chez les enfants 113 20. Migraine ophtalmique au début d'une
paralysie
générale, par Pa- rinaud, 57. TABLE beys MATI
aire apoplectique avec anesthésie alterne, par Senator, 10 ! 1.
Paralysie
des mouvements associés des yeux, par l'arinaud
Paralysie des mouvements associés des yeux, par l'arinaud, 145.
Paralysie
isolée du grand dentelé, 360. Paralysie satur
ux, par l'arinaud, 145. Paralysie isolée du grand dentelé, 360.
Paralysie
saturnine, US. Paralysie générale (mal perforan
aralysie isolée du grand dentelé, 360. Paralysie saturnine, US.
Paralysie
générale (mal perforant du [lied dans la), par
générale (mal perforant du [lied dans la), par Christian, 2'iG.
Paralysie
générale, 36'i. Paralysie générale (migraine op
[lied dans la), par Christian, 2'iG. Paralysie générale, 36'i.
Paralysie
générale (migraine oph- Par" 1 ïSi e au (inigi,
Par" 1 ïSi e au (inigi,aiiie opli- thalmique au début d'une), 57.
Paralysie
générale (lésions des cor- dons postérieurs dan
Tremblement sénile, par Thébeault, 41n; dans ses rapports avec la
paralysie
agitante par Démange, 2 ? Tremblemeutobservé
des maladies inflammatoires du cerveau, et en parti- culier de la
paralysie
générale. « Les violences exté- rieures exercée
, etc. Le pronostic lui paraît défavorable : 7 fois il observa la
paralysie
générale. Enfin l'autopsie, qu'il put pra- tiqu
is leur attention me paraît s'être portée trop exclusivement sur la
paralysie
générale et l'épilepsie. En 1853, dans sa thè
e d'affections et de lésions cérébrales ne soient l'origine de la
paralysie
générale... Tantôt c'est une chûte grave, tantô
e violente sur la tête; l'intelligence s'était fort peu développée.
Paralysie
générale : mort de péritonite. A l'autopsie, ad
se de fusil sur la tête; laissé pour mort sur le champ de bataille.
Paralysie
géné- rale. Mort à Charenton après quatre ans d
erie, quarante-huit ans. Violent coup de sabre sur la tête en 1870.
Paralysie
générale. Meurt à Charenton en septembre 1883,
Ils peuvent se compliquer, suivant le siège de la bles- sure, de
paralysies
musculaires, de perte d'un organe (oeil, nez, e
neuf ans, chute sur la tête du haut d'un trapèze : il lui resta une
paralysie
incomplète avec atrophie des muscles du côté gauc
erdu. Cinq ans après, premiers signes de déran- gement mental, puis
paralysie
générale qui nécessite son place- ment dans un
uze ans, chute. sur la tête, fracture et enfoncement des os du nez.
Paralysie
générale à la suite d'un séjour prolongé en Alg
ble particulier de la vision chez les paralytiques \ Au cours de la
paralysie
pro- gressive, après une attaque épileptiforme
Riva, dans un récent travail sur l'anatomie patholo- gique de la
paralysie
progressive des aliénés, ont trouvé, sur seize
itatives, soit destrutrives, et déterminant les épilepsies ou les
paralysies
corticales, est aujourd'hui assez sûr pour que
ibles. Con- servation relative des mouvements réflexes de la queue.
Paralysie
véscale et anale. Température, 39°,2. 8 juill
20, il commence à traîner la patte postérieure gauche. A Il h. 25,
paralysie
complète de la molilité de cette patte. OO CLIN
Mère nerveuse, névralgies, céphal- algies. - Grand'mère maternelle,
paralysie
faciale. - Tante ma- ternelle et arrière-grand-
rveux et jouit d'une bonne santé. - Mère, a eu il y a trois ans une
paralysie
faciale unilatérale, qui persiste, à la suite d
s, t. iVllI. 9 - 130 REVUE CRITIQUE. tiré de bons effets dans les
paralysies
oculaires. En Amérique, MM. Dana, Hammond, Mort
le P'' Char- cot, la méthode a été appliquée à 8 sujets atteints de
paralysie
spasmodique, à 3 affectés de maladie de Friedre
spasmodique, à 3 affectés de maladie de Friedreich, et à 4 cas de
paralysie
agitante. Les malades atteints deparaplégie spas-
'unejeune fille de treize ans, soignée par M. Blocq. Dans le cas de
paralysie
agitante, après l'appli- cation du traitement (
'impuissance liés à la neurasthénie. L'amélioration dans les cas de
paralysie
agitante, de myélite transverse, d'hémiplégie c
des symptômes parétiques aggravés à la suite du traitement; 5° une
paralysie
radiale, passagère sans doute due à la com- pre
s deux heures par les anastomoses. Ces expériences expliquent les
paralysies
de courte durée que certains chirurgiens ont vu
iers ou du quart antétieur des deux lobes frontaux n'a amené aucune
paralysie
, ni aucun trouble delà sensibilité, ni modifica
al correspondant aux aires excitables de la face externe, et que la
paralysie
produite par l'ablation' des gyrus marginaux se
tion accompagnée de pièces microscopiques à l'appui, relative à une
paralysie
de la vessie et du rectum après une précipitati
s et les cellules chromopholes. MM. GLUCK et Bernhardt. Un cas de
paralysie
traumatique du radial guérie par une suture sec
la bandelette optique qu'il se rend. M. PETERSSEN-13011STI : L. Des
paralysies
générales qui tiennent aux campagnes militaires
e), mais ce n'est qu'au bout de neuf à quinze ans que se déclare la
paralysie
générale classique. Absence de syphilis. Deux d
ses {ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie,
paralysie
agitante). Volume in-8 de 1G9 pages, a\ec 1 fig
lésions étant absolument diffuses, comme dans les démences où la
paralysie
générale a son terme, une telle recherche DE LA
rvir; ce sont surtout, en pathologie, les mémoires ayant trait à la
paralysie
générale pro- gressive qui nous ont servi, cett
annulaires, d'après Ranvier. Ce réseau de fibres est altéré dans la
paralysie
générale, au dire de Tuczek, confirmé par les r
VII. - B..., trente-quatre ans, commis au minis- tère de la guerre.
Paralysie
générale à forme démente. Entré en janvier 1879
e, mais souffrant beaucoup de céphalalgies : en 1880, il mourait de
paralysie
générale. L'autopsie ne me révéla aucune partic
ligence s'affaiblit, lamémoirp. se perdit, et le malade, atteint de
paralysie
générale, dut être placé dant un asile, où il m
is les attaques sont rares. A cinquante-deux ans, délire ambitieux,
paralysie
générale. A l'autopsie, vaste dépression sur le
sé d'éprouver dans la tête de violentes douleurs : il a fini par la
paralysie
générale. J'ai eu, depuis, l'occasion d'observe
'est plus le même, et quelques années après il estem- porté par une
paralysie
générale. Dans ce cas, n'est- on pas autorisé à
é à dire que la chute sur la tête a été la cause déterminante de la
paralysie
générale, à la- quelle le sujet avait toute cha
délire de persécutions, folie circulaire, ou dé- mence, épilepsie,
paralysie
générale', non pas indiffé- remment, mais suiva
n maniaque, avec des idées de grandeur, qui peut faire croire à une
paralysie
générale. Mais il n'y a pas de tremblement mani
de torpeur , enfin la marche de la mala- die n'est pas celle de la
paralysie
générale : depuis plus de 7 ans le malade reste
entre eux est plus court : Un capitaine d'infanterie, atteint de
paralysie
générale, est placé à Charenton. La famille, le
1 h. 46 à 1 h. 46, décompression brusque 50 secondes. A 1 h. 51 m.,
paralysie
transitoire de la patte postérieure gauche ayant
de 8 h. 2 ni. à 9 h. 3 m., décompression 1 minute. A 10 h. ' 48 m.,
paralysie
du train postérieur qui rapidement ascendante p
membres inférieurs et du supérieur gauche. A 6 heures environ, la
paralysie
disparaît avec le développement d'une sensation
plongeur se porte parfaite- ment bien, quand au bout de ce temps la
paralysie
commence à revenir peu à peu aux mêmes membres
cident, ce scaphandrier a pu marcher à l'aide d'un appui. Plus de
paralysie
du membre supérieur. A ce moment, les membres i
teurs inférieurs les expriment en tremblement, rigidité légère et
paralysie
; b, les centres psycho-corticaux supérieurs, en
alogie dans l'activité de la glande thyroïde et celle des reins, la
paralysie
ou un affaiblissement de l'activité des reins, en
ique ; 6° démence organique et sénile ; sociétés savantes. 275 7°
paralysie
générale ; 8° Folies névrosiques (hystérie, épile
IER fait observer que dans la deuxième ou troisième pé- riode de la
paralysie
générale, alors que l'énergie motrice est souve
intéressantes, touchant le diagnostic de cette affection d'avec la
paralysie
géné- rale. On peut ainsi résumerrapidement les
se fonder pour les distinguer : 1° le délire hypo- condriaque de la
paralysie
générale a un caractère de soudaineté, d'incohé
par la morphine (Voisin); 4° l'hérédité est moins manifeste dans la
paralysie
générale, qui débute de trente-cinq à quarante-ci
nq à soixante ans, plus fréquente chez la femme (à l'encontre de la
paralysie
générale) ; le délire hypocondriaque dans la ly
M. Falret. M. BRUNET (delà Charité) traite de la spécificité DE la
paralysie
générale ou PÉRICÉRÉBRITÉ, suivant le nom qu'il
de Lille) communique un travail sur l'arthritisme comme cause DE la
paralysie
générale. Le rapport intime qui existe entre le
mps signalé par M. Charcot, se remarque aussi en ce qui concerne la
paralysie
générale. Sur 30 paralytiques généraux, M. Lemo
ets aux poussées congestives, c'est surtout sous cette forme que la
paralysie
générale se manifeste chez eux. Aussi M. Lemoin
vail sur la PROGRESSION corrélative DE la FOLIE ALCOOLIQUE ET DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE ( voir plus haut le Congrès internatio
e a plus que doublé depuis quinze ans. Il en est de même des cas de
paralysie
générale. D'où l'auteur conclut à l'influence n
bien irrévocable. M. PIERRET (de Lyon) parlant de L'ÉTIOLOGIE DE la
paralysie
générale confirme et complète dans une certaine
. CHRISTIAN lit un travail sur les rapports DE LI syphilis et de la
paralysie
générale. Ces rapports sont nuls selon lui. Tout
iencéphalite chro- nique. Cliniquement, il n'existe pas non plus de
paralysie
géné- rale syphilitique et en outre, à ce point
t parfaitement bien se transfor- mer en d'autres maladies mentales (
paralysie
générale par exem- ple) et aboutir à la démence
de la cocaïne. M, LAURENT présente, au sujet d'une observation de
paralysie
générale, quelques considérations sur la genèse
atisme peut jouer aussi un rôle étiolo- logtque (maladies mentales,
paralysie
agitante, etc.). Dans les cas de 7,Étilway-spii
eaucoup plus des grands processus cérébraux et en particulier de la
paralysie
générale. 111. DUPONCHEL fait entrevoir certain
s derniers' moments d'une femme de qua- rante-huit ans, atteinte de
paralysie
Labio-glosso-p7aaz°yngée, dont 111. Oppenheim a
alade en quatre mois. Les symptômes constatés furent les suivants :
Paralysie
avec atrophie des muscles des lèvres et diminut
des lèvres et diminution considérable de l'excitabilité électrique,
paralysie
de l'orbiculaire des paupières (lésions du faci
rira en détail. M. S1GMERLING. Etude clinique et statistique sur la
paralysie
pro- gressive chez la femme. Le nombre des femm
o- gressive chez la femme. Le nombre des femmes qui, affectées de
paralysie
générale, ont été admises à la Charité de Berlin
lytiques femmes des classes sociales moyennes et inférieures. La
paralysie
générale liante la femme surtout entre trente-six
l a vu cinq fois le mari et la femme être simultanément affectés de
paralysie
géné- rale ; tous deux étaient syphilitiques.
rapport est donc bien de 1 à 3,5. M. WESTPIIIL a vu trois fois la
paralysie
générale atteindre le mari et la femme ; dans u
malade qui, à la suite d'une chute sur le siège, est atteint d'une
paralysie
complète de la vessie et du rectum avec anesthé
tance de l'érection, mais impossibilité d'éjaculer, par suite de la
paralysie
des bulbo.et ischio-caverneux. M. OPPENIIEIM. C
déglutition, des accès de vomissement et de toux convulsifs, de la
paralysie
des cordes vocales, des contractions spasmodiques
ses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie,
paralysie
320 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. agitante). Volu
RCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE MIGRAINE OPHTALMIQUE ET
PARALYSIE
GÉNÉRALE Par M. le D' Paul BLOCQ, Chef des tr
certaines observations où elle appa- raissait dans le tableau de la
paralysie
générale et de l'hystérie, semblèrent indiquer
n ce qui a trait aux rapports de la migraine opthahnique et de la
paralysie
générale.. 1. Dans les faits auxquels nous fais
ent appartenir aux prodromes, déjà si multiples et si variés, de la
paralysie
générale. Quoi- qu'en somme, la théorie pathogé
re la migraine ophtalmique et F hystérie. MIGRAINE OPHTALMIQUE ET
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 323 3 l'existence de cette corrélatio
ïncidence, ou si réellement la migraine dépend dans ces cas de la
paralysie
générale. En effet, cette combinaison, pour vra
ns précédentes, maiscomme accident survenu dans le cours même de la
paralysie
générale confirmée, présente un notable intérêt
scintillant. La démarche est titubante les MIGRAINE OPHTALMIQUE ET
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 325. mains tremblent, la langue tremb
de réelle valeur en faveur de la corrélation, du syndrome et de la
paralysie
générale, et de la. commune dépendance des deux
près qu'ont apparu les signes révélateurs et caractéristiques de la
paralysie
générale. Dans notre ' Parinaud. - Migraine oph
érale. Dans notre ' Parinaud. - Migraine ophtalmique au début d'une
paralysie
gêné raie. (Arch. Neurologie, 1883, p. 57.) M
né raie. (Arch. Neurologie, 1883, p. 57.) MIGRAINE OPHTALMIQUE ET
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 327 -i observation, au contraire, la
qu'au cours de la méningo-encéphalite diffuse. Observation III. -
Paralysie
générale. Accès, incidents d'hémi- paresthésie,
is », tout en s'atténuant, sans s'accom- . pagner à aucun moment de
paralysie
. La malade ne boitait pas, .et se servait de la
L'urbiculaire des lèvres el la langue sont migraine ophtalmique ET
paralysie
générale. 329 animés de secousses fibrillaires
ter ici que sur la combinaison de la migraine ophtalmique avec la
paralysie
générale, on nous permettra de faire re- marque
s après cet accès, un an après les phénomènes vagues du début de la
paralysie
générale que la ma- lade fut prise d'un accès d
server de nou- - veaux exemples de migraine ophtalmique suivis de
paralysie
générale, et leur nombre joint aux précé- dente
ion de la migraine ophtal- mique soit au début, soit au cours de la
paralysie
générale, n'offre pas la seule valeur théorique
ue de ce symptôme, connaissant ces rapports de la migraine et de la
paralysie
géné- rale. Cet embarras de la parole n'est-il
l une combinaison des deux affec- tions ? migraine ophtalmique ET
paralysie
générale. 331 Eh bien, précisément la malade do
guérison à l'aide du traitement bromure', tandis que si c'est la
paralysie
générale qui est en jeu, on devra s'attendre à
s'accroître d'autant plus qu'on aura affaire à une de ces formes de
paralysie
générale dite congestive par M. Falret, forme d
'affection ne soit sympto- matique, on recherchera des symptômes de
paralysie
générale, et en tout cas, même en l'absence de
r la nature de cette rela- tion de la migraine ophtalmique et de la
paralysie
générale. Sans doute, y a-t-il là plus qu'une c
d'apparition et de succession des accidents de la migraine et de la
paralysie
générale, comme au point de vue anatomique la p
ne ophtalmique comme syn- drome, soit au début, soit au cours de la
paralysie
générale, tient à la localisation spéciale qu'a
dé- DE LA SUBSTANCE GRISE. 333 terminer, les lésions propres à la
paralysie
générale viennent à occuper, soit au début, soi
t plus nom- breux à cause de l'atrophie du cerveau. C'est pour la
paralysie
générale que cette opinion a été émise, quoique
iculier le carmin et rappelant la forme des éléments araignée et la
paralysie
générale. La substance blanche est infiltrée d'
un reflet jaunâtre et hyalin comparable à celui des cellules de la
paralysie
générale, elles sont tuméfiées et leurs prolong
les réactions excito-motrices de l'écorce cérébrale, et auquel les
paralysies
du mouvement et de la sensibilité générale doiv
on des cellules nerveuses de ces centres ? Rien de plus net que les
paralysies
motrices qui succè- dent à l'ablation et aux lé
icales ; mais de quelle nature sont ces phénomènes de parésie ou de
paralysie
des mouvements ? Le chien auquel on a enlevé le
es mouvements dépendant de la section corticale circonscrite, et la
paralysie
motrice succéder à l'ablation de la même région
de médecins et de physiologistes qui n'aient recueilli des cas de
paralysie
de la sensibilité générale et du mouvement, ou
serve que les lésions des parties de l'écorce qui déterminent des
paralysies
motrices entraînent après soi des troubles de l
s troubles de la sensibilité cutanée... accompagnent le début de la
paralysie
elle-même dans la plupart des cas, quelquefois mê
efois lésés - isolément. Nothnagel croit donc que l'existence des
paralysies
du sens musculaire sans paralysies mo- trices e
l croit donc que l'existence des paralysies du sens musculaire sans
paralysies
mo- trices est d'une importance capitale pour u
mportance capitale pour une con- ception théorique de la nature des
paralysies
corti- cales motrices. Selon lui, le lobe parié
e la circonvolution de Broca peut produire une aphasie motrice sans
paralysie
de l'hypoglosse; d'autre part, une lésion du te
e lésion du territoire cortical de l'hypoglosse peut déterminer une
paralysie
pure de l'hypoglosse. De même, une lésion du lo
pariétal pourrait produire une ataxie pure des extré- mités sans
paralysie
motrice, et, d'autre part, une lé- sion des cir
e part, une lé- sion des circonvolutions centrales déterminer une
paralysie
motrice sans abolition du sens musculaire '. Po
tion donne lieu à des phénomènes moteurs, et la - destruction à des
paralysies
, doivent être regardés comme «de vrais centres
teurs, et ne sont pas- autre chose. Si, au lieu d'être suivie d'une
paralysie
, leur destruction n'entraîne qu'une parésie des
et le retour de la motilité volontaire dans les parties frappées de
paralysie
, sans recourir à aucune des théories proposées
e typique à la lésion de ces ganglions. On sait aujourd'hui que les
paralysies
motrices dues aux hémorrhagies du noyau lenticu
d'une action à distance exercée sur la capsule interne, et que ces
paralysies
rétrocèdent, ce qui n'est pas le cas lorsqu'une
lètement détruits et transformés en kystes sans qu'il ait existé de
paralysie
motrice, pourvu que la capsule interne fût deme
'innervation motl icr dont jouis- sent ses doigts et ses mains. Les
paralysies
produites par les lésions de ces centres moteur
me les légers états parétiques de quelques groupes de muscles, sans
paralysie
ni anesthésie véritables, consécutifs aux lésio
on irrésistible à courir, à accomplir des mouvements de manège, les
paralysies
totales des extrémités, les contractures des mu
elle aucune vraisemblance, et a contre elle la persistance de la
paralysie
des mouvements volontaires chez l'homme et chez
nservée. Cette ataxie motrice des extrémités est l'effet, non d'une
paralysie
motrice, mais d'une para- lysie de la sensibili
aire : grâce à cet artifice, Hitzig avait pu abandonner l'idée de
paralysie
. » - Mais, avec son étrange pénétration, Hitzig
Ni l'un ni l'autre ne sont tombés dans l'explication banale d'une
paralysie
véritable. Les troubles de la motilité volontai
pation des aires excitables des membres, il n'existât qu'une simple
paralysie
de la sensibilité tactile des extrémités, comme
et par la vue, puisque, d'après Schiff lui-même, il n'existe pas de
paralysie
du mou- vement 3 ? Mais c'est des Anglais que
d'un cen- tre moteur cortical ne consistent pas uniquement en une
paralysie
ou une parésie du mouvement, mais aussi en une
érifier l'existence des phénomènes décrits par Munk; seulement, ces
paralysies
de la motilité, il ne les attribuait pas à des
ment, ces paralysies de la motilité, il ne les attribuait pas à des
paralysies
de la sensibilité générale, à la perte des imag
écution de tout mouvement volontaire ou intentionnel, bref, à des
paralysies
psychiques. Luciani soutenait que, mêlés aux vr
après l'ablation du centre cortical du membre postérieur gauche, la
paralysie
du mouvement et de la sensibilité s'étendrait p
totale de la zone dite motrice,' · les phénomènes de parésie ou de
paralysie
affectent-' ils non seulement la motilité volon
s unifor- mément à toute la moitié opposée du corps ? - Non; 'les
paralysies
sensitivo-motrices qui succèdent à la .décortic
illi pourront toujours répondre que la suppléance des phénomènes de
paralysie
peut s'ef- fectuer, au moins en partie, grâce a
consécutifs à une lésion unilatérale de la zone exci- table ; la
paralysie
était naturellement plus intense du côté opposé
l répète, dans ces Leçons, que, dans les monoplégies corticales, la
paralysie
n'est pas limitée à un membre d'un seul côté ;
ATHOLOGIE NERVEUSE I. NOTES cliniques SUR LES HÉIIORRHAGIES dans L1
paralysie
GÉNÉ- RALE; par Geo. H. SAmAGE. (The Journal of
cutanée et comme indice d'un état général. Chez un homme atteint de
paralysie
générale à forme très aiguë, il vit apparaître
it en raison de ses rapports avec les autres hémorrhagies dans la
paralysie
générale des aliénés. ' R. M. C. II. SUR la pré
s aliénés. ' R. M. C. II. SUR la prétendue fragilité DES OS dans la
paralysie
générale; par le Dr T. CURl5TI.\N. (The Journal
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. renton sur la fragilité des os dans la
paralysie
générale sont au- jourd'hui bien connues, sinon
ptées; nous nous bornerons donc à rappeler que pour M. Christian la
paralysie
gé- nérale n'entraîne par elle-même aucun accro
une transition entre les lésions les plus carac- téristiques de la
paralysie
générale d'une part, et de la méningite chroniq
ue l'on sait être fatalement mortelle à une période avan- cée de la
paralysie
générale. Enfin, clans le troisième cas, la suf
e et des symptômes de goilre exophlhalmique. XI. Pathogénie de la
paralysie
AGIT.a\TE; par M. J. Teissier. (Lyon méd., 1888
le du grand sympathique (Pierrel). résulte de ces faits : 1° que la
paralysie
agitant ne doit plus être considérée comme une
e, en un mot symp- tomatique. G. D. XVII. Maladie DE DUPUYTREN. -
Paralysie
générale, arthritisme^ par le Dr Régis. (Gaz. m
almaire dans la main 440 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. droite, enfin de
paralysie
de l'oeil droit. Atteint bientôt après de paral
roite, enfin de paralysie de l'oeil droit. Atteint bientôt après de
paralysie
générale, il présente des convulsions épileplifor
vation a la réalité d'une parenté morbide entre l'arlhritisme et la
paralysie
générale. G. D. XVIII. Note sur un cas D'UÉMORR
uche et des membres du côté droit avec anesthésie incomplète et une
paralysie
des deux nerfs de la (te paire. A l'au- topsie
G. D. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. T. LE traitement i;L1'CTRIQUE DE la
paralysie
faciale par REfROI- DISSEMENT ; par C. EGELiSJO
ar C. EGELiSJOE<.(Ce)<)'<i ? \M ? )/e : 7<[., 1887.) La
paralysie
faciale rhumatismale est des plus heureusement
Dans la collection des cas de tabès paralytique syphilitique et de
paralysie
générale de même nature traités par lui dans ce
stic. Après avoir éliminé les cas de tabes dorsal paralytique et de
paralysie
générale, il nous reste 33 observations dont 29
les, les vomissements, le.' névrites (névralgies, ophthatmoptégies,
paralysies
des nerfs craniens de la base) témoi- gnent d'u
gt-quatre mélan- coliques, neuf hystériques, huit maniaques, quatre
paralysies
générales, trois folies systématiques, une hébé
des et de pièces anatomiques). - L'Observation 1 concerne un cas de
paralysie
bulbaire aiguë. L'auteur, après avoir fait la d
n malade, insiste sur la difficulté de distinguer sûrement entre la
paralysie
bulbaire franche et la pseudo-paralysie bulbair
s lésionsprincipales doivent occuper le bulbe, le^diagnostic sera :
paralysie
bulbaire aiguë vraie. On a affaire à une artérite
que avec thrombose et ramollissement consécutifs. - Observation II.
Paralysie
bulbaire chronique compliquée de para- lysie bu
à l'Assemblée. Le diagnostic a été déterminé pendant la vie par la
paralysie
associée des yeux, la convergence n'ayant pas sub
qui, après avoir été affecté d'accidents vasomoteurs, et surtout de
paralysie
vasomo- trice,estactuellement atteint d'une gan
halique, - démence après mélancolie, con- valescence de mélancolie,
paralysie
générale), qui, sans avoir jamais présenté d'af
e loco- motrice progressive, la sclérose en plaques, l'hystérie, la
paralysie
agitante; maladies auxquelles on doit toujours
on doit toujours penser quand il 1 FAITS DIVERS. 467 I s'agit de
paralysies
transitoires ou à répétition ou en dehors de la
iplégie liée à la sclérose en plaques d'avec l'hémiplégie liée à la
paralysie
générale progressive. L'hémiplégie hystérique
ve. L'hémiplégie hystérique se reconnaît à l'absence ordinaire de
paralysie
faciale, à la présence au contraire de l'hémispas
nocturne par la sensation de chaleur, le masque facial propres à la
paralysie
agitante. Charpentier. FAITS DIVERS Asiles
n Bel- gique. 469. Alcoolique (progression de la folie et de la
paralysie
générale), par Ramier, Ball, Régis, 279 ; - (
tic des - syphilitiques, par Nannyn, iî5. Maladie de Dupuvtren et
paralysie
OEénerale, par Régis, 439. Médecine légale (c
halie, par Bourneville et Camescasse, 28. Migraine ophthahmque et
paralysie
générale, par Blocq, 321. Musculaire (dystrop
par Percy : : imita, 268. Paraldéhyde (intoxication parla),316.
Paralysie
ay taute(pathoâénte delà), par Teissier, 438.
a),316. Paralysie ay taute(pathoâénte delà), par Teissier, 438.
Paralysie
de la vessie et du rectum, par Oppenheim, 152 ;
vessie et du rectum, par Oppenheim, 152 ; par Bet- nhardt, 300.
Paralysie
(labio ? losso-pharyngée), nar Remak, 297; trai
297; traitement électrique de la faciale, par Enelsk,joPn, 410.
Paralysie
générale (trn mt aux cam- pagnes militaires), 1
ses par la), par Raoult, 129. Syphilis (rapports de la- et de la
paralysie
générale), par Christian, 281; Ballet, 281. S
UROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Hallucinations psycho-motrices dans la
paralysie
générale; A. MARIE, n J.-B. BIJVAT, Médecin
peut porter sur les images HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES : DANS LA
PARALYSIE
. 3 graphiques, et on a l'hallucination psycho-m
nts épileptoïdes sont à celles des centres moteurs », l'étude de la
paralysie
générale, dont les lésions diffuses frappent in
sa conclusion : « Les hallucinations sont très fréquentes dans la
paralysie
générale, elles peuvent être observées dans tou
motrices verbales graphiques sont considérees comme rares dans la
paralysie
générale. Cela tient peut-être, d'une part, à ce
es à l'apogée de la phase de dynamie fonc- tionnelle initiale de la
paralysie
générale au début ou au déclin de périodes de c
u recueillir dans les auteurs sur ce trouble morbide au cours de la
paralysie
générale. La première observation est tirée d'E
livre (1SS0), fait allusion à l'existence, chez un sujet atteint de
paralysie
générale (diagnostic con- firmé à l'autopsie) d
é une observation personnelle complète avec examen microscopique de
paralysie
générale avechallu- cinations psycho-motrices v
de 1894 ; en voici le résumé : « Signes somatiques et psychiques de
paralysie
générale. Accès mélancoliques passagers, accès
s une thèse récente sur les hallucinations psycho- motrices dans la
paralysie
générale (Paris. n° 334, mai 1900), Maurice Ric
Leroy, Sérieux, en y ajoutant un cas inédit. Il estime que, dans la
paralysie
générale, les hallucinations - motrices verbale
'hallucinations psycho-motrices ver- bales, observés au cours de la
paralysie
générale, sont très peu nombreux jusqu'ici dans
n raison des lésions anatomiques habituellement obser- vées dans la
paralysie
générale, certains auteurs se sont demandés'si
c la généralisation très précoce dans l'immense majorité des cas de
paralysie
générale. M. le professeur Joffroy, dans la thè
Saint-Antoine avec un certi- ficat du U' Londe, faisant mention de
paralysie
générale, et, après être passé par le service d
ice de l'admission où M. Magnan a délivré le certificat suivant : «
Paralysie
générale avec idées ambitieuses incohérentes; h
illions en quatre ans, vivait séparée de son mari. Un oncle mort de
paralysie
générale. Le malade est marié, a deux enfants,
mplètement le snmmeil. 11 présente tous les signes somatiques de la
paralysie
générale : ses pupilles sont inégales et ne réa
éposséder. En 489a, il avait eu un ictus qui aurait été suivi d'une
paralysie
de l'oeil gauche. A son entrée, il se présente
nts vermicu- laires, il a un ptosis à gauche et un certain degré de
paralysie
faciale qui donne une dissociation mimique très
entré à Villejuif, venant de l'Asile clinique avec le diagnostic de
paralysie
générale, G mars 1900. Antécédents. Père viva
philis et a été traité : il s'est marié en 1886 et en 1891 a eu une
paralysie
faciale. Depuis cette date il a eu de fréquents
s génital étudié chez les' mêmes malades : aux trois périodes de la
paralysie
générale'; Par le D' E. 11.1Ra\UO\ DE \fONT1'EL
ital chez les para- lytiques généraux : . DU SENS GÉNITAL DANS LA
PARALYSIE
GENERALE. 15' Il résulterait de nos constatatio
tations que l'état normal du sens génital se trouve surtout dans la
paralysie
générale de l'âge moyen; en effet, notre tablea
ement après cinquante ans. Il résulte de ces deux faits que dans la
paralysie
générale tardive, celle survenant à la cinquant
être relevé, le sens tactile étant altéré. DU SENS GÉNITAL DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 17 altérations des deux sens quand on
les altérations du tact et les altérations du sens génital dans la
paralysie
générale. Le sens atgésique a été trouvé par no
, quarante-quatre ans, journalier, entré le DU SENS GÉNITAL DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 19 20 octobre 1891. Première période.
toutes les femmes de la terre en lançant sa semence à la ronde. La
paralysie
générale a évolué chez ce malade avec une extrê
ériodes et s'est éteint dans le marasme. Or DU SENS GÉNITAL DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 21 1 la fin il a conservé son impuiss
vérifiera l'exactitude de nos assertions. DU SENS GÉNITAL DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 23 Nous n'avons trouvé non plus aucun
i les altérations du sens génital aux deux premières périodes de la
paralysie
générale sont proportionnelles à l'intensité de
cher. Il convient de se demander si les causes qui ont déterminé la
paralysie
géné- rale n'exercent pas une influence sur les
in. I. En suivant les mêmes paralytiques aux trois périodes de la
paralysie
générale et en utilisant l'observation directe, l
nital a été constamment en croissant du début' la terminaison de la
paralysie
géné- rale. , IX. Il résulte de nos renseigne
en sens inverse, la première augmentant et DU SENS GÉNITAL DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 27 -1 les deux autres diminuant de fr
ccen- tuation, elles peuvent grandement aider au diagnostic de la
paralysie
générale à la période prodromique, de même leur
nt en avoir, quand son mari, qu'elle aimait beaucoup, fut frappé de
paralysie
générale et placé à l'Asile de Ville-Evrard où
0.) Les travaux antérieurs sur ce sujet permettent de diviser les
paralysies
congénitales des muscles oculaires en deux catégo
ralysies congénitales des muscles oculaires en deux catégories : in
Paralysies
isolées; 2° Paralysies associées. Après étude d'u
es muscles oculaires en deux catégories : in Paralysies isolées; 2°
Paralysies
associées. Après étude d'un cas très intéressan
à la classification indiquée plus haut une troisième catégorie : 3°
Paralysies
complexes, carac- térisées par la réunion des é
xes, carac- térisées par la réunion des éléments suivants : ptosis (
paralysie
du droit supérieur), paralysie ou parésie des d
nion des éléments suivants : ptosis (paralysie du droit supérieur),
paralysie
ou parésie des droits interne, externe et infér
ur), paralysie ou parésie des droits interne, externe et inférieur,
paralysie
ou parésie des obliques (plus rare), intégrité
huit jours après l'opération. L. D. X. Contribution à l'étude de la
paralysie
post-tabétique ; par , GARBINI. (Il Manicomio,
mènes dorso- lombaires. La forme clinique la plus fréquente de la
paralysie
générale post-tabétique est la forme maniaque.
s'écoule de trois à cinq ans entre le début du tabes et celui de la
paralysie
générale qui évolue plus repidement que dans la
lésions anatomiques réunissent celles des deux affections tabes et
paralysie
générale. L. D. XI. Sur l'analgésie épigastriqu
'aboutit a aucune conclusion bien neuve. L. D. XII. Une épidémie de
paralysie
spinale infantile ; par SmONL1. (Gaz : , deglio
L1. (Gaz : , degliosped., 1899,43.) L'auteur rapporte cinq cas de
paralysie
spinale infantile obser- vés dans le même villa
importance au rhumatisme articulaire aigu dans l'étio- logie de la
paralysie
infantile. Ces cinq cas furent observés dans de
re très élevée qui persista longtemps. Chez les quatre autres, la
paralysie
s'établit définitivement avec atrophie musculai
normaux. IL y a quatre ans, céphalalgies, et engourdissement, puis
paralysie
d'abord des doigts, ensuite de la main, enfin d
cidents syphi- litiques des centres nerveux y sont très rares. La
paralysie
générale et le tabès ne se rencontrent jamais dan
es. M. Ballet. Ceci montre bien que l'argument de la rareté de la
paralysie
générale chez les Arabes syphilitiques n'infirme
que tous sont syphilitiques et l'on ne rencontre jamais chez eux la
paralysie
générale, ni le tabès. Leur terrain n'est pas e
sthénie bulbaire et enfin dans les affections organiqups vraies les
paralysies
bulbaires. Chez les G4 -il SOCIÉTÉS SAVANTES.
t dans les extrémités du même côté. Le côté atteint est para- lysé (
paralysie
de la face et du bras, parésie de la jambe). Les
quents. Depuis une quinzaine de jours le côté atteint est frappé de
paralysie
. Le nombre des accès pen- dant le séjour du mal
de trente-neuf ans, admis à l'asile en février 1898, atteint d'une
paralysie
générale qui se termina rapi- dement : le 14 oc
e, 1901, n° 4.) Il s'agit d'un enfant de dix ans qui présentait une
paralysie
complète des membres inférieurs avec abolition
s tendineux et cutanés l'auteur a été amené il conclure que dans la
paralysie
spasmodique s'il y a toujours une exagération d
vations IX et X mon- trent des lésions de la corne d'Ammon, dans la
paralysie
progrès sive des aliénés et la démence secondai
s troubles vasculaires, les auteurs ne pensent pouvoir invoquer une
paralysie
des centres ou des nerfs vaso-constricteurs qui
ec exagération considérable des réflexes. Ils concluent que dans la
paralysie
spasmodique due à une myélite dorso- lombaire i
ude de. la pathogénie des symptômes de . lésions en foyers dans la'
paralysie
générale des aliénes; par W. A. I)IOUIIITOW : (
es fonctions corticales autour des circonvo- lutions marginales. 3°
Paralysies
et spasmes temporaires et réci- divants : mydri
ence de manifestations hystériques. l'OULARD, XIX. Cas anormal ' de
paralysie
saturnine, suivi d'autopsie par" w Dr B." "' 0,
esease, Alarch 1900.) L'intoxication saturnine : donna lieu à une
paralysie
' flaccide complète des deux extrémités inférie
onne qui a une forme complexe de migraine, avec aphasie temporaire,
paralysie
et paresthésie, peut un jour avoir des attaques
stoire des ascendants. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 145 XXII.
Paralysie
de Landry; par Philip COOMBS KNAPP et John Jenks
d Mental Desease, février 1900.) Il s'agit de trois nouveaux cas de
paralysie
de Landry dont un avec autopsie. · Résumé du
mme bien portante est subitement prise de faiblesse et plus tard de
paralysie
des membres inférieurs, s'étendant aux bras, au
Homme bien portant subitement pris de faiblesse des jambes, puis de
paralysie
complète s'étendant aux muscles abdominaux, aux
subitement pris de faiblesse dans les jambes, augmentant jusqu'à la
paralysie
complète et s'étendant aux muscles abdominaux et
n : Ces trois cas présentent trois terminaisons diffé- rentes de la
paralysie
de Landry, et en même temps invitent à quelques
'aux nerfs crâniens. ' Bien que la substance toxique qui produit la
paralysie
de Landry soit, comme le plomb, élective, et se
f. Ces caractères se sont vus, bien que rarement, dans des cas de
paralysie
de Landry. Dans les deux cas qui guérirent il y e
muscles au faradisme. Un des carac- tères les plus frappants de la
paralysie
de Landry, qui fut donné par Landry lui-même et
et confirmé- depuis par la majorité des auteurs, est l'existence de
paralysie
complète sans atrophie mus- culaire et sans cha
dans les réactions électriques. Westphal, en 48 îfi, définissant la
paralysie
de Landry, disait qu'elle était caractérisée pa
ucider. Depuis qu'il est établi que les lésions anatomiques dans la
paralysie
de Landry sont une dégénération des neurones mo
ectriques demandent un certain temps pour se développer, et dans la
paralysie
de Landry la mort peut survenir avant que ses s
blance très marquée, les symptômes de la synngomyélie, atrophie et
paralysie
des muscles de l'épaule, avec des contractions fi
s remarquable, cette disso- ciation sensitive était unilatérale. La
paralysie
revêtait le type hémiplégique, et le symptôme d
ion sensitive était entièrement limité au côté opposé à celui de la
paralysie
. C'était le syndrome Brown-Séquard, modifié cep
baiguë par compression. La .paralysie brachiale des nouveau-nés, la
paralysie
musculo-spinale des buveurs, la paralysie des p
hiale des nouveau-nés, la paralysie musculo-spinale des buveurs, la
paralysie
des porteurs de béquilles sont des affections a
té de la compression, le début est soudain ou graduel; le summum de
paralysie
est atteint en un jour ou après des semaines. D
les boues de Dax sont très efficaces dans de tels cas. , 1 Tic et
Paralysie
. M. Ballet rapporte le cas d'un homme de soixan
gaire non douloureux de la face depuis trente-sept ans. Survint une
paralysie
faciale, le tic disparut et ne reparut pas après
faciale, le tic disparut et ne reparut pas après la guérison de la
paralysie
. Paralysie- totale et isolée de la troisième pa
. AcuARD et LOPOLD LEVI. Lorsqu'une lésion pédonculaire produit une
paralysie
de la 3° paire, elle détermine le plus souvent
e ; c'est le syndrome de Weber. Pour qu'elle produise seulement une
paralysie
isolée de la 3" paire, il faut qu'elle soit lim
s chez une vieille femme, à la suite d'une attaque apoplectique. La
paralysie
de la 3e paire était totale; la face et les mem
ples chez un jeune homme dégénéré infantile. Lymphocytose dans la
paralysie
générale et la méningite tuberculeuse. MM. AN
but plaidait donc en faveur de la lésion vasculaire précoce dans la
paralysie
générale. La nèvroglie dans la paralysie généra
vasculaire précoce dans la paralysie générale. La nèvroglie dans la
paralysie
générale. M. ANGLADE au moyen de son procédé pe
la base avec compression de toutes les origines oculomotiices. .
Paralysie
du grand hypoglosse. MM. P. Marie et GUIL.11N p
repos dans la bouche elle est déviée du côté sain. Il s'agit d'une
paralysie
périphérique par compression du grand hypogloss
e et des tendances comme seuls prodromes appré- ciables d'un cas de
paralysie
générale survenu à la suite de l'écrase- ment d
ns cette position donnée ni sans retomber brutalement comme dans la
paralysie
flasque. On ne constate pas de diathèse de cont
e utile dans certaines affections nerveuses et spécialement dans la
paralysie
Dénérale..1. SGLA=. XXXVI. Modifications de str
ès étendues. - J. Vécus. XLIII. Sur l'anatomie pathologique de la
paralysie
de Landry; par le Dr P. GUIZZETTI. (Rio. sp. di
andry; par le Dr P. GUIZZETTI. (Rio. sp. di fren., fasc. 3-4.) La
paralysie
de Landry est d'ordinaire, peut-être même toujour
es germes dans le tissu nerveux, on doit distinguer deux classes de
paralysies
de Landry : 1° l'une, directement para- sitaire
s parties les plus délicates de l'élément nerveux. Dans tout cas de
paralysie
de Landry, pour l'appréciation des altérations,
D'ANATOMIE.ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. g;21) Les lésions de la
paralysie
de Landry paraissent toujours récentes en raiso
mps de se développer. Il convient aussi de remarquer l'existence de
paralysies
développées dans des territoires nerveux où les
mieux encore les améliorations rapides, partielles ou générales des
paralysies
. Au point de vue technique, dans les cas de par
énérales des paralysies. Au point de vue technique, dans les cas de
paralysie
de Landry, surtout à symplômes spinaux, pour dé
et de la face postéro-interne des extrémités postérieures. 2° De la
paralysie
du mouvement des deux pattes postérieures, avec
rieures, avec réaction dégénérative des muscles paralysés. 3° De la
paralysie
des sphincters, de la vessie, et du rectum. Che
s quelques cas même, sur la face antérieure de la jambe. ,u.° De la
paralysie
du mouvement aux extrémités inférieures, avec m
ent aux extrémités infé- rieures, il peut ne pas y avoir du tout de
paralysie
motrice de ces membres. 3° De la paralysie du r
e pas y avoir du tout de paralysie motrice de ces membres. 3° De la
paralysie
du rectum et de la vessie. 4° De l'im- potence
s le cas inverse. ' P. KEHAVAL. XLVII. Altérations spinales dans la
paralysie
agitante; par Max Nonne. (The hree·icca7z Journ
it publié dans ce même journal (Nov. 1899) un article sur un cas de
paralysie
agitante, dont il avait fait une étude anatomiq
terstitiel. De ces faits, Dana tire une opinion pathogénique sur la
paralysie
agitante. Cette maladie résulterait d'une altér
trouve dans les moelles séniles et celles qu'on voit dans le cas de
paralysie
agitante. Les modifications décrites par Dana r
admettre que ces constatations puissent être en corrélation avec la
paralysie
agitante. D'après Sander, il serait bon. puisqu'i
bon. puisqu'il y a prolifération de névroglie dans tons les cas de
paralysie
agitante ceux de Dana et d'Oppenheim excptés -
extrémités infé- 'Qnres, douleurs que la fatigue exaspérait. Pas de
paralysie
, pas d'incoordination des'mouvements, pas d'ane
pondérant en tout cas, au dire de tous. Et dès lors, le tabes et la
paralysie
générale vont nous appa- raître, sinon comme de
it le délire aigu à la manie vésanique, à la manie congestive, à la
paralysie
générale. Brierre de lioismont le séparait de l
bing, l'hyperexcitabilité muscu- laire dans la première période, la
paralysie
toxique du pharynx et du voile du palais dans l
hypodermiques. Sur 24 malades ainsi traités, il y avait 1 tabes, 1
paralysie
générale, 4 psychoses, 6 tics, obsessions, phobie
uelques membres rap- pellent les travaux de Morel, de Lucas, etc.
Paralysie
générale juvénile. M. Devay. - La paralysie gén
Morel, de Lucas, etc. Paralysie générale juvénile. M. Devay. - La
paralysie
générale survenant chez les jeunes sujets longt
le professeur Lépine, qui l'envoie à l'Asile avec le diagnostic de
paralysie
géné- rale. A l'entrée, étal mental. On const
ne de l'autre par la forme démentielle habituellement notée dans la
paralysie
générale juvé- nile. M. Régis. La paralysie g
llement notée dans la paralysie générale juvé- nile. M. Régis. La
paralysie
générale juvénile,- quoique rare, est plus fréq
. , 275 1\11\1.. B.\LLET et Brissaud sont persuadés en effet que la
paralysie
générale, les affections parasyphiliques, de mê
u rôle prépondérant joué par la syphilis dans la production de la
paralysie
générale : en même temps ils accentuent la différ
olie proprement dite. 4. Nouvelles recherches sur l'Étiologie de la
paralysie
générale; par le or Gaston BoYER. L'Etiologie
la paralysie générale; par le or Gaston BoYER. L'Etiologie de la
paralysie
générale offre un intérêt considérable tant au
vis de tous les auteurs, la syphilis est une cause principale de la
paralysie
générale qui apparait de préférence chez des indi
ient première paralytique. La syphilis est si bien la cause de la
paralysie
générale qu'elle peut produire cette dernière c
ent imaginaire et si son délire n'a été que de courte durée. 13. La
paralysie
générale chez les religieux (contribution à l'étu
ale chez les religieux (contribution à l'étude de l'étiologie de la
paralysie
générale) ; par le Dr A. CABOUREOU. L'étiologie
la paralysie générale) ; par le Dr A. CABOUREOU. L'étiologie de la
paralysie
générale reste encore discutée et con- troversé
Afin d'éclairer cette étiologie, l'auteur a étudié spécialement la
paralysie
générale chez les religieux. De son enquête, il a
x. De son enquête, il apparaît qu'on ne rencontre qu'un seul cas de
paralysie
générale sur 50 alié- nés, encore ne s'agit-il
ne s'agit-il que des religieux hommes, car chez les religieuses, la
paralysie
générale est totalement inconnue. La rareté de
ses, la paralysie générale est totalement inconnue. La rareté de la
paralysie
générale chez les religieux ne tient qu'à la ra
tient qu'à la rareté chez eux de la cause vraiment efficiente de la
paralysie
générale : la syphilis. L'existence'de la syphi
ale : la syphilis. L'existence'de la syphilis dans plusieurs cas de
paralysie
générale chez les religieux, où on a pu la recher
hercher suffisamment, vient à l'appui de cette opinion. 14. De la
paralysie
générale simple, démente ou sans délire ; par l
ar le Dr Dorrou, médecin de la Marine. , Il existe réellement une
paralysie
générale simple, démente ou sans délire. Du gra
servations rapportées par l'au- teur, il ressort que cette forme de
paralysie
générale est très fré- quente, car on la rencon
, mais encore et surtout en dehors des asiles. Pour M. Duffou, la
paralysie
générale sans délire constitue la forme type de
u pyramidal ; celles-ci sont assez comprimées pour déterminer de la
paralysie
, mais elles sont sur- tout excitées. Leur excit
o- piques les plus accentuées. POUL,RD. XXXI. Un cinquième cas de
paralysie
familiale périodique ; par Léo M. Crafts. (The
of the médical Sciences, juin 1900.) L'auteur rapporte un cas de
paralysie
familiale périodique, qui joint aux observation
ction une entité morbide distincte. La périodicité des attaques, la
paralysie
motrice flaccide, la perte des réflexes, les modi
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des cobayes, amena chez ces animaux une
paralysie
, qui disparut graduellement en quarante-huit he
nstatation plaide fortement en faveur de l'origine toxique de cette
paralysie
pério- dique. P. XXXII. Un cas de paralysie d
gine toxique de cette paralysie pério- dique. P. XXXII. Un cas de
paralysie
de Brown-Séquard ; par Richard-F. WooDS. (The A
c : cta Journal of the médical Sciences, juillet 1900.) Ce cas de
paralysie
de Brown-Séquard eut pour cause un coup de cout
auteur ont porté sur 10 malades : dans 40 p. 100 des cas il y avait
paralysie
des muscles oculaires; dans GO p. 100 il y avai
on siège dans l'écorce occipitale. De même pour la moelle : dans la
paralysie
hystérique les cel- lules motrices individuelle
ésie) ou affaiblissement de la décharge cortico-motrice (pa- résie,
paralysie
) ; 2° exagération de l'impulsion entrante (hyper-
la langue, déviée à gauche, régurgitation des liquides par le nez,
paralysie
partielle du côté gauche de la face.' et tic do
ançais et fréquent au contraire d'observer des formes abortives. La
paralysie
, sans indication de nature, n'a aucune valeur dia
ure, n'a aucune valeur dia- gnostique. Il y a pourtant une forme de
paralysie
fiasque qui ne se rencontre que dans l'hystérie
ion prise à l'hôpital militaire de Marseille d'un malade atteint de
paralysie
intermitlente des sphincters anal et vésical su
uite 1). Séance du 2 août (soir) à Saint-Pricsl- Taurion (suite).
Paralysie
générale juvénile. Voici le texte complet des r
viennent aug- menter le nombre progressivement croissant des cas de
paralysie
générale juvénile qui, aujourd'hui, s'élèvent e
les preuves micro- graphiques, qu'il s'agissait bien réellement. de
paralysie
générale. Dans les cas de M. Devay, la syphilis
tre signalé et examiné de plus près. En ce qui concerne l'âge de la
paralysie
générale juvénile, je crois qu'il importe de bi
entendre suri ses limites. Cela est d'autant plus nécessaire que la
paralysie
générale juvénile, avec sa symptomatologie et s
urd'hui bien établies, n'appartient à la même série de faits que la
paralysie
générale survenant entre vingt-cinq et trente a
-cinq et trente ans. Pour ma part, je serais disposé à admettre une
paralysie
générale juvénile, débutant entre douze et ving
, enfin et si l'existence vient à en être réellement démontrée, une
paralysie
générale infantile. , , De la dégénérescence
de M. Pailhas et lui adresser de vives félicitations. . Un cas de
paralysie
générale à début anormal ; par M. le D'' Pailha
nerf facial dans l'oreille moyenne. Ils rappellent la fréquence des
paralysies
et aussi, et c'est là le côté important de la q
nication. Comme conclusion, les auteurs disent que la fréquence des
paralysies
, des parésies et des spasmes d'origine otique e
des accidents hystériques tels que mutisme, aphonie, tics, chorée,
paralysie
, paraplégie, contracture, convulsions, dysphagie,
la forte proportion de 35,3 p. 100 ; aussi souvent donc que dans la
paralysie
générale; mais bien plus souvent le phénomène a
confirmer des faits déjà observés, c'est l'extrême .fréquence de la
paralysie
générale chez les Israélites. Il. DE luSGRA VE-
XVIII. Contribution à l'anatomie morbide et à la pathologie de la
paralysie
générale des aliénés; par David ORR et Thomas Phi
ur nature une opinion précise. En ce qui touche la pathologie de la
paralysie
générale, il semble qu'il y ait là une affectio
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 nion dogmatique sur l'étiologie de la
paralysie
générale, maladie encore si peu connue ; mais i
'exception de ce qui concerne une seule de ses formes, à savoir, la
paralysie
générale associée au tabes vrai. Dans cette mal
diotie, sans faire de distinction entre les cas où il y avait de la
paralysie
et ceux où il n'en existait pas. Il divise ces
ouvenir dans ce cas que la mydriase alternante se rencontre dans la
paralysie
générale au début, et aussi qu'elle peut coïncide
s, dont l'âge variait de sept à quinze ans. Neuf étaient des cas de
paralysie
cérébrale infantile, et dans tous les cas, sauf
sans rien toutefois qui rappelât les troubles d'articulation de la
paralysie
générale. Le réflexe du genou était exagéré chez
outes les réactions. C'est l'inverse de ce que l'on observe dans la
paralysie
générale où le plussouvent la réaction de conve
démêler, parce que les facteurs étiologiques de l'idiotie et de la
paralysie
cérébrale infantile sont nombreux : mais on est
x que l'on a coutume de rencontrer dans les périodes avancées de la
paralysie
générale : un seul cas était un cas de syphilis
a guérison. On connaît la fréquence de l'épilepsie au début de la
paralysie
générale : elle est caractérisée par l'absence de
acquises sont dans la proportion de 6 p. 100; il s'agit surtout de
paralysie
générale. La plupart des sujets examinés sont des
restent immobiles parce qu'ils se croient de verre. 1 J. Séglas.
Paralysie
générale et tic aerophagique. Semaine médicale,
duc- tion. Toutefois on peut en rencontrer surtout au début de la
paralysie
générale. Déjà, M. E. Brissaud2 avait dit : « Par
ts appartiennent en effet, par- fois à la période prodromique de la
paralysie
générale pro- gressive. » M. Séglas a publié
servation de stéréotypie (tic aérophagique) survenue au début d'une
paralysie
générale. Voici une autre observation recueilli
ire de l'Académie royale des Sciences, 1738. ' , . ° lllacario. Des
paralysies
dynamiques ou nerveuses, 1859. - " Archives, 2e
r des lésions organiques. Si nous laissons de côté naturellement la
paralysie
générale, la syphilis cérébrale, l'alcoolisme,
ut-être les allures des cellules plastiques de Alarschallco dans la
paralysie
générale fournissent-elles une indication à la
ineuses des modifications des cellules nerveuses corticales dans la
paralysie
générale ; par George A. WATSON. (The Journal o
cinq semaines, douleur vive et tintements à l'oreille gauche, puis
paralysie
du côté gauche de la face, aveclagophthalmos et
polynévrite du membre inférieur gauche et chez un homme atteint de
paralysie
spinale syphilitique de Erb. Ce réflexe achillé
à l'étude de l'anatomie pathologique et de l'is- topathologie de la
paralysie
générale; par SOURnANOFF et GEIER. (Nouv. Icono
l'exception des phénomènes latents ou post-hystériques tels que la
paralysie
) disparaître dans un délai qui varie de vingt-q
ns de l'ouïe chez l'idiot. Prix Sémelaigne (1903). Historique de la
paralysie
générale. hI. B. Séance du 20 mai 1901. Prési
rticaux très voisins. Les lésionszzéuropatlciyues du cortex dans la
paralysie
générale. M. Marchand expose que la méthode de
ert, élective pour la névroglie, peut permettre de voir si, dans la
paralysie
générale, la lésion débute par la cellule ou le
FFROY rapporte l'observation d'un alcoolique nullement soupçonné de
paralysie
générale dans le liquide céphalo-rachidien duqu
ut pris d'agitation et présenta pour la première fois des signes de
paralysie
générale qui se sont graduellement complétés.
gnostic d'al- cooliques chroniques avec lésions méningitiques et de
paralysie
. générale au début, est extrêmement délicat. I
uspend le traitement. Considération sur le délire des actes dans la
paralysie
générale. M. Truelle communique une étude sur l
. M. Truelle communique une étude sur le délire des actes dans la
paralysie
générale, d'où il résulte que les troubles de l
donc pour constituer la majeure partie des actes morbides, dans la
paralysie
générale, que les actes volontaires. Selon l'or
ffaiblissement spécial des facultés intellectuelles. Ainsi, dans la
paralysie
générale la démence globale et progressive donne
bstituait à cet individu. SOCIÉTÉS SAVANTES. 541 t Imbécillité et
paralysie
générale juvénile. M. 'l'oULOUSE fait, au nom d
nom de \L-Marchand et au sien, commu- nicàtion d'une observation de
paralysie
générale chez une jeune fille de quinze ans, ch
men micrographique prouva qu'il s'agissait réellement d'un cas de
paralysie
générale juvénile. L'observation montre combien
ie générale juvénile. L'observation montre combien le diagnostic de
paralysie
géné- rale est difficile, quand cette maladie s
avait subi une diminution de poids comme on en ren- contre dans la
paralysie
générale. Le diagnostic s'étayait d'ailleurs su
semble que le diagnostic qui résulte de l'observation est celui de
paralysie
générale survenue chez une imbécile. M' TOULO
ogique, par . Botton, 520. des modifications des cellules dans la
paralysie
é- nérale, par Watson, 520. - des altérations
érillon, 67. L'- et son traitement, par Crocq, 360. HYPOGLOSSE.
Paralysie
du grand -. part'.Marie et Guillain, 157. Hyp
par Truelle, 540. Imbécillité et - juvénile, par Toulouse, 541.
Paralysie
. Une épidémie de spi- nale infantite, par Simon
chicocaïnisa- tion, par Marchand, 342. TABi' : TIQUE. Etude de la
paralysie
post -, par Gardini, 41. Ther- mogenèse des -
par Ley, 40. Extrait dans la folie, par Ba- brocq, 535. Tic et
paralysie
, par Ballet, 154. Torticolis. Deux cas de menta
ne attaque d'apoplexie, sans perte complète de connaissance et sans
paralysie
des extrémités. Vomissements violents et répétés.
nt abaissée il droite (du côté opposé à la lésion). Du reste pas de
paralysie
faciale ; le malade siffle, grimace, fait la moue
en plus lente, non scandée. La voix voilée est faible comme dans la
paralysie
labio-glosso-Iaryngée. La res- piration a disti
Le nerf moteur oculaire externe était atteint d'un certain degré de
paralysie
à gauche, et l'on remarquait un peu deptosisde
les vomissements, l'anarthrie et les autres mani- festations d'une
paralysie
bulbaire aiguë. Un fait qui mérite d'être signa
ubles transitoires comme relevant, ainsi que nous le verrons, d'une
paralysie
hystérique, ces der- nières étant, on le sait d
nflement et du retrait de l'abdomen chez notre malade, invoquer une
paralysie
momentanée de la musculature lisse de l'intestin,
qu'il y a là quelque chose de très comparable à la disparition des
paralysies
et des contractures hys- tériques. Ce n'est l
l'avait déjà soutenue (10). M, Paul Regnard pense également que la
paralysie
des muscles lisses intestinaux joue le plus gra
la tympanite hystérique. Ferret et Straus (11) invoquent de même la
paralysie
et l'atonie des libres muscu- laires de l'intes
assification des causes qui produi- sent le météorisme, parle de la
paralysie
hystérique. Axenfeld et lluchard(12), dans leur
hystériques, n'hésitent pas non plus à rattacher le tympanisme à la
paralysie
transitoire ou durable des muscles de l'intestin.
ut à la difficulté d'interpréter physiologiquement le phénomène. La
paralysie
des fibres musculaires lisses de l'intestin n'est
ntenus (a). Si, dans certains cas, les hystériques sont sujets à la
paralysie
de l'in- testin, ne sait-on pas également qu'il
s très probablement de points sténoses. L'éclat et l'évidence des
paralysies
hystériques portant sur les muscles de la vie d
constata : vision presque nulle ; voyait à peine une lumière; sans
paralysie
oculaire elle présentait une atrophie papillaire
es, réflexes lumineux et de l'accommodation perdus. Il n'y a pas de
paralysie
oculaire d'aucune sorte. A l'examen oplltalmoscop
u- jours delà main et du bras gauche ce qui paraîtrait indiquer une
paralysie
du côté droit. A l'examen on ne note pas de dif
et 4" paires, compression cependant insuf- fisante pour produire la
paralysie
, peut-être efficace pour supprimer des fonction
e diminuée, céphalalgie diffuse, réflexes rotuliens normaux, pas de
paralysie
, pas de con- tracture. 112 F. SOCA 1er octo
rappellera que l'examen clinique n'a pas montré la moindre trace de
paralysie
oculaire. Dans l'espèce la chose fut assez emba
aient déterminé dans la tu- meur. Pourquoi donc n'y avait-il pas de
paralysie
? La raison fondamentale la voici : Ce que je m
nçais. Nous connaissons en outre fort bien l'existence de certaines
paralysies
localisées atteignant surtout le facial et le c
s paralysies localisées atteignant surtout le facial et le cubital,
paralysies
étudiées par Buzzard, Fournier, Boix, Brunsgaar
be ou le comprime ? tette théorie paraît bien vraisemblable pour la
paralysie
faciale qui peut s'accompagner d'autres acciden
sciatique. Enfin Brunsgaard et Barthélémy auraient constaté dans la
paralysie
du cubital à la période secondaire une hypertroph
nismes, méningite, gommes des nerfs, ostéite, et le mécanisme de la
paralysie
isolée ducubital resterait doncencore inconnu.
Résumé clinique : Syphilis ,grave le 1. cr mai 4899, apparition de la
paralysie
des extenseurs du poignet le 14 nzai ; atrophie
inue à s'aggraver, le délire persiste et le 14 mai apparition de la
paralysie
dans la main droite qui devient tombante ; bien
dans la main droite qui devient tombante ; bientôt apparition de la
paralysie
dans la main gauche et ces troubles sont surven
e seule. Les injections solubles de mercure paraissent améliorer la
paralysie
de la main droite qui récupère quelque mouvement
aspect des mains (PI. XXIX). Les mains sont tombantes comme dans la
paralysie
saturnine mais disons immédiatement que le long
e. En janvier le malade quitte la Salpêtrière conservant une légère
paralysie
de la main droite et une paralysie plus accentu
alpêtrière conservant une légère paralysie de la main droite et une
paralysie
plus accentuée de la main gauche. Ainsi sous l'
ki à la Pitié). Résumé : Syphilis le le, octobre 1895 ; début de la
paralysie
le Il octobre ; atro- phie musculaire avec DR,
ales et alopecie. On constate en outre une atrophie musculaire avec
paralysie
Ilaccide portant sur les muscles des pieds et d
de des troubles nerveux mal- gré des injections de calomel. Bientôt
paralysie
complète des 4 membres avec atrophie musculaire
rvenir, avec ou sans phénomènes associés de syphilis cérébrale, des
paralysies
lentement progressives, et à caractères pé- rip
ieures. La participation des racines antérieures se traduit par des
paralysies
motrices diverses. A l'autopsie, absence de tou
st conservée. Engourdissement passager des membres en 1884 ; pas de
paralysie
vraie. Pendant l'été de 1884, lésions trophique
mettre dans un cadre a part, le malade de Kahler qui a présenté une
paralysie
des nerfs faciaux et oculo-moteurs dues à des g
PHILITIQUE 167 leurs généralisées, les troubles des sphincters, les
paralysies
rapides, dis- séminées sans ordre avec particip
édul- laire et non périphérique, une paraplégie flasque subite avec
paralysie
précédant et dominant l'atrophie musculaire, le
ès légers, nous voyons au surplus que chez notre deuxième malade la
paralysie
a gagné rapidement les quatre membres pour se l
très différente de celle constatée dans la poliomyélite typique, la
paralysie
infantile, nous porte à penser que dans l'espèc
roubles de l'idéation et de la mémoire comme on l'ob- serve dans la
paralysie
alcoolique, constater que dans la fonde motrice à
bras le long supinateur n'est pas épargné comme on le voit dans la'
paralysie
saturnine, mettre en évidence l'intégrité des mus
'intégrité des muscles du voile du palais pris au contraire dans la
paralysie
diphtérique ; mais l'ab- 168 R. CESTAN sence
ne lésion bilatérale de cette région pourra déter- miner une double
paralysie
alterne supérieure. C'est un fait de ce genre q
. A son entrée,on fut surtout frappé par l' hémiplégie gauche et la
paralysie
de la troisième paire droite. Il s'agissait d'h
ntement, par secousses successives. Du côté de l'oeil, il y avait 1
paralysie
totale et complète du nerf moteur oculaire commun
y avait donc, chez cette malade, hémiparésie droite associée .a.une
paralysie
partielle et incomplète de l'oculo-moteur gauch
cation notable ; l'état intellectuel s'aggrava progressivement, une
paralysie
des sphincters s'établit, et la malade finit pa
commun, et quelques fibres seulement du faisceau-pyramidal. Or, la
paralysie
de l'oculo-moteur est totale et complète, et l'hé
ne pouvait pas mar- cher ni faire aucun mouvement du bras droit. La
paralysie
des membres lui donnait l'impression de ne plus
et d'engourdissement dans les membres paralysés. Il n'y a pas eu de
paralysie
ni de spasmes du côté de la face. L'exploration
a jambe paralysée ; elleporte d'abord le tronc du côté opposé il la
paralysie
et appuie tout le poids du corps sur le mem- br
d balaye (sweeps) le sol. Cela, je pense, est caractéristique de la
paralysie
hysté- rique. , (1) Todd, Clinical lectures o
tionnelle. Dans le pas antérieur, à cause de la prédominance de la
paralysie
de certains muscles, nous voyons dans l'hémiplé
rique et les trou- bles de la marche dans cette affection, c'est la
paralysie
flasque de tous les muscles des membres touchés
aralysie flasque de tous les muscles des membres touchés. C'est nne
paralysie
massive, et ce fait nous UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HY
ystème nerveux, telles que le tabes (obs. de VIadelun, deBouju), la
paralysie
générale (obs. de Targowla), la sciatique (ohs.
torique. C'est en 1844 que nous trouvons la première observation de
paralysie
traumatique. Elle est due à un médecin de Lyon,
'il est suffisamment conscient, il se rend compte de lui-même de sa
paralysie
, soit qu'il essaie de parler, d'appeler, soit q
près de trois mois. Dans les premiers temps on a remarqué aucune
paralysie
, mais on ne peut l'affirmer attendu qu'on faisa
e, le bras droit est paralysé et la sensibilité est diminuée. Cette
paralysie
postopératoire est vraisemblablement due, d'apr
cérébrale. Cette interprétation est d'autant plus admissible que la
paralysie
disparut totalement au bout de 10 jours... Deux m
e y porte automatique- ment la main gauche à chaque instant. Pas de
paralysie
faciale. Lemembre supérieur droit estlesiège d'
Pas de paralysie faciale. Lemembre supérieur droit estlesiège d'une
paralysie
motrice complète,aucun mouvement des doigts de
Mathieu en 1888 que nous allons citer à propos de l'influence de la
paralysie
trau- matique sur le développement des enfants.
ec difficulté, il traîne la jambe et avance le pied en fauchant. La
paralysie
du bras est plus grande que celle de la jambe e
t. La paralysie du bras est plus grande que celle de la jambe et la
paralysie
de la main est surtout marquée. Pendant les deu
nts saccadés violents ont cessé....... mais on a constaté alors une
paralysie
gauche comprenant la face (impossibilité de fer
taient contractées, la droite un peu plus que la gauche......... la
paralysie
siégeant ,¡ gauche, l'anesthésie était complète à
dans un état absolument normal. Du côté droit il n'y avait pas de
paralysie
motrice, mais une perte définitive de la sensat
emps que l'hémonhagie met il former un foyer capable de produire la
paralysie
) sont extrêmement variables. Dans un cas elle s
personnel, il se serait écoulé plusieurs années entre le choc et la
paralysie
, mais vu la difficulté d'interroger un malade d
jets avec sa main droite pour appeler à l'aide ; car, à cause de sa
paralysie
faciale il ne pouvait crier que très difficilemen
bien apparaître et se développer tardivement et progressivement la
paralysie
. Observation XI. Le 11 septembre 1897 un jeun
gnet gauche. Lui-même, dit-il, ne s'était pas aperçu de ce début de
paralysie
. Le lendemain, en s'éveillant, il ne put se lever
miplé- gie organique. Etablie progressivement, flasque au début, la
paralysie
ne s'est compliquée de contracture que quatre m
nière observation on assiste bien réellement à la nais- sance de la
paralysie
. Cette dernière une fois constituée ne présente d
e immédiate. Dans le cas suivant du professeur von Krafft-Ebing, la
paralysie
tardive se complique d'hémicranie. En voici le
ines le malade était encore au lit et offrait tous les signes d'une
paralysie
,. comme il n'était pas alcoolique et qu'il n'avai
oolique et qu'il n'avait pas souffert d'un « trauma capitis » cette
paralysie
demeurait incompréhensible à moins de l'interpr
tre remarqué un affaiblissement de la mémoire, en même temps que la
paralysie
survenait. Le professeur Krafft-Ebing signale e
n de signes .qui d'après lui doivent toujours éveiller l'idée d'une
paralysie
et servent au diagnostic avec l'état neurasthén
territoire atteint ; de sorte qu'on se trouverait en présence d'une
paralysie
d'origine corticale. L'hémicranie ophtalmique a
celle qui apparaît chez de jeunes sujets, le signe cons- tant d'une
paralysie
à venir. L'hémicranie ou simple migraine peut s'y
act, à la pression) et de la sensibilité musculaire et périostique.
Paralysie
des muscles de l'oeil droit avec abolition des
a pression. Diminution de la sensibilité musculaire et périostique.
Paralysie
des muscles de l'oeil droit avec abolition des
sans canne, rappelant de suite la démarche des malades atteints de
paralysie
des muscles extérieurs des lombes. Observatio
s épigastriques. Douleurs fron- tales en casque. Crises gastriques.
Paralysie
double du posticus, avec contrac- ture des abdu
termittent, ' sans ptose palpébrale véritable, sans strabisme, sans
paralysie
des muscles moteurs du globe oculaire. Quelque
douleurs fulgurantes. Chute spontanée des dents. Ptosis gauche avec
paralysie
du droit interne droit. A 48 ans, douleurs' en ce
ait une chute de la paupière supérieure gauche, coïncidant avec une
paralysie
du droit interne de l'oeil droit. L'année suiva
penché en avant, le tronc voûté et soudé, à la façon du début de la
paralysie
agitante. Dans les mouvements du rachis ou dans
. J'y joignais l'étude de la marche dans l'ataxie locomotrice et la
paralysie
agitante, ceci dit pour éviter des réclamations
l'occlusion, ni froncer énergiquement les sourcils. Il n'y a pas de
paralysie
des muscles de l'oeil, tous les mouvements isolés
xamen de notre second malade. Membres supérieurs. - Aucune trace de
paralysie
, la résistance aux mou- vements passifs de flex
ire fonctionne normalement. Motilité des membres supérieurs. - Ni
paralysie
, ni atrophie musculaire. Au dynamomètre : main
nutes pour l'écrire (Fig. z) : Motilité des membres inférieurs. -Ni
paralysie
, ni atrophie. Il éprouve seulement un peu plus
s nouveaux sont à signaler; la diplopie, bien qu'il n'existe aucune
paralysie
appréciable des muscles des globes oculaires et
t tremblée; mais l'atonie proprement dite l'ait défaut; il n'y a ni
paralysie
, ni diminution de l'énergie musculaire.' Le sig
ousses nystagmiformes ont été vues chez la plupart des malades, les
paralysies
oculaires existent assez souvent. Aux observa
tension à d'autres organes, bulbe ou protubérance, c'est-à-dire des
paralysies
de la sensibilité ou de la motricité. Le tabe
e c'est le cas dans la sclérose en plaques. Les malades atteints de
paralysie
pseudo-bulbàire ont des troubles de la marche,
es membres, le rire et le pleurer spasmodiques appar- tiennent à la
paralysie
pseudo-bulbaire et la distinguent nettement de
t la proximité des zones motrices corticales pourrait expliquer une
paralysie
. D'habitude cette dernière survient par lésion
sque, dans cette région, survient une fracture avec enfoncement, la
paralysie
, l'apha- sie s'expliquent facilement. En effet,
n et le seul fait de l'enfonce- ment d'un fragment d'os explique la
paralysie
par compression, sans compter que les esquilles
tismes, même atteignant la substance cérébrale, n'entraînent pas la
paralysie
. Lépine (thèse agrégation, 187;;) signale une h
ais comme au bout d'un certain temps ils présentaient des signes de
paralysie
, ils s'alitèrent, et moururent. A l'autopsie on t
insi qu'on le sait. Mais, en revanche, elles peuvent conduire à des
paralysies
bien nettement déve- loppées. En effet, si el
xplique donc la naissance d'hé- miplégies et, suivant son siège, la
paralysie
sera simple (lésion de la capsule interne, du c
quée : de troubles psychiques (région antérieure de la capsule), de
paralysie
du moteur oculaire commun (lésion des fibres ra
n hématome de la dure-mère de l'hémisphère opposé au traumatisme et
paralysie
col- latérale, ou bien il y a une hémorrhagie s
ans la substance cérébrale, du même côté que du traumatisme, et une
paralysie
contra- latérale. Mais il ajoute que la premièr
thèse est peu vraisemblable et qu'eu ce qui concerne la seconde, la
paralysie
contra-latérale n'est pas fatale. \ En effet,
trouvé six cas d'hémiplégie non croisée, c'est-à-dire six cas où la
paralysie
se serait produite du même côté que celui où a
culaire, plus ou moins proche des centres gris pour expliquer cette
paralysie
. Lésion qui a fort bien pu être favorisée par u
malade l'usage de ses membres. Mais il restait encore des signes de
paralysie
organique constatés par M. le docteur Babinski
ns signalé plus haut la fréquence de ce symptôme coïncidant avec la
paralysie
traumatique et nous avions trouvé '14 cas sur 4
du crâne. On verra que la coïncidence du trouble oculaire et de la
paralysie
s'ex- plique naturellement par la localisation
evint à lui le jour suivant et eut des vomisse- ments. Il avait une
paralysie
du bras droit, plus accentuée à la main. La parol
e de la bandelette optique. Cela permet de localiser le siège de la
paralysie
droite et de diagnostiquer une blessure pénétra
onnées nos expé- riences, nous verrons combien souvent à côté de la
paralysie
motrice sur- vient l'hémianopsie. Les corps é
tile ayant péné- tré par le frontal. Nous connaissons cinq cas de
paralysie
par traumatisme intra-orbitaire : le cas du pré
l'hémiplégie ou plus exactement une hémi- parésie, avec aphasie et
paralysie
de la 3e paire, s'est déclarée à la suite de de
et la parésie des membres. Nous n'avons trouvé qu'un seul cas de
paralysie
du bras gauche avec parésie de la jambe gauche
avec ostéite supprimée et abcès cérébral (Vignard,1899) ; une autre
paralysie
contra- latérale due à la pénétration d'une lam
us pouvoir marcher ni se servir de son bras droit, puis apparut une
paralysie
faciale du côté gauche. Dès cette époque, il av
et explique bien les accidents hémiplé- giques..... ' * Quanta la
paralysie
faciale, elle est très certainement causée par de
longtemps. Rappelons cependant que dans l'observation de Vignaud la
paralysie
ne survint que 3 ans et 3 mois après l'accident
ture du crâne il ne sera peut-être pas toujours aisé de dire si la
paralysie
est due à une hémorrhagie dure-mérienne ou à un
années auparavant, nous n'avons retrouvé absolument aucun signe de
paralysie
. Peut-être 'Li-aine-t-il un peu la jambe et sa
s avons citée déjà du Dr Maurice Bourlier un jardinier guérit de sa
paralysie
malgré une perte de substance cérébrale très nett
t un cas de CI). T. Poore de New-York dans lequel la guérison de la
paralysie
et des troubles de la parole a lieu, mais où il
mais où il survient de l'épilepsie jacksonnienne il la place de la
paralysie
. Observation XV. Il s'agit d'une enfant de 3
e une balle de revolver dans son cerveau et une fois la plaie et la
paralysie
guéries, tout n'est pas dit. L'avenir est engag
des blessures volontaires. Il est bien évi- dent, en effet, que la
paralysie
peut rétrocéder et disparaître, il n'en reste p
plus ou moins com- plètement, entraînant l'infirmité. Et même si la
paralysie
guérit en apparence, rien ne prouve que des acc
, il est facile de différencier l'affec- tion qui nous occupe de la
paralysie
spinale infantile, de la sclérose latérale amyo
de transition. Au premier abord notre malade semble être atteint de
paralysie
pseudo- hypertrophique ou plus simplement de my
res, ni troubles vaso-moteurs, ni altérations de la sensibilité, ni
paralysie
avec ataxie et phénomènes oculo-moteurs, ni déb
de dos ou de 43G ABADIE . profil, le malade parait atteint d'une
paralysie
des muscles extenseurs des lombes. Il se tourne
de Cohausen, rapporte l'exemple d'un tabacophile qui fui atteint de
paralysie
du côlé droit à la suite de l'abus de la poudre
BUDAPEST (CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR LAUFENAUER) UN CAS DE
PARALYSIE
BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONO Par R Charles HUDO
le service de M. le professeur Laüfe- naûer une malade atteinte de
paralysie
bulbaire supérieure chronique sans complication
e durée sans complica- tion, - ni avec l'apparition unilatérale des
paralysies
. Observation. Esther S..., âgée de dix-sept a
n du fond Nouv. Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XIII. Pl. LXX
PARALYSIE
BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE (Ch, Hlldmlel'111
LXX PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE (Ch, Hlldmlel'111g)
PARALYSIE
BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE 475 de l'oeil dro
reste tout à fait nor- male. Diagnostic : Ptosis incomplet gauche,
paralysie
complète de toutes les autres branches du nerf
culaire commun ; amblyopie congénitale de l'oeil gauche. Outre la
paralysie
de la troisième paire gauche, il y a encore une p
ans le domaine des nerfs de la figure. A part ces deux groupes de
paralysies
la malade ne présente ancun symptôme maladif, n
ladie actuelle, qui date de six ans. Cette maladie commença par une
paralysie
du moteur oculaire commun gauche, avec la dévia
aduellement toutes les branches de la troisième paire gau- che ; la
paralysie
se développa très lentement, il a fallu quatre an
de fixer la date à laquelle a commencé cette lésion, mais comme la
paralysie
de la troisième paire gauche s'est développée l
ement et qu'après six ans de persistance elle a atteint le degré de
paralysie
, nous inclinons à supposer que la parésie du ne
miner toute lésion dans la cavité orbitaire; on trouve seulement la
paralysie
isolée du mo- teur oculaire commun, cependant u
ions qui puissent produire une affection pareille. Ce n'est pas une
paralysie
corticale ou supranucléaire ; il y a des lésions
des noyaux de la troisième et de la septième paires gauches, d'une
paralysie
bulbaire supé- rieure chronique ou polioencépha
ne lésion très rare, mais il y a dans notre cas quelques traits qui
PARALYSIE
BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE 477 lui donnent u
un seul côté ; il y a des cas avec la prédominance unilatérale des
paralysies
ou parésies, mais dans tous ces cas, il y a au mo
des nerfs crâniens du côté opposé ; ou sinon, ce sont des cas de la
paralysie
bulbaire supérieure compliqués soit de la paralys
t des cas de la paralysie bulbaire supérieure compliqués soit de la
paralysie
bulbaire inférieure, soit d'atrophie musculaire
soit d'atrophie musculaire, soit enfin d'ataxie locomo- trice ou de
paralysie
générale, ou l'on trouve parfois ou même souvent
f la parésie du nerf facial gau- che, aucun progrès. C'est pour une
paralysie
bulbaire supérieure incon- testablement un déve
re supérieure incon- testablement un développement fort lent. Si la
paralysie
bulbaire supé- rieure n'est pas stationnaire, e
on trouve régulièrement une affection des autres nerfs du bulbe, la
paralysie
bulbaire inférieure ou d'une atrophie musculaire,
res supérieures et inférieures, et comme notre cas a débuté par une
paralysie
bulbaire supérieure restreinte sur la lésion du n
al : nous inclinons à supposer qu'il s'agit chez notre malade d'une
paralysie
bulbaire supérieure de caractère descendant, avec
TUDE DE ' L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET DE L'HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE Par SERGE SOUKHA.NOFF et F. GEIER,
psychiatrique de Moscou. de Moscou. L'anatomie pathologique de la
paralysie
générale possède une littéra- ture très nombreu
nant le système nerveux central de deux malades qui ont souffert de
paralysie
générale. Pour nos recherches nous nous sommes
ns devaient être mi- ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 479 nutieusement lavées dans l'eau et
eut un accès épileptiforme. Avec le temps on observa de nouveau une
paralysie
du côté droit, quoique presque tous les muscles d
êtrière T. XIII. PI. LXXI A B c D E HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE (Sollkba1l0ff et Gcier) anatomie pat
llkba1l0ff et Gcier) anatomie pathologique ET HISTOPATHOLOGIE DE la
paralysie
générale 481 PROCÉDÉ DE Briscii. [. Hémisphèr
lobes frontaux. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET üIS-TOPATIi0LOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 483 En comparant entre elles les prépa
êmes. Sans nous arrêter sur les données pathologiques, propres à la
paralysie
gé- nérale (hémorrhagies menues, tromboses menu
moelle épinière une ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 485 quantité assez considérable de blo
raphie DE la SALPÊTRIÈRE T. XIII. Pl. LXXII HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE (Soll11baI10ff et Gcier) Masson &
amp; Cie, Editeurs ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET llISTOPATllOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 487 Coloration par les couleurs basiqu
possible. Le trouble de la parole portait un caractère propre à la
paralysie
générale. Procédé DE BUSCH. I. Hémisphère rau
no 2, pp. 402-125. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 489 seaux. Dans la substance blanche,
édullaire des fibres ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 491 radiculaires, surtout des racines
hique de la part des cellules nerveuses des ganglions spinaux. La
paralysie
générale donne un tableau patltologo-anatomitlue
ation se trouve en connexion intime avec les accès observés dans la
paralysie
générale et, peut-être, dépend-elle à son tour
, n. 3, ss. 194-204. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 493 d'un cas de paralysie générale, où
LOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 493 d'un cas de
paralysie
générale, où il y avait une dégénérescence de la
édié à la même question et basé sur les investigations de 21 cas de
paralysie
géné- rale (par la méthode de Marchi) ; dans si
attention à l'existence des troubles moteurs chez les malades (des
paralysies
, des parésies, des tiraillements, des accès para-
cas il s'agissait des malades qui présentaient une forme démente de
paralysie
générale sans symptômes psychiques et mo- teurs
res, les résultats de l'examen de la moelle épinière dans 12 cas de
paralysie
générale (par le procédé de Marchi et aussi par
uoi nous sommes parfaitement d'accord, pensant pourtant que plus la
paralysie
générale a duré et plus il y avait de trou- ble
es cellules nerveuses et des fibres dans la moelle épinière dans la
paralysie
générale. St-Pétersbourg, 1899. HYSTÉRIE ET GOI
et déjà réglée depuis un an et à laquelle elle a passé dit-elle ses
paralysies
du côté gauche. Le fait est que la fille décrit t
ns cause appréciable. Début de l'affection il y a vingt ans par une
paralysie
du droit interne de l'oeil droit, qu'Abadie soi
ortan- tes, trouvent leur cause dans des perturbations musculaires,
paralysie
ou contracture des muscles extenseurs fléchisse
us ample examen pour le jour suivant. 17 juin. - Je constatai une
paralysie
absolue du côté gauche, la sensibilité intacte
que et étiologique. Symptomatiquement, il présente le tableau de la
paralysie
alterne (ce qui est déjà assez rare surtout ave
caractères que nous allons relever chez lui), étiologiquement cette
paralysie
alterne est la suite d'un traumatisme très net
n'y a pas non plus de blépharospasme. Il y a donc ptosis, par suite
paralysie
probable du filet de l'oculo-moteur , commun qu
il est plongé dans le coma le plus complet qui dure deux jours, la
paralysie
de la IIIe paire date du premier moment. L'hémipa
ture ordinaire à 0 m. 40 ; à 0 m. 55 il ne le peut plus ; il y a donc
paralysie
de l'accommodation. Habitué à ne plus voir qu'a
Il s'habille..... abondante exsudation de matière cérébrale. 17. -
Paralysie
complète de l'extrémité inférieure gauche et légè
ure gauche et légère paraly- sie du côté gauche de la face. 20. -
Paralysie
incomplète de la jambe gauche. 30. - ..... et j
rs suivants, amélioration qui devient stationnaire par la suite, la
paralysie
se limite à l'extrémité du membre supérieur gauch
nt que date une hémianopsie homo- nyme gauche complète ainsi qu'une
paralysie
qui s'étendit à toute la moitié gauche du corps
aussi bien de son côté droit que du gauche. Avant le soir même, la
paralysie
fut certifiée par un médecin. Durant ce premier
plus petits la main demeure en flexion, tout à fait comme dans une
paralysie
obstétricale. Il y a des mouvements méthéméplégiq
releva absolument inconscient, respirant avec peine Il souffrait de
paralysie
droite avec aphasie... il demeura inconscient p
'il appela. Au moment où je le vis il présentait quelques signes de
paralysie
provenant d'une blessure à la base du crâneou d
émiplégie traumatique 543 lade n'a eu de vomissements. Le 30 mai la
paralysie
du bras droit était encore accentuée et M. Blum
é de sécrétions troubles opération Au moi d'avril il persistait une
paralysie
complète du bras droit et une paré- sie de la j
n constata dans le bras droit des mouvements cloniques Il y a une
paralysie
complète et isolée des abducteurs droits, une par
et isolée des abducteurs droits, une parésie du facial droit et une
paralysie
complète des membres inférieur et supérieur droit
des troubles de la sensibilité Au 3 juillet de l'année suivante la
paralysie
n'a pas changé, mort. Observation XXX. H. SCH
rent la jambe droite. Depuis il n'a pas eu d'autres convulsions. La
paralysie
des membres s'améliora et il ne resta que l'aph
lui avec intérêt et semble saisir les questions qu'on lui pose. La
paralysie
est la même, 548 RENÉ martial il essaie de pa
reviennent progressivement dans les mem- bres.... 3 octobre. Les
paralysies
(membres et facial) ont disparu, mais la parole
couteau. Jusqu'au 30 dé- cembre, augmentation de la température, la
paralysie
ne s'améliore pas, le malade est somnolent. L
gauche du corps, les mus- cles ne semblaient pas atrophiés. Aucune
paralysie
de la face, la parole était normale Opération F
t normale Opération Fissure de la lamina vitra Amélioration de la
paralysie
, les accès épileptiformes seraient revenus quelqu
aurait continué à travail- ler. En 1887 il aurait eu une attaque de
paralysie
avec ictus. Depuis lors hémiplégie droite persi
c et le côté gauche de la face se para- lyse à partir de ce moment (
paralysie
en deux temps par conséquent). Il eut en outre
après. Depuis, il a eu plusieurs pertes de connaissance, mais la
paralysie
n'a pas augmenté. Il reste six semaines à Lae
re à 10 centimètres de l'angle externe de l'or- bite, côté droit.
Paralysie
des memhres du côté gauche. Dynamomètre, main dro
ticale normale. Au moment où la malade se réveille, on constate une
paralysie
faciale com- plète (lèvre et paupière), qui ne
empérature est normale. L'aphasie du début a disparu. 19 mars. La
paralysie
de la jambe gauche [a complètement disparu, les
guérie. ' BIBLIOGRAPHIE 1801. SAUTEMOUCEOE. - Observation sur une
paralysie
des jambes, survenue à la suite d'un coup sur l
of eleclricily. Lancet, Lond., t. II, p. 81-253. 1863. SoNttiER.
Paralysie
des quatre membres, de la vessie et du rectum, co
t, de Cicu. med., t. III, p. 129-135. 1887. Grasset (J.). Un cas de
paralysie
alterne d'origine traumatique. Journal Montpell
Lf.l\ ( V. Bergmaxx ) 1889. ScnxELL. ylMnt&sts traumatique et
paralysie
traumatique de l'oculo-moteur. Marseille méd.,
Marseille méd., juin. 1890. A. Manquât et Eo. Grasset. Un cas de
paralysie
alterne de l'oculo-moteur commun avec aphasie,
med., t. XLII, p. 381. 1896. BEEYOR (C.-E.). - Traumalic funclional
paralysies
. Internat. clin. Philad., 5° sér., t. IV, p. 15
bservations que j'ai publiées avec Pierre Marie et OEttinger sur la
paralysie
de Landry peuvent être, si je ne me trompe pas,
errons plus loin, le substratum analomo-pathologique habituel de la
paralysie
de Landry est représenté par une myélite diffus
r- bure. Fio. 2. Méningite avec myélite disséminée dans un cas de
paralysie
ascendante accompagnée d'oreillons. Le cordon p
ide extrait par la ponction lombaire le méningocoque dans un cas de
paralysie
infantile. Ainsi qu'on le voit, le nombre des o
trois cas de rage observée chez l'homme, dont un avait présenté une
paralysie
ascendante et dont le sujet est mort trois jour
s un cas de rage humaine. Le malade est mort avec des phénomènes de
paralysie
ascendante de Landry. La cellule nerveuse est en-
'est pas à la lésion des ganglion; spinaux qu'il faut rapporter les
paralysies
rabiques. Je pourrais ajoute] que si les lésion
ion de la colonne vertébrale, nous avons constaté parfois de vraies
paralysies
, mais jamais chez ces animaux ainsi paralysés, no
traumatismes répétés de la colonne vertébrale, ayant déterminé des
paralysies
ou des convulsions. Ici, non plus, nous n'avons
s aseptiques ressemblent jusqu'à un certain point aux lésions de la
paralysie
infantile. Cette analogie est d'autant plus justi
élite dis- séminée, la poliomyélite en foyer analogue à celle de la
paralysie
infantile. Ainsi la poliomyélite antérieure est
pinale antérieure. Les foyers de myélite, comme cela arrive dans la
paralysie
infantile, se cantonnent dans le domaine de l'a
'altération ne s'é- tend que sur quelques segments de la moelle. La
paralysie
ascendante de Landry, lorsqu'elle est d'origine
s les types anatomo-cli- niques de la myélite transverse jusqu'à la
paralysie
ascendante, fonction d'une méningo-myélite égal
es jours après ; enfin, lorsqu'il est très virulent, il réalise une
paralysie
ascendante suraiguë, avec méningo-myélite très ac
BANNES et B. V. BARNEFF Médecin des hôpitaux (de Bordeaux). Les
paralysies
congénitales des muscles oculaires constituent un
s attachés. Au point de vue clinique, on peut les diviser en : a)
paralysies
isolées ; b) paralysies associées ; c) paraly
vue clinique, on peut les diviser en : a) paralysies isolées ; b)
paralysies
associées ; c) paralysies complexes. a) Les p
viser en : a) paralysies isolées ; b) paralysies associées ; c)
paralysies
complexes. a) Les premières (paralysies isolées
paralysies associées ; c) paralysies complexes. a) Les premières (
paralysies
isolées) assez communes comprennent : 1° le pto
uvent héréditaire et familial). 2° le strabisme congénital (dû à la
paralysie
congénitale d'un seul muscle oculaire : droit i
ur, inférieur ou plus rarement un des obliques). b) Les secondes (
paralysies
asssociées ou combinées) comprennent : 1° La pa
s secondes (paralysies asssociées ou combinées) comprennent : 1° La
paralysie
combinée du releveur de la paupière et du droit s
t su- périeur (ptosis et strabisme supérieur congénitaux). 2° Les
paralysies
associées du droit interne d'un côté et du droit
la mâchoire quand la paupière tend à se relever. c) Les troisièmes (
paralysies
complexes) tiennent à une paralysie con- génita
se relever. c) Les troisièmes (paralysies complexes) tiennent à une
paralysie
con- génitale de la plupart des muscles oculair
majorité des cas par la réunion des éléments suivants : 1° ptosis,
paralysie
du droit supérieur ; 2° paralysie ou parésie de
éléments suivants : 1° ptosis, paralysie du droit supérieur ; 2°
paralysie
ou parésie des droits interne, externe, inférieur
2° paralysie ou parésie des droits interne, externe, inférieur; 3°
paralysie
ou parésie des obliques (plus rare) ; 616 CABAN
e et muscle ciliaire). Nous avons désigné cette dernière forme de
paralysie
congénitale sous le nom de paralysie complexe e
ésigné cette dernière forme de paralysie congénitale sous le nom de
paralysie
complexe en raison du nombre considérable de mus-
peut être associée à d'autres troubles paraly- tiques congénitaux (
paralysie
faciale congénitale, anesthésie trigémellaire)
s signalerons surtout celles de Recken où il y avait coexistence de
paralysie
faciale et celle de Vossius dans laquelle on no
ce fréquente d'autres anomalies de développement, en particulier la
paralysie
faciale, avec l'opll- talmoplégie congénitale.
ormation des doigts, des mains, des pieds, anesthésie du trijumeau,
paralysie
faciale : La croissance de l'enfant peut se faire
ans ceux de Gunn, dans le le, de Heuck et le leur de Hirschberg) sa
paralysie
est in- complète. Le droit inférieur et le droi
5 cas (2e, 3e de Heuck, Mauthner,Lucanus, 1" de Hirsch- berg). Ces
paralysies
atteignent ordinairement d'une façon égale les de
que, suivant le nom- bre des muscles atteints et l'intensité de la
paralysie
, les mouvements res- tants seront plus ou moins
'état du système nerveux que dans un cas de Bernhardt relatif à une
paralysie
partielle des muscles des yeux compliquée de pa
elatif à une paralysie partielle des muscles des yeux compliquée de
paralysie
faciale congénitale, dans lequel les noyaux bul
isans fervents de la théorie nerveuse, incriminent dans leur cas la
paralysie
ou le défaut de développement des noyaux bulbai
mbryogénique, constitue une interprétation des plus originales, des
paralysies
congénitales en gé- néral, et des ophtalmoplégi
proposition suivante : A côté des formes isolées et partielles des
paralysies
congénitales des muscles des yeux, formes qui s
il put pendant quel- ques semaines avancer sans béquilles, puis la
paralysie
reparut, les jambes devinrent raides, le dos se
A6ADIE (5 pl. en photocol- logr., 9 dessins), 116, 260, 42, 502.
Paralysie
(un cas de) bulbaire supérieure chronique, par
supérieure chronique, par IIudovernig (1 photocol- logr.), 473.
Paralysie
générale (Anatomie pathologique et histopatholo
ge Soukhanoff. L'anatomie pathologique et l'histoputhologie de la
paralysie
générale (2 pl. en photocol- logr.),478. Gmsa
enfance (avec 4 pl. en photocollogr.), 411. HUOOVEHNIG. Un cas de
paralysie
bulbaire supérieure chronique (1 photocollogr.)
X, XLI, XLII. Ostéo - arthropathie rare (gaine), LVII, LVIII.
Paralysie
bulbaire supérieure chronique (HUDOYERNW), LXX.
VIII. Paralysie bulbaire supérieure chronique (HUDOYERNW), LXX.
Paralysie
générale : histopathologie (Souk- HA\OFF et GEt
de le pro- noncer ? . , , 1 , n t ? " ,1 ! c (A suivre.) . j ¡ LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE SPINALE DIFFUSE SUBAIGUE DE DUCHENNE.
l - - On sait que Duchenne (de Boulogne) a groupé sous le nom de
paralysie
générale spinale subaiguë les deux variétés de
ale subaiguë les deux variétés de myélopathie suivantes : , DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 19 ) 1 La paralys
antes : , DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 19 ) 1 La
paralysie
, générale. spinale antérieure subai- guë ; 1 j
spinale antérieure subai- guë ; 1 j 1 "\ · . .J' i . J . . 2° La
paralysie
générale spinale diffuse subaiguë. > - Vu)pi
n impossible pour le moment, car on sait maintenant que le syndrome
paralysie
générale spinale de, Duchenne peut répondre à d
ger, dans le cadre des névrites multiples périphériques, ce type de
paralysie
spinale amyotrophique n'en existe pas moins, le
ue, actuellement, la question du dia- gnostic différentiel entre la
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë de Duchenn
t la polynévrite, gé- 20 pathologie mentale. néralisée à forme de
paralysie
générale spinale anté- rieure subaiguë de Mme D
Il rapporte les dou- leurs à une méningite spinale, la parésie, la
paralysie
à un travail inflammatoire des cornes antérieur
ur ce point anatomique, n'a pas été heureux. Mais s'ensuit- DE la
paralysie
générale spinale DE DUCHENNE. 21 il.de là qu'on
athië qui réponde trait pour trait au tableau qu'il a donné de sa
paralysie
générale spinale diffuse subaiguë qui consiste
avec la deuxième variété de Duchenn6, qu'on peut se demander si la
paralysie
générale spi- nale diffuse subaiguë ne représen
pathie. On y rencontre en effet : -1° le syn- drome, clinique de la
paralysie
générale spinale anté- rieure subaiguë (paralys
e, clinique de la paralysie générale spinale anté- rieure subaiguë (
paralysie
avec amyotrophie des quatre extrémités avec par
n, d'ailleurs; ne nie pas complètement l'existence clinique de la
paralysie
générale spinale diffuse subaiguë et voici comm
e chroniquecou de sclérose combinée. » · l " j. " ,l' ; i f JI. .
Paralysie
avec atrophie généralisée aux qitatî-e-ext2-émité
rtir' de ce moment, la marche et la station sont impossibles, et la
paralysie
des membres inférieurs le force à rester au lit
e sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la maladie, la
paralysie
gagna les membres supérieurs et fut surtout mar
Au cours de tous ces accidents, un travail escharotique avait DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 23 lieu au niveau
- rieure de la cuisse gauche.' " , , l' , Etat de la motilité. La
paralysie
de la motilité est absolue dans les membres inf
it ses membres inférieurs l'un de l'autre. Membres supérieurs. La
paralysie
ne parait pas aussi absolue que dans les membre
epré- senté que comme une latte entourée d'un coussin de peau. La
paralysie
des mains est très accusée ; il ne peut saisir au
actuellement rien de particulier à signaler. Pas de douleurs, DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 2o 5 'pas plus qu
re . par une paraplégie des membres inférieurs : Dix jours après,
paralysie
des réservoirs. Vers le vingt et unième jour de
de( sa bouche, les mucosités qui s'y accu- ' mulent. De plus, cette
paralysie
s'accompagne d'une atrophie très prononcée des
avec une remarquabble symétrie. Les caractères de ces symptômes de
paralysie
amyotro- phiques dénotent qu'on a affaire à des
an-. tonnées dans l'aire des cornes antérieures de la subs- DE LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 27 Î tance grise
ion cervicale, sont, intéressées. Pris isolément, ces phénomènes de
paralysie
! am'yotro- phiqueise rapportent par leur génér
leur généralisation et leur mode de distribution au '1 syndrome'de"
paralysie
'géné- rale spinale antérieure subaiguë,) sinon
retrouvons ! chez notre malade, ! bien marqués, (et qui sont : la
paralysie
des sphincters, une eschare au sacrum,- des tro
A, quelle afTection'avons-nous affaire ? Autant les phénomènes de
paralysie
atrophique indiquent') des lo- "- . calisations
la rappelle de trop près le tableau que nous a donné Duchenne de la
paralysie
générale spi- nale diffuse subaiguë, pour que n
devient z pour ainsi dire directrice en produisant uniquement une
paralysie
amyolrophique des deux membres supé- rieurs et
Du- chenne pour que nous ne donnions pas ce cas comme un type de
paralysie
générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NER
t provoquent de véritables altérations des mouvements ou même des
paralysies
. Je ne veux pas dire que toutes les paralysies
uvements ou même des paralysies. Je ne veux pas dire que toutes les
paralysies
d'origine psychique soient des amnésies, je cro
es altérations du mouvement, nous rappelons seulement que certaines
paralysies
des mouve- ments des bras ou même des mouvement
onpoint. Il marche lourdement, mais la motilité est intacte, aucune
paralysie
ni parésie localisées. Rien à noter non plus au
'amnésie qui s'aggrave : incohérence dansles idées, hallucinations,
paralysie
totale des jambes, des muscles du tronc et des br
S psychoses CONSÉCUTIVES A l'influenza, avec remarque SUR un cas DE
paralysie
progressive; par J. KRYPIAYIEWICZ. (Jahr- buch.
, est affaibli à gauche. La manie disparaît graduellement, mais les
paralysies
subsistent, et bientôt l'activité mentale s'affai
ns et vilipendages de la presse et du public. P. K. XI. UN cas DE
paralysie
générale A FORME circulaire; par H. ROT- TENDIL
econde phase, une rémission qui fut suivie du tableau morbide de la
paralysie
générale. Ici aussi, comme d'ordinaire, dans les
es que la folie systématique (avec affaiblissement intellectuel) la
paralysie
générale quelques folies périodiques quelques v
, une évolution prolongée, un pronostic douteux. Quant aux quelques
paralysies
générales, hystéropathies, folies systéma- tiqu
santé jusqu'à il y a dix ans (eczéma de la tête). Il y a cinq ans,
paralysie
transi- toire des muscles des yeux. Les acciden
phériques à la moelle. P. K. VI. Contribution A la pathologie DE la
paralysie
DES tambours ; par L. Bruns. (Neurol. centralbl
out. Trois années après, blépharoptose bilaté- , raie très accusée,
paralysie
de tous les musses extrinsèques des yeux (globe
nt,, sensation d'engourdissement dans les doigts de la main gauche,
paralysie
passagère des extrémités' où parésiesinter- val
senté sans cause comme des symptômes d'ophtalmoplégie nucléaire, de
paralysie
bulbaire, de polioencéphalite antérieure sous f
es, la sclérose en plaques, l'atrophie mus- culaire progressive, la
paralysie
progressive, la paralysie bulbaire. P. K. X.
, l'atrophie mus- culaire progressive, la paralysie progressive, la
paralysie
bulbaire. P. K. X. CONTRIBUTION A la connaiss
me forme dans l'encéphale. C'est ainsi que le tabes se complique de
paralysie
générale. Cette dissémination provient de certa
lors de rigueur. Voici, par exemple, un individu qui est atteint de
paralysie
psychique. Il ne peut se servir de son bras lég
ins graves que le trouble fonctionnel. C'est à coup sûr l'idée delà
paralysie
qui a provoqué la paralysie. Pourquoi ? Parce q
nctionnel. C'est à coup sûr l'idée delà paralysie qui a provoqué la
paralysie
. Pourquoi ? Parce que, à raison d'une prédispos
ation psyclio-pliysique d'ordre moléculaire. En d'autres termes, la
paralysie
psychique n'est qu'un symptôme d'une névrose gé
onicité musculaire, d'exagération des réflexes. 1 Eh bien ! cette
paralysie
peut guérir spontanément par l'expec- tation. L
malade se croit-il exposé à un nouveau danger, vite, il oublie la
paralysie
de son bras et celui-ci reprend ses fonctions. On
nomène bulbaire. A la fin de la deuxième année de maladie, mort par
paralysie
de diaphragme. Examen microsco- pique : substan
e que chez les hommes et femmes juifs. Pareillement, le tabès et la
paralysie
générale étaient plus féquents dans la même pro
KOJEWNIKOFF et le 'Dr BAJÉNOFF qui invoque pour la production de la
paralysie
géné- rale la concomitlance de trois causes : s
etc.). Chez les paysans russes, la vérole est très fréquente et la
paralysie
générale est très rare. Séance du 15 novembre
e du crâne. Il fut ensuite atteint de strabisme, de nystagmus et de
paralysie
géné- rale, et avançait si peu en intelligence
pital, la tête avait SI centimètres de circonférence; asymétrie. Ni
paralysie
, ni contracture. 5 octobre. - Incision de 4 cen
lement pen- dants sur les rapports de la vérole avec le tabes et la
paralysie
gé- nérale. Mais, ces réserves faites, nous som
trouvera encore un reste panaché, plus ou moins, avec une teinte de
paralysie
ou d'épilepsie, qui n'est pas toujours aussi so
report of a case of paro- xysmal trépidant. Abasia associated with
paralysie
agitans. Brochure in-8° de 31 pages, avec 3 fig
es, dont elle ne gardait aucun souvenir après la crise. La crise de
paralysie
, comme l'appelle la malade, durait tantôt un qu
ie, l'hystérie, l'épilepsie sensitivo-senso- rielle, le tabès et la
paralysie
générale. Qu'il nous soit permis, avant de parl
rave, tels que les accès d'épilepsie partielle avant-coureurs de la
paralysie
générale. Ces troubles se manifestent généralem
oubles de la sensibilité. 11 s'agit d'ordinaire de paré- sies ou de
paralysies
complètes, s'étendant le plus souvent au bras s
Rapports entre l'amblyopie transitoire, l'épilepsie partielle et la
paralysie
générale progressive. a). Ces rapports sont sig
a- galhaës Lemos (47) sur l'épilepsie sensitive comme début de la
paralysie
générale. Sous le nom d'épilepsie partielle (se
peut aussi la regarder comme une manifestation symptomatique de la
paralysie
générale, peut-être même d'autres maladies. L
e d'autres maladies. Les rapports entre l'épilepsie partielle et la
paralysie
géné- rale ont été mis en lumière par un certai
gnées d'amblyopie transitoire, et, au bout d'environ trois ans, la
paralysie
générale était nettement déclarée. J'ai pu obse
outils pendant cinq à six minutes. Actuellement le syndrome de - la
paralysie
progressive commence à se déclarer. La gêne de la
ensitive puisse ouvrir le syndrome 230 . CLINIQUE NERVEUSE. de la
paralysie
générale, et, non comme une simple coïnci- denc
itoire. Nous savons, en effet, que le substratum anato- mique de la
paralysie
générale est une encéphalite intersti- tielle d
motrice, amblyopie transitoire, aphasie, etc...), avec lesquels la
paralysie
générale peut se combiner. - Etant donnée la
les cas d'aphasie motrice pure et isolée, sans partici- pation à la
paralysie
des membres ni de la face, ont été fort rares.
otrice pure, re- latés ces dernières années, étaient accompagnés de
paralysie
des membres et de la face avec lésions correspo
Elle avait été frappée d'aphasie. Il n'avait existé aucune trace de
paralysie
soit du mouvement, soit de la sensibilité. L'ap
un verre et se désespérait quand on ne le comprenait pas. Pas de
paralysie
, pas de convulsions, pas de perte de connais- s
de difficulté que d'habitude, Il semblerait qu'il y ait un peu de
paralysie
faciale à droite ; le sillon naso-labial gauche
désordres de structure ou de nutrition des mêmes tissus, comme les
paralysies
, les convulsions, les anomalies de la sensation
orce, sui- vant ses caractères et sa position, peut entraîner de la
paralysie
ou des convulsions limitées à la face, aux main
tain que l'ablation d'un hémisphère chez l'homme donne lieu à de la
paralysie
plus ou moins complète des mouvements volontaires
patient guérit sans fièvre. Les accès ne se reproduisaient plus, la
paralysie
du bras gauche disparut bientôt et l'enfant auj
ons sensorielles, l'opération de Clay Shaw et de Batty Tuke pour la
paralysie
générale des aliénés. Il est trop tôt pour se p
A la destruction DES noyaux D'ORIGINE, pour faire SUITE A UN cas de
paralysie
bulbaire avec sclérose latérale AMYO- trophique
t était de 1 à 2 millimètres (gla- belle); un vieillard, atteint de
paralysie
faciale et un neurasthénique en possession d'un
oubles de la motilité (contractures, crampes, convulsions, spasmes,
paralysies
de divers ordres); troubles de la sensibilité p
é par l'atteinte isolée des fonctions motrices du système nerveux ;
paralysie
bilatérale de l'oculo-moteur commun, du pathéti
THOLOGIE NERVEUSE. gie nucléaire) ; b, polioencéphalite inférieure (
paralysie
bulbaire); c, poliomyélite chronique. Ce qui es
fants de douze à seize ans (cinq observations). Elle ressemble à la
paralysie
infantile d'ori- gine cérébrale, moins la paral
ressemble à la paralysie infantile d'ori- gine cérébrale, moins la
paralysie
et la contracture qui font tota- lement défaut.
cérébrale. Dans les deux espèces morbides, il y a inflammation, la
paralysie
infantile ordinaire constituant la forme grave
que la forme signalée dans cet article serait la forme atténuée (ni
paralysie
, ni contractures). La première aurait pour fact
squ'ici la seule cause connue. On a, il est vrai, aussi attribué la
paralysie
infantile cérébrale à un germe infectieux, parc
stée à l'occasion d'une maladie fébrile ? 2 P. K. XIX. UN cas DE.
paralysie
de BROWN-SÉQUARD ; par A.-E. KJOEH. (Neurol. Ce
nant que quelques symptômes se soient effacés. D'ordinaire c'est la
paralysie
motrice qui disparaît tandis que l'anesthésie c
milieu du dos, à gauche de laligne médiane. P. K. XX. DEUX cas DE
paralysie
générale AIGUE ; par ZACHER. (Neurol. Ce)t<6
aralysie générale AIGUE ; par ZACHER. (Neurol. Ce)t<6., 1891.)
Paralysie
générale aiguë (trois et quatre semaines de durée
e micros- copique). P. K. XXIII. Contribution A L'ÉTIOLOGIE de la
paralysie
faciale PÉRIPHÉ- RiQuF; par S. GOLDPLAf. (Neuro
iale PÉRIPHÉ- RiQuF; par S. GOLDPLAf. (Neurol. Centralbl., 1891.)
Paralysie
faciale périphérique tout au début de la syphilis
mmé- moratives des impressions optiques. P. K. XXV. SUR UN cas DE
paralysie
PROGRESSIVE CHRONIQUE DES MUSCLES DES YEUX, ass
ts sus-désignés du côté de l'oeil, puis accidents du tabes et de la
paralysie
générale. On observa ce malade huit ans. Autops
s de syphilis certaine, 40 (soit 12,5 p. 100) atteints à la fois de
paralysie
générale et de syphilis. La proportion de la syph
e, voilà le bilan anatomo-pathologique. Si nous laissons de côté la
paralysie
générale, nous rencontrons sur 32 observations
évrose qui préside aux attaques d'épilepsie-type. P. K. XXXI. Des
paralysies
OSTÉOM.1LACIQUES; par M. KOEPPEN. (Archiv f. Ps
Il croit que des lésions de la substance musculaire président à la
paralysie
, car l'impotence due aux douleurs est incapable
mpotence due aux douleurs est incapable à elle seule d'expliquer la
paralysie
. A côté des symptômes ostéalgiques, il y a quelqu
nt alors aux vésanies intermittentes. Il peut être symptomatique de
paralysie
générale; il peut aussi s'as- socier au délire
ues de néga- tion, comme celles que 13aillarâer a signalées dans la
paralysie
générale. Elles peuvent intéresser la constitut
a sphère affective et motrice de la vie psychique. A propos de la
paralysie
générale, M. Luys a donné une théorie à peu près
se croient ni possédés ni immortels. On les observe aussi dans la
paralysie
générale; nous ne les avons jamais \us dans cette
la folie sénile et démentielle; 10° le délire hypochondriaque de la
paralysie
générale, quand il se prolonge, imprime une rap
bserver encore dans d'autres maladies mentales, notam- ment dans la
paralysie
générale, l'hystérie et certaines aliénations c
ancher le diagnostic, les signes pathognomoni- ques habituels de la
paralysie
générale peuvent-ils être nécessaires. Les idée
ris) rapporte l'observation d'une malade syphi- litique atteinte de
paralysie
générale, ayant présenté de l'atrophie musculai
motrices de la substance grise des cornes antérieures comme dans la
paralysie
infantile, ou plus justement comme la sclérose
du cerveau. Cette façon de com- 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. prendre la
paralysie
générale tend à en faire une variété des atro-
mond se déclare prêt à se ranger à la théorie parenchymateuse de la
paralysie
générale et demande à M. Joffroy quelques expli
microscopique. M. MORDREZ (du Mans) a observé récemment un cas de
paralysie
générale sans lésions macroscopiques. M. DoUT
rBENTF,. Le cas que AI. Joffroy vient de rapporter est-il un cas de
paralysie
générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOF
des antécédents syphilitiques, cela n'influe pas sur la forme de la
paralysie
générale. Il n'y a pas de paralysie générale de n
n'influe pas sur la forme de la paralysie générale. Il n'y a pas de
paralysie
générale de nature, mais d'origine syphilitique
litique; la syphilis est une simple cause prédis- posante. La vraie
paralysie
générale est celle qui répond au type anatomiqu
ique que je viens de décrire. M. PIERRIET (de Lyon). Rapports de la
paralysie
générale et des tabès. Je cherche, depuis de lo
troubles psychiques semblables à ceux qui caracté- risent encore la
paralysie
générale; il avait signalé que les paraly- tiqu
ut le système psycho- moteur, c'est la démence paralytique pure, la
paralysie
générale sans délire. Les malades qui en sont a
s de décrire ont été jusqu'à présent confondues dans le cadre de la
paralysie
générale due à des lésions diffuses d'emblée, m
part désormais. M. le Dr Ch. Vallon présente une note sur un cas de
paralysie
générale vraie consécutive à une encéphalopathi
ite d'une encéphalopathie saturnine, a présenté les symptômes d'une
paralysie
générale à la dernière période. Au bout de quel
disparu, il s'était produit également une rémission complète de la
paralysie
générale. A s'en tenir à cette première partie
et de ce fait le considérer comme ayant été atteint d'une pseudo-
paralysie
saturnine. Presque toutes les observations publié
ère. Après cette rémission de deux mois, tous les symptômes de la
paralysie
générale se sont montrés de nouveau. La maladie a
nt montrés de nouveau. La maladie a suivi la marche ordinaire de la
paralysie
générale pour aboutir au ma- rasme paralytique
t très accusées qui sont considérées comme caractéristiques dans la
paralysie
générale. A mon avis, la pseudo-paralysie satur
ais comme une simple période de l'évo- lution du saturnisme vers la
paralysie
générale. On ne peut ad- mettre le terme de pse
TÉS SAVANTES. tion de pseudo-paralysie générale saturnine. La vraie
paralysie
générale est progressive et ne présente que des
t, la seconde montrant une face d'idiote. Pas de contractures ni de
paralysie
. Elle remue constamment et se tord les mains, m
fut très pénible. Pas de forceps. L'enfant était très petit. Pas de
paralysie
, mais très faible. On ne trouva pas de fontanelle
geole. A quinze mois, deux attaques distinctes de convulsions, sans
paralysie
. D'autres attaques se déclarèrent à vingt-deux
le se met à rire et essaie de les attrapper pour jouer avec eux. La
paralysie
, si apparente avant l'opération, a aujourd'hui
règne une distinction capitale, entre les amnésies organiques de la
paralysie
générale, du satur- nisme, de l'alcoolisme, etc
rsal. Les autres leçons traitent du tabes dorsal spasmodique, de la
paralysie
infantile, de la sclérose en plaques, de la mal
l professe sur l'origine vasculaire de ces scléroses. L'étude de la
paralysie
infantile permet ensuite à M. Marie de revenir
issement envahissant toute une moitié du corps, la langue comprise;
paralysie
des membres, aphasie motrice, troubles de l'int
, une sensation de fourmillement et d'engour- dissement ; - b), une
paralysie
de toute la moitié gauche du corps. Les accès,
ation de ces troubles à un côté du corps. b). Pour ce qui est de la
paralysie
des membres, il est connu qu'un certain degré d
st de la paralysie des membres, il est connu qu'un certain degré de
paralysie
s'ajoute toujours aux sensa- tions d'engourdiss
ll von hysterischer Aphasie bei einem Knabe, combinirl mit facialis
Paralysie
. D. medicinische IV, 1890. 1 Fulton. Ein Fall v
général, que l'absence d'exagération des réflexes, des parésies ou
paralysies
persis- tantes, de rigidité pupillaire, de lési
u fond de l'oeil, les vertiges, la céphalée matutinée, etc. e. - La
paralysie
générale et les tumeurs malignes ne pourraient
t se convaincre que le chien n'était pas enragé; les douleurs et la
paralysie
transitoires, disparurent; seulement, de temps
; pendant quatre mois, il a des accès'quoti- diens intermittents de
paralysie
au bras droit qui cessent de se présenter depui
iplopie, étourdissements sous forme d'accès ; léger trauma- tisme :
paralysie
et tremblement du bras droit ; hémop- tysie gra
matin à 8 heures et l'autre le soir. Elles ne furent pas suivies de
paralysie
. Le troisième jour il eut une attaque le matin
qui dura vingt minutes. Cette attaque ne fut pas suivie non plus de
paralysie
des membres. Le fait d'avoir perdu connaissance
qu'à l'épilepsie : du reste, nous reviendrons sur ce point. 3° La
paralysie
survenue après la première attaque, dans la sér
izième attaque survenue le même jour. Or il est caractéristique des
paralysies
hystériques de se manifester et de disparaître
'après l'un de ces accès, se manifeste la disparition brusque d'une
paralysie
préexistante, comme il est arrivé dans notre cas.
e pas de perte de la connaissance, et après la première attaque une
paralysie
suivit; le deuxième jour, après la phase convul
ATHOLOGIE NERVEUSE. à son travail, le marteau lui parut lourd et la
paralysie
du mouvement et de la sensibilité dans la main
ix mois. Cependant, après cette époque, à l'approche des orages, la
paralysie
de la sensibilité et de la motilité réapparaiss
vi de troubles du langage écrit et parlé, attaques convulsives avec
paralysie
consécutive de la jambe et du bras : c'est bien
ement : 1° Sur les troubles du langage; 2° sur le caractère de la
paralysie
consécutive à l'un des accès convulsifs; 3° sur l
organiques. En outre, dans notre cas, il n'y avait pas de trace de
paralysie
de la langue, ni des lèvres. Nous nous croyons
se de céphalalgie après laquelle il s'é- tait manifesté, de même la
paralysie
, survenue après la crise convulsive suivante, n
à, considérer celle-ci comme de nature hystérique. En effet, cette
paralysie
de la jambe a bien tout le caractère de la para
n effet, cette paralysie de la jambe a bien tout le caractère de la
paralysie
hystérique, qui se manifeste avec une démarche
olonger, puisque à l'irritation vaso-cons- trictrice doit suivre la
paralysie
du sympathique, l'état de . congestion neuropar
provoquée par la lumière; la fente palpébrale est un peu rétrécie (
paralysie
du muscle de iI1üJler). Telle est la descriptio
nelles (neuras- thénie, hystérie, .épilepsie) ou organiques (tabès,
paralysie
L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 441 générale), est d
es reste permanent, que ces attaques peuvent marquer le début de la
paralysie
générale ou être associées à nombre d'autres ma
ecine, 1883.) - 33. Parinaud. - Migraine ophtalmique au début de la
paralysie
générale. (Archives de Neurologie, 1883, t. V,
10 janvier 1888, p. 10.) . 40. P. Blocq. - Migraine ophtalmique et
paralysie
générale. (Archives de Neurologie, 1889.) 41.
A. Marie. - Contribution ci l'étude des troubles oculaires dans la
paralysie
générale. (Th. de Paris, 1800.) 45. A. Mazra. O
ystérie. (Th. de Paris, 1891.) 53. Charcot. Sclérose en plaque et
paralysie
générale. (Leçons à la Salpêtrière, Semaine méd
oins complets. Un indi- vidu, qui travaille dans le plomb, imite la
paralysie
des exten- seurs de son camarade. Un homme assi
e bras droit coupé après un accident de machine, il rentre avec une
paralysie
hystérique du bras. Une femme, nous raconte M.
rand'mère maternelle morte à soixante-dix-neuf ans d'une attaque de
paralysie
; mère morte à soixante-six ans de la même malad
rgie. Le malade revient à lui au bout de trois jours; il n'a pas de
paralysie
, mais il éprouve de violentes douleurs dans la
voit encore la cicatrice. Il sort de l'hôpital en octobre avec une
paralysie
du côté gauche (la langue n'aurait pas été pris
ensibilité est en partie revenue dans la moitié gauche du corps. La
paralysie
s'est sensiblement amendée et permet quelques m
ement ses fonc- tions, mais l'amélioration de l'anesthésie et de la
paralysie
est à peine marquée. On essaie encore, mais e
et 1 femme); épilepsie con- génitale : 4 (tous du sexe masculin) ;
paralysie
générale : 6 (tous du sexe masculin); manie aig
ment sur les mêmes individus a donné onze succès pour treize cas.
Paralysie
générale : sur quinze cas, quatre à peine sont fa
s persis- tante. P. K. III. Du CHLORURE D'OR ET DE SODIUM DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE progressive; par le Dr BouBILA et MM.
et Cossa. Les discussions sur les rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale sont loin d'être terminées. Dans le No
de l'Europe, l'accord paraît exister sur la nature spécifique de la
paralysie
générale : il n'en est pas de même en France.
ltats un argument bien net en faveur ou contre la spécificité de la
paralysie
générale, ils sont loin cependant d'avoir fait
léole rapetissé. M. BRIE. Des symptômes de lésions en foyer dans la
paralysie
géné- rale. Les attaques congestives tiennent s
iques de la main droite. L'autopsie montre, outre les lésions de la
paralysie
générale, une atrophie extrême du segment supér
mémoire sera publié in extenso. M. ASCIIER. De l'aphasie dans la
paralysie
progressive. - Il s'agit t d'un paralytique gén
plus tard apparurent simultanément les accidents du tabès et de la
paralysie
générale : diminution du réflexe patellaire dou
(l'élévateur des paupières demeura cependant épargné) ; finalement,
paralysie
des mouvements de convergence. Les altérations
ts de convergence. Les altérations macroscopiques sont celles de la
paralysie
géné- rale. Au microscope, on rencontra la dégé
s désigner provisoirement, d'après leurs caractères, sous le nom de
paralysie
spasmodique ChOI'éiforme. Il est évident qu'ail
asmodique congénitale des membres, ainsi que dans celui de J. Ross (
paralysie
spasmodique de l'enfance) qui fait notamment. r
d'athétose. M. REMAK qui, lui aussi, a vu l'athétose compliquer la
paralysie
infantile spasmodique, croit que dans les cas d
cas présenté dans l'espèce n'a qu'une vague ressemblance avec ces
paralysies
spasmodico-choréïques, il s'en distingue notammen
ontracture et l'athétose se sont d'emblée déve- loppées sans aucune
paralysie
, et cela seulement à l'âge de huit ans. Séanc
. PPÉ31DENCE DE M. JOLLY. M, SPERLING présente un malade atteint de
paralysie
bilatérale du grand dentelé. (Publié dans ]eNeu
d'une piqûre dans la région del'aisselle droite fut atteinte d'une
paralysie
franche du grand dentelé. L'omoplate ne s'écarte
ment les types de para- lysies périphériques graves, par exemple de
paralysies
saturnines, paralysies des nerfs'des extrémités
lysies périphériques graves, par exemple de paralysies saturnines,
paralysies
des nerfs'des extrémités supérieures, des nerfs d
s. Un seul cas a fait exception à cette règle ; il s'agissait d'une
paralysie
traumatique du médian et du cubital; sous l'in-
s du même genre pourraient être invoqués, soit à propos d'une grave
paralysie
radiale traumatique, soit eu ce qui concerne un
ne grave paralysie radiale traumatique, soit eu ce qui concerne une
paralysie
saturnine des extenseurs, mais c'était plutôt u
, la réaction dégénérative de Franklin est très rare, même quand la
paralysie
grave est de date encore récente, quand elle da
SJCJCnJ.wc présente des préparations de lésions anatomiques dans la
paralysie
infantile spinale. Mémoire publié dans les -lr-
décider de son degré d'action. M. PLACZEK. De l'association de la
paralysie
agitante [et du tabès dorsal. Il s'agit d'un né
, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de la sensibilité. La
paralysie
agitante se révéla par l'immobilité du masque,
étropulsion très accentué. C'est le tabès qui ouvrit la marche ; la
paralysie
agitante suivit. M. MENDEL. Contribution ci l'a
idence DE M. JOLLY.. Discussion sur les lésions anatomiques dans la
paralysie
infantile : M. HISSLEII a examiné les pièces de
nt : a le tabès; .6 l'atrophie musculaire spinale progressive et la
paralysie
bulbaire, qui correspondent à la notion de la fon
lite chronique diffuse, qui correspondent au tableau morbide de la
paralysie
spinale spasmodique. Mais la maladie de Friedre
Amblyopie, transitoire, par Anto- nelli, 201, 423; - toxique avec
paralysie
progressive chronique des muscles des yeux, par
hémiplégie consé- cutive à l'intoxication -, par Popoff, 78. -
Paralysie
générale, à forme circu- laire, par Rottenbille
er dans la-, par Brie, 495; - aphasie dans la-,par Ascher, 497.
Paralysie
générale spinale diffuse subaiguë de Duchenne,
subaiguë de Duchenne, est elle un type distinct, par Leroy, 18.
Paralysie
BULBAIRE avec sclérose latérale amyotrophique,
AIRE avec sclérose latérale amyotrophique, par Kron- thal. 260.
Paralysie
de Brown-Séquard, par Kiver, 274; - des tambour
Semai, 484. SCLÉROSE latérale AIIYOTROPIIlQUEpar Muratoff, 259; -
paralysie
bul- baire avec -, par Kronthal, 260. SCLÉROS
biné à l'atrophie musculaire, par Jolly, 498; Bernhardt,-503;- et
paralysie
agitante, par Plac- zeck, 506; - et syphilis, p
(COLLABORATEURS. 3° par Darkschevitch et Ri- bytkow, 263. Yeux,
paralysie
progressive des muscles des-chez un tabétique,
Intelligence conservée ; enfoncement du crâne ; trépanation ; coma;
paralysie
plus marquée; érysipèle de la tête. A la fin d'
ong. Apoplexie à quatre-vingt-trois ans, au mois d'avril 1860, sans
paralysie
ni perte de l'intelligence, mais avec aphasie e
r un diagnostic que viennent confirmer les symptômes propres à la
paralysie
générale. Les idées de damnation, comme nous l'
es classe à côté des attaques qui se montrent si fréquentes dans la
paralysie
générale. Or, on sait que celle-ci peut être el
aux courants faradiques (An S Z > Ka S Z) constituerait dans les
paralysies
atrophiques un symptôme clinique de bon présage
l'étendue des phénomènes. Pas de troubles de la sensibilité; pas de
paralysie
franche. Aucun foyer cérébral. ill. Kirchhoff r
l'appui de sa thèse. P. K. IX. Contribution A LI, localisation des
PARALYSIES
saturnines dans les extrémités inférieures; par
tabli jadis par Remali (Arc/t. f. Psychiatlie, VI, 41) porte sur la
paralysie
dégénérative des péroniers et des longs extenseur
entier. P. K. iI. L.f.1'l' .\NA'10110-L'.IIHOLOGIQUE D\NS un cas de
PARALYSIE
infantile spinale EXISr%N'r depuis trois ANS; p
nte du sang dans les vaisseaux , serait-on autorisé a penser que la
paralysie
spinale aigué de l'enfance a pour origine des h
orrhagies primitives. ' 13. K. 11. Situation DE l'omoplate dans LES
paralysies
DU grand dentelé, par 1.$EF;LIG)IUELLEIt. (Neur
elé, par 1.$EF;LIG)IUELLEIt. (Neurolo. Central6l., 1882.) Dans la
paralysie
du grand dentelé qui persiste depuis un temps R
ales du côté droit, ayant déterminé des convulsions a gauche et une
paralysie
de la jambe gauche. 2" Ramollissement de la cir
ution pariétale ascendante droite, produisant un tremblement et nue
paralysie
permanente du bras gauche et un tremblement et
et nue paralysie permanente du bras gauche et un tremblement et une
paralysie
transitoire de la jambe gauche. 3" Ramollisseme
partie inférieure de la frontale ascen- dante des deux côtés, avec
paralysie
de la face et aphasie. 4" Abcès du cerveau d'or
des circonvolutions ascendantes), produisant des convulsions et une
paralysie
du bras droit et du côté droit de la face, avec
lissement de la frontale ascendante du côté droit, accompagné d'une
paralysie
du bras gauche et d'une parésie de la jambe, de
parésie de la jambe, de la face et de la langue. 6° Convulsions et
paralysie
du côté droit du corps dues à une inflammation
deux observations anatomopathotogiques mettent en évidence dans la
paralysie
gé- nérale l'atrophie considérable de toutes le
r les lymphatiques de la tête, la fréquence terrninale du poulsh la
paralysie
du pneu- mogastrique, la dilatation pupillaire
tc.), soit par une cause locale échappant au diagnostic (névralgie,
paralysie
, épilepsie, hystérie, hypochondrie), soit enfin
ans la leçon XVIII se trouvent consignées plusieurs observations de
paralysie
rapide et presque généralisée, semblant être sous
flexes tendineux et la para- lysie motrice ; l'auteur rapproche ces
paralysies
de celles qui s'ob- servent à la suite de la di
système nerveux (teruous mimicry de James Paget); dans aucun cas de
paralysie
hystérique, l'auteur n'a observé l'abolition de
pendant le'réflexe tendineux pour- rait disparaître dans les cas de
paralysie
prolongée du triceps fé- moral. Dans un cas, la
es cas de paralysie prolongée du triceps fé- moral. Dans un cas, la
paralysie
d'un côté de la face aurait été observée. A pro
s permettent pas d'entrer dans le détail des chapitres consacrés la
paralysie
saturnine, à la paralysie cervicale, à la paral
dans le détail des chapitres consacrés la paralysie saturnine, à la
paralysie
cervicale, à la paralysie infantile, à la poliomy
es consacrés la paralysie saturnine, à la paralysie cervicale, à la
paralysie
infantile, à la poliomyélite an- térieure, à la
ale, à la paralysie infantile, à la poliomyélite an- térieure, à la
paralysie
a21taii te; mais à propos de cette dernière, no
symptômes des tumeurs cérébrales; tantôt c'est un délire aigu, sans
paralysie
, ni convulsions, donnant l'image du délire alcoo-
artielle par lésion cérébrale. Ce signe négatif, c'est l'absence de
paralysie
des membres convulsés, quelqu'ait été le nombre
n..., dont le cas est publié plus bas, présentait constamment de la
paralysie
des membres convulsés après quelques accès. E
du moins, de constater l'absence d'élévation de la température, de
paralysie
, etc. Il n'en a point été ainsi chez Rosa G...,
ur : 1° l'absence d'élévation de la tempéra- ture ; 2° l'absence de
paralysie
; 3° la survie compa- tible avec un très grand n
te : 1° une hyperexcitabi- lité(très manifeste de la moelle ; 2° la
paralysie
des muscles part aux convulsions. ? Ençé qui co
e- transitoire des muscles con- vulsésJqVtiicirlx.relation de ces ?
paralysies
telle qu'elle figure dans nos notes relatives à
de .remuer. : ) le. inernbref inférieur,5gaiiclie., Ili texiste une
paralysie
faciale (très-notte,;rl'ouverture palpébralelba
: sillonlnâso : génien gauche est enacé;'Nous constatons que cette
paralysie
delà-face est tout; à faitftran- sitoire ; elle
aisse. 'jL ? ? ,c7 . ? entre les accès pour ou elle disparaisse. La
paralysie
du bras et'de'lafârriliîf'persiste'^ après la
38 ? quell,que"^soitlêT'nonhire°des crises ; chez Rosa G..., pas de
paralysies
des membres convulsés,o°même,`quand°.laSlnalade
jchez,Foisn ? au,,r,ontraire, après quelques attaques, apparaît une
paralysie
très mahifestedè iafacëet''dësmembres gauches'
Pendant une occu- pation domestique chancelle1 et perd la parole ;
paralysie
du bras droit, et plus tard'du membre inférieur
mée Borda tombe frappée d'hé- miplégie et d'aphasie. Pendant que la
paralysie
per- siste, la parole revient peu à peu. Dans
le; 3° Que dans un nombre de cas, relativement consi- dérable, la
paralysie
accompagne l'aphasie. En d'autres termes, troub
troubles aphasiques seulement, d'une part ; aphasie véritable avec
paralysie
, d'autre part; tels sont les symptômes qui cara
entendu, que l'aphasie, car, dans ce cas comme dans le premier, la
paralysie
du membre supérieur surtout se manifestera à ca
Loi ' 30)J i g'1oa/i Ol;scavaTlo : v 11 (Rochoux). -flylucsie sacts
paralysie
, y, aszd ? j' ? j ? \ ? , '7 ? ra°rfl'S 4, :
inique de Trousseau.) aaot 'woo 1 193 m f Femme de quarante ans. -
Paralysie
de tout le côté gauche du corps;) aphasie. <
avant-mur ; athérome artériel. Trois attaques d'hémiplégie gauche ;
paralysie
com- plète du membre supérieur, incomplète du m
ment des pieds en provoque d'assez intenses ; vomissements bilieux,
paralysie
faciale très marquée, épigastre douloureux ; in
'atrophie de la troisième frontale gauche, sans se préoccuper de-la
paralysie
. Aujourd'hui, après le travail de M. Duret sur
paraît bien difficile de ne pas tenir le plus grand compte de la
paralysie
à gauche et de ne pas la rap- porter à l'athéro
ître la maladie. La période expansive ne sera pas confondue avec la
paralysie
générale ; l'état de la pupille, l'absence de t
allèlement la santé somatique et la santé mentale. R. M. C. XVII.
Paralysie
et aphasie congénitale chez un idiot ; atrophie d
ls et d'utiles indications, R. M. C. XIX. Sur la pathologie de la
paralysie
générale; par Joseph 1'I- CLESWOIITU. (Journal
ante : «La conclusion à laquelle on arrive finalement, c'est que la
paralysie
générale est une inflammation interstitielle vr
sus des tables, des chaises, etc.). Ason entrée on noiiiote aucune,
paralysie
motrice; au point de vue mental, il est irritab
connu depuis longtemps par une série d'intéressants travaux sur la
paralysie
générale, a étudié avec soin l'état du réflexe
1 rn ? J Gût z(Sliil 9tlJCJbG n^I 911n Jy ? l rattachent . , à . la
paralysie
, générale : . , t 9( r (I r ( n , z ? ,'<*
'sur ]es éléments de f'étiologié et'sur ceux de'U'évolulion ! 'La''
paralysie
générale ne provient jamais exclusivement de l'
1excès alcoo- liques 'd'ailleurs très fréquents, tandis que,dans-la
paralysie
gêné- racles rechutes sont spontanées, la, mqrt
énérale,1 engendrent. des forriies 'mixtes.' Règle1 gé- nérale,' la
paralysie
générale"alcb6lique a1 une' évolution torpide;
ès prononce d un1 bout a 1 autre. Différences necroscopiques : la
paralysie
générale1 vraie appartient l'iiîtênsité désraltér
ux ganglions ! On devrait, selon lui,3"accepter là'pathogénie'de'la
paralysie
générale', de parlés excès alcooliques', sous l
es boisions, aFoqliugpr9çuyhlçpglisLoEI ? oiti ! 19 duquel émane la
paralysie
générale typique ; . 9D1(hoin 2° Les excès; de,
boissons, précèdenj.,^ jl.s[enpiévelqppe, ^au ^cou.rs du temps, une,
paralysie
, générale, sanssqu^oQpobserv^eJe^lad^m-, terméd
nséquent, la nature périphérique de ces atîeclions,(3;,com- pris la
paralysie
saturnine) ne saurait encore être admise comme
génération évidente. Il lui paraît difficile, en ce qui concerne la
paralysie
saturnine., de rattacher, aune altération fonct
demeurentintacts. La non-participation dus nerfs sensitifs dans la
paralysie
satur- nine n'a pas encore été démontrée. ; 1 `
inement aux idées de M. Strumpell. Déjà, dans sa monographie sur la
paralysie
spinale infantile,' il a·e1 supposé l'infection
c'est le domaine 'du59 ' radial qui se trouve atteint ? or, dans la
paralysie
traumatique > ? du nerf radial, les troubles
1111;DFL (de Berlin). Contribution à l'anatomie pathologique de la
paralysie
progressive des' aliénés '. - Faut-il, comme le v
iénés '. - Faut-il, comme le veut M. T uczek -, croire que, dans la
paralysie
générale, l'atrophie des fibres nerveuses à myé
celle des cerveaux pathologiques. (Pièces à l'appui.) Pour lui, la
paralysie
générale est une'encéphalite'interstitielle.riD I
réciation jsuivante. Au point de vue. clinique, lés 8 symptômes, de
paralysie
, générale, se montrent en différentes z diffuse
trait qu'à des individus infestés par l'hérédité; il en a exclu la
paralysie
générale qui, pour lui, ne constitue pas une af
i.sTRomrz croient que l'hérédité n'est pas si rare que cela dans la
paralysie
générale. M. Ideler demande si les criminels en
re de ces conceptions et leur teneur. Dans les stades avancés de la
paralysie
générale, l'unitonalité du masque répond à l'ét
cles du corps (état maniaque et surtout délire aigu); d'aucunes, la
paralysie
, l'incoor- dination des mouvements associés; qu
ions de dédain, de` mépris, de finasserie, existe au summum dans la
paralysie
générale, et, a un degré plus ou moins prononcé
parait tiques généraux ; ; microphthiilmie des stades avancés de la
paralysie
générale, de la démence, de l'idiotie.1 En somm
émence arrive et la mort a lieu au milieu du tableau clinique de la
paralysie
générale. Autopsie. Adhérences corticales carac
grise. Discussion : ? ,R'. M. Westpiul croit que c'est un cas de,
paralysie
générale ayant commencé par des tabès, et qu'il
ole, etc.), un développe- ment somatique extrêmement restreint, une
paralysie
totale des deux extrémités, supérieure et infér
ives de l'appareil dentaire. Il rattache l'hémiplégie gaucho et les
paralysies
des extrémités et du facial de côté, a la destruc
,LSOCiéLé que, quelle que soit la perfection des rémissions dans la
paralysie
générale, l'étude de récidives s'oppose à ce qu
ut compter avant de prononcer l'épilliète d'in- curable. Quant à la
paralysie
générale, il est exact que l'on se trouve souve
lytique de cette maladie, mais reconnaît qu'elle peut compliquer la
paralysie
générale (soixante-dix observations à l'appui).
ue à la Société de biologie, octobre 48831. Charpentier . VIL Des
paralysies
du nerf sciatique poplité externe d'origine pel-
variable. Tantôt, il s'agit d'une paraplégie complète, tantôt la
paralysie
est unilatérale ou prédominante d'un côté; tantôt
ralysie est unilatérale ou prédominante d'un côté; tantôt enfin, la
paralysie
est non seulement unilatérale mais partielle. Que
sie est non seulement unilatérale mais partielle. Quel- quefois, la
paralysie
partielle est limitée aux nerfs sciatique po- p
en effet expliquait la localisation, qu'il croyait exclusive, de la
paralysie
au sciatique poplité externe, par le fait que c
.) BIBLIOGRAPHIE. 269 neuropathologie : Aphasie et Arttonontnsie,
paralysie
par compres- siorz, urticaire chronique, sperrn
céphalique au moyen des vaso-moteurs. La migraine peut produire des
paralysies
, des convulsions, de l'amnésie, la folie, la pe
Tout d'abord, nous constatons chez lui les signes classiques de la
paralysie
pseudo- hypertrophique. Les membres inférieurs,
Dans le cas qui vient d'être rapporté, la maladie de Thomsen et la
paralysie
pseudo-hypertrophique coexis- tent, sans que l'
s sommes arrivé à cette conviction qu'il ne s'agissait pas là d'une
paralysie
vraie, telle que celle qu'on observe communémen
des attaques seulement. Pas d'élévation de la température ; pas de
paralysie
consécutive aux accès, mais simplement de l'imp
nement penché pour l'épilepsie, si l'absence d'hyperthermie et de
paralysie
nette des membres convulsés à la suite des atta
nnels sont peu circonstanciés. La mère de Fore... a été atteinte de
paralysie
des membres ( ? ) à la suite de couches. Son pè
vec perte de connaissance. Cette attaque se serait accompa- gnée de
paralysie
du bras gauche. Les attaques se sont re- produi
des accès simplement - épileptiformes. b) Puis vient l'absence de
paralysie
des membres convulsés dans la fausse épilepsie
épilepsie partielle vraie laissent, au contraire, à leur suite des]
paralysies
ou parésies passagères ou définitives. c) Il
Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une attaque de
paralysie
gauche qui l'a enlevé en trois jours; il faisait
ois mois. Lorsqu'il a quitté le lit, « tout le côté gauche était en
paralysie
» ; on n'avait rien remarqué auparavant; on dut.
te un léger érythème de la fesse droite. On ne trouve nulle part de
paralysie
ou de contracture; il n'y a pas de raideur du c
2, que de très légères diffé- rences. Au membre supérieur gauche la
paralysie
persista plus longtemps, et ce ne fut que vers
.paralysie véritable et anesthésie des membres affectés. Jamais de
paralysie
de la vessie ni du rectum, pas d eschares, spasme
ue; énorme résistance électrique. Légère contracture des genoux. La
paralysie
et les anesthésies s'évanouirent ultérieurement
t peu profonde du rendement lombaire. P. Marie. XXIV. Deux cas DE
paralysie
DU trijumeau ; par C.-W. Mueller. Arch. f. Psyc
concerne l'atteinte de la portion sen- sitive du trijumeau droit :
paralysie
totale, à l'exception du globe oculaire, de la
x observations de formes associées de sclérose multiloculaire et de
paralysie
progressive. Une femme de quarante-trois ans, i
elques mois, présenté les symptômes prémoni- toires habituels de la
paralysie
générale, est indubitablement atteinte de cette
rouble de la parole. Quatre ans plus tard, ce sont des symptômes de
paralysie
générale qui constituent le tableau clinique; l
ment gra- duel et de l'incertitude de la démarche et finalement une
paralysie
des bras et des jambes. La sensibilité est cons
és. L'une d'elles est, en fait de complexus clinique, un exemple de
paralysie
ascendante aiguë ayant évolué en dix-sept jours
oelle. Bien des cas, tels que celui-ci, considérés à tort comme une
paralysie
ascendante aiguë, ne sont-ils pas des faits de
âgée. Le plus, l'atteinte du faisceau pyramidal avait déterminé une
paralysie
flasque sans rigidité ni contractures. rapproch
'avant-bras, à la main, dans les doigts, sur les mêmes zones que la
paralysie
. La douleur est en ces régions, au moins par pl
eurs semaines présentèrent de la dégénérescence secondaire ; pas de
paralysie
complète ; quelques- uns eurent des troubles de
thode d'examen. Cette atrophie appartient-elle exclusi- vement à la
paralysie
générale ? La réponse appartient à l'avenir. Po
s organes).-Le dernier mémoire (D) n'a d'ail- leurs plus trait à la
paralysie
générale. M. Tuczek a eu l'idée de soumettre à
ard, parésie des extrémités droites se transformant rapidement en
paralysie
complète avec contracture dans le sens de l'exten
s DE la réaction dégénérative par- TIELLLE ET sur L'OCCURRENCE DE H
paralysie
spinale atrophique CHRONIQUE CHEZ l'enfant; par
HEZ UNE FILLETTE DE six ANS (fait unique); la seconde a trait à une
paralysie
rhumatismale (ou par compression ? ) du Voy. Ar
PATHOLOGIE NERVEUSE. 343 radial gauche; la troisième porte sur une
paralysie
faciale rhuma- tismale à forme moyenne. Dans to
er plus de résistance que celles qui n'ont pas été atteintes par la
paralysie
; 6° même dans les hémiplégies très an- ciennes
médicale. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 3,51 i XXXVIII.
Paralysie
générale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE
des influences accidentelles diverses peut faire un jour éclore la
paralysie
générale. 11 est probable que dans la ma- jorit
e rapporte dans ce travail quatre observations dans les- quelles la
paralysie
générale a fait son apparition plus ou moins lo
ière; eidin, dans un dernier cas, on avait assigné comme cause à la
paralysie
géné- rale une lésion de l'épine dorsale; mais
'âge de deux ans et demi, et son intelli- gence s'en est ressentie.
Paralysie
motrice du membre supérieur droit et faiblesse
auteur a obtenu : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 361 ment : de la
paralysie
de l'oculomoteur externe gauche manifes- tement
agitation croissante et les troubles psychiques et somatiques de la
paralysie
générale. Durée de cette phase : neuf jours. Fi
ours d'une maladie mentale quel- 361. SOCIÉTÉS SAVANTES. conque ;
paralysie
générale, délire chronique, épilepsie, etc. Qui
de fois cette situation ne s'est- elle pas constatée au début de la
paralysie
générale. Tel malade peut tenir de causes héréd
on mariage. Il y a neuf mois, signes somatiques et psychiques de la
paralysie
générale, sans qu'on fût en état de cons- tater
loppement pour ainsi dire v6 ovo est corroborée par la marche de la
paralysie
gé- nérale; car, telle est, dès l'apparition de
lures permirent à l'auteur de songer, tout en portant le diagnostic
paralysie
générale, à l'existence d'une affection orga- n
é a persisté, jamais on n'a constaté de troubles ocu- laires, ni de
paralysie
, tandis que les attaques, devenues très fré- qu
on, provoqué des convulsions, à l'aide de résec- tions, produit des
paralysies
, rattache au lobe frontal l'innervation des mus
n du lobe antérieur d'avec le reste du cerveau aurait engendré la
paralysie
de l'appareil musculaire du tronc du côté opposé,
accompagné de fièvre modérée ; un troisième était en- levé par une
paralysie
progressive à marche rapide. Deux vivent encore
Malgré les analo- gies irréfutables de cette forme morbide avec la
paralysie
spinale subaiguë de Ducbeuue, aucun des symptôm
camphre, par exemple) dépendent d'une congestion cérébrale due à la
paralysie
de la tu- nique musculeuse des vaisseaux ou des
atteint du let au 17 septembre de diphtliérie pharyngée. Dès lors,
paralysie
du voile du palais 384 SOCIÉTÉS savantes. (pa
isit cette occasion pour compléter sa communi- cation relative à la
paralysie
progressive de l'ensemble des muscles de I'oeil
sité d'un point d'appui, de la parésie, et, de temps à autre, de la
paralysie
vésicale, une constipation opiniâtre, des névra
ppréciable, ictus aploplectiquc grave ; trouble de la connaissance,
paralysie
faciale complète, hémiplégie droite. Vingt-quat
approche de la stupeur; celle-ci est totalement réalisée lorsque la
paralysie
est absolue. Autrement dit, toute psychose expr
plète, la folie périodique ;le même cadre peut être reporté dans la
paralysie
générale. Une vésanie typique complète, mortell
tabès spéci- fique ; par P. Portalier. Thèse de Paris, 1884. Des
paralysies
dans le cours de la colique hépatique ; par BouR-
306. Encéphalopathie saturnine, par Comby, 80. Endartérite avec
paralysie
et apha- sie, 208. Epilepsie jacksonnienne, p
imbécillité, 91; - (ana- tomie pattoloâique de), 250, 352. Idiot (
paralysie
et aphasie congé- nitale chez un), par Shaw, 90
. Olfactive (muqueuse), 378. Omoplate (situation de l' dans les
paralysies
du grand dentelé), 82. Optique (disposition c
e- rew, 78. Paralvsie progressive des muscles de l'oeil, 384.
Paralysies
saturnines des extrémités inférieures, par Ilem
Paralysies saturnines des extrémités inférieures, par Ilemak, 84.
Paralysie
infantile spinale exis- tant depuis trois ans (
(état ana- tomo-pathologique dans un cas de), par Schuitze, 84.
Paralysie
pseudo-hypertrophique et maladie de Thomsen, pa
udo-hypertrophique et maladie de Thomsen, par Vi- gouroux, 273.
Paralysie
du grand dentelé, 82. Paralysie générale (sur l
Thomsen, par Vi- gouroux, 273. Paralysie du grand dentelé, 82.
Paralysie
générale (sur la patholo- gie de la), par Wigle
ues 82. Récompense honorifique, 111. Fabrn, 128. Sciatique (des
paralysies
du nerf - poplité externe d'origine pel- vien
Tétanos (substratum anatomique du), 84. Thomsen (maladie de) et
paralysie
pseudo-hypertrophique, par Vi- ,-otii,otix, 2
sie pseudo-hypertrophique, par Vi- ,-otii,otix, 273. Trijumeau (
paralysie
du), 396. Tumeur cérébrale avec surdité cen-
e la plus simple l'hémiplégie purement motrice dans laquelle il y a
paralysie
des membres, de la langue et de la partie infér
able hémiplégie sensorielle non croisée, c'est-à-dire qu'il y a une
paralysie
de la moitié gauche des rétines quand la lésion
ésé au-dessus de son entrecroisement. Il présenta simultanément une
paralysie
de la moitié gauche de la lan- gue, c'est-à-dir
-même, dans son trajet intra-bul- baire, qui a été atteint. Cette
paralysie
de la langue s'accompagna d'atrophie musculaire,
oteur ocu- laire externe ou de son noyau, amènera égale- ment une
paralysie
avec atropine uegeneraLive uu muscie urom externe
et la partie inférieure de la face, et en même temps il y aura une
paralysie
directe du moteur oculaire commun, véritable pa
l y aura une paralysie directe du moteur oculaire commun, véritable
paralysie
périphérique avec atrophie dégénérative des mus
e la face du côté gauche. Et à cette hémiplégie gauche se joint une
paralysie
du releveur de la paupière supérieure droite, c'e
neau, chef des travaux ophtalmologiques à la clinique de St-Anne. «
Paralysie
du releveur de la paupière supérieure droite, par
syndrome de Weber caractérisé ici par une hémiplégie gauche et une
paralysie
du moteur oculaire com- mun droit. Si, poursu
nt donné naissance. Nous savons déjà que l'hémiplégie gauche avec
paralysie
du moteur oculaire commun droit se rapporte hab
rois semaines l'hémiplégie des membres était complète, ainsi que la
paralysie
du releveur de la paupière supérieure et des musc
d'expliquer du même coup tous ces symptô- mes : hémiplégie gauche,
paralysie
du moteur oculaire commun droit, hémiopie gauch
l'hémiplégie gauche, l'hémiopie gauche, l'aphasie temporaire, et la
paralysie
temporaire du moteur oculaire com- mun, nous pe
nné lieu aux symptômes très accusés, mais néanmoins temporaires, de
paralysie
du moteur oculaire commun, ainsi qu'aux symptôm
ants : le mari de la malade aurait eu la syphilis et serait mort de
paralysie
générale; de sorte qu'on peut supposer que la syp
rs de toute intervention thérapeu- ti que. (1) Mémoire de GUBLER,
Paralysies
alternes. Gazette hebdomadaire, 1859, p. 87. SY
asiques n'étaient plus que peu accusés, l'hémi- plégie légère et la
paralysie
des muscles de l'oeil en voie d'amélioration, tan
roubles moteurs qui doivent plutôt être appelés des ataxies que des
paralysies
proprement dites. Bref, tous ces savants rappor
ais encore la sensibilité cutanée et musculaire, donnent lieu à des
paralysies
sensitivo- motrices diffuses. Malgré tous ces
e à celte question me semble péremptoire. D'abord, la confusion des
paralysies
corticales avec les ataxies a bien l'air d'une
es a bien l'air d'une méprise clinique. Mais, vouloir attribuer ces
paralysies
à t'anesthésie cutanée ou musculaire, c'est en do
ffet, si c'était là la cause de celte impuissance, nous aurions des
paralysies
dans les mem- bres anesthésiés des hystériques,
les lésions des circonvo- lutions ascendantes peuvent produire des
paralysies
pures, non accompa- gnées de troubles sensitifs
rmée, puisque l'intensité des anesthésies ne répond pas à celle des
paralysies
, et la marche des premières n'est pas nécessair
r par la fréquence toujours croissante des faits, dans lesquels les
paralysies
corticales se compliquent de perturba- lions se
s grandes cellules profondes. D'autres, tenant compte de ce que les
paralysies
corticales, la plupart du temps dans les 2/3 de
lités de la surface du cerveau dont la lésion produit d'une part la
paralysie
motrice, d'autre part le trouble du sens muscul
aractère transitoire, possè- dent évidemment la même genèse que les
paralysies
passagères qu'on observe dans les mêmes conditi
'épuisement nerveux », se fait dans un centre moteur nous avons les
paralysies
, comme dans les cas étudiés par Tood, Jakson, P
ruction de certaines parties de l'écorce cérébrale est suivie de la
paralysie
des muscles du côté opposé du corps. Cette « zo
echsig explique comment la destruction de cetle zone n'amène pas de
paralysie
des muscles oculo-moLeurs dont le centre serait p
celte affection. A cette époque, pendant ou après ( ? ) survint une
paralysie
de son membre supérieur droit à laquelle succéd
ire on constate une ophtalmoplégie il prédominance unilatérale, par
paralysie
de tous les mouvements de l'oeil gau- che. Le s
tout le corps s'est développé chez une femme de 45 ans, atteinte de
paralysie
bulbaire ; dans le second cas, c'est un homme,
tive, une autre fois d'un buste représentant une malade atteinte de
Paralysie
labio-glosso-laryagée; on a pu voir aussi dans
rt. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 3, 1894. Le faciès dans la
Paralysie
glosso-labio-laryngée. Ibid., ne 6, 1894. II. M
eureusement impossible d'instituer ce traitement. - NOTE SUR LA
PARALYSIE
DU FACIAL SUPÉRIEUR DANS L'HÉMIPLÉGIE PAR LÉSIO
e longuesdis- cussions. On a longtemps contesté l'existence de la
paralysie
faciale dans l'hémi- plégie hystérique. Tandis
sthésie superposée. Ces faits ont paru contredire l'existence de la
paralysie
faciale ; mais des observations de Chantemesse et
J'avais montré déjà'à l'aide de mesu- res que, même en l'absence de
paralysie
grossière, dans l'amyosthénie hystérique, il ex
de l'anat. et de la phys., 1892, p. 434). 148 Con. séné posé à la
paralysie
des membres, peut être la conséquence de la paral
éné posé à la paralysie des membres, peut être la conséquence de la
paralysie
de la face du côté hémiplégique (1). Hcldenberg
e la langue dans l'hystérie (2). On a admis aussi l'existence d'une
paralysie
systématique des mouvements d'articulation ; ma
ur intégrité manque il l'appui de cette systématisation. Dans les
paralysies
par lésions cérébrales, on a admis aussi des rest
ralisation aux muscles de la face. Plusieurs auteurs pensent que la
paralysie
des mouvements d'articulation peuvent exister s
fonctions soient atteints. La réalité de la systématisation de la
paralysie
ne peut s'appuyer que sur des mesures démontran
it non plus sur plusieurs autres faits rela- tifs à l'étendue de la
paralysie
faciale dans l'hémiplégie par lésions céré- bra
culation, Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1890, p. 168. Note sur les
paralysies
systématiques (C. R. Soc. de biol., 1893, p. 31
volontaire (1), mais on a contesté absolument l'existence de toute
paralysie
dans le domaine du facial supérieur. Landouzy, pa
ple, admet qu'il n'existe aucun fait l'appui de la réalité de cette
paralysie
dans les méningo-encéphaiites : « Parmi le gran
s méningo-encéphaiites : « Parmi le grand nombre d'observations des
paralysies
faciales relevées ici, pas une ne s'est étendue a
caracté- risée par cet ensemble de signes qu'on rencontre dans les
paralysies
fa- ciales périphériques : impossibilité de clo
id . , p. 663). (2) L. Landouzy, Cotit. il l'él. des convulsions et
paralysies
liées aux méningo-en- céphaliles front o-pariét
ll (1) est revenu en somme il l'opinion de Berger : suivant lui, la
paralysie
de l'orbiculaire n'a de valeur au point de vue du
l'orbiculaire n'a de valeur au point de vue du diagnostic entre la
paralysie
supra-nucléaire et la paralysie nucléaire on in
point de vue du diagnostic entre la paralysie supra-nucléaire et la
paralysie
nucléaire on infra-nucléaire que lorsque le mal
fer- mer l'oeil. L'orbiculaire des paupières est intéressé dans la
paralysie
fa- ciale qui accompagne l'hémiplégie, mais la
sé dans la paralysie fa- ciale qui accompagne l'hémiplégie, mais la
paralysie
est incomplète et z moins marquée que celle des
nervés parle facial inférieur. Au début de l'hémiplégie intense, la
paralysie
de l'orbiculaire peut être com- plète, mais au
les hémiplégiques, c'est la persistance des signes grossiers de la
paralysie
du facial supérieur ; aussi ai-je pensé que l'ob-
c fièvre et qui lui laissèrent une paraly- sie du côté droit. Cette
paralysie
parait avoir été totale, les membres étaient ba
90, p. Il. Nouv. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRT. T. XI. PI. XVIII
PARALYSIE
DU FACIAL SUPÉRIEUR dans l'Hemip)cgic par lésio
ion cérébrale (Ch. Iiré) MASSON & Cie, Editeurs NOTE SUR LA
PARALYSIE
DU FACIAL SUPÉRIEUR 151 droit incomplètement fe
les photographies, qui présente les caractères les plus marqués de
paralysie
. Lorsque les deux yeux sont ouverts, l'oeil dro
nne par lésion cérébrale. Celle participation de l'orbiculaire à la
paralysie
est remarquable non seulement par sa persistanc
seulement par sa persistance, mais aussi par sa prédo- minance : la
paralysie
de l'orbiculaire est en effet ce qui frappe le pl
n. Féré, Les épilepsies et les épileptiques. 1890. p. NOTE SUR LA
PARALYSIE
DU FACIAL SUPÉRIEUR 153 J'ai voulu m'assurer si
t le domaine du facial est atteint : j'ai observé un aphasique avec
paralysie
faciale et hémiplégie chez lequel les mouvements
d'un grand nombre de para- lysies et en particulier dans celle des
paralysies
soi-disant systématiques. DE LA MYOSITE OSSIFIA
sur le diagnostic différentiel de la myo- site ossifiante et de la
paralysie
pseudo-hypertrophique. A une phase assez avancé
omprendre. Pas d'atrophie linguale. Du côté des yeux, il n'y a ni
paralysie
, ni nystagmus, ni rétrécissement du champ visue
une certaine difficulté à les relever. Il n'y avait aucune trace de
paralysie
des muscles de l'oeil. Les pupilles réagissaient
debout, ni s'asseoir. H ne parlait pas. ne reconnaissait personne.
Paralysie
spasmodique des deux jambes et du hras droit. R
z aplati la base, des érosions dentaires, des dents atrophiées, une
paralysie
faciale du côté droit, et une hydrocéphalie vol
de tout un membre, y compris les os, est bien connue au cours de la
paralysie
infantile. Elle est en rapport avec une lésion pr
de leprévoir, cette lésion médullaire est différente de celle de la
paralysie
infantile : c'est, en effet, une atrophie simpl
t en longueur qu'en largeur,aurait donné l'apparence d'un membre de
paralysie
infantile, n'eùt été l'ankylose du genou. L'atrop
oupes do moelle (méthode de Pal, faible grossissement) 1. Moelle de
paralysie
infantile (région cervic.ile). Foyer de sclérose
artificielle et n'est pas visible sur la préparation. 3. Moelle de
paralysie
iiifititile (région lombaire inférieure). On voit
re inférieur gauche. L'aspect extérieur du membre était celui de la
paralysie
infantile. Il existait, en outre, une légère dé-
e, Darlachewitscli et Tichonow (89 : 3) ont montré, dans des cas de
paralysie
faciale non spécifique, la dégénérescence du bout
e liée à l'amputation des membres, très diffé- rente de celle de la
paralysie
infantile, myélopatliie primitive. Les altérati
z. rnéd. de Paris, 1871. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 273 Dans la
paralysie
infantile, la lésion médullaire est tout à fait d
de vue rappeler deux cas personnels. .Le premier se rapporte à une
paralysie
infantile développée à l'âge de G mois. Le mala
uxième cas relatif à un malade de GO ans, atteint dans l'enfance de
paralysie
infantile des deux membres inférieurs avec prédom
igine périphérique, d'une anl3 lose articulaire, tandis que dans la
paralysie
infantile l'articulation jouit, au contraire, d'u
pitaux (séance du 22 juillet 189S) des pièces provenant d'un cas de
paralysie
traumatique inférieure du plexus brachial. L'au
ue le traumatisme a provoqué une lésion du nerf sous-orbitaire avec
paralysie
consécutive des hanches nerveuses destinées aux
e Gibuey en dit en 18 ? Fillette de 10 ans. Diplitérie en 1874 avec
paralysie
des cordes vocales. Les muscles atteints sont :
alades. On ne compte plus les cas où une épilepsie par- tielle, une
paralysie
, un trouble du langage ou de la mémoire, des cris
symptômes nerveux, tels que la fonte ou atro- phie des muscles, les
paralysies
du mouvement et du sentiment, les spasmes, les
es et aux enseignements de Charcot, nous avons appris il guérir des
paralysies
, des tremblements, des convulsions, des douleur
ue, le traitement des mani- festations de l'hystérie telles que les
paralysies
, les convulsions, les contractu- res, les perve
tions : Un coup violent, porté sur un membre, peut en déterminer la
paralysie
. Obsédé par cette idée, un hystérique qui vient
lytique. Il lui est impossible de concevoir, de lui-même, que cette
paralysie
est de pure imagination, quelque chose comme le
peut de nouveau faire mouvoir son épaule, et presque toujours cette
paralysie
, quand elle est assez récente, se dissipera insta
augura l'ère de sa célébrité. - La Rédaction SUR UNE VARIÉTÉ DE
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ (grand DENTE
et r Pierre DUVAL .Médecin des Hôpitaux Interne des Hôpitaux. La
paralysie
du muscle grand dentelé se présente sous des aspe
- férents. Tantôt elle est constituée à l'étal de pureté : c'est la
paralysie
isolée. Tantôt elle est compliquée de la paraly
ureté : c'est la paralysie isolée. Tantôt elle est compliquée de la
paralysie
d'un muscle ou de plu- sieurs muscles : c'est l
ée de la paralysie d'un muscle ou de plu- sieurs muscles : c'est la
paralysie
associée. Le cadre des paralysies associées est
e plu- sieurs muscles : c'est la paralysie associée. Le cadre des
paralysies
associées est très vaste. Au cours des amyo- tr
que, le grand dentelé est souvent inléressé. D'autre part, dans les
paralysies
radiculaires du plexus brachial, il n'est pas rar
e ces variétés. Le grand dentelé n'y joue qu'un rôle secondaire; sa
paralysie
, perdue dans l'ensemble morbide, n'y revêt point
distincte. A côté de ces deux groupes, il faut placer les faits de
paralysie
du grand denlelé, associée à celle d'un muscle
son mécanisme et ses caractères, mérite une place à part : c'est la
paralysie
du grand den- Gelé, associée il celle du trapèz
goureux et extraordinairement musclé. Tout se borne chez lui il une
paralysie
du muscle grand dentelé et des deux tiers inférie
ord les détails des déformations de la région sca- pulo-humérale.
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 421 1 A) Stati
1'. XI. PI. XI. VIII A H - - ? c . z. 1 D I : 1. G
PARALYSIE
DU GRAND DENTELÉ (A Souques ct Dmal.) MASSON
DU GRAND DENTELÉ (A Souques ct Dmal.) MASSON rie F ? it(,\1rc :
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 423 bord spina
ALI'LIHll.lth. T. XI. PI. 1fI\ H I J K - - I. M N R
PARALYSIE
DU GRAND DENTELÉ (A. Souqucs et Ducal.) PARAL
. M N R PARALYSIE DU GRAND DENTELÉ (A. Souqucs et Ducal.)
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 425 tabilité g
rex- citabilité est-elle plus apparente que réelle, par suite de la
paralysie
de son an- tagoniste (grand dentelé). Enfin,
Tels sont les détails de l'observation. 11 s'agit, en résumé, d'une
paralysie
du grand dentelé, associée à la paralysie des p
s'agit, en résumé, d'une paralysie du grand dentelé, associée à la
paralysie
des portions moyenne et inférieure du trapèze.
en convaincre, de parcourir les principaux travaux pu- bliés sur la
paralysie
du muscle grand dentelé. On y voit que la paralys
u- bliés sur la paralysie du muscle grand dentelé. On y voit que la
paralysie
du trapèze complique souvent celle du grand den
igna- lée de manière incidente, il n'en ressort pas moins que cette
paralysie
as- sociée du grand dentelé est fréquente, plus
de Berlin (1), Remak déclara qu'il n'avait observé que trois cas de
paralysie
isolée du muscle grand dentelé, tandis qu'il avai
ie isolée du muscle grand dentelé, tandis qu'il avait vu six cas de
paralysie
du même muscle, associée 1 celle des portions moy
n pa- ralytique. Plus récemment, Barreïro (1) avance aussi que la
paralysie
concomitante du trapèze est la complication la
concomitante du trapèze est la complication la plus fréquente de la
paralysie
du grand dentelé. « Les parties du trapèze frap
nne, qui en parle à diverses reprises. Il écrit qu'il n'a pas vu de
paralysie
ou d'atrophie étroitement localisée au grand de
doit être rare, puisque sur une vingtaine de « cas d'atrophie ou de
paralysie
du grand dentelé que j'ai explorés, je ne « l'a
homme qui, à la suite d'une chute d'un lieu élevé, fut frappé d'une
paralysie
généralisée. Au bout d'un an, il restait encore
bras sur l'épaule. « Dans ce cas,les signes pathognomoniques de la
paralysie
du grand dentelé « étaient aussi prononcés pend
scapulo-humérale, considérer dans l'espèce ce fait comme un cas de
paralysie
isolée du grand dentelé. Une des deux dernières
5, ajoute en note : « Depuis lors j'ai observé bien d'autres cas de
paralysie
ou d'alro- « phie du grand dentelé, dont j'aura
ue regretter, au point de vue (1) Banmuno, Conlrib. à l'étude de la
paralysie
du muscle grand dentelé. Th. Pa- ris, 1895, p.
l. des mouoem. Paris, 1867, p. 40. (3) DocuEwa, eod. loc., p. 14.
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 427 7 document
7 7 documentaire, et au point de vue de la fréquence relative de la
paralysie
isolée du grand dentelé et de sa paralysie asso
fréquence relative de la paralysie isolée du grand dentelé et de sa
paralysie
associée à celle du trapèze, que cette expositi
Nous savons, au demeurant, que Duchenne regardait comme des cas de
paralysie
complexe tous les cas de paralysie isolée du gr
henne regardait comme des cas de paralysie complexe tous les cas de
paralysie
isolée du grand dentelé, publiés avant lui. Lew
voir de Duchenne. Pour lui, comme pour Duchenne. sont des faits de
paralysie
complexe tous les faits où on a noté un trouble d
s observations, de savoir par exemple si tel cas se rapporte il une
paralysie
associée, car ces faits sont pour la plupart in
que exacte, tou- chant la fréquence comparée des diverses formes de
paralysie
du grand dentelé. Il n'en reste pas moins démon
, plus commune que la forme isolée. Etant donnée la fréquence de la
paralysie
du muscle grand dentelé, as- sociée à celle des
ors que les deux tiers inférieurs sont paralysés ? 2° Pourquoi la
paralysie
de ces deux tiers inférieurs coexiste-t-elle fré-
de ces deux tiers inférieurs coexiste-t-elle fré- quemment avec la
paralysie
du grand dentelé' ? Nous allons essayer de trou
1.1U\'E.\U, Anatomie comparée des animaux domestiques, Paris, 1H57.
PARALYSIE
ASSOCIÉ DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 429 péziens du
inférieure reçoivent leur innervation du plexus cervical. Dans les
paralysies
centra- les du spinal, dans ses paralysies péri
lexus cervical. Dans les paralysies centra- les du spinal, dans ses
paralysies
périphériques (depuis son segment ini- tial jus
: tout récemment \Val- ther Schlottmanu (3), étudiant quatre cas de
paralysie
périphérique du nerf spinal, conclut de leur ex
, car cette anastomose rare n'expliquerait point la fréquence de la
paralysie
associée. Et d'ailleurs les traités d'anatomie ne
périphérique qu'il faut chercher la raison de la coexistence de la
paralysie
du grand dentelé avec celle du trapèze scapulaire
emble contraire à cette opinion. La localisation très étroite de la
paralysie
au mns- cle grand dentelé et au trapèze scapula
nd dentelé et au trapèze scapulaire, alors que tous les musclesvoi-
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 431 sins sont
s, semble s'opposer à cette conception. D'ailleurs cette for- me de
paralysie
associée présente tous les caractères d'une lésio
du grand dentelé et des rameaux tra- péziens et consécutivement une
paralysie
des muscles qu'ils innervent. Le tiraillement d
usques tirailler, comprimer les troncs nerveux et produire ainsi la
paralysie
des muscles innervés par ces nerfs. Gowers a
des muscles innervés par ces nerfs. Gowers a observé trois cas de
paralysie
radiale, consécutifs à une vio- lente contracli
ür Chirurg., XLVII, 1. Analyse in Semaine médicale, 1898, p. 271.
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 433 étudions i
inu- tile de souligner la fréquence plus grande de cette variété de
paralysie
chez l'homme, de sa fréquence plus grande du cô
une compression de leurs nerfs respectifs, et, en dernière analyse,
paralysie
associée de ces deux muscles. La solidarité p
lignes de Duchenne, qui nous ont frappés. Duchenne (1) étudiant la
paralysie
de la portion adductrice du trapèze, qui est la
ette portion du trapèze est toujours paralysée ou atrophiée dans la
paralysie
ou l'atrophie du grand dentelé. C'est du moins
ymptomatique. Après avoir étudié la fréquence et le mécanisme de la
paralysie
associée du grand dentelé et des portions moyen
Un certain nombre de ces caractères appartiennent en propre à cette
paralysie
associée et la distinguent à première vue, avant
la distinguent à première vue, avant tout examen électrique, 'de la
paralysie
isolée du grand dentelé. Celle-ci se présente, en
les traits différentiels. On voit qu'il est facile de distinguer la
paralysie
associée de la paralysie isolée du muscle grand
On voit qu'il est facile de distinguer la paralysie associée de la
paralysie
isolée du muscle grand dentelé. * .... Il
.... Il nous faut maintenant analyser les principaux signes de la
paralysie
associée, que nous avons en vue, et discuter la
Au repos du bras. L'abaissement du moignon de l'épaule dépend de la
paralysie
de la por- tion moyenne du trapèze. cc Lorsqu'à
on que son angle (i) Duchenne, Physiologie des mouvements, p. 10.
PARALYSIE
associée DU muscle grand DENTELÉ 435 externe se
it conservé la portion moyenne de son trapèze. » En somme, c'est la
paralysie
seule de la portion moyenne du trapèze qui perm
n masse de cet os (1). » Ce mouvement de rotation est permis par la
paralysie
associée des deux tiers inférieurs du trapèze e
rapport à la ligne médiane. Cet éloignement relève évidemment de la
paralysie
des portions inférieure et moyenne du tra- pèze
pa- rallélisme fait défaut. L'obliquité résulte, avant tout, de la
paralysie
des portions inférieure et surtout moyenne du t
la paralysie des portions inférieure et surtout moyenne du trapèze,
paralysie
qui permet au rhomboïde et à l'angulaire de dét
(1) Duchenne, eod. loc., p. 33. (2) Duchenne, eod. loc., p. 7.
PARALYSIE
associée DU muscle grand DENTELÉ 437 tour de so
que l'infé- rieur est porté en dedans et l'interne en dehors. La
paralysie
du grand dentelé contribue-t-elle à la production
i thoracique et le méplat de la fosse sus-épineuse. C'est encore la
paralysie
et l'atrophie des deux tiers inférieurs du trapèz
le thorax le bord spinal du scapulum, mais Duchenne affirme que sa
paralysie
isolée n'entraîne pas, au repos, de déformation a
ntre la pa- roi thoracique. On peul donc mettre sur le compte de sa
paralysie
l'écar- tement de ce bord spinal. . Quant au
rophie des portions moyenne et inférieure du trapèze. En résumé, la
paralysie
des deux tiers inférieurs du trapèze est la cause
la région sca- pulaire que l'on constate à l'état de repos, dans la
paralysie
associée du grand dentelé et des portions infér
nsable pour l'élévation jusqu'à 1'liori- zontale. En effet, dans la
paralysie
de ce muscle, le bras peut être élevé jusqu'à l
toïde. Notre malade exécute ce mouvement sans difficulté, malgré la
paralysie
complète de son grand dentelé. Dans l'exécution
ien les mouve- (i) Duchenne. Electrisat. local., 3 édit., p. 939.
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 430 ments du b
e cette altitude singulière ? Il est impossible d'in- voquer ici la
paralysie
du trapèze, puisque le trapèze n'intervient pas d
vient pas dans l'élévation du bras jusqu'à la ligne horizontale. La
paralysie
du grand dentelé en serait-elle responsable ? O
apulum alatum, dans la (1) Duchenne, Physiol. des mouvem., p. 6u.
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ li 41 paralysi
mouvem., p. 6u. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ li 41
paralysie
du grand dentelé, est en effet identique il celle
grand dentelé, le deltoïde se contracte isolément (1). En somme, la
paralysie
du muscle grand dentelé permet au deltoïde, lor
rapproche de la ligne médiane. Tandis que Duchenne incrimi- nait la
paralysie
du grand dentelé, on tend aujourd'hui à mettre ce
on tend aujourd'hui à mettre cette obli- quité sur le compte de la
paralysie
du trapèze. Ce mouvement de bascule manquerait
la paralysie du trapèze. Ce mouvement de bascule manquerait dans la
paralysie
isolée du grand dentelé ; il ne se verrait que
s verrons ce qu'on peut en penser, dans un travail ultérieur sur la
paralysie
isolée du muscle grand dentelé. Quoi qu'il en
en aile du scapulum est plus ou moins accusée, suivant le degré de
paralysie
du grand dentelé. Il est à remarquer qu'elle es
traits que nous avons décrits ailleurs et qui sont, en résumé : -.
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 443 1° L'élarg
rée. Cette voussure doit vraisemblablement dépendre en partie de la
paralysie
du grand dentelé. Ce muscle, en effet, dans l'é
ppréciable. Conclusions. 1° Il existe une variété particulière de
paralysie
associée du muscle grand dentelé et du trapèze
s caractères cliniques, mérite une place spéciale dans le cadre des
paralysies
du grand dentelé. ` ? ° Le trapèze scapulaire f
ail- lement de leurs nerfs respectifs. 50 Les caractères de cette
paralysie
associée varient suivant l'altitude du bras.
la région scapulo-humérale sont très accusés et consistent dans :
PARALYSIE
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 445 a) l'impos
le qu'on observe dans l'élévation volontaire du bras dans le cas de
paralysie
du grand dentelé. La contraction, indépendante
n plus ou moins de temps. Il n'y a pas équation entre le coup et la
paralysie
, en- tre la cause et l'effet, mais le coup a ré
les aptitudes hys- tériques du malade qui a répondu en faisant une
paralysie
avec ses forces et ses moyens propres et person
cateur, et c'est quelque chose ; sans lui il n'y au- rait pas eu de
paralysie
. Il se passe la même chose avec notre malade : la
ns, pas d'affection semblable chez les ascendants ni rhumatisme, ni
paralysie
, ni goutte. Ce malade n'a pas eu de rachitisme,
il ne pouvait montrer à l'auditoire : l'asymétrie du visage dans la
paralysie
faciale, les différentes démarches de l'hémiplégi
Maroc II représente un marchand jllil' de '1\"lollall, aLLeiliL de
paralysie
agitante. Le pittoresque dn costume et de l'int
asmodique et épilepsie , par L INNOIS et Berncmjd (1 phot.), 446.
Paralysie
associée du muscle grand den- lelé (sur une var
une variété de), par.\. SouQuEs et Pierre DuvAL (15 phot.), 419.
Paralysie
du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lés
(1 phot.), 57. DuvAL (Pierre) et A. Souques. Sur une va- riété de
paralysie
associée du muscle grand dentelé (15 phot.), 41
oïdes et craquements articulai- res, 452. Féré (Cu.). Note sur la
paralysie
du facial supérieur dans l'hémiplégie par lésio
., 5 fig.), 368. Souques (A.) et Pierre DuvAL. Sur une variété de
paralysie
associée du muscle grand dentelé (15 phot.), 41
ud), L. Opérations sur la tête (Henry Meige), XXV, XXVI, XXVII.
Paralysie
du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lés
eur dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale (Cn. Féré), XVIII.
Paralysie
du grand dentelé (Souques et DUVAL), XLVIII, XL
les convulsions, les contractures, tous les spasmes musculaires , la
paralysie
, éclatent alors si soudainement, si inopinément;
une arête aiguë produite de cette manière; le malade n'avait point de
paralysie
cependant à l'époque où je l'ai connu. Une arête
e impression de l'os sur la moelle; pendant la vie, des phénomènes de
paralysie
avaient été observés. Dans leur trajet intra-ra
douleur, l'attitude, l'état des mouvements, l'existence des abcès, la
paralysie
. La douleur est un signe vague, car elle peut d
rent dans des états morbides autres que le mal de Polt. Les abcès, la
paralysie
ont plus de valeur ; ils servent à éclaircir le d
ès ganglionnaire sur le côté gauche du cou. Elle ne présente point de
paralysie
ni d'abcès par congestion. Le seul symptôme dans
tion de tous les autres symptômes, oppression, douleur épigastri-que,
paralysie
, etc., qui différencient le mal de Pott de la dév
en rendre compte, l'attitude caractéristique du tronc, les abcès, la
paralysie
, dans le cas où ces complications existeraient, e
névralgie, à la coxalgie, etc. § IV. — Lésions de l'innervation. —
Paralysie
. Ces lésions consistent en troubles de la motil
on matérielle. Il y a une sorte d'antagonisme entre les abcès et la
paralysie
, et rarement on rencontre ces deux phénomènes sur
ion nerveuse ; on voit des contractures (hypersthénie), ou bien de la
paralysie
(asthénie, acinésie). L'anesthésie (diminution ou
l'augmentation de cette faculté. Le phénomène le plus commun est la
paralysie
. Elle porte sur le sentiment ou sur le mouvement;
nt ou sur le mouvement; dans certains cas, sur les deux à la fois. La
paralysie
isolée du mouvement est la plus commune ; je ne c
ouvement est la plus commune ; je ne connais qu'un seul exemple de la
paralysie
isolée du sentiment ; il est dû à ML Tavignot. La
ple de la paralysie isolée du sentiment ; il est dû à ML Tavignot. La
paralysie
est quelquefois combinée avec des contractures.
ot. La paralysie est quelquefois combinée avec des contractures. La
paralysie
siège dans les parties inférieures au point de la
orsque ce point réside dans la région cervicale, il y a ordinairement
paralysie
des membres supérieurs et des membres inférieurs;
es membres supérieurs et des membres inférieurs; cependant on a vu la
paralysie
n'affecter que les membres supérieurs seulement.
x organes contenus dans le bassin, au rectum, à la vessie, etc. Ces
paralysies
surviennent d'ordinaire lentement; quelquefois el
être que passager. Ces phénomènes augmentent graduellement jusqu'à la
paralysie
complète. I. Mouvement réflexe. — Cette forme d
lte, d'après les données physiologiques qui précèdent, deux sortes de
paralysie
: dans l'une, les lobes cérébraux seuls cessent d
es de la moelle restant intactes au-dessous du point malade; c'est la
paralysie
cérébrale de Marshall-Hali; dans 3. l'autre,
a, en outré, abolition de l'action de la moelle elle-même ; c'est la
paralysie
spinale du même auteur. La première est la paraly
-même ; c'est la paralysie spinale du même auteur. La première est la
paralysie
de la motricité volontaire seulement; la deuxième
e éteinte; les mouvements automatiques et réflexes subsistent; il y a
paralysie
cérébrale dans le sens donné à ce mot par Marshal
£n général, le mouvement réflexe sera d'autant plus prononcé que la
paralysie
du mouvement volontaire sera plus complète ; au c
vée. En d'autres termes, on pourrait établir en principe que, dans la
paralysie
dépendante du mal vertébral, le mouvement réflexe
s ce rapport de devenir l'objet d'études sérieuses. IL Degrés de la
paralysie
. — On peut distinguer trois degrés dans la paraly
IL Degrés de la paralysie. — On peut distinguer trois degrés dans la
paralysie
produite par le mal vertébral. Dans le premier, l
la course, sont à peu près impossibles. Dans le deuxième degré, la
paralysie
est encore incomplète; le enfants ne peuvent plus
Les deux membres peuvent être inégalement affectés, de manière que la
paralysie
présente un degré plus avancé d'un côté que de l'
ous vos yeux plusieurs malades qui offrent ces différentes nuances de
paralysie
. Vous constatez chez tous l'existence du mouvemen
ité et de la motilité. Une de ces petites malades nous présente une
paralysie
du deuxième degré, qui a succédé au troisième, do
fait connaître, dans notre dernière réunion, les différents degrés de
paralysie
déterminés par le mal vertébral. Vous avez vu que
veuses. En effet, la lésion qui correspond aux différents degrés de
paralysie
que j'ai montrés n'intéresse ordinairement qu'une
rences produites par des contractures, qui compliquent quelquefois la
paralysie
, par l'état des viscères du petit bassin, lesque
a rétention ou l'incontinence de l'urine et des fèces, suivant que la
paralysie
porte sur les puissances expultrices ou rétentive
ter inerte au moment de l'accouchement (Brachet). III. Causes de la
paralysie
.—Ces différents degrés de paralysie correspondent
nt (Brachet). III. Causes de la paralysie.—Ces différents degrés de
paralysie
correspondent à des lésions plus ou moins profond
pression. — La simple courbure de l'épine peut-elle produire seule la
paralysie
? On l'a cru longtemps; Pott l'a nié le premier; N
ivante : vous avez, d'une part, disent-ils, de faibles courbures avec
paralysie
; et d'un autre côté, de fortes incurvations ne s
compagnées de phénomènes paralytiques; et d'ailleurs, ajoute-t-on, la
paralysie
disparaît souvent, quoique la courbure persiste.
t exacts; mais ils montrent seulement qu'il existe d'autres causes de
paralysie
que celle dont il est ici question, et qu'une com
es que dans le cas de compression par le seul fait de la courbure. La
paralysie
peut, dans l'un et l'autre cas, rétrograder; de l
alade succomba aux suites de la gangrène. On a trouvé, comme cause de
paralysie
, un amas de matière tuberculeuse sur les vertèbre
était peu profonde chez ce sujet. Suivant le siège de la lésion, la
paralysie
affecte une étendue différente de parties. Vous l
atteinte, comme la moelle n'existe plus en ce point, non-seulement la
paralysie
n'affectera que les nerfs de la queue de cheval e
re pourra être plus ou moins altérée. La forme la plus ordinaire de
paralysie
consiste, comme on l'a vu, dans l'abolition des m
rt avec la portion du rachis altérée. Diagnostic différentiel de la
paralysie
. — Voici un jeune enfant qui offre un affaiblisse
ssement musculaire rachitique. Il ne faut pas non plus confondre la
paralysie
avec la difficulté de marcher, dans le mal de Pot
l'attention , on évitera cette méprise. On peut aussi confondre la
paralysie
tenant au mal vertébral avec les paraplégies dépe
ec les paraplégies dépendant d'une autre cause, spécialement avec les
paralysies
essentielles de l'enfance. Je vous renverrai, pou
ertébral, au point de vue du traitement. Dans le premier, il n'y a ni
paralysie
, ni abcès; dans le second, il y a seulement de la
n'y a ni paralysie, ni abcès; dans le second, il y a seulement de la
paralysie
; dans le troisième, il existe des abcès visibles,
; dans le troisième, il existe des abcès visibles, ordinairement sans
paralysie
. Je n'aurai en vue que les abcès extérieurs visib
ns thérapeutiques il convient de leur opposer. Ier cas : Absence de
paralysie
et d'abcès par congestion. — Cet état peut durer
plit en même temps une deuxième indication; on prévient l'abcès et la
paralysie
. Je ne connais pas de moyen constamment efficace
tégories, autant de cas dans lesquels il est survenu des abcès, de la
paralysie
, autant de cas dans lesquels les malades ont succ
ue le traitement général antiscrofuleux. 11 n'est survenu ni abcès ni
paralysie
. Il est évident que ce malade n'est pas entièreme
ait d'abord ont ensuite disparu ; jamais il n'est survenu d'abcès, de
paralysie
. C'est là certainement une terminaison heureuse.
traitement. On ne voyait que dans la courbure rachidienne la cause de
paralysie
, et l'on disait : redressons l'incurvation du tro
'incurvation du tronc, remédions à la semi-luxation des vertèbres, la
paralysie
cessera; de là l'emploi des corsets à tuteurs. Ca
se fut élevé avec raison contre l'opinion qui attribue uniquement la
paralysie
aux courbures de l'épine, un concert unanime de r
ssait d'une jeune fille atteinte de gibbosité lombaire, sans abcès ni
paralysie
. Des pressions modérées sur l'épine, des exercice
de Pott, au point de vue du traitement : dans le premier, il n'y a ni
paralysie
ni abcès ; dans le second, il existe de la paraly
ier, il n'y a ni paralysie ni abcès ; dans le second, il existe de la
paralysie
; dans le troisième, on voit des abcès, ordinaire
paralysie ; dans le troisième, on voit des abcès, ordinairement sans
paralysie
. Je ne parle pas de ces abcès qui sont bornés à l
mal vertébral de Pott; ils ne mettent pas à l'abri des abcès ni de la
paralysie
. Je vous ai fait voir, en outre, que la guérison
est plus facile de limiter son action. IIe CAS : MAL VERTÉBRAL AVEC
PARALYSIE
. — Quelle est la marche spontanée de la paralys
AL VERTÉBRAL AVEC PARALYSIE. — Quelle est la marche spontanée de la
paralysie
produite par le mal vertébral? Abandonnée à elle-
fille de 12 ans, atteinte d'une gibbosité énorme, et chez laquelle la
paralysie
a débuté il y a deux ans. J'ai employé une foul
ères. Malgré cette révulsion énergique, les jambes s'affaiblirent, la
paralysie
augmenta et devint complète. L'amélioration ne se
es employez qu'après les moyens révulsifs d'une énergie moindre. La
paralysie
dépendant du mal vertébral présente, dans sa marc
te, dans sa marche, des irrégularités qui la différencient des autres
paralysies
. C'est qu'en effet les causes qui la produisent s
x moyens thérapeutiques. Une autre cause influe sur la marche de la
paralysie
. On ne voit pas, en général, survenir ce symptôme
ir ce symptôme quand il existe un abcès par congestion ; et, quand la
paralysie
existait déjà, elle diminue ordinairement ou disp
ement soumis à notre observation et atteint pour la troisième fois de
paralysie
dépendant de mal vertébral, tous les moyens avaie
, lorsqu'un abcès parut sur le côté du cou ; à dater de ce moment, la
paralysie
, qui était complète, a diminué, et aujourd'hui l'
ulogne) l'a imprimé dans un de ses derniers ouvrages, que, lorsque la
paralysie
a reçu, pour ainsi dire, un coup de fouet, qu'ell
égion cervicale, et ayant éprouvé à trois reprises, depuis un an, une
paralysie
des membres supérieurs et inférieurs. Les deux pr
écédent, tant par le siège de l'affection osseuse que par celui de la
paralysie
. Celle-ci est en voie de guérison; les seuls moye
aines contre ce symptôme; la marche en est plus grave que celle de la
paralysie
. Abandonnés à eux-mêmes, les abcès par congesti
remier cas, c'est-à-dire du mal vertébral non compliqué d'abcès ni de
paralysie
. La plupart des praticiens mettent leur confiance
sion d'observer beaucoup de maladies de l'épine dorsale, avec ou sans
paralysie
. « Le plus grand nombre des sujets, dit-il, ont g
vous voyez ici les traces. Cette enfant n'avait présenté ni abcès ni
paralysie
. Elle a succombé à une phthisie pulmonaire ; le p
r, qu'il y a des destructions très-étendues du rachis sans abcès ni
paralysie
; 2° ce cas est également une démonstration de cet
formé une empreinte sur les téguments du thorax. La malade a eu de la
paralysie
, des fistules cervicales, et a succombé à une mal
ptement. Il y avait de la paraplégie, mais, chose surprenante, pas de
paralysie
des membres supérieurs. La moelle était comme ram
moelle peuvent ne pas être lésées, ou bien l'on voit seulement de la
paralysie
comme dans le mal vertébral ordinaire. La compr
e renversent pas la doctrine physiologique admise jusqu'à ce jour, la
paralysie
du sentiment devrait être plus fréquente, la comp
ulu déduire tous les symptômes de ces affections de ce qu'on a appelé
paralysie
organique, phénomène auquel on rattache aussi les
lésion de l'innervation produisant ce qu'on appellera, si l'on veut,
paralysie
organique ou nutritive. Celle-ci pourrait être ra
vienne à être démontrée. Mais on ne peut évidemment attribuer à cette
paralysie
organique la plupart des phénomènes secondaires d
e musculaire, que l'on a voulu présenter comme le dernier terme de la
paralysie
. Outre l'action musculaire, il est une autre ca
sements, des fourmillements, ou bien des mouvements convulsifs, de la
paralysie
. La paralysie affecte plus souvent les membres su
ourmillements, ou bien des mouvements convulsifs, de la paralysie. La
paralysie
affecte plus souvent les membres supérieurs que d
de l'affection sous-occipitale comprend aussi ctlui de l'abcès, de la
paralysie
consécutive. On peut recourir aux cautérisations
M. Legrand a rapporté deux guérisons d'affection sous-occipitale avec
paralysie
, par l'emploi du ;I) Traité des fractures et de
dans ce cas, de la même nature que celui qu'on observe dans certaines
paralysies
accompagnées du relâchement des ligaments et des
es, comme on le voit dans l'articulation de l'épaule à la suite de la
paralysie
du deltoïde. La tête du fémur est solidement fixé
aire. Je signale un dernier cas dans le diagnostic différentiel. La
paralysie
peut produire des phénomènes analogues en apparen
quelle j'ai donné autrefois des soins à l'Hôlel-Dieu. Il existait une
paralysie
étendue des muscles , tant de la partie antérieur
it d'un affaiblissement des extenseurs du tronc ; il résulte de cette
paralysie
incomplète que le malade, menacé de tomber en ava
arrière, de la région inférieure du rachis. La seconde catégorie de
paralysies
pouvant simuler la luxation comprend celles dans
, convulsions, maladies cérébrales, etc. Je ne parle pas des cas de
paralysie
musculaire partielle, donnant lieu au strabisme p
n n'est alors que symptomatique, et son étude rentre dans celle de la
paralysie
elle-même. On ne confondra pas d'ailleurs cette a
mobilité de l'œil. Le strabisme fixe pourrait être confondu avec la
paralysie
: il s'en distingue en ce qu'il s'accompagne enco
on pourrait dire, il est vrai, dans un cas pareil, qu'il s'agit d'une
paralysie
incomplète; la distinction est difficile, et ne s
es phénomènes concomitants, par exemple, à l'aide des symptômes de la
paralysie
des autres branches du même nerf. L'anatomie pa
lieu à intervalles éloignés. 4° Le dernier cas embarrassant est la
paralysie
d'un des muscles latéraux de l'œil. J'ai exposé p
caractères ne suffisent pas toujours pour distinguer d'une véritable
paralysie
primitive la faiblesse des antagonistes consécuti
st surtout depuis les recherches modernes sur la ténotomie et sur les
paralysies
que cette loi a été mieux connue. Cette myologie,
chronique et amener de véritables pieds bots. Mais c'est surtout la
paralysie
qui est la cause la plus fréquente de déviation d
se la plus fréquente de déviation des pieds, et c'est surtout par les
paralysies
qu'elles laissent à leur suite, que les maladies
uniforme. Un enfant est pris tout à coup, avec ou sans fièvre, d'une
paralysie
plus ou moins-étendue; au bout d'un temps assez c
é. Je vais faire passer sous vos yeux plusieurs enfants atteints de
paralysie
incomplète, provenant du mal vertébral ou d'autre
ez un commencement de rétraction du triceps sural coïncidant avec une
paralysie
du jambier antérieur. La position du pied est cel
e la salle Sainte-Geneviève sont des cas analogues. Le n° 5 offre une
paralysie
du jambier antérieur à droite seulement; la contr
y aura bientôt pied bot équin si la cause pathologique persiste ; la
paralysie
des muscles antérieurs est générale. Ve et VIe
in, chez ces deux garçons de la salle Saint-Augustin, l'un atteint de
paralysie
générale, avec contractures multiples, l'autre de
yeux, par la seule influence d'une faiblesse musculaire générale sans
paralysie
. Chez presque tous ces enfants, la pointe du pi
il est, comme ce dernier, congenial ou acquis. Mais, hors les cas de
paralysies
partielles et de contractures, on a encore peu ét
lexion et l'extension sont presque abolies, bien qu'il n'y ait pas de
paralysie
. Le pied est court, ramassé. Dans ce cas, nous ne
congénial ; il s'est développé après des accès de fièvre suivis d'une
paralysie
dans laquelle la contractilité électrique est con
périeur, comme une subluxation du cubitus en arrière, conséquence des
paralysies
et des contractures des muscles de l'avant-bras.
uand ils portent sur le sol, ils tendent à se renverser en dehors. La
paralysie
n'est pas complète dans les muscles de la jambe,
mouvements sont complètement abolis dans cette main, en sorte que la
paralysie
porte même sur les muscles qui ont agi avec excès
suite d'une fièvre aiguë avec délire survenue à l'âge de sept ans. La
paralysie
a été primitivement une paraplégie; mais, avec le
re droit a recouvré une grande partie de ses mouvements. A gauche, la
paralysie
a persisté et a produit le varus ordinaire. Cepen
écédents, des convulsions à l'âge de trois ou quatre mois : c'est une
paralysie
croisée. Mais le mouvement est revenu en partie d
t est revenu en partie dans le membre supérieur, tandis qu'au pied la
paralysie
est complète ; il y a un varus légèrement équin e
abord la cause môme de la difformité peut avoir laissé à sa suite des
paralysies
plus ou moins étendues. Ces paralysies sont de de
ut avoir laissé à sa suite des paralysies plus ou moins étendues. Ces
paralysies
sont de deux sortes : dans l'une, le mouvement vo
étals ont été décrits par M. Duchenne (1), le premier sous le nom de
paralysie
cérébrale, le second sous le nom de paralysie atr
premier sous le nom de paralysie cérébrale, le second sous le nom de
paralysie
atrophiaue de Venfance. Cette dernière est la par
ous le nom de paralysie atrophiaue de Venfance. Cette dernière est la
paralysie
spinale de M. Marshall-Hall. Mais, de quelque f
t en restant contourné en dedans. Elle peut se produire à la suite de
paralysies
portant à la fois sur les extenseurs et sur les a
résenter. Cette forme de pied bot s'est montrée jusqu'ici liée à la
paralysie
ou à un affaiblissement extrême du triceps sural,
henne a donné la raison de ce fait; dans le talus droit, il n'y a pas
paralysie
du triceps. Voici trois moules provenant de sujet
e sujets que j'ai connus moi-même; chez aucun d'eux, il n'existait de
paralysie
du triceps, mais seulement une moindre résistance
noncé des fléchisseurs du pied. Dans le talus creux, au contraire, la
paralysie
existant toujours, il suffit, pour l'emporter sur
t. Les fonctions du membre sont cependant plus ou moins lésées par la
paralysie
du triceps sural. Je n'ai distingué que deux so
des inconvénients d'un autre genre. Mal appliqués, ils produisent des
paralysies
, des gangrènes. On ne peut visiter le pied aussi
premier degré de talus. Il y a eu en même temps, chez cet enfant, une
paralysie
incomplète du membre supérieur. Cet autre enfan
fit du ressort élastique dont j'ai parlé. Une étude approfondie des
paralysies
, et en particulier des paralysies du mouvement, a
parlé. Une étude approfondie des paralysies, et en particulier des
paralysies
du mouvement, a conduit M. le docteur Duchenne à
sés, et ne se contractent même pas par l'excitation électrique. Cette
paralysie
a succédé, au dire des parents, à une chute arriv
llement nécessaire. Voici, à mon avis, la conduite à tenir : si les
paralysies
et les contractures sont telles qu'après la ténot
rendront à la longue plus difficile. Mais si vous avez affaire à une
paralysie
trop étendue pour que le membre, une fois redress
1) Dancel, Traitement des fausses ankyloses. Paris, 1843, p. 43. La
paralysie
partielle, complication si fréquente du pied bot,
st symptomatique dans trois circonstances principales : 1° Dans les
paralysies
— je ne fais que les mentionner, elles produisent
(1) J'entends par lordose paralytique celle qui est produite par une
paralysie
du tronc, paralysie qui porte sur les muscles ext
ordose paralytique celle qui est produite par une paralysie du tronc,
paralysie
qui porte sur les muscles extenseurs ou fléchisse
its intéressants à ce sujet. Je vous parlerai bientôt peut-être des
paralysies
en général ; je me bornerai pour le moment à ce q
e en avant que le rachis se courbe et se renverse en arrière; dans la
paralysie
des fléchisseurs du tronc, c'est parce que le rac
esses sont effacées (2) ; au contraire, sur le moule de la femme à la
paralysie
abdominale, Pensellure est considérable et le bas
t elle pourrait, à la longue, être suivie de déformation. Guérir la
paralysie
est l'indication essentielle à remplir dans cette
tels sont les seuls soins que la courbure réclame par elle-même. La
paralysie
des fléchisseurs ou des extenseurs du cou, consid
es de la tète et des vertèbres cervicales. La cyphose résultant de la
paralysie
des extenseurs, très-pénible pour les malades, lo
ade de M. Duchenne , dont la tête est ainsi renversée par suite d'une
paralysie
de ses extenseurs. Cet homme n'évitait la flexion
très-rare aux régions dorsale et lombaire. 2° Flexion latérale par
paralysie
. — Dans l'hémiplégie, le haut du tronc penche ord
rrière. C'est cette forme que M. Duchenne (de Boulogne) rapporte à la
paralysie
incomplète des sacro-spinaux. IIe cas. — Voici
s muscles, ou encore d'un affaiblissement des muscles opposés par une
paralysie
ou une autre cause. Morgagni est seulement un peu
opposées, car alors « on ne voit » pas facilement, dit-il, comment la
paralysie
alterne. » Il en propose une explication fondée s
re ou même du cerveau chez les sujets gibbeux, d'engourdissements, de
paralysies
, de contractures des membres, de vertiges, de céc
it scoliose. C'est ce qu'on observe dans les contractures et dans les
paralysies
des muscles de l'omoplate, lesquelles, selon leur
sifluent.................... ^3 § IV. — Lésions de l'innervation. —
Paralysie
.......... ib. I. Mouvement réflexe. ¦..........
b. I. Mouvement réflexe. ¦................... ?* II. Degrés de la
paralysie
.................. ^7 III. Causes de la paralysi
II. Degrés de la paralysie.................. ^7 III. Causes de la
paralysie
.................. 40 1° Compression............
ation de la moelle................ 41 Diagnostic différentiel de la
paralysie
.............. 42 § V. — Traitement du mal verté
— Traitement du mal vertébral............... 43 Ier cas. Absence de
paralysie
et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas. Mal
lysie et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas. Mal vertébral avec
paralysie
.............. * 3 IIIe cas. Mal vertébral avec
n latérale par contracture............. 307 2° Flexion latérale par
paralysie
.............. ib. 3° Flexion latérale par doule
e datant de dix ans. - Atrophie progressive des muscles de la main.
Paralysie
atrophique des membres inférieurs. A ? në<M)
et l'atrophie musculaire des membres inférieurs a progressé; une
paralysie
complète s'est développée dans la sphère des ners
aient d'une complication. A l'heure qu'il est, les phénomènes d'une
paralysie
atrophique en sont presque disparus. La malade
e, dont dépendaient les troubles moteurs des membres inférieurs, la
paralysie
atro- phique des muscles, etc. Vu la restaurati
prime ainsi : « est atteint de démence avec tendances manifestes la
paralysie
générale, embarras de la parole, marche diffici
blissement, je constatai chez C... les symp- tômes ordinaires de la
paralysie
générale progressive, idées de grandeur et de r
iers temps de la vie, c'est-à-dire à une période très avancée de la
paralysie
générale, et nous rappellerons que C... était a
8-». Dans les deux cas de M. J. Christian, il y eut rémission de la
paralysie
générale dont les malades étaient atteints, à l
oir, car le mal perforant s'est développé à la période ultime de la
paralysie
générale. Enfin, il résulte du cas de C... que
la paralysie générale. Enfin, il résulte du cas de C... que dans la
paralysie
générale à sa période d'état, alors même que le
t les par- tisans de la catatonie, la différence est grande avec la
paralysie
générale, dont la création repose sur une base
omique des symptômes relevés. P.KERAVAL. IV. NOTE SUR DEUX cas DE
paralysie
radiculaire DU plexus brachial; par M. H. Rendu
par M. H. Rendu. (Rev. de illéd., 1886.) ^ La plupart des faits de
paralysie
radiculaire publiés jusqu'ici ont trait soit à
et disparaissent au bout de très peu de temps pour faire place à la
paralysie
et à la l'atrophie. La distribution de l'anesth
sthésie cutanée correspond, à très peu de chose près, à celle de la
paralysie
motrice, ce qui prouve que les origines réelles
s brachial émanent de la même région de la moelle. Le pronostic des
paralysies
radiculaires serait, d'après M. Rendu, relative
RISES laryngées, insuffisance AORTIQUE; par le Dr RICHARD1ÈRE. X.
Paralysie
spinale DE l'adulte ; par MM. Leclerc ET BLANC.
e dix-neuf ans, qui fut pris subi- tement, sans cause connue, d'une
paralysie
complète des quatre membres. Le mouvement repar
ractères normaux. Il s'agit d'après les auteurs de cette note d'une
paralysie
spinale de l'adulte sur laquelle est venue se s
dans une affection spinale, on voit appa- raître le syndrome de la
paralysie
spasmodique, sans troubles de la sensibilité, i
bien portant, de vingt-quatre ans, est successivement affecté : de
paralysie
vésicale aiguë, qui devient rapidement complète
: de paralysie vésicale aiguë, qui devient rapidement complète, de
paralysie
flasque des jambes, de parésie des bras, d'anes
phénomènes d'excitation spinaux. Etat stationnaire des symptômes de
paralysie
; cystite ; érysipèle. Mort vingt-quatre jours
phie considérable d'un des hémisphères céré- braux, avec lésions de
paralysie
générale plus accusées dans cet hémisphère que
ATHOLOGIE MENTALE I. Quelques mots ajoutés A ce que l'on sait DE la
paralysie
GÉNÉ- RALE DES aliénés; par NASSE (Allg. Zcitsc
endu parler. L'auteur fournit encore deux nouvelles observations de
paralysie
générale à guérison apparente. Qu'est-ce que la
ifférences fondamentales telles entre l'alcoo- hsme chronique et la
paralysie
générale qu'il n'y a pas lieu de penser que l'a
e aboutira à la démence paraly- tique. Il s'agit dans ces cas d'une
paralysie
générale survenue sur un terrain alcoolique ; a
fié. On constate alors un stade prodromique semblable à celui de la
paralysie
générale, puis un état qui rappelle la para- ly
rémissions plus promptes, plus complètes, plus durables que dans la
paralysie
générale. Améliorations fréquentes, parfois gué
éments habituels. Y a-t-il un rapport entre les syphilitiques et la
paralysie
générale ? cela est peu probable, car, si sur 2
t fréquents. Un grand nombre de faits d'idiotie, de convulsions, de
paralysies
, de chorée semblent concorder avec l'opinion de
même) à la polioencéphalite de l'enfance. Seulement, au lieu d'une
paralysie
atrophique ou spasmodique, elle laisse après el
ouvements delà queue tout à fait symétriques. Donc aucune espèce de
paralysie
. Pas d'anesthésie ; le tact est simplement un p
. L'animal qui n'a plus d'hémisphère gauche ne présente non plus ni
paralysie
ni parésie musculaire, ni anesthésie. Qu'on lui
as forcé qu'un chien privé de la moitié du cer- veau présente de la
paralysie
ou des troubles de la sensibilité nulle part. C
s de syphilis du système nerveux. On sait que Struempell croit' que
paralysie
générale et tabes dorsal sont deux maladies pro
rs systèmes de fibres. Tel n'est pas l'avis de M. Rumpf. Prenons la
paralysie
générale. Les pièces anatomiques recueilliespar l
ions cérébrales du labes sont d'une autre es- pèce que celles de la
paralysie
générale. Les altérations que l'on qualifie de
entales on peut provoquer des altérations semblables à celles de la
paralysie
générale. M. Rumpf. Quatre-vingts pour cent des
ortion n'est pas celle de Rumpf. M. Schultze. Les altérations de la
paralysie
générale ne sont pas syphilitiques. Il n'existe
pathique. Les contractures qui se produisent ne dépendent pas de la
paralysie
des muscles antagonistes; elles sont l'expres-
paresthésies dans les mains et les pieds, bientôt compliquées de
paralysie
de la motilité dans les territoires nerveux périp
l'influence des névropathies sur les opérations. Dans les faits de
paralysie
générale, l'étude minutieuse des antécédents mont
sque absolue chez les tdbétiques. On'a vu, rarement à la vérité, la
paralysie
agitante débuter à la suite de traumatismes lég
production des contractures et des arthralgies, que pour celle des
paralysies
. C'est aussi dans un nervosisme antérieur qu'on
voquer des troubles trophiques, telles que l'ataxie locomotrice, la
paralysie
générale qui peuvent avoir une influence fâcheu
136 BIBLIOGRAPHIE. XII. Considérations sur quelques points de la
paralysie
générale; par Grégoire. Th. Paris, 1883. L'au
rdre et de lumière dans les différentes opinions qui régnent sur la
paralysie
générale, et particulièrement sur ses modes de
alysie générale, et particulièrement sur ses modes de début, sur la
paralysie
générale d'origine syphilitique et la folie con
tirées dans ces cas de l'évolution de la maladie et de l'absence de
paralysie
. Une forme très particulière est constituée par
ractéristique. La rigidité musculaire est alors le seul signe de la
paralysie
agitante, signe suffisant pour les particularités
aladies de l'esprit; délire des persécutions, délire des grandeurs,
paralysie
générale, épilepsie, dégénérescence ; délires a
s membres inférieurs et supérieurs et des engourdisse- ments sans
paralysie
. Le deuxième degré comprend la paraplégie des p
rieurs et la dyspnée, et tantôt, quand le cas est plus grave, la
paralysie
devient ascendante, les membres supérieurs, l'u
s et sans aucun autre symptôme céphalique. Il n'y a aucune trace de
paralysie
; il peut marcher. Ce bien-être ne devait pas d
érieur droit. Pas de perte de connaissance, pas de vertiges, pas de
paralysie
faciale, ni embarras de la parole : enfin, aucu
mais non sous celui du contact et de la température. Nulle trace de
paralysie
du membre supérieur droit : Nuls troubles vaso-
ression avec constriction à la nuque, douleurs à l'épaule droite et
paralysie
de trois membres cités, le malade avait de la r
pression dou- loureuse et constrictive de la nuque ont disparu. La
paralysie
des trois membres sus-mentionnés persiste compl
e à une para- plégie soudaine complète des membres inférieurs, sans
paralysie
des extrémités supérieures et de la face. Ses m
du malade le 15 juillet 1884. Il marche sans appui quel- conque. La
paralysie
est bien plus prononcée à son membre infé- rieu
nait plus d'un quart d'heure dans le fond, il se sentait pris d'une
paralysie
subite et complète aussi bien de la motilité qu
i bien de la motilité que de la sensibilité des membres inférieurs,
paralysie
très fugitive, car elle n'a jamais duré plus de
itement bien, sans aucun symptôme cépha- lique, ni aucune espèce de
paralysie
. A 11 heures du soir, une paraplégie subite sur
23 brasses ; séjour de vingt- cinq minutes ; décompression brusque.
Paralysie
de la motilité et de la sensibilité des membres
s, enfin aucun autre symptôme céphalique. Mais par contre, il a une
paralysie
de la motilité et de la sensibilité des membres
issement des yeux; bourdonnements d'oreilles ; vertiges yyraloires.
Paralysie
et anesthésie des mcm- bres inférieurs; l'extré
ion d'urines ; douleurs aux lombes. État actuel le 15 février 1884.
Paralysie
spastique du membre inférieur gauche et un peu
176 CLINIQUE NERVEUSE. purgatifs drastiques (huile de croton). La
paralysie
était à ce mo- ment améliorée parce qu'il pouva
s pas, soutenu toutefois par 2 personnes; il n'y avait pas trace de
paralysie
de l'extrémité supérieure ni de la face. La sen
; il ne pouvait les mouvoir librement. D'un moment à l'autre, cette
paralysie
progressait si rapidement que, en une demi-heur
e pouvait rendre ses urines. Rétention des matières fécales. Pas de
paralysie
aux membres supérieurs ni à la face. Pas d'autr
Beaumetz. Dans les observations de Zacher et de Fürstner, cette
paralysie
réflexe des nerfs vaso-moteurs s'éten- dait à u
au clinique pur. Des complications semblables par des phénomènes de
paralysie
plus accusés accompagnés de phénomènes plus ou
haut on peut observer des troubles bulbaires et oculo-moteurs. La
paralysie
atrophique, développée chez lllme L... (OBs. VI
rsive douze ans. - Affaiblissement intellectuel, augmentation de la
paralysie
, céphalalgie avec vomissements. Gâtisme. Augmen
es accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni
paralysie
. Première dent à huit mois. Il a parie a un an,
s l'apparition de ces crises, l'intelligence a encore diminué et la
paralysie
a augmenté ; l'enfant a aussi commencé à bégaye
des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans convulsions, ni
paralysie
; mais à deux ans il eût des convulsions qui n'
qui n'ont porté que sur le côté gauche dont on constate aussitôt la
paralysie
qui per- sista d'une façon plus ou moins complè
tement la marche. Ces symptômes : prédominance des convulsions et
paralysie
du côté gauche sont en rap- port avec les lésio
nt les premiers accès procursifs. La parésie qui avait succédé à la
paralysie
augmenta ; l'affaiblissement intellectuel s'acc
sement intellectuel s'accentua et l'on constata du bégaiement. La
paralysie
d'abord limitée à gauche, puis amé- liorée, rep
ions de la plus grande partie de la région fronto-pariétale avec «.
paralysie
des mouvements et diminution de la sensibilité
airement des lésions identiques à celles du noyau principal dans la
paralysie
labio-glasso-laryngée d'origine bulbaire. Archi
uxquelles se sont livrés ces auteurs sur les lésions causales de la
paralysie
labio-glosso-laryngée d'origine cérébrale et le
la couche motrice de la pyramide et l'explication anato- mique des
paralysies
directes se trouve ainsi naturellement donnée (
u lenticulaire », ' Il est démontré par la marche progressive de la
paralysie
atteignant dans la compression lente de la moel
aphie du faisceau pyramidal. A l'écorce cérébrale, pour qu'il y ait
paralysie
, il faut une lésion destructive des parties de
otrice, l'hémiplégie est partielle; si elles sont très limitées, la
paralysie
n'atteint qu'un membre ou même qu'un groupe mus
upes préfrontale et occipitale de Pitres ont toujours déterminé une
paralysie
croisée, persistante, hémiplégie ou monoplégie.
ou secondaires dégénératives du tiers moyen, qui s'accompagnent de
paralysie
persistante, hémiplégie totale ordinairement, v
constamment une amyotro- phie', ayant toujours pour conséquence la
paralysie
progres- sive. Car les cornes antérieures de la
Elle donne naissance, si la marche de la maladie est aiguë, au type
paralysie
spinale atrophique de l'enfance (po- ' Blocq. D
aire progressive spinale protopathique (type Du- chenne-Aran). 2°
Paralysie
spinale atrophique de l'enfance. 3° Paralysie s
chenne-Aran). 2° Paralysie spinale atrophique de l'enfance. 3°
Paralysie
spinale aiguë de l'adulte. 4° Amyotrophies spin
ial de MM. Landouzy et Dejérine. 2° Forme juvénile d'Erb. 3° Type
paralysie
pseudo-hypertrophique avec ou sans hypertrophie
wsky, '1885, 1.1.) M. Ch..., âgé de trente-quatre ans, présente une
paralysie
faciale droite totale (supérieure et inférieure
périeure et inférieure) et une déviation conjuguée des yeux. Pas de
paralysie
des membres supérieurs ni inférieurs. Abolition
s du globe oculaire en dedans ne dépassant pas la ligne médiane. La
paralysie
du muscle droit externe, ainsi - que la parésie
rne gauche s'observent 1 Indications bibliographiques : Lancereaux.
Paralysies
toxiques. Gazette des hôpitaux, 1883, n° 40. Al
is. Boston Med. a)ta'. surg. Journal. Mardi 15, 1883. Scolozouboff.
Paralysie
arsenicale (,I),ch. de Physiologie, 1881, n° 7;
damment des repas. Il y a un mois brusquement seraient survenues la
paralysie
faciale et la dé- viation oculaire. Par moments
VI. Contribution .1 la Pathologie ET A L'ANATOLE pathologique DE L\
PARALYSIE
AIGU1; COMPLÈTE (ALCOOLIQUE) DES MUSCLES DES YEUX
IAz·clc. . Psych. XIX. 1.) Deux observations avec nécropsies, de
paralysie
aiguë des muscles des yeux ayant surtout porté
notiques provoqués par la même méthode (catalep- sie, contractures,
paralysies
, hallucinations). Quant à la sugges- tion penda
produire en l'hypnotisant une para- lysie de la parole et même nue
paralysie
généralisée persistant pendant un certain temps
es. M. HEBOLD (de Sorau). Un cas d'atteinte du nerf vague dans la
paralysie
progressive. Il y a six ans, traumatisme céphaliq
t dans l'impossibilité absolue de faire le moindre mouvement. Les
paralysies
des membres supérieurs, qui accom- pagnent la p
hit ce syndrome sans le secours de la vue. Il arrive souvent que la
paralysie
prédomine d'une façon très prononcée à un des m
marcher de concert avec les troubles de la motilité, sous forme de
paralysie
plus ou moins complète au moment de l'invasion
ensibilité dans l'immense majorité des cas s'est manifestée par une
paralysie
soit incomplète, diminu- tion de la sensibilité
esque toujours au moment de l'invasion et marcher de pair avec la
paralysie
aussi bien de la motilité que de la sensibilité
nique toujours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de
paralysie
, troubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t.
usculaires : par contre, il a constaté qu'il était paraplégique, la
paralysie
étant un peu moins prononcée au membre gauche,
De 5 heures à G heures, autre intervalle de bien-être. A 6 heures,
paralysie
des membres inférieurs et du supérieur droit. A
sthésie, rétention d'urines. A 11 heures du soir, disparition de la
paralysie
, de ~~ l'anesthésie et de la rétention d'urines
rapides, qu'à Il heures du soir, ses membres étaient dégagés de la
paralysie
, aussi bien de la motilité que de la sensibilit
te fois-ci, l'extrémité inférieure droite n'était pas reprise de sa
paralysie
. On applique la sonde et tous les petits moyens
bre se raidit en extension durant quelques minutes. Pas de trace de
paralysie
aux membres supérieurs et à la face. La sensi-
es céphaliques et l'invasion de la paraplégie. AS heures du soir,
paralysie
complète et soudaine de la ? 71otililé et de la s
es,-il revient complètement. Pas de symptômes cépha- liques, pas de
paralysie
. Le gonflement continue accompagné de .gêne de
soir, le malade revient sans avoir aucun symptôme céphalique, sans
paralysie
, enfin parfaitement bien portant. Ce bien-être
grand étonnement, il tombe -paralytique de ses quatre membres ; la
paralysie
était si complète qu'aucune de ses extrémités n
Le 15 février, c'est-à-dire vingt-cinq jours après l'invasion de la
paralysie
, les extrémités supérieures étaient complètement
e, les extrémités supérieures étaient complètement dégagées de leur
paralysie
aussi bien et avaient recouvré la motilité et la
alade a été forcé de garder le lit, son état étant tel qu'il suit :
paralysie
très prononcée au point que le malade ne pouvai
rvalle de bien-être parfait. Ail heures moins un quart, du malin,
paralysie
subite et complète des deux membres inférieurs et
ns un quart, tout d'un coup, sans prodromes, il était atteint d'une
paralysie
subite et complète aussi bien de la motilité qu
6 CLINIQUE NEIIVEUSE. Le 17 mars, il a pu uriner seul. L'état de la
paralysie
des trois membres n'a pas changé. Le 23 mars,
e soir il a pu recouvrer les fonctions intégrales de ce membre; -la
paralysie
de ses membres inférieurs est restée stationnaire
ine. Chez les malades aussi elle a été complète dès son début, la
paralysie
ayant eu dès le premier moment de son invasion
ns le même fait, qui est remar- quable et original, à savoir que la
paralysie
des membres inférieurs peut être accompagnée de
supérieurs qui au même moment subite et complète accompagnait la
paralysie
des membres inférieurs, de sorte que la paraplé
paraplégie, dès le début, était complète aux quatre membres. Ces
paralysies
de membres supérieurs tantôt t sont fugitives (
noplégie du* bras droit, et dure cinq heures. Ail heures du soir la
paralysie
de ses trois mem- bres disparaît brusquement et
e altération sensitive consiste en une abolition complète, en une
paralysie
parfaite. Son invasion est subite. L'élément an
es vésicaux. Les symptômes vési- caux ont constamment accompagné la
paralysie
de la motilité et de la sensibilité; ils ont co
exclusifs et compliqués, présentant des atrophies musculaires, des
paralysies
et de la prédo- minance de thermanesthésie, qui
es membres inférieurs, à côté des phénomènes caractéristiques de la
paralysie
alcoolique. On pourrait confondre la gliomatose
ant atteint que les cornes antérieures) qui existe dans les cas à
paralysie
de sensibilité partielle. Mon observation citée
six pieds de diamètre. La marche était quelquefois chancelante sans
paralysie
. La tête et la nuque étaient quelque peu inclin
l'athétose, de 438. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'ataxie, de la
paralysie
agitante, du tremblement intentionnel post-hémi
ution et abolition des réflexes tendineux. P. K. XXIII. Un cas DE
paralysie
progressive chronique DES muscles DES veux (oph
is observations à l'appui de la théorie anémique et consomplive des
paralysies
posltypliiques (anémie et épuisement des centre
puisement des centres nerveux) dont une relative à une aphasie sans
paralysie
(sorte de faux pas du coeur). Deux observations
à toutes les extrémités; en octobre 1884, l'aspect est celui de la
paralysie
générale, si ce n'est les phé- nomènes nerveux
oD.»rs; par M. BORNHARDT. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observaiion I.
Paralysie
musculaire de l'aeil, unilatérale niais totale.
se moyenne gauche du crâne. Pas d'autopsie. Trois observations de
paralysie
nucléaire. V. diagnostic, étude critique. Pas d'a
lus ou moins parfaite. P. K. XXXIII. Contribution LA PATHOLOGIE des
paralysies
laryngées d'origine centrale ; par C. Eisenlohr
ile palatin, luette déviée à gauche, difficultés de la déglutition.
Paralysie
totale de la moitié gauche du larynx, avec anes
s de névrites passfts'ë ? '6, isolées, dans le cours même du tubes;
paralysie
brusque, sans troubles delà sensibilité, évolutio
r M. Bernhardt. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Ce sont : A. Un cas de
paralysie
pae compression du radial droit, chez un adoles
eurs, c'est d'elle que partent ces accidents. Observation de légère
paralysie
du radial droit tout acciden- telle par compres
on mentale d'origine paralytique, et notamment à la. guérison de la
paralysie
générale, à la paralysie générale alcoolique, a
lytique, et notamment à la. guérison de la paralysie générale, à la
paralysie
générale alcoolique, aux rapports qu'affecte la s
ie générale alcoolique, aux rapports qu'affecte la syphilis avec la
paralysie
générale6 (Voy. Zeitsch. f. Psych., t. XLII). M
abès et de l'aliénation mentale. - L'orateur distingue avec soin la
paralysie
générale qui reconnaît les mêmes causes que le ta
onne une observation dans laquelle l'aspect cli- nique décelait une
paralysie
générale associée au tabes; or, l'au- topsie mo
, à la suite de trois attaques héinilatérales caractérisées par une
paralysie
de plusieurs mois, l'examen microscopique ne ré
trois ans et trois mois atteint depuis près d'un an d'aphasie avec
paralysie
de tout le système . 1 Voy. Archives de Neurolo
tendue amnésie »; c'est en vain qu'il prétendit à l'existence d'une
paralysie
qui se démentit à la longue. M. 0. SNELL soum
me; volonté, passion, intelligence, puis d'aliénation men- tale, de
paralysie
générale de névroses. La dernière partie du mém
nel en médecine mentale. - Junin : De l'étiologie héréditaire de la
paralysie
faciale dite à fi,igoî,e. z Lefèvre : De la rév
ans l'tclampsie puerpérale. Le Etude sur les formes cliniques de la
paralysie
saturnine. Dupain : Eludes cliniques sur le dél
ent par 1'ttizilgésiie. Arnaud Léon : Recherches cliniques sur la
paralysie
générale chez l'homme. Colin : De la nature infec
inique de quelques accidents consécutifs à la z antérieure aiguë (
paralysie
infantile). Puech : Contribution ci l'étude des h
strophantus. 13oisvert : Etude clinique des formes atténuées de la
paralysie
alcoolique. Concours pour H. nomination des méd
névrvsmes capillaires de la moelle, par Hebold, 449. Aphasie avec
paralysie
totale, par Nicol, 455. Arthropathie tabétiqu
urrelly, 133;- Trau- matisme et neuropathie, par Ba- taille, 13î;
Paralysie
générale, parGréoire, 136; - lllaladie de Par
entales des nerls -) par la rotation forcée, par Fuerstner, 89.
Paralysie
alcoolique des muscles des yeux, par Tlromsen,
Peau (névrose vasculaire de la), par Gock, 294. Plexus brachial (
paralysie
radicu- laire dn), par Rendu, 68. Poliomyélen
même côté par atrophie opti- que, et à droite ptosis incomplet avec
paralysie
du droit supérieur. On attribua pendant la vie,
ondaire du releveur de la paupière supé- rieure dans le cours de la
paralysie
faciale ; par MM. E. Berger et R. Loewy. Dans
la contracture secondaire du releveur palpébral dans le cours de la
paralysie
faciale. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55 Deu
présence d'une contracture secondaire survenue dans le cours d'une
paralysie
faciale aggrave toujours le pronostic à cause de
core été signalée dans le tabès hérédo- syphilitique. IL C. XXVI.
Paralysie
radiculaire totale du plexus brachial avec hémia-
t de l'hémiatrophie faciale, d'ori- gine sympathique,dans certaines
paralysies
radiculaires. Il s'agit d'un homme âgé de vingt
le par endocardite, qui à la suite d'un violent traumatisme eut une
paralysie
radiculaire totale du plexus bra- chial droit.
s en évidence dans cette observation l'au- teur conclut que dans la
paralysie
radiculaire totale traumatique du plexux brachi
téressantes d'un malade âgé de trente-six ans. C'est un cas rare de
paralysie
générale développée chez un individu atteint de
diverses causes - parmi lesquelles la syphilis - qui déterminent la
paralysie
générale, n'agissent d'une façon efficace que l
ques cas, des attaques épilepti- formes, des ictus cérébelleux, des
paralysies
et contractures. L'in- tégrité de la sensibilit
xistence primitive d'une surdité complete, de nature nerveuse, avec
paralysie
faciale, suivie à bref délai de symptômes de tu
n saturnine : colique de plomb, néphropathie, accidents nerveux. La
paralysie
saturnine a pris une extension grande puis- que
participation du groupe radi- culaire supérieur aux deux bras. Ces
paralysies
s'accompagnent d'amyotrophie et la réaction de
réaction de dégénérescence est constatée. Quelques observations de
paralysies
saturnine chez des ouvriers employés dans des f
rop souvent négligée des règlements d'hygiène dans les fabriques.
Paralysie
hérèdo-syphilitiquc. M. F. Rose présente un mal
lysie hérèdo-syphilitiquc. M. F. Rose présente un malade atteint de
paralysie
sensitivo- motrice intéressant la plus grande p
des cas d'altéra- tions syphilitiques diverses du système nerveux,
paralysie
générale, paraplégie spasmodique, etc. A prop
adie de KOHSAKOFF comme une telle forme qui, comme, par exemple, la
paralysie
générale est une asso- ciation d'un trouble psy
présent : une excitation très vive ; le malade parle beaucoup. Une
paralysie
complète avec affaiblissement de tous les muscl
s quelques jours, en général avec des accidents aigus paralytiques (
paralysie
surtout) ou con- vulsifs (tétanie, contractures
rovoque des crises très pénibles. Vers la même époque apparut une
paralysie
faciale inté- ressant également le côté droit e
face d'autre part. ' Le membre supérieur gauche est le siège d'une
paralysie
à peu près complète portant sur la main et les
rappelle qu'il n'eu a pas toujours été ainsi et qu'il a existé une
paralysie
faciale droite jusqu'en novembre 1903. Au poi
e de la main simienne, en une atrophie musculaire superposable à la
paralysie
, en une abolition des réflexes tendineux en rap
dans la seconde observation, signalé un steppage en rapport avec la
paralysie
des muscles antéro-externes des jambes; j'ajout
sie des muscles antéro-externes des jambes; j'ajoute que quand la
paralysie
faciale s'observe au cours de la syringomyélie
nous occupent, mais bien des différences aussi l'en séparent : à la
paralysie
se joint l'in- coordination motrice, nous avons
ggravation : aux anesthésies succèdent les troubles trophiques, les
paralysies
, les ulcé- rations et mutilations diverses ; en
e certaines maladies du système nerveux central, au premier rang la
paralysie
générale et l'épilepsie, tiennent à ce que sur
n'en sont pas moins versées dans le sang du malade. Genèse de la
paralysie
générale. -1 a-t-il production continuedu poiso
e, subit l'altération régressive, la dégénérescence progressive. La
paralysie
générale procède-t-elle par poussées, c'est que
titoxine vient- elle à prédominer; on assiste à une rémission de la
paralysie
générale. - Malheureusement il ne s'en produit
montre, avec de nombreuses figures à l'appui, qu'il y a des cas de
paralysie
générale dans lesquels la déchéance des fibres
fibres blanches '. M. Schalferen possède actuellement une autre de
paralysie
géné- rale à la dernière période, où l'hémisphè
inales siégeant au-dessus du ren- flement cervical. Exagéré dans la
paralysie
spasmodique et dans la sclérose latérale amyotr
04. - PRÉSIDENCE DE M. Dêjerine. Lésions des neurofibrilles dans la
paralysie
générale. MM. GILBERT Ballet et LAIGNEL-L,1VAST
ce du 28 mars. - Présidence DE M. BRDNET. Le décubitus aigu dans la
paralysie
générale. M. VIGOUROUX : fait une étude rapide
ps comme une complication obligatoire de la période terminale de la
paralysie
générale. Une opinion très courante et partagée
cipalement sur les os des membres nférieurs (tibia, fémur). Dans la
paralysie
générale, des fractures SOCIÉTÉS SAVANTES. 167
ns horizontale et verticale pouvait faire penser tout d'abord a une
paralysie
du muscle grand dentelé, mais l'examen électrique
a déformation particulière de l'épaule susceptible de simuler une
paralysie
du muscle grand dentelé. M. B. SOCIÉTÉ DE NEURO
e supérieure du tronc des deux côtés et dans le bras droit resta la
paralysie
atrophique ; dans la période de l'amélioration
use du côté droit. Des mouvements involontaires de la langue. De la
paralysie
atrophique des muscles de la partie supé- rieur
t. Une coexistence, semblable d'accès, peutavoir lieu aussi dans la
paralysie
générale. Souvent la psychose de Kaon- SAKOFF s
t fut paralysé et la veille de l'entrée à l'hôpital se développa la
paralysie
de toutes les extrémités. Une paralysie com- pl
à l'hôpital se développa la paralysie de toutes les extrémités. Une
paralysie
com- plète des membres supérieurs et inférieurs
oce une place distincte à côté des deux autres grandes démences, la
paralysie
générule et la démence sénile, puisque, primiti
liquide céphalo-rachidien, contrairement à ce qui se passe dans la
paralysie
généaale, ne contient pas d'éléments figurés :
u'on ait soutenu le contraire s'observent aussi quelquefois dans la
paralysie
générale et, cependant, l'origine accidentelle de
n'en est pas moins proclamée par la grande majorité des auteurs. La
paralysie
générale, a déclaré M. Magnan, est la . plus in
nce précoce, tout en restant soumise, dans les mêmes limites que la
paralysie
générale, à l'inéluctable loi de la prédisposit
vant tou- jours être rattachés à la folie maniaque dépressive, à la
paralysie
générale, aux folies toxiques, à la demence pré
ressive ou de la démence précoce, quand ils n'étaient pas liés à la
paralysie
générale ou aux folies toxi-infectieuses. La ma
ets à des rémissions et peuvent même disparaître tout comme dans la
paralysie
générale, mais le. déficit mental sur lequel il
fections que nous venons de citer (imbé- cillité, débilité mentale,
paralysie
générale, etc.) et dans la paranoïa. Pour dém
randes lignes, la démence précoce parait devoir comporter, comme la
paralysie
générale, des signes physi- ques dont aucun, co
tituée, etc.), son père, au moment où elle est née, était en pleine
paralysie
.générale. C'est un jeune homme, dément paranoï
ivalent à celui que tous les aliénistes lui recon- naissent dans la
paralysie
générale; mais qu'on cherche chez les paralytiq
uent et incontestable que l'est l'intoxication syphilitique pour la
paralysie
générale ? Je suis dégagé de tout préjugé au su
upérieurs, supra-nucléaires (Parinaud) dont la lésion pro- duit des
paralysies
associées, bilatérales, lévogyres ou dextro- gy
(de Lyon), une première dis- cussion s'engage sur l'étiologie de la
paralysie
générale, à l'occa- sion de la statistique de M
ont subi une énucléation. Quelques réflexions sur l'étiologie de la
paralysie
générale dans le département de l'Orne. M. le
statations antérieures de divers auteurs, qui tendent à faire de la
paralysie
une maladie des peuples civilisés, Statistique
de la paralysie une maladie des peuples civilisés, Statistique des
paralysies
générales de l'asile d'Alençon comparée aux sta
it semble venir confirmer la théorie si rationnelle, qui fait de la
paralysie
générale une affection due surtout à l'usure cé
ques cas, devenirdéfinitives, rappellent l'atrophie musculaire des
paralysies
hystériques (Charcot, Babinski) et peut-être plus
'a donné que des insuccès. Relations cliniques de la cécité avec la
paralysie
générale et le tabès. André LERI (de Paris).
néralement considérée comme fréquente dans le tabes et rare dans la
paralysie
générale. D'autre part, on admet que les cas de
erson- nelles nous ont convaincu que : A) Pour ce qui concerne la
paralysie
générale : 1° la cécité est rare dans la paraly
qui concerne la paralysie générale : 1° la cécité est rare dans la
paralysie
générale confirmée avec troubles mentaux marqué
fréquemment signalée avant l'apparition des troubles mentaux de la
paralysie
générale progressive. B) Pour ce qui concerne l
ubles mentaux minimes tout à fait ana- logues à ceux du début de la
paralysie
générale. En somme, le plus souvent la cécité d
es de la méningo-myé- lite spinale postérieure légère. Le tabes, la
paralysie
générale et l'amaurose dite « tabétique » repré
d'ailleurs l'atrophie optique du tabes est semblable à celle de la
paralysie
générale ; il s'agit, ce semble, d'atrophie sec
ent dans les formes à accès (74,60 p. 100), moins encore dans les
paralysies
et contractures (65,38 p. 100). Ce phénomène, s
formes à accès (84,12 p. 100) elle est moins constante que dans les
paralysies
et contractures (73,07 p. 100), moins encore da
ormes accompa- gnées d'anesthésie (63,63 p. 100), puis viennent les
paralysies
et contractures (61,53 p. 100) et enfin les acc
(72,72 p. 100) elle se rencontre à peu près aussi souvent dans les
paralysies
et contractures (53,73 p. 100), et dans lés acc
isté dans nos cas. Surtout fréquent dans les formes accompagnées de
paralysies
et contractures (11,53 p. 100), le clonus du pi
andis que celui de la . rotule, également le plus fréquent dans les
paralysies
et contrac- tures (11,53 p. 100) est assez rare
té. Un cas de polynévrite éthylique ayant évolué sous la fonn3 de
paralysie
ascendante. ' " 11\i. OBERT3SUR et ROGER (de Pa
origine. Contribution à l'étude de l'état du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale. (Résultat de l'examen des paralytique
e l'humanité et de son pays. Etude anatomo-pathologique d'un cas de
paralysie
infantile au point de vue de la topographie des
t). Nous avons pra- tiqué l'examen anatomo-pathologique d'un cas de
paralysie
infan- tile, quatre-vingts ans après le début d
peut être généralisée pour les raisons suivantes : Il Parce que la
paralysie
n'intéresse pas toujours tous les muscles d'un
un des phénomènes accessoires de quelque psychose (démence précoce,
paralysie
générale, etc.). La constitution idéo-obsessive
état de repos, la flaccidité musculaire est exagérée et rappelle la
paralysie
. Il ne se passe pas autre chose pour les paupière
, il existe de la cépha- lalgie. Absence de raideur de la nuque, de
paralysies
, de sueurs hémilatérales, de fièvre. Le second
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. mort, affecté de
paralysie
périphérique complète des deux branches du faci
s étaient exagérés. Ils disparurent complètement quand survint la
paralysie
flasque et restèrent absents jusqu'à la mort. A c
orsale. Sans compter qu'il y a eu de ce fait (du fait du foyer) une
paralysie
spéciale des vasomoteurs médullaires. On en doi
u maxillaire inférieur a le moins souf- fert. L'unilatéralité de la
paralysie
, notamment du trijumeau, l'envahissement gradue
atrophie musculaire. 1. Les troubles de la motilité sont : a, une
paralysie
complète du membre supérieur lorsque le foyer s
dans les cas d'hémiparésie, d'hémiplégie, et en général dans les
paralysies
de l'extrémité supérieure d'origine centrale. Pre
un beau matin, sentiment d'engourdissement de la jambe droite avec
paralysie
du bras etde la jambe gauches ; pendant quatorz
nue pendant la période de développe- ment du sujet. L'atrophie avec
paralysie
musculaire et ? 011 dégénérative de l'extrémité
due jusqu'à la huitième racine cervi la première racine dorsale. La
paralysie
motrice à gauche pagnée d'un émoussement de la
gauche. , Quelle en était la nature * ? Il s'est manifesté une
paralysie
spinale aiguë portant sur l'appa- reil moteur d
nt des troubles de la sensi- bilité de la jambe droite ainsi qu'une
paralysie
vésicale et rectale. Tout s'est rapidement réso
ale et rectale. Tout s'est rapidement résolu; il n'est resté qu'une
paralysie
dégé- nérative de la main gauche et des traces
Widal et Bezançon : l'inoculation de streptocoques a été suivie de
paralysies
soudaines mortelles avec lésions de la moelle r
maniaque, de la confusion mentale avec stupeur et cata- tonie, une
paralysie
faciale périphérique. Les deux premières sont é
ces altérations constituent des phé- nomènes très fréquents dans la
paralysie
générale, le tabès dorsal, la syphilis cérébros
pression d'un processus pathologique d'excitation, de parésie ou de
paralysie
de certains segments de l'iris, produit par des
expression de la combinaison d'états d'excitation, de parésie ou de
paralysie
des différents filets des nerfs ciliaires court
régularités constantes du bord des pupilles sont l'expression d'une
paralysie
définitive de certains segments de l'iris : irido
jet des fibres. P. KERAVAL. III. Convulsions myocloniques dans la
paralysie
générale pro gressive; par J.-S. Hermann. (Neur
ni avec des attaques congestives apoplectiformes. Le diagnostic de
paralysie
générale ressort et du tableau clinique, et des l
réflexes patellaires tient à ce que la myoclonie est greffée sur la
paralysie
générale, qui s'accompagne très souvent de disp
e. U. B. Séance du 27 juin. - Présidence de M. Bonnet. Suicide et
paralysie
générale; par 11111. nIARIG et VIOLLET. On peut
ré l'attention sur cette question. Cet auteur a observé un cas avec
paralysie
de la mimique du nerf facial gauche. L'homme en
nt des mois. Au moment de son admission il existe encore une légère
paralysie
du segment inférieur de la face pour l'expressi
écé- demment décrits de Nothnagel et de Gowers qui ont observé la
paralysie
des muscles mimiques de la face à la suite d'al
poulo) décrite par Nothnagel a, par son grand volume occasionné une
paralysie
des muscles de la face, soit des phénomènes d'a
l'organe. G. D. LXXXIII. A propos de l'anatomie pathologique de la
paralysie
générale; par le Dr l\l.\HAm (Journal de Neurol
vaisseaux de l'écorce cérébrale étaient toujours primitives dans la
paralysie
générale, l'auteur déclare que de ses recherches
nt. Il ajoute que jusqu'ici on n'a pas encore publié un seul cas de
paralysie
générale indiscutable avec intégrité des vaisse
èces morbides naturelles. On peut présentement distinguer : 1° La
paralysie
générale. Il n'est pas exceptionnel de rencontrer
pas exceptionnel de rencontrer dans les asiles d'idiots des cas de
paralysie
générale juvénile, et surtout chez des sujets p
ébut et leur terminaison ne s'opposent pas à leur rattachement à la
paralysie
juvénile. 2° L'idiotie amaurotique. La cause se
tingue expérimentalement un certain nombre de syndromes solaires de
paralysie
, d'excitation ou d'irradiation, et montre que l
endiants et des vagabonds. Cela se voit dans la démence précoce, la
paralysie
générale, la folie circulaire ou périodique. Ex
s maladies du système nerveux, l'angoisse a été observée : dans les
paralysies
bulbaires, les lésions méningo-encéphaliques ba
liques basilaires, les affections médullaires, du cervelet, dans la
paralysie
générale, dans les névroses, vertige mental, ve
re d'aucune classification spéciale. M. H. X. Hystérie à forme de
paralysie
générale ; par Collet et Lepike. (Revue de méde
ces dernières années une grande importance pour le diagnostic de la
paralysie
générale à la constatation de certains troubles
1..10FFROY et BADAUD. Si les lésions médullaires postérieures de la
paralysie
générale sont d'ordinaire différentes de celles
entes de celles du tabes classique, il n'est pas impossible qu'à la
paralysie
générale frappant uniquement le cerveau, vienne
dinairement les dégé- nérescences postérieures de la moelle dans la
paralysie
générale affectent un type spécial s'éloignant
tabes vul- gaire, il est des cas, néanmoins, où concurremment à la
paralysie
générale, évolue un tabes légitime. Dans le pre
envahit l'ensemble de l'axe cérébro-spinal; dans le second cas, la
paralysie
générale du cerveau est purement et simplement
éaction pupillaire prolongée aux toxiques comme signe précoce de la
paralysie
générale; par 1\11\1. TOULOUSE et VUftPIS. (Jou
morbide du système ner- veux et permet le diagnostic précoce de la
paralysie
générale. . G. DENY. 'L'il. Fréquence et évol
'L'il. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale; par MM. Ravurt et CAUDRON. (Journ. de
es latéraux constitue un des meilleurs signes des démences. Dans la
paralysie
générale, la pression du liquide céphalo-rachidie
Bra à petites doses. L'auteur après avoir examiné l'hypothèse d'une
paralysie
faciale antécé- dente, d'une affection protubér
derniers caractères se retrouvent dans une observation deIoebius, (
Paralysie
simultanée de plusieurs nerfs crâ- niens. Archi
II, p. 292). Il s'agissait d'un jeune garçon de neuf ans affecté de
paralysie
de plusieurs nerls craniens d'origine basale, s
ic. Marcel Viollet. \ XLVIII. Un cas de tétanos céphalique avec
paralysie
faciale et oculaire, guérison; par G. HALTENIIO
atiquée deux jours et demie après l'acci- dent, on vit survenir une
paralysie
du facial droit et du moteur oculaire externe g
complication. Bien que l'examen histologique des nerfs atteints de
paralysie
soit resté négatif dans les cas mortels on tend à
soit resté négatif dans les cas mortels on tend à admettre que ces
paralysies
sont le résultat de l'action du poi- son tétani
entres de la moelle allongée et de la protu- bérance. G. D. XLIX.
Paralysie
faciale : rire et pleurer spasmodiques; localisat
cérébrale du rire et pleurer spasmodiques et de celle du syndrome :
paralysie
volontaire avec conservation de l'expres- sion
puisse expliquer à la fois les crises de rire et de pleurer, et la
paralysie
faciale disparaissant à l'occasion des mou- vem
'émettre des sons graves) que l'auteur crut pouvoir attribuer à une
paralysie
d'origine cérébrale du crico- thyroïdien. Cet
socéphaliques et qu'elle ait ainsi pro- voqué, avec le trismus, une
paralysie
faciale bilatérale. On n'a encore donné de ce d
MÉDECINE LÉGALE. 427 I LII. Un phénomène palpébral constant dans la
paralysie
faciale périphérique; par MM. Duruv-DuTEMps et
être considéré comme constant puisqu'il s'est montré dans 15 cas de
paralysie
faciale périphérique. Voici en quoi il consiste
est convulsé en haut. Ce phénomène est dû à ce que dans les cas de
paralysie
faciale, la paupière supérieure n'étant plus ma
hysiolo- gique ; il n'en constitue pas moins un signe spécial il la
paralysie
de l'orbiculaire puisqu'il manque dans les lago
cicatricielles des paupières, etc. G. D. LUI. Un cas particulier de
paralysie
faciale ; par le Dr Bienfait. (Journ. de Neurol
nfait. (Journ. de Neurologie, 1904, n°2.) Observation d'un cas de
paralysie
faciale intéressant en raison des phénomènes bu
ie de Menière. D'après l'auteur la lésion qui avait déterminé cette
paralysie
siégeait dans le conduit auditif interne et int
sont lents partie à cause de son état mental, partie à cause de sa
paralysie
. Les notions usuelles sont assez limitées. b.
er définitivement, ferait du torticolis congénital l'analogue de la
paralysie
infantile. Mais il est possible que cette lésio
r. " - Doit-on incriminer l'anémie mécanique ou la congestion par
paralysie
des vaso-moteurs lésés dans la ligature de la car
r le second point intéressant, c'est-à-dire la pré- dominance de la
paralysie
au membre supérieur, l'auteur pense que le fait
le diagnostic. Le seul diagnostic' auquel on puisse songer est la
paralysie
faciale suivie de contracture. G. Carrier. LV.
que; (céphalée plus vive, en une nuit appa- rition d'amblyopie avec
paralysie
totale des muscles extrinsèques et intrinsèques
atteints de manifestations choréiques). Il présentait en outre une
paralysie
avec atrophie du membre inférieur droit, vraise
ression des débits d'alcool. il. C. XXX. Rapport du tabes avec la
paralysie
générale ; par CURIONI. (Nouv. Iconogr. de la S
(Nouv. Iconogr. de la Salpllriène. i'\° 5. 1903.) Le tabes et la
paralysie
générale sont-ils une seule et même maladie dom
lieu de différen- cier le tabes vrai des lésions tabetiformes de la
paralysie
progres- sive La question est en débat et ce n'
sions mé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 503 ningo-corticales de la
paralysie
générale. Du côté de la moelle, lésions des mén
XIV. Contribution à la chimie de la dégénérescence nerveusé dans la
paralysie
générale et autres maladies mentales; par Isado
'altérations des fibres à myéline ni des vaisseaux. Smon. XXXVII.
Paralysie
générale aiguë avec une observation, histoire c
t historique avec la classification de Lissaner des cas anormaux de
paralysie
géné- rale : 1° Paralysie générale avec localis
ification de Lissaner des cas anormaux de paralysie géné- rale : 1°
Paralysie
générale avec localisation des lésions aux por-
sation des lésions aux por- tions postérieures des hémisphères ; 2°
Paralysie
générale avec prédominance céribelleuse des lés
sions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à forme aiguë; 4°
Paralysie
générale compliquant un tabes, avec délire hall
). La syphilis comme cause de folie (Mott : pas de syphilis, pas de
paralysie
générale). - Tuberculose et dysen- terie dans l
caner M. Toulouse sur sa définition de la démence. La démence de la
paralysie
générale ne peut prêter à confusion avec la dém
l symptôme invoqué pour faire le diagnostic de démence vésanique.
Paralysie
générale et pachyméningite gommeuse. MM. DOUTIt
ate des lésions syphilitiques cérébrales surajoutées à celles de la
paralysie
générale. Il s'agit d'un homme de quarante ans,
nnu atteint de manie, peut-être par alcoolisme, mais sans signes de
paralysie
générale. Comme au dehors, il se montra agité,
/les. In-8» de 22 pages. Imp. Starck à Lyon. Marie (A.). Névrose et
paralysie
générale. In-S° de 24 nages. Imp. Severeyns. Br
écité verbale avec agraphie : par Thomas, 74. Voir' Surdité. Voir
Paralysie
. Centres nerveux. Voir Kyste. Des corticaux d
a- ble de post-hémiplégique, par Devic et Gallavardia, 52. Voir
Paralysie
. Convulsions. Des rythmiques et des mouvement
nts automatiques chez les hystériques, par Bechte- rew, 326. Voir
Paralysie
géné- rale. Coprolalie. Voir Tics. Cornée.
elschowsky, 340. Cytodiagnostic - Voir Tabès. Di'.cUBirus. Voir
Paralysie
générale. Dégénérescences secondaires. Voir C
attaque d'épilepsie. par Ossipow et Borischpolsky,-325 Face. Voir
Paralysie
. Faisceau longitudinal. Voir Reil. Fibres. De
ion intraartérielle dans la traumatique, par Has- kovec, 62. - et
paralysie
géné- rale, par A Marie, 526. NEZ. Un arrêt d
Ma- randon de Montyel, 289. 634 TABLE DES MATIÈRES. OEIL. Voir
Paralysie
générale. OPHTAL110PLÉGIE et arténo-sclérose,
- roubow, 329. Parallélisme. Le moderne, par Moskiewicz, 321.
Paralysie
. De la contracture secon- daire du releveur de
méningite néoplasique, par Spillmann et Hoche, 188. Parésie. Voir
Paralysie
. La - spas- modique des vieillards athéro- ma
dans l'hystérie, par Ci-ocq, 261. Un - palpébral constant dans la
paralysie
faciale périphérique, par Dupuy-Du- temps et
[LHi3E De la pro- longée aux toxiques comme si- gne précoce de la
paralysie
géné- rale, par Toulouse et Vurpas, 417. RC1,
du , par Widal, Sicard et Ra- vaut, 53. -. Voir Moelle. -. Voir
Paralysie
générale. Les formes fébriles du -, par Faure.
ude, par ObeOhur et Bousquet, 278. Un cas d'association du à la
paralysie
générale, par Joffroy et Rabaud, 414. Happort d
alysie générale, par Joffroy et Rabaud, 414. Happort du - avec la
paralysie
générale, par Cu- rioui, 502. 'l'aDi : ryoe.
un , par Sabrazès, 57. - - 'l'É1AOS. Un cas de céphalique avec
paralysie
faciale et oculaire ; guérison, par Haltenhoff,
tentes en Afrique. Grand-père paternel : nombreux excès de boisson,
paralysie
complète avec aphasie. Rensei- 17187ne12tS 2t27
légère- ment exagérés à droite; vomissements; augmentation de la
paralysie
de la jambe droite. Trépanée à Saint-Antoine le
ou » du vin, de l'absinthe, un peu de tout. Deux mois avant sa mort
paralysie
complète des 2 côtés' début brusque, avec aphas
ure des os du nez, que la palpation ne révèle pas cependant. Pas de
paralysie
des membres inférieurs ni supérieurs. 17 août
Yeux enfoncés, mobiles dans tous les sens; pas de strabisme; pas de
paralysies
muscu- laires ; nystagmus à peu près constant.
signes de Stclhvag, de yon gracie et de Modiius font défaut. Pas de
paralysie
de la mus- culature externe. Dilatation pupilla
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES l. - Les cellules plasmatiques de la
paralysie
généra- le ; par le Dr de GUCK (Journal de Neur
logie, 1905, n° 6.) Se basant sur l'étude histologique de 18 cas de
paralysie
générale, M. de Buck se rallie d'une façon caté
sans aucun doute à la néofor- mation vasculaire qui caractérise la
paralysie
générale. Mais si l'infiltration périvasculaire
lanc joue un rôle effacé dans l'infil- tration périvasculaire de la
paralysie
générale. Le proces- sus paralytique, au lieu d
Buck se rallie à la théorie de l'origine vasculaire primitive de la
paralysie
générale qui lui paraît rendre mieux compte de
G. D. VI. Sur les rapports qui existent entre la topographie des
paralysies
et celles des altérations des centres mo- teurs
les auteurs se croient en droit de conclure que la topographie des
paralysies
et des atrophies dans les maladies de la moelle
culaire. Dans la plupart des cas, en effet, l'atrophie ainsi que la
paralysie
n'intéressent pas tous les muscles innervés par
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Discussion sur les rapports de la
paralysie
géné- rale et de la syphilis. [Académie de méde
à forme hémiplégique. La cause occasionnelle de l'apparition de la
paralysie
générale fut, assez rare- ment il est 'vrai, le
t chez les quakers. Il remarque la fréquence de l'association de la
paralysie
générale et du tabes, insiste sur les paralysie
l'association de la paralysie générale et du tabes, insiste sur les
paralysies
conjugales, sur celles qui s'ac- compagnent d'a
t les lésions spécifiques vascu- laires d'une part, et celles de la
paralysie
générale d'autre part, et il admet comme cause
au contraire, insiste sur le rôle de la syphi- lis, non pas que la
paralysie
générale soit de nature spé- cifique, mais parc
alytiques généraux, 30 à 40 0/0 de syphilitiques. M. Hallopeau : la
paralysie
générale est une deutéropa- thie syphilitique,
cifique qui alors existe seule ; il n'est plus justifié, lors de la
paralysie
con- firmée. M. Raymond signale la fréquence
ge avec elle, son étiologie. La non-spécificité des lé- sions de la
paralysie
générale n'est pas un argument va- lable, car o
roy reconnaît bien que la syphilis est une bonne « fumure » pour la
paralysie
sur un organisme déjà prédia- Atscmvr ? 2^ séri
. - Quelques réflexions sur le développement de l'étio- logie de la
paralysie
générale dans le département de l'Orne ; par le
menage intellectuel est la seule et unique cause de la rareté de la
paralysie
générale dans le département de l'Orne. G. D.
De l'étude histologique de cinq cas de psychose aiguë (délire aigu,
paralysie
générale, mélancolie anxieuse), l'au- teur tire
dipsomanes. G. D. VIII. - Relations cliniques de la cécité avec la
paralysie
générale et le tabès ; parA. LÉRI. (Journ. de N
que la cécité est très fréquente dans le tabes et très rare dans la
paralysie
générale. Il résulte au contraire des recherche
contraire des recherches de l'auteur, que la cécité affecte avec la
paralysie
générale les mêmes rapports qu'avec le tabes, q
es localisations, spi- nale pour le tabes, céréhrocorticale pour la
paralysie
géné- rale pourront ou non se développer plus t
ion on puisse le débarrasser de l'idée morbide de la douleur, de la
paralysie
, de la convulsion, etc., qui l'a envahi en lui
ouvoir, de parler et de penser. Un peut donc comparer cet état à la
paralysie
psychique qu'il est facile de produire par sugg
eilleurs chapitres de la Pathologie spéciale celui qui traite de la
Paralysie
géné- rale. Le livre troisième comporte plus
})(''h'ic ! 'c dans le service de M. le professeur Raymond pour une
paralysie
complète, survenue, il y a ans, à la suite d'un
mois on peut espérer une amélioration des mouvements, malgré une
paralysie
sphinctérienne totale; au point de vue de la vi
mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE Mal perforant et
paralysie
générale : Parle Dr MARIE, médecin en chef il e
le 1er décembre ly0' avec le certificat suivant du Dr Legras : «
Paralysie
générale. affaiblissement intellectuel. Projets
n. l3urlin, 1902. Verlag- S. Karger, p. ? d0.) MAL Perforant Et
paralysie
générale. 113 frère devait mettre à sa disposit
er, à son entrée dans notre ser- vice, les symptômes évidents de la
paralysie
générale. Après une période d'excitation intell
arisiens m'est passé aittsi par les mains. » , MAL PERFORANT ET
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la th
tens. Dans nos observations, les maux perforants ont pré- cédé la
paralysie
générale ; leur amélioration a cepen- dant été
tian (1) qui l'un des premiers a signalé le mal perforant dans , la
paralysie
générale. Marandon de Montyel l'y a signalé éga
nalé également ; mais d'après lui, il se rencontre surtout quand la
paralysie
générale se complique d'alcoolisme. D'après lui
d'ailleurs, il ne fau- (1) Ciiristiax. - « Le mal perforant uans la
paralysie
générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110
talons et celles du (sacrum) si fréquentes, elles aussi, dans la
paralysie
générale. Or, comme cette dernière se rencontre
avec les phases critiques prémonitoires des ré- MAL PERFORANT ET
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 117 missions ? On sait les théories a
sous l'influence de causes très minimes. Il y aurait donc, dans la
paralysie
générale, déviation du travail curatif, formati
cée de la maladie. Pour lui, dans les premières pério- des de la
paralysie
générale, les plaies guérissent rapi- dement.
rveau. Tendance àla suppuration, tel est donc le caractère que la
paralysie
générale imprime aux blessures (Deoorce), , Nou
ra-- (1) D" A. Marie et Viollet. Suppuration et rémission dans il
paralysie
générale. MAL PERFORANT ET PARALYSIE GENERALE
ation et rémission dans il paralysie générale. MAL PERFORANT ET
PARALYSIE
GENERALE. 119 lions spontanées, il n'y avait
, par A. Click. (Neurolog. Centralbl. XXIII.) Pièces anatomiques de
paralysie
infantile cérébrale. llémiatro- phie du cerveau
ternatifs et ondulatoires, l'auteur présente onze observa- lions-de
paralysie
faciale, de maladie de Thomsen, d'atrophie avan
x suffisent à produire la contrac- tion lente ; plus lard, quand la
paralysie
périphérique est com- plète, il faut, pour qu'e
rs enveloppes ; il est indépendant du mouvement du sang. Dans les
paralysies
fiasques complètes, on n'entend, au niveau des
t rien quand on invite les malades à faire des mouvements. Dans les
paralysies
flasques incomplè- tes, le son musculaire est s
ible énergie de la contraction. On entend le son musculaire dans la
paralysie
agitante (un cas), dans l'athétose (2 cas), au
net. La contracture tardive des muscles hémiplégies ou en état de
paralysie
infantile cérébrale n'a pas fourni de son ; celui
THOLOGIQUES. du coude et du poignet. La distribution musculaire des
paralysies
cérébrales incomplètes se fait. par groupes mus
d'aphasie mais une certaine dysarthrie. en somme comme une sorte de
paralysie
pseuclo-1>ulllaire qui peut disparaître en q
iques, affections protubérantielles, myélites, sclérose en plaques,
paralysies
spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe peut servir i
ies spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe peut servir il distinguer une
paralysie
organique d'u- ne paralysie hystérique. La flex
e réflexe peut servir il distinguer une paralysie organique d'u- ne
paralysie
hystérique. La flexion plantaire des orteils décè
ganique : par contre, la flexion dorsale n'élimine pas l'idée d'une
paralysie
organique. Le même réflexe REVUE D'ANATOMIE E
ade dans le coma dépister l'apoplexie et, en ce (l11) le côté du la
paralysie
: le côté duquel le heurt du dos du pied déterm
du côté do la lésion tandis qu'il est d'ordinaire conservé dans la
paralysie
faciale d'origine centrale. Il est aug- menté d
ez les paralytiques généraux en particulier; quelques cas isolés de
paralysie
générale trahissent une différence du ré- tioxe
et achilléens exagérés, la flexion plantaire s'accentue ; exemple :
paralysie
spinale spas- modique, sclérose en plaques. Ce
ia se traduit par l'extension de la jambe. Il se manifeste dans les
paralysies
organiques. 2° Le réflexe du grand trochanter c
ns le cours de certaines maladies aiguës ou chroni- quels : lahi.s,
paralysie
générale, peuvent être aussi des équiva- lents
tes d'hystérie à l'état fruste, et qui fut prise très rapidement de
paralysies
partielles, à la suite d'une intoxication sulfo-c
matisme et la difficulté médico-légale de tumeurs cérébrales et de
paralysies
générales survenues après des traumatismes. Hém
holéra toxique au début, puis démangeaisons, douleurs articulaires;
paralysie
commençant par les extrémités et, portant d'abo
irme et. montre l'importance médico-légale de cette constatation.
Paralysie
faciale et hémiatrophie linguale. MM. Muet et L
t et LEJONNE montrent une jeune fille dequinzeans atteinte de cette
paralysie
à l'âge de trois ans, au milieu de phé- nomènes
nvulsions déterminées par une ménin- gite ou une poly-oncéphalile I
paralysie
flasque, secousses mus- culaires fasciculaires,
ique présentanlunu hérniatl'Ol'hie du voile du palais droite et une
paralysie
complète de la corde vocale do ce côté. Cet en-
es vides. Ces cas se diuerencient, du la maladie de Duchenne par la
paralysie
du facial supérieur, les (roubles de la sensibili
tion de la langue. Un n'observe néanmoins aucun signe ni vestige de
paralysie
faciale. Pas d'asymétrie osseuse de la face. Vo
, et caractérisé par une hémiplégie alterne 4ensitivo- motrice, une
paralysie
bilatérale et symétrique des muscles in- nervis
ologique et clinique à l'étude des rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale ; par IIODOLFO TANZIALIi.Il1 Annali di
GIQUES. 201 que de la question des rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale ; il insiste surtout sur les recherche
curatif, soit même comme simple calmant des divers symptômes de la
paralysie
générale. Finalement, ses travaux l'ont amené aux
ravaux l'ont amené aux conclusions suivantes : 1° Sur cent cas de
paralysie
générale, la syphilis a pu être re- trouvée 87
La syphilis peut constituer à elle seule l'affection causale de la
paralysie
générale, mais elle peut également agir communé-
autre facteur étiologique héréditaire ou acquis. 40 Dans les cas de
paralysie
générale développée sur les indi- vidus ayant e
ent mercuriel intensif ne modifie en aucune façon l'évolution de la
paralysie
générale. En terminant, l'auteur donne la repro
géré dans la démenée précoce (héhéphrénie et catatonie), dans la
paralysie
générale et dans la manie. ,1. SEGLAS. - Recher
à la Société médicale des hôpitaux, que l'on pouvait observer des
paralysies
consécutives à la pneumonie, ne rencontra il cett
phiqucs. Quant aux lésions histologiques que l'on ob- serve dans la
paralysie
'expérimentale consécutive il l'influence du vi
rhumatisant d'habitude, frappé brusque- mont en pleine santé d'une
paralysie
spasmodique douloureuse, précédée depuis un moi
résentent une fillette ayant subi après infection des symptômes (le
paralysie
ascendante aiguë avec troubles sphinctériensft
ntre mouvements volontaires ut réflexes se rencontre aussi dans les
paralysies
organiques. Clonus du pied. M. Babinski provo
uau qu'il rassembla le, : éléments du sa thèse : Des rapports de la
paralysie
générale chez la femme avec certains troubla de
lève éprouvant un besoin de locomotion incessant. 1904. Malgré la
paralysie
dont est affectée sa main gauche Ricqu ? est ar
une affection cérébrale déterminée quelconque (folie, dé- mence,
paralysie
générale) peut être survenue un an, deux ans, d
, de l'excitation maniaque, de la démence progressive ou même de la
paralysie
. Mais, côté de ces accidents, positifs pourrait
'est ainsi que nous avons observé- un jockey de courses, atteint de
paralysie
générale considérée comme 314 ' CLINIQUE MENT
ement des facultés intellectuelles, peut-être symp- tomatique d'une
paralysie
générale au début. Perte de la mé- moire. Embar
ction entre ce fait et celui d'être âgé de trente-six ans. Le mot :
paralysie
générale, est missur un des certificats de situ
même année, il est ramené à l'asile, où on lui trouve des signes de
paralysie
générale, euphorie, idées de gran- deur. Il est
écanisme différent. Les plus récents relè- vent plus ou moins de la
paralysie
générale; les plus an- ciens relèvent' de cause
s et chirurgiens sur les diathèses, on pourrait soute- tenir que la
paralysie
générale traumatique, si on l'ad- met, peut êtr
t l'ordre de succession chez un même individu, a pu déterminer la
paralysie
générale que l'un ou l'autre facteur isolé n'eût
alite comprimée, mais servir de jalon sur pour dater le début de la
paralysie
générale. Le trau- matisme dans ce cas, postéri
postérieur à l'ictus, devientnon plus un facteur étiologique de la
paralysie
générale ultérieure, mais déjà une des conséque
acci- dent et du ou des premiers signes physiques constatés de la
paralysie
générale; si aucun signe ne l'a décelée antérieu-
lier du plomb, un ancien traumatisé peut présenter les signes de la
paralysie
générale satur- nine. Le paragraphe II des arti
yen de diagnostic entre les pa- ralysies générales centrales et les
paralysies
générales périphé- riques. Cessons de l'appeler
différence entre les deux membres inférieurs, ni dans l'état de la
paralysie
ni dans celui des autres phénomènes ner- veux e
congénitale ne s'atrophient pas forcément (Kunn, Lenowa,Jamin). La
paralysie
congénitale du droit externe sans strabisme peut
e malade essaie de l'adduction, non en dedans mais en arrière. La
paralysie
congénitale de l'oculomoteur commun porte en l'
aisse par saccades, et les autres muscles reviennent à leur état de
paralysie
absolue. Le sommeil le plus profond'ne change r
ou, si l'on préfère, athétose de l'ocu- lorhoteur comme en état de
paralysie
infantile. La cause la plus admissible, c'est u
de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (trois cas) '; 2° type
paralysie
labio-glosso- laryngée (cinq cas) ; 3D type amy
s. Il n'y a jamais eu de troubles intellectuels même dans les types
paralysie
labio-glosso-laryngée. Enfin, au point de vue
s scléroses combi- nées des cordons postérieurs et latéraux dans la
paralysie
géné- rale, mais nullement sur leur interprétat
eux affec- tions en apparence si différentes quesont le tabès et la
paralysie
générale : : - simple raréfaction des faisceaux
ytiques admises par tous ; lésions simultanées de tabès jeune et de
paralysie
générale jeune réalisant une maladie unique de
nond et Nageotte). Il semble donc que les deux syndromes, taht's et
paralysie
générale, apparaissant simultanément ou suc- (-
âge » présenta dans la suite le tableaucliniqueet les lésions de la
paralysie
générale (démence progressive, abolition des sens
es chez le chien qui fait l'objet de ce tra- vail sont celles de la
paralysie
générale humaine : il est intéres- sant de cons
pour en induire peut-être des analogies dans la pathoiréncse de la
paralysie
générale, l'apparition chez un ani- mal d'une m
3.) Malgré le grand nombre des cas déjà publiés, la nature de la
paralysie
bulbaire asthénique et les causes de sa gravité r
'accidents bulbaires mortels. P. T. XLVLHippus monolatéral dans une
paralysie
du moteur oculaire commun ; par M. AURAND. (Soc
Lyon, 15 novembre 1905.) Petite fille âgée de 8 ans atteinte d'une
paralysie
du moteur oculaire commun de l'oeil droit affec
ffectant seulement la muscula- ture externe. L'étiologie de cette
paralysie
est obscure ; comme il n'y a pas tra- ce de név
n'y a pas tra- ce de névrite optique ancienne, l'auteur pense à une
paralysie
d'origine nucléaire, par conséquent à une paral
eur pense à une paralysie d'origine nucléaire, par conséquent à une
paralysie
congénitale. La. malade est intéressante par ce
de la pathogénie de cet hippus pathologique, l'auteur pense que la
paralysie
nucléaire de l'auto-moteur a d'abord été complète
eddaens, aux oscillations nY5tagniformes qui se produisent dans les
paralysies
en voie de guérison, lorsque la contractilité n'e
asimir-Delavigne, Petit (E. P ? Para)ysies faciales récidivantes et
paralysies
fa- ciales à bascule. 1 vol. in-8" de 120 pages
e troubles épileptiques, de lésions circonscrites du cerveau, de la
paralysie
générale, pas plus quia celle des névroses trau
élibataire 358 CLINIQUE MENTALE. maréchal ferrant, interné pour
paralysie
générale, le 30 janvier 1901, (non-lieu de vaga
DENTS DU TRAVAIL. 359 C. lléclical. - 2(i mars 1904. Est atteint de
paralysie
générale. Démence. Embarras considérable de lap
de foi,). Dr P. Garnier. C Immédiat. 7 mars 190'i. Est atteint de
paralysie
géné- rale, ne peut donner aucun renseignement.
Fracture bi-malléolaire du côté droit ; avril 1904. Est atteint de
paralysie
générale, inconscient par démence. Gâtisme et f
uence d'un excès d'épuisement, l'on observe dans les deux cas des
paralysies
aux régions atteintes (monoplégies, oph- talmop
ements, parésies, blépharospasme, convulsions locales et générales,
paralysie
passagère, obscurcissement de l'intellect, conf
t de l'hypophyse. )1. IL REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 410 LUI.
Paralysie
des deux hémioculomoteurs, par Grasset et GAUSS
nature tuberculeuse, un syr : drome oculo- moteur consistant en une
paralysie
de l'oculogyrie latérale des deux côtés avec co
nt rapporté les observations de deux . malades qui présentaient une
paralysie
des mouvements asso- ciés des yeux pour l'éléva
toute la moitié cor- respondante de la face ; 5°. accessoirement la
paralysie
des mus- cles masticateurs. L'existence de ce
la simplicité du procédé permet d'y revenir en cas de récidive. 1
Paralysie
du tibial antérieur. M. (3RUE présente une para
récidive. 1 Paralysie du tibial antérieur. M. (3RUE présente une
paralysie
du tihial antérieur due à une hyperextension du
e sauf son quart postérieur. Origine syphilitique du tabès et de la
paralysie
générale. M. Marinesco n'a pas pu découvrir le
cial parla méthode de Schloesser. Chaque injection fut suivie d'une
paralysie
faciale fugace. Deux cas de poliomyélite antéri
e est la complication d'une myélite chronique qui a déjà produit la
paralysie
incomplète des iiieni- bres inférieurs. 11 est
ès de l'asphyxie. L'autopsie a été refusée. Outre l'amyotrophic, la
paralysie
spasmodique et les phénomènes bulbaires de la s
me B ? 48 ans, est entrée le 19 octobre 1903. Père mort à G5 ans de
paralysie
. C'était un alcooli- que, le plus grand buveur
tie conservé les mou- vements et il n'y a pas non plus de signes de
paralysie
du voile du palais. L'impossibilité de la com
que. La présence simultanée des deux grands symptômes cardinaux :
paralysie
spasmodique et amyotrophie, nous a conduit, mal
04 avecle certificat suivant : « G ? est atteint depuis six mois de
paralysie
générale avec accès délirants et troubles men-
le d'un malade gai et optimiste. Pas de gâtisme, pas de signes de
paralysie
générale. Pas de signes oculaires, à part une t
ion mentale caractérisée par une diminution de toutes les facultés (
paralysie
générale). 11 est sujet à des crises d'a- gitat
chez lui, à peu près oblité- rée. ' .1 ? présente à la fois de la
paralysie
spasmodique et cle l'amyo- trophie. Les réflexe
ant plus dilatée. Les pupilles réagissent bien à la lumière; pas de
paralysies
oculaires. ni denyslagmus. Tous les modes de se
que l'on observe habi- tuellement dans les formes médullaires de la
paralysie
générale. L'affaiblissement psychique est dès l
A SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 449 massif, comme dans certaines
paralysies
générales de forme démentielle pure. Dans les p
où il se trouve, se perd et ne connaît plus personne. S'agit-il de
paralysie
générale légitime ? Nous n'avons guère,comme sy
dinaires visés par M. P. Marie, jusqu'à la démence glo- bale de la
paralysie
générale ; depuis la psychasthénie simple jusqu
tie acquise. Le fait que le dernier ma- lade paraît être atteint de
paralysie
générale ne saurait être considéré comme contre
ne saurait être considéré comme contredisant cette opinion, si la
paralysie
générale n'est elle-même qu'un mode de réac- ti
ber ? (Marcelle), née le 24 décembre 1895, 5 ans. Idiotie profonde,
paralysie
, onanisme, incontinence d'urine. A son entrée (
ou- liers. Il en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait Vu sa
paralysie
, la marche était nulle, elle ne se tenait debout
ruits. Il m'est également arrivé d'étudier la moelle dans un cas de
paralysie
infantile et de mala- die de Friedreich. Il ne
ich. Il ne restait pas la moindre trace de cellules dans le foyerde
paralysie
infantile. C'est probablement de la mê- me mani
ate, pas d'adéno- pathie, pas de leucémie. 1 Transformation de la
paralysie
spasmodique en paralysie flas- que pendant la d
e, pas de leucémie. 1 Transformation de la paralysie spasmodique en
paralysie
flas- que pendant la dernière semaine de la vie
articulaire descendant au-dessous de la tête du péroné. Tabès et
paralysie
générale conjugale. )1. Charpentier montre un m
éite raréfiante. 1\DI. RAnlOND et ALQUIER. - Douleurs articulaires,
paralysie
flasque des bras, puis paraplégie spastique bil
te scléreuse diffuse. Jean Abadie. XII. L'altruisme morbide dans la
paralysie
générale ; par Maurice llulN. [Thèse de Bordeau
ces malades. L'altruisme morbide se rencontre fré- quemment dans la
paralysie
générale, à toutes les périodes de la maladie,
ltérations. Voir Tissu cérébral. Altruisme morbide. L'- - dans la
paralysie
générale, par Blain, 509. Amencéphalie. Voir
Canalicules. Voir Cellules. Cécité. Relations cliniques de la la
paralysie
générale et le labes, par Léri, 53. - - col,
- - Voir Méuino-encf;phalile. Cellules. Les plasmatiques de la
paralysie
générale, pnr de Ruck, 40. - Sur la présence
n bote. De la congéni- tale, par Grandjean, 231. Mal perforant et
paralysie
géné- rale, par Marie et M. Pelletier, 112.
e ses annexes, par Jacques, 71. Orne (département de l'-). Voir
Paralysie
générale. Orteils. Voir Réflexes. De l'in- ve
ur la automatique des hémiplégiques, par Mario Bertolotti. 334.
Paralysie
générale. Voir Cellules plasmatiques. - -, poli
Poliomyélite. Rapports qui exis- tent entre la topographie des
paralysies
et celles des altéra- tions des centres moteurs
sakoff. thainmique. par Déjerine et Roussy, 503. Syphilis. Voir
Paralysie
générale. Syringobulbie. Un cas de Syn- drome
tance grise des corps striés peuvent ne déterminer aucune espèce de
paralysie
; 2° que les lésions, destructives très circonsc
t;2"l>. En septembre, attaque.de. dysenterie qui,fait.faire à,la
paralysie
de rapides progrès. Réflexe rotulien aboli, réf
bonne santé à. part son épilepsie.1 : Réflexe rotulien .normal.- La
paralysie
survient lentement ! et le force à.'prendre le
le, présente-, une .éruption papulo-squanieuse assez .abon- daute.r
Paralysie
,. flasque incomplète.des quatre membres, mais p
rche. 9 ? -. La syphilis, provoque, aussi, tmais moins souvent, des
paralysies
,11s-ques, comme dans3 là seconde observation.
s paralysies ,11s-ques, comme dans3 là seconde observation. . Ces ,
paralysies
flasques ont des allures cliniques, très variab
myopathie, à savoir que les trois types, connus sous les noms de :
paralysie
, pseudo-hyperlro- phique, forme juvénile de l'a
lui-même avait reconnu que sa forme juvénile se confondait avec la
paralysie
pseudo-hypertrophique, et l'on sait maintenant
par des accidents cérébraux moins constants, comme la céphalée, les
paralysies
oculaires.'1La seconde période, celle 'des-lési
période, celle 'des-lésions, médullaires,' est' constituée par des
paralysies
à formes diverses. La; plus "commune est la' para
les psychoses d'origine or- ganique, et, au premier chef,' dans, la
paralysie
générale; l'action congestive qu'il peut exerce
érescence et de la folie des dégénérés. D'autres, comme celui de la
paralysie
générale, ont été complètement refaits dans cer
cutions dans ses formes typique, méga- lomaniaque, maniaque dans la
paralysie
générale, l'alcoolisme, etc., la mégalomanie si
à part, eu égard à son importance. La sixième^ classe comprend la
paralysie
générale ; la septième les démences primitive,
r. Paris, 1894. Bureaux du Progrès Médical. Magnan et Sérieux. La
Paralysie
générale. Volume in-12 de 194 pages. Prix : bro
utres méthodes histologiques employées jusqu'ici pour l'étude de la
paralysie
générale, nous donnons d'abord, résumée, l'obse
iqué à l'aide du picro-carmin et de l'acide osmique. Observation.
Paralysie
générale progressive à évolution lente, à forme
édé le 5 avril 1894. Les certificats d'entrée sont les suivants :
Paralysie
générale pro- gressive ayant débuté par des sym
sement des facultés mentales. Em- barras de la parole. Tremblement.
Paralysie
générale. Signé : Dr PACTET. Antécédents héré
'herpès. Cetle fièvre a duré un mois et lésions histologiques de la
paralysie
générale. 85 le D''L.M... le traita par des vin
double question se pose : S'agit-il d'altérations caractérisant la
paralysie
géné- rale elle-même, d'altérations permettant
x, elle donne un appui nouveau à la théorie parenchy- mateuse de la
paralysie
générale, à l'opinion défendue à plu- sieurs' r
e dans une seconde étape du processus morbide. Si en dehors de la
paralysie
générale, si dans la mélancolie ainsi que nous
contre des lésions analogues, cela n'ôte rien à ce fait que dans la
paralysie
générale la cellule nerveuse s'amoindrit, s'éti
ladie ces modifications n'appa- raissent plus nettement que dans la
paralysie
générale. Ce qu'elle nous montre surtout d'inté
nombreux de l'innervation, qui constituent la symptomatologie de la
paralysie
générale. PATHOLOGIE NERVEUSE NEURASTHENIE PA
sité de Liège. (Laboratoire de M. le professeur Francotte.) . Les
paralysies
par intoxication arsenicale sont actuellement b
admettre la participation de la moelle au processus morbide. ' Les
paralysies
arsenicales ont été moins étudiées expéri- ment
tes. Sur 50 lapins intoxiqués, Alexander 3 a observé six fois des
paralysies
et dans trois cas, il a pu constater de l'atrophi
ff 1. Delà diarrhée et des hémorragies intestinales. 1 ScolosubofT.
Paralysie
arsenicale. (Compte rendu de Biol., 1875 et 188
rsenicale. (Compte rendu de Biol., 1875 et 1884.) 2 Brissaud. Les
paralysies
toxiques, 1886. 1 Alexander. Klinische und expe
oquent dans les régions innervées par les nerfs malades la triade :
paralysie
, anesthésie, troubles tro- phiques, sans compte
bilité et non par de l'anesthésie totale; se rappeler aussi que les
paralysies
et anesthésies à cause centrale sont plutôt seg-
sion. Chez les deux malades, progressivement et en peu de jours, la
paralysie
et l'anesthésie se dissipèrent, les troubles tr
e d'aphasie motrice et d'agraphie. Huit jours après l'opération, la
paralysie
faciale, l'agraphie et l'aphasie avaient complè
iblissent, et depuis 1891, le bras est complètement paralysé. Cette
paralysie
du bras gauche dirige l'intervention opératoire
plaie se réunit très bien, sans élévation delà température, mais la
paralysie
persiste et le malade s'affaisse rapidement et me
neurologique, 1893.) E. BLIN. XI. Contribution A la question de la
paralysie
générale PRO- GRESSIVE DES aliénés ET A SON tra
te. Conclusion. 1° Le rapport étiologique entre la syphilis et la
paralysie
générale est encore vague; -2° il n'y a pas plus
t. Il y a des paralytiques généraux non syphilitiques et il y a des
paralysies
générales issues de la syphilis; 3° la cause pro-
issues de la syphilis; 3° la cause pro- chaine et essentielle de la
paralysie
générale émane, en chaque cas particulier, des
ême maladie la syphilide pigmentaire, ce que lui est le tabes ou la
paralysie
géné- rale ; c'est-à-dire qu'elle dérive de la
dait avec une ano- malie. (Revue neurologique, 1893.) " XV. De la
paralysie
générale chez la femme; par le Dr ID ? Now. Etu
documentée sur les conditions étiologiques et sur la clinique de la
paralysie
générale chez la femme. Les conclusions soi.t l
nérale chez la femme. Les conclusions soi.t les suivantes : 1° La
paralysie
s'observe chez la femme bien plus souvent que n
° Ce désaccord avec les anciens auteurs tient en partie à ce que la
paralysie
générale devient de plus en plus fréquente, surto
en plus fréquente, surtout pour les femmes. 3° L'étiologie de la
paralysie
générale ne présente, dans ses traits principau
, un fait est caractéristique, c'est la nécessité, pour qu'il y ait
paralysie
générale, de trois élé- ments étiologiques simu
sexes, et il parait superflu de considérer une forme spéciale de la
paralysie
générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de
générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de la syphilis dans la
paralysie
générale est double. Le plus souvent elle ne fa
iques qui sommeillent, puis agissent simultanément, se développe la
paralysie
générale classique. Dans d'autres cas, beaucoup
rébrales elle peut provoquer le tableau clinique qui ressemble à la
paralysie
générale ; c'est la pseudo-paralysie générale d
fique. De là résulte cette dernière conclusion dans tous les cas de
paralysie
gé- nérale, on doit' employer un traitement mod
e dans les quatre membres, une démarche tabéto-cérébel- leuse, sans
paralysie
, sans nystagmus, la diminution ou l'absence du
nfluences sociales ou à des modifications dues à l'éducation ? La
paralysie
générale a subi une pression ascendante remar-
psycho-sensorielles, sur la folie à double forme et surtout sur la
paralysie
générale, tra- vaux qui suffiraient pour immort
e des alié- nés, sans oublier son sujet d'étude de prédilection, la
paralysie
générale. D'autre part, on vous dira bientôt ce
a tête du Fig. 7. Tremblement de l'orbiculaire des lèvres dans la
paralysie
générale. AMNÉSIE rétro-antérograde. 167 mala
5, p. 84. Fig. 8. Tremblement vermiculaire de la langue dans la -
paralysie
générale. 168 CLINIQUE NERVEUSE. M. Arnozan ?
et entraîna la mort au soixantième jour. A. Marie. XXX. Un- cas DE
paralysie
consécutive A la varicelle; par William GAY.
cas DE paralysie consécutive A la varicelle; par William GAY. La
paralysie
atteignit les membres inférieurs dont la paraplég
iopathique sans lésion microsco- pique appréciable à l'autopsie. Ni
paralysie
ni troubles des sens spé- ciaux.Les malades eur
ish31ed. Jou ? nz., 18 mai 1994.)'` A. Marie. z XXXV. Cinq cas DE
paralysie
PSEUDO-IIYPERTROPHIQUE dans UNE même' famille ;
e laissait pas que d'être assez délicat, eu égard à la nature de la
paralysie
. La localisation nette des troubles aux extenseur
localisée, contemporaine de celle-ci, ayant eu pour conséquence une
paralysie
atrophique du membre inférieur ; et dans la con
g. Centralbl., 1893.) Observation, sans autopsie, de tabes avec une
paralysie
de presque tous les nerfs crâniens et troubles
rapports établis par Baillarger entre la sclérose postérieure et la
paralysie
générale, serait aussi présomptueux que de prét
e), anesthésies ou plaques hyperesthésiques, les désordres moteurs,
paralysies
, contractures, tics et mouvements choréiques, t
rente nature. Divers troubles somatiques, les hyperes- thésies, les
paralysies
, les contractures résultent de pareilles idées.
produits par le même mécanisme qui amène chez d'autres malades des
paralysies
, des contractures ou des attaques. Pour en fini
e s'applique à plus forte raison aux individus qui sont atteints de
paralysies
ou de contractures hystéri- ques à la suite de
es appartenant à un territoire nerveux unique. Enfin le fait que la
paralysie
atrophique de la poly- névrite ne présente en r
présente en réalité aucun caractère différentiel par rap- port à la
paralysie
atrophique consécutive à la poliomyélite est bien
us ou moins marquées; c'est ainsi que dans quelques observations de
paralysie
saturnine on a noté l'existence d'altérations d
de la moelle (polymyélite, tabes, etc.) ou du cerveau (hémiplégie,
paralysie
générale, etc.). En terminant, je n'ai pas beso
e et de la psychiatrie. Délires dans l'alcoolisme, les névroses, la
paralysie
générale.-Conclusion. MESSIEURS, Deux méthode
tue presque un paradoxe clinique : les délires systématisés dans la
paralysie
générale ? Ces deux termes sont-ils donc ennemi
ont-ils donc ennemis, contradictoires ? Qu'est-ce, en somme, que la
paralysie
générale ? Une sclérose interstitielle diffuse
pendant ces périodes de rémission qui interrompent la marche de la
paralysie
générale à la première période ? Je n'en veux p
uvent, et auquel aboutissent la démence sénile et orga- nique et la
paralysie
générale, toujours. Les statistiques des maladi
ue et de démence sénile et organique, 20 ^hémorragie' cérébrale, 2;
paralysie
générale, 13; broncho-pneumonie, 3; affec- tion
'épilepsie, 3; cancer de l'utérus, 1. On remarque que les décès par
paralysie
générale sont assez nombreux. On verra plus loi
r paralysie générale sont assez nombreux. On verra plus loin que la
paralysie
générale n'est pas très rare en Eure-et-Loir, q
est extrême en géographie médicale, l'intoxication alcoolique et la
paralysie
générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au tab
ancolie, aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Quant à la
paralysie
générale, on a soigné en dix ans, à l'asile, 76
n considère que dans les pays agricoles, la forme démentielle de la
paralysie
générale est de beaucoup plus fréquente que dan
de beaucoup plus fréquente que dans les centres populeux, et que la
paralysie
générale à forme démentielle est soignée, non à l
n à l'asile, mais dans les hôpitaux et les familles, on voit que la
paralysie
générale est loin d'être rare dans le départeme
c autopsie, sans examen microscopique. Jeune homme de dix-huit ans.
Paralysie
faciale droite, surtout apparente quand le mala
des extrémités supérieures et inférieures; céphalalgie occipitale;
paralysie
de l'oculo-moteur externe droit; cécité de l'oe
aire correspondant à une hyperactivité fonctionnelle connue dans la
paralysie
générale, la manie et d'une façon générale tous
ar le Dr STCHERBAA. L'accord est loin d'être fait sur l'origine des
paralysies
diphté- riques : sont-elles d'origine centrale
d'origine myopathique ? * D'après les expériences de l'auteur, ces
paralysies
proviennent d'un processus inflammatoire (paren
L.. ? lI. SÉGLAS. (Cette communication sera publiée prochainement.)
Paralysie
générale A forme tabétique. M. Joffroy. Dans le
de l'intelligence qui ne laissent aucun doute sur l'existence d'une
paralysie
générale. Enfin, cette année, le malade entra d
moins accusées que dans le tabès classique. C'est en réalité à une
paralysie
générale spinale ayant simulé le tabès aussi bi
s symptômes du tabès au complet; puis survin- rent les signes de la
paralysie
générale avec disparition des sym- tômes d'inco
toires de certaines affections cérébrales organiques, telles que la
paralysie
générale par exemple. MM. LANNOis et Doutrebent
vations de Dreschfeld. Origine OTIQUE D'UN certain NOMBRE DE cas DE
paralysie
faciale r. c A FRIGORE t. M. LANNOis (de Lyon
faciale r. c A FRIGORE t. M. LANNOis (de Lyon). L'étiologie de la
paralysie
faciale a frigore reste fréquemment obscure et
quent. J'ai observé plusieurs cas démonstratifs de cette variété de
paralysie
faciale; l'origine de cette affection rend comp
les cas de para- lysie faciale périphérique, car le pronostic de la
paralysie
d'ori- gine auriculaire est plutôt favorable, s
ause un traitement approprié. DES URINES A la SECONDE PÉRIODE DE la
paralysie
générale ,, ltii. 11LIPPEL et Sérieux (de Paris
généraux de l'excrétion urinaire moyenne à la seconde période de la
paralysie
générale. Il existe alors une polyurie incontes
cellules cérébrales, médullaires et du grand sympathique dans la
paralysie
générale et les différentes formes de folies vésa
e atteinte consi- , dérable subie par le système vasomoteur. >
Paralysie
générale avec chorée. MM. VALLON et A. Marie. N
MM. VALLON et A. Marie. Nous avons observé récemment trois cas de
paralysie
générale avec chorée. Dans deux de ces cas, la
ons, aujourd'hui nombreuses, où l'on a signalé la coexistence de la
paralysie
générale avec des symptômes de névroses diverse
ées dans la dernière édition, les unes, comme les amyotrophies, les
paralysies
pseudo-bulbaires et la neu- rasthénie ont été t
res : aphasies, localisation cérébrale, tabès, sclérose en plaques,
paralysie
générale progressive, para- BIBLIOGRAPHIE. 349
le des maladies infectieuses dans l'étiologie des méningites, de la
paralysie
spinale infantile, de la sclérose en plaques, des
vec figures. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés, G fr. Menard (Clr ? Des
paralysies
para-infectieuses, leur traitement par les eaux
l hypnotique provoqué par les moyens ordi- ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE 365 naires 1. Nous ne doutons pas qu'o
. CHIMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE; Par les D" KLIPPEL, chef de laboratoi
i a pour but la détermination de la formule urinaire exacte de la
paralysie
générale. Dans notre pensée cette formule servira
diagnostic important, d'autant plus important que le début de la
paralysie
générale est plus obscur. L'URINE DANS LA PARAL
e début de la paralysie générale est plus obscur. L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE, D'APRÈS LES AUTEURS Nous n'avons poin
hates augmente dans le paroxysme de la manie aiguë consécutive à la
paralysie
générale, et qu'elle diminue dans son déclin.
Addison. Medico-chir. Review, avril 1805. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 367 Î De son côté, Merson 1, s'appuya
, d'après M. Lailler 3, cité par M. A. Voisin dans son Traité de la
Paralysie
générale, l'urine a les caractères de celle des
sécrétion urinaire ne présente aucune altération spécifique dans la
paralysie
générale. Et après lui MM. J. Christian et A. R
. ' Laitier. Ann. méclie. psych., 1876. ' A. Voisin. Traité de la
paralysie
génér. des aliénés. Paris, 1879. 5 A. Foville,
Rabenan ' avait signalé la présence fréquente de l'albumine dans la
paralysie
générale (20 cas sur 36, soit 55,5 p. 100), mai
bsence de peptone dans l'urine permettrait d'écarter l'hypothèse de
paralysie
générale. . C'est aussi l'opinion de R. Fonda q
er. Ann. médéc.-psycla., XIX, p. 17, 1894. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 369 comme un symptôme de paralysie gé
UDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 369 comme un symptôme de
paralysie
générale. Elle se rencontre en effet dans des i
ui ne représente qu'une minime partie de l'étude de l'urine dans la
paralysie
générale. Il nous semble en effet nécessaire d'
ariation de cette constitution moyenne avec la forme clinique de la
paralysie
générale ; 3° la variation de l'urine chez un m
r : Constitu- tion moyenne de L'urine dans la seconde période de la
paralysie
générale. Pour y arriver nous avons pris les
. i Constitution moyenne DE L'URINE dans la SECONDE PÉRIODE DE la
paralysie
générale. A. Caractères GÉNERAUX. - 1° Quantité
s, 1894) et dans un nombre assez notable e ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 371 de cas cette polyurie est assez i
es urines neutres ou alcalines se rencontrent donc aisément dans la
paralysie
générale et cela sans troubles de la miction et
rapport de l'acide urique à l'urée est toujours augmenté. Dans la
paralysie
générale non seulement par conséquent 1 Nous av
se peut, à l'abri de toute cause d'erreur. ÉTUDE DE l'urine dans la
paralysie
générale. 373 HOMMES 374 CHIMIE PATHOLOGIQUE.
II) en montrent partout l'excré- FEMMES ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 375 TABLEAU III. Rapport de l'acide p
s. Tableau IV. Excrétion des phosphates. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 377 celle de l'urée ou des phosphates
atre heures. Tableau V. Élimination des chlorures en dehors de la
paralysie
générale. 378 ' CHIMIE PATHOLOGIQUE. quantité
er la présence de l'acétone comme chose de peu d'importance dans la
paralysie
générale. Tout au plus peut-on dire qu'on la re
vire au violet en présence de l'acétone. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 379 De plus, nous avons vu que les ur
éraux de l'excrétion urinaire moyenne dans la seconde période de la
paralysie
générale, comme suit : // y a polyurie dans l
érale, comme suit : // y a polyurie dans la seconde période de la
paralysie
géné- rale ; les urines ont une faible densité
r la peptonurie ainsi que sur tout ce qui touche les urines de la
paralysie
générale en dehors de la seconde période de la ma
rolog. Centralbl., 1893.) L'auteur étudie plus particulièrement les
paralysies
des muscles des yeux, les lésions laryngées, le
les lésions laryngées, les altérations du sens de la pression. Les
paralysies
des muscles des yeux revêtent, dit-il, une allure
sans compter qu'elles se compliquent parfois aussi passagèrement de
paralysies
d'autres nerfs crâniens (Schultze). Le larynx
troubles de la phonation, et, plus rarement, de la respiration; la
paralysie
plus ou moins complète de l'aryténoïdien postér
elle chez un tailleur de pierres (D'' Hamburry).. A. Marie. LVII.
Paralysie
DU grand DENTELÉ avec atrophie DES muscles DE l
1894, ji» 1725.) Dans les nos 1725 et 1720 suivant, observatioli de
paralysie
du grand dentelé avec atrophie des muscles de l
progressive. La terminaison ultérieure probable sera la parésie, la
paralysie
, et même parfois la contrac- ture (Obs. III et
E; par J. DONATH. (Neurol. Cc ? : <)'6 ? 1893.) Observation de
paralysie
diphtéritique chez un jeune garçon de huit ans,
int de myélite dorsale transverse au niveau de la septième dorsale (
paralysie
complète des muscles abdominaux), l'auteur essa
lysie spinale spasmodique congénitale) ; 2° raideur paraplégique (
paralysie
spasmodique spinale de l'enfance); 3° hémiplégie
on y peut joindre les complexus moteurs sans débilité mentale et la
paralysie
avec idiotie. Deux observations personnelles et
la mélancolie, la manie, la démence primitive et consécutive, la
paralysie
générale, la folie systématique (plus rare), la d
r syphilis héréditaire). Observations. Etiologie syphilitique de la
paralysie
générale. - A. Ou bien la syphilis n'y est qu'u
identelle. B. Ou la syphilis participe activement à la genèse de la
paralysie
générale. Pseudo-paralysie générale syphilitiqu
r la découverte de l'évolution antérieure de la syphilis. C'est une
paralysie
générale atypique. , REVUE DE pathologie mental
pilles ET DE quelques autres PIICENO- mènes qui surviennent dans la
paralysie
générale, dans leurs rapports avec L question D
ication statistique ET casuistique relative A la CONNAISSANCE DE LA
PARALYSIE
PROGRESSIVE ; par E. KuNDT. (rlllg. Zeitsch. f.
rner leur attention. Parfois encore on a affaire à des symptômes de
paralysie
géné- rale progressive dont le pronostic est fa
sique. (Revue neurologique, 1894.) ' E. BLIN. XXXII. Note sur une
paralysie
nocturne provoquée par le . : chloralose ; par le
ent, debelgiqzie, juin 1894.) @ Observation d'une femme atteinte de
paralysie
générale qui, au cours d'une période de rémissi
iété extrême des accès déli- rants que l'on peut rencontrer dans la
paralysie
générale : les uns greffés sur la démence paral
rfs sensoriels (cécité, surdité, insen- sibilité de la crainte), la
paralysie
de la voix (mutisme de la ter- reur). Que de po
et Gynla, Hongrie). « Enfin Causes et facteurs sociologiques de la
Paralysie
générale pro- CORRESPONDANCE. 423 grcssive (I
Il reste aujourd'hui des vestiges indubi- tables de cette ancienne
paralysie
spinale infantile, qui l'ont fait exempter du s
. En 1889, il s'endort un jour sur son bras et se réveille avec une
paralysie
radiale gauche, qui guérit au bout de trois sem
t 80° à droite). Les pupilles égales réagissent normalement. Pas de
paralysie
oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuit
en date. Ce sont des céphalées, des troubles de la vision, et des
paralysies
dans le domaine des nerfs crâniens, indiquant u
Dans une troisième étape la moelle est atteinte à son tour elles
paralysies
spinales se produisent. Cette évolution, cette
la base qui inaugure cette série d'accidents. b. A la période des
paralysies
, l'ensemble symptomatique st beaucoup moins car
qui présentent comme une ébauche du type précédent : un vestige de
paralysie
oculaire, une atrophie papillaire, des cé- phal
accen- tuées que dans les variétés qui précèdent, accompagnées de
paralysie
absolue des sphincters, de troubles profonds de l
risons radicales des lésions médullaires parvenues à la période des
paralysies
sont rares. Les myélites aiguës ou chroniques,
vidu qui avait succombé dans le cours de la troisième semaine à une
paralysie
syphilitique grave, nous avons pu constater au
la lésion destructive du lobe moyen du cervelet produit une vraie
paralysie
motrice, affectant plus particulièrement les musc
rve alors des troubles circulatoires et respiratoires marqués, sans
paralysie
. Le malade précité présentait l'un et l'autre de
même dans un accès de suffocation, non sans rapport avec l'état de
paralysie
des muscles inspirateurs. (Britisla tlled. Jour
48-Dà capacités et d'incapacités de travail), sans lésion en foyer (
paralysie
générale avec athéromasie); 4° quand il y a foy
être la maladie mentale la plus favorable de toutes. L'espèce de
paralysie
de ,toutes les fonctions psychiques que nous ob
tématique aiguë et chronique (paranoia acuta et chronica) enfin, la
paralysie
générale alcoolique ; il est évident que tout cel
la paranoïa, ceci s'applique encore, à l'exception peut-être de la
paralysie
progressive, à presque toutes les psychoses. Po
psychose. Il s'agit là d'inflammations du cerveau, à rapprocher des
paralysies
générales et démences toxiques. Au point de v
uisses, une hyperesthésie de la partie inférieure de l'abdomen avec
paralysie
motrice des muscles dans toutes ces ré- gions.
ième observation est relative à une distribution singu- lière de la
paralysie
sensitive et motrice dans un cas de lésion des
ens musculaire sur tout le côté gauche du corps, la face exceptée ;
paralysie
motrice, d'abord complète, plus tard incomplète
n si nettement exposée et si habilement défendue. J. Noir. XI. La
paralysie
générale ; par MM. Magnan et Sérieux. (Encyclo-
l'encyclopédie des aide-mémoire, vient s'ajouter le volume de la
paralysie
générale où se trouvent condensés et coordonnés l
moment donné être appelé à intervenir dans un cas de ce genre. La
paralysie
générale est en effet autant du domaine de la pat
sur deux cas de - cérébrale, par Ciiil)atilt, 1 ? 7. Ciiloralose,
paralysie
nocturne pro- voquée par la -, par Féré, 412.
t aménorrhée avec trou- bles cérébraux, par Tlomson, 208. Chorée,
paralysie
générale avec par Vallon et A. Marie, 338. Co
ndurant, 36. Papille, de la - étranglée, par Adamlciewicz, 483.
Paralysie
consécutive à la varicelle, par Gay, 207; pseud
house, 395; -nocturne provoquée par le chloralose, par Féré, 412.
Paralysie
faciale bilatérale due à l'application du force
s, par Ed- gworth, 36; origine otique de la a par Lannois, 327.
Paralysie
générale progressive, les lésions histologiques
par Bitot, 41; troubles mentaux dans la -, par Kowalewski, 402;
paralysie
générale et , par OEbecke, 403;localisation méd
es nucleus dos cel- lules nerveuses, par Larbert, 314. Varicelle,
paralysie
consécutive à la , par Gay, 207. Vergetures t
drie, le nervosisme sous diverses formes, la folie, le suicide, la
paralysie
générale, la déséquilibration mentale, les convul
équivalente. Il s'agit bien évidemment d'un phénomène analogue aux
paralysies
psychiques. Il parait en être de même chez tous
ans fils unique. Père mort de tuberculose du rachis ; mère morte de
paralysie
à cinquante- quatre ans. ' Enfant délicat, pâ
parler. A douze ans, elle fut réglée pour la première fois. Pas de
paralysie
des sphincters. Au repos, cette malade ne prése
description clinique peut, en dernière analyse, se résumer ainsi :
paralysie
de la vessie et du rectum, anesthésie des régions
té, les membres de l'autre; 2° le type de Weber, caractérisé par la
paralysie
de la troisième paire d'un côté et des membres
sumer ainsi : hémiplé- gie complète des membres du côté droit, sans
paralysie
faciale, sans aphasie motrice ou sensorielle, f
point où le facial est dissocié du faisceau des membres. En outre,
paralysie
complète avec déviation à gauche et atrophie de
ite. Il existe donc un type d'hémiplégie croisée caractérisé par la
paralysie
de l'hypoglosse d'un côté, et celle des membres
ir affaire, à ne considérer que les membres inférieurs, à un cas de
paralysie
pseudo-hypertro- phique ou myosclérosique de Du
nérative, la dispa- rition des réflexes patellaires, finalement une
paralysie
complete des jambes. Accidents qui rétrocèdent
on, par poussées; hypertrophie du ventricule gauche. Puis, soudain,
paralysie
des extenseurs successivement des deux membres
s; plus tard encore, parésie du triceps et du deltoïde; finalement,
paralysie
avec atrophie rapide de la plupart des muscles
, diplopie, sensation defroid intense et.continue dans les jambes ;
paralysies
dissociées du sens de la température et de la d
dissociées du sens de la température et de la douleur dans le dos.
Paralysie
de tous les modes de la sensibilité aux extrémi
rasthénie alcoolique avec des névrites ou des ataxies. P. K. XXII.
Paralysie
PROGRESSIVE dans LE jeune AGE ET paralysie PRO-
des ataxies. P. K. XXII. Paralysie PROGRESSIVE dans LE jeune AGE ET
paralysie
PRO- GRESSIVE (tabès) des gens mariés ; par F.
F. Lûhrmann. (Neurolog. Ceatral6G., XIV, 1895.) Observation I. -
Paralysie
générale à forme démentielle chez une fillette
se, aucune tare héréditaire. Autopsie confirmative. Observation II.
Paralysie
générale chez le mari à cinquante ans (mégaloma
forme démentielle). Autopsies confir- matives. Observation 111. -
Paralysie
générale tabétique, démence, mort, chez le mari
chez la femme, signes physiques, commémoratifs et intellectuels de
paralysie
générale tabétique syphilitique, accidents de g
tique, accidents de gomme osseuse; Kl; amélioration. P. K. XXIII.
Paralysie
dans LE domaine DU NERF péronier, dans la para-
par Moeli. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) Cinq observations de
paralysie
périphérique attestée par l'état de l'excitabil
attestée par l'état de l'excitabilité électrique et la limite de la
paralysie
. Deux autop- sies témoignant d'une certaine déc
s, on a constaté le signe de Westphal, il y a lieu de croire que la
paralysie
péronière tenait à une lésion de la moelle lombai
apidité, en deux jours, et reproduisaient le tableau clinique de la
paralysie
générale à sa période termi- nale. Chez un mala
était le siè ! 2 : e de lésions de dégénérescence, se produisit une
paralysie
aiguë du coeur qui entraîna la mort. Chez un au
oisine jouirait d'une réelle efficacité contre le tremblement de la
paralysie
générale. Cette efficacité, il est vrai est assez
atistique basée sur des faits précis vînt confirmer l'absence de la
paralysie
générale malgré la fréquence de la syphilis.
rès analogue aux cas que Alzheimer a séparés, l'année passée, de la
paralysie
générale. Discussion : M. OEBFKE demande si l'o
SE. NOTE SUR UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE PRISE POUR UNE
PARALYSIE
GÉNÉRALE; Par le D' F. BOISSIER, Ancien inter
que la pachyméningite hémorragique cérébrale. Qu'elle complique une
paralysie
générale ou un alcoolisme invétéré; qu'elle sur
a dû dégager minutieuse- ment les conditions différentielles de la
paralysie
agitante, de la sclérose en plaques, de la para
ntielles de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques, de la
paralysie
générale et de l'hémor- ragie cérébrale vulgair
ticulièrement lente et graduelle, on risque d'incriminer à tort une
paralysie
générale dont il n'y a en réalité pas l'ombre,
t émanait d'un médecin praticien des plus distingués et portait : «
paralysie
générale avec ictus apoplectiforme ». A l'arriv
autres organes. Il n'y avait donc pas de lésions macroscopiques de
paralysie
générale ; pas de granulations du calamus, lési
rait pu nous faire réfléchir ; il n'y avait pas de syphilis ; et la
paralysie
générale sans syphilis est tellement rare que,
n des symptômes. Enfin, en présence de malades supposés atteints de
paralysie
géné- rale à marche rapide avec ictus multiples
s que cet asile est fondé il ne s'y est rencontré que quatre cas de
paralysie
générale. Les deux principales critiques formul
la question. L'auteur examine d'abord les formes étendues : pour la
paralysie
générale il expose et discute toutes les statis
cérébrale, des hémiplégies graves après traumalismes anodins, de la
paralysie
générale infanlile. La seconde partie est consacr
ntraîné le désordre des actes, comme dans l'excitation maniaque, la
paralysie
générale au début, l'hystérie; d) l'impulsion s
cette jeune fille. Ajoutons que sa grand'mère migraineuse a eu des
paralysies
locales transitoires et que sa mère est égaleme
et les lésions graves du système nerveux, éveiller le soupçon de
paralysie
générale. C'est donc en général un signe dont le
orsqu'elle accompagne l'idiotie, l'affaiblissement intellectuel, la
paralysie
des pupilles et autres symptômes de la paralysi
t intellectuel, la paralysie des pupilles et autres symptômes de la
paralysie
générale ; 6° L'exagération du réflexe rotulien
mpagner toujours de l'exagéra- tion des réflexes ; 10" Les cas de
paralysie
générale dans lesquels on observe le signe de W
igne de Westphall sans qu'on puisse l'attribuer ni au tabes ni à la
paralysie
générale, il reste, après élimination des alcoo
s séniles, sans que l'on puisse nier pour tous la possibilité d'une
paralysie
générale tardive. On ne peut attribuer le signe d
nce, en raison de l'absence fréquente du phénomène du genou dans la
paralysie
générale, de mettre en lumière la valeur de ce
ation notable du phénomène du genou peut servir au diagnostic de la
paralysie
générale. Il importe seulement de s'assurer de
cas qu'il a observés, l'absence des réflexes n'était pas liée à la
paralysie
générale. M. JOLLY fait remarquer qu'un certain
cience sur la maladie observée. C'est ainsi qu'il passe en revue la
paralysie
bilatérale du deltoïde par élongation des deux ne
conflexes, la compression hémorragique du plexus brachial, et les
paralysies
radiculaires du plexus brachial. La treizième l
iculaires du plexus brachial. La treizième leçon est consacrée à la
paralysie
radiculaire sen- sitive du plexus brachial : ch
térale; suit l'étude d'une variété BIBLIOGRAPHIE. 153 spéciale de
paralysie
alterne caractérisée par une hémiplégie droite
e paralysie alterne caractérisée par une hémiplégie droite avec une
paralysie
du moteur oculaire externe gauche. La maladie d
urellement amené à discuter les rapports de cette affection avec la
paralysie
labio-glosso-laryngée de Duchenne (de Boulogne)
Duchenne (de Boulogne) dont il montre un exemple à ses lecteurs. La
paralysie
pseudo-bulbaire forme une transition toute natu-
FRANCOTTE (X.). Du sulfate de Duboisine dans le traitement de la
paralysie
a( ! ilante. Brochure in-8° de 5 pages. - Bruxell
mes blancs, en îlots, se sont accompagnés. comme ceux des mains, de
paralysie
des muscles sous-jacents (diffi- cultés de la m
moteurs que l'on peut attribuer : 1° pour le dermographisme, à la
paralysie
des artérioles, suivie de ralentissement du sang
ette), qui s'ajoute si souvent aux diathèses de contracture ou de
paralysie
'. Nous prions instamment nos lecteurs dont, l'
n'avoirque des notionsincomplètes etparcon- séquent erronées sur la
paralysie
générale, l'épilepsie, l'hystérie, la neurasthé
la sclérose en plaques, le tabes, le ramollissement cérébral et la
paralysie
générale elle-même dont la variété non délirant
s par des toxines sécrétées par le bacille de Nicolaïes, et que les
paralysies
diphtériques étaient dues à l'intoxication de l
nes lésions organiques des centres nerveux, telles que celles de la
paralysie
infantile, de la péri-encéphalite, de la scléro
ections qui s'accompagnent le plus souvent d'épilepsie corti- cale (
paralysie
générale, tumeurs) ne sont pas celles qui donnent
usquement, à la suite d'un trau- matisme physique ou moral, par une
paralysie
, une parésie ou une contracture d'un ou de plus
la croit duc à un spasme des vaso-moteurs, Pitres l'attribue à leur
paralysie
, Gaksewicz aune lésion de l'endothélium, Aleleh
sme vasculaire, mais il fait remarquer que l'oedème estpré- cédé de
paralysie
, de parésie ou de contracture du membre atteint
cas passagers, la disparition de l'oedème suit la disparition de la
paralysie
ou de la contracture ; dans les cas durables, a
se distingue de l'oedème bleu de Charcot par l'absence d'oedème, de
paralysie
, de parésie et de contracture. L'état général d
e cyanose avec oedème accompagnant une 234 Il. SOCIÉTÉS SAVANTES.
paralysie
, une parésie ou une contracture et donnant lieu à
ès intenses; l'acrocyanose au contraire se montre sans oedème, sans
paralysie
, sans parésie, sans dou- leurs bien intenses.
hé- rique ou une anémie spéciale. A la suite d'une observation de
paralysie
générale de longu durée, avec autopsie confirma
use ou interstitielle du processus type. 1 M. Vallon. -Les cas de
paralysie
générale à longue durée, sans être très fréquen
convient de distinguer deux ordres de faits. La longue durée de la
paralysie
générale tient le plus souvent à ce que sa marc
n peut les classer de la façon suivante : 1° tremblements au repos (
paralysie
agitante) ; 2° tremblements dans les mouvements
s de 40 p. 100 des personnes en bonne santé. Le tremblement de la
paralysie
générale parait vraiment carac- téristique, au
ai vu un homme atteint d'hémiplégie avec un trem- blement à type de
paralysie
agitante. L'action psychique de l'ai- mant a gu
lcooliques et saturnins sont accessibles à la suggestion. Dans la
paralysie
agitante, le tremblement résiste absolument à l
bsinthiques. M. Régis. -Ces décharges ataxiformes, existant dans la
paralysie
générale ne sont donc pas pathognomoniques des
ées. Les questions adoptées sont : 1° Diagnostic différentiel de la
paralysie
générale. - Rapporteur, M. ARNAUD (de Vanves) ;
le seul que j'ai observé dans ma pratique déjà longue. M. Régis.
Paralysie
générale et neurasthénies L'association de la p
M. Régis. Paralysie générale et neurasthénies L'association de la
paralysie
générale et de la neurasthénie peut se faire à to
erche de la syphilis. L'hérédité cérébrale est une présomp- tion de
paralysie
générale, tandis que l'hérédité vésanique ou né-
nt pas exactement les mêmes carac- tères dans la neurasthénie et la
paralysie
générale; enfin, le trai- tement par les douche
ore la neurasthénie, tandis qu'il ne donne pas de résultats dans la
paralysie
générale ou même donne un coup de fouet à la ma
voués à perpétuité à leur obsession. MM. SPILLMAN1V et Etienne. -
Paralysie
générale consécutive à une intoxication suraigu
ienne communique au nom de M. S... et au sien, une observation de
paralysie
générale à évolution irrégulière, survenue chez u
observé dans le service de M. Bernheim (de Nancy) un malade dont la
paralysie
faciale recon- naissait pour cause une lésion d
soriels et il ressort des renseigne- ments qu'il n'y a jamais eu de
paralysie
, de contracture ou d'ac- cidents convulsifs aut
e terminal. Dans le premier cas, les symptômes provoqués sont : une
paralysie
douloureuse ordinairement très incomplète et limi
le rectum, etc. 2° Troubles de la motilité. - Ils se résument en la
paralysie
de certains groupes de muscles des membres infé
paralysie de certains groupes de muscles des membres inférieurs. La
paralysie
se borne presque toujours aux muscles postérieu
lysie et d'anesthésie de la vessie, et incontinence, par suite de
paralysie
du sphincter, la vessie pleine. Les troubles géni
THOLOGIE NERVEUSE. qu'il est paralysé des membres inférieurs. Cette
paralysie
se dis- sipe ou diminue ensuite, en partie au m
mbaire et aux jambes, sur- tout du côté gauche. Quelque temps après
paralysie
flasque de la jambp gauche survenue brusquement
la jambp gauche survenue brusquement, puis rétention d'urine. La
paralysie
se dissipe en partie et progressivement la malade
tension forcée, non pas par suite de contracture, mais par suite de
paralysie
, c'est un pied bot paralytique. Atrophie marqué
début de l'af- fection, elle fut guérie instantanément, quant à la
paralysie
, en quelques jours, quant aux plaies, après s'ê
é, les réflexes cutanés n'en étaient pas moins conservés. Malgré la
paralysie
des membres inférieurs, il survenait parfois de
ès rare dans l'hystérie, elle serait due, dans le cas actuel, à une
paralysie
du sphincter vésical indépendante de toute lésion
pas due à une contracture du corps de la vessie. Elle est due à la
paralysie
du sphincter juxtaposé à la muqueuse anesthésiée,
se trouve ouvert en avant. C'est là la cause des antépulsions de la
paralysie
agitante. C'est également la raison pour laquelle
6, la malade était dans l'état suivant : état général satisfaisant,
paralysie
complète des membres et du tronc avec atrophie
sensation de compres- sion du thorax en ceinture. Actuellement : ni
paralysie
, ni atrophie 304 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
'a plus de diplopie. L'examen ophtalmoscopique fait cons- tater une
paralysie
incomplète des troisièmes paires gauche et droi
'hystérie. Le tremblement est pourtant le tremblement typique de la
paralysie
agitante. Ya-t-il donc, chez cette jeune fille, m
son, tous ces phénomènes cliniques ne se rencontrent jamais dans la
paralysie
agitante. Il s'agit donc, en résumé, d'un tremb
ntités nosologiques : l'atrophie musculaire spinale progressive, la
paralysie
labio-glosso-laryn,ée et l'ophtal- moplégie ext
he. En trois mois le membre affaibli se paralyse complètement et la
paralysie
s'accompagne d'atrophie musculaire. En janvier
poitrine, sialorrhée abondante et continuelle. En mars, même année,
paralysie
et atrophie du membre supérieur droit et de l'é
ée excessive. Abolition des mouvements de l'orbiculaire des lèvres,
paralysie
presque complète des muscles masticateurs. Langue
e l'ophtalmoplégie est externe. 308 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
Paralysie
et ail ophie considérable des muscles du cou, de
éphalo- myélite : on y trouve l'atrophie musculaire progressive, la
paralysie
tabto-glossa-laryngée et l'ophtalmoplégie exter
mier symptôme observé est la glossoplégie qui marque le début de la
paralysie
labio-glosso- laryngée, le bulbe est donc attei
l'aqueduc de Sylvius. Cette disposition explique l'indépendance des
paralysies
qui atteignent certains muscles de l'oeil inner
vés cependant par le même nerf, etc. Je noterai encore l'exposé des
paralysies
bulbaires, les unes syndro- miques de certaines
son observation, l'auteur avoue que le début de l'affection par la
paralysie
bulbaire inférieure fait de son cas un cas uniq
que cette affection peut également débuter par les symptômes de la
paralysie
glosso- labiale. Dernière remarque : Dans le
310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLI. Saturnisme chronique avec
paralysie
des nerfs radiaux ; par ' le professeur DE RENZ
nes paralyti- ques, on ne peut guère les attribuer à l'hystérie, la
paralysie
hys- térique est une paralysie psychique, pour
guère les attribuer à l'hystérie, la paralysie hys- térique est une
paralysie
psychique, pour ainsi dire, qui se loca- lise m
ion d'autres systèmes musculaires. On ne peut non plus songer à une
paralysie
a (l'igo1'e, laquelle est ordinairement unilaté
eint comme les autres muscles. Il s'agit donc, sans conteste, d'une
paralysie
satur- nine. (Rivista clinica e terapezelica. N
oplexie et à la suite hémiplégie droite. Dis- parition rapide de la
paralysie
au moyen d'injections sous-cuta- nées de bichlo
la motilité, le membre inférieur droit s'améliora le premier et la
paralysie
y avait complètement disparu le cinquième mois.
ivista clinica e terape2tticca; Naples, 1896, na 5.) C. XLV. SUR la
paralysie
diphtéritique ; par W. GOOD : 1LL. (Brain, été
temps de devenir paralysés. Sur les 709 cas restants, il y a eu 125
paralysies
dont 17 mortelles. Parmi ces 125 cas le sexe étai
embranes avaient presque toujours disparu avant l'application de la
paralysie
; dans 10 cas seulement elles duraient encore. L
on de la paralysie; dans 10 cas seulement elles duraient encore. La
paralysie
a débuté parle voile du palais seul 67 fois, par
a été très limitée dans 66 cas et très généralisée dans 16 cas. La
paralysie
ciliaire, qui a pu échapper chez les très jeune
voir réuni dans le même groupe le tremblement sénile et celui de la
paralysie
agitante. L'auteur distingue avant tout les t
condaires ou sympto- maliques, il étudie la sclérose en plaques, la
paralysie
agitante, le goitre exophtalmique et les trembl
d'un jeune homme ; la violence de l'émotion semblait avoir guéri sa
paralysie
. » ' Thèses DE la faculté DE médecine DE LYON (
lgurantes et elle semble jouir d'une bonne santé générale. Aucune
paralysie
aux muscles des yeux, ni à ceux de la face. Rie
pas souffert. L'intelligence est normale, l'humeur calme. Pas de
paralysie
aux muscles des yeux, ni de la face. Les pupill
glotait, parlait de sa mort prochaine, qu'il allait être atteint de
paralysie
générale. Pendant des nuits entières sa femme éta
quante-deux ans, fonctionnaire. Le grand- père paternel est mort de
paralysie
générale. Pas d'autre hérédité neuro ou psychop
usse, avait pour titre : Un trouble de l'activité psychique dans la
paralysie
alcoolique et ses relations avec les troubles a
récidive à longue échéance, fait qui ne saurait s'observer dans la
paralysie
générale vraie. Il s'agissait donc, dans ces de
ces deux cas, d'accidents alcooliques ayant revêtu le masque de la
paralysie
générale progressive. G. DENY. XXIII. LES établ
voir avec le délire des séniles. P. Sérieux. XXV. Observation DE
paralysie
générale a forme CIBCUL41RG ; par FpOENKEL. (Ne
stante (deux mois), calme pendant un mois; 7° signes physiques de
paralysie
générale avec déchéance (trois mois); pendant sep
e de pneumonie. Autopsie confirmative. P. K. XXVI. Observation DE
paralysie
générale infantile; par BRESLER. (Neurolog. Cen
ts choréiques consécutifs à un ictus apo- plectique passé inaperçu.
Paralysie
générale démentielle, arrêt de développement co
'égoïsme solitaire. A. Marie. XXIX. DES symptômes oculaires dans la
paralysie
générale ET DE leur valeur CLINIQUE; pal' BEV.\
t en classant en 5 grou- pes distincts à ce point de vue les cas de
paralysie
générale des aliénés : Premier groupe. Caract
paralytique, iridoplégie réflexe partielle à la lumière seulement;
paralysie
ataxique des extrémités des membres inférieurs; a
6.) L'auteur conclut de ses observations que même dans les cas de
paralysie
générale avancée la pression intra-cranienne n'es
surmenage, un des facteurs patho- géniques les plus puissants de la
paralysie
générale, on voit, en somme, que l'alcoolisme i
ésiste pas à un examen même superficiel. Cependant dans certaines
paralysies
générales on peut constater des aphasies vraies
fficile, et l'enfant se mit à se courber, enfin en moins d'un an la
paralysie
des membres inférieurs devint complète. Réflexe
son malade, ou qui n'existaient qu'à un degré trop léger. Ainsi les
paralysies
n'étaient pas assez prononcées, les muscles pas
amais porté que sur le tissu cellulaire sous-cutané. On provoque la
paralysie
vaso-mo- trice, soit dans un membre en sectionn
le de leurs devanciers. Ils ont cherché, eux, quelle influence a la
paralysie
vaso-motrice d'un organe splanchnique sur la lo
faire Antoneili. La vérité est que pour être certain de produire la
paralysie
vaso- motrice, il faut extirper le plexus ca;li
les conclusions de ces expériences : quand, après avoir produit la
paralysie
vaso-motrice dans le rein, on injecte dans le s
à l'intégrité du système nerveux de ce tissu. En résumé donc, la
paralysie
vaso-motrice qui, pour beaucoup d'auteurs, pour
assent presque tous les nerfs qui vont au rein, détermine, outre la
paralysie
vaso-motrice, des altérations profondes du tissu
gique, juil- let 1896.) Is. B. LIX. SUR LE degré DE fréquence DES
paralysies
laryngées CHEZ les hémiplégiques; par le Dr Sim
oubles du langage, notamment de dysarthrie, soit de dysphagie ou de
paralysie
du voile du palais, semblaient devoir offrir de
ves de l'opinion de Semon et Horsley d'après laquelle la rareté des
paralysies
laryngées chez les hémiplégiques tient à ce que
neurologique, mai 1896.) ' E. D. LXIV. DE LA DEFORMATION ET DE la
paralysie
DE la LUETTE COMME SIGNE DE DÉGÉNÉRESCENCE; par
nalytique d'un malade de vingt-sept ans chez lequel il existait une
paralysie
partielle masquée hémiliatérale de la sensi- bi
ortance d'ailleurs mal divisées. 1° Pathologie et pronostic de la
paralysie
des tambours. Il y en aurait trois types. Le pr
aurait trois types. Le premier, le plus fréquent, consiste en une
paralysie
du long extenseur du pouce gauche avec parésie de
eur, qui sont fréquemment atrophiés. - Second type, bien plus rare.
Paralysie
du long fléchisseur du pouce gauche. Parfois au
fléchir la première phalange du pouce. Troisième type, très rare.
Paralysie
simultanée des longs fléchisseurs et extenseurs :
vite hypertrophique de Erb au niveau du tendon de l'extenseur. 2°
Paralysie
partielle du nerf cubital gauche par' pression du
ble, ils com- priment ainsi le cubital, et cependant, chez eux, les
paralysies
sont très rares ; ils ont d'ordinaire des doule
on du coude gauche et des épaississements périostiques des os. 3°
Paralysie
du radial, par pression, pendant la narcose chlor
rdive de la protubérance. Observation chez un garçon de treize ans.
Paralysie
du facial et de l'oculomoteur externe droits. a
noyaux de l'oculomoteur externe et du facial. D'autre part, il y a
paralysie
du droit interne gauche, comportant aussi les m
sion empiète sur la gauche; dès le troisième jour, en effet, il y a
paralysie
complète de toutes les brancbesexlernes de l'oc
lle fait également comprendre ce phénomène d'ordre pathologique, la
paralysie
ou parésie d'une fonction, alors que les groupe
roupes musculaires qui l'exécutent normalement, restent indemnes de
paralysie
ou de parésie. CAMUSET. SOCIÉTÉS SAVANTES. SO
raux et pos- térieurs. Le second cas concerne un sujet atteint de
paralysie
générale traumatique, développée vingt ans aprè
et du vaisseau de Turck droit. Troisième cas : démence sénile avec
paralysie
agitante et dimi- nution de la motilité des yeu
mondl, ibs. Neurasthénie et neviose anxieuse, par Freud, 52. - et
paralysie
gé- nérale, par Régis, 252. cunnsmt : wnur..
rinesco, 31G. 1 PACIIY'lÉl\Il\Gll'E hémorragique prise pour une
paralysie
générale, par liatssier, 100. - cervicale Inper
iatssier, 100. - cervicale Inper- trophique, par de lieiizi, 309.
Paralysie
générale du jeune âge, par Lullrmann, 55. Paral
lieiizi, 309. Paralysie générale du jeune âge, par Lullrmann, 55.
Paralysie
du 506 TABLE DES MATIERES. nerf péronier da
la place naturelle de la démence précoce semble être à côté de la
paralysie
générale, dans le groupe des psychoses accident
en est généralement augmentée dans les états d'irritation, dans les
paralysies
générales et chez les épileptiques. C'est dans
ns les paralysies générales et chez les épileptiques. C'est dans la
paralysie
générale que le liquide céphalo-rachidien se mont
res psychoses, tandis que c'est presque la règle et au-delà dans la
paralysie
générale. Constante également chez les paralyti
entralbl. ? Xer- venlaeilh, XXV11, 1904.) Les malades atteints de
paralysies
grades, ceux surtout qui sont incapables ou pre
as de tumeur cérébrale à forme psychi- que ; asthénie générale sans
paralysie
; pas d'oedème de la papille ; par 3131. Mouiss
sances rénale et cérébrale. F. TISSOT. '1. - Formes atypiques de la
paralysie
générale (hémi- ' plégique et aphasique). Prédo
ure. L'auteur les divise en trois groupes : le premier comprend les
paralysies
générales avec prédominance ou exagération loca
ins points des lésions de méningo-encéphalite ; deuxième groupe :
paralysies
générales compliquées de lésions en foyer, juxtap
ovoque la dégénération secondaire du faisceau pyrami- dal. Dans les
paralysies
générales ah piques aphasiques, l'au- teur dist
sai ion de la lé- sion dans la zone du langage. F. 1'tssor. 1'll.
Paralysie
par épuisement post-épileptique (ex- haustion p
comme ter- rain. (Revue neurologique, avril 1905.) E. Il. XII. -
Paralysie
générale tuberculeuse ; par Flippez, 31. Klippe
ge du rapprochement de ce cas avec d'autres observations est que la
paralysie
générale la plus incon- testable par l'ensemble
n évolution, peut répondre à dos lésions de nature différente. La
paralysie
générale n'est pas l'aboutissant de toute maladie
nfections micro- bipennes.; )1. Klippel conclut en définissant la
paralysie
générale : « un s5mlrome clinique, caractérisé
nerveux et mentaux. Tous les symptômes qui constituent le syndrome
paralysie
gé- nérale, ont été isolement observés et décri
ns des centres nerveux, qui peu- vent produire les svmptômes 'de la
paralysie
générale, doit se manifester par ce syndrome. c
a paralysie générale, doit se manifester par ce syndrome. c Cette
paralysie
générale diabétique peut se manifester sous di-
onnaire de la démence para- lytique ; par Serge Soukhanoff. Si la
paralysie
générale présente d'ordinaire une marche pro- g
e et des modifications des réflexes palellaires. Le diagnostic de
paralysie
générale ne paraît pas douteux pour l'auteur, b
itif. La fièvre typhoïde serait,pour certains auteurs, une cause de
paralysie
générale, mais en toutcas celte cause de la mal
E. Séance du 0 juillet. Présidence de 31. Ballet. Hémiplégie avec
paralysie
du moteur oculaire commun du même côté et troub
1. Cantonnet. Homme, trente ans, syphilitique, pris, sans ictus, de
paralysie
des membres, du facial inférieur etde la 3° paire
ntale, la démence précoce, la folie périodique, la neurasthénie, la
paralysie
générale, et les psycho- pathies organiques ; l
et organe permise par cette infec- tion, en rapport surtout avec la
paralysie
progressive. D'après le règlement, les séances
une inhabile »; puis, sous l'influence d'un pro- cessus surajouté (
paralysie
générale), on vit apparaître de nombreux troubl
ine postérieure. CLINIQUE MENTALE Les symptômes oculaires de la
Paralysie
générale ; par ¡\, ¡WnmT Médecin adjoint (l
établir une revue d'ensemble des troubles oculo- pupillaires de la
paralysie
générale, il faut observer ces symptômes oculai
es pupilles est le signe le plus fréquemment observé au début de la
paralysie
générale. Ce symplû- LES SYMPTOMES OCULAIRES
ré l'importance du symptôme isolé : l'inégalité pupillaire, dans la
paralysie
générale. Ce signe n'a de valeur que parce qu'i
e interne à. développement graduel et progressif. Le Myosis dans la
paralysie
générale, c'est-à-dire le resserrement exagéré
he progressive : parésic du réflexe pupiliaire à la lumière, puis
paralysie
de ce même réflexe : parésie de l'accom- ll1oda
paralysie de ce même réflexe : parésie de l'accom- ll1odation,puis
paralysie
de ce réflexe accommodateur, très souvent aussi
chirurgie, 10 juin 18S, .lor.rnov. Des signes oculaires dans la la
paralysie
générale. i)-ciiii,es de Neurologie, mai 1904.)
LES SYMPTOMES OCULAIRES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 93 bien dans la
paralysie
générale que dans le tabès et lasyphilis. Ainsi
pose avec le doigt à l'occlusion des yeux, qui n'existe que dans la
paralysie
générale, le tabès, la syphilis et la catatonic
e. Ce signe accompagne d'or- dinaire la mydriase paralytique. Les
paralysies
de la musculature externe de l'oeil avec exopht
uctible non douloureuse peuvent être lapremière manifestation de la
Paralysie
générale ou apparaître brusquement à la suite d
sie générale ou apparaître brusquement à la suite d'un ic- M. Ces
paralysies
sont : 1° passagè1'es,2° incomplètes, 3° récidi
laire com- mun est atteint le premier. Ces caractères donnent aux
paralysies
qui se présentent au cours de la paralysie 94
caractères donnent aux paralysies qui se présentent au cours de la
paralysie
94 CLINIQUE MENTALE. générale leur valeur d
gne de troubles hémi- plégiques et aussi du blépharospasme et de la
paralysie
de l'01'biculaire des paupières. La déviation
à cause de l'état du malade. La isolé, sans ictus, au début de la
Paralysie
gé nérale, indique l'existence de la syphilis (1)
lis (1). Lorsque l'anestlièsie corneen ? le existe au début de la
paralysie
générale, elle n'est pas accompagnée de trouble
ymptôme du début qui (toit faire rechercher les autres signes de la
paralysie
générale. De même, l'importance du scotome ou l
es intoxiqués par le tabac et l'alcool. Sa présence au début de, la
paralysie
générale sert au dia- gnostic ÏO/OMg. La dysc
traitement. 1. , Troisième période. A la fin de l'évolution de la
paralysie
générale, se vérifie en général cette loi que,
fierait pour le diagnostic : « une lésion nucléaire entraînant la
paralysie
du muscle ciliaire quelque temps après celle du
. Cette revue d'ensemble des troubles oculo-pupillai- res dans la
paralysie
générale ne peut s'établir que par l'observatio
ient la forme : ou cxpansive, ou dé- pressive, ou tabétiforme de la
paralysie
générale qui in- primeau caractère du malade un
aleur diagnostique des symptômes oculaires aux trois périodes de la
paralysie
générale. (Dupuy, éditeur, Montpellier 1906).
zra-toi-iaJ'ectieu). Ainsi la démence précoce se place à côté de la
paralysie
générale, ces deux entités morbides se caractér
be pas tous les délires halluci- natoires chroniques, comme pour la
paralysie
générale, c'est beaucoup plus les signes physiq
les accidents syphilitiques se- condaires jusqu'à l'éclosion d'une
paralysie
générale qui né- cessita l'internement cinq ans
cela confirme, déclare M. Dide, la possibilité de la guérison de la
paralysie
générale par le traitement habituel de la syphi
mence précoce, stupeur mélancolique, dé- générescence hystériforme,
paralysie
générale juvénile, etc.) Ce qui est le plus rem
tique, rénale, périphéri- que, etc.) Certaines formes simulent la
paralysie
générale ; les rémissions et les guérisons, la
d elle se complique d'un appoint méningé, le syndrome complet de la
paralysie
générale. La paralysie générale sénile est bien
n appoint méningé, le syndrome complet de la paralysie générale. La
paralysie
générale sénile est bien une réalité cli- nique
J'appelle l'attention sur un détail curieux de certaines formes de
paralysie
cérébrale chez les scléreux qui marchent à peti
nés dans les antécédents : attaque dans ses différen- Les variétés,
paralysies
etcontractures, troubles sensitifs, mu- tisme,
, voire même de petites attaques vulgaires, du somnambu- lisme, des
paralysies
ou des contractures, a certainement un système
Des diminutions et des exagéra- tions de la force : contractures et
paralysies
,etc. De même leur état mental a toujours pour c
as de tumeurs cérébrales) et en l'absence de symptômes physiques de
paralysie
générale, doivent être considérés comme suspect
maladie, au même titre que les ictus de la période initiale de la
paralysie
générale. Leur pathogénie est différente suivan
MM.Duflot et Viollet sur les ponctions lombaires en sé- rie dans la
paralysie
générale. Par des examens microbiolo- giques du
ues. 1'1. Maurice FAURE (de La Malou). Sans contester le rôle des
paralysies
ou des parésies des cordes vocales dans la pa-
es crises laryngées. Il peut exister aussi des parésies et même des
paralysies
ou des atrophies des muscles laryngés, comme il
s atrophies des muscles laryngés, comme il existe des parésies, des
paralysies
ou des atrophies d'un groupe de mus- cles des m
, ont été compris des accidents complexes pouvant ressortir de la
paralysie
ou du spasme glottique, mais s'expliquant beauc
, psychose polyné\ rilique, confusion mental", mé- lancolie, manie,
paralysie
générale) et le coefficient de toxicité du sang
rée cette note, la première concerne une neurasthénique atteinte de
paralysies
nocturnes et matinales des membres avec obscurc
ffinités cliniques et anatomo-paLltologillues qui existent entre la
paralysie
grené- rale progressive e1 la chorée de Iltinti
gie spasmodique très intense des membres infé- rieurs et une légère
paralysie
spasmodique des membres supérieurs. Neuf mois a
spasmodique des membres supérieurs. Neuf mois après le début de la
paralysie
, c'est-à-dire une année après l'accident, le ma
onomie, la régularité clinique de la manie, de la mélancolie, de la
paralysie
générale, nous sommes, à l'égard de tous les au
s. Au point de vue pratique, s'il est très difficile de dépister la
paralysie
générale à la période dite pré-paraty- tique, i
manqué que trois ou quatre fois. Rapport du traumatisme et de la
paralysie
générale. M.IiItISSAl117 (de Paris). J'ai obser
ris). J'ai observé plusieurs malades chez lesquels des symptômes de
paralysie
générale ont été notés peu après une chute ou u
se effective, unique de la maladie, a-t-il créé de toutes pièces la
paralysie
générale ? ou bien, ce que je serais plus tenté
en- dant. si chacun venait ici dire qu'il n'a jamais rencontré de
paralysie
générale traumatique, la vérité serait bien près
rès d'être établie. Il y a des années que je recherche des cas de
paralysie
générale traumatique, je n'en ai jamais trouvé. S
onte un peu loin dans l'examen du malade, on trouve que toujours la
paralysie
générale avait débuté avant le traumatisme incr
e exprimer des conclusions que je partage complètement. Quand une
paralysie
générale est certaine, j'affirme que toujours la
né d'observer et qui tous deux se présentaient comme des types de
paralysie
générale traumatique, une enquête attentive a m
de cause occasionnelle. Je ne crois donc pas à l'existence de la
paralysie
générale exclusivement traumatique. Mais ne faut
onclure de là à l'innocuité complète d'un traumatisme en matière de
paralysie
générale. Il est très possible, en effet, que t
pour ma part, que des cas où le traumatisme était consécutil à une
paralysie
géné : ale pré- existante, .léserais donc assez
présomption de relation de cause àeffetentre le traumatisme et la
paralysie
,d'abord quand il n'y a pas de cause connue an-
d il n'y a pas de cause connue an- térieure susceptible de créer la
paralysie
générale, ensuite lors- que le traumatisme a dé
lle mesure le traumatisme a dû favo riser ou hâter l'éclosion de la
paralysie
générale. M. Giraud rapporte un cas qu'il a eu
ment avec M. Lallemand et pour lequel les experts conclurent que la
paralysie
générale devait être déjà en évo- lution lorsqu
ue survint le traumatisme. M. DuRE-r. Comment faut-il considérer la
paralysie
gé- nérale ? Est-ce un syndrome ou une maladie
ou une maladie spécifique ? ' ! Toute la question est là, et.si la
paralysie
générale est consi- dérée comme un syndrome, il
s membres du Congrès n'a vu le traumatisme créerde toutes pièces la
paralysie
géné- rale. Désormais la question lui paraît ré
de Paris). Que la syphilis joue un rôle dans le développement de la
paralysie
générale, je ne le consteste pas, mais, qu'elle
tion suffisante.je ne le crois pas. Toujours ou presque toujours la
paralysie
généraleest le résultat de l'association de la
CHRISTIAN insiste sur le rôle du surmenage dans l'étiolo- gie de la
paralysie
générale. M. Pailhas rappelle un cas qu'il a co
s. Tous les progrès réalisés ont été rapidement perdus : démence et
paralysie
progressive. Nous avons raconté la pé- riode de
constitue l'originalité de cette observation. Syndrome associé de
paralysie
faciale gauche et du spasme facial droit d'orig
Sicard etTANON présentent les photographies d'un malade atteint de
paralysie
faciale totale (facial supé- rieur et facial in
t intra-cranien de la 7" paire, provoquer soit du spasme soit de la
paralysie
. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGI
ale, par GAUSSEL. Les ponctions lombaires en série au cours de la
paralysie
géné- rale, par A. Marie. Appréciation des tr
e perte de la contractilité électrique des muscles paralysés. Cette
paralysie
semble devoir rester station- naire et ne manif
rs invoqués par l'orateur pour expliquer cette double at- teinte de
paralysie
infantile. G. DFNY. XI. Sur un cas de paralysie
ble at- teinte de paralysie infantile. G. DFNY. XI. Sur un cas de
paralysie
de la 3° paire ; par M. Jos- SFRAND. (Société d
nvier 1906.) . La malade présente les caractères ordinaires d'une
paralysie
de la 3o paire du côté droit : strabisme extern
aire du côté droit : strabisme externe, ptosis, un peu de mydriase,
paralysie
du photo-réflexe et de l'accommodation. Sy- phi
n présence de phénomènes hystéri- ques qui se sont surajoutés à une
paralysie
organique de la 3° paire. Dans cette hypothèse,
MM. LANNOIS et PERRETIÈRE. (Lyon méd., 4 mars 1906, p. 444.) Les
paralysies
de la 1% I° paire constituent une des complicatio
utes et polypes de la caisse. Mastoïdite aiguë datant de 4 jours.
Paralysie
du moteur oculaire externe du même côté depuis 24
sal. Sédation immédiate des phénomènes géné- raux. Apparition d'une
paralysie
faciale au deuxième jour. Amélioration de la pa
rition d'une paralysie faciale au deuxième jour. Amélioration de la
paralysie
de l'abducteur deux mois après l'intervention.
s se sont livrés les auteurs, il résulte que, dans fous les cas, la
paralysie
de l'abducteur ne semble pas avoir un mécanisme
d'abcès encéphaliques suivant l'étape du processus infectieux. La
paralysie
de l'abducteur peut aussi être la conséquence de
cher leur cas à cette catégorie en rai- son de la persistance de la
paralysie
et de sa rétrocession après deux mois. Il est
uteurs tirent une conclusion prati- que, c'est qu'en présence d'une
paralysie
de l'abducteur au cours d'une otite, il ne faut
ntractions « synergiques paradoxales » ob- servées à la suite de la
paralysie
faciale périphérique; parLAMY. (Nouv. Icon. de
d'apparition de l'impotence fonctionnelle, invasion simultanée delà
paralysie
aux quatre membres chez l'un, en deux fois dist
92. Raymond et Sicard, J. A. Méningite cérébro-spinale à forme de
paralysie
infantile, cyto-diagnc,stic. llev. Neurol. Paris,
e traces, et qui fut suivie, à quelques semaines de distance, d'une
paralysie
flasque de tout le membre, paraissant d'origine
rie ayant eu pour cause occasionnelle le léger traumatisme. Cette
paralysie
disparaîtra certainement dans un temps difficile
TEURS. On a trouvé au début de cette observation l'histoire de la
paralysie
flasque du bras droit qui dura près de dix ans.
parfois spas- rcc. 15.- Atrol : Lic du brus droit, secondaire à une
paralysie
l1as- que hystérique, guérie subitement après u
de l'épaule droite à la suite duquel une 360 CLINIQUE MENTALE.
paralysie
flasque du bras droit s'installa progressive- m
et d'anorexie ; on élimine facile- ment les cas d'excitation et de
paralysie
générale. Les signes basés sur les antécédents
rop grande prc- fondeur des plongées. Des douleurs spéciales ot des
paralysies
tem- poraires sont, fréquemment les signes avan
u- ses. A la première variété appartiennent la démence sénile, la
paralysie
générale et les démences conséculivesaux tumeurs
s que, jusqu'à présent, seul le tableau anatomo-paLltuloâüluc de la
paralysie
générale est patl;ognomonique, et qu'il est enc
r der progressiven Paralysen (Sur l'état des neurofibrilles dans la
paralysie
générale) ; par KARL SCHAr.FFR, de Budapest. (N
ore pour la démence primitive la base anatomique qui existe dans la
paralysie
générale ; ces symptô- mes ont la variabilité d
être justifier la fréquence de ces troubles. J. S. XX. Un cas de
paralysie
générale juvénile ; par le dur DsROUBAIx (Bull,
-syphilitique, qui pré- senta à 20 ans les premiers symptômes d'une
paralysie
générale a laquelle il succomba au bout de six
ue l'auteur fait jouer le prin- cipal rôle dans la production de la
paralysie
générale ; les altéra- tions cellulaires seraie
t de M. Motet sur un mémoire de M. Marie (deVillejuif) intitulé : «
Paralysie
générale et syphilis chez les Arabes. Chargé
s cachectiques de la fin sont en tous points analogues à ceux de la
paralysie
générale vraie. Il n'a pas été possible à Marie
e la plasticité cérébrale. G. DENI'. XXV. L'accommodateur dans la
paralysie
générale ; 0r MARANUON deMoNTYEL. (Jolt1'n. de
firmer que le réflexe accommodateur est altéré dans tous les cas de
paralysie
générale sans exception, à un moment ou à un au
t d'ailleurs tout à fait excep- tionnelle.A la première phase de la
paralysie
générale,l'accommo- da leur est déjà altéré dan
d'un affaiblissement dont la durée est d'autant plus courte que la
paralysie
générale est à une période plus avancée. G. Den
asthénie, chorée). 3° par perle de l'intelligence (démence précoce,
paralysie
générale, démence épileptique, spasmodique). Il
décès 217 ; restants au 31 décembre 1905,984 (937 IL,47 le.). - «La
paralysie
générale, comme toujours, est la maladie la plu
s l'étude que nous avons laite des rémissions qui surviennent de la
paralysie
générale, celle de l'influence des maladies int
e dans le système nerveux ou dans les muscles. Dans les différentes
paralysies
, médullaires, cérébrales ou pé- riphériques, l'
. Ueber Narkoselaehmung des N. cruralis und obturatorius (Sur la
paralysie
par narcose des nerf* cr. et obt.) par SIEGFRIE
;3, p. lOi il 111,) .) D'après K., il n'existerait que trois cas de
paralysie
du crural par anesthésie, l'lia paralysie de ce
isterait que trois cas de paralysie du crural par anesthésie, l'lia
paralysie
de ce nerf combinée avec celle de l'obturateur
t toujours aboli. K. passe en revue les diverses causes possible de
paralysie
et éli- mine successivement : la lésion des tro
e (évolution, hérédité, survenance ou cessation pendant le sommeil,
paralysie
ou parésie consécutives à l'accès, influence du
te semblait se 1 i-oncet- moins énergiquement que la gauche. Pas de
paralysie
de la musculature externe de l'oeil. Pas de nys
ion du rhumatisme chronique. L'auteur laisse de côté les faits de
paralysie
générale arthritique et les divers accidents la
cliniques montrent l'influence du rhu- matisme dans l'origine de la
paralysie
agitante ; ainsi l'influence curieuse des surme
La véritable analogie clinique entre le rhumatisme chronique et la
paralysie
agitante est dans ce même état de rigidité, de
e l'idée délirante de la prédominance de certains muscles en cas de
paralysie
de leurs antagonistes; de même c'est l'absence
ontractions « synergiques pa- radoxales » observées à la suite de
paralysie
faciale périphé- rique, par Lamy, p. 222. Con
ire, par \larandon de Montyel, p. 241. Fracture. Un cas de avec
paralysies
nel veuses rares. Con- tribution à la physiolog
uble corticale, par Raymond et Galezowski, p. 49. Hémiplégie avec
paralysie
du moteur oculaire commun du même côté et tro
nales des vertébrés, par Fragnito, p. 146. Sur l'état des dans la
paralysie
générale, par Schaffer, p. 392. Névralgies gr
congénitale et hérédi- taire, par Chaillous et Pagniez, p. 225.
Paralysie
. Formes atypiques de la générale (hémiplé- gi
at de mal, par Friedel. p. 158. Les - - en série au cours de la
paralysie
générale, par A. Ma- rie, p. 217. Pouls. Voir
r déchloruration, p. 158. Traumatismes. Voir Troubles. - . Voir
Paralysie
générale. TABLE DES MATIERES. 505 TuÉi'i
ébrale. Sur un cas de à forme psychique, asthé- nie générale sans
paralysie
; pas d' oedème de la papille, par Mouisset et
eillesse, etc.; 4- que le nombre de décès est relative- ment élevé (
paralysie
générale, complications organiques). La populat
bles psychiques, a étudié en premier lieu les psychoses organiques (
paralysie
générale, tumeurs cérébrales, artério-sclérose,
e eczémateuse, pas d'accidents nerveux. Grand-père maternel mort de
paralysie
du cerveau. Grand'mère maternelle, alcoolique,
. Intelligence moyenne. Famille de la mère. Père, sobre, mort d'une
paralysie
au cer- veau (' ? ). Mère, alcoolique, elle buv
s. Les yeux sont mobiles en tous les sens. Pas de strabisme, pas de
paralysies
, pas de nystagmus. Iris bleuâtre ; pupilles sym
ma- ternel, nous notons la mort du grand-père de l'enfant par une
paralysie
ducerveau, celle de la grand'mère, alcoolique,
tefois et portant exclusivement sur l'état phy- sique : l'espèce de
paralysie
de l'un des membres inférieurs disparaît. Intel
issance courte. On la transporte à l'hôpital où on diagnostique une
paralysie
générale. A l'asile on constate une faiblesse m
ômes de neurasthénie cérébrale (Quinke), elle peut aussi simuler la
paralysie
générale (Bresler, Burr et Carthy). Les lésions
de cas dans lesquels au heu d'une tumeur on avait diagnostiqué une
paralysie
générale (Bruns). Quant aux physiologistes leur
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Saillie accusée de l'omoplate droite par
paralysie
du grand dentelé : deltoïde gauche nettement at
d'une entité morbide définie dans ses signes et dans ses lésions.
Paralysie
associée des globes oculaires pour la latéralité.
d ET CESTAN, ont recueilli une 3e observation anato- mo-clinique de
paralysie
des mouvements associés de latéralité SOCIÉTÉS
aires. Dans ces trois cas le syndrome observé a con- sisté en cette
paralysie
sans strabisme interne, sans paralysie faciale
bservé a con- sisté en cette paralysie sans strabisme interne, sans
paralysie
faciale nucléaire ou tronculaire associée à une
cédés que l'homme, isolément, rééducation, surveillance spéciale.
Paralysie
générale chez un Arabe. Mii. SCHER]3 et Ben-Tom
le et du tabes chez les indigènes d'Algérie et rapportent un cas de
paralysie
générale chez un arabe syphilitique, instruit et
. 11,CVU); DES THÈSES DE BORDEAUX 1902 Par LE D DE PERRY I. Des
paralysies
périphériques d'origine our tienne ; par Auguste
uste LACROIX. Les oreillons sont susceptibles de se compliquer de
paralysie
, même dans les cas bénins. Cette paralysie, qui
bles de se compliquer de paralysie, même dans les cas bénins. Cette
paralysie
, qui est tantôt diffuse, généralisée, tantôt lo
ture et reconnaît comme origine une né- vrite toxi-infectieuse. Ces
paralysies
ourliennes, susceptibles de guérison, ont une i
ace de l'Odéon. Prix : 10 francs. De Paoleicovic-Kapolna (EttA). La
paralysie
générale peut-elle être distinguée anatomiqueme
étudié les différents stades des lésions du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale. Nous rapportons aujourd'hui l'observa
'Armentières le 8 juin 1901, présentant la plupart des signes de la
paralysie
générale. C'est un syphilitique et un alcooliqu
des l ? Lculiés, dé,orientalion absolue. - Signes physiques de la
paralysie
géné'ale. Faciès sans expres- sion, tremblement
tions macroscopi- ques. - En somme lésions caractéristiques de la
paralysie
générale. Les Yeux énucléés quelques heures apr
olique, qui, un an avant de présenter les troubles mentaux de^ la
paralysie
générale fut atteint de cécité. Lorsque deux ans
x processus inflammatoires et congestif s' carac- téristiques de la
paralysie
générale. Drames DE l'alcoolisme. · Une victi
e, fureurs, actes inconscients, tentatives de suicide (D1' Legras).
Paralysie
générale avec idées de satisfaction et de persé
18 ans, entre dans le service le 8 mai 1902, avec le diagnostic de
paralysie
générale, confirmée à l'examen par la constatatio
olume (110 gr.). Or, s'il est fréquent de constater, au cours de la
paralysie
générale, des crises d'agitation motrice de plu
II. Des résultats du traitement mercuriel intensif appliqué à la
paralysie
générale et au tabes ; par le prof. LEmoiNE. L'
tabes ; par le prof. LEmoiNE. L'auteur rapporte six observations de
paralysie
générale dans lesquelles l'amélioration parle t
ômes ont disparu. Le tabes paraît plus rebelle au traitement que la
paralysie
géné- rale : un des résultats les plus importan
vue neurologique, juillet 1902). E. B. III. Sur le traitement de la
paralysie
générale et du tabes ; par M. DEVAY (Société de
ique habituellement, il n'a eu des résultats appré- ciables dans la
paralysie
générale et le tabes que par l'emploi de doses
is des symptômes sérieux chez un malade tabétique avec symptômes de
paralysie
générale, qui prenait 1 gr. 50 d'iodure. 148
. DE Musgrave-Clay. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Le crime dans la
paralysie
générale ; par Y.-C. SULLIVAV. (The Journal o ?
s ou crimes d'ordre sexuel sont, on le sait, communs au début de la
paralysie
générale sur- tout dans sa forme expansive. ,
causes qui déterminent la direction spéciale de la volonté dans la
paralysie
générale, et à expliquer le contraste de la con
ulsions à des actes d'appropriation, de vol, sont fréquents dans la
paralysie
générale, et si le suicide et 1 homicide sont r
cation du caractère particulier de la conduite et des idées dans la
paralysie
générale rentrerait donc dans le grand problème
endel les paralytiques cardiaques ; Antécédents vésuniques. - Si la
paralysie
générale survient chez un persécuté, il est natur
e, et si cette forme est particulière- ment fréquente, c'est que la
paralysie
générale est ordinairement une maladie de l'âge
iverse conduisent à des conclusions identiques. Qu'il s agisse de
paralysie
générale, d'alcoolisme, de sénilité, la démence
'une tabétique pour 25 hommes. C'est exactement la proportion de la
paralysie
générale. Près de la moitié des cas, 44,3 p. 10
nt faradique qu'au courant galvanique. Evidemment ce n'est ni une
paralysie
bulbaire atrophique pro- gressive, ni une paral
ce n'est ni une paralysie bulbaire atrophique pro- gressive, ni une
paralysie
bulbaire apoplectique aiguë, ni une paralysie p
o- gressive, ni une paralysie bulbaire apoplectique aiguë, ni une
paralysie
pseudobulbaire, ni une dystrophie musculaire, ni
uit ans jusque-là solide et d'une parfaite santé; l'existence d'une
paralysie
spasmodique, non dégénérative des extrémités in
1, de la faiblesse de la vue et de la diplopie. On diagnostique une
paralysie
de la 3° paire du côté gauche, début probable d'u
st bon, les organes fonctionnent bien. L'examen oculaire montre une
paralysie
complète du droit interne droit et une paré- si
- tats de l'examen histologique dans des cas où des phénomènes de
paralysie
bulbaire se trouvaient associés à des phénomènes
défaut. Il s'agit d'une affection essentiellement motrice : ptosis,
paralysie
des muscles de l'oeil, troubles de la mastication
É DE NEUROLOGIE Séance du 2 juillet 1903. Présidence DE M. Riches
Paralysie
saturnine. MM. 13rai\rtn et Salomon présentent
cas de M. Déjerine il y avait une maladie de Little et deux cas de
paralysies
spasmodiques cor'icales et les piè- ces montrée
re du bras et de l'épaule dans le domaine du radial supérieur, sans
paralysie
ni atrophie, mais avec abolition du réflexe du
ainsi que les symptômes moraux ayant suivi la mutilation; un cas de
paralysie
agitante, guéri, pas évidemment, mais soulagé p
ales, les nombreuses modalités cli- niques de la syringomyélie, les
paralysies
alternes, les paralysies des mouvements associé
lités cli- niques de la syringomyélie, les paralysies alternes, les
paralysies
des mouvements associés des yeux, l'asthénie bu
ges paludéens . Extrait de la Grèce médicale. \'L1\\AY (Ch.). Les
paralysies
des nerfs périphériques et la systé- matisation
morte IL soixante-dix-huit ans, dix-huit mois après une attaque de
paralysie
(hémiplégie gauche). Grand-père paternel décédé
es. On n'aurait observé qu'une crise de ce genre. Aucune trace de
paralysie
consécutive. L'intelligence ne fut pas atténuée.
s les plus détaillées. SÉAXCE du 3 août (matin). Histologie de la
paralysie
générale ; Rapport présenté par M. le Dr Klippe
e modalité de réaction, sous des causes et des lésions diverses. La
paralysie
géné- rale est un syndrome. La paralysie généra
t des lésions diverses. La paralysie géné- rale est un syndrome. La
paralysie
générale commence et finit là où commence et où
là où commence et où finit le syndrome clinique. Trois groupes de
paralysies
générales s'observent. Le premier se caractérise
ler jusqu'à la diapédèse la plus SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 marquée. (
Paralysies
générales inflammatoires). Dans le second, la m
des lésions préalables et apparaît comme une infection secondaire. (
Paralysies
générales associées). Le troisième comprend des
usion de toute inflam- mation marquée sur la diapédèse vasculaire. (
Paralysies
générales dégénératrices.) · · Dans le groupe
t à la syphilis, beau- coup d'aliénistes en sont venus à définir la
paralysie
générale une maladie parasyphililique. Alors, j
nsitions entre le délire aigu et les formes les plus len- tes de la
paralysie
générale. D'autre part, c'est l'absence fréquen
est plus rapide et qui parait être l'un des agents pathogènes de la
paralysie
générale. Pourquoi exigerait-on pour cette mala
à la pré-, sence de globules rouges à noyau. Un second groupe de
paralysies
générales comprend celles ou l'encéphalite est
secondaire, sur des lésions encéphaliques préalables. Telle est la
paralysie
gé- nérale des alcooliques. L'encéphale de to
um tremens, rêve prolongé l'état de veille, etc. Telle est aussi la
paralysie
générale des arthritiques artérioscléreux. Enco
oint du système vasculaire envisagé dans son ensemble. Telle est la
paralysie
géné- rale associée des tuberculeux. La méningi
des éléments nerveux sont ici les lésions préalables. Telle est la
paralysie
générale associée aux tumeurs de l'encéphale. L
ables, les points d'ap- pel de l'infection secondaire. Telle est la
paralysie
générale associée des tabétiques. Jendrassick a
en sont les causes sont les mêmes que celles qu'on retrouve dans la
paralysie
générale asso- ciée, l'alcoolisme, l'arthritism
- ques-unes de ces formes ont été décrites sous le nom de pseudo-
paralysies
générales. Pour ma part, j'ai tantôt employé ce d
s 234 i SOCIÉTÉS SAVANTES. formes inflammatoires, tantôt celui de
paralysies
générales dégéné- 2-tili-ves. Dans ce même gr
phalites dégénératives diverses ont encore leur place. Telle est la
paralysie
générale dégénérative des tuberculeux dont j'ai
ayant en ces cas une marche lente et parfois latente. Telle est la
paralysie
générale dégénérative des al- cooliques. Ces de
itions les plus certaines de l'histologie, de continuera définir la
paralysie
générale : une sclérose diffuse, une encéphalit
n serait l'aboutissant à la fois ultime et si rare, qu'après que la
paralysie
générale a traversé toutes ses phases cliniques
des variétés correspondantes de la diapédèse. On sait que, dans la
paralysie
, on rencontre, dans les artérioles encéphaliques,
paration. Par là on s'expli- querait assez bien leur rareté dans la
paralysie
générale. Enfin, les plasmazellen semblent n'èt
s entre certains délires aigus et les formes les plus chroniques de
paralysies
générales. J'ai déjà trop insisté sur ces faits m
nérales. J'ai déjà trop insisté sur ces faits mon- trant comment la
paralysie
générale associée des alcooliques était une mêm
. En ce qui concerne les affinités régionales, on sait que, si la
paralysie
générale est une maladie caractérisée surtout et
volution ultérieure. M. ANGLADE (de Toulouse). Les lésions de. la
paralysie
géné- rale ne me semblent pas pouvoir être rame
oivent des excitations anormales qui expliquent les symptômes de la
paralysie
générale : suractivité désordonnée, convulsions
nvulsions, etc. Au surplus, la clinique ne s'oppose pas à ce que la
paralysie
générale soit considérée comme une méningo-encé
discuter la nature de cette méningo-encéphalite ou myélite de la
paralysie
générale. Sans doute, elle n'a aucun caractère
tions, il faut se garder d'exclure de l'étiologie des lésions de la
paralysie
géné- rale des infections dont nous connaissons
s autant que la première, dominent cliniquement l'étiologie de la
paralysie
générale. Il est, en effet, très fréquent de cons
l est plus apparente que réelle. S'il est vrai qu'il n'y a guère de
paralysie
générale sans méningite, comme le soutient M. A
iques avec ceux d'Obers- teiner et l'origine toxi-infectieuse de la
paralysie
générale. Quant à cette encéphalite, il est inc
rticipation de la névroglie au processus anatomo-pathologique de la
paralysie
générale, je crois que les altérations de cette
xistence ou l'absence de l'athéro- masie pour créer, sous le nom de
paralysies
générales associées, un groupe spécial de paral
sous le nom de paralysies générales associées, un groupe spécial de
paralysies
générales, si ce n'est peut-être dans les cas o
nous ont conduits à adopter dans ses grandes lignes la division des
paralysies
générales pro- posée par M. Klippel. Nous disti
ar M. Klippel. Nous distinguons, comme lui, trois grands groupes de
paralysies
générales, entre lesquels il existe, d'ailleurs,
uses formes intermédiaires. Un premier groupe est constitué par des
paralysies
générales inflammatoires, caractérisées par l'i
raissent se rapporter au type décrit par M. Klippel sous le nom .de
paralysie
dégénérative ; nous y avons constaté d'une façon
. Dans 8 cas de tabes avancé affection que M. Klippel assimile à la
paralysie
générale au point de vue de la formule hématolo
rmule hématologique pour le tabès, ni probablement non plus pour la
paralysie
générale. Séance du 3 août (soir). Traitement
s complets et très stables. Un phénomène palpébral constant dans la
paralysie
faciale périphérique. MM. Dupuy-Dutemps et Ce
ale périphérique. MM. Dupuy-Dutemps et Cestan. Dans quinze cas de
paralysie
fa- ciale périphérique, que nous avons examinés
rieure. Ce fait en apparence paradoxal est d'autant plus net.que la
paralysie
de l'orbiculaire est plus complète. Un mouvemen
ormalement, le globe de l'oeil se convulsé en haut. Dans les cas de
paralysie
faciale il entraîne et relève dans son mouvemen
re, cette relation nous a néanmoins paru mériter d'être signalée.
Paralysie
générale juvénile. M. LALANNE (de Bordeaux) com
Ces troubles sont très voisins de ceux que l'on rencontre dans la
paralysie
générale, aussi l'erreur a-t-elle été commise plu
ice de M. 11ER.1VAL, et où la sclérose en plaques fut combinée à la
paralysie
générale. Erythromélalgie suivie de gangrène de
rsale a suffi à certains cliniciens pour confirmer le diagnostic de
paralysie
géné- rale. C'est là une erreur. Au cours des p
termine des hallucinations des divers sens. L'oedème fugace dans la
Paralysie
générale. MM. Klippel et Vigouroux présentent t
que celle des cas de dermographisme qu'on observe parfois dans la
paralysie
générale. » M. Trénel a communiqué dernièrement
nnaux ne croyait pas qu'on pût constater ce symptôme au début de la
paralysie
générale ; mais il l'a observé très fréquem- me
hyp- notisation. M. Doyen. L'état mental des opérés. M. DEMOVCHY.
Paralysie
vésicule, de nature hystérique traitée avec succè
hystérie paludéenne jouerait un rôle dans la production de quelques
paralysies
post-paludiques et de certains accès pernicieux
edde (E.). La nature syphilitique et la amabilité du labes et de la
paralysie
générale. 4 vol. 111-8- de 13 pages. Librairie C.
ne une de ses lettres par cette phrase : « Pitié pour un malade, la
paralysie
me monte de jour en jour au cerveau et cette le
Loudon o, », hôpital pour les maladies nerveuses, l'épilepsie et la
paralysie
. Médecin à la Colonie d'épileptiques de Chalfon
ion bien spécifique sur le système moteur l'a fait employer dans la
paralysie
agitante où elle procure sou- vent un véritable
luent avec une symptomatologie plus ou moins analogue à celle de la
paralysie
infantile. Il les désigna sous le nom de paraly
ue à celle de la paralysie infantile. Il les désigna sous le nom de
paralysies
spinales ante- rieures aiguës de l'adulte et le
eune fille de vingt et un ans. ayant entraîné en quelques jours une
paralysie
complète de tous les muscles du tronc et des qu
la sensibilité. La mort est survenue deux mois après le début de la
paralysie
. L'examen de la moelle a démontré l'exis- tence
aris). L'auteur donne le nom de syndrome solaire d'excitation ou de
paralysie
à l'ensemble des symp- tômes résultant de l'exc
solaire, réservant le nom de symptôme solaire d'excitation ou de
paralysie
, à chacun des troubles, pris isolément, qu'il con
ne toujours ou presque toujours sy- philitique, tels le tabès ou la
paralysie
générale, telle encore la glossite gommeuse, l'
eur cérébrale (traumatisme, délire aigu, hystérie ( ? ), épilepsie,
paralysie
générale à la dernière période). Poussant la th
ez ces malades comme chez les autres déterminer la production de la
paralysie
générale, de l'épilepsie, de la manie et d'une fa
attachés à la même cause.'Après avoir montré que ni le tabes, ni la
paralysie
générale ne sont absolument incontestables, ils
ces derniers SOCIÉTÉS SAVANTES. 369 temps sous la dénomination de
paralysie
pseudo-bulbaire congéni- tale. Je ne m'étendrai
quelques rémittences plus ou moins longues, comme il arrive dans la
paralysie
générale progressive, la démence s'affirme. J'a
QUE. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale. F1'UI)E CLINIQUE ET : 1\.1T0.110-P.IT
1' Kéraval, nous avons étudié les lésions du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale et montré leur fréquence. Le travail
1 Communication au Congrès de Bruxelles. LE FOND DE L'OEIL DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE. 421 Nous avons cru également devoir e
i progressaient ne se modifiant pas au contraire dans les cas où la
paralysie
géné- rale n'avait fait aucun progrès. Le dét
le malade C... est passé de la seconde à la troisième période de la
paralysie
générale ; parallèlement sa papille droite blan
oscopique montre que ses papilles sont maintenant blanchâtres. La
paralysie
générale a évolué lentement chez pareillement l
blanchâtres, leurs vaisseaux se sont amincis. Enfin L... dont la
paralysie
générale n'a pas évolué présente toujours le mê
le même état flou des papilles. Six autres malades chez lesquels la
paralysie
générale n'a fait aucun progrès, ne présentent
rs que les malades avaient à peine atteint la seconde période de la
paralysie
générale. Le résultat de l'exanzenolhtitali2osc
s par l'hénédoatoxte cérébelleuse, l'utaxie spinale héréditaire, la
paralysie
bullaire progressive, l'atrophie musculaire pro
condamne à périr au bout de peu de temps. Cette idée convient à la
paralysie
ugilanle, à la sclérose latérale ozuyotro- phiq
phique, à l'hémiah opine faciale progressive, à nombre de cas de
paralysie
spinale spasmodiquc, à la myélite chronique de la
irecte des vibrations osseuses au muscle lui-même. De plus, dans la
paralysie
faciale, totale, la percussion du point sus-orb
s d'hyperexcitabitité s'entend. Cest bien là du réflexe. Lorsque la
paralysie
faciale s'améliore. ce dernier procédé fait con
ut au plus si le retour du premier indiquerait l'amélioration de la
paralysie
faciale. Quant au phénomène pupillaire, peut-êt
ut-être pourrait-il servir, comme le veut Galassi, à distinguer une
paralysie
périphé- rique de l'oculomoteur commun d'une pa
stinguer une paralysie périphé- rique de l'oculomoteur commun d'une
paralysie
centrale. P. Keraval. 3 REXUU U.1\.1'lU\111.
tuberculeux, qui, en deux jours, présente les signes graduels d'une
paralysie
du membre supérieur gauche et de la moitié gauc
r du même côté. Légère parésie de l'orbiculaire palpé- bral gauche,
paralysie
totale du facial inférieur aus mouve- ments vol
cendantes et du lobule pariétal inférieur. Elle l'est encore par la
paralysie
limitée au facial inférieur et à l'hypoglosse exp
s'observent des phénomènes oculaires le plus souvent rapportés à la
paralysie
générale, à des tumeurs cérébrales, ou aux amau
foie; reins granuleux. II. Homme de trente et un ans, atteint de
paralysie
: état ma- niaque avec idées de persécution, al
E MENTALE. ' 447 que l'on observe à la période correspondante de la
paralysie
géné- rale à forme mélancolique. Il faut remarq
oir quelque difficulté à faire le diagnostic diffé- rentiel avec la
paralysie
générale. Ce travail se termine par six observa
ative, nous permetd'opérerdes semblants de miracles dans les cas de
paralysies
et de contractures hysté- riques. Sa brochure f
, la représentation des mouvements que les malades affectés d'une
paralysie
hystérique se croient incapables d'exécuter. Ce f
pute. Par contre, c'est par centaines qu'on trouve des guérisons de
paralysie
à travers les âges parmi les civilisations les pl
ans doute, nous concevons très bien les causes qui déter- minent la
paralysie
motrice du côté correspondant à la sec- tion, t
de la moelle. M8 F.17110LOG1 \RliU ? Il y rentre en mars 1897. La
paralysie
s'est un peu amen- dée, mais l'élément spasmodi
de ces idées dénote un fonds de démence et peut faire soupçonner la
paralysie
générale. Nous avons déjà dit d'ailleurs au déb
que, février 1901.) E. B. XXXIII. Le syndrome de Briquet (un cas de
paralysie
diaphrag- matique d'origine hystérique); par le
teutte février 1002.; E. BLIN. ASILES D'ALIÉNÉS. I. Note sur la
paralysie
générale à l'asile de Saint-Alban (Lozère); pai
isme et la syphilis que le surmenage physique et iulellec- tuel, la
paralysie
générale était extrêmement rare (deux cas sur 1
nant à ces faits, on serait amené à admettre que si à la base de la
paralysie
générale il y a la syphilis, cette syphilis ne
ctuel. E. B IL Contribution à la statistique et à l'étiologie de la
paralysie
générale progressive des aliénés dans le gouver
es habitants des villages qui forment le principal contingent de la
paralysie
générale : ce sont, d'après les genres d'occupa
socient entre elles comme avec d'autres agents pathogènes ; 1 Io la
paralysie
générale est, au point de vue étiologique, un phé
CHOLOGIQUE Séance du 27 juillet 1903. Présidence DE M. G. Ballet.
Paralysie
générale sénile. M. Toulouse rapporte un cas de
Ballet. Paralysie générale sénile. M. Toulouse rapporte un cas de
paralysie
générale chez une femme âgée de soixante-douze
igne de deuil. Reprise de la séance. Présidence de M. G. Ballet
Paralysie
générale précoce chez une jeune fille de dix-neuf
11110 GÊRY présente une jeune fille de dix-neuf ans, atteinte de
paralysie
générale précoce. Cette jeune fille avait la syph
ntérêt du cas pré- senteparM"°Gery réside dans la coexistence de la
paralysie
géné- rale et de la syphilis, que celle-ci soit
sthésie sensi- tivo-sensorielle droite avec surdité du côté opposé (
paralysie
alterne sensitive) et myosis bnlbaire, put être
édecine » aux ai tioles sur les Encéphalites de l'enfance et sur la
Paralysie
générale ; il écrivait les examens histologique
lude clinique des monologues chez les , par Dar- canne, 479. Voir
Paralysie
gé- nérale. Sur les résultats lavora- bles du
ine Concours, 46ï. de la Roche-Guyon, 478. de Sainl- ellbau. Voir
Paralysie
générale. Quelques remarques nouvelles sur le
ique de l'Université de par Sérieux, 15. Globes oculaires. Voir
Paralysie
. Goitre exophtalmique. Le centre Imlbaire. Tr
950. tthHtCO-ATAXtE. Voir Maladie ner- veuse. Histologie. Voir
Paralysie
générale Homicide par un adolescent, 95. 1, I
d de i' . \Ulr Para- lytiques généraux. Lésions (lu fond de l' -,
Paralysie
générale. OI'IITII\Lh101.OGIE. \'or 7hennpeu-
. Pachymémncite cervicale. Voir Pa- raplégie. Voit- YéVI-08C.
Paralysie
trseudo-hypertrophique. Voir Atrophie musculair
rimentaux, par La;;nel-t.avxaUue, 331. Le - de Briquet (un cas de
paralysie
(1 i«tpllr,.g triai] il [le d'origine hyaté-
ar I)éjet-iiie, Cluray et Cornélius, 75. - Voir Traumatisme. Voir
Paralysie
générale. - Voir, Le - chez la lemme, par Dlend
ement, par Joirf, 258. 280. TitIrlIFNT mtrciiiii-1 iutensif. Voir
Paralysie
générale. médico- N'oil, Idiotie. thy- roi'fi
Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des maladies nerveuses.
Paralysie
faciale périphérique due à un fibro- sarcome en
e latérale du bulbe, ne donner lieu à aucun autre symp- tôme qu'une
paralysie
raciale périphérique. Mais ce qui nous parait d
l,l JII,[lade e pLli¡wi.liL dl' douleul'- 110\ I,<dgi- Fic. 1.
PARALYSIE
FACIALE PEtUPHgRIQUE DUE A UN FIBRO-SARCOME. 3
umineux, gorgés de sang, plutôt qu'à des hémorrhagies véritables.
PARALYSIE
FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN)IBRO-SARCOME. 5 A
on ùu pil'l'o-I'al'llIin, 011 dp la IIll'[lintlt' dt, .\lal'clii,
PARALYSIE
FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN FJnRO-SAHCOME. 7
ALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN FJnRO-SAHCOME. 7 En résumé, la
paralysie
du facial gauche, survenue il l'âge de 06 ans,
mplète. Les constatations anatomiques permettent de rapporter cette
paralysie
il l'existence d'un fibre-sarcome englobant et
ce cas, de diagnostiquer pendant la vie, la véritable nature de la
paralysie
. Nous ne reviendrons pas sur le diagnostic anat
n emploi quotidien prolongé pendant 8 mois. (ans, XI et Obs. IX.)
Paralysie
générale. (lus, XIV, .M. A. 50 ans, présente l'en
.M. A. 50 ans, présente l'en- semble des symptômes classiques de la
paralysie
générale depuis l'année 1902. Interné en 1903 à
la prise du médicament. IIBS. \1'. - 11. tt..49a)t>, atteint de
paralysie
générale depui* 1902, est constamment dans un é
z quelques aliénés. 15 Uss. XV). )11110 1 ? 40 uns, est atteinte de
paralysie
générale depuis 1899. Elle est actuellement tou
naire, est peu employée. 22 RECUEIL de faits. D'après la mère, la
paralysie
, qui a débuté après le pre- mier état de mal, s
'attitude debout est légè- rement penchée à droite, en raison de la
paralysie
. La marche s'exécute bien, mais il y a une boit
volonté pour la gym- nastique, mais y réussit peu, en raison de sa
paralysie
. - Au point de vue de la puberté, le corps est
rveau du chien contient quatre zones suscep- tibles d'engendrer des
paralysies
des muscles oculaires : zone frontale, pariétal
A l'autopsie, rien d'apparent dans l'o.'ôane cen- tral préposé aux
paralysies
. L'artère svivienne droite contientun tttromhus
couteau au côté droit de la nu- que. Il détermine : 1° adroite, une
paralysie
du trijumeau, de l'ncnlomoteureaLerne,chlfacial
hémiparésie passagère et une hémiparésie persistante. C'est la la
paralysie
alterne inférieure de llillarcl et Cubler. Au m
l droiL par ophtalmie neuro-paralytique, en vertu du concours de la
paralysie
du facial et de celle du trijumeau : il ne peut
un affaiblissement progressif des membres inférieurs. On constate :
paralysie
de tous les muscles innervés par le sciatique p
la myoclonie familiale, etc. G. Deny. XVI. - Histopathologie de la
paralysie
générale ; par le Dr de Bock. (Bull. de la Soc.
istologique, à l'aide des méthodes les plus récentes, de dix cas de
paralysie
générale avérée, l'auteur admet que cette affec
es recherches c'est qu'il n'existe pas de lésions spécifiques de la
paralysie
géné- rale et que le diagnostic histopathologiq
s intracellulaires, etc. 31. de Buck admet, en outre que les cas de
paralysie
générale il forme expansi\e et délirante sont r
(tumeur) du ganglion sym- pathique cervical dans un prétendu cas de
paralysie
gé- nérale ;par le Dr de IkCK, (Bull, delà Soc.
sence de ces résultats, l'auteur estime qu'il a eu affaire non aune
paralysie
générale, mais à un délire d'origine infec- tie
n aide des verres convexes de 2 D à 2 I) 5. En un mot il existe une
paralysie
isolée du muscle ciliaire et du sphincter irien
une importance cli- nique hors de doute. l'. hF(tA1'.1L. III. Des
paralysies
consécutives à l'usage du phos- phate de créoso
pargnés. Les jambes furent les premières atteintes ; la forme de la
paralysie
y fut infiniment plus nav e et plus durable qu'au
s grises, des conducteurs moteurs périphériques, ainsi que dans les
paralysies
infectieuses et lexiques. Rien jusqu'ici n'a ét
e cérébrale, mélancolie, neurasthénie, folie obsé- dante, hystérie,
paralysie
générale, etc. La dose a varié de 25 cen- tigr.
poliomyélite à marche subaiguë. Hémiplégie spasmodique infantile. (
Paralysie
post-spasmodique ,) 31. ,1. Babinsky. - La jeun
taires, nuls pendant les spasmes, sont constamment troublés par une
paralysie
variable, surtout prononcée à la suite d'un acc
Ilodique infanlill', le s ? Ll'lI1e PYl'amdall'st atteint. 31ais la
paralysie
a des caractères bien spéciaux intéressants, fluc
aux spasmes el on peut pour ce motif lui donner la dénomination de
paralysie
post-spasmodi- que. Myopathie hypertrophique
Pl surtout de la racine des membres. Quelques semaines plus lard :
paralysie
absolue des muscles de l'avanl-bras, des dettoi
ilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibilité, pas de signes du
paralysie
bulllaire. Réactions électriques simplement rli
ne remontant L'extrême jeu- nesse. llCtlttclia de 13«sctlovo avec
paralysie
M/&0 ? tt' asthâniquu. 31 31. 13RISS.-I.UO
hoisit pour dresser sa synthèse confuse et laborieuse en face de la
paralysie
générale, le. moment où l'édifice de cette dern
dil1'l'I'I'IlL tout se qui passe autour de lui. 1'l'I'i,lance de la
paralysie
\a.,o-ll1otl'ice, surfont aux membres inférieur
gie des sentiments, ? .' édition, t',LUie 1897. UN NOUVEAU CAS DE
PARALYSIE
GENERALE CONJUGALE 99 l'avaient pas encore été
chopalhiques. RECUEIL DE FAITS Réflexions sur un cas nouveau de
paralysie
générale conjugale d'origine syphilitique. Pa
blié les premiers cas observés en France, déclarait « qu'en fait de
paralysie
générale à deux, la syphilis, tout en étant enc
phi- lis n'était pas. avec certitude, la cause déterminante de la
paralysie
générale des deux conjoints ; dans le second, o
exemple comme militant en faveur de l'origine syphilitique de la
paralysie
générale o. Un nouveau cas de paralysie gêné- 1
'origine syphilitique de la paralysie générale o. Un nouveau cas de
paralysie
gêné- 100 RECUEIL DE FAITS. raie conjugale, q
u main aise lie, présentait indubila- blement tous les signes d'une
paralysie
générale, acc excitation maniaque aiuu. Lm : ya
"l'nla, en août il à sou reloue d'une saison à 1 \ C4S \OT;V1;4U DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE 101 Luxeuit, une éruption gé
'cu altrèc, on fut obligé de l'alimenter il la sonde, à cause de la
paralysie
du pharynx, et elle bredouillait d'une façon in
vue étiologique.' plus complète que la plupart des observations de
paralysie
générale conjugale publiées, et permet de donne
mater- nel avait succombé dans notre établissement, par suite de
paralysie
générale confirmée. Ce dernier fait n'indi- que
embres de celte famille, la tendance de leur cerveau il faire de la
paralysie
générale, parce que la syphilis était entrée en
e chez le cousin paralytique de Marie B..., on vit les accidents do
paralysie
générale débuter une douzaine d'années après l'
l'infection syphiliti- que. 11 y· a en outre, dans ce fait d'une
paralysie
générale évoluant successivement chez deux épou
Il semblerait même que l'aptitude de son cer- veau il contracter la
paralysie
générale était, chez la femme, presque fatale.
ns doute pas suffi il faire naître, en l'absence de syphi- lis, une
paralysie
, générale chez Marie 13.... car nous ob- servon
act, mais qui est certainement voisin de celui de UN CAS NOUVEAU DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE CONJUGALE 103 sa soeur, n'a jusqu'à pr
indemne de toulo tension cérébrale. haut-il, pour expliquer cette
paralysie
générale chez nos deux époux, faire intervenir,
, en général, do tels détails sur l'hérédité des sujets atteints de
paralysie
générale conjugale. Ainsi que nous l'avons fait
lo qui a, le premier en France, attiré l'attention sur les faits de
paralysie
générale con- jugale, au congrès aliénisle de R
Zeitschrift sur Ps5·c11, 1888) avaient rapporté des observations do
paralysie
générale chez des conjoints infectés de syphili
Epilepsie, délire alcoolique, mélancolie, tentative de suicide. et
paralysie
générale chez le fils d'une mère alcoolisée, d'
es pupillaires. indiquent suffisamment que nous avons à faire à une
paralysie
gé- nérale en pleine évolution. Les troubles se
alade a été victime dans sa jeunesse, une troisiè- me affection, la
paralysie
générale, de date plus récente. mais qui dès ma
is il son tour, raffaiblisscmentinlellcctucl dont s'ac- compagne la
paralysie
générale, est venu les marquer de son empreinte
équilibration mentale d'origine héréditaire, accidents alcooliques,
paralysie
générale il laquelle la syphilis n'est sans dou
reux d'utiliser pour celle question les maté- , riaux fournis parla
paralysie
, générale progressive, parce que l'on sait bien
et de libres croisées. L. W. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ri, La
paralysie
enfantile ; par Glorieux. (Policlinique de Br°t
le bégaiement était confondu avec le bredouillemenl. 1. W, Vllf.
Paralysies
pseudo-bulbaires chez l'enfant; par De- croly.
ar un mélange de trouble moteur, de trouble sensoriel, et même de
paralysie
tactile ; il n ? manque clue l'aulollsie pour pré
a loca- lisation reste indécise. P. 11ERAVAL. XVI. Observation de
paralysie
de l'oculomoteur ex- terne et de parésie des me
st deux mois après l'accident que le voit M. lilocll. Il existe une
paralysie
de l'oculomoteur externe du côté droit ; les me
. XVHI. - De la participation du muscle orbiculaire palpébral aux
paralysies
faciales corticales et sous-cortica'3s 148 REVU
tt sur Xel're¡¡heïl1wnde, XXVII, N. F. XV, 1904.) Pourquoi dans les
paralysies
corticales et sous-corticales du fa- cial, la r
supérieure de la face des deux côtés. Néanmoins chez l'homme les
paralysies
corticales et sulcorli- i- cales du facial supé
u des extrémités. Le Illèll1esmp- tôme peut constituer le résidu de
paralysies
faciales périphériques guéries ; le malade, en
) diagnostic) ;Ij> lI1alalLies chro- niques du système nerveux :
paralysie
générale, tabès, épilopsic, sclérose en plaques
gmentée, 1) IIlplwcylose l) pc de polynucléaire dans le tabès et la
paralysie
générale, fréquence des éosinophiles dans la sclé
années. M. Pactet. Les lésions diffuses permettent de penser à la
paralysie
générale. M. Vallon ne croit pas que le diagnos
la démence. SOCIÉTÉS SAVANTES. ^ 155 M. Toulouse consfatequc la
paralysie
generatepeutdehuterpar le syndrome intermittenc
tribuer une certaine durée à l'injure toxique qui les provoquées.
Paralysies
générales de longue durée. M. BRUNET communique
UNET communique les observations de quatre malades chez lesquels la
paralysie
générale adure de 10 à 30 ans. ' 1. 11. Séanc
on des Finances : MM. CHRISTIAN, et Semelaigne, Les escharres de la
paralysie
générale. MM. A. VIGOUROUX et Saillant rapporte
t que les escharres constituent une complication inevita- ble de la
paralysie
générale et cependant beaucoup de puldica- tiun
se. 158 sociétés savantes. Les lésions des neurofibrillcs dans la
paralysie
générale. " 1. G. Ballet. M. J. DagoneL, en f
pal' la méthode de Ilal1lnn y Cajal, exprime l'opinion que, dans la
paralysie
générale, les neurofibrilles ne sont pas lésées.
IOT montrent un homme atteint d'hémi- plégie droite incomplète avec
paralysie
partielle de la 3° paire gauche. Le membre supé
miques ; les muscles pos- térieurs de l'avant-bras sont atteints de
paralysie
avec réaction de dégénérescence. Formes frust
i ontproduit une reple- Lion sanguine qui a causé l'hypertrophie.
Paralysie
agitante et troubles labio-glosso laryngés. M.
es secondaires, dans les délires systématisés chroniques et dans la
paralysie
générale ; mais elle prend chez lui, au point d
belges. L. W. XL. Anatomie pathologique et bactériologie de la
paralysie
ascendante de Landry ; par Xazari. (Rie. crit.
ncore des fibres musculaires suffisamment nor- males pour parera la
paralysie
étendue, absolue, de certains mou- vements. Ela
long et très intéressant travail dont voici les conclusions : 1° la
paralysie
spinale syphilitique dans l'immense majorité com-
s un symptôme purement tabétic[uc et peut également préluder à la
paralysie
générale, à l'hémiplégie, à la paralysie pseudo-b
ut également préluder à la paralysie générale, à l'hémiplégie, à la
paralysie
pseudo-bulbaire et il la méningo-myélite d'orig
e de la cécité ; H fois seule- ment le traumatisme. Nulle pari la
paralysie
des muscles intrinsèques de l'oeil n'est établi
VIII. L'étiologie de l'Idiotie simple comparée àl'étiologie de la
paralysie
infantile cérébrale ; par le D1' W. KOENIG, de
aussi une ophlalmoplégie totale qui s'est laite en plusieurs temps (
paralysie
de la \'le paire d'abord, puis de la Ille et de
e, admettent l'évolution de ce syn- drome chez un malade alteint de
paralysie
infantile myélnpa- Ihique. - ' F. Boissier. C
ut il. ]e lJr I)l'0maf'{1 ; 9 de folie alcoolique, autant de cas de
paralysie
générale, 10 cas d'idiotie ou ¡J'0pÍlcl'"ie,« C
ar des crises de larmes ou de rires, et entraînerait à sa suite une
paralysie
avec contracture du côlé gauche durant quelques
ssait d'un tubercule solitaire. Ce malade, qui ne présentait pas de
paralysie
des extrémités, titubait et était affecté d'aut
ire développé par Cettie et Durante. G. D. 1,Xlll. Histologie de la
paralysie
générale; par le Dr De- 13RAY. (JOUI'I1, de Neu
rive à colle conclusion que la lésion initiale et fondamentale delà
paralysie
générale inflammatoire réside dans la cellule n
e sus-orbitaire est sectionné, quand la 5e paire est lésée, dans la
paralysie
faciale. 11 se produit lorsqu'on pique ou soume
'étude des altérations de la voix aux deux premières périodes de la
paralysie
générale; par le Dr Marandon de Moni 1 YEL. (Jo
té trouvée cons- tamment normale, aux deux premières périodes de la
paralysie
'générale ; dans un autre tiers, api es une pér
ces troubles eux-mêmes. G. Derny. XVI II. Syndrome de Korsâkoffet
paralysie
générale; par le D DlmOUB.\IX. (JOUI'IL. de Neu
urologie, 1903, no 22.) On sail que quelques auteurs considèrent la
paralysie
générale comme un facteur éliologique du syndro
prcl1<ll e l'école. Traitement bromure et thyroïdien. L. W. XXV.
Paralysie
générale et hystérie ; par M..IOFFROY. (Bail. m
syphilitique. Les phénomènes hystériques ont disparu au cours de la
paralysie
générale ; d'ailleurs hystérie et démence sont
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XLI. Un symptôme rarement décrit dans la
paralysie
faciale périphérique ; par 1 ! . Cassirer. (Cen
excitation. Ce phénomène serait, il des degrés divers, propre il la
paralysie
faciale périphérique accompagnée de réaction dé
re des muscles paralysés. Une observation montre, qu'absent dans la
paralysie
faciale toute récente, il apparaît au bout de 1
s mains, émolivilé. Hérédité alcoolique. Fi. C. L. Observation de
paralysie
arsenicale ; par ,1. KRON. (Neurolog. Ceu trrr7
névrite rapide ; Pnrcsthésies, suivies de douleurs et finalement de
paralysies
avec atrophie. Début paralytique pres- que apop
uée d'une légère participation du s sLt'll1e nerveux cen- tl'a1. La
paralysie
arsenicale a, comme toujours, été bénigne ; elle
nicale a, comme toujours, été bénigne ; elle a, contrairement il la
paralysie
saturnine, porté surtout sur les extrémités inf
ie par le nez, parla bouche, les oreilles. Puis diabète in- sipide,
paralysie
du trijumeau, de t'oculomoteur externe, parésie
âne. l'. 11E12.4vAL. LXVI1. De la différence de pronostic entre les
paralysies
des plexus et celles des tronc des nerfs du mem
nt de la pa- ralysie des nerfs périphériques individuels, 38, de la
paralysie
par le plexus. Pour des causes diverses, l'aute
uteur ne relient que 47 pa- ralysies des nerfs périphériques, et 23
paralysies
par le plexus brachial d'origine traumatique, à
, 34 % d'incurabilité. Pronos- tic extraordinairement favorable des
paralysies
du radial non seulement par compression, mais a
t par compression, mais aussi par fracture el cal épais. Sur les 23
paralysies
du plexus brachial, G guérisons, 17 incura- lti
: 2(i ? tle gttirisons, Î1 V'iucural>iliLé. Ce clui faiL que les
paralysies
traumatiques des troncs nerveux périphériques o
te explication. 11 faut,conclut-il, se borner à consta- ter que les
paralysies
des plexus tiennent, quant aux chances de 320 R
celles, très favorables, par lésion des nerfs périphériques, et les
paralysies
d'un pronostic très de- favorable, dues il une
e sur les maladies du système nerveux à évolution chronique (tabès,
paralysie
générale), la ponction lom- baire amène quelque
progrès cliniques et anatomo-pathologiques faits dans l'étude de la
Paralysie
générale, il y a encore bien des points obscurs.
ue, chez qui survient, après une phase de douleurs en ceinture, une
paralysie
aiguë apoplectiforme, à évolution aiguë; puisqu
ntale normale se rétablit graduelle- ment ; on constate d'abord une
paralysie
de toutes les fonctions s mentales, les malades
. Reprise de la séance. Persistance des 11Cul'o-jiúrillesda)¡s la
paralysie
générale. Le Secrétaire général donne lecture d
; 2° les enfants atteints d'af- fections nerveuses accompagnées de
paralysies
, d'agitations ou de tremblements ; 30 les enfan
CHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Le réflexe lumineux dans la
paralysie
généràTÎ, Par le \)' E. 1.\1t\. : \))(). : \ lI
fet, avaient suivi Musch qui le premier étudia les réflexes dans la
paralysie
générale mais qui se borna ;i examiner une 'seu
xe toujours normal et combien toujours anormal. de l'éclosion de la
paralysie
générale à la mort,et aussi chez combien il y a
alité et à l'anormalité du réflexe : le réflexe lumineux dans I.1
paralysie
générale, 1L) 420 CLI ? IQl E 11 ? l.\LE .Mai
onc d'en faire un groupe séparé : LE 1t11LI : \1 : LUMINEUX DANS LA
PARALYSIE
GENERALE. 421 probants en relevant les seules d
e ne pas croire il l'abolition d'emblée des réflexes iriens dans la
paralysie
générale. J'estime qu'elle est tou- jours précé
lissement précurseur de l'abolition est d'autant plus courte que la
paralysie
générale est plus avancée. Il nous est arrivé à
le nombre des constatations doit en donner d'autant moins que la
paralysie
générale est plus avancée. Enfin, ce tableau co
oujours il un moment ou il un autre de l'é- volution complète de la
paralysie
générale. 111. En embrassant comme dans la prem
n affai- blissement dont la durée est d'autant plus courte que la
paralysie
générale est il une période plus avancée. Les a
di- minuent en fréquence et en persistance avec les progrès de la
paralysie
générale pour disparaître complètement à la tro
s ; elle présente, en" outre, divers symptômes qui font craindre la
paralysie
générale. Un jour, celte malade Lente de se sui
ne jcune femme non syphilitique qui, après une diplégie totale avec
paralysie
des sphincters et anesthé- sie survenue rapidem
t, petit de ce côté. La lésion est bulbaire. bibliographie. 453
Paralysie
bulbo-spinale asthénique. MM. OUf-MONT et Baudo
s, c'est la démence (il), en parti- culier la démence sénile, et la
paralysie
générale (25) qui on ! fourni le plus large tri
is, au-dessous; en décembre, 14 (minimum). Il ! ] décès, dont 28 de
paralysie
générale et 7 de tuberculose pulmonaire. ' Sur
(1889); La progression corrélative de la folie alcoolique, et de la
paralysie
générale(\889); Le criminel instinctif et les d
e Xeuilly, 91, rue Perronnet, 100 ? Marchand (1..), - Syphilis et
paralysie
. In-8" de 20 pages. Extl'. de la Presse Médical
13,%DE. Duché de -. Voir Alié- nés. BasEnow. Maladie de avec
paralysie
bulbo-spinale asthé- nique, par Brissaud et Bau
le, par Lé- pine, 447. Bulbe antirabique. Voir Dou. leurs. Voir
Paralysie
. CncFn. Un cas de - primitif de la colonne ve
Epilepsie. Délire alcoolique, mélancolie, tentative de suicide et
paralysie
générale chez le fils d'une mère alcoolisée, d'
namour, 311. Fnoin. Voir Nerfs. GIXGLIOX -\ sympathique. Voir
Paralysie
. Les altérations du rachidien chez les tabéti-
primi- tive ou précoce, par Bianchi- ni, 305. Histologie de la
paralysie
gé- nérale, par Debray, 295. Ilr;wrrwrov. Voi
uniquement à ce même côté par la malade, par Du- pouy, 263. Voir
Paralysie
générale. -Voir Angoisse. Hystériques. Le tra
igier, 65. L'étiologie de l'- simple comparée à l'étiologie de la
paralysie
infantile céré- brale, par Koenig, 24. i. Imp
a maladie de , par Soukhanoff et Bou- tenko, 63. Syndrome de et
paralysie
générale, par De- roubaix, 307. Kronthal. Cri
issl, 126. LANDRY. Anatomie pathologique et bactériologie de la
paralysie
ascendante de , par Nazari, 228. Lapin. Voi
culomoteur externe, . par Liass, 315. - du membre supérieur, Voir
Paralysies
,- Voir Cellules motrices. Neurasthénie. Voir
sthénie. Voir Angoisse. NEUiIO-1-IBIIILLFS. Leslésions de dans la
paralysie
générale, par Ballet, 158. Persistance des da
s la paralysie générale, par Ballet, 158. Persistance des dans la
paralysie
généra- le, par Dagonet, 399. NEUHO'FIBHO\1.\
de la névrose de défense, par Strohmayer, 64 Oculomoteur. Voir
Paralysie
. OESOPH \GE, Voir Carcinome. Des corps étrang
BLE DES MATIÈRES. 505 lion* de la étranglée, par UlrtUoiF, 125.
Paralysie
, faciale périphérique due à un tibrosareome eng
'opération du -, par Hégnault. 316. Phosphate de créosote. Voir
Paralysies
. Pied. Voir Paralysie générale. Pigeon. Voir
gnault. 316. Phosphate de créosote. Voir Paralysies. Pied. Voir
Paralysie
générale. Pigeon. Voir Tractus. Pixel. Monume
he au niveau du ganglion spinal, par Wallenberg, 54. Plexus. Voir
Paralysies
. Poliomyélite subaiguë à type scapulo-huméral
achilléens dans le tabes, par Goldllam, 317. Le- lumineux dans la
paralysie
, générale par Marandon de Montyel,417. Région
- gique, par Siciliano, 228. - - : Un - rarement décrit dans la
paralysie
faciale périphérique, par Cassirer, 310 Syndr
, t. X. 4 Il PATHOLOGIE NERVEUSE. même la signala dans ses cas de
paralysie
bulbaire, qui, comme l'a démontré l'un de nous,
e thé- nar droite, augmentation des troubles de la parole. - Puis
paralysie
complète avec phénomènes spasmodiques qui dispa-
cou sont lents, la rotation est pénible. La parole s'embrouille, la
paralysie
et l'atrophie de la lèvre supérieure sont de pl
tié droite ( ? ? ). Léger tremblement à la pointe. Aucun signe de
paralysie
du voile du palais. La parole est de plus en pl
troubles bulbaires. Parésie puis- atrophie des membres supérieurs.
Paralysie
des membres inférieurs avec phénomènes spasmodi
chemin à pied sans diffi- culté et sans qu'on remarquât la moindre
paralysie
des membres. Pendant le séjour à Tenon, la fi
mbre postérieur où l'élongation du nerf sciatique il été faite, une
paralysie
plus ou moins mar- quée et persistante, et une
n, l'animal présentait plus ou moins deparésie et quelquefois de la
paralysie
. Cette dernière a toujours été observée après u
stagmus persiste encore, l'acuité visuelle est encore amoindrie, la
paralysie
de la convergence persiste pendant les mouvemen
die continuait, comme l'indiquaient parfaitement, le nystagmus, les
paralysies
associées des yeux, le regard vague, l'exaltati
emblement pendant les mouve- ments intentionnels, le nystagmus, les
paralysies
associées des yeux, la paralysie de la converge
intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, la
paralysie
de la convergence, l'insuffisance des droits in
is ce malade, et toujours j'ai constaté l'état suivant : nystagmus,
paralysies
associées des yeux, paralysie de la convergence
constaté l'état suivant : nystagmus, paralysies associées des yeux,
paralysie
de la convergence, insuffisance des droits inte
de tous ces symptômes. En effet, le regard vague, le nystagmus, les
paralysies
associées des yeux, la paralysie de la converge
e regard vague, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, la
paralysie
de la convergence, l'insuffisance des droits in
glions et sur quelques troncs nerveux en arrière. Il en résulte une
paralysie
complète de la queue, un trouble évident du mou
queue, du périnée, des surfaces postéro-internes des cuisses, de la
paralysie
des deux sphincters. Quand la section a eu lieu
ent), enfin de l'in- continence d'urine et une soudaine et complète
paralysie
de la jambe droite. Au moment de l'examen, il e
jambes avec douleurs lancinantes, convulsions de la jambe droite,
paralysie
complète de la vessie (écoulement inconscient d
des circonvolution cérébrales. Encéphale, 1883). P. K. V. SUR LES
paralysies
PROGRESSIVES ATROPHIQUES, LEUR NA- TURE central
s, que sur les organes centraux. L'auteur relate une observation de
paralysie
progressive atro- phique ascendante rapidement
roire qu'elle avait le plus méchant des'époux ». D. B. X. SUR LES
paralysies
ISOLÉES DES NERFS DU bras ET COM- binées DU bra
M. BERNHARDT. (Cen- tralbl. f. Nervenheilk. 1884.) Observation I.
Paralysie
isolée du muscle deltoïde gauche. Observation I
tion I. Paralysie isolée du muscle deltoïde gauche. Observation II.
Paralysie
isolée du nerf musculocutané droit. Observation
II. Paralysie isolée du nerf musculocutané droit. Observation III.
Paralysie
de Erb. OBSERVATION IV. Forme particulière de p
vation III. Paralysie de Erb. OBSERVATION IV. Forme particulière de
paralysie
du plexus brachial por- tant sur le nerf sus-sc
hésie sensorielle manque dans REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 101 la
paralysie
générale, chez les délirants non épileptiques,
noncée de M. WESTPHAL : Sur un cas de lésion spinale avec cécité et
paralysie
générale. Il s'agit d'un profes- seur syphiliti
été examinée. Peut-être, comme le veut Mendel, s'agissait-il d'une
paralysie
ascendante; dans ce cas, on trouverait des alté
. M. JasrnowrTZ insiste sur la production, en des cas pareils, de
paralysie
des cordes vocales. M. REliAI{ ajoute à l'obser
tabès observé par lui pendant un temps assez long, et compliqué de
paralysie
des muscles de l'oeil, le premier symptôme de l'a
scles de l'oeil, le premier symptôme de l'affection spinale fut une
paralysie
unilatérale du muscle crico-aryténoidien postér
avail récent de M. F. Krause, qui rattache la plupart de ces cas de
paralysie
à une contracture des adducteurs des cordes voc
munication de M. Thomsen avec présentation de malade, sur un cas de
paralysie
de l'oculo-moteur commun à retours pério- dique
ie de l'oculo-moteur commun (avec immobilité raide de la pupille et
paralysie
de l'accommodation). Début à l'âge de cinq ans,
inq ans, retour une fois ou deux par an (mai-octobre), finale- ment
paralysie
complète. L'accès est précédé de céphalalgie, nau
vec strabisme divergent très accusé. En trois à quatre semaines, la
paralysie
rétrocède. Nulle autre anomalie oculaire. L'ora
autre anomalie oculaire. L'orateur en a observé deux accès. Chaque
paralysie
s'accompa- gnait parallèlement de rétrécissemen
retour à la nor- male sont en rapport direct avec l'intensité de la
paralysie
. L'acuité centrale se comporte à peu de chose p
ralysie. L'acuité centrale se comporte à peu de chose près comme la
paralysie
et le champ visuel. Le rétrécissement se montre
n rapport entre les deux affections. L'orateur met en relief que la
paralysie
de l'oculo-moteur commun est survenue en des ci
d'une forme toute particulière d'hémicrdizie. Dans un autre cas de
paralysie
périodi- que de l'oculo-moteur commun, il a vu
romener sans se heurter partout. 11 a observé plusieurs fois de ces
paralysies
de l'oculo-moteur commun rapidement passagères,
usivement de l'astigmatisme, vu ses allures et ses rapports avec la
paralysie
en question. Réplique de M. HmSCHBEItG, qui se
substance cérébrale, qui ont été le plus souvent signalées dans la
paralysie
gé- nérale, la manie, la mélancolie, l'idiotie,
ologiste et en clinicien expérimenté. C'est ainsi notamment que les
paralysies
toxiques, la crampe des écrivains, la névrite s
iedreich). Enfin, l'étude des lésions hémi- latérales de la moelle (
paralysie
spinale de Brown-Séquard) scra, croyons-nous, f
logie de la moelle allongée ; aussi l'exposé des formes rares de la
paralysie
bulbaire chronique et de l'ophLl1almoplégie pro
ions de l'enfance; 2° la danse de saint Guy ou petite chorée; 3° la
paralysie
agitante; 4° l'athétose; 5° la tétanie; 6 le téta
il la rapprocher des accidents analogues que l'on observe dans la
paralysie
générale ou dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE
ite des accidents bulbaires. Mais il y a eu toujours auparavant une
paralysie
des membres avec contrac- ture souvent très mar
2e édit., p. 240. 2 Déjerine. -Etude anatomique'et clinique sur ta
paralysie
labio-glosso- larngée.(Arcla. de physiol., 1883
eures, affecte ensuite les inférieures et enfin se termine par la
paralysie
bulbaire » ; aussi l'auteur, tout en avouant qu
ervation comme un fait à part qu'il propose de désigner du nom de
paralysie
bulbaire amyotrophique spasmo- dique. Leyden
, paraissant par accès périodiques de plus en plus graves. En plus,
paralysie
des membres inférieurs avec incontinence d'urin
plus il a perdu le souvenir du temps qui s'est écoulé depuis que la
paralysie
l'a frappé. Il se croit à Saint-Urbain, veut re
ification de la mémoire parait plutôt due à une anesthésie ou à une
paralysie
de ces cellules qu'à un défaut d'harmonie dans
maladie, soit dans le cours de la première période du tabes. Cette
paralysie
guérit habituellement. Archives, t. X. 15 226
XVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\ MARCHE ascendante, rappelant la
paralysie
ascendante aiguë ; pal'l\l. BARTII, médecin des h
guë, puis des fourmillements dans les extrémités, enfin survint une
paralysie
d'abord des jambes, puis des bras, sans contrac
des hôpitaux (Fr. méd., 4 884, 1.) 1 Limitée au mouvement, cette
paralysie
ne dure guère que vingt- quatreheures. L'âgede
comprend pas le syndrome REVUE DE pathologie NERVEUSE. 229 de la
paralysie
spinale spasmodique. Parmi ces cinquante ma- la
t en état de parésie, mais l'anesthésie dépassait les limites de la
paralysie
et s'étendait du côté gauche seulement sur le t
teur met en relief un mode d'accès d'épilepsie, consis- tant en une
paralysie
pure, momentanée, sans aucun trouble de la conn
utres troubles nerveux, souvent tout à fait passagers (convulsions,
paralysies
, sopor, vertiges, hyperes- thésies, anesthésies
ES CELLULES NERVEUSES ganglionnaires DE l'écorce DU CERVEAU DANS LA
PARALYSIE
PROGRESSIVE DES ALIÉNÉS; par E. MENDEL. (Neurol
surtout chez les vieilles gens ; leur noyau est ellipsoïde. Dans la
paralysie
générale à évolution courte, il n'existe pas d'
pas d'altérations cellulaires ; pour qu'elles existent, il faut une
paralysie
générale ancienne, avec démence avancée et phén
. VIII. L'importance DES altérations ANAT011fOPATHOLOGIQUES DE la
paralysie
progressive DES aliénés dans LEURS rapports ave
ques et leurs formes différentes. Ainsi, les lésions communes de la
paralysie
générale entrai- nent une hyperpression de la p
l ? i ? Ir', l' mort, hyperthermie à 42,1f-) : 'm OBSE3VATION VIII (
paralysie
, ? i ? 1 h"I't ? 1fd ? ,')" : trrl' ,t'l, P,11
l'idiutie., Quant aux troubles de 'la' parole qui rappellent la>
paralysie
générale, trouvés 'chez un groupe d'épileptique
bopementsyltabiquo ; l'écri- ture offrait tous les caractères de la
paralysie
générale.. · SOCIÉTÉS' SAVANTES. 253 "Autres
gers, troubles qui peuvent affecter les formes de convul- sions, de
paralysie
, assoupissements, vertiges, hyperesthésie, anes-
rg j'ai, pendant le stade de sopor d'une épilepsie symplomalique de
paralysie
générale, vu s'effectuer aussitôt une mydriase
l11bre'188. on constate d'abord une aphasie indéniable typique avec
paralysie
adroite. Ces symptômes rétro- cèdent, et il s'i
EL. Sur les cellules nerveuses ganglionnaires de l écorce , dans la
paralysie
progressive des aliénés, ? Ce mémoire déjà publié
\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q \ "...... 1 F 1 auteur a établi que. la
paralysie
générale se traduit par - ') ? Un agrandissemen
ence. » La décision complète de la question sur l'existence de la
paralysie
spastique comme une forme spéciale doit apparte
ès ses particularités cliniques le cas de M. Morgan n'a rappelé une
paralysie
spastique, excepté l'allure du malade, dont l'o
, quelques observateurs ont fait des descriptions de pareils cas de
paralysie
spastique; où, à l'autopsie, on a pu constater
En considérant toutes les remarques faites plus haut, et les cas de
paralysie
spastique accompagnés d'examen anatomique qui o
s paroles de M. Charcot qui dit, au sujet du tableau clinique de la
paralysie
spastique, que nous rappelons ce que les auteur
it, Ollivier (d'Angers) qui le premier a décrit les symptômes de la
paralysie
spastique, la considère comme une espèce de myé
sse affirmer la supposition de M. Erb de la nature anatomique de la
paralysie
spastique; 2) On trouve l'ensemble des symptôme
oixante-cinq jours très malade, a déliré pendant deux jours, pas de
paralysie
ni de con- vulsions. Pas de croûtes, de dartres
. Gâtisme invétéré, onanisme par inter- valles. Marche bien, pas de
paralysie
. Pas d'épilepsie. 1879. Novembre. P.oids, 14 4
chéance physique et intellectuelle : idiotie com- plète, épilepsie,
paralysie
, tuberculose, maladie dont la rela- tion avec l
t moral, les troubles fonctionnels si communs chez les hystériques,
paralysies
ou contractures, tics, névralgies diverses...
érale et viscérale, anes- thésie, hyperesthésie, ou de la motilité,
paralysies
, contrac- tures, peut être le point de départ d
es de la jamhe gauche. 9 décembre. L'anesthésie a disparu avec la
paralysie
par suite de l'électrisation aidée de» suggesti
issaient pas liés à des lésions profondes du système ner- veux. Ces
paralysies
ont pour caractère d'être passagères, incomplèt
nt suffisait pour en provoquer le retour. Il n'y avait pas trace de
paralysie
dans l'intervalle ; l'intelligence était intacte
ous forme d'ictus apoplectique ou d'attaque convulsive, suivis de
paralysie
intéressant le plus souvent toute une moitié du
epuis trois à quatre ans quand . elle fut frappée brusquement d'une
paralysie
de tout le côté gauche du corps. La paralysie s
pée brusquement d'une paralysie de tout le côté gauche du corps. La
paralysie
se dissipa assez rapidement, et la malade, tout
érit par l'emploi des douches. Ce phénomène doit être rapproché des
paralysies
mobiles et passagères de la troisième paire, si
uses des troubles de nutrition dans la folie systématique aiguë, la
paralysie
générale, la méningite chronique, les névroses
ain, température un peu plus élevée àgauche. -Autopsie. C'est une
paralysie
générale avec foyer de ramollissement occupant le
1. L'auteur appelle l'attention sur les allures du globe oculaire (
paralysie
du nerf oculo-moteur externe gauche et du muscl
lo-moteur externe gauche et du muscle droit interne droit) ; sur la
paralysie
de .l'hypo- glosse droit, tandis que les autres
nerfs crâniens étaient exclu- sivement paralysés à gauche ; sur la
paralysie
des extrémités du côté droit qui ne fut complèt
incohérent, agité et a des idées de persécution, aucun symptôme de
paralysie
n'est signalé avant son entrée. IL est arrivé g
spinales; par M. BRAUBACH. (Arch. f. Psych., XV, 2.) Observation :
Paralysie
des extrémités inférieures, anesthé- sie extrêm
ne qui porte préjudice aux conclusions. P. K. XL VI. Cas guéri DE
paralysie
DE L'OCULO-MOTEUR externe avec diabète sucré; p
nt l'intérêt réside dans la coïncidence exacte du dia- bète avec la
paralysie
, celle-ci disparaissant au moment même où dispa
bre extrêmement petit a moins de trente ou plus de soixante ans. La
paralysie
générale, chez les individus très jeunes, ne re
iliaire, mais elle suit une marche tout spécialement pernicieuse.La
paralysie
générale est bien moins héréditaire que les aut
il s'écoula cinq à vingt ans entre l'infection et l'explosion de la
paralysie
générale; résultat nul du traitement antisyphil
de semblables paralytiques avait subi l'action d'autres causes de
paralysie
générale. Il est rare qu'on soit amené à discuter
PATHOLOGIE MENTALE. fluence d'une psychose primitive comme cause de
paralysie
générale; pour l'affirmer, i ! faut que la para
comme cause de paralysie générale; pour l'affirmer, i ! faut que la
paralysie
générale succède directement à un trouble menta
t alors, si ce dernier existe depuis longtemps, on peut dire que la
paralysie
géné- rale en est la complication, s'il n'exist
n est la complication, s'il n'existe que depuis peu, on dira que la
paralysie
générale a pris à son début le masque de la psy
ve; mais que dire, lorsqu'il y a eu entre une psychose simple et la
paralysie
générale un intervalle normal de plusieurs anné
la paralysie générale un intervalle normal de plusieurs années ? La
paralysie
générale chez la femme est six fois moins fréqu
s qui est ici surtout en jeu. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 419 La
paralysie
générale offre, comme altération la plus cons-
s). Pas de multiplication des cellules-araignées. Conclusion : La
paralysie
générale est une encéphalite diffuse de l'écorce
ique ne peutpas être supprimée; défavorable surtout dans les cas de
paralysie
générale avec complications organiques graves;
t cependant on ne constata ni spasmes localisés, ni convulsions, ni
paralysie
; l'impossibilité de se tenir debout, constatée
tûmes cérébraux bien accusés n'ont été nulle part accompagnés d'une
paralysie
rigoureusement localisée. R. M. C. REVUE DE THÉ
a-t-il des formes mentales caractéristiques héréditaires ? De la
paralysie
générale. La paralysie générale a été étu- diée
ales caractéristiques héréditaires ? De la paralysie générale. La
paralysie
générale a été étu- diée comme une maladie indi
ont fait intervenir l'hérédité congestive : depuis, on a admis des
paralysies
générales d'origine vésanique; aujourd'hui, au
aujourd'hui, au point de vue de la cause, on admet,trois espèces de
paralysies
générales : spontanées, congestives, vésaniques
es : spontanées, congestives, vésaniques.On a dit, de plus, que ces
paralysies
générales héréditaires avaient comme caractères
otie, pourquoi n'y a-t-il pas une imbécillité, comme nous avons une
paralysie
générale avec des caractères essentiels, consta
s essentiels, constants, toujours les' ` mêmes ? C'est que, dans la
paralysie
générale, la lésion orga-' nique est une et ide
ies aiguës; M. Foville ' a signalé consécutivement à la variole des
paralysies
généralisées suivies de guérison. Ce ne sont poin
s fébriles sur le cerveau; c'est plus particulière- ment les cas de
paralysie
ou de dégradation intellectuelles consécutifs a
Marie 8 et beaucoup d'autres ont successivement poursuivies sur les
paralysies
consé- cutives aux maladies aiguës. M. Landouzy
les pour tous, donnant lieu soit à des vices de conformation, à des
paralysies
de la motilité, de la sensibilité générale ou d
3 Roger et Damaschino. Recherches accatonzo-patleoloyiyzces sur la
paralysie
spinale de l'enfance. (Gaz. illid. de Paris, 1871
. Déjerine. Recherches sur tes lésions du système nerveux dans la
paralysie
diphthéritique ; (arch. de phys. 1101'm. et path.
. - Sclérose en plaques... Progrès médical, 1884. » Landouzy. - Des
paralysies
dans les maladies aiguës, 1880, p. 312. SOCIÉTÉ
nna un succès complet. Sur le tabou- ret électrique disparaît toute
paralysie
du mouvement et de la sensibilité; en même temp
ant-bras droit. Le transfert s'opère avec une symétrie parfaite. La
paralysie
de la sensibilité, du mouvement, a passé de dro
al lui sont absolument inconnus. Cinquième état. - Absence de toute
paralysie
et anesthésie. Obtenu par le bain électrique ou
l'aimant sur la partie antérieure de la tête. Débarrassé de toute
paralysie
, le sujet est remarquable d'adresse et d'agilit
nde attaque d'hystéro-épilepsie. Sixième ÉTAT. - Absence de toute
paralysie
et anesthésie. Obtenu par l'application d'un ba
entre les troubles centraux et périphé- riques ou plutôt entre les
paralysies
par simple affaiblissement des conducteurs volo
résultat négatif. M. OEBEKE. L'hérédité joue un faible rôle dans la
paralysie
générale. Cette question comporte deux points d
et celle de transmettre. Les femmes transmettent plus facilement la
paralysie
générale; les hommes en sont plus aisément atte
urface de la peau. Eh bien, quand il existe une predisposition à la
paralysie
générale, ou à une affection organique du cerve
elle de cette dernière. C'est alors que la diathèse sedénoue en une
paralysie
générale àlaquellele traitement anti- syphiliti
s de 1 p. 100. En tout cas, il est clair que la syphilis a, dans la
paralysie
générale, plus d'importance que dans les autres
Si la syphilis jouait un aussi grand rôle dans la production de la
paralysie
générale on devrait observer celle- ci plus fré
hapitre syphilis. M. HURLE. La syphilis se comporte vis-à-vis de la
paralysie
générale, comme vis-à-vis de la dégénérescence
ancolie, plus rares encore de folie systématique, infinitésimaux de
paralysie
générale typique.. ' M. SCHUCHARDT. Quelques ob
la première, l'auteur soutient que la lésion caractéristique de la
paralysie
générale porte sur les /tores nerveuses à myéline
bien plus caracté- ristique que les autres lésions attribuées à la
paralysie
générale. notamment l'atrophie cérébrale, l'inf
manie, de mélancolie, de délire des persécutions, d'érotomanie, de
paralysie
générale. Le nombre restreint de faits recueillis
iques d'origine nerveuse; par J. WmL. (Thèse de Paris, 1885.) Des
paralysies
traumatiques d'origine périphérique ; par IL FAU-
par E. 13H;LUZe. (Thèse de Paris, d875.) Contribution à l'étude des
paralysies
dans l'urémie ; par BERNARD. (Thèse de Paris, 1
Nous citerons parmi les travaux qu'il a publiés : Recherches surlea
paralysie
générale progressive, thèse, 1849; - De l'a- al
phie), 230. lyélopathie aiguë à marche ascen- dante, rappelant la
paralysie
as- cendante aigué, par Barth, 226. Névrite m
inale par excitation du sympathique, 225. , Oculo-iholeur commun (
paralysie
périodique du), par Thomsen, 119. Oculo-mot
ralysie périodique du), par Thomsen, 119. Oculo-moteur externe (
paralysie
de l' ;, guérie chez un diabétique, pur Lands
l'encéphale), par Richter, 267. , Paratdehyde,parDenda,t07,249.
Paralysie
générale (état des cellules nerveuses dans la),
les nerveuses dans la), par \Iendel, 232; par Meudet, 23,, 270.
Paralysies
isolées des nerfs du bras, et combinées du bras
vement et par suite de l'exécuter; cliniquement on constatera de la
paralysie
. Cette étude de pathologie nerveuse nous amène
atteinte=. Ce symptôme ne manque également presque jamais dans les
paralysies
d'ori- gine corticale. , Y a-t-il lieu d'attr
pharyngien étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes de la
paralysie
générale; par nI. DIAR1NUON de 10 ? TYIL. (Presse
relative aux diverses périodes et dans les diverses formes de la
paralysie
générale; il étudie aussi les relations de ces al
s (dans plus des deux tiers des cas), à la pre- mière période de la
paralysie
générale, et, par la suite, il est très utile d
es ne fournissent aucune indi- cation relative au pronostic dans la
paralysie
générale et il n'est pas vrai que la conservati
uver tous les trois plus ou moins altérés. A. FENAYROU. VI. De la
paralysie
générale progressive des aliénés chez la femme;
es ; une paralytique générale pour onze femmes. Accroissement de la
paralysie
générale. 48 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. éta
nt plus que les hommes paralytiques ; 2° le rapport numérique de la
paralysie
générale chez l'homme et chez la femme dépend d
s moyennes. Cela a été l'inverse pour l'homme ; aussi chez lui la
paralysie
générale a-t-elle commencé en haut de l'échelle s
e paralytique pour deux paralytiques généraux ; 5- les causes de la
paralysie
générale sont les mêmes chez l'homme et la femm
particularités signalées plus haut donnent à l'image clinique de la
paralysie
générale chez la femme un cachet spécial; 7° la
a, dans ces dix dernières années, subies le tableau clinique de la
paralysie
générale des aliénés ; par E. NENDEL. (New'olo[
les huit der- nières années. On ne trouve d'ailleurs plus dans les
paralysies
gé- nérales typiques les idées de grandeur au^s
es se bornent à des vertiges, ou qu'elles ont lieu la nuit. 4° La
paralysie
générale, plus clémente, est aussi plus fréquente
a maintenant une femme paralytique. 5° Fréquence ascendante de la
paralysie
générale et du tabes REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
de l'âge n'a pas varié, on constate une exigé- ration extrême de la
paralysie
générale chez l'enfant ou le jeune homme au-des
ision, aux lésions sy- philitiques du système nerveux, celles de la
paralysie
générale ! 7° La progression de la fréquence do
janv. 1899.) E. B. XI. Pachyméningite hémorragique ayant simulé une
paralysie
générale; par le DrBoURDIN. (Annales rnédiCO-PS
rmi les maladies qui simulent le mieux, sinon le plus sou- vent, la
paralysie
générale, la pachyméningite doit être placée au
oit propre et, en ce qui a trait au diagnostic différentiel avec la
paralysie
générale, l'erreur peut résulter encore de la s
: 1° La gravité des ictus et même des vertiges ; ceux-ci, dans la
paralysie
générale, où ils se montrent surtout au début, so
« la constatation d'un trouble fonctionnel du cerveau, anesthésie,
paralysie
, convulsions, qui, de par sa persistance doit ê
t réparer le mal qu'il a causé à la société. A. LB\A71toU. IX. La
paralysie
générale au point de vue médico-légal; par M. le
es. IL DE Musgraye-Clay. XIX. Etude clinique de vingt-quatre cas de
paralysie
agitante, avec quelques remarques sur le traite
point de vue clinique à la description que Parkinson a donné de la
paralysie
agitante en 1823, et ce que l'auteur se propose
ture du crâne, avec phénomènes de compression et con- sécutivement,
paralysie
, crises épileptiformes ou coma; 2° les émor- rh
au voisinage de la protubérance et du cervelet; d'autre part, la
paralysie
partielle de la face et du bras, la forme Jackson
inférieurs, vomissements, hoquet incoer- cible, refus des aliments,
paralysie
du bras droit, cécité, photo- phobie, etc. L'hy
es affections organiques congénitales des centres nerveux, idiotie,
paralysie
, épilepsie, hémi- plégie cérébrale infantile.
èrent beaucoup pen- dant les derniers jours de sa maladie, quand la
paralysie
des musclcs du pharynx vint s'ajouter à l'ataxi
aladie devient alors fréquemment absolument semblable à celui de la
paralysie
générale. Il existe peut-être même des cas où l
dans lequel on aurait trouvé à l'autopsie les signes typiques de la
paralysie
générale, ajoutant qu'un cas semblable aurait é
lifération des cellules araignées, comme on le voit souvent dans la
paralysie
générale. Facklam non plus. Je reviendrai tout
oposition analogue, en montrant les analogies qui existent entre la
paralysie
générale et la chorée héréditaire. Les deux mal
qu'on a voulu faire de la psychose choréique de IIuntington avec la
paralysie
générale, en l'appelant Démence choréique suiva
ladies au point de vue étiolo- 118 PATHOLOGIE NERVEUSE. gique. La
paralysie
générale, en effet, est une psychose essentiell
nerveux. Il ne convient donc pas de la mettre en parallèle avec la
paralysie
générale et je pense qu'on fera bien de s'en te
ais aux familles des cérébraux, et s'il existe une hérédité pour la
paralysie
générale, ce n'est point l'héré- dité vésanique
lades sont voués à une classe de maladies spéciales en raison de la
paralysie
générale de leur père ou de leur mère, ce n'est
'est point nécessaire en somme de séparer d'une façon si absolue la
paralysie
générale des autres vésanies. Telle est l'opini
nces congestives. Nos conclusions seront toutes différentes. , La
paralysie
générale ne differc pas essentiellement des . a
lacer l'hérédité alcoolique. M. Ma- gnan, du reste, a prouvé que la
paralysie
générale peut être l'aboutissant de l'alcoolism
voulu dans ce travail étudier les relations de la syphilis et de la
paralysie
générale. C'est une question assez importante p
dité vésanique se place im- 132 ACTUALITÉS. médiatement après. La
paralysie
générale rentre donc dans le cadredes autres vé
s (C.-S. Freund), et quant aux symptômes sensitifs, et quant à la
paralysie
de la vessie, quant aux troubles rectaux. La dimi
ques des petits muscles des mains; cela a suffit pour empê- cher la
paralysie
spasmodique des extrémités inférieures de se pr
F. IX. 1898.) Voici un malade mort dans le cours du 3° stade d'une
paralysie
générale de longue durée. Dans le bulbe et au n
nuels : MM. SEMELAIGNE et SOLFIER. De l'atrophie du cerveau dans la
paralysie
générale. M. Brunet donne lecture d'un mémoire
'où il résulte que l'atro- phie du cerveau serait constatée dans la
paralysie
générale lorsque cette affection suit sa marche
braux qui existe chez plus de la moitié des individus atteints de
paralysie
générale. - M. Brunet a pesé l'encéphale de 313
ammes, inégalité qui ne se rencontre guère que dans l'épilepsie, la
paralysie
générale et cer- taines lésions locales. Cett
ale et cer- taines lésions locales. Cette inégalité tient dans la
paralysie
à ce que le processus inflammatoire auquel elle
elui-ci de 22 grammes Ce fait s'explique par le développement de la
paralysie
générale chez des individus atteints d'hypermég
larger, que le poids moyen du cervelet n'était pas augmenté dans la
paralysie
générale. M. TOULOUSE répond que dans la statis
s la démence sénile elle s'élève à 1276 grammes, tandis que dans la
paralysie
générale elle n'atteint que 1218 gr. 1. Marcel
l de la vision chez ce malade a montré qu'il ne s'agissait ni d'une
paralysie
ni d'une contracture des muscles droits inférie
trouble psychique ou somatique ait pu faire porter un diagnostic de
paralysie
géné- rale. 11 s'agit donc chez ce malade d'u
ne signalé ne peut pas être considéré comme un signe prodromique de
paralysie
générale, pas plus qu'il ne pense que le malade
conscrite, ou d'une syphilis cérébrale plutôt qu'en faveur d'une
paralysie
générale. Tumeur du corps calleux. M. Touche.
de la tête et des yeux du même côté. Dans l'intervalle des crises :
paralysie
faciale inférieure gauche avec déviation de la
la folie délirante. Quelquefois même, la phtisie se termine par la
paralysie
générale ; -, 2° Les troubles mentaux et la tub
ents territoires sensitifs ou sensoriels, ils ont déterminé la même
paralysie
que par la destruction des centres kinesthésiques
ues eux- mêmes. M. J. Soury incline à croire avec Bastian que les
paralysies
hys- tériques sont dues à des spasmes vaso-mote
complète de l'activité fonctionnelle de cette région et partant la
paralysie
de la motilité ou de la sensibilité. Ces mala-
ation de M. Magnan. Il admet' comme limites extrêmes d'âge, dans la
paralysie
générale, 35 et 4 ! ) ans ; ces limites sont be
se spontanée; elle a eu de nombreuses attaques de contracture ou de
paralysie
transi- toires. Elle est d'ailleurs- facilement
aire des quatre membres et de la face est par- faite ; pas trace de
paralysie
ni de parésie ; la force musculaire est bien co
comme accidentelles. En revanche, celles qui se rencontrent dans la
paralysie
générale et l'épilepsie, sont en rapport direct
symptômes apparaissent à graduellement. l'improviste. Absence de
paralysies
, parésies, Il existe des paralysies, paré- cont
ement. l'improviste. Absence de paralysies, parésies, Il existe des
paralysies
, paré- contractures, épilepsie, chorée ou sies,
sie ; il en a été de même après une crise convulsive au cours d'une
paralysie
générale. L'excès d'acide urique a été fré- que
yspeptique. On a trouvé de la peptonurie deux fois sur douze cas de
paralysie
générale. Sur les 202 cas observés, l'albumine a
VI. Les points de différenciation entre la syphilis cérébrale et la
paralysie
générale des aliénés ; par Iiocx T. PATRICK. (The
t oublieux; pour la moelle, il a mal au dos, il boite; il y a de la
paralysie
des jambes et de la vessie, de l'hyperesthésie
ues. ' R. DE nIUSGR.IVE-CL : 1Y. XLI. Le diagnostic précoce de la
paralysie
générale' (démence progressive); par B. S.\CHS.
) Les conclusions présentées par l'auteur sont les suivantes : La
paralysie
générale ou mieux encore la démence paralytique
eur conseille une étude très attentive de la période initiale de la
paralysie
générale et recommande de ne pas perdre de vue
dans l'analyse de son travail la dénomination, plus habituelle, de
paralysie
générale. zu SOCIÉTÉS SAVANTES. toute autre v
sence des symptômes communément regardés comme apparte- nant à la
paralysie
générale n'implique pas nécessairement l'existe
ndrome de Weber, ainsi caractérisé : une hémiplégie gauche avec une
paralysie
complète et totale de la troisième paire droite
isième paire droite, d'une part, et une hémiparésie droite avec une
paralysie
partielle et incomplète de l'oculo-moteur com-
mbreder- nier une fracture des troisième et quatrième dorsales avec
paralysie
sensitivo-motrice complète etflasque, rétention
le par les professeurs Joffroy, Vignes, Kirmisson, à la suite d'une
paralysie
pottique grave par Vincent, de tumeurs des méni
combinaisons stables et pro- duisent la perte de connaissance et la
paralysie
. On obtient un phénomène comparable à l'interfé
réflexes cutanés sont plutôt exagérés. Inté- grité des sphincters.
Paralysie
complète des muscles des yeux pour les mouvemen
d'abord de l'ataxie et de la parésie des extrémités, ensuite de la
paralysie
faciale et de la titubation. Un mois plus tard
mais faibles. L'auteur attire l'attention sur la forme spéciale des
paralysies
oculaires chez son malade ; on les rencontre ra
à une malade qui fut atteinte de céphalées inten- ses et ensuite de
paralysie
de la sixième paire droite. La paralysie céda a
s inten- ses et ensuite de paralysie de la sixième paire droite. La
paralysie
céda au traitement par le K. J. Le mari de la m
lade dans l'espace de trois-quatre jours des phénomènes bulbaires :
paralysie
de la déglutition, respiration fréquente, palpi
ions, pouls petit faiblé 120, cyanose des extrémités et de la face,
paralysie
faciale supérieure bilatérale, paralysie du voi
extrémités et de la face, paralysie faciale supérieure bilatérale,
paralysie
du voile du palais avec perte des reflexes de c
, paralysie du voile du palais avec perte des reflexes de celui-ci,
paralysie
de la langue. Légère parésie du bras 262 SOCIÉT
titubation très accusée. Température 38,6-38,7. Pouls 110. Ensuite
paralysie
du voile du palais, au bout de trois jours para-
des grandes articulations aux petites; deux-trois jours plus tard
paralysie
faciale bilatérale inférieure et supérieure. La c
llules nerveuses, de la cel- ule pyramidale en particulier, dans la
paralysie
générale. (Annales médico-psychologiques, 1898,
896, 2° année.) Azoulay et KLIPPEL. Des lésions histologiques de la
paralysie
générale étudiées d'après la méthode de Golgi.
mars, n° 88.) KurpEL (et A70ULY). - Des lésions histologiques de la
paralysie
générale étudiées d'après la méthode de Golgi.
observation dont l'auteur tire les conclusions suivantes : dans la
paralysie
générale, on peut voir se former dans la moelle
et lombaire. Les hétéropies ne sont pas non plus une rareté dans la
paralysie
générale, et quelquefois, comme dans le cas act
aux inférieurs; quand la tête est tournée vers le côté où existe la
paralysie
ou en général quand il y a contracture des musc
and il y a contracture des muscles du cou et de la nuque ; quand la
paralysie
des bras est plus accentuée que celle des membres
ra presque simultanément et ne se manifestera que tardivement comme
paralysie
véritable. Enfin, on soupçonnera une tumeur de
pçonnera une tumeur de la partie postérieure du corps calleux si la
paralysie
commence par les membres inférieurs, si le facial
es éléments nerveux, comme par exemple dans la période ultime de la
paralysie
générale, le poids spécifique descend beau- cou
aigu, la folie épileptique alcoo- lique, la période congestive delà
paralysie
générale, le poids spé- cifique de l'écorce cér
e l'activité du coeur, l'hypérémie artérielle reparait par suite de
paralysie
ou de parésie des vasoconstricteurs du cerveau.
contraction palpébrale. Voici par exem- ple une malade atteinte de
paralysie
de l'oculomoteur commun du côté gauche depuis d
II, fascicule 14 (juin 87 et janvier 88). 11 s'agissait d'un cas de
paralysie
périphérique incomplète, par lesion osseuse, de
les autres mouvements des pupilles étant perdus, de distinguer une
paralysie
périphérique d'une paralysie centrale. En mai 1
pilles étant perdus, de distinguer une paralysie périphérique d'une
paralysie
centrale. En mai 1890, Fortunati le retrouvait
a- tions. Pas d'examen histologique. G. D. VIII. Les anesthésies,
paralysies
et amyotrophies en tranches et la théorie métam
e jacksonienne d'ori- gine hystérique. G. D. XI. Diagnostic de la
paralysie
bulbaire chronique progressive ; par W. IoSEE.
ons de Duchenne et de Charcot, l'auteur critique la dénomination de
paralysie
labio-glosso-laryngée, aujourd'hui d'ailleurs d
bles pharyngiens et termine par le diagnostic différentiel avec les
paralysies
pseudo-bulbaires, les tabès spamodiques, les chor
tion en augmentant la suggestibilité des sujets. A. FENAYMU. XXV.
Paralysie
bulbaire asthénique, avec l'observation d'un cas
ides difficile, les liquides passent par le nez. Constatation de la
paralysie
de la corde vocale gauche. Tronc et extrémité
note la participation de la branche motrice du cin- quième nerf; la
paralysie
faciale d'un côté et la parésie de l'autre, don
ostic. -La différenciation doit être faite particulièrement avec la
paralysie
pseudo-bulbaire et la paralysie bulbaire dégéné-
être faite particulièrement avec la paralysie pseudo-bulbaire et la
paralysie
bulbaire dégéné- rative vraie. Le diagnostic
la paralysie bulbaire dégéné- rative vraie. Le diagnostic avec la
paralysie
pseudo-bulbaire est plus difficile à cause de l
à cause de l'absence d'atrophie dans les deux cas. Le diagnostic de
paralysie
bulbaire vraie repose sur les caractères suivants
paralysie bulbaire vraie repose sur les caractères suivants de la
paralysie
bulbaire asthénique : ., Etat de la langue pui
anisme. Absence de troubles sensitifs ou sensoriels. POUL1RD. XXVI.
Paralysie
bulbaire asthénique ; par Wharton SrNKLER. . (J
permettre la vision. Face sans expression, comme un masque. Pas de
paralysie
des muscles de la face, ni de 31 : .r REVUE DE
ras), est très caractéris- tique de l'affection et la distingue des
paralysies
bulbaires orga- niques. Dans les antécédents
développement dans les tractus moteurs de la moelle et du pont. La
paralysie
bulbaire asthénique aurait dans ce cas profité,
aucune action sur la motilité, car on ne constate aucune espèce de
paralysie
. Ce fait montre que la chromatolyse n'est pas n
s 57 cas ; ataxie dans 24 ; engourdissement des extrémités dans G ;
paralysie
de la vessie dans 5 ; nausées, vomissements et
trophie optique le signe de Romberg existait en dépit de la cécité.
Paralysie
des muscles de l'oeil : dans 33 cas. Signe d'Argy
ement circonscrite, et qu'il est exceptionnel de rencontrer dans la
paralysie
générale. L'examen anatomique montre une méning
FFROY. 11 y a souvent discordance entre l'étendue des lésions de la
paralysie
générale et le degré minime des symptômes; et l
récente, plus graves que ceux de l'aliénation chronique, et ceux de
paralysie
générale presque toujours mortels, sont beaucou
extrémités de la face et de la langue. Un officier est atteint de
paralysie
à droite n. abducentis. On le traite par les in
les injections sous-cutanées de mercure et les manifestations de la
paralysie
n. abducentis, ne s'affaiblissent pas du tout.
la syphilis par les injec- tions sous-cutanées de mercure, gagna la
paralysie
du côté gauche, n. abducentis ; il entra à l'hô
jections mercurielles sous-cutanées ; mais les manifestations de la
paralysie
sont stationnaires, etc., etc. Et vraiment, pre
ptions motrices; en effet, dans la dernière observation de 1897, de
paralysie
générale avec trouble du sens musculaire à form
première année de sa vie, a fait une chute ayant laissé après elle
paralysie
et accidents convulsifs. L'examen du crâne prat
che. Le sens musculaire est le plus fortement atteint, et, comme la
paralysie
, le trouble de la sensibilité est surtout marqué
s inférieur des ascendantes, que trahissent les convulsions et la
paralysie
du membre inférieur et de la face. C'est bien la
un trai- tement antisyphilitique. Quand l'ataxie se complique de
paralysies
, on voit la paralysie, débutant par les membres
syphilitique. Quand l'ataxie se complique de paralysies, on voit la
paralysie
, débutant par les membres inférieurs, envahir l
a guérison, soit jusqu'à la mort. Celle-ci est la conséquence de la
paralysie
des muscles du tronc et des extrémités. Il peut
ysie des muscles du tronc et des extrémités. Il peut arriver que la
paralysie
, après avoir épuisé tous les muscles jusqu'à la
cornes antérieures de la substance grise. Ainsi s'expliquent les
paralysies
par endartérite de la grande artère spinale et le
rition de troubles trophiques sous forme d'une eschare. ' P. LXX.
Paralysie
du plexus brachial par compression; par le Dr W
nsky. (The journal of neuuous and mental diseuse, novembre 1899.)
Paralysie
du plexus brachial des deux bras par compression.
fs. Excitabilité faradique perdue pour les neris et les muscles. La
paralysie
a duré trois mois. Cause : Paralysie survenue a
les neris et les muscles. La paralysie a duré trois mois. Cause :
Paralysie
survenue après ablation d'une tumeur abdo- mina
nce après cette limite. Il résulte de cette division qu'un cas de
paralysie
générale, selon qu'elle surviendra avant ou apr
as relevés par M. Souques dans la littérature rapprochés des cas de
paralysie
générale conju- gale et de ceux où l'un des con
vé aussi deux fois des conjoints atteints l'un de tabes, l'autre de
paralysie
générale; j'ai vu enfin récemment une femme att
e paralysie générale; j'ai vu enfin récemment une femme atteinte de
paralysie
spasmodique associée à de l'atrophie papil- lai
dont le mari présentait des signes de tabes fruste. M. Souques. La
paralysie
générale conjugale est beaucoup mieux connue, s
IÉTÉS SAVANTES. présente le cerveau d'un malade qui, au cours d'une
paralysie
générale classique où la démence était restée a
douter, le mécanisme des ulcérations tel qu'il se présente dans la
paralysie
générale vraie. Enfin, l'atrophie avec consista
and de vin, mort d'une maladie de foie. Mère morte d'une attaque de
paralysie
. Un frère et une soeur bien portants. Antécéd
t, diminution de l'intelligence, diplégie avec prédo- minance de la
paralysie
à gauche, accès convulsifs. - Vers quinze mois
Jamais de con- vulsions. Diagnostic. Tumeur cérébrale probable. La
paralysie
ne s'accroît pas ; la céphalée n'est pas trop v
n certain nombre d'états morbides où il a pu les retrouver. Dans la
paralysie
infantile, les fuseaux musculaires restent tout
articipation des muscles orbiculaire, sourcilier et fronlal; cas de
paralysie
bulbaire progressive infantile et familiale déc
e, etc. A. 1ENAYRGU. LXXXIH. Lésion en foyer de la capsule interne.
Paralysie
laryngée, syndrome de Weber; par DIDE et G. A.
alcooliques. Cette femme a été atteinte soudainement d'accidents de
paralysie
réali- sant dans leur ensemble le syndrome de W
paralysie réali- sant dans leur ensemble le syndrome de Weber avec
paralysie
du larynx siégeant du côté droit comme la paral
e de Weber avec paralysie du larynx siégeant du côté droit comme la
paralysie
des membres. A l'autopsie, on a constaté l'exis
, à la partie antérieure du bras postérieur. Il semblerait que la
paralysie
laryngée accompagnant le syndrome de Weber fût en
pédoncule cé- rébral. MM. Dide et Weil signalent la fréquence de la
paralysie
laryngée dans l'hémiplégie alterne et son absen
-trois ans qui était atteint d'une paraplégie flasque complète avec
paralysie
de la vessie et du rectum, exagération des réfl
arquée et spécialement d'anémie pernicieuse, est, avec l'ataxie, la
paralysie
et la marche rapide, pathognomonique. Pathogé
e : Névrite optique, céphalée, vomissements, vertiges, convulsions,
paralysie
des nerfs crâniens, même faiblesse et douleurs
l'anesthésie hystérique de certaines zones cutanées et celui des
paralysies
musculaires hystériques, nous pourrons peut-être,
tre une porte, a été pris de trismus au bout de qualre jours, d'une
paralysie
faciale périphérique bilatérale, et, au bout de
actement la ligne mé- diane. Si l'on rapproche ce cas de ceux où la
paralysie
faciale et le trismus siégeaient du même côté q
ar à une compression assez forte et prolongée. "- Sur un cas de`
paralysie
spinale infantile avec participation du nerf ré
UET. Chez un enfant atteint vers la fin de la première année, d'une
paralysie
spinale infantile nettement caractérisée, on vo
per simultanément des troubles laryngés comme ceux que détermine la
paralysie
d'un nerf récur- rent. Ces troubles laryngés ap
rile d'invasion de la maladie; ils suivent la même évolution que la
paralysie
du membre inférieur frappé par la para- lysie i
ute jamais complètement. Aucune autre cause ne peut expliquer cette
paralysie
récurrentielle; il n'exisle pas d'adéno- pathie
s leur évolution, et dans leur reliquat semble bien indiquer que la
paralysie
de quelques muscles intrinsèques du larynx relè
s du larynx relève du même processus que celui qui a déterminé la
paralysie
du membre inférieur; par conséquent il semble trè
bulbaires et phénomènes liés aux nerfs crâniens. A l'étranger la
paralysie
infantile se montre souvent sous forme d'épidémie
éorie métnméryue de Brissaud, par Crocq, 330. Anesthésies. Les -,
paralysies
et amyotrophlee en tranches et la théorie mét
par Vigouroux, 522. Pachymémngite HlhlORRHAGIQUE ayant simulé une
paralysie
générale, par Bourdin, 53. - chez un enfant d
par Bourdin, 53. - chez un enfant de 9 ans, par Spiller, 343.
Paralysie
. Etude clinique sur la - aritante, par Collines
nfantile avec partici- pation du nerf récurrent, par Huet, 532.
Paralysie
générale. Troubles com- parés des dlvels réflex
ercure, par Lmtzon, 77 Différenciation entre la céré- brale et la
paralysie
générale, par Patrick, 246. - et tabès port-
siques et dans l'esprit des médecins : je l'énon- cerai ainsi : Une
paralysie
grave, plus ou moins généralisée, à marche aigu
s des sphinc- ters. Cette gène de la miction tenait sans doute à la
paralysie
des muscles de la paroi abdominale, et, en part
ouvement d'inspiration. Il n'a pas non plus présenté de signe d'une
paralysie
du voile du palais. Cependant la sphère des nerfs
e que, par moments, il a vu double et louché. Au dire de Ch...,la
paralysie
des mouvements est parvenue à son apogée dans l
re-gorge, retombaient entre les dents et les joues, par suite de la
paralysie
des joues et des lèvres. On ne constatait plu
ie des joues et des lèvres. On ne constatait plus de traces d'une
paralysie
des muscles extrinsèques de l'oeil. Les pupille
endre-le lit, en raison des progrès de la faiblesse des membres. La
paralysie
s'était étendue aux muscles du tronc et à ceux de
e des quatre membres et du tronc, avec son caractère de parésie, de
paralysie
motrice incomplète ; elle se conciliait avec la p
e cas de ce malade, me parait des plus faciles à résoudre : . Une
paralysie
motrice, qui réalise le mode d'évolution et la di
ns que myélite il y ait eu ; pour qu'elle se fût tra- duite par une
paralysie
exclusivement motrice, sans douleurs spontanées,
ent. Du même coup, l'atrophie s'empare des muscles dans lesquels la
paralysie
s'établit à de- meure. L'atrophie musculaire, q
açon,dans les cas de polynévrite plus ou moins généralisée. Ici. la
paralysie
se développe avec une lenteur rela- tive et ave
presque toujours sous cette forme. Des troubles en rapport avec une
paralysie
des muscles de l'oeil, ou avec une 7e paire son
e aiguë généra- lisée ; assez souvent, elle s'accompagne de quelque
paralysie
des muscles de l'oeil, et vous vous rappelez qu
t du strabisme. On a publié des cas de polynévrite compliquée d'une
paralysie
simple ou double de la 7e paire ; la constatati
ait une signification beaucoup moins grave, lorsqu'elle traduit une
paralysie
du pneumogastrique, que lorsqu'elle est liée à un
ive de son centre bulbaire. En ce cas, une asphyxie mortelle ou une
paralysie
irrémédiable du coeur est pres- que inévitable.
refroidissement local des parties dans lesquelles se cantonnent la
paralysie
et l'atrophie musculaire. Enfin, il n'est pas j
ies des réactions électriques sont en raison directe du degré de la
paralysie
: Pas de paralysie, vous disais-je, dans une pr
lectriques sont en raison directe du degré de la paralysie : Pas de
paralysie
, vous disais-je, dans une précédente leçon sur un
signes en rapport avec une ébauche de réaction de dégénérescence ;
paralysie
complète, réaction complète de dégénéres- cence
précisément ce qui a eu lieu chez notre malade; à une époque où la
paralysie
avait atteint son maximum d'intensité, aux quatre
es n'étaient pas plus paralysés que d'autres. Enfin, la face, où la
paralysie
intéressait uniformément tous les muscles inner
. Nombreux sont les indivi- dus qui, ayant échappé a une attaque de
paralysie
infantile, restent impotents, infirmes, pour le
s qui passeront pour merveilleuses, chez des malades atteints d'une
paralysie
atrophique aiguë et subaiguë, et qui étaient vo
de myopathie décrits jusqu'à ce jour. Il ne ressemble en rien à la
paralysie
pseudo-hypertrophique, maladie héréditaire et fam
s. La muscu- Du reste tout est lature est normale. normal. Pas de
paralysies
ni de tremblements. Tous les mouve- ments,
artin, oculiste à Bordeaux, qui a constaté l'existence d'une double
paralysie
faciale. Enfin, dans le courant de ces dernière
inte de hernie du poumon qui est le siège de douleurs Vives. Pas de
paralysie
du diaphragme. L'abdomen est dans son ensemble
. En 1893 sur- viennent des crampes nocturnes dans les mollets, des
paralysies
oculaires passagères, puis en 1894 une poussée
s l'influence de la colère. Va- riole dans la première enfance sans
paralysie
consécutive. Pas de btennorrha- gie. A 20 ans,
eur est bien por- tante ; deux frères sont morts de diphtérie (sans
paralysie
). Etat actuel (15 juillet 1898). On se trouve e
ans l'hémithorax droit. Respiration courte, diaphragmatique. Pas de
paralysie
du diaphragme. La tète est mobile dans tous les
llons disséminés sur la langue. Réflexe pharyngien très vif. Pas de
paralysie
du voile du palais. Pas de dé- viation de la lu
amyotrophie qui ressemble sympto- matiquement aux monoplégies de la
paralysie
atrophique de l'enfance ou de la paralysie spin
nt aux monoplégies de la paralysie atrophique de l'enfance ou de la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire, a
muscles. ' Un mois après, un nouvel examen permet de constater une
paralysie
très marquée des muscles du bras et de l'avant-
st plus avancée. L'anesthésie permanente ou passagère associée à la
paralysie
à la suite d'une lésion nerveuse tron- culaire
ait - et M. Apert (1) en a observé un cas très démonstratif que les
paralysies
radiculaires traumatiques entraînent, elles aus
la mydriase et le myosis unilatéraux ou bilatéraux, l'amblyopie, la
paralysie
de l'accommodation à la distance, les combinais
et lointaines chez certains dégénérés Dans le tabes, comme dans la
paralysie
générale, il existe une phase d'irritabilité nu
ort avec l'appareil labyrinthique est celui de la sixième paire. La
paralysie
de ce noyau et la diplopie qui en résulte, ne s
Le vertige et le signe de Romberg persistèrent plus longtemps. La
paralysie
de l'oculomoteur externe, paralysie passagère, co
persistèrent plus longtemps. La paralysie de l'oculomoteur externe,
paralysie
passagère, comme la paralysie réflexe, d'origin
a paralysie de l'oculomoteur externe, paralysie passagère, comme la
paralysie
réflexe, d'origine purement labyrinthique, se ret
ui présentait, en même temps qu'une surdité notable à gau- che, une
paralysie
de l'oculomoteur externe du même côté (2). Un a
rès, ce malade est un tabétique confirmé. Ilolt a signalé un cas de
paralysie
de l'accommodation coïncidant avec une otite mo
ralysie de l'accommodation coïncidant avec une otite moyenne et une
paralysie
faciale, toutes deux et peut-être toutes trois
lade sur laquelle on constatait, outre un ptosis du côté droit, une
paralysie
des mouvements de l'adducteur du même côté pour
par Duval et Laborde entre l'adducteur droit et l'abducteur gauche (
paralysie
du premier et spasme du second). A quel point
lieu à une incontinence d'urine analogue à celle qui accompagne les
paralysies
du sphincter uré- thral. UN NOUVEAU TABLEAU
ier. 12e ANNÉE NI, 3. Mai- Juin 1899 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ \ PAR A. S
itaux. ET J. CASTAIGNE Interne des hôpitaux. L'histoire de la
paralysie
du muscle grand dentelé est relativement ré- ce
journal médical (5), en trois ans, contient quinze observations de
paralysies
dites du grand dentelé. Mais ce sont là des fai
On a compris, dit Duchenne (6), ou plutôt confondu, sous le nom de
paralysies
du grand dentelé, -une affection complexe dans
u grand dentelé qui ont été publiées. » Du reste, tous les faits de
paralysie
isolée du grand dentelé - la seule que nous aur
phie, Barreïro (8) n'en retient que seize cas. Somme toute, celte
paralysie
isolée constitue une rareté clinique. Du- (1) V
. und Phys., t. LXXIV, 4Rtû. (8) Bauheiro, Contnib. à l'étude de la
paralysie
du muscle grand dentelé, Th. de Paris, XII. 189
178 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE chenne (1) déclare n'avoir pas vu de
paralysie
ou d'atrophie « parfaitement limitée au grand d
suit-il, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'atrophie ou de
paralysie
du grand dentelé que j'ai explorés, je ne l'ai pa
er (2). Actuellement tout le monde est d'accord sur la rareté de la
paralysie
du grand dentelé. Ilenial (3), sur z.000 admiss
(3), sur z.000 admissions hospitalières, n'a constaté que 23 cas de
paralysie
ou de contracture périphérique des mus- cles de
einture scapulo-humérale. Or, de ces 23 faits, 3 se rapportent à la
paralysie
isolée du muscle grand dentelé, et 6 à cette même
nt à la paralysie isolée du muscle grand dentelé, et 6 à cette même
paralysie
associée à celle de la portion moyenne du trapè
1892. NOUV. Iconographie Dt la SAI PÊTRIERE. r. XII. PI. XX111
PARALYSIE
ISOLEE DU MUSCLE GRAND DENTELE (.A. Souques et
NTELE (.A. Souques et J. Castaigne) MASSON & cle. Editeurs.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 179 que gène dan
à sa pneumonie, .mais l'attention ne fut réellement attirée sur sa
paralysie
, qu'au moment de sa convalescence. Jamais,' aupar
çu qu'un de ses bras fut plus faible que l'autre. Les phénomènes de
paralysie
qu'il présente sont donc apparus au cours de sa
n nor- NOUV. Iconographie DF la Salpêtrière. l'. XII. PI. XXI'"
PARALYSIE
ISOLEE DU MUSCLE GRAND DENTELE (A. Souques et J
ND DENTELE (A. Souques et J. Castaigne) MASSON A Cie, Editeurs.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 181 male sans dé
t des C. à 120 millimètres. Il est possible que, chez ce malade, la
paralysie
du grand dentelé soit incom- plète ; mais les e
s détails de l'observation. Il s'agit incontestablement d'un cas de
paralysie
isolée du grand dentelé droit survenue au cours d
squement de douleurs vives dans la nuque. Rapidement s'installa une
paralysie
des muscles du bras droit, puis du bras gauche,
nd dentelé soit exception- nelle au cours de la fièvre typhoïde. La
paralysie
isolée du muscle grand dentelé n'est-elle pas t
. 95. Nouv. Iconographie 17F la SAI.IltTRIÈRF,. T. XII. PI. XXV
PARALYSIE
ISOLEE DU MUSCLE GRAND DENTELE (A. Souques et J
ENTELE (A. Souques et J. Gistaigne) MASSON & Cie, Editeurs.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 183 nelle du bra
e d'élever son bras droit et présentait les signes ordinaires de la
paralysie
du grand dentelé. Le cas de Bernhardt (2) mér
che. Cet homme éprouva, quelques semaines avant l'apparition d'une
paralysie
du grand dentelé gauche, des douleurs vives dans
ace la déformation de son omoplate. Quant aux trois observations de
paralysie
isolée du grand dentelé, attri- buée au froid e
i- buée au froid et l'humidité, voici dans quelles conditions cette
paralysie
est survenue. Dans le cas de Busch (5), il s'
paralysie est survenue. Dans le cas de Busch (5), il s'agit d'une
paralysie
isolée et bilatérale des deux grands dentelés.
uchement de douleurs vives dans le bras droit et consécutivement de
paralysie
isolée du muscle grand dentelé, du même côté.
là dans quelles conditions s'est produite, chez ces dix malades, la
paralysie
du grand dentelé (4). Il conviendrait maintenant
. Woch., 1880, p. 27 î. (4) Dans un très intéressant travail sur la
paralysie
du grand dentelé, paru dans le Moniteur des méd
s a obligeamment adressé son mémoire, a publié deux observations de
paralysie
isolée du muscle grand dentelé. En voici le rés
malade aurait toujours pu lever le bras au-dessus de l'horizontale.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 185 Voyons tout
ont très suggestifs : effort mus- culaire violent et aussitôt après
paralysie
du grand dentelé. Ne peut-on pas supposer ici q
alades, de faire remarquer qu'il s'agit toujours d'hommes et que la
paralysie
siège chez tous, sauf chez le malade de Bernhar
tous les muscles celui qui agit le plus puissam- (1) On sait que la
paralysie
des tambours, d'après les travaux de Bruns et de
mouvements du bras. La gène considérable de ces mouvements, dans la
paralysie
isolée du grand dentelé, en est une preuve irré
tiraillements capables de le paralyser ? Bref, qu'il s'agisse d'une
paralysie
du muscle grand dentelé, consécu- tive à un eff
e pas prouvée. On invoquait jadis pareille action pour expliquer la
paralysie
du nerf radial, qu'on attribue aujourd'hui à un
ne compression du nerf. Ne s'agit-il pas de com- pression, dans les
paralysies
du grand dentelé, survenues la nuit, peut-être
lement du nerf ? Sans pouvoir l'affirmer et sans vouloir rejeter le
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 187 rôle du froi
marquer que notre hypothèse peut s'appuyer sur les cas analogues de
paralysies
diverses, survenues pendant le sommeil, à la su
enant à envisager le mécanisme des cas de Baeumler et de Weber : la
paralysie
est consécutive à la fièvre typhoïde et à l'accou
ous venons d'exposer pour expliquer la physiologie pathologique des
paralysies
isolées du grand dentelé, quelle que soit leur
cette hypothèse, si on veut bien considérer que, sur ces dix cas de
paralysie
du grand dentelé, sept siègent à droite, deux s
hognomonique, à l'aide duquel on peut établir le dia- gnostic de la
paralysie
ou de l'atrophie du grand dentelé, alors que le
Cosigne pathognomoni- que, important à connaître dans les cas où la
paralysie
du grand dentelé se complique de celle du delto
t pas rare, déclare Duchenne, el qui a dû bien des fois empêcher la
paralysie
du muscle grand dentelé de se manifester), se c
e constater les mêmes phénomènes sur d'autres sujets atteints de la
paralysie
du grand dentelé. » A la page suivante, Duchenn
Duchenne donne encore un autre signe. qui permet de reconnaître la
paralysie
du grand dentelé, lorsque l'élévation du bras est
percevoir ce signe, il faut appliquer une main sur chaque épaule du
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 189 sujet, en re
donné d'élé- vation impossible du bras, par exemple dans un cas 'de
paralysie
du del- toïde compliquant celle du grand dentel
du scapulum. Il n'en reste pas moins établi, pour Duchenne, que la
paralysie
du grand dentelé n'entraîne aucune difformité a
que, confirme l'opinion de Du- chenne. Il pense que tous les cas de
paralysie
du grand dentelé, accom- pagnés de déformation
normal, le scapulum reste dans sa position physiologique, malgré la
paralysie
du grand dentelé. Cet auteur rapporte une obser
mations que les Allemands considè- rent comme caractéristique de la
paralysie
isolée du grand dentelé, à sa- voir, l'écarteme
éformation qu'on regarde, en Allemagne, comme caractéristique de la
paralysie
isolée du grand dentelé témoigne de la particip
obliquement en bas et en dehors. Si le trapèze est intact, dans la
paralysie
du grand dentelé, le scapulum garde sa position p
(1 ) se rapproche aussi de l'opinion de Duchenne. Dans trois cas de
paralysie
isolée du grand dentelé qu'il a observés, la défo
rement écarté du thorax. Toutes les fois, ajoute-t-il, que dans une
paralysie
du grand den- telé, le bras étant au repos, le
n fait de para- lysie isolée Au grand dentelé, car il n'a pas vu de
paralysie
ou d'atro- phie « parfaitement limitée au grand
re rare, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'atrophie ou de
paralysie
du grand dentelé que j'ai explorés, dit-il, je ne
r (3), Eulenburg (4) et l3uchmüller (5), etc. sont du même avis. La
paralysie
isolée du grand dentelé entraîne une déformatio
al. Encyclop., t. XII. (6) IIUCII11CLLER, Thèse d'Erlangen, 1892.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 191 déplacement
u grand dentelé. Cette adduction se répète»* très souvent, et si la
paralysie
dure quelque temps, l'adduction deYil1;Jï.t hab
ché du rachis. On peut donc admettre en thèse générale que, dans la
paralysie
isolée du grand dentelé, lorsque le bras est au
allèle au rachis, en était rapproché de deux centimètres environ.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 193 en quelque s
entelé joue un rôle considérable dans la statique de l'omoplate. Sa
paralysie
doit nécessairement entraîner un trouble de cet
xistence d'une association paralytique du trapèze, soit le degré de
paralysie
du grand dentelé, complète ici, plus ou moins i
us ou moins incomplète la. Voyons maintenant les caractères de la
paralysie
du grand dentelé, dans l'élévation volontaire d
note un travail de Morstadt, élève de Ziemmssen, sur quatre cas de
paralysie
du grand den- telé, Dans un de ces cas, semble-
l'obliquité notable du bord spinal traduit la participation fi. la
paralysie
des portions moyenne ou inférieure du trapèze.
ant l'élévation du bras (2). » Que va-t-il se passer dans le cas de
paralysie
du grand dentelé. L'éléva- tion volontaire du b
ne, Physiol. des noruem., p. 53. (2) DUCIIEPNE, loc. cil., p. 65.
PARALYSIE
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 105 Dans Jes con
t de rendre une chute imminente ». Il est donc logique que, dans la
paralysie
du grand dentelé, l'élévation du bras s'arrête
, du reste, ce qui se voit dans la majorité des observations. Cette
paralysie
sup- prime, en effet, le mouvement de rotation
ceptionnels d'élévation du bras au-dessus de l'horizontale, dans la
paralysie
du grand dentelé. , On peut d'abord supposer
telé. , On peut d'abord supposer qu'il s'agit, dans ces cas, non de
paralysie
absolue, mais de simple parésie, autrement dit
non de paralysie absolue, mais de simple parésie, autrement dit de
paralysie
incomplète. S'il en était ainsi, l'action du gr
rmettre l'élévation au-dessus de l'horizontale. Mais s'il s'agit de
paralysie
complète, l'hypothèse précédente ne vaut plus.
et qu'elle jouisse d'une grande force. » Par conséquent, dans la
paralysie
isolée du grand dentelé, l'élévation du bras ju
défor- mation doit vraisemblablement exister, dans tous les cas de
paralysie
iso- lée du muscle grand dentelé. Elle ne se vo
spirateurs accessoires. (1) Souques, Déformations du thorax dans la
paralysie
du muscle grand dentelé. Soc. méd. des hôp., 21
série, t. V, p. 49). (2) CoLonAx, Les ll'ouhles trophiques de la
paralysie
générale (Arch. de Neurol., 1898, 2e série, t.
Flué, Faits pour servir à l'histoire des Iroubles trophiques dans la
paralysie
générale des aliénés (Nouv. lcon. de la Salp.,
. LE PRURIT ET LA TRICHOTILLOMANIE 313 l'existence au début de la
paralysie
générale d'un prurit isolé indépendant de toute
uère avec une lésion des filets nerveux, lésion qui, au cours de la
paralysie
générale, n'aurait d'ail- leurs guère de tendan
e l'origine cen- trale, elle peut s'appuyer sur des analogies : les
paralysies
d'origine cen- trale, les hémiplégies cérébrale
on Bechtereid en a cité tout récemment des exemples. Au cours de la
paralysie
générale le prurit transitoire peut s'expliquer
paralysie générale le prurit transitoire peut s'expliquer comme une
paralysie
transitoire (ané- mie locale du cerveau). Si on
t constater une diplopie homonyme dans le champ du regard à gauche (
paralysie
de la troisième paire gauche), pas de dyschromato
is a été souvent décrit, dérive en somme toujours du traitement des
paralysies
hystériques par le mouvement attentif tel que l
e atrophie musculaire myélopathique. Il ne peut être question d'une
paralysie
spinale subaiguë de Duchenne, puisque l'impoten
l'impotence fut toujours fonction de l'atro- phie musculaire, sans
paralysie
proprement dite, dominant nettement à l'extrémi
e sujet avait été, comme celui de l'observa- tion IV, atteint d'une
paralysie
infantile, et prédisposé; remarquons ce- pendan
e paralysie infantile, et prédisposé; remarquons ce- pendant que la
paralysie
infantile n'avait intéressé que la jambe droite.
e infantile n'avait intéressé que la jambe droite. Observation IL
Paralysie
infantile du membre inférieur droit. - Atrophie m
D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 365 A l'âge de 2 ans, il fut atteint d'une
paralysie
infantile qui laissa comme déformation une atro
ce cas la coïncidence de l'atrophie musculaire progressive avec la
paralysie
infantile ; nous insisterons.sur ce point au su
les fermes. Etat actuel. - Rien dans les organes des sens. Pas de
paralysie
des muscles de la face ni de l'oeil, ni du palais
tion IV. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique. -
Paralysie
infantile dans les premières années de la vie ;
buté si- multanément et par la jambe antérieurement atteinte par la
paralysie
infantile, et par les muscles surmenés de l'ava
r (P,j. LX, fig. A et B). Antécédents héréditaires. Père atteint de
paralysie
infantile, attaque d'apoplexie, étylisme avéré.
el mort d'hémorrhagie cérébrale. Tante paternelle atteinte aussi de
paralysie
infantile. A 2 frères et 2 soeurs bien portants
bservations III et IV) ; présence d'antécédents poliomyé- litiques (
paralysie
infantile) personnels (observations II et'IV) ou
tent dans ces noyaux du bulbe, restent localisées et constituent la
paralysie
labio-glosso- laryngée progressive essentielle;
es du type sca- pulo-huméral. Il ne s'agit pas chez notre malade de
paralysie
hystérique, il n'a aucun stigmate de la grande
rique, il n'a aucun stigmate de la grande névrose. Ce n'est pas une
paralysie
ra- diculaire traumatique bilatérale du plexus
ns une policlinique de Charcot (-1) une intéressante observation de
paralysie
spasmodique amyotrophique de cause articulaire.
ue, dans certaines observations, au bout de trois à quatre jours la
paralysie
du muscle extenseur du genou peut exister, que, a
NDRÉ ITICIIE ET DE GOTIIARD il a été atteint, il y a dix ans, d'une
paralysie
de la jambe droite. Elle a deux enfants, et n'a
complète (en flexion pour la main, en extension pour la jambe) sans
paralysie
faciale. Quelques mouve- ments partiels et peu
oter au bras droit. La malade n'est pas gauchère. Il n'y a pas de
paralysie
faciale (1), la langue est un peu tremblante et l
ité;pupillaire énorme, et l'in- telligence manifestement affaiblie (
Paralysie
générale ? ). LE TROPHOEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITA
ènes au cours d'une maladie définie du système nerveux (hémiplégie,
paralysie
infantile, labes,'syringomyélie, etc...). Leur
es à formes arthraigiques) ; ou anesthésies (oedèmes superposés aux
paralysies
ou aux contractures hystériques). Chez notre ma
l'avis de M. Joffroy qui ce propos,le cas d'une malade atteinte de
paralysie
infantile du membre inférieur droit accompagnée d
ieu et Joffroy diffèrent des nôtres (ar- tério-sclérose, sciatique,
paralysie
infantile). Celui de M. Debove s'en rapproche d
rretier et Bordeaux ; n'a jamais quitté la région. Début à 18 ans :
paralysie
progressive avec atrophie musculaire des mem- b
tion segmentaire ; dystrophie unguéale; acromégalie (radiographie).
Paralysie
avec atrophie des muscles extenseurs et des cubit
vembre 1898. Cet - homme est atteint, depuis l'âge de 18 ans, d'une
paralysie
progressive des membres supérieurs. On ne con
ophique du membre inférieur gauche, par Vigoureux (1 phot.), 481.
Paralysie
isolée du muscle grand dentelé (Contribution à
t.), 69. Castaigne J. et A. Souques. Contribution à l'étude de la
paralysie
du muscle grand dentelé (4 phot.), 178. Darti
ème dystrophique du membre inférieur gauche (VIGOUROUX). LXXXIII.
Paralysie
isolée du muscle grand dentelé (Souques et Cast
t.), 37. Souques A. et J. Castaigne. Contribution à l'étude de la
paralysie
isolée du muscle grand dentelé (4 phot.). 178.
le interne, dans le cas où le malade survit, il persiste toujours une
paralysie
avec contracture indélébile. L'importance d'une
, p. 579. — Micrzcjewski. — Éludes sur les liions céré-brales dans la
paralysie
générale. In Archives de physiologie, p. 194, 187
quinze ans, avait été frappé, dans le cours de sa troisième année, de
paralysie
spinale infantile. Cette affection avait atteint
ures de substance grise (Fig. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu, la
paralysie
infantile; dans le mode chronique, les diverses f
éphale, la sclérose symétrique et primitive des cor-dons latéraux, la
paralysie
bulbaire par lésion isolée des noyaux d'origine d
Elle avait été frappée d'aphasie. 11 n'a-vait existé aucune trace de
paralysie
soit du mouvement, soit de la sensibilité. L'apha
n limitée au lobe carré (plaque jaune), il n'existait aucun indice de
paralysie
correspondante. — Dans un autre fait, il s'agit e
hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale, pour la distinguer des
paralysies
motrices qui résultent quelquefois de la lésion d
hémiplégies cérébrales cor-ticales. b) Dans la majorité des cas, la
paralysie
liée aux lésions des noyaux gris centraux porte s
s autres noyaux gris. D'un autre côté, le caractère transitoire de la
paralysie
résultant de ces lésions partielles des masses ga
nt situées très bas du côlé du pédoncule, ces lésions déterminent une
paralysie
motrice qu'accompagne à peu près nécessairement l
fâcheux augure dans l'espèce parce qu'il annonce dans la règle que la
paralysie
résistera à tous les moyens thérapeu-tiques. 3°
ent, comme vous le savez, au domaine de l'artère lenticulo-striée, la
paralysie
portera exclusivement sur le mouvement ; aucun tr
souvent, la lésion siégeant en quelque sorte sur un terrain mixte, la
paralysie
du sentiment s'accompagnera d'une hémiplégie mo
que par une cicatrice linéaire ochreuse, l'hémianesthésie et même la
paralysie
motrice, mal-gré la destruction d'une partie du n
suit fatalement ; le plus souvent, il s'y associe un certain degré de
paralysie
motrice : celle-ci, au contraire, se montre seule
ressort de Veyssière, opérant la section de la capsule interne. une
paralysie
motrice bien dessinée et qui rappelle l'hémiplé-g
peu près inaccessible à l'anatomo-pathologiste. L'ôpilepsie vraie, la
paralysie
agitante, l'hystérie même la plus invétérée, la c
z, Messieurs, tout l'intérêt des cas de ce genre, au point de vue des
paralysies
cérébrales directes. On entend par là, ainsi que
s cérébrales directes. On entend par là, ainsi que vous le savez, les
paralysies
qui, contraire-ment à la règle, se produisent du
règle, se produisent du même côté que la lésion. L'existence de ces
paralysies
est incontestable, mais à coup sûr moins fréquent
oup sur le faisceau croisé, circonstance suffisante pour expliquer la
paralysie
directe. 2e type. Celui-ci a été observé 11 foi
es.Cependant,quelques faits empruntés à fana-tomie pathologique de la
paralysie
générale (1) semblent dé-montrer qu'il en est rée
rise, ainsi que cela se voit, soit sous une forme aiguë comme dans la
paralysie
infantile, soit sous une forme chronique comme da
alisations. 17 lysie et hyperesthésie ; de l'autre côté, absence de
paralysie
motrice, mais anesthésie) (4), L'autopsie démontr
nesthésie et conservation des mouvements ; à droite, hyperesthésie et
paralysie
du membre inférieur. La mort eut lieu au bout de
n peut expliquer ainsi les paraplégies plus ou moins complètes et les
paralysies
des deux membres inférieurs, qui se produisent pa
moitié latérale de la moelle chez un cochon d'Inde, par exemple, la
paralysie
est d'abord très accentuée du côté correspondant
peu de parésie de l'autre côté. Mais bientôt, si l'ani-mal survit, la
paralysie
diminue du côté de l'hémisection, quoique persist
lement défaut dans l'impuissance motrice liée au tabès ataxique, à la
paralysie
de cause cérébrale ou spinale de l'enfance et enc
d'autres états du même genre, tandis qu'il ne manque jamais dans les
paralysies
de cause cérébrale ou spinale dans lesquelles la
e qu'il soitprésent. C'est, en somme, un des caractères du groupe des
paralysies
spasmodiques ; et les hémiplégies centrales avec
rice par exemple, les poliomyélites antérieures aiguës ou chroniques (
paralysie
infantile, atrophie musculaire progressive spinal
ites antérieures ; 2° ou bien il s'exagère notablement comme dans les
paralysies
spasmodiques. Chez les hémiplé-giques menacés de
de M. Erb — le signe du genou avait fait défaut tant qu'avait duré la
paralysie
. Il reparut lorsque le malade put recouvrer l'usa
ette Faculté, sur l'usage de la noix vomique dans le traitement de la
paralysie
. C'est ainsi qu'est intitulé le second mémoire pu
açci-dent, le membre inférieur droit, c'est-à-dire correspondant à la
paralysie
, étaitdevenu rigide dans toutes ses parties ; on
ins pro-noncée. Cette parésie peut s'aggraver au point de devenir une
paralysie
complète,véritablement flaccide.J'ai reconnu que
tout autre que celui qui produit les déformations propres à certaines
paralysies
et qu'on désigne quelquefois sous le nom de contr
ces contractures dites paralyti-ques. Supposons qu'il s'agisse d'une
paralysie
atrophique des muscles qui, normalement, opèrent
comme la cirrhose par exemple, ainsi que cela se voit dans certaines
paralysies
faciales. Dans la contrac-ture tardive, au contra
sain qui semble paralysé, et, au premier abord, on peut croire à une
paralysie
alterne. 4° Je vous ai présenté la contracture
t étroite, le bassin est rétréci et oblique. C'est de la sorte que la
paralysie
atrophique résultant d'une lésion de la substance
léments ganglionnaires. Il en résulte que, dans ce» parties, outre la
paralysie
plus ou moins prononcée, il y a uni exagération n
né, s'accuse une cer-taine faiblesse parétique, puis à la longue, une
paralysie
véri-table, résultat évident de l'interruption de
dans les faisceaux pyramidaux. Notez bien, Messieurs, ce fait que la
paralysie
en question n'a rien d'une paralysie avec contrac
bien, Messieurs, ce fait que la paralysie en question n'a rien d'une
paralysie
avec contracture. Mais au bout de quelques jour
on nombre de ces cas qui affectent dans la clinique cette forme de la
paralysie
spasmodique ; et j'ai pro-posé de les rassembler
ire. — Myélites trans verses et hémisections de la moelle épinière. —
Paralysie
des deux membres inférieurs dans le cas de lésion
sclérose en plaques. Tabès dorsal chez l'adulte et chez l'enfant, —
Paralysie
spasmodique infan-tile. — Etiologie, pathogénie,
ie expérimentale, qu'une lésion transverse hémilaté-rale, produit une
paralysie
motrice aussi bien dans le membre opposé que dans
de la moelle épiniôre, chez un cochon d'Inde par exemple, produit une
paralysie
des deux côtés, paralysie, à la vérité, beaucoup
z un cochon d'Inde par exemple, produit une paralysie des deux côtés,
paralysie
, à la vérité, beaucoup plus accentuée du côté de
près, chez l'homme, au moins chez un certain nombre d'indi-vidus. La
paralysie
du côté de la lésion n'est jamais aussi com-plète
té opposé à la lésion ne présente pas, lui aussi, un certain degré de
paralysie
. Cette disposition hypothé- tique offre donc ce
n hémilatérale est très profonde, en répartissant en quelque sorte la
paralysie
des deux côtés. Du reste, dans le cours ultérieur
avez, à étudier les divers modes de terminaison que peut présenter la
paralysie
en semblable occurence, alors que déjà la contrac
trer dans la clinique un certain nombre de cas où les symptômes de la
paralysie
spasmodique, développés primiti-vement comme dans
6. M. Erb a désigné cette affection prétendue spéciale sous le nom de
paralysie
spinale spasmodique. JJai proposé, puisqu'il s'ag
orbide particulier, le nom de tabès dorsal spasmodique, le terme de «
paralysie
spasmodique » ne pouvant représenter qu'un syndro
se montrent pas associés, à une certaine époque de la maladie avec la
paralysie
spasmodique, si celle-ci relève d'une sclérose en
ché, sous Fig. 89. tous les rapports, entre cette affection et la
paralysie
spinale infantile, et ainsi nous voyons qu'à côté
et la paralysie spinale infantile, et ainsi nous voyons qu'à côté des
paralysies
spinales infantiles il existe une paralysie spasm
ous voyons qu'à côté des paralysies spinales infantiles il existe une
paralysie
spasmodique infantile, bien distincte, et netteme
savait du reste — que la dé-marche spasmodique, ou, si vous voulez la
paralysie
spasmo-dique peut se manisfester sous les formes
-- Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës :
paralysie
spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte.
s et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile,
paralysie
spinale de l'adulte. — Forme subaiguë : paralysie
spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme subaiguë :
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë de Du-chenne
econ-naître la signification de ce syndrome, désigné sous le nom de
paralysie
spasmodique et qui, ainsi que vous 1 avez vu, jou
triques spéciales. C'est là un fait qui distingue du premier coup ces
paralysies
de celles qui résultent d'une lésion des faisceau
oupe des amyotrophies spinales protopathiques aiguës. a) L'espèce
paralysie
spinale de V enfance est la maladie qu'ont étudié
iffuses. Ici, la lésiou trophique des muscles, analogue à celle de la
paralysie
infantile, est chose fréquente. Mais il se produi
ait donc assez naturel-lement que cette malheureuse est frappée d'une
paralysie
to-tale, flaccide. Il y a cependant loin de là, à
ogressive. Il n'en est rien cependant, et, là encore, il s'agit d'une
paralysie
spasmodique. En effet, si l'on examine de près ce
ace, elle présente une physionomie qu'on peut caractériser d'un mot :
paralysie
labio-glosso-laryngée. Mais il s'agit ici d'une p
d'un mot : paralysie labio-glosso-laryngée. Mais il s'agit ici d'une
paralysie
labio-glosso-laryngée un peu différente de celle
son aspect pleurard, se différencie aisément du mas-que inerte de la
paralysie
de Duchenne. D'ailleurs, après cela, plus rien
enne. D'ailleurs, après cela, plus rien qui ne se rencontre dans la
paralysie
labio-glosso-laryngée protopathique ; aujourd'hui
essants et des plus instructifs. Il fait voir un mélange de certaines
paralysies
musculaires, en apparence flaccides, avec un ense
s que possible ; et c'est précisément là que réside le problème de la
paralysie
spasmodique. Or, l'histoire de la malade en quest
it un boulet à chaque pied ». Trois mois plus tard, s'est déclarée la
paralysie
des membres supérieurs, caractérisée par de l'imp
e la pointe du pied) existe aussi, à un très haut degré. Quant à la
paralysie
labio-glosso-laryngée, elle n'est encore qu'à ses
s débuts, mais rien ne manque : faciès caractéristique de la double
paralysie
faciale, voix nasillarde, parole pâteuse, langage
prématurés qui ont, à très courte échéance, suivi les symptômes de la
paralysie
atro-phique des membres. Mais, à part cette légèr
e chefs qui suivent: Io Dans la sclérose latérale amyotrophique, la
paralysie
se-rait atonique ; il n'existerait pas de symptôm
musculaire serait le symptôme dominant; et il ne s'agirait pas d'une
paralysie
atrophique, en ce sens que le stade de paralysie
s'agirait pas d'une paralysie atrophique, en ce sens que le stade de
paralysie
initiale ferait défaut; 3° Il n'existerait qu'u
ie initiale ferait défaut; 3° Il n'existerait qu'une seule forme de
paralysie
bulbaire : celle qu'a décrite Duchenne (de Boulog
Den... en particulier, qui, à l'heure actuelle, semble frappée d'une
paralysie
atonique généralisée, a éprouvé, pendant un an et
role et la déglutition s'embarrassent; les différents symptômes de la
paralysie
bulbaire s'accentuent rapidement ; le malade succ
ture de la partie inférieure de la face, soulèvement des commissures.
Paralysie
légère des muscles labiaux (la malade dit qu'elle
Outre que la rigidité articulaire pure et simple, dans le cas d'une
paralysie
flaccide, semble une chose bien invrai-semblable,
est le symptôme dominant ; et ce n'est pas à pro-prement parler, mie
paralysie
atrophique, en ce sens qu'il n'y a pas un stade a
aralysie atrophique, en ce sens qu'il n'y a pas un stade antérieur de
paralysie
simple. C'est là une assertion que M. Charcot r
contestable que, de prime-abord, ces membres paraissent frappés d'une
paralysie
toute simple. Tel est le cas du malade cité dans
sible : l'atrophie est précédée d'une période plus ou moins longue de
paralysie
. Mais, aux membres supérieurs même, quand l'atrop
rieurs même, quand l'atrophie ne survient pas trop brusquement, cette
paralysie
peut se montrer comme un symptôme isolé de la mal
IV sont très concluantes. III. — Quant à l'identité de nature de la
paralysie
labio-glosso-laryngée de Duchenne, avec les accid
aire. —Myélites trans verses et hémisections de la moelle épinière. —
Paralysie
des deux membres inférieurs dans le cas de lésion
sclérose en plaques. Tabes dorsal chez l'adulte et chez reniant. —
Paralysie
spasmodique infan-tile. — Etiologie, pathogenic,
— Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës :
paralysie
spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte.
s et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile,
paralysie
spinale de l'adulte. — Forme, subaiguë : paralysi
spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme, subaiguë :
paralysie
générale spinale antérieure subaiguë de Dn ehenne
Paciiyméningite caséo-tuberculeuse, 251. Papille étranglée, 124.
Paralysie
spinale infantile, 39, 307 ; — quelle place occup
— quelle place occupe-t-elle dans le groupe des poliomyélites, 382.
Paralysie
spinale de l'adulte, 382. Paraplégie spasmodiqu
rations secondaires dans la —, 278 ; - Contracture dans la —, 359 ; —
Paralysie
spas-modique dans la —, 369. Scléroses fascicul
re, la stérilité de la pensée et l'impuissance morale, soit avec la
paralysie
générale, si curieuse- ment représentée par une
ssent très rarement. ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 27 Î
paralysie
. Or, un membre affaibli n'est pas, par cela mêm
le unilatérale ne produit pas exclusivement et invariablement une
paralysie
des membres du côté opposé. En général, en outr
paralysie des membres du côté opposé. En général, en outre de la
paralysie
typique croisée, il existerait une paralysie di
éral, en outre de la paralysie typique croisée, il existerait une
paralysie
directe légère. Quelquefois aussi, la lésion po
irecte légère. Quelquefois aussi, la lésion pourrait déterminer une
paralysie
limitée à trois mem- bres (les deux membres inf
ielle qui existe entre l'affaiblissement musculaire et la véritable
paralysie
. 28 CLINIQUE NERVEUSE. J'ai fait depuis quelq
les d'exercer, la plus légère pression sur le dynamomètre; dans les
paralysies
incomplètes d'emblée ou devenues incomplètes pa
e ces deux degrés extrêmes, on trouve tous les intermédiaires. La
paralysie
peut aussi être complète au membre supérieur et
es ne soient réellement compromis que du côté de l'hémiplégie. La
paralysie
, ou pour employeruneexpression plns pré- cise,
de l'impotence fonctionnelle. Pour apprécier exactement le degré de
paralysie
d'un membre, il ne suffit pas de connaître l'én
ait, l'état des forces est secondaire. Ce qui est essentiel dans la
paralysie
cérébrale, c'est la perte absolue ou relative d
de l'impotence fonctionnelle absolue ou relative qui caractérise la
paralysie
. Les membres du côté correspondant à la lésion
de biol., 1882, p. 328.) 62 RECUEIL DE FAITS. certain degré de
paralysie
du côté supposé sain, et cette para- lysie est
donner que des renseignements très vagues, n'ont été suivies ni de
paralysie
, ni de vomissements, etc. Elles n'ont été pré-
et la 8t REVUE CRITIQUE. surdité que l'aphasie ataxique n'est la
paralysie
. Il s'agit là de la perte de l'une des facultés
on des vaso-constricteurs cervico-céphaliques n'a pas pour cause la
paralysie
du sympa- thique cervical comme on pourrait le
teurs provenant du cordon cervical (Vulpian), ou au contraire d'une
paralysie
des nerfs d'arrêt et des vaso-constricteurs ? L
. LEPTODZENINGITIS h^emorrhagica, présentant LES SYMP- TOMES de .LA
paralysie
progressive; par BECHËTRÈW. [Gazelle clinique h
Mierzejewsky, qui présenta pendant la vie le tableau clinique de la
paralysie
générale, avec quelques parti- cularités : une
avec un des types cliniques connus (mélancolie, folie systématique,
paralysie
gé- nérale). Périodiques et souvent précédées d
s, quelquefois môme de l'incoordination des membres inférieurs. Les
paralysies
véritables manquent habi- tuellement, et n'ont
mentales dont vous pouvez affirmer la constante incurabilité ? La
paralysie
générale, qui par sa fréquence se présentait en p
grave. Comme le patient chancelle sans présen- ter de symptômes de
paralysie
, on pense .a une de ces hémorrha- gies qui rapp
mblements par accès demeure immobile. Dilatation pupillaire; pas de
paralysie
faciale. Parole précipitée mais obtusion intellec
ité du sillon de Rolando ne furent pas suffisantes pour produire la
paralysie
du facial et de l'hypoglosse. Le tremble- ment
e. 9 '130 SOCIÉTÉS SAVANTES. , M. 13E,4,No communique un cas de
paralysie
progressive périodique. Il concerne un homme de
nte-neuf ans, qui, dès le 2 mars 1878, était au stade initial de la
paralysie
générale ; on constatait en même temps chez lui
ènes tabétiques avec divers symptômes com- muns de la syphilis, les
paralysies
oculaires en particulier; 4° influence dans cer
c troubles mentaux, quinze; hystérie avec aliénation mentale, onze;
paralysie
gêné- rale, quatorze; délire chronique, trente-
on mentale, de la façon suivante : démence consécutive, vingt-huit;
paralysie
générale, dix; mélancolie, dix; délire chroniqu
trouve dix-huit avec désordres sexuels, et sur vingt- quatre cas de
paralysie
générale, vingt avec les mêmes altérations. Au
a ménopause, sur vingt-huit cas, on n'en trouve que huit. Quanta la
paralysie
générale, sur quatorze cas avant la ménopause,
mme le prouve le fait suivant : Observation I. Hérédité congestive.
Paralysie
générale progressive à la première période, dat
t der- nièrement M. Dagonet, de voir chez des malades atteints de
paralysie
générale des lueurs de conscience et, à certain
que les poussées congestives qui sont une des complications de la
paralysie
générale diminuent à certains moments, de maniè
le preuve. Observation II. Hérédité congeslive. Cxcis de travail.
Paralysie
générale progressant sans rémission depuis six
. A. l'admission tous les symptômes physiques et psychiques de la
paralysie
générale progressive à forme expansive, au premie
urs. Observation III. Habitudes alcooliques liées à la ménopause.
Paralysie
générale avec dipsomanie et kleptomanie. Rémiss
le goût des liqueurs fortes, goût qui s'est accru par la suite. La
paralysie
générale a débuté en janvier 1879 par une viole
rver dès le dé- but : 1° la mort rapide; 2° les convulsions ; 3° la
paralysie
sans perte de connaissance ; 4° la paralysie av
es convulsions ; 3° la paralysie sans perte de connaissance ; 4° la
paralysie
avec perte de connaissance (mode fréquent); 5°
e fréquent); 5° la perte de connaissance partielle ou to- tale sans
paralysie
. L'auteur constate qu'il lui a été à peu près i
athologie nerveuse. 2° Troubles moteurs. Contractures, convulsions,
paralysies
, chacun de ces symptômes est étudié dans son ép
'un aliéné dans un établissement ? E. CH. X. Sur l'écriture dans la
paralysie
générale; par SCHÜLE. (Allgemeine Zeitschrifl s
e, excitation mo- trice, démence, malpropreté, agitation, insomnie,
paralysie
de 23t revue DE pathologie mentale. la parole
gu; Régis pour un travail sur l'Eliolorlie de quelques formes de la
Paralysie
générale. M. LASÈGuE demande qu'il soit attribu
isquerait de contenir une foule d'individus atteints de démence, de
paralysie
, d'imbécillité, de malheureux tombés dans une s
ans les pyramides et le cervelet) ayant déterminé le syndrome de la
paralysie
spinale spasmodique, jusqu'au moment où une com
ce. L'homme de quarante-six ans, dont il s'agit, offre une complète
paralysie
de l'oculo-moteur externe du côté gauche, en mê
l'oculo-moteur externe; il ne saurait être question non plus d'une
paralysie
conjuguée et encore bien moins de la déviation
grité dufacia) à gauche ; parésie de sa branche buccale adroite ;
paralysie
du muscle élévateur du voile du palais du même cô
Asiatiques. M. Westphal interroge le voyageur sur l'existence de la
paralysie
générale dans les pays visités par lui. M. V. D
que de la parésie dans le domaine du facial, à droite, ainsi que la
paralysie
de l'élévateur du voile du palais de ce côté. L
out récemment publiée par Hunnius, et de laquelle il résulte que la
paralysie
combinée des muscles de 1'oeil ne signifie pas
ient bientôt la place d'abord à de la raideur, enfin à une complète
paralysie
de la motilité et de la sen- sibilité de tout c
ningite hémorrhagique. M. BINSWAN(-,F.11 se range à l'opinion d'une
paralysie
générale. Il est facile d'expliquer en un cas d
éningite chronique accom- pagne du reste, comme on sait, souvent la
paralysie
générale. M. Richter insiste sur l'absence d'in
n générale que le malade laissa sur son esprit fut celle, non de la
paralysie
générale, mais d'une tumeur cérébrale. I'oor 11
cérébral dans lequel les symptômes notés trois jours avant la mort (
paralysie
de l'oculo-moteur, paralysie opposée du facial
tômes notés trois jours avant la mort (paralysie de l'oculo-moteur,
paralysie
opposée du facial et des extrémités) permirent
tique, des tremblements en général, do la maladie de Parkinson, des
paralysies
d'origine viscérale et périphérique, du nervosi
· . BIBLIOGRAPHIE. 263 IV. Essai sur une forme rhumatismale de la
paralysie
agitante ; par VRSSELLE. Thèse de Lyon, 1882.
oppant les idées de son maître M. Pierre), cherche à établir que la
paralysie
agitante peut avoir des origines variables, qu'
alysie agitante peut avoir des origines variables, qu'il existe des
paralysies
agitantes à pathogénies différentes. La variété
l'étiologie, permet de croire qu'il est un certain nombre de cas de
paralysie
agitante d'origine nettement rhuma- tismale ; c
xisté des douleurs rhumatoïdes plus ou moins nettes. Cette forme de
paralysie
agitante est susceptible d'être améliorée ou mê
aris. 1882. Contribution ci l'étude de la névrite ascendante et des
paralysies
ré/fees; par OLLIGn. Tlièse de Paris, 1882. E
t de simplicité; dans la seconde, un cas où il est symptomatique de
paralysie
générale; dans la troisième, les cas où, associ
pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229 CLINIQUE MENTALE. Ces symptômes de
paralysie
générait ! deviennent de plus en plus marqués p
serve une perle de connaissance subite, dont le malade se tire sans
paralysie
, ou encore tout se borne à un vertige. Plus s
ou encore tout se borne à un vertige. Plus souvent peut-être, la
paralysie
se produit sans chue, ni perte do connaissance.
te, assez fréquentes même pour qu'on doive toujours, dans un cas de
paralysie
limitée, rechercher s'il n'existe pas de sucre
mitée, rechercher s'il n'existe pas de sucre dans les urines. Ces
paralysies
peuvent être bornées à un membre ou même à un s
Plusieurs sont particulièrement intéressantes en ce qu'on voit les
paralysies
partielles s'ajouter les unes aux autres. Ousl
che. Observation 111. M. de B..., diabétique. Aphasie totale avec
paralysie
faciale droite. Quelques jours après, l'index de
Une nuit il est pris subitement, sans perte de connaissance, d'une
paralysie
du bras gauche avec engourdisse- ment du membre
combinées est celui qui est rapporté par M. Ogle1. -Observation V.
Paralysie
du bras droit et du côté droit de la face (coïn
ition du sucre dans l'urine; difficulté de l'articulation des mots.
Paralysie
du bras gaucho; difficulté pour ouvrir la bouch
ple; il en est de môme des hémiplégies. Un autre carac- tère de ces
paralysies
, c'est qu'elles sont souvent incomplètes. Dans
uvements volontaires, il ne peut se tenir debout. D'autres fois, la
paralysie
est à la fois incomplète et tout à fait éphémèr
bserve dans le cours du diabète sont loin d'être toujours dus à une
paralysie
motrice ; ils reconnaissent souvent pour cause
nies passagères sont peut-être susceptibles d'être attribuées à une
paralysie
temporaire des muscles du larynx. Quant aux p
buées à une paralysie temporaire des muscles du larynx. Quant aux
paralysies
des muscles de 1'oeil, il n'en existe pas d'obs
tes, même dans la thèse de Kiwatkowski, qui attribue au diabète une
paralysie
du pathé- tique. L'un de nous a observé une par
u diabète une paralysie du pathé- tique. L'un de nous a observé une
paralysie
du droit externe survenue dans les mêmes condit
aralysie du droit externe survenue dans les mêmes conditions. Ces
paralysies
à forme hémiplégique générale, ou partielle, do
intéressant au point de vue séméiologique consiste en une sorte de
paralysie
du sens mus- culaire, caractérisée par un manqu
importante à noter au point de vue de la pathogénie, c'est que ces
paralysies
peuvent se développer quelque temps avant que l
fente sténop- cique, un trou d'épingle la corrigeront. Au cas de
paralysie
incomplète, on conslate tous les troubles carac
les membres, grâce auxquels le malade offre les appa- rences de la
paralysie
générale. D'ailleurs Delpech a fourni à Marchai
rale. D'ailleurs Delpech a fourni à Marchai (de Calvi') un cas de
paralysie
générale véritable, survenu chez un glycosurique
ture chirurgicale par allongement passif des antagonistes et par
paralysie
, enfin pour exprimer la relation, avec les affec-
déglutition s'accomplissait parfais tement, et il n'y avait pas de
paralysie
des organes de la parole. Avec cette aphasie co
e stomacale, peuvent produire des symptômes nerveux divers dus à la
paralysie
ou à l'excitation du nerf vague. Ces phénomènes
ns la sphère du nerf vague (irritation de ses rameaux sensitifs, ou
paralysie
réflexe de ses rameaux car- diaques). Les phéno
es observés, comme probablement analogues à celles trouvées dans la
paralysie
diphthéritiquo et les autres formes de paralysi
s trouvées dans la paralysie diphthéritiquo et les autres formes de
paralysie
mentionnées après les maladies aiguës. Les symp
omi- nants d'une affection médullaire unilatérale. Ultérieurement
paralysie
croissantes'étendant à l'autre jambe; rigidité, c
fes- tations du côté de la sensibilité. Au moment de l'admission,
paralysie
de la jambe avec rigidité/Phénomènes tendineux ac
d'une affection fébrile aiguë, ainsi qu'à la première période de la
paralysie
générale. » ' R. DE M.-C. XVIII. De l'emploi DE
vait probablement joué le princi- pal rôle dans la production de la
paralysie
ainsi que de la lésion descendante secondaire.
396 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXIII. LES hallucinations dans la
paralysie
générale DES ALIÉNÉS, CONSIDÉRÉES SPÉCIALEMENT
et quelle persévérance M. J. Mie-Icle s'est adonné à l'étude de la
paralysie
générale des 'aliénés ; le mémoire dont il s'ag
ont les suivantes : Les hallucinations et les illusions ont dans la
paralysie
géné- rale plus de fréquence et d'importance qu
e la vue ne sont guère plus fréquentes d'une façon absolue, dans la
paralysie
générale que les hallucinations de l'ouïe. Mais
açon plus précise, chez les soldats atteints de folie non aiguë, la
paralysie
' générale étant exclue, les hallu- cinations d
lles l'emportent également sur les hallucinations de la vue dans la
paralysie
générale. Chez les aliénés, en géné- ral, les h
générale. Chez les aliénés, en géné- ral, les hallucinations de la
paralysie
générale sont souvent de courte durée; elles ré
s agréables ou très pénibles. La plupart des hallucina- tions de la
paralysie
générale sont liées d'une façon intime à des lé
els corticaux du cerveau. Lorsqu'on étudie les hallucinations de la
paralysie
générale au point de vue des localisations céré
s et ne s'accomplissent jamais. R. de M.-C. BIBLIOGRAPHIE De la
paralysie
générale et du traumatisme dans leurs rapports
er l'influence des traumatismes du crâne sur le développement de la
paralysie
générale; dans la seconde il étudie les affecti
es traumatismes du crâne peuvent provoquer le développement de la
paralysie
générale. La maladie peut débuter peu de temps ap
urs une forme particulière qui permette de reconnaître la cause. La
paralysie
générale, d'origine traumatique, dont la pathog
t reconnaître sûrement l'origine traumatique dans un cas donné de
paralysie
générale, on pourrait porter un pronostic favorab
ostic favorable sur les enfants nés avant l'accident. II. Dans la
paralysie
générale on rencontre souvent une raréfac- tien
des sétons et autres moyens du même ordre dans le traitement de la
paralysie
générale. La maladie, même à la dernière périod
e sur la symptomatologie de l'épilepsie, dans ses recherches sur la
paralysie
générale et sur l'aphasie. ' Dans un autre or
dérations sur les attaques apoplectifornzes et épileptiformes de la
paralysie
générale; par A. Broquerre. Thèse de Paris, 1882.
. Divorce et aliénation mentale, 120, 239,243. Ecriture dans la
paralysie
générale, par Schule, 230. Epilepsie (Importa
s, 86. Hallucinations unilatérales, 117. Hallucinations dans la
paralysie
générale, considérées spéciale- ment dans leu
. Leptomémiugitis hémorrhagica,pré- sentant les symptômes de la
paralysie
progressive, par Be- chetrew, 90. n Maladie d
s de l'-sur le cerveau) , 375 . Pacchioni (granulations de), 368.
Paralysie
agitante (essai sur une forme rhumatismale de l
te (essai sur une forme rhumatismale de la), par Vesselle, 263.
Paralysie
générale (réflexe tendi- neux dans la), 387.
le, 263. Paralysie générale (réflexe tendi- neux dans la), 387.
Paralysie
générale et traumatisme, dans leurs rapports ré
traumatisme, dans leurs rapports réciproques, par Vallon, 398.
Paralysie
progressive périodique, 130. Paralysie spasmo
ques, par Vallon, 398. Paralysie progressive périodique, 130.
Paralysie
spasmodique (note sur un cas d'hémiplégie avec)
en dehors des attaques), par Marie, 42. Réflexe tendineux dans la
paralysie
générale.387. Responsabilité criminelle, 397.
COLE-DE-MÉDECINE REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planebe I.
PARALYSIE
INFANTILE F ORME P A II A P L É G I Q V E REV
PARIS CLINIQUE MÉDICALE GROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. -
PARALYSIE
INFANTILE Leçon faite par M. CHARCOT, à la Salp
alement distinctes. Qu'il me suf-fise de citer, à titre d'exemple, la
paralysie
infantile spinale, la para-lysie générale spinale
n'a pas reçu encore droit de domicile dans les cadres classiques, la
paralysie
glosso labio-laryngée, Y atrophie musculaire prog
talon la maladie singulière qu'on désigne vulgairement sous le nom de
paralysie
in-fantile. C'est là, en effet, l'un des types le
accusés de la ma-nière la plus frappante, partant, dans l'espèce, la
paralysie
infantile peut être présentée comme une maladie d
ans l'âge mûr, une affection qui ne diffère en rien d'essentiel de la
paralysie
infantile, de telle sorte que, à côté de la paral
essentiel de la paralysie infantile, de telle sorte que, à côté de la
paralysie
spinale de Venfance, il y a lieu de faire une pla
paralysie spinale de Venfance, il y a lieu de faire une place pour la
paralysie
spinale de Vadulte. C'est là un point que 1 Lab
aralysie spinale de Vadulte. C'est là un point que 1 Laborde, de la
Paralysie
(dite essentielle) de l'enfance. Paris, 1864, p.9
aufl. Stuttgart, 1860, p. 60. 3 Duchenne (de Boulogne) fils, de la
Paralysie
atrophique graisseuse de l'enfance. Paris, 1864,
'enfance. Paris, 1864, p. 21. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX
PARALYSIE
INFANTILE forme généralisée. s* 1 REVUE PHOTO
éralisée. s* 1 REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche III.
PARALYSIE
INFANTILE forme généralisée. N° 2 M. Duchenne
nce de deux périodes. Première période. 1° Le mode d'invasion de la
paralysie
infantile est, vous le savez, des plus remarquabl
. Ces symptômes paralytiques offrent de grandes variétés de siège. La
paralysie
est parfois absolue, com-plète, intéresse les qua
sivement les deux membres su-périeurs*; — enfin, il est des cas où la
paralysie
, atteignant seule-ment les membres inférieurs, re
orme paraplégique. (Yoy. plaische I.) En résumé, on observe ici une
paralysie
complète, absolue, avec flaccidité des membres, a
'altérations un peu accusées de la sensi-bilité, contrastant avec une
paralysie
motrice aussi absolue, aussi complète, est un des
solue, aussi complète, est un des caractères les plus frappants de la
paralysie
infantile1. Yoici encore un nouveau trait. A un
eurs, les caractères les plus saillants de la pre-mière période de la
paralysie
infantile ; je vous demande la per-mission de les
mission de les résumer en quelques mots : 1° Invasion brusque de la
paralysie
motrice qui atteint du pre-mier coup son summun d
con-tractilité faradique dans un certain nombre de muscles frappés de
paralysie
; 3° Absence de troubles marqués de la sensibil
paralysie ; 3° Absence de troubles marqués de la sensibilité, — de
paralysie
du rectum ou de la vessie, — absence d'eschares o
DE LA PREMIÈRE ENFANCE observation par les drs ball et liouvili.e
Paralysie
des membres inférieurs, survenue après des accide
ortantes que nous allons décrire, c'est-à-dire les conséquences d'une
paralysie
dont le début remontait à l'enfance, à la premièr
paralysie dont le début remontait à l'enfance, à la première enfance,
paralysie
qui avait frappé certaines parties du corps, mais
—¦ Augmentation progressive du 1* volume de la rate. — Aphonie. —
Paralysie
incomplète des membres supérieurs, puis des membr
ne aphonie com-plète, à laquelle vint presque aussitôt se joindre une
paralysie
in-complète de la motilité des membres supérieurs
parut entrer dans une phase plus favorable. — La voix revint, mais la
paralysie
des membres augmenta, et avec elle l'atrophie mus
l'ictère rend parfaitement compte de ces altérations de l'urine. 6°
Paralysie
. Après avoir démontré que la paralysie observée n
s altérations de l'urine. 6° Paralysie. Après avoir démontré que la
paralysie
observée n était ni une paralysie périphérique de
alysie. Après avoir démontré que la paralysie observée n était ni une
paralysie
périphérique de cause locale, ni une para-lysie p
lle n'est pas admissible, et ils sont amenés à considérer ainsi cette
paralysie
comme étant de cause réflexe, et en effet, dans l
ure. CLINIQUE MÉDICALE IGROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. -
PARALYSIE
INFANTILE Leçon faite par M. CHRCOT, à la Salpê
ont nous venons de vous entretenir, inaugure la seconde période de la
paralysie
infantile. Elle commence à s'accuser du deuxième
raisseux. Elle constitue, d'ailleurs, l'un des traits saillants de la
paralysie
infantile et elle semble s'accuser •plus vite, da
s-rapide. Ainsi, d'après M. Duchenne (de Boulogne), elle est, dans la
paralysie
infantile, déjà très appa-rente au bout d'un mois
ullement en rap-port nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la
paralysie
et de l'atrophie musculaires. Ainsi, suivant un
suivant une remarque de Duchenne (de Boulogne), un mem-bre frappé de
paralysie
infantile pourra avoir perdu la plupart de ses mu
que, dans un autre cas, la diminution en longueur du membre frappé de
paralysie
pourra aller jusqu'à 5 ou 6 centimètres, bien que
ne bonne partie du jour, il dit même avoir vu quatre ou cinq fois une
paralysie
infantile tout à fait temporaire, et aboutissant
De même que l'atrophie, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la
paralysie
spinale infantile que dans toutes les autres form
s la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres formes de
paralysie
des membres3. C'est peut-être le lieu de faire re
ition, 1872, p. 400. 2 R. Volkmann, loc. cit., p. 6. « Même dans la
paralysie
infantile très-limitée et très-incomplète, les tr
formités commencent à s'accuser. Ainsi se développe le pied bot de la
paralysie
infantile qui est le pied bot paralytique par exc
jointures permet de distinguer à coup sûr le pied bot résultant de la
paralysie
infantile du pied bot con-génital, alors même que
ée à l'âge de cinq ans. Tels sont les caractères fondamentaux de la
paralysie
infantile spinale considérée dans son mode réguli
droit à notre intérêt. Ainsi il est des cas où, après la fièvre, la
paralysie
, au lieu d'at-teindre tout à coup son plus haut d
e, à mon avis, ils peuvent servir à établir un trait d'union entre la
paralysie
infantile spinale et les autres maladies du group
re les lésions que les recherches récentes ont fait constater dans la
paralysie
infantile et auxquelles se rattache l'ensemble si
l'on étudie les muscles altérés à une épo-que éloignée du début de la
paralysie
, ainsi que nous avons eu maintes fois l'occasion
s faire recon-naître que malgré cette analogie d'ordre secondaire, la
paralysie
infantile diffère cependant essentiellement de la
daire, la paralysie infantile diffère cependant essentiellement de la
paralysie
pseudo-hyperlropliique (atrophia musculorum lipom
le moment de vous faire remarquer que la lésion spinale qui, dans la
paralysie
infantile, ne fait jamais défaut, manque au contr
rvations, conformes d'ailleurs en cela à celles de Cohnheim — dans la
paralysie
myo-sclérosique. La surcharge graisseuse bien q
intéressant à la fois, et le plus neuf de l'histoire anatomique de la
paralysie
infantile. Aussi crois-je utile d'entrer à ce pro
mme étant l'organe où les lésions primordiales et fondamentales de la
paralysie
infantile devaient être cherchées. C'était, de le
s régulières, relativement à la nécro-scopie du centre spinal dans la
paralysie
infantile. Dès 1864, nous avions reconnu, M. V.
e (de Boulogne)1. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la
paralysie
infan-tile, a été pour la première fois signalée
ritique permet de reconnaître en effet qu'il s'est agi là d'un cas de
paralysie
infantile spinale. L'époque de la vie où 1 Comp
plus contribué a déter-miner le caractère des lésions spinales de la
paralysie
infantile, est celle que nous avons faite l'an pa
e Wilson, qui succomba à la phthisie pulmonaire à l'âge de 45 ans. La
paralysie
chez cette femme s'était dévelop-pée tout à coup,
et Prévost et dans celui de L. Clarke, est un fait con-stant dans la
paralysie
infantile spinale et d'où dérivent les princi-pau
ù dérivent les princi-paux symptômes de la maladie, en particulier la
paralysie
ainsi que l'atrophie des muscles ; nous avons en
aux considérations suivantes qui concernent plus particulièrement la
paralysie
infantile. Relativement à notre première conclu
sale de la moelle épinière faile à la région lombaire, dans un cas de
paralysie
infantile spinale occupant le membre inférieur dr
ugmentation de la température. A hautes doses : ils déterminent une
paralysie
vasculaire, dimi-nuent la tension artérielle, la
ons mus-culaires : directes, ou par rétraction ; antagonistes, ou par
paralysie
. 4° année. 3 Le diagnostic entro ces deux ord
généralement la-cile. Chez notre malade, il n'y a évidemment pas de
paralysie
. La tête est déviée à gauche (voy. Planche VI) ;
a fréquence de ses battements. La deuxième action détermine : 1° La
paralysie
réflexe des vaso-moteurs ; — 2° le relâchement et
: 1° hyposlhénisation des centres nerveux et nerfs volontaires ; — 2°
paralysie
de tout le système musculaire ; — 3° extinction
is en lumière. 1 Voyez Revue, page 1, la leçon de M. Cuaucot sur la
Paralysie
infantile. 4e AXSÉE. 0 Je traiterai aussi des
ilière, plus chaud que le gauche ; presbytie et tous les signes de la
paralysie
de Loculo mo-teur commun (chute de la paupière, m
inaires consistent en lésions des nerfs moteurs des muscles de l'œil (
paralysie
de la 3e et de la 6e paire). La vision est généra
continus n'indiqueraient au-cune modification dans des cas anciens de
paralysie
de cause cérébrale par exemple, nous pouvons cons
us long. Ce sont les mêmes phéno^ mènes qu'on observe dans les cas de
paralysie
faciale périphérique; et c'est probablement à cet
qu'il faut rapporter la diffé-rence d'action, si remarquable dans ces
paralysies
, des courants induits et des courants continus.
NFÉRIEURS g hez une l'hiiiisique 7 ans, elle a été atteinte d'une
paralysie
faciale sur laquelle elle ne peut du reste donner
sont pour ainsi dire réduits au squelette. Du reste, il n'y a pas de
paralysie
véri-table dans ces membres, et, à part une grand
permanents, aux courants continus énergiques et temporaires dans les
paralysies
, les contractures musculaires et les lésions de n
il s'agissait d'une paraly-sie de l'avant-bras ; dans l'autre, d'une
paralysie
avec contracture des muscles du mollet et de la p
us peu-vent être d'un immense secours dans le traitement des diverses
paralysies
, contractures, lésions de nutrition. Remak l'avai
attaques dites congestives, apoplectiformes, ou épileptiformes de la
paralysie
générale progressive, ainsi que l'a, le premier,
présenta à minuit, dans le bras gauche, où l'on avait constaté de la
paralysie
, mais pas d'insensibilité, des soubresauts modéré
de M. Sée, de M. Blachez et de M. Bail. Chez six malades atteints de
paralysie
des extenseurs des doigts, par intoxication satur
s de paralysie des extenseurs des doigts, par intoxication saturnine,
paralysie
remontant à une époque plus ou moins éloignée, no
e l'électrisation des centres sur les affections périphériques. Ces
paralysies
saturnines me servent encore admirablement d'exem
les complications de chaque cas. Nous avons en effet trois classes de
paralysie
saturnine et nous avons eu l'occasion de les cons
à être lésé. Permettez-moi de vous faire remarquer à ce sujet que la
paralysie
des extenseurs n'indique nullement une af-fection
tion généralisée des centres nerveux, ou une cachexie déterminent des
paralysies
ou des atrophies musculaires, ce sont toujours le
ues se trouvait à l'ori-gine du nerf facial droit, et avait amené une
paralysie
des muscles de la face. A mesure que l'état de ce
ortance de ces différences d'action des courants électriques dans les
paralysies
faciales, dans les paralysies infantiles, dans ce
ction des courants électriques dans les paralysies faciales, dans les
paralysies
infantiles, dans certains cas hybrides d'atrophie
peut tirer de ces recherches, surtout dans le diagnostic de certaines
paralysies
, je ne vous citerai que le fait sui-vant, que nou
connaissance. Nous le vîmes deux jours après, et, à l'exception de la
paralysie
des muscles de la face, le malade n'accusait au
vous auriez certes, pour la plu-part, porté le même diagnostic, à une
paralysie
périphérique du nerf facial due à l'influence d'u
n'étions qu'au deuxième jour de l'affection. Vous savez que, dans les
paralysies
faciales périphériques, la contractilité par les
déjà très-notable, et que nous croyions nous trouver devant un cas de
paralysie
périphérique très-légère et dont la guérison rapi
diplopie homonyme, croissant vers la droite, est symptomatique d'une
paralysie
plus ou moins complète delà sixième paire, moteur
de siffler ou de souffler, qui reparaît si lentement dans les cas de
paralysie
faciale ordinaire, a été possible dès les pre-mie
e qui est également le con-traire de ce qu'on observe dans les autres
paralysies
faciales. C'est donc bien le noyau supérieur du f
ns, sans grande difficulté peut-être, enregistré ce cas parmi ceux de
paralysie
périphérique conservant sa contractililô farado-m
dans un cas de ce genre, même complète-ment guéri, que dans un cas de
paralysie
périphérique qui eût guéri plus lentement et moin
peu de dureté de l'ouïe. Mais on constate les signes manifestes d'une
paralysie
du nerf facial gauche, savoir : effacement des ri
xvn montre les suites de l'opérai ion. 11 est resté naturellement une
paralysie
du côté gauche de la face, mais avec cette partic
d'autres occasions, que la paupière inférieure seule prend part à la
paralysie
; la supérieure peut encore recouvrir pres-que co
cas de ramollissement cérébral terminés par la guérison, avec ou sans
paralysie
, et dans lesquels nous avons suivi, aussi réguliè
Hémiplégie droite incomplète. — Aphasie absolue. — Amendement de la
paralysie
. — Incontinence nocturne d'urine. — Intelligenc
L'intelligence persiste, le malade comprend bien ce qu'on lui dit. La
paralysie
semble moins prononcée. Soir : P. 80; T. R. 38°,
ire son lit; il s'est recouché seul. Ce qui montre la diminution delà
paralysie
. Il parvient à mettre sa main droite sur sa tête
ara-lysie; dans le repos, il y a une certaine tension active; dans là
paralysie
, l'anéantissement est complet. » D'une manière gé
ants assez intenses, mais seulement dans les cas où l'on agit sur des
paralysies
périphériques, sur des atrophies muscu-laires, su
ons encore employé les courants continus chez des femmes atteintes de
paralysies
agitantes ; elles prétendent avoir moins de tre
mois au moins seront nécessaires pour arriver à ce résultat. » VII.
Paralysies
obstétricales des nouveau-nés, par Hil. Nadaud1.
lysies obstétricales des nouveau-nés, par Hil. Nadaud1. — Deux cas de
paralysie
obstétricale chez des nouveau-nés observés par M.
gne), ïarnier etParrot lui ont permis de compléter son travail. Les
paralysies
de la face et les paralysies du membre supérieur
t permis de compléter son travail. Les paralysies de la face et les
paralysies
du membre supérieur sont successivement décrites.
sies du membre supérieur sont successivement décrites. Chacune de ces
paralysies
est divisée en trois variétés qui sont : paralysi
s. Chacune de ces paralysies est divisée en trois variétés qui sont :
paralysies
spontanées, paralysies dues à une application de
ysies est divisée en trois variétés qui sont : paralysies spontanées,
paralysies
dues à une application de forceps, paralysies due
paralysies spontanées, paralysies dues à une application de forceps,
paralysies
dues à des manœuvres de l'accoucheur. Parmi les
forceps, paralysies dues à des manœuvres de l'accoucheur. Parmi les
paralysies
de la face celles du nerf facial sont commu-nes,
issent spontanément. L'application du forceps peut-elle déterminer la
paralysie
du nerf moteur oculaire commun? Deux notes, malhe
peu discutées par lui paraîtraient l'indiquer. Viennent ensuite les
paralysies
des membres supérieurs, qui sont beaucoup moins r
e déterminer la guérison de l'enfant. Dans une dernière partie, les
paralysies
des membres inférieurs devraient être étudiées, m
ent sont plus minces qu'à l'état normal. Pathogénie; — causes de la
paralysie
dans le mal de Pott et dans les myélites par comp
t pou-voir affirmer que la myélite par compression est la cause de la
paralysie
. Quels sont L s agents de celte compression ? C
était encore inconnue. Elle permet d'expliquer le développement de la
paralysie
lorsque la courbure n'est pas très-prononcée ou m
l'absence de toute courbure ; l'existence de fortes incurvations sans
paralysie
; elle permet enfin de comprendre que la paraplég
ubles pupillaii es, de ceux de la respiration et delà déglutition, la
paralysie
qu'elle amène peut présenter deux formes spéciale
pyra-mide, et la paraplégie cervicale. M. Gull désigne sous ce nom la
paralysie
des membres thoraciques avec conservation des mou
membres supérieurs, l'atrophie musculaire rapide qui leur succède, la
paralysie
avec contracture qui vient compléter le tableau l
cet organe, la goutte, le rhumatisme, les névralgies en général, les
paralysies
rhumatismales, les affec-tions cutanées dues à l'
rent les battements du cœur et diminuent la pression en produisant la
paralysie
des pneumogastriques et des vaso-moteurs. 4° La
532. Oreille (voy. Anévrysme). Ovariotomie, par Panas, 232. p
Paralysie
infantile, par Charcot, 1, 56, — par Bail et Liou
éres-thesie de la —, 268. CLASSEMENT DES PHOTOGRAPHIES Planche I.
Paralysie
infantile (forme paraplégique) .... i Planche I
nche I. Paralysie infantile (forme paraplégique) .... i Planche II.
Paralysie
infantile (forme généralisée, n° 1). . . 5 Plan
. Paralysie infantile (forme généralisée, n° 1). . . 5 Planche III.
Paralysie
infantile (forme généralisée, n° 2). . . 5 Plan
é un certain nombre de malades ne présentant uniquement que de la
paralysie
atrophique et des altérations de la sensibilité d
occasionnelle, et encore par le côté droit. Ce sont toujours de la
paralysie
, de l'atrophie, et des troubles de la sensibili
l'autre côté. Les accidents qui se présentent alors sont d'abord la
paralysie
atrophique des interosseux : les deuxième et tr
par des troubles de la sensibilité, la seconde ~ d'état avec de la
paralysie
atrophique, la troisième terminale avec des rét
peut faire aucun mouvement du petit doigt. 11 existe en somme .une.
paralysie
ehune-atropliielde tous'les, muscles innervés par
nsions. M. Panas ' a relaté l'observation d'un malade atteint d'une
paralysie
du nerf cubital se montrant douze ans et demi a
êné pour son travail. L'examen permit de constater les signes d'une
paralysie
du cubital; griffe carac- téristique, atrophie
pondérant de l'hérédité dans la pro- 1. Sur une cause peu connue de
paralysie
du nerf cubital {Archives générales de mé- deci
en particulier par M. Neumann, en ce qui concerne tout un groupe de
paralysies
périphériques, les paralysies faciales dites a fr
en ce qui concerne tout un groupe de paralysies périphériques, les
paralysies
faciales dites a friore 1, serions- nous presqu
on. 1. Du rôle de la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la
paralysie
faciale {Archives de neurologie, juillet). - No
rétrécissement du champ \isuel, accidents d'aphasie, de surdité, de
paralysie
, etc., etc. Nous n'en voulons retenir pour l'in
ts malades. Observation V. Fracture de sacrum remontant à cinq ans.
Paralysie
. z Crampes. Douleurs. Atrophie musculaire. Trou
le. Un peu plus tard, palpitations. Du côté des membres inférieurs,
paralysie
complète et anesthésie telle que la malade a ét
n, les douleurs et les crampes signalées ci-dessus. Depuis lors, la
paralysie
s'est fort amendée; deux années après l'accidenl,
, dans le service de M. le professeur Lannelonguc, qui constata une
paralysie
flasque des membres inférieurs avec insensibili
il la cuisse pour les mouvements associés. Il faut noter que celte
paralysie
hémilatérale atteint aussi la moitié du diaphra
inution de la contractilité volontaire. Réflexes exagérés à droite.
Paralysie
vésicale. Le côté paralysé est le siège d'une h
à droite. 27 décembre. Le malade quitte l'hôpital. Il subsiste une
paralysie
du membre supérieur droit et de l'épaule corres
oubles de la motilité. - Dans tous les cas, il avait subsisté de la
paralysie
musculaire, variable comme intensité et comme siè
térales, mais toujours il y a prédominance de certains symptômes- :
paralysie
, atrophie musculaire, troubles trophiques cutan
bord, ceux-ci plus tardive- ment. Très souvent la disparition de la
paralysie
musculaire est an- noncée par des secousses vol
a puissance génitale peut renaître en même temps que disparaître la
paralysie
. L'atrophie des membres in- férieurs est fréque
des résultats très appréciables chez plusieurs malades atteints de
paralysie
agitante, en calmant les contractures, la sensati
ue dans un cas de sclérose en plaques. - Deux malades atteints de
paralysie
agitante, et qui y sont actuelle- ment soumis,
ent n'est pas rare dans l'hystérie. Dans son mémoire inédit sur les
Paralysies
et les contractures hytériques couronné par l'Aca
ensibilité visuelle. Annales d'oculislique, août 1886. - Spasmes et
paralysies
des muscles de l'oeil. Gazette hebdomadaire de
ofesseur Charcot. Dans ses leçons des deux dernières années sur les
paralysies
elles contractures hystériques, notre maître a mo
'oeil, il se produit une contracture do l'orbiculaire, mais non une
paralysie
du releveur de la paupière. « La dis- sociation
FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS Nous ne sommes plus au tem
NÉRALE DES ALIÉNÉS Nous ne sommes plus au temps où l'histoire de la
paralysie
générale des aliénés paraissait faite et parfai
éterminée, faute d'autopsie. Les troubles trophiques attribués à la
paralysie
générale sont déjà nombreux. La prédisposition
l'ichtyose qui n'ont guère encore été signalées, je crois, dans la
paralysie
générale : Scinde dit pourtant que dans les der
1. 6.. uns. 1 (recueillie par M. Pcrruchct, interne du .service). -
Paralysie
générale. - Troubles trophiques. -1JI a 1 perfo
es généraux, th. 1889. y. Christian, Jlal perforant du pied dans lu
paralysie
générale (Ann. méd. psych., 1882, t. 1111, p. 2
ilisé pour son mémoire du concours des internes (188G). Obus. II. -
Paralysie
générale, vitiligo. Mme II... 39 ans. Kcmme de
nalées par M. Régis '. L'existence de l'atrophie musculaire dans la
paralysie
générale a été contestée, sauf comme coïncidenc
roisième observation : -. Ons. 111 (recueillie par M. Ch. Simon) 2.
Paralysie
générale, hémia- trophie de la langue. Le nom
égis, Vote sur la dyslrophie et la chute spontanée des ongles dans la
paralysie
gé- nérale (Gazette médicale, Paris, 1884). 2
opper en conséquence de lésions cérébrales, c'est ainsi que dans la
paralysie
pseudo-bulbaire signalée par M. Lépine et dont
ie très mani- feste '.L'interprétation de l'atrophie dans ce cas de
paralysie
générale est donc assez difficile en l'absence
ons de la peau. . Cit. Féré, Mdo'in tic tticuti'c. 1. Ch. Féré,
Paralysie
pseutlo-Gul6nire par lésion cérébrale bilatéJltle
ed Io culaneous diseuses (Drain, vol. VII, p. 3G3). SUR UN CAS DE
PARALYSIE
AGITANTE A 1·'OIiIfE HÉMIPLÉGIQUE AVEC ATTITUDE
ique aussi arrêté, aussi personnel, si l'on peut ainsi dire, que la
paralysie
agitante. Elle compose aux sujets qu'elle frappe
rs dans la conférence clinique du 19 juillet. Il s'agit d'un cas de
paralysie
agitante à forme hémiplégique. Le membre supérieu
graphie de la Salpètrière, novembre et décembre 1888. SUR UN CAS DE
PARALYSIE
AGITANTE. - 167 00 ans, après avoir été paralys
squelles elle passait, que la malade attribue ce qu'elle appelle sa
paralysie
. Histoire de la maladie. Il y a deux ans enviro
che ne diffère en rien de l'attitude classique de ce membre dans la
paralysie
agitante. Le coude est un peu écarté du tronc,
NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL XXVIII ATTITUDE ANORMALE DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE (type d'extension) LfiCNOSNIHN 6T BA
X Cliché A. LONDE PNOTOTYPIE BERTHAUD ATTITUDE ANORMALE DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE (TYPE D'EXTENSION) LECROSNIER ET BAB
E (TYPE D'EXTENSION) LECROSNIER ET BABÉ, ÉDITEURS SUR UN CAS DE
PARALYSIE
acornwre. 169 Bien que la paralysie agitante se
BABÉ, ÉDITEURS SUR UN CAS DE PARALYSIE acornwre. 169 Bien que la
paralysie
agitante se présente, dans le cas qui précède,
, le développement lentement progressif, la raideur musculaire sans
paralysie
proprement dite, l'attitude du membre supérieur
Annales de la Charité de Berlin, en 1877, l'observation d'un cas de
paralysie
agitante dans lequel il exis- tait, comme chez
ouverte. Cela avait fait penser d'abord qu'il y avait là, à droite,
paralysie
du facial inférieur. Mais avec plus d'attention
que la note suivante : « Celte diplopie était caractéristique de la
paralysie
incomplète de la sixième paire droite (oeil attei
ettait d'écarter la simulation. Considérant néanmoins la rareté des
paralysies
oculaires dans l'hystérie, et d'attiré part la co
dont cet oeil avait été atteint, je rapportai la diplopie non il la
paralysie
du droit externe mais à la contracture du droit
invention d'une machine à calculer, tomba-t-il « dans une espèce de
paralysie
depuis la ceinture jusqu'en bas, en sorte qu'il
u-de-vie pour tâcher de faire venir la chaleur aux pieds ». Cette
paralysie
dura trois mois et finit par guérir complètement.
souffrant; les troubles du système nerveux dominent la scène. La
paralysie
a disparu mais « il avait entre autres incommodit
gnée dans mon mé- moire, encore inédit, sur les contractures et les
paralysies
hysté- riques qui a remporté le prix Civrieux e
nterprétant le « Miracle opéré sur Marie-Anne Couronneau frappée de
paralysie
sur tout le côté gauche... privée de l'usage de l
yer dessus, mais même de la lever; et tout son côté gauche étant en
paralysie
, elle. ne peut presque plus tirer aucun secours
ine à tous ceux qui la voient. «Tel étoit l'état déplorable où la
paralysie
avoit alors réduit la Cou- ronneau. Elle étoit
e 'lor novembre 1730 survient une attaque d'apoplexie non suivie de
paralysie
, qui laisse la parole embarrassée; huit jours plu
transportée à l'IIôtel-Dieu, où l'on con- state l'état suivant :
Paralysie
incomplète du bras gauche ; par contre le membre
che, le pied balaye le sol; cela, je pense, est caractérisque de la
paralysie
hystérique ». N'oublions pas- que le 1 juin 173
ons pas- que le 1 juin 1731, plus de huit mois après le début de la
paralysie
, le membre inférieur de M.-A. Couronneau était
plégie organique en effet, le plus souvent la face parti- cipe à la
paralysie
. La joue du même côté est flasque et pendante.
e dans une de ses moitiés, sa pointe est déviée du même côté que la
paralysie
. La commissure labiale droite, si par exemple l
é que la paralysie. La commissure labiale droite, si par exemple la
paralysie
siège à gauche, est plus élevée que la com- mis
ique, car ici la contracture, le mouvement actif, a fait place à la
paralysie
, à la passivité. C'est dans ce cas qu l'on observ
spasme glosso-labié hystérique. Enfin la disparition soudaine de la
paralysie
suffirait à elle seule à en démontrer l'origine
, M.-A. Couronneau qui a mis son seul espoir pour la guérison d'une
paralysie
considérée comme incurable par les médecins, da
ment et un mouvement dans le talon de sa jambe paraly- tique...» La
paralysie
s'en est allée, Marie-Anne Couronneau est guérie,
piration de M. Sceligmüller °. 1. De l'atrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques. Archives de neurologie, n°' : 31 e
l'une de ces deux dernières observations il y a prédominance de la
paralysie
et de l'atrophie dans le membre supérieur, dans
ait déjà appréciable tout au plus quinze jours après le début de la
paralysie
... La rétrocession de l'atrophie semble pouvoir
uche pendant vingt-quatre heures. Deux mois plus tard, retour de la
paralysie
avec spasme glosso-labié : durée, trois jours.
i l'ont suivi, l'atrophie a toujours porté sur un membre atteint de
paralysie
ou de contracture; c'est également ce que nous
ie, si elle ne se superpose pas toujours à une contracture ou à une
paralysie
, semble donc, au moins, se localiser de préférenc
tte constatation inaccoutumée, devons-nous dire pour cela que cette
paralysie
n'est pas hystérique alors que tout plaide en f
origine hystérique peut quelquefois envahir des membres indemnes de
paralysie
ou de contracture. Géné- ralement alors, elle s
ordinaire, pas l'ombre d'un traumatisme, rien de particulier. Cette
paralysie
persistait depuis un mois et demi lorsqu'il entra
ormale, ni douleurs ni fourmillements dans la- main paralysée; donc
paralysie
absolue de la main et des doigts, anesthésie co
le il l'usine Eiffel, mais il ne se servait pas du tout de la main.
Paralysie
, insensi- bilité, oedème, cyanose ont persiste
s'est trouvé paralysé de la main droite pour la troisième fois. La
paralysie
était ce qu'elle est au- jourd'hui (25 mars 188
t encore sujet, pas d'autres troubles fonctionnels à relever que la
paralysie
delà main droite. Description de la paralysie.
ls à relever que la paralysie delà main droite. Description de la
paralysie
. Tous les mouvements de la main et des doigts s
juin. La main est exactement dans le même état de bouffissure et de
paralysie
qu'elle présentait avant l'amélioration des jours
les membres du même côté. Le gonflement de la main reparaît, et la
paralysie
également. Dyn. = 0. Cet état per- sisle jusqu'
= 0. Cet état per- sisle jusqu'au 1" juillet, époque à laquelle la
paralysie
s'est atténuée. L'oedème est moins marqué. Le p
ût. - Durant la nuit, vertiges et étouffements; le gonflement et la
paralysie
ont reparu le matin. Le lendemain, le malade peut
érature. Les mouvements des doigts reparaissent. Dyn = 1 i 1 : . La
paralysie
s'atténue les jours suivants. Le 17, Dyn. = 18
ergiquement. 2 ¡, aOlÎt. - Le lendemain, 24 juillet, l'oedème et la
paralysie
ont reparu ';]72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
uit très calme; bon sommeil. 25 août. - Plus de gonflement, plus de
paralysie
. Dyn. = 60 kilos; elle est seulement plus froid
e sais où, je ne me rappelle plus... Lui, avait dit que c'était une
paralysie
hystérique. Il avait dit il un autre : Le père
c'est un demi-setier de trop quand on est malade... Il m'a dit : «
Paralysie
a frigore. » Qu'est-ce que c'est que ça ? Enfin
vements, arc de cercle, le délire continue. « Alors donc une... une
paralysie
a frigore et patati et patata. Enfin il me donn
euxième médecin en question. « Le troisième... Celui-là c'était une
paralysie
par compression... sur il ne m'a pas fait de ma
is bien tranquille, ma main fonctionnait bien... Ah ouiche, v'là ma
paralysie
qui repique un matin. Ça commençait à ni'emm...
es, parti- culièrement lorsqu'ils sont en état de contracture ou de
paralysie
. lien a été ainsi dans l'une des trois observat
t, feedème se superpose presque toujours à une contracture ou à une
paralysie
d'un membre. L'aspect de l'oedème hystérique es
creux poplité droit, côté sain. Nous savonsquc presque toujours la
paralysie
, l'anesthésie et l'oedème se superposent; il ex
ut est variable; généralement il apparaît avec la contracture ou la
paralysie
qu'il peut toutefois précéder ; il s'établit en p
et plus, obs. I) elle paraît surtout subordonnée à la marche de la
paralysie
ou de la contracture sous-jacente. Quand à sa
la température locale, superposition habituelle de l'oedème il une
paralysie
ou à une contracture avec troubles de sensibilité
ux, et passant par les deux phases successives de contraction et de
paralysie
. Mais quelle est sa parenté avec l'urticaire vr
e dans les para- lysies radiculaires du plexus brachial et dus à la
paralysie
des muscles lisses de l'orbite, innervés par le
Pas de tension muscu- laire ni contractures ; aucuns phénomènes de
paralysie
; pas deinorsuires à lalangue.Apeinele malade es
15, 16. Miracle (le - opéré sur Marie-Anne Cou- tonneau),40.
Paralysie
agitante (altitude anormale dans la -), ` ? S,
e - des extrémités supérieures), 1, 2. Troubles trophiques (dans la
paralysie
géné- rale), 25, ` ? G, 27 ; (- dans l'hystérie
de anormale de la tête et du tronc (extension), par Dutil, 165.
Paralysie
générale (faits pour servir il l'his- toire des
. Un phénomène réflexe original observé sur les extrémités dans les
paralysies
centrales organiques ; par W. l\[, llECHTEREW,
ations lui ont montré l'apparition de phénomènes analogues dans'les
paralysies
centrales organiques quand l'observateur pratiq
être cherchés des deux côtés afin d'en comparer les modalités. Les
paralysies
organiques, à raison de la destruction du neuro
dans la partie du corps paralysée, ce qui n'est pas le cas pour les
paralysies
fonctionnelles. P. Keraval. REVUE D'ANATOMIE ET
laquelle participe le segment inférieur du bulbe. On constate : une
paralysie
flasque des membres supé- rieurs et inférieurs
e progressi- vement, de la parésie, des convulsions toniques, de la
paralysie
, de l'anesthésie du sens musculaire seul, de l'
che en voie de destruction. Dans les processus toxiques, telles les
paralysies
post-diphtéritiques, les poussières que l'on tr
É DE NEUROLOGIE Séance du 11 mai 1905. Présidence de M. BRISSAUD.
Paralysie
alterne &t6o-j');'<t( ? )'fttt<e. M.
inl d'hémiplégie droite sen- sitivo-motrice (tronc et membres) avec
paralysie
gauche de qua- tre nerfs crâniens : facial, mot
est caractéristique du tabès. La malade aveugle présente encore une
paralysie
du mo- teur oculaire commun, de l'hémialrophic
un même cadre. Contractions associées paradoxales dans une ancienne
paralysie
, faciale. M. Lamy montre un malade paralysé
rme d'un petit faisceau dans la partie supéro-externe du chiasma.
Paralysie
générale et syphilis cérébrale diffuse. M. Dupr
tions permettent le diagnostic à l'examen des préparations. Dans la
paralysie
générale, l'infiltration péri- ' vasculaire est
remblement est à typeparkin sonien. Il y a ophtalmoplégie totale et
paralysie
faciale gauche sans troubles de la sensibilité.
SYCIIOLOGIQUE. Séance du 20 mai. Suppuration et rémission dans la
paralysie
générale. M. le 1), A. Marie communique une obs
aralysie générale. M. le 1), A. Marie communique une observation de
paralysie
générale où survint unerémisson notable avec la
imminente qui aurait déprimé l'étal général du malade plus que la
paralysie
générale Cette suppuration était évidemment due
ns latentes ou secondairement incidentes si fréquentes au cours des
paralysies
générales. Mais en supposant que son développem
uration initiale et de sa cure chirurgicale sur réH1lu-. tion de la
paralysie
générale sous-jacente et ses rémissions. Il est
lètement sur deux formes pathologiques : la manie alcoolique, et la
paralysie
générale ; les autres formes morbides se présen
é- rébro-spinal dans la dystrophie musculaire progressif, dans la
paralysie
agitante ; dans le gliome cérébelleux ; dans la n
. , La ponction lombaire permet-elle d'assurer le diagnostic delà
paralysie
générale ! Le diagnobticen l'espèce était déjà ét
points de repère propres à séparer REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 109 la
paralysie
générale des formes non inflammatoires de syphili
-elle dedistinguer certaines formes de l'alcoolisme chronique de la
paralysie
générale ? L'auteur n'a pu décider les alcooliq
(I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la syphilis cérébrale, et la
paralysie
géné- rale (4 cas, 8 ponctions), ou entre une m
« constitue un auxiliaire très important pour le diagnostic de la «
paralysie
générale, la lymphocytose n'est qu'un signe morbi
ne aussi grande augmentation des éléments cellulaires « que dans la
paralysie
générale. Cette multiplication des élé- « monts
o-rachidien de 10 paralytiques généraux à diagnostic certain ; de 3
paralysies
générales douteuses ; de 8 épilepsies franches
ide cérébro-spinal indique fort probablement, mais non sûrement, la
paralysie
gé- nérale. Impossible de trouver aucun rapport
). En général le nom- bre des lymphocytes n'atteint pas celui de la
paralysie
générale. Les céphalalgies dont se plaignent le
ut dans les cas douteux, servir à éclairer le- diagnostic. entre la
paralysie
gé- nérale et une autre maladie. Le liquide c
out rencontré dans l'épilepsie mais quelquefois égale- ment dans la
paralysie
générale. P. Keraval. 11. -Recherches expérimen
mentale en par- ticulier et l'on peut observer ces troubles dans la
paralysie
géné- rale, la mélancolie sénile, la démence pr
us l'influence de l'oc- clusion palpébrale. Il n'y a en tout cas ni
paralysie
de l'accom- modation, ni atrophie des nerfs opt
e est depuis des années abso- lument stationnaire. Le diagnostic de
paralysie
générale devient d'année en année de plus en pl
aient : une légère démence ; une atrophie de la langue àgauche, une
paralysie
du voile du palais du même côté, des troubles d
méningite gommeuse caractérisés par des phénomènes de névrite et de
paralysie
dans le territoire de la bandelette optique droit
mer en une inertie pupillaire absolue à laquelle peut s'ajouter une
paralysie
de l'ac- comniodalion ; de la pupille étroite o
s fréquente. Ainsi il peut exister d'a- bord de la parésie ou de la
paralysie
du sphincter pupillaire d'un côté ou des deux a
aralysie du sphincter pupillaire d'un côté ou des deux avec ou sans
paralysie
de l'accommodation ; 120 REVUE D'ANATOMIE ET DE
que le faisceau latéral des pyramides n'a pas été sectionné, que la
paralysie
motrice rétrocédera et que le patient récupérer
crâniens, et chez l'autre, généralisés selon le type complet de la
paralysie
agitante avec double clonus du pied, établissant
beau- coup moins importantes. Suppurations et rémissions dans la
paralysie
générale. (Voir p. 55). MM. MAME et Violet rapp
nostic précoce de certaines affections, telles, par exemple, que la
paralysie
générale iL son début ; même les troubles de l'
eu des renseignements certains, les premières manifestations de la
paralysie
générale se sont produi- tes respectivement 12,
, il est vrai, avec une proportion égale- ment très élevée, mais la
paralysie
générale y est relativement intime, au moins da
mentsans hésitation et avec une cor- rection suffisante. Dans les
paralysies
, quoique la contractitité musculaire soit amoin
, un constipé croit que son intestin est bouché, etc. De même, la
paralysie
générale tabétiforme s'accompagne souvent d'un
par les analgésies viscérales signalées au cours du tabès et de la
paralysie
générale (accouchements indolores,ul- cères ron
'il y aune forme spinale, il y au- rait une forme sympathique de la
paralysie
générale, caractéri- sée par la coexistence de
s en médecine, syphilopho- bie, préoccupation hypochondriaque de la
paralysie
générale chez les anciens syphilitiques, etc.)
- pochondriaque délirant à l'asile doit être tenu pour suspect de
paralysie
générale. 2° L'idiot ne pourra guère interpréte
asiles, nous dire si, chez tel malade, l'hypochondrie est liée à la
paralysie
générale, à la démence, dans ses principales fo
cas peuvent se présenter : 1° Le spasme est primitif d'emblée, sans
paralysie
consécutive ; 2° Le spasme est pré-paralytique;
troubles pupillaires s'observent le plus souvent dans le tabes, la
paralysie
générale et les lésions cérébrales syphilitique
i sont constitués par l'ophtalmoplégie interne partielle ou totale (
paralysie
du muscle constric- teur de la pupille, ou du m
e basale. Ils n'ont rien à voir avec le tabès. Les troubles de la
paralysie
générale sc rapprochent beau- coup de ceux de l
apparaît d'abord dans la P. G., c'est la parésie, allant jusqu'à la
paralysie
complète du muscle constricteur. Puis la parési
alysie complète du muscle constricteur. Puis la parésie, jusqu'à la
paralysie
complète du muscle accommo- dateur. En somme, c
énéralisation hâtive, était alors à la base de pres- que toutes les
paralysies
du mouvement et de la sensibilité : paralysies
es- que toutes les paralysies du mouvement et de la sensibilité :
paralysies
utérines, urinaires, vésicales, rénales, prostati
ulé par voie sanguine) ; au profit des polynévrites, au profit delà
paralysie
ascendante et rayonnante de Landry (il s'agit i
s documents, mesuré un syringomyélique et un jeune homme atteint de
paralysie
spastique avec exagération des réflexes tendine
le temps perdu pour le seuil a été on moyenne de 0',07. Un cas de
paralysie
spinale aiguë de l'adulte à forme monoplégique.
aiguë de l'adulte à forme monoplégique. Dr CASTES (de Rennes). La
paralysie
spinale aiguë de l'a- dulte à forme monoplégiqu
s pour la première fois le malade, quelques mois après, je trouve :
paralysie
flasque du membre atteint, avec motilité entièr
symptôme chez les paralytiques généraux. Le signe de Kernig dans la
paralysie
générale. Dr DARCANNE (de Fougères). Le signe d
r DARCANNE (de Fougères). Le signe de Kernig est fré- quent dans la
paralysie
générale, et si l'on examine une série dt malad
il existe néanmoins. Nous avons pu observer 26 femmes atteintes de
paralysie
générale à l'asile de Bégard (Côtes-du-Nord), e
admet qu'il peut traduire une lé- sion uniquement centrale. Or, la
paralysie
générale, affection des centres cérébraux et de
tabes. Nous pouvons donc considérer notre signe de Kernig,dans la
paralysie
générale, comme traduisant soit une lésion cen-
dullaire. Dans le cas où le signe de Kernig existait au début de la
paralysie
générale, il n'y y avait pas de troubles de la
igne de diagnostic, puisqu'on le trouve à toutes les périodes de la
paralysie
générale, on le trouve souvent à la phase fi- n
u début que sa présence a le plus d'importance, car dans les cas de
paralysie
générale fruste, sans signe d'Argyll-Robertson,
t du pronostic. Il indique, en effet, l'évolution progressive de la
paralysie
générale, sa mar- che ascendante du cerveau dan
peuvent même confiner le malade au lit. Le signe de Kernig, dans la
paralysie
générale, indique, pour nous, une évolution rap
nisation cérébro-médullaire, achève de montrer toute l'importance
PARALYSIE
GÉNÉRALE TARDIVE. 203 des courants continus dan
usquement d'une monoplégie brachiale gauche. Guérison. Retour de la
paralysie
quelques mois après, suivi encore de guérison.
é bien que, dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème cérébral. Les
paralysies
transitoires des urémiques et, il plus forte ra
gestion passive, favorisé d'ailleurs par la dys- crasie sanguine.
Paralysie
générale tardive. Méningite scléro- gommeuse du
-Les cas 204 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. de
paralysie
générale tardive sont assez rares ; il nous a par
ie du cerveau. A l'exa- men histologique : lésions classiques de la
paralysie
générale dans.tout le cortex ; au niveau du lob
leucocytaire avec les diverses phases cliniques ou les ictus de la
paralysie
générale, l'albumo-diagnostic montre une altéra
idies (Beni-Barde); de bains froids de courte durée : . 1 Dans la
paralysie
générale, on aura, pour combattre l'exci- tatio
hémorragies, ramollissement, etc., et plus particulièrement dans la
paralysie
générale, les grandes appli- cations hydrothéra
ains russes ou turcs). 10" Les folies d'origine organique, comme la
paralysie
générale et celles qui coexistent avec des affe
es, symptomatiques, etce n'est qu'exception- nellement que, dans la
paralysie
générale, on recourra au bain tiède ou à l'enve
ment d'une monoplégie brachio-aurale gauche. Guérison/ Retour de la
paralysie
quelques mois après suivi encore de guérison. C
le bien que dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème cérébral. Les
paralysies
transitoires des urémiques, et, à plus forte ra
p. Guériu, Dercnne, Lluis, Paris. FOUIINIER (A.) et Raymond (F.). -
Paralysie
générale et syphilis. 1 vol. In-8, de 100 pages
1 vol. In-8° de 141 pages Simon. Imp. Ren- nes. Petit (E. P.). -
Paralysies
faciales récidivantes et paralysies faciales à
p. Ren- nes. Petit (E. P.). - Paralysies faciales récidivantes et
paralysies
faciales à bascule. 1 vol. In 8° de 120 pages.
tique, caractérisée par les symptômes mentaux et somatiques de la
paralysie
générale. Le tableau clinique est le même et ce
érale. Le tableau clinique est le même et cet état ne diffère de la
paralysie
générale classique que par son évolution rapide
aturelle à la régression, à la guérison. Ce sont là de véritables
paralysies
générales régressives ou temporaires (Régis) qu
dans les psychoses des infections aiguës sont en effet celles de la
paralysie
générale, c'est-à-dire des lésions de mértingo-
equel le malade avait contracté la sy- philis après l'influenza. La
paralysie
générale de la grippe, si elle est une vraie et
et non une pseudo-paralysie générale, est donc bien le type de ces
paralysies
générales régres- sines ou temporaires auxquell
aves, on observe le prolapsus de la paupière supérieure, parfois la
paralysie
du facial. Pour le pouls, il n'y a rien de cons
dies où le cortex est plus ou moins complètement atteint, dans la
paralysie
générale par exemple, la destruction des territ
té qui se produit chez le nouveau-né » (Muu- XESCO. Sur deux cas do
paralysie
uasque, etc. Revue Neurologique, 191, p. 210.)
ts sont conformes à ceux de MM. Joffroy et Huchard (1) qui, dans la
paralysie
in- fantile, n'ont pas trouvé d'altérations app
pfroy et Huchard. - Contribution il l'anatomie pathologi- que de la
paralysie
spinale aiguë de l'enfance. (Arch. médec. exph-il
de ses con- naissances. F. TISSOT. IV. Contribution à l'étude la
paralysie
myasthénique ; par Il, nE LÉOr` (1\'oteo. 1co11
uvent méconnue, quoique cliniquement définie ; caractérisée par des
paralysies
musculaires avec asthénie sans atrophie, sans r
teinte par de la fatigue d'abord, puis de la parésie et enfin de la
paralysie
. L'auteur fait le diagnostic différentiel de ces
est jusqu'à présent le traitememt le plus efficace. F. TissoT.. V.
Paralysie
des nerfs craniens d'un côté et déforma- tions
photographies, intéressante parla localisation à un seul côté de la
paralysie
des ye, Vl°,5rll°, VHP', IX1" et Xe pai- REVUE
pour localiser la névrose sous forme de douleurs, d'anesthésie, de
paralysie
sur la partie touchée. Pour lui, le véritable
e de 23 ans syphilitique, ayant présenté neLtementle syndrome de la
paralysie
ascendante aiguë. L'au- topsie montra l'existen
yers ayant tout il fait l'aspect des foyers de ramollissement de la
paralysie
infantile et intéressant les cornes antérieures
(119 II. et 125 F.) dont 13 cas d'é- pilepsie, G d'hystérie, 26 de
paralysie
générale, 3 d'idiotie, 15 de folie alcoolique (
et enseigne- ment : nous l'approuvons vivement. BOURNEVILLE. XIV.
Paralysie
générale et syphilis. parL. MARCHAND, médecin a
néraux sont sII)hilili4lues, e[(Itie d'au- tre part certains cas de
paralysie
générale n'ont certainement pas pour cause la s
voyer davantage aux cours. 332 BIBLIOGRAPHIE. majorité des cas la
paralysie
générale est d'origine syphilitique : 1° par l'
ne syphilitique : 1° par l'examen des cerveaux où les lésions de la
paralysie
géné- rale s'associent à des lésions non douteu
ent à l'auteur d'envisager la syphilis comme une cause puissante de
paralysie
générale. Il importe dès lors de dif- férencier
3G2 cl.IQw : mentale minulillue ;avait des vomissements avant la
paralysie
, de nature dyspeptique ( ? ). Chez Louise S., a
pathologiques, tels que l'hystérie, la svringo- mplie et certaines
paralysies
(cas de l3arl.er). Un sait d'autre part que Mll
TÉS SAVANTES. 377 -1 tic du siège de la lésion dans les différentes
paralysies
centrales ou périphériques. M. Heilporn (d'.\
estion hypnotique.' * REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Leçon sur la
paralysie
générale ; par le Prof. Raymond. (Archives de m
re de deux malades : le premier, un homme de 37 ans, est atteint de
paralysie
àsoil début, quoique cepcndanl déjà nettement c
'état actuel de nos connaissance sur la nature et l'étiologie de la
paralysie
générale. De la récente discussion qui a eu lieu
idente pour les cas de Iraralyic générale juvénile pour Fie. : iL -
Paralysie
générale, ancien loyer, hémisphère gauche REVUE
l'origine ) pltilil ique.. I,luant att 1)rohlime de la nalure ln la
paralysie
générale, sa solution apparient it l'anatomie p
ire de la clinique. Pour Aixhenner, le processus histologique de la
paralysie
gé- dL'raledif'['c)'oducelu[deIasypItilis' : l'
I. Raymond se demande Po,. 1 ? - Elélllellh de l'iulillrat méningé,
paralysie
générale (cas 806 du laboratoire}. . 1 384 RE
serons fixés définitive- ment sur l'existence et les caractères des
paralysies
générales ne relevant pas de la syphilis. Il.
dination à il l'aphasie. L'aphasie s'observe souvent au début de la
paralysie
générale, et elle constitue ]IL'es- 'rue toujou
F. TissoT. Essai de recherches médico-statistiques sur 900 cas de
paralysie
générale des aliénés; par G. A. 1)IÉDO\v.(OIlO ?
les conclusions de ce mémoire. 1" La proportion des admissions pour
paralysie
générale assi- gne àcel hôpital la 3e place par
2' série, l. XX. 25 38G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'homme, la
paralysie
générale sévit surtout de 30 à 40 ans ; pas un
as·c principale de la clientèle de l'hôpital, mais n'empêche que la
paralysie
générale pénètre de la ville au village où jadis
ataires hommes et femmes sont bien plus rarement alleints. - 1 La
paralysie
générale résulte de l'excessive tension, du surme
étiologiques. 10° Assez variés sont les phénomènes initiaux de la
paralysie
générale : ils conduisent tous à un affaiblisseme
et de rémissions plus fréquentes. Rare est la l'orme classique delà
paralysie
géné- rale ; elle a cédé la place à la forme dé
se que celle des muscles de la face Dans la forme tabétique de la
paralysie
générale, les 1'I',lIl'.\('5 musculaires el aut
' IIIU,c]p, étaient mou- et fiasques mais il n'yail aucune (rare de
paralysie
. L'enfant ne pouvait se tenir debout ni s'asseo
re de certificat. Observation Il. - Homme de 53 ans, présentant une
paralysie
dutiras gauche. L'altitude évoque l'idée d'une
entant une paralysie dutiras gauche. L'altitude évoque l'idée d'une
paralysie
radiale ; l'examen montre certaines particulari
papillaires, le nystagmus. ne sont également point rares; quant aux
paralysies
oculaires connu- guées ou associées, elles sont
fection doit toujours être réservé, les mala- des pouvant mourir de
paralysie
des nerfs crâniens dans les atta- ques épilepti
L'auleur parle, en terminant, du diagnostic de l'affection avec la
paralysie
générale, muntrant que dans le stade initial il n
fortes incurvations sans phénomènes paralytiques, ou enfin que la
paralysie
puisse guérir sans aucune modification de la gi
eurs, et en particulier LEYDEN z2). Pour Ley- den, non seulement la
paralysie
par compression au cours du mal de l'ott, mais
qu'on n'a aucun motif pour expliquer par une myélite secondaire la
paralysie
qui se déclare au cours de la spondylite ; la m
ès ' admettre, avec Kraske, qu'au moins dans la moitié des cas de
paralysie
pottique. la moelle est directement com- primée
de tous les ac- cidents. 0&M)'Mt(tO)t/7T.Syphilis cérébrale.
Paralysie
. Injections de 1 gr. 52 d'hermophényl en 13 piq
sa conductibilité neuro-volition- nelle. ' Commotion médullaire ;
paralysie
des membres supérieurs ; , intégrité des membre
dusens des attitudes Depuis l'accident, qui date de trois mois, la
paralysie
a céd partiellement, surtout à gauche. Les réfl
propulsion, sans signe de Romberg, ni asynergie céré- ])eIIeuse, ni
paralysie
. Abolition des réflexes rotulicns et achil- lée
s atteints d'affec- tions à manifestations exclusif ement motrices (
paralysie
agitante, goitre exophtalmique, chorée, tabès,
motrices et intellectuelles telles que l'épilepsie, l'hystérie, la
paralysie
générale, la démence sénile, la démence précoce
pharoplose post-typhique (Soc. de Pédiatrie., janvier 190 ? .) - z.
Paralysie
la- bio-glosso laryngée, probablement liée à un
1903.) 23. La ponc- tion lombaire dans le diagnostic précoce de la
paralysie
générale (Concours médical, 29 octobre 1904.) 2
avril 1905,p " p. 1042.) 27. La préoccupation hypochondriaque de la
paralysie
générale chez les syphilitiques. (Journal de Ps
elleux ;.\maladie de Friedreich. Svndromes bulbs- protubérantiels ;
Paralysies
hu117aires. Myélites aiguës. Paralysie infantil
es bulbs- protubérantiels ; Paralysies hu117aires. Myélites aiguës.
Paralysie
infantile. Sclérose en plaques. Sclérose latéra
l. Tuberculose des centres nerveux. Syphilis des centres nerveux.
Paralysie
générale. Atrophie musculaire progressive ; Atrop
ssive ; Atrophies musculaires en général. Myopathies. Polynévrites.
Paralysies
des plexus : Névralgies (faciale, scia(iclue, e
2. - - Jorns \L. Viuvoiiil . p. 79. Kehnig. Le signe de dans la
paralysie
générale, par Darcanne, p. 200. Kleptomanie.
émie. Méningite syphilitique. Voir Tabès. scléro-gommeuse. Voir
Paralysie
générale. chronique chez un hérédi- taire dég
'302. Nerfs crâniens et tachidicnh Voir-Y ? jr ? crâniens. Voir
Paralysie
. facial. Vo[r7 ? f ? cf ? ff ? 510 TABLE DES
, p. 130. Parole. Voir l'toubfes. -. Voir l'ic. Phénomène. Voir
Paralysie
. Voir 8/liIlO-IlI1tS('1ÛuI7'r. myotoniques.Vo
e de Bicêtre pour 1903, par Bour- neville, p. 60. Réflexe. Voir
paralysie
. Nou- veau = de la face, par Fuchs, p. 41. Du
baye, le lapin, le chien, une hémisection de la moelle entraine une
paralysie
croisée du sentiment et du mouvement; en d'autres
gment de moelle, situé au-dessous de la section, on observe : Une
paralysie
motrice accompagnée d'hyperesthésie, dit, côté où
réflexes tendineux, des deux côtés ou seulement du côté où siège la
paralysie
motrice. On a aussi observé l'exagération des r
ration des réflexes cutanés, mais cela n'est pas constant. d) Une
paralysie
vaso-motrice du côté de la lésion, superposée par
vaso-motrice du côté de la lésion, superposée par con- séquent à la
paralysie
motrice ; elle se traduit, du moins au début, par
ncontinence cl'zcricte et des matières fécales, en rapport avec une
paralysie
de la vessie et du rectum ; elle est à peu près c
de la fente palpébrale. Ces deux derniers phénomènes traduisent une
paralysie
du grand sympathique. Je viens de vous rappeler
tion et d'ad- duction étaient conservés. En somme, les traces de la
paralysie
motrice antécédente subsistaient dans un grand
ce ; De l'hyperesthésie cutanée ; De l'anesthésie profonde ; La
paralysie
vaso-motrice ; . L'exagération des réflexes ten
conservation de la sensibilité profonde. Enfin le malade a eu de la
paralysie
de la vessie et du rectum. Des deux côtés le ma
c'est que du côté du membre supérieur droit il n'y a ni atrophie ni
paralysie
, tandis que le memhre supérieur gauche pré- sen
une luxation avait déterminé une contusion du plexus brachial avec
paralysie
et atrophie du membre supérieur et oedème très
ctions amyotrophiques des extrémités et d'origine centrale comme la
paralysie
infantile, la poliomyélite antérieure et l'hé-
oedème de cause mécanique. La cause immédiate ne réside ni dans la
paralysie
, ni dans l'atrophie des muscles dont la contrac
atique détermine de l'aedène ; c'est sans doute, dans ce cas que la
paralysie
des vaso-constricteurs joue le rôle principal d
el mécanisme ? S'agit-il d'une exci- tation de centre ou bien d'une
paralysie
. Si on veut bien tenir compte du caractère ryth
ui intervient, c'est-à-dire l'excitation des centres suivie de leur
paralysie
. Les études de la gliose médullaire consti- tue
on, laquelle quand elle atteint un certain degré, se traduit par la
paralysie
fonctionnelle. J'ai pu constater à l'aide de la
ait de l'anesthésie superficielle au membre inférieur gauche,et une
paralysie
motrice totale du membre inférieur droit, avec
ésie cutanée de ce même côté. Un peu plus tard, on a constaté de la
paralysie
vaso-motrice à droite, et de l'exagération des ré
de la plante du pied jusqu'à la crête iliaque ; de ce même côté, la
paralysie
du membre inférieur subsistait, mais moins com-
e qui a été entamée. Toujours est-il qu'après une première phase de
paralysie
complète des deux membres inférieurs, de paraly
remière phase de paralysie complète des deux membres inférieurs, de
paralysie
de la vessie et du rectum, le blessé a pré- sen
à droite. Les troubles de la sensibilité remontaient presque. La
paralysie
motrice s'est dissipée très rapidement à droite,
re les 8° et 9° vertèbres dorsales. La blessure avait déterminé une
paralysie
du membre inférieur droit ; la peau de ce membre
esthésie superficielle, à gauche, par de l'hyperesthésie et par une
paralysie
motrice. Le malade a suc- combé 43 jours après
rsale. Immédiatement après l'attentat, le malade avait présenté une
paralysie
complète des membres inférieurs et une paralysie
avait présenté une paralysie complète des membres inférieurs et une
paralysie
partielle des membres supérieurs. Pendant trois
uteur de la 3"ver- pègre dorsale a eu pour suites ; A gauche, une
paralysie
motrice de tout le membre inférieur et un peu d
e des apophyses épineuses. In- dépendamment du syndrome classique -
paralysie
complète du membre inférieur gauche avec hypere
ISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE ni Au bout de quatre semaines, la
paralysie
motrice, à droite, s'était can- tonnée dans le
au porté il la hauteur de la 2e vertèbre dorsale. II y a eu d'abord
paralysie
du membre inférieur du côté droit et anesthésie
nence d'urine et constipation opi- niâtre. Au bout de 48 heures, la
paralysie
motrice était déjà en voie de rétrocession et 2
nt écoulées depuis l'attentai, il ne subsistait plus de trace de la
paralysie
motrice du membre inférieur gauche ; à l'élévatio
bre inférieur du côté opposé a l'hémisection est resté frappé d'une
paralysie
motrice partielle. Je vous dirai l'explication qu
demain de l'accident on a constate chez la victime : ci droite, une
paralysie
motrice complète du membre in- férieur, un peu
ésenté, indépendamment d'une paraplégie des membres inférieurs, une
paralysie
du membre supérieur gauche sans compter de l'hy
le entre les 6e et 7e vertèbres cervicales. Il en était résulté une
paralysie
motrice complète du membre inférieur droit, ave
squ'au niveau du mamelon. Au début, le patient a eu égale- ment une
paralysie
motrice incomplète du membre inférieur gauche.
de ses membres su- périeurs, en même temps que s'était dissipée la
paralysie
de la vessie. Vingt-cinq ans après l'attentat c
aux'membres supérieurs et aux membres inférieurs ; hyperesthésie et
paralysie
motrice, à gauche ; hyperesthésie à droite, san
alysie motrice, à gauche ; hyperesthésie à droite, sans compter une
paralysie
de la vessie,el des érec- tions intermittentes.
tentai, le syndrome de Brown-Sequard existait en plein : ri droite,
paralysie
motrice complète du membre infé- rieur, parésie
édiatement après l'attentai, le membre inférieur a été frappé d'une
paralysie
totale et. le membre su- périeur d'une paralysi
a été frappé d'une paralysie totale et. le membre su- périeur d'une
paralysie
partielle ; les muscles du côté droit de l'abdome
muscles du côté droit de l'abdomen et du thorax participaient il la
paralysie
, de même que la vessie et le rec- tum. De ce mê
ssister à l'entrée en scène des manifestations symptomatiques d'une
paralysie
du grand sympathique cervical. Le sujet avait r
au indiqué ou plus haut, se traduira forcément par des symptômes de
paralysie
du sympathique cervical. Voici par exemple une ob
. Or, dans ce cas, les troubles con- sécutifs se sont réduits à une
paralysie
motrice du côté gauche, paralysie transitoire.
n- sécutifs se sont réduits à une paralysie motrice du côté gauche,
paralysie
transitoire. M. Delmas a conclu que l'hémisecli
e Brown-Sequard. Dans l'une et l'autre, les symptômes dé- notant la
paralysie
du sympathique cervical ont fait défaut, à peu de
s après l'attentat, les suites du traumatisme consistaient dans une
paralysie
incomplète des membres et dans un émoussement d
me de 50 ans chez lequel, jours après l'attentat, on a constaté une
paralysie
motrice des memhres du côté droit, à laquelle p
classique. Je ne vous mentionne cette observation que parce que la
paralysie
motrice s'est doublée d'une atrophie qui intéress
res cer- t'<ca. Quinze jours après l'attentat, on a constaté une
paralysie
et une atrophie du membre inférieur gauche, laq
occipitale externe, on avait constaté chez la victime, il droite la
paralysie
de tous les muscles, cou et tête exceptés, une
le corps. Dans une observation déjà ancienne de Brown-Sequard, une
paralysie
complète du membre supérieur droit avec paresth
l et l'atlas, à droite de la ligne médiane, on avait constaté : une
paralysie
motrice et une anesthésie de tout le côté gauch
ne paralysie motrice et une anesthésie de tout le côté gauche ; une
paralysie
motrice du côté droit et une anesthésie de la mai
ôté droit, une abolition partielle du sentiment, superpo- sée à une
paralysie
motrice des membres ; les troubles du sentiment c
me avait eu tout le côté droit, y compris la nuque, paralysé; cette
paralysie
du mouve- ment'se doublait d'une hyperesthésie
térielle qui se faisait par la plaie, on constata l'existence d'une
paralysie
du côté gauche ; seule la moitié droite du thor
la rétention d'urine.. Je note que le 27e jour après l'attentat, la
paralysie
motrice était en voie de rétrocession dans le m
semble applicable en l'espèce. Mais dans quel sens : contracture ou
paralysie
? Charcot invoquait pour les déformations du rh
raison ne plaide en faveur de cette hypothèse. Reste le champ de la
paralysie
assez vaste encore pour permettre de choisir un
point. Le second, de plus grande valeur, est que la para- lysie, si
paralysie
il y a eu, ne se rattache à aucuu territoire nerv
del n'ad- met pas non plus que la névrite du cubital ait pu, par la
paralysie
des muscles du territoire nerveux malade, déter
n en masse vers le bord cubital. Celle-ci serait-elle l'effet de la
paralysie
de quelque autre groupe ? Nous croyons, mon ami l
appliqué à montrer que le groupement des muscles paralysés dans la
paralysie
infantile et dans d'autres atrophies musculaires
cas de fractures cons- tatées chez l'homme et ayant été suivies de
paralysies
. Dans le tableau sui-- vant de Thorburn, le lec
e 1896, n" 17, semble disposé à admettre, dans cette affection, des
paralysies
du type radiculaire, seulement son cas était d'un
rime de la façon suivante : Une particularité intéressante de cette
paralysie
atrophique, c'est qu'elle porte surtout sur les
té et du trapèze de l'autre, je dis : alterne, par analogie avec la
paralysie
de Gubler qui frappe le facial d'un côté et les m
ul- laires, des cornes antérieures par exemple, sont fréquentes, la
paralysie
infantile ne portant souvent que sur quelques m
ivi d'accidents secondaires. Septembre 1896, hémiplégie gauche sans
paralysie
faciale ; traitement spécifique non suivi d'améli
peuvent se ramener à . quatre types : 1° Dans un premier type, la
paralysie
motrice est limitée au membre inférieur, du côt
orsales inférieures, en deçà de la 9°. 2° Dans un second type, la
paralysie
motrice et les troubles sensitifs re- montent a
souvent, mais non toujours, des manifestations en rapport avec une
paralysie
du grand sympathique cervical et du nerf phréni
mes de l'hémisection. Dans ces conditions, vous pouvez observer une
paralysie
motrice occu- pant les deux côtés. Or la bilalé
ralysie motrice occu- pant les deux côtés. Or la bilaléralité de la
paralysie
motrice, qui pour- rait vous faire douter de l'
e. Le lendemain, il avait les deux membres inférieurs paralysés; la
paralysie
motrice se doublait d'une anesthésie. Il se plaig
rvical) expliquait la participation de l'appareil respiratoire à la
paralysie
; en effet une section, pratiquée à ce niveau, d
rachis, faites des réserves, surtout s'il existe des phénomènes de
paralysie
respiratoire ; représentez une issue fatale com
cette dysurie s'est dissipée dans la suite. Un peu plus tard, la
paralysie
du mouvement subsistait à droite; elle intéress
trophie musculaire du membre infé- rieur droit s'était dissipée. La
paralysie
motrice et les troubles de la sen- sibilité sub
ertèbre dorsale. Immédiate- ment après l'accident on a constaté une
paralysie
motrice de la jambe gauche et une anesthésie da
tomie des centres ner- veux sont à même de nous rendre compte de la
paralysie
motrice directe, de l'hémi-anesthésie croisée,
ie directe et de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la
paralysie
motrice, qu'on observe dans les cas d'hémisecti
cas d'hémisection de la moelle. A. Paralysie motrice directe. - La
paralysie
qui se produit du côté de la lésion est des plu
endre qu'une hémisection de la moelle entraînera nécessairement une
paralysie
motrice du même côté, dans les parties innerves p
lle, une hy- peresthésie très nette s'associe, avons-nous dit, à la
paralysie
motrice. Cette hyperesthésie s'explique sans di
suite d'une hémisection de la moelle. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA
PARALYSIE
INFANTILE PAR , Ch. ACHARD Professeur agrég
n interne, lauréat des hôpitaux. , Les altérations osseuses de la
paralysie
infantile sont connues depuis longtemps. Elles
nouveau moyen d'investigation à l'étude des lésions osseuses de la
paralysie
infantile. C'est ce que nous avons pu faire chez
pu faire chez deux ma- lades dont voici les observations. OBS. I.
Paralysie
spinale infantile sous forme paraplégique remonta
1) A. JoFFnoY et Cn. Acnnno, Contrib. à l'anatomie pathologique de la
paralysie
spi- nale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine
édecine expériment., janv. 1889, p. 57. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA
PARALYSIE
INFANTILE 325. Début. Son affection débuta le j
La face n'est le siège d'aucun phénomène morbide. On ne note aucune
paralysie
oculaire, aucun trouble pupillaire. Parfois devan
de rotation se pas- sent à la cuisse. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA
PARALYSIE
INFANTILE 327 Pour les mouvements provoqués, il
sont abolis. Il n'existe pas de troubles de sensibilité. OBs. IL
Paralysie
spinale infantile limitée au membre supérieur dro
s généraux, mais la toux persista ainsi que la fièvre, l'appétit ne
PARALYSIE
SPINALE INFANTILE A. Forme paraplégique plus ac
largeur. MASSON & cic) Editeurs. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA
PARALYSIE
INFANTILE 329 revint pas, non plus que lès forc
arfois les doigts sont écartés. En résumé, il s'agit de deux cas de
paralysie
spinale infantile remon- tant à 50 années envir
et du délire dans une observation, des convulsions dans l'autre. La
paralysie
affecte la forme paraplégique chez le premier m
bert sur la fréquence de la tuberculose chez les sujets atteints de
paralysie
infantile (1). D'autres particularités sont à s
mars 1897, RADIOGRAPHIES DES MEMBRES INFERIEURS A. Dans un cas de
paralysie
infantile. B. Chez un sujet sain, de même âge.
es négative ? RADIOGRAPHIES DES MEMBRES SUPÉRIEURS dans un cas de
paralysie
infantile. (Épreuves négatives) A. Membre sup
Membre supérieur droit (en pronation). RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA
PARALYSIE
INFANTILE 331 l'extension au moins passagère de
très appréciable portant sur toisa les os. En outre, dans le cas de
paralysie
infantile, les os (et la comparaison des tibias e
des os dans le sens de la largeur et de l'épaisseur, au cours de la
paralysie
infantile. En ce qui concerne la longueur des o
et des rétractions tendineuses. De toutes façons il existe dans la
paralysie
infantile un processus portant sur la con- figu
matisant. La mère a des cauchemars et est sujette à des attaques de
paralysie
matinale(engourdissement et parésie des extrémité
rite. , Nous savons que les membres hémiplégies sbnt, du fait de la
paralysie
, sujets à des troubles trophiques : l'amaigriss
s l'immobilisation forcée à laquelle sont contraints, du fait de la
paralysie
ou mieux de la contracture, le membre supérieur
e membre inférieur du- côté hémiplégie. Après une courte période de
paralysie
flasque, la con- tracture se montre. Le malade
é (Soc. anatom., nov. 1887 et jan- vier 1887) qu'en dehors de toute
paralysie
du membre, l'arthrite la plus vulgaire avec amy
é pour être capables de produire l'arthropathie nerveuse pure. La
paralysie
générale a été incriminée à tort. M. Brissaud, no
s les cas où l'on avait cru pouvoir rapporter l'ar- thropathie à la
paralysie
générale, il existait concurremment une sclérose
e doivent pas prendre place ici. Telles sont les déformations de la
paralysie
infantile (2). L'observation complexe de Feréol (
péri- phériques. De même nous éliminons la sclérose en plaques, la
paralysie
agitante, car on n'a jamais observé, croyons-no
x membres inférieurs, mais aussi aux membres supérieurs indemnes de
paralysie
. Il en est un peu de même du cas de J. K. Milchel
quoiqu'ils fussent beaucoup plus atteints que les supérieurs par la
paralysie
. De cette forme aiguë une variété spéciale quan
s deux fois l'arthropathie éphé- mère siégea au genou du côté de la
paralysie
motrice et de l'hyperesthé- sie, c'est-à-dire p
tude des traumatismes de la moelle. Syndrome de Brown-Séquard, sans
paralysie
vaso-motrice du côté de la lésion spinale, mais a
é les jambes pliées et les cuisses inclinées pendant la durée de la
paralysie
(2). (1) L'arthropathie de la sclérose en plaqu
es observée par M. Bourneville se rattache à cette série. - Dans la
paralysie
agitante nous ne connaissons que les petites ar-
us avons vu l'élément infectieux ne pas respecter les limites de la
paralysie
, sans observer de différence symp- tomatique en
de vi- (1) Gaz. hebdomadaire, 1866. Contribution à l'laistoia·e des
paralysies
périphériques et spécialement de la névrite.
hies musculaires des hémiplégiques. L'immobi- lité, résultant de la
paralysie
ou de la contracture, la favorise singulière- m
eur localisation exclusive dans le do- maine de l'hémiplégie, de la
paralysie
ou de la névrite. Est-ce à dire que le trouble
(1) Il y a là quelque chose de comparable à l'explosion de certaines
paralysies
gé- nérales, comme si, dans cette dernière affe
du corps. « Pour ces auteurs l'hyperlrophie dépend avant tout d'une
paralysie
vaso-motrice produisant une circulation stagnante
te une exagération de la nutrition dans l'organe at- teint. » Cette
paralysie
se produirait pendant le cours de la vie intra-
bout duquel la main retombe inerte, -- probable- ment un exemple de
paralysie
radiale (Charcot et Paul Richer). Toutes ces di
t bleu est un malade adulte, atteint d'ulcérations, d'atrophies, de
paralysies
et de contractures vraisembla- blement d'origin
le vivant. Il s'agit, à n'en pas douter, d'un cas d'hémiplégie avec
paralysie
faciale. Regardons la face : Du côté gauche,
e un tableau plus précis et plus complet du syndrome clinique de la
paralysie
faciale ? . Ce n'est pas tout. L'attitude de ce
hémiparésie d'un des côtés du corps. De quel côté ? Etant donnée la
paralysie
faciale droite avec chute de la paupière, on pe
ent limités, car le bras reste collé au corps. Hémiplégie droite,
paralysie
faciale du même côté, avec participation du fac
très amaigris, comme desséchés, offrant un assez bon exemple de ces
paralysies
avec contracture et atrophie musculaire que la
mités,où l'on reconnaît cependant des figurations très réalistes de
paralysies
, d'atrophies musculaires, de griffes, de contra
planches), par HENRY MEIGE, 45, 127. Radiographie des os dans la
paralysie
infantile, par CH. Achard et Léopold Lévi (6
UTEURS ACHARD (F.) et LÉOPOLD-LÉVI. Radiogra- phie des os dans la
paralysie
infantile (6 phototypies), 3'M. - Boix (E.).
), 113. Lévi Léopold et Cn. Achard. Radiogra- phie des os dans la
paralysie
infantile (6 phototypies), 324. Lévi Léopold
naevus veineux, XVII, XVIII. Ostéite déformante de Paget, XVI.
Paralysie
spinale infantile, XXXI , XXXII. Les Pédicure
sex- digitaire, V. Radiographie des membres inférieurs dans la
paralysie
infantile, XXXIII, XXXIV. Radiographies des m
e, XXXIII, XXXIV. Radiographies des membres sup érieurs dans la
paralysie
infantile, XXXV, XXXVI. Radiographies des pie
eut résulter que de trois ordres de causes. Ou bien il s'agit d'une
paralysie
des muscles du côté malade, ou bien les muscles
a jambe paralysée : elle porte d'abord le tronc du côté opposé à la
paralysie
et appuie tout le poids du corps sur ce membre
rosée. Avec beaucoup de peine nous sommes parvenu à obte- nir une
paralysie
permanente chez un chien afin d'étudier les alt
mal commence à traîner sa patte postérieure gauche. A 3 h. 20, la
paralysie
de lamotilité de cette patte est complète ; la se
atte est complète ; la sensibilité est obtuse du même côté ; pas de
paralysie
rectale ou vésicale; pas de distension gazeuse
dans les articulations des pieds, vingt minutes après, survint- une
paralysie
complète des membres inférieurs, au point que l
l civil de Darmstadt. Ici, M. le Dr Saeger a constaté ce qui suit :
paralysie
com- plète motrice des deux membres inférieurs
embres inférieurs et incapacité du patient de s'asseoir ; en outre,
paralysie
de la vessie et du rectum, une diminution consi
lasensibililé des membres inférieurs était décidément améliorée. La
paralysie
motrice, au contraire, était restée essentielle
sation de brûlure à ses membres paralytiques et surtout aux jambes.
Paralysie
de la vessie qui débordait le pubis de quatre t
he; nécessité de vider la vessie par la sonde. ' 29 juillet. = La
paralysie
aussi bien de la motilité que de la sensibilité
it est mauvais; pouls petit et fréquent. 8 août. -Même état de la
paralysie
; affaissement progressif; pouls petit, pulsatio
et endroit c'est la zone motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de
paralysie
partielle. - L'embolie de l'ar- tère qui naissa
branche fournit au centre du facial inférieur a dû déterminer la
paralysie
faciale gauche du plongeur de t'OBSERVA- TIOV X
nq immersions de suite, toujours du même acci- dent, à savoir d'une
paralysie
tantôt gauche, tantôt droite avec ou sans paral
à savoir d'une paralysie tantôt gauche, tantôt droite avec ou sans
paralysie
faciale, résultat de l'is- chémie des centres d
r et du membre supérieur, suivie au bout d'un certain temps d'une
paralysie
du membre inférieur par le fait de l'ischémie d
olie. La durée fugitive n'appartient qu'aux embolies gazeuses. La
paralysie
du facial inférieur et du membre supé- DES ACCI
de a commencé à pouvoir exécuter quelques petits mouve- ments. Sa
paralysie
faciale aurait été plus améliorée mais dès ce m
ltats. On doit soigneusement éviter tout ce qui peut aggraver les
paralysies
spasmodiques, par exemple, la faradisation, les
partie clinique de son travail, .Masini constate la persistance des
paralysies
des cordes vocales du )ar\nx et n'invoque plus, c
points dont la percus- sion provoquait, d'une façon constante, des
paralysies
sensitivo-motrices du bras, de la jambe, de la
-il, la cécité, la surdité, la « perte du goût et de l'odorat », la
paralysie
de l'hypoglosse, l'aphasie, etc. Ces paralysies
de l'odorat », la paralysie de l'hypoglosse, l'aphasie, etc. Ces
paralysies
furent tantôt directes, tantôt croisées. Lombro
ntrac- tilité musculaire, du moins à produire des parésies ou des
paralysies
de la motilité. Qu'a-t-il manqué à tous les pré
tirer l'attention sur ce point pour voir se multiplier les cas de
paralysie
mixte de la sensibilité et du mouvement d'origi
i à l'âge de quatre ans avait eu des accidents nerveux suivis.d'une
paralysie
complète du membre inférieur gauche, puis d'une
thésie cutanées non seulement accompagnent les paré- sies et les
paralysies
de la motilité : d'ordinaire elles ont une égal
e elles ont une égale extension. « Cette identité d'extension des
paralysies
du mouvement et de la sensibilité nous semble p
les lésions profondes, des alté- rations du sens musculaire et des
paralysies
motrices. Quant à la profondeur de la lésion, l
membre postérieur est suivie, nous l'avons vu, de pa- résie ou de
paralysies
du mouvement et de la sensibi- lité qui, loin d
HOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. Mais ils n'ont pu expliquer pourquoi dans la
paralysie
bulbaire, alors par exemple qu'il y a paralysie
er pourquoi dans la paralysie bulbaire, alors par exemple qu'il y a
paralysie
avec atrophie des muscles inner- vés par la bra
it présenté d'au- tres symptômes que les symptômes ordinaires de la
paralysie
générale. A l'ouverture du crâne, il s'écoula
II. De l'immobilité, DE la fixité paralytique de la pupille dans la
paralysie
générale; par C. Moeli (Arch. f. Psych" XVIII, 1.
sensitives périphériques ne peuvent dilater la pu- pille. Enfin, la
paralysie
des pupilles est non pas seulement un symptôme
n symptôme précoce, et par suite un signe diagnostique important de
paralysie
générale. M. Moeli a, comme il le dit, suivi la
voir été observés pendant des années, ne peuvent être convaincus de
paralysie
générale; parmi eux, cependant, huit devinrent
tablement des aliénés. R. M. C. IV. DE la contre-irritation dans la
paralysie
générale ; par Pritchard D.wrES. (The Journal o
6.) Les modifications heureuses apportées à la marche d'un cas de
paralysie
générale par l'apparition intercurrente d'un anth
de la méthode de contre-irritation des résultats favorables dans la
paralysie
générale. Le révulsif auquel il donne la préfé-
r des réflexions que nous résumons ici : bien que fréquente dans la
paralysie
générale et dans Ja démence chronique, la pachy
tiformes, ainsi que des troubles du langage analogues à ceux de la
paralysie
générale des aliénés. Un autre point digne de re-
Voici le résumé des observations de l'auteur sur ce sujet : Dans la
paralysie
générale, la voracité des malades est bien conn
élaborer un questionnaire sur les rapports de la syphilis et de la
paralysie
générale. Ce questionnaire sera envoyé à tous l
urnir de pré- cieux documents sur la question si controversée de la
paralysie
générale syphilitique. La commission élue est c
a successivement détaché de ce groupe : les mélancolies liées à la
paralysie
générale, à l'alcoolisme 126 SOCIÉTÉS savantes.
élancolie qui survient à un âge assez avancé et qui s'associe à des
paralysies
partielles accompagnées elles-mêmes de démence pl
rce qu'ils sont rarement dangereux. Injections d'ergotinine dans la
paralysie
générale. - 111. CIIRISllM' communique le résul
(de Meynert, aux divers états d'affaiblissement intellectuel, à la
paralysie
géné- rale. Cette dernière maladie notamment pe
précédemment; cette association infirmerait plutôt le diagnostic de
paralysie
générale. Le mémoire sera publié in extenso.
les autres formes d'aliéna- tion mentale. Il se rappelle un cas de
paralysie
générale dans lequel il y avait eu rupture de l
n à la suite de dégénéres- cence amyloïde. M. Buchholz a, dans la
paralysie
générale surtout, rencontré de la diminution du
que avec, sueurs profuses (2 cas);'il a agi comme palliatif dans la
paralysie
agilante (un cas) dans la scélérose en plaques
écial, enfin ses lésions propres; si on a soin de la distinguer des
paralysies
géné- rales de causes diverses (maladies de la
du village de Vimenet, can- ton de Laissac, ayant eu une attaque de
paralysie
, tomba en léthargie. Après vingt-quatre heures
ses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie,
paralysie
agitante). Volume in-8 de 169 pages, avec 5 fig
e 118 pages. - Lansing, 1888. - Thop and Godfrey. RONDOT (E.) Les
paralysies
de la chorée {chorée paralysante). Bro- chure i
ganes du sens musculaire, devraient surtout être atteints. Avec une
paralysie
du mouvement, complète et ancienne, la sensibil
a sostana grigia LES FONCTIONS DU CERVEAU. 209 9 traité que de la
paralysie
générale progressive. Chez les déments paralyti
magistrale de Tamburini et Riva sur l'Anatomie pa- thologique de la
paralysie
progressive* , que nous avons déjà signalée, et
cas d'agitation épilep- tique ; 2° dans l'agitation délirante de la
paralysie
générale; 3° enfin dans certaines phases de déb
porte sur des états fonctionnels que sur des états organiques : la
paralysie
générale n'est remplacée par aucune autre malad
eurs fois alterner avec d'autres névroses ; par exemple, il a vu la
paralysie
hystérique d'un membre guérir Archives, t. XIX.
tation maniaque, on ne la verra jamais modifier les symptômes de la
paralysie
générale. - Il y a des maladies qui paraissent
périphériques ) ; leur principal argument est que, dans ce cas, les
paralysies
des muscles des yeux deviendraient accidentelle
, pas de paresthésie ; disparition des réflexes patellaires, pas de
paralysie
, pas de symptômes oculaires» pas de troubles de
s'agissait-il d'une maladie de Friedreich. P. K. VIII. Un CAS DE
paralysie
DE L'OCULO-31OTEUR commun A RÉCIDIVES INTERMITT
pulmonaire. P. S. X. CONTRIBUTION A la QUESTION de la nature DE la
paralysie
saturnine; par 0. VIERORDT. (Arch. f. Psyc. XVI
gère du nerf médian, douteuse du nerf cubital. D'après l'auteur, la
paralysie
saturnine ne`serait pas purement centrale. Ce s
. P. K. XI. UN cas DE carcinome secondaire DU cerveau simulant LA
PARALYSIE
GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS ; par R. PERCY SMITII. (Th
il s'agit a simulé à un moment la forme tranquille et démente de la
paralysie
générale. Bien qu'une céphalalgie intense et de
a névrite optique à manqué pendant-toute la durée de la maladie. La
paralysie
, en outre, n'a jamais revêtu les caractères d'u
s le ciel) constituaien autant de facteurs opposés au diagnostic de
paralysie
générale. Cependant, dans un cas de paralysie g
osés au diagnostic de paralysie générale. Cependant, dans un cas de
paralysie
générale indubitable l'auteur a pu constater ce
'est pas le délire expansif, mais bien la démence progressive de la
paralysie
générale que simulent les tumeurs cérébrales. I
olies et de les grouper dans un ordre naturel. Des variétés de la
paralysie
génémle. - M. RIST lit une note d'où il résulte
pidité des résultats est surtout frappante dans les contractures et
paralysies
rhumatismales. De là à appliquer cette caléfact
3° Une endartérite minime isolée dans trois cas (tumeur céré- brale
paralysie
générale) ; 4° Il reste par conséquent 24 cas d
on- sidérables dont deux athéromasies avancées (démence sénile et
paralysie
générale), une endartérite avec dégénérescence gr
e décomposent en : six endartérites oblitérantes (démence sénile et
paralysie
générale simple ou syphilitique) et quinze endart
réparations et des dessins témoignant des lésions anatomiques de la
paralysie
infantile; le sujet de l'obser- vation mourut à
vation d'un cas de tabès dorsal avancé caractérisé par une complète
paralysie
avec atrophie des 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. musc
est-il la sensation du bien-être. M. KOEPPEN (de Strasbourg). De la
paralysie
ostéomalaciyuc. - Voici trois observations de p
urg). De la paralysie ostéomalaciyuc. - Voici trois observations de
paralysies
pendant la grossesse qui, après s'être amélioré
mes grosses qui tient à l'ostéornalacie, ainsi que le veut Renz. La
paralysie
sacrée de Lehmann n'est du reste pas autre chos
compagne les altérations des osetexplique les parésies musculaires (
paralysie
notamment du psoas iliaque), et la démarche sem
séances ; exagération des douleurs lancinantes ; mort subite (par
paralysie
du nerf vague ? ) Un cas seulement témoigne d'une
il sur quelques observations formant le chaînon intermédiaire ci la
paralysie
générale et ci la catatonie. Présentation du mala
; myosis, pronostic grave. Trois mois après, signes physiques de la
paralysie
générale de plus en plus accentués; satisfactio
ixième mois, un rapport officiel affirme la démence paralytique, la
paralysie
générale pro- gressive des aliénés, et exclut t
s que la maladie a débuté; il y a treize ans que la rémission de la
paralysie
générale s'est mani- festée et celte rémission
t un défaut d'élasticité dans les plis du visage ; aucune espèce de
paralysie
d'ailleurs, ni de troubles de la parole; il est
. M. iVtUFLLRR. - L'observation de M. Wendt ne rentre pas dans la
paralysie
générale classique, à raison de la lenteur de l'é
ur guérison se trouvait imprimée. Sans doute il ne s'agit pas d'une
paralysie
progressive, puisqu'elle n'a pas progressé mais
, dans les temps modernes contemporains, la forme classique de la
paralysie
générale caractérisée par une stade de prodromes,
tions sociales plus relevées, deviennent plus rares à mesure que la
paralysie
générale des mêmes sujets se montre plus fréque
rent sur toute la moitié droite du corps; il n'existe pas au lit de
paralysie
. Le soir du même jour, trois accès de spasme du
s mémoires se rapportent surtout aux 'ma- ladies de la moelle, à la
paralysie
générale des aliénés et à divers sujets de path
ses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérir,
paralysie
agitante). Volume in-8 de 169 pages, avec 5 fig
passa- gère. J'ai vu moi-même des exemples de ce genre, plusieurs
paralysies
alternes en particulier, qui ont été consignés,
paragraphe qui est complètement à remanier. - Quand il parle des
paralysies
dans le diabète (p. 35) il en vient, dans l'his
ion des ré- flexes patellaires. Là aussi, on a dit que lorsque la
paralysie
n'est pas complète, c'est-à-dire lorsque le i L
le nom de démarche de steppe ! ' et qui paraît tenir à ce que la
paralysie
musculaire dans les membres inférieurs pré- dom
d'abord et l'avant-pied ensuite. En effet, il existe une véritable
paralysie
des extenseurs du pied, principalement à droite
vous voyez cela , vous devez penser naturellement tout d'abord à la
paralysie
alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des
la sensibilité, presque toujours présents à un haut degré dans la
paralysie
alcoolique et qui consistent en sensations doul
léger pendant le jour. Malgré cette différence, l'analogie avec la
paralysie
alcoolique se complète encore par la présence d
extension. Cela est encore bien analogue à ce qui se passe dans la
paralysie
alcoolique classique; et ceci aussi, à savoir q
epuis la précédente leçon. Mais cela tient sans doute à ce que la
paralysie
des extenseurs du pied, qui les tient immédiate
la marche la pointe du pied tombante de traîner sur le sol. Si la
paralysie
n'est pas complètement guérie au' point de vue
ations, vous le savez, Messieurs, se remar- quent également dans la
paralysie
alcoolique, ce qui tend encore à accentuer les
ise une im- pulsion délirante, avec inconscience R. R. M. C. XII.
Paralysie
générale CHEZ DES jumeaux ; par le Dl CLOUS- TO
LANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DANS LES CAS DE
PARALYSIE
GENERALE ET DE MANIE ORDINAIRE OU LES SYMPTOMES
l'estomac évacue très vite ses ingestions. P. K. XVIII. Un cas DE
paralysie
progressive, par L. GREpiiri. (Arch. f. Psych.,
lle, empêchèrent que les troubles psy- chiques et anatomiques de la
paralysie
générale ne marchassent de pair avec les autres
mé- canisme de la pachy et leptoméningite), compliqué bientôt de
paralysie
générale ; mais celle-ci ne s'était manifestée qu
formation de la voix. - La malade dont il s'agit était atteinte de
paralysie
par compression de la partie inférieure de la m
1 ' Id. « . t. 1VILI, p. 160. 406 SOCIÉTÉS SAVANTES. core d'une
paralysie
de la corde vocale gauche. On rencontra à l'aut
ité des muscles des cordes vocales et du larynx, Par conséquent, la
paralysie
simultanée de la corde vocale et du facial du c
ppellent surtout la manie grave; l'une d'elles est évidemment de la
paralysie
générale type. Snell avec sa monomanie ou folie
K.) 424 bibliographie. origines : l'amputation d'un membre ou sa
paralysie
atropllique. La modification de l'écorce cérébr
ses (Alaxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie,
paralysie
agitante).) Volume zn-8° de 169 pages, avec 5 f
par Adenot, 121. Catalepsie (utilité de la), 431. Catatonie et
paralysie
générale, par Mamroth, 271. " Cécité psychiqu
s du -- par Bullens, 243; carcinome secondaire du - simu- lant la
paralysie
générale, par Percy-Smith, 248 ; résection du
Sc,hwalbe, 257. Pachvméningite hémorrhagique, par Savage, 120.
Paralysie
générale (état de la pu- pille dans la), par zi
h, 271 ; chez des jumeaux, 393;- (un cas de), par Greppin, 103.
Paralysie
intermittente de l'oculo- moteur commun, par Ri
r Koeppcn, 207 ; (nature de la - saturnine), par Vierordt, 247.
Paralysie
diabétique, par Charcot, 30j, Perception inco
périphériques, par Oppenheim et Siemerling, 245; avec atrophie et
paralysie
des muscles mastica, teurs, par Schultze, 263.
phénomène de l'hémianopsie gauche homonyme latérale. Il n'avait ni
paralysie
, ni aphasie sensorielle, ni troubles de la paro
cédents héré- ditaires dans sa famille, excepté un oncle atteint de
paralysie
. Le malade lui- même n'était pas alcoolique, il
ALE DE BUDAPEST (CLINIQUE DE nI. LE Pr JENDRASSIK). UN CAS DE
PARALYSIE
BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT PAR z le Dr J.
n était abondante, la déglutition difficile, on constata également la
paralysie
de la langue, du voile du palais et celle du ph
e orbiculaire de la bouche semble être complètement paralysé, cette
paralysie
se traduit cliniquement dans ses symptômes clas
lade ne peut pas siffler, elle ne peut pas gon- Fig. 1. UN CAS DE
PARALYSIE
BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 13 fier les joue
rès peu prononcés pendant la phonation. Une autre conséquence de la
paralysie
de la langue, c'est que bien que les mouvements
paupière gauche supérieure, c'est-à-dire la faiblesse de UN CAS DE
PARALYSIE
BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 15 l'élévateur d
ic et l'explication de la maladie. D'abord on pourrait penser à une
paralysie
bulbaire classique, mais ce diagnostic de paral
it penser à une paralysie bulbaire classique, mais ce diagnostic de
paralysie
bulbaire de Duchenne (de Boulogne) est facile à
ermet pas de penser à cette espèce morbide. ; Le diagnostic d'une
paralysie
pseudo-bulbaire doit être réfuté de même. Celle
e les fonctions psychiques sont troublées. La gêne de la parole, la
paralysie
de la langue, la diffi- culté de la déglutition
ger dans ce cadre nosographique, qu'on connait généra- lement comme
paralysies
pseudo-bulbaires. Nous n'insistons pas longueme
fisants, l'on ne saurait confon- dre les symptômes décrits avec une
paralysie
postdiphtérique. Ces cas s'améliorent rapidemen
is est cité comme exceptionnel. " Il nous faut mentionner encore la
paralysie
bulbaire asthénique. Cette maladie d'une sympto
cas il ne s'agit pas d'accès d'épuisement variable, mais bien d'une
paralysie
à l'état chronique invariable, datant de douze
re absolu depuis douze ans ; 4° Troubles du sens tactile à côté des
paralysies
du mouvement. Voici des symptômes qui ne peuven
supérieurs.. , (1) A belgyogyaszat kézikoenyve, Vol. 6. UN CAS DE
PARALYSIE
BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 17 Quant à la na
voix s'affaiblissait de plus en plus et il se produisit ensuite une
paralysie
des membres, des muscles du cou et vers la fin
alysie des membres, des muscles du cou et vers la fin de la vie une
paralysie
] du facial gauche. La mort a été amenée par la
la vie une paralysie] du facial gauche. La mort a été amenée par la
paralysie
des muscles respiratoires. Le tra- vail de Redl
urs n'exé- cutèrent plus aucun mouvement. La mort fut causée par la
paralysie
des muscles respiratoires. L'autopsie démontra
lioration des symptômes initiais, il lui resta défi- nitivement une
paralysie
symétrique de la langue et des lèvres, avec anar-
, vomissements, troubles oculaires, épilepsie Bravais-Jacksonienne,
paralysies
. Les phénomènes moteurs, sensitifs, intellectue
toujours pour lui les phénomènes paralytiques ; la deuxième par les
paralysies
; d'après cet au- teur, la céphalée se montre s
Dans une observation de estphal, la céphalalgie n'aurait précédé la
paralysie
que de deux mois. Les phénomènes para- lytiques
de l'encéphale. Paris, 1890. DucAMp. - Kyste hydatique du cerveau,
paralysie
alterne. Progrès méd., 2, XIV, i 1891. : L013
nous pûmes observer le malade. , 1 7° Symptômes physiques. Pas de
paralysie
. Diminution des réflexes rotuliens, Pupilles di
ndant la vie extra-utérine, et la décrivit comme complication de la
paralysie
infantile. Malgré plusieurs travaux, qui ont mi
técédents héréditaires. Son père est mort à 78 aus, après 10 ans de
paralysie
; sa mère est morte à 34 ans, probablement de tub
ire à la production de cette attitude vicieuse. Ni rachi- tisme, ni
paralysie
infantile, ni traumatisme; pas d'opération pratiq
avec succès, puisqu'il n'y a au début et au cours de l'affection ni
paralysie
vraie, ni contracture; on pourrait sans doute inv
, aucun effort n'a été tenté pour reproduire les déformations de la
paralysie
. La maladie n'est représentée que par ses signes
'empêcher de remar- quer combien cette main ressemble à une main de
paralysie
radiale. Certes, l'exécution est maladroite, ma
ladroite, mais nous verrons ultérieurement des repré- sentations de
paralysie
radiale conçues de la même manière, et qu'une e
eut donc, sans trop s'avancer, admettre qu'il s'agit bien ici d'une
paralysie
radiale. Ce document nous montre, pour la premièr
vons trouvé un effort, vers la réalité ; cette représentation de la
paralysie
radiale, tout imparfaite qu'elle soit, nous pro
ève présente au bras droit une déformation qui ressemble trop à une
paralysie
radiale pour n'être que le résultat d'une malad
ain pendante, aux doigts retombant à peine fléchis, est une main de
paralysie
radiale. Dans le compartiment reproduit PI. VI,
béquille du mendiant, le ven- tre de batracien, de l'hydropique, la
paralysie
radiale, l'attitude si carac- téristique de l'a
vers lui son avant bras paralysé lequel nous offre le tableau d'une
paralysie
radiale typique. L'avant-bras est maintenu ho-
ite,aucune espèce de doute possible au sujet de la réalité de cette
paralysie
radiale, sur laquelle se concentre tout l'intérêt
ouvons que des traces mini- mes d'observation de la nature. Sauf la
paralysie
radiale de Monreale, tout le reste est bien con
reconnaître, au point de vue clinique, deux formes principales à la
paralysie
spinale syphilitique : une forme à début brusque
moins aisée dans la forme xiv ' 8 106 LONG ET WIKI lente de la
paralysie
spinale syphilitique. On peut cependant les consi
un stade avancé d'organisation. RÉSUMÉ DE l'observation clinique. -
Paralysie
spinale à marche lente et progressive, survenue
n avec ce qui a été dit maintes fois sur les formes cliniques de la
paralysie
spinale syphilitique. , La forme rapide est due
DES AUTRES AFFECTIONS NERVEUSES PROFESSIONNELLES OBSERVATIONS DE
PARALYSIE
CHEZ UN MARCHAND DE NOUVEAUTÉS, DE CRAMPE DES P
e prépondérant dans l'étiologie et le traitement. La crampe et la
paralysie
des écrivains sont les plus connues de ces affe
ogie, le pronostic et le traitement. Comme les cas de crampes et de
paralysies
des écrivains sont très connus, . il est mieux
pression des ciseaux sur la branche digitale du nerf radial. Une
paralysie
flaccide et atrophique, comme celle que nous obse
utes les causes de névrite. Il s'agit donc, sans aucun doute, d'une
paralysie
des ciseaux. Très souvent, en effet, il était o
e la réaction de dégénérescence. Il s'agit, comme on le voit, d'une
paralysie
flaccide et atrophique des muscles du côté cubita
étaient plus parfaits, on pourrait la noter dans tous les cas où la
paralysie
est flaccide. En tout cas, son apparition jette
urs douloureux. C. La faiblesse musculaire est due rarement à de la
paralysie
complète, mais cela peut s'observer, comme dans
nt de vue du traitement, il est de toute nécessité de distinguer la
paralysie
du spasme car le traitement diffère complètement.
ucune altération apparente de la nutrition musculaire. Cependant la
paralysie
peut s'accompagner (['atrophie et le spasme d'hyp
constances variables. A notre avis, il y a toujours dans les cas de
paralysie
, un léger degré de réaction de dégénérescence, bi
uvant continuer ses occupations ; mais s'ils sont peu prononcés, la
paralysie
et l'atrophie peuvent survenir avant, que le ma
ir le tremblement (destruction partielle), s'il continue encore, la
paralysie
placide survient (destruction complète). L'on s
it, du reste, que la dégénérescence du nerf moteur oc- casionne une
paralysie
flaccide et atrophique que nous ne constatons que
rche de l'affection (crampe avec ou sans hypertrophie, tremblement,
paralysie
et atrophie), il peut arriver que l'un de ces sta
que, dans certains cas, l'affec- tion peut arriver rapidement à la
paralysie
et même à l'atrophie sans passer parle spasme i
une histoire familiale de crises nerveuses, de troubles mentaux, de
paralysie
, etc. Le nervosisme et l'arthritisme étaient tr
même le tremblement sont cepen- dant plus faciles à traiter que la
paralysie
et l'atrophie. Cette dernière est la plus diffi
s au chloral dans les cas graves. Lorsqu'on est appelé à traiter la
paralysie
et l'atrophie, on doit quelque peu modifier ses
et, et nous retrouvons encore ici, la main pendante, relâchée de la
paralysie
radiale. Il est cependant plus vraisemblable qu'i
la paralysie radiale. Il est cependant plus vraisemblable qu'il y a
paralysie
flasque du membre entier, et nous pouvons remar
lique l'absence, au cours d'une longue évolution clinique, de toute
paralysie
localisée et notamment d'aphasie. L'étude des t
centre cortical de la VIle paire, en raison du type cérébral de la
paralysie
faciale ; et sur le tronc de l'oculo-moteur, en
sie faciale ; et sur le tronc de l'oculo-moteur, en déterminant une
paralysie
dissociée de la IIP paire, intéressant le droit
restée indécise jusqu'aux derniers jours, jusqu'à l'apparition des
paralysies
du côté gauche, qui permirent de localiser la l
'intervalle des crises elle ne présente aucun phénomène anormal, ni
paralysie
, ni trouble de la parole, etc. Un examen somatiqu
die de Raynaud. Il ne s'agit pas de contracture artérielle, mais de
paralysie
veineuse. L'affection neprocèdepas par accès et
tactile est diminuée à gauche), et qu'il peut être superposé à une
paralysie
(or ici il y a une notable diminution de la for
tiques, toxiques ou infectieuses des nerfs au stade chronique de la
paralysie
vaso-motrice, c'est-à-dire une hyperémie passive
tent les ondulations nerveuses se manifestent chez lui : 1° par une
paralysie
des vaisseaux de la peau du bras gauche ; 2° pa
hermique; 5° des neurones (1) Ch. BINET-SANGLÉ,DtG tremblement à la
paralysie
(in Archives médicales d'Angers, 1898,1899,1900
lus apparente des lésions nerveuses que présente notre malade, à la
paralysie
des vaisseaux de la peau. Il n'est pas possible e
surtout appréciable au doigt, est dû au non-dé- veloppement ou à la
paralysie
des muscles vaso-constricteurs, l'action élasti
sont tombés. Les papilles linguales sont extrêmement accusées. La
paralysie
faciale est totale. Si on dit au malade de faire
aient ses mouvements volontaires. Aslasie-abasip. Il n'avait aucune
paralysie
et dans sou lit, à part la gêne causée par l'at
s les odeurs produisent des troubles durables ; des pypotomies, des
paralysies
qui se manifestent de préférence sur les muscle
les modifications ' '(1) Sérieux et MIGNON, Surdité corticale, avec
paralysie
et hallucinations de Vouïe, due à des kysles hy
ant dès qu'on éveille l'attention du malade. Pas de strabisme ni de
paralysie
externe. Inégalité pupillaire, la pupille gauche
il traîne la pointe des pieds sur le sol comme un paraplégique avec
paralysie
des extenseurs en particulier. Dynamomètre : 56
Leur aspect général rappelle celui des cellules ob- servées dans la
paralysie
infantile aiguë arrivée à la période de cicatrisa
tats sont conformes à ceux de MM. Joffroy et Achard (2) qui dans la
paralysie
infantile n'ont pas trouvé d'altérations apprécia
94; p. 619. (2) JOFFROY et Achard, Contrib. à l'anat. pathol. de la
paralysie
spinale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine e
mp et commença à se refermer et à guérir. » Le lende- main aussi la
paralysie
et la contracture disparaissaient. De même Anne
e la névrose, ne dépend que du traitement psychique et suggestif.
PARALYSIE
DU NERF CUBITAL ET CONTRACTURE CONSÉCUTIVE MAIN
PAR le Dr DE LÉON, de Montevideo. La contracture consécutive à la
paralysie
du nerf facial, dont parlent Duchenne dans la p
cutive à la paralysie du nerf facial, dont parlent Duchenne dans la
paralysie
dite par compression ou a frigore (1), et De- j
main jusqu'à l'aisselle. Seulement, dans ce cas, il n'y eut pas de
paralysie
antérieure. L'histoire du premier cas qui m'a é
ions électriques étaient normales. Par conséquent, le diagnostic de
paralysie
organique du nerf cubital s'im- posait : l'impu
la SALPtfRltRE. T. XIV, PI. LIII A B Phototypie Bertliaud B
PARALYSIE
DU NERF CUBITAL ET CONTRACTURES CONSÉCUTIVES (J
ntes pour établir ce diagnostic. Quelle â pu être la cause de cette
paralysie
? ' ? Duchenne décrit cinq cas par contusion ou
chloroformisation, comme dans le cas que je décris. On a décrit des
paralysies
d'autres nerfs et même des paralysies centrales,
ue je décris. On a décrit des paralysies d'autres nerfs et même des
paralysies
centrales, consécutives à la narcose (Raymond,
Bastit et Mortet). Les deux derniers auteurs incriminent, dans les
paralysies
post-opéra- toires centrales, la chloroformisat
au interne parce qu'elle est d'origine névritique, consécutive à la
paralysie
du cubital, qui n'innerve que celte partie du m
actuellement d'une MAIN EN PINCE 413 contracture consécutive à la
paralysie
du nerf cubital, analogue aux con- tractures po
ns la partie interne et inférieure du bras, qui lui pro- duisit une
paralysie
douloureuse de la main correspondante pendant lon
n. Il n'est pas difficile de faire ici un diagnostic rétrospectif :
paralysie
du nerf cubital par blessure de balle, contract
ERs. - Trois cas par flexion du coude durant le sommeil. BERNHAKDT.
Paralysie
double par fièvre typhoïde. Pitres. - Paralysie
mmeil. BERNHAKDT. Paralysie double par fièvre typhoïde. Pitres. -
Paralysie
par fièvre typhoïde. Babinski. Traité médecine.
u sein. Charcot. - Leçons de maladies nerveuses, t. 3. Raymond. -
Paralysies
radiculaires par chloroformisation. Maladies du s
te syphilitique. Nouvelle iconographie de la Salpêtrière. PnocAs.
Paralysie
post-opératoire. Revue neurologique, an VII, ne t
aralysie post-opératoire. Revue neurologique, an VII, ne t. Ozekne.
Paralysie
radicale par compression post-opératoire. Revue n
st-opératoire. Revue neurologique, an VII, no 2. BASTIT et MoKET.
Paralysie
post-opératoire . Revue neurologique, an VU, n° 1
ralysie post-opératoire . Revue neurologique, an VU, n° 17. Huer. -
Paralysie
par compression. Revue neurologique, an VlIl, n'
sant glisser sur le sol, mais sans le soulever. C'est une véritable
paralysie
par épuisement avec son accompagnement psychiqu
ompagnement psychique, l'incapacité de la représentation (4). Cette
paralysie
ne s'observe pas dans le médius qui travaille, lo
ile, évolution que l'auteur rapproche judicieusement de celle de la
paralysie
infantile. De nouvelles observations sont néces
né de la poliomyélite antérieure. Quoi ! vouloir comprendre dans la
paralysie
atrophique de l'enfance une affection qui a l'h
a l'hypertrophie pour caractéris- tique et qui n'offre pas trace de
paralysie
! La comparaison n'est-elle pas bien audacieuse
thogénie des deux états, celui que présente notre jeune sujet et la
paralysie
infantile, existe une étroite SUR UNE FORME D'I
proposons de soutenir, lloS : '6;"sN e- " rons de démontrer que la
paralysie
atrophique spinale de rellraÂêe"À>nÙ11Bi',é.¡'
es affections médullaires avec amyotrophie. C'est ainsi que dans la
paralysie
atrophique de l'enfance, le degré d'atrophie ou
nes (2) donne plusieurs observations d'adipose sous-cutanée dans la
paralysie
infantile avec atrophie musculaire : « Les conc
es, secondaires ou symptomatiques ; 2° d'une façon variable dans la
paralysie
spinale ; 3° rarement (si tant est qu'elle existe
ns les muscles atrophiés. » Au nombre des troubles trophiques de la
paralysie
infantile, P. Ma- rie (3) ne manque pas de comp
e quelque droit à figurer aussi dans le tableau symptomatique de la
paralysie
infan- tile. Bien qu'on la rencontre le plus so
ilibre normal de l'économie. Bien que les symptômes habituels de la
paralysie
infantile - début fébrile, paralysie motrice d'
les symptômes habituels de la paralysie infantile - début fébrile,
paralysie
motrice d'un ou de plusieurs membres, atrophie mu
d'expression. C'est ainsi que la fièvre initiale manque parfois. La
paralysie
peut être très fugace, pas- ser même inaperçue,
r passer inaperçue : « Il importe de rappeler, dit Duchenne, que la
paralysie
atrophique de l'enfance, quels que soient son éte
nir pourrait-il en être perdu, dans le cas où les phénomènes (1) La
paralysie
pseudo-hypertrophique pourrait être confondue ave
1) La paralysie pseudo-hypertrophique pourrait être confondue avec la
paralysie
infantile, en raison de la lipomatose que prenn
l, la pseudo-hypertrophie fût moins étrangère dans son essence à la
paralysie
infantile qu'on ne le supposerait, bien que, ju
omme le point de départ de l'hypertrophie du membre inférieur. La
paralysie
également affecte tous les degrés d'intensité. El
façon échapper a l'attention. Aticeaurait- elle été touchée par la
paralysie
? Rien ne le prouve d'une manière cer- taine. L
'une courte convales- cence. Le peu d'intensité et de durée de la
paralysie
n'implique pas forcément des suites en corrélat
jonctive très épaisse. Voll,- mann (1) dit avoir vu 4 ou 5 fois une
paralysie
infantile tout à fait tem- poraire et aboutissa
(2), n'est pas toujours en rapport avec le degré et l'étendue de la
paralysie
. Ainsi un membre pourra avoir perdu la plupart de
ns un ou deux muscles. » « Dans quelques cas, dit Boulloche (3), la
paralysie
infantile n'aboutit à aucune atrophie musculair
s l'époque où la poliomyélite antérieure était considérée comme une
paralysie
essentielle, l'aspect seul des lésions des corn
tion entre leurs manifestations, les trou- bles trophiques, dans la
paralysie
infantile, ne semblent pas résulter de lésions
ou chroniques, qui donnent lieu à autant de variétés clini- ques de
paralysie
spinale ? Dire que l'agent pathogène fait son cho
t-il (1) Brissaud, Atrophies musculaires tardives consécutives à la
paralysie
infantile, Presse méd., 1896. SUR UNE FORME D
spectives vis-à-vis des causes pathogènes. » Si la pathogénie de la
paralysie
infantile ne comportait pas ce caractère électif
omatologie de la poliomyélite antérieure, malgré l'absence de toule
paralysie
. L'expérience ne nous révèle-t-elle pas combien n
exemple, à associer la notion d'atrophie au tableau clinique de la
paralysie
infantile, pour lui substituer, sans hésitation
t ou seulement ef- fleuré certaines cellules, puisse déterminer une
paralysie
atrophique ir- rémédiable, oususciterune excita
i nous paraissait exister entre le cas que nous avons observé et la
paralysie
infantile. Nous croyons pouvoir les compléter en
de cette délicate sélection. » 488 E. RAPIN manifestations de la
paralysie
infantile ? Nous le rappelons : Etat fébrile sa
yélopathies organiques, il en est que l'on ne rencontre pas dans la
paralysie
infantile et qui, en vertu de leur défaut, cont
hez notre malade. Nous ferons remarquer, en ou- tre, que lorsque la
paralysie
infantile est unilatérale, elle est souvent asy-
ncedu 22 janvier 1897), Thibierge présenta, un malade atteint d'une
paralysie
infantile ayant déterminé une atrophie du bras
jeune sujet, pouvait, au même titre que les autres symptômes de la
paralysie
infantile, être envisagée comme l'une des consé
es au cours d'une maladie dé- finie du système nerveux (hémiplégie,
paralysie
infantile, etc.) ». En réunissant les faits qu'
n d'un cas observé par Joffroy, concernant une malade at- teinte de
paralysie
infantile avec oedème considérable du membre infé
e droite et à gauche pour le membre. supérieur, sans qu'il y ait de
paralysie
véritable. Cependant l'attitude de la malade mo
ment, ainsi que l'indique la photographie, sur les phénomènes de la
paralysie
affectant la face gauche avec contracture du hras
sus. J'ajouterai que les membres inférieurs ne sont pas atteints de
paralysie
complète et que les mouvements, s'ils sont diff
l. Il ne sait pas s'il a eu à ce moment là des arthropathies, de la
paralysie
ou des contrac- 'tures ; il sait seulement qu'o
par Lu- cien HUDELO et Jean HEIn (4 pl. en photocollogr.), 415.
Paralysie
bulbaire aigué (Un cas de) chez un enfant, par
aire aigué (Un cas de) chez un enfant, par KOLLARITS (2 fig.), H.
Paralysie
du nerf cubital et contracture consécutive. Mai
'hémimélie (2 tig" 6 pl. en photocollogr.), 128. Jacinto de Léon.
Paralysie
du nerf cubital et contracture consécutive. Mai
nopsie d'origine intracérébrale (8 fig.), 4. KOLLARITS, Un cas de
paralysie
bulbaire aiguë chez un enfant (2 fig.), 11. L
oder- mie. Autopsie (Lucien HUDELO et Jean IIEITZ), LIV à LVII.
Paralysie
du cubital, main en pince (JACINTO de LÉON), LU
re de fréquence, les altérations suivantes : 1° la cataracte; 2° la
paralysie
de l'accommodation et des muscles extrinsèques;
s. Dia- gnostic de la nature de la lésion impossible.. l'. K. IV.
Paralysie
isolée du long fléchisseur du pouce par SURMENAGE
IV. Paralysie isolée du long fléchisseur du pouce par SURMENAGE (
paralysie
des tambours); par BRUNN, (Nelll'oi. Centralbl.,
ouleurs dans l'avant-bras et l'éminence thénar gauche. Tout à coup,
paralysie
, immobilité complète du pouce de ce côté (mouve
s, les troubles de la motilité, les troubles de la sensibilité, les
paralysies
des muscles de l'oeil, la démence sarcas- tique
e du membre inférieur gauche chez - -un homme de quarante-deux ans.
Paralysie
de la motilité avec ? contracture, anesthésie, ma
e (24 éléments,' très fort cou- rant faradique).. P. K. XV. D'UNE
paralysie
congénitale unilatérale DU trijumeau, DE L'OCUL
eurol, Cezztralbl., 1890.) ; Accouchement normal. Aussitôt après,
paralysie
de la moitié droite de la face; impossibilité d
de l'oeil gauche. C'est tout. Une tante maternelle est atteinte de
paralysie
cérébrale spasmodique et d'épilepsie, depuis sa j
même côté. Intégrité des moyennes des nerfs. P. K. ' ' XVI. D'UNE
paralysie
isolée du NERF sus-scapulaire gauche; par SPERL
dégénérative partielle du sous-épineux. En somme, trois stades : 1°
Paralysie
complète du bras gauche; 2° Paralysie du sus-ép
En somme, trois stades : 1° Paralysie complète du bras gauche; 2°
Paralysie
du sus-épineux et du sous-épineux; 3° Paralysie
u bras gauche; 2° Paralysie du sus-épineux et du sous-épineux; 3°
Paralysie
avec atrophie du sous-épineux seul, ayant passé i
ction compensative du petit rond. La première période est due à une
paralysie
(par névrite) du brachial entier, puis, pour de
i deux obervations avec autopsie. A une époque peu éloi- gnée de la
paralysie
d'origine cérébrale, on constate de l'atrophie
sibilité ni des réflexes. C'est une affection de même nature que la
paralysie
agitante; très souvent on constate la même atti
d'une origine commune. P. Keraval. XXV. DE certaines attaques DE
paralysies
prodromiques dans LE RAMOLLISSEMENT DU CERVEAU
bl. f. Nervenheilk., 1890, N. F. I.) . Il s'agit de ces attaques de
paralysie
successives et passagères (quelques minutes) qu
e qu'au bout de plusieurs heures, tandis que les autres attaques de
paralysie
transitoires antérieures n'eurent pas ce caract
plus qu'ailleurs dans l'hémisphère en ques- tion, il appert que la
paralysie
delà sensibilité et de la motilité du membre dr
es troubles de la vue, et de la motilité (hémiparésie, paraparésie,
paralysie
du péronier, de la vessie, du rectum). Quelle
es rouages de l'association des idées. P. K. XXXIII. NOTE sur les
paralysies
dans la maladie de Parkinson; par le Dr Moucorg
t les suivantes : 1° en dehors de la cachexie, on peut observer des
paralysies
avec ou sans atrophie à la période préterminale
phie à la période préterminale de la maladie de Par- kinson; 2° des
paralysies
compliquées ou non d'atrophies peu- vent être é
ériodique (observations n° 29 de folie systématique pério- dique) ;
paralysie
générale (quatre observations); folie épi- lept
. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '. CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE
PARALYSIE
GENERALE PROGRESSIVE A DÉBUT TRÈS PRÉCOCE (Pa
UR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE A DÉBUT TRÈS PRÉCOCE (
Paralysie
générale juvénile1) ; Pac 111nr. J.-M. CHARCOT
ie générale juvénile1) ; Pac 111nr. J.-M. CHARCOT et A. DUTIL. La
paralysie
générale progressive est une maladie de l'âge m
XXIII. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. pie, que de pouvoir constater la
paralysie
générale bien caractérisée chez un sujet à pein
c'est-à-dire à l'âge de quatorze ans. Voici le fait. Observation.
Paralysie
générale progressive ayant débuté ci l'dge de q
on développe- ment physique, aucun accident névropathique. CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 147 -1 Au dire de ses par
Un embarras de la parole très marqué lorsque le sujet est un CAS DE
PARALYSIE
GENERALE PROGRESSIVE. 1119 peu fatigué, lorsqu'
syllabes et parfois des mots entiers. C'est le parler typique de la
paralysie
générale progressive. Quand il répond sim- plem
aux symptômes que présente G... Il n'existe chez lui ni parésie, ni
paralysie
localisée. Seulement une débilité musculaire gé
s stigmates de la syphilis héréditaire. On le voit, c'est bien la
paralysie
générale progres- sive qui est en jeu chez le j
aîné du sujet. Cette dernière locution vise l'attitude et CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 151 la démarche très part
ces troubles de la marche ne sont points étrangers au tableau de la
paralysie
générale. Ils s'observent même assez communémen
n décrivant ce syndrome, a précisément signalé sa fréquence dans la
paralysie
générale progressive dont il est souvent (assoc
ts étiologiques auxquels puisse être rattachée, croyons-nous, cette
paralysie
générale si précoce. Ce fait n'est pas sans pré
fait n'est pas sans précédent. Des cas de ce genre dans lesquels la
paralysie
générale est apparue avant la vingtième année,
t arriver à quelques conclusions permettant de recon- naître à la
paralysie
générale très précoce, juvénile; quelques carac
rès précoce, juvénile; quelques caractères qui la distinguent de la
paralysie
générale venant à son heure, dans des condition
égis. - Encéphale, 1883 et 1885. "Vrain. Contribue. à l'élude de la
paralysie
générale à début pré- coce, th. doct., Paris, 1
ie générale à début pré- coce, th. doct., Paris, 1887. M/f CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 153 ^probablement, autant
tieux. Les choses, à cet égard, semblent se passer comme dans la
paralysie
générale des femmes. Il en a 154 CLINIQUE NERVE
ervations précitées. C'est là, en ce qui concerne l'évolution de la
paralysie
générale juvénile, la seule particularité qu'on
urs on attache trop d'importance, peut-être, dans l'étiologie de la
paralysie
générale : les excès alcoo- liques ou vénériens
ara- lysie générale juvénile comme ils dominent aussi celle de la
paralysie
générale des adultes : l'hérédité et la syphili
n'a révélé que des altéra- tions anatomiques caractéristiques de la
paralysie
géné- rale sans immixtion d'aucune lésion de na
te- ment spécifique. En somme, la syphilis semble agir ici CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 155 comme une cause adjuv
e adjuvante et puissante, mais elle n'est pas la cause foncière. La
paralysie
générale des adolescents non plus que celle des
ipal facteur pathogénique. « Parmi les causes prédisposantes (de la
paralysie
générale), l'hérédité, disait Marcé joue un gra
en disant qu'on la rencontre dans un tiers des cas. La folie et la
paralysie
générale sont bien d'ail- leurs deux rameaux d'
r sans réserves. En tout cas, l'examen com- paratif des exemples de
paralysie
générale à début très précoce que nous avons ci
ns cités n'est- certes pas pour la démentir. . L'apparition de la
paralysie
générale à l'époque de la puberté ou dans le co
'âge mûr. - J. l'Iicklel estime que l'âge, auquel se développe la
paralysie
générale, est aujourd'hui inférieur à ce qu'il
a- rés et plus habiles que nos prédécesseurs à diagnos- tiquer la
paralysie
générale. 1 1111ckle. - On gênerai paralysis of
blement d'association tabetico-diabétique. Pour ce qui concerne les
paralysies
des muscles des yeux d'origine- diabétique, Alt
lement on ne possède pas d'observations très con- cluantes sur les
paralysies
des muscles oculaires, quoique Kiwatkowski en a
res, quoique Kiwatkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une
paralysie
du muscle droit externe dans des conditions ana
ns des conditions analogues'. » D'après de Wecker et Landolt, ces
paralysies
seraient probablement due à des trou- bles circ
dans le diabète, ceux que l'on rencontre sont : la cataracte, les
paralysies
de l'accommodation et celles des mus- cles extr
ans la dépression mélancolique et dans une inertie progressive, par
paralysie
delà volonté, dit-elle. Voix intérieure. Une vo
f, avec inactivité; - 2° Vanité,' contentement de soi, rappelant la
paralysie
générale; 3° Etat de stupeur et d'effarement, a
à fait caractéristiques. Il y a lieu de remarquer d'ailleurs que la
paralysie
générale et l'axie locomo- trice sont assez com
rsonnes. R. M. C. XXII. NOTES SUR l'urine ET la température dans la
paralysie
générale DES aliénés; par John TURNER. (The Jou
période, 42 à la seconde période, et 9 à la troisième période de la
paralysie
générale. Chez 8 sur 10 des malades à la premiè
troisième période. - C'est un fait généralement reconnu que dans la
paralysie
générale, indépendamment de toute complication
, mais vraisemblable que les bizarreries de la température, dans la
paralysie
générale, reconnaissent pour cause la dissoluti
et un peu après; elle est fréquente dans les dernières phases de la
paralysie
générale, et Spitzka cite un cas dans lequel un
sie du larynx existait plu- sieurs années avant la découverte de la
paralysie
générale ; chez les alcooliques, les anesthésie
° Comme agent palliatif : A, dans la folie épileptique ; B, dans la
paralysie
générale des aliénés, surtout à la première pério
sclérose médullaire, la méningite, les troubles hallucinatoires, la
paralysie
générale, la pneumonie. Il a constaté, sauf des
SKI (de Strasbourg). Contribution à l'anatomie patholo- gique de la
paralysie
faciale rhumatismale. - Il s'agit d'un homme de
ingt-sept ans, pris subitement, à la suite d'un refroidissement, de
paralysie
faciale complète; les segments antérieurs de la
lus les saveurs; il existe passagèrement de l'hyperaconsie et de la
paralysie
du voile du palais; réaction dégé- nérative d'a
'abord partielle, puis complète. Huit semaines après le début de la
paralysie
, le patient s'empoisonne en avalant de l'acide
ion de la zone motrice du cerveau peut déterminer chez le chien une
paralysie
croisée complète ; on observe aussi sur la moit
ammatoire qu'elle contient, il est possible de faire disparaître la
paralysie
(de lfalinowsky). - 2° Un foyer inflammatoire i
système des faisceaux pyramidaux soit l'intermédiaire obligé de la
paralysie
motrice et des phéno- mènes d'excilation. Cette
on lui avait extirpé cet hémisphère. Il n'y a eu à aucun moment ni
paralysie
motrice, ni phénomène d'excitation. Or le système
e céphalique de gravité moyenne, cé- phalalgie localisée, vertiges,
paralysie
de différents nerfs crâniens, mydriase unilatér
rave, à des intervalles périodiques, s'accompagnant de fièvre ou de
paralysie
des extrémités. Les facullés mentales disparaisse
t pour y être examinés tant ils étaient tourmentés par l'asthme, la
paralysie
et d'autres infirmités qui en. faisaient des in
gitée; le 8 au matin, sa parole est inintelligible, on constate une
paralysie
complète de la partie inférieure du facial gauc
circonscrite des enveloppes de la moelle. M. le Dr Econow : Cas de
paralysie
spinale spnslique. - Il s'agit d'un syphilitiqu
nce du 12 avril 1891. M. le Dr PRÉOBRAJENSKY communique deux cas de
paralysie
saturnine observés par lui à l'hôpital Catherin
du diagnostic porté par l'auleur. Chez le premier malade, outre la
paralysie
(incomplète) et l'atrophie des extenseurs des d
é supé- rieure droite étaient parétiques et atrophiés. A gauche, la
paralysie
est moins marquée; les muscles de la main sont
e symptôme, en contradiction avec les altérations anatomiques de la
paralysie
saturnine. 1\I1. les professeurs KOJEVNIKOFF et
OFF présente une étude clinique et anatomique détaillée d'un cas de
paralysie
atrophique subaiguë des extrémités inférieures
s et nerveuses sont indépendantes les unes des autres. Toutes les
paralysies
atrophiques aiguës et subaiguës de nature périp
sés par M. Mouratoff en cinq groupes : 1). polyneuritis acutissima (
paralysie
de Landry); 2). Polyneuritis subacuta et chroni
retiendrons seulement ce fait que, dans les asiles d'Australie, la
paralysie
générale est beaucoup plus rare que dans les asil
était en Angleterre de 8,4 p. 100. Il est à remarquer aussi que la
paralysie
générale paraît plus commune dans les vieilles
tinguent de toutes les autres espèces morbides. De même que dans la
paralysie
générale, nous avons trouvé comme fonds une dém
r tour, ont leur physionomie particulière et, de même que dans la
paralysie
générale, les délires empruntent au fonds de dé
les lésions dans l'en- fance qui laissent, surtout après elles, des
paralysies
. et de la faiblesse intellectuelle, ne. détermi
st la con- tracture des quatre extrémités avec porencéphatie, des
paralysies
avec contracture, par sclérose ayant détruit le
ez que M. Charcot a démontré la nature morale, psy- chologique, des
paralysies
hystériques, qu'il a eu l'audace de présenter c
paralysies hystériques, qu'il a eu l'audace de présenter certaines
paralysies
flasques d'apparence toute phy-' sique comme de
e éprouvait un certain engourdissement dans la main droite, mais la
paralysie
n'était pas manifeste. Elle se plaignait surtou
ument plus remuer le bras droit; c'est là, à mon avis, une sorte de
paralysie
hystérique, qui n'est pas apparente à l'état no
qu'on admette avec Vulpian que la cyanose de la face est due à une
paralysie
des vaso-constric- ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQU
me dû m'abstenir, pour cette raison, de signaler l'homicide dans la
paralysie
générale, quoiqu'il en existe des cas incontest
PATHOLOGIQUES. I. CONTRIBUTION A l'histologie pathologique DE la
paralysie
PRO- GRESSI%R ' par A. PicK. (Neurol. Cenlralbl
cation. P. K. III. DÉGÉNÉRESCENCE DES VAISSEAUX CAPILLAIRES DANS LA
PARALYSIE
progressive DES aliénés, par P. 11RONTIL1L. (Ne
) Il est une catégorie de faits caractéristiques dans lesquels la
paralysie
générale évolue par exacerbations fébriles; c'est
es altérations en rapport avec les premiers symptômes évidents de
paralysie
générale qui sont palhognomoniques de cette affec
ro- phie consécutivement. Telle est l'inflammation du début de la
paralysie
générale. La méningite chronique n'existe pas t
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 tremblement alcoolique et de ceux de la
paralysie
agitante et de ceux de la sclérose en plaques o
e la pellagre). En somme, si l'atrophie est adéquate au degré de la
paralysie
. suivant les diverses régions examinées, elle n
ue l'atrophie est survenue juste deux mois après l'apparition de la
paralysie
, et qu'elle a affecté une marche rapidement pro
ez elle aucun trouble oculaire ni des sens spéciaux, aucun signe de
paralysie
. ' L'apparition de ce gonflement fut le premier
t initial de la série des lésions histologiques du cerveau, dans la
paralysie
géné- rale, et que les altérations de la névrog
avec les phénomènes d'excitation, car, atrophie centrale signifie,
paralysie
périphérique. Et d'autre part, un syphilome, un
lite syphilitique. Cette modalité morbide ressemble évidemment à la
paralysie
infantile cérébrale, moins la paralysie et la c
e ressemble évidemment à la paralysie infantile cérébrale, moins la
paralysie
et la contracture. Il se pourrait du resle qu'e
calisation des foyers pathologiques. Pourquoi n'y aurait-il pas une
paralysie
infantile syphilitique ? Il ne faut pas oublier
l'attention sur les lésions du centre ovale (porencéphalie) dans la
paralysie
infantile d'origine cérébrale. En des cas tout
ales se distinguent cliniquement et anatomique ment de celles de la
paralysie
générale. La prochaine séance est fixée au 14 n
s cris spasmodiques, avec troubles de la connaissance, tym- panite,
paralysie
des jambes. En dehors des crises, intégrité de l'
de clinique et anatomique des symptômes de lésions en foyer dans la
paralysie
générale. Comme il est rare que les lésions en
e des attaques; la monoplégie brachiale, caracté- risée non par une
paralysie
des mouvements en masse, mais par la perte de l
exagération du processus de dégénérescence systématique propre à la
paralysie
générale qui frappe, non pas seulement les fibr
ir les symptômes de lésions en foyer du cerveau dans le cours de la
paralysie
générale. Tantôt la poussée dégénérative de cer
s ce dernier cas, nous avons affaire aux symptômes classiques de la
paralysie
générale, sans symptômes de lésions en foyer pr
congestives (Lissauer). Enfin, il peut arriver que l'on observe des
paralysies
générales à complexus ordinaire peu accusé, tan
lésions du lobe frontal sont très minimes. On pourrait les appeler
paralysies
générales à localisation anor- male. M. HAHN
la possibilité de l'ori- gine du laryngisme pareil à la suite d'une
paralysie
des muscles postérieurs; il explique pourtant l
e s'agissait vrai- . semblablement pas du spasme, mais plutôt d'une
paralysie
des muscles postérieurs. l1L- le Dr DAIICHENI
ramollissements du cerveau, l'ataxie locomotrice, les myélites, la
paralysie
infantile; on prenait des observations d'at- te
réellement guéris. Une demoiselle Wolff, entre autres, atteinte de
paralysie
, raconte qu'après avoir été soignée sans succès
esworth, 219. PARALDÉHYDE, comme hypnotique, par Finucane, 233.
Paralysie
, du long fléchisseur du pouce, par Bruns, 9î; -
int de , par Feist, 396; Kalhbaum, 434. Pabkinson (maladie de),
paralysie
dans la - par Noncorgé, 108. Parole, embarras
te-quinze ans, l'autre à soixante-treize ans, avec des symptômes de
paralysie
. Ses grands-parents maternels sont morts tous d
ues. L'examen des yeux ne font rien constater de spécial. Pas de ,
paralysie
des muscles de l'oeil. Pas de nystagmus. Les pupi
es. Cette dégénération peut être primitive ou secondaire. Dans la
paralysie
générale la dégénérescence des cellules nerveuses
lète de sensibilité au toucher, à la douleur, au froid et au chaud,
paralysie
complète, respiration complètement diaphragmati
ois mois et demi avant son admission à l'hôpital : sueurs profuses,
paralysie
des droits supé- rieurs des yeux, hémianopsie,
e, amnésie. Puis plus tard affaiblissement intel- lectuel, aphasie,
paralysie
faciale droite, perte du goût et du sens muscul
hronique assez fréquente. 11 convient aussi de séparer nettement la
paralysie
hystérique de la paralysie neurasthénique et hy
1 convient aussi de séparer nettement la paralysie hystérique de la
paralysie
neurasthénique et hypochondriaque. Dans cette d
atteint de myosite ossifiante. RRDLICII. Lésions anatomiques de la
paralysie
agita ? zte. DE Frankl-Hochwart. Présentation d'u
M. LEPP3tANN. Il n'est pas rare de voir la mélan- colie précéder la
paralysie
générale ; aussi a-t-on parlé de mélan- colie p
beaucoup parlé de la complication d'une psychopathie]simple par la
paralysie
générale, c'est-à-dire de la folie simple se tr
alysie générale, c'est-à-dire de la folie simple se transformant en
paralysie
générale terminale. Il y aurait lieu de réexami
i, les lésions anato- miques des psychopathies antérieures et de la
paralysie
générale sont identiques, la variété de l'évolu
t, j'en ai la conviction, à l'étiologie. Il ne peut y avoir dans la
paralysie
générale qu'un nouvel élément nuisible autogène
on clinique nous montre, à mon sens, assez souvent l'addition d'une
paralysie
générale. Je me souviens notamment en ce moment
re, etc... » Or, un beau jour, ce délire chronique se transforma en
paralysie
générale des plus nettes. A côté de cela il y a
aralysie générale des plus nettes. A côté de cela il y a des cas de
paralysie
générale qui ressemblent à une para- lysie géné
ion 5 hommes et 6 femmes pour mélancolie 6 hommes et 22 femmes pour
paralysie
et affaiblissement physique 8 femmes pour gâtis
la production de l'aliénation mentale. Thèse, 17 juin 1824 ; De la
paralysie
considérée chez les aliénés. Paris, 1826. In-8°;
et physiologie du système nerveux, t. XX, p. 465 à 606. A. 1839;
Paralysie
générale des aliénés, t. XXIII, p. 133 à 158. A.
citait avantageusement M. Cal- meil et notamment son travail sur la
paralysie
considérée chez les aliénés. Le professeur Boui
te. Dr CH. BIIIOREL. BIBLIOGRAPHIE. I. Contribution à l'étude des
paralysies
consécutives aux infections aiguës (paralysies
bution à l'étude des paralysies consécutives aux infections aiguës (
paralysies
para-infectieuses), leur traitement par les eaux
nome indépendante et qu'il désigne du nom de para-infectieux. Les
paralysies
para-infectieuses reconnaissent comme facteur pri
e La Malou agissent favorablement sur le processus régressif de ces
paralysies
para-infectieuses. DucAmp. II. Étude critique s
somme très bien. Suis-je menacé d'une lésion ou quasi-lésion, de la
paralysie
? Puis-je améliorer mon état ou seulement retar
m- pagne la méningite de la base, avec contracture de la nuque et
paralysie
de la sixième paire dans un cas, ischémie papilla
delà douleur à la percus- sion de l'épine dorsale et la forme de la
paralysie
, se croit autorisé à considérer son cas comme u
en arc de cercle de la partie supérieure de l'épine dorsale et une
paralysie
flaccide avec amyotrophie d'un ou plusieurs mem
rf acoustique (entraî- nement à gauche, bourdonnements), le facial (
paralysie
), com- prima encore davantage le mésocéphale (h
caractérise, à côté des symptômes ordi- naires, par la présence des
paralysies
oculaires (30 et 6e paires), de l'amblyopie, du
nt individuel des doigts qui n'existe que chez l'alcoo- lique. La
paralysie
agitante et la sclérose en plaques tremblent par
mblement est continuel, mais subit des exagérations au repos par la
paralysie
agitante, au mou- vement par la sclérose en pla
ésie du côté gauche; coma; mort. A l'autopsie, lésions vulgaires de
paralysie
générale. Sclérose de l'artère cérébelleuse inf
s caractéristiques, comme Erb a cherché déjà à établir un type de
paralysie
spinale syphilitique. Il rapporte quatre cas de s
xemple, l'anesthésie ne durait que très peu de temps, tandis que la
paralysie
ne disparaissait qu'avec une extrême lenteur; e
icité, la présence d'une ataxie nette, l'absence de toute espèce de
paralysie
, l'âge des malades qui dépassaient la moyenne d
a jambe gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 129 XXVII.
Paralysie
diphtérique ; ALLOCHIRIE; par WILLIAMS GAY. (jB)'
ré- sentait très nettement le syndrome de Weber, c'est-à-dire une
paralysie
alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté
ucun des symptômes de l'hématomyélie : début brusque des accidents,
paralysie
, puis atrophie, exagération des réflexes dans l
à haute voix. Sur la pathogénie DES ictus épileptiformes dans la
paralysie
générale. M. LEGR.11N. Il parait ressortir des
s, constalé la fréquence de l'albumine dans, certaines formes de la
paralysie
générale, et aussi l'hypotoxicité dé l'urine; m
long, mais reparaissent ensuite comme auparavant. M. LEPPMANN. La
paralysie
générale dite secondaire pour servir de point d
t atteinte de para- SOCIÉTÉS SAVANTES. 143 légie spasmodique sans
paralysie
plus accentuée. Quand on la couche sur le dos,
roît notablement quand l'enfant est émue. Il n'existe nulle part de
paralysie
des membres. Jambes et bras sont mobiles dans t
s les jambes et le tronc, troubles lents du côté de la sensibilité;
paralysie
vésicorectale, persistance des douleurs précé-
pharmaceutique dans les sociétés de secours mzctuels, 4861); De la
paralysie
générale ci double forme (Congrès international
rdre de bénignité décroissante les différents genres d'aliénation :
paralysie
générale, infirmités cérébrales, états mélancol
que sur lequel a insisté Charcot, on peut constater, comme dans les
paralysies
organiques, la production de tissu fibreux péri
sthé- sies, les tics et les mouvements choréiques, comme pour les
paralysies
et les contractures, il faut l'intervention de l'
l'origine médullaire n'en soit pas douteuse, ne peut-il y avoir de
paralysie
infantile hémiplégique ? . En faveur de la th
inué considérable- ment depuis que les accès ont disparu. Dans la
paralysie
générale, où les troubles vaso-moteurs sont trè
ur l'existence de l'as- phyxie des extrémités dans la lypémanie, la
paralysie
géné- rale et surtout la folie circulaire ; 9
la paranoïa, aux lésions cérébrales orga- niques, à la sénilité, la
paralysie
générale progressive, les psychoses (pomieschat
ance. Il ne s'agissait pas d'hystéro-traumatisme, pas non plus de
paralysie
infantile. Seule l'origine cérébrale pouvait être
6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Mais d'autre part l'intensité de la
paralysie
et son extension à toute la moitié droite du co
tômes de maladie mentale. G. D. III. Etude SUR la PATHOGENIE' de la
paralysie
PROGRESSIVE; par le Dr P. Kovalewsky. (Bull. de
. ment., de Belgique, 1894, n°74.) On sait que le processus de la
paralysie
générale progressive est le résultat pour certa
. Les intoxications d'origine externe susceptibles de produire la
paralysie
générale sont assez nombreuses : il faut placer e
ues serait en rapport avec les diffé- rentes formes cliniques de la
paralysie
générale. Quant aux paralysies générales d'orig
iffé- rentes formes cliniques de la paralysie générale. Quant aux
paralysies
générales d'origine traumatique, elles reconnai
ion de la capacité crânienne. A. Marie. VI. Revue CRITIQUE sur la
paralysie
générale; par J. Mickle. ' (Brain, part. I, 189
xE. (Brain, part. I, 1894, p. 119 et part. II, p. 263.) Un cas de
paralysie
pseudo-bulbaire due à des lésions dans cha- que
nements on peut baser le diagnostic entre l'hémiplégie double et la
paralysie
bulbaire sur ce que dans l'hémiplégie double l'
PATHOLOGIE MENTALE. Cette malade qu'on aurait pu croire atteinte de
paralysie
générale au début, a radicalement guéri dans un
on mentale a évolué prématurément vers la démence. E. B. XIII. La
paralysie
générale EST-ELLE UNE maladie infectieuse ? par
BANNISTER. (American Journal of Insanity, 1894.) L'étiologie de la
paralysie
générale, ou démence paralytique, est un sujet
dans sa production. Il paraît certain, à l'heure actuelle, que la
paralysie
générale, dans ses formes typiques, peut être c
meilleures statistiques montrent que dans 70 à 90 cas sur 100, la
paralysie
a été précédée par la syphilis; la paralysie peut
0 à 90 cas sur 100, la paralysie a été précédée par la syphilis; la
paralysie
peut se com- muniquer du mari à la femme ; elle
yphilis ayant alors agi comme cause directe, l'auteur estime que la
paralysie
générale est le résultat de l'action d'un poiso
s quelques régions comme l'Egypte, où la syphilis est commune et la
paralysie
rare, régions où la vie intellectuelle est peu
léphoniques. Trois observations. P. K. XX. Démence paralytique sans
paralysie
; par BELKOWSKY. (Centralbl. Nervenheilk. N. F.
trente kilogrammes. LES attaques épileptiformes dans LE COURS DE la
paralysie
générale. M. CIIRISTIAN fait une communicatio
AN fait une communication sur les attaques épilepti- formes dans la
paralysie
générale. Il n'est point partisan de la théorie
é. M. G. Ballet. Le mécanisme des attaques épileptiformes dans la
paralysie
générale, est celui de toute épilepsie jaclcsonui
e. On les distinguera des psychopathies dues à l'épuisement, à la
paralysie
générale, à l'épilepsie, aux intoxications par le
he, rhébétitde, qui facilite le diagnostic d'avec l'amen- tia et la
paralysie
générale, le rend difficile dans l'obnubilation
hologie des organes centraux. Tout récemment dans un travail sur la
paralysie
générale, Buiswanges a attribué la multi- plica
vue les idées de négation que l'on peut ren- contrer au cours de la
paralysie
générale, dans la sénilité, dans les lésions cé
e Schiller. Mercier (A.). La diminution du poids du cerveau dans la
paralysie
générale. Graphiques destinés à faire ressortir
re déli- mitée peut aussi se montrer en tant que symptôme dans la
paralysie
générale, l'hystérie, l'épilepsie, l'alcoolisme,
les rapprocher des lésions de même nature qui se traduisent par la
paralysie
générale des alcooliques. Ce désordre intelle
e. Cette observation me semble offrir de l'intérêt pour l'étude des
paralysies
localisées post-épileptiques. Nous avons là un
ty, 1894.) E. B. XXII. Contribution A l'anatomie PATHOLOGIQUE DE la
paralysie
infantile spinale ; par E. SIE11ERLING. (Archiv
deux ans et demi. Rougeole à neuf mois. Le 8 août 1890, brusquement
paralysie
de tous les membres; actuellement broncliopneum
ment paralysie de tous les membres; actuellement broncliopneumonie,
paralysie
flasque des bras et des jambes. Jambe gauche un
ile avec éruption (rougeole ? scarla- tine ? ). Huitjours plus lard
paralysie
des deux jambes. Deux semai- nes après ces memb
mai- nes après ces membres récupèrent leur mobilité. Actuellement
paralysie
flasque des extrémités, surtout des jambes. Mort.
uque et le dos ne produit pendant les quatre mois ultérieurs qu'une
paralysie
flaque des extrémités inférieures avec perte de
que des extrémités inférieures avec perte des réflexes patellaires,
paralysie
de la vessie et du rectum. On procède à l'exame
eur insiste sur la disparition des réflexes et la persistance de la
paralysie
flasque des extrémités intérieures, avec une lési
et tendineux des régions sous-jacentes à la lésion font défaut, la
paralysie
reste flasque, la vessie et le rec- tum restent
st-à-dire bien au delà du temps en rapport avec le Shock, il y a eu
paralysie
flasque, "sans troubles' de dégénérescence élec
eu paralysie flasque, "sans troubles' de dégénérescence électique,
paralysie
permanente de la vessie'et du rectum. Anatomiqu
sur les cellules 'et les fibres explique qu'il y ait eu, non de la
paralysie
, mais des accidents d'incoordination. L'at- tei
que chez les autres aliénés, davantage dans la paranoïa que dans la
paralysie
générale, peut-être même davantage dans les cas
de la démence paralytique, à la première période, sont dus à une
paralysie
vaso-motrice des vaisseaux de l'encéphale; l'encé
fs que l'on observe aux périodes postérieures sont consécutifs à la
paralysie
vaso-motrice des vais- seaux de l'encéphale.
. La semaine suivante, brûlures vives dans les membres et le tronc,
paralysie
de ces régions. Telle fut jusqu'au 24 juillet la
n de la respiration, toussottement continu, faible expec- toration,
paralysie
des jambes, des bras, des muscles du tronc, dis
r et l'aqueduc de Sylvius. ' ' En 1891, dans un travail paru sur la
paralysie
progressive des muscles des yeux, MM. Westphal
que. . 1 M. Hoche. Atrophie musculaire dégéî2é7- -tttive daiis la
paralysie
pro- gressive. -.Il s'agit de deux hommes chez
s. Quoi qu'il en soit, il n'y a pas d'identité entre le tabès et la
paralysie
générale, car la lésion des cordons latéraux es
oint du tout des, altérations cérébrales. Sans doute le tabès et la
paralysie
générale (abstraction faite de l'étiologie conn
ommunauté anatomique et la fréquente coïncidence e du tabès et déjà
paralysie
ne suffisent pas pour identifier les deux ' mal
ent pas pour identifier les deux ' maladies.. En ce qui concerne la
paralysie
générale, il y a une 'autonomie locale du proce
autre sujet est atteint de sclérose en foyer, incapable de marcher (
paralysie
des jambes), de couper son pain, de boutonner s
e interne. Le malade dont proviennent ces pièces avait présenté une
paralysie
spasnzo- dique occupant tous les muscles du cor
phénomènes inllammatowes.-11. Struempell décrit enfin un exemple de
paralysie
bulbaire sans s<OKSK< : (<omues. La je
agit, en pareils cas, d'une forme morbide toute particulière, d'une
paralysie
bulbaire asthénique. 1 'M. WGIL. De la simula
net. Stigmates mentaux des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud.
Paralysies
motrices organiques et hystériques. (Ar- c%ives
iation de chaque mot. Tout cet ensemblejpourrait faire penser à la,
paralysie
, générale qu'il rappelle bien un peu à certains
mais elle peut aussi se montrer sans qu'il y ait une parésie ou une
paralysie
prédominante du côté droit du corps. Enfin, dan
sur l'action de ces maladies infectieuses dans certaines maladies :
paralysies
spasmodiques infantiles. N'y a-t-il pas ici que
ments choréiques s'affaiblissent de plus en plus. Il y a une légère
paralysie
du bras gauche; pendant le bain statique quelqu
ieux en mieux. Encore quelques mouvements choréiques de la face, la
paralysie
du bras gauche a tout à fait disparu. Le traite
lnérant, mais il y avait, à ce moment (une heure après l'accident),
paralysie
fuciale gauche, paralysie totale du bras gauche
à ce moment (une heure après l'accident), paralysie fuciale gauche,
paralysie
totale du bras gauche, parésie de la jambe gauc
guérir. Odorat et gustation intacts. Au bout de quelques jours, la
paralysie
diminue, mais les régions anesthésiées persistère
es par le chaud, le froid, etc., etc. Du côté droit, pas trace de
paralysie
, mais anesthésie totale des territoires innervé
e des symptômes, font penser à une lésion de la capsule interne. La
paralysie
, limitée d'emblée au bras et à la face, montre
du grand dentelé; par le Dl VERHOOGEN. Observation intéressante de
paralysie
du grand dentelé gauche survenue brusquement ch
toutes les formes de monoplégies hysté- riques soient possibles, la
paralysie
du grand dentelé est certaine- ment une des moi
hérique, d'origine infectieuse selon toute probabilité, simulant la
paralysie
de Landry; la netteté des symptômes sensoriels
iels et l'absence de réflexes ainsi que les symptômes ultérieurs de
paralysie
ascendante permirent le dia- gnostic. ( ? <
894, et Brain, octobre 1892.) A. M. LU. Anatomie pathologique DE la
paralysie
infantile ; par . TREVFLYAN. (Britisie Médical
: 659 femmes), dont 107 (98 hommes, 9 femmes), soit 7,03, ont eu la
paralysie
générale. Eléments statistiques. -' Conclusions
a paralysie générale. Eléments statistiques. -' Conclusions : 1° La
paralysie
progressive, qui est de beaucoup plus fréquente
bonne condition; 2° l'importance étiologique de la syphilis pour la
paralysie
progres- sive, paraît'être très grande, tandis
ue aucun -rôle important dans les autres formes de psychoses; 3° la
paralysie
progressive, qui apparaît surtout entre trente
s, et les traumatismes n'ont qu'une impor- tance secondaire pour la
paralysie
progressive ; 6° parmi les diverses formes de l
pour la paralysie progressive ; 6° parmi les diverses formes de la
paralysie
générale, la forme maniaque est de beaucoup la
0 de cas; de deux ans dans 43,4 p. 100 ; rémis- sions rares ; 8° la
paralysie
générale qui succède à la syphilis ne présente
est mort aliéné. Ptithogénie des attaqzies épilepti/'ormcs dans la
Paralysie
générale. M. A. Voisin. La discussion ouverte s
lancolies avec stupeur, mais surtout ceux qui sont consécutifs à la
paralysie
générale et. les démences organi- 410 bibliogra
al au repos.Il se produit naturellement comme résultat immédiat une
paralysie
motrice plus ou moins complète de l'extrémité c
chorée et du côté malade dans les affections unilatérales, dans la
paralysie
infantile. Après une inversion de courant, la r
ctrothérapie. musculaire progressive (type Aran-Duchennel, 2 cas de
paralysie
périphérique du facial (a /' ? '0 ! 'e), 1 de p
x. La douche hydrogalvanique locale convient dans les névralgies et
paralysies
localisées. Les douches hydrofaradiques sont in
ésultats qui nous sont fournis par l'essai de ce traitement dans la
paralysie
générale sont assez satisfaisants pour nous don
ession vers la onzième apophyse épineuse dorsale, pas de gibbosité.
Paralysie
complète du membre inférieur gauche, analgésie
a- trième vertèbre cervicale sur la cinquième, suite d'une chute.
Paralysie
et atrophie des muscles dépendant des quatrième e
sychoses, l'idée délirante a une genèse fort analogue, sauf dans la
paralysie
générale; dans les psychoses à base affective,
ns la genèse des attaques apo- plectiformes et épileptiformes de la
paralysie
générale; par M. le Dr L. Guérin. (Th. de Lyon,
la pathogénie des accidents apoplectiformes et épileptiformes de la
paralysie
générale. L'auteur n'a pas voulu émettre une th
nombre de cas les attaques apoplectiformes et épileptiformes de la
paralysie
générale sontsousia dépendance d'une 1 bibliogr
ie des phénomènes de rappel de M. le professeur Pierre : 4° pour la
paralysie
générale, l'exactitude de cette théorie expérim
'interprétation des actes apoplectiformes et épilepti- formes de la
paralysie
générale, il est peut être bon de faire abs- tr
sions des viscères autres que le cerveau et la moelle. 2° Dans la
paralysie
générale et en particulier chez les paraly- tiq
t forte que les accidents apo- plectiformes et épileptiformes de la
paralysie
générale sont dus à une intoxication. Dr Devay.
légalement au 1 ? janvier 1893, il y a 4tl hommes et 379 femmes. La
paralysie
générale est assez rare à la colonie : alors qu
en Afrique; elle frappe surtout les immigrants qui fournissent à la
paralysie
générale une proportion de 6,3 p. 100. 44 cas
ns, le traitement du , par Bellamy, 470. Démence paralytique sans
paralysie
. par Belliowslz 217 ; troubles vaso-moteurs d
olita- kis, 121. Paludisme, hystérie et -, par Clé- ment, 68.
Paralysies
consécutives aux infec- tions dut La Maiou, par
nfantile, par Smmerling, 30l ; - iufautile, par Treveylan, 388.
Paralysie
générale progressive, lé- sions histologiques f
l'appareil de la vision dans les névroses, les in- toxications, la
paralysie
générale et certaines catégories d'aliénés ; ét
eut rencontrer ce signe dans bien d'autres affections que dans la
paralysie
générale, dans le tabès notamment, et dans tout
quemment. C'est ainsi que nous l'avons noté, dans 62 % des cas de
paralysie
générale que nons avons observes ; alors que su
ralement considérée comme un des symptômes les plus fréquents de la
paralysie
générale. -- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OEIL C
à l'accomodation, on ne la rencontre pas plus fréquemment dans la
paralysie
générale que dans beaucoup d'autres affections,
té (trois lois plus d'après notre observation 37 % des cas) dans la
paralysie
géné- rale que dans les autres affections menta
papillaire, fréquemment constatée dans les dermières périodes de la
paralysie
générale. Enfin dans un assez grand nombre de c
Les troubles pupillaires sont beaucoup moins fréquents que dans la
paralysie
générale. Les pupilles sont très rarement en ét
calisé. Magnan et Galezowski dès 1868, avaient déjà signalé dans la
paralysie
générale, il est vrai, un oedème péripapillaire
iagnostique des troubles ocu- laires aux différentes périodes de la
paralysie
générale appuyée surtout par des observations p
AUDRON. Contribution il l'étude de l'état du fond de l'oeil dans la
paralysie
générale (Résul- tat de l'examen des paralytiqu
g. des M. al et neur., 1905. Jour- FROY. Des signes oculaires de la
paralysie
générale. Arch. neurol., mai 1904. A. Keraval
ion à la connaissance des rétrécissements du champ vi- suel dans la
paralysie
générale. Jahrbuch f. psychiat., XIII 2. KOENiG
de biologie, 1868. MARANDON DE Montyel. Le réflexe lumineux dans la
paralysie
générale. A. N. juin 1905. MARTIN (G.). Des rap
RON. Fréquen. ce et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la
paralysie
géné- rale. Journ. de neur., 1904. N° 3. -RESNI
ez les aliénés. Riv. sp. t/re ? fasc, 2, 1897. Truelle. Un cas de
paralysie
générale avec hallucinations. A. N., 31 juillet
ose initiale de 1 gr. 50 centig. 3° Dans l'excitation motrice de la
paralysie
géné- rale et du délirium tremens les effets ut
atisfaisants. R. de MUSGRAVE CLAY. REVUE DE MEDECINE LEGALE I. La
paralysie
générale et le crime ; par John BAKER. (The Jou
res inférieurs, des troubles de la parole qui rappellent ceux de la
paralysie
générale, du nystagmus, du my- xoedeme, de la s
même manière : cette observation s'applique plus spécialement à la
paralysie
des pieds et-plus rarement des mains. Elle perdai
attiré l'attention de 1885 à 1891. R. M. C. X. L'étiologie de la
paralysie
générale. (British médical journal, 28 juillet
Dans toutes les contrées civilisées, le mal connu sous le nom de
paralysie
générale des aliénés, paralysie progressive ou dé
lisées, le mal connu sous le nom de paralysie générale des aliénés,
paralysie
progressive ou démence paralytique est fortemen
nd Essmarch et Jessen énoncèrent les premiers leur opinion que la
paralysie
générale était le résultat d'une infection syphil
montré la préexistence .de la syphilis dans la grande majorité des
paralysies
générales avec une évidence irréfragable. La pa
ajorité des paralysies générales avec une évidence irréfragable. La
paralysie
générale et la syphi- lis coïncident en distrib
l'exposition aux chances de syphilis (exem- ple : prostituées). La
paralysie
générale est plus répandue dans les classes : (
nt la syphilis. Krafft-Ebbing, sur près de 3.000 hommes atteints de
paralysie
générale, n'a trouvé au contraire qu'un prêtre
fois souffert de la syphi- lis ; d'autre part, les cas juvéniles de
paralysie
générale so nt presque toujours (probablement t
l'hérédo- syphilis ou de la syphilis infantile ; tabes dorsalis et
paralysie
générale considérés comme distincts sont connus
ce entière de la part exacte prise ici par la syphilis tant pour la
paralysie
générale que pour le tabes dorsal. La pierre de t
ts aux hypothèses de para-syphilis ou meta-syphilis. Dès lors, la
paralysie
générale et le tabès dorsal seraient les résult
des asiles Ecossais, dont les conférences sur la pathogénie de la
paralysie
générale des aliénés (2) ont été récemment publié
oir Soc.,41ed. des Hôp., 21 décembre 1906.) (2) La palhogénie de la
paralysie
générale par W. Ford Hohcrt- sonM. 11. l. (t.cs
s vues et celles de ses collaborateurs concernant l'étiologie de la
paralysie
générale en feraient une maladie infectieuse auss
u journal médical anglais. Depuis cette hypothèse diphtérique de la
paralysie
générale a for- mé l'objet principal des recher
dans les systèmes digestifs et respiratoires sur beaucoup de cas de
paralysies
générales et dans le système urinaire et génita
ne chèvre infectés par des bacilles diphtéroides isolés d'un cas de
paralysie
présen- tèrent des symptômes pre mortem et des
es pre mortem et des changements de tissus ressemblant à ceux de la
paralysie
générale. Les rats se tenaient t immobiles avec
cérébro- spinal, le sang et l'urine de plusieurscas de tabès et de
paralysie
absolument stériles. Le Dr Ferrier, considère d
te terrible affection ? Dr Marie. XI. - L'angoisse au cours de la
paralysie
générale ; par FERÉ, (Revue de Médecine ; avril
35 ans qui présenta de l'impotence fonctionnelle des membres, de la
paralysie
faciale, de l'irido-choroïde double et des troubl
atonique. R. DE Musgrave CLAY. XXI.Observations statistiques sur la
paralysie
générale; par IIna- YEN BAIRD (The Journal oi m
mmune qu'autrefois dans les cas où le diagnostic porté est celui de
paralysie
générale ; 6° la mélancolie, le délire, de perséc
nces médicales et sociales. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXIX - Un cas de
paralysie
générale des aliénés avec méningo- myélite syph
ze ans avant l'entrée à l'asile) et ayant présenté des symptômes de
paralysie
générale et de méningo-myélite syphilitique. El
la dégénérescence des neurones supérieurs caractéristi- ques de la
paralysie
générale.L'apport considérable de sang et de ly
douteux, mais bientôt les symptômes inclinèrent nettement vers la
paralysie
générale. Autre point : comment expliquer les sym
st sensiblement plus grande en fa- veur des hommes, en raison de la
paralysie
générale et de l'al- coolisme. Le plus grand no
euse et mentale. Dans la première leçon, l'auteur analyse un cas de
paralysie
spinale périodique qui se distingue de tous les
, contrairement à la règle générale était conservée. La question de
paralysie
pério- dique, exposée dans toute sa plénitude,
liquer la localisation et la nature éniginatique du processus de la
paralysie
périodique. Il expose que les différentes théor
cherback se croit en mesure d'expliquer les différentes for- mes de
paralysie
périodique spinale, lesquelles présentent clini-
sont : « Spasme tonique du diaphragme d'origine. hystérique », «
Paralysie
hystérique » (deux cas), et « Pseudo-apoplexie hy
al con- firmé. Observation X.X.,ca : n : ]ie ! 'ra.nf, atteint de
paralysie
génie- rale au cours d'un lahès datant de dix a
philis à.1 : ) ans. régulièrement soignée. Sa femme eslalaxiquc. La
paralysie
génr- raleilu malade est certaine et toulà l'ai
tres fois elles portent le cachet de la débi- lité originaire. V.
Paralysie
générale. Deux espèces de fugues : 1° fugues du
ralysie générale. Deux espèces de fugues : 1° fugues du début de la
paralysie
générale (période mé- dico-légale). La conscien
. A propos ds récents travaux sur l'auscultation du muscle dans les
paralysies
,la contracture et la réaction de dégénéres- cen
nstate une hémianopsie homonyme latérale droite et une aphasie sans
paralysie
des membres ou de la face, sans déviation conju
ent la mu'que d'une démence commençante ou non. » XXXIII. Un cas de
paralysie
générale de développement; par Jas. Middlemass.
t ici indiscu- table ; 2° les âges auxquels on peut voir débùter la
paralysie
générale chez les jeunes sujets et chez les adu
wL Cl1Y. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143 XXXVIII. Traumatisme et
Paralysie
générale; par James Mid- dlemass. (The Journal
en dehors du côté purement scientifique, il s'agit de savoir si une
paralysie
générale peut-être créée ou hâtée par un accident
agnostique des symptômes oculaires aux di.jjé renies périodes de la
paralysie
générale, appuyée Slll'tout SllI' des ob- scrva
es. Séance du 29 octobre 1906. - Présider ce de M. Marcel Briand.
Paralysie
générale traumatique. .\1. COLI ET donne lectur
a trace d'un traumatisme et, en outre des lésions habituelles de la
paralysie
générale, on constata la présence d'une lésion
du traumatisme, on ne trouve aucune des cau- ses habituelles de la
paralysie
générale : syphilis, alcool ou pré- disposition
fois scientifique et médico- légal de l'étiologie traumatique de la
paralysie
générale. Il lui est arrivé plusieurs l'ois de
e chronique, lia pu toujours établir que c'é- tait au contraire,une
paralysie
générale méconnue à son début, qui avait favori
ersonne ne nie plus aujourd'hui l'origine syphilitique de certaines
paralysies
générales. Il se range iL l'opinion de M. Vigou
ange iL l'opinion de M. Vigoureux et estime qu'il s'agit bien d'une
paralysie
générale traumatique. AI. Christian considère l
ticlue, une pleuré- sie traumatique ; pourquoi n'y aurait-il pas de
paralysie
séné- ralc traumatique ? . ? \I. 1. Séance di
croscopiques, et l'absence de troubles moteurs graves (épilepsie,
paralysie
) et d'autres symptômes liés à des altérations loc
es à bâtonnets » (Stab- cheuzellen) et les éléments nerveux dans la
paralysie
progressi- ve ; par M.Cerletti. (in Rivista spe
l'écorce dans un certain nombre d'affections, mais surtout dans la
paralysie
pro- gressive. Ce sont, dit-il, des cellules né
, délire hallu- cinatoire, épilepsié; allaiblissement des facultés,
paralysie
gé- nérale,etc.) où l'intoxication alcoolique a
endra les cas de folies de toute espèce (manie, folie intermittente,
paralysie
générale, délires systématisés, etc.) qui, sans
aigus fortement dissem- blables les uns des autres. Commedans la
paralysie
générale et'la démence sé- nile, sur le fond co
ctions psychiques )). ». Mais le malade de Bleuler était atteint de
paralysie
générale et par conséquent peu propre à l'étude
trois mala- dies bien définies du système nerveux, l'alcoolisme.la
paralysie
gé- nérale et la folie de l'adolescence, ou si
ens musculaire est pré 342 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. coce dans la
paralysie
générale, où nous savons que la lésion prin- ci
existe un déficit notable des facultés intellectuelles, tels que la
paralysie
générale, les démences précoces, séniles, etc.
pourrais en dire leur variabilité et leur insuffisance. Voici une
paralysie
, hystérique type, d'un bras par exemple, avec a
a représentation des mouvements, avec indifférence du sujet à cette
paralysie
. Comment les partisans de l'hystérie maladie ps
érie maladie psychique vont-ils l'ex- pliquer ? L'un dit : il y a
paralysie
parce que le sujet est anesthésie. Ne sentant p
ensibilité profonde. C'est donc l'anesthésie qui est la cause de la
paralysie
. Mais cette anesthésie n'est que la perte de la
uoi cette anesthésie psychique n'en- traîne- t-elle pas toujours la
paralysie
? La paralysie devrait être au prorata de la su
hésie psychique n'en- traîne- t-elle pas toujours la paralysie ? La
paralysie
devrait être au prorata de la subconscience ou
ée fixe du trouble observé. Avec cette dernière manière de voir, la
paralysie
tient à ce que le sujet a l'idée fixe que son b
ième ; il ne s'agit pas de représentation, il s'agit d'amnésie ; la
paralysie
n'est qu'une amnésie systéma- tisée des mouvcme
et qu'il n'y ait pas constamment suppléance ou substitu- tions de
paralysies
entre elles, au sur et à mesure que tel membre
. Voilà* donc, en présence d'un phénomène aussi gros- sier qu'une
paralysie
hysté11que d'un bras,neuf manières HYSTÉRIE ET
ie ? La question se pose d'ailleurs immédiatement de savoir si la
paralysie
peut dépendre de toutes ces différentes cause»
sychologiques subordonnât tous les autres. Or, on ne voit pas,si la
paralysie
est le fait d'une amnésie systématisée par exem
nts de son bras, ( et est on même temps obsédé parl'idée fixe de sa
paralysie
. 'Et de même pour toutes les autres particulari
tres particularités psy- chologiques invoquées pour expliquer cette
paralysie
. Mais il y a plus.Un hystérique présente toujou
blier cette physiologie et cette anatomie du cerveau en présence de
paralysies
, de contractures, d'anesthésies que nous sommes
ous voulons exécuter. Dès lors nous comprenons immédiatement que la
paralysie
s'accompagne d'anes- thésie et de perte de repr
362 CLINIQUE NERVEUSE. représentation. C'est ce qui arrive dans les
paralysies
par émotion, dont les effets sont soumis aux lo
tout cela n'est pas psychique ; le caractère psycho- logique de la
paralysie
n'est qu'apparent ; il n'est que secondaire ; c
logique dont j'ai montré tout à l'heure l'applica- tion à un cas de
paralysie
pour la mettre en parallèle avec la théorie psy
atteints. Ceux-ci peuvent bien dans certains cas - comme dans ces
paralysies
ou contractures qui durent des an- nées persist
, avec début et maximum d'intensité sous la pie- mère comme dans la
paralysie
générale. La dégénérescence myxoe- démateuse co
lication satisfaisante. " R. DE Musgrave CLAY. LX. Pathologie de la
paralysie
générale des aliénés ; par '1'. Ford RoBERTSON.
-même un résumé. 1 1 Les statistiques paraissent démontrer que la
paralysie
générale augmente de fréquence, son étiologie e
élévation de la température. Il a conclu de ses observations que la
paralysie
générale est une mala- die directement due à de
ssantes de contester l'origine essentiel- lement syphilitique de la
paralysie
générale et du tabes, et Bianchi et d'autres au
le mémoire. R. de Mus grave CLAN. LXIV.- Lipomes multiples dans la
paralysie
générale ; par M : Conolly NOR ! AN, (The Journ
The Journal of Mental Science, janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de
paralysie
générale qui présentait quelques particularités
es ; mais ici le diagnostic est demeuré douteux'en ce qui touche la
paralysie
gé- nérale. R. de MUSGRAVE CLAY. LXV. Le pron
e à la démence ; i) l'association d'un début de tabes à un début de
paralysie
générale indique que le cours de cette dernière
récé- dant certaines maladies organiques (tabes. démence précoce,
paralysie
générale, etc.) Le pronostic se confond naturelle
férence qui pourrait s'expliquer par ce fait que chez les hommes la
paralysie
générale, où la phtisie est rare, est la cause
me et une poliomyélite d'origine traumatique. Syndrome incomplet de
paralysie
pseudo-bulbaire. Il. LAMY présente deux observa
bulbaire incom- plet qu'ils présentent; il y a en effet absence de
paralysie
du côté des membres, parésie du facial inférieu
n entre les troubles fonctionnels accentués et les signes vagues de
paralysie
glosso- ],Ibio-Ial,¥ngée. c D "> 43S ' SOC
. SiCARD a usé avec succès de l'opothérapie thymique. Paraplégie et
paralysie
infantile. M. CRouzoN présente un malade âgé de
le. M. CRouzoN présente un malade âgé de 40 ans, atteint jadis do
paralysie
spinale infantile et qui présente des crises de p
ÉSIDENCE DE 11. DABINSKI, /'o ! t<'ttCfp/KïHte ophtalmoplégie et
paralysie
bilatérale de la branche motrice du trijumeau.
femme atteinte d'ophtalmoplégie double avec faciès d'llutchinson et
paralysie
bilatérale avec atro- phie des masticateurs ; l
moplégie double n'est pas rare au cours de cette affection, mais la
paralysie
dans la sphère motrice du trijumeau est excep-
cemment un cas analogue avec ophtalmo- plégie externe bilatérale et
paralysie
du voile du palais. Contribution au traitement
l'expression d'un défaut de fonctionnement du cordon postérieur.
Paralysie
faciale récidivante. \I11. IIULT et LEJONNE, pr
alade de 12 ans 1/2 atteint pour la troisième fois en quatre ans de
paralysie
faciale du côté gauche. Les circonstances qui e
igine réelle infectieuse de la 440 sociétés savantes. plupart des
paralysies
faciales dites a frigorc, théorie confirmée par
ans frappée soudainement, après quelques jours d'état fé- brile, de
paralysie
totale avec douleurs violentes ; il en reste ac-
ux cas sur celte question; / bibliographie. 441 L Un signe de
paralysie
organique du membre inférieur. )1. t;RASSET (de
hez les Juifs. En tous cas, ils sont prédisposés à la folie et à la
paralysie
générale. Il semble que l'on puisse ratta- cher
iques concomitants sont accessi- bles, comme une contracture ou une
paralysie
, la réédu- cation fonctionnelle, en rétablissan
arition de l'idée fixe née au même titre que la con- tracture ou la
paralysie
. Si l'état est plus ancien, si l'hys- térie est
que est constitué, non pas parce qu'il y a de l'anesthésie ou de la
paralysie
ou tel autre trouble, mais parce que ces troubl
ttre et de laisser passer les excitations, d'où insensibilité, puis
paralysie
. Quand il reprend son acti- vité, ce retour s'a
cérébral soit complet, même dans le cas où il apparaît comme tel (
paralysie
flasque, léthargie). Dès lors, tout en restant
1. 651) établissait l'analogie qui apparaît entre le sommeil et la
paralysie
hystérique, eu Tes rapportant l'un et l'autre u
La légende de l'immunité des Arabes syphilitiques relativement à la
paralysie
générale, par A. Marie. (Revue de Médecine, mai
a recueilli des éléments statistiques sûr les cas de syphilis et de
paralysie
générale chez les Arabes d'origine. LesArabes c
environ 75 % de la population traitée. En 1901 il y avait 46 cas de
paralysie
générale dont la grande majo- rité (3/ 4 enviro
er au cours d'une myopathie progressive. F. T. XXX.-Sur un cas de «
paralysie
des béquilles» ; par SocA. (Nouv. Icon de la Sa
posées à ce qui est généralement admis en la matière, à savoir : la
paralysie
des béquilles n'est pas une para- lysie du plex
une para- lysie du plexus, ni funiculaire, ni terminale, c'est une
paralysie
radiculaire totale ; la compression seule est i
suffisante à l'expli- pliquer encore qu'elle ait une action dans la
paralysie
du radial ; le véritable mécanisme en est dans
encéphalite peut se traduire par divers syndromes : démence simple,
paralysie
générale, confusion mentale : c'est qu'en effet
uve que ces éléments cellulaires ne sont pas caractéristiques de la
paralysie
générale, ayant, été rencontrés dans d'autres i
de neuromyo- site post-varicelleuse.- J\n1. LE¡ONJ\'E et C)PPERT .
Paralysie
uni- latérale de plusieurs nerfs crâniens. MM.
radiculaire supérieure de la pa- ralysie). MM. Crouzon et NATHAN :
Paralysie
des masticateurs, ophtalmoplégie totale et bila
: Paralysie des masticateurs, ophtalmoplégie totale et bilatérale,
paralysie
faciale unilatérale, au cours du tabès. MM. C3t
. MM. LEJONNE et Quartier Hémiplégie d'origine thalamique à 23 ans.
Paralysie
générale et tabès à 26 ans. - 11D,I. AlQUIE11 e
atique MM. BRISSAUD,SICARD et TANON ont vu de ce fait deux cas de
paralysie
des membres inférieurs avec abolition des contrac
ésultats satisfaisants. 502 SOCIÉTÉS SAVANTES Zona ophtalmique et
paralysie
du moteur oculaire externe et de l'accommodatio
et de l'accommodation. t M. GALEZOVVSKI, qui présente ce cas de
paralysie
dissociée, pense qu'il s'agit de lésions périph
t du moteur oculaire externe dans son trajet in- tra-caverneux. -
Paralysie
pseudo-bulbaire 1 MlI1. RAYMOND et ALQUIER prés
LQUIER présentent la photographie de piè- ces provenant d'un cas de
paralysie
pseudo-bulbaire ; on y voit des lacunes dans l'
aquelle ce médecin aliéniste, si at- taché à l'étude clinique de la
paralysie
générale, de l'épilepsie de l'hystérie, de l'al
issimulateurs ; par de Moor et Duclrateau, p. 344. Voir Loi. Voir
Paralysie
gé- nérale. Sur quelques aspects de la questi
l'observation ; par l31ce, p. 52. Angoisse. L'- au cours de la
paralysie
générale ; par Féré, p. 68. Anomalies. Voir A
philitiques. La lé- gende de l'immunité des - re- lativement à la
paralysie
géné- rale ; par A. Marie, p. 495. ARQYLI.-Ho
. - d'électro- thérapie et de radiographie, p. 418. Crime. Voir
Paralysie
. -- Voir Folie. Crise d'épilepsie. Simulation
cle. A propos de récents tra- vaux sur l'auscultation du dans les
paralysies
, la contrac- ture et la réaction de dégéné- r
rbone. Voir Glosso- plégie. PACllYMÉNixaiTE. Voir Amau- rose.
Paralysie
. La générale et le crime ; par Baker, p. 60. L'
ercy Smith, p. 68. Voir Sorcellerie. Voir Délire. Paraplégie et
paralysie
infan- tile ; par Crouzon, p. 438. PAHAPLÉSIE
ales ; par Bond. p. 144. POLIENCÉPIIALITE. Oplltalmo- plégie et
paralysie
bilatérale * de la branche motrice du tri- ju
18. table des auteurs et DES collaborateurs. 539 Traumatisme et
paralysie
géné- rale ; par Middlemass, p. 143. Travail.
Rougon-\Iacquart ; par Mar- tineau, p. 513. Zona ophtalmique et
paralysie
du moteur oculaire externe et de l'accommodat
de diagnostic. On éprouve de l'embarras à déterminer la cause de la
paralysie
. « Si le début par des névralgies irradiées et
té des mouvements, ataxie aboutissant plus ou moins rapidement à la
paralysie
. Les troubles sensitifs sont très variables; en
es d'excita- tion motrice : spasmes toniques et cloniques ; puis la
paralysie
devient complète, flasque ou spasmodique, ce qu
toute la partie du corps sous-jacente au point de compression : les
paralysies
flasques avec aboli- tion des réflexes, atrophi
s'affaiblis- sent rapidemeut. L'examen montre à cette époque une
paralysie
flasque des deux membres inférieurs. Le malade
toutes sans antopsie : 1° A la suite de douleurs interscapulaires,
paralysie
flasque et anesthésie des membres inférieurs, a
mal sous-occipital avec luxation du crâne en arrière et attribue la
paralysie
atrophique de la langue à la compression des hy
bre supérieur, hémiatrophie linguale ; en outre, pseudo-trismus par
paralysie
des muscles abaisseurs de la mâchoire. B, Mal
rieure. - Cette variété emprunte son intérêt à la possibilité d'une
paralysie
flasque des membres supérieurs, avec atrophie m
cette attitude dont la correction était douloureuse. Un mois après,
paralysie
, d'abord du bras gauche, puis du droit flasque, p
inence thénar, notamment. Quelques névralgies avaient précédé cette
paralysie
: « Au membre supérieur gauche, la sensibilité
chectisa et fut emmené mourant par ses parents. D'ordinaire, à la
paralysie
flasque des membres supérieurs s'ajoute une par
caractères de douleurs radiculaires. Un mois plus tard, atrophie et
paralysie
du membre supérieur, puis du membre inférieur g
uis des 2 membres du côté op- posé. Ou constate alors : atrophie et
paralysie
flasque des muscles de la main, de l'avant-bras
ieurs, parésie des triceps brachiaux, des muscles antibrachiaux, et
paralysie
des muscles de la main, avec atrophie des émine
entée par le petit malade de M. Broca : douleurs radiculaires, puis
paralysie
flasque avec atrophie musculaire et troubles se
; presque toujours, l'anesthésie affecte le caractère dissocié. La
paralysie
des membres supérieurs suit de près ; elle est gé
ire, quand la compression s'exerce sur la moelle, il en résulte une
paralysie
des quatre membres et du tronc, les réflexes sont
racines cervicales inférieures détermine aux membres supérieurs une
paralysie
flasque, avec alrophie musculaire, et l'exagéra
teurs, qui se présentent sous l'un des quatre aspects suivants : 1°
Paralysie
flasque avec ou sans atrophie musculaire ; 20 P
ants : 1° Paralysie flasque avec ou sans atrophie musculaire ; 20
Paralysie
spasmodique des membres inférieurs avec intégrité
des membres inférieurs avec intégrité des membres supérieurs ; 3°
Paralysie
spasmodique des quatre membres ; 4° Paralysie s
res supérieurs ; 3° Paralysie spasmodique des quatre membres ; 4°
Paralysie
spasmodique des membres inférieurs, paralysie fla
s quatre membres ; 4° Paralysie spasmodique des membres inférieurs,
paralysie
flasque des membres supérieurs. 1° Il est exc
sie flasque des membres supérieurs. 1° Il est exceptionnel que la
paralysie
flasque se localise aux membres supérieurs comm
exagération des réflexes rotuliens, signe de Babinski, etc. 2° La
paralysie
flasque des membres inférieurs peut au contraire
cines, respectant momentanément la moelle. Dans les deux cas, cette
paralysie
flasque des membres inférieurs pourra donner lieu
embres inférieurs que pour immobiliser le rachis ; l'atrophie et la
paralysie
respectent d'or- dinaire les muscles de la cein
male, dont nous poursuivons actuellement l'étude histologique. 3°
Paralysie
spasmodique des quatre membres. Pour donner naiss
lus souvent. Aussi nous pardonnera- t-on de rie pas insister sur la
paralysie
spasmodique des qualre membres, dont nous n'avo
ne, habituellement, des troubles bulbaires signalés plus haut. 4°
Paralysie
spasmodique des membres inférieurs, paralysie fla
ignalés plus haut. 4° Paralysie spasmodique des membres inférieurs,
paralysie
flasque des membres supérieurs . - Lorsque cett
sonnelle, 'l'existence de spasmodicité des membres inférieurs, avec
paralysie
flas- que des supérieurs, un certain degré d'at
à une attaque apoplectique. Un autre grand-oncle était atteint de
paralysie
agitante. Il eut un fils idiot, dont la physion
et l'ulcération est constituée. Nous voyons donc ici nettement une
paralysie
des vaso-moteurs analo - gué à celle qui se pro
ve, non qualitative. Au point de vue fonctionnel, il n'y a aucune
paralysie
, aucune contrac- ture, aucune modification des
que diffère de tant d'autres atrophies avec arrêt de développement (
paralysie
infantile, myopathies, etc.) qui se caractérise
s observations comme le début brusque et douloureux, le début de la
paralysie
par les extrémités périphériques des membres, la
émités périphériques des membres, la prédo- minance aujourd'hui des
paralysies
musculaires aux extrémités plus qu'aux racines
e à l'examen électrique des muscles ? et l'absence d'une période de
paralysie
précédant l'apparition des atrophies ? Nous ne vo
emps de repousser avant sa mort survenue le 10 octobre. Ons. III.
Paralysie
générale. 7'richolillomanie. S. P... âgé de 41
ie persistante (La Filandre médicale, 1895, ne 18). SUR UN CAS DE «
PARALYSIE
DES BÉQUILLES », PAR F. SOCA, Professeur à
u bras droit ; celui-ci présentait l'attitude caractéristique de la
paralysie
saturnine : avant-bras fléchi sur le bras, légè-
trement dit, tombée sur l'avant- bras ; bref l'aspect typique de la
paralysie
radiale. L'analyse de la paralysie du bras mont
as ; bref l'aspect typique de la paralysie radiale. L'analyse de la
paralysie
du bras montre qu'elle frappe tous les muscles én
e triceps et les long et court supinateurs. Mais, en réalité, cette
paralysie
ne se cantonne pas dans le seul territoire du rad
mparaison des mouvements du côté droit avec ceux du côté gauche. La
paralysie
atteignait également les muscles biceps, brachial
ces derniers, par les branches collatérales du plexus brachial. La
paralysie
de ces muscles a été dûment établie non seulement
sement fonctionnel, mais encore par l'exploration électrique. Cette
paralysie
a été poursuivie de muscle en muscle, 172 socA
hautes ; la première idée donc qui vient à l'esprit est celle de la
Paralysie
des béquil- les, qui fut étudiée il y a quelque
us les auteurs, comme constituant un des plus typiques exemples des
paralysies
du radial par compression, ou, tout au moins de
elation de succession entre l'usage des béquilles et le début de la
paralysie
du bras, et le fait si sub- SUR UN CAS DE PARAL
le début de la paralysie du bras, et le fait si sub- SUR UN CAS DE
PARALYSIE
DES BÉQUILLES 173 jectif que la paralysie brach
t si sub- SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 173 jectif que la
paralysie
brachiale fut beaucoup plus marquée' du côté de
'esprit le plus prévenu, de la rigoureuse exactitude du diagnostic «
paralysie
des béquilles ». Vrai- ment, le diagnostic est
rard et Capuron, forts de nombreuses expériences sur le cadavre, la
paralysie
des béquilles était une paralysie par compression
es expériences sur le cadavre, la paralysie des béquilles était une
paralysie
par compression s'exerçant sur toutes les branc
ions. C'est que, comme le démontre l'analyse de mon observation, la
paralysie
des béquilles n'est pas une paralysie terminale,
nalyse de mon observation, la paralysie des béquilles n'est pas une
paralysie
terminale, ou une para- lysie du plexus : c'est
s une paralysie terminale, ou une para- lysie du plexus : c'est une
paralysie
radiculaire. En effet, par paralysie radiculair
lysie du plexus : c'est une paralysie radiculaire. En effet, par
paralysie
radiculaire, il faut entendre celle qui a pour
n intra et une extra-rachidienne. Comment reconnaîtra-t-on qu'une
paralysie
porte sur les racines, sur le plexus ou sur les
si, si la 5e et la 6e racines cervicales sont atteintes, on aura la
paralysie
Erb-Duchenne qui ne cor- respond au territoire
Mais si toutes les racines étaient frappées ? En ce cas, il y aurait
paralysie
de tout le territoire du plexus brachial, tout
e qui fût malade. Et même alors, il serait possible de savoir si la
paralysie
affecte les racines ou bien le plexus. De quelle
plexus. De quelle manière ? par la 174 SOCA raison que, en cas de
paralysie
radiculaire, se trouveront compromises les fonc
que qui ira former le plexus. Et maintenant, de quelle forme est la
paralysie
de notre malade ? Est-ce une paralysie radicula
nant, de quelle forme est la paralysie de notre malade ? Est-ce une
paralysie
radiculaire ? une paralysie du plexus ? une paral
paralysie de notre malade ? Est-ce une paralysie radiculaire ? une
paralysie
du plexus ? une paralysie termi- nale ou simple
? Est-ce une paralysie radiculaire ? une paralysie du plexus ? une
paralysie
termi- nale ou simple ? Une paralysie radiculai
une paralysie du plexus ? une paralysie termi- nale ou simple ? Une
paralysie
radiculaire évidemment puisque, comme nous l'av
l'avons vu par l'histoire du cas, il existait chez notre malade une
paralysie
du grand dentelé, du rhomboïde, de l'angulaire de
Nous sommes par cela seul fondés à affirmer péremptoirement que la
paralysie
des béquilles n'est pas une'paralysie par compres
s n'est pas une'paralysie par compression. En effet, si c'était une
paralysie
par compression, comment pourrait-il se faire que
t où s'exerce l'action de la bé- quille. Le modus agendi de cette
paralysie
doit donc être tout autre et absolu- ment disti
re, il nous suffira d'étudier briève- ment le mécanisme de quelques
paralysies
radiculaires mécaniques. Tous les auteurs qui s
ccupés de cette question admettent aujourd'hui que le mécanisme des
paralysies
radiculaires par traumatismes portant SUR UN CA
des paralysies radiculaires par traumatismes portant SUR UN CAS DE
PARALYSIE
DES BÉQUILLES 175 sur l'épaule, est celui de la
été vérifiée et par l'observation et par l'expérimentation. - Les
paralysies
produites par les coups sur l'épaule déterminant
t l'abais- sement de la tête humérale et sa projection en avant les
paralysies
oc- casionnées par les mouvements d'abduction f
nsion projetant de même la tête de l'humérus en bas et en avant les
paralysies
, suite de tractions exagérées sur le bras comme
ertaines luxations ou dans certaines manoeuvres obsté- tricales les
paralysies
qui accompagnent les diverses luxations de l'é-
es qui accompagnent les diverses luxations de l'é- paule toutes ces
paralysies
(la preuve irréfutable en a été donnée) sont, d
i- toire des 5' et 6* cervicales. Et dès qu'il en est ainsi, si ces
paralysies
sont des paralysies radiculaires, il est éviden
* cervicales. Et dès qu'il en est ainsi, si ces paralysies sont des
paralysies
radiculaires, il est évident qu'on ne saurait inv
exposées, et ainsi, s'explique aussi la fréquence prédominante des
paralysies
radiculaires limitées au groupe Duchenne- Erb.
traction était portée trop loin. Il est donc hors de doute que les
paralysies
radiculaires consécutives aux traumatis- mes de
mécanisme de la traction. En- tel état de cause, pourquoi, dans les
paralysies
des béquilles, le mécanisme serait-il autre, qu
hidiennes ? Si l'on a pu croire jusqu'à présent qu'il s'agissait de
paralysies
par compression comme, à la suite d'Hérard et C
aient tous les auteurs, c'est que l'on ignorait avoir affaire à des
paralysies
radiculaires, et de ceci, la démonstration est
ù a été établie, de mode irréfuta- ble, la nature radiculaire de la
Paralysie
des béquilles. J'ajoute que cette théorie de la
llain. Mais une objection s'impose. A quoi cette prédominance de la
paralysie
dans l'aire de la distribution du radial dans l
publiés jusqu'à ce jour, si bien que tous les auteurs décrivent la
Paralysie
des béquilles au chapitre de la Paralysie radia
les auteurs décrivent la Paralysie des béquilles au chapitre de la
Paralysie
radiale ? Mais cette prédominance n'est peut-êt
tte prédominance dans le radial soi la résultante des SUR UN CAS DE
PARALYSIE
DES BÉQUILLES 177 conditions de la traction, un
it là une ex- plication adéquate à J'aspect singulier de ce type de
paralysie
radiculaire. CONCLUSIONS I. La paralysie des
singulier de ce type de paralysie radiculaire. CONCLUSIONS I. La
paralysie
des béquilles n'est pas une paralysie de plexus,
iculaire. CONCLUSIONS I. La paralysie des béquilles n'est pas une
paralysie
de plexus, ou funiculaire, ni terminale, comme
funiculaire, ni terminale, comme on l'a cru jusqu'à ce jour. II. La
paralysie
des béquilles est une paralysie radiculaire total
on l'a cru jusqu'à ce jour. II. La paralysie des béquilles est une
paralysie
radiculaire totale. III. La compression est abs
III. La compression est absolument insuffisante pour expliquer la
paralysie
des béquilles, encore qu'elle puisse revendiquer
encore qu'elle puisse revendiquer quelque action en ce qui est des
paralysies
du radial. IV. - Le véritable mécanisme de la p
ui est des paralysies du radial. IV. - Le véritable mécanisme de la
paralysie
des béquilles est celui de la traction sur les
hémianopsie à gauche, réflexe plantaire en flexion des deux côtés,
paralysie
du moteur oculaire externe gauche. 1 Ramollisse
s, proviennent de deux cas de tabès amyotrophique ancien, un cas de
paralysie
générale sans tabes appréciable par les mé- tho
grand nombre des préparations utilisées dans ce mémoire. Cas. III.
Paralysie
générale avec tabès incipiens chez un homme de 56
radiculaire par le foyer inflam- matoire qui y siège. Cas. IV. -
Paralysie
générale chez un homme de 34 ans, mort dans le
a été remis à la rédaction, j'ai eu l'occasion d'étudier un cas de
paralysie
générale (homme de 38 ans), provenant du service
lle, et particulièrement' dans les cornes antérieures, au cours de la
paralysie
gé- nérale et du tabes. Soc. de Biol., 12 mai 1
plus ou moins marquée des membres inférieurs allant même jusqu'à la
paralysie
complète sont, ainsi que nous l'avons indiqué dan
ssaud (2), ne peut laisser de doute,concerne un individu atteint de
paralysie
générale, mais dont la maladie primordiale fut ce
mptômes qui permirent à M. Joffroy le diagnostic rétrospectif d'une
paralysie
générale à évolution régulière. M. Brissaud croit
Brissaud croit pouvoir établir que ce malade fut atteint, avant sa
paralysie
générale, d'un tabes sensitif pur, dont la scia
3 à 4 millimètres de long. Réunion par première intention, pas de
paralysie
ni d'incoordination. L'a- nimal vit en excellen
ux 2. et 3' nerfs sacrés. ' Guérison par première intention, sans
paralysie
. Santé parfaite jusqu'au 13 novembre 1904, où i
es sacrées. Réunion par première intention sans suppuration. Aucune
paralysie
consécutive. L'animal se porte très bien jusqu'
ant aux ire et zu racines sacrées. Réunion sans suppuration, pas de
paralysie
consécutive. L'animal reste en bonne santé jusq
leur trajet intra-dure-mérien. Réunion par première intention. Pas de
paralysie
consécutive. L'animal est sacrifié le 24 mai.
gauches, entre la moelle et le ganglion. L'animal se rétablit sans
paralysie
. Autopsie le 8 août après survie de 18 jours. O
parole, les troubles oculaires, etc. ; elle s'accompagne plutôt de
paralysie
; enfin sa marche n'est pas la même que celle de
rès le début de la syphilis elle présenta des troubles visuels, une
paralysie
progressive de la jambe droite, des troubles de
aladie à 34 ans d'une façon brusque sans perte de connaissance avec
paralysie
complète de la jambe droite et faiblesse du bra
ète de la jambe droite et faiblesse du bras du même côté. Plus tard,
paralysie
de la jambe gauche et troubles moteurs qu'on co
éressant de noter l'état de la motilité et de la sen- sibilité'. La
paralysie
n'a été flasque que dans un cas et tout à fait au
, à la suite desquelles le pied droit demeura « faible », mais sans
paralysie
véritable ; en peu de temps l'enfant guérit com
du pro- jectile, hernie cérébrale de la grosseur d'une noisette.
Paralysie
des extrémités des membres supérieur et inférieur
e. A gauche, au niveau de la sortie probable, volumineuse hernie.
Paralysie
des extrémités. Troubles intellectuels et de la s
s cliniques sur la grande hystérie (1881), puis votre livre sur les
Paralysies
et les contractures hytériques furent vos premier
t laissé dans l'esprit de ces favorisés un souvenir ineffaçable. La
paralysie
agitante, le myxoedème, la myopathie progressiv
. La paralysie agitante, le myxoedème, la myopathie progressive, la
paralysie
labio- glosso-laryngée sont symbolisés par des
, âgé de 6 mois, est amené à l'Hôpital des Enfants-Malades pour une
paralysie
généralisée remontant à plusieurs mois et s'accom
es ascendants ou collaté- raux desquels on ne retrouve aucun cas de
paralysie
analogue ; le père nie toute syphilis et n'en p
s sans altérations vasculaires comme celles qui se montrent dans la
paralysie
infantile. Sur les coupes colorées au picro-car
bservation. Il s'agit d'une fille de 4 ans amenée à l'hôpital, pour
paralysie
. D'après les renseignements fournis par la mère
ngue, et de la musculature oculaire intrinsèque et extrinsèque, une
paralysie
presque complète, sans pseudo-hypertrophie, des m
ou, des épaules, des membres supérieurs et des muscles du tronc. La
paralysie
flasque était peu marquée aux membres inférieur
ctri- xix 30 450 ARMAND-DELILLE ET BOUDET que. 6 mois après, la
paralysie
avait progressé vers les parties supérieures du
nalogues, l'un concernant un enfant de 9 mois, qui présentait de la
paralysie
flasque des muscles de la nuque, ducou et du tr
uvent dans la deuxième moitié ? de la première année se développe une
paralysie
progressive évoluant d'une manière subaiguë ou
de la ceinture scapulaire et des membres supérieurs se prennent. La
paralysie
s'accompa- POLIOMYÉLITE DIFFUSE SUBAIGUE DE LA
adipose sous-cutanée compensatrice. Tandis que se développe cette
paralysie
absolument symétrique, les sphincters restent i
restent intacts, la sensibilité n'est pas touchée, on n'observe ni
paralysie
bulbaire ni aucun trouble cérébral. La mort survi
nx et musculature oculaire). Il discute enfin le diagnostic avec la
paralysie
infantile, la paralysie d'origine cérébrale, l'
re). Il discute enfin le diagnostic avec la paralysie infantile, la
paralysie
d'origine cérébrale, l'atrophie névritique Charco
u était apparue une parésie des membres inférieurs. Un an après, la
paralysie
atteignait les bras et la nuque, l'évolution fut
« un enfant de 2 mois et demi qui présente depuis sa naissance une
paralysie
flasque avec atrophie musculaire affectant les
s et même la tête, ne peuvent se mouvoir libre- ment. Il existe une
paralysie
flasque, diffuse, qui rend le nouveau né inerte
ai 1903. SEVESII1E. -Bull. Société de Pédiatrie, février-mars 1899.
Paralysie
des quatre menu- bres et du thorax, sauf le dia
i ne son pas noueux et fusiformes comme dans la lèpre, l'absence de
paralysie
faciale. Que pourrions-nous invoquer en faveur
e augmenta légèrement. Le facies toutefois se modifia nettement, la
paralysie
faciale inférieure aug- menta. Les lèvres devin
nx pratiqué en février 1896 a permis de constater l'existence d'une
paralysie
laryngée. M. le Dr Natier, qui a pra- tiqué cet
de celle du tabes classique, affection où, ainsi qu'on le sait, les
paralysies
laryngées sont loin d'être rares. En 1900 le ma
thomas comme steppent les myopathiques ou les sujets atteints d'une
paralysie
des extenseurs des orteils et du jambier antéri
'inégalité pupil- laire.Comme dans le tabès, on peut observer de la
paralysie
des muscles du larynx (obs. I) mais, chose inté
arynx ; la corde vocale gauche était paralysée en adduction ; cette
paralysie
laryngée, et le signe d'Argyll-Robertson rappro-
gne d'Argyll-Robertson, en dehors de la syphilis, du tabès et de la
paralysie
générale. Ce signe existait dans deux de nos cas
e fut alors admise à la Salpêtrière. 6 ans après, on constatait une
paralysie
, presque complète des membres inférieurs, avec ex
, brusque incontinence des urines et des ma- tières ; le lendemain,
paralysie
complète des membres inférieurs,flasque, mais a
bout de huit jours, à son entrée à la Salpêtrière, on constate une
paralysie
presque complète pour tous les segments du memb
is dans le service de M. le professeur Ray- mond, on constata : z
Paralysie
de tous les fléchisseurs et abducteurs des membre
Destruction complète de la Ve cervicale. - Evolution en 8 mois 1/2.
Paralysie
fiasque avec amyotrophie aux membres sllpé- rie
Salpêtrière où on cons- tate une cyphose dorsale moyenne indolore :
paralysie
flasque des membres iu- NOUVELLE Iconographie d
nt la position du pouce est pré- cisément la position typique de la
paralysie
des abducteurs et de ses extenseurs ; mais la p
ois avoir pu démon- trer que, contrairement à l'opinion établie, la
paralysie
générale est fré- quente parmi les aliénés arab
nq des Arabes examinés par moi à Abassieh, tous malades atteints de
paralysie
générale et sypliilitiques pour la plupart. Nou
ies à Litre- de document conlirmatif de l'existence fréquente de la
paralysie
générale chez les Arabes (PI. LXXXII et LXXXIII).
note quelques indications complémentaires rela- tives à ces cas de
paralysie
générale exotique. Les statistiques très oblige
ues sur 35 Ara- bes paralytiques généraux, en )905, 28 sur 34. La
paralysie
générale est donc fréquente chez les Arabes, en E
s cachectiques de la fin sont de tous points analogues à ceux de la
paralysie
générale ; en ce qui concerne nos paralytiques
E. ARABES SYPHILITIQUES ET PARALYTIQUES GÉNÉRAUX TABLEAU DES CAS DE
PARALYSIE
GÉNÉRALE ADMIS EN 1905 A L'ASILE ÉGYPTIEN DU CA
uro-tibromatose géné- ralisée (1 pi ), 161. Soca. Sur un cas de «
paralysie
des bé- quilles », 171. Thomas et Dejerine. S
pi.), par TREPSAT, 95. Paul nicher (hommage à) (1 héliogr.), 4H.
Paralysie
des béquilles (sur un cas de), par SocA, 171.
ble d'ordre purement dynamique, d'une névrose. Je veux parler de la
paralysie
agitante que Charcot a eu raison de dé- nommer
étudiée à nouveau. Si vous parcourez les nombreuses observations de
paralysie
agitante publiées en France et à l'étranger, vo
e de soucis, de chagrins, causes occasionnelles si fréquentes de la
paralysie
agitante ; le tremblement n'a pas suivi mais pr
MALADIE DE PARKINSON 15 son ignorance touchant la pâthogénie de la
paralysie
agitante, la rangeait provisoirement parmi les
ibue, à cette dernière, non seulement, le myxoedème, mais encore la
paralysie
agitante. J'ai tenu à vous signaler cette thé
matisme, ou les émotions morales, comme causes occasionnelles de la
paralysie
agitante. Très sou- (1) LUNDBOnG, Deutsche zeit
bsence de cachexie. OBs. IL Femme de 37 ans ; diagnostic clinique :
paralysie
générale, atro- phie des nerfs optiques. L'ob
istiques. L'écorce cérébrale présente les lésions spécifiques de la
paralysie
générale. Les notions qui se dégagent des deux
oelle. Cette lésion a été rencontrée dans d'autres cas de tabes, de
paralysie
générale, de myé- lite, etc.. : elle va jusqu'à
iminution de la sensibilité cutanée au membre sain, en l'absence de
paralysie
motrice du coté malade, ne me paraît pas suffire
facial ; exagération des ré- flexes ; inégalité pupillaire ; pas de
paralysie
. - Vomissements ; constipation ; affaiblissemen
'elle parle ou rit : déviation légère des traits à gauche. Pas de
paralysie
des membres du même côté; la malade -résiste très
raissent diminués. Pas de troubles nets de la sensibilité. Pas de
paralysie
oculaire. Tremblement de la langue et des lèvre
a Clinique des Maladies mentales. Son certificat d'entrée porte : «
Paralysie
générale compliqué d'hémispasme facial rebelle sa
s et à la langue; pas de mouvements fibrillaires. Aucune trace de
paralysie
des membres ; les mouvements isolés des membres
uche. L'occlusion des yeux se fait bien ; pas de nystagmus ; pas de
paralysie
de la musculature externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A
ntiel progressif, des troubles de la mémoire, des troubles moteurs (
paralysie
et inégalité pupillaires, tremblements, parésie
5 juillet 1897. 120 CORNU présente avec le tableau clinique de la
paralysie
générale progressive, il réside très probableme
lsifs de la face ou des paupières aient été signalés au cours de la
paralysie
générale (2), l'unilatéralité et l'aggravation
ère une raideur des membres opposés et sa destruction partielle une
paralysie
opposée. Contrairement à ces résultats nous devon
ment à ces résultats nous devons constater qu'il n'y a pas trace de
paralysie
des membres et ce fait vient à l'appui des obse
interne. Par contre ces observations mentionnent l'existence d'une
paralysie
faciale isolée (Nothnagel), des mouvements chor
he de notre malade s'explique, croyons- nous, par l'existence d'une
paralysie
gauche avec phénomènes de contrac- tures et de
uvements cloniques, fait qui constitue la terminaison fréquente des
paralysies
faciales (6). Cette paralysie ou ces phénomèn
titue la terminaison fréquente des paralysies faciales (6). Cette
paralysie
ou ces phénomènes d'irritation seraient dus à la
vailleurs. Les raisons en sont claires : l'invalidité physique, la
paralysie
motrice, la sénilité en soi. Le chiffre de 36 0
yzantin, et qui a peu duré. Nous y avons relevé un homme atteint de
paralysie
radiale, une attitude très ca- ractéristique d'
ES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES 183 droit et la face ne présentent aucune
paralysie
apparente ; cependant on trouve chez cette mala
orté dans les Archives de médecine expéri- mentale (1892) un cas de
paralysie
alterne du côté droit pour les mem- bres, du cô
oduit cette expérience sur le malade de l'obser- vation III dont la
paralysie
très accentuée pouvait favoriser une attitude v
en citer de meilleur exemple que la tumeur dorsale du poignet de la
paralysie
radiale à laquelle M. P. Marie comparait le cas
un service d'aliénés, où elle a succombé avec tous les signes de la
paralysie
générale. Examen ANATOMIQUE. - A un simple exam
ction à la ceinture, de constric- tion laryngée, douleurs rectales.
Paralysie
laryngée. Morte le 2 mars 1904. Examen anatomiq
pbell (3) clans le zona,par Marburg (4) dans diverses affections :
paralysie
progressive, pemphigus, tétanie. Arndt (5) les
ive, pemphigus, tétanie. Arndt (5) les avait déjà signalées dans la
paralysie
générale progressive. Elles ont été vues dans les
se épineuse fortement enfoncée en avant. A 1 heure, on constate une
paralysie
flasque totale des quatre membres, avec aboliti
r, comme chez un individu sain. La mort survient le lendemain par
paralysie
des phréniques, 21 heures après l'accident. L
ullaire localisée comme celle que nous étudions ne produit la vaso-
paralysie
que dans le territoire même des vaso-moteurs dont
: Iconographie de la Salpêtrière. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
PARALYSIE
MYASTIIÉNIQUE (I), PAR R le P Hyacinthe DE LÉ
IÉNIQUE (I), PAR R le P Hyacinthe DE LÉON (de Montévidéo). La
paralysie
myasthénique, désignée aussi sous les noms de « m
rb, syndrome bulbaire de Erb-Goldflam, maladie de Hoppe-Gold- flam,
paralysie
asthénique, myasthénie grave pseudo-paralytique e
oitre exophtalmique; une autre, un myxoedème bénin ; une autre, une
paralysie
faciale périphérique. Un frère se suicida et qu
rémités infé- rieures. Elle se sent mieux le matin, en se levant.
PARALYSIE
D1YASTllÉ\IQUG 'i71 1 1900. - Les lésions parét
tème nerveux, 1901. 5. s., p. 340. (2) Oppenheim : Die myastenische
Paralysie
. Berlin, 1901. 272 DE LÉON aussi complet que
est très attaquée par sa maladie habituelle, et semblent tenir à la
paralysie
rapide et passagère des muscles inspirateurs. D
ns la période menstruelle, elles sont toujours plus fréquentes. ,
PARALYSIE
MYASTHÉNIQUE 273 Les appareils circulatoire et
e l'iris et accommodateur restant toujours indemnes : ensuite cette
paralysie
s'étendit aux muscles innervés par la protubéranc
nnervés par la moelle, ceux du tronc et des extrémités ; toutes ces
paralysies
s'aggravaient avec l'exercice et s'amélioraient
repos, ayant plus souvent le caractère d'une myas- thénie que d'une
paralysie
; au début, ces aggravations et ces améliorations
ujours. Cette maladie rentre évidemment dans le cadre du diagnostic
paralysie
my({sthénir¡ue ; il n'y manque que la parésie d
res cas 274 DE LÉON ont commencé par la fatigue, la parésie et la
paralysie
des muscles innervés par le bulbe et la protubé
toutes les ophtalmoplégies. La forme bulbo-protubérantielle, de la
paralysie
bulbaire progressive de Duchenne et de la paral
antielle, de la paralysie bulbaire progressive de Duchenne et de la
paralysie
pseudo-bulbaire de Lépine. La forme spinale, de
atrophie musculaire d'Aran-Duchenne. Migraine ophtalmoplégique ou
paralysie
récidivante DU nerf moteur oculaire commun. Ell
ralement plus tenace et de plus longue durée, et l'apparition de la
paralysie
coïncide plus précisément avec la cessation de
ur est plus intraoculaire et pé- riorbitaire et du même côté que la
paralysie
consécutive ; la paralysie du nerf moteur ocula
t pé- riorbitaire et du même côté que la paralysie consécutive ; la
paralysie
du nerf moteur oculaire commun est totale et pa
oculaire commun est totale et pas seulement externe, comme dans la
paralysie
myasthénique, ce qui est un signe de grande valeu
e supérieure du trijumeau ; elle se complique très rarement avec la
paralysie
de la 4e et Ge paire, comme le fait com- munéme
c la paralysie de la 4e et Ge paire, comme le fait com- munément la
paralysie
myasthénique ; et enfin, le repos et la l'aligne
utes, pour observer aussitôt cette influence notable dans le cas de
paralysie
myasthénique. (1) Quelques auteurs, en se fonda
suivis d'autopsie étaient d'origine La- silaire et présentaient la
paralysie
totale du moteur oculaire commun. Ceci s'accorde
eulement il est accepté comme douteux (OpPENHEtM, Die mya.slenische
Paralysie
, p. 156). paralysie myasthénique 275 Autres o
é comme douteux (OpPENHEtM, Die mya.slenische Paralysie, p. 156).
paralysie
myasthénique 275 Autres opiitalmoplégies. - La
ue (diabète, etc.), généralement curables, et celles très rares par
paralysie
in- fantile, se distinguent par la notion de ca
es uni ou bilatéraux, sont généralement spasmodi- ques, et d'autres
paralysies
oculaires hystériques, très rares, des mouve- m
uelle, lenteur du pouls et en particulier oedème papillaire. . La
paralysie
bulbaire progressive se distingue facilement de l
d'atrophie musculaire et la réaction de dégénéralion, oulre que la
paralysie
de la langue excède 27G ' DE LÉON celle des m
er la dysmassésie; et des toniques généraux. ' Conclusions. 1° La
paralysie
myasthénique est un élat morbide - entité ou syn-
DE LA SLPI;'T1t11;tiE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX .
PARALYSIE
DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET , DÉFORMATI
dies nerveuses à la Salpêtrière pour une para- lysie faciale et des
paralysies
oculaires situées l'une et l'autre du côté droit.
eil droit. Lui-même n'avait pas remarqué l'existence chez lui d'une
paralysie
faciale, lorsqu'en avril 1903 son médecin l'en
morbide du côté des membres. Il existe chez ce malade des signes de
paralysie
motrice et sensitive de la majorité des nerfs c
tive de la majorité des nerfs crâniens du côté droit. D'ahord une
paralysie
faciale du type périphérique avec atteinte du fac
uement, la pointe déviée à droite. Du côté des yeux on constate une
paralysie
de la VIe paire droite, du nys- lagml1 bilatéra
éral : aucune lésion du fond de l'oeil, pas de troubles des sphinc-
PARALYSIE
DES NERS CRANIENS D'UN CÔTÉ 279 la ters iridien
ejeter des particules alimentaires par le nez. Il n'existe pas de
paralysie
de la langue, mais son côté droit est manifeste-
r, ptérygoïdiens) sont in- demnes. Du côté du larynx, on note une
paralysie
totale de la corde vocale droite, qui dans les
I'ÊTItIt.RE. T. XVII. Pl. XXXIX DÉFORMATIONS OSSEUSES (Rose.)
PARALYSIE
DES NERFS CRANIENS D'UN CÔTÉ zizi Enfin à l'âge
n immédiate des céphalées, l'atténuation légère, il est vrai, de la
paralysie
faciale, par le traitement spécifique y apporte
e certainement à des lésions médullaires. Hunter (3) trou- vant une
paralysie
d'une jambe au cours de la maladie de Friedreich
e de Friedreich émet l'hypothèse qu'il s'agissait dans ce cas d'une
paralysie
spinale infantile qui a précédé, à l'insu des p
us à d'autres formes de trouble mental telles que la mélancolie, la
paralysie
progressive, etc. Mais nous espérons être plus
ent très net. Il était certainement plus marqué que dans les cas de
paralysie
géné- rale que nous avons eu ci examiner, même
ysie géné- rale que nous avons eu ci examiner, même dans les cas de
paralysie
géné- rale avec amblyopie très prononcée. Le
e, de la vue, le cerveau présentait les lésions les plus nettes de la
paralysie
générale. - On peut suivre simultanément, suiva
olume, leur gaine est plissée. r) Nerf optique de Car... ; tabes et
paralysie
générale avec amblyopie. - La totalité du pourt
ique comme dans l'ensemble des centres nerveux (dans le tabes ou la
paralysie
générale par exemple) elle ne se traduit par un
s par atrophie oplique, qu'elles soient associées au talles ou à la
paralysie
générale, ou qu'elles se présentent comme loca-
îtront plus évidentes encore chez ce malade âgé de 9 ans et dont la
paralysie
géné- rale débuta il y a près de quatre ans. Re
lumière cette notion qu'il n'y a point de rapport constant, dans la
paralysie
générale, entre la déchéance intellectuelle et
ue, dans bien des cas, elle soulève immédiatement l'hypothèse d'une
paralysie
générale. Il faut savoir cependant que chez cer
OFFROY L'aphasie, sous certains modes, est fréquente au cours de la
paralysie
générale, et j'insiste tout de suite sur ces de
accompagné ou non de phénomènes convulsifs, le paralytique (car la
paralysie
générale est déjà commencée à ce moment), prése
insi que nous l'avons vu, elle apparaît très souvent au début de la
paralysie
générale, et le problème se posera souvent de sav
laquelle Charcot a insisté, peutse répéter et éveiller l'idée d'une
paralysie
générale commençante. Chez les artério-scléreux
s ces considérations sur le diagnostic de l'aphasie motrice dans la
paralysie
générale, nous pourrions les redire en très grand
iés à l'au- topsie. L'étude de ces modalités de l'aphasie dans la
paralysie
générale est des plus intéressantes et appelle
pothèses peuvent être réalisées chez les différents malades dans la
paralysie
générale. Aussi, comme nous faisons avant tout
issent rapidement chez les malades dont nous nous occupons. Dans la
paralysie
générale, il existe en effet de très bonne heur
malades on observe le contraire. D'un troisième malade, chez qui la
paralysie
générale évolue avec une certaine lenteur, je p
des troubles de l'écriture comme de tous les autres symptômes de la
paralysie
générale : presqu'aucun n'est né- cessaire, et
es, ainsi que l'irrégularité de l'époque de leur apparition dans la
paralysie
générale, doit être rapprochée de la diffu- sio
r cette maladie au tabes, affection systématisée par excellence. La
paralysie
générale ne prend aucun système, ou du moins -
ral. Je vous parlerai encore de ce malade âgé de 44 ans, atteint de
paralysie
générale depuis près de huit ans et dont l'écri
Fig. 12. - Ecriture de la malade un an environ avant le début de la
paralysie
générale. Fig. 13. Ecriture de la malade 18 moi
e de la malade 18 mois après l'apparition des premiers signes de la
paralysie
générale. - La malade a essayé d'écrire son nom.
ie, l'agraphie peut exister soit au début, soit dans le cours de la
paralysie
générale, avec ou sans paralysie des membres du
au début, soit dans le cours de la paralysie générale, avec ou sans
paralysie
des membres du côté droit. Voici deux exemples
s examinés au cours de ces leçons. C'est là un des caractères de la
paralysie
générale : on peut dire en effet, que la paraly
caractères de la paralysie générale : on peut dire en effet, que la
paralysie
générale est frappée d'une empreinte indi- vidu
roubles calligraphiques et psychogra- phiques de l'écriture dans la
paralysie
générale et dans la démence pré- coce nous publ
d'autopsie dans laquelle une lésion en foyer, analogue à celle delà
paralysie
infantile, ait été constatée ». Notre maître, M
ptômes de poliomyélite antérieure aiguë, fort semblables ceux de là
paralysie
infantile ; or dans cette moelle nous avons trouv
semblables aux foyers de dégénérescence d'origine infectieuse de la
paralysie
infantile. Nous avons pu de plus examiner les d
ur mort. Son frère semble avoir eu à l'âge de 2 ans une atteinte de
paralysie
infantile ? (fièvre, puis pa- ralysie de tous l
à l'Hôtel-Dieu. Examen le 8 octobre 1895. Le malade présente une
paralysie
du membre inférieur gauche et une fai- blesse a
émotif, est porté à pleurer. 434 LÉI11 ET WILSON 9 octobre. - La
paralysie
du membre inférieur gauche persiste ainsi que la
diminution de force. T. : matin, 38; soir, 38.3. 10 octobre. - La
paralysie
du membre inférieur gauche et la faiblesse du d
auche. Les pieds tombent et ne peuvent être fléchis sur la jambe.
Paralysie
des membres supérieurs plus complète à gauche qu'
rrer peine les objets ; la main droite serre mieux. Par suite de la
paralysie
des extenseurs des doigts et de l'action prédom
bout de trois semaines, mouvements plus faciles du côté droit, mais
paralysie
presque complète à gauche. Jusqu'en février 189
e tout à fait l'aspect ordinaire des foyers de ramollissement de la
paralysie
infantile. A gauche, le foyer est plus étendu q
git d'un homme mort à de 30 ans après avoir présenté un syndrome de
paralysie
ascendante aiguë 7 ans J /2 auparavant. Le débu
auparavant. Le début avait été rapide et fébrile comme celui de la
paralysie
infantile, au point que l'on avait pensé au déb
e, au point que l'on avait pensé au début d'une fièvre typhoïde. La
paralysie
ne fut pas dès les premiers temps régressive co
La paralysie ne fut pas dès les premiers temps régressive comme une
paralysie
infan- tile, mais au contraire progressive pend
ent atteints les premiers (avec quelques douleurs), le gauche d'une
paralysie
complète avec abolition du réflexe rotulien; le
rut après quatre jours. A partir de ce moment la fièvre tomba et la
paralysie
diminua d'in- tensité dans les quatre membres :
utôt régressive fit porter dans les premiers temps le diagnostic de
paralysie
ascendante aiguë d'origine probablement polyné-
Ces foyers avaient absolument l'aspect des foyers infectieux de la
paralysie
infantile; il ne semblait pas y avoir eu de des
e antérieure .aiguë avec lésions en foyers analogues à celles de la
paralysie
infantile : ces lésions peuvent d'ailleurs, com
s, être multiples, et se présenter cliniquement sous la forme de la
paralysie
ascendante aiguë. Un seul fait, à notre connais
chez une jeune fille de 21 ans ayant entraîné en quelques jours une
paralysie
complète de tous les muscles du tronc et des qu
te soit de sections nerveuses, soit de lésions médullaires, dans la
paralysie
infantile par exemple. Qu'elles aient ou non év
rapports étroits entre les myopathies, la myotonie et la myoplégie (
paralysie
familiale paroxystique). On sait aussi que Môbi
i que Môbius avait cherché à rapprocher la maladie de Thomsen de la
paralysie
pseudo-hypertrophique. On peut encore trouver u
succèdent ainsi pendant six mois (lig. 1 et 2). Prise ensuite de
paralysie
des jambes, elle est obligée d'entrer à l'hôpi-
(1) P. HÉRissEY, Elude clinique sur les troubles trophiques dans la
paralysie
géné- rale (Thèse Paris, 1903). DES STIGMATES
nt d'ordinaire sous toutes les formes décrites en neuropathoiogie :
paralysies
, spasmes, contractures, convulsions, tremblements
ion évangélique; ce qui s'explique d'ailleurs si l'on songe que des
paralysies
, des amauroses, des mutités peuvent survenir su
8. Neu1'O-fib)'omatose généralisée (2 pl.), par F. RUDLER, 203.
Paralysie
myasthénique (1 photogr.), par J. DE LÉON, 269.
203. Paralysie myasthénique (1 photogr.), par J. DE LÉON, 269.
Paralysie
des nerfs crâniens d'un côté et déformations os
1 fig.), 343. de LHO11 (.TACIiVTO). Contribution à l'étude de la
paralysie
myasthénique (1 phot.), 269. Léri. Etude sur
26. RAYMOND. La maladie de Parkinson (4 plan- ' ches), 1. RosE.
Paralysie
des nerfs craniens d'un côté et de formations o
e droite du thorax pré- sente des mouvements bornés d'expansion. La
paralysie
du mouvement est complète aux membres inférieur
on nerveuse le défaut de pronon- ciation qui ne provenait que de la
paralysie
du voile du palais ; mais cette paralysie finit
ui ne provenait que de la paralysie du voile du palais ; mais cette
paralysie
finit elle-même par produire un tic nou- veau,
nçait. Je crois qu'il imitait ce qu'il avait fait par l'effet de la
paralysie
. Du reste, le premier tic marqué que nous ayion
vidus, avait eu, six semaines auparavant une diphthérie grave, sans
paralysie
, et le i éflexe patellaire revenait douze semai
concerne un homme de trente-neuf ans ayant subitement présenté une
paralysie
de la moitié gauche de la face, une ophthalmie
anique, par heurts, sécheresse de la cornée, est fausse, puisqu'une
paralysie
unilatérale du nerf en question ne supprime pas
d'origine sensorielle, puisque la conjonctivite qui résulte de la
paralysie
des paupières (paralysie du facial périphérique)
puisque la conjonctivite qui résulte de la paralysie des paupières (
paralysie
du facial périphérique) n'en- traîne jamais de
ulaires DE la nutrition SOUS l'influence DE l'hypnotisme ET dans la
paralysie
AGIT.1\TE; par G. GUERTLER. (Arclc. f. Psych.,
constitutives (urée, phosphates, chlorures). Il. Les trois faits de
paralysie
agi- tante examinés par l'auteur n'ont pas révé
opathologie, 1883.) Observation très complète, caractérisée par une
paralysie
avec raideur du bras et de lajambeducôté droit
llait absolument en donner un il inclinerait à penser que c'est une
paralysie
générale qui va se développer. Voici le résumé
magne pendant plusieurs années avant son mariage) ; on constate une
paralysie
motrice très peu marquée du bras gauche, et exi
ures, tantôt se transforment en une entité chronique semblable à la
paralysie
générale. Ces accidents sé- vissent surtout sur
Puis, ou bien il s 'était développé le tableau cliniquecomplet delà
paralysie
générale (dix cas), ou l'on avait assisté, soit
à de la folie systématique (trois cas). Neuf morts : altérations de
paralysie
générale; quatre sorties dont une guérison (mélan
, de même que la dipsomanie, l'infection syphilitique, le tabès, la
paralysie
générale. La dégénérescence phy- sique fait déf
imentale. P. K. IV. Contribution au traitement SYMPTOMADQUE de la
paralysie
AGI1'.1\TE; par ? 1LLE\LIETEfi. ((,'Btt>;)'C
ons atrophiques des deux plexus. M. JoLLY (de Strasbourg). Sur la
paralysie
Ce nom s'applique à des états dans lesquels les
de la respiration présentent des troubles sem- blables a ceux de la
paralysie
bulbaire, en rapport avec des lésions encéphali
e para- Archives, t. IX, 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. * lytique avec
paralysie
des muscles de l'articulation, dans lesquels il
éral dans les ganglions de la base. Tableau semblable à celui de la
paralysie
du bulbe Cas de Joffroy (1872). 11 faut y range
lbe Cas de Joffroy (1872). 11 faut y ranger la plupart des faits de
paralysie
pseudo-bulbaire, y compris les observations tou
r un exemple à sa clinique (autopsie). On les distingue de la vraie
paralysie
bulbaire en ce que, dans la paralysie psendo-bu
On les distingue de la vraie paralysie bulbaire en ce que, dans la
paralysie
psendo-bulbaire, il se produit des attaques apo
troisième catégorie. Il s'agit de faits ressem- blant non plus à la
paralysie
bulbaire progressive chronique main à la paraly
nt non plus à la paralysie bulbaire progressive chronique main à la
paralysie
bulbaire aiguë. 11 en communique une observation;
'oculo- moteur commun. On a encore comparativement peu étudié les
paralysies
des muscles de 1*(jcjl au point de vue neurologiq
on de ces accidents. Une forme particu- lièrement obscure, c'est la
paralysie
périodique de l'oculo-muteur commun. Elle est d
, née bien portante. On notait chez elle, à l'âge de onze mois, une
paralysie
de l'aU droit (trois jours de durée); à t'age d
x Revues analytiques. 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. nution de volume, de
paralysie
(durée des douleurs, neuf à dix jours; durée de
me, de paralysie (durée des douleurs, neuf à dix jours; durée de la
paralysie
, huit semaines). Depuis lors, chaque année, un
, huit à quatorze jours; la dou- leur disparut aussitôt que vint la
paralysie
. Au débul d'avril, il e iste de la parésie loca
ien de plus. Rien n'indique la syphilis congénitale ou acquise ; la
paralysie
rétrocède lentement, mais assez uniformé- ment
paralysie rétrocède lentement, mais assez uniformé- ment (c'est la
paralysie
de l'iris qui cède la première) ; dix semaines
de sorte qu'il y a lieu de supposer que finalement s'installera une
paralysie
permanente. La périodicité s'explique, dans le
ne explication. On a bien affaire à une affection cérébrale, car la
paralysie
débute par de la céphalalgie et des vomissement
des cysticerques est encore assez vague; bien des cas rappellent la
paralysie
générale. On trouva, dans une observation, le t
élargissement d'individus dont la force de résistance a diminué. La
paralysie
générale et la démence sénile se prêtent mieux à
, ainsi que pour les états en rapport avec des pertes de substance (
paralysie
générale au début). Il importe cependant de cho
équemment dans les diverses mo- dalités de la démence, y compris la
paralysie
générale. Elles peuvent atteindre n'importe que
quel degré les excès vénériens interviennent dans l'étiologie de la
paralysie
générale, le D, Ladame admet que les excès joue
affections des nerfs périphériques, sections nerveuses, névralgies,
paralysies
, en y comprenant même les paralysies toxiques e
ections nerveuses, névralgies, paralysies, en y comprenant même les
paralysies
toxiques et consécutives aux maladies graves ains
ralysies toxiques et consécutives aux maladies graves ainsi que les
paralysies
par inauguration (auto-suggestion inconsciente).
tres affections des nerfs tro- phiques, vaso-moteurset sécrétoires (
paralysie
diffuse des vaso-mo- teurs,sclérodermie, asphyx
dans l'urne étaient : -1° Nerf facial (anatomie et physio- logie);
paralysie
faciale; 2° Corps opto-strié (anatomie et physio-
nous, un exemple frappant d'atro- phie musculaire progressive avec
paralysie
labio-glosso- laryngée. Le point de départ des
- lence des mouvements. Enfin, jamais on ne voit appa- raître ces
paralysies
qui surviennent assez souvent dans la chorée \
Mais il en est d'autres qui peuvent exister iudé- 1 V. Ollive. Des
paralysies
chez les choréiques. Thèse, Paris, 1884, p. 37.
la fin de l'année 188'N. Observation XVI. Père alcoolique mort de
paralysie
générale. Grand*père paternel mystique, violent
prédomi- naient pas d'un côté du corps, et ne furent pas suivies de
paralysie
; la maladie dura un mois ; elle eut pour conséq
gitée avec désordre dans les idées. En même temps on constate de la
paralysie
ou de la parésie étendue de plusieurs muscles :
e complète ou partielle, suivant leb régions explorées. Finalement,
paralysie
totale des jambes, presqu'absolue des bras. Dan
es muscles, une diminution évidente de la sensibilité tac- tile. La
paralysie
gagne le tronc et le diaphragme (fréquence très
e phénomène du genou comme un réflexe. P. K. XXVII. Sur un cas de
paralysie
spinale spasmodique (terme consa- cré) avec néc
cet état persiste à peu près tel quel. En juillet 1880 survient une
paralysie
rapide du bras droit; en même temps apparaissen
s ; bronchite catarrhale. C'est donc bien, termine M. Westphal, une
paralysie
spinale spasmodique, en rapport avec la lésion
. CONTRIBUTION A la pathologie ET A l'anatomie PATHOLO- GIQUE DE la
paralysie
progressive; par ZACHER. (Arch. f. Psych., XIV,
udiée à l'aide de quatre groupes d'obser- vations. Ce sont : 4° des
paralysies
générales à moelle indemne (nécropsies); 2° des
: 4° des paralysies générales à moelle indemne (nécropsies); 2° des
paralysies
générales avec sclérose funiforme des deux cord
c sclérose funiforme des deux cordons latéraux (nécropsies); 3° des
paralysies
générales avec sclérose également systématique
s cordons latéraux et des cordons postérieurs (nécropsies) ; 4" des
paralysies
générales ne pouvant être classées dans les cat
complètement dans la moitié du corps où l'on ne constate que de la
paralysie
de la motilité. Relations homologues entre les ré
yeux regardent le côté lésé; dans celles qui se traduisent par des
paralysies
simples également unilatérales, la tête et les
e bornée aux pertes de connais- sance de longue durée et aux cas de
paralysie
des voies gastro-oesopha- giennes supérieures.
n démence qui revêt la plupart du temps le caractère de celle de la
paralysie
Parmi les psychoses secondaires, il faut ranger
minution de la capacité de travail intellectuel ; la persistance de
paralysies
ou d'autres perturbations sur les organes des sen
stie des vicllurds); c. Inversions du sens géni- tal au début de la
paralysie
générale (pédérastie paralytique). Comme étiolo
chial chez une demoiselle de trente-huit ans, qui accu- sait de la
paralysie
et des douleurs dans une des extrémités supérie
a le plexus brachial à un vieillard de soixante-sept ans atteint de
paralysie
agi- tante, aucune amélioration ne s'ensuivit.
rit en 1882 l'élongation des nerfs médian et cubital dans un cas de
paralysie
agitante, occasionnée par une vive frayeur; une
du nerf médian amena la guéri- son. Le' Fort (1882) : Névralgie et
paralysie
à la suite d'un accident de chasse; guérison co
sciatiques et du crural à un homme de trente- cinq ans, atteint de
paralysie
et de spasmes cloniques des extrémités inférieu
rale des nerfs sciatiques pour une myélite par compression et une
paralysie
des extrémités inférieures; progrès rapide delà
it part de deux observations sur l'élongation du sciatique pour une
paralysie
agitante; pour une sciatique ; amélioration cha
e pro- nonce en faveur de cette opération. Simon R. M. 7 (1882) :
Paralysie
infantile chez un enfant de cinq i Berridge. Th
opéré dans la même séance, au nerf sciatique et au crural pour une
paralysie
spasmodique. Soulage- ment momentané. En somme,
qu'ils prirent le caractère de symptômes inflammatoires et que la
paralysie
des membres ne vint que peu à peu dans les dern
derniers temps de la vie. Il nous paraît très vraisemblable, que la
paralysie
qui peut accompagner un épanchement sanguin et
la partie supérieure du tronc et les membres supérieurs, lorsque la
paralysie
motrice y est très accusée. Erichsen, après avo
ancé d'abord que la com- motion de la moelle ne s'accompagne pas de
paralysie
des sphincters, ajoute à la page suivante que l
ais d'une manière très inégale, généralement plus à droite, où la
paralysie
a été plus complète. Dans l'espace très court d
rdive des traumatismes de la tête, ainsi que dans l'étiologie de la
paralysie
générale'. Nous tirerons de cet exposé les co
rtes à gauche. Quelques jours après, il était rétabli sans trace de
paralysie
. c) A sept ans, sans prodromes, ainsi que c'est
s heures, et laissant après elles une hémiplégie du côté gauche. La
paralysie
s'est compliquée d'athétnse au bout de deux moi
ons ci quatre ans. Hémiplégie gauche consécutive ; diminution de la
paralysie
, accès d'épilepsie ci quinze ans. Aura indéterm
sept mois et demi. Premières convulsions à deux mois, suivies d'une
paralysie
gauche. - Depuis, nombreux accès. Gâtisme. Tics
à encore, il s'agissait de troubles cérébraux se traduisant par des
paralysies
. M. Charpentier. M. Lunier m'objecte que l'homm
Jules Falret. (Recherches sur la folie paralytique et les diverses
paralysies
géné- )'(t<c4'. Paris, 1853); Devouges (Ue l
iverses paralysies géné- )'(t<c4'. Paris, 1853); Devouges (Ue la
paralysie
générale d'origine saturnine. Annales médico-ps
en somme, il existe jusqu'à ce jour peu de faits indubitables de
paralysie
générale à la suite de l'intoxication saturnine=.
e paralytique à son état de parfait développement et, cliniquement,
paralysie
générale, sans mégalomanie, sans euphorie, sans
d, appartenant à la forme démente, ils ne sont pas encore en pleine
paralysie
. Exclusion absolue de tous les troubles psychiq
amen décèle une parésie bilatérale de l'oculo-moteur externe, de la
paralysie
du voile du palais, de la parésie des nerfs axi
n de malade par M. BERNHARDT. Elle a traita un homme en proie à une
paralysie
partielle de Irt sensibilité sur l'extrémité su
soigneuse- ment étudiées ; l'orateur en présente divers tracés. Les
paralysies
des muscles de l'oeil sont proportionnellement
de préparations micros- copiques d'atrophie du nerf optique dans la
paralysie
générale. Il montre également un malade affecté
s muscles atrophiés. La situation des doigts est en rapport avec la
paralysie
atrophique des interosseux. Les phalanges des d
qués n'est la cause des tabes. Il est probable que généralement les
paralysies
des muscles de l'oeil d'ordre syphilitique prov
ortune, vol). Sur ces 15 femmes, 7 avaient éprouvé des symptômes de
paralysie
des muscles de l'oeil (l'auteur n'a pas tenu co
temps un refroidissement probable; 4 avaient eu des symp- tômes de
paralysie
des muscles de l'oeil, 3 présentaient de l'atro-
un traumatisme (fracture de l'iléon) : tous avaient présenté de la
paralysie
des muscles de l'oeil; aucun n'était atteint d'
p. 100 de refroidissements, 7 p. 100 de traumatismes, 21 p. 100 de
paralysie
des muscles de l'aeil. Le troisième cadre embra
de anatomo-pathologique fait entrevoir que le point de départ de la
paralysie
générale réside dans l'hyperémie organique de l
ment très prononcé, des acci- dents du décubitus, des phénomènes de
paralysie
généralisée. On cesse d'exécuter les séances de
qu'il y a entre les phénomènes spasmodiques des hydrocéphales et la
paralysie
spinale spasmodique des en- fants. Rappelons au
ilepsie, l'hypocondrie et enfin un certain nombre d'atrophies et de
paralysies
fonctionnelles. L'utilité des exercices gymnast
ener à déployer chaque jour une certaine activité musculaire. Les
paralysies
qui ne sont pas symptomatiques d'une lésion or-
HIE. 441 XI. Contribution à L'étude des troubles trophiques dans la
paralysie
générale; par J. RAMADtER (Thèse 1884). Les p
tablir définitivement leurs rap- ports avec la maladie de Bayle. La
paralysie
générale offre avec l'ataxie locomotrice des ra
ne; par PISSOT. (Thèse de Paris, 1885.) De l'aphasie au début de la
paralysie
générale; par Duhamel. (Thèse de Paris, 1885.)
r, 255 ; par Vierorcit, 236. Nutrition (dans l'hypnotisme et la
paralysie
agitantel, G4 ; - choz les aliénés pendant l'ab
rmal et n l'état pathologi- que, par llairet, 231, 360. Z commun (
paralysie
périodique de z yar laebius,105. (anomalies c
llraml, 136. Optiques (atrophie des nerfs), par Ulittioti, 427.
Paralysie
agitante (nutrition dans la), 64; traitement sy
toma- tique de la), par Erlenmeyer, 83. TABLE DES MATIERES. 455
Paralysie
générale (pathologie et anatomie pathologique),
cher, 20; ; - (Lroubles tropliilues dans la), par Ramadier, 441.
Paralysie
partielle de la sensibi- lité, 425. Paralysie
ar Ramadier, 441. Paralysie partielle de la sensibi- lité, 425.
Paralysie
spinale spasmodique avec autopsie, par Westphal
rseille) Les troubles trophiques et vaso-moteurs fournissent à la
paralysie
générale des symptômes aussi importants que var
d'intérêt comme contribution à l'élude clinique des oedèmes dans la
paralysie
générale. A... Jules, 42 ans, marchand de nouve
iveau des quatre membres. Il) Bonnets Troubles trophiques dans la
paralysie
générale {Encéphale, 18S3). (2) DU11.\NTE.- T
le {Encéphale, 18S3). (2) DU11.\NTE.- Troubles trophiques dans la
paralysie
générale (Ga; he6d.1894). (3) .1·ru,vv.wslo ?
(Ga; he6d.1894). (3) .1·ru,vv.wslo ? I roubles trophiques dans la
paralysie
générale (Arch. neurol., nov. 1897.) (41 Vu.L
ol., nov. 1897.) (41 Vu.LAi ! )). De quelques complications dans la
paralysie
gé- nérale (Thèse Paris, 1869). , (3) Namadie
3) Namadier. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans la
paralysie
générale (Thèse Paris, 1884). 16) Ukhissey. Elu
16) Ukhissey. Elude clinique sur les troubles trophiques dans la
paralysie
générale (Thèse de Paris, 1903). Archives, 3' s
ident succède à la simple conlusion et les signes physi- ques de la
paralysie
générale apparaissent. Aujourd'hui A.. présente
les sont égales mais réagissent paresseusement à la lumière. II y a
paralysie
de l'oculo-moteur commun du côté droit avec dév
s rapports de l'état affec- tif des paralytiques généraux avec leur
paralysie
vaso- motrice et tendent à considérer la vaso-d
'état de satisfaction dans la variété expansive. On observe dans la
paralysie
générale un certain nombre de symptômes qu'il f
d'hémiplégie capsulaire ou cor- ticale, de lésions pontiques, de «
paralysie
progressive » de l'enfant et de l'adulte, où le
n.(Neurol. Ctrbl.,XXV, fas. 9, p. 391 à 401, 6 fig.) Trois cas de
paralysie
générale avec état variable des réflexes : 1° F
'a rencontré dans quelques cas de myélite chronique, as- socié à la
paralysie
et à l'atrophie musculaire et à la perte des ré-
flexes tendineux et aponévrotiques; - chez des enfants atteints de
paralysie
infantile à forme hémiplégique ou de rachitisme g
souvent aux muscles de l'épaule, plus rarement il ceux des doigts.
Paralysie
du grand dentelé droit, qui s'améliora spontané
ces efforts combinés la moelle ne reprend pas ses fonctions et les
paralysies
persistent jusqu'au dernier moment ; il y a donc
bre dorsale. Un an après l'acci- dent, il existait encore, outre la
paralysie
des membres inférieurs, une perle complète de l
cas qui se compliquent de maladies générales in- flammatoires ou de
paralysie
générale, l'auteur a constaté que, dans les aut
ut nocturne, des vomissements, une série d'ictus, et finalement une
paralysie
de tous les nerfs moteurs de l'oed droit avec c
tata la dis- parition rapide et complète de la céphalalgie et de la
paralysie
des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 6J divers m
e ; abolition du goût sauf pour les saveurs amères ; pouls rapide ;
paralysie
du récurrent droit (peut-être due à un anévrysm
able de la lésion . Moitié gauche du bulbe : dis- soc. croisée avec
paralysie
de V,VI et XI ; ne dépasse pas en haut l'extrém
ol. Centralbl. XXV, fasc. 16, p. 753 à 755, 16 août 1906.) Homme.
Paralysie
spinale infantile à droite, à 4 ans : paralysie
août 1906.) Homme. Paralysie spinale infantile à droite, à 4 ans :
paralysie
rapidement établie de fout le membre supérieur
1906, n° 129.) Il s'agit d'un homme de 45 ans qui a succombé à une
paralysie
générale atypique, variété Lissauer, démontrée
ents volontaires qui s'ob- servent en l'absence d'aucun symptôme de
paralysie
des membres. Il ne faut pas confondre cette apr
érêt capital ; elle empêchera de considérer comme des rémissions de
paralysie
générale la guérison réelle de ces intermittent
même ordre d'idées, on peut avancer que certains cas rapportés à la
paralysie
générale à double forme sont des cas ' de folie
ologique et médico-légale et Mlle Pascal : formes atypi- ques de la
paralysie
générale. Prix Semelaigne ; M. BussARD : Des so
u. Quelquefois les crises toniques subsistent seules ; c'est que la
paralysie
du coeur a occasionné une anémie cérébrale qui
, l'insuffisance des perceptions et l'indifférence émotionnelle. La
paralysie
des fa- cultés psychiques supérieures se rencon
diffuse chronique de nature mal déter- minée. Hugo Wolf, mort de
paralysie
générale, présenta, de vingt- sept à quarante a
ses deux paupières qui étaient complètement paralysées. Il y avait
paralysie
de la branche du moteur oculaire commun qui pré
ec un courant électrique, l'a débarrassée instantanément de cette
paralysie
. Cette malade a présenté des troubles trophique
, moi qui avais conscience d'a- voir vu tant d'hystériques, tant de
paralysies
considérées com- me hystériques, tant d'astasie
NGLADE(Vaucluse) parle de la méniiigo-corticalite dif- fuse dans la
paralysie
générale. M. Courtellemont (d'Amiens) : Paraplé
s auteurs rapportent les trois cas suivants : 1° Obs. : Début de la
paralysie
générale à 54 ans, hémipa- résie droite. Démenc
écelé ni sucre, ni albumine. A l'autopsie, lésions classiques de la
paralysie
gé- nérale. Pas de lésions du foie, de la rate
de lésions du foie, de la rate et des reins. 2° Obs. : Début de la
paralysie
générale à 35 ans. Troubles du caractère et de
ppréciable des principaux organes thoraciques et ab- dominaux. La
paralysie
générale progressive et la folie alcoolique en Gr
Niris (d'Athènes) présente un résumé d'une étude statistique sur la
paralysie
générale et la folie alcoolique en Grèce. De ce
Grèce. De ce travail résultent les conclusions suivantes : 1° La
paralysie
générale est assez fréquente en Grèce (15- 20 %
a paralysie générale est assez fréquente en Grèce (15- 20 %). 2° La
paralysie
générale est très rarement observée chez la fem
paralytiques géné- raux, 19 9 seulement étaient des femmes ; 3° La
paralysie
gé- nérale est dans 75 % des cas de nature syph
alcools provenant ordinaire- ment des substances amylacées ; 5° La
paralysie
générale de nature alcoolique est très rare en
cliniques et certains faits anatomiques la font distin- guer de la
paralysie
générale avec laquelle on peut la confon- dre.
flexes musculo-tendineux anesthésies ou hyperesthésies. Parésies et
paralysies
de loca- lisation variée, agraphie, aphasie, et
paralysies de loca- lisation variée, agraphie, aphasie, etc. Pas de
paralysie
pro- gressive, marche lente, par poussées. Atta
diffuse se distingue essentiellement sinon toujours aisément de la
paralysie
générale par les carac- tères suivants : 1. Les
S DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. ICI pas de même dans la
paralysie
générale où le traitement mer- curiel est, en e
ulaircs déterminait un opisthotonos permanent. Il n'existait pas de
paralysie
véri- table et aucun signe ne permettait de rap
es postérieures dans 5 nouveaux cas de tabès simple ou associé à la
paralysie
générale. , On remarque, en général, un rappo
dernier degré de dévelop- pement. La méningo-cérébellite dans la
paralysie
générale. : .\11\I. ANGLADE et LATRIiILLR (de Bor
RIiILLR (de Bordeaux). Si le cer- velet a été si peu étudié dans la
paralysie
générale, cela tient à l'insuffisance de nos co
te admirablement aux constatations ana- tomo-pathologiques. Dans la
paralysie
générale, les lésions du système nerveux s'y sc
nt. On peut, d'ores et déjà, dire qu'on y trouve la preuve que la
paralysie
générale est bien, avant tout, une méningo-corti-
ILLE présente un sujet dont les membres ont l'attitude de la double
paralysie
radiale. S'agit-il d'un certain de- gré d'agéné
de cette affection assez rare. Ataxie des muscles oculo-moleurs et
paralysies
oculaires dans un cas de tabès juvénile. lII,
ique et tabétique, la pré- sence au complet des signes du tabes, la
paralysie
des deux mus- cles oculo-moteurs, enfin l'ataxi
-LremhlemenL L surtout marqué dans les mouvements volontaires et de
paralysie
totale de la 3e paire droite avec parésie disso
sés par sclérose, arthropathie scapulaire et chiromégalie droite.
Paralysie
alterne associée à un syndrome spasmodique dû p
rise ou subit son vertige. On a signalé, pendant cette période, des
paralysies
di- verses et passagères des muscles de l'aeil.
autopsie des altérations pathologiques nettement caractérisées de
paralysie
générale et de méningite tuberculeuse. Si aux c
mpte de certains facteurs individuels. Sur les suites éloignées des
paralysies
oculo-motrices. M. ANTOtELLI (de Paris). - On s
ralysies oculo-motrices. M. ANTOtELLI (de Paris). - On sait que les
paralysies
du nerf de la sixième paire ayant duré plus ou
analogue à la divergence,dite con- comitante, des myopes. Quant aux
paralysies
isolées du nerf de la quatrième paire, elles so
que nous puissions en fixer les suites éloignées. A la suite des
paralysies
guéries du moteur oculaire externe Archives, 3°
t s'appliquer à tous les accidents. Le vrai caractère de toutes les
paralysies
hystériques, c'est d'être accompagnées ou suivi
de la même fonction ; c'est l'acte subconscient qui caractérise la
paralysie
hys- térique, comme j'ai essayé de le'montrer i
le'montrer il y a déjà plus de vingt ans.Ce fait s'observe dans les
paralysies
systématiques portant sur de petites fonctions
est bien visible ; le même fait se retrouve encore dans ces grandes
paralysies
qui portent sur un côté du corps ou sur les deu
dissociation des fonctions ? Sans doute on ne constate pas dans ces
paralysies
de grosses alté- rations des réflexes et il y a
i pas trouvé non plus le signe de l'extension des- orteils dans les
paralysies
nettement hystériques. Cependant je 222 CONGRÈS
systématiques, mais je n'oserais pas conclure bru- talement que la
paralysie
soit identique à l'immobilité volontaire et la
nté, puis même sous l'influence d'une excitation réflexe ; c'est la
paralysie
. D'autre part, l'exagération de la force égalem
ation extrême de la sensibilité, peut avoir pour contre-partie, une
paralysie
, dispari- tion complète de la force ; une parés
es et générales, on voit presque toujours qu'il il leur succède une
paralysie
aussi momentanée de tous les muscles qui se man
es montrent que les muscles de la vessie eux-mêmes participent à la
paralysie
. Quand les crises sont moins violentes et se bo
s à l'appui de cette thèse : des malades que j'avais guéris de leur
paralysie
,de leur con- tracture hystérique, qui jouissaie
vaient l'hystérie latente. J'ai essayé, au contraire, de donner des
paralysies
, des contractures à des individus non hystériqu
p. 651) établissait l'analogie qui apparaît entre le sommeil et la
paralysie
hystérique, en les rap- portant l'un et l'autre
t voici les titres : Ophtalmo-réaction en psychiatrie;' - Atoxyl et
paralysie
générale ; - Anticorps et microbes dans la P. G
omen avec nausées, étourdissements sans perte de connaissance; Puis
paralysie
progressive des quatre membres qui fut réalisée
u bout de quatre heures une fois les symptômes de début éteints. La
paralysie
des membres supérieurs ne persista pas et disparu
s avec abolition complète de la motricité et de la sensibilité, une
paralysie
des sphincters. Dans la deuxième observation il
histologique, c'est un sarcome. Cliniquement,on avait observée une
paralysie
presque complète du bras droit avec diminution
s de la base était veloutée. Après durcissement, le diagnostic de
paralysie
générale fut con- firmé par l'examen microscopi
plets ; on croit quelquefois pouvoir s'occuper moins d'une « banale
paralysie
» ; à tort comme on le voit. REVUE D'ANATOMIE E
; ils constatèrent la lésion des deux noyaux du IV dans des cas de
paralysie
unilatérale du gland oblique ; ils admirent enfin
ent pas le type mo- teur. Intégrité de ces noyaux dans des cas de
paralysie
durable du sphincter et de l'accommodation, soi
ervation d'un hom- me qui offrit une hémiplégie palatolaryngée avec
paralysie
laciale périphérique, du côté gauche, immédiate
gnaler au point de vue de la médecine des accidents du tra- vail.
Paralysie
de l'élévation des globes oculaires pour les mouv
es troubles ocu- laires ainsi caractérisés ; ils attribuent à cette
paralysie
une ori- gine supranuclaire. Inutilité du tra
ie. MM. II. FRANÇAIS et F. Rose présentent une malade atteinte de
paralysie
flasque avec amyotrophie des membres supérieurs e
e;et c'est à dix-huit ans que le malade eut son accident initial.
Paralysie
myélopatique des vieillards. IIJI. DuraÉ, LHERM
es régions pehienneet lom - baire, et chez qui le début brusque, la
paralysie
avec rétrocession ultérieure lit diagnostiqueur
tut et qui intéressent les cas sui- vants : neurasthénie, hystérie,
paralysies
diverses, incontinence d'urine, impuissance, né
lucinatoires, démence précoce, confusion mentale, folie périodique,
paralysie
générale, etc. Nous ne retien- drons ici que le
façon éclatante que la plupart de ces manifestations, notamment les
paralysies
,les anesthésies, les contractures, les idées fi
l'hystérie peuvent exclure en masse de la vie consciente : telle la
paralysie
isolée des mouvements de l'écriture. Ces mêmes
un membre est immobilisé un certain temps, et qu'il se produit une
paralysie
ou une anesthésie hystériques, il est inexact d
anesthésie hystériques, il est inexact de dire que l'idée de cette
paralysie
en ait été la cause : il ne s'agi- REVUE D'ANAT
6.) Femme; épilepsie génuine sans convulsions jacksoniennes, sans
paralysies
postparoxystiques ; démence progressive.Deux ans
apie sont d'excellents adjuvants du traitement. L. WrII,. XXXI. -
Paralysie
isolée du muscle grand dentelé ; par CLAUDE et
ire à la déviation vertébrale qui est elle-même symptomatique de la
paralysie
du grand dentelé et dans la production de laque
ion réflexe et compensatrice des muscles voisins. La cause de cette
paralysie
réside dans une infection localisée sur le muscle
névrite consécutive progressivement croissante jusqu'à aboutir à la
paralysie
complète du muscle. F. Tisser. XXXIII Les accid
iennent los signes de compression radiculo-médullaire consistant en
paralysies
spasmo- diques ou flasques. Le diagnostic est f
rêt que colui d'une constatation anatomo-pathologique. G. C. XLI.
Paralysie
ancienne de la branche temporale du nerf facial
r des cautérisations répétées avec une facilité rela- tive, mais la
paralysie
persista avec occlusion complète des pau- pière
l'oeil gauche épiphora, léger degré d'exorbitis et rides frontales (
paralysie
du sourcilier). Bichelonne a tenté de prati- qu
ux membres inférieurs paraît être due à un affaiblissement ou à une
paralysie
des muscles qui fixent le tronc et le bassin sur
; puis céphalée, troubles de la vue, paresthésie de la main gauche;
paralysie
transitoire de l'abducens à gauche. Aucun signe
onstate : à gauche amaurose avec atrophie papil- laire ; mydriase ;
paralysie
de l'abducens ; paralysie faciale,surdité; à dr
e avec atrophie papil- laire ; mydriase ; paralysie de l'abducens ;
paralysie
faciale,surdité; à droite parésie du facial et
nhardt, Bénédikt et surtout de Hitzig ; ce dernier parvint, dans la
paralysie
faciale, par excitation du trijumeau ou de l'op
us importante, dans le groupe des amnésies organiques, revient à la
paralysie
générale et à la démence sénile. Les auteurs ét
xystiques, viennent les dysmnésies progressives parmi lesqueiles la
paralysie
générale tient la plus grande place. A l'étud
ne peut dire si les convulsions ont déterminé chez la malade de la
paralysie
. Il en est de même pour la marche, l'enfant rem
e médecin aurait dé- claré à la mère que sa fille était atteinte de
paralysie
infantile. - L'enfant n'a présenté aucun accès,
ntraire, il y a déficit d'énergie nerveuse, capable d'entraîner des
paralysies
passagères pouvant elles mêmes alterner avec le
nd guère que le centième du matériel (sic) reçu. » Démence précoce,
paralysie
générale, ces deux entités auront- elles le mêm
ouille et la malade fut gué- rie. - L. `V.1HL. VI. Traitement des
paralysies
diphtériques par le sérum de Roux ; par COMDY (
médical, 18 mai 1907. t Tout' malade, enfant ou adulte,-atteint de
paralysie
diphtérique récente ou ancienne.légère ou grave
5 de ce nouveau produit qui devrait être essayé dans le tabes et la
paralysie
générale; il faudra surveiller les phénomènes d
ANTHEAUME et ]\fIGNOT.- (L'Encéphale, 1907, n° 2.) A l'instar de la
paralysie
générale, la démence précoce peut dé- : buter p
n état ; le mélancolique ne l'a généralement pas ; l'hystérie et la
paralysie
générale ne sont pas toujours faciles à reconnaît
ues et conscientes. 1 F. TISSOT. XVII.-Les hallucinations dans la
paralysie
générale; pai DUCOSTT (L'Encéphale, 1907, n° 2.
présentent l'observation d'un ma- lade atteint depuis trois ans de
paralysie
double avec atrophie musculaire, troubles des r
ubles sphinc- tériens, perte du sens génital ; flasque à gauche, la
paralysie
est spasmodique à droite ; ils concluent dans l
ession dans le rocher, produisant le spasme facial, dans les cas de
paralysie
faciale. Communication de M. Thomas. Archives
avérée et prolon- gée, 3 malades hommes entrés dans le cours d'une
paralysie
gé- nérale avancée. « Il n'est pas toujours f
t Chartier, p. 380. @ 1'l'Aa : des muscles oui110-1110-- teurs et
paralysie
oculaire dans un cas de tabès juvénile, par G
gra- phiques cincsthésiclucs, par Varquliès, y. 77. 1es-dans la
paralysie
générale, par Ducos- té, p. 100. 11> : wnT
tc, p. 372. Voir Idiotie. II : \I\GO-CÎ : R);17BL1.1TI : . Voir
Paralysie
f/e; ! ft«<e. Voir Idio- tie. Miracle. Le
sion dans le rocher, produisant le spasme facial, dans lcs cas de
paralysie
facia- le, par Thomas, p. 465. Neurasthénie.
Contribution à l'étude du phénomène des -, par Noi- ca. p. 166.
Paralysie
générale. Voir Trou- bles. La générale progress
- cillaire, par Vaillant et Dopler, p. 455. Sérum de Roux, voir
Paralysies
. Sels. Voir Tétanie. Sensibilité. Voir Réflex
ourtellemont, p. 466. Troubles de la sensibilité au dé- but de la
paralysie
générale, par Diltz, p. 78. Contribution à l'
illusions et halluci- nations fréquentes; démarche vacillante sans
paralysie
des membres ; perversions du goût et de l'odora
t gouttes par la voie sous-cutanée. R. BLANCHARD et J. PIGNOL. X.
Paralysie
AGITANT guérie par la galvanisation CEN- TRALE,
mise en relief par les écrits de Hugh. Jackson et de Fournier. Les
paralysies
des muscles de l'oeil aussi bien que les troubl
rouble de la vue : Cette névrite optique peut s'ac- compagner de la
paralysie
d'uni ou de, plusieurs des 'iuàseles moteurs de
es ne sont pas rares. ' , ? pN Céphalalgie 'rare ? t il'm Si la
paralysie
existe, règle géné- rale elle n'est pas général
`t;u ut' t,ç9a)tracture, rare., t Ili r;y r·t ! 1 J·v,, , ^ 1, La
paralysie
est, la règle; elle rc- vêt "généralement la' f
nairement ? ir *' ' "r'> Céphalalgie fréquente (Ramskill). La (
paralysie
A est ordinairement généralisée; l'hémiplégie e
1r arn '.i ? w«< '.L ^W 3lza M. Christian atremarqué que dans la
paralysie
générale former 4 maniaque', une,, maladie ( in
ude du ramollissement cérébral, il confond les lésions propres à la
paralysie
générale avec celles d'autres affections cérébr
par A. Ascecrr (thèse de Paris, 1881). Du pied-bot consécutif à la
paralysie
infantile et de son traitement ; par W. ULCOQ (
ientôt suivies d'une sorte de stertor qui dure qnelques minutes. La
paralysie
du côté droit n'a pas dis- paru. Le sommeil per
ent aux traits de suture. Le visage est asymétrique par suite de la
paralysie
faciale qui occupe le côté gauche. On note l'ef
nomènes permanents de la névrose, tels que les cou-, tràctures, les
paralysies
, les troubles de la sensibilité, et qui pré-, s
ntait, lors de son entrée à l'asile, la plupart des symptômes de la
paralysie
générale, et qui ne tarda pas à les présenter t
é très étonné de ne pas trouver dans l'établissement un seul cas de
paralysie
générale; depuis ce moment, il a pu observer tr
; d'autre part, le cerveau ne présentait pas les caractères de la
paralysie
générale; dans le second cas, au contraire, on tr
par la communication annoncée sur un cas d'apoplexie bulbaire avec
paralysie
croisée de la sensibilité ' . 1. Il s'agissait
it par lui dans la séance de novembre (hémianesthésie analogue à la
paralysie
alterne de Gubler du facial et des extrémités)
ralytique, une parésie du facial gauche. Appuyant surlemyosis et la
paralysie
du crico-aryténoidien postérieur droit, M. Rema
ténoidien postérieur droit, M. Remak insiste sur la valeur de cette
paralysie
partielle en faveur d'une lésion nucléaire de l
de M. Charcot. Sur quatre-vingt-deux cas relatifs au tabès et à la
paralysie
progressive (thèse de Vincent 1 877) , on note
obiles, dilatées, rétrécies ou de moyenne dimension. Au début de la
paralysie
progressive, pupilles inégales obéissant moins
is et fixité pupillaire, isolés ou concomitants dans le tabès ou la
paralysie
progressive, M. H... pense que l'im- mobilité d
de plusieurs centaines de faits semblables recueillis dans diverses
paralysies
oculaires où dans le strabisme avant et après l
M. SENATOR appuie l'opinion de Râhlmann pour qui, dans le tabes, la
paralysie
des fibres oeulopupillaires de la moelle cer- v
uble interrup- tion de la conductibilité, le myosis résultant de la
paralysie
des centres, source desfibres pupillo-dilatatri
xe, mais bien d'une excitation musculaire. Même observation dans la
paralysie
faciale alors que, l'excitabilité électrique du n
illaire inférieur à droite; le neuvième jour de la dys- phagie avec
paralysie
de l'oculo-moteur de l'oeil gauche (sphincter i
émanerait d'une anoxhémie pulmonaire. Contribution à l'étude de la
paralysie
ascendante aiguë, par le professeur SCHULTZE (d
nt d'un sentiment d'affaiblissement, puis de fourmillement, puis de
paralysies
presque complètes et dans les derniers jours le
hèse de Paris, 1881. lloffiiiann, Sauvages, Bosquillon signalent la
paralysie
des membres supérieurs ' dans le cours de l'emp
aractérisent la forme brusque : ils consistent en des phénomènes de
paralysie
plus ou moins étendus qui siègent le plus souve
l'em- 2't6 ' BIBLIOGRAPHIE. pyème. Il s'agit ordinairement d'une
paralysie
incomplète qui pré- sente des alternatives d'au
sont dus à une influence vaso-motrice. Cn. F. VIII. Essai sur La
paralysie
diphthéritique du nerf pneumogastrique; par L.-
par L.-E. GULAT. Thèse de Paris, 1881. Dans la convalescence de la
paralysie
diphthéritique, on observe quelquefois des trou
vomissements alimentaires. Ces troubles succèdent d'habitude à une
paralysie
du voile du palais consécutive à une angine dipht
théorie bulbaire était vraie, on devrait rencontrer quelquefois la
paralysie
des nerfs dont les noyaux d'origine sont près d
Il admet que la mort subite ou rapide dans la convalescence de la
paralysie
diphthéritique est le résultat d'une altération d
ranches terminales du nerf vague. CH. F. IX. Hallucinations dans la
paralysie
générale (Observations); par J. Girma. Thèse de
. Thèse de Paris, 1881. Les hallucinations, très fréquentes dans la
paralysie
générale, s'observent à toutes les périodes de
été confondue avec la vraie para- lysie générale et surtout avec la
paralysie
générale survenant chez un saturnin ; mais elle
l. F. XI. Le délire des grandeurs n'est pas un signe exclusif de la
paralysie
générale progressive ; par E.-A. Lautar. Thèse
ème nerveux. Electrothérapie. Faradisation et galvanisation dans la
paralysie
du nerf facial. De l'efficacité des courants co
tié latérale de la moelle épinière : « Du côté correspondant : 1°
paralysie
du mouve- ment volontaire ; 2° hyperesthésie au
e de tem- pérature dans les parties paralysées ; 6° phénomènes de
paralysie
des origines du nerf grand sympathique cervical
nous notons dans l'état du malade les modifications suivantes : la
paralysie
a très légèrement diminué. L'insensibilité au t
tité est de 300 grammes. La constipation persiste. Le 16 mars, la
paralysie
et l'insensibilité ont encore un peu diminué, s
dans la journée quatre ou cinq selles abondantes. Le 18 mars, la
paralysie
continue à s'améliorer. L'hyperes- thésie dispa
ilésion, dont elle reproduit fidèlement les traits fondamentaux. La
paralysie
s'est présentée ici avec ses caractères ordinai
r chaque mode spécial de sensibilité. 280 ' CLINIQUE NERVEUSE. La
paralysie
vaso-motrice avait les mêmes limites que la par
ERVEUSE. La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limites que la
paralysie
motrice; elle était très accentuée, puis- qu'il
respiratoire et musculaire, l'anoxémie s'y surajoute, amenant une
paralysie
du centre constricteur permet- tant la dilatati
ues limitées, tout à fait semblables à celles qui caractérisent les
paralysies
atrophiques spinales de l'en- fant et de l'adul
e hypothèse un certain nombre de faits observés chez l'homme, où la
paralysie
du mouvement existait d'un côté du corps avec c
tablement du côté droit. Depuis huit jours, il existe une véritable
paralysie
du 'membre supérieur droit; le membre inférieur
suivant la direction des branches sous-occipitales. 11 existe une
paralysie
incomplète des membres du côte droit. Les mouve
s côtes, sur les fesses) où elle produit des four- millements. La
paralysie
du 'côté droit tend t diminuer, les mouvements
gèrement émousséc à gauche; la sensibilité au froid est revenue- La
paralysie
du bras droit diminue de jour en jour. 5 octobr
t, cette observation démontre une fois de plus la disposition de la
paralysie
motrice et de l'anes- thésie par suite d'une co
anesthésie qui, d'après M. Brown-Séquard, limiterait par en haut la
paralysie
motrice. La paralysie du mouvement était plus p
M. Brown-Séquard, limiterait par en haut la paralysie motrice. La
paralysie
du mouvement était plus prononcée au membre sup
uinité. Premières convulsions ci trois mois; prédominance à gauche,
paralysie
ci gauche, contracture. Affaiblissement progres
r le lit pendant un mois et nous n'avons pu savoir s'il y eut de la
paralysie
à la suite de ces convulsions; seulement, quelque
six heures, avec prédominance des convulsions à gauche, on nota une
paralysie
du bras et de la jambe de ce côté. L'enfant eut
u'il put commencer à marcher en traînant la jambe. Dans lasuite, la
paralysie
de la jambe a diminué, mais il la traîne encore
e à une méningo-encéphalile, plus avancée à gauche, en raison de la
paralysie
. La débilité intellectuelle a continué de progr
es rencontre, sinon aussi étendues, du moins aussi intenses dans la
paralysie
générale progressive. Et, depuis que nous avons
ues (janvier 1882), une note dans laquelle il rappelle trois cas de
paralysie
générale où il a trouvé la même lésion, caracté
ons ensemble provoque l'hémianopsie du côté opposé, c'est-à-dire la
paralysie
de la moitié des deux rétines du côté correspon
espondant, que d'autre part une lésion cérébrale peut déterminer la
paralysie
des fibres rétiniennes de la moitié externe de
nes purement spasmodiques. Quelquefois cependant, on a constaté des
paralysies
ou des parésies limitées : M. Krishaber expliqu
s limitées : M. Krishaber explique cette existence simultanée de la
paralysie
avec les spasmes, en disant que la paralysie d'
tence simultanée de la paralysie avec les spasmes, en disant que la
paralysie
d'un muscle pro- voque facilement le spasme de
symptomatique. C. F. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 XXI. DE la
paralysie
DU nerf MOTEUROCULAIRE EXTERNE CONSÉ- CUTIVE au
, nov. et déc. 1880.) Frappé depuis longtemps de la fréquence de la
paralysie
traumatique de la 6° paire et peu satisfait de
t. Cette dernière éventualité explique l'apparition tardive de la
paralysie
. D. BERNARD. XXII. CONTRIBUTION A l'étude de la
357 1° La dépression précédant ordinairement l'exaltation dans la
paralysie
générale, la maladie était probablement à une pé-
IER. M. Lumer lit une note de M. Baillarger, sur une lésion de la
paralysie
générale, que l'auteur a rencontrée^ quatre fois.
turnes chez les enfants. Régis : Etiologie de quelques formes de
paralysie
générale. BERGERON Folie de la puberté. BRIAND :
évolution du délire dans les vésanies. 2° Des conges- tions dans la
paralysie
générale. M. LEGRrND du SAULLE donne lecture du
pas éventuellement, mais fatalement, des phénomènes de spasme ou de
paralysie
. Il va sans dire que, parmi les 167 cas utilisé
stance grise dont la lésion ne manque jamais dans tel ou tel cas de
paralysie
localisée. Ce département relativement restreint
Exner, a rencontre de celte opinion, signale douze observations de
paralysie
des membres sans lésions du lobule paracentral
it de l'anes- thésie hystérique et des agents oesthésiogènes, de la
paralysie
et de la contracture hystériques. Le phénomèn
lcoolisme, non seulement n'est pas la cause la plus fréquente de la
paralysie
générale, mais même qu'il paraît incapable de l
rtains cas d'alcoolisme chronique, res- semblant plus ou moins à la
paralysie
générale ont été confondus avec cette maladie,
certains cas, considérés aujourd'hui comme constituant la véritable
paralysie
générale alcoolique, ne sont pas à proprement p
le alcoolique, ne sont pas à proprement parler de véritables cas de
paralysie
générale, et ils diffèrent des autres cas par l
par des particularités, des symptômes qui lui sont communs avec la
paralysie
générale. L'inégalité pupillaire, qui manque un
gle dans la pseudo-paralysie, qui se distingue 'encore en ce que la
paralysie
y commence toujours par les extré- 376 BIBLIOGR
sontplutôt engourdies, inhabiles, qu'affaiblies, tandis que dans la
paralysie
générale, la paralysie est plus étendue d'emblée,
inhabiles, qu'affaiblies, tandis que dans la paralysie générale, la
paralysie
est plus étendue d'emblée, et en outre est prog
ie est plus étendue d'emblée, et en outre est progresssive. Dans la
paralysie
alcoolique, le trem- blement est général, il es
sie alcoolique, le trem- blement est général, il est limité dans la
paralysie
générale et il est fibrillaire. L'embarras de l
de de 1'), par Raymond et I)re51'uus, 80. Apoplexie bulbaire avec
paralysie
croisée de la sensibilité, 229. Asile d'alién
10'i. Délire des grandeurs (il n'est pas un signe exclusif de la
paralysie
générale par Lau- tac, 21s. Démence aiguë c
pied bot va- rus équin, par Pitres, 319. Moteur oculaire externe (
paralysie
tiainnatique du), par Panas. 331. Neil' ati
tme). 311. Organes centraux (action de la lymphe sur les), 210,
Paralysie
agitante guérie, etc., par Mann, 95. Paralysi
e sur les), 210, Paralysie agitante guérie, etc., par Mann, 95.
Paralysie
ascendante aiguë, 'i0, Paralysie du nerf pnui
te guérie, etc., par Mann, 95. Paralysie ascendante aiguë, 'i0,
Paralysie
du nerf pnuiimogastiiqiie, par Gulat, 2'ili.
, 'i0, Paralysie du nerf pnuiimogastiiqiie, par Gulat, 2'ili.
Paralysie
générale (Hallucinations dans la), 217 ; - (éta
un cas de), 310. Piacidia crythrina, par Ott, 9. Pneumogastrique (
paralysie
diph- thérique du), 216. Pouls carotidien (ét
dans l'ergotibille, ! )8. Pupille (fixité de la', 231; - dans la
paralysie
générale, 336. Quadrijuineaux (anatomie des tu-
lité et du mouvement du côté droit. Il regagne enfin l'Europe et sa
paralysie
qui s'était améliorée guérit définitivement «pr
dans un travail fort intéressant. La face ne participe en rien à la
paralysie
. 1. Dz l'atrophie musculaire dans las paralysie
ticipe en rien à la paralysie. 1. Dz l'atrophie musculaire dans las
paralysies
hystériques. Archives de Neurologie 1886, p. lo
onstata, en essayant de faire marcher le malade, qu'il existait une
paralysie
flasque du membre infé- rieur droit. Cette tent
qui repose sur le plan du lit par son bord externe, est inerte ; la
paralysie
flasque est complète (sauf quelques légers mouv
, nous avons la une excellente occasion d'étudier la marche dans la
paralysie
d'une moitié du corps relevant de la névrose.
du corps relevant de la névrose. Notons que, chez tous les deux, la
paralysie
est assez complète pour qu'ils ne puissent se t
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. véritablement, bien que la
paralysie
et la faiblesse générale soient plus accentuées
la jambe paralysée; elle porte d'abord le tronc du côté opposé à la
paralysie
et appuie tout le poids du corps sur ce membre
balaye (saueeps) le sol. Cela, je pense, est caractéristique de la
paralysie
hystérique. » La description de Todd est de tou
idal et alors se montre la circumduction signalée par Todd, mais la
paralysie
est devenue spas- modique. On pourra d'ailleurs
ial à l'hystérie et ce qu'a merveilleusement vu Todd, c'est cette
paralysie
si absolue, si totale du membre, véritable « pi
près ces crises, la contracture une fois passée, il ne restait pas de
paralysie
du côté droit, mais, chaque fois que le malade
On sait que certaines rétractions fibreuses, indépendantes de toute
paralysie
, comme la rétraction de l'aponévrose palmaire, re
copes et qui paraissent bien avoir été des crises hystériques ; une
paralysie
transitoire du membre supérieur gauche avec anest
terne de la Clinique des maladies du système nerveux. 'un TYPE DE
paralysie
AGITANTE .La malade que représente la planche V
ade que représente la planche VII est célèbre dans l'histoire de la
paralysie
agitante. C'était un cas type, éminemment favorab
ONOGRAPHIE T. I PL. Vit PHOTOTYPI1 BERTHAUD CLicHi ? A. LONDE
Paralysie
AGITANTE DELAHAYE Q LECNOSNIFR, ÉDITEURS UN T
E Paralysie AGITANTE DELAHAYE Q LECNOSNIFR, ÉDITEURS UN TYPE DE
PARALYSIE
AGITANTE. 41 pieds relevés sur les barreaux d'u
même temps qu'il montrera l'altitude aujourd'hui bien connue de la
paralysie
agitante sous un aspect qui n'a pas encore été
été fait par M. Parinaud : pas de lésion du fond de l'oeil. Pas de
paralysie
des muscles moteurs du globe oculaire. Léger nys-
sont pris ; quoi qu'il en soit, pendant plus d'un an, il exista une
paralysie
atrophique des membres supérieurs avec griffe rad
lysie atrophique des membres supérieurs avec griffe radiale, et une
paralysie
spasmodique des membres inférieurs, avec flexion
un cas de pachyméningite cervicale hypertrophique ayant produit une
paralysie
spasmodique avec flexion des membres, dans lequ
une paralysie spasmodique avec flexion des membres, dans lequel la
paralysie
a guéri au bout de deux ans sans qu'on pût cons
compliquer les contractures hystériques comme elles compliquent les
paralysies
organiques. Je pourrais même citer trois exempl
notre observation. Nous avons vu que les muscles intéressés par la
paralysie
sont les deux péroniers, le jambier antérieur,
t tous les muscles innervés par le sciatique poplité externe. Cette
paralysie
des extenseurs, d'origine traumatique, présente
matique, présente une grande ana- logie de symptômes avec certaines
paralysies
toxiques, la paralysie alcoolique entre autres.
ande ana- logie de symptômes avec certaines paralysies toxiques, la
paralysie
alcoolique entre autres. On la distinguera de c
et la soudaineté du début. Un cas cependant peut se présenter où la
paralysie
des extenseurs peut survenir progres- sivement
la fracture sera d'un grand secours pour le diagnostic; de plus, la
paralysie
alcoolique est le plus souvent bilatérale et ac
.. compression du sciatique poplité externe par un cal exubérant et
paralysie
totale des muscles exten- seurs de la jambe. Ré
80 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Si le diagnostic des
paralysies
consécutives aux fractures de la tête du péroné
s paralysies consécutives aux fractures de la tête du péroné et des
paralysies
toxiques peut en général se faire facile- ment,
se faire facile- ment, il n'en est pas de même dans certains cas de
paralysies
rhuma- tismales ou a frigore du sciatique popli
ux causes occasionnelles précédentes, ne développerait-elle pas des
paralysies
rhumatismales des muscles innervés par le sciat
aider en faveur de cette hy- pothèse : Seeligmtdler1 cite un cas de
paralysie
dite rhumatismale des muscles extenseurs de la
a douleur et de l'amaigrissement. Rosentha12 rapporte deux cas de
paralysie
du nerf peronetts, de cause inconnue, dans lesq
du nerf peronetts, de cause inconnue, dans lesquels se trouvent la
paralysie
des extenseurs et la bande d'hypoesthésie décri
du service, nous a montré, à la consultation, un malade atteint de
paralysie
des extenseurs de la jambe droite, accompagnant
du malade deviendront très importants pour le diagnostic entre les
paralysies
traumatiques et les paralysies rhumatismales. L
ortants pour le diagnostic entre les paralysies traumatiques et les
paralysies
rhumatismales. L'examen de la disposition alfec
emi une impossibilité de la marche. Un malade de Weber conserva une
paralysie
incomplète des fléchisseurs du pied. Chez le ma
urs du pied. Chez le malade de Brand, il persista quelque temps une
paralysie
incomplète des muscles et une anesthésie cutané
e locale. Le malade de Duplay présentait encore au bout d'un an une
paralysie
complète des muscles extenseurs du pied et des
s du pied et des péroniers latéraux. ' Chez le malade.de Perrin, la
paralysie
, au bout de deux mois, restait telle que le pre
primitifs ne tardèrent pas à s'ajouter des accidents secondaires de
paralysie
. Enfin, chez notre malade, l'accident primitif
z notre malade, l'accident primitif date de plus de deux mois et la
paralysie
des muscles extenseurs et des péroniers n'a aucu-
'est pas contracté plaiderait plutôt en faveur de l'hypothèse d'une
paralysie
faciale localisée à ce même côté. Quoi qu'il en
ée ; il faut noter l'absence de toute espèce de symptômes de foyer,
paralysies
, contractures, convulsions. D'après Cossy, les
'âge de quatre ans et demi, elle a eu à celte époque une attaque de
paralysie
du côté gauche; deux ans plus tard, elle eut un
ts ; je ne m'arrêterai que sur un petit nombre. 1. A. Voisin, De la
paralysie
générale (Union médicale, 1868, t. VI, p. 89). -
firmité, nous ne craindrions pas de nous tromper en disant que la «
paralysie
infantile », maladie ancienne bien que ré- cemm
t d'action des muscles extenseurs, et dont la cause réside dans une
paralysie
du nerf radial. J.-M. CHARCOT (de l'Institut)
symptômes d'hystérie assez vagues, mais elle n'a aucun symptôme de
paralysie
générale. Les tentatives d'hypnotisme restent i
nte de pachyméningite cervicale. Ces deux malades, à la suite d'une
paralysie
alcoolique occupant les muscles des deux jambes
ent; ses attaques se renouvelaient plusieurs fois par mois, mais sa
paralysie
a diminué peu à peu. A quatre ans, il pouvait mar
péniblement; mais, à dix ans, on ne distinguait plus de traces de sa
paralysie
; il avait toujours des mouvements athétosiques
contracture, il n'y aurait, je crois, qu'une hypothèse, celle de la
paralysie
des interosseux, hypothèse sans aucune base et
on le transféra dans le service de chirurgie. j Nous constatons une
paralysie
vésicale, ayant amené une rétention d'urine : q
ine, et bientôt tout dépôt de muco-pus disparut des urines. Mais la
paralysie
et la rétention persistèrent ou furent à peine
Michel, dans sa thèse, propose trois théories : 1° ou bien c'est ! a
paralysie
vaso-motrice qui produit la cause adjuvante, et l
GRAPHIE DE LA SALPETRIERE HABITUDE EXTÉRIEURE ET FACIES DANS LA
PARALYSIE
AGITANTE Le faciès et l'habitude extérieure du
re du corps jouent un rôle considé- rable dans la séméiologie de la
paralysie
agitante. C'est, en effet, une de ces maladies
capital tel que le tremblement. Cette variété de l'attitude dans la
paralysie
agitante a été désignée par M. Charcot sous le
ces caractères d'extension persistent. Les Fig. 81.- Attitude de la
paralysie
agitante dans la station debout et pendant la mar
Blocq, Des contractures, 1888, obs. XXII. Fic. 82. - Attitude de la
paralysie
agitante dans la station debout et pendant la mar
dorsale, datant de sept ans. - Signes d'hémilésions de la moelle. -
Paralysie
et atrophie du membre inférieur droit. - Signes d
s, et en particulier les parois abdominales, ne présentent t aucune
paralysie
ni atrophie musculaire. Enfin l'examen de l'oei
e dans des circonstances et par un mécanisme presque identiques, la
paralysie
et l'atrophie musculaire prédominantes dans le
aurait constaté dans ce laps de temps, les phénomènes suivants :
Paralysie
complète des deux membres inférieurs, ayant ensui
avait existé, au moins pendant un certain temps, une tendance à la
paralysie
vasomotrice de la peau des pieds. 3° Que pens
aisselle, de l'aine, du creux poplité sont normaux. Il n'y a pas de
paralysie
; le malade peut remuer bras et jambes, cependant
oliose hystérique), 39, 40; statue de Jason ou de Cincinnatus, 3.
Paralysie
agitante, 7; attitude dans la - 44; faciès dans
(distribution des cutanés de la face antérieure de la jambe, 36.
Paralysie
agitante (attitude dans la), 81, 82. Péroné (
. Lépreux (sur un - d'Albert Dürer), par Charcot et Richer, 42.
Paralysie
agitante (habitude extérieure et facies dans la
e. Incontinence d'urine. Le mem- bre inférieur droit est en état de
paralysie
flasque, le gauche ne tombe pas ' inerte quando
ines, affaiblissement du membre in- férieur gauche, depuis 2 jours,
paralysie
du pied gauche. État actuel. Le sacrum est doul
ôté des racines antérieures, sous forme de contractions spastiques,
paralysies
et atrophies des différents muscles. Il ya des
avec perte des réflexes et de la sensibilité ; dans le second, une
paralysie
spastique. En somme les symptômes rappellent ce
laissés dans telle position forcée. Dans le cas de Schlesinger la
paralysie
spastique a fait place à la para- lysie flasque
ieurs, des vertèbres, dou- leurs en ceinture, rétention des urines,
paralysie
, affaiblissement ou abolition des réflexes et e
s susdits. Il est évident que si la cause du phénomène avait été la
paralysie
des extenseurs on n'aurait pas obtenu la flexio
nstater comme une mani- festation d'autres états morbides : dans la
paralysie
du quadriceps, ou dans la sciatique,comme expre
caractéristique des symptômes péremptoires qu'on fait le diagnostic
PARALYSIES
RADIALES LÉPREUSES (1) - paii MM. - . DE BEUR
raison Jeanselme, on ne saurait nier qu'il existe dans la lèpre des
paralysies
proprement dites ». Ces paralysies sont peu con
r qu'il existe dans la lèpre des paralysies proprement dites ». Ces
paralysies
sont peu connues et a peine citées ; elles sont c
un certain nombre de faits observés en Extrême-Orient, deux cas de
paralysies
radiales que nous avons pu examiner d'une manière
aractéristique (PI. IX). On constatait tous les signes d'une double
paralysie
du nerf radial, sans atteinte du cubital ni du
. Nouvelle ICONOGRAi'IIIL DE la SALPÊI'RII`.RL. T.XXI ! I.P).fX
PARALYSIES
RADIALES LEPREUSES (De Beiirmami el GOIIgnol).
l GOIIgnol). Masson & Cie, Editeurs. PIIULtJtH)le n'rlhl\ud
PARALYSIES
RADIALES LÉPREUSES i 1 Au niveau de la partie i
ant-bras étaient fort diminués de volume, mais à droite surtout, la
paralysie
radiale prédominait nette- ment et le malade ne
n de relever la main. Dans ces deux cas et dans d'autres encore, la
paralysie
radiale s'impo- sait dès le premier examen : le
n- ditions où nous observions. Ces faits prouvent l'existence des
paralysies
radiales bilatérales hansé- niennes. Ces paraly
l'existence des paralysies radiales bilatérales hansé- niennes. Ces
paralysies
ne doivent pas être confondues avec l'impotence
s être relevé ». Dans les cas que nous avons observés, il s'agit de
paralysie
et non d'atrophie musculaire.il s'agit de sujet
que le cubital, ordinairement atteint, paraît intact, tandis qu'une
paralysie
typique in- dique une lésion du nerf radial, ha
Atrophie presque complète de la papille. Amaurose très avancée. -
Paralysie
des mouvements associés des globes oculaires dans
tion énorme dans les mouvements des globes oculaires en haut. Cette
paralysie
des mouvements associés des yeux est à peu pi-ès
les mouvements associés des globes oculaires.- Strabisme divergent.
Paralysie
partielle des muscles intrinsèques et extrin- s
auche ont leur amplitude normale, tandis qu'il existe une véritable
paralysie
des mouvements conjugués vers le haut. Les mouv
ncée de la papille. - Acuité visuelle encore assez con- servée. '
Paralysie
des mouvements conjugués des globes oculaires ver
idiotie, l'amaurose, la bradylalie, le strabisme, le nystagmus, les
paralysies
oculaires et enfin l'exagéra- tion des réflexes
malades (observation II), les troubles bulbo- protubérantiels, les
paralysies
oculaires, l'exagération de certains réflexes (
ait encore quelques points par souligner, notamment par rapport aux
paralysies
conjugées des globes oculaires. Il s'agit ! ad'un
loppement des membres paraly- sés est d'autant plus prononcé que la
paralysie
est survenue à un âge plus jeune. Chez l'adulte
vulsifs. Après les crises d'épilepsie jacksonienne, il persista une
paralysie
flasque de la moitié droite de la face et du br
nienne localisée à la moitié droite de 1 la face et au bras droit ;
paralysie
flasque de la moitié droite de la face et Nouve
malgré une céphalalgie continue. Les crises fu- rent suivies d'une
paralysie
transitoire de la moitié droite de la face et du
is, les plantaires normaux. Sensibilité troublée sur les jambes. La
paralysie
des membres inférieurs est devenue flasque ! ,le
nsistaient en un affaiblissement des jambes qui furent atteintes de
paralysie
en quel- quesjours. Au commencement le tonus mu
u- périeur gauche était exagéré (à droite diminué). Mais bientôt la
paralysie
a pris le type flasque avec réflexes patellaire
mble, de- vient douloureuse et se raidit. Très vite se développe la
paralysie
complète des membres supérieurs. Après deux heu
ugaison, pourtant la moelle offrait des lésions qui ont provoqué la
paralysie
de tous les membres. L'autopsie de tout le corp
lombaires supérieures et dorsales inférieures sont douloureuses. La
paralysie
des membres 156 FLATAU inférieurs est complèt
roissaient peu a peu, atteignaient leur maximum et alors survint la
paralysie
presque instantanée des membres inférieurs TUME
et puis tout il coup alarmer le malade. Le cours de la maladie, la
paralysie
intervenue brusquement, le bon état général, tout
ales, pupilles, égales. Membres inférieurs, complètement paralysés (
paralysie
flasque), les doigts fléchis légèrement. Mains
périostaux très faibles ou absents. Membres inférieurs à l'état de
paralysie
flasque. Dans le droit, il ya des mouvements mi
Rétention de l'urine el des matières fécales. Enfin il survient une
paralysie
flasque presque complète des membres inférieurs
plus tardifs dans les membres supérieurs (affaiblissement,atrophie,
paralysie
) étaient en grande partie produits par les lési
deux semaines après lesquelles, en quelques jours, se développa la
paralysie
complète des membres. Dans un autre cas (obs. X),
ousde conjugaison dans le canal rachidien). Quant à la nature de la
paralysie
, elle est dans la plupart des cas flasque et ac
mpagnée d'affaiblissement ou d'abolition des réflexes tendineux. La
paralysie
envahit les membres inférieurs et le tronc. Simul
était le cas dans l'observation de l3reqman=Steinhaus). Là aussi la
paralysie
est du type flasque. Les phénomènes spastiques et
dé- veloppe rapidement en simulant ta myélite aiguë. La période de
paralysie
de cause médullaire ne se prolonge pas trop lon
ans quelques cas pour provoquer la lésion de la moelle et amener la
paralysie
. Dans un de nos cas (obs. X) la tumeur envahiss
des psychoses dites organiques, appartiendraient cliniquement : la
paralysie
générale, la démence artériosclérotiques, la dé-
rquée, l'écorce a ses dimensions et son architecture normales. IL
Paralysie
générale. Homme de 48 ans. - Fragment de l'écorce
t de définir une entité morbide psychique. La péri- vasculite de la
paralysie
générale elle-même peut être observée dans d'au-
examen et l'étude de 87 aliénés dont la plupart étaient atteints de
paralysie
progressive. Mes observations m'ont conduit à d
rouvée réduite, comme nous l'avons dit, à part la crise, à quelques
paralysies
, quelques contractures, certains mouvements ano
ue qui, à la suite d'un coup insignifiant sur la main, présente une
paralysie
de l'avant-bras, la simulation est aussi certaine
pourra donc observer à la suite des traumatismes : des crises, des
paralysies
, des contractures, certains mouvements anormaux,
érie ne peut imiter, c'est la mydriase a la fin de la crise. 2° Les
paralysies
. Les paralysies hystériques, monoplégies, hémiplé
ter, c'est la mydriase a la fin de la crise. 2° Les paralysies. Les
paralysies
hystériques, monoplégies, hémiplé- gies, parapl
s signes qui ont été donnés. Il suffit de se souvenir de ceci : une
paralysie
hystérique n'est pas autre chose qu'une paralys
nir de ceci : une paralysie hystérique n'est pas autre chose qu'une
paralysie
simulée, simulée inconsciemment. je veux bien,mai
roduire. l°La volonté est impuissante à diminuer le tonus : dans la
paralysie
hys- térique, le tonus n'est jamais diminué. Si
ssante à produire des troubles trophiques ou vaso-moteurs : Dans la
paralysie
hystérique : ni atrophie, si ce n'est celle rés
e à modifier les réflexes tendineux : ils res- tent normaux dans la
paralysie
hystérique. A ce sujet cependant il faut s'expl
réllexe ab- dominaI. 5° La volonté est impuissante à réaliser des
paralysies
dissociées : il n'y a dans l'hystérie que des p
aliser des paralysies dissociées : il n'y a dans l'hystérie que des
paralysies
de membres, de segments de membres ou de groupe
aires fonctionnellement associés. On ne voit jamais par exemple, de
paralysies
hystériques comprenant exactement et unique- me
rritoire d'un nerf périphérique ou d'une racine. Il n'y a jamais de
paralysies
oculaires. 6° Pour simuler une parésie, faire e
t son effort, lâchez brusquement; sur un sujet normal ou atteint de
paralysie
organique, le membre s'étendrait aussitôt ; vou
grand nombre de signes sont basés là- dessus. Dans la soi-disant
paralysie
faciale hystérique, il y a bien asymétrie des t
vement par une main sous le menton ; vous verrez, s'il s'agit d'une
paralysie
organique, le peaucier du cou dessiner des cordes
en douter, il contractera des muscles soi-disant paralysés. Dans la
paralysie
organique au contraire, le membre reste inerte
vement du gros orteil. 9" Signalons enfin que presque toujours à la
paralysie
se superpose une anesthésie complète ayant les
les chaussures, l'usure répond au type de l'impotence observée. La
paralysie
est constante au point d'amener un gonflement, de
après, raconte la mère, une méningite fébrile bientôt suivie d'une
paralysie
des quatre membres. A seize mois se produisit un
déjà dans les deux premières années après l'in- fection des cas de
paralysie
des nerfs cérébraux, d'ophtalmoplégie en môme t
d'un malade, qui déjà huit mois après la conta- gion fut frappé de
paralysie
bilatérale de l'abducteur, de paralysie péri- p
a conta- gion fut frappé de paralysie bilatérale de l'abducteur, de
paralysie
péri- phérique du facial, de stase papillaire,
secondaire, de la difficulté dans la parole et l'audition, puis la
paralysie
du facial droit, de l'hypoglosse et des extrémi
t continuât encore, un an et demi plus tard vint à se manifester la
paralysie
du facial dedroite, l'anesthésie dans la région
e 43 ans, chez lequel, déjà un mois après la contagion, apparut une
paralysie
périphérique du facial, suivie, quelques mois a
outer le vertige qui empêchait le sujet de se tenir de- bout, et la
paralysie
complète du VII° nerf de gauche (janvier 1901),
ux, se manifesta une hémiplégie droite avec aphasie et symptômes de
paralysie
du nerf vague ; le sujet mourut. A l'autopsie,
ignée irrégulièrement. Après un traitement spécifique énergique, la
paralysie
s'améliora seulement en partie. Gros et Lancera
mois après l'infection syphilitique, de céphalée, de vertige, d'une
paralysie
périphérique du facial droit. Pas de renseignem
usion excoriée. Il ne lui resta de ce traumatisme aucune parésie ou
paralysie
. Mais depuis ce temps-là, le patient est sujet de
s sous forme de roséole, etc. Quelques mois après, fut frappé d'une
paralysie
périphérique du facial de droite qui guérit moyen
u- laire droite. Presque aussitôt après apparurent des symptômes de
paralysie
pseudo-bulbaire (dysarthrie grave, dysphagie,'
et d'hémorragies et le tableau clinique y relatif des paré- sies ou
paralysies
qui s'ensuivent » (Mingazzini). En harmonie avec
es, soit pource qui concerne les métasyphilitiques (tabes dorsal et
paralysie
progressive). Je m'éloignerais trop de mon suje
manifesta une hémiplégie gauche' suivie bientôt de symptômes d'une
paralysie
pseudobulbaire rebelles à tout trai- tement, si
urine plus souvent et par gouttes. Constipation. 27 novembre. La
paralysie
des membres inférieurs est presque complète. Le
ncée qu'au niveau de la VII" vertèbre dorsale. Après l'opération la
paralysie
des membres inférieurs persiste ; fièvre. La mo
eau de la VII, vertèbre dorsale. On laissa la dure-mère intacte. La
paralysie
persista après l'opération, la fièvre prit place
men est douloureuse. La difficulté d'uriner per- siste ainsi que la
paralysie
des deux membres. 2 octobre. - Ponction lombair
des contractions spontanées douloureuses aux membres inférieurs. La
paralysie
et les réflexes comme au début. L'urine s'élimine
tipation. Neuf mois avant l'opération, la malade fut atteinte de la
paralysie
presque complète du membre inférieur gauche et de
érable. Après son retour à la maison, son état empira et bientôt la
paralysie
des membres inférieurs est devenue définitive.
rieurs et de contractions spontanées spastiques dans les genoux. La
paralysie
est complète. Les dernières traces des mouvements
uleurs dans la fesse gauche. Plus de dou- leur dans le côté gauche.
Paralysie
complète des membres inférieurs. La tonicité mu
Affaiblissement. Grande soif. Fortes contractions dans les jambes.
Paralysie
complète spastique. La plaie est bonne. On voit l
es membres tout au début de la maladie qui ensuite se transforma en
paralysie
complète, l'hypertonicité musculaire, les trouble
patellaires sont conservés. 17. La vessie est fortement dilatée. La
paralysie
des membres inférieurs est complète. Les réflex
lète des jambes et des régions du coude. Incon- tinence de l'urine.
Paralysie
complète des jambes avec abolition des réflexes
res supérieurs avec atrophie muscu- laire, affaiblissement suivi de
paralysie
complète des jambes, troubles urinaires et de l
ation il y avait un fait analogue. Il est impossible d'expliquer la
paralysie
par les deux foyers localisés dans les cordons
ue et toute la profondeur de la substance grise. Après un temps, la
paralysie
motrice du membre supérieur gauche ayant dimi-
es cliniques. 71 ans, hémiplégie droite incomplète avec aphasie. La
paralysie
est plus prononcée au membre supérieur. Le ma-
On constate dans ces conditions une relation entre les degrés de la
paralysie
et le nombre des cellules altérées ou disparues,
rues, de même, que entre la région plus ou moins atteinte par celte
paralysie
et la zone cérébrale occupée par les cellules l
de la capsule interne, on constate encore que dans certains cas de
paralysie
pseudo-bulbaire les lésions cellulaires sont plus
s les cas où les symptômes pseudo-bulbaires sont plus accusés. C.
Paralysies
par LÉSIONS IÉSENCÉPIIALIQUES. 10 Jean A... Not
ALIQUES. 10 Jean A... Notes cliniques. 30 ans, hémiplégie droite et
paralysie
fa- ciale gauche (syndrome de Millard-Gübler).
oite et paralysie fa- ciale gauche (syndrome de Millard-Gübler). La
paralysie
des membres était incomplète, le malade pouvait
rice nous montre qu'il existe toujours un rapport entre le degré de
paralysie
et l'intensité des lésions corticales de même q
segment que dans le lobule paracentral., L'inverse a lieu quand la
paralysie
est plus intense [au membre inférieur, les lésion
étant alors plus manifestes dans le lobule paracentral. Dans les
paralysies
pseudo-bulbaires la réaction et l'atrophie des ce
ynx, etc. Or, ces parties sont justement les plus atteintes dans la
paralysie
pseudo-bulbaires. Les foyers destruc- tifs dans
t qu'il s'agissait du centre cortical du bras et obser- vant que la
paralysie
motrice, du membre supérieur, qui s'est produite
e, dans lequel au premier plan ressortent : 1° les douleurs ; 2° la
paralysie
toujours croissante et débutant par la jambe ga
la jambe gauche avec un faible Brown- Séquard et finissant par une
paralysie
spastique complète; 3° le type de l'affection p
présence par les symp- tômes radiculo-segmentaires, puis arrive la
paralysie
d'une moitié du tronc (Brown-Séquard), enfin un
passons maintenant au second stade de la maladie c'est-à-dire à la
paralysie
du type Brown-Séquard, nous devons avouer qu'on a
stent en un affaiblissement toujours crois- sant, allant jusqu'à la
paralysie
complète. Dans quelques cas on a pu noter un af
place à la para- lysie complète (Clarke, Flatau et d'autres). La
paralysie
porte dans la plupart des cas le caractère spasti
nquait le phénomène de Babinski malgré le caractère spastique de la
paralysie
(Oppenheim, VIe cas). Quand la moelle épinière
cas de Heilbronner on n'a pas pu consta- ter ces troubles malgré la
paralysie
des membres inférieurs ! De même clan, le cas d
exceptionnels on a constaté des troubles vasomoteurs : c'était une
paralysie
des vaisseaux des membres (le syndrome de Baynaud
ne amélio- ration spontanée, après quoi une aggravation et enfin la
paralysie
com- plète. Cette amélioration spontanée assez
la conti- nuité de l'influx nerveux (les phénomènes spastiques, la
paralysie
spasti- que ou nasique, les anesthésies du type
Saenger), des symptômes bulbaires (Schlesinger et d'au- tres) et la
paralysie
du nerf phrénique (Minkowski, Mundelius). Le nerf
sence de phénomènes moteurs irritatifs, l'installation graduelle de
paralysies
(après une période de douleurs), les troubles d
fibrillaires, contractions spontanées), le plus souvent une rapide
paralysie
flasque de la musculature de la vessie, du rect
ce aussi j'.obser- vai maintes fois la sclérose en plaqnes avec les
paralysies
d'un côté seule- ment. Dans un de ces cas la ma
vec dissociation de la sensibilité, les atrophies musculaires et la
paralysie
flasque (surtout dans les membres supérieurs),
e de la colonne vertébrale), nous avons acquis la conviction que la
paralysie
in- tervient au moment où on ne peut encore sup
aux parus sous son nom, tels que : Héartatomyélie du cône terminal,
Paralysie
bilatérale du deltoïde par élongation des deux
o/<Me, la Syringomyélie, le Rhu- matisme chronique vertébral, la
Paralysie
pseudo-bulbaÏ1'e, la Gangrène des extrémités, e
ant pratiqué récemment l'autopsie d'une tabétique chez laquelle les
paralysies
oculaires étaient très accentuées j'ai saisi l'oc
à gauche, etc. Dans les dernières années, elle était atteinte d'une
paralysie
bilatérale de la IIIe paire, plus marquée à gau
la IIIe paire, plus marquée à gauche qu'à droite. Crises laryngées,
paralysie
des crico-aryténoïdiens postérieurs. Paralysie
e. Crises laryngées, paralysie des crico-aryténoïdiens postérieurs.
Paralysie
des masticateurs. Dès l'atâe de 30 ans elle avait
des masticateurs. Dès l'atâe de 30 ans elle avait été frappée d'une
paralysie
transitoire delà 111° paire du côté gauche. L'aff
premier insisté sur l'atrophie de l'iris au cours du tabes et de la
paralysie
générale et sur ses rapports avec l'irrégularité
une forme spéciale d'atrophie de l'iris au cours du labes et de la
paralysie
générale. Ses rapports avec l irrégularité cl les
tion per- sonne n'aurait cru que celte malade avait été atteinte de
paralysie
. Dans le 11, cas d'Oppenheim on constata égalem
rès l'opération survient une aggravation passagère sous forme d'une
paralysie
flasque complète et d'affaiblissement ou aho- l
ion des racines médullaires pen- dant l'opération. Il en résulte la
paralysie
et l'atrophie des muscles cor- respondants (Opp
étique des affections parasyphi- litiques du système nerveux, de la
paralysie
générale en particulier, ne sauraient que se ré
eurt dans un ictus paralytique. Diagnostic clinique et anatomique :
Paralysie
générale. Ce cas est très intéressant par la ri
s ans de séjour, dans le marasme paralytique. Diagnostic clinique :
Paralysie
générale. L'AORTITE MOYENNE GOMMEUSE OU MÉSAORT
examiner l'aorte. Un seul cas, le troisième, qu'on pourrait appeler
paralysie
générale foudroyante, puisque l'affection n'a e
pos d'une note de r11. Bauer sur ce sujet), par LEVI, 20. Lèpre,
paralysies
radiales, par DE Beurmann et Gouobrot, 90. -
il lo- calisation céphalique isolée) (1 pl.), par CaTOLa, 216.
Paralysies
radiales lépreuses (1 pi.), par de BEUR MANN et
neurotique Charcot-Marie (3 pi.), 91. BEURTfAVN (de) et GOUGEH01'.
Paralysies
radiales lépreuses (1 pi.), 90. Troubles ment
plasie chez des adultes (10 pi.), 244. GOUGEItOT et Beurmann (de),
Paralysies
radiales lépreuses (1 pl.), 90. Troubles ment
r Goes (Mélancolie du peintre z (DUPRÉ et DEVAUX), LXVIII. Lèpre,
paralysies
radiales (de 1 ! EUleamN et GOUGEI10T), IX. ,
uire, du moins chez certains animaux, comme le singe par exemple, des
paralysies
des membres, contrairement à l'opinion de Flouren
rs supérieurs de la circonvolution pariétale ascendante détermine une
paralysie
des deux membres (supérieur et inférieur) du côté
alysie des deux membres (supérieur et inférieur) du côté opposé, sans
paralysie
de la face. » Et nous ajoutions : « Pour le momen
, de la trépidation épileptoïde, de la tendance à la contracture. Les
paralysies
transitoires, post-épi-leptoïdes, dites par épuis
as mixtes. Je veux parler de ces cas dans lesquels il y a, à la fois,
paralysie
permanente avec ou sans contracture et attaques d
où il n'y a que des accès d'épilepsie partielle accompagnée ou non de
paralysie
transitoire. V. Quelles sont maintenant les l
simuler une paraplégie, et c'est là justement ce qui est arrivé. Une
paralysie
se développe rapidement d'abord sur un membre inf
cette dramatique histoire. A son entrée, il n'y avait aucune trace de
paralysie
motrice dans les membres, sauf un peu de parésie
iques : chorée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours,
paralysies
, contractures, etc. Le 16 mars 1890, nous l'hyp
âleur de la face. Souffle au i9t temps et à la base du cœur. Pas do
paralysie
, pas d'atrophie musculaire. Pas de troubles troph
d'eux marche les jambes très écartées (?). L'autre a « une espèce de
paralysie
des jambes », il traîne ses pieds. Le troisième a
de pour que les bases organiques de la mémoire subissent une sorte de
paralysie
, restent incapables de reviviscence, alors la dés
paraît-il, des crises d'hystérie, marquées par des hémoptisies et des
paralysies
transitoires. En 1871, il commit un vol domesti
ui apprend le métier de tailleur, qui était compatible avec l'état de
paralysie
de ses membres inférieurs et, au bout de quelques
séjour dans cet hospice, il fut pris, à partir du 26 janvier 1884, de
paralysies
et de contractures diverses. Le 17 avril, à la su
r; il est paralysé des deux jambes. Il vient de Saint-Urbain où cette
paralysie
s'est développée. Il lit à peine (t est obligé d'
a quatorze ans. Il est doux, convenable et bien élevé. Il n'a aucune
paralysie
, ni anesthé-sie. On voit combien cet état contras
aspère les phénomènes nerveux, et des attaques convulsives suivies de
paralysies
apparaissent. En même temps l'enfant perd compl
un membre le fait entrer immédiatement en contracture. Mais point de
paralysies
, point de contractures spontanées. Si Ton s'adr
Fille. Bystér\e. TABLEAU VI X. . . 70 ans. Epilepsie, diabète,
paralysie
agitante. Depuis trois ans l'épilepsie et le diab
agitante. Depuis trois ans l'épilepsie et le diabète ont disparu. La
paralysie
agitante seule persiste. TABLEAU VII père (Fa
gie. Arrière-petit-fils. Diabète. Fille. Rien (?) Petit-fils.
Paralysie
gêné' raie. TABLEAU IX père (Famille israélit
e. _1__i_ I-1 I I Une sœur. Un frère. Une sœur. M. 0... Rien.
Paralysie
faciale périphérique Neurasthénie, Neurasthénie,
mptomatique de la maladie de Basedow (Ballet), entre le diabète et la
paralysie
agitante (Topinard), entre le diabète et l'hystér
rdre de fréquence, les altérations suivantes : 1° la cataracte; 2° la
paralysie
de l'accommodation et des muscles extrinsèques ;
blement d'association tabético-diabétique. Pour ce qui concerne les
paralysies
des muscles des yeux d'origine diabétique, Althau
ctuellement on ne possède pas d'observations très concluantes sur les
paralysies
des muscles oculaires, quoique Kiwalkowski en ait
ulaires, quoique Kiwalkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une
paralysie
du muscle droit externe dans des conditions analo
e dans des conditions analogues2. » D'après de Wecker et Landolt, ces
paralysies
seraient probablement dues à des troubles circula
ise de J. Morin, 1885. vention. M. Lecorcbé pense également que ces
paralysies
sont par essence mobiles et passagères. Quant à
que dans le diabète, ceux que l'on rencontre sont : la cataracte, les
paralysies
de l'accommodation et celles des muscles extrinsè
famille d... PERE Coliques hépatiques. MERE Diabète. _l Fils.
Paralysie
générale. TABLEAU XXXI FAMILLE ISRAÉLITE CÔ
Diabétique, avec névrite diabétique, zona, etc. Fils. Tabes ti
paralysie
générale. TABLEAU XXXIV FAMILLE ISRAÉLITE F
usine germaine du père. M. B... Quelques symptômes tabétiques (?)
Paralysie
générale progressive. TABLEAU XXXVI CÔTÉ PATE
ffira-t-elle par elle-même à entraîner la conviction. Sur un cas de
paralysie
conjuguée de la sixième paire (1). On sait que
cas de paralysie conjuguée de la sixième paire (1). On sait que la
paralysie
de la sixième paire avec déviation conjuguée est
me paire avec déviation conjuguée est caractérisée par ce fait que la
paralysie
ne reste pas bornée au muscle droit externe du cô
(5), Féréol (6) et Hallo-peau (7). Mais cette forme clinique do la
paralysie
de ce nerf a été surtout parfaitement étudiée par
(7) Hallopeau. —Archives de physiologie, 1876. (8) Graux. — De la
paralysie
du moteur oculaire externe avec déviation conjugu
ions pathologiques se traduisent par un symptôme caractéristique : la
paralysie
du muscle droit externe d'un œil avec inaction co
a plus précise que le noyau de la sixième paire est intéressé, car la
paralysie
du droit interne de l'œil sain ne s'observe pas d
la paralysie du droit interne de l'œil sain ne s'observe pas dans les
paralysies
périphériques de la sixième paire. Dans ce dernie
ec le noyau du moteur oculaire interne de (1) Parinaud. — Spasme et
paralysie
des muscles de l'œil (Gaz. heb. de méd. et de chi
87, n° 46, p. 727). — Parinaud et Georges Guinon : Note sur un cas de
paralysie
du moteur oculaire externe et du facial avec atte
ntielles. Dans celle que nous donnons plus bas, il existait aussi une
paralysie
, mais nullement d'origine cérébrale. Bienquela lé
les deux faits cliniques sont à peu près identiques. Obsebvation. —
Paralysie
conjuguée de la sixième paire droite. —Hémiplégie
aient aucun mouvement quand on sollicitait le regard à droite. Donc :
paralysie
conjuguée de la 6e paire droite. Mais le droit in
nstate un léger strabisme convergent. L'examen des yeux montre que la
paralysie
conjuguée de la 6e paire, primitivement limitée a
le défaut de mouvement est moins complet à gauche qu'à droite, où la
paralysie
est absolue. La diplopie existe dans toute l'éten
endue du champ visuel. Au résumé, dans l'état actuel, le malade a une
paralysie
des mouvements horizontaux, dans les déplacements
le cérébelleux moyen. 5. Eminentia teres. 6. Bec du oalamus. La
paralysie
de la sixième paire droite pendant la vie ne pouv
contractait pour la convergence. Ce sont là les signes typiques de la
paralysie
nucléaire de la sixième paire. On trouvera compar
sixième paire. On trouvera comparativement un exemple très net de la
paralysie
périphérique du même nerf — paralysie du droit ex
ement un exemple très net de la paralysie périphérique du même nerf —
paralysie
du droit externe d'un côté, spasme du droit inter
l, mais d'une localisation un peu différente. Chez notre malade, la
paralysie
tout d'abord unilatérale est devenue double peu d
iveau du noyau d'origine de la sixième paire droite rend compte de la
paralysie
qui exista tout d'abord, l'extension prise par le
le droit, mais il l'a certainement comprimé. Aussi conçoit-on que la
paralysie
du moteur oculaire externe gauche a été, comme il
noyau. Nous pensons donc que si dans notre cas il n'a pas existé de
paralysie
faciale, cela tient à ce que les filets intraprot
trouvait alors en présence de trois types distincts de myopathie : la
paralysie
pseudo-hypertro-phique ; la forme juvénile de l'a
ues-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive ;
paralysie
pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, atr
térisé par l'impossibilité de l'occlusion des paupières causée par la
paralysie
de ce muscle, et plus tard avec M. Dejerine fonda
conclusions basées sur ce fait : d'une part, identité de nature de la
paralysie
pseudo-hypertro-phique et delà forme de Erb, étab
lles, on pouvait rapprocher l'un de l'autre les deux types extrêmes :
paralysie
pseudodiypertrophique et forme de Landouzy-Dejeri
es deux formes ce que M. Erb avait fait pour la form.3 juvénile et la
paralysie
pseudo-hypertrophique. On connaissait avant lui l
ie pseudo-hypertrophique. On connaissait avant lui l'atrophie dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique (myopathie avec prédominanc
certains mouvements. Pas de troubles respiratoires imputables à la
paralysie
du diaphragme. Pour marcher, le malade cambre s
émond ont montré l'existence de la réaction de dégénérescence dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique (1) dont la nature purement
ce phénomène paraît donc (1) Bédard et Rémond. — Note sur un cas de
paralysie
pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénéresc
ps que leur volume augmentait. C'est bien là la caractéristique de la
paralysie
pseudo-hypertrophique : à savoir des muscles gros
lisée en des points qui sont habituellement les plus atteints dans la
paralysie
pseudo-hyper-trophique pure décrite par Duchenne,
u'il y manquait le signe de Landouzy, l'inocclusion des paupières par
paralysie
de l'orbiculaire. Mais est-ce là une raison suffi
te n'est plus permis. Mais, en son absence, l'aspect de la bouche, la
paralysie
de l'orbiculaire des ièvres, le rire en travers «
, M. P. Marie et moi, à l'identité des formes diverses de myopathie :
paralysie
pseudo-hy-pertrophique, forme juvénile de Erb, fo
de l'atrophie, lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme clans la
paralysie
pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du t
des cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées comme dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, la forme sca-pulo-humérale
ous les malades atteints de sclérose cérébrale infantile avec ou sans
paralysie
. Leur témoignage, car c'est la plupart du temps a
de fréquence dans la suite (un tous les deux mois environ). Aura :
Paralysie
brusque des mains, qui lui fait lâcher les objets
rvation VI. Decol... Caroline, 34 ans, tailleuse. Père mort d'une
paralysie
(?) ayant duré 20 ans. Convulsions dans l'enfan
hérapeutique. La plupart des cas de tabès, de sclérose en plaques, de
paralysie
générale, d'hystérie, d'épilepsie, dé tumeurs cér
aralysie générale, d'hystérie, d'épilepsie, dé tumeurs cérébrales, de
paralysies
oculaires, etc., etc., passent au service d'ophth
de vue du diagnostic, des renseignements de première importance. Les
paralysies
faciales, les surdités, les mutismes, les aphasie
iplégie d'origine cérébrale....... ( Hémiathétose.............. 3
Paralysie
pseudo-bulbaire.......... 1 Syphilis cérébrale.
..........198 Idiots, imbéciles et arriérés, non épilepliques. 47
Paralysie
générale progressive ........ 59 Maladies menta
ningite tuberculeuse........... 1 Maladies du bulbe........ . 3 .
Paralysie
labio-glosso-laryngée........ 3 Maladies de la
eich........... 1 Atrophie musculaire du type Duchenne-Aran ... 6
Paralysie
spinale infantile.......... 19 Atrophie muscula
e cervico-brachiale......... 3 Névralgie faciale.............. 18
Paralysie
de la 6e paire........... 1 Paralysie faciale p
ie faciale.............. 18 Paralysie de la 6e paire........... 1
Paralysie
faciale périphérique......... 20 Paralysie radi
6e paire........... 1 Paralysie faciale périphérique......... 20
Paralysie
radiale............. 13 Névrites traumatiques..
s saturnines...........• 8 Polynévrite infectieuse aiguë.........
Paralysie
diphthéritique........• . Névrite diabétique...
d'origine non déterminée. 16 Convulsions de l'enfance.......... 5
Paralysie
agitante............ 17 Goitre exophthalmique..
i les autres accidents d'hystérie locale tels que clou, contractures,
paralysies
, etc. Il semble en somme qu'il y ait une sorte d'
. Il n'a jamais eu ni coliques de plomb, ni douleurs articulaires, ni
paralysie
des extenseurs, mais il présente à un haut degré
ence des manifestations vulgaires du saturnisme, telles que coliques,
paralysie
des extenseurs, arthralgies, etc. On sait, d'aill
dans ces cas, n'est pas une affection saturnine au même titre que la
paralysie
et les coliques, mais le saturnisme détermine un
e MM. Georges Guinon et A. Souques). ... 289 xxxiii Sur un cas de
paralysie
conjuguée de la sixième paire. (Travail de MM.
— double, 15. Morphinomanie, 438. Moteur oculaire externe (nerf) :
paralysie
conjuguée du —, 349 ; Noyau du — , 350; Paralysie
re externe (nerf) : paralysie conjuguée du —, 349 ; Noyau du — , 350;
Paralysie
périphérique du — , 350. Myopathie progressive
par instants la langue fonctionnait mal. On diagnostiqua alors une
paralysie
générale au début, puis on pensa à un tabes de
'agit du tabes sont infini- ment supérieurs à ceux obtenus dans les
paralysies
spasmodiques et la sclérose latérale amyotrophi
qui arrive en pratique, sinon toujours, au moins très souvent. La
paralysie
spasmodique est caractérisée par des troubles de
UX. 25 et des phénomènes spasmodiques. Les troubles de la motilité (
paralysie
) sont déterminés par la compression des fibres
smodiques. Dans la sclérose latérale amyotrophique où on trouve des
paralysies
spas- modiques et des lésions des cellules des
sn2éd., 25, X, 51, p. 575, 1889. Weir Mitchell. Treatment of Pott's
paralysies
by suspension. Amel'ican Journ. of. med., mai 188
près Briquet) et en disparais- sant il laisse comme conséquence les
paralysies
consécutives de la sensibi- lité et la motilité
ICONOGRAPHIE LE LA SALPÊTRIÈRE. chez le malade de Greenless (1) une
paralysie
généralisée et subite marqua le début de la mal
assez hypertrophiés. Légère scoliose il convexité gauche. Pas de
paralysie
appréciable, l'étendue des mouvements intentionne
elles l'atrophie dépend d'une autre maladie et en particulier de-la
paralysie
infantile. Le cas de Mitchell est bien net à ce
à cet égard, vers ]'age de sept ans son malade a eu une attaque de
paralysie
infantile, caractérisée par de violentes atta-
érisée par de violentes atta- ques convulsives, de la fièvre et une
paralysie
des membres inférieurs sui- vie d'arrêt de déve
un enfant atteint d'une athétose dou- ble, et chez qui existait une
paralysie
infantile. Il faut aussi se rappeler qu'il s'es
individus atteint de la maladie de Freidreich, sclérose en plaque,
paralysie
générale, chorée chronique, elc... (1) 1V. Ilal
ecousses des choréiques, non plus le tremblement fin et haché de la
paralysie
agitante. Lorsque D... est ob- servée, qu'elle
s de la face des doigts et des orteils sont à leur maximum.. Pas de
paralysie
des membres. Pas d'hypertrophie, ni d'atrophie. P
ns sont contracturées. Ces contractures, qui ne dépendent pas de la
paralysie
des muscles antagonistes, s'exagèrent comme les m
sme, quelquefois deviennent le siège de contractures permanentes.
Paralysie
. La véritable paralysie n'existe pas dans l'athét
ent le siège de contractures permanentes. Paralysie. La véritable
paralysie
n'existe pas dans l'athétose dou- ble, presque
Greenless est tout à fait exceptionnel, l'athétose a débuté par une
paralysie
généralisée. Hughes a vu la paralysie brachiale a
, l'athétose a débuté par une paralysie généralisée. Hughes a vu la
paralysie
brachiale accompagnée de contracture et qui est
accompagnée de contracture et qui est guérie avec les restes d'une
paralysie
faciale. Le cas de Rau est du même genre. Tro
e l'abolition des ré- flexes rotuliens, les désordres vésicaux, les
paralysies
oculaires, le myosis et le signe d'A. Robertson
ulgurantes à retours périodiques ; 2° le signe d'A. Robertson et la
paralysie
de certains muscles de l'oeil amenant la diplopie
L'attitude permanente des mains témoigne 1 d'une prédominance do la
paralysie
sur les extenseurs. Main droite : poignet 'Jeu
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L'ordre d'envahissement de la
paralysie
a été le suivant : en 1880, main droite : en 18
ques du système osseux qui ressortissent à la paréso-anal- gésie.
PARALYSIE
INFANTILE SPINALE. Heine (2) fut le premier, si
non il signaler, du moins il différencier et à décrire nettement la
paralysie
spinale infantile. Il y fut conduit par l'étude
Leyden (4), Erb, en ont discuté la pa- thogénic. Il est, dans la
paralysie
infantile, des déviations dont le mécanisme est
d'ail- leurs rares, où les muscles sacro-lombaires sont frappés de
paralysie
. Nous parlons ailleurs de cette variété décrite
age (fig. 28, planche XIII). Nous n'y insistons pas. La cyphose par
paralysie
des extenseurs du rachis est plus rare encore.
e ces cas sont au moins exceptionnels ; il ajoute que d'ailleurs la
paralysie
se localise rarement, si ce n'est à la première p
d'autres parties ». Tel n'est pas l'avis de Heine. D'après lui, la
paralysie
frappe souvent toute la partie supérieure du tr
tracture pouvait bien en être la cause, ce dont je ne sais rien, la
paralysie
, la parésie, l'atonie elle-même suffiront à ex-
nce dans deux cas bien nets. CHAPITRE II 1)I : W1'l'IO\S l'.11t
PARALYSIE
OU CONTRACTURE DES MUSCLES .MOTEURS OU RACHIS.
déviations vertébrales manifeste- ment et exclusivement liées à la
paralysie
ou à la contracture de certains muscles moteurs
unilatérales, asymétriques, entraînent des scolioses. Cyphose. La
paralysie
des extenseurs dorsaux et cervicaux produit une c
ation, il faut que les cuisses se placent en extension forcée. La
paralysie
des extenseurs du cou (dont ne font pas partie le
radoxal, que Duchenne a mis en évidence et clairement expliqué, une
paralysie
symétrique des muscles moteurs du rachis lombaire
urs du rachis lombaire produit la lordose, aussi bien lorsque cette
paralysie
atteint les extenseurs, que lorsqu'elle frappe
traction simultanée de ces deux groupes antagonistes. Supposons une
paralysie
des /léalhisseurs, c'est-à-dire des muscles dela
bien par cet os ou en avant de lui. Supposons, au contraire, une
paralysie
bilatérale des extenseurs lomúai- res, c'est-à-
ce en arrière du sacrum, contraire- ment à ce qu'on observe dans la
paralysie
des fléchisseurs. Cette forme de lordose est ha
le résultat d'une contracture. Il existe pourtant des scolioses par
paralysie
. A. Scoliose par contracture. Il s'agit toujo
sse sacro-lombaire, nous verrons tout a l'heure que, par contre, la
paralysie
unilatérale de ces derniers muscles se ren- con
ction musculaire», tant que les vertèbres ne sont pas déformées. La
paralysie
peut frapper soit les muscles spinaux lombai- r
tion localisée de ces muscles. Dans la cyphose cervico-dorsale par
paralysie
des spinaux dorsaux et cervicaux, on emploiera
sulv, 166 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Résumé. Les
paralysies
et contractures des muscles moteurs du rachis dét
contractilité électrique s'explique très bien. Son malade avait une
paralysie
infantile outre son athétose double. Déformat
nt commencer à marcher qu'à un âge déjà avancé. On n'observe pas de
paralysie
motrice à proprement parler dans l'athé- tose d
- ladies des tics, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaque,
paralysie
agitante, etc., affections autonomes et bien di
194 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. les choréiques. Les
paralysies
rares dans l'athétose double, sont fréquentes d
nt d'attaques convulsives, laissant après elles un certain degré de
paralysie
des membres et de déviations de. la face, telle
de l'athétose double; et enfin la parole n'est pas altérée dans la
paralysie
agitante. Sclérose en plaques. L'athétose doubl
- tiers ; dans cette hypothèse ce n'est pas la contracture, mais la
paralysie
des muscles fléchisseurs latéraux lombaires, qu
cela par le même mécanisme qui détermine une lordose dans le cas de
paralysie
des muscles extenseurs directs du rachis lombaire
se modifierait pas d'une toute autre manière sous l'influence de la
paralysie
unilatérale. Hémiplégie infantile. Heine (1) in
2 obser- vations), comme un des caractères qui la distinguent de la
paralysie
atrophi- que de l'enfance. M. Laborde (2) tient
BRALES DANS DIVERSES AUTRES MALADIES NERVEUSES. Aliénation mentale.
Paralysie
générale. Il résulte des recherches d'un certai
s'agirait plutôt d'un état spasmodique, et peut-être parfois d'une
paralysie
des muscles moteurs du rachis. Myopathies pri
usieurs variétés de myopathies primitives, notam- ment dans le type
paralysie
pseudo-hypertrophique de Duchenne, dans le type
associe une cyphose dorsale plus ou moins prononcée. A propos de la
paralysie
pseudo-hypertrophique. M. Ray- mond (1) critiqu
ient à lutter contre le poids du tronc. Ainsi, la répartition de la
paralysie
aux membres inférieurs, aussi bien que son sièg
rachis dans le plan médian. Elles ont été observées dans les cas de
paralysie
ou d'atrophie symétrique 1° des muscles abdomin
se subdivisent en plusieurs classes : a) Scolioses paralytiques. La
paralysie
peut frapper la masse sacro- lombaire d'un seul
tèbres, et une courbure de compensation dorso-cervicale. Quand la
paralysie
frappe il' la fois les muscles sacro-lombaires et
ioses des hémiplégiques. Elles paraissent être la conséquence de la
paralysie
d'un membre inférieur. Elles résultent d'une cont
hique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie musculaire (
paralysies
, contractures). Il serait superflu de discuter
nilatérale des muscles spinaux coïncide, comme dans certains cas de
paralysie
infantile, avec la période de développement du ra
lésions le plus souvent symétriques. Ce sont : la syringomyélie, la
paralysie
infantile, la maladie de Friedreich, le tabes.
e changer de position. Cette malade est-elle réellement atteinte de
paralysie
agitante ? On est Nouvelle iconographie DE la S
us ne voyons en réalité rien qui simule cette dernière affection.
Paralysie
infantile. Tout récemment, Massalongo vient de ra
il a observé des mouvements involontaires, au cours d'une ancienne
paralysie
infantile. Il fait remarquer qu'il était impossib
tant. II Depuis longtemps, j'avais appris des malades atteints de
paralysie
agi- tante, qu'ils retiraient un grand soulagem
uteuil trépidant EN usage A la SALPÊTRIÈRE POUR LE traitement DE la
Paralysie
AGITANTE JOUIS )3ATT.AILLE A ....cI ? tDITLUPS
che avec raison du fauteuil trépidant qui trouve son emploi dans la
paralysie
agitante d'un appareil assez analogue imaginé e
ie uniquement le fauteuil trépidant pour les cas bien déterminés de
paralysie
agitante dans laquelle il produit une sédation
la thérapeutique vibratoire. En ce qui regarde le traitement de la
paralysie
agitante par le fauteuil trépidant, les séances
avoir récemment beaucoup maigri. Motilité. Le malade présente une
paralysie
double des extenseurs du pied, complète à gauch
quinze minutes. ` Aux membres supérieurs, il n'y a ni parésie ni
paralysie
notables ; la force musculaire y est normale à
rale. Massalongo croit à des altérations semblables il celles de la
paralysie
générale. La plupart des auteurs ne se sont pas
re mort d'une chute d'un arbre. Mère d'une attaque d'apoplexie avec
paralysie
droite en 11 jours. v 20 298 NOUVELLE ICONOGR
ours les si- gnes des affections qu'ils viennent compliquer (tabes,
paralysie
infantile, névrite périphérique, hystérie), ce
e sont produites par des lésions étendues de la zone motrice. Les
paralysies
partielles sont produites au contraire par des lé
nfant atteint d'hémiplégie spasmodique. On sait également que si la
paralysie
du facial inférieur peut exister dans l'hémiplé
ns corticales des enfants : c'est la règle la plus commune dans les
paralysies
hystériques. Mais au cas môme où celle atrophie
s'étaient manifestés en dehors de toute at- taque, sans aphasie ni
paralysie
concomitante. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
nges. D'après ce qui précède, il n'y a pas, à proprement parler, de
paralysie
des mouvements volontaires, correspondant à l'h
cas de diagnostic difficile (1). » Cette polyopie s'observe dans la
paralysie
de l'accommodation produite par l'atropine, dan
provoqués par un choc nerveux, ont été des phénomènes capricieux :
paralysies
, con- tractures, convulsions hystériques ou hys
force nécessaire pour se réaliser objec- tivement sous la forme de
paralysie
. La sensation dont il s'agit, aurait en conséqu
fai naître l'idée que nous voyons se traduire objectivement par une
paralysie
. Ce long intervalle entre le choc et les manife
ne voit pas bien claire- ment pourquoi le choc produit l'idée d'une
paralysie
. Mais le cas que nous observons nous place dans
trange et je vais m'expliquer. Une hémorrhagie cérébrale produit la
paralysie
en comprimant certaines fibres nerveuses et en
r enchante- ment, à la suite de la seconde attaque apoplectique; la
paralysie
était de nouveau flasque et complète, tandis qu
pilepti- que), 14. Fauteuil trépidant, pour le traitement de la
paralysie
agitante, 33. Hermaphrodites, 43, 44, 45, 46, 4
ent l'aspect était normal. Il n'existait à ce moment ni parésie, ni
paralysie
des membres ou de la face. La parole, les réfle
et Saenger, elle est toujours accompagnée par un spasme ou par une
paralysie
des muscles intrinsèques ou extrinsèques des ye
syncynésies qui se produisent au moment de fermer les yeux. Dans la
paralysie
faciale périphérique les deux phénomènes sont exa
fermeture de l'oeil quand on luille. M. Oppenheim, dans un cas de
paralysie
faciale périphérique, a observé des contraction
ment de clignement des yeux et les dilatateurs des narines. Dans la
paralysie
faciale périphérique on a souvent observé que l
vrai dire, 1\1. Oppenheim soutient que ce réflexe, dans les cas de
paralysie
fa- ciale périphérique, est aboli du côté paral
it un relâchement bilatéral rapide du releveur antagoniste. Dans la
paralysie
faciale d'origine centrale, il y a le signe de
na, Senator, Hoffmann et Bergonié ont observé, dans quelques cas de
paralysie
périphérique, qu'en excitant le facial du côté sa
M. Oppenheim a observé, chez les personnes qui ont été frappées de
paralysie
faciale en bas âge, que les muscles voisins de la
ent toutes ensemble. Valobra a donné la même explication aux cas de
paralysie
faciale périphérique avec réaction contro-latér
Sezione medica, Vol III, fasc. 111, 1896. PAIIINAUD, - Spasmes et
paralysies
des muscles de l'oeil. Gaz. hebd. de méd., 1891,
pas provoqués, les crémastériens sont présents. Aux membres, pas de
paralysies
véritables constatées, mais par' la somnolence
du sang a été fait deux semaines après la ren- trée. Est mort d'une
paralysie
du coeur. Le sang présente une certaine auâ men
ndre ses muscles raidis. Il y a un an, une amie intime mourut d'une
paralysie
progressive. Elle eut peur d'avoir la même mala
ogique principal, dans ce cas, était, à ce moment, la crainte d'une
paralysie
. C'était l'appréhension du tremblement, dont elle
et de leur répercussion sur son propre état men- ta 1. Cas III. -
Paralysie
du type trémulanl d'un écrivain. Un autre cas q
chose professionnelle, est celui d'un caissier de la Marine dont la
paralysie
trémulante de la main fut guérie après une con-
l que la crainte de manquer de virilité, la peur de la folie, de la
paralysie
, etc. Et ces inquiétudes doivent se distinguer na
des sujets en pareil cas, il ne se plaignait ni de douleurs, ni de
paralysie
, mais constatait, ce qui était la vérité, qu'il n
nsuit que dans la plupart des cas on n'a l'occasion de constater ni
paralysie
, ni atrophie de cause centrale, ni anesthésie d
autre. Jeanselme s'exprime ainsi très à propos à ce sujet : « La
paralysie
faciale portant sur les deux branches n'est pas
us rares. En général les deux côtés sont pris asymétrique- ment. La
paralysie
frappe tels muscles, respeclant lelsaulres; elle
de clore- les yeux au moment de la pose photographique, on voit la
paralysie
de la lèvre supérieure et de la joue du côté droi
tonner que les douleurs aiguës, les spasmes musculaires et même les
paralysies
et les aÍ1esthésies guérissent sponta- nément.
ies démonstratives. La figure 17 appartient à une femme atteinte de
paralysie
faciale dou- ble et complète dont l'électro-réa
sont portés vers ce côté. Mais dans la figure 2) il laisse voir la
paralysie
des deux faciaux supé- Fig 47 Fig 48 Fig. 4
ieur.. En revanche, la femme dont il s'agit dans la figure 10, avec
paralysie
double de la VII" paire, n'a pas le signe parce
actères généraux et électriques soient dans les deux cas ceux de la
paralysie
périphérique grave, chez les deux labyrinlhique
uteurs qui prétendent que dans la lèpre nerveuse, il n'y a point de
paralysie
, et que ce qui existe est purement atrophie muscu
ance anatomique. Il est certain que dans cette maladie l'absence de
paralysie
existe le plus souvent malgré le trouble trophiqu
ns sonl bien loin d'être rares. Ce qui est bien clair, c'est que la
paralysie
, quand elle existe, est unie à l'atrophie muscula
e dégé- nérative et que l'atrophie, quand elle n'est pas unie il la
paralysie
, ne présente point les signes physiques de ! a
courants d'induction se con- serve dans des muscles atrophiés sans
paralysie
et que son intensité est proportionnelle à leur
interceptons l'innervation d'une région, il peut survenir, outre la
paralysie
de la motilité, du sentiment etde la vasomotricit
mélancolie circulaire, deux enfanta chez qui le type péronéal de la
paralysie
iLi-opiliqLle se présenta dès les premières ann
SOCIÉTÉ UF : NEUROLOGIE DE PARIS. SÉANCE DU 1 MAI 1914. ZONA ET
PARALYSIE
R \DIr;ULAIRES DU MEMBRE SUPÉRIEUR (1), PAR
eu l'occasion d'observer un zona du plexus brachial accom- pagné de
paralysie
radiculaire. La rareté des faits de ce genre et l
e ce genre et l'obscu- rité de l'interprétation pathogénique de ces
paralysies
nous ont engagés à présenter ce malade à la Soc
VELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XLVII ZONA ET
PARALYSIE
RADICULAIRES DU MEMBRE SUPÉRIEUR (Souques, Beau
s, Beaudouin et Laiitiiéioiil) Masson & Cie, Editeurs ZONA ET
PARALYSIE
IiADICULAIRh6â.tBhtE SUPÉRIEUR 253 Cette locali
et au poignet. Enfin, le sens stéréognostique est altéré. ZONA ET
PARALYSIE
RADICULAIRES DU MEMBRE SUPERIEUR 255 est clair,
relativement C. 5. Le fait intéressant, c'est la coexistence d'une
paralysie
qui frappe plus ou moins tous les muscles inver
se gauche plaide également en faveur de l'origine radiculaire de la
paralysie
. Il y a par conséquent superposition topographi
ectriques, et disposition radiculaire de ces divers troubles. Les
paralysies
consécutives au zona du membre supérieur sont exc
ervations de Joffroy (1), qui sont assez explicites. Dans l'une, la
paralysie
a suivi et dans l'autre elle a précédé le zona.
s dans la thèse de Doucet (2). Cette coexistence du zona et de la
paralysie
n'est pas due une coïn- cidence pure et simple.
t facilement cette propagation. Il semble d'ailleurs que toutes les
paralysies
zostériennes, quel que soit leur siège, membre,
lèvent d'un mécanisme analogue. Il faut noter cependant que pour la
paralysie
faciale zostérienne on pourrait, au lieu d'une
e. Archives de physiologie. 1882. (2) DOUCET, Le zona associé aux
paralysies
et aux amyotrophies . Th. Paris, 1901. LE MÉCAN
s difficilement dans les condi- tions normales. Ainsi, l'idée d'une
paralysie
, d'une contracture, d'une anesthésie entraîne l
ve et motrice très vive, d'où l'impulsion automatique à l'acte. Une
paralysie
hystérique, par exemple, n'est, à mon avis, que l
forte impression cénesthésique éprouvée par le malade à l'idée delà
paralysie
; la contracture d'un membre implique de même l'
eurs, sécrétoires et parfois trophiques. On a cité très souvent des
paralysies
, des anesthésies hystériques s'accompagnant d'u
x malades. L'infirmité de ces malades n'est causée ni par la simple
paralysie
, ni par les troubles de la sensibilité, ni par
rgyll-Robertson est donc positif. Il n'y a pas de uystagmus. Pas de
paralysie
de la musculature extrinsèque. Le champ visuel
. On peut rencontrer aussi une protrusion des globes oculaires, des
paralysies
des muscles moteurs de l'oeil, le nys- tagmus,
polyurie à une lésion inlerpédonculaire. Simon l'a signalée dans la
paralysie
générale. On a signalé enfin ce syndrome dans l
ROPHIE HYPOPHYSAIRE 323 vu la polyurie avec azoturie succéder à une
paralysie
par lésions céré- brales. Lecorché a noté l'azo
térieur dans la palhogénèse de la polyurie. En ce qui concerne la
paralysie
vésicale, nous rappellerons que von Frankl-Hoch
'attaques épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur du cerveau,
paralysie
cérébrale infantile; tumeur de l'hypophyse, scl
iques, iaporencéphaiie, la sclérose tubéreuse (forme d'idiotie), la
paralysie
cérébrale infantile, le tubercule solitaire, les
ormes de syphilis du système nerveux central (syphilis héréditaire,
paralysie
cérébrale progressive, syphilis cérébrale comme
a les traces de Binswanger et Redlich, considérer ces phénomènes de
paralysie
unilatérale que comme une accumulation de phénomè
atteint un hémisphère plus que l'autre. Et quand des phénomènes de
paralysie
cérébrale infantile existent chez des épileptiq
nt existé dans la jeunesse, correspondante ou très apparentée à une
paralysie
cérébrale infantile (sans toutefois montrer 'to
(sans toutefois montrer 'toujours les phénomènes typiques de cette
paralysie
), peut donner lieu à un développement ultérieur
érébrale se rattachent donc tout à fait à l'épilepsie causée par la
paralysie
cérébrale infantile, car, dans la grande ma- jo
ntile, car, dans la grande ma- jorité de ces cas, l'épilepsie et la
paralysie
furent causées par un même facteur, à savoir pa
table épilepsie peut se déclarer aussi chez les malades atteints de
paralysie
cérébrale infantile. Toutefois, cela ne sera qu'u
ception très rare et comme toutes les deux, tant l'épilepsie que la
paralysie
, peuvent être parfaitement expliquées par le même
omènes d'une même cause. Si nous rencontrons donc également dans la
paralysie
cérébrale infantile des attaques épileptiques,
même origine qui cause dans un cas l'épilepsie, dans un deuxième la
paralysie
cérébrale infantile et dans un troisième ces deux
phénomènes épileptiques se présentent seuls, Freud parle alors de «
paralysie
cérébrale infantile sans paralysie ». Quoi- que
nt seuls, Freud parle alors de « paralysie cérébrale infantile sans
paralysie
». Quoi- que cette expression soit étrange, l'i
nomènes très différents et cette cause est la base anatomique de la
paralysie
cérébrale infantile, dans laquelle se montrent ta
nt tantôt des phé- nomènes d'excitation et tantôt des phénomènes de
paralysie
. Krause, lui aussi, a appelé l'attention Sur le
d'encéphalite et de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 375
paralysie
cérébrale infantile sont bien loin de causer plus
ne pourrait s'appliquer naturellement qu'aux cas de combinaison de
paralysie
cérébrale infantile avec l'épilepsie véritable es
Cela semble donc aussi étrange quand Redlich dit : « Revenant à la
paralysie
cérébrale in- fantile, je crois que les concept
r, ne peuvent servir vraiment que pour quelques cas et que, dans la
paralysie
cérébrale infantile, avec ou sans paralysie, il
ues cas et que, dans la paralysie cérébrale infantile, avec ou sans
paralysie
, il peut se développer uneépi- lepsie véritable
: l'épilepsie essentielle sera rarement aussi bien combinée avec la
paralysie
cérébrale infantile qu'avec la maladie de Hirschp
schprung (pour don- ner un exemple) ; si nous trouvons associées la
paralysie
cérébrale infan- tile et l'épilepsie, toutes de
de la pré- sence ou de l'absence des attaques épileptiques dans la
paralysie
cérébrale infantile est dans le fait que, dans
re on peut aussi déter miner le passage de certaines épilepsies par
paralysie
infantile à des ano- malies qui ne peuvenl pas
t étendues si diffusément qu'elles causent' tant l'épilepsie que la
paralysie
cérébrale infantile, il y a alors épilepsie cér
lument pas être essentielle ; déplus, qu'il y ait des phénomènes de
paralysie
céréhrale infantile ou non, cela ne change rien
difficile, j'ai trouvé qu'ils se composaient de : 380 BOLTEN ·
Paralysie
cérébrale infantile (avec attaques épileptiformes
epsie essen- tielle » ; si nous en excluons maintenant les 3 cas de
paralysie
cérébrale infantile que le médecin de la famill
la circulation.-Yéritz, Alt et Bronstein ontdémon- tré cela pour la
paralysie
générale progressive, processus qui cause une d
n me questionnait, mais je ne pouvais pas parler. C'était comme une
paralysie
intérieure. Ma tête était comme vide. Je me rappe
sccondaÎ1'e (Absence de - des faisceaux pyramidaux dans un cas de
paralysie
type Babinski), par CoyoN et Barré, 81. Dégén
RON et CounsoN, 103. Syndactylie, par et HAIIAIIO, 312. Zona et
paralysie
radiculaires du membre supérieur, par Souques,
gie type Babinski, 81. BAUDOUIN, Souques et Lantuéjoul. Zona et
paralysie
radiculaires du membre supé- rieur, 251. - -
ng dans la pellagre, 94. Lantuéjoul, Souques et BAUDOUIN, Znna et
paralysie
radiculaires du membre supé- rieur, 231. Amyo
Charcot-Marie, 175. Souques (A.), BAUDOUIN et LANTUÉJOLL. Zona et
paralysie
radiculaires du membre supérieur, 251. Amyotr
et COURBON), XXIX. Syndactylie (KLIPPEL et RABAUD), LIX. Zona et
paralysie
radiculaire (Souques, BAUDOUIN et LANTUJOUL), X
que relative, et que la moitié gauche du corps participait aussi à la
paralysie
. Je ne donnai pas une assez grande attention au p
ans, entra à l'infirmerie de la Salpêtrière le i5 août i836, pour une
paralysie
des membres supérieurs et inférieurs. Il n'était
nférieurs. Il n'était pas difficile de reconnaître la source de cette
paralysie
dans une maladie des vertèbres cervicales. La têt
épineuses et les lames de la 2e et de la 3e vertèbre cervicale. La
paralysie
porte sur les membres supérieurs et inférieurs dr
mbres supérieurs sont moins affectés que les membres inférieurs. La
paralysie
porte à-la-fois sur le mouvement et sur le sentim
e rachidien, ou enfin cette hémiplégie du larynx constitue-t-elle une
paralysie
locale produite par la compression, par l'atrophi
mpression; 3° par contraction spasmodique ; 4° Par affaiblissement ou
paralysie
; 5° par hypertrophie circonscrite ; 6° par végét
l'utérus, maladies du foie, péritonite chronique), sont prises d'une
paralysie
complète et générale du sentiment et du mouvement
en excepte toutefois les apoplexies centrales de la protubérance, la
paralysie
porte plus sur une moitié du corps que sur l'autr
ns. 11 y a treize ans qu'elle a été paralysée du côté droit, et cette
paralysie
a mis un terme fort long à se dissiper complèteme
la Salpêtrière. J'ignore si le membre transformé était le siège d'une
paralysie
. Dans le cas représenté xxmc livraison, toutes
rs chiens : quelques instans après, mort du membre, manifestée par la
paralysie
immédiate du mouvement et du sentiment, et par la
es cas, au moins momentanément; il arrive en effet quelquefois qu'une
paralysie
complète du membre, sans changement de couleur à
e. Dans un cas de ce genre, je crus pendant vingt-quatre heures à une
paralysie
du bras par lésion du cerveau ou de la moelle, pa
ie du bras par lésion du cerveau ou de la moelle, parce qu'il y avait
paralysie
du sentiment et du mouvement sans changement de c
fs ou du centre céphalo-rachidien, en ce que, dans le premier cas, la
paralysie
du sentiment et du mouvement est aussi complète q
omplète que possible, tandis qu'il est excessivement rare de voir une
paralysie
complète par lésion des nerfs. Un autre caractère
s nerfs. Un autre caractère tout-à-fait pathognomonique, c'est que la
paralysie
par oblitération artérielle s'accompagne de froid
de la peau à la manière d'un cadavre, ce qui n'a jamais lieu dans la
paralysie
nerveuse; en outre, dans la paralysie artérielle,
ce qui n'a jamais lieu dans la paralysie nerveuse; en outre, dans la
paralysie
artérielle, les artères ont cessé de battre dans
le remarquable des analogies et des différences qui existent entre la
paralysie
nerveuse et la paralysie artérielle. quatrième
ies et des différences qui existent entre la paralysie nerveuse et la
paralysie
artérielle. quatrième observation. —Pneumonie.
spontanée du membre inférieur droit présentant tous les signes de la
paralysie
. — Décoloration simple du membre paralysé, qui re
ème observation. — Gangrène spontanée de la main droite, simulant une
paralysie
rhumatismale. — Gangrène des extrémités digitales
depuis le bout des doigts jusqu'au coude du même côté (côté gauche);
paralysie
du sentiment et du mouvement de la main : la mala
a piqué un nerf. Le lendemain, il\, je constatai l'existence d'une
paralysie
du sentiment et du mouvement limitée à la main ga
des douleurs assez prononcées dans les doigts : je mis sur ma note :
paralysie
rhumatismale de la main ; et ne pouvant m'expliqu
lysie rhumatismale de la main ; et ne pouvant m'expliquer pourquoi la
paralysie
de la main sans paralysie du coude et du bras, sa
ain ; et ne pouvant m'expliquer pourquoi la paralysie de la main sans
paralysie
du coude et du bras, sans paralysie aucune du mem
quoi la paralysie de la main sans paralysie du coude et du bras, sans
paralysie
aucune du membre inférieur, sans hémiplégie facia
ie aucune du membre inférieur, sans hémiplégie faciale ; pourquoi une
paralysie
complète du sentiment et du mouvement avec douleu
ète du sentiment et du mouvement avec douleur; pourquoi ce mélange de
paralysie
et de douleur? je pensai que cette paralysie avai
; pourquoi ce mélange de paralysie et de douleur? je pensai que cette
paralysie
avait son siège non dans le cerveau, mais dans le
filiforme, dure et sensible à la pression, j'ajoutai à ma note que la
paralysie
purement locale tenait ou à une lésion des nerfs
ation, c'est le mode d'invasion de la gangrène , qui a simulé «elle
paralysie
rhumatismale douloureuse qui débute parla plante
dynie. Qu'on ne croie pas qu'il soit toujours facile de distinguer la
paralysie
par suspension de circulation artérielle, delà pa
istinguer la paralysie par suspension de circulation artérielle, delà
paralysie
par suspension d'action nerveuse : dans un cas, q
e des parties : on évitera toujours l'erreur si on se rappelle que la
paralysie
artérielle s'accompagne constamment de douleurs t
ent. C'était le sentiment qui avait été intéressé en premier lieu; la
paralysie
du mouvement n'était venue que plus lard. Senti
a paralysie du mouvement n'était venue que plus lard. Sentiment. La
paralysie
du sentiment est presque complète sous l'action d
lle parut diminuer de volume. En même temps, diminution notable de la
paralysie
, sous le rapport du mouvement ; diminution notabl
a moelle de la cause qui la comprimait. Mais cette diminution dans la
paralysie
du mouvement et dans les douleurs, ne fut pas de
ardent de la mort, comme le seul terme à ses souffrances. Point de
paralysie
du mouvement. De temps en temps, contraction co
rai qu'elle était affectée d'une double amaurose complète ; que cette
paralysie
était survenue quatre ans auparavant, à la suite
elques jours. Du reste, l'intelligence est pleine et entière : aucune
paralysie
du sentiment et du mouvement autre que celle de l
endraient s'appliquer élastiquement contre les fesses. Du reste, la
paralysie
du mouvement volontaire est complète dans les mem
her trop vite. C'est par les genoux et par la plante des pieds que la
paralysie
a débuté. Il lui semblait dans les premiers temps
ement diminué de volume au niveau de cette tumeur. La paraplégie ou
paralysie
partielle peut reconnaître pour cause une compres
idien appartenant à un individu affecté depuis un temps assez long de
paralysie
incomplète du mouvement des extrémités inférieure
c douleurs excessives dans ces mêmes extrémités. Comme cause de cette
paralysie
douloureuse, nous avons vu, au niveau des huitièm
eux. La même cause, suivant ses degrés, peut donner lieu tantôt à une
paralysie
non douloureuse, tantôt à une paralysie douloureu
peut donner lieu tantôt à une paralysie non douloureuse, tantôt à une
paralysie
douloureuse. La douleur était bien plus vive et b
dans cette maladie en raison inverse de la lésion de la moelle. La
paralysie
sans douleur suppose une solution de continuité c
un engourdissement douloureux du membre inférieur gauche: il y avait
paralysie
du mouvement et exaltation de la sensibilité. Le
ute la gravité du cas ; je dis que , selon toutes les apparences , la
paralysie
allait gagner progressivement le membre inférieur
tronc , les membres supérieurs présentèrent ce singulier amalgame de
paralysie
et de douleur, qui m'avait si vivement frappé dan
ien persuadé que j'avais affaire à une méningite rachidienne ; que la
paralysie
n'était qu'un effet de l'inflammation, que le seu
ons , deux vésicatoires à la partie interne des jambes. Le 27mai,la
paralysie
douloureuse, ou engourdissement douloureux,s'étai
hanche,et dès-lors je diagnostiquai non plus un rhumatisme, mais une
paralysie
par méningite rachidienne. Le 5 juin, elle occu
u'à la clavicule. Or, voici les caractères fort remarquables de cette
paralysie
. Impossibilité de mouvoir les membres inférieur
st abolie, mais que la sensibilité des muscles est augmentée : il y a
paralysie
douloureuse des muscles, et la paralysie musculai
scles est augmentée : il y a paralysie douloureuse des muscles, et la
paralysie
musculaire me parait exclusivement déterminée par
e parait exclusivement déterminée par la douleur. En un mot, il n'y a
paralysie
que parce que la contraction musculaire est doulo
la région cervicale, la tête, n'ont, en aucune façon, participé à la
paralysie
. La gaîté enfantine de la malade contraste avec s
paralysie. La gaîté enfantine de la malade contraste avec son état de
paralysie
presque générale. Les urines sont volontaires, ma
moxas sont appliqués au milieu de la région cervicale. 7 juin : la
paralysie
du sentiment de la peau et la paralysie douloureu
gion cervicale. 7 juin : la paralysie du sentiment de la peau et la
paralysie
douloureuse des muscles ont envahi le membre supé
précédens : elle est en même temps engourdie, preuve évidente que la
paralysie
a augmenté et qu'elle est sur le point d'atteindr
uer une nouvelle saignée, qui fut suivie de vomissemens. 9 juin. La
paralysie
s'est étendue au membre supérieur gauche , seul m
hier au soir. lies doigts seuls sont libres et non douloureux; car la
paralysie
et la douleur marchent toujours simultanément. La
x; car la paralysie et la douleur marchent toujours simultanément. La
paralysie
du mouvement paraît être l'effet de la douleur mu
leur musculaire, et c'est là la grande différence qui existe entre la
paralysie
par méningite et la paralysie par compression ou
a grande différence qui existe entre la paralysie par méningite et la
paralysie
par compression ou désorganisation de la moelle.
es. Les doigts de la main gauche finissent par être envahis. Il y a
paralysie
complète du sentiment et du mouvement du membre i
ace, la gaîté, la sécurité la plus complète, la causerie et l'état de
paralysie
douloureuse. Elle raconte qu'elle a rêvé à des vo
à force d'efforts qu'elle y parvient, et le caractère essentiel de la
paralysie
par méningite rachidienne me paraît consister dan
mais il lui a été impossible de reprendre sa position première. La
paralysie
complète du sentiment et du mouvement du membre i
s acquièrent la faculté de se mouvoir volontairement, en sorte que la
paralysie
paraît subordonnée à la douleur. La sensibilité d
n ne saurait la distraire. Le 11 juillet, je crains le retour de la
paralysie
. La jambe droite est lourde, engourdie, douloureu
de la douleur. Trois pilules de gomme gutte de deux grains. Le 12,
paralysie
douloureuse de la jambe droite. Lorsque la malade
, douleur de dos, douleur de tête frontale et syncipitale. Le i3,1a
paralysie
par douleur ou plutôt l'engourdissement douloureu
caractère de la paraplégie par méningite rachidienne est donc, i° une
paralysie
cutanée qui envahit successivement les membres in
ssivement les membres inférieurs, le tronc et les membres supérieurs,
paralysie
qui survient graduellement, d'abord dans une frac
puis dans tout un membre, et passe delà dans un autre membre; i° une
paralysie
des muscles par douleur dans la première période
une paralysie des muscles par douleur dans la première période ; une
paralysie
des muscles avec insensibilité dans la deuxième p
onté ne peut rien sur les muscles, et c'est alors qu'on dit qu'il y a
paralysie
. Si, dans la méningite rachidienne, le contact de
était insensible), mais bien par l'endolorissement des muscles. La
paralysie
par douleur et avec douleur musculaire, douleur l
mens communiqués, aux mouvemens spontanés; tel est le caractère de la
paralysie
par méningite rachidienne. Il est si vrai que la
tère de la paralysie par méningite rachidienne. Il est si vrai que la
paralysie
est causée par la douleur, que la paralysie n'est
ne. Il est si vrai que la paralysie est causée par la douleur, que la
paralysie
n'est pas essentielle, si je puis m'exprimer ains
ns l'observation. Je croyais que, chez mademoiselle Gault, il y avait
paralysie
du mouvement et exaltation du sentiment en généra
e sentiment avait son siège dans les muscles paralysés, qu'il y avait
paralysie
du mouvement par exaltation de la sensibilité mus
s complète de toutes celles qui ont été recueillies sur la matière.
Paralysie
musculaire èt conservation de la sensibilité, tel
ans une partie, mais n'est pas encore abolie. Plus loin, lorsque la
paralysie
douloureuse s'est étendue aux membres supérieurs,
de dormir. Elle dit avoir eu, pendant les cinq ans qui ont précédé la
paralysie
, des désirs vénériens très fréquens pendant son s
ens convulsifs. Voici son état le 2 décembre, jour de son entrée.
Paralysie
presque complète du mouvement dans les membres in
ines toujours purulentes , que j'attribue à un catarrhe de vessie. La
paralysie
du mouvement est toujours la même; la paralysie d
atarrhe de vessie. La paralysie du mouvement est toujours la même; la
paralysie
du sentiment semble faire des progrès: elle attei
tres cas, elle peut en être indépendante et survenir primitivement.
Paralysie
incomplète du mouvement, paralysie presque complè
dante et survenir primitivement. Paralysie incomplète du mouvement,
paralysie
presque complète de la sensibilité tactile : tels
de la moelle. Nous ne devrons pas oublier comme caractère fréquent de
paralysie
incomplète de la sensibilité la lenteur de percep
ont Pintensité n'était nullement en rapport avec celle de la cause.
Paralysie
incomplète des membres inférieurs : affaiblisseme
la pneumonie. Paraplégie avec rétraction des membres inférieurs. —»
Paralysie
incomplète du membre supérieur gauche. — Indurati
de de rendre involontairement les urines et les matières fécales. Ces
paralysies
apparentes par rigidité sont plus communes qu'on
, et puis elles finissent par tenir aux articulations. Dans le cas de
paralysie
incomplète, la rigidité joue un rôle important au
te, la rigidité joue un rôle important au point de faire croire à une
paralysie
complète, alors que le membre, revenu à sa flexib
soin de rapprocher ce fait d'autres faits dans lesquels de prétendues
paralysies
n'étaient autre chose que des rigidités produites
ensibilité. Voici son état le i5 février i833 , jour de son entrée.
Paralysie
complète des membres inférieurs; le chatouillemen
us légère sensibilité. J'étudie avec beaucoup de soin l'étendue de la
paralysie
du sen-timent:elle occupait les membres inférieur
e. Voici les renseignemens qu'elle m'a donnés sur l'invasion de cette
paralysie
, après quoi j'exposerai les symptômes qu'elle a o
nt et du sentiment et du mouvement meurt d'une maladie étrangère à la
paralysie
. Plusieurs fois j'avais essayé de la faire marche
plet pour la partie historique, est bien remarquable ; car il y avait
paralysie
du mouvement seulement, et la transformation ou d
ent. Les urines et les selles sont volontaires. Je considérai cette
paralysie
comme la suite d'une affection rhumatismale. Je r
comme la gauche. Les membres supérieurs finirent par participer à la
paralysie
: ils étaient tremblans, faibles ; mais la malade
de son entrée salle Saint-Gabriel, n. 8. A. Membres inférieurs, i0
Paralysie
complète du sentiment dans toute la moitié inféri
plus violens, les piqûres avec des épingles ne sont pas perçus. 2°
Paralysie
incomplète du mouvement dans ces mêmes membres in
e parfaitement saine. Réflexions. Dans le cas précédent, il y avait
paralysie
du sentiment et du mouvement ; mais la paralysie
récédent, il y avait paralysie du sentiment et du mouvement ; mais la
paralysie
avait beaucoup plus porté sur le sentiment que su
ession delà moelle par une cause susceptible d'être enlevée. Telle la
paralysie
par les vertèbres déplacées ou par le pus de la c
a volonté. Voici d'ailleurs quel était l'état des membres paralysés :
paralysie
complète des membres inférieurs, quant au mouveme
et un traitement interne, que la malade n'a pas pu indiquer; mais la
paralysie
et la douleur firent sans cesse de nouveaux progr
ar inflammation de l'arachnoïde spinale, 4° de fausses paraplégies ou
paralysies
par immobilité et rigidité, d'autant plus faciles
J'ai dit que, chez cette dernière malade, il y avait en même temps
paralysie
des membres inférieurs et paralysie du membre sup
malade, il y avait en même temps paralysie des membres inférieurs et
paralysie
du membre supérieur. Ce n'est pas la première foi
u. Aujourd'hui, à défaut de tout autre symptôme, la coexistence d'une
paralysie
du sentiment et d'une paralysie du mouvement, m'é
autre symptôme, la coexistence d'une paralysie du sentiment et d'une
paralysie
du mouvement, m'éclairerait de suite sur le siège
sur l'absence de douleurs, de crampes, de secousses, de rigidité. Une
paralysie
par compression, à moins qu'elle ne soit complète
es doigts ; et il est bien évident qu'il n'y a pas augmentation de la
paralysie
, mais bien douleur surajoutée. Je pense à i'ara
its (voy. xxxne livraison), présente une association singulière de la
paralysie
et de la douleur; et je suis d'autant plus fondé
fets : i° sur les nerfs capillaires cutanés ou musculaires, de là ces
paralysies
ou névralgies cutanées, de là ces paralysies musc
u musculaires, de là ces paralysies ou névralgies cutanées, de là ces
paralysies
musculaires qui envahissent tous les muscles ou c
une distinction. Un membre paralysé ne se raccourcit pas, mais si une
paralysie
complète vient à l'atteindre XXXVIIIe LIVRAISON
ertèbres cervicales et des premières dorsales. —Invasion subite de la
paralysie
à la suite de douleurs des épaules.—Péritonite tu
s questions. Il m'est impossible d'établir la limite supérieure de la
paralysie
. L'abdomen est sensible à la pression. Rétentio
novembre, les douleurs se sont dissipées et ont été remplacées par la
paralysie
, qui, en quelques heures, passa des pieds aux jam
y avait aucune douleur. En outre, l'instantanéité de l'invasion de la
paralysie
, les douleurs dorsales qui avaient précédé, milit
en novembre jusqu'à sa mort en décembre, aucune amélioration dans la
paralysie
ne s'est manifestée : eschares aux talons, au sac
n travail morbide irritatif. Relativement a l'invasion subite de la
paralysie
, elle s'explique par le déplacement des vertèbres
orsale. Cette déviation a lieu aux dépens de cinq ou six vertèbres.
Paralysie
du sentiment des membres inférieurs jusqu'au nive
sentiment des membres inférieurs jusqu'au niveau de l'ombilic; cette
paralysie
est complète quant au pincement, quant aux piqûre
ité la plus commune , celle qui précède tous les autres phénomènes de
paralysie
; il ne disparait complètement que lorsque la sens
onsommée, l'état du malade resta stationnaire; or, voici cet état :
Paralysie
complète du sentiment dans les membres inférieurs
et en particulier avec la mixture suivante que j'ai adoptée dans les
paralysies
: 2/. Alcohol de mélisse, 2 onces. Teinture d
lemment dans cette attitude. Il était aisé de voir que, bien que la
paralysie
fût stationnaire, le cancer ne l'était pas, et qu
Salpêtrière. (2) J'attache une grande importance dans 1 étude de la
paralysie
à l'affaissement de l'aile du nez. Dans un grand
l'aile du nez. Dans un grand nombre de cas, c'est le seul symptôme de
paralysie
qui survive à tous les autres. Il m'arrive souven
'aperçut en outre qu'elle était plus paralysée que de coutume, que la
paralysie
portait surtout sur le côté gauche, et que la par
insensible aux pincemens et à tous les autres moyens de stimulation (
paralysie
avec rigidité), lue membre supérieur droit est da
rêmement difficile, à raison des phénomènes croisés et non croisés de
paralysie
qu'elle présente : il serait possible que les phé
e qu'elle présente : il serait possible que les phénomènes directs de
paralysie
tinssent à l'apoplexie du pédoncule, et les phéno
je croyais fermement à une apoplexie de la protubérance, parce que la
paralysie
étant générale, un peu plus forte cependant à dro
nt établir que le cerveau avait supporté impunément, sans qu'il y eût
paralysie
, une compression extrêmement forte, si on a égard
ompression médiocre avait, toutes choses égales d'ailleurs, amené une
paralysie
. La fîg. 2 représente une apoplexie capillaire
verture du cadavre. —¦ Cerveau. — Hémisphère gauche {coté opposé à la
paralysie
). Membrane peau de daim remplaçant les circonvolu
mplète du mouvement avec rigidité très prononcée du membre supérieur;
paralysie
moins complète et sans rigidité du membre inférie
uvé trois attaques successives : une première, il y a quinze ans : la
paralysie
avait porté sur le côté droit, mais la guérison f
s la guérison fut complète; une deuxième, il y a deux ans et demi: la
paralysie
fut persistante et porta sur le côté gauche; mais
poque, altération des facultés intellectuelles; urines involontaires,
paralysie
presque complète du mouvement à gauche. Peu de
in. Ouverture du corps.—Cerveau.—Hémisphère droit {coté opposé à la
paralysie
). Grande perte de substance des circonvolutions o
e le ramollissement est limité à la substance grise, les symptômes de
paralysie
sont rarement persistans. L'état de démence est s
eux de démence, sans lésion organique correspondante. Des vestiges de
paralysie
, dans le cas de démence avec lésion organique, po
, et, si une multitude de petites brèches existent, il n'y a pas de
paralysie
; mais il y a trouble évident dans les facultés in
exie graduelle, à raison de la marche progressive des symptômes de la
paralysie
; dans un certain nombre de cas, l'invasion des sy
ovoqués par des élancemens douloureux, a succédé un état comateux. La
paralysie
de la moitié gauche du corps a augmenté ; la resp
veines iliaques et azygos et de phlébite des sinus de la dure-mère.
Paralysie
graduelle du sentiment et du mouvement. — Ramolli
on élève interne, qui l'examine à d'autres heures que moi : i° que la
paralysie
porte sur le sentiment aussi bien que sur le mouv
sie porte sur le sentiment aussi bien que sur le mouvement; que cette
paralysie
présente de notables variations. Ainsi, par momen
llaire. Ce ramollissement occupe l'hémisphère droit, côté opposé à la
paralysie
: il a envahi un grand nombre de points de cet hé
casion de voir des apoplexies capillaires, caractérisées, non par une
paralysie
graduelle et progressive, mais par une hémiplégie
tablement cause d'arachnitis, le malade pourrait guérir, avec ou sans
paralysie
des membres inférieurs, suivant que la partie inf
vons nullement ici les symptômes de ramollissement cérébral: point de
paralysie
lente et graduelle; et, chose bien remarquable, l
antérieur d'unbémisphère a pu être désorganisé presque en entier sans
paralysie
aucune de la moitié du corps opposé. Un œdème a
emples d'absence complète de mouvement fébrile et de tout symptôme de
paralysie
, si bien que le médecin doit toujours être en gar
t par la suppuration, et par le ramollissement, et cependant point de
paralysie
, ni du sentiment ni du mouvement. Le lobe antér
t pas affaissée ; les muscles fronto-palpébraux sont contractiles. La
paralysie
du mouvement est complète dans le membre supérieu
temps, diminution de la vue de l'œil gauche, puis cécité de cet œil ;
paralysie
faciale gauche ; faiblesse, fourmillement des mem
le sentiment. Des secousses convulsives épileptiformes non suivies de
paralysie
peuvent être l'effet pur et simple de la présence
u cerveau : le ramollissement ne commence que lorsque se manifeste la
paralysie
du sentiment et du mouvement. La tumeur encépha
vent par le : poumon. 33e liv., pl. 11, p.y ; 37e liv., pl. v,p. 2. —
Paralysie
: graduelle du sentiment et du mouvement. Ramollis
spontanée du membre inférieur droit présentant tous les signes de la
paralysie
.Décoloration sim pie du membre paralysé, qui repr
7e liv., pl. v,p. 7.—Gangrène spontanée de la main droite simulantnne
paralysie
rhumatismale.Gangrène des extrémités digitales de
. 3. c. CADAVERISATION. Sorte de cadavérisation qui accompagne la
paralysie
par oblitération artérielle. 27e liv., pl. y, p.y
cerveau. 20e liv., pl. ni, iv, p. 5.— Observation. Invasion subite de
paralysie
de la langue et de rigidité du bras. Marche progr
-mère. Ecchymoses superficielles du cerveau. 36e liv., pl. i, p. s. —
Paralysie
graduelle du sentiment et du mouvement. Ramolliss
ses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Aucun phénomène de
paralysie
. Aucun phénomène du côté des organes génitaux. Mo
tre le cervelet ei les fonctions génératrices^ Céphalalgie occipiiale
Paralysie
du mouvement de la moitié gauche du corps. Diminu
v, p. 3. DOTHINENTÉRITE. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. /. DOULEUR.
Paralysie
par douleur et avec douleur musculaire. 32e liv.,
spontanée du membre inférieur droit, présentant tous les signes de la
paralysie
. Décoloration simple du membre paralysé, qui repr
., pl. v, p. y. — Gangrène" spontanée de la main droite, simulant une
paralysie
rhumatismale. Gangrène des extrémités digitales d
, pl. m, iv, p. 4. —Gangrène spontanée de la main droite simulant une
paralysie
rhumatismale. Gangrène des extrémités digitales d
rophie avec induration de la moelle; symptômes de cette atrophie. =
Paralysie
incomplète des membres inférieurs; affaiblissemen
rt de pneumonie. — Paraplégie avec rétraction des membres inférieurs.
Paralysie
incomplète du membre supérieur gauche. Induration
vertèbres cervicales el des premières dorsales. Invasion subite de la
paralysie
à la suite de douleurs des épaules. Périlonile tu
NEZ. Importance de l'affaissement de l'aile du nez comme symptôme de
paralysie
. 21e liv., pl. v, p a. NIEL (M.), Procédé emplo
. — Tumeurs mélaniques dans le pancréas. 19e liv., pl. m, iv, p. 2.
PARALYSIE
. Dans beaucoup de cas la paralysie n'est ni précé
réas. 19e liv., pl. m, iv, p. 2. PARALYSIE. Dans beaucoup de cas la
paralysie
n'est ni précédée ni accompagnée de douleurs dans
ticipant à des mouvemens convulsifs. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 6. —
Paralysie
du mouvement de la moitié gauche du corps, résult
protubérance annulaire. 18e liv., pl. n, p. 2. — Différences entre la
paralysie
nerveuse.et la paralysie par oblitération des art
8e liv., pl. n, p. 2. — Différences entre la paralysie nerveuse.et la
paralysie
par oblitération des artères. 27e liv., pl. v, p.
paralysie par oblitération des artères. 27e liv., pl. v, p. 7, io. —
Paralysie
avec douleur musculaire. 32e liv. pl. 1, 11, p. f
rachidienne guérie. 32e liv., pl. 1, n, p. 7? % — Caractères de cette
paralysie
. 32e liv., pl. 1, n,p. 8,n. — La sensibilité de l
ans le tissu cellulaire sous-péritonéal. 32e liv., pl. 1, n, p. i3. —
Paralysie
incomplète des membres inférieurs : affaiblisseme
rt de pneumonie. = Paraplégie avec rétraction des membres inférieurs.
Paralysie
incomplète du membre supérieur gauche. Induration
phlébite cérébrale et l'apoplexie capillaire. 36e liv., pl. i ,p. i.—
Paralysie
graduelle du sentiment et du mouvement. Ramollis-
queuse gastrique est un phénomène cadavérique. 33e liv., pl. m, p. 5.—
Paralysie
graduelle du sentiment et du mouvement. Ramolliss
ses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Aucun phénomène de
paralysie
. Aucun phénomène du côté des organes génitaux. 18
ns intra-médullaires; à ce point de vue, on opposait volontiers les
paralysies
radiculaires inférieures du plexus brachial à la
se poser dans les mêmes termes : Les troubles moteurs des membres,
paralysie
ou atrophie musculaire, produits par une lésion
ence peuvent fournir des don- nées précises, la syringomyélie et la
paralysie
infantile. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRE
l'atrophie de l'extrémité proximale d'autre part, avec l'aspect d'une
paralysie
radiculaire supérieure bilatérale. Aucun mouvem
x de l'aisselle innervé par le nerf intercostal et épargné dans les
paralysies
ra- diculaires totales du plexus brachial.) E
particulièrement capable de donner la solu- tion de ce problème. La
paralysie
infantile, en effet, est caractérisée par des f
re. Au pointde vue clinique, ces foyers destructifs déterminent des
paralysies
définitives avec atrophie musculaire accompagné
des doigts existent. » Il paraît donc assez vraisem- blable que la
paralysie
s'était cantonnée dans ces deux cas précités sur
terosseux de la main droite. Cette atrophie était due à un foyer de
paralysie
infantile ayant détruit le groupe externe des c
APHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYELOPATHIQUES (Ces/an et flrml).
Paralysie
infantile avec localisation des troubles moteurs
S ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATUIQUES 13 ce fait essentiel, que la
paralysie
peut se localiser sur un groupe muscu- laire, l
ction, la distribution de l'atrophie est la même que dans le cas de
paralysie
radiculaire supé- rieure du plexus brachial. Lo
aborde écrivait dans sa thèse : « Le docteur' Bruniche mentionne la
paralysie
des extenseurs et supinateurs de la main et môm
rs de la main et môme celle des interosseux.Sans être impossible,la
paralysie
de ces der- niers muscles et l'attitude caracté
ée une seule fois... Ce qui tend à démontrer la grande rareté de la
paralysie
par- tielle des muscles de la main, c'est que l
ocalisation, nous ont engagés à rapporter l'observation suivante de
paralysie
infantile recueillie à la Clinique Charcot dans l
par un accouchement normal. A sa naissance il n'a pas présenté une
paralysie
14 CESTAN ET HUET quelconque des membres ; il
nouveau consulté, le méde- cin déclare que l'enfant est atteint de
paralysie
infantile. Le bras était inerte, mais sa sensib
de la première enfance et ne présente aucun rapport direct avec la
paralysie
infantile survenue à l'âge de ans ; il a entraî
l'attention sur le membre supérieur gauche qui a été atteint par la
paralysie
infantile. Dès qu'on examine la disposition de
infantile. Dès qu'on examine la disposition de l'atrophie et de la
paralysie
des muscles sur ce membre, on est frappé par le
et suit passivement l'impulsion donnée (main de polichinelle) ; la
paralysie
est flasque, sans aucunes rétractions. L'avan
abilité électrique du côté gauche, c'est-à-dire du côté où siège la
paralysie
infantile ; il présente au contraire une excita
ine cervicale, en un mot les muscles que l'on sait atteints dans la
paralysie
radiculaire inférieure du 22 CESTAN ET HUET p
rvical, ont au contraire récupéré leur fonction les muscles dont la
paralysie
s'observe dans le type radiculaire supérieur. Une
ctro-diagnostique, un jeune américain, âgé de 12 ans, atteint d'une
paralysie
du membre supérieur gauche avec atrophie assez
s membres. En même temps le mem- bre supérieur gauche fut frappé de
paralysie
dans sa totalité. Les autres membres paraissent
ir présenté aussi dans les premiers temps un peu de faiblesse, sans
paralysie
véritable; ils ont d'ailleurs recouvré rapidement
t très restreints et ne permettent la préhension d'aucun objet ; la
paralysie
est complètement flasque, et lorsqu'elle est agit
sur quelques muscles avec NFC = PFC. Dans ce cas le diagnostic de
paralysie
infantile est moins net que chez notre autre pe
oculo-pupillaires que nous n'avons pas rencontrés. Le diagnostic de
paralysie
infantile nous parait plus probable,et c'estpour
erves 24 CESTAN ET HUET toutefois. Il s'agirait dans ce cas d'une
paralysie
infantile à forme dou- loureuse, comme il en a
é rapporté des exemples ; le mode d'apparition et l'évolution de la
paralysie
correspondraient bien à cette hypothèse : au dé
othèse : au début tout le membre supérieur gauche est paralysé ; la
paralysie
rétrocède assez rapidement sur certains muscles
iste pas, exception faite pour des cas tout à fait exceptionnels de
paralysie
infan- tile, de myélopathies atteignant tel gro
r au diagnostic de myopathie. Pour M. Babinski le con- traste de la
paralysie
presque complète des muscles des jambes avec l'in
piétinement sur place. Nous avons encore tous vu aussi, des cas de
paralysie
de la jambe, tout aussi considérable, mais releva
OUVEAU CAS U·A\110'l'H01'llIL A '111'G CHARCOT-MAROE 61 frappées de
paralysie
, ce qui est déjà étonnant pour une personne qui c
a deux soeurs et deux frères bien portants. Il ne se souvient ni de
paralysie
ni d'amaigrissement dans toute sa famille. Et
à la muqueuse uréthro -vé- sicale ; on peut observer, en outre, une
paralysie
sensitivo-motrice de la région cutanée et des m
nt la symptomatologie des affections du cône terminal : -. 1° Une
paralysie
motrice, plus ou moins complète, des muscles de l
bolition du réflexe achilléen. En d'autres termes, elle traduit une
paralysie
sensitivo-motrice des plexus sacré et sacro-coc
olrice, étendue la lotalilé des membres inférieurs, sans compter la
paralysie
de la vessie, du rectum et l'impuissance géni-
or- sales, lombaires et sa- crées. 84 RAYMOND D aux cas où la
paralysie
sensitivo-motrice, limitée aux domaines d'inner-
inait par regorgement ; il ne pouvait plus retenir ses matières. La
paralysie
du mouvement subsistait, telle quelle, aux memb
chis- seurs de la jambe sur la cuisse étaient indemnes. Adroite, la
paralysie
intéressait également les muscles de la face po
double d'une atrophie diffuse des muscles para- lysés ; . 2° Une
paralysie
vésico-rectale ; le malade urine par regorgement
ste à le justifier. Une première particularité est à souligner : la
paralysie
motrice, dont est atteint cet homme, intéresse
s paralysés chez notre malade. Donc, chez lui, il s'agit bien d'une
paralysie
des branches terminales du plexus sacré. Or, le
e comprend : a) Des troubles de la motilité ; ils consistent en une
paralysie
incom- plète des membres inférieurs. Presque to
QUEUE DE CHEVAL 95 g) La disposition parfaitement symétrique de la
paralysie
motrice et de l'anesthésie, la précocité et l'i
ent sectionnée par un large foyer, alors y a-t-il persistance de la
paralysie
. Donc que la lacune siège dans le noyau lenticu
infectieuses comme par exemple la pneumonie, et voulu expliquer ces
paralysies
par des embolies microbiennes. On pouvait nous
erveux dans l'origine de ces affections. Erb et Charcot appellent «
paralysie
spinale spastique » et « tabes dor- sal spasmod
ces symptômes soient bien peu définis, et ap- plicables à bien des
paralysies
ou paraplégies infantiles; quant à l'ab- 140 GA
e des bras et des jambes. La parésie se transforma peu à peu en une
paralysie
des bras et des jambes. Les muscles étaient rig
re, pas de troubles sensitifs ou vésicaux. Enfin, au bout de 3 ans,
paralysie
complète de tous les muscles volontaires du squ
fs. Malgré cela les progrès sont peu prononcés, il y a une sorte de
paralysie
fiasque des membres inférieurs, qui empêche l'e
uel des maladies de l'Enfance. Paris, 1890. 14. Osier. The cérébral
paralysies
of chzld ? -e71. E-hiladelphia, 1889. 15. Babin
pe radiculaire, à sa- voir : 1 syringomyélie, fig. 89, 90 et 94 ; 2
paralysies
infantiles,fig. 102, 103 et 99, 100; 1 hématomy
ction, la distribution de l'atrophie est la même que dans le cas de
paralysie
radiculaire supérieure du plexus brachial. Lors
amené par sa femme, parce qu'il présente depuis quelque temps de la
paralysie
faciale, des troubles de la parole, des troubles
eurs fulgurantes. Examen de la motilité. Le malade présente de la
paralysie
faciale droite. A l'état de repos, I traits son
èvres. Appareil oculaire. La vue est restée excellente. Il n'y a ni
paralysie
de la musculature extrinsèque, ni trouble de la
fficulté à se tenir debout et accuse de la faiblesse des jambes. La
paralysie
faciale, non visible il l'état de repos, se cons-
aractère cé- rébral. Le pouls bat 80, est petit et irrégulier, la
paralysie
faciale est toujours très appréciable, mais la
ilité. Si on le pique ou le pince, le malade retire le membre. La
paralysie
faciale n'est appréciable que si on fait remuer l
iquant une altéra lion grave des zones motrices ; il n'y avaitpasde
paralysie
notable, il n'y avait pas non plus d'attaques épi
raumatisme du crâne chez un homme de 19 ans, apparition ra- pide de
paralysie
oculaire extrinsèque et épilepsie jaclcsonnienne.
e du côté paralysé. La luette est également déviée à droite, il y a
paralysie
de la moitié droite du voile du palais, la part
rester debout ou de marcher. De même qu'il peut y avoir amnésie ou
paralysie
fonctionnelle d'un centre correspondant à la mar-
tre correspondant à la mar- che, de même il peut y avoir amnésie ou
paralysie
fonctionnelle de l'acte de s'asseoir et de rest
sis. Aussi peut-on certainement observer chez les hystériques cette
paralysie
systématisée de l'acte de s'asseoir et de reste
l est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de
paralysie
des muscles du tronc (1). A de certains moments l
cas de paralysie des muscles du tronc (1). A de certains moments la
paralysie
était incomplète et la malade pouvait se retour
l y a là beaucoup plus d'impulsion à des mouvements inutiles que de
paralysie
systématique ; 4° ce qui détermine cette impulsio
Aux caractères précédents qui séparent cette akathisie d'une simple
paralysie
systématique il faut ajouter d'autres faits qui r
asiles d'aliénés de la Seine. L'étude des formes sensorielles de la
paralysie
générale a jusqu'ici été singulièrement négligé
equel les symptômes relevant tantôt de l'excitation et tantôt de la
paralysie
de certains centres sensoriels ont dominé tout
dernier lieu, la surdité verbale : Rares sont les observations de
paralysie
générale avec troubles de la sphère du langage
corce, en dehors de la lésion en foyer, a confirmé le diagnostic de
paralysie
géné- rale : épaississement des méninges, adhér
rdée comme la cause de l'apparition d'hallucinations au cours de la
paralysie
générale : pour nous ces troubles reconnaissent
e qu'on est autorisé à décrire à part une variété sensorielle de la
paralysie
générale, comprenant les faits caractérisés par
es trou- bles de la sphère du langage (symptômes d'excitation ou de
paralysie
) tels que : aphasie motrice, hallucinations mot
er et Alzhei- mer ont réuni les cas de ce genre sous la rubrique de
paralysie
à forme atypique. Cette variété symptomatique t
onnaissance de cette variété clinique et anatomo-pathologique de la
paralysie
générale est intéressante sous bien des rapports,
diffuse, mais peuvent faire penser à celle forme sensorielle de la
paralysie
générale liée à l'existence, au niveau de la ré
suite desquels elle a perdu une partie de ses cheveux. Un zona, une
paralysie
faciale gauche à 57 ans, la même année la vue s
oubles de la marche : cependant à l'âge de 30 ans elle avait eu une
paralysie
faciale gauche d'origine périphérique qui a récid
e par Kahlbaum comme une entité clinique spéciale qu'il oppose à la
paralysie
générale. Cette doctrine eut quelques partisans
mes vésaniques les plus diverses, imbécillité, hystérie, épilepsie,
paralysie
générale, démence sénile, mélancolie, confusion
entique que l'on rencontre dans d'autres formes mentales (hystérie,
paralysie
générale, etc.). Le caractère différentiel est
ons des os et certaines altérations du sys- tème nerveux. Dans la
paralysie
spinale infantile, on constate souvent une atroph
membres paralysés ; car il n'y a souvent pas de proportion entre la
paralysie
atrophique des muscles et l'arrêt du deve- lopp
fait mention des déformations du rachis que peut dé- terminer la «
paralysie
agitante ». Il est bien fait allusion, par tous l
nos malades, nul stigmate (['hystérie. Il n'existe pas non plus de
paralysie
vraie d'un groupe muscu- laire, rendant compte
mère 5 ans, deux soeurs 30 et 35 ans, tous bien portants. A part la
paralysie
du grand-père, il n'y a jamais eu, dans la famill
troubles de la marche sont plutôt le fait de l'asynergie que de la
paralysie
: si l'on arrête le malade, et qu'on lui demande
logie, 1895. Etude sur la méningo-myélite diffuse dans le tabes, la
paralysie
générale et la syphilis spinale. Id. Soc. de Bi
ouvelle Iconographie de la Salpêlrière, 1902. xv 31 474 RAYMOND
paralysie
sensilivo-motrice toGale des membres inférieurs,
ue de cheval aux cas où, aux membres inférieurs, l'anesthésie et la
paralysie
motrice respectent en majeure partie ou en tota
ire, du reste, que cette circonscription de l'anes- thésie et de la
paralysie
motrice est de règle, lorsqu'une lésion intéresse
tement ; même à l'heure présente, elle n'est pas l'expression d'une
paralysie
motrice, dans le sens strict du mot. Elle contr
eval ; ils sont, au contraire, étrangers à la symptomato= logie des
paralysies
spinales dites nucléaires, parce qu'elles sont sy
lté croissante pour uriner ; en quelques jours elle dégénéra en une
paralysie
complète de la vessie : le malade n'urinait plu
et du pied. Nous nous trouvons donc de nouveau en pré- sence d'une
paralysie
limitée au domaine d'innervation du sciatique (pl
ésie motrice de ce même membre. Peu de temps après est survenue une
paralysie
de la vessie, puis une parésie du gros intestin
e une paralysie de la vessie, puis une parésie du gros intestin. La
paralysie
vésicale est dissipée après huit jours d'un trai-
ante du membre; il quelque temps de là, elle s'est compliquée d'une
paralysie
transitoire de la vessie et d'une cons- tipatio
u moment que les manifestations de cette névrite se réduisent à une
paralysie
incomplète des muscles innervés par les branche
es, présentées par le malade. Elles se réduisent présentement à une
paralysie
motrice du membre infé- rieur gauche, qui va en
t, tout il l'heure, à ce sujet. -t La disposition unilatérale de la
paralysie
motrice et de l'atrophie mus- culaire concomita
tence des membres inférieurs, faisant place, très rapidement, à une
paralysie
partielle du membre inférieur gauche, limitée au
hoses se passent dans les cas de poliomyélite anté- rieure aigué la
paralysie
infantile en est la modalité la plus fréquente
e réveiller la nutrition et la contractilité des muscles frappés de
paralysie
et d'atrophie. L'expérience nous a démontré qu'
'évolution, quelle qu'en soit la forme, qu'il s'agisse de tabes, de
paralysie
générale ou de lésions conglomérées du cerveau
dès' délires' liés à quelque lésiônror`âniquequënous connaissions- (
paralysie
générale ? athéromestcérébraux, hémorrhagies ou
embarras, quel choix faire entre l'excitation de^ce l 'nerf ? et la
paralysie
» du, pneumogastrique ? Il en est, croyons-nous,
. f. ? .. ,i- I'..... rl . , ? ? i,- ,,i ? ,4, < ► ? ; tioris (
paralysie
agitante, tremblement senne,, paralysie géné- r
,i ? ,4, < ► ? ; tioris (paralysie agitante, tremblement senne,,
paralysie
géné- rale, alcoolisme). Dans, ses,formes les,
e, surtout si on le compare à celui du, tremblement sénile ou de la
paralysie
agitante, -et avec le, tambour à réaction dont
11 ? , .. " f \<1 ,l' l ,1 , \",1\ ,l'.h t·c pojyn ? , 1. DES
PARALYSIES
GENERALES SPINALES A MARCHE RAPIDE ET CU- "b[ 1
, , . 1 fT'" ri J'IJI"n;'jJu 1119" ? IyG ? t uug,forme,noucelle de, ,
paralysie
,, générale spmao.que de- 0crivenyi\It|,L/indbuz
ant' au'diagnostic, on peut facilement distinguer l'affection de la
paralysie
spinale aiguë de l'adulte, qui se distingue, au d
driase gauche,, de la, déviation de la langue du même côté,, de la.
paralysie
faciale droite,' une¡ démarche chancelante avec|
de temps à autre; ;des secousses dansées'extrémités gauches. Pas de
paralysie
; diminution de tous les modes de la sen- si ! J
Archives, t. VI. 8 114 REVUE, DE, PATHOLOGIE, NERVEUSE. sions, ni
paralysie
, de déviation conjuguée des yeux à droite. La f
igne, qui, « entraînés par leurs idéesipersonnelles », ont parlé de
paralysie
du triju- meau. M. Luys laisse,d'ailleurs, chac
orme ; l'évolution,de la maladie ressemble,, dès lors à celle d'une
paralysie
générale, sans .prédominance, de, symptômes psy
'intoxication saturnine peut entraîner, ! à.sa suite une. véritable
paralysie
générale, qu'il y,a, dans l'espèce, un.e ? 1}c.
l'111 £ ! .\ 9(JM £ ci 9b asiles XXI. 'Contribution A L'ÉTUDE DE la
paralysie
ascendante AIGUË ; par Richard ScIIULZ et Fried
it en même : temps ,que la déglutition de- ? vient. pénible; : de 'la
paralysie
des- muscles de la : nuque ? Miç- a'tion pénibl
grand, quand, à son réveil, nous la trouvons non seulement avec une
paralysie
flasque du bras droit, mais dans l'impossibilit
e (prépa- rations, de Wernicke); c'est ce qui explique ces faits de
paralysie
hémilatérale, accompagnée d'aphasie par destruc
ations -sont grossières dans l'encéphalite et plus légères' dans la
paralysie
générale, les troubles sont plus caractérisés d
lumière d'une -érie d'observations personnelles les phénomènes r de
paralysie
des muscles de,l'oeil qui se montrent dans la m
qui se montrent dans la méningite. Il envisage, en particulier,'les
paralysies
qui ne'sauraient s'expliquer par 'l'interruption
et endroit dans la région du cerveau moyen; il faut expli- quer ces
paralysies
par l'infiltration'méningitique des membra- nes
CKE lit son mémoire, sur les Onctions (révulsives) du crâne dans la
paralysie
générale progressive. Il sera publiéin ete7r,<
tenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques de
paralysie
dans les mala- dies mentales. Sera publié 3. ",
vec fureur au début, ou, chez les individus d'un certain âge, à une
paralysie
progressive" avec agitation pro- dromique, ou e
hyperthermie, le peu de gravité des phénomènes d'exci- tation et.de
paralysie
psycho-somatiques différencient le délire en qu
blié dans le Centralblàtt 'cÙ¡ NeurolÓgfé'(110 22, 1882) uni cas de
paralysie
générale chez* la' femme ? pour lui ? cette' l'
nts du sujet. 11 n'est pas le moins du monde rare de rencontrer des
paralysies
qui de toules les -extrémités, qui i simplement
les -extrémités, qui i simplement des membres opposés au foyer; ces
paralysies
sont' toujours permanentes et se compliquent très
égions motrice ? de l'écorce sont atteintes, il existe toujours une
paralysie
fréquemment accompagnée de contracture ; 7° les
maladies nerveuses, l'hystéro-épilepsie, la maladie de Parkinson ou
paralysie
agitante, l'ataxie locomotrice, etc..., dont no
es inférieurs. Les masses musculaires s'amaigrirent notablement. La
paralysie
des membres devint complète : rétention d'urine
issance ni pendant, ni après les attaques, qui sont sui- vies d'une
paralysie
flasque du bras et de la jambe gauches, qui n'e
s qui survient surtout après les crises d'attaques multiples. Cette
paralysie
se mani- feste également à la face; la bouche e
intervalle de trente à quarante-cinq minutes entre les attaques, la
paralysie
faciale disparaît ; mais celle des membres du c
professeur licl'7.rjews"i : Lésions de la région corticale dans la
paralysie
générale. (Archives de Physiologie, 1875.) 228
uoique Figges et d'autres le mentionnent depuis long- temps pour la
paralysie
générale; mais des recherches ulté- rieures ont
cidents nerveux. [Père, cultivateur, mort à soixante-quatre ans «de
paralysie
, un peu de partout, mais surtout de la langue )
Mère, morte de la poitrine à vingt-huit ans.- Un frè·c est mort de
paralysie
générale progressive dans le service de M. J. V
l'on se rappelle que, après la méningite aiguë, l'enfant avait une
paralysie
du côté gauche, on pourrait s'étonner que les c
oppement exagéré (Cambay); d'autres attribuent le méry- cisme à une
paralysie
du cardia [Echo médical, 18.i9, p. 6'ils); d'au
. Luys nous renseignât, avec sa statistique, sur le pronostic de la
paralysie
générale ou de la folie circulaire; mais, en al
gendre souvent des phénomènes mor- bides très voisins de ceux de la
paralysie
générale. Toutefois, il n'est pas rare de const
contre M. Kowalewskii'. '. P. K. VI. Des frictions du crâne dans la
paralysie
générale progressive; par Oebeke. (Allg. Zeilsc
sipèle de la face. Le premier fait concerne des manifestations de
paralysie
générale chez un alcoolique, le second a trait à
ain nombre d'états maniaques. Les amé- liorations observées dans la
paralysie
générale, sous la même in- fluence, s'expliquer
'1,1., t. VI, p. l.'j6. - -- 2~li SOCIÉTÉS SAVANTES. mastologie :
paralysie
soudaine des deux jambes, puis des, avant- bras
estent sans effet. Enfin l'expression de flaccidité usitée pour les
paralysies
sert simplement de contraste à celle de contrac
or, la tonicité mus- culaire ne fait pas forcément défaut dans les
paralysies
flasques et la preuve, c'est que les paralysies
ent défaut dans les paralysies flasques et la preuve, c'est que les
paralysies
flasques en apparence, au début, peuvent plus t
la myélite dorsale ! où ses extrémités inférieures sont en état de
paralysie
flasque, les phénomènes tendineux peu- vent enc
ieure. Mais M. Bernard affirme qu'il n'y a pas lieu de suspecter la
paralysie
générale, ni dans ces observations, ni dans cel
enant coup, sur coup, et entraînant une démence,),très, prononcée, [
paralysie
générale et contractures. Mort douze ans, après
e, affection organique du cerveau. 11 ne tend pas à admettre que la
paralysie
générale ' procède d'une .encéphalite parenchy;
sion, pen- dant. 1 e\"OlullOn11 anatomIque d un stade précoce de la
paralysie
'générale ('st$él3-nipliatirlûéÎiéricéilûlairea
ur. Les hydropisies, l'oedème devraient être rapportés soit à une
paralysie
des vaso-moteurs, soit au trouble trophique des p
acquisitions sur la rage; par Roux. Thèse de Paris, 1883. ' ' Des
paralysies
, névralgies, troubles trophiques et vaso-moteurs
halhydrocéle traumatique; par Vivier. Thèse de Paris, 1883. De la
paralysie
faciale chez les diabétiques; par Grégoire. Thèse
; par L1OE01E, Thèse de Paris, 1883. 29 1 VARIA. Du pronostic des
paralysies
diphthéritiqties; par Espanet. Thèse de Paris,
lmos paralytique, etc. ; par Olivier. Thèse de Paris, 1883. De la
paralysie
spinale infantile; par 111'10 BENOIST. Thèse de P
ier. Thèse de Paris, 1883. Considérations sur quelques points de la
paralysie
générale; par Grégoire. Thèse de Paris, 1883.
ans la corne frontale), il n'y a jamais eu hémiplégie, strabisme ou
paralysie
. Le trigone est ramolli, déformé; le septum lucid
out cas, il faut tenir compte de différences individuelles. Dans la
paralysie
géné- rale, la dilatation d'origine cutanée (co
ac- tion sur l'une ou l'autre des périodes. P. K. XXIV. UN cas de
paralysie
progressive; par 0. Berger. - (Neurolog. Cental
. Altérations DE l'écorce DU cerveau pendant LE premier stade DE la
paralysie
PROGRESSIVE DES aLIÉNÉS; par E. MENDEL,. (Neurol.
orté fut : mélancolie simple. L'examen microscopique seul décela la
paralysie
générale. Le début de la lésion est manifesté dan
une femme présen- tant des lésions syphilitiques qui simulaient une
paralysie
générale ; 414 SOCIÉTÉS SAVANTES. celte malad
ts. Certificat d'entrée à la Salpêlrière : démence consécutive à la
paralysie
générale. Cer- tificat de Saint-Anne, où la mal
rence, faiblesse musculaire. Certificat à la préfecture de police :
Paralysie
générale, affaiblissement des fa- cultés, hésit
is presque toujours sans morsure de la langue, ni délire, jamais de
paralysies
, contractures ni troubles de la sensibilité. De
émence post-épileptique, et conclut à uue démence consécutive à une
paralysie
générale, en se fondant sur les données du cert
ment si, en raison de l'analogie de ces symp- tômes avec ceux de la
paralysie
générale type, on ne pourrait pas supposer dans
cellulaire méningitique etencéphalique, analogue aux lésions de la
paralysie
générale, mais conservant en outre de l'étiolog
les signes présentés par sa ma- lade comme semblables à ceux de la
paralysie
générale. Qu'il me soit permis de rappeler que
attentivement que le certificat de notre collègueM. Garnier portait
paralysie
générale. Entre autres signes, M. Garnier signa
de la parole. Pour ma part, je n'ai pas pu m'arrêter au diagnostic
paralysie
générale et j'ai conclu à l'affaiblissement int
e en quittant mon service n'était donc pas, à mon avis, atteinte de
paralysie
générale. Voyons ce que disentles symptômes obs
de la bouche. L'hésitation de la parole, ce symptôme capital de la
paralysie
générale, n'existait pas chez le malade. Mais s
ant de symptômes absolument différents de ceux qui caractérisent la
paralysie
générale. Quelle est donc la signification de c
nce des facultés, l'oppression et non la perte réelle comme dans la
paralysie
générale. C'est avec la plus grande peine qu'on
ette malade les éléments de deux maladies différentes : syphilis et
paralysie
générale. Un paralytique général peut en effet
rreur clinique. On est paraly- tique ou on ne l'est pas. Il y a une
paralysie
générale type autour de laquelle viennent se gr
des syphilitiques en démence qui avaient la parole lente, avec des
paralysies
partielles et qui n'étaient que syphilitiques.
syphilitiques. M. Motet, frappé des dissemblances qui séparent la
paralysie
générale des maladies qu'on désigne du nom de p
voir que la syphilis cérébrale là où M. Fournier croyait avoir une
paralysie
générale syphilitique. Marcel Briand. SOCIÉTÉS
'étendue purement corticale du processus. Il ajoute : « Bien que la
paralysie
des deux extrémités et du facial s'expliquent déj
du lobule du pli courbe peut être invoqué pour la pathogénie de la
paralysie
des extrémités, car j'ai, le 2 décembre 1882, p
, peut en assurer la transmission vers les centres nerveux. » Les
paralysies
doivent être divisées en paralysies vulgaires et
rs les centres nerveux. » Les paralysies doivent être divisées en
paralysies
vulgaires et pa- ralysies diabétiques. Ces dern
s, associées et rarement isolées, enfin mobiles et passagères. La
paralysie
de la sensibilité peut présenter les mômes carac-
our la première fois chez les diabétiques par M. Vergely. Comme les
paralysies
étudiées plus haut, cette angine de poitrine ne
balmoscopilue, il existe de l'amblyopie ou de l'hémiopie. Quant aux
paralysies
oculo-motrices, elles sont incomplètes, passagè
ment; Sur un cas de lipome de la pie-mère cérébrale ; Sur un cas de
paralysie
infantile (avec M. Jofll,o3,); Noie sur l'anato
ntile (avec M. Jofll,o3,); Noie sur l'anatomie pathologique de la
paralysie
faciale consécutive ci l'application du forceps (
mplacer un accès épi- leptique ; 10. Le rôle de la syphilis dans la
paralysie
gé- nérale ; 4 1. Des caractères anatomiques de
alement l'hystérie ; - 8. La sclérose latérale aIIIyo- trophique ou
paralysie
bulbaire progressive amyotrophique, sur- tout à
s dans l'étiologie du tabès dorsalis; - 446 faits DIVERS. ,11. La
paralysie
de Landry est-elle une maladie particulière ou
115 Ouïe (psychoses dans les affections de l'organe de l') 425.
Paralysie
générale (troubles de la vue dans la), 280; che
ations de l'écorce cérébrale dans le premier stade de lai, 411.
Paralysie
progressive, 408. Paralysie générale syphilitiq
dans le premier stade de lai, 411. Paralysie progressive, 408.
Paralysie
générale syphilitique (pseudo-), 413. Paralys
ogressive, 408. Paralysie générale syphilitique (pseudo-), 413.
Paralysie
générale ( frictions du crâne dans la), 266.
-), 413. Paralysie générale ( frictions du crâne dans la), 266.
Paralysie
générale spinale il mar- che' rapide et curable
Paralysie générale spinale il mar- che' rapide et curable, 99.
Paralysie
ascendante aiguë, 119. Paralysie progressive de
r- che' rapide et curable, 99. Paralysie ascendante aiguë, 119.
Paralysie
progressive des aliénés, 283. TABLE DES MATIE
pas de troubles digestifs. Pas de troubles du système nerveux; ni
paralysies
, ni douleurs il carac- tère déterminé ; intégri
amus (Thl). UN CAS DE PACIlYMÉNINGlTE CERVICALE SYPHILITIQUE AVEC
PARALYSIE
DOUBLE DE LA SIXIÈME PAIRE L'observation cliniq
symptômes cérébraux, au cours de laquelle s'est produite une double
paralysie
de la 60 paire - par les résultats du traitement
n de tous les accidents céré- braux, en même temps que de la double
paralysie
oculaire. Résumé DE l'observation. Syphilis 12
s, vertiges, perte de la mémoire, gêne de la parole, puis diplopie (
paralysie
de la (je paire); ultérieurement, violentes dou
ain). Réaction de dégénéres- cence dans un grand nombre de muscles.
Paralysie
des deux sixièmes paires. Ré- sultat du traitem
élioration considérable des symptômes céphali- ques, guérison de la
paralysie
oculaire. Persistance des atrophies musculaires.
il voit double. Un médecin oculiste consulté (à Oran) constate une
paralysie
de la 6c paire gauche, et ordonne un traitement
ains ;,une rigidité dn¡ C01,1 avec flexion légère de la tête et une
paralysie
des deux sixièmes paires (PI. XVI). Membres sup
ales, réagissent normalement à la lumière et à l'accommoda- tion.
Paralysie
de la 6° paire gauche. Parésie de la (le paire dr
hypertrophique (1) : tels sont les accidents cérébraux du début, la
paralysie
des moteurs oculaires externes, les altérations p
stations en rapport avec une néoplasie de la hase (névrite optique,
paralysies
oculai- res) lorsque ces manifestations coïncid
mais les racines rachidiennes ont été profondément altérées, car la
paralysie
atro- phique des membres supérieurs est du type
cou et dans les bras, puis de raideur de la nuque et finalement de
paralysie
des deux bras. L'examen nécroscopique montra un
ans, est entrée salle Briquet, n° 19, le 19 décembre 1893, pour une
paralysie
du membre pelvien du côlé gauche. C'est une f
t accomplir tous les mouvements ; il n'est nullement atteint par la
paralysie
. La marche est impossible sans appui. Le pied g
es herculéennes si bien décrites par Du- chenne de Boulogne dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique. Néanmoins, si les relief
t plusieurs for- mes (atrophie musculaire progressive de l'enfance,
paralysie
pseudo-hyper- trophique), mais dont la différen
clu- sions de Charcot et de ses élèves (3). Parlant d'abord de la
paralysie
pseudo-hypertrophique qui semble la forme la pl
s doutes au sujet de ces cas pour décider s'ils appartenaient il la
paralysie
pseudo-hypertrophique ou à la forme juvénile ».
ptions on peut voir combien intimes sont les ressemblances enlre la
paralysie
pseudo-hypertrophique et la forme juvénile. Il
eudo-hypertrophique et la forme juvénile. Il en résulte que dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, on trouve toujours une a
eux formes. La conclusion qui s'impose est la suivante : « Entre la
paralysie
pseu- do-hypertrophique et la forme juvénile il
uvoir être mise en doute » (1). Les points de ressemblance entre la
paralysie
pseudo-hypertrophique et la forme facio-scapulo
relever ont de grandes analogies, avec ce que l'on observe dans la
paralysie
pseudo- hypertrophique. ^ y t ' Mais la génér
t que Damaschino (2) a ramenée au groupe des myopathies primitives (
paralysie
pseudo-hypertrophique sans pseudo-hypertrophie)
st ici surtout exagérée^ clans le sens de la lordose, comme dans la
paralysie
pseudo-hypertropliique. J" l i z L' inclinaison
accentuent fortement, plus du côté droit que du coté gauche, car la
paralysie
atrophique semble plus UN CAS DE MYOPATHIE PRIM
point de vue clinique, ce cas correspond à la « forme infantile de
paralysie
musculaire progressive » décrite par Duchenne de
n définit l'amyotrophie : une atrophie musculaire qu'accompagne une
paralysie
proportionnelle, la première division clinique qu
entrent différentes maladies décrites sous les noms suivants : 1°
Paralysie
spinale infantile, Poliomyélite antérieure aigu
ntérieure aiguë (Kussmaul), Myélite aiguë des contes antérieures,
Paralysie
spinale atrophique aiguë, Paralysie essentielle
aiguë des contes antérieures, Paralysie spinale atrophique aiguë,
Paralysie
essentielle des enfants, Ces cas s'observent ch
riétés. 2° Atrophie musculaire progressive (type Ductienne-Aran).
Paralysie
essentielle des adultes. Atrophie musculaire sp
laire spinale chronique. Po/<o)Mye7/<e antérieure subaiguë.
Paralysie
spinale atrophique subaiguë ou chronique. Ici,
tres muscles. 3° Névrites périphériques multiples ou localisées. La
paralysie
l'emporte ici souvent sur l'atrophie. 4" Atro
épendantes de toute lésion de la moelle ou des troncs nerveux. 1°
Paralysie
pseudo-hypertrophique, de Duchenne (3). (1) CuA
omme Charcot l'a fait observer, que toutes ces formes, y compris la
paralysie
pseudo-hypertrophique de Duchenne, ne sont que
RIMITIVE 187 musculaires ou des difformités. Pas d'attaques, pas de
paralysies
tardives, pas de troubles mentaux. Elle a eu
péronier, etc.). Des observations récentes tendent à prouver que la
paralysie
pseudo- hypertrophique et les autres variétés d
Il faut bien admettre la parenté de ces affections ; et les cas de
paralysie
pseudo-hypertrophi- que où l'on a noté des modi
ves, soit à des déformations osseuses ou articulai- res, soit à des
paralysies
. 1 Tel est l'infirme figuré sur un des comparti
t avancé Charcot et P.' Richer, qu'il s'agit là d'une figuration de
paralysie
infantile avec . Fig. 1. 204 NOUVELLE ICONOGR
mme étend son bras à l'extrémité duquel la main tombe comme dans la
paralysie
radiale; mais on n'y remarque au- cune trace d'
. LE NOIR ET Bezançon. Revue de médecine, 1890. BÉDARD ET Rémond.
Paralysie
Pseudoli ypertrophique, Arch. Gen. de \Ied., juil
sur les relations de l'atrophie musc. progr. de l'a- dulte avec la
paralysie
infantile. Th. Paris, mars 1893. Erb. Syringomy
Méd. moderne, 23 sept. 1893. Ferrier. Pathologie et topographie des
paralysies
atrophiques. Brit. médic., Assoc. et Sem. méd.
travail, un cas d'arlhro- pathie survenue chez un malade atteint de
paralysie
générale progressive (1). Il vous suffit de jet
arthropathie dans le pied gauche, accompagnée d'oedème. En 1887,
paralysie
de la troisième paire de l'oeil droit et diplopie
t morts âgés le grand-père d'hémiplégie gauche, la grand'lllel'e de
paralysie
il 87 ans. C'é- taient d'excellentes gens, sans
hropathie n'était donc pas possible à faire. Le diagnostic de était
paralysie
spastique. Les malades des deux premiers auteur
s et du tronc, sauf au niveau de l'hypothénar droit qui est aplati.
Paralysie
du bras droit ; elle diminue il mesure que l'on
nerveuses à la suite de la luxation de l'épaule donnent lieu à des
paralysies
qui oc- cupent le territoire du plexus brachial
éviations peuvent être ramenées à deux (4) : 1° Théorie musculaire (
paralysies
, contractures) ; 2° Théorie trophique (osseuse,
. Et, cette incapacité do vaincre n'est autre chose qu'une sorte de
paralysie
passagère. Le muscle fatigué ne se contracte plus
oxiques exerçant sur lui-même une action vraiment cura- risante. La
paralysie
en question n'est donc pas d'origine centrale ; e
sceau pyramidal. VA de même qu'on voit chez certains tabétiques une
paralysie
atrophique des muscles succéder tardi- vement i
combien sont rares les véritables arthropathies trophiques dans la
paralysie
infantile, et c'est à la suite de cette affecti
rcot, en 1891, a proposé de donner le nom de Syndrome de Weber à la
paralysie
alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté du cor
ant Weber, Gubler avait décrit des faits de ce genre sous le nom de
paralysies
alternes supérieures, et, à pro- pos du cas car
é le siège anatomique de ce syndrome. « Etant donné, disait-il, une
paralysie
du moteur ocu- laire commun gauche avec une hém
des dou- leurs dans les membres du côté gauche, bientôt suivies de
paralysie
de ce côté. Cette hémiplégie gauche s'est faite
ment paralysé. En même temps que cette hémiplégie, est survenue une
paralysie
de la troi- sième paire droite (strabisme exter
ment (9 novembre 1893) on constate le syndrome de Weber classique :
paralysie
totale et complète du moteur oculaire commun droi
rophiques ni vaso-moteurs appréciables. 2° Du côté des yeux, il y a
paralysie
complète et totale de la troisième paire du cot
cet oeil, sauf pour la lumière. Dans l'oeil gauche, il n'y a aucune
paralysie
du mouvement; sa situation est normale. La pupi
es troubles durent quelques jours et disparaissent. 21' février. La
paralysie
du voile du palais s'est amendée. Les boissons ne
auche. Le ptosis est toujours complet; eh dehors des vestiges de sa
paralysie
du voile, de ses troubles de la voix'et de la v
la vision par névrile optique. Depuis son entrée, sont survenus une
paralysie
du voile du palais et quelques phénomènes respi-
tant le facial supé- rieur. La paupière gauche tombante indique une
paralysie
du moteur oculaire commun gauche qui, où le ver
cédents, ce qui frappait le plus dans l'aspect du ma- lade était la
paralysie
du moteur oculaire commun gauche consistant en ch
SALPÊTRIÈRE Dans la première observation, l'hémiplégie gauche et la
paralysie
du moteur oculaire commun droit indiquent une l
ion antéro-latcrale droite de la 11'° vertèbre cervicale sur la 1 ?
Paralysie
et atrophie des muscles dépendant des lie et ¡Se
tombant d'un arbre, une luxation cervicale immédiatement suivie de
paralysie
des qua- tre membres. En quelques semaines, cel
ivie de paralysie des qua- tre membres. En quelques semaines, celle
paralysie
disparut, mais le blessé resta incapable de tou
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE le siège exact de la luxation et la causc des
paralysies
concomitantes. En effet, le palper de la nuque
otence complète : dans le premier cas, ils affec- taient le'type de
paralysie
médullaire que j'ai décrit sous le nom de type
re description (1868), Duchenne donnait à celle affection le nom de
paralysie
musculaire progressive de la langue, du voile dit
èvres (2). Trousseau proposa le nom plus concis et qui est resté de
Paralysie
glosso--lll,ùio-larYlIgée.. 1 . ' La lésion des
ous les caractères dû Jades décrit par Duchenne (de Boulogne). « La
paralysie
de l'orbiculaire des lèvres donne une prédominanc
face, (orbiculaire des lèvres et muscles du menton), frappée par la
paralysie
, demeure inerte et sans vie, le haut du visage
s'ohserve sans que les noyaux du bulbe soient intéressés : dans les
paralysies
, dites pselldo-vulvaires, par lésions corti- ca
hyméningite cervicale syphilitique (Un cas de), par H. Lamy, 104.
Paralysie
glosso-labio-laryngée (Le facies dans la), par
iracles de St-Ignace de Loyola, 318. MEIGE (H.) Le facies dans la
paralysie
glos- so-labro-laryngée, 379. Meige (H.) et T
ette nor- mal, V. Pachyméningite cervicale syphilitique, XVI.
Paralysie
glosso - labiolaryngée (faciès), XLVIII. Poss
fibres capsulaires desti- nées au membre supérieur, par exemple, la
paralysie
consécutive se montrera au même degré dans le g
-unes des fibres capsulai- res destinées aux membres supérieurs, la
paralysie
n'envahira pas au même degré tous les muscles c
é jusqu'à son entrée à l'hôpital. Etat actuel : Motilité : Pas de
paralysie
de la face, ni des membres supérieurs, ni du me
es mois qui suivent il n'y a pas grand changement dans l'état de la
paralysie
; la marche est presque impossible à cause de l'i
t une lésion de la région du lobule paracentral peut déterminer une
paralysie
motrice du membre infé- rieur sans que le membr
atomiquement et physiologiquement distinctes. Si, en clinique, leur
paralysie
isolée s'observe rarement, l'explication du fait
olandique moyenne, et inversement. Dans les deux cas on observe une
paralysie
mo- trice simultanée des membres supérieur et i
uc- tions plus précises, on doit s'en tenir à la constatation d'une
paralysie
motrice du membre inférieur, relevant d'une néc
en état de conservation relative (1). Or, si ces formes légères de
paralysies
- (1) En se reportant à un tableau de l'irrigat
plus encore à la contracture post-hémi- plégique qu'au résidu de la
paralysie
motrice. Chez les vieillards le retour de la fo
e congénitale de cette difformité et qu'on émit l'hy- pothèse d'une
paralysie
infantile. La malade n'avait plus été revue à l
c que le diagnostic soit resté incertain et que l'hypo- thèse d'une
paralysie
infantile ait été faite, malgré les renseignement
gine cé- rébrale survenues à une période plus avancée de la vie, la
paralysie
faciale s'atténue et peut même disparaître ; l'
paralysie faciale s'atténue et peut même disparaître ; l'étude des
paralysies
pseudo- bulbaires chez l'homme prouve que les m
ue corres- pondant est en état de dystrophie mais sans présenter de
paralysie
mo- trice, ni d'état spasmodique. La comparaiso
un vieillard de 74 ans, une lésion cérébrale peu étendue laisse une
paralysie
permanente ; les phénomènes de suppléance sont nu
le temps de se recoucher. Elle resta ainsi un quart d'heure. Aucune
paralysie
ne s'ensuivit, elle aurait eu un peu de fièvre pe
0 LAIGNEL- LAVAST1NE mollissement par artérite syphilitique et de
paralysie
des racines sacrées droi- tes ou syndrome de l'
'avait con- tenue pendant une nuit, on pensa à la possibilité d'une
paralysie
du nerf radial par compression mécanique au niv
as d'une façon assez précise aux questions qu'on lui pose. 12. La
paralysie
déborde du territoire du nerf radial et s'étend à
a de nouveau c'est que le bras gauche est frappé lui aussi par une
paralysie
cantonnée exactement au territoire du radial ; c'
ymptômes initiaux du membre supérieur droit : une main tombante par
paralysie
du nerf radial. 18. La paralysie s'est étendue
ieur droit : une main tombante par paralysie du nerf radial. 18. La
paralysie
s'est étendue aux autres nerfs du bras gauche exc
s ne sont plus intacts : eux aussi commencent à être envahis par la
paralysie
amyotrophique, localisée au jambier antérieur et
extrêmement atrophiés, il n'y reste plus que la peau et les os. La
paralysie
est complète sauf dans le muscle del- toïde ave
tuberculose pulmonaire et péritonéo-intestinale est frappée par une
paralysie
amyotrophique progressive débutant par les membre
ve débutant par les membres supérieurs. Au niveau de ces membres la
paralysie
et l'atrophie musculaire se locali- sent initia
i peuvent prêter à des erreurs de diagnostic, car l'asymétrie de la
paralysie
initiale et l'absence ou presque de troubles se
iomyé- lite que de la polinévrite. Cependant, en considérant que la
paralysie
et l'amyotrophie revêtaient au début un type ri
évrite. En disant cela je ne veux pas naturellement affirmer que la
paralysie
poliomyélitique ne puisse pas, en certaines circo
nels. D'ordinaire, tant chez les en- fants que chez les adultes, la
paralysie
d'origine poliomyélitique présente les caractèr
a paralysie d'origine poliomyélitique présente les caractères d'une
paralysie
à topographie médullaire ou vasculaire,plus ou
en faveur de la polinévrite il y avait encore la progression de la
paralysie
amyotrophique de l'extrémité vers la partie pro
tance serait le suivant : dans la poliomyélite anté- rieureaiguë la
paralysie
atteint son maximum d'extension très rapidement,
e qu'elle occupait au début ; dans la polinévrite, au contraire, la
paralysie
se développe progressivement en mettant très sou-
rs points de vue Il y a d'abord à considérer le début brusque de la
paralysie
qui se développa du soir au lendemain dans le t
édicale. Nous en possédons un exemple dans le cas de Carrière où la
paralysie
amyotrophique se trouvait cantonnée en grande p
r le nerf médian et un autre dans le malade de Heyse chez lequel la
paralysie
était circonscrite aux muscles de l'épaule ; ma
compression sur la branche externe du nerf spinal en provoquant la
paralysie
des muscles correspondants il son inner- vation
ation. Une dernière remarque à faire c'est que chez notre malade la
paralysie
et l'amyotrophie débutèrent par les membres sup
férieurs. En d'autres termes, nous nous trouvâmes en présence d'une
paralysie
amyotrophique descendante,c'est-à-dire,d'une pa
ésence d'une paralysie amyotrophique descendante,c'est-à-dire,d'une
paralysie
de Landry (forme périphérique) à progression inve
ique) à progression inverse, tandis que dans tous les autres cas de
paralysie
de Landry avec lésions névriti- ques tuberculeu
n du pouce qui sont le « plus souvent paralysés. Après celle-ci, la
paralysie
la plus fréquente est « celle de la supination
onclusion : « D'une façon générale, dans l'hémiplégie organique, la
paralysie
porte non seulement sur tel ou tel muscle en pa
i en ne, mais beaucoup plus rares.Aujourd'hui i il n'existe plus de
paralysie
au membre supérieur ; par contre le membre infé
e sont repré- sentées (manie, mélancolie, paranoia, folie du doute,
paralysie
générale). Sainton les range en quatre groupes,
a jambe paralysée : elle porte d'abord le tronc du côté opposé à la
paralysie
et appuie tout le poids du corps sur le membre sa
ye (« sweeps ») le sol. « Cela, je pense, est caractéristique de la
paralysie
hystérique.» L'étude de la démarche dans l'hémi
l'on constate dans la paraplégie organique. Voici encore un cas de
paralysie
hystérique du membre inférieur droit que j'ai é
l. Si on fait marcher le malade à quatre pattes, tous les signes de
paralysie
disparaissent, et il accomplit dans cette posit
onduite de ces malades qui attire l'attention ; tandis que dans les
paralysies
organiques les malades contractent les muscles
ur est possible pour fa- voriser la démarche ; au contraire dans la
paralysie
hystérique les muscles DE LA D) ! MAHCHR HYSTÉR
restent passifs ou bien se contractent d'une façon absurde. Dans la
paralysie
hystérique, comme Brodie l'a dit justement, « c
e bien, avec une manifestation organique. BIBLIOGRAPHIE B1BL'SKI.
Paralysie
hystérique systématique. Bulletin de la Société m
is l'impotence des mains et des avant- bras est absolue. De même la
paralysie
des jambes. Par contre, la motilité était conse
on et d'abaissement des globes oculaires est aboli. Toutefois cette
paralysie
est moins marquée pour l'oeil droit que pour roei
uliens abolis. S'agit-il d'une polynévrite ? Dans cette maladie, la
paralysie
s'élend plus lentement et débute par les extrém
localisations différentes. Il en était ainsi dans ces épidémies de
paralysie
infantile où s'associèrent parfois des troubles
e deux observations de poliencépha- 10myélite; dans l'une, outre la
paralysie
des quatre membres, on nota des troubles de l'o
gère ; dans l'autre, la participation de l'hypoglosse et de plus la
paralysie
était survenue en deux temps et s'accompagnait
ions électriques - a inté- (1) MoRvAN, Contribution à l'étude de la
paralysie
spinale antérieure aiguë de l'adulte. Thèse de
opposé ;Slrumpell (2), un peu plus tard, remarquait, au cours de la
paralysie
faciale, que la percussion de la face du côté sai
réflexe controlatéral, celui du tendon d'Achille. Dans deux cas de
paralysie
spasmodique, la percussion du ten- don d'Achill
des malades indemnes de toute affection du système nerveux (tabes,
Paralysie
Générale, polynévrite, myasthénie, psychoses, h
les hémiplégiques, du faisceau pyramidal situé du côté opposé à la
paralysie
: cette hyperex- citabilité bien connue se trad
réflexes rotuliens sont vifs et sen- siblement symétriques. Pas de
paralysie
faciale, de troubles de la sensibilité ni des s
e distingue pas de l'état organique de même nom, nous arrivons à la
paralysie
en passant par la parésie et par d'au- tres cas
tcry, De Sanctis, etc. Joffroy a récemment observé dans deux cas de
paralysie
générale juvé- nile, des symptômes très évident
as CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 429 de
paralysie
générale juvénile qui affectaient en même temps l
t voir des attaques convulsives généralisées ou à type jacksonien ;
paralysie
de un ou de plusieurs nerfs crâniens, exophtalm
Berl. klin. Woch., 1902, n° 46. - Cité par Fürnrohr. JOFFROY. -
Paralysie
générale juvénile chez un sujet de 23 ans. Persis
. BOURNEVILLE, LÉON-KINDBERG et CH. RICHET FILS Si le tabes et la
paralysie
générale junéviles sont aujourd'hui assez bien
Société de Pédiatrie (novembre 1907) comme atteinte de tabes et de
paralysie
générale. Aussi insisterons-nous ici surtout sur
yopie double qui rendirent tout travail impossible;, ;, en 1906, la
paralysie
générale vint compliquer le tabes. Il mourut cett
ant. On peut donc supposer que cette méningite fut le dé- but de la
paralysie
générale. En juillet 1907, elle entre à l'hôpit
éjà quelque temps. Cette enfant tabétique est également atteinte de
paralysie
générale. Celle-ci est caractérisée par des con
nt, le diagnostic est évident. L'enfant est atteinte de tabes et de
paralysie
générale. Elle est au moins autant tahétique que
d'amblyopie. En résumé, arrêt d'évolution du tabes. Par contre, la
paralysie
générale con- tinua à évoluer. Le développeme
é- quemment deux fois la même phrase, c'est une écriture typique de
paralysie
générale. ÉTUDE ANATOMO-CLINIQUE D'UN CAS DE
est mythomane et plutôt méchante, mais sans excès. Les signes de
paralysie
générale vont donc en s'aggravant. Cette évolut
nt donc en s'aggravant. Cette évolution dissociée du tabes et de la
paralysie
générale est intéressante. Bien que signalée pa
'enfant mourut le 31 août. A l'autopsie, on constata des lésions de
paralysie
générale et de tabes sur lesquelles nous revien
es comme chez un hémiplégi- que guéri la pneumonie peut éveiller la
paralysie
latente. Ce fait est intéressant. On peut l'opp
n clinique sont à signaler. Tout d'abord c'est la rareté du cas. La
paralysie
générale n'est pas chez l'enfant exceptionnelle
uiis (1), un de Srykowski et un autre de Wertlieimér. Mais tabès et
paralysie
générale associés sont rares chez les enfants. 1
ne pouvons le dire. Le fait n'est. : pas d'ailleurs unique, pour la
paralysie
générale tout au moins. Dans la thèse de Thiry
moins. Dans la thèse de Thiry (Nancy, 1898), sur 69 observations de
paralysie
générale juvénile, seize fois nous retrouvons l
leur, d'une part,certains symptômes de la double affection tabes et
paralysie
générale;d'autre part, l'évolution de la maladi
arche inverse. Le tabes a évolué comme s'il avait été arrêté par la
paralysie
générale ; peut-être est-ce à ce fait que nous
tabes ne semble pas avoir eu d'influence nette sur la marche de la
paralysie
générale. Examen du SVSTÈMENERVEUXDEjNANNE B...
bulleuse. Sa pathogénie serait alors la suivante : « Au début, une
paralysie
des artérioles commandant les zo- nes vasculair
ie a disparu, lors- que nous l'avons guéri de sa contracture, de sa
paralysie
. Mais ce qui constitue le pithiatisme de M.Babi
e parenchymateuse, à la syringomyélie, à la maladie de Morvan, à la
paralysie
infantile, au tabes, à la maladie de Frie- drei
maladie de Frie- dreich, à la sclérose latérale amylrophirur., à la
paralysie
agitante, au mal de Pott, aux myélites, etc.
ent à l'étude des intoxications (alcoolisme et morphinisme) , de la
paralysie
générale, et de certains états convulsif s. A
nne l'enseignement qu'il y poursuivit pendant 15 ans. Là encore, la
paralysie
générale et l'alcoolisme restèrent ses sujets d
t chère, à savoir que, si la syphilis est une cause fréquente de la
paralysie
générale, elle n'est pas suffisante pour la fai
t RlcnET fils. Etude anatolllo-clinique d'un cas de ta- hes et de
paralysie
générale chez un enfant de 15 ans (1 pl.),415.
nne (2 pl.), 93. Kindberg, BOURJOEVII.LE et Richet fils. Tabès et
paralysie
générale chez un enfant de 15 ans (1 pl.), 475.
.), 401. 1;1CIIET (fils), BOUI1\E\'ILLh : ft Kindberg. . Tabès et
paralysie
générale chez un en- fant de 15 ans (1 pl.), 41
) s'accompa- quant de troubles visuels (1 pl.), par Merle, 349.
Paralysie
générale et tabes chez un enfant de 15 ans (1 p
200. Tabes (Rhumatisme ankylosant et-), par ODDO, 27S. fabes et
paralysie
yénéralechez un enfant de 15an ? élude allaLomo
hémi-queue de cheval (Lai- gnel-Lavastine), XXI à XXIII. Tabes et
paralysie
générale chez un enfant (BOUa\EV1LLE, Kindberg
rvées à droite, mais à gauche, la para- lysie motrice est complète,
paralysie
flasque. Le membre soulevé retombe lourdement.
différente, vicieuse. La locomotion est donc devenue impossible par
paralysie
motrice de la jambe gauche qui traîneetpar l'in
ltiloculaire. Il ne s'agit pas non plus d'une polynévrite, ni d'une
paralysie
spinale ascen- dante, affections qui n'ont rien
ndrome Brown-Séquard, trou- bles sensoriels à droite (côté blessé),
paralysie
motrice à gauche. La seconde par une diminution
, dysesthésies, anesthésie du froid, ataxie à droite (côté blessé),
paralysie
motrice et anesthésie du chaud Ù gauche; 3° Ret
te qu'après le 3e jour. La main aurait été d'abord frappée, puis la
paralysie
aurait ensuite gagné la face et en dernier lieu l
l envisage les attitudes qui résultent de leur contracture, de leur
paralysie
, de leur atrophie. Gerdy (1) cependant avait
e sifflements d'oreille. La vue est bonne ; jamais il n'y a eu de
paralysie
oculaire ; on ne trouve de nystagmus dans aucun
abes, les affections cérébelleuses liées à des lésions en foyer, la
paralysie
pseudo- bulbaire. Parmi les affections essent
culaires presque constamment observés dans l'hérédo-ataxie : pas de
paralysie
des muscles extrinsèques, pas de modification des
lobes frontaux : 1° Un déficit intellectuel analogue à celui de la
paralysie
générale si les deux lobes sont atteints. 2°
ce d'une spondylite. Au cours de l'observation se développèrent une
paralysie
des muscles droits interne et inférieur de l'oeil
une observation de quelque durée nous pensâmes avoir affaire à une
paralysie
générale juvénile. Ajoutons pour n'y plus revenir
e extrême, elle n'atteignit jamais les degrés qu'on observe dans la
paralysie
générale. C'est ainsi qu'en décembre 1898 K... éc
s notés trouvent sans difficultés leur explication ; par exemple la
paralysie
du nerf IIP à droite par destruction directe du
ous sommes habitués à considérer comme quasi caractéristiques de la
paralysie
progressive. 2° L'ataxie, la dysarthrie et le r
de tumeur est en général bien différente par exemple de celle d'une
paralysie
générale. Ici c'est surtout l'écorce qui est lé
E DE LA CALOTTE PÉDONCULAIRE. HÉMIPLÉGIE ALTERNE SENS1T1V0-MOTRICE.
PARALYSIE
DES MOUVE- MENTS ASSOCIÉS DE L'ÉLÉVATION, DE L'
e syndrome de Mitiard-Gùbler ; il est caractérisé d'un côté par une
paralysie
des mouvements de latéralité des globes oculaires
ement à l'accommodation, mais pas à la lumière. En résumé, il y a
paralysie
de l'élévateur, du droit supérieur, du droit in-
ination motrice et de l'asynergie musculaire, que par une véritable
paralysie
. A l'examen de la sensibilité on note dans tout
la position acquise par le ptosis (PI. XXVI, A). On constate une
paralysie
absolue de l'élévation et de l'abaissement dans l
ès les caractères de cette diplopie on est parfaitement fixé sur la
paralysie
du pathétique et l'intégrité de la VIe paire de
ur. Pas d'examen de la moelle, l'autopsie ayant été partielle. La
paralysie
associée de l'élévation, de l'abaissement et de l
u'une hémiplégie motrice ou sensitivo-motrice vienne s'associer une
paralysie
des mouvements conjugués des yeux. Il s'agit al
s'agit alors d'un syndrome qui se rapproche beaucoup du groupe des
paralysies
alternes. « Toutefois dit M. Raymond (4) qui à
façon très exacte sur la physiologie des mouvements (1) PARI\.1UU,
Paralysie
des mouvements associés des yeux, Arch. de neurol
169 associés des yeux et sur le siège des lésions qui entraînent la
paralysie
de ces mouvements d'ensemble des deux globes oc
des tubercules quadrijumeaux antérieurs, il arrive toujours que la
paralysie
des mouve- ments associés des globes oculaires,
s de lésions limitées aux tubercules quadrijumeaux antérieurs, sans
paralysie
des mouvements associés des yeux ; tels sont le
que fois que pendant la vie, le tableau clinique fut dominé par les
paralysies
oculaires, on vit à l'autopsie que la lésion des
cée dans les tubercules quadrijumeaux antérieurs, peut produire une
paralysie
des mouvements associés de la bilatéralité ; il s
e de cette dernière. A cette hémiplégie ainsi faite, s'ajoutait'une
paralysie
bilatérale et symétrique de tous les mus- cles
anatomie pathologique et la clinique ont bien prouvé l'existence de
paralysies
partielles de l'oculo-moteur commun et d'ophtalmo
- silaire (3) ; d'autre part, en étudiant bien les caractères de la
paralysie
des muscles des yeux dans nos cas, parfaitement
u pathétique. Une pareille lésion nous renseignait très bien sur la
paralysie
des muscles des yeux, musculature interne y compr
ar les faisceaux de la calotte protubérantielle, peut entraîner une
paralysie
des mouvements conjugués de latéralité. Pour
as de tumeurs des tubercules quadrijumeaux ou de leur voisinage, la
paralysie
des muscles des yeux porte de préférence sur to
il y aurait lieu de pouvoir établir une distinction nette entre les
paralysies
nucléaires et les paralysies radiculaires ou tr
tablir une distinction nette entre les paralysies nucléaires et les
paralysies
radiculaires ou tronculaires de la 7 ? paire. Q
les vaso-moteurs ; il n'y avait en effet, chez notre malade, aucune
paralysie
vaso-motrice cliniquement appréciable, ni oedèm
oculaires dans un cas de tubercule de la calotte pédonculaire avec
paralysie
bilatérale de la IIP paire ; dans nos deux cas,
re, âgée de 70 ans, entre à l'hôpital à la suite d'une atta- que de
paralysie
. Le 30 octobre vers midi, la malade rentrait chez
terfasciculaire. Muscles. L'état des muscles est en rapport avec la
paralysie
. Le jumeau droit, examiné, est pàle et atrophié
en une hyperkinésie (crampes ou spasmes). Pour Ham- mond, c'est une
paralysie
anapeiratique ; Woillez l'appela, contracture par
des doigts.Il suffit d'une cause quelconque, comme la parésie ou la
paralysie
de quelques-uns de ces muscles, le tremblement
nférieure du bras droit, consécutive à un accident d'automobile. La
paralysie
du bras fut complète, avec contracture du bicep
tenu deux guérisons par la faradisation de muscles exten- Fig. 6. -
Paralysie
radiculaire guérie. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE 2
es à s'occu- per du traitement direct des muscles, atteints soit de
paralysie
, soit de contrac- ture. Haupt est arrivé à conc
t arrivé à conclure que dans le cas des crampes professionnelles la
paralysie
est toujours primitive et que la contracture n'es
but de relâcher les muscles pelviens. t Ludwig Mann (2) croit à la
paralysie
des muscles de la masse dorso- lombaire, du côt
e croisée, du côté opposé pour la scoliose homologue. Lorsqu'il y a
paralysie
des muscles abdominaux, la scoliose se compliqu
jamais le fait d'une cause unique (contracture, étal spasmodique,.
paralysie
, etc.), mais bien d'un ensemble de causes relevan
les multiples travaux publiés sur les sclé- roses combinées dans la
paralysie
générale. L'opinion,qu'exprimait CI. Philippe (
e saurait donc être mise sur le compte des lésions corticales de la
paralysie
générale ; c'est plutôt une altération développée
, sauf excep- tion (5), les lésions des cordons postérieurs dans la
paralysie
générale (i) Histologie de la paralysie général
cordons postérieurs dans la paralysie générale (i) Histologie de la
paralysie
générale. Rapport présenté au XIIIO congrès des a
tes de France et des pays de langue française, Bruxelles, 1903. (2)
Paralysie
générale progressive, in Tr. de path. mentale, Do
52. (5) A. JoFrroy et E. Rnuaon, Un cas d'association du tabes à la
paralysie
générale, Revue Neurologique, 30 novembre 1903.
téristique. En outre de cet état démentiel, il présente le syndrome
paralysie
générale au complet : inégalité pupillaire, tre
nts personnels. - Syphilis probable. A son entrée, le diagnostic de
paralysie
générale fut porté par le Dr Blin. Il présentai
t LIGNFL-L.\V.1STI\E. Contribut. à l'Étude de quelques formes de la
paralysie
générale. Congr. de Bruxelles, 1903. Obs. XXV, p.
e l'hôpital à l'asile Ste-Anne. Le Dr Magnan porta le diagnostic de
paralysie
générale. A l'entrée, il présente de l'affaibli
1). . Seig..., 36 ans, entré le 27 juin 1903 à l'asile de Vaucluse.
Paralysie
géné- rale avec démence. Euphorie. Pupilles iné
veux. Les troubles du caractère remontent à cinq années. Ictus avec
paralysie
transitoire, dix-huit mois avant son entrée. De
l'élude de l'anatomie pathologique et de l'his- topatholo,gie de la
paralysie
générale, Nouv. Iconogr. de la Salp., 1900, p. 41
u. Les coupes de l'écorce montrent les altérations ordinaires de la
paralysie
générale. La pie-mère est épaissie et infiltrée.
veau. Les coupes du cortex montrent des lésions caractéristiques de
paralysie
générale. La pie-mère est fort épaisse et infiltr
asile de Vaucluse le 15 novembre 1902. Il présente à son entrée une
paralysie
générale manifeste caractérisée par 216 VIGOURO
e l'hôpital Saint-Antoine, où le Dr Thoinot, porta le diagnostic de
paralysie
gé- nérale progressive avec agitation. A son
A son entrée dans le service, il présente les signes classiques de
paralysie
générale, démence et euphorie, embarras de la p
âgé de 32 ans, entre à l'asile de Vau- cluse le 28 octobre 1902. La
paralysie
générale avait été diagnostiquée par M. Garnier
sur ses antécédents héréditaires et personnels. Le diagnostic de
paralysie
générale a été porté par les D" Legras et Magnan
cia d'un non-lieu et fut interné à Sainte- Anne. Le diagnostic de
paralysie
générale porté par les D°9 Dubuisson et Dagonet
ions tabéto-paralytiques que tout le monde admet aujourd'hui (Tabo-
paralysie
de Fürstner). A côté de tabes anciens sans autr
encéphalique. Nous avons vu lésions tabétiques jeunes et lésions de
paralysie
géné- rale jeune n'être que les deux expression
lativement au rôle de la syphilis dans l'éclosion du tabes et de la
paralysie
générale ap- portent un fort appui à cette faço
s réactions d'apparence souvent aussi différente qu'un tabes ou une
paralysie
générale, mais dont t (1) Le cas de Curioni, ét
e les tabes vrais et les pseudo-tabes ». Rapports du tabès et de la
paralysie
générale. Nouv. Icon. Salp., septembre 1903, p.
nsition. Nous ne voulons d'ailleurs pas dire que tous les syndromes
paralysie
générale, comme tous les syndromes tabes dérive
res sont parésiés, mais les postérieurs le sont davantage. Pas de
paralysie
faciale ; la face est symétrique. Les réflexes
s lésions observées sont comparables, en tous points, à celle de la
paralysie
générale chez l'homme. La consta- tation chez l
une cause puissante, habituelle de la méningo-encéphalite et de la
paralysie
générale par la- quelle elle se traduit, il fau
a maladie actuellement désignée sous le nom de myasthénie grave, de
paralysie
bulbaire asthénique, de syndrome d'Erb (et nous n
a fatigue vocale est facile et rapide. Mais on ne note aucun signe de
paralysie
bulbaire : il n'existe de troubles paralytiques
rol. central Blitt., février 1902 ; W. Sinklkr, Myasthénie grave ou
paralysie
bulbaire asthénique, Philad. med. Journ.,8 févr
-paralitica, Munch mediz. Wochenschr., nos 43-44, 1903 ; Guillain, La
paralysie
bulbaire asthénique, in Traité de CitAMOT-BoucH
ations à cette loi. Dejerine et Thomas ont constaté, dans un cas de
paralysie
bulbaire asthénique, des lé- sions atrophiques
des oedè- mes « irrégulièrement distribués sur le territoire de la
paralysie
, appa- raissant et disparaissant assez vite, re
binski à gauche seulement et peu net. Il existe un certain degré de
paralysie
du facial inférieur gauche : impossibi- lité de
rs. Rejet des liquides par le nez. Spasme facial droit et peut-être
paralysie
faciale inférieure gauche. Démarche pachydermiq
es, si ce n'est au niveau des muscles exten- seurs des pieds. Cette
paralysie
toute localisée a été signalée dans d'autres ca
eurs je suis porté à croire qu'il y a une certaine parenté entre la
paralysie
faciale périphérique et l'hémispasme facial pér
ns ; j'ajoute, à l'appui de cette opinion, qu'on peut voir, dans la
paralysie
faciale péri- phérique, à la paralysie musculai
on, qu'on peut voir, dans la paralysie faciale péri- phérique, à la
paralysie
musculaire succéder un état spasmodique ayant -
NTRACTIONS « SYNERGIQUES PARADOXALES » OBSERVÉES A LA SUITE DE LA
PARALYSIE
FACIALE PÉRIPHÉRIQUE, - PAR HENRI LAMY. A l
ALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE, - PAR HENRI LAMY. A la suite de la
paralysie
faciale périphérique, on observe parfois deux o
éno- mènes soient dissociés ; ou du moins on peut, à la suite de la
paralysie
faciale, observer isolément ces contractions as
'une soixantaine d'années que j'observe actuellement, atteint d'une
paralysie
faciale droite périphérique depuis la première
sur ce dernier phénomène seulement que je veux insister ici. , La
paralysie
ne se traduit au repos, chez ce sujet, que par un
I. PI. XLIX CONTRACTIONS SYNERGIQUES PARADOXALES A LA SUITE DE LA
PARALYSIE
FACIALE PÉRIPHÉRIQUE (H. Lamy). A. Contractio
, qui n'a point encore été proposée que je sache. La guérison de la
paralysie
faciale s'est faite au prix d'une restauration
ette forme, la synergie paradoxale appartient plus spécialement aux
paralysies
faciales remontant à la première enfance. XV111
nitive- ment par la suite. Il est à remarquer que chez le cadet, la
paralysie
des membres s'est produite en même temps qu'aux
leurs vives dans les membres in- férieurs chez un malade atteint de
paralysie
pseudo-hypertrophique. De même, Mübius a observ
spino-iombaires, forme qu'on oppose à la lordose dépendant d'une
paralysie
des muscles abdominaux. (1) Société médicale de
Mme Sacara (1), le mécanisme de la lordose est tout autre : dans la
paralysie
pseudo-hypertrophique, elle dépendrait plutôt d'u
tion des muscles spinaux, qui se contractent pour contrebalancer la
paralysie
des muscles abdominaux ; l'inclinaison du bassi
urs après son entrée à l'hôpital, il le quitta dans le même état de
paralysie
; les douleurs avaient disparu dans les membres s
absence de toute atrophie musculaire empêchait de penser soit à une
paralysie
infantile, soit à une myopathie, qui, avec une se
de Pott lombaire ou dorso-lombaire tout au plus, et dans ce cas les
paralysies
, rares d'ailleurs, doivent affecter le type ra-
me des altérations musculaires, quoique plus exceptionnellement. La
paralysie
infantile s'accompagne d'un raccourcis- sement
, le nystagmus persistent invariables. 19. - Le malade présente une
paralysie
radiale du côté droit. Cela est dû à une compre
son de stigmates ou d'affections concomitantes comme le tabes ou la
paralysie
générale. II fait voir que les lésions de méningo
rut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mourut, paraît-il, de
paralysie
cardiaque. (1) WALTER, Trattato di chirurgia DU
menté, ni diminué de volume. Du côté de la face on ne relève pas de
paralysie
ou d'atrophie ; le frontal ce- pendant exécute
nous étudions. Au point de vue clinique, il est à remarquer que les
paralysies
oculai- res chez les malades des observations I
nne par aplatissement et de plus, cela surtout chez la malade 1, de
paralysie
ou d'atrophie du muscle frontal. Il y a donc là p
ou d'atrophie du muscle frontal. Il y a donc là plus qu'une simple
paralysie
extrinsèque de l'oeil mais tout un ensemble de tr
très intéressant travail de Ferron (1) sont venues montrer que des
paralysies
oculaires acquises, avec intégrité du fonctionn
contractures ni de crampes, pas de rétractions tendineuses ; pas de
paralysie
partielle, ni atrophie ou hyper- trophie ou pse
ADAKI, 140. Contractions synergiques paradoxales à la suite de la
paralysie
faciale périphéri- que (1 pl.), par Lamy, 424.
e cette affection (2 pl.) par OETT1YGER et AGASSE- LAFONT, 292.
Paralysie
faciale périphérique (Contrac- tions synergique
ontractions sy- nergiqnes paradoxales observées à la. suite de la
paralysie
faciale périphéri- que (1 pl.), 424. LA1'NOIS
II et LXIV. Contractions synergiques paradoxales à la suite de la
paralysie
faciale périphéri- que (LAMm), XLIX. Contract
côté droit que du côté gauche, mais sans prédominance manifeste de la
paralysie
plutôt d'un côté que de l'autre. Elle meurt au bo
ii. Homme (Emilie), 58 ans. — Cette femme, qui n'avait jamais eu de
paralysie
est frappée d'apoplexie le 17 février 1857, et es
saient rapidement après une saignée et ne laissaient après eux aucune
paralysie
. A la suite de la troisième attaque, on insista p
r supléé par Proust. Til (Nicolas), -40 ans. — Attaque d'apoplexie,
paralysie
des quatre membres, coma profond, température axi
hurine-Adelaïcle), 76 ans. — Cette femme est frappée d'apoplexie avec
paralysie
de la face à gauche et hémiplégie manifeste surto
tuellement bien portante, est prise d'apoplexie le 23 juin 1868, avec
paralysie
de la face à gauche et hémiplégie gauche. Elle a
'état apoplectique, puis reprend connaissance ; on constate alors une
paralysie
complète de la sensibilité et du mouvement au mem
il y a trois ans, sans perte de-connaissance, une première attaque de
paralysie
affectant seulement fe membre supérieur droit, fl
émiplégie gauche, il y a trois ans. Deuxième attaque il y a un an, la
paralysie
augmente et la malade ne peut plus marcher. Enfin
l'hospice de l'Antiquaille, le 13 décembre 1807. On diagnostique une
paralysie
générale. Le 16 décembre, le malade fait une chut
t il meurt le 21 décembre. A Vautopsie, on trouve les lésions de la
paralysie
générale; puis dans le lobe postérieur de l'hémis
Moreau. L... (Louise) 59ans(l). — Cette femme,qui était atteinte de
paralysie
générale, est morte le 20 avril 1808. On trouve à
si différent, M. Charcot croit qu'elles doivent être rapportées à la
paralysie
vaso-motrice.Elles ne sont pas un phénomène préco
éciardJ ? Parmi les maladies à convulsions cloniques, la chorée et la
paralysie
agitante peuvent être citées, lorsqu'elles sont i
onvulsifs, ne subit pas de déviation sensible du type normal. Dans la
paralysie
agitante en particulier, l'exploration thermométr
is 37°,6. Chez une femme âgée d'une quarantaine d'années, atteinte de
paralysie
agitante trôs-violenfe, et qui exécute constammen
st caractérisée surtout par une perte complète de connaissance et une
paralysie
avec contracture des membres du côté gauche. C'es
ion bien marquée, soit de l'état des fonctions cérébrales, soit de la
paralysie
avec contracture des membres du côté gauche. Le 1
que, quia été très courte, il ne paraît être resté aucun phénomène de
paralysie
, du moins si l'on s'en rapporte aux seuls renseig
-être quelques heures seulement, et n'a pas été suivie d'accidents de
paralysie
ou de contracture, car, après que la malade eut é
ies du cerveau et de ses membranes. Paris, 1826) et M. Calmeil {De la
paralysie
considérée chez les aliénés. Paris 1826) (1) ont
hémorrhagie, chez des individus atteints de méningite chronique ou de
paralysie
générale. Ces deux auteurs n'hésitent pas à attri
tions où ces produits ont été trouvés à l'autopsie de sujets morts de
paralysie
générale. Pour M. Brunet, les néomembranes se dév
ssent et perdent la certitude de leurs mouvements ; il se produit des
paralysies
incomplètes et partielles, le plus souvent hémipl
e connaissance observées dans un certain nombre de cas. Lorsqu'il y a
paralysie
à cette époque, on conçoit qu'elle soit mobile et
'est pourquoi elle est si habituellement méconnue dans le cours de la
paralysie
générale avec laquelle elle coexiste, comme on
lisée, au-dessus de l'oreille gauche, sans phénomènes concomitants de
paralysie
. Cette céphalalgie a persisté pendant les deux an
ris de fièvre. Deux jours après, il survient encore un accès suivi de
paralysie
complète, et enfin quelques jours après le malade
écoulement. Trois jours avant sa mort, elle -tombe dans le coma, avec
paralysie
in complète du côté gauche et mouvements convul
paralysés occupait le côté droit du corps ; du même côté, il y avait
paralysie
faciale incomplète : la sensibilité s'était conse
et légèrement dirigé de bas en haut. Le premier jour, on observa une
paralysie
motrice complète des deux membres inférieurs, de
ets de l'irritation de la moelle épinière et des nerfs, de ceux de la
paralysie
ou simple cessation d'action de ces parties ; en
mps, il s'était produit aux membres du côté droit un certain degré de
paralysie
qui n'a pas persisté. Le lo août, nouvelle attaqu
de bonne heure, 16 jours à peine après l'attaque, dans les cas où la
paralysie
étant restée incomplète, les jointures affectées
aujourd'hui généralement acceptée, ces phénomènes dépendraient de la
paralysie
d'un certain nombre de filets nerveux vasculo-mot
e et, en particulier, dans les jointures ; car il est démontré que la
paralysie
vasculo-motrice, déterminée chez les animaux par
té ; dans ces faits d'hémianesthésie, on sait qu'il y a non-seulement
paralysie
de la sensibilité générale, mais encore des organ
-ro-épilepsiechez elle a survécu quatre annéesàla ménopause(l). II.
Paralysie
hystérique ; diagnostic. — La paralysie est le ph
annéesàla ménopause(l). II. Paralysie hystérique ; diagnostic. — La
paralysie
est le phénomène précurseur ordinaire de la contr
tale, prédominante du côté gauche : c'est de ce côté qu'il existe une
paralysie
hystérique très-marquée. Il y a presque une parap
e très-marquée. Il y a presque une paraplégie. Comment distinguer une
paralysie
hystérique d'une paralysie due à une myélite, à u
que une paraplégie. Comment distinguer une paralysie hystérique d'une
paralysie
due à une myélite, à une lésion matérielle de la
elle. Il faut donc chercher ailleurs le diagnostic différentiel de la
paralysie
hystérique et de la paralysie organique. Il faut
lleurs le diagnostic différentiel de la paralysie hystérique et de la
paralysie
organique. Il faut étudier le tableau tout entier
pour donner mon avis dans un cas où l'on se demandait la nature d'une
paralysie
dont était atteinte une jeune femme de vingt ans.
, en effet, elle survint rapidement. Cette jeune fille, atteinte de
paralysie
du côté gauche, présente aussi une anesthésie tot
us présente, celle-ci voit des chats noir|)du côté gauche, côté de sa
paralysie
; celle-là voit un lion rouge, cette autre voit de
bientôt suivies d'une sorte de stertor qui dure quelques minutes. La
paralysie
du côté droit n'a pas disparu. Le sommeil persist
jusqu'au centre et les réflexes sont abolis le plus souvent. Dans la
paralysie
infantile, c'est le centre nerveux lui-même qui e
blement affaiblis, et dont l'affaiblissement confine quelquefois à la
paralysie
. C'est là un exemple des affinités secrètes qui r
s deux états musculaires si opposés en apparence la contracture et la
paralysie
. La diathèse de contracture, lorsqu'elle est gé
qui avaient résisté à d'autres moyens, ont été guéris de cette façon (
paralysies
, mutisme hystérique, etc.) M. le professeur Grass
citerai un fait qui peut avoir son importance : dans certains cas de
paralysie
spinale où des muscles ne répondaient pas aux cou
car ce temps a suffi pour développer une contracture du poignet avec
paralysie
de la sensibilité et du mouvement de tout le memb
ma proposition : je me bornerai à quelques exemples. Certains cas de
paralysie
faciale périphérique sont, vous le savez, diffici
tre action qui paraît propre à l'électricité statique se voit dans la
paralysie
agitante. Le souffle, ou de faibles étincelles ar
sposés, un état nerveux spécial caractérisé par des contractures, des
paralysies
, des troubles divers de l'intelligence. Cet état
jusqu'à présent, on n'a jamais pu fournir une observation probante de
paralysie
flasque de la face dans l'hystérie, tandis que du
asque de la face dans l'hystérie, tandis que du côté des membres, ces
paralysies
sont, comme on le sait, très fréquentes. L'exci
hypnotiques, quand on provoque par suggestion le développement d'une
paralysie
flaccide dans un membre, on lui fait perdre, pend
laccide dans un membre, on lui fait perdre, pendant la durée de cette
paralysie
, toutes les propriétés somatiques, qui persistent
hallucinations, des ordres, des rêves, le frapper d'anesthésie et de
paralysie
. L'étude de la suggestion ouvre à la psychologie
auditive. On pouvait, au contraire, par ce procédé, faire naître une
paralysie
flasque ou spas-modique ; toutefois, la suggestio
h yméningite,p . 117,121 : — symptômes, p. 132;— évolution, p. 133.
Paralysie
agitante, p. 07 Paralysie hystérique, caractère
symptômes, p. 132;— évolution, p. 133. Paralysie agitante, p. 07
Paralysie
hystérique, caractères de la—, p. 290; — diagnost
fistule mène dans la profondeur du rocher sous la saillie du facial.
Paralysie
faciale post-opératoire : qui disparaît totalemen
de la moti-lité ni de la sensibilité. Rien au fond de l'œil : pas de
paralysies
oculaires, ni de nystagmus. Pas de fièvre. Les jo
on oreiller. Respiration accélérée ; pouls plus rapide. Coma profond,
paralysie
du bras droit. L'urine, extraite par la sonde, co
énopathie de la région cervicale supérieure. Le malade présentait une
paralysie
de la moitié gauche de la langue avec atrophie lé
paralysie de la moitié gauche de la langue avec atrophie légère, une
paralysie
complète de la moitié gauche du voile du palais a
atin gauche et immobilisation des deux piliers correspondants, et une
paralysie
de la corde vocale gauche, en position médiane; i
aux de Faure sur l'anastomose spino-faciale appliquée à la cure de la
paralysie
faciale périphérique d'origine otitique. Ce segme
otitiques. Pendant longtemps on a méconnu l'étiologie otitique de la
paralysie
faciale dite a frigore. On ne l'a admise définiti
disons « presque constante », car il est hors de doute que parfois la
paralysie
faciale périphérique apparaît, évolue et guérit s
le ferait supposer l'anatomie. Cet auteur trouve un cas seulement de
paralysie
faciale sur 100 cas de suppuration chronique, eto
surants encore que ceux de l'illustre otologiste de Munich; un cas de
paralysie
faciale sur 3oo cas de suppuration de l'oreille.
la totalité du conduit auditif interne détermine presque toujours une
paralysie
complète ou partielle de l'acoustique et du facia
Que la nécrose du labyrinthe tout entier s'accompagne généralement de
paralysie
faciale ; 3° Que celle-ci se produit exceptionn
nnellement par nécrose du limaçon ; [\° Qu'enfin, en présence d'une
paralysie
faciale consécutive à une otite moyenne suppurée,
elet. Mais il sera presque impossible de dissocier cliniquemcnt cette
paralysie
faciale par compression endocrânienne, de celle p
noyau bulbaire, et aussi du faisceau intra-bulbaire du nerf: c'est la
paralysie
nucléaire. Nous verrons plus loin que l'abcès d
dans son trajet inter-parotido-mastoïdien. Dans une observation de
paralysie
faciale congénitale, comuniquée par Marfan et Dev
tte agénésie du rocher forme le substratum anatomo-pathologique de la
paralysie
faciale congénitale, caractérisée aussi, clinique
llon de l'oreille. Jusqu'en 1898, on regardait comme incurables les
paralysies
faciales qui se produisaient par carie du rocher
éjà pratiquée, et qui laissait entrevoir la possibilité de guérir les
paralysies
de cette nature. Il s'agissait de l'anastomose du
onné rarement les résultats qu'on en attendait. Le plus souvent, à la
paralysie
faciale, qui ne se modifiait en rien, s'ajouta un
t complètement cicatrisée, et la suppuration définitivement tarie; la
paralysie
faciale persistait aussi complète et absolue qu'a
urulente, par des douleurs persistantes temporo-pariétales et par des
paralysies
ou parésies du droit externe, comme l'expression
ie localisée à la moitié gauche du front et à la tempe. Il existe une
paralysie
faciale droite très appréciable sans déviation de
patellaire du côté de la lésion; parmi les seconds, nous citerons les
paralysies
de la VIe et de la VIIe paires et l'hémiplégie cr
. Drummond commit cette erreur sur un enfant de 9 ans qui offrait une
paralysie
du bras droit, une parésie de la jambe droite ave
ion spécialement liée avec les fonctions réflexes. La parésie ou la
paralysie
de la VI6 paire est aussi un symptôme rare des ab
IVe ventricule, soit du nerf lui-même contre l'apophyse basilaire. La
paralysie
de la VIP paire ne peut servir au diagnostic de l
Paris, 1873. Bonthoux (G.), De l'étiologie otique de certains cas de
paralysie
faciale, dite a frigore. Thèse de Lyon, i8g4. Bon
e sens des attitudes. Paris, 1904. — Troubles oculo-moteurs dans la
paralysie
faciale périphérique. Gazette hebdomadaire de méd
f. Ohr. 55 Band. 1902. Bréavoine (G.), Traitement chirurgical de la
paralysie
faciale d'origine traumatique par l'anastomose sp
J.), Traité (l'anatomie descriptive. Paris, [877. Daleine (E.), Des
paralysies
faciales otitiques et de leur traitement chirurgi
r un syndrome particulier de complications endocrâniennes otiticpies.
Paralysie
de l'abducteur d'origine otitique. Annales des ma
s de l'orientation et de l'équilibre. Paris, 1901. Grivot (M.), De la
paralysie
faciale otitique. Thèse de Paris, 1903. Grossar
ionen am Ohr. Berlin, igo4- Heller (A.), Contribution à l'étude des
paralysies
faciales congénitales par agénésie du rocher. Thè
site. Thèse de Paris, 1900 Rozier (J.), Otite chronique. Evidement.
Paralysie
faciale consécutive au curettage de la cavité sou
nts. — Perte de la notion de position. — Affaiblissement de la vue. —
Paralysie
des nerfs moteurs à gauche. — Doideurs dans les m
er pour ce qui concerne les pleurésies, les pneumonies, ainsi que les
paralysies
puerpérales. — Les trois dernières sections sont
si obtenu de bons résultats chez un malade atteint d'arthralgie et de
paralysie
saturnine. A M. Yulpian nous devons une étude s
observations de M. Joffroy sur Yatrophie mus-culaire progressive avec
paralysie
labio-glosso-laryngée, sur la sclérose en plaques
et légèrement dirigé de bas en haut. Le premier jour, on observa une
paralysie
motrice complète des deux membres inférieurs, de
é de l'observation de Moynier. Observation VIII. —Myélite subaiguë.—
Paralysie
-progressive. — Arthropathie du genou et de Varti
du séjour prolongé dans un endroit humide et de grandes fa-tigues. La
paralysie
du mouvement commence à se prononcer dans les mem
me, i es mains étaient également affectées, bien qu'il n'y eût pas de
paralysie
. Pouls, 12a. IIypéresthés;e au plus léger con-tac
t sujette, durant vingt-quatre heures, et cela depuis l'origine de sa
paralysie
à des accidents bizarres : les membres paralysés
de sa grossesse par la vue d'un de ses voisins qui est atteint d'une
paralysie
de la main droite1. Elle a allaité son enfant j
, face colorée. Pupilles égales, notablement dilatées. Nulle tiace de
paralysie
. La malade a bu presque toute sa potion ; la dé.l
tant de ce bain qu'elle aurait été prise de convulsions suivies d'une
paralysie
du côté droit. Jusqu'à ce moment, D... était très
ffés. Les yeux sont immobiles, non déviés. Il n'y a ni contracture ni
paralysie
. La sensibilité gé-nérale est à peu près tout à f
que cette même trémulation se ren-contre très-habituellement dans la
paralysie
avec contracture, liée à une lésion organique spi
able origine. 1° Remarquez en premier lieu, Messieurs, l'absence de
paralysie
faciale et de déviation de la langue, tirée hors
que l'a montré Brown-Séquard, occuperait le côté du corps opposé à la
paralysie
motrice. 3° Nous avons à relever encore bien d'
langen, 1869), on devrait à M. Althaus d'avoir signalé L'absence delà
paralysie
faciale et de la déviation de la bouche et de la
araplégie hystérique, par M. Laycock, dans les termes suivants : « La
paralysie
plus ou moins prononcée des extrémités inférieure
; cette perturbation se traduit par la constipation, la tympanite, la
paralysie
vésicale, l'accroissement ou la diminution de la
ait, lui aussi, être in-voqué en faveur de l'origine hystérique de la
paralysie
. Ainsi, tandis que le membre supérieur était dans
ent surgir. Qu'adviendra-t-il de ces malades? Depuis 2 ou 3 ans, la
paralysie
avec contracture a persisté, chez elles, sans ame
rétrospective et dans lequel on trouve l'histoire de plusieurs cas de
paralysie
guérie après des pè-lerinages faits à Saint-Denis
ant celui d'Ambroise Paré pratiquant au roi une saignée, suivie d'une
paralysie
passagère de quelques doigts et du sphacèle de le
le à l'ambulance de niôtel-de-Ville. CANCROIDE DE L'OREILLE DROITE;
PARALYSIE
DU MUSCLE FRONTAL CORRESPONDANT par E. basserea
ment. — Le sourciller et le pyramidal n'ont point été atteints. Cette
paralysie
partielle donne une expression singulière à la fa
Planche XXIX.) REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche \\X.
PARALYSIE
DU MUSCLE FRONTAL DROIT C A N C R 0 ï D K PAT
veau,\\ y aura affaiblissement intellectuel,coma, délire, quelquefois
paralysie
,trou-bles, que d'ailleurs on peut rencontrer dans
it. Nous retrouvons encore cette même attitude chez une femme dont la
paralysie
, survenue à l'âge de 21 ans, date aujourd'hui de
, la bouche aurait été fortement déviée à gauche durant deux mois. La
paralysie
de la jambe aurait com-mencé à diminuer au bout d
n ; cet accident reviendrait de temps en temps. État actuel (1862).
Paralysie
du bras droit avec roideur et flexion très-légère
ure, etc., ne présentent pas de différence. Il n'y a pas de signes de
paralysie
fa-ciale. Membre supérieur droit. La malade élè
isième et quatrième doigts, est nulle à l'auricu-laire : cependant la
paralysie
date de l'âge de 17 mois. Voici encore quelques
..., M. Pauline, 26 ans; convulsions à l'âge de 8 mois, suivies d'une
paralysie
du côté gauche. La main, à angle droit sur l'avan
mosphériques, alors que, pour employer une expression des malades, la
paralysie
les travaille, l'attitude des membres, les déform
n relâ-chement du parenchyme déjà peu résistant par lui-môme ou d'une
paralysie
des éléments musculaires des parois vasculaires e
nstances faites pour le retenir à l'hôpital. B. BIBLIOGRAPHIE Des
paralysies
des muscles moteurs de l'œil, par A. von Gbj:fe,
tre ophthalmologiste s'est proposé de donner un exposé des signes des
paralysies
musculaires de l'œil. L'ouvrage est divisé en t
yse; — dans la seconde, ces moyens sont appliqués au diagnostic de la
paralysie
de chaque muscle en particulier ; — dans la troi-
dans la troi-sième, sont examinés des cas plus complexes, tels que la
paralysie
de plusieurs muscles à la fois. Si bien des cha
nterprétations plus satisfaisantes, il ne saurait en être de même des
paralysies
oculaires. — Listing, Donders, Helmholtz, de Grae
rimentés. 11 est aisé de conclure que la physiologie pathologique des
paralysies
soit une œuvre achevée. La connaissance de bien
stions d'ophthalmologie peut être livrée aux spécialistes ; celle des
paralysies
oculaires est inséparable du bagage de tous les m
actif. Mais ce signe nous dira peu de chose sur les faibles degrés de
paralysie
, et ne nous révélera rien sur la paralysie de cer
sur les faibles degrés de paralysie, et ne nous révélera rien sur la
paralysie
de certains muscles qui, comme les obliques, agis
ysé, par une rotation en dehors de la tête. Pour peu qu'il existe une
paralysie
de plusieurs muscles, ces mou-vements de la tête
paralysé. C. Heste la diplopie, qui apparaît brusquement lorsque la
paralysie
d'un muscle vient rompre la vision binoculaire, e
pas jusqu'au simple défaut d'équilibre des muscles anta-gonistes sans
paralysie
que l'on n'arrive à mettre en évidence par les re
acilement. B... se porte bien, ne souffre aucune-ment. Toute trace de
paralysie
semble aussi avoir disparu. Examen de la tumeur
ricité appliquée à l'art des acco; chements, par Ta-chard, 256. — Des
paralysies
des muscles moteurs de l'œil, par von Grsefe (ana
iodée, etc., par Bourne-ville, 510. Cancroïde de l'oreille droite ;
paralysie
du muscle frontal correspondant, par E. Bassereau
e pathologique des parties constituan-tes des), par le même, 1. P
Paralysie
du muscle frontal droit, 231. Parotide [voy. Ad
anche XXIX. Cancroïdc de l'o-reille droite.........251 Planche XXX.
Paralysie
du muscle frontal droit.........'¿52 Planche XX
t éprouvé une vive et douloureuse émotion à laquelle on a attribué la
paralysie
de R... Elle n'avait pas d'attaques de nerfs, mai
'avait eu d'affections nerveuses. Elle assure qu'elle est née avec sa
paralysie
du côté droit et qu'elle n'a pas eu de maladies g
ient se présenter. En effet, dans les Observations II, III, V, VI, la
paralysie
, sous forme hémiplégique, est définitivement cons
servations que nous avons publiées antérieurement (1) en font foi, la
paralysie
diminue plus ou moins promptement et bientôt les
ant de ce bain qu'elle aurait été prise de convulsions, suivies d'une
paralysie
du côté droit. Jusqu'à ce moment, D... était très
e la mère d'une de nos malades. Peu à peu, dans beaucoup de cas, la
paralysie
diminue, principalement au membre inférieur. Ensu
ions n'envahissent encore que le côté droit du corps. Consécutivement
paralysie
plus accusée, puis roicleur qui persiste, sans at
hez Dabonne... on aurait noté la roideur presque en même temps que la
paralysie
(?). — Chez St... (Obs. V), la paralysie s'est in
presque en même temps que la paralysie (?). — Chez St... (Obs. V), la
paralysie
s'est installée progressivement et l'apparition d
l'état de mal. Parmi les autres phénomènes qui se surajoutent à la
paralysie
, nous signalerons les arthralgies et Y atrophie d
heures, et à la suite desquelles on s'est aperçu que Gr... avait une
paralysie
du côté gauche du corps; malgré cela, elle a marc
impossible de fléchir aujourd'hui les doigts, parce que, dit-elle, sa
paralysie
la travaille. En effet, les doigts sont sans cess
atrophie cérébrale sans phénomènes choréiques. Chez les premières, la
paralysie
est moins prononcée ; d'un autre côté, chez elles
Parents névropathiques et épileptiques. — Convulsions à trois ans. —
Paralysie
progressive des membres du côté droit. — Appari
d'épilepsie depuis longtemps ; à la suite d'une attaque, il a eu une
paralysie
du côté droit, suivie d'aphasie. — Un cousin germ
dans le service (3 octobre 1872), St... était, au point de vue de sa
paralysie
, de la parole et de l'intelligence dans la situat
s convulsions primitives ont été, dans ce cas, de courte durée, et la
paralysie
, au lieu d'atteindre son maximum dès le début, s'
u au plus quelques mois après Fétat de mal convulsif qui a produit la
paralysie
. Des symptômes précurseurs, constituant une vér
ffaiblissement paralytique des membres du côté droit. — Progrès de la
paralysie
sous l'influence des accès d'épilep-sie.— Aura. —
ement après des émotions et à Pepoque des règles. — Ni aliénation, ni
paralysies
, ni migraines dans la famille]. Pas de consangu
ssivement et l'intelligence semble avoir baissé peu à peu tant que la
paralysie
n'est pas devenue stationnaire. Autre particulari
tives à des nécroses. Est-ce là un accident qu'il faut rattacher à la
paralysie
? S'agit-il là d'une variété de troubles trophique
convulsions dont elle ignore la durée. Ces convulsions ont laissé une
paralysie
du côté droit du corps. Elle est restée alitée de
que le côté droit ; elles laissèrent après elles un certain degré de
paralysie
; l'enfant traînait la jambe droite. De 5 ans et
fant traînait la jambe droite. De 5 ans et demi à 6 ans et demi, la
paralysie
de la jambe droite ne s'est pas aggravée. Le memb
e si on me dénouait la jambe, » ensuite sentiment de pesanteur). — La
paralysie
des membres inférieurs, surtout du gauche n'a pas
Antécédents. — Début des attaques à 15 ans et demi. — Anes-thésie et
paralysie
du côté gauche. — Retour de la motilité et de la
res des attaques en juillet 1873. — Secousse?. — Tremblements, sauf-,
paralysie
, contracture de la jambe droite ; — contracture d
es ; il est en convalescence d'une pleurésie. [Son père aurait eu une
paralysie
. — Aucun autre accident nerveux dans la famille.]
is d'avril dernier, une série d'attaques aurait laissé après elle une
paralysie
du côté gauche du corps : L... ne pouvait pas se
it. Au bout de huit jours, L... aurait eu des attaques répétées et la
paralysie
, abandonnant le côté gauche, aurait passé à droit
et pourtant jamais elle n'a été réglée. Elle a été admise pour une
paralysie
de la sensibilité du bras droit et des attaques d
sur lesquels la malade refuse de donner des détails. 6 décembre. —
Paralysie
absolue de la jambe droite. La malade ne peut la
i a séparé la cinquième attaque de la sixième, on s'est aperçu que la
paralysie
de la jambe droite avait cessé, car la malade la
et l'allongeait. A onze heures, nous vérifions la disparition de la
paralysie
: X... se sert de sa jambe, dans laquelle il n'y
été nombreux et variés dans ce cas : secousses, tremblement, cho-rée,
paralysie
, crampes, contractures. a) Nous avons trop souv
) lorsque, à la suite d'attaques, elle a été affectée d'une véritable
paralysie
de la jambe droite. e) Vanestkésie, \d.parésie,
contracture. GhezV... (Observation I), il y avait habituellement mie
paralysie
de la vessie (d'où Y incontinence d'urine) et sou
40. o Œpophagisme, 190. Ouïe (Hallucinations de 1'), 224. P
Paralysie
hystérique, 113, 135; — guérison par les attaqu
aotisable et suggestionnable. On produisait chez elle, à volonté, des
paralysies
psychiques, des hallucinations sensorielles, etc.
œil comme pour le bras, d'un phénomène » d'inhibition qui produit une
paralysie
systématique (i) »: pour mon collègue et ami M. B
amaurose suggestive, de même que l'amaurose hystérique, n'est pas une
paralysie
systématique, mais une amaurose purement psychiqu
'œil, comme pour le bras, d'un phénomène d'inhibition qui produit une
paralysie
systématique », quand nous avons vu Camille, anes
honorable collègue M. Verriest. sur le»'paralysies par inconscience/
paralysies
, comme il le dit fort justement, souvent dues à u
la nature des troubles moteurs et sensitifs de cause psychique. Les
paralysie
» psychiques n'atteignent, comme on le sait, que l
s poursuivons, par une suggestion faite dans l'état hypnotique. Ces
paralysies
, dit le docteur Lober dans sa thèse d'agrégation,
hèse d'agrégation, présentent absolument les mêmes sj'mptùmes que les
paralysies
hypnotiques. Nous y trouvons, en effet, le début
y»térogènes, et enfin l'absence de toute participation de U face à la
paralysie
. Or, tous ces symptômes sont ceux que l'on trouve
es symptômes sont ceux que l'on trouve dans I hystérie confirmée. Les
paralysies
psychiques forment donc une variété des paralysie
rie confirmée. Les paralysies psychiques forment donc une variété des
paralysies
hystériques. L'analogie des contractures dévelo
ur qui. pour avoir un motif imaginaire, n'en est pas moins réelle, la
paralysie
, la contracture, l'hallucination, l'impulsion aux
er aux névroses convulsives, aux maladies à type cho-réique, ou à une
paralysie
quelle qu'elle soit. C'est le terrain par excelle
ri, on serait peu porté à croire que l'idée de feindre la paraplégie (
paralysie
des membres inférieurs pût germera un âge auquel
ed. itat-lomb.. t. XLVII. p. 161. Milano, 1887 (Un cas de guérison de
paralysie
hystérique par l'hypnotisme.) g. vivien : L'h
bien du coté des muqueuses que du côté de la peau. Il n'existe pas de
paralysie
, mais il est facile d'en provoquer et môme de les
en provoquer et môme de les faire durer pendant l'état de veille. Une
paralysie
dn bras et de la jambe gauches provoquée par sugg
reux dan» ces cas-là. Ni le morphinisme. ni l'aphonie nerveuse, ni la
paralysie
hystérique et les contractures ne figurent sur la
Suggestion. Deutsche med. Wchschr.. année XIV, n° 25, p. 511. 1888. [
Paralysies
fonctionnelles chez un plombier guéries par hypno
et et Féré, Pan-Kpd, Pitres, j'ai établi qu'il ne s'agit pas là d'une
paralysie
réelle, paralysie systématique par inhibition, co
d, Pitres, j'ai établi qu'il ne s'agit pas là d'une paralysie réelle,
paralysie
systématique par inhibition, comme on a dit pour
lie dans le Progrès médical une observation fort intéressante : Les
paralysies
étendues survenant après des traumatismes légers
la-lésion primitive et les phénomènes actuels, la distribution Je la
paralysie
, font penser a une manifestation hystérique et le
négatifs, sauf sur un point, de cet examen, le diagnostic porté est:
Paralysie
hystéro-traumatique du bras droit, incomplète ai-
Cataplasmes phéniqués. loco dolent!, et repo«. >i 'c lendemain la
paralysie
n'a pas cessé, j'avertis le malade que je la fera
parahA par suggestion. Le jour suivant, comme c'était à prévoir, la
paralysie
s'est accentuée, Ies-autres symptômes restant les
vulsive dans la jeunesse. D'autre par:. i rapidité avec laquelle la
paralysie
a été guérie par simple suggestion, outre qu'elle
tation, que des auteurs ont décrit des convulsions, des syncope*, des
paralysies
et de contractures persistantes, des accès épilep
n simulée. C'est assez dire que je suis à ses côtés pour repousser la
paralysie
réelle et systématique par laquelle MM. Féré et B
ystérique qui a été, il y a quelques mois, spontanément frappée d'une
paralysie
du côté gauche. Cette paralysie s'est progressive
ques mois, spontanément frappée d'une paralysie du côté gauche. Cette
paralysie
s'est progressivement et presque complètement dis
ents et sans dangers, car, tout à l'heure, nous ferons disparaître la
paralysie
par la suggestion, aussi aisément que nous l'avon
VATION V. Myélite chronique diffuse (sclérose en plaques fruste). —
Paralysie
flasque des membres inférieurs. — Anesthésie. — I
évidente et directe. Les principaux symptômes étaient, en effet, la
paralysie
flasque des membres ink-neurs, avec atrophie musc
t la substance grise de ce côté n'est guère atteinte. Les principales
paralysies
, celles du moins qui avant la suggestion étaient
e n'ait, pendant la vie, trahi cet état. En résume, les principales
paralysies
notées pendant la vie et avant la suggestion n'ét
oos tenons en effet, la preuve de ce fait important, qu'il existe des
paralysies
partielles, sine materia, dans une maladie manife
elles, sine materia, dans une maladie manifestement matérielle. Ces
paralysies
semblent être des troubles fonctionnels, surajout
on constatée. Si l'on nuus trouve trop affirmatifs en déclarant ces
paralysies
materia. ».n nous accordera qu'elles dépassent en
ons plutôt que cette influence s'est exercée particulièrement sur ces
paralysies
surajoutées, qui ne résultaient pas directement d
ient liées à l'ensemble de la perversion fonctionnelle. Ce sont ces
paralysies
-là, que la suggestion dégage en quelque sorte et
r à >'*§•*! ao «a avait fait «tnèae d-agrd«ati..n en 1KH6. sur le»
Paralysies
, contracture^ Stotos,d^re^s McÂJpsrMqm, Dan. ce t
vement. Il se passa un certain temps avant que je pusse vaincre cette
paralysie
par les plus vigoureux efforts. J'ai aussi rema
ivre de 35o pages avec de nombreuses gravures, édité en t886. De la
Paralysie
alcoolique, par KorsakofX; ouvrage !e plus comple
nté. F. Harez, Bruxelles, in-S*-. 1888. E. Mesnet. — Rapports de la
paralysie
générale et de la syphilis cérébrale. Masson, in-
de que chez certaines personnes cm pourrait provoquer de La sorte des
paralysies
, des anesthésies et des hyper-esthésies durables,
; on a cru sans doute que par anesthésie nous entendions parler d'une
paralysie
vraie, d'une destruction de la sensation et de la
âgé de quarante-quatre ans, qui, depuis quatre ans, était atteint de
paralysie
agitante, lorsque j'eus ridée d'essayer sur lui l
1880, la maladie se caractérisait d'une faooa des plus typiques comme
paralysie
agitante. Outre le tremblement si caractéristique
tion considérable qui a été obtenue sous mes yeux. Le diagnostic de
paralysie
agitante m'a semblé hors de doute. Cependant, j:
ré tout, de mettre un point d'interrogation derrière le dikgnostic de
paralysie
agitant?. Pour qu'un de ¦os collègues ait pu port
l fallait, ce me semble, que le cas fût douteux, car le diagnostic de
paralysie
agitante s'impose pour ainsi dire, de lui-même, q
uve en face d'un cas au-pen tique. Au surplus, les cas bien nets de
paralysie
agitante ne sont pas rares, et M. Luys pourra fac
s la première leçon, le professeur a fait l'étude des symptômes de ht
paralysie
générale. Dans la seconde, il a parlé des applica
tous les médecins qui s'intéressent à la question de l'hypnotisme.
Paralysies
hystéro-traumatiques. Dans une des récentes leç
par M. le professeur Charcot, notre éminent maître a étudié un cas de
paralysie
hystéro-traumatique survenu dans des conditions t
e à l'Institut Pasteur. Pendant te traitement, elle a été prise d'une
paralysie
du membre mordu, laquelle persiste encore mainten
e mordu, laquelle persiste encore maintenant. Les caractères de cette
paralysie
sont des plus nets. L'anesthcsie commence au-de
st un phénomène nouveau chez elle. M. Charcot cite encore un cas de
paralysie
du même ordre survenu chez un ouvrier à la suite
près quelques jours d'engourdissement, il se produisit une véritable"
paralysie
caractérisée, comme la précédente, par t'anesthés
lui, le champ visuel présente aussi la même altération. Ces formes de
paralysie
doivent être traitées le plus {rapidement possibl
ue Ton voit dans l'hypnotisme lorsqu'on guérit de la même manière une
paralysie
que l'on a produite artificiellement. Mjîs, pour
pendant l'hypnose, l'invasion suggérée d'une rougeur à la peau, d'une
paralysie
flasque, et surtout ces faits si curieux, doni je
résente pas dans sa famille d'antécédents nerveux bien neis, sauf une
paralysie
agitante qui aurait affecté sa grand*mère materne
e une contracture avec anesthésie de la main chez une hystérique, des
paralysies
multiples chez une autre : ailleurs, une aphonie,
oi-disant psycho-moteurs des membres dans un hémisphère cérébral sans
paralysie
aucune comme conséquence. SOCIÉTÉ DE BIOLOGIE
s la chorée, j'ai eu un échec et plusieurs améliorations. Dans la
paralysie
agitante, l'action de l'hypnotisme a toujours été
par Delbceuf, 66. Ouvrages de Reichenbach, par A. de Rochas, 364.
Paralysie
agitante ancienne améliorée par les miroirs rotat
gitante ancienne améliorée par les miroirs rotatifs, par Luys. 314.
Paralysie
hystêro-traumatique, par Charcot, 316. Percepti
ique une force muscu- laire moindre. Mais cependant il n'y a pas de
paralysie
ou de parésie sys- tématisée dans tel ou tel do
us forme de réaction anormale par excitation vasodilatatrice ou par
paralysie
vasoconstrictive. L'oedème est produit. La réac
uellement. Il n'y eut à aucun moment de symptômes attribuables à la
paralysie
générale, telle qu'elle évolue chez l'enfant (1
ussi, qu'à côté de l'ostéopériostite simple (1) V. Ou. THIRY, De la
paralysie
généiole pi agressive dans l'enfance, Thèse de
nt t parfois sur des cerveaux syphilitiques et qui caractérisent la
paralysie
générale associée à la syphilis cérébrale. En
aux sont conservés. ' La marche et l'équilibre sont normaux. Pas de
paralysie
. La force muscu- laire est normale et même au-d
lé d'une famille dont le père est mort dans une maison d'aliénés de
paralysie
générale d'origine syphilitique ; la mère contami
re externe de l'oeil semble intacte. 0 D : V = 1 avec -I- 1,50 D.
Paralysie
complète de l'accommodation et du sphincter de
D. Paralysie complète de l'accommodation et du sphincter de l'iris.
Paralysie
incomplète du droit supérieur et du droit interne
omplète de l'accommodation et du sphincter de l'iris à droite, avec
paralysie
incomplète du droit supérieur et du droit interne
vestiges angiomateux les plus nets. Aux douleurs avaient succédé la
paralysie
, puis plus tardivement on constata de l'atrophi
ère, diminution de la force au dynamomètre. , Membres inférieurs.
Paralysie
complète, fiasque. Réflexes rotuliens exagérés.
bésie en aires. Pas de dissociation de la sensibilité. SPHINCTERS.-
Paralysie
quelques jours après l'entrée. C'était en somme
ntraire de la conception clinique d'une contracture hystérique. Les
paralysies
et les contractures hystériques supposent, si on
els, comme cela arrive sinon toujours, au moins fréquemment dans la
paralysie
agitante. SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCU
kinson, en un mot, nous ne croyons pas que ce soit un cas précis de
paralysie
agitante. Cependant nous ne sommes pas bien cer
pas quelques rapports entre le trouble présenté par ce malade et la
paralysie
agitante. L'année dernière, M. Alquier, interne
y ait chez notre malade une prédisposition et une préparation à la
paralysie
agitante; mais il ne nous semble pas que l'on p
siques et moraux qui sont différents de ceux de l'hystérie ou de la
paralysie
agitante proprement dite, mais qui ont cepen- d
stérique, de même si nous faisions de ce tremblement un symptôme de
paralysie
agitante, il faudrait songer à toute l'évolutio
de rétrécissement de la fente palpébrale ni du champ visuel, pas de
paralysie
des muscles moteurs de l'oeil, ni de troubles d
ntre un trouble fonctionnel du membre su- périeur et une affection,
paralysie
parcellaire ou parésie, du plexus brachial droi
'agit-il d'une névrite périphérique ? La symétrie des phénomènes de
paralysie
est également la règle dans ce cas ; dans le type
qui atteint les membres inférieurs (pseudo-tabes alcoolique), ni de
paralysie
sa- 224 RUDLER turnine, mercurielle ou arseni
nt symétriques ; - une affection localisée à un nerf périphérique :
paralysie
du médian, avec la flexion de la main sans forc
te de la discussion attribuerait plus justement dans l'hypothèse de
paralysie
, au nerf sous-scapulaire innervant le muscle sous
ns l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; sa
paralysie
entraîne l'abolition de cette fonction de rotatio
dorsal, nous condui- sent à examiner l'hypothèse d'une altération,
paralysie
parcellaire ou parésie du plexus brachial, type
laard, Brissaud, t. VI, p. 835 et suiv. ; et la symptomatologie de la
paralysie
radi- culaire du plexus brachial dans Collet, P
tion du soldat au port d'arme, attitude attribuée par Hallion à une
paralysie
du grand dorsal suppléé dans^se» fonctions par
onctions par l'action du rhomboïde et du trapèze). Cette hyp§t4W"dé
paralysie
parcellaire du plexus brachial .incomplète du fai
ue cette observation puisse être rappro- chée du cas de Giraudeau :
paralysie
des muscles sus- et sous-épineux, sans troubles
u'un phénomène secondaire. De plus, quelle serait la cause de cette
paralysie
parcellaire du plexus brachial, respectant les mu
mettre l'index droit sur le bout du nez. Il n'y a d'ailleurs aucune
paralysie
ni aucune atrophie musculaire à droite. A gauch
bellius, etc.) se ran- gent avec Raymond pour soutenir que tabes et
paralysie
progressive sont une seule et même maladie domi
rcent de différencier du tabes vrai les lésions tabétiformes de la'
paralysie
progressive. Mais quelle est donc la raison d'u
as tabétiques vrais des tabétiformes d'une part, et, de l'autre, la
paralysie
générale proprement dite des pseudo-paraly- sie
ent la théorie dualiste disent que les symptômes tabétiformes de la
paralysie
générale sont moins nets et moins constants dan
t seulement diminués. Quelqu'un a noté que le syndrome spinal de la
paralysie
générale est moins xvi 19 274 curioni stabl
corticaux (Raymond). Garbini dit que les lésions anatomiques de la
paralysie
générale pottabétique sont celles du labes et d
de la paralysie générale pottabétique sont celles du labes et de la
paralysie
générale unies ensemble. Rabaud soutient que da
bétique différente clinique- ment et anatomo-pathologiquement de la
paralysie
générale proprement dite ? Il y a des auteurs
'on peut écarter l'alcoolisme ou le morphinisme, on doit songer une
paralysie
générale associée (Per- père). Mais puisque n
es tabétiques qui, pendant la vie, n'ont pas présenté les signes de
paralysie
générale et qui, à l'autopsie, ont montré les s
examen clinique pour accepter ou rejeter les formes de tabes et de
paralysie
associés : la réponse doit être donnée par l'ex
opique. Y a-t-il des altérations histologiques qui caractérisent la
paralysie
générale ? Jendrassik en 1888, Strümpell en 1
elles et une prolifération de la névroglie analogues à celles de la
paralysie
générale, et localisées spécialement dans les c
o-paralysies tabétiques a peu d'importance, car on sait que dans la
paralysie
générale légitime on rencontre des lésions dans l
aire que Perpère considère comme le critérium pour diagnostiquer la
paralysie
générale, n'ont aucune valeur décisive, quand o
é, oedème des malléoles, température 40, mort. Diagnostic. Tabes,
paralysie
générale, pleurésie droite, insuffisance- aorti
les lésions histopatholo- giques cérébrales sont bien celles de la
paralysie
générale classique de cer- tains auteurs, étant
cun critérium péremptoire qui vaille vraiment pour caractériser une
paralysie
générale unique et bien définie, d'autant que Kli
admettent que le parenchyme cérébral est le premier atteint dans la
paralysie
générale; d'autres, comme Anglade (de Toulouse)
aralytiques, n'a aucune importance pour affirmer qu'il s'agit d'une
paralysie
générale post-tabétique, car on a observé des c
binski)], ne serait-il pas bon de se demander si dans les formes de
paralysie
générale et de tabes (oupseudo-tabes, si l'on veu
nistes et Neurologistes de Bruxelles, août 1903) pour les formes de
paralysie
générale, a apporté et apportera de nouvelles lum
rester debout ou de marcher. De même qu'il peut y avoir amnésie ou
paralysie
fonctionnelle d'un centre correspondant à la ma
entre correspondant à la marche, de même il peut y avoir amnésie ou
paralysie
fonctionnelle de l'acte de s'asseoir et de rest
sis. Aussi peut-on certainement observer chez les hystériques cette
paralysie
systématisée de l'acte de s'asseoir et de rester
l est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de
paralysie
des muscles du tronc (1). A de certains moments
as de paralysie des muscles du tronc (1). A de certains moments, la
paralysie
était incomplète et la malade pouvait se retour
y a là beaucoup plus d'im- pulsion à des mouvements inutiles que de
paralysie
systématique ; 4" ce qui détermine cette impuls
sant voir les cas d'akathisie hystérique causée par l'amnésie ou la
paralysie
fonctionnelle à l'instar de l'astasie-abasie hyst
cation que je veuille expliquer mon premier cas par l'amnésie ou la
paralysie
fonctionnelle. En y constatant simplement l'hys
ans l'esprit uniquement l'astasie-abasie causée par l'amnésie ou la
paralysie
fonctionnelle, mais l'astasie-abasie en général
e que je voudrais identifier l'akathisie hystérisque, causée par la
paralysie
, comme MM. Ray- mond et Janet la décrivent, ave
a suite de cette opération, les troubles moteurs sont limités à une
paralysie
des muscles opposant du pouce et court abducteur.
re alcoolique continu ; ce dernier surpasse même sous ce rapport la
paralysie
générale, la mélancolie, la manie, la folie cir
de Moscou, ont pu établir que la prédisposition héréditaire dans la
paralysie
générale (1) était de 75 p. 100, clans la mé- l
'arl, p. 198-204 (2 phot., 4 fig.). Henry Meige, Les faciès dans la
Paralysie
glosso-labio laryngée, p, 319-380 (1 phot.).
rsal (3 pl., 2 sché- mas), par BRISSAUD et Bruandet, 73. Tabes el
paralysie
générale (2 pl. en pho- tocollogr.), par F. Cun
pathie de l'épaule (BRISSAUD et BRUANDET), XIV, XV, XVI. Tabes et
paralysie
générale (CURIONI) LIV, LV. Tibia en fourreau
entraînerait de tels troubles dans la nutrition des membres, que la
paralysie
d'abord et bientôt le sphacèle en seraient la c
rvi de base à de nouvelles méthodes thérapeutiques (déplacement des
paralysies
, des contractures, etc.). Elle a permis d'étend
es couches corticales dans les lobes cérébraux sans dé- terminer de
paralysie
ni d'anesthésie persistantes : l'idiotie seule
i y soient mentionnées sont la manie, la mélancolie, la démence, la
paralysie
générale, l'idiotie et l'imbécillité. Beaucoup
permet pas au De SAVAGE de lire un mé- moire « Sur quelques cas de
paralysie
générale » qui figurait à l'ordre du jour. (7'y
- ristiques sont : l'anesthésie de la peau, l'hyperesthésie et la
paralysie
des muscles, l'anasarque, les palpitations, des m
bial antérieur, à l'extrémité des doigts et autour de la bouche. La
paralysie
occupe, à des degrés variables, certains groupe
il existe une certaine gêne de la respiration, duc probablement àla
paralysie
des muscles du tho- rax, et des palpitations, q
ution rapide des liquides de l'économie et par l'augmentation de la
paralysie
et de l'atrophie musculaires. Le béribéri peu
peut quelquefois offrir des formes frustes, avec atténuation de la
paralysie
, par exemple, et être caractérisé presque exclu
ie dite ataxique) et enfin ceux de MM. Fùrstner et Reinhard (cas de
paralysie
générale avec hémiopie). M. Kùssmaul a attiré
t-cinq ans, devint aphasique à la ? suite d'une attaque non suivie de
paralysie
. Les premiers jours 3 après l'attaque, elle ne
Fritsch. - Mme X..., aphasique sans présenter aucun phénomène' de
paralysie
, entend les moindres bruits, mais ses réponses ne
'apoplexie avec perte de connaissance, chute dans la rue, mais sans
paralysie
à la suite. Amené à l'asile, il répond à toutes
erte de connaissance a seize ans; accès comateux répétés, suivis de
paralysies
partielles'; crises gastriques; paraplégie ; at
ire d'extension dans l'articulation du poignet. Il n'y avait pas de
paralysie
des muscles des bras ou des épaules ; il n'y av
d'une crise de ce genre, plus violente que les précédentes, que la
paralysie
se manifesta dans les membres inférieurs. Cette
torze autres ? huit ont 'présentera un'1 degré quelconque,' de la
paralysie
? treize de' la douleur,"et celle-ci était du car
e incurvation compensa- trice. Il ne peut s'agir non plus ici d'une
paralysie
faciale ni d'une atrophie musculaire de l'enfan
qui a trait à certaines convulsions isolées qui hantent parfois les
paralysies
spasmodiques; rarement justiciables des réflexe
dante : ; myélite par., compression, tabès). Aussi, chaque fait, de
paralysie
,spasmodique devra-t-il toujours mériter^une analy
50 REVUE.DE pathologie NERVEUSE. VIII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE la
paralysie
spinale SPASMO- DIQUE, par le Dr Richard SCHULZ
cérébral et les portions avoisinantes de l'hémisphère droit, de la
paralysie
des nerfs REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 1
phénomènes inflamma- toires prennent un caractère d'acuité. Pour la
paralysie
géné- rale, notamment, les quatre observationsp
xactement à la compression des différents nerfs. Ptosis, strabisme,
paralysie
et anesthésie faciale, altéra- tions,de la papi
nir debout. L'hébétude ne fait que croître. Enfin, à la suite d'une
paralysie
complète du côté gauche accompagnée de con- tra
'affection : neuf mois. Le diagnostic n'avait à hésiter qu'entre la
paralysie
progres- sive des aliénés et une lésion cérébra
halalgie, la démarche bien différente de celle des paralytiques, la
paralysie
se généralisant à tout le côté gauche, y compri
Ltt'uup il uf|i- -.J tu ? tur. ? ? fit /'ii8d' f· a9 Pd'q^f XIV.'
PARALYSIE
LABIO-GLOSSO-PHARYNGÉE d'origine cérébrale 53'A
ment de salive, des signes de parésie buccale des deux côtés,'de là
paralysie
'de la 'langue et du voile, dû palais, de l'orb
noyau lenticulaire du côté droit auquel M. Kirchhoff attribue la
paralysie
labio-glosso-pharyngée et la bilatéralité des sym
nse' que' l'on peut déterminer des localisations cérébrales par les
paralysies
limitées ; on peut également rechercher le sièg
; ? ' ^-Tinin.in'rp.T rp rr rt, q ? t. t ? .... de la mort a été la
paralysie
des muscles respiratoires par com- pression bru
on thera- - peutique aussi fidèle, (deux cas de démence aiguë et de
paralysie
,(générale.de longue, dûrée2malgréason, ingesti
stfdu ^derniej, point, qu'enK8, 8 ça d'aliéna,tion dediYers.ordres(
paralysie
7... générak , démençe^énikj manie) péripdiqu
es V remissions paraissent de- beaucoup plusMiréquentesT dans' la
paralysie
générale héréditaire ; 'sur 16 'cas' de dispariti
? 100,;rI11 sém)3lérâit,,egâlé mént , découler àe, es études que la
paralysie
générale héréditaire, si , elle dure longtemps,
s les psychoses d'ordres divers (mélan- colie', monomanie' exaltée,
paralysie
progressive), il en est qui constituent la'mani
comprend pas les idiots, entraîne la conclusion' que c'est dans la
paralysie
générale que l'on rencontre le moins de malfornza
s ont déterminé constipation ' et ' rétention ' d'urine opiniâtres (
paralysie
des sphincters par intoxication). ? m ' ;l '' ?
eur ani- male. [Expériences 33 à 38); ce résultat ! paraît dû à une
paralysie
vaso-motrice». Cette action dépend d'un centre;
fs et subits, comme le rhumatisme cérébral, peuvent 'être dus à une
paralysie
complète des centres nerveux qui président tant
crit une pseudo-para- lysie e potu. 1 ' ' BIBLIOGRAPHIE. 305 La
paralysie
générale se manifeste un peu plus tôt chez les al
un embarras de la parole extrêmement prononcé. , En^outre, dans la
paralysie
générale des alcooliques, les rémissions sont plu
faits de/névralgies symétriques, signalés par M. Worms, un fait de
paralysie
du bras droit et quelques obser- 20 306 BIBLI
vies, 282. Alcoolique (épilepsie), 268. Alcooliques (marche de la
paralysie
générale chez les), 304. Alcoolisme aigu simu
les), lai, Reinhard, 277, 29G; (prédisposi- tion héréditaire, et
paralysie
pro- gressive des, parliendel, 250; - (Étude
é du Japon, par D.-B. Sim- mons, 140 : ' Labio-glosso-pharyngée (,
paralysie
il, d'origine cérébrale à,foyer uni- -* latér
vertiges "dans les lésions de l'),, pansa- giiisky,'267. - .191
Paralysies
progressive des aliénés j (prédisposition m hér
aralysie générale (marche défila) , chez les alcooliques, 304.. z
Paralysie
spinale et spasmodique, 4 parSchultz, 250. · '
euse morte à 50 ans d'un asthme, peu nerveuse, son père est mort de
paralysie
, en un jour; sa mère est morte jeune; une tante
mois; pen- dant son séjour à l'hôpital, il se serait développé une
paralysie
du côté droit (bras et jambe); il fut ensuite e
couvreur en paille, mort à 67 ans, on ne sait de quoi, mais sans
paralysie
, ni démence, il ne faisait pas d'excès de boisson
inclinée sur l'épaule droite. Bras droit : pas de rigidité, pas de
paralysie
. Bras gauche, même état, mais les secousses y s
fléchissent les orteils avec petites secousses des membres ; pas de
paralysie
; pas d'exagéra- tion du réflexe tendineux ; se
ts de dents. T. R. 41°. 6 mai. Situation à peu près la même. Pas de
paralysie
, pas de contracture, mais légère raideur du cou
dents. Nystagmus ; pupilles égales et modérément dilatées. Pas de
paralysie
, pas de contracture des membres L'en- fant tous
la droite parait un peu plus grande que la gauche. Ni raideur ni
paralysie
. T. R. 39°;8. - Soir : T. R. 40°. 10 mat. Même
ants dans les deux poumons, principalement à la hase gauche. Pas de
paralysie
; pas de raideur dans les ar- ticulations, pas
ide, haleine infecte, rien à la gorge. - Pas de contracture ni de
paralysie
. - Battements du coeur assez forts, réguliers. Un
RACTURE DU CRANE. 115 supérieurs, mais pouvant être vaincue. Pas de
paralysie
: pas de vomissements; constipation opiniâtre.
istaxis, incontinence nocturne d'u- rine. Première attaque Ù 8 ans.
Paralysie
(lén6- ralisée consécutive aux attaques (13 ans
mbres inférieurs ; suspension des atla- ques. Guérison subite de la
paralysie
des membres supérieurs ; guérison graduelle de
au lit. il était souvent fouetté par les soeurs : (1 en hiver 124 i
PARALYSIE
HYSTÉRIQUE. même on me mettait le derrière dans
de 13 ans; à la suite de l'une d'elles, il aurait été atteint d'une
paralysie
qui, débutant par les membres inférieurs, aurai
e bien plus lente- ment. Les attaques, qui avaient cessé pendant la
paralysie
, ont recommencé après sa guérison. Sorti de l
excès alcooliques et vénériens. Les attaques se com- pliquent d'une
paralysie
généralisée. En quoi a consisté l'oedème des me
e d'être rattaché à cette affection. Considérée en elle-même, cette
paralysie
nous sem- ble bien être de nature hystérique. E
oituie),s ; Amsterdam, 1,700, p. 240. VIL Deux cas probables de
paralysie
toxique con- sécutive aux inhalations prolongée
sement des membres infé- rieurs qui s'est bientôt transformé en une
paralysie
complète. A quelle cause fallait-il rattacher c
isseuse, morte à 58 ans, en 8 jours, d'une affection cérébrale avec
paralysie
de la langue sans para- lysie des membres ; suj
e l'eau froide, il fait une grimace, mais pas de mouvements ; des
PARALYSIE
TOXIQUE. 139 deux côtés, exagération du phénomè
rononcées, égales; sillons sous-orbi- taires assez profonds : 140
PARALYSIE
TOXIQUE. Système musculaire assez développé ; i
ids et la taille, p. 58). - Les accès ont eu la marche suivante :
PARALYSIE
TOXIQUE. 141 1 La paraplégie paraît s'être déve
marche ci-après : 148 PARAPLÉGIE TOXIgUE. celle des ataxiques. La
paralysie
a diminué peu à peu et, àla fin de l'année, Sch
x éléments à ceux qui voudraient entre- prendre une monographie des
paralysies
toxiques et non pas accomplir nous-même cette t
s paraplégies et l'ataxie du mouvement ; Paris, 1834. Lancereaux. -
Paralysies
toxiques et syphilis céré- brale, 1882. VIII.
m’avaient abandonné depuis plus de deux ans. » L’hypnotisme et les
paralysies
psychiques motrices. par le Dr Edgar Béhillon.
al de l’état hypnotique, c’est celui qui a été désigné sous le nom de
paralysie
psychique motrice. En effet, de tous les phénom
paralysé par une idée exprimée, c’est-à-dire par suggestion. Que ces
paralysies
psychiques soient obtenues chez un sujet préalabl
lement le premier degré de l’état d'hypnotisme. La production de la
paralysie
psychique constitue donc une limite beaucoup plus
pnotiques peuvent être conscients ou inconscients. L’apparition de la
paralysie
psychique chez un sujet est un phénomène dont il
émoin passif et indifférent. Il est même curieux de constater que ces
paralysies
psychiques suggérées n’étonnent ni n'effraient le
ce en vous et elle pense bien que vous saurez la débarrasser de cette
paralysie
que vous venez de lui donner. Mais faites-lui la
ance plus éloignée. Si, par exemple, demain elle se réveille avec une
paralysie
que vous lui aurez suggérée aujourd’hui, elle ne
plus vite, par la suggestion hypnotique, leurs contractures ou leurs
paralysies
? M. Font ajoute : « On ne traitera jamais un n
le ou bégaie d’autant plus. » M. Duprat rapproche le bégaiement des
paralysies
psychiques ou incapacités motrices qui tiennent s
rtout à un défaut de synthèse mentale. « On supprime, ajoute-t-il,des
paralysies
psychiques par suggestion,on pourrait en faire au
ive : Anéncrgie : aboulie, hyperboulie. Hallucination impérativc;
paralysie
psychique. Impulsion; automatisme; illusion d’a
sa marche est trépidante. On a, à propos de cette femme, pensé à la
paralysie
pseudo-bulbaire; or, il ne s'agit pas d’affection
atrique de Moscou, un traité complet de psychiatrie, un volume sur la
paralysie
alcoolique, une importante étude sur l’alitement
ent plus rien. (I) D'« Azoulay et Reqxault. De rautomatisme dans la
paralysie
générale. Société de biologie, août 1892. Si
7. (*) Ces miracles peuvent même être, non seulement la guérison de
paralysies
, contractures hystériques, mais encore la guériso
es états hypnotiques. Des premières, on peut donner comme exemples la
paralysie
hystérique des chats, le tremblement héréditaire
ne sait comment expliquer ce phénomène et il songe sérieusement à une
paralysie
des membres inférieurs. Je l'hypnotise et il me
mputé : par contre, c'est par centaines qu'on trouve des guérisons de
paralysie
... « Les sanctuaires se ressemblent tous, son
psychiatrie). — Sur l'origine onirique de certains délires dans la
paralysie
générale, en collaboration avec le Dr Lalannc. (C
uses sont expliquées par la suggestion (‘) Convulsions, contractures,
paralysies
, douleurs, et en général toutes les manifestation
t l’ulcère commence à se refermer. La nuit suivante, guérison de la
paralysie
; le membre redevient chaud et mobile ; la marche
mple,) et y reste jusqu’à ce qu’on le déplace. Pourtant il n'oiïre de
paralysie
d’aucun muscle. C’est la volonté qui fait défaut.
démie de Médecine, sans compter ses statuettes de malades : myxœdèmc,
paralysie
agitante, paralysie labio-glosso-phaiyngée, myopa
ans compter ses statuettes de malades : myxœdèmc, paralysie agitante,
paralysie
labio-glosso-phaiyngée, myopathie, que devraient
malade au traitement suggestif. Le symptôme le plus marqué était une
paralysie
de l’accommodation en dehors de l’emploi de tout
e de l’accommodation en dehors de l’emploi de tout mydriatique. Cette
paralysie
de l’accommodation, qui est un des symptômes les
pothèse que les anesthésies sensorielles et sensitives, ainsi que les
paralysies
mo-irices chez les hystériques, résulteraient du
’est ainsi que, dès 1805, René Lépine expliquait les anesthésies, les
paralysies
hystériques et le somnambulisme, par la rupture d
l’amiboïsme des neurones explique non seulement les anesthésies, les
paralysies
hystériques et le somnambulisme, mais tous les sy
’hypnose. Ils présentaient de l’amnésie au réveil. OdservatîON' I. —
Paralysie
, chef une hystérique hypnotisable, des sentiments
fera s’aggraver une anesthésie ou apparaître un tic, une chorée, une
paralysie
, une contracture chez un hystérique. Et d'autre p
ainsi que se produisent l'anorexie par défaut d’alimentation, et les
paralysies
par séjour au lit chez les hystériques. Et c’est
ttribue la polyopie monoculaire hystérique à une contracture ou à une
paralysie
des libres musculaires de l’accommodation, et à l
asis à tous les tracas, ennuis et tristesses qu’il eut à supporter.
Paralysie
de nature hystérique des membres inférieurs chez
tent le degré superlatif de l’aphonie hystérique ; ils comportent une
paralysie
fonctionnelle de tout l’appareil de l’articulatio
ique, est celui auquel on a donné le nom de copiopsie ; c’est une
paralysie
subite et très douloureuse de l'accommodation. Un
elle décharge. Hyperamiboïsme des neurones de mouvement. I. — Les
paralysies
hystériques. Dans le réflexe complet à sommet c
o-psychologique. Ce qu’on appelle l’aboulie hystérique n’est qu'une
paralysie
des mouvements complexes. Elle correspond à la ré
ones supérieurs de mouvement qui sont en état de rétraction, on a une
paralysie
s’étendant à tous les actes (aboulie proprement d
aralysie s’étendant à tous les actes (aboulie proprement dite) ou une
paralysie
n’intéressant que certains actes déterminés. C’es
exes qui auront disparu mais les mouvements simples, et l’on aura une
paralysie
portant tantôt sur une moitié du corps (hémiplégi
donné tous les neurones moteurs sont en état de rétraction, on a une
paralysie
. S’ils ne le sont pas tous, on a une parésie. Com
ffit d'une attention {ad tendere) des neurones rétractés pour que les
paralysies
hystériques disparaissent. II. — Les secousses
Les secousses peuvent aussi disparaitre pour laisser à leur place une
paralysie
, si les neuro-diélectriques augmentent suffisamme
e propension aux contractures. On voit par ce qui précède que les
paralysies
hystériques correspondent aux amnésies et aux ane
maladies nerveuses et mentales, de la méningite hypertrophique, de la
paralysie
infantile, des atrophies musculaires, des névrite
u reste ceux qu’il a publiés depuis sur les maladies mentales, sur la
paralysie
générale et sur l'intoxication par l’acool. C’e
succomber à des brûlures superficielles et peu étendues. C’est à une
paralysie
du cœur par shock physique qu’on attribue d'ordin
e intitulée : « Recherches sur les lésions du système nerveux dans la
paralysie
ascendante aiguë ». L’auteur, y exhumant les impo
tomique pour ses Recherches sur les lésions du système nemeux dans la
paralysie
diphtérique. Chef de clinique en 1879 à l’hôpital
logiques de l'), par Ch, Binet-Sanglé, p. 8. Hypnotisme (L') et les
paralysies
psychiques motrices, par Bérillon, p. 22. Hypno
gestion pendant le sommeil naturel, par Pau de Saint-Martin, p. 52.
Paralysie
de nature hystérique, par Audry, p. 313, Parole
Hyperesthésies hystériques, 321. Mypermnésies hystériques, 324.
Paralysies
hystériqes, 326, 327. Rétraction combinée des n
I, p. 346 et suiv. De même pour M. Babînski, les anesthésies, les
paralysies
flasques, les contractures, la catalepsie sont de
al de l'état hypnotique, c'est celui qui a été désigné sous le nom de
paralysie
psychique motrice (1). Remarquons en passant qu
m de paralysie psychique motrice (1). Remarquons en passant que ces
paralysies
, lorsqu'elles se développent en dehors de toute e
s dans des ouvrages d'hyp- (1) M. E. Bërillox : L'hypnotisme et íes
paralysies
psychiques motrices. Revue de l'hypnotisme, !5* a
dans la main et je lui suggère que son bras est paralysé et que celte
paralysie
réapparaîtra dès qu il aura dans la main un verre
ns la main un verre rempli d'une boisson alcoolique quelconque. Cette
paralysie
psychique se reproduit quand le malade a dans la
e ; il est dur, indolore; il se superpose à des contractures ou à des
paralysies
; il va de pair avec des troubles de sensibilité.
'air et nous lui suggérons l'apparition dans ses bras d'une véritable
paralysie
psychique. Nous lui affirmons que lorsque l'impul
rmons que lorsque l'impulsion à céder à l'onanisme se manifestera, la
paralysie
dont il est l'objet se reproduira immédiatement e
on ne croyait par l'idée pouvoir guérir que des idées: contractures,
paralysies
, anesthésies, etc., dépendant d'un trouble d'idéa
les appartiennent ces malades, j'ai noté surtout les convulsions, les
paralysies
infantiles, la méningite, l'hystérie et Pépilepsi
vocaux sont seules troublées: ces troubles sont liés à l'existence de
paralysies
, d'ordinaire bilatérales, susceptibles de varier
ns à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Un guérisseur de
paralysie
au XVIIIe siècle. Dans les Nouvelles, petite ga
« On voit ici (à Paris) le détail des trolscures extraordinaires de
paralysie
faites par un particulier demeurant rue Tiquetonn
s la rue St-Xicaise, affligée depuis 3 ans et 7 mois d'une si cruelle
paralysie
qu'on était obligé de la porter, parce qu'elle ne
souvent un cheval victime d'un accident a présenté une boiterie, une
paralysie
sans qu'aucun symptôme apparent pût expliquer d'u
d'observations de ce genre. Le Dr Hygyer nous cite un autre cas de
paralysie
hystéro-traumatique. Un chat, âgé de neuf mois,
mbes. Du coup cette nouvelle émotion l'avait complètement guéri de sa
paralysie
sensitivo-motrice. Je me souviens de plusieurs
nifiantes suivies d'accidents hystériques graves, le plus souvent une
paralysie
ou une contracture. Les accidents arrivés depui
ises hystériques, ces fureurs de chiennes inassouvies, accompagnés de
paralysies
, d'anesthésies partielles et que à tort on qualif
te nourriture, spasmes cloniques et toniques des membres et du tronc,
paralysie
de la vessie et attaques classiques de grande hys
s, car l'évangile nous dit qu'ils étaient possédés du démon ('). La
paralysie
est une des manifestations hystériques les plus c
... Une année s'écoula, a M. X... arrivé à la troisième période de sa
paralysie
générale, était « alité constamment. Je constatai
met-Saroslak, en Carinthie, alitée depuis dix ans par suite d'une
paralysie
, eut une telle frayeur en voyant la foudre pénétr
s les grandes manifestations de l'hystérie, les crises nerveuses, les
paralysies
, les contractures, les anesthé-sies. Quels en son
enir des guérisons par suggestion. Déclarer à un malade atteint d'une
paralysie
psychique que ce trouble est purement imaginaire,
ens que tous les grands accidents hystériques, toutes les variétés de
paralysies
, de contractures, d'ancsthésies, toutes les forme
oduire chez un grand hypnotique l'hémiplégie faciale périphérique, la
paralysie
radiale vulgaire, lé sujet en expérience, quelle
culaire d'où dérive la déformation caractéristique de la face dans la
paralysie
du nerf facial ; il sera incapable aussi de disso
bras l'action du longsupi-natcur de celle du biceps, comme le fait la
paralysie
radiale. De même que tous les grands accidents
omadaire. (1) Voir à ce sujet :. De ratrophie musculaire dans les
paralysies
hystériques, par J. Babixski, Travail publié en .
ifs, de beaucoup les plus importants, du reste, les anes-thésies, les
paralysies
, les contractures, les crises, etc., qui sont sus
tivement ; la suggestion ne peut la faire naître ; elle est liée à la
paralysie
ou à la contracture hystérique qu'elle ne précède
ait de la D R; aucune autre cause que l'hystérie ne peut produire une
paralysie
de ce genre ; mais si nous sommes arrivés à cette
exemple, on n'avait observé qu'une seule fois l'amyotrophie liée à la
paralysie
hystérique, malgré l'apparition de l'atrophie mus
ition de l'atrophie musculaire très peu de temps après le début de la
paralysie
et la disparition rapide de l'atrophie suivant de
sparition rapide de l'atrophie suivant de très près la guérison de la
paralysie
, il eût été impossible d'affirmer l'existence d'u
nets où une exagération des réflexes tendineux aurait accompagné une
paralysie
hystérique et aurait disparu après la guérison, q
ai autant du phénomène des orteils, de l'immobilité pupillaire, de la
paralysie
limitée au territoire d'un nerf, comme, par exemp
la paralysie limitée au territoire d'un nerf, comme, par exemple, la
paralysie
du moteur oculaire commun ou la paralysie du mote
erf, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la
paralysie
du moteur oculaire externe. Les observations de c
aude Baudrand, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir ici les
paralysies
et les contractures des muscles du larynx, qui on
mmutation électrique, fait disparaître instantanément contractures et
paralysies
. L'émotion ou mieux la cause émotionnelle n'agit
'hystérie, car on a vu subsister, après les crises, épileptoides, des
paralysies
transitoires, hémiplégies ou monoplégies. Les réf
aire ou morbide, depuis le bâillement suggéré jusqu'au spasme ou à la
paralysie
imitatifs (croup, épilepsie, paraplégie, etc.). Q
ous citerons parmi les plus fréquents : a) Troubles de la moiilité;
paralysies
des membres, paralysies oculaires, mutisme, aphon
lus fréquents : a) Troubles de la moiilité; paralysies des membres,
paralysies
oculaires, mutisme, aphonie nerveuse, bégaiement,
ui l'ont soigné jusqu'à présent. Ils se sont crus en présence d'« une
paralysie
générale progressive au début ». Après avoir fait
cette femme dans le coma, en train de râler. On constate quelle a une
paralysie
radi-culaire supérieure du bras gauche : en tomba
e causées par l'oxyde de carbone, aussi bien que les hémiplégies, les
paralysies
, l'astasie-abasie, etc. Et ce ne sont pas là les
x, des hémorrhagies rétiniennes. On incline à porter le diagnostic de
paralysie
générale ; or cet homme a très bien guéri. Il e
rveuses (fausses), par Le Menant de Chesnais, p. 277. Guérisseur de
paralysie
au XVIIIe siècle (Un), p. 127. La guerre du Tra
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