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1 (1911) La pratique neurologique
il n'y a pas de strabisme apparent, et cepen- dant, par suite d'une paralysie ou parésie d'un ou plusieurs muscles du globe,
reporte sur le schéma. Quand on est fixé sur le siège précis d'une paralysie (par exemple, une paralysie du droit externe),
d on est fixé sur le siège précis d'une paralysie (par exemple, une paralysie du droit externe), on peut se servir des méthodes
t l'action ,d'un muscle, doser son msmn- sance. " ' De plus, la paralysie isolée d'un - muscle, du globe imprime au cha
te qu'à la périphérie du champ du Fig. 18. Champ du regard .dans la paralysie du droit interne de l'OD (Morax). - 1.'ig. 19
droit interne de l'OD (Morax). - 1.'ig. 19. Champ du regard dans la paralysie du nerf moteur oculaire commun de l'OG. - L'e
varient, on le conçoit, avec- les muscles paralysés et le degré de paralysie . ' " . On peut également utiliser le mur quadri
que. Parmi les nombreux troubles ocu- laires du diabète (cataracte, paralysie des muscles, rétinite, hémorra- gies), on peut
., le pathé- tique, quelquefois même le trijumeau ou le facial. Les paralysies ou ranesthésie sont du côté opposé à l'hémianop
des nerfs optiques, la diminution de l'acuité visuelle centrale, la paralysie concomitante de certains nerfs de la base du cr
te : Symptômes de méningite : modifications du pouls, constipation. Paralysie des nerfs de la face ou des yeux. Céphalées.- A
que l'inspection directe du fond de l'oeil à l'ophtalmoscope. ni PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES Symptômes. Str
r légèrement en dedans ou en dehors du point de passage habituel. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 511 Le regard p
déniants ou de jeunes personnes louchent sans présenter la moindre paralysie . Ce strabisme est dû, dans l'immense majorité d
érer et par les symptômes suivants qui appartiennent seulement, aux paralysies . Diplopie (Voir Partie technique, p. 20). La di
ans l'atteindre. - ' - , Cette épreuve réussit constamment dans les paralysies récentes,' tant qu'une nouvelle adaptation n'es
erreurs de loca- lisation produites par l'apparition brusque de la paralysie oculaire. Déviation secondaire plus grande que
il se distingue des autres variétés de nystagamus (Voir Nystagmus). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A
PLOPIE. Tous les signes précédents qui accompagnent les parésies ou paralysies des muscles moteurs des globes servent à établi
her et analyser tous pour arriver à déterminer le siège exact de la paralysie . Dans certaines paralysies très accentuées, la dé
arriver à déterminer le siège exact de la paralysie. Dans certaines paralysies très accentuées, la déviation oculaire en un se
mettent, à elles seules, de reconnaitre les muscles paralysés (Voir Paralysie complète du M. O. G., du 5f. o. E.). Mais, le plu
ysie complète du M. O. G., du 5f. o. E.). Mais, le plus souvent, la paralysie est incomplète, il y a seulement parésie, la dévi
ans la vue, de vertiges, d'étourdissements, de vision double. Ces paralysies incomplètes sont d'un diagnostic difficile, mais
mployée seule, que nous allons faire le diagnostic très exact de la paralysie . En présence d'une paralysie oculaire il faut d
faire le diagnostic très exact de la paralysie. En présence d'une paralysie oculaire il faut déterminer successive- ment :
un seul. Lequel des douze muscles moteurs des globes est atteint de paralysie ? La paralysie de chaque muscle, nous le verron
es douze muscles moteurs des globes est atteint de paralysie ? La paralysie de chaque muscle, nous le verrons, donne lieu il
ensuite quel est celui des douze muscles moteurs des globes dont la paralysie amène les mêmes troubles. C'est un procédé long
émoire se refuse à enregistrer les douze schémas symptomatiques des paralysies de chacun des douze muscles moteurs des globes.
PARALYSEES DES MUSCLES .MOTEURS DES GLOBES. ) ! 5 Diagnostic de la paralysie d'un seul muscle. - Le malade ayant un verre ro
oisée. (]-'il en dehors, fausse image en dedans (diplopie croisée), paralysie de l'adduction. (B) Diplopie homonyme. OEil en de
monyme. OEil en dedans, fausse image en dehors (diplopie homonyme), paralysie de l'abduction. l'ig. 4J. (A) Diplopie verlical
licale, fausse image supérieure. OEil en bas, fausse image en haut, paralysie de l'élévation. (11) Diplopie verticale, fausse i
ticale, fausse image inférieure. OEil en haut, fausse image en bas, paralysie de l'abaissement. gaz TROUBLES NERVEUX DE L'APP
I). Ou l'image fausse est projetée en dehors (diplopie homonyme). . PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 65 Voilà le dia
e seule, sans qu'il soit besoin d'utiliser les autres symptômes des paralysies oculaires : déviation du globe, fausse projec-
oration au mur quadrillé permet au besoin de mesurer le degré de la paralysie oculaire et d'en suivre la marche progressive ou
sphère sur le mur quadrillé. 1 1 Fig. 48. - Schémas de diplopie. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 67 Diagnostic q
diagnostic est facile (Voir p. (i9). Vérification du diagnostic de paralysie d'un muscle. Quand, au moyen de la méthode rapi
défaut dans le muscle paralysé (Voir à la suite Aspect clinique des paralysies ) . Aspects cliniques suivant le siège DE la lés
c du siège. Quand, il l'aide de la diplopie ou des autres signes de paralysie , on a déterminé le muscle ou les muscles attein
Suivons les voies optiques de la périphérie vers les centres. 1° Paralysie d'un muscle. Voici, pour chacun des muscles, un
io- logique du muscle; 2° Les déviations de l'oeil résultant. de la paralysie du muscle ; 5° Les caractères de la diplopie (t
muscle ; 5° Les caractères de la diplopie (tig. 48 et ! >-9). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES
ée. Ces troubles pupillaires et accommodateurs sont normaux dans la paralysie totale du M. 0. C., puisque ce nerf tient sous
té de tous les mus- cles intrinsèques du globe oculaire. Dans les paralysies incomplètes on retrouve les mêmes symptômes moi
incomplètes on retrouve les mêmes symptômes moins accentués. 4° Paralysie d'origine pé- donculo-protubérantielle. Les p
ntués. 4° Paralysie d'origine pé- donculo-protubérantielle. Les paralysies d'origine pédonculo- protubérantielle s'accompa
ber et de Millard-Gubler. Syndrome de Weber (lésion pédonculaire) : paralysie du M. 0. C. d'un 1 i ? 51. - Schéma des régions
eur des membres non entre-croisé (syndrome de 311llal'fl-Guhler). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté d
YSIES DES MUSCLES MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté de la lésion) ; paralysie de la face et des membres du côté opposé (fig.
(fig. 52 A). Syndrome Millard-Guble1' (lésion protubérantielle) : paralysie du M. 0. E. et du facial d'un côté (côté de la
paralysie du M. 0. E. et du facial d'un côté (côté de la lésion) ; paralysie des membres du côté opposé (fig. 52 B). Des l
n détaillée. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires : paralysie du facial, des membres et de l'oculogyre du mêm
trabisme convergent). 72 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'oculogyre d'un côté ; paralysie du facial et
ERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'oculogyre d'un côté ; paralysie du facial et des membres du côté opposé (fig. 5
a- lysie du facial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion); paralysie des membres du côté opposé (fig. 55 C). Dans
ésion); paralysie des membres du côté opposé (fig. 55 C). Dans la paralysie de l'oculogyre droit ou gauche, les mouvements co
protuleraticlles supérieures (les deux yeux regardent à droite). PARALYSIES 'DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Syndrome de
ES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Syndrome de Benediht (de Vienne). Paralysie de la IIIe paire accompagnée d'hémiplégie crois
rotubérantiel supé- rieur de Reymond-Cestan. En même temps qu'une paralysie des mouvements de latéralité des yeux, il exi
tagmus. Tous ces troubles oculaires ont une origine bulbaire. 5° Paralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo- protubé
aralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo- protubérantiels. Paralysies dissociées. Les noyaux d'origine des nerfs oculo-
es les uns des autres. Ils peuvent être lésés séparément. De là des paralysies dissociées de l'iris, de l'accommodation, d'un
commodation, d'un ou 'de quelques-uns des muscles extrinsèques. Les paralysies dissociées sont d'ordinaire le fait, [POULARD.]
arrière du côté du cerveau, pour gagner les noyaux d'origine. Les paralysies totales du M. 0. C. sont plutôt le fait d'une lés
lésion inter- médiaire portant sur le tronc nerveux. Cependant une paralysie d'origine tronculaire peut aussi présenter des
rinsèque, ou atteindre séparément l'iris et l'accom- modation (Voir Paralysie de l'iris, p. 86, et P. de l'accommodation, p.
'accommodation, p. 9G). Cette ophtalmoplégie intrinsèque, type de paralysie dissociée duM. O. C., est en général considérée
. Cette inté- grité de la musculature intrinsèque contraste avec la paralysie des muscles extrinsèques. ' Cette paralysie,
que contraste avec la paralysie des muscles extrinsèques. ' Cette paralysie , ordinairement bilatérale, donne au malade un asp
aut, en bas, le malade est obligé de mouvoir la tète ou le corps. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Cette ophtal
tit souvent à l'ophialmoplégie totale. Elle [POULARD.] Fig. 51. - Paralysie bulbaire asthénique. 76 TROUBLES NERVEUX DE L'A
mplique de phénomènes bulbaires (polyurie, glycosurie, albuminurie, paralysie glosso-labio-laryngée) ou médullaires (atrophie
encore à ce groupe qu'il faut rattacher les ophtalmoplégies de la- paralysie bulbaire asthénique (fig. 54). ' Paralysie du d
ophtalmoplégies de la- paralysie bulbaire asthénique (fig. 54). ' Paralysie du droit externe d'origine nucléaire. Le droit ex
cond cas, au moment, où le regard veut se porter du côté de la paralysie , l'aeil sain se met tout à fait en dedans dan
om- missure interne de- l'aeil (fig. 56). Dans le premier cas paralysie nucieairej, u y a paralysie associée des mouvemen
l'aeil (fig. 56). Dans le premier cas paralysie nucieairej, u y a paralysie associée des mouvements ae laté- ralité des deu
e laté- ralité des deux yeux vers le côté paralysé. Dans le second ( paralysie radiculaire), il y a seulement paralysie d'un d
paralysé. Dans le second (paralysie radiculaire), il y a seulement paralysie d'un des moteurs oculaires- externes,, et si l'
inférieure. A, lésion touchant le noyau du M. 0. E. et le facial ( paralysie nucléaire) ; B, lésion touchant les racines protu
touchant les racines protubé- rantielles du facial et du M. 0. E. ( paralysie radiculaire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES M
ntielles du facial et du M. 0. E. (paralysie radiculaire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie
laire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion des centres et voies supranu- cléair
chéma (d'après Iilocd et Onanolf) pour montrer la différence entre la paralysie protubérantielle et la paralysie radiculaire. P
our montrer la différence entre la paralysie protubérantielle et la paralysie radiculaire. Paralysie protubérantielle : quand o
ce entre la paralysie protubérantielle et la paralysie radiculaire. Paralysie protubérantielle : quand on demande au malade d
du côté paralysé, les yeux se mettent en strabisme convergent (5). Paralysie nucléaire : la déviation persiste, quel que soit
e rendre au noyau mésocéphaliquc du côté opposé. Il se fait dans la PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1 région
Ces notions, bien qu'imprécises, vont nous aider à comprendre les paralysies associées. Troubles moteurs oculaires associés.
e réelle des nerfs oculo-moteurs, les lésions ne produisent plus la paralysie isolée des muscles ou des troncs nerveux. La pa
sent plus la paralysie isolée des muscles ou des troncs nerveux. La paralysie qu'on observe est associée ou combinée; elle est
vements associés de convergence et de divergence. Ces différentes paralysies peuvent se présenter isolées on réunies à plusi
présenter isolées on réunies à plusieurs chez le même individu. Les paralysies associées des mouve- ments de latéralité sont d
d'origine motrice. Les déviations conjuguées peuvent résulter d'une paralysie associée du mouvement en sens opposé de la dévi
yndrome type Foville dans les lésions pédonculaires ou cérébrales : paralysie du facial, des membres et de l'oculogyre du même
protubérantielle supérieure : para- lysie de l'oculogyre d'un côté; paralysie du facial et des membres du côté opposé. C'est
ly- sie du facial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion) ; paralysie des membres du côté opposé. C'est un syndrome d
r mo- difié (fig. 55 C). Tel est le sens de la déviation dans les paralysies ; il est tout opposé dans les contractures. C'
viation conjuguée, le malade regarde l'hémisphère lésé quand il y a paralysie , il regarde ses membres con- vulsés quand il y
s lésions protubérantiellcs, le malade regarde ses membres s'il y a paralysie , et sa lésion s'il y a convulsion. b) Déviati
l'existence de déviations conjuguées exclusivement sensorielles. Paralysies associées Beaucoup de déviations conjuguées, so
Paralysies associées Beaucoup de déviations conjuguées, sont des paralysies associées, la déviation conjuguée d'un côté étant
des paralysies associées, la déviation conjuguée d'un côté étant le PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 81 f résultat d
e PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 81 f résultat d'une, paralysie , du côté opposé. Ces paralysies associées de laté
URS DES GLOBES. 81 f résultat d'une, paralysie, du côté opposé. Ces paralysies associées de laté- ralité ont les mêmes causes
provoquées par une altération sur la voie des oculogyres. Quant aux paralysies associées d'élévation, d'abaissement, de conver-
: C'l's VARIABLES SUIVANT LA CAUSE. (Diagnostic étiologique.) Les paralysies oculaires varient dans leurs caractères, non seul
s productrices. Je me contente d'énumérer les différentes causes de paralysie en ren- voyant le lecteur aux chapitres consacr
il la suite d'un choc sur la tète, même légcr, on peut observer des paralysies oculaires. Le plus souvent, c'est une paralysie
peut observer des paralysies oculaires. Le plus souvent, c'est une paralysie du M. 0. E. d'un côté ou des deux côtés. Cette pa
c'est une paralysie du M. 0. E. d'un côté ou des deux côtés. Cette paralysie est le résultat d'une fêlure du rocher sur la c
ucun des symptômes graves habituels dans les fractures du crâne. La paralysie des deux M. O. E. et le stra- bisme convergent
smc dans l'orbite. Dou- leurs quelquefois, exophlahnie unilatérale, paralysies dissociées. Tumeurs cérébrales (base). La tuber
lus fréquentes. Réaction méningée, vomissements, céphalée continue, paralysies multiples et diffuses, troubles de la vue, de l
-céréhrales. Tumeurs du 4° ventricule. Polioencéphalile supérieure. Paralysie bulbaire asthénique. Sclérose en plaques. Para-
re), le plus souvent ce sont des spasmes (ptosis spasuiodiques). La paralysie de l'O. M. C. et l'ulllt,111uopléic ly·stérid«c o
C. et l'ulllt,111uopléic ly·stérid«c ont été signalées. Migraine : paralysie du JI. 0. C. seul, totale, récidivante, précédée
sant de Gerlier ou Kuteisagari des Japonais. Il est certain que les paralysies oculaires présentent quelquefois des variations
importe de remarquer le rôle important rempli, dans l'étiologie des paralysies oculaires, par les infections ou intoxications au
'ophtalmique, branche du trijumeau. ' TROUBLES PUPILLAIRES. 85 La paralysie de l'appareil nerveux irido-constricteur amène l'
excitation amène l'irido-consiric- tion (myosis spasmodique). La paralysie de l'appareil nerveux irido-dilatatcur, qu'il vie
xamen soigneux de la pupille elle-même. ; . Mydriase paralytique ( paralysie du M. 0. C.). La lumière, l'accom- modation, la
ntracture le sphincter, la diminue, si, comme cela est de règle, la paralysie du M. 0. C. s'arrête au relais du ganglion opht
nts chimiques : l'atropine produit une mydriase maxima, ajoutant la paralysie du sphincter au spasme du dilatateur. La cocaïne
uit étant déjà obtenu avant son instillation. Myosis paralytique ( paralysie du grand sympathique). - Le rétrécis- sement n'
oduit une dilatation modérée, les deux £ TROUBLES PUPILLAIRES. 85 paralysies (sphincter, dilatateur) agissant en sens contrair
rine produit un myosis maximum ajoutant le spasme du sphincter à la paralysie du dilatateur. Les notions que nous venons de d
vec conservation des réflexes; plus tard la pupille se resserre par paralysie du sympathique, et enfin, aux approches de la m
enfin, aux approches de la mort, la pupille se dilate à nouveau par paralysie et, perd toute réaction. Infections générales,
ardive qui accompagne les maladies nerveuses géné- ralisées (tabès, paralysie générale, etc.), il y a donc une mydriase préco
tions alimentaires (botulisme). Les mêmes intoxications que pour la paralysie de l'accommodation (Voir Accommodation). Affect
n observe dans le goilrc exphotallllique rentre-dans ce groupe. , Paralysie du M. 0. C. La dilatation pupillaire qui existe d
Paralysie du M. 0. C. La dilatation pupillaire qui existe dans la paralysie du M. 0. C. est une dilatation moyenne, bien moin
e organique. Dans la plupart des cas, vous trouverez le labes ou la paralysie générale, moins souvent une- lésion de l'encéph
ait de la syphilis ou d'une affection nerveuse comme le tabès ou la paralysie générale, qui elles-mêmes sont le résultat de la
s sou- vent, c'est la syphilis cérébrale et spinale, le tubes et la paralysie générale. L'existence d'un myosis doit attirer
sis doit attirer l'attention d'abord sur ces trois affections. La paralysie du sympathique cervical provoque un myosis paraly
pupillaire. Ces déformations pupillaires ont été constatées dans la paralysie géné- rale, le tabès, on a même pensé en faire
lité, on les rencontre souvent chez des personnes âgées indemnes de paralysie générale, de tabès et de toute autre maladie ne
ul oeil peuvent, on le conçoit, amener une inégalité pu- pillaire : paralysie du constricteur ou contracture du dilatateur donn
teur ou contracture du dilatateur donnant la dilatation pupillaire; paralysie du dilatateur ou spasme du constric- teur donna
nt pupillaire. L'inégale répartition, sur les deux pupilles, de ces paralysies et contractures, amène l'inégalité pupillaire.
une (f /l'ecl'ion lIe1'- veatse, plus particulièrement le tabès, la paralysie générale, la syphilis cérébro-spinale sous tout
rculeuse...). On le voit aussi pendant la période de régression des paralysies de l'iris. Troubles réflexes DE la pupille. P
et souvent, de longtemps, la première manifestation du tabès, de la paralysie générale, de la syphilis cérébro-spinale. Certa
entis. Ce phénomène se voit particulièrement dans le tabès, dans la paralysie générale. Réflexe pupillaire aux excitations cu
rs, que chez des personnes atteintes d'affections nerveuses (tabès, paralysie générale). On n'en connaît pas bien exactement
l'accom- modation reçoit son innervation du M. 0. C. La section ou paralysie du M. U. C. supprime l'accommodation; son excit
il aurait des filets desaccommodatenrs provenant du sympathique. Paralysie de l'accommodation Age. L'accommodation, très p
tre connues. Ou s'exposerait autrement à mettre sur le compte d'une paralysie ce qui est l'effet habituel des années. (l est,
nnées. (l est, par suite de ces faits, difficile de con- stater une paralysie de l'accommodation chez une personne âgée. Cette
ment ou au déplacement du cristallin, elles ne résultent pas d'une paralysie du muscle accommodateur. La première, au contra
outes les autres circonstances, de beaucoup les plus nombreuses, la paralysie de l'accommodation est le résultat d'un trouble n
d'intoxication nombreux auxquels elle donne lieu, amène souvent une paralysie bilatérale de l'accommodation. Et cette paralysie
amène souvent une paralysie bilatérale de l'accommodation. Et cette paralysie présente ceci de particulier qu'elle porte excl
ullement la contractilité de l'iris (type isolé). L'existence d'une paralysie isolée de l'accommodation doit faire penser à l'i
édecin, prouvent leur nature diphtérique en amenant à leur suiteune paralysie de l'accommodation. Elle a donc, dans ces conditi
une valeur séméiologique importante. En d'autres circonstances la paralysie de l'accommodation s'accompagne d'autres lésion
associé). La syphilis donne plus fréquemment que la diphtérie, des paralysies de l'accommodation. Mais on ne rencontre pas le
en même temps paralysé. Toute la musculature intrinsèque est prise ( paralysie intrinsèque). Nous verrons que l'iris peut être t
ement sur quels points du système nerveux agit la syphilis dans ces paralysies . Probablement sur les noyaux d'origine. Cette h
ent sur les noyaux d'origine. Cette hypothèse permet d'expliquer la paralysie dissociée du M. 0. C. Mais la syphilis pourrait
s du M. 0. G. N a-t-on pas vu la compression du M. 0. C. donner des paralysies dissociées. Certaines intoxications alimentaire
s. Certaines intoxications alimentaires (Botulisme). Là encore la paralysie de l'accommodation peut être isolée ou associée à
es de la courbure du cristallin sont bien difficiles à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun. La paralysie du moteur
ien difficiles à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun. La paralysie du moteur oculaire commun quelle qu'en soit la
commun quelle qu'en soit la cause, traumatisme, compression, tabès, paralysie générale, s'accompagne de paralysie de l'accommod
raumatisme, compression, tabès, paralysie générale, s'accompagne de paralysie de l'accommodation. Tantôt, c'est nue paralysie
le, s'accompagne de paralysie de l'accommodation. Tantôt, c'est nue paralysie complète, le muscle ciliaire ne se contractant
, le muscle ciliaire ne se contractant nullement; tantôt, c'est une paralysie incomplète simple, parésie, laissant encore pos
n. CO\'fR : lC1'lJltl : de L'ACCOMMODATION. Bien plus rare que la paralysie , la contracture de l'accommodation, appelée enc
VI TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES PTOSIS paralytique. Paralysie DU 11ELE\'EIiII de LA paupière supérieure. Symp
es du ptosis. Souvent la chute de la paupière est accompagnée de la paralysie de quelques branches motrices du globe oculaire
paralysie de quelques branches motrices du globe oculaire ou d'une paralysie des muscles intrinsèques. Le ptosis n'est, en c
ques. Le ptosis n'est, en ce cas, que la manifestation d'une de ces paralysies dissociées que j'ai déjà eu l'occasion de dé- c
M. 0. C. est pris, le ptosis n'est qu'un symptôme obligatoire de la paralysie du M. 0. C..(p. 69). Le ptosis peut aussi accom
0. C..(p. 69). Le ptosis peut aussi accompagner une hémiplégie, mie paralysie faciale. C'est ce qu'on voit dans le syndrome d
me de Weber, où il y a, d'un côté du corps, hémiplégie, de l'autre, paralysie du M. 0. C. avec ptosis. .Mais il existe aussi
logue se produit dans l'adipose palpébrale (ptosis adi- peux). La paralysie du grand sympathique amène un ptosis léger, auque
cle ou le filet nerveux du' releveur dans l'orbite, peut donner une paralysie isolée de l'élévation palpébrale. Elle peut aus
symptômes de compression des autres organes de la cavité orbitaire ( paralysie des autres nerfs mo- teurs, troubles sensitifs
ophtalmie, etc.). Une lésion du tronc M. 0. C. donne en général une paralysie de [POULARDE 1 Fig. 60. - Ptosis myopathique.
M. 0. C. (p. 69). Cependant on peut, même en ce cas, rencontrer la paralysie dissociée d'une ou quelques branches du M. 0. C
ériphérique, donner un ptosis isolé. C'est là le lieu d'origine des paralysies dissociées, des ophtahnoplégies intérieure, exté-
. - Étiologie. - Les causes du ptosis sont les mêmes que celles des paralysies oculaires en général (Voir p. 81). Signalons cepe
élévateur du globe oculaire. 1..\GOI'IITAL)IIE PAIULYTllJCE. .. Paralysie de l'oumculaire des paupières. La lagoplualmie.
pébrale. La tagopinalune paralytique est toujours accompagnée d'une paralysie faciale du même côté. Elle est due il la paraly
ccompagnée d'une paralysie faciale du même côté. Elle est due il la paralysie d'un des muscles inner- vés par le nerf facial,
res. Je ne m'occupe ici que des troubles oculaires consécutifs à la paralysie de ce muscle, et laisse de côté tout ce qui a t
se de côté tout ce qui a trait aux symptômes ou à l'étiologie de la paralysie faciale (Voir Paralysie faciale). Dans une para
trait aux symptômes ou à l'étiologie de la paralysie faciale (Voir Paralysie faciale). Dans une paralysie faciale périphériq
tiologie de la paralysie faciale (Voir Paralysie faciale). Dans une paralysie faciale périphérique, totale, intéressant à la fo
existe un véritable larmoiement. Tous ces symptômes résultent de la paralysie du muscle orbiculaire. Ayant perdu sa ('olill'a
le long du bord palpé- bral inférieur. Le larmoiement est dû il la paralysie du musclc Ilo IIorner, portion de l'orbiculaire
iveau de laquelle la cornée reste découverte.. Dans quelques cas de paralysie orbiculaire on a constaté l'absence de- larmoie
acial contiendrait des filets sécréteurs des larmes (comme Fig. 61. Paralysie faciale gauche.- TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PA
ntéressera pas les filets sécrétoires et donnera du larmoiement par paralysie du muscle de Corner; au contraire, une lésion i
- prime les filets sécrétoires et par suite la sécrétion lacrymale ( paralysie de l'orbiculaire .sans larmoiement). Un signe q
ne qui dénote la prise du grand nerf pétreux superficiel, c'est une paralysie de la luette et du voile du palais. [POULARD.]
paralysie de la luette et du voile du palais. [POULARD.] Fig. 62. Paralysie faciale gauche. Le malade essaye vainement de fer
mlysies du facial inférieur . La lagophtalmie n'existe que dans les paralysies périphériques du facial dues à une lésion siége
ant entre le noyau hulbaire et la périphérie. ' Cependant, dans les paralysies centrales, l'orbiculaire n'est pas intact et
Diagnostic différentiel. La lagophtalmie accompagne, en général, la paralysie faciale, mais on peut encore la rencontrer dans b
fréquente d'ulcérations à la partie inférieure de la cornée. (Voir Paralysie faciale.) Traitement. C'est celui de la paralys
a cornée. (Voir Paralysie faciale.) Traitement. C'est celui de la paralysie faciale. Si au bout de plu- sieurs mois le trai
sécrétion..11 n'est pas nécessaire d'invoquer un trouble nerveux. Paralysies musculaires. Se voient quelquefois. Paralysie de
un trouble nerveux. Paralysies musculaires. Se voient quelquefois. Paralysie de la con- vergence (Moebius), des abducteurs (
mus s'accompagne souvent d'autres manifestations : névrite optique, paralysies oculaires, symptômes de méningite. Syphilis cér
es minutes, provoquées ou exagérées par l'exci- tation lumineuse. Paralysies ou parésies oculaires. Ce n'esl point un véritabl
nts lacry- maux oblitérés oit évcrsés, oblitération du canal nasal, paralysie de l'orhi- culaire, etc.). Cependant, il faut r
rbitaire anastomosé avec le nerf lacrymal. Voilà pourquoi certaines paralysies faciales intrapétreuses diminuent la section la
u trijumeau (cornée, conjonctive, etc.) amène du lar- moiement ; sa paralysie , une diminution de la sécrétion lacrymale de ca
xillaire supérieur, la diminution de la sécrétion lacrymale dans la paralysie du PHATIQUE XEUROL. 8 · (foulard. 1 l I¡ TR
xe (trijumeau). Mais, comment expliquer l'abolition, dans certaines paralysies du triju- meau, non seulement de la sécrétion r
htalll11e). L'by- posécrétion lacrymale peut être le résultat d'une paralysie faciale quand la lésion atteint les filets sécr
ailleurs étudié le trajet (Voir p. 104). Elle existe enfin dans la paralysie du nel'f (¡'iju- meau. Sécrétions anormales.
lésion d'autres organes butbo-protuberantieis. On observe aussi des paralysies alternes sensitives (anesthésie faciale d'un cô
ésie des membres du côté opposé). Il peut t y avoir anes- thésie et paralysie faciale d'un cote avec paralysie des membres du
Il peut t y avoir anes- thésie et paralysie faciale d'un cote avec paralysie des membres du côté opposé, l'anesthésie facial
au syndrome de Millard-Gubler. On voit même la superposition d'une paralysie alterne motrice et d'une paralysie alterne sens
voit même la superposition d'une paralysie alterne motrice et d'une paralysie alterne sensitive. C'est dans cette variété d'a
esoin delà dyschromatopsie du daltonisme. Au cours d'un tabès d'une paralysie générale, une diminution de la vision accompagnée
s ganglions centraux. - Ilémianopsie à caractères spéciaux (p. 55); Paralysies associées sou- vent (p. 70); Troubles pupillair
); Compres- sion d'un nerf crânien M. 0, C., M. 0. E. ; Pathétique ( paralysies ) (p. 00); Trijumeau (névralgie, anesthésie) (p.
ralytique, met en évidence le rôle tro- phique de la 5° paire. La paralysie du facial, en dehors des cas où le nerf est direc
uïe, ouïe douloureuse, ver- tiges) qui sont en rapport, non avec la paralysie du muscle interne du marteau, comme l'écrivent
stique traduisant l'épuisement nerveux, au même litre que certaines paralysies passagères. - II. ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES D
ement dans quelques affections du système ner- veux, au début de la paralysie générale notamment. L'hyperacousie a été donnée
rale notamment. L'hyperacousie a été donnée comme un symptôme de la paralysie faciale. Elle se rencontre aussi dans quelques
reuses gaines vides. Il est fréquent dans celle forme de trouver la paralysie faciale associée à la surdité et au vertige.
labyrintlïique;.50 des troubles oculo-mcteurs réflexes (parésie ou paralysie de la 6° paire, déviation con- 1 - [LANNOIS.]
ns symptômes dont la pathogénie n'est pas complètement élucidée, la paralysie de l'abduccns, par exemple. , I. TROUBLES NER
ORGANIQUES D'ORIGINE OTIQUE Nous décrirons sous cette rubrique la paralysie , faciale et les C01J1pl1 : - cations infra-crân
ennes des otites. - [LANNOIS.] HO ? MALADIES DE L'OREILLE. - 1° Paralysie faciale. La paralysie du facial peut coexister
[LANNOIS.] HO ? MALADIES DE L'OREILLE. - 1° Paralysie faciale. La paralysie du facial peut coexister avec celle de l'acoust
rant la pyramide rocheuse. Mais dans un très grand nombre de cas la paralysie faciale est consé- cutive à une lésion de l'ore
la paroi labyrinthique, sont responsables du plus grand nombre des paralysies faciales d'origine otique. Les extractions mala
de et surtout l'évidement pétro-mastoïdien total, comptent aussi la paralysie faciale parmi leurs complications les plus fréq
arrhales ou franchement inflammatoires, peuvent aussi déterminer la paralysie faciale : on sait que Deleau et surtout Roche s
ale : on sait que Deleau et surtout Roche soutinrent que toutes les paralysies faciales étaient d'origine otique. Il y avait l
inflammations. légères de la caisse ne puis- sent se compliquer de paralysie faciale : un certain nombre des cas de paralysi
t se compliquer de paralysie faciale : un certain nombre des cas de paralysie faciale rhumatismale ou a frigorie sont d'origine
même largement déhiscente. D'ailleurs cette origine otique de la paralysie faciale explique mieux que toute autre théorie
ignalé des cas d'hémiplégie (peut-être étaient-ils hystériques), de paralysie faciale réflexe disparaissant par l'enlèvement d'
. La mydriase unilatérale, la chute de la paupière, la diplopie par paralysie dissociée du moteur oculaire commun. La plus fr
r oculaire commun. La plus fréquente et la plus intéressante de ces paralysies est la paralysie du mo- teur oculaire externe d
La plus fréquente et la plus intéressante de ces paralysies est la paralysie du mo- teur oculaire externe dont j'ai vu et pu
que. Il va de soi que cette forme bénigne n'a rien à faire avec les paralysies qui se montrent au milieu de l'appareil 1 grave
exes vaso-moteurs, la migraine, l'affaissement de l'aile du nez, la paralysie et la diplégie faciales. Quant au nerf olfactif
e olfactive. Cet obstacle. pourra être une atrésie des narines, une paralysie faciale avec flaccidité de l'aile du nez, un ép
le tabès et au début delà - . LANNOIS.] 150 . MALADIES DU NEZ. paralysie générale. Les vieillards ont souvent de l'anosmié
te optique, la névrite rétro-bulbaire et l'atrophie papillaire, les paralysies limitées à l'abduceiis, les ol3litllrrioplébies d
e et l'absence relative des bruits subjectifs, et qui traduisent la paralysie de l'appareil vestibulaire, le vertige rotatoir
s par Gerlier : type, de l'endormi (ptosis), type du recueillement ( paralysie des extenseurs de la tête), type de l'aveugle i
ment (paralysie des extenseurs de la tête), type de l'aveugle ivre ( paralysie des membres inférieurs). Les parésies des mem-
aire en rapport avec les mouvements profes- sionnels habituels : la paralysie des extenseurs, « paralysie du trayeur », est l
vements profes- sionnels habituels : la paralysie des extenseurs, « paralysie du trayeur », est la plus fréquente. La parésie
n cérébelleuse. Ce vertige peut être parfois d'origine visuelle par paralysie oculaire; il semble pouvoir être aussi uniqueme
byrinthe, il faut opposer le syndrome vestibulaire de iiaymoud, par paralysie ou déficit de l'appareil veslibulaire. Ce défau
dinaire et la plus gênante du vertige oculaire est la diplopie, par paralysie ou contracture des muscles de l'mil d'ori- gine
syphilis cérébrale ou méningée, au cours et surtout au début de la paralysie générale, les vertiges ne sont pas très rares;
t des jambes, trouble cérébelleux; 3° des trou- bles oculo-motcurs ( paralysie de la 0U paire, déviation conjuguée, nys- tagmu
la migraine ophtalmique, dans la maladie de Basedow, au début de la paralysie agilanle (Charcot et Yulpian). z Dans la neur
l est important et facile en somme de reconnaître l'existence d'une paralysie , il est une question plus difficile il résoudre
hémiplégie s'accusent d'ordinaire, et, même si le coma persiste. la paralysie devient plus nette, mise en évidence par des cont
ndent de l'étiologie et de l'âge du malade. Mais en dehors même des paralysies , la convalescence ménage de nombreux accidents,
njonctivale) et des pupilles; de noter le degré de résolution ou de paralysie , les contractures, les convulsions. En étudiant
d'un traumatisme, d'un empoisonnement, ou survient au cours d'une paralysie générale, d'une méningite, d'une maladie cardiaqu
tion requise. Il est fréquent d'observer le coma progressif dans la paralysie géné- Tale, des ictus dans le tabès et la sclér
e sopor, étant (le règle au cours de la syphilis cérébrale. Dans la paralysie générale au contraire, la narco- iepsic est fré
quises des lèvres, de la langue, du voile du palais, du larynx. Des paralysies laryngées peuvent également la déterminer, soit
s-nucléaires de la phonation et de l'articulation. 11 s'agit ici de paralysies bulbaires vraies accompagnées d'amyotrophie et
hie musculaire et les contractions fibrillaires font défaut dans la paralysie d'origine cérébrale ou paralysie pseudo-bulbaire.
s fibrillaires font défaut dans la paralysie d'origine cérébrale ou paralysie pseudo-bulbaire. Les ma- lades présentent du ri
bouche est entr'ouverte, laissant couler une salive abon- dante. La paralysie labio-glosso-laryngée est d'abord incomplète : se
n intelligible, limités seulement sur ce point par le degré de leur paralysie motrice. Il existe; un autre type d'anarthrie t
oix des malades est soufflée, éteinte; l'émission en est faible. La paralysie des cordes vocales se traduit non seulement par
tivement chez le même individu. Cette dysphonie s'observe en cas de paralysie unilatérale des cordes vocales. Enfin, la parés
divers ordres : benn- plégie faciale ou totale, uni ou hilatérale, paralysies isolées du type glosso-labio-Iaryngé, dysphagie
peuvent être d'origine périphérique, bulbaire ou centrale. Dans les paralysies laryngées,, le malade est aphone, la voix souff
s, cor- rectement formés. Le son en est seulement étouffé. Dans les paralysies linguales existent surtout des troubles de la p
au début des para- lysies du voile du palais, les labiales dans les paralysies des lèvres. Nous n'insisterons ni sur les signe
nctionnels, troubles de la déglutition, de la respiration, etc. Ces paralysies sont consécutives ou bien à des névrites infect
quelquefois.de légers troubles de la formation des labiales dans la paralysie faciale. Les muscles atteints présentent de l'a
rve fréquemment un syndrome labio-glosso-laryngé ou pharyngé. Des paralysies isolées de l'hypoglosse peuvent s'observer cepend
'hypoglosse peuvent s'observer cependant dans la sgringomyélie, des paralysies dissociées des cordes vocales dans le tabes. Ma
ciées des cordes vocales dans le tabes. Mais, nous le répétons, les paralysies complexes sont les plus habituelles ; on les ob
le mutisme devient absolu. Un syndrome analogue s'observe dans les paralysies bulbaires des poliencéphaliles à locali- sation
aire déjà intense. Le facial supérieur est toujours intact dans les paralysies bulbaires étudiées; il est atteint dans la para
tact dans les paralysies bulbaires étudiées; il est atteint dans la paralysie bulbaire familiale. - IMOVTIER.] 200 LES TROU
la dysarthrie linguale et l'affaiblissement intellectuel. Dans la paralysie générale enfin, les troubles du langage sont cara
d'aussi violents efforts pour émettre les sons du langage. Dans lu paralysie agitante, le malade; parle encore avec effort, ma
le de Lamy). On le rencontre également dans l'¡;pilepsie et dans la paralysie générale. Mais il est un bégaiement essentiel don
de basse. Des variations de timbre s'observent également élans les paralysies laryngées dissociées, qu'elles soient d'origine
ée à des obstacles mécaniques, l'agraphie totale s'observe dans tes paralysies du bras droit chez les droitiers (pu n'ont pas eu
tremblement, ]'afa,1. : Íe, la clrorée, les spasmes ou crampes, lu paralysie . Dans le tremblement, quelle que soit sa nature
ose trémulante héréditaire. Il est beaucoup plus irrégulier dans la paralysie générale. Les malades atteints de sclérose en pla
; le trem- blement y est presque exclusivement horizontal. Dans la paralysie agitante enfin, l'écriture est tout spécialemen
supérieur droit chez les droi- tiers, gauche chez les gauchers, la paralysie en un mot détermine enfin des troubles considér
s chez les aliénés des troubles mécaniques. 11 en est ainsi dans la paralysie géné- rale. En effet, les paralytiques généraux
normaux du langage indépendant de la démence, de l'idiotie et de la paralysie . EXAMEN D'UN APHASIQUE *i I. Comment se fait
? du voile du palais ? du larynx ? Ces organes présentent-ils de la paralysie ou un trouble quelconque dans teur fonctionneme
n des signes normaux du langage, indépendant de la démence et de la paralysie . Ces altérations dépendent d'une destruction, p
les aphasiques de Wernicke purs sont au contraire indemnes de toute paralysie , avons-nous dit. Les aphasiques de Broca sont sil
'il y ait apraxie, il ne doit y avoir ni anestllésie, ni ataxie. ni paralysie , ni surdité verbale, ni agnosie, ni trouble du ju
rition de l'intelligence des choses ». L'APRAXIE. 223 (absence de paralysie , d'ataxie. de tremblement, de choree, d'aihétosc)
rait les prendre pour des psellrlo-bulbaires; mais ils n'ont pas de paralysie à proprement parler, ils présentent seulement d
s avec ou sans aphasie, et dans les processus diffus, encéphalites, paralysie générale, méningites aiguës, au cours delà déme
reconnus. Il convient de distinguer avec soin l'agnosie tactile des paralysies motrices ou sensitives, l'agnosie visuelle des
anie aiguë, délires hallu- cinatoires, confusion mentale délirante, paralysie générale, etc.). 11 faut écouter, sans les inte
personnalités. La diction des aliénés est souvent modifiée. Dans la paralysie générale, l'excitation maniaque, les délires mé
assonance tels qu'on les observe dans l'('\l'll;1t1011 maniaque, la paralysie générale n'ont pas de significa- tion : au cont
niquc que l'on observe dans la stupeur, la démence, certains cas de paralysie générale, aucune émotion ne se traduit sur le v
res et ne les retrouvant pas, s'imaginent qu'on les vole. Dans la paralysie générale les idées de persécution, quand elles ex
n. De telles idées s'obser- vent avec une grande; fréquence dans la paralysie générale; les sujets possèdent des pierres préc
ez les débiles atteints d'excitation maniaque et dans la lsezt.clo- paralysie générale alcoolique. Les idées de satisfaction, d
ains débiles. Elle s sont fréquentes dans la forme dépressive de la paralysie gélll'- rale, coexistent alors souvent avec des
mutilations volontaircs. Les idées de négation s'observent dans la paralysie générale, elles peuvent même apparaître au débu
té. - Ces idées ont été décrites par Cotard. On les observe dans la paralysie générale et la mélancolie. Chez les paralytique
ctions mentales. Elles sont fréquentes dans la phase initiale de la paralysie générale et même peuvent être le sym- ptôme rév
meilleurs sédatifs de l'agitation maniaque survenant au cours de la paralysie générale. Ergotine Yvon. En injecter un demi-ce
ree ou d'hémiathétose. ' b) Idiotie diplégique. Dans ce cas, il y a paralysie des quatre membres. Bourneville et Crouzon ont
s (roubles de foutes les fonctions. Cependant, il est des cas où la paralysie générale' infantile' a pu prendre les allures c
açon .tout' à fait nette le cerveau des adultes qui succombent à la paralysie générale. , . 5° Idiotie symptomatique de sclér
ons de l'idiotie . sont non seule- ment les symptômes associés à la paralysie que nous avons déjà men- tionnés, mais c'est su
t d'abord pour expliquer le phénomène du syndrome de Brown-Séquard ( paralysie avec anesthésie croisée dans les lésions unilat
syndrome de Brown-Sequard, elle occupe le côté corres- pondant à la paralysie motrice (Dejerine). F) Sens musculaire. - tc te
dans un grand nombre d'hémiplégies où soit la contraction, soit la paralysie rendent la palpation impossible, le sens stéréo
stéréognostique ne peut pas être étudié. 11 en est de même dans les paralysies datant de l'enfance (hémiplégie cérébrale infan
les paralysies datant de l'enfance (hémiplégie cérébrale infantile, paralysie obstétricale). Ici. les sujets, de par leur imp
i intéressent le ruban de lleil médian ; elle peut s'accompagner de paralysie totale ou partielle de la z` paire, d'ataxie, d
ne du côté opposé), on peut également avoir de l'hémianesthésie. La paralysie de la 3e paire, accompagnée de l'hémiplégie crois
rver de l'hémianesthésie plus ou moins marquée et des douleurs. Les paralysies oculaires, surtout dans les mouvements associés
ubles sensitifs se superposent aux troubles moteurs et l'on a des « paralysies alternes sezsitivo-uot,7°ices ». C'est le syndr
ernes sezsitivo-uot,7°ices ». C'est le syndrome de Millarrl-Gubler ( paralysie des membres d'un côté, avec paralysie faciale e
syndrome de Millarrl-Gubler (paralysie des membres d'un côté, avec paralysie faciale et strabisme interne du -côté opposé), au
tremblement statique, de la dysarthrie et enfin, fait capital, une paralysie oculaire des mouvements associés de bilatéralit
, dans le syndrome de Brown-Séquard, de l'anesthésie d'un côté avec paralysie du côté opposé, avec ou sans hyperesthésie. Dia
droite de la moelle par coups de tranchet; laminectomie. A droite, paralysie motrice du membre inférieur, avec hyperesthésie
x les troubles moteurs et sensitifs sont également variables. A une paralysie motrice spasmodique intense peuvent correspondr
, à une paraplégie sensitive marquée correspond ordinaire- ment une paralysie motrice grave. Lorsque la paralysie est flasque,
correspond ordinaire- ment une paralysie motrice grave. Lorsque la paralysie est flasque, totale et persistante, l'anesthési
re. , A part les cas de lésions intéressant uniquement les racines ( paralysies radiculaires, radiculites), dont nous étudieron
gaces, car ils disparaissent très peu de jours après le début de la paralysie ; c'est là ce qui expliquerait la rareté avec la
: ce sont les plaies accidentelles, les sections chirurgicales, les paralysies obstétricales, les traumatismes de la région ;
dehors du rachis, les troubles sensitifs s'accompagnent toujours de paralysie motrice homologue il topographie parallèle et r
lésion intm-rachidienne, le parallélisme entre l'anes- thésie et la paralysie n'est pas constant; les racines antérieures et po
môme temps les racines et la moelle. Nous avons donc à étudier les paralysies radicu- laires par lésion des racines seules; n
lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux troubles moteurs ( paralysie radiculaire sensilivo- 111Ol¡'ice des plexus),
ilivo- 111Ol¡'ice des plexus), ou plus rarement ils existent seuls ( paralysie radi- culaire sensitive pure). La clinique mont
e, s'il est possible de conslater des lésions isolées d'une racine ( paralysie uii°adiczclai°e), il arrive beaucoup plus fréqu
i des types cliniques reconnus aujour- d'hui comme classiques. I. PARALYSIES RADICULAIRES SENSITIVES DU PLEXUS BRACHIAL Ce
sitil's qui, à eux seuls, suffisent pour établir le dia- gnostic de paralysie radiculaire, s'ajoutent ordinairement des trouble
l'innervation motrice des mêmes racines (5" et (;' cerv.), soit une paralysie du biceps, du deltoïde, du brachial antérieur e
ançant un peu sur les faces antérieure et postérieure du membre. La paralysie motrice occupe tous les petits muscles de la main
les fléchisseurs de la main. Le fait pathognomonique de ce type de paralysie , qui en rend le diagnostic, facile, est l'exist
en rend le diagnostic, facile, est l'existence, du même côté que la paralysie , du syndrome sympathique (De je ri ne-KIlim pk l'
dans le type inférieur. D) Type complexe. Type uniradiculaire. Les paralysies com- plexes sont très fréquentes en clinique ;
xes sont très fréquentes en clinique ; l'anesthésie, de même que la paralysie motrice, occupe des régions appartenant à la fois
ur du plexus (5e, 7e et 8e racines cer- vicales, par exemple). La paralysie uniràdiculai1'e est tout à fait exceptionnelle.
. La paralysie uniràdiculai1'e est tout à fait exceptionnelle. E) Paralysies radiculaires sensitives pures. La paralysie radi-
ait exceptionnelle. E) Paralysies radiculaires sensitives pures. La paralysie radi- culaire sensitive pure du plexus brachial
ogie la notion nouvelle des « radiculites » (Voir plus loin). II. PARALYSIES RADICULAIRES DES PLEXUS LOMBAIRE ET SACRÉ Com
r non pas à la lettre, mais avec une certaine largeur d'esprit. Les paralysies radiculaires du plexus lombaire, ou sacré s'obs
scend jusqu'à la 2° vertèbre lombaire) participe à la lésion. Ces paralysies ordinairement complexes et frappant plusieurs rac
au); aussi les troubles moteurs sont habituels et consistent en une paralysie flasque des membres infé- rieurs ; il existe, e
s n'avons étudie jusqu'ici, à propos des troubles observés dans les paralysies radiculaires des plexus lombaire et sacré, que ce
hapitre traitant des « Troubles de la inutilité ». Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médullaires. On sai
racines proprement dites. Lorsqu'on se trouve one en présence d'une paralysie dont les troubles sensitifs, aussi bien que les
d'être suffisants pour le diagnostic, puisqu'on peut rencontrer des paralysies purement radiculaires bilatérales, et que la diss
ue, ne font presque jamais défaut. LES RADICULITES Ht. A côté des paralysies radiculaires obstétricales ou chirurgicales, des
ntôt les troubles sen- sitifs sont associés aux troubles moteurs ( paralysie des nerfs mixtes, névrites sensitivo-mot1'i-
sie des nerfs mixtes, névrites sensitivo-mot1'i- ces), tantôt les paralysies sensi- tives existent seules (paralysie des n
mot1'i- ces), tantôt les paralysies sensi- tives existent seules ( paralysie des nerfs sensitifs* ou névrites sensitives p
ériques étant connue, il sera facile de diagnostiquer la variété de paralysie à laquelle on a affaire. On se rappellera qu'en
aux territoires sensitifs des extrémités des membres. ' Fig. '39. Paralysie du cubital par luxation du coude. Anesthésie du p
erveux, par exemple dans les psychoses toxiques, les dé- mences, la paralysie générale. Dans la paralysie générale progressive,
psychoses toxiques, les dé- mences, la paralysie générale. Dans la paralysie générale progressive, ils peuvent prendre la fo
ue ou monoptégique, et, dans le cas d'association du tabès el de la paralysie générale, se distribuer suivant une topographie
cessus inflammatoires de méningo-cncéphalite diffuse au cours de la paralysie générale ; enfin dans les hémorragies méningées
ine oplzlctlzrtojléiyzte, l'accès d'hémicrànie se com- plique d'une paralysie de la troisième paire, qui peut même remplacer la
onstitué par du ptosis, du strabisme externe, de la diplopie, de la paralysie de l'accommodation, de la dilata- tiun pupillai
repos de quelques minutes. Ce sont les signes avant-coureurs d'une paralysie définitivement constituée et survenant dans la
de froid. L'intensité de ces sensations aug- mente à mesure que la paralysie se développe, et, comme cette dernière, elle di
re du côté de l'hëmicrànie, c'est la forme clinique encore appelée; paralysie oculo-motrice périodique ou récidivante. Cette
e appelée; paralysie oculo-motrice périodique ou récidivante. Cette paralysie peut dans cer- tains cas persister. Certaines
moelle dans la forme tabétique, dans les scléroses combinées de la paralysie générale el dans les formes subaiguës. Dans la
ue amena la réapparition du réflexe rotulien du côté atteint par la paralysie . Enfin on peut observer les troubles des réflex
e la ineielle. " En général, dans les compressions de la moelle, la paralysie reste flasque au début de la maladie, il y a al
us les conclusions des. recherches de Babinski (pu a observé que la paralysie flasque, intense, -complète, pouvait ne s'accom
la poliomyélite antérieure chronique de l'enfant, ("est-il-dire la paralysie infantile. Cette aboli- tion des réflexes qui q
aît et lorsqu'elle entraîne le coma, la résolution musculaire et la paralysie . Il en est de même de la méningite cérébro-spin
et le pronostic de ces affections. Dans les maladies mentales, la paralysie générale est la seule qui offre d'une façon fré
-paranoïa, l'abolition du réflexe patellaire doit faire penser à la paralysie géné- rale. M. Marandon de Montyel a étudié le
S l'alt I,'l,\ : 1H1.\ DI : S RI,ILI : \I;S. 4 ! 4.ï périodes de la paralysie générale; il semble, d'après lui, que le réflexe
rès lui, que le réflexe rotulien soit d'autant moins atteint que la paralysie générale est plus avancée. Le maximum des altér
bres inférieurs est le plus sou- vent liée aux symptômes suivants : paralysie , signe de Babinski, troubles des fonctions des
Erb : c'est la paraplégie; spasmodique des mem- bres inférieurs, la paralysie localisée aux muscles fléchisseurs et au muscle
L'exagération peut s'observer dans l'hémiplégie des le début de la paralysie . Ganault, dans le service de Pierre Marie à Bic
UZON]' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est également un symptôme de la paralysie générale. Dans cette affection les réflexes ten
4/5 des cas. Celle exagération s'observe surtout dès le début de la paralysie générale : ; suivant quelques ailleurs, elle es
rin est exagéré. Quelque- fois, l'exagération des réflexes élans la paralysie générale est telle qu'elle peut permettre d'aff
ation des réflexes ne se maintient pas dans toute l'évolution de la paralysie géné- 'rale, elle tend à diminuer après les pro
de la lésion, en plus de l'exagération des réflexes, il existe une paralysie motrice, de l'hyperes- - lhésie avec une zonesu
ène a pu se rencontrer quelquefois, quoique assez rarement, dans la paralysie générale. Le phénomène de Babinski ne se rencon
atrophie Charcot-Marie, ni dans la maladie de Parkinson, ni dans la paralysie infantile, ni dans la chorée, ni dans la sciatiqu
e Montyel a étudié le réflexe crémastérien aux trois périodes de la paralysie générale : il est altéré dans 80 pour 100 des cas
te affection. Le réflexe pharyngé l'ait également, défaut dans la paralysie pharyngée ]mlbaire et pS('IHlo-bu]baire. Le r
par des lésions de la subs- tance grise médullaire, comme dans la paralysie infantile ou par lésion musculaire comme dans l
5u millièmes de seconde a été constaté chez (les sujets atteints de paralysie spasmodique dont les réflexes sont particulièreme
les l'excitabilité directe des muscles n'est guère modifiée (tabès, paralysie générale progressive des aliénés). C) Sa produc
GIE - - Par le D' O. CROUZON L'hémiplégie est, par définition, la paralysie motrice d'un côté du corps, mais il se produit
les renseignements fournis par le malade au sujet d'une attaque de paralysie à telle ou telle époque, on ne soupçonnerait mê
oncée, les malades qui en sont atteints présentent dès le début une paralysie très marquée et parfois presque complète de tou
es, on voit qu'il ne peut se tenir debout. D'une façon générale, la paralysie pour les membres est beaucoup plus prononcée da
urtout remarquer Wcr- nicke et Mann, dans l'hémiplégie cérébrale la paralysie ne frappe pas isolément tel ou tel muscle, mais
es moteurs des globes oculaires participeraient générale- ment à la paralysie , d'après Mirallié et Desclaux, Wilson, Chaillous
les lésions des hémisphères, le malade re- garde sa lésion s'il y a paralysie , il regarde ses membres convulsés s'il y a cont
les cas où l'hémiplégie est bien prononcée; lorsque au contraire la paralysie est d'intensité médiocre ou légère, il est rare
es membres qui ont été le siège des manifestations convulsives, une paralysie d'aspect (et de nature) tout à fait hémiplégique
heures après les convulsions; il peut arriver d'ailleurs que cette paralysie transitoire devienne perma- nente et on a alors
nann ('), qui con- siste en une sorte d'agnosie des mouvements sans paralysie réelle; c'est ainsi que l'on voit les malades q
ans certains cas en imposer pour l'hémi- plégie organique, c'est lu paralysie agilccrtle, qui. connue on sait, a un début uni
noyau lenticulaire sont volontiers bilatérales) aller jus- qu'à la paralysie pseudo-bulbaire. Quand c'est la couche optique qu
existe dans la capsule interne des localisations très nettes de la paralysie sur tel ou tel segment de membre, sur la face,
s, les lésions limitées de la capsule interne ne déterminent pas de paralysies localisées, de nionopif. gies du membre supérie
f crânien situé dans son voisinage, ce qui donnera des symptômes de paralysie , ou plus rarement d'anesthésie dans le domaine
us sont : le type Millard-Gubler (hémiplégie des membres d'un côté, paralysie faciale de l'autre côté) et le type dit syndrome
le type dit syndrome de Weber (hémiplégie des membres d'un côté et paralysie du moteur ocu- laire commun de l'autre côté). C
st atteinte, ce n'est [CROUZON] ] 472 in HÉMIPLÉGIE. - plus une paralysie que l'on observe mais une anesthésie localisée à
s le nom de Syndrome de Benedikt, elle consiste en ce que, avec une paralysie de la IULE paire d'un côté (comme dans le syndrom
Type Foville du syndrome de Millard-Gubler (Grasset) : d'un côté paralysie des membres, de l'autre, paralysie du facial et d
ard-Gubler (Grasset) : d'un côté paralysie des membres, de l'autre, paralysie du facial et d'un oculo- gyre. Syndrome de Mi
yndrome pédonculaire (Pierre Marie et Crouzon) : hémiplégie gauche, paralysie faciale droite, paralysie du trijumeau droit et
re Marie et Crouzon) : hémiplégie gauche, paralysie faciale droite, paralysie du trijumeau droit et paralysie de l'oculomoteu
e gauche, paralysie faciale droite, paralysie du trijumeau droit et paralysie de l'oculomoteur commun droit. Type Foville du
mmun droit. Type Foville du syndrome de Weber (Grasset) : d'un côté paralysie des membres et de la face, de l'autre paralysie
rasset) : d'un côté paralysie des membres et de la face, de l'autre paralysie d'un oculogyre. llémispasme facial alterne (Bri
logyre. llémispasme facial alterne (Brissaud et Sicard) : d'un côté paralysie des membres, de l'autre spasme de la face. Sy
nedikt inférieur (Combe) : d'un côté hérnitrem- blement, de l'autre paralysie faciale. Hémianesthésie alterne (Raymond) : d'u
alterne (Raymond) : d'un côté anesthésie des mem- bres avec ou sans paralysie , de l'autre anesthésie de la face avec on sans
ec ou sans paralysie, de l'autre anesthésie de la face avec on sans paralysie . ' Syndrome cérébelleux alterne de Babinski et
Syndrome cérébelleux alterne de Babinski et Nageottc : d'un côté paralysie des membres, de l'autre, troubles cérébelleux, hé
miplégie alterne du type Avellis : d'un côté hémiplégie, de l'autre paralysie du voile du palais et de la corde vocale. Hémip
incoordination, mouvements choréo-athétosiques, troubles sensitifs, paralysie faible, de l'autre paralysie des mouvements assoc
oréo-athétosiques, troubles sensitifs, paralysie faible, de l'autre paralysie des mouvements associés d'abduc- tion des yeux.
drome de la calotte pédonculaire (Gruner et Bertolotti) : d'un côté paralysie sensitivo-motrice, de l'autre paralysie des mouve
et Bertolotti) : d'un côté paralysie sensitivo-motrice, de l'autre paralysie des mouvements associés d'élévation, d'abaissem
manifestation assez rare. La distri- HÉMIPLÉGIE. 475 hution de la paralysie aux différents groupes moteurs est, d'après Man
iplégie spinale, la face n'est pas atteinte, et qu'ordinairement la paralysie est plus marquée pour le membre inférieur que p
ale. - Il. Hémiplégie non organique, d'origine névropathique. Les paralysies de ce genre peuvent simuler, de très près, l'hémi
ctéristique la jambe paralysée, mais malgré tout ils marchent. La paralysie des hystériques porte de préférence sur un certai
asmodique, elle l'est d'emblée; la contracture ne succède pas à une paralysie flasque. Dans certains cas la recherche des sti
s tardivement et sont bien moins marqués qu'aux membres atteints de paralysie . En même temps, l'épaule du côté normal se port
a position primitive. Babinski suppose que ce mouvement est du à la paralysie des muscles qui étendent la cuisse sur le bassi
pyramidale. Signe de Charles Bell. Charles Bell a signalé, dans la paralysie faciale, un mouvement de rotation du globe de l
errière la paupière supérieure : ce signe est également un signe de paralysie or- ganique et ne peut être reproduit par l'act
MOUVEMENTS ASSOCIÉS. , 481 proche, des mouvements associés dans la paralysie faciale : quand le malade veut rire il ferme in
nts importants de diagnostic. Dans ce cas, une céphalée, une légère paralysie du membre inférieur et supérieur du côté gauche
le fruste presque ambulatoire, et l'évolution de la maladie vers la paralysie spinale de l'adulte, avec atrophie, confirma notr
rs. Dans l'intervalle des crises, ce signe disparaissait. Dans la paralysie générale, il a été constaté par Darcanne (Congrès
. tCROUZONA PARAPLÉGIE par le Dr MOUTIER La paraplégie est la paralysie motrice des membres inférieurs. Elle peut être
syndrome désigné sous le nom de tétraplégie. Dans certains cas, la paralysie s'accuse da- vantage aux membres supérieurs, pa
la , [MOUTIER.] 488 PARAPLEGIE. spasticité cédant le pas il la paralysie . En explorant la résistance offerte à la flexio
ce qu'il présente une con- tracture considérable, soit parce que la paralysie l'emporte sur la contrac- ture. Lorsque la cont
s. Il n'existe point de troubles tro- phiques. si ce n'est dans les paralysies d'origine centrale. Les escarres sont fréquente
laire, de relâchement des sphincters et d'affaiblissement, sinon de paralysie , de la sangle abdominale. Comme dans les parapl
nt, le syndrome de 131'ozorr-Sc·clrccrncl est carac- térisé par une paralysie spasmodique directe du membre inférieur, c'est-
ions, semblables en apparence, provoquent tantôt l'apparition d'une paralysie spasmo- dique, tantôt d'une flaccidité totale.
eront, le neurone périphérique pouvant être tardivement altéré) les paralysies dépendant de l'irritation, de la sclérose, de l
itation, de la sclérose, de l'agénésie du faisceau pyra- midal, les paralysies consécutives aux sections incomplètes de la 'moel
complètes de la 'moelle. On a signalé des sections incomplètes avec paralysies flasques dont la raison s'explique mal en dehor
s, la marche est impos- sible, sans qu'il v ait à proprement parler paralysie . Démarches ataxo-cérébelleuses. Ces troubles de
ficulté de la marche dont sont responsables il la fois l'ataxie, la paralysie et l'atrophie musculaire. Les états vertigine
ons fibro-ten- dinellses, Ces rétractions s'observent à la suite de paralysies des exten- seurs du pied ou de contractures des
bles déterminés par la rigidité musculaire. Il en est ainsi dans la paralysie agitrlllie où le malade, le tronc penché en avant
iable. Lorsque la section de la moelle est immédiatement totale, la paralysie demeure immuablement flasque; nous aurons l'occ
présente un syn- drome clinique caractérisé par une tétraplégie. La paralysie est progres- sive, spasmodique, prononcée surto
mbre. Il semble même y avoir, à première vue, plutôt spasticité que paralysie . En réalité, celle-ci existe et même à un degré
uérisons même, selon Erb. Il est exceptionnel que les progrès de la paralysie con- finent le malade au lit. Le pronostic est
s, raideur de la colonne vertébrale (Kernig). Il survient alors une paralysie flasque d'instauration rapide, puis, avec une r
lutôt en faveur d'une paraplégie fonction- nelle, bien qu'une telle paralysie puisse rarement à vrai dire s'ac- compagner d'a
dépendant nettement de processus infectieux, caractérisées par une paralysie flasque et une évolution rapide, souvent fatale.
Ce sont les méningo-myélites, les myélites, les poliomyélites et la paralysie de l.artcl r y/, .. Occupons-nous d'abord des
ichoreuse secondaire ter- mine rapidement cette brève évolution. La paralysie est parfois ascen- dante a la période terminale
inique est peu ardu sans doute en des cas aussi antinomiques que la paralysie infantile ou la polynévrite progressive de l'al
llure subaiguë ou chronique, la polynévrite offrir le tableau d'une paralysie aiguë, fébrile, généralisée. Nous nous efforceron
quelques indications pratiqués. La poliomyélite, qu'il s'agisse de paralysie infantile ou de paralysie chez l'adulte, est un
iqués. La poliomyélite, qu'il s'agisse de paralysie infantile ou de paralysie chez l'adulte, est une affection fébrile, frapp
sque et massive un territoire musculaire très étendu. Plus tard, la paralysie ré- trocède et se localise en certains groupes
elever de troubles circulatoires ou toxiques. De ce nombre sont les paralysies transitoires de la période préataxique du tabès e
n désespoir de cause, attribué à des troubles toxi- 'lues certaines paralysies intermittentes, telles que les paralysies des p
les toxi- 'lues certaines paralysies intermittentes, telles que les paralysies des paludéens. Plus intéressantes sont les pcra
e de la dispropor- tion entre la cause et l'effet, l'accident et la paralysie . Ce sont la des cas relativement faciles; d'aut
ous ne ferons que les men- tionner. De cet ordre- sont en effet les paralysies dites réflexes du goitre exophtalmique et des u
ites réflexes du goitre exophtalmique et des urinaires. Ce sont des paralysies intermittentes, caractérisées par un « giving-i
urement hypo- thétique ; on a seulement fait observer que, pour les paralysies urinaires tout au moins, il convenait d'être as
rome des enfants nés avant terme. Il n'y a chez eux que fort peu de paralysie . Il existe surtout de la raideur et une contrac
ic serait facilité par l'étude des réflexes. Us sont abolis dans la paralysie infantile, exagérés avec extension de l'orteil da
dividu la coexistence d'une hémiplégie cérébrale infantile et d'une paralysie infantile (Pierre Marie). Dans de tels cas, il
infantile (Pierre Marie). Dans de tels cas, il existe du côté de la paralysie infantile de l'abolition des réflexes, de l'atr
impossible. On peut constater un degré variable de contracture; la paralysie peut être au contraire absolument flasque. 11 y
dia- gnostic rapidement formuté. C'est ainsi que parmi les fameuses paralysies urinaires, bien peu probablement ressortissent
ouleurs sur le trajet du phrénique. Du hoquet, des vomissements, la paralysie du diaphragme peuvent encore traduire les lésio
du bras. Le syndrome médullaire peut reproduire soit le type de la paralysie radiculaire totale, soit les types de la paralysi
it le type de la paralysie radiculaire totale, soit les types de la paralysie radiculaire supérieure ou inférieure. L'atteint
membre inférieur avec parti- cipation de la plante du pied, par une paralysie flasque ou plus sou- vent une parésie des fessi
figures et le texte de la séméiologie des troubles radiculaires. PARALYSIE PÉRIODIQUE FAMILIALE par le D' CROUZON 1'esi.
D' CROUZON 1'esi.phal a désigné sous ce nom « un cas remarquable de paralysie périodique des quatre extrémités », avec dispar
ec disparition simultanée de l'exci- tabilité électrique pendant la paralysie (Berliner ¡llinische TV ochensch1'ift, août 188
disparition de l'excitabilité électrique et des réflexes pendant la paralysie . Il n'existe pas de troubles de la sensibilité
lle, le début ne se fait pas brusquement et, d'une façon totale, la paralysie ne survient que dans les muscles inactifs. Il y
terons, d'après Cousot [Bévue de Médecine, 1887), l'évolution de la paralysie chez un malade qui s'exerçait à un travail de c
et les sphincters sont en général respectés. Les carac- tères de la paralysie sont les suivants : Elle peut être complète ou
nication, est l'abolition de l'excitabilité élec- trique pendant la paralysie . Cette abolition est plus ou moins complète, el
que sur les nerfs. Ce caractère est constant ; les ICROUZON.] 20 PARALYSIE PÉRIODIQUE FAMILIALE. réflexes, du reste, sont
reste, sont également supprimés ou diminués pendant l'accès. Cette paralysie est flasque, la sensibilité et les organes des se
organes des sens sont en général respectés. La disparition de la paralysie est progressive quand la maladie s'est constitu
ois, il est incontestable qu'il faut la différencier totalement des paralysies palu- déennes. D'autre part, les affections que
e fera d'après la triade symptomatique que nous venons de décrire : paralysie périodique, abolition transitoire de l'excitabi
LE par Georges GUILLAIN Avant de faire l'étude séniéiologique des paralysies , avant de décrire la topographie des troubles d
muscles du corps humain et aussi les troubles qui résultent de leur paralysie isolée. La connaissance précise de la myologie es
bref et d'éviter des répé- titions dans la description des diverses paralysies , car il suffira de se rapporter à la physiologi
le il celle du deltoïde quoique moindre ; aussi les symptômes de la paralysie du del- toïde seront-ils atténués si le sus-épi
il celle du deltoïde, il peut atténuer les troubles produits par la paralysie de ce muscle. Réciproquement, le deltoïde intact
intact compense les MUSCLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. M5 effets de la paralysie du sus-épineux. Duchenne a insisté sur ce fait qu
ant et en haut. , C'est un muscle d'une puissance faible; aussi sa. paralysie n'amène pas de troubles importants. Sous-scap
ceps, la supination et la flexion, peuvent être suppléées, aussi sa paralysie n'abolit pas complètement l'une et l'autre. Dan
per, le bra- chial antérieur fléchit le bras sur l'avant-bras. La paralysie isolée du brachial antérieur n'empêche pas la fle
coné peut suppléer dans une certaine mesure le triceps paralysé. La paralysie simultanée du triceps et de l'anconé rend impossi
du coude, ce qui atténue l'importance fonctionnelle résultant de la paralysie . Quand les extenseurs de l'avant-bras sont para
nimum d'am- plitude quand celle-ci est dans la flexion forcée. La paralysie du grand palmaire, du petit palmaire, du cubital
long fléchisseur propre, n'agit pas sur le premier métacarpien. La paralysie de ce muscle, bien que n'entraînant que la perl
Le long supinateur est donc à la fois pronateur et supi- nateur. La paralysie du long supinateur est facile à constater en pria
adial de l'avant-bras. Il est extenseur et adducteur de la main. La paralysie de ce muscle amène une déviation permanente de la
lité en dehors qui est utile dans la pronation et la supination. La paralysie de ce muscle n'amène pas de troubles appréciabl
er métacarpien et porte le premier métacar- pien en abduction. La paralysie du court extenseur empêche l'extension du pouce e
pouce et entraîne la chute de ce doigt dans la paume de la main, la paralysie du long abducteur et du long extenseur exagère
rrière et en dedans vers le deuxième méta- carpien. Dans les cas de paralysie des muscles thénariens, le long exten- seur, pa
t doigt du médius, et aussi de rapprocher l'index de ce doigt. La paralysie des interosseux est parfois incomplète, le malade
de rapprocher les doigts étendus caractérise le premier degré de la paralysie des interosseux. La paralysie des lombricaux et
caractérise le premier degré de la paralysie des interosseux. La paralysie des lombricaux et des interosseux a pour conséque
étant debout, que le bassin s'incline du côte opposé à celui de la paralysie au moment où le corps repose sur le membre infé
n en dehors déterminé par le couturier n'est pas très énergique. La paralysie isolée de ce muscle n'entraîne pas de troubles fo
d'être pincé dans l'extension de la jambe sur la cuisse. Dans la paralysie du quadriceps, on constate que le. malade, étan
a marche est très difficile; la montée d'un escalier impossible. La paralysie peut prédominer sur certains chefs du muscle. S
dans. Il est fléchisseur, adducteur, rotateur en dedans du pied. La paralysie dujaudjicr antérieur détermine un pied bot équi
n valgus dans les efforts de flexion du pied. Consécutivement il la paralysie du jambier antérieur, on constate l'hypertrophi
e, le bord interne du pied est a peine plus élevé que l'externe. La paralysie du jambier postérieur a pour con- séquence un p
trapèze, le rhomboïde, l'angulaire de l'omoplate sont nor- maux, la paralysie du grand dentelé n'amène pas de déformations pers
attention surine déformation particulière du thorax dans les cas de paralysie isolée du muscle grand dentelé; elle ne se voit
as influencés par la contraction du diaphragme. Quand il existe une paralysie bilatérale du diaphragme, on constate il chaque
n de repos d'autres muscles peuvent suppléer le diaphragme. Dans la paralysie unilatérale du diaphragme on observe par la vue e
nférieurs par exemple, avoir un rôle dans l'action de grimper. La paralysie du trapèze se traduit par des signes différents s
ignes différents suivant la partie ! de muscle qui est affectée. La paralysie de la partie supérieure ne se constate que dans
la ligne médiane, le moignon de l'épaule se porte en avant ; si la paralysie est bilatérale le dos est arrondi et la poitrin
scle grand dentelé corrige la déviation de l'épaule. Dans le cas de paralysie du trapèze, le rhomboïde est seul capable de ra
ant, ce qui est dû à l'action prépondérante du grand dentelé. Cette paralysie annihilant un moyen de fixité important de l'om
son point fixe sur l'omoplate il incline la tête de son côté. La paralysie de l'angulaire n'amène pas de troubles importants
bliques en liant et en dedans, portent la face du côté opposé. La paralysie des extenseurs dorsaux et cervicaux produit une c
e de gravité ne reste pas en arrière de la base de sustentation. La paralysie des extenseurs du cou a pour conséquence une cy
sale et une exagération légère de la courbure dorso-loinbaire. La paralysie bilatérale des extenseurs lombaires, fréquente da
ntrairement à ce que l'on observe dans la lordose consécutive si la paralysie des fléchisseurs du rachis, c'est-à-dire des musc
se pas par le sacrum, mais par cet os ou même en avant de lui. La paralysie unilatérale des muscles spinaux lombaires et dors
tres.. L'ablation de ces centres a pour consé- quence de véritables paralysies qui d'ailleurs s'amendent ultérieurement. Ch. K
rtie supérieure, moyenne ou inférieure de la zone rolan- dique. Les paralysies très limitées par lésion corticale sont exception
xcitation d'une racine donnée [G GUILLAIN.] 600 SÉlItIOLOf;1E DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. amène des mouvenients pa
ection d'une racine, d'après Ferrier et Yeo, ne provoquerait pas la paralysie complète des muscles correspondants, car ils re
lectro-physiolo- giques de Erb, qui font époque dans l'histoire des paralysies radicu- laires du plexus brachial. Duchenne (de
exus brachial. Duchenne (de Boulogne) avait signalé, une variété de paralysie obstétricale intéressant des muscles du bras inne
as innervés par des nerfs différents. Erb localise cette variété de paralysie dans les 5e et 6° nerfs cervicaux. Le professeu
plu- sieurs centimètres. La conséquence de cette résection fut une paralysie des muscles scalènes antérieurs, sous-épineux,
l'innervation motrice des nerfs rachidiens 1. 604 SEMEIOLOGIE .DES PARALYSIES 'mty.uvL .ltA.UlI...UlJiUllli.. . TOPOGRAPHIE R
...UlJiUllli.. . TOPOGRAPHIE RADICULAIRE; 605 60U SÉMIOLOGIE DES - PARALYSIES D'ORIGINE -RADICULAIRE. « - TOPOGRAPHIE RADICUL
609 610 - 1 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. LES PARALYSIES RADICULAIRES.. 611, sale inférieure (de la sixi
r abord d'une grande sim- plicité, est souvent fort délicate. LES PARALYSIES RADICULAIRES - - PARALYSIES RADICULAIRES DU P
icité, est souvent fort délicate. LES PARALYSIES RADICULAIRES - - PARALYSIES RADICULAIRES DU PLEXUS BRACHIAL Les principal
LYSIES RADICULAIRES DU PLEXUS BRACHIAL Les principales causes des paralysies radicu- laires du plexus brachial sont : la sec
e la carotide primitive). Le mécanisme des diJ1érentes variétés des paralysies radiculaires est longuement étudié dans une mon
bliée sur ce sujet avec Pierre lluval (P. Duval et G. Guillain. Les paralysies radiculaires du plexus brachial. Paris, 11)01).
Paris, 11)01). Il existe eu clinique trois variétés principales de paralysies radicu- laires : 1" la paralysie radiculaire su
que trois variétés principales de paralysies radicu- laires : 1" la paralysie radiculaire supérieure (paralysie dite du type Du
paralysies radicu- laires : 1" la paralysie radiculaire supérieure ( paralysie dite du type Du- chennc-I;rh); 2° la paralysie
iculaire supérieure (paralysie dite du type Du- chennc-I;rh); 2° la paralysie radiculaire inférieure, paralysie du type Ktmnp
e du type Du- chennc-I;rh); 2° la paralysie radiculaire inférieure, paralysie du type Ktmnpke ou paralysie avec syndrome symp
° la paralysie radiculaire inférieure, paralysie du type Ktmnpke ou paralysie avec syndrome sympathique; 5" la paralysie radi-
lysie du type Ktmnpke ou paralysie avec syndrome sympathique; 5" la paralysie radi- cniairctotate. Dans la paralysie radicu
yndrome sympathique; 5" la paralysie radi- cniairctotate. Dans la paralysie radiculaire supérieure, les muscles paralysés son
grand dentelé, le court supinateur. Le malade; atteint d'une telle paralysie , c'est d'ailleurs le plus souvent ou après une
ant paralysé, le malade ne peut fléchir Lavant-bras sur le bras. La paralysie du brachial antérieur, . LES PARALYSIES RADICUL
Lavant-bras sur le bras. La paralysie du brachial antérieur, . LES PARALYSIES RADICULAIRES.. 615 le fléchisseur indépendant d
ment quand l'avant-bras est demi- fléchi. Chez un malade atteint de paralysie du biceps et du court supi- nateur, le mouvemen
peut constater facilement, par l'impossibilité de la supination, la paralysie du court supinateur. ' La paralysie du biceps,
sibilité de la supination, la paralysie du court supinateur. ' La paralysie du biceps, du brachial antérieur, du long supinat
ppléances sont possibles par d'autres muscles de l'avant-bras. La paralysie totale du deltoïde a pour conséquence une immobil
ité pour lui de s'habiller seul. On comprend facilement que si à la paralysie du muscle deltoïde s'ajoutent des troubles paréti
ire, aucune suppléance ne pouvant se faire au muscle deltoïde. La paralysie associée du deltoïde et du sous-épineux se tradui
t à mesure que celle-ci trace de nouveaux caractères. Si, dans la paralysie radiculaire supérieure, les mouvements de flexion
agonistes ne sont pas paralysés. L anesthésie, qui existe dans la paralysie radiculaire supérieure, se coustate dans la sph
tanée du nerf circonflexe, du [G. GUILLAIN.1 : ûJ4 SÉMIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE -RADICULAIRE. nerf radial, du nerf mu
i est innervée par la sixième et la septième cer- vicale. » .' La paralysie radiadaire inférieure, paralysie du type Illicnzp
la septième cer- vicale. » .' La paralysie radiadaire inférieure, paralysie du type Illicnzplce, paralysie avec syndrome sy
La paralysie radiadaire inférieure, paralysie du type Illicnzplce, paralysie avec syndrome sympathique^ est Créée par les lési
re racine dor- sale. En cas de traumatisme il arrive parfois que la paralysie radiculaire inférieure soit consécutive à une .
éventualité rare, car il est de beaucoup plus fréquent de -voir une paralysie radiculaire totale ne laisser comme reliquat qu'u
r une paralysie radiculaire totale ne laisser comme reliquat qu'une paralysie radiculaire supérieure. Les lésions des racines i
Les lésions des racines inférieures du -plexus brachial amènent une paralysie dans le territoire du nerf médian et du nerf cu
x sont paralysés. Paralysés aussi les fléchisseurs de la main. La paralysie des lombricaux et des interosseux a pour conséque
médius. Quant à l'index, son extenseur le rapproche du médius. La paralysie des muscles de l'éminence thénar a nécessairement
des mouvements de flexion, d'abduction, d'opposi- tion du pouce. La paralysie des muscles de l'éminence hypothénar amène la p
i en être écarté, il ne peut plus être fléchi. Sans insister sur la paralysie de chaque muscle, on comprend que la main de- v
uvements de la ceinture scapulaire s'exécutent avec facilité. Si la paralysie radiculaire inférieure est d'un pronostic grave,
s'améliore pas, alors la main prend le type qu'on observe dans les paralysies du. nerf cubital, le type de la griffe cubitale.
e et troisième phalanges, au contraire, sont fléchies.. Dans la LES PARALYSIES RADICULAIRES. fila n'ill'c cubitale typique, c'
l'annulaire et de l'auriculaire que celle altitude se voit; dans la paralysie radiculaire inférieure, l'impotence des muscles
ans les lésions périphériques du nerf cubital. D'ailleurs, dans les paralysies radiculaires, il est très fréquent de voir cert
d'une façon très pré- cise. Les (rouilles de la sensibilité dans la paralysie radiculaire inférieure se mollirent il la moiti
trois centimètres au-dessus du coude. Ce qui caractérise surtout la paralysie radiculaire inférieure et en rend le diagnostic
des larmes, de la sécrétion de la sueur du coté correspondant il la paralysie . Tous ces phénomènes sont sous la dépendance d'
lésion du sympathique cervical, le myosis est la conséquence de la paralysie des fibres radiées de l'iris, le rétrécisse- me
la conséquence de la para- lysie du muscle de Millier. Lorsque la paralysie radiculaire est. totale, la monoplégie brachiale
innervé par le nerf spinal. Les troubles de la sensibilité dans la paralysie radiculaire totale sont étendus à presque tout
ième nerf intercostal. Le syndrome sympathique existe comme dans la paralysie radiculaire inl'érieare. ,1'ai remarqué, dans plu
ysie radiculaire inl'érieare. ,1'ai remarqué, dans plusieurs cas de paralysie radiculaire, une diminution très nette de la pres
, une diminution très nette de la pression artérielle du côté de la paralysie . La paralysie radiculaire totale n'est pas la v
on très nette de la pression artérielle du côté de la paralysie. La paralysie radiculaire totale n'est pas la variété le plus
le plus f'réquem- ment consécutive il des traumatismes violents. La paralysie n'est d'ail- ce. GUILLAIN.] glu G SÉMÉIOLOGIE
e que durant un laps de tcmps très court, et 'il subsiste, soit une paralysie radiculaire supérieure, soit une paralysie radi
t 'il subsiste, soit une paralysie radiculaire supérieure, soit une paralysie radiculaire inférieure, soit un type complexe.
rieure, soit un type complexe. A côté des trois types principaux de paralysies radiculaires que je viens d'étudier, on peut dé
nt et au seg- ment supérieur et au segment inférieur du plexus. Ces paralysies sont très fréquentes en clinique, elles ne se p
-on peut supposer réalisées les modalités les plus différentes. Les paralysies uniradiculaires sont très rares. Les paralysies r
us différentes. Les paralysies uniradiculaires sont très rares. Les paralysies radicu- laires sensitives pures, sans troubles
concomitants, sont excep- tionnelles. Le diagnostic du siège des paralysies radiculaires se fera par l'étude des signes ocu
siège de la lésion radiculaire. Quant à préciser s'il s'agit d'une paralysie radiculaire intrarachidienne ou d'une paralysie d
r s'il s'agit d'une paralysie radiculaire intrarachidienne ou d'une paralysie du plexus proprement dit, il faut avouer que, s
ion étiologique, ce diag- nostic est presque impossible. Seules les paralysies des branches termi- nales du plexus seront diff
nches termi- nales du plexus seront différenciées avec facilité des paralysies du type e radiculaire. Quelques formes cliniq
ies radiculaires du plexus brachial méritent d'être signalées : les paralysies radiculaires trauma- tiques, les paralysies rad
d'être signalées : les paralysies radiculaires trauma- tiques, les paralysies radiculaires obstétricales, les paralysies 1'adic
ires trauma- tiques, les paralysies radiculaires obstétricales, les paralysies 1'adicu- [aires dans les pachyméningites et les
ans les pachyméningites et les compressions intraraclaidiennes, les paralysies radiculaires dans la syphilis. Paralysies radic
intraraclaidiennes, les paralysies radiculaires dans la syphilis. Paralysies radiculaires traumatiques* Qu'elle survienne il l
l'épaule, du port de lourds fardeaux ou pour toute autre cause, la paralysie radiculaire frau- matique a toujours un début b
t seulement lors de la levée de cet appareil que l'on constatera la paralysie radiculaire. Les phénomènes douloureux sont sou
depuis le creux sus-claviculaire jusqu'au niveau de la région . LES PARALYSIES RADICULAIRES, 617 deltoïdicnnc, jusque vers le
ont généralement disparu., . Les troubles moteurs observés dans les paralysies radiculaires trauma- tiqucs sont très variables
ables. On a rencontré dans ces cas toutes les variétés possibles de paralysies radiculaires : la paralysie totale, la paralysie
s cas toutes les variétés possibles de paralysies radiculaires : la paralysie totale, la paralysie radi- culaire supérieure,
étés possibles de paralysies radiculaires : la paralysie totale, la paralysie radi- culaire supérieure, la paralysie radicula
es : la paralysie totale, la paralysie radi- culaire supérieure, la paralysie radiculaire inférieure, des types com- plexes.
paralysie radiculaire inférieure, des types com- plexes. Souvent la paralysie , les premiers jours, est totale ou semble telle
, est totale ou semble telle, et il ne subsistera rapidement qu'une paralysie limitée à certains groupes musculaires. Souvent
de les premiers jours, on peut constater que malgré l'apparence .de paralysie totale, le groupe radiculaire inférieur est moi
rs en clinique moins prononcés, passagers et réparables. Dans les paralysies radiculaires traumatiques on peut voir des muscle
en cite plusieurs exemples. Les troubles de la sensibilité dans les paralysies radiculaires trauma- tiques ne sont pas toujour
anky- loses, rétractions tendineuses qui peuvent survenir dans les paralysies graves et non traitées. Les troubles de la sens
ilité sont passés sous silence. Les classiques disent que, dans les paralysies radiculaires supérieures, les troubles de la sens
ÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. la topographie de la paralysie motrice. Or cette bande d'hypocsthésie est souv
bilité il plusieurs jours d'intervalle chez des malades atteints de paralysies radi- culaires traumatiques, j'ai vu souvent la
radiculaire diminuer, s'interrompre, dispa- raitre. Dans les cas de paralysies graves, les troubles de la sensibilité peuvent
haut quelle était leur topo- graphie dans les diverses variétés de paralysies radiculaires, mais de même que les types schéma
paralysies radiculaires, mais de même que les types schématiques de paralysie motrice ne se rencontrent pas toujours en clini
ontrent pas toujours en clinique, de même les types schématiques de paralysie sensitive ne se trouveront pas toujours, et on
lies ou seulement diminuées. Dans un cas de Charcot, concernant une paralysie radiculaire de la première paire dorsale, l'anest
titudes peuvent être altérés. · En somme, on peut dire que dans les paralysies radiculaires trauma- tiques, les troubles de la
ur topographie radiculaire. Les troubles de la sensibilité dans les paralysies graves persistent; dans les paralysies moins grav
s de la sensibilité dans les paralysies graves persistent; dans les paralysies moins graves, frequein- mcnt ils diminuent et r
alade que longtemps après son accident, il peut ne subsister qu'une paralysie du type Duchenne-Erb, par exemple, sans trouble
ment ou l'hyperélévalion de l'épaule, mouvements qui produisent les paralysies radiculaires, le ganglion rachi- dien tond à fa
pture de leurs cylindres- axes ou du moins leur attrition, d'où une paralysie motrice, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAI
moins leur attrition, d'où une paralysie motrice, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAIRES. CI9 les racines postérieures il y
s sensitifs ne persistent pas. Donc, on peut conclure que, dans les paralysies radiculaires trautnatillues, la persistance des
s réparables ou non réparables des racines postérieures. Dans les paralysies radiculaires traumatiques totales ou il type infé
escence existe d'une façon presque constante. Le pronostic de ces paralysies dépend du degré des lésions radicu- laires caus
on complète avec intégrité de la fonction du membre est possible. Paralysies radiculaires obstétricales. Les paralysies radicu
du membre est possible. Paralysies radiculaires obstétricales. Les paralysies radiculaires obstétricales sont le plus souvent
Les paralysies radiculaires obstétricales sont le plus souvent des paralysies radiculaires supérieures; on a toutefois signal
des paralysies radiculaires supérieures; on a toutefois signalé des paralysies totales et des paralysies radiculaires inférieu
s supérieures; on a toutefois signalé des paralysies totales et des paralysies radiculaires inférieures. Les signes oculo-pupi
oculo-pupillaire de Dejerine-Klulllpke n'a pas été observé dans les paralysies obstétricales ». Celle opinion est exagérée, li
bstétricales ». Celle opinion est exagérée, liroca a cité un cas de paralysie radiculaire obstétricale avec troubles oculo-In
ique bien, puisque la lésion de la première racine dorsale dans les paralysies traumatiques se l'ait, ainsi que je Pai montré
aire l'enfant, que l'on pourra déterminer les muscles paralysés. La paralysie est-elle totale, alors le bras pend inerte et i
solument indispensable chez l'enfant pour voir la topographie de la paralysie motrice. Il existe fréquemment chez les enfants
trice. Il existe fréquemment chez les enfants, en même temps que la paralysie radiculaire, d'aulrcs lésions traumatiques (fra
la clavicule, fracture de l'omoplate). - Si l'on peut constater des paralysies radiculaires obstétricales à pro- nostic bénin,
N.] 620 0 . SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. les paralysies sont souvent causées par l'arrachement radiculair
Comby, Broca ont attiré. l'attention sur ce pronos- tic sérieux des paralysies obstétricales. Le squelette osseux peut ne pas
lysé assez semblable à celui que l'on constate dans certains cas de paralysie infantile. Raymond et Iluet ont insisté sur cet
insisté sur cet arrêt de développement du squelette consécutif aux paralysies radicu- laires survenant pendant la période de
de de croissance. Les accoucheurs admettent le plus souvent que les paralysies , observées après un accouchement spontané, ont
n. Comby dit qu'au point de vue du pronostic on doit distinguer les paralysies qui surviennent dans les présentations de la tê
résentation de la tête, le pronostic est géné- ralement bénin et la paralysie est curable. Dans la présentation du siège, les
plus grave. Cela revient à la loi que nous avons posée au sujet des paralysies radiculaires traumatiqucs : le pronostic dépend
traumatiqucs : le pronostic dépend de l'intensité du traumatisme. Paralysies radiculaires dans les pachyméningites, dans les c
pachyméningites, dans les com- pressions intrarachidiennes. - 'Les paralysies radiculaires que l'on constate dans les pachymé
ment reconnue (tuberculose vertébrale, cancer, syringomyélie). La paralysie radiculaire, dans ces cas, a un début lent, les p
plus violentes et plus persistantes que celles constatées dans les paralysies radiculaires traumatiques. Contrairement aussi
culaires traumatiques. Contrairement aussi à ce qu'on voit dans les paralysies radiculaires trau- matiques, les symptômes sens
souvent des symptômes de compression de la moelle ou de myélite. Paralysies radiculaires dans la syphilis. Les paralysies du
moelle ou de myélite. Paralysies radiculaires dans la syphilis. Les paralysies du type radiculaire que l'on peut observer dans
'infiltration méningée, se rapprochent par leur symptomatologie des paralysies radiculaires par pachyméningite. 11 est rare d'ai
de syphilis médullaire ou cérébrale. De Peters a fait une étude des paralysies que l'on observe dans certains cas de syphilis
syphilis héréditaire avec altération radiculaire. Certaines de ces paralysies ont la symptomatologie des paralysies radiculaire
radiculaire. Certaines de ces paralysies ont la symptomatologie des paralysies radiculaires supé- rieures obstétricales, d'aut
lysies radiculaires supé- rieures obstétricales, d'autres celle des paralysies radiculaires inférieures. Dans les cas de paral
tres celle des paralysies radiculaires inférieures. Dans les cas de paralysie atteignant le segment radiculaire inférieur, De
e se joint aux symptômes précédents. Les lésions qui produisent ces paralysies sy- philitiques peuvent s'étendre en haut et do
paralysies sy- philitiques peuvent s'étendre en haut et donner une paralysie des muscles de la nuque, ou en bas dans la régi
cles de la nuque, ou en bas dans la région lombaire et produire des paralysies des extrémités inférieures. Il peut exister des
peresthésie et des contractures isolées, mais il s'agit toujours de paralysies flasques; les contractures, quand elles existen
ées sans jamais envahir tout un membre, comme cela se voit dans les paralysies d'ori- gine cérébrale. La nature syphilitique d
les paralysies d'ori- gine cérébrale. La nature syphilitique de ces paralysies est prouvée par ce fait qu'il existe souvent ch
apide que donne le traitement spéci- fique. De Peters pense que ces paralysies sont dues à un processus inflam- matoire, sous
cines nerveuses avec participation des méninges adjacentes. il. - PARALYSIES RADICULAIRES DU PLEXUS LOMBAIRE ET DU PLEXUS SACR
- PARALYSIES RADICULAIRES DU PLEXUS LOMBAIRE ET DU PLEXUS SACRE Les paralysies radiculaires du plexus lombaire et du plexus sacr
es. $MONOPLÉGIE BRACHIALE Avant d'entreprendre la soneiologic des paralysies des nerfs périphéri- ques crâniens et rachidien
nerfs périphériques, forme une transition logique entre l'étude des paralysies il topographie radiculaire et celle des paralys
ntre l'étude des paralysies il topographie radiculaire et celle des paralysies à topographie périphérique. En présence d'un ma
la pre- mière- question qui se pose est de savoir s'il s'agit d'une paralysie orga- nique ou d'une paralysie fonctionnelle, d
pose est de savoir s'il s'agit d'une paralysie orga- nique ou d'une paralysie fonctionnelle, de l'hystérie. , CC GUILLAIN.]
eurs heures ou plusieurs jours après le traumatisme, qu'apparaît la paralysie . Dans les paralysies organiques quelques muscle
eurs jours après le traumatisme, qu'apparaît la paralysie. Dans les paralysies organiques quelques muscles sont parfois moins
érique ; il existe une anes- thésic il type spécial superposée a la paralysie musculaire, enfin l'examen du malade permettra
rmettra de reconnaître l'état moulai si spécial du pithiatisme. Ces paralysies peuvent guérir rapidement par les méthodes de psy
d'origine corticale est facile il reconnaître. Après une période de paralysie flasque les contractures se montrent : les réfl
les poliomyélites peu- vent amener des monoptegies brachiales. La paralysie infantile se reconnaîtra par son début, fébrile,
ar son début, fébrile, l'absence des troubles de la sensibilité; la paralysie se localise il certains groupes musculaires qui
st par des caractères analogues que se reconnaitra chez l'adulte la paralysie spinale aiguë ou subaiguë qui est d'aittcurs ra
membres inférieurs. La monoplégie brachiale peut être créée par une paralysie radicu- laire totale. La paralysie est flasque,
rachiale peut être créée par une paralysie radicu- laire totale. La paralysie est flasque, les réflexes sont abolis, les troubl
est flasque, les réflexes sont abolis, les troubles SÉMIOLOGIE DES PARALYSIES DES NEUFS CRANIENS. 62", pculo-pupillaires, le
ulo-pupillaires, le syndrome sympathique sont, caractéristiques des paralysies radiculaires; la sensibilité, même quand l'ancsth
fait par les rameaux perforants du 2 et du 5'' nerf intercostal. La paralysie radiculaire totale' est le plus fréquemment, cons
st le plus fréquemment, consécutive à des traumatismes violents. La paralysie d'ailleurs n'esl, dans la majorité des cas, tot
durant un laps de temps relativement court et il subsiste soit une paralysie radiculaire supérieure, soil unejtaralysie radicu
SPINAUX LES TROUBLES DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPHIE PÉRIPHÉRIQUE Paralysie faciale. La paralysie faciale est souvent la cons
S DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPHIE PÉRIPHÉRIQUE Paralysie faciale. La paralysie faciale est souvent la conséquence de lésions I
parotide, adenopathics, A ce groupe etiologiquc doit être jointe la paralysie faciale des nouveau-nés qui reconnaît deux vari
ux et prolongés, et surtout en cas de rétrécissement du bassin. Ces paralysies obstétricales, le plus souvent unilatérales, ne s
aves et disparaissent au bout de quelques semaines. Certains cas de paralysie faciale congénitale sont causés par l'agénésie du
ctions inflammatoires de l'oreille moyenne peuvent se compliquer de paralysie faciale. Un observe la paralysie faciale dans le
e moyenne peuvent se compliquer de paralysie faciale. Un observe la paralysie faciale dans le tabes, le dia- bète, la goutte.
rve la paralysie faciale dans le tabes, le dia- bète, la goutte. La paralysie faciale dite a {'rig01'e est très fréquente. Ne
la conséquence d'une névrite infectieuse ou toxique. D'ailleurs la paralysie faciale se voit, dans un grand nombre de. malad
zona s'accompagne assez fréquemment de para- lysie faciale. , La paralysie faciale centrale est causée par les lésions siége
nerf depuis la corticalité jusqu la protubé- rance. On oppose cette paralysie centrale du nerf facial à la paralysie périphér
tubé- rance. On oppose cette paralysie centrale du nerf facial à la paralysie périphérique déterminée par toutes les lésions
ntielle jusqu'à la terminaison du nerf. Le principal symptôme de la paralysie faciale est la déviation de la face (tortura fa
puv-Dutemps ont insisté sur un phénomène palpébral constant dans la paralysie faciale périphérique; voici en quoi il consiste
eure. Ce fait, en apparence paradoxal, est d'autant plus net que la paralysie de l'orbiculaire est plus complète. Un mouvemen
globe de l'oeil, normalement, se convulsé en haut. Dans les cas de paralysie faciale il entraine et relève dans son mou- vem
dirige en bas. Il en est de même pour la paupière inférieure. La paralysie du muscle de Ilorner a pour conséquence 1 épqmora
elle semble tombante, l'orifice de la narine est moins large. La paralysie de l'orbiculaire des lèvres a pour conséquence la
déviation de la bouche, la difficulté de prononcer les labiales. La paralysie du buc- cinateur empêche le malade de souffler,
moins grande quantité dans la narine du côté malade par suite de la paralysie de l'aile du nez. Le goût est diminué ou aboli
es auteurs, au relâchement de la membrane du tympan par suite de la paralysie du muscle de Poirier. D'après Collé, cotte hypera
sie et les autres troubles auditifs susceptibles de s'associer à la paralysie faciale périphé- rique seraient imputables à un
labyrinthe de la lésion, qui détermine dans le canal de Fallope la paralysie faciale. Des troubles trophiques et vaso-moteur
s troubles trophiques et vaso-moteurs se constatent parfois dans la paralysie faciale : atrophie des muscles paralysés, altérat
porcclainec de la peau du côté para- lysé. D'après Straus, dans les paralysies faciales périphériques il la suite d'une inject
t tantôt diminuée, tantôt augmentée du côté paralysé. Parfois, la paralysie faciale est accompagnée de douleurs; celles-ci
meau, elles siègent presque toujours au pourtour de l'oreille. La paralysie faciale bénigne guérit en une ou deux semaines sa
e bénigne guérit en une ou deux semaines sans laisser de traces. La paralysie faciale grave dure cinq à six mois, parfois dav
parfois davantage, elle peut même ne pas guérir. Le pronostic d'une paralysie faciale repose surtout sur l'examen électrique.
ue galvanique, la réaction de dégénérescence est incom- plète. La paralysie faciale peut, se terminer par contracture, celte
s et des mouvements cloniques dans les muscles contrac- tures. La paralysie faciale récidive parfois chez certains sujets, ta
. GUILLAIN.] 626 SÉMÉ10L0G1E DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS La paralysie faciale périphérique présente plusieurs formes cl
ente plusieurs formes cliniques dépendant du siège de la lésion. La paralysie faciale centrale a une symptomatologie un peu s
une symptomatologie un peu spéciale. Le diagnostic du siège de la paralysie faciale périphérique se fera ana- tomiquement p
du canal de Fallope, par exemple dans la parotide, il y a seulement paralysie des branches innervant les muscles pcauciers de
D'après Iiocstcr, la coexistence de l'hypoacousie nerveuse avec la paralysie faciale indiquerait que le siège de celle-ci se
ppression de la sécrétion lacrymale s'ob- serverait dans des cas de paralysie faciale alors que la lésion siège au voisinage
nique précédent, il l'exception toutefois des troubles du goût. Les paralysies faciales d'origine basilaire s'accompagnent sou
s paralysies faciales d'origine basilaire s'accompagnent souvent de paralysies d'autres nerfs crâniens (trijumeau. auditif, mo
st incapable de fixer le siège exact, de la lésion qui détermine la paralysie faciale périphérique. Dans la paralysie, faciale
la lésion qui détermine la paralysie faciale périphérique. Dans la paralysie , faciale a (rigore, qui est la forme la plus ha
agnostic topographique exact des lésions ne puisse être précisé. La paralysie faciale d'origine cérébrale est accompagnée le pl
sion des paupières il la suite d'excitation conjonctivale ; dans la paralysie faciale périphérique nu contraire, ces mouvemen
réactions électriques. On donne encore comme signccaractensquedeht paralysie faciale d'origine cérébrale l'intégrité du facial
té toutefois n'est que relative. En effet, l'hémiplégique qui a une paralysie du facial inférieur ferme l'oeil avec heaucoup mo
ts pour la tenir close. On peut remarquer aussi que dans les cas de paralysie faciale d'origine cérébrale, même lorsque le fa
Les rides du front sont généralement moins accentuées du côté de la paralysie . Les mouvements du sourcil sont limités. Chez les
s'observc parfois au niveau de la face, mais ce fait est rare. La paralysie faciale d'origine nucléaire se comporte comme la
rare. La paralysie faciale d'origine nucléaire se comporte comme la paralysie faciale périphérique. Souvent on constate l'att
Je signalerai encore l'existence possible de diplégies faciales. Paralysie de la branche motrice du trijumeau. Cette paralys
égies faciales. Paralysie de la branche motrice du trijumeau. Cette paralysie peut avoir une origine nucléaire, elle peut êtr
r des lésions méningées ou basilaires, elle s'observe aussi dans la paralysie pseudo- bulbaires. On pourrait d'ailleurs schém
pourrait d'ailleurs schématiser les différents types cliniques des paralysies de la branche motrice du trijumeau, de même que l
eau, de même que l'on schématise les différents types cliniques des paralysies faciales et décrire ainsi des paralysies périph
érents types cliniques des paralysies faciales et décrire ainsi des paralysies périphériques, nucléaires et centrales. 1 a par
ainsi des paralysies périphériques, nucléaires et centrales. 1 a paralysie de la branche motrice du trijumeau pour conséquen
a paralysie de la branche motrice du trijumeau pour conséquence la paralysie des muscles masticateurs innervés par ce nerf. Ai
'élévation de la mâchoire se fait avec moins de force du côté de la paralysie , les aliments sont masti- qués du côté sain. Le
té sain. Les muscles ptérygoïdiens sont aussi paralysés. Lorsque la paralysie de la branche motrice du trijumeau est bilatérale
férieur est impossible. Les .symptômes qui pourraient être dus à la paralysie du muscle sphéno-slaphylin et du muscle interne
éno-slaphylin et du muscle interne du marteau ne sont pas précisés. Paralysie du nerf glosso-pharyngien. La symptomatologie de
és. Paralysie du nerf glosso-pharyngien. La symptomatologie de la paralysie du nerf glosso-pharyngien n'est pas précisée, car
e la paralysie du nerf glosso-pharyngien n'est pas précisée, car la paralysie isolée de ce nerf ne s'observe pas en clinique,
ésé en général en même temps que le pneumogastrique et le spinal. Paralysie du pneumogastrique. Les causes principales de la
matologie résultant, au niveau du poumon et du tube digestif, de la paralysie du vague, mais les troubles cardiaques et laryngé
LYSIES DES ]NERFS CRANIENS tachycardie ne soit accentuée que si la. paralysie du pneumogastrique est bilatérale, Cette tachyc
naissance du nerf récurrent, on observe des troubles laryngés, une paralysie des. muscles du larynx innervés par ce nerf. La
en pendant la respiration que pendant la phonation. Dans les cas de paralysie unilatérale la corde vocale du côté sain peut s
de troubles très nets de la voix. 11 n'en est pas de même en cas de paralysie bilatérale, l'aphonie est alors com- plète et l
On trouvera d'ailleurs dans le chapitre de cet ouvrage consacré aux paralysies laryngées la des- cription détaillée des paraly
ge consacré aux paralysies laryngées la des- cription détaillée des paralysies récurrentielles. Max Egger a observé chez une t
alysies récurrentielles. Max Egger a observé chez une tabétique une paralysie bilatérale du pneumogastrique pulmonaire qui se
doute pour cause une para- lysie transitoire du pneumogastrique. Paralysie du nerf spinal. La branche externe du spinal inne
; elle donne des filets aussi au plexus cardiaque. Les causes de la paralysie du spinal sont : les traumatismes, les com- pre
ons nucléaires (syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique); la paralysie du, spinal observée dans le tabes dépend soit d
, La névrite spinale d'origine otite, Thèse de Paris, 1905). , La paralysie de la branche externe du spinal se traduit par la
). , La paralysie de la branche externe du spinal se traduit par la paralysie des muscles sterno-mastoïdien et trapèze. , Q
exion de la tête n'est possible qu'avec les muscles accessoires. La paralysie du muscle trapèze (voir p. 570) a pour conséquenc
e du thorax, alors qu'il s'en rapproche quand le trapèze agit. La paralysie , de la branche interne du spinal a pour conséquen
e des troubles de la phonation et, de la déglutition. Lorsque cotte paralysie est bilatérale le pouls est. accéléré. Paraly
n. Lorsque cotte paralysie est bilatérale le pouls est. accéléré. Paralysie du nerf hypoglosse. La paralysie de l'hypoglosse
bilatérale le pouls est. accéléré. Paralysie du nerf hypoglosse. La paralysie de l'hypoglosse s'ob- serve à la suite des trau
nette. Lorsque les doux hypoglosses sont paralysés, ainsi dans les paralysies bulbaires, les troubles moteurs, la difficulté de
ficulté de la phonation et de la déglutition sont très accentués. Paralysie du nerf phrénique. Le phrénique peut être comprim
eut être comprimé par des tumeurs, abcès, anévrisnics. Ailleurs, la paralysie du nerf est créée par des traumatismes. dos pol
poliomyélites), ou des centres respira- toires du bulbe amènent la paralysie du diaphragme. La paralysie du phrénique se tra
s respira- toires du bulbe amènent la paralysie du diaphragme. La paralysie du phrénique se traduit par la paralysie du muscl
aralysie du diaphragme. La paralysie du phrénique se traduit par la paralysie du muscle dia- phragme (voir p. 505). Les régio
viculairc du trapèze) puissent suppléer en partie le diaphragme, la paralysie de ce muscle est toutefois très grave lorsque l
tion pulmonaire), car l'asphyxieront être rapide. Dans les cas de paralysie unilatérale du phrénique, on constate une asymé
tre les deux bases du thorax lors des mouvements respiratoires. . Paralysie du nerf circonflexe. Les causes de la paralysie d
respiratoires. . Paralysie du nerf circonflexe. Les causes de la paralysie du nerf circonflexe sont : les traumatismes de
squ'à trois ou quatre travers de doigt au-dessus de l'épicondylu. Paralysie du nerf radial. La paralysie du nerf radial peut
de doigt au-dessus de l'épicondylu. Paralysie du nerf radial. La paralysie du nerf radial peut être déterminée par des ble
meil de l'ivresse. Le froid est souvent incriminé comme cause de la paralysie radiale (paralysie rhumatismale, paralysie a fr
Le froid est souvent incriminé comme cause de la paralysie radiale ( paralysie rhumatismale, paralysie a frigore). Dans quelques
riminé comme cause de la paralysie radiale (paralysie rhumatismale, paralysie a frigore). Dans quelques cas le muscle court r
ent autour de l'humérus et de la tôle radiale (Dehovect Tlruhl). La paralysie du nerf radial peut être créée par une névrite ni
radial peut être créée par une névrite nifcc- tieuse ou toxique; la paralysie radiale saturnine est. extrêmement fré- quente.
ue; la paralysie radiale saturnine est. extrêmement fré- quente. La paralysie radiale se voit aussi au cours du faites. . , L
diale se voit aussi au cours du faites. . , Le malade atteint d'une paralysie du nerf radial se présente, en géné- ral, l'ava
s interosseux. La limitation des mouvements des doigts que cause la paralysie des extenseurs des pre- mières phalanges rend d
les mouvements de latéralité de la main ne peuvent, plus se faire ( paralysie du cubital postérieur et du premier radial exte
échisseurs sont rapprochés les uns des autres consécutivement il la paralysie des extenseurs, de sorte que si artificiellemen
n des doigts se fait avec autant de puissance que normalement. La paralysie du court supinateur a pour conséquence l'impossib
ain en même temps qu'un fléchisseur de l'avant-bras sur le bras. La paralysie du long supinateur est facile à constater : la ma
ue la lésion du nerf radial a son siège dans le creux axillain', la paralysie , du triceps est complète et tous les mouvements d
la sensibilité sont fort peu importants dans la plupart des cas de paralysie radiale; dans les paralysies a frigore ou par com
u importants dans la plupart des cas de paralysie radiale; dans les paralysies a frigore ou par com- pression on ne les observ
dorsale du poignet que l'on observe principalement dans les cas de paralysie saturnine; il s'agit d'une tumé- faction presqu
du carpe est une lésion bénigne qui rétrocède complètement quand la paralysie guérit. La-durée et révolution d'une paralysi
plètement quand la paralysie guérit. La-durée et révolution d'une paralysie radiale, dépendent essentielle- ment de sa caus
araly- sies périphériques, sur l'état des réactions électriques. La paralysie [G GCILLAIN ] li;)2 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIE
érison complète survient toujours. Parmi les formes cliniques de la paralysie radiale, une des plus inté- ressantes à connaît
paralysie radiale, une des plus inté- ressantes à connaître est la paralysie radiale d'origine saturnine. Elle est bilatéral
specté. Il faut se rappeler que, d'après Bernhardt, certains cas de paralysies radiales par compression axillaire ne s'accompa
alysies radiales par compression axillaire ne s'accompagnent pas de paralysie du long supinateur. Paralysie du nerf cubital.
axillaire ne s'accompagnent pas de paralysie du long supinateur. Paralysie du nerf cubital. La paralysie du nerf cubital s'o
pas de paralysie du long supinateur. Paralysie du nerf cubital. La paralysie du nerf cubital s'observe à la suite dès trauma
s ou toxiques (alcool, lèpre, syphilis, fièvre typhoïde, etc.). Lps paralysies professionnelles sont assez fréquentes (menuisi
t abolis. L'adduction du pouce est impossible. Consécutivement à la paralysie des interosseux, la flexion des premières phala
ion des objets. L'atrophie musculaire, qui est la conséquence de la paralysie du cubital, détermine une grillé spéciale bien
re et à l'auriculaire. - t'anesthesip n'est pas constante dans la paralysie du cubital. Quand elle existe on observe les tr
e l'annulaire et de la première phalange de l'index et du médius. Paralysie du nerf médian. La paralysie du nerf médian est c
re phalange de l'index et du médius. Paralysie du nerf médian. La paralysie du nerf médian est consé- cutive à des traumati
abducteur, opposant, court fléchisseur) et les loinbricaux. . La paralysie complète du médian a des conséquences sérieuses.
troubles de la sensibilité font très souvent défaut dans les cas de paralysie du nerf médian. Quand ils existent, ils occupent
uis moitié externe des deux dernières phalanges de l'annulaire).. Paralysie du nerf crural. Les causes les plus fréquentes de
.. Paralysie du nerf crural. Les causes les plus fréquentes de la paralysie du nerf crural sont : les tral1luatismes (section
rcée et en abduction. Les ailleurs pensent que la pathogénie de ces paralysies ? r.TT11,l.Ar/V] 654 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES
ue, le pectiné, le moyen adducteur; sa lésion a pour conséquence la paralysie de ces différents muscles (voir pp. 542, 545, :
enou, à la partie interne de la jambe et au bord interne du pied. Paralysie du nerf sciatique. La paralysie du nerf sciatique
jambe et au bord interne du pied. Paralysie du nerf sciatique. La paralysie du nerf sciatique peut porter soit sur le tronc
poplité externe ou le sciatique poplité interne. Les causes de ces paralysies sont : les traumatismes, l'élongation, la compr
plus fréquentes parmi les névrites toxiques. Souques a signalé une paralysie isolée du nerf tibial antérieur, survenue il la s
t, dans l'étude mvologiqle, les symptômes et les conséquences de la paralysie isolée du jambier antérieur, du long exten- seu
ue la jambe, est on n'est pas fléchie, atteint 50° à ! 0°; dans les paralysies très accentuées, elle peut être assez pro- 1. L
ns les paralysies très accentuées, elle peut être assez pro- 1. Les paralysies obstétricales sont le plus souvent limitées au sc
est en extension. t Lorsque des troubles sensitifs existent dans la paralysie du sciatique poplité externe, ceux-ci s'observe
antérieure et les deux tiers de la face postérieure de la jambe. La paralysie du sciatique poplité interne a pour conséquence l
olis. On trouvera plus haut les symptômes et les conséquences de la paralysie du triceps sural, du long fléchisseur commun de
orteils, des inter- osseux du pied (voir pages 549, 551, 555). La paralysie du tronc du nerf sciatique a pour conséquence la
555). La paralysie du tronc du nerf sciatique a pour conséquence la paralysie , des muscles innervés par le sciatique poplité
tique poplité externe et le sciatique po- plité interne et aussi la paralysie des muscles biceps fémoral, demi- tendineux et
rs et les troubles trophiques sont relativement, fréquents dans les paralysies graves du nerf sciatique. [G. GUILLAIN.] 1 MA
ns bulbaires (tabès, syringobutbie), les lésions graves du cerveau ( paralysie générale), certains troubles démentiels s'accompa
ailleurs combien ce réflexe de la toux est facilement déterminé par PARALYSIES DU LARYNX. 615 l'irritation d'autres rameaux du
quées dans certaines stations thermajy. , dans le même sens. M IL PARALYSIES DU LARYNX Les paralysies du larynx sont le plus
ns thermajy. , dans le même sens. M IL PARALYSIES DU LARYNX Les paralysies du larynx sont le plus souvent unilatérales : les
ous ajoutons que les expérimentateurs n'ont jamais pu déterminer la paralysie des adducteurs par des lésions destruc- tives d
re, il semble bien qu'une lésion corticale ne doive pas produire de paralysie unilatérale du larynx. Et cependant, un assez g
cependant, un assez grand nombre d'observations ont été publiées de paralysies laryngées, soit chez des hémiplégiques qui n'on
sympa- thique, sur la présence d'un coeur dilaté : il conclut à une paralysie ré- currentielle incomplète avec participation
, il oppose le fait, spécifié dans le protocole de l'examen, que la paralysie avait iiiiitio- bilisé la corde en position cad
ur asseoir l'hémiplégie laryngée corticale sur des bases solides. PARALYSIES DU LARYNX. 645 2° Hémiplégie bulbaire du larynx
. PARALYSIES DU LARYNX. 645 2° Hémiplégie bulbaire du larynx. Les paralysies bul- baires du larynx sont mieux connues, bien
tinue à donner lieu à de vives discussions. Disons de suite que les paralysies du larynx d'origine bul- haire sont souvent bil
a plupart, dans les autres parties de cet ouvrage. On trouvera la paralysie du larynx parfois unilatérale, dans la paralysie
ge. On trouvera la paralysie du larynx parfois unilatérale, dans la paralysie tabio-tosso-Iaryngée, dans l'hémi-paralysie bul
alysie bulbaire chronique (Eisen- lohr, Schreiber, Krause), dans la paralysie bulbaire apoplectiforme. Gottstcin a rapporté d
forme. Gottstcin a rapporté des cas de ramollissement bulbaire avec paralysie complète d'une corde, et Eisenlohr a vu la dest
isenlohr a vu la destruction du noyau du vago- spinal entraîner une paralysie récurrenlielle totale avec hémi-anesthésie lary
er d'anormal au larynx. Rethi a noté, dans 15 cas sans autopsie, la paralysie isolée du posticus. Dans la syringomyélie, Carl
ralysie isolée du posticus. Dans la syringomyélie, Carlaz a vu deux paralysies du récurrent sur 17 cas el 5 fois la paralysie
e, Carlaz a vu deux paralysies du récurrent sur 17 cas el 5 fois la paralysie du crico-aryténomicn postérieur, Ivanoff, sur t
énomicn postérieur, Ivanoff, sur tO cas personnels, a vu souvent la paralysie du récurrent d'un côté et la paralysie d'un des
personnels, a vu souvent la paralysie du récurrent d'un côté et la paralysie d'un des muselés quelconques de l'autre côté : la
é et la paralysie d'un des muselés quelconques de l'autre côté : la paralysie des dilatateurs est exceptionnelle. Mais c'es
s. Sur 7'1 cas delaryngoplégietabé- tique, Burger a noté 43 fois la paralysie des dilatateurs, 8 fois seulement unilatérale ;
ois la paralysie des dilatateurs, 8 fois seulement unilatérale ; la paralysie du dilatateur était associée 7 l'ois il la paraly
unilatérale ; la paralysie du dilatateur était associée 7 l'ois il la paralysie du thyro-aryténoidien interne, celui-ci n'étant
, celui-ci n'étant d'ailleurs touché isolément que 2 fois. Quant la paralysie récnrrentielle avec position cadavérique de la
'a été relevée que li l'ois. De même Kahn. sur 10 cas. n'a vu que 2 paralysies récurrcntielles pour 14 paralysies du postérieur;
e Kahn. sur 10 cas. n'a vu que 2 paralysies récurrcntielles pour 14 paralysies du postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, not
paralysies du postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) paralysies du postérieur pour 9 paralysies récurrentielles
et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) paralysies du postérieur pour 9 paralysies récurrentielles. Il est donc manifeste que la l
bles de la sensi- bilité -avec voix rauque ou seulement voilée, par paralysie du crico- thyroïdien et relâchement des cordes.
par paralysie du crico- thyroïdien et relâchement des cordes. Les paralysies du récurrent ont beaucoup plus d'importance. Nous
ionnels, et j'observe en ce moment unebasedowienne qui présente une paralysie de la corde droite en position intermédiaire co
le basedowisme (Garel), peuvent aussi compter dans tétto- logie des paralysies récurrentielles. Mais ce sont surtout les tumeu
ismes de la crosse de l'aorte, a tel point qu'on a pu considérer la paralysie de la corde vocale gauche, en position interméd
c de l'anévrisme. De même, mais avec une moins grande fréquence, la paralysie récurrenlielle de la corde droite correspond il
phage, etc., diagnostic si facilité aujourd'hui par la radioscopie. PARALYSIES DU LARYNX. 647 i A côté de ces causes de heauco
'expliquer le cas de Roque et Chalier. Enfin il existe un groupe de paralysies récurrentielles toxiques, bien étudiées dans ce
ies infec- tieuses qu'il faut incriminer : nous avons déjà cité les paralysies de la diphtérie. 11 faut y ajouter celles de la
ans des ganglions trachéaux (Lubet-Barbon). Osier a insisté sur les paralysies récurrentielles de la fièvre typhoïde ainsi que
Lazarus) et même les injec- tions de sérum comme ayant pu donner la paralysie du récurrent. Ruault considère comme probable l
Ce n'est pas le lieu d'indiquer longuement ici les symptômes de la paralysie récurrentielle et il faut laisser aux laryngologi
thétisent dans la loi de Semon qui s'énonce ainsi : Dans toutes les paralysies organiques progressives des ncrfs laryngés, la
s cas sans autopsie ont été décrits par Cartaz et IL Krause dans la paralysie pseudo-bulbaire et j'ai moi-mème fait allusion à
s de la para- lysie labio-glosso-Iaryngée, peuvent donner lieu à la paralysie bilatérale : on l'a vue dans les paralysies bul
peuvent donner lieu à la paralysie bilatérale : on l'a vue dans les paralysies bulbaires apoplectil'ormes, dans le tabès. Les
dans les paralysies bulbaires apoplectil'ormes, dans le tabès. Les paralysies doubles d'origine périphérique ont été bien étudi
simultanément et également touchés. 5° Hémiplégies associées. Les paralysies laryngées associées offrent deux types différen
ssociées offrent deux types différents. Dans le premier, les autres paralysies portent sur les muscles innervés par le vago-sp
d'abord limités, ils puissent parfois s'étendre. De fait il y a des paralysies multiples des nerfs crâniens où, ;'1 côté de lé
erfs crâniens où, ;'1 côté de lésions du vago-spinal, on a noté des paralysies du facial, du moteur oculaire externe, du sympa
outes les conditions étiologiques que nous avons indiquées pour les paralysies du récurrent se retrouvent ici, depuis les lésion
Avellis. C'est le plus commun. 11 consiste dans l'association de la paralysie du voile du palais avec la paralysie de la cord
siste dans l'association de la paralysie du voile du palais avec la paralysie de la corde vocale du même côté et il se compre
es. J'en observe actuellement un cas chez un jeune homme atteint de paralysie infantile du membre inférieur. B) Syndrome de S
rome de Schmidt. L'hémiplégie paiato-laryngec s'accom- pagne ici de paralysie du trapèze et du steJ'l1o-cl()ido-masloïdien, c'e
C) Syndrome de Jackson. Il est caractérisé par l'adjonction de la paralysie de la moitié de la langue. On dit qu'il est compl
plet lorsqu'il s'associe au syndrome de Schmidt, c'est-à-dire il la paralysie du sterno- mastoïdien et du trapèze, incomplet
'Avellis (hémiplégie palato-laryngée). Il s'agit le plus souvent de paralysies bul- baires, parfois aussi d'atteinte de l'hypo
t intra- crànien. D) Syndrome de Tapia. C'est l'association de la paralysie d'une corde avec celle de la langue, le voile d
cependant de citer sa possibilité dans les tumeurs cérébrales et la paralysie générale progressive, mais dans ce dernier cas
nstitue une phase de l'atteinte des noyaux bulbaires qui précède la paralysie . Aussi retrouverions-nous ici les affections qu
-nous ici les affections que nous avons énumérées à l'étiologie des paralysies , la paralysie lahio-gloao-laryngée, les hémor-
ffections que nous avons énumérées à l'étiologie des paralysies, la paralysie lahio-gloao-laryngée, les hémor- ragies et les
tabes, nous l'avons vu, se caractérise déjà par la fréquence de la paralysie des abducteurs : à celle-ci vient s'adjoindre l
re nous devons nous répéter : le spasme est la première étape de la paralysie récurrentielle. Ce sont donc les mêmes causes d
nt donc les mêmes causes déjà énumérées pour les hémiplégies et les paralysies laryngées que nous allons retrouver : la seule co
hiques purs ces mêmes parties restent très longtemps indemnes. La paralysie est souvent très difficile à distinguer de l'atro
nt très difficile à distinguer de l'atrophie intis- culaire ; toute paralysie complète, d'origine organique, et la plupart \
toute paralysie complète, d'origine organique, et la plupart \ des paralysies incomplètes sont suivies, à plus ou moins brève é
servées est insuffi- sant pour assurer le fonctionnement du muscle. Paralysie et amyotrophie vont donc très souvent ensemble,
être une cause. L'atrophie musculaire est facile à distinguer de la paralysie dans les cas où la diminution du volume des mus
aire est tout et la gène fonctionnelle est le seul symptôme : or la paralysie ne se manifeste pas autrement, et le diagnostic n
ue pour conserver un syndrome clinique, différencié seulement de la paralysie vraie par sa lente et progressive évo- lution.
lution. En réalité, dans l'un et l'autre cas, à notre sens, il y a paralysie , dans l'un et l'autre cas c'est la gêne fonctio
ais le degré de ce trouble est essentiellement différent dans les « paralysies » presque toujours rapides et dans les « amyotro-
lentes, et cette différence justifie parfaitement la séparation des paralysies et des amyotrophies d'origine spinale. FORMES C
ans des muscles préalablement paralysés (atrophies consécutives aux paralysies diverses d'origine centrale ou périphérique). C
'adolescence : a) myopathiques : toutes les formes des myopathies : paralysie pseudo-hypertro- phique de Duchenne; Leyden-Moe
HIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESSIVES. 665 B) Consécutives à une paralysie : a) D'origine médullaire : paralysie spinale i
. 665 B) Consécutives à une paralysie : a) D'origine médullaire : paralysie spinale infantile ; paralysie spinale aiguë de
paralysie : a) D'origine médullaire : paralysie spinale infantile ; paralysie spinale aiguë de l'adulte ; liématomyélie ; myé
de l'adulte ; liématomyélie ; myélites. b) D'origine cérébrale : paralysies cérébrales infantiles : hémiplégie, etc.; hémi-
C'est ainsi que l'atrophie Werdiii,-I-Ioffrriaiin, myélopathie, la paralysie pseudo-hypertrophique et la forme Leyden- Moebi
n et Gasne, 45 et 40 ans dans deux cas d Erb. 48 ans dans un cas de paralysie pseudo- hypertrophique de JlIIlC Sacara, 50 ans
dilec- tion le sexe masculin. Cette prédilection est maxima pour la paralysie pseudo-hypertrophique : cette affection ne frap
ts de cette maladie (=). On voit assez souvent dans les familles la paralysie pseudo- hypertrophique atteindre presque exclus
exemple, la myotonie de la maladie de Thomsen et la myoplégie de la paralysie familiale périodique, affections auxquelles Odd
sez importante pour caractériser une des formes de la myopathie, la paralysie pseudo-hypertrophique ; elle est très fréquente
ie ; en revanche elle n'est constante dans aucune d'elles ; dans la paralysie pseudo-hypertrophique même, la pseudo-hypertrop
ouve assez souvent au niveau des muscles atrophiés à la suite d'une paralysie , de la paralysie infantile, par exemple. Gordon
t au niveau des muscles atrophiés à la suite d'une paralysie, de la paralysie infantile, par exemple. Gordon (') a signalé ré
-Dejerine (Friedreich, Landouzy et Dejerine) ('), ainsi que dans la paralysie pseudo-hypertrophique (Marinesco). Leur cause ser
ne sont pas rares dans les atrophies localisées consécutives à une paralysie . L'examen électrique des muscles des myopathiqu
phique, la syringomyélie (Schlesinger, Dejerine et Thomas), dans la paralysie infantile, dans certaines atrophies névritiques ;
ongénitale. Pourtant la lenteur est variable suivant les formes; la paralysie pseudo-hyperlrophique, qui est la plus précoce,
si de très nombreuses années; les amyotrophies consé- cutives à une paralysie (paralysie infantile, hémiplégie, etc.), n'ont pa
nombreuses années; les amyotrophies consé- cutives à une paralysie ( paralysie infantile, hémiplégie, etc.), n'ont pas par ell
athie, et en particulier dans la l'orme scapulo-huméralc et dans la paralysie 1»cudo-lrypertrol>liclue (Mme Sacara) où pou
ranspiration est souvent abondante : chez les 15 sujets atteints de paralysie pseudo-hypertrophique qu'elle a examinés, Mme Sac
la plante des pieds. La sclérodermie a été signalée dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophique par Ballet et Del- lierm
ond qui ont constaté anatomiqucmcnt l'hypertrophie du coeur dans la paralysie pseudo-hypertrophique. de 1. Mme Sacaiia. Rl'v.
point qu'en 1861 ('), dans son travail initial, il avait dénommé la paralysie pseudo-hypertrophique « paralysie hypertrophique
vail initial, il avait dénommé la paralysie pseudo-hypertrophique « paralysie hypertrophique de l'en- fance de cause cérébral
tis, etc. etc., Ces troubles mentaux sont surtout fréquents dans la paralysie pseudo-hypertrophique, mais ils ont été signalés
e des quatre membres et du cou; il considère, avec Goldflam, que la paralysie périodique n'est qu'une myopathie primitive. Mari
4), puis Gui- non. Verriest ont signalé des cas d'association de la paralysie pseudo-hy- pertrophique avec la forme facio-sca
un âge moins avancé, c'est-à-dire qu'on les observe surtout dans la paralysie pseudo-hypertro- phique, mais ils peuvent exist
ce moment la pseudo-hypertro- phie est toujours assez nette. Si la paralysie a débuté dans la toute première enfance, l'enfa
- Cette variété, relativement- rare, atteint tout d'abord, comme la paralysie pseudo-hypertrophique, 9 les membres inférieurs
s, très tardivement les épaules et les membres supérieurs; comme la paralysie pseudo-hypertrophique. elle progresse de la rac
de Damaschino, Dut.il, Dejerine. etc. On a dénommé cette variété « paralysie pseudo-hyper/1'Ophique sans hypertrophie » ..
ude et les mèmes troubles de la marche et des mouve- ments que la paralysie pseudo-hypertro- phique : station les jambes éc
logues à ceux qui accompagnent les arnyolrophies post-paralytiques ( paralysie infantile, etc.). 1. GoitDo ? 1. or 11er ? Il.1
r lit, ils n'appprennent pas à se tenir do- bout ni à marcher. La paralysie et l'atrophie s'étendent en même temps aux muscle
nspiratoire de l'abdomen), soit il l'atteinte des noyaux bulbaires ( paralysie tabio-gtosso-taryngée). Ces crises sont peut-être
te progressive des cornes antérieures et des faisceaux latéraux. La paralysie iabio-gtosso-taryngée est la terminaison ordinair
ntractions fibrillaires et jamais de réaction de dégénérescence. La paralysie et la contracture se joi- gnent rapidement à l'
=lrau-Duchenne a été signalé aussi dans un certain nombre de cas de paralysie générale (Bail, Mac Dowald, Voisin et Hanot, Re
hilitique : ce que nous venons de dire du tabes est applicable à la paralysie générale. Dans certaines névrites on peut obser
n réalité des m/élopatlhies toxiques. L'évolution de l'atrophie, la paralysie plus ou moins marquée du début, la notion étiol
de ces amyotrophies secondaires soit à une lésion locale soit à une paralysie , c'est, contrairement aux amyotrophies primitiv
ne région malade, soit à des muscles déterminés il l'avance par une paralysie préalable, Dans cet article de séméiologie prat
nce un arrêt de développement du squelette du membre et simuler une paralysie infantile. 1. HAi.ipi ! K ? îe(i. médic de No
ernard. Arch. de médoc, 1900, p. 31ft. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 711 enflammée se paralyse; mais parfois elle a
muscles préalablement paralysés d'un ou de plusieurs membres ; la paralysie est le phénomène morbide initial et prédominant,
- leurs d'une fréquence et d'une intensité variable suivant, que la paralysie est d'origine organique ou fonctionnelle, et, d
athiques, héréditaires ou acquises. a) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine médullaire. Ces atrophies s'observent
re nerveuse, etc.; mais dans ces cas il est difficile de dire si la paralysie précède véritablement l'atrophie, il semble que
ire (ceinture pelvienne et. membres infé- rieurs). .. - . Dans la paralysie spinale infantile l'atrophie ne se montre que lon
Atrophie considérable du membre inférieur gauche à la suite d'une paralysie spinale infantile. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE
e d'une paralysie spinale infantile. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 715 surtout hémorragiques, souvent latentes, d
conditions que chez l'enfant, mais elle est beaucoup plus rare ; la paralysie spinale aiguë de l'adulte, dont la réalité avai
rophie consécutive à une hématomyélie est toujours secondaire à une paralysie brusque : elle est toujours accompagnée de troubl
Dans les myélites qui se traduisent par une paraplégie ou par une paralysie ascendante, l'atrophie est rare et légère; on con
fs et surtout des racines; l'apparition des périodes successives de paralysie flasque et de paralysie avec contracture, avec
s; l'apparition des périodes successives de paralysie flasque et de paralysie avec contracture, avec ou sans troubles trophique
agnostic de compression médullaire. b) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine cérébrale. Dans toutes' les paralysie
consécutives à une paralysie d'origine cérébrale. Dans toutes' les paralysies cérébrales infantiles, hémi- plégie, diplégie,
épaisseur, mais n'est nullement proportionnelle à l'intensité de la paralysie . Dans la paraplégie cérébrale infantile, le tro
ette au niveau des membres supérieurs. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 715 culaire chez des hémiplégiques, où les ner
hémiplégiques est très persistante. c) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine périphérique. Toutes les lésions des
ique. Toutes les lésions des nerfs moteurs ou mixtes provoquent des paralysies suivies d'atrophie musculaire : ces lésions son
s. Ce qui les distingue surtout, c'est d'une part l'adjonction à la paralysie atrophique d'un certain nombre de symptômes sen
e, hyperidrose, ulcérations, etc.) sont très fréquem- ment liés aux paralysies atrophiques d'origine périphérique. Le caractèr
, racines). Dans les sections, plaies et contusions d'un nerf, la paralysie et l'amyotrophie sont superposées, l'atrophie s
1. Driiove. Soc médic des Irôp., 1881. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 717 est complète ou incomplète. A la suite des
A la suite des sec- tions incomplètes, des plaies ou contusions, la paralysie , l'atrophie et les troubles objectifs de la sen
u partielle. Les compressions des nerfs sont une cause fréquente de paralysies amyotrophiques. La compression peut se produire
rs. les paveurs, les parqueteurs, etc Dans ces différents cas, la paralysie et l'amyotrophie peuvent être très prononcées d
exsudai tuberculeux, etc.; elle est la cause la plus ordinaire des paralysies obstétricales. En dehors de cette dernière variét
718 ATROPHIES MUSCULAIRES. La symptomatologie peut être celle d'une paralysie radiculaire supé- rieure, inférieure ou totale.
e paralysie radiculaire supé- rieure, inférieure ou totale. Dans la paralysie radiculaire supérieure, les muscles frappés son
culo-culané et radial, parfois du circonflexe et du médian. Dans la paralysie radiculaire inférieure, les muscles atteints so
re, rétrécissement de la fente palpébrale) sont constants. Dans les paralysies radiculaires totales, on observe la combinaison d
bles moteurs, sensitifs et trophiques des deux formes précédentes : paralysie atrophique des muscles de la main, de l'avant-bra
Elles sont assez souvent bilatérales. Elles se manifestent par une paralysie atro- phique, localisée : pour le plexus sacré
tébrales ou intra-rachidiennes peuvent simuler toutes les formes de paralysies des plexus que nous venons d'indiquer; elles pe
spinale dans le tabes, il semble bien probable qu'un bon nombre des paralysies amyotro- phiques diversement localisées dans ce
s à des com- pressions radiculaires. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 719 2. Lésions inflammatoires des nerfs : névr
s) ('), marquée par une douleur violente presque aussitôt suivie de paralysie complète. Dans tous ces cas les troubles sensit
s de la sensibi- lité objective (ordinaires, mais inconstants), les paralysies ; un peu plus tard l'atrophie envahit en masse l
es névrites localisées, la. localisation seule est différente. La paralysie atrophique est généralement plus intense et plus
s des formes très rapides, aiguës ou suraiguës, qui rap- pellent la paralysie ascendante aiguë de Landry et dont l'anatomie et
et le désiré d'extension des névrites multiples ou généralisées, la paralysie amyotro- phique est le plus souvent longue et s
he, puis des cuisses, de l'abdomen, des mains et des avant-bras; la paralysie et l'atro- phie envahissent d'abord les extense
rieurs, l'abdomen, le thorax, le cou; elle est caractérisée par une paralysie flasque avec troubles sensitifs objectifs et réac
usculaire est rare. La guérison rapide ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 725 est la règle, hormis le cas où les nerfs c
s, souvent au seul nerf cubital. Les troubles consistent surtout en paralysies douloureuses circonscrites ; l'atrophie muscula
vec ou sans amyotrophies ; quelquefois on observe le syndrome de la paralysie ascendante aiguë. Parmi les névrites infectieus
hésies, l'hyperesthésie cutanée et musculaire précèdent toujours la paralysie ; la paralysie et l'atrophie sont cependant presq
esthésie cutanée et musculaire précèdent toujours la paralysie ; la paralysie et l'atrophie sont cependant presque constantes ;
ssion de l'alcool. Le type ordinaire de la névrite saturnine est la paralysie des muscles innervés par le radial, à l'excepti
les ou se généraliser il la presque totalité de la musculature. Les paralysies sont d'ordinaire curables, parfois très lenteme
, très diversement localisés et parfois parcellaires. On a cité des paralysies amyotrophiques plus ou moins douloureuses du cubi
du péronier, du circonflexe, des extenseurs du pied et des orteils ( paralysie diabétique de Charcot), etc. : elles sont génér
ement passagères. Dans la goutte, dans le rhumatisme chronique, les paralysies amyotro- phiques douloureuses ne sont pas rares
oulement du pied sur son bord interne. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE . 725 vrotiques fixent ce pied en extension, alo
ilis. Les muscles les plus divers peuvent être isolément frappés de paralysie atrophique dans le tabès, en particulier certai
rs. Il est probable qu'elles relèvent de la même pathogénie que les paralysies atrophiques des membres, surtout de l'altératio
Des lésions en apparence névritiques observées dans le cours de la paralysie générale ou à la suite d'hémorragies venlriculcri
doute une pathogénie ana- logue. cl) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine fonctionnelle. - Atrophie musculaire
grand pectoral seul, etc.). Elle débute quelques semaines après la paralysie et évolue rapidement; elle est rarement très in
d'exécuter autrement que dans l'eau (lluehzerineyer) (*). Dans les paralysies amyo- trophiques névritiques, il ne faudra proc
sera tout à fait indi- quée, même de façon très prolongée, dans la paralysie infantile qui est essentiellement une paralysie
prolongée, dans la paralysie infantile qui est essentiellement une paralysie flasque ; elle sera ,des plus utiles aussi dans
le. Il faudra aussi prévenir l'es altitudes vicieuses, suites de la paralysie , de l'amyotrophie et des rétractions fibro-tend
résultats par- ticulièrement intéressants dans un certain nombre de paralysies infantiles. La laxité excessive de certaines' a
a été notamment préconisée contre le pied bot flasque de certaines paralysies infantiles (Ducroquet et Launay). Des apparei
aladies congénitales diverses : myotonie congénitale, Fried- reich, paralysie périodique, autres variétés de myopathie, absence
s : réflexes tendineux exagérés : Sclérose latérale amyotrophique : paralysie spasmodique des mem- bres supérieurs; parfois p
trophique : paralysie spasmodique des mem- bres supérieurs; parfois paralysie labio-glosso-laryngée; évolu- tion rapide (2-5
isée (mem- bres inférieurs), ni contractions fibrillaires, ni R. D; paralysie spasmodique, tremblement, nystagmus, troubles v
généralement limi- tées ; durée prolongée. B) Consécutives A une paralysie : atrophie de tout ou partie des muscles préalabl
tômes propres à l'affection paralytique : a) D'origine médullaire : paralysie spinale infantile; paralysie spinale aiguë de l
aralytique : a) D'origine médullaire : paralysie spinale infantile; paralysie spinale aiguë de l'adulte; hématomyélie ; myéli
yélie ; myélites ; compression médullaire. b) D'origine cérébrale : paralysies cérébrales infantiles : hémiplégies, etc.; hémi-
des membres; tendance il la régression. 2. Caractères associés : paralysie ; troubles sensitifs subjectifs constants (dou-
u clinique évolue beaucoup plus rapidement que le tabes. Enfin la paralysie générale, dans l'étiologie de laquelle la syphili
art à un faible degré; l'asthénie, plus ou moins accusée, mais sans paralysie vraie, sans trouble notable de la force de chaq
Ieuses peuvent le provoquer. L'association d'hémiplégie alterne, de paralysies des nerfs bulbaires et de divers symptômes bulbo-
t très accentuée ; ces (roubles sont sans doute dus à un mélange de paralysie , d'hypotonie, d'atrophie musculaire et de contr
que constante des réflexes rotuliens; la présence très fréquente de paralysies oculaires ou de troubles ataxiques des mus- cle
t une forme ataxique. En réalité, il s'agit dans les deux cas d'une paralysie de cause fonctionnelle, qui, comme toutes les p
x cas d'une paralysie de cause fonctionnelle, qui, comme toutes les paralysies hystériques, est essentiel- lement systématique
es cérébelleux inférieurs) : Syndrome associé à hémiplégie alterne, paralysies - ~" bulbaires, symptômes bulbaires (glycosurie
le était pratiquée depuis longtemps déjà avec succès dans certaines paralysies , hémiplégie, paraplégie spas- modique, paralysi
ès dans certaines paralysies, hémiplégie, paraplégie spas- modique, paralysie agitante, etc., avait donné d'assez mauvais résul
fait défaut aux muscles, ni dans l'une ni dans l'autre il n'y a de paralysie ou d'atrophie. La physiologie pathologique et l
ne seule articulation, il faut commencer par la rééduca- tion de la paralysie (stade « paralytique » du tabes) avant de pouvoir
tions. Ajoutons qu'à l'hémiplégie linguale est souvent associée une paralysie faciale également homonyme. b Il existe d'autre
alysie faciale également homonyme. b Il existe d'autres variétés de paralysies motrices, soit que le faisceau pyramidal se tro
es deux côtés, et l'on observe une hémi- plégie double, soit que la paralysie et l'atrophie linguales demeurent iso- lées, un
nerfs bul- baires, le spinal révèle sa lésion individuelle par une paralysie isolée du sterno-cléido-mastoïdien et du trapèz
rapèze. Cette dernière éventualité est, à vrai dire, assez rare, la paralysie isolée du sterno et du trapèze relevant surtout
s. En somme, le syndrome bul- baire classique par excellence est la paralysie labio-glosso-laryngée. Le malade a la bouche en
o-bulbaires (V. les chapitres spéciaux à ces deux affections). La paralysie des lèvres et des joues réduit encore le vocabula
mise encore. Souffler et siffler sont impossibles. Gêné déjà par la paralysie de l'oro-pharynx, le cheminement des ali- ments
ent des ali- ments, à peine ou point du tout mâchés par suite de la paralysie des masticateurs', est encore entravé par la pa
suite de la paralysie des masticateurs', est encore entravé par la paralysie des constricteurs du 1. Lorsque l'atrophie est
angulation angoissante, parfois presque permanente. Ajoutons que la paralysie du voile donne à la voix un timbre nasillard. L
arfois. L'épuisement vocal est hàtif, l'aphonie fréquente. Enfin la paralysie des dilatateurs laryngés provoque une dyspnée p
bservation, sans que son mécanisme, soit bien précis, inhibition ou paralysie , action élec- tive sur le foie ou sur le pancré
ordinairement d'une hémi- plégie linguale homonyme par rapport à la paralysie faciale. Sont, plus particulièrement bulbaires
émiatrophie linguale homonymes avec hémiplégie croisée des membres ( paralysie alterne type Revilliod-Gonkowski), ou bien une
erne type Revilliod-Gonkowski), ou bien une hémiplégie croisée avec paralysie homonyme des YIIF et V" paires avec kératite ne
talement à la mort. Le syndrome nucléaire bulbaire; c'est-à-dire la paralysie labio-glosso- laryngée s'observe tantôt dans de
dividualisé fait défaut. SYNDROMES ET MALADIES BULBAIRES. ' 805 Paralysie labio-glosso-palato-laryngée (Charcot) à marche l
érose en plaques, syringomyélie par exemple). Le diagnostic de la paralysie Iabio-glosso-laryngée bulbaire est simple en gé
uvent donner un syndrome analogue au syndrome purement nucléaire. Paralysie labio-glosso-laryngée à marche rapide. Poliencéph
ls, précipitant l'évolution morbide sans permettre l'apparition des paralysies . En d'autres cas, l'allure est moins effrayante :
nt guérir cependant, soit complètement, soit avec quelque reliquat, paralysie linguale ou surdité. Ce syndrome bulbaire aigu es
nfection spinale ascendante, telle que l'on peut l'observer dans la paralysie de Landry et dans la rage. Syndrome labyrinth
es : la tête s'incline en arrière ou se fléchit sur la poitrine. La paralysie unilatérale d'un nerf crânien serait un signe i
tricule, et, comprimant le bulbe d'arrière en avant, déterminer des paralysies nucléaires. L'on a parfois en telle occurrence
ne rare complexité : Brissaud, dans un cas de tuberculose, note une paralysie faciale droite associée il une névralgie partie
hez un syphilitique du reste guéri par le trai- tement, observe une paralysie glosso-labio-palato-pharyng('.e avec hémia trop
; ils sont habituellement secondaires à une lésion du labyrinthe. PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE par le Dr MOUTIER La paralysi
n du labyrinthe. PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE par le Dr MOUTIER La paralysie pseudo-bulbaire est caractérisée par un ensemble
s en plus, les désordres spéciaux dont le groupement constitue-, la paralysie 1>seudo-hulhaire, ou mieux, comme l'appelait
s. On notera cependant que l'évolution de la ma- [MOUTIER.] ] 808 PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE. r ladie n'est pas uniforme, ma
eur déchéance lorsque le rire ou les larmes s'opposent à toute ten- PARALYSIE PSEUDO-BULBAIR. 809 tative d'entretien avec leu
drome pseudo-bulbaire. Rire spasmo- dique (d'après Brissaud). 810 PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE. tation, pousse les sons, les é
un ànonnernent dénué de sens, souvent saccadé, haché. Il existe une paralysie notable des lèvres, de la langue et du voile du
ralysie notable des lèvres, de la langue et du voile du palais. Ces paralysies et la très grave dysphagie qu'elles entraînent ne
e par- fois légers, mais ils ne sont guère absents. On a signalé la paralysie éventuelle des cordes vocales. Le réflexe phary
amého- rées par le traitement antisyphililique. II existe enfin une paralysie pseudo-bulbaire infantile, et même une paralysi
I existe enfin une paralysie pseudo-bulbaire infantile, et même une paralysie congénitale liées lune et l'autre à de gros acc
Maladie caractérisée seulement après plusieurs ictus successifs, la paralysie pseudo-bulbaire avec le faciès particulier qu'ell
es émotionnelles désordonnées, ses troubles de la mastication et de PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE. 811 la déglutition, de la déma
abitude, il est vrai. Différencier la pseudo-paralysie bulbaire des paralysies bulbaires vraies peut être plus difficile : on
cependant si l'on se reporte aux descriptions précédentes. Dans la paralysie bulbaire aiguë apoplecli forme, l'ictus est uni
Les troubles qui surviennent ensuite comprennent non seu- lement la paralysie labio-glosso-laryngée, mais les autres éléments d
u un individu atteint de sclérose en plaques qu'évolue lentement la paralysie labio-glosso-laryngée de Duchenne. L'insidiosit
me central de l'articulation des mots est atteint, [MOUTIER.] 812 PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE. c'est-à-dire chez l'anarthriqu
s. Hémiplégique droit (s'il est gaucher), et généralement frappé de paralysie intense, l'anar- thrique parle de voix forte ;
maladies bulbaires et cérébelleuses, les chorées, les migraines, la paralysie agitattle, la paralysie générale, les mala- die
rébelleuses, les chorées, les migraines, la paralysie agitattle, la paralysie générale, les mala- dies mentales, etc. La pl
goureux, mais l'asthénie atteint une importance primordiale dans la paralysie périodique de Westphal. De fait, il semble plut
Westphal. De fait, il semble plutôt s'agir ici de myasthénie que de paralysie à propre- ment parler (V oirchap. Paraplégie).
pinale. Cette affection porte divers noms : asthénie bulbo-spinale, paralysie bulbaire asthénique, syndrome d'Erb-Goldflctm.
ymptômes bulbaires. - Ils marquent, avons-nous. dit, le début de la paralysie bulbaire asthénique; le malade s'aperçoit sou
le. Dans la'myasthénie, MYASTHÉNIE. 817 il n'existe ni parésie ni paralysie . On peut s'en assurer en laissant un muscle se
ou lent, ne présente jamais de phé- nomènes régressifs. Il y a une paralysie définitive avec D. R., et non pas une simple fa
ns cas (méningite tuberculeuse), la convulsion est remplacée par la paralysie , l'excitation de l'écorce cérébrale à un mo- me
structrice (hémor- ragie, ramollissement), il peut y avoir d'emblée paralysie durable. Il ne faut pas cependant se contenter
s formes qui tendent il la généralisation, enfin et surtout sur les paralysies durables consécutives. Valeur séméiologique des
ns la sclérose cérébrale chro- nique vous constaterez qu'il v a des paralysies ou des contractures et on vous aura dit qu'elle
On reconnaîtra la cause en recherchant les signes essentiels de la paralysie générale, tremblement, troubles de la parole, s
auxquelles succé- dera bientôt un état comateux avec hémiplégie ou paralysie des quatre membres. Elle est fréquente chez les
suivants : céphalée et dou- leurs localisées, parésie hémiplégique, paralysie d'un nerf crânien, oedème papillaire en faveur
rt des intoxications. Enfin, le rythme peut être lent comme dans la paralysie agitante, les oscillations sont de 4 à 5 1/2 par
r pen- dant l'accomplissement de cet acte chez certains trembleurs ( paralysie agitante). Enfin, il peut s'exagérer et on peut
eut être enfin chronique comme dans la sclérose en plaques, dans la paralysie agitante, dans la maladie de Basedow. Mais, il
rdon Holilles a décrit un tremblement analogue. Tremblement dans la paralysie générale. Il se présente quelque- fois au repos
ew- Y o1'k Médical Journal, 11 octobre 1890) dit que sur 47 .cas de paralysie agi- tante qu'il a examinés, il y avait fois tr
e d'une émotion,- d'une frayeur, d'un traumatisme, d'une attaque de paralysie ou d'une attaque d'hystérie. - . Quelquefois
e la maladie de Basedow, le tremble- ment alcoolique et celui de la paralysie générale. Ce tremblement ne s'efface que pendan
avons dit, simule le trem- blement alcoolique, le tremblement de la paralysie générale cl le trem- blement de la maladie de B
par les mouvements volontaires et simulent d'une façon frappante la paralysie générale, quelquefois le tremblement sénile, qu
ralysie générale, quelquefois le tremblement sénile, quelquefois la paralysie agitante, comme dans les cas de Rendu, d'Oppcnh
les de la face. dans quelques cas rares, il peut être assimilé a la paralysie agitante. Lc.trembtement Ulacul'ielestun trembl
discussions. Ce trem- blement est de rythme moyen comme celui de la paralysie agitante, il existe au repos, sauf dans de rare
olle) ; mais on peut dire qu'elle est rarement affaiblie jusqu'à la paralysie complète. D'autre part, dans certains cas, l'ex
parler tout d'abord de la chorée molle ou chorée paralyti- que, la paralysie survient chez le choréique de deux façons différe
ter une chorée très manifeste au cours de laquelle apparaissent des paralysies de type variable : ce sont les paralysies chez le
laquelle apparaissent des paralysies de type variable : ce sont les paralysies chez les cho- réiques (Ollive, Thèse de Paris,
1885), mais, à côté de ces troubles, il existe d'autres cas, où la paralysie domine la scène et dans laquelle les mouvements
HORÉE DES ENFANTS. OU CHORÉE DE SYDENHAM. 857 Nous avons vu que ces paralysies dans la chorée ont fait l'objet, de nombreux tr
suivant l'époque à laquelle elles apparaissent, être qualifiées de paralysies pré-choréiques, inter-choréiques ou post-cho- r
efois cette disparition de contractions sous l'influence 1. Ollive. Paralysie chez les choréiques. Thèse de Paris, 1885. Pémsso
son. Amyo- Irophic dans la chorée. Thèse de Bordeaux, 1891. Ronnou. Paralysie de la chorée,. Gazelle hebdomadaire de Bordeaux
horée,. Gazelle hebdomadaire de Bordeaux, 1889. Amyotrophie dans la paralysie de la choréc. Thèse de Bordeaux, '1891. Michel.
e inhabile ou par la maladresse des mains. Quand il est brusque, la paralysie est d'emblée complète, elle peut être généralis
tits mouvements choréi- formes à intervalles éloignés : ou bien la. paralysie est localisée (hémi- plégie, paraplégie ou mono
ée vulgaire, aussi souvent a-t-on pu prendre cette maladie pour une paralysie infantile ou pour une. polynévrite. L'évolution
démence pour plusieurs auteurs serait assez analogue il celle de la paralysie générale (Osier, Facklam). Évolution. La marc
-Mitchell, Charcot, Lépùie,- Raymond. L'hémichorée peut précéder la paralysie de quelques jours, suivant immédiatement l'ic-
la maladie de Basedow (Dieulafoy). On les observe également dans la paralysie générale. MYOCLONIES par le Dr CROUZON On a
erses myoclonies au cours de maladies du système nerveux et dans la paralysie générale (Hermann, Méditz. Oboz, '1899). On la
odique orientent le "diagnostic vers. la sclérose en pla- ques ; la paralysie agitantesm;a reconnue à ce tremblement si spécial
vé non seulement une impotence fonctionnelle, mais les signes d'une paralysie organique véritable, particulièrement des adduc
, elle se différencie immédiatement des états. de contracture ou de paralysie dans lesquels les membres sont figés en une pos
ou de déficit banaux : on les rencontre ainsi dans la stupidité, la paralysie générale, l'épilepsie, la mélancolie. Les attit
ans la sclérose en plaques. Féré l'a rencon- trée également dans la paralysie générale où il a décrit un aplatisse- ment du p
ares dans cer- taines affections comme la sclérose en plaques ou la paralysie générale, dans d'autres, au contraire, elles fe
s, sur les membres paralysés, quelle que soit l'étiologie .de cette paralysie , et. même chez les individus simple- ment attei
, d'une façon très générale, sur tous les membres qu'immobilise une paralysie de date ancienne déjà. De même, llilyl)elké),(i
udo- hypel'l1'ophique., Des faits analogues s'ob- servent dans la paralysie infantile. * , Dans certains cas, l'adipose est
is réduction du membre entier; de tels laits s'observent dans les paralysies et dans lés hémiplégies infantiles.. Parfois l'
- Scoliose dans la syringomyélie (d'après Ilal- lion). Fig. 14. Paralysie infantile avec atrophie considérable de tout
vers la syringomyélie. On a signalé des lésions analogues dans la paralysie générale ; mais les faits de cet ordre demeur
ture peut s'élever encore dans un certain nombre de mala- dies : la paralysie bulbaire progressive, quand elle atteint le centr
eint le centre thermique, peut provoquer l'hyperthermie, de même la paralysie bul- baire asthénique est quelquefois caractéri
nfin, les élévations de température se voient encore au début de la paralysie infantile, dans certaines myélites aiguës. Elles
moment des attaques congestives de la sclérose en plaques et de la paralysie générale. - Dans les névrites, la température p
le. Cet état de mal épiloptique, même quand il se rencontre dans la paralysie générale ou dans l'élrilcpsie jacl : .onnienne,
essive. Jules Voisin, Roger Voisin et ! {euh l'ont observée dans la paralysie générale infantile. [O. CROUZON.] 958 TROUBLE
des troubles assez caractéristiques de la réaction sudorale dans la paralysie faciale : c'est la réaction la pilocarpine. Strau
sudation provoquée par une injection de pilocarpine dans un cas de paralysie faciale périphérique, a constaté un retard de la
bulbaires ; dans tous les syndromes bul- baires : tumeurs du bulbe, paralysie bulbaire progressive, la dyspnée peut être un s
ntiel; enfin la dyspnée peut s'obscrver dans les névrites, dans les paralysies diphtériques. Les (roubles respiratoires peuv
peut s'observer dans l'alcoolisme; c'est une des localisations des paralysies alcooliques au cours de la gros- sesse (Dufour
celle des hémorragies et des ramollissements bulbaires; celle de la paralysie labio-glosso-Iaryngée, celle de la sclérose en pl
sivement à l'hystérie et au labes, quoiqu'on en ait signalé dans la paralysie générale avec des caractères analogues à ceux d
e inaperçue et l'incontinence parait primitive. En présence d'une paralysie générale il semble qu'il n'y ait pas de phénomè
enfin, l'ineon- tincnce est absolue, totale et définitive quand la paralysie est devenue complète. Chez les hystériques, l
l'incontinence vraie, il est très important de distinguer s'il y a paralysie du sphincter ou regorgement. Un examen est presqu
tus qui augmente les influences congestives. Enfin la parésie et la paralysie vcsi- cale ont pour conséquence la rétention, c
ce rapidement à l'impuissance définitive. Il en est de même dans la paralysie générale. Dans le tabès les troubles génitaux s
édée de masturbation, dans la syphilis cérébrale et surtout dans la paralysie générale à la première période. Elle est au déb
ntraire, la reprise de la masturbation qui les provoque. l'ans la paralysie générale, l'onanisme est souvent un signe du débu
encéphale, telles que l'hémorragie ou le ramollissement, et dans la paralysie générale; toutefois, il y a lieu de rechercher si
ont l'hystérie, les hémorragies et ramollissements céré- braux, les paralysies périphériques de la cinquième paire, les lésions
n peut observer également des névralgies au cours du tabès ou de la paralysie générale, des dysesllu'sies après la crise épilep
y avoir agueusie totale il la suite des crises d'épilepsie. Dans la paralysie faciale enfin, dans les lésions nucléaires de l
lésions nucléaires de l'intermédiaire de Wrisberg et dans certaines paralysies Itl)l o- ? l osso-1 aiyn crées, des troubles anal
viciations de la sensation, telles que les peu- vent provoquer une paralysie faciale otitique, des maladies du l'oie ou de l
ilité linguale. Parmi ces troubles se rangent les tremblements, les paralysies , les contractures et spasmes. Les tremblements
pprécier seu- lement lorsque la langue est tirée hors de la bouche ( paralysie générale, par exemple). Les tremblements peuv
[F. MOUTIER] MU TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la paralysie générale, la langue exécute des mouvements désor-
r le début d'un accès, comme il peut se produire il sa suite. Les paralysies de la langue sont uni- ou bilatérales. Ces paraly
suite. Les paralysies de la langue sont uni- ou bilatérales. Ces paralysies généralisées peuvent être fonctionnelles ou org
nctionnelles ou organiques et s'accompagner ou non d'atrophie. La paralysie totale de la langue sans atrophie se voit chaque
étriques et multiples réalisent un syn- drome spécial l'appelant la paralysie tabio-gtosso-taryngée; les malades qui en sont
t intellectuel variable et le reliquat d'une double hémiplégie. Lue paralysie ou mieux une parésie totale, sans atrophie fait e
ésie, de glycosurie, de polyurie, d'albuminurie, il s'agit alors de paralysie bulbaire aiguë, lice le plus souvent à un foyer
piratoires et cardiaques. Cette évolution est caractéristique de la paralysie bulbaire progressive de Duchesne. La langue bul
attribué il de la parésie de la langue les troubles constants de la paralysie générale, fréquents de la sclérose en pla- ques
iques présentent quelquefois de la para- lysie avec atrophie. Les paralysies de la langue n'atteignant qu'un côté de l'organe
jM7( ? ? ? r ? c cervicale hyperlro- phique, [tins rarement dans la paralysie générale et la syphilis des rentres. Dans Ions
., tous signes qui permettent d'établir le diagnostic. Enfin, les paralysies généralement accompagnées de troubles divers, a
une thérapeutique, surtout antisyphilitique, souvent effective. La paralysie de la septième paire s'accompagne, quand elle est
être déviée du côté malade : on est en droit de songer alors à une paralysie faciale compliquée d'une atteinte de la douzième
sur l'alrophin suffisamment étudiée plus haut en même temps que les paralysies . L'hypertrophie de la langue peut porter sur un
droïde. On a signalé encore l'accroissement de la langue dans la paralysie pseudo-hype1'/rophique. Cet accroissement est p
s moteurs se superpo- sent des troubles de la sensibilité. Dans les paralysies bilatérales, la mas- tication est pénible, et l
propulsion et les mouvements de déduction sont impossibles dans la paralysie des ptérygoïdiens. Les paralysies du trijumea
duction sont impossibles dans la paralysie des ptérygoïdiens. Les paralysies du trijumeau peuvent déterminer des troubles dire
umeau peuvent déterminer des troubles directs de la déglutition par paralysie du péristaphylin externe et du mylo-hyoï- dien.
paralysie du péristaphylin externe et du mylo-hyoï- dien. Quand la paralysie est unilatérale, les signes sont les mêmes, mais
péristaphylin reçoit un rameau du trijumeau. Voile du palais. Les paralysies du voile du palais sont faciles à reconnaître.
troubles électriques manquent en général. Tel est le tableau d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .] 984 TROUBLES
diverses), souvent accompagnée de .troubles moteurs généralisés. La paralysie peut êtrè unilatérale : le voile est rétréci d'
ur la langue. . - : le voile du palais est abaissé en masse dans la paralysie des pérista- phylins ; l'arc de ses piliers pos
marqué des liquides par le liez; mais la voix est nasonnée dans la paralysie des péris- taphylins seulement. Ces troubles
polioencéphalites inférieures de diverses causes. (Voir plus haut : Paralysie de la langue.) La paralysie du voile d'origine
s de diverses causes. (Voir plus haut : Paralysie de la langue.) La paralysie du voile d'origine bulbaire peut se combiner à
e.) La paralysie du voile d'origine bulbaire peut se combiner à une paralysie récurren- tielle homonyme (syndrome d'Avellis)
ielle homonyme (syndrome d'Avellis) à la même lésion accompagnée de paralysie du trapèze et du sterno-cléido-mastoïdien (syndro
En dehors des indications banales relatives au traitement de toute paralysie , signalons simplement dans ces conditions l'impor
avant d'admettre l'existence d'un simple trouble fonctionnel. La paralysie du pharynx' est à peu près toujours d'origine név
spasme est douloureux et fait obstacle à la sonde oesophagienne; la paralysie n'arrête pas celle-ci et n'est pas douloureuse.
dents paralytiques et des accidents spastiques. Nous négligerons la paralysie de l'oesophage dont l'existence est peu précise
salive. 11 est facile de recon- naître le goitre exophtalmique, la paralysie agitante, la rage même ; enfin, dans les cas pl
Il saint tantôt de troubles sécrétoires, tantôt d'anesthésies ou de paralysies musculaires. Diarrhées paroxystiques. Elles son
e post-paroxystiques, peuvent annoncer les crises ordinaires. ? . Paralysies intestinales. La constipation d'origine nerveuse
e) pu liée à de l'anes- thésie rectale [hystérie (Grasset)]. " La paralysie intestinale doit être recherchée au cours de la m
ividu, désormais inconscient, comme dans les dernières phases de la paralysie générale, dans la démence sénile et le coma. (V
xaminer les réflexes dans tous les cas de constipation rebelle avec paralysie du sphincter externe de l'anus. Troubles hystér
us solaire intéres- sent l'intestin. Dans certains cas (syndrome de paralysie ), il y a une diarrhée fétide, sanglante et inco
isé dans les péritonites; on l'a signalé en outre dans le tabès, la paralysie générale, dans un cas de gliome fusiforme de la s
lytique Gâtisme et psychopathies. Le gâtisme est fréquent dans la paralysie générale, où il traduit la déchéance de l'individ
agie n'est pas exceptionnelle dans un grand nombre d'états, dans la paralysie géné- rale par exemple. Enfin, des idées divers
rculeux, spina ventosa syphilitique. ! < ! . Attitudes vicieuses : paralysies , atrophie, contracture, accessoirement rétracti
llongement des os avec amincissement et rétraction tendineuse, sans paralysie ni modification de l'excitabilité électrique : on
us. boudinés, inégaux. 1050 SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN. lépreuse, une paralysie radiculaire du plexus brachial peuvent provoquer
st souvent difficile de se rendre compte si c'est J"amyotrophie, la paralysie ou la contracture qui a été la cause originelle
plus fréquemment infantile que congénitale, elle résulte alors une paralysie infantile : elle peut prendre des altitudes var
ales. On observe la main-bote paraly- tique à la suite de certaines paralysies infan- tiles (`) (6g. 14) ou de paralysies spin
à la suite de certaines paralysies infan- tiles (`) (6g. 14) ou de paralysies spinales aiguës de l'adulte, à la période flacc
ès atrophies musculaires progressives myélo- pathiques, quand, à la paralysie des muscles des mains qui déterminé la main d'A
scles des mains qui déterminé la main d'Aran-Duchenne se joint la paralysie des muscles des avant-bras qui provoque là « ma
ains-botes paralytiques. -, La localisation de l'atrophie .ou de la paralysie soit sur les extenseurs, soit sur les fléchisse
pertro- phique, qui peut s'observer exception-, nellement dans la paralysie infantile (Seelgmüller, Dejerine), mais que l'o
in degré de supination. Cette altitude est due à 1 atrophie ou à la paralysie des muscles. 1 . Il est.rare de constater chez
es. 1 . Il est.rare de constater chez l'adulte la persistance d'une paralysie infantile au membre supérieur ; quand la lésion
g. 14. - Atrophie du mem- bré supérieur droit il la ' suite d'une paralysie in- fantile.. Main-bote para- lytique, flasqu
extenseurs et supinateurs. Suivant le degré variable d'atrophie, de paralysie ou de contracture de ces muscles, les doigts peuv
gnet on voit les doigts se fléchir plus fortement dans la main. une paralysie permanente du hras, elle est trop haut placée pou
ons fibreuses. B) Déviations des DOIGTS sur la main : GRIFFES. La paralysie ou l'atrophie des muscles innervés par un des ner
in d'Aran-Duc)¡enne, etc. La griffe radiale est caractérisée par la paralysie des extenseurs des doigts et du poignet. Dans l
à plat, ne peul être portée ni vers le côté radial par suite de la paralysie du premier radial, ni vers le côté cubital par
aralysie du premier radial, ni vers le côté cubital par suite de la paralysie du cubital postérieur. Le pouce ne peut être port
l postérieur. Le pouce ne peut être porté en dehors par suite de la paralysie de son long abducteur. Si l'on fait fléchir l'a
s du nerf radial, section, ecrasementou, plus souvent, compression ( paralysies dücs ct fit/o°c ? ) ; encore le long supinatcurcs
a corde contractée durant la flexion active de l'avant- bras ; la paralysie est gé- néralement bilatérale et cu- rable.
lyné- vrite toxique ou infectieuse que la névrite saturnine, la paralysie n'est presque ja- mais limitée au domaine du
omaine du nerf radial. Dans le tabes on observe . - parfois une paralysie radiale passagère, prenant le long supinateur, du
exus brachial ou de ses racines produisent exception- nellement une paralysie radiale. Il en est de même de certaines lésions
e. Il en est de même de certaines lésions médullaires ou méningées, paralysie infantile, atrophie musculaire pro- gressive au
ningite cervicale, etc.... La griffe cubitale (fig. 17) comporte la paralysie des interosseux, des muscles hypothénar, de l'a
pression, surtout au poignet ou dans la gouttière olécrÙnienne; les paralysies par compression sont quel- quefois professionne
ho ! d la grippe, dans l'alcoolisme. - La griffe médiane amène la paralysie de tous les muscles antérieurs de l'avant-bras
d'Aran-Duchenneest constituée par l'association d'atro- phie ou de paralysie des muscles de la main dans le domaine a la foi
ent dans les compressions et hémisections de la moelle et dans la paralysie mlantlle. L atrophie .musculaire type Ltiarcot-ji
ne luxation du rachis ; sur le plexus brachial peu- vent porter des paralysies traumatiques ou obstétricales; sur les troncs d
xiques (arsénicisme;- alcoolisme exceptionnellement en dehors de la paralysie des extenseurs du pied, saturnisme exceptionnel
s extenseurs du pied, saturnisme exceptionnellement en dehors de la paralysie radiale, -etc.). Les douleurs pseudo-névralgiques
nt par leur attitude, mais par leurs mouvements anormaux. Dans la paralysie agitante les mains participent à la rigidité musc
ouvements athétosiques, toujours bilatéraux et non accompagnés de paralysie , sejoint une rigidité musculaire générale, de
: la même déforma- tion peut être produite, on le conçoit, par la paralysie ou l'atrophie d'un muscle ou d'un groupe de mus
pourtant des caractères généraux différentiels en rapport avec la paralysie ou la contrac- ture et sans rapport avec les mu
t les muscles paralysés ou contractures qui les dé- terminent. La paralysie de tous les muscles du pied produit un pied balla
e plutôt que d'un pied-bot paralytique. ' En dehors de ce cas. la paralysie ou l'atrophie isolée de certains muscles d'une
ion interne, le court péronier en abduction et rotation externe. La paralysie isolée de ces muscles ne déterminerait pas de d
es pieds-bols spasmodiques, on peut diagnostiquer s'il s agit d'une paralysie ou d'une atrophie de certains muscles ou d'une co
] '1052 SÉMIOLOGIE DU PIED. ou partiel,. Il peut être dù à une' paralysie spinale congénitale qui est très exceptionnelle
ause de la para- lysie des membres inférieurs et du.pied-hot; cette paralysie s'accompagne fréquemment de troubles . sensitif
s; il est moins creux et la griffe est moins accusée. 0 n Dans la paralysie infantile, poliomyélite aiguë de l'enfance, on
équin varus {Rg. 9) /parfois l'équin direct, par prédominance de la paralysie sur les muscles innervés par le sciatique popli
s pied- creux. Rarement on observe un talus pied-creux direct par paralysie du tri- ceps sural. Dans la poliomyélite aigu
g. 9 et 10. Deux variétés fréquentes de déformation des pieds dans la paralysie infantile portant sur les membres inférieurs. "
observe le plus souvent un pied-bot équin direct ou équin varus par paralysie de tous les muscles innervés par le sciatique }
mouve- ments de flexion du pied sauf après adduction préalable par paralysie isolée du jambier antérieur. d) Dans les myop
mme nous l'avons dit, le Lctlzsspied- creux (fig. 1 1 ) est dû- une paralysie du triceps sural seul (talus pied-creux direc
lats acquis avec pieds-bots paralytiques : nous rappellerons que la paralysie du long péronier latéral détermine un pied-plat
(par suite du glissement de l'astragale sur le calcanéum) ; si à la paralysie du long péronier se joint celle du flé- chisseu
sseur commun des orteils, il y a un talus pied-plat direct; si à la paralysie de ces muscles se joint celle de l'extenseur comm
, [A. LÉRL] Fig. 11. Talus pied-creux il la suit.( d'une ancienne paralysie infantile (paru lysie alruphiquc surtout du tri
discutée : il serait dû soit à une arthrite (Gosselin), soit à une paralysie du long péronier (Duchenne), soit à une contrac
s premières phalanges et flexion des deux autres. Elle est due à la paralysie ou à l'atrophie des interosseux dont le rôle ph
premières phalanges et extension des deux autres. Elle est due à la paralysie de l'extenseur commun des orteils et de l'exten
ur commun des orteils et de l'extenseur propre du gros orteil, sans paralysie des inter- osseux ; elle peut être due à la con
in. On observe sa forme paralytique dans certaines para- lysies, la paralysie alcoolique en particulier, sa forme spasmodique d
s mouvements que l'on peut constater au niveau des pieds. Dans la paralysie agitante on ne voit guère de mouvements des ort
l'enfance de Dejerine et Sottas. ' Myopathies. Maladie de Thomsen. Paralysies périodiques familiales. Myoclonies. Aptitude co
syndrome de Babinski caractéristique de la syphilis (Vaquez). La paralysie du moteur oculaire commun survenant subitement, e
subitement, est également un stigmate de syphilis : en effet, si la paralysie de la 6e paire, est l'apanage du diabète, on pe
souvent liée à la syphilis. Enfin nous avons écarté le tabès et la paralysie générale qui sont consi- dérés par la majorité
m- mes en dehors du milieu fréquenté par la syphilis ; rareté de la paralysie générale chez les ecclésiastiques, etc. Tille
on était positive dans deux cas d'hydro- céphalie et dans un cas de paralysie pscudo-bulbail'c. Nous ne saurions mieux donner
nées ont moins de chance d'être suivies plus tard du tabès ou de la paralysie générale. Le traitement des manifestations nerv
le mécanisme a été étudié dans la méningite tuberculeuse et dans la paralysie générale par Anglade et Chevreaux; les lymphocy
s deux cas de Vaillant et Tixier. Liquide céphalo-rachidien dans la paralysie générale. - La consta- tation de la lymphocytos
paralysie générale. - La consta- tation de la lymphocytose dans la paralysie générale a été faite par René LIQUIDE CPHALO-RA
nstaté cette lymphocytose au cours des poussées conges- tives de la paralysie générale. On a constaté aussi d'autres faits anor
opsie de paralytiques généraux. Enfin, dans le tabes, comme dans la paralysie générale, la réaction de Wassermmn a été trouvé
atives et s'opposent très nette- ment aux résultats obtenus dans la paralysie générale. Dans l'épilepsie, dans la manie, dans
e culture, un moyen pratique de diagnostic. Cyto-diagnostic dans la paralysie infantile. Dans la paralysie infan- tile, la ré
de diagnostic. Cyto-diagnostic dans la paralysie infantile. Dans la paralysie infan- tile, la réaction méningée a été variabl
halo-rachidien au cours d'une évo- lution de symptômes rappelant la paralysie infantile, il s'agissait donc alors de méningit
Achard et Grenet ont observé des cas de lymphocytose au cours de la paralysie infantile. Widal a observé trois cas négatifs,
infantile. Widal a observé trois cas négatifs, mais dans ces cas la paralysie infantile était éteinte. Il semble donc que dan
Il semble donc que dans un certain nombre de cas, le syndrome de la paralysie infantile soit créé par la méningite cérébro-spin
méningite cérébro-spinale, que dans un deuxième groupe de faits, la paralysie infantile s'accompagne de réac- tion méningée l
lymphocytose très légère, bien inférieure à celle du tabès et de la paralysie générale. Cytologie dans la méningite chronique
Claude et Sérary y ont trouvé la lymphocytose. Cytologie dans la paralysie agitante : la chorée chronique, le deli- rium t
hocytique dans les oreillons (Chauffard et. Boidin), au cours d'une paralysie faciale ourlienne (Dopter), dans les pro- cessu
philis nerveuse. L'existence d'une lymphocytose dans le tabes et la paralysie générale, affections dont la nature syphilitique
et Grenet (Société de Neurologie, 5 mars 1905). Tel est encore la paralysie faciale de la période secondaire de Thibierge e
ingitiques qui peuvent être le premier symptôme d'un tabès ou d'une paralysie générale il longue échéance ; hypothèse admise
syndrome cérébral, l'absence habituelle de rétraction du ventre, de paralysie motrice des membres, de parésie vaso-motrice, sph
ppenheim). Les signes pédonculaires sont le ptosis, la diplopie par paralysie de la troisième paire (Mocquin), le nystagmus (
évralgie légère du trijumeau (von Beck), le strabisme divergent par paralysie de la sixième paire, la parésie masticatrice ou
; si l'on peut préciser les rapports qui, parfois, semblent unir la paralysie asthénique d'Erb-Goldflamm aux anomalies de l'a
CULAIRES. 1155 compliquer de mydriase, d'inégalité pupillaire et de paralysie irienne. L'évolution est plus longue, plus irré
tingue du coma méningitique par sa durée, plus longue, l'absence de paralysies , de troubles vaso- moteurs,, de température, du
e, dou- leurs violentes dans les lombes 1'1 les membres inférieurs, paralysie des sphincters ano-vesicaux, on a le droit de s
athies tabétiques et syringomyéliques, les atrophies osseuses de la paralysie infantile et des scléroses cérébrales infantiles,
ra joué un rôle nul ou tout au plus le rote de cause occasionnelle, paralysie générale, tabès, sclérose en plaques, etc. ; la
ico-dorsatc ou 101llho-dorsale avec déviation compensa- trice. La paralysie infantile frappant une zone [tins ou moins étendu
signalée pal' lIuchcl11H' de lloulognc; il semble qu'en général la paralysie infantile portant, sur un des côtés du thorax amè
horax amène une scoliose il convexité dirigée vers le côté sain. la paralysie infantile portant sur un des côtés de la région
rement étudié (s) les résultats fournis par la radiographie dans la paralysie infantile. La faiblesse du développement des os
al du même âge, deux termes peuvent caractériser le squelette de la paralysie infantile : ce. sont des os clairs el grêles.
rétraction douloureuse des^. membres inférieurs due à une ancienne paralysie infantile. Dans la sclérose en plaques, les rés
nce du 50 novembre 1906). ? . 13 : vwsm. De la radiothérapie dans les paralysies spasmodiques spinales (Soc. méd. des Hôpitaux d
eur début ou à des périodes peu avancées. On l'a constatée dans des paralysies cérébrales récentes, dans la paralysie générale
. On l'a constatée dans des paralysies cérébrales récentes, dans la paralysie générale progressive, dans des cas de tumeur cé
adies, elle se montre sur des muscles paraissant encore indemnes de paralysie et d'atrophie, c'est souvent un indice de leurs
c'est souvent un indice de leurs altérations prochaines. Dans les paralysies périphériques on trouve quelquefois, au début, de
citabilité électrique; il en est ainsi, par exemple, dans certaines paralysies faciales; celles-ci peuvent rester légères, mai
lus complexes constituant la réaction de dégénérescence. Dans des paralysies toxiques, notamment dans des paralysies ducs à
de dégénérescence. Dans des paralysies toxiques, notamment dans des paralysies ducs à l'intoxication par le sulfure de carbone
les myélites, dans le tabes, dans la sclérose en plaques, dans des paralysies par compression de la moelle. L'excitabilité él
er jusqua l'abolition lorsque l'atrophie est très grande. Parmi les paralysies périphériques il en est qui ne donnent lieu, le p
la diminution simple de l'excitabilité électrique, telles sont les paralysies ducs à de la compression passagère et modérée d
alysies ducs à de la compression passagère et modérée des nerfs, la paralysie radiale par exemple dans la grande majorité des
ité au niveau des parties lésées. Dans certains cas, cependant, ces paralysies par compression dépendent de lésions suf- DIMIN
a réparation se produit encore le plus souvent, mais la durée de la paralysie est beaucoup plus longue que dans les cas avec
ns les cas avec simple diminution de l'excitabilité électrique. Des paralysies périphériques par névrites toxiques ou infectieus
imple des réactions électriques;. en est ainsi dans certains cas de paralysie par intoxication smfo-carbonéc, dans des paraly
certains cas de paralysie par intoxication smfo-carbonéc, dans des paralysies alcooliques, dans certaines formes de paralysie
carbonéc, dans des paralysies alcooliques, dans certaines formes de paralysies diphtériques, etc.; le pronostic de ces paralysie
taines formes de paralysies diphtériques, etc.; le pronostic de ces paralysies est générale- ment assez hénin. Dans d'autres c
t générale- ment assez hénin. Dans d'autres cas les mêmes genres de paralysies s'ac- compagnent de réaction de dégénérescence
il est fréquent de les voir apparaître ainsi tardive- ment dans la paralysie faciale. Période d'état de la DR. Par période d
ives, ainsi qu'on le voit dans des névrites toxiques, telles que la paralysie saturnine dans certaines de ses formes. En rapp
fait habituellement défaut; ainsi on ne la rencontre pas. dans les paralysies cérébrales par hémorragies, par ramollissements
agies, par ramollissements ou par tumeurs. Dans ce dernier genre de paralysies , cependant, si la DR fait toujours défaut au ni
e aussi dans les lésions des noyaux bulbaires qui donnent lieu à la paralysie lal)io-glosso-laryiigée; elle n'est pas toujours
les principales indications. Dans la poliomyélite antérieure aiguë ( paralysie infantile et paralysie spinale antérieure de l'
ions. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (paralysie infantile et paralysie spinale antérieure de l'adulte), la DR se prése
de la DR. Le froid agit encore en provoquant des névrites avec DR, paralysies dites a frigorie et paralysies rhumatismales. D
en provoquant des névrites avec DR, paralysies dites a frigorie et paralysies rhumatismales. Dans la plupart de ces cas, la D
orme complète, suivant la gravité des lésions. Dans quelques cas de paralysies toxiques la DR fait défaut; elle manque, par ex
sies toxiques la DR fait défaut; elle manque, par exemple, dans des paralysies sulfo-carbonées légères, mais elle se rencontre
elle se rencontre dans des cas plus graves. Dans la plupart de ces paralysies toxiques, la DR se localise plus particulièreme
alcooliques. Dans les névrites infectieuses, la DR est habituelle, paralysies consé- cutives à la diphtérie, à certaines angi
due; c'est ce qu'on observe, par exemple, clans certaines formes de paralysies diphtériques, alors que dans d'autres, la DR es
rononcée. Celle-ci peut faire défaut dans les formes légères de ces paralysies . Dans les affections primitives des muscles, il
Ainsi on ne l'observe pas dans les diverses formes de la myopathie, paralysie pseudo-hypertrophique, myopathie facio-scapulo-
r des modifications de la formule polaire de l'excitation. Dans les paralysies et atrophies musculaires réflexes d'origine artic
ie, chorée, myoclonies, la DR fait défaut. Dans les quelques cas de paralysies ou d'atrophies musculaires observées chez des h
nos- tic ('). Ainsi, pour prendre un exemple souvent cité, dans les paralysies 1. Dans certains cas de lésions des neurones mo
-DIAGNOSTIC. faciales dites a frigore ou rhumatismales, et dans les paralysies faciales d'origine infectieuse, la DR complète
ralysies faciales d'origine infectieuse, la DR complète indique une paralysie grave, qui ne guérira certainement pas avant si
ure secondaire plus ou moins prononcée. La DR partielle indique une paralysie de moyenne intensité devant guérir vraisemblabl
re secondaire peut être souvent évitée. L'absence de DR indique une paralysie légère, devant guérir rapidement en quelques sema
cture secondaire. Le même pronostic ne saurait être établi pour des paralysies faciales dont la cause peut être persistante, c
paralysies faciales dont la cause peut être persistante, comme les paralysies faciales d'origine otitique, les paralysies fac
persistante, comme les paralysies faciales d'origine otitique, les paralysies faciales par compression produites par des tume
au contraire, la cause persiste et continue son action nocive, une paralysie légère peut faire place il une paralysie de moy
nue son action nocive, une paralysie légère peut faire place il une paralysie de moyenne intensité, ou celle-ci à une paralys
aire place il une paralysie de moyenne intensité, ou celle-ci à une paralysie plus grave. RÉACTION MYOTONIQUE f La réaction
étudiées par Erb et Goldflam auxquelles on donne souvent le nom de paralysie bulbaire asthénique. Il existe dans ces cas de
rmeture même fréquemment répétées; cependant j'ai vu dans un cas de paralysie asthé- nique grave des excitations galvaniques
ppeler aussi que cette réaction n'est pas constante dans toutes les paralysies asthéniques; on l'a vue manquer dans des cas où
, plus ou moins prononcée, dans d'autres affections, telles que des paralysies cérébrales (1 ? enedil;t), des cas de maladie d
s de maladie de Basedow, de poliocncéphalites, de poliomyélites, de paralysies hystériques, de neurasthénies (raumatiques. On
l'épilepsie avec aliénation (Boccolari et Borsari, d'Arman) dans la paralysie générale, dans la folie alcoolique et dans l'idio
s vaso- moteurs accentués. Dans la poliomyélite antérieure aiguë ( paralysie infantile et paralysie spinale de l'adulte), Vi
tués. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (paralysie infantile et paralysie spinale de l'adulte), Vigouroux a constaté une
dans l'encé- phale les neurones moteurs centraux nous prendrons les paralysies par hémorragie cérébrale, l'hémiplégie cérébral
é et on abuse parfois encore de ce traitement périphérique dans les paralysies cérébrales. Il peut présenter, en effet, des in
re que latente. Ces inconvénients sont moins à redouter lorsque les paralysies restent flasques et qu'il n'y a pas exagération
é une atrophie parfois assez prononcée de certains muscles dans les paralysies cérébrales, leur excita- bilité faradique est g
s amène parfois une amélioration assez grande et assez rapide de la paralysie . Si cette amélioration fait défaut après quelqu
vaniques ont été utilisés aussi pour le traitement périphérique des paralysies cérébrales, le plus souvent sous la forme de ga
iphériques, nucléaires, radiculaires. ou funicu- laires, telles que paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire, paralysie
laires, telles que paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire, paralysie faciale, etc. ; les indications relatives au tr
loppements dans lesquels nous sommes entrés sur le trai- tement des paralysies par lésions du cerveau et de l'encéphale peuvent
dant, on pourra attendre moins longtemps que pour le traitement des paralysies cérébrales. La galvanisation continue de la m
quée sur la colonne vertébrale. Dans le traitement périphérique des paralysies médullaires nous don- nerons d'abord la préfére
est utilisable dans les mêmes conditions que pour le traitement des paralysies cérébrales. Suivant les cas on la fait porter d
iques peut être appliqué suivant les procédés indiqués à propos des paralysies cérébrales. Ce genre de traitement doit être au
ment doit être aussi employé avec prudence. Dans beaucoup de cas de paralysies médullaires, la contracture est moins à redouter
ysies médullaires, la contracture est moins à redouter que dans les paralysies cérébrales ; dans d'autres elle existe aussi et.
ieure aiguë. Qu'elle se présente sous la forme la plus fréquente de paralysie spinale infantile, ou sous la forme plus rare d
uente de paralysie spinale infantile, ou sous la forme plus rare de paralysie spinale antérieure des adolescents ou de l'adulte
ien qu'assez semblables en apparence au début et donnant lieu à des paralysies très accusées et assez étendues, suivent sponta
On peut commencer le traitement par la galvanisation continue delà PARALYSIE INFANTILE. 1 U7 moelle. Si la paralysie est loc
lvanisation continue delà PARALYSIE INFANTILE. 1 U7 moelle. Si la paralysie est localisée sur les membres inférieurs, on plac
région dorsale supérieure, ou encore sur la paroi abdominale. Si la paralysie est localisée sur les membres supérieurs, on pl
st uiili- sable dans l'un ou l'autre des cas précédents, lorsque la paralysie est localisée aux membres supérieurs ou aux mem
membres inférieurs; il est par- ticulièrement applicable lorsque la paralysie atteint à la fois membres supérieurs et membres
e sur la région dorso-lombaire de la colonne vertébrale. Lorsque la paralysie porte sur les membres snpe- rieurs on fait plon
cles restés sains ou peu atteints, pour ne pas augmenter les déloi- PARALYSIE INFANTILE. 1299 mations qui résultent parfois d
vrite se mollirent généralement bons et sont souvent assez rapides. Paralysies par lésions des nerfs ou de leurs racines, lésion
névrites, etc. Dans la pratique on se trouve souvent en présence de paralysies limitées au territoire périphérique d'un ou de
itoire périphérique d'un ou de plusieurs nerfs ; d'autres fois, les paralysies sont distribuées suivant une topographie indiqu
ère indication à remplir dans le traitement de ces divers genres de paralysies est de rechercher quelle a pu être leur cause.,
s deux bouts d'un nerf sec- tionné, etc.). Lorsque la cause de la paralysie a été supprimée, ou lorsqu'elle n'a agi que d'u
é supprimée, ou lorsqu'elle n'a agi que d'une façon transitoire, la paralysie persiste néanmoins et peut se prolonger pendant
erveuses périphériques; elles se rencontrent parfois aussi dans les paralysies d'origine radiculaire, ou dans les paralysies des
arfois aussi dans les paralysies d'origine radiculaire, ou dans les paralysies des plexus; elles sont habituelles dans les par
ou dans les paralysies des plexus; elles sont habituelles dans les paralysies dues à une compression modérée et transitoire d
alysies dues à une compression modérée et transitoire des nerfs, la paralysie radiale du sommeil, par exemple, (exceptionnell
observé dans des cas d'ivresse profonde avec sommeil prolongé). Ces paralysies sont habituellement légères et pourraient guéri
jours ou tous les deux jours. Dans un grand nombre d'autres cas de paralysies périphériques par névrites localisées ou par lé
. Parfois des indications particulières résultent de la cause de la paralysie . Ainsi lors- qu'une cicatrice dure et plus on m
plus on moins exubérante est une cause qui produit ou entretient la paralysie par la compression ou l'irritation d'un nerf, o
à tenir et la direction il donner au traitement dans la plupart des paralysies périphériques funiculaires, réticulaires ou radie
alysies périphériques funiculaires, réticulaires ou radieulaires; , PARALYSIE FATALE., , l~>or> elles sont applicables
ez l'enfant comme chez l'adulte; elles sont appli- nables.aussi aux paralysies ohstétricales qui, le plus souvent, portent sur
achial, soit en partie seulement, soit en totalité. Dans ces cas de paralysies radiculaires les lésions ne sont pas habituelle
taines parties 'du membre paralysé le trai- tement indiqué pour les paralysies légères, alors que pour d'autres parties il fau
ur d'autres parties il faut appliquer le traitement convenant à des paralysies plus graves avec DR partielle ou avec DR complè
ies plus graves avec DR partielle ou avec DR complète. - Dans les paralysies périphériques de quelques nerfs, le traitement
porte certaines particularités que nous devons indiquer brièvement. Paralysies faciales. Au point de' vue du traitement, les par
rièvement. Paralysies faciales. Au point de' vue du traitement, les paralysies Faciales périphériques peuvent être divisées en
n conservées ou sont altérées seulement en quantité sans DR, et les paralysies dans lesquelles existe de la DR soit partielle,
s lesquelles existe de la DR soit partielle, soit complète. - Les paralysies du premier groupe, celles qui ne présentent pas d
ies du premier groupe, celles qui ne présentent pas de DR, sont des paralysies légères, dans lesquelles la réparation tend à se
deux ou trois fois par semaine. Il ne faut pas oublier que dans les paralysies plus graves les manifestations de DR ne se mont
rable de commencer pendant les premières semaines le traitement des paralysies faciales légères avec les courants galvaniques
ales légères avec les courants galvaniques comme s'il s'agissait de paralysies plus graves. Dans les 'paralysies faciales avec
com- - plète, on voit assez souvent, à la période de réparation, la paralysie rem- placée peu à peu par de la contracture plu
la contracture plus ou moins prononcée. Ce mode de terminaison des paralysies faciales graves s'observe même dans des paralys
terminaison des paralysies faciales graves s'observe même dans des paralysies abandonnées a elles-mêmes et n'ayant été soumises
eillait de conduire avec prudence- le traitement électrique de la . paralysie faciale. Nous croyons avec la plupart des électro
] 150G s : > ÉLECTROTHÉRAPIE.. - contemporains qu'au début des paralysies faciales avec DR il est préfé- rable de ne pas
triangulaire des lèvres. L'électrode excitatrice est placée sur les PARALYSIE FACIALE. 1307 points où l'excitation des muscle
ontinu suivant l'un ou l'autre des procédés déjà indiqués. Dans les paralysies faciales avec DR la réparation ne se fait jamais
lle-ci ne se v développe que lorsque la période de réparation de la paralysie est com- ! mencée, et elle se montre surtout lors
gmenter, il faut arrêter définitivement le traitement électrique. Paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire. Dans le trai
es des nerfs moteurs du globe oculaire. Dans le traite- ment de ces paralysies on peut se borner le plus souvent à des appiicn-
l la nuque sur la ligne médiane ou sur le côté opposé à celui de la paralysie ; la cathode, de forme et de dimensions appropriée
cate et nous paraît ne.devoir être tenté qu'exceptionnellement. 1 Paralysies du voile du palais. On a conseillé de traiter ces
5 a 10 m. A. On agit ensuite de la même, façon sur l'autre côté. Paralysies du larynx. Ces paralysies pourront être traitées
suite de la même, façon sur l'autre côté. Paralysies du larynx. Ces paralysies pourront être traitées aussi en plaçant extérie
tes en ayant soin de rythmer les excitations dans ce dernier cas. Paralysies de la langue. A ces paralysies on peut appliquer
s excitations dans ce dernier cas. Paralysies de la langue. A ces paralysies on peut appliquer la même direction du traiteme
pliquer la même direction du traitement que celle indiquée pour les paralysies du larynx en plaçant l'une des électrodes, la c
essus chronique portant sur les neurones moteurs périphériques. Les paralysies et les atrophies musculaires qui résul- tent de
es d'électrisation qui pourraient augmenter la spas- modicité. La paralysie labio-glosso-Iaryngée se montre souvent comme exp
t essayer la galvanisation continue de la manière indiquée pour les paralysies du voile du palais, du larynx et de la langue.
odes d'électrisation tentés contre les autres loca- lisations de la paralysie et de l'atrophie; généralement l'évolution pro-
aires progressives). Les diverses formes de la myopathie primitive, paralysie pseudo-hyper- trophique de Duchenne, atrophie J
diqué précédemment pour la galvanisation de la moelle il propos des paralysies cérébrales ou médullaires et des poliomyélites.
ie domine. Lorsqu'aux symptômes tabétiques habituels s'ajoutent des paralysies plus ou moins localisées, avec atrophies muscul
pliquer le traitement déjà indiqué contre ce genre de lésions. Les paralysies des nerfs moteurs des globes oculaires sont assez
IV. - NÉVROSES ET AFFECTIONS DIVERSES, GOITRE EXOPHTALMIQUE, ' , PARALYSIE AGITANTE, ETC. Hystérie. Les accidents patholog
t et de faire intervenir d'autres modes d'électrisation. Dans les paralysies hystériques les réactions électriques sont, comme
uggestion aidant, on voit guérir rapidement ou assez rapidement des paralysies hystériques, surtout lorsqu'elles sont récentes
nt en général plus difficilement et peut même faire défaut dans les paralysies plus anciennes. Les anesthésies hystériques n
ouer le médecin dans leur production. Lorsqu'elles accompagnent des paralysies elles disparaissent fréquemment en même temps que
t-on pas bien fixé encore sur la valeur de ce mode de traitement. Paralysie agitante. Le traitement par l'électricité a été s
itante. Le traitement par l'électricité a été souvent tenté dans la paralysie agitante ou maladie de Parkinson, mais sans rés
ar des crises débutant par un spasme des vaso-moteurs suivi de leur paralysie : il s'y ajoute parfois des gangrènes plus ou m
é froid sont des adjuvants utiles au traitement général. Dans les paralysies dépendant de lésions organiques les douches local
raitement d'ailleurs ne sera jamais l'ait dans la phase aiguë d'une paralysie . Le massage sous l'eau, les mouvements spontané
modalités thérapeutiques à conseiller dans les cas d'hémiplégie, de paralysie . Les contractures bénéficient, surtout de la ch
siologie, 554. Accommodation. Exploration, ? 25. - TIIOUBLES, 96. Paralysie , ses causes. Affections du globe, 96. Action de
lésion locale. A des lésions vasculaires, 707. Consécutives à une paralysie . La paralysie est d'origine médullaire, 711.
A des lésions vasculaires, 707. Consécutives à une paralysie. La paralysie est d'origine médullaire, 711. d'origine cérébr
ide céphalorachi- dien, '1'128, -Résultats généraux, 1129. Tabès. Paralysie générale, 1152. Ma- ladies mentales. Zona, '1.1
e, 20 ? mensuration, 22. Dans le diagnostic des muscles oculaires paralysies , 6U . Diplopie croisée, homonyme, verticale, 62
efc, de Rosenbach, 107. Modification de la sécrétion lacry- male, paralysies oculaires, troubles de la vue, 108. Exostoses
é extrinsèque, 1(i. - exploration de la motilité intrinsèque, 22. - paralysies des muscles moteurs, 58. Glossy-skin, 111a.
é, 978. Troubles de la mo- tilité, 979. Traitement électrique des paralysies , 1509. Larynx. Centres moteurs corticaux, 657.
hésie. l'a- reslhésies, 1141. Névralgies. Troubles réflexes, 642. Paralysies . Hémiplé- gie corticale, 645. Hémiplégie bul-
- Slt : mne glottique pho- nique, 655. Traitement électrique des paralysies , 1508. Lecture, examen dans l'aphasie. Lecture
eds, 1058. - associés, 477. - dans l'hémiplégie, 476. - z dans la paralysie faciale, 480 : - com- pensateurs des vertiges,
réaction de dégénérescence, 1259. - physiologie. Séméiologie des paralysies musculaires isolées, 521, de l'avant-bras, para
olo- gie, 555.-de l'épaule, 521. - de 1'oeil, dynamométrie, 18. - paralysies , 61, 68. - de l'oreille externe. Innervation,
physiologie, 58'1. - de la cuisse, para- lysies, 542. de la jambe, paralysies , 546. - de la main, paralysies, 534. - des go
e, para- lysies, 542. de la jambe, paralysies, 546. - de la main, paralysies , 534. - des gouttières vertébrales, 575. - du
paralysies, 534. - des gouttières vertébrales, 575. - du bassin, paralysies , 559. - du bras, paralysies, 521, 524. du cou,
tières vertébrales, 575. - du bassin, paralysies, 559. - du bras, paralysies , 521, 524. du cou, 556. - du pied, 552. du thor
816. ' . Myasthénies épisodiques, 813. Mala- dies familiales.- Paralysie périodique, 814. Vertige paralysant, 814. Mya
baires, 157. - dans ses centres céré- braux, 159. - circonflexe, paralysie , 630. - crural, névralgie, 594. - paralysie,
, 159. - circonflexe, paralysie, 630. - crural, névralgie, 594. - paralysie , 655. - cubital, paralysie, 652. - facial, para
ysie, 630. - crural, névralgie, 594. - paralysie, 655. - cubital, paralysie , 652. - facial, paralysie, 625. - glosso-phar
lgie, 594. - paralysie, 655. - cubital, paralysie, 652. - facial, paralysie , 625. - glosso-pharyngien, paralysie, 627. - z
l, paralysie, 652. - facial, paralysie, 625. - glosso-pharyngien, paralysie , 627. - z honteux interne, névralgie, 594. -
aralysie, 627. - z honteux interne, névralgie, 594. - hypoglosse, paralysie , G29. - laby- rinthique, lésion. Ataxie, 765. -
e supérieur, névralgie, 587. - Injection d'alcool, 425. - médian, paralysie , 652. - moteur oculaire commun, pa- ralysie,
ralysie, 69. et parahsie de l'ac- commodation, 97. - - - externe, paralysie , 69. - olfactif, exploration électriyue,1271.-o
ue, 4371. , lésions dans les tumeurs cérébrales, 121. pathétique, paralysie , 69. phrénique, névralgie, 591. - -, paralysie,
, 121. pathétique, paralysie, 69. phrénique, névralgie, 591. - -, paralysie , 629. pneumogastrique, paralysie, 627. radial
phrénique, névralgie, 591. - -, paralysie, 629. pneumogastrique, paralysie , 627. radial, paralysie, 650. - sciatique, né
91. - -, paralysie, 629. pneumogastrique, paralysie, 627. radial, paralysie , 650. - sciatique, névralgie, 595. -, paralysie
sie, 627. radial, paralysie, 650. - sciatique, névralgie, 595. -, paralysie , 654. - spinal, paralysie, 628. h'ty'tfment,
e, 650. - sciatique, névralgie, 595. -, paralysie, 654. - spinal, paralysie , 628. h'ty'tfment, lésions, phénomènes auricula
, lésions, phénomènes auriculaires, 128. - -, névralgie, 586. - ? paralysie de la branche motrice, 627 f Nerfs, lésions,
, névralgies, ? 88, 389. - coccygiens, névralgies, 595. - crâniens, paralysies , 625. -, lésions, réaction de dégénérescence,
es, 1269. - senso- riels, exploration électrique, '1269. spinaux, paralysies , 025. Neurasthénie et fatigue de l'accommo- d
171, 804. - Yoy. Bonnier. Noyaux bulbo-prolubéranliels, lésions. Paralysies de la motilité oculaire, 73. Nystagmus, 60. - h
extérieure, extrinsèque, 74. - totale, nucléaire progressive, 75. - Paralysie du droit externe d'origine nucléaire, 76. O
nalgésique, 925. Paracousies, 151. Paraffine, inclusions, 1555. Paralysie agitante, tremblement, 840. - La main, 1040. Le
hocytose rachidienne, Il 32. 8 ? - 1594. INDEX ALPHABÉTIQUE-, Paralysie labio-{Jlosso-li : l1'yngée, 800. à inarche len
2. - Défor- mation des pieds, 1055. - Cytodiagnos- tic, 1156. - Paralysies d'origine médullaire, atro- phies musculaires s
60.- Diagnos- Tlc des muscles paralysés, 61. - Dia- gnostic de la paralysie d'un seul muscle, gaz. - Diagnostic quand plusi
du siège, 68. - Aspects cliniques suivant le siège de la lésion. Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerve
ues suivant le siège de la lésion. Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc nerveu
ion. Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc nerveux, 69. Paralysie d'origine péd
- Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc nerveux, 69. Paralysie d'origine pédonculo-protubé- rantielle, 70. Par
erveux, 69. Paralysie d'origine pédonculo-protubé- rantielle, 70. Paralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo-protuhér
e par lésion isolée des noyaux pédonculo-protuhéran- tiels, 75. - Paralysie par lésion des centres et voies supra-nucléaire
Troubles moteurs oculaires associés. Dé- viations conjuguées, 79. - Paralysies associées, 80. - Aspects variables sui- vant
ales, 998. - isolées des muscles, séméiologie, 521. radiculaires. Paralysies du plexus bra- chial, 611. Type radiculaire sup
radiculaire inférieur avec syndrome sympathique (Kluinpke), 614. Paralysie radiculaire totale, 615. Tvpes complexes ; 616.
, 1185. Paresthésies du larynx, 641. Parkinson (Maladie de). Voy. Paralysie agitante. ? Parole, troubles. Toute conversat
- ' Paupières, exploration, 32. - Troubles de la motilité, 98. - Paralysie du rele- veut de la paupière supérieure, 98. -
é, 98. - Paralysie du rele- veut de la paupière supérieure, 98. - Paralysie de l'orbiculaire, 105. - Trou- bles palpébraux
Paralysie de l'orbiculaire, 105. - Trou- bles palpébraux dans la paralysie faciale périphérique, 103. - dans la paralysie
s palpébraux dans la paralysie faciale périphérique, 103. - dans la paralysie du facial inférieur, 106. Peau des zzopatltiq
125. Lésions, hémianesthésie, 514. ' Pédonculo-protubérantielle. ( Paralysies oculaires d'origine -), 70, 75. Percussion de
type su- périeur, type inférieur, 357. Type total, type complexe. Paralysies radicu- laires sensitives pures, 358. Névral-
ralysies radicu- laires sensitives pures, 358. Névral- gies, 590. Paralysies radiculaires, 611. - Lésions et compressions, a
ns, atrophies secondaires, 717. 7 . ' - lombaire, névralgie, 595. Paralysies radiculaires, 621. - Lésions et com- pression
ons et com- pressions, atrophies secondaires, 718. - lombo-sacré. Paralysies radiculaires, 558. - Type total (lombo-sacré).
o-sacré). - Syndrome de la queue de cheval, 559. - Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médullaires, 342. C
lésions médullaires, 342. Com- pression. Pied bot, 1055. - sacré. Paralysies radiculaires, 621. Lésions et compressions, atr
ence, 1256. Pseudo-appendicite hystérique, 1000. Pseudo-bulbaire ( Paralysie -). Symp- tômes, 807. - Evolution. Formes cli-
5. Queue de cheval (Syndrome de la -), 559, 517. - Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médullaires, 542.
Sympathique, lésions, phénomènes auri- culaires, 128. - cervical et paralysie de l'accommodation, 97. Syndactylie, 101 Ii,
a sclérose en plaques, 858. - dans la maladie de Friedreich, - la paralysie générale, 859. - la maladie de Parkinson, 840.
i- ques, 279. Voile du palais, 985. - Traitement électrique des paralysies , 1508. z Voix eunuchoïde, G5G.' Volonté chez
2 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
irmait-« il. Nous étions tombé pour la première fois sur une « de ces paralysies analgésiques des extrémités supé-« rieures qui fo
cornes antérieures et aussi les faisceaux latéraux, car il existe une paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les fa
nt expliquer ces phénomènes. — Caractères nettement hystériques de la paralysie .— Stigmates hystériques, petites attaques. — Rôle
toujours ou presque toujours ainsi que cela se passe dans les cas de paralysie hystéro-traumatique. Un élément sensitif quelconq
'il existe surtout au moment des vertiges un peu de contracture ou de paralysie des muscles droits, internes ou externes. Vous
t les mieux accentués. Pour ne prendre que les signes locaux de cette paralysie que présente Desf..., ceux-ci suffiraient à eux s
insisté sur le genre spécial de limitation de l'anesthésie dans les paralysies hystériques. Ici, dans une monoplégïe brachiale,
tel tremblement n'est pas produit par une sclérose en plaques ou une paralysie agitante, ou encore une maladie de Basedow, mais
iaire comme nombre de vibrations entre le n° 1 et le n° 2. Imite la paralysie agitante ou le tremblement sénile. Imite la mal
Imite la maladie de Basedow, le tremblement alcoolique, celui de la paralysie générale. Imite le tremblement de la sclérose e
s'il est rapide, on le désigne sous la dénomination de vibratoire. La paralysie agitante est le prototype du tremblement oscillat
oire ; la maladie de Basedow, les tremblements de l'alcoolisme, de la paralysie générale sont au contraire vibratoires. Tous ont
simulées par l'hystérie. Vous n'ignorez pas que le tremblement de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques, de la maladi
e à oscillations lentes du tremblement hystérique, celui qui imite la paralysie agitante, nous fait également défaut pour le mome
, nous pénétrerons plus avant dans le détail. (1) Il est des cas de paralysie hystérique où l'imitation de la paralysie spasmod
il. (1) Il est des cas de paralysie hystérique où l'imitation de la paralysie spasmodique de cause organique est parfaite. Alor
térique, il ne peut être attribué ni à la maladie de Basedow, ni à la paralysie générale progressive, ni à l'alcoolisme, dont les
la micromégalopsie pour l'oeil gauche, sans dyschromatopsie. Pas de paralysie ni de contracture, mais faiblesse générale. Le ma
trière, 1891. (G. G.). Sur un cas de migraine ophthalmoplégique. [ Paralysie oculo-motrice périodique). Leçon du 16 mai 1890
trice périodique). Leçon du 16 mai 1890). Sommaire. — Synonymie : paralysie oculo-motrice récidivante. Migraine ophthalmiquo
tor, Saundby, Parinaud et Marie, etc.. Période de douleur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e paire ; péri
est que dans cette migraine-là il y a accompagnement nécessaire d'une paralysie d'un des nerfs moteurs oculaires communs ; et, re
emarquez-le bien, car c'est là un trait saillant, caractéristique, la paralysie porte non seulement sur les branches qui se rende
utchinson du nom d'ophthalmoplégie interne celle où, au contraire, la paralysie porte exclusivement sur les muscles ciliaires et
ons du complexus morbide ont été faites, on le désigne sous le nom de paralysie oculo-motrice récidivante (Manz, Mauthner) ou de
le nom de paralysie oculo-motrice récidivante (Manz, Mauthner) ou de paralysie oculo-motrice périodique (Joachim, Senator). A ce
un rôle considérable, car, en somme, dans cette sorte de migraine, la paralysie de l'oculo-moteur n'apparaît jamais, autant qu'on
supérieur, etc., les symptômes oculaires seraient représentés par une paralysie du moteur oculaire commun. Chose remarquable, c'e
rquable, c'est toujours en pareil cas, ainsi que j'ai dit déjà, d'une paralysie totale de l'oculo-moteur qu'il s'agit et, en outr
e paralysie totale de l'oculo-moteur qu'il s'agit et, en outre, cette paralysie est en quelque sorte exclusive; elle n'intéresse
s nerfs moteurs clo l'œil. Les effets symptomatiques de ce genre de paralysie sont naturellement ceux que vous avez prévus : st
trice dans le domaine de la 3e paire, diplopie spéciale à ce genre de paralysie ; de plus tous les caractères de l'ophthalmoplégie
; de plus tous les caractères de l'ophthalmoplégie interne, à savoir: paralysie de l'accommodation : le malade ne peut plus lire
e ordinaire 9 un verre fortement convexe peut seul ramener la vision; paralysie de l'iris manifeste non seulement dans les mouvem
uvons là, remarquez-le en passant, les caractères qui distinguent les paralysies périphériques ou basilaires de l'oculo-moteur com
paralysies périphériques ou basilaires de l'oculo-moteur commun, des paralysies dites nucléaires du même nerf. Un autre trait e
presque spécifique et fort singulier incontestablement, c'est que la paralysie oculo-motrice n'occupe jamais qu'un seul œil; ell
répète, dès le premier accès, on pourra prévoir si la migraine et la paralysie , clans l'évolution de la maladie, se localiseront
t que des résultats négatifs. Messieurs, il n'y a pas que l'élément paralysie à considérer clans la migraine ophthalmoplégique
ne brusquement, comme par enchantement, au moment même où apparaît la paralysie oculo-motrice. Celle-ci semble jouer là, en somme
se et les vomissements disparaissent rapidement pour faire place à la paralysie qui persistera ensuite pendant une période de tem
qui s'accompagne de vomissements est de 10 à 14 jours, tandis que la paralysie oculaire persiste pendant un mois et plus. Il est
égie ont été pendant longtemps précédés par des accès migraineux sans paralysie oculaire. Ce genre de migraine paraît surtout f
oduire depuis 18 mois environ, mais le dernier a laissé après lui une paralysie complète du moteur oculaire commun, qui depuis ce
depuis cette époque ne s'est pas amendée. Il est à craindre que cette paralysie soit désormais un fait accompli. Ceci ne rap-pell
ent unfort bel exemple (Berlin, klin. Wochens, — 6 janvier 1890). Ces paralysies récidivantes de l'ataxie ne s'accompagnent ni de
e ou la jeunesse, à l'âge de 4, 5, 15 ans, que débute généralement la paralysie oculo-motrice récidivante ; mais il y a quelques
e voir là un rapprochement à établir entre la migraine vulgaire et la paralysie oculo-motrice récidivante ? Quoiqu'il en soit,
s les caractères signalés à propos du premier accès. Les symptômes de paralysie oculo-motrice, qui se sont produits ensuite con
du droit supérieur, ptosis incomplet. Diplopie caractéristique de la paralysie de la 3e paire; mais, de plus, et ceci est une an
t ceci est une anomalie notoire, il y a diplopie croisée révélant une paralysie concomitante du moteur oculaire externe. C'est l'
C'est l'unique fois, je pense, jusqu'ici, que cette association de la paralysie de l'abducens ait été remarquée dans la migraine
observations, aujourd'hui encore fort restreint, se multipliera. La paralysie ne porte pas seulement sur les muscles extérieurs
ni par l'action de la lumière, ni par celle de la convergence. Il y a paralysie très prononcée des muscles ciliaires révélée par
manentes ; il s'agirait là de simples «fluxions» avec excitation puis paralysie vaso-motrice consécutive, comparables à celles do
, rien à ajouter à cette constatation sommaire. Pour ce qui est de la paralysie oculo-motrice, tout porte à croire que c'est d'un
Au bout de trois semaines, la douleur cesse et est remplacée par une paralysie oculo-motrice, en tout semblable à celle du premi
tête reparaissait, parfois avec nausées et vomissements, suivie d'une paralysie oculo-motrice qui durait un ou plusieurs jours, d
nt laquelle tout était à l'état normal. Ni migraines, ni symptômes de paralysie oculaire. Le 28 janvier 1890, la malade dut se
le ptosis est encore appréciable, quoique peu accentué. Les signes de paralysie de la 3e paire du côté droit, avec légère atteint
ut + 3.50 D. pour ramener le punctum proximum à 0,25. Par conséquent, paralysie de l'accommodation complète. Og : M = — 0,50. I
as appréciable objectivement. — Pas de spasme des muscles associés. — Paralysie de l'accommodation complète à droite ; parésie si
accommodation, ni par l'action de la lumière. — Ce qui domine dans la paralysie , c'est celle du droit interne. La diplopie, de
droit interne. La diplopie, de croisée (en face— correspondant à la paralysie du droit interne) devient homonyme quand on porte
ntes. Evolution de co symptôme parallèlement à l'accident hystérique ( paralysie , contracture) qu'il accompagne d'ordinaire. Expér
(anesthésie ou hyperesthésie), tantôt avec des troubles du mouvement ( paralysies et contractures). Il s'agissait presque toujours
mêlé à d'autres symptômes d'hystérie locale tels que l'anesthésie, la paralysie ou la contracture. Dans ce dernier cas, l'œdème b
quemment sujet. Puis, une nuit, pendant son sommeil, se développa une paralysie de la main droite, avec gonflement violacé et ref
spontanément, comme il était venu. En juin 1889 il eut une nouvelle paralysie de la même main, et cette fois avec dissociation
issait en général avec les phénomènes locaux vulgaires, contractures, paralysies , qu'il accompagne. C'est donc surtout sur ces der
s régulièrement tous les jours. On s'aperçut alors que chaque jour la paralysie se reproduisait un peu plus tard que la veille. O
ent peut-être pas toute l'étendue qu'ils ont normalement, donc pas de paralysie dans les mouvements de cette articulation. Quant
la mettre enjeu. Sur une complication peu connue de la sciatique. Paralysie amyotrophique dans le domaine du poplité (1). I
peut la compliquer. (Arch. gén. de mèd., 1875). (2) Bianchi. — Des paralysies traumatiques des membres inférieurs chez les nouv
a suite d'accouchements laborieux, dans lesquels s'était produite une paralysie avec amyotrophie localisée dans le domaine du ner
à l'aide du forceps, il a vu survenir une sciatique accompagnée d'une paralysie incurable, avec amyotrophie dégénérative des musc
datant de deu* mois. La jambe de ce côté était (1) Lefebvre. — Des paralysies traumatiques des membres inférieurs. Th. Paris, 1
raumatiques des membres inférieurs. Th. Paris, 1876. (2) Brivois. — Paralysies traumatiques du membre inférieur consécutives à l
écutives à l'accouchement laborieux. Th. Paris, 1876. (3) Dorion. — Paralysies du nerf sciatiqus poplité externe d'origine pelvi
à Bianchi. En voici un résumé succinct : Observation I (résumée). — Paralysie avec atrophie du membre inférieur gauche consécut
ts dans le domaine du nerf sciatique poplité externe. — (Bianchi. Des paralysies traumatiques des membres inférieurs. Th. Paris,18
ont perdu leur excitabilité électrique. Le pied est tombant ; il y a paralysie avec atrophie des extenseurs. » La localisation n
nous empruntons à la thèse de Lefebvre. Observation II (résumée). — Paralysie partielle de la jambe gauche consécutive a l'acco
lle de la jambe gauche consécutive a l'accouchement. — (Lefebvre. Des paralysies iraumatiques des membres inférieurs. Th. Paris, 1
de essaie de se lever, mais ne peut marcher qu'avec des béquilles. La paralysie reste limitée aux muscles qui relèvent le pied, l
cupé seulement le domaine du nerf sciatique poplité externe. Puis une paralysie survient portant exclusivement sur les extcn- s
indiqué par l'exploration électrique. Observation1 III (résumée). — Paralysie partielle de la jambe gauche consécutive a l'acco
de la jambe droite e celle de la jambe gauche. Remarquons que cette paralysie et cette atrophie, dues sans aucun doute à la név
cre. En tous cas, ce qu'il faut retenir de cet exemple, c'est que ces paralysies sont fort tenaces et d'une guérison difficile, si
s suivant est encore emprunté à Lefebvre. Observation IV (résumée).— Paralysie partielle du membre inférieur droit consécutive à
. citée.) Accouchement le 4 juin 1874. Presque tout de suite après, paralysie du membre inférieur droit, dont elle s'aperçoit h
Accouchement laborieux suivi d'une fistule uréthro-vaginale et d'une paralysie partielle, du membre inférieur droit. (Lefebvre.
jambe. En marchant, le pied tombe et traîne. On constate alors une paralysie complète, avec inexcitabilitô électrique, des mus
sesse ; accouchement naturel et facile ; phlegmon du ligament large ; paralysie du nerf sciatique poplitè externe. (Dorion. Des p
ent large ; paralysie du nerf sciatique poplitè externe. (Dorion. Des paralysies du nerf sciatique poplitè externe d'origine pelvi
pportables ». Ces engourdissements font bientôt place à une véritable paralysie delà jambe et du pied. La cuisse se fléchit surle
igine du nerf dans le petit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralysie , atrophie musculaire, localisés exclusivement dan
. Lefebvre (1), qui cherche à établir dans son travail que toutes les paralysies traumatiques consécutives à l'accouchement « sont
r conséquent le nerf sciatique poplité externe qui est le siège de la paralysie . Cette opinion s'appuie sur un fait anatomique
n accouchement pratiqué à l'aide du forceps, s'était compliquée d'une paralysie incurable avec atrophie dégénérative des muscles
localisation étroite au domaine du sciatique poplité externe de toute paralysie des membres inférieurs consécutive à l'accoucheme
n lui clans les cas où l'on constate à la suite de l'accouchement une paralysie limitée à la zone de distribution du sciatique po
atique poplité externe serait seule comprimée et de là naîtraient ces paralysies localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs q
es paralysies localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs que les paralysies par compression du sciatique consécutives à l'acc
à-dessus l'opinion de M. Lefebvre et montre que dans bien des cas les paralysies occupaient également à un plus ou moins haut degr
e l'anomalie anatomique dont il parle, découle la rareté relative des paralysies absolument pures du sciatique poplité externe. C'
ui vient tout d'abord à l'esprit, surtout si l'on veut considérer les paralysies comme ce qu'elles sont en réalité, c'est-à-dire c
e M. le Pr Charcot. Observation VII (personnelle). — Sciatique avec paralysie et atrophie dègènèrative des muscles extenseurs d
produire. L'examen des mouvements du pied démontre qu'il existe une paralysie très accentuée des extenseurs du pied et des orte
alisés au domaine du nerf tibial antérieur seul en ce qui concerne la paralysie , à tout le domaine du sciatique poplité externe e
t à la tête, toujours à droite. Jamais de chute de la paupière, ni de paralysie des muscles de l'œil. Cet état, avec des rémissio
xiste pas, on ne peut nier cependant avoir eu affaire à une véritable paralysie des extenseurs de la jambe. Le pied tombant, la d
ration typique. Observation IX (personnelle). — Sciatique droite. — Paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles de la
es années. Dans I'Observation VII, nous avons vu l'anesthésie et la paralysie musculaire prendre à peu de chose près le même dé
qu'il existe des troubles de deux ordres : tout d'abord une véritable paralysie des extenseurs et de tous les muscles de la régio
te avec atrophie dégénérative des muscles. Un cas de sciatique avec paralysie amyotro-phique dans le domaine du poplité, déterm
er sous ce titre : « Sur une complication peu connue de la sciatique, paralysie amyotrophique, dans le domaine du poplité. » (Voi
ns le domaine du poplité. » (Voir plus haut, N° VII.) Le fait de la paralysie amyotrophique poplitée compliquant une sciatique
ronier et malléolaire. Un médecin qu'elle consulta la traita pour une paralysie et l'électrisa tous les deux jours. La douleur
meaux, mais à une production fibro-tendineuse. Déjà, dans certaines paralysies des extenseurs par névrite et en particulier dans
aines paralysies des extenseurs par névrite et en particulier dans la paralysie alcoolique, en outre des œdèmes et des troubles t
uin, et il faudra, ainsi que M. Charcot l'a souvent conseillé dans la paralysie alcoolique, faire intervenir la chirurgie et prat
o-tendineuses. Cette particularité explique comment, dans le cas de paralysie des extenseurs du pied, nous ne voyons pas, comme
oir débuté par le nerf poplité externe et d'avoir amené rapidement la paralysie amyotrophique. Elle s'est généralisée ensuite et
erver une nouvelle complication de la sciatique, je veux parler de la paralysie amyotrophique dans le domaine du poplité (V. plus
miner les choses de plus près, avant d'attribuer à l'alcoolisme cette paralysie douloureuse. Afin de procéder méthodiquement à l'
assant, qu'à la suite d'accouchements laborieux on observe parfois la paralysie du nerf sciatique. Les thèses de Bianchi, de MM.
laisse donc de côté les différentes théories émises pour expliquer la paralysie dans ces cas (1) et j'arrive à une cause à laquel
rales qu'après avoir été unilatérales pendant un temps assez long. La paralysie motrice n'affecte presque jamais toute l'étendue
u du plexus sacré. En général, il existe de la rétention d'urine, une paralysie atrophique, avec réaction de dégénérescence des m
unilatérale simple, c'est-à-dire primitive, pouvait s'accompagner de paralysie avec atrophie des muscles innervés par le péronie
péronier (V. plus haut le n° VII) et que, la douleur disparue, cette paralysie persistante était capable de constituer une vérit
sera absolue? Je n'ose le croire; l'expérience m'a appris combien la paralysie avec amyotrophie est tenace en pareil cas. Le côt
alite de Wernicke), Ophthalmoplegie externe-névrose. Analogie avec la paralysie bulbaire inférieure ou labio-glosso-laryngée. Tab
s Guinon et E. Parmentier : De Vophthalmoplégie externe combinée à la paralysie glosso-labio-laryngée et à Vatrophie mus-culaire
a fixité des traits tient ici à une rigidité des muscles et non à une paralysie ; l'œil est plutôt grand ouvert, les sourcils son
es ; et ceci nous conduit à reconnaître que ces signes dérivent d'une paralysie de toutes les branches extérieures ou externes du
e, releveur de la paupière. Et, remarquez-le bien, non seulement la paralysie porte sur les branches du moteur oculaire commun
n et les réflexes pupillaires contrastent par leur intégrité, avec la paralysie totale ou presque totale des muscles extérieurs.
été créée par Hutchinson pour l'opposer à la première, et désigner la paralysie des muscles ciliaires et iriens. Il existe là,
paralysés. C'est là, comme on le dit, un des grands caractères des paralysies nucléaires du globe de l'œil. Toutefois, ce carac
iation des troubles fonctionnels des muscles internes et externes. La paralysie par compression de l'oculo-moteur comportera à pe
et généralement que le terme ophthal-moplégie externe est synonyme de paralysie nucléaire ; c'est sur les noyaux d'origine des ne
on. Un coup de froid, par exemple, frappera directement comme dans la paralysie faciale a frigore l'extrémité des nerfs musculair
moins de 31 autopsies confirmât!ves (son mémoire porte sur 220 cas de paralysie nucléaire). Le groupement de ces autopsies montre
amyotrophique. C'est aussi de cette façon que sont envahis, dans la paralysie bulbaire inférieure, les noyaux moteurs de l'hypo
t. Il s'agit dans les cas que nous allons considérer d'une sorte de paralysie bulbaire supérieure, comparable à tous égards à l
sorte de paralysie bulbaire supérieure, comparable à tous égards à la paralysie bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lés
ivement sur les cornes antérieures. Ce rapprochement entre les deux paralysies bulbaires paraît d'autant plus légitime que l'on
parfois les deux affections se confondre l'une dans l'autre. Ainsi la paralysie bulbaire inférieure se complique parfois de paral
autre. Ainsi la paralysie bulbaire inférieure se complique parfois de paralysie bulbaire supérieure et inversement. Je fais all
lysie bulbaire supérieure et inversement. Je fais allusion ici à la paralysie bulbaire inférieure sans participation du faiscea
publications hâtives, que cette espèce-là n'existe pas, et que toute paralysie labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à
es autrefois publiées, et qui mettent hors de doute l'existence de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des
é recueilli dans mon service et sera bientôt publié. Dans le cas de paralysie bulbaire inférieure, ce sont les noyaux de l'hypo
us et de la partie inférieure du ventricule, alors que dans le cas de paralysie bulbaire supérieure, ce sont les noyaux de l'ocul
phthalmoplégie externe de cette catégorie constitue donc une sorte de paralysie bulbaire supérieure, qui, je le répète, « fait le
sie bulbaire supérieure, qui, je le répète, « fait le pendant » de la paralysie bulbaire inférieure à laquelle se rattache la par
ndant » de la paralysie bulbaire inférieure à laquelle se rattache la paralysie labio-glosso-laryngée non accompagnée de sclérose
s prise au bout de 4 ans d'ophthal-moplégie, de gêne de la parole, de paralysie glosso- laryngée, morte par syncope), de Rosenh
n'a pas progressé au bout de 25 ans. Plus rares sont les cas où la paralysie bulbaire supérieure succède à l'inférieure. On pe
ment les signes de l'ophthalmoplégie externe. — Il s'agit alors d'une paralysie labio-glosso-laryngée ascendante. 2° Les cas de
ors d'une paralysie labio-glosso-laryngée ascendante. 2° Les cas de paralysie bulbaire supérieure isolée sont peut-être les plu
'autres maladies des centres nerveux, parmi lesquels on peut citer la paralysie générale et surtout l'a fax ie locomotrice. A c
s la période préataxique. liest moins souvent donné de rencontrer une paralysie double des muscles de l'œil sous forme d'Ophthalm
urs qui semblent prétendre que, dans l'ataxie locomotrice, toutes les paralysies et amyotrophies relèvent de névrites périphérique
le est alors beaucoup plus fixe et plus difficile à déraciner que les paralysies oculaires unilatérales, qui se dissipent en génér
bout de trois à quatre mois. Il est possible, d'autre part, que ces paralysies bulbaires supérieures aient une tendance descenda
du type Du-chenne-Aran (poliomyélite antérieure chronique), et de la paralysie labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire inférie
lite antérieure chronique), et de la paralysie labio-glosso-laryngée ( paralysie bulbaire inférieure). L'analogie entre les deux o
que, car il n'y a aucun trouble concomitant de la sensibilité, pas de paralysie de la vessie et du rectum, les réflexes restant n
de poliomyélite antérieure subaiguë, répondant au type clinique de la paralysie spinale antérieure subaiguë, qui, anatomique-ment
ur spontanée, ou à la pression des muscles, aucune prédominance de la paralysie dans les extenseurs, aucune trace enfin de la r
faut rapporter l'amyotro-phie des membres, tandis que le ptosis et la paralysie des muscles oculaires qui l'accompagnent relèvent
ous en offrir la primeur. XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe ( paralysie bulbaire supérieure) combinée soit à la paralysie
almoplégie externe (paralysie bulbaire supérieure) combinée soit à la paralysie labio-glosso laryngée (paralysie bulbaire totale)
baire supérieure) combinée soit à la paralysie labio-glosso laryngée ( paralysie bulbaire totale), soit à l'atrophie musculaire gé
que des noyaux moteurs du bulbe protubérantiel, peut se combiner à la paralysie labio-glosso-laryngée qui résulte de la lésion si
le épinière. Dans le premier cas cette combinaison donne lieu à une paralysie bulbaire totale dont le début peut se faire soit
du bulbe. La première des observations qui suivent est un exemple de paralysie bulbaire totale à (1) Ces observations sont ext
; 1891, noS 1, 2, 3 et 4 : De Vophthalmoplegic externe combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculaire
oculaires. Le Dr Meyer, consulté, constate d'abord « en septembre une paralysie de la sixième paire gauche, puis en octobre une p
ptembre une paralysie de la sixième paire gauche, puis en octobre une paralysie incomplète de la troisième paire droite. Les pupi
strabisme divergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la paralysie du moteur oculaire commun de côté droit. Traiteme
pour la première fois par M. Troisier à la fin de septembre 1889. La paralysie de la troisième paire droite n'était pas modifiée
nts. Le 4 novembre, première consultation de M. Charcot. On note la paralysie oculaire. Pas d'autres symptômes. Pupilles peu se
aractéristique, elle est surtout déterminée par la prédominance de la paralysie sur l'œil droit. L'accommodation n'est pas alté
phie au niveau des membres. Il s'agit là bien nettement d'un cas de paralysie bulbaire totale à début ophthalmoplégique. Dans l
égique. Dans le suivant, le début se fait au contraire par les signes paralysie la-bio-glosso-laryngée. On peut le classer sous l
alysie la-bio-glosso-laryngée. On peut le classer sous la rubrique de paralysie bulbaire totale à début glossoplégique. Obs. II
que de paralysie bulbaire totale à début glossoplégique. Obs. II. — Paralysie bulbaire totale-ä début glossoplégique; paralysie
gique. Obs. II. — Paralysie bulbaire totale-ä début glossoplégique; paralysie faciale; Ophthalmoplegie externe (1). Jeune fil
bent. Nasonne-ment très accentué. Elle ne peut souffler ni siffler. Paralysie faciale supérieure pas absolue. Cependant impossi
aire progressive le plus souvent et de la façon la plus accentuée. La paralysie labio-glosso-laryngée occupe clans ces cas seul
beaucoup moins prononcé que l'atrophie musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire supérieure. On ne saurait dire quelle es
ntéressés. L'ophthalmoplégie externe est accompagnée d'une ébauche de paralysie bulbaire inférieure : la déglutition est légèreme
resque d'hébétude tout spécial. Il n'existe cependant aucune trace de paralysie faciale ni à droite ni à gauche. Les yeux seuls s
ltats suivants : Myopie = — 0,75 ; O. D. = 5/7 ; 0. G. — 5/10. Pas de paralysie de l'accommodation. Le punctum proximum est à 10
n des cordes n'est pas absolue; il reste un très léger hiatus. Pas de paralysie , ni d'altération de la muqueuse en dehors de la l
ccentuée et qu'elle n'atteigne que les cuisses. Mais les symptômes de paralysie labio-glosso-laryngée ont assez notablement augme
lération du pouls ni de crises d'étouîfement. En ce qui concerne la paralysie bulbaire supérieure, aucun autre noyau ne paraît
faut. Les réflexes sont absents aux membres supérieurs et il n'y a ni paralysie des sphincters ni modification de la sensibilité.
édé de Dransart et de Pagenstecher). Examen de M. Parinaud: 0. D. — Paralysie de l'adduction et de l'abduction assez complète;
d: 0. D. — Paralysie de l'adduction et de l'abduction assez complète; paralysie moins complète de l'élévation ; l'abaissement s'e
nt à mettre en mouvement. On ne constate pas de signes bien nets de paralysie faciale nucléaire. Le front présente à peu près s
Mais on peut constater quelques signes, peu accentués à la vérité, de paralysie bulbaire inférieure. Il existe une certaine gêne
avant. Au niveau des membres supérieurs, la faiblesse va jusqu'à la paralysie . L'atrophie est très accentuée au niveau du delto
d'établir le diagnostic. Ce sont ceux dans lesquels aux phénomènes de paralysie bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les si
qui résulte clo l'association du faciès dTIutchinson avec celui de la paralysie labio-glosso-laryngée. Qu'on veuille bien seuleme
ins de les connaître. En tout cas l'absence, dans la myopathie, d'une paralysie labio-glosso-laryngée qui ne tarderait pas à se p
vie à l'intoxication plombique, on aurait pu penser un instant à une paralysie saturnine (Obs. III). Mais cette hypothèse ne pou
e. \i) Déjerine-Klumpke (Mme). — Des polynévrites en général et des paralysies et atrophies saturnines en particulier. Th. Paris
œil gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les signes d'une paralysie bulbaire inférieure qui s'était développée ensuit
rieure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la langue, paralysie des muscles du voile du palais et du pharynx, de
fara-dique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde attaque de paralysie dura plus d'un an et guérit complètement. Le mala
et guérit complètement. Le malade ne conserva qu'un certain degré de paralysie du droit externe de chaque œil, produisant un lég
des cornes antérieures. A cet égard nous savons, par l'histoire de la paralysie spinale infantile et des atrophies musculaires pr
gie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec atrophie muscu
moins passagère. J'ai vu moi-même des exemples de ce genre, plusieurs paralysies alternes en particulier, qui ont été consignés,
reux paragraphe qui est complètement à remanier. Quand il parle des paralysies dans le diabète (p. 35) ' Ch. Bouchard. — De la
abolition des réflexes patellaires. Là aussi, on a dit que lorsque la paralysie n'est pas complète, c'est-à-dire lorsque le malad
pliquer le nom de démarche de stepper et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les membres inférieurs prédomine
me moteur, la démarche de stepper, dû vraisemblablement surtout à une paralysie musculaire portant principalement sur les extense
on d'abord et l'avant-pied ensuite. En effet, il existe une véritable paralysie des extenseurs du pied, principalement à droite.
nd vous voyez cela, vous devez penser naturellement tout d'abord à la paralysie alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des ré
de la sensibilité, presque toujours présents à un haut degré dans la paralysie alcoolique et qui consistent en sensations 1 Le
léger pendant le jour. Malgré cette différence, l'analogie avec la paralysie alcoolique se complète encore par la présence d'a
en extension. Cela est encore bien analogue à ce qui se passe dans la paralysie alcoolique classique; et ceci aussi, à savoir qu'
gé depuis la précédente leçon. Mais cela tient sans doute à ce que la paralysie des extenseurs du pied, qui le tient immédiatemen
s la marche la pointe du pied tombante de traîner sur le sol. Si la paralysie n'est pas complètement guérie au point de vue fon
sensations, vous le savez, Messieurs, se remarquent également dans la paralysie alcoolique, ce qui tend encore à accentuer les tr
n est la conséquence. A propos d'un cas d'hystérie masculine : 1° Paralysie dissociée du facial inférieur d'origine hystériqu
stérie masculine en France et à l'étranger. — Description d'un cas de paralysie faciale d'origine hystérique portant seulement su
ateurs et grand zygomatique. — Superposition de l'anestbésie et de la paralysie . — Diversité des opinions concernant l'existence
e la paralysie. — Diversité des opinions concernant l'existence de la paralysie faciale dans l'hystérie. Sa rareté relativement a
notre cas, début de la névrose à l'occasion d'un traumatisme et de la paralysie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi da
En effet, il nous présente un exemple bien avéré, bien authentique de paralysie faciale hystérique, dont l'existence, jusque dans
, jusque dans ces derniers temps, m'avait paru fort problématique. La paralysie , qui porte sur le domaine du facial inférieur, es
ntifiques, double emploi, je m'empresse de vous avertir que ce cas de paralysie faciale hystérique est celui-là même qui a été pr
rappellerai tout à l'heure comment s'est constituée la question de la paralysie faciale chez les hystériques et comment, jusque d
entrique du champ visuel. Maintenant c'est sur les caractères de la paralysie faciale annoncée que je veux insister. Au repos
réactions électro-musculaires sont parfaitement normales, bien que la paralysie remonte environ à trois ans, et qu'il n'y a nulle
a nulle trace de spasme ni de secousses musculaires. Voilà donc une paralysie faciale bien constatée chez un hystérique et qui
is prendre les choses d'un peu loin. En 1856, dans une leçon sur la paralysie hystérique ïodd écrivait les lignes suivantes 1 :
e hystérique ïodd écrivait les lignes suivantes 1 : « L'étendue de la paralysie des membres, alors qu'il n'y en a pas trace dans
nt en faveur de la nature hystérique de l'affection : car bien que la paralysie hystérique puisse occuper toutes les parties du t
plégie vulgaire. » Ce n'est pas qu'une déviation de la face appelée paralysie n'ait été notée dans diverses publications, en op
te est en rotation en gauche. Peut-on trouver là les caractères d'une paralysie faciale droite? J'en dirai autant du cas plus anc
ien de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y avait hémiplégie des membres et paralysie totale de la face d'un côté. Soumis à l'analyse,
, p. 299), j'écrivais : « Tant qu'on ne m'aura pas démontré que les paralysies faciales des hystériques ne sont pas des hémispas
sterai dans ma négation, prêt à me rendre toutefois pour le cas où la paralysie faciale, dont pour le moment je conteste l'existe
pitaux en 1890 et 1891. Elles établissent que si, dans l'hystérie, la paralysie faciale est un fait exceptionnel, si elle est sin
un malade2. Quelque temps après, M. Ghantemesse publiait trois cas de paralysie faciale hystérique3 avec monoplégie brachiale,
1890. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas, la paralysie est peu accentuée et qu'il y a toujours anesthési
hez les hystériques \ Il s'agit dans son travail de spasmes et non de paralysies ; mais les deux groupes de faits doivent être évid
'hui, tout en maintenant que dans la très grande majorité des cas, la paralysie faciale n'accompagne pas l'hémiplégie hystériqu
accompagner quelquefois. Veuillez remarquer que, quanta présent, la paralysie du facial inférieur chez un hystérique, semble se
s. Enfin plusieurs fois on a pu l'observer, isolée en dehors de toute paralysie notoire des membres, circonstance peu fréquente d
ire de l'hémiplégie faciale capsulaire, et qui, dans la catégorie des paralysies corticales, n'est représentée que par quelques ca
agira de rechercher dans quelles circonstances se produisent soit les paralysies faciales hystériques, soit les déviations d'origi
asmodique. Peut-être serait-ce ici le lieu de rappeler que dans les paralysies hystériques la face ne semble point placée sous l
ne semble point placée sous le même régime que les membres et que la paralysie y est, comparativement au spasme, beaucoup moins
mes de la face sont faciles à réaliser par suggestion, tandis que les paralysies faciales, du moins dans ma propre expérience, ne
l a la bouche de travers ». Cela a été la première constatation de la paralysie faciale qui existe encore aujourd'hui et que nous
que sur les points frappés et dans leur voisinage, fait apparaître la paralysie faciale et l'anesthésie qui s'y superpose. Mais l
e simulatrice du syndrome de Weber. Sommaire. — Syndrome de Weber : Paralysie delà troisième paire d'un côté et des membres du
hémiplégies alternes, dont fait partie le syndrome de Millard-Gubler ( paralysie faciale totale d'un côté, hémiplégie des membres
s en question le ptosis est dû au spasme de l'orbiculaire et non à la paralysie du releveur. Ptosis paralytique et ptosis spasm
mbante, et avait présenté simultanément une parésie d'abord, puis une paralysie complète des membres du côté droit. En présence d
sion naissait tout naturellement qu'il devait s'agir là d'un genre de paralysie alterne sur lequel je donnerai tout à l'heure que
interne du pédoncule cérébral produit un syndrome caractérisé par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et des
ervateurs, Gubler3 avait déjà, il est vrai, vu et noté cette sorte de paralysie alterne, mais malheureusement, son cas était comp
lle est, je le répète, beaucoup trop complexe pour servir de type aux paralysies pédonculo-protubérantielles. Dans îe cas de Mayor
Durant la vie, on avait constaté une hémiplégie du côté droit et une paralysie de l'oculo-moteur commun du côté opposé. Il est
ébral, alors que, du vivant des malades, on n'avait point constaté la paralysie alterne caractéristique. Inutile de vous dire que
ctérisées cliniquement par le syndrome de Weber, c'est-à-dire par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté
moteur oculaire commun et le pédoncule et produire en conséquence une paralysie alterne spéciale, et que les deux nerfs de la tro
e altération qui détruira ces deux bandelettes amènera fatalement une paralysie des membres, du facial inférieur et de l'hypoglos
e le nerf ocuîo-moteur, le second élément de ce syndrome, à savoir la paralysie directe de la troisième paire, sera réalisé. Il f
ports intra-pédonculaires est indispensable pour l'interprétation des paralysies partielles de la troisième paire dans le syndro
de premier ordre. 11 faut, pour bien comprendre l'existence de ces paralysies partielles, considérer, d'une part, le groupement
des fibres de l'oculo-moteur; elle donne l'explication naturelle des paralysies incomplètes ou partielles de la troisième paire
soient pris à l'exclusion des autres. Dans ces conditions, c'est une paralysie partielle que vous rencontrerez. Quand elle est
ation des mouvements oculaires dans tous les sens, sauf en dehors, la paralysie de l'accommodation et la dilatation delà pupille.
rs, la paralysie de l'accommodation et la dilatation delà pupille. La paralysie incomplète varie suivant les cas; quoique plus ra
roite que celle du côté opposé. De même vous concevez aisément que la paralysie , combinaison rare mais possible, en somme, puisse
e muscle releveur de la paupière. Je n'insiste sur l'existence de ces paralysies incomplètes de l'oculo-moteur que parce que nous
tout à l'heure un cas de ce genre. 1 Oyon. — Hémiplégie gauche avec paralysie alterne de la troisième paire droite résultant d'
Telles sont, Messieurs, les conditions anatomiques qui régissent les paralysies alternes pédonculo-prolu-bérantielles ou protubér
n manière de contraste, je veux vous rappeler rapidement ce qu'est la paralysie protubérantielle inférieure ou bulbo-prolubéranti
il de Gubler2, mais il faut reconnaître que Gubler a trouvé le nom de paralysie alterne qui devait désormais lui servir d'étiquet
e syndrome de Millard-Gubler est caractérisé par la coïncidence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une paralysie des m
par la coïncidence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une paralysie des membres du côté opposé du corps. Dans les cas
sie des membres du côté opposé du corps. Dans les cas de ce genre, la paralysie du facial se comporte comme une paralysie périphé
ans les cas de ce genre, la paralysie du facial se comporte comme une paralysie périphérique au point de vue de son étendue et de
riques. Quelquefois cette hémiplégie faciale peut se compliquer d'une paralysie de l'abducens ou de la cinquième paire. L'anato
ptième paire et le faisceau pyramidal, et vous aurez ainsi imaginé la paralysie alterne vulgaire, autrement dit, le syndrome Mill
e concevoir en même temps une lésion de l'abducens et, par suite, une paralysie de la sixième paire, du même côté que la paralysi
et, par suite, une paralysie de la sixième paire, du même côté que la paralysie faciale, venant compliquer le tableau classique.
tater dans une de nos dernières leçons. En réalité, qu'il s'agisse de paralysie pédon-culo-protubérantielle ou de paralysie bulbo
éalité, qu'il s'agisse de paralysie pédon-culo-protubérantielle ou de paralysie bulbo-protubé-rantielle, c'est toujours le siège
t intéressés, et cette lésion se traduit, comme vous le savez, par la paralysie du facial inférieur et par la déviation de la lan
feu, etc., fut mise en œuvre, sans le moindre succès du reste? Cette paralysie qui avait respecté la face disparut peu à peu, sp
ue. Et, phénomène qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie était, paraît-il, accompagnée d'une hémianesthési
ractères que je viens de relever devant vous. Lorsque survint cette paralysie des membres, déjà, depuis deux ans, cette jeuue f
ore le constater aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du moteur oculaire commun et réduirait-il à néant
, quelque singulière que paraisse tout d'abord cette dissociation, la paralysie de la troisième paire peut en somme se borner au
érique et avoir un tubercule dans la protubérance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculaire
ans la protubérance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculaire commun étant jusqu'ici inconnu
?). Un pareil raisonnement serait évidemment logique s'il y avait ici paralysie de la paupière. Mais, s'il n'y a pas paralysie, c
gique s'il y avait ici paralysie de la paupière. Mais, s'il n'y a pas paralysie , comment donc, m'objeclercz-vous, expliquer cette
ette paupière tombante ? Eh bien, je crois qu'il s'agit ici, non de paralysie , mais de spasme pur et simple. Je sais bien que c
caractères habituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme ou d'une paralysie ? Question délicate, s'il en fut, et difficile à r
n oculiste très distingué qui me la renvoya avec la note suivante : « Paralysie de la troisième paire, un peu de décoloration de
pour vous montrer les difficultés du diagnostic entre le spasme et la paralysie de la paupière. Il serait vraiment utile, dans de
e dernière, un tabétique avec chute complète de la paupière due à une paralysie totale de la troisième paire. Or, chez cet homme,
M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de*réaction. Sur un cas de paralysie radieulaire de la première paire dorsale; Avec
a légèrement et ne tarda pas à se cicatriser. Gomme effets immédiats, paralysie des membres supérieur et inférieur droits, de ce
aut distinguer ce qui appartient à chacun d'eux. A droite, existe une paralysie spasmodique très marquée ; le membre est raidi en
oies ; il fournit également l'innervation du muscle de Mùller dont la paralysie détermine l'enfoncement du globe de l'œil. Or, ce
pas ; il marche sur le bord externe de son pied, comme s'il avait une paralysie des péronés. Le membre est absolument raide ou
derrière lui balaie le sol. Remarques de Todd. Spasme glosso-labié et paralysie faciale. Le nom de démarche hélipode (de sXicraw,
d'un menu tremblement, vous n'hésitez pas à dire qu'il est atteint de paralysie agitante. Eh bien ! chez les hémiplégiques, la dé
ge d'un livre trop oublié de Todd, intitulé : Leçons cliniques sur la paralysie et sur certaines maladies du cerveau. Il y a là u
ambe paralysée en avant. Elle porte son tronc sur le côté opposé à la paralysie et repose le poids du corps sur la jambe saine ;
u malade qui balaie le sol en marchant, qu'il n'a généralement pas de paralysie faciale ; c'est également mon avis. Examinez la f
faciale ; c'est également mon avis. Examinez la face, il n'y a pas de paralysie , mais un état spasmodique des muscles du côté gau
ession ou d'infiltration qui se traduisent cli-niquement, soit par la paralysie des muscles de l'œil, soit par la névrite optique
s très circonscrites de l'écorce des circonvolutions motrices dans la paralysie générale, etc., etc. L'objection est fondée et je
sins germains présentent une tare névropathique : l'un est atteint de paralysie infantile, l'autre est mort aliéné à l'asile Sain
même que coexisteraient des altérations basilaires : névrite optique, paralysie du moteur oculaire commun, etc..., dans ce cas-là
peu moins d'un an, M. Lemoine a publié, dans le Mercredi Médical, une paralysie des muscles de l'œil chez une femme atteinte de s
dans l'espèce, serait à peu près décisive : une névrite optique, une paralysie du moteur oculaire commun, par exemple ? Absolume
ue qui agit par compression au lieu d'agir par irritation. Toutes ces paralysies se peuvent guérir, si l'on procède avec énergie e
re consultation, dans l'état où vous l'avez vu, c'est-à-dire avec une paralysie de la face du côté gauche, avec une monoplégie br
ue le remarque M. Uhthoff, M. Charcot et son école ont montré que les paralysies des muscles de l'oeil s'expliquent par les lésion
100 examens de sclérose multilo-culaire envisagés au point de vue des paralysies des muscles des yeux, il a trouvé : a). Parésie
rgence. 3. e). Ophthalmoplegie externe. 2. Soit au total, 17 cas de paralysie . Il est à remarquer que, contrairement à ce qui a
est à remarquer que, contrairement à ce qui a lieu dans le tabès, la paralysie de l'ab-ducens serait ici plus fréquente que cell
que celle du moteur oculaire commun, quoique considérées en bloc les paralysies des muscles de l'œil soient un peu plus fréquente
ique avec nystagmus). Tous les deux présentent de l'am-blyopie et une paralysie unilatérale de l'abducens. Chez l'un, on trouve
t une paralysie unilatérale de l'abducens. Chez l'un, on trouve une paralysie de la sixième paire gauche et de la diplopie avec
duré jusqu'à l'âge de douze ans. Cette malade présente, en plus, une paralysie conjuguée de la sixième paire gauche sans diplopi
s en clinique par une paraplégie spasmo-dique simple ou compliquée de paralysie des réservoirs, d'eschares,etc.,et revêtant dans
que l'embarras de la parole, l'hébétude du faciès, le nystagmus, les paralysies oculaires, les lésions de la papille.....qui pe
s, par la dysarthrie typique et par une diplopie due à l'existence de paralysies associées. Il s'agit là d'un cas fruste, fruste p
s difficiles, la véritable solution du problème. Note sur un cas de Paralysie du Moteur oculaire externe et du Facial, avec att
après l'apparition de ces nouveaux phénomènes, tout à coup survint la paralysie faciale droite. Un matin, en se réveillant, la ma
'en aperçut. Pas d'attaque pendant la nuit précédente. A ce moment la paralysie était plus accentuée qu'elle n'est aujourd'hui, l
il existe de ce côté quelques secousses de trépidation spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la paraly
on spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la paralysie périphérique, c'est-à-dire que le muscle orbicula
par l'un de nous le 12 mars 1890 et a donné les résultats suivants : Paralysie complète de de la 6e paire droite avec spasme ass
de de la 6e paire droite avec spasme associé du droit interne gauche. Paralysie de l'orbiculaire droit liée à la paralysie facial
é du droit interne gauche. Paralysie de l'orbiculaire droit liée à la paralysie faciale de même côté. Début de la diplopie il y a
me côté. Début de la diplopie il y a quatre mois, huit jours avant la paralysie faciale. Pupilles normales. Pas de lésions du fon
complètement conservé des deux côtés. Il existe un certain degré de paralysie du voile du palais, qui est flasque à la vue, bie
de détails les yeux de cette malade, on voit qu'il existe : 1° Une paralysie de l'orbiculaire de l'œil droit, liée à la paraly
xiste : 1° Une paralysie de l'orbiculaire de l'œil droit, liée à la paralysie faciale. C'est cette paralysie de l'orbiculaire q
'orbiculaire de l'œil droit, liée à la paralysie faciale. C'est cette paralysie de l'orbiculaire qui détermine l'inégalité des fe
qu'il ne faudrait pas attribuer à un ptosis de l'œil gauche. 2° Une paralysie de la 6e paire du même côté présentant les partic
es particularités suivantes. Au repos pas de strabisme, bien que la paralysie du droit externe de l'œil droit soit à peu près c
liniques, a insisté sur ces déviations particulières de l'œil dans la paralysie du droit externe. Déjà l'un de nous, dans un mémo
), avait attiré l'attention sur les spasmes qui compliquent certaines paralysies des muscles de l'œil. Ces spasmes, qui intéressen
ture primitive, tantôt on prend l'œil sain pour l'œil malade, car une paralysie peu accusée peut développer sur l'autre œil un st
otre malade, il s'agit d'un trouble du même (1) Parinaud. Spasme et Paralysie des muscles de Vœil (Gaz. hebd. de méd. et de chi
entre d'innervation de l'œil. Les spasmes qui compliquent certaines paralysies de l'œil semblent être le propre des paralysies p
compliquent certaines paralysies de l'œil semblent être le propre des paralysies périphériques. Est-il possible chez cette jeune
foyer quelconque dans la moitié inférieure de la protubérance. Cette paralysie totale du facial et de l'abducens ne peut guère s
estruction du noyau de l'abducens s'accompagne généralement, outre la paralysie du droit externe, d'une paralysie du droit intern
s'accompagne généralement, outre la paralysie du droit externe, d'une paralysie du droit interne du côté opposé et se caractérise
des fibres communicantes. Il ne s'agit donc pas ici d'une véritable paralysie nucléaire. La lésion, qu'on ne saurait cependant,
lésion, qu'on ne saurait cependant, en raison de la combinaison de la paralysie du facial et de l'abducens, localiser ailleurs qu
es phénomènes présentés par notre malade. Elle est atteinte, outre la paralysie du facial et de l'abducens du côté droit, d'une h
effet, les lésions de la protubérance, lorsqu'elles s'accompagnent de paralysies du côté des membres, ce qui n'est d'ailleurs pas
uche, tandis que nous constatons une hémiplégie du même côté que la paralysie faciale. Si notre malade était gauchère, — et ell
mais on ne peut avoir de renseignements précis sur la nature de cette paralysie . Antécédents personnels. — Rien de bien remarqu
nt expliquer ces phénomènes. — Caractères nettement hystériques de la paralysie . — Stigmates hystériques, petites attaques. — Rôl
vibratoire. .... 46 IV. Sur un cas de migraine ophthalmoplégique ( Paralysie oeulo-motrice périodique). ¦ (Leçon). Sommair
sie oeulo-motrice périodique). ¦ (Leçon). Sommaire. — Synonymie : paralysie oculo-motrice récidivante. Migraine ophthalmique
r, Saundby, Parinaud et Marie, etc.... Période de douleur; période de paralysie portant sur tous les filets de la 3e paire ; péri
ntes. Evolution de ce symptôme parallèlement à l'accident hystérique ( paralysie , contracture) qu'il accompagne d'ordinaire. Expér
..... . 117 VII. Sur une complication peu connue de la sciatique [ paralysie amyolrophique dans le domaine du poplitè). (Tra
Guinon et E. Parmentier). . . 127 VIII. Un cas de sciatique avec paralysie amyotrophique dans le domaine du poplilé, détermi
alite de Wernicke), ophthalmoplégie externe-névrose. Analogie avec la paralysie bulbaire inférieure ou labio-glosso-laryngëe. Tab
aigus et subaigus ... 189 XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe ( paralysie bulbaire supérieure) combinée soit à la paralysie
almoplégie externe (paralysie bulbaire supérieure) combinée soit à la paralysie labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire totale^
baire supérieure) combinée soit à la paralysie labio-glosso-laryngée ( paralysie bulbaire totale^, soit à l'atrophie musculaire gé
d'un cas de syringomyélie, type Morvan. 243 XIII. Sur »in cas de Paralysie diabétique. 1 (Leçon). Sommaire. —Accidents n
gie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec atrophie muscu
ue...........279 XIV. A propos d'un cas d'hystérie masculine : 10 Paralysie dissociée du facial inférieur d'origine hystériqu
nateur et grand zygomatique. — Superposition de l'anesthésie et de la paralysie . — Diversité des opinions concernant l'existence
e la paralysie. — Diversité des opinions concernant l'existence de la paralysie faciale dans l'hystérie. Sa rareté relativement a
otre cas, début de la névrose à l'occasion d'un traumatisme, et de la paralysie faciale à la suite d'un autre trauma tisme subi
ce du syndrome de YVeber. Leçon). Sommaire. — Syndrome de Weber : paralysie de la troisième paire d'un côté et des membres du
hémiplégies alternes, dont fait partie le syndrome de Millard-Gubler ( paralysie faciale totale d'un côté, hémiplégie des membres
en question, le ptosis est dû au spasme de l'orbiculaire et non à la paralysie du rele-veur. Ptosis paralytique et ptosis spas
premier et abaissé dans le second.........308 XVI. Sur un cas de paralysie radiculaire de la première paire dorsale, avec lé
derrière lui balaie le sol. Remarques de Todd. Spasme glosso-labié et paralysie faciale. Le nom de démarche hèlipode (de iMoaa, t
ste par effacement........;..........399 XXII. Note sur un cas de Paralysie du Moteur oculaire externe et du Facial, avec att
te, 159, 166 ; — dans l'hystérie et la syringomyélie, 41 ; — dans les paralysies hystériques, 36. Artérite syphilitique cérébral
ileptiques, 430. Brown-Séquard (Syndrome de), 338, 346. Bulbaire: paralysie — isolée, 197, c Cécité dans la sclérose en pla
hystérique, 122. D Démarche chez les hémiplégiques. 363; —dans la paralysie agitante, 363. Déviation primitive dans le stra
ite, 271 ; — et tabes, 278 ; — et glycosurie, 258. Diplopie dans la paralysie du nerf moteur oculaire externe, 422. Dissociat
iale, 393 ; parésie consécutive aux a'taques d'—, 375. F Facial : paralysie complète du nerf —, 420; paralysie du — dans l'hy
a'taques d'—, 375. F Facial : paralysie complète du nerf —, 420; paralysie du — dans l'hystérie. (v. Paralysie faciale hysté
aralysie complète du nerf —, 420; paralysie du — dans l'hystérie. (v. Paralysie faciale hystérique ) Faciès d'Hutchinson, 190;
8 ; démarche dans 1'—, 363; — alterne, 317, 318, 427; — combinée à la paralysie complète du facial et du moteur oculaire externe
e hystérique, 365 ; Hémispasme glosso-labié dans 1'—, 298, 306 368; Paralysie faciale dans Y—, 290 ; Agents provocateurs de 1'—
mie pathologique, 17 ; — observation, 18. Moteur oculaire externe : paralysie du nerf —, 420 ; — spasme associé dans cette para
aire externe : paralysie du nerf —, 420 ; — spasme associé dans cette paralysie , 425 ; — pathogénie de ce spasme, 425 : — diplopi
paralysie, 425 ; — pathogénie de ce spasme, 425 : — diplopie dans la paralysie du nerf, 422. Myosis dans les lésions du plexus
be, 195 ; — dans la maladie de Basedow, 196; — isolée, 198; — dans la paralysie générale et l'ataxie locomotrice, 177; — combiné
Panaris analgésique, 9 ; — dans la syringomyélie, 248, 254, 357. Paralysie alterne, 313, 317. Paralysie et anesthésie dans
ans la syringomyélie, 248, 254, 357. Paralysie alterne, 313, 317. Paralysie et anesthésie dans le syndrome de Brown-Séquard,
. Paralysie et anesthésie dans le syndrome de Brown-Séquard, 346. Paralysie oculo-motrice périodique, 70 (voir Migraine oph-t
ie oculo-motrice périodique, 70 (voir Migraine oph-thalmoplégique). Paralysie agitante : démarche dans la —, 50 ; tremblement h
ue, 387. Réflexes rotuliens dans le diabète, 265. S Sciatique : paralysie amyotrophi-que dans le domaine du nerf poplité da
paralytique et du ptosis spasmodique, 325. Spasme associé dans les paralysies des muscles oculaires, 424. Strabisme : déviati
3 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
types morbides qui s'appellent l'atrophie musculaire progressive, la paralysie infantile, la paralysie pseudo-hypertrophique, la
pellent l'atrophie musculaire progressive, la paralysie infantile, la paralysie pseudo-hypertrophique, la paralysie glosso-laryng
ssive, la paralysie infantile, la paralysie pseudo-hypertrophique, la paralysie glosso-laryngée, l'ataxie locomotrice enfin. Cett
taines lésions articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et atrophie musculaire consécutives. — Modificati
palement l'action du triceps qui reste aujourd'hui en défaut. Cette paralysie limitée aux extenseurs du genou se révélera encor
omme cela a lieu après la section expérimentale des nerfs, ou dans la paralysie infantile, quand il y a destruction des cellules
and il y a destruction des cellules motrices, ou bien encore dans les paralysies faciales graves. En pareil cas, et c'est là un
s avons soigneusement étudiés. En résumé, ce malade est atteint d'une paralysie avec atrophie simple, presque exclusivement local
agnostic. On sait aujourd'hui, d'après des études nombreuses1, que la paralysie atrophique des muscles extenseurs ou prédominant
che est devenue moins difficile. La relation qui existe entre cette paralysie qui persiste au bout d'un an et un traumatisme lé
turelle, aujourd'hui assez bien connue après les travaux récents, des paralysies atrophiques articulaires ou de cause articulaire.
ites pro-topalhiques, spontanées ou traumatiques, qui déterminent les paralysies atrophiques, sont des arthrites douloureuses, d'u
Pour ce qui est de la persistance des accidents deutéropa-thiques ( paralysie et atrophie) après la cessation de l'affection pr
e), c'est en quelque sorte la règle; et c'est là, dans l'histoire des paralysies amyotrophiques de cause articulaire le fait peut-
e deuté-ropathique, et c'est en conséquence de cette affection que la paralysie et. l'atrophie se produisent. Mais en quoi consis
nnaissons les effets de l'altération profonde de ces éléments dans la paralysie infantile, où il y a réaction de dégénérescence,
s muscles; nous avons notamment traité avec succès, par ce moyen, une paralysie faciale ancienne, d'origine périphérique, et dans
eu occasion de relever les analogies considérables qui rapprochent la paralysie spasmodique des membres chez les hystériques, ou
ou celles qui ne relèvent d'aucune affection spinale matérielle, des paralysies spasmodiques hémiplégiques ou paraplégiques qui s
D'ailleurs, pour déterminer la contracture dans un membre atteint de paralysie flasque, un traumatisme violent n'est pas nécessa
r ces faits dans l'esprit est la suivante : 11 existe dans ces cas de paralysies qui reconnaissent pour cause une lésion matériell
ets que dans les cas où il existe une lésion des centres nerveux ; la paralysie spasmo-dique des membres sans rigidité pourra, da
ans rigidité pourra, dans les mêmes conditions, se transformer en une paralysie avec conlraclure et rigidité articulaire. Je po
Je vais vous présenter un malade qui nous ramènera à l'étude de ces paralysies amyolrophiques qui nous ont occupé récemment. V
tiels, avec ce que nous avons vu chez l'employé du télégraphe dont la paralysie atrophique s'est développée en conséquence d'un t
trauma-tiques, ce retentissement sur le centre spinal, d'où dérive la paralysie amyotrophique prédominant sur les extenseurs l.
nduit à vous faire remarquer que, si, dans certaines athropathies, la paralysie amyotrophique est, comme dans le cas précédent, l
ns intérêt, d'ailleurs, de faire ressortir expressément qu'a côté des paralysies amyotrophiques de cause articulaire, il existe de
II. Migraine ophthalmique se manifestant à la période initiale de la paralysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire
pe d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose, main de la paralysie agitante. — Les déviations articulaires du rhumat
ion spinale développée suivant le mécanisme des actes réflexes. — II. Paralysie générale progressive. — Migraine ophthalmique au
ments involontaires spéciaux de l'athétose, et en Fig. 9. — Main de paralysie agitante, rappelant la déformation du type de fle
té prolongée des muscles antagonistes. On sait, du reste, que dans la paralysie agitante, les muscles des membres et du tronc son
re, une dépression de ces mêmes propriétés, à laquelle se rattache la paralysie amyotrophique. 11 faut ajouter que ces deux mod
sivement sous l'influence de l'action musculaire; Il est atteint de paralysie générale progressive, et si nous considérons chez
pète, que ce cas, aujourd'hui que l'on sait qu'il existe une forme de paralysie générale où le délire ambitieux ne figure pas, dé
tieux ne figure pas, désignée sous le nom de forme paralytique, ou de paralysie générale sans aliénation. Mais ce qui fait l'in
Je vous rappellerai que, d'après M. Jules Falret1, on admet que la paralysie générale qui, parvenue à son complet développemen
uvements fibrillaires, incertitude de la marche, titubation. C'est la paralysie générale sans aliénation. Ces malades ont conscie
et se répétant un nombre varié de fois avant que les caractères de la paralysie générale ne s'établissent décidément à l'état per
la migraine figurent parmi les accidents prodomiques congestifs delà paralysie générale progressive. Cette combinaison est, sans
maladie qui a motivé son admission dans cet asile paraît avoir été la paralysie générale progressive, si on en juge par ce fait q
cinq faits du même genre que j'ai personnellement observés). 5° La paralysie paraplégique ou hémiplégique, avec exaltation, ou
ent tuméfié. Cet état rappelle ce que l'on voit, dans certains cas de paralysie infantile de date ancienne. La sensibilité, surto
xistence de cette lésion spinale, déjà révélée d'un autre côté par la paralysie des sphincters vésical et anal et par l'asthénie
s, sont profondément altérés ou détruits; ainsi, par exemple, dans la paralysie infantile après la période de réparation, ou enco
correspondant à la partie affectée du centre spinal ; ainsi, dans la paralysie infantile du membre inférieur gauche, on peut voi
s pas ici. Dans les affections méningo-myéliti-ques, nous aurions une paralysie ou uneparésie des membres 1. Bernard et Féré. —
ration électrique méthodique. Une particularité intéressante de cette paralysie atrophique, c'est qu'elle porte surtout sur les m
spasmodique, avec participation de la vessie et du rectum. Mais la paralysie des membres inférieurs n'est pas une paralysie at
t du rectum. Mais la paralysie des membres inférieurs n'est pas une paralysie atrophique comme celle des membres supérieurs, el
e sont pris ; quoi qu'il en soit, pendant plus d'un an, il exista une paralysie atrophique des membres supérieurs avec griffe rad
aralysie atrophique des membres supérieurs avec griffe radiale et une paralysie spas-modique des membres inférieurs avec flexion
e malade est venu nous consulter, le 3 mars 1883, il n'existe plus de paralysie , plus d'aphasie motrice, il peut écrire courammen
n'existe aucune déviation de la face ou de la langue, aucune trace de paralysie des membres supérieurs et inférieurs. La marche e
pathiques. — Amyotrophies protopathi-ques. — Myopathies primitives. — Paralysie pseudo-hypertrophique. — Forme juvénile de Erb. —
changement de volume des muscles. Forme de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de
Ses caractères. — Cette dernière forme est analogue aux précédentes.— Paralysie pseudo-hypertrophique,forme juvénile de Erb, form
ie primitive. Comme exemple de ce genre d'affection, on peut citer la paralysie pseudo-hypertro-phique ou rnyosclérosique de Duch
e l'avait soupçonné tout d'abord. Mais cette forme de myopathie, la paralysie pseudo-hyper-trophique, telle qu'elle est sortie
es spinales, que rarement, on les a assimilées cliniquement. Ainsi la paralysie pseudo-hypertrophique est une maladie de l'enfanc
t il est atteint et qui revêt chez lui les caractères cliniques de la paralysie myosclérosique de Duchenne, a débuté pendant l'en
s du bras. Et c'est là le seul point de ressemblance qui rapproche la paralysie myosclérosique de l'amyotrophie progressive de ca
ment mis en valeur. Le maladie présente de grandes ¦analogies avec la paralysie pseudo-hypertrophique, ainsi ¦que le relève d'ail
inférieurs peuvent être pris à leur tour, les mollets, comme dans la paralysie pseudo-hypertrophîque, restant en général indemne
otrophies de cause spinale. Mais se dis-tingue-t-elle également de la paralysie pseudo-hypertrophi-que?Je ne le crois pas, et ici
t prendre, un élément essentiel à la constitution de l'affection dite paralysie pseudo-hypertrophique. Je suis en mesure de vous
a transition entre la forme juvénile avec amyotrophie d'un côté et la paralysie pseudo-hypertrophique de l'autre. Chez le jeune
ionnelle, la forme d'atrophie juvénile d'Erb, moins l'atrophie, et la paralysie pseudo-hypertrophique, moins l'hypertrophie. Il n
ume. Où faire rentrer ce cas, dans la forme juvénile deErb, dans la paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne? Non Messieurs,
i produisent la flexion dorsale du pied sont atrophiés, comme dans la paralysie alcoolique, par exemple, ainsi que j'ai eu récemm
voici donc déjà en présence de trois formes cliniques, à savoir : la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme juvénile de W. Er
t elle parle comme si elle avait de la bouillie dans la bouche. Cette paralysie de l'orbiculaire donne à la physionomie un caract
plus, entre ces deux formes, et par conséquent, une analogie avec la paralysie pseudo-hypertrophi-que. Celte proposition serait
imitives qui comprennent, mais seulement à titre de variétés :. 1° la paralysie vscudo-hypertrophique; 2° la forme juvénile de l'
a sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. — Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. — Tremblements à
— Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel, de la paralysie générale, de la maladie de Basedow. Ghorée : Ca
istreur. La par-lie 2 de notre figure représente le tremblement de la paralysie agitante. On voit tout de suite, au premier cou
t que dans la sclérose en plaques. Rappelez-vous aussi que, dans la paralysie agitante, le tremblement n'atteint en général pas
tremblement alcoolique ; 2° Le tremblement mercuriel; 3° Celui de la paralysie générale ; 4° Enfin celui de la maladie de Basedo
la connaissait pas au point de vue anatomo-pathologi-que, l'appelait paralysie choréiforme. Je veux donc vous dire quelques mots
on. père, qui était très violent, est mort à 60 ans, à la suite d'une paralysie survenue sans attaques. Sa mère, morte tuberculeu
ilieu entre le tremblement à oscillations lentes, tel que celui de la paralysie agitante, par exemple, et les tremblements vibrat
emblements vibratoires, ou autrement dit à oscillations rapides de la paralysie générale et de la maladie de Basedow. Il ne s'exa
veuse, les contractures permanentes, certaines arthralgies, certaines paralysies , des hémorrhagies s'opérant par diverses voies, e
it porté sur la partie antérieure de l'épaule gauche. Aucune trace de paralysie ou de parésie même, soit au membre inférieur corr
ace; pas traces non plus, malgré la date ancienne déjà du début de la paralysie , d'atrophie des muscles paralysés, circonstance q
soit spontanée, soit provoquée par les mouvements actifs ou passifs. Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. Le malad
'heure. Enfin, le 25 juin, c'est-à-dire 22 jours après le début de la paralysie , celle-ci était devenue absolument complète *. Le
obtuse sur le tronc, la face, le membre inférieur. L'anesthésie et la paralysie restèrent telles quelles au membre supérieur. Le
la vue ; pouls de Corrigan ; pouls capillaire sensible au front. La paralysie motrice du membre supérieur gauche, qui se présen
modification des réactions électriques des muscles, dans un cas où la paralysie datait de 10 mois, devait faire repousser du prem
lité, permettaient de rejeter l'idée qu'il s'agissait là d'une de ces paralysies , bien étudiée par M. le professeur Le Fort et par
e d'une monoplégie brachiale gauche. Mais, dans cette supposition, la paralysie serait survenue tout à coup, à la suite d'un ictu
s'en faut, avec cette vue. En effet, la limitation à un membre de la paralysie motrice, sans participation, à aucune époque, du
ent largement, vous le savez, pour révéler la nature hystérique d'une paralysie . En conséquence, le diagnostic « hystérie » éta
ces modifications brusques qui ne sont pas rares, dans l'histoire des paralysies hystériques, des paralysies flexibles en particul
ui ne sont pas rares, dans l'histoire des paralysies hystériques, des paralysies flexibles en particulier. En tout cas, on pouvait
e, un seul instant, pendant une longue période de près de 10 mois. La paralysie motrice n'était pas complètement guérie, sans dou
étais nullement inquiet — soit dit en passant, — sur l'issue de cette paralysie artificiellement reproduite, car je sais, par exp
contient celte intéressante observation, à propos d'une étude sur les paralysies hystériques par traumatisme, que je compte vous p
conque, aucune déviation de la bouche ou de la langue, aucun degré de paralysie dans le membre inférieur droit ; il s'agissait do
M. Troisier, qui constate à son tour, neuf jours après le début de la paralysie , tous les faits que nous signalons actuellement d
de contracture. Cela rappelle la flaccidité de la monoplégie dans la paralysie infantile spinale. Mais ici les réflexes tendineu
ndis que, vous le savez, il en est tout autrement dans cette forme de paralysie spinale. D'ailleurs, et c'est là un caractère dis
. D'ailleurs, et c'est là un caractère distinctif absolu, bien que la paralysie soit établie depuis quatre mois, il n'y a pas cep
s gauche, 22 cent. B. Il existe aussi sur ce membre, en outre de la paralysie du mouvement, des troubles profonds de la sensibi
es au sens musculaire, dans toutes les parties qui correspondent à la paralysie motrice ; absence complète de rigidité des partie
ée in extenso, par Mlle Klumpke, dans son intéressant travail sur les paralysies radicu-laires du plexus brachial. (Revue de médec
médecine, 5e année, n° 7, 10 juillet 1585, p. 604.) vint à lui, la paralysie motrice des divers segments du membre était absol
exus. (Brain, april 1884, pp. 70 et s.) miné, en ce qui concerne la paralysie motrice et les troubles trophiques, tant musculai
les muscles ont conservé, malgré la date déjà ancienne du début de la paralysie , leur volume et leur relief normaux, ils ne prése
si remarquable de la non-participation des doigts et de la main à la paralysie motrice et à l'anesthésie, si fortement accentués
s hysté-rogènes, attaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras. Paralysies psychiques: leur production
ques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras. Paralysies psychiques: leur production par suggestion dans l
saire d'insister, qu'il ne s'agit pas là non plus d'un exemple de ces paralysies amyo-trophiques qui se produisent quelquefois en
du côté droit, pourrait, il est vrai, ainsi que cela se voit dans la paralysie infantile spinale, produire une monoplégie brachi
t dès l'origine abolis. Enfin, toute trace d'anesthésie cutanée ou de paralysie du sens musculaire ferait défaut. Il est vrai qu'
la langue, ni le membre inférieur n'ont présenté le moindre degré de paralysie ou même de parésie. Dès l'origine, je le répète,
rai qu'une lésion corticale suffisamment accentuée pour provoquer une paralysie aussi complète et aussi durable 1. Çharcot et T
trace de rigidité; bien au contraire, nous notons expressément que la paralysie motrice est ici remarquable par la mollesse, la f
ésions limitées aux circonvolutions médianes, dans lesquels, outre la paralysie motrice, on a noté expressément que la sensibilit
nse, dans l'écorce grise de l'hémisphère cérébral du côté opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la zone motrice du bra
faveur de cette opinion les preuves abondent. Oui, dans notre cas, la paralysie motrice, l'anesthésie et le reste se rapportent à
e monoculaire pourra s'en suivre. C'est ainsi qu'on l'observe dans la paralysie de l'accommodation produite par l'atropine, dans
Porcz... ne diffèrent pas de ceux qui distinguent certaines formes de paralysies hystériques bien avérées ; c'est ce dont on pourr
rai, en premier lieu, Vabsence de toute participation de la face à la paralysie , fait mis en relief par Todd \ Althaus, Hasse 2,
éactions électriques, de toute atrophie des muscles alors même que la paralysie date de plusieurs mois et, dans ces mêmes conditi
portée au plus haut point et telle qu'on ne l'observe guère dans les paralysies de cause cérébrale reconnaissant une autre origin
dit., p. 351. — 12e leçon. « Remarquez, en premier lieu, l'absence de paralysie faciale et de déviation de la langue, lorsque cel
us brachiall. Je ne voudrais pas dire, tant s'en faut, que toutes les paralysies hystériques présentent nécessairement l'ensemble
^ue lorsque ces caractères se trouvent coexister dans un cas donné de paralysie , la nature de celle-ci ne saurait rester douteuse
e tous les caractères qui spécifient cliniquement certaines formes de paralysie . En résumé, vous le voyez, tous les symptômes que
onoplégie brachiale, à la suite d'une chute ; seulement, chez lui, la paralysie occupe le membre supérieur gauche, et c'est la pa
s la chute, a étéfappée. Le 11 mars, lors de notre premier examen, la paralysie était com- Fig. 58]et 59 — Observation de Greuz
t assez vraisemblable, et nous avons conclu, en fin de compte, que la paralysie dépendait d'une lésion dijnamique localisée dans
de ces attaques que s'est manifesté tout à coup, le 21 mars, dans la paralysie motrice, l'amendement que vous pouvez constater a
; car, évidemment, le pronostic n'est plus ici ce qu'il eût été si la paralysie se fut développée à la suite d'une lésion destr
monoplégie brachiale, qui ont fait l'objet des précédentes leçons, la paralysie survenue à la suite d'un traumatisme, est de natu
e lésion organique destructive. Sans doute, chez nos deux malades, la paralysie , déjà de date ancienne, pourra persister, tout hy
général et les résultats de leur mise en œuvre, en ce qui concerne la paralysie , si j'en juge d'après mon expérience, pourraient
reconnaître, du moins en partie, le mécanisme de la production de ces paralysies hystériques trau-matiques. Ce problème, hérissé
de plus sur un sujet qui nous a occupés déjà1, je veux parler de ces paralysies singulières qui ont été désignées sous le nom de
er de ces paralysies singulières qui ont été désignées sous le nom de paralysies psychiques, paralysies dépendant d'une idée 1.
ngulières qui ont été désignées sous le nom de paralysies psychiques, paralysies dépendant d'une idée 1. J. M. Charcot, Lezioni
lisi psi-chiche, p. 103, 110. Milano, 1885. (P. dépendent on idea), paralysies par imagination (P. dure h Einbildung),je ne dis
imagination (P. dure h Einbildung),je ne dis pas, remarquez-le bien, paralysies imaginaires; car, en somme, ces impuissances motr
nt le diagnostic très difficile. Depuis fort longtemps connues, ces paralysies ont été pour la première fois étudiées d'une faço
. On sait fort bien sans doute que, dans certaines circonstances, une paralysie pourra être produite par une idée et aussi qu'une
que l'idée inculquée étant dans une expérience de ce genre, celle de paralysie , une paralysie réelle pourra, en effet, s'ensuivr
ulquée étant dans une expérience de ce genre, celle de paralysie, une paralysie réelle pourra, en effet, s'ensuivre ; et nous ver
essayer de justifier en vous rendant témoins de la production de ces paralysies dites par suggestion, lesquelles pourront être à
pourront être à bon droit considérées comme représentant le type des paralysies psychiques. Au préalable, je crois devoir vous
bide, par exemple de l'impuissance motrice d'un dé ses membres, cette paralysie se réalise en effet, objectivement, s'offrant ain
i, et c'est là un point qui nous intéresse au premier chef, que cette paralysie que nous aurons faite par voie de suggestion, nou
par suggestion. On prévoit aisément, d'après cela, que l'étude de ces paralysies artificiellement provoquées puisse être appelée à
lée à éclairer d'un jour nouveau l'histoire du groupe tout entier des paralysies psychiques. Après ces préliminaires, procédons
tion première. Vous voyez qu'après quelques minutes de discussion, la paralysie s'établit en effet définitivement. En réalité, no
iculations de ce membre. , En résumé, nous sommes en présence d'une paralysie rao-noplégique complète, marquée par la flaccidit
faire disparaître. — Production successive chez la même malade de la paralysie des différents segments du membre supérieur (épau
ndineux disparaissent simultanément dans les parties atteintes par la paralysie . — La monoplégie peut être déterminée artificiell
ous l'avons annoncé, de procéder successivement à la production de la paralysie isolée de chacun des segments du membre. En premi
de l'olécrâne *. Tel est le territoire d'anesthésie qui répond à la paralysie isolée de l'épaule. Nous allons voir les choses s
on que nous avons employé à l'instant, nous déterminons maintenant la paralysie des mouvements de l'articulation du coude. Aussit
re, à la suite d'une nouvelle suggestion analogue aux précédentes, la paralysie ne se fait pas attendre, si bien qu'en ce moment
enir surtout, il se trouve, vous l'avez, sans doute, remarqué, que la paralysie que nous venons de déterminer chez Greuz...., par
itement libres; et, dans les deux cas également, partout où existe la paralysie du mouvement, il y a anesthésie cutanée et profon
nsibilité dans ces mêmes parties; de telle sorte, que, maintenant, la paralysie artificiellement produite est redevenue sur tous
n nombre de cas. En premier lieu, je vais travailler à « défaire » la paralysie artificielle de Greuz.,.. en opérant segment par
istribution de l'anesthésie qui correspond, pour chaque segment, à la paralysie motrice. Actuellement je vais répéter chez une
temps me le permet tait. Toujours, chez les sujets de ce genre, la paralysie du membre non atteint d'anesthésie, déterminée pa
e remarquer, même chez les hystériques hémianesthé-siques, obtenir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de troubles de
émianeslhésiques, auxquelles j'ai suggéré, purement et simplement, la paralysie motrice du membre sans rien dire de la sensibilit
. Elle est relative, vous l'avez compris, au mode de production de la paralysie . Chez nos deux hommes, vous ne l'avez pas oublié,
emmes hypnotisées, c'est de la suggestion par la parole que relève la paralysie . Eh bien, Messieurs, cette différence en apparenc
plus, quil lui soit devenu étranger. Presque aussitôt d'ailleurs, la paralysie se réalise en effet ; elle atteint rapidement son
u moment de la chute, non plus qu'à l'époque un peu postérieure où la paralysie s'est définitivement établie chez eux. Mais, à ce
cquis assez de force pour se réaliser objectivement, sous la forme de paralysie . La sensation dont il s'agit aurait donc joué dan
vous exposions tout à l'heure, à savoir que chez nos deux malades, la paralysie se serait produite par un mécanisme analogue à ce
n mécanisme analogue à celui qui, chez les hypnotiques, détermine les paralysies par suggestion. Les tentatives diverses d'hypnoli
— ce dont d'ailleurs nous sommes parfaitement convaincus, — que leur paralysie , malgré sa longue durée n'est point incurable, et
e corps et l'esprit, p. 269), est prouvée par la guérison soudaine de paralysies imaginaires (?), due à une injonction énergique.
ir quelquefois pour effet de déterminer brusquement la guérison d'une paralysie psychique datant peut-être de fort loin et qui ju
n du monde, le rôle de thaumaturge, même lorsqu'il s'agit d'un cas de paralysie psychique bien avéré ; l'injonction est un instru
serait due, au moins en grande partie, la réalisation objective de la paralysie 2 ; si cela est, on concevra que la répétition de
ne affection purement locale en apparence, telle que, par exemple, la paralysie ou la contracture d'un membre. Chez le malade q
de que je vous présente aujourd'hui, il ne s'agit, à la vérité, ni de paralysie ni de contracture, mais bien — c'est du moins l'a
. le professeur Lannelongue). Petite fille ce 13 ans. Père atteint de paralysie infantile; mère ayant eu des attaques hystériques
quels à la suite d'un traumatisme de l'épaule, s'était développée une paralysie hystérique du bras correspondant. Je vous ai fait
ysie hystérique du bras correspondant. Je vous ai fait voir que cette paralysie pouvait être reproduite de toutes pièces, chez de
emple, portant sur un membre peut-elle devenir alors l'occasion d'une paralysie , d'une contracture ou d'une arlhral-gie. C'est po
ulant des maladies organiques, bien qu'elles ne soient autres que des paralysies dynamiques, psychiques, fort analogues pour le mo
s paralysies dynamiques, psychiques, fort analogues pour le moins aux paralysies hystériques. Je regrette de ne pouvoir m'arrrêt
tique. Vous l'avez vu, en effet, la douleur peut être, de même que la paralysie , suggérée dans l'état hypnotique, soit au moyen d
r sur une partie quelconque du membre. Ainsi, de même qu'il y a des paralysies psychiques produites par ce que nous appelions, d
, à proprement parler, transformé la coxalgie avec contracture en une paralysie hystérique flasque, répondant véritablement au ty
le plus parfait. Combien de temps vont persister ces phénomènes de paralysie ? De une heure à une heure et demie environ; puis
ticulaires, etc., mais déterminer, même temporairement, une véritable paralysie motrice et sensitive d'un membre, cela dépasse le
, une anes-thésie de la peau, puis des parties profondes et enfin une paralysie motrice transitoire complète du membre, avec pert
x ; ce que c'est que le shock local : son rôle dans la production des paralysies hystéro-traumatiques. — Application d'un appareil
rvenus à produire, pendant la période somnambulique, ce même genre de paralysie , en appliquant un coup de poing d'intensité modér
il se produit une aneslhésie culanée et profonde en même temps qu'une paralysie motrice plus ou moins accentuée» lesquelles, vrai
relever qu'il y a là comme une esquisse, un rudiment, un germe de la paralysie hystérique traumatique, et l'on comprend que chez
e, et l'on comprend que chez un sujet prédisposé psychiquement, cette paralysie rudimentaire provoquée par le choc se réalise et
la circulation, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et paralysie motrices) avec menace de sphacèle. Tous les accid
ropos, vous relèverez immédiatement qu'aujourd'hui ce n'est pas une paralysie llaccide que nous avons sous les yeux, mais bien
ion portant sur un tronc nerveux aurait pu, à la rigueur, produire la paralysie d'un groupe musculaire, des extenseurs, par exemp
émoire qui fait par- 1. Babinski, De L'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Progrès médical, 1886. — Arch. de JS
aire à laquelle je m'étais jusque-là rattaché sans réserve, — que les paralysies motrices hystériques paraissent être régulièremen
avons étudiées dans nos précédentes leçons ; pourquoi, dis-je, cette paralysie molle du début s'est elle transformée par la suit
ort classique du reste, de monoplégie hystéro-traumatique Chez lui la paralysie est survenue à la suite d'un léger « tamponnement
ue nous avons obtenus dans cette série d'études 1 : L'existence d'une paralysie motrice sur le membre mis à l'épreuve n'est pas n
l appropriés, mais parfaitement distincts. D'un aulre côté, dans la paralysie labio-glosso-laryngée en général, jusque dans sa
t notre deuxième malade offre un exemple complet, — bien qu'existe la paralysie des mouvements généraux des lèvres, de la langue,
s ces phénomènes pourraient se rencontrer, sans doute, dans un cas de paralysie labio-glosso-laryngée, d'origine bulbaire — et, à
e : s'il ne peut parler, ce malade crie encore, tout au moins. Il y a paralysie et atrophie de la langue ; sa bouche est élargie,
ie motrice qui est en scène, mais bien Y anarlhrie, conséquence de la paralysie des mouvements généraux de la langue et des lèvre
t journellement, au contraire, des malades atteintes d'anarlhrie, par paralysie labio-glosso-laryngée. Cependant, vous reconnaîtr
t autre que celui qui, suivant nous, rend compte de la production des paralysies dites psychiques ou mentales, si vous l'aimez mie
lier, les Laçons XXI et XXII. APPENDICE I. Deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'homme, fragments d'une
Babinski et Berbèz. (Voir les Leçons XX, XXI et XXII.) 1° cas de paralysie rystéro-traumatique survenue a la suite d'un acci
r'ouverte. Cela avait fait penser d'abord qu'il y avait là, à droite, paralysie du facial inférieur. Mais avec plus d'attention o
mais il mange. Les membres supérieurs ne présentent aucune trace de paralysie , ni d'insensibilité, seulement la force dynamomét
ont pas flasques, ifs ne présentent pas non plus les caractères de la paralysie spasmodique ; pas d'exagération des réflexes rotu
muscles dont les réactions électriques sont normales ; pas traces de paralysie de la vessie et du rectum. La recherche des sti
Fig. 86 et 87. — Distribution des zones d'anesthésie dans les cas de paralysie partie des divers segments des membres, artificie
s la période somnambulique on détermine chez elle, par suggestion, la paralysie totale du membre inférieur répondant au côté non
e, que la paraplégie elle-même offre chez lui tous les caractères des paralysies hystériques psychiques ou nlentales, comme on vou
bulique, on vient à déterminer chez elles, par voie de suggestion, la paralysie motrice et sensitive totale du membre inférieur,
se montre en même temps très accentuée. Donc, en ce qui concerne la paralysie , le cas de Lelog... ne diffère cliniquement, par
, des cas où, mez les hystériques hémianesthésiques hypnolisables, la paralysie des membres inférieurs a été provoquée par voie d
n voit cette idée se réaliser effectivement sous la forme spéciale de paralysie qui vient d'être décrite, on ne peut guère, dans
déterminer, par suggestion orale, ou par l'application d'un coup, la paralysie partielle ou totale d'un membre inférieur. Dans l
a paralysie partielle ou totale d'un membre inférieur. Dans le cas de paralysie partielle des mouvements d'une jointure, hanche,
une hypothèse très plausible que, chez Lelog..., la production de la paralysie a eu pour point de départ un processus analogue.
que dans ces conditions-là, il n'est point rare de voir survenir des paralysies comparables cliniquement à celles dont il est que
de précédentes leçons1 relativement au mécanisme du développement des paralysies hystéro-trauma-tiques, mécanisme dans lequel ce s
uvement, présentant en un mot tous les caractères qui distinguent les paralysies hys-téro-traumatiques, considérées dans leur type
t considérable et se réaliser enfin objeclivement sous la forme d'une paralysie complète, absolue. Cette théorie peut, on le co
liquer de tous points à l'interprétation du mode de développement des paralysies hystéro-traumatiques qui se produisent à l'état d
onstance est, soit dit en passant, bien propre à montrer pourquoi les paralysies psychiques consécutives à une contusion occupent
ent d'être proposée. On sait que, chez l'homme, une émo- l. Sur les paralysies émotives, voir surtout : R. B. Todd. Clin. Lect.
lus qu'à déterminer pourquoi c'est dans les membres inférieurs que la paralysie hystéro-lraumatique s'est développée chez lui. On
er que chez Lelog..., comme dans la plupart des cas du même genre, la paralysie ne s'est pas produile au moment même de l'acciden
ncore pendant 3 ou 4 jours; de telle sorte qu'on peut affirmer que la paralysie motrice n'a pas été immédiatement complète. 5° Le
plégie motrice est complète; seul le trapèze peut élever l'épaule. La paralysie est du genre flasque, les réflexes tendineux ne s
ts de la main sont violacés froids, comme cela se voit dans certaines paralysies organiques Cependant les muscles présentent des r
branlement cérébral produit par le choc nerveux. On remarquera que la paralysie motrice n'a pas été complète du premier coup et q
X, XXI, XXII. 2. Voir J. Babinski De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. (Arch. de Neurologie, nos 34 et 35.
pport avec les centres d'idôation, il s'ensuivrait nécessairement une paralysie complète des mouvements volontaires de ce membre.
ulté de Mon!- \ pellier, avait déjà, en 1789, reconnu l'existence, de paralysies motrices dépendant de la perle du sotivemr^e if^
se, ainsi qu'on l'a dit (p. 336), déterminer chez quelques sujets une paralysie motrice complète sans accompagnement d'un trouble
on, dis-je, est suivie, d'après nos observations, non seulement de la paralysie du mouvement, maU encore de la perte de la sensib
ons du sens musculaire. On pourrait dire que, dans ce dernier cas, la paralysie de l'appareil fondamental du mouvement volontaire
tal du mouvement volontaire, entraîne avec elle, en quelque sorte, la paralysie de l'appareil de perfectionnement. Il est vraisem
Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 30 ces faits de paralysie par suggestion hypnotique, comme dans bon nombre
paralysie par suggestion hypnotique, comme dans bon nombre de cas de paralysie hystérique avec flaccidité, reconnaissant d'aille
'ordre purement réflexe, qui, en pareille occurrence, s'ajoutent à la paralysie des mouvements volontaires. Les quelques passag
ondamental des mouvements volontaires. Par contre, l'étude des cas de paralysie psychique portant uniquement sur le mouvement, fe
quatre jours, à notre consultation du mardi, s'est présenté un cas de paralysie motrice, à début brusque, digne de fixer votre at
, aucun vestige de convulsion, en un mot aucun phénomène cérébral; la paralysie occupe le membre inférieur et le membre supérieur
malade chez ses parents. Les jours suivants, 1er, 2, 3 décembre, la paralysie de la jambe droite s'amenda légèrement et progres
ure, repris en partie ses forces et ne présente plus les signes d'une paralysie véritable et totale, mais plutôt ceux d'une parés
ce fait que la face ne présente aucune déviation, qu'il n'y a aucune paralysie de l'orbiculaire des lèvres; on ne constate non p
paralysie de l'orbiculaire des lèvres; on ne constate non plus aucune paralysie des muscles du tronc. En somme, la paralysie prés
constate non plus aucune paralysie des muscles du tronc. En somme, la paralysie présentée par cette malade est non pas, à proprem
ôté paralysé que du côté sain; nous avons donc affaire, non pas à une paralysie spasmodique, mais à une paralysie flasque. Nous
s avons donc affaire, non pas à une paralysie spasmodique, mais à une paralysie flasque. Nous allons passer maintenant à l'exam
compagne d'une anesthésie absolue limitée au bras du même côté que la paralysie , et avec abolition du sens musculaire; enfin, tou
e anesthésie concordant absolument comme siège et comme degré avec la paralysie des membres. Ce n'est pas davantage une hémiplégi
une hémiplégie de nature spinale, car, dans ce cas, vous le savez, la paralysie et l'anesthésie devraient être croisées, tandis q
tés imaginaires de diagnostic, la nature purement hystérique de cette paralysie s'impose avec la plus grande évidence après l'exa
lus tard, la sensibilité existait dans tout le membre supérieur et la paralysie avait disparu ; la malade se servait de son bras
furent absolument normales. IV. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques *. (Voir la Leçon XXV). Parmi les
lus une règle. Quatre malades du service de M. Charcot, atteints de paralysie hystérique, présentent en effet dans les membres
s l'une de ces deux dernières observations, il y a prédominance de la paralysie et de l'atrophie dans le membre supérieur ; dans
lle était déjà appréciable tout au plus 15 jours après le début de la paralysie , et un mois et demi après, elle était très accent
ervation de monoplégie brachiale, 10 jours après la disparition de la paralysie , qui avait été brusque, la circonférence du bra
s très accentuée et qu'elle peut manquer complètement, même quand une paralysie dure depuis longtemps déjà ; c'est ainsi que chez
des sur lesquels M. Charcot s'est fondé pour établir cette variété de paralysie , et dont les observations ont été publiées dans l
. » « L'aphonie est d'autant plus complète qu'elle résulte et de la paralysie des muscles du larynx et de la paralysie des musc
ète qu'elle résulte et de la paralysie des muscles du larynx et de la paralysie des muscles du diaphragme. » Briquet cite cependa
s longtemps sujette à de violentes convulsions fréquemment suivies de paralysie temporaire des muscles qui avaient été le plus fo
iences (1753) l'histoire d'une jeune fille de quatorze ans frappée de paralysie et de perte de la parole par suite de frayeur.
lus loin, MM. Liouville et Debove semblent rapporter le mutisme à une paralysie musculaire : « D'autres fois, disent-ils, elle (l
me à une paralysie musculaire : « D'autres fois, disent-ils, elle (la paralysie ) intéresse certains appareils musculaires, tels q
e l'hystérique qui fait le sujet de l'observation I, cherche dans une paralysie d'un nerf spécial l'explication des phénomènes d'
e mutisme un trouble psychique central, analogue à celui qui amène la paralysie d'un membre, l'abolition de tout ou partie du cha
disparut sous l'influence d'une saignée ; au réveil, il y avait de la paralysie avec insensibilité de la jambe gauche et de plus,
x fois, il tenta de se suicider. La dernière attaque de mutisme et de paralysie remonte à quatre mois, pendant un voyage au Havre
novembre 1885. A son entrée, il traîne encore un peu la jambe ; la paralysie a diminué depuis une huitaine de jours, mais le m
x questions qu'on lui pose par écrit, ou en parlant très haut. Pas de paralysie , pas de troubles de la sensibilité. Les mouvement
on organique, ni aucun phénomène inflammatoire, et le diagnostic fut: paralysie des cordes vocales par défaut d'innervation des m
particulier, les muscles tenseurs des cordes vocales. Il y avait donc paralysie du pneumogastrique dans la portion laryngée et, d
alysie du pneumogastrique dans la portion laryngée et, dans l'espèce, paralysie des filets moteurs du laryngé supérieur. L'exam
l. Tous ceux qui l'ont examinée ont été d'accord sur le diagnostic de paralysie hystérique des muscles du larynx. Divers traiteme
douleur ovarienne, la malade ne paraît présenter rien d'anormal. La paralysie laryngée n'est pas seulement une paralysie du mou
enter rien d'anormal. La paralysie laryngée n'est pas seulement une paralysie du mouvement; elle est aussi une paralysie du sen
ée n'est pas seulement une paralysie du mouvement; elle est aussi une paralysie du sentiment. On peut promener le doigt dans l'ar
L'examen laryngoscopique, pratiqué par le Dr Moura, fit constater une paralysie des cordes vocales; celles-ci font un mouvement p
âgé de 22 ans, entre le 14 avril dans le service de Sevestre pour une paralysie du bras gauche survenue brusquement la veille. Il
s s'aperçoit que son bras gauche est inerte. Le 14, on constate cette paralysie avec hémianesthésie gauche incomplète; le lendema
tte paralysie avec hémianesthésie gauche incomplète; le lendemain, la paralysie disparaît. Pas de dyschromatopsie. Du 14 au 28
ui faire dire oui, non, à voix basse. La voix revint peu après, et la paralysie des jambes disparut également d'une façon complèt
es jambes. Durant ces quatre années, les symptômes ont souvent varié, paralysie des mains il y a 15 mois. Depuis dix mois, elle n
suite parler lentement et recouvra la parole d'une façon complète. La paralysie des jambes disparut plus lentement. Obs. XVI. —
sourd-muet et paralysé du côté gauche. Il ne sait ni lire, ni écrire. Paralysie complète du mouvement et du sentiment du côté gau
erture triangulaire en arrière, en d'autres termes, qu'il y avait une paralysie des aryténoïdes, laissant un espace au travers du
lète à droite. L'examen laryngoscopique ne révèle aucune lésion, ni paralysie , ni contractures. L'application du miroir est fac
qu'au réveil, au retour du sentiment, on constate, avec ou sans autre paralysie , le mutisme absolu. D'autres fois, la perte de la
ssion au sujet de cette distinction entre l'aphonie et l'aphasie. Les paralysies hystériques du larynx sont très fréquentes ; cert
sur les abducteurs. Suivant les muscles atteints, suivant le degré de paralysie , l'aphonie est plus ou moins complète. Il y a ext
si le professeur Revilliod n'avait cherché à expliquer par une simple paralysie d'un des muscles du larynx les troubles observés
hme du gosier et du vestibule de la glotte, troubles dépendants d'une paralysie du larynx supérieur. Le malade était, à son entré
rt, de son côté, à démontrer que cette sorte de mutisme est due à une paralysie de ce nerf, lors même qu'on observe souvent le mu
ie sans mutisme.....Quoi qu'il en soit, cette triade symptomatique ( paralysie du crico-thyroïdien, aneslhésie de l'isthme et du
vements d'adduction et d'abduction, c'est-à-dire lorsqu'il indique la paralysie du laryngé supérieur et l'état normal du récurren
de cette affection. » Je ne saurais admettre ces conclusions. Que la paralysie du crico-thyroïdien, coïncidant avec l'intégrité
n degré d'aphonie plus ou moins complète, c'est encore vrai. Mais une paralysie du laryngé supérieur ne peut expliquer le mutisme
let, comme je l'ai observé moi-même ; quand j'ai examiné ce malade la paralysie laryngée était cependant moins localisée ; le cri
à cette interprétation les faits où il existait, avec du mutisme, une paralysie laryngée portant sur d'autres muscles que le cric
ïdien. Dans le cas de Jarvis (voy. obs. XVIII), il s'agissait d'une paralysie de l'ary-aryténoïdien ; dans celui du Dr Thermes,
ary-aryténoïdien ; dans celui du Dr Thermes, Krishaber avait noté une paralysie d'un abducteur. Dans certains cas, comme dans cet
complexes, rien de particulier ; on a constaté, au laryngoscope, des paralysies des muscles tenseurs et adducteurs crico-thyroï
des traits typiques de ce phénomène ; l'aphonie hystérique simple, la paralysie d'un des groupes de muscles du larynx, est très f
ins prononcée, le trouble fonctionnel qui résulte de cette parésie ou paralysie ne peut donner l'explication de l'ensemble du phé
a pas, chez l'hystérique, de déviation de la bouche, de la langue, de paralysie faciale. C'est la présence, très passagère, de ce
e d'hémiplégie; cette hémiplégie siégeait à droite et s'accompagna de paralysie de la langue. Au bout de quelque temps, la parole
mplète et permanente de la parole. Depuis cette époque, il existe une paralysie labio-glosso-pharyngo-laryngée pseudo-bulbaire te
culation (on ne peut juger de cette dernière faculté, par suite de la paralysie labio-glosso-laryngée), mais elle a perdu le méca
perte des mouvements coordonnés est d'ailleurs indépendante de toute paralysie ou parésie des mouvements vulgaires, ainsi qu'on
taines lésions articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et atrophie musculaire consécutives. — Modificati
II. migraine ophtiialmique se manifestant a la période initiale de la paralysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire
pe d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose. main de la paralysie agitante. — Les déviations articulaires du rhumat
ion spinale développée suivant le mécanisme des actes réflexes. — II. Paralysie générale progressive. — Migraine ophthalmique au
pathiques. — Amyotrophies protopa-thiques. — Myopathies primitives. — Paralysie pseudo-hypertrophique. Forme juvénile de Erb. — M
hangement de volume des muscles. — Forme de Leyden. — Analogies de la paralysie pseudo-hypertrophique et de la forme juvénile de
Ses caractères. Cette dernière forme est analogue aux précédentes. — Paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, for
la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. — Tremblements à
— Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel, de la paralysie générale, de la maladie de Basedow. (Ihorée : C
es hys-térogènes, plaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras. Paralysies psychiques ; leur productio
ques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras. Paralysies psychiques ; leur production par suggestion dans
faire disparaître. — Production successive chez la même malade de la paralysie des différents segments du membre supérieur (épau
ndineux disparaissent simultanément dans les parties atteintes par la paralysie . — La monoplégie peut être déterminée artificiell
ux. Ce que c'est que le shock local : son rôle dans la production des paralysies hystéro-traumatiques. — Application d'un appareil
ériques hypnotisables... 422 APPENDICE. I. — Deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'homme; fragment d'une
....................... 471 IV. — De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, d'après les leçons de M. Charcot, pa
ue, 135; — dans la poliomyélite antérieure chronique, 195; — dans les paralysies hystéro-trauniatiques, 305 ; — dans l'atrophie mu
; — Mutisme —, 422. Hystérogènes (Zones), 86. Hystéro-traumatiques ( Paralysies ), 299, 399. I Imitation, 17. Isolement dans
ontusion du sciatique, 131. Migraine ophthalmique au débu t de la paralysie générale, 72. Monoplégies hystériques, 299, 400 ;
er; 316; — Absence de participation de la face, 325; — Réalisation de paralysies identiques dans la phase somnambulique de l'hypno
ntion chirurgicale contre les rétractions celluleuses de la —, 150. Paralysie agitante, 69; — consécutive aux traumatismes arti
Polyopic monoculaire des hystériques, 323. Pseudo-hypertrophique ( Paralysie ), 322. Psychique (Influence) sur la terminaison
ence) sur la terminaison des affections hystériques, 359, 360, 397. — Paralysies —, 335. R Railway spine, 250, 355. Réflexes
nsibilité (Troubles de la) chez les hystériques, 253, 255; — dans les paralysies hystéro-traumatiques 303, 319; — dans la paralysi
isme, hystérique, 432. Somnambulisme, 339 — Caractères du —, 339. — Paralysies par suggestion dans le —, 341. Spasme de la fac
tion dans le —, 341. Spasme de la face dans l'hystérie simulant une paralysie faciale, 414. Spécialisation de l'enseignement
tériques chez l'homme, 253 ; — leur importance pour le diagnostic des paralysies hystéro-traumatiques, 321. Strychnisme, 44. S
atiques, 321. Strychnisme, 44. Stupeur locale, 404. Suggestion ( Paralysies par), 341; — Caractères des — , 342; — Analogies
(Paralysies par), 341; — Caractères des — , 342; — Analogies avec les paralysies hystéro-traumatiques, 344, 351, 402 ; — traumatiq
212; — hystérique, 212 ; — alcoolique, 213 ; mercuriel, 413; — de la paralysie générale, 413; — de la maladie de Basedow, 413.
4 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
, s'est éclairée d'un jour inattendu. On a appris entre autres que la paralysie , dite essentielle, des enfants relève d'une myéli
lgurantes symp-tomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la paralysie générale progressive et l'alcoolisme chronique. —
arie des vertèbres dorsales avait présenté, outre la para-plégie, une paralysie complète avec contracture des membres supérieurs.
x catégories principales. Dans la première, il s'agit d'une véritable paralysie motrice, avec ou sans contracture, occupant l'un
-rieurs ou tous les deux à la fois ; dans la seconde, il n'y a pas de paralysie proprement dite, mais il se produit dans les mem-
t limité de la région dorsale delà moelle, on observe, en outre de la paralysie des membres inférieurs que celle-ci détermine, ta
s que celle-ci détermine, tantôt des symptômes ataxi-ques, tantôt une paralysie plus ou moins prononcée dans les membres supérieu
fs viscéraux (reins, utérus) produit dans les membres inférieurs, une paralysie temporaire. Quoi qu'il en soit, il paraît bien di
genre, des symptômes permanents tels que sont, soit l'ataxie, soit la paralysie avec ou sans contracture des membres supérieurs,
primitive occupe les parties supérieures de la région dorsale. Or, la paralysie des membres supérieurs, tôt ou tard suivie d'une
des cordons postérieurs, on n'observe dans les membres su-périeurs ni paralysie , ni contracture, ni mouvements ataxiques. — Si, a
embres supérieurs seront atteints d'incoordination motrice. Enfin, la paralysie et la contracture apparaîtraient dans les cas où
ainsi qu'on les nomme encore. Ce sont: Io Les symptômes céphaliques ( paralysie d'un nerf moteur avec toutes ses conséquences, am
rgeur. Les accès fulgurants s'observent aussi assez souvent dans la paralysie générale progressive ; ils doivent certainement ê
estphal, sont un accompagnement fréquent des lésions ordinaires de la paralysie générale. J'ai été consulté, il y a quelques an
-trice. Ils ont tous deux présenté ultérieurement les symptômes de la paralysie générale progressive. Je ne doute pas que, chez e
dies spinales autres que la sclérose postérieure, par exemple dans la paralysie générale spinale. Celte dernière affection, lorsq
rétine, dans la glycosurie, la rétino-choroïdite syphili-tique et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — Ses formes, s
n point, l'aspect de l'atrophie papillaire tabé-tique. Enfin, dans la paralysie générale, on observe quelquefois une lésion de la
ons spinales tabétiques se rencon-trent, dans quelques cas, liées àia paralysie générale, et cette circonstance permet peut-être
e la moelle. On vit peu de jours après sur-venir successivement : une paralysie complète du mouvement dans le membre inférieur ga
Par analogie avec ce qui a lieu dans l'atrophie musculaire et dans la paralysie infantile où la lésion trophique musculaire est é
nt les premiers symptômes qui frap-pent l'attention du médecin et, la paralysie étant donnée, il s'agit pour lui de remonter jusq
rs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal vertébral cancéreux. Paralysie douloureuse des cancéreux. — Douleur ; ses caract
tique convenable fit disparaître, en cinquante heures, toute trace de paralysie . Dans ces deux cas, assez exceptionnels, d'ailleu
rétro-grade guère ; ils signalent seulement les cas dans lesquels la paralysie des membres supérieurs, après avoir été plus ou m
es même, et, du côté des muscles, l'atrophie plus ou moins rapide, la paralysie , la contracture. Au reste, la nature inflammatoir
t. 1870, p. 331. 2 Loc. cit. Alors, celle-ci peut se montrer sans paralysie proprement dite ; suivant M. Benedickt \ la contr
seule révélation du mal vertébral cancéreux; mais les symptômes de la paralysie par compression de la moelle pourront venir s'y s
symptômes. — Prédominance, an début, des troubles moteurs : parésie, paralysie avec flaccidité, rigidité temporaire, con-tractur
n spinale. Celle-ci 's'est traduite cliniquement par des symptômes de paralysie qui, pendant plusieurs mois, comme c'est l'habitu
sations. En revanche, les troubles purement moteurs, la parésie ou la paralysie plus ou moins complète des membres inférieurs son
agit d'une simple parésie, mais celle-ci se transforme bientôt en une paralysie plus ou moins absolue, avec flaccidité des membre
ation clinique. Ainsi que je vous le disais tout à l'heure, dans la paralysie par compression, la sensibilité ne se modifie en
de préférence, mais non pas cependant d'une façon exclusive, dans les paralysies par compression spinale; elles ne s'ob-servent, a
gré, dans la paraplégie par compression que dans toute autre forme de paralysie des membres inférieurs. Mais il ne faudrait pas,
nt, ainsi que les les points correspondant aux parties atleintes de paralysie mo-trice, présentent, relativement aux parties ho
lévation plus ou moins prononcée de la température, conséquence de la paralysie vaso-motrice. La sen-sibilité, sur toute l'étendu
plégie spinale. De plus, les troubles moteurs concomitants — parésie, paralysie avec ou sans contracture — se montre-raient, dans
e. C'est ainsi que se produit l'hémianesthésie croi-sée. Quant à la paralysie motrice qui s'observe au-dessous de la lésion hém
cas, la contracture permanente ne tarderait pas à se surajouter à la paralysie déterminée dans les membres par la lésion spinale
. Nous nous occuperons, en premier lieu, d'une forme singu-lière de paralysie qu'on peut rencontrer en pareils cas et que nous
dénomination, assurément très pratique, de paraplégie cervicale i. La paralysie occupe alors, soit un seul des mem-bres supérieur
un certain degré, aura nécessairement tôt ou tard, pour résultat, une paralysie portant, suivant le cas, soit sur un seul de ces
e portant, suivant le cas, soit sur un seul de ces membres isolément, paralysie toute pé-riphérique et qui se traduira à peu près
, Messieurs, je le repète, mettre en doute l'existence de la forme de paralysie des membres supérieurs sur laquelle j'ap-pelle vo
ous lesquels elle se présente et qui per-mettent de la distinguer des paralysies cervicales liées à la compression périphérique de
consécutivement un abcès rétropharyngien. Pendant deux ans environ la paralysie s'était montrée limitée aux membres su-périeurs ;
gion cervico-brachiale de la moelle épi-nière pourrait déterminer une paralysie motrice bornée aux membres supérieurs. Vous n'ign
aux membres supérieurs. Vous n'ignorez pas que, dans certains cas de paralysie infantile spinale, la paraplégie cervicale s'ob-s
de la région cervicale de la moelle épi-nière, et ayant déterminé une paralysie motrice limitée aux membres supé-rieurs. Ces deux
ur intraspinale cervicale a déterminé dans les membres supérieurs une paralysie se rap-prochant, à beaucoup d'égards, du type inf
ent cervical, au niveau de l'origine des 6° et 7e nerfs cervicaux. La paralysie envahit d'abord graduellement le membre supé-rieu
lontairement. La mort survint environ six mois après l'invasion de la paralysie . Jusqu'au der nier moment les mouvements volontai
emps encore, à l'état d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute paralysie motrice des membres, constituant pour ainsi dire,
e ne m'étendrai pas plus longuement ici sur cette dernière variété de paralysie cervicale d'origine spinale; elle sera ail-leurs
'une manière continue, pendant plusieurs semaines, sans adjonction de paralysie des membres, ainsi que le démontre une observatio
s le mouvement commença à s'affaiblir dans les membres inférieurs. La paralysie motrice s'accusa aussi pro-gressivement dans ces
ec les crises gastriques de l'ataxie locomotrice progressive et de la paralysie générale spinale 5 ; mais il importe surtout, au
ion de la moelle cervicale, quelquefois bien avant l'apparition de la paralysie des membres 2. On peut en dire autant des trouble
2 Brown-Séquard. — Diagnostic et traitement des principales formes de paralysie des membres inférieurs. Paris, 1864, p. 73. — W.
s et au-dessous de ce point, on observerait les phénomènes suivants : paralysie des mouvements à droite n'occupant guère que la j
lésions des nerfs périphériques. Les douleurs pseudo-névralgiques, la paralysie motrice et l'anesthésie, varieraient nécessaireme
ail d'appli-cation. TROISIÈME PARTIE Des amyotrophies spinales. Paralysie spinale infantile; — Paralysie spinale de l'adult
PARTIE Des amyotrophies spinales. Paralysie spinale infantile; — Paralysie spinale de l'adulte; — Atrophie musculaire progre
elc. Charcot. Œuvres complètes, t. ii. I 1 NEUVIÈME LEÇON 5 Paralysie infantile Sommaire. — Myopathies spinales ou de
lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise. Paralysie spinale infantile.— Elle sera considérée comme ma
s, déformations, pied bot paralytique). Anatomie pathologique de la paralysie infantile. — Lésions des muscles aux diverses pér
ffise de citer, à titre d'exemple, \a.paralysie infantile spinale, la paralysie générale spinale, récemment décrite par M. Duchen
i n'a pas encore reçu droit de domicile dans les cadres classiques, h paralysie glosso-labio-laryngée, certaines formes de l'atro
duite par un instrument pénétrant dans le canal rachidien ; en-fin la paralysie infantile. Parmi ces lésions spinales d"origine
a-lon la maladie singulière qu'on désigne vulgairement sous le nom de paralysie infantile. C'est là, en effet, l'un des types les
accusés de la manière la plus frappante ; partant, dans l'espèce, la paralysie infantile peut être présentée comme une maladie d
ssentiel de la pa-ralysie infantile, de telle sorte que, à côté de la paralysie spi-nale de V enfance, il y a lieu défaire une pl
connu avec lui4, et que je relèverai à mon tour. 1 Laborde. — D2 la paralysie (dite essentielle ) de ienfance. Paris, 1864, p.
ufl. Stuttgart, 1860, p. 60. 3 Duchenne (de Boulogne) fils. — De la paralysie atrophique graisseuse de Venfance. Paris, 1864, p
nce de deux périodes. Première période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in-fantile est, vous le savez, des plus remarquab
. Ces symptômes paralytiques offrent de grandes variétés de siège. La paralysie est parfois absolue, complète, intéresse les quat
lusi-vement les deux membres supérieurs — enfin, il est des cas où la paralysie , atteignant seulement les membres infé-rieurs, re
-rieurs, revêt la forme paraplégique. En résumé, on observe ici une paralysie complète, absolue, avec flaccidité des membres, a
'altérations un peu ac-cusées de la sensibilité, contrastant avec une paralysie motrice aussi absolue, aussi complète, est un des
solue, aussi complète, est un des caractères les plus frappants de la paralysie infantile Voici encore un nouveau trait. Aune é
sieurs, les caractères les plus saillants de la première période delà paralysie infantile ; je vous demande la permission de les
. 3 Volkmann. — Klin. Vortrtige, p. J . 1° Invasion brusque de la paralysie motrice qui atteint du premier coup son summum d'
contractilité faradique dans un certain nombre de muscles frappés de paralysie . 3° Absence de troubles marqués de la sensibili
nt nous venons de vous entretenir, inaugure la seconde pé-riode de la paralysie infantile. Elle commence à s'accuser du deuxième
aisseux. Elle con-stitue, d'ailleurs, l'un des traits saillants de la paralysie infantile et elle semble s'accuser plus vite, dan
s rapide. Ainsi, d'après M. Duchenne (de Boulogne), elle est, dans la paralysie infantile, déjà très apparente au bout d'un mois,
nullement en rapport nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'atrophie musculaires. Ainsi, suivant un
, suivant une remarque de Duchenne (de Boulogne), un membre frappé de paralysie infantile pourra avoir perdu la plupart de ses mu
que, dans un autre cas, la diminution en longueur du membre frappé de paralysie peut aller jusqu'à S ou 6 centi-mètres, bien que,
ne bonne partie du jour. Il dit même avoir vu quatre ou cinq fois une paralysie infantile tout à fait temporaire, et aboutissant,
De même que l'atrophie, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres form
s la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres formes de paralysie des membres". C'est peut-être le lieu défaire rem
sur tous les muscles 1 R. Volkmann, loc. cit.,]). 6. « Même dans la paralysie infantile très limi-tée et très incomplète, les t
formités commencent à s'accuser. Ainsi se développe le pied bot de la paralysie infantile qui est le pied bot paralytique par exc
ointures permet de distinguer à coup sûr le pied bot résul-tant de la paralysie infantile du pied bot congénital, alors même que
ée à l'âge de cinq ans. Tels sont les caractères fondamentaux de la paralysie infan-tile spinale considérée dans son mode régul
ne durée exceptionnelles ; il en est d'autres où, après la fièvre, la paralysie , au lieu d'atteindre tout à coup son plus haut de
e, à mon avis, ils peuvent servir à établir un trait d'union entre la paralysie in-fantile spinale et les autres maladies du grou
l'on étudie les muscles altérés à une époque éloignée du début de la paralysie ainsi que nous avons Volkmann, loc, cit., p. 5.
me de l'affection décrite par Duchenne (de Boulo-gne), sous le nom de paralysie pseudo-hypertrophique ou myo-sclérosique. C'est l
ous faire connaître que, malgré cette analogie d'ordre secondaire, la paralysie infantile diffère cependant essentiellement de la
le moment de vous faire remarquer que la lésion spinale qui, dans la paralysie infantile, ne fait jamais défaut, manque au con
rvations, conformes d'ailleurs en cela à celles de Cohnheim — dans la paralysie myo-sclérosi-que. La surcharge graisseuse, bien
intéressante la fois, et le plus neuf de l'histoire anatomique de la paralysie infantile. Aussi crois-je utile d'entrer à ce pro
mme étant l'organe où les lésions primordiales et fondamentales de la paralysie infantile devaient être cherchées. C'était, de le
s régulières, relativement à la nécroscopie du centre spinal, dans la paralysie infantile. Dès 1864, nous avions reconnu, M. V.
partie des altérations spinales qui président au dévelop-pement de la paralysie infantile. Mais c'était, il faut le dire, la part
ie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile a été, pour la première fois, signalée
il s'est agi là, bien que les auteurs ne le disent point, d'un cas de paralysie infantile spinale. L'époque de la vie où la malad
e plus contribué à déterminer le caractère des lésions spinales de la paralysie infantile, est celle que nous avons faite l'an pa
ée Wilson, qui succomba à la phtisie pulmonaire à l'âge de 45 ans. La paralysie , chez cette femme, s'était développée tout à coup
r droit. — Pièce recueillie à la Sal-pêtrière chez^une femme morte de paralysie générale à l'âge de cinquante ans. — Atrophie fib
n et Prévost et dans celui de L. Clarke, est un fait constant dans la paralysie infantile spi-nale et cïoù dérivent les principau
ù dérivent les principaux symptômes de la mala-die, en particulier la paralysie ainsi que l'atrophie des mus-cles ; nous avons, e
aux considérations suivantes qui concernent plus particulièrement la paralysie infantile. Relativement à notre première conclu
i; c'est ce que j'essaierai de faire prochainement. DIXIÈME LEGÓN Paralysie spinale de l'adulte. — Nouvelles recherches conce
ulte. — Nouvelles recherches concernant l'anatomie pathologique de la paralysie spinale infantile. — Amyotrophies consécutives au
hies consécutives aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. — Paralysie spinale de l'adulte : Historique. — Exposé d'un c
oulogne). — Faits personnels. — Analogies étroites qui rapprochent la paralysie spinale aiguë de l'adulte et celle de l'enfant. —
x récents concernant l'anatomie et la physiologie pathologiques de la paralysie spinale infantile; ils confirment sur les points
Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la paralysie infantile, systématiquement limitées aux cornes a
e mus-culaire, développées dans l'adolescence ou chez l'adulte, et la paralysie des jeunes enfants. Je voudrais établir devant
Je voudrais établir devant vous la réalité de l'existence de cette paralysie spinale de l'adulte comparable à la paralysie inf
de l'existence de cette paralysie spinale de l'adulte comparable à la paralysie infantile spinale. J'espère y parvenir, en exposa
manqué de vous faire remarquer, ailleurs que les enfants, atteints de paralysie spinale, se plaignent quelquefois de semblables d
des membres affectés et est l'un des traits les plus sail-lants de la paralysie infantile. Pour en revenir au cas de M. Duchenn
olument inertes. Quatre jours plus tard, la fiè-vre avait cessé. La paralysie du mouvement persista pendant deux mois, sans mod
ue l'atrophie y était déjà manifeste. Six mois après le début de la paralysie , un examen attentif faisait reconnaître des désor
nus ou mal interprétés. Or, d'après ce que j'ai lu ou vu, la forme de paralysie spinale dont il s'agit, ne serait pas, tant s'en
e des sujets auxquels ils ont trait (19 ans 1 Plusieurs exemples de paralysie spinale de l'adulte ont été, dans ces der-niers t
tion entre l'observation qui procède et celles qui appartiennent à la paralysie infantile proprement dite. Obs. I. — M. X... es
itifs ou négatifs permet-tait de rapprocher le cas de M. X... du type paralysie infan-tile spinale. Me fondant en dernier lieu su
s de sa lon-gue carrière, la rétrocession normale des accidents de la paralysie spinale in-fantile être entravée par une rechute.
, mérite cependant de lui être comparé. Il peut être rapproché de ces paralysies temporaires décrites par Kennedy, et dont l'histo
ar Kennedy, et dont l'histoire ne saurait être séparée de celle de la paralysie infantile permanente. Ors. II. — Charles R...,
Il paraît bien établi que, ce jour-là, il n'avait plus de fièvre. La paralysie fut accompagnée, dès l'origine, d'une flaccidité
nt, je l'espère, Mes-sieurs, à mettre en évidence que certains cas de paralysie spi-nale aiguë, observés chez l'adulte, sont, au
dulte, sont, au point de vue clini-que, tout à fait assimilables à la paralysie spinale des jeunes enfants. Il resterait à déterm
points re-latifs à Yanatornie et à la physiologie pathologiques de la paralysie infantile spinale. Je trouverai ainsi l'occasion
1873, janvier, p. 80), se rapproche incontestable-ment beaucoup de la paralysie spinale infantile ; elle en diffère à quelques ég
araissent être un caractère constant de la lésion spinale propre à la paralysie atrophique des jeunes enfants. (J.-M. G.) plus
° Ce qui caractérise surtout, anatomiquement, la lésion spinale de la paralysie infantile, c'est la localisation étroite, systéma
es cellules nerveuses des cornes antérieures dans la pathogénie de la paralysie infantile et dts amyotrophies spinales progressiv
premier rang dans la caractéristique de la lésion spinale propre à la paralysie infan-tile. La localisation si remarquable des
mollissement rouge doit être compté parmi les lésions spi-nales de la paralysie infantile. Mais rien ne démontre, quant à présent
guë centrale vulgaire, les altérations de la moelle épinière, dans la paralysie des enfants, peuvent atteindre leur plus haut deg
rtaines formes, par exemple, d'atrophie musculaire progressive, ou de paralysie bulbaire (Fig. 10, C, D). 5° Enfin, une dernièr
les principaux traits viennent d'être rappelés, est constante dans la paralysie infantile , c'est là un fait capital que j'ai f
ût une con-séquence de l'inertie fonctionnelle des membres frappés de paralysie , car elle n'a rien de commun avec l'altération pa
lésions musculaires fort semblables à celles qui s'observent dans la paralysie des jeunes enfants 3. L'opinion que je me suis
ial, puis toute la série des acci-dents qui bientôt lui succèdent. La paralysie motrice, marquée par la suppression de la tonicit
lyo-myelitisanterior acutissima pour désigner la lésion spinale de la paralysie infantile (Loc. cit. n° 1, p. 3). Je crois téphro
ériphériques, dans les premières semai-nes qui suivent le début de la paralysie infantile, n'a pas en-core été reconnu de visu.
a-tions cliniques, de troubles durables de la sensibilité cutanée, de paralysie du rectum ou de la vessie, de troubles trophiques
e tient, vous le savez, un rang éminent dans la caractéristique de la paralysie infantile et elle contri-bue, pour une bonne part
it d'ailleurs son origine, pro-duira nécessairement, à l'instar de la paralysie infantile, la paralysie motrice avec l'atrophie r
e, pro-duira nécessairement, à l'instar de la paralysie infantile, la paralysie motrice avec l'atrophie rapide des muscles paraly
heure et qui font régu-lièrement défaut dans la symptomatologie de la paralysie in-fantile en raison même de la circonscription s
at s'opère souvent brusquement, et il peut être mar-qué comme dans la paralysie infantile, par un appareil fébrile plus ou moins
iennent qu'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la paralysie motrice avec flaccidité complète, amoindrissement
anesthésie cutanée plus ou moins profonde des membres pa-ralysés, la paralysie de la vessie et du rectum, l'émission d'u-rines a
vres complètes, t. h. 14 ment cités, font absolument défaut dans ia paralysie infantile, sont, au contraire, un fait vulgaire d
es phénomènes, qui, ainsi que le montre l'analyse physiologique de la paralysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cell
hies spinales aiguës, nous avons pris pour objet un type régulier, la paralysie infantile où les lésions spinales sont systématiq
reproduit en quelque sorte, je le repète, dans le mode chronique, la paralysie infantile, est relativement fort simple. Ainsi, l
faisceaux musculaires. Ce fait contraste avec ce que l'on sait des paralysies propre-ment dites ou par défaut d action nerveuse
re-ment dites ou par défaut d action nerveuse. Soit, par exemple, une paralysie des membres inférieurs déterminée par une compres
bstance grise, il est de règle qu'un de-gré plus ou moins prononcé de paralysie par suppression de l'action nerveuse s'ajoute aux
ode chronique, les altérations que nous avons décrites à propos de la paralysie infantile, et il y a lieu de supposer, comme dans
e recueil (année 1870, p. 247). Je l'ai présentée comme un exemple de paralysie glosso-laryngée. Obs. I, recueillie par M. Gomb
compensa-tion dans le reste de la colonne rachidienne. — Symptômes de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie manifeste de
e de l'amyotrophie progressive protopathique, de même que celle de la paralysie infantile, ne peut être recon- La contractilité
s I et II ne peuvent guère être considérées que comme des exemples de paralysie spinale infantile, et l'observation VI, remarquab
e se rapporter naturellement au type créé par Duchenne sous le nom de paralysie spinale de l'adulte. Un pareil laisser-aller en m
Cruveilhier. — Biqletin di VAcadémie de médecine, 1833. — Id. Sur la paralysie musculaire atrophique, 5° série, t. VII, janvier
ici, le phénomène primitif ; elle ne s'accompagne pas tout d'abord de paralysie par interruption de l'influx nerveux parce que ce
ons musculaires de l'amyotrophie spinale protopathique à celles de la paralysie infantile. Ce sujetd'histologie pathologique a
res cir-\ constances, s'observe assez fréquemment dans le cours de la paralysie générale progressive : C'est là une coïncidence q
au. J'y reviendrai quand j'étudierai les amyotrophies bulbaires et la paralysie labio-glosso-laryngée. V. Fig, 20. — Coupe tr
oupe de la langue dans un cas de sclérose latérale amyotrophique avec paralysie labio-glosso-laryngée. souvent. Dans ces divers
es propres à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie motrice. — Contracture permanente spasmodique. —
partenant à M. Leyden. Elles ont été pu-bliées, comme des exemples de paralysie bulbaire avec amyotrophie musculaire progressive,
graphiques, semble croire qu'il a eu là, sous les yeux, un exemple de paralysie pseudo-hypertrophique telle que l'entend M. Duche
), dans la nou-velle édition de son livre3, a ouvert sous le tilre de Paralysie générale spinale diffuse subaiguë un chapitre où
es soient successivement, et dans un assez bref délai frappés tous de paralysie avec atrophie, ou, pour ce qui concerne spécialem
ur ce qui concerne spécialement les membres infé-rieurs, seulement de paralysie . Le malade, après quelques mois, un ou deux ans,
hie des masses musculaires, tandis que, dans la sclérose latérale, la paralysie domine certainement la situa-tion ; l'atrophie de
mpuissance motrice. En somme, il s'agit, dans ce cas, d'une véritable paralysie accompagnée ou plutôt suivie d'une atrophie plus
nt témoigne, entre autres, le cas de M. 0. Barth. IV. La forme de paralysie amyotrophique qui nous occupe s'ac-cuse le plus s
gie offre ce premier trait particulier qu'elle ne se complique pas de paralysie de la vessie ou du rectum et qu'il n'y a aucune
s qui, par leur réunion, composent le syndrome désigné sous le nom de paralysie làbio-glosso-la-ryngée. Nous ne ferons que signal
equel nous devrons revenir lorsque nous traiterons en particulier des paralysies de cause bulbaire. Je mentionnerai seulement, p
rties les plus curieuses du tableau, les symptômes suivants : 1° La paralysie de la langue amenant une gêne de la déglu-tition
tissée, comme ridée, et agitée de mouvements vermicu-laires ; 2° La paralysie du voile du palais qui rend la parole nason-née e
e du voile du palais qui rend la parole nason-née et concourt avec la paralysie laryngée à la gêne de la dé-glutition ; 3° Cell
urdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période ( paralysie , atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthé
iode (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture des membres inférieurs.) — Caractè
e. ~ Amyotroptiie consécutive à la se érose en plaques disséminées. Paralysie générale spinale subaiguë. — Analogies avec la pa
sséminées. Paralysie générale spinale subaiguë. — Analogies avec la paralysie infan-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépen
trophies indépendantes d'une lésion de la moelle épinière ; exemples. Paralysie pseudo-hypertrophique;— am.\otrophie saturnine.
ophique, la lésion symétrique des cordons latéraux, d'où résultent la paralysie et la contracture, se mon-tre la première, tandis
autres, plusieurs observations de M. Westphal relatives à des cas de paralysie générale progressive. (J.-M. G) ropathique. L'u
s difficile de fournir la raison anatomique et physiologique de cette paralysie et de comprendre, à ce double point de vue, l'abs
i dire obligatoire, de la contracture, dans les membres paralysés. La paralysie motrice est ici déterminée j par la formation du
logne) a le premier décrite, il y a longtemps de cela, sous le nom de paralysie générale spinale et que, pour mon compte, je ne c
er, aussi succinctement que possible, les principaux caractères de la paralysie générale spinale subaiguë. C'est une maladie de
a consigné l'influence du froid, du sé-jour dans un lieu humide. La paralysie générale spinale est envahissante, sans être pour
, vous allez le reconnaître, le type de la para-lysie infantile. La paralysie débute soit par les membres inférieurs, soit par
vessie et du rectum sont respectées, quelle que soit l'étendue de la paralysie et il ne se produit jamais d'es-carres. L'atrop
apparaître dans les membres paralysés, rappelle ce qu'on voit dans la paralysie infantile. Bien qu'elle prédomine sur certains mu
dans la sclérose latérale symétrique et que nous retrouverons dans la paralysie labio-glosso-laryngée proprement dite. En pa-reil
ans son évolution lente, qui s'étend parfois sur plusieurs années, la paralysie générale spinale subaiguë est sujette à des amen-
me un rapprochement curieux, qu'il n'est pas rare d'observer, dans la paralysie générale spinale, des troubles gasiriques, surven
e ce groupe, je citerai seulement, à titre d'exemple, la maladie dite paralysie pseudo-hypertrophique et les amyotrophies satur-n
xcès si l'on ne veut pas courir le risque de tout compro-mettre. La paralysie pseudo-hyperthrophique, dite encore myosclé-rosiq
fêtât anatomique des muscles et de la moelle cpi-nière dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophique. In Archiv. de physio-logie
L'observation dont il s'agit est relative à un jeune sujet atteint de paralysie pseudo-hypertrophique qui a succombé à l'hôpital
57.) M. Duchenne (de Boulogne) l'a reproduite dans son mémoire sur la paralysie musculaire pseudo-hypertrophique (Archi-ves génér
ani-festèrent, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de paralysie motrice. La paralysie s'aggrava progressivement e
s membres inférieurs, les premiers symptômes de paralysie motrice. La paralysie s'aggrava progressivement et s'étendit aux membre
ivé de la plupart de ses mouvements. En même temps que progressait la paralysie des mouvements, des douleurs plus ou moins vives,
ards, celles qu'on trouve uniformément signalées dans tous les cas de paralysie pseudo-hypertrophique jusqu'ici publiés ; mais ce
ons musculaires dont il s'agit n'appariient absolument en propre à la paralysie pseudo-hypertrophique, et ne saurait, par conséqu
peut se produire, à titre de complication éventuelle, encore dan« la paralysie infan-tile (l.aborde, thèse inau? , 1s64 ; — Prév
'auteur que je viens de citer, lorsque, refusant toute autonomie à la paralysie pseudo-hypertrophique, il avance que tous les fai
lui seul pour en démontrer l'inanité. D'après ces observations, la paralysie pseudo-hypertrophi-que doit être considérée comme
men microscopique Fig. 27. — Coupe transversale d'un muscle dans la paralysie pseudo-hypertro-phique. (Phase intermédiaire entr
proque a rendues Fig. 28. — Coupe longitudinale d'un muscle dans la paralysie pseudo-hypertro-phique (deuxième période du proce
e l'invasion du tissu adipeux se produit, à une certaine époque de la paralysie pseudo-hypertrophique, d'une manière fatale, au m
ce, un caractère vraiment distinctif; si bien que la dénomination de. paralysie myo-sclérosique, proposée par Duchenne (de Boulog
viendraient seulement aux périodes avancées. VI. L'histoire de la paralysie pseudo-hyperlrophique nous offre, vous le voyez,
altération a été retrouvée chez une femme de mon ser-vice atteinte de paralysie saturnine par M. Gombault, mon interne, qui, de p
s'est traduite, dans ces cas, ainsi qu'on eût pu le prévoir, par une paralysie avec amyotrophie dans le membre correspondant à l
Les troubles dits cephaliques tels que l'amblyopie ou l'amaurose, la paralysie des muscles mo-teurs de l'œil, appartiennent égal
émiplégiques dura-bles, consécutives à une lésion cérébrale en foyer, paralysie générale progressive, myélite partielle transvers
telligence, des désordres fonctionnels de la vessie ou du rectum, des paralysies des muscles moteurs oculaires, des lésions muscul
rve plutôt une pa-résie, une faiblesse des membres inférieurs, qu'une paralysie , dans l'acception littérale du mot. Les symptômes
emaines après la rétention apparaissent les premiers symptô-mes de la paralysie dus membres inférieurs ; à l'autopsie, ramollisse
eurs cas où les membres supérieurs ont été à leur tour envahis par la paralysie . Enfin, dans les cas graves, il est assez habitue
inférieur du côté correspondant à la fracture. Peu après survint une paralysie complète avec atrophie musculaire, dans le membre
toc cit. 4 Leyden, loc. cit., p. 21. une paraplégie, et enfin une paralysie des membres supé-rieurs. L'atrophie musculaire, a
parfois des soubresauts, lorsqu'un jour, en août 1875, survinrent la paralysie vésicale et des douleurs lombaires. Peu après, de
férieur droit, qui bientôt, en même temps que le moignon, fut pris de paralysie motrice avec flaccidité. Au bout de quelques jour
R. Leroy d'Étiolés ont eu surtout en vue dans leurs descriptions. La paralysie se montre ici absolument dans les mêmes circon-st
se rattache à la myélite partielle de cause rénale ou vésicale. La paralysie ne s'étend jamais aux membres supérieurs; il s'ag
lleurs plutôt là d'un affaiblissement parétique des membres que d'une paralysie proprement dite ; le pouvoir réflexe de la moelle
dite ; le pouvoir réflexe de la moelle n'est jamais accru ; jamais la paralysie , soit de la vessie, soit du rectum, ne vient s'ad
ganes entre les doigts, il se produit dans les membres inférieurs une paralysie du mouvement, laquelle persiste tant que dure la
, ainsi queje vous l'ai annoncé en commençant, un troisième groupe de paralysies urinaires. Les cas, en fort petit nombre, qui le
s lésions uro-génitales n'ont pas seules le pouvoir de déterminer des paralysies du 1 Wurzburg. Verhand, 1868. C.habcqt. Œuvre
-dissements, ni sensations quelconques rappelant une aura ; jamais de paralysie ni de parésie temporaires. A l'origine, c'est-à
e qu'auparavant. Ce n'est donc pas, vous le voyez, en détermi-nant la paralysie complète du nerf auditif que le sulfate de quinin
tion d'un foyer intra-cérébral d'hémor-ragie ou de ramollissement, la paralysie motrice, si le cas est favorable, s'atténue progr
re d'hômianesthé- soient montrés ; ou bien, si le cas est grave, la paralysie per-siste telle qu'elle, avec ou sans accompagnem
caractères des agitations de la chorée que du tremblement propre à la paralysie agitante ou du trem-blement sénile. J'ajouterai q
festement1. Après avoir reconnu, tout d'a-bord, l'absence chez lui de paralysie motrice, — et à part la céphalalgie, — de trouble
sé pourra être mis à exécution, l'insuccès sera l'exception *. 1 La paralysie motrice transitoire d'un membre, survenant tout à
e absence dont la durée n'avait pas dépassé le terme ordinaire, d'une paralysie subite affectant le membre supérieur gauche. En r
lument inerte, flasque, pendant le long du corps. Je constatai que la paralysie était limitée au membre supérieur gauche qu'elle
suivie d'un épuisement mo-mentané dont la traduction clinique est la paralysie tempo-raire avec flaccidité, qui s'observe en réa
ture du muscle sterno-mastoïdien du côté droit. Cinq jours après, une paralysie incomplète du mouvement, avec obnubilation de la
les accidents qui ont rapidement terminé l'existence de la malade, la paralysie progressive des muscles respiratoires. Le nombre
e jeu régulier de la cage thoracique. Toutefois, pour expliquer une paralysie aussi complète, dans les muscles pourvus de fibre
— Atrophie des muscles de la langue et de ïorbicidaire des lèvres. — Paralysie avec rigidité des membres inférieurs. — Atrophie
rononciation et tous les autres phénomènes rappelant le tableau de la paralysie labio-glosso-pharyngée s'étaient aggravés sans qu
naient norma-lement et, en particulier, il n'y avait pas de signes de paralysie diaphragmatique. Les membres inférieurs présent
or-nes antérieures de la moelle. — Atrophie musculaire progressive. — Paralysie glosso-laryngée. Elisabeth P..., 58 ans, est en
ur gauche, est un peu moins prononcée dans celui du côté droit. Cette paralysie s'accompagne d'un certain degré de contracture ;
tiplication évidente des noyaux de la névroglie. Note sur un cas de paralysie glosso-laryngée suivi d'au-topsie ; par J.-M. Gha
che au type clinique créé par M. Duchenne(de Boulogne) sous le nom de paralysie mus-culaire progressive de la langue, du voile du
s l'altération du noyau de l'hy-poglosse, mais bien l'existence d'une paralysie musculaire en partie au moins indépendante de l
encontrée déjà à propos de l'atrophie musculaire progressive et de la paralysie infantile spinale 2. Évidemment, on ne saurait, d
is étages dans le bulbe l'ensemble symptomatique connu sous le nom de paralysie glosso-labio-laryngée 3. L'anatomie pathologique
ans notre observation. 2 Dans l'atrophie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l'atrophie sans paral
progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l'atrophie sans paralysie se trouvent souvent entremêlées sur les mêmes poi
l'état anatomique des muscles et de la moelle épinière dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophi-que; par J.-M. Charcot. (Voy
naient d'un jeune sujet atteint de l'affection décrite sous le nom de paralysie pseado-hypertro-phique ou myosclerosique, et qui
867 M. Duchenne (de Boulogne) l'a repro-duite dans son mémoire sur la paralysie musculaire pseudo-hypertrophique 2. Une bonne pho
arques relatives à l'anatomie et à la physiologie pathologiques de la paralysie pseudo-hyper-trophiqe suivront les principaux poi
lles finissent par Fig. 34. —Coupe transversale d'un muscle dans la paralysie pseudo-hyperthrophiqve (Phase intermé-diaire entr
ormation nouvelle Fig. 35.— Coupe longitudinale d'un muscle dans la paralysie pstudo-hypertrophique (Deuxième pé-riode du proce
général, le mode d'évolution de l'altéra-tion musculaire propre à la paralysie pseudo-hypertrophique. A l'origine, à part l'épai
tion définitive. En quoi consiste le processus morbide qui, dans la paralysie pseudo-hypertrophique, détermine l'altération du
ce, un caractère vraiment distinctif; si bien que la déno-mination de paralysie myosclérosique, proposée par Du-chenne (de Boulog
. Bans ces derniers temps, on a plusieurs fois émis l'opi-nion que la paralysie pseudo-hypertrophique, qui, à quelques égards, se
conduisent naturellement, c'est que, suivant toute vraisemblance, la paralysie pseudo-hyper- trophique doit être considérée co
ormulée. Cette observation est rapportée, en effet, par l'auteur à la paralysie pseudo-hyper-trophique et elle est suivie d'une r
membres inférieurs, les premiers symptômes de pa-ralysie motrice. La paralysie s'aggrava progressivement et s'é-tendit aux membr
vé de la plupart de ses mouvements. En même temps que progres-sait la paralysie des mouvements, des douleurs plus ou moins vives
appeler très brièvement les principaux traits au type classique de la paralysie pseudo-hyperfrophique. L'âge relativement avancé
gards celles qu'on trouve uniformément signalées dans tous les cas de paralysie pseudo-hypertrophique jusqu'ici publiés ; mais ce
ne des lésions musculaires dont il s'agit n'appartient en propre à la paralysie pseudo-hypertrophique et ne saurait, par consé-qu
la suite des lésions traumatiques des nerfs 1 et dans quelques cas de paralysie infantile spinale 2 ; quant à la substitution gra
peut se produire, à titre de complication éventuelle, encore dans la paralysie infantile 3, dans l'atrophie musculaire progressi
alysie infantile 3, dans l'atrophie musculaire progressive *, dans la paralysie spinale de l'adulte 5, et dans bien d'autres circ
auteur que je viens de citer, lorsque, refusant toute autono-mie à la paralysie pseudo-hypertrophique, il avance que tous les fai
nité. — Après avoir reconnu que les altérations musculaires dans la paralysie pseudo-hypertrophique ne relèvent pas de l'atro-p
y, Archives de physiologie, t. III, 1870, p. 34. 3 Laborde. — De la paralysie de l'enfance. Paris, 1864. — Prévost, — Comptes-r
écider à l'égard de l'état anatomique des nerfs périphériques dans la paralysie pseudo-hypertrophique, il est nécessaire d'entre-
nt de 32 ans, a eu des convulsions à 8 mois qui ont été suivies d'une paralysie du côté gauche. A partir de cette époque jusqu'à
ion II. — Maur..,, âgée de 33 ans. A 9 mois : con-vulsions suivies de paralysie du côté gauche. Accès d'épilepsie à 14 ans. Auj
s, de convulsions qui ont duré quatre heures et ont été suivies d'une paralysie incomplète du côté gauche. La para-lysie aurait d
sparu deux mois plus tard. A 6 ans, convulsions pendant cinq heures : paralysie incomplète des membres du côté gauche. — A 7 ans
ulgurantes symptomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la paralysie gé-nérale progressive et l'alcoolisme chronique.
a rétine, dans li glycosurie, la rétino-choroïdite syphilitique et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — ^es formes, s
s symptômes. — Prédominance, au début, des troubles moteurs: parésie, paralysie avec flaccidité, rigidité temporaire, con-tractur
.............................................. 141 NEUVIÈME LEÇON paralysie infantile. Sommaire. — Myopathies spinales ou d
lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise. Paralysie spinale infantile. — Elle sera considérée comme m
s, déformations, pied bot paralytique). Anatomie pathologique de la paralysie infantile. — Les lésions des mus-cles aux diverse
s nerveuses.................................... h63 DIXIÈME LEÇON paralysie spinale de l'adulte. — nouvelles concernant l'ana
le de l'adulte. — nouvelles concernant l'anatomie patho-logique de la paralysie spinale infantile. — amyotrophies consécuti-ves a
ies consécuti-ves aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. — Paralysie spinale de l'adulte : Historique. — Exposé d'un c
oulogne). — Faits personnels. — Analogies étroites qui rapprochent la paralysie spinale aiguë de l'adulte et celle de l'enfant. —
x récents concernant l'anatomie tt la physiologie pathologiques de la paralysie spinale infantile ; ils confirment sur les points
Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la paralysie infantile, systématiquement limitées aux cornes a
es propres à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie motrice. — Contracture permanente spasmodique. —
urdissements ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période ( paralysie , atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthé
iode (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture des membres inférieurs.) — Caractè
ie. Amyotrophie consécutive à la sclérose en plaques disséminées. Paralysie générale spinale subaiguë. — Analogies avec la pa
sséminées. Paralysie générale spinale subaiguë. — Analogies avec la paralysie infan-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépen
trophies indépendantes d'une lésion de la moelle épinière ; exemples. Paralysie pseudo-hypertrophique ; — amyotrophie saturnine.
térale symétrique amyotrophique........- 439 VI. Note sur un cas de paralysie labio-glosso-laryngée suivi d'au-topsie..........
l'état anatomique des muscles et de la moelle épinière dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophique...........................
yélite aiguë centrale, 215. — Dans la pachy méningite, 215. — Dans la paralysie générale spinale, 280. — Dans la paralysie infant
méningite, 215. — Dans la paralysie générale spinale, 280. — Dans la paralysie infantile, ni, 175. — Dans la paraplégie cervical
5, 355,387. Bulbe rachidien, 432, 456, 458, 470. (V. Moelle, Nerfs, Paralysie glosso-laryngée, sclérose.) C Cancer vertéb
re protopathique, 220. Dans la myélite aiguë centrale, 209. — Dans la paralysie générale spinale, 190. — Dans lu paralysie infant
ë centrale, 209. — Dans la paralysie générale spinale, 190. — Dans lu paralysie infantile, 170. — Dans la. paraplé-gie par compre
mus-culaire, 222. — Dans la sclérose latérale amyotrophique, 256. (V. Paralysie infantile.) Dégénérations secondaires, 24, 25,
29, 318. Dysphagie dans la compression de la moelle, 151. — Dans la paralysie glosso-laryngée, 463, 474. E Embolie de l'a
angue (Lésions de la) dans les amyotrophies, 441, 445, 454. — Dans la paralysie labio-glosso-la-ryngée, 466, 467. Leçons de cho
de cheval, 159. — Lésions trauma-tiques, 21C. — Etat de la — dans la paralysie pseudo-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie,
o-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie, Bulbe-, Cellules, Cornes, Paralysies glosso-laryngée et infantile, Scléroses, etc.
sec-tion des), 205. — Bulbaires (Lé-sions des), 42. (V. Amyotrophies, Paralysies , etc.) — Cérébraux (Atrophie des), 5, 43. — Optiq
-tige de Meniere, 342, 346. Os (Arrêt de développement des) dans la paralysie infantile, 122. (V. Ar-thropathies, Ataxies.) O
. — Cervicale hyper-trophique, 120, 215, 271, 274. — Gommeuse, 390. Paralysie agitante, 371. — Par com-pression, 125. — Général
ses gastriques, 37. — Fréquence du — dans l'ataxie, 37. — Dans la paralysie glosso-la-ryngée, 428, 455,456,465.—Ralentis-seme
. — Du protoplasma, 21. Pseudo-névralgies (Des), 109,112. — Dans la paralysie cervicale, 142. Psoriasis palmaire syphilitique
gurantes, 66. — Arthropathies, 67 ; — Hémiparaplé-gie spinale, 13»; — Paralysie spi-nale aiguë de l'adulte, 192 ; — P. glosso-lar
113 ; — traitement, 413. Vessie (Contracture du col de la), 127. — Paralysie , 127. — Théorie de Budge, relative à l'action du
. — Troubles de la — dans la compression de la moelle, 127. — Dans la paralysie spinale aiguë, dans la myélite aiguë, 209. — Dans
5 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s moteurs. Ce que l'on observe de beaucoup le plus souvent c'est la paralysie flasque avec abolition des réflexes. Elle peut
téristiques de la syphilis des artères. - Rarement on observe des paralysies spasmodiques, avec raideurs, contractures, exag
Mais ces troubles sont très passagers, souvent précurseurs de la paralysie . Ils relèvent de l'irritation corticale par isché
'est là un signe trop rare pour qu'on puisse compter sur lui. Les paralysies oculaires sont très rares ; elles n'existent gu
1 Thibierge. Gaz. des Hôpitaux, 1889. 2 En dehors bien entendu des paralysies précoces passagères, sponta- nément curables, q
un surmenage quelconque elle fléchit, et c'est, suivant le cas, une paralysie , des phénomènes aphasiques ou un léger trouble
symptôme qu'un peu d'en- gourdissement de la région paralysée. ' La paralysie est limitée, mais elle est le plus souvent comp
sa main retomber inerte, sa jambe fléchir ou sa face se dévier. La paralysie dure un, deux, trois jours, puis rétrocède même
out sur les nerfs craniens. Nous rapportons plus loin un exemple de paralysie de la sixième paire pro- duite par un anévrisme
igraine ophtalmique; que souvent on peut dès cette période voir des paralysies oculaires, dues probablement à l'action du viru
une forme intellec- tuelle c présentant beaucoup de symptômes de la paralysie générale, mais dont la [nature syphilitique se
ormes par les pro- dromes mais aussi parce que, outre les signes de paralysie générale, il y a certains symptômes d'endartéri
l'aphasie transitoire, etc. 11 Il est probable que ces symptômes de paralysie générale ne relèvent pas directement des lésion
Lés cas bien connus où la syphilis cérébrale prend le masque de la paralysie générale ne nous ont pas paru se rattacher à la
droit exécutent tous les mouvements et- avec une force normale. La paralysie est localisée aux muscles moteurs de la main et
poignet et les premières phalanges, mais sans force. On trouve une paralysie très nette du facial inférieur gauche : .' sill
alement. La motilité de l'oeil droit est intacte. Il - y a donc une paralysie périphérique de la sixième paire gauche. Aucun
e membres sont en réso- lution ; la respiration est stertoreuse; la paralysie faciale gauche s'est accentuée, la malade fume
nous reste à interpréter trois symptômes : la monoplégie droite, la paralysie de l'abducens et du facial gauches. Clini- quem
pouvait t admettre une, deux ou trois lésions. L'existence d'une paralysie du droit externe, sans aucun trouble du côté du
la sixième paire gauche. Pouvait-on aussi lui faire expliquer la paralysie faciale gauche et la monoplégie brachiale droite
ls. UhtholT', sur 150 cas de syphilis cérébrale a relevé 26 fois la paralysie de la sixième paire; 11 fois elle était accompa
hilitique, présentant, à la suite d'un rictus apoplec- tiforme, une paralysie de la sixième paire gauche avec hémi- plégie dr
ce et dysarthrie. Le traitement antisyphilitique fit disparaître la paralysie oculaire, l'hémi- plégie diminua mais sans disp
res destinées au facial de l'autre côté. D'autre part, dit-il, la paralysie faciale n'atteignant que le facial inférieur ne
ie faciale n'atteignant que le facial inférieur ne pouvait être une paralysie périphérique. localisation au pli courbe) ; arr
r le processus. Dans notre cas la difficulté était analogue'pour la paralysie de la septième paire : si la paralysie faciale
culté était analogue'pour la paralysie de la septième paire : si la paralysie faciale gauche avait été totale on aurait pu in
aît des observations semblables; dans un cas de Raymond* il y avait paralysie simultanée des sixième, septième et douzième pa
observation de Gajlciewicz il y avait hémiplégie gauche incomplète, paralysie des sixième et septième paires droites. L'auteu
les sixième et septième paires du même côté. Le type cérébral de la paralysie faciale gauche dans notre cas ne nous permettai
rachiale droite pouvait-elle être attribuée à la même lésion que la paralysie de l'abducens ? Nous n'avions pas la même raiso
epousser la compression de la pyramide, puisque dans notre cas la paralysie , n'atteignant que le bras, respectait la face du
: deux lésions hé- misphériques pour la monoplégie brachiale et la paralysie fa- ciale, une lésion basale pour la paralysie
égie brachiale et la paralysie fa- ciale, une lésion basale pour la paralysie de l'abducens gauche. Quant à l'ictus terminal,
(Sainte-Anue). CHAPITRE PREMIER R Historique. 1.- L'éLude de la paralysie générale a fait de grands pro- grès. Mais depui
équents, constants. Il faut avouer pourtant que si l'histoire de la paralysie générale est vieille, il n'y a qu'une dizaine d
econnu depuis longtemps déjà que le processus inflammatoire de la paralysie générale ne se localise pas uniquement au cerveau
tent entre les lésions nerveuses, médullaires et cérébrales dans la paralysie générale. M. Auguste Voisin', dans son traité,
décrit les moindres signes et signale les troubles trophiques de la paralysie générale, sans dire pourtant si les symptômes t
res. Dans le remarquable article du dictionnaire Dechambre sur la paralysie générale, MM. Christian et Ilitti ne pensent po
propreté auxquels les paralytiques sont soumis ». 1 Calmeil. De la paralysie considérée chez les aliénés, 1826. . Magnan. -
es centres nerveux. Paris, 1876, p. 70. 3 A. Voisin. Traité de la paralysie générale des aliénés, 1879, p. 152. TROUBLES
Ballet et Blocq s, les troubles trophiques sont fort rares dans la paralysie générale : en l'absence de compli- cations, et,
ine de Charcot-Bouchard, t. VI, p. 1042. 8 Magnan et Sérieux. De la paralysie générale, p. 47. 7 Arnaud. Sur la période termi
paralysie générale, p. 47. 7 Arnaud. Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort des pamlytiglles généra
logie, juin 1897, p. 441). 24 CLINIQUE MENTALE. terminale de la paralysie générale, dit que ces troubles « ne sont, à bea
sur l'existence ni sur la fréquence des troubles trophiques dans la paralysie générale. II. Il est étrange que ces troubles t
cutif d'un processus inflammatoire. Et l'on trouve en effet dans la paralysie générale des lésions de tout le système nerveux
alite diffuse est une maladie de tout le système nerveux. Dans la paralysie générale, les cellules corticales sont pro- fon
3. Sur les fines altérations de I'écorce. 3 Magnan Rapports de la paralysie générale el de la folie, mémoire couronné par l
erver l'importance des troubles de l'innervation vaso-motrice de la paralysie générale, au point de vue de la marche clinique
oint de vue de la marche clinique de la maladie, insiste sur 'les paralysies vasculaires constatées aux différents stades de l
les paralysies vasculaires constatées aux différents stades de la paralysie générale. Elles sont analogues aux paralysies exp
ifférents stades de la paralysie générale. Elles sont analogues aux paralysies expé- rimentales de Claude Bernard, dues aux se
878, dans ses Leçons cliniques, signala les lésions nerveuses de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion anatomique de la p
euses de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion anatomique de la paralysie générale. Thèse de Tans, 1866, p. 15. a Trait
aré. Recherches sur l'anatomie, pallzolo ! lique et la nature de la paralysie générale (Annales 71étlico -psycho 1., 1S65). "
ons du cerveau el certaines lésions de la moelle el des nerfs de la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux, mars 1871). 26 C
verses paires crâ- niennes, il expliqua leur rôle important dans la paralysie générale. Plus tard, se basant sur l'examen his
du nerf optique peut devancer de plusieurs années l'éclosion de la paralysie géné- rale. Krafft-Ebing 2 considère l'amblyo
tre- ment dit, les troubles trophiques sont-ils fréquents dans la paralysie générale ? On sait que les troubles trophiques
a sclérose du nerf 'Optique et des nerfs moteurs de l'oeil clans la paralysie générale (Archives de physiol. norm. et pallcol.,
- drons plus loin sur l'indolence des troubles trophiques dans la paralysie générale.) Ces mauvaises conditions entravent l
ent les recherches statis- tiques. Si les troubles trophiques de la paralysie générale étaient aussi bruyants que ceux du tab
vons écarté de notre liste ceux qui errent sur les frontières de la paralysie générale, un pied dans la démence paralytique e
ous avons observé de cette façon 24 femmes et 33 hommes atteints de paralysie progressive : 28 8 CLINIQUE MENTALE. Sur ces
ite périphérique. Ranvier5 d'abord. I)tiisBoddaerL6 ' Klippel. - La paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux, formes
oculaires. L'appareil de la vision, dès les premiers travaux sur la paralysie générale, a attiré l'attention des cliniciens.
chaque fois que la vue était troublée chez les malades atteints de paralysie générale. Il parla aussi d'un oedème péripupill
férents faits, examina indistinctement tous ses malades atteints de paralysie géné- rale. Dans au moins les deux tiers des ca
trois ans avant l'apparition des signes cliniques ordinaires de la paralysie générale. La pupille se modifie en couleur, pâl
uvent plus difficile de reconnaître un état * Magnan et Sérieux. La paralysie générale, p. 19. 2 Galezowski. Sur les altérati
(Union août 1866). ' Magnan. Signes essentiels et accessoires de la paralysie générale (Gaz. des 116pi1., 12, li, 19 et 23 ma
13). 0 Neil Jameson Hepburn. Symptômes oculaires précoces dans la paralysie générale (Vol. LI, p. 301, i, American Journal of
» disait M. Ballet dans une leçon sur les troubles oculaires de la paralysie générale. Enfin, Chariot2 et ses élèves, Parina
au et des annexes. Le revêtement cutané est souvent atteint dans la paralysie générale. Ce sont tantôt des éruptions aiguës
ptions aiguës apparaissent et disparaissent à un moment donné de la paralysie générale; nous avons observé qu'elles se manife
re de nos observations. ' S. Ballet. Les troubles oculaires dans la paralysie générale (Pro- grès médical, 1893, t. II, p. 43
tion à l'élude de la pathologie et de l'anatomie pathologique de la paralysie générale (Arch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante
rch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante. Les troubles trophiques de la paralysie générale (Gaz. heb., 1894, p. 98). TROUBLES T
le 12 août 1896. Certificat de M. le Dr Pactet : « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés mentales
décembre 1896. Certificat immédiat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées ambitieuses. Hésitation de
pupillaire. » M. le Dr Vallon a également porté le diagnostic de paralysie générale « avec affaiblissement intellectuel et p
llejuif, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction et quelques p
f le 14 septembre 1896. Certificat de M. Briand : « Est atteinte de paralysie générale avec agitation et idees incohérentes d
ns, jardinier. Certificat immédiat du 10 juillet : « Est atteint de paralysie générale. Idées ambitieuses. Emotivilé. Hésitat
en est pas moins vrai qu'elles sont la et n'existaient pas avant la paralysie générale. Elles sont survenues au cours de la m
ra. - Le purpura est considéré comme trouble circu- latoire dans la paralysie générale. Cependant l'apparition et la disparit
La malade L... Elisa, cinquante-un ans, modiste, a été atteinte de paralysie générale ; affaiblissement des facultés intellect
e 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec préoccupations hypocondriaques et
s atteints de zona. Schüle note aussi les éruptions de zona dans la paralysie générale. Pour Krafft-Ebing, le zona n'est pas
ralysie générale. Pour Krafft-Ebing, le zona n'est pas rare dans la paralysie géné- rale. Dans la thèse de M. Gonnet 10 nous
P. Sérieux et deux à l'auteur de la-thèse. Le zona existe dans là paralysie générale sans aucun doute. Il y est même assez
faites à la Salpêtrière, t. I, 5° édit., 1884. . Foville. Article Paralysie générale, in Dict. Dechambre. ° Fèvre. - Des al
8 Ramadier. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1884). 9 Schiile. Tra
souvent inaperçu. Il peut survenir avant l'éclosion confirmée de la paralysie générale. Tout dernièrement,- à propos d'un cas
homme de trente ans qui présentait six mois après des phénomènes de paralysie générale, M. Danlos' demandait dans une communi
venu quelques mois avant les signes physiques et psy- chiques de la paralysie générale (observation VIII). Observation VU. Zo
-sept ans, journalière. Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec irritabilité. Légère excitation p
is ni l'un ni l'autre ne faisaient excès de boissons. Début de la paralysie en 1892. A cette époque, la malade a eu de l'ap
juif, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées de satisfaction ; propos inco
, chez elle, a précédé de quelques mois les premiers troubles de la paralysie générale, et par l'eschare qui a rapidement évo
écu- bitus dorsal. Elle n'était ni alcoolique ni syphilitique. La paralysie générale a marché il grands pas : six mois après
t-huit ans, menuisier. ' Certificat de M. Vallon : « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés mentales
st due à M. Lanceraux' : le malade ayant succombé, le diagnostic de paralysie générale fut confirmé par l'autopsie. Mais c'es
ejuif le 29 avril 1892. Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées de satisfaction, propos incoh
athologique, 1879, t. II, p. 71. 2 Christian. Mal perforant dans la paralysie générale (Annales médico-psych., 1882, p. 230).
dico-psych., 1882, p. 230). 3 Marandon de Montyel. Mal perforant et paralysie générale (Encé- phale), 1888, p. 257. j z * B
phale), 1888, p. 257. j z * Barthélémy. Du mal perforant dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1890). TROUBLES TRO
bumine dans les urines. L'eschare. Un des troubles trophiques de la paralysie générale les plus connus, c'est l'eschare. Elle
soit d'un état général de cachexie (Durante 3). Elle existe dans la paralysie générale ; elle n'est pas due seulement à la ma
offroy. Annales nédico scla., 1865. 2 Frégevu. Des eschares dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil.
42 CLINIQUE MENTALE. L'eschare peut apparaître dès le début de la paralysie géné- rale, ainsi que le signalent MM. Christia
uif le 38 octobre 1896. Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées ambitieuses. Propos incohér
signé le certificat suivant : a Alcoolisme chroni- que tendant à la paralysie générale. Hallucinations pénibles. Idées de per
juif le 1er avril 189G. Certificat de M. Briand : « Est atteinte de paralysie générale avec idées hypocondriaques. Légère hésit
a déboité quatre dents ». Syphilis ? Réflexion. Dès le début de la paralysie générale, la malade commence à perdre ses dents
L'intelligence baissait de jour en jour, le moi s'effondrait, et la paralysie marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit.
in 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec préoccupations hypocondriaques, i
e 19 décembre 1896. Certificat de M. le Dl' Vallon : Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement des facultés mentales.
llejuif le 23 novembre 1895. Certificat immédiat : « Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfactio
r 1896, avec le certificat suivant de I. \Iannau : « Est atteint de paralysie générale. Apathie. Indifférence. Cons- cience t
tabilités réflexes. Aussi le trouve-t-on, comme le premier, dans la paralysie spinale spasmodique, la sclérose latérale amyotro
e et mécanique du radical et des muscles qu'il anime dans un cas de paralysie par compression de radical, Tableaux. Tracés. L
n elle est périnucléaire (intoxication expérimentale par l'arsenic, paralysie de Landry), ou encore elle peut être diffuse pa
sque cons- tamment la défectuosité est unilatérale; il n'y a pas de paralysie ni de troubles fonctionnels essentiels. Ce sont
t on a comprimé la moelle lombaire avec une forte ligature de soie ( paralysie complète des pattes postérieures), on trouve au
ésultat chez un chien tué cinq jours après écrasement de la moelle ( paralysie complète). Un troisième chien tué le 24° jour a
stic. Ce syndrome est composé de trois phénomèmes principaux : 1° paralysie du membre superieur du côté de la lésion, avec
t avoir été témoins de faits ana- logues. SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 Paralysie générale juvénile hérédo-syphilitique. M. Solli
sept ans, ayant présenté successivement la plupart des signes de la paralysie générale : hésitation de la parole, inégalité pup
ne parle ni de l'excitation ni de l'insomnie, si fréquentes dans la paralysie générale. Les dents n'ont pas le caractère décrit
sie ne vienne pas confirmer le diagnostic. Il fait remarquer que la paralysie générale n'a pas le même aspect dans l'enfance
nte mater- nelle étaient aliénées. M. Christian ne croit pas à la paralysie générale dans l'enfance pour lui la plupart des
nte lajeune fille de M. Sollier doit faire écarter le diagnostic de paralysie gêné raie. M. 1313RAND. On ne peut nier l'exi
ralysie gêné raie. M. 1313RAND. On ne peut nier l'existence de la paralysie géné- rale juvénile. Elle se préseute avec une
ire. M. Vallon. Quant à l'autopsie d'un jeune sujet, soupçonné de paralysie générale, on trouve tous les signes macroscopique
de paralysie générale, on trouve tous les signes macroscopiques de paralysie générale, il est bien difficile de nier ce diagno
iques. 84 SOCIÉTÉS savantes. M : Voisin a aussi observé un cas de paralysie générale chez une jeune fille. La syphilis du p
malades. Séance du 23 mai 1897. I. M. le professeur Ko.tewvhorr.. Paralysie bulbaire asthénique. Présentation de la malade
donné, malgré ses particularités, peut être rapporté justement à la paralysie bul- baire asthénique. Pourtant beaucoup de phé
ion du tronc cérébral, ce qui donne la possibilité ,de rapporter la paralysie asthénique bulbaire à la catégorie des maladies
'épilepsie partielle, quelquefois bien limitée. On peut dire que la paralysie flasque n'appartient pas au tableau de lasyphil
sie flasque n'appartient pas au tableau de lasyphilis méningée. Les paralysies sont il peu près toujours accompagnées, dès leu
ance des lésions de l'écorce et rappelle celle de cer- tains cas de paralysie générale grave. L'iclits apoplectique, moins gr
st une convulsion épileptiforme isolée , sans autres symptômes; une paralysie oculaire brusque, des phé- nomènes aphasiques é
moitié de la face et hémiplégie du côté opposé, syndrome de Weber , paralysie de la sixième paire et hémiplégie du côté oppos
llard devant les yeux, chute, mais sans perte de connaissance, sans paralysie consécutive. Le tout ne dura que quelques minut
mplète des deux côtés. Pupilles égales, dilatées, immobiles. Pas de paralysie oculaire. L'hémiplégie persiste avec les mêmes
pouvaient faire penser qu'à une localisation méningée. L'absence de paralysie dans le domaine des nerfs crâniens, l'absence d
fait bien pour les mouvements exé- cutés au lit. Il n'y a pas de paralysie musculaire,pas d'asthénie bien pronon- 120 CLIN
siste assez bien aux mouvements qu'on imprime à ses membres. Pas de paralysie faciale. Abolition complète des réflexes rotuli
le difficilement et à voix basse; il n'y a ni lésions laryngées, ni paralysie des cordes vocales. Dyspnée assez intense. Un p
gmenté, la marche est normale. Il y a encore un très léger degré de paralysie faciale, et de parésie du membre supérieur. Réf
diverses, et avec vérification indiscutable du diagnostic. Nous LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 127 7 nous sommes d'ailleurs néanmoin
ultant de l'association de lésions diverses. CLINIQUE MENTALE. LA PARALYSIE GENERALE'; Par le Dr Alexandrk PARIS, \Iéseci
etc., faisant du type classique, ou donné comme tel, la soi-disant paralysie générale proprement dite, une affection surtout
on disserte depuis plus d'un demi siècle sur cette ques- tion de la paralysie générale sans parvenir à l'élucider, sans 1 Com
tes les lésions que l'on voudrait comprendre sous la dénomination « paralysie générale», c'est peut-être parce que l'on a fai
que l'on a fait fausse route. Les descriptions classiques du type « paralysie générale » n'impliqueraient-clles pas déjà par
-clles pas déjà par elles-mêmes l'existence de diverses variétés de paralysies générales ? Mon but est surtout d'établir qu'au
e comme constituant une entité morbide. On dit, par exemple, que la paralysie générale peut affec- ter diverses formes, une f
ement à l'existence ou à la non- existence d'hallucinations dans la paralysie générale n'in- diquent-elles pas par leur diver
impliquent-elles pas qu'il peut y avoir halluci- nations dans telle paralysie générale ou plutôt dans la période paralytiform
on. Quelle est l'étio- logie spéciale, la pathogénie spéciale de la paralysie géné- rale entrecoupée de rémissions courtes, q
de rémissions courtes, quelle est l'étiologie, la pathogénie de la paralysie générale entrecoupée de remissions très longues
s très longues et comment se fait-il qu'il y ait à côté d'elles une paralysie générale à marche progressive et LA PARALYSIE G
à côté d'elles une paralysie générale à marche progressive et LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 129 continue ? Evidemment ces évoluti
as les mêmes dans tous les cas. On attribue généralement aussi à la paralysie générale proprement dite une durée assez variab
ence d'étiologie que peut être attribuée la différence de durée des paralysies générales chez l'homme et chez la femme ? Qua
rapports avec la symptomatologie et l'étio- logie : pour les uns la paralysie générale est due à une alté- ration inflammatoi
ymptomatologie, la marche et les termi- naisons de cette soi-disant paralysie générale. Il a fallu quelques cas de guérison,
tiques, pour que l'on songe à diminuer l'étendue du domaine de la paralysie générale proprement dite; mais, comme dans ces
par exemple, la pseudo-paralysie générale alcoolique, la pseudo- paralysie générale saturnine. Tous les individus qui font
n pour en faire une entité morbide. Mais, me dira-t-on encore, la paralysie générale alcoo- lique, la phase paralytiforme,
l'ont z Phase paralytiforme de l'alcoolisme et du saturnisme. LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 131 toujours triste ou qui passent pa
ent diverses prétendues complications signalées dans le cours des paralysies générales, convulsions épileptiformes, contrac-
telles ou telles intoxications aboutissant à une période dite de paralysie générale. C'est une probabilité à laquelle les
tenté d'augmen- ter le nombre des pseudo-paralysies générales. La paralysie générale conservée encore comme type et à laque
ictus congestif ou par marasme. Dn reste, l'opinion qui veut que la paralysie générale pro- prement dite soit toujours d'orig
quelques-unes encore : l' Si l'hérédo-sypliilis peut être cause de paralysie géné- rale, comme on l'en accuse, comment se fa
is se rencontrent dans tous les rangs de la société et cependant la paralysie générale est extrêmement rare, je pourrais même
Ceci dit pour établir qu'il n'est pas très logique de prendre LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 133 pour type des états paralytiforme
ype des états paralytiformes indûment baptisés de la dénomination « paralysie générale » un état pathologique dont l'étiologi
cutable et aussi obscure, et pour montrer que ce soi-disant type de paralysie générale pourrait aussi bien, sinon avec plus d
et moins discutée. Mais nous ne trouvons pas là, en somme, cette paralysie générale classique, tronc en quelque sorte de l
paralysie générale classique, tronc en quelque sorte de la vieille paralysie générale ébranchée ? Je crois aussi qu'il peut
s caractères de ces pseudo-paralysies générales donne la soi-disant paralysie générale proprement dite, décrite comme type. E
ordinaire et d'illogique, par exemple, à admettre que la soi-disant paralysie générale typique est le résultat d'intoxication
causes aggravantes plus nombreuses à une cause prédominante que la paralysie géné- rale de l'homme est habituellement de plu
femme ? Enfin, je le répète, les des- criptions classiques du type paralysie générale ne sont-elles pas la synthèse de tous
tous les symptômes, de tous les caractères observés dans toutes les paralysies ou pseudo-paralysies générales, synthèse établi
MENTALE. Il n'y a donc pas plus lieu, à mon sens, d'admettre une paralysie générale entité morbide, qu'il ne serait logique
que de faire une entité morbide de l'ascite ou de l'anasarque. La paralysie générale se réduit en dernière analyse aune agglo
n ne manquerait pas de m'objecter que je ne vois comme causes de la paralysie générale que des intoxications banales, alcooli
etale ou par conhtitu- tion acquise défectueuse et cette soi-disant paralysie géné- rale, en réalité cette phase ultime d'aut
ie la symptomatologie d'une entité morbide ? `' La dénomination c paralysie générale » ne rappelle pres- que rien du passé,
s cardiaques, de cancer du foie, etc. Cette façon d'envisager les paralysies générales ne peut être nettement établie que pa
aujourd'hui, est simplement de placer la question de l'étude de la paralysie générale sur un terrain sensible- ment différen
per- mettront bientôt, en présence de cas rappelant nos anciennes paralysies générales et les renseignements commémoratifs a
appartenant à la folie commune, de celles présentées au cours de la paralysie générale, laquelle se montre relativement fréqu
que 7 cas. Combien cette proportion change, si l'on fait rentrer la paralysie générale dans la syphilis cérébrale ! La théo
nérale dans la syphilis cérébrale ! La théorie syphilitique de la paralysie générale a gagné du terrain dans ces dernières
ments directs de démonstration des rapports entre la syphilis et la paralysie générale se résument en un seul, la statistique
cette maladie infectieuse doit jouer un rôle dansl'étiotogie de la paralysie générale ' ? D'autre part, il est démontré qu'i
xiste des pays où la syphilis est très répandue, et où cependant la paralysie générale est inconnue ou à peu près. Ce qu'il
inconnue ou à peu près. Ce qu'il faudrait démontrer, c'est que la paralysie générale dérive de la syphilis, qu'il existe un
as faite que la syphilis est l'antécédent nécessaire, obligé, de la paralysie générale, tant qu'on en sera réduit à invoquer
professeur Fournier, quand il a décrit, sous le nom de a pseudo- paralysie générale syphilitique », une encéphalopathie due
syphilis et présentant à peu près l'ensemble symptomatique de la paralysie générale. C'est là une affection dont la nature n
0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. pas le cas, malheureusement, pour la paralysie générale vraie. (Annales med : co-ps ! /c/t0of/
s formes do maladies mentales. Parmi ces dernières, c'est dans la paralysie générale que celle analgésie se rencontre avec
ence de ce symptôme est à peu près la même dans le tabes et dans la paralysie générale, ce qui pourrait être REVUE DE PATHOLO
Latah et la folie. R. DE XXII. Une maladie mentale (autre que la paralysie générale) associée £ au tares Dolt\Lls; par P.-
ction mentale qui est presque exclusivement annexée au tabes est la paralysie générale : le cas dont il s'agit est une except
ien que le certificat d'admission à l'asile portât le diagnostic de paralysie générale, le médecin qui l'avait signé ne relev
même des troubles de la sensibilité allant jusqu'au délire; mais de paralysie générale, nul symptôme. L'autopsie d'ailleurs r
les symptômes classiques de l'ataxie. sans aucune des lésions de la paralysie générale. Quant aux attaques épileptiformes, il
nt adoptée, l'affection mentale n'a nullement revêtu la forme de la paralysie générale. R. DE Musgrave-Clay. XXIII. L'héréd
e chez 90 p. 100 des aliénés. R. M. C. XXIV. L'augmentation DE la paralysie générale EN ANGLETERRE ET DANS LE PAYS DE GALLE
. 2° Il existe des preuves d'un accrois- sement de la tendance à la paralysie générale. 3° Cette ten- dance est surtout marqu
on peut établir un parallélisme étroit entre l'accroissement de la paralysie générale et les habitudes d'ivrognerie. 8° Les
ologiques qui jouent le rôle le plus important dans la genèse de la paralysie générale sont l'alcoolisme, les excès vénériens
femme diminuent d'importance en tant que facteurs effectifs de la paralysie générale, qui parait tirer son origine des instin
que des instincts altruistes. 9° La prédomi- nance croissante de la paralysie générale indique une modifica- tion dans le typ
rses psychopathies. P. K. XXVI. Contribution A la casuistique DE la paralysie générale MIDI- fiée; par J. Bielkowsky. (Centra
les autres symptômes appartiennent aussi bien à ['hystérie qu'à la paralysie générale. Pour arriver à établir le diagnostic
à la paralysie générale. Pour arriver à établir le diagnostic de la paralysie géné- rale l'auteur se base : sur la précocité
les considérations relatives à la symp- tomatologie comparée de .la paralysie générale et de l'hystérie. L'ensemble de ces sy
de l'hystérie. L'ensemble de ces symptômes (anesthésie, parésie ou paralysie des pupilles, gâtisme, amnésie, oedème du pied
tuel sont caractéristiques de 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. la paralysie générale. Le malade meurt d'ailleurs dans le mara
al pendant la convalescence. A. Fenayrou. XXXIII. Neurasthénie ET paralysie générale; par M. E. Régis. (Presse médicale, 7
D'après l'auteur, dans le diagnostic de la neurasthénie et de la paralysie générale au début, la première question à se pose
somption des plus sérieuses contre l'existence ou l'imminence de la paralysie générale ; en effet, il est rare que cette derniè
qui dépen- dent de la syphilis ; quand la syphilis n'existe pas, la paralysie géné- rale peut être à peu près sûrement écarté
opathie, n'ont que l'image, l'apparence, mais surtout la peur de la paralysie générale. Les cérébraux, descendants de congest
e ces cérébras- thénies infectieuses se rapprochent tellement de la paralysie géné- rale, par leur origine, par leurs symptôm
sthénie serait un véritable com- mencement, susceptible d'arrêt, de paralysie générale. A. L' ENATRUU. XXXIV. Nouvelle addi
athique cervical, cause des principaux symptômes de la maladie ; la paralysie du muscle lisse orbitaire interne ferait dispar
utes les chances possibles de guérison. A. V. XV. Discussion SUR L\ paralysie générale, les soins hygiéniques ET ùLLDICUx A D
très grand effort musculaire pour retenir son cheval emballé, d'une paralysie des deux membres supérieurs. Quelques minutes p
ralysie des deux membres supérieurs. Quelques minutes plus tard, la paralysie gagna les muscles du tronc et la jambe droite ;
teur d'une bro- chure Sur la diminution du poids du cerveau dans la paralysie géné- rale, et d'un autre travail intitulé : Le
ôté des troubles trophiques aigus de la peau et des annexes dans la paralysie générale, il existe d'autres troubles, à évolut
le 18 août 1896. M. le D'' Pacteta porté le diagnostic suivant : « Paralysie géné- rale. Affaiblissement des facultés mental
égalité pupillaire. » M. le Dr Vallon a également diagnos- tiqué la paralysie générale avec * affaiblissement intellectuel et
le 15 décembre 1896, avec le certificat suivant : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction : cons- cie
an est grand, gros, bien musclé. Il est à la deuxième période de la paralysie générale. La sensibilité cutanée est abolie TRO
nérale. La sensibilité cutanée est abolie TROUBLES trophiques DE la paralysie générale. 179 sur tout le corps. Légère alopéci
d'accidents cérébraux. J... Gabriel est à la seconde période de la paralysie générale. 11 est petit, gros, rouge. Souriant e
il 1894, avec le certificat suivant de M. Magnan : c Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction.
des facultés psychiques. Faiblesse musculaire du côté droit, pas de paralysie . Inégalilé pupillaire. Anesthésie cutanée génér
. TROUBLES trophiques DES ongles. Les troubles des ongles dans la paralysie générale ont été signalés par M. E. Régis'. Les
par M. E. Régis'. Les ongles sont atteints très fréquemment dans la paralysie générale. Nous avons observé 17 cas de troubles
B... Marie, âgée de trente-deux ans, journalière, « est atteinte de paralysie générale avec apathie, indifférence ; cons- cie
égis. Un cas de dystrophie et de chute spontanée des ongles dans la paralysie générale progressive (Gaz. médicale de Paris, 188
896. Le certificat de M. Magnan est ainsi conçu : « Est atteinte de paralysie générale avec apathie, indifférence; conscience
3 janvier 1895, avec ce certificat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale, avec idées ambitieuses. Propos inco-
re 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec accidents alcooliques. Excitation
if le 14 janvier 1897. Certificat de M. Magnan : c Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Propos inc
embre 1896 avec le certificat suivant de M. Magnan : Est atteint de paralysie générale avec apathie. Indifférence. Conscience
Inconscience'de sa situa- tion. Lenteur et hésitation de la parole. Paralysie générale pro- bable. » Le diagnostic a été af
présente maintenant tous les signes psychiques et somatiques de la paralysie générale : idées puériles de richesse et de sat
illejuif le 14 octobre 1896. Certificat immédiat : a Est atteint de paralysie générale. Affai- blissement intellectuel et phy
5 bulence nocturne. Pupille droite un peu plus large. Craintes de paralysie générale. » Ces craintes ont été confirmées plu
confirmées plus tard < Le malade, M... Aristide, est atteint de paralysie générale, dit M. Vallon dans son certificat du
re 1896. 11 présente tous [les signes psychiques et physiques de la paralysie générale, tels que affaiblissement con- sidérab
lo- pécie commence un peu avant les signes caractéristiques de la paralysie générale., La paralysie déclarée, l'alopécie pa
u avant les signes caractéristiques de la paralysie générale., La paralysie déclarée, l'alopécie paraît marcher à grands pa
e, puis le processus s'arrête. Le caractère de l'alopécie dans la paralysie générale est d'être disséminée sur tout le cuir
f le 16 décembre 1892, avec le certificat suivant : Est atteinte de paralysie générale avec idées mélancoliques, hésitation d
. M. le Dr Daonet a signé le certificat suivant : Est atteinte de paralysie générale. Affaiblissement des facultés, actes inc
les; excitation ; insomnie. Pupilles res- TROUBLES TROPHIQUES DE la paralysie générale. 187 serrées et inégales. Quelques acc
serrées et inégales. Quelques accrocs de la parole. Tendance à la paralysie générale ». Le certificat de quinzaine est plus c
. Le certificat de quinzaine est plus concluant : « Est atteinte de paralysie générale d'origine alcoolique avec idées vagues
4 894, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec apathie, indifférence et cons- ci
13 juillet 1896 avec le certificat suivant : <t Est atteinte de paralysie générale, affaiblissement des facultés; embarras
at suivant de M. Magnan : « Est atteinte 188 CLINIQUE MENTALE. de paralysie générale avec idées de satisfaction; propos incoh
e 1896 avec le certificat suivant de M. Dagonet : « Est atteinte de paralysie générale; affaiblissement des facultés; actes i
à Villejuif le 23 mai 1894. Certificat immédiat : « Est atteint de paralysie générale, idées mélancoliques. Préoccupations h
d'escharres. L'alopécie est vieille, elle parait antérieure à la paralysie géné- rale. On s'est aperçu dans le service qu'
E GÉNÉRALE. 189 Certificat immédiat de M. Vallon : « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement intellectuel et physi
ût 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction.
de la parole, habitudes alcooliques. » La mère est morte après une paralysie de dix ans. Syphilis ? Depuis très longtemps B.
mais à un degré moindre. Elle est à l'apogée depuis le début de la paralysie générale. Presque tout le cuir chevelu est dépo
if le 12 janvier 1897. Certificat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation
e 1896, avec ce certificat immédiat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation
s affaiblie. II a une forte alopécie depuis le commencement de la paralysie générale. Elle est disséminée sur tout le cuir
Est TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation
e le juin 1895. Certificat immédiat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfactio
ctobre 1895. M. Vallon rédige le rapport suivant : « Est atteint de paralysie générale. Affaiblissement intellectuel et phy-
xes ne présentent pas seules des troubles trophiques au cours de la paralysie générale : le système locomoteur est sujet auss
n du doigt suffît souvent à briser les côtes sur le cadavre ». La paralysie générale, « dans la plupart des cas, produit un
auteurs. Toute- fois, l'existence des fractures spontanées dans la paralysie générale n'est pas admise d'une façon absolue'p
d'un homme de 43 ans, ancien alcoolique, depuis six mois atteint de paralysie générale. Une première fracture des deux os de
cordons antérieurs. L'association de l'atrophie musculaire et de la paralysie générale trouve son explication dans la nature
nature même de ces lésions. » L'existence de l'amyotrophie dans la paralysie générale ne supportait plus de doute. Depuis, l
Joffroy9, entre autres, émet à plusieurs reprises l'opi- nion de la paralysie générale débutant par « les cellules motrices e
n que par celles du cerveau. ' Shaw. - Des arlhropallties dans la paralysie générale. (A,eh. ol med. o f 11 ew-l-orl,·, 188
ie musculaire dans lapai al. gêner. (Th. de Paris, 1876.) " Bail. Paralysie générale lra ? imatiqzie. (Encéphale, 1888.) 0
s tard, M. Joffi-oyl, dans un article sur les formes spinales de la paralysie générale, pense que les émi- nences thénars son
ppel 1, reprenant la question à propos des symptômes spéciaux de la paralysie générale, conclut que l'amyotrophie peut revêti
scles de la main gauche. ' Joflroy. Sur les formes spinales de la paralysie générale. (Journal de méd. et de chir. pratique
pratiques, 1894, p. 280.) ' Hoche. De l'atrophie musculaire dans la paralysie générale. (Be-liîi. Klii ? . iVoch, 3 septembre
91.) " Hertng. Arch. of Psychiatrie, XXVII, 2, p. 541. ` Klippel. Paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux. (Aclr.
1895, avec le certificat suivant de Ai. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées de satisfaction. Cons- cien
névrite périphérique, elle n'en existe pas moins cependant dans la paralysie générale, et constitue un des principaux troubl
8 décembre 1806 avec ce certificat de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec apathie, indifférence : conscienc
ailleurs nous les avons étudiés seulement à un moment donné de leur paralysie générale. Sans doute, pour donner la statistiqu
ant ces cas douteux, où l'alopécie semble être bien antérieure à la paralysie générale, il nous reste encore le chiffre respe
commentaire. Elle est, sans doute, un des troubles trophiques de la paralysie générale. Elle existe chez l'homme sain, il est
s mains ou des pieds. 3 fois le zona ; dans un cas, il a précédé la paralysie géné- rale. Trois de nos malades ont subi un am
térations DES PETITS vaisseaux DE QUELQUES ORGANES INTERNES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE; pal' ANGIOLELLA (Il Manicomio, anno X
par exception seulement la première. Cela confirme l'opinion que la paralysie générale est essentiellement une maladie, très di
s émise, de la difficulté de résoudre la question étiologique de la paralysie générale par les données anatomiques et c'est u
cas où l'auteur les a rencontrés le plus souvent étaient des cas de paralysie générale, de folie alcoolique, et diverses form
re qu'elle est éloignée du psûchê. P. KERAVAL. LI. Observation DE paralysie générale secondaire (tabétique) avec DÉGÉNÉRESC
mence. Confirmé en 1890. Eu 1804 on constate chez lui des signes de paralysie bulbaire, bientôt suivie d'ataxis locomutrice q
ui va eu s'accusant de plus en plus. A la fin de 1894 il existe une paralysie générale au début, Mort le 16 avril 189. On tro
vomissements, de la constipation, de l'abat- tement, du délire, des paralysies des nerfs crâniens, des attaques épileptiformes
un malade REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 225. qui a présenté de la paralysie des membres supérieurs, portant sur les muscles
onvenablement est due à l'incoordination des mouvements et non à la paralysie ; dans les deux, enfin, le réflexe patellaire est
symétriques pour produire cette hémi- anopsie. A. FEYAYROU. XIX. Paralysie BULLAIRE asthénique descendante avec autopsie (Sy
u'ici aucune lésion anatomique à l'au- topsie de sujets atteints de paralysie bulbaire asthénique ou syn- drome d'Erb. MM.
d'Erb. MM. Widal et Marinesco, ayant observé un malade atteint de paralysie bulbaire asthénique descendante, ont procédé aprè
mais leur nature et leur degré varient. On peut donc admettre que paralysie bulbaire asthénique et polioencéphalomyélite sont
hase para- lytique et n'aboutit qu'au bout d'un certain temps à une paralysie permanente, il n'y a eu dans le cas présent qu'
permanente, il n'y a eu dans le cas présent qu'un seul accès et la paralysie , qui en a été la consénuence, a persisté. Ces deu
ésultat dès le premier accès. ' A. FENaYROU. XXII. LES causes DES paralysies récurrentielles ; par M. M. LARMOYEZ. (Presse m
la physiologie palhologique du nerf récurrent et la pathogénie des paralysies récurrentielles, et for- mule les conclusions s
tic de ces para- lysies : L'opinion classique, d'après laquelle une paralysie du récurrent est toujours incurable, demande à
ande à être revisée. A côté 236 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des paralysies récurrentielles, toujours fonction de lésions mor
d'une affection mortelle. On peut établir trois types principaux de paralysies récurren- tielles : 1° La paralysie récurrenlie
blir trois types principaux de paralysies récurren- tielles : 1° La paralysie récurrenlielle grave, qui mène à la mort, du fa
qui mène à la mort, du fait des lésions qui l'ont déterminée; 2° la paralysie récurreu- tielle incurable, bénigne, simple inf
igne, simple infirmité compatible avec une survie indéfinie ; 30 la paralysie récurrentielle et bénigne qui guérit sans laiss
le traitement des idées fixes elles-mêmes. » - A. FENAYROU. XXIV. Paralysie ascendante aiguë; par MM. Hirtz et LESNÉ. (Pres
mptomato- logie, de l'évolution et de l'anatomie pathologique de la paralysie ascendante aiguë, les auteurs rapportent un cas
ois d'une grossesse, de la parésie, presque aussitôt transformée en paralysie , des membres inférieurs, puis du membre supérie
particularités suivantes : début brusque en état de santé parfaite; paralysie ascendante ne gagnant pas le bulbe; altérations
mentaux, disparition complète de la céphalée et diminu- tion de la paralysie . Cette amélioration alla s'accentuant pendant q
ique d'une lésion organique comme dans la période prodromique do la paralysie générale pro- BIBLIOGRAPHIE. 265 "ressive. C'
atégorie de neurasthéniques, et l'amélioration d'un grand nombre de paralysies et d'atrophies musculaires, il peut être néfast
cellules de l'encéphale; cette dernière hypothèse expliquerait les paralysies (par inhibition) consécutives aux accès convuls
1), médecin des hôpitaux (1859). On lui doit entre autres travaux : Paralysie hystérique (Thèse 4552);-rolie rhumatismale ; S
nvulsions t't dix mois. Glaucome probable et perle de 1'oeil droit. Paralysie du côté droit. Augmentation de la tête vers dix
mois malade avec des accès de délire et une photophobie intense. Ni paralysies , ni contractures. La fin de la grossesse ne fut
nua progressivement, s'atrophia, la vue disparut. En même temps une paralysie presque complète du côté droit se déclarait. M.
e l'insula, de la région occipitale suffisent à rendre compte de la paralysie gauche et des troubles de la vue. L'hydrocéphal
ilis spinale, l'auteur résume la méningite syphilitique spinale, la paralysie spinale syphilitique, la myélite transverse syp
es symptômes cérébraux transi- toires tels que céphalées nocturnes, paralysies des muscles de l'eeil ; une grande variation da
uant la trace d'une première atteinte qui avait guéri. F. B. XLV. Paralysie brachiale DU TYPE D'ERB, chez un enfant DE SEPT A
un trau- matisme qui rendait très difficile le diagnostic entre une paralysie brachiale radiculaire et une forme d'atrophie m
n temps immodéré, présenta au bout de quelque temps des troubles de paralysie brachiale. Il ne présenta aucun accident immédi
ieur présentent leurs mouve- ments normaux. Il n'y a d'ailleurs pas paralysie absolue dans les muscles atteints, mais un fort
érêtclinique parlaprésence des signes s inaccoutumés dans un cas de paralysie bulbaire incontestable. La maladie a débuté à l
uté à l'âge de treize ans par l'affaiblissement de la voix suivi de paralysie du voile du palais; ensuite sont venus : la dif
ticateurs et de ceux de la partie infé- rieure de la face, enfin la paralysie des deux droits externes. Tous ces phénomènes p
e du mollet. E. Margouliès. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 LV. Paralysie hystérique du grand dentelé gauche; par M. BU-
ychologie expérimentale, 1897, septembre, 110 9, p. 656-658). Les paralysies des muscles isolés sont extrêmement rares dans
tte, Traité de l'hystérie, t. II, p. 56), il s'agissait aussi de la paralysie isolée du grand dentelé gauche. Le malade de M.
plate atteinte et de l'épaule gauche). La nature hystérique de la paralysie (malgré la préseuce de l'ac- cident traumatique
e) est fondée par l'auteur : 1° sur la prédomi- nance du côté de la paralysie d'autres accidents hystériques (sensi- tivo-sen
le muscle paralysé; 3° sur l'absence d'atrophie après deux mois de paralysie persistante. E. MARGOULIÈS. LVI. Trismus hyst
Considérée en elle-même, elle ne peut ni dans le tabes, ni dans la paralysie générale, avoir une valeur pathognomonique ; to
s affections. La fréquence à peu près la même dans le tabès et la paralysie générale est un nouvel argument en faveur de l'un
, à l'amerzfia de Meynert ; 4° la paranoïa; 5° les démences ; 6° la paralysie générale ; 7° les folies névrosiques (folie neu
t de vue diagnostique. Dans les autres maladies du système nerveux, paralysie générale, paralysie agi- tante, etc., les éléme
e. Dans les autres maladies du système nerveux, paralysie générale, paralysie agi- tante, etc., les éléments manquent pour mo
insi plus ou moins promptement. 18. Contribution ci l'étude de la paralysie générale aiguë; - par E.-F. Richault. Ce trav
s de para- lysie générale à marche rapide. Il ne s'occupe pas de la paralysie générale des maladies aiguës. 19. Contributio
uës. 19. Contribution à l'étude des rapports de l'hystérie et de la paralysie générale; par J.-V. ROBErjT.. La question des
par J.-V. ROBErjT.. La question des rapports de l'hystérie et de la paralysie générale comprend deux termes : 1° l'associatio
rique venant par bouffées se montrer sur le fond démentiel de la paralysie générale. Par contre, les accidents hystériques s
ont à l'épilepsie. Enfin, l'hystérie peut emprunter le masque de la paralysie générale, et la démasquer est chose parfois diffi
tard « De même que dans l'ordre des mouvements apparents il y a des paralysies , des convul- sions, des contractures, etc., de
tonome des fibres de ces faisceaux; en clinique, l'anesthésie et la paralysie résultent quelquefois d'embolie et de thrombose
ion nerveuse, il ne les expliquerait pas par lui-même. . Dans les paralysies causées par des lésions du cerveau, on voit sou-
es des cornes antérieures persister longtemps en bon état. Dans les paralysies relevant d'une dégénération du faisceau py- ram
l'exagération des réflexes, par la réaction électrique normale. Les paralysies hystériques peuvent guérir après plusieurs années
ents décrits au début de cette observation, à la même cause que les paralysies passagères, l'ischurie, l'anurie, l'aphasie, le
é plus haut, et qu'elle a disparu brusquement au même titre que les paralysies diverses et les troubles aphasiques dont elle a
e : Hémiplégie motrice, hyperesthésie cutanée, anesthésie profonde, paralysie vaso-motrice, exagération des réflexes tendineu
superficielle complète, conservation de la sensibilité profonde. C. Paralysie de la vessie et du rectum. Lemaitre passe en re
moteurs consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier type : .' Paralysie motrice limitée au membre inférieur; troubles sen
lésion : au dessous de la neuvième vertèbre dorsale. Second type : Paralysie motrice et troubles sensitifs remontant au-dessus
se compliquent fréquemment de manifesta- tions en rapport avec une paralysie du grand sympathique cervi- cal et du nerf phré
compression peuvent prédominer sur les symptômes de l'hémisection ( paralysie motrice bilatérale), par suite de la formation
ervations rapportées par l'auteur montrent que dans quelques cas de paralysie de certains muscles le sujet arrive à substitue
paralysé l'action de muscles sains. Dans le premier cas il y avait paralysie complète du muscle del- toïde des deux côtés, m
re obtenue dans des conditions tout à fait opposées, d'abord par la paralysie de ses muscles, ensuite par leur contracture. O
contracture de ces prolongements eux-mêmes qui, mis dans un état de paralysie , produisent le sommeil physiolo- pique. L'aut
Elle se présente avec une allure tellement identique à celle de la paralysie générale de l'adulte, qu'il semble que les obse
s partage cette opinion. M. CHRISTIAV. La première observation de paralysie générale juvénile est plus ancienne que ne le p
que du cerveau qui n'ait pu, à un mo- ment, simuler cliniquement la paralysie générale . La méningite chronique elle-même, qu
ique elle-même, qu'on ^invoque comme lésion caractéris- tique de la paralysie générale, se rencontre dans d'autres formes men
Je ne demande d'ailleurs qu'à être convaincu de l'exis- tence de la paralysie générale juvénile, mais j'estime que cette démo
encore faite. M. A. Voisin. Il y a quarante ans qu'une thèse sur la paralysie générale juvénile a été publiée. On n'invoquait
nce de certains auteurs à vouloir admettre cette pathogénie, car la paralysie générale est inconnue dans les pays musulmans o
hilis est au contraire très répandue. M. BRIA-4D. La rareté de la paralysie générale chez les Arabes peut s'expliquer, sans
des excès, dans la période d'exci- tation. M. Charpentier. Si la paralysie générale était d'origine syphi- litique, les es
yphilitiques. sociétés savantes. 413 Les lésions cérébrales de la paralysie générale étudiées par la méthode de Nissl. M.
gues une série de dessins reproduisant fidèlement les lésions de la paralysie gé- nérale préparées par la méthode de Nissl. C
problèmes relatifs à la succession des lésions, dans le cours de la paralysie générale. S'agit-il tout d'abord d'une encéphalit
t sur ce qu'il pensait autrefois sur l'étiologie syphilitique de la paralysie générale, admet maintenant cette étio- logie co
, quand elles sont bien faites; 2° l'étude étiolo- gique des cas de paralysie féminine ; 3° celle de la paralysie géné- rale
'étude étiolo- gique des cas de paralysie féminine ; 3° celle de la paralysie géné- rale juvénile; 4° les expériences d'inocu
B. Séance du 28 mars 1898.- Présidence DE M. Mueriot. Syphilis el paralysie générale. M. Brunet, répondant à la communicati
Ballet, expose qu'il ne croit pas à l'étiologie syphilitique de la paralysie générale. Sa conviction repose sur cette opinio
a paralysie générale. Sa conviction repose sur cette opinion que la paralysie générale est inconnue chez les Arabes qui serai
à laquelle il ne croyait pas à une relation entre la syphilis et la paralysie générale. Il craint qu'en plaçant la dis- 4'14
dans les deux cas. Il ne s'explique pas pourquoi les lésions de la paralysie générale resteraient cantonnées dans le centre
an, 80 p. 100 des habitants seraient syphilitiques, et cependant la paralysie générale y serait inconnue. L'objection tirée
rolifération nucléaire est la lésion caractéristique du début de la paralysie générale. Il n'employait que l'hématoxyline com
La syphilis ne doit pas, selon lui, être invoquée comme cause de la paralysie générale. S'il n'y avait là qu'une seule et mêm
ttribue la prétention d'avoir dé- crit le premier les lésions de la paralysie générale. Elles ont été découvertes par M.Magna
dire que la syphilis est fréquente chez les musulmans alors que la paralysie générale y SOCIÉTÉS SAVANTES. 415 j est incon
l'argument sans valeur. Il ne suffit pas, en effet, de dire que la paralysie générale est rare dans les pays à syphilis; il fa
ale est rare dans les pays à syphilis; il faudrait démontrer que la paralysie générale existe dans une région où la syphilis
uise certaines lésions ? La syphilis ne conduit pas fatalement à la paralysie générale. Une longue ascendance de cerveaux sur
Je reconnais que le traitement spécifique est inefficace dans la paralysie générale; mais cet argument suffit-il pour élimin
qu'on doute aujourd'hui de l'origine syphilitique du tabès de Erb ( paralysie spasmodique) Et cepen- dant le mercure et l'iod
ant. M. Charpentier. M. Ballet nous demande de lui prouver que la paralysie générale existe dans un pays où la syphilis serai
ays enchan- teur ! ! ! M. ARNAUD. Un médecin avait annoncé que la paralysie géné- rale ne tarderait pas à apparaître pour l
d'y être importée. Quinze ans après on signalait le premier cas de paralysie générale. MM. Ritti et Toulouse constatent qu'à
e galopante de la démence progressive, S. et W. invoquent un cas de paralysie générale à forme galopante, qu'ils ont eu l'oc-
n pouvait nettement distinguer les symptômes caractéristiques de la paralysie générale. Passant à l'évolution de la maladie,
des maladies nerveuses, le 24 novembre 1895, avec des phénomènes de paralysie complète du bras gauche, de parésie du bras droit
la respi- ration et de la déglutition. Au mois de mars survint une paralysie complète des muscles des globes oculaires. Mort
parésie du nerf facial droit, anesthésie du trijumeau du même côté, paralysie des membres du côté droit avec atrophie muscula
de, âgée de quarante-un ans, présentait tous les phéno- mènes de la paralysie de M ? Klumpke, lesquels s'étaient dévelop- pés
s ans et demi, ayant débuté apparemment d'une façon brusque par une paralysie spasmodique des membres du côté gauche avec dim
c et de la jambe droite. Quelques mois plus tard vint s'ajouter une paralysie motrice des membres du côté droit avec diminuti
muscles du tronc semblent complètement paralyses. Il n'y a pas de paralysie du diaphragme. Il y a de l'incontinence de l'urin
rce et l'on sent et voit se durcir le biceps d'une façon normale. Paralysie complète du triceps brachial. L'adduction et l'ab
rapèze se con- tracte bien dans ses diverses portions. En résumé. Paralysie : interosseux et lombricaux, fléchisseurs super
llet, Abbe, Bennett, Cbipault, etc., etc. Au point de vue moteur la paralysie se localisait exactement des deux côtés dans le
ent incomplètement paralysées, mais nous pouvions admettre soit une paralysie incomplète de ces racines, soit, ce que l'on ad
vivant le syndrome de Brown-Se- quard. A aucun moment cependant la paralysie ou les trou- bles de la sensibilité du côté opp
e dans les lésions de l'hémisphère droit. Fréquence plus grande des paralysies fonctionnelles par perturba- tions dynamiques r
le mécanisme, dans le mémoire). P. Keraval. LXXXIX. Observation DE paralysie du tact ; par DUMERS. ' (z\Tettrolord. Centrulb
oubles de la motilité et de la sensibilité com- mune, tandis que la paralysie purement tactile a persisté. - %. P. Kebaval.
g. Centralbl. XVI, 189-1.) Il n'est pas démontré qu'il existe une paralysie faciale unilaté- rale isolée congénitale (atrop
rophie faciale infantile). Voici une obser- vation dans laquelle la paralysie faciale unilatérale datait des pre- miers jours
primitif, cela serait indispensable. Au point de vue clinique, les paralysies faciales unilatérales qui, datant de la premièr
t, à tous égards, présenter le même complexus symptomatique que les paralysies congénitales; on n'a certes pas encore constaté
e, choréique, pendant les rémis- sions de la première période de la paralysie générale. Pour guider les médecins étrangers à
urs. Mais s'il s'agit de pachyméningite hémorrhagique au cours delà paralysie générale, de l'alcoolisme, ou de la syphilis, l
. D'' F. DEVAY. XV. Considérations critiques sur l'étioloflie de la paralysie générale et de la syphilis comme facteur essent
ions, comme le saturnisme et la fièvre typhoïde, dans l'étude de la paralysie générale ; mais ils ne peuvent expliquer BIBLIO
e générale ; mais ils ne peuvent expliquer BIBLIOGRAPHIE. 509 les paralysies générales juvéniles, les paralysies générales con
liquer BIBLIOGRAPHIE. 509 les paralysies générales juvéniles, les paralysies générales conju- gales ni les paralysies généra
s générales juvéniles, les paralysies générales conju- gales ni les paralysies générales produites par un véritable con- tage.
itaire ou acquise, peut être la cause de toutes les modalités de la paralysie générale ; elle peut parfaitement produire les
alysie générale ; elle peut parfaitement produire les lésions de la paralysie générale qui, sou- vent, peut être appelée syph
. n La thérapeutique iodurée et mercurielle est puissante dans la paralysie générale au début, et confirme encore l'étiologie
traitements du goitre exophtalmique. Bodin (Léonce). Essai sur les paralysies ascendantes aiguës. Etude cli- nique et anatomi
et atrophie musculaire dans la syringomyélie. Marion (Abel). De la paralysie vésicale dans le paludisme aigu. Marher (Albert
es hallucinations verbales plisyco-motrices. Martinet (Henri). La paralysie ascendante aiguë (syndrcfme de Landry). Etude lil
el (Josepli-Ptul). Etudes sur les complications de la coque- luche ( paralysie dans la coqueluche).- Moussu (Auguste-Léopold).
e. Nathanson (Josué-G.). Etude critique de la trépanation dans la paralysie générale. Kieonoff (Serge). Contribution à l'élud
ont dus à une lésion limitée (troubles du pouls, de la respiration, paralysies oculaires). Le diagnostic, incertain au début,
ar Itobortson, 161 . Facial Allures électriques du nerf dans la paralysie par compression, par Loewentlial, 51. Fatigue
225. Nécrologie. Mesnet, 269. Ed. Seguin, 424. Neurasthénie et paralysie générale, par Régis, 154. , 'par Her- .man, 3
Becltterew, 215. OSTÉITE déformante de Paget, par L. Lévi, 397. Paralysie bulbaire asthénique, par Kojewnilcoff, 88 ; par
kler, 318. - lystérique du giand dentelé, pr.Bluineilaou, 323. Paralysie générale. Troubles tro- hiques dans la -, par C
par Douetti, 409. Tabès. Maladie mentale associée au autre que la paralysie géné- rale, par Macdonald et D,,tvidson, 147.
6 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
u après une attaque et rappelant tout à fait le trem- blement de la paralysie agitante. M. IIughlings Jackson formulait son o
u entre les tremblements à oscillations lentes, tel que celui de la paralysie agitante, par exemple, et les trem- blements vi
blements vibratoires ou autrement dits à oscillations rapides de la paralysie générale et de la maladie de Basedow. Il ne s'exa
existe entre certaines de ces formes et le tremblement, soit de la paralysie agitante, soit de la sclérose en plaques. Dans
rieur qui rappelle à s'y méprendre l'aspect des malades atteints de paralysie agitante, de sclérose en plaques ou d'une autre
aisemblance, l'explication de ces guéri- sons quasi miraculeuses de paralysies agitantes obtenues par un simple jeu de miroirs
nu que présentent parfois les alcooliques et les sujets atteints de paralysie générale. Mais on n'observe pas toujours cette
rhythmiques analogues à ceux que présentent les sujets atteints de paralysie spas- modique lorsque le phénomène de l'épileps
venons de décrire : ce sont le tremblement alcoolique, celui de la paralysie générale, et surtout le tremblement de la maladie
de Basedow se distinguait des tremblements de l'alcoolisme et de la paralysie générale. Le seul trait de dissemblance qu'il ait
mbre supérieur, tandis que, dans les autres maladies (alcoolisme et paralysie générale), les muscles des doigts sont particuliè
rie, loc. cit. Fie. 21. - Tracé V. Hystérie. FIG. 22. - Tracé VI. Paralysie générale. Fie. 23. Trace VU. \Ial,mlie'Je Based
ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 43 contraire, dans la paralysie générale et l'alcoolisme, on obtient ainsi un t
ments, soit de la maladie de Basedow, soit de l'alcoolisme ou de la paralysie générale. En insistant sur la très grande analogi
ces troubles morbides du corps qui sont causés par les idées. » Les paralysies « on idea » de Russel Reynolds sont aussi' des pa
es. » Les paralysies « on idea » de Russel Reynolds sont aussi' des paralysies suggestives. Enfin ces suggestions et auto-su
ction vrai- ment délirante et je n'cus plus de peine à supprimer la paralysie . Mais laissons de côté ces cas extrêmes où la c
le se révèle avec son luxe habituel de stigmates, ses attaques, ses paralysies ou ses contractures. L'état mental ne se modifi
es cuisses, absolument comme pourrait faire un individu' atteint de paralysie pseudo-hypertrophique dont les muscles sacro- l
aiblesse déjà très marquée de ses membres 'inférieurs se changer en paralysie . « Il avait cette idée-1 : ') en tête ». Tel ét
9). Motilité. - Il n'existe chez cet homme, à proprement parler, ni paralysie ni contracture. Pas traces d'hémispasme glosso-
is on ne peut avoir de renseignements précis sur la nature de cette paralysie . Antécédents personnels. - Rien de bien remarqu
des malades. A part quelques cas de syncope passagère, deux cas de paralysie radiale temporaire par compression, nous n'avon
ua; par contre, la paresthésie se maintint avec opiniâtreté, et les paralysies des muscles de l'oeil, l'atrophie du nerf optique
ent signalées, nous avons observé comme accidents anormaux : 1° une paralysie du bras droit (il y avait MODIFICATIONS DE LA T
SUSPENSION. 131 dans ce cas une atrophie musculaire progressive, la paralysie peut donc à peine être considérée comme une sui
'auteur que nous venons de citer. , Erb admet que tous ces cas de paralysie amyotrophique sont sous la dépendance d'une alt
ns et par leurs causes ». M. Raymond est porté à croire « que les paralysies amyotrophiques en rapport avec une névrite mult
ralysies amyotrophiques en rapport avec une névrite multiple et les paralysies amyotrophiques d'origine manifestement spinale
des polynévrites, l'auteur décrit un type de polynévrite à forme de paralysie générale spinale, mais n'insiste pas sur la paral
te à forme de paralysie générale spinale, mais n'insiste pas sur la paralysie spinale aiguë. Toutefois, Mme Déjerine-KIumpke
ge pas ici le diagnostic de certaines formes de polynévrite avec la paralysie spinale aiguë de l'adulte, et n'ait en vue, sem
sie spinale aiguë de l'adulte, et n'ait en vue, semble-t-il, que la paralysie générale spinale diffuse de Duchenne. Nous ne
travail publié récemment par M. Déjerine3. Cet auteur, étendant aux paralysies spinales en général et à la paralysie spinale ant
e3. Cet auteur, étendant aux paralysies spinales en général et à la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte en particu
particulier, les conclusions formulées autrefois par Leyden sur la paralysie générale spinale de Duchenne, affirme la nature
générale spinale de Duchenne, affirme la nature périphérique de la paralysie spinale aiguë. L'un de nous a combattu cette op
p. 31 ell9. 2. J. Déjerine, De la nature périphérique de certaines paralysies dites spinales aiguës de l'adulte (Archives de
0-1881, p. 387-131). 4. Paul Blocq, De la nature « centrale » de la Paralysie spinale aiguë de l'adulle (Bull. méd., 20 avril
lement les rapports de la polynévrite à forme amyotrophique avec la paralysie générale spinale antérieure aiguë et subaiguë d
inale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte (laissant de côté la paralysie générale spinale diffuse). Il nous a été donné, e
ite qui revêtent jusqu'à un certain point l'appareil clinique de la paralysie spinale aiguë. D'autre part, il importe de main
ace, en réalité, dans la nosographie actuelle, pour deux groupes de paralysies amyotrophiques à symptomatologie et à étiologie
ncerne la nature même de la polynévrite. II La poliomyélite de la paralysie infantile n'est pas actuellement mise en doute,
tile n'est pas actuellement mise en doute, et ce sont les formes de paralysie spinale de l'adulte qui ont été seules discutée
mes de paralysie spinale de l'adulte qui ont été seules discutées : paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, paralysie
seules discutées : paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, paralysie spinale de l'adulte à marche subaiguë ou chroniqu
paralysie spinale de l'adulte à marche subaiguë ou chronique, et paralysie générale spinale antérieure subaiguë. N'ayant pu
gerons volontairement ici. Nous reproduirons d'abord deux cas de paralysie spinale aiguë, qui ne paraissent pas jusqu'à pr
eux observations (d'Immermann et de Leyden), qui se rapportent à la paralysie spinale ascendante aiguë de Landry, plutôt qu'à
t à la paralysie spinale ascendante aiguë de Landry, plutôt qu'à la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte. L'auteur
e, qu'il aurait été moins affirmatif sur l'identité de nature de la paralysie spinale infantile et de la paralysie spinale an
sur l'identité de nature de la paralysie spinale infantile et de la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, si l'hist
au point de vue anatomique. L'existence et la nature spinale de la paralysie aiguë de l'adulte y sont établies et ce fait conf
ration, mais présente cette observation (ainsi que quatre autres de paralysie infantile) à l'appui des idées émises autrefois
ralysés. Pas de douleurs. Tem- pérature : m. 38°, s. 39°. Le 23, la paralysie reste complète. Le 24, le 25, le 26, la tempéra
(six jours après le début), la température redevient nor- male, la paralysie est encore généralisée, mais plus accentuée aux
e jambier antérieur gauche. Sept mois après (août), on constate une paralysie atrophique des muscles de la ceinture scapulair
opinion, l'analogie supposée antérieurement entre les lésions de la paralysie infantile et de la paralysie spinale aiguë de l
antérieurement entre les lésions de la paralysie infantile et de la paralysie spinale aiguë de l'adulte. Dans ces deux cas, i
blesse augmenta graduellement de telle sorte qu'en octobre 1884, la paralysie était assez avancée pour qu'il fût impossible à
s troubles portaient exclusivement sur la motilité. Il existait une paralysie flasque avec atrophie musculaire des quatre membr
musculaires étaient inégalement atteints, mais la répartition de la paralysie n'était conforme à aucun type. Le deltoïde, le
elconque des organes thoraciqucs et abdominaux. Ultérieurement la paralysie progressa et attaqua les muscles encore indemne
uchenne. Ce sagace observateur avait donc raison de soutenir que la paralysie spinale antérieure subaiguë ne différait de la pa
subaiguë ne différait de la para- lysie spinale enfantile et de la paralysie spinale aiguë de l'adulte que par une évolution
eut se présenter dans des conditions assez dif- férentes. Dans la paralysie faciale, par le faitde l'impotence de l'orbiculai
rture palpébrale prend des dimensions exagérées, surtout lorsque la paralysie résulte-d'une section totale du nerf facial. Ce t
section totale du nerf facial. Ce trouble est moins marqué dans la paralysie dite a frigore; il manque dans la 156 NOUVELLE
anque dans la 156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S1L1'1 : TPII : RE. paralysie d'origine centrale, qui pourtant produit plus sou
i pourtant produit plus souvent qu'on ne le dit un certain degré de paralysie de l'orbiculaire. En outre de cette logopllthal
ption à cette règle, et tout récemment j'observais une hystérique à paralysie nocturne avec amnésie verbale permanente, chez
oubles du langage ne sont dus chez les paralytiques généraux à tune paralysie . Ce sont des troubles ataxiques ou spasmodiques.
1, p. 74). Christian, De la nature des troubles musculaires dans la paralysie générale, 1881. - Descourlis, Étal de forces chez
E LA S.1L1'l : 'l'I;II;I,E. ryngiennes et bronchiques; rarement une paralysie de la septième paire, plus souvent une angine d
DE LA SALPÊTRIÈRE DE L'OPIITIIALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE LABIO-GLOSSO-LARYNG1 : E ET A L'ATROPHIE MUSCUL
sur le caractère systématique des lésions. Négligeant à dessein les paralysies musculaires extérieures de l'oeil par tumeurs,
nts de son étendue. Nous avons ainsi réuni bon nombre d'exemples de paralysie bulbaire supérieure isolée ou combinée à la par
d'exemples de paralysie bulbaire supérieure isolée ou combinée à la paralysie bulbaire inférieure et il la poliomyélite. Ce s
et l'expérimentation et donne fréquemment l'occasion d'observer la paralysie des muscles extérieurs de l'oeil avec l'intégri
égie externe non compliquée est devenue pour ainsi dire synonyme de paralysie nucléaire. Sans doute l'ophthalmoplégie externe
onc oculo-moteur à la base du crâne n'expliquerait pas davantage la paralysie exclusive des muscles extérieurs des yeux, à moin
e considérable d'ophthalmoplégies totales purement extérieures ? La paralysie par compression du nerf porte donc presque fata
avec gonflement de la paupière supérieure droite, diplopie, ptosis, paralysie complète de tous les muscles moteurs de l'oeil;
almoplégie s'est développée ici dans les mêmes circonstances que la paralysie faciale périphérique dite rhumatismale. Ainsi que
érique dite rhumatismale. Ainsi que cela se voit parfois dans celle paralysie , il y avait des signes d'une affection périphériq
phérique. Dans ce cas, c'est à la suite d'un coup de fleuret que la paralysie atteignit successivement les différents muscles e
e, présentait tous les symptômes de l'ophthalmo- plégie classique : paralysie à peu près complète de tous les muscles de l'oeil
externe double, sans autres phénomènes en foyer notables, est une paralysie nucléaire; car il n'y a pas moyen d'expliquer aut
nier signe a donc une valeur incontestable pour le diagnostic de la paralysie nucléaire. Est-ce à dire que la participation d
dire que la participation de la musculature interne de l'oeil à la paralysie s'oppose à ce diagnostic ? Evidemment non; la l
ette dernière localisation. Enfin nous ne devons pas oublier que la paralysie oculaire se pré- sente parfois comme véritable
dans son intéressant mémoire sur l'ophthal- moplégie externe et les paralysies des nerfs moteurs bulbaires dans leur rapport a
rassik', l'autre personnel, l'ophthalmoplégie externe combinée à la paralysie du facial et de l'hypoglosse faisait partie du
E LA SALPÊTRIÈRE. Il POLIOENCÉPIALITE SUPÉRIEURE ET INFÉRIEURE. Paralysie bulbaire supérieure avec ébauche de paralysie bul
RIEURE ET INFÉRIEURE. Paralysie bulbaire supérieure avec ébauche de paralysie bulbaire inférieure. - Le noyau du moteur ocula
avec intégrité des mouvements de l'iris et du muscle ciliaire à la paralysie labio-glosso-laryngée. Dans sa leçon sur le suj
oit parfois les deux affections se confondre l'une avec l'autre. La paralysie de la musculature extérieure de l'oeil constitue
lysie de la musculature extérieure de l'oeil constitue une sorte de paralysie bulbaire supérieure comparable à tous égards à
orte de paralysie bulbaire supérieure comparable à tous égards à la paralysie bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lés
ieures. « Je fais allusion ici, dit M. le professseur Charcot, à la paralysie bulbaire inférieure sans participation du faisc
là n'existe ¡;pas et DE L'OPHTIIALMOPLÉGIE EXTERNE. 191 que toute paralysie labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à
s autrefois publiées et qui mettent hors de doute l'existence de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des
'ophthalmoplégie externe est pour le bulbe supé- rieur ce qu'est la paralysie glosso-labio-laryngée pour le bulbe infé- rieur
témoin le cas rapporté par Birdsall2, où l'oeil droit fut frappé de paralysie un an et demi avant l'oeil gauche. Exceptionnelle
ur : chez un malade de Lichtheim, le ptosis précéda de trois ans la paralysie des autres muscles. Une fois l'ophthalmoplégie
192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE. Régulièrement, dans la paralysie oculomotrice isolée, les deux yeux sont dirigés
tte fixité du regard, cette immobilité des yeux sans déviation, une paralysie de toute la muscula- ture extérieure. Souvent l
plus ou moins fortement la tête en arrière; Fait remarquable, la paralysie du releveur de la paupière n'est jamais aussi c
fixité des traits tient ici à une rigidité des muscles et non à une paralysie ; l'oeil est plutôt grand ouvert; les sourcils s
rapide examen permet de se renseigner sur le degré de parésie ou de paralysie des différents muscles extérieurs de l'oeil. Poin
e dans le stra- o 1. Blanc, Le Nerf moteur oculaire commun et ses paralysies . Thèse de Paris, 1886, p. 92. DE L'OPHTUALMOP
images. Il est vrai que d'autres auteurs admettent en pareil cas la paralysie simultanée des muscles antagonistes, ce qui sup
leau symptomatique de l'ophthalmoplégie , externe. De même que la paralysie glosso-labio-Itryngée se complète peu à peu, av
mais très fréquemment le pathétique et l'abducens participent à la paralysie , qui s'étend ainsi à toute la musculature extérie
légie totale (Birdsall)'. Jeune homme de dix-huit ans atteint d'une paralysie totale des droits, des obliques et des releveur
le. Son mé- decin constate une chute légère des deux paupières, une paralysie prononcée du droit externe droit et déjà une ce
très pénible surtout lorsqu'elle se meut. Nous sommes en face d'une paralysie qui a frappé à la fois toutes les paires motric
ENIILE PAHMENTÏER, Interne, médaille d'or des hôpitaux. 1. Gayet, Paralysie totale de tous les muscles moteurs des deux yeux,
. Il semble cepen- dant qu'il s'est agit dans ce cas d'une forme de paralysie spinale subaiguë. Les altérations anatomiques
térations siège il la région dorsale, ce qui explique assez bien la paralysie atro- phique du diaphragme constatée pendant la
e que nous produi- sons, établissent péremptoirement l'existence de paralysies aiguës, subaiguës et chroniques de l'adulte lié
, elle était paralysée de tous les membres, avec prédominance de la paralysie à gauche. Après un séjour de trente-six jours à
e, les quatre membres étaient paralysés. Comme la première fois, la paralysie avait été progressivement et la malade avait vu
ine. Pas d'eschares. Bras gauche beaucoup plus faible que le droit, paralysie des extenseurs plus marquée que des fléchisseur
nie persistante, intelligence intacte, Amaigrissement considérable. Paralysie incomplète des quatre membres, plus marquée à g
riffe ? Côlé gauche ; c'est à peine si elle peut soulever le coude. Paralysie complète du deltoïde et des muscles qui s'insèren
ntractilité bien plus grande ici pour un courant électrique faible. Paralysie du dia- phragme. Dépression épigastrique pendan
de vicieuse des mains s'exagère. C'est le type de la griffe dans la paralysie des interosseux. Très légère flexion du poignet s
on des impressions ther- miques, Ziehl1 cite entre autres un cas de paralysie du sciatique poplité externe avec anesthésie à
e de la Clinique des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE DU MOTEUR OCULAIRE EXTERNE ET DU FACIAL AVEC
près l'apparition de ces nouveaux phénomènes tout à coup survint la paralysie faciale droite. Un matin en se réveillant la ma
aperçut. Pas. d'attaque pendant la nuit précédente. A ce moment la paralysie était plus accentuée qu'elle n'est aujourd'hui, l
l existe de ce côté quelques secousses de trépidation spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la paraly
on spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la paralysie péri- phérique, c'est-à-dire que le muscle orbi
Phototype négatif A LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne & Longuet T PARALYSIE DU FACIAL & DE L'ABDUCENS DU COTÉ DROIT Fig
n secondaire. LECROSNIER & BABÉ éditeurs NOTE SUR UN cvs DE PARALYSIE . 7 primitive et il fit de ce caractère un signe
ntre d'innervation de l'oeil. Les spasmes qui compliquent certaines paralysies de l'aeil semblent t être le propre des paralys
iquent certaines paralysies de l'aeil semblent t être le propre des paralysies périphériques. Est-il possible chez cette jeune
oyer quelconque dans la moitié inférieure de la protubérance. Cette paralysie totale du facial et de l'abducens ne peut guère s
truction du noyau de l'abducens s'accompagne généralement, outre la paralysie du droit externe, d'une paralysie du droit inte
accompagne généralement, outre la paralysie du droit externe, d'une paralysie du droit interne du côté opposé et se caractérise
des fibres communicantes. Il ne s'agit donc pas ici d'une véritable paralysie nucléaire. La lé- sion, qu'on ne saurait cepend
sion, qu'on ne saurait cependant, en raison de la combinaison de la paralysie du facial et de l'abducens, localiser ailleurs qu
0 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE . 229 relevé 11 tubercules, contre 5 sarcomes, 5
énomènes présentés 1\ par notre malade. Elle est atteinte, outre la paralysie du facial et de l'abducens du côté droit, d'une
les lésions de la protubérance, lors- 1 qu'elles s'accompagnent de paralysies du côté des membres, ce qui 1 n'est d'ailleurs
rents. Il a, du côté paternel, un cousin germain qui est atteint de paralysie générale et un autre très violent et très empor
produise à la. longue, comme dans certains cas de contracture ou de paralysie spas- modique', des rétractions fibreuses qui r
onnement du ventre qui peuvent être attribués a un certain degré de paralysie des muscles intestinaux déterminée par le médicam
t été formulé il y a vingt ans par cet observateur était celui de : paralysie spinale aiguë. Il est certain qu'à cette époque,
sait pour ainsi dire. On avait affaire, en effet, à une atteinte de paralysie atrophique généralisée, précédée d'un raptus fé
de paralysie atrophique généralisée, précédée d'un raptus fébrile, paralysie ayant plus ou moins rétrocédé ultérieurement, p
va nous montrer qu'il diffère cliniquement à bien des égards de la paralysie spinale aiguë de Duchenne. Rappelons que cet ém
cette dernière forme sur les bases suivantes : d, Début subit de la paralysie en général avec fièvre, ou quelquefois sans fiè
s convulsions (fièvre ne durant guère que trois à huit jours); 2° Paralysie complète ou en masse au début, allant en diminuan
la camisole, et qui se prolonge huit jours. Au bout de ce temps, la paralysie rétrocède en partie. Cette histoire diffère consi
stoire diffère considé- rablement, comme on le voit, de celle de la paralysie spinale. : De plus, il survient une récidive (c
n, mais ceux-ci sont peu marqués, et ne procèdent pas comme dans la paralysie spinale. Le retrait de l'atrophie ne se fait pa
t là, à aucun point de vue, la symptomatologie ni l'évolution de la paralysie spinale. Après ces signes négatifs en quelque s
osé seul de ces documents, il ressort suffisamment qu'il existe des paralysies amyotrophiques qui présentent la symptoma- tolo
paralysies amyotrophiques qui présentent la symptoma- tologie de la paralysie spinale, aiguë et subaiguë, de Duchenne, et sont
s observations, en conclure à l'abandon de la théorie médullaire de paralysies spinales. Mais ces faits présentent-ils entre e
des extrémités et de la sphère cérébrale. Ce sont, d'une part, des paralysies amyotrophiques et des troubles de la sensibilité,
termine soit par la mort soit parla guérison, ou encore laisse une paralysie amyotrophique stationnaire. Ce dernier trouble
stade de début sous forme d'état général fébrile, du délire, et des paralysies amyotro- phiques ; celles-ci ultérieurement rét
, sous l'influence d'une maladie générale grave, aurait réalisé des paralysies toxiques particulièrement intenses ? Mais cette
it n'est pas isolé. D'autre part, ne voit-on pas, cliniquement, les paralysies psychiques de l'hystérie se compliquer fréquemm
en général sous forme de délire intense plus ou moins prolongé, de paralysies et de convulsions. Etant données alors, d'une p
pond exactement à la maladie décrite par Duchenne sous le nom de paralysie spinale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte.
xer d'une façon certaine les relations qu'affectent entre elles les paralysies amyotro- 1. l'lilial, Revue de médecine, mai 18
, loc. cil., p. 1013. DE L'OPIITHALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGME ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
de Lichtheim complétée par Dufour. L'ophthalmoplégie externe et la paralysie glosso-labio-laryngée de- viennent parfois enva
aux de la protubérance, de manière à se combiner réciproquement. La paralysie 1. Voy. le numéro 5, 1890. 2. Camuset, Union
à chacun des noyaux; elle descend par degré, si bien qu'au début la paralysie bulbaire inférieure qui la complique est à pein
omplique est à peine ébauchée. Voici, pour commencer, un exemple de paralysie du facial supérieur : Ons. V. - Ophthalmoplégie
nerve soient paralysés au même titre que les muscles des yeux. La paralysie du facial inférieur n'est pas très-rare au cours
f, Ro- senstein, Hutchinson, Rosenthal, pour ne citerque les cas de paralysie bulbaire partielle. uns. VI. - Ophthalmoplégi
et un ans. Sans cause connue, sans complication, appa- rition d'une paralysie incomplète de l'oculo-moteur gauche : pupille int
deux mois après les débuts de la paré- sie de l'oculo-moteur droit, paralysie des deux droits externes qui se com- plète en q
ble au malade que ses oreilles sont bouchées. Par moments, sorte de paralysie de l'extension il la main droite. Même état à l
fre de diplopie depuis six se- maines et l'on constate à droite une paralysie complète de la 3° paire avec mydriase et parési
de la piqûre du e ventricule lui permit de porter le diagnostic de paralysie oculaire d'origine nucléaire. Depuis lors, les op
thalmoplégie externe à marche descendante; il ne s'agit plus ici de paralysie du moteur-oculaire commun, mais de paralysie du
ne s'agit plus ici de paralysie du moteur-oculaire commun, mais de paralysie du moteur-oculaire externe et du pathé- tique a
fférents, en son milieu comme en ses deux extrémités. OBs. XII. - Paralysie de la 3° paire droite. Glycosurie.- Paralysie f
trémités. OBs. XII. - Paralysie de la 3° paire droite. Glycosurie.- Paralysie faciale gauche antérieure (Despagnet'). . 1.g
ixante ans, n'a jamais eu la syphilis. En novembre 1879 il a eu une paralysie faciale gauche avec déviation de la bouche et de
c déviation de la bouche et de la langue. On porta le diagnostic de paralysie faciale a frigorie. - Guérison (purgatifs, bains
ix fois par nuit. Nous le voyons le 18 février. Nous constatons une paralysie très prononcée de la 3° paire droite avec ptosi
pas d'ataxie, ni rhumatisme, ni refroidissement ayant pu causer la paralysie . Urine = 4 litres par jour. Densité = 1,038 à -
e sucre par litre. On soumet le malade au régime antidiabétique. La paralysie n'a disparu qu'au bout de trois mois. uns. XI
. La paralysie n'a disparu qu'au bout de trois mois. uns. XIII. - Paralysie du muscle droit externe du côté droit accom- pa
itude décrite si soigneuse- ment par Giraud-Teulon, je reconnus une paralysie du muscle droit externe. L'oeil droit, en effet
e plus denses qu'elle. Plus de doute, la question étiologique de la paralysie du droit externe commençait à s'éclaircir, et j
énomènes urinaires, nous aurions pu errer longtemps et croire à une paralysie rhumatismale ou a frigore sans songer à la ratt
rigoureuse- ment institué nous a donné une amélioration telle de la paralysie , qu'à cette heure elle est corrigée par une pré
elle est corrigée par une présence de trois degrés..Heureusement la paralysie a participé parallèlement à cetle amélioration ai
llèlement à cetle amélioration ainsi que la polydipsie. Ces. XIV. - Paralysie nucléaire de l'abducens et polyurie (Steinheim 1)
he et vomit. Quinze jours après l'accident, l'auteur cons- tate une paralysie complète du moteur externe gauche sans autre lési
tique au plancher du 1° ventricule. Au bout de quatre se- maines la paralysie est en partie guérie, la polyurie a diminué, le s
et irien. La lésion de ces centres se traduit par la parésie ou la paralysie du muscle ciliaire et du muscle constricteur de
appartient à Rosenthal, l'affection commence par la mydriase et la paralysie de l'accommodation. Puis, la lésion saute des c
ente ans fut atteint trois ans après un chancre d'une mydriase avec paralysie de l'accommodation du côté droit. Trois mois aprè
ion des mouve- ments en haut et en bas. Pas de tabes. Ons. XVI. - Paralysie des muscles oculaires de cause centrale (Licli-
ive des paupières supérieures. Présentement, celle malade offre une paralysie bilatérale du moteur oculaire commun, et du 1.
GG). 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. côté gauche une paralysie presque complète du moteur oculaire externe et
naires. Vu l'intégrité des nerfs ciliaires, on ne peut songer à une paralysie péri- phérique d'origine intra-cranienne, à une
nent du moteur oculaire externe, puisque, à gauche, on constate une paralysie de ce nerf. L'origine intra-orbitairc se trouve
. 1889) nous pouvions constater chez J. B... les mêmes symptômes de paralysie ocu- laire décrits huit mois auparavant; l'affe
P11TH1LI01'L1;GIE EXTERNE. 297 Jusqu'ici il n'a été question que de paralysie bulbaire ébauchée; il est temps d'arriver aux c
st temps d'arriver aux cas d'ophthalmoplégie externe accompagnée de paralysie bulbaire complète. Dans cette polioencéphalite to
soit par la partie infé- rieure du champ moteur du 4e ventricule. Paralysie bulbaire totale à début o7ellzcclmolégiqice. Les
niquer. 11 est bien entendu qu'il ne s'agit dans ce chapitre que de paralysie labio-glosso-laryngée se présentant sous une fo
ne pouvait ni siffler ni souffler. Aussi l'auteur conclut-il à une paralysie nucléaire de l'oculo-moteur et de la 6' paire d
ouvements oculaires permel de constater ce qui suit : OEil gauche : paralysie complète des muscles droits supérieur et inférieu
ens sont conservés, et il n'y a aucun symptôme d'ataxie. En résumé, paralysie des deux oculo-moleurs et de la Ge paire droite,
rès son entrée à l'hospice des Quinze-Vingts, le malade est pris de paralysie du pharynx avec anesthésie complète. Les aliments
arition de l'ophthalmoplégie que le malade de Duboys fut atteint de paralysie bulbaire inférieure. Au dire du malade, les acc
ébut des premiers symptômes oculaires. Ons. XIX. Ophthalmoplégie et paralysie bulbaire (de Graefe'). Homme de quarante ans. S
et, à gauche, léger ptosis et parésie du droit interne. En 1863, paralysie de l'oculo-moteur gauche, qui resta plus faible q
été malade. - - Au mois de septembre 1875, elle est atteinte d'une paralysie de la 6e paire droite avec diplopie.. ' Au pr
e), gêne croissante de la parole et bientôt dysphagie. Peu à peu la paralysie labio-glosso-larYI1(Jée s'affirme. La malade ne
des cas semblables émanant de Fôrsler. OBs. XXI. Ophthalmoplégie et paralysie bulbaire (Rosenstein 2). Femme de quarante et u
aupière gauche, mobilité des yeux très affaiblie. Le 18 avril 1878. paralysie du voile du palais; le 30 avril, difficulté de
ux. Réaction pupillaire et accommodation conservées. - Signes de la paralysie de l'hypo- glosse. Acuité visuelle à droite Fo-
particulièrement le plus petit morceau de pain ne peut être avalé. Paralysie faciale évidenle. Le 8 juin, parésie de tous le
mbes. La malade quitte la clinique. (.(Evidemment, elleest morte de paralysie bul- baire progressive peu de temps après. »
essives : la première, phase ophthalmoplégique, pendant laquelle la paralysie de la muscula- ture extérieure des yeux se comp
e début de l'ophthal- moplégie l'invasion bulbaire s'affirme par la paralysie du voile du palais, la difficulté de la parole,
ue. La phase intercalaire peut même faire complètement défaut. La paralysie est totale d'emblée chez le malade d'Etter; mais
ocède au bout de deux mois pour aboutir à la guérison. Ois. XXII. Paralysie bulbaire supérieure et inférieure à marche aigu
hez une jeune fille de vingt-sept ans, jusque-là bien portante, une paralysie en partie partielle, en partie totale des nerfs
ontra une para- lysie presque complète des deux oculo-moteurs, avec paralysie de la pupille et de l'accommodation et ptosis d
iens, il est à remarquer que, le lendemain du début de l'affection ( paralysie de l'accommodation), il existait déjà une grand
359 (Fait 31). 30 ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les paralysies rétrogradent successivement et se dissipent dans
à son sujet. Ons. XX111 (communiquée par MM. Charcot et Troisier). - Paralysie bul- baire totale à début oplatlaalniopléiq2ce.
aires. Le Dl' )lever consulté, constate d'abord « en septembre, une paralysie de la sixième paire gauche, puis en octobre une
mbre, une paralysie de la sixième paire gauche, puis en octobre une paralysie incomplète de la troisième paire droite. Les pu
strabisme divergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la paralysie du moteur oculaire commun du côté droit. Traite
r la première fois par M. Troisier à la fin de sep- tembre 1880. La paralysie de la troisième paire droite n'était pas modifiée
nts. Le 4 novembre, première consultation de M. Charcot. On note la paralysie oculaire. Pas d'autres symptômes. Pupilles peu
actéristique, elle est surtout déterminée par la prédominance de la paralysie sur l'oeil droit. L'accommodation n'est pas alt
niveau des membres. Nous terminerons ici la nomenclature des cas de paralysie bulbaire totale il début ophthalmoplégique. Dan
occuper maintenant, le début se fait au contraire par les signes de paralysie labio-glosso-laryngée. On peut les classer sous l
ysie labio-glosso-laryngée. On peut les classer sous la rubrique de paralysie bulbaire totale à début glossoplégique. Paralys
la rubrique de paralysie bulbaire totale à début glossoplégique. Paralysie bulbaire totale if, début glossoplégique. - La pa
oplégique. Paralysie bulbaire totale if, début glossoplégique. - La paralysie bulbaire inférieure à marche ascendante est le
alysie bulbaire inférieure à marche ascendante est le pendant de la paralysie bulbaire supérieure à marche descendante et peu
ment progressif de l'ouïe. il est tout à fait exceptionnel que la paralysie affecte la partie supé- rieure de la face; néan
u noyau oculo-moteur suivant les autres, nous voilà bien près de la paralysie bulbaire supérieure; nous en avons une ébauche
ns les cas suivants. Romberg, cité par Eulenburg, a vu survenir une paralysie bilatérale 1. Wachsmuth, Ueber progressive bulb
raité des maladies du système nerveux que Hérard a vu deux fois une paralysie unilatérale du moteur oculaire commun apparaître
sie unilatérale du moteur oculaire commun apparaître au cours d'une paralysie glosso-labio-laryngée etBenedikt aurait constaté
e glosso-labio-laryngée etBenedikt aurait constaté dans deux cas de paralysie progressive de tous les nerfs crâniens les même
rard présentait, en même temps que les symp- tômes classiques de la paralysie glosso-labio-laryngée, une chute incom- plète d
che, et de l'affaiblissement de la vue. C'est le premier exemple de paralysie bul- baire inférieure avec ophtlialmoplégie qui
eure avec ophtlialmoplégie qui ait été publié (ol804). Ons. XXIV. - Paralysie labio-glosso-laryngée compliquée de paralysie d
(ol804). Ons. XXIV. - Paralysie labio-glosso-laryngée compliquée de paralysie du moteur oculaire commun chez une femme d'une
vée; la vue diminua notablement, il n'existait pas 1. Hérard, De la paralysie ,losso-labio-laryngée (Soc. méd. des hôpitaux, in
la grippe. L'autopsie n'a pu être faite. Cas. XXV (personnelle). Paralysie bulbaire totale ci début glossoplégique; paraly
V (personnelle). Paralysie bulbaire totale ci début glossoplégique; paralysie faciale; ophthalmoplégie externe. Jeune fille d
mbent. Nasonnement très accentué. Elle ne peut souffler ni siffler. Paralysie faciale supérieure pas absolue. Cependant impossi
iLITl; De l'étude qui précède, il résulte que l'oplithalmoplégie ou paralysie bulbaire supérieure est bien l'analogue de la p
moplégie ou paralysie bulbaire supérieure est bien l'analogue de la paralysie labio-glosso laryngée ou paralysie bulbaire inf
rieure est bien l'analogue de la paralysie labio-glosso laryngée ou paralysie bulbaire inférieure, et que dans les deux cas il
tricule. On peut en dire autant de l'atrophie muscu- laire et de la paralysie labio-glosso-laryngée qui la complique parfois;
ssus si nous n'avions pour nous guider les lésions trouvées dans la paralysie spinale antérieure chronique ou subaiguë et dan
myélites systématiques sont représentées ici par une préparation de paralysie infantile (PI. XLIII). 11 s'agit d'une coupe fait
e nerveux. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T III PL XLI11 PARALYSIE INFANTILE ( RÉGION CERVICALE ) NOUVELLE ICONO
A MOELLE ÉPINIÈRE. 311 EXPLICATION DES PLANCHES Planche .lGlll. - Paralysie infantile ; Région cervicale, a, Corne antérieure
altérée; d, Tractus pie-mérien; e, Vaisseau. Fc. 77. - Schéma do la paralysie infantile. rtc. 78. - Sciérose en plaques. su
uinon et A. Dutil, 1. Moteur oculaire externe (Note sur un cas de paralysie du- et du facial avec atteinte de l'orbiculaire
Eniirz-6, 177. 1 Ophthatmoplégie externe (De l' - combinée à I la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculair
sis nostras, 42. Eruptions bromurées, 40, 41. Facial et abducens ( Paralysie du -), 34. Hystérie masculine (État mental et f
de -), 1, 2, 5; fruste, 3; sco- liose, 4. Myélite diffuse, 51. Paralysie infantile, 43. Pattpte7'etipefteUM(Retractionné
rvan (Schémas de sensibilité dans la ma- ladie de -), 5, 6, 7, 8. Paralysie infantile, 77. z Poliomyélites et polynévrites,
7 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
Nous mettons entre les mains du sujet qui ne présente aucune trace de paralysie soit dans les membres inférieurs, soit dans les m
iologiques dont il s'agit. Telles sont les vésanies de tout genre, la paralysie agitante, l'épilepsie, la chorée, etc., etc., et
urrait, si vous n'êtes pas prévenus, vous mettre dans l'embarras. Une paralysie est venue compliquer la chorée, direz-vous? En ré
ûr, n'y montrerait aucune modification des réactions électriques ; la paralysie s'est développée progressivement, sans fièvre, et
ements choréiques ont précédé dans les membres inertes aujourd'hui la paralysie . Ce n'est donc pas de paralysie infantile spinale
ns les membres inertes aujourd'hui la paralysie. Ce n'est donc pas de paralysie infantile spinale, qu'il s'agit; et immédiatement
rès par le fait d'une maladie organique du cœur. C'est ainsi que la paralysie choréique se termine toujours, autant que je sach
t que je sache. La guérison ici est la règle, même dans les cas où la paralysie est complète et plus ou moins généralisée. La cho
thèse inaugurale du docteur G. Ollive. Cette thèse a pour titre « Des paralysies chez les choréiques » ; elle a été soutenue à Par
lons, vous pouvez vous retirer. Tout cela guérira très bien ; même la paralysie des membres inférieurs. Vous en avez peut-être en
mbre, c'eat-à-dire vingt-trois jours après la leçon du 30 octobre. La paralysie des jambes a disparu depuis une Huitaine de jours
sements, et le lendemain au réveil il y avait dans ce même membre une paralysie très accentuée. Le même jour, le membre supérieur
plégie. Il ne suffirait pas actuellement de parler sommairement d'une paralysie plus ou moins intense, survenue plus ou moins sub
roite ; vous ne considérerez pas cette déviation comme l'indice d'une paralysie du facial inférieur, si vous relevez avec soin l'
eure. C'est, vous l'avez compris, l'hémispasme facial et non pas la paralysie faciale qui est ici en jeu, et cette constatation
issement permanent très prononcé du champ visuel à droite, côté de la paralysie motrice, tandis qu'à gauche, le champ visuel est
gestion à l'état de veille pourra être efficace en ce qui concerne la paralysie , suivant la méthode dont je vous ai donné les règ
on les retrouverait chez les animaux avec tous leurs caractères: — 1° Paralysie motrice complète avec flaccidité du membre inféri
le; —2° Pas d'élévation de température de ce côté ; —3° Pas traces de paralysie motrice, pas d'atrophie, pas d'exagération des ré
és chez notre sujet : A. Côté gauche : 1° Il n'existe plus trace de paralysie motrice dans le membre inférieur. Celle-ci aurait
le avec hémianesthésie croisée. a. Côté anesthésié. b. Côté de la paralysie de mouvement. c. Cicatrice de la plaie. Voilà
Vous n'ignorez pas en effet que dans les cas hystéro-traumatiques les paralysies avec i. Günstige formen von Hemilâsion des Rück
stérique ; 2° Amyotrophie par lésion articulaire ; 3° Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Ca
extension de la jambe, était fort prononcée. C'est évidemment d'une paralysie amyotrophique qu'il s'agissait ici et cette amyot
le âgée de douze ans accompagnée de sa mère ; elle est atteinte d'une paralysie faciale complète du côté gauche (paralysie périph
; elle est atteinte d'une paralysie faciale complète du côté gauche ( paralysie périphérique); l'œil gauche ne peut pas se fermer
périphérique); l'œil gauche ne peut pas se fermer complètement. Cette paralysie date de dix-huit jours, on s'en est aperçu un soi
auche (1). M. Charcot : Vous connaissez nos idées relativement à la paralysie faciale dite a frigore. Souvent l'impression du f
cause occasionnelle. Il ne faut jamais négliger, quand il s'agit de paralysie faciale dite rhumatismale,ainsi que M.Neumannfabi
'en est assez sur ce cas. Voici qu'on nous amène un second exemple de paralysie faciale périphérique, autant que j'en puis juger
tement) : Vingt-huit ans. M. Charcot : Depuis quand avez-vous cette paralysie ? Le malade : Depuis onze jours. M. Charcot :
n. J'avais •dormi comme de coutume. M. Charcot : Le pronostic de la paralysie , comme durée, ne pourra être fourni, vous le save
de M. Neumann : De la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale dite « « frigore » (Union médicale, 15 no
le précédent, vient confirmer nos idées relatives à l'étiologie de la paralysie faciale dite à frigore. Mais pénétrons plus avant
uditeurs) : Eh bien, Messieurs, qu'en pensez-vous ? Voilà deux cas de paralysie faciale périphérique pris au hasard ; ne sont-ils
rdi 20 Novembre 1888 CINQUIÈME LEÇON 1er Malade. — Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégie alcoolique, attaque
e alcoolique, attaques hystéro-épileptiques. 2°, 3e, et 4e Malades. — Paralysie faciale périphérique. 1er Malade. I Messieurs
-ci sont flasques dans l'articulation tibio-tarsienne par suite de la paralysie des extenseurs et il en résulte que, en retombant
out à l'heure, les gens qui marchent en steppant ont généralement une paralysie plus ou moins prononcée des extenseurs des pieds,
Chez notre homme vous constatez aisément, lorsqu'il est assis, cette paralysie et vous remarquez qu'elle est absolue à gauche, t
l'intoxication saturnine, bien qu'il y soit un fait exceptionnel, la paralysie en pareil cas portant principalement et dans la r
les troubles de sensibilité, se retrouvent au plus haut degré dans la paralysie alcoolique qui peut être considérée comme un type
sé qui précède ne vient directement à rencontre cle l'hypothèse d'une paralysie alcoolique. Toutefois, pour bien apprécier la sit
st devenue à un moment donné permanente. Les premiers symptômes de la paralysie actuelle paraissent remonter à sept ou huit ans.
r cliniquement, dans les conditions où nous sommes, l'existence de la paralysie alcoolique. Pour ne pas entrer à propos des car
ur ne pas entrer à propos des caractères cliniques de cette espèce de paralysie , dans une description en règle, je vous prierai d
à nouveau, sans s'accompagner, cependant, comme dans le temps, d'une paralysie complète ; et, par l'accumulation de toutes ces c
qu'il a été frappé de très bonne heure, vers l'âge de dix mois, d'une paralysie spinale infantile de forme paraplégique développé
de forme paraplégique développée à la suite de « convulsions ». Cette paralysie a été la cause que de tous temps à partir de l'âg
ombait fréquemment à terre sur les genoux. » Aux reliquats de cette paralysie infantile sont donc venus se surajouter les phéno
e, on peut, si je ne me trompe, à côté des lésions qui relèvent de la paralysie alcoolique, discerner celles qui constituent les
croyons devoir rattacher, en particulier, l'inégale répartition de la paralysie et de l'atrophie dôgénérative des muscles des mem
ale répartition des affections musculaires est chose vulgaire dans la paralysie infantile, tandis que, dans la paralysie alcooliq
s est chose vulgaire dans la paralysie infantile, tandis que, dans la paralysie alcoolique, ces lésions sont à peu près uniformém
périphérique alcoolique. Etant donné donc l'existence passée d'une paralysie infantile spinale dont les vestiges sont encorepa
une opinion que je professe depuis longtemps : c'est à savoir que la paralysie infantile spinale serait, au même titre que l'ata
infantile spinale serait, au même titre que l'ataxie locomotrice, la paralysie générale, i'épilepsie, l'hystérie, etc., un membr
sait que lui aussi a eu des « convulsions » et qu'il a été frappé de paralysie infantile. Nous avons mentionné déjà que l'une
alcoolisme du père retentir sur lui septième enfant, sous la forme de paralysie infantile spinale, alors que six de ses frères et
des successives : l'une, la première, marquée par la production de la paralysie spinale infantile ; l'autre, la seconde en date,
ire. L'alcoolisme du père a retenti sur le fils sous la forme de la paralysie infantile spinale. Les abus du fils, dont le père
hui est ici l'affection dominante vraiment active ; les lésions de la paralysie infantile spinale, aggravées un moment par celles
Hélas, pauvre « Don Juan » ! 2e Malade Trois malades atteints de paralysie faciale périphérique sont introduits. M. Charco
n dernier (Voir Leçons du mardi, 1887-88, p. 463) comme un exemple de paralysie faciale douloureuse. En effet, le dimanche 3 juin
œil droit complètement. Le lendemain la bouche était de travers et la paralysie faciale était absolue. L'application du froid dan
oid dans ce cas paraît avoir contribué à provoquer l'apparition de la paralysie ; mais on pouvait recueillir dans les antécédents
tre développées presque en même temps, peut-être en même temps que la paralysie et elles n'ont pas survécu longtemps à son début;
on début; d'après cela, conformément aux conclusions de M. Testaz, la paralysie devrait être considérée comme bénigne, facilement
é des cas que la classification établie par M. le professeur Erb, des paralysies faciales en forme légère, moyenne, et grave, clas
blié par Y Union médicale (15 novembre 1888). On peut voir des cas de paralysie faciale qui, paraissant, au point de vue des réac
r un pronostic grave, guérissent cependant rapidement, tandis que des paralysies dites bénignes, d'après les réactions électriques
çon avec l'intensité et la durée de la maladie ; et nous avons vu des paralysies faciales, ne s'accompagnant d'aucun changement da
e plus qu'il reste encore quelque chose à faire sur ce chapitre de la paralysie faciale qu'on pourrait croire à peu près complète
omplètement épuisé. 3e et 4e Malades Il s'agit ici de deux cas de paralysie faciale périphérique de date récente. Le premie
ête et en même temps de douleurs derrière l'oreille du côté droit. La paralysie faciale a paru deux jours après. Impossibilité de
nerveuse. Le second malade, âgé de 18 ans. est également atteint de paralysie faciale depuis une huitaine de jours; c'est de la
ans la famille ou chez le sujet lui-même est restée sans résultat. La paralysie est très accentuée dans tout le côté gauche de la
sans exception ; ainsi dans l'hystérie, dans le mal comitial, dans la paralysie agitante, dans la maladie de Basedowe dans les vé
mbre supérieur gauche ; de ce côté, il n'y a pas, à proprement parler paralysie mais seulement parésie. Le dynamomètre pressé p
nts, fort remarquable assurément, et qui paraît appartenir aux seules paralysies hystériques ; non pas qu'on le rencontre, bien en
ains chez un employé de chemin de fer âgé de 56 ans. 4° Deux cas de paralysie infantile spinale présentant quelques anomalies.
chock nerveux ressenti dans; un accident de chemin de fer. À savoir : paralysie agitante, épilepsie, vésanie, sclérose en plaques
n désigne assez vulgairement, d'après Duchene de Boulogne, clu nom de paralysie spinale de l'enfance (1). Immédiatement, ceux d'e
s et l'autre a atteint sa vingtième année ; vous n'ignorez pas que la paralysie infantile, comme on l'appelle encore sans autre a
au préalable un aperçu sommaire de l'histoire symptomatologique de la paralysie infantile considérée dans sa forme classique. Je
ystème nerveux, t. II, p. 163,— oette leçon date de juillet 1870), la paralysie infantile peut être considérée, pour le commençan
ntre dans la moelle épinière, chez les sujets qui ont été atteints de paralysie infantile spinale peuvent se montrer étroitement
tionnels qui constituent à proprement parler la symptomatologie de la paralysie infantile spinale. Au processus morbide qui rap
es des cornes antérieures et en détruit un certain nombre, répond une paralysie motrice plus ou moins complète du membre ou des m
ttachés anatomique-ihent et physiologiquement au foyer spinal ; Cette paralysie est souvent dès l'origine absolue, complète, marq
s de Brown-Sequard et autres, et confirmé par l'histoire même de la paralysie infantile. Pas de troubles vésicaux, du moins dan
ogressivement à l'état normal. Sur les membres qui ont été frappés de paralysie il en est un ou deux qui se dégagent en grande pa
Kennedy, celle de Frey comme des exemples fort rares du reste, d'une paralysie infantile spinale terminée par une vraie guérison
compte, d'observer dans le temps un fait de ce genre, dans lequel la paralysie absolue, complète de l'un des membres inférieurs,
sser de traces. N'allez donc pas constamment, en présence d'un cas de paralysie spinale infantile,annoncer la perte totale et néc
s ne sont pas à craindre, cependant il ne faut jamais oublier qu'à la paralysie infantile de date ancienne correspond nécessairem
it que quelquefois chez des sujets devenus infirmes par le fait de la paralysie infantile, on voit plus ou moins tardivement se d
peler les grands traits de l'évolution normale, si vous voulez, de la paralysie infantile considérée dans son type vulgaire, j'en
onduit par l'étude des antécédents héréditaires des sujets frappés de paralysie infantile, à penser que la maladie dont il s'agit
alytique général (Voir le tableau ci-dessous) : Grand-père paternel Paralysie générale progressive Père Sain Mère Saine D
ssive Père Sain Mère Saine Deux enfants : 1° Pille frappée de paralysie infantile à l'âge de 18 mois. 2° Pille frappée
ppée de paralysie infantile à l'âge de 18 mois. 2° Pille frappée de paralysie infantile à l'âge de 3 ans 1/2. 1. L'hérédité d
886, p. 204. Je relèverai à ce propos que plusieurs fois j'ai vu la paralysie générale progressive survenir chez des sujets qui
e survenir chez des sujets qui dans l'enfance avaient été atteints de paralysie infantile. Le cas auquel est relative la figure 5
précisément un exemple de ce genre. Un second tableau montrerait la paralysie infantile survenant chez le descendant d'une gran
e occupant les gros orteils). Un fils frappé à l'âge de 4 ans d'une paralysie infantile spinale typique. Ces faits tendent év
pinale typique. Ces faits tendent évidemment à faire reconnaître la paralysie infantile comme une maladie d'hérédité nerveuse.
ical (janvier 1888), M. le Dr Cordier publiait treize observations de paralysie infantile développée dans l'espace de deux mois s
une population qui ne dépasse pas 1.500 âmes. De là à conclure que la paralysie infantile est une maladie infectieuse, peut-être
Fig. 33. — Coupe de la moelle à la région cervicale dans vin cas de paralysie infantile du membre supérieur droit. — Pièce recu
ur droit. — Pièce recueillie à la Salpêtrière chez une femme morte de paralysie générale à l'âge de 50 ans. sans quelque réserv
e, car en somme cette très curieuse histoire d'une petite épidémie de paralysie spinale infantile, constitue encore, à l'heure qu
L'enfant a une sœur morte en Las âge qui était née avec une sorte de paralysie d'un des membres supérieurs, probablement d'une p
ne sorte de paralysie d'un des membres supérieurs, probablement d'une paralysie obstétricale. Lui, n'avait jamais été malade et
règle, en effet, ainsi que je le faisais remarquer en commençant, la paralysie infantile paraît évoluer sans s'accompagner de ph
es douleurs qui précèdent quelquefois de quelques jours le début delà paralysie ,et quipersistent parfois cinq ou six mois après,
ce n'est toutefois sur un point que jt relèverai tout à l'heure. La paralysie , à l'origine, ainsi qu'on l'a dit, était complète
n peu de fièvre et se coucha. Le lendemain, au réveil, on constate la paralysie complète du membre inférieur gauche dans sa total
e jour, la fièvre paraît-il était tombée et néanmoins, ce jour-là, la paralysie s'est étendue au membre supérieur droit. Aucune t
mbre supérieur droit. Aucune trace de douleurs. Mais, par contre, une paralysie vésicale dont il n'existe plus la moindre trace s
e vous le savez et qui paraît être relativement moins rare lorsque la paralysie spinale frappe les adultes. La période de rétro
es nous a donc conduit 1. Il existe en outre, chez cette malade une paralysie conjuguée des muscles oculaires dans les mouvemen
stérie a. Appareil moteur de l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralysie par lésion d'un nerf moteur de l'-ml (noyau bulba
nêrf périphérique). Diplo-pie consécutive. Sclérose en plaques : 1° Paralysies dans les mouvements associés des yeux, nécessaire
pie spéciale consécutive. 2° Nystagmus. Hystérie : 1° Quelquefois paralysies associées. 2° Spasmes des paupières. 3° Diplo
La diplopie, dans l'ataxie est, dans la règle, la conséquence de la paralysie d'un des muscles moteurs de l'œil; dans la scléro
ans la sclérose en plaques, au contraire, elle est surtout liée à une paralysie des mouvements associés des deux yeux. Une diplop
des fois parlé des choréesmolles et je vous ai fait remarquer que la paralysie véritablement choréique ne paraît pas avoir de gr
ce qu'il disait. M. Charcot. — S'est-il agi là d'une combinaisou de paralysie générale progressive avec l'ataxie? C'est on ne p
u'après l'ouverture d'un abcès par congestion dans le mal de Pott, la paralysie des membres inférieurs qui existait auparavant di
vations dans lesquelles, après avoir duré une ou plusieurs années, la paralysie par mal de Pott a guéri cependant sans laisser d'
quer, constitue un des caractères cliniques les plus intéressants des paralysies hystéro-traumatiques en particulier, et en généra
des paralysies hystéro-traumatiques en particulier, et en général des paralysies hystériques psychiques. S'agit-il donc chez notre
emple de ce qui a lieu dans les cas où il s'agit de la production des paralysies hystéro-traumatiques en conséquence d'un choc loc
téristiques en pareil cas, de façon à reproduire le type univoque des paralysies hystéro-psychiques. Pour ce qui est de la paral
e univoque des paralysies hystéro-psychiques. Pour ce qui est de la paralysie des membres supérieurs, qui se présente comme l'o
u haut d'un échafaudage ; l'hystérie à part, il en avait été 1. Des paralysies hyste'ro-traumaliques chez Vhomme, Semaine médica
), âgé de 41 ans. Pas de syphilis. Un oncle paternel a été atteint de paralysie générale progressive. Début en 1887 par de l'impu
s est plutôt à considérer : ainsi,les symptômes céphaliques, tels que paralysies oculaires, phénomènes laryngés, ou encore les cri
Enfin, dans un cinquième cas, est survenu à la suite d'une séance une paralysie radiale évidemment déterminée par la compression.
une paralysie radiale évidemment déterminée par la compression.Cette paralysie a disparu très rapidement. Nous devons noter en
rs du tabès, la suspension a été appliquée à huit sujets atteints cle paralysie spasmodique, à trois sujets affectés de la maladi
is sujets affectés de la maladie de Friedreich, enfin à quatre cas de paralysie agitante (maladie cle Parkinson). Aucun des mal
ions n'a pas dépassé encore six séances. Par contre dans les cas de paralysie agitante,— nous relevons en passant qu'il s'est a
tite goutteuse; invasion soudaine du vertige ab aure lœsa : diplopie, paralysie faciale transitoire. Le vertige s'établit à Tétat
est bien certainement de cela qu'il s'agit, — s'est accompagnée d'une paralysie du nerf facial gauche, offrant tous les caractère
ne paralysie du nerf facial gauche, offrant tous les caractères de la paralysie périphérique classique dite rhumatismale ; cette
ères de la paralysie périphérique classique dite rhumatismale ; cette paralysie a cédé d'elle-même au bout d'une huitaine de jour
introduite dans la science par M» Neumann, notion d'après laquelle la paralysie de ce genre est souvent une maladie d'hérédité'
squ'à prétendre, bien entendu, ni M. Neumannnon plus je pense, que la paralysie faciale périphérique n'est jamais une affection t
as, personne n'ignore que, dans un groupe de faits assez nombreux, la paralysie faciale périphérique est, purement et simplement,
n'est pas difficile de comprendre anatomiquement la production d'une paralysie faciale en conséquence d'une otite moyenne : on s
e dire que telle a été, suivant nous, la raison de l'apparition d'une paralysie faciale transitoire chez notre homme dans les cir
eille gauche et des bourdonnements presque constants ont survécu à la paralysie faciale qui du reste, ainsi que nous l'avons fait
ar moments laquelle n'a pas reparu depuis, et aussi l'existence d'une paralysie faciale en tout semblable à celle qui s'était pro
des premiers symptômes d'obnubilation auditive. Cette fois encore, la paralysie a été absolument transitoire ; sa durée n'a pas d
es ne lui appartiennent pas en propre, la diplopie à répétition et la paralysie faciale transitoire signalées tout à l'heure, ne
peut-être, non encore suffisamment remarqué. Pour ce qui est de la paralysie faciale, nous avons dit plus haut quel a dû être
qu'en se propageant au canal de Fallope l'inflammation a déterminé la paralysie . La coexistence, d'ailleurs, d'une paralysie faci
lammation a déterminé la paralysie. La coexistence, d'ailleurs, d'une paralysie faciale périphérique avec une otite accompagnée d
e, et l'occlusion du méat gauche ne le mobilise pas. Le vertige et la paralysie faciale reconnaissent la même cause, à savoir l'o
udaine, dans laquelle on voit se reproduire, à part la diplopie et la paralysie faciale, tous les phénomènes signalés, lors du
c'est, on peut le dire, avec le tremblement alcoolique et celui de la paralysie générale progressive, un de ceux dont les oscilla
ercuriel qui s'en rapproche beaucoup en donne seulement 5, 6 ou 7, la paralysie agitante en donnant, elle, de 3 à 6 seulement dan
Ajoutons que vis-à-vis du tremblement alcoolique et de celui de la paralysie générale progressive, le tremblement de la maladi
globes oculaires, fait reconnaître l'existence d'un certain degré de paralysie de la convergence accompagné de diplopie, symptôm
est dit qu'il y a 3 ans, il a existé pendant 10 mois une diplopie par paralysie des droits externes pour laquelle elle a été trai
défaut, il existe par contre encore de la diplopie homonyme due à une paralysie incomplète de la 6e paire à droite. Enfin depuis
asion de relever, vous ne l'avez pas oublié, dans notre étude sur les paralysies psychiques et qui ici contribueront à fixer le di
mptomes neurasthéniques stigmates hystériques «tifs et sensoriels paralysies hystériques attaques ou équivalentes d'attaqu
s tabétiques avec vomissements noirs. 2e Cas. — Chez un israélite : paralysie et contracture hystériques développées à la suite
d'autres fois enfin,la maladie au bout de trois ans a abouti à une « paralysie (?) des membres inférieurs », etc., etc.,de telle
axie sont chose curable ; il en est de même des crises laryngées, des paralysies des muscles moteurs de l'œil, des crises vesicale
de la raucité de la voix et aussi du cornage. Il existe en effet une paralysie incomplète de la corde vocale gauche, ou autremen
vant moi, rapprochent étroitement notre cas, des exemples nombreux de paralysies hystéro-traumatiques, avec ou sans accompagnement
réflexe psychique, à la production dans les membres intéressés, de la paralysie et de la contracture, et celles-ci ont revêtu, ai
en pareille circonstance, tous les caractères des contractures et des paralysies hystériques. 1. 11 est à remarquer que dans ce
fait une intéressante étude dans sa thèse d'agrégation, et enfin des paralysies périphériques dont nous devons la depcription aux
point de vue clinique, particulièrement intéressante à consulter. Les paralysies en question sont, tantôt des monoplégies, comme c
avait lieu dans l'observation de M. Rendu. Ce sont, en tout cas, des paralysies avec flaccidité, accompagnées de gonflement, d'em
ophiques encore. On s'accorde assez généralement à faire dépendre ces paralysies et les troubles trophiques concomitants de l'exis
ue survenir inopinément de l'apathie, de l'embarras de la parole, des paralysies motrices des membres avec ou sans contracture; pl
toxication par l'oxyde de carbone au même titre que les amnésies, les paralysies par névrite périphérique, ou les ramollissements
nifestation de la névrose chez un sujet prédisposé. Les amnésies, les paralysies en question, méritent véritablement, par conséque
s avons bien des fois invoqué pour expliquer le développement de ces « paralysies psychiques »,« dépendent on Idea» comme les appel
tent à quatre ou cinq mois. C'est en raison de l'existence de cette paralysie , dont je veux vous laisser le soin de faire vous-
mOdique, l'absence de réflexes rotuliens et du phénomène du pied ; la paralysie affectant d'une façon prédominante les extenseurs
ensemble suffisent, en grande partie, pour caractériser une classe de paralysies , relevant, ainsi que certaines études récentes te
classe dans laquelle, en tout eas, le premier rang est occupé par les paralysies toxiques. Mais examinonsles choses plus attenti
ons fibro-tendineuses, désignent particulièrement, dans la classe des paralysies par névrites périphériques, celles qui relèvent d
sur le rôle important que jouent ces rétractions dans la clinique des paralysies alcooliques, dans une leçon que le Bulletin médic
mener des déviations et de nécessiter à un moment donné, — lorsque la paralysie est guérie, — une intervention chirurgicale, peuv
? On sait que certaines rétractions fibreuses indépendantes de toute paralysie , comme la rétraction de l'aponévrose palmaire, pa
te même leçon, j'attribuais à la rétraction fibro-tendineuse dans les paralysies alcooliques. La rétraction en question, disais-
re aux paraplégies spasmodiques: elle peut se montrer encore dans des paralysies où la déformation ne dépend pas d'une contracture
pas d'une contracture spasmodique des muscles ; tel est le cas de la paralysie alcoolique. H y a dans ces cas-là, vraisemblablem
e chute du pied, analogue à la chute du poignet qu'on observe dans la paralysie saturnine ; rien ne retient la flexion du pied, q
J'ai obsené deux cas de ce genre dans lesquels, après gué-rison de la paralysie , l'intervention chirurgicale, entre les mains de
,ainsi qu'on l'a vu, ne sont pas un fait absolument constant dans les paralysies alcooliques, elles y sont cependant un fait très
nt pas autre part au même degré, de telle sorte que, quand dans une paralysie présentant d'ailleurs les caractères que nous avo
marquons en passant que la présence fréquente des rétractions dans la paralysie alcoolique, n'est pas chose faite pour surprendre
ent des membres in.'érieurs observé par M. Lancereaux, dans un cas de paralysie alcoolique. Dans ce cas, il y avait flexion de la
liqués sur les muscles postérieurs de la cuisse. Voir : Brissaud, Des paralysies toxiques, thèse d'agrég. Paris, 1886, p. 25. pe
ns de relever, nous avons de quoi compléter le tableau clinique de la paralysie alcoolique. C'est bien d'elle qu'il s'agit décidé
'il s'agit décidément dans notre cas; je ne crois pas qu'il existe de paralysies autres que celle-là dans lesquelles on retrouve c
vous attendre à rencontrer fréquement chez les individus atteints de paralysie alcoolique. Il enest demêmedes Vêves particuliers
je vous ai raconté souvent l'histoire d'un cas dans lequel j'ai vu la paralysie alcoolique chez un « gentleman » guérir trois foi
se suicidant. A part la question des récidives, le pronostic de la paralysie alcoolique d'après ce qui a été dit vous paraîtra
vous sachiez cependant que, de temps à autre, on rencontre des cas de paralysie alcoolique se présentant absolument avec toutes l
l).Deux fois j'ai assisté,nonpas impassible, je vous 1. Voir sur la paralysie alcoolique, la Leçon du mardi G mars 1688. prie
chose d'imprévu. En général,en effet c'est du côté où se montrent la paralysie motrice et les troubles de la sensibilité que siè
jambe gauche, 34 cc. 2. Babinski. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. Arcb. de Neurologie vol. II, juillet
ge de 34 ans chez un homme qui à l'âge de 2 ans, avait été atteint de paralysie spinale infantile. 2° Chez un homme de 24 ans :
ve, développée chez un sujet qui, dans l'enfance, avait été frappé de paralysie spinale aiguë, affection dont il porte encore les
obligé d'abandonner il y a 3 ans. Malgré l'infirmité produite par la paralysie infantile, laquelle gène l'action des membres inf
t-il, assez fatiguant. 55 Voici ce qu'il raconte concernant cette paralysie d'enfance dont il sera question plus d'une fois e
aveur de la thèse que je soutiens depuis longtemps, à savoir : que la paralysie spinale infantile est moins une maladie accidente
sieurs, la situation d'un sujet chez lequel, comme c'est la règle, la paralysie infantile a laissé subsister après elle, pour tou
ilité osseuse sur ce membre supérieur droit qui, un instant frappé de paralysie complète, s'était cependant, dans la période de r
ère ? Cela certes, n'est pas aussi démontré. On sait bien que dans la paralysie spinale aiguë de l'enfance il n'y a pas, à propre
ion sérieuse. Mais voilà qu'il y a 4 ans, 34 ans après l'époque où la paralysie spinale infantile a cessé d'évoluer, sans qu'une
s auparavant, après avoir été un moment sérieusement impliqué dans la paralysie infantile, s'était à peu près complètement dégagé
ble qu'aux membres inférieurs présentent les jambes par le fait de la paralysie d'enfance ; il semble que les masses musculaires
, je le répète, reproduit en quelque sorte dans le mode chronique, la paralysie spinale infantile, est relativement fort simple.
ues (1). Autrefois je n'avais à citer, comme exemple du genre, que la paralysie dite pseudo-hypertrophique, laquelle peut évoluer
ce groupe, je citerai seulement à titre « d'exemple, la maladie dite paralysie pseudo-hypertrophique... Je me propose de montrer
roupe. Celui-ci, en effet, doit embrasser aujourd'hui, en outre de la paralysie myosclérosique de Duchenne, non pas comme espèces
s individus qui dix, quinze, vingt ans auparavant ont été atteints de paralysie infantile spinale, ne sont pas tout à fait rares
amille. Plus haut je vous ai dit, et je maintiens l'assertion, que la paralysie atrophique infantile ne récidive point, à proprem
ronique s'est fait dix, quinze, vingt ans après l'époque où a sévi la paralysie de l'enfance. Le plus souvent, ce sont les membre
nt répandue, les individus qui ont subi autrefois les atteintes de la paralysie infantile spinale, ne sont pas pour cela à l'abri
ituelles, les plus classiques, si l'on peut ainsi parler, ont avec la paralysie infantile un trait commun : c'est que, comme dans
et, E. Thomas. De l'atrophie musculaire progressive, consécutive à la paralysie infantile, Thèse de Genève 1886. — Sattler. Contr
rendre à son tour lentement et s'atrophier. Dans ces observations, la paralysie atrophique de nouvelle formation est restée local
les cellules ganglionnaires est le point de départ des lésions de la paralysie infantile spinale. (Nord. med. Arkiv. Stockholm 1
on a signalé des troubles nerveux divers et plus particulièrement des paralysies . Dans l'espèce, celles-ci ne sont point très rare
énins et de courte durée, parmi lesquels figurent au premier rang les paralysies . Mais quels sont exactement les caractères cliniq
aralysies. Mais quels sont exactement les caractères cliniques de ces paralysies des foudroyés ou kerauno-paralysies, comme vous v
nt-elles au contraire, tout simplement, dans les cadres vulgaires des paralysies traumatiques ? C'est ce qu'on ne saurait encore d
che, la chute, puis la perte de conscience qui ont suivi, et enfin la paralysie de ce membre constatée lors du réveil ?Tout cela
puissants, si je ne me trompe, doit être tiré de la description de la paralysie produite chez lui, autant qu'on en peut juger, au
r tous les points avec ceux qu'on assigne, ajuste titre je crois, aux paralysies déterminées par la fulguration dans des circonsta
le de vous présenter maintenant, relativement à ce qu'on sait sur les paralysies des foudroyés. Vous n'ignorez pas que ces paralys
'on sait sur les paralysies des foudroyés. Vous n'ignorez pas que ces paralysies peuvent être jusqu'à un certain point reproduites
la fulguration partielle ; c'est dans ce dernier cas surtout que les paralysies kerauno-expérimentales ont été étudiées. Que le c
gé sur un membre dans le sens de la longueur ou transversalement, les paralysies produites immédiatement après le choc, sont marqu
la sensibilité à savoir : anesthésie cutanée et profonde ; 2° par des paralysies motrices plus ou moins prononcées, avec diminutio
ion temporaire de l'excitabilité électrique. Un des caractères de ces paralysies , c'est que, quoi qu'on fasse, elles ne sont pas d
n nombre de caractères cliniques qui paraissent propres à ce genre de paralysies . Il suffit, pour s'en convaincre, d'étudier avec
ement groupées, dans l'intéressante monographie de Sestier (4). Ces paralysies d'ailleurs, dans l'espèce, paraissent être un fai
le choc, ou bien dès le réveil, s'il y a eu perte de connaissance, la paralysie existe, complète ou incomplète suivant les cas.
es p. ¿-'03, et Sestier, Passim. 4. Loc. cit. . II, p. 112; art. 3. Paralysie des foudroyés. de ce genre. On n'y voit pas, mê
les plus intenses, et alors qu'il s'agit d'une forme paraplégique, de paralysie de la vessie et du rectum, non plus que des escha
u près toujours, ainsi que l'indiquent encore d'autres caractères, de paralysies périphériques. Leur siège et leur étendue sont
a hémiplégie gauche plus ou moins complète. Mais il est des cas où la paralysie s'étend bien au-delà du point frappé par la foudr
un homme qui portait une toute petite plaie sur la cuisse gauche, la paralysie s'étendait à tout le membre inférieur gauche ; el
érieurs sous forme paraplégique, dans un cas du même genre. Enfin, la paralysie affecte quelquefois des individus qui sans avoir
e frappa de mort une vieille dame et sa nièce, à Borlington (1). La paralysie peut revêtir la forme d'une hémiplégie, d'une par
plus fréquent,d'une monoplégie pure. Dans un cas, il s'est agi d'une paralysie alterne. « Une femme fut atteinte par la foudre p
és par la foudre. » Un autre caractère est que, dès le début de ces paralysies , on peut le dire, tout le mal est fait ; elles ne
urte. On voit, par les 28 observation rassemblées par Sestier, que la paralysie n'a pas dépassé 24 heures dans 12 cas, c'est-à-di
ux ou trois mois. Vous voyez qu'en somme, par les grands côtés, les paralysies par fulguration chez l'homme et celles artificiel
ent identiques. Il nous faut rechercher maintenant messieurs, si la paralysie ou mieux la parésie — car il s'agit là d'une form
; mais il est un point, cependant, et un point capital, par lequel la paralysie de notre malade s'éloigne du tableau classique :
bre. IV Il résulte donc de l'observation du cas, messieurs,que la paralysie de notre homme qui n'était pour ainsi dire qu'éba
aperçu absolument de rien. Voici maintenant ce qui est relatif à la paralysie motrice. Le malade marche en boitant, sans frotte
us ne relevons rien qui ne puisse rentrer dans la caractéristique des paralysies par fulguration, mais voici maintenant une série
ment, nos dernières constatations nous obligent à sortir du cadre des paralysies par fulguration : elles nous ont fait retrouver e
nt chez notre sujet, au moment même où il dit avoir ressenti le coup, paralysie par fulguration, et c'est sur cette paralysie que
avoir ressenti le coup, paralysie par fulguration, et c'est sur cette paralysie que, ultérieurement la paralysie hystérique est v
par fulguration, et c'est sur cette paralysie que, ultérieurement la paralysie hystérique est venue se greffer. Vous prévoyez ce
ute, un choc électrique, local, immédiatement suivi d'une esquisse de paralysie dans le membre frappé. Puis à la faveur de l'état
ui que produit l'hypnotisme, compléter, si l'on peut ainsi parler, la paralysie hystérique déjà existante, et l'amplifier en cons
autrement dit, d'une sorte de rumination mentale. C'est ainsi que la paralysie est venue se superposer à l'ébauche de paralysie
. C'est ainsi que la paralysie est venue se superposer à l'ébauche de paralysie déterminée par le choc électrique et c'est dans c
lui parut lourd et bientôt se reproduisit, comme la première fois la paralysie du mou- 1. Virchow's Archiv., 1880, t. LXXX, p.
que pas de reconnaître qu'il existe des analogies frappantes entre la paralysie observée chez ce malade et les paralysies hystéri
nalogies frappantes entre la paralysie observée chez ce malade et les paralysies hystériques : même invasion brusque, même guériso
droite produite par la foudre. Guérison. Réapparition passagère de la paralysie à l'occasion de chaque orage. 62 insensible e
alysie à l'occasion de chaque orage. 62 insensible et flasque. La paralysie dura telle quelle pendant trois mois, mais ce ne
que laguérison ait été absolument complète, puisque, depuis lors, la paralysie reparaît pendant quelques heures à l'occasion de
couleurs de l'arc-en-ciel (scotome scintillant ?) on voit, dis-je, la paralysie se reproduire sur le membre supérieur droit avec
sans succès, de déterminer, en dehors de l'orage, le retour de cette paralysie , par l'application sur le membre de l'électrisati
saute aux yeux dans ce cas : c'est d'elle évidemment que relève cette paralysie récidivant à l'occasion des orages. Mais « peut-o
obile sur son siège, pendant peut-être dix minutes. Le lendemain, une paralysie incomplète pour le mouvement, mais très prononcée
s contractions fîbrillaires se voient 4. Soc. de Biologie, 1887-88. Paralysie par courant électrique d'origine tellurique. — Gu
ce cas, bien qu'elle y soit facile à reconnaître ; il n'y voit qu'une paralysie par courant électrique d'origine tellurique. Quat
fait l'objet de la présente étude, en ce sens que, dans toutes, à une paralysie produite par la commotion électrique, est venue s
commotion électrique, est venue se surajoutera diverses échéances, la paralysie hystérique. Les cas dans lesquels l'hystérie s'es
certain nombre (1) ; mais je n'ai voulu parler ici que de ceux où la paralysie s'est produite immédiatement à la suite du choc é
° Lorsqu'une fulguration partielle aura déterminé la production d'une paralysie relevant directement de l'action électrique, si l
de l'action électrique, si l'hystérie, par suite, entre en scène, la paralysie hystérique pourra se superposer et ensuite se sub
ralysie hystérique pourra se superposer et ensuite se substituer à la paralysie primitive. 1. Les spasmes de la face et des pau
a dans le membre inférieur gauche et le retint trois jours au lit. La paralysie motrice ne fut pas de longue durée et, depuis lon
ée, le goût, l'odorat, l'ouïe sont à l'état normal des deux côtés. La paralysie motrice d'autrefois, ainsi que nous l'avons déjà
emble ou les actes partiels ne laissent rien à désirer. Il n'y a ni paralysie , ni ataxie. Les réflexes patellaires sont parfait
veloppe rapidement, si la lésion spinale évolue suivant le mode aigu ( paralysie spinale infantile), ou au contraire, d'une façon
n des muscles. On sait encore très positivement, par l'histoire de la paralysie infantile d'un côté et de l'autre par celle de l'
stinction entre a. les symptômes leucomyéliques latéraux: parésies ou paralysies de genre spasmodique, et b. les symptômes leucomy
dissociation des divers modes de la sensibilité, ou autrement dit de paralysie sensitive partielle, appliquée au diagnostic 67
et on n'a pas relevé 1. Babinski. De Vatrophie musculaire dans les paralysies hystériques. — Arch, de Neurologie, numéro 34 et
mbre supérieur. Ainsi, vous le voyez, nous trouvons ici, liée à une paralysie de l'extrémité supérieure droite, cette dissociat
périodes distinctes. La première a commencé il y a, trois ans par une paralysie de cette même main droite, dont il est de nouveau
s, tact, douleur, sensibilité au froid et au chaud. La durée de cette paralysie a été de douze mois environ, durant lesquels il y
mps, le retour à l'état normal était complet sur toute la ligne. La paralysie nouvelle qui s'offre aujourd'hui à notre étude s'
t symétriques et réguliers. Il n'y a aucune apparence de spasme ni de paralysie . La langue est tirée droite et se meut dans tous
ique (2) ? » APPENDICE ¹ 2 Rétractions fibro-tendineuses dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales, dan
les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales, dans les paralysies alcooliques et dans la contracture spasmodique hy
rvention chirurgicale, et c'est sur cette intervention dans un cas de paralysie spasmodique d'origine spinale que je veux particu
Cette période douloureuse a duré six mois ; puis s'est développée une paralysie avec amyotrophie des membres supérieurs qui prése
rement, c'est ce qui s'est passé du côté des membres inférieurs. La paralysie spasmodique s'atténua de plus en plus, et même à
, fait de longues courses à pied, ne présente pas la moindre trace de paralysie spasmodique, et comme vestige de l'affection dont
er un autre cas du même genre. Ici, l'affection a été moins grave, la paralysie spasmodique n'a jamais été qu'ébauchée, c'est-à-d
des réflexes tendineux. Aujourd'hui, il n'y a que des vestiges de la paralysie lombaire marquée seulement par des réflexes rotul
it une paraplégie spasmodique avec flexion des membres dans lequel la paralysie a guéri au bout de deux ans, sans qu'on pût con
? On sait que certaines rétractions fibreuses, indépendantes de toute paralysie , comme la rétraction de l'aponévrose palmaire, re
e aux paraplégies spasmodiques ; elle peut se montrer encore dans des paralysies où la déformation ne dépend par d'une contracture
ion ne dépend par d'une contracture des muscles; tel est le cas de la paralysie alcoolique, dont je vous présente un exemple. I
e chute du pied, analogue à la chute du poignet qu'on observe dans la paralysie saturnine ; rien ne retient la flexion du pied —
iarticulaires et des raccourcissements de tendons se produire dans la paralysie alcoolique, si l'on remarque, ainsi que M. Lancer
hose vulgaire dans les membres inférieurs chez les sujets atteints de paralysie alcoolique, et c'est là une circonstance qui pouv
tance qui pouvait être prévue dans un cas où le point de départ de la paralysie est une lésion inflammatoire des nerfs périphériq
des ongles, la peau lisse sont fréquents dans les parties où siège la paralysie alcoolique. Mais je ne veux pas m'étendre plus lo
ication de rétractions fibreuses qui peut survenir dans divers cas de paralysie spasmodique ou non spasmodique peut nécessiter l'
tance de cette défor^ mation doit être cherchée, comme dans le cas de paralysie organique que je vous citais tout à l'heure, dans
syncopes et qui paraissent bien avoir été des crises hystériques, une paralysie transitoire du membre supérieur gauche avec anest
compliquer les contractures hystériques, comme elles compliquent les paralysies organiques. Je pourrais même citer trois exemples
nait d'être paralysé du côté gauche et il ajoutait aussitôt que cette paralysie lui était venue « à la suite d'un coup de foudre
t complètement insensibles. Durant les deux jours qui suivirent, la paralysie s'améliora surtout au membre inférieur; le malade
ut et de faire une course un peu longue. Au membre supérieur, dont la paralysie était complète, absolue le premier jour (30 juill
Quanta la face, au dire du malade, elle n'a pas été touchéee par la paralysie ; à aucun moment sa bouche ne s'est déviée dans u
ace, quelque attentif que fût l'examen, on ne découvrait pas trace de paralysie ni de contracture. Au repos, les traits étaient b
tement libres. Le membre supérieur pend inerte le long du tronc. La paralysie du membre supérieur gauche est totale, et à peu p
en présence du malade, de façon à être bien entendu de lui, que cette paralysie va disparaître, à coup sûr, sous l'influence d'un
acuité auditive à gauche ; le pharynx a recouvré sa sensibilité. La paralysie motrice s'est également amendée, mais à un moindr
e à croire qu'elle est définitive. On remarquera que dans ce cas la paralysie très certainement n'a pas été pro;luit par le «ho
ave)........... 117 — — (Chorée de Sydenham )........... 131 — — ( Paralysie infantile)............ 144 — — — ............ 1
ude) ... 73 Fig. 20,21 — (Atrophie) ... 74 Fig. 22. — Alcoolisme, paralysie infantile, hystérie (Sensibilité) . 97 Fig. 23
. 30,31.'—H)stéro-neurasthénie (Champ visuel) ...... 137 Fig. 32. — Paralysie infantile (Lésions médullaires, région lombaire)
Fig. 71.-- Hystérie mâle (Contracture)............. 350 Fig. 72,73.— Paralysie hystérique (Sensibilité).......... 351 Fig. 74,
2 Fig. 95.—Foudre globulaire................... 439 Fig. 96,97. — Paralysie de foudroyés ethyslérie (Sensibilité) . . 454 F
2°. Amyotrophie par lésion articulaire......... 72 3°. Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Cas
................... 80 CINQUIÈME LEÇON 1ermalade. —Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégie alcoolique, attaque
oolique, attaques hystéro-épileptiques ... 84 2e, 3e et 4e malades. — Paralysie faciale périphérique ... 100 SIXIÈME LEÇON 1°
hemin de fer âgé de 56 ans..................... 131 4°. Deux cas de paralysie infantile spinale présentant quelques anomalies..
e, puis otite goutteuse; invasion du vertige ab aure lœsa : diplopie, paralysie faciale soudaine transitoire. Le vertige s'établi
noirs........................... 331 2° cas. — Chez unisraélite : paralysie et contractures hystériques développées à la suit
de 34 ans chez un homme qui, à l'âge de 2 ans, avait été atteint de paralysie spinale infantile......... 407 G) *° Chez un
e ..... 527 Appendice n°2. — Rétractions fibro-tendineuses dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales dans
les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales dans les paralysies alcooliques et dans la contracture spas-modique h
109, 110. Agraphie et abasie, 359. Alcoolique (Paraplégie). (Voy. Paralysie alcoolique.) — Tremblement, 232. Alcoolisme, 84
nésie. — dans l'empoisonnement par l'oxyde de carbone, 369. — dans la paralysie alcoolique. — et choc nerveux, 133. Amnésie tra
énération, 77. — Théorie, 77. Amyotrophie spinale progressive de la paralysie infantile, 144. (Voy. Atrophie musculaire.) Amy
aralysie infantile, 144. (Voy. Atrophie musculaire.) Amyotrophique ( Paralysie ), 76. Analgésie syringomyélique, 495, 496. An
(Voy. Abasie.) Atrophie musculaire, —dans l'hystérie,403. — dans la paralysie alcoolique, 85, 86. — de cause articulaire, 75. —
et myopathie, 413. — Diagnostic, 414. Atr. musc. sp. prog. dans la paralysie infantile, 91, 144, 147, 149, 407,416. —Mécanisme
émange, 336. Démarche.— dans le Vertige de Ménière, 228. — dans les paralysies toxiques, 84. — du Steppeur, 83. — et Suspension,
ues de sommeil), 63. Double personnalité. 327. Douleurs. —dans la paralysie alcoolique, 87. _ en ceinture, 153. — Fulgurantes
. Effondrement des jambes, 157. Electriques (Réactions).— dans la paralysie alcoolique, 86, 383. — dans la paralysie infantil
riques (Réactions).— dans la paralysie alcoolique, 86, 383. — dans la paralysie infantile, 143. — (Traitement) de la maladie de B
raitement) de la maladie de Basedow, 239, 240. Electro-pronostic et paralysie faciale, 101. Enfants du siège, 116. EpiLEPsn
t.) eulenbourg, 164,166. Euphorie (Périodes d'), 431. Extenseurs ( Paralysies des), 84. F Facial (Trajet du nerf), 225. F
Paralysies des), 84. F Facial (Trajet du nerf), 225. Faciale. — Paralysie (Voy. Paralysie faciale). Falret, 321, 323. Fai
84. F Facial (Trajet du nerf), 225. Faciale. — Paralysie (Voy. Paralysie faciale). Falret, 321, 323. Faisceaux postérieu
Feltström, 449. Feré, 5, 179, 277, 320. Fibrillaires (Secousses) et paralysie faciale, 101. Fièvre. — Dans la chorée, 106 sq.
e de). —et suspension, 217, 220, 221. — Nystagmus, 164. Froid. — et paralysie faciale, 100. Fulguration.— (Amnésie dans la),
thénie, 457. — (Lésions produites parla), 446, 447. Fulguration. — ( Paralysies par), 436,441,446, 448, 449. — à distance, 451. —
ie de Basedow, 236, 239, 241. — dans la neurasthénie, 35. — dans la paralysie faciale, 78, 101, 225 — dans la paralysie infanti
neurasthénie, 35. — dans la paralysie faciale, 78, 101, 225 — dans la paralysie infantile, 144,146, 408.--dans la syringomyélie,
0. Hyperexcitabilité neuro-musculaire, 70. Hyperesthesie, dans la paralysie alcoolique 86, 87. Hypnotisme, 52. — Contagion,
fulguration, 457. Hystérie provoquée par la foudre, 457, 543 sq. — Paralysies dans l'hystérie par fulguration 453, sq. 456, 457
aphasie, 247, 249, 250. — Nutrition dans l'attaque de sommeil, 69. — Paralysie , 521. — Paraplégie (diagnostic avec Fabasie), 366
synoptique, 298, 299. — Tremblement, 530, 531. Hystéro-traumatique.— Paralysie , 352. — Mécanisme, 62, 352. I Ictus laryngé,
82, 487, 488, 496, 520. Kelsch, 339, 340. Kennedy, 143. Kerauno paralysies , 436. Keser, 111. Kirchner, 230. Klippel, 7
(atrophie des nerfs) dans le tabès, 158. Otite goutteuse, 224. — et Paralysie faciale, 225. — Pathogénie, 225. Ovarienne (Eff
ns l'empoisonnement par 1'), 369. — (Hystérie causée par 1'), 370. — ( Paralysie dans l'empoisonnement par 1'), 376. — (Ramollis
anaris analgésique (Mal. de Morvan), 498. Papille tabétique, 164. Paralysie agitante. ( Voy. Parkinson (maladie de). Paraly
abétique, 164. Paralysie agitante. ( Voy. Parkinson (maladie de). Paralysie alcoolique. —(Amnésies dans la), 389. — Diagnosti
roubles trophiques, 383, 384, 386, 540. — Troubles vasomoteurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76. Paralysie choréique, 38. P
86, 540. — Troubles vasomoteurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76. Paralysie choréique, 38. Paralysie faciale, 78, 100.— Ele
eurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76. Paralysie choréique, 38. Paralysie faciale, 78, 100.— Electro-pronostic, 101. — et o
, 101, 225. — Périphérique, 102, 225. — (Pronostic de la), 79, 101. Paralysie générale.— et paralysie infantile, 144, 145. — Tr
ue, 102, 225. — (Pronostic de la), 79, 101. Paralysie générale.— et paralysie infantile, 144, 145. — Tremblement, 232. Paraly
ie générale.— et paralysie infantile, 144, 145. — Tremblement, 232. Paralysie hystérique.— Paraplégie, etc* ( Voy. hystérie, hy
etc* ( Voy. hystérie, hystérique, hystéro-neu-rasthénie, etc., etc. Paralysie infantile.— 38,91,140. (Amyotrophic de la),144, (
phic spinale progressive (Voy. aussi atrophie musculaire),407. — et paralysie générale, 144, 145. — (Electro-pronostic), 143.
iques, 143. — Symptômes, 142. — Troubles trophiques, 143, 144, 409. Paralysie par fulguration et hystérie 453 sq. 456, 457, 459
Paralysie par fulguration et hystérie 453 sq. 456, 457, 459, 460. ' Paralysie sensitive partielle, 295. Paralysies des extens
453 sq. 456, 457, 459, 460. ' Paralysie sensitive partielle, 295. Paralysies des extenseurs, 84. Paralysies des foudroyés, 4
aralysie sensitive partielle, 295. Paralysies des extenseurs, 84. Paralysies des foudroyés, 463. (Voy. aussi Fulguration). P
urs, 84. Paralysies des foudroyés, 463. (Voy. aussi Fulguration). Paralysies et productions cellulo-fibreu-ses, 384, 385. Pa
uration). Paralysies et productions cellulo-fibreu-ses, 384, 385. Paralysies psychiques, 281.— sensibilité, 281. 77 Paraly
es, 384, 385. Paralysies psychiques, 281.— sensibilité, 281. 77 Paralysies toxiques, 84, 344, 376. Paralytique.— Abasie,47
364. — Chorée, 38, 171. Paraplégie.— alcoolique, 85. ( Voy. aussi: paralysie alcoolique.) — Dans la maladie de Basedow, 235, 2
ystéro-neu-rasthénie. — (Modifications) dans le tic convulsif, 464. — Paralysies , 281. — (Stigmates) dans le tic, 16. — (Trouble
ves. — chez les nerveux, 372.— dans l'alcoolisme, 288, 389. — dans la paralysie alcoolique, 389. — dans l'hystérie, 292, 294. — d
, 248. Sensibilité. — dans la paraplégie alcoolique, 85. — Dans les paralysies toxiques, 85. Sestier, 443, 445, 446, 447, 448,
540, 543. Tessier, 243. Testaz, 101. Thermiques (Troubles) dans la paralysie alcoolique), 85. Thermoanesthésie syringomyéliq
topinard, 332. Tourdes, 446, 450. Toux hystérique, 4, 7. Toxiques ( Paralysies ), 84, 344. Transfert, 283. Traumatique (Névrose
531. — de la maladie de Basedow, 231, 232, 234, 236, 239, 241 — de la paralysie générale, 232 — hystérique, 471, 472, 530, 531. —
t hystérie, 37. V Valleix, 24. ' Vasomoteurs (Troubles) dans la paralysie alcoolique, 86. Vertige de ménière, 80, 225, 22
. — à crises distinctes, 228,230. Démarche 228. — Diplopie, 226. — et paralysie faciale, 226, — permanent, 228, 230. — Traitement
8 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTERIQUES ' 1 Par le Dr J. BABINSKI, Chef
nt il est question sont, des hystériques, qu'ils sont atteints de paralysie hystérique, et que l'amyotrophie qu'ils présent
noncée, qui se développe une semaine en- viron après le début de la paralysie , et qui a les caractères électriques de l'atrop
tantôt flasque, tantôt contracturé. Sept jours après le début de sa paralysie , le médecin lui a appliqué sur la tempe gauche
même époque, c'est-à-dire une semaine environ après le début de la paralysie , le membre supérieur a commence à s'atrophier.
ppréciable; les deux jambes paraissent avoir la même force. Mais la paralysie et l'anesthésie du membre supérieur DE L'ATROPH
il, ma boule a disparu » ; et il parle comme par le passé. - 4. - Paralysie et anesthésie du membre supérieur gauche dans l
inq heures), et la sensibilité jusqu'à neuf heures du soir; puis la paralysie et l'anesthésie se rétablissent avec les carac-
ême aspect que le premier jour où le malade a été examiné. 14. La paralysie reparaît au réveil du malade. 21. La paralysie
té examiné. 14. La paralysie reparaît au réveil du malade. 21. La paralysie persiste. On recommence la flagellation ; il su
lation ; il survient une attaque ; mais à la suite de l'attaque, la paralysie et l'anesthésie dispa- raissent pendant une heu
u côté opposé. Nous donnons cette observation comme un exemple de paralysie hystérique avec amyotrophie; mais il faut fonde
musculaire se comprend très bien puisque cette complication dans la paralysie d'origine cérébrale a été fréquemment signalée
de dire comment on peut expliquer ce symptôme soit au début de la paralysie , soit dans ses phases ultérieures; mais, pour q
réellement trois périodes bien dis- tinctes dans le cours de cette paralysie , et échelonnées comme il suit : 1° paralysie av
dans le cours de cette paralysie, et échelonnées comme il suit : 1° paralysie avec contracture; 2" para- lysie flasque; 3° pa
il suit : 1° paralysie avec contracture; 2" para- lysie flasque; 3° paralysie avec contracture; enfin, la contracture établie
moindre fatigue; tout cela est bien de nature hysté- rique. La paralysie de notre malade, si on l'étudie attenti- vement
est accompagnée de quelques symptômes qui n'appartiennent pas à la paralysie corlicale. Si nous examinons en particulier la
t pas à la paralysie corlicale. Si nous examinons en particulier la paralysie brachiale, en négligeant les troubles moteurs d
de la sensibilité profonde et du sens musculaire; or, si dans les paralysies corticales il peut y avoir quelques troubles se
ces arguments sont déjà plus que suffisants pour établir que cette paralysie est bien de nature hystérique et pour rejeter l
ie est bien de nature hystérique et pour rejeter l'hy- pothèse de paralysie corticale. Mais il est encore un fait plus impo
tte idée et qui convaincrait les plus sceptiques, c'est que cette paralysie , sous l'influence d'une simple flagellation pra
, il nous paraît de toute évidence qu'elle doit être rattachée à la paralysie hystérique et qu'il ne peut être question d'une
qu'il ne peut être question d'une atrophie indépendante de cette paralysie et qui ne ferait que coïncider avec elle; en ef
paralysés, elle s'est développée peu de temps après le début de la paralysie et s'est atténuée après sa disparition. Nous
en même temps trans- ' fert de la sensibilité; depuis ce moment, la paralysie a une tendance à s'atténuer de plus en plus et
apoplectiformes. En 1863 à la suite d'une attaque, il aurait eu une paralysie du côté DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 19 .gauche
taques se sont re- produites parfois jusqu'à huit fois par jour. La paralysie du bras disparut la première, puis la motilité
a sensibilité à gauche. La plaie se cicatrisa repidement, mais la paralysie persistant toujours le malade fut transféré dans
l'esprit, quand on réfléchit aux conditions dans les- quelles la paralysie s'est produite, est qu'elle dépend directement
du cerveau. Remarquons d'abord que le malade, avant l'attaque de paralysie pour laquelle il est entré à l'hôpital et que n
r de traces. Il est très vraisemblable que ces deux atta- ques de paralysie se sont produites sous l'influence d'une même c
matisme a agi : le choc a porté sur le côté gauche de la tête et la paralysie des membres s'est développée du même côté, dans
ccidité des membres paralysés ? Ne devrait-il pas y avoir, dans une paralysie de cette nature, dont le début remonte à plus d
s semble qu'il faut écarter cette hypothèse et admettre que cette paralysie doit reconnaître pour cause quelque modifica- t
atteint, à n'en pas douter, d'hystérie, il devient probable que la paralysie est de nature hystérique. - C'est cette opinion
sion; mais on peuty arriver aussi directement en montrant que cette paralysie présente quelques caractères qui sont propres à
relevées dans son travail sur les monoplégies hysté- riques ; la paralysie paraît donc en rapport intime avec l'anesthésie
n, nous voulons parler de l'action que l'aimanta exercé sur cette paralysie , qui s'est atténuée sous l'influence de son app
luence de son application. Il s'agit donc bien certainement d'une paralysie hystérique. DU TARES COMBINÉ. 27 Eu ce qui co
'observation précédente, qu'elle se lie de toute évi- dence à cette paralysie et qu'elle ne peut relever d'une autre cause. E
lle est bien plus accentuée dans le membre supérieur dans lequel la paralysie est plus tenace; elle s'est développée après le
ralysie est plus tenace; elle s'est développée après le début de la paralysie , et, depuis que la paralysie a diminué d'intens
s'est développée après le début de la paralysie, et, depuis que la paralysie a diminué d'intensité, elle s'est atténuée à so
d'objection faite à ce principe. . Le second groupe de symptômes ( paralysies et sur- tout contractures) veut dire lésions de
n diffuse dans le cerveau et de lésion systématisée dans la moelle ( paralysie générale et ataxie locomotrice); on peut aussi
paraplégies complètes avecanesthésie, exagération des réflexes et paralysie des sphincters qui montrent que la partie infér
ésies, incoordination motrice), des symptômes du tabes spasmodique ( paralysies ou pa- résies et surtout contractures ou autres
- ture motrice avec les images positives suggérées, taudis que la paralysie serait identique avec les phéno- , mènes produi
ré par les expériences; en voici un exemple : on peut provoquer une paralysie d'un membre sans mot dire, par quelques passés
E PATHOLOGIE NERVEUSE t. MYÉLITE SUBAIGUE DES CORNES antérieures. - Paralysie avec ATROPHIE GRADUELLE DE TOUS LES MUSCLES DU
ervation, relative à un jeune homme de dix-sept ans, chez lequel la paralysie ne s'est complétée qu'au bout de quinze jours,
es antérieures, intermédiaire au point de vue de sa marche entre la paralysie spinale de l'adulte et la paralysie générale sp
nt de vue de sa marche entre la paralysie spinale de l'adulte et la paralysie générale spinale, à marche diffuse et curable,
) On trouve dans ce travail outre la relation de plusieurs cas de paralysie faciale empruntés à différents auteurs une nouvel
lution frontale ascendante (un tiers inférieur) du côté opposé à la paralysie . Les considérations qui suivent sont des tinées
ble que ces faits peuvent avoir au point de vue du diagnostic de la paralysie générale au début, l'auteur fait remarquer qu'i
énés et internés dans un asile. R. M. C. XVI. Sur quelques CaS DE paralysie générale avec sclérose latérale de la MOELL1 :
ur rapporte cinq observations (dont quatre suivies d'au- topsie) de paralysie générale s'accompagnant chez de jeunes su- jets
es sur un état d'imbécillité déjà ancien. R. M. C. XXI. UN cas de paralysie générale avec P.ICÜYMÉNINGIT1 : : par <'h0 H
gique des faits. 13. \I. C. XXIX. Contribution a L'Ét'IOLOGIE DE la paralysie IIOGRES51VE, en TENANT PLUS p.\nTlCULrÈl\E1 ! E
I,1;11.IRD. (Allg. Zeitsclv. f. Psych. XLI, 4-.1.) Les causes de la paralysie générale sont en première ligne la lutte pour l
s ÉPENDYMAIR6 : dans LE domaine DES ventricules latéraux, dans la paralysie générale (Contribution à l'étude de l'hyperplasie
dans des formes psychopathiques où il n'existe ni convulsions, ni paralysies , ni ataxies. L'auteur passe en revue les troubles
sécutif à l'usage du haschisch, 13 pour dé- lire alcoolique, 6 pour paralysie générale; 403 sont sortis, parmi lesquels 94 gu
intoxication cannabiuique. P. K. XLII. Sur LES rapports ENTRE la paralysie PROGRESSIVE ET la syphilis ; par M. GOLDSTEIN.
d'affections psychiques, ils sont bien plus fréquemment atteints de paralysie générale que de toute .autre psychose ; en seco
élevé. Mais la syphilis est- elle le facteur propre, direct, de la paralysie générale ? Comme la plupart des paralytiques gé
ns morales), comme il n'existe aucune différence -clinique entre la paralysie générale qui succède à la syphilis et celle qui
signe anatomo-pathologique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 87 de la paralysie générale syphilitique, comme le traitement mer-
inue la force de résistance du cerveau et peut ouvrir la porte à la paralysie géné- rale, à l'égal d'une influence nocive que
rale, à l'égal d'une influence nocive quelconque. La cause de la paralysie générale nous reste donccomplètement inconnue. P.
arts et il existait une dimi- nution concentrique du champ visuel : paralysie du facial droit, parésie de l'hypoglosse et de
tion podalique (pinceau électrique), produit du sommeil (2 cas de paralysie générale). P. K. VII. Traitement DES psychoses
pendant deux, trois, voire six mois (1879-1885.) P. K. IX. Cas DE paralysie DE LANDRY guérie par L'ERGOTINF par SORGENFREY.
nner une nouvelle médication, le malade s'améliore, puis guérit. La paralysie de Landry ne résulterait-elle pas de troubles v
erait-elle pas de troubles vaso-moteurs ? P. K. X. Encore UN cas DE paralysie par INJECTION sous-cutanée d'éther; par H. NEUM
aume de la main (même région); puis, tout disparait, si ce n'est la paralysie du ventre de l'extenseur commun des doigts qui
Pas de convulsions pharyngo-oesophagiennes. En même temps que cette paralysie faciale droite, on note, outre les phénomènes d
e de phénomènes spas- modiques sur un territoire nerveux atteint de paralysie péri- phérique ? Ce n'est d'ailleurs pas consta
s pas constant dans les cas qu'il a fournis à GüLerbock; il y avait paralysie flasque complète du fa- cial. Mais les mouvemen
f. Klin. med., VU, 4, un cas dans lequel, malgré l'existence d'une paralysie faciale grave, il y a eu des convulsions. La pl
des observateurs, en présence de tétanos de ce genre, regardent la paralysie fa- ciale comme légère au point de vue électro-
présente un malade atteint de sclérose latérale amyotrophique avec paralysie bulbaire. - Homme de trente ans; à la suite de
tale et l'ophthalmoplégie 3. M. WESTPHAL. Sur un cas remarquable de paralysie périodique des quatre extrémités. Sera publié a
M. REIIAK. La littérature médicale renferme plusieurs exemples de paralysie spinale intermittente semblables sans aucune alté
cune altéra- tion de l'excitabilité électrique. ' M. Senator. Ces paralysies malariennes se peuvent montrer sans qu'il y ait
xpériences, l'ex- citabilité électrique disparaît quand survient la paralysie , et re- paraît quand la circulation est rétabli
extrémités inférieures. En même temps, délire alcoolique et donble paralysie de l'oculomoteur externe, de sorte qu'au début
ontracter pendant l'acte de la convergence; encore plus rare est la paralysie du muscle accommodateur. Parmi les malades obse
son de la rigidité des pupilles à la lumière, étaient soupçonnés de paralysie générale, la moitié d'entre eux devint tabétique
e combine de la manière la plus variée quant au temps avec d'autres paralysies de l'uculo-moteur commun, ou se rencontre seul.
Il importe du reste, de bien distinguer l'inertie pupillaire de la paralysie de l'accommodateur, car elles peuvent exister ou
iscussion : M. Oppenheim a vu un fait dans lequel, à la suite d'une paralysie de l'oculomoteur commun et du trijumeau du côté
philis spinale, la chorée, les tumeurs cérébrales, l'hémiplégie, la paralysie saturnine, l'hys- téro-épilepsie, l'épilepsie,
e, l'aphasie, le railwa3·-spine, la para- lysie pseudo-bulbaire, la paralysie générale, la sclérose en plaques, la paralysie
pseudo-bulbaire, la paralysie générale, la sclérose en plaques, la paralysie bulbaire et le tabes. Dans la chorée, il s'agit p
mités du même côté, sous 1 influence des onctions mer- curielles. - Paralysie saturnine : six cas sans altération ; un cas ca
ie saturnine : six cas sans altération ; un cas caractérisé par une paralysie de la corde vocale gauche ; un autre fait, dans
un cas de gliosarcome du corps strié et du lobe temporal gauches; paralysie de la moitié droite du larynx; bien qu'on ne puis
ne localisation exacte, ce fait, de concert avec une observation de paralysie pseudo-bulbaire, qui sera mentionnée' plus tard
un très petit nombre d'endroits irrégulièrement disposés. Pseudo- paralysie bulbaire ; un cas;-l'autopsie démontra plusieurs
marquablement pénible, voix grave, modification du timbre (grosse). Paralysie générale, la parole nasonnée a paru sous ladépen-
aptitude pleine et entière. - Sclérose en plaques : état semblable. Paralysie bulbaire progressive; fréquemment,paré- sies un
lysie bulbaire progressive; fréquemment,paré- sies unilatérales, ou paralysies totales du voile du palais, des cons- tricteurs
fixées, immobiles au milieu du larynx, c'est là ce qu'on appelle la paralysie postérieure due, d'après les expériences de Kra
lequel à la suite d'une infection syphilitique, dans le cours d'une paralysie bulbaire, survint sou- dain une sensation de co
de trouble fonctionnel grossier, l'orateur à observé 13 parésies ou paralysies de toute espèce qui parfois viennent, s'en vont
la voix. Voici, par exemple, un professeur tabétique qui, malgré la paralysie d'une corde vocale put continuer à en- SOCIÉTÉS
iquement la glotte. Discussion : M. Thomsen. Dans un des faits de paralysie générale visés par l'orateur il y avait eu, bie
ire, à peu près comme dans le pied-bot paralytique, en ma- tière de paralysie spinale infantile ou de déchet congénital de ce
1R : 1USE. Je ne nie pas, d'une manière générale, l'existence d'une paralysie postérieure centrale ou périphérique. Maïs la pa-
te multi- loculaire. - Préparation à l'appui. Il s'agit d'un cas de paralysie atrophique des extrémités inférieures chez un h
bide. En même temps, l'orateur communique plusieurs observations de paralysie alcoolique, les unes amélio- rées, les autres g
uttières vertébrales. Cu. F. IV. Des rémissions dans le cours de la paralysie générale ;] par J.-R. Larroque. (Thèse, 1886.)
ar J.-R. Larroque. (Thèse, 1886.) L'histoire des rémissions dans la paralysie générale date de Boyle, et, depuis lors, elle a
nous donnions un aperçu de ses conclusions. Les rémissions de la paralysie générale dont l'existence ne peut 126 bibliogra
nt les plus fréquentes. Elles s'observent dans toutes les formes de paralysie générale, mais principale- ment dans les formes
ent jouer un rôle dans leur production. On les voit surtout dans la paralysie générale à double forme dont elles reculent le
syphilitiques ou saturnines que l'auteur confond d'ailleurs avec la paralysie générale vraie. - Chez les femmes qui présentent
son de Charenton, pour un mémoire intitulé : Des rémissions dans la paralysie générale. Une mention honorable a été accor- dé
suivre.) Archives, t. XII. 1 1 DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTÉRIQUES'; (suite et fin). , Par le Dr BAB
de la sensibilité et du mouvement dans tout le côté droit ; cette paralysie aurait duré près d'un an et aurait disparu il. la
jour; au bout d'un certain temps, l'état s'améliora de nouveau; la paralysie du membre supérieur finit par disparaître; le m
e heures ; on a obtenu un transfert incomplet de la sensibilité. La paralysie est tou- jcurs dans le même état; l'amyotrophie
édentes, que la malade dont il est ici question est atteint d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. 162 CLINIQUE NERVE
et dont nous nous occupons. Nous devons maintenant prouver que la paralysie de ce malade est bien de nature hys- térique et
e à une autre affection. Supposons en effet qu'il s'agisse là d'une paralysie due à une lésion organique, à une lésion de l'e
de la face, la prédomi- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 163 nance de la paralysie dans le membre inférieur, et la diminution des
et le malade étant un hystéri- que, il est logique de mettre cette paralysie sur le compte de l'hystérie; du reste, cette hé
attaque hystérique. Nous ferons encore remarquer que l'aspect de la paralysie du membre inférieur présente exactement les car
érieur présente exactement les carac- tères que Todd a assignés aux paralysies crurales, de nature hystérique. Voici, en effet
alysé en avant, cette personne incline le tronc du côté opposé à la paralysie , faisant reposer tout son poids sur le côté sai
elle prédomine de beaucoup dans le membre inférieur, dans lequel la paralysie est le plus marquée , et les caractères de cett
nsorielle. La pa- ralysie flasque au début se transforme bientôt en paralysie avec contracture et les muscles du côté malade
vait pas de troubles psychiques. Huit jours après le début de cette paralysie le ma- lade est entré dans le service de M. Moi
s pendant une durée de deux mois. Trois mois après le début de la paralysie , commença une nouvelle phase, la contracture di
début de cette amélioration, le malade était complètement guéri. La paralysie avait duré en tout quatre mois et demi. Le 2
che est complètement paralysé comme le jour de l'accident, et cette paralysie est flasque. Le membre inférieur gauche est un
'atténuant sans cesse depuis le 15 mars, a complètement disparu, la paralysie est redevenue flasque. 3 av2,il.- Depuis deux
uffisant pour établir rigoureusement qu'il s'est agi chez lui d'une paralysie hystérique, avec amyotrophie. Il nous semble mê
. 169 évidemment la placer flans l'hémisphère droit, puis- que la paralysie est à gauche ? L'hémianesthésie sensi- tivo-sen
difficile à soutenir ; car, la localisation pres- que absolue de la paralysie au membre supérieur n'est guère conciliable ave
émianesthésie, l'autre dans les circonvolutions, en rapport avec la paralysie . Mais avec cette hypothèse comment pourrait-on
faits, de rejeter l'hypothèse de lésion* organique et de mettre la paralysie sur le compte d'une affection dynamique des cen
il nous paraît tout naturel de la rattacher à la même cause que la paralysie ; du reste, l'hémianesthésie sensitivo-sensorie
vons affaire à un hystérique. Dès lors, il devient évident que la paralysie doit être aussi mise sur le compte de l'hys- té
mpte de l'hys- térie. Ainsi donc, les caractères présentés par la paralysie nous ont conduit à établir qu'elle relevait d'u
dé sur ce que le malade est un hystérique, pour sou- tenir que la paralysie devait être aussi de nature hys- térique. L'a
e paralysé, ayant débuté peu de temps après le commencement de la paralysie et s'étant atténuée lorsque les mouve- ments so
enus, il est de toute évidence qu'elle se rattache étroitement à la paralysie hystérique et qu'elle ne peut relever d'une aut
leurs enfants. N'a jamais entendu dire qu'il y ait eu aucun cas de paralysie , ni d'attaques d'aucune sorte, ni d'aliénation
, depuis sa sortie, ne s'est guère modifié. En ce qui concerne la paralysie avec contracture, pas de changement. L'amyotrop
depuis son accident à vivre dans l'oisiveté et à se ser- vir de sa paralysie pour se livrer à la mendicité, craignant sans d
discuter lou- guement pour démontrer qu'il s'agit la encore d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. L'existence de l'h
e dyspnée, sont des arguments tout à fait suffisants». Quant à la paralysie , elle présente des caractères qui permettent d'
s le membre paralysé qui doit être de toute évidence rattachée à la paralysie hystérique. Les muscles devaient être examinés
ite d'un violent traumatisme sur l'épaule droite, est atteint d'une paralysie complète du bras droit. Dans les premiers jours
ent. - On l'électrisa, mais sans succès, et M. Brun supposant une paralysie hystéro-traumatique, l'envoya à l'Hôtel-Dieu dans
entrée à l'Hôtel-Dieu. - Son état général est toujours très bon. La paralysie du membre supérieur droit est complète et flasq
nts moyens ont été employés pour chercher à faire disparaître cette paralysie (massage, électrisation, flagellation sur la ré
stic. Il s'agit là, sans qu'il soit possible de le contester, d'une paralysie hys- térique. Mous relèverons particulièrement
servations que nous avons rappor- tées, qu'il s'agissait bien là de paralysies hystériques, que l'atrophie musculaire dépendai
stériques, que l'atrophie musculaire dépendait étroitement de ces paralysies , et que, par conséquent, elle était de nature h
ulaires que l'on observe dans la maladie d'Aran-Duchenne, dans la paralysie spinale de l'adulte, dans les myopathies primit
asy- métrie puur ainsi dire normale, c'est-à-dire antérieure à la paralysie . Nous ne le croyons pas, car le malade est droi
lume analogue, et il nous semble que dans un grand nombre de cas de paralysie hysté- rique, sinon dans la majorité, il existe
l'Ob- servation I, quinze jours tout au plus après le début de la paralysie , elle était déjà appréciable, et un mois et dem
II comme dans la précédente, un mois et demi après le début de la paralysie , il y avait entre les bras et les avant-bras ga
volume normal. -Dans l'Observation IV, unmoisalirès le moment où la paralysie avait commencé à s'atté- nuer, la diminution de
s dépasser certaines limites; ce fait tient sans doute à ce que les paralysies hysté- riques n'ont pasd'habitude une très gran
s observations, l'atrophie rester stationnaire, alors même que la paralysie persiste, et n'a aucune tendance à ré- trocéder
roite absolue, l'atrophie musculaire, malgré la persistance de la paralysie , ne s'est pas exagérée depuis que le malade est
ophie, voici ce qui nous semble la caractériser : lorsque, dans une paralysie hystérique, elle doit se développer, elle le fa
190 CLINIQUE nerveuse. reste alors stationnaire, lors même que la paralysie persiste; enfin, lorsque la motilité. revient,
sous l'influence du massage. Or, trois ans après la guérison de la paralysie , l'atrophie musculaire était encore notable. En
très accentuée et qu'elle peut manquer complètement même quand une paralysie dure depuis longtemps déjà. C'est ainsi que che
sur lesquels M. Charcot s'est fondé pour établir cette variété de paralysie , et dont les observations ont été publiées dans
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades étaient atteints de paralysie hystéri- que ; c'est là un second point qu'il a
des de M. Charcot sur ce point, les ca- ractères spécifiques de ces paralysies , nous savons les différencier de toutes les aut
nous pouvons dire en présence d'un hysté- rique paralytique, si la paralysie est indépendante de cette névrose et ne fait qu
ntraire, si elle est sous sa dépendance. La nature hystérique de la paralysie ainsi démontrée chez nos malades, il devenait é
agnostic d'hystérie, aurait-il osé aller plus loin et attribuer ces paralysies à l'hystérie ? Ne connaissant les caractères pr
paralysies à l'hystérie ? Ne connaissant les caractères propres des paralysies hystériques que d'une façon très imparfaite, il
le silence qu'o.i a gardé à leur égard. RECUEIL DE FAITS CAS DE PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË (Paralysie LANDRY), ob
gard. RECUEIL DE FAITS CAS DE PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË ( Paralysie LANDRY), observé à la clinique thérapeutique du
f. Depuis 1859, époque à laquelle Landry a, le premier, décrit la paralysie ascendante aiguë spinale jusqu'à nos jours, on a
ladie, quoique notre cas s'éloigne peut-être du type régulier de la paralysie ascendante aiguë. Voici le cas : Le malade Ni
'il pouvait à peine la lever. Le jour suivant, les phénomènes de la paralysie augmentèrent de telle façon que le malade pouva
le ventre et sur le dos; sur le pénis près du frein, du côté DE LA PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË. 199 droit, se trouve
La respiration est accélérée, superficielle, gênée par suite de la paralysie du diaphragme ; la parole est indistincte avec
est involontaire, la mort survient à la suite des phénomènes de la paralysie du coeur et de l'oedème des poumons. Le profess
férieure. Le coeur n'offre aucun changement, tandis que, dans DE LA PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË. '201 l'aorle, on trou
la mort. Bien que la maladie s'éloigne du caractère classique de la paralysie Landry, puisque des modifications chroniques de
ntre absolument dans le cadre de tous les cas connus sous le nom de paralysie ascendante aiguë, ou paralysie Landry. EXPLIC
e tous les cas connus sous le nom de paralysie ascendante aiguë, ou paralysie Landry. EXPLICATION DE LA PLANCHE I Frg. 1. -
début des accidents. Le membre supérieur droit était le siège d'une paralysie avec contracture rappelant tout à fait comme as
e paralysie avec contracture rappelant tout à fait comme aspect les paralysies cérébrales de date ancienne. Le bras absolument
res membres, le tronc et la face ne présentaient rien d'anormal; ni paralysie , ni anesthésie. Sauf l'impotence absolue du bra
me parut évident que j'avais affaire à 204 RECUEIL DE FAITS. une paralysie hystérique, et bien que le temps me pressât je vo
, où, au commencement, il y avait une légère aphasie ainsi qu'une paralysie du côté droit; avec cette distinction que la pl
AK. (Cwtralbl., t'. Neruen- heilk., 1885.) Observation originale. Paralysie faciale gauche s'étant gra- duellement développ
zoster lacio-cervical révèle une étiologie commune au zona et à la paralysie ; il y a eu dans l'espèce inflammation de fibres
Après huit jours de douleurs dans l'oreille droite, s'installe une paralysie périphéri- que complète, du même côté; en même
objectifs, la parésie de l'oculomoteur externe gauche, l'absence de paralysie complète et de reaction dégénérative, l'ataxie de
électrique. Six mois plus tard, il présente suc- cessivement de la paralysie spasmodique de la jambe gauche, une incontinenc
t de phthisie pulmonaire, at- leint depuis l'âge de trois ans d'une paralysie infantile à forme hémiplégique (légère atteinte
xie très prononcée, avec chute et projection en avant, absence de paralysie : intégrité de la vue et de l'ouie; absence d'att
halique, état de mauvaise humeur, d'hypochondrie, de mélancolie, et paralysie d'un ou de plusieurs des muscles droits ou obli
e arrive à faire cesser la blépharoptose. P. K. XXXIII. Un cas DE paralysie DES MUSCLES DE L'OEIL A la suite DE diphthérite
phthérite DE la gorge; par W. IIIiTHOFF. Contribution A l'étude DES paralysies DIPIITIIÉRITIQUES : par B. AIENDEL (Neurol. Cen
83 de diphthérie pharyngée modérée; le 4 octobre, on constatait une paralysie du voile du palais; le 2 novembre, commencèrent
ulaires et des troubles delà m otiii té volontaire aboutissant aune paralysie bilatérale absolue de l'ensemble des muscles des
se greffe une bronchite catarrhale diffuse de l'albumi- nurie ; la paralysie s'étend et se complète ; le pneumo-gastrique ce
es deux articulations tibiales inférieures, on voit s'installer une paralysie incomplète, accompagnée de troubles de la sensi
upant non seulement les territoires neuro-musculaires où a siégé la paralysie , mais ceux qui n'ont cessé de se montrer indemn
i alcoolisme, ni aucun élément prédisposant. P. K. XXXVI. Sur LES paralysies du nerf 31ÉD1 \N par M. BERNHARDT (Centrcal6l.
ive due à la myite ou nlyosite propagée) ; -1 mais en même lemps la paralysie complèle a pu être empê- chée, ou la restitutio
- lysie du muscle droit externe d'un des yeux, de concert avec la paralysie du muscle droit interne de l'autre oeil sans que
u noyau de l'ocumoloteur externe'. Nouvelle- observation à l'appui. Paralysie du facial droit dans sa totalilé : hyperexcitab
s ne réagissent plus sous l'influence des deux espèces de courants; paralysie passagère bi-latérale de l'ocumoloteur externe
diagnostic différentiel entre la poliomyélite antérieure subaiguë ( paralysie atrophique étendue, dès le début, avec diminuti
se les éléments à l'aide desquels on peut distinguer l'ataxie d'une paralysie alcoolique (paralysie atro- phique se montrant
de desquels on peut distinguer l'ataxie d'une paralysie alcoolique ( paralysie atro- phique se montrant dès le début et marcha
leprésentedesphénomènes encéphaliques : céphalagie, vomis- sements, paralysie à évolution lente se rapportant à la zone motri
pli- quée 'd'idées de persécution, de divagations complètes, avec paralysie absolue de la vessie et du rectum, gangrène du dé
chulz rattache les phénomènes spasmodiques d'origine spinale, et la paralysie vésico-rectale imputés à tort à la compression
paraissait, selon la nomenclature deFried. Schultze, en proieà une paralysie mixte aiguë, à la fois descendante,' à la fois as
bres avec anesthésie et troubles vasomoteurs; sur ce, parésie, puis paralysie absolue, des extrémi- tés inférieures avecperte
urine) et douleurs très prononcées tout le long du rachis; mort par paralysie de la respiration. Diagnostic ainsi formulé : m
igure à l'appui). P. K. XLVIII. Sur une FORME TOUTE particulière DE paralysie SPAS- MODIQUE accompagnée DE PHÉNOMÈNES cérébra
es troubles de l'innervation dans les extrémités supérieures, de la paralysie spasmodique des membres inférieurs, sans atroph
ravers les femmes sans les toucher. Le nystagmus, la bradylalie, la paralysie spasmo- dique, l'absence d'atrophie, rapprochen
suit l'accident, s'aggraveraient plus tard. P. KÉRAVAL. L. De la paralysie saturnine; par SCHULTZE (Arch. f. Psych., XVI,
t-cinq ans, saturnin depuis cinq ans, est, en juin C882, atteint de paralysie de l'avant-bras droit; six mois après, l'avant-
s droit; six mois après, l'avant-bras gauche est pris. Dès lors, la paralysie porte surtout : à droite, sur les extenseurs de
indre les nerfs périphériques les premiers, et que c'est lorsque la paralysie se généralise que l'on rencontre une lésion cen
e toucher le nerf; la présence d'une réaction dégénérative avant la paralysie ou même sans qu'il existe de paralysie plaidera
action dégénérative avant la paralysie ou même sans qu'il existe de paralysie plaiderait en faveur de la myopathie primitive,
opos de l'ob- servation présente, sur l'évolution progressive de la paralysie , malgré le changement de milieu, évolution qu'i
volontairement. Il avait aussi des attaques avec demi-conscience et paralysie de la langue. Il peut encore prononcer des sons
onienne et la folie. M. KNECHT. Des phénomènes catatoniques dans la paralysie géné- ruile. - Dans ces dernières années, on a
ychoses présentant, pendant leur évolution, tantôt le tableau de la paralysie générale, tantôt celui de la catatonie au sens de
co- lique très net, puis, soudain se montrent des symptômes d'une paralysie générale rapidement progressive qui termine la vi
ans le second groupe, nous trouvons d'abord l'aspect clinique de la paralysie générale ultérieurement remplacée par des accid
l'examen nécroscopique, ne laisse aucun doute sur l'existence d'une paralysie générale finale. Mais avail-on affaire à une para
); voici alors qu'interviennent les éléments symptomatiques de la paralysie progressive, la déchéance psychique et physique m
t à deux observations du second groupe : début par des symptômes de paralysie générale, et plus lard calatouie typique avec a
roite assez tenace; il semble qu'on assiste au stade terminal de la paralysie générale, et cependant tout disparait presque com
de permettent à peine de regarder la première observation comme une paralysie générale, c'est plutôt un cas de catatonie ou s
du genou, l'immobilité pupillaire permanente, sont en faveur d'une paralysie générale très probable quoique pour le moment (
s de sens (Froenkel); les cas de catatonie seraient donc des cas de paralysie générale pro- longée (Ideler). M. ,TASTItOWIT
s les- quelles il est difficile de distinguer s'il y a catatonie ou paralysie générale. M. Vogelgesang. Une paralytique gén
ntraîne un pronostic fàcheux que lorsqu'il s'y ajoute des signes de paralysie générale. M. HANS LOEllR. Action du système de
nt qu'en 1881 et en février 1883, il a été atteint de paraly- sie : paralysie des deux jambes et du bras droit, la première f
sie : paralysie des deux jambes et du bras droit, la première fois, paralysie des jambes, la seconde. Du 14 août à novembre 1
ôt des convulsions, tantôt des symptômes de sténocardie, tantôt des paralysies , des rétentions d'urine, des vomissements rebel
euts nerveux : les jambes d'E... ont été paralysées deux fois et la paralysie a disparu sans laisser de traces ; la rétention
coup privé de l'usage de la jambe gauche, ensuite de la droite; la paralysie dura près de deux mois et disparut sans traces.
x mois et disparut sans traces. Le 25 décembre de la même année, la paralysie recommença aussi inopinément que la première fo
icularités du caractère du patient, enclin à se croire malade, la paralysie qui avait déjà eu lieu et qui avait bientôt dis
de vingt et un ans, entre à l'hôpital le 27 mai 1884, atteint d'une paralysie des deux jambes. Des questions préalables expli
u'il venait de sortir de l'hôpital, où il était entré à cause d'une paralysie de la jambe droite. La maladie actuelle s'était
l'usage des jambes et, cinq jours après son entrée, à l'hôpital, la paralysie s'em- para aussi du bras droit. L'examen du mal
rdinaires, c'est que le malade peut tout de même marcher, malgré la paralysie de la jambe gauche. En marchant il traîne la ja
cérébrale suivie d'anesthésie; malgré une durée de deux mois de la paralysie , la contrac- ture tardive ne s'est pas développ
dans l'avant-bras il ne distingue pas une différence de 5°; pas de paralysies et de con- tracture musculaire; mais les réflex
tendi- neux du genou et du tendon d'Achille sont exagérés. Pas de paralysie . La démarche est restée comme au 17 janvier, mais
Le mutisme (cas 3' et 9'). Le mutisme du 2° cas était causé par la paralysie des cordes vocales; celui du 3" paraissait être
u souvent l'observer sur les extré- mités, mais il n'y avait pas de paralysie des cordes vocales. Le troisième malade n'a pas
tilité sous la forme d'hémi- plégie (cas 6); le 5e malade avait une paralysie des membres inférieurs et du bras droit; cinq m
nts de paraplégie (cas 1, 3, 4, 8 et 11). Dans ces derniers cas, la paralysie était accompagnée de phénomènes spasmodiques qu
dre avec des lésions organiques de la moelle épi- nière, lorsque la paralysie des membres inférieurs est compliquée d'une rét
dos. Ce qui caractérise ici l'hys- térie, c'est la combinaison des paralysies de nature cérébro-spinale à des affections de n
la combinaison d'une paraplégie avec une hémianes- thésie, d'une paralysie des cordes vocales, de la sur- dité, la combina
ma- cropie, la diplopie unioculaire, l'achromatopsie). Enfin les paralysies elles-mêmes offrent des particularités frap- pa
é ni la fréquence, ni l'in- tensité des attaques. Le traitement des paralysies a eu plus de succès. L'exercice a été le plus e
e ou une autre et où on employait les remèdes ordinaires contre les paralysies , ces dernières restaient au statu quo; mais, au
droite avec trouble de la parole qui était devenue indistincte ; la paralysie a persisté pendant deux mois ; actuellement, il
erveux. - Hère, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-huit ans sans paralysie , ni démence. - Grands parents paternels et mate
ré, paupières épaisses, mains enflées le soir, pas d'al- buminurie, paralysie de la glotte et aphonie qui cède à un traite- m
n trois jours) produit des troubles nerveux généraux : convulsions, paralysie fonctionnelle, hébétude mentale et enfin idioti
res thyroïdiennes inférieures, Kocher), à l'anémie consécutive à la paralysie des dilatateurs de la glotte, à une lésion des
nt détruite, car la destruc- tion totale implique naturellement une paralysie permanente des mouvements du côté opposé. REV
Le malade a été hémiplégique, mais petit à petit (sept semaines) la paralysie disparut. Vers quinze ans, le malade a commencé
flexion du poignet, et l'avant-bras était en supination. Avec cette paralysie motrice, il y avait une perte de la sensibilité
e de la sensibilité tactile et du sens musculaire, accompagnée de paralysie motrice, due à une lésion de l'écorce. On ne saur
fornicatus à la couronne radiée peuvent avoir été atteintes. Cette paralysie sensitive et motrice avait disparu graduellemen
ur droit était ensuite pris, et enfin le membre supérieur droit. La paralysie du membre supérieur gauche succédait sou- vent
très intéressant et très important. Le jour suivant, il y a eu une paralysie motrice par- tiellede la face du côté gauche, u
eu une paralysie motrice par- tiellede la face du côté gauche, une paralysie complète du membre supérieur gauche depuis et y
parésie est intéressante comme étant sans aucun doute un exemple de paralysie hystérique chez un homme, et son rapport avec l
'écoulent, je pense, des détails ci-dessus : 1° Chez l'homme, une paralysie temporaire motrice corticale et peut-être la pe
nt le centre moteur des mou- vements perdus; 2° Chez l'homme, une paralysie temporaire de la sensibilité et de la moibilité
e l'hystérie. V. SECTION DE pédiatrie M. RANKE (de Munich). De la paralysie infantile cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a
infantile cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de paralysie cérébrale corres- pondant au tableau morbide de
s, Cotard, Bour- neville et ses élèves. BIBLIOGRAPHIE. 411 i la paralysie était surtout accentuée sur le bras, arrêté dans
ntellectuels, un garçon devint, quatre ans après l'inva- sion de la paralysie , épileptique. Dans tous les cas, la paralysie n
ès l'inva- sion de la paralysie, épileptique. Dans tous les cas, la paralysie n'était pas flasque, comme cela a lieu dans la
Atrophie musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire dans les paralysies des hystériques, par Babinski, 1,154. Autopsi
toire, parMayser, 85. Démence et aphasie, 79. Diphthéritiques ( paralysies ), 223. Dormeuse de la Salpêtrière, 422. Dyscr
eptique (folie), par Fischer, 61; (automatisme), 241. Ergotine et paralysie de Landrv, 101. Érysipèle et psychose, 80.
et paralysie de Landrv, 101. Érysipèle et psychose, 80. Ether ( paralysie par injection sous-cutanée d'), 101 . Évasion
ial inférieur (origine corti- cale du), par Raymond, 58. Faciale ( paralysie ), compliquée de zona, 212. Fibres nerveuses à
(dans les troupes russes), par Oseretkowsky, 265. Hystériques ( paralysies ), I, 154; - (amblyopie), par lIitier, 126; -
rf accessoire de Willis (ori- gine centrale du), 104. Nerf médian( paralysies du), 226. Névralgie de la cinquième paire ave
à la suite de l'em- poisonuement par 1'), 216. l'achyméningite et paralysie gé- nérale, par Savage, 73. Paralysie (de Lan
, 216. l'achyméningite et paralysie gé- nérale, par Savage, 73. Paralysie (de Landry, guérie par l'ergoline), 101 ; (par
plitliéntrques), 223 - (sa- turnine), 238; -(syphiliques), 409. Paralysie générale (troubles de la faculté de lire dans l
de la), par Larroque, 125 : - (histo- logie pathologique), 403. Paralysies hystériques, 1, 154. Pendaison (tentative de su
6. Ruban de Reil (anatomie du), 102, 110. Sclérose (latérale et paralysie générale), par Savage, 71 ; (latérale avec pa
(latérale et paralysie générale), par Savage, 71 ; (latérale avec paralysie bul- baire, 112; (systématique combinée), 209
tentatives de) , 78. j Suicidés (cerveaux des), 89. Syphilis et paralysie générale, 80, 86. Système nerveux central (an
9 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne première attaque de coliques. Vers le même temps, il fut pris de paralysie qui semble avoir été une paralysie atrophique g
rs le même temps, il fut pris de paralysie qui semble avoir été une paralysie atrophique généralisée, et pour laquelle il a été
b... que par l'existence d'un liséré gingival léger. Il n'existe ni paralysie , ni atrophie mus- culaire qu'on soit en droit d
1887. Il présente un liséré plombique très net. Il n'ajamais eu de paralysies , et n'a pas remarqué chez lui, jus- qu'à ces de
nt hystérique avec les troubles de la parole, qu'on observe dans la paralysie générale et dans la sclérose en plaques. Nous y
nts anormaux en quatre catégories : z11, tremblement au repos (type paralysie agi- tante); - 2° tremblement dans les mouvemen
are encore, et qui n'est même pas classique- ment signalé, c'est la paralysie consécutive du membre. Ce fait appelle immédiat
fait appelle immédiatement un rapprochement entre notre cas et les paralysies choréiques qui, elles, sont communes et classiq
conduit à plusieurs reprises et présentait un exemple typique de paralysie choréique. L'enfant est arrivé avec une hémiparés
ade le 19 février 1885, et au bout de cinq jours, elle présente une paralysie presque complète des membres inférieurs, de l'i
e M. le professeur Masius, qui en quarante- huit heures est pris de paralysie des membres inférieurs et d'in- continence des
axiques, la leucorrhée, la goutte, le rhumatisme, l'épi- lepsie, la paralysie et l'ataxie. Le plus souvent, il exerce une act
ont : 1° la marche rapide de l'affection (moins de deux ans); 2° la paralysie des muscles respirateurs et notamment du diaphrag
la paralysie des muscles respirateurs et notamment du diaphragme, paralysie qui a été la cause efficiente de la mort; 3" ['ex
sensibilité générale et des facultés intellec- tuelles, rareté des paralysies . Ces divers phénomènes, associés en plus ou moi
a terreur. 11 en rapproche une chorée rhu- matismale (Ohs. IV), une paralysie générale avec mouvements choréiques (Obs. V), -
ibilité motrice ou cas pur d'ophtalmoplégi progressive bilatérale : paralysie de tous les muscles animant le globe oculaire e
ement bulbo-protubérantielle (de Watteville). P. K. IX. UN cas DE paralysie isolée DU regard EN haut, avec AUTOPSIE, par R.
quement intéressante par les particula- rités que voici. Nystagmus, paralysie des deux yeux en haut, mais intégrité de tous l
on entre la démence simple, com- pliquée decettelésion centrale, la paralysie , générale, et la sclérose en plaques. Or. l'aut
éminée des deux troncs ner- veux, avait produit un syndrome unique ( paralysie des branches innervant le droit supérieur et l'
THOLOGIE NERVEUSE. XIII. CONTRIBUTION A l'étude ET au mécanisme DES paralysies DES MUSCLES DE L'OEIL CHRONIQUES, PROGRESSIVES,
postérieur de la deuxième lemporale gauche. P. K. XXV. Un cas DE paralysie par COMPRESSION (pendant LE sommeil) : l. paral
XXV. Un cas DE paralysie par COMPRESSION (pendant LE sommeil) : l. paralysie GRAVEET complexe du bras gauche; par S.-H. SCHEIB
cs nerveux du bras pendant un profond sommeil de deux heures, cette paralysie porta, ce qui en fait un cas unique, sur tous l
gères; aux extrémités supé- rieures, spasmes passagers suivis d'une paralysie qui dure des heures et même des demi-journées.
y a impossibilité d'exécuter l'acte le plus simple. Mais jamais la paralysie n'est véritable et persistante. Idem pour les ex-
érance; par L. BRUNS. t11- : urol. Centralbl. 1886.) Observation. Paralysie de l'ocutomoteur externe gauche et paré- sie du
glande pinéale. Comme dans toutes les observations de ce genre, ni paralysie , ni troubles de la sensibilité. Etude cri- tiqu
hobie ; et comme d'autre part il était persuadé que les accès et la paralysie étaient des symptômes Archives, t. XX. 6 82 r
rente-huit ans, sujet depuis neuf ans à des attaques périodiques de paralysie dont la durée varie de quelques jours à deux ou
ans, maigre, aspect de névrophate, souffre depuis quatre ans d'une paralysie des membres inférieurs, accompagnée de sensatio
améliora- tion est assez marquée, le malade peut se lever ; mais la paralysie n'a pas disparu : tout en reconnaissant chez lu
une période, un épisode, de processus morbides com- plexes tels que paralysie générale, hystérie, folie circulaire, quelques
ure DES fibres NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU, DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'AUTRES MALADIES MEN- TALES ; par
linique, atiatomopatliologique et histologique de treize : faits de paralysies générales à formes diverses ; six cas de démenc
; sept de psychopathies fonction- nelles. Conclusions. - Oui, la paralysie générale s'accompagne toujours d'atrophie plus
pas s'illusion- ner. Cette atrophie n'est pas caractéristique de la paralysie gé- nérale ou de lésions parentes, puisqu'on la
ns une catégorie d'autres maladies n'ayant rien de commun avec la paralysie générale, notamment dans les affections cérébrale
es fibres intra-corlicales et les altérations interstitielles de la paralysie générale ; la paralysie générale est par conséq
es et les altérations interstitielles de la paralysie générale ; la paralysie générale est par conséquent loin d'être toujour
ujours une encéphalite interstitielle; en revanche, en aucun cas de paralysie générale avancée, ou ne notera l'absence de lés
les hématomes en question se rencontrent plus fréquem- ment dans la paralysie générale que dans toute autre forme de folie, c
ue dans toute autre forme de folie, c'est que c'est surtout dans la paralysie générale que se réalisent les conditions les pl
omme dans le coma ou le collapsus des maladies aiguës. 5° Dans la paralysie générale, le pouls varie suivant les phases de
quelques-uns de ses principaux traits, ce cas ressemble à un cas de paralysie générale; mais ni durant le séjour à l'asile, n
xpansion qui caractérisent si communément la période de début de la paralysie générale vraie. D'autre part, le caractère préd
Il s'agit d'un homme de 4U ans, sobre, dont un oncle est mort de paralysie générale, cl que son métier force à vivre depuis
s. Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la paralysie . 2° Z..., trente-quatre an-, pas d'antécédents
- Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la paralysie . Ces deux malades, lors de leur entrée à l'asil
'on observe communément, leur affection simulait à s'y méprendre la paralysie générale. Ces faits montrent une fois de plus a
ment torsqu'onaatfaireàla fièvre typhoïde, que, lorsqu'il s'agit de paralysie générale, les maladies suppura- tives sont cell
ait aucun excès, n'ayant subi aucun accident propre à déterminer la paralysie générale, prend accidentellementlasyphilis, est a
encéphalite et myélite diffuse, revêtant la forme symptomatique de paralysie générale. Inactivité du traitement spécifique.
ières années, affaiblissement intellectuel très prononcé. Jamais de paralysie ni d'autres accidents physiques. Meurt à soixan
ostic ne peut hésiter qu'entre l'espèce mor- bide considérée et une paralysie du plexus brachial. Mais la topo- graphie de l'
e, d'autant plus qu'aujourd'hui, voilà de cela quatre semaines, les paralysies de la sensibilité et de la motilité ont con- se
ment le long des cordons postérieurs. AI. OTTO (de Dalldorf). De la paralysie pseurlo-IJ1lLbail'e. Ayant eu dans ces dernière
rnières années l'occasion d'observer chez les aliénés quatre cas de paralysie la bio ? 1 osso -pliat-y iizée, et d'en autopsier
mixte cérébro-hulbaire et montrent une fois de plus la rareté de la paralysie cérébrale pure. L'artério-sclerose syphilitique
a prochaine séance. 11. Brie montre le cerveau d'une femme morte de paralysie géné- rale syphilitique ( ? ) Le segment antéri
ytiques généraux. Ne conviendrait-il pas de désigner sous le nom de paralysie géné- rale tabétique, la paralysie générale ave
l pas de désigner sous le nom de paralysie géné- rale tabétique, la paralysie générale avec lésion des cordons posté- rieurs
les syphilitiques sont cinq fois pius en butte à l'at- teinte de la paralysie générale. M. Thomsen. La thérapeutique du tabes
ue du tabes n'a rien à gagner des progrès de la thérapeutique de la paralysie générale et vice versa. Quel est celui d'entre
générale et vice versa. Quel est celui d'entre nous qui a guéri la paralysie générale par un traitement antisyphilitique ? L
c de l'aflection est discuté avec soin et bien établi. P. B. III. Paralysies de la chorée (chorée paralysante), par E. HONDOT.
éorie de la désagrégation, pour nous rendre compte de la nature des paralysies , des contractures hystériques, voire môme des i
ongestive, paralytique, mélancolique et expansive, sur les diverses paralysies générales, sur leur diagnostic différentiel, sur
sur leur diagnostic différentiel, sur les variétés cliniques de la paralysie générale; puis son étude de bibliographie. 127
ire. Les symptômes leucomyélitiques latéraux se traduisent par la paralysie du genre spasmodique les leucomyélitiques postéri
s se montrent à nouveau plus fortes. C'est alors que prédomine la paralysie générale. En temps de guerre, 28 p. 100 des indiv
HOLOGIE NERVEUSE SUR UNE COMPLICATION PEU CONNUE DE LA SCIATIQUE ( PARALYSIE .1ll1'OTLtOPIILQUE DANS LE DOMAINE DU POPLITÉE)
l'aide du forceps, il a vu survenir une sciatique accompagnée d'une paralysie incurable^ avec amyotrophie dégénérative, des m
vec amyotrophie dégénérative, des muscles du mollet. ' Bianchi. De* paralysies traumatiques des membres inférieurs chez les no
s chez les nouvelles accouchées. Th. Paris, 1867. - Lefebvre. Des paralysies traumatiques des membres inférieurs.. Th. Paris
raumatiques des membres inférieurs.. Th. Paris, 1876 3 Brivois. - Paralysies traumatiques du membre inférieur consécutives i
cutives il l'accouchement laborieux. Th. Paris, 1876. 4 Dorion. - Paralysies du nerf sciatique poplité externe a'origine pel-
ont perdu leur excitabilité électrique. Le pied est tombant; il y a paralysie avec atrophie des extenseurs. La localisation n
nous empruntons à la thèse de Lefebvre. - OBSERVATION II (résumée). Paralysie partielle de la jambe gauche consécutive à l'ac
e de la jambe gauche consécutive à l'accouchement. - (LEFFBVRE. Des paralysies t1'aU- matiques des membres inférieurs. Th. Par
essaie de se lever, mais ne peut marcher qu'avec des béquilles. La paralysie reste limitée aux muscles qui relèvent le pied,
eulement le domaine du nerf sciatique poplité ex- ' terne. Puis une paralysie survient portant exclusive- ment sur les extens
e la jambe droite et celle de la jambe gauche. Remarquons que cette paralysie et cette atrophie, dues sans aucun doute à la n
. En tous cas, ce qu'il fautretenir de cet exemple, c'est que ces paralysies sont fort tenaces et d'une guérison diffi- cile
suivant est encore emprunté à Lefebvre. Observation IV (résumée). - Paralysie partielle du membre infé- rieur droit consécuti
chement laborieux suivi d'une fistule 1t1'éthl'o-vllginale et d'une paralysie partielle du membre in- férieur droit. (LErrnvn
ambe. En marchant, le pied tombe et traîne. On constate alors une paralysie complète, avec inexcitabilité électrique, des m
ssesse; accouchement naturel et facile; phlegmon du ligament large; paralysie du nerf sciatique poplité externe (DORION. Des
ent large; paralysie du nerf sciatique poplité externe (DORION. Des paralysies du nerf sciatique poplité externe d'origine pel
les >. Ces engourdisse- ments font bientôt place à une véritable paralysie de la jambe et du pied. La cuisse se fléchit su
onséquent le iierf sciatique poplité externe qui est le siège de la paralysie . Cette opinion s'appuie sur un fait anatomique
accouchement pratiqué à l'aide du forceps, s'était compliquée d'une paralysie incurable avec atrophie dégénérative des muscle
calisation étroite au domaine du sciatique poplité externe de toute paralysie des membres inférieurs consécutive à l'accouche
ui dans les cas où l'on constate à la suite de l'accou- chement une paralysie limitée à la zone de distribution du sciatique
ique poplité externe serait seule comprimée et de là naîtraient ces paralysies localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs q
es paralysies localisées. Il est loin d'admettre d'ailleurs que les paralysies par compression du sciatique consécutives à l'a
ssus l'opinion de M. Lefebvre et montre que dans bien des cas les paralysies occupaient également à un plus ou ' Dorion. -'l
ient tout d'abord à l'esprit, surtout si l'on veut considérer les paralysies comme 'ce qu'elles sont en réalité, c'est-à- di
duire. L'examen des mouvements du pied démontre qu'il existe une , paralysie très accentuée des extenseurs du pied et des orte
au domaine du nerf tibial antérieur seul en ce qui con- cerne la paralysie , à tout ce domaine du sciatique poplité externe
a la tête, toujours à droite. Jamais de chute de la paupière, ni de paralysie des muscles de l'oeil. Cet état, avec des rémis
ION DE LA SCIATIQUE. 169 cependant avoir eu affaire à une véritable paralysie des extenseurs de la jambe. Le pied tombant, la
la mcti- lité dominent toute la scène. Il s'agit cette fois d'une paralysie avec réaction de dégénération typique. Observat
nération typique. Observation IX (personnelle). Sciatique droite. - Paralysie avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dég
E. 1 -Il Dans ['Observation VII, nous avons vu l'anesthésie et la paralysie musculaire prendre à peu de chose près le même
'il existe des troubles de deux ordres : tout d'abord une véritable paralysie des extenseurs et de tous les muscles de la rég
ble en forme de casque. - Puis survient une hemiparésie gauche avec paralysie faciale. Malheureusement la malade, tout en aff
le. Malheureusement la malade, tout en affirmant la réalité de la paralysie de la face, ne peut préciser suffisamment le sens
rapport avec la symptomatologie présentée par notre malade, est la paralysie agitante. La caractéristique classique- de la p
ade, est la paralysie agitante. La caractéristique classique- de la paralysie agitante est l'existence d'un tremblement se pr
cillation verticale, et pas plus. En outre, le tremblement de la paralysie agitante cesse aussitôt que le sujet veut accompl
s de la ville, offre un si remarquable échantillon. Enfin dans la paralysie agitante, la tête est le plus souvent respectée
anormaux. Cet ensemble de preuves suffit, je le crois, à écarter la paralysie agitante. Puisque le tremblement des membres pe
u près toujours, en effet, à rapporter un tremblement au type de la paralysie agitante ou à celui de la sclérose en plaques.
ent au repos, cessant par la contraction musculaire, caractérise la paralysie agitante. Le tremblement qui se manifeste penda
re malade diffère des deux variétés de tremblement appartenant à la paralysie agitante et à la sclé- rose en plaques : . - ,-
emblement une névrose à part, ayant sa place distincte à côté de la paralysie agitante. S'il en était ainsi, notre tâche sera
niques et distinguer, comme je l'ai fait plus haut : le type de la paralysie agitante, le type'de la sclérose en plaques, le t
rgyrique, les mouvements rythmés de la- maladie de Basedow et de la paralysie agitante. La deuxième comprend le tremblement s
qu'on aurait décrits jadis, sans hésitation, comme des exemples de paralysie agitante ou de tremblement sénile de cuuse psyc
pareille diminution des excréta azotés et phosphatiques. Dans la paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 '
fait chez notre malade comme dans l'hystérie, et non comme dans la paralysie agitante et le goitre exophtal- mique. On a éta
gie violente en forme de casque, et, enfin, elle fut atteinte d'une paralysie faciale. - Le fait de la paralysie, avons-nous
, enfin, elle fut atteinte d'une paralysie faciale. - Le fait de la paralysie , avons-nous dit, n'est point douteux; ce qui es
'est point douteux; ce qui est plus obscur, c'est le siège de cette paralysie : la malade croit se rappeler que les traits ét
étaient déviés vers la gauche, ce qui permettrait de conclure à une paralysie faciale droite; mais, en raison du temps écoulé
ent attiré l'attention, et qui consiste dans « une hémiparésie avec paralysie croisée du moteur ocu- laire commun, et tremble
ens de la déviation de la face, la démonstration soit faite d'une paralysie faciale droite chez notre malade (la paralysie de
ion soit faite d'une paralysie faciale droite chez notre malade (la paralysie de la face pouvant remplacer celle du moteur oc
t fonc- tionnelle au début, soit devenue organique dans la suite. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 211 Le diagnos
'emploi avec celui du chlorure d'or. 212 CLINIQUE NERVEUSE. DES PARALYSIES CONSÉCUTIVES A L'EMPOISONNEMENT PAR LA VAPEUR D
saud 2 consacrait dans sa thèse d'agrégation tout un chapitre à ces paralysies . Cependant, malgré toutes ces recherches, elles
coïncidence. ' ' Bourdon. - Thèse, Paris 1843. ' Brissaud. - Des paralysies toxiques. Thèse d'agrégation, 1886. PARALYSIES
' Brissaud. - Des paralysies toxiques. Thèse d'agrégation, 1886. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 213 DESCRIPTIO
. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 213 DESCRIPTION DES PARALYSIES . Etiologie. - Les paralysies peuvent se produir
APEUR DE CHARBON 213 DESCRIPTION DES PARALYSIES. Etiologie. - Les paralysies peuvent se produire toutes les fois qu'il y a d
généralisée qui cesse au bout de quelques heures ; d'autres fois la paralysie - et c'est alors que nous devons l'étudier - se
- Nous avons relevé avec soin dans les auteurs les observations de paralysies succédant à l'empoisonnement par le charbon, et
qui frappe tout d'abord c'est qu'au point de vue symptomatique ces paralysies affectent les formes les plus diverses : tantôt
g supinateur n'est pas indiqué. Il y a encore trois observations de paralysie des extenseurs des doigts 1 : dans tous ces cas
y.1Jip. par le charbon (J)'c ? ye'Ke7'. de Méd., 186n). Schachmann. Paralysie par le charbon (France ,1l¿d" 188G). Bourdon, l
, cit. - . Rendu. - Société médicale des Hôpitaux, l3jawicr 1S8'. PARALYSIES CAUSEES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 215 particuliè
jambe et l'insensibilité du pied complète. Au membre supérieur, la paralysie s'est localisée d'emblée ; mais ses caractères
eitscll1'ijl für chirurgie, 188 l, Bd. XX, li. 1 î6. 3 Larochp. Des paralysies consécutives it l'intoxicalion par la vapeur de
Ann. d'hyg. publ" novembre 1881. s Lancereaux cité in Thuse Simon. Paralysies par l'oxyde de carbone. Paris, 1883. - Comhy. C
le type classique de l'hémi- plégie par lésion cérébrale vulgaire : paralysie du bras, de la jambe et d'une partie de la face
lus souvent, les troubles de la sensibilité viennent compliquer les paralysies ; ils font défaut cependant dans plus de la moi
une asphyxie par le charbon. (Ar- chives de Médec. navale, 1877.) PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 2'17 'i n'a pa
limitée à la région paralysée. Dans toutes les observa- tions où la paralysie ne frappait dans un membre qu'un certain groupe
alade dont M. Rendu a rapporté l'histoire, qui présentait, avec une paralysie des extenseurs de l'avant-bras et de la jambe,
ubles de la nutrition. Ils ont été signalés dans presque toutes les paralysies ayant duré un certain temps; ils ne manquent da
ve dans le membre paralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten ' de paralysie du membre supérieur, il y avait un empâtement d
n aspect rouge bleuâtre. De même, Leudet, chez un malade atteint de paralysie du mem- bre inférieur droit, signale une rougeu
parition d'un pemphigus généralisé coïncidant avec des symptômes de paralysie , d'un zona se montrant sur le trajet du trijume
pès ? de troubles trophiques variés. C'est ainsi que dans un cas de paralysie de l'avant- bras (Rendu) la peau des doigts éta
noxyvei-giriztîtg, Berlin, 1868, résumé in Virchow Jahresbericht. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 219 9 ques obs
e la contractilité galvanique. M. Rendu a cons- taté dans un cas de paralysie des extenseurs, que la réaction électrique étai
avant la contractilité volontaire. Leudet, dans un cas analogue de paralysie des extenseurs, Lytten, Bourdon, dans deux cas
préciable ; dans un autre, on les a trouvés abolis. Marche. - Les paralysies consécutives à l'empoi- sonnement par le charbo
, survenant au bout d'un temps plus ou moins long : en six jours ( paralysie des extenseurs), en trois mois (monoplégie brac
, les observations ne di- sent pas quelles ont été les suites de la paralysie . Dans les hémiplégies la guérison est la règle,
formes où la sensibilité, est profondé- 1 Hùrchzimer. - Loc. cit. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 221 ment touch
ue alors à des lésions cérébrales facilement reconnaissables. Les paralysies généralisées onttoujours été suivies de mort, c
deux observations très nettes. Dans l'une, due à M.Lancereaux3, la paralysie ne s'est montrée que deux mois après l'asphyxie
à un membre inférieur, ensuite paraplégie, troubles des sphincters, paralysie des membres supérieurs, du nerf facial, et mort
es membres supérieurs, du nerf facial, et mort avec des signes de paralysie labio-glosso-larynée. Anatomie pathologique. -
a nature des lésions : la mort n'est presque jamais le fait de la paralysie . On a bien trouvé des lésions diverses, 1 Klebs
isait, l'autopsie d'un individu qui avait présenté des symptômes de paralysie ascendante aiguë. Le cerveau et la moelle parai
s alté- rations nerveuses au niveau du membre inférieur par où la paralysie avait débuté. Là, les branches du plexus sacré
ma- lade d'Alberti mourut de pyohémie après avoir pré- senté une paralysie complète de la jambe droite; les résultats de l
t par l'oxyde de carbone (Journal de Médecine de Bordeaux, 1883). PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 223 augmentati
les, plutôt qu'aux nerfs le principal rôle dans la production de la paralysie . C'est aussi l'opinion des anciens auteurs (Bou
une hémiplé- gie droite complète offrant tous les caractères des paralysies organiques; la mort survint au bout de deux moi
sion des arté- rioles du -cerveau, stase sanguine déterminant une PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 235 mortifica
x et à produire des thromboses et des embolies. Pathogénie. - Les paralysies déterminées par l'oxyde de carbone reproduisent
one reproduisent tous les types. A côté de l'hémiplégie et même des paralysies généralisées il y a des troubles moteurs locali
le premier abord, peut-on affirmer que le mode de production de ces paralysies doit varier : il n'y a pas de lésion pathogéniq
riences sur l'intoxica- tion oxycarbonée, n'a jamais pu produire de paralysie . Bourdon et Klebs n'ont pas été plus heureux. R
. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. d'hui à la théorie périphérique de la paralysie satur- nine : peut-être en serait-il de même po
rait-il de même pour le charbon. Le premier, Leudet a pensé que les paralysies par le charbon pouvaient être dues à des névrit
ve à la suite de l'empoisonnement; c'est à elles qu'il attribue les paralysies , d'autant plus que dans un cas l'autopsie a mon
- due par Brissaud. , , Il est certain, en effet, que souvent les paralysies oxycarbonées présentent les caractères que l'on
onées présentent les caractères que l'on attri- bue aujourd'hui aux paralysies périphériques. C'est d'abord leur limitation fr
ervations si nettes de Schachmann et de Bourdon qui ont trait à une paralysie des exten- seurs, cette origine périphérique ne
accidents après que le poison a été éliminé du sang ne peut être PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 227 invoquée
7 invoquée contre cette théorie : ne voit-on pas assez souvent la paralysie saturnine ou alcoolique se mon- trer longtemps
est aussi l'opinion de M. Rendu. Chez une malade qui présentait une paralysie des extenseurs de la jambe, de l'avant-bras et
s intra-craniennes des nerfs.. On a également tenté d'expliquer ces paralysies par les altérations' que subit le sang sous l'i
là une hypothèse qui ne repose sur aucune donnée anatomique. Les paralysies par l'oxyde de carbone peuvent-elles être d'ori
e dire que les autres hémiplégies et sur- tout les autres formes de paralysies reconnaissent la même cause. On peut se demande
explicites. Pour nous, passant en revue tous ces accidents, nous PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 229 sommes co
que dans un certain nombre d'in- toxications elle peut produire des paralysies : pourquoi n'en serait-il pas de l'intoxication
oupçonner l'hystérie; une obser- vation de Baur' d'anesthésie et de paralysie d'un côté du corps succéda au coma ; la face ét
t cité dans Wirchow /«/M'M6e;-icA ? 1868). 230 CLINIQUE NERVEUSE. - PARALYSIES . présenta à la suite d'une parésie des quatre m
observation publiée par Laroche, l'oxyde de car- bone détermina une paralysie générale de la sensibi- lité à la douleur et au
rs ; il est aussi naturel d'admettre qu'elle amènera à sa suite des paralysies ; peut-être même dans cette hypothèse, le coma q
231 façon certaine, s'il y a lieu, le rôle de l'hystérie dans les paralysies consécutives à l'empoisonnement par le charbon.
esseur Charcot a démontré par l'étude clinique et expérimentale des paralysies hystéro-traumatiques que deux éléments étaient
tal spécial ; 2° un traumatisme qui est l'agent provocateur de la paralysie . L'état mental spécial qui prépare le terrain sur
circulation, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et paralysie motrice) avec menace de sphacèle '.Ces accident
u choc a montré leur importance dans le mécanisme psychologique des paralysies hystéro-traumatiques. D'après lui, ils consiste
logique peut être considéré comme un rudiment, « une esquisse de la paralysie hystérique 1 Groeningen. - liber den Shock. '
le cerveau à recevoir sans résistance toutes les suggestions, « la paralysie rudimentaire provoquée par le choc se réalise e
ppartienne plus, qu'il lui soit devenu étranger ». J A propos d'une paralysie de la main provoquée par l'action de donner un
e l'on pourrait constater en la cherchant ». Si les observations de paralysie hystéro-traumatique sont aujourd'hui nombreuses
é des phénomènes physiologiques du choc nerveux local et à côté des paralysies hystéro-trau- matique ? Par la durée des accide
s phénomènes manifestement exagérés du choc local : anes- thésie, paralysie , sensation d'engourdissement et d'absence du me
absence du membre, et les caractères habituels mais passagers des paralysies psychiques dues au traumatisme : répartition de
ibilités, pa- résie. Il s'agissait donc en réalité d'un rudiment de paralysie psychique. Faisons remarquer enfin- que noire
troubles hystériques, alcoolisme, asphyxie locale, érythromélalgie, paralysie vasomo- trice. Ces faits rappellent de loin la
HOLOGIQUES ; par M. BERNHARDT. (Centralbl. f. Nervenh., 1886.) I. Paralysie périphérique isolée du nerf sus-scapulaire gauche
ion inférieure du deltoïde. III. Contribution à la pathologie des paralysies faciales périphé- riques. - Première observatio
des paralysies faciales périphé- riques. - Première observation. - Paralysie , probablement par contre-coup, due à une lésion
coup, due à une lésion de la base du crâne.- Seconde obser- vation. Paralysie parotite moyenne. - Dans les deux cas, la paral
bser- vation. Paralysie parotite moyenne. - Dans les deux cas, la paralysie , quoique franchement périphérique, respecta la br
THOLOGIE NERVEUSE. protéiforme de l'innervation' est un symptôme de paralysie géné- rale; Il est bien plus fréquent que le my
ut. Excellentes descriptions, parfaite dis- cussion. P. K. XXXIX. Paralysie périphérique ISOLÉE DU NERF SUS-SCAPULAIRE gauc
aduira, d'une façon tout inattendue, par de l'hémianesthésie, de la paralysie hystérique. La conception n'a donc rien à voir
istence concomitante de symptômes d'excita- tion et de symptômes de paralysie prouve que ce nerf contient et des fibres vasoc
lourdeur accoutumés. P. K. L. Cas rare DE NÉVRITE ascendante avec paralysie réflexe (ex- pression consacrée) DE la moelle;
ellaire; démarche ataxique; signe de Romberg. Quelques jours après, paralysie des bras. Enfin, at- teinte des fibres motrices
leptogène de la zone et le nombre des accès. P. Keraval. LIV. DE la paralysie faciale A répétition ; par P. J. Moebius. (Cent
Observation. - En 1868, à la suite d'un refroidissement intense, paralysie faciale indolenle du côté droit : durée trois sem
e indolenle du côté droit : durée trois semaines. En 1878, nouvelle paralysie faciale gauche, mais avec douleurs vio- lentes
le droite , le 3° jour, dans la joue droite et les dents, et alors, paralysie faciale droite complète en 24 heures. Puis les
mpression du froid : intégrité du goût et de l'ouïe. Le 8e jour, la paralysie est complète et totale, mais l'excitabilité éle
le 30e jour tout va mieux,le 45e jour amélioration progressive.- La paralysie faciale à répétition n'est pas une paralysie pé
ation progressive.- La paralysie faciale à répétition n'est pas une paralysie périodique ; c'est une espèce de paralysie ordi
répétition n'est pas une paralysie périodique ; c'est une espèce de paralysie ordinaire rhumatismale qui ne reparaît plusieurs
es vaisseaux de la peau par prédisposition congénitale et non à une paralysie des vaso-constricteurs; ce relâchement des vaisse
; l'affection persiste. P. K. LVII. SUR quelques cas INSOLITES DE paralysie saturnine ; - par P. J. 11OBBIUS. (Central, f.
J. 11OBBIUS. (Central, f. Neruezzh., 1886.) Trois observations^ La paralysie connue sous le nom de para- lysie des Tailleurs
nom de para- lysie des Tailleurs de lime est très probablement une paralysie saturnine. A un moment donné de leur travail, c
oliques - guérison ou amélioration proverbiale des gens du métier - paralysie typique des extenseurs et allures de l'excitabi
pas. Autopsie incomplète, inutilisable. P. Keraval. LXVIII. DE la paralysie du NERF péronier; par M. BERNHARDT, (Centralbl.
(Centralbl. f. Nervenheillc, 1888.) Trois observations. L'une de paralysie périphérique unilatérale par pression : électri
e unilatérale par pression : électrisation, guérison. - L'autre, de paralysie d'ori- gine cérébrale ' : un traumatisme ayant
du membre inférieur gauche et en particulier du pied. - 06s. III : paralysie tabétique partielle, grave, unilatérale des muscl
lée ( ? ) P. K. XXIII. Contribution A l'anatomie pathologique DE la paralysie PRO- CRESSIVE DES aliénés ; par P. 11RONTHAL. (
e et sont d'autant plus marquées que la maladie progresse (démence, paralysie géné- rale). C'est suivant ce plan que l'auteur
é des diverses causes attribuées à la maladie. D'après l'auteur, la paralysie générale résulterait toujours de plusieurs caus
'aliénation mentale en général, la syphilis prédispose surtout à la paralysie générale. L'hérédité donne cependant à un paral
taire a uno allure empesée. La syphilis, au contraire, ne marque la paralysie générale d'aucun signe particulier. Les excès sex
ébrale à lésion diffuse, le traitement spécifique n'agit pas sur la paralysie générale, même quand la sy- philis est certaine
hilis est certaine. P. K. XXVI. CONTRIBUTION A la casuistique DE la paralysie PROGRESSIVE DES aliénés; par L. ACKER (Allg. Ze
g. Zeitschr. f. Psychiat., XLIV, 1.) Relation abrégée des 14 cas de paralysie générale, terminée par la mort à l'asile d'Lioh
même qui en ce point est déprimé. Un peu de parésie faciale droite, paralysie du bras droit contracturé en flexion au niveau de
chronique localisée ayant produit l'appareil symptoma- tique de la paralysie générale (convulsions, troubles somatiques) ; l
trente-quatre ans, buveur, présente le tableau symptomatique de la paralysie générale ; le tabes se mon- REVUE D'ÉLECTROTHÉR
physiologie pathologiques XXXII LÉSIONS anatomiques dans un cas DE paralysie DIPIITHÉ- RITIQUE ; par W.-C. 11RAUSS. (Neurol.
'ordre du jour. M. DUBUISSON lit un rapport sur l'étiologie de la paralysie générale, concluant à la nécessité de nouvelles
expose ensuite ses recherches sur la fréquence et l'étiologie de la paralysie générale, qui lui paraît augmenter de fréquence,
umatisme, qu'on ne considère pas ordi- nairement comme une cause de paralysie générale. M. RÉGNIER fait une communication sur
communication sur les rapports de la syphi- lis cérébrale et de la paralysie générale progressive, ainsi que sur l'in- fluen
de cette affection. II sépare nettement la syphilis cérébrale de la paralysie générale, admettant que celle-ci n'est nullemen
z un paralytique général, par exemple. En un mot il n'existe pas de paralysie générale syphilitique. M. Régis parle ensuite d
syphilis chez les paralytiques généraux plus de 85 fois sur 100. La paralysie générale survient douze ou treize ans après l'i
it un travail sur le rôle des myélopathies dans l'étio- logie de la paralysie générale. Les relations du tabes et de la paraly-
es, dit qu'il ne possède dans sa statistique de 560 observations de paralysie générale que 9 cas de syphilis certaine. Il est
yphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébrale pour des paralysies générales. Le traite- ment, lorsqu'il est emplo
la syphilis chez les paralytiques généraux. Mais il croit la vraie paralysie générale syphilitique fort rare. Elle ne se dis
e générale syphilitique fort rare. Elle ne se distingue guère de la paralysie générale ordinaire, le traitement restant sans
est vraisemblable que la syphilis seule ne suffit pas pour créer la paralysie générale. Son rôle est réel, mais il est diffic
e de déterminer son mode d'action. M. LAURENT fait remarquer que la paralysie générale et la syphi- lis sont plus fréquentes
Rouen) lit un travail intitulé : Considérations sur l'urine dans la paralysie générale. Dans le délire dépressif, il y a dimi
joint la misère, le sur- menage, la paresse ; 8° les démences de la paralysie générale précoce; 9° les démences précoces de c
tes de Lyon, le prochain Congrès. M. CULLERRE lit une note sur la paralysie générale conjugale. - Il a observé trois femmes
alysie générale conjugale. - Il a observé trois femmes atteintes de paralysie générale dont les maris étaient également paral
l et des Allemands, que c'est toujours la syphilis qui détermine la paralysie générale conjugale, lui parait loin d'être sati
but de la démence consé- cutive au ramollissement cérébral et de la paralysie générale, et elle est ordinairement limitée à u
e période variable et s'étend à tous les faits de cette période. La paralysie générale et la manie consécutives à des traumat
provoquer toutes les formes d'aliénation, mais principalement la paralysie générale et la manie. Il faut intervenir rapideme
la suite de plusieurs accès de convulsions qui furent suivies d'une paralysie avec atrophie du côté droit. Depuis cette époqu
ret. M. Doutrebente (de Blois) rapporte plusieurs observations de paralysies générales améliorées ou guéries par le traitement
s où il est impossible de faire le diagnostic différentiel entre la paralysie générale vraie et la pseudo-paralysie générale
iques de la parole, alors même que le délire paraîtrait celui de la paralysie générale vraie. ' M. COSTE DE LAGRAVE (de Rouen
, t. XX, p. 117. 284 SOCIÉTÉS savantes. recherches relatives à la paralysie générale peuvent nous montrer des résultats qui
e sur les difficultés que présente le diagnostic différentiel de la paralysie générale dans les différentes formes de la fuli
ce du 30 juin 1890. - PRÉSIDENCE DE M. BLL. Les intoxications et la paralysie générale. - M. Charpentier exa- mine : i° les é
les états pathologiques qu'il il est fréquent de rencontrer dans la paralysie générale; 2° la pathogénie de la paralysie géné-
nt de rencontrer dans la paralysie générale; 2° la pathogénie de la paralysie géné- rale par intoxication ; 3° les états phys
elle est vue. Ses conclusions sont les suivantes : 10 à côté de la paralysie générale par congestion propre des folies conge
ale par congestion propre des folies congestives se termi- nant par paralysie générale, il y a lieu de grouper sous le nom de
nant par paralysie générale, il y a lieu de grouper sous le nom de paralysie générale par intoxication, les pseudo-paralysies
, les pseudo-paralysies géné- rales déjà admises et d'y joindre les paralysies générales dues à la goutte, au diabète, à l'art
me, au tabagisme et à la suralimentation; -2° dans la théorie de la paralysie générale par intoxication, l'ordre de successio
s folies toxi- ques ; de l'incurabilité et des cas curables dans la paralysie géné- rale et les démences toxiques sans produc
la paralysie géné- rale et les démences toxiques sans production de paralysie géné- rale ; -4° la paralysie générale par into
démences toxiques sans production de paralysie géné- rale ; -4° la paralysie générale par intoxication ne se produit pas, ou
oses convulsives ou des insomnies chroniques ; - 5° l'absence de la paralysie géné- rale dans ces conditions serait due à une
ce tissu à proliférer suffisamment pour produire les lésions de la paralysie générale. Une révolte à Ville-Evrard. - M. MARA
du revêtement gris, elles disparaissent, non pas seulement dans la paralysie générale, mais aussi dans la démence de quelque
ses (ataxie locomolrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante). Volume m-8° de 169 pages avec 5 figu
ut affirmer aussi maintenant que la chorée rythmée, le mutisme, les paralysies et les contrac- tures, les anesthésies et hypér
se fondant sur cet argument que M. Charcot a démontré que certaines paralysies traumatiques sont sous la dépendance de l'hysté
des névropathes. Les relations de ce syndrome avec la goutte, la paralysie générale, l'épilepsie, le tabes, ont été dans p
l'autopsie d'un homme de trente- sept ans, qui avait succombé à une paralysie générale, je découvris enfin la bandelette diag
ous rangeons : l'hémiplégie d'origine cérébrale sans hémypiopie, la paralysie générale progressive, la chorée, l'épilepsie, p
ypiopie, la paralysie générale progressive, la chorée, l'épilepsie, paralysie agitante, goitre exoph- talmique, et nous ne ci
sies et des points hystérogènes. Quelques-uns ont été atteints de paralysie motrice. Leurs observations sont consignées dan
inverse dans certains cas, comme ceux de spasme d'accommodation, de paralysie des mus- cles de l'oeil, etc. Ces cas sont suff
ves de suicide. - La mère est morte à l'Hôtel-Dieu d'une attaque de paralysie . ' Communication faite au Congrès de médecine m
enlevés, la chose fi7t-elle compatible avec la vie, il y aurait une paralysie si complète et si durable du mouvement et une a
question de savoir si les lésions n'ont pas causé une perte ou une paralysie de quelque chose de plus élevé. Ou peut donner
-J. MoeBlUs, (Centr. nerf., 1886.) On accepte généralement que la paralysie des muscles rotateurs de l'oeil et de l'élévate
BSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX ET EN PARTICULIER DANS LA PARALYSIE progressive; par M. Friedmann. (Neurol. Central
es cérébraux. Mais la première (générale) parait plus spéciale à la paralysie générale, tandis que la seconde (diffuse simple
la seconde (diffuse simple) a été observée par M. Friedmann dans la paralysie générale et l'idiotie. Toutefois, on peut, chez
il faudrait tâcher. d'examiner leur état tout à fait au début de la paralysie générale. Il y a lieu de maintenir du reste la
Il y a lieu de maintenir du reste la division de Ziegler entre la paralysie générale interstitielle et la paralysie générale
ivision de Ziegler entre la paralysie générale interstitielle et la paralysie générale paren- chymateuse ; cette dernière rés
ération dégénérative. C'est-à-dire qu'il n'y a pas dans ce genre de paralysie générale d'inflammation; plus ou moins systématiq
rébrale, qu'il y ait ou non lésion du fond de l'oeil, notamment une paralysie générale ou une apoplexie imminente. Un champ v
c'est la démence organique et la démence sénile proprement dite; la paralysie générale ex- trêmement rare après cinquante ans
avant professeur allemand ; une argumentation se lit. P. K. LVII. Paralysie générale avec tabès CHEZ UNE FILLETTE DE treize
NTRIBUTION A la connaissance DE la marche ET DE L'ÉTIO- LOGIE DE la paralysie générale; par B. ASCHER. (Allg. ZeiGSClh. f. Ps
e eux, malades entre 35 et 50 ans, >ont morts entre 40 et 45. La paralysie géné- rale marche plus vite chez les jeunes hom
accidents d'épilepsie; tantôt à des phénomènes qui rappe- laient la paralysie générale. L'auteur fait remarquer dans l'espèce
ulaire; par TH. TILING. (Allg. Zeitsch. f. Psych. XLVI. 2, 3.) La paralysie alcoolique s'accompagne généralement d'aliénation
psychose qui subsista. P. K. 444 BIBLIOGRAPHIE LXIX. Aphasie ET paralysie générale des aliénés ; par A. ROSENTRAL. (Centr
is, à la maison de Charenton, pré- sentant tous les symptômes de la paralysie générale..., sauf cette bienveillance dont on a
ses (atnxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agilanle). Volume m-8° de 169 pages avec 5 ligu
, 78 ; - loca- lisation de l'- sensorielle, par Lagrier, 243 ; et paralysie gé- nérale, par Rosenthal, 444. Asiles pour b
120 : - clampotrophie primitive progres- sive, par Bourguet, 121; paralysie de la chorée, par Roudot, 121; anesthésie dan
es, par Fischer, 239. Diphtérique, anatomie pathologique, de la paralysie -, par Krauss. 251. Doute, folie du - par Kow
uel chez les épileptiques, par Kowa- lenski, 109. Intoxication, paralysie générale et- par Charpentier, 208. Ivresse au
off- mann, 240 ; - parésie bilatérale du pathétique, par 2'il ; paralysie du péronier, par l3ernharcÎt, z extirpation du
avec troubles psychiques, par Korsakow, î : 4; ascendante a \ec paralysie réflexe de la moelle, par 'l'Ilissen, 2H; - tro
Il' - 390. Pachymémnciih chez les aliénés, par Wiglesworth, 97. Paralysie , isolée du regard en haut, par Thornsen, 72; -
e saturnine, par I\loebius, 248, par Krauss, 266. (Voir nerfs.) Paralysie loÉ11ÉILILE, état des fibres a myéline du cerve
Syphilis, rapports de la - avec la démence paralytique, 110; et paralysie générale, par Thornsen, par Zichen, 251 ; - sym
ports du et de la démence paralytique, par i, Westphal, 283; avec paralysie gé- nérale, par Struempell, 441. Tendineux, d
10 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE AVEC LÉSIONS TABÉTIFORMES DES
clinique des maladies * mentales. La question des rapports de la paralysie générale et du tabes spinal postérieur a soulev
incidemment cette question dans son rapport sur le diagnostic de la paralysie générale, mais sans en montrer les incertitudes
sément à conclure'qu'il y ait association. D'après cet auteur, la paralysie générale parait faire partie des symptômes pré-
stime satisfait en admettant que « le plus souvent les symptômes de paralysie générale, quand ils viennent compliquer l'ataxi
de rémission des symp- tômes tabétiques en exprimant l'idée que la paralysie géné- rale paraît arrêter la marche de l'ataxie
'ataxie locomotrice; il cite le cas d'un malade « qui a guéri d'une paralysie générale très grave et dont les symptômes avaie
s'attache à distinguer les symptômes mentaux du tabes de ceux de la paralysie générale, il n'hésite pas à conclure à l'associ
s à conclure à l'association des deux maladies. t Baillarger. De la paralysie générale dans ses rapports avec l'ataxie locomo
e locomotrice. (Ama. médico-psychol., t. VIII, 1862.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 3 Il n'est pas un mot de son
faire supposer qu'il ait pensé à des lésions spinales propres à la paralysie générale, différentes de celles du tabes, mais
e en 1885 S il estime qu'il faut parfois se méfier du diagnostic de paralysie générale chez les médullaires délirants, car, d
ve des troubles oculaires qui appartiennent plutôt au tabes qu'à la paralysie générale ; il est vrai que l'on relève aussi de
aussi des troubles intellectuels susceptibles d'être rapportés à la paralysie générale. Mais- cela est loin de suffire pour c
ces termes : oc C'est surtout, dit-il, lorsque les symptômes de la paralysie géné- rale éclatent chez un malade atteint d'un
ue pour ' Baillarger. Des rapports de l'ataxie locomotrice et de la paralysie générale. (Annales médico-psychologiques, 1885.
ter. Quoi qu'il en soit, la question des rapports du tabes et de la paralysie générale est loin d'avoir été réso- lue par Bai
eurs, sans mettre en doute l'existence simultanée du tabes et de la paralysie générale, les résultats fournis par la clinique
abétiformes entièrement imputables aux localisations spinales de la paralysie générale. Pour lui, les phénomènes tabétiformes
du tabes n'a pas la même localisation anatomique que celle de la paralysie générale. Parfois cependant, l'examen insuffisant
pel 2 conclut dans le même sens. Mais il faut bien dire que dans la paralysie générale, la localisation des lésions des cordo
facile si l'on ne prend pas soin d'examiner de 1 A. Joffroy. De la paralysie générale à forme lctbélizte. (Nouvelle Iconogra
izte. (Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1895.) - Klippel. Paralysie générale. Lésions el symptômes spinaux. Formes
pinales. (Archives de Médecine expér., n° 1, 1891.) . UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 5 près, d'analyser exactemen
on. Elle retire un plus grand intérêt de ce fait qu'il s'agit d'une paralysie générale juvénile. On verra, par les détails an
ciable, de l'inégalité des pupilles, la droite est plus UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 7 dilatée que la gauche, ni
e, grince des dents durant de longues heures. Bref le diagnostic de paralysie générale juvénile vient de s'imposer lorsqu'une
existe peu de fibres saines ; on y voit les vestiges de UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 9 fibres en voie de disparit
Ioinbaire. (Elle a subi une déformation post-moitem.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3. Moelle dorsale.
dyme est comblé comme dans les coupes sous- jacentes. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 13 L'épaississement des méni
aux autres. Fig. 6. - Moelle cervicale inférieure. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. Il 1; b) Etage supérieur (ft
aux et occipitaux montre les lésions dont l'ensemble caractérise la paralysie générale. Aux lobes frontal et pariétal le rése
t les caractères de cette paraplégie pouvaient faire songer à une paralysie hystérique plutôt qu'à une lésion organique de la
ément, sans qu'il soit tenu compte de la succession des UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 17 7 étages, les coupes de l
t que d'établir un rapprochement entre l'ataxie loco- motrice et la paralysie générale, s'il ne venait en concor- dance avec
te atrophie, visible à l'oeil nu, correspond la dégéné- UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 19 rescence granuleuse des c
clusion déjà formulée à diverses reprises par l'un de nous ' due la paralysie générale « ne s'en prend pas comme l'ataxie à u
. (Archives de Méd. e,1'pél ? le' nov. 1892, page 850.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 21 sans nul doute, mais c'es
t, peut être uti- lisé pour l'étude des relations du tabes et de la paralysie générale. Sans doute, nous l'avons déjà dit, le
mont-Ferrand, en parlant de l'étude des relations du tabes et de la paralysie générale : On ne pourra arriver à résoudre cett
mentale de Jlelgi'lue, 18\H.) Henry. Délire des néga- tions dans la paralysie générale. (Thèse Paris 1890.) De Sauctts. Délir
rarement poussée aussi loin que dans les démences secondaires et la paralysie géné- rale. L'auteur cite deux jeunes étudian
nalée par les auteurs. M. Marfan rappelle qu'il a observé un cas de paralysie infantile développée au cours d'une varicelle;
ue, dont l'analyse très détaillée conduit l'auteur au diagnostic de paralysie labio-glosso-lar3-ngée ou po- lyencéplialite in
ave et rare, à évolution rapide, il y a donc lieu de subordonner la paralysie glosao-labio-laryngée la sclérose laté- rale am
rties du cerveau. B. Il y avait hémiplégie totale droite, mais sans paralysie du facial supérieur, et cependant la lésion intér
s qu'il y avait destruction du pied de la frontale ascendante, sans paralysie linguale, ni pharyngée, ni laryngée, ni mastica
par contraction spasmodiquedes capillaires ou passage du sang par paralysie ; la question n'est pas résolue. Il y a peut-être
e sa maladie une névrite des membres inférieurs et supérieurs, avec paralysie des extenseurs de la main et des muscles de la
grave. Elle débute par un engourdissement de la faiblesse puis une paralysie plus ou moins complète des membres inférieurs,
inférieurs, la pointe du pied, traîne à terre, le malade steppe. La paralysie s'étend principalement dans la zone . z du scia
ent l'affection atteint les membres inférieurs, dans ce cas, il y a paralysie des exten- seurs. Les troubles sensitifs sont
tous les noyaux d'origine de l'oculo- moteur. Dans certains cas de paralysies périodiques transformées en paralysies permanen
moteur. Dans certains cas de paralysies périodiques transformées en paralysies permanentes, les phénomènes observés pourraient
e le tabes s'ac- compagne d'amaurose, de troubles intellectuels, de paralysies réelles ou d'hypereslhésie profonde ; enfin, da
s, le pouls plus vigoureux, etc., etc. G. D. VIII. Traitement DE la paralysie générale DES aliénés ; par GODDING (Brilish méd
t alors dans son lit, respirant facile- ment. On constata alors une paralysie absolue, sensitive et motrice du bras droit, et
nse de MM. Mai- ret et Vires à la communication de M. Ballet sur la paralysie générale. MM. Mairet et Vires déclarent que, da
airet et Vires déclarent que, dans leur livre sur l'étiologie de la paralysie générale, ils se sont laissé simplement diriger
irmation, nous démontrer que leurs quatre premières observations de paralysie générale arthritique, s'appliquent bien réellem
erveuses. - En ce qui concerne les rapports de la syphilis et de la paralysie générale, il dit qu'à Vanves M. Falret et lui r
les femmes, ils n'ont pas vu depuis plus de dix ans un seul cas de paralysie générale ; une fois seulement ils l'ont soupçonné
, ne démontrent mathématiquement que la syphilis est la cause de la paralysie générale, au moins donnent-ils à cette hypothès
. La cause principale des divergences qui règnent au sujet de' la paralysie générale lui paraît résider dans l'extension abus
e l'ensemble des symptômes nécessaires que l'on a décrit à tort des paralysies générales sans aliénation, sans démence, des pa
à tort des paralysies générales sans aliénation, sans démence, des paralysies secondaire, athéromateuse ou arthritique, sans lé
anatomiques, etc. Et ce sont ces faits, indûment rapportés à la z paralysie générale, qui ont créé la confusion actuelle. Le
t légitimement occû- per. M. TOULOUSE demande si M. Arnaud met la paralysie générale sans délire au même plan que les paral
. Arnaud met la paralysie générale sans délire au même plan que les paralysies générales arthritiques. Les premières sont beau
s, elles sont plus qu'hypothétiques. M. ARNAUD admet l'existence de paralysie sans délire, mais ne la croit pas très fréquent
sa parole, embarras dont il ne s'aperçoit pas, est un bon signe de paralysie générale sur lequel les auteurs ont peu- Insisté.
anique. M. Vallon est étonné d'entendre dire par M. Arnaud que la paralysie générale sans délire est rare. Sans pouvoir appor
ller. Il entre donc à l'asile public où il n'est pas douteux que la paralysie générale sans délire est très commune. J'ajoute
commune. J'ajouterai que la forme et la marche de la démence de la paralysie générale ont une importance au moins égale à ce
e soit affirmée, pour qu'on soit autorisé à porter le diagnostic de paralysie générale, Marcel BRI\ND. SOCIÉTÉ DE NEUROPATHOL
bout de quatre à six semaines après l'injection, et entraînent des paralysies motrices. Il est à sup- 70., SOCIÉTÉS SAVANTE
ns qu'il a trouvées dans les cellules de la moelle dans les cas des paralysies diphtéritiques doivent être consi- dérées comme
ation de la sensibilité, avec, pourtant, affaiblis- sement du tact. Paralysies dans les domaines des nerfs cubital, médian, pé
maison de Lavaur. (Le Temps, 18 juin.) BIBLIOGRAPHIE. 1-. La Paralysie géné7·ale (Etiologie, Pathogénie, Traitement); pa
livre que MM. Mairet et Vires viennent de consacrer à l'étude de la paralysie générale constitue une oeuvre scientifique d'une
personnelle s'accroît ici de l'autorité'de ses auteurs. Le terme de paralysie générale s'applique à une conception cli- nique
le côté clinique qui a permis à MM. Mairet et Vires de faire de la paralysie générale une étude étiologique et pathogénique.
la deuxième partie. Enfin, essayer de pénétrer la pathogénie de la paralysie géné- rale appelait un complément, presque un c
Dans plusieurs observations, l'hérédité arthritique a produit la paralysie générale, et cela, par l'intermédiaire de la séni
t comme l'indique la symptomatologie qui a toujours été celle de la paralysie générale sénile. Quant aux autres circonstances
ide réalisé par la diathèse. La caractéristi- que clinique de cette paralysie générale diathésique, c'est la rareté et la fug
é et l'inten- sité de la démence, faisant en quelque sorte de celle paralysie générale diathésique une véritable démence para
rganiques du cerveau rencontrées chez les ascendants, telles que la paralysie générale, les ramollisse- ments cérébraux suivi
poplexie. Cette hérédité ainsi comprise peut-elle être une cause de paralysie géné- rale ? L'hérédité similaire parait suscep
e produire chez le des- cendant une prédisposition aboutissant à la paralysie générale, mais les auteurs ne possèdent qu'une
générale, mais les auteurs ne possèdent qu'une seule observation de paralysie générale héréditairement transmise; les observa
ment créant chez les descendants une prédisposition à l'égard de la paralysie géné- rale ; enfin, des observations plus nombr
érébralité, née d'une hérédité par attaques, peut être une cause de paralysie générale. L'étude clinique établit que les paraly
e une cause de paralysie générale. L'étude clinique établit que les paralysies générales, par ramollissement chez les ascendan
ales, par ramollissement chez les ascendants, ont les allures de la paralysie générale sénile et que les paralysies générales n
endants, ont les allures de la paralysie générale sénile et que les paralysies générales nées de l'hérédité par attaques ont l
ies générales nées de l'hérédité par attaques ont les allures de la paralysie générale ordinaire avec prédominance nette de l
L'hérédité alcoolique est aussi une cause pathogène puissante de paralysie générale, et la paralysie générale est alors préc
st aussi une cause pathogène puissante de paralysie générale, et la paralysie générale est alors précoee,'puis- qu'elle peut
raître dès l'époque de la puberté; sous cette même influence, si la paralysie générale survient plus tard, elle est due à une
t qui revient à l'al- coolisme du sujet dans le développement de la paralysie générale. Les recherches expérimentales de Mair
que l'alcoolisme chronique peut produire la 76; bibliographie. paralysie générale; la clinique a confirmé les résultats de
résultats de l'expéri- mentation. L'alcoolisme chronique produit la paralysie générale vraie, mais il ne la produit pas d'emb
pas d'emblée; il va une longue période préparatoire. De plus, cette paralysie générale est à marche lente, comporte des rémis
es intermissions, peut-être même des guéiisons. Le lien qui unit.la paralysie générale à l'alcoolisme chronique se trouve dan
giques précédemment examinées en regard de leur produit supposé, la paralysie générale, ont été admises au rang de causes pat
de même. En réalité, il n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à forme de paralysie générale, ou mie
t rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à forme de paralysie générale, ou mieux d'une paralysie généralisée
e paralysie cérébrale à forme de paralysie générale, ou mieux d'une paralysie généralisée syphilitique. L'hérédité tuberculeu
isolément, ne doit pas non plus être considérée comme un facteur de paralysie géné- rale. 1 L'influence de l'hérédité menta
aucun rôle étiolo- gique et pathogénique dans la réalisation de la paralysie géné- rale. Quant aux infections aiguës, inca
uant aux infections aiguës, incapables de créer de toutes pièces la paralysie générale, elles créent une prédisposition ou cons
rio-sclérose. Le traumatisme et les excès divers ne conduisent à la paralysie générale que sur un terrain préparé. Quant à l'
rait être mise en cause. Toutes les statistiques établissent que la paralysie générale est plus fréquente chez l'homme que ch
sait atteindre presque exclusive- ment les hommes, on trouve que la paralysie générale se ren- contre aussi fréquemment chez
t nerveuse ont un rôle absolument nul. ' Abordant la genèse de la paralysie générale, les auteurs la résu- ment de la façon
vitale de l'en- semble de l'organisme; 3° la méionexie aboutit à la paralysie générale ou par le processus de la sénilité, ou
ré la non-identité du processus, on retrouve l'imité clinique de la paralysie générale. Derrière cette unité clinique, que tr
ouve que «la dégénération est à la base du travail anatomique de la paralysie générale. L'inflammation qui caractérise ce tra
et sur les autres parties du cerveau ». Malgré l'unité clinique, la paralysie générale n'est pas une dans sa nature, et MM. M
et MM. Mairet et Vires admettent quatre groupes patho- géniques de paralysies générales. Le premier groupe est constitué parl
ques de paralysies générales. Le premier groupe est constitué parla paralysie générale, maladie locale, les trois autres groupe
trois autres groupes sont des maladies localisées et comprennent la paralysie générale sénile, la paralysie générale pai arth
maladies localisées et comprennent la paralysie générale sénile, la paralysie générale pai arthritisme, et la paralysie génÉT
lysie générale sénile, la paralysie générale pai arthritisme, et la paralysie génÉT raie alcoolique. III. Cette longue étud
- tement pathogénique devait différer suivant qu'il s'agissait de paralysie générale sénile, de paralysie générale arthtitiqu
différer suivant qu'il s'agissait de paralysie générale sénile, de paralysie générale arthtitique, de paralysie générale alc
paralysie générale sénile, de paralysie générale arthtitique, de paralysie générale alcoolique. Enfin, le traitement symptom
'intérêt qui s'attache à la constatation des lésions spinales de la paralysie générale. La clinique nous laisse entrevoir que
sujets notoirement paralytiques géné- raux et dont le diagnostic de paralysie générale avait été contrôlé et vérifié par les
stème nerveux, ' Contribution il l'élude des lésions spinales de la paralysie générale. (Thèse de Toulouse, mars 1898.) L
ndre rang parmi les signes macroscopiques les plus importants de la paralysie générale. Elle est peut-être quelquefois la seu
oelle, avant d'avoir démontré que ces lésions existent bien dans la paralysie générale. Il nous importait seulement de signal
réquente que la chro- matolyse. Elle s'observe dans tous les cas de paralysie géné- rale à longue durée, celle qui s'accompag
nt il s'agit dans une des observations de la thèse de Sou- cail. La paralysie générale se présentait avec des symptômes si pe
stion cérébrale, et l'autopsie nous montra toutes les lésions de la paralysie générale. Les lésions médullaires, observées ap
tutifs de l'axe médullaire sont suscep- tibles de s'altérer dans la paralysie générale. Essayons d'in- 90 ANATOMIE PATHOLOG
du cerveau ou des racines postérieures. Disons tout de suite que la paralysie générale épargné les premières d'une façon à pe
u'une émanation cylindraxile, est considérée comme la règle dans la paralysie générale. Il était donc logique d'admettre, à p
achant combien les troubles de la sensibilité sont graves dans la paralysie générale. L'atrophie de la cellule radiculaire
édé de Golgi nous a déjà fait constater qu'elle a proliféré dans la paralysie générale. Est-ce unique- ment pour remplir.les
ans les détails de son processus. Dans la pellagre, comme dans la paralysie générale, observe Wassale, il s'agit d'une dégé
pathologie générale : des lésions médullaires, comme celles de la paralysie générale, peuvent être produites par des poi- s
n'avons pas l'intention d'ouvrir ici un débat sur l'étiologie de la paralysie générale. Nos observations sont trop mal docume
0 des cas. La fréquence de la syphilis dans les anté- cédents de la paralysie générale a été d'ailleurs, affirmée en France p
Donc, la clinique nous oblige à tenir compte de la syphilis dans la paralysie générale, et l'anatomie patholo- gique nous amè
tas, etc. Tout récemment, un auteur allemand, parlant d'un cas de paralysie générale juvénile, affirme qu'elle est due à la
es sont appelées à jouer un rôle considérable dans l'histoire de la paralysie générale. Les faits arrivent chaque jour plus n
de signes de névrites. Presque toutes les lésions médullaires de la paralysie générale peu- vent s'expliquer déjà par le peu
s des lésions analogues. Y. Des lésions spinales comme celles de la paralysie géné- rale ne se rencontrent pas seulement dans
u latéral, leur topographie rappelant alors celle des lésions de la paralysie générale. Dans quel- ques-uns de ces cas, l'alt
une étude spéciale. Est-ce à dire que les lésions médullaires de la paralysie générale soient banales, communes à un grand no
nne place à côté des meilleurs signes anatomo-pathologiques de la paralysie générale. Et, s'il en est ainsi, nous aurons à
s. On devrait voir alors les signes du tabes s'ajouter à ceux de la paralysie générale. Quand elle n'est pas arrivée à ce deg
grossièrement appréciée. C'est dans la période prodromique de la paralysie générale que les symptômes spinaux et névritiqu
econnus porteurs de lésions médullaires. Les lésions spinales de la paralysie générale peuvent intéresser tous les éléments c
à un autre point de vue, les lésions médullaires observées dans la paralysie générale ne sont pas absolument caractéristique
e la faradisation est contre-indiquée dans les cas où comme dans la paralysie pseudohypertrophique et certains autres il y a
nus au laboratoire d'électrothérapie de la Charité, en traitant les paralysies saturnines par les courants alternatifs à basse
encéphalite en question d'autant qu'il y a eu infec- tion. - 5° Les paralysies du nerf oculo-moteur commun droit et du pathéti
oit extrêmement congestionné, [pourrait-on penser pour expliquer sa paralysie , à la lésion du faisceau longitudinal supé- rie
- .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 117 suels des deux côtés, sans paralysie des muscles des yeux. Blépha- roptose bilatéral
évrite multiloculaire. Guérison. P. Keraval. XXVIII. Observation DE paralysie DE l'oculomoteur commun A réci- DIVES périodiqu
G. ILIdTSCIiIiIN. (Neurolog. Ce7ll7'albl., XVI, 1797.) . Type de paralysie de l'oculomoteur commun gauche d'origine maremm
s'agit d'une affection périphérique de l'oculomoteur, puisque la paralysie musculaire s'accompagne d'un trouble -de la réact
rait que de la mydriase. Une lésion nucléaire enlraine rarement une paralysie des muscles intrinsèques de l'ml ; de plu, en c
ément organique. P. Keraval. XXIX. Contribution A la pathologie DES paralysies bulbospinales SPAS3fODICO-ATROPHIQUES; par A. H
Etude d'un cas de sclérose latérale amyotrophique combinée à une paralysie bulbaire progressive; analyse microscopique par l
par celle de Weigert. Figures. En d'autres termes, il s'agit d'une paralysie nucléaire bulbospinale spasmodique qui, après u
t même des cordons postérieurs (Brissaud) ; le bilan anatomique des paralysies bulbospinales spas. modico-atrophiques se prése
ation; ces auteurs n'ont rencontré que les lésions corticales de la paralysie générale. Ici, en outre de la lésion corticale,
librement les jambes au lit, mais ne peut marcher. En six jours, la paralysie des bras disparait presque complètement; le pat
r H. Deterxhnn (Neurolog. Centralbl., XVI, 1897,) il s'agit d'une paralysie motrice portant sur les trois nerfs du bras dro
nt sur les trois nerfs du bras droit, atteignant surtout le radial ( paralysie totale du long supinateur, parésie de l'extense
ier et deuxième lombricaux). C'est le complexus symptomalique de la paralysie par compression pen- dant le sommeil ou la narc
ession pen- dant le sommeil ou la narcose chloroformique, mais avec paralysie des trois nerfs tandis que d'ordinaire un seul
yés pour une opération antérieure, s'il n'y avait en même temps une paralysie de la sensibilité qui n'est pas en rapport avec
ue disparaissait donc lais- sant à jour le complexus clinique d'une paralysie par compression. P. KERAVAL. 134 REVUE DE P
i seuls ont de la valeur pour le chercheur. - . 1. Observation de paralysie de Erb-Klumpke, consécutive à l'influenza (névr
diculaire du plexus brachial, supérieur et inférieur). - En un mot, paralysie combinée de Erb-Klumpke. Phénomènes initiaux ce
é de l'élévation de l'angle de l'omoplate et du rhomboïde malgré la paralysie totale du plexus. Il n'y a pas non plus de réac
présente une attaque d'apo- plexie suivie d'hémiplégie droite saus paralysie faciale, ni aphasie. L'hémiplégie s'amende peu
a science la meilleure explication est la suivante : le tabes et la paralysie progressive sont des affections éminemment dégé
nce personnelle (Il opérations), M. Jaboulay reste convaincu que la paralysie artificielle du sympathique cer- vical, qu'il a
N H8 varia. Contribution il l'étude de la 1'é/J/i sipii dans la paralysie générale iio de novembre 1891. ' Les obsèques
irurricale. La jambe droite se trouve à cette époque atteinte d'une paralysie absolue, à gauche persistent quelques mouvement
domaine des nerfs craniens et dans la partie supérieure du corps. Paralysie inférieure absolue. Les jambes sont fixées en ext
membres supérieurs, principalement dans les segments périphériques. Paralysie des muscles de la moitié inférieure du tronc; l
du diaphragme. Déglutition difficile. Mouvements du cou restreints; paralysie presque absolue des mains. Bientôt la connaissa
5-38°). Diarrhées - profuses, urines purulentes : Le 27 novembre, paralysie du voile du palais bilatéral. Le 6 décembre, la
'exa- men découvre de ce côté une surdité absolue. Le 8 décembre, paralysie du nerf facial droit à type périphé- rique (par
eu impor- tantes : cas de Schultze ', de Richter= et le nôtre. La paralysie n'est pas plus constante ; cependant dans les o
ait analogue dans notre observation, seulement en sens inverse : la paralysie s'étendait de bas en haut. La marche de l'aff
lire halluci- natoire, délire aigu, délire de persécution, démence, paralysie générale, puis neurasthénie, états neurasthénif
t. ' Un autre malade, cité par Vène dans sa thèse, est atteint de paralysie générale après une cure radicale de hernie. Il av
nt sur l'analogie des troubles psychiques post-opératoires avec les paralysies hystéro-trauma- tiques, fait une large part à l
ès une piqûre d'aiguille à la main conserver pendant des années une paralysie du bras correspondant. Une autre malade, ayant
grès une observation démontrant une fois de plus les rapports de la paralysie générale et de la dégénérescence mentale. Il s'
Il meurt en mars 1898 après avoir présenté toutes les phases de la paralysie générale. A l'autopsie, lésions classiques de c
cette maladie. M. Joffroy se demande quelle est ici la cause de la paralysie générale. Après avoir éliminé la syphilis, l'al
à un si haut degré. On a objecté à cette étiologie la rareté de la paralysie générale parmi les aliénés internés depuis longte
SOCIÉTÉS SAVANTES. ment notés chez les sujets atteints plus tard de paralysie générale cela tient en partie à ce qu'ils ont l
est un argument en faveur de l'opinion qu'il soutient, que dans la paralysie générale, la lésion cellulaire est primitive et i
générescence n'a qu'une influence secondaire dans l'étiologie de la paralysie générale. M. Régis rappelle les cas publiés par
e les cas publiés par M. Christian, et en outre les observations de paralysie générale relevées chez les imbéciles. Peut-être
t-être faut-il incriminer là souvent, la syphilis héréditaire; i la paralysie générale juvénile prouve que la syphilis hérédita
a dégénéres- cence sa grande part d'influence dans l'éclosion de la paralysie générale. Il n'a apporté qu'un fait, parce que
ations presque analogues. M. Charpentier fait observer combien la paralysie générale est fréquente chez les dégénérés et co
nt évidemment pas une activité cérébrale suffisante pour mériter la paralysie générale. M. ARNAUD rappelle qu'on a signalé un
signalé un certain nombre de fois, pas plus de dix, il est vrai, la paralysie générale chez les imbéciles. Pour son compte pe
elle soit d'origine cérébrale ou spinale, est toujours suivie d'une paralysie spasmodique avec exagération des réflexes. Celte
e entre la dégénérescence des cordons latéraux de la moelle et la paralysie avec contracture permanente. Le cas que je vien
réflexes rotuliens, secousses musculaires, trépidation épileptoïde, paralysie des sphincters, etc., etc. Cet état persista dura
voir déclarer en défaut la théorie de Charcot sur les relations des paralysies spasmodiques avec les dégénéres- cences seconda
es conclusions un peu hâtives des auteurs qui, ayant cons- taté des paralysies flaccides à la suite de compression ou de lésions
lérose cérébro-spinale est surtout connue des aliénistes : c'est la paralysie .générale sans délire. Au point de vue anatomiq
Or, c'est ici qu'apparait nettement la parenté entre cette forme de paralysie générale et la sclérose latérale amyotrophique.
- jections, des photographies relatives à des malades atteints de paralysie pseudo-bulbaires, de torticolis mental, d'acromég
re mises sur le compte des lésions vasculo- conjonctives. Dans la paralysie générale qui parait être également une affec- t
emble actuellement inadmissible, c'est que dans les formes pures de paralysie générale il puisse exister des lésions vasculai
, le facial supérieur l'était aussi, mais à un moindre degré. Cette paralysie se traduit par l'abaissement de la queue du sou
s d'hémiplégie présentent la participation du facial supérieur à la paralysie ; trois SOCIÉTÉS SAVANTES. 245 fois la fente
. La ligature du vaisseau fut faite le même jour; il en résulta une paralysie de tout l'avant-bras, intéressant par conséquen
nerveux (section ou compression du médian), ni par le mécanisme des paralysies réflexes, ni enfin par une forme d'hystéro-trau
topsie ; enfin, MM. Ballet et Duthil ont récemment pu provoquer des paralysies en anémiant la moelle par la com- pression de l
e-cinq ans, frappée, à la suite d'une application de forceps, d'une paralysie avec anesthésie des membres inférieurs jusqu'au
ion faite avec le cou- rant ou simplement l'appareil qui efface les paralysies hystériques. Deuxième cas. Femme de soixante-qu
moyens propres à atténuer les sensations anormales du tabétique. Paralysie périphérique d'origine traumatique. Troubles réfl
irurgicale au niveau du creux poplité, très bien conduite, amena la paralysie complète du sciatique poplité externe avec réac
e poplité externe avec réaction de dégénéres- cence complète. Cette paralysie évolua en l'espace de six mois. En même temps,
ion statique au contraire présente, tous les avantages. Un cas de paralysie faciale double d'origine 6ulbceir·e. Traitement
ysie faciale double d'origine 6ulbceir·e. Traitement électrique des paralysies faciales. M. 11lALLY rapporte l'observation d'u
t, loin d'avoir de la rigidité dans les muscles du cou, il a eu une paralysie des extenseurs avec tendance à la flexion et im
ne jouent qu'un rôle tout à fait secondaire. A. Eenayrou. L. LES paralysies DU VOILE DU palais ET LE NERF facial ; par M. M
d avec la physiologie, la clinique montre qu'il existe des faits de paralysie du voile par lésions du vago-spinal. L'auteur en
vago-spinal. L'auteur en rapporte un, dans lequel il a observé une paralysie du voile du palais avec paralysie récurrentiell
un, dans lequel il a observé une paralysie du voile du palais avec paralysie récurrentielle et paralysie linguale, sans para
é une paralysie du voile du palais avec paralysie récurrentielle et paralysie linguale, sans paralysie de la face, provoquée,
palais avec paralysie récurrentielle et paralysie linguale, sans paralysie de la face, provoquée, ainsi que l'autopsie l'a é
es cliniciens, il est vrai, disent avoir observé un grand nombre de paralysies faciales accompagnées de paralysies du voile du p
voir observé un grand nombre de paralysies faciales accompagnées de paralysies du voile du palais, et l'on ne peut sans parti
arde néanmoins comme une exception clinique celle association d'une paralysie du voile avec une paralysie faciale, et pense q
eption clinique celle association d'une paralysie du voile avec une paralysie faciale, et pense que les cas qui en ont été ra
jours, la faiblesse des membres inférieurs s'est transformée en une paralysie complète; les membres supérieurs ont été ensuit
les membres supérieurs ont été ensuite envahis, à leur tour, par la paralysie ; peu après, se sont produits des troubles céréb
ito-urinaires; l'autre d'origine également traumatique et suivie de paralysie transitoire des quatre membres. A. M. LIV. Co
mbres thoraciques, la para- plégie foudroyante, coïncidant avec une paralysie vésicale subite, l'extension des troubles nerve
de ce faisceau (hémiplégie, monoplégie) ou dans sa partie spinale ( paralysie flasque ou para- plégie spasmodique). G. D.
caprice et qui l'en distrait. A. Marie. LXVII. Myélite localisée ( paralysie des quatre membres); par B. 13RAUVELL. (British
raumatique de la colonne vertébrale au niveau de la 5e verticale. Paralysie et anesthésie transitoires suivies d'atrophie ave
6° vertèbres cervicales. L'auteur rapproche un cas analogue où des paralysies viscérales (vésicale et intestinale) disparuren
aralysies viscérales (vésicale et intestinale) disparurent avec les paralysies transitoires des membres. Traitement dans les d
on. De nombreuses observations accompagnent le texte A. V. LXXIV. Paralysie réflexe DU DELTOÏDE DE cause articulaire. Dépla
suite d'une luxation de l'épaule en avant, on observe par- fois une paralysie du deltoïde et de quelques muscles voisins et un
segment brachial est allongé, la tête de l'humérus par suite de la paralysie du deltoïde et de la laxité des ligaments aband
t une infirmité redoutable. L'auteur étudie d'abord quelle sorte de paralysie frappe le del- toïde et montre quel est le rôle
paralysie frappe le del- toïde et montre quel est le rôle de cette paralysie dans la genèse des accidents. La paralysie n'
l est le rôle de cette paralysie dans la genèse des accidents. La paralysie n'est due ni à une myosite, ni aune névrose ; ell
qu'il s'agisse ici d'une affection myélopathique, c'est bien là la paralysie spasmodique amyotrophique de Charcot, l'atrophi
lésion organique des cornes antérieures de la moelle provoquant des paralysies , des amyotrophies graves et une laxité articula
déplacement secondaire de la tête humorale. D'autre part jamais une paralysie du circonflexe ou du plexus brachial ne s'accom
quin est donc autorisé à formuler les conclusions suivantes : cette paralysie est myélopathique et répond au type de la paral
ivantes : cette paralysie est myélopathique et répond au type de la paralysie spasmodique articulaire ; c'est cette origine q
la laxité articulaire; le déplacement ne se produit pas lorsque la paralysie reconnaît une autre cause. A. Vigouroux. LXXV
nfants sont d'ordinaire d'une humeur douce et agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine cérébrale, l'état mental pré-
oculaires analo- gues en rapport avec les lésions cérébrales de la paralysie générale (Thèse Paris, 1890). A. Marie. REV
sion cérébrale, et provenir, par exemple, de l'excitation ou de la paralysie de l'encéphale. L'augmentation de la pression int
e hémiplégique ? Autant de problèmes non encore réso- lus. Dans les paralysies périphériques légères, il peut y avoir aussi di
le accompagnée de lenteur indirecte de la contraction {Loewenthal ; paralysie du radial par compression). 3° La résistance du
ibliographiques permettent-ils DE DIAGNOSTI- QUER l'existence DE la paralysie générale par l'examen H1STOLO- 316 REVUE D'AN
st appelée dans ces cas à rendre de réels services. G. DENY. III. Paralysie paroxystique DE nature épileptique ; par H. Higie
nce par de la pa- resthésie de la jambe qui est bientôt atteinte de paralysie motrice Il n'est pas rare de voir les symptômes
t favorablement; enfin, il y a eu énorme fréquence de ce,s accès de paralysie tran- sitoire, jusqu'à vingt en un jour, ce qui
gier se rallie à la théorie de Loevenfeld, du phénomène d'arrêt. La paralysie survenant ici soit en plein repos, soit pendant
'est l'agent générateur des phénomènes d'arrêt. L'association de la paralysie à des paresthésies semble indiquer que l'arrêt de
nantes. P. KERAVAL. IV. Des SYMPTOMES prodromiques principaux DE la paralysie GÉNÉ- RALE QUI PRÉCÈDENT DE LONGTEMPS LA MANIFE
all constitueraient les deux signes prodromiques prin- cipaux de la paralysie générale; ils pourraient être constatés de deux
, sans que l'on constate d'autres signes du tabès, le soupçon d'une paralysie générale est justifié et il se confirmera le pl
des stigmates de neuras- thénie. Les autres signes précoces de la paralysie générale sont les ophtalmoplégies, en particuli
i l'étude des rapports anle et posl mortcin de l'épilepsie et de la paralysie générale. M. Péon. - Il existe fréquemment entr
u'il y a entre les attaques épileptiformes (si fré- quentes dans la paralysie générale) et les accès de l'épilepsie vraie. -
uvent on voit survenir brusquement dans le cours de l'épilepsie une paralysie très irrégulière dans son mode de pro- duction
sie, d'abord locale, progressive quant à son étendue, diffère de la paralysie générale qui, générale d'emblée, ne progresse qu'
n certificat des troubles musculaires qui peuvent se rattacher à la paralysie géné- rale. Vers fin décembre apparaissent des
ppant des difficultés que présente le diagnostic différentiel de la paralysie générale et de l'épilepsie compliquée de troubles
mence paralytique avec la démence épileptique qui s'accom- pagne de paralysie généralisée et d'embarras plus ou moins ac. cus
isée et d'embarras plus ou moins ac. cusé de la parole. s) Que la paralysie générale naisse dans le cours de l'épilepsie ch
u'au mois d'avril 1858 on ne constate encore aucun signe évident de paralysie générale ; tandis que le reste de l'année se pa
de l'année se passe dans la torpeur mentale avec quelques signes de paralysie . 1859. Dès le mois de janvier, R... est pris de
es, le bulbe 7, et le cervelet 135 grammes. Dans certains cas, la paralysie générale est une complication de l'épilepsie, e
uand il s'agit du diagnostic différentiel entre l'épi- lepsie et la paralysie générale. Résumé et conclusions. - 1 On peut co
peut constater chez certains épileptiques tous les symptômes de la paralysie générale. a) Symptômes physiques. - Embarras de
s épileptiques donne plus ou moins les lésions macroscopiques de la paralysie générale : Les membranes viscérales du cerveau
à la substance corticale ramollie, diffèrent si peu de celles de la paralysie générale -qu'il n'y aurait qu'une prédominance
ars 1898 une courbature légère. Le 6 avril, apparition rapide d'une paralysie de la jambe droite, le 7 avril, le matin, paralys
on rapide d'une paralysie de la jambe droite, le 7 avril, le matin, paralysie brusque de la jambe gauche en même temps qu'une
t élevée jusqu'au niveau de la troisième côte ; il se manifeste une paralysie des muscles abdominaux, dorsaux et intercostaux
SENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D E. JIARANDON DE IONTYEL, *1
aux symptômes physiques et psychiques de la LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GENERALE. 377 paralysie générale à l'aide d'une
psychiques de la LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GENERALE. 377 paralysie générale à l'aide d'une méthode d'investigation d
ale. Nous avons eu soin d'éliminer tous les sujets chez lesquels la paralysie générale n'était pas pure, se compliquait d'une
part, en autant de chapitres distincts, chacun des symptômes de la paralysie générale ; puis, cette étude analytique terminé
les travaux les plus récents relativement à l'état du tact dans la paralysie générale. Nous serons parfois fort embarrassé d
l'analgésie et à l'hyperal- gésie. - Le seul Traité complet de la paralysie générale qui ait été publié chez nous dans ces
plus précieux pour le diagnostic et un traitement précoce que la paralysie générale est d'ordinaire à début lent et insidieu
assagère et, selon Mickle, engendrerait des LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 379 conceptions délirantes hyponchond
de la moelle. Pour MM. Christian etRitti,qui ontécrit l'article : « Paralysie générale » du Dictionnaire encyclopédique des s
tactile chez les mêmes paralysés généraux aux trois périodes de la paralysie générale. Si nous nous adressons aux auteurs ét
elquefois on voit apparaître de bonne heure LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 381 l'anesthésie; il n'est pas rare a
are comparativement au stade précédent. A la dernière période de la paralysie générale le sens du tact est sujet à être grand
iffres à l'appui, dans quelle proportion le tact est altéré dans la paralysie générale et à chaque période en particulier; qu
t possible d'arriver néanmoins à des résul- LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 383 tats assez positifs pour être enr
qui lors de leur admission étaient tous à la première période de la paralysie générale. Mais de ces 108 paralytiques il n'en
, ils se répartissent ainsi qu'il suit : LE SENS TACTILE ET LA. PARALYSIE GÉNÉRALE. 385 cette loi, mais il s'est trouvé q
a mala- die. - Nous obtenons en effet : LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 387 progrès de la maladie. De rares à
es périodes. Pour ce dernier nous avons : LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 389 tions à mesure que la paralysie g
LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 389 tions à mesure que la paralysie générale progresse et leur absence complète à l
u une irritation de la zone rolandique. R. C. LXXXVI11. Note sur la paralysie du facial SUPÉRIEUR dans L'JIÉ511- . PLEG)E par
us. IC0720Cf1'. de la Salpétrière, n° 3, 1898.) L'existence de la paralysie faciale dans l'hémiplégie hystérique est depuis
les hémiplégiques, c'est la persistance des signes ordinaires de la paralysie du facial supérieur, dont l'auteur donne une obse
urologique, février 1898.) E. B. XCIIL LE SIGNE DE CH. BELL dans la paralysie faciale périphérique ; par le Dr P. BONNIER.
le premier signalé en 1823, au phénomène suivant : dans le cas de paralysie faciale périphérique, quand le sujet fait vaineme
itation labyrinthique, et celle-éi accompagne très fréquem- ment la paralysie faciale. M. Bernhardt a critiqué la théorie de
bstance grise ; voilà pourquoi ladite compression ne produit qu'une paralysie flaccide. Mais il ne faudrait pas qu'elle se pro-
être intellectuellement, est atteint à l'âge de vingt-quatre ans de paralysie faciale gauche totale. Huit jours après débuten
les inégaux, durant quatre années, puis disparaissent. Cependant la paralysie faciale persiste encore, avec quelque tendance
ues franches, ont apparu sur un territoire antérieurement frappé de paralysie , permettent de se ranger au diagnostic du spasm
la dégéné- nérescence. J. SÉGLAS. CV. Gangrène DES PIEDS dans la paralysie générale ; par J. LORD. (British med. Journal,
ou action sur les centres nerveux produit l'anesthésie des sens, la paralysie du système moteur ; par lui les centres supé- r
ymptômes physiques et intellectuels sont connus : cachexie, ataxie, paralysie des sphincters d'un côté, de l'autre affaibliss
OGI QUE. Séance du 25 juillet 1808. - Présidence DE M. MEURIOL La paralysie générale. Rapport sur l'ouvrage de Funaioli. -
ge de Funaioli. - M. AnNAUD analyse l'ouvrage de M. Funaioli sur la paralysie géné- raie. C'est une étude à la fois clinique
e l'autopsie d'un cas dont le diagnostic clinique porté avait été : paralysie pseudo-bulbaire, crises subintrantes d'épilepsi
rs de la région inflammatoire propre- ment dite. Les symptômes de paralysie pseudo-bulbaire, observés pendant la vie, relèv
i des atta- ques convulsives corticales prolongées, en dehors de la paralysie générale, comme signes d'une dégénérescence dif
écorce. 6° Les attaques congestives épileptiformes ordinaires de la paralysie générale proviennent aussi d'une irrita- tion r
vent servir que d'agent accessoire non provo- cateur. 7° Les cas de paralysie générale à attaques convulsives corticales prol
KERAVAL, VIII. Contribution A la statistique et A l'étiologie delà paralysie générale progressive des aliénés; par I. GREIDE
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 471 I A cet égard, l'auteur a observé la paralysie générale à l'âge de vingt et un ans (âge minimu
el et de son école a donné de bons résultats : la description de la paralysie générale des aliénés, par exemple; mais, pour l
avant de pouvoir la traiter. Nous savons tous que si l'on exclut la paralysie générale et la folie épileptique 80 p. 100 au moi
e patellaire étudié chez les mêmes malades aux trois PÉRIODES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE : par le D1' 11.1naDO\ DE 111oNTYEL.
TYEL. Les conclusions de l'auteur sont les suivantes : 1. Dans la paralysie générale, le réflexe patellaire est bien plus s
qu'à la troisième période. 4. C'est dans la forme dépressive de la paralysie générale que le réflexe palellaire est le plus
P. Keraval. XIX. LES signes DE dégénérescence (extérieurs) dans la paralysie PROGRESSIVE AVEC QUELQUES POINTS RELATIFS A CEf
soit plus tard. Le paralytique est un être presque prédestiné à la paralysie générale, dont le cerveau, invalide dès la nais
portantes. La syphilis, en tout cas, n'est jamais la seule cause de paralysie générale, elle n'est qu'une cause préparatoire
ubi l'inva- lidité préalable : il est très rare qu'elle engendre la paralysie générale directement. Toujours d'autres causes
fération du tissu interstitiel constitue le premier processus de la paralysie générale, ou si c'est l'atrophie des éléments n
ES PSYCHO-NEVROSES AIGUËS ET CONTRIBUTION ANATOMIQUE A l'ÉTUDÉDE LA PARALYSIE SPINALE SPASMODIQUE; par DONAGGIO. (Riv. S. cli f
inférieure de la moelle sacrée est atteinte parce qu'il existe une paralysie motrice et sensitive de la région vésico rectal
n effet le traumatisme aurait particulièrement porté à droite et la paralysie de la jambe droite a duré bien plus longtemps q
s jours; les racines postérieures auraient le plus souffert, car la paralysie motrice a presque complè- tement disparu; cette
tte lésion des racines postérieures est du reste compatible avec la paralysie dissociée de la sensibilité, et l'anes- Lliésie
ntripètes, il est légitime de dire que l'ataxie consécutive à cette paralysie est une ataxie centripète. Qu'est-ce qu'une ala
n électrique de l'écorce du cerveau sur les extrémités atteintes de paralysie centripète. Il a vu l'excitation de l'écorce pr
rtains cas d'hystérie. Le diagnostic souvent liés difficile avec la paralysie générale au début se fait par les signes physiq
e cranio- faciale dans l' - spasmodique infantile, par Féré, 303. Paralysie du facial supérieur dans l ? par Féré, 402.
et son traitement, par Robertson, 4 : ! i. Myélite transverse et paralysie flac. cide, par Urissaud, 226. Épidémie de -
que suri' par .Marie A. et Vigouroux, 210. OCLI.01l0l EII commun. Paralysie de l'- par IvIIatschl : ln, 117. OEoi.ue mono
ale hypertro- phiqueet pseudo-tabès alcoolique, par Luppi, 292. Paralysie spinale spasmodique. par 1 Uonannio 593. - péri
onner.m.j.butbairssspas- modlco-atrophiques, par Hoche, 117. î. Paralysie générai e progressa e. Sur un cas de juvénile a
11 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
urs, compliquée bientôt d'une atrophie musculaire géné- ralisée. La paralysie et l'atrophie ont évolué avec une très grande rap
èrement ses bras, grâce à l'action des muscles trapèzes. Partout la paralysie se compliquait d'une atrophie musculaire considér
nt l'état général était satisfaisant, mais qui était atteinte d'une paralysie complète des membres et du tronc compliquée d'une
cles du cou et ceux de la tète étaient respectés par l'atrophie. La paralysie et l'atrophie mus- culaire s'accompagnaient de
constatons chez notre malade, ensemble symptomatique dominé par la paralysie motrice, l'atro- phie musculaire, t'anesthésie,
participation des cordons latéraux nous ren- drait compte de cette paralysie motrice absolue que nous constatons chez notre
'il a été pratiqué par M. le docteur Sauvineau : Examen des yeux. Paralysie incomplète de la 3e paire gauche (ptosis droit
épondérance d'action de l'abaisseur (droit interne) par suite de la paralysie de l'autre abaisseur (grand oblique). Dans le m
à droite des deux yeux, mouvement qui se fait très incomplètement ( paralysie complète de la 6e paire droite, incomplète du d
'2/3. 0. G. V. = 1/3. Accommodation normale à droite. A gauche paralysie de l'accommodation ; il y a donc de ce côté une o
20 kilogs. M. G. = 17 kilogs. On ne constate pas d'atrophie, pas de paralysie . La force musculaire est conservée intégralemen
on intégrité leur aspect extérieur. Il n'y a pas d'atrophie, pas de paralysie . Pas de perte de la force musculaire. Les réf
ifestent des troubles oculaires à évolution rapide, aboutissant aux paralysies multiples actuelles. A quelle affection avons-
us renoncer à l'idée d'une tumeur gommeuse. C'est en présence d'une paralysie complexe que nous nous trouvons. Il faudrait do
par suite de sa prédilection pour l'espace interpédoncu- laire, la paralysie est double et le plus souvent totale. Le signe d'
u'exceptionnellement que la syphilis cérébrale se manifeste par les paralysies partielles du genre de notre malade. Il n'en
une objection irréfutable, puisque nous attribuons la cause de ces paralysies oculaires à un tabes supérieur. On constate ass
exécution de cer- tains travaux qui exigent un peu d'adresse. Les paralysies oculaires de V... présentent les caractères que l
caractères que leur a dé- crits le professeur Fournier. Ce sont des paralysies partielles, presque par- cellaires pour l'oeil
ristique nouvelle : il nous sem- ble qu'on peut les rattacher à ces paralysies résolutives, spontanément ? 'e- (1) N.1GEOTTC e
e professeur Fournier. En un mot, nous nous trouvons en présence de paralysies nu- cléaires et leur distribution spéciale ne s
soin. Troubles musculaires. Il n'y a pas eu à proprement parler de paralysie des muscles ; si le malade n'a pu se servir ais
érieurs. En plus, l'atrophie musculaire s'est établie d'emblée sans paralysie antérieure, et c'est là une raison nouvelle qui
de TlioLtiseù).- '. Fis. 7. Hémichorée hystérique (Bras). Fiq. 8. Paralysie agitante (Pied et' main). 1 Fio. 9. Amyotaxie
résence de ce tableau clinique, et en se basant sur la limite de la paralysie , sur celle, plus nette, de l'anesthésie, enfin su
de ce moment, les phénomènes se simplifient en ce qui con- cerne la paralysie : l'envabissementdes cordons antéro-latéraux, l'é
ine par la destruction des faisceaux pyramidaux direct et croisé la paralysie de la moitié correspon- dante du corps et par s
s mêmes raisons la tumeur droite est la cause efficiente de l'hémi- paralysie droite et de l'hémianesthésie gauche. Bien plus
téressant seulement la 2e paire dorsale, se rattachent l'absence de paralysie du bras droit (intégrité du plexus) et une zone d
roisé : de cette hémisection de la moelle motrice gauche résulte la paralysie motrice de la moitié gauche du corps au-dessus
sensitifs (S) du corps. Pour toute la figure, on a repré- senté la paralysie motrice par la teinte noire, l'anesthésie par les
mi- daux droits) au niveau de la 2e paire dorsale MD2, détermine la paralysie droite du corps au-dessus de la lésion, zone PD
e remarquer, à ce propos, que nos premières connais- sances sur les paralysies spinales dans la syphilis acquise, se rattachent
femme assise à côté de lui. Peut-être est-il occupé à guérir une paralysie ou une contracture hys- térique, Fixant ses yeu
Chez cet enfant né de parents syphilitiques au moins le père a la paralysie apparente des premiers mois de la naissance et qu
e tenir debout et détacher du sol ses membres rendus rigides par la paralysie . , .. · En somme, actuellement, l'aspect cliniq
E DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 111 iiiiale iiiais ne différant guère de la paralysie spastique décrite par Charcot et par Erb au cou
ua le rôle d'agent provoca- teur de la vérole qui sommeillait. « La paralysie ,dit-il,n'était pas simple- ment infantile, mais
érieurs ; sphincters intacts. Pas de fièvre. L'auteur pensait une paralysie infantile lorsque, le surlendemain, il constata
ut d'un mois avec une éruption cutanée. Guérison en G jours de la paralysie , attribuée à l'administration de la li- queur d
e nous ne connaissons que par le compte rendu ci-dessus. (3) BAnnE. Paralysie des membres supérieurs chez une petite fille atte
op- sie. L'auteur,sans préciser lesiègede la lésion,conclut à une paralysie vraie après avoir éliminé la pseudo-paralysie d
e réponse de Pollak (Id., no 2, 1896) dans lesquels il est parlé de paralysies et de contractures des membres chez des enfants
lysie faciale et aphasie. Cette dernière disparut bientôt, mais la paralysie du bras, en particulier, persista pendant une a
es réflexes rotuliens. Intelligence intacte. Le 12 novembre, légère paralysie faciale droite avec ptosis, état demi- comateux
ires ; pas de troubles de la sen- sibilité spéciale. Voix nasonnée. Paralysie de l'orbiculaire des lèvres qui doivent être éc
120 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE mouvements sont abolis. Paralysie du voile du palais avec perte de ses réflexes,
amélioration très nette ; la parole devint beaucoup plus facile, la paralysie de l'orbiculaire tendant à disparaître. L'auteu
génitale. - A 1 an 1/2, apparition d'une cyphose cervicale et d'une paralysie spas- modique des membres inférieurs ; en 1 an
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE A 7 ans, deuxième attaque de paralysie spasmodique avec incontinence- d'urine ; guéris
ent pas paralysés et ce n'est guère là l'évolution habituelle de la paralysie par J compression. Quant à l'influence curati
tive du traitement spécifique, il faut noter aussi que deux fois la paralysie a guéri spontanément, ou sous l'influence d'un
ines, forte éruption cutanée; dans les 5 premiers mois survient une paralysie simultanée des 4 membres don la guérison, est c
e en un an. L'enfant-est fort intelligent. Au cours de la 2e année, paralysie du bras gauche qui dure six semaines et guérit.
bras gauche qui dure six semaines et guérit. t. ' - . - A 4 ans, paralysie spasmodique des membres inférieurs avec inconti-
es termes : . « Il existe, chez les enfants, une forme typique de paralysie spasmodique desmembres inférieurs qu'on doit di
bilité, sa tendance aux récidives (alternati- ves de guérison et de paralysie ) et l'absence clinique de symptômes céré- In'au
mptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette forme est rapprocher de la paralysie syphilitique spasmodique observée dans la syphi
iques. Pour notre part, nous dirions volontiers qu'entre le type de paralysie spasmodique décrit par Erb et les faits de rigi
début subit de la paraplégie, on pourrait penser qu'il s'agit d'une paralysie par compres- sion due à une ostéo-cbondrite gom
processus si leurs altérations n'ont pas été la cause unique de la paralysie . Quelque interprétation qu'on admette, les fait
jourd'hui, ne se serait guère accentuée qu'après l'apparition de la paralysie des membres infé- rieurs, un an après, dit la m
le affectionnait alors. En 1870, quelque temps après le début de la paralysie , elle a été conduite à l'hôpital des Enfants-Ma
ans, l'impotence des membres inférieurs est res- tée complète. A la paralysie flasque,ont succédé de la raideur, puis des défor
uption cutanée ni de chute des che- veux. , Depuis le début de sa paralysie , elle n'a fait qu'une seule maladie, la rougeole.
térieurement des lésions de même nature de la voûte palatine. La paralysie spasmodique est rèstée statiounaire.' . 3e caté
urs ; les muscles intercostaux ne fonc- tionnent pas( ? ). Pas de paralysie de la face, mais difficulté de détourner (everlin
Peut détacher les bras du corps ; meilleurs mouvements des jambes ; paralysie des sphincters. 28 novembre. Peut mouvoir les b
asion des phénomènes paraplégiques. «.Il se produisit peu à peu une paralysie qui affecta d'abord les extrémités inférieures pu
t enfin la jambe droite. Sensibilité intacte des membres paralysés; paralysie des sphinc- ters, de la vessie et de l'anus. Es
us R..., âgé de 19 ans 1 ? ait' été atteint, en juillet 1892, d'une paralysie complète des membres inférieurs tendant il enva
du bulbe, puisqu'il a existé de la diplopie et un certain degré de paralysie des muscles innervés par l'hypoglosse. , « Et
LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 133 un sentiment de paralysie des membres inférieurs. Il faut donc croire qu'il
es membres supérieurs et la localisation toute parti- culière de la paralysie sur les membres inférieurs, montrent (en dehors d
Elle parlait facilement; elle ne s'est pas aperçue qu'elle eut une paralysie de la face. - Au bout de 15 jours, les membres
ceux de la partie gaucho, il semble qu'il ait existé de ce côté une paralysie faciale infé- rieure aujourd'hui atténuée. Or
fert antérieure- ment'de maladies nerveuses, qui fut atteinte d'une paralysie flasque subaiguë desmembres inférieurs et d'une
supérieurs. La sensibilité était à peu près intacte; il exista une paralysie transitoire des sphincters. 1 On pensa à la syp
rties supérieures de la moelle, peut-être dans le bulbe. De plus la paralysie était flasque. Les deux cas inédits qui vont su
quatre membres s'accentua insensiblement mais ne devint jamais une paralysie complète, puisqu'elle pouvait se traîner dans sa
ls sont légère- ment rétractés. Les deux membres sont atteints de paralysie presque complète avec un peu de contracture. On
L'examen de la mus- culature externe dénote pour l'oeil gauche, une paralysie de l'oblique supérieur caractérisée par un stra
intien de l'équilibre du tronc étant souvent, eux aussi, frappés de paralysie ou d'a- trophie. On ne peut penser à attribue
ingomyélie lui a fourni plusieurs cas. La maladie de Friedreich, la paralysie infantile, le tabès surtout, contribuent à grossi
ésen- tant des lésions articulaires, des névrites douloureuses, des paralysies . ix 13 190 NOUVELLE ICONOGRAPU1E DE LA SALPÊT
'est liquide, doit être forcée. Le 3 octobre, la malade meurt d'une paralysie du coeur, malgré les excitants employés. Pend
sypllilis,'c'est-à,-dire dans les maladies qui comme le tabès, la [- paralysie générale progressive, comptent. la syphilis comme
DE DEUX SYMPTOMES RARES DANS LE COURS DU V. TABES DORSALIS , PARALYSIE DANS LE DOMAINE D'UN NERF SPINAL (CRURAL) ET TR
l les trois épisodes intéressants de ce tabès. , Ce sont : A. Une paralysie passagère' mais totale des extenseurs de la jam
gros épanchement hé- morrhagique extra et intra-articulaire. fl. Paralysie du crural droit. 1° Dans les premiers jours de
mbre. Si l'on interroge B... sur l'état de sa jambe au moment où la paralysie fut complète et détermina le séjour au lit, on
à exécu- ter. Il remuait les orteils. Il est bien évident que la paralysie qui a porté sur le quadriceps de la cuisse droi
se droite a eu une durée relativement longue (3 mois), et que cette paralysie a été à peu près complète. Le quadriceps, a été
érieur est normale, et l'atrophie a disparu. A quoi attribuer cette paralysie localisée au nerf crural droit si ce n'est au t
e cause d'intoxication. , C'est donc en somme une des formes de ces paralysies passagères qu'on peut observer au cours du tabè
er au cours du tabès et surtout dans la période de début. Quand ces paralysies mêlent, comme c'est le cas chez notre malade, les
symptomatologie ne com- porte qu'exceptionnellement des troubles de paralysie motrice et le tabès bulbaire qui a pour manifes
rice et le tabès bulbaire qui a pour manifestations habituelles des paralysies à localisations diverses. » Et autre part (3)
: « Ce qui est insolite, c'est de \oir le tabès s'annoncer par une paralysie complète d'un membre isolé, ou d'un groupe de mus
isolé, ou d'un groupe de mus- cles, si on en excepte toutefois les paralysies des muscles de l'oeil. » Bien que nos recherche
glige trop. M. le professeur Fournier sur 224 cas de tabès relève 1 paralysie des mus- cles extenseurs du poignet et 1 ])ai-;
rs du poignet et 1 ])ai-;i del toï(liciiiie ; lrieclreicll cite une paralysie des adducteurs de la cuisse; Marius Carre celle d
éronier. M. Ray- mond (4) cite 3 observations, une de Gcrhardt avec paralysie incomplète du diaphragme, une de Martius, paral
e Gcrhardt avec paralysie incomplète du diaphragme, une de Martius, paralysie du spinal et une de Schullze do Bonn, paralysie
me, une de Martius, paralysie du spinal et une de Schullze do Bonn, paralysie des muscles masticateurs. Bien que ces deux derni
Vlorton Prince (5), où existait, chez un tabé- tique au début, une paralysie motrice de la main droite. L'étude de ces paral
e au début, une paralysie motrice de la main droite. L'étude de ces paralysies a soulevé différents problèmes touchant leur (1
lons dans cette étude ni de l'hémiplégie ni de la paraplégie ni des paralysies oculaires au cours du tabès. (2) Raymond, Malad
r certains points avec,Vulpian affirmait l'origine tabétique de ces paralysies . D'autres, comme Minor, incriminent l'action di
s ferons observer dès maintenant que, dans le cas de cet auteur, la paralysie était en quelque sorte segmentaire, occupant la m
mes lésions pourraient être et ont été invoquées pour expliquer les paralysies dont nous nous occupons. Nous nous permettrons
on périphérique... Si l'excitation normale vient à dispa- raître la paralysie surviendra. Pourquoi cette paralysie n'est-elle p
rmale vient à dispa- raître la paralysie surviendra. Pourquoi cette paralysie n'est-elle pas per- manente ? Grâce, aux divisi
la lésion du protoneurone centripète est la règle, trouve-t-on ces paralysies assez rarement ? Nous désirons également attire
ns les observations citées plus haut de Martin et Schullze, que ces paralysies , quoique passagères, s'accompagnent fréquemment d
marchent de pair; l'évolution de l'atrophie est liée à celle de la paralysie , d'où les phénomènes atrophiques ne peuvenl 1 ê
atrophiques ne peuvenl 1 être bien constatés que dans les cas où la paralysie aura une certaine durée (1). A la fin de ce r
rapide exposé, nous dirons avec M. le Professeur Four- nier que ces paralysies de la période préataxique sont « résolutives, Tap
tater, atrophiques et qu'il y a lieu de séparer cette atrophie avec paralysie de la période de début du tabes, de l'atrophie qu
e, l'autre stable, ou progressive, non curable. Cliniquement, une paralysie même localisée, mais localisée à un seg- ment d
as tout particulièrement étudiés par Mal Raymond et Nageotte, ni de paralysie générale venant compliquer le tabes. Qu'ad- vie
e tabes. Qu'ad- vieJlclra-t-il cle ce malade ? Versera-t-il dans la paralysie générale ? La chose est possible, mais en l'éta
re rlû a cons- taté ces mêmes atrophies musculaires accompagnant la paralysie de début du tabes. DE L'hÉMARTHROSE TABÉTIQUE 2
ater que ce mouvement de trombone, ainsi dénommé par Magnan dans la paralysie générale, ne trouve pas sa place naturelle dans
des membres inférieurs et supérieurs. Les au- teurs de l'article « Paralysie générale » du Traité de médecine le considè- re
E DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIV0- MOTEURS CONS
s hôpitaux, M. J. Comby, je suis à même de vous présenter un cas de paralysie arsenicale. Il y a longtemps que j'étais à la r
é la ques- tion de savoir si, dans ce qu'on a décrit sous le nom de paralysies arseni- cales, il y avait en jeu une polynévrit
ges classiques, on ne trouve que des descriptions fragmentaires des paralysies arsenicales, des descriptions auxquelles on peu
vrite, tantôt à la myélite, on a trop négligé ce qui n'était pas la paralysie ; on n'a voulu voir que cette dernière. Or, quand
te alcoolique, je désirais si vivement avoir sous la main un cas de paralysie arsenicale. Si l'occasion s'est longtemps fait
casion s'est longtemps fait attendre, est-ce à dire que ce genre de paralysie soit d'une grande rareté, ainsi que d'aucuns l'
, des districts, comme ceux qu'habitent des arsé- nicophages, où la paralysie arsenicale est fréquente. C'est ainsi que j'au-
Buller, ce con- frère a observé pour sa part, soixante-douze cas de paralysie arsenicale ! Je suis convaincu aussi, que bien
is convaincu aussi, que bien souvent il a dû arriver que des cas de paralysie arsenicale n'ont pas été attribués à leur véritab
ition des troubles moteurs. Toujours est-il que la connaissance des paralysies arsenicales re- monte, déjà à loin, jusqu'au XI
yre (1), il résulte que déjà Pierre d'Al- bano (2) avait signalé la paralysie et les contractures comme des suites possibles
chet (5), avec la collaboration de M. Marie. (1) Imhekt-Coumîeyke, Paralysie arsenicale. Gazette médicale de Paris, 1858, p. 5
Annales d'hygiène publi- que, 1889, t. XXII, p. 13'7, 356 et 4G0. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 323 P
rien à dési- rer, voire que l'enfant avait pris de l'embonpoint. La paralysie motrice était complète aux membres inférieurs ;
risation et des bains sulfureux. Une dizaine de jours plus tard, la paralysie gagna les membres supé- rieurs ; elle s'étendit
travers. L'état mental de l'enfant est resté normal. Cet état de paralysie quasi généralisée avait mis une quinzaine de jour
avait mis une quinzaine de jours à se constituer. A aucun moment la paralysie ne s'est accompagnée d'une atrophie musculaire
le 25 mai on notait la disparition des troubles en rapport avec la paralysie des sphincters, ainsi que le retour de la motil
reste plus aujourd'hui (30 juin) que des résidus de son attaque de paralysie . * .. Vous pouvez constater d'abord que les
e dégénérescence. A la cuisse, l'excitabilité électrique est sensi- PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 325 b
hiques, et ce sera tout. Cette fillette, au cours de son attaque de paralysie , a présenté une petite eschare au siège. Vous p
aujourd'hui complète- ment cicatrisée. Messieurs, la cause de la paralysie présentée par cet enfant ne saurait faire l'obj
enfant ne saurait faire l'objet d'un doute. C'est bien d'un cas de paralysie arsenicale qu'il s'agit en la circonstance, et
aralysie arsenicale qu'il s'agit en la circonstance, et d'un cas de paralysie consécutive à un empoi- sonnement médicamenteux
er les' principaux : Pour ce qui est du siège anatomique de cette paralysie , la question est moins facile à trancher; elle
à trancher; elle se pose de nouveau en ces termes : s'agit-il d'une paralysie par polynévrite ? s'agit-il d'une paralysie spina
ermes : s'agit-il d'une paralysie par polynévrite ? s'agit-il d'une paralysie spinale ? Ainsi que je vous le rappelais tout à
tion. Je vous ai montré que les deux opinions, celle qui fait de la paralysie arsenicale l'expression d'une poly- névrite et
ession d'une poly- névrite et celle qui la rattache aux groupes des paralysies spinales, comp- 326 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
point de vue du pronostic, se ron- dre compte, dans un cas donné de paralysie arsenicale, de la nature myéli- tique ou polyné
nervous and mental disease, 188G, nos 9 et 10. (2) Comby, Un cas de paralysie arsenicale chez une fillette de sept ans, Bulleti
des maladies du système nerveux, ire série, Paris, 1896, p. 269. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 327 p
p. 269. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 327 paralysies arsenicales sont nécessairement d'origine central
r lesquels je lafonde. Pour moi les accidents qu'on englobe dans la paralysie arsenicale sont leplus souvent l'expression d'u
ns quelles circonstances vous êtes exposés à rencontrer ce genre de paralysies . Ces circonstances peuvent se ramener à trois cat
constances peuvent se ramener à trois caté- gorges 1° On a vu des paralysies survenir à la suite d'un empoisonnement arse- n
alors le médecin sera en mesure de se renseigner sur la cause delà paralysie ,par les aveux de la victime-ou causé par une mé
à l'insu de la vie" time. Ne perdez pas de vue, d'ailleurs, que la paralysie peut se montrer longtemps après les manifestati
'élimination n'est' complète qu'au bout de quelques semaines. 2° La paralysie peqt être la conséquence d'un empoisonnement suba
ette adjonction ait été l'oeuvre d'une main criminelle. 3° Enfin la paralysie peut se développer dans le cours d'un empoison-
en revue ; je vous donnerai ensuite une description d'ensemble des paralysies arseni- cales. A. Paralysies. Paralysies cons
scription d'ensemble des paralysies arseni- cales. A. Paralysies. Paralysies consécutives Il un empoisonnement aigu.- Quoi q
isonnement aigu.- Quoi qu'il en soit de l'époque d'apparition de la paralysie et des circons- tances au milieu desquelles cel
e la cuisse le sont plus que les muscles de la face postérieure. La paralysie atteint son apogée en l'espace de quatre à cinq s
a aller en s'accentuant, (1) P. Brouardel et G. Pochet, loc. Cil. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIVO-MOTEURS 329 e
olue peut être la conséquence des manifestations douloureuses. La paralysie et l'atrophie qui l'accompagne sont curables ; da
'atrophie qui l'accompagne sont curables ; dans les cas heureux, la paralysie commence à se dissiper cinq ou six semaines après
ment. Il est loin d'en être toujours ainsi. Il peut se faire que la paralysie et l'atro- phie, tout en rétrocédant dans l'ord
idus irré- médiables. Etant donnée la prépondérance fréquente de la paralysie et de l'atrophie du côté des extenseurs, on con
e la description donnée Fig. 30. Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 331 p
ses.. Il est il noter encore que ces déformations, à l'instar de la paralysie et de l'atrophie, sont généralement plus pronon
eure nous avons relevé cette particularité, en ce qui con- cerné la paralysie , chez la petite fille que je vous ai présentée.
chez la petite fille que je vous ai présentée. Si j'ajoute que les paralysies arsenicales consécutives à un empoisonne- ment
faudra être réservé sur la question de pronostic, en présence d'une paralysie arsenicale de ce premier groupe. L'un des malad
ans à l'hôpital (pleurésie exsudative et pneumonie chronique). b) Paralysies consécutives Il un empoisonnement subaigu. Il est
sies consécutives Il un empoisonnement subaigu. Il est rare que ces paralysies s'observent à la suite d'un empoisonnement d'orig
ment lent, et à diriger les soupçons sur l'arsenic. Or peu à peu la paralysie et l'atrophie s'emparèrent des membres de la mala
teurs reflétaient à la fois la parésie et l'incoordination. Puis la paralysie devint complète aux membres ; elle s'étendit à ce
loppait une sensation de chaleur. Les muscles et les troncs nerveux PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SE\SITIVO-11OTEURS 333
on subaiguë, parmi lesquels il y a des chan- ces de voir figurer la paralysie arsenicale. Enfin dans le remarquable rapport d
etPouchet, que je vous ai déjà cité, vous trouverez des exemples de paralysies arsenicales d'origine vraisemblablement aliment
é-Beaussier). , - Le plus souvent l'empoisonnement subaigu, dont la paralysie .arsenicale est une conséquence, reconnaît une
s. La pression des muscles et des nerfs exaspérait ces douleurs. La paralysie envahit les membres supérieurs. Il n'est pas dit
is,161-sqti'oii le ramena il l'hôpi- tal. Il avait été frappé d'une paralysie , qui avait envahi les quatre membres ainsi que
de l'anesthésie cutanée et une faiblesse motrice qui a dégénéré en paralysie . Celle-ci était limitée aux membres ; elle s'est
n. Bulletin of thc .John's Ilopkins Ilospital, avril 1893, ne 30. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 335 J
cette énumération de faits. Je viens de vous donner des exemples de paralysie arsenicale qui se rap- portent aux principales
- cale. Leroy (d'Etiolles)(·1),Iiraus (2) ontpublié des exemples de paralysies arsenicales, survenues dans ces conditions. D
e, dans son ensemble, une évolution en tout semblable à celle de la paralysie con- sécutive'à un empoisonnement causé par une
s consécutifs à des empoisonnements criminels par l'arsenic (4), la paralysie peut se lo- caliser dans les membres inférieurs
emps. De là elle se propage aux mus- (1) LEROY (d'Etiolles), Sur la paralysie causée par l'arsenic. Gazette hebdomadaire de m
te hebdomadaire de médecine et de chirurgie, 1857. (2) KnAus, Des paralysies sans lésions matérielles appréciables. Liège, 185
communication à l'Académie de médecine (21 juillet 1S96), « Sur les paralysies toniques en général et la paralysie arsenicale en
e (21 juillet 1S96), « Sur les paralysies toniques en général et la paralysie arsenicale en particulier », s'est attaché préc
s, comme des membres de polichinelle. Ne perdez pas de vue que la paralysie arsenicale consécutive il un em- poisonnement s
ns les cas du précédent groupe, en ce sens que, traitée à temps, la paralysie guérit totalement, sans laisser de résidus sous
s, que nous avons vu subsister dans des cas du premier groupe. c) Paralysies consécutives à un empoisonnement chronique. Elles
uses. Le plus jeune de ces garçons fut pris de la même manière. \ PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS H37 V
ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS H37 Voilà donc un exemple bien net de paralysie arsenicale survenue à la suite d'un véritable e
t et à l'odorat de la victime. Un des plus remarquables exemples de paralysie arsenicale survenue dans de pareilles conditions
persistait encore en partie, plus d'un an après l'apparition de la paralysie . En compulsant les recueils de méde- (1) E. Vid
blance, mélangé aux aliments, par une main criminelle. Je passe aux paralysies arsenicales consécutives à un empoisonnement ch
chronique telle que l'eczéma, le psoriasis, que l'on a observé des paralysies de cette catégorie. Voici une relation abrégée
s exemples du même genre. A côté de ces faits se placent ceux où la paralysie arsenicale est surve- nue à la suite d'un empoi
'un enfant mort-né; mais dans l'intervalle elle avait contracté une paralysie de la sensibilité et du mouvement, aux membres
ilité de marcher, et longtemps après elle conserva des traces de sa paralysie . J'en arrive aux cas de paralysie arsenicale sy
elle conserva des traces de sa paralysie. J'en arrive aux cas de paralysie arsenicale symptomatique d'un empoi- sonnement
es d'hygiène publique et de médecine légale, 1874, t. XLII, p. 406. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSIT1V0-liOTEURS . 339
essions sont connues pour fournir leur contingent de victimes de la paralysie arsenicale. Enfin, depuis longtemps il est admi
ique, attirait l'attention des médecins et des au- torités, sur les paralysies consécutives à un empoisonnement de pareille or
famille, qui avaient été frappés de diplopie, par conséquent d'une paralysie des muscles de l'aeil, pour avoir. couché dans
taxie arsenicale. Messsieurs, jusqu'ici je ne vous ai parlé que des paralysies arsenicales ; or la paralysie du mouvement n'estp
usqu'ici je ne vous ai parlé que des paralysies arsenicales ; or la paralysie du mouvement n'estpas le seul désordre qu'on ob
urs et à la suite des empoisonnements par l'arsenic. Quelquefois la paralysie , à ses débuts et lorsqu'elle n'est pas encore c
résie, et subsister jusqu'au bout. En un mot, de même qu'il y a une paralysie ar- senicale, il y a une alaxie arsenicale. L'a
onclu, en fin de compte, qu'indé- pendamment de la forme commune de paralysie arsenicale, où l'incoordina- tion peut s'associ
INA, On pseudo-litbes from arsenical oisonin7. Brain, janvier 1887. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 341 C
tremblement ar- senical qui peut se rencontrer seul ou associé à la paralysie , à l'incoordi- nation motrice. Il s'agit d'un t
ignées d'un empoisonnement par l'arsenic, et parmi ces désordres la paralysie motrice tient habituellement une place prépondé
e phase touche il sa fin. C'est à ce moment qu'en thèse générale la paralysie fait son apparition. Dessinit in paralysim, ainsi
issure des paupières et du scrotum. De toule façon, et avant que la paralysie soit nettement constituée, des troubles de la s
ie, céphalalgie continue, tels sont les signes avant-coureurs de la paralysie . Puis les pieds et les mains sont frappés d'une
mode d'envahissement est à peu près constant ; presque toujours la paralysie est, à ses débuts, chiropodale. Les troubles de
ussi les troncs nerveux sont devenus douloureux à la pression. La paralysie peut rester limitée aux extrémités des membres, g
blement. Mais ce n'est point là le cas habituel. Le plus souvent la paralysie poursuit sa marche envahissante ; elle se propage
à de la tachy- cardie. Bientôt l'atrophie musculaire s'associe à la paralysie ; atrophie dif- fuserais qui atteint un degré ex
type chiropodal, consécutif à un empoisonnement arsenical aigu . PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-nIOTEUIiS 343
SENSITIVO-nIOTEUIiS 343 rétablissement fonctionnel suit de près. La paralysie rétrocède dans l'or- dre inverse de celui qu'el
orme de rétrac- tions tendineuses. Je ne connais pas de cas où' une paralysie arsenicale ait été la cause unique et immédiate
empoisonnements de Rouen ont suc- combé après avoir présenté de la paralysie motrice. Il semble que dans ces trois cas la mo
motrice. Il semble que dans ces trois cas la mort soit survenue par paralysie du coeur (1). En tout état de cause, chez deux
astro-intestinaux du début affectent une moin- dre violence, que la paralysie a une moindre tendance à se généraliser, qu'ell
et P. Marie, se rapporte à la for- me incomplète et circonscrite de paralysie arsenicale, qui embrasse des cas de ce second g
se des cas de ce second groupe. Or, dans un grand nombre de cas, la paralysie arse- nicale, qu'elle se développe à la suite d
t le suhlratunl d'un pseudo-tabes, est curable au même titre que la paralysie de même origine. Enfin parmi les troubles sen
e le système nerveux. Dans l'un et l'autre cas, disai-je, c'est une paralysie amyotrophiclue qui prédomine sur les autres man
s autres manifestai ions morbides. Dans 1'tiii et l'autre cas cette paralysie est annoncée et accompagnée par des phénomènes de
es douleurs qui peu- vent être très violentes. Dans les deux cas la paralysie débute par les extré- mités des membres. Dans l
phale. Dans les deux cas, on observe, mais, à titre tout à fait ex- PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 345 c
ituelle. - Quels que soient le degré et l'extension atteints par la paralysie et l'a- trophie musculaire, le retour à l'état
ion alcoolique ou une intoxication arsenicale. Dans les deux cas la paralysie amyotrophique peut laisser des traces ineffaçable
ractions tendineuses. Dans les deux cas l'ataxie peut s'associer la paralysie , à une paralysie incomplète bien entendu ; dans l
ses. Dans les deux cas l'ataxie peut s'associer la paralysie, à une paralysie incomplète bien entendu ; dans les deux cas la
sie, à une paralysie incomplète bien entendu ; dans les deux cas la paralysie motrice peut s'effacer devant l'incoordination mo
els font défaut ? Nullement. Je vous ferai remarquer d'abord que la paralysie alcoolique se montre rarement à la suite d'un e
t, par des visions d'animaux. Il est rare aussi que dans les cas de paralysie alcoolique, les troubles sensitifs, phénomènes de
u- leurs spontanées, anesthésie, soient aussi accentués que dans la paralysie arsenicale. Jamais la paralysie alcoolique ne s
soient aussi accentués que dans la paralysie arsenicale. Jamais la paralysie alcoolique ne s'accompagne d'une desqua- mation
me dans cette dernière. Jamais, autant que je sache. dans un cas de paralysie arsenicale, l'amnésie et les autres troubles in
ains et aux pieds, sont différentes dans les deux cas. Dans ceux de paralysie arsenicale, les petits muscles de la main et de
ntdes doigts et des orteils (fi.3G); ces mouvements sont Fig. 36. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTNURS 347 g
ents dans le poignet se font encore sans difficulté. Dans le cas de paralysie alcoolique, les premiers mouvements atteints so
ceux qui se passent dans les poignets et dans les cou-de-pieds; la paralysie frappe d'abord les muscles extenseurs et flé- c
nstate une voussure anormale de la plante (fig. 4.1 et 42). Dans la paralysie alcoolique, les rétractions tendineuses intéresse
Fig. 38. -, - -, o. 348 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE paralysie arsenicale, les déformations se produisent surtou
nt surtout aux jointures des doigts et des orteils; dans les cas de paralysie alcoolique, elles se pas- sent surtout dans les
ents du diagnostic différentiel de la pa- résie arsenicale et de la paralysie alcoolique. Ces mêmes éléments vous serviront à
lysie alcoolique. Ces mêmes éléments vous serviront à distinguer la paralysie arsenicale des aulrcs variétés de poly- névrite
exander (1), a cm devoir exposer le dia- gnostic différentiel de la paralysie arsenicale et de la syringomyélie, sous prétext
arsenicale et de la syringomyélie, sous prétexte que dans un cas de paralysie arsenicale publié par Gerhardt, l'au- (1) ALEX.
/;t'7 (flahilitationsschrift, Breslau, 1889). Fig. 39. Fie. 40. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 349 t
vous ne serez jamais en peine de distinguer la syringomyélie d'une paralysie arsenicale. e. ' Enfin il importe que vous ay
Fig. 42. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE En somme, la paralysie arsenicale, ou, pour parler plus exactement, les
i leur assigne en quelque sorte une place à part dans le groupe des paralysies toxiques, si tant est que l'on considère à la f
qu'à dire, à l'exemple de P. Muller (1), qu'en présence d'un cas de paralysie arseni- cale, le diagnostic s'impose d'une faço
nd on a eu l'occasion de faire con- naissance avec cette variété de paralysie , on a de grandes chances de dé- pister son orig
antécé- dente ou actuelle fait défaut. Pronostic Le pronostic des paralysies arsenicales mérite de nous arrêter quelques ins
nts. Je crois vous avoir gravé dans l'esprit cette no- tion, que la paralysie arsenicale ne comporte point par elle-même un pro
éventualité a surtout des chances de se réaliser dans le cas d'une paralysie arsenicale consécutive à un empoisonnement aigu
t violent, suraigu ; sa vie n'est plus en danger. Mais voici que la paralysie se déclare, insidieuse à ses débuts. Il faut d'
insidieuse à ses débuts. Il faut d'abord que vous sachiez que cette paralysie qui, ne l'oubliez pas, peut être tardive, est b
eh, 'loc. cit. (2) P. 13ROU.111UEL et POUCHET, loc. cit., p. 471. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 351 t
il faut aussi faire vos réserves eu égard à l'issue finale de cette paralysie . Il vous, faut prévoir qu'une infirmité incurable
e ne m'arrêterai pas longuement à ce qui concerne le traitement des paralysies arsenicales. Vous n'avez qu'à vous reporter à ce
poisons. Parmi les auteurs qui se sont occupés du traitement de la paralysie ar- senicale, quelques-uns ont insisté sur l'ut
L, 158. Les Nams et les Bossus dans l'Art, par Henry MEME, 161. Paralysies arsenicales, par le Professeur F. RAYMOND, 321.
RAYMOND (P.). Syringomyélie avec anes- thésie totale, 5. RAYMOND. Paralysies arsénicales, 321. Rtcmca (PAUL) et MEIGE (Henry
nière, 13, 14, 15, 16, 17. Maccus, statuette en bronze, 43 et 44. Paralysies arsenicales, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38
12 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. le professeur CHARCOT A PROPOS D'UN CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE : 1° PARALYSIE DISSOCIÉE DU FACIAL INFÉRIEUR D'ORIGINE HYSTÉRI
térie mascu- hne en France et à l'étranger. Descliption d'un cas de paralysie faciale d'origine hystérique portant seulement
ateurs et grand zygomatique. Superposition de l'anesthésie et de la paralysie . Diversité des opinions concernant l'existence de
re cas, début de la névrose a l'occasion d'un traumatisme, et de la paralysie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi da
n effet il nous présente un exemple bien avéré, bien authentique de paralysie faciale hystérique, dont l'existence, jusque da
usque dans .ces derniers temps, m'avait paru fort problématique. La paralysie , qui porte sur le domaine du facial inférieur,
iques. double emploi, je m'em- presse de vous avertir que ce cas de paralysie faciale hystérique est celui-là même qui a été
ppellerai tout à l'heure comment s'est constituée la question de la paralysie faciale chez les hystériques et comment, jusque
'12 CLINIQUE NERVEUSE. Maintenant c'est sur les caractères de la paralysie faciale annoncée que je veux insister. Au rep
actions électro-musculaires sont parfaitement normales, bien que la paralysie remonte environ à trois ans, et qu'il n'y a nul
nulle trace de spasme ni de secousses musculaires. Voilà donc une paralysie faciale bien constatée chez un hystérique et qu
rendre les choses d'un peu loin. . En 1856, dans une leçon sur la paralysie hystérique Todd écrivait les lignes suivantes '
stérique Todd écrivait les lignes suivantes ' : « L'étendue de la paralysie des membres, alors qu'il n'y en a pas trace dan
en faveur de la nature hystérique de l'affection : car bien que la paralysie hystérique puisse occuper toutes les parties du
ie vulgaire. » Ce n'est pas qu'une déviation de la face appelée paralysie n'ait été notée dans diverses publications, en
en rotation en gauche. Peut-on trouver là les carac- tères d'une paralysie faciale droite ? J'en dirai autant du cas plus
n de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y avait hémiplégie des membres et paralysie totale de la face d'un côté. Soumis à l'analyse
l/1éd" 1888), - CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. t5 pas démontré que les paralysies faciales des hystériques ne sont pas des hémisp
ai dans ma négation, prêt à me rendre toutefois pour le cas où la paralysie faciale, dont pour le moment je conteste l'exis
x en 1890 et 1891. 'Elles éta- blissent que si, dans l'hystérie, la paralysie faciale est un fait exceptionnel, si elle est s
SE. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas, la paralysie est peu accentuée et qu'il y a toujours anesthé
es hystériques '. Il s'agit dans son travail de spasmes et non de paralysies ; mais les deux groupes de faits doivent être év
i, tout en maintenant que dans la très 'grande majorité des cas, la paralysie faciale 'Gilles de la Tourette. - De la superpo
compagner quelquefois. , Veuillez remarquer que, quanta présent, la paralysie du facial inférieur chez un hystérique, semble
Enfin plusieurs fois on a pu l'observer, isolée en dehors de toute paralysie notoire des membres, circonstance peu fréquente
re de l'hémiplégie faciale capsulaire, et qui dans la catégorie des paralysies corticales n'est repré- sentée que par quelques
ira de rechercher dans quelles circonstances se produisent soit les paralysies faciales hystériques soit les déviations d'orig
modique. Peut-être serait-ce ici le lieu de rappeler que dans les paralysies hystériques la face ne semble point placée sous
semble point placée sous le même régime que les membres et que la paralysie y est, comparativement au spasme, beau- coup mo
s de la face sont faciles à réaliser par suggestion, tandis que les paralysies faciales, du moins dans ma propre expérience, n
sur les points frappés et dans leur voisinage, fait apparaître la paralysie faciale et l'anesthésie qui s'y superpose. Mais
le tout intérieurement. » Plus loin : « Ma pensée git, il me CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 31 semble, à la poitrine, à
lement de la personnalité. PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE 11YS1');BO-TRrIUIIaTIQUG DES QUATRE MEMBRES;
peu dont l'étude ait été aussi profondément fouillée que celle des paralysies hystéro-trau- matiques. Le professeur Charcot e
upérieurs et infé- rieurs : quelques jours après se développait une paralysie des quatre membres dont le degré était en rappo
nce de secousses analogues il celles de la chorée électrique. Les paralysies hystériques des quatre membres ne sont point ch
n'a observé que six cas de ce genre. Chevallier, qui a fait de ces paralysies généralisées une étude spéciale, n'a pu en réun
que vingt et une observa- tions. Dans plus de la moitié des cas, la paralysie s'est montrée .à la suite d'une attaque convuls
n cas analogue après un accident de chemin de fer. Briquet a vu une paralysie complète survenir chez une hysté- rique à la su
quatre membres. Dans toutes ces observations relativement CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 anciennes, on ne trouve
erbez, dans l'observa- tion IV de sa thèse a noté une tendance à la paralysie des quatre membres. OB S I ? Il VAT 10 iN.
pas moi ! ... Les gendarmes ! » Pas d'attaques convulsives, pas de paralysie . CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 30.
endarmes ! » Pas d'attaques convulsives, pas de paralysie. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 30. - Légère parésie des
ification s'eol produite : les mem- bres inférieurs sont frappés de paralysie ; les membres supérieurs sont parésiés. Tig. 1
nsion de la jambe est possible, mais on y résiste très aisément. La paralysie est flas- que, les jambes inertes, retombent lo
tion d'une « élevure de la peau D blanche. Tronc. Motilité. Pas de paralysie des muscles abdominaux ni des sphincters. Sen
roite bande verticale d'anesthésie réunit les bottes du mem- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 37 bre inférieur à la régio
avoir conservé sa sensibi- lité. Face. Motilité. Pas de trace de paralysie faciale ni d'hémis- pasme glosso-labié. Sensibi
bile dans tous les sens. Actuellement, nous avons sous les yeux une paralysie complète et flasque des quatre membres. A la
té à la température n'a été recheichép que pour les membres. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 39 9 thorax, le cou jusqu'a
ne de sensibilité normale pour tous les modes comprenant les CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 41 doigts, et limitée en ha
s pour fous les modes d'ex- citation. Motilité. Disparition de la paralysie des membres supérieurs. Dynamomètre : MD : 30 K
llé : Sensibilité à la température et à la piqûre seulement. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 'M duite : le membre supéri
s, nous avons revu la malade : des troubles moteurs et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 4o sensitifs si généralisés
fiants, de l'autre des secousses électriques. Pour ce qui est de la paralysie des quatre membres, elle a présenté les caractè
des quatre membres, elle a présenté les caractères fondamentaux des paralysies hystéro- traumatiques. Il s'agissait d'une pa
mentaux des paralysies hystéro- traumatiques. Il s'agissait d'une paralysie flasque avec perturbations pro- fondes de la se
usculaire, sensibilité arti- culaire. Gomme c'est la règle dans les paralysies hystéro-trau- matiques il y a eu une période de
e méditation ; ce laps de temps nécessaire pour l'élaboration de la paralysie a été plus consi- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. dér
que pour les membres inférieurs et en rapport comme la durée de la paralysie avec l'intensité différente du traumatisme. Sig
l'intensité différente du traumatisme. Signalons enfin l'absence de paralysie faciale, fait sur lequel M. le professeur Charcot
dorsale et palmaire, des mains; la zone sensible à la tempé- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 47 'l rature gagne chaque j
n'y a pas bien longtemps, sur l'ab- sence de ce phénomène dans les paralysies hystéro-traumati- ques pour éliminer l'hypothès
nsisté sur l'existence d'atrophie musculaire assez accusée dans les paralysies hystériques. Pour ce qui est des changements de
es, nous voyons que ces phé- nomènes peuvent se rencontrer dans des paralysies psychiques dont la nature est indiscutable : no
st noté que les doigts sont vio- lacés, froids comme dans certaines paralysies organiques. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. Perte de
se, caractérisée par des secousses, des attaques convul- sives, des paralysies , du coma, et une terminaison le plus souvent mo
ou - Charcot. Maladies du système nerveux, t. III, p. 460. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES.. , 49 vements brusques, rap
" Comment interpréter cette paraplégie suivie à bref délai d'une paralysie des membres supérieurs ? S'agit-il d'une para-
greffer une para- \ plégie psychique ? Avons-nous eu affaire à une paralysie consécutive à une attaque convulsive sans l'int
rente ? Peut-on, au contraire, ratta- ' cher le développement de la paralysie des quatre membres à des traumatismes localisés
t expliquer : il n'a pas été publié en effet, que nous sachions, de paralysie émotive des membres supérieurs. Quelle est do
ces troubles moteurs si généra- lisés ? On connaît le mécanisme des paralysies hystéro-trauma- . tiques : dans le somnambulism
ssance motrice tend à se réaliser objectivement sous la forme d'une paralysie complète, absolue. Cette idée, qui s'implante a
otre observation, tous les éléments nécessaires à l'élaboration des paralysies psychiques d'après le processus que nous ve- no
réparé pour la transformation par auto-suggestion d'une im- ,CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. Si puissance musculaire pas
ALYSIE DES QUATRE MEMBRES. Si puissance musculaire passagère en une paralysie complète. Si nous nous reportons à l'observatio
par l'immobilisation forcée n'a-t-elle pu faire naître une idée de paralysie qui, dans un cerveau incapable de réac- tion, s
qui, dans un cerveau incapable de réac- tion, s'est transformée en paralysie complète et permanente. En résumé, sans néglige
avons mis en pratique les précep- tes du professeur Charcot : à une paralysie psychique, nous avons opposé un traitement psyc
phénomènes portant le nom de para- lysie de Brown-Séquard; c'est la paralysie des mouvements avec hypéresthésie dans les part
tion, j'ai voulu faire plus ample connaissance'du tableau de la, paralysie de Brown-Séquard chez le cobaye, et j'ai fait plu
sensibilité, étaient toujours les mêmes; c'est-à-dire qu'il y avait paralysie complète des mouvements dans la patte posté- ri
région dorsale, les phénomènes de la motilité consistaient en une paralysie complète de la patte postérieure du côté corres-
dépendance était à noter dans les cas, où l'ani- mal atteint d'une paralysie complète de Brown-Séquard crevait ou par hasard
on re- marque la possibilité des mouvements du côté gauche et la paralysie com- plète du côté droit. La sensibilité cuta
e moitié de la partie dor- sale de la moelle épinière, il s'en suit paralysie complète de ' l'extrémité postérieure du côté c
patte et desdoigts est surtout affaiblie, mais il n'y a point de paralysie complète. Les phénomènes de sensibilité sont
dans ce cas, il y avait en même temps un tableau in- complet de la paralysie de Brown-Séquard, incomplet parce que dans la p
ns la patte postérieure du côté de la section, il n'y avait pas une paralysie complète, mais il y avait une parésie pro- nonc
tique seulement au bout de cinq à dix jours, suivant le degré de la paralysie précédente. Mais les cas de la seconde catégori
e bassin est tant soit peu alfaissé; on remarquait en même temps la paralysie des mouvements volou- taires de l'extrémité gau
uste deux mois. L'opération du côté gauche latéral fut suivie d'une paralysie et de l'hyperesthésie de l'extrémité gauche pos-
ication du Dl' Blocq, qui a attiré l'attention sur cette variété de paralysie motrice passée jusqu'alors inaperçue, ou plutôt
l'astasie-abasie doit être considérée comme une des modalités de la paralysie hystéri- que. M. Jaccoud, qui l'a observée le p
8 REVUE CRITIQUE. motrices simples, des phénomènes de parésie ou de paralysie d'origine corticale, au chapitre des fonctions
igine corticale, au chapitre des fonctions motrices du cerveau. Les paralysies de la motilité et de la sensibilité, non seulem
es de la motilité et de la sensibilité, non seulement transitoires ( paralysies motrices et sensitives post- épileptiques), mai
éesàl'épilepsiejacksonienne. Tantôt les convulsions pré- cèdent ces paralysies permanentes (c'est le cas ordinaire), tantôt le
ent ces paralysies permanentes (c'est le cas ordinaire), tantôt les paralysies précèdent les convulsions, tantôt des phé- nomè
eur de ces circonvolutions. Il en résultera simultanément : '1° une paralysie des membres ; 2° des convul- sions de la face.
certains groupes musculaires, et dont la destruc- tion entraîne la paralysie , sont de vrais centres moteurs, et non simpleme
irmé ces vues de Seppilli'. A côté du complexus symptomatique de la paralysie générale pro- gressive, des accès d'épilepsie j
ne topographie moins fixe que les lésions capables de provoquer des paralysies per- manentes 1 n. Mais la raison principale de
fléchisseurs ; la jambe gauche pré- sentait aussi un léger degré de paralysie et de contracture. La sensibilité tactile des e
ciani et par Tamburini, c'est que, dans l'épi- lepsie comme dans la paralysie , dans les phénomènes d'exagé- ration fonctionne
taliens invoquent pour expliquer la disparition des parésies ou des paralysies de la motilité consécutives aux lésions destruc
té- 124 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. rieure ( paralysie bulbaire). Lésion symétrique des noyanx des ner
(Voy. Juh2·bïcch. med. Wien, 1886, p. 627.) P. Keraval. VI. D'UNE paralysie PÉRIPHÉRIQUE ISOLÉE DU NERF SUS-SCAPULAIRE DROI
oite porta. C'est à la suite de cet accident qu'il se développa une paralysie périphé- rique isolée avec atrophie des muscles
été la forme de la lésion ini- tiale (dégénérescences descendantes, paralysie générale), on voit, au niveau de la partie supé
veau de paralytique général de vingt-cinq ans; - 40 un cerveau de paralysie générale tabétique chez une femme; 5° un cer- v
de paralysie générale tabétique chez une femme; 5° un cer- veau de paralysie générale typique; 6° un cerveau de mélan- coliq
rveau de mélan- colique (femme morte phthisi'1ue); 7° un cerveau de paralysie générale probable chez l'homme; 8° un cerveau d
rveau de paralysie générale probable chez l'homme; 8° un cerveau de paralysie générale tabétique (femme). La conclusion est q
XVIII. Du GENRE et DE la fréquence des lésions DE la moelle dans la paralysie progressive ; par KOEUElILI;<¡. (.lIt ! ]. Zei
ersistante du phénomène du genou; amblyopie, alcoolisme, nystagmus, paralysie de l'ocu- lomoteur commun, délire, tremblements
onne lecture d'une observation de M. Brignier-Corbeau sur un cas de paralysie compliqué de délire aigu. M. B. Séance solenn
onnet, auteur d'un travail sur les Rapports de la syphilis et de la paralysie générale. Un seul mémoire avait été présenté. P
cas de tumeur de la couche optique, dans lequel il n'y avait pas de paralysie des mou- vements mimiques. , - Séance du 18 j
sont caractérisés par : la céphalée persistante, l'épilepsie et les paralysies partielles mais durables, la démence croissante
la question de folie paralytique et de démence paralytique dans la paralysie générale et le délire des dégénérés et le délir
à l'ordre du jour : Du rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la paralysie générale. Mardi 4 août : A. A 9 heures du matin
programme sont : 1° Du rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la paralysie générale. Rapporteur : M. le Dr Brun. 2 De la r
JOSSELCT (A.). Contribution à l'étude de la polynévrite il forme de paralysie générale spinale antérieure subaigue et rapide. V
. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE, AVEC
s qui mérite de nous arrêter; il mentionne seulement un de CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 163 ses oncles, a
gèrement et ne tarda pas à se cicatriser. Comme effets immédiats, paralysie des membres supérieur et inférieur droits, de c
London. XXXIX. ' Thèse de Paris. 1890, p. 188. ' P. 181. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 165 l'a montré Vi
distinguer ce qui appartient à chacuu d'eux. A droite, existe une paralysie spasmodique très marquée; le membre est raidi e
Leçons sur les Mal. du syst. nerveux, t. II, p. 116 et 292. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 167 C'est là, pou
us ne nous trom- pons, satisfaisant dans tous ses détails. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 169' - Et d'abord
actiles y sont conservées, et simplement un peu émoussées. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 171 vous allez vo
umpke. - Parai, rad. du plexus brachial. Rev. de méd., 1S85. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 173 lysie détermi
t pri- mitif. Vous trouverez des renseignements à ce sujet CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 175 dans un mémoi
e et quatrième ventricules, après avoir percé le corps calleux. Une paralysie gauche, également progressive, le coma et la mo
tences dans le rythme et l'intensité (44 respirations à la minute). Paralysie de la vessie depuis le 3 décembre. Nécessité de
elligibles ; puis la paupière droite a été frappée de parésie et de paralysie pro- gressive, à mesure que la partie voisine d
dre à la crise du 186 CLINIQUE NERVEUSE. '22 novembre, date de la paralysie de la paupière. Le même jour, dans la même cris
orer le corps cal- leux et arriver dans la troisième ventricule. La paralysie subite, le tremblement convulsif et consécutif
tion, les intermittences dans le rythme et l'intensité du pouls, la paralysie de la vessie, coïncident avec l'arrivée du pus
ours à des lésions de la surface du cerveau ou des méninges, et les paralysies , à des lésions centrales. Si ce fait laissait e
de convulsions, les hémorrhagies centrales rarement, et toujours de paralysies . Les convulsions infantiles, celles de la paral
et toujours de paralysies. Les convulsions infantiles, celles de la paralysie générale, ne sont que l'expression de poussées
onvulsif n'a été remarqué ; le malade a succombé à des symptômes de paralysie progressive, d'atonie, de marasme, dans le calm
rieure du corps. 2 novembre. L'état général est satisfaisant. Une paralysie complète et une anesthésie des deux extré- mité
de l'ancienne hémisection de la moelle. Alors, dans le cas d'une paralysie de la même extrémité postérieure, en même temps
chez un cobaye bien portant jusqu'alors le tableau ordinaire de la paralysie de lirown-béquard en faisant la section d'une m
a région de deettssatio pyramidum, on peut obtenir le tableau de la paralysie de Brown- Séquard, même en faisant l'hémisectio
re au niveau de la sixième vertèbre dorsale et il en est résulté la paralysie des deux extré- mités du côté droit; sept semai
, les nouvelles voies motrices de la moelle passent du côté de la paralysie , au niveau des racines de l'extrémité postérieure
ig. 27). Aussitôt après l'opération, on remarque chez le cobaye une paralysie complète des mouvements volontaires de la jambe
nique, après quoi, le cobaye a crevé en deux minutes, à cause d'nne paralysie du coeur et de la respiration. A l'autopsie, on
atteint légèrement le côté droit de la moelle, car outre une pleine paralysie des mouve- ments de l'extrémité gauche postérie
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 203 renflement lombaire il se produisit une paralysie complète de l'extrémité qui, étant privée après
f du système nerveux, ni comme hypnotique; dans la mélancolie et la paralysie générale, mêmes effets négatifs et de plus à do
d'épilepsie. Malheureuse- ment il produit à la longue une sorte de paralysie généralisée; ce stade du sulfonalisme est inévi
urtout sédative, indirectement hypnotique. Le sommeil résulte de la paralysie des nerfs sensitifs et moteurs et de la diminut
hargé du rapport sur le Rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la paralysie géiit;î,ale. Il a commencé par un histo- rique
pas de différence fondamen- tale entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale, et croient, comme autrefois, que la m
refusent à l'alcoo- lisme le droit de produire de toutes pièces la paralysie générale, et pensent que ce que l'on appelle la
pièces la paralysie générale, et pensent que ce que l'on appelle la paralysie générale alcoolique n'est, au fond, qu'un état
ssent une distinction très nette entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale; ils admettent une paralysie générale de
l'alcoolisme chronique et la paralysie générale; ils admettent une paralysie générale de nature alcoolique, pouvant être que
Examinant ensuite la géogra- phie médicale de l'alcoolisme et de la paralysie générale, il arrive à cette conclusion, qu'il r
orbé en grande quantité par les gens du Nord n'engendre pas plus la paralysie générale que chez les gens du Midi, qui en cons
boisson. Mais ces excès n'avaient lieu que depuis le début de la paralysie générale, de sorte qu'ils étaient l'effet et non
encéphalite, l'alcoo- lisme n'est guère susceptible de fabriquer la paralysie générale que sur des terrains vésaniques, céréb
porteur a joint à cet exposé, qui aboutit en somme à regarder la z paralysie générale comme absolument distincte de l'alcoolis
d'une discussion sur le rôle de l'alcoolisme dans l'étiologie de la paralysie générale. M. Magnan range en quatre groupes les
endances principales des différents auteurs : 1° Pour les uns, la paralysie générale est habituellement due à l'alcoolisme
des pseudo-paralysies générales alcooliques ; 3° Pour d'autres, la paralysie générale et l'alcoolisme sont deux élats distin
s distincts, mais l'alcoolisme chronique peut parfois conduire à la paralysie générale ; . 4° Pour d'autres, enfin, l'alcooli
on de l'alcoolisme chronique, l'un pour la démence, l'autre pour la paralysie générale, se basent, non seulement sur la physiol
f qui conduit à la démence avec faiblesse musculaire eL souvent aux paralysies partielles. Mais de plus avec la stéatose les-
nombreux d'alcoolisés chroniques, est celui qui s'achemine vers la paralysie générale. . Au bout d'un temps plus ou moins lo
mme atteint d'une pseudo-paralysie générale alcoolique et non d'une paralysie générale vraie. Dans une troisième catégorie de
moins, comme les malades précédents, ni vers la démence, ni vers la paralysie générale. Ces alcoolisés sont les prédisposés,
et quelquefois aussi de l'inégalité pupillaire donnent l'idée d'une paralysie générale, et, comme l'amélioration est obtenue
tes, ne sont autre que des alcoolisés chroniques abou- tissant à la paralysie générale. Eu résumé, nous pouvons dire que les
lisme chronique conduit habituellement à la démence et parfois à la paralysie générale. M. A. Carrier lit ensuite un mémoir
t : Documents statistiques pour servir à l'étude des causes de la paralysie générale. » De leurs observations sur 205 malades
de fréquence. Plus on cherche les antécédents héréditaires dans la paralysie générale plus on les trouve. On peut donc la co
erches expérimentales sur l'alcoolisme chronique ^comme cause de la paralysie . » Après une période d'excitation de '.cinq à s
es; du septième au neuvième mois, accentuation de la démence et des paralysies . Les crises épileptiformes apparaissent. Si l'o
, des frayeurs, puis plus tard des symptômes analogues à ceux de la paralysie géné- rale vraie. Si on ajoute de quatre à cinq
voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- logue aux attaques de paralysie générale spinale. M. Magnan félicite l'auteur d
ractères cliniques qui résultent de l'al- coolisme concomitant à la paralysie générale : -. 1° Au point de vue de la sensibil
iques autopsiés. (Note sur la rareté des lésions viscérales dans la paralysie générale.) L'étude de M. Charpentier a porté su
en état d'excitation maniaque à l'entrée et montrant des signes de paralysie générale cliniquement cons- tatés. 83 de ces ma
ire les conclusions suivantes : 1° Rien ne permet d'affirmer que la paralysie générale alcoolique n'existe pas ; 2° C'est c
le alcoolique n'existe pas ; 2° C'est chez les alcooliques que la paralysie acquiert son maximum de fréquence. En cinq ans
En cinq ans nous avons trouvé 83 alcooliques avérés sur 135 cas de paralysie générale ; 3° La forme spéciale de la paralysie
és sur 135 cas de paralysie générale ; 3° La forme spéciale de la paralysie générale est déterminée par les symptômes de l'
déterminée par les symptômes de l'intoxication alcoolique; 4° La paralysie générale est plus grave chez les gros buveurs qui
grave chez les gros buveurs qui, avant le début des symptômes de la paralysie générale, n'ont jamais présenté de troubles cér
alcoolique peut produire tout le complexus symptoma- tique dénommé paralysie générale sans qu'à l'autopsie on trouve des lés
e sans qu'à l'autopsie on trouve des lésions caractéristiques de la paralysie générale, c'est-à-dire la sclérose cellulaire,
oliférante, diffuse sans para- lysie générale, mais il peut y avoir paralysie générale sans cette lésion caractéristique; 7
xposée à la Société médico-psychologique de Paris pour expliquer la paralysie générale, appliquée à l'intoxication alcoolique
d'après ces expériences, cause de lésions analogues à celles de la paralysie générale de l'homme. M. MADAME signale l'infl
s alcools sur leur consommation et le développement parallèle de la paralysie générale. M. CAMUSET lit un mémoire où il concl
es documents cliniques et statistiques relatifs à l'étiologie de la paralysie générale. L'auteur en conclut au rapport étroit
pport étroit existant entre l'alcoolisme chronique d'une part et la paralysie générale de l'autre, mais sans trancher la ques
irmer la théorie de l'encéphalite inters- titielle initiale dans la paralysie générale des aliénés. Il considère au contraire
le microscope décèle la coexistence des deux lésions, comme dans la paralysie générale, le mécanisme en est tout différent. A
relativement à l'affirmation de '1\[' Pierret concernant des cas de paralysie générale sans encé- phalite interstitielle. C'e
sie sans que du vivant de la malade rien n'ait pu faire prévoir une paralysie générale. ' Archives, t. XXII. IG () 242 SOCI
our lui-même en ce qui a trait aux rapports de la syphilis et de la paralysie générale. ' En attendant des documents statisti
rveux. M. ContnEMALE communique un mémoire sur les rapports de la paralysie générale précoce avec l'alcoolisme ancestral. L'a
rappelle que dans sa thèse (88) il a déjà indiqué le rapport que la paralysie générale précoce affecte avec l'alcoolisme ance
. BOUBILA (de Marseille). - Des chlorures d'or et de sodium dans la paralysie générale. Les résultats du traitement par le chlo
apide et la cachexie paralytique. M. REY. - Trépan dans un cas de paralysie générale. Il y a tout lieu de croire que le mal
ne Comme le vertige, l'épilepsie essentielle ou symp- tomatique, la paralysie générale peut donc tirer profit de l'inter- ven
un degré bien plus faible sur l'oeil gauche. M. BERNHARDT. - Des paralysies du péronier (sciatique poplité externe). Observ
paralysies du péronier (sciatique poplité externe). Observation de paralysie par compression longtemps pro- longée dans le j
ar compression longtemps pro- longée dans le jarret, de même que la paralysie du radial si fré- quente par semblable cause. P
ble cause. Par comparaison, l'orateur présente un malade atteint de paralysie cérébrale de l'extrémité inférieure gauche et e
écembre 1888. - Présidence DE M. WESTPHAL. M. SPERLING présente une paralysie du péronier produite par une 1 Voy. Archives de
est tombée entre le tiers moyen et le tiers inférieur de la jambe. Paralysie du mouvement et de la sensibilité cutanée. M.
ie du mouvement et de la sensibilité cutanée. M. SPERLING.- De la paralysie isolée dit nerf sus-scapulaire gauche sans moti
L'évolution de la maladie comprend trois stades dans l'espèce : 1° paralysie de tout le bras gauche, brusque, avec douleurs
es tendineux de ce membre. M. ŸBSTPÜAL. Chez un malade atteint de paralysie progressive des muscles des yeux, on trouve une
UHTHOFF présente un homme de quarante ans ayant depuis six mois une paralysie de l'oculomoteur commun du côté droit ainsi qu'
is une paralysie de l'oculomoteur commun du côté droit ainsi qu'une paralysie du trijumeau du même côté (branches sensitives
publié dans le Centrtrlb, f. Nervenheil1¡, 1889 2. M. Berniurdt. Paralysie périphérique isolée du nerf sus-scapu- laire dr
extrêmementintonse; en même temps elle présenta les symptômes de la paralysie générale (immobilité SOCIÉTÉS SAVANTES. : 2ï
le début de la chorée. A l'autopsie, on trouvait des lésions de la paralysie générale. Sous le microscope, on examina à l'ét
nticulaire normal. \l. SIE- MERUNG. A coup sûr pas non plus dans la paralysie générale. M. Remak présente un malade porteur d
encore une activité psy- chique considérable '(folie systématique, paralysie générale, hys- térie), tandis que l'automatisme
Paul BLOCQ. IX. Contribution a l'étude de la polynévrite à forme de paralysie gé- nérale spinale antérieure subaiguè et rapid
tème nerveux; pro- fesseur Binswanger : anatomie pathologique de la paralysie géné- rale ; Drs llloeli et Marinesco : syphili
OSSELET (A.). - Contribution à l'étude de la polynévrite à forme de paralysie générale spinale antérieure subaiguë et rapide. V
LINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epilepsie, diabète, paralysie tagitante. Depuis trois ans l'épilepsie et le
tante. Depuis trois ans l'épilepsie et le diabète ont disparu. La paralysie agitante seule persiste. . TABLEAU VII ASSOCI
tomatique de la maladie de Basedow (Ballet), entre le diabète et la paralysie agi- tante (Topinard), entre le diabète et l'hy
s formes d'aliénation mentale les plus diverses, l'alcoo- lisme, la paralysie générale, la démence sénile, etc. Mais en cela,
t de la langue accompagnée d'anesthésie de la région affectée et de paralysie des nerfs ocu- lomoteurs. A l'autopsie, on a tr
irent, dans la région du plexus brachial droit, des phénomènes de paralysie et d'anesthésie, accompagnées de dilatation de la
hia facialis progressiva. Messager de Psychiatrie, 1888. (Russe ) PARALYSIE radiculaire BRACHIALE TOTALE. 357 BuuM. Ueber H
1890. HOSPICE DE la Salpêtrière. - SERVICE DE M. CHARCOT. CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE BRACHIALE TOTALE; Par le D' ONANOFF
t plus pour lui. Quoiqu'il en soit, il se produit immédiatement une paralysie brachiale tolale, flasque, avec anesthésie part
les mouvemeuts du bras, de l'avant-bras et de Fig. 30. Fig. 31. paralysie radiculaire brachiale totale. 359 main sont abs
itait donc d'être rapporté d'un côté, parce que les observations de paralysies radiculaires brachiales totales ne sont pas nom
une douzaine; d'un autre côté, parce qu'il parait s'agit ici d'une paralysie radiculaire brachiale totale pure. En effet, l'
ulaires brachiales totales depuis les travaux de M. Charcot sur les paralysies brachiales hystéro-traumatiques. Il est cepen-
recherches; il est possible qu'on les trouverait également dans les paralysies supérieures surve- nant à la suite d'une sectio
ines à la suite d'un névrome occupant le tronc commun de ces deux paralysie radiculaire brachiale totale. 361 racines; aprè
début suivie d'un abaissement. Si l'on considère, d'autre part, les paralysies hystéro-traumatiques avec anesthésie, on trouve
u- laire observée chez notre malade, et attribuée en général à la paralysie du muscle de Mùller. Or, le muscle de 111üller es
re muscles orbitaires de l'oeil, à savoir l'orbitaire inférieur. La paralysie n'amènerait donc qu'un déplacement partiel du g
artiel du globe et, pour avoir la rétraction signalée plus haut, la paralysie des trois autres serait nécessaire, c'est ce qu
ère paternelle, morte à quatre-vingt-huit ans; pas de démence ni de paralysie . Grand-père maternel, mort vers quatre-vingt-ne
ach. Voici des coupes du bulbe d'un individu ayant succombé à une paralysie bulbaire. (P. Kronthal.) Au milieu du noyau d'ori
microsco- pique normal. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La paralysie générale A Gucrr.; par le Dr PEETERS. (Bztll. de
t ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALB. 403 Sur ces 668 cas de paralysie générale, aucun n'a été observé avant l'âge de
ui se comprend aisément, l'âge auquel se développe de préférence la paralysie générale étant également celui où l'on est le p
entre le mariage et la folie paralytique. ' G. D. Il. Syphilis ET paralysie générale; par le Dr CUYLITS. (BüLi. de la Soc.
iénation quelconque chez l'héréditaire nerveux; ils pro- duisent la paralysie générale quand cet héréditaire est syphilitique
ésulte donc de cette conception pathogénique que pour constituer la paralysie générale, deux éléments sont nécessaires : l'hé
rien n'autorisait à en supposer l'existence. G. D. IV. NOTE sur la paralysie générale D'ORIGINE syphilitique; par le Dr CAMU
ol., février 1891.) La question des rapports de la syphilis avec la paralysie gêné* raie est l'ordre du jour : d'un intérêt m
e la question : « La syphilis est-elle un facteur étiologique de la paralysie générale ? » Encore ces sta- tistiques ne peuve
lysie générale : quand la syphilis précède de peu le début de la paralysie générale et qu'on est naturellement porté à lui a
ellement porté à lui attribuer une influence étiologique réelle, la paralysie généialese distingue- t-elle par quelques carac
d, dans lesquelles la syphilis avait précédé d'un an le début de la paralysie générale et où la durée de l'affection a été re
1° La lenteur de l'évolution s'observe particulièrement dans les paralysies générales que l'on a le plus de raison de considé
EVUE *DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 405 de l'ataxie locomotrice et de la paralysie générale vient encore jus- tifier cette opinion
e trophique survenu à titre de symptôme épi- sodique au cours d'une paralysie générale. E. B. z VI. Contribution A l'étude DE
d'une paralysie générale. E. B. z VI. Contribution A l'étude DE la paralysie générale considérée chez LES arabes; par le Dr
es; par le Dr 1VEILIiON. {Annales médico-psychol., juin 1891.) La paralysie générale est-elle, comme on l'a dit, un résultat
proportion de 2,61 p. 200;-d'où cette première conclusion que la. paralysie générale est très rare chez les Arabes, ce qui ti
ainsi un ter- r rain pathologique favorable au développement de la paralysie , générale. , Il .11 t'I ? > » 1 En résumé
la paralysie, générale. , Il .11 t'I ? > » 1 En résumé : 1° la paralysie générale est rare chez les Arabes et. elle revê
ualité de ceux qui en sont atteints est une nouvelle' preuve que la paralysie générale est surtout une maladie de la - civili
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , VII. DE LA FRÉQUENCE RELATIVE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CIIFZ LES laïques ET CHEZ LES religieu
BOUCIIAUD. {Annales médico-psychol, juin 1891.) L'étiologie de la paralysie générale est, malgré les documents accumulés, l
x. Une première conséquence tirée par l'auteur de la rareté de la paralysie générale chez les religieux est que la nature de
d'aliénation mentale simple. Donc, s'ils sont rarement atteints de paralysie générale, cela tient à ce que cette maladie rés
travaux intellectuels excessifs, du surmenage, fournis- ' sent à la paralysie générale son plus fort contingent : et pourtant
ent partie des professions libérales sont très rarement atteints de paralysie . Les professions libérales ne sont donc pas par
des aliénistes, se trouve confirmée par la statistique, puisque la paralysie générale est très rare chez les religieux qui p
ins certain que la syphilis est reconnue comme une des causes de la paralysie générale. Or, elle est, c'est bien entendu, exc
qui fait jouer à la syphilis un grand rôle dans la production de la paralysie générale, est celle qui se rapproche le plus de
-para- lysie générale. Or, si l'alcoolisme est une des causes de la paralysie générale, on comprend que cette sorte d'intoxic
pour ainsi dire pas chez les religieux, il doit en être ainsi de la paralysie générale. En somme il résulte des statistiques
e il résulte des statistiques produites que chez les reli- gieux la paralysie générale est excessivement rare et il ne semble
teurs qui contribuent le plus efficacement au développe- ment de la paralysie générale. E. B. VIII. Observation DE folie ÉROT
orce centrifuge. Conclusions : Dans l'état actuel de la science, la paralysie générale a pour substratum primitif une lébion
mes de l'hystérie avec la gliose spinale, la syphilis cérébrale, la paralysie faciale périphé- rique. En revanche l'hystérie
qui ne sont pas encore totalement détruites. P. K. XIX. UN cas DE paralysie DE PLUSIEURS NERFS crâniens ; par E. Mindel. (N
IEURS NERFS crâniens ; par E. Mindel. (Neurol. centralbl., 1890.) Paralysie du facial et de l'oculomoteur communs d'un côté;
t par se réunir en une surface commune. M. ZACFIER. - Deux cas de paralysie générale aiguë. La première observation concern
un stade de mélancolie prodomique de plusieurs mois, fut atteint de paralysie générale qui évolua en quatre semaines. Chez l'
sie générale qui évolua en quatre semaines. Chez l'autre malade, la paralysie géné- rale dura environ deux mois et demi. Dans
res SOCIÉTÉS SAVANTES. 417 myéliniques. Il existe donc des cas de paralysie générale ayant pour substratum anatomique primi
suspension. Cette méthode a été appliquée à 23 malades affectés de paralysie générale (11 observ.) de vésanies avec hallucin
te, les forces diminuent. Deux paralyti- ques furent atteints d'une paralysie du nerf péronier, l'excitabilité électrique sub
citabilité électrique subit peu de changement, et d'ailleurs, cette paralysie rétrocéda; la suspension ne modifia en rien l'é
Discussion.- M. Richter redoute l'emploi de la suspension dans la paralysie générale. - M. l\IOELI. Quels que soient les al
u 14 juillet 1890. - Présidence DE NI. SANDER. M. MENDEL. Un cas de paralysie de plusieurs nerfs crâniens. Voy. Neurol. Centr
DE M. SaNDeR. M. REMAK communique à la Société l'Observation d'une paralysie bulbaire chez une fillette de douze ans. Evolut
891. 426 SOCIÉTÉS savantes. Discussion. M. BanIVnnnnT rappelle la paralysie bulbaire de l'enfance constatée par Berger sur
qu'il range ainsi par ordre de bénignité criminelle décroissante : paralysie générale, infériorités cérébrales (imbécillité,
urtout à propos d'une observation de M. Déjerine, ayant trait à une paralysie par névrite périphérique survenue chez un tabét
antécédents pathologiques de l'aliéné n'est pas moins importante ( paralysie générale, épilepsie, etc.). Mais c'est surtout lo
rédacteur-gérant, Bourneville. TABLE DES MATIÈRES Alcoolisme 'et paralysie générale, par liousset, 233 ; Magnan, 23'F ;
opiques ho- monymes, par Peterson, 290 ; z Polynévrite à forme de paralysie générale spinale antérieure subai- guë et rap
Mutisme mélancolique, pathogénie du -, par Séglas, 267. Nerfs, paralysie de plusieurs - crdr : iens, par Mendel, 4l1 ; -
BUR commun, nouveau groupe cellulaire de l ? par Vestphal 269 ; - paralysie de l ? par UhthotI, 270. OEIL, chez les alién
l ? par UhthotI, 270. OEIL, chez les aliénés, par Royer, 261 ; paralysie progressive des mus- cles de l ? par Westphal,
400. Ostéomalacie dans l'aliénation men- tale, par Wagner, 408. Paralysie , bulbaire, par Remak, 275, 125; - radiculaire d
13 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
possible de mettre ces lésions sur le compte de l'anesthésie et de la paralysie motrice, par suite des-quelles l'animal reste con
La découverte des nerfs vaso-moteurs et des effets que déter-mine la paralysie de ces nerfs ne devait pas modifier essentielle-m
t des raci-nes de la grosse portion du trijumeau, il n'y avait pas eu paralysie complète de la partie sensible du nerf, car la. s
uelques exemples ? Celles-ci sont-elles dues à une irritation ou à la paralysie des nerfs vaso-moteurs? Ou bien dépendent-elles d
.'t pari . 2. Duménil. — Contributions pour servir à l'histoire des paralysies périphé-riques, spécialement de la névrite. In Ga
lité électrique, suivies d'atrophie rapide des muscles dans le cas de paralysie rhumatismale du nerf facial et de lésions irritat
la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte
blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte, paralysie générale spinale ('Duehenne, de Boulogne), atroph
que de grands progrès ont été accomplis dans l'histoire clinique des paralysies sous l'influence des tra-vaux de M. Duehenne (de
que d'un examen fait à l'œil nu. Au rapport de M. Schiff, lorsque la paralysie consécutive à la section du nerf, date de loin, l
loc. cit., p. 175. 3. Vulpian, loc. cit., p. 246. —Dans les cas do paralysie consécutive à lasec-tion des nerfs, outre l'atrop
s en premier lieu les phénomènes qui ont été observés dans les cas de paralysie périphérique du nerf facial et, en particulier, l
ralysie périphérique du nerf facial et, en particulier, lorsque cette paralysie résulte de l'impression du froid (paralysie rhuma
articulier, lorsque cette paralysie résulte de l'impression du froid ( paralysie rhumatismale, a frigore). M. Duehenne (de Boulogn
le début de l'affaiblissement de la contractilité électrique dans la paralysie rhumatismale du nerf facial, et le terme assigné
de l'assertion de M. Duchenne. Tout récemment encore, dans un cas de paralysie rhumatismale du nerf facial, M.le Dr Erb, ayant é
ontraction. Le même phénomène s'observe communément dans les cas de paralysie périphérique du nerf facial autres que ceux qui d
res que ceux qui dépeudent de l'impression du froid et aussi dans les paralysies traumatiques des nerfs et des membres.Ces dernièr
le dixième ou même dès le cinquième jour, dans les muscles frappés de paralysie (3). L'observation clinique démontre, vousnel'i
uin 1870, p. 298. 3. Duchenne (de Boulogne), loc. cit. Obs.,p. 191. Paralysie , suite de luxation scapulo-humérale, — Obs., p. 1
. 191. Paralysie, suite de luxation scapulo-humérale, — Obs., p. 193. Paralysie , suite de contusion du nerf cubital. règle géné
ge de cette dernière. Le 22 mars 1867, il se développe subitement une paralysie presque complète du nerf facial gauche. La paraly
e subitement une paralysie presque complète du nerf facial gauche. La paralysie est surtout prononcée au muscle frontal. La contr
té pour la première fois par Baierlacher, en 1859 (1), dans un cas de paralysie faciale, aété observé depuis dans les mêmes circo
été observé depuis dans les mêmes circonstances ou dans divers cas de paralysies consécutives à la lésion traumatique des nerfs mi
(3), Ziemssen (4), Rosenthal(5), Meyer (6), par Briickner(7), dans la paralysie pseudo-hyperfrophique, et par Hammond, enfin, dan
ns la paralysie pseudo-hyperfrophique, et par Hammond, enfin, dans la paralysie infantile. Un voit d'après cela que le galvanis
vanisme pourrait accuser encore des contractions dans bien des cas de paralysie , soif rhumatismale, soit traumatique, où l'explor
a valeur; il permettrait toujours de maintenir le contraste entre les paralysies par lésions des nerfs que nous offre ordinai-reme
ar lésions des nerfs que nous offre ordinai-rement la clinique et les paralysies qu'on détermine chez l'ani- 1. Baierlacher. — B
ant d'en déterminer l'apla-tissement complet. Il n'est pas jusqu'à la paralysie dite rhuma-tismale ou à frigore du nerf facial qu
issement ou la perte de la contractilité est, vous le savez, après la paralysie motrice qui, dans la grande majorité des cas, ouv
lle épinière, telles quel'hématomyélie, la myélite aiguë centrale, la paralysie infantile, affections dans lesquelles lalésion in
n nerf, ne saurait être rattachée tout entière à l'alté- 1 Dans les paralysies consécutives aux lésions traumatiques des nerfs m
nsidérer ces lésions comme la conséquence plus ou moins directe d'une paralysie des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralys
ins directe d'une paralysie des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralysie des nerfs moteurs musculaires. Parmi les argument
ous nous bornerons à faire ressortir que les signes nécessaires de la paralysie vaso-motrice, — la réplétion des vaisseaux sangui
ez les sujets qui, à la suite de la lésion d'un nerf, présen-tent une paralysie avec diminution rapide de la contractilité électr
es rappellent absolument celles qu'a signalées M. Erb dans les cas de paralysie faciale qu'il a observés chez l'homme. C'est da
je l'ai fait voir (i), d'après ce méca-nisme, que les symptômes de la paralysie générale spinale ou de l'amyotrophie progressive
-trique, survenant hâtivement dans les muscles des membres frappés de paralysie , est un symptôme qui paraît constant. Il a été co
nage immédiat des cornes antérieures de la substance grise (1 ). La paralysie infantile spinale est, quant à présent, le type l
uit à admettre, comme une hypo-thèse très vraisemblable, que, dans la paralysie infantile spi-nale, un travail d'irritation surai
sur certains muscles, cinq ou six jours à peine progressive, de la paralysie infantile, de la myélite aiguë centrale, et en gé
rk, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile, consultez : Prévost, in Comptes vendus
e la Société de Biologie, 1866, p. 215 . — Charcot et Joffroy. Cas de paralysie infantile spinale, avec lésions des cor-nes antér
son pro-nostic est certainement moins sombre (2). Relativement à la paralysie spinale deVadulte etklpara-lysie générale spinale
tachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses motrices. La paralysie spinale de l'adulte rappelle celle de l'enfance p
ment des par-ties non encore affectées, distinguent, au contraire, la paralysie générale spinale et larapprochent de l'atrophie m
ne partie d'un membre sont frappés en masse, presque uniformément, de paralysie ou d'atrophie; ils présentent, déjà, aune époque
des faits, aujourd'hui en certain nombre, empruntés à Thistoire de la paralysie labio-glosso-laryngée et de la sclérose en plaque
utifs aux altérations de la moelle épinière. Dans la pathogénie de la paralysie infantile et des diverses formes de l'amyotrophie
sions cérébrales en foyer. Il se manifeste sur les membres frappés de paralysie , principalement à la région fessière ; son import
can, une éruption de zona apparut sur la cuisse du côté paralysé ; la paralysie motrice était surve-nue à peu près en même temps
question suggère à l'auteur : « Une circonstance curieuse, liée à la paralysie des extrémités inférieures, est bien mise en reli
a suite des blessures de ce genre, il se produit chez les animaux une paralysie du mouvement dans le membre inférieur du côté où
et il offre de plus une élévation notable de la température liée à la paralysie vaso-motrice. Le membre du côté opposé à la lésio
érale gauche de la moelle épinière. Il seproduisit immédiate-ment une paralysie du mouvement qui, d'abord étendue aux deux membre
sur une moitié latérale de la moelle épinière à la région dorsale, la paralysie du mouvement survenir dans le membre inférieur co
16 février, au matin, on note ce qui suit : Membre inférieur gauche : paralysie complète du mouvement. Le membre est dans la flac
vait remarqué que les mouvements imprimés au genou gauche (côté de la paralysie motrice) étaient un peu douloureux ; au-jourd'hui
la troisième paire dorsale.Lejour môme de l'accident, on constate une paralysie complète et une hypéresthésie du membre inférieur
était ammoniacale. Le malade succomba dix jours après le début de la paralysie . A l'autopsie, on reconnut, après un examen atten
de faits. L'eschare a été signalée dès le oe jour après le début delà paralysie dans un cas rapporté par M. Duckworth (2), le 6e
rejeter au se-cond plan l'influence de la pression, celle aussi de la paralysie vaso-motrice, qui peut faire complètement défaut,
es. C'est ainsi que l'eschare sacrée fait généralement défaut dans la paralysie infantile spinale et dans la paralysie spinale de
it généralement défaut dans la paralysie infantile spinale et dans la paralysie spinale de l'adulte, affections qui sont caractér
venir le siège d'une arthro-pathie subaigë chez une femme atteinte de paralysie consécutive au mal de Pott. Ce fait a été consign
nchement intra-articulaire, occupant l'un des genoux, au moment où la paralysie commençait à envahir les membres inférieurs (1).
sur-tout : 1° Leur limitation aux jointures des membres frappés de paralysie ; 2° L'époque en général déterminée à laquelle el
ncipalement du déplacement des surfaces articulaire occasionné par la paralysie des muscles qui enveloppent la jointure. 1. Cha
d: observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre de la paralysie vaso-motrice: elles doivent former une catégorie
iff n'hésite pas à les considérer comme les effets très simples de la paralysie des nerfs vaso-moteurs. Je suis,pourmon compte,
Ollier. — Journal de physiologie, t. VI, p. 108. par le fait de la paralysie des vaso- moteurs, sous l'influence du plus léger
mène fait défaut; il en est ainsidanslamyélitepartielle(2),et dans la paralysie infantile (3), il en est de même dans les cas à é
reconnaissaient en réalité pour origine l'hypérémie consécutive à la paralysie des nerfs vaso-moteurs. L'hypérémie neuro-paral
hare fessière occupe précisément le côté du corps qui, en vertu de ia paralysie motrice, présente une élévation relative de la te
aso-moteurs peut rendre compte des phénomènes que n'expli-quentpas la paralysie de ces mômes nerfs. Prenons d'abord l'irri-tation
la théorie, que la para-lysie vaso-motrice. Or, s'il est vrai que la paralysie vaso-mo-trice, alors même qu'elle est poussée trè
trophiques, il ne saurait évidemment en être autrement de cette même paralysie produite sous l'influence de l'excitation des dil
A. Biesadecki. — Stri-cker's Handbuch, p. 595. » DEUXIÈME PARTIE Paralysie agitante et sclérose en plaques disséminées. CI
gitante et sclérose en plaques disséminées. CINQUIÈME LEÇON De la paralysie agitante. Sommaire. — Du tremblement en général
n de M. Gubler. — Le tremblement d'après Galien. — Indépendance de la paralysie agitante et de la sclérose en plaques. — Recherch
Travaux français : MM. G. Sée, Trousseau, Charcot et Vulpian. — La paralysie agitante prend droit de domicile dans les traités
e domicile dans les traités classiques. Caractères fondamentaux de la paralysie agitante. — C'est une maladie de la seconde pér
t. — Sensation habituelle de chaleur excessive. — Température dans la paralysie agitante. — Influence de la nature des convulsion
; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques. — Durée de la paralysie agitante. Résultats nécroscopiques. —Inconstanc
gitante. Résultats nécroscopiques. —Inconstance des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en
hériques. — Causes prédisposantes. — L'âge joue un certain rôle: la paralysie agi-tante se montre plus tard que la sclérose en
tions qui doivent faire l'objet de nos premières études cliniques, la paralysie agitante et la sclé-rose en plaques disséminées,
ons à faire valoir, ainsi que vous le reconnaîtrez par la suite. ha paralysie agitante, qui nous occupera tout d'abord et dont
uvrage intitulé : Essay on the shaking Palsy. Depuis cette époque, la paralysie agitante a été maintes fois mentionnée en Anglete
chorée, réu-nit dans un tableau succinct les principaux traits de la paralysie agitante. Trois ans plus fard, M. Vulpian et moi
s,nous avons tracé une histoire assez complète, pour l'épo-que, de la paralysie agitante. A partir de là, cette maladie acquier
pe nullement à ce reproche, il existe une confu-sion absolue entre la paralysie agitante et la sclérose en pla-ques . La ligne de
ctères sur lesquels je vais insister. CARACTÈRES FONDAMENTAUX DE LA PARALYSIE AGITANTE. La paralysie agitante,dégagée,Messieu
is insister. CARACTÈRES FONDAMENTAUX DE LA PARALYSIE AGITANTE. La paralysie agitante,dégagée,Messieurs, des éléments étran-
. II, p. 184. Art. Paralysis agi-tans, par W.-R. Sanders. 2. Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisées.
me, viennent encore appuyer notre opinion à savoir que, jusqu'ici, la paralysie agitante ne reconnait aucune lésion matérielle dé
citer d'assez nombreux exemples du même genre. Les symptômes de la paralysie agitante n'ont pas tous une égale valeur. Le plus
mi les symptômes les plus importants de la maladie. La marche de la paralysie agitante est lente, progressive. Sa durée est lon
ide. Tels sont. Messieurs, les caractères les plus généraux de la paralysie agitante. Mais, afin de mieux vous faire saisir l
anière dont se fait le début. Les observations nous apprennent que la paralysie agitante se développe tantôt lentement, progressi
qui, ultérieurement, a été affecté de douleurs et de tremblement. La paralysie agitante qui éclate de cette façon se comporte d'
t, de un à deux ou trois ans environ. C. Période d'état. Lorsque la paralysie agitante a acquis son parfait développement, le t
des particularités qui appartiennent en propre au trem-blement de la paralysie agitante; je ne crois pas qu'on les ren-contre da
tomatologie delà sclérose en plaques disséminées, n'existepas dans la paralysie agitante. Les muscles de la mâchoire, eux non plu
nc lui-même est pres- Fig. 8. — Attitude habituelle dans les cas de paralysie agitante un peu pronon-cée. — Attitude d'une main
ile, pour peu que l'on soit pré-venu. Il n'y a pas, en effet, dans la paralysie agitante, la tuméfaction et la rigidité articulai
Tous ces symptômes suffisent pour démontrer qu'on a affaire,ici à la paralysie agitante. Cependant, el bien que la maladie remon
uis trois mois. On voit, par là, qu'il est possible de reconnaître la paralysie agitante en l'absence même du tremblement. (B). —
montre ou ne s'accuse profondément que dans les phases avancées de la paralysie agitante. Or, lorsqu'elle commence à se manifeste
Ann Phillips, âgée de 47 ans, chez laquelle tous les symptômes de la paralysie agitante existaient, moins le tremblement, qui es
Un mot encore sur la démarche particulière aux malades at-teintes de paralysie agitante. Vous avez vu quelques-unes de nos malad
cinq personnes du même âge que nos malades, on constate que, dans la paralysie agitante, loin d'être conservée, la force dynamom
hez deux de nos malades, à une période relativement peu avancée de la paralysie agitante, que chez la plus ancienne. Dans ces tro
figurent dans le tableau symptomatologique de maladies autres que la paralysie agi-tante, dans certaines lésions du cerveau, par
dernier cas, ils sont liés sou-vent aux vertiges, tandis que dans la paralysie agitante les mouvements de propulsion ou de rétro
t pas, Messieurs, les seuls qui méritent de fixer votre attention. La paralysie agitante n'est pas seulement une maladie des plus
-Alexandre. Getle femme est parvenue à une période plus avancée de la paralysie agitante que les deux malades citées dans les not
des impres-sions sensitives cutanées n'est nullement altérée dans la paralysie agitante. Le froid, le chaud, le plus léger frôle
générales que le sont celles qui se manifestent dans certains cas de paralysie agi-tante ne pas donner lieu pourtant à une accum
tions thermométriques, que nous avons plusieurs fois répétées dans la paralysie agi-tante et dans quelques cas de chorée avec agi
e (1). A ce propos, il serait intéressant de rechercher si, dans la paralysie agitante, de même que cela a lieu, d'après M. Ben
de ces analyses que l'excrétion des sulfates serait di-minuée dans la paralysie agitante, contrairement à l'opinion avancée par M
pneumonie ; j'ai noté la même chose chez plusieurs sujets atteints de paralysie agitante. Cette complication tient-elle à l'habit
35.) (B.) N'oublions pas, Messieurs, que, d'une façon générale, la paralysie agitante est une des affections graves du système
j'ai insisté avec minutie sur la description symptomatolo-gique de la paralysie agitante, c'est qu'elle constitue, encore aujourd
es pratiquéesjusqu'à présent chez des indi-vidus supposés atteints de paralysie agitante, sont susceptibles d'être rangées en tro
nsignés dans les auteurs. J'ai observé, pour mon compte, trois cas de paralysie agitante bien caractérisée, dans lesquels les rés
ques auteurs, Bamberger, Lebert, Skoda, par exemple, sous le titre de paralysie agitante et dans lesquelles ont été rencontrées d
ont les cas de Bamberger, Lebert, Skoda. S'agissait-il vraiment de la paralysie agitante ou avait-on sous les yeux le tableau cli
idérations qui précèdent vous montrent,Messieurs, que la lésion de la paralysie agitante est encore à trouver (1). La physiolog
instant sur ce sujet, j'ai hâte de terminer l'histoire clinique de la paralysie agitante, en vous exposant ce que nous savons rel
son,mais même d'un amendement sérieux dans un cas bien authentique de paralysie agitante. Etiologie. A. Parmi les causes extéri
ticisme sous ce rapport. Des femmes de la Salpêtrière, atteintes de paralysie agitante interrogées par nous, beaucoup ont vu le
mi les faits pathologiques qu'il cite, trois paraissent relatifs à la paralysie agitante (2 femmes âgées, l'une de 51 ans et l'au
passée sous si-lence par la plupart des médecins qui ontécrit sur la paralysie agitante,à savoir Y irritation de certains nerfs
elle qui nous autorise à douter qu'il se soit agi, dans ce cas, de la paralysie agitante. La femme d'un de nos confrères de la
rapprocher du fait précédent celui d'une sage-femme atteinte aussi de paralysie agitante. Cette malade que j'ai observée à la Sal
r en revue. Relativement à Yâge, nous devons faire remarquer que la paralysie agitante n'estpas, ainsi qu'on l'a avancé, une ma
ulogne) (1).—hesexene paraît exercer au-cune action pathogénique : la paralysie agitante est aussi com-mune chez l'homme que chez
vation d'une jeune fille du service de M. Sircdey qui l'ut frappée de paralysie agitante à l'âge de 15 à 16 ans. « Vers la fin du
, viendraient à l'appui de cette opinion. Mais même dans ces pays, la paralysie agitante n'est pas très commune. M. Sanders, dans
de Galles, et s'étendant de 1855 à 1863, a relevé 205 cas de mort par paralysie agitante, c'est-à-dire en moyenne par an (14 homm
e. Un mot, en terminant, Messieurs, sur les moyens thérapeutiques. La paralysie agitante guérit quelque-fois, cela est incontesta
a vu également un de ses malades guérir. Ces citations montrent quela paralysie agitante n'est pas incurable. Mais nous devons re
geux, dit-on, dans la chorée, seraient demeurés impuissants contre la paralysie agitante ; c'est du moins ce qui ressort de la pr
de camphre chez deux malades du service de M . Charcot, atteintes de paralysie agitante de-puis plusieurs années. Dans les premi
on, je vous ai cité comme exemple de tremblement dupremier groupe, la paralysie agitante dont je vous ai tracé l'histoire. Chem
l'écriture : caractères qui le font distinguer du trem-blement de la paralysie agitante, de la chorée, de la paralysie générale
tinguer du trem-blement de la paralysie agitante, de la chorée, de la paralysie générale et de l'incoordination motrice de l'atax
ste, fit le visiteur. Il y a en outre de la chorée ou peut-être de la paralysie agitante. » Le malade fut ensuite interrogé. Il r
plus complexes. Voici maintenant des symptômes qui appartiennent à la paralysie générale. N'allons pas plus loin ; votre malade r
mplet, de la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. C. La paralysie agitante estsurtout la maladieavec laquelle cette
alors notre élève, à oppo-ser dans un parallèle cette affection à la paralysie agitante, afin de mieux faire ressortir les contr
faire ressortir les contrastes (1). On sait commentM. Or- 1. Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisées.
d'un cas observé à la cliniquede Skoda, cas dans lequel le diagnostic Paralysie agitante avait été porté pendant la vie et que, à
e relevé, que le tremblemen t, con trairement à ce qui a lieu dans la paralysie agi-tante ordinaire, ne se montrait que lors des
). Pendan l la vie, le professeur liasse avait établi le diagnostic : paralysie agitante et néanmoins on insiste, dans la descrip
vais entrer à ce propos dans quelques détails. Le tremblement de la paralysie agitante existe aussibienà l'état de repos des me
ureuse estplongée dans un sommeil profond. 11 est des cas où, dans la paralysie agitante, le tremblement se montre seulement par
e à votre observation, ce carac-tère particulier du tremblement de la paralysie agitante. Vous observerez en outre, chez ces deux
emblement delà tête me paraît être un fait à peu près général dans la paralysie agitante : j'ajouterai que, dans cette affection,
plaques a été quelquefois désignée sous les noms de chorée rythmique, paralysie choréiforme. Il est toujours facile cependant d
'ai vue ridée à sa surface, comme cela s'observe dans certains cas de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie des muscles l
le se rapproche, à beaucoup d'égards, du symptôme correspondant de la paralysie générale progressive. Je crois même que, dans bie
rcon-stance que, dans la sclérose multiloculaire, de même que dans la paralysie générale, l'émission des mots est parfois précédé
de la circulation etmême de la respiration. Ce sont là des symptômes ^ paralysie bulbaire progressive qui doi-vent donner l'éveil
us inté-ressant qu'il u'appartient ni à l'ataxie locomotrice, ni à la paralysie agitante et qu'il peut, par conséquent, aider au
s occu-pations ; mais un jour vient enfin où, par l'aggravation de la paralysie motrice, ils peuvent être confinés au lit. Les me
. —Considérations générales sur les attaques apoplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en
en plaques. —Première, seconde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclér
fois plusieurs points de l'axe cérébro-spinal, en particulier dans la paralysie générale progressive. C'est même dans cette derni
u'elles peuvent revêtir. Aussi la description de ces attaques dans la paralysie générale progres-sive a-t-elle motivé de nombreus
iculées descendantes. Entre ces lésions partielles du cerveau et la paralysie géné-rale progressive, il semble au premier abord
ons de M. Magnan et celles de M. Wesl-phal ont fait voir que, dans la paralysie générale, aux lésions de la périencéphalite se su
. Wesfphal dans les attaques épileptiformes et apoplecfi-formes de la paralysie générale progressive; je les ai retrou-vées dans
y avait atrophie générale, rigidité et raccourcissement des membres, paralysie , ainsi que cela se voit généralement en pareil ca
comportent exactement dans la sclérose multilo-culaire, comme dans la paralysie générale progressive et dans les cas de lésions
e du corps, dans les attaques apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie générale et de quelques autres affections cérébro
yélite centrale subaiguë ou chronique qui produit les symptômes de la paralysie générale spinale. Mais je ne veux pas m'arrêter
r d'une manière toute spéciale, l'apparition de quelques symptômes de paralysie de bulbaire, parce qu'ils sont capables, en s'agg
augmenté d'intensité et, de plus, il s'y est ajouté des symptômes de paralysie bulbaire. Ceux-ci se sont aggravés assez rapideme
e de six à dix années (1) ; cela établit un nouveau contraste avec la paralysie agitante dont la durée normale est beaucoup plus
bientôt, de l'exis-tence à peu près constante de la parésie ou de la paralysie des membres, suivis tôt ou tard de contracture pe
ng espace de temps qui s'écoule avant l'époque où ils font place à la paralysie complète et à la contreture permanente. B. Ce q
ns. Elle mourut à l'âge de 14 ans et demi. Bésumé : nystagnms léger : paralysie faciale droite; a taxi e très prononcée des extré
dre l'ischurie calculeuse et l'ischurie hystéri-que . Observation. — Paralysie et contracture hystériques. — Hémianesthésie com-
te de M. Lebreton (1). 1. Lebreton. —Des différentes variétés de la paralysie hystérique. Thèse de Paris, 1868. J'éprouve que
ieur qu'à l'inférieur et s'accompagnant de flacci-dité. A la face, la paralysie affecte d'ordinaire le buccinateuret l'orbiculair
es ; le plus souvent aussi la langue est tirée du côté paralysé. A la paralysie du mouvement se surajoute une paralysie des nerfs
tirée du côté paralysé. A la paralysie du mouvement se surajoute une paralysie des nerfs vaso-moteurs qui se traduit par une élé
aque suivie d'hémiplégie, le 25 octobre 1851. Deux mois plus tard, la paralysie des extrémités disparut, de telle sorte que le ma
se de la moitié correspondante du corps. Au bout de cinq semaines, la paralysie motrice diminua.—Sfév. 1853. Les mouve-ments sont
la secousse clonique de la chorée, tantôt celles du tremblement de la paralysie agitantee tremblementliémila-téral se montre quel
, et i l commence à apparaître, dans ce dernier cas, à l'époque où la paralysie motrice commence à s'amender. La lésion consiste
u'elle est, même en l'absence des convulsions. L'hémianesthésie, la paralysie , la contracture, les points douloureux fixes, s
plupart des symptômes permanents del'hystérie, tels que contracture, paralysie , hémianesthé-sie, etc. ; mais elle a une action s
ade voit des animaux effrayants, des squelettes, des spectres; 2° une paralysie de la vessie ; 3° une paralysie du pharynx ; 4°en
des squelettes, des spectres; 2° une paralysie de la vessie ; 3° une paralysie du pharynx ; 4°enfin, une contracture permanente
vez que cettemême.trépida-tionfse rencontretrèsjhabituellementdans|la paralysie avec con-tracture, liée à une lésion organique sp
n sur le tremblement particulier qui, chez certains sujets atteint de paralysie ou seule-ment de parésie des membres intérieurs,
n Berliner Klin. Woschenschrift. 1875, n° 26.) Dans quelques cas de paralysie des membres supérieurs, lorsqu'il s'agit par exem
l'a montré M. Brown-Séquard, occuperait le côté du corps opposé à la paralysie motrice. 3° Nous axions à relever encore bien d
iigen, 1869), on devrait à M. Althaus d'avoir signalé l'absence de la paralysie faciale et de la déviation de la bouche et de la
vait, lui aussi, être invoqué en faveur de l'origine hystérique de la paralysie . Ainsi, tandis que le membre supérieur était dans
ir ? Qu'adviendra-t-ilde ces malades ? Depuis deux ou trois ans, la paralysie avec la contracture a persisté, chez elles, sans
saint Louis),et dans lequel on trouve l'histoire de plusieurs cas de paralysie guérie gauche. Finalement, les seuls vestiges d
présenta à minuit, dans le bras gauche, où l'on avait constaté de la paralysie , mais pas d'insensibilité, des soubresauts modéré
t-à dire dans les conditions où se manifestent très ordinairement les paralysies et les con-tractures, les mouvements choréiformes
initivement cessé. (B.) APPENDICE APPENDICE i. Observation de paralysie agitante. (Voir la Planche I, qui représente l'
I, qui représente l'attitude caractéristique des malades atteints de paralysie agitante) Antécédents. — Cause probable de la p
atteints de paralysie agitante) Antécédents. — Cause probable de la paralysie agitante. — Début : faiblesse qui envahit success
veuse, s'emportait tacitement, mais n'avait pas de trem-blement ni de paralysie . Sa sœur unique est morte d'une pleu-résie à 40 a
té assez vive. (B.) Du tremblement dans la maladie de Parkinson. ( Paralysie agitante). M. Charcot a consacré une bonne part
rcot a consacré une bonne partie de sa leçon du 19 novembre 1876 à la paralysie agitante en insistant toute-fois plus particulièr
t d'abord, M. Charcot s'est attaché à montrer que la dé-nomination de paralysie agitante est impropre. 11 est, en effet, singulie
gitante est impropre. 11 est, en effet, singulier de donner le nom de paralysie à une affection dans laquelle, pendant longtemps,
elle, pendant longtemps, la force musculaire est con-servée. Le mot « paralysie », outre qu'il n'est pas justifié, a encore l'inc
cultés intellectuelles. Le qualificatif « agitante » ajouté au mot « paralysie » n'est pas non plus absolument exact — au moins
elle. On sait que M. Charcot s'est efforcé de séparer nettement la paralysie agitante d'une autre maladie, très intéressante,
orsqu'il compare le tremblement dans la sclérose en plaqueset dans la paralysie agitante, M. Charcot s'exprime ainsi à ce sujet à
arcot s'exprime ainsi à ce sujet à propos de deux femmes atteintes de paralysie agitante : « Vous observerez, en outre, que che
mblement de la tête me paraît être un fait à peu près général dans la paralysie agitante. (Loc. cit., p. 203). L'opinion de M.
it et ontavancé que les oscillations rythmiques, dans certains cas de paralysie agitante, portent également sur Vextrémité céphal
phalique. (Voir Mouv. Méd., 6 mai.) Il faut donc répéter que, dans la paralysie agitante, les mouvements qui animent quelquefois
ez M. R____ tous les autres caractères assignés par M. Charcot à la paralysie agitante étaient présents et avaient acquis une i
e- loppement des phénomènes d'hystérie locale. II. Traumatisme et paralysie agitante ». 1. On sait que certaines affections
parut brusquement en même temps que la douleur ; il était survenu une paralysie complète portante la fois sur le sentiment et sur
omènes qui viennent d'êtres décrits, à savoir : l'hémia-nesthésie, la paralysie , l'ovarie, les spasmes divers, etc., persis-taien
eut, toutefois, être à son tour remplacée par une parésie ou même une paralysie avec résolution des muscles. Ces accidents, dév
au groupe provisoire des névroses. C'est le cas, par exemple, pour la paralysie agitante ou maladie deParkinson. M. Charcot a r
2 ans, présente depuis 4 ans environ, les symp-tômes classiques de la paralysie agitante limitée au côté droit du corps. Contrair
ations vulgaires. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I paralysie agitante Attitude d'une malade atteinte de para
PLANCHE I paralysie agitante Attitude d'une malade atteinte de paralysie agitante (1874). (Voir l'observa-tion de celte ma
snier, Editeurs, Charcot. Œuvres complètes, t. i. SU PLANCHE II PARALYSIE AGITANTE Attitude de la même malade en 1879.
lité électrique, suivies d'atrophie rapide des muscles dans Je cas de paralysie rhumatismale du nerf facial et de lésions irritat
la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte
blancs : paralysie infantile spinale, para-lysie spinale de l'adulte, paralysie générale spinale (Duchenne, de Boulogne), atrophi
sions cérébrales en loyer. Il se manifeste sur les membres frappés de paralysie , principalement à la région fessière ; son import
: observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre cle la paralysie vaso-motrice; elles doivent former une catégorie
es. —Conclusions....................... 125 CINQUIÈME LEÇON dé la paralysie agitante. Sommaire. — Du tremblement en général
n de M. Gubler. — Le tremblement d'après Galien. — Indépendance de la paralysie agitante et de la sclérose en plaques. — Recherch
Travaux français: A1M. G. Sée, Trousseau, Charcot et Vulpian. — La paralysie agitante prend droit de domicile dans les traités
e domicile dans les traités classiques. Caractères fondamentaux de la paralysie agitante. — C'est une maladie delà seconde péri
t. — Sensation habituelle de chaleur excessive. — Température dans la paralysie agitante. — Influence de la nature des convulsion
; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques. — Durée de la paralysie agitante. Résultats nécroscopiques. — Inconstan
itante. Résultats nécroscopiques. — Inconstance des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en
hériques. — Causes prédisposantes. — L'âge joue un certain rôle: la paralysie agi-tante se montre plus tard que la sclérose en
l'écriture : caractères qui le font distinguer du trem-blement de la paralysie agitante, de la chorée, de la paralysie générale
tinguer du trem-blement de la paralysie agitante, de la chorée, de la paralysie générale et de l'incoordination motrice de l'atax
— Considérations générales sur les attaques apoplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en
n plaques. —Première, seconde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la scl
ntre l'ischurie calculeuse et l'ischurie hystéri-que. Observation. — Paralysie et contracture hystériques. — Hémianesthésie com-
................................. 386 APPENDICE I. Observation de paralysie agitante................................ 409 IL
érie locale ................................ 449 II. Traumatisme et paralysie agitante.......................... 457 VIII. Re
-laires consécutives aux affections du - . 72. — Lésions du — dans la paralysie agitante, 182 ; — dans la sclérose en plaques, 19
e des grandeurs dans la sclé-rose en plaques, 238. Démarche dans la paralysie agitante, 175. Diplopie dans la sclérose en pla
Douleurs fulgurantes fPathogénie des), 78. Dynamométrie clans la paralysie agi-tante, 163, 174. E Ecchymoses viscérales
dans les lésions spinales, 127. Ecriture (Spécimens de 1') dans la paralysie agitante, 167, 421 ; — dans la sclérose en plaque
5, 58 ; — dans la sclérose en plaques, 241. Fève de Calabar dans la paralysie agitante, 187 ; — dans la sclérose en plaques, no
04. — Relations entre l'hémianesthésie, l'hyperesthésie ovarienne, la paralysie et la con-tracture, 304 , 330. — Caractères qui l
296. ii Langue (Contracture de la), 346. Latéropulsion dans la paralysie agitante, 419. Lèpre anesthésique, 31. Lésion
de la), 11, 19. Muscles (Affections trophiques des), 36 ; — dans la paralysie infantile, 68. (V. Amyotrophies, Atrophie muscula
sur les —, 194; — dilatateurs, 149. (V. Corde du Tympan) ; — facial ( Paralysie du), 39; — glandulaires (Irritation des), 145 ; —
n, Hyperesthésie ova-rienne.) Ovarie hystérique, 286, 304, 320. P Paralysie agitante, 155, 317, 409, 414. —Historique, 160. —
le spinale de l'adulte, 71 ; ses analogies et ses différences avec la paralysie infantile, 71. — hystérique, 287, 351 et passim.
e la), 22 ; — lisse, 25, 32. Petit mal épileptique, 375. Pharynx ( Paralysie du), 346. Phlegmon (Faux), 25, 86. Pied (Défo
attaques apoplecti-ques, 254, 256. Préambule, 1. Propulsion dans la paralysie agi-tante, 163 ; — note, 173, 175, 411. Putamen,
d'urine chez les hystéri-ques, 277, 353, 356. Rétropuesion dans la paralysie agi-tante, 163 ; note, 173 ; 175, 411. Rigidité
163 ; note, 173 ; 175, 411. Rigidité des membres et du cou dans la paralysie agitante, 159. S Salivation dans la paralysie
s et du cou dans la paralysie agitante, 159. S Salivation dans la paralysie agi-tante, 169. Sclérodermie, 25. Sclérose fasc
es dissémiu ées .(Lé-sions des cellules motrices dans la—), 72 ; — et paralysie agitante. 159, — Historique, 190. — Anato-mie mac
épendant de l'irrita-tion du grand sympathique cervical 139; —dans la paralysie agitante, 178 ;—dans les attaques apoplecti-forme
14 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rave du cerveau lui-même, nous voulons parler de l'aphasie et des paralysies . Il est possible, nous aurons à revenir sur ce
résolution, mais on constate facilement 10 CLINIQUE NERVEUSE. une paralysie absolue du mouvement dans les membres supé- rie
hyses mastoïdes. Le 30, l'état est le même mais un peu amélioré; la paralysie et l'aphasie persistent, mais la déviation des
et l'aphasie persistent, mais la déviation des yeux a disparu et la paralysie faciale est très atténuée. Le retour de la sensib
mouvements assez faibles d'ailleurs dans les membres paralysés. La paralysie de la face s'est complètement dissipée. Il répo
1885, nous avons appris que Thoreau était complètement guéri de sa paralysie et que depuis plus d'un an il s'était placé dan
ement, puisque l'aphasie disparut au bout de quelques jours et la paralysie après quelques mois. Cette thrombose nous sembl
guës, et surtout dans la méningite tubercu- leuse, où l'on voit des paralysies partielles très diverses, échappant à toute for
courir à une théra- peutique immédiate et énergique. NÉVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE A RETOUR PÉRIODIQUE, CONSTITUANT UN SY
rée dans les Bulletins de la Société, [). 283, 1885. NÉVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 17 règles, les crises ont diminué d'i
t un accès de moyenne intensité, a donné les résultats suivants : Paralysie de la troisième paire gauche intéressant toutes l
u releveur de la paupière supérieure qui fonctionne normalement. La paralysie est incomplète, le droit interne est le plus in
oit interne est le plus intéressé. Diplopie caractéristique de la paralysie des droits interne, supérieur, inférieur, et du
quand on fait réagir la pupille par la lumière ou la convergence. Paralysie incomplète de l'accommodation H m = + 1,25 D da
u d'accès. Les symptômes oculaires persistent à l'exception de la paralysie du droit inférieur qui a disparu. Il n'y a pas de
nd lieu par l'asso- ! ciation de deux symptômes, la névralgie et la paralysie AIHI3,.t, XI. 2 t8 : . CLINIQUE NERVEUSE. d
c chute de la paupière supérieure ; dispa- rition progressive de la paralysie en huit semaines. Depuis lors, les accidents se
sept ans qui, depuis l'âge de treize ans, tous les mois/avait une paralysie de l'oculo-moteur commun gauche. Celle-ci commen-
., 1883, n° 10, d'après l'analyse donnée par Moblus. NÉVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 19 durait trois jours, et coïncidait
ET PARALYSIE OCULAIRE. 19 durait trois jours, et coïncidait avec la paralysie oculaire. On remarqua que le ptosis disparaissa
l redevenaient libres le troisième jour, mais que la mydriase et la paralysie de l'accommodation étaient encore peu modifiées
e, et enfin survenait du ptosis. Saundby trouva pendant l'accès une paralysie com- plète des muscles droits interne, supérieu
interne, supérieur, inférieur, ptosis, dilatation de la pupille et paralysie de l'accommodation; au bout de quelques jours ,
semaines après le commencement de l'accès, il existait encore de la paralysie du droit supérieur, de la parésie du droit infé
itaires, fut pour la première fois, à l'âge de cinq ans, pris d'une paralysie du moteur oculaire commun de l'oeil droit en mê
nausées, de douleurs céphaliques et oculaires ; depuis lors, cette paralysie revient régulièrement une ou deux fois par an (
ar an (mai et octobre) toujours accompagnée des mômes prodromes. La paralysie est complète (ptosis absolu, paralysie des droi
gnée des mômes prodromes. La paralysie est complète (ptosis absolu, paralysie des droits supérieur, 1 Lancet, 2 sept. 1882, d
0 CLINIQUE NERVEUSE. interné et inférieur, immobilité pupillaire et paralysie de l'ac- commodation), et dure quelques semaine
e, a des attaques d'épilepsie. L'auteur fait remarquer. : 1° que la paralysie de l'oculo-moteur est, lorsqu'elle s'établit, a
incomplet fut observé à la suite d'un choc moral intense et que la paralysie se trouva augmentée après un accès d'angoisse n
sement concentrique tout à fait propor- tionnel à l'intensité de la paralysie , augmentant ou diminuant avec celle-ci. Au plus
aralysie, augmentant ou diminuant avec celle-ci. Au plus fort de la paralysie , le champ visuel de l'oeil droit ne mesurait qu
s dans la tempe gauche puis aboutissant à de la photophobie et à la paralysie de l'oculo- moteur commun ; ces accès duraient
elque temps, il persiste même dans l'inter- valle un léger degré de paralysie du moteur oculaire commun. Une tentative faite
cette affection doit être rapprochée de la migraine. névralgie ET paralysie oculaire. 21 Observation VII (résumée)'. Jeune
aient de temps en temps. Depuis l'âge de quatorze ou quinze ans, la paralysie oculaire se montre très souvent, environ toutes
mêmes douleurs de tête hémicrâ- niennes qui, dès l'apparition de la paralysie , diminuaient et ne tardaient pas à cesser compl
et ne tardaient pas à cesser complètement. Quant à la durée de la paralysie , elle était très variable; tantôt elle disparaiss
ant aurait, d'après le malade, quel- quefois diminué la durée de la paralysie . Dans l'intervalle des accès, la disparition de
on de la douleur de tète était seule complète, mais non celle de la paralysie , car, d'après le malade, il conservait une pupi
té nasal. Observation VIII. (R. Saundby). Un cas de migraine avec paralysie de la y paire (Lancet, 10 janvier 1885). William
la partie supérieure de la. face est tout à fait nor- névralgie ET paralysie oculaire. 23 mâle ; la langue se tire bien droi
. L'examen des yeux fait par Ealès le 6 septembre n'a montré aucune paralysie des muscles ni aucune altération du fond de l'o
e début de l'affection), comme un cas de « migraine récurrente avec paralysie de la 3- paire », et rappelle qu'il y a deux an
il ait connaissance jusqu'à présent : Wilks parle il est vrai de la paralysie de la 3° paire dans la migraine mais sans citer
r, d'autre part, a décrit une forme de ptosis qu'il attribue à la paralysie des fibres musculaires lisses de Mùller qui se re
et douleurs, suivis, après .un laps de temps plus ou moins long, de paralysies ocu- laires avec diplopie et strabisme; ces par
ins long, de paralysies ocu- laires avec diplopie et strabisme; ces paralysies ont, elles aussi, une durée variable et peuvent
d'une façon rigoureuse. En intitulant ce travail : « Névralgie et paralysie oculaire à retour périodique », névralgie ET pa
Névralgie et paralysie oculaire à retour périodique », névralgie ET paralysie oculaire. 25 nous avons eu surtout en vue d'ind
ans aucune affection oculaire (2 septembre 1884). - Le, 8 septembre paralysie totale du moteur ocu- laire commun gauche; cell
ire, elle était sujette au même accident. Le 14 octobre, de nouveau paralysie totale persistant jusqu'à la fin d'octobre. - L
e d'accepter l'opinion émise par Weiss que, chez cette malade, la paralysie de la troisième paire était due à une inflam- m
lammation dont chaque poussée se serait traduite par une attaque de paralysie . Certes les dernières attaques, celles qu'a obs
ttre quelque doute à cet égard), elle a dès l'enfance présenté la paralysie oculaire à retour périodique, nous ne pouvons a
dans laquelle on constata l'existence d'une exsudation NÉVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 27 plastique du cerveau englobant com
ctères tout spéciaux avec les cas assez nom- breux où il existe des paralysies oculaires à répétition. Dans cette série de cas
1884 et enfin en janvier 1885. C'est surtout dans le tabès que ces paralysies à rechutes ou même à récidives sont fréquentes.
à trouver toujours des symptômes tabétiques évidents, lorsque ces paralysies éclatent; il n'est pas rare de voir des malades
on se caractérise. C'est ce qui a fait méconnaître la nature de ces paralysies que l'on considérait comme rhumatismales et bén
nt. Un malade vient consulter l'un de nous il y a deux ans pour une paralysie de la sixième paire gauche ; il raconte que, di
paru deux fois encore depuis cette époque ; comme il sait que ces paralysies guérissent facilement, il n'y attache pas une g
gravation des autres symptômes. Il en est quelquefois ainsi dans la paralysie générale, dans certaines formes de syphilis cér
nant visiblement les lésions cérébrales diagnostiquées à gauche, la paralysie se généralise, les contrac- tures augmentent et
ubordination et de correspondance parfaite de l'anesthésie et de la paralysie motrice, admise par Hitzig, Nothnagel et, depui
rconvolutions (la pariétale et la frontale ascendantes) produit une paralysie motrice, parce que ces circonvolutions constitu
s, etc.; 2" foyer cortical du lobe frontal gauche ; extension de la paralysie au côté droit du corps, aphasie, etc. Bid... (J
est fré- quent) l'abolition de la faculté du langage (alalie) sans paralysie de la langue (glosoplégie); nous remarquons, en
moitié droite du corps, libre la veille, est frappée à son tour de paralysie , moins complète celle-ci que ne l'était l'hémiplé
ine de la troisième paire : en effet, il n'a jamais été constaté de paralysie alterne de ce nerf, ni du moteur oculaire commu
face et des membres. On n'a jamais non plus observé l'hémiopie, la paralysie du grand oblique de l'oeil, etc. ; signes habit
on la règle, déterminé l'aphasie véritable (perte de la parole sans paralysie de la langue); 20 Que les lésions destructive
dique (frontale ascendante et lobule paracentral) ont pro- duit une paralysie exclusivement motrice ; 3° Qu'une lésion destru
ux ne s'est traduite par aucun symptôme particulier, autre que la paralysie motrice, du côté opposé; 4° Que l'hémiplégie ré
es fibres du coeur, qui, dans certains cas, détermine une véritable paralysie cardiaque avec collapsus. Les faits de ce genre
bligé de garder le lit ; on ne constate cepen- dant aucune trace de paralysie proprement dite, bien que le sujet ait à peine
Bientôt le coma devient de plus en plus profond; il n'y a pas de paralysie , et la sensibilité à la douleur, à la piqûre, au
Ce coma se termina en quatre jours par la mort; il n'y eut pas de paralysie ; mais, à deux ou trois reprises, le dernier jour,
un certain degré 71 REVUE CRITIQUE. d'hyperesthésie, mais pas de paralysie . Au bout de quelques jours, ces symptômes cédèr
niques ininterrompues dans les muscles des jambes et du dos, de la paralysie vésico-rectale. Cystite catarrhale avec frissons;
s fibres nerveuses dans les colonnes de Clarke. P. K. II. SUR LES paralysies spinales avec ataxie; par L. Loewenfeld. (Arch.
troubles moteurs et sensitifs. Ce sont : de l'affaiblissement, delà paralysie , réguliè- rement ou irrégulièrement, symétrique
ostérieurs. P. K. 78 revue DE pathologie nerveuse. III. Un cas DE paralysie ascendante aiguë; parJ. HOFFMANN (Arch. f. Psyc
ans la région des pyramides et des cor- dons latéraux expliquant la paralysie et la parésie motrice des ex- trémités, tuméfac
hique. La sclérose latérale amyotrophique ne peut être confondue ( paralysie bulbaire, contractures - La paralysie pseudo- h
hique ne peut être confondue (paralysie bulbaire, contractures - La paralysie pseudo- hypertrophique s'accompagne toujours d'
dont un homme. D'après eux, dans la plupart des cas d'hystérie, la paralysie de la sensibilité cutanée est non pas totale su
arac- térisent les autres arthropathies des ataxiques. G. D. XII. Paralysie double par les béquilles; par M. C. VINAY. (Lyo
plus fréquente, selon lui, qu'on ne le croit généralement dans les paralysies par les béquilles, et il ajoute quelques précepte
s la folie catato- nique systématique ou non (une observ.), dans la paralysie générale au début (une observ.). P. K. REVUE
. CONTRIBUTION A la pathologie ET A l'anatomie PATHOLO- GIQUE DE la paralysie progressive ; par ZACHER. (Arch. f. Psych., XV,
e ici. Le voici : Sur le romplextrs symptomatique spasmodique de la paralysie progressive. Long mémoire qui est basé sur cinq
tique très détaillée. Conclusions. 1° Le syndrome spasmodique de la paralysie progressive peut être pro- duit soit par des al
u pyramidal; . 2° L'évolution toute spéciale de ce syndrome dans la paralysie pro- gressive doit, suivant toutes probabilités
le quatrième a trait à un malade qui présentait les symptômes de la paralysie générale des aliénés; dans le cinquième cas, il
e que de bien faibleschances de guérison. R. NI. C. IX. Un cas DE paralysie générale chez une jeune femme; début A L'AGE DE
monter encore plus haut. Il existe déjà dans la science deux cas de paralysie générale à début exceptionnellement précoce (se
es symptômes moteurs qui sont si nettement caracté- ristiques de la paralysie générale ont toujours été très accusés ; 3° que
sommaire des deux observations : la première a trait à un cas de paralysie générale au début; dans la seconde, il s'agit d'u
urt une demi-heure après. A l'autopsie, on trouve les lésions de la paralysie générale et début, et en outre, une congestion
ouleurs très violentes, nombreuses sensations anormales, finalement paralysie complote de la sensibilité, de la motilité, des
tliésiquesperçoiveutles piqûres d'aiguilles, maisellessont obtuses. Paralysie de la vessie. Mort à quatre heures du matin par
ièmes. Peut-être vaut-il la peine de mentionner la prédominance des paralysies des muscles de l'oett chez les tabétiques ayant
uuLLea. Myélite des &teut'.s.L'orateur communique quatre cas de paralysie spinale alcoolique (sans autopsie). Les deux ca
es, puis soudain se produisit de la paraplégie rapidement suivie de paralysie des deux extrémités supérieures avec douleurs v
actures M. Skixigmuller. Sur l'hémiunesthésic. Cas intéressant de paralysie de la sensibilité et de la motilité, ayant pendan
opie, la déviation de la langue, l'asymétrie du voile du palais, la paralysie faciale unies à l'hémianestliésie sansova.rie,
xtirpation du ganglion cervical supérieur, mais cela provient de la paralysie du muscle organique de Millier. L'abaissement d
survient, on arrive à la guérir, on doit pouvoir, dans le cas de paralysie , mettre à l'abri des accidents du décubitus la pe
uempell. De l'encéphalite aiguë des enfants (poliencéphalite aiguë, paralysie infantile c'6('f(t). Cette affection, proche pa
ralysie infantile c'6('f(t). Cette affection, proche pareille de la paralysie infantile spinale, qui, au lieu de la substance
st ordinairement qu'à la suite de ce syndro.ne que l'on iemarque la paralysie d'une moitié du corps : hémiplégie SOCIÉTÉS SAV
ote dans laquelle sont envisagés les rapports de l'hystérie avec la paralysie générale chez la femme. Sur trente femmes attei
la paralysie générale chez la femme. Sur trente femmes atteintes de paralysie générale, l'orateur aurait noté sept fois les s
lte de l'examen minu- tieux des sept cas cités, que la marche de la paralysie générale n'est nullement influencée du fait de
ses manifestations s'atténuent en général au sur et à mesure que la paralysie générale se développe et s'aggrave. Dansla même
ns que, d'autre part, il se produisit une dénutrition sensible. Une paralysie complète se montra au bras gauche, mais cessa s
spontanément après une durée de quelques semaines. Par contre, une paralysie de la jambe droite resta permanente et existe enc
s- sibilité de provoquer la moindre suggestion. Dans cet état, la paralysie de la jambe droite disparaît, mais la vue se tiou
avait été précédée d'une autre communication de M. Verriest sur les paralysies par l'inconscience que nous nous bornons a ment
r l'existence d'une altération particulière de tissu osseux dans la paralysie générale. Pour combattre cette opinion, M. Chri
permis de supposer qu'elles sont antérieures au développement de la paralysie générale, et, d'autre part, à supposer même qu'
u point de vue histologique, rien ne démontre qu'il existe, dans la paralysie générale, une altération spéciale du tissu osse
des encore. Si tout le monde, en effet, s'entend lorsqu'on parle de paralysie générale, d'idiotie, de crétinisme, etc., il n'
dalité revêtue par la maladie, qui avait débuté avec l'aspect de la paralysie générale et dont la terminaison heureuse ressem
er l'exis- aliénation mentale; FIÈVRE catarrhale. 131 tence d'une paralysie générale au début ; cependant quelques signes s
sychiques et somatiques qui rappellent ceux qu'on rencontre dans la paralysie générale. Puis, les symptômes somatiques dispar
ale pen- dant assez longtemps, modalité qui rappelait celle de la paralysie générale à son début, s'explique aisé- ment ; c
ar analogie, avec ce que nous,, savons du siège des lésions dans la paralysie générale, de dire que, chez notre malade, le tr
n moment par la maladie mentale, laquelle avait l'apparence de la paralysie générale, pour établir la modalité de ce tra- v
à une méningo-encéphalite, qu'elle revête le masque ordinaire de la paralysie géné- rale, une vésanie simple à laquelle se su
bles circulatoires pouvant, d'après ce savant maître, simuler cette paralysie , M. Baillargera donné, on le sait, aux faits de
nom de folie para- lytique. - 1 Baillarger. Sur la théorie de Id paralysie générale. De la folié paralytique et de la déme
cherche à établir. Cet argument est relatif aux cas de guérison de paralysie générale rapportés par les auteurs. Pour l'émin
générale rapportés par les auteurs. Pour l'éminent aliéniste, la paralysie générale ne peut guérir; il ne comprend pas la
téristique anatomique de cette mata- die ; les faits de guérison de paralysie générale rap- portés par les auteurs sont des c
minai- son heureuse d'une maladie qui a présenté les signes de la paralysie générale n'est pas un motif suffisant pour nous
xie locomotrice progressive, la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie spinale aiguë de l'enfant et de l'adulte, etc.
En 1867, dans un travail consacré à l'étude de la moelle dans la paralysie générale des aliénés2, West- phal cite quelques
génitale, etc.), prennent le dessus et l'existence simultanée de la paralysie spinale spastique est simple- ment indiquée par
de la paralysie spinale spastique est simple- ment indiquée par la paralysie , les tensions muscu- 1 Erb. flandb. d. spec. Pa
e, et leur diagnostic est facilité par la présence des signes de la paralysie des autres nerfs crâniens ou d'une hémiplégie c
urs après la blessure, perte de connaissance, hémiplégie droite. La paralysie et la perte de la mémoire durèrent deux ou troi
sultat de mes recher- ches : Il ne présente aucun symptôme net de paralysie , d'anesthésie, ni d'aphasie. La langue est dévi
d bien ; mémoire faible, faiblesse musculaire générale, mais pas de paralysie localisée. Vue et ouïe normales. Sensibilité au
mère maternelle génoise, morte à soixante-dix ans, à la suite d'une paralysie généralisée avec troubles de la parole et de la
mme de cinquante ans environ, chez lequel on avait diagnostiqué une paralysie générale; il ne pouvait redresser la colonne ve
Il n'y a alors que peu de cas, il n'y a même que certains stades de paralysie centrale non atropllique, dans lesquels l'excitab
la pluralité des faits, dans la majorité des stades de cesformes de paralysies , la quantité de l'excitabilité mécanique du mus
la contraction totale, celle-ci est ordinairement diminuée dans la paralysie flasque, augmentée dans la paralysie avec rigid
ordinairement diminuée dans la paralysie flasque, augmentée dans la paralysie avec rigidité : la contraction locale n'est poi
: la contraction locale n'est point altérée dans ces états. 3" Les paralysies atrophiques s'ac- compagnent de modifications n
'autopsie. P. K. XIX. SUR un cas d'affection spinale avec cécité ET paralysie géné- RALE. Diagnostic précoce par constatation
il n'y aurait que peu de folies : 1° les folies organiques dont la paralysie générale est le type; 2° les folies vésaniques;
un marasme qui se prolongea plusieurs mois pour se terminer par la paralysie de toutes les extrémités. Rougeole dans sa neuv
céphalite a progressé après l'accouchement et s'est traduite par la paralysie du quinzième mois de la vie. Puis s'est opérée un
viennent en très petit nombre se faire traiter par le médecin. La paralysie générale ne parait pas être très fréquente; l'aut
omme causes. 111. GOLDSTGIN. Sur les rapports delà syphilis avec la paralysie progressive. Mémoire publié in extenso à part '
émoire lu au congrès international de Copenhague, suivant lequel la paralysie générale serait un acci- dent tardif de la syph
'avis que le traitement antisyphilitique accélère l'évolution de la paralysie générale. M. jASTHOWtTZ. Au sein même de cett
is d'un rapport intime. Il convient, en outre, de se rappeicrque la paralysie géné- rale atteint chez la femme, presque exclu
ite. M. Ener, raconte l'histoire d'une femme publique atteinte de paralysie générale consécutive à la syphilis; la paralysie
blique atteinte de paralysie générale consécutive à la syphilis; la paralysie générale n'évolua pas du tout rapidement, la ma
de médecine que sur 100 filles publiques, il n'avait observé aucune paralysie générale ; cela n'a rien de surprenant, car dans
renant, car dans un service de syphilitiques on peut méconnaître la paralysie géné- rale. M. FALK. Dans les temps les plusr
FALK. Dans les temps les plusreculés, la syphilis, pas plus que la paralysie générale, ne constituaient des affections si fré-
onnelle s'accompagne de foyers de ramollissement ou de gommes, sans paralysie générale concomitante. M. JASTItO\1'1TZ. Les
t sans doute donner naissance à des psychoses qui ne sont pas de la paralysie générale; elles représentent des affections en
qui avoisinent les asiles. Quoi qu'il en soit, la syphilis dans la paralysie générale atteint une proportion centésimale plu
vées interstitielles de la moelle. G. BALL. De l'hérédité dans la paralysie générale. (En français.) 1 Voy. Archives de Neu
290 SOCIÉTÉS SAVANTES.- Il. ROUMKLL. Du rôle de la syphilis dans la paralysie générale. (En français.) J. EuLENBURG. Les né
passif : aux phénomènes d'excitation succèdent des phéno- mènes de paralysie . La paralysie se traduit d'abord par le sopor e
phénomènes d'excitation succèdent des phéno- mènes de paralysie. La paralysie se traduit d'abord par le sopor et le coma; fin
nd l'altération de la substance ner- veuse est généralisée, par une paralysie généralisée. Ces notions sont de toute antiquit
lles qu'est assise la pathologie, les phénomènes d'excitation et de paralysie formant par leur com- binaison autant de signes
t des syn- dromes identiques qui résultent de l'excitation ou de la paralysie de la substance nerveuse. Ils n'ont pas d'auton
nalyse pathogénétique, d'étudier séparément : 1° l'excitation et la paralysie du cerveau; 2° les lésions du cerveau ; 3° la c
latiou d'un grand asile spécial à Langenhagen. Augmentation de la paralysie générale et des troubles mentaux imputables à l'é
, présente trois malades atteints de tabès, et un malade affecté de paralysie spinale spasmo- dique. Dans un cas de tabes ata
d'inappétence et offrait le signe de Romberg. Le malade atteint de paralysie spinale spasmodique est un musi- cien né en 845
e d'une pneumonie double, souffre, il y a quatre ans de cela, d'une paralysie spinale spasmodique, ne l'empêchant pas de vaqu
(de Râle). Sur la po<t0<)tt/( ! <e antérieure aiguë et la paralysie de Landry, Un jeune homme de vingt-deux ans aur
parésie modé- rée des extrémités inférieures, et, le lendemain une paralysie complète qui gagne la paroi musculaire de l'abd
lité ; excitabilité électrique normale; pendant quatre jours légère paralysie de la vessie, nul trouble de la.défécation. Pui
es paralysés : pas de convulsions fibrillaires dans ces muscles. La paralysie des extrémités supé- rieures s'améliore bientôt
yélite antérieure aiguë qui emprunte le tableau symptomatique de la paralysie de Landry, mais il importe de remarquer qu'il s
e réaction dégénérative des muscles paralysés. Ce qui prouve que la paralysie de Landry et la polio- myélite antérieure aiguë
ures aboutissant, au troisième mois de la grossesse, à une complète paralysie des mêmes extrémités; celle paralysie subsiste
la grossesse, à une complète paralysie des mêmes extrémités; celle paralysie subsiste pendant tout le cours de la grossesse.
'enfant succombe peu après. Quatre jours plus tard, ou constate une paralysie flasque des deux jambes; exagération du phénomè
s. A deux reprises différentes, aphonie passagère; au laryngoscope, paralysie des cordes vocales. La gué- rison s'effectue av
le grave, telle que myélite ou sclérose disséminée, mais bien à une paralysie purement fonctionnelle. Il est à croire que la
à celle des hystériques, par excitation centripète; il s'agit d'une paralysie hystériforme. La cyanose, le refroidisse- ment,
nées; ce furent : de la démence absolument distincte de celle de la paralysie générale, des anomalies psychiques va- riables
ion systé- matique de la moelle. S'agit-il de la distinguer de la paralysie générale et, notam- ment, des cas dans lesquels
ient des phénomènes tabétiques , il faut d'abord se rappeler que la paralysie générale ne possède pas d'état anatomo-pathotog
prouve que les troubles somatiques et le trouble de la parole de la paralysie générale ne sont pas en rapport avec cette déch
ance. Fuerstner a, dans ces derniers temps, examiné des cerveaux de paralysie générale : il n'y avait ni tubérosités ni granu
VIII, 90 et 336, IX, 401.. s Id. SOCIÉTÉS SAVANTES. 307 à la paralysie générale certains complexus symptomatiques céré-
er et des lésions vasculaires), car le symptôme fondamen- tal de la paralysie générale est la démence. Or, la démence, mis à
allure toute différente dans l'affection qui nous occupe et dans la paralysie générale. La qualité et la quantité des diverse
s caractérise avec netteté. De plus, dans les cas décorés à tort de paralysie générale, il est fréquent de voir les autres ph
ale, il est fréquent de voir les autres phénomènes somatiques de la paralysie générale n'exister que partiellement, et à un f
et l'évolution en est tout autre. Ces cas sont donc à séparer de la paralysie générale classique, typique. Sans doute, une ca
et, d'après Fuerstner, ce sont les cas où le tabès se combine à la paralysie générale. Quant au processus qui fait le sujet
s symptômes cérébraux plus vastes rappelant les perturbations de la paralysie générale, auxquels se joignent alors l'atrophie
ttaques d'épilepsie, de l'aphasie, un ensemble morbide rappelant la paralysie générale, enfin de l'atrophie des nerfs optique
aux complets « à cet égard. » M. Schultze (d'Iieidelhern). Sur la paralysie saturnine. Com- munication provisoire sur un ca
ur la paralysie saturnine. Com- munication provisoire sur un cas de paralysie saturnine avec atrophie, chez un homme de vingt
. Cependant, qu'on veuille bien remarquer que, dans tous les cas de paralysie générale examinés par lui, (au nombre de douze)
au reste un appui à la manière de voir de Zacher, selon laquelle la paralysie générale se traduit cliniquement par des tablea
e. Forel a, sur cette constatation clinique, basé sa division de la paralysie générale en trois groupes. Ce serait un travail
s idiots. Eh bien ! la parenté entre les troubles psychiques delà paralysie générale et ceux de la sénilité a, de tout temps,
de l'expression de sénilité précoce appliquée aux premiers; dans la paralysie générale, la lésion, qui porte princi- palement
ques nous conduirait trop loin. M. Grashey (de Wùrzbourâ). Sur la paralysie agitante. Cet au- teur a étudié de près le rhyt
eur a étudié de près le rhythme des tremblements dans quatre cas de paralysie agitante chez des individus de soixante-quatorze
épileptique et, pour une part, dans les attaques congestives de la paralysie générale (où le coma est le plus fré- quent), v
ement à la manie, à la mélancolie, à l'hystérie, à la stupeur, à la paralysie générale. Ces semi-délires qui durent plusieurs
ômes spinaux en question se compliquent de phénomènes bulbaires : paralysie du voile du palais, troubles de l'innervation du
DE DE LA NÉVRITE SEG.IENTAIRE (altérations DES NERFS dans un cas DE paralysie diphthéritique) ; Par MM. A. PITRES, professeur
onnement lent par le plomb et n'ayant présenté aucun phénomène de paralysie diffuse ou localisée, M. Gombault a observé un
e névrite traumatique. Le même auteur l'a rencontrée encore dans la paralysie diphthéritique et chez un sujet dont l'affectio
et dont l'affection avait évolué clinique- ment sous la forme d'une paralysie ascendante aiguë '. Toutefois, la névrite segme
e description, P. Meyer seul a signalé son existence dans un cas de paralysie diphthé- ritique '. Au cours de nombreuses ét
ccasion d'observer des faits analogues lorsque l'examen d'un cas de paralysie diphthéritique généralisée nous a permis de con
tanée consécutive à l'application d'un vésicatoire. Am- blyopie ; paralysie du voile du palais ; paralysie, des quatre memb
tion d'un vésicatoire. Am- blyopie ; paralysie du voile du palais ; paralysie , des quatre membres avec troubles de la sensibi
établi, quitta l'hôpital 1 Il. leyer. Recherches anatomiques sur la paralysie diphthéritique. (Ai-eh. fiw putk. anal. Bil. LX
du coton. Au- cun trouble du côté des sphincters. 3 septembre. - Paralysie et anesthésie absolues du bras gauche qui conti
peut indiquer les diverses attitudes qu'on leur communique. 15. La paralysie des membres inférieurs est devenue complète, ab
on croissante, rapide des troubles respiratoires et cardiaques : la paralysie du diaphragme disparait et le coeur reprend son
sensibilité. A ce moment les quatre membres sont donc frappés de paralysie flasque, complète et totale. Les masses musculair
rennent alors le caractère d'un rongement excessivement pénible. La paralysie reste complète et absolue. Les masses musculair
tir dans le bras et la jambe gauches, surtout pendant la nuit. La paralysie du bras et de la jambe droits commence à s'a- m
ntracte une diphthérie cutanée et pré- sente peu de temps après une paralysie progressive, généralisée, complète de la motili
paralysie progressive, généralisée, complète de la motilité. Cette paralysie s'accompagne de troubles profonds de la sensibi
nce si frappante avec l'évolution que l'on attribue d'ordinaire aux paralysies diphthéri- tiques, le début par les troubles de
théri- tiques, le début par les troubles de l'accommodation et la paralysie du voile du palais, l'envahissement ulté- rieur
e nous inclinerions volontiers à voir dans l'espèce un exemple de paralysie d'origine diphthéritique. S'il en est réellemen
discutée de cette complication. Ils établissent, en effet, qu'une paralysie généralisée, absolue de la sensibilité et de la
s et des nerfs une simple consé- quence. Chez un sujet atteint de paralysie diphthéritique, P. Meyer a a constaté également
echerches sur les lésions du système nerveux péri- phérique dans la paralysie diphthéritique (Archives de physiologie, 1878.)
lt dans les différents cas qu'il a étudiés, et par P. Meyer dans la paralysie diphthé- ritique ; elle semble donc constituer
La forme segmentaire de la névrite que nous avons observée dans la paralysie diphthéritique est en elle- même fort intéressa
USE. pas pourquoi on qualifierait de folie une contracture ou une paralysie que l'on peut produire isolément chez certains
jamais l'individu ne pourra remuer soir membre, correspondant, une paralysie complète suivra cette lésion, et avec la dégéné
ue tout d'un coup, sans autre changement visible et en sa place une paralysie se pré- senta. De plus, il n'existe pas d'exemp
tuliens surtout à gauche. Marche raide, en contractures. Mélange de paralysie et de raideur. Marche renversé en arrière et qu
tro- phiques et vaso-moteurs). Les troubles oculaires (diplopie, paralysie oculaire, amblyopie, cécité) ont été notés dans
onnés (dans les membres inférieurs) sans que les mots de parésie ou paralysie soient pro- noncés. Enfin, dans les 27 autres
s. * R. 11. C. XXI. Un cas DE tumeur endothéliale DE la DURE-MÈRE : Paralysie générale; parT. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of
des crises convulsives limitées au bras droit, la deuxième par une paralysie de ce bras, la troisième par l'apparition de cris
tifs à' I*élon-aliou et à la lésion des nerfs. Il en tire que toute paralysie motrice périphérique absolue d'un nerf mixte entr
artielle. Passant ensuite à ses observations person- nelles sur les paralysies légères (Cas. I et II), il constate que les phé
II), il constate que les phénomènes tendineux font défaut dans les paralysies spiuo- périphériques absolues, légères, sans mo
n dégénérative consécutive des muscles,- même lorsqu'il n'existe ni paralysie ni modification considérable de l'excitabilité
ification considérable de l'excitabilité des nerfs; dans toutes les paralysies dégénératives graves, d'ori- gine névritique ou
graves, d'ori- gine névritique ou poliomyélitique. Dans les cas de paralysie grave, atrophique, à lésion intense du nerf ou
sculaire correspondant, ne se montre très probablement que dans les paralysies spinales atrophiques (poliomyélite antérieure).
ce des phénomènes tendineux constitue la règle : a, dans toutes les paralysies flasques graves amyotio- phiques (à suppression
vement périphérique, des troncs nerveux mixtes, peut-être même sans paralysie ; c, dans la paralysie périphérique absolue, et
es troncs nerveux mixtes, peut-être même sans paralysie; c, dans la paralysie périphérique absolue, et peut-être aussi dans la
sorte que c'est à peine si l'on avait pensé à la possibilité de la paralysie générale : toutefois la succession des convulsi
t de rattacher ce cas à aucune autre catégorie pathologique qu'à la paralysie générale. L'auteur fait remarquer à ce propos c
es enfants du malade les risques d'hérédité sont, en présence d'une paralysie générale, bien moindres qu'ils ne l'eussent été
muscles de la face : l'aspect du malade suggérerait l'idée d'une paralysie générale, mais il n'y a aucun affaiblissement men
ioration marquée. « 4° Le sang est au-dessous de la normale dans la paralysie gé- « nérale, et cette infériorité est plus mar
fériorité est plus marquée à la période active « et à la période de paralysie complète de la maladie que durant « les période
roche souvent par la nature du délire, de la période initiale de la paralysie générale. La durée de l'accès de manie peut êtr
s, pour des lésions cérébro-spinales graves. De même, il existe une paralysie musculaire progressive d'origine périphérique (
ve d'origine périphérique (myopathie et névrite primitive) et une paralysie musculaire progressive d'origine centrale (poliom
pectives de 0,001 ; 0,003 ; 0,005 et davantage ; on a constaté delà paralysie plus oumoins marquée et des convulsions des ext
symptômes qu'on observe dans la myélite circons- crite destructive ( paralysie et anesthésie des membres inférieurs, troubles
a symtomatologie est exacte- ment celle de la sclérose en plaques : paralysie avec contractures, tremblement à l'occasion des
arner,2jS. Balbutiement écrit chez les idiots, 4 37. Béquilles ( paralysie double par). 85. Buveurs (myélite des) par Seel
cz, 291 ? atroplue desfibres myé- line dans l'écorce du dans la paralysie proâressive), pacZacher, 30S ; ^zones motrices)
Hémianopsie d'origine centrale, par Ségtiiii, 176. Hérédité de la paralysie générale, 289. Hoematorachis, 100. Hypnotis
ande), par Richer, 152. Hystérie et morphinisme, 398. Hystérie et paralysie générale, 119. Hystérie et rhumatisme, 216. H
ons consé- cutives à l'injection de), 441. Oculaire (névralgie et paralysie - à retour périodique, constituant un syndrom
ques généraux), par Christian, 121. Ozone et névropathies, 111. Paralysie agitante, par Grasley, 312. Paralysie z mann,
Ozone et névropathies, 111. Paralysie agitante, par Grasley, 312. Paralysie z mann, 78. Paralysie double par béquilles, p
. Paralysie agitante, par Grasley, 312. Paralysie z mann, 78. Paralysie double par béquilles, par Vinas, 85. Paralysi
ie z mann, 78. Paralysie double par béquilles, par Vinas, 85. Paralysie générale, 87, 257, 286; (chez une jeune femme),
57, 286; (chez une jeune femme), par Wi- i gleswoitli, 92, 420. Paralysie saturnine, par Schulze, 308. Paralysies spina
i gleswoitli, 92, 420. Paralysie saturnine, par Schulze, 308. Paralysies spinales avec ataxie, par Leewenfelcl, 77. Pa
e, 308. Paralysies spinales avec ataxie, par Leewenfelcl, 77. Paralysie spinale spasmodique, par Nicol, 296. Paraplég
- Personnalité multiple, 119. l'oliomyelite antérieure aiguë et paralysie de Landry, par Immer- mann, 30. Pouls lent, é
Fi iediiianti, 315. 25s, 44s. Spinale (affection avec cécité et paralysie générale),parWestpha), 257. Suggestion hypnot
15 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re des racines postérieures coupées 2. Hering ayant toujours appelé paralysie centripète l'abolition de la fonction des nerfs
l appelle également ataxie centripète celle qui se produit après la paralysie centripète. L'accord existant entre les résulta
d'où ils partent. L'ataxie centripète n'apparaît-elle qu'après la paralysie centripète des nerfs de la peau, des muscles, des
, des muscles, des articu- lations, etc. ? Doit-on l'attribuer à la paralysie simultanée de nerfs centripètes fonctionnelleme
éments les tremblements alcoo- liques, neurasthéniques, celui de la paralysie agitante, et d'autres maladies nerveuses. Son a
t complète. · R. de lIlUSGRAVE-CL.1Y. III. Manie avec amaurose et paralysie : gliome probable ; par W. J. VINCENT. {y/te Jo
on I. Homme de quarante-huit ans, marié depuis vingt ans : en 1894, paralysie faciale passagère suivie d'excitation mentale e
malades qui font le sujet de ces deux observations sont atteints de paralysie générale. Ils n'en présentent pas assurément le
vient une douleur hépatique et une prostration considé- rable, avec paralysie des muscles volontaires, relâchement des sphinc
tance chez les enfants. La rigidité accompagnant ordinairement la paralysie , on devait se demander s'il n'y avait pas un ce
plus atteintes par la roideur; l'auteur croit avoir découvert cette paralysie , en constatant avec quelle difficulté les malad
ne attitude fléchie, qui appartient également à la sénilité et à la paralysie ; c'est une attitude de fai- blesse, ou en d'au
une attitude de fai- blesse, ou en d'autres termes une attitude de paralysie , aussi légère que l'on voudra, mais enfin de pa
attitude de paralysie, aussi légère que l'on voudra, mais enfin de paralysie . Il est à prévoir que l'on trouvera dans d'autr
trouvera dans d'autres muscles un certain degré de faiblesse ou de paralysie légère, et l'auteur pense que l'extrême sensibili
qu'elle soit due à d'autres causes que les causes « morales » ; 2° paralysie générale des aliénés. Cette classification ne r
les phrénopathies (vésanies, folies alcooliques aiguë et chronique, paralysie générale, folie de la ménopause, etc.) ; entre
vice de conformation con- génital. R. ni.-C. XVI. Etiologie de la paralysie générale ; par Sérieux. (Revue de médecine, fév
re l'accident primitif et l'apparition des premiers symptômes de la paralysie générale REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 61 semb
is semble de beaucoup la cause déterminante la plus fréquente de la paralysie générale, mais qu'en somme le rôle principal do
jourd'hui que la syphilis n'exerce pas une action spécifique sur la paralysie géné- rale, mais une action toxique pouvant êtr
celui de Patrick). L'enfant présente les manifestations suivantes : paralysie cérébrale infantile bilatérale, imbécillité ou
ieurement compléter, voire même modifier mes conclusions. Pour la paralysie générale : lu signalons par un anamnèse détaill
à considérer les altérations des cordons pos- térieurs propres à la paralysie générale comme étant de nature exogène et sembl
montre d'abord deux bustes grandeur nature dont l'un représente la paralysie labio-glosso laryngée et l'autre le faciès myop
atteinte de la maladie de Parkinson. Sur deux cas avec autopsie de paralysie spinale antérieure subaiguë ; par Philippe et C
et cellules cordonales. Ces deux faits démontrent l'existence de la paralysie spinale antérieure subai- guë, niée par certain
dans une cer- taine mesure, en réalisant les traits cliniques de la paralysie géné- n«le spinale subaiguë. Dans les trois aff
(de Genève), ' l3auc (d'Edimbourg), Contribution à l'élude de la Paralysie musculaire progressive de la forme familiale ;
les réflexes tendineux et osseux sont absents des deux côtés et la paralysie est tout à fait flasque, sans contracture, sans
ngomyélie ; par Préobrajensky (de Moscou). , Autopsie d'un cas de paralysie infantile; par Sitta (de Prague). Séance du mut
i- culaires antérieures et postérieures. Dans les nombreux cas de paralysie infantile que j'ai eu l'occasion d'étudier, les f
polio-myélite infantile, ce qui du reste était facile à prévoir. La paralysie ascendante de Landry est le plus souvent sous l
élite disséminée, la polio-myélite en foyer, analogue à celle de la paralysie infantile. ] On peut favoriser l'apparition des
alade de 59 ans. Depuis dix-huit mois douleurs dans le bras gauche. Paralysie du membre supérieur gauche depuis huit mois, fa
ition des achillens et des cutanés placentaires, l'atro- phie et la paralysie flasque des extenseurs et des fléchisseurs du p
de Nissl, les ganglions spinaux dans deux cas de tabès associé à la paralysie générale. N'ayant trouvé que de légères modific
songe à l'unité de cause, si souvent revendiquée, du tabes et de la paralysie générale. Outre les lésions des racines postéri
cines postérieures et des racines anté- rieures, il existe, dans la paralysie générale, de véritables névrites périphériques
ent donc aux pro- cessus de dégénération du névraxe. Dans un cas de paralysie générale observé par A. floche, les muscles éta
e, quant à l'excitabilité galvanique du muscle, dans le tabes et la paralysie générale : la réac- tion caractéristique est mo
amusculaires, etc. Hoche, sans nier les affinités du tabes et de la paralysie générale, ni leur étiologie commune, la syphili
Mobius qui, au point de vue étiologique, aj réuni le tabes et la paralysie générale sous la rubrique mélasyphilis, ni du côt
nt localisées d'une seule et même maladie.1 - Suivant ces idées, la paralysie générale n'est qu'un épisode du tabès, le tabes
érale n'est qu'un épisode du tabès, le tabes une forme fruste de la paralysie générale, et, alors même qu'aucun symptôme psyc
a vie, on trouve dans le cerveau des tabétiques les lésions de la paralysie générale. A quoi Hoche répond en posant quelques
mple, dans la démence sénile ? . Suivant Nageotte, le tabès et la paralysie générale coexistent si fréquemment qu'on les re
étiques avérés deviennent paralytiques généraux, soit sous forme de paralysie générale vulgaire, soit sous forme delypémanie,
- tiques généraux sont tabétiques. Mais, loin de démontrer que la paralysie générale est accompagnée de tabes dans les deux
uée par Pierre Marie ainsi que par Hoche, ne signale sur 118 cas de paralysie générale que 28 fois seulement les lésions cara
e des cordons postérieurs n'est pas beaucoup plus fréquente dans la paralysie générale que celle des cordons laté- raux. Dans
eux, qui ne contiennent aucun rapport de conti- Nageotte,. Tabès et paralysie générale. Th. Paris, 1893. S Fi\l'i;tnel'. ZUI'
es. Enfin, l'association ou complication fréquente du tabes avec la paralysie générale, et inversement, ne permettent pas de
is peut sans doute s'associer à une véritable maladie mentale, à la paralysie générale des aliénés. La question des rappoits du
ie générale des aliénés. La question des rappoits du tabes et de la paralysie générale est encore pendante. Pour Moebius, les d
ctions. Ajoutez que la dégénération des cordons postérieurs dans la paralysie générale n'est pas de même nature que dans le t
ale n'est pas de même nature que dans le tabbes véritable.' Dans la paralysie géné- rale, ce ne sont pas les prolongements de
mprimer sous l'influence d'un traumatisme. - Reste à expli- quer la paralysie motrice qui a probablement été causée par 138 R
ariations d'aspect ou de présence de la subs- tance chromophile. La paralysie générale présente à ce point de vue particulier
s avec faiblesse dans les membres aboutissant progressivement à une paralysie plus ou moins complète des mem- bres. Les troub
ésentait : 1° une atro- phie musculaire progressive non précédée de paralysie , ayant débuté dans l'épaule et'le bras gauche (
e même la flexion du tronc peut s'effectuer malgré l'atrophie ou la paralysie des muscles abdominaux, par la seule force de l
le peut, en effet, car la sciatique n'entraine jamais une complète paralysie des muscles affectés, et son élongation, par su
n de la sensibilité du système pileux. Deux observations. Un cas de paralysie de Brown-Séquard ; la sensibilité du système pi
concernant le tabès dorsal, l'atrophie musculaire progressive, la paralysie spinale spasmodique, la poliomyélite antérieure.
ANA (de New-York) et Marinesco (de Bucharest). COMMUNICATIONS S Paralysie Radiculaire supérieure du Plexus Brachial chez un
(de Paris). Une jeune enfant est atteinte, à l'àge de un an, d'une paralysie du plexus brachial avec réaction de dégénéresce
e limitée au groupe radiculaire supérieur. La distinction d'avec la paralysie spinale infantile peut être faite par l'uniform
oute période fébrile d'invasion et par la cause qui a produit cette paralysie (distension du plexus brachial par chute sur le
es V° et VI' racines cervicales. Sur l'évolution de quelques cas de Paralysies Radiculaires du Plexus Brachial; pur E. HuEr (d
s Brachial; pur E. HuEr (de Paris). Parmi une trentaine de cas de paralysies radiculaires du plexus brachial, observées par
e. Comparées il des névrites traumatiques des troncs nerveux, les paralysies radiculaires du plexus brachial semblent comporte
rieures et a sur ces cellules une influence directe. Pathogénie des Paralysies Radiculaires trctumalirprs du Plexus Brachial;
M. HuEr, DUVAL et.GLILLlII\ (de Pans). Nous avons observé 26 cas de paralysies radiculaires trau- matiques du plexus brachial
es du plexus brachial au point de vue clinique et élec- trique. Ces paralysies ont reconnu des causes très diverses (port de l
rouvé l'abaissement de l'épaule, soit l'hyperélevation du bras; les paralysies radiculaires sont fonctions de ces deux causes.
eproduit sur le cadavre les divers mouvements qui avaient amené ces paralysies en clinique. Nous avons vu que dans l'élévation
ieures se rompent après les racines antérieures. Le pro- nostic des paralysies radiculaires, l'existence des troubles d'anes-
le. Dans le cas actuel les lésions rappellent celles de cer- taines paralysies générales de l'adulte; ces lésions sont rares dan
été normal. Il semble toutefois que son idiotie, son gâtisme et sa paralysie aient surtout été marqués après une rougeole qu
s pro- noncés, mais passagers. Les troubles moteurs consistent en paralysies partielles (mono- plégie, hémiplégie); les réfl
et familiale ; 2° Le genre du début ; 3° Les caractères mêmes de la paralysie ; 4° Son concours et sa terminaison ; 5° L'état
rculatoires, respiratoires ou thermiques. 3° Les caractères de la paralysie . Dans l'hémiplégie hysté- rique, la paralysie s
Les caractères de la paralysie. Dans l'hémiplégie hysté- rique, la paralysie s'établit à la fois sur le membre supérieur et
stinguer du mutisme hystérique. II. L'hypotonicité musculaire et la paralysie . 1. Déviation conjuguée des yeux. L'amplitude d
les yeux un objet qui se meut dans les directions laté- rales. 2. Paralysie faciale : le malade « fume la PIPE » ; le facial
de « fume la PIPE » ; le facial SUPÉ- rieur est souvent atteint. La paralysie faciale peut être « systé- matique » et ne se m
que dans les mouvements mimiques. Dans l'hémiplégie hystérique, la paralysie faciale est excessive- ment rare : ce qu'on voi
de la langue et la dysartiirie typique en rapport avec le degré de paralysie de cet organe. Dans l'hys- térie, la déviation
e, déviation du côté opposé, etc.). - 4. L'intensité relative de la paralysie des membres et des groupes musculaires d'un mem
ires associés des extrémités paraly- sées. - 6. L'évolution de la paralysie dans les cas sans ictus présente ordinairement
fait d'une manière régulière : quel que soit le degré maximum de la paralysie établie à la suite d'un,¡ apoplexie, elle subit
térie. L'absence du réflexe abdominal et crémastérien du côté de la paralysie seule au début de l'hémiplégie doit être prise en
- sidération. ' VI. L'7eé)nicéneslleésie est moins accusée que la paralysie , le degré de l'auestliésie n'est pas nécessaire
non organiques. Je me base pour avancer cette idée sur deux cas de paralysie alcoolique dans lesquels le réflexe de Babinski
organique, de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la paralysie . Un hystérique peut, il est vrai, dans certains c
'hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une part que la paralysie , en raison de son mode d'évolution, de l'ac- ti
, que l'exagération des réflexes tendi- neux, disparaissant avec la paralysie , devait être intimement liée à l'hystérie.. 1
nt par ses caractères celle que l'on observe parfois au cours de la paralysie générale. Séance de l'après-midi. - PnLSiDEKCE
e le rechercher dans toutes les affections pouvant déterminer de la paralysie spasmodique : Le malade se tenait debout, les m
ait unilatéral et ne portait que sur la jambe droite. Deux cas de Paralysie alterne. Troubles de la sensibilité; par Cn. 11
ngue vers la droite, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 3 sans autre signe de paralysie facial; intégrité motrice des membres, mais exa
ncomplète de tout ce coté, le malade perd ses membres dans son lit. Paralysie du droit externe gauche; la face est indemne de
cedens spasmos solvit » s'est trouvé, en la circonstance, erroné. Paralysie générale syphilitique à gommes osseuses. M. Mar
mmes osseuses. M. Marie rapporte aussi l'observation de deux cas de paralysie générale syphilitique avec gommes osseuses sur
litiques, mais il- semble aussi avoir « donné un coup de fouet à la paralysie générale. L'un des malades a succombé après tro
tres et non pas des anxieux chroniques. Troubles du langage dans la paralysie générale. M. DIDE communique, au nom de M. Char
même trépidation épileptoïde dans un cas de rhumatisme chronique. Paralysies associées des muscles des yeux. bill. liarsionn
yeux. bill. liarsionn et CESTAN ont observé chez deux malades une paralysie des mouvements de latéralité des yeux et une hémi
et de la VIe paire. Ils présentent en outre un malade atteint d'une paralysie de l'élévalion, de la conver- gence et de la la
e de l'élévalion, de la conver- gence et de la latéralité des yeux, paralysie survenue subitement, associée à une hémiplégie
ougé depuis dix ans. Les auteurs voient là un nouvel exemple de ces paralysies asso- ciées'des globes oculaires décrites par l
en est ainsi en particulier pour la variété décrite sous le nom de paralysie périodique ou transitoire et nous verrons dans
it. Parmi ses ascendants directs, personne n'a jamais été frappé de paralysie ; son père est mort d'hydropisie. Il a eu huit
ux fils aînés ont été paralysés de la même façon que le père. Cette paralysie les a frappés après vingt ans..L'un d'entré eux
au moment de son arrivée sous les drapeaux. Le sujet raconte que la paralysie qu'il a observée chez ses deux fils ressemblait a
mère est bien por- tante. C'est à luge de trente-deux ans que la paralysie s'est manifestée, sans prodromes. Brusquement u
ont striés, épais, friables. Le sujet dit encore qu'au moment de la paralysie , le gros orteil de ce côté aurait été « mort ». O
ans trois endroits ( ? ) du membre inférieur gauche au moment de la paralysie , persisteraient encore sous la forme de douleurs
es des sphincters. Il n'y en aurait jamais eu, même au moment de la paralysie . Les membres supérieurs ont conservé toute leur
après cette période de repos, était la conséquence de l'attaque de paralysie qu'il nous décrit. A l'âge de dix-neuf ans, le
UE NERVEUSE. gissant bien à la lumière et à l'accommodation. Pas de paralysies oculaires. Champ visuel normal, vue bonne. Bles
ouches.- MALADIE NERVEUSE s FAMILULE. 199. La première attaque de paralysie remonte en z. Le malade' sarclait des légumes,
ncier nettement de nos observations. Dans sa forme la plus pure, la paralysie spasmodique familiale se résume dans la formule
rsch 2, Willy Taylor3, Mitehell ? Krewer 5, Putnam 1 ont décrit des paralysies fami- liales périodiques ou transitoires qui ne
qui à la suite d'une maladie infectieuse fut affecté de crises de paralysie progressive des quatre membres, revenant d'abor
rticulaire ou musculaire, besoin d'agir, inquié- tude physique). La paralysie débutait par les bras ou le plus souvent par-le
ue lourde, les muscles de la face épargnés. A l'acmé il y avait une paralysie absolue de tous les segments deslmembres. On co
uvaient être incomplets : quand le malade copiait de la musique, la paralysie envahissait la jambe et le bras inactifs, le br
prenait que quand le travail était fini. Si le malade marchait, la paralysie se localisait longtemps aux bras. L'auteur en f
la paralysie se localisait longtemps aux bras. L'auteur en fait une paralysie par inhi- bition. La- malade de Cavaré, relatée
: quarante-huit heures après un accouche- ment, elle fut frappée de paralysie périodique des quatre membres, envahissant même
fièvre malarique à dix-huit ans, fut frappé à plusieurs reprises de paralysie des quatre membres avec gène' de la parole, de
eilheillc, 1892. , 1 MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 209 s'agit d'une paralysie spastique récidivante observée chez deux enfant
affection, frappant les individus jeunes, se caractérisait par une paralysie brusque, flasque, totale des membres et du dos
r les muscles qui sont altérés d'une façon caractéristique dans les paralysies familiales. L'affection aurait ainsi de grandes
-cinq ans, qui en avril 1898, brusquement fut frappée la nuit d'une paralysie complète du pied droit et de la main gauche. L'
. Les régions atteintes étaient en état d'anesthésie complète. La paralysie avait disparu complètement, lorsque au mois d'a
sujet présenta de nouveau les mêmes symptômes. Après trois jours la paralysie se ' Nouvelle contribution A la paralysie parox
mes. Après trois jours la paralysie se ' Nouvelle contribution A la paralysie paroxysmale familiale. (Deutsche Zeilsch. sur A
usqu'à la. moitié, denovembre. L'important travail de Donath sur la paralysie périodique, traumatique a eu-le gros avantage d
iliaux, (Cousot, Goldflamm, Ilirsch, Bernhardt, Tay- loi\ etc.). La paralysies frappe tautôt.les3 membres supé- rieurs, tantôt
ction; ilirappelle-Kopinionide Goldflamm mettant eu parallèles la paralysie périudique-avec : le systèmemeuro-ntusculaire dû
chute de voiture fut prise brusquement,' le troi- sième jour, d'une paralysie , de- tout# le- corps,- sans troubles de la paro
taques semblables se répétèrent pendant les cinq jours suivants. La paralysie envahissait rapidement toutes les extrémités, p
pour bien faire ressortir'toute la' différence qui existe entre ces paralysies -spinales- intermittentes ou, périodiques et le
n doit, en dernier ressort, les considérer comme un type spécial de paralysie spasmodique familiale essentiellement transitoi
'étude approfondie des maladies cérébrales organiques, y compris la paralysie générale. C'est là une vérité qui ne fait aucun
tation ; dans la manie chronique, résultats satisfaisants ; dans la paralysie générale, bons résultats contre l'extrême excit
assez peu accusé pour · passer inaperçu) ; puis bientôt survient la paralysie d'une branche ou de toutes les branches du mote
e, d'oedème des paupières, d'écoulement catarrhal ou purulent, de paralysie des autres muscles de l'oeil, et, très rarement,
s muscles de l'oeil, et, très rarement, comme dans le cas actuel de paralysie d'une des branches du trijumeau. Le pronostic e
III. Un cas d'hémiplégie croisée avec, comme symptôme saillant, une paralysie du pharynx; origine syphilitique; par Heinrich
ort simple ; mais ce qui est intéressant et moins commun, c'est une paralysie du pharynx très accusée et très persistante, su
x très accusée et très persistante, surtout par comparaison avec la paralysie des autres régions. Cette paralysie pharyngée é
surtout par comparaison avec la paralysie des autres régions. Cette paralysie pharyngée était évidemment complète, puisqu'une
s'y est limitée. Quelques cas à marche rapide pouvaient simuler la paralysie ascendante aiguë de Landry. Chez un petit nombre
oitié gauche du pharynx sont en état de parésie. Au laryngoscope, paralysie complète de la corde vocale gauche. Les battement
nt plus ou moins dilatées. Trois malades avaient des syncopes. La paralysie , sous une forme ou sous une autre, a été notée
al et localisateur, il faut ajouter à ce groupe sous le numéro 5 la paralysie . Quant aux symptômes précoces, ce sont ceux que
l. DE Musgrave CLAY. XXIII. Un cas de syphilis spinale précoce avec paralysie deBrown Séquard; par Henry Bartox Jacobs. (I'he
datait que d'un an, et qui présentait le tableau incomplet d'une paralysie croisée du mouvement du côté droit avec douleurs
ité dite musculaire étant de- meurées peu ou point modifiées. Cette paralysie est celle à la- quelle Brown Séquard qui, le pr
cher qu'à une lésion unilatérale de la moelle. Le type pur de cette paralysie est très rare dans la syphilis spinale, mais sa
uement l'opinion de divers auteurs tant sur la syphilis que sur les paralysies d'origine médullaire, puis revenant au cas qu'i
tre unila- térale et située du côté de la moelle correspondant à la paralysie motrice. - La nature de la lésion demeure nat
ou un retard des grands symptômes d'incoordination. La diplôpie, la paralysie des cordes vocales ont aussi été observées à la
rtines, Recherches sur les troubles du goût et de l'odorat dans les paralysies générales progressives ; Nadiejda Stiena, Des f
c plus de lassi- tude. Il est maintenant allongé dans son lit. La paralysie parait aujourd'hui complète ci gauche mais plus
apidité de la marche des phénomènes : la parésie faisant place à la paralysie , les troubles pupillaires faisant leur appariti
cérébral droit ce qui donnait l'explication de la parésie el de la paralysie à gauche. La compression du nerf auditif, à son
dans la poitrine de ce même côté. Puis cessation de la miction, et paralysie presque complète des membres inférieurs, de la
que. Bevan-Lewis a observé ces corps en grand nombre dans un cas de paralysie bulbaire. On ne les rencontre guère hors de la
mparables à la série des symptômes que l'on observe souvent dans la paralysie générale. La psychologie du nouveau-né. étudiée
s observés se décom- posent de la manière suivante : 1° Cinq cas de paralysie générale. 2° Cinq cas de démence sénile. 3° Qua
cifique de la substance grise et celui de la substance blanche : 1° Paralysie générale : S. G. 1 )40 S. B. 1042 2° Démence sé
'aliénation mentale. Ce n'est que dans les folies aiguës et dans la paralysie générale, que la chromatolyse acquiert une fréq
. XIX. Recherches sur les troubles du goût et de l'odorat dans la paralysie générale progressive; par le D1' de 1\l.1eT11ES.
ution de l'olfaction peut être considérée comme un des signes de la paralysie générale. Sur 22 paralytiques, il a trouvé ce s
sel s'impose donc à tout médecin en présence d'un malade suspect de paralysie générale. ' G. D. XX. De l'influence de la dé
épilepsie idiopathique débute dans le plus grand nombre des cas. La paralysie générale figure dans l'ensemble pour 9 p. 100 e
OLOGIE MENTALE. 3l9 9 3°manie; 4" folie épileptique; 5° démence; 60 paralysie générale; 8° La tendance au suicide est très fr
l'un considère que sur les 87 décès, 23 aliénés étaient atteints de paralysie gêné) aie; pour les femmes dont 7 seulement ont s
mélancolie, 41 ? p. 100; manie, 3-2,5 p. 100 ; démence, 20 p. 100; paralysie générale, 6 p. 100. Renvoyés guéris, 12,6 p. 10
ie, un peu plus longtemps chez les femmes que chez les hommes. La paralysie générale fait exactement 4 fois plus de victimes
t les troublesque l'on cons- tate aujourd'hui. Il est atteint d'une paralysie faciale droite com- plète avec UR, d'une paraly
st atteint d'une paralysie faciale droite com- plète avec UR, d'une paralysie du moteur oculaire externe droit, de nystagmus,
, on sait que l'hémiplégie protubérantielle est alterne, lorsque la paralysie faciale a les caractères de la paralysie péri-
le est alterne, lorsque la paralysie faciale a les caractères de la paralysie péri- phérique. Est-ce donc là un fait en opp
apparence, car, en réalité, on n'a pas affaire ici à une véritable paralysie des membres, liée, comme la paralysie alterne,
s affaire ici à une véritable paralysie des membres, liée, comme la paralysie alterne, à une altération du système pyra- mida
ertaine brusquerie. Il s'agit. là d'un phénomène qui n'est ni de la paralysie ni de l'mcoordina- tion, mais'qui consiste en u
très encourageants. M. Poolard présente une malade atteinte d'une paralysie d'abaissement des globes oculaires. M'. PHCUARM
poumons et embolie cancéreuse dans la région du rocher qui crée une paralysie faciale périphérique par compression du nerf da
observé aussi chez un homme au cours d'un can- cer de l'estomac une paralysie faciale due à un noyau cancéreux comprimant le
de la névroglie la coloration rouge du reste de la préparation. - Paralysie associée îles muscles droits supérieurs. MM. 1\
ient l'observation et. les photogra- phies d'une malade atteinte de paralysie hystérique des muscles droits supérieurs. 11 lu
cun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en plaques ou paralysie générale. A131. Brissaud et Monod. Il s'agit d'
s'agit d'un malade pour lequel malgré des signes incontestables de paralysie générale le dia- gnostic a pu être hésitant en
lombaire ont pu confirmer le diagnostic d'ailleurs fort probable de paralysie générale. M. JORFROY à propos de ce malade insi
ce malade insiste sur la contingence de la plupart des signes de la paralysie générale sauf pour l'affai- blissement intellec
ent les cas de mélancolie appartenant à la période initiale de la paralysie générale ou à une phase de la folie circulaire. L
blance presque identique des lésions représentées avec celles de la paralysie générale. D'ailleurs certains auteurs après avoir
rs gaines gorgées de noyaux sont beaucoup plus intenses que dans la paralysie générale, au lieu que l'atrophie et la raréfac-
asculaire était primitive. Ne pour- rait-on en conclure que dans la paralysie générale où l'aspect est inverse, la fonte cell
l'élude de l'analomie pa- thologique el de l'liislopalkoloyie de la paralysie générale. ln-8° de 16'pages avec 2 planches hor
ation d'un centre moteur cortical entraîne toute autre chose qu'une paralysie complète et irré- médiable des muscles innervés
, répara- bles, et des désordres qui n'ont rien de commun avec la paralysie motrice, dans le sens propre du mot, dans le sens
désordres relèvent bien plus de l'incoordination motrice que de la paralysie ; on les désigne couramment sous le nom d'ataxi
ions convulsives. L'opération a entraîné' comme suite immédiate une paralysie complète du pouce, une parésie complète de la m
res de vaisseaux pie-mériens. Au bout de trois jours, l'aphasie, la paralysie des septième et neuvième paires étaient en voie
épileptogènes, on procéda à leur extirpation. Il s'en est suivi une paralysie de la partie inférieure de la moitié droite du
cal, et une aphasie complète, qui a persisté pendant neuf jours. La paralysie a mis trois semaines à se dissiper. Le malade a
de la moitié droite du visage et de la bouche étaient frappés d'une paralysie complète. La sensibilité était intacte dans les
était intacte dans les parties paralysées. Le ler avril suivant, la paralysie motrice était complète, à la main droite et au co
sur une épaisseur de 2 millimètres 4/2. Le malade a pré- senté une paralysie passagère du membre supérieur droit. Les attaqu
ingt-huit dans les vingt-quatre heures. Elles étaient suivies d'une paralysie du membre supérieur gauche et de la moitié gauc
la raideur dans les doigts de la main gauche. Le cinquième jour, la paralysie avait envahi les fléchis- seurs des doigts, les
es doigts et le poignet ont été trouvés paralysés, à droite ; cette paralysie prédominait dans les fléchisseurs. Les mouvemen
et de l'épaule s'exécutaient également sans vigueur, de ce côté. La paralysie mit un certain temps à se dissiper; on n'a pas
es doigts de la main droite; cette main était atteinte d'une légère paralysie . Les jours suivants, la paralysie motrice est a
main était atteinte d'une légère paralysie. Les jours suivants, la paralysie motrice est allée en s'amendant. Le malade a quit
traitement par l'électricité et les bains chlorurés sodiques, cette paralysie s'est amendée lentement. Quatre années après l'
) CLINIQUE NERVEUSE. main gauche. Deux jours après, on constata une paralysie de la main gauche ; elle persista une dizaine d
e cette notion : L'extirpation d'un centre moteur n'entraîne pas de paralysie durable de la partie qui est censée tirer son i
désordres moteurs qui relèvent de l'incoordination plutôt que de la paralysie et qui, en tout cas, se dissipent au bout de qu
noyau, et elle peut être la seule preuve clinique appréciable d'une paralysie pré-existante de la troisième paire. - 4° Ell
arguments suivants : a. Cette iridoplégie accompagne, ou suit, une paralysie du moteur oculaire. b. A l'appui de l'opinion
de la parole ou léger embarras delà langue un peu tremblée, pas de paralysie des membres, pas de trou- bles de la sensibilit
s désordres de l'équi- libre, jointe au nystagmus et à l'absence de paralysies et de bruits dans les oreilles, indique une aff
le bulbe. Cette dernière hypothèse est la plus probable, car une paralysie du facial gauche se développa par degrés dans les
dans les jours qui suivirent la première attaque convulsive. Cette paralysie s'ex- plique par la compression du tronc du fac
Souques. (Noitu. Iconogr. de la Salpélrière, n° 2, 1900.) Double paralysie alterne supérieure, plus accentuée à gauche, RE
ringomyélie, présentent des troubles trophiques plus accentués ; la paralysie infantile qui ne porte que sur les cellules mot
rais, 3u3 gr. 5. P. KERAVaL. XXXIII. Contribution au diagnostic des paralysies hystériques ; parM.-N. Fedorow. (Obozrénié psic
rve parfois, dépend d'un spasme des muscles du visage, et non d'une paralysie faciale ; 3° Le bras reprend ses fonctions plus
e ; 3° Le bras reprend ses fonctions plus tôt que la jambe ; 4° Les paralysies des muscles des yeux sont douteuses et se rappo
à 26 ans d'un ictus apoplecti- forme suivi de contracture, puis de paralysie flasque. Croyant à une tumeur le médecin traita
qui ont été jusqu'ici observées ont souvent présenté notamment une paralysie prédominante d'un des membres inférieurs avec h
RS. (Revue de médecine, août 1900.) Observation de plusieurs cas de paralysie médullaire' chez des nouveaux nés syphilitiques
nouveaux nés syphilitiques sans aucun trouble cérébral. Il y avait paralysie des membres supérieurs et quelquefois des infé-
aient souvent, en outre, une forme caractéristique, par suite d'une paralysie prédominante des muscles innervés par le radial
ilis plus que partout ailleurs on trouvera la parésie au lien de la paralysie , la rigidité légère au lieu des contractures, l'a
pupille d'Argyll-Robertson, si caractéris- tique du tabès et de la paralysie générale ne l'est pas de la syphilis; 4° la for
u manque à droite et est exagéré à gauche; qu'il n'y a ni ataxie ni paralysie des bras; que les muscles de la face sont norma
ovoque des mouvements convulsifs. La mort soudaine parait due à une paralysie par compression des centres cardiaques et respi
, cette association n'est pas rare. R. de Musgrave-Clay. LVII. La Paralysie de Landry; par W.-H. HAYNES. (Tlte New 1 oi-k M
.-H. HAYNES. (Tlte New 1 oi-k Médical Journal, 27 mai 1899 ) , La paralysie de Landry peut être considérée comme une mala-
trois ou quatre mois; et l'état spécial qui la caractérise est une paralysie flasque de toutes les extrémités, avec perte des
es généraux bien accusés, outre ceux de la méningite qui précède la paralysie , et les symptômes cérébraux dans la forme céréb
bro-spinale; dans la forme ordinaire de poliomyélite antérieure, la paralysie est-limitée à certains groupes musculaires, et
ntres crâniens sont intéressés, tandis que, en règle géné- rale, la paralysie de Landry n'atteint que les nerfs spinaux moteurs
du système nerveux très analogues à celles que l'on observe dans la paralysie de Landry. - R. de Musgrave-Clay. LV111. Un cas
le aura été constatée. On ne la rencontre pas dans la démence de la paralysie générale. Après la démence c'est dans la stupeu
et qui, par ses manifesta- tions cliniques rappelle de très près la paralysie générale, avec cette différence qu'elle est ass
dégénérescence. Le diagnostic différentiel est à faire avec : 1° la paralysie générale; 2° la manie alcoolique aiguë simple. Da
simple. Dans la plupart des cas, le diagnostic différentiel avec la paralysie générale reste pendant longtemps impossible.
manifeste dans les affections dites parasyphilitiques, à savoir, la paralysie générale et le tabes. Son opinion sur la pathog
guement et ingénieusement cette manière de voir en ce qui touche la paralysie générale. Il insiste en termi- nant sur un poin
où c'est sou- vent après les cas bénins que l'on voit apparaître la paralysie diphtéritique : de même pour certains cas de pa
pparaître la paralysie diphtéritique : de même pour certains cas de paralysie générale ou de tabes, dans lesquels le malade n
ns parasyphilitiques. Enfin l'auteur cite la forme juvé- nile de la paralysie générale comme l'argument le plus fort en faveu
re la syphilis comme le facteur étiologique le plus important de la paralysie générale. R. DE Musgrave-Clay. XLV. Folie et
se est si commune. R. DE Musgrave-Clay. XLVIII. Sept cents cas de paralysie générale des aliénés : analyse de tous les cas
semblable que beaucoup d'entre nous s'attendent en ce qui touche la paralysie générale); mais à l'heure actuelle nous avons p
e, frappée d'hémiplégie droite avec aphasie motrice et sensorielle, paralysie du facial et de l'hypoglosse (langue déviée à à
sociation de la sensibilité en forme de veste, brûlures et panaris, paralysie atrophique des mains, exagération des réflexes
isme, apo- plexie cérébrale, embolie de l'articulation sylvienne et paralysie traumatique du plexus brachial. Bien que les
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. 1 Un nouveau cas de paralysie générée' avec syphilis héréditaire ; * Nv\ Pa
la bonne fortune de publier, il y a dix-huit ans, le premier cas de paralysie générale juvénile connu en France et le premier
uis 1883. dans l'étude de la question. A cette époque, en effet, la paralysie générale au-dessous de vingt ans, des adolescen
représentée par une centaine d'observations émanées ' A'o/e sur la paralysie générale prématurée, A propos d'un cas remar- q
Journal cie« mécl. de Bordeaux et l'Encéphale, 1883.) 2 Un cas de paralysie générale à l'âge de dix-sept ans. (Bull. de la
Journal de de Bordeaux et l'Encéphale, 1885.) Deux nouveaux cas de paralysie générale juvénile avec syphilis héréditaire. (B
ettres de cette époque, dont j'ai eu des spécimens sous les yeux. paralysie générale ET syphilis héréditaire. 451 Son voyag
qui s'observent de façon si typique chez le paralytique général. paralysie générale ET SYPHILIS héréditaire. 453 Tel était
il n'ait jamais éprouvé d'ictus congestif, tous les symptômes de sa paralysie générale se sont, dans ces derniers temps surto
le diagnostic chez mon malade. C'est, à n'en pas douter, un cas de paralysie générale juvénile, ayant débuté à l'âge de dix-
our la majorité des auteurs aujourd'hui, le facteur essentiel de la paralysie -juvénile. On a vu que les renseignements de
um. Mais elle succomba, jeune encore, par suite de cancer utérin. PARALYSIE GÉNÉRALE ET SYPHtHS HÉRÉDITAIRE. 455 Je puis do
st fils et petit-fils de pellagreux. Voici donc un nouveau cas de paralysie générale juvénile à l'origine duquel on trouve
ine de Bordeaux. · Il y a là une accumulation de faits qui, dans la paralysie générale juvénile comme dans la paralysie génér
ion de faits qui, dans la paralysie générale juvénile comme dans la paralysie générale des adultes, dénoncent nettement la sy
nier ; avec ceci en plus de significatif que le fils ' Thiry. De la paralysie générale dans le jeune âge. (Thèse de Kancv, 18
dans le jeune âge. (Thèse de Kancv, 1898.) ' - 2 L. Delmas. De la paralysie générale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux,
adie chez le sujet. - Il en est ainsi, la plupart du temps, dans la paralysie géné- rale juvénile qui, sauf de rares exceptio
particularité, qui se retrouve, bien qu'à un degré moindre, dans la paralysie générale de la femme, comme dans celle de l'ado
eaux, 1900.) E. Régis. Quelques réflexions générales à propos de la paralysie générale juvénile. (Annales n : f'(co-yc/to ? y
énérale juvénile. (Annales n : f'(co-yc/to ? yK('6',mai-juu] 1898.) PARALYSIE GÉNÉRALE ET SYPHILIS HÉRÉDITAIRE. 457 rentre au
ment, et j'insiste 1 nouveau sur le caractère effacé, fruste, de la paralysie générale juvénile et sur la nécessite d'y songe
ux point traiter icicette, question de fractures spontanées dans la paralysie générale, où elle est encore discutée, et je me
ale, la facilité aux fractures, dans certaines maladies, comme la paralysie générale, n'a d'égale on le sait, que leur facili
sivement, inclus les membres paralysés, de même que la figure. La paralysie faciale n'existe pas. L'avant-bras droit en flexi
miplégie produite deux ans auparavant. Bras contracture en flexion. Paralysie . Jambe légalement rigide. Hëuexes tendineux exa
attaquée d'épilepsie dès l'âge de huit ans, avec cécité complète et paralysie . Après l'opération, la paralysie, la cécité et
huit ans, avec cécité complète et paralysie. Après l'opération, la paralysie , la cécité et les attaques disparurent définiti
u le résultat suivant. Vingt malades (hommes et femmes) atteints de paralysie générale vraie, mais sans alcoolisme, ont donné
la défectuosité iutellectuel'e, d'autres signes de dégénérescence : paralysies infantiles hémilatérales, cérébrales et spinales,
'occasion de parler. Bournlville. LIV. Contribution à l'étude de la paralysie progressive infanto- juvénile ; par G1\Nul.l. (
es d'une lésion du cerveau. Il est très-probable qu'il s'agit d'une paralysie générale, à forme démentielle, com- pliquée de
ux serait le locus zrzinoris 7-esisteizlix : paraplégie maternelle, paralysie infantile ou rachitisme d'une soeur Le ma- lade
es maladies mentales, telles que le délire chronique primitif et la paralysie générale, -débutent parfois par un stade extrao
. La néoformation vasculaire expliquerait la disparition rapide des paralysies ainsi que l'aphasie consécutives aux attaques a
on que vous venez d'enlendresoulève un autre problème que celui des paralysies générales juvéniles. Je veux parler de celui de
peut-il exister en dehors de l'entité morbide ? Ou bien la pseudo- paralysie générale alcoolique saturnine, syphilitique, arth
que saturnine, syphilitique, arthriti- que, etc., n'est-elle qu'une paralysie générale vraie, en rémission ou guérie, survenu
des cas mal observés pouvant, à la rigueur, être confondus avec la paralysie générale sans cependant la simuler ? La questio
la communication que vous venez d'entendre, s'agit-il d'une de ces paralysies juvé- niles, sur lesquelles mon savant ami Régi
assez diffus pour se traduire par un syndrome rappelant celui de la paralysie générale. Que serait donc alors la paralysie gé
rappelant celui de la paralysie générale. Que serait donc alors la paralysie générale vraie ? Sans préjuger de l'ordre de su
facée que la démence soit globale et que la lésion soit celle de la paralysie générale, les partisans de l'étiologie syphilitiq
lescluellés on passe histologiquement de la syphilis cérébrale à la paralysie générale. La même interprétation s'applique tout
l montre la transition insensible de l'alcoolisme chronique vers la paralysie générale qu'à ceux signalés par M. Klippel quand
lés par M. Klippel quand il dé- crivait dans ces temps derniers une paralysie générale d'origine rhumatismale. M. Toulouse
Lialy-ie générale, qu'il y a lieu de croire qu'il s'agit bien d'une paralysie juvénile. Parfois celle-ci revêt la' marque de
loin. J'aimerais mieux admettre que le syn- drome hormis le cas de paralysie générale vraie, est seulement un syndrome simul
SOCIÉTÉS SAVANTES. 503 rallierais assez volontiers au diagnostic de paralysie générale juvé- nile vraie, car elle se rapproch
était peu aisée à différencier de celle qui caractérise un début de paralysie générale. M. Buiand. Ce qui m'a fait surtout ré
d'une façon tout à fait niaise et absurde. Les signes physiques de paralysie générale consistent' en un trouble d'ailleurs l
vation c'est la- présence d'hal- lucinations psychomotrices dans la paralysie générale, dont il n'existe que 9 observations,
es psychomoteurs. - M. f3sr»o. La sialoribée n'est pas rare dans la paralysie générale; elle s'explique, le plus souvent, par
M. Babinski (avis confirmé par M. Parinaud), il se serait agi d'une paralysie du mouvement associé d'abaissement, paralysie de
l se serait agi d'une paralysie du mouvement associé d'abaissement, paralysie de nature organique et d'origine supranucléaire
le spasme des élévateurs est bien primitif et non consécutif à une paralysie de l'abaissement, dont il conteste la réalité.
res intrin- sèques. On n'a pas affaire, dit M. Marie, une véritable paralysie de l'abaissement, car en plaçant la tête du mal
étendu, tant s'en faut, qu'à l'état normal. Il y a donc bien de la paralysie ou de la parésie.de l'abaissement. Dès lors il
permis de considérer le spasme comme un phénomène secondaire à la paralysie . Cela n'a rien d'irrationnel, cela est même confo
tion des antagonistes dans les cas de · " SOCIÉTÉS SAVANTES. 51 L paralysie localisée dans un groupe de muscles, comme, par e
localisée dans un groupe de muscles, comme, par exem- ple. dans la paralysie des extenseurs delà main où les effets d'ex- te
oquent une flexion de la main. Scruder a du reste observé un cas de paralysie de l'abaissement très analogue à celui qui nous
essentiel qui permette de séparer ce cas des autres observations de paralysie des mouvements associés des yeux qui ont été pu
ne peut y avotr d'exagération des réflexes tendineux an côté de la paralysie . Je crois donc que chez ce malade il y a tout a
e, les lésions étaient multiples. Celles qui avaient déter- miné la paralysie alterne siégeaient sur la capsule interne et le
nnerait vraisemblablement que les signes communs de la myopathie. Paralysie radiale double subite. M. P. MAîuE présente un
é altérée. Or, après une seule débauche alcoolique est survenue une paralysie radiale bilatérale. Il a donc fallu l'intervent
de l'intoxication pour que la com- pression réussisse à produire la paralysie . Des faits semblables ont d'ailleurs été déjà s
de Calassi-\'estphal. Le malade, âgé de cinquante ans, présente une paralysie des deux muscles droits supérieurs et une parésie
épileptiforme. En 1883, on nota une mydriase de l'oeil gauche et la paralysie de l'accommodation. Au mois d'août 1898, on con
e actuellement ; en outre, il exista pendant quelques mi- nutes une paralysie du nerf abducens gauche. Les phénomènes pupilla
i n'y a qu'une lésion de quelques arcs réflexes qui s'y rendent. La paralysie des mouvements en haut et en bas peut être expliq
inairement que dans les affections dégé- nératives primitives. 3° Paralysie pseti@io-btilb ii2,e. Biplégie faciale et ophlnlm
mpos- sibles lorsque leur direction se définit dans la pensée. 4° Paralysie pMMo-6M/6a ! )'e. Ophtvlznopléyie dissociée itléo
fomes de folie épileptique, que de différencier plusieurs types de paralysie générale. Secrétaires des séances : G. RossouMO
Vient ensuite une revue historique des troubles pupillaires dans la paralysie générale. En comparant, dans les tableaux qui son
s, tandis que le trouble observé est constant ou progressif dans la paralysie géné- rale, la démence senile, et les démences
gnomonique, car, certains auteurs (l'auzi) ont observé même dans la paralysie générale, la variabilité. L'analyse qui précè
en particulier pour ce qui a trait aux troubles pupillaires de la paralysie générale, de la mélancolie sénile ou présénile et
Maladies des nerfs périfériques : a) névralgie, b) convulsions, c) paralysies , d) névrite simple, e) poli-névrites; 2° Maladi
e amyotrophique, h) poly-myélites antérieures, h) syriugomyélie, 1) paralysie de Brown-Sequart, m) lésions des queues de cheval
rt, m) lésions des queues de cheval, n) amyotrophie progressive, o) paralysie bulbaire progressive. 4° Maladies organiques co
névrose traumatique, e) chorée (mirr.), f) myoclonus multiplexe, h) paralysie agitante, k) tétanos traumatique, 1) tétanie, i
31 1 530 AVIS A NOS ABONNÉS. Stewart (B.-S ). Vecrease of gênerai paralysies of the Insane in En gland and ccales. - In-8» d
Andriezen, 54. TABLE DES MATIÈRES. 531; Manie avec aman rose et paralysie ; ghome probable, par Vincent, 45. Emphysème
AHAC[;L&E et le Ouide magnétique, par F. Lirgnault, 189, 347. Paralysie spinale antérieure suh- par Cestan et Philippe,
ues avec amyotro- 17111e, par lolicli111(l, 240. -- en plaque» ou paralysie générale, p.u BI issaud et 10110(l. 316. Allé-
la folie, par Dawson, 5. spinale par Sptllcr, ? 50. -spinale avec paralysie tle t3rown-Sequard, par Jaiohs. ? 5G : par Brou
16 (1934) Oeuvre scientifique
'ont pas, malgré les apparences, une grande valeur sémiologique. La paralysie , c'est-à-dire la privation du mouvement volonta
ie s'impose à tout neurologiste. Je vous ai dit précédemment que la paralysie pouvait être reproduite par la volonté, à moins
cant la loi sui- vante : la volonté est impuissante à engendrer des paralysies identiques à celles qui sont sous la dépendance
pendance d'une altération des nerfs. Envi- sageons, par exemple, la paralysie vulgaire du nerf radial ; sans doute la chute d
cier à son gré, comme le fait involontairement le malade atteint de paralysie radiale, dans un mouvement énergique de flexion d
et qui, à tant d'égards, est du plus haut intérêt en neurologie. La paralysie de la troisième paire ainsi que celle de la six
qui peut être simulé dans une certaine mesure ; mais, outre que la paralysie complète de la troisième paire détermine de la
elle, lors- qu'elle porte, par exemple, sur le droit interne, et la paralysie périphé- rique de la sixième paire donnent nais
jectif d'autant plus remarquable qu'il permet même de distinguer la paralysie de la sixième paire due à une lésion périphériq
lorsque le malade s'efforce de porter son regard vers le côté de la paralysie , ce qui tient sans doute à ce que le noyau de la
erveuses au droit interne du côté opposé et que, par conséquent, la paralysie nucléaire du droit externe d'un oeil s'associe
us l'intérêt qui s'attache, au point de vue du diagnostic, dans les paralysies des nerfs moteurs, à la dissociation de mouveme
étrie faciale tient bien à du spasme ou si elle n'est pas due à une paralysie de la face du côté opposé ; en effet vous devez
; ce défaut d'occlusion de l'oeil gauche ne dépendrait-il pas d'une paralysie de l'orbi- culaire ? Comment résoudre ce problè
culaire commun et nous permet d'établir que ce sujet est atteint de paralysie et non de spasme ; de plus nous pouvons affirme
aralysie et non de spasme ; de plus nous pouvons affirmer que cette paralysie n'est pas psychique, car cette dissociation de
a pas moyen de feindre. J'ai eu l'occasion de vous dire que dans la paralysie complète de la troi- sième paire la pupille est
certains cas même, les troubles pupil- laires s'accompagnent d'une paralysie de l'accommodation ; c'est là l'oph- talmoplégi
station d'une affection méningée capable de conduire au tabès, à la paralysie générale ou la syphilis conglomérée des centres
e souvent lieu à un trouble oculaire qui lui est spécial; c'est une paralysie double de l'accommodation, coïncidant avec l'in
ux, il devient facile de déjouer la simulation et de reconnaître la paralysie légitime de l'accommodation, qui peut ainsi êtr
s'il s'agit d'une dysphonie hystérique. Si l'on constate chez lui la paralysie d'unccorde vocale, paralysie dont les caractère
stérique. Si l'on constate chez lui la paralysie d'unccorde vocale, paralysie dont les caractères ne peuvent être reproduits
'hémiplégie; si l'on constate chez un hémiplé- gique, du côté de la paralysie , une exagération des réflexes rotulien, achillé
iétés normales (Erb). C'est ce qu'on observe habituellement dans la paralysie radiale vulgaire. Enfin j'attire votre attentio
és en deux groupes : d'une part, les troubles transitoires (crises, paralysies , contractures, mutisme, etc.) ; d'autre part, pré
tionnable, susceptible d'être atteint d'une hémianesthésie ou d'une paralysie hystérique, pourra tout aussi bien se suggérer
exe consécutif à la piqûre de la plante du pied peut subir dans les paralysies crurales reconnaissant pour cause une affection
e lésion de l'hémisphère cérébral droit, remontant à trois ans ; la paralysie occupe le membre inférieur, le membre supérieur e
s orteils sont presque complètement abolis ; c'est à la face que la paralysie est le moins accentuée ; la malade marche en fa
voquée des deux côtés, mais elle est plus prononcée à droite, où la paralysie est plus mar- quée. La malade suivante est at
de la moelle par arme à feu. Du côté gauche, qui est le siège d'une paralysie spasmodique, la piqûre de la plante du pied don
d'eux était atteint d'hémiplégie gauche remontant à trois ans ; la paralysie était flasque au membre inférieur ; le membre sup
plégie gauche. Le phénomène des orteils existait dès le début de la paralysie et trois mois plus tard, la para- lysie étant t
ils. Le phénomène des orteils n'est pas en relation directe avec la paralysie au point de vue de l'intensité : il est très ma
l peut être fort peu accusé et faire même défaut dans des cas où la paralysie est très prononcée. Généralement du côté opposé
ù la paralysie est très prononcée. Généralement du côté opposé à la paralysie , le réflexe cutané plantaire est normal ; parfo
rbides, le réflexe cutané plantaire était redevenu normal. Dans les paralysies spinales spasmodiques, quelle qu'en soit la cause
ou abolition des réflexes tendineux. Je l'ai constaté du côté de la paralysie , dans un cas d'hémiplégie spinale avec anesthésie
la motilité à forme hémiplégique ou à forme paraplégique, par de la paralysie flasque ou par de la contracture. Il n'existait p
amidal, n'en dénote pas la gravité. Il peut exister dans des cas de paralysies très légères, de paralysie curable et disparaît
ravité. Il peut exister dans des cas de paralysies très légères, de paralysie curable et disparaître après guérison; il peut
phénomène des orteils fait parfois défaut dans un membre atteint de paralysie spasmodique avec exagération des réflexes tendi
st parfois très marqué. Il m'a paru surtout très développé dans les paralysies spasmodiques congénitales accompagnées d'athéto
arition des autres troubles caractérisant les névrites (dou- leurs, paralysies , amyotrophies, etc.). Parfois la réapparition des
celles d'Erb. Terminons par l'étude des réflexes tendineux dans la paralysie pério- dique, affection très rare en France, ob
hie musculaire progressive et de la myasthénie. Pendant la crise de paralysie , qui occupe généralement les quatre membres, le t
ent d'autres symptômes : RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 65 paralysie , contracture, etc., mais elle peut se présenter a
e la surréflectivité est géné- ralement proportionnée à celle de la paralysie . La surréflectivité dans l'hémiplégie organique
de disparaître. Sa régression coïncide, du reste, avec celle de la paralysie . Choisissons, comme autre exemple d'hémiplégie
émispasme plutôt que d'hémiplégie à proprement parler : l'élément « paralysie » est accessoire ou nul, l'élément « spasme » uni
moelle. La surréflectivité dans les lésions de la moelle (') De la paralysie par compression du faisceau pyramidal sans dégéné
. Examinons d'abord le type morbide décrit par Erb sous le nom de paralysie spinale spastique et dénommé par Charcot tabès do
isés en deux catégories. Dans les uns, malgré la régres- sion de la paralysie , la surréflectivité se maintient; c'est qu'il y a
ction réflexe du masséter. Contrairement à ce qu'on observe dans la paralysie spastique d'Erb, la surréflectivité peut, dans
ans réaction de dégénérescence, sans secousses fibrillaires et sans paralysie , lorsqu'elle s'accompagne de surréflectivité, e
ubor- donnée à l'état où ils se trouvaient avant l'apparition de la paralysie . Voici un certain nombre de types que l'on obse
eurologique, 191 1. t. Il, p. t5 i) que chez des sujets atteints de paralysie avec contracture liée à des lésions du système py
servé. Dans l'hémiplégie organique, on peut observer, du côté de la paralysie , des perturbations de même ordre. Rosenbach a
s ; b) motricité volontaire profondément troublée ; il peut y avoir paralysie complète ; c) réflexes tendineux parfois exagérés
nt les réflexes tendineux dans des membres qu'elle avait frappés de paralysie ou de contracture. C'était une donnée classique
de contracture. C'était une donnée classique que l'hémiplégie et la paralysie hystériques se manifesteraient parfois par des ca
ractères extrinsèques fournissaient seuls le moyen de discerner les paralysies hystériques des paralysies organiques : une par
issaient seuls le moyen de discerner les paralysies hystériques des paralysies organiques : une paraplégie ou une hémiplégie s
t de vue qui nous occupe. Après avoir indûment incorporé des cas de paralysie organique dans le domaine de l'hystérie, on éta
ne action pareille à celle des lésions nerveuses qui engendrent des paralysies ou des contractures ; cette conclusion, d'aille
servations nombreuses desquelles s'est dégagée cette notion que les paralysies s'accompagnant d'irréflectivité ou de surréflec
ie organique, de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la paralysie . Un hystérique peut, il est vrai, dans certains c
l'hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une part que la paralysie , en rai- son de son mode d'évolution, de l'acti
rt, que l'exagération des réflexes tendineux, disparaissant avec la paralysie , devait être intimement liée à l'hystérie. « Il
empêcha pas de marcher et ne dura que 48 heures environ. Quant à la paralysie brachiale, après être restée complète pendant que
l'avant-bras sur le bras est aussi nettement plus fort du côté de la paralysie . Le mem- bre supérieur gauche est sensiblement
on de la main paralysée, dans l'expérience d, sont dues à ce que la paralysie libère les mouve- ments passifs des entraves qu
s à l'état normal par l'acti- vité musculaire. En résumé, dans la paralysie organique, l'abolition des mouvements actifs, l
la suite d'une vive émotion, on n'hésitera guère à admettre que la paralysie relève de l'hystérie. Il ne me vient certes p
ériques, les stigmates pouvant faire complè- tement défaut dans les paralysies hystériques et l'hystérie ne mettant pas à l'ab
'a que peu ou pas conscience. Il y a lieu de supposer que, dans une paralysie , ces deux ordres de mouvements peuvent être troub
, passons à l'examen des faits. Pour commencer, occupons-nous de la paralysie faciale. Mon intention n'est pas de faire ici u
s d'hémiplégie faciale que nous avons en vue. Étudions d'abord la paralysie faciale dans l'hémiplégie organique. A l'état d
est atteint, ce qui n'est pas rare, surtout au début, avant que la paralysie n'ait commencé à rétro- grader, les plis du fro
e serait l'inverse de celle qui vient d'être décrite; du côté de la paralysie le sillon naso-labial, après avoir été effacé,
es sont contractures, un abaissement de la commissure du côté de la paralysie , comme dans la période de flaccidité. Les mou
est plus élevée et le sillon naso- labial plus marqué du côté de la paralysie . Je dois faire remarquer, tou- HÉMIPLÉGIE ORGAN
ns à attirer maintenant votre attention d'abord sur ce point que la paralysie faciale est limitée au côté hémiplégie et ensuite
u plus saillant que les autres. Je dois vous dire, enfin, que cette paralysie est soumise à des règles sinon à des lois, la c
oumise à des règles sinon à des lois, la contracture succédant à la paralysie flasque et les troubles de motilité s'atténuant
ecueillies depuis n'ont fait que confirmer (-». L'existence de la paralysie flasque dans l'hystérie a été longtemps mise en
s devant la Société médicale (), des faits tendant à montrer que la paralysie faciale hystérique a un aspect cli- nique tout
spect cli- nique tout particulier qui permet de la distinguer de la paralysie faciale liée à l'hémiplégie organique. On peu
iée à l'hémiplégie organique. On peut observer dans cette espèce de paralysie faciale un abaissement de la commissure comme d
de paralysie faciale un abaissement de la commissure comme dans la paralysie organique, mais, contraire- ment à ce qui a lie
est une manifestation de leur activité. Jamais on n'observe dans la paralysie faciale hystérique l'abaissement du sourcil ni l'
u sourcil ni l'efface- ment des plis du front qui dépendent dans la paralysie organique d'une diminution ou d'une abolition d
de toute perturbation de ce mode d'activité des muscles donne à la paralysie faciale hystérique comme du reste aux paralysie
muscles donne à la paralysie faciale hystérique comme du reste aux paralysies hystériques en général, quelle qu'en soit la lo
mise et que je soutiens. La langue est parfois déviée du côté de la paralysie faciale et à un faible degré, comme dans la par
du côté de la paralysie faciale et à un faible degré, comme dans la paralysie organique, mais, contrairement à ce qu'on obser
angue; elle peut aussi s'opérer du côté opposé à celui qu'occupe la paralysie de la face. Les troubles sont rarement limités
imités d'une manière rigoureuse à un côté de la face, comme dans la paralysie organique. Contrairement encore à celle-ci la p
mme dans la paralysie organique. Contrairement encore à celle-ci la paralysie faciale hystérique est ordi- nairement une para
à celle-ci la paralysie faciale hystérique est ordi- nairement une paralysie systématique, c'est-à-dire qu'elle ne porte que s
sure labiale est tout à fait impossible. Enfin l'évolution de la paralysie faciale hystérique est capricieuse et n'est pas
le hystérique est capricieuse et n'est pas soumise aux règles de la paralysie organique. Les phénomènes spasmodiques ne succè
nstant à l'autre. Après cette étude comparative des deux espèces de paralysie faciale, je veux vous entretenir d'une perturba
e trouble le signe du peaucier. Ce signe peut exister aussi dans la paralysie faciale périphérique, le peaucier étant en partie
commissure labiale ainsi que l'effacement des plis du front dans la paralysie faciale de l'hémiplégie organique étaient dus à
rqué du côté du membre atrophié, même quand l'atrophie relève d'une paralysie hystérique. J'appelle maintenant votre attentio
plus tardivement et sont bien moins marqués qu'au membre atteint de paralysie (voir fig. 4) ; en même temps, l'épaule du côté
i étroitement que possible, on arrive plus facilement du côté de la paralysie que du côté sain à soulever la jambe en exerçan
pourrait-on prévoir théoriquement qu'il doit faire défaut quand la paralysie est complète et, l'observation confirme cette v
ise depuis me confirme dans cette manière de voir. J'estime que les paralysies hystériques en général et l'hémiplégie hystériq
parfois à des difficultés de dia- gnostic qui tiennent à ce qu'une paralysie ou une contracture hystérique est susceptible d
ou une contracture hystérique est susceptible de s'associer il une paralysie organique ou encore de se développer sur un mem
bolis. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 105 Dans les paralysies hystériques je n'ai jamais observé le phénomène d
est particulièrement pré- cieuse, car elle permet d'affirmer que la paralysie est organique. Les résultats de mes recherches
des atteints d'hémiplégie organique spasmodique, à condition que la paralysie du membre supérieur soit assez marquée ; je n'a
rganique ne pourrait être que très imparfaitement simulée. Enfin la paralysie des membres présente, comme la paralysie faciale,
aitement simulée. Enfin la paralysie des membres présente, comme la paralysie faciale, des caractères distinctifs dans son mo
cture succède à la flaccidité, l'amélioration est progressive et la paralysie n'est pas sujette à des alternatives en bien et
e dans l'hémiplégie hystérique ; l'évolution en est capricieuse, la paralysie peut rester indéfiniment flasque, comme elle peut
privé de votre appui, l'atti- tude que vous lui aurez imprimée. La paralysie aura transitoirement disparu. Ce caractère, qui
érie, il faut au préalable chercher à comprendre le mécanisme de la paralysie hystérique. Certains médecins admettent que l'a
nique que l'on a considéré l'hystérie comme capable d'engendrer des paralysies identiques au point de vue clinique à celles qu
'en suis convaincu. L'idée qu'on doit se faire du mécanisme de la paralysie hystérique est tout autre. Ce phénomène, de m
applicable à un groupe de faits. J'ajoute à ce qui précède que les paralysies hystériques peuvent être reproduites expériment
ts hypnotisés par la suggestion et l'identité de ces deux ordres de paralysies semble bien montrer que la paralysie qui relève
dentité de ces deux ordres de paralysies semble bien montrer que la paralysie qui relève de l'hystérie a pour origine la sug-
Je ne veux pas m'arrêter davantage sur l'étude du mécanisme de la paralysie hystérique ; cela nécessiterait de longs développ
prendre, et c'est là le but que je me proposais d'atteindre, que la paralysie hystérique étant un trouble psychique, le résul-
t de l'action. io8 SÉMIOLOGIE On comprend ainsi fort .bien que la paralysie hystérique n'atteint ni la tonicité musculaire,
t à ce qui a lieu dans les affections organiques de l'encéphale, la paralysie hystérique puisse être systématique, qu'elle so
rganique de l'hémiplégie hystérique : Hémiplégie organique. i. La paralysie est limitée à un côté du corps. 2" La paralys
rganique. i. La paralysie est limitée à un côté du corps. 2" La paralysie n'est pas systématique. Si, par exemple, à la f
endant l'exécution des mou- vements bilatéraux synergiques. 3" La paralysie atteint les mouvements volontaires conscients,
combinée de la cuisse et du tronc. Hémiplégie hystérique. i° La paralysie n'est pas toujours limi- tée à un côté du corps
à un côté du corps. Cette remarque s'applique particulièrement à la paralysie de la face, où les troubles sont générale- me
de la face, où les troubles sont générale- ment bilatéraux. 2° La paralysie est parfois systémati- que ; il en est presque
ite.) 4° La langue est en général légèrement déviée du côté de la paralysie . 5° Il y a, principalement au début, de 1 /ty
ture succède à la flaccidité ; l'amélioration est progressive ; la paralysie n'est pas sujette à des alternatives en bien et
(Suite.) 4° La langue est parfois légèrement déviée du côté de la paralysie , mais la déviation de la langue peut aussi être
aussi être très prononcée, ou encore s'opérer du côté opposé à la paralysie . ' 5° Il n'y a pas d'hypotonicité muscu- lair
érieure de la protubérance, se manifeste d'un côté du corps par une paralysie des membres pouvant présenter tous les caractèr
iennent à l'hémiplégie vulgaire, et du côté opposé du corps par une paralysie de la sixième paire ainsi que de la septième pa
si que de la septième paire ; cette dernière a les caractères de la paralysie faciale dite périphérique avec DR. La paralysie d
es caractères de la paralysie faciale dite périphérique avec DR. La paralysie des troncs nerveux et la DR étant étrangères à
résence dans l'hémiplégie alterne facilite encore le diagnostic. La paralysie de la troisième paire aide aussi à écarter l'hypo
ractérise par les symptômes de l'hémiplégie vulgaire associés à une paralysie du nerf moteur oculaire commun qui occupe l'autre
le jugement et le raisonnement, elle ne se rendait pas compte de sa paralysie . Mais elle présentait de la confusion mentale.
aussi quelques hémiplégiques qui, sans ignorer l'existence de leur paralysie , semblaient n'y attacher aucune importance, comme
cette dissimulation eût été absolument vaine, car l'existence de la paralysie ne pouvait échapper à l'attention de personne.
ent créent des lésions étendues et doivent laisser à leur suite une paralysie plus ou moins complète. Ils seraient l'expression
teur avait déjà indiqué qu'ils existaient d'ordinaire du côté de la paralysie motrice ; dans un cas cependant il les avaient
condaire. Une lésion en foyer de la moelle, dit-il, peut causer une paralysie spastique extrême et perte du contrôle sphinctéri
e ce genre que j'ai déjà rappelée. Mais il faut savoir aussi qu'une paralysie complète due à une compression de la moelle, ac
ubles de la sensibilité remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paralysie des membres inférieurs est complète et ne cède
premiers jours, alors que le malade est encore dans le coma, que la paralysie est complète et la surréflectivité tendineuse d'h
s ; b) motricité volontaire profondément troublée ; il peut y avoir paralysie complète ; c) réflexes tendineux parfois exagérés
toïde. ' Des expériences que j'ai faites sur des sujets atteints de paralysie avec contracture liée à des lésions du système
ement spécifique qui, il y a quatre ans, fut pris brusquement d'une paralysie du membre inférieur gauche avec troubles sen- s
ntes : le pincement des téguments de tout le côté droit (côté de la paralysie où il existait aussi de l'hyperalgésie), et cela
e exercerait sur le sympathique en produisant une irritation ou une paralysie de ce nerf. Sans contester qu'il en soit ainsi
tée exercerait sur le sympathique droit; on admet, en effet, que la paralysie du nerf sympathique dans cette région produit u
tion que le myosis doit tenir à une tout autre cause ; en effet, la paralysie du sympa- thique, quelque complète qu'elle soit
liée à aucune lésion du globe oculaire, et n'est pas associée à une paralysie de la troisième paire, est l'indice d'une altér
chez qui on constate ce phénomène est un candidat au tabes ou à la paralysie géné- rale. J'estime que, chez la malade qui no
on du globe oculaire et du nerf optique et n'est pas associée à une paralysie de la 3" paire, constitue un signe de syphilis
e le sujet chez qui on le constate est un can- didat au tabes, à la paralysie générale, ou à la syphilis cérébro-spinale conf
e à l'examen ophtalmoscopique ; la notion de siège s'appuie sur une paralysie du facial et du moteur oculaire externe gauches,
n avant 198 SÉMIOLOGIE E ne saurait en effet être attribuée à une paralysie des muscles qui dans la marche impriment au tro
que j'avais observé déjà dans l'hémiplégie organique du côté de la paralysie , et je rappelle l'explication que j'en avais donn
t abolie ('). HYPEREXC1TABlLITÉ ÉLECTRIQUE DU NERF FACIAL DANS LA PARALYSIE FACIALE^1) On admet généralement que dans les p
L DANS LA PARALYSIE FACIALE^1) On admet généralement que dans les paralysies liées à des lésions des nerfs moteurs, l'excita
aurait annoncé une guérison rapide. Cependant le temps passe et la paralysie ne subit aucune modification sensible. A l'exam
lbo-protubérantielle a évolué d'une manière assez singu- lière ; la paralysie faciale en a été la première manifestation et lon
abilité électrique des nerfs a déjà été notée bien souvent dans les paralysies liées à des lésions des nerfs, dans la paralysie
souvent dans les paralysies liées à des lésions des nerfs, dans la paralysie faciale en particulier, mais tous les auteurs s
l'observe que pendant les premiers jours qui suivent le début de la paralysie . Or, dans ce cas, elle dure depuis fort longtemps
fort longtemps et aujour- d'hui, plus d'un an après le début de la paralysie , elle est extrêmement prononcée. z Abstractio
singularité, l'hémiplégie faciale présente ici les caractères de la paralysie faciale dite périphérique, dépendant d'une alté
tie périphérique, une hyperexcitabilité durable et associée à de la paralysie . Ils montrent aussi qu'une paralysie faciale n'
té durable et associée à de la paralysie. Ils montrent aussi qu'une paralysie faciale n'est pas nécessairement bénigne et ne
phie musculaire progres- sive, de poliomyélite antérieure aiguë, de paralysie saturnine des exten- R LECTROLO CI E 225 seur
ent à se faire sentir. » Dans de nombreux cas de contractures, de paralysies ou de parésies d'ordre réflexe siégeant au memb
électriques d'hypothermie locale dans les cas de contractures ou de paralysies dites fonctionnelles et plus parti- culièrement
inski et Froment ont étudié, il y a déjà longtemps, dans des cas de paralysies et de contractures consécutives à des traumatisme
excitation voltaïque. Ils ont insisté sur la (') Quand il s'agit de paralysies réflexes du membre supérieur avec hypothermie, la
s contractures et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence. La surexcitabi
mise aujourd'hui par la plupart des neurolo- gistes, entre diverses paralysies et contractures réunies antérieurement dans le
rieurement dans le cadre des troubles dits fonctionnels : parmi ces paralysies et contractures, les unes, qui ne s'accompagnen
la mémoire a diminué beaucoup depuis quelque temps. Il n'y a pas de paralysie localisée. Les réflexes tendineux sont exagérés,
frappé d'abord par son aspect béat qui me fait songer à un début de paralysie générale. Il répond cependant correctement aux
le de reconnaître, grâce à certains caractères intrinsèques, que la paralysie était due à une compression des centres nerveux ;
de magasin, entre le 9 avril 1908 à la Pitié. Il est atteint d'une paralysie qui occupe tout le côté droit du corps, qui aurai
ilepsie Jacksonienne en nous fondant seu- lement sur ce fait que la paralysie du bras, quoi qu'elle ait débuté il y a six moi
n de nous a montré en effet, que ces carac- tères appartiennent aux paralysies par compression des centres nerveux ('). Le 3 m
J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux, 24 mars 18qq). 6) De la paralysie par compression du faisceau pyramidal, sans dégén
e plus que dans les néoplasmes intra-crâniens avec hémi- plégie, la paralysie peut siéger du même côté que le néoplasme. Elle
les symptômes soient attribués à de l'artério-sclé- rose ou à de la paralysie générale. Un jour, on constate que la vue du ma
plus communs de l'hémiplégie organique, qu'il fait défaut dans les paralysies psychiques, on peut considérer ce signe comme per
une déviation de la bouche, qui aurait été sous la dépendance d'une paralysie faciale gauche. De plus il avait des vertiges ; i
s de juillet de la même année se développa brusquement, dit-il, une paralysie faciale du côté droit et une paralysie complète a
ppa brusquement, dit-il, une paralysie faciale du côté droit et une paralysie complète avec anesthésie du membre inférieur et
et devint difficile à comprendre. 286 AFFECTIONS DU CERVELET La paralysie motrice du membre supérieur et du membre inférieu
tagmus, sont liés aussi à l'altération des fibres cérébelleuses. La paralysie du voile du palais est provoquée par l'altérati
la déglutition dans la moitié droite du pharynx. Il n'existe aucune paralysie du voile ; le malade ne rejette pas les liquides
symp- tômes qu'on observe dans la myélite circonscrite destructive ( paralysie et anesthésie des membres inférieurs, troubles
tés individuelles, présentaient, comme trait com- mun, une forme de paralysie crurale caractérisée à sa période d'état par un
a déformation. Il y a lieu de rechercher si cette forme clinique de paralysie spasmo- dique correspond à un état anatomique p
Babinski. Archives de médecine expé- rimentale, 18gi. III DE LA PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL SANS DÉ
raît fort instruc- J tive au point de vue de la symptomatologie des paralysies par com- pression du système pyramidal et du di
gnostic le plus probable me paraît être le suivant : artérite céré- PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 327 brale
it sin- gulier que l'aphasie eût éveillé en son esprit l'idée d'une paralysie loca- lisée précisément du côté où elle siège e
ccentue ; la parole est lente et, outre la difficulté que le malade PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 329 éprou
mots, il présente un mode d'articulation rappelant l'embarras de la paralysie générale ; les réflexes sont toujours normaux, l'
analogues et je savais qu'une lésion de ce genre peut produire des paralysies s'accompagnant d'une sorte de contracture susce
que les réflexes subissent la moindre perturbation. Mais comme les paralysies et les contractures hystériques ont aussi pour
de signe intrinsèque permettant de différencier ces deux espèces de paralysies et, pour mettre ce trait en évidence, il me par
dence, il me paraîtrait juste de dénommer, jusqu'à nouvel ordre, la paralysie qui nous occupe ici « paralysie organique, pseu
dénommer, jusqu'à nouvel ordre, la paralysie qui nous occupe ici « paralysie organique, pseudo-hystérique ». C'est à l'aide de
, ce qui m'a surtout paru un argument capital contre l'hypothèse de paralysie hystérique, c'est-à-dire d'un trouble reconnais
rouble reconnaissant pour cause l'auto- suggestion, c'est que cette paralysie occupait le territoire correspondant exactement
e c'est qu'une compression du faisceau pyramidal peut engendrer une paralysie avec contracture plus ou moins prononcée, duran
d elle est associée à d'autres signes rendant l'hypothèse de tumeur PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? céréb
SION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette forme de paralysie constitue un argument de grande valeur à l'appu
un point essentiel, cette contracture n'est pas, comme celle de la paralysie spastique spinale, nécessairement associée à une
peu probable. Serait-ce, comme l'a supposé Iorel-Lavallée, pour la paralysie générale conjugale, parce que certains virus sy
vé aussi deux fois des conjoints atteints l'un de tabes, l'autre de paralysie générale ; j'ai vu enfin, récemment, une femme at
aralysie générale ; j'ai vu enfin, récemment, une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de l'atrophie papillaire,
ion de phénomènes cérébraux ou de phénomènes bulbaires (hémiplégie, paralysie faciale, paralysie de la langue, troubles mentaux
érébraux ou de phénomènes bulbaires (hémiplégie, paralysie faciale, paralysie de la langue, troubles mentaux) à la névrite ré
nutieuse les zones des racines sacrées chez les malades atteints de paralysie avec troubles de la sensibilité, et ne pas adme
de la sensibilité tactile et douloureuse. Fig. 36. E..., 62 ans. Paralysie médul- laire. Troubles de la sensibilité tactil
la première fois, nous constatons les phénomènes suivants : t La paralysie des membres inférieurs qui sont contracturés est
teté et lui semblent « couverts de brouillard ». Il n'existe pas de paralysies de la musculature externe des yeux, tous les mo
et, contrairement à ce qu'on avait observé avant l'opéra- tion, la paralysie prédomine à droite, où elle est complète, tandis
a malade dès son réveil, et qui faisaient défaut avant l'opération ( paralysie du côté droit et anesthésie du côté gauche), ne
i3. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES (¡ni Quelques semaines plus tard, la paralysie des membres inférieurs est complète, et la sens
bles de la sensibilité, remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paralysie des membres inférieurs est complète et ne cède pa
oubles légers ; 2° Une compression de la moelle peut déterminer une paralysie complète, avec contracture, d'une très longue d
de rétrocéder et de disparaître totalement ; 3° La régression d'une paralysie avec contracture après extraction de la néoplas
téré par le processus inflammatoire ? je ne sau- rais le dire. La paralysie crurale était manifestement, ainsi que le prouven
tte idée n'a rien de révolutionnaire quand on considère que dans la paralysie générale progressive et dans le tabes, affectio
riété de lésion du nerf radial peut être mise en opposition avec la paralysie radiale par compression qui est. très commune et
n qui est. très commune et bien connue. Tandis que dans celle-ci la paralysie siège à l'avant-bras et se manifeste par une im
et n'atteignent pas la motilité d'une manière bien appré- ciable. PARALYSIE CUBITALE (') En tenant compte seulement de cert
estes divers, on peut reconnaitre, presque sans cause d'erreur, une paralysie périphérique. Lorsque le pouce est placé en add
ange qui est étendue. Cette silhouette du pouce se modifie dans les paralysies du cubital : quand le pouce se porte en adducti
ette attitude particulière s'explique par l'intervention, en cas de paralysie de l'adduc- teur du pouce, d'une adduction de s
tion synergique du long fléchisseur. (1) Les signes objectifs de la paralysie de l'adducteur du pouce (en collaboration avec J.
eurs je suis porté à croire qu'il y a une certaine parenté entre la paralysie faciale périphérique et l'hémispasme facial pér
ir, qu'on peut voir, dans la para- lysie faciale périphérique, à la paralysie musculaire succéder un état spas- modique ayant
'applique à toutes les variétés. Dans une forme de la myopathie, la paralysie pseudo-hypertrophique avec ou sans hypertrophie
s grandes manifestations de l'hystérie, les crises ner- veuses, les paralysies , les contractures, les anesthésies. Quels en sont
ir des guérisons par suggestion. Déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que ce trouble est purement imaginair
s que tous les grands accidents hystériques, toutes les variétés de paralysies , de contractures, d'anesthésies, toutes les for
uire chez un grand hypnotique l'hémiplégie faciale périphérique, la paralysie radiale vulgaire, le sujet en expérience, quelle
laire d'où dérive la déformation caractéristique de la face dans la paralysie du nerf (') J'ai déjà développé cette idée dans
as l'action du long supinateur de celle du biceps, comme le fait la paralysie radiale. De même que tous les grands accidents
fs, de beaucoup les plus importants, du reste, les anesthésies, les paralysies , les contractures, les crises, etc., qui sont s
vement ; la suggestion ne peut la faire naître ; elle est liée à la paralysie ou à la contracture hysté- rique qu'elle ne pré
ions, j'es- (') Voir à ce sujet : De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babinski. Travail publié en
de la D R ; aucune autre cause que l'hystérie ne peut produire une paralysie de ce genre ; mais si nous sommes arrivés à cet
ion de l'atrophie musculaire très peu de temps après le début de la paralysie et la disparrition rapide de l'atro- phie suiva
ition rapide de l'atro- phie suivant de très près la guérison de la paralysie , il eût été impossible d'affirmer l'existence d
ets où une exagération des réflexes tendineux aurait accompagné une paralysie hystérique et aurait disparu après la guérison,
utant du phénomène des orteils, de l'immo- bilité pupillaire, de la paralysie limitée au territoire d'un nerf, comme, par exe
a paralysie limitée au territoire d'un nerf, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du mo
f, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du moteur oculaire externe. Les observations de
e la tête et l'hyperesthésie ovarienne. Les crises ou attaques, les paralysies , les contractures, l'aphonie, le mutisme, etc.,
er les attaques et les anesthésies dont il a été déjà question, les paralysies qui pourraient revêtir toutes sortes d'aspects,
s caractères des para- lysies périphériques, par exemple ceux de la paralysie radiale, de la paralysie de la 3e paire ou de l
sies périphériques, par exemple ceux de la paralysie radiale, de la paralysie de la 3e paire ou de la 6e paire. On a décrit aus
le rétrécissement du 468 HYSTËRIE-PITHIATIS;11Ê champ visuel, les paralysies oculaires, déjà signalés, on observerait aussi
manifestations nerveuses telles que les grandes attaques, certaines paralysies , certaines contrac- tures, l'hémianesthésie sen
affir- mations sont acceptées, si l'hallucination visuelle ou si la paralysie est réalisée, on peut dire que le sujet en expé
été suggestionné. Au contraire, déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que le trouble dont il est atteint do
suggestionnable, quelque hynoptisable qu'il soit, les traits de la paralysie faciale périphérique, de la paralysie radiale, de
qu'il soit, les traits de la paralysie faciale périphérique, de la paralysie radiale, de la paralysie de la 3e paire, de l'h
e la paralysie faciale périphérique, de la paralysie radiale, de la paralysie de la 3e paire, de l'hémiplégie organique ou de
de la paralysie de la 3e paire, de l'hémiplégie organique ou de la paralysie organique ; il serait même impossible d'obtenir
primitifs, de beau- coup les plus importants, les anesthésies, les paralysies , les contractures, les crises, le mutisme, etc.
vement ; la suggestion ne peut la faire naître ; elle est liée à la paralysie ou à la contracture hystérique qu'elle ne précède
s vous auriez (1) Voir ce sujet : De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babinski (Archives de Neuro
r naissance à des crises nerveuses sous des for- mes variées, à des paralysies qui occupent un membre, un segment de membre, u
aut-il en conclure que toutes les for- mes d'attaques nerveuses, de paralysies , d'anesthésies, d'hyperesthésies, d'aphonie, d'
ire ; elle est incapable de reproduire un des traits essentiels des paralysies liées à une lésion du système pyramidal. Pour
raisons, je soutiens que l'hystérie ne donne jamais naissance à des paralysies limitées au territoire d'un nerf périphérique.
mars goli). CONCEPTION DE L'HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 479 9 de paralysie de la 3e paire qu'on a qualifiée d'hystérique, pa
ue les sujets qui en étaient atteints étaient hystériques et que la paralysie , après avoir duré quelque temps, a disparu rapi
dans la période préataxi- que du tabes il se développe souvent des paralysies oculaires ayant préci- sément pour caractère de
ans l'hématose, mais elle est incapable de donner nais- sance à une paralysie vraie des cordes vocales, à de l'oedème de la glo
on verbale de dormir, on a développé certains troubles nerveux, des paralysies , des contractures, des anesthésies que l'on peu
à rebelle aux moyens curatifs habituels, s'est buté à l'idée que sa paralysie est incurable et la persuasion, à ce point de vue
ivant : « Puisque le médecin a une pareille action sur moi, que les paralysies apparaissent et disparaissent à son injonction, i
sa disposition aucun moyen sûr de distinguer ces deux espè- ces de paralysie . On admettait, en effet, que l'hémiplégie hystéri
endus stigmates de l'hystérie, les circonstances dans lesquelles la paralysie avait pris naissance étaient les seules données p
ion car- diaque, n'ayant aucun trouble de la sensibilité et dont la paralysie n'avait pas été précédée de quelque émotion. In
ganique, des troubles vosomoteurs, de l'hypo- thermie du côté de la paralysie ; l'on était amené fatalement à en déduire que
e de ce terme). Ce sont des accidents tels que certaines espèces de paralysies , de contractures, d'anesthésies, etc., rangés,
er les principaux d'entre eux ; ce sont des crises convulsives, des paralysies , des contractures très variées quant à leur mod
es autres signes sont d'ordre négatif ; je dis, par exemple, qu'une paralysie est très vraisemblablement le résultat d'une su
i, sauf exception, accompagnent, en nombre plus ou moins grand, les paralysies ayant une autre origine. J'ajoute, par parenthè
ience que j'ai pratiquée le plus souvent avec succès dans le cas de paralysie brachiale d'origine suggestive : je soulève le
erte, ainsi que cela a lieu infailliblement à chaque essai dans les paralysies organiques, se maintient dans l'espace, à l'ins
nt concluante, et il me parait facile d'interpréter ce fait : cette paralysie d'origine suggestive, qui, comme je l'ai fait rem
entrée sur ce point ; celle-ci vient-elle à être mise en défaut, la paralysie disparaît ; en réalité, mon expérience est un p
procédé psychothérapique conduisant à une guérison momentanée de la paralysie et donnant à son évolution une marque toute par
ngement dans le cours des idées ? Le malade, cessant de penser à sa paralysie , recouvre tout natu- DÉMEMBREMENT DE L'HYSTÉRIE
ets suggestionnables, produire, par exemple, suivant mon désir, une paralysie limitée au bras ou occu- pant tout un côté du c
hystérie d'il y a vingt à vingt-cinq ans. Les grands accidents, ces paralysies , ces contrac- tures qui duraient des années et
s facile de faire disparaître par persuasion à l'état de veille une paralysie ou une contracture hystérique que d'hypnotiser
onné, aussi- tôt après la catastrophe, d'en voir un seul atteint de paralysie , de contrac- ture ou de crises convulsives. Les
ne crise convulsive; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de paralysie ou de contracture. Des enquêtes du même ordre o
jamais vu de phénomènes hystériques tels que crises, contractures, paralysie d'un ou plusieurs membres..le n'ai vu que des p
ler en opposition avec cette manière de voir. Il s'agit d'un cas de paralysie de la main, sans aucun signe dénotant l'existen
a guerre on paraissait avoir oublié complètement l'existence de ces paralysies amyotrophiques et de ces contractures dites réf
qui avaient été si bien décrites par Charcot et par Vulpian. Toute paralysie ou toute contracture ne présen- tant aucun des
peuvent aussi être observées dans le syndrome de Wolkmann, dans les paralysies et contrac- 1 tures d'ordre réflexe (Gougerot e
r ou d'abolir la réflectivité cutanée. TROUBLES DE LA FUTILITÉ. Paralysies hystériques. Les paralysies hystériques répondent
ité cutanée. TROUBLES DE LA FUTILITÉ. Paralysies hystériques. Les paralysies hystériques répondent aux types les plus variés
brachiales ou crurales. La plus fréquente de toutes ces formes de paralysie semble être la para- plégie. Elle se développe
ore des troubles moteurs simulant plus ou moins grossière- ment des paralysies du plexus brachial ou des paralysies radiales.
s ou moins grossière- ment des paralysies du plexus brachial ou des paralysies radiales. L'astasie-abasie, simple ou trépidant
u trépidante, avec les caractères classiques, ou d'autres formes de paralysies systématiques ne sont pas rares en neurologie d
ement dits, étaient le résultat de l'immobilisation produite par la paralysie ou la contracture et rentraient dans ce groupe
Nous nous contenterons de dire, et la suite le montrera, que si une paralysie hystérique peut provoquer une légère thermo-asy
ltéra- tions des empreintes digitales sont exceptionnelles dans les paralysies névrosiques. « On ne les constate jamais, ajout
rophiques des phanères (hyper ou hypotrychose) font défaut dans les paralysies dites fonction- nelles, exception faite pour le
é- nie. Il n'est pas rare d'observer des accidents hystériques, des paralysies , des contractures, diverses formes d'astasie-ab
véritable autonomie. Il s'agit de contractures ou d'hypertonies, de paralysies ou plutôt d'états parétiques qui se développent c
areil cas des contractures associées ou non à l'amyotrophie ou à la paralysie amyotrophique. L'exal- tation des réflexes para
Pour ce qui est de la persistance des accidents deuthéropathiques ( paralysie et atrophie) après la cessation de l'affection
une du concept hystérie. On avait décrit, autrefois, sous le nom de paralysies sympathiques tout un groupe assez hétéroclite d
nom de paralysies sympathiques tout un groupe assez hétéroclite de paralysies provoquées dans certaines régions du corps par
ion d'un organe qui en est plus ou moins éloigné. Ce sont ces mêmes paralysies que Graves et Brown-Séquard dénommèrent ultérie
s paralysies que Graves et Brown-Séquard dénommèrent ultérieurement paralysies réflexes, et que Jaccoud et Weir- Mitchell prop
es réflexes, et que Jaccoud et Weir- Mitchell proposèrent d'appeler paralysies d'origine périphérique ou para- lysies par irri
monie ; l'amaurose -consécutive aux contusions du nerf frontal; les paralysies du bras observées à la suite de plaies par arme
uel étaient tombées les observations anciennes de contracture et de paralysies amyotrophiques, dites réflexes, d'origine arti-
ppelait également, il y a quelques années, contrac- tures réflexes, paralysies réflexes, tremblement réflexes, une foule d'ac-
que. » Dès nos premières communications sur les contractures et les paralysies réflexes, nous insistions à nouveau sur l'impor
it encore les remarques suivantes (2) : « Je ne conteste pas qu'une paralysie pithiatique puisse déterminer, sous l'influence
ité fonctionnelle, de l'hypothermie, de la thermoasymétrie quand la paralysie est unilatérale, mais en pareil cas le trouble n'
nciennes. L'observation attentive d'un malade présentant un type de paralysie (') H. Meige, Mm° Ath. Bénisty et Mule G. Lévy,
es une orientation nouvelle Il s'agissait d'un blessé atteint d'une paralysie flasque de la main et des doigts consécutive à
qui égalait, si elle ne la dépassait, l'hypotonie observée dans les paralysies consécutives aux lésions des nerfs les plus pro
t Foix et de Sicard. Le rapprochement de ces diverses catégories de paralysies et de contractures, ayant toutes pour caractère
e les autres étaient de même nature. (') J. Babinski et J. Froment, Paralysie et hypolbonic réflexes avec surexcitabilité mécan
lte de ce qui précède que ces formes diverses de contractures et de paralysies observées pendant la guerre, sur la nature desque
Nous les avons décrites sous la dénomination de contractures et de paralysies ou de parésies d'ordre réflexe, parce qu'elles se
s ou de parésies d'ordre réflexe, parce qu'elles se rapprochent des paralysies amyotrophiques et des contractures, dites réfle
s fonctionnels. Les (') .J. Babinski et J. Froment, Contractures et paralysies traumatiques d'ordre réflexe. Presse Médicale,
roment et ,1. Heitz, Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies et les contractures d'ordre réflexe. Annales de
bre, notamment à son extrémité; il diffère par ces caractères de la paralysie ('-) ou de la contracture pithiatique qui est g
ou (') Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs ( paralysies et contractures) dits « fonctionnels et la cond
66 (conclusions). (2) Nous tenons à faire remarquer que le terme de paralysie qui dérive du mot grec 7tOtPC,),ÚElV (délier, r
ité quel qu'en soit le degré d'inlensité rentre dans le cadre de la paralysie . Cette observation a pour but de mettre le lect
matiques quelques types cliniques qui s'imposent à l'attention : la paralysie amyotrophique du quadriceps, la contracture des
travail suivant : Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies ou contractures d'ordre réflexe. Babinski, From
s contractures et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence. La surexcitabili
laxité articulaire. (') J. Babinski et J. Froment, Contractures et paralysies traumatiques d'ordre réflexe. Presse Médicale,
les (2). L'abolition du réflexe cutané plantaire, observée dans les paralysies consécutives au traumatisme, était considérée r
t Balba1ls, Troubles de la température locale 1\ propos d'un cas de paralysie , dite réflexe, du membre inférieur, Société de Ne
oclohre Igdi. ) IL Gougerot et A. Charpentier, Troubles réflexes et paralysies réflexes consécutifs aux bles- sures des extrém
Les rétractions sont exceptionnelles, au contraire, dans les cas de paralysie ou de contracture pithiatique et encore leur réal
parésies d'ordre réflexe. Elle fait défaut dans les contractures et paralysies hystériques pures. Les ongles aussi présenten
. . ASSOCIATIONS lIYSTÉRO-RÉFLEXES ET 013G : 1 ? '0-ILI'LEXES Les paralysies et les contractures liées à des lésions du systèm
euvent être reconnus. Si les diverses affections qui produisent des paralysies et des contractures se présentaient toujours à l'
oici ce qu'on observe : d'une part, dans le domaine du cubital, une paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles hyp
s hypothénar, adducteur du pouce et interosseux ; d'autre part, une paralysie incomplète des muscles de la main innervés par
ien des cas de lésion limi- tée au nerf radial, ayant déterminé une paralysie des extenseurs, on observe, outre une forte hyp
ération des réflexes osso-tendineux. Il est incontestable que cette paralysie est pour une part d'ordre réflexe ; toutefois,
onstaté jusqu'à présent de mono- plégie complète mais seulement des paralysies discrètes n'atteignant d'une manière notable qu
une parésie, à une méiopragie réflexe tenace on voit se joindre une paralysie hystérique intense mais pouvant rétrocéder promp-
ian, envisageant uniquement les cas d'amyotrophie simple et ceux de paralysie amyotrophique, et considérant l'exagération de
re une dépression de ces mêmes propriétés à laquelle se rattache la paralysie amyotrophique. » Il faut ajouter que ces deux m
vent se trouver combinés chez un même sujet. « Même dans les cas de paralysie amyotrophique, ajoute encore Charcot, du moins
flexes à proprement parler. Quoi qu'il en soit, qu'il s'agisse de paralysie flasque avec amyotrophie (') J.-M. Charcot, Leç
é tendineuse, dont Charcot avait déjà montré la fré- quence dans la paralysie amyotrophique réflexe, est encore plus commune
e sympathique. Quelle est la nature de ce trouble : s'agit-il d'une paralysie ? C'est une hypothèse qui ne paraît pas concili
is ce mécanisme doit être au moins exceptionnel. En effet, dans les paralysies et contractures que nous étudions, mis à part l
rologie, j'ai fait observer que les phénomènes décrits sous le nom de paralysies et contractures réflexes ne répondaient pas dan
accès de tétanie. De plus, comme dans les contractures et dans les paralysies réflexes, on a observé dans la tétanie l'exalta
7. (3) Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs ( paralysies et contractures) dits fonctionnels et sur la co
pondant à cette deuxième catégorie se pré- sentent sous l'aspect de paralysies ou de contractures, plus ou moins complètes, de
lades, les symptômes oculaires furent la névrite oedémateuse et une paralysie du moteur oculaire externe (2 fois la VIe paire
tir de DI. Après l'opération, pratiquée par de Martel, il y eut une paralysie des deux bras, mais rapidement la motilité du c
mbres inférieurs qui augmentèrent en raison de la progression de la paralysie ; ils s'étendirent aux muscles de la paroi abdo
nsité de la compression que traduisait sans doute l'intensité de la paralysie spasmodique en flexion permanente. 600 THÉRAPEU
pouvait déjà exécuter quelques mouvements, tandis que jusque-là la paralysie avait été totale. Après plusieurs mois, la guéris
fait méritait d'être rapporté. VII DE LA RADIOTHÉRAPIE DANS LES PARALYSIES SPASMODIQUES SPINALES IJ. Babinski.] Publié
aux de Paris, séance du 3o novembre igo6). RADIOTHÉRAPIE DANS LES PARALYSIES SPASMODIQUES S Giâ le faisceau pyramidal n'est
blables aux miens. Je présente maintenant un autre sujet atteint de paralysie spasmodique d'origine spinale, que j'ai soumis
tinue sans cesse à s'aggraver et dans le courant du mois de mars la paralysie des membres inférieurs devient complète. Elle e
uis. Jusqu'au commencement d'octobre il n'y a aucun changement : la paralysie reste complète. Le 2 octobre on observe quelq
sa fortune à des oeuvres philanthropiques. RADIOTHÉRAPIE DANS. LES PARALYSIES SPASMODIQUES (il;) la 2e lombaire. D'ailleurs à
aible que la gauche. J'ajoute que la démarche n'est pas celle de la paralysie spasmodique commune, car la pointe du pied se sou
, en dehors du mal de Pott et de la syphilis, on n'observe guère de paralysie spasmodique qui, après avoir atteint un pareil de
e Biologie, 20 février 1886). ib. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Archives de Neurologie, 1886, nos
ation avec Onanoff. Société de Biologie, r février 1888). 22. De la paralysie pyocyanique. Etude anatomique et clinique (en col
avec Desnos. Société médicale des Hôpitaux, 8 juillet 1892). 34. Paralysie hystérique systématique. Paralysie partielle ou s
Hôpitaux, 8 juillet 1892). 34. Paralysie hystérique systématique. Paralysie partielle ou systématique des fonc- tions motri
ue des fonc- tions motrices du membre inférieur gauche (Id.). 35. Paralysie hystérique systématique. Paralysie faciale hystér
mbre inférieur gauche (Id.). 35. Paralysie hystérique systématique. Paralysie faciale hystérique (Id., 4 novembre 1892). 36
et dans d'autres états pathologiques (Id., 2 décembre 1892). 38. Paralysie faciale hystérique (Id., 16 décembre 1892). 39.
tié. Gazette des Hôpitaux, numéros des 5 et 8 mai igoo). 60. Sur la paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux (S
Hôpi- taux, 21 février rgo3). 9 I. Lymphocytose dans le tabes et paralysie générale (Société de Neurologie, 5 mars 1903. 1
(ld., Ier décembre tgo4). 1 l 1. Hémiplégie spasmodique infantile. Paralysie post-spasmodique (Id.). 112. Cyanose des rétine
bre igo5). 121. Hyperexcitabilité électrique du nerf facial dans la paralysie faciale (Société de Neurologie, g novembre igo5
ie cérébelleuse (Société de Neurologie, 5 juillet igo6). 127. De la paralysie par compression du faisceau pyramidal, sans dégén
ologie de Paris, 7 février 1907). 133. De la radiothérapie dans les paralysies spasmodiques spinales (Société médicale des Hôp
a persistance de zones sensibles à topograpgie radiculaire dans les paralysies médullaires avec anesthésie (en collaboration ave
de guerre (Société de Neurologie, 7 janvier rgr5). 21 : 1. De la paralysie radiale due à la compression du nerf par les béqu
Société médicale des Hôpitaux, 5 mai 1916). 236. Contractures et paralysies d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment. R
LIOGRAPHIQUE 63t 1 24 1 Des troubles moteurs et thermiques dans les paralysies et la contracture d'ordre réflexe (en collabora
s résection d'un anévrisme axillaire chez un blessé, présentant une paralysie complète du plexus brachial du même côté (en co
rganique et sans dégénération du système pyramidal 315 III. De la paralysie par compression du faisceau pyramidal sans dégéné
e des rayons T............... 606 VII. De la radiothérapie dans les paralysies spasmodiques spinales 612 viii. - Radiothérapie
17 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'aliénation mentale ou de certaines névroses, comme l'épilepsie, la paralysie agitante, etc. , sont aussi du domaine de la ne
sen- soriels, les phénomènes d'ordre somatique prédomi- nent. La paralysie générale constitue en quelque sorte une transit
il faut être doué d'une irritabilité spéciale. D'ailleurs, si la paralysie générale n'a que des rapports de parenté peu ma
italité, etc.), admettent 1 Doutrehente. - Note sur la marche de la paralysie générale citez 1rs héréditaires. (Ann. méd.psyc
1833, p. 401, 405, 428.) LA FAMILLE N1 : \'ROP.ITIIfIUr. 9 que la paralysie générale n'est point de la famille des vésanies
s convulsions, l'hystérie, l'idiotie, l'épilepsie, le strabisme, la paralysie , les névralgies, les fièvres cérébrales, l'apop
la chorée', ces troubles mentaux sont loin d'être rares. Dans la paralysie agitante, Patrick, Lorain, Lasègue, mais surtou
est un proche parent de la famille névropathique. D'autres fois, la paralysie agitante se transforme elle- même en d'autres a
ans, ISS3.) 2 ? PATHOLOGIE GÉNÉRALE. Observation XXII. - mye P... Paralysie agitante. Fille aliénée (atteinte avant sa mère
Observation XXIII. Dr X..., paralytique général.- Père atteint de paralysie agitante. Observation XXIV.-I..., quarante-sept
t de paralysie agitante. Observation XXIV.-I..., quarante-sept ans. Paralysie agitante. - Oncle maternel aliéné (manie aiguë)
r de phénomènes épileptiformes ou marquer la première période de la paralysie générale ou de l'ataxie locomotrice (Charcot) '
Magnan, etc., etc., ont montré ses connexions fré- quentes avec la paralysie générale avec laquelle elle semble se confondre
le semble se confondre. Mais, en dehors de sa combinaison avec la paralysie générale, on a depuis longtemps signalé des tro
s accès maniaques ayant duré cinq ou six mois. Un frère est mort de paralysie générale, un autre a été hypocondriaque. Obse
ion XXXVIII. Trima S..., ataxique. - Frère mort à trente-six ans de paralysie générale. Observation XXXIX. M. X... de .\I...)
ychyques avait du reste déjà été notée par Thomsen lui-même 3. La paralysie atrophique de l'infance affecte aussi des liens
t s'associer à des troubles mentaux 6. Observation LIX. - M. D... Paralysie infantile à dix-huit ans. Père aliéné. Grand-pè
I, 1879, p. iS.) 38 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. Observation LX1. M. D... Paralysie spinale de l'adulte. - Mère, plusieurs accès de
e vient d'être pris à trente-cinq ans d'une paraplégie subito. La paralysie pseuclo-lael°ti°uphiue, dont l'hérédité a été m
oeur avait eu des convulsions et un frère commençait à être pris de paralysie pseudo-hypertrophique. Plus Grasset. - Truite d
erveux, 2- édit., p. 431. 1. 'Gowers. Pseudo-hyperlrophzc 1nuscutw' paralysies . London, 1879, p. 21. 3 Mahot. - De la paraly
ophzc 1nuscutw' paralysies. London, 1879, p. 21. 3 Mahot. - De la paralysie pseudo-hypertrophique. Thèse, 1877, p. 17. 1877
ent intellectuel et même l'imbécillité' chez les sujets atteints de paralysie pseudo-hypertrophique ; c'est sur cette coïncid
ptionnelle qu'elle ne le paraît. Observation LXIV. D..., vingt ans, paralysie pseudo- hypertrophique. - Son grand-père et un
été atteints de tremblements ( ? ). Oncle maternel migraineux. La paralysie labio-glosso-laryngée peut être aussi rattachée
rattachée à la famille. Observation L1V. - 111. X..., atteint de paralysie labio- gtosso-laryngée. Frère mélancolique. Niè
lle et Brissaud. D'autres se rapprochent des troubles mentaux de la paralysie [générale et peuvent s'expliquer par ce fait qu
peut encore souvent être édifié sur les maladies de la moelle, les paralysies , les convulsions de l'en- fance, etc., un certa
nature à jeter quelque jour sur la question. II. Observation. - Paralysie spasmodique des quatre membres. - Douleurs au n
tômes sont rares, fugaces et légers. b) l11otitité, II existe une paralysie très avancée des membres supérieurs et inférieu
t il n'est pas possible à la malade de se servir de ses mains. La paralysie des membres est une paralysie spasmodique. La c
alade de se servir de ses mains. La paralysie des membres est une paralysie spasmodique. La contracture n'est pas assez pro
x qui dé- pendaient de la lésion du cordon latéral, à savoir : la paralysie avec contracture des quatre membres, et l'exagé
nt : 1° anesthésie plan- taire, diminution du sens musculaire, puis paralysie de la vessie; 2° contracture en flexion des mem
qu'il n'y a jamais eu d'anesthésie, jamais nous n'avons constaté de paralysie . Toutefois, à différentes reprises et pendant t
à six heures par jour. A la suite, on s'est aperçu qu'il avait une paralysie du côté gauche; on assure que « les mouvements
e connaissance. Ce qui manque à cette épilepsie partielle, c'est la paralysie post- épileptique et l'élévation de température
e calme de la malade dans les inter- valles des accès, l'absence de paralysie post-épileptique et surtout t l'absence d'éléva
la plus grande valeur : l'absence d'élévation de température et de paralysie excluait l'idée du mal comitial ou d'épilepsie
bre considérable des attaques, compatible avec la vie, l'absence de paralysie localisée, à la suite de ces attaques, l'appari
par,l'iu- fluence indirecte du traumatisme sur cette partie. Une paralysie immédiate du bulbe semble, d'après le résultat
cou- rant de l'année, plusieurs cas de troubles de la parole, par paralysie des muscles articulateurs, dépendant soit d'une
travail se divise en quatre parties. Les troubles de la parole par paralysie des muscles articu- lateurs peuvent, en effet,
s, les lésions des centres oro-linguaux ne provoqueraient pas une paralysie complète, mais seulement une légère faiblesse u
ale ascendante, elle détermine de la glossoplégie, c'est-à-dire une paralysie des muscles articulateurs. La localisation anat
p. 23). Lé- sion traumatique étendue, par une balle de revolver; paralysie faciale à gauche et difficulté pour sortir la l
re et d'hypertrophie du coeur; il est frappé, après une attaque, de paralysie de la langue. La langue avait conservé son aspe
bout de la langue pouvait alors être déglutie facile- ment. Aucune paralysie appréciable dans les membres. L'action des musc
ard, monoplégie brachio-faciale gauche. Il y avait alors aphasie et paralysie de tous les mouvements volontaires de la bouche
lant celui de la para- lysie labio-g lasso-laryngée. Ces faits de paralysie labio-glosso-laryngée d'origine cérébrale ont é
s ajouter le cas cité plus haut de Barlow qui est un bel exemple de paralysie glosso-labiée corticale, et un cas nouveau que
de tous ces faits : Observation 1 (recueillie par M. Oulmont). - Paralysie glosso-labiée. Lésion des deux noyaux lenticula
s bords postérieurs. Observation II (recueillie par M'. Oulmont). - Paralysie glosso-labiée. Foyers ocreux dans la queue des
ours d'aucun ren- seignement. Ce qui frappe tout d'abord, c'est une paralysie faciale, localisée à la moitié inférieure de la
entend un peu, quand on crie très fort près de son oreille. Aucune paralysie des membres, motrice ou sensitive. La malade se
t contient un liquide lactescent. Observation III (déjà citée). - Paralysie glosso-labiée corti- cale et aphasie. (Barlow.
B/'ilish med. Journal, 1877.) Pendant la vie, aphasie, symptômes de paralysie glosso- labiée, monoplégie brachio-faciale gauc
postérieure des frontales moyenne et inférieure. Observation IV. - Paralysie glosso-labiée ; lésion superficielle du lobe mo
et résumée. Femme de vingt-cinq ans. Début brusque. Symptômes de paralysie glosso-labiée. Autopsie. - (Froriep.) Dans l'hé
ce interne était tapissée par une membrane jaune. Observation V ? Paralysie Inbi()-gloss()-phaJ',1/lIgée d'origine cérébral
er a prouvé l'intégrité absolue de ces parties. Observation VI. - Paralysie pseudo-bulbaire par lésion cÙé- branle bilatéra
fection en 1817 : perte de connaissance qui dure trois heures, puis paralysie du côté gauche (jambe, bras et face). Pendant t
dans sa moitié externe el sur toute sa longueur. Observation VII. Paralysie glosso-labiée à forme pseudo- bulbaire. - Lésio
on. Quant aux liquides, ils sont souvent rejetés par le nez. Pas de paralysie faciale. Pas de troubles du côté des sens spéci
roubles du côté des sens spéciaux (vue, ouïe, goût, odorat). Pas de paralysie de l'orbicu- laire des paupières ni des muscles
er, si ce n'est un affaiblisse- ment général ; mais il n'y a pas de paralysie proprement dite, et le malade peut faire tous l
Pendant son séjour dans nos salles, nous n'avons constaté que cette paralysie des lèvres, de la langue et du voile du palais.
Dans tous ces faits, nous relevons les principaux symptômes de la paralysie buib'aire' progressive, a savoir : la paralysie
x symptômes de la paralysie buib'aire' progressive, a savoir : la paralysie de la langue, des lèvres et du voite du palais.
7<m reiitiel ? 1 ' , , . , ' , lmi , y S ? lv\i ')·tyw Dans la paralysie glo5so.1abiée cérébrale, le début ? F5 ..nt ,.y v
' d'b'" .d' \ 1"1111 ? 'l' . en un mot, dans te mode de début de ia paralysie , ...1,¡ ? It ? I.t' tf P'. i· 111 f si dR'1"11
n 1 t "'(tun'tI ? L ? 11nt de Duchéune; de pltis, dans celle-cI, la paralysie est t . % . 6 , %tè 0 t,. 1 1'T't ? {rv f".J"j
"I ' "Ilff'l'oi ? c l ;14/1 DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 1115 La paralysie glosso-labiée d'origine cérébrale,'une fois con
constituée, trois particularités serviront à la dis- tinguer de la paralysie bulbaire progressive : la con- servation des ré
phiés, et la contractilité électrique est affaiblie; dans un cas de paralysie bulbaire progressive, Erb a même trouvé les sig
ni ( il, e Cil l' .. i. «j m .1 Enfin, de même qu'il existe dans la paralysie glosso- 1 ... JI' 1 ? t 1 t ( t labiée d'orig
III" 1 Il 1 Ir. 1 ! t J, l' tomes cérébraux qui font défaut dans la paralysie bul- baire progressive, de même il existe dans
J" t'd ci- »< - ' , t , J r , ? syncopale,. tandis que, dans la paralysie glosso-labiée am, '" l ,\, \. 1 - \ . d'origi
se donner lieu aux symptômes de la ii-ni "]* Ot ' u . i'i J t * z paralysie glosso-labiée ; mais, de' fait, ainsi que le ,
ré plus ou moins prononcé, 166 PATHOLOGIE NERVEUSE. des signes de paralysie glosso-labiée. Qu'on suppose une lésion de l'hé
para- lysie de certains muscles du côté gauche de la langue, une paralysie du facial inférieur, une difficulté plus ou moi
es lésions du cerveau susceptibles de donner lieu au syndrome de la paralysie glosso- labiée ? A ce point de vue, les faits
ait celui de Rosenthal également cité plus haut : pen- dant la vie, paralysie de la langue, parole et dégluti- tion très diff
e. Il est à remarquer que le cas de Ma- gnus est le premier fait de paralysie glosso-labiée ccre- , braIe produite par une lé
frontale ascendante) se traduisent par le syndrome clinique de la paralysie labio-glosso-laryngée. Le faisceau frontal infé
lésions de ce faisceau, qui donnent lieu au tableau clinique de la paralysie glosso-labiée, sont le plus souvent bilatérales
nc- tions sont abolies, et alors apparaissent les symptômes de la paralysie glosso-labiée. Ce mémoire était à l'impression
même sujet. Le travail de Ross contient quelques faits nouveaux de paralysie glosso-labiée céré- brale, dont nous allons don
e dissiminée ayant présenté pendant la vie tous les symptômes d'une paralysie bulbaire progressive. A l'autopsie, pas de lési
s infé- rieurs, et articulation des mots de plus en plus difficile. Paralysie faciale inférieure double, parole à peu près in
avec perte de connaissance incomplète, à laquelle avait succédé une paralysie du membre supérieur droit, et la perte de la pa
ombilic, incontinence d'urine et des matières, es- chare au sacrum. Paralysie faciale inférieure droite (l'orbicu- laire para
faciale inférieure droite (l'orbicu- laire parait atteint). Pas de paralysie linguale. Le malade prononce bien les syllabes
n'est pas spécial aux goutteux, on le rencontre quelquefois dans la paralysie générale; 1 A. Mossé. - Contribution Il l'étude
une fois la combinaison chez le même individu de la goutte et de la paralysie agi- tante. Observation LXXVII. M. J. G..., q
hirondel a noté plusieurs fois la coexistence de la goutte et de la paralysie agitante dans la même famille. Parmi les trou
ons momen- tanées du côté droit de la face. Garrod cite un cas de paralysie faciale ayant cessé au moment où apparaissait u
urtout lieu aux formes aiguës, surtout à la manie, quelquefois à la paralysie générale (Rayner). Dans la goutte chronique, on
montré un malade chez lequel la goutte paraît avoir fait place à la paralysie générale. Observation LXXVIII. - M. A..., cinqu
pleurésie, tel autre d'un rhumatisme articulaire , tel autre d'une paralysie faciale, tel autre d'une sciatique, etc., la mê
lade du service de M. Alillard à l'hôpital Lariboisière, atteint de paralysie bulbaire avec hémialrophie de la langue, dans l
est parfaitement caractérisée; incoordination des mouvements sans paralysie ni contracture. A l'entrée du malade à l'hôpita
été paralysée à gauche, le sens de l'ouïe a été aboli du même côté ( paralysie de la septième paire). - En même temps est surv
rvenue de la diplopie, avec strabisme interne de l'oeil gauche, par paralysie du moteur oculaire externe. La pointe de la lan
s qu'on lui disait être de nature rhumatismale. Un peu plus tard, paralysie de la jambe droite survenue brusquement. Un t
peu d'atrophie des deux papilles plus prononcée à gauche, et une paralysie des muscles droit interne et externe des deux côt
ée; - suppression des réflexes rotulif'ns : - symptômes oculaires : paralysie incomplète delà DE LHL·'.\I1.\'l'IWPIIIC DE L\
noté, c'est la coïncidence avec"lav lésion1 des muscles linguaux de paralysies oculaires. Dans le cas de M. Cuffer on voit sig
est vrai, des troubles de la vision;' dans celui' de M. Vidal, une paralysie de la sixième paire.'1 Chez la malade Leisier,
lle qu'elle est aujourd'hui généralement ad- mise. Et, en fait, les paralysies oculaires ont toujours semblé d'une interprétat
ée, comme on dit souvent. Aussi a-t- il fallu pour qu'on comprît la paralysie glosso-labio- laryngée, par exemple, qu'on la r
'incoordination motrice étant, bien en- tendu, mise à part- soit de paralysies , soit d'atrophies. Les paralysies sont plus co
n- tendu, mise à part- soit de paralysies , soit d'atrophies. Les paralysies sont plus communes dans l'ataxie qu'on ne l'ava
un certain nombre et nous-mêmes en avons observé plusieurs cas. Ces paralysies sont très variables quant à leur siège et à leu
affaire à une véritable hémiplégie (De- bove, Pierret, Vidal). Ces paralysies complètes ou incomplètes, quant à leur degré, s
ents est encore très obs- cure. M. Pierret pense qu'il s'agit là de paralysies réflexes. « Les expériences de Harless Cyon, di
ent beaucoup de leur irritabilité. D'un autre côté, l'existence des paralysies réflexes, si bien indiquées par M. Brown-Sequar
ve sa démonstration dans l'étude clinique des malades atteints de paralysie , et dans quelques faits anatomo- pathologiques.
d'admission à l'hospice de la Salpêtrière porte comme diagnostic : Paralysie de la partie inférieure des jam- bes... Au lit,
me sensitif, je veux dire des cordons postérieurs. Eh bien ! si les paralysies qui se produisent dans le domaine de l'innervat
'observait déjà M. Pierret en 1876, qu'il en est de même pour les paralysies bulbaires. Ces dernières peuvent intéresser les
trijumeau, par les troisième, quatrième et sixième paires; de là la paralysie possible de l'azygos de la luette (Pierret, Vid
SE. des muscles oculaires qui sont de notion vulgaire. Toutes ces paralysies , comme celles des membres, sont, par essence, l
ROPIIIr nE LA LANGUE. 1217 phiques bulbaires (atrophie delà langue, paralysie des muscles oculaires, etc.), on se livre à une
qui viennent le voir, leur témoigne gratitude et affection. Aucune paralysie . Au- cune attaque épileptiforme ? 1 j. " , 29
ou la contracture des sphincters, soit, et le plus souvent, par la paralysie des fibres propres de la vessie. La rétention
e, on évacue encore une cer- taine quantité d'urine. Quelquefois la paralysie de la vessie se traduit par une grande difficul
igueur, même quand il se fait par l'intermédiaire d'une sonde. La paralysie de la vessie s'accompagne fréquemment de la per
2-opltique, ces fonc- tions sont aussi indemnes. La rétention par paralysie se rencontre encore dans quelques affections tr
minant dans certains cas où la vessie est très atteinte bien que la paralysie des membres inférieurs soit peu prononcée relat
tre d'exception que l'on observe l'impuissance de la vessie dans la paralysie diphthérilique ; et on ne la signale guère dans
alysie diphthérilique ; et on ne la signale guère dans le cours des paralysies toxiques. La rétention par spasme des sphincter
nes conditions et en particulier dans l'ataxie locomotrice, dans la paralysie générale, dans quelques 1 M. Van Lair cite (Sym
aire. Dans les myélites transverses, l'anesthésie s'ac- compagne de paralysie de la vessie ou des sphincters, suivant le sièg
istent d'une ma- nière continue dans aucune affection cérébrale; la paralysie générale des aliénés, qui parait dans certains
rdons latéraux, ni dans la sclérose latérale amyotrophique, dans la paralysie infantile, dans la paralysie spinale de l'adult
lérose latérale amyotrophique, dans la paralysie infantile, dans la paralysie spinale de l'adulte, dans l'atrophie musculaire
pinale de l'adulte, dans l'atrophie musculaire progressive, dans la paralysie générale spinale, et, en particulier, dans la v
la paralysie générale spinale, et, en particulier, dans la variété paralysie générale spinale antérieure subaiguë de Duchenn
pondant à la 0 élexe de grave. b) Dans d'autres cas, répondant à la paralysie réflexe de. Brown-Séquard, les symptômes sont b
dans l'affection des voies urinaires (Charcot). On a expliqué ces paralysies réflexes par un phénomène d'arrêt dû à l'irritati
es sujets nerveux; il est per- mis de comparer quelques-unes de ces paralysies aux paraly- sies qui se développent chez les hy
'urine' se présente à des degrés très divers suivant le degré de la paralysie vésicale elle-même fort va- riable. Certains ma
e n'est point spécial à l'ataxie, mais peut se ren- contrer dans la paralysie générale et dans certains cas de tu- meurs du m
ntion complète. Ce dernier mode d'apparition n'est pas spécial à la paralysie vésicale, or sait qu'il existe un certain nombr
es périodes, ces troubles sont t transitoires au même degré que les paralysies oculaires, les phénomènes laryngés, etc. Il peu
itation. Dans l'année 1882 (deux années après), il était pris d'une paralysie des deux membres inférieurs, qui a disparu après
t facile et régulière, sans aucune espèce de boiterie. G. D. VII. Paralysie saturnine DES EXTENSEURS DR la main par INTOXICA-
servation est intéressante en raison de la cause qui a déterminé la paralysie . - Le malade ayant renversé, par mégarde, un to
ation géné- rale. G. D. 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VIII. Paralysie DIPHTHERITIQUR; par M. DAMASCHINO. (Journal de mé
chirurgie pratiques, t. LUI, 1882.) L'auteur rapporte quatre cas de paralysie diphthéritique : deux d'entre elles restèrent l
qui, trois fois dans le cours de la même année, fut atteinte d'une paralysie des membres inférieurs, qui survint et disparut
membres inférieurs, qui survint et disparut brusquement. G. D. X. Paralysie PSEUDO-HYPERTROPHIQUE; par M. DAMASCHINO. (Jour
suite de cet accident on observa une perte de connaissance, et une paralysie de la motilité et de la sensibilité de tout le cô
une éruption furonculeuse. Un mois après le début des acci- dents, paralysie de l'oculo-moteur externe gauche, parésie légère
troubles circulatoires graves, collapsus sans délire), il admet une paralysie du coeur dont la fibre musculaire est dégénérée
es signalé des faits du même genre " CH. F. XVIII. GOITRR. Mort par paralysie des coudes vocales; par J. SElTZ. (c'angenbcc/¡
z les rejette absolument, pour admettre qu'il n'a pu y avoir qu'une paralysie des récurrents; bien qu'il n'y ait pas eu d'exa
eur, l'ataxie est proche parente des vésanies, de l'hystérie, de la paralysie générale, du mal comitial; à quelques égards, e
tielle. Car, d'une part, on pourrait soutenir que les lésions de la paralysie gé- nérale, lorsqu'elles se manifestent en même
e la diffusion de ces dernières à l'encéphale, etque par conséquent paralysie générale et ataxie ne sont pas, dans l'espèce,
e. Mais il est bon nombre de troubles nerveux autres que ceux de la paralysie générale qui viennent, dans certains cas, se su
Larclicr qui soutenait que dans les lé- sions protubérantielles la paralysie de la face siège du même côté que la paralysie
protubérantielles la paralysie de la face siège du même côté que la paralysie des membres, on admet généralement depuis le sa
es membres, on admet généralement depuis le savait de Gubler que la paralysie est alterne. M. Rondot a réuni à un cas personn
u sans ictus par une impotence graduelle et unilatérale. Tantôt, la paralysie d'emblée complète et unilaté- rale a compris en
du côté opposé une hémiplégie des membres et de la face. - Celte paralysie moins intense habituellement à la face qu'aux mem
nce, grise interposés entre les fibres motrices. 1 CH. F. IV. Des paralysies chez les choréiques ; par G. OLLIVE. Thèse de P
ques ; par G. OLLIVE. Thèse de Paris, 1883. Sous le titre : « Des paralysies chez les choréiques» (Charcot), M. Ollive décri
ysies chez les choréiques» (Charcot), M. Ollive décrit une forme de paralysie assez rare qui a été dési- gnée sous les noms d
e des mouvements, mais à l'affaiblissement musculaire; peu à peu la paralysie toujours flasque se complète et peut se général
accompagnée ordinai- rement -de légers mouvements choréiformes. La paralysie qui se développe dans' le cours' ou. la fin de
r les convulsions. Dans tous lés cas,'le pronostic est bénin; cette paralysie guérit tou- jours. M. Ollive préconise le trait
a mort dans la chorée; par Il.\NNEQUIN. Thèse de Paris. 1883. - 1 Paralysie glosso-labiée cérébrale; par PuicA. Thèse de Pa-
(faisceau géniculé) se rencontreraient dans les cas d'aphasie, de paralysie des muscles de la langue, de la face, du voile du
viée à gauche. Face paralysée incomplè- tement. Pupilles sensibles. Paralysie complète du bras et de la jambe. L'articulation
, nouvelle attaque avec perte de connaissance et accentuation de la paralysie à gauche. Etat actuel. Malade très affaissé au
de trouve parfaitement les mots dont il a besoin pour s'exprimer. Paralysie légère du voile du palais (rejet des aliments par
s (rejet des aliments parles fosses nasales et nasonnement). Pas de paralysie des lèvres, ni de salivation. Gêne de la déglut
ité. Pas de troubles de la vue, de l'ouïe, ni de l'odorat. Pas de paralysie des muscles de l'oeil. Rien du côté du facial sup
paralysie des muscles de l'oeil. Rien du côté du facial supérieur. Paralysie faciale inférieure gauche. Réflexes conservés,
. Pas d'atrophie des muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE. Paralysie légère du bras gauche, qui peut encore faire qu
ctilité faradique. Pas de contractures ni de troubles trophiques. Paralysie complète de la jambe gauche. - Pas de troubles
e, ni albumine dans l'urine. Yers le 15 janvier, on remarque que la paralysie s'accentue davantage à gauche. Le bras est deve
et inférieurs; le facial inférieur droit étant peu atteint). Cette paralysie est complète, flasque, sans convul- sions, ni c
s. Yeux convulsés en haut et à gauche, sans déviation de la tête. Paralysie faciale inférieure droite. Résolution des membres
à gauche. Observation IV. Embarras de la parole par glossoplégie. Paralysie incomplète du voile du palais. Foyer de ra- mol
vec peine et le malade ne peut ni souffler une bougie ni siffler. Paralysie incomplète du voile du palais; nasonnement et r
ganes des sens, du facial supérieur et des muscles des yeux. Pas de paralysie des membres. Mort par épanchement pleural. A
nce. (7 ? 11.) Dans ces trois observations se trouve signalée une paralysie de la langue, avec troubles dans l'articulation
n II, cette glossoplégie s'accompagne de gêne de la déglutition, de paralysie incomplète du voile du palais et d'hémiplégie p
semble clinique qui rappelle jusqu'à un certain point celui de la paralysie glossolabiée. Les symptômes rele- vés dans l'Ob
dernière affection, puisqu'en même temps que la glossoplégie et la paralysie du voile du palais, il est dit que « les lèvres
d deux observations d'affection de la moelle, caractérisées par une paralysie des quatre extrémités, dans lesquelles le phéno
ance de l'entrecroisement inférieur des pyra- mides. Ma)grece)a, la paralysie se limita pendant la vie au domaine du facial d
tration de la région du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE paralysie combinée DU bras ET DE l'épaule, DE EAB; par Os
dont les lésions sont localisées aux cornes grises antérieures, la paralysie infantile, la paralysie spinale de l'adulte, l'
ocalisées aux cornes grises antérieures, la paralysie infantile, la paralysie spinale de l'adulte, l'atrophie musculaire prog
ogressive, laparalysie-labio-glosso- laryngée et peut-être aussi la paralysie générale spinale subaiguè de Duchenne, constitu
se borneà l'un des côtés. Famille d'épileptiques jusqu'au bisaïeul. Paralysie spinale spasmodique chez le père. II. Enfant de
éflexes dans les deux jambes, sans ataxie ni signe deRomberg, de la paralysie vésico- rectale, enfin des élancements avec con
ois observations avec autopsie finement détaillées : Observation I. Paralysie des extrémités du côté droit avec convulsions d
II. Céphalalgie. Vomissements. Convulsions (emprostl1otonos). Puis, paralysie de l'oculo-moteur ex terne gauche et de la moit
articulaires (résorption molécule à molécule); les autres, de la paralysie et des contractions des muscles périartieutaires
ion a l'étude des localisations spiniles (Autopsie ' d'une ancienne paralysie infantile avec atrophie très localisée) ; z par
Femme de vingt-cinq ans. morte plithisique, avait, à la suite d'une paralysie atrophique de l'enfance, une atrophie considérabl
et hypothénar et des muscles inter- osseux de la main droite, avec paralysie de ces mêmes muscles ¡ '1'101' photolithogT1phi
ose à des troubles intellectuels comme l'ont observé M. Lancereaux ( paralysie toxique) et Kirchgasser (de Cologne). Ce dernie
aussi la possibi- lité de l'action du froid sur la production de la paralysie géné- rale ; mais qu'elle réserve propos de la
'établissement exposé par lui. M. Westphal prend la parole sur la paralysie progressive de la totalité des muscles de l'oei
oelle. L'auteur en met sous les yeux de ses confrères trois cas. La paralysie progressive des muscles oculaires s'effectua le
s nerfs crâniens se trouvent égale- ment pris, comme le démontre la paralysie des muscles de la bouche, de la langue, du voil
nquième paire. Troubles de la parole se rappro- chant de ceux de la paralysie bulbaire sans en présenter tous les caractères.
urs communs, pathétiques des deux côtés. Sur trente-deux faits de paralysie de tous les muscles de l'oeil, dont six observés
e décider si Il utchinson a eu raison d'attribuer le syndrome de la paralysie oculaire progressive (ophthalmoplégie externe de
mais il niait obstinément avoir jamais été infecté. Conclusions. La paralysie progressive de tous les muscles de l'oeil, qui
ui peut également s'allier à l'impotence des muscles touchés par la paralysie bulbaire, est en rapport d'une part avec une af
cide osmique, puis ammoniaque). L'auteur a actuellement neuf cas de paralysie générale examinés par ce procédé dans lesquels,
cas, cette destruction a été constatée à des stades précoces de la paralysie générale, avant même que la né- vroglie ait pré
use en général. En admettant même que cette constalation regarde la paralysie générale seule, voudrait-elle dire que l'atroph
lytique. Quant à l'encéphalite, elle manque dans les cas récents de paralysie générale, tandis qu'elle existe de concert avec
aussi, que l'encéphalite interstitielle soit caractéristique de la paralysie générale. Elle peut faire défaut si complètemen
ssivement enfanté un genre différent d'anatomie microscopique de la paralysie générale (exsudat visqueux de Rokitansky;- hyper-
tient son opinion. L'encéphalite interstitielle est la lésion de la paralysie générale, ce qui ne veut pas dire que d'autres
pathologiques ne puissent se traduire par le tableau clinique de la paralysie générale, mais le rapport est exact. Il en appe
nées, il a examiné tous les cerveaux de paralysés généraux. Dans la paralysie générale récente, il a toujours trouvé des foyers
a vu chez Flechsig de ces foyers, qu'il regarde comme propres à la paralysie générale. M. llITZIG (de Halle) ne partage pas
diverses préparations l'on puisse dire; cette pièce provient d'une paralysie générale, celte autre n'en provient pas. La sec
s groupes de petites cellules et les manifestations cliniques de la paralysie générale. Mais l'origine de ces désordres doit
à dégager la nature interstitielle du processus. Au reste, pour la paralysie générale, de même que pour le mal de Bright, il
ARNDT (de Greisswald). S'il est vrai que dans la plupart des cas de paralysie générale, on constate un processus inflammatoire
ques (anévrysmes) avaient probablement été le point de départ de la paralysie générale. L'inflammation doit être écartée dans
uve par conséquent rien en faveur de la théorie inflammatoire de Ja paralysie générale. Sans doute la paralysie progressive p
de la théorie inflammatoire de Ja paralysie générale. Sans doute la paralysie progressive peut avoir une genèse multiple, mai
nt anatomique dont il gagne toujours le même bord. De même, dans la paralysie générale, certaines cellules gan- glionnaires o
es cel- lules malades ne se colorent qu'à moitié. Enfin, au lieu de paralysie SOCIETES SAVANTES. 37 1 générale, il faut dir
lieu de paralysie SOCIETES SAVANTES. 37 1 générale, il faut dire paralysie progressive, et savoirque le cerveau du paralyt
atrophie fondamentale des éléments corticaux. Tuczek a raison. La paralysie générale résulte, au fond, d'une anomalie dans l'
destruction du noyau len tll'U lai l'e sont caraclérisées pal' une paralysie plus marquée du membre supérieur que du membre
alysie plus marquée du membre supérieur que du membre inférieur; la paralysie du membre inférieur serait, dans l'espèce, plut
un rapport fixe entre l'état de l'oeil et la durée, la marche de la paralysie générale; loin de là, souvent l'atrophie pa- pi
hthahnoscope est impuissant à lui seul à donner le diagnostic de la paralysie pro- gressive, il nous apprend que l'état troub
erveux central d'un homme ayant succombé à la forme tabétique de la paralysie générale progressive (voy. l'observation dans les
, des vertiges, le mal de tête, de la spermatorrlcée, leçons sur la paralysie générale, de l'épilepsie par malformation du cr
. De l'hérédité morbide et de ses manifestations vésaniques dans la paralysie générale, par S lurON. Thèse de Paris, 1883. Da
ts symptomatiques nécessaires de la maladie sont la dé- mence et la paralysie , et que le délire n'est qu'accessoire. Le dé- l
taires ou personnels. Le délire qui peut précéder l'invasion de la paralysie générale revêt les caractères de la vésanie pure,
ne rémis- sion apparente. Ca. F. Baillarger. Sur la théorie de la paralysie générale, etc. (Ann. méd. psych. 1883.) 396 I
iphériques dans les entorses et en particulier des atrophies et des paralysies musculaires ; par ANTELMY. Thèse de Paris, 1884
1 I-)5 ; (sur la commotion du), par Ttlmus. 135. Choréiques(des paralysies chez les), par Ollive, 276. Colonie annexe de
ses rapports avec le), par Meyer et Bayer, 337. Goitre (mort par paralysie des cordes vocales), par Seitz, 253. Hémiplég
dité morbide (de 1' ' et de ses manifestations vésaniques dans la paralysie générale), par Sau- ton, 395. Hérédité nerveu
traction des muscles moteurs de l'), par Bechtereff, 121. OEil ( paralysie progressive de la totalité des muscles de 1' ch
ps genouillés jusqu'aux corps genouillés), par Bechtereff, 123. Paralysies chez les choréiques (des), par Ollive, 276. P
ff, 123. Paralysies chez les choréiques (des), par Ollive, 276. Paralysie combinée du bras et de l'épaule, par Vierordt,
. Paralysie combinée du bras et de l'épaule, par Vierordt, 333. Paralysie diphthéritique, par Da- maschino, 248. Paraly
Vierordt, 333. Paralysie diphthéritique, par Da- maschino, 248. Paralysie générale (anatomie patlio- logique), 379; (de l
aniques dans la), 395. Paraplégie hystérique, par Moizard, 248. Paralysie pseudo-hypertrophique, par Damaschino, 248. P
d, 248. Paralysie pseudo-hypertrophique, par Damaschino, 248. Paralysie saturnine, 247. Pédoncule cérébelleux supérieur
Schwarz, 343. Restiforme (corps), par Monakow, 124. Saturnine ( paralysie - des exten- seurs de la main par intoxication
18 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt de compa- gnie avec les troubles de la motilité, sous forme de paralysie , c'est-à-dire d'aneshcsie. Plus tard ces troubl
ent les troubles de la vessie accompagnent pres- que constamment la paralysie de la sensibilité et de la motilité, à une étap
éjà formu- lée, à savoir que dans l'immense majorité des cas, les paralysies , provenant de l'emploi de scaphandres ne sont p
riable pour tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice et sensitive, rétention d'urines et de
t l'invasion de l'accident. Surdité psychique; lourdeur de la tète. Paralysie brusque qui ctpi-is successivement et 1res rapide
ois quarts d'heure, dispa- rait complètement pour faire place à une paralysie brusque et complète du membre supérieur droit,
ers le coucher du soleil, ce membre était complètement dégagé de sa paralysie . Le 20 mars, à son réveil, il voit que son extr
u à J'aide de deux appuis. Depuis ce moment, l'amélioration de la paralysie a si rapidement progressé, que le 8 avril il a pu
te- ment la durée de cet intervalle : le malade ayant remarqué sa paralysie dans les conditions suivantes : l'accident a éc
l s'endort, et le lendemain matin, à son réveil, il cons- tate la paralysie de ses membres inférieurs, évidemment survenue
raplé- gie n'était précédée, ni accompagnée, ni suivie d'au- cune paralysie de membres supérieurs. Il n'en est pas de même
pour le malade de l'OBSERVATION XX, qui avait en même temps que la paralysie de ses membres inférieurs un peu de paralysie a
en même temps que la paralysie de ses membres inférieurs un peu de paralysie aux supérieurs. Ce qu'il y a surtout de remarqu
qu'il y a surtout de remarquable c'est le mode d'in- vasion de la paralysie du malade de l'ÛBSKRVATioN XXI, qui a saisi suc
ue membre inférieur était précédée pendant quelques moments d'une paralysie du supérieur correspondant, de sorte qu'en quel
étaient paralytiques, le malade ne remuait plus que la tête. Les paralysies des membres supérieurs, qui ont accompagné la p
ette altération est repré- sentée chez nos malades sous la forme de paralysie . La 'sensibilité aurait été complètement abolie
troisième au contraire, de la réten- tion. C..E'uo<Mo7t de la paralysie . La période para- lytique finit de jouer son rô
du drame morbide par la disparition graduelle et com- plète de la paralysie , qui, après avoir duré un temps variable, rétro
est ce qui est arrivé chez les trois malades. La durée totale de la paralysie a été très variable; ainsi chez le malade de 1'
ent après la disparition de 116 CLINIQUE NERVEUSE. toute trace de paralysie . On distingue très nettement deux ordres de sym
son apparition pendant la période paralytique, dès le début de la paralysie et persiste après la guérison de celle-ci, cons
cé à avoir la sensation d'un corset de fer, à la même époque que la paralysie , tandis que le nôtre, (OBs. XXI) a commencé à s
errée dans un étau, au moment même de la disparition-complète de la paralysie ; cette sensation servant en quelque sorte de sy
plutôt c'était un ataxique ébauché. 6° Anesthésie en plaques. La paralysie de la sen- sibilité qui a été constatée au mome
e : à ce 'moment, sa place au tableau clinique est secondaire, la paralysie étant l'élément qui domine de la situa- tion du
le troisième. Le temps qui s'est écoulé entre la disparition de la paralysie et le commencement de l'ataxie marqué par la fa
ifor- mité apparaît par une symptomatologie presque inva- riable, paralysie , auesthésie, troubles de la vessie et du rectum
chez nos trois malades. En effet, le tableau clinique dégagé de sa paralysie après quelque temps, aboutit invariablement à u
marchait sur un sol tapissé d'épongés. Il n'y avait aucune trace de paralysie des membres ou de la face. Pas de moindre trouble
ormaux. Pas do picotements. Il n'y a nulle part la moindre trace de paralysie motrice. Pas de troubles myatrophiques, les mus
abolition des réflexes des membres inférieurs, sans aucune trace de paralysie , sans myatrophie et sans symptômes du côté de l
iculations. Vers le coucher du soleil, faiblesse se transformant en paralysie com- plète du membre inférieur droit. Abolition
r droit, laquelle dans un délai de deux heures se transforme en une paralysie complète. La sen- sibilité du membre inférieur
Les mois suivants, son membre se dé- gageait de plus en plus de sa paralysie et il marchait de mieux en mieux. A cette époqu
de marcher sans appui. Au mois. d'août, dégagement progressif de la paralysie . Secousses. Épilepsic spinale spontanée. Contra
oyait sauvé, quand au bout de ce faible délai, le sujet est pris de paralysie subite et com- plète de son membre inférieur dr
sans appui. Au mois d'août son membre est dégagé plus encore de sa paralysie . A cette époque notre homme a eu des secousses
rvalle entre la disparition de ces symptômes et l'explo- sion de la paralysie . o ! Mpeg'ie du membre inférieur gauche. Abolit
ravait pour faire place elle-même, vers le coucher du soleil, à une paralysie complète, le malade ne pouvant faire aucun mouv
minutes environ, ces douleurs disparaissent pour faire place à une paralysie complète du membre inférieur droit. La sensibil
s'use très rapidement. Le membre inférieur gauche n'a pas trace de paralysie . Rien aux supérieurs et à la face. Il y a une exa
deux fois en une abolition complète, Obier- vation XXIV et XXVI. La paralysie de la sensibilité paraît, dans la majorité des
es engourdissements, agra- vation de la parésie. - Le 20 septembre, paralysie complète .de ce membre, localisation- des doule
obre, faiblesse du membre inférieur droit. Etat actuel (6 octobre). Paralysie et atrophie dégénérative dominante dans la sphè
ésie cutanée cor- respondant à très peu de chose près à celle de la paralysie motrice. Parésie spastique au membre inférieur
Rien du côté de la vessie du rectum et des organes génitaux. Pas de paralysie aux membres inférieur et supérieur gauches. Il
x phénomènes qui viennentse joindre au tableau clinique; ce sont la paralysie et, un peu plus tard, la myatrophie du membre s
ait très important, c'est la localisation presque exclu- sive de la paralysie et de la myatrophieaux muscles qui sont sous la
g supinateur. Nous assistons de la sorte à une nouvelle espèce de paralysie radiculaire du plexus brachial survenant par l'
ulanée qui correspondait, à très peu de chose près, à celle de la paralysie motrice. Rappelons enfin, cela mérite de fixer
de fixer l'attention, la rapidité de la guérison, aussi bien de la paralysie radiculaire de notre malade que des autres trou
és, un état ner- veux spécial caractérisé par des contractures, des paralysies , des troubles divers de l'intelligence. Cet éta
qu'à présent on n'a jamais pu fournir une observation pro- bante de paralysie flasque de la face dans l'hystérie, tandis que
que de la face dans l'hystérie, tandis que du côté des membres, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréquentes. L'ex
ypnotiques, quand on provoque par suggestion le développement d'une paralysie llaccide dans un membre, on lui fait perdre, pe
perdre, pendant la durée GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 103 de cette paralysie , toutes les propriétés somatiques, qui per- sis
s actives. P. K.. V. Altération DES centres nerveux dans un ,C1S DE paralysie infantile cérébrale; par WALLENBERG. (Arch. f.
érébrale; par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observation de paralysie cérébrale infantile, suite d'endocardite. Accid
t cette augmentation de poids se remarque plus spécialement dans la paralysie générale, où le coeur est très sou- vent hypert
plus précoce que chez les sujets sains d'esprit. Cependant, dans la paralysie géné- rale, l'épaississement des tuniques artér
sera publié Mt extenso.) M. Zaciier (deStephausfeld). Surdeuxcas de paralysie progressive. Deux observations dans lesquelles
agner la partie la plus inférieure de la moelle. Dans les deux cas, paralysies simple- ment transitoires. (Le mémoire sera pub
phale (épilepsie, hystérie, apoplexie commune, sclérose en plaques, paralysie générale, méningite). Voilà la matière des deux
mécanique, électrique. Nous signalerons plus particuliè- rement les paralysies , les mouvements anormaux (ataxie, trem- blement
ns l'eeil gauche (il n'a pas été fait d'examen ophthalmoscopique) ; paralysie presque complète dans la région du nerf oculomo
s marqué et myose spinale. Dans un cas (le troisième), il y avait paralysie du nerf oculo-moteur; dans un cas, arthro- path
-uns vont même, dans la question de l'étio- Jogie du tabes et de la paralysie progressive, qui s'y rattache si intimement, ju
s de'maladies nerveuses, le nombre des juifs frappés de tabes ou de paralysie progressive était considérablement moindre que
ifs, il y avait 2 paralytiques, soit 0,7 p. 100. Par conséquent, la paralysie progressive s'est aussi ÉTUDE DE L'ETIOLOGIE DU
. Parmi les malades atteints d'affections nerveuses, le tabes et la paralysie progressive se rencontrent avec une égale fréqu
e progressive = 0, 7 1). 100; chez les Musses : tabès = 3,2 p. 100; paralysie = 4,8. 100. 2). Chez les liasses, la syphilis s
cinq fois plus fréquemment que chez les Juifs. 3). Le tabès et la paralysie progressive se rencontrent aussi cinq fois plus
ue cette fréquence indubitablement plus prononcée du tabès et de la paralysie progressive chez les Russes ne provienne que de
auparavant la syphilis, il se trouve autant de cas de tabes et de paralysie progressive que sur cent Russes dans les ÉTUDE
idée qui ressort de ma statistique, c'est-à-dire que le tabes et la paralysie progressive ne se rencontrent plus rarement che
avait pas un seul juif . Il y avait en tout cinquante-trois cas de paralysie progressive, dont quarante-huit indubitables et
ans 6 cas, elle n'avait pas existé. Par conséquent, dans les cas de paralysie progres- sive, la syphilis se trouvait dans une
ans une proportion de 60 p. 100. 11 y avait trois juifs atteints de paralysie progressive, soit deux hommes et une femme, la
lle n'a- vait pas existé. Pas de données sur la femme atteinte de paralysie progressive. Nous voyons ce qui suit dans cette
qui suit dans cette intéressante statistique : 1). Le tabes-et la paralysie progressive se rencontrent ci peu de chose près
de malades, soixante cas indubitables de tabes et quarante-huit de paralysie ). 2). La syphilis se rencontre dans une proport
ncontre dans une proportion égale dans l'anamnèse du tabès et de la paralysie pro- gressive; et cela, dans 60 p. 100 des cas
47 Juifs, il n'y avait aucun cas de tabes et trois cas seulement de paralysie . Cette dernière conclu- sion confirme entièreme
ièrement notre observation sur la rareté relative du tabès et de la paralysie chez les Juifs. Examinons cependant les donné
. 207 syphilis dans l'anamnèse. Il y avait 69 malades atteints de paralysie progressive (61 hommes et 8 femmes); dans ce no
probables, dans plus de 72 p. 100. Parmi les femmes atteintes de paralysie : Dans deux cas, il y avait eu syphilis; dans d
. Parmi les malades atteints d'affections nerveuses, le tabes et la paralysie se rencontrent aussi souvent l'une que l'autre
l'une que l'autre (soixante-six cas de tabes, soixante- neuf cas de paralysie ). 2). La syphilis se retrouve dans l'anamnèse d
able dans les deux yeux, du côté opposé à la lésion, -à cause de la paralysie des deux rétines du côté correspondant à la lés
hologique de Paris. F. FORME PARALYTIQUE SPINALE TRANSITOIRE. Les paralysies qui appartiennent aux différentes formes décrit
formes décrites jusqu'à présent sont plus du moins durables. Les paralysies au contraire de la forme paralytique, que nous
s minutes, quelques heures, ou quelques jours tout au plus. . Les paralysies transitoires sont très fréquentes; je me borner
ument in- sensibles. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes. Cette paralysie n'a duré qu'un quart d'heure environ, au bout d
nférieur gauche, qui dans quelques minutes s'est transformée en une paralysie complète. Il ne peut pas nous donner de renseig
mbres inférieurs ; 2° le type de double paraplégie et 3° le type de paralysie partielle. Quel que soit le type que cette form
oudaineté ou brusquerie de l'invasion et B disparition rapide de la paralysie en quelques minutes, en quelques heures ou en q
geur n'aurait eu ni'perte de connaissance, ni bouche de travers, ni paralysie des membres, ni autres troublées cépha- liques.
as d'autres symptômes céphaliques. Pas de bouche de travers. Pas de paralysie de membres. Pas de troubles de la sensibilité,
vers, ni perte de connaissance ni autre symptôme céphalique, pas de paralysie des extrémités. La durée totale de cette aphasi
ement ce qu'on lui disait. , Pas de perte de connaissance, pas de paralysie des membres, pas de bouche de travers enfin pas
en. Pas de perte de connaissance; pas de bouche de travers ; pas de paralysie des extrémités; pas d'autres symptômes quelconq
tômes céphaliques. Il n'aurait eu non plus ni bouche de travers, ni paralysie des extrémités, ni autres troubles quelconques.
n'y a pas d'autres symptômes céphaliques. Il n'y a aucune trace de paralysie nulle part. Il n'existe pas de troubles de la s
sements, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la parole, ni paralysie , soit de la face, soit des extrémités, enfin aucu
é quelques petits vertiges n'aurait eu ni perte de connaissance, ni paralysie aucune. Le tableau clinique était exclusivement
peur. Pas de vertiges. Pas d'autres symp- tômes céphaliques. Pas de paralysie . Enlin il n'y aurait rien eu nulle part. A 10 h
jamais réapparu. 4. FORME CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes paralysies d'origine cérébrale n'ont DES ACCIDENTS PAR L'E
ent, cliniquement, tantôt le type d'hémiplégie et tantôt le type de paralysie partielle. A). Type d'hémiplégie. De ce type no
uré seul isolé une heure et demie. Au bout de ce laps de temps, une paralysie du membre inférieur gauche survint. A ce moment
'estomac, sans gonflement au moins apparent, en même temps qu'une paralysie du membre supérieur non plus le gauche, ce qui lu
pas cette fois-ci de travers,'au moins d'une 'façon visible. Cette paralysie dure deux heures, au bout desquelles il est pris
te paralysie dure deux heures, au bout desquelles il est pris d'une paralysie du membre inférieur droit, sans troubles de la
fond de la mer, il était atteint des mêmes accidents, à savoir une paralysie du membre supérieur tantôt gauche tantôt droit
ralysie du membre supérieur tantôt gauche tantôt droit avec ou sans paralysie faciale apparente, paralysie précédée toujours
antôt gauche tantôt droit avec ou sans paralysie faciale apparente, paralysie précédée toujours des troubles oculaires, brûlu
après un temps qui varie entre une demi-heure et deux heures d'une paralysie du membre droit correspondant avec des douleurs
symptômes quelconques. Etat actuel (5 août 1884). Rien. B). Type de paralysie partielle. De ce type nous avons deux observati
avons deux observations intéressantes dont l'une est un exemple de paralysie de la face et du membre supérieur gauche. a).
xemple de paralysie de la face et du membre supérieur gauche. a). Paralysie faciale. ' Observation XLVII. Aggelis Couroup
. Dix minutes après l'enlèvement du casque, le plongeur est pris de paralysie faciale gauche. Il fermait l'oeil gauche aussi
il gauche aussi bien que le droit. Il n'y aurait eu aucune trace de paralysie des extrémités. Pas de vertiges, ni de perte de
iques. 11 n'y aurait non plus d'autres symptômes quelconques. Cette paralysie faciale a duré à peu près une demi-heure, au bo
tement bien. Au bout de ce temps, tout d'un coup, il est pris de paralysie complète du membre supérieur gauche. La bouche, e
mer l'oeil gauche aussi bien que le droit. Il n'y a aucune trace de paralysie au membre supérieur droit et aux inférieurs. Sa
et, il a commencé à pouvoir exécuter quelques petits mouvements. Sa paralysie faciale aurait été améliorée. Ses immersions co
ve même parfois que les objets légers lui échappent des mains. La paralysie prédomine incontestablement aux muscles innervés
ade après trois mois, le 20 novembre 1884. 11 n'y a aucune trace de paralysie , soit faciale, soit du membre supérieur gauche
uvons ici encore les mêmes caractères qui servent à spécialiser les paralysies cérébrales d'origine scaphandrienne, à savoir :
lucinations , des ordres , des rêves, le frapper d'anesthésie et de paralysie . L'étude de la suggestion ouvre à la psychologi
ditive. On pou- vait, au contraire, par ce procédé faire naitre une paralysie flasque ou spasmcdique; toutefois la suggestion
jours, ces symptômes atteignent leur maximum ; cinq jours après la paralysie du voile du palais disparaît, et deux semaines
M. Korniloff a éliminé plusieurs diagnostics, entre autres celui de paralysie diphtéritique, vu l'absence d'antécédents ; ;.
rs et Bechterew. Les symptômes présentés réalisent le tableau de la paralysie de Brown-Séquard; mais, tandis que la perte de
n-Séquard; mais, tandis que la perte de la sensibilité persiste, la paralysie motrice disparait au bout de quelques semaines;
uche de la moelle au niveau de la dixième vertèbre dorsale amène la paralysie du membre inférieur gauche, paralysie qui dispa
ème vertèbre dorsale amène la paralysie du membre inférieur gauche, paralysie qui disparait au bout de trois semaines. Si alo
à les lésions de la myélite avaient altéré la moelle à ce niveau. Paralysie spinale périodique. Sous ce titre M. Greydenberg
étendu sur le dos, sans pou- voir faire aucun mouvement, jamais de paralysie des muscles de le face ni de la langue, quelque
la moelle (mouvement associé unilatéral du côté paralysé). Dans la paralysie spasmodique, souvent spontané- ment, même penda
TEltl'ttl.r'AT10\ de l'état de la SE1SI- bilité DANS LE TARES ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE TAUÉTIQUE ; par 0. Rinswanger. (Neurol
Cyon, Laevemberg, Scoluclia, Loysaner, 13echtereiv). P. K. DE LA PARALYSIE ASCENDANTE SUITE DE COQUELUCHE; par Il. J. MOEB
ni modification de l'excitabilité électrique. Prompte guérison. La paralysie procéda par sauts, sans toucher aux muscles abd
able. Infection probablement ana- ]ogue à celle qui donne lieu à la paralysie diphtbéritidue (toxine coqueluchale). L'auteur
la moelle. Myélite ititersti. tielle des faisceaux pyramidaux (d'où paralysie avec exagération des phénomènes tendineux), et
re cause générale. P. K. IX. Des troubles DE l'ouïe en DES cas DE paralysie faciale périphérique légère; par 0. IlosF.Nj3.i
Trois observations prouvant que, même dans les formes légères de paralysie faciale rhumatismale, il peut exister un trouble
u nerf du muscle de l'étrier ; en tous les cas il existe une légère paralysie du tronc de l'acoustique. P. KERAYAL. AfHBT03
S ; par INI. Bernhardt (Centralbl. f. Nei-ve ? iheill ? 1887). I. Paralysie traumatique du radial. Coup de couteau lancé à
bascule naturelle du manche, le nerf contre les os (contusion). IL Paralysie partielle de la sensibilité (gliome central de
grise centrale de la même région. Pas d'autopsie. P. K. XII. De LA PARALYSIE SIMULTANÉE DE PLUSIEURS NERFS CRANIENS; par P.-
ol- Cent1·a161., 188). , ' Relation des accès de migraine avec la paralysie bulbaire et l'ophthalmoplégie. Minceur et élroi
la syphilis. Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII. DE LA PARALYSIE DU MOUVEMENT DE CONVERGENCE DES YEUX AU début d
dorsal; par A. DE VATTRYIL1.E (iYeu ? ,ol. Cen- Une observation de paralysie isolée de la convergence avec en- térorrhée, pa
bienveillance qu'on donne comme signe diagnostic différentiel de la paralysie générale, dans la folie à double forme et je do
es d'origine spinale (paresthésies, phénomènes d'excita- tion et de paralysie motrices, accidents vaso-moteurs). Sur plus de
peau dans les anesthésies cutanées, les atrophies musculaires, les paralysies , atrophiques i. Dans l'hystérie et l'hystéroépi
souvent rapidement et d'une manière inattendue, la forme changeant ( paralysie progressive, neuras- thénie psychopathique). Le
sant SOCIÉTÉS SAVANTES. 307 1 cesser ce traitement peut couper la paralysie générale. M. Mes- chede rapporte encore un exem
Auerbacll), que M. Nasse a dû en rabattre relativement aux faits de paralysie générale qu'il avait annoncés comme guéris (Wer
cés comme guéris (Werner), que les seuls symptômes essentiels de la paralysie générale sont les troubles de la parole (Werner
la mégalomanie n'appartient pas, il s'en faut, exclusivement à la paralysie générale (Arndt), qu'il existe une paralysie géné
ut, exclusivement à la paralysie générale (Arndt), qu'il existe une paralysie générale et une folie paralytique comme le veut
eux un peu prolongé, associé à des manifestations spinales et à des paralysies des muscles de l'oeil; l'affaiblissement de la
, épilepsie), soit des maladies nerveuses organiques, et surtout la paralysie générale souvent anticipée. 11 était intéressan
lité. Après la disparition de ces troubles du début, il reste une paralysie du membre correspondant à la lésion, paralysie qu
début, il reste une paralysie du membre correspondant à la lésion, paralysie qui se dissipe ensuite progressivement pour dis
in de la Société d'anatomie de Paris, 1881, p. 233. Morvan. De la paralysie analgésique, etc. (Gazelle hebdomadaire, ilo 35,
francs. Question : Des difficultés du diagnostic différentiel de la paralysie générale avec les diverses formes de la folie.
par nier eux-mêmes toute suppléance fonctionnelle des phénomènes de paralysie par les aires " circonvoisines (Carville et Dur
ois, s'il s'agit d'un centre moteur par exemple, la parésie ou la paralysie du groupe musculaire correspondant : la destruc
s, le siège et l'extension des lésions minima, qui ont produit la paralysie permanente des parties dont on veut déter- LES
celle-ci a été d'assez longue durée pour qu'on soit certain que la paralysie ou la perte absolue de la fonc- tion du centre
perle dès. fonctions motrices volontaires n'a atteint le degré de paralysie observé que par une complication des phénomènes
? TUDE DE 1.'I'sTI0LOG1E DU T.1BES. 363 3 de tabès et de 1 cas de paralysie chez des Juifs pen- dant 3 ans soit sensiblemen
ns soit sensiblement inférieur à la somme de 130 cas de tabes et de paralysie chez des Russes, ces 4 malades sont pris sur 89
s de tabes, soit 0,8 p. 100. Sur 4.700 Russes il y avait 124 cas de paralysie , soit 2,6 p. 100. Sur 696 Juifs, il y avait 6 c
s de paralysie, soit 2,6 p. 100. Sur 696 Juifs, il y avait 6 cas de paralysie , soit 0,8 p. 100. Mais ici, en ce qui concerne
EUSE. tout 3 cas de tabès, soit 4 p. 400. De même pour les cas de paralysie chez les Juifs, j'ai pris le plus grand chiffre
- firmation de notre statistique, c'est-à-dire que le tabes et la paralysie progressive se rencontrent aussi sou- vent l'un
bes sur plus de 300 Juifs atteints de maladies nerveuses; quanta la paralysie , nous jugeons d'après les renseignements que no
uifs, mais qu'il ne peut indiquer qu'un seul cas de Juif atteint de paralysie , malade qui se trouve encore actuellement dans
Il me reste aussi à relever le fait que chez les Juifs atteints de paralysie et de tabes, la syphilis dans l'a- namnèse est
Depuis que je pratique, j'ai eu 3 cas certains de Juifs atteints de paralysie et 2 cas de probables. Ces cinq cas avaient eu
. Par consé- quent je connais 4 cas de Juifs atteints pour sûr de paralysie et dans ce nombre, 3 avaient eu la syphilis, ce
, ce qui donne 75 p. 100; en y joignant encore 2 cas probables de paralysie progressive, nous aurons 5 ma- lades atteints d
decins que la principale cause du développe- ment du tabes et de la paralysie progressive est, dans la très grande majorité d
ns sujette à la syphilis. , Si le développement du tabès et de la paralysie pro-. gressive était soumis aux mêmes lois que
Juifs que nous tî,otive-iois le î2îaxi- «7 ! des cas de tabès et de paralysie et cependant les faits prouvent tout le contrai
e la condition fondamentale pour le développement du tabès et de la paralysie pi'agressive n'est pas une tendance innée aux a
gie, chez un autre l'apparition du tabes, chez un troisième de la paralysie progressive, ceci. c'est une question tout à fa
abes comme une affection nerveuse post-sypliili tique, analogue aux paralysies et ataxies post-fébriles, post- diphthéritiques
D'après les indications précises du malade, il s'agissait ici d'une paralysie typique du nerf radial, et, étant donnés l'intell
s. En conséquence, il faut croire que c'était très probablement une paralysie de nerf radial avec intégrité des muscles supin
e qui existe depuis nombre d'années, et ayant eu précédemment une paralysie saturnine, des constipations, des coliques et u
es diverses affections ner- veuses intermittentes, spécialement des paralysies intermittentes et des paralysies semblables qui
s intermittentes, spécialement des paralysies intermittentes et des paralysies semblables qui sont 380 PATHOLOGIE NERVEUSE.
lical, 188î, n° 'r't. '.7o'/)'n. of. Neurol., 188'2, il- 1. * Des paralysies , de leurs rapports, etc. (.4rcl. Ydiléi ? 1860.)
id. Les paraplégies et l'ataxie du mouv. Paris, 1864, p. 405. ' Des paralysies e.seitt. Ann. méd. de la Flandre occid. 1853. Des
tte intoxication s'est manifestée d'abord par des coliques et une paralysie du bras et douze ans plus tard, le malade entra
et ce dernier dit lui-même dans sa classique descrip- tion' « la paralysie des nerfs moteurs (de )'oei))... peut même manq
e nerveux, 1879, t. 1, p. 232 cl 233. a 1`" GClilÎpil, 17. tt8. 1 Paralysies localisées, p. 638. étude DE l'etiolcgie du tab
s l'histoire des cas de pseudo-tabes, parce qu'il s'y trou- 1 Des paralysies toxiques, 1886, p. 38. ' .9nch. f. Psch. Bi. \l
n alcoo- licce; il m'est arrivé à moi-même d'observer deux cas de paralysie alcoolique (l'un est cité dans la thèse de M. K
tail dans la clinique de 111. le professeur Kojew- nikoff en cas de paralysie arsenicale dans lequel outre la dégénération ex
aru complètement et définitivement par une crise de sommeil. Pas de paralysie . Il n'a pas conservé le souvenir de ce qui s'est
s bien. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes céphaliques. Pas de paralysie . Les fonctions de la vessie, du rectum et des o
à s'aggraver, à empirer jusqu'au moment où la déter- mination de la paralysie complète du nerf auditif, la cophose, met fin à
di. Quelques minutes après, il se porte par- faitement bien. Pas de paralysie , pas d'autres symptômes. Le lendemain malin, il
temps, les membres supérieurs étaient com- plètement dégagés de la paralysie , il a pu en outre se tenir debout et faire quel
au total .trois heures, au bout desquelles elle a été suivie d'une paralysie aussi bien de la sensi- bilité que de la motili
r). Symptômes spinaux. Le fait qui domine l'état maladif, c'est une paralysie des. membres inférieurs qui est beaucoup plus a
xécutait un mouve- ment très visible de redressement en dedans. Ces paralysies nous expliquent parfaitement la diplopie du mal
omine et occupe le premier rang, que par des symptômes céphaliques ( paralysie du droit externe, du droit interne de l'oeil ga
i ont suivi la perte, de con- naissance et précédé l'invasion de la paralysie dans son accident de novembre 1874. On avait là
uait plus la cornée de la sclérotique. Il n'y avait aucune trace de paralysie . 412 CLINIQUE NERVEUSE. Si on le pinçait, on
ntenses qui ont duré cinq minutes environ. Au bout de ce temps, une paralysie de la sensibilité et de la motilité survint au
de la motilité survint au plongeur ; pas d'autres symptômes. Cette paralysie a duré une heure et demie, au bout de laquelle le
général sans perte de connaissance et presque en même temps, d'une paralysie de la sensibilité et de la motilité des quatre
a été remplacé par un engourdissement très fort suivi bientôt d'une paralysie du membre supérieur et inférieur droit; sa bouc
fférente à tout ce qu'il voulait dire. Au bout d'une demi heure, la paralysie et l'aphasie ont complètement disparu et le len
ment qui s'étendait de l'estomac aux pieds et qui a été suivi d'une paralysie des membres inférieurs qui est devenue complète
on lumineuse. Bientôt après, le malade est atteint subitement d'une paralysie du membre supérieur et inférieur droit, la bouc
casque, c'était dix heures du matin, le plongeur est atteint d'une paralysie complète des membres inférieurs, qui a été bien-
ce absolue. A une heure du soir, cet homme revient complètement. La paralysie n'était plus com- plète ; le malade a pu se ten
s. A 5 heures du soir, il revient à son état normal. Pas trace de paralysie . La sensibilité est normale, il a pu rendre ses u
la constitution duquel ont contribué la perte de connaissance et la paralysie spinale transi- toire. Enfin le quatrième est u
é, comme on le pense bien ; les douleurs d'estnmac persistent; la paralysie de la partie inférieure du corps était complète e
de celui de la sensibilité. La vessie et le rectum participent à la paralysie . De plus, il porte à la partie postérieure et i
le marasme trois mois après son accident. Il y avait un mois que la paralysie de la vessie avait cessé; mais il n'avait eu au
alytique scaphandrier survit. Quant à la marche ultérieure de ces paralysies et leurs pronostics, je me suis déjà lon- gueme
er les paroles suivantes de Paul Bert : « Mais trop fréquemment les paralysies des mem- bres inférieurs sont persistantes, et
pas encore observé de mort par les progrès seuls' et naturels de la paralysie . ACCIDENTS MORTELS. Le plongeur à scaphandre
rait donné quelques signes d'intelligence et de souffrance; mais la paralysie des membres est restée complète. , Le travail d
musculaire assez caractéristiques, mais qui ne constituent pas des paralysies proprement dites; ces cas sont considérés, à la
e particulière, qui tiennent tantôt de la contracture, tantôt de la paralysie , sans qu'il soit tou- jours facile de préciser
bes oculaires sont intéressés. Dans le cas n° 65, il s'agit d'une paralysie de la divergence qui est une modalité de la paral
s'agit d'une paralysie de la divergence qui est une modalité de la paralysie de la convergence signalée par M. Parinaud (Arc
signalée par M. Parinaud (Archives de Aleu2,o- logie, 1885). Cette paralysie , qui parait relever de la lésion d'un centre sp
ce tient à de la contracture du mouvement de convergence ou à une paralysie proprement dite du mouvement de divergence. Le
prement dite du mouvement de divergence. Le n° 43 est un exemple de paralysie associée ou conjuguée des deux sixièmes paires,
cas de ce genre ne doivent point être confondus avec le précédent ( paralysie de la divergence). La diplopie n'offre pas les
pas les mêmes caractères. Contrairement à ce qui se passe dans la paralysie de la divergence, le défaut de mouvement est ap
dent. L'ophthalmoplégie est incomplète et il y a prédominence de la paralysie du droit externe gauche avec strabisme. Ce mala
e du mouvement des paupières assez singulier. Il semble y avoir une paralysie incomplète des deux antago- nistes, le releveur
e ; quelquefois plusieurs cellules sont vacuolisées. Etude sur la paralysie alcoolique. M. Korsakoff a publié un des traité
vrite multiple est basé sur la disposition de l'anesthésie et de la paralysie . Paralysie diplaléotique. M. Noriiiloff a discu
e est basé sur la disposition de l'anesthésie et de la paralysie. Paralysie diplaléotique. M. Noriiiloff a discuté la questio
Paralysie diplaléotique. M. Noriiiloff a discuté la question des paralysies diphtéritiques à propos de l'observation sui- v
symptômes à une névrite multi- ple pour les raisons suivantes : la paralysie de la sensibilité et du mouvement augmentent du
és. Il divise les paraly- sies de la diphtérie en deux groupes : 1° paralysies diphtéritiques proprement dites dues à la névri
iphtéritiques proprement dites dues à la névrite multiple ; 2°, les paralysies consécutives aux lésions diphtéritiques soit de
de quarante-sept ans éprouve des douleurs et des crampes, puis une paralysie des membres inférieurs ; vingt- quatre heures a
énomènes. Au moment de l'examen, on trouve les symptômes suivants : paralysie complète de tous les muscles du bassin, des mem
eut pas se localiser. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 467 Un cas de paralysie ascendante aiguë ( ? ). De l'observation précéd
procher l'histoire du malade suivant, rapportée par M. Platonoff. Paralysie débutant par les membres inférieurs, puis gagnant
nglions tuméfiés. . Lésions du système, nerveux sympathique dans la paralysie générale. -L'examen microscopique du nerf et de
'examen microscopique du nerf et des ganglions sympathiques dans la paralysie générale a fait découvrir à M. Popoff deux ordr
s atteints de maladies mentales; ils ne sont plus fréquents dans la paralysie générale qu'en raison des soins que réclame l'é
rlitsky doit publier un travail sur l'anatomie patholo- gique de la paralysie alcoolique. 11 veut démontrer que les lésions p
les symptômes ressemblaient d'une manière frappante à ceux de .la paralysie générale progressive (inégalité papillaire, embar
t était des plus graves; il présentait en- core les symptômes de la paralysie générale et ceux de l'in- toxication saturnine.
re de Varsovie, nous avons vu un cas de tabès dorsalis compliqué de paralysie générale des aliénés. A la clinique de M. Mierj
celui d'une hémisection gauche de la moelle (analgésie 'gauche ; paralysie , atrophie musculaire à droite) ; avec dévia- ti
sbourg. Nous y avons vu, pour la première fois en Russie, un cas de paralysie pseudo-hypertrophique vraie chez un en- fant de
n. de illie ? jiewsl;y, . 4"an., fasc. I, 1886. bavidofï. - De la paralysie générale progressive dans le jeune âge. - h·clt
térie chez l'homme (soldat). Le dlédeciti, n° 44, 9887. Un cas de paralysie spinale périodique. Le Médecin, no 48, 1887.
Journ. tleAlie,jicwsky, 4° an., fasc. 11, 1087. Korsakoff. De la paralysie alcoolique. 3[oscoit, 1887. De la pathogénie de
De la paralysie alcoolique. 3[oscoit, 1887. De la pathogénie de la paralysie spinale atrophique et de ., la névrite multiple
sionnés par des cysticerques. Revue de Médecine, 1886. Un cas de paralysie ascendanle aiguë de,Landry (sans au- topsie). A
es altérations anatomo-pathologiques du grand sym- pathique dans la paralysie générale.- Revue de Médecine, 1886. 478 REVUE
édi- taire. Morel avait été amené à créer, pour donner place à la paralysie générale dans sa classification un groupe artif
t surtout par une sorte d'abru- tissement avec vertiges, céphalies, paralysies transitoires, nausées et aussi des troubles dig
tous ceux de l'économie. Elle se manifeste par de la douleur, de la paralysie avec atrophie de certains groupes atteignant fa
la 2c vertèbre cervicale deux fois de suite. Il présentait de la paralysie du membre supérieur, de la parésie du membre infé
ian, 119. Myélite aiguë d'origine toxique, 463. Nerfs crâniens ( paralysie des), par iloebi il s, 292. Nerfs périphériqu
. Optiques (lobes chez les poissons osseux), par Auerbach, 304. Paralysie alcoolique, 463. Paralysie ascendante aiguë, 46
poissons osseux), par Auerbach, 304. Paralysie alcoolique, 463. Paralysie ascendante aiguë, 467 : suite de coqueluche, pa
e ascendante aiguë, 467 : suite de coqueluche, par Môbius, 289. Paralysie diphtêritique, 465. Paralysie faciale (troubles
e de coqueluche, par Môbius, 289. Paralysie diphtêritique, 465. Paralysie faciale (troubles de l'ouïe dans la) par Rosenb
aralysie faciale (troubles de l'ouïe dans la) par Rosenbach, 291. Paralysie infantile (altérations des centres nerveux dans
tions des centres nerveux dans un cas de), par Wallenberg, 110. Paralysie progressive, par Zacher, 131. 0 Paralysie dan
par Wallenberg, 110. Paralysie progressive, par Zacher, 131. 0 Paralysie dans le mal de Polt, par Althaus, 290. Pédonc
ontinue), par Poetz, 299. Sympathique (lésions du système dans la paralysie générale, 467. Synostoses crâniennes prématurée
par linor, 183, 362; sensibilité dans le -, par Binswanger, 288 ; paralysie des mouvements de convergence des yeux, au dé
Vaso-moteurs (trajet central des nerfs), par Hehvig, 108. Yeux ( paralysie des mouvements de convergence des - au début du
19 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tance de cette intégrité du facial supérieur pour diffé- rencier la paralysie faciale d'origine centrale de la paralysie faci
r pour diffé- rencier la paralysie faciale d'origine centrale de la paralysie faciale périphérique. Cette intégrité est passé
rieur dans les lésions cérébrales comme signe différentiel avec la paralysie faciale périphérique. Bientôt cependant Mahot,
e. Bientôt cependant Mahot, Gubler avaient montré l'existence de la paralysie de l'orbiculaire des paupières dans l'hémiplégi
ulaire des paupières dans l'hémiplégie alterne. Legendre note cette paralysie dans l'hémiplégie ordinaire et remarque la chut
voir soutenu contre Récamier la participation de l'orbiculaire à la paralysie , dans l'hémi- plégie faciale de cause cérébrale
Simoneau admet la participation de l'orbiculaire des paupières à la paralysie : « Dans l'hémiplégie de cause centrale, les ma
er l'oeil sain isolément. Dans tous nos cas nous avons trouvé de la paralysie de l'orbiculaire, qui ne pourra plus être niée
as d'hémiplégie de cause centrale. » Coingt(1878) fait rentrer la paralysie de l'orbiculaire dans l'hémiplégie faciale ; el
tré, depuis trois ans, quatre malades chez lesquels il existait une paralysie de l'orbiculaire en même temps qu'une hémiplégi
nombre de cas d'hémiplégie soit lésé, cela n'est pas douteux. La paralysie de ce muscle se traduit par le degré divers de
ont éloignées de celles des classiques. Loin d'être l'exception, la paralysie du facial supérieur est la règle dans l'hémiplé
e sont fortement lésés. Parfois cette parésie peut aller jusqu'à la paralysie . Ces troubles du facial supérieur confirment la
serait allonger inutilement ce travail. L'existence possible de la paralysie du facial supé- rieur n'est niée par personne;
u- sions de Pugliese : un homme de trente-cinq ans est atteint de paralysie faciale centrale. Au repos tout le facial gauche
enue. 11 est un fait certain, c'est que chez les hémiplégiques la paralysie du facial supérieur n'attire pas immédiatement l'
idité de la joue, l'asymétrie faciale montrent, même au repos, la paralysie du facial inférieur, du côté du facial supérieur
tout semble normal. Si l'on s'en tient à un examen superficiel, la paralysie du facial supérieur n'ap- paraît pas. Pour la m
é beaucoup moindre que les muscles des membres. Pour dévoiler cette paralysie latente, il a fallu employer le moyen suivant :
izontal : la langue est déviée à droite; le malade peut siffler. La paralysie du facial inférieur est donc peu marquée. De mê
xante-huit ans. Hémiplégie droite avec aphasie à soixante-cinq aus. Paralysie prédominante sur le membre inférieur ; contract
oite à cinquante-trois ans. Aphasie motrice en voie d'amélioration. Paralysie prédominante dans le membre supérieur; diminuti
roit, mais cela n'a aucune valeur car le malade affirme qu'avant sa paralysie il était incapable de le faire. Observation X
es de la sen- sibilité, contracture, exagération des réflexes. La paralysie faciale serait, au dire de la malade, beaucoup mo
surtout au membre supérieur qui est de beaucoup le plus atteint. Paralysie du facial inférieur. La commissure buccale droite
du côté gauche. La malade n'a jamais pu, même avant son attaque de paralysie , fermer un oeil isolément. Observation XIV. -
nvier 1896. Contracture très accentuée surtout au membre inférieur; paralysie prédominante au membre supérieur. Crises de lar
Crises de larmes involontaires, spasmodiques quand on l'interroge. Paralysie du facial inférieur gauche. La commissure buccale
égie gauche avec contracture prédominant sur le membre supérieur. Paralysie nette du facial inférieur gauche. Les rides du fr
nt aucun des deux yeux ; il ne pouvait d'ailleurs le faire avant sa paralysie . Observation XXII. -J... Jean, hémiplégique gau
le gauche. Il se meut aussi par saccades. Le malade, même avant la paralysie , n'a jamais pu fermer isolément un oeil. Observ
anesthésie incomplète datant de deux an-. 14 CLINIQUE NERVEUSE. Paralysie du facial inférieur droit. Le facial supérieur es
re, il se meut par saccades. Cet homme n'a jamais pu, même avant sa paralysie , fermer un oeil iso lément. Observation 1\IY.
que totalement abolis ; ne peut marcher qu'à l'aide d'une chaise. Paralysie du facial inférieur gauche avec tendance à la con
Duplay, Simoneau, Coingt et Pugliese. Loin d'être l'exception, la paralysie du facial supérieur est la règle dans l'hémiplégi
'un côté à l'autre malgré tous les artifices. Quand au contraire la paralysie a aboli l'action du facial inférieur, la paraly
au contraire la paralysie a aboli l'action du facial inférieur, la paralysie du facial supérieur est aussi très nette, et faci
rès nette, et facile à mettre en évidence. D'ailleurs le degré de paralysie du facial supérieur est toujours beaucoup infér
e du facial supérieur est toujours beaucoup inférieur à celui de la paralysie du facial inférieur. A cela rien d'étonnant. Il
itre que les muscles du tronc par exemple. Pour tous ces muscles la paralysie existe, mais atténuée et pour ainsi dire latent
ste, mais atténuée et pour ainsi dire latente. En tout cas, cette paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie cérébra
érébrale n'est pas aussi intense que celle que l'on observe dans la paralysie faciale périphérique. Ici le facial supérieur e
qu'elle garde toute sa valeur pour le diagnostic différentiel de la paralysie faciale centrale et de la paralysie périphériqu
e diagnostic différentiel de la paralysie faciale centrale et de la paralysie périphérique. Latente, la paralysie du facial s
sie faciale centrale et de la paralysie périphérique. Latente, la paralysie du facial supérieur est masquée par la déformat
t abaissement du sourcil est un des signes les plus constants de la paralysie du facial supé- rieur. Les rides du front son
'enquérir avec soin auprès du malade pour savoir si jadis, avant sa paralysie , il pouvait fermer un oeil iso- lément. Il ne f
alors qu'il le faisait jadis, ce sujet est un indice certain de la paralysie du facial supérieur. Si le malade ne peut fer
ache la troisième circonvolution frontale. Dans le cas de Milla2 la paralysie totale du facial gauche tenait à la des- tructi
droite avec aphasie qui s'amendèrent peu à peu, ne laissant qu'une paralysie faciale droite totale occupant le facial supéri
re-Jean, 83 ans (Obs. VII). Le facial inférieur était paralysé ; la paralysie du facial supérieur se caractérisait parla chut
foyer d'apoplexie du rayon lenticulaire entraîner simultanément la paralysie du facial supérieur et inférieur, évidemment pa
ne et inférieure du noyau caudé comme cause d'une hémiplégie avec paralysie du facial supérieur et inférieur. Coingt a obse
Coingt a observé chez le professeur Charcot un hémiplé- gique avec paralysie du facial supérieur tout entier (orbicu- laire,
ves : La première concerne le nommé L... Louis (Obs. XVI). Ici la paralysie du facial supérieur était assez marquée. Le corte
re supérieure, innervé par le moteur oculaire commun participe à la paralysie . La fente palpébrale est maintenue ouverte par
du côté paralysé. Au premier abord, il y a là un paradoxe. Dans la paralysie faciale périphé- rique, l'oeil du côté paralyse
e cette question, rappelons que la coïncidence d'un ptosis et d'une paralysie faciale chez un hémiplégique a été depuis longt
ssement cérébral. Prévost' publie six obser- vations de ptosis avec paralysie faciale chez des hémiplé- giques ; Chouppe rela
un cas remarquable où chez un hémiplégique le ptosis s'allie à une paralysie du facial infé- rieur et du facial Supérieur ;
du facial Supérieur ; Pitons a signalé un fait célèbre de ptosis et paralysie faciale avec lésion cérébrale très combinée ; L
en font foi ; mais dans-l'immense majorité des cas il accompagne la paralysie du facial. - Comment peut on expliquer ce sym
t de la fente palpébrale n'a d'autre expli- cation plausible que la paralysie même de l'orbiculaire : « De même que dans la p
ible que la paralysie même de l'orbiculaire : « De même que dans la paralysie radiale, les muscles fléchisseurs, innervés par
ar le médian, se contractent avec moins d'énergie, de même, dans la paralysie de l'orbiculaire, le releveur de la paupière es
cette manière de voir. La comparaison avec ce qui se passe dans la paralysie ra- diale est inexacte. Ici les extenseurs sont
est pour cela qu'ils se con- tractent avec moins d'énergie. Dans la paralysie de l'orbicu- laire, si l'assimilation était exa
ités, c'est-à-dire élargir la fente palpébrale, de même que dans la paralysie radiale les fléchisseurs, non contre-balancés p
ud puisse être admise : c'est l'état de la fente palpébrale dans la paralysie faciale périphérique. Ici la fente palpé- brale
r L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 25 ' l'oeil paralysé. Or, dans la paralysie faciale périphérique, la paralysie de l'orbicul
' l'oeil paralysé. Or, dans la paralysie faciale périphérique, la paralysie de l'orbiculaire est complète, absolue; le releve
e releveur privé de son antagoniste. comme les fléchisseurs dans la paralysie radiale, rapproche ses deux extrémités et dans
as à une critique sévère des faits. En fait il existe que dans la paralysie faciale périphé- rique la fente palpébrale est
a fente palpébrale est toujours élargie et que dans certains cas de paralysie faciale centrale elle peut être dimi- nuée, rét
ns l'hémiplégie avec l'élargissement de la fente palpébrale dans la paralysie faciale périphérique, il 26 CLINIQUE NERVEUSE
encore admettre la participation du moteur ocu-' laire commun à la paralysie . Souvent (thèse Coingt) on voit signalée l'inég
uguée de la tête et des yeux. Exception- nellement même on a vu une paralysie de l'oeil. La participation du moteur oculaire
péhrale est plus largement ouverte du côté paralysé, c'est que la paralysie a frappé davantage l'orbiculaire et que le rele
reste à dire un mot de l'époque d'apparition et de l'évolution des paralysies du facial supérieur et du moteur oculaire commu
upérieur et du moteur oculaire commun chez les hémiplégiques. Ces paralysies sont très fréquentes, nous n'osons dire cons- t
e Broadbent et Charcot. Il est exceptionnellement rare de voir la paralysie du facial supérieur et du moteur oculaire com-
s auteurs et comment on a pu soutenir qu'il échappait toujours à la paralysie . Coaclzcsioas. - 1° Dans toute hémiplégie d'ori
Coaclzcsioas. - 1° Dans toute hémiplégie d'origine céré- brale, la paralysie du facial supérieur est de règle toutes les, fo
les, fois que le facial inférieur est lui-même paralysé. 20 Cette paralysie du facial supérieur est toujours beau- coup moi
ial inférieur ; elle est aussi beaucoup moins accentuée que dans la paralysie faciale périphérique. 3° Dans l'hémiplégie, l
dans la paralysie faciale périphérique. 3° Dans l'hémiplégie, la paralysie du facial supérieur est pour ainsi dire latente
s'expliquer que par la participation du moteur oculaire commun à la paralysie . 5° L'intégrité relative du facial supérieur et
cérébrospinales comme, par exemple dans la neurasthénie ou dans la paralysie générale à début mélanco- lique et hypochondria
'étouffer « ça part du ventre et ça remonte à la gorge >. Pas de paralysie d'un côté du corps. Pas de période d'incontinence
e traitement médico-pédagogique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Paralysie du voile du palais et du facial inférieur droit a
inférieur droit. Les troubles uerveux observés ont consisté en une paralysie complète du voile du palais et des muscles du p
des troubles cardiaques (tachycardie); les signes classiques de la paralysie du facial inférieur droit, et enfin des trouble
s les plus constants des polynévrites. A. Fenayrou. Il. Un cas de paralysie ascendante aiguë ; par MM. Roger et JosuL. {Pre
esse médicale, 27 juillet 1898.) Observation d'un malade atteint de paralysie ascendante aiguë. à l'autopsie duquel des lésio
dans laquelle ce microbe soit signalé comme l'agent pathogène de la paralysie ascendante aiguë. Elle temps à confirmer l'opin
es agents microbiens les plus variés. A. FENAYROU. III. Un cas de paralysie faciale double d'origine bulbaire; par 11. lirl
rdier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un signe clinique nouveau des paralysies faciales d'origine périphérique. Ce signe consi
de s'abstenir de traiter par l'électricité les malades atteints de paralysie faciale grave, c'est-à-dire avec réaction de dégé
ontractures. L'emploi de l'électricité doit être réservé aux cas de paralysie faciale avec réaction partielle de dégé- néresc
ir l'évolution de la maladie. Il s'agis- sait d'un homme atteint de paralysie faciale double. Selon les prévisions de M. Mall
ait normale, tandis que 60 REVUE DE l'A'l'llOLOGIE NERVEUSE. la paralysie a persisté, avec peu de tendance à la guôrison, d
oniques pourrait peut-être expliquer certains troubles ocu- laires ( paralysie apparente de certains muscles de 1'0-,il avec int
lue ou à ou à peu près complète de ces mêmes muscles), ou laryngés ( paralysie des cordes vocales avec troubles respira- toire
ouvoir accélérateur de la nutrition. A. Fenayrou. VIII. Un cas de paralysie juvénile avec syphilis héréditaire ; par le D'
par le Dr Saporito porte à 75 environ les cas aujourd'hui connus de paralysie générale juvénile avérée : il cons- titue, en o
ifications essentielles. P. Keraval. XIV. Myokymie dans un cas de paralysie saturnine ; par 0. BuuEn. · (Neurolog. CenlrulG
ion debout, l'effort, les coliques augmentent. L'amélioration de la paralysie saturnine coïncide avec une amélioration corres
avec la rareté rela- tive des lésions spinales antérieures dans la paralysie saturnine, permettent de supposer une irritatio
t amyotrophie; un cas de tumeur du cervelet avec triade complète et paralysie double de la sixième paire ; un cas de tumeur d
gie avec hémianesthésie ; un cas de tumeur de la protubérance avec paralysie alterne : paralysie des sixième et septière paire
ésie ; un cas de tumeur de la protubérance avec paralysie alterne : paralysie des sixième et septière paires d'un côté, hémip
septière paires d'un côté, hémiplégie de l'autre ; un second cas de paralysie alterne avec paralysie des sixième, septième et
té, hémiplégie de l'autre ; un second cas de paralysie alterne avec paralysie des sixième, septième et douzième paire à droite,
'un malade qui, devenu syphilitique en septembre 1894, présenta une paralysie syphili- tique avec dissociation syringomyétiqu
erculeuse, a déterminé une monoplégie du membre inférieur droit par paralysie radiculaire, avec un éry- thème polymorphe. A u
ourra cependant diminuer jusqu'à un certain point l'intensité de la paralysie et de la contracture, et éviter complètement l'ar
ou- driaques, enfin, et il y a lieu d'insister sur ce point,avec la paralysie générale, diagnostic différentiel souvent si di
des' phénomènes hystériques particuliers tels que les attaques, les paralysies , les contractures, les troubles tro- phiques et
elui de la contracture hystérique, des myélites spasmodiques, de la paralysie infantile, des polynévrites. Enfin, l'auteur ém
nsemble symptomati- que suivant; douleurs parfois à type fulgurant, paralysie des sphincters, inégalité pupillaire, parfois d
utiles ainsi que l'application de l'électricité faradique dans les paralysies flasques et l'électricité galvanique dans les myé
ois deux à trois heures. Consécutivement, accès d'épilepsie. Pas de paralysie , mais idiotie complète. Durant les six premiers m
re 1897-1898, M. IOISSEL : Contribution à l'étude du diagnostic des paralysies hystériques et de la pseudo-paralysie syphiliti
ltiples qui existent au pointde vue symptomatique entre le tubes et paralysie géné- rale se propose de rechercher dans cette
ance généralement attribuée à l'absence du réflexe rotulien dans la paralysie générale, alors que ce réflexe ne manque que ch
Typique, le phénomène ne l'est certainement pas, et d'ailleurs la paralysie générale ne possède pas de signes pathogno- mon
s de signes pathogno- moniques ; mais rapprochée d'autres signes de paralysie générale, l'analgésie cubitale aura toujours un
ences personnelles dans sa polyclinique de Berlin, sur le tabes, la paralysie générale et différentes névroses, a trouvé ce s
conclusion légitime de cette statistique ? Nos résultats pour la paralysie générale sont-ils de nature à faire admettre av
aleur quelconque au point de vue du dia- gnostic différentiel de la paralysie générale ? ou, faut-il con- clure avec Boedeker
- tôme qui existe, il est vrai, dans une grosse moitié des cas de paralysie générale, mais qui atteint chez les autres alié-
dmettons volontiers avec Cramer que : réuni à d'autres symptômes de paralysie générale, le signe de Biernacki pourra constitu
la malade est mort il y a huit ans, probablement à la suite d'une paralysie générale, d'après ce que raconte la mère de la ma
100 environ des cas, nous avons trouvé les lésions confirmées de la paralysie générale ; ici la mélancolie n'a été que le tab
a été que le tableau clinique extérieur (l'Itabitus clinique) d'une paralysie générale dépressive à début mélancolique. Comme
ellules nerveuses, de la cellule pyramidale en particulier, dans la paralysie générale ; par le D' Anglade. La méthode de G
ne. Les résultats fournis par la méthode de Nissi, appliqués à la paralysie générale, donnent des indications dignes d'intérê
générale, donnent des indications dignes d'intérêt. Dans un cas de paralysie générale à marche rapide, les prépara- tions fa
nt porté sur 2 cas de délire aigu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de paralysie générale, si cas de folie séuile et 31 cas de d
ur aiguë, il y avait des colibacilles. Dans aucun des quatre cas de paralysie générale ne se trouvait le même micro-organisme.
nt à lui, il était paralysé du côté gauche, bras, main et jambe. La paralysie d'abord incomplète à la jambe progressa rapidem
ation se rapporte à une femme de vingt-trois ans qui présentait une paralysie partielle de la jambe droite et une paralysie t
ns qui présentait une paralysie partielle de la jambe droite et une paralysie totale du bras droit avec flexion des doigts sur
c flexion des doigts sur la paume de la main. L'apparition de cette paralysie avait été pré- cédée par des maux de tête, des
; elle a encore cependant de la peine à trouver le mot propre. La paralysie de la partie supérieure du bras a totalement dis-
Séance dit 28 novembre. -PRÉSIDENCE de M. Meuriot. Etiologie de la paralysie générale (suite de la discussion). M. Vallon. L
. Vallon. Lorsque M. Sollier vous a communiqué son obser- vation de paralysie générale d'origine licrédo-sypliiiitique, je vous
ts épileptiformes d'origine syphilitique possible. Le diagnostic de paralysie générale, de mon jeune malade avait été porté p
ent surtout dans la forme délirante de la P. G. On prétend que la paralysie générale n'exerce aucune influence sur la desce
l'étiologie hérédo-syphi- litique pour conclure à l'hérédité de la paralysie générale. Il se dit que si la syphilis est asse
. Il se dit que si la syphilis est assez maligne pour déterminer la paralysie générale elle pourra tout aussi bien déterminer
Vallon. Il me semble que le jour où une syphilis bénigne produit la paralysie générale elle cesse d'être bénigne. M. BRI.IND
BRI.IND demande à M. Ballet si la terminaison de la syphilis par la paralysie générale est liée à la bénignité même de l'infect
ons de syphilis ter- tiaire associées aux lésions habituelles de la paralysie générale. On peut invoquer ces faits en faveur
s en faveur du peu d'influence de la syphilis sur l'étiologie de la paralysie générale et les considérer comme une simple coï
nement pas sans exercer une certaine influence sur l'éclosion de la paralysie générale ; mais son rôle se borne là.-On ne peu
ne quatrième période de la diathèse spé- cifique. Les lésions de la paralysie générale sont des lésions ana- logues à celles
ondre l'anatomie pathologique. M. Vallon. Puisque les lésions de la paralysie générale sont dues à une toxine et que nous con
la syphilis est l'agent producteur de la toxine ? M. JoFFROY. La paralysie générale se montre quelquefois moins de deux an
cette discussion que ce seul fait, à savoir que les lésions- de la paralysie générale paraissent procéder d'une toxine et je
ENS TACTILE ÉTUDIÉ CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE ' ; ; Par le D E. MARANDON DE MONTYEL,
tement lui avait supprimé la verge et qu'il LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 n'était plus un homme ; il affirm
ue, ainsi que les sensations subjectives de LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 193 la peau dans la paralysie général
e LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 193 la peau dans la paralysie générale et qu'un rapport entre ces choses n'es
développement de la maladie. Mais aux deux premières périodes de la paralysie générale, à la première surtout il existe une g
e les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la paralysie générale sont l'apanage des sujets à troubles m
chez les mêmes paralysés géné- raux du début à la terminaison de la paralysie . Ils apportent, les réflexes étudiés chez les m
es réflexes étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale : Crémaslérien in Archives de physiologi
Soc. de blécl. ment, cle 13e1ligae, 1897. LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 199 croyons-nous, quelques faits nouv
vantes : I. En suivant les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale, nous avons réussi dans 70 p. 100 de n
de l'autre se montrent en sens inverse aux diverses périodes de la paralysie générale ; les deux premiers, avec leur maxi- m
s ressenties dans la peau par les malades ; LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 1 c'est seulement à titre tout à
tact qui serait d'un grand secours pour le diagnostic précoce de la paralysie générale, c'est l'anesthésie transitoire'précéd
riode, à en juger par l'évolution de nos cas, que la marche de la paralysie générale ne sera ni suraiguë ni à longue évolutio
, surtout chez un homme, elles peu- vent faire penser à un début de paralysie générale. Le pronostic des désordres mentaux pé
nd 72eztî-ologist, avril 1898.) E. B. VII. Diagnostic précoce de la paralysie progressive; pau le U Iloca. Quand on songe a
GIE MENTALE 215 un homme occupant une haute situation et atteint de paralysie générale au début, quand on réfléchit aux domma
aquelle l'auteur attire l'attention sur le diagnostic précoce de la paralysie générale. M. Hoche étudie tout d'abord les rapp
abès et de la para- lysie générale pour conclure que le tabes et la paralysie générale sont deux affections différentes mais
ndeur, etc. Puis se trouve discuté le diagnostic différentiel de la paralysie générale au début avec la neurasthénie, diagnos
sa famille ou de causer des scandales, le diagnostic précoce de la paralysie générale évite aussi pour lui les excès de tout
logiques, août 1898.) E. B REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 2L7 Les paralysies générales progressives ; par Klippel. (Mono- gr
de caractère nettement inflammatoire. C'est ainsi qu'il groupe les paralysies générales en trois grandes classes : paralysies
si qu'il groupe les paralysies générales en trois grandes classes : paralysies générales inflammatoires primitives ; para- lys
ires primitives ; para- lysies générales secondaires ou associées ; paralysies générales dégénératives, parfois spécifiques ;
oupe des formes inflammatoires. 0 L'auteur tire de sa théorie des paralysies générales secondaires parauto-intoxication une
nt dit par son évolution même, mais qui touche aux frontières de la paralysie générale puisqu'un alcoolique non traité à temp
étiques, scléreuses, névritiques, amyotrophiques et bulbaires de la paralysie générale sont passées en revue ; enfin, dans to
ration ne se produit pas. L'amaigrissement est très rapide ; pas de paralysie , ni de troubles gastriques ; il y a de la const
de l'hystérie, de la chorée, de l'alcoolisme, du morphinisme, de la paralysie générale, de la démence sénile. (Annales médico
la forme de névrites péri- phériques aigus avec myosites, oedèmes, paralysies et rétractions atrophiques avec contractures co
a d'abord de la faiblesse dans 'les muscles de l'épaule, puis de la paralysie et de l'atrophie de ces mêmes muscles; ensuite
aitement bromure. M. Il. XXVIII. Hypothèses sur la pathogénie des paralysies hystériques; parle Dr Guinaiid (Revue de médeci
travaux de M. Mathias Duval et Itamon y Cajal sur le neurone. Les paralysies passagères tiendraient à un défaut momentané de
sous ou améliorations ont été obtenues par l'auteur dans des cas de paralysies rebelles, principalement chez des neuras- théni
dont l'observation est relatée dans ce travail n'a présenté qu'une paralysie limitée au bras droit, apparaissant sous forme
tard se manifestèrent quelques trou- bles de la sensibilité et une paralysie qui persista et s'étendit aux deux membres du m
ments du bras ou une des artères qui l'alimentent el déterminer une paralysie ptssagere du membre par le fait de la compressi
ait amené une altération profonde du centre moteur et par suite une paralysie permamente. Enfin, dans les derniers temps de l
1"ENAYROU. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 231 XXXHL Deux cas de paralysie radiculaire obstétricale du plexus brachial. Ex
) L'orateur rapporte les observations de deux enfants atteints de paralysie radiculaire obstétricale du plexus brachial, du t
e plus grand danger qu'il ait jamais couru. A. 1 ENAYROU. XXXVII. Paralysie alcoolique et polynévrite infectieuse ; par le
SE. gangrène, etc. correspondent exactement avec la névrite ou la paralysie alcoolique chronique, généralement incurable. L
une manière complète, les symptômes d'amnésie. A. IENraoo. XXXIX. Paralysie faciale guérie en trois semaines par le salicylat
Catiiin. (Revue médicale, 8 octobre 1898.) Observation d'un cas de paralysie faciale survenue chez un jeune homme de dix-hui
membres inférieurs beaucoup plus fréquent chez les enfants que les paralysies et les contractures, l'aphonie, le blépharospas
eux auteuis, car le plus grand nombre des cas d'hystérie grave, les paralysies et contractures, l'astasie-abasie, et surtout l
à l'arrivée à l'hôpital, qui réussit bien dans toutes les formes de paralysie et de contrac- ture, dans l'astasie-abasie, l'a
héréditaire et ceux sur lesquels pèse une hérédité antérieure à la paralysie générale. Pour que les faits qui pourront être ap
s faits qui pourront être appor- tés en faveur de l'influence de la paralysie générale sur la descen- dance soient probants,
de ceux conçus postérieurement à elle, mais avant l'éclosion de la paralysie générale et de ceux conçus après l'apparition d
dont les parents avaient été manifeste- ment atteints eux-mêmes de paralysie générale. J'ai pu me con- vaincre du diagnostic
Pour M. CHRISTIAN, si les enfants naissent avant l'éclosion de la paralysie générale, ils seront indemnes. S'ils naissent apr
ent être consécutives à la sénilité ou exister antérieurement. La paralysie générale et les intoxications peu vent s'en accom
. Il y aura donc lieudans ces cas, de faire le diagnostic avec la paralysie générale et aussi avec les psychoses tardives o
à leur tour survenir et entraî- ner la mort plus ou moins rapide. Paralysie générale. Chez les paralytiques généraux un des
ec idée de toute-puissance incohérente et non coordonnée. Dans la paralysie générale à forme dépressive mélanco- lique ou h
des phénomènes ataxiformes qui rappellent de plus ou moins près la paralysie générale. Signalons enfin : les troubles gast
excitation motrice vive. La démence aiguë est caractérisée par la paralysie profonde et rapide de toutes les fonctions psyc
que et la moelle complètement sec- tionnée : dans ces trois cas, la paralysie flasque avec abolition des réflexes s'est produ
ue quand on sondait le malade. Trois fois le début a été lent. La paralysie flasque' a toujours été précédée d'un état spas
ctobre 1898.), L'auteur étudie successivement à ce point de vue les paralysies F.16. 310 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVII. Sur un cas de paralysie ascendante aiguë sans lésion histolo- gique des
m antityphique et qui, au cours de sa convalescence, fut pris d'une paralysie ascendante aiguë. L'affection commença par les
les membres supérieurs, enfin les muscles de la res- piration. La paralysie fut complète, avec atteinte des sphincters. La se
2) appartiennent au sexe féminin. R. C. XXXVI. Sur une variété de paralysie associée du muscle grand- dentelé (grand-dentel
onogr. de la Sulpélriène, n° 0, 1898.) Dans le cadre très vaste des paralysies associées qui intéressent le grand-dentelé, il
ysies associées qui intéressent le grand-dentelé, il en est une, la paralysie du grand-dentelé associée à celle du trapèze sc
clairement ce travail : 1° Il existe une variété particulière de paralysie associée du muscle grand-dentelé et du trapèze
s caractères cliniques, mérite une place spéciale dans le cadre des paralysies du grand-dentelé; 2° le trapèze scapulaire forme
tiraillement de leurs nerfs respectifs; 5° les caractères de cette paralysie associée varient sui- vant l'attitude du bras :
ue, décembre 1898.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 35 LUI. Paralysie pseudo-bulbaire; par le D1' Lad. HASK-OVEC. ' L
r l'auteur sont les suivants : i° Hémiplégie' du côté gauche avec paralysie des branches infé- rieures du nerf facial du mê
année, hémiplégie droite, suivie d'une hémihy- peresthésie et d'une paralysie de toutes les branches du nerf facial du même c
re forcé. 5° Artériosclérose généralisée. Il s'agit ici d'un cas de paralysie pseudo-bulbaire partielle d'origine cérébrale.
ssante et elle semble être très importante dans le diagnostic de la paralysie pseudo- bulbaire d'origine cérébrale. (Revue ne
cas de maladies organiques du système nerveux, notamment dans la paralysie générale, dans la sclérose en plaques et plus fré
éressante tendant à répandre cette notion encore peu connue : « Une paralysie grave, plus ou moins géné- ralisée, à marche ai
é des rémissions déconcertantes qui surviennent dans le cours de la paralysie générale confirmée et surtout des paralysies pr
ent dans le cours de la paralysie générale confirmée et surtout des paralysies progressives avec ou sans délire qu'on observe
comprenant toutes les intoxi- cations cérébrales y compris même la paralysie générale ; 2° les psychoses constitutionnelles
serve dans un grand nombre d'affections mentales, notamment dans la paralysie générale, dans l'épilepsie, l'éclampsie. M. Bal
ttaque d'influenza, présentait, disait sa famille, des symptômes de paralysie . Le début de l'attaque d'influenza remon- tait
int celle du stepper, signalée par Charcot. Il y avait, en réalité, paralysie des fléchisseurs, coïnci- dant avec celle des e
de la vision, elle eut du strabisme interne de l'oeil gauche; donc, paralysie du droit externe. De plus, nous avons constaté
églutition était difficile, sinon impossible, car il n'y eut jamais paralysie complète. 392 SOCIÉTÉS SAVANTES. Rien à l'e
sés pendant l'expiration). Il y avait donc parésie du muscle et non paralysie . Bien entendu, il y eut atrophie musculaire ; l
l'existence de l'alcoolisme : ainsi le steppage, l'amyotrophie, la paralysie d'un des muscles du globe oculaire, les trouble
dans la névrite périphérique . Dans la poliomyélite antérieure, la paralysie laisse souvent in- demmes les extrémités des me
erfs de l'avant-bras se trouvèrent pris ; signe d'Argyll Robertson, paralysie de la sixième paire, enfin certains symptômes d
s nerveux et la masse musculaire, la réaction de dégénérescence, la paralysie , l'amyotrophie, la position du pied, le steppag
troubles physiques (5 ont de l'arthrilisme, 4 de la débilité, 3 des paralysies infantiles, 2 sont tuberculeux, 2 chlorofiques, 2
érie, t. VU. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Vallon cite un cas de paralysie générale qui s'est amendée à la suite d'une opé
infectieuse de la sclérose en plaqnes (Kahler et Pick, P. Marie). Paralysie alterne supérieure MM cours d'une méningite tuber
gion paracentrale. Huit jours après se développe, en 12 heures, une paralysie alterne supérieure (syndrome de Weber) constitu
ontrée avec certitude. M. 1)'ASTR09 dépose un rapport sur un cas de paralysie alterne supérieure survenue chez un enfant de t
ité; tels les convulsions, les tics, les troubles de la marche, les paralysies psychiques, qui ne peuvent pas toujours être at
lotitpelliet-. 1899. Imprimerie 0). Boeiiiii. Kovalevsky (P.). - La paralysie générale au point de vue médico- légal. Brochur
un état mélancolique symptomatique de l'alcoolisme par exemple, de paralysie générale, etc... Et nous fûmes ainsi amené à po
(Xeitrologiscltcs Ceiilrulblall, nos 4 et 5, 1898). Du rapport des paralysies cérébrales chez )'enfant avec diverses catégori
si l'intelligence est plus ou moins intacte, on peut incriminer la paralysie infantile qui provoque l'aphasie motrice, le mu
Le balbutiement des adultes soit d'origine corticale comme dans la paralysie générale, soit d'origine subcorticale comme dans
ns la paralysie générale, soit d'origine subcorticale comme dans la paralysie tabio-giosso laryngée, n'est pas susceptible de
re manifestation hystérique sous forme d'un accès de mu- tisme sans paralysie , sans cécité et sans surdité verbales, sans trou-
is, comme le premier, il cessa brusquement et ne s'accompagna ni de paralysie , ni de surdité et de cécité verbales, ni de tro
lusieurs semaines. Ces accès de mutisme ne se sont accompagés ni de paralysie , ni de cécité et de surdité verbales, ni de tro
aux publics. Dans ce groupe on a réformé pour « aliénation mentale, paralysie géné- SOCIÉTÉS SAVANTES. 479 raie, idiotie
ux trois groupes précédents, on voit que « l'aliénation mentale, la paralysie générale, l'idiotie » ont nécessité pour le reste
débuts de SOCIÉTÉS SAVANTES. 481 l'aliénation et surtout de la paralysie générale, l'alcoolisme dans ses manifestations
ents et de douleurs vagues dans le membre inférieur gauche, puis de paralysie avec atrophie en masse et hypoesthésie à tous l
VANTES. 487 7 nution de l'excitabilité, mais il n'existe pas de RD. Paralysie des réservoirs. Pas de troubles trophiques. Pas
es affections pouvant présenter le tableau symptomatique constaté : paralysie hystérique, toxique ou infectieuse, polyné- vri
Nous avons observé des malades répondant à ces différents stades. Paralysie pse2tdo-bulbaire. MM. Marie et ViGOUROux. Les a
s auteurs rapportent trois obseo- vations de malades présentant des paralysies d'origine d'apparence bulbaire. La première c
attaque-; nerveuses présentant le tableau clinique com- plet de la paralysie pseudo-bulbaire de Rrissaud, avec paralysie de
linique com- plet de la paralysie pseudo-bulbaire de Rrissaud, avec paralysie de la langue, parésie du voile du palais, troub
mme de cinquante-quatre ans, qui, depuis sept ans, à la suite d'une paralysie des quatre membres, présente une abolition tota
matières. Le 14, les mouvements athétosiques prédominent à gauche, paralysie complète des sphincters. Le 21, abattement extr
médical du 31 juillet 1898. SOCIÉTÉS SAVANTES. 497 7 Un eus de paralysie de Landry. M. Bo)NET. Il s'agit d'un ouvrier, â
peut marcher, les jambes fléchissent. A partir de ce moment, cette paralysie bilatérale pro- gresse rapidement ut symétrique
pes musculaires dans l'ordre indiqué par Landry. Dans la soirée, la paralysie flasque des deux jambes est complète. Nous voyo
e affection. Etat général bon, pas de fièvre, intelligence normale, paralysie complète et flasque des deux membres inférieurs
oubles trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor- males. La paralysie suit une marche rapidement ascendante, mais res
que quelques heures plus tard. Alors surviennent des phénomènes de paralysie bulbaire : déglutition difficile presque imposs
respiration embarrassée, crises de dyspnée et de suffocation; la paralysie des inspirateurs et du diaphragme en particulier
es progrès ; mort par asphyxie quatre jours après le début de cette paralysie ascendante aiguë. Autopsie. - Congestion des po
euse. A son entrée dans le service du Dr l'luyette, on constate une paralysie complète de tout le côté gauche, face comprise,
est pris de vertiges avec perte de connaissance de courte durée, de paralysie incomplète du membre supérieur droit, augmentan
pas ce qu'on lui demandé ; aphasie, hémiplégie droite complète avec paralysie légère de la moitié correspondante de la face ;
indemne. Huit heures après, cette parésie augmente ; il existe une paralysie très prononcée des membres supérieur et inférie
quelques heures avant, le côté opposé. Pas de fièvre. Le lendemain, paralysie complète, flasque, sans convulsions, ni contrac
s en équin varus. Sensi- bilité diminuée aux membres inférieurs. La paralysie gagne les muscles du cou et de la nuque : déglu
ante-six heures après le début de ces accidents, les symp- tômes de paralysie bulbaire augmentent ; voix affaiblie, soufflée,
quent bien la brus- querie du début, la rapidité d'évolution de ces paralysies par com- pression médullaire. Le point de dépar
l'autopsie d'une vache surmenée qui s'affaissa brusquement avec une paralysie du train postérieur, une infiltration hémorragi
ongrès pour l'avancement des sciences (Marseille, 1891, p. 756). La paralysie atteignit progressivement les deux pieds, les deu
é des membres supérieurs. Ce malade succomba avec des phénomènes de paralysie bulbaire semblables à ceux qui exis- taient dan
taient dans notre observation IV et la marche progressive de cette paralysie ascendante pouvait faire songer à l'existence d'u
neurasthénique, migraine (i aura ; par Lasiacq-Dounoy. Un cas de paralysie infantile traité par l'électricité ; par Citoz.
te et de thyroïde en clinique (Bois et Kerr). Troubles oculaires et paralysie générale (Dawson et Rambaud). Assistance famili
einte de , par Gau- tier, 362. Gawn nenEl.i. Sur une variété de paralysie associée du muscle - , par Souques et Duvai, 31
rvés à la clinique du professeur P. Delati- nis, par Assimis, 61. Paralysie alterne supérieure au cours d'une tuberculeus
Marie et Vigouroux, 188. Un cas de de Landry, pai Boinet, 497. Paralysie générale. Du sens tactile étudié chez les mêmes
20 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
corps; toutefois un des malades de M. Verneuil serait mort d'une paralysie générale, ce qui indiquerait plutôt une prédisp
éniste, ces manifestations seraient fréquemment les prodromes de la paralysie générale. Cette opinion est partagée par M. Bes
88,ï, 2` ? I. Cf., p. 223, l'ii-nl)oitaiit paragraphe consacré 1 la paralysie générale progressive des aliénés, et les tiacés d
s', sica- ractéristiques dans certaines formes d'excitation de la paralysie générale. La diffusion des impulsions vo- lonta
ns retrouvé également dans la thèse de Lebreton 2, consacrée à la paralysie hystérique, les lignes suivantes, qui montrent qu
il «.Hystérie des enfants 7 », Romei, dans une observation nommée * Paralysie infantile du seul acte de la marche 8 », expose
un hémisphère produit - l'hémiopie permanente du côté opposé par la paralysie des moitiés correspondantes des deux rétines, t
cécité complète de l'oeil opposé, mais 1 hémiopie homonyme par la paralysie des côféscorrespondants desdeux rétines. Il l'a o
pansement, la plaie était entièrement guérie. Résultat. - Aucune paralysie musculaire. L'animal semble avoir un trouble de
ésultat avec l'exception d'une ]¡émianelhe,ie droite avec un peu de paralysie du bras droit ( ! ). Le dix-neuvième jour on fi
t aucun autre symptôme ni moteur ni sensitif, il n'y a ni ptosis ni paralysie ocu- laire et la sensibilité de la conjonction
n du tractus optique causera non seulement l'hémiopie mais aussi la paralysie de la réaction re- flexe de la pupille à la lum
remier, produit avec l'hémiopie l'amblyopie de l'oeil opposé par la paralysie du centre de la vision claire. Cette affection co
mes de sensibilité spéciale ou gé- néiale et absolument sans aucune paralysie motrice. Les résultats contraires obtenus par q
ils entrent dans leur troisième catégorie. P. K. Il. Trois cas DE paralysie PROGRESSIVE avec lésion en FOYER dans H capsule
il n'existe, dit M. Zacher, aucun signe clinique qui caractérise la paralysie géné- rale syphilitique ; les altérations des p
e dix-sept paralytiques généraux. Conclusion. Dans bien des cas, la paralysie générale modifie l'excitabilité gal- vanique no
ymptomatique de la sénilité, de l'épilepsie, de l'alcoolisme, de la paralysie générale, des psychoses périodiques et une foli
teur ou le patient du milieu de 1865 à 1888. P. K. XXI. UN cas DE paralysie alcoolique avec lésion centrale; par K. ScnAFFE
on centrale; par K. ScnAFFER. (Ncurol. Cenlralbl., 1889.) Type de paralysie semblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ; atr
onvenablement traités, sont éminemment curables. - R. M. C. XXVI. Paralysie générale simulant une tumeur cérébrale , par G.
accompagnement des lésions que l'on rencontre communé- ment dans la paralysie générale. Il est possible toutefois qu'une méni
ment la dose. Ce procédé convient surtout à la démence sénile, à la paralysie générale, à l'épilepsie, à la manie périodique;
mme); 1 myélite chronique (homme); 1 névrose traumatique (homme); 3 paralysies agitantes (femmes). ' Nombreux tableaux; étude
ique. M. 8. Séance du 23 novembre 1890. Les intoxications cl la paralysie générale (suite). M. A. Voisin reproche M. Char
uite). M. A. Voisin reproche M. Charpentier d'employer l'expression paralysie gêné- SOCIETES SAVANTES. d31 v z raie sans
fusion dans laquelle tombent tant de médecins, en donnant le nom de paralysie générale à des états qui ne rentrent pas dans l
alysie générale à des états qui ne rentrent pas dans le cadre de la paralysie générale des aliénés. Notre collègue, ajoute M.
générale des aliénés. Notre collègue, ajoute M. Voisin, admet comme paralysies générales des états morbides liés à la pellagre
el et le fait proliférer. M. Charpentier s'attache à montrer que la paralysie générale ne se développe pas d'ordinaire chez l
ns, c'est-à-dire du lôle important de l'élé- ment congestif dans la paralysie générale des aliénés. Les fous chroniques sont
Enfin, je ne reconnais pas dans le tra- vail de notre collègue, la paralysie générale que nous voyons tous les jours et,de p
s, il ne saurait y avoir confusion dans l'esprit de personne sur la paralysie géné- rale des aliénés qu'il décrit; il n'a pas
r tour son fonctionnement. M. ]<'AL1U,T, Il peut se faire que la paralysie générale survienne chez des rhumatisants ou des
une relation de cause à effet entre les maladies infectieuses et la paralysie générale. Rien ne le prouve. M. MARANDON DE n
abord aucun rapport entre une maladie infectieuse quelconque et la paralysie générale, mais il ne 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. n
ne serait pas convaincu par la statistique. On sait en effet que la paralysie générale se développe surtout entre trente à tr
entant des phénomènes paralytiques, on ne rencontre pas chez eux la paralysie générale des aliénés, mais une forme spéciale d
z eux la paralysie générale des aliénés, mais une forme spéciale de paralysie . M. B. xv. CONGRÈS DES NEUROLOGUES ET AL1G\IS'C
l y a huit ans, il présente, depuis cinq années, de l'ataxie, de la paralysie de la vessie et du rectum, des douleurs fulgura
une phlegmasie antérieure, tout ce second volume est consacré il la paralysie générale et au crétinisme, à la paralysie génér
volume est consacré il la paralysie générale et au crétinisme, à la paralysie générale, surtout, que M. Baillarger a fouillée
re hypochondnaque d'obstruction ou de destruction d'organes et la paralysie générale, de telle sorte que les conceptions déli
es. Et aussi les recherches sur les rapports delà pellagre et de la paralysie générale. Les auteurs qui avaient étudié la folie
Baillarger-'eut mérite d'avoir recodnu comme caractéristique de la paralysie générale, opinion que confirma l'anatomie patho-
tion sur lesquelles M. Baillarger tablera sa théorie dualiste de la paralysie générale, que nous retrouverons dans la partie sy
ère. Ces six mémoires mettent bien en relief l'existence : 1° d'une paralysie générale sans délire, caractérisée, seulement a
lytique ; 30 des rémissions fréquentes dans la forme maniaque de la paralysie générale en rapport avec la fréquence des guéri
re complètement la manie avec délire des grandeurs, de la véritable paralysie générale, qui reste une dé- mence paralytique t
uverte des rapports entre la coloration ardoisée du cerveau dans la paralysie générale et les escharres du sacrum, puis la de
rtants : l'un constatant que les hémisphères peuvent perdre dans la paralysie générale plus d'un quart de leur poids, alors que
paration de la suhs- tance grise et de la substance blanche dans la paralysie générale. BIBLIOGRAPHIE. 147 Î Nous arrivons
euvre de M. Baillarger, je veux parler de sa théorie dualiste de la paralysie générale. Cette affection, chacun le reconnaît,
e de la première, il invoque, sans compter les faits indéniables de paralysie générale sans délire où existe la seule aboliti
malades chez lesquels les symptômes psychiques et somatiques, de la paralysie générale persistent une année et plus sans être l
s'expliquer alors par de simples troubles circulatoires; cas où la paralysie générale ayant été plus ou moins caractérisée p
e plus revenir et la maladie se terminer par la démence simple sans paralysie ; pseudo-paralysies générales alcooliques consti
paralysies générales alcooliques constituées par plusieurs accès de paralysie générale se terminant par la guérison ; enfin,
frant à chaque retour tous les symptômes de la forme maniaque de la paralysie générale. Je ne saurais, dans cet article bibli
abonnés 2 fr. Peterson (f'.). elinical Sludy of Forlyseven cases of paralysies agi- tans. Brocbuie in-8° de 18 pages. New-l'ot
é. Messieurs, Vous savez en quoi consistent, le plus souvent, les paralysies alcooliques, et en particulier, la variété para
es alcooliques, et en particulier, la variété paraplégique de ces paralysies , dont nous devons la connaissance à Wilks, Lockar
vous a été fournie plusieurs fois d'étudier dans notre service, la paralysie alcoolique pseudo-tabétique, dont M. Charcot a
, et sur les caractères de laquelle j'ai ap- pelé votre attention : paralysie affectant à peu près également les deux membres
l'origine du processus névritique, auquel sont liées par- fois les paralysies amyotrophiques de l'alcoolisme chronique. Vous
le membre tout d'un coup en se cam- brant, appartient à toutes les paralysies ou parésies des exten- seurs de la jambe. Mais
e malade et en écoutant son histoire, que nous avions affaire à une paralysie alcoolique. Cette histoire peut être résumée en
e suppose avec raison, une impotence musculaire complète, une vraie paralysie flaccide ; son membre pend inerte, comme dans l
ne vraie paralysie flaccide ; son membre pend inerte, comme dans la paralysie hystérique limitée à une seule jambe, et il est
que limitée à une seule jambe, et il est assez remarquable que la paralysie motrice soit, comme la douleur, plus prononcée le
dé chez notre malade avec une exaspération de ses douleurs et de sa paralysie . D'autre part, ce n'est pas le premier trouble
e précoce. Au nomhre de ces signes figurent, en première ligne, les paralysies oculaires transi- toires, puis le signe d'Argyl
fait remarquer M. Charcot, au cours de 174 CLINIQUE NERVEUSE. la paralysie alcoolique. C'est d'abord une tristesse profonde,
omotrice est une'maladie essentiellement progressive, tandis que la paralysie alcoolique est sujette, ainsi que nous le disait
e du régime. Ainsi, tout concourt à justifier notre diagnostic de paralysie alcoolique. Il n'y a pas lieu de s'arrêter aux
arrêter aux objections qu'on pourrait tirer de Zunilatéralité de la paralysie , ni même de sa limita- tion à un territoire ner
névrites alcooliques, il n'en est pas moins vrai que le nombre des paralysies partielles augmente de jour en jour, à mesure q
maladie 1. Vous trouverez, dans les recueils, des observations de paralysie radiale, de paralysie cubitale, de paralysie du c
verez, dans les recueils, des observations de paralysie radiale, de paralysie cubitale, de paralysie du circon- flexe, voire
s, des observations de paralysie radiale, de paralysie cubitale, de paralysie du circon- flexe, voire même de paralysie facia
de paralysie cubitale, de paralysie du circon- flexe, voire même de paralysie faciale2. Vous savez, d'autre part, qu'il exist
e de paralysie faciale2. Vous savez, d'autre part, qu'il existe des paralysies généralisées, affectant une allure rapide, auss
ndry. Il n'est donc pas surprenant qu'entre ces types extrêmes de paralysies partielles et de paralysies généralisées, figure
rprenant qu'entre ces types extrêmes de paralysies partielles et de paralysies généralisées, figure un type intermédiaire de p
lles et de paralysies généralisées, figure un type intermédiaire de paralysies limitées à un plexus ou à une portion de plexus
bonne thèse de Boisvert : Elude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique ; Paris, 1888, n° 369. 1 P. Strubing
iennement connue est celle qui se traduit chez les saturnins par la paralysie radiale. Longtemps on a admis que le plomb, aus
E. tégrité presque constante du muscle long supinateur dans cette paralysie , si elle était d'origine exclusivement périphériq
névrite saturnine, on se heurtait encore à cette difficulté, que la paralysie des saturnins, étant presque exclusivement motr
élites antérieures, dont le carac- tère clinique fondamental est la paralysie amyotrophique permit un instant de supposer que
est la paralysie amyotrophique permit un instant de supposer que la paralysie saturnine était, elle aussi, la conséquence d'u
e que les troubles de la sensibilité font défaut aussi bien dans la paralysie satur- nine que dans la myélite antérieure. L'o
tur- nine que dans la myélite antérieure. L'origine spinale de la paralysie saturnine, admise en principe par Andral, Aber-
dans un grand nombre de ré- gions de la moelle (il s'agissait d'une paralysie des quatre mem- bres), les cellules nerveuses é
fs, et, si, comme l'enseignait depuis longtemps déjà M. Charcot, la paralysie saturnine ne résulte pas du processus de myélit
fs périphériques. Assurément la névrite joue un grand rôle dans les paralysies alcooliques ; cela est incontestable. C'est d'e
ve de l'alcool. D'ailleurs, il ne faudrait pas croire que, dans les paralysies alcooliques, la moelle épinière soit toujours a
he palhological Society ofloitdon, 1888, t. XXXIX. Korsakoff. De la paralysie alcoolique, Moscou, 1887. DES CENTRES TROPHIQUE
rique des hémiplégiques et des ataxiques, mais encore à cer- taines paralysies alcooliques circonscrites telles que celle dont
on- vulsion réflexe saltatoire de Bamberger, se traduit par de la paralysie spasmodique, des réflexes exaltés de la trépidati
une des causes provocatrices de l'astasie-abasie ; çe serait une « paralysie émotive * suivie d'une auto-suggestion d'impuis
en Vorgilnge hinneigt. 218 pathologie NERVEUSE. cation entre la « paralysie émotive », dont parle Blocq, entre les paralysi
cation entre la « paralysie émotive », dont parle Blocq, entre les paralysies psychiques « dependent on idea ', » dont parle
le vers le milieu de la région dorsale (fig. 24). Malgré une légère paralysie dans le même côté, il n'y avait aucun trouble d
s deux cornes anté- rieure et postérieure (fig. 25), il y avait une paralysie motrice * presque complète dans la jambe du mêm
it une certaine difficulté à vider sa vessie. Peu après, il eut une paralysie temporaire des sphincters, et de la vessie et du
époque de mon examen, un mois après l'attaque, il avait guéri de sa paralysie de la jambe gauche, mais à droite il était touj
e. (La fin au prochain numéro.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Paralysie DISSOCIÉE du NERF SCI1TIQUE poplité extfrne. (Par
grippe, chez un employé de commerce, âgé de trente-quatre ans, une paralysie dissociée au nerf péronier, des muscles péronie
b, arsenic, mercure, sulfure et. oxyde de car- bone) produisent des paralysies analogues. P. B. 11.UN cas DE chorée chronique
plète; 2° d'une abolition ab- solue du sens musculaire; et 3° d'une paralysie des muscles exten- seurs de la main gauche cons
hique. (Lyon hléd.,1889,t.LVL) 1 G. D. VI. Amnésie traumatique ET paralysie DE 1 OCULO-3fOTEUR commun; par le Dr SCHNELL.
un escalier, il perd connaissance et présente à son réveil : 1° une paralysie de l'oculomoteur commun ; 2° une amnésie à la f
tions avec autopsie. L'Observation II, est un exemple de tabes avec paralysie bilaté- rale de la partie postérieure du tronc;
traduit par une ophthalmopiégie to- tale d'un type obscur (sorte de paralysie pseudo-nucléaire). P. K. XV. DE l'aphasie opt
ffecte la forme convulsive. On ne constate d'anomalies pupillaires ( paralysie complète myosis - modification de l'excitabilit
ique, la maladie de Bright, le myxoedème, l'épilepsie, le tabes, la paralysie générale, l'acromé- galie, le saturnisme, la sy
phère opéré. A. B. IL CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique DE la. paralysie INFAN- TILE CliRi3BBALE; par TH. HOVE1/. (Arch.
IDIOTE ÉPILEPTIQUE. - CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique DE la paralysie infantile cérébrale; par TH. ZACHER. (Archiv. f
sychiat., XXI, 1.) Ces fibres s'atrophient et disparaissent dans la paralysie géné- rale, la mélancolie avec stupeur, la foli
moignent d'un délire général avec insomnie, et d'oedèmes locaux par paralysie des vaso-constricteurs; un entraînement spé- ci
M. Bruns (de Hanovre) présente à la Société une malade atteinte de paralysie du médian et du cubital. Le 12 novembre 1889, tan
uccessives de la sensibilité, perte de la motion de posi- tion), de paralysie sphinctérienne, de paralysies flasques de la ma
perte de la motion de posi- tion), de paralysie sphinctérienne, de paralysies flasques de la main. Nystagmus dès le début; tr
uenza déterminer une névrite multitoculaire, et chez un soldat, une paralysie soudaine du bras droit. Pendant l'épidémie, on
il s'agit d'un homme de trente-cinq ans, entré à l'hôpital pour une paralysie du bras gauche, une pa- resie du membre inférie
f des vaso-constricteurs ou du spasme arrivant consécutivement à la paralysie des vaso-dilatateurs. Ce qui confir- merait cet
imultanément et les conditions nécessaires pour la production de la paralysie et les conditions indispensables pour détermine
consacrées aux maladies du système nerveux. L'analyse d'un cas de paralysie radiculaire du plexus cervical est particulière
remarquable. Nous citerons aussi la série de leçons consacrées aux paralysies , diphtériqueset alcooliques. L'au- teur rapport
l en existe deux va- riétés principales : ceux qui ressemblent à la paralysie agitante, et ceux qui ressemblent à la sclérose
nombre incalculable de maladies, les douleurs, les rhumatismes, les paralysies , les névralgies, les migrâmes, les vertiges,
des vésanies et à l'exa- men judicieux des formes si variées de la paralysie générale. Nous devons à sa mémoire de citer, en
par une monoma- niaque sur la personne d'un magistrat (1863). La paralysie générale, à laquelle nous arrivons maintenant, a
: Délire hypochondriaque comme symptôme et signe précurseur de la paralysie générale (1860). De l'inégalité pupillaire comme
etc... (1850). - De l'ataxie locomotrice dans ses rapports avec la paralysie générale (1861). De la paralysie générale dans se
omotrice dans ses rapports avec la paralysie générale (1861). De la paralysie générale dans ses rapports avec la pellagre. -
stance blanche superficielle des circonvolutions du cerveau dans la paralysie générale. Sur une altération du cerveau caracté
ubstance grise et de la substance blanche des circonvolutions de la paralysie générale. De la cause ana- tomique de quelques
ralytiques (1886). - De la coloration ardoi- sée du cerveau dans la paralysie générale et de ses rapports avec les eschares d
ses rapports avec les eschares du sacrum. - De la découverte de la paralysie générale et des doctrines émises par les premie
rale et des doctrines émises par les premiers auteurs. Notes sur la paralysie générale (1849). Démence paralytique et manie a
élire ambi- tieux (1858). Des rémissions de la forme maniaque de la paralysie générale. De la guérison de la paralysie généra
de la forme maniaque de la paralysie générale. De la guérison de la paralysie générale et de la théorie des pseudo-folies par
avec prédominance du délire des grandeurs dans ses rapports avec la paralysie générale (1866). - Des rémissions et de la démenc
rale (1866). - Des rémissions et de la démence dans certains cas de paralysie générale (1879). - Influence des suppu- rations
ons sur la guérison de la folie paralytique (1858). - Théorie de la paralysie générale : théorie dualiste, théorie interne. E
ante, et avait présenté simultanément une parésie d'abord, puis une paralysie complète des mem- bres du côté droit. En présen
on naissait tout naturellement qu'il devait s'agir là d'un genre de paralysie alterne sur lequel je donnerai tout à l'heure q
rne du pédoncule cérébral produit un syndrome caractérisé par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et d
vateurs, Gubler' avait déjà, il est vrai, vu et noté cette sorte de paralysie alterne, mais malheu- reusement, son cas était
est, je le répète, beaucoup trop complexe pour servir de type aux paralysies pédonculo-protubérantielles. Dans ie cas de May
urant la vie, on avait constaté une hémiplégie du côté droit et une paralysie de l'oculo-moteur commun du côté opposé. Il e
al, alors que,, du vivant des malades, on n'avait point constaté la paralysie alterne caractéristique. Inutile de vous dire q
ée. Paris, 1SG1, 2° édit., p. 376. 326 CLINIQUE NERVEUSE. par une paralysie alterne de l'oculo moteur commun d'un ; côté (c
tération qui détruira ces deux bande- lettes amènera fatalement une paralysie des membres, du facial inférieur et de l'hypogl
le nerf oculo-moteur, le second élément de ce syndrome, à savoir la paralysie directe de la troisième paire, sera réalisé. Il
intra- pédonculaires est indispensable pour l'interprétation des paralysies partielles de la troisième paire dans le syndro
es fibres de l'oculo-moteur; elle donne l'explication naturelle des paralysies incomplètes ou partielles de la troisième paire
oient pris à l'exclusion des autres. Dans ces conditions, c'est une paralysie partielle que vous rencontrerez. Quand elle e
ion des mouvements oculaires dans tous les sens, sauf en dehors, la paralysie de l'accommodation et la dilatation de la pupil
la paralysie de l'accommodation et la dilatation de la pupille. La paralysie incomplète varie suivant les cas; quoique plus
e que celle du côté opposé. De même vous con- cevez aisément que la paralysie , combinaison rare mais possible, en somme, puis
muscle releveur de la paupière. Je n'insiste sur l'existence de ces paralysies incomplètes de l'oculo- moteur que parce que no
elles sont, Messieurs, les conditions anatomiques qui régissent les paralysies alternes pédonculo-protu- bérantielles ou protu
nière de contraste, je veux vous rappeler rapidement ce qu'est la paralysie protubérantielle inférieure ou bulbo-protubéran
e syndrome lJ11llal'd-Gublel', déuo- ' Oyon. Hémiplégie gauche avec paralysie alterne de la troisième paire droite résultant
e Gubler', mais il faut reconnaître que Gubler a trouvé le nom de paralysie alterne qui devait désormais lui servir d'étiqu
syndrome de Millard-Gubler est caractérisé par la coïncidence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une paralysie des
la coïncidence d'une paralysie faciale totale d'un côté avec une paralysie des membres du côté opposé du corps. Dans les,
des membres du côté opposé du corps. Dans les, cas de ce genre, la paralysie du facial se 'comporte comme une paralysie péri
les, cas de ce genre, la paralysie du facial se 'comporte comme une paralysie périphérique au point de vue de son étendue et
[Quelquefois cette hémiplégie faciale peut se compli- quer d'une paralysie de l'abducens ou de la cinquième paire. L'ana
me paire et le faisceau pyra- midal, et vous aurez ainsi imaginé la paralysie alterne vulgaire, autrement dit, le syndrome Mi
oncevoir en même temps une. lésion de l'abducens et, par suite, une paralysie de la sixième paire, du même côté que la paraly
, par suite, une paralysie de la sixième paire, du même côté que la paralysie faciale, venant compliquer le tableau classique
ter dans une de nos dernières leçons. Eu réalité, qu'il s'agisse de paralysie pédon- culo-protubérantielle ou de paralysie bu
ité, qu'il s'agisse de paralysie pédon- culo-protubérantielle ou de paralysie bulbo-protubé- rantielle, c'est toujours le siè
intéressés et cette lésion se traduit, comme vous le savez, par la paralysie du facial inférieur et par la déviation de la l
etc., fut mise en oeuvre, sans le moindre succès du reste ? Cette paralysie qui avait respecté la face dis- parut peu à peu
. Et, phénomène qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie motrice était, paraît-il, accompagnée d'une hém
ractères que je viens de relever devant vous. Lorsque survint celte paralysie des membres, déjà, depuis deux ans, cette jeune
le constater aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du moteur oculaire commun et réduirait-il à néa
ique et avoir un tubercule dans la protubérance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculai
s la protubérance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculaire com- mun étant jusqu'ici inc
Un pareil raisonnement serait évidemment logique s'il y avait ici paralysie de la paupière. Mais, s'il n'y a pas paralysie,
e s'il y avait ici paralysie de la paupière. Mais, s'il n'y a pas paralysie , comment donc, m'objecterez-vous, expliquer cet
cette paupière tombante ? Eh bien, je crois qu'il s'agit ici non de paralysie mais de spasme pur et simple. Je sais bien que
ractères habituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme ou d'une paralysie ? Question délicate, s'il en fut, et difficile
oculiste très distingué qui me la renvoya avec la note suivante : « Paralysie de la troisième paire, un peu de décoloration d
nière, un tabétique avec chute complète de la paupière due à une paralysie totale de la troisième paire. Or, 1 Ces jours d
ique et les troubles de la parole, de la sclérose en plaques, de la paralysie glosso-labio-la- ryngée et de l'aphasie d'autre
e votre malade a un peu la façon de parler d'un individu atteint de paralysie générale,» -11. Gehin-Roze. «Votre sujet est-il b
n vient de comparer son trouble de la parole au tremble- ment de la paralysie générale. Peut-être pourrait-on trouver également
le tremblement de la parole dans la sclelose en plaques ou dans la paralysie losso-l abm-laryuée. Je ne crois pas que ce soi
idérable qu'il est obligé de faire pour vaincre- disons le mot - la paralysie des différents organes et les tics convulsifs d
les troubles de la parole cons- tatés par M. Ballet relèvent de la paralysie générale, de la sclérose ' P. 21, loc. cit. 2
troubles de la pa- role, constatés par M. Ballet, relevaient de la paralysie géné- rale, de la sclérose en plaques ou de tou
e réaction aux excitations sensitives. Les membres n'avaient pas de paralysie motrice, mais on aurait dit qu'ils étaient lour
res dont l'excitation produit des mouvements définis, produit de la paralysie des mêmes mouvements du côté opposé du corps va
la destruction de ces centres. Quand la destruction est complète la paralysie est permanente et entraîne une dégénérescence d
jugée de la tête et des yeux fut de courte durée relativement et la paralysie faciale partielle, d'abord perceptible, disparu
ure de la scissure de Rolando de l'hémisphère gauche, produisit une paralysie de la jambe droite, sans trouble de la sensibilit
spéciale. L'extirpation de la circonvolution marginale, produit la paralysie des mouvements que laisse intacts la destructio
our produire un effet mar- qué. A l'ablation bilatérale, succède la paralysie la plus absolue des muscles du tronc.. « L'at
re que ces centres soient détruits des deux côtés, pour obtenir une paralysie . Krause chez les chiens, Semon et liorsley chez l
qui sont indépendants et spécialement volon- taires. D'où, dans la paralysie corticale, le bras est plus paralysé que la jam
tance grise des centres respectifs, . produisent invariablement une paralysie des mouvements volon- taires dans les parties c
ue amènent une hémiplégie, mais des lésions limitées produisent des paralysies limitées ou une monoplégie de la face, du bras,
1 cas de monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral, 15 de paralysie du bras et de la jambe par lésion du lobule par
r lésion de la moitié inférieure de la zone rolandique et 10 cas de paralysie faciale par lésion du tiers inférieur de cette
s'appliquer aux facultés en général et aux sens spéciaux. A part la paralysie motrice, je n'ai jamais pu découvrir le moindre
ment pour nous convaincre qu'une lésion de l'écorce qui produit une paralysie du mouvement volontaire n'est pas nécessairemen
s, disent-ils, ainsi obtenue nous n'avons obtenu seule- ment qu'une paralysie musculaire, incomplète comme résultat de l'opér
t aucune diminution de la sensibilité dans les parties atteintes de paralysie . Le ramollissement par les thromboses produites
roduites par le cautère n'eut pour effet qu'un état plus complet de paralysie musculaire, mais la sensibilité du côté opposé
rminées ou vagues. Il est aussi incontes- table que chez l'homme la paralysie par lésion de la zone motrice est dans la major
t réuni beaucoup d'autres lésions de la zone motrice certicale avec paralysie , dans les- quelles les différents modes de sens
nsitifs, quel- ques fois au moins sinon toujours, accompagnaient la paralysie motrice. Les données sur lesquelles ces conclus
émontré que des lésions destructives produisent invariablement -une paralysie motrice, locale ou généralisée suivant la posit
lisée suivant la position et l'étendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice corticale sans tr
e se gangrena après avoir pré- senté de l'anesthésie. Des 15 cas de paralysie du bras et de la jambe par lésion du lobule par
ouble de la sensibilité disparaît enfin pendant t que persistait la paralysie motrice. Dans ce cas, la lésion atteignait le g
ésions de la moitié inférieure de la zone de Rolando produisant une paralysie de la face et du bras, la sensibilité était int
hénetis situé dans la circonvolution de Broca auraitcausé ( ! ) une paralysie du côté droit de la face et du bras et l'anesthés
adie du tiers inférieur de la zone de Rolando produisant une simple paralysie faciale, la sensi- bilité était intacte dans 4,
s symptômes indiquaient une lésion corticale. Dans un cas récent de paralysie absolue du bras droit avec surdité ver- bale et
ussi entre ledegre de l'altération de la sensibilité et celui de la paralysie motrice. La paralysie motrice a éte absoule, ta
l'altération de la sensibilité et celui de la paralysie motrice. La paralysie motrice a éte absoule, tandis que l'altération
bilité était légère et confinée a un ou au plus 2 à 3 doigts; ou la paralysie motrice a été limitée, tandis que l'altération
bilité tactile, d'abord obser- vée a ensuite disparu, tandis que la paralysie motrice a persisté. Et quand, en plus, nous con
sensibilité musculaire et tactile peut être abolie en l'absence de paralysie motrice, état que l'on peut reproduire expérime
ement dislaiitsl'uli de l'autre et que nous ne pouvons attribuer la paralysie motrice à aucune altération de la sensibilité t
tiqué comme due à une tumeur dans la région du pli courbe. Pas de paralysie du mouvement, mais une très légère atteinte de la
osé du corps. Les lésions corticales de la zone motrice causant une paralysie complète peuvent se produire sans aucun trouble
ble du sens muscu- laire et la perte du sens musculaire sans aucune paralysie . Je suis d'accord avec Bastian, James3 et d'aut
des fibres qui les réunissent aux centres sensitifs de l'ecorce, la paralysie pré- sente les mêmes caractères que celle qui s
ont été toujours associées avec une altération psychique, à part la paralysie de la face etdes membres. Les effets de l'excitat
parus, la destruction ultérieure de la zone préfiontale produit une paralysie de la tête et des yeux, exactement de la même na-
central, l'animal vécut seulement 24 heures. Il n'y avait aucune paralysie des muscles de la face ni des membres, quoique le
ement la déviation conjuguée de la tête et des yeux, mais aussi une paralysie temporaire des mouvements ~ qui se produisent p
ue la destruction de la région frontale chez les chiens produit une paralysie des muscles du tronc et il appelle la région fron
ue à une altération directe ou indirecte des centres. En plus de la paralysie deces mouve- ments de la tête et des yeux par l
était spé- cialement atteinte, et dans tous, une absence totale de paralysie des membres. Quoique j'aie pris tant de votre
ins, elle provoque des phéno- mènes d'impulsion, de tremblement, de paralysie des muscles de l'appareil respiratoire et déter
t que peu dechose à attendre de cette méthode dans la démence et la paralysie générale. Enfin, l'électricité peut rendre des
pas associé à d'autres formes mentales, telles que l'alcoolisme, la paralysie générale. Les hallucinations de la vue se renco
ieuses seules, sans idées de persécution, comme on les voit dans la paralysie générale, n'ont jamais été observées par Schüle
s de ceux qu'il croit être ses ennemis. 5° Manie. Démence sénile. Paralysie générale. Alcoolisme Le délire des persécutions
lsions violentes, on observe souvent des idées de persécution. La paralysie générale présente, elle aussi, dans quelques cas
re de persécu- tion ; dans d'autres cas enfin éclate subitement une paralysie géné- rale, latente lusque-là. La conclusion
tions personnelles. l'. K. IMPORTANCE pratique DE L1 question DE La paralysie générale SYPHILITIQUE,; par TuolSEN. (Allg. Zci
TIQUE,; par TuolSEN. (Allg. Zcitsch. f. Psychiat. XLIV, 5.) Sur 416 paralysies générales appartenant à la population infé- rie
E MENTALE. syphilis, 53 l'ont eue selon toutes probabilités. Sur 24 paralysies générales empruntées à l'asile privé de Hertz,
coulé quatorze ans entre l'infection syphilitique et le début de la paralysie générale; les paralytiques généraux à sclérose
es syphilitiques certains. Il faut donc désormais étudier à part la paralysie genérale compliquée de lésions des cordons la-
ralysie genérale compliquée de lésions des cordons la- téraux et la paralysie générale compliquée de lésions des cordons post
lle, car généralement alors les accidents cérébraux sont ceux de la paralysie générale. P. K. XXXV. DE VINGT-SIX cas de paral
nt ceux de la paralysie générale. P. K. XXXV. DE VINGT-SIX cas de paralysie PROGRESSIVE CHEZ la femme ; par L. GnEPPIN. (Al
ue confirmant les assertions des autres auteurs. P. K. XXXVI. DE la paralysie DE la main par l'application DES MENOTTES; , pa
ation DES MENOTTES; , par EULENDU11G. (Neurol. Ce7aL'albl. 1889.) Paralysie du médian comprimé dans son trajet superficiel au
- pondérant dès la naissance; chez l'aliéné non dégénéré. par une paralysie occasionnelle des fonctions supérieures. J. S.
ividu malade. M. le professeur KojEWMhon'- a lu un travail sur la paralysie alcoolique fondé sur de nombreuses observations
de nombreuses observations personnelles. Le tableau clinique de la paralysie alcoolique se caractérise par un trouble de l'a
centres; les extenseurs.sont plus touchés que les fléchisseurs. Les paralysies portent un caractère périphérique et se dévelop
substratum anatomique de la forme cli- nique connue sous le nom de paralysie alcoolique est constitué par la névrite multipl
levUSCh, \68; (service des) en France, 472. Amnésie traumatiqueet paralysie du moteur oculaire commun par Sc'tnell, 265.
entres ! , par Monakow, 283. Oreille de Morel, par Binder, 281. Paralysie générale avec lésions de la capsule interne, pa
cation, par A. Voisin, J30; - syphili- tique, par Thomsen, 451. Paralysie alcoolique avec lésion centrale, par Schaiffer,
21 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s trois premières vertèbres thoraciques, l'atrophie des jambes avec paralysie la contmc- ture des tendons du jarret et de lar
duisait par une paraplégie spasmodique : . celui de Gerhart', où la paralysie demeura spasmodique pendant quatre ans et demi,
nous a semblé que l'intérêt croissant qui s'at- tache à l'étude des paralysies flaccides ne devait pas nous porter à oublier l
membres inférieurs, les four- millements des membres supérieurs, la paralysie radiale, l'hématurie, la polyurie, les vertiges
tibles de déterminer les engourdissements, les four- millements, la paralysie radiale, etc. Lorsqu'elles sont très longues -
paraît surtout peu solide sur ses jambes bien qu'il n'y ait pas de paralysie proprement dite. Pas de signe de Romberg. Atrop
s facultés intellectuelles restèrent toujours intactes. G. D. VIII. Paralysie faciale double d'origine périphérique ; par M.
'observation fait l'objet de ce travail qu'il s'agissait bien d'une paralysie faciale périphérique étaient : 1° la participatio
familial, ni contractures fibrillaires, ni troubles vaso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni troubles oculo-moteurs, ni trou
teurs, ni troubles de la sensibilité ; il ne représente donc ni une paralysie pseudo-hypertrophique, ni un type d'amyotrophie
auteurs placent en « situation d'attente ». R. C. XVI. Un cas de paralysie bulbaire supérieure chronique ; par H UDO- VERN
son observation est intéressante par l'apparition unilatérale de la paralysie et la longue durée (6 ans) de son installation sa
étaillée de 47 observations, dont quelques-unes person-. nelles, de paralysie causée primitivement ou secondairement par des
complète et qui céda par le sevrage et un traitement ioduré. XXVII. Paralysie faciale double d'origine périphérique ; par DEC
roubles de la salivation et de la gus- tation. L'auteur croit à une paralysie rhumatismale ou a frigore, dont la lésion siége
aphie sur les crises gastriques du tabes par S. Basch. A. M. XXX. Paralysie poste anesthésique; par LECZINSKY (net- 1'01'" Al
net- 1'01'" Aledi- cal Record, 21 octobre 1899.) L'auteur nie les paralysies dues à l'anesthésie généralisée par les agents
ordinaires (chloroforme, éther, etc.) Il les fait rentrer dans les paralysies périphériques accidentelles dues à des compress
pendant la nuit, etc., etc. - SIMON. XL. Un cas de syndrome d'Erb. ( Paralysie bulbaire asthénique) ; par les D" Long et `iTI$
travail, plaide en faveur de l'origine toxique et infectieuse de la paralysie bul- baire asthénique. Pendant une première pha
l s'agit d'un cocher de trente-neuf ans, qui, soudain est frappé de paralysie des membres supérieurs, symétrique. La paralysie
dain est frappé de paralysie des membres supérieurs, symétrique. La paralysie porte surtout sur les extenseurs de l'avant-bra
citabilité faradique et galvanique sans réaction dégénérative. A la paralysie prennent part les muscles qui rapprochent l'épa
hystériques, 3 hystéro-épilep- tiques, 2 goitres exophthalmiques, 3 paralysies faciales, dans la migraine, la névralgie du tri
la névralgie du trijumeau, la parésie du cubital, l'athé- tose, la paralysie combinée du facial et de l'oculo-moteur commun,
inée du facial et de l'oculo-moteur commun, la manie hystérique, la paralysie agitante, la neurasthénie, le rhu- matisme, la
une hémorragie, il y a eu hématomyélie. Cela est démontré par la paralysie atrophique, bilatérale, des territoires du radial
étendue variable, car, pendant un certain temps il a existé de la paralysie du péronier droit, qui cinq mois plus tard avait
cinq mois plus tard avait absolument disparu; il y a eu encore une paralysie des plus évi- dente du grand dentelé droit, qui
solées de la moelle lombaire et de la moelle sacrée ressort : de la paralysie passagère du péronier droit, de la faiblesse de
rchives, 2° série, t. XIII. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. La paralysie du grand dentelé, du radial et du cubital résulte
patellaires abdominaux et crémastériens, les troubles sensibles, la paralysie du péronier, la faiblesse sphinctérienne, indiq
, du cinquième lombaire avec les premier et deuxième sacrés droits ( paralysie du péronier) ainsi que des troisième à cinquièm
du procédé artificiel de Jendrassik. Le pronostic est grave. Les paralysies des deux régions bilaté- rales du radial et du
re l'apaisement des accidents tabétiques déjà anciens du fait d'une paralysie générale. Quel a été l'effet des eaux sulfureus
ut accusé chez les jeunes épileptiques. P. KERAVAL. LI. Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez une enfant; par KOLL9R1TS.
isent l'auteur à écarter pour le diagnostic anatomo-pathologique la paralysie bulbaire vraie, les pseudo-paralysies bulbaires
Iconogr. de la Salpétriére, n° 2, 1901.) .) Quatre observations : paralysie chez un marchand de nouveautés crampe des piani
on nerveuse partielle d'où tremblement, destruc- tion complète d'où paralysie . L'auteur serait disposé à admettre que ces dif
de son travail sont l'ataxie locomotrice, la sclorose multiple, la paralysie agitante et la parésie générale, mot par lequel
lysie agitante et la parésie générale, mot par lequel il désigne la paralysie générale. Ce mémoire. est un simple exposé de l
s, plus intenses la nuit, sans fris- sons ni fièvre apparente; puis paralysie des membres inférieurs (droit chez l'un, gauche
e, absente chez le premier, le début a été beaucoup plus rapide, la paralysie plus intense, l'atrophie consécutive prédominan
lysie infantile douloureuse; 4° La topographie radiculaire de cette paralysie atrophique qui intéresse les dernières paires l
premières sacrées; 5° Les ressemblances de ces monoplégies avec les paralysies atrophiques consécutives à la méningite cérébro
pprochée de celle des amyotrophies spinales, en parti- culier de la paralysie infantile. En effet les conséquences de la para
culier de la paralysie infantile. En effet les conséquences de la paralysie infantile ne sont pas seulement représentées par
paralysé et trop dépourvu de réflexes pour l'âge de- sa maladie. Paralysie infantile avec disposition radiculaire. MM. HUE
la valeur du signa épilepsie partielle SOCIÉTÉS SAVANTES. 01 avec paralysie au point de vue chirurgical, mais seulement au
x, par la rapidité de son évolution, par la marche ascendante de la paralysie , par la terminaison mortelle. Au point de vue
es manifestations bul- baires, de l'évolution et de la marche de la paralysie , de la persis- tance des phénomènes généraux ap
DE M. LE professeur A. Pitres. ' , ... ? 1 i Étude sur six cas de paralysie hystéro-alcoolique bénigne du membre supérieur.
scription qu'en a faite Charcot. C'étaient des exemples typiques de paralysies hystériques à distribution franche- ment segmen
as subi de traumatismes violents. Le début discret, insidieux de la paralysie , sa symptomatologie fruste, atténuée, ne parais
atégorie des accidents hystériques. Il s'agissait cependant bien de paralysies hystériques, car il - suffit dans tous les cas
ivre mettront en relief les principaux caractères de cette forme de paralysie des membres supérieurs. Observation I. Bern..
itres le mercredi, ne se plaignant de rien autre chose que de cette paralysie de la main droite per- sistante depuis quarante
s de l'avant-bras provoque une secousse normale et égale des deux PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. \ 99 côtés. Pas de sensatio
auche. Les autres organes des sens sont normaux. Le diagnostic de paralysie hystéro-alcoolique bénigne des ma- nouvriers ét
veuse. Gu... est marié, père de deux enfants bien portants aussi. PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. - 101 Antécédents personnel
marquées d'alcoolisme, bien qu'à l'occasion il boive volontiers un PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. '103 petit verre; mais dura
sante qui, au bout de quelques instants, l'ont forcé à Fifl. II,. PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 105 lâcher son outil. A ce
t sujet à des attaques d'hystérie, et deux filles en bonne santé. PARALYSIE UYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 107 i Histoire de la maladi
uillet 1901. - Le malade ne se plaint de rien autre chose que de la paralysie de sa main droite. Cette main n'est ni rouge ni
et deux s'étaient enivrés quelques heures avant l'apparition de la paralysie (obs. 1 et II). Dans ces deux cas, la paralysie
l'apparition de la paralysie (obs. 1 et II). Dans ces deux cas, la paralysie s'est-installée la nuit; dans les quatre autres
Jamais nous n'avons constaté une distribution systématique de la paralysie dans un groupe de muscles physiologiquement dif
nsi- bilité cutanée, affectant une distribution nettement segmen- PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 109 taire. C'était de l'ane
tant entre l'étendue de ces troubles sensitifs et l'extension de la paralysie motrice. Dans l'observation I, où la paralysie
et l'extension de la paralysie motrice. Dans l'observation I, où la paralysie était limitée à la main, une large plaque d'ane
ans l'observation V la main seule était hypoesthésique, bien que la paralysie s'étendit à tout l'avant-bras. Bien que le fa
uccédé dans cet ordre, puisque chez l'un de nos malades (obs. V) la paralysie motrice a totalement disparu avant que la sensi
, plutôt que par leur nature, de ceux qui caractérisent les grandes paralysies hystériques. Le traitement que nous avons emplo
urs été efficace. Il est à remarquer que dans les cas récents où la paralysie ne datait que de deux à quatre jours, la guéris
adie durait depuis plusieurs semaines. Cela semble prouver que la paralysie devient plus rebelle à mesure qu'elle persiste.
médecine, novembre 1900.) Il s'agit d'un sujet qui présentait une paralysie complète des. quatre membres et même des muscle
lés s'atténuant pro- gressivement, on ne peut guère admettre qu'une paralysie par hémorrhagie intra-rachidienne et compressio
' IV. Numération des globules blancs du sang dans quelques cas de paralysie générale ; par C.-Il. JENKS. (The Americccn Journ
trouver un signe aidant à la diagnose des premières périodes de la paralysie générale. L'auteur procédait au prélèvement du
ue cette théorie jetterait quelque lumière sur les anes- thésies et paralysies hystériques. Par rétraction, la continuité des
couches. Il y a quelques années, elle est atteinte sans motifs de paralysie agitante, qui occupe successivement le membre sup
ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. résumé par eux. Examen clinique : paralysie spinale à marche lente et progressive survenue
ure de l'aorte, il y a eu, dès les deux ou trois premières minutes, paralysie complète des extrémités postérieures. Les pièce
RAYMOND a vu deux cas analogues d'origine blennorrha- gique. - - Paralysie associée des globes oculaires. M. CESTAN montre
nnel, diminution de la sensibilité, trouble spécial de la parole et paralysie oculaire très marquée rendant presque nuls les
e. Après un coma de dix-huit heures le malade revint à lui avec une paralysie complète du facial inférieur, déviation de la l
berculeux sclérosant et le processus est ici analogue à celui de la paralysie générale et la tuberculose comme l'a dit Klippe
comme l'a dit Klippel pourrait bien engendrer comme la syphilis la paralysie générale, et se ranger parmi les autres causes
et les autres affections diffuses dégénératives du système nerveux ( paralysie générale et démence sénile). - . Discussion.
sation de l'intérieur ouvrier. Conférence. In-18. PLcmN et ALLAIID. Paralysie faciale et paralysie des mouvements associés de
ouvrier. Conférence. In-18. PLcmN et ALLAIID. Paralysie faciale et paralysie des mouvements associés de latéralité des globe
ion en moins ou vice versa. Cette fois le premier rang revient à la paralysie géné- rale et le dernier à la vésanie, entre le
se montre pourtant d'une fréquence égale à la dermographie dans la paralysie générale, égale à l'affaiblissement dans la déb
tions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE MENTALE. paralysie générale et pour cela de suivre les mêmes sujets
ns de la peau que nous avons ren- contrées aux trois périodes de la paralysie générale : soit 19 sujets à la première, 20 à l
esse jusqu'à l'âge de trois ans, fait pendant près d'une minute une paralysie de tous les muscles de la langue qui tombe en a
encore bloqué -E- Tout se débloque. + Sentez la face, la langue : paralysie de la langue -f- Soubresaut ? Régression jusqu'à
is entre en crise -)- La langue se paralyse -j- Louis m'explique sa paralysie par ce fait qu'un fil qui part de la base de la
de l'oreillle. Régression jusqu'à t'age de trois ans; progression. Paralysie de la langue avec soubresaut Grande hyperesthés
ises de contractures, de mouvements toniques, les soubresauts, la paralysie de la langue sont allés en diminuant de quantité
e et de l'imbécillité 1. G. D. IV. De la rareté et des causes de la paralysie générale dans le canton de Fribourg; par le Dr
int de l'asile de Marsens depuis vingt-trois ans, a constaté que la paralysie générale y était très rare. Dans les cinq derni
des hommes et 3 chez des femmes. Pour expliquer cette rareté de la paralysie générale, le Dr Remy invoque la vie passive, ex
enfants de Bicêtre. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3)7 ï la paralysie générale. Cette affection serait due surtout aux
V. Contribution à l'étude des rapports de 1 impaludisme et de la paralysie générale; par MARANDON de 10,NI'YEL. (Revue de mé
portent sur plu- sieurs années de recherches. Chez ces malades, la paralysie géné- rale se trouvait liée soit zv l'impaludis
paludiens ayant sou- vent correspondu avec une recrudescence de la paralysie générale. A noter que ces malades étaient tous
r conclure que l'infection paludéenne peut à elle seule produire la paralysie générale et c'est à l'avenir d'éclaircir cette
érescence et la difficulté d'y remédier. SDION. XII. Trois cas de paralysie générale chez des femmes jeunes; par W.-L. Worc
de. Mort de tuberculose pulmonaire à vingt- deux ans. Lésions de la paralysie générale. Poids : 815 grammes. Les cerveaux des
vient ainsi il l'appui du pre- mier. Smou. XV. L'étiologie de la paralysie progressive; par le professeur li. v. KRAFFT-ËB
nity, 1900, p. (jI¡5-ûû8.) , , Deux mots résument l'étiologie de la paralysie : syphilis et civi- lisation, et le traitement
ssi la difficulté du diagnostic la modification que parait subir la paralysie générale depuis une dizaine d'années, se tradui
ce préambule, l'auteur établit les diagnostics différentiels de la paralysie avec les affec- tions suivantes : alcoolisme ch
o-moteurs, d'où des changements circulatoires (spasme vasculaire ou paralysie ). Mais la rareté de la concomitance d'une psych
rie. P . KERAVAL XXXII. Matériaux pour servir au'diagnostic de la paralysie géné- rale ; par A.-W. Tmor.r;ren'. (06orénié p
ont les cas de neurasthénie cer- taine qui passe graduellement à la paralysie générale. Deux observa- tions, qui montrent la
ement à la paralysie générale. Deux observa- tions, qui montrent la paralysie générale s'insinuant imperceptible- ment, et ne
essemblent de très près par leur évolution et leurs symptômes, à la paralysie générale : l'observation correspondante revendi
olie périodique s'ac- compagne souvent de phénomènes qui sentent la paralysie géné- rale sans cependant que celle-ci soit évi
n de démence sénile, en imposant, dans les premiers jours, pour une paralysie géné- rale. Mais il s'agit d'un homme de soixan
oins courtes, où le tableau clinique est très voisin de celui de la paralysie générale. En voici un exemple : à un certain mo
adie, imposent le diagnos- tic ; -6° quelquefois, très rarement, la paralysie générale, à son début, ressemble à la folie sys
commémoratifs ne trahissent ni le début, ni le déloppe- 'ment de la paralysie générale, mais chez qui il existe : des trou- -
peuvent présenter à un plus ou moins grand degré, le tableau de la paralysie géné- 23G 6 REVUE DE PATHOLOGIE MKNTRLE. raie
des troubles moteurs qui puisse être regardé comme spécifique de la paralysie générale : l'absence ou l'inégalité de réaction d
bles mentaux, il n'en est pas un qui soit exclusivement propre à la paralysie générale : le plus enrelief, le délire des gran
ement se rencontrer en d'autres maladies ; - 4° le diagnostic de la paralysie générale ne se peut établir que par la réunion
teinte des diverses fonctions mentales est pleinement spéciale à la paralysie générale : [elle dérive de l'essence même du pr
le au sein des classes intelligentes et de la neurasthénie et de la paralysie générale, il n'est pas rare d'observer chez le
nte, qui parfois traîne bien des années, au stade prodromiqne de la paralysie générale. P. KÉRA'AL. XXXIII. Des perversions
gaire, mais qui est at- teinte d'un phénomène assez singulier. Sans paralysie , sans - sociétés savantes. 2't3 stigmates d'h
droite et les phéno- mène sspastiques. G. RossoLmo. - Note sur la paralysie faciale récidivante. Le symptôme complexe de l'
troisième paire. L'auteur admet par analo- gie la possibilité d'une paralysie faciale périodique (récidivante), faisant parti
neuf 248 sociétés savantes. , années la malade eut deux fois une paralysie faciale du côté gauche et deux fois une paralys
eut deux fois une paralysie faciale du côté gauche et deux fois une paralysie faciale du côté droit. La première fois l'ap- p
alysie faciale du côté droit. La première fois l'ap- parition de la paralysie faciale a été précédée d'un accès très fort de
écédée d'un accès très fort de migraine occipitale du même côté; la paralysie faciale survint deux jours plus tard d'une faço
s comme les autres- fois (de deux à cinq mois). La cause de cette paralysie doit être recherchée probablement dans les troubl
e provoqués par l'hémicranie. Discussion. M. Minor rappelle que les paralysies récidivantes s'observent aussi dans le diabète
diabète et dans la tuberculose. M. Mou- ATOV émet l'hypothèse d'une paralysie faciale d'origine paludé- enne. , M. V. lIIou
ngite de la base, avec état démentiel rappelant les symptômes de la paralysie générale (le diagnostic de p. g. fut porté dans
de ces 60 observations. Chapitre II. Etiologie et pathologie de la paralysie générale . Dans cet article, l'auteur fait surt
l'auteur fait surtout -ressortir l'influence de la syphilis sur la paralysie générale. Nous donnerons un court aperçu des au
us donnerons un court aperçu des autres articles : Syphilis dans la paralysie générale des aliénés; parH.-W. LEWIS. Observati
térieur ou spinal et des vérifications périphériques dans un cas de paralysie générale accompagnées d'éruptions bulleuses ; M
tion des couches cellulaires profondes de l'écorce, et diagnostiqué paralysie générale ; par Mort. Un cas d'anémie pernicie
s trois cas, qui n'ont pu être classés, ont présenté l'aspect d'une paralysie progressive, à évolution lente vers la démence.
ne paralysie progressive, à évolution lente vers la démence. Pas de paralysies des bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incont
1897. Antécédents héréditaires. Père mort à quarante ans d'une « paralysie au cerveau», interné. Etait dans l'industrie, aff
par L.-E. 13REGMAN. (Neurolog. Centrant" XIX, 1900.) Observation de paralysie périphérique de l'oculo-moteur com- mun associé
de paralysie périphérique de l'oculo-moteur com- mun associée à une paralysie du pathétique, chez un homme de cinquante-cinq
alors qu'il-était ivre, d'un escalier de 20 marches, n'avait pas de paralysie nucléaire, encore moins de paralysie fasciculaire
de 20 marches, n'avait pas de paralysie nucléaire, encore moins de paralysie fasciculaire : impos- sible d'admettre un foyer
ue, de tabes avec ataxie, avec arthropathie du genou, de chorée, de paralysie du péronier ; à des circulaires à la phase mani
n : 312- . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' de paralysie unilatérale de l'oculomoteur commun dans laquelle
ydriatique de l'occlusion de l'oeil. Pour finir, une observation de paralysie unilatérale de l'iris, suite de traumatisme, da
vé (en dehors des ictus) que chez deux malades. - En dehors de la paralysie générale, la perte des réflexes pupillaires est
ombé à une attaque apoplectiforme. M. SOLLIER pense que 1 idée de paralysie générale doit être écar- tée parce que le malad
à celui qui vient d'être rapporté et pour lequel le dia- gnostic de paralysie générale devait être écarté. Un hypochon- driaq
e, de souche arthritique et cancéreuse, présentant les symptômes de paralysie générale, onze ans après l'apparition d'une syp
guérie. En même temps qu'apparais- saient les premiers signes de la paralysie générale, ce malade faisait; au cours d'une pér
sse peut s'observer chez les hommes et se rencontre surtout dans la paralysie générale. il mélite de constituer une variété n
hrist. Cette idée qui peut se retrouver partout, aussi bien dans la paralysie générale que dans les vésanies, ne saurait être
leplique transitoire. ' M. IlEVEROca (de Kral) a observé des cas de paralysie des mem- bres inférieurs survenue après des par
ffections où la motilité de l'iris est ou va être atteinte : tabès, paralysie générale, syphilis. ' On la rencontre bien au
re intacts, être ' · considéré comme un signe probable de tabes, de paralysie géné- rale, de syphilis, et que sa valeur séméi
une remarque qui s'applique aussi naturellement au tabès et à la paralysie générale. Aujourd'hui, la plupart des médecins, é
ontiennent ni sucre ni albumine. La sensibilité est normale. Pas de paralysie , aucun signe de rachitisme. Aucun sligmate de s
fin le caractère des accès d'épilepsie généralisée. On constate une paralysie faciale gauche et une paralysie du bras du même
lepsie généralisée. On constate une paralysie faciale gauche et une paralysie du bras du même côté. La température monte jusq
déterminé la mort. A noter dans ce cas la présence de phénomènes de paralysie , notamment de la paralysie de la face et du bra
dans ce cas la présence de phénomènes de paralysie, notamment de la paralysie de la face et du bras du côté gauche, chose ass
sologiques en faveur des relations causales entre la syphilis el la paralysie générale. Jusqu'à présent les seuls arguments e
ent les seuls arguments en faveur de l'origine syphi- litique de la paralysie générale sont basés sur la méthode statis- tiqu
ononcée avec ataxie profonde. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Paralysie bila- térale de la sixième paire. Anesthésie du
o-ulyéllte syphilitique); 2° des altérations caractéristiques de la paralysie générale, sous forme d'épendymite granuleuse et
sie), dans lesquels on voit des ictus apopleetiformes répétés, avec paralysies transitoires à la suite d'une infection syphili
achy- méningite hémorragique), ayant le caractère de celles de la paralysie générale; 2° des ictus apopleetiformes transitoir
e la syphilis tertiaire avec des-symptômes clini- ques isolés de la paralysie générale, offre un argument nosolo- gique en fa
e, offre un argument nosolo- gique en faveur de la dépendance de la paralysie générale de la syphilis (acquise ou héréditarie
r d'argument nosologique pour la causalité entre la sypliilis et la paralysie générale. IVI. 1 lONSTArÇTINOWSKY pense que l
es affections du système nerveux. .AI. Butzke fait remarquer que la paralysie générale est telle- ment rare dans les cas de l
ns avant la mort, et pourtant on n'a pas assisté à l'éclosion de la paralysie générale ni au point de vue clinique, ni au poi
clue des ictus apoplec- tiformes, mais non de tout le tableau de la paralysie générale. JI. Versilotf pense que les ictus apo
tra- tum anatomique, qui peuvent les simuler, particulièrement la paralysie générale progressive. - Les accès aigus ou suba
ronique simulent très souvent, du moins temporairement, un début de paralysie générale. Le cyto-diagnostic négatif dans le pr
. Le diagnostic peut donc se poser entre la démence sénile, et la paralysie générale; l'absence d'éléments figurés dans le li
pas conclure de la présence de ces mêmes éléments au diagnostic de paralysie générale, car on risquerait de la confondre ave
itabilité morbide des centres thermogènes, que des convulsions, des paralysies et des contractures par suite d'un fonctionneme
diographique et chirurgien de l'asile des aliénés. Observation de paralysie générale gémellaire homomorphe (Délire des néga
eptembre 1888. ' Soukhanof. Iilinikitschesky journal, no 4, 1900. PARALYSIE GÉNÉRALE GÉMELLAIRE HOMOMORPHE. 371 Pas d'antéc
ernement. Il présentait lors de son admission tous les signes de la paralysie générale progressive à forme lypémaniaque avec
le chagrin éprouvé par ce dernier lors de la mort de sa femme. La paralysie générale évolua très rapidement, l'affaiblissemen
diagnostic ne tarda pas a être confirmé; les signes physiques de la paralysie générale apparurent. Les idées délirantes moins
29 mai 1899. Notons que sur ces entrefaites, sa femme, atteinte de paralysie générale après l'internement de son mari, était
ervalle, l'un à trente- neuf ans, l'autre à quarante-sept ans de la paralysie géné- rale progresive à forme mélancolique avec
d'abord l'apparition chez les deux frères de la même affection, la paralysie générale, survenant sans cause apparente; c'est
n de folie induite dans ce cas par la simple raison qu'il s'agit de paralysie générale, que les jumeaux ne vivaient pas ensem
tant une contribution très originale à l'étude de l'étiologie de la paralysie générale. Un cas intéressant de paralysie facia
tude de l'étiologie de la paralysie générale. Un cas intéressant de paralysie faciale double d'origine périphérique; Par le
périphérique; Par le D' DIAX-DELGADO. On a écrit beaucoup sur la paralysie faciale, mais le cas que je vais rapporter, mér
crois d'être publié. Il s'agit d'un malade qui a souffert de, deux paralysies faciales périphériques en trois ans, mais compl
L'histoire du malade est la suivante. M. S ? âgé de soixante-deux PARALYSIE FACIALE DOUBLE. 373 ans, constitution, bien por
a à ma consultation en septembre 1898. avec la face classique de la paralysie faciale périphérique. Le malade interrogé dit q
bitement, et sans troubles cérébraux. A première vue, la nouvelle paralysie était exactement la même que celle qu'il avait
s à un autre ? Indubitablement du point lésé, qui, dans la première paralysie , devait être en dehors du canal de Fal- loppe,
faire un bon pronostic dans les 374 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. paralysies faciales périphériques, il faut faire une minutie
ublier, car c'est un cas original devoir, chez le même malade, deux paralysies facia- les périphériques : une du côté droit, l
grave. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LVII. Étiologie de certaines paralysies radiales ; par Lannois. (Société des Sciences m
implement à ce moment là d'être vraiment paralysée. Le lendemain la paralysie était devenue com- plète. Un traitement électri
LXI. Hémiplégie alterne avec participation de la sixième paire et paralysie ultérieure de la corde vocale; par Lannois. (Soci
l y a vingt- cinq ans, à la suite de deux attaques successives, une paralysie du type Millard-Gubler. L'hémiplégie faciale dr
ment, l'hémiplégie gauche a varié d'intensité. Eu même temps que la paralysie faciale, il s'était produit une paralysie du mo
é. Eu même temps que la paralysie faciale, il s'était produit une paralysie du moteur oculaire externe droit et le malade ava
ar un mécanisme analogue à celui qui s'observe dans certains cas de paralysie infan- tile à extension tardive. G. C. LXII.
vicariante des muscles insérés sur les con- dyles du bras, dans la paralysie complète des fléchisseurs propres de l'avant-br
XIX, 1900.) Voici un jeune homme de vingt-huit ans, atteint d'une paralysie traumatique du plexus brachial droit du type Du
tique du plexus brachial droit du type Duchenne-Erb. En dépit d'une paralysie complète de tous les fléchisseurs propres de l'
it cependant encore d'une grande utilité. » P. Keraval. LXIII. La paralysie atrophique isolée du nerf musculo-cutané, avec
erdait sa force : il diminua de volume graduellement. Il existe une paralysie du musculo-cutané, seul atteint, qui ne saurait
une névrite spontanée, fait sans précédent. C'est un cas unique de paralysie exactement limitée au nerf en question atteint
n également atteint. Le pronostic n'est pas favorable, parce que la paralysie a presque un an de durée. Mais on n'a pas encor
USE. Dans les cas d'empoisonnement intense, on a noté parésies et paralysies , allant à l'impotence totale et à l'atrophie, de
exé- cutés. P. ¡(¡¡¡¡AVAL. LXVIII. De la syphilis comme cause de paralysie infantile cérébrale; par W. KOENIG. (Neurolog.
s la Dettische Zeilschrift f. Nervenheilk., t. XIII, établi que les paralysies infantiles cérébrales avaient pour facteurs éti
héréditaire : elles appartiennent aux formes de transition entre la paralysie infantile cérébrale et l'idiotie simple. P. Ker
t impossible de l'amener à lire et à écrire. Pas du tout, jamais de paralysie , point d'attaques d'apo- plexie. On trouve, à
clo- nisme, sans signes de dégénérescence des voies conductrices. Paralysies des muscles des yeux se manifestant d'abord par u
t être aussi rattachée aux troubles de la vision en rapport avec la paralysie des muscles des yeux. Genèse lentement progress
us symptomatique du tabes. P. Keraval. s LXXXII. Observation de paralysie des racines inférieures du plexus brachial, con
roite était ressortie par le dos. Le 21 juillet 1899, il existe une paralysie dégénérative grave, avec atrophie musculaire, t
syphilis céré- bro-spinale peut-se manifester : 1° Méningite : les paralysies des nerfs crâniens, tardives dans la méningite
ssible au traitement ; Î5° Lésions cérébrales diffuses, simulant la paralysie générale pro- gressiue : ici encore diagnostic
gressiue : ici encore diagnostic souvent difficile, d'autant que la paralysie générale étant une maladie des syphilitiques, il
t beaucoup plus influencé par le traitement que le tabes vrai ; '7° Paralysie spasmodique : quand elle est syphilitique elle s'
ses conditions atmosphériques. Il estime qu'il faut admettre que la paralysie vasomotrice est la con- dition fondamentale de
latérales et antérieures^ de la moelle, comme on l'observe dans la paralysie spinale syphilitique. Au point de vue des sympt
que le pronostic est plus favorable que dans les cas ordinaires de paralysie spinale syphilitique ou de myélite trans- verse
nicale) ou à la diphtérie. R. DE MLISG1(AVE-CLAY. XCII. Anesthésie. Paralysie périphérique : observation d'un cas peu commun
thésie. Paralysie périphérique : observation d'un cas peu commun de paralysie brachiale bilatérale survenue pendant la narcos
tion est capricieuse et indépendante de toute notion anatomique. La paralysie peut accompagner l'anesthésie, mais le plus sou
aiblesse musculaire : toutefois, l'anesthésie accompagne souvent la paralysie hystérique. DE >tIUGR9`'C-CL.1T. Suicide d
ment dans les progressives alcooliques, ne manquent jamais dans les paralysies vraies, et peuvent être prouvées par l'autopsie
obe temporal droit. L'examen histologique confirme le diagnostic de paralysie géné- rale. Cette topographie de la lésion co
, les auteurs proposent de distinguer une forme senso- rielle de la paralysie générale, caractérisée au point de vue clini- 4
intensité exceptionnelle. Méningite c¿1'ébl'o-spin,lle à forme de paralysie infantile. Cyto-diagnostic. MM. liaruonn et S
-diagnostic. MM. liaruonn et SiCARD présentent un enfant atteint de paralysie double à topographie radiculaire supérieure des
fections par la proportion réciproque des mono et polynucléaires. Paralysie infantile d'un bras avec topographie radiculaire
e infantile d'un bras avec topographie radiculaire supérieure de la paralysie . MM. DUPRÉ et IIUET présentent une enfant de di
t IIUET présentent une enfant de dix-neuf mois, atteinte à un an de paralysie infantile avec lésions limitées au bras droit e
ic de polyomyélie antérieure aiguë sur l'apparition pré- coce de la paralysie , sur l'absence de douleurs et l'absence de raid
io- lentes douleurs dans les cuisses et subit consécutivement une paralysie des quatre membres sans troubles de la sensibilit
lysie toxique par névrite périaxile et rappelle en tout point la paralysie diphtérique. M. 13Antnsr.r. D'autant plus que l
souvent accompagnées de troubles centraux. 0 ' M. PAI11XAUD. Les paralysies toxiques ont souvent, en effet, une localisatio
, en effet, une localisation double, symétrique et systématique. La paralysie diphtérique oculaire frappe en effet l'accomoda
centrales en même temps que périphériques. Il en est ainsi de la paralysie alcoolique. MM. Babinsky et Nageotte rapportent
ions organiques des centres nerveux où la mort subite se rencontre ( paralysie BIBLIOGRAPHIE. 425 générale, tabès, épilepsie
e et le ménin- gocoqué. ' G. C. XVI. Les nerfs de l'orbite, leurs paralysies dans les traumalismes du crâne; par le Dl' FERR
rédural et intradural des nerfs de l'orbite. - Pour M. Ferron les paralysies des nerfs de l'orbite sont un symptôme fréquent
anatomo-pathologiclues, l'auteur prouve qu'on ne peut rattacher la paralysie des nerfs moteurs ni à une lésion des centres c
act est plus souvent atteinte par des traits . de fracture. ' Ces paralysies peuvent être primitives : dues à la fracture elle
nt dans les cas d'une fracture de la base. Contre l'amaurose, les paralysies musculaires on pourra tenter l'action d'injecti
e strychnine, de courants continus, de l'iodure de potassium. Si la paralysie musculaire persiste, le chi- rurgien peut arriv
Nemet-Saroslak en Carinthie, alitée depuis dix ans par suite d'une paralysie , eut une telle frayeur en voyant la foudre pénétr
a malade éprouve une grande fatigue, mais elle ne présente pas de paralysie post-paroxystique. D'ailleurs, les attaques sont
ente aucun signe somatique, susceptible d'éveiller le soupçon d'une paralysie 1'ig. 23. 440 CLINIQUE NERVEUSE. générale c
, la maladeéprouveune grande lassitude, elle n'a jamais présenté de paralysie post- paroxystique. Somme toute, ces attaques s
on état normal ; à ce moment-là, elle ne présentait aucune trace de paralysie . Quinze jours plus tard, les mêmes accidents se
celle de parler. Cette fois encore, elle n'a eu ni convulsions, ni paralysie . 444 CLINIQUE NERVEUSE. Le lendemain, C... ét
ion des nerfs moteurs de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de paralysie motrice dans les membres (compression des pédon
rement physique pour lequel il semble moins nécessaire. Là encore PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 487 7 il donne la clef et l
t tout examen somatique ». RECUEIL DE FAITS. Cinq observations de paralysie générale conjugale; . PAR LES DOCTEURS P. IiR
tières. Médecin adjoint de l'asile d'Annenliercs. L'Etiologie de la paralysie générale, est un chapitre tou- jours ouvert et
é, aussi croyons- nous utile de publier aujourd'hui ces cinq cas de paralysie générale conjugale que nous avons pu réunir. L'
ple, le mari infecté au régiment, fait quinze ans plus tard de la paralysie générale tandis qu'apparaissent chez la femme l
té, les influences morales que nous trouverons à l'origine de cette paralysie générale dont ies causes si variées et la natur
son mari, elle présentait depuis un certain temps déjà un état de PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 489 dépression mélancolique
ors de son retour, elle présente actuellement tous les signes de la paralysie générale progressive, arrivée à une période trè
mi stupide ; on ne constate pas chez lui les signes physiques de la paralysie générale. 11 n'en est plus de même en janvier 1
e 1896, elle présente tous les signes physiques et psychiques d'une paralysie générale progres- sive en pleine évolution, de
la roue d'une machine à cintrer, le visage ensanglanté, il rentre PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 491 chez lui très troublé;
et on,doit l'interner le 25 mars 1889. Son état est le suivant : paralysie générale progressive parvenue à une période trè
ytique général à trente-neuf ans, à la suite de chagrins multiples ( paralysie générale il forme mélancolique avec idées de né
, il est mort ou presque mort, n'a plus de jambes, rien ne va plus. Paralysie générale probable, bien que les signes physique
ions ne semblent pas plaider en faveur de l'unité étiologique de la paralysie géné- rale : dans la première, la syphilis nous
leurs sur ce fait intéressant que son frère jumeau est mort d'une PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 493 paralysie générale de m
son frère jumeau est mort d'une PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 493 paralysie générale de même forme, survenue également sans
voir son mari interné que notre enquête attribue l'apparition de la paralysie géné- rale chez la femme. Dans aucun de ces c
t avoir joué le plus grand rôle dans l'ap- parition chez elle de la paralysie générale. Dans les cinq cas l'affection évolua
onclure ce qui suit : 1° Le rétrécissement du champ visuel, dans la paralysie géné- rale, est un phénomène plus ou moins cons
e de l'inégalité des pupilles, pro- duite expérimentalement dans la paralysie générale ; par J. Pilez. (Neurolog. Cenll'albl.
umière et à l'accommodation des deux côtés (0. Schwarz); 2° dans la paralysie générale, on peut faire alterner l'inégalité pu-
sée par la combinaison de symptômes relevant du tabes dorsal, de la paralysie agitante, de la démence paralytique. L'ataxie e
ombinée. Elle aurait pour éléments principaux le substra- tum de la paralysie agitante fortement teinté de tabes, auquel s'aj
le de Weil. Quelle en est la genèse ? . La syphilis se voit dans la paralysie agitante comme dans le tabès; la diminution voi
ès; la diminution voire l'abolition des réflexes s'observe dans les paralysies agitantes prolongées, par suite d'altérations des
n est aisée. P. Keraval. VL. Le rôle de la tare héréditaire dans la paralysie progressive des aliénés ; par P. NAECEE. (Neuro
tare héréditaire sont donc, pour l'auteur, d'importants facteurs de paralysie générale, mais pour que la syphilis agisse, il
qui est rare, la syphilis ou une autre cause suffit à engendrer la paralysie générale, c'est qu'elle détermine secon- dairem
- dairement la constitution spéciale du cerveau qui fait mûrir la paralysie générale avec ou sans causes occasionnelles : cec
de la prédisposition congé- nitale anormale du cerveau propre à la paralysie générale et à d'autres maladies mentales, mais
héréditaire lourde et multiple n'est pas aussi ' fréquente dans la paralysie générale que dans d'autres psychoses. . , 1 P.
s. M. LEREDDE. La nature syphilitique du tabes, comme celle de la paralysie générale peut être démontrée d'une manière mathé-
nvénient. G. C. XXIII. Etude clinique des formes unilatérales de la paralysie agi- tante; par Louis Allcuaun. (Th. Lon,1900-1
ipaux tremblements post-hémi- plégiques, pouvant en imposer pour la paralysie agitante unilaté- rale, sont l'hémichorée et l'
périphériques de la parole normalement cons- titués ; 4° Absence de paralysie ou d'atrophie du tronc et des membres. Dans c
oteurs, les organes périphériques de la parole sont intacts, pas de paralysies ni de contractures; les stigmates de dégéné- re
tituées sont par ordre de fréquence : les excitations maniaques, la paralysie générale, la mélancolie avec ten- dance au suic
sent, par contre, fréquemment à titre épisodique. Mettant à part la paralysie générale, la plupart de ces formes se terminent
dique, mais seulement des périodes de rémission, qui, comme dans la paralysie générale. se terminent par la démence. Il est g
Fayolle 376. - alterne avec participation de la sixième paire et paralysie ultérieure de la corde lucale, par Lannois, 3
globules TABLE DES MATIÈRES J11 blancs du- dans quelques cas de paralysie générale, par C. H.Jenko, - 132. Sclérose EN
ool, par Legrain, ;j2 : : ? He- lations causales eutre la - et la paralysie générale, par \fourato(f, 340. De la - comme ca
aralysie générale, par \fourato(f, 340. De la - comme cause de la paralysie infantile cérébrale, par Koenig, 381 Synytômest
22 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pas de syphilis. Un oncle, âgé de quarante-deux ans, est atteint de paralysie progressive. Le grand-père, fils unique, est mort
sept enfants : six sont morts après soixante-dix ans, dont un de paralysie ; tous étaient des coléreux, des originaux; le sep
à ce point de vue, la malade s'éloigne du type décrit ont amené les paralysies , tant du côté paternel que du côté maternel, il
ent ? D'ailleurs dans les trois autres observations, nous voyons la paralysie par lésion* cérébrale figurer constamment au no
s lésions en foyer alors que l'on ac- cueille volontiers les cas de paralysie piogressive. Certainement, dans les deux maladi
riques présents dans tous les cas : la paraplégie (premier cas), la paralysie crurale avec démarche de Todd, bégaiement et br
es abdominal et plantaire qui, selon Rosen- bach, s'observe dans la paralysie organique et par la démarche hélicopoïde. Celle
érite d'avoir fait connaître ce précieux moyen de diagnostic*. La paralysie faciale, pourvu qu'elle soit bornée au facial '
s. A cette époque, en se trouvant à travailler au-dessous 1 Ballet. Paralysie faciale hystérique. (Soc. méd. des Ildp., 21 nov.
ie faciale hystérique. (Soc. méd. des Ildp., 21 nov. 1890.) Ballet. Paralysie faciale hysléri Jue, thèse de Paris, 1891 ? ris
let. Paralysie faciale hysléri Jue, thèse de Paris, 1891 ? risquez. Paralysie faciale hystérique. (Bull. méd., 1891.) D2 PATH
t de temps à autre en forme de crises; après une de ces crises, une paralysie du membre droit. jusqu'alors sain se produisit;
une paralysie du membre droit. jusqu'alors sain se produisit; celte paralysie était complètement flasque et se révélait seule
o..., était tirée vers la gauche; il y avait donc probablement une- paralysie du.facial 58 PATHOLOGIE NERVEUSE. - droit, év
Puis, l'hémiplégie n'a pas eu l'évolution que l'on observe dans les paralysies symp- tomatiques de la pachyméningite ; tous le
'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 59 3° L'absence de paralysie du facial ' ; 4° Le caractère contradictoire de
- retombait lourdement comme une masse inerte. Nous avions donc une paralysie qui tenait contempo- rainement de la paralysie
Nous avions donc une paralysie qui tenait contempo- rainement de la paralysie flasque et de la spasmodique; or, ce fait se co
faut pas considérer ceci comme un argument absolu. Non seulement la paralysie faciale peut être absente dans les lésions capsu-
e faciale peut être absente dans les lésions capsu- laires, mais la paralysie peut respecter le membre inférieur correspon- d
curieuse de l'hémiplégie, participant à la fois du caractère de la paralysie flasque et spasmodique, le développement enfin
t l'action directe sur les membres ne pouvait donner raison de leur paralysie , constituaient un ensemble d'arguments très sol
ioration est plus lente, mais non moins réelle et pro- gressive. Sa paralysie s'accompagne avec une anesthésie qui i a le car
ont montrés contemporainement avec le début et l'amélioration de la paralysie dans le membre infé- rieur ; donc il n'y a pas
ale comme de nature différente. . 3° Les crises de rachialgie et la paralysie de la jambe droite, survenue brusquement à la s
il ne sait ce que cela lui a produit dans l'épine, certainement la paralysie se présen- tera... » etc., etc. Quelques jour
rès, l'auto-suggestion a achevé son oeuvre; elle se révèle avec une paralysie de la jambe droite sur la nature de laquelle il
de B..., nous avons une puissante raison en plus pour qualifier sa paralysie avec plus de précision par une paralysie . Fig.
en plus pour qualifier sa paralysie avec plus de précision par une paralysie . Fig. 14. - Examen du 16 août 1892. L'HYSTÉR
avec un état mental très caractéristique, qui a donné origine à une paralysie hystérique non moins typique. Et l'apparition d
ée par le fait du traumatisme. Or, qui pourrait nier que ces deux paralysies et les états morbides qui leur ont donné origine
ant l'analyse de notre cas, il nous reste à expli- quer pourquoi la paralysie prit la forme hémiplégique. En premier lieu, no
une légère contusion. Or, mon éminent maître a démontré comment la paralysie hystérique se manifeste avec facilité dans les
propos, est resté classique l'exemple de la femme qui présenta une paralysie des extenseurs de la main après avoir donné une
RVEAU. notre cas, cette doctrine nous explique encore pourquoi la paralysie prédomine dans le bras. Pour ce qui est de la p
urquoi la paralysie prédomine dans le bras. Pour ce qui est de la paralysie de la jambe, nous devons nous rappeler comment
ralysent; c'est donc à son auto-suggestionnabilité que B... doit sa paralysie crurale. Du reste, l'épisode sur lequel nous av
s avons insisté rend cette explication très probable. Pourquoi la paralysie frappa la jambe gauche ? Pour ce fait, l'explic
il en soit, nous croyons avoir bien démontré qu'il s'agit ici d'une paralysie hystéro-traumatique. Ce cas nous démontre que d
té. Par contre, c'est par centaines qu'on y trouve les guérisons de paralysies , mais je crois que celles-ci ont toujours été d
ue le professeur Russel Reynolds 2 a qualifiées du terme général de paralysies « dépendant on idea D. Je sais bien qu'aujourd'
n cause, semblent portés à reconnaître que la guérison subite des paralysies ou des convulsions n'a rien qui sorte du domain
tion of the imagination. ).on- don, Churchill, 1872. 2 Remarks on paralysies and olhers disorders of motion and sensa- lion
apparence contraire, de la même nature, de la même essence que les paralysies dont je parlais tout à l'heure. La guérison p
'heure. La guérison plus ou moins soudaine des convulsions et des paralysies était autrefois considérée comme un miracle théra
ables eux aussi de la même faith-healing que les convulsions et les paralysies , c'en serait donc fini du miracle. Pourquoi j
de la demoiselle Fourcroy et de Marie-Anne Couronneau, atteintes de paralysie et de con- tracture hystérique. Je prends ces d
prétendent que la guérison des convulsions, des contractures et des paralysies d'origine hystérique, est d'un ordre trop natur
fluence de l'esprit sur le corps, et la disparition spontanée des paralysies hystériques ne vaut pas qu'on fasse appel à une
la malade avait été frappée tout d'un coup, pendant la nuit, d'une paralysie de tout le côté gauche. « Il lui prit un engo
it un engourdissement dans le bras gauche qui, la nuit, dégénéra en paralysie qui lui ôta tout l'usage de tout le côté gauche
tant la vertu bienfaisante qu'elle y avoit puisée. Forcée de par sa paralysie de se tenir constamment sur le dos, elle se ret
ifficultés ; la nature hystérique des vomissements sanglants, de la paralysie , n'eût pas fait de doute, mais cette paralysie
nts sanglants, de la paralysie, n'eût pas fait de doute, mais cette paralysie s'accompagnait d'atrophie : Eh bien, il est pér
é aujourd'hui que l'atrophie musculaire accompagne assez souvent la paralysie ou la contracture hystérique pour qu'il ait été
orte raison ce déterminisme est-il encore plus évi- dent lorsque la paralysie s'accompagne d'atrophie, lorsque l'oedème produ
e ulcération en voie de cicatrisation. 1 L'élément contracture ou paralysie peut apparaître ou dis- paraitre soudainement.
abli, nous sommes aptes à marcher de nouveau. Mais si pendant cette paralysie les muscles se sont atrophiés, le membre né rep
g. J'ai examiné leurs membres atteints quelques jours auparavant de paralysie ou de contracture, et j'ai assisté à la dispari
resque toujours quelque temps encore après la guérison de l'élément paralysie ou contracture 1. En résumé, je crois que, pour
aient été suivies de parésie et d'atrophie. Et d'abord il n'y a pas paralysie générale (ni troubles de la parole, ni mégaloma
croscope; cellules nerveuses normales. Rien qui puisse expliquer la paralysie des extrémités gauches; pas de foyer dans la zo
urnisme chronique professionnel (coliques de plomb, cépha- lalgies, paralysie typique des extenseurs, avec réaction dégénéra-
pas alcoolique; alternatives irrégulières de gaieté et d'angoisse. Paralysie bilatérale de l'oculomoteur externe, mais passa
s, 1891.) E. B. XVII. Contribution L'ÉTUDE delà rémission dans la paralysie générale ; par le Dr Guillemin. Lorsqu'une ré
ar le Dr Guillemin. Lorsqu'une rémission se produit, au cours d'une paralysie géné- rale, on est en droit d'admettre que l'él
ise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale ramollie, lésions d'une paralysie générale arri- vée à une période avancée et que
onstantes. P. K. IX. DES troubles sensitifs ET VASO-MOTEURS dans la paralysie faciale rhumatismale; par L. de fRA\KL-HOCfIR'.
KL-HOCfIR'.1RT. (Neurolog. CentralGl., 1891.) Soit : vingt cas de paralysie faciale rhumatismale (début brusque sous l'infl
ux avec élévation de la température; tous accidents accompagnant la paralysie . Parfois complications de troubles du goût. Exc
icrique. P. KERAVAL.. XVII. DE la dégénérescence secondaire dans la paralysie infantile cérébrale; par GIERLICIi. (Archiv f.
K. XIX. Démonstration A l'actif DE l'anatomie pathologique DE la paralysie générale progressive; par BINSW.1NGER. (Neurol. C
cales aux altérations diffuses simul- tanées de l'écorce. C'est une paralysie générale entée sur la syphilis. P. K. XX. DES
syphilis. P. K. XX. DES altérations DE la COUCHE OPTIQUE dans la paralysie PROGRESSIVE; par G. ZAGARI. (Neurolog. Centralb
cinq observations. Conclusions. Les couches optiques sont, dans la paralysie générale, souvent le siège d'une altération toute
- sac du cardia. M. FUERSTNER. De la névrite périphérique dans la paralysie générale. Voici deux observations personnelles
dans la paralysie générale. Voici deux observations personnelles de paralysie générale typique. On constate dans le premier c
ation des cordons postérieurs. Dans le premier cas, il existait une paralysie du grand dentelé droit, avec réaction dégénérat
droit, avec réaction dégénérative ; dans le second cas; c'était une paralysie des péroniers (réaction dégénérative). L'examen a
typhoïde grave, dut pendant, un an, rester les genoux étendus. Une paralysie des péroniers s'ensuivit. M. WILDERIUTIi racont
d'aphasie, de la paraphasie, une phase d'excitation maniaque, de la paralysie du bras; puis tous ces phénomènes disparaissent.
mme de quarante-neuf ans qui, à la suite d'un ictus, présenta de la paralysie de la motilité et de la sensibilité dans la moiti
terminaison des neurites et surtout de la neurite qui détermine la paralysie du facial s'expli- queraient par les lésions co
uerait une contre-indication. II). M. le Dr ¡\IOURATOW. Un cas de paralysie ascendante de Landry. - Paralysie des quatre ex
). M. le Dr ¡\IOURATOW. Un cas de paralysie ascendante de Landry. - Paralysie des quatre extrémités, des muscles du tronc, du d
r Netchaiew rappelle à ce propos l'opinion de Roux qui considère la paralysie de Landry comme une forme de la rage paralytiqu
syphilitique et alcoolique, offrait les symptômes du tabes et de la paralysie alcoo- lique. L'étiologie complexe de la maladi
11 s'agit d'un enfant de -sept ans, qui fut pris d'une attaque de paralysie atrophique aiguë, présentant les symptômes caract
puis des douleurs sur le trajet des nerfs du côté gauche, suivis de paralysie survinrent, et rétrocédèrent : la paralysie atr
côté gauche, suivis de paralysie survinrent, et rétrocédèrent : la paralysie atrophique primitive du bras persis- tant. Il y
es maladies mentales, les chapitres de la Folie systématisée, de la Paralysie générale, des Folies toxiques. Bien que remanié
erveux central et périphé- rique : maladie de Charcot, polynévrite, paralysie pseudo-hyper- trophique, maladie de Thomsen, et
es; ce sont par exemple, l'incontinence nocturne, l'héméralopie, la paralysie nocturne, signalée par Weir-Milchell, et résult
ir-Milchell, et résultant d'un défaut d'exci- tation physiologique ( paralysie par iatirritation), la chorée du réveil. A côté
ins parfaitement soit la sclérose latérale amyotrophique, soit la paralysie du type Duchenne-Aran. Cette question du diagno
ais il a été observé. En pareil cas, on se trouve en présence d'une paralysie atrophique des deux membres supérieurs, dont l'
en deux mots comment la scission s'est faite : dès cette époque, la paralysie dite pseudo-hypertrophique, maladie progressive
e analogue, ou pour mieux dire, comme franchement identique, à la paralysie pseudo-hypertrophique. Il affirme et les recher
actères suivants : coïncidant fréquemment mais non toujours avec la paralysie ou l'anesthésie des membres où elles se produis
rions que ce fait démontre, comme le nôtre, l'indépendance de la paralysie du sens musculaire et du signe de Romberg. Axen
en dehors, sans qu'il y ait détachement du scapulum, comme dans la paralysie du grand dentelé. D'une façon générale, l'épaul
après ses membres inférieurs, à la manière des malades atteints de paralysie pseudo-hyperlroplrique. Cependant, quand elle fai
-cinq ans, il y a quinze mois, attaque subite, hémiplégie droite et paralysie faciale gauche. Aujourd'hui sa face est norma
lésion; et probablement au niveau de la protubérance ainsi que la paralysie croisée l'indique déjà. CLINIQUE OTOLOGIQUE ANN
in de l'asile d'aliénés de Villejuif.. Le nommé B... est atteint de paralysie générale à la dernière période : complètement d
malade n'est mort que plusieurs mois plus tard des pro- grès de la paralysie générale dont il était atteint. Ce fait est un
ts, généralement bien cons- titués physiquement et n'offrant pas de paralysie . L'origine des tics chez Ros... est intéressant
rtante, si le malade ne devient pas sitio- phobe, tous les aliénés ( paralysie générale exceptée) augmentent de poids, les uns
u, cela souvent quand survient la guérison (Obs. I à XIII). Dans la paralysie générale, bien que la nutrition soit vicieuse,
psychique, sinon la commotion mécanique elle-même. P. K. V. DE la paralysie chronique PROGRESSIVE DES MUSCLES DES YEUX, 1 t
es pairs. Il n'y a pas du reste de symptôme patbo- gnomonique de la paralysie nucléaire; le diagnostic repose sur l'examen de
c repose sur l'examen de l'espèce, de l'étendue, de la marche de la paralysie des - muscles des yeux et la simultanéité des s
éité des signes spinaux et céré- braux. Il y a cependant des cas de paralysie chronique des muscles des yeux indemnes cliniqu
central; par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 1891.) Observation. Paralysie croisée comprenant : adroite, tout le facial; à
on du premier ictus à l'âge de trente ans, l'intégrité du coeur, la paralysie de plusieurs nerfs cra- niens, la fugacité des
on DE syphilis DU système nerveux central BEVL- tant l'aspect d'une paralysie générale tabétique; par M. BRASCH. (Neurol. Cen
uperstition. (Reo. méd. de la Suisse Romande, 1891.) G. DENY. IX. Paralysies hystériques provoquées par la crainte DES exame
ui par crainte de ses examens a eu, en cinq accès, quatre crises de paralysie hystérique de l'un ou de l'autre bras, directem
idée de l'électricité. (Rev. méd. Suisse Romande, 1891.) G. D. X. Paralysie hystérique CHEZ UN garçon de treize ANS. SUGGES-
oïdien : en effet, dans quelques cas d'aliénation mentale, comme la paralysie générale, cas dans lesquels se rencontrent le p
ts du bras droit et quelques symptômes d'aphasie. Ces phénomènes de paralysie s'accentuent et le lende- main le malade présen
de paralysie s'accentuent et le lende- main le malade présente une paralysie complète du côté droit. Deux jours après l'extr
oteurs sont peut-être le rouage intermédiaire. P. K. XXIII. DE la paralysie spinale SYPHILITIQUE; par W. Erb. (Neurolog. Ce
ndrait à admettre comme type l'existence d'une sclé- rose latérale ( paralysie 'spinale spasmodique), presque toujours liée à
s spinales syphilitiques, cette 270 REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE. paralysie spasmodique peut-elle être considérée comme un ty
précis ? C'est une question d'autopsies. - P. K. XXIV. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE SANS LÉSIONS ANATOMIQUES; par H. SÉN :
ntralbl., 1892.) Diagnostic par exclusion. P. K. XXVII. UN cas DE paralysie traumatique bilatérale dans LE domaine du plexu
cales. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 271 XXVIII. UN CAS DE PARALYSIE ISOLÉE DU NERF MUSCULO-CUTANÉ AVEC REMARQUES SU
TE communication; par BERN- IIARDT. (Neurolog. Centralbl., 1892.) Paralysie isolée du biceps droit par compression du nerf mu
eux jours après, trismus, convulsions cloniques du masséter gauche, paralysie du facial gauche entier, contracture du masséter
us petit effort. On cons- tate à cette époque : cicatrice pénienne, paralysie réflexe despupilles avec myosis, hypoalgésie et
ntiment en modifiant l'activité. Ce sont des faits à rapprocher des paralysies psychiques. Chez l'homme arrivé à l'âge mûr, M.
roche de la faiblesse irritable limitée des cas précédents et de la paralysie agitante typique. M. Edinger. Moelle épinière a
érimentaux. A petites doses, en tous ces cas, il y a en même temps, paralysie sensorielle et in- tellectuelle, conjointement
'hyperexcitabilité motrice ; quand l'intoxication progresse, il y a paralysie du système locomoteur. C'est avec le nitrite d'
ensorielles et intellectuelles, mais en même temps se développe une paralysie motrice centrale progressive. La genèse des p
veloppe une paralysie motrice centrale progressive. La genèse des paralysies du système moteur est propre à tous lespoisons
affaiblissement permanent de l'activité volontaire, ainsi que la paralysie motrice aiguë, d'origine centrale. Le thé, au con
atteints. L'affection débute à la première année de la vie, par une paralysie , à marche subaiguë ou chronique, des muscles 28
des enfants ne dépassa l'âge de cinq ans ; ils furent tués par une paralysie des muscles du tronc avec lésion secondaire des
. La dyspnée passée, huitjours après cet accident ; on constate une paralysie de la branche supérieure et de la branche moyen
oite avec diffi- culté de la mastication et de la déglutition ; une paralysie de la corde vocale droite. Le nerf laryngé est
ique à la suite d'un coryza, amenant la mort en quelques heures par paralysie des centres respiratoires. - L'autre observation
dent. Le onzième jour coma grave avec 42 pulsations, acci- dents de paralysie et d'excitation de tout le côté gauche du corps.
s sur le compte de la tare dégénérative déjà signalée. Rareté de la paralysie générale. ' . - Comment faut-il assister et tra
e. En premier lieu, H n'y avait pas la plus légère manifestation de paralysie ; l'intellect de l'enfant n'était pas fortement
ompris le rapport du cas, parce qu'il n'y avait pas de symptômes de paralysie ; il y avait quelques contractures des muscles;
eulement aux aliénistes, mais encore aux psychologues. P. S. VII. Paralysies et contractures hystériques; par Paul RICHER, 9 v
gardent toujours leur yaleur propre. M. Richer ne s'occupe que des paralysies et des contractures permanentes, et laisse de c
uvrage est divisé en deux parties : dans la première, il étudie les paralysies et les contractures hysté- riques en général; d
atisme et enfin des im- pressions morales. La symptomatologie des paralysies est exposée avec de grands détails. M. Richer d
l'amyosthénie, qui n'est qu'un léger degré de la 'paralysie; 2° la paralysie vulgaire qui répond aux cas les plus communémen
ie vulgaire qui répond aux cas les plus communément observés; 3° la paralysie par sup- pression des mouvements coordonnés (as
ant ensuite à la physiologie pathologique des con- tractures et des paralysies hystériques, défend l'opinion que la contractur
sacrées au traitement, M. Richer aborde l'étude des contractures et paralysies localisées, monoplégies, hémiplégies, paraplégi
onoplégies, hémiplégies, paraplégies, quadriplégies, puis celle des paralysies et contractures partielles proprement dites, tell
, l. XXV. 20 306 BIBLIOGRAPHIE. ture, la coxalgie hystérique, les paralysies et contractures du dia- phragme, celles du lary
asie, les vomissements, la tympanitc, le spasme anal, et enfin, les paralysies à contractures des organes génito-urinaires.
ns chaque variété. Les dysbasies motrices peuvent être akinétiques ( paralysies ), parakinétiques (convulsions), hyperkiné- tiqu
ulaires), para- trophiques (dystrophies musculaires, arthropathies, paralysie agi- tante), et hypertrophiques (maladie de Tho
use, comme dans la sciatique, ou paralytique comme dans certaines paralysies partielles, dans la paralysie infantile, dans l'h
ou paralytique comme dans certaines paralysies partielles, dans la paralysie infantile, dans l'hémiplégie flasque hystérique
de Friedreich est à la fois titubante et ataxique, que celle de la paralysie générale est titubante et paralytique, etc. Les
issement - névrosique du cerveau. Il insiste en particulier sur les paralysies des yeux, et sur leur valeur sémeiologique dans
e de l'évolution, de la symptomatologie et du trai- tement de cette paralysie , ils viennent encore confirmer ce que notre ill
y avait une différence de volume auparavant. Au dire du malade, la paralysie aurait augmenté depuis son apparition. Le premier
ments de sa maladie. Examen du membre supérieur droit. Motilité. La paralysie atteint tous les muscles de la main, de l'avant
ts. Quand la main est en pronation,"elle est tombante comme dans la paralysie radiale; quand elle est en supination, les doig
peut-être due au spasme vasculaire). C'est ce que l'on voit dans la paralysie radiale vulgaire. Seulement ici, c'est total.
, car d'après une lettre qu'il a écrite à un malade de sa salle, la paralysie est rede- venue complète. Il s'agit ici d'un
veillé, consciemment ou inconsciemment, dans son cerveau, l'idée de paralysie bra- chiale. Cette idée a germé pendant trois o
n pendant de longs mois. De cette comparaison a dû naître l'idée de paralysie . Tout à fait singulier chez notre malade est l'
act. Cette monoplégie ressemble, à ce point de vue, beaucoup à la paralysie spinale par lésion de la corne antérieure; mais
, ni vertiges, ni céphalalgie, etc., au moment où s'est produite la paralysie . Du reste, ce qui lève tous les doutes, c'est l
remarquer, même chez les hystériques hémianesthésiques, obtenir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de troubles
es- thésiques, auxquelles j'ai suggéré purement et simplement, la paralysie motrice du membre sans rien dire de la sensibilit
ement hystérique et hypnotisable; nous avons provoqué chez elle une paralysie brachiale, par suggestion, sans lui suggérer l'
é, anesthésie ou hyperesthésie, tantôt à des troubles du mouvement ( paralysies et contrac- tions) cet oedème bleu des hystériq
z lui, le malade se déshabille sans diffi- culté ; jusque là pas de paralysie . Le lendemain, en se réveillant, son bras droit
, il entra à Saint-Antoine (service de M. Gingeot); on constate une paralysie absolue des doigts, du poignet, du coude TROIS
qu'après le retour de sa motilité et beaucoup plus lentement que la paralysie motrice. L'électrisation, la balnéation sul- fu
toire de ce malade est la suivante : Il avait dès le début de sa paralysie un hémispasme facial du côté gauche, accompagné
e. Après quelques soins, il fut reconduit à pied à son domicile. La paralysie du membre supérieur gauche n'a pas cessé d'exis
6° réflexe rotulien un peu brusque, mais pas de trépidation, pas de paralysie spasmodique. B. Quant à la paralysie post-traum
s pas de trépidation, pas de paralysie spasmodique. B. Quant à la paralysie post-traumatique du membre supérieur gauche, el
membre supérieur gauche, elle présente les caractères suivants : Paralysie complète des mouvements, dont l'épaule est le cen
: Paralysie complète des mouvements, dont l'épaule est le centre; paralysie incomplète des mouvements d'extension et de flexi
gnostic sur ce point est bien assuré. Mais comment interpréter la paralysie du bras qui est sur- venue sous l'influence du
sme a fait naître. A la lésion du plexus doivent être rapportées la paralysie du mouvement et la sen- sibilité qui ont suivi
on de la nature orga- nique des lésions auxquelles se rattachait la paralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE.
e la monoplégie. Dans six cas, nous avons noté le saturnisme, où la paralysie se développait soit après surmenage soit après
rovocatrice avait été la cause occasionnelle du développement de la paralysie . Deux malades avaient déjà été atteints de para-
du membre semble avoir quelque influence sur le développement de la paralysie , car nous avons vu chez deux malades après un t
bilisation du membre dans un appareil de fracture se développer une paralysie ; chez qui la simple immobilisation sans trauma
tion sans trauma préalable avait été suffisante po ur provoquer une paralysie brachiale. Période de méditation. On entend par
l'apparition de la cause accidentelle jusqu'à la réalisation de la paralysie psychique. Dans seize cas, il nous a été imposs
les choses, ont été comme il suit : 384 CLINIQUE NERVEUSE. de la paralysie brachiale un autre membre du même côté est plus
7 des attaques d'hystérie; 4 l'ovarie. Résultat du traitement. La paralysie hystérique peut dis- paraître spontanément sans
othérapie ou encore d'autres procédés. Dans la majorité des cas, la paralysie motrice et sensitive se dissipe ou s'améliore p
deux améliorations ou guérisons et quatre cas sans changement de la paralysie . Tels sont les résultats observés dans les dive
XIV, p. 177). 14-16. B,1BINSIiI. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hys- tériques. (Archives de Neurologie, t. XII,
phique osseux ayant pour siège les vertèbres. On connaît des cas de paralysie trophique de l'enfance où les muscles du dos av
principal rôle à cette cause, nous sommes prêt à reconnaître que la paralysie des muscles spinaux a eu aussi une certaine act
'elle n'a pas manqué de rendre la déformation plus accentuée; cette paralysie a même peut-être fait qu'il ne s'est pas produi
anoïa et les folies à base anatomique comme le» intoxications et la paralysie générale (\Ville). En somme, le fond de la mala
allucinations sont rares ; l'aspect du malade est particulier. La paralysie générale, même à marche aiguë, s'accompagne de
ipait, mais le délire systématisé persistait. 4° Démence organique, paralysie générale, etc. - Un seul para- lytique général
et sur la katatonie en général. R. M.-C. XLIII. Les rapports DE la paralysie générale DES aliénés avec la SYPllILIS; par Jac
Les recherches poursuivies par M..Tacobson sur l'étiologie de la paralysie générale l'ont amené à conclure que la syphilis e
ntercurrente à laquelle l'a singulièrement prédis- posé son état de paralysie : la plus commune de ces maladies ter- minales
Ces cas ne sont pas communs. Des antécédents syphilitiques dans la paralysie générale. M. LE- FIr.InTaE donne lecture d'un t
Voisin considère aussi la syphilis comme une cause peu fréquente de paralysie générale. (Voir l'opinion de Jacobson, p. 385.)
5.) M. Vallon. Si la syphilis joue un rôle dans l'étiologie de la paralysie générale, ce rôle n'est que très secondaire. Il n
t des causes complexes et que la recherche d'une cause unique de la paralysie générale sera probablement en palhologie m enta
eptembre 1881); La stigmatisée de S... (Ibid.) ; L'insanité dans la paralysie agitante (Congrès de Londres, 1881 (en anglais) e
ie de la puberté ou hébéphrénie (Encéphale, 1884); Hérédité dans la paralysie générale (Congrès de Copenhague, 1884) ; -- Ar-
iener lIfediz1l ! sch lVoclaezschrift. Gasnier (A.). - Etude sur la paralysie faciale hystérique. Vol. in-8" de 156 p., avec
on pouvait par une analyse minutieuse faire le diagnostic entre une paralysie organique et une paralysie proprement hystériqu
minutieuse faire le diagnostic entre une paralysie organique et une paralysie proprement hystérique 2. Les com- mémoratifs, l
s évident qu'il serait ridicule d'interpréter psychologiquement une paralysie avant d'avoir démontré par les analyses précéde
agnostic et d'analyse des maladies nerveuses. Il a montré que cette paralysie pouvait se reproduire par sug- gestion soit che
sprit du sujet une idée et une émotion analogues produi- saient des paralysies tout à fait identiques dans leurs carac- tères
accidents naturels'. « Bans certaines circonstances, disait-il, une paralysie pourra être produite par 'Une idée"'... En rais
localisés comme les précédents, des hyperesthésies, des tics, des paralysies , des spasmes ne semblent en relation avec au- c
é- doublement de la personnalité. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. Par le D' CHABIlERT, de T
ds ébranlements psychiques. Les auteurs classiques affirment que la paralysie agitante et le tremblement sénile débutent quel
es.- Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 300. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 439 Le cas de paralysie a
isme, t. I, p. 300. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 439 Le cas de paralysie agitante que nous publions répond, dans une cer
sure, aux desiderata formulés par M. Pitres. Il établit : 1" que la paralysie agitante peut s'observer chez un individu ayant
enté des manifestations convulsives de nature hystérique; 2° que la paralysie agitante peut coexister avec des stigmates hyst
il existe un peu d'endolorissement et la fatigue arrive de suite. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 441 Jusqu'en septembre, a
Fig. 52. Reproduction d'un croquis fait par M. le D' Lafforâue. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 443 mate. La tête, néanmo
ement si, par exemple, le maladu Fig. 51. . Fig. 55. Fig, 56. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 445 tient sa main forteme
gauche, 35. La mensura- tion fournit les résultats suivants : -. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 447 mais il y a de la dys
emblement. Donc, au point de vue des symptômes réputés propres à la paralysie agitante, le cas est des plus classiques, l'on
rès grande Fig. 57. Rétrécissement. Champ visuel de Joseph G... PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 449 l'obnubilation de l'o
e écartée d'emblée, car on n'a cons- taté ni ictus apoplectique, ni paralysie motrice ; aussi, pouvons- nous considérer les u
confrère et ami, M. le Dr Olivier, nous obser- vons un autre cas de paralysie agitante où l'examen campimétrique pra- tiqué p
et des fléchisseurs de la main exagérés. En somme, cas vulgaire de paralysie agitante en voie de développement, dont tout l'
plement superposition de deux névroses, ou bien si l'hystérie et la paralysie agitante ne sont ? en réalité qu'une seule et mêm
de reconnaitre que les symptômes ressortissant à l'hystérie et à la paralysie agitante, si l'on en excepte la rigi- dité musc
stigmates habi- tuels ont coexisté avec les signes essentiels de la paralysie agitante. Or, toutes ces particularités ne sign
fet sédatif suffi- sant. J. Séglas. II. DE la trépanation dans la paralysie générale; par le Dr MAGNER. 11 existe, dans l
dans la paralysie générale; par le Dr MAGNER. 11 existe, dans la paralysie générale une quantité anormale de liquide dans
heureux, l'auteur conclut à l'opportunité de la trépanation dans la paralysie générale, et pense qu'au moyen de cette méthode
omnie, dans la période d'exaltation de la folie circulaire, dans la paralysie générale, l'hyoscine rend, lorsqu'elle est bien
ffet. On la trouvera utile, au contraire, dans le tremblement de la paralysie agitante et dans l'alcoolisme chronique. L'ab
ses vues personnelles. R. M.-C. LŸXIII, Quelques cas anormaux de paralysie générale ; par BOVVILLE BRADLEY Fox. (The Journ
urnal of Mental Science, juillet 1891.) Il s'agit de quatre. cas de paralysie générale remarquables à divers titres; le premi
aral- 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lèlement, les symptômes de paralysie du mouvement qui produi- sent l'asymétrie et le
Najotte, interne des hôpitaux, pour sa thèse sur les Ropports de la paralysie générale avec le tabes. Une mention hono- rable
du même asile, pour son Élude du trem- blement de la langue dans la paralysie générale. Prix Bel.homme.-111. Séglas, rapporte
tent le cas patholo- gique suivant : chez une malade atteinte d'une paralysie faciale périphérique ex otitide, l'examen micro
ut de l'affection mentale. M. NEISSER présente un malade affecté de paralysie progressive avec complications d'atrophie muscu
par les symptômes suivants : trouble de la connaissance; 'délire; paralysie plusieurs nerfs crâniens ; aphasie, et qui n'étai
ian de l'hémisphère cé- rébral dans ses couches superficielles; des paralysies flasques mais surtout avec rigidité, des rigidi
membres inférieurs, tantôt hémiplégique, tantôt généralisée; les paralysies , les chorées peuvent manquer, et c'est cette vari
, 142; troubles du langage chez les aliénés, par Séglas, 302; z paralysies et contractures hystéri- ques, par Richer, 304;
ossolimo, 133 : défi- nitions récentes del ? par Ja- net, p. 17; - paralysie agitante et -, par Chabbertï 'r81 ; - à deux,
be. 260. ' 1'.%IESTII,Slr des extrémités, par La- quer, 28 Í. Paralysie , agitante et hystérie, par Chabbert, 438; ascen
ion (délire de) par Falret, 118; J. Voisin, 395. Plexus brachial, paralysie limitée du -, par Bernhardt, 270. Pliomyélite
lements chez les vieillards, par Sacaze, 267. Trépanation dans la paralysie géné- rale, par Wagner, 451. Trijumeau, racin
el (appareil), réaction galva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux, paralysie chronique des muscles des -, par Siemerling,
23 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Par le Dr E. NEU11AN.1. Lorsque chez un individu atteint d'une paralysie faciale périphérique, l'hémiplégie ne peut être
t. Il est d'ailleurs incontestable que, dans un certain nombre de paralysies faciales, dites a (l'igol'e ou appe- lées encor
ellement invoquées par les malades pour expli- quer l'origine de la paralysie . Bérard a pensé que dans ces cas il se produisa
ns des points différents, suivant le plus ou moins de gravité de la paralysie . Ainsi, dans les cas légers, la lésion serait h
eptique. Trousseau, dans sa clinique, rapporte une observation de paralysie faciale produite instantanément chez un individ
cousse nerveuse, ni le froid; l'origine du mal reste inconnue et la paralysie faciale semble alors spontanée. Quoi qu'il en s
parente ou qu'elle semble se produire spontanément, il est, DE LA PARALYSIE FACIALE. Il suivant nous, une condition indispe
l'a étayée sur de nombreux documents empruntés à la clinique. La paralysie faciale dite a frigore ne fait pas exception à
trouvaient pas un terrain préparé d'avance. L'individu atteint de paralysie faciale est un névro- pathe ; il porte en lui d
l'a appelée M. Ch. Féré. Ces considérations sur l'étiologie de la paralysie faciale dite a frigore ne sont pas une simple v
parmi ceux qu'il nous a été donné d'observer; c'est l'ensemble des paralysies fa- ciales que nous avons eu à traiter depuis s
avons personnellement étudiés, ce n'est pas que les observations de paralysies faciales a frigore soient rares dans la littéra
édité. Dans tous les faits rapportés dans ce travail il s'agit de paralysies faciales périphériques, sine naateria, portant
soixante-cinq ans, bien portant ; mère morte, il y a quatre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5 ans, nous dit-il, d'une affection ne
huit mois ; un frère, aujourd'hui âgé de vingt-deux ans, a eu de la paralysie infan-. tile à l'âge de cinq ans ; un autre frè
voir fait des excès alcooliques et vénériens; pas de syphilis. La paralysie faciale pour laquelle il vient nous consulter le
ru à gauche. L'oeil gauche ne se ferme pas ; épiphora. En un mot, paralysie complète du nerf facial gauche. Le malade se plai
'est dans ces conditions qu'il a été pris, le 4 janvier 1882, d'une paralysie faciale du côté droit, sans qu'il puisse se rap
un refroidissement pendant les quelques jours qui ont précédé. La paralysie faciale est totale et porte sur toutes les branch
F... a eu souvent des crises convulsives de nature hystérique. La paralysie faciale qui occupe le côté gauche porte sur tous
s dans la région mastoïdienne gauche qui ont apparu la veille de la paralysie et ont persisté pendant quatre jours. Réactions
santé, cependant elle est très nerveuse et très impressionnable. La paralysie faciale droite dont elle est atteinte est surve
s, nous est adressé le 3 juin 1883.- Antécédents de famille : DE LA PARALYSIE FACIALE. 7 Père mortparalytiquegénéral; mère né
de la neurasthénie pas de syphilis; - pas d'excès alcooliques. La paralysie faciale qui date de cinq jours occupe le côté d
les ne subissent aucune modifica- tion pendant toute la durée de la paralysie dont il ne reste plus de trace au bout de deux
ts personnels : Nervosisme très marqué. Convulsions dans l'enfance. Paralysie faciale du côté gauche datant d'il y a liuitjou
hyse mastoïde; le surlendemain se manifestent tous les signes de la paralysie faciale du coté gauche ; l'hémiplégie est totale.
une parfaite santé; l'autre, qui vient d'avoir neuf ans, a eu de la paralysie infantile à la suite de laquelle il lui est res
re claudication de la jambe droite. , 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. La paralysie faciale pour laquelle Mme F... vient nous con-
x ans. Antécédents héréditaires : Père atteint depuis quatre ans de paralysie agitante ; un oncle paternel a un tic convulsif
avril 1886) sans cause appréciable pour lui, il a été frappé d'une paralysie de la face du côté gauche, paralysie périphériq
our lui, il a été frappé d'une paralysie de la face du côté gauche, paralysie périphérique portant sur toutes les branches du
u la bonne fortune de recueillir à la Salpêtrière à la con- DE LA PARALYSIE FACIALE. 9 sultation de M. le professeur Charco
r Charcot (26 avril 1887), l'histoire bien curieuse de trois cas de paralysie faciale a frigore survenus chez des membres de
l, 1887), soit' trois mois après le début de l'affection avec une paralysie faciale incomplètement guérie. La contractilité
... a eu, il y a quatre ans, à la suite d'un refroidisse- ment, une paralysie faciale du côté gauche; la guérison n'a pas été
ns, employé, a eu, à l'âge de treize ans à la suite d'un froid, une paralysie , faciale droite qui a duré environ cinq mois et
a un an, nouvelle hémiplégie faciale du même côté ; cette dernière paralysie de la septième paire a guéri au bout d'un mois
prépondérant de la tare nerveuse héréditaire dans l'étiologie de la paralysie faciale a frigore. En présence de ces trois par
iologie de la paralysie faciale a frigore. En présence de ces trois paralysies faciales survenues chez les membres de la même
ire est manifeste et indéniable; il nous reste maintenant à DE LA PARALYSIE FACIALE. il 1 faire la relation ' de 5 autres c
estations nerveuses qui, chez la plupart, ont pré- cédé ou suivi la paralysie faciale, la coexistence d'autres états morbides
ie de faits, nous sommes sur le terrain de la névropathie et que la paralysie faciale, loin de constituer chez nos malades un
tique depuis plusieurs années déjà. Il y a huitjours (12 mai 1885), paralysie faciale survenant brusquement ; la malade ne s'
ne sait à quelle cause imputer l'hémiplégie. Il s'agit bien d'une paralysie périphérique complète portant sur tous les muscle
s'être exposé au froid, qu'il a été pris, il y a cinq jours, d'une paralysie de la septième paire occupant le côté gauche de
) ; c'est donc pour la troisième fois que M. D... est atteint d'une paralysie de la septième paire. Tous les muscles innervés
e porter un pronostic très favorable. Au bout de trois semaines, la paralysie avait totalement disparu. Observation XVI. M. M
assez longtemps et qui a à peu près disparu aujourd'hui. , DE LA PARALYSIE FACIALE. 13 Le 25 mars 1886, M. M... a été expo
douleurs vives au niveau de l'apophyse mastoïde ; le surlendemain, paralysie du nerf facial droit; la paralysie est complète
se mastoïde ; le surlendemain, paralysie du nerf facial droit; la paralysie est complète. Abolition de la contractilité farad
nsiblement au mois de décembre, soit neuf mois après le début de la paralysie ; les muscles se contractaient normalement sous
du système nerveux et sans autre cause apparente qu'est survenue la paralysie faciale. Elle date déjà de six semaines quand n
e six semaines quand nous voyons le malade pour la première fois. Paralysie complète de toutes les branches de la septième
ant de février dernier, c'est-à-dire neuf mois après le début de la paralysie . Les faits cliniques que nous venons de relater
rveuse dans l'étiologie de l'hémiplé- 14 PATHOLOGIE NERVEUSE. DE LA PARALYSIE FACIALE. gie faciale friore et pour faire resso
friore et pour faire ressortir les liens étroits qui unissent cette paralysie aux autres maladies du système nerveux et, en p
ccès dégoutte chez le goutteux, de même le froid peut provoquer une paralysie faciale chez le névro- pathe ; mais ce n'est là
et chaque fois qu'on se trouve en présence d'un sujet atteint de paralysie faciale, survenue en dehors de toute lésion org
r une hémiplégie de la face. Affection essentiellement nerveuse, la paralysie fa- ciale rhumatismale doit donc être définitiv
encore un grand nombre de névroses; confondue alors souvent avec la paralysie agitante, on en trouve encore des observations
ne s'agit là ni d'épilepsie procursive ni de chorée, niais bien de paralysie agitante. 1 Tulpius. 06 ! e''M. naéd. Amsterdam
ou de spasmes coordonnés, nous paraissent se rapporter plutôt à la paralysie agitante qu'à l'épi- lepsie procursive : tous c
u de la rue, éprouva au mois de juillet 1836 unenouvelle attaque de paralysie du côté gauche de laface avecperte du sentiment
raitement des maladies nerveuses, ,1811, p. 32.) RECUEIL DE FAITS PARALYSIE GÉNÉRALE. ALCOOLISME CHRONIQUE. TROUBLES TABÉTI
TS PARALYSIE GÉNÉRALE. ALCOOLISME CHRONIQUE. TROUBLES TABÉTIQUES; PARALYSIE GÉNÉRALE CONFIRMÉE. LÉSIONS DE DÉNUTRITION ;
teignent une à une; et il y a quelque chose de très spécial dans la paralysie générale, c'est que l'individu tombé dans le ma
e-de cinquante degrés et fait une énorme 80 RECUEIL DE FAITS. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. saillie sous la peau. - C'est le plus
xemple qu'on puisse présenter des conditions de dénutrition dans la paralysie générale et, en particulier, du système osseux.
athologique osseux, mais dans l'ataxie locomotrice. - Mais, pour la paralysie générale, il est certain, et nos investigations
ent, et à toute force, voir une méningo-encéphalite diffuse dans la paralysie générale, pour prouver la dénutrition de l'orga
er pourquoi tous les auteurs parlent de méningo-encéphalite dans la paralysie géné- rale lorsque eux-mêmes, dans leurs observ
(OEuvl'es complètes, t. III), Rey Régis (de Montpellier,) parle de paralysies motrices dé- pendant de la perte du « souvenir
es. D'après Leroy d'Etiolles et Becquerel, Sandras con- naissait la paralysie du sentiment musculaire et on faisait mention d
s musculaire « sens du mouvement ». Landry dans ses mémoires sur la paralysie du sentiment de l'activité mus- culaire en 1852
ouvement après que la force a exercé son action. Landry (Traité des Paralysies , 1859), s'appuyant sur des données pathologique
ndamental des mouvements volontaires. Par contre l'étude des cas de paralysie psychique, portant uniquement sur le mouvement,
ilité consécutive à la destruction des centres moteurs est due à la paralysie du sens musculaire. Le fait de la restauration
llaire, car dans ce cas l'anesthésie se réduit à une parésie, à des paralysies partielles intéressant tel ou tel mode de sensi
anesthésie alterne, l'autre bras ne serait pas épargné; il y aurait paralysie motrice, hyperesthésie et troubles trophiques d
rut LI ente-six heures après sa naissance. S. V. Note sur UN cas DE paralysie radiculaire spontanée du PLEXUS brachial; par l
s, sans antécédents héréditaires, qui présentait du côté gauche une paralysie avec atrophie des muscles deltoïde, biceps, bra
es à leur point d'envergure entre les scalènes : tvpo supérieur des paralysies radiculaires du plexus brachial. Les paralysies
tvpo supérieur des paralysies radiculaires du plexus brachial. Les paralysies de cette nature se produisent habituellement so
oint le plus important est la preuve donnée que la cause des cas de paralysies extensibles, de types très variés, est l'inflam
ulement, sans que les centres nerveux soient touchés. Les formes de paralysies par suite de névrites multiples n'ont pas été d
aît graduellement une faiblesse motrice et dans les mauvais cas une paralysie complète dont souffrent davantage les extrémité
u près exclusivement chez les hystériques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 117 Paralysie générale avec délire hypochondriaque et attaques
empêcher de juger du niveau mental des malades. Le diagnostic de la paralysie générale ne pouvait, dans l'espèce, qu'être sou
de la certitude. M. Magnan ne croit pas qu'il y ait certitude de paralysie géné- rale : l'inégalité pupillaire et l'eschar
Par H. RENDU, médecin agrégé de l'hôpital Necker. La réalité des paralysies hystéro-traumatiques n'est plus aujourd'hui à d
culaire, tantôt par une contracture rigide, le plus souvent par une paralysie flasque. Il n'est pas besoin pour, produire ces
ns cette note, n'est pas de reve- nir sur l'histoire générale de la paralysie psycho-trau- matique, mais d'insister sur certa
nce est peu évidente. Nous voulons parler, plus spécialement, de la paralysie partielle limitée à la main et à une portion de
LES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 1 j ! ) soient les plus communes parmi les paralysies psy- chiques d'origine traumatique. Elles affec
ue, prouvent d'une façon presque absolue la nature psychique de ces paralysies . Le premier con- siste dans la circonscription
nt la réaction de dégénérescence, quelle que fût l'ancienneté de la paralysie . D'ordinaire, avons-nous dit, la monoplégie bra
ourants continus, cette con- tracture disparaît et fait place à une paralysie flasque fonctionnelle, laquelle dure deux ans e
uer que dans ce fait, ainsi du reste que dans la plupart des cas de paralysie psycho-trau- matique, il n'y a pas une corrélat
que, il n'y a pas une corrélation immédiate ni instantanée entre la paralysie (ou la contracture) et le choc. C'est d'ordinai
nent que tardivement : on dirait que le malade prépare et médite sa paralysie : l'expression est-de M. Charcot. Cela est si
ent traumatisme. Le relevé des observations les plus con- nues de paralysie du membre supérieur est, à cet égard, singulièr
er qui, tombant de son siège, se contusionna fortement l'épaule. La paralysie du mou- vement et de la sensibilité survint cin
rurgie, 29 mai 1883. f83 PATHOLOGIE NERVEUSE. est d'autres où la paralysie a succédé à un trauma- tisme insignifiant. Ains
antes, des stigmates de l'hystérie. A côté du fait matériel de la paralysie , on retrouve les principaux traits de la névros
tances où le diagnos- tic s'impose en quelque sorte; c'est quand la paralysie partielle est manifestement consécutive à une a
nts continus de la nuque à l'avant- bras ; disparition rapide de la paralysie et de l'anesthésie, per- sistance de l'hypérest
ctionnelle de tout le bras, avec des mouvements choréiformes, et la paralysie sensi- tivo-motrice de la main et du poignet es
dans une attaque et se fait une ecchy- mose légère. Il survient une paralysie en manchette de l'avant-bras (sensibi- lité e
en manchette de l'avant-bras (sensibi- lité et mouvement). Cette paralysie monte jusqu'au coude. Disparition su- bite de
Cette paralysie monte jusqu'au coude. Disparition su- bite de la paralysie le 5 janvier au réveil. » Il est regrettable qu
vation de M. Berbez ne donne pas plus de détails sur cette dernière paralysie localisée à l'avant-bras et à la main : toutefo
t elle qui semble avoir déterminé la localisation de cette dernière paralysie . Il se passe là des phénomènes absolument compa
cette im- pression persiste et engendre la notion cérébrale d'une paralysie plus ou moins durable. L'observation suivante q
étermine, en même temps que des phénomènes d'hystérie générale, une paralysie partielle sensitivo- motrice de la main et de l
l'avant-bras gauche. Chez cette malade comme chez le précédent, la paralysie semble avoir été la première manifestation d'un
re sans hésitation, d'affirmer la na- ture psycho-traumatique de la paralysie . Voici mainte- nant un fait encore plus curieux
ie eût été inexplicable, et même avec les notions actuelles sur les paralysies psychotraumatiques, nom- bre de médecins hésite
ommande, même lorsqu'elle a les yeux fer- més. Il n'y a donc pas de paralysie , au sens propre du mot. 11 n'y a pas non plus d
e à type spinal, fortement entaché d'hypochondrie et. atteint d'une paralysie fonctionnelle sans atrophie musculaire et sans
bénéfice de la santé générale, mais sans aucune amélioration de la paralysie locale, qui garda les mêmes caractères que le p
tre ans, à se produire. Nous avons vu que c'est la règle pour les paralysies psychotraumatiques : néanmoins la durée des acc
ré tous les caractères que l'on retrouve toujours eu pareil cas; la paralysie motrice incomplète, associée à la conservation
ette dernière variété d'anesthésie (qui peut manquer dans certaines paralysies hystériques) a une valeur considérable quand on
e caractère typique qui à lui seul suffisait pour faire affirmer la paralysie nerveuse, à savoir la terminaison brusque en ma
qui ne militent en faveur de l'origine purement nerveuse de cette paralysie . L'anesthésie qui pendant près d'un mois avait
une hystérie grave, avec perte de connaissance, anesthésie diffuse, paralysie plus ou moins générali- sée : la monoplégie qui
t, mais l'hystérie se révèle par ses stigmates habituels. Enfin, la paralysie partielle peut constituer l'unique manifestatio
er lieu à des erreurs de dia- gnostic et être considérées comme des paralysies pé- riphériques liées à des névrites partielles
econ- naîtra toujours leur véritable nature en considérant que la paralysie motrice est en général beaucoup moins prononcée
mois, achèvera la démonstration de la nature névropathique de ces paralysies fonctionnelles. NOTE ADDITIONNELLE Au moment
e, est atteinte d'une impotence fonction- nelle du bras droit, sans paralysie motrice véritable, mais avec une anesthésie et
du plexus brachial, car il y aurait de l'atrophie muscu- laire, une paralysie motrice complète, une anesthésie moin- dre, des
ertain degré d'atrophie muscu- laire n'est pas incompatible avec la paralysie hystérique, et d'ailleurs cette lésion paraît a
egistre purement et simplement sa guéri- son. Or, l'hypothèse do la paralysie et de l'analgésie hysté- riques, qui dans ce ca
nt de se manifester par l'un de ses symptômes capitaux, à savoir la paralysie motrice. Par exclusion, et faute d'explication
. II. Rendu. PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES SUR L'ÉTIOLOGIE DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ L'HOMME; Par le Dr Jules CHRIST
IAN, Médecin dc In Afaison nationale de Charenton. Dans l'article Paralysie générale que mon col- lègue Ritti et moi nous a
ue des sciences médicales, nous avons pu dire : « L'étiologie de la paralysie générale, malgré « les documents accumulés, est
lètement de côté tout ce qui a trait à la 206 PATHOLOGIE MENTALE. paralysie générale chez la femme, me bornant stricte- men
ette étude singulièrement complexe et difficile, c'est que, dans la paralysie générale comme dans toute autre maladie 'mental
importance de ce pro- blème. Si, en effet, il était démontré que la paralysie générale n'est apparue qu'au commencement du si
i ont agi de toute éternilé; il est donc infiniment probable que la paralysie géné- rale elle-même a toujours existé. C'est m
a toujours existé. C'est mon entière conviction. Il est arrivé à la paralysie générale ce qui s'est produit pour d'autres mal
ui s'est produit pour d'autres maladies (la fièvre typhoïde DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 207 par exemple), qui, elles aussi, o
'entité morbide qu'à une époque rapprochée de nous. Encore, pour la paralysie générale, quelques-uns de ses symptômes ont été
à la diète, saigné à blanc; en quelques jours il avait disparu. La paralysie générale ne pouvait con- quérir sa place légiti
fréquence. Calmeil le croit. Après avoir constaté d'a- bord que la paralysie générale entrait pour -^- dans le chiffre des h
. Je n'en serais pas étonné, car j'incline à croire moi-même que la paralysie générale devient réelle- ment plus fréquente. J
éduirai les raisons plus loin. -t' Age. Bayle disait : « Elle (la paralysie générale, « ou comme il l'appelait, la méningit
e, « d'acquérir de la fortune, des honneurs et des places, DE. LA PARALYSIE GENERALE. 2()9 « il est essentiellement dominé
confirmée depuis, par tous les observateurs; il reste établi que la paralysie générale est une maladie de l'âge mûr; elle fra
ans. Toutes les statistiques sont d'accord sur ce point; les cas de paralysie générale précoce (avant 25 ans), ou tardive (ap
ient encore plus forte, et nous serons obligés d'admettre que «la paralysie générale frappe de préférence les hommes mariés
éoc- cupations, d'inquiétudes, qui, tout compte fait, coin- DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 211 pense et au delà les inconvénient
squ'à la plus élevée, dans laquelle on ne rencontre des exemples de paralysie générale. Ainsi, à 119aréville, sur 84 malades,
ofessions dans le tableau suivant : 212 PATHOLOGIE MENTALE. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 213 Ce tableau ne peut avoir pour sig
e montrer, contrairement à une opinion généralement reçue, que la paralysie générale n'est pas exclusive aux hommes des cla
ite, mais en pleine période d'activité. Remarquons aussi que, si la paralysie générale est fréquente dans l'armée, elle l'est
ivi les événements de 1870-71, le nombre des militaires atteints de paralysie générale était devenu plus considérable; les év
ement à croire, depuis les travaux de Lunier et Doutrebente, que la paralysie générale n'est pas héréditaire à la façon de la
la folie proprement dite, que son hérédité est une hérédité DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 215 de tendances congestives ou céréb
e convaincu que l'alcoolisme n'est que très rarement la cause de la paralysie générale. Il est vrai que presque tous les para
ue certains alcooliques finissent par présenter les symptômes de la paralysie générale : ne serait-ce pas la pseudo-paralysie
érale alcoolique, dont la marche diffère notablement de celle de la paralysie générale classique ? Excès vénériens. =Ce que
en Irlancle, où cependant l'alcoolisme est très répandu. ' DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 217 se montraient en réalité, depuis
de leur existence, la syphilis. De là à attribuer à la syphilis la paralysie générale elle-même, il n'y avait qu'un pas, qui
rmine des accidents qui peuvent jusqu'à un certain point simuler la paralysie générale (psczcdo- paralysie générale syphiliti
jusqu'à un certain point simuler la paralysie générale (psczcdo- paralysie générale syphilitique) . En réalité, je ne puis
lysie générale syphilitique) . En réalité, je ne puis croire que la paralysie géné- rale soit jamais de nature syphilitique.
ent le fonctionnement du cerveau; mais la méningo-encéphalite de la paralysie générale n'est pas une altération de nature syp
enveloppes, puis aux os. Jamais rien de pareil ne se voit dans la paralysie générale, dont les lésions anatomiques ont touj
si éner- gique et si bien conduit qu'ait été le traitement, DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 219 jamais je n'ai vu la paralysie gé
le traitement, DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 219 jamais je n'ai vu la paralysie générale enrayée dans sa marche. Il y a mieux
rche. Il y a mieux : quand, en même temps que les symptômes de la paralysie générale, existaient chez le malade des altérat
rincipale. C'est donc chez moi une conviction absolue, que, si la paralysie générale atteint souvent d'anciens vérolés, ell
a syphilis : je n'ai jamais trouvé que les lésions classiques de la paralysie géné- rale. Traumatismes du crâne. Je les ai
te traumatique du coude). Je con- nais des faits similaires pour la paralysie générale : chez un malade, il y avait eu, deux
étant égaré pendant la nuit dans une tourmente de neige, ne DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 221 retrouva son chemin qu'au matin.
ue ces causes aient dû exercer une influence prédispo- sante à la paralysie générale, même lorsque celle-ci n'a éclaté que
ler, ou d'autres du même genre, peu- vent déterminer directement la paralysie générale. On sait qu'à la suite de certaines af
lement dans les membres inférieurs, le voile du pa- lais, etc. Ces paralysies généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE
première fois par Gubler, n'ont absolument rien de commun avec la paralysie générale; elles sont d'une tout autre nature et
n bien éta- blie, il ne me paraît pas impossible cependant que la paralysie générale survienne peu de temps après une malad
oses de quinine. Il eut de la peine à se remettre ; la cou- DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 223 valescence fut interminable, et o
elle : l'ataxie tenant à une sclérose de la moelle épinière et la paralysie générale s'accompagnant d'une sclérose du cerve
e paraît justifiée en aucune façon. Cliniquement d'ail- leurs, la paralysie générale ne survient que très rare- ment chez l
èle de la i Bulletin de la Soc. de médecine de Paris, 1879. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 225 face consécutif. A peine remis, i
it-il unrappoit t à établir entre l'abcès du siuus maxillaire et la paralysie générale : c'est ce que je me suis souvent dema
me suis souvent demandé. En résumé, la question des rapports de la paralysie générale avec les affections aiguës, ou chroniq
lles que nous avons données, le D' Hitti et moi, dans notre article Paralysie générale, du Dictionnaire de Decliambre. DE L
article Paralysie générale, du Dictionnaire de Decliambre. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 227 t Le cas suivant est encore plus
it quelques mois après. Déjà V... donnait des signes non douteux de paralysie générale : des attaques épileptiformes l'emport
- gent de l'oeil du côté blessé. Vers 1882, premiers signes de la paralysie générale à laquelle il succomba trois ans plus
trent 1 Elle a été reproduite récemment dans une thèse. r DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 229 que dans l'étiologie de la paraly
èse. r DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 229 que dans l'étiologie de la paralysie générale, il faut toujours s'attendre à rencont
l convient de se demander s'il n'existe pas une prédisposition à la paralysie générale. Or, à cet'égard uu premier point me p
eux-là seuls succombent à qui manque la force de résistance DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 231 nécessaire, et c'est dans cette c
re, et c'est dans cette catégorie que je range les prédisposés à la paralysie générale. Pour eux également, le moindre écart
e qu'il soit, sera encore de trop pour eux; il les surmènera, et la paralysie générale sera le résultat final. D'ailleurs,
ique, St-Cyr, Navale), qui fournissent le plus fort contingent à la paralysie générale. Ainsi, sur 68 officiers paralytiques
nt les considérations qui précèdent, je crois que l'étiologie de la paralysie générale peut se réduire aux termes suivants :
précède dans une formule générale, je dirais que « la cause de la paralysie générale, c'est le surmenage du cerveau dans l'
il y est arrivé par des considérations toutes différentes. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 233 insomnie, etc.). Au début, le tro
placer dans les vaisseaux cérébraux l'origine des lé- sions de la paralysie générale \ Un dernier mot pour expliquer ce que
isais en commençant au sujet de l'augmentation de fréquence de la paralysie générale depuis qu'elle est connue. Cette augme
plasies scléreuses, etc. » 1) . 5î9). 234 PATHOLOGIE MENTALE. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. ardente, chacun arrivait presque sûre
gnore où il est, dit qu'il est avec des serruriers. On constate une paralysie incomplets de la face ; le sillon naso- labial
détriment de tous les autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE · I. Paralysie générale, des aliénés; par TH. MEYNERT. (Jahi,b
s. On peut affirmer pourtant sans attendre plus longtemps que les paralysies hystériques survenant à l'occasion d'un trauma-
eu de folies cu- rables chez les sous-officiers; prédominance de la paralysie géné- rale et de la folie systématique. Les off
accès d'agitation maniaque simple, mais il faut aussi craindre une paralysie générale peul-être spécifique. M. Falret conclut
is pensé, d'après la manière d'être du malade, à un commencement de paralysie générale. M. JASTROWITZ. A-t-on abandonné l'act
issement congénital ou acquis des facultés intellectuels ; 2° d'une paralysie de la volonté (mélancolie) ; 3° d'idées déliran
e mélancolie, - b) à la suite de lésions du cerveau, c) sénile ; 5° paralysie générale progressive ; - 6° folie hystérique ;
avec une rigueur scientifique remarquable, affirme l'identité de la paralysie labio-nloso-lar3·née avec les symptômes bulbaires
l'analogie des lésions impose l'obligation de ne plus voir dans la paralysie bulbaire' une entité morbide distincte mais seu
adie de Charcot. - C'est ainsi que l'un des symptômes fondamentaux, paralysie , atrophie musculaire, contracture, pourra faire
'un bras, au réveil elle se trouve paralysée de ce bras; mais cette paralysie n'est pas simple, elle s'accompagne de contract
ées à ce membre, et souvent aussi de douleurs vives. Quelquefois la paralysie suggérée ne se limite pas au membre désigné, ma
nous avons précédemment signalés. Par suggestion, on lui donne une paralysie du membre supérieur gau- che, avec contracture
comme la première fois. Il en est de même pour la suggestion d'une paralysie brachiale droite, laquelle s'accompa- gne de co
l'ordre donné. Pendant son sommeil, nous lui suggérons d'avoir une paralysie croisée du bras droit et de la jambe gauche; la
avoir une paralysie croisée du bras droit et de la jambe gauche; la paralysie croisée se produit parfaitement au réveil et s'
s; l'histoire du réveil et l'action des zones hypnofrénatrices; les paralysies suggérées qui ont aussi des caractères fixes, s
t du malade. Le certificat de M. Lasègue est ainsi conçu : Idiotie, paralysie , épilepsie probable. z ' Le certificat'de quinz
ues. Pupilles égales, contractions musculaires faibles, mais pas de paralysie . T. 38°,2. Le malade a gardé toute sa connais-
ôpital de Sa/.¡bals/'¡e1' ! J, à Stockholm pour 1885.) A. R. XII. Paralysies radiculaires supérieures du plexus brachial, d'
tteint d'abord de quelques troubles sensitifs fuga- ces, puis d'une paralysie des muscles de l'épaule et du bras cor- respond
du massage, etc. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 407 XILI. PARALYSIE INFANTILE ; TUBERCULOSE PULMONAIRE ; HÉMIPLÉGIE
1886, t. lui.) Homme de quarante-trois ans qui, à la suite d'une paralysie infantile, conserva une impotence presque absol
rès toujours z par la contracture (Brissaud), et quelquefois par la paralysie (Ricoux). Le diagnostic pour être complet doit
. Quelques remarques sur le rapport QUI EXISTE entre LE TABES OU LA PARALYSIE PROGRESSIVE ET LA SYPHILIS ; par A. STRUEMPELL.
ent (anamnestiques, avortements répétés). Il en est de même pour la paralysie générale. De plus, ces deux maladies peuvent se
ions anatomiques du tabesse rencontrent très habituellement dans la paralysie géné- rale. Ce sont donc les mêmes agents nocif
vement, du moins surtout au début, certains territoires du cerveau ( paralysie générale). P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
hagique récent occupant le tiers moyen de la frontale ascen- dante ( paralysie complète du bras droit), empiétant un peu sur l
piétant un peu sur le tiers supérieur de celle même circonvolution ( paralysie incom- plète du membre inférieur droit) et qui
let des mouvements du bras et de la face), mais ayant pro- duit une paralysie isolée de la mimique dans la moitié gauche de l
Korsakoff, 298. Ophthalmie chez les aliénés par Cou- derc, 304. Paralysie faciale a frigore (du rôle de la prédisposition
disposition nerveuse dans l'étiologie de la), par Neu- mann, 1. Paralysie générale, par Bonnet, 79; par Meynert, 270, - a
herches sur l'étiologie de la chez l'homme, par Christian, 205. Paralysie infantile (tubercule céré- brale, par Sigaux, 4
5. Paralysie infantile (tubercule céré- brale, par Sigaux, 407. Paralysie radiculaire spontanée du plexus brachial, par I
lysie radiculaire spontanée du plexus brachial, par I)ufourt,110; paralysie radiculaire supé- rieure du plexus brachial d'o
verbale, par Perret, 108. Syphilis (rapports entre le tabès ou la paralysie générale et la), par Striempell, 410.. Tumeur
24 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a sensibilité et la parésie généralisée (accompagnée plus tard de paralysie localisée du membre inférieur du côté opposé au
après, la jambe droite se prend et la paraplégie est complète. La paralysie du rectum et de la vessie s'y ajoute. L'atrophi
les réactions électriques restent normales. Aussi étant donnée uue paralysie (hémiplégie, paraplégie, monoplégie), si on obs
EUTIQUE. l'électricité sur la tête ne donnera de résultats. Dans la paralysie qui succède à l'hémorragie cérébrale, l'électri
brale, l'électricité peut produire une amélioration passagère. La paralysie glosso-labio laryngée peut être améliorée; il fau
l'affection aiguë. C'est ainsi que dans la poliomyélite antérieure ( paralysie infantile), l'électri- cité employée, après la
tabes peut parfois en bénéficier. Dans les névrites périphériques ( paralysie faciale y comprise), on prétend que l'électrothér
encore. L'électricité reste sans action, sauf par le moral, dans la paralysie agitante, les différents spasmes et tics. On a
e placés au premier plan par Heine dont la thèse était d'opposer la paralysie infantile vulgaire, fiasque avec atrophie muscu
xe entre le syndrome connu sous les noms de tabès spasmodique, de paralysie spinale spastique et la sclérose des cordons laté
de quelques symptômes parmi lesquels dominent la contracture et la paralysie motrice. Les faits démontrent qu'à l'heure actu
nu sous le nom de main de singe. Nous sommes donc en présence d'une paralysie labio.losso- laryngée et d'une atrophie muscula
st là qu'un diagnostic clinique les relations qui existent entre la paralysie labio-glosso- laryngée, l'atrophie musculaire p
l fut admis que l'une et l'autre de ces affections s'associent à la paralysie labio-glosso-laryngée soit que les manifestatio
cot et par lui-même. Il est tout aussi net dans l'affirmation d'une paralysie labio- glosso-laryngée avec lésions strictement
Un autre exemple de synergies fonctionnelles se rencontre dans les paralysies pseudo-bulbaires où certaines paralysies peuven
lles se rencontre dans les paralysies pseudo-bulbaires où certaines paralysies peuvent s'améliorer grâce à la suppléance des f
COU. Séance du 12 avril 1896. M. le professeur KOJEVNIKOFF. De la paralysie asthénique bulbaire (avec démonstration d'une m
5 le malade mourut subitement d'une pneumonie d'origine grippale ( paralysie de respiration ? ). La nutrition avec une sonde
liqué et de certaines particularités, qui le distinguent des cas de paralysies asthéniques, décrites déjà auparavant. 1° on y
euse ; cet épuisement est un symptôme le plus caractéristique de la paralysie bulbaire asthénique en géné- ral ; les changeme
t dans le cas cité, d'après l'auteur, très caractéristiques pour la paralysie bulbaire asthénique, ce qui donne à l'auteur le
KORNILOFF hésite à rapporter totalement ce cas à la catégorie de la paralysie asthénique, vu qu'il existe ici une réaction de d
lus juste de donner dans ce cas à la maladie en question, le nom de paralysie asthénique générale et non bulbaire, vu la vari
haut, fait ce cas très précieux ; il admet que dans certains cas de paralysie asthénique des degrés différents de lésion des
bles à ce qu'on observe pendant l'atrophie musculaire ou pendant la paralysie du grand dentelé antérieur (tension de tous les
ns comprendre, selon l'au- teur, la possibilité de l'apparition des paralysies hystériques et des contractures dans de tels mu
e professeur Kojevnikoff. Séance du 10 mai 1896. I. M. Mouratoff. Paralysie cérébrale bilatérale congénitale, comme entité
symptômes prin- cipaux de cette affection l'auteur rapporte : 1° la paralysie spasmo- dique des membres inférieurs présentant
des mouvements associés des yeux de tous les deux côtés, mais [sans paralysie des muscles isolés de l'appareil ocu ! o-moleur
l ne resta qu'une différence des pupilles. Quant à l'amnésie et aux paralysies , ces phénomènes disparaissaient bien plus lente
ssants (pendant une première période le malade semble atteint d'une paralysie ascendante aiguë de Landry, tandis que la secon
Raymond éta- blit qu'au point de vue anatomo-pathologique dans la « paralysie ascendante aiguë de Landry, dans la poliomyélit
rieure, de pseudo-tabes, de prédominance des troubles sensitifs, de paralysie générale), de paralysies arsénicales, de paraly
de prédominance des troubles sensitifs, de paralysie générale), de paralysies arsénicales, de paralysies et névrites typhi- q
es sensitifs, de paralysie générale), de paralysies arsénicales, de paralysies et névrites typhi- ques (celles-ci sont essenti
nalyse de faits cliniques isolés. La XIX" leçon est consacrée à une paralysie radi- culaire motrice du plexus brachial droit,
otrice du plexus brachial droit, et qui réalise l'association d'une paralysie radiculaire complète du type Erb, et d'une para-
e Erb, et d'une para- lysie radiculaire inférieure incomplète, avec paralysie associée du sous-épineux et du grand dentelé. L
u au munde en état d'asphyxie apparente, a pré- senté d'abord de la paralysie flasque du membre supérieur droit avec arrêt de
and rôle dans la symptomatologie de l'ataxie. La production d'une paralysie alterne d'origine embolique est fort rare. Le p
able par la présence d'une hémianesthésie croisée. L'histoire de la paralysie alterne est complétée par l'étude d'un cas rema
st ainsi que le professeur Raymond a pu montrer à ses élèves, une paralysie alterne limitée à la face. A droite il existe une
es, une paralysie alterne limitée à la face. A droite il existe une paralysie de la troisième paire avec parésie de la sixièm
ie faciale limitée au facial inférieur. Dans toutes ces variétés de paralysie alterne on peut localiser rigoureusement les lé
nion de quelques rares auteurs sur les lésions matérielles dans les paralysies arsénicales. Suivent quelques considérations sur
ureau. Soir : Discussion de la première question : diagnostic de la paralysie générale. Rapporteur : M. Arnaud. Mardi 3 août.
Verbal Obsessions and Pseudohallucinations. » 2. Pathogénie de la paralysie générale des aliénés; délimitation de cette mal
axie locomotrice progressive, l'atrophie musculaire progressive, la paralysie atrophiquc de l'enfance et son analogue chez l'
paralysie atrophiquc de l'enfance et son analogue chez l'adulte, la paralysie labio-glosso- laryngée, la paralysie pseudohype
son analogue chez l'adulte, la paralysie labio-glosso- laryngée, la paralysie pseudohypertrophique... Comme ces types sont re
spécial, si l'on peut ainsi dire, que la multiplicité des causes ». Paralysie labio- glosso-larngée, p. 297 : « Nos connaissa
'hui. » Dans le Manuel de médecine, t. III, vous trouvez, article Paralysie labio-glossolaryngée, p. 3U4 : « On ne sait rien
- Sclérose en plaques, p. 327 : « L'étiologie est fort obs- cure. » Paralysie aGrophique de l'enfance, p. 337 : « L'étiologie
abord les polynévrites dont nous venons de parler. C'est ensuite la paralysie générale; on discute beaucoup ses rapports avec
tation de ces faits me paraît être d'ad- mettre dans le tabes et la paralysie générale, deux groupes de lésions bien distinct
nés de sclérose, car la sclérose joue un réel et grand rôle dans la paralysie générale. Vous avez encore l'association du tab
nt fréquentes Ho CLINIQUE NERVEUSE. dans les mollets. Il n'y a ni paralysie motrice, ni amyotro- phie ; mais seulement un p
out du petit doigt de l'annulaire et du médius. Il n'y avait pas de paralysie de la face ni de la langue. La sensi- bilité ét
Sur les neuf autres cas, il y en avait quatre de mélancolie, un de paralysie générale à forme dépressive, et quatre de démence
fait deux groupes, l'un composé des cas de mélancolie et du cas de paralysie générale, l'autre formé par les cas de démence
Il. BELTAY. il ? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE, FORME HYPOCONDRIAQUE, AVEC symptômes
aractérisé du type nommé par les auteurs forme hypocondriaque de la paralysie générale. Aucune faiblesse de la mémoire, ni au
r un aperçu sur la spméiologie de l'alcoo- lisme chronique et de la paralysie générale. A. Marie. XV. INVERSION sexuelle; par
issane conservée réponses exactes aux questions posées. Pas d'autre paralysie qu'une impossibilité transitoire de tourner les
es, attaques épilepti- formes fréquentes suivies de coma, jamais de paralysie , marasme progressif; carphologie, coma et mort
ux à gauche avec contracture; réflexes patellaire augmentés. Pas de paralysie . Autopsie : invasion de tout le lobe frontal ga
quand le nerf olfactif est intéressé par la lésion ; 4° parésie ou paralysie (face, bras, jambe) presque toujours légères et
s d'antécédents pathologiques, affaiblis- sement progressif jusqu'à paralysie complète avec atrophie des épaules et des bras.
la dégénérescence myxomateuse. II. Homme 23 ans, pas d'antécédents, paralysie presque com- plète avec atrophie des bras; paré
nt, il reste six heures =ans connaissance et revient à lui avec une paralysie du bras droit qui est devenue définitive, ensui
rmes le fais- ceau de Bield serait le sien. ' P. K. XI. UN cas DE paralysie DU nerf récurrent gauche DUE A UN ANÉ- vrisme d
urique. On peut grouper dans le même ordre de faits certains cas de paralysies transitoires. La connaissance de ces faits a un
ontracture énergique. La hanche est inlacte. Il ne s'agit pas là de paralysie . D'ailleurs l'examen du rachis reste négatif. L
e syndrome ? Non. Une lésion unilatérale de la moelle produirait la paralysie du même côté- et l'anesthésie du côté opposé. I
e qui confirmait absolument le diagnostic. P. RELL1Y. XI. Un C\S DE paralysie du trijumeau ; par W.-R. GOwrRS. (Edillbourgh M
ation détaillée d'une femme de qua- rante-cinq ans qui présente une paralysie complète et isolée du trijumeau, sans autres ac
lysés. Les mouve- ments' de la langue et du voile conservés; pas de paralysie des muscles de la face ni de l'oeil. Tout se bo
sie des muscles de la face ni de l'oeil. Tout se bornait donc à une paralysie sensitive et motrice du trijumeau droit. Les
uelque temps après, Ja sixième paire fut atteinte et il survint une paralysie du muscle droit externe. Le diagnostic de la lé
'odorat tient aux altérations de la muqueuse nasale, causées par la paralysie du trijumeau. L'ouïe était aussi un peu diminuée,
des accidents, l'état de la malade est le même : elle conserve une paralysie totale et isolée du trijumeau. On note cependan
omoteur externe. P. KERAVAL. XVII. Contribution LA pathologie DES paralysies DU plexus brachial; par P. Sciiuster. (Neurolog
ntralbl., XV, 1896.) Observation caractérisée par l'existence d'une paralysie complète de tous les muscles du bras et de pres
nnels. Ce sont surtout des spasmes et tremblements musculaires avec paralysies . Les phénomènes paralytiques souvent généralisé
oulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière. Première QUESTION : - Paralysie générale. Après la lecture par M. Ritti, de deu
ves (Seine), sur la première question du Congrès : Diagnostic de la paralysie générale. Les points essentiels de cette étude
ropositions sur les- quelles la discussion pouvait être engagée. La paralysie générale, maladie intermédiaire aux psychoses e
meningo-encéphalile chronique diffuse). Ceci élimine la préten- due paralysie générale sans aliénation et les états psychopathi
Bien qu'ayant des caractères distincts, aucun des symptômes de la paralysie générale n'est pathognomonique. On n'est pas auto
iculiers que j'ai essayé de décrire, est le symptôme cardinal de la paralysie générale ; elle constitue un véritable stig- ma
lir un diagnostic légitime (certaines folies congestives et pseudo- paralysies ); il faut alors se résigner à attendre que l'évol
symptômes vienne faire la lumière. - A la période prodromique, la paralysie générale peut être soupçonnée, mais il n'existe p
pratiques pour le diagnostic. A partir de cinquante-cinq ans, la paralysie générale devient vraiment- rare. En présence d'
nvient de redoubler d'atten- tion et de n'admettre le diagnostic de paralysie générale que sous le bénéfice d'un inventaire r
nir que l'athérome cérébral généralisé peut simuler cliniquement la paralysie générale et que, d'autre part, il peut lui être
gie vraie, si elle n'est pas de nature à faire éliminer d'emblée la paralysie générale, doit imposer un doute persistant; les
sie générale, doit imposer un doute persistant; les probabilités de paralysie générale sont, dans ces cas, très faibles, et,
OCIÉTÉS SAVANTES. 245 rapport de M. Arnaud, sur les relations de la paralysie générale avec les maladies infectieuses. Je sui
. convaincu de l'importance de l'infection dans la pathogénie de la paralysie générale. J'ai montré antérieurement combien ét
alytiques généraux (80 à 90 °/0) ; les cas relativement nombreux de paralysie générale juvénile consti- tuent un nouvel argum
existait pas. Il en est de même des cas, plus rares il est vrai, de paralysie générale conjugale, lesquels ne peu- vent guère
ue n'a pas encore démontré là nature syphilitique des lésions de la paralysie générale ; je con- nais cependant un certain no
jouent les maladies infectieuses aiguës dans la palho= génie de la paralysie générale est moins bien établi que celui de la
elui de la syphilis; cependant, on a déjà rapporté plusieurs cas de paralysie générale développés consécutivement à la grippe
lus rarement à des maladies aiguës. Cette théorie infectieuse de la paralysie générale est-elle incom- : patible avec celle d
e de provoquer' l'apparition des lésions encéphaliques propres à la paralysie gêné-- rale, il ne s'ensuit pas qu'elle ne puis
lieu à un complexus symptomatique presque iden- tique à celui de la paralysie générale; de là le nom de pseudo-. paralysie gé
tique à celui de la paralysie générale; de là le nom de pseudo-. paralysie générale syphilitique sous lequel on a pris l'hab
diagnostic que si elles revê- tent le cachet démentiel propre à la paralysie générale. Je' me sépare de M. Régis relativemen
M. Régis relativement au rôle de la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. La syphilis ne fait, selon moi, que p
excès vénériens, etc. A l'appui de la théorie syphilitique de la paralysie générale, M. Régis a invoqué les cas où cette m
e façon incontestable tous les signes physiques et psychiques de la paralysie générale, et cependant ni M. Magnan - qui a éga
ement examiné ce malade- ni moi n'avons osé porter le diagnoslic de paralysie générale. Pourquoi ? parce que la para- lysie g
nt présenté de concep- tions délirantes. Sur 32 malades atteints de paralysie générale confirmée observés en ville, il y en a
nsidéré pendant quelque temps comme presque patlronomo- nique de la paralysie générale, n'a, en réalité, aucune valeur diagno
philitique de M. Régis, j'invoquerai la plus grande fréquence de la paralysie générale chez l'homme que chez la femme. M. C
ens qui considèrent trop souvent comme d'origine syphilitique les paralysies générales survenant chez un individu entaché de s
ilis. SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 Î Il admet, par contre, nettement la paralysie générale alcoolique qui survient chez des indiv
antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon). - Il y a deux signes de la paralysie générale qui, de très fréquents qu'ils étaient
nier, on pourrait croire que la démence est un signe de début de la paralysie géné- rale ; or, il est loin d'eu être toujours
d'eu être toujours ainsi. On observe à la période prodromique de la paralysie générale une surexcitation de toutes les facult
GIRAUD. - Ce n'est pas seulement avec l'excitation maniaque que la paralysie générale peut être confondue au début; il n'est
é- lancolique ou hypocondriaque, et qui ont versé ensuite dans la paralysie générale après une période déiirante plus ou moin
, qui est un exposé très complet de la question du diagnostic de la paralysie générale, il résulte qu'aucun signe vraiment pa
et l'ophtalmo- plégie. Rien d'étonnant à cela, puisque le terme de paralysie géné- rale ne satisfait personne et correspond
ne saurait nier aujourd'hui la transformation du tabès ascendant en paralysie générale, et inversement de la paralysie généra
tion du tabès ascendant en paralysie générale, et inversement de la paralysie générale en tabès descendant. Les quelques path
s initiales se traduisent par des convulsions épilepti- formes, des paralysies à la première période; la décadence intel- lect
manifestations de l'artériosclérose généralisée d'avec celles de la paralysie générale : On ne peut donc pas admettre, selon mo
ne peut donc pas admettre, selon moi, l'existence d'une variété de paralysie générale d'origine athéroma- teuse. En revanche
ension plus grande de la syphilis. Je dois ajouter du reste, que la paralysie générale d'ori- gine syphilitique diffère par c
ou plutôt était paralysé. 11 s'agit bien, en effet, d'une véritable paralysie psychique, comparable aux paralysies hystérique
bien, en effet, d'une véritable paralysie psychique, comparable aux paralysies hystériques ordinaires. Chez .d'autres petits m
epuis quelque temps a produit une légère amélioration. Trois cas de paralysie hystérique chez l'enfant. Valeur thérapeutique
ique .et diagnostique de l'électricité. M. Destarac montre que la paralysie hystérique chez l'enfant a été méconnue et est
aculté de médecine de Montpellier, qui a parlé de l'étiologie de la paralysie générale, qu'il a étudiée dans plus de mille ca
e de sa moitié droite. En même temps ou bientôt après fut notée une paralysie du nerf moteur oculaire externe du même côté. A
es locaux suivants : hémiatrophie de la moitié droite de la langue, paralysie du palais, de la corde vocale et du nerf abduct
. Au mois de mars de 1896, second accès avec céphalagie, vertige et paralysie de l'abducteur de l'oeil gauche à développement
ransformation en atrophie des deux côtés. Hémiatropsie bitemporale. Paralysie de l'abducteur de l'oeil gauche. Paralysie des
émiatropsie bitemporale. Paralysie de l'abducteur de l'oeil gauche. Paralysie des deux muscles de la fente vocale, qui sont i
. Hémiatrophie gauche de la langue avec tiraille- ment fibrillaire. Paralysie du palais mou du côté gauche. Troisième cas. -
phie de la langue du côté droit avec tiraille- ments fibrillaires ; paralysie du palais mou du même côté ; paraly- sie de la
rde vocale droite; anesthésie de tout le palais mou et du pharynx ; paralysie complète de l'abducteur de l'oeil gauche et par
ains auleurs; il ne voit pas d'obstacles pour l'expli- cation de la paralysie du palais mou dans les trois cas par une lésion
CLINIQUE MENTALE. PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES SOI-DISANT PARALYSIES GÉNÉRALES PROGRESSIVES ; Par le D''ALEX vxuRE P
assibles de critiques. On englobe, en effet, sous la dénomination « paralysie générale », des affections ou des intoxications
de chercher les causes et l'évolution première des affections dites paralysies géné- rales, et de les opposer aux terminaisons
naisons; on verrait proba- blement ainsi pourquoi telles soi-disant paralysies générales finissent de telle façon, pourquoi te
mmes habitués à isoler comme entité morbide, sous la dénomination « paralysie générale », alors qu'il n'est que phase d'une m
tc., conduisent à des maladies souvent englobées sous l'étiquette « paralysie générale », bion qu'elles n'aient pas eu même s
ette différenciation qui impose une nouvelle étude de la soi-disant paralysie générale, lorsqu'il dit (loc. cil., p. 444), pa
en tenant simplement à la façon actuellement commune d'envisager la paralysie générale, je trouve que l'opinion de notre émin
e donnant une idée exacte relativement aux termi- naisons de ladite paralysie générale. En effet, pour qui a depuis quelque t
ses et de la symptomatologie ou des termi- naisons de la soi-disant paralysie générale, parce que nous ne tenons pas suffisam
grave; il guérit de son angine; mais huit jours après sur- vient la paralysie du voile du palais, avec le nasonnement carac-
appétit. De plus, cette paraplégie n'avait pas été' précédée de la paralysie du voile du palais, puis cette paraplégie était
ident est donc assez remarquable. L'enfant s'était fait lui-même sa paralysie en regar- dant son frère paralysé. Observatio
, disent les parents, c'est dans ce même mois qu'il a été frappé de paralysie et à la même lune. Nous remarquons déjà, qu'il
nt a de la peine à se mouvoir. « Mais vous lui faites vous-mêmes sa paralysie , m'écriai-je indi- gné, vous lui répétez sans c
cident : le mode de début, le traumatisme qui est il. la tête de la paralysie , l'évolution de la maladie, sa disparition tota
es épaules. Disparition au bout de trois jours. - Six jours après paralysie complète et flasque du bras gauche, suivie au bou
eux jambes. Guérison rapide de la parésie (3 jours). Guérison de la paralysie brachiale (22 jours). Enfant chétif ayant prése
ong du corps, les doigls étaient allongés et inerte ? . C'était une paralysie flasque, les réflexes étaient conservés, la sensi
n'avait pas disparu, les sphincters n'étaient pas atteints. Mais la paralysie ne devait pas s'arrêter là, deux jours après (1
urs après (10 mai), c'était le tour des deux jambes. Cette fois, la paralysie n'était pas complète, c'était une très grande f
balançant. Cette parésie s'effaçait au bout de trois jours, mais la paralysie brachiale persistait toujours. Enfin, le 20 mai
. Le 30, la guérison était complète. Le diagnostic au début de la paralysie devait'se faire avec la paralysie infantile ; m
e. Le diagnostic au début de la paralysie devait'se faire avec la paralysie infantile ; mais dans la polyomyélile antérieure
lexes sont ordinairement abolis, ou tout au moins diminués, puis la paralysie frappe d'emblée le petit malade; dans une seule
e déformation, achève de fixer le diagnostic de contracture et de paralysie hystérique. 013SFRVATIO.iVl.-Pseudo-n2éiziîzgil
enfant, a bien l'air de ressembler à de l'hémiplégie hystérique, la paralysie ayant duré trois semaines sans laisser de trace
use, 1896). Sa' mère a eu de l'anesthésie hystéro-traumatique, sans paralysie (Obs. IV de la thèse ci-dessus). Comme antécé
e nature. L'enfant tombe à terre paralysé de la jambe droite; cette paralysie survient en deuxjours sans que l'état général d
à la hanche. Cette fois nous nous trouvons nettement en face d'une paralysie hystérique; les réflexes sont conservés. Au bout
nt une tare héréditaire très pro- fonde présentant à quatre ans une paralysie hystérique très nette, six mois avant une fièvr
en un hystérique que nous avons devant nous, ainsi que l'indique la paralysie , sans parler de. cette fièvre sur la nature de
e hystérique, je m'appuie pour cela sur la tare héréditaire, sur la paralysie nettement hystérique présentée dans le cours de
ans l'anesthésie hystérique, dans l'anesthésie traumatique, dans la paralysie saturnine (3 observations en tout), aucune altéra
tation, puis de douleurs dans le dos et dans la nuque et, enfin, de paralysie du membre inférieur gauche et du membre supérie
élimitée localement dans chaque cas, ainsi par exemple que dans les paralysies . J. SÉGL.\S. XV. Contribution A l'étude DE la p
e dans les paralysies. J. SÉGL.\S. XV. Contribution A l'étude DE la paralysie BULBAIRE unilatérale ; par'Gaetano GEROUZI. (Ri
, une hémicranie gauche qui s'accompagna, au bout de huit jours, de paralysie du moteur oculaire commun et du moteur oculaire
aire externe du côté gauche; guérison au bout de quinze jours de la paralysie du moteur oculaire commun, persis- tance pendan
ie du moteur oculaire commun, persis- tance pendant huit mois de la paralysie du moteur oculaire externe ; pendant cette péri
ie partielle du moteur oculaire commun droit, puis, dix mois après, paralysie de la sixième paire gauche. Au bout d'un mois de
romuré, disparition de l'ophtalmoplégie, sauf en ce qui concerne la paralysie du droit supérieur et du réflexe lumineux du cô
lle est bilatérale, elle ne l'est généralement pas d'emblée, chaque paralysie étant, dans la plupart des cas, précédée d'une
plupart des cas, précédée d'une hémicranie correspondante ; 4° La paralysie peut frapper le nerf moteur oculaire externe to
ais il n'a pas encore été observé de migraine ophtalmoplégique avec paralysie isolée du moteur oculaire externe. La paralysie
htalmoplégique avec paralysie isolée du moteur oculaire externe. La paralysie du moteur oculaire commun n'est pas invariablem
ont ces affections spasmodiques que Erb a décrites sous le nom de paralysie spinale spastique. Il s'agit là de lésions intére
saisit quelque chose. Rien ou presque rien au repos. Aucun signe de paralysie musculaire, pas d'altération élec- trique, pas
ies; par DESIL1YES. (No1'llwndie médicale, 9, 1896.) , - XXX. Les paralysies DE l'enfant, par HLIPR. (Normandie médicale, il
et, consacré à la même question. M. Carrier 1rt un rapport sur la paralysie générale juvénile chez les hêrédo-syphilitiques
e sur ce rapport pour préconiser le traite- ment spécifique dans la paralysie générale d'origine nettement syphilitique. M.
it qu'il faut toujours attribuer à une cause hérédo syphilitique la paralysie générale juvénile. Les cas sont plus fré- quent
é, fut autopsié par M. Sabrazès et présentait toutes les lésions de paralysie générale. M. BEZY fait remarquer que dans nombr
e affection. 33G SOCIÉTÉS SAVANTES. Etiologie et pathogénie de la paralysie générale. MM. Mairet et Vires (de Montpellier).
mes demandé si derrière l'unité symptomatique et anatomique de la paralysie générale ne se cache pas une diversité de nature.
lucider cette question, nous avons réuni toutes nos observations de paralysie générale ; après avoir éliminé celles où les ren-
les causes morales. Ces divers facteurs peuvent-ils être cause de paralysie générale ? Nos recherches nous ont amené aux conc
une action pathogène. En particulier, la syphilis ne produit pas la paralysie générale vraie ; elle donne naissance, du côté
ues qui peuvent s'exprimer symptomatiquement sous les allures de la paralysie générale, elle donne naissance à une syphilis cér
énérale, elle donne naissance à une syphilis céré- brale à forme de paralysie générale. En résumé, les causes pathogènes de l
forme de paralysie générale. En résumé, les causes pathogènes de la paralysie générale sont : les hérédités arthritique alcoo
naissance à une prédisposition qui peut aboutir par elle-même à la paralysie générale, ou bien fournissent un terrain favora
tion et l'inflam- mation des tissus, que l'a1'lhl itisme produit la paralysie générale, et dans ces cas l'affection prend, en
ns ces cas l'affection prend, en général. tous les caractères de la paralysie générale sénile. A l'autopsie de ces diathéiques,
théiques, alors même qu'ils n'auraient pas présenté, au début de la paralysie géné- rale, la forme sénile, on trouve au coeur
nc la dégénération, l'inflammation qui font, dans ce cas, éclore la paralysie générale. L'hérédité alcoolique peut produire s
tion sont les deux modes suivant lesquels l'alcoolisme aboutit à la paralysie générale. . - Ce que nous venons de dire de l
le (arthritisme, alcoolisme). 11 existe donc deux grands groupes de paralysie générale, l'un maladie locale du système nerveu
peuvent présenter des états analogues à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 paralysie générale, comme nous l'avons observé au Brésil et
outient l'avis de Sachs et de Féré, que l'épilepsie spontanée et la paralysie infantile sont deux maladies conformes et de la
. Ce cas peut être regardé comme une forme intermédiaire entre la paralysie infantile et l'épilepsie spontanée. On y constate
e principal ; les hémiplégies infan- tiles peuvent s'accompagner de paralysies , d'idiotie et d'épilepsie en différents degrés
s- modique très marquée des membres inférieurs avec anesthésie et paralysie presque complète des sphincters. Pour quelque t
ps il y eut une amélioration, mais bientôt tous les phénomènes delà paralysie spasmodique s'aggravèrent visiblement et il appar
ie spasmodique s'aggravèrent visiblement et il apparut en outre une paralysie des muscles oculaires avec nystagmus, un trembl
res augmentèrent jusqu'à une paraplégie complète avec anesthésie et paralysie des sphincters. Quatre ans après le début de la
fin du séjour du malade à la clinique il se déclara subitement une paralysie complète du membre supé- rieur gauche et le len
paralysie complète du membre supé- rieur gauche et le lendemain une paralysie du membre inférieur gauche, aphonie, dysarthrie
on voit que les os ne présentent aucune altération. M. Minor. De la paralysie faciale partielle d'origine congénitale. - Ayan
de Schultze, de Bernhart (1894-1897) et de Remak, qui ont décrit la paralysie congénitale unilatérale, envahissant seulement
ur, en janvier 1895, et alors on constata les phénomènes suivants : paralysie du nerf facial droit; lagophthalmie médiocre, a
ine sous l'arc zygomatique et dans la région du muscle huccinateur, paralysie complète du côté droit du muscle frontal, du so
ent des con- tractions électriques correspond à la distribution des paralysies ; dans tous les muscles paralysés et atrophiés,
contre très souvent une semblable distribution des lésions dans les paralysies périphériques invétérées du nerf facial, et pour
raison on peut considérer comme prouvé qu'on a affaire ici à une paralysie d'origine centrale et non périphérique. M. le p
fait remarquer, que si même on peut admettre ici l'existence d'une paralysie périphérique, la distri- bution des paralysies
ici l'existence d'une paralysie périphérique, la distri- bution des paralysies et des atrophies présente tout de même beaucoup
pas encore des paraly- sies nettes; les névrites qui sont cause des paralysies se développent plus tard. Le rapporteur suppo
re est élargi. En comparant ces deux cas, le rapporteur nota que la paralysie cérébrale infantile d'origine traumatique possède
apporté un- cas très '. , .1 . BIBLIOGRAPHIE. 361 curieux), les paralysies psychiques, etc., etc., sont des accidents psyc
Académie de médecine en 1891 (prix Civrieux) pour un travail sur la Paralysie générale, CAMUSET avait été fait chevalier de l
qu'il ne peut plus remuer le bras, on puisse entraîner de suite la paralysie , paralysie que l'on fera disparaître aussi aisé
eut plus remuer le bras, on puisse entraîner de suite la paralysie, paralysie que l'on fera disparaître aussi aisément qu'on
. Observation XVIII. Chorée rythmique chez un enfant de huit ans. Paralysie spinale ((trophique, Chorée rythmique (danse de
de Saint-Guy) chez un enfant de huit ans qui avait été frappé d'une paralysie spinale atrophique à deux ans et demi et qui pr
u'une seule fois dans mon cabinet : 1896. Août. Garçon de huit ans. Paralysie à deux ans et demi, atrophie consécutive de la
elle préci- sion) la méningite (observations G, 7, 8, 9, '10) ; les paralysies et contractures organiques (observations 1, 3,4
, sclérose latérale amyotro- phique qui frappe à l'âge viril, de la paralysie agitante, etc. Sa Ainsi que l'hystérie virile,
smeestuneexcellentemélhode de traitement des accidents hystériques, paralysies , contrac- tures etc., chez les sujets hypnotisa
entale ù la Faculté. Les troubles trophiques sont fréquents dans la paralysie générale. Cela se comprend facilement étant don
hospice llarcoulra le 11 mars 1897, avec des symptômes bien nets de paralysie générale ; en cherchant les antécédents hérédi-
al peut produire un complexus symptomatique semblable à celui de la paralysie générale, mais avec conservation très nette.de
orbide par le sujet; plus les troubles symptomatiques indiquent une paralysie générale avancée, plus le malheureux a conscien
conscience de la gravité de son état, ce qui est l'inverse dans la paralysie générale vraie. Évi- demment le trional exerçai
s avaient généralement eu la syphilis (36), cinq à dix ans avant la paralysie générale. Voici des autres causes de paralysie
q à dix ans avant la paralysie générale. Voici des autres causes de paralysie générale que l'on pouvait noter chez eux : 41
relatives à l'étude des obsessions, l'étiologie et la nature de la paralysie générale et du tabès et enfin la récente découv
pression de cinq à six minutes de durée. Cette fois, en général, la paralysie est plus durable. Elle ne s'efface complètement
s la troisième semaine apparaissent les signes avant-coureurs de la paralysie ; c'est dire que la malade avait commencé à sent
et un engourdissement qui fut remplacé la cinquième semaine par une paralysie et une anesthésie des mains et des pieds. Voici
quoi nous n'avons pu la photographier toute nue. A la suite de la paralysie des fléchisseurs des pieds (extenseurs des doig
a cause de celte accélération ? Elle peut paraître ou bien après la paralysie du centre ou de l'appareil périphérique du nerf
r appareil périphérique au moyen de l'atropine. Or, ce n'est pas la paralysie du nerf vague qui entraîne l'accélération du po
radioscopie. M. j\IAIXNEIt, de Prague. Le caractère familial de la paralysie musculaire hypertrophique est démontré de nouve
doute sur la nature de la maladie. - La question, s'il y a dans la paralysie musculaire hypertrophique des lésions anatomiqu
orées selon les mêmes méthodes de coloration. Considérations sur lu paralysie générale. 1\1. CH, Vallon (de Paris). Suivant l
onstituent une sorte de trépied qui est la base étio- logique de la paralysie générale. Quelquefois, en l'absence d'antécéden
racte la syphilis et, de plus, se livre à des excès alcooliques. La paralysie générale est intimement liée aux autres allection
On a prétendu que la syphilis et l'alcool ne produisaient pas la paralysie générale vraie, mais seulement des pseudo-paralys
s'appuyant sur les recherches histologiques de M. Biswinger. De la paralysie progressive chez la femme. M. B. GREIDENBERG (d
ive chez la femme. M. B. GREIDENBERG (de Simphéropol). - Les cas de paralysie gêné raie chez la femme sont devenus ces dernie
ut naturellement par être partout les mêmes. La propagation de la paralysie progressive dans les différentes classes de la
ns les classes moyennes et les classes élevées; chez les hommes, la paralysie pro- gressive, d'aristocratique qu'elle était,
singularités qui lui donnent un cachet particulier. Le cours de la paralysie progressive est plus lent chez les femmes que c
ntes principales : 1. Dans le tabes dor- salis on peut observer des paralysies amyotrophiques très graves et répandues, même l
ns histologiques à peine appréciables et très circonscrites. 2. Ces paralysies amyotrophiques sont en dépendance, la plupart,
crises jack- sonniennes. Enfin, une période terminale de coma et de paralysie . Souvent une ou deux périodes manquent, ou les
; par MM. D. Courtade et J.-F. Guyon; Contribution à l'étude des paralysies du trijumeau chez l'homme ; par MM. E. Long et Ma
xe pharyngien étudié sur les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale; par le Dr E. Marandon de Montyel. N
s les formes de folie, manie, mélancolie, paranoia, folie du doute, paralysie générale, sont représentées. Cepeudant, l'auteu
A LA CASUISTIQUE ET A LA SYMPTOMATOLOGIE DR LA PARALYSIEASTUÉNIQDE ( paralysie bulbaire sans lésions anatomiques),. par J. r ?
heilk. VI); on trouve, dans ce cas, à. l'autopsie lès lésions de la paralysie subaiguë. P. KERA VAL. XXXV. Deux cas DE parapl
uchements) qui confirme cette manière de 'soir. P. RELLAY. XXXVI. Paralysie DU MOTEUR oculaire commun par névrite hémor- RI
s par suite d'une lésion corticale unilatérale; l'exis- tence d'une paralysie d'origine corticale est rendue impossible par c
apporté un seul cas où la lésion d'un lobe frontal ait entraîné une paralysie des muscles de l'oeil du côté opposé, autre qu'
ne trouve pas d'autres accidents nerveux. Tout se borne donc à une paralysie complète de la troisième paire droite. Le diagn
'il a subi. P. KERAVAL. XL. Contribution A la symptomatologie de la paralysie faciale; par T. Cobn. (l'eu7·olo. CeK<)'«<
une lésion de la base du côté gauche (hématome probable, Maginsky). Paralysie faciale complète, totale, en apparence, et cepe
u facial. Mais l'ouïe est troublée, ce trouble n'a pas précédé la paralysie faciale, car, autrement, il eùt été remarqué; i
e du voile du palais, mais cela s'est déjà vu bien souvent dans les paralysies faciales périphériques à siège élevé. Les commé
uscles de la cein- ture scapulaire ; 2° Troubles de la sensibilité; paralysie partielle de la sensibilité à la douleur et à l
; on doit admettre par contre une affection lépreuse en face d'une paralysie faciale périphérique de nerfs sensibles à la pres
r que l'excitation apparente de la fonction faisant disparaître les paralysies hystéri- ques n'est en effet que l'abolition de
d) sont d'une utilité indiscutable dans le traitement du tabes, des paralysies alcooliques (paraplegia alcoolica) et de cer- t
és sensorielles sensitives et motrices en produisant fréquemment la paralysie , spastique quelquefois. Les accidents d'ordre p
chez les basedowiens, ce qui tient à un phénomène musculaire, à la paralysie du muscle orbitaire interne, et non au resserre
la manie, l'alcoolisme, la mélancolie et la folie systématisée, la paralysie générale et la démence. Les sorties par guériso
s. D. bibliographie. 537 X. Etude sur les hallucinations dans' la paralysie générale progressive ; par le Dr P>;Yn>;.
les passent facilement inaperçues. Les troubles de perception de la paralysie générale ont les carac- tères du délire dans ce
ais ne sont pas des'hallucinés. Les deux pre- mières périodes de la paralysie générale et les formes mélancoliques sont les p
ations hystériques. » DurAMP. ' X111. Contribution ci l'élude de la paralysie générale alcoolique; par le De Iilnorr. (Thèse
ésente alors avec un tableau clinique spécial. Le nombre des cas de paralysie générale a subi dans ces trente dernières année
thmes, par Sabra- zès, 333. TABLE DES MATIERES. 551 Brachial. Paralysies du plexus par Schuster, '232. Lésions du plex
par Edel, 327. Convulsifs. Accès - corticaux de la langue dans la paralysie géné- rale, par Mouratoff, 80. Cordon latéral
231. P «aldéhydes. Note sur l'emploi de la -, par Daman, 'i08. Paralysie asthénique hulhaire, par lioevnil : off, 73. -
commun, par Gibson et Turner, 502. - faciale, . par Colin, 506. Paralysie générale. Accès convul. sifs dans la -, par Mou
trosta- tiques dans la -, par Leduc et Maixner, 445. Récurrent. Paralysie du - due à un anévrysme de l'aorte, 155. Règl
re ! , 163. Tremblement congénital, par Eshner, 321. Trijumeau. Paralysie du -, par Gowers, 227. TNIONAL. Emploi du -,
25 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
de plus en plus rapprochée d'une interprétation psychique'. » « Les paralysies par segment de membre, disait'M. G. Guinon, son
ussi bien que des cons- tipations, des ballonnements du ventre, des paralysies ou des spasmes des sphincters, des troubles du
et particulière- ment dans les membres qui sont le plus atteint de paralysie ... Une malade remarquait elle-même qu'elle ne s
idées fixes persistantes, plus ou moins consciemment, ainsi que les paralysies et les contractures, expliquées par M. Char- co
actions et des erreurs de sen- sation, aux amnésies des doutes, aux paralysies des hésitations du mouvement volontaire qui ont
11. Breuer 'c Iren op. cil., p. 3. 2 A)oebins, op. ('il., p. 1 . PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. '29 perçues
USE, QUELQUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUDE COMPARA- 'l'I1'I; DES PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉ- RISQUES; r Par
le soin de faire une étude 30 CLINIQUE NERVEUSE. comparative des paralysies motrices organiques et hystériques, basée sur l
opinions.. I. Il faudra commencer par quelques remarques sur les paralysies motrices organiques, d'ailleurs généralement ad
linique nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies motrices, la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et la paralysie
lysies motrices, la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et la paralysie cérébrale. Cette distinction est parfaitement en
rnes antérieures. » La différence essentielle de ces deux sortes de paralysies , en clinique, est la suivante : La paralysie pé
ces deux sortes de paralysies, en clinique, est la suivante : La paralysie périphéro-spinale est une paralysie détaillée, la
clinique, est la suivante : La paralysie périphéro-spinale est une paralysie détaillée, la para- lysie cérébrale est une par
inale est une paralysie détaillée, la para- lysie cérébrale est une paralysie en masse. Le type de la pre- mière est la paral
rébrale est une paralysie en masse. Le type de la pre- mière est la paralysie faciale dans la maladie de Bell, la para- lysie
règle fixe pour que l'un des éléments péri- phériques échappe à la paralysie , tandis que l'autre en souffre d'une manière co
alysie, tandis que l'autre en souffre d'une manière constante. La paralysie cérébrale, au contraire, est toujours une affec-
e biceps du bras, le tibial isolément, etc., et s'il y a des excep- PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 31 1 lions
t une fonction de laquelle ils sont l'instrument unique. Dans les paralysies cérébrales des extrémités, on peut remar- quer
est plus paralysée que l'épaule. Il n'y a pas, que je sache, une paralysie cérébrale isolée de l'épaule, la main conservant
nservant sa motilité, tandis que le contraire est la règle dans les paralysies qui ne sont pas complètes. Dans une étude cri
ché de montrer que la cause de cette différence importante entre la paralysie périphéro-spinale et la paralysie cérébrale doi
te différence importante entre la paralysie périphéro-spinale et la paralysie cérébrale doit être cherchée dans la structure
point pour point, élément pour élément. J'ai proposé de dénommer la paralysie détaillée périphéro-spinale, para- lysie de pro
des fibres, pour ainsi dire représentatives et je propose, pour la paralysie céré- brale, le nom de paralysie de représentat
ésentatives et je propose, pour la paralysie céré- brale, le nom de paralysie de représentation. Naturellement, quand la para
ale, le nom de paralysie de représentation. Naturellement, quand la paralysie de projection est totale et d'une grande étendu
e projection est totale et d'une grande étendue, elle est aussi une paralysie en masse, et son grand caractère distinctif est
e, et son grand caractère distinctif est effacé. D'autre part, la paralysie corticale, qui se distingue parmi les paralysies
é. D'autre part, la paralysie corticale, qui se distingue parmi les paralysies céré- brales par sa plus grande aptitude à la.d
sente 32 CLINIQUE NERVEUSE. cependant toujours le caractère d'une paralysie par représen- tation. Les autres différences
paralysie par représen- tation. Les autres différences entre les paralysies de projection et de représentation sont bien co
premier caractère différentiel que nous avons relevé, à savoir : paralysie détaillée ou en masse. On a assez souvent attri
ne façon plus précise elle simule les caractères des deux sortes de paralysies organiques, s'il y a des paralysies hystériques
s caractères des deux sortes de paralysies organiques, s'il y a des paralysies hystériques de projection et des paralysies hys
rganiques, s'il y a des paralysies hystériques de projection et des paralysies hystériques de re- présentation, comme dans la
premier fait important se détache : l'hystérie ne simule jamais les paralysies périphéro-spinales ou de projection; les paraly
le jamais les paralysies périphéro-spinales ou de projection; les paralysies hystériques partagent seulement les caractères de
les paralysies hystériques partagent seulement les caractères des paralysies organiques de représentation. C'est là un fait bi
es de représentation. C'est là un fait bien intéressant, puisque la paralysie de Bell, la paralysie ra- diale, etc., sont par
C'est là un fait bien intéressant, puisque la paralysie de Bell, la paralysie ra- diale, etc., sont parmi les affections les
ci, de manière à éviter toute confusion, que je ne traite que de la paralysie hystérique flasque et non de la contracture hys
a contracture hystérique. Il me parait im- possible de soumettre la paralysie et la contracture hystériques aux mêmes règles.
ie et la contracture hystériques aux mêmes règles. Ce n'est que des paralysies hystériques flasques qu'on peut soutenir qu'ell
est l'instrument unique d'une fonction, qu'elles sont toujours des paralysies en niasse, et qu'elles correspondent sous ce ra
aralysies en niasse, et qu'elles correspondent sous ce rapport à la paralysie de représentation, ou cérébrale organique. En o
nutrition des parties paralysées et leurs reactions électriques, la paralysie hystérique présente les mêmes carac- tères que
ues, la paralysie hystérique présente les mêmes carac- tères que la paralysie cérébrale organique. Si la paralysio hystérique
ébrale organique. Si la paralysio hystérique se rattache ainsi à la paralysie cérébrale et particulièrement à la paralysie co
se rattache ainsi à la paralysie cérébrale et particulièrement à la paralysie corticale, qui pré- sente une plus grande facil
ly- sies cérébrales organiques, il savoir que le segment périphé- PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 33 rique es
On n'a pas la moindre difficulté de produire artificiel- lement une paralysie isolée de la cuisse, de la jambe, etc., et on p
a jambe, etc., et on peut assez souvent retrouver, en clinique, ces paralysies isolées, en contradiction avec les règles de la
que, ces paralysies isolées, en contradiction avec les règles de la paralysie orga- nique cérébrale. Sous ce rapport import
la paralysie orga- nique cérébrale. Sous ce rapport important, la paralysie hystérique est pour ainsi dire intermédiaire en
la paralysie hystérique est pour ainsi dire intermédiaire entre la paralysie de projection et la paralysie de représentation
r ainsi dire intermédiaire entre la paralysie de projection et la paralysie de représentation organique. Si elle ne possède p
s'en faut, sujette aux strictes lois qui régissent la dernière, la paralysie cérébrale. Ces res- trictions faites, on peut s
lysie cérébrale. Ces res- trictions faites, on peut soutenir que la paralysie hystérique est aussi une paralysie de représent
faites, on peut soutenir que la paralysie hystérique est aussi une paralysie de représentation, mais d'une repré- 1 sentatio
ion, je me propose d'étudier les autres traits distinctifs entre la paralysie hysté- rique et la paralysie corticale, type le
les autres traits distinctifs entre la paralysie hysté- rique et la paralysie corticale, type le plus parfait de la para- lys
caractères dis- tinctifs, nous l'avons déjà mentionné, c'est que la paralysie hystérique, peut être beaucoup plus dissociée,
hystérique, peut être beaucoup plus dissociée, systématisée que la paralysie cérébrale. Les symptômes de la paralysie orga-
ociée, systématisée que la paralysie cérébrale. Les symptômes de la paralysie orga- nique se retrouvent comme morcelés dans l
omme morcelés dans l'hystérie. De l'hémi- plégie commune organique ( paralysie des membres supérieur et inférieur et du facial
et inférieur et du facial inférieur) l'hystérie ne reproduit que la paralysie des membres et dissocie même assez souvent, et
et dissocie même assez souvent, et avec la plus grande facilité, la paralysie du bras de celle de la jambe sous forme de mono
Chemin faisant, je ferai remarquer que ce caractère important de la paralysie hystérique de la jambe que M. Charcot a relevé d'
ie, la partie centrale (la hanche) ne jouit pas de ce privilège, la paralysie y est aussi complète que dans la partie périphé-
as inédits. Ce même pouvoir de dissociation se ma- nifeste dans les paralysies isolées d'un segment de membre avec intégrité c
uisition postérieure, qui est la plus atteinte en conséquence de la paralysie . La paralysie hystérique présente de plus un au
eure, qui est la plus atteinte en conséquence de la paralysie. La paralysie hystérique présente de plus un autre carac- tèr
ossible. C'est un caractère qui ne se montre pas seulement dans les paralysies , mais aussi dans les contractures et les anesth
vent reproduire qu'une faible esquisse. Il en est de même pour les paralysies . Elles sont souvent on ne peut plus absolues; l
nnu pour y persister longuement. Au contraire, on sait que, dans la paralysie orga- nique, la parésie est toujours plus fréqu
aralysie orga- nique, la parésie est toujours plus fréquente que la paralysie absolue. La paralysie hystérique est donc d'u
parésie est toujours plus fréquente que la paralysie absolue. La paralysie hystérique est donc d'une limitation exacte et
alités à la fois et c'est en cela qu'elle contraste le plus avec la paralysie cérébrale organique, dans laquelle, d'une maniè
ysie cérébrale organique, dans laquelle, d'une manière constante, PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 35 ces deux
e cette monoplé- gie augmentera en intensité, qu'elle deviendra une paralysie absolue, elle perdra son caractère de monoplégi
pas devenir absolue et reslée délimitée à la fois. C'est ce que la paralysie hystérique peut, au contraire, fort bien réalis
ou la face. De plus, au niveau du bras, elle est aussi forte qu'une paralysie peut l'être, et c'est là une différence frappan
paralysie peut l'être, et c'est là une différence frappante avec la paralysie organique, différence qui prête grandement à pe
nce qui prête grandement à penser. Naturellement, il y a des cas de paralysie hystérique dans lesquels l'intensité n'esi pas
t un peu les limites de notre sujet. Je constaterai d'abord que les paralysies hystériques s'accom- pagnent beaucoup plus souv
pagnent beaucoup plus souvent de troubles de la sensibilité que les paralysies organiques. En général, ceux-ci sont plus profo
i me paraît digne d'être relevé, c'est qu'il y a quelques formes de paralysie cérébrale qui ne se trouvent pas réalisées dans
qui ne se trouvent pas réalisées dans l'hystérie, pas plus que les paralysies péri- phéro-spinales de projection. Il faut cit
i- phéro-spinales de projection. Il faut citer en premier lieu la paralysie du facial inférieur, la manifestation la plus fré
ection organique du cerveau et, si je me permets de passer dans les paralysies sensorielles pour un moment, l'hé- mianopsie la
ais il me faut prendre les choses comme elles sont actuellement. La paralysie faciale hystérique est fortement contestée par
pense, elle ne le sera jamais. Maintenant, d'où vient-il que les paralysies hystériques, tout en simulant de près les paral
ent-il que les paralysies hystériques, tout en simulant de près les paralysies corticales, s'en écartent par les traits distin
drait une bonne et importante partie de la théorie de la névrose. PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 37 III. Il
ndre doute sur les conditions qui dominent la symptomatologie de la paralysie cérébrale. Ce sont les faits de l'anatomie, la
la périphérie à la moelle, est la base de la différence entre la paralysie de projection et celle de représentation. De même
n et celle de représentation. De même, chaque détail clinique de la paralysie de représentation peut trouver son explication
ons déduire la construction du cerveau des caractères cliniques des paralysies . Nous croyons à un parallélisme parfait entre c
Ainsi s'il n'y a pas une grande facilité de dissociation pour la paralysie cérébrale commune, c'est parce que les fibres de
rtie de leur trajet intracérébral pour être lésées isolément. Si la paralysie corticale montre plus de tendance aux mono- plé
l, crural, etc., va en croissant jusqu'à l'écorce. Si de toutes les paralysies corticales celle de la main est la plus complèt
ps. Si le seg- ment périphérique d'une extrémité souffre plus de la paralysie que le segment central, nous supposons que les
ciations remarquables qu'on observe si souvent dans la clinique des paralysies corticales : aphasie motrice et hémiplégie droi
asma; elle en est l'expression clinique, comme tous les détails des paralysies cérébrales sont l'expres- sion clinique d'un fa
comme elle trouve son expression dans les caractères cliniques des paralysies cérébrales, il est évidem- ment impossible que
le que cette anatomie puisse expliquer les traits distinctifs de la paralysie hystérique. Pour cette raison, il n'est pas per
omie cérébrale des conclusions basées sur la symptomatologie de ces paralysies . Assurément il faut s'adresser à la nature de l
ure de la lésion pour obtenir cette explication difficile. Dans les paralysies organi- ques, la nature de la lésion joue un rô
ées de structure du système nerveux produisent les caractères de la paralysie organique, que nous avons rele- vés. Quelle pou
des lésions organiques vraies, qu'elles soient légères et fugaces. PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 39 Il est n
ES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 39 Il est nécessaire que les paralysies produites par les lésions de cet ordre, partage
ar les lésions de cet ordre, partagent en tout les caractères de la paralysie organique. L'oedème, l'anémie ne pourraient, pl
et le ramollissement, produire la dissociation et l'in- tensité des paralysies hystériques. La seule différence serait que la
nsité des paralysies hystériques. La seule différence serait que la paralysie par l'oedème, par la constriction vasculaire et
par la constriction vasculaire etc., doit être moins durable que la paralysie par destruction du tissu nerveux. Toutes les au
et l'anatomie du système nerveux déterminera les pro- priétés de la paralysie aussi bien dans le cas d'anémie fugace que dans
tions organiques passagères. J'affirme par contre que la lésion des paralysies hystériques doit être tout à fait indépendante
tomie du système nerveux, puisque l'hys- térie se comporte dans ses paralysies et autres manifestations comme si l'anatomie n'
e n'en avait nulle connaissance. Un bon nombre des caractères des paralysies hystériques justifient en vérité cette affirmat
tion des nerfs et c'est pour cette raison qu'elle ne simule pas les paralysies périphéro-spinales ou de projection ; elle ne c
sine sous les vête- ments. Il n'y a pas de raison pour joindre à la paralysie du bras la paralysie de la face. L'hystérique q
ents. Il n'y a pas de raison pour joindre à la paralysie du bras la paralysie de la face. L'hystérique qui ne sait pas parler
ancées dans les der- niers numéros des Archives de Neurologie ; les paralysies hys- 40 CLINIQUE NERVEUSE. tériques en donnen
de développer comment pourrait être la lésion qui est la cause des paralysies hystériques. Je ne dis pas que je montrerai com
nduire à une concep- tion qui ne contredit pas aux propriétés de la paralysie hysté- rique, en tant qu'elle diffère de la par
priétés de la paralysie hysté- rique, en tant qu'elle diffère de la paralysie organique céré- brale. , Je prendrai le mot «
laire des organes et du corps en général, qui est en jeu dans les paralysies hystériques comme dans les anesthésies, etc. Ce
tiles et surtout visuelles. Si elle détermine les caractères de la paralysie hystérique, celle-là doit bien se montrer igno-
de toute notion de l'anatomie du sys- tème nerveux. La lésion de la paralysie hystérique sera donc une altération de la conce
emple. Mais de quelle sorte est cette altération pour pro- duire la paralysie ? PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES
quelle sorte est cette altération pour pro- duire la paralysie ? PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 41 Considér
RICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 41 Considérée psychologiquement la paralysie du bras consiste dans le fait que la conception
solution du problème que nous avons posé, car dans tous les cas de paralysie hystérique on trouve que l'organe paralysé ou l
nte avec le souvenir de l'événement, du trauma, qui a produit cette paralysie . C'est M. Charcot qui nous a enseigné le premie
les stigmates) par le même mécanisme que Charcot a reconnu dans les paralysies traumatiques. Mais nous donnons aussi la raison
rmer d'après l'enseignement de M. Charcot, que la lésion dans les paralysies hystériques ne consiste pas en autre chose que da
cient. Mais même si ce mécanisme n'a pas lieu, s'il faut pour la paralysie hystérique toujours une idée autosuggestive dir
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 43 l'altération dans la paralysie hystérique devrait être, pour expliquer ses dif
sie hystérique devrait être, pour expliquer ses différences avec la paralysie organique céré- brale. REVUE D'ANATOMIE ET DE
gique complète. Cinq observations très détaillées. Observation 1. Paralysie des deux pattes postérieures, lésions inflam- m
nerfs périphériques. Observation Il. Attaques épilep- tiformes avec paralysie des quatre pattes. Nombreuses hémorrhagies de t
érescence très accentuée des nerfs périphériques.- Observation III. Paralysie spinale aiguë, vacuolisation des cellules nerve
riques; hémorrhagies capillaires dans la moelle. - OGselw2tioz Il ? Paralysie d'un seul membre, vacuolisation des cellules ne
les nerfs périphériques sont atteints et c'est alors qu'apparaît la paralysie . Mais les nerfs périphériques et les muscles so
IE TOUTE SPECIALE AFFECTANT TROIS FRÈRES ET SOEURS SOUS LA FORME DE PARALYSIE PROGRESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIRES ÉTENDUES
IV. Contribution A la pathologie ET A l'anatomie pathologique DE la paralysie générale ET notamment A l'étude DES altérations
IPHÉRIQUES; par fUERSTNER. (A1'ch. f Psychiat., XXIV, 1.) Dans la paralysie générale, peut-il y avoir lésion concurrente de
118 hommes,27 femmes. En ce qui concerne les lésions spinales de la paralysie générale, celles qui sont de beaucoup les plus
s observations existantes jusqu'ici ne permet pas de prouver que la paralysie progressive soit le'facteur direct d'une névrite
idée plus précise sur le pro- cessus pathologique si complexe de la paralysie générale ? Quand on pense que ces recherches on
e l'auteur n'admet pas la folie simple de nature syphilitique, m la paralysie générale syphilitique; mais il admet que la syp
que de la para- lysie générale et pour cet aspect propose le nom de paralysie géné- ralisée. Pour M. Mairet, toutes les lésio
qui ne guérissent jamais qui causent l'incurabilité de beaucoup de paralysies généralisées. La description est assez vague; d
re formes : folie simple, folie démentielle, folie démentielle avec paralysie localisée, folie démentielle avec paralysie gén
folie démentielle avec paralysie localisée, folie démentielle avec paralysie généralisée. Le délire n'a pas une forme unique
ts, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs partiels (muscles de l'oeil); paralysie faciale, hémiplégie ' · plus fréquente. Ces l
hologiques, 1851) ; Classification et diagnostic différentiel de la paralysie générale; Paris, 1852 ; (Annales médico-psychol
iscussions impor- tantes qui eurent lieu dans cette Société, sur la paralysie générale, la mnnonznnie au point de vue légal,
la suite : du côté de l'ap- pareil musculaire, il se développe une paralysie spasmodique, qui affecte, au membre supérieur,
z les 118'Russes syphilitiques,-il y a 22 cas de tabes et 10 cas'de paralysie générale, tandis que les femmes syphilitiques ont
ytiques gêné-11 raux ; chez les syphilitiques juives;pas'unè'seitle paralysie générale' et`1 cas de'tabes.')1 ! " '' 'rrtli.
riques; les réflexes superficiels étaient abolis ; l'atyôphiéjet la paralysie "de's muscles fléchisseurs ,'du' pied étaient^ t
ir in . I..lfU ! \ : ! 1 Il-' i b- If >' «j vù '< a. XI1. DES paralysies du' plexus 'brachial et 'du trouble de la sensi
. J.. J ...t"fJt't JJn'I'11J 1" \ ? 1 Il Ii, , : * Presque toutes les paralysies décrites sous le nom de paralysies du plexus br
1 Il Ii, , : * Presque toutes les paralysies décrites sous le nom de paralysies du plexus brachial tiennent à une lésion non pa
as du lacis du plexus, mais bien des racines nerveuses ? Exemple la paralysie totale et iiifé, rieure (terminologie allemande
r résection, des cinquième et sixième racines cervicales (Rose) ;la paralysie la plus étendue est celle des cas de Beevoret R
1 lii ,1 - Il : y a lieu en. tout'cas' de' désigner sous le nom de paralysies d'Erb, celles qui tiennent' à la paralysie des
désigner sous le nom de paralysies d'Erb, celles qui tiennent' à la paralysie des cinquième et sixième racines (paralysies su
lles qui tiennent' à la paralysie des cinquième et sixième racines ( paralysies supérieuresidu plexus), dont, celle.de Erb n'est
rudimentaires. Observation de Borntroeger; observation de l'auteur. Paralysie périphérique comprenant les nerfs axillaire, ! I
' , ca. 1 ? [ t Les troubles) de la sensibilité,,1 étendus dans les paralysies qui» siègent' sur la partie inférieure du plexu
nn coup'de lance dans la' poitrine. Il eût, il y a quatre'ans', une paralysie faciale due au froid. Pas de ren- seignements p
· : Jl1'Í'w t ,a ? a qdô. , ,c.r`t ? u f, XXI. DE l'aphasie dans la paralysie générale ; par B. 1SCIIEB. . : '«ni ' ! ,fI' (A
térisée par : 1° survivance' et'longue durée de -l'aphasie dans la. paralysie générale, sans accidents paralytiques -du côté
xamen' des planches. ' ' ' P. K. ! - 1 1 l . / " , XXXIV. Un cas de paralysie faciale congénitale; par F. Schultze. , (Neurol
i-no'. '' {J(P I.J 1\, n ir.,71 il ' , r ,1 \ ,[/ ? m , \1 XXXVII. Paralysie spinale syphilitique (type-Erb) ; par MUCHIN et P
)rl HH' If.-¡b J'CI. ? .... , n, W tr ,1 ? Perte de connaissance, ! paralysie de la mptilité et de la sensibi- J¡lité du 1 cô
e et impotence des membres. M. BBDDEBERG. Nouvelles observations de paralysie générale progres- sive à marche circulaire, ou
vations de paralysie générale progres- sive à marche circulaire, ou paralysie générale à double forme. Observation L-H... de
un paralytique. Il est plus exact de dire que, dans le cours de la paralysie générale, il y a eu un syndrome vésanique cycliqu
s'était d'abord amélioré, rétro- cède. Elles sont indiquées dans la paralysie générale, dans les lésions localisées de l'écor
nte (1868) son cours à la Salpê- trière, décrivit, entre autres, la paralysie agitante, la sclérose en plaques, jusque-là con
les leçons sur les troubles trophiques, venaient les leçons sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques. Il ne les m
éniate de potasse et le bromure de camphre dans le traitement de la paralysie agitante et de quelques autres tremblements; le
ome de Weber, 1891 ; - A propos d'un cas d'hystérie masculine : 1 ° paralysie dissociée du facial infé- rieur d'origine hysté
uelques autres maladies des centres nerveux, 1802 ; - Sur un cas de paralysie générale progressive à début très précoce par u
s de mutisme hystérique chez l'homme. - 1887 : Deux nouveaux cas de paralysie hysléro-trltu- matique chez l'homme ; La maladi
ne abarlicaclccire; Arthropathies syrin- gomyéliques et le syndrome paralysie labio-glosso-laryngée PI'O{]I'eS- sive dans le
lle cru- rale et tuberculose de la région pa1'acentl'ale : - 1892 : Paralysie générale chez l'adolescent (leçon recueillie pa
stic entre l'hémiplégie eapsulaire et l'hémiplégie hystérique ; Des paralysies hystéro-traumatiques chez l'homme (1887) ; - Scia
892). Bulletin médical : Rétractions fibi o-leizdii2etises dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales et
trophie spinale à forme scapulo-humérale, comme con- séquence d'une paralysie infantile contractée 35 ans auparavant ; De la
étude comparative d'après les formes mentales. Tout d'abord dans la paralysie générale. Observation I. Emile Sem..., trente
paralysie générale. Observation I. Emile Sem..., trente-six ans, paralysie géné- rale à la première période avec violente
s de duboisine. Observation II. - Emile Merl..., quarante-deux ans; paralysie générale à la première période, avec violente a
e-huit heures. Observation IV. Eugène Roll..., cinquante et un ans; paralysie générale à la première période ; agitation à pe
aits suivants : Observation V. - Félix Hasc..., quarante et un ans; paralysie générale à la première période; agitation à peu
physiulogique. Observation VI. - Charles Col..., trente-quatre ans; paralysie générale à la première période; très violente a
de la gorge. Observation VII. -Arthur Laff..., quarante-cinq ans; paralysie générale à la première période; agitation à peu
ou moins grande. Observation IX. Edouard Carb..., trente-huit ans; paralysie générale à la première période avec violente ag
d'amaigrissement. Observation X. Alfred Ceml..., quarante-cinq ans; paralysie générale à la première période avec agitation à
sse de la gorge. Observation XI. - Adrien Lor..., trente et un ans; paralysie générale à la première période avec vive agitat
es rapprochant de ceux que nous avons signa- lés plus haut, dans la paralysie générale, il ressort que le paralytique a été b
nière générale, dans la manie que dans la lypémanie. VIIL-Dans la paralysie générale la duboisine a eu une action complète
utumance à la duboisine a été plus fréquente et plus rapide dans la paralysie générale que dans les vésanies en général, la m
la lypémanie chro- nique ; elle a été sensiblement la même^dans la paralysie géné- rale que dans la lypémanie aiguë, elle a
L'action incomplète de la duboisine a été moins fré- quente dans la paralysie générale que dans les vésanies en général mais
le il est vrai de dire que la du- boisine a été plus active dans la paralysie générale que dans les vésanies, dans la manie q
sociétés savantes. 263 Séance du 4 février 1892. M. CIIOSTEK. Des paralysies ischémiqucs . M. MAYER. Présentation de névropa
e la fréquence et de l'importance diagnostique de ce symptôme de la paralysie géné- rale, l'orateur traite des caractères dif
transmettent le réflexe pupillaire. Voici un malade atteint d'une paralysie unilatéale de l'oculomoteur commun; on constate e
olente avec crises épileptiformes démence rapide, sans délire, sans paralysies , ni contractures; titu- bation rendant la march
rmes chroniques et aux démences, pour atteindre son maximum dans la paralysie générale. C'est également chez les déments et l
ccombe au bout de trois mois et demi, à une attaque assez légère de paralysie , accompagnée d'une congestion intense des- deux
ante : Mélancolie 32 p. 100; Manie 27 p. 100; Dé- mence, 24 p. 100; Paralysie générale et épilepsie, respectivement 1,9 p. 10
: Ii : ' J . t' '1"- ? ' XXXIX. Contribution A l'étiologie DE la paralysie générale PRO- GRESSIVE ; par OEEBERE. (Allg. Ze
CIÉTÉS SAVANTES. ,Trois d'entre eux ne présentaient, comme cause de paralysie géné- rale que la syphilis antérieure, chez tou
, 1 Voici un tableau synoptique de la proportion des causes de la paralysie générale chezjes cent paralytiques généraux en qu
ptomatique qui les caractérise tous les quatre n'est ni celui de la paralysie bulbaire chronique, atrophique, progressive, ni
ralysie bulbaire chronique, atrophique, progressive, ni celui de la paralysie pseudo- bulbaire, ni celui de la paralysie bulb
gressive, ni celui de la paralysie pseudo- bulbaire, ni celui de la paralysie bulbaire aiguë, il n'appartient pas davantage à
de la moelle. M. JOLLY. En effet, le complexus symptomatique de la paralysie spinale spasmodique a pour substratum des foyer
ple les préparations anatomiques prove- nant d'un malade affecté de paralysie spinale spasmodique, qui se complique d'érysipè
élite chronique peuvent se traduire par le complexus clinique de la paralysie spinale spasmodique. Mais cela n'empêche que la
re de la moelle peut, durant des années, présenter le tableau de la paralysie spinale spasmodique ; si, plus tard les réflexe
e-'des lésions communes auxicordons latéraux et posté- rieurs, sans paralysie générale, et que maints cas d'affection pure de
atéraux, faut-il le passer sous silence ? S'il existe un tabes avec paralysie ou une paralysie spinale spasmodique avec ataxi
le passer sous silence ? S'il existe un tabes avec paralysie ou une paralysie spinale spasmodique avec ataxie, et si ces variét
ations. Cela n'empêche évidemment qu'il y ait des cas de tabès avec paralysie tenant à une autre lésion, et qu'en certains SO
t paralysé du côté gauche depuis novembre de l'année précédente. La paralysie s'est installée brusquement sans perte de conna
rique en la mettant en parallèle avec le même, phéno- mène dans les paralysies organiques. M. GOLDCHEIDEIt. Contribution ci l'
com- plète. M. OPPENIIEIhi. Contribution ci la pathologie dans la paralysie spi- nale atrophique chronique.1 1 Mémoire pu
rer au phénomène analogue qui se passe chez les malades atteints de paralysie agitante : On sait en effet que chez ceux-ci ce
ent, la parole se rapprochait davantage de celle qu'on note dans la paralysie glossolabiée; mais on vient de voir que dans pl
e on aurait pu le supposer a priori. Il signale également un-cas de paralysie saturnine avec tremblement des cordes qui coïnc
T DU SUBSTRATUM ANATOMO-PATHOLOGIQUE DU DÉLIRE DE GRANDEURS DANS LA PARALYSIE PROGRESSIVE ; par S. KoRN- FELD et G. BIKELES.
lacune du jugement commune à bien des hommes, mais exagéréedans la paralysie géné- rale, en vertu de laquelle l'individu ne
ée. P. KERAVAL.. XLVII. CONTRIBUTION au diagnostic anatomique DE la paralysie GÉNÉRALE PAR L'ÉTAT ANATOMO-PATHOLOGIQUE DE LA
matique a été l'effet simul- tané d'un seul et même agent nocif. La paralysie générale serait l'effet non de la forme de lési
ion du sens génital (obses- sions). P. K. XLIX. La diathèse DE la paralysie générale; par G. R.-WILSON. (The journal of Men
usement appli- cable à la conception de M. Wilson relativement à la paralysie générale. Son intention dans ce travail est d'i
tre, dit-il, peut-on aller jusqu'à reconnaître une diathèse « de la paralysie générale, une tendance organique vers cette ma-
hémoglobine sont peu marquées dans la mélancolie, l'épilepsie et la paralysie générale ; dans cette dernière maladie toutefoi
m qui dépasse de beaucoup le chiffre normal) a été constaté dans la paralysie générale, et le minimum dans la démence seconda
; - 2° la totalité des résidus solides atteint son maximum dans la paralysie générale, son minimum dans la démence secon- da
3° l'homme sain n'excrète pas plus d'urée que l'aliéné ; 4° dans la paralysie générale, l'épilepsie et la mélancolie, la quan
e est augmentée chez les aliénés ; elle atteint son maximum dans la paralysie générale, l'épilepsie et la démence ; 6° le tau
et la démence ; 6° le taux de la créatinine est plus élevé dans la paralysie générale, et la démence qu'à l'état de santé ; 7°
même pour les muscles atrophiés (para- lysie faciale rhumatismale, paralysie traumatique du péronier, névrite du nerf péroni
évrite du nerf péronier, myélite chronique, syringomyélie). Dans la paralysie faciale rhumatismale, le courant faradique produi
res, et quand elles existent, c'est surtout (en laissant de côté la paralysie géné- rale) dans la manie et la mélancolie chon
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 409 ractéristiques de la paralysie générale : il y a cependant quelques remarques
que si rarement, présente, en effet cette double altération dans la paralysie générale, et ne la présente guère que là ; mais
es des artères soient environ cinq fois plus communes que dans la paralysie générale. On a également noté ici, beaucoup plus
x autres altérations qui, elles aussi, sont plus fréquentes dans la paralysie générale que partout ailleurs, ce sont : la dil
portion des cerveaux à configuration simple est plus élevée dans la paralysie générale que dans la plupart des autres maladie
- blissement général des mouvements volontaires qui aboutit à une paralysie complète avec incontinence urinaire et fécale, ab
es troubles des organes pelviens et par le fait que, en dépit d'une paralysie qui semblait complète, la malade était en état
u'on provoquait ses pleurs. La chorée peut être combinée avec de la paralysie hystérique. M. Minor croit avec Gowers qu'il es
ilatérale des muscles en question. M. Remak a lui-même constaté une paralysie unilatérale de ce genre avec luxation para- lyt
ue du maxillaire inférieur et ouverture de la bouche dans un cas de paralysie bulbaire apoplectique, dans son travail intitulé
tique, dans son travail intitulé Contribution à la pathologie de la paralysie bulbaire. Quant à Y hémihypéresthésie croisée o
e affecté d'hé- mianesthésie croisée du trijumeau et accompagnée de paralysie des cordesvocales chez lequel il existait des s
les. M. Oppenheim. Je traite en ce moment un tabétique affecté de paralysie delà sensibilité et de la motilité dans le domain
l'assis- tance familiale des aliénés » ; « Sur la pathogénie de la paralysie sue- ciale atroplaique et de la neurile multipl
ralysie sue- ciale atroplaique et de la neurile multiple »; « De la paralysie acQQ- lique, etc. » BIBLIOGRAPHIE. 427 -1 d
les psychoses de la maladie de 430 BIBLIOGRAPHIE. Basedow, de la paralysie agitante, etc; 1,;) les psychoses et psycho- né
ions chroniques. Le troisième, groupe contient : le délire aigu, la paralysie générale, la démence sénile, les affections organ
st une excellente méthode de traitement des accidents hystériques : paralysies , contractures, spasmes, etc., chez les sujets h
nt de cinq mois. Gué- rison (une séance) ; 2° Chez le même enfant : Paralysie hystéro- traumatique datant de un mois. Guériso
n'y avait jamais eu de fractures, mais en revanche il existait une paralysie hystéro-traumatique avec anesthésie du membre j
ue joue la suggestion dans l'éclosion des acci- dents hystériques : paralysie , contracture, etc. C'est une loi chez le paysan
e de fracture, entraînant l'idée d'impuissance fonctionnelle, et la paralysie psychique est produite. Seulement dans ce cas l
e, et la paralysie psychique est produite. Seulement dans ce cas la paralysie s'est produite plus rapidement que M. le profes
rveuses, vint un jour à mon cabinet; elle était aphone et avait une paralysie du bras droit. Après la constatation des prin-
l'hystérie j'endors la jeune fille et lui enlève instantanément sa paralysie du membre. La voix revient aussitôt; elle parle
dents tels que l'anorexie, les vomissements, les contractures, les paralysies , en lui disant que ce liquide la guérira, que d
par la personne sur elle-même, sug- gestion qui produit si bien les paralysies , contractures, peut égale- ment les faire dispa
bres inférieurs et supérieurs avaient conservé leur vigueur. Pas de paralysie , ni parésie. Le masque de la face n'est pas alt
ociées. Comme c'est la myopathie qui domine la scène, supposons une paralysie , une contracture survenant subitement et dispar
p loin. Que de vieil- lards paralytiques, que d'enfants atteints de paralysie infantile ne m'a-t-on pas conduits à ma consult
heresse de la gorge accélération du pouls). Action sédative dans la paralysie agitante grave à la dosé de 0,0002 à 0,0003, de
TOMO-PATHO - · 1 11, 1 A , fil 1 il. ,nI m . 1 , LOGIQUES dans la paralysie faciale périphérique NON spécifique ; par L. D.
.' t ' ;il f) t f , ; .n. Tj ; Etude microscopique dans un cas de( paralysie faciale consécutive à une otite. Celte étude mo
`diyns `lh'pârnlsie périplvé- rique du facial. On observe dans les paralysies faciales périphé- riques graves une déviation c
iation de la langue précé- demment constatée, ne provient pas de la paralysie de quelque muscle lingual que ce soit, elle est
ci''la physiologiedû â`icbcin'dè Re); mais la' constatation d'une^ paralysie ^ partielle 'de la sensibilité à l'égard'dë'Ia'c
tent' 'de supposer'' Inexistence Ilécla syringoni3,e- lié. Puis, la paralysie partielle. de, la sensibilité et, en particulier
ruz trauzzfcv - l Bâus ! 'Cortt.i6ution la symptoinatologie (le, la paralysie . isolée ''du grand dentelé ? 'Publié ïin, exten
les fois'qu'il-y a'dégénérescence'du' muscle. Ainsi, dans un cas de paralysie saturnine des péroniers, il y avait atrophie musc
lle; le 13 septembre, hémiparésie faciale à gauche; le 16 décembre, paralysie du pathétique droit, parésie des branches palat
ars 1880, troisième ictus apoplectique avec aphasie; le 29 juillet, paralysie complète de l'oculomoteur com- mun gauche, avec
juillet, paralysie complète de l'oculomoteur com- mun gauche, avec paralysie de la pupille absolument immobile et mydriase;
'en dise E. Pflüger, la cocaïne agit encore, dans les cas où il y a paralysie du sympathique (complexus symptoma- tique de Ho
nt encore excitables. Cela ne se voit-il pas dans beaucoup d'autres paralysies motrices, quand la dégéné- rescence n'est pas t
mot qui fait image, l'équilibre du vélocipède. Il y a en réa- lité paralysie des extrémités des membres inférieurs par névrite
t plus rationnel et plus efficace. Je n'en veux pour exemple que la paralysie infantile et la paralysie spinale antérieure ch
fficace. Je n'en veux pour exemple que la paralysie infantile et la paralysie spinale antérieure chronique. Conseiller l'hydr
dans la syphilis cérébrale, par Heilbronner, 132; de l' - dans la paralysie générale, par Ascher, "142 ; l'attaque hysté-
1 1, Catatonie,1 des symptômes 'de' ' dans le cours;> de ' la - paralysie 1 générale chez la femme ? par ' Naecl : e, 3
26 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ps plus ou moins long, comme dans quelques cas de contracture ou de paralysie , des rétractions fibreuses'. S'il en est ainsi
tin médical, N° 7, I An « Rétractions fiiJro-teI1lEneliscs dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales et
rice pure, comme on sait, l'impuissance motrice n'est pas due à une paralysie des mouvements ordinaires, puisque le malade se
De même dans l'astasie, l'impuis- sance motrice ne tient pas à une paralysie des mou- vements généraux puisque le malade exé
musculaire ,, une variété de tremblement saturnin précurseur de la paralysie . Employé dans ce sens le terme n'a pas survécu. 1
forme spéciale d'impotence motrice des membres inférieurs » et les paralysies psychiques; mais, cette fois encore, nous ne tr
es pa- ralytiques, mais souvent elle existe sans aucune espèce de paralysie . La malade, dans ces cas, n'a pas de troubles d
, excrétions, s'ac- complissaient, du reste, régulièrement, mais la paralysie de la marche persistant, l'enfant fut amené à l
s cet auteur a appliqué au diagnostic du siège de la lésion dans la paralysie faciale les résultats que donne la sudation par
e les résultats que donne la sudation par la pilo- carpine. Dans la paralysie d'origine périphérique, il ya un retard d'une à
ussi persister un peu plus longtemps de ce côté, tandis que dans la paralysie d'origine cérébrale la fonction est égale des d
gale des deux côtés du corps. On ne trouve aucun signe de tabes, de paralysie générale, de tumeur cérébrale d'hystérie. 12
a faiblesse des jambes, des maux de tête, etc., lorsque survint une paralysie de la jambe droite. La céphalal- gie limitée au
seule dans laquelle, avec les symptômes les plus manifestes d'une paralysie du sympathique cervical, on s'est trouvé en pré
ncontre pas habituellement, comme nous le verrons dans les cas de paralysie du sympathique cervical. On trouve encore dans
nn est un peu douloureuse. Dans cette deuxième observation il y a paralysie des fibres vaso-motrices, comme dans l'observat
ation produisant l'éphidrose et la mydriase sur- venait un stade de paralysie avec les phénomènes habituels. Les variations s
t, par anticipation, que telle n'est pas la marche habituelle de la paralysie du sympathique cervical, et que, dans les expér
ne par une hémiplégie droite comprenant le facial; blépharoptose et paralysie du droit interne de ce côté, para- lysie de l'h
auche. Contraction paradoxale. Puis tout disparaît, mais bientôt la paralysie reparaît sur les extrémi- tés. Finalement, la p
bientôt la paralysie reparaît sur les extrémi- tés. Finalement, la paralysie de l'hypoglosse droit remplace celle de l'hypog
dans la gorge, et légère dysphagie, ayant précédé de trois mois la paralysie générale; l'autre de parésie fonctionnelle d'une
e progressive. P. K. V. CONTRIBUTION au rapport qui EXISTE ENTRE la paralysie GÉNÉ- RALE ET la syphilis. Contribution casuist
tribution casuistique ; par W. Sommer (Neural. Centralbl., 1886.) Paralysie générale chez un jeune homme de vingt ans, qui av
ui avait été infecté au sein par sa nourrice. P. K. VI. UN cas DE paralysie progressive, compliquée DE sclérose LATÉ- RALE
ATÉ- RALE AMYOTROPIIIQUE; par ZACHER. (Neurol. Centralbl., 4886.) Paralysie générale avec dégénérescence des faisceaux pyrami
ns latéraux a été la première en date; d'où une première période de paralysie spasmodique; puis, les organes périphériques so
se commettre des erreurs de localisation considérables. P. K, IX. Paralysie générale associée A DE l'aphasie SENSO- RIELLE;
novembre 1887. Présidence de M. Magnan. Période pré-délirante de la paralysie générale. - M. Christian, énumère un certain no
rbides qu'il a notés chez beaucoup de malades atteints plus Lard de paralysie générale et qui, sous leur apparente diversité,
u'il a énumérés et d'en constituer la période pré-déli- rante de la paralysie générale. M. GARNIER tout eu reconnaissant l'in
ns en tous les points du revêtement cutané; il ne présentait aucune paralysie motrice. Mais il paraissait complètement aveugl
le professeur 1 oEns'rwa (d'Ileidelberâ). Lésions spinales dans, la paralysie progressive. Il y a des cas de paralysie générale
Lésions spinales dans, la paralysie progressive. Il y a des cas de paralysie générale dans lesquels, des années durant, les
é ces diverses lésions spi- nales, les altérations cérébrales de la paralysie générale sont toujours itentiques à elles-mêmes
es à elles-mêmes ? Y a-t-il par exemple, dans les cas de tabes avec paralysie générale, celte atrophie des fibres corticales
isceaux pyra- midaux étant demeurés indemnes; les altérations de la paralysie générale portaient-elles sur les mêmes parties
he à fumier qui l'étend sans connaissance. Pendant longtemps après, paralysie des extrémités droites et de la jambe gauche. E
ur KAST (de Fribourg). Contribution à l'anatomie pathologique de la paralysie infantile cérébrale. On ne connaît cette maladi
ver la question anatomo- pathologique. Remarquons d'ailleurs que la paralysie infantile spinale tend, après le premier assaut
spinale tend, après le premier assaut, à décroître, tandis que la paralysie infantile cérébrale tend à progresser. M. le Do
e Fribourg). Sur un cas de rhumatisme articulaire aigu compliqué de paralysie spinale. - Homme de cin- quante-sept ans. Le 18
la moelle épinière et le bulbe chez un homme de quarante-huit ans. Paralysie progressive de la motilité et de la sen- sibili
face, une sensa- tion annulaire au petit doigt du côté droit, de la paralysie des extrémités droites, dans un cas même, des e
t à cause de maux de tête fréquents, soit de chutes épilcptique, de paralysie , de nervosité extrême. De tels enfanls étant in
de syphilis constitution avec zona et ictère (Gaz. hebd., 1858); - Paralysie de certains muscles de l'oeil et rapports avec
articles dans le Dictionnaire de médecine et chirurgie pratiques : Paralysie yéné- rctle; Nymphomanie; Lypémanic ; Manie; Hy
882); - Contribution à l'étude des rapports entre la syphilis et la paralysie générale (1879); Symptômes passagers de paralysie
la syphilis et la paralysie générale (1879); Symptômes passagers de paralysie générale chez un épileptique (1879); Des relati
que (1879); Des relations entre les troubles de la motilité dans la paralysie générale et les lésions de la couche corticale
ales (1877); -- Les aliénés voyageurs ou migrateurs ( ! 87'); De la paralysie générale par propagation (1873); - Moyens prati
i syphilis. Personne de ses pa- rents ne présente de phénomènes, de paralysie , de crampes, d'a- trophies, de psychose, etc. J
i l'occasion du développe- ment de l'affection porte à croire à une paralysie psychique. Or, on sait que la paralysie hystéri
ection porte à croire à une paralysie psychique. Or, on sait que la paralysie hystérique se présente sous deux formes cliniqu
termé- diaires qui font la transition. Dans un premier groupe, la paralysie est avec flaccidité, dans l'autre, la para- lys
M. Charcot a beaucoup insisté dans ses leçons 1, que cette sorte de paralysie émotive peut dans certains cas, en particulier
l'hyperthermie et enfin l'hyper- sudation. Dans beaucoup de cas de paralysie du sym- pathique-cervical, ce dernier symptôme
geur, hyperthermie hypéridrose et myosis que l'on a affaire à une paralysie du tronc du sympathique cer- vical. Mais comm
les nombreuses observations où une phase d'excitation a précédé une paralysie du sympathique cervical on a bien noté cette my
pas avec ceux de M. Nicati qui a montré que la première phase d'une paralysie du sympathique était une période d'excitation c
ait remarquer que MM. Poincaré et Bonnet ont parfois trouvé dans la paralysie générale une pigmentation marquée et une scléro
non plus que dans le cas suivant dû à Brigidi. Il s'agissait d'une paralysie pseudo-hypertrophique et l'on trouva dans les g
es du nerf grand sympathique. (Arch. de Physiol., 1882.) Nicati. - Paralysie du symp. cervical, Zurich, 1873. Analyse in Rev
tion mentale, à constituer des espèces pathologiques distinctes. La paralysie générale reste la seule indiscutée jusqu'à présen
et plus particulièrement mus- culaires accompagnent, comme dans la paralysie générale, et aussi fréquemment que dans cette m
importance met en parallèle avec les phénomènes paralytiques de la paralysie générale, on trouve encore d'autres caractères
nie. Jusqu'à un certain point, cette forme serait un pen- dant à la paralysie générale avec ou sans délire des grandeurs; ana
. Ce fait seraità opposer à la prédominance de la pneumonie dans la paralysie générale. / L'étiologie n'offre rien de bien pa
tte affection est assez favorable contraire- - z ment à celui de la paralysie générale; les habitudes d'onanisme antérieure l
t autopsies de catatoniques, et il institue une comparaison avec la paralysie générale. Il y aurait au début de la maladie un
rganisation des exsudats. Contrairement à ce qui se g passe dans la paralysie générale, il n'y a ordinairement pas d'hémorrha
ent des cavités cérébrales, contrairement à ce qui se passe dans la paralysie générale. De plus, la Catatonie a une prédilect
ainsi caractérisée se rapproche par sa signification clinique de la paralysie générale avec ou sans idées de gran- deur, dans
veux moteur qui, dans ce cas, auraient au contraire le caractère de paralysies . ' Près de ces deux formes de maladies si disti
tivo-sensorielle et de légère contracture principale- ment au bras, paralysie hémiaciale incomplète du même côté que l'hémipl
hagie cérébrale, à une at- taque apoplectiforme dans le cours de la paralysie générale, vu les symptômes d'aliénation mentale
ne léthargie qui dura dix-huit mois, d'où il sortit avec une : < paralysie du pied gauche ». La léthargie ne récidiva pas
t défaut, la résolution musculaire étant plus ou moins complète, la paralysie ou la contracture ne se limitent pas exactement
morrhagie, ramollissement, tu- meur, attaques apoplectiformes de la paralysie générale, etc. ? Evidemment, en matière d'hys
ramollissement, tumeurs ; dans les attaques apoplec- tiformes de la paralysie générale ou de la sclérose en plaques; dans l'é
'hémiplégie hystérique, ni la face ni la langue, ne sont prises; la paralysie est limitée au membre supérieur et inférieur et
ir de la tendance à devenir rigides. Dans la promenade, quand cette paralysie est complète, le malade tire sa jambe après lui
. Charcot 2, et avec lui MM. Brissaud et P. Marier ce n'est plus de paralysie , mais bien de spasmes dont il s'agit ici. La co
sain ; enfin, il peut être reproduit par suggestion, tandis que la paralysie faciale d'origine centrale ne peut être obtenue
différents signes. Pas un de ces auteurs ne signale, en effet, une paralysie véritable du facial inférieur : on trouve même,
éritable du facial inférieur : on trouve même, parmi ces faits, des paralysies du facial supé- rieur (Lebreton', Dumontpallier
e vue du diagnostic différentiel. 1 Des différentes variétés delà paralysie hystérique. Th. Paris, 1868, obs. XVI. 2 Apop
uatre ans et sept mois et demi. L'autopsie révéla les lésions de la paralysie générale. Nous en tenant exclusivement à la que
de M. Rey : « L'hystérie s'atténue ou disparaît dans le cours de la paralysie générale ; il est probable que dans beaucoup de
(Annales médico-psychologiques, 1885, t. I, p. 20.) ' Note sur la paralysie générale chez la femme; de l'hystérie chez les
générale chez la femme; de l'hystérie chez les femmes atteintes de paralysie générale. (Annales médico-psychologiques, 1885,
se. Ce médicament serait indiqué dans les agitations modérées de la paralysie générale, mais son triomphe est la mélancolie a
s des dégénérés les plus avancés se manifeste par l'alcoolisme, les paralysies , les altérations du caractère, la déséquilibratio
ffecté de tumeur cérébrale. Les symptômes contraires à l'idée d'une paralysie générale étaient le contraste entre cette profond
la papille optique (papille étranglée). Au milieu de janvier 1887, paralysie de la jambe et du bras droits; mort fin janvier
i- guées par cette artère. M. MUFLLER. Les formes initiales de la paralysie générale ne sont pas toujours aussi faciles à é
à la suite de deux, attaques apoplectiformes, n'ayant pas laissé de paralysie après elles, agitation, activité improductive,
vomissements, inappé- tence, fièvre légère. Le 15 mai, brusquement, paralysie incomplète du bras droit, aphasie ; le malade n
tremblement pendant les mouvements intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, paralysie de la convergence
s intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, paralysie de la convergence, l'insuffisance des droits inte
, 2 fr. 75. 1`IATAIEU-SICAUD (H.). De l'étiologie héréditaire de la paralysie spi- nale infantile aiguë. Brochure in-8- de 80
soler. « Abolition progressive de la coordination des mouvements et paralysie apparente contrastant avec l'intégrité de la fo
durant la vie du malade, le diagnostic de sclérose en plaques ou de paralysie bulbaire progressive, ont été surpris de ne déc
par une vaste hémorrhagie cérébrale, que l'état malades atteints de paralysie générale, de sclérose en ' Voir à ce sujet : We
ES SUR LE ROLE DE LA PRÉDISPOSITION NERVEUSE DANS L'ÉTIOLOGIE DE LA PARALYSIE FACIALE DITE A F,11[GOIiE,- Par le Dr E. NEU)
, un mémoire consacré à l'Etude des condi- tions êliologiques de la paralysie faciale. Laissant de côté les hémiplégies de la
uées par une hémorrhagie ou par un ramollissement du cerveau, les paralysies de la septième paire placées sous la dépendance
s qui peu- vent être occasionnées par un traumatisme ou par DE LA PARALYSIE FACIALE. 355 une carie du rocher, en un mot tou
LA PARALYSIE FACIALE. 355 une carie du rocher, en un mot toutes les paralysies se rattachant à une lésion bien déterminée, nou
nt exclusivement sur le terrain de la clinique, que dans toutes ces paralysies faciales, connues autrefois sous le nom d'idiop
les causes habituellement invoquées pour expliquer l'origine de la paralysie faciale, sont purement secondaires et qu'elles
ppelle l'hérédité nerveuse. Si, au lieu d'établir l'étiologie de la paralysie faciale avec des hypothèses banales, on veut la
d au médecin qu'il y a dans la famille des hystériques, des DE LA PARALYSIE FACIALE. 357 choréiques, des épileptiques, des
IALE. 357 choréiques, des épileptiques, des individus atteints de paralysie générale ou d'aliénation mentale sous une forme
d'aliénation mentale sous une forme quelconque, etc. Et alors cette paralysie faciale qui apparaissait, au premier abord, com
ice d'électrothérapie de la Salpêtrière le 4 juillet 1887, avec une paralysie faciale du côté droit. Pas de renseignements au
quinze jours, le 27 juin, elle a été prise sans cause connue d'une paralysie faciale occupant le côté droit. L'hémiplégie po
n, elle a été prise brusquement, sans cause connue pour elle, d'une paralysie faciale occupant le côté gauche de la face. Tou
n doute sur la susceptibilité native de son système ner- veux. La paralysie faciale n'a pas été chez elle un accident isolé
r attester l'existence delà diathèse nerveuse chez la mère. DE LA PARALYSIE FACIALE. 359 Dans tous les faits dont la relati
e présente à l'hospice de la Salpêtrière le 9 juin 1887. Elle a une paralysie faciale du côté gauche qui date du 35 août 4881;,
e, se présente au service d'électrothérapie, le juin 1887, avec une paralysie faciale du côté gauche. Antécédents héréditaire
s exposée au froid et ne sait à quelle cause elle doit rapporter la paralysie . L'impotence fonctionnelle porte sur tous les m
S... est toujours restée très nerveuse et très impressionnable . La paralysie date de deux mois environ ; elle est survenue bru
réaction de dégéné- rescence très nette dans les muscles frappés de paralysie . Observation VI. C... (Louis-François), employé
au service d'électrothérapie le 21 juin 1887; il est atteint d'une paralysie faciale droite. Antécédents de famille : Père a
jamais eu aucun acci- dent nerveux; interrogé sur les causes de sa paralysie , C... nous dit qu'il ne sait a quoi l'attribuer
érescence dans tous les muscles innervés par le facial droit. DE LA PARALYSIE FACIALE. 361 Observation VII. B... (Désirée), q
rapie le S janvier 1888 ; elle est atteinte depuis huit jours d'une paralysie faciale qui occupe le côté droit de la face. An
s dou- leurs de tête. Pas d'autre accident nerveux à signaler. La paralysie faciale est survenue sans motif apparent; c'est l
apparent; c'est le matin, au réveil, que L... s'en est aperçue. La paralysie est totale avec réaction de dégénérescence comp
présente à la Salpêtrière le 24 janvier 1888 ; il est atteint d'une paralysie faciale siégeant du côté droit. ' Antécédents h
; il croit devoir rapporter l'hémi- plégie à un refroidissement; la paralysie porle sur tous les mus- cles innervés par le fa
arcot le 7 février 1888; il est atteint depuis trois semaines d'une paralysie faciale gauche; le malade croit pouvoir l'attribu
dées noires; cet état psychique a persisté pendant trois mois. La paralysie faciale est totale, elle s'accompagne de troubles
grandes névroses et les affections du groupe psychopathique DE LA PARALYSIE FACIALE. 363 qui occupent la première place par
ccidents nerveux et parait, du reste, jouir d'une bonne santé. La paralysie faciale qui occupe le côté gauche de la figure es
graines. Il y a douze ans, elle a été prise sans cause connue d'une paralysie faciale du côté droit ; cette hémiplégie de la
inze jours Mariette R... s'est réveillée le matin avec une nouvelle paralysie faciale occupant cette fois-ci le côté gauche.
nvient de signaler une autre particularité; c'est la récidive de la paralysie de la septième paire. Ces récidives, qui ne son
ont pas signalées par les auteurs- classiques dans l'histoire de la paralysie faciale, sans être très communes, ne doivent né
rtait à un sujet qui, en moins de trois ans, fut atteint de trois paralysies faciales l'une du côté droit et les deux autres
gauche de la face. Mobius, qui avait déjà fait connaître un cas de paralysie faciale récidi- vante ( ? J ? ? t. CCVII), rapp
huit ans qui, à la suite d'un refroidissement, avait eu en 1868 une paralysie faciale à droite. Puis, en 1876, il avait été p
faciale à droite. Puis, en 1876, il avait été pris d'une nouvelle paralysie faciale, mais cette fois à gauche. Enfin en 188
e dans une voiture ouverte, il vit se développer encore une fois la paralysie faciale à droite. M. Charcot nous a cité le c
cot nous a cité le cas d'une femme qui a eu jusqu'à quatre accès de paralysie faciale, alternant à droite et à gauche. Tout r
fesseur Troschel (de Kiew) communiquait à M. Charcot l'his- DE LA PARALYSIE FACIALE. 365 toire d'un malade hystéro-épilepti
oire d'un malade hystéro-épileptique qui a été atteint deux fois de paralysie faciale. Voici le résumé de cette observation d
gauche dont il ne reste plus de trace; il y a quatre ans, deuxième paralysie faciale du côté droit, incom- plètement guérie.
etc. Les faits dont il vient d'être question montrent bien que la paralysie faciale peut récidiver et que ces réci- dives,
n- trée qu'en 1886. Il y a huit jours, le malade a été pris d'une paralysie faciale gauche qu'il croit devoir rapporter au
édisposé, devient ataxique, et au cours de la maladie, il prend une paralysie faciale. Il est à peine besoin de dire qu'il ne
ire ne figure pas au nombre des phénomènes céphaliques du tabes. La paralysie de la face est également indépendante de la syp
r dans la syphilis cérébrale,, si le facial vient à être touché, la paralysie est presque joujours partielle et le facial sup
et le facial supérieur reste indemne; tel n'est pas le cas DE LA PARALYSIE FACIALE. 367 de cet homme qui a été frappé d'un
DE LA PARALYSIE FACIALE. 367 de cet homme qui a été frappé d'une paralysie faciale complète. Quelque sceptique que l'on so
roit du rôle de la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale, il faut cependant convenir que, dans l
des parents, le bec de lièvre, l'hystérie, l'ataxie locomotrice, la paralysie générale et la folie : Observation XVI. D...
ienne), âgée de quatorze ans, a été atteinte il y a cinq mois d'une paralysie faciale du côté droit. Cette hémiplégie est sur
n'a jamais eu de crises convulsives; rougeole dans l'enfance. La paralysie faciale intéresse tous les muscles innervés par l
s, se présente au service d'électrothérapie le 9 juin 1887 avec une paralysie de la face {côté droit). Antécédents héréditair
, vient nous consulter le 3 novembre 1887 ; elle est atteinte d'une paralysie faciale du côté droit ; la malade nous donne le
t; convulsions dans l'enfance, névralgies faciales fréquentes. La paralysie faciale date de cinq jours, lamaladene sait quell
rmales. Nous avons déjà indiqué dans notre premier travail que la paralysie faciale (c'est là encore un caractère important
actère important qui la rapproche de certaines autres mala- DE LA PARALYSIE FACIALE. 369 dies héréditaires du système nerve
thérapie de la Salpêtrière le 16 juillet 188î. Il est atteint d'une paralysie faciale gauche. Antécédents héréditaires : Père
trois ans, a eu, il y a huit ans à la suite d'une émotion vive, une paralysie faciale du côté droit qui a duré trois semaines
us affirme qu'il a toujours été bien portant, quoique ner- veux. La paralysie faciale chez ce malade date de trois semaines;
l'histoire d'une famille de névropathes voués pour ainsi dire à la paralysie faciale. Cette remarqua- ble observation, dont
à M. le professeur Charcot, ne comprend pas moins de cinq cas de paralysie de la septième paire, observés chez des membres
est l'hérédité directe, similaire, mise en pleine lumière, c'est la paralysie Archives, t. XV. 24 370 CLINIQUE NERVEUSE.
s préféré la reproduire sous forme de tableau généalogique. DE LA PARALYSIE FACIALE. 371 est une affection fortuite, accide
conque. Les choses ne se passent pas ainsi; les malades atteints de paralysie de la septième paire sont tous ce qu'on pourrai
lement variées : tantôt c'est un froid qui parait avoir provoqué la paralysie ; d'au- tres fois, c'est une émotion; d'autres f
al. 372 CLINIQUE NERVEUSE. Dans cette étude sur l'éliologie de la paralysie faciale, nous avons jusqu'ici laissé complèteme
cela nous sommes d'accord avec les auteurs clas- siques, que si la paralysie faciale peut surgir à tout âge, elle est plus f
x atteintes du froid que les femmes, la fréquence plus grande de la paralysie faciale chez celles-ci serait, d'une part, un a
adie. Il est incontestable, en effet, que la femme est plus DE LA PARALYSIE FACIALE. 373 entachée de nervosisme que l'homme
d'ordre secon- daire, pour mettre en lumière la vraie cause de la paralysie faciale. L'histoire des malades, l'histoire de
capital que joue la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale dite a frigore. Après avoir établi la v
de nom- breux traits d'union à toutes les maladies nerveuses, la paralysie faciale est parente à un degré beaucoup plus ra
z les ascen- dants ou chez les collatéraux des sujets atteints de paralysie de la septième paire, on retrouve toujours, ' 3
pilepsie, l'hystérie ou la chorée, soit les vésanies, soit enfin la paralysie générale progressive. Les maladies de la moelle
que les troubles psychiques sont fréquents dans le tabes et que la paralysie générale vient souvent se greffer sur l'ataxie
concorder pour dire à l'observateur que chez les sujets frappés de paralysie de la face, c'est le cer- veau qui constitue le
onnaissances sur l'anatomie et la physiologie patho- logiques de la paralysie faciale ne nous autorisent pas à aller au delà.
trique des nerfs et des muscles qu'Erb a basé sa classification des paralysies faciales qu'il a divisées en trois groupes : da
qu'il a divisées en trois groupes : dans le premier groupe DE LA PARALYSIE FACIALE. -375 (forme légère), il n'y a aucune a
e un à deux mois. Dans le troisième groupe vien- nent se ranger les paralysies à forme grave avec réaction de dégénérescence c
m- porte de nombreuses exceptions. Brenner rapporte un exemple de paralysie faciale guérie en peu de temps et qui cependant
sence presque totale de modifications des réactions électriques. La paralysie faciale chez ce malade, complète dès les premie
t minime et nullement en rapport avec l'intensité et la durée de la paralysie ; au lieu de trouver la réaction de dégénérescen
ractilité électrique, mais n'expliquait en rien l'intensité de la paralysie . M. Déjerine terminait ainsi sa communica- tion
on : « Il est difficile, pour ne pas dire plus, de com- prendre une paralysie faciale par compression, persis- tant plus d'un
t des troubles marqués dans l'état de la con- tractilité. » DE LA PARALYSIE FACIALE. 377 Nous avons eu également occasion d
on avec l'intensité et la durée de la maladie; et nous avons vu des paralysies faciales ne s'accom- pagnant d'aucun changement
nous possédons, il est difficile de pénétrer la nature intime de la paralysie faciale dite a frigore. En présence de ces in
iplégies de la face qui s'offrent à notre observation à l'état de paralysies isolées ? Nous ne le pensons pas. Il y a là des
opérera dans l'avenir et qu'on arrivera à distraire de ce groupe de paralysies faciales, réputées périphéri- ques, un certain
rie. En réalité la physiologie et l'anatomie pathologi- que de la paralysie faciale sont encore à faire et dans l'état actu
ses, mais quel que soit exactement le substra- tum anatomique de la paralysie faciale, la question étiologique n'en reste pas
eraient constantes, peut-elle infir- mer notre manière de voir ? La paralysie générale progressive, l'ataxie locomotrice, la
voir ? La paralysie générale progressive, l'ataxie locomotrice, la paralysie infan- tile, ne sont-elles pas des affections à
produire dans le cours de ces études. Quoi qu'il en soit, que la paralysie faciale dite a DE l'épilepsie PROCURSIVE. 379
as moins la prédisposition nerveuse héréditaire. L'histoire de la paralysie faciale, si improprement appelée a frigore, vie
Yeux excavés, respiration plus fréquente, la bouche ouverte. Pas de paralysie des membres, mais résolution DE l'épilepsie PRO
tème nerveux moteur et des fonctions musculaires (sauf pourtant les paralysies ). Sans con- sidérer les cas où ces symptômes pe
ts cata- toniques chez les déments. Il n'est' pas même jusqu'à la paralysie générale qui ne puisse aussi, dans son cours, s
es phéno- mènes catatoniques variés. A côté des symptômes dits de paralysie , on peut rencontrer des phénomènes convulsifs v
ressant travail de Knecht 1, rapportant des cas de combinai- son de paralysie générale et de catatonie. M. Sage 2 a, de son c
u secondaires. Vogelgesang et Jastrowitz la signalent aussi dans la paralysie générale. Les gestes stéréotypés, comparables à
DE PATHOLOGIE MENTALE XII. TABES ACCOMPAGNÉ DE FOLIE SYSTÉMATIQUE ; PARALYSIE GÉNÉRALE terminale; par W. Sommer. [AU. Zeitsch
es suivi de folie systématique hallucinatoire; douze ans plus tard, paralysie générale.- Anato- mie pathologique. Lésions tab
LOGIE MENTALE. phalie; oedème chronique diffus); stade congestif de paralysie générale (hypérémie des méninges et de l'ensemb
à la Clinique deLaipzig pendant les années in et 1885, il y a eu 88 paralysies générales vraies. Dans ce nombre, 5 avaient eu
soit une dizaine d'années entre l'infection et l'appa- rition de la paralysie générale (20 cas), soit entre dix et vingt ans
4,6 p. 100. C'est entre 34 et 45 ans qu'apparaît le plus souvent la paralysie générale. On y trouve les deux tiers ou les tro
te pas, d'après la statistique, de forme clinique particu- lière de paralysie générale syphilitique. Le traitement spécifique
ervation est celle d'un nègre âgé de cinquante- six ans, atteint de paralysie générale qui, trois ans auparavant, avait prése
en certains endroits les cheveux devinrent gris du même côté que la paralysie . Dans le troisième cas, les plaques d'atrophie
blable à la Société de médecine. M. Féré. - La glycosurie dans la paralysie générale n'a rien qui doive surprendre. Ne sait
M. KLEIN lit une note sur l'origine des idées délirantes dans la paralysie générale. Du délire chronique. (Suite de la dis
,4; 5, 6, 7, 8 centi- mètres. M. Bernhardt communique : Un cas de paralysie périphérique isolée du nerf sus-scapulaire gauc
rémité supérieure gauche à étiologie reniai - quable. - Deux cas de paralysie faciale périphérique présentant certaines parti
rnine de la langue. Saturnin franc de quarante-deux ans, atteint de paralysie des extenseurs du côté droit avec paralysie bil
te-deux ans, atteint de paralysie des extenseurs du côté droit avec paralysie bilatérale des cordes vocales (raucité de la vo
du 7 juin 1886. - Présidence de M. Westphal. il. Thomsen. Un cas de paralysie isolée du regard en haut, avec ' goy. Archives
procédé chez dix. M. Bernhardt. Contribution à la pathologie de la paralysie satur- nine. Il s'agit de six tailleurs de lime
ine. Il s'agit de six tailleurs de limes. On constata, en effet, la paralysie et l'atrophie des muscles de l'éminence thénar et
as chez les saturnins exerçant les professions plus différentes, la paralysie classique commune des extenseurs de concert ave
ose. Conservation delà réaction pupillaire. Légère névrite optique. Paralysie des membres inférieurs. Parésie des membres sup
rtie antéro-latérale de la moitié gauche de la langue, ainsi qu'une paralysie progressive des muscles de l'oeil (opthalmoplég
-quatre ans, jusque-là bien portante; ictus apoplectiforme suivi de paralysie des extrémités, surtout de l'extrémité supérieu
, des foyers de cellules granuleuses. M. OPPENHEIM. Sur un cas de paralysie bulbaire chronique pro- gressive sans lésion an
de la mastication et de la déglutition, aggravation graduelle de la paralysie ; pas d'atrophie; intégrité de la vie mentale,
i, il y a quelques semaines, a vu se développer graduellement de la paralysie avec atrophie musculaire de l'érni- nence théna
ésidence de M. W. SANDER. M. Bernhardt présente un malade ayant une paralysie trauma- tique du radial (voy. Centralbl. f. Ner
ession exercée par l'appareil, avait entraîné la complication de la paralysie presque complète de tous les autres nerfs du pl
affectés de réaction dégénérative. Au com- mencement de février, la paralysie surajoutée ayant déjà rétro- cédé, M. Remak dir
cédé, M. Remak dirigea un traitement galvanique régulier contre la paralysie parfaite du radial ; à la fin du même mois, le pr
n'est guère possible de savoir ce qui est advenu du radial mais une paralysie si complète et si grave n'appartient pas à une
caractérisés par la co-existence de l'atrophie musculaire et d'une paralysie partielle de la sensibilité du même membre, par
aire et d'une paralysie partielle de la sensibilité du même membre, paralysie généralement très étendue. Dans le cas de M. Op
. C'est plutôt un cérébelleux. M. UnTttOPF. Il y a aussi une double paralysie de l'oculo-moteur externe, M. Remak ne connaît
uls, névrite optique, vomissements. M. BER1VHARDT parle de quelques paralysies des extrémités supé- rieures intéressantes au p
ntéressantes au point de vue étiologique. Il s'agit d'un exemple de paralysie du radial et de trois faits de paralysie, soit
Il s'agit d'un exemple de paralysie du radial et de trois faits de paralysie , soit uni, soit bi-latérale, portant sur tous l
arcel BAUDOUIN-. ,186 bibliographie. VI. Hystérie et traumatisme ( paralysies , contractures . arthralgies, hystél'o-traumatiq
smes prédisposés pour déterminer des accidents divers : ce sont les paralysies flasques ou rigides, ou encore les arthralgies,
tations hystériques se rencontrent de préférence chez la femme. Les paralysies revêtent la plupart des formes connues, hémiplé
ns, rayonnant autour des jointures, comme centre quand il s'agit de paralysies segmentaires et limitées par une ligne que sa c
ectriques des muscles sont normales, quelle que soit la durée de la paralysie . Lors de paralysies rigides, avec exaltation de
es sont normales, quelle que soit la durée de la paralysie. Lors de paralysies rigides, avec exaltation des réflexes tendi- ne
. - De t'électrométrie et de t'électl'o-rliagnoslic il propos de la paralysie faciale de Ch. Bell. Volnme in-8° de 9 pages avec
s l'hémicranie, par Wilerne, 302. Paraldéhyde, par Sommer, 302. Paralysie faciulu a frigore, par Neu- lllallll, 3J'1. P
mer, 302. Paralysie faciulu a frigore, par Neu- lllallll, 3J'1. Paralysie générale et syphilis, par Son])))er,HO;(et apha
27 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'état des différents muscles : j'ob- serve au niveau du visage une paralysie droite des plus nettes; je puis la mettre en év
on de siffler, gon- flement des joues, etc.). Il n'y a pas trace de paralysie faciale supérieure : le frontal et l'orbiculair
ment des deux côtés. On ne trouve pas non plus chez la malade de paralysie du voile du palais ; la voix n'est pas nasonnée
apèze du côté droit. Les membres supérieurs ne présentent pas une paralysie vraie, au sens propre du mot, mais plutôt une p
s des sens, une anosmie à peu près complète, du côté de la face une paralysie faciale infé- rieure droite, du côté des membre
les signes locali- sateurs, l'ophtatmoplégie externe et interne, la paralysie faciale inférieure droite, les troubles parétiq
vement de la fonction. Ces derniers n'atteignent jamais au degré de paralysie , se limitant seulement par un affaiblisse- ÉTUD
acines posté- rieures et les altérations qu'elles subissent dans la paralysie géné- rale des aliénés. , Jusqu'à une date ré
ut au moins un rôle impor- tant dans sa marche progressive. Dans la paralysie générale on' trouve les mêmes altérations nerve
ifestes, dans les limites et au prorata des altérations. Citons : 3 paralysies générales, 2 polynévrites alcooliques, 1 suppur
e de la 5° paire à gauche et intégrité de la 7°; adroite il y avait paralysie complète de l'oculomoteur commun et cependant l
uloureux rhumatismal guéri. Cette disparition est constante dans la paralysie faciale. Sur 25 tabétiques, il était chez 23, dim
droite, ayant débuté à la suite d'un traumatisme du crâne suivi de paralysie oculaire et d'épilepsie jacksonienne. Ii. C.
r, n'avait fait mention des déformations rachitiques au cours de la paralysie agitante. Les auteurs ont rassemblé 17 observat
. Mal vertébral sous-occipital avec luxation du crâne en ar- rière. Paralysie atrophique bilatérale de la langue par com- pre
t du crâne et ensuite à la nuque. Quelque temps après survint une paralysie progressive du côté gauche qui envahit bientôt le
che de la poitrine, et que le cou s'immobilise. Deux mois après, la paralysie des membres réapparaît et condamne le malade à
ordinaires mais à l'exclu- sion des affections telles que tabes et paralysie générale. L'auteur admet les lésions parasyphil
un peu d'albumine et de l'hé- matoporphyrine. L'état s'aggrave. Une paralysie flasque atteint d'abord les jambes, puis monte
urrait expli- quer la curabilité de certaines paraplégies graves. Paralysie alterne double incomplète chez un enfant de huit
s d'un syndrome de Weber incomplet et double,- caractérisée par une paralysie du nerf facial inférieur droit, du ptosis doubl
érieur droit, du ptosis double, de l'ophtalmoplégie externe gauche ( paralysie du droit interne, du droit inférieur gauche, pe
différentes de l'un à l'autre au point de vue anatomo-pathologique ( paralysie générale infantile, porencéphalie, etc...). D
ystème nerveux. n (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Un nouveau cas de paralysie générale conjugale; Par le Dr A. CULLERRE Le
mise la nommée D..., veuve R..., âgée de cinquante ans, atteinte de paralysie générale à la seconde période. Ses antécédents
verrons tout à l'heure que cette affection répond au diagnostic de paralysie géné- rale. A l'entrée on constate les phénom
, loquacité bruyante, érotisme, satisfaction ; elle- NOUVEAU CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 117 7 veut se marier, aller
accidents cérébraux qui se sont succédé dans l'ordre habituel de la paralysie générale progressive. Il était gardien de phare
. » Ce double cas, comme on le voit, constitue un nouveau fait de paralysie générale conjugale, car les renseignements four
él exemple comme militant en faveur de l'origine syphilitique de la paralysie générale. Quant aux causes de ce singulier phén
s). En 1890, au Congrès de Rouen, j'ai publié les premiers cas de paralysie générale conjugale observés dans notre pays2. D
c'est-à-dire pour que vous ne transformiez pas cette monoplégie en paralysie apparente des quatre membres et du corps. Cette
i, puisque j'ai confiance en vous). " 2° Vous êtes atteinte d'une paralysie partielle et pour vous en débarrasser, je suis
paralysée d'aucun membre. Pour vous prouver que je puis défaire une paralysie , il me suffit de frotter votre jambe gauche...
cin m'a paralysée entiè- rement, et il m'enlève une partie de cette paralysie . (A ce moment, le centre 0, le « mot commande a
organes qui ne l'étaient pas auparavant, il vient de défaire une paralysie qu'il avait provoquée, il peut guérir les paralys
de défaire une paralysie qu'il avait provoquée, il peut guérir les paralysies . Réveil et guérison. ou grande amélioration de
e Grasset appelle le centre O.En fait, on n'observe jamais dans les paralysies suggérées ni exagération des réflexes tendineux
n n'a pas encore présenté à la Société de Neurologie un seul cas de paralysie nettement hystérique ou suggérée, vierge de tou
en persuasif employé pour raviver sa mémoire. Il y a eu véritable paralysie momentanée des centres psychiques. Chez l'hypnoti
é et l'imagination pour- raient réaliser à l'état normal. Aussi les paralysies , les contrac- tures, les troubles de sensibilit
h3 pnotiques dif- fèrent-ils par certains caractères très nets des paralysies , des con- tractures, des troubles sensitifs obs
aliénés des troubles des fonctions motrices de l'iris; toutefois la paralysie générale fournit autant de cas que toutes les a
rogressive. Le premier groupe con- cerne les maladies autres que la paralysie générale et la démence sénile, tandis que dans
tômes peuvent se rencontrer. On s'occupera spéciale- ment ici de la paralysie générale, L'auteur rappelle les différents symp
usion mentale. G. DENY. 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VIII. La paralysie progressive d'après les documents de l'hôpital
alytique pour 20 admissions féminines. Les causes principales de la paralysie générale sont : la syphilis, l'alcoolisme et l'
quand il est frappé d'un ictus apoplectique avec aphasie motrice, paralysie flasque du bras droit, légère parésie faciale, à
s, non plus que l'excitabilité musculaire, en ce qu'il n'y a pas de paralysies locales, tandis que les parties périphériques d
gré l'absence de lésions organiques au pharynx, à l'oeso- phage, de paralysies musculaires de la région. La dysphagie psy- chi
gle for life, a une grande influence étiologique, c'est-à-dire à la paralysie générale; -5° Les Juifs sont fort disposés aux
l. Dr A. Marie. XXX. A propos du diagnostic de l'épilepsie et de la paralysie géné- rale ; par 11111. d. SÉGLAS et Henri Fran
24 septembre 1902). Il est quelquefois difficile de distinguer la paralysie générale de l'épilepsie, surtout s'il s'agit d'
mais n'est-il que cela ? On a signalé du reste la coexistence de la paralysie générale et de l'épilepsie. L'observation prolo
ou organique. G. Carrier. XXXII. Les rémissions spontanées de la paralysie générale tabé- tique ; par M. PIERRET (Lyon méd
s'élève contre cette affirmation qui prétend que si le tabes et la paralysie générale, spécifiques toujours, ne guérissent p
ca- tions systématiques du tabes. 11 peut en être de même pour la paralysie générale. M. Pierret reproche en somme aux aute
qui se sont occupés récemment de la thérapeutique du tabes et de la paralysie générale, de ne pas définir nettement à quel ta
encontre fréquemment dans l'évolution de cette maladie. La forme de paralysie générale qui précède, accompagne ou suit le tab
accompagne ou suit le tabes se distingue, d'après M. Pierret, de la paralysie générale proprement dite, par des différences c
l'on trouve dans la marche, sont les ten- dances régressives de la paralysie tabétique. Son évolution est coupée d'arrêts br
ierret ces rémissions sont propres à la maladie et caractérisent la paralysie générale tabétique qu'il rapproche des paralysi
t caractérisent la paralysie générale tabétique qu'il rapproche des paralysies générales toxiques, en particulier de l'alcooliqu
omme moment déterminant de la crise. G. C. XXXIV. Etiologie de la paralysie générale; par Arthur W. HURD (The American jour
02, p. 565, 574). La syphilis est la cause la plus habituelle de la paralysie géné- rale. Elle peut agir soit directement, so
térieurement syphilitiques. SIMON. XXXV. Diagnostic précoce de la paralysie générale; par F. X. DER- cum (The Ame·icaz jour
'affaiblissement et de déchéance intellectuels qui caractérisent la paralysie générale. Ce contraste est mis en relief dans l
ées sont à lire en entier. SIMON. XXXVI. Fréquence comparée de la paralysie générale; par Charles- J. WAGNER (TAs Amcrican
595). D'après les statistiques analysées dans ce travail : 1° la paralysie générale représente à peu près 8.75 p. 100 des
etc., interviennent éga- lement. SIMON. XXXVII. Traitement de la paralysie générale; par Edward COWLES (The American journ
able. Mais l'auteur passe en revue les théories pathogéniques de la paralysie générale et de ses accidents, et montre ce qu'e
folie à double forme pour finir dans la démence, avec des signes de paralysie générale. Ce malade était, en outre, syphilitiq
elet avec pachyménin- gite sans aucune des lésions classiques de la paralysie générale. M. Vallon croit que le diagnostic de
folie à double forme. M. TOULOUSE a relevé des observations où la paralysie générale - SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 débutait pa
débutait par des accès de folie intermittente. Loin d'exclure la paralysie générale, l'intermittence est peut-être considéré
t peut-être considérée comme un signe du début. ' . M. Ballet. La paralysie générale débute parfois par des symptômes pouva
e penser à la folie intermittente qu'ils simulent. D'autres fois la paralysie générale vient compliquer une folie intermitten
elles sont la signature anatomo-pathologique des toxi-infections. Paralysies générales à longue durée. M. Brunet rapporte qu
M. TOULOUSE croit qu'il faut distinguer les cas où le diagnostic de paralysie générale a pu être posé dès le début, de ceux où
de paralysie générale a pu être posé dès le début, de ceux où la paralysie générale est venue compliquer une ancienne vésani
l. - M. Brunet n'a jamais observé de vésanies se terminant par la paralysie générale. M. Dupré. Si la paralysie générale po
vésanies se terminant par la paralysie générale. M. Dupré. Si la paralysie générale pouvait être considérée comme une comp
on observerait plus fréquemment cette terminaison. M. Ballet. La paralysie générale qui s'observe dans le cours d'une vésa
syphilis cérébrale et dont l'état démentiel rappelait celui de la paralysie générale. M IZ,LIPPL fait remarquer que toutes
trépidation épileptoïde ni signe des orteils. 11 n'existe aucune paralysie des sphincters et les membres supé- riaurs sont
communication à la séance de la Société du 4 juin 1903, il y a une paralysie latente des moteurs oculaires dans l'hémiplégie
ture. BIBLIOGRAPHIE. V. Etude sur les troubles trophiques dans la paralysie générale; par M. Paul HÉRISSEY, thèse de Paris,
M. Paul HÉRISSEY, thèse de Paris, 1903. Si certains chapitres de la paralysie générale peuvent paraître épuisés à force d'êtr
sa thèse un exposé très documenté des troubles trophiques dans la paralysie générale. La classification est la suivante : T
e, la chorée de S ! /deH/t6tN ! ,la sui-di-i ? izilité,l'athélose, la paralysie spastique infantile, l'hystérie, la psychose po
ssement du pédoncule, l'encé- phalite tuberculeuse hémorragique, la paralysie de Landry, les myélites, etc. b. Névroses : é
HÈmssEY (Paul). Etude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie générale. Librairie C. : laud, 3, rue Racine." In
rée le 3 juillet 1899. A présenté dès son entrée tous les signes de paralysie générale à forme maniaque. Le 10 septembre 1903,
ans ; entrée le 21 avril 1903. A présenté à l'entrée les signes de paralysie générale à forme maniaque. Actuellement, le 10
o..., 45 ans, entrée le 10 avril 1903. Dès son entrée, symptômes de paralysie générale à forme maniaque, avec signes physique
chronique dont on relève les stigmates, et des signes physiques de paralysie générale. Aujourd'hui, 8 septembre 1903, les ma
te-huit ans; entrée le 29 mai 1903. Elle ne présente aucun signe de paralysie générale. Elle est excitée et croit qu'on a dép
e à deux tentatives de suicide. Signes physiques caractéristiques : paralysie faciale gauche ; les - pupilles sont dilatées,
r ? femme Gai..., trente ans, entrée le 15 novembre 1901. Signes de paralysie générale avec halluci- nations génitales très i
gie flasque desdeuxmem- bres inférieurs, accompagnée d'une complète paralysie des membres supérieurs, d'une paralysie faciale
accompagnée d'une complète paralysie des membres supérieurs, d'une paralysie faciale droite, d'une hémiplégie lin- guale du
. - Affaiblissemen intellectuel avec quelques idées de persécution. Paralysie faciale gauche survenue à la suite d'un ictus.
fond de l'oeil ou d'aspects du fond de l'oeil indé- pendants de la paralysie générale, ou, si l'on préfère, de lésions qui n
atiquée la section du sciatique, du crural et de l'obturateur, d'où paralysie complète de la'jambe, les muscles de cette jambe,
ëlle fut pratiquée au niveau de la sixième ver- tèbre dorsale, d'où paralysie flasque du train postérieur : lors- qu'apparut
if de celui-ci, noyau moteur du trijumeau. Il est exagéré dans la paralysie pseudobulbaire, et parfois dans la paralysie géné
Il est exagéré dans la paralysie pseudobulbaire, et parfois dans la paralysie générale. Ne pas le confondre avec les tremblem
sse, maux de tête, vomissements, vertiges, dysarthrie, convulsions, paralysie de l'oculomoteur commun, neurorétinite avec hém
aire dont presque tous les neurones sont en rétraction complète. La paralysie est totale. Les réflexes rotulien, plantaire et
ette région que de rares fibres dans les cor- dons postérieurs), la paralysie motrice avait conservé jusqu'à la fin les carac
laire. G. C. L. Du signe de l'orbiculaire dans le diagnoctic de- la paralysie faciale; par L. Bard. (Lyon médical, 10 lévrier
901, n° 6 p. 218). Parmi les moyens propres à mettre en évidence la paralysie du facial supérieur, le plus efficace est le si
e du 244 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. signe de l'orbiculaire dans la paralysie faciale hémiplégique, mais il a constaté qu'il
gique, mais il a constaté qu'il faisait complètement défaut dans la paralysie faciale périphérique. Non seulement, la fermetu
ordre ; il est appelé à accentuer la séparation sympto- matique des paralysies faciales centrales et périphériques et à deveni
devenir un des éléments de leur diagnostic differentiel. G. C. LI. Paralysie motrice et sensitive consécutive à l'injection de
quinine dans le liquide céphalo-rachidien. Il en est résulté une paralysie vraie motrice et sensitive du périné et des organ
lus de sa cystite, mais elle a de l'inconti- nence d'urine et de la paralysie du rectum. Une injection de qui- nine dans le v
age d'un nerf paralyse définitivement ce nerf. Chez cette malade la paralysie du cône terminal est aussi défini- tive. Le rés
t la terminaison ordinaire d'un grand nombre de cas de ce genre. La paralysie générale, comme on l'a 250 ? asiles^ d'aliénés.
nte chez les imbéciles, où elle est précoce le tableau exact, de la paralysie générale de l'adoles- cence. Ce travail est acc
diagnostique des symptômes oculaires aux différentes périodes de la paralysie générale, appuyée sur des observations personne
faciale dans l'érysipèle. MM. Gnnmra et P. Thaon relatent un cas de paralysie faciale périphérique droite survenue dans-la co
ns troubles nerveux apparaissent à la suite de l'érysipèle tels que paralysie faciale, névralgies, troubles oculaires paraiss
s cellulaires de la moelle. Un phénomène palpébral constant dans la paralysie faciale périphérique. M. Cestak montre les ph
stak montre les photographies d'un cas du phénomène palpébral de la paralysie faciale qui consiste en ce que le malade peut b
érieur à la paupière, muscle dont la tonicité est conservée dans la paralysie faciale. - Lèpre et névrite hypertrophique .
s avoir commencé cette profession, fut atteint successivement d'une paralysie des mem- bres inférieurs, puis des membres supé
. Les auteurs discutent l'origine centrale ou périphéri- que de ces paralysies , et insistent en terminant sur les infractions
teur s'attache à démontrer en les étudiant suc- cessivement dans la paralysie générale où elles permettent sou- vent, dès le
agnostique des symptômes oculaires aux différentes pério- des de la paralysie générale, appuyée surtout sur des observations
ssible à cause de la douleur ressentie dans l'aine. Par ailleurs la paralysie motrice n'est pas complète, elle est sous la dé
solument direct avec la douleur. D'autre part, vous ne constatez ni paralysie flasque, ni contracture. L'exagération de la re
he qui domine le tableau morbide. Vous voyez qu'il s'agit ici d'une paralysie de plexus, para- lysie totale, mais incomplète,
des plexus. Contrairement à ce que nous observons dans les cas de paralysies radiculaires classiques, par arrachement, vous
on vasculo-nerveuse imprime un cachet tout spécial à cette sorte de paralysies radiculaires. Aux douleurs vives, lancinantes;
vaso-muleurs, manquent bien rarement. Rarement, avons-nous dit, ces paralysies sont complètes. La paralysie est plus sensitive
ment. Rarement, avons-nous dit, ces paralysies sont complètes. La paralysie est plus sensitive que motrice et les types clas-
de Neurologie de Paris, en 1901. Il s'agissait dans l'espèce d'une paralysie radiculaire surtout inférieure avec syndrome de
rôme, consiste, vous ne l'ignorez pas, dans la coexistence avec une paralysie radiculaire inférieure, d'un myosis du côlé de
devons toute- fois considérer celle-ci comme exceptionnelle. Ces paralysies radiculaires de plexus, vous les distinguerez f
lysies radiculaires de plexus, vous les distinguerez facilement des paralysies radiculaires de siège intrarachi- dien. Vous au
elques années se présenter à notre examen à cette clinique pour une paralysie faciale droite totale à type périphérique. Cett
pour une paralysie faciale droite totale à type périphérique. Cette paralysie était devenue brusquement dans la nuit. Son t
dater du jour de son installation à Moulins. RECUEIL DE FAITS. Paralysie saturnine à type partiel Aran-Duchenne. PAR '
insi que de curabilité à peu près complète. . En effet les cas de paralysie saturnine ne frappant qu'un petit nombre de mus
Para- lysie incomplète des doigts et du poignet »' il s'agit une paralysie très accentuée du court abducteur de pouce, sans
jch. and Xervenkr. 1876-1877. 'T\NQUEREL DES Planches. Essai sur la paralysie du plomb 'ou saturnine. Thèse 4S3r. 310 ' REC
es muscles de la main soient tous atteints; il existait en plus une paralysie de l'extenseur propre du gros orteil droit. "
étaient pris sans que les extenseurs du poignet parti- cipent à la paralysie .111°l Déjerine-Iïlumplte en z1889 dit que « la
ipent à la paralysie.111°l Déjerine-Iïlumplte en z1889 dit que « la paralysie des petits muscles de la main est souvent parti
ouce et le premier interosseux. » Elle rapporte des observations de paralysies partielles du 'type Aran-Duchenne, mais accompa
aralysies partielles du 'type Aran-Duchenne, mais accompagnées de paralysies d'autres régions. Villaret2 cite de même Gowers
ies d'autres régions. Villaret2 cite de même Gowers qui a décrit la paralysie des petits muscles de la main con- nexe le plus
alysie des petits muscles de la main con- nexe le plus souvent à la paralysie des extenseurs, mais qui peut évoluer pour son
il cite enfin Ber- nhardt qui a publié deux observations où, .sans paralysie des extenseurs l'éminence thénar une fois, les
on la variabilité du tableau clinique : on a même publié des cas de paralysie limitée au seul deltoïde, au long supinateur. I
deltoïde, au long supinateur. Il en est d'ailleurs de même d'autres paralysies toxiques, diphtériques par exemple. Ballet3 dis
ymond' ¡ ' JI"'a DI : .ICItI\E-IVLU31PICE. Polynévrites en général; paralysie el atro- phie saturnine en particulier. Th. Par
hie saturnine en particulier. Th. Paris, 1889. 3 Maurich YfLLvnE'r. Paralysies saturnines ; Revue générale : Gazette des hôpit
niques du système nerveux : 1895-90; Leçons sur les polynévrites. PARALYSIE SATURTINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 31 t ét
flexe). Le même auteur signale le peu de tendance à se diffuser des paralysies post-typhiques et il cite des observations de d
e de vue pendant quelque temps,mais les phénomènes d'atrophie et de paralysie ne faisant qu'augmenter nous le revoyons quinze
son avec le côté sain. 11 n'existe pas d'autre signe appréciable de paralysie des extenseurs. - Notons enfin que la sensibili
n à noter. - ' L'examen électrique donne les résultats suivants : PARALYSIE SATURNINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 313 mas
a permis de porter dans cette observation le diagnostic ferme de paralysie saturnine. Si ce dernier est en général aisé à
ntrale repose toujours sur la coexis- tence, dans le saturnisme, de paralysie et d'atrophie pour peu que la durée excède une
s n'envisageons d'ailleurs pas ici le diagnostic dogma- tique de la paralysie saturnine dans son ensemble, et nous ne nous ar
arrêterons pas davantage sur la confusion possible avec les autres paralysies d'origine centro-médullaire, voire myopathique.
ntro-médullaire, voire myopathique. Mais nous devons mentionner les paralysies d'ordre périphérique, traumatiques et surtout i
nent leur instrument entre le pouce et l'index de la main gauche. PARALYSIE SATURNINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 315 Duc
il se rattacha à l'idée d'intoxication saturnine, remarquant que la paralysie des muscles de la main s'observe surtout dans l
ogique de faire entrer' cette conception en ligne de compte que les paralysies saturnines type Aran- Duchenne se rencontrent s
e l'avant-bras très amincis, ayant l'aspect atrophiés de ceux de la paralysie infan- tile, se laissant très facilement traver
lignes, vertiges, titubation ébrieuse avec latéropulsion à gauche ; paralysie de la déglutition avec hoquet et vomissements e
ue l'excitation de ce nerf s'accompagne d'exophtalmie, alors que la paralysie de ce système détermine l'enophtalmie. Peut-on
aduisant l'ex- citation des filets cardiaques et thyroïdiens, et la paralysie des nerfs oculaires ? Telles sont les questions
e M. Duplant, tout en faisant cette restriction que dans son cas la paralysie ne porterait que sur les fibres atteignant le m
gie cérébrale gauche et qui quatre mois plus tard. sans ictus, sans paralysie reprit de l'aphasie par un de ces phénomènes de
Sérieux et 1[GoT (Noua. Iconog1'. de la Salpêtrière, n° 4. 1902). Paralysie générale vérifiée à l'autopsie, ayant présenté à
états vésaniques les plus divers, imbécillité, hystérie, épilepsie, paralysie générale, démence sénile, mélancolie, confusion
.) Observation curieuse d'un homme de trente-sept ans, atteint de paralysie générale qui succomba à la rupture dans la traché
PSYCHOLOGIQUE Séance du 29 février 1904. Présidence de M. Brunet. Paralysie générale et syphilis cérébrale. M,l", TISSOT, i
syphilisée à vingt ans et entrée à Ville- Evrard avec des signes de paralysie générale ; elle y exprime un délire absurde d'é
ces lésions spéci- fiques, on constate les lésions ordinaires de la paralysie générale, tant macroscopiques qu'histologiques.
urs très vite dissi- pées. Cette association de lésions diffuses de paralysie générale et de lésions locales de syphilis est
allon rappelant que les hallucinations de la vue sont rares dans la paralysie générale, demande si la localisation des lésions
M. Vallon. La rareté de l'association des lésions diffuses de la paralysie générale, avec les lésions circonscrites de la sy
quoi beaucoup d'observateurs nient l'étiologie syphi- litique de la paralysie générale. CD 111, BRUXET l'ait remarquer qu'il
ns syphilitiques avec celles qu'on rencontre habituellement dans la paralysie générale, se ren- contre beaucoup plus fréquemm
M. Klippel a décrit cette concomitance, dans ce qu'il appelle les paralysies générales associées. Délire consécutif à des pr
rieur. Surfaces articulaires et osseuses intactes (radio- graphie). Paralysie des muscles de l'avant-bras et de la main inner
olynévrite toxique, névrite saturnine unila- térale des extenseurs, paralysie périphérique du facial), ils ont constaté, en c
ent marqué de l'éclat de l'écran sur les muscles malades. Plusieurs paralysies Infantiles ont été exa- minées et toujours sur
aucoup la luminosité de l'écran. Enfin, chose-inattendue, dans deux paralysies hystériques flasques (une hémiplégie, une mono-
E Séance du mardi 1 décembre 1903, Présidence de M. Jules Voisin. Paralysie vésicale, d'ovine hystérique, guérie par un procé
me de vingt-cinq ans présente, à la suite d'une grosse émotion, une paralysie vésicale telle que pen- dant trois semaines con
ues, 22 d'incontinence d'urine, 469 de névralgie ou migraine, 52 de paralysies diverses, et, en outre, des cas d'oedème hystériq
L'auteur rapporte quelques observations marquantes de mutisme, de paralysie et de chorée; dans tous ces cas, la suggestion hy
onstre anencéphale. 2° En 1903 : Ch. Dopter. Etude pathogénique des paralysies cen- trales de nature auto-toxique. - Laignel-l
aujourd'hui attirer votre attention sur les signes oculaires de la paralysie générale, et vous montrer le rôle souvent décis
nte dans la clientèle hospitalière que dans la clientèle privée, la paralysie .générale du moins à ses débuts, est d'un diagn
e- ment les idées, ne constituent le plus souvent, au début de la paralysie générale des signes assez caractérisés pour per
es forment un ensemble tel que -l'on doit immédiatement'penser à la paralysie générale et qu'on est presque en mesure d'affir
s le cabinet du médecin. Leur importance dans le diagnostic de la paralysie géné- rale est considérable, leur fréquence trè
en microscopique après centrifugation. DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 355 ainsi que se trouve justifié le c
onséquent, dans la majorité des cas, dans la première période de la paralysie générale. Sur ces 227 malades, 212 ont présenté
M. Gilbert Ballet a consacré autrefois aux troubles oculaires de la paralysie générale il en est fait mention 'comme s'observ
ns constaté cette irrégularité du con- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 357 î tour irien sans que ce symptôme
NÉRALE. 357 î tour irien sans que ce symptôme soit accompagnée de paralysie ou de parésie du réflexe lumineux et dans ces deu
s deux cas nous avons vu par la suite la parésie d'abord, puis la paralysie du réflexe lumineux s'établir. Pas plus que le
eux réflexes, lumineux et accommodateur, peuvent être lésés dans la paralysie générale, mais, je m'empresse de le dire, ils l
ent dans le tabes, vous allez voir qu'il ne l'est pas moins dans la paralysie générale, bien qu'on puisse le ren- contrer aus
e à épeler à haute voix les lettres de DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 359 l'échelle optométrique, et de cet
us avons dit que le réflexe lumineux, est très souvent lésé dans la paralysie générale, et chez nos 227 malades 171 fois il a
les à la lumière avec réaction normale à l'accommodation. 2°X..., paralysie générale (examen du Dr Schrameck), 30 octobre 1
28 juil- let 1902, réflexes lumineux tout à fait réduits. 3°X..., Paralysie générale (examen du Der Schrameck) 18 juin 1902
est un malade du service, l'autre un malade de la ville. 1° X..., paralysie générale, 10r examen : inégalité pupil- laire a
mmodateur est lui, beaucoup moins sou- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 361 vent lésé, dans l'affection qui n
extrêmement rare, et que souvent, même à une période avancée de la paralysie générale, le réflexe accommodateur reste normal
ertaines restrictions à la formule de M. Ballet di sant que dans la paralysie générale, il s'agit en somme d'une « ophtalmopl
est perdue du fait même de la para- lysie générale. De sorte que la paralysie de l'accommodatiou ne nous semble guère être un
datiou ne nous semble guère être un des symptômes oculaires de la paralysie générale. , Et, si nous voulions retenir la for
des troubles de l'iris, on peut encore DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 363 trouver, chez les paralytiques gé
autre trouble des muscles innervés par la Ille paire, 14 fois des paralysies ou parésies des muscles sous la dépendance de c
sies des muscles sous la dépendance de cette 1111 paire, 5 fois des paralysies de la IV,, paire, 5 fois du nystagmus, 2 fois d
Assez fréquemment chez nos malades qui présentaient des parésies ou paralysies musculaires nous avons trouvé également des sym
ques de la papille, etc.), l'affection prenant ainsi l'aspect de la paralysie générale tabétiforme. Le fond de l'oeil; a touj
o-rachi- dien n'a pas une valeur absolue pour le diagnostic de la paralysie générale » j'en dirai tout autant, et avec plus d
raison encore, pour les troubles oculaires constatés au début de la paralysie générale. Les signes oculaires concourent grand
AS. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil : Le sommeil dans la paralysie faciale, in Revue Neurologique, no 18, 30 septe
é par la neurasthénie et autres affec- tions débilitantes (diabète, paralysie générale, etc.), et cette 376 PHYSIOLOGIE PATHO
II. Sur la présence fréquente de granulations de l'épendyme dans la paralysie générale; par J.-V. 13LACHFORD (The Journal of
agnostique; qu'ils peuvent même être trompeurs et faire penser à la paralysie générale en particulier. Il n'en est pas de même
idents nerveux qui consistent en perte de connaissance immé- diate, paralysies , convulsions et tremblements, troubles de la sen-
gués de l'hystéro-traumatisme et former un groupe à part; comme les paralysies produites par la fulguration, que Charcot a sép
edème dans les premiers instants qui ont suivi l'attaque montre que paralysie et gonflement relèvent de la même lésion; il pl
du delirium tremens dont il différencie les lésions dé celles de la paralysie générale. Dans le dernier chapitre, l'auteur co
ile de Leyme (Lot). , « Les idées délirantes de persécution dans la paralysie générale ne sont en général ni systématisées, n
à peu près dans le même sens : « Les idées de persécu- tion dans la paralysie générale sont rares, elles apparaissent en géné
que jusqu'ici les idées de persécution ont été considérées dans la paralysie générale comme un épiphénomène qui n'imprime au
bien avouer que la plupart du temps elles tiennent peu de place 1 Paralysie générale, in Collect. Séauté, 189L ' PARALYTIQU
malades qui nous ont frappé justement par la forme anormale de leur paralysie générale, c'esL-à-dire par l'exis- tence simult
le de Leyme, C... présente les signes physiques et psychiques de la paralysie générale. A l'examen somatique on constate les
ssi violent ni aussi agressif. 1903. Décembre. - Le diagnostic de paralysie générale porté- au début se confirme par des tr
pour préciser certains faits; tout cela confirme l'évolution de la paralysie générale. Avril. - Même état ; est taciturne et
les hallucinations, d'un facteur étiologique, autre que le syndrome paralysie générale. 464 CLINIQUE MENTALE. Baillarger
1899), donne à l'appui de cette thèse une statistique de 59 cas de paralysie générale, avec idées de persécution, chez qui i
de persé- cution remontant à cinq ans), serait un prédisposé. La paralysie générale survenant alors comme une maladie sura
ucune hypothèse ni aucune théorie, nous pensons avec Sérieux que la paralysie générale est capable seule d'engendrer par 'des
d'activité volontaires, ou involontaires et automatiques, et de la paralysie qui succède à l'ablation de l'aire Rolandique, et
ique des aires Rolandiques démontre d'une manière évi- dente que la paralysie qui en résulte est purement volitionnelle. Les
s, où aux convulsions jacksoniennes simples, on voit se joindre une paralysie plus ou moins permanente, les probabi- lités en
es. Il. de MUSGRAVE-CLAY, XXVI. Des rémissions thérapeutiques de la Paralysie générale; par M. DEVAY (Lyon médical, 15 et 22
faveur de l'influence du traitement spécifique sur' la marche de la paralysie générale. Ce sont de nouvelles preuves, dit l'a
appui de l'opinion qui tend à admettre la nature syphilitique de la paralysie générale. Sur 42 malades traités à l'Asile, il re
t la règle grâce au traitement. En somme, M. Devay conclut que la paralysie générale n'est ni alcoolique, ni arthritique, n
est au surmenage qui résulte de cet effort journalier qu'est due la paralysie . Le traumatisme, ici, s'est produit par un doub
extenseurs des pieds. Musculature de la cuisse intacte. Atrophie et paralysie des fessiers. Tremble- ments fibrillaires.Intég
tion de douleurs fulgurantes dans la jambe droite il y a dix ans. Paralysies et atrophies successives dans l'espace de trois a
ropagation des douleurs fulgurantes aux extré- mités supérieures. Paralysie du groupe des muscles extenseurs et du deltoïde.
achilléens. Mais ces deux derniers symptômes sont tributaires de la paralysie musculaire. Pas d'Argyll. Tous les troncs nerve
de même que les masses musculaires. ' Poliomyélite de l'adulte et paralysie infantile. MM. A. TZAR et S.-A.-K. `VILSON prés
l'adulte avec lésions en foyer absolument analogues à celles de la paralysie infantile. Le malade était mort à trente ans, l
es de la paralysie infantile. Le malade était mort à trente ans, la paralysie datait de l'âge de vingt-trois ans. Le début av
es importants de l'état général et d'albuminurie, comme un début de paralysie infantile; les deux membres inférieurs s'étaien
à leur tour, de sorte que le tableau clinique avait été celui d'une paralysie ascendante aiguë. 11 n'y avait pas eu de troubl
ection n'avait plus progressé, et l'on avait porté le diagnostic de paralysie ascendante aiguë d'origine probablement polynév
et inférieure. Ces foyers avaient absolument l'aspect des foyers de paralysie infantile ancienne ; au centre de la plupart d'
e l'adulte absolument semblables à celles que l'on trouve dans la paralysie infantile. Van Gehuchten avait rapporté un cas du
M. nlOLTCnAN01·P, S. SOUKIIANOFF. Séance DU 29 novembre 1902 , Paralysie générale et grossesse. S.-A.SouKUANOFF.La gross
aralysie générale et grossesse. S.-A.SouKUANOFF.La grossesse dansla paralysie générale n'est pas si souvent observée qu'on au
ce fait tient, à ce qu'il paraît, à ce que les femmes atteintes de paralysie générale, sont pour la plupart stériles. Les ca
la plupart stériles. Les cas, envisagés par certains auteurs, comme paralysie générale, s'étant développée en liaison avec la p
e puerpérale, doivent être rapportés aussi à la grossesse dans la paralysie générale. L'existenee de la paralysie générale se
aussi à la grossesse dans la paralysie générale. L'existenee de la paralysie générale se reflète 508 SOCIÉTÉS savantes. pe
ssesse et les couches ne sont pas sans influence sur le cours de la paralysie générale, et cette influence n'est pas égale da
ns différents cas. Dans le cas du rapporteur, la grossesse dans la, paralysie générale a été observée chez une femme de 22 an
e avec contractures. L.-S. 1llNOa insiste sur ce fait que dans la paralysie générale de paire avec la lésion fondamentale p
Trouble particulier dans la représentation du temps dans un cas de paralysie générale (avec présentation du malade). V.-W. V
ANE, le 28 septembre de 1902, avec des phéno- mènes très marqués de paralysie générale, les premiers symptômes de laquelle se
tions. A.-N. Bernstein rappelle que le trouble de mémoire dans la paralysie générale ne se propage pas, en somme, toujours ég
que l'immortelle découverte de Ba)le quand, en 1822, il fondait la Paralysie générale, en établissant l'unité de cette malad
ut considérer cet écart comme accidentel. Le degré d'hérédité de la paralysie générale est très discuté : quelques auteurs vo
52 seulement pour les hommes. Il résulterait de ces chiffres que la paralysie géné- rale est moins héréditaire que plusieurs
que l'on attribue actuellement à la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. , . Il reste à considérer le bloc des
t probablement semblable à celui qui prépare le développement de la paralysie générale chez l'adulte. La syphilis détermine d
octrine permet de se représenter le mode d'action du poison dans la paralysie géné- rale juvénile que nous avons de très fort
oit pas que le rapport qui existe entre la syphilis parentale et la paralysie générale juvénile soit un rapport d'infection d
ue dft'aHaqued ? par Ijinel-Saiiglé. 239. AP.1\-DI;CBE\NE. Voir Paralysie sa- lu mine. Archives de médecine expéninenla
par 13nmhicci, 387. [^ophtalmie. Voir Syndrome l's('ENUY\tE. Voir Paralysie générale. I'.pii.epsii : . Un cas il' avec g»om
cy otoxines spécifiques des -, par 1 : II1, 387. - Enslsls. Voir. Paralysie . Etat de mal. Un cas d' compliqué de SI il 1'
! AL VERTEBRAL. Sous-occipital avec luxation du crâne en arrière. Paralysie atrophique bilatéiale de la langue par compress
dérées comme stigmates de dégé- nPrescence, par Ilnrri·rnn, 3n. Paralysie . Voir Mal vertébral. - alterne double incomplèt
nérale, par f3laultford, 379. Des rémissions thérapeutiques de la paralysie générale, par Devay. 19 ? - généiale et grosses
exophtalmique, par Callum. 229. Signes oculaires. Des - dans la paralysie générale, par Joffroy, 353. Société médico-ps
psychique, par Bechterew, 151. Etude sur les - trophiques dans la paralysie générale, par IIAJÏs- sey. 177. - du mouvement
28 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
e presque toujours dans l'hémiplégie cérébrale infantile ou dans la paralysie infantile, trou- bles nerveux qui expliquent pe
; et une telle origine est attribuée par Leyden à la scoliose de la paralysie infantile. D'autre part, on sait que la section
ourci. Pas d'incordination motrice des membres supérieurs. Pas de paralysies . Tous les mouvements sont possibles, tant aux mem
re que la déviation n'est pas secondaire à une altération nerveuse, paralysie , névralgie, etc. Certains auteurs considèrent l
t séparées entr'elles (Voir Og,2), En d'autres termes il existe une paralysie bilatérale et symétrique des muscles adducteurs d
troubles laryngiens chez notre malade peuvent se résumer ainsi : Paralysie des muscles adducteurs ou paralysie de phonation,
de peuvent se résumer ainsi : Paralysie des muscles adducteurs ou paralysie de phonation, avec intégrité des muscles tenseu
Intégrité des muscles tenseurs et abducteurs du larynx. Fig. 2. - Paralysie bilatérale des adducteurs (Phonation-émission de
et qui dans l'émission de la voyelle e ne se relève qu'à moitié, La paralysie du voile se montre bien quand la malade veut aval
e la première portion du pharynx sont parésiés : Il existe donc une paralysie limitée au voile du palais et au muscle constrict
ules. En plus il existe de troubles laryngiens caractérisés par une paralysie de la phonation et une insuffisance fonction- n
ostic de myopathie, et que dans celte dernière on n'observe pas des paralysies du voile du palais ou du larynx. Notre cas ne p
contractions fibrillaires, les données de l'examen électri- que, la paralysie du voile du palais et du larynx, voilà autant de
qu'il soit permis d'admettre cette extension (1), et déclare que la paralysie iabio-giosso-iaryngée appartient en propre à la
te, de même que toute atrophie myélopathique qui se termine par une paralysie labio-glosso- laryngée. Je crois que l'on pui
t le plo- sis de ta tête, c'est-à-dire le syndrome clinique dû à la paralysie des mus- cles extenseurs de la tête, a relaté l
ble analogie avec le nôtre. La séméiologie et le diagnostic de la paralysie des muscles de la nuque ont été illustrés d'une
sont respectées. Il existe toutefois une atrophie de la langue, une paralysie symétrique du voile du palais et une paralysie
ie de la langue, une paralysie symétrique du voile du palais et une paralysie d'abduction des cordes vocales dans l'inspirati
ue Schlodtmann (1) avait attiré l'attention sur ce fait que dans la paralysie périphérique du nerf spinal le trapèze s'atrophie
z tous les deux nous re- trouvons le même syndrome constitué par la paralysie du voile, la para- lysie laryngée et la paralys
constitué par la paralysie du voile, la para- lysie laryngée et la paralysie des muscles extenseurs de la tête. En présence
de la lésion reste facilité et, comme dit Ferrio, en présence d'une paralysie atrophique bilatérale du stel'J1o-clèido-mastoï
bilatérale du stel'J1o-clèido-mastoïdien et du trapèze, jointe à la paralysie atrophique des muscles innervés par les premiers
espo loto, in niforrna Medica, n° 119, 1895. (2) Brissaud et Bauer, Paralysie de l'hypoglosse, du spinal et de quelques rami/ic
du crâne avait produit une lésion des VIe, VIII" et XI" paires avec paralysie du voile du palais et du larynx tandis que la sen
a la malade et constata une amo- trophie de la langue à gauche, une paralysie du voile du même côté et une position cadavériq
u palais, mais il est très pro- bant au contraire par le fait de la paralysie de la corde vocale gauche qui assurément était
staté et fait constater par des laryngologistes, qu'il existait une paralysie du larynx localisée aux muscles arytliénoïdes et
it par des contractions cloniques ou des tremblements, soit par une paralysie *, qui se manifestent seulement pendant l'exercice
nctionnelles. Mais ce mot d'impotence évoque, en général, l'idée de paralysie ou d'atrophie musculaire; or, celles-ci sont l'
nnelle avec pression des muscles ou des nerfs. Mais ces douleurs ou paralysies une fois établies ne sont pas électives; elles
sont la parésie musculaire et un ex- cès d'irritabilité. Lorsque la paralysie est complète, le membre atteint cesse bientôt d
emblements; un troisiè- me, de destruction complète, produirait les paralysies . Ce ne sont là qu'hypothèses, dont la preuve an
rofessionnelle. Remak (194) a observé une crampe des écrivains avec paralysie et atrophie du fléchisseur du pouce droit, et n
lles. Celles-ci se traduisant soit par des névralgies, soit par des paralysies , apparaissent à la suite de l'attitude profession
constamment le fer avec les deux mains, peu- vent voir survenir une paralysie dans le territoire du médian, avec atro- phie d
l'éminence thénar et des interosseux [Côster (38)]. C'est encore la paralysie du muscle long fléchis- seur du pouce gauche (3
baguettes. On pourrait multiplier les exemples de névralgies ou de paralysies professionnelles, car presque tous les métiers
e confondre les névroses professionnelles avec certaines crampes ou paralysies , sous la dépendance d'une névrite, qui sont pro
onoplégies ou paraplégies : dans un cas, le tableau fut celui de la paralysie ascendante de Landry. Les phénomènes d'excitati
ésion et le type de l3énédiclt caractérisé par une hémiparésie avec paralysie croisée du nerf oculo-moteur commun et avec le
e com- plète, sans avoir jamais perdu réellement connaissance. La paralysie dura six mois, puis il retrouva le fonctionnement
ubles sphinctériens, ni de troubles trophi- ques importants, pas de paralysies oculaires, linguales, de ptyalisme, de trou- bl
ntes de toux et des phénomènes d'engouement ; il y a du reste de la paralysie du voile du palais. Crises sosmoc"M.ENfS sont p
y est pour rien. CHARLES Bell, le premier, différencia nettement la paralysie du nerf de celle de la mimique proprement dite, u
e ou pleurer quoique porteur d'une hémi- plégie complète et même de paralysie bilatérale. Ce sont là des faits uni- versellem
liques de plomb, puis un jour des fourmillements passagers, et sans paralysie , dans le bras droit. Deux ans plus tard il fut
énomène d'arrêt qui n'implique pas nécessairement l'existence d'une paralysie véritable. Dans certains cas, au contraire, on
sie véritable. Dans certains cas, au contraire, on a pu observer la paralysie évidente d'un muscle déterminé. Duchenne cite u
in gauche pour pouvoir continuer l'écriture. Il s'agissait là d'une paralysie fonctionnelle des muscles de l'épaule, en parti
e des écrivains se combine à la forme spasmodique ; il y a dès lors paralysie des doigts, puis spasme. Les caractères graphol
et de le distinguer -du tremblement delà sclérose en plaques, de la paralysie générale, de l'éthylisme, de la sénilité, etc.
ésite, à cause de l'état mental de M. A... à faire le diagnostic de paralysie générale au début ; mais le malade n'est pas sy
à confondre ces troubles avecceux que l'on observe parfois dans la paralysie générale, la maladie de Parkinson, la sclérose
Quelquefois la névrose se caractérise par un spasme, qui comme la paralysie peut affecter un ou plusieurs doigts. Reuter,cite
crampe des -flûtistes se manifeste soit par un spasme, soit par une paralysie fonctionnelle d'un ou plusieurs doigts ; les deux
te professionnel, et cessant avec lui, avec ce que l'on a appelé la paralysie des ciseaux ; cet instrument appuyant constamme
er à la longue 218 MACÉ DE LÉPINAY une atrophie des muscles, d'où paralysie flaccide, mais permanente, et non plus élective
d'où paralysie flaccide, mais permanente, et non plus élective. La paralysie des ciseaux rentre dans les paralysies professi
nte, et non plus élective. La paralysie des ciseaux rentre dans les paralysies professionnelles, mals non dans les névroses co
) a appelé hémiplégie héphestique (de 'H<pcw1roç, Vul- cain), ou paralysie des forgerons, paralysie survenant à la suite de
hestique (de 'H<pcw1roç, Vul- cain), ou paralysie des forgerons, paralysie survenant à la suite de l'exer- cice de la prof
ssent point. Il sera dès lors facile d'éliminer les né- vralgies et paralysies d'occupation, les spasmes banaux, les tics, et
ison les troubles moteurs des maladies organiques : chorées, tabès, paralysie générale, maladie de Parkinson, qui s'accom- pa
ette par l'exploration roentgénienne : par exemple, dans des cas de paralysie infantile (1) et de syringomyélie, chez les alién
adiographique. (1) ACIIAIIO et L. Lévi, Radiographie des os dans la paralysie infantile, Nouvelle iconographie de la Salpêtri
ds changements, le développement semble s'être fait normalement. La paralysie des muscles de la face n'est pas encore bien accu
ités, le pied-bot, les rétractions tendineuses. Les phénomènes de paralysie et de dégénérescence nerveuse sont par- ticuliè
s les groupes musculaires. Le coeur lui-même est un peu tou- ché.La paralysie , la pseudo-hypertrophie et l'atrophie se répartis
pendant toute la nuit ; on constata dès le début des accidents une paralysie faciale droite prédominant sur le facial inférieu
ont complètement cessé ; les troubles de la parole ont disparu, la paralysie faciale droite persiste ; l'ouïe est douloureuse
re irritable de M... s'est encore exagéré depuis l'apparition de la paralysie faciale. L'oedème des membres inférieurs présente
mé- decine, 96 session), est en état d'hypotonie : parésie, atonie, paralysie , son groupe antagoniste est en hypertonie : con
ous ce nom, comme le font certains écrivains, les névralgies et les paralysies d'occupation, affections provoquées par l'exerc
ge professionnel, réagiraient par un spasme, un tremblement, ou une paralysie , dans le territoire musculaire correspondant. P
fonc- tionnel coutumier. On pourra ainsi éliminer les névralgies et paralysies d'occupation, de même que toutes les affections
sme de la physionomie humaine, 1876, Paris. - Spasme fonctionnel et paralysie musculaire fonctionnelle. Bull. de thérap., 1860.
stes et des violonistes, Wien, med. Wochen., 1902. 176. DESTOT. - Paralysie cubitale par l'usage de la bicyclette. Gaz. hop.,
oc. biol. ,1889, p. 98 . Epicondylalgie. Rev. méd., 1897, n, 2. - Paralysie d'occupation. Rev. méd., 1898, n° 10. 178. Fran
- Coup d'oeil sur quelques appareils destinés aux malades affectés de paralysie partielle des membres. Bull. gén. thér., 1860.
, qui avait momentanément diminué la veille, de- vient complète. La paralysie de la moitié droite de la face du type facial inf
une accentuation plus marquée de ces mouvements inconscients. La paralysie qui existait, la veille, du côté droit, a diminué
e clinique médicale de l'Hôtel-Dieu pour une hémiplégie droite avec paralysies oculaires, faciale et troubles marqués de la pa
'elle est malade depuis 15 ans ; en 1896, elle a été atteinte d'une paralysie de la jambe droite qui est surve- nue progressi
elle a été prise brusquement d'un ictus apoplectiforme suivi d'une paralysie delà face et du bras du côté droit, d'aphasie, d'
que. A son entrée, à l'Hôtel-Dieu, en janvier 1905, on constate une paralysie du type facial inférieur, d'origine cérébrale, av
facial inférieur, d'origine cérébrale, avec hé- miplégie droite et paralysie des nerfs moteurs oculaires commun et externe,
protl1 béran tielle). Les muscle* masticateurs sont atteints d'une paralysie incomplète, la mas- tication est difficile ; le
de petits mouvements rythmiques concomitants. En janvier 1908, la paralysie faciale droite s'est encore accentuée; aucun mo
. Les muscles faciaux paralysés ne sont pas atrophiés. Il reste une paralysie complète des muscles droits inférieurs et de la
eur prononcée surtout du côté gauche de la face. Le 4 juin 1908, la paralysie faciale droite a augmenté, la moitié droite de
divergent, une déviation en bas, en dehors, à gauche, ainsi qu'une paralysie des muscles droits supérieur, inférieur, intern
e des muscles droits supérieur, inférieur, interne, avec ptosis par paralysie de la paupière supérieure et dila- tation de la
a paupière supérieure et dila- tation de la pupille, en un mot, une paralysie par compression du nerf moteur oculaire commun.
e par compression du nerf moteur oculaire commun. Le début de cette paralysie ne s'est pas accompagné d'ictus. En somme, la m
ntant encore la gêne de la vision. La diplopie, en rapport avec les paralysies oculaires précédentes, est très marquée. L'acui
nt dans le coma ; la température s'abaisse et se maintient ruz ; la paralysie des membres est flasque, complète, les mouvemen
s infectieux sur une cornée insuffisamment protégée par suite de la paralysie de la paupière supérieure. L'oeil droit est por
et déterminant le syndrome de Mil- lard-Gubler caractérisé par une paralysie du moteur oculaire externe de l'oeil gauche, de
ar une paralysie du moteur oculaire externe de l'oeil gauche, de la paralysie faciale totale gauche, de l'hémiplégie droite com
es d'une intoxication grave, myocardite, albuminurie accompagnée de paralysie des membres inférieurs, d'atrophie musculaire r
issent des escarres très étendues, au sacrum et au talon gauche, la paralysie devient flasque, l'incontinence succède à la ré
que d'être bien limitée, mais complète, l'atrophie musculaire et la paralysie sont complètes pour les muscles qui sont attein
es deux maladies. ' Puis j'étudierai (P.), dans un autre chapitrera paralysie des muscles du tronc, surtout des muscles abdom
cles du tronc, surtout des muscles abdominaux, en traitant de cette paralysie , d'abord pendant les premiers temps (les premie
ant le plus souvent à la méningite cérébro-spinale avec laquelle la paralysie infantile a été fré- quemment confondue ». Ma
sidérés comme dus à la méningite ne sont autre chose que des cas de paralysie infantile méconnus et dont les lésions ont amen
de la maladie au début et, en outre, sur la première apparition des paralysies au début de la maladie. Quant aux symptômes que
om- mes bornés à des indications, aussi courtes que possible sur la paralysie pour donner une idée générale de son extension.
e générale de son extension. Cette restriction ne con- cerne que la paralysie des muscles des membres ; quant aux troubles des
'état des réflexes tendi- neux sont traités aussi brièvement que la paralysie des muscles des mem- bres, et pour les mêmes ra
forment un groupe spécial, et aussi un cas avec une forme unique de paralysie persistante des muscles abdominaux, seront rapp
s observations sont réparties en groupes, d'après l'extension de la paralysie aux membres (un, deux ou plusieurs) au début de l
raide et avait l'opisthotonos de la nuque ; il y avait en outre une paralysie complète du membre inférieur droit. t, 384 PE
elques mouve- ments du membre inférieur droit, particulièrement une paralysie de ta flexion dorsale du pied. Cependant elle p
presque une semaine. Pendant ce temps 390 PETREN ET EHRENBERG une paralysie de tout le membre inférieur droit s'est déclarée
demain, elle a pu se tenir debout. Le surlende- main il y avait une paralysie complète des membres inférieurs et du tronc ou
as de symptômes en ce qui con- cerne les membres supérieurs. Pas de paralysie de la vessie. Pendant ce temps là des douleurs
sont contradic- toires. Etat le février. - Il y a maintenant une paralysie presque complète du membre inférieur droit et u
faibles, quand il a essayé de quitter le lit. La nuit suivante, une paralysie complète des deux mem- bres inférieurs s'est dé
urs et de la vessie a commencé. Etal le 12 novembre. - Il y a une paralysie presque complète du membre inférieur droit et u
ur de la nuque persiste encore à un certain degré le 4 décembre. La paralysie de la vessie avait disparu au bout de deux jours.
as droit. Elat le 22 août. La malade a tout le dos raide. Il y aune paralysie des deux membres inférieurs et une parésie de l
le long du dos, mais n'a pas eu, dit-il, de raideur de la nuque. La paralysie est venue au bout de quatre jours et a atteint le
emi. Immédiatement après cette fièvre les parents ont ob- servé une paralysie des membres inférieurs et supérieurs qui n'a pas
difficulté à mouvoir le mem- bre supérieur droit. Le lendemain, une paralysie réelle-de ce membre et un commencement de parés
resque pendant une semaine, d'après le malade. Il y avait alors une paralysie de la vessie et il a été cathétérisé une semaine.
trophie très prononcée. En regardant de plus près l'extension de la paralysie , on constate que ces symptômes ne vont pas en a
ent vers les extré- mités des membres. C'est ainsi qu'il existe une paralysie complète de l'épaule droite, pendant que les mo
le corps ». Cet état a persisté trois jours ; le troisième jour la paralysie est venue et en même temps les douleurs se sont
alysie est venue et en même temps les douleurs se sont apaisées. La paralysie a été complète dans les deux membres inférieurs,
rès lentement. Le 4 juin 1908, j'examine le malade et je trouve une paralysie complète de quelques-uns des mouvements des mem
plète de quelques-uns des mouvements des membres inférieurs ; cette paralysie n'est pas symétrique et elle n'augmente pas rég
s réflexes abdominaux persistent et ne sont pas affaiblis. Il a une paralysie de presque tous les mouvements des deux épaules a
tobre se sont déclarées une faiblesse des membres inférieurs et une paralysie de la vessie, qui a fait qu'on a été obligé de
sie, qui a fait qu'on a été obligé de le cathéténser. Le lendemain la paralysie des membres inférieurs est complète. La céphala
1er juillet. Au début, en janvier, on constate l'état suivant : la paralysie des membres inférieurs est encore complète et com
aux se présentent au début de la maladie avant l'appari- tion de la paralysie . Il .n'y a qu'un seul cas (XIV) sans indication n
un peu plus tard à droite également. Dis cette même après- midi, la paralysie du membre inférieur gauche est devenue complète e
e. La nuit elle a bien dormi. Le 8 novembre au matin elle avait une paralysie complète des membres inférieurs. De plus elle,a
r la colonne vertébrale, elle ne sent pas de douleurs. Il y a une paralysie complète des deux membres inférieurs qui sont abs
tion des muscles abdominaux. Pas de réflexes abdominaux. Il y a une paralysie complète de la vessie et la malade est cathétér
bles moteurs correspond parfaitement à une poliomyélite aiguë : une paralysie des deux membres inférieurs, qui se développe a
asymétriquement, mais, en très peu de temps, presque aussitôt, une paralysie du tronc et dans les deux jours suivants une pa
arésie des bras également et, au moins pour les membres inférieurs, paralysie d'un pur type flasque sans réflexes tendineux. Co
l'absence complète des symptômes généraux avant l'apparition de la paralysie a été pour nous une autre raison très forte con
a malade a subi à la clinique des changements très remarquables. La paralysie flasque des membres inférieurs a passé peu à pe
ous l'influence d'irritations extérieures. Dans l'état acluel de la paralysie , il n'y a aucune difficulté à conclure que nous
on a vu des cas où il y a des symptômes méningitiques, mais où une paralysie ne se déclare ja- mais. Wickman et Leegaard ont
idémie de poliomyélite aiguë, il y a, dans la plupart des 'cas, des paralysies du type ordinaire, même s'il faut concéder que
, des paralysies du type ordinaire, même s'il faut concéder que ces paralysies ne se dévelop- pent pas nécessairement dans tou
méningite cérébro- spinale épidémique, il ne se présente jamais de paralysies de ce type, mais il n'est pas rare, comme on sa
mentation de la pression et une lymphocytose pure. Quand il y a les paralysies caractéristiques de la poliomyélite, le diagnosti
, c'est le fait que ces cas avec symptômes méningitiques, mais sans paralysie , sont apparus au milieu d'une épidémie de poliomy
éreuse avec celles des cas de poliomyélite, abstraction faite de la paralysie elle- même, il nous semble qu'il existe des dif
ifférentiel entre les cas de poliomyélite avec méningite, mais sans paralysie , et les méningites séreuses restera certainement
rdinaire des maladies épidémiques. ? 2 PETRÉN ET EHRENBERG SUR LA PARALYSIE DES MUSCLES DU TRONC. par Petren Sur la paral
ENBERG SUR LA PARALYSIE DES MUSCLES DU TRONC. par Petren Sur la paralysie des muscles abdominaux. Il y a quelques années,
Sur la paralysie des muscles abdominaux. Il y a quelques années, la paralysie des muscles du tronc dans la poliomyélite aiguë
Dejerine et Thomas). En premier lieu, parmi les conséquences de la paralysie des muscles du tronc, on a sur- tout fixé l'att
des muscles du dos (Gowers, Dejerine et Thomas, Sachs). Quant à la paralysie des muscles abdominaux, ce n'est que dans ces d
publié tout dernièrement quelques statistiques sur la fréquence des paralysies des muscles abdominaux : les voici. Collins et Ro
s abdominaux : les voici. Collins et Romeisel' (22) ont observé une paralysie des muscles abdominaux dans cas sur 176, et Bra
sur 76. Baumann rapporte que, sur 85 cas, il en a observé deux avec paralysie des muscles abdominaux et deux avec pa- ralysie
arésie du tronc sur 23, et sur 198 cas, Lovett en a observé 40 avec paralysie du dos et 19 avec paralysie des muscles abdomin
ur 198 cas, Lovett en a observé 40 avec paralysie du dos et 19 avec paralysie des muscles abdominaux. En outre, Collins et Ro
scles abdominaux. En outre, Collins et Romeiser (23) ont trouvé une paralysie des muscles abdominaux dans 29 cas et des muscles
les 14 autres. Wickman me semble avoir approfondi la question de la paralysie des muscles abdominaux, car il fait une distinc
des muscles abdominaux, car il fait une distinction nette entre la paralysie apparaissant pendant la phase aiguë et la paral
nette entre la paralysie apparaissant pendant la phase aiguë et la paralysie persistante. D'après ÉTUDES CLINIQUES SUR LA PO
POLIOMYÉLITE AIGUË 423 son opinion, on aurait à la phase aiguë une paralysie des muscles abdo- minaux dans tous les cas où i
Il faut ici remarquer que dans les cas où Bramwell avait trouvé une paralysie des muscles abdominaux, il y avait également de
ment des troubles moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de paralysie du tronc, que Johannessen a publiés, il y avait
avoir combien de temps on peut encore espérer une régression de ces paralysies . Certes, il est difficile d'indiquer comme répons
ois, et peut- être même davantage, avant de pouvoir être sûr que la paralysie des muscles abdominaux persistera (quant aux pa
rs antérieurs où l'on a décrit des troubles moteurs provenant d'une paralysie des muscles ab- dominaux, pour donner une idée
érentes sous lesquelles ces troubles se présentent. Mais, comme ces paralysies peuvent s'amé- liorer, ou disparaître même aprè
être sûrs que tous les cas cités ci-dessous soient des exemples de paralysies persistantes. Cependant nous noterons, dans les d
ntes. Cependant nous noterons, dans les différents cas, l'âge de la paralysie , quand l'observation en a été faite. Une paraly
s, l'âge de la paralysie, quand l'observation en a été faite. Une paralysie de tous les muscles abdominaux a été observée par
maladie) et par Fowler (huit mois ; il y avait une scoliose). Une paralysie unilatérale, mais complète, des muscles abdominau
bout de deux semaines ; mais il semble que, dans ce dernier cas, la paralysie ait disparu au cours de l'observation postérieu
vé trois semaines après le début de la ma- ladie, où il y avait une paralysie unilatérale de la moitié inférieure des mus- cl
; le grand droit du côté atteint était conservé, mais affaibli. Une paralysie unilatérale de la moitié supérieure des muscles a
ermann a été publié par V. Baracz. Un type tout à fait différent de paralysie des muscles abdominaux a été décrit par Strassb
s muscles abdominaux a été décrit par Strassburger ; il y avait une paralysie des deux grands droits, mais les deux transvers
ncore un autre type qui a été décrit par Loewegren ; il y avait une paralysie des muscles abdominaux (aussi des grandes droits)
Dennett rapporte un cas où il a observé, 7 mois après le début, une paralysie des muscles abdominaux au-dessus de l'ombilic.
'ombilic. Lafetra indique très brièvement qu'il a vu deux cas d'une paralysie unila- térale des muscles obliques, mais sans d
s de la motilité qu'il a observés. Leischner a vu un cas avec une paralysie unilatérale des muscles abdo- minaux transverse
e on le voit, nous avons un certain nombre de formes différentes de paralysie des muscles abdominaux. Cependant il me semble qu
e qu'on n'a pas toujours prêté assez d'attention aux détails de ces paralysies , surtout à l'état du grand oblique. Les sympt
s paralysies, surtout à l'état du grand oblique. Les symptômes de paralysie des muscles abdominaux que nous avons observés
ce expiraloire. En considérant ces symptômes comme des signes d'une paralysie des muscles abdominaux, il ne faut pas oublier le
sont là les symptômes bien connus comme étant la conséquence d'une paralysie de tous les muscles abdomi- naux. Il est aussi
de règle que tous ces muscles soient atteints quand il s'agit d'une paralysie dans la phase aiguë de la maladie, et Wickman a
stitue proba- blement un moyen précieux pour étudier le degré de la paralysie des muscles abdominaux, surtout des grands droi
orte sur cinq mois à peu près de- puis le début de la maladie et la paralysie de tous les muscles abdominaux était cette fois
XXV, nous avons vu une parésie des muscles abdominaux, mais pas une paralysie complète; la maladie durait alors depuis 9 mois.
presque à notre surprise une amélioration assez considérable de la paralysie . En conséquence, cette observation nous montre
à auparavant. Dans tous nos cas cités jusqu'ici, il s'est agi d'une paralysie de tous les muscles abdominaux ou d'une parésie
ux au même degré. Cepen- dant, nous avons observé dans deux cas des paralysies partielles des mus- cles abdominaux. L'un de ce
de douleurs quand on exerce une pression sur la colonne vertébrale. Paralysie presque complète du membre inférieur droit, par
a parésie du membre inférieur gauche a aug- menté, et le 18 juin la paralysie du membre inférieur droit est complète et celle
douleurs, si l'on presse la région fessière. Etat le 17 août. La paralysie des membres inférieurs est tout à fait la même
e des muscles du dos, qui sont les extenseurs du tronc. La forme de paralysie des muscles abdominaux que l'on observe dans ce
ans ce cas n'a pas été décrite jusqu'ici. Quant à l'extension de la paralysie , le cas correspond dans l'ensemble au cas de Lo
, autant que je peux en juger, unique : c'est en ce qui concerne la paralysie unilatérale du grand oblique. Lafetra rapporte
lysie unilatérale du grand oblique. Lafetra rapporte qu'il a vu des paralysies unilatérales des muscles obliques, mais il ne d
symp- tômes constatés. La conséquence la plus remarquable de cette paralysie , c'est la déformation du thorax qui se manifest
u moins en général. Une telle déformation du thorax résultant d'une paralysie de l'un des deux grands obliques n'a pas été dé-
férieure de ces muscles est réduite à droite. Nous avons trouvé une paralysie de l'un des deux grands obliques (droit) et nou
obliques (droit) et nous avons constaté, comme conséquence de cette paralysie , la même asymétrie du thorax qui se manifeste p
e et qui a ici presque la forme d'une hernie. Cette conséquence des paralysies partielles des muscles abdominaux a été déjà pl
déjà plusieurs fois observée (Medin, Ibrahim et Hermann). Sur la paralysie des muscles du dos. Quant à la paralysie des mu
ahim et Hermann). Sur la paralysie des muscles du dos. Quant à la paralysie des muscles du dos, il est difficile de constater
de constater son existence pendant la phase aiguë, quand il ya une paralysie des muscles abdominaux et que,par conséquent, l
probable qu'on a toujours, quand il y a au début de la maladie une paralysie des muscles abdominaux, en même temps une paral
la maladie une paralysie des muscles abdominaux, en même temps une paralysie des muscles du dos. D'ailleurs, on n'avait jusqu'
muscles du dos. D'ailleurs, on n'avait jusqu'ici prêté attention la paralysie des muscles du dos que presque uniquement dans le
tionnement des muscles du dos, car la malade a eu tout le temps une paralysie complète des mus- cles abdominaux et est toujou
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV, la paralysie des muscles du dos se montre par l'im- possibil
; par moments on constate du strabisme interne de l'oeil gauche par paralysie du droit externe gauche qui amène de la diplopi
u; tremblement de la langue. On observe aussi quelques signes de la paralysie progressive : faiblesse de la mémoire, troubles d
ire une spondylose du type Bechterew compliquée de phénomènes de la paralysie pro- gressive. Quant à l'origine de la maladi
cordent tout à fait avec celles qu'on trouve habituellement dans la paralysie générale progressive. Certaines modili- cations
ngo-myélite à évo- lution lente, sont probablement liées aussi à la paralysie générale. Quant à la dégénérescence des racines
la syphilis et que, d'autre part, il a présenté des symptômes de la paralysie générale progressive, on peut se demander, natu
s os ou bien des lésions parasyphilitiques survenues au cours de la paralysie générale progressive. Dans le premier cas, il s'a
chronique ou l'arthrite gommeuse,manquent également. Etant donné la paralysie générale du malade, on peut supposer un trouble
de la même origine que la sclérose vasculaire. Cependant, comme la paralysie générale, tout en pro- xxti 34 506 ROUDNEW
lieu si ces lésions étaient d'origine rhumatismale. Ainsi, ni la paralysie générale, à elle seule, ni le refroidissement, ne
Il faut donc admettre l'association de ces deux causes : syphilis ( paralysie géné- rale) et refroidissement. Nous imaginon
trouvé des conditions convenables à son développement : syphilis et paralysie générale. Il en est résulté des altérations grave
des trous et des fentes de la base, elle donne l'exophtalmie et la paralysie des nerfs crâniens ; chez Lippi, ces symptômes ma
es troubles de la respiration. Je remarquerai, d'abord, que déjà la paralysie des muscles abdominaux cause, si elle est compl
rmales et n'ont qu'une force très diminuée. Dans notre cas XIX avec paralysie complète des muscles abdominaux, nous n'avions
qu'on ne pouvait attribuer la pneumonie- seule. Toutefois, quand la paralysie n'atteint pas les muscles de la respi- ration a
ent l'idée émise par Wickman, qu'on aura probablement ^toujours une paralysie des muscles abdominaux quand il va paralysie et
ablement ^toujours une paralysie des muscles abdominaux quand il va paralysie et des membres inférieurs et de l'un au moins d
MYÉLITE AIGUË 547 7 présentant l'extension indiquée ci-dessus de la paralysie des membres, des troubles de la respiration tho
troubles de la respiration thoracique, c'est-à-dire ou faiblesse ou paralysie (exception faite, bien entendu, pour les parties
ette question, il y en a deux (XVII, XVIII) où il y a eu parésie ou paralysie des deux membres inférieurs et de l'un ou des deu
aura toujours des troubles de la respiration thora- cique quand la paralysie a atteint à la fois les membres inférieurs et les
s inférieurs. La motilité du bras droit est très restreinte. Il y a paralysie du tronc, paralysie aussi de la vessie et le mala
ilité du bras droit est très restreinte. Il y a paralysie du tronc, paralysie aussi de la vessie et le malade a été cathétéri
ensation très nette qu'il va mourir d'une suffocation causée par la paralysie des mou- vements respiratoires et il déclare lu
espiratoires, si l'on in- terrompt la respiration artificielle ; la paralysie de la déglutition continue à être Complète. P
être Complète. Pendant le cours du jour on remarque qu'il y a une paralysie de la vessie (cependant il a pu uriner lui-même
OMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plus mauvais. Puis il meurt, d'une paralysie du coeur, semble- t-il, entre 2 et 3 3 heures d
e ces trois cas nous donnent des exemples de types diffé- rents des paralysies respiratoires. Dans le cas XXXI, nous avons le pu
ysies respiratoires. Dans le cas XXXI, nous avons le pur type d'une paralysie du diaphragme, tandis que la respiration thoraciq
on thoracique est conservée. Il est intéressant de remarquer que la paralysie n'avait atteint, dans ce cas, que l'un des memb
une lésion ne s'étendant pas au-dessous de la moelle cervicale. Une paralysie du diaphragme dans la poliomyélite semble être ra
te semble être rare. Wickman en publie deux cas (dans tous deux, la paralysie avait com- mencé par les membres inférieurs), m
cemment j'ai eu l'occasion d'observer pendant longtemps un cas avec paralysie absolument complète de la respiration thoracique.
compression de la moelle dans la région du renflement cervical avec paralysie et anesthésie complètes au-dessous de la lésion.
tant presque disparus. Cela dépen- dait évidemment, en outre, de la paralysie absolue des muscles abdomi- naux que présentait
accès de bronchite, être près de suffoquer. Wickman conclut que la paralysie des muscles intercostaux serait mieux supportée
la paralysie des muscles intercostaux serait mieux supportée que la paralysie du diaphragme. Cette observation que nous avons f
BERG n'appuie pas cette conclusion, au moins pas dans les cas où la paralysie atteint en même temps les muscles intercostaux
s abdominaux. En traitant des troubles respiratoires causés par des paralysies spinales, je veux aussi attirer l'attention sur
vons faite dans le cas XXVI publié ci-dessus. Comme il s'agit d'une paralysie com- plète due à une lésion spinale des segment
ausent des contractions involontaires des mus- cles atteints par la paralysie spasmodique. Nous croyons que cette dernière su
morts pen- dant la phase aiguë (XXXII, XXXIII), il s'est agi d'une paralysie complète de la respiration, exception faite pou
teurs auxiliaires du cou. Dans le cas XXXII, il y avait d'abord une paralysie de la respiration thora- cique et plus tard (c'
a point eu la conscience troublée jusqu'au dernier moment. Comme la paralysie avait commencé par les membres inférieurs et qu
mencé par les membres inférieurs et qu'il est survenu plus tard une paralysie de l'un des membres supérieurs également, ce ca
rieurs également, ce cas nous fournit un exemple du vrai type d'une paralysie ascendante. Dans le cas XXXIII, j'ai observé ég
aralysie ascendante. Dans le cas XXXIII, j'ai observé également une paralysie , tant de la ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLIT
a première fois le malade, et, par conséquent, je ne sais pas si la paralysie ]de la respiration a commencé par le diaphragme ou
nées par le malade, on ne peut décider si les premiers signes de la paralysie sont apparus au tronc ou aux membres supérieurs
le bulbe a été également atteint, ce cas nous est un exemple d'une paralysie se répandant et dans la direction ascendante et
scendante et dans la direction descendante. Wickman remarque que la paralysie , chez les malades qui meurent de la maladie, peut
Cependant, il ne donne pas d'exemple d'un cas de cette espèce avec paralysie descendante. Dans le cas XXXIII, j'ai vu ce qui
comme probable que, pour une mort par suffoca- tion résullant d'une paralysie aiguë et presque complète de la respiration due
II, il y avait une dysphagie et dans le cas XXXIII j'ai observé une paralysie complète de la déglutition, une déviation de la
x derniers cas de poliomyélite, je ne crois pas, néanmoins, que les paralysies de la respi- ration qui ont été observées puiss
lésion du bulbe. D'abord, il faut remarquer qu'il n'a pas existé de paralysie des fibres motrices du pneumogastrique, caria v
ut-être pas assez fait la distinction entre les symptômes dus à des paralysies spinales des muscles de la respiration et ceux
, nous ne pouvons rapporter un tel arrêt de la respiration qu'à une paralysie du centre respiratoire du bulbe. Ce qui est surto
dit, il faut rapporter l'arrêt de la respiration dans ces cas à une paralysie du centre respiratoire dans le bulbe. Dans les ca
ités ci-dessus, il n'est pas difficile de trouver la cause de cette paralysie : dans trois cas, il y avait une tumeur du cervel
heyne-Stokes). Mais la question de savoir s'il existe des formes de paralysie de la respiralion se rapportant à une affection d
nheim), ou qu'ils ne le sont jamais. Medin a rapporte deux cas avec paralysie de la vessie, qui disparu en peu de temps, et W
opor- tion de 33 0/0. Il est bien évident que cette fréquence de la paralysie de la vessie que j'ai observée ne correspond pa
de Wickman, mais de 16, 7 0 0 si l'on ne regarde que les cas où une paralysie s'est déclarée. Mais si l'on prend seulement le
voir prêté une cer- taine attention à ce fait, car ils indiquent la paralysie infantile comme « rarement mortelle » ; mais il
t comme une règle presque sans exception qu'il restera toujours une paralysie (Gowers, Oppenheim). Sur ce point aussi Pierre Ma
fait observé dans la plupart des cas de poliomyélite qu'au début la paralysie est plus diffuse et que plus tard elle se limit
le ici d' « une amélioration très considérable » pour les cas où la paralysie ou parésie des muscles les plus atteints montrent
is, à peu près guérie. Observation X, enfant âgée de 7 ans, d'abord paralysie complète des deux membres inférieurs ; après 12
moteurs des mem- bres ont presque disparu, mais il reste encore une paralysie partielle des muscles abdominaux. Observation
muscles abdominaux. Observation XII, garçon âgé de 16 ans, d'abord paralysie complète d'un membre inférieur, parésie de l'au
eurs de l'épaule. - Observation XIII, femme âgée de 33 ans, d'abord paralysie complète des deux membres inférieurs et du tron
à une guérison absolue ou à peu près telle, même s'il a existé une paralysie complète de tout un membre inférieur et une par
. XII). (Ici je pourrais citer aussi le cas XIII, où il y avait une paralysie complète des deux membres inférieurs, quoi- que
ète. De même, le cas X doit être rap- porté ici, parce qu'il y a eu paralysie complète des deux membres infé- rieurs et que l
ologie, on indique presque toujours comme ma- ladies différentes la paralysie spinale infantile et la poliomyélite (ou pa- ra
sidérés comme dus à la méningite ne sont autre chose que des cas de paralysie infantile méconnus et dont les lésions ont amené
ut Medin qui a décrit un certain nombre de formes différentes de la paralysie infantile qui se rapporteraient à des localisatio
ositif, il n'y avait pas de clonus. On constatait en même temps une paralysie du droit interne de l'oeil gauche. La sensibili
Foyers inflammatoires et nécrobiotiques avec sclérose secondaire. ( Paralysie générale). Cas de H. Bond, etc. b) Symétrique
et XII" paires, puis atteignant la XIe paire et bientôt amenant la paralysie de tous les noyaux bulbaires et la mort. L'évol
iNaAzzmi). 1 LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES CONSÉCUTIVES A LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE PAR * le D' Paul ALESSANDRI
éviés avec les doigts en griffe. La difformité était bilatérale, la paralysie était à peu près la même des deux côtés et loca
T.XXtI.Pt.LXIX ATROPHIES MUSCULAIRES TARTIVES CONSÉCUTIVES A LA PARALYSIE INFANTILE 4 (isilessandrini) Masson et Cie. E
myé- lite antérieure aiguë lombaire,qui produisit des deuxcôtés une paralysie de quelques muscles antérieurs des jambes et du
le caractère flasque et progressif du côté proximal ou distal de la paralysie , sans notable R. D. ; l'abolition des réflexes pr
liomyélite chronique, soit en considérant la marche, soit parce que paralysie et atrophie muscu- laire ont progressé parallèl
ralysie et atrophie muscu- laire ont progressé parallèlement, et la paralysie n'a pas précédé l'atro- phie. Contre la sclér
ects nous obligent à conclure que chez notre malade déjà alteint de paralysie spinale infantile dépendant d'une poliomyélite
troubles atropbiques et paralytiques chez des individus atteints de paralysie spinale infantile : ce fut Raymond qui éveilla l'
ente sur le développement des atrophies tardives, consécutives à la paralysie infantile. On a attribué une grande importance, c
e. On a cependant décrit des atrophies musculaires qui ont suivi la paralysie infantile à une distance de 40 ans (Garbset) et
membres qui étaient restés paralysés au moment de l'invasion de la paralysie infantile et qui en avaient été délivrés au mom
omme, juge de tribunal, qui, à l'âge de deux ans, fut atteint d'une paralysie spinale infantile, qui lui laissa une parésie d'u
musculaire spinale est démontrée par les atrophies consécutives aux paralysies spinales infantiles. En effet, dans notre cas e
hies tardives du type spinal aussi en des individus frappés par une paralysie cérébrale infantile comme dans le cas décrit pa
appelle les étroits rapports pathogéniques entre les deux formes de paralysie infan- tile (Vizioli, Strümpell, etc.). , Dan
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gique, 1905, no 4. CRonzox. Reprises de paraplégie sur une ancienne paralysie infantile. Société neurol., séance 7 février 19
e Weber dit seulement qu'il était « possible » qu'il eût existé une paralysie due à une affection cérébrale (qui avait d'aill
d'une poliomyélite, un autre d'une poliencéphalite, les autres sans paralysie ) ; Pierre Marie et Rossi (chez le même malade,
arie et Rossi (chez le même malade, poliomyélite qui avait causé la paralysie de l'un des membres inférieurs et poliencéphali
e l'un des membres inférieurs et poliencéphalite qui avait causé la paralysie de l'autre; examen anatomique) ; Neurath (71) (
déjà dit, Medin considère la polynévrite comme une des formes de la paralysie infantile. J'indiquerai d'abord les raisons donné
ie de guérison, il s'agirait de la polynévrite, dans les cas où une paralysie persiste, il s'agirait d'une poliomyélite. Wickma
nombre de cas où la poliomyélite ne peut être douteuse, mais où la paralysie disparaît en peu de temps; et de même, il est trè
est très fréquent, d'après mon opinion, c'esl même la règle-que la paralysie soit plus étendue au début de la poliomyélite q
due au début de la poliomyélite que plus tard, ce qui prouve que la paralysie causée par le processus morbide de la poliomyélit
vants, l'incompétence musculaire a augmenté, mais sans entraîner de paralysie complète, sinon de la flexion dorsale des pieds.
sensations de fourmillement aux mains et une faiblesse des mains. La paralysie a continué à augmenter pendant le temps qu'il e
tés. Pas de symptômes pour les nerfs crâniens. Il y a presque une paralysie complète pour les mouvements des pieds et des o
es épaules la force est diminuée, mais beaucoup mieux conservée. La paralysie est partout flasque. Le malade peut s'asseoir d
mps passés à la clini- que. Le 28 décembre, nous avons constaté une paralysie complète pour les mouvements des pieds et des o
intenant le malade ne peut plus s'asseoir sans s'aider des bras. La paralysie des parties périphériques des membres supérieur
énéral les membres inférieurs auxquels s'atta- que de préférence la paralysie . Mais, si dans la poliomyélite la paralysie s'é
a- que de préférence la paralysie. Mais, si dans la poliomyélite la paralysie s'étend ailleurs qu'aux membres inférieurs, ell
, nous trouvons des règles absolument autres pour l'extension de la paralysie dans la polynévrite ; car ici la paralysie se pro
s pour l'extension de la paralysie dans la polynévrite ; car ici la paralysie se propage très sou- vent des membres inférieur
t dans le cas XXXVI où le contraste était très remarquable entre la paralysie très accusée pour tous les membres et la motili
le malade est entré à la clinique. En outre, la répartition de la paralysie entre les muscles du même membre montre souvent
onstater même aux membres inférieurs ; cardans la poliomyé- lite la paralysie peut se localiser tout à fait irrégulièrement, pa
de la hanche et de la cuisse. Au contraire, dans la polynévrite, la paralysie est très régulièrement la plus marquée pour les
sont pas complètement paralysés. Cette loi de l'augmentation de la paralysie en allant vers les extrémités des membres a été
ans les trois cas de polynévrite publiés ici. S'il y a une phase de paralysie complète de tous les muscles du membre, on peut
tre plus distinctement encore ; car, dans cette dernière maladie la paralysie est le plus souvent localisée surtout dans les mu
ingitiques avec une lymphocytose du liquide céphalo-rachidien et la paralysie ne s'étendant qu'à un membre. Au contraire, dan
mptômes méningitiques, pas de début brusque de la maladie, mais une paralysie des quatre membres qui a disparu en premier lieu
ymptômes pendant deux semaines, au début, douleurs dans les doigts, paralysie symétrique des quatre membres et des nerfs crâ-
nt de vue anatomique ou fonctionnel. Medin a décrit une forme de la paralysie infantile qu'il nomme ataxie aiguë. Car il a ob
eurs. Il ne s'agissait pas d'enfants mais, dans tous les cas, d'une paralysie qui atteignait aussi les nerfs crâniens. Par co
vons faire la distinction entre les cas d'après l'exten- sion de la paralysie . Mais il ne me semble pas qu'on soit fondé à indi
on soit fondé à indiquer comme des formes différentes les cas où la paralysie a atteint par exem- ple 2 ou 4 membres. Il sera
e la maladie. Wickman a décrit comme formes spéciales les cas où la paralysie a un type ascendant ou un type descendant. Cela
un type descendant. Cela ne me semble pas très fondé, parce que la paralysie est ascendante presque dans la plupart des cas où
e la paralysie est ascendante presque dans la plupart des cas où la paralysie atteint des parties du corps autres que les membr
les membres inférieurs. Il serait plus vrai de parler des cas avec paralysie d'un type descendant comme d'une forme spéciale
ions anatomiques et enfin de ce que les symptômes de la phase de la paralysie sont en réalité tou- jours du même type. La c
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chez un même malade de la paraplégie cérébrale infan- tile el de la paralysie spinale infantile, Nouv. Iconog, de la Salp., t.
;lriimpell's paralysis (polio-encephalilis) combined wilh infantile paralysie , The Lancet, 1899, t. II, p. 23. 109. Zarrsnx (
oyens, soit parce qu'ils ont été détruits par une lésion organique ( paralysie générale), soit parce qu'ils ne sont pas encore
IEII)IITTE, 605. Atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie infantile (1 pl. ), par ALESS.4\- diiim, 650.
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LESS\¡';DR1XI, Les atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie spi- nale infantile (1 pi.), 650. ALQuiER. Su
XIII à LXVIII. Alrophies musculaires tardives consécuti- ves à la paralysie infantile (ALESSANDniNi), LXIX. Aveugles dans
29 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
arait y avoir ni tumeur cérébrale (intégrité du fond de l'oeil), ni paralysie générale, ni syphilis, ni épilepsie. Aucun des sy
ntre, se croyant enceinte du diable. Dans d'autres cas (démences, paralysies générales, etc.), la mort est la conséquence ac
au pyramidal. (Revue neuro- logique, février 1899.) E. B. VIL Des paralysies généralisées dans la fièvre typhoïde ; par le D
éralisées dans la fièvre typhoïde ; par le Dr Etienne. Les cas de paralysies généralisées, diffuses, au cours de la fièvre t
on de pathologie générale nerveuse. La complication constituant les paralysies généralisées, observées 52 REVUE DE PATHOLOGIE
Landry (secondaire). IL Syndrome manifestant la polynévrite. III. Paralysie généralisée de type mixte traduisant la lésion co
la tumeur. A. Fenayrou. XIII. Sur le phénomène de Ch. Bell dans la paralysie faciale péri- phérique et sur sa valeur pronost
es malades, des deux sexes, il n'y avait, à ce jour, aucun cas de paralysie générale. Voici, en terminant, quelques renseig
g oce ! '= ! C/t/. Brochure in-8° de 2t pages. Sano (F.). Un cas de paralysie d'origine scarlalineuse. Brochure in-8° de 5 pa
très nerveuse, elle a eu des attaques de nerfs, elle a une sorte de paralysie du bras gauche accompagnée de troubles de la se
u une maladie grave, des convulsions qui ont laissé après elles une paralysie incomplète du côté gauche. Chen... nous a montr
Les deux maladies susceptibles d'expliquer le fait actuel sont : la paralysie infantile et l'hémiplégie cérébrale infan- ' P.
ARRET DE DÉVELOPPEMENT DE L'HUMÉRUS GAUCHE. 121 1 tile. C'est à la paralysie infantile que l'on pense d'abord : les déformat
es, l'écart minimum a été de 91,66 à '100. t llé( : Jère. Un cas de paralysie spinale infantile avec participation du nerf fa
aude et par l'automatisme psychologique ou pathologique. G. D. V. Paralysie générale chez une imbécile; par le Dr CoLr.EanE.
ez cette imbécile, entrée à l'asile avec les signes cliniques d'une paralysie générale associée, le cerveau proprement dit pesa
proprement dit pesait '73' ! grammes et l'encéphale entier 872. La paralysie générale ne serait donc pas le monopole des gen
ns algésique étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale ; par le De MARANDON de Montyel. (l3ac
9.) E. Bu : >. \II. Du rôle de l'hérédité dans l'étiologie de la paralysie générale; par J. CROCQ. (JOUI'n de Neurologie,
CQ. (JOUI'n de Neurologie, 1899, nos si et 7 ) D'après l'auteur, la paralysie générale ne serait qu'une des nom- breuses mani
3 : lhONr·. Sur les altérations du système nerveux central dans les paralysies saturnines. En introduisant des préparations sa
n se basant sur un cas ancien, examiné anatomiquement, admet que la paralysie saturnine relève de la poly- névrite. M. Soukua
développement du cerveau par la distension de la boite crânienne. Paralysie générale juvénile. M. TOULOUSE communique l'obs
trouvait à l'autopsie des lésions que M. Tou- louse attribue à une paralysie générale juvénile. Pour lui la para- lysie géné
e précoce chez les épileptiques ne sont que des formes méconnues de paralysie générale. M. ARKAUD. Avant d'étendre le domai
e paralysie générale. M. ARKAUD. Avant d'étendre le domaine de la paralysie géné- rale, il conviendrait de la delimiter exa
ec tous les caractères de l'épilepsie classique sans aucun signe de paralysie générale. Puis, brusquement, elle manifeste tou
es faits cliniques et l'autopsie. Il ne croit pas qu'il s'agisse de paralysie générale juvénile. M. TOULOUSE. Avant de déli
nérale juvénile. M. TOULOUSE. Avant de délimiter le domaine de la paralysie générale, il convient de connaître toutes les v
nde quel diagnostic il conviendrait d'appliquer. M. ARNAUD. Si la paralysie générale est encore dans une période d'évolutio
une épileptique. M. Toulouse ne pense pas que l'histologie de la paralysie géné- rale soit en voie d'évolution. Ce qui lui
dans l'épilepsie essentielle. Us sont relativement rares dans la paralysie générale. Marcel Briand. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE.
ique pour comprimer les fibres radiculaires. Hémiplégie gauche et paralysie alterne de l`c sensibilité. M. Ballet. Il est a
aduisant une lésion de la moitié gauche de la moelle cervicale. Une paralysie alterne de la sensibilité indique une lésion da
et. Sans doute, on peut, par suggestion, obtenir le transfert d'une paralysie ou d'une contracture, comme on peut aussi guéri
a suggestion. Or, quand chez un malade, atteint, par exemple, de la paralysie d'un membre, on applique l'aimant sur le membre
e sain, le malade, par suggestion, pourra bien faire disparaître la paralysie , mais il ne la fera point passer dans le membre
e est aboli dans la cécité corticale, conservé dans certains cas de paralysie des mouvements des yeux (V. plus loin) dans la pa
ins cas de paralysie des mouvements des yeux (V. plus loin) dans la paralysie pseudo-bulbaire. '18 : 2 PHYSIOLOGIE. tion
ément. Cela nous fait déjà prévoir que nous ne trouverons jamais de paralysies de ces musles sur uu seul oeil, dans les lésion
t établi ; une lésion unilaté- rale pourra déterminer une véritable paralysie , de même qu'une lésion unilatérale peut quelque
cas rares, la lésion des deux centres du même côté peut produire la paralysie du releveur. La plosis d'origine corticale nous
ples ou très éten- dues. Il n'est pas impossible cependant que la paralysie des mus- cles palpébraux puisse être due à la l
de la langue, des lèvres, du pharynx et du larynx, c'est dans les paralysies pseudo-bulbaires que nous devions chercher l'ex
ix mois après, attaque convulsive suivie de mono- plégie gauche, de paralysie complète des mouvements volontaires de la langu
in Wernicke Arch. f. Psych. t. XX, p. 273). Le malade atteint de paralysie pseudo-bulbaire présentait du côté des yeux les
r cette malade. Etendue dans son lit, avec le masque immobile de la paralysie pseudo-bulbaire, la malade n'attirait nullement
ev. de méd., 1877 ; p. 917). Femme de vingt-cinq ans, atteinte de paralysie pseudo-bulbaire, à la suite de plusieurs ictus.
avec sensa- tion de gêne et de pesanteur dans le bras gauche, puis paralysie de la jambe gauche avec hémianestésie. Un an ap
emier cas, il s'agissait d'un homme de soixante-cinq ans atteint de paralysie pseudo-bulbaire, et présentant une paralysie in
te-cinq ans atteint de paralysie pseudo-bulbaire, et présentant une paralysie incomplète des mouvements de latéralité des yeu
econd cas, un malade âgé de quarante-neuf ans, atteint également de paralysie pseudo- bulbaire, présentait des mouvements de
cinquante-deux ans, charpentier, atteint après plu- sieurs ictus de paralysie pseudo-bulbaire, et présentant une impossibilit
ique que nous avons décrit. Il assimile absolument ces troubles aux paralysies pseudo-bulbaires, et propose le nom d'ophtalmop
urquoi les troubles oculaires sont .si ' rarement signalés dans les paralysies pseudo-bulbaires. , ' ' Wernicke, loc. cil ?
aduelle des symptômes : malaise, céphalée. vomissements, confusion, paralysies , la terminaison fatale dans le coma avec ou san
et tombe dans le coma d'où il ne sortira pas. Parfois apparaît une paralysie d'un côté, mais le plus sou- vent il n'y a pas
aît une paralysie d'un côté, mais le plus sou- vent il n'y a pas de paralysie » (Watson). Broadbent a complété cette descript
anesthésie et du sopor. Il attire l'attention sur un léger degré de paralysie faciale, sur la déviation latérale des yeux pre
menton et les yeux sont fixés à droite ; on constate en outre de la paralysie faciale gauche : l'orbiculaire des paupières es
qui demeurent con- tracturés ; les membres gauches sont en état de paralysie flasque et les paupières sont abaissées. Déviat
fume la pipe des deux côtés, affaisse- ment des- deux commissures, paralysie flasque à gauche. Dans la soirée, l'oeil gauche
Pupille droite dilatée au maximum ; la gauche demeure punctiforme. Paralysie flasque totale à gauche ; la con- tracture a di
blés vertigineux, le malade tombe, sans perte de connaissance, sans paralysie , avec seulement une sensation de faiblesse ; ou
issance ; enfin' le seul symptôme de début peut être une attaque de paralysie qui disparaît rapidement. L'absence de perte de
parfois elle n'apparaît, dans les cas dont le début se fait par une paralysie brusque qu'après cette dernière ; elle n'est mê
où le coma terminal s'installe. Dans les cas les plus typiques, la paralysie apparaît gra- duellement tantôt par une paresse
t tantôt par une paresse croissante de tout un côté, tantôt par des paralysies partielles successivement surajoutées. Ainsi da
urs pan exemple après la disparition rapide d'une légère attaque de paralysie du début, se produire brusquement une hémiplégi
'intensité dès le début sous forme d'une hémi- plégie flasque. La paralysie pèut être précédée de phénomènes convul- sifs.
également complète (obs. de Puech et obs. III). Dans les cas où la paralysie s'est établie progressivement, la marche des tr
ccroît progressivement jusqu'à l'hémianesthésie complète lorsque la paralysie est totale, sans toutefois arriver toujours à c
ées et accidentelles, l'ostéoporose, l'état des os du crâne dans la paralysie générale, les hyperostoses, le ramollisse- ment
l'artère mésentérique supé- rieure pendant une heure détermine une paralysie des extrémités postérieures et l'animal meurt q
té et de la sensibilité dans les membres postérieurs, mais point de paralysie complète. L'anémie de la moelle lombaire et sac
s. P. Keraval. XIII. Contribution au traitement du tabes et de la paralysie géné- rale ; par ADLEU, (Centralbl. f. 6e ? : /
ort, légère mydriase, ptosis léger; parole impercep- tible ; pas de paralysies ni d'anesthésies; faiblesse et oppression crois
l'ouïe et du délire de persécution. On a signalé aussi des pseudo- paralysies générales, dont les autopsies n'ont révélé en auc
ment dans l'exci- tation maniaque pure, la folie à double forme, la paralysie géné- rale au début, l'imbécillité et en partic
es tumeurs encé- phaliques opérées. Baillet (Arsène-Auguste). Les paralysies urémiqucs. - Bakradzé (Marie). Contribution à l
Julien). Comment meurent les épi- leptiques. Ballet (Victor). De la paralysie bulbo-spinale ctsllté- nique ou symptôme ! l'Ea
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Contribution à l'étude des hernies épigastriques. Foix (Jean). Des paralysies posl- typhiques.- Fouqueau (Ernest-Paul). Obser
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Contribution Ci l'étude des lésions spinales pos- térieures dans la paralysie générale. Rebière-Laborde (Léon). t-ontribtttio
t tombants. Facial supérieur intact. Au membre supérieur gauche, la paralysie estcomplète avec début d'une contracture en fle
l'inten- sité qu'ils offrent aujourd'hui. État actuel (19 mars). Paralysie faciale droite totale ayant respecté les muscle
lité. Membre supérieur droit. Impotence absolue de lout le membre ; paralysie flasque. La température parait plus élevée que
u niveau de l'olécrâne. Membre inférieur droit. -Impotence absolue. Paralysie flasque. La température parait plus élevée. ,
que lésion obscure de l'écorce comme origine. F. B. XX. Un cas de paralysie d'origine saturnine; par M. Sano. (JOli1 ? de N
-deux ans, qui au septième jour d'une scarlatine, fut atteint d'une paralysie progressive des deux membres supérieurs, précéd
mitiale. XXX. Un cas de spasme avec contraction hémiplégique sans paralysie ; par Gmnaccn Stewart. (British med. Journal, jan-
n par le traitement mixte. (Revisla. med. cir., 5 î3.) XXXV. Sur la paralysie diphtéritique ; par Frédéric BATTEURS. (l31lisl
i. L'auteur conclut à la probabilité de lésion domi- nante dans les paralysies diphtériques, consistant en une dégénérescence
Corthy. Il n'existe ni épilepsie ni hystérie. P. Keraval. XL. Des paralysies faciales récidivantes ; par M. UKRKuRDT. (Nelll
M. UKRKuRDT. (Nelll'olog. Cenlralbl., XVIII, 1899.) 11 s'agit des paralysies faciales périphériques survenant à plu- sieurs
correspondantes. Conclusions. - 1° Elles représentent 7 p. 100 des paralysies faciales; 2° Les hommes en paraissent plus fréq
e fréquence est entre vingt et cinquante ans. C'est aussi )'àge des paralysies faciales périphériques; - 4° Le récidive a lieu s
récidive a lieu soit bientôt (quelques semaines) après la première paralysie , soit bien des années après; '.i° Une seconde r
cinq ans, rarement sept ans; - 6° Le côté atteint par la première paralysie n'est pas fréquenté par les récidives, mais il n'
ves constituent dans la pluralité des cas des formes plus graves de paralysie (électri. quement parlant) due les premières pa
us graves de paralysie (électri. quement parlant) due les premières paralysies ; 12° Un certain nombre de paralysies faciales r
ent parlant) due les premières paralysies; 12° Un certain nombre de paralysies faciales récidivantes (10 p. 100 à peu près) dé
urs occuper le coté atteint à l'origine; 13° Une autre catégorie de paralysies faciales récidivantes est formée par celles qui
e un rôle dans l'espèce; - HO Une troisième catégorie est celle des paralysies faciales des diabétiques (5 p. 100); - 15° Une qu
iabétiques (5 p. 100); - 15° Une qua- trième est constituée par les paralysies faciales des nerveux ou héréditaires prédisposé
ité des cas de ce genre; - 18° L'origine infectieuse ou toxique des paralysies faciales périphériques est très admissible mais
est très admissible mais non prouvée; 19° Une première atteinte de paralysie faciale confère-t-elle l'im- munité ? La récidi
tisfaisante applicable à la plu- ralité des cas de répétition d'une paralysie faciale périphérique chez le même individu. P.
ite. » P. Keraval. 1LIII. Contribution au diagnostic électrique des paralysies de l'oculomoteur commun; par J.-K.-A. WEIlTIIEI
Mais on n'a point fait d'essais sur ce sujet chez l'homme, dans les paralysies de l'oculomoteur commun. Pansier (Electrothérap
l'évolution cor- respond, dans les divers cas, a l'évolution de la paralysie . Dans les cas de moyenne gravité, l'excitabilit
a- teur dans les cas de-moyenne gravité et dans les cas graves de paralysie périphérique de l'oculomoteur commun. Dans les ca
la maladie dans son ensemble a une durée de six semaines. Dans les paralysies nucléaires et fasciculaires de l'oculomoteur co
cette pré- vision ; en aucun cas de blépharoptose produite par une paralysie fasciculaire ou nucléaire, il n'a pu être obten
cas de blépha- roptose congénitale. Aucune réaction, dans un cas de paralysie de l'oculomoteur commun récidivante, malgré le
est donc probablement un signe de réaction dégé- nérative dans les paralysies de moyenne gravité et dans les para- lysies gra
'excitabilité parait manquer dans la blépharoptose produite par les paralysies nucléaires et fasciculaires ainsi que dans les
e par les paralysies nucléaires et fasciculaires ainsi que dans les paralysies légères et récidivantes ; - 9° L'impossibilité
, en tout cas, simple quoiqu'il y ait des points de contact avec la paralysie infantile cérébrale à forme monoplé- gique, ave
emarquer que son observation ressemble à quelques obser- vations de paralysie faciale locale puisque le malade ne pouvait fer
que ne permet pas d'en contester l'existence. 3° Examen d'un cas de paralysie générale. Il s'agit d'un homme de quarante-neuf
tion des substances extrac- tives éliminées. R. C. XIV. Un cas de paralysie générale des aliénés chez une enfant; par John
onze ans et morte à dix-sept et présentant tousles symptômes de la paralysie générale. Syphilis congénitale chez quatre frèr
tirer leur origine de l'infection syphi- litique. Au sujet de la paralysie générale, les opinions sont très parta- gées. U
oupe d'aliénistes estime que la syphilis peut donner naissance à la paralysie générale ; un second groupe refuse à la syphili
cond groupe refuse à la syphilis la possibilité d'être une cause de paralysie générale, admettant seulement une coïncidence e
lis ne donne pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 329 naissance à une paralysie générale vraie mais à une forme men- tale qui l
server non seule- ment la pseudo-paralysie générale, mais encore la paralysie géné- rale vraie. Etroitement unie à l'histoire
la paralysie géné- rale vraie. Etroitement unie à l'histoire de la paralysie générale est celle du Labes. Sur 100 ataxique
roubles physiques du côté delà démarche et de la parole et même des paralysies fugaces. Ces malades auraient pu être facilemen
parole avec l'hésitation si caractéris- tique qu'on observe dans la paralysie générale. Ces cinq aliénées présentaient toutef
caractère du délire mul- tiple, non motivé et contradictoire de la paralysie générale. Enfin, l'examen psychologique des lés
tache aucune impor- tance à l'atrophie du cerveau comme signe de la paralysie générale. At. Christian se montre surpris d'ent
'éclosion d'affections nerveuses ou mentales variées. , Un cas de paralysie générale avec hallucination. M. Truelle donne l
e avec hallucination. M. Truelle donne lecture d'une observation de paralysie géné- rale accompagnée d'hallucinations de l'ou
e un peu triste, qui présenta progressivement tous les signes de la paralysie générale, en même temps que se montraient des h
délictueux. Discutant ensuite la genèse des hallucinations dans la paralysie générale, M. Truelle adopte la théorie de M. Ma
n de cette loi générale formulée par M. Magnan qui veut que dans la paralysie générale la vigueur du délire soit conditionnée
parole et la mimique, et ne répond aucunement aux questions. Pas de paralysies , légère rigi- dité dans les muscles des jambes
térieure dans l'écorce cérébrale. D1 PRLOBHAJh'1\bhY. - Deux cas de paralysies bizarres : . P... présente deux malades (mère e
pects on constata chez le fils la voix nasonée, des vertiges et une paralysie de tous les quatre membres. Actuellement le mal
e para- lysé. La prédominance des douleurs et l'unilatéralité de.la paralysie du péronier font admettre qu'il s'agit dans ce
paraplégie motrice. Amélioration consécutive avec persistance de la paralysie des nerfs péroniers (musculo-cutanés), ndtammeu
malade quitte l'hôpital au bout de deux mois après l'accident avec paralysie bilatérale des nerfs péroniers. Diagnostic : Hé
bservation tV. Homme âgé de dix-huit ans fait un faux pas et tombe. Paralysie croissante des deux jambes; plus tard amélio- r
des deux jambes; plus tard amélio- ration progressive. Il reste une paralysie complète du nerf mus- culo-cutané du côté droit
le domaine du plexus sacral, notamment des muscles fessiers et une paralysie complète des deux nerfs musculo-cutanés. Au bou
ype nettement péronier, plus balancement dans le bassin et lordose ( paralysie des fessiers). Abaissement de l'excitabilité élec
décembre 1896, en pleine santé apparente, par une faiblesse et une paralysie brusque des deux bras. Il n'y eut ni ver- tige,
ni ver- tige, ni faiblesse des jambes. A l'examen, on constate une paralysie complète des extenseurs de l'avant-bras des deu
II. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. portion directe avec le degré de la paralysie des muscles correspon- dants. Hypoesthésie légè
gauche. Les organes internes sont intacts. L'apparition brusque des paralysies , la bilatéralité et le carac- tère segmentaire
sur 40 de démence précoce (IÜaepelin), dans les 28 cas examinés de paralysie générale, dans 8 cas d'im- bécillité congénital
avec excitation et délire de possession. L... fait remarquer que la paralysie générale chez les hystériques porte un cachet s
au commencement du deuxième mois apparaissent des parésies et des paralysies , principalement dans les extrémités postérieures,
avant terme, caractérisée par l'état spas- modique plus que par la paralysie , ne se compliquant ni de phé- nomènes convulsif
début des diplégies cérébrales proprement dites. La spasticité, la paralysie , les troubles intellectuels, les mouvements bib
mpue de formes symptomatiques, depuis la simple rigidité jusqu'à la paralysie avec idiotie totale. Il n'est pas possible d'isol
'autre part prédis- posés aux affections du système cérébro-spinal ( paralysie infantile, affections convulsives), et à toutes
PAUL COURMONT et BONNE (de Layon). ? . ? Bien que l'histoire des paralysies ascendantes aigtil5-se, fasse plus complète de
e la polynévrite motrice comme cause plus ou moins exclusive de ces paralysies . Il ést aussi un certain nombre de points sur l
ont totalement paralysés, les membres supérieurs également; cette paralysie est flasque, sans contracture. Les muscles du tro
la pupille gauche est plus dilatée. Il est difficile, à cause de la paralysie de juger de l'état de la sensibilité cutanée qu
Le 8 avril, l'état est considérablement aggravé. Persistance de la paralysie flasque généralisée. L'aphonie est complète ; la
fait est également consigné dans presque toutes les observations de paralysie asceiipante où le bulbe a été examiné. On ne sa
e nôtre pour prouver une fois de plus la nature infectieuse de la paralysie ascendante, mais de leur groupement nous tente-
patholo- gique n'expliquent pas, c'est la marche régulière de ces paralysies , marche progressive de bas en haut, atteignant
as exclusivement les cornes anté- rieures, et l'on sait que dans la paralysie infantile, affection où celte pathogénie vascul
Chantemesse et Ramond. Soc. de Biol., 23 juillet 1898. Épidémie de paralysie ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE
ut récemment, Schultze' 1 par une ponction lombaire, dans un cas de paralysie infantile, trouva du pneumocoque dans le liquid
remier cas une poliomyélite anté- rieure plus ou moins généralisée ( paralysie infantile... etc..) et, dans le second, une par
généralisée (paralysie infantile... etc..) et, dans le second, une paralysie ascendante. Une telle hypo- thèse ne peut sans
. Une telle hypo- thèse ne peut sans doute s'appliquer qu'au cas de paralysie ascendante par myélite. Mais si l'on considère
de celui de Weichselbaum) est un de ceux que l'on incrimine dans la paralysie infantile (Schultze) ou dans^la méningite céréb
entral ou périphérique dans les maladies donnant lieu au syndrome « paralysie ascendante » ou maladie de Landry. Ce dernier a
ogique ont permis de décrire sous le nom de maladie de Landry ou de paralysie ascendante tous les cas où se réalisait l'ensem
ne de ses cliniques', l'examen du système nerveux dans les cas de paralysies ascendantes a fourni les résultats suivants. ·1
et du bulbe en particulier, peut donner naissance au tableau d'une paralysie ascendante typique ». J, Ross et S. Bury ont dé
endu encore plus formellement l'identité de la polynévrite et de la paralysie ascendante aiguë. Tout récemment encore, Krewer
La polynévrite chro- nique serait une condition sina qua non de la paralysie de Landry ! D'autres auteurs se sont au contr
ie médullaire. Pour Senator notamment on ne doit donner le nom de paralysie de Landry qu'aux cas de paralysie extensive exclu
mment on ne doit donner le nom de paralysie de Landry qu'aux cas de paralysie extensive exclu- sivement motrice sans troubles
tuelle, la pathogénie exclusivement névritique pour tous les cas de paralysie ascendante ne peut plus être légitimement soute
Les quatre faits qu'il apporte peuvent uniquement démontrer que la paralysie ascendante d'origine médullaire peut se greffer
l'opinion de Sénator et regarder comme un entité morbide les cas de paralysie ascendante aiguë avec symptômes purement moteur
eurs et lésion exclusivement médullaire et lui réserver le nom de paralysie de Landry ? Laissant de côté les cas complexes
e viennent compliquer le tableau, faut-il distinguer deux formes de paralysie ascen- dante, l'une névritique, l'autre médulla
dans sa thèse a tenté une catégorisation de ces typcs ' Bodin. Les paralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE
sont dans la réalité des choses, ces lignes de démarcation entre la paralysie ascendante aiguë, la poliomyélite antérieure ai
d'un syndrome qui reflète plus ou moins fidèlement les traits de la paralysie de Landry, il est souvent impossible de décider
attacher le nom de maladie de Landry à la forme médullaire pure de paralysie ascendante aurait le grand inconvénient à l'heu
S PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 373 Conclusions. - 1° Il est des cas de paralysie ascendante à forme motrice pure, dus à des lési
fection du liquide céphalo-rachidien constatée dans certains cas de paralysie ascendante semble pouvoir expli- quer, mieux qu
t d'autre part sur l'identité des microbes causant ordinairement la paralysie ascendante, la méningite cérébro- spinale et pa
n ait obtenu de bons effets. L'auteur insiste sur l'épilepsie et la paralysie générale. Il est à remarquer, pour l'épilepsie,
e l'indique le tableau des Il cas cités dans le travail. Quant à la paralysie générale, il n'existe pas de meilleur témoignag
médicale, et d'en augmenter l'impôt. - P. KERAVAL. XXV. Tabes et paralysie générale dans leurs rapports avec la syphilis;
rtout du nerf optique, le tabes 422 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. et la paralysie générale. Strumpell désigne le tabes et la paraly
EUTIQUE. et la paralysie générale. Strumpell désigne le tabes et la paralysie générale sous le nom d'affections, para, méta o
- noménales sont aux maladies infectieuses aiguës, exemples : les paralysies et ataxies post-diphtéritiques qui succèdent aux
s'expliquer cette marche progressive quand on range le tabes et la paralysie générale sur le même rang que les manifestations
tre ces lésions scléreuses d'origine syphilitique du tabes et de la paralysie générale, on doit au mercure associer le protar
veloppement de la diplé- gie, ni à la suite de la disparition de la paralysie faciale, on ne constata de lésions d'autres ner
comprendre la raison pour laquelle les inoculations entraînent des paralysies puisque le malade fut inoculé en même temps que
urs après chez le second malade. Dans les deux cas, en revanche, la paralysie fut légère et le processus polynévritique, qui
n excès de liquide cérébro-spinal. Après la ponction, au lieu d'une paralysie complète, il n'y a plus qu'une ataxie modérée e
i les épisodes aigus qui surviennent au cours des états chroniques ( paralysie géné- rale, démences, délires systématisés, ètc
itique, estatleintde tabes en '1893, puis présente des symptômes de paralysie générale en 1807. Sous l'influence d'excès alco
de et de violentes impulsions. Cette complica- tion délirante de la paralysie générale semble«due à l'héré- dité du malade do
nie de ses hallucinations psycho-motrices, ' .Magnan et Séiieux. La paralysie générale. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES. 471
ecin du service des aliénés de- la maison cen- trale de Gaillon : « Paralysie générale progressive, embarras de la parole. id
er et voici le résultat de notre examen confirmant le diagnostic de paralysie générale : Affaiblissement intellectuel avec pe
diagnostic, c'est qu'à côté des pai alysies névritiques, à côté des paralysies hémiplégiques d'origine centrale, on peut encor
le diagnostic entre la névrite périphérique d'origine toxique et la paralysie hystérique reste hésitant, l'examen électrique
lus diverses, lésions méningo-encéphaliques (tumeurs, hémorrhagies, paralysie générale, méningites aiguës), grandes infection
IV. Les plis cutanés formés par les adducteurs de la cuisse dans la paralysie infantile, par J.-K.-A. WEl\TI ! 1M Salomonson. (
us tard aux adducteurs un point d'application moins favorable. La paralysie infantile spinale, ou cérébrale, en portant attei
modifie la forme et la situation du pli cutané des adducteurs. Leur paralysie , dans la poliomyélite, se traduit par un pli cu
il y a une différence de hauteur de un à trois centimètres. Dans la paralysie d'origine cérébrale, il s'abaisse de cinq à dix
s, 1893, p. 2, 23, 39, 100, 109, fil). P. 11CR : 1V1L. LVI. De la paralysie phosphorée; par S.-E. HExscuEa. (Neurolog. Cet'
ambes, au lit, conser- vaient leur mobilité. Puis est apparue de la paralysie des doigts. Le patient ne put se lever que neuf
par l'attaque d'é- pilepsie, a lieu, dans la majorité des cas, une paralysie plus ou moins longue (faible) des intestins et
ar para- lysie des adducteurs des cordes vocales. P. Keraval. LX. Paralysie radiale consécutive à des attaques d'épilepsie ;
dlku. (Neu2'°loy. Centralbl., XVII., 189S.) Chez deux épileptiques, paralysies post-paroxystiques, paraly- sies totales du rad
s du radial droit d'origine périphérique. On pouvait pen- ser à une paralysie traumatique pendant un accès ou par com- pressi
ou par com- pression pendant le sommeil. Mais Gowers a signalé les paralysies par contraction vive du triceps, pendant une ex
tre le muscle et l'os et à contusionner le nerf. Pourquoi donc la paralysie du radial est-elle néanmoins rare à la suite de
. (Neurol. Ccnll'albl., XVII, 1898.) La soudaine apparition d'une paralysie flasque de la jambe droite, succédant à des dou
PATHOLOGIE NERVEUSE. 491 farado-cutanée et farado-musculaire, à la paralysie ; pas de con- traction sous l'action du courant,
courant, pas de douleurs non plus aux forts courants faradiques. La paralysie comprend les muscles in- nervés par les plexus
1 y a donc eu une cécité verbale (aphasie sensorielle) simple, sans paralysie , malgré l'extrême étendue du traumatisme. Les s
leptoïde. Le diagnostic hésite entre une épilepsie traumatique, une paralysie ou une pseudo- paralysie générale alcoolique, e
ite entre une épilepsie traumatique, une paralysie ou une pseudo- paralysie générale alcoolique, et une tumeur cérébrale. L'a
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXVIII. Contribution à la pathologie des paralysies du médian par M. Bernhardt. (Neurolog. Ces<)
ues à la suite de fièvre typhoïde. P. KERA VAL. LXX. Observation de paralysie traumatique du plexus brachial (paralysie combi
AL. LXX. Observation de paralysie traumatique du plexus brachial ( paralysie combinée du bras et de l'épaule de lE/'b); par Cu
de lE/'b); par Cuir. RASCII. (Neccrolog. Centralbl., XVII, 1898.) Paralysie soudaine du bras gauche par extension brusque en
vailler lui a manqué (confirmé par son médecin); il n'y a pas eu de paralysie flasque du tout. Il n'y a pas eu non plus disto
du tout. Il n'y a pas eu non plus distorsion des traits du visage, paralysie faciale, paralysie du voile du palais, paralysi
pas eu non plus distorsion des traits du visage, paralysie faciale, paralysie du voile du palais, paralysie de la langue. Il
traits du visage, paralysie faciale, paralysie du voile du palais, paralysie de la langue. Il n'existe pas de contrac- tures
anche, les spasmes musculaires légers ne sont pas habituels dans la paralysie par apoplexie ; ce sont ces spasmes qui entrave
ou; par A. 1101-F- MANN. (Neuroloy. Centl'albl., XVIII, 1899.) I. Paralysie périphérique de l'hypoglosse. Figure. On cons-
. Paralysie périphérique de l'hypoglosse. Figure. On cons- tate une paralysie atrophique isolée de la moitié gauche de la lan
, parce que la malade (âgée de dix-sept ans) ne s'est aperçue de la paralysie qu'alors que déjà l'atrophie de la langue était
escence sans aucune tendance à la guérison au bout de douze mois de paralysie ; -l'absence de contracture de la moitié paralys
i se forme l'incur- vation du raphé du côté sain contracté. » II. Paralysie isolée du nerf axillaire. Figure. Etiologie par-
sort derrière le cou près de la colonne vertébrale. Use produit une paralysie isolée de la partie motrice de l'axillaire limi
faisant décrire un angle de 45°. Or il est classique, que, dans la paralysie du deltoïde le bras ne peut être éloigné du cor
finalement, du côté gauche, si bien qu'en trois ou quatre jours la paralysie est généralisée. Quatre jours plus tard, vomiss
e la tête, du facial, de la langue, de la parole, de la déglutition paralysie flasque des deux jambes faiblesse des réflexes
réflexes patellaires d'ailleurs égaux absence de réflexes cutanés paralysie du bras droit et du bras gauche (celui-ci est moi
la rate et des viscères. Le 2 juin, la tête penche un peu à droite; paralysie flasque des deux bras ; pas de réflexes patella
la maladie.^ Atteinte ultérieure des deux oculomoteurs communs ; paralysie complète des muscles extrinsèques et intrinsèques
trinsèques des yeux. Aucun autre sens n'est atteint. Il n'existe ni paralysie ni convulsions localisées. Le néoplasme occupe
du liquide cérébro-spinal (Bath, Heusser, Hippel). Les variétés de paralysies des muscles des yeux tiennent aux al- lures var
et mélancolique) et les épisodes aigus des affections chroniques ( paralysie générale, lésions cérébrales en foyers, délires s
embre. Présidence de M. JOFFROY. MM. DEJEUNE et l3cnNnEm. Un cas de paralysie radiale par com- pression, avec autopsie. La ma
radiale par com- pression, avec autopsie. La malade présentait une paralysie radiale, qui, par sa physionomie clinique et su
derne reste incapable de nous renseigner sur la lésion qui, dans la paralysie radiale par compression, empêche l'excitation é
primés. Il rappelle qu'il n'a jamais pu créer expérimentalement une paralysie par compression, du type qu'on observe chez l'h
rtout alcoolique ; infections variées). La SOCIÉTÉS SAVANTES. 513 paralysie radiale par compression se déclare seulement chez
r une tare antérieure. M. B,BiNsKi a pu faire expérimentalement une paralysie qui, par certains caractères, ressemblait à la
lement une paralysie qui, par certains caractères, ressemblait à la paralysie radiale de l'homme, mais les phénomènes étaient
bulbo-protubérantielle, avec hémiplégie alterne sensitivo- motrice, paralysie périphérique du nerf facial et kératite neuro-
sens -, étudié chez les mêmes malades aux trois pé- riodes de la paralysie générale, par ! \1arandoll de Montyel, 142. A
Aménorrhée. Sur l' - nerveuse, par Conlon,jou, ? 85. Anasthésies. paralysies et alllyotro- pilles en tranches, par Crocq,
reuse, par Brissaud, 157. Compression. Des différentes formes de paralysie due à la - de la moelle épinière. Leur physiolo
hes, 425. Contraction de l'es. tomac dans l' -, par Ossipow, 488. Paralysie radiale consécutive il des attaques cI ? par Ad
Orteils. Du phénomène des - dans l'épilepsie, par Babinski, 156. Paralysie . Sur les altérations du système nerveux central
, 502. radiale par compressions, par 11lJenue et Bernhetm. 512. Paralysie nu'n.mr. Hémiplégie gau- che et - sensibilité,
che et - sensibilité, par Ballet. 159. TABLE DES MATIÈRES. S37 Paralysie faciale. Sur le phéno- mène de Bell dans la - p
et Frenkel, 56. Des - récnlmantes, pal' Be ! nl>al'dt, 3La. Paralysie générale chez une imbé- cile, par Cullerre, 141
aire chez lesdiabétillues, pal Maréchal, 48. Saturnine. Un cas de paralysie d'origine -, par Sano, 307. SCI,Tliil i. Trai
ptitiset , par Touche, 52. Contribution au traitement du et de la paralysie générale par Ailler, 230. Le labjlll1thique,
irée par la méthode de coloration de Nissl, par Schafler, 403. et paralysie générale dans leurs rapports avec la syphilis
uns, 493. Tampanite gastrique, par W vald, 510. Typhoïde. Des paralysies g-éném11- sées dans la fièvre , par Etienne,
30 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
e à l'aide de l'écriture, mais hien qu'il n'y ait aucune paresse ou paralysie des doigts en ce moment, il ne trace que des ca
e sorte : maladie proto-palhiqiie. Cela parait être le cas, dans la paralysie générale avec attaques dites congestives. Les
bien se présenter à nous de nouveau, dans la le- çon prochaine. ' PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE PAR ÉLONGATION DES DEUX
table « cas d'étude M. Il s'agit, pour vous le dire de suite, d'une paralysie deltoïdienne, survenue dans des conditions fort
ite d'attirer l'attention à beaucoup de titres. Tout d'abord, celle paralysie deltoïdienne est double, symétrique et rigoureu
eloppements qu'elle exige, c'est-à- dire pour commencer l'étude des paralysies motrices, considérées au dou- ble point de vue
discuter les trois points suivants : ce malade est-il atteint d'une paralysie isolée du muscle deltoïde, ou bien la paralysie s
st-il atteint d'une paralysie isolée du muscle deltoïde, ou bien la paralysie s'étend- elle à des muscles qui, comme le grand
moelle, le nerf ou le muscle ? Quel est enfin le mécanisme de cette paralysie ? 14 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
es secousses ii"ril- la ires qui persistèrent quelques heures et la paralysie s'était établie dans ce même côté. Seules, les
ce, M. Souques, mon' chef de clinique, a constaté l'existence d'une paralysie deltoïdienne double PARALYSIE BILATÉRALE DU DEL
linique, a constaté l'existence d'une paralysie deltoïdienne double PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 15 qui subsiste encore a
re aujourd'hui, comme je vous le montrerai dans un ins- tant. Cette paralysie bilatérale était, et est encore, plus accusée à d
retirer. Nous nous trouvions donc bien en présence des signes d'une paralysie dettoïdienne. Vous savez tous, je suppose,. que
e puis m'exprimer ainsi. Il s'agit, ;i n'en pas douter, d'un cas de paralysie deltoïdienne bilatérale. Mais y a-t-il exclusiv
s de paralysie deltoïdienne bilatérale. Mais y a-t-il exclusivement paralysie des muscles deltoïdes ? En d'autres termes, la
lusivement paralysie des muscles deltoïdes ? En d'autres termes, la paralysie ne s'étend-elle pas soit au grand dentelé, soit a
est, dans une certaine mesure, synergique de celle du deltoïde ? PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 17 Si je pose cette ques
nts. Duchenne de Boulogne (1) a fait remarquer que l'atrophie ou la paralysie du grand dentelé n'occasionne aucune difformité
al s'écarte de la paroi thoracique. Ce mouvement fera défaut, si la paralysie du grand dentelé s'associe à la paralysie du de
vement fera défaut, si la paralysie du grand dentelé s'associe à la paralysie du deltoïde. D'autre part, Duchenne avait égale
a montré une contractilité intacte. - Quant à l'association de la paralysie du sous-épineux à celle du deltoïde, elle se tr
e celle-ci trace de nouveaux caractères. Je pourrais ajouter que la paralysie du sous-épineux apporte encore une gêne semblab
ortir par contraste l'existence, dans le cas qui nous occupe, d'une paralysie isolée des deux muscles deltoïdes. L'étiologie, d
si. . .. * Les circonstances dans lesquelles est survenue cette paralysie bilatérale (1) Duchenne. De l'électrisation loc
irer notre attention, devaient naturellement nous faire songera une paralysie par compression el distension du nerf circonfle
prise et gardée par notre malade, durant la nuit qui a précédé sa paralysie , le nerf circonflexe se trouve soumis à une tensi
ble en vérité, notre malade s'est réveillé, le 14 octobre, avec une paralysie bideltoïdienne, après avoir dormi toute la nuit d
s et tronc d'un cadavre) disséquée M. A. Julien. 1 Fig. 1 et 2. PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 19 cas de ces paralysies
. 1 Fig. 1 et 2. PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 19 cas de ces paralysies radiales, dites a frigorie, qui surviennent penda
leur qui en résulte, se prolonge assez' longtemps pour produire une paralysie plus ou moins durable du nerf radial. Comme dan
durable du nerf radial. Comme dans un certain nombre de cas, celle paralysie a été obser- vée chez des gens qui avaient dorm
striction. Mon collègue et ami Debove (1) a montré récemment que la paralysie radiale se produisait par- fois à la suite de c
e croire que c'est par un mécanisme analogue qu'a dû se produire la paralysie des deltoïdes chez notre malade. ' Je suis sû
lade. ' Je suis sûr qu'en m'entendant discuter l'étiologie de cette paralysie bi- de) toïdienne, vous vous demandez comment i
derrière la tète, ne se paralysent pas leurs muscles deltoïdes. La paralysie deltoïdienne, surve- nant dans ces conditions,
utres cadavres, examinés par la (I) DI : BON LI 1,"I' lllIUIlL. Des paralysies par élongation des nerfs. Médecine moderne. 1802,
quoi l'altitude en question a-t-elle provoqué chez noire malade une paralysie deltoïdienne ? Pourquoi nom- bre de personnes,
sonnes, s'endormant dans la même position, se réveillent-elles sans paralysie ? Parce que, chez le premier, le nerf circonflexe
ière et que je tenais à souligner expressément. Du moment que cette paralysie bilatérale a été la conséquence d'un véritable
en recon- naître la nature. Il s'agit ici, à n'en pas douter, d'une paralysie neuroti- que, c'est-à-dire, consécutive à des a
se trouve, d'ailleurs, corroboré par les données de la clinique. La paralysie motrice, chez notre malade, s'accompagne d'hypoes
ffirait, à la ri- gueur, pour affirmer que nous avons affaire à une paralysie par lésion d'un nerf mixte. En outre, l'examen
cornes antérieures de la moelle. Par consé- quent la cause de cette paralysie deltoïdienne ne peut siéger que dans les' centr
dans certaines attitudes ou pendant la distension des organes ». PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 21 Or, la première hypot
nes antérieures, doit être rejetée dans le cas actuel. En effet, la paralysie n'a été ici ni de- vancée ni accompagnée par l'
re, qui pourrait peut-être se présenter à votre esprit, celle d'une paralysie hystéro-traumatique. Mais d'abord la constatation
omme Il priori, nous arrivons à cette conclusion qu'il s'agit d'une paralysie d'origine neuroti jne, consécutive à / une cont
semble inutile de revenir sur la symptomatologie très simple de la paralysie du deltoïde l'histoire de notre malade vous a suf
ons générales d'or- dre étiologique. Les causes habituelles de la paralysie unilatérale du deltoïde peuvent se résumer en t
arthrite de l'arti- . culation scapulo-humérale, traumatismes. Les paralysies traumatiques du deltoïde sonl, de beaucoup, les
HIE DE LA SALPÈTRIÈRE - ne connais pour mon compte aucun exemple de paralysie bilatérale du deltoïde, survenue dans les mêmes
mes conditions (1). Je serai bref, Messieurs sur le pronostic de la paralysie deltoïdienne. Il dépend, d'une manière générale
en jeu. Chez notre malade, ce pronostic est des plus favorables. La paralysie est déjà en voie de résolution ; l'atrophie muscu
antes et d'enseignements féconds. (1) Il existe quelques faits de paralysie traumatique bilatérale dans le domaine du plexu
isches Cenlmlblat 1892), peut servir de type. Il s'agit d'un cas de paralysie bilatérale du type Duchenne Erb, chez une femme
maladies cutanées et syphilitiques, hôpital Saint-Louis, pour une « paralysie » des membres inférieurs. La mère bien portante
un mot laissait peu à désirer, les 4 membres semblaient frappés de paralysie , au moins les membres inférieurs. De même, l'en
s- tate de la trépidation spinale, surtout marquée à gauche. Pas de paralysie du sphincter vésical ou anal ; l'enfant « a été
-syphili- tique de l'affection est également manifeste. \ DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOF
IQUE DES MALADIES MENTALES. L'étude des relations du tabes et de la paralysie générale, quoique rajeunie dans ces derniers te
myélite chronique précèdent l'apparition du tableau clinique de la paralysie générale. « Il existe certainement, dit-il, des c
et neurologistes, à Cleruiont- Ferrand, 1894. (2) Calmeil, De la paralysie considérée chez les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 :
lysie considérée chez les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 : jO. ' DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 31 C'est vers la mêm
s : cet auteur décrit en effet diverses lésions médullaires dans la paralysie géné- rale, entre autres la dégénération grise
à une maladie spinale indépendante, mais à une lésion propre de la paralysie générale, laquelle peut débuter par la moelle ou'
atomie. patho- logique, que les rapports de cette affection avec la paralysie générale pu- rent être envisagés nettement. E
arger montra que les symptômes de la maladie de Du- chenne et de la paralysie générale pouvaient s'associer. Puis Westphal, d
question un nouveau pas. M. Raymond a développé ce thème, que « la paralysie générale et le tabes dorsalis sont deux maladie
ranger parmi les défenseurs de l'opinion qui fait du tabes et de la paralysie générale « une seule et môme maladie », opinion d
t M. Ballet et moi, nous avons soutenu au contraire que si tabes et paralysie générale pouvaient parfois, quoique rarement, exi
e-ci fait assez fréquemment défaut soit dans le tabes, soit dans la paralysie 32 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE gé
de 3 0/0), conclut aussi à la dualité nosologique du tabès et de la paralysie générale. Au congrès de Blois, M. Pierret envis
ale. Au congrès de Blois, M. Pierret envisage le tabes associé a la paralysie générale comme une affection systématique intér
donnant lieu au tableau clinique de la démence paralytique pure ou paralysie générale sans délire. M. Fournier, invoquant le
s qui figurent à la fois dans le tableau clinique du tabes et de la paralysie gé- nérale, invoquant aussi les faits cliniques
lysie gé- nérale, invoquant aussi les faits cliniques dans lesquels paralysie géné- rale et tabes s'associent chez le même su
eux organes, de manière à consti- tuer ainsi soit le tabes, soit la paralysie générale, soit le « tabes cérébro- spinal ». Da
i alors comme un exemple incontestable d'association de tabes et de paralysie générale. Le malade meurt les circonstances me
émontre qu'il s'agit, non d'une association de tabes dorsalis et de paralysie générale, mais simple- ment d'une paralysie gén
de tabes dorsalis et de paralysie générale, mais simple- ment d'une paralysie générale ayant débuté par la moelle avec prédomi-
'occasion d'aborder ce sujet dans les leçons que j'ai faites sur la paralysie générale et j'ai pu citer plu- sieurs faits cli
niques considérés jusqu'alors comme des associations de tabes et de paralysie générale se rapportent à l'une des DE LA PARALY
s de tabes et de paralysie générale se rapportent à l'une des DE LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33 formes spinales
E LA PARALYSIE GÉNÉRÉE A FORME TABÉTIQUE , 33 formes spinales de la paralysie générale. En particulier dans cette leçon j'ai
les conclusions que j'avais cru pouvoir adopter. ' Observation. - PARALYSIE générale A début spinal , SIMULANT LE TABES. -
ité pupillaire qui ne laissaient pas de doute sur l'existence d'une paralysie générale. A plusieurs reprises il s'était produit
transitoire d'une durée de 5 il 10 minutes pendant lesquelles DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 35 l'impossibilité d
médian et le septum intermédiaire sont épaissis et fibreux. . DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 37 Le faisceau pyram
l IV. L Battaille C' Editeurs, a Paris IMP MONROCO a iarm s DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postér
tellec- tuel. Puis quelques années après le début, les signes de la paralysie géné- rale s'établissent en même temps que ceux
e d'ailleurs- quelques autres faits analogues : ils montrent que la paralysie générale peut débuter par des symptômes spi- na
aladie pour faire place aux symptômes encéphaliques habituels de la paralysie générale, enfin que la lésion spinale en pareil
confondue. Je n'entends pas dire pour cela que le tabes vrai et la paralysie géné- rale ne puissent s'associer comme le l'on
il l'a- venir de ne pas interpréter de cette manière, les cas où la paralysie géné- rate débutant par des manifestations spin
at. für Prakt. Derm. Ilamburg, Band XIX, 1891. , UN CAS DE , ,. PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 1 1 PAR ÉLONGAT
sseur Raymond a récemment présenté à son cours un malade atteint de paralysie bideltoïdienne isolée, survenue dans des conditio
rois heures après, les secousses fibrillaires s'y sont montrées et la paralysie du bras s'est établie. Ces secousses musculaire
Nouv. ICONOGR. DU LA SALPnui..RE T. VIII PL. 1111 & IX. DOUBLE PARALYSIE DU DELTOIDE (Attitude du malade dans l'extensio
(Attitude du malade dans l'extension maximum des bras). UN CAS DE PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 55 schéma annexé
de. Notre maître, M. Raymond, a fait res- sortir l'intérêt de cette paralysie bideltoïdienne, en insistant sur sa bilaté- ral
bot paralytique, un pied dont l'attitude vicieuse est le fait d'une paralysie des ex- tenseurs du pied. Quant au reste,, le
se lever, elle s'aperçut que sa jambe gauche était paralysée. Cette paralysie était flasque; elle s'accompa- gna presque dès
ement en mé- decine dans le service de M. le Dr B,,ti-tli', pour la paralysie de la jambe gauche. , t 1 Voici, en quelques
seudo-né- vralgies simulant une sciatique d'abord unilatérale, avec paralysie motrice partielle et incomplète ; la gibbosité,
it peu à peu, mais non sans conserver de -traces de son atteinte de paralysie . Actuellement, il est impotent delà jambe gauch
avons affaire à une affection qui emprunte des traits en partie aux paralysies périphériques, en partie aux paralysies centrales
te des traits en partie aux paralysies périphériques, en partie aux paralysies centrales. Pour qu'il en soit ainsi, il faut qu
de la miction et de la défécation, en rapport, à la fois, avec une paralysie des sphincters et avec une anesthésie de la vessi
LA SALPÊTRIÈRE B. TROUBLES DE la motilité. Ils se réduisent à une paralysie plus ou moins complète, souvent tran- sitoire,
s qui ont pour siège la vessie et le rectum. Presque toujours, la paralysie est limitée aux muscles fessiers et à ceux de l
rvés par le crural restent indemnes. Donc, dans les cas types, la paralysie motrice est incomplète aux mem- bres inférieurs
jamais. Voici leurs caractères : Par suite de l'anesthésie et de la paralysie motrice de la vessie, les ma- lades présentent
uniques musculaires de leur vessie étant paralysées. Et comme cette paralysie atteint, dans une certaine mesure, le sphincter
qui s'est dissipée au bout de quelque temps, pour faire place à une paralysie de la vessie et du rectum. L'autopsie a révélé
A la suite d'une chute sur la région du sa- crum s'est montrée une paralysie motrice des jambes, avec de l'engour- dissement
es jambes, avec de l'engour- dissement, de la rétention d'urine. La paralysie motrice et l'engourdisse- ment se sont dissipés
des troubles de la miction et de la défécation, en rapport avec une paralysie sensitive et motrice de la vessie et du rectum.
e cheval, ne subissent que rarement une aggravation progressive. La paralysie motrice aussi bien que l'anesthésie peuvent per
ts : atténuation des douleurs ; diminution de l'anesthésie et de la paralysie motrice aux membres inférieurs. Contre la paral
ésie et de la paralysie motrice aux membres inférieurs. Contre la paralysie de la vessie et du gros intestin, vous pourrez re
rai d'abord deux catégories de cas, suivant que des phéno- mènes de paralysie sensitivo-motrice, siégeant aux membres inférieur
ns la pra- tique. Vous êtes en présence d'un malade affecté d'une paralysie sensitivo-mo- trice aux membres inférieurs, par
affecté d'une paralysie sensitivo-mo- trice aux membres inférieurs, paralysie à disposition approximativement symétrique. En
nterprétation très facile, est celle où, aux membres inférieurs, la paralysie sensitivo-motrice est complète : l'anesthésie o
xus lombaire et sacré. , b) Une seconde éventualité est celle où la paralysie sensitivo-motrice est incomplète aux membres in
té des pieds sauf à une bande située le long du bord interne). La paralysie motrice respecte les muscles de la région antérie
ne para- lysie du rectum et de la vessie, s'associent également une paralysie sens- tivo-motrice incomplète des membres infér
ce qui avait lieu dans les cas des deux précédentes catégories, la paralysie n'intéresse qu'une partie des territoires inner
x du tri plexus sacré. Ainsi dans une observation d'Eulenburg, la paralysie , tant sensitive que motrice, intéressait le dom
ient été occasionnés par la luxation de la 5e vertèbre lombaire, la paralysie sensitivo-motrice, aux membres inférieurs, étai
ce même plexus. D'où cette conclusion : Que la distribution de la paralysie , telle qu'elle était réalisée chez le malade d'
miction et de la défécation, en rapport avec une anesthésie et une paralysie de la vessie et du rectum, et associée à une zone
(fracture de la première vertèbre lombaire), et se réduisaient à la paralysie de la vessie et du rectum, il l'impuissance gén
manifestations sui- vantes : a) Des symptômes en rapport avec une paralysie de la vessie seulement t ou de la vessie et du
nesthésie de la zone génito-périnéo-ano-fessi8re, et, en outre, une paralysie sensitivo-motrice de la région cutanée et des m
mes symptômes, avec cette différence qu'aux membres infé- rieurs la paralysie sensitivo-motrice est limitée aux domaines innerv
res infé- SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 103 rieurs, la paralysie sensitivo-motrice s'étend à tout le domaine inner
sitivo-motrice s'étend à tout le domaine innervé par le sciatique : paralysie des muscles de la région postérieure de la cuis
l et obturateur) du plexus lombaire (Affection ayant occasionné une paralysie complète des racines du plexus sacré et une par
ccasionné une paralysie complète des racines du plexus sacré et une paralysie incomplète des racines du plexus lombaire). g)
paralysie incomplète des racines du plexus lombaire). g) Enfin, une paralysie sensitivo-motrice complète de la totalité des m
ie remontant jusqu'à la partie inférieure du ventre et du dos, avec paralysie de la vessie et du rectum (Affection intra-spin
lombaire se traduisent par les symptômes de notre catégorie g) : Paralysie totale des membres inférieurs, avec suppression d
l n'y a pas lieu de compter sur une rétrocession des symptômes ; la paralysie de la vessie et du rectum et le développement d'u
ns de la queue de cheval (catégorie e) : Aux membres inférieurs, la paralysie motrice se limite aux muscles fes- siers, aux m
partie des symptômes rétrocèdent, y compris ceux en rapport avec la paralysie de la vessie et du gros intestin. Les malades éch
ites (luxation, fracture), siégeant au niveau de la 5e lombaire, la paralysie sensitivo-motrice présentera, aux membres infér
spectant t le territoire d'innervation du péronier. 6° Enfin, une paralysie isolée de la vessie et du rectum pourra être oc-
la malade avait été frappée tout d'un coup, pendant la nuit, d'une paralysie de tout le côté gauche. « Il lui prit un engour
un engourdissement dans le bras gauche qui, la nuit, dégé- néra en paralysie qui luiôta tout l'usage de tout le côté gauche ;
i détermine un engorgement des ganglions axillaires ; phénomènes de paralysie s'accompagnant d'atro- phie musculaire ; guéris
ysie s'accompagnant d'atro- phie musculaire ; guérison subite de la paralysie et progressive de l'atro- phie ; disparition de
sa paraplégie qui durait depuis vingt et un ans. « En même temps la paralysie se dissipe et s'évanouit : une chair saine et s
n vous les énonçant sommairement : 1° Symptômes en rapport avec une paralysie de la vessie seulement ou de la vessie et du re
ivement à une chute sur la région sacrée, un individu est frappé de paralysie motrice avec engourdissement des membres inféri
engourdissement des membres inférieurs, avec rétention d'urine. La paralysie motrice et l'en- gourdissement se dissipent au
n du cône terminal et non d'une lésion de la queue de cheval, d'une paralysie nucléaire et non d'une/ paralysie radiculaire.
sion de la queue de cheval, d'une paralysie nucléaire et non d'une/ paralysie radiculaire. N'allez pas croire, Messieurs, que
un individu qui, à la suile d'une chute sur le siège, avait eu une paralysie des deux membres inférieurs. Au bout de quinze jo
exa-, men, pratiqué six mois plus Lard, permettait de constater une paralysie sensitivo-motrice limitée au domaine d'innervat
cinquième vertèbre lombaire, au point où les nerfs respectés par la paralysie s'échappent du canal rachidien. L'autopsie de c
idien. Dans le pre- mier cas, vous vous trouverez en présence d'une paralysie nucléaire et, dans le second, d'une paralysie r
rez en présence d'une paralysie nucléaire et, dans le second, d'une paralysie radiculaire. Le principal signe différentiel entr
culaire. Le principal signe différentiel entre ces deux variétés de paralysie consisterait, d'après Schultze, dans ce fait qu
es où la sen- sibilité était normale. \ Des trois affections : la paralysie périphérique de la sensibilité, l'hysté- rie et
nséquemmeut provoquer des désordres psychiques, des convulsions, la paralysie , l'anaslbésie, des altérations dans les fonctio
ur accorde parmi les autres symptômes de l'hystérie. De même que la paralysie dans le cours de l'hystérie peut se développer
depuis Charcot sous le nom de syndrome de Weber, caractérisé par la paralysie de la 111" paire d'un côté et des membres de l'
" paire d'un côté et des membres de l'autre. On pourrait ajouter la paralysie alterne de la VIe paire qui a été observée à la
alysie de la langue est alors homonyme. On observe en effet avec la paralysie de la face et des membres d'un côté, la déviati
peu prononcé ; il est transitoire et, les noyaux étant intacts, la paralysie ne s'accompagne pas d'hémiatrophie de la lan- g
ophie de la lan- gue. , A part ces cas d'hémiplégie cérébrale, la paralysie unilatérale de la lan- gue n'a guère été observ
emple d'hémiplégie alterne de l'hypoglosse, était com- pliqué d'une paralysie de la Vle et Vlle paires et concernait un enfant,
hémiplégie complète des membres supérieur et inférieur droits, sans paralysie faciale, sans aphasie motrice ou sensorielle, fai
très inférieur de son trajet. On pouvait constater enfin : 2° une paralysie complète avec déviation il gauche et atrophie d
nomènes pouvant faire soupçonner une affection du système nerveux : paralysies , douleurs diverses, troubles des sphincters. Le
ctions du ressort de la patho- logie nerveuse (céphalées, vertiges, paralysies , perles de connaissance, etc.), ou enfin il la
s phénomènes oculaires. Elle les a re- marqués en même temps que la paralysie de la main droite, dès que le catarrhe de la ro
en passant, l'apparition simultanée des troubles oculaires et de la paralysie motrice, apparition insidieuse, presque latente
on-Meyer (1) a cité un cas d'ophtalmoplégie externe, associée à une paralysie des membres inférieurs et de certains nerfs crâni
pris de rougeole, le 22 mars 1894, et, quelques jours plus tard, de paralysie des membres avec inconti- nence des matières et
eul côté, la langue tirée de travers, il a vraiment le masque de la paralysie faciale. Une femme arrive, juchée sur les épaul
rs la station debout fut impossible. Le 13e jour de la mala- die la paralysie des sphincters vésical et anal s'ajouta à la para
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les troubles trophiques et la paralysie des sphincters sont habituels dans les lésions
tête violents, à paroxysmes vespéraux, elle fut prise subitement de paralysie du côté gauche de la face. L'oeil gau- che étai
a jambe droite, qui devint bientôt impotente; au bout de 3 jours la paralysie était complète. En même temps survenait une réten
taxie locomotrice. Etat actuel. La malade est clouée au lit par une paralysie absolue de tous les muscles de la moitié inféri
cinq ou six fois de suite, sans que la malade en ait conscience. La paralysie est flasque; les réflexes cutanés et tendineux so
dès accidents graves de la syphilis cérébro-spinale : céphalalgies, paralysie faciale transitoire, impo- tence passagère des
que. (1) Soi tas, Contribution à l'élude anatomique et clinique des paralysies spinales syphilitiques, th. de Paris, 1894, R
permanente, et dans les cas qu'il cite elle était toujours liée aux paralysies ou aux contractures des membres inférieurs. Bie
rs. Bien qu'il ne soit pas facile de démêler ce qui appartient à la paralysie ou à la contracture qui peuvent également donne
nce à l'incon- tinence d'urine, nous pensons qu'il s'agit ici d'une paralysie du sphinc- ter vésical, et nous pensons que cet
i d'une paralysie du sphinc- ter vésical, et nous pensons que cette paralysie est complètement indé- 360 NOUVELLE ICONOGRAPHI
a dépendance non d'une contracture du corps de la vessie mais d'une paralysie du sphincter, l'anesthésie de cette région supe
aralysie du sphincter, l'anesthésie de cette région superposée à la paralysie , le fait que l'incontinence est surtout nocturn
ayant eu l'occasion d'examiner et de dessiner la plupart des cas de paralysie agitante qui se sont présentés à la Salpêtrière d
ilatérale d'a- (1) P. RICHE". Habitude extérieure et faciès dans la paralysie agitante. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 188
de la Salpêtrière, 1888, p. 213. (2) Voy. A. DU'CIL. Sur un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique avec atti- tude a
he permet défaire le diagnostic. Il s'agit d'un cas typi-' . que de paralysie agitante. Faciès. La face est figée, sans expre
ne au facies certaines analogies avec celui des malades atteints de paralysie gtosso-tabio-taryngée (1). Un seul fait semble
te ne s'applique donc pas d'une manière absolue à tous les cas de paralysie agitante ; mais elle reste vraie pour le type d
rend suffisamment compte de la difficulté (1) P. Richer, Un type de paralysie agitante, Nouv. lconogr.de la SalpGtriére,1888,p.
c'est-à-dire du côté de la blessure le spasme et du côté opposé la paralysie . Il se peut du reste que l'un survienne et poin
eu de temps sont morts apoplectiques ; d'autres d'eux ont porté une paralysie d'un côté, mais ils ont vécu deux ans. Quant à
ésion médullaire), par GILLES DE la TOURETTE et MARINESCO, 203. Paralysie générale à forme tabétique, par A. -10leFROY, 3
03. Paralysie générale à forme tabétique, par A. -10leFROY, 30. Paralysie bilatérale' du deltoïde, par F. RkYlIOND, 13.
OY, 30. Paralysie bilatérale' du deltoïde, par F. RkYlIOND, 13. Paralysie bilatérale du deltoïde (un cas), par Souques et
t. Migraine ophtalmique et aphasie, 3. J. B. CIIARCOT et Souques. Paralysie bi- latérale du deltoide, 53. Chipault (A.).
aiguë, 325. RAYMOND (F.). Hématomyélie du cône ter- minal, 149. Paralysie bilatérale du deltoïde, 13. Étude d'ensemble su
XLIII. Ostéite déformante de Paget (Lésion mé- dullaire),XXXV. Paralysie générale ci forme tabétique (coupes de la moell
Paralysie générale ci forme tabétique (coupes de la moelle), IV. Paralysie bilatérale du deltoïde, VIII et IX. Pelade po
56, 57. Ostéite déformante de Paget, lésion mé- dullaire, 52. Paralysie bilatérale du deltoïde. Trou- bles sensitifs, 1
31 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
E PSYCIIIATIiIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE Professeur : R. Weber PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE PAR R H. FLOU
le a présenté des troubles oculaires. A l'asile, le diagnostic de paralysie générale est confirmé par la ponction lombaire
nt été observées chez des oty- céphales par Herzog, Strebel, etc. PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 17 Physiquement
erf optique très avancée, vision z1/10. En avril 1907 : oeil droit, paralysie totale de la Ill- paire, ptosis, vision = 1 ; gué
es n'appartiennent pas sans aucun doute au tableau cli- nique de la paralysie générale. Leur début est antérieur, puisqu'ils on
du nerf optique, ces signes oculaires indiquent qu'il s'agit d'une paralysie de la III- paire. Mais, tandis que cette paraly
'il s'agit d'une paralysie de la III- paire. Mais, tandis que cette paralysie se produisait d'une façon transitoire dans le dom
intrinsèque (dilatation et rigidité pupillaires des deux côtés, par paralysie totale de la constriction). On verra plus loin la
e allongée un bourrelet symétrique correspondant au trou occipital, PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN 011'Ci : ltiALIQUE PARALYSIE G
au trou occipital, PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN 011'Ci : ltiALIQUE PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 19 Le bulbe rac
et le cerveau et les épaississements de la pie-mère dépendent de la paralysie générale. Ce diagnostic a été confirmé par l'ex
rine (fig. 3); à l'examen microscopique la présence de vaisseaux en PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXTCEPHALIQUE 21 spirale et d
nsuite à la périphérie ? Une fréquence relativement plus grande des paralysies de la Ille paire par rapport à celle de la VI° pa
e' et /' sur une autre série de 10 coupes passant plus en F ? 3. PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 23 dehors et in
ns plus loin quelle explication possible on pourrait en donner. ' PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE ORYCÉPHAL1QUE 25 Asymétrie de
compte des symptômes d'hypertension subite et passagère : crises et paralysies transitoires dans le domaine de l'oculo- moteur
transitoires dans le domaine de l'oculo- moteur commun. Quant à la paralysie permanente de la musculature intrinsèque de l'o
rculation par collaté- (1) Weber, Nouvelle Iconographie, 2, 1905. PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCEPHALIQUE 27 raies, beauc
efoulement de liquide céphalo- rachidien qui en résulte ; . 2° La paralysie de la IIIe paire dépend aussi de la pression intr
e paire dépend aussi de la pression intraventri- culaire. C'est une paralysie nucléaire, le noyau se trouvant sous le seuil d
roubles de la sensibilité ne sont pas constatés ; il y a absence de paralysies véritables. Qu'un de nos malades exécute un sim
r à celui des muscles extenseurs. 66 MADAME ATHANASSIO-BENISTY I. Paralysies radiales. Le radial est le nerf de l'extension.
ignet et des doigts et le long abducteur du pouce. Aussi, en cas de paralysie radiale, y a-t-il chute immédiate et très prono
ue soient la nature et la gravité de la lésion, presque toujours la paralysie des muscles extenseurs du poignet et des doigts e
portant en dedans (adduction). En cas dé lésion du nerf radial, la paralysie de ces trois muscles est presque toujours simul
al au niveau du plexus brachial. Pour bien mettre en évidence cette paralysie des extenseurs de la main, il faut avoir soin d
genre ne se produira au niveau des premières phalanges. En cas de paralysie radiale, l'abduction du pouce est impossible (par
court supinateur. Ce dernier seul produit la supination. Dans la paralysie radiale, le mouvement de supination est aboli.
oires et à créer des sup- pléances inattendues. Pour remédier aux paralysies radiales, plusieurs modèles d'appareils ont été
g. B, C, D, E et pl. XXI, fig. A). Celle attitude s'explique par la paralysie des interosseux et des deux lombricaux internes
ent pas toujours à expliquer la hauteur de la lésion et le'degré de paralysie du fléchisseur profond et des interosseux. Il s
modique, puis ils ont pris défini- tivement l'attitude en griffe. Paralysies partielles, dissociées. Les paralysies partielles
vement l'attitude en griffe. Paralysies partielles, dissociées. Les paralysies partielles, incom- plètes, dissociées du cubita
l'aisselle ou du bras. Le type le plus fréquent est réalisé par la paralysie des interosseux etdes hypothénariens avec simpl
plus accentuée pour les quatrième et cinquième. ^ La fréquence des paralysies cubitales partielles et la prédominance des tro
état normal, sans être cependant en extension complète. Malgré la paralysie complète du fléchisseur sublime et des faisceaux
aspect de la main est celui que nous venons de décrire à propos des paralysies complètes. Le bord externe du nerf médian est r
d interne au contraire est très souvent lésé, d'où la fréquence des paralysies des fléchisseurs des doigts dans les cas si nom
plus sèche. L'atrophie musculaire est moins marquée que dans les paralysies com- plètes, et n'est appréciable qu'au niveau
aractéristiques. On doit distinguer deux types cliniques : A. Les paralysies complètes. B. Les paralysies incomplètes. A.
inguer deux types cliniques : A. Les paralysies complètes. B. Les paralysies incomplètes. A. Paralysies complètes. Lorsqu'
accentuée, mais irréductible. ` B. - Paralysies incomplètes. Les paralysies incomplètes des nerfs médian et cubital réalisent
de section complète décrits plus haut. Deuxième type. Lorsque la paralysie prédomine sur les interosseux, les thénariens e
variables, il y a lieu de tenir compte, d'une part, du degré de la paralysie des interosseux et des fléchisseurs ; d'autre p
suivant la lésion ? Peut-être aussi faut-il tenir compte, dans ces paralysies incomplètes, du retour progressif, mais inégal,
nerfs PÉRIPHÉRIQUES. Toutes les fois qu'aux signes habituels de la paralysie d'un ou plusieurs nerfs du membre supérieur s'a
nt le rhumatisme chronique (pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paralysies ET contractures dites réflexes. Enfin, on peut
différentes, bien que cette division soit très schématique : 1° les paralysies avec contractures, qui sont les plus typiques ;
ractures, qui sont les plus typiques ; 2° les contractures ; 3° les paralysies flasques avec hypotonie. 1 Paralysies avec co
° les contractures ; 3° les paralysies flasques avec hypotonie. 1 Paralysies avec contractures. - Synonymie : « main figée »
ies avec contractures. - Synonymie : « main figée » de Henry Meige, paralysie globale de la main de Pitres, acromyotonie de S
ge, paralysie globale de la main de Pitres, acromyotonie de Sicard, paralysie d'ordre réflexe de Babinski et Froment, paratonie
es affec- tions organiques et les différencient des contractures et paralysies hysté- riques ou pithiatiques. - 2° Contractu
x restant allongé). mique. Société de neurologie, 4 novembre 1915 ; Paralysie et hypotonie réflexes avec surexcitabililé méca
es muscles. Académie de médecine, 11 janvier 1916 ; Contractures et paralysies traumatiques d'ordre réflexe. Presse mé- dicale
MM. Pierre Marie et Foix (1) ont décrit comme une forme spéciale de paralysie paratonique de la main certains cas du type connu
s manifestations hystériques ; qui sont des hypotonies plus que des paralysies , des hypertonies plus que des contractures; qui s
ôp., 4 février 1916. (2) J. Babinski et P. Froment, Contractures et paralysies traumaliques d'ordre réflexe Presse médicale, 2
r, car il s'accompagnail, /ainsi que nous venons de le" dire, d'une paralysie partielle et incomplète du médian. Cette paraly
le" dire, d'une paralysie partielle et incomplète du médian. Cette paralysie ne pouvait être considérée comme responsable de
interprétés par Pierre Marie et Foix comme des formes spéciales de paralysie paratonique et nommés par Sicard acromyolonies.
ONIQUES DE LA MAIN 83 0. Observation I. Main DU lanceur DE COUTEAU. Paralysie de l'adduc- teur du pouce par lésion de C™' et
es efforts thérapeutiques au redressement volontaire de la main. La paralysie hystérique des flé- chisseurs, des abducteurs e
t-bras est relevé et en pronation, on a vaguement l'apparence d'une paralysie radiale ; cependant les doigts restent dans le pr
oubles moteurs par lésions nerveuses organiques, quand il s'agit de paralysie ou d'hypotonie par lésion radi- culaire comme d
paralysie ou d'hypotonie par lésion radi- culaire comme dans I (re paralysie de l'adducteur du pouce par lésion de C'III, »)
fonctionnelle surajoutée (IX, chute de la main sur le poignet avec paralysie des doigts après perforation de l'extrémité infér
après perforation de l'extrémité inférieure de l'avant- bras; VIII, paralysie hystérique de la main après fracture de l'humérus
tend aux autres nerfs périphériques la conception classique pour la paralysie faciale, tantôt on peut songer aux anomalies d'in
par un processus différent et jusqu'à un certain point antagoniste, paralysie ou destruction dans un cas, excitation, irritat
me avec l'avant-bras 132 LÉRI un angle très obtus, comme dans les paralysies les plus incomplètes ou même comme chez la plup
ui leur permet de laisser tomber la main tout autant , que claus la paralysie radiale la plus complète. Enfin, si l'hypotonie
que que l'hystérie ne peut reproduire et que ne déterminent pas les paralysies purement fonction- nelles, elle peut du moins ê
aphies ci-contre (PI. XXX). Les figures A, B et C représentent, des paralysies radiales avec section complète du nerf ; on y v
riable. Les figures D et E montrent des sujets qui n'avaient aucune paralysie radiale : on voit que l'attitude hypotonique pe
nique peut être aussi ou plus pro- noncée que dans n'importe quelle paralysie radiale totale. En A, on a une attitude extrême
férieur du bras, fracture de l'humérus) ; tous les autres signes de paralysie radiale complète, cliniques et électriques ; on t
fibres nerveuses. En D, il s'agissait d'un sujet qui présentait une paralysie du cubital, mais aucune trace de paralysie du r
sujet qui présentait une paralysie du cubital, mais aucune trace de paralysie du radial ; c'est sur notre demande, pour servi
il s'agissait d'un sujet qui simula de lui-même, et fort bien, une paralysie radiale, au point de nous avoir longuement induit
n et ayant vu des para- lysies saturnines, connaissait fort bien la paralysie radiale avant la guerre ; bien que n'en ayant j
de façon à relâcher ses ligaments. Quoi qu'il en soit, la prétendue paralysie , après avoir longtemps duré, céda comme par enc
calleuse de la main opposée. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de paralysie dans le domaine du radial ; les mouvements du p
ues des blessures du médian ou de la branche interne du sciatique : paralysie généralement très réduite ou nulle, pas d'anesthé
altéré, avec ou sans blessure extérieure, avec ou sans douleurs ou paralysie concomitante ; il faut et il suffit, pour que l
rs, il paraît en effet tout à fait sans rapport avec le degré de la paralysie ; nous avons ainsi observé un certain nombre de
ité, dans un cas où les douleurs accusées étaient vives, mais où la paralysie était extrêmement atténuée et très limitée. Dan
e les formes très doulou- reuses ne déterminent très souvent qu'une paralysie fort restreinte. Ce que nous pouvons dire, c'es
atique aussi bien avec un minimum de douleurs qu'avec un minimum de paralysie : plusieurs malades, déjà retournés au front, n
essure siégeait au tiers supérieur de la cuisse; les douleurs et la paralysie étaient extrêmement prononcées. Le nerf était e
le cas B, la blessure siégeait au tiers supérieur de la cuisse; la paralysie .était incomplète, surtout dans le domaine du scia
louché dans le creux poplité ; les douleurs étaient vives, mais la paralysie presque nulle ; une amélioration rapide suivit
n, degré le plus fréquent : lésion au tiers supérieur de la cuisse, paralysie très incomplète, amyotrophie marquée ; améliora
que dans les cas précédents ; dans le premier*il y avait une grosse paralysie ; dans le second, une paralysie très légère. Ce
ns le premier*il y avait une grosse paralysie ; dans le second, une paralysie très légère. Ce dernier fut opéré ; le sciatiqu
ouleurs furent vives, mais pendant quelques semaines seulement ; la paralysie ne fut que très légère. Chez ce malade, nous co
le pied était gonflé, violacé et desquamant ; il y avait une grosse paralysie et une légère alro- phie du mollet. La figure
'une blessure du sciatique à la fesse, il ne s'était produit qu'une paralysie très légère et presque 140 LÉRI pas de douleu
yotrophie progressive du mollet (4 cent.) et une accentuation de la paralysie . Les figures E et F montrent le pied effilé dan
x ans auparavant ; il n'y avait presque pas eu ni de douleurs ni de paralysie , et le malade était retourné au front; il en fut
bscures. On sait que Trélat invoquait une origine vasculaire et une paralysie vaso- motrice incomplète apportant un excès de
n, disait-il. Mais on ne voit ni comment ni pourquoi existerait une paralysie vaso-motrice ainsi localisée. - D'autres auteur
bras fut placé dans une gouttière. Il ne paraissait pas y avoir de paralysie des troncs nerveux. Les mouvements des doigts, qu
au Bon-Pasteur. Antécédents. Coup de chaleur ( ? ) en juin 1898. Paralysie gauche ayant duré trois mois. Ancien migraineux
ras au-dessus du lit. Lagophtalmos avec écart de un centimètre sans paralysie . Les mouvements de la tête sont faibles, mais p
ue d'après les rensei- gnements qui m'ont été fournis, aucun cas de paralysie infantile n'a été signalé au cours,de l'année 1
actérisée par l'apparition des acci- dents moteurs, généralement de paralysie ou de parésie. Elle est parfois presque immédia
ITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES z) 17 graves, la paralysie flasque peut être absolue, complète et totale : d
mbres ; pas le plus petit mouvement de l'orteil ou d'un doigt. La paralysie peut n'être que partielle ; dans l'observation XI
se produisent plus qu'à l'occasion de la descente d'escalier. La paralysie a souvent été non seulement partielle, mais aussi
urs sont totalement indemnes. Enfin, de partielle et incomplète, la paralysie peut se compléter et se généraliser : dans l'ob
jour, alors que la paraplégie se faisait complète et totale, que la paralysie était ascendante, mais que n'existaient pas enc
sont encore intenses, avec crises d'exacerbation quand s'établit la paralysie totale et complète ; elles ont disparu dès le 4
aiguës diffuses et myelites tz'ansvez'ses causées pa" l'agent de la paralysie infantile. Société médicale des hôpitaux, 27 mars
x, 27 mars 1914, p. 571. ' 12) FLLLER EXGLA;\D, Sur quelques cas de paralysies épidémiques, observées en lIampshi1'f'. Brit. r
que la symptomatologie a été assez diffuse : troubles moteurs avec paralysie totale ou parésie ; état spasmodique ; troubles s
; état spasmodique ; troubles sen- sitifs ; en somme, symptômes de paralysie diffuse, bien plus diffuse qu'il n'est habituel
, bien plus diffuse qu'il n'est habituel dans la poliomyélite de la paralysie infantile. Dans nos cas cependant, la symptomat
ariantes, et Fuller England déjà ne voulait intituler ces cas que « Paralysies épidémiques ». Le cas 2 s'est terminé rapidemen
précisés, qu'il est difficile d'affirmer si l'impotence tient à la paralysie et non à la douleur, quand souvent on pense à l
es nerfs crâniens (para- lysie faciale, oculaire, et dysphagie). La paralysie faciale est apparue avant les autres symptômes.
de 14 ans. Affection non seulement des quatre membres, mais encore paralysie faciale, parésie du voile du palais, du dia- ph
de 10 ans. - Symptômes correspondant à une poly- névrite. Là aussi paralysie faciale et du voile du palais. Depuis, développem
URENT. Syphilis de 5 ans. Trois ans après l'infection syphilitique, paralysie transitoire d'un bras et du releveur de paupière
ire. Symptômes d'une polynévrite. De plus la parole très difficile, paralysie faciale des deux côtés. A la ponetion lombaire
cés aux membres supérieurs. Douleurs fortes aux membres supérieurs. Paralysie unilatérale faciale, de l'abducens et de l'oculom
de 3 mois. D'abord névralgies intenses aux membres supérieurs, puis paralysie des quatre membres. Mort 4 mois plus tard (symptô
paralysie des quatre membres. Mort 4 mois plus tard (symptô- mes de paralysie des pneumogastriques des deux côtés). Par l'exame
pport sur l'état des méninges. CESTAN (obs. I). Syphilis de 1 mois. Paralysie d'abord d'un bras, puis de l'autre. Pas de symp
'autre. CI D 238 ' PETREN CESTAN (obs. II). - Syphilis de 1 mois. Paralysie des quatre membres, Deux mois plus tard, érupti
riel au bout de quelques mois. SCHULTZE. Syphilis de quelques mois. Paralysie ascendante, finissant par la mort par paralysie
s de quelques mois. Paralysie ascendante, finissant par la mort par paralysie de la respiration. Réflexes rotuliens conservés.
scute pas la présence d'une polyné- vrite (1893), seulement « d'une paralysie flasque de syphilis ». FonDYCE. « Outbreak of e
examine la description de ces cas, il ne s'agit pas seulement d'une paralysie faciale double qui peut encore former un symptôme
dysen- terie dont le malade a guéri, mais ensuite est survenue une paralysie du type d'une polynévrite, qui était ascendante
plus tardivement (pendant les six dernières semaines de la vie) une paralysie des jambes. La moelle et le cerveau très mous (
ade a reçu un traitement iodo- mercuriel. Pendant ce traitement, la paralysie faciale s'est améliorée, mais la paraplégie est
mais la paraplégie est devenue complète. Vers la fin de juillet, la paralysie faciale est guérie, mais il est survenu encore
et, la paralysie faciale est guérie, mais il est survenu encore une paralysie des bras. lia succombé à une pneumonie au comme
évrite syphilitique. Il me semble que tout parle pour l'idée que la paralysie faciale, qui a été guérie pendant le traitement a
en tout cas pro- bable que la polynévrite qui était la cause de la paralysie des membres est due à l'intoxication mercuriell
'ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. - ATROPHIE musculaire PURE sans paralysie par. tiraillement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL
ement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL - Atrophie musculaire PURE, sans paralysie , dans LE domaine DU PLEXUS supérieur, quatorze
OT-IIÎARIE. PAR André LÉRI. , 1 Atrophie musculaire pure sans paralysie par tiraillement DU PLEXUS brachial (en colla
liques des nerfs mixtes périphériques ou des plexus déterminent des paralysies motrices et parfois sensitives; tardivement peu-
alité ou dans une partie des muscles préalablement paralysés ; « la paralysie est le phénomène initial et prédominant, c'est
re des exceptions ; l'atrophie musculaire peut survenir sans aucune paralysie préalable et comme un phénomène initial-; fait
,A Salpêtrière. T. XXVIII. PL. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE PURE SANS PARALYSIE PAR TIRAILLEMENT DU PLEXUS BRACHIAL (A. Léri
hie n'est pas très prononcée, il n'y a pas et il n'y a jamais eu de paralysie . Il n'y a et il n'y a eu aucun trouble sensitif
sement portant surtout sur le bord cubital. Mais il n'y a eu aucune paralysie , aucune anesthésie, et, trois mois après, l'atr
erait faci- lement inaperçue. II Atrophie musculaire PURE, sans paralysie , dans LE domaine DU plexus brachial supérieur,
ion d'un malade chez qui survint une atrophie musculaire pure, sans paralysie préalable, à la suite d'un trau- matisme indire
tro- phie survint également dans le domaine du plexus brachial sans paralysie préalable. Elle en diffère à deux points de vue
LP) : 'l'RII : R);. T. XXVIII. Pal. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE SANS PARALYSIE DANS LE DOMAINE DU PLEXUS SUPÉRIEUR 14 ANS APRÈ
au bout de 8 à 10 jours, il retourna en classe, sans douleur, sans paralysie aucune. Depuis bien longtemps il ne songeait pl
urvenue dans tout le groupe des muscles de Duchenne-Erb sans aucune paralysie préalable, et qu'il n'existe encore actuellemen
ucune paralysie préalable, et qu'il n'existe encore actuellement ni paralysie ni aucun trouble de sensibilité objective ; 2°
sclérose latérale amyotrophique ou bien s'associe au tabes ou à la paralysie générale. 1 L'exactitude de cette conception
en y comptant ceux où l'amyotrophie était associée au tabès ou à la paralysie générale. D'autres faits'analogues ont encore'é
pinale, presqu'au même titre qu'elle est la cause du tabès et de la paralysie générale. (1) A. Léri, Atrophies musculaires
lésions médullaires en foyers tout à fait analogues à celles de la paralysie infantile, à savoir l'observation de Van Gehuch
irurgien des hôpitaux à l'Université de Montpellier, de Paris. La paralysie faciale unilatérale est très fréquente. La VII· p
t même méconnues. Nous avons eu récemment l'occasion d'observer une paralysie faciale bilatérale d'origine périphérique. Les
ques, origine congénitale avec malformations concomitantes pour les paralysies nucléaires. Le premier cas connu est celui publ
it des monographies documentées à ce sujet. Déjerine cite un cas de paralysie faciale double à frigore datant de trois 'mois. D
évié à droite (PL L). Il y a une certaine gêne respiratoire. Pas de paralysies oculaires. Pupilles égales, régulières, contracti
origines, quelle en est la nature ? Nous éliminerons facilement la paralysie faciale par lésion cérébrale.. Dans ces conditi
s'agit d'une diplégie. La lésion cérébrale susceptible d'amener une paralysie faciale siège sur l'écorce au niveau du centre
lésion circonscrite d'un hémisphère soit susceptible d'ame- ner une paralysie faciale, par contre il est à peu près impossible
e l'excitabilité mus- culaire qui ne se rencontrent jamais dans les paralysies d'origine cérébrale. Seule persiste l'hypothèse
r une diplégie faciale d'origine nucléaire, nous dirons même que la paralysie nucléaire est relativement assez souvent bilatéra
peuvent arriver à ce résultat. Mais, toujours dans ce' cas, il y a paralysie des nerfs moteurs de l'oeil (Vle paire surtout).
latérales. DIPLÉGIE FACIALE 277 Le diagnostic Sera facile. Par la paralysie de la corde du tympan, il y a diminution ou abo
de la langue avec sécheresse plus ou moins marquée de la bouche. La paralysie des muscles de l'étrier et du marteau amène une h
ction nasale causée par la déviation de la cloison. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'étrier et du marteau. La légèr
aciale sont toutes deux atteintes avec cependant prédominance de la paralysie dans le territoire temporo-facial (frontal, orbic
es. L'origine obstétricale ? Nous ne le croyons pas. Si c'était une paralysie par compression bilatérale due à une applicatio
ine toxique ou infectieuse ? C'est plus plausible. Ce n'est pas une paralysie faciale au cours d'une polynévrite. Il n'y a pas
n'y a pas d'autres terri- toires nerveux atteints. Ce n'est pas une paralysie consécutive à une po- liomyélite aiguë de l'enf
ons l'intégrité relative de l'audition à gauche, ce- pendant que la paralysie faciale est plus marquée de ce côté. Dans ces c
tion de la cloison. Actuellement D... n'est pas du tout gêné par sa paralysie . Il ne se rend pas compte qu'il existe pour lui
in- givo-lahial. En somme D... n'a jamais attiré l'attention sur sa paralysie . Par contre, dans le territoire facial supérieu
s les muscles de cette région sont tributaires de la VIle paire. La paralysie est totale. Seuls les releveurs de la paupière su
ès examen, on serait peut-être tenté de croire que seule existe une paralysie bilatérale du facial supérieur. Il n'en est rien.
la section du nerf opposé ? ? Il est aussi extraordinaire que la paralysie des deux orbiculaires et du (1) Elle est exposé
plète. Au point de vue évolution, D... est et restera affligé d'une paralysie faciale double. La prosoplégie est beaucoup tro
1895, deux observations de dysarthrie, qu'il décrit sous le nom de paralysie pseudo-bulbaire infantile. Son élève l'eritz(8)
our articuler les mots. Déjerine insiste sur les deux variétés de paralysie pseudo-bulbaire de l'enfant selon que l'élément
observation 11, qui est un exemple typique de cette forme mixte de paralysie pseudo-bul- haire infantile. - Le caractère e
x fermés. Photophobie. 24. - Etat général grave. Torpeur. Pouls 60. Paralysie faciale à gauche. Déviation de la bouche percep
ues mots comme réponse, et la réponse est presque imperceptible. La paralysie faciale est plus accentuée. On remar- que des d
. Pouls environ 42. , 30 et 31 janvier et le,, février. - Les mêmes paralysies , état général meilleur. La céphalée moins inten
Pouls 58. Apyrexie. En l'observant j'ai constaté l'existence d'une paralysie faciale gauche, flasque, bien accentuée. Para
xistence d'une paralysie faciale gauche, flasque, bien accentuée. Paralysie du bras gauche en forte contracture. Paralysie
e, bien accentuée. Paralysie du bras gauche en forte contracture. Paralysie spartique de la jambe du même côté. C'est-à dire
ssivement dans 18 jours. Elle a commencé par des contractures et la paralysie du bras, la paralysie de la face et, en dernier
s. Elle a commencé par des contractures et la paralysie du bras, la paralysie de la face et, en dernier lieu, apparut la para
ie du bras, la paralysie de la face et, en dernier lieu, apparut la paralysie de la jambe. 2° Des accès jacksoniens qui ont p
flexe olécrânien très vif sans correspondant du côté opposé (1). La paralysie faciale s'est déjà améliorée. 1 L'état généra
lle présente des indices d'hémiplégie du côté gauche, avec complète paralysie du bras et de la jambe gauches, ainsi que de la
plusieurs jours. Lorsqu'il a repris connaissance, on a remarqué une paralysie du côté droit et une difficulté de la parole. La
qua aussitôt la rééducation psycho-motrice, malgré le diagnostic de paralysie du récurrent inscrit sur un des billets d'hôpitau
e aphonie hystérique et un syndrome sympathique oculo-pupillaire de paralysie avec hémianidrose cervico-faciale par blessure
de l'anidrose associée au syndrome sympathique oculo-pupillaire de paralysie sans troubles vaso-moteurs, nous avons fait quel-
ici, alors que Purves Stewart (1) le considère comme aboli dans la paralysie du sympathique cervical. La pupille droite est
nie hystérique sans bitonalité et sans signes laryngoscopi- ques de paralysie récurrentielle. Ces 4 ordres de symptômes doive
ent d'éviter l'erreur. 2° Syndrome sympathique cervical dissocié de paralysie . Le syndrome oculo-sympathique de paralysie, li
ue cervical dissocié de paralysie. Le syndrome oculo-sympathique de paralysie , lié à une paralysie radi- culaire et réalisant
de paralysie. Le syndrome oculo-sympathique de paralysie, lié à une paralysie radi- culaire et réalisant le syndrome de Mme D
Avant la guerre, on l'avait observé dans environ 18 0/0 des cas de paralysie totale ou inférieure du plexus brachial et Mme Dé
la suite de blessures, les syndromes de Claude Bernard- Horner sans paralysie radiculaire. C'est ce qui fait une partie de l'in
AIGNEL-LAVASTINE ET COURBON Ici le syndrome sympathique cervical de paralysie , comme c'est la règle, n'est pas complet. Odoul
s, -le myosis diminue nettement dans l'obscurité. Résul- tant de la paralysie du muscle dilatateur de la pupille, cette pupille
ebalancer la lésion paralytique de celui-ci. 2° L'énophtalmie par paralysie du muscle orbitaire non strié de Muller qui, à
si son action locale atténuait les effets oculo- pupillaires de la paralysie du sympathique cervical. B. - Par contre, au po
au point de vue oculaire manquent : , 1° Le « psczido- ptosis » par paralysie de la partie non striée (tarsienne supérieure)
les cas de lésion thoracique supérieure, peut être rapportée à une paralysie des nerfs inhibiteurs. Qnant à l'hémianidrose
t pas de même chez une'malade de Stewart (1), atteinte également de paralysie du sympathique cervical droit avec hémianidrose
ltation vagotonique produite . ¡ ; (1) BRANCHE J. et CORNIL L., Paralysie totale du plexus brachial gauche, paraly- sie r
32 LAIGNEL-LAVASTINE ET COURBON ' par l'atropine avant la phase de. paralysie et qu'a bien décrite récemment Petzetakis (1).
t qu'a bien décrite récemment Petzetakis (1). C'est sans doute La paralysie du sympathique, antagoniste du vague, qui a per
chimiques, tels que l'atropine, l'adrénaline, la cocaïne, en cas de paralysie locale du sympathique et les difficultés de leur
? Pierre Marie. Lésion par balle dans la région du plexus brachial. Paralysie et atrophie prédominant sur les muscles périscapu
avec atrophie du membre supérieur droit prédominant à l'épaule. La paralysie et l'atrophie des muscles périsca- pulaires est
plusieurs semaines. - Etat en février 1916. Le malade présente une paralysie incomplète avec atrophie moyenne du membre supé
alysie incomplète avec atrophie moyenne du membre supérieur gauche. Paralysie et atrophie : \OU\" 1 1-1 1 [<'.n\HK,UAi'ii[
cardiaque, nous possédons un moyen très commode pour distinguer les paralysies larynx- gées dues à la lésion unilatérale du pn
rt à 30 ans d'embolie sans avoir présenté d'atrophie musculaire, de paralysie , ni de tremblement. Lui-même marcha de bonne he
ns électriques. Il n'existe aucun symptôme d'ordre neurologique, ni paralysie , ni anesthésie. L'examen du système nerveux a é
xtension de la tumeur peut être telle qu'il y ait, par compression, paralysie de nerfs crâniens. Outre les signes indiqués, o
vages, par BENON et LEINBERGER, 297. Atrophie musculaire pure, sans paralysie , par tiraillement du plexus brachial, par Lér
Oxycéphaliqzte(Paralysiegénérale chez une - ), par Flournoy, 15. Paralysie générale chez une oxycéphalique, par Flournoy,
ar Monis, 306. ' Sympathique cervical (Syndrome - ocu- laire de paralysie avec hémianidrose TABLE DES MATIÈRES 455 S ce
Etienne (G.). Myélites aiguës épidémiques, 199. FLOOaNOY (IL). Paralysie générale chez une oxycéphalique, 15. INGVAR (
pertrophique de l'adulte (DIDE et Courjon), 1 fig. Oxycéphalie et paralysie générale (FLOUK- 1\OY) , IX. Paralysie généra
), 1 fig. Oxycéphalie et paralysie générale (FLOUK- 1\OY) , IX. Paralysie générale chez uné oxycéphali- que (FLOURNOY), I
32 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
UNE ÉRUPTION CUTANÉE L. BATTAILLI : : CIE Editeurs DIAGNOSTIC DES PARALYSIES SYPHILITIQUES 5 vés à la Salpêtrière dans le se
elle. Elle peut les détacher mais avec peine du plan du lit mais la paralysie des membres inférieurs pour être incomplète n'en
g. Les membres supérieurs participent dans une certaine mesure à la paralysie : la pression des mains est très faible, la mal
orme de la contraction se rapproche de celle qu'on observe dans les paralysies toxiques (alcool, etc.) ». Traitement parles in
jours absents. Le diagnostic de myélite syphilitique produisant une paralysie flasque presque complète des membres inférieurs
bres su- périeurs, s'imposait ici étant donnée la coïncidence de la paralysie avec l'apparition des syphilides papulo-squamen
l'absence de troubles sensitifs toujours rares d'ailleurs dans ces paralysies incomplètes. Cependant on pouvait encore émettr
ques et vaso-moteurs de la peau et peut-être une prédominance de la paralysie du côté des groupes exten- seurs, joints à la d
asses musculai- res du mollet permettaient peut-être de penser à la paralysie alcoolique. La profession de cette femme vendeu
dans une certaine mesure. On pouvait encore et surtout penser à une paralysie hystérique étant données les attaques convulsiv
convulsives antérieures, cet état mental parliculier DIAGNOSTIC DES PARALYSIES SYPHILIT1QES 7 avec lacunes de la mémoire; mais
il n'y avait actuellement aucun stig- mate sensitivo-sensoriel, la paralysie semblait avoir débuté insidieuse- ment ; de plu
nt de vue d'une association de l'alcoolisme avec la syphilis. Les paralysies flasques d'origine syphilitique qui revêtent le p
que si l'on n'était pas intervenu par un trai- tement approprié, la paralysie dans notre cas, se fut rapidement aggravée. M.
a communiqué l'observation d'un malade de cet ordre chez lequel la paralysie des 4 membres lui presque subite et devint très
vons observé dans le service de M. Charcot chez une jeune femme une paralysie presque complète des membres inférieurs avec trou
ouvait alors en présence de trois types distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hypertrophique ; la forme juvénile de l'at
risé par l'impossibilité de l'occlusion des paupières causée par la paralysie de ce muscle et plus tard avec M. Déjérine fond
unes des for- mes cliniques de la myopathie progressive primitive ; paralysie pseudo-hyperlrophique, forme juvénile de Br6, a
IE PROGRESSIVE DU TYPE LANDOUZY-DLJERINE 9 identité de nature de la paralysie pseudo-hypertrophiqueet delà forme de Erb, étab
es, on pouvait rapprocher l'un de l'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudo-hypertrophique et forme de Lan- douzy-Dé
s deux formes ce que M. Erb avait fait pour la forme juvénile et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connais- sait avant l
seudo-hypertrophique. On connais- sait avant lui l'atrophie dans la paralysie pseudo-hypertrophique (myopa- thie avec prédomi
la nature purement muscu- (1) Bédard et Rémond. Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénére
que leur volume augmentait. C'est bien là la caractéristique de la paralysie pseudo-hypertrophique : à savoir des muscles gros
isée en des points qui sont habituellement les plus atteintsdans la paralysie pseudo- hypertrophique pure décrite par Duchenn
il y manquait le signe cleLandouzy, l'inocclusion des paupières par paralysie de l'orbiculaire. Mais est-ce là une raison suf
e n'est plus permis. Mais en son absence, l'aspect de la bouche, la paralysie de l'orbiculaire des lèvres, le rire en travers
M. P. Marie et moi, à l'identité des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, f
e l'atrophie, lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du
s cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique,' la forme scapulo-huméra
hère gauche. Les événements semblent en elfet lui donner raison; la paralysie s'accentue, en conservant la forme hémiplé- giq
s l'articulation de la parole qui rappelle de loin le langage de la paralysie géné- rale et qui n'apparaît d'ailleurs que par
tervalles. Les fondions organiques s'exécutent bien. Au cours de sa paralysie , légère poussée d'impétigo. Constipation habitu
lysie, légère poussée d'impétigo. Constipation habituelle. Avant sa paralysie , légère bron- chite, scarlatine bénigne. Les
tout, sur l'amélioration notable qui se mani- festait déjà dans la paralysie du petit malade. Son examen dut intéresser vive-
t hémiplégique d'autrefois n'avait pas gardé la moindre trace de sa paralysie ; il était bien portant, quoi- que un peu grêle
ur être réputée de nature organique ? La contracture avait suivi la paralysie flasque des membres, el l'atrophie musculaire a
ue s'il s'agit de lésions destructives de ces centres moteurs et de paralysies partielles consécutives. Ce rapport entre les l
est que les lésions destructives des centres moteurs entraînent des paralysies permanentes, tandis que les lésions irri- tcrtü
ssif des attaques, calme dans les intervalles des accès, absence de paralysies post-épileptiques et d'élévation de température ;
si la température reste normale, si les accès ne sont pas suivis de paralysies , si enfin il n'y a pas de déchéance cérébrale et
lègue et ami Souques à la consultation externe de la S3lpètrière. Paralysie spinale : ))/<t)t< ! /<'. jf ? M/f'M<
é- sion organique, puisque c'est la moelle qui est en cause dans la paralysie spinale infantile et non l'écorce cérébrale. Re
viennent encore confirmer les caractères de l'attaque, l'absence de paralysies consécutives et enfin, l'état de l'intelligence e
ccès, leur constante délimitation au côté droit, l'absence de toute paralysie consécutive et de toute déchéance cérébrale ou
gorie de contractures, les contractures tardives ou secondaires aux paralysies par- tielles de l'écorce. Ce ne sont pas les
après l'atta- que, et dans ce cas, elles peuvent encore précéder la paralysie d'un temps plus ou moins long, elles sont dites
dives dont le début est lent, la marche graduelle comme celle de la paralysie primi- tive ; les contractures précoces à début
ivant ordinairement des attaques convulsives et pouvant précéder la paralysie complète des parties primitivement atteintes de
tardives qui résultent de la transformation en con- tracture d'une paralysie primitive, voici comment s'exprime M. P. Ri- ch
alysie primitive, voici comment s'exprime M. P. Ri- cher (2) : « La paralysie (hystérique) est souvent un terrain favorable pou
de la contracture, et de même que cela se rencontre dans les cas de paralysie organique, il n'est pas rare devoir la contractur
'est pas rare devoir la contracture envahir les membres atteints de paralysie hystérique. Mais le mode d'in- vasion de la con
s souvent, il est brusque, contrairement à ce qui se passe pour les paralysies organiques. Tout d'un coup, à la suite d'un tra
plus rare, mais il offre les plus grandes analogies avec les cas de paralysies organiques avec contractures tardives ». Quant
cru utile d'insister sur ce point. | 2. Lésions destructives. c). Paralysies partielles Ce qui a été dit dans le paragraphe
édent au sujet des contractures est en grande partie applicable aux paralysies partielles par lésions limi- tées de l'écorce c
es pne-paralytiques, les rapports qui unissent la contracture il la paralysie peuvent encore devenir plus étroits, la success
emment encore du parallèle physiologique de la contracture et de la paralysie qui, obéissant aux mêmes causes, frappent égale
à des lésions irritatives des centres ner- veux, elle maintient les paralysies dans le cadre -de leurs lésions dest.ruc- tires
rveau. Il n'y a de rapports il peu près fixes qu'entre la forme des paralysies partielles permanentes et le siège des lésions
ctives de l'écorce. C'est pourquoi nous pouvons distinguer pour les paralysies partielles, bien mieux que pour les contracture
les troubles de la sensibilité seront com- plètement absents et la paralysie primitive ne tardera pas à être suivie d'une ex
n- trer que même pour ces formes, les erreurs sont faciles. « Les paralysies corticales, dit M. P. Richer, sont celles qui off
Richer, sont celles qui offrent les plus grandes analogies avec les paralysies hystériques : en effet, ces paraly- sies sont l
lent et progressif, il arrive souvent que l'amyosthénie précède la paralysie complète et que celle-ci s'installe par degrés,
l'hystérie qui ne se trahit par aucun autre signe ; la nature de la paralysie reste alors d'autant mieux méconnue que l'influ
la para- lysie, soit qu'il y ait eu un long intervalle entre cette paralysie et le choc initial. Enfin, dans les paralysies
ntervalle entre cette paralysie et le choc initial. Enfin, dans les paralysies hystériques aussi bien que dans les paralysies
ial. Enfin, dans les paralysies hystériques aussi bien que dans les paralysies corticales, on peut constater la persistance de l
longtemps encore, que si l'hystérie pou- vait copier exactement les paralysies des membres, elle respectait toujours la face.
omplexe par ce double l'ait que l'hémispasme facial peut simuler la paralysie du côté opposé, ainsi qu'en témoigne une observ
et Voulet (2), et que cet hémispasme peut lui- même accompagner la paralysie , l'hémispasme occupant un côté de la face et la
pagner la paralysie, l'hémispasme occupant un côté de la face et la paralysie l'autre côté (3). Si nombreuses que soient les
aux du diagnostic. Tandis que cette anesthésie fait défaut dans les paralysies cor- ticales, elle atteint dans les paralysies
fait défaut dans les paralysies cor- ticales, elle atteint dans les paralysies hystériques non seulement la peau, mais les par
cultés de diagnostic on était exposé chez les enfants pour qui les paralysies et les contractures sont souvent les premières,
lé- sions du larynx, traumatismes portant directement sur le crâne, paralysies partielles pouvant être d'origine corticale et
même accès et n'entraînent jamais de perte de connaissance. Pas de paralysies , ni de contractures. Le mutisme est absolu. Qua
u nom de l'auteur qui l'a décrit pour la première fois en 1865, une paralysie alterne du nerf moteur ocu- laire commun d'un c
es du côté opposé. Le syndrome de 11lillal'd-Gubler consiste en une paralysie faciale totale d'un côté et une hémiplégie des
e fait dominant et caractéristique de ces deux syndromes, c'est la. paralysie alterne, cette forme de paralysie devant évoque
de ces deux syndromes, c'est la. paralysie alterne, cette forme de paralysie devant évoquer tout d'abord l'idée d'une lésion p
lésion protubéran- lielle. Il n'est pas difficile d'expliquer la paralysie alterne quand on considère .le NOUVELLE ICONOGR
t beaucoup plus difficile d'expliquer dans le syndrome de Weber les paralysies partielles du nerf de la 3e paire et, par exemple
es partielles du nerf de la 3e paire et, par exemple, le ptosis par paralysie isolée du muscle releveur de la paupière. La lési
r rapporté par M. Charcot, nous aurions pu pla- cer un autre cas de paralysie alterne hystérique simulant le syndrome de 111
e malade se présentait donc avec la triade symptomatique suivante : paralysie , anesthésie et troubles trophiques dans le territ
esquels le nerf médian a été lésé, et qui, outre l'anesthésie et la paralysie consécutives à l'accident, ont présenté tous de
et alors s'ensuivront des troubles de la motilité, avec atrophie et paralysie des muscles; d'autres fois c'est sur les cornes
) ; d'autres fois, elle a succédé à un ictus et à des phénomènes de paralysie qu'on était tenté d'abord de rapporter à une lé
commencer par établir que ces troubles sont constamment le fait de paralysies des muscles oculai- res, les spasmes des mêmes
il est indispensable de marquer la sépara- tion clinique entre les paralysies périphériques et les paralysies centrales. (1)
la sépara- tion clinique entre les paralysies périphériques et les paralysies centrales. (1) ST-ANGE, Rev. méclic. Toulouse 1
nt un certain temps du spasme du muscle associé de l'autre oeil. La paralysie du même muscle d'origine centrale (nucléaire, s
léaire, sus-nucléaire ou corticale) s'accompagne au contraire de la paralysie de ce môme muscle associé (Pa- rinaud). D'apr
ès le même auteur, le second moyen que nous ayons de distinguer ces paralysies centrales des paralysies périphériques, c'est de
ond moyen que nous ayons de distinguer ces paralysies centrales des paralysies périphériques, c'est de bien étudier et de bien
s, c'est de bien étudier et de bien définir les différents types de paralysies centrales. Or, un carac- tère domine tous les a
ysies centrales. Or, un carac- tère domine tous les autres dans les paralysies d'origine centrale, celui des paralysies dissoc
e tous les autres dans les paralysies d'origine centrale, celui des paralysies dissociées ou associées. S'agit-il de paralysies
entrale, celui des paralysies dissociées ou associées. S'agit-il de paralysies dissociées* ! Si ces paralysies ne sont pas d'o
ssociées ou associées. S'agit-il de paralysies dissociées* ! Si ces paralysies ne sont pas d'origine périphérique, on ne peut le
e, on ne peut les imputer qu'à des lésions nucléaires. S'agit-il de paralysies associées, de certaines formes d'ophlalmoplégie
ire, doi- vent être associés et conjugués. On n'a jamais observé de paralysie corticale par exemple de l'un des six muscles e
e lésion hémisphérique du côté opposé. C'est donc la seule forme de paralysie dissociée qui, dans les paralysies de l'ap- par
osé. C'est donc la seule forme de paralysie dissociée qui, dans les paralysies de l'ap- pareil de la vision, puisse reconnaîtr
ment sus-nucléaire. Telles sont en résumé les principales formes de paralysies oculaires, d'origine périphérique ou centrale,
de ce qui a lieu pour les troubles moteurs de cause organi- que, la paralysie de ces muscles est l'exception dans l'hystérie et
it préciser souvent celui des deux états qui domine, contracture ou paralysie , et qu'enfin, ces deux états peuvent coexister (4
pu fournir encore dans l'hystérie une seule observation précise de paralysie isolée des muscles oculo-moteurs. On a décrit p
nces, dit M. Charcot, des oculistes de pro- fession en on[ fait une paralysie de la 3° paire d'un pronostic très sombre. Il i
pronostic très sombre. Il importe donc de ne pas s'y tromper. La paralysie du muscle releveur de la paupière est simulée dan
e, tandis que dans le ptosis vrai le malade cherche à suppléer à la paralysie du releveur par la contraction du frontal et l'
uniqués est la même dans toute l'étendue des deux mem- bres. Pas de paralysies . Réflexes rotuliens conservés. Pas de troubles sp
ue do la peau. Pas de crises convulsives, pas de contractures ni de paralysies . Pupilles éga- les ; regard un peu vague, mais
eloir, Baude et Thibierge a eu de l'anesthésie périorbitaire et une paralysie bilatérale de l'orbiculaire palpébral. Celui de M
bres et le tronc aucune déformation notable. Il n'a aucune trace de paralysie , ni de contracture, ni de phénomènes spasmodi-
ès peu d'importance des lésions macroscopiques. Elle correspond aux paralysies syphilitiques que l'on considérait autrefois co
Syphilis datant de 1 an. Paraplégie complète développée en 7 jours : paralysie flasque d'abord, puis contracture au bout de 3
sement va en augmentant graduelle- ment, si bien que le 7e jour, la paralysie est absolue : en même temps survien- nent des d
te à se cicatriser, s'accompagne d'un érysipèle. Janvier 1890. La paralysie , qui avait été llasque jusqu'ici, s'accompagne
g. 4. M. Scb. professeur d'une école moyenne, marié, âgé de 36 ans. Paralysie générale progressive. La maladie com- mença en
ubles trophiques en particulier, l'examen (1) a prouvé, que dans la paralysie générale progressive, les muscles ne subis- sen
de doute dans la question du caractère des pa- ralysies ; dans ces paralysies , on n'observe pas de réaction de dégénéres- cen
s, on n'observe pas de réaction de dégénéres- cence et même pour la paralysie générale progressive, l'observation a prouvé de
esse des remarques faites par deux sa- vants (2) qui disent que les paralysies oculaires d'origine corticale n'ont (1) Schùlz.
un savant fort compétent prouvent que, dans certaines formes de la paralysie générale progressive, c'est un état maladif atrop
eut, pendant son séjour à l'hôpital, plusieurs ictus non suivis de paralysies . Elle présentait de la lenteur de la parole, et u
non guérie. Il y a 2 mois, nouvel ictus apoplectiforme non suivi de paralysie ; même accident il y a 3 semaines. Survient alo
faut, surtout quand l'interrogatoire se prolonge. Elle présente une paralysie presque complète des deux membres inférieurs. D
cerbations, parfois même état comateux passager ; ou bien c'est une paralysie d'un nerf crâ- nien et tout spécialement d'un d
que survenus dans le cours de la pre- mière année de l'infection. - Paralysie de la 3e paire, céphalées nocturnes ac- compagn
ntes et né- cessitaient des piqûres de morphine. Puis apparut une paralysie des membres supérieurs et inférieurs gauches sa
e des membres supérieurs et inférieurs gauches sans ictus. ' ' La paralysie de la jambe gauche s'est établie progressivement
d'une pièce de 5 francs. Elle met un mois à guérir. Depuis que la paralysie des membres du côté gauche est survenue, la malad
troubles cérébraux congestifs subits. Douleurs en cein- ture. La paralysie devient un peu moins accentuée dans le membre inf
ribles du côté gauche. Sensation de torsion du globe oculaire. Puis paralysie du moteur oculaire externe gaucho avec myo- sis
o avec myo- sis. Les douleurs disparaissent le jour où s'établit la paralysie oculaire. ET.\T actuel (7 juillet 1892). Mala
grie, notablement anémique. Organes thoraciques absolument sains. Paralysie très marquée, mais, toutefois incomplète du membr
che, légère et n'entravant pas la marche. Etat t stationnaire de la paralysie oculaire. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 22
té difficile de- puis cette époque; mais jamais le malade n'a eu de paralysie complète, l'obligeant à garder le lit. Examen
la moelle. Dans uneseconde phase de la maladie, l'apparition d'une paralysie dans le domaine des nerfs crâniens, d'accidents d
les nuits. Au bout de quelques jours, envahissement de la moelle : paralysie des si membres. Antélio- ration considérable pa
née au bout de quelques jours d'un état géné- ral des plus graves : paralysie complète des 4 membres et de la langue, (fini-
a main, sans réaction de dégéné- rescence. Phénomènes céphaliques : paralysie totale du moteur oculaire commun à gauche, quin
du globe de l'oeil, sauf pour les mouvements en dehors. Il y a donc paralysie totale de la 3e paire gauche. L'examen ophtal
lé- sion du fond de l'oeil. Rien d'anormal dans l'oeil droit pas de paralysie as- sociée. L'on ne remarque pas d'asymétrie
ande sa sortie. Elle peut être considérée comme guérie, sauf que la paralysie de l'oculo-moteur gauche n'est pas tout à fait di
s la région lombaire et dans les membres inférieurs, précé- dant la paralysie . Examiné à ce moment, le malade se présente attei
ne cérébral en apparence. Mais l'examen des yeux fait découvrir une paralysie de l'ac- commodation avec perte des réflexes pu
i aboutit à une paraplégie complète dans l'es- pace de 24 heures. Paralysie flasque au début, avec exagération des réflexes t
mènes cérébraux légers et transitoires. - Iné- galité pupillaire et paralysie de l'accommodation de l'oeil gauche.- A l'oplrtlc
ÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 23j Troubles du côté des sphincters. La paralysie du sphincter vésical persiste ; l'in- continenc
rammes. Pointes de feu sur la colonne vertébrale. 5 juin 1892. La paralysie motrice a encore augmenté aux membres infé- rie
t très accentuée : la pupille gauche est toujours la plus large. La paralysie de l'accommodation persiste dans l'oeil du même
chare sacrée au début. 15 juillet 1892. - Amélioration légère de la paralysie motrice, surtout à gauche. Les troubles objecti
illes sont parfaitement égales et réagissent bien il la lumière. La paralysie de l'accommodation qui existait à gauche a mainte
ures de la myélite centrale aiguë. Les accidents médullai- res, les paralysies se développent avec une grande rapidité, parfois
go-myélite. DE LA nIÉNINGO-niYÉLITE SYPIIILITIQUE 237 PÉRIODE DES PARALYSIES MÉDULLAIRES Des diverses formes de paraplégies
modique des muscles, et compliquée d'une façon presque constante de paralysie des sphincters. On peut d'ail- leurs admettre,
t fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUES communes. Cette forme de paralysies syphilitiques répond, avons-nous dit, au type c
loi absolue en pathologie : les accidents du côté de la moelle, les paralysies peuvent apparaître sans avoir été précédées des
omme un type morbide à part, auquel il proposait la dénomination de paralysie spinale syphilitique. Le développement de la ma
La démarche spasmodique est alors typique. Mais, règle générale, la paralysie à propre- ment parler reste peu accentuée : on
d'impuissance sexuelle. Tel esten résumé le tableau clinique de la paralysie spinale syphilitique d'Erb. L'auteur ajoute que
pit de toutes les médications mises en usage. Erb déclare que cetle paralysie spinale syphilitique, lorsqu'elle existe isolée
une des formes cliniques incontestable- ment les plus fréquentes de paralysie médullaire syphilitique. Nous avons eu celle an
te, par exemple, réalise dans ses moindres détails le tableau de la paralysie spinale syphilitique telle que Erb la comprend.
membres inférieurs, qui l'oblige à garder le lit quelques jours. La paralysie n'est pas complète, et la marche est bien- tôt
arqué le début des accidents nerveux. ' Mentionnons par exemple les paralysies oculaires persistantes, ou plus on moins complè
rs passagères, une exaltation notable des ré- flexes tendineux sans paralysies ... etc. Nous avons insisté assez longuement sur
rions également invoquer les observations V et VI comme exemples de paralysies spinales, précédées d'une poussée de méningite
raux en question peuvent d'ailleurs être très variés, suivant lui : paralysies oculaires, lésions ophtalmoscopi- clues; ou bie
ppeler, parmi les accidents nerveux delà syphilis, la fréquence des paralysies oculaires, bien connue depuis les travaux de M.
1889, nos 48 et 49). 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. paralysies sont souvent incomplètes, partielles, transitoire
l'examen oculaire pratiqué par M. Parinaud permit de découvrir une paralysie de l'accommodation, avec perte des mouvements r
met de rattacher dans ces conditions, les symptômes observés il une paralysie incomplète de l'o- culo-moteur commun. - Dans
exceptionnels dans cette forme. Ainsi que le fait remarquer Erb, la paralysie reste incomplète dans tous les cas ; et, dans l
e de la marche, due à l'état spasmodique des membres inférieurs, la paralysie motrice à proprement parler existe à peine. L'a
dire, la forme la plus favorable, au point de vue du pronostic, des paralysies médullaires de la syphilis, et que l'a- méliora
condamner le malade au lit d'une façon définitive ou à peu près; la paralysie motrice peut être alors très marquée, bien qu'ell
quée sur un des mem- bres inférieurs que sur l'autre, tandis que la paralysie du mouvement est plus profonde du côté opposé i
t à une paraplégie com- plète dans l'espace de quelques jours, avec paralysie du momement, de la sensibilité, des sphincters,
complète. A son en- trée à l'hôpital, le lendemain, on constate une paralysie flasque absolue des deux membres pelviens, avec
d'urine complète, 2 jours avant que la paraplégie se produise. La paralysie des membres inférieurs survient en une nuit (Siem
eur mode d'apparition et dans leur évo- lution ultérieure, avec les paralysies cérébrales de même nature, qui sont dues à des
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de paraplégies syphilitiques. C'est une paralysie absolue du mouvement que l'on observe ici le pl
ilité électrique peut cependant demeurer intacte (Siemerling). La paralysie complète du rectum et de la vessie est une règle
se traduisit par une grande faiblesse des quatre membres mais sans paralysie à proprement parler (1). Ces variantes dans le
son début, des accidents cérébraux plus ou moins graves, céphalées, paralysies oculaires. Les paralysies spinales syphilitique
ébraux plus ou moins graves, céphalées, paralysies oculaires. Les paralysies spinales syphilitiques caractérisent la deuxième
ractérisent la deuxième périodes celle des lésions médullaires. Ces paralysies , dans les formes les plus com- munes, se présen
sphincters de la vessie et du rectum. La nature syphilitique de ces paralysies pourra être soupçonnée à bon droit, non pas en
renant pour base d'un diagnostic différentiel les carac [ères de la paralysie elle-même, mais en se fondant sur les particulari
et sa figure prend une expression lamentable de désespoir. Pas de paralysies , pas d'anesthésies. Il voit assez bien-, dit-il ;
et couverts d'ecchy- moses multiples. La face a dû participer il la paralysie , car avait, dit-il, beau- coup de difficulté à
neuse- ment et fit même une leçon sur lui, portant le diagnostic de paralysie par ful- guration. Pendant 8 mois, il suivit un
atrices. A la deuxième séance, le malade fut subitement guéri de sa paralysie : il put se lever et marcher. La sensibilité, t
les consulter le Dr Viemont qui lui délivra un nouveau certificat : paralysie et attaques d'épilepsie survenues à la suite d'
ause de la douleur. Cette douleur excitait déjà lors de la première paralysie . Les membres paralysés sont contracturés, surto
s par une dou- leur dans l'épaule ; mais pas de contracture, pas de paralysie . La pression des mains est forte. La marche e
33 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
i détermine l'arrêt de développement en masse d'un membre frappé de paralysie infantile au cours de la première ou de la se-
HOSPICE DE B1CÉTRE DES SYMPTOMES CATATONIQUES AU COURS DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE PAR J. SÉGLAS, Médecin de l'hospic
t travail, signalait l'existence des symptômes catatoniques dans la paralysie générale. Bien que confirmé depuis par d'autres o
t de noter par intervalles, dans le tableau clinique si varié de la paralysie générale, quelques symptômes dont la réunion re-
'observateur les états catatoniques au début ou dans le cours de la paralysie générale. En voici deux exemples : Observatio
les : Observation 1 B..., 38 ans. Syphilis; tabes antérieur, puis paralysie générale dont les premiers symptômes remontent
ées de satisfaction et de richesses. Voilà donc une. observation de paralysie générale au cours de laquelle on voit à deux re
tic ne présentait ici aucune difficulté, puisqu'il s'agissait d'une paralysie générale avérée, reconnue déjà comme telle depuis
mplet. Bien que l'on fût en garde contre l'existence possible d'une paralysie générale, le diagnostic définitif dut rester un
lèvres, des mains; réflexes rotu- liens abolis, signe de Homberg ; paralysie générale manifeste ; syphilis à 20 ans. Jusqu'à
pprocher celles dans lesquelles on observe seulement au cours de la paralysie géné- rale, à l'état isolé, quelques-uns des él
DE LA PARALYSIE GENERALE DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 21 bres en flexion forcée, on s'était
on III M... Julien, employé, 41 ans à l'entrée, le 31 janvier 1903. Paralysie géné- rale dont le début apparent remonte au mo
, les symptômes sont beaucoup plus rares que les précédents dans la paralysie générale ; aussi l'observation suivante n'en est-
DE LA PARALYSIE GENERAL ! DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 23 idées de persécution ne sont que de
publié jadis un cas de stéréotypie (ticaérophagique) au début d'une paralysie générale (Sem. méd ? 1899, n° 2). Mon interne, M.
V... Paul, employé de commerce, 34 ans, entré le 3 décembre 1906. Paralysie générale avancée ; signes physiques, affaiblissem
L... Louis, voyageur de commerce, 40 ans, entré le 14 février 1900. Paralysie générale confirmée ; signes physiques, affaibliss
n X M... Edouard, négociant en vins, 45 ans, entré le 2 mai 1906. Paralysie générale avancée ; signes physiques ; affaiblisse
s ; accrocs de la parole. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 27 t Par la suite, la démenée s'acce
. Elle consulte Panas et Galezowski qui diagnostiquent en outre une paralysie du moteur oculaire externe droitet con- cluent
puy-Dutemps qui a constaté : ptosis léger de la paupière gau- che ; paralysie des deux droits- externes et des deux droits supé
la sensibilité osseuse, les phénomènes oculaires : signe d'Argyll, paralysies diverses de la mus- culature externe, atrophie
ou de la marche dans certaines affections, comme les myopathies, la paralysie agitante (2), Cet aperçu général de l'oeuvre ac
nt. Ce symptôme a disparu aujourd'hui. Etat actuel [Février 1907).- Paralysie complète de la 3e paire à droite (ptosis, strab
mydriase, la musculature interne de l'oeil n'est pas touchée par la paralysie . A gauche : ptosis incomplet, globe oculaire no
commissures. De plus, celles-ci ne sont pas abaissées comme dans la paralysie glosso-labiée, bien que la malade ait un peu l'
feste que cet aspect et le défaut d'occlusion buccale sont dus à la paralysie du maxillaire inférieur qui est tombant. D'ai
I. XXIV, fig. 2). Ainsi, en dépit des apparences, il n'y a point de paralysie dans le do- maine du facial. Si l'on vient à ra
ude naturelle au repos ; la bouche reste entr'ouverte par suite de la paralysie des massieters. B. Occlusion volontaire de la
en regardant de pro- fil la malade pendant qu'elle mange. Pas de paralysie objectivement appréciable du voile du palais ; ma
che est normale ; aucun trouble de coordination des membres, pas de paralysie . Réflexes tendineux. Le réflexe du genou est ab
un très léger changement en mieux, 120 LAMY au point de vue de la paralysie de la mâchoire inférieure. La bouche n'est plus
plégie (sans participation de la musculature interne de l'oeil), et paralysie de la branche motrice de la 5e paire : on pourr
ni douleurs, ni anesthésie dans le domaine du triju- meau. Enfin la paralysie et l'atrophie des masticateurs est un phénomène
(1) GUINON et PARMBNTIER, De l'ophtalmoplégie externe combinée à la paralysie glosso-labio-laryngée et à l'atrophie musculair
, qui offrait, comme notre malade, une ophtalmoplégie totale et une paralysie atrophique des muscles innervés par la branche mo
e la moitié inférieure de la face offre l'aspect « pleurard » de la paralysie glosso- labio-laryngée à première vue, surtout
bouche reste entr'ouverte. Mais à l'examen, on voit qu'il n'y a ni paralysie ni atrophie prononcées dans le domaine du facia
llement ouverte, et perdent-ils leur salive par les commissures. La paralysie de la branche motrice du trijumeau est un sympt
classiques déclarent ne se pro- duire que très tardivement dans les paralysies bulbaires chroniques. Ici, l'atrophie et la par
ent dans les paralysies bulbaires chroniques. Ici, l'atrophie et la paralysie des masséters l'emportent sur les troubles dans
Z UN même malade DE LA [PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET DE LA PARALYSIE SPINALE INFANTILE AUTOPSIE. PAR ITALO ROSSI
AUTOPSIE. PAR ITALO ROSSI La doctrine de l'analogie entre la paralysie spinale infantile et l'hémi- plégie cérébrale i
es que nous les relevons dans les autopsies les plus habituelles de paralysie cérébrale infantile, les lésions de début. Or, se
'identité anato- mique de l'hémiplégie cérébrale infantile et de la paralysie spinale infan- tile, dont le processus initial
orable on verra quelque jour l'hémiplégie cérébrale infantile et la paralysie spinale infantile coïncider chez le même sujet,
re, d'un cas de coexistence de paraplégie cérébrale infantile et de paralysie spinale infantile. Ce cas qui a été, de la pa
par son extrême rareté. Il nous montre aussi que l'ana- logie de la paralysie spinale infantile et de l'hémiplégie cérébrale in
comme l'hémiplégie cérébrale infantile, n'est qu'une variété de la paralysie céré- brale infantile ; leur étiologie est à pe
l est à noter que le grand-père et le père auraient été atteints de paralysie dans les dernières années de leur vie ; mère vi
diminution NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XX. PI. XXV PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTIL
e de la Salpêtrière T. XX. PI. XXV PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTIL
ire, on peut dire qu'il existe dans tous les segments du membre une paralysie presque absolue. . Il existe des troubles vaso-
petite. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊJR1ÈRE. T. XX, PI. XXVI PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTIL
DE la SALPÊJR1ÈRE. T. XX, PI. XXVI PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE (1. Rossi) . PARAPLÉGIE CÉR
raphie de la Salpêtrière T. XX. Pli. XXVIII II d Ville c IV c PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTIL
li. XXVIII II d Ville c IV c PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE (I. Rossi). - -. PARAPLÉG
sure cal loso-marginale. C'est à ce foyer que doit être rapporté la paralysie cérébrale infantile de notre malade. Dans la
auche de la moelle. C'est à ce foyer que nous devons rap- porter la paralysie spinale infantile du membre inférieur gauche. N
é dans notre cas particulier. e PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE hT PARALYSIE SPINALE INFANTILE 131 Il faut aussi noter la pr
e de Babinski des deux côtés, même dans le membre gauche atteint de paralysie infantile, presque complète- ment^ paralysé, en
nce du signe de Babinski a été, bien que rarement, signalée dans la paralysie spinale infantile et diversement interprétée. Pou
ente d'une façon typique l'ensemble des phénomènes spastiques de la paralysie cérébrale infantile ? S'il en était t réellemen
s cette époque relevé les similitudes de début et d'évolution de la paralysie spinale infantile et de l'hémiplégie cérébrale
1903 tt la Société de Neurologie et Psychiatrie de Vienne, 3 cas de paralysie spinale infan- tile d'un seul membre inférieur
flexe cutané plantaire en extension, dans un cas du même côté de la paralysie , dans les deux autres cas du côté opposé. Redlich
emarquer que la présence du signe de Babinski du côté op- posé à la paralysie pouvait relever de deux causes : soit d'une attei
d'une lésion cérébrale concomitante, comme on peut en voir dans la paralysie spinale infantile. (2) VzIOLI, Emiplegia cérébr
anatomique,ont amené des tentatives d'une conception nouvelle de la paralysie spinale infantile. Selon cette conception le ca
t avec une affection spinale à processus anatomique bien défini, la paralysie spinale infantile. Les deux affections,en effet
tion céré- brale du même processus qui dans la moelle engendrait la paralysie spi- nale infantile. Et comme il était convainc
nalogies liant entre elles l'hémiplégie cérébrale infan- tile et la paralysie spinale infantile. Pour Sii-ümpel en effet, les d
eur non seulement dans les phénomènes cliniques (distribution de la paralysie , crises épileptiformes, athétose), mais aussi d
effet plus affirmatif que Strümpell sur la nature infectieuse de la paralysie spinale infantile et de beaucoup des cas d'hémi
ore soutenable, même sur le terrain anatomique, l'analogie entre la paralysie spinale infantile et. une certaine variété au moi
s, les tubes nerveux et les vaisseaux. Mais c'est l'étude de cas de paralysie spinale infantile suivis d'autopsie peu de jour
ylor(18),Praetorius(l9),Ballen(20) concordent pour démontrer que la paralysie spinale infantile est due à un processus d'infl
rre Marie et Strümpell entre l'hémiplégie cérébrale infantile et la paralysie spinale infantile, on peut répondre affirmative
eçu de solides confirmations. En effet, la nature infectieuse de la paralysie spinale infantile, soutenue d'abord par Seelig-
ie, Archiv. de Physiol., janvier 1885. 138 ITALO ROSSI ni dans la paralysie infantile, ni dans l'hémiplégie cérébrale infanti
uelques jours, furent presque simultané- ment atteints, la soeur de paralysie atrophique spinale, le frère d'hémiplé- gie spa
s qui chez deux d'en- tre eux affectèrent le tableau clinique de la paralysie spinale infantile, chez le troisième celui de l
e infantile. Buccelli (4) (1897) rapporte une épidémie de 18 cas de paralysie infan- tile, à forme tantôt spinale, tantôt cér
es où plusieurs membres furent frappés, les uns étaient atteints de paralysie spinale infantile, d'autres de paralysie cérébral
es uns étaient atteints de paralysie spinale infantile, d'autres de paralysie cérébrale infantile (hé- miplégie ou diplégie s
Il résulterait de ces statistiques que la courbe de fréquence de la paralysie spinale infantile et de la paralysie cérébrale
e la courbe de fréquence de la paralysie spinale infantile et de la paralysie cérébrale infantile est parallèle et qu'elle at
onvulsions. Peu de jours après cet état, se développa chez l'un une paralysie spinale, chez l'autre une hémiplégie cérébrale
140 : *ITALO ROSSI brachiale droite, caractère cérébral, et d'une paralysie spinale infantile du membre inférieur droit, su
igidité muscu- laire, exagération des réflexes tendineux), el d'une paralysie flasque loca- lisée aux muscles de la jambe gau
bout de quel- ques jours survient une ophtalmoplégie droite et une paralysie du mem- bre inférieur, droit qui très rapidemen
flexes tendineux, peu ou pas d'atrophie musculaire),; à droite, une paralysie flaccide du membre inférieur (avec atrophie mus
s- inférieures. Dans les deux semaines suivantes, atténuation de la paralysie qui se limita à certains groupes musculaires. L'e
siduels d'une poliomyélite antérieure aiguë (atrophie muscu- laire, paralysie flaccide, abolition des réflexes rotulien, achill
e. . Toutes ces observations laissent présumer que l'analogie de la paralysie infantile et d'une certaine variété au moins de
gie de la paralysie infantile et d'une certaine variété au moins de paralysie cérébrale infantile, n'est pas seulement étiolo
teurs, serait l'équivalent cérébral du proces- sus anatomique de la paralysie spinale infantile. Or cette démonstration n'a p
t. Nous les résumerons brièvement. On sait que dans quelques cas de paralysie spinale infantile, la paralysie des différents
t. On sait que dans quelques cas de paralysie spinale infantile, la paralysie des différents nerfs crâniens a pu être observé
nd même la possibilité de l'extension du processus anatomique de la paralysie spinale infantile vers le bulbe, la protubéranc
que l'on ne peut,par conséquent observer l'évolution ultérieure des paralysies de ce genre ! » Les nerfs le plus fréquemment p
VII°, la XIIe et la VIe paires, mais parfois on a aussi observé la paralysie de la XIe paire (Medin), de la X" [Medin, Huet
la moelle disparaissent presque complètement et il ne reste que la paralysie d'un ou de plusieurs nerfs crâniens [Auerbach (
observées par lui de poliomyélite constata de nombreux exemples de paralysies des nerfs crâniens. Elles s'associaient parfois à
omènes polynévritiques dans les membres inférieurs, parfois à de la paralysie spinale infantile. D'autres fois encore elles res
e et d'agitation, chez lequel au 4.e jour de la maladie survint une paralysie des extrémités inférieures, flaccide, avec perte
t aussi de la dysphagie. L'autopsie montra, outre les lésions de la paralysie spinale infantile dans la moelle, des petits fo
(2) publié en 1894. Un homme de 43 ans, minus habens, présente une paralysie spinale infantile de la jambe droite, avec racc
ie musculaire, abolition des réflexes tendineux, pied équin ; cette paralysie date de Cage de 5 ans, époque à laquelle le mal
supérieur et du lobe frontal de l'hémisphère gauche, et un foyer de paralysie infantile dans la moelle lombaire, à droite, av
la zone motrice, auraient pu donner lieu au tableau clinique de la paralysie cérébrale infantile. Il est inutile, croyons-no
endre vers le bulbe et la moelle, s'accompagner des symptômes de la paralysie bulbaire aiguë et de la paralysie spinale (Kaiser
s'accompagner des symptômes de la paralysie bulbaire aiguë et de la paralysie spinale (Kaiser) (1), de façon à donner la poli
agique et la poliomyélite aiguë. Il existe d'autre part, entre la paralysie spinale infantile et une cer- taine variété de
ntre la paralysie spinale infantile et une cer- taine variété de la paralysie cérébrale infantile, des analogies étiologiques
nalogue à celui de la poliomyélite puisse être une des causes de la paralysie cérébrale infan- tile est rendue très vraisembl
que l'agent toxi-infectieux commun agisse dans la pathogénie de la paralysie cérébrale inlantile non pas toujours (1) Kaiser
miques ou hémorragiques, que pourrait être due dans certains cas la paralysie cérébrale infantile. Même dans ces cas l'analog
rébrale infantile. Même dans ces cas l'analogie anatomique entre la paralysie spinale infantile et la variété de paralysie cé
ie anatomique entre la paralysie spinale infantile et la variété de paralysie cérébrale infantile d'origine infectieuse ne sera
qu'il nous a toujours prodigués. (1) Il va sans dire que les cas de paralysie cérébrale infantile observée au cours de maladi
ormation lymphatique plus abondante que ne le fait l'hyperhémie par paralysie des vaso-constricteurs. Quoi qu'il en soit, et
tite malade de Rapin le début a été fébrile semblable à celui de la paralysie infantile. Dans un descasdeHer- toge le trophoe
e. L'intérêt clinique de ce cas, dû à l'association très rare d'une paralysie alterne supérieure et d'une hémianopsie homonym
lète- ment fermée et dans tout le côté droit, y compris la face, la paralysie était devenue complète. Le malade aurait eu en
n très spéciale, « obli- quement » pour ainsi dire. Il existe une paralysie presque complète de l'oculo-moteur commun gauche.
ement et sans ictus véritable, une hémiplégie droite accompagnée de paralysie presque complète de la 111° paire gauche et d'h
mois suivants amélioration légère de l'hémi- plégie ainsi que de la paralysie de la IIIe paire. L'examen fait dans le'service
typi- que, avec participation du facial et de l'hypoglosse ; 2° une paralysie presque complète de l'oculo-moteur gauche (paup
complète de l'oculo-moteur gauche (paupière gauche à demi- fermée, paralysie des droits supérieur et inférieur, intégrité part
e Weber sont loin d'être fréquentes dans la littérature, les cas de paralysie alterne supérieure associés à l'hémianopsie sont
es conditions anatomiques et pathologiques de l'as- sociation de la paralysie alterne supérieure et de l'hémianopsie homonyme,
outer ainsi au syndrome caractéristique du pédoncule céré- bral, la paralysie alterne supérieure, celui de la bandelette optiqu
complexus symptomatique représenté par une hémiparésie droite, une paralysie totale de la III' paire gauche, et une hémianopsi
natomique n'ait pas été faite jusqu'ici - que l'as- sociation de la paralysie alterne supérieure et de l'hémianopsie puisse ê
urs d'une syphilis céré- brale. Dans cette observation en effet, la paralysie alterne supérieure n'était pas due, comme c'est
e adjacente et au corps genouillé externe, produire - en plus de la paralysie alterne supérieure une hémanopsie homonyme qui se
gauche et la parésie de la IIIe paire droite. L'association de la paralysie alterne supérieure et de l'hémianopsie peut êtr
la partie antéro-interne du pé- doncule, puisse être la cause d'une paralysie alterne supérieure. En effet, dans le foyer de
ecueilli des faits anatomiques de cet ordre et a bien montré que la paralysie alterne supé- rieure est « fonction de l'oblité
ces conditions un double foyer, l'un pédonculaire, déter- minant la paralysie alterne supérieure, l'autre temporo-occipital pro
it en plus déterminé de l'hémianopsie qui était ainsi associée à la paralysie alterne supérieure produite par le foyer pédoncu-
complexussympto- matique représenté par une hémiplégie gauche, une paralysie presque complète de la troisième paire droite e
re considérée comme d'origine corticale et due elle aussi, comme la paralysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'art
rtère cérébrale postérieure. Pour lui, le complexus sympto- matique paralysie alterne supérieure plus hémianopsie - est caracté
gée et complète, on observe une hémiplégie gauche très accusée, une paralysie de la III0 paire droite, une hémianopsie gauche
rtère cérébrale postérieure droite. A cause de l'amélioration de la paralysie de la IIIe paire et de l'hémiplé- gie, dans les
ccipital) pourrait se traduire par cette association de symptômes : paralysie alterne supérieure avec hémianopsie ». Pour l'a
, qui dans notre cas avait donné lieu à l'association morbide de la paralysie alterne supérieure et de l'hé- mianopsie, n'est
utre point digne, d'être relevé dans notre observation, concerne la paralysie de la IIIe paire. Nous avons vu d'une part qu'il
lysie de la IIIe paire. Nous avons vu d'une part qu'il existait une paralysie de la IIIe paire intéressant presque complètement
à la lumière mais aussi à l'accommodation, et existait en outre une paralysie de l'ac- commodation. Nous avons vu d'autre par
e la conservation des fibres radiculaires médianes, rapproché de la paralysie complète de la musculature interne de l'oeil se
ute rigueur objecter que l'abolition des réflexes pupillaires et la paralysie de l'accommodation soient sous la dépendance di
nutes, il fut pris de douleurs générales, de fourmillement, puis de paralysie et d'anesthésie com- plètes des membres inférie
Fièvre 38° 2. Le corps, sauf la tête et le cou, était atteint d'une paralysie flasque et d'une anesthésie complète. Pas de réfl
ité normale existait une cein- ture d'hyperesthésie douloureuse. La paralysie des membres supérieurs (aussi bien que des infé
t ça et là des petits foyers hémorragiques. Ces faits expliquent la paralysie des membres supérieurs et l'absence des réflexes
dans l'enfance. D'ordi- naire, à cet âge, on la diagnostique comme paralysie spinale infantile ; cela constitue une erreur d
ée des parents du petit patient qui le con- sidèrent condamné à une paralysie incurable. Ce qui est encore plus fâcheux, c'es
usieurs médecins, qui formulèrent de co mun accord le diagnostic de paralysie spinale infantile, ce qui comportait pronostic
antile, ce qui comportait pronostic d'incurabilité par rapport à la paralysie . Le 14 décembre de la même année, c'est-à-dire
ormalement ; on n'observa rien de semblable, cette localisation de la paralysie et de l'atrophie, si caractéristique de la para
lisation de la paralysie et de l'atrophie, si caractéristique de la paralysie spinale infantile. Le petit malade fut tout à f
voir les divers segments des quatre extrémités : on diagnostiqua la paralysie infantile et l'on émit le pronostic en conséquenc
aralysés, d'abord constante et ensuite avec des interruptions. La paralysie s'améliora lentement et progressivement, avec ass
tence d'intenses dou- leurs provoquées ; il existait, en outre, une paralysie incomplète, flaccide, des quatre extrémités, et
pouce ; la flexion de la main droite était impossible à cause de la paralysie du médian ; elle restait assise, bien qu'incli-
r de la maladie, je l'examinai et observai les symptômes suivants : paralysie généralisée flaccide, totale et complète, au cou,
de, totale et complète, au cou, au tronc et aux extrémités ; double paralysie faciale incomplète ; ophtalmoplégie externe tot
t de la maladie par une légère fièvre et le lent développement delà paralysie , qui se fait comme par poussées successives (cas
oussées successives (cas 1 et 2), et non brusquement, comme dans la paralysie spinale infantile sont une don- née d'une impor
tiques ; d'autre part elles s'observent, bien que rarement, dans la paralysie spinale infantile, probablement quand il s'agit
que l'ont observé plusieurs auteurs, participent, quelquefois de la paralysie de la polynévrite (cas 5), et l'on doit remarquer
ion du mouve- ment pupillaire. La tendance à plus d'intensité de la paralysie dans la périphérie que dans les racines des mem
investigation. La période de régression si caractéristique de la paralysie spinale infan- tile, quand elle est généralisée
t avec persévérance. Lorsqu'on peut déterminer la topographie de la paralysie ou des troubles objectifs de la sensibilité, co
rine qui, d'autre part, a été le premier à démon- trer que, dans la paralysie spinale infantile, la topographie est radiculaire
e des membres, constituent un symptôme qui, non seulement exclut la paralysie spinale infantile, mais encore caraeté- rise le
escence ou une abolition de réaction, bien plus étendue que dans la paralysie spinale in- fantile, ce qui éclaire déjà le dia
pas de réaction de dégénération, et alors nous pouvons éliminer la paralysie spinale infantile, ou bien elle existe, comme dan
i est un exemple d'une forme particulière, non encore décrite de la paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne. Mais ces temps
rieurs. - Les mollets présentent l'as- pect pseudo-athlétique de la paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne ; ils sont gl
vons chez cet enfant, à côté de l'aspect classique desmollels de la paralysie pseudo-liypertrophique, une hyper- trophie exce
repris sa position première la mydriase n'est pas plus prononcée ; paralysie totale de l'accommodation qui dure une huitaine
des auteurs assignent à ces deux formes. a) Mydriase paralytique ( paralysie de la 1111, paire). La pupille pré- sente une d
enkel (2) ont été obligés d'accepter l'existence simultanée « d'une paralysie des filets mo- (1) CoppEz, Arch. d'Opht., 1903.
ait obligé, pour expliquer l'ac- tion de l'atropine, d'invoquer une paralysie de la III° paire et une excita- (1) COPPEZ, loc
olutions fortes. Ainsi donc, l'expérimentation nous démontre que la paralysie des cel- lules sympathiques du ganglion ciliair
est pas en contradic- tion avec la mydriase moyenne, que produit la paralysie du moteur ocu- laire commun, et ces deux types
res- sions rétiniennes, de la convergence, de la douleur, etc... La paralysie de ces filets ne fait qu'interrompre l'arc réfl
- Nous croyons avoir démontré que cette my- driase était due à une paralysie du sphincter. Or, si cette paralysie était MYDR
tte my- driase était due à une paralysie du sphincter. Or, si cette paralysie était MYDRIASE HYSTÉRIQUE 249 organique, il n
l'électricité ou que l'instillation d'unegoutte d'eau. En outre une paralysie organique durant depuis aussi longtemps aurait
ais nous les croyons incapables d'avoir provoqué à elles seules une paralysie du sphincter. b) La possibilité d'une crampe pr
tion sur lui. c) Il nous faut donc envisager la possibilité d'une paralysie hystérique du sphincter de l'iris. Cette hypoth
d sympathique cervical, sans tenir compte du ganglion ciliaire ; la paralysie de la IIIe paire ne pouvant pro- duire seule ce
lir que la forme paralytique peut seprésenter sous deux types : 1 Paralysie du moteur oculaire commun : les signes sont ident
e du moteur oculaire commun : les signes sont identiques à ceux des paralysies organiques ; il y a fréquemment des paralysies co
dentiques à ceux des paralysies organiques ; il y a fréquemment des paralysies conco- mitantes du muscle ciliaire ou de certai
mitantes du muscle ciliaire ou de certains muscles extrinsèques. 2° Paralysie du sphincter : la mydriase est maximale et toutes
cclusion glottique nécessaire à l'émission vocale ; il y a donc une paralysie de la corde vocale droite. Du côté des yeux, s'
yndromes assez voisins : le syndrome d'Avellis, caractérisé par une paralysie unilatérale et homologue du voile du palais et du
e part d'infiltration péri-vasculaire telle qu'on l'observe dans la paralysie générale. On dit en pareil cas « que les parois
ne me semble pas tout à fait sans importance au point de vue de la paralysie générale. Du reste, j'ai fait des constatations a
trémolo très frappant. Par contre il n'existe nulle part la moindre paralysie . Crises épileptiques fréquentes. Cécité toujour
lagreuse existe-t-elle cbez eux ou est-ce une simple combinaison de paralysie générale spécifique avec un terrain préparé par l
ut réaliser un état identique cliniquement et pathologiquement à la paralysie générale des aliénés. Ces cas n'infirment en ri
la paralysie générale des aliénés. Ces cas n'infirment en rien les paralysies générales autres dont ils sont distincts et que
euse (3). (1) ANGLADE et Latreille, Les lésions du cervelet dans la paralysie générale. L'En- cephale, numéro d'octobre 1907.
puis quelques jours. A la suite de ces crises jacksonniennes il y a paralysie post-épileptoïde même du membre supérieur droit
l y a paralysie post-épileptoïde même du membre supérieur droit. La paralysie dure dix à quinze minutes. Il existe aujourd'hui
le traumatisme ancien et le sarcome actuel. (1) BABIft561, De la paralysie par compression du faisceau pyramidal sans dégenê
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PL LXVI A B PARALYSIE PSEUDO- BULBAIRE (Raymond et Alquier.) Coupes
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXVII L D PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE , ('Raymond el .tllquicr.) C.
uin. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXVIII PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE ('7&tyfHOf;c ? M;'t'rJ E
IÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SEANCE du 2 mai 1907). SUR UN CAS DE PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE, PAR R F. RAYMOND et L. ALQUI
u point de vue du diagnostic et de la signification nosologique des paralysies pseudo-bulbaires. La malade, âgée de 77 ans,éta
la Salpêtrière, salle Cruveilhier,avec les signes classiques d'une paralysie pseudo-bulbaire dont il nous a été impos- ble d
e, en particulier, du côté du pouls ni de la res- piration ; pas de paralysie des muscles innervés par le bulbe, dont les mouve
et maladroits. Le réflexe mas- sétérin est exagéré. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'oeil. Le diagnostic porté étai
paralysie des muscles de l'oeil. Le diagnostic porté était celui de paralysie pseudo-bulbaire. Pourtant, aux symptômes classi
us, de parole scandée. Ces symptômes sont rarement observés dans la paralysie pseudo-bulbaire et auraient pu, 'avons-nous dit,
ut faire ressortir l'intérêt que présente, au point - SUR UN CAS DE PARALYSIE PSEUDO-BULB.11RE 373 de vue nosologique, la top
même cru pouvoir alors mettre en doute l'existence nosologique des paralysies pseudo-bul- baires. Aujourd'hui, la question ne
plus tôt. En 1900, Comte (Th. Doct. Paris) publie plusieurs cas de paralysie pseudo-bulbaire avec lésions du pédoncule céréb
des olives : les gros foyers bulbaires donnent naissance, non à la paralysie pseudo-bulbaire, mais à la paralysie bulbaire apo
es donnent naissance, non à la paralysie pseudo-bulbaire, mais à la paralysie bulbaire apoplectiforme : il existe, d'ailleurs
intéressant le cas que présente ce sont ' deux ordres de faits : la paralysie flasque et les graves dystrophies ostéo- 446 BE
utre l'abolition des réflexes rotulien et achilléen, nous avons une paralysie avec amyotrophie, et l'inexcitabilité faradique
fection à début brusque et fébrile, avec les allures de celui de la paralysie infantile et on doit se demander avec l'au- teu
vait vu que le phénomène se rencontre manifestement dans les cas de paralysie complète du nerf facial, ou seulement de sa branc
nt les paupières serrées. En effet, en invitant un sujet atteint de paralysie faciale à fermer les paupières, du côté de cett
teint de paralysie faciale à fermer les paupières, du côté de cette paralysie , au travers des paupières demi-fer- mées, on vo
mène est bien plus manifeste en cas de lagophtalmos consécutif à la paralysie faciale, et si l'on invite le sujet à fermer av
PHÉNOMÈNE DE CHARLES BELL 511 bien des individus, spécialement avec paralysie complète du facial, la cornée disparaît si comp
ysiolo- gique et qui se manifeste plus spécialement dans les cas de paralysie du facial (puisque l'on voit alors le bulbe ocu
décrit comme un symptôme pathognomonique d'une forme spéciale de la paralysie faciale. Cette erreur, cependant,doit être abso
et clinique. MM. Bordier et Frenkel 14.j disent que dans une légère paralysie péri- phérique du facial avec bon pronostic, ce
énomène fait toujours défaut, tandis qu'il existe toujours dans une paralysie avec réaction dégénérative. En examinant le mou
ces auteurs, doit être retenu comme un signe d'améliora- tion de la paralysie . M. Bernhardt (5) en confirmant ce qui avait ét
ue ce phénomène se voit plus manifestement dans le côté où siège la paralysie du facial (c'est-à-dire du côté où est im- poss
eture complète des paupières). Naturellement il est confus dans les paralysies faciales centrales, puisque dans ces cas les bran
ut à fait prises ; au contraire, il est ma- nifeste dans les cas de paralysies périphériques du facial, que celles-ci soient g
l a une signification diagnostique, dans le cas où la gravité d'une paralysie périphérique du facial ne peut être déter- miné
ique, SI 2 POLIMANTI car avec l'amélioration ou la guérison de la paralysie faciale,le phénomène de Bell devient toujours p
et l'iris sont protégés (unique défense qui soit possible dans les paralysies du facial). Cet auteur, enfin, consi- dère comm
es deux tiers infé- rieurs du facial) et il en conclut que dans les paralysies faciales péri- phériques, qu'elles existent dès
(19) observa une faiblesse de l'orbiculaire dans un cas, après une paralysie de 1'0culoll1oteur. On peut en dire autant des
gstein et de M. Kempner(20). Dans cedernier cas il s'agissait d'une paralysie nucléaire de tous les muscles oculaires unie à
d'une paralysie nucléaire de tous les muscles oculaires unie à une paralysie des muscles innervés par le facial supérieur dr
pourrait obtenir la fermeture de 1 orbiculaire dans certains cas de paralysie complète de l'oblique inférieur. Dans le cas d'
n aurait dû avoir une contraction de l'orbiculaire, quand, avec une paralysie de l'élévateur on cherchait à faire fermer les pa
faire fermer les paupières. En parcourant la littérature des cas de paralysie faciale on voit que les auteurs ne parlent pas
du noyau de la IIIe paire. Dans le cas publié par M. Pardo (22) de paralysie périphérique du fa- cial qui existait depuis 26
e douleur. D'après cet auteur, une observation, faite sur un cas de paralysie double du facial déciderait la question, c'est-à-
oir aussi si dans la littérature se trouvaient rapportés des cas de paralysie double du facial dans lesquels on eùt fait des ob
e 42, vol. 1 de sa « Neurologie des Auges » et qui présen- tait une paralysie double du facial, il me répondit que « zeigte in
mène de Ch. Bell a été rapporté par M. Cassirer (31) dans un cas de paralysie double du facial chez une femme. ' SUR LE PHÉ
E DE CHARLES BELL Si 7 De tout rela l'on doit conclure que dans les paralysies doubles .la racial on obtient le phénomène de C
4. BORDIER ET FIIE'JOEL. - Sur un nouveau phénomène observé dans la paralysie faciale périphérique et sur la valeur prognosti
rique, 243 LAMY, Poli encéphalite chronique ; ophtal- moplégie et paralysie bilatérale de la branche motrice du trijumeau ;
ence chez un ? me mlllade de paraplégie cérébrale infantile et de paralysie spinale infantile. Autopsie '4 ni.), 12-2. Ro
), par E. Long, 46. Catit toniques (symptômes) au CO'II'S de la paralysie qértérale (2 pl ), par SÉGLAS, 18. Cervelet [at
34. Oslétm syphilitique (2 pl.), par Quartier et DESCOMPES, 84. Paralysie ¡ ? udo bulbaire (3 pl.), par RAY- TfOP7D et AL
u cervelet (ITALO ROSSI), VII, VIII, IX. Catatonie au cours de la paralysie géné- rale (J. SEGLAS), 1, l1. Cervelet sénil
ARTIER et P. DEscoNips), X, XI. Paraplégie cérébrale infantile et paralysie spinale infantile (1 Rossi), XXV a XXVIII. Pa
infantile et paralysie spinale infantile (1 Rossi), XXV a XXVIII. Paralysie pseudo-bulbaire (Raymond et AL- QUlER), LXVI à
imanti), LXXXIX. Poliencéphalite chronique. Ophtalmoplé- gie et paralysie des muscles mastica- teurs (H. LAMY), XXIV. P
34 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
s l'hystérie a\ec des caractères similaires. Les troubles moteurs : paralysies , convulsions, incoordination, trem- blements, s
tremblements rappelant d'une manière frappante tantôt le type de la paralysie agitante, tantôt celui de la sclérose en plaque
mouvement le maxillaire illfé- rieur se met à trembler. Absence de paralysie faciale. Les paupières sont à demi closes et an
ste, cette hémiplégie présente encore actuellement le caractère des paralysies hystériques : la face est res- pectée ; la lang
de trente-sept ans, a eu dans son enfance des convulsions et de la paralysie infantile qui lui a laissé des déformations indél
érogènes et spasmo- frénatrice, le mutisme passé, l'hémiplégie sans paralysie faciale, sans exagération des réflexes, etc. Se
Les vertiges, le trem- blement intentionnel qui siège du côté de la paralysie sensitivo-mo- trice, tout dépend de la névrose
d'éclampsie, trois semaines après l'avortement, qu'est survenue la paralysie des membres inférieurs. Le début a dû être rapi
demander si la névrose ne coexistait pas ici avec le tabes, avec la paralysie agitante, avec la sclérose en plaques. L'évé- n
te justesse. La parésie des bras, le trem- blement intentionnel, la paralysie avec rigidité des membres inférieurs, l'exagéra
un accompagnement rare de la pa- raplégie hystérique. En outre, la paralysie était accompagnée d'un tremblement intense « co
LA SALPÊTRIÈRE. dont l'une, de longue durée, n'était liée à aucune paralysie laryngée et guérit spontanément. En présence
heim ' publie une observation de névrose bul- baire ayant simulé la paralysie glosso-laryngée et dans laquelle l'au- topsie r
e qu'il existe une névrose qui se montre sous les sym- ptômes d'une paralysie labio-glosso-laryngée sans atrophie. » Bris- to
d'une rougeole, est pris subitement, sans cause appréciable, d'une paralysie de la langue, puis d'un état léthargique, duran
n de la parole, dégluti- lion pénible et difficile. Constipation et paralysie de la vessie. Quelques semaines après, le matin
sitho-motrice du côté gauclie avec tremblement intentionnel. Pas de paralysie dans le do- maine du facial. Contraction parado
radoxale disparaît. Quelques jours après, amélioration complète. La paralysie et la rigidité s'amendent très nota- blement, s
s rigides et violacés jusqu'illa hauteur des coudes. Le 1G octobre, paralysie avec refroidissement des membres inférieurs. Le
mbres supérieurs plus violent. Vertiges et chutes. Le le, novembre, paralysie des quatre extrémités qui dure une demi-heure.
uit. - Le 20, température élevée. Incontinence d'urine. - Le 21, la paralysie se dissipe et le malade reprend sa connaissance
us marqué à gauche qu'à droite ; pas de trépidation spinale. Pas de paralysie faciale. Tempérament hautement hystérique. Il par
ystème nerveux, t. IL DE L'OPIITHALMOPLËGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
éressés. L'ophthalmoplégie externe est accompagnée d'une ébauche de paralysie bulbaire inférieure : la déglutition est légèreme
ndant 5G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. aucune Irace de paralysie faciale ni à droite ni à gauche. Les yeux seuls s
es cordes n'est pas absolue; il reste un très léger hiatus.' Pas de paralysie , ni d'altération de la muqueuse en dehors de la
ut. Les réflexes sont absents aux membres supérieurs et il n'y a ni paralysie des sphincters ni modification de la sensibilit
art et de Pagenslecher). '. 1 ' . Examen de M. Parinaud : , 0. D. Paralysie de l'adduction et de l'abduction assez complète
, 0. D. Paralysie de l'adduction et de l'abduction assez complète; paralysie moins complète de l'élévation; l'abais- sement
u d'écaille qui fait vibrer les cordes. Cela rappelle la main de la paralysie agitante. L'aisselle droite est le siège d'un
« L'oedème se superpose presque toujours à une contracture ou à une paralysie d'un membre. » Nous eussions volontiers étudié
ues : chorée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies , contractures, etc. Le 16 mars 1890, nous l'h
ées ou diffuses, rappelant plus ou moins le tableau clinique de ! a paralysie générale de l'adulte; ce sont les encéphalites,
d'autres peuvent par des efforts volontaires faire disparaître des paralysies suggérées. Mais dans ces deux seuls cas où l'on
aspect bien connu des malades affectés de trémulationalcoolique, de paralysie générale ou bien du tremblement symptomatique de
lements vibratoires déjà décrites (tremble- ments alcoolique, de la paralysie générale progressive, de la maladie de Basedow)
naient des vertiges et de la diplopie. L'examen objectif montra une paralysie spasmodique des extrémités avec démarche incertai
cédées d'aura typique. Quand elles sont suivies d'hémiplégie, cette paralysie revêt d'ordinaire les caractères sensitivo-mote
-moteurs des hémiplégies hystériques : hémia- nesthésie, absence de paralysie faciale ou spasme glosso-labié, démarche spécia
ES SIMULATEURS DES PARAPLÉGIES SPINALES Déterminer la cause d'une paralysie des membres inférieurs est un des problèmes les
nt obscur qui demande de nouvelles recherches. Assurément, dans une paralysie des membres inférieurs consécutive à une fractu
variétés de paraplégies organiques; et si, en somme, dans un cas de paralysie organique, le plus souvent la méprise ne pourrait
s près de nous, Leyden 3 constate que, « de toutes les formes de la paralysie hystérique, la pa- raplégie est celle qui resse
sie hystérique, la pa- raplégie est celle qui ressemble le plus aux paralysies causées par les maladies organiques de la moell
al nervous affection, London, 1837, p. 47. 2. Mesnot, Etude sur les paralysies hystériques, Thèse de Paris, 1852, p. 34. 3. Le
i\. 10 138 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'étude des paralysies hystériques de nombreuses leçons, il semblerait
'deux affections coexistâmes. Quelle que soit sa cause première, la paralysie organique des membres inférieurs peut être comp
tion constante; il est fréquent de voir, chez un même malade, une paralysie d'abord flasque devenir, brusquement ou peu à peu
ans, démontré l'influence des traumatismes sur le développement des paralysies hystériques, d'avoir étudié et précisé leurs cara
tudié et précisé leurs caractères et de les avoir différenciées des paralysies organiques d'origine céré- brale ou spinale. Il
le. Il a montré, avec une rigueur incomparable, l'iden- tité de ces paralysies et de celles que l'on peut produire par suggestio
u élevé, choc violent, accident de chemin de fer, peut produire une paralysie des membres inférieurs. Dans les cas typiques,
une paralysie des membres inférieurs. Dans les cas typiques, ce'te paralysie est caractérisée par un ensemble de symptômes q
suivantes mettront en lumière. Oss. XXVII (résumée) (Charcot, Des paralysies hystéro-traumatiques chez l'homme. Paraplégie e
dans le dos; ses jambes se dérobent et il tombe par terre avec une paralysie des mem- bres inférieurs. Son patron l'emmène d
de constater que les douleurs rachidiennes soient si vives, que la paralysie vésicale ait disparu, puis sur- tout que survie
peu d'arthralgie du côté de la hanche. Sa démarche est celle de la paralysie hystérique. Troubles de la sensibilité. Le memb
et le fait est aussi certain que possible. Quand on ren- contre une paralysie possédant les caractères précédents, on peut êt
les caractères précédents, on peut être certain qu'il s'agit d'une paralysie hystérique; « il n'est pas possible qu'il s'agi
paralysie hystérique; « il n'est pas possible qu'il s'agisse d'une paralysie d'un autre ordre ». 1 Obs. XXVIII (Berbez, Hy
XVIII (Berbez, Hystérie et traumatisme. Th. de Paris, 1887. p.106). Paralysie hystéro-traumatique consécutive ci une contusion
légie organique était manifeste. Le traumatisme, les ecchymoses, la paralysie des membres inférieurs, etc., tout pouvait fair
modérément, avec la main, la région dorsale, pour déterminer une paralysie des membres inférieurs. Cette paralysie motrice s
orsale, pour déterminer une paralysie des membres inférieurs. Cette paralysie motrice s'accom- pagne de troubles de la sensib
nt la délimitation est identique à celle que l'on constate dans les paralysies hystéro-trauma- tiques. Nous avons fréquemment
traumatisée » expéri- mentalement, elle tombe brusquement avec une paralysie des membres inférieurs. Les troubles moteurs so
bs. XXVIII), on se convaincra de l'identité de ces deux variétés de paralysies . L'anesthésie respecte les organes géni- taux :
uis une cystite survient. Février 1889. Nouvel examen minutieux. La paralysie du mouvement 1. ThQrnburn, A contribution to th
rvation comme terme de compa- raison, pour montrer les rapports des paralysies organiques et des paraplégies hystériques, tout
n malade qui, consécutivement à un traumatisme, se trouve frappé de paralysie des membres inférieurs, il faut donc penser à l
est exceptionnelle dans la paraplégie hystérique, commune dans les paralysies médullaires d'ordre trauma- tique. L'incontinen
ise 150 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. psychiquement sa paralysie avant de l'objectiver. Il n'est pas rare cepend
aussitôt après l'accident, mais il ne s'agit pas là d'une véritable paralysie ; l'impotence relève alors des contusions, des p
veux. (il suivre.) . DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LAB10-LARYL\GÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAI
sant à mettre en mouvement. On ne constate pas de signe bien net de paralysie faciale nucléaire. Le front présente à peu près
entièrement par la volonté; il n'existe ni à droite ni à gauche de paralysie de l'orbiculaire des paupières. Mais on peut
is on peut constater quelques signes, peu accentués à la vérité, de paralysie bulbaire inférieure. Il existe une certaine gêne
e de l'oeil droit, puis de la diplopie, plus tard du ptosis, et une paralysie du sphincter irien à l'accommodation, une paralys
ptosis, et une paralysie du sphincter irien à l'accommodation, une paralysie du droit interne et du droit inférieur du même
r du même côté; à gauche, ptosis, légère dilatation pupil- laire et paralysie de l'abduccns.-Les phénomènes persistèrent une an
loppa une atrophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main, paralysie et atrophie du premier'interosseux, de l'émi- 1
'impuissance génésique. Il s'agit là d'un cas de complication de la paralysie nucléaire des yeux par l'atrophie musculaire pr
que l'atrophie du membre inférieur droit commença à apparaître. La paralysie porte aujourd'hui sur tous les muscles de l'oeil,
fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858; sa mère est morte d'une paralysie qui commença par les pieds et dura sept à huit an
ard enfin il eut une troisième attaque. Aucune d'elles ne laissa de paralysie à la suite. Jusqu'à vingt ans il n'eut pas d'au
ttre au traitement iodé, parce qu'il n'avait pas eu la syphilis. Sa paralysie du côté droit l'obligeait à se servir de béquille
chs, ne peuvent être inter- prétés autrement que dans le sens d'une paralysie nucléaire et d'une poliomyélite. La perte des
et en dehors; immobilité complète dans tous les autres sens. Pas de paralysie interne des yeux, pas d'altération de la vue, p
e la cinquième paire motrice, de l'hypoglosse, du vague accessoire ( paralysie des sterno-mastoïdiens)etduglossopharyngien sont
te, s'est ajoutée au sentiment de faiblesse dans les extrémités une paralysie de l'oculo-moteur droit qui persiste encore auj
de la première paire motrice, de l'hypoglosse, du vague accessoire ( paralysie des sterno-mastoïdiens) et du glosso-pharyngien.
lard; les traits sont effacés, aplatis et rappellent l'aspect d'une paralysie faciale. Les lèvres sont distendues, l'orifice
on les observe chez des malades un peu avancés en âge, à simuler la paralysie agi- tante. Les oscillations qui les composent
s font ressembler d'une manière frappante aux individus affectés de paralysie agitante. Un très bel exemple de cette simulati
u près la même époque, dans une note qui a pour titre Sur un cas de paralysie agitante, forme originale de la névrose traumat
logies qui existaient entre ces deux cas et le type classique de la paralysie agitante, M. Oppenheim, qui avait porté tout d'
itante, M. Oppenheim, qui avait porté tout d'abord le diagnostic de paralysie agitans, énumère les différentes raisons qui lu
symétriques et réguliers. Il n'y a aucune apparence de spasme ni de paralysie . La langue est tirée droite et se meut dans tou
ique à forme vibratoire et les tremblements également rapides de la paralysie géné- rale, de la maladie de Basedow et de l'in
llations par seconde. État de la motilité. Il n'y a pas de trace de paralysie dans le côlé droit. La malade boite un peu en
ètrièrc. IV. 15 DE L'OPIITHALiIIOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
es bulbo-cérébraux (Seelimüller). Dans l'observation suivante, la paralysie bulbaire inférieure fait, dès le début, partie
x-neuf ans, polisseuse, qui souffre, depuis six mois environ, d'une paralysie faciale gauche et de plus a de temps en temps d
cause apparente de la maladie. La malade présente actuellement une paralysie faciale gauche, une parésie bilatérale de l'hyp
ésie du vague et du glossopharyngien, avec ophthalmoplégie externe ( paralysie des deux releveurs de la paupière, du droit int
du droit interne du côté droit et du droit externe du côté gauche, paralysie des deux droits supérieurs et des deux obliques
ère, tantôt la diplopie, tantôt la diminution de l'acuité visuelle ( paralysie de l'accommodation) qui attire tout d'abord l'att
affec- tion s'affirme par la lenteur, l'hésitation avec laquelle la paralysie oculaire se complète : témoin le cas de Bristow
r au bout d'un an, un an et demi, la poliomyélite se com- pliqua de paralysie bulbaire supérieure. La localisation essentiell
meillé pendant quatre ans, elle paraît se réveiller aujourd'hui; la paralysie glossolabiolaryngée qui vient de se déclarer ne t
ique et progressif; il n'est malade que depuis deux ans, et déjà la paralysie bulbaire est menaçante. Polioencéphalomyélite s
La rapidité avec laquelle l'ophthalmoplégie externe se combine à la paralysie et à l'amyotrophie, constitue le trait caractéris
x, les phénomènes fébriles, signalés dans certaines observations de paralysie générale spinale antérieure subai- guë, firent
rvations de polioencéphalomyélite que nous étudions. Début par la paralysie bulbo-protubérantielle. Eicchorst rapporte que
elle. Eicchorst rapporte que sa malade fut atteinte tout d'abord de paralysie faciale gauche et de diplopie passagère, et que
ut de même chez notre malade de l'observation XXVII. Début par la paralysie des membres inférieurs. Chez Peyn... la paralys
I. Début par la paralysie des membres inférieurs. Chez Peyn... la paralysie débuta par les membres inférieurs, ainsi qu'il ar
thalmoplégie apparut sous forme de ptosis. Presque en même temps la paralysie s'étendit aux membres supérieurs, en commençant
ent à ce qui se passe dans la polioencéphalomyélite chro- nique, la paralysie est ici le premier phénomène en date : c'est elle
capables de serrer un objet. Malgré cette inégale répartition de la paralysie et de l'amyotrophie, l'aflection progressa si b
c de la lésion spinale, diag- nostic que vient encore corroborer la paralysie de la musculature exté- rieure des yeux. Tels
presque dire la simultanéité avec laquelle l'ophthalmoplégie et la paralysie amvotrophiqusrétaient délar : é.es,.laaxlarche pr
se rappelle quelle fut la fin de la malade de Eichhorst, comment la paralysie glosso-labio-laryngée entraîna la mort six mois
s accidents. N'allait-il pas en être de même chez Peyn... menacé de paralysie bulbaire ? Tout en faisant de justes réserves s
s, le ptosis est moins apparent. Il n'y a pas la moindre ébauche de paralysie bulbaire. Seuls les membres supérieurs sont res
établir le diagnostic. Ce sont ceux dans lesquels aux phénomènes de paralysie bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les
i résulte de l'association du faciès d'lIutchinson avec celui de la paralysie labio-glosso-laryngée. Qu'on veuille bien seule
s de les connaître. En tout cas l'absence dans la myo- pathie d'une paralysie labio-glosso-laryngée qui ne larderait pas à se
vie à l'intoxication plombique, on aurait pu penser un instant aune paralysie saturnine (obs. XXV). Mais cette hypothèse ne pou
, pas de saturnisme. En 1880, il fut pris, sans cause connue, d'une paralysie des releveurs des paupières, étendue bientôt au
l gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les signes d'une paralysie bulbaire infé- rieure qui s'était développée en
eure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la langue, paralysie des muscles du voile du palais et du pharynx, de
alpêtrière. 1. Déjeriue-Klumpke, Des polynévrites en général et des paralysies et atrophies saturnines en particulier. Tli. Pa
faradique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde attaque de paralysie dura plus d'un an et guérit complètement. Le ma
t guérit complètement. Le malade ne conserva qu'un certain degré de paralysie du droit externe de chaque oeil, produisant un
ophies. On sait quelle obscurité règne encore sur l'étiologie de la paralysie glosso-Iabio-laryngée et de l'atrophie musculai
ent ce qui est à craindre chez Brau..., qui présente une ébauche de paralysie glosso-labio-laryngée. A en juger par les obser
la mort parait fatale dès que se manifestent les premiers signes de paralysie bulbaire. Dans le cas contraire, il est possibl
our l'ophthalmoplégie avec ataxie locomotrice, sclérose en plaques, paralysie générale progressive, psy- chose. Dans ces auto
gales, réaction normale à la lumière, accommodation normale. Double paralysie faciale complète, avec paralysie du facial supé
ère, accommodation normale. Double paralysie faciale complète, avec paralysie du facial supérieur : paralysie du voile du palai
le paralysie faciale complète, avec paralysie du facial supérieur : paralysie du voile du palais. Affaiblissement des muscles
ou, de plusieurs groupes des membres supérieurs et inférieurs. Pas de paralysie dc la langue. Pas d'atrophie. Pas de troubles d
r en jour, deviennent plus nombreux lies travaux démontrant quc les paralysies et les autres phénomènes en apparence d'origine
es. En tout cas il n'est pas vraisemblable qu'il s'agisse ici d'une paralysie multiple périphérique. Le développement éminemmen
simile ce processus scléreux initial avec celui qui donne lieu à la paralysie labio-glosso- laryngée et à la sclérose latéral
'18M, yVestphali avait trouvé, chez un tabétique avec psychose2 et paralysie oculaire, une atrophie des nerfs oculomoteurs com
les Archiv sur Psychiatrie und Nervenkrankheiten, un nouveau cas de paralysie oculaire, un des plus beaux cas, dit-il, en rai
attaque; perte de connaissance partielle pendant deux jours avec la paralysie du bras droit. Troisième attaque, onze mois plus
, onze mois plus tard, avec perte de connaissance de trois jours et paralysie du côté droit. A la suite de cette dernière atl
Nous terminerons la série d'examens microscopiques concernantles paralysies chroniques et progressives des muscles oculaires
à celte observation que nous citons presque in extenso. OBs. XL. Paralysie chronique et progressive des muscles de l'oeil.
suit. Ptosis double plus accusé à droite, myosis double permanent, paralysie presque complète de l'oculomoteur et du trochléai
caractéristique de la myélite aiguë et signalé par Benedild dans la paralysie bulbaire progressive. Jusqu'ici cette altératio
endance il l'élévation de la pupille en haut el en dehors, dus à la paralysie de la troisième paire; enfin l'intégrité de l'ac-
ssent les accidents morbides caracté- risés essentiellement par une paralysie bilatérale plus ou moins com- plète des muscles
morbide ne fait aucun doute pour Thomsen, d'autant mieux que des paralysies semblables des muscles oculaires ne sont point ra
la névrite alcoolique. Thomsen croit en effet qu'une partie de ces paralysies oculaires sont d'origine centrale. Il cite à l'
orvans'clte Krankheil. DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIR
pathologique, voici une obser- vation d'ophthalmoplégie aiguë avec paralysie du voile du palais, d'origine diphthéritique. M
étaient atteints de névrite parenchymateuse et'interstitielle. La paralysie toxique de la musculature extérieure de l'oeil ne
toujours aussi malheureusement; on sait depuis long- temps que les paralysies oculaires diphthéritiques peuvent guérir au mêm
sies oculaires diphthéritiques peuvent guérir au même titre que les paralysies des membres; mais jusqu'à ces dernières années
pas attaché à spécifier la forme sous laquelle se présentaient ces paralysies oculaires. Rappelons en passant que Uhthoff par
une diphthérie pharyngée, guérie le 28 septembre. Dès le 4 octobre, paralysie du voile palatin; le 2 novembre, troubles visuels
. Ptose palpébrale double plus marquée à droite. Sur l'oeil droit : paralysie du muscle droit interne et parésie des droits e
sie des droits externe, supérieur et inférieur. Sur l'oeil gauche : paralysie des muscles droits. Aucun trouble de l'accom- m
ion, aucun rétrécissement du champ visuel. Parésie du facial droit. Paralysie du voile palatin. Parésie des muscles de la nuque
e. Mort le 11 novembre par aggravation des symp- tômes existants et paralysie des poumons. Le cerveau seul a été autopsié. Ri
érite bien le 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nom de paralysie bulbaire supérieure proposé par M. le professeur
supérieure proposé par M. le professeur 1 Charcot, qui réserve à la paralysie labio-glosso-laryngée le nom de pa- ralysie bul
ire inférieure. 2° Toute curable qu'elle soit dans certains cas, la paralysie double de la musculature extérieure de l'oeil e
n pronostic i réservé que justifie la complication éventuelle de la paralysie labio- glosso-laryngée. - t. 3° La poliencéph
ce bulbo-protubéranticlle; débute ordinairement par la ^jjs- «Un-1^ paralysie bulbaire supérieure, c'est-à-dire par l'ophthalmo
légie. Il est , ' exceptionnel de voir cette dernière compliquer la paralysie bulbaire ; inférieure. 4° De même que la para
compliquer la paralysie bulbaire ; inférieure. 4° De même que la paralysie labio-glosso-laryngée (poliencéphalite ' inféri
lioeacéplzaLomélite. ! 5° L'absence de troubles de la sensibilité, de paralysie de la vessie ou 1 du rectum, la perte des réfle
lite antérieure chronique), tantôt avec ceux du type clinique de la paralysie spinale antérieure subaiguë. 1 7° Quelle que so
est fréquente chez nos malades, en dehors même de tout symptôme de paralysie générale dont elle n'est nullement caractéristi
possible d'une commis- sure (asymétrie congénitale, contractures on paralysies de causes diverses), la saillie totale et la pr
ple bifidité de la luette, ses déviations congénitales ou acquises ( paralysies de causes diverses). EXAMEN MORPHOLOGIQUE CHEZ
ctions chirurgicales ou à des maladies antérieures ou coexistantes ( paralysie infantile, amyotrophies ou contractures de caus
TE') CHAPITRE IV PARAPLÉGIES HYSTÉRO-SPONTANÉES SIMULATRICES La paralysie hystérique des membres inférieurs n'a pas besoin
e paraplégie hystéro-spontanée. Mais, en somme, ces deux groupes de paralysies sont liés par les liens les plus étroits. Dans
uivent. OBs. XXX (inédite). llémiparaplégie hystérique simulant une paralysie d'origine syphilitique. F...nd Louis, menuisier
uble. M. Parinaud qui l'examina à cette époque fit le diagnostic de paralysie de la convergence, et conseilla l'iodure de pot
de fut pris d'une autre affec- tion des yeux. On constata alors une paralysie de l'orbiculaire liée à une paralysie faciale g
s yeux. On constata alors une paralysie de l'orbiculaire liée à une paralysie faciale gauche incomplète, la disparition de la d
. Il était très amélioré, et, quinze jours après, la guérison de sa paralysie était complète. Quelque temps après, il fut pris
ogie, 188G). Dans ces deux observations, la nature hystérique de la paralysie ne semble pas contestable : les stigmates sensi
le formuler, en déclarant qu'on risque facilement de confondre ces paralysies « avec des lésions organiques ÉTUDE DES SYNDROM
HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 305 de la moelle épinière, lorsque la paralysie des membres inférieurs est compliquée d'une rét
a coexis- tence des stigmates hystériques, sur la guérison de cette paralysie , etc. î on écarta l'idée d'une myélite spécifiq
ôt suivie de contracture. Vingt mois après, elle se complique d'une paralysie des réservoirs. Et depuis cinq ans, cette paraplé
ement complexe et que des réserves pourraient sembler légitimes. La paralysie des sphincters est chose relativement rare dans
Malgré cette longue durée, le mode de début et les caractères de paralysie écartent toute idée d'une affection organique de
Brieger, Cha1'ité-Annale, 1887, p. 140). L'auteur diagnostique une paralysie spasmodique de nature saturnine due à une lésio
ésie, ou plutôt hypodynamie du membre supérieur gauche, mais pas de paralysie véritable; la malade se sert de sa main et de s
ce de M. le D' G. Vallet). Para- plégie hystérique spasmodique avec paralysie des sphincters. Mlle M... a dix-neuf ans. Elle
mois de janvier 1888 au mois d'avril, la main gauche fut frappée de paralysie survenue tout d'un coup, complète dès le premie
n avouer qu'une paraplégie qui se présente avec impotence complète, paralysie des sphincters vésical et rectal, exagération d
emps de métrorrhagies, lorsque le 9 février 1890, elle fut prise de paralysie des membres inférieurs dans les conditions suiv
e soit d'ordre traumatique ou spontanée, flasque ou spasmodique, la paralysie des membres inférieurs est la seule mani- ÉTUDE
réaliser. N'est-ce pas absolument conforme au mécanisme général des paralysies hystériques, à ce mécanisme psychique sur leque
ial à la description d'un désordre neuro-musculaire qui n'est ni la paralysie ni la contracture et qui cependant lient de l'u
tracture-. Cet état spécial du système neuro-musculaire tient de la paralysie en ce qu'il coïncide le plus souvent avec un af
ce chapitre d'un ouvrage de notre collaborateur Paul Richer sur les Paralysies et les contractures hystériques qui doit paraît
nt musculaire peut être plus considérable et atteindre presque à la paralysie . Duchenne de Boulogne 3a°3 NOUVELLE ICONOGRAPHI
as, il ne cesse pas d'être- symétrique, et ne s'accompagne d'aucune paralysie localisée qui puisse le faire rapprocher des fa
. On constata aussi, à cette même époque, la déviation des yeux, la paralysie faciale et les troubles du langage. Ces divers ac
pontanément le bras, ou bien quand on le lui ordonne, sans trace de paralysie . Si on pince la jambe de ce côté, il la retire, m
, les phénomènes morbides sont multiples. Et d'abord,'] on noie une paralysie faciale complète et totale du côté gauche. Celle
ôté gauche. Celle hémi- ( plégie présente tous les caractères de la paralysie faciale périphérique : dis- I parition des sill
articulières. L'existence de la glossoplégie n'est pas douteuse; la paralysie de l'hy- poglosse se traduit en effet par des t
impossibilité de tirer la langue hors de la bouche. Du reste, cette paralysie n'est pas exceptionnelle dans le syndrome Milla
n'est pas exceptionnelle dans le syndrome Millard-Gubler. « Dans la paralysie alterne, dit Notlinagel', s'adjoint assez souve
ême temps qu'une para- lysie de l'hypoglosse on constate encore une paralysie de l'abdllcens. Quoique, au dire de Nothnagel,
dire de Nothnagel, celle-ci soit plus rare que la précé- dente, la paralysie de la sixième paire s'adjoint assez souvent à cel
sés, et c'est là un fait qui méritait d'être souligné. Cette double paralysie de l'hypoglosse et de l'oculo-moteur externe, j
système nCl'\Cl1'1 : . 1. Parinaud et G. Guinon, Note sur un cas de paralysie du moteur oculaire externe et du facial, etc. (
e. Les réactions électriques se troublent assez rapidement dans les paralysies spinales. Mais il ne faut pas oublier que ces t
utanée. Il est incontestable que l'anesthésie peut manquer dans les paralysies hystériques, quoique Spring dise dans son Traité
e d'une récidive. 4.° Les commémoraii fs permettront d'éliminer les paralysies toxiques ou infectieuses. Il faudra encore él
rcher la cause de la paraplégie. Erard a pourtant signalé un cas de paralysie des membres inférieurs chez une femme atteinte
éliminer successivement pour arriver par exclusion au diagnostic de paralysie hystérique. Les para- plégies par compression m
atisme; dans tous les cas, ils ne sont pas sous la dépendance d'une paralysie oculaire ni d'une lésion du fond de l'oeil, tous
hystériques avec 1. 1,;tljitibhi, De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Progr. méd., 1886, n° li, cl Archi
st déjà appréciable, tout au plus quinze jours après le début de la paralysie ... La rétrocession de l'atrophie semble pouvoir
origine hystérique peut quelquefois envahir des membres indemnes de paralysie ou de contracture. Géné- ralement alors elle se
grande hystérique du nom de Van- delinc. Cette maladeeutun jour une paralysie du, long péronier latéral qui s'accompagna d'at
action de dégénérescence. Au bout de dix-huit mois l'atrophie et la paralysie disparurent. En somme, il s'agit là d'une varié
ite), Amyotrophie hystérique simulant l'atrophie mus- culaire de la paralysie infantile. Cécile Vil..le, seize ans, vient le
par M. Vigoureux (24 juin et 31 juillet 1890). 1° A la face, pas de paralysie faciale périphérique. Spasmes du côté droit, pe
pas davantage qu'il s'agisse d'une lésion spinale, d'une véritable paralysie infantile avec atrophie. Dans la paralysie spi-
spinale, d'une véritable paralysie infantile avec atrophie. Dans la paralysie spi- nale de l'enfance, la forme hémiplégique e
lais ne présentent d'atrophie; il y a seulement un degré notable de paralysie des muscles du voile du palais, elles aliments,
mique. Le fait n'est pas douteux, et en voici les raisons : 1° La paralysie infantile spinale avec atrophie remonte il l'âge
er la question. M. Gombault n'a-t-il pas signalé l'apparition de la paralysie infantile à un âge déjà avancé ? Mais cette hyp
nt se tirer des caractères mêmes de l'amyotrophie : ' 1. Charcot, Paralysie spinale infantile; paraplégie alcoolique. Attaque
des stigmates de la névrose. C'est tantôt sur un membre affecté de paralysie ou de contracture, tan- tôt sur une région anes
URS ». 449 ciaux, l'hystérie ne s'imposait pas en présence de cette paralysie avec oedème bleu et dissociation syringomyéliqu
apparition brusque, apoplec- tiforme, est tout à fait analogue aux paralysies hystériques précédées d'ictus étudiées par MM.
» nerveux ressenti dans un accident de chemin de fer... à savoir : paralysie agitante, vésanie, épilepsie, sclérose en plaqu
s qu'elle frappe à des degrés divers. Enfin c'est une atrophie sans paralysie ou avec paralysie secondaire. 3° L'oedème vio
des degrés divers. Enfin c'est une atrophie sans paralysie ou avec paralysie secondaire. 3° L'oedème violacé du dosde lama i
dit M. Charcot, avec les phénomènes locaux vulgaires, contractures, paralysies , qu'il accom- pagne.» Le massage, le transfert
ie, l'oedème des membres infé- rieurs, la rupture des vaisseaux, la paralysie temporaire des membres supérieurs, sont imputab
ui-même (5). Le D'' Blocq (5) cite le cas d'un tabétique atteint de paralysie générale des aliénés à qui le médecin a permis,
a été appliquée dans la neurasthénie, l'hystérie, l'impuissance, la paralysie agilante, les névralgies et dans les méningo-my
harcot, Althaus, Ilausalter et Adam. Ils font remarquer que dans la paralysie agitante les résultats obtenus ne se rapportent
e plu- sieurs séances de suspension, les douleurs ont diminué et la paralysie s'est suffisamment améliorée pour permettre au
ait remarquer dans leurs observations Mendel et Eulenburg. Dans les paralysies spasmodiques les résultat ssont insignifiants; qu
du magné- tisme. Elle mourut également chez Mesmer des suites d'une paralysie compliquée de cécité. A droite, le tombeau de
l croyait son fluide capable de guérir un cancer de l'utérus ou une paralysie orga- nique ? Peu lui importait certainement, p
lt et Dalciue, 362. Ophthalmoplégie externe (De l'- combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculair
35 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s purent observer. En 1866, Bouchut, relatant trois observations de paralysie générale, signale dans chacune d'elles l'existe
érations indi- quées par Galezowski ; 3° Parfois, et au début de la paralysie générale, la papille est hyperhémiée, les artèr
rose, connue depuis Calmeil, pouvait donc surve- nir au cours de la paralysie générale, et, alors que Billod n'en cite que tr
thèse inaugurale, comptait, en 1877, au nombre des symptômes de la paralysie générale, l'atro- phie papillaire. Il avait exa
X. 3 tard de troubles mentaux qui se développèrent au cours de la paralysie générale. En'1883, Hirschberg, s'occupant des t
e. En'1883, Hirschberg, s'occupant des troubles oculaires dans la paralysie générale, s'exprime ainsi : « L'atrophie des nerf
; d'après Mendel, on ne la rencontre que dans4à5 5 p.100 des cas de paralysie générale ». Il cite l'observation d'un homme âg
la l'attention sur une maladie du système nerveux, fit suspecter la paralysie géné- rale qui s'affirma par la suite. Uhthof
et Bickeston, trois ans plus tard (1889) trou- vent, sur 66 cas de paralysie générale, une minorité considé- rable de névrit
ne manie pure et qui cependant succomba, douze mois plus tard, à la paralysie générale ». Gilbert Ballet, en 1893, rapporte u
troubles oculaires avant même que tous les autres symp- tômes de la paralysie générale ne fussent devenus nets : 1° Le nerf o
ations de l'oeil qu'il a trouvées plus que partout ailleurs dans la paralysie générale. Après avoir signalé l'inégalité pupil
paralysie générale. Après avoir signalé l'inégalité pupillaire, la paralysie des muscles, l'atrophie du nerf opti- que, il s
suffise de dire qu'ils présentaient la plupart des symptômes de la paralysie générale, qu'aucun n'était tabétique, et que ch
it dans la proportion de 82,35 p. 100. Chez sept malades, dont la paralysie générale avait déjà atteint une période avancée
on était assez bonne. Il serait peut-être témé- raire d'inculper la paralysie générale, mais le manque de myopie, dans ce cas
ait de l'atrophie blanche bilatérale et l'observation montre que la paralysie générale débuta chez lui par la perte de la vue
il, les uns étaient en rémission, les autres étaient atteints d'une paralysie générale à évolution lente, 8 d'entre eux étaie
cune systématisation. Mémoire abolie. Signes physiques : marqués de paralysie générale. Tremblement fibrillaire de la langue,
égénérescence. Athérome artériel. Il présente tous les signes de la paralysie générale à la der- nière période. Sa mémoire es
cérébrale, nous a permis de constater les lésions ordinaires de la paralysie générale au niveau des circonvolutions frontale
rné d'urgence. Il présentait à l'entrée la plupart des signes de la paralysie générale progressive. Etat m6H<t"6s facultés
e atrophie papil- laire blanche des deux côtés. L'évolution de la paralysie générale fut assez rapide et V..., très amaigri
es à celles qui frappent les cellules nerveuses de l'écorce dans la paralysie générale. 2° La papille dont les fibres nerveus
le tabès ; les lésions parenchymateuses sont moins marquées dans la paralysie générale; enfin sur une section transversale du
e-ci serait en somme insulaire dans le tabes et annulaire dans la paralysie générale. Nous aurons du reste l'occasion de reve
n qui n'en présentent point. IL -On trouve chez 7 malades dont la paralysie générale a déjà atteint une période avancée, 5
2)y, Loiidon, 1879. Boy. Étude clinique du fond de l'oeil dans la paralysie générale. Thèse de Paris, 1879. zD Nettlesiii
al science, 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles oculaires dans la paralysie gêné- rale progressive. Progrès médical, juin 1
e. The British Med. Jotti-il., 1898. KLRAVAL. Le diagnostic de la paralysie générale. Echo inécli- cal du Nord, avril 1898,
de la motilité notamment étaient alors confondues sous le nom de paralysies , c'est-à-dire considérées comme des phéno- mène
e syndrome séparé par Duchenne de Boulogne et Romberg du groupe des paralysies , caractérisé par l'in- coordination et non par
à marcher. Ce qui est plus vrai, c'est que bien souvent, dans les paralysies notamment, les troubles fonctionnels dépassent
tains muscles n'est pas possible, ces muscles sont paralysés. Les paralysies au cours du tabes sont bien connues et nous ne
raideur de la démarche. A ce moment se développe très lentement une paralysie , qui devient complète après des semaines ou des
les nerfs des muscles de l'oeil, ou le glosso-pharyngien. Jamais de paralysie des sphincters, ni des muscles de la queue. Les
te ; alors, ou la para- lysie cède radicalement, ou il persiste une paralysie de quelques nerfs. L'évolution comporte plusieu
dant des années, précéder d'autres manifestations du tabes ou de la paralysie générale, dès que ces derniers apparaissent, la
ces derniers apparaissent, la marche de la maladie, surtout de la paralysie générale, se précipite. On doit donc, a priori, c
ri- toire encore trop peu exploré. Du reste, les phénomènes de la paralysie du sympathique sont tout autres (Heddoeus), et l'
vec l'acide picrique un picrate spécial. sociétés savantes. 103 Paralysie radiculaire obstétricale. lILHuET a suivi 20 ca
103 Paralysie radiculaire obstétricale. lILHuET a suivi 20 cas de paralysie obstétricale du membre supé- rieur et en présen
cale du membre supé- rieur et en présente 4 cas à la société. Cette paralysie est causée par l'élongation du plexus au passag
tion de l'amyotrophie, dans ce même cas, il y a eu des symptômes de paralysie labio- glosso-laryngée (voie nasonnée) ; langue
surun avant-bras[après résection du coude. SOCIÉTÉS SAVANTES. 108 Paralysie sensitivo-motrice /(sco-spasmofM6, avec cypho-sco
rs ni de symptômes rondiculaires. Malgré le caractère flasque de la paralysie , on cons- tate l'exagération des réflexes rotul
, est bien portante, nerveuse. Une soeur est morte à la suite d'une paralysie survenue subitement. Un oncle maternel aurait e
tervenir. Intérêt du diagnostic au point de vue du traitement. IL Paralysie du nerf cubital et contracture consécutive « Main
ction de l'arcade palmaire : le premier cas, chez une femme dont la paralysie du nerf facial se manifesta au réveil chlorofor
main présentait la déformation en pince. La genèse exacte de cette paralysie , affirmée par l'examen électrique, n'a pas pu ê
reçu une balle dans l'avant-bras ; traumatisme suivi aussitôt de la paralysie de la main. ' 1H. Un cas d'ostéite déformante
de la face avec début con- génital. VIII. Nouveaux détails sur la paralysie asthénique, dont una observation avec autopsie;
urologie, t. IV, p. 501. 189-1. 2° série.) On l'a aussi appelée : paralysie bulbaire sans lésions, névrose bulbaire, paraly
aussi appelée : paralysie bulbaire sans lésions, névrose bulbaire, paralysie myasthénique (Oppenlieim), myasthénie grave pse
sthénique (Oppenlieim), myasthénie grave pseudoparalytique (Jolly), paralysie bulbaire asthéuique(Strümpell), myasthénie géné
myasthénie tout court (Uuverricht.) Elle est plus fréquente que la paralysie bulbaire de Duchenne. I. L'auteur fait remarque
ue les relations qu'on a voulu établir entre les néo- plasmes et la paralysie asthénique sont hypothétiques, et que les théor
beau jour, par sécré- tion d'une substance toxique spéciale, de la paralysie asthénique, Tel est le cas des lipomes des rein
E NERVEUSE. 181 celui-ci fonctionne un peu pour que se produise une paralysie complète. L'épuisement du territoire paralysé s
ble des éléments qui précèdent et des signes différentiels entre la paralysie asthénique et la polio- encéphalo-myélite aiguë
le foyer purement mental du mouvement volontaire semble intact, la paralysie musculaire sur- vient quand le malade lance à p
quemment l'abou- tissant de ce défaut de coordination. G. C. XIV. Paralysie asthénique d'Erb; par 111. JossEnwn. (Société des
sente un cas typique de l'affection qu'Erb a décrite sous le nom de paralysie bulbaire asthénique. Elle se caractérise surtou
surtout par des signes bulbaires comparables à la fois à ceux de la paralysie labio-glosso-laryngée de Duchenne et à ceux de
les qui sont atteints de parésie, de fatigue précoce, plutôt que de paralysie ; par l'absence d'atrophie, par la participation
méningites, notamment dans la méningite cérébro-spinale. G. C. XVI. Paralysie radiculaire totale du plexus brachial gauche et p
sente un malade qui, immédiatement après un grave accident, eut une paralysie flasque du membre supérieur et du membre inféri
une chute de la paupière du myosis ; pen- dant quelques jours, les paralysies sont restées flasques, puis il y eut des fourmi
llements et un retour de la motilité dans le mem- bre inférieur, La paralysie du membre supérieur est restée flasque avec lég
outre, une anesthésie complète du membre supérieur; il n'y a pas de paralysie faciale ; le malade craint la lumière; voit bie
jets éloignés et mal les objets rapprochés. Il s'agit, en somme, de paralysie radiculaire totale avec phéno- mènes oculaires
asmodique. Ce qu'il y a d'intéres- sant, c'est la coïncidence d'une paralysie médullaire et d'une para- lysie périphérique. O
e malade qui, en résumé, a présenté les phénomènes suivants : de la paralysie ou de la parésie dans le domaine des VII, IX, X
roubles incontestables de la déglutition et de la phonation, pas de paralysie oculaire ni de troubles sensoriels ou sensitifs
te immédiate qui a cédé à une reprise du traitement. G. C. XVIII. Paralysie agitante avec tremblement limité aux membres su
es de Lyon, 26 juin 1901.) M. Collet rapporte une observation 'de paralysie agitante avec tremblement limité aux membres su
à la dose de 0,001, puis de 0,002. L'auteur fait remarquer que la paralysie agitante atteint excep- tionnellement la face.
ine nasal. » qui n'a aucune pré- tention pathogénique. G. C. XXI. Paralysie hystéro-saturnine du nerf radial ; par JOSSERAND.
i albuminurie) qui subitement fut pris au milieu de son repas d'une paralysie des extenseurs de l'avant-bras droit, et cela,
a décrites chez les ouvriers qui manient le plomb. Le diagnostic de paralysie radiale, d'origine saturnine paraissait probabl
nombreuses anomalies : l'unilatéralité, le début apoplectiforme, la paralysie du long supinateur. Les fléchisseurs sont attei
uleurs, pas d'atrophie. Devant ce tableau, M. Josserand songe à une paralysie hystéri- que. La distribution de l'anesthésie e
matique, toxique. G. C. 188 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXII. Paralysie asthénique bulbo-spinale; par Leclerc (Société
2 décembre 1901). M. Leclerc présente une malade avec le sydrôme de paralysie athénique bulbo-spinale. A ce propos, il rappel
nique bulbo-spinale. A ce propos, il rappelle que. l'appellation de paralysie asthénique bulbo-spinale a prévalu sur celle d'as
e observation concernant un garçon de dix-sept ans qui présente une paralysie totale et complète du moteur oculaire commun ga
lysie totale et complète du moteur oculaire commun gauche, avec une paralysie partielle du moteur oculaire commun droit (comp
egrettable, mais facile à éviter dans l'avenir. Le diagnostic de la paralysie générale au début n'est pas tellement difficile
dence de M. MOTET Contribution à l'élude du cylo-diagnostic dans la paralysie gé- aaérale. III1L. Guc.nn et Dun.os communiq
ie gé- aaérale. III1L. Guc.nn et Dun.os communiquent trois cas de paralysie générale, assez difficile à diagnostiquer : dan
élire alcoolique, niais la présence de lymphocytes fit craindre une paralysie générale ; en effet, ce pro- nostic ne tarda pa
ttente. La constatation des lym- phocytes confirma le diagnostic de paralysie générale, caractérisée d'ailleurs, par de l'iné
roisième cas, il s'agit d'une confusion mentale simple. simulant la paralysie générale. Le liquide céphalo-rachidien ne conte
ction lombaire, comme un élément considérable de diagnostic de la paralysie générale. La présence des éléments est un signe d
pupillaire et le signe d'Argyll. Elle permet de diagnostiquer la paralysie générale de l'al- coolisme chronique et constit
l- coolisme chronique et constitue un symptôme pathogénomique des paralysies générales douteuses. M. Legrain croit que la pa
mique des paralysies générales douteuses. M. Legrain croit que la paralysie générale n'est pas la seule affection dans laqu
e a une importance considé- rable dans le diagnostice précoce de la paralysie générale. Cepen- dant on trouve aussi des lymph
toutes les formes de syphilis cérébrales ne se terminent pas par la paralysie générale. M. JoFFROY espère qu'un jour le cyto-
éningo-encéphalite diffuse. M. NAGEOTTE. Il en sera peut-être de la paralysie générale, comme il en est du tabès, dont nous c
zona. M. V1GOUROUx. Les lymphocytes, bien que permanentes dans la paralysie générale, se présentent en nombre peu variable.
'écorce, le cervelet et les centres labyrinthiques. Sur un cas de paralysie alterne avec déviation conjuguée de la tête et
aucun sens électives. Les altérations tabétiques comme celles de la paralysie générale sont donc une classe spéciale de lésions
a syringomyélie. Contribution à l'étude de l'origine centrale de la paralysie saturnine. Observation avec autopsie. MM. Cl.
séjours à la Salpêtrière en 1893, 1896, 1900, pour des accidents de paralysie amyotrophique. C'est un peintre-verrier qui a d
ade tousse aisément et il a des bronchites longues chaque hiver. Sa paralysie a débuté en 1893, arrivant en quelques semaines
ie cutanée; douleurs dans les poignets). A ses derniers séjours, la paralysie amyotrophique est surtout marquée aux extrémité
qui ont toujours soutenu l'origine centrale de certaines formes Se paralysie saturnine, notamment pour la forme généralisée
d'opérations l'apparition de maladies jusque-là méconnues, comme la paralysie générale, par exemple, dont le début réel remon
e a eu des migraines et a présenté à quelques mois d'intervalle une paralysie faciale du côté droit et une hémiplégie du côté
ite; pas de signes d'hystérie. Signification, non encore élucidée;, paralysie générale probable. RuFLEXfos. Il est regretta
le probable. RuFLEXfos. Il est regrettable que le diagnostic de paralysie générale probable posé à la fin de l'observation
TUDE DES PSYCHOSES POST-OPÉRATOIRES. 231 la jeune fille est mort de paralysie générale; son père, sa mère et son frère se por
dents de la strychnine, du tétanos, du délire aigu, du tabes, de la paralysie générale, Nous connaissons bien les altérations c
~ P. IGRAVAL. XVI. Altérations des os de la face consécutives à la paralysie faciale ; par J.-K.-A. WERTIiE[M-SALOMONSO,4. (
pt ans, atteints depuis l'âge de dix ans et de trois ans et demi de paralysie faciale gauche. Il existe une hyper- trophie de
mberg, Lehrb, p. 248. Il ne peut y avoir de rapport direct entre la paralysie faciale et l'hypertrophie osseuse. Celle-ci tie
l'accroissement : celui-ci s'est donné carrière du côté malade. La paralysie ayant eu lieu aux âges indiqués, le développement
protubé- rantielle, et d'autre part il put constater des signes de paralysie alterne : une hémianesthésie droite totale pour
plète pour la face, coïncidant avec une hémi- parésie gauche et une paralysie complète de la corde vocale gauche. M. Lépine
ions multiples pour expliquera la fois l'hémianesthésie alterne, la paralysie et le syn- drome cérébelleux. G. C. REVUE D'A
a une déviation très marquée de la langue à droite, il existait une paralysie de l'hypoglosse droit. Cette paralysie rétro- c
ue à droite, il existait une paralysie de l'hypoglosse droit. Cette paralysie rétro- céda assez rapidement. Il y a quinze jou
ourquoi les troubles gustatifs n'accompagnent pas habituellement la paralysie faciale d'origine basilaire. ' L'auteur insis
lésion de la base ; il attire aussi l'attention sur la rareté de la paralysie de l'hypoglosse dansle mal de Pott sous-occipit
BOURNEVILLE. XXXIV. Névralgie paresthésique sur un membreatteint de paralysie infantile; par le Dr SOLLIER {Journal de Neurol
r le Dr SOLLIER {Journal de Neurologie, 1900, n°2). XXXV. Un cas de paralysie segmentaire; par van Gehuchten {Journal de Neur
e de quarante-sept -ans, qui est atteint, de- puis cinq mois, d'une paralysie des muscles des jambes et des pieds avec abolit
la substance grise. On se trouverait donc en présence d'une de ces paralysies segmentaires pour l'explication desquelles M. B
on. {Revue neurologique, septembre 1901.) E. B. XXXVII. Un cas de paralysie bulbaire asthénique suivi d'autopsie; par les D
t défaut et les réactions électriques sont normales. Cette forme de paralysie bulbaire a été appelée successivement : paralys
s. Cette forme de paralysie bulbaire a été appelée successivement : paralysie bulbaire sans lésion anato- mique, paralysie bu
pelée successivement : paralysie bulbaire sans lésion anato- mique, paralysie bulbaire asthénique, maladie d'Erb; elle est mi
ire asthénique, maladie d'Erb; elle est mieux connue sous le nom de paralysie bulbaire asthénique ou syndrome d'Erb. La plu
ant cas rapporté par les auteurs présente tous les caractères de la paralysie bulbaire asthénique : ophtalmoplégie externe, p
ne saurait à elle seule faire conclure à la nature organique de la paralysie bulbaire asthénique, qui est REVUE DE PATHOLOGI
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 277 7 XXXVIII. Trois observations de paralysie des mouvements associés des globes oculaires; p
rice gauche, avec participa- tion du facial inférieur gauche, d'une paralysie des mouvements associés de latéralité des deux
longitudinaux postérieurs et s'étant tra- duit cliniquement par une paralysie des mouvements associés de latéralité vers la d
permanent de l'oeil droit. Chez un 3° malade, existent, d'abord une paralysie de l'élévation, puis, à un moindre degré, une p
d'abord une paralysie de l'élévation, puis, à un moindre degré, une paralysie de la latéra- lité et, enfin, à un degré moins
de la latéra- lité et, enfin, à un degré moins prononcé encore, une paralysie delà convergence. Ces accidents ont succédé à u
bilité est exagérée. D'autre part, dans ces quatre observations, la paralysie était nettement localisée au segment jambier. C
scendant plus bas que le genou, on est conduit à admettre que cette paralysie est d'origine centrale. 11 y aurait donc dans l
cornes antérieures. M. H. LV. Un cas de migraine ophtalmoplégique ( paralysie oculo-motrice périodique ou récidivante) ; par
Il s'agit d'un jeune homme de vingt-trois ans, qui présentait une paralysie complète de tous les muscles innervés par les sci
. LXII. Sur un réflexe anormal du facial inférieur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire ; par le D'' l'cRac : as. II s'
'' l'cRac : as. II s'agit d'un malade atteint, sans aucun doute, de paralysie pseudo-bulbaire. Le voile du palais ne répond
econnaît pas son innervation motrice dans le facial; 3° que dans la paralysie pseudo-bulbaire les réflexes à centre bul- bair
peuvent être ran- gées dans ce groupe : la maladie de Thomsen et la paralysie familiale périodique. Cliniquement, la maladie
action musuculaire et le terme de myotonie la définit très bien. La paralysie familiale périodique est constituée par des att
régulières et imprévues. Qu'il s'agisse de maladie de Thomsen ou de paralysie pério- dique familiale, le trouble moteur résum
il existe des relations étroites entre la maladie de Tbomsen et la paralysie familiale périodique. D'autre part, ces deux af
LYXI. Sclérose en plaques à symptômes transitoires et récidivants. Paralysie temporaire des mouvements associés des yeux pour
l. En 1901, réapparition des accidents, cette fois sous la forme de paralysie associée des mouvements de latéralité des yeux
on progressive des troubles, avec cette double particularité que la paralysie associée a fait place à un simple nystagmus et
nent à l'appui de ceux rapportés par M. Bienvenu. Traitement de la paralysie générale par les injections intrarachi- diennes
uence dans son mode d'action; de plus, les lésions dominantes de la paralysie générale sont d'ordre inflammatoire. Ces divers
ses considérations ont engagé l'auteur à tenter le traitement de la paralysie générale par les injections intrarachidiennes d
le et l'automatisme joue un rôle plus grand qu'à l'état nor- mal. Paralysie double du pneumogastrique pulmonaire. M. Max EG
e inspirations par minute. La survie tient probablement à ce que la paralysie pneumogastrique s'est installée lentement et pr
ntre un jeune homme qui eut à quatre ans des convulsions suivies de paralysie des quatre membre, A huit ans il put marcher de
r longueur normale. 11 ne s'agit donc pas vraisemblablement d'une paralysie infantile. Ne serait-ce pas un de ces cas d'atrop
phalo-myélite aiguë. 11 n'est d'ailleurs pas impossible de voir des paralysies infantiles sans diminution du squelette et le mal
aro- xysmes. A ces symptômes s'ajoutent des attaques soudaines de paralysie et des contractures en flexion des bras qui, rapp
omme secondaires, ont pu aboutir à l'ulcération de la cornée, à des paralysies oeulo-motrices graves et à la perte de l'oeil.
ter uniquement une légère diploplie croisée, reliquat de l'ancienne paralysie de la troisième paire droite survenue en 1880.
isamment durable et persistante. RECUEIL DE FAITS. Fibromatose et paralysie générale; ParleD.l. CUf.L>JIiR);. L'affect
un cas jus- 360 RECUEIL DE FAITS. qu'ici unique, croyons-nous, de paralysie générale chez une femme atteinte de dcrmofibrom
ieu d'incriminer quelque autre cause occasionnelle dans ce cas de paralysie générale. Nous ignorons notamment si cette mala
s, ce cas viendrait s'ajouter à ceux déjà nombreux, où l'on voit la paralysie générale frapper des prédisposés, des dégénérés
e mêmes des imbéciles. En 1888, M. L-F. Arnaud publiait deux cas de paralysie générale chez des imbéciles, rappelait deux obs
e Gagnerot, dans sa thèse intitulée, « De la prédisposition dans la paralysie générale » donnait des exemples de paralysie éc
prédisposition dans la paralysie générale » donnait des exemples de paralysie éclose sur le terrain de la dégéné- rescence2.
rescence2. En 1897, Luigi Cappelletti publiait un. mémoire sur la paralysie générale chez les imbéciles'. En 1898, je donna
ériodes régulières et ne varient point. ' L.-F. ARNAUD. Deux cas de paralysie générale avec autopsie chez des imbéciles (Anna
CAI ? ELLr'L11, Ilevisla sper. (li Frenialria, 1897. 'A. Cullerre. Paralysie générale chez une imbécile (Annales méllico- ps
nnales médico-psyclaologiques, mai- décembre 1902). E. Blin. XVI. Paralysie générale à marche rapide avec crises d'angoisse;
vec angoisse précordiale et tachycardie à 140 marqua le début d'une paralysie générale à marche rapide dont la durée n'excéda
rapport aux autres aphasiques, tout en étant réellement diminuée. Paralysie flasque avec dissociation des réflexes. M. DÉJF
Ballet a trouvé la lymphocytose 5 fois sur 8 tabès et 6 fois sur 8 paralysies générales. M. Souques l'a trouvée 3 fois abonda
s lentement, en traînant. Le tonus musculaire-est exagéré. Point de paralysies , quoique les mouvements se fassent sans force s
ée et la pseudo sclérose de Strumpeli et pose le dia- gnostic de la paralysie infantile bilatérale, ne se rapportant pas à la
blement d'intention ne sont pas exclus du symptomocomplexus de la paralysie infantile, d'après les paroles de Frend. Cas II
écoree de l'hémisphère droite; mais il était superfi- ciel, car les paralysies n'étaient pas stables. Excluant le trauma- tism
les papilles réagissaient bien ; on constata une diplopie, due à la paralysie de l'abducteur droit et un affaiblissement très
ication d'une autre maladie psychique quelconque, par exemple de la paralysie générale, de la démence précoce, de la démence
us ce rapport ; d'après nos données la tare hérédi- ' taire dans la paralysie générale est notée approximative- ment dans 75
langue, dit-il, et tous les muscles des en- virons, d'une espèce de paralysie qui s'est augmentée d'une ma- nière insensible,
e spécifique de mon mal. Mais, bien loin de m'en sentir soulagé, ma paralysie augmentoit toujours'* ». Fagon lui ordonna les
danger. Il s'agis- sait probablement d'une pneumonie. Quant à la paralysie , elle « suivit régulièrement son premier cours,
ente, et l'im- puissance où je me trouvois de cracher à cause de la paralysie qui rendoit immobiles les nerfs et les muscles
après une observation directe mais de courte durée. 11 s'agit de la paralysie labio-glosso- laryngée. Due à l'altération des
t insidieux. Elle se manifeste d'abord par une dysarthrie, due à la paralysie de la langue et des lèvres, et qui aboutit bien
s lèvres, et qui aboutit bientôt à l'anarthrie, puis à l'alalie par paralysie du larynx. Déjà sont apparus, avec la paralysie
puis à l'alalie par paralysie du larynx. Déjà sont apparus, avec la paralysie du pharynx, des troubles de la déglutition qui
ystème nerveux. En effet, elle tomba « pçu à peu dans une espèce de paralysie qui, lui ôtant insensiblement l'usage de ses memb
'on lui avait accordée jusqu'ici. 11 semble que le premier stade de paralysie (perte de l'incitabilité parfatique ou anesthés
XXX. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil. Le sommeil dans la paralysie faciale ; par MM. VASCHIDE et 1'unras. De l'ana
; par MM. VASCHIDE et 1'unras. De l'analyse délicate de deux cas de paralysie faciale, les auteurs tirent les déductions suiv
faciale, les auteurs tirent les déductions suivantes : I. Dans la paralysie faciale, l'écartement palpébral du côté paralys
l semble due chez l'individu' normal comme chez le sujet atteint de paralysie faciale, à un relâchement du releveur de la pau
tomiques et fonction- nelles de l'écorce dans ces maladies ; 2° Des paralysies partielles et del'émoussement du sens du goût;
observations cliniques détaillées, deux de syringomyélie et deux de paralysie infantile présentant des atrophies musculaires
ont recherché l'albumine dans le liquide céphalo-rachidien dans la paralysie générale et le tabes. La présence de l'albumine
on ne donne à l'état normal qu'un louche léger, dans le tabes et la paralysie générale, on obtient au contraire un nuage très
uand on chauffe le liquide céphalo-rachidien d'un malade atteint de paralysie générale, de méningite chronique, on observe un
e ET 0. Crouzon présentent un homme atteint d'hémiplégie gauche, de paralysie de l'oculomoteur commun droit, de paralysie lac
d'hémiplégie gauche, de paralysie de l'oculomoteur commun droit, de paralysie laciale droite, de paralysie du trijumeau droit.
ysie de l'oculomoteur commun droit, de paralysie laciale droite, de paralysie du trijumeau droit. Ce syndrome ne répond ni au
similaire. Ce début précoce de cette affection est exceptionnel. Paralysie radiculaire du type Klzi ? ? iplie d'origine trau
s. MM. Armand UELILLE ET MaxEGGER présentent un malade atteint de paralysie radiculaire du type Iclumpke qui s'écarte du type
e classique par certains caractères particuliers. 11 s'agit d'une paralysie d'origine traumatiqne presque exclusi- vement s
rieux et si spécial. Examen histologique des nerfs dans un cas de paralysie radiculaire du plexus brachial. MM. Max EGCEr
IÉTÉS SAVANTES. 475 miner histologiquement les nerfs dans un cas de paralysie radi- culaire totale du plexus brachial d'origi
dame de quarante ans, qu'on disait atteinte depuis six mois d'une paralysie des jambes. Elle déclarait ne pas pouvoir se leve
de sorte que l'aspect du malade rappelle au premier coup d'oeil la paralysie agitante. Les mouvements sont lents et maladroits
aralytique, mais elle n'est pas tout à fait caractéristique pour la paralysie générale : ici il y a plus de conformité et plus
ndant la déglu- tition le malade avale souvent de travers. Point de paralysie , de convulsions, ni de contractures. Dans les m
progressa plus rapidement sans aucune cause visible. Ayant exclu la paralysie agitante et la sclérose disséminée, l'auteur s'
syctiopatliiques : dégénérescence, épilepsie, hystérie- alcoolisme, paralysie générale, vésanies. Dans le dernier chapitre, i
nnable. Déclarer à un malade atteint de monoplégie psychique que sa paralysie va disparaître dans quelques ins- tants sous l'
rses autres affections 2 ; Contractures organique et hystérique3; Paralysie faciale hystérique \ etc.. Dans tous ces travau
' Contractures organiques et hystériques (1S93), G. Masson, édit. ' Paralysie faciale hystérique (1892), G. Masson, édit. 508
ment et capable de produire des manifestations extraordinaires, des paralysies et des contractures entous points semblables à
lésions encéphaliques ou médullaires. Jamais l'hystérie ne fera une paralysie radiale avec con- ' servation de la contraction
saturnine en réalise couramment. Jamais l'hystérie ne réalisera une paralysie spasmodique avec incon- tinence des matières, i
s les plus diverses. Et il cite : une observation d'hémiplégie avec paralysie mo- trice organique (contracture, exagération d
'hémianesthésie par l'application d'un aimant) ; une observation de paralysie faciale consécutive à une fracture du rocher, a
ouchement avec diverses manifes- tations pathologiques (ictus de la paralysie générale, délires épilep- tiques), qui ne peuve
rés par la section médullaire de leur centre tonique cérébral, d'où paralysie flasque, tansdis que les réflexes tendineux et
HOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans la paralysie agitante, par Collet (Société des sciences médi
M. Collet a recherché les formes anormales du tremblement dans la paralysie agitante, ce symptôme étant un des caractères pre
de ces différentes formes cliniques du tremblement. G. C. LXXVI. Paralysies et crises laryngées dans le tabes ; par M. COLLET
vrier 1902). M. Collet a pu réunir trois observations de tabes avec paralysies et crises laryngées, qui lui suggèrent les conc
ises laryngées, qui lui suggèrent les conclusions suivantes : 1° La paralysie des dilatateurs de la glotte peut simuler la cris
ptômes avant de conclure à l'existence des crises laryngées ; 2° La paralysie des dilatateurs de la glotte prédispose aux cri
nerf laryngé supérieur ; 3° Il y a habituellement, dans les cas de paralysie des dilatateurs de la glotte, coexistence d'une
HOLOGIE NERVEUSE. présentait pas d'autres phénomènes nerveux, ni de paralysie des nerfs crâniens. , Se basant sur de faible
un diagnostic et ne fait que signaler le fait. G. Carrier. LXXVIII. Paralysie générale et syphilis en apparence bénigne; par
dence le rôle important que joue la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. D'après sa statistique, elle est cert
roportion de 30 p. 100. Pour l'auteur, l'origine syphilitique de la paralysie générale n'est presque plus à discuter; c'est un
de temps après une scarlatine chez une enfant jeune (cinq ans). La paralysie siège à droite, tandis que beaucoup d'ob- serva
gauche. Enfin la migraine dont elle souffrait souvent avant que la paralysie se développât a diminué à mesure que cette dern
s'y rapportent. R. C. ' LXXXIX. Diplégie faciale congénitale avec paralysies oculaires et troubles de la déglutition ; par D
bonnes conditions, qui est atteint depuis sanaissance d'une double paralysie faciale accompagnée d'ophthalmoplébie et de troub
velopper cette contracture à la phase de régression partielle d'une paralysie complète du sphincter irien. 11 y a donc deux f
scle» des lèvres et de la lace, doigts, etc.). Plus tard, les vaso- paralysies s'accusent jusque dans les viscères en produisant
ème chez le malade dont j'ai présenté l'observation récemment. La paralysie motrice des deux membres supérieurs avait été pré
y avait dans les cas du rapporteur quelque chose de semblable à la paralysie de Brown-Séquard avec une localisation haute.
e grande résistance au cou- rant centripète. L'autopsie d'un cas de paralysie totale du plexus brachial a montré que l'existe
ingite, y compris le cri hydrencé- phalique, agitations, strabisme. paralysie , immobilité pupillaire, etc. La ponction lombai
teur 111. le D'' CLAUS (d'Anvers), b. Neurologie : Histologie de la paralysie générale, Rapporteur : 11. le Dol KLtpeEL (de P
e et le traitement du-, par More), 314. Crises d'angoisse. Voir Paralysie . Cruauté. Voir Volupté. CYTG-UInGOST1G, Contr
ir Volupté. CYTG-UInGOST1G, Contribution à l'é- tude du - dans la paralysie générale, par Guiard et Dullos, 196. Dégénéré
' -, l'hys- térie et l'idiotie, par Dournevilfe, 391. Enu. Voir Paralysie . Etats psychiques anormaux. Obser- vation d'
in, par Demou- chv, 477. TABLE DES MATIÈRES. S83 Fibromvtose et paralysie générale, par Cullerre, 359. Folie incendiair
ni sont affectés d'épilepsie, de folie systématisée chronique, de paralysie générale progressive, par Ilermauu, 457. par
oses chez les par Treuga. Kernig. Voir Méningite. Klumpke. Voir Paralysie . 586 TABLE DES MATIÈRES. LAIIINECT0AItE. Voir
ssoliiiio, 536. Nécrologie. 125. l'ebvré. 308. Nerf cubital. Voir Paralysie . -ra- dial. Voir Paralysie. Tumeur du acousti
125. l'ebvré. 308. Nerf cubital. Voir Paralysie. -ra- dial. Voir Paralysie . Tumeur du acoustique, I)at, Lél)iiie, 208. o
terne. Voir Poly- névrite. Examen lustologique des dans un cas de paralysie ra(li- culaire du plexus brachial, par Egger
Xnmnern, p. 237, 335. pares- tlvésique sur un membre atteint de paralysie infantile, par Sollier, 275. I Névrite sciati
3. Les et les impulsions, par l'itres et Régis, 4S5. OE;L. Voir Paralysie générale. Oreille et hystérie, par Fleurv-Cha-
ar Josserand. 184. - radi- culaiie du plexus brachial gau- che et paralysie temporaire des membres intérieurs du même côt
r Crocq, 278. Sur un anormal du facial infé- rieur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire, par Yerrers.83. Voir Paralys
ur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire, par Yerrers.83. Voir Paralysie . La vulvo- anal, par Itossolimo, 45. Religieu
ier. 286. - en plaques à symptômes transitoires et récidi- vants. Paralysie temporaire des mouvements associés des yeux p
36 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
naire (Arch. générales de médecine, 1866). 2 Klippel et Dumas. Des paralysies uaso-mnlrices dans leurs l'U]J- ports avec l'ét
frappe surtout l'Arabe, le Ka- byle restant presque indemne; 19 la paralysie générale est très rare chez les Arabes; elle es
EZ L'ADULTE AVEC ALTÉR \TIONS ANATOMIQUES SEMBLABLES A CELLES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; par le DI IONDUR.1NT. Il s'agit d'
système nerveux central analogues à celles qu'on rencontre dans la paralysie générale, qui semble établir l'existence de rappo
sive et certaines autres maladies neuro-dégénératives, notamment la paralysie générale. (The alienist and neurologist, juille
aiguë. (The alienist and neizrologist, oct. 1890.) E. B. III. LA PARALYSIE DES ÉCRIVAINS N'EST PAS DUE A L'ÉCRITURE SEULE;
EULE; par le D1' Hugues. L'élude de nombreux cas de crampes ou de paralysies des écri- vains a conduit l'auteur à cette conc
es dillérentes variétés de névroses professionnelles, telles que la paralysie des écrivains, la paralysie des musiciens, la c
évroses professionnelles, telles que la paralysie des écrivains, la paralysie des musiciens, la crampe des choristes, la para
écrivains, la paralysie des musiciens, la crampe des choristes, la paralysie des graveurs, etc ? la profession n'est pas le se
où l'infection syphilitique joue exactement le même rôle, c'est la paralysie générale qui se rattache, sous bien des rapports,
moins un an, myosis bilatéral avec immobilité réflexe des pupilles, paralysie de l'oculomoteur externe du côté droit. Affaibl
t plusieurs mois, rien de nouveau. C'est alors que, en trois jours, paralysie pharyngée - totale, parésie gauche du facial (t
tômes : gomme du lobe temporal. P. 1\ÉIIA YAL. VIII. Observation DE paralysie isolée DE L'IITPOGLOSSE DU côté DROIT, TRÈS pro
difficulté à parler surtout à articuler les r et s. On constate une paralysie de l'hypoglosse; la langue dévie un peu à gauch
auche et formé par la moitié droite un peu recoquillée. Il y a donc paralysie de l'hypo- glosse droit avec hémialrophie au dé
rès fortement atteint les racines intra-bulbaires ce qui donne à la paralysie un cachet péri- phérique. Bientôt la langue se
ine. Le malade parle comme s'il avait une blessure de Ja langue. La paralysie avec atrophie est des plus nettes. Ea R ; Ka SZ
l'étude du début et de l'évolution (novemlire 1892 août 1894) à une paralysie périphé- rique grave, comme celle qui succède à
ystème nerveux central avec troubles trophiques. A. M. XI. Cas DE paralysie DE LANDRY; par Herbert RoBsoN. (Bristish med. J
ne fille de quatorze ans d'une famille de tuberculeux. L'attaque de paralysie débuta par de la photophobie avec cépha- lée li
'on en juge par l'éclosion précose des anesthésies des membres avec paralysie et contracture des extrémités. A. M. XIII. Co
n, Cullen, Sauvage et bien d'autres auteurs anciens ont signalé les paralysies dans Ja convalescence des fièvres continues. La
on sur le mal de Menière et l'hyperesthésic acoustique. A. M. XV. Paralysie DES sixième ET septième paire coïncidant avec l
ite vraisemblablement d'une hémorragie légère au cours des quintes, paralysie du moteur oculaire externe et du facial gauches.
ire externe et du facial gauches. Physionomie caractéristique de la paralysie faciale périphérique avec stabisme convergent (
s fonctions psychiques. On peut observer dans le tabes dorsalis des paralysies amyotro- phiques graves et diffuses, même quand
ine appréciables et tout à fait circonscrites. En pareil ça ? , ces paralysies amyotrophiques dépendent le plus souvent d'une
s dissé- minés dans les racines spinales elles-mêmes. J. S. XXIV. Paralysie conjuguée DES mouvements DE latéralité DES YEUX;
ue à celles des Drs llamadier et Tambroni. J. S. XXVII. UN CAS DE PARALYSIE POST-DIPHTÉR1T1QUE AVEC AUTOPSIE; J par M. F. S
. En 1894, exagéra- tion de tous les symptômes, impotence complète, paralysie atro- phique des bras, contracture des membres
aralysie atro- phique des bras, contracture des membres inférieurs, paralysie de la vessie, de tout temps peu de douleurs; di
de - n'en a pas conscience. P. 11E11AV : 1L. XXXI. Observation DE paralysie facule datant DE la première EN- Fange ; atroph
. f3Rl : c.w. (Ncurolog. Ceit ? -albl., XX, 1896.) Observation I. Paralysie faciale consécutive à une méningite tuberculeus
omplètement englué de ce magma. Observation II. Jeune cultivateur ; paralysie faciale droite, pré- cédée de névralgie doulour
faiblesse du bras droit. Deux semaines plus tard, il s'y ajoute une paralysie de la moitié gauche de la face avec paresthésie
érieures et légère faiblesse du mouvement. Quatorze jours après, la paralysie faciale gauche a disparu, tandis que la paralys
e jours après, la paralysie faciale gauche a disparu, tandis que la paralysie faciale droite augmente et ne s'améliore que pe
e la para- lysie faciale gauche, qui parait plutôt encadrée dans la paralysie faciale droite plus grave qu'elle ; finalement,
ctrique, ce qui nous engage à êlre réservé quant au pronostic d'une paralysie faciale récente. P. IiEBA ? 1L. , XXXIII. Contr
l'ordre du jour de la prochaine séance. La période terminale de la paralysie générale. M. ARNAUD. - Les auteurs sont unanime
marasme complets. Mais il importe de rele- ver que, dans ce cas, la paralysie générale était compliquée de lésions médullaire
aralysie générale était compliquée de lésions médullaires étendues ( paralysie vraie, atrophies, contrac- tures permanentes, e
nt, comme le veut. l'opinion traditionnelle, une complication de la paralysie générale, mais qu'il en constitue un symptôme p
jusqu'à la contracture et qui sont décrits depuis longtemps dans la paralysie générale. Les malades qui meurent debout ne pré
mplication ou une phase de la maladie ? On considérait autrefois la paralysie générale comme une complication de toutes les v
tes les vésanies. Les anciens auteurs ont ainsi pu englober dans la paralysie plusieurs affections différentes, par exemple l
is les ictus doivent être envisagés comme partie inté- grante de la paralysie générale. Les paralytiques généraux peuvent mou
eu de divergences dans les deux pays au sujet du délire aigu, de le paralysie générale, de la démence sénile, des lésions cér
c cris et perte de connaissance ayant duré deux heures et suivie de paralysie avec contracture douloureuse en flexion forcée
ésentés par ces animaux; nous ne pouvons que les résumer. Ce sont : paralysie du train pos- térieur (motilité, sensibilité) ;
herche B1CTÉBIOSCOPIQUE SUR L'ÉCORCE cérébrale D'INDIVIDUS MORTS DE paralysie générale PROGRESSIVE; par PICCININO. (Ann. di n
no XIV, fasse. 1, 11.) Recherches faites sur un malade atteint de paralysie générale, ayant en une fracture du crâne, et su
tuelsdu délire éthylique. Ces femmes ne présentaient aucun signe de paralysie générale ou d'hystérie et leur maladie a évolué
On sait, qu'en dehors des délires toxiques, de l'hystérie et de la paralysie générale, où elles sont déjà très rares, on ren
tte diathèse vasculaire il les attribue à la névrose elle-même, par paralysie vaso-motrice. III. CONTRIBUTION A l'étude DE l'
e. Il n'est rien dit, dans ce travail, de la lombo-ponction dans la paralysie générale, pratiquée dans ces dernières années à
, les lésions bnlbaires, etc..., par cer- taines névroses, comme la paralysie agitante, l'hystérie, l'épi- lepsie, par les af
qu'à treize ans et demi, il n'eut plus de crise convulsive, mais sa paralysie ne se modifia pas, non plus que son intelligence
onstant, quoique variable en degré, dans l'hémiplégie infantile, la paralysie se compliqua d'un arrêt de développement. Les m
sans cèdent promptement à la suggestion. La chorée, l'épilepsie, la paralysie agitante lui sont rebelles, bien que dans la pa
pilepsie, la paralysie agitante lui sont rebelles, bien que dans la paralysie agitante, on puisse souventprovoquerle reposnoc-
bitude du chloral et des autres hypnotiques lui cède facilement. La paralysie faciale post-hémiplégique est influencée par la s
post-hémiplégique est influencée par la sug- gestion, tandis que la paralysie faciale périphérique ne l'est aucu- nement : le
naissance, en plus de l'épilepsie, à des degrés variables, à de la paralysie , à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébrau
urnal of insanily, juillet 1896.) E. B. XVII. Examen DE CENT cas DE paralysie générale; par DI' PHELPS. ~ De l'étude de 100 c
s DE paralysie générale; par DI' PHELPS. ~ De l'étude de 100 cas de paralysie générale, l'auteur déduit que si la paralysie g
l'étude de 100 cas de paralysie générale, l'auteur déduit que si la paralysie générale correspond bien à une entité clinique,
lies qui rendent souvent le diagnostic hésitant. C'est ainsi que la paralysie générale de nature syphilitique et la « maladie
psie ancienne. Aussi M. Phelps serait-il d'avis d'étendre le nom de paralysie .générale au groupe des symptômes les plus comm
ilis, 'à son avis, est-elle l'élément étiologique prédominant de la paralysie géné- rale. Beaucoup des variétés et des symptô
c impulsions irrésistibles, de délire aigu, de délire chronique, de paralysie générale, etc. Bien que toutes ces formes ne so
ologie mentale. 229 folie épileptique et hystérique et même dans la paralysie géné- rale. Observations; expériences. P. K.
mes principaux [de l'hydrocé. phalie primitive : il insiste sur les paralysies et les convulsions épi- leptoïdes, telles que n
plus dignes d'être'notées. La première a trait, suivant lui, à une paralysie de la naissance (on sait que Gowers désigne ain
stic tou- tefois, est à faire entre une hémiplégie infantile et une paralysie de la naissance congénitale. L'observation ne r
e révèle aucune cause ordinaire, non plus que les convulsions ou la paralysie sou- daine qui sont ordinairement les premiers
e hors de cause, puisqu'il n'y a pas eu de début brusque, et que la paralysie , assez légère, est géné- rale et non limitée à
e faire exception pour l'état mental particulier qui accompagne les paralysies alcoo- liques ; 5° La folie apparaît avec une
mois de la vie et aboutissant à l'idiotie com- plète ; - parésie ou paralysie (qui peut être flasque ou spasmo- dique) de la
présentait pas (comme l'a dit M. Weber) d'analogie avec celui de la paralysie générale. , M. JoREs. Sur l'anatomie pathologiq
ple là lèvre supérieure quand on le touchait au front) ; , 4°*Des paralysies permanentes des muscles moteurs des paupières.
e des parties seulement des neurones soient détruites comme dans la paralysie générale, que tout l'élément nerveux, cellules et
ssées par la mort totale ou partielle de l'élément nerveux. Dans la paralysie générale en particulier, on voit d'énormes quan
neumonie : l'un des points à noter dans cette observation, c'est la paralysie du grand dentelé ; deux autres points à noter,
intoxication alcoolique aiguë CHEZ UN JEUNE enfant : CONVULSIONS ET PARALYSIE D'ORIGINE CÉRÉBRALE ; NÉVRITE MULTIPLE; par C.-
au côté gauche; à droite une REVUE DE pathologie NERVEUSE. 321 1 paralysie qui parait surtout sur le bras; on constata en ou
celui des épilepsies par intoxication. H. DE MUSGRAYE CLAY. XLIX. Paralysie motrice du larynx ; par J. A. Mac CASSY. (Nezv-
nal, 26 septemhre 1890.) L'auteur publie cinq observations, deux de paralysie unilatérale thyréo-aryténoïde - une de paralysi
ervations, deux de paralysie unilatérale thyréo-aryténoïde - une de paralysie chronique bulbaire chez un aliéné, une de paral
énoïde - une de paralysie chronique bulbaire chez un aliéné, une de paralysie bilatérale des muscles crico-aryténoi- diens la
alement la psychologie. Il. DE lIZUSGR.1\'E CL.1Y. LI. Trois cas DE paralysie DE 13110N\-SEQU.1RD, avec quelques REMARQUES SU
ent été caractéristiques de la dégénérescence du tractus pyramidal ( paralysie avec rigidité spas- modique, sans atrophie marq
perte du sens musculaire est le plus incertain des symptômes de la paralysie de Brown-Sequard. L'auteur examine et discute l
sser indemnes les fibres de la sensibi- lité générale. - Les cas de paralysie de Brown-Sequard paraissent démontrer que toute
° Deux soeurs de vingt-trois et vingt-six ans. L'ainée présente une paralysie spastique des deux jambes (les bras ne sont pas i
une atrophie musculaire progressive (et fréquemment aussi avec une paralysie spastique des membres inférieurs) ; il se rappr
de ces diverses formes de lésions héréditaires des voies motrices; paralysie spinale spastique, atrophie musculaire familial
e ramollissement (artério-sclérose). L'aphasie motrice totale et la paralysie du bras droit observées pendant la vie s'étaien
par une maladie infectieuse. Puis viennent la forme centrale de la paralysie de Landry, la myélite aiguë à foyers multiples,
a sclérose multiple, la myélite transverse. La forme centrale de la paralysie de Landry est une maladie du territoire des art
rares. On rencontre d'ailleurs toutes les formes de transition : la paralysie infantile spinale n'est pas strictement limitée
cette dernière distinction perd elle-même de sa valeur, puisque la paralysie spinale infautile peut se continuer, à l'âge adul
xamen histologique montrent que -dans ce cas il ne s'agissait ni de paralysie générale, ni de psychose sénile, La coïncidence
a plupart des médecins parlent correctement la langue allemande. La paralysie générale est rare au Japon (2 p. 100), et ne fr
s mises il l'ordre du jour : Pathologie mentale. - Diagnostic de la paralysie générale. Rapporteur : M. le Dr Arnaud, médecin
nerveux de la Salpêtrière présentant les symptômes classiques de la paralysie saturnine (accompagnée d'ailleurs d'autres symp
896 la consultation externe de la Salpêtrière. Elle se plaint d'une paralysie qui serait survenue presque subitement trois jo
six ou huitjours sans pouvoir supporter la moindre nourriture. La paralysie des extenseurs des avant-bras et des mains, pour
é cutanée est normale dans tous ses modes. La malade ne présente de paralysie en aucun autre point du corps. M. Huetqui a eu
e suivante : Réactions électriques en rapport avec le diagnostic de paralysie saturnine. Réaction de dégénérescence très pron
On se trouve donc en présence d'une affection du plexus bra- chial ( paralysie de Duchenne-Erb), provoquée très probablement p
paires cervicales, comme cela existe dans les cas typiques de cette paralysie , mais aussi de la racine de la septième paire.
ET SUR L'ÉTAT DE CES CELLULES DANS LE TABES SIMPLE OU ASSOCIÉ A LA PARALYSIE GÉNÉRALE; par G. MaRINESCO. L'auteur a examiné
y rechercher l'état des cellules des colonnes de Clarke. Dans la paralysie générale, ces cellules sont augmentées de volum
e de Clarke existent aussi, mais moins accentuées. Dans le cas de paralysie générale comme dans ceux de tabès, les cellules
362 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rison; une paralysie du nerf musculo-cutané du côté gauche. Comme il
t conservée, mais diminuée, dans le biceps gauche dont néanmoins la paralysie est persistante, l'auteur croit que le plexus d
atteint au-dessus de la clavicule des deux côtés. Il y aurait donc paralysie partielle bilatérale du plexus de Erb. Il s'agit
de même nature, mais moins graves, le singe présente des signes de paralysie très accusée et sa guérison est possible, mais
est possible, mais très lente. Il en est de même chez l'homme où la paralysie est très persistante. L'auteur pourrait montr
ure ces deux ordres de facteurs, il faut y ajouter, dans les cas de paralysie générale ou de marasme précoce, le facteur orga
ec lui que les faits cliniques récents, tels que les rémissions, la paralysie générale à double forme et surtout les pseudo-p
'une entité pathologique impropre à les expliquer. Il estime que la paralysie générale, telle que nous la connaissons, est un
ytique, essentielle- ment constituée par de la démence et par de la paralysie progres- sive, et prenant le mot dans ce sens i
décrire quelques- nnes do formes les plus communes qui simulent la paralysie géné- rale. Les maladies auxquelles se rattache
ent lieu à des dialogues que le malade entendait. R. M. C. LV. La paralysie générale A DÉBUT précoce; par Alzheimer. (Allg.
ravail, le plus complet que nous connaissions sur la question de la paralysie générale juvénile, se divise en trois parties :
ois parties : I. L'auteur a rassemblé en un tableau tous les cas de paralysie générale à début précoce publiés jusqu'à ce jou
sie spinale. Mort dans le marasme paralytique. ' Le diagnostic de paralysie générale a été confirmé par l'autopsie 378 revu
lutôt à une lésion circonscrite qu'à une affection diffuse comme la paralysie générale ; aussi nombre de médecins spécialiste
brale, de tumeur du cerveau, de sclérose multiple, sans penser à la paralysie générale. A l'autopsie, lésions habituelles de la
eur. III. De l'examen des 41 observations actuellement connues de paralysie générale à début précoce, Alzheimer tire les conc
l'adulte, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la forme précoce de la paralysie générale est aussi fréquente chez la femme que
ce de l'hérédité névropathique est donc plus considé- rable dans la paralysie à début précoce que dans la paralysie des adult
c plus considé- rable dans la paralysie à début précoce que dans la paralysie des adultes, et même que dans les psychoses. Da
adultes, et même que dans les psychoses. Dans 5 cas on a noté la paralysie générale chpz le père, dans un sixième cas la par
n a noté la paralysie générale chpz le père, dans un sixième cas la paralysie chez la mère, et dans un autre la paralysie pro
dans un sixième cas la paralysie chez la mère, et dans un autre la paralysie probable chez la mère. L'hérédité similaire se
que). Si on laisse de côté, dans les anté- cédents héréditaires. la paralysie générale, les troubles d'origine syphilitique,
ement et restent longtemps au second plan; c) la prédominance de la paralysie , dès le début, d'un côté du corps ou au niveau
e con- tentent de dire que l'on a trouvé les lésions typiques de la paralysie progressive. Quelques-uns donnent plus de détai
sions des ganglions de la hase (dégénérescence). 9° Fréquence de la paralysie juvénile. Alzheimer a observé 3 cas de paralysi
9° Fréquence de la paralysie juvénile. Alzheimer a observé 3 cas de paralysie juvénile contre 3 deparalysie générale chez les a
z les adultes. Paul Sérieux. LVI. SUR LE diagnostic précoce DE la paralysie générale ; par M. Gnoss (lieidelberg). Au sta
générale ; par M. Gnoss (lieidelberg). Au stade prodromique de la paralysie générale, c'est le diagnos- tic différentiel av
ment aux neurasthéniques, a une influence des plus fâcheuses sur la paralysie générale au début. Cette dernière affection a en
affectioh n'est plus douteuse lorsqu'il se produit des symptômes de paralysie motrice ou des signes évi- dents d'affaiblissem
les troubles les plus caractéristiques et les plus frappants de la paralysie générale au début, il faut citer les actes anor
asthénie, alors qu'ils sont en réalité les symptômes du début de la paralysie générale (spéculations incon- sidérées ou même
entre la neurasthénie et le stade prodromique neurasthénique de la paralysie générale. L'âge auquel apparaît la maladie peut
onnelle et débute presque toujours dès la jeunesse. Au contraire la paralysie géné- rale est une maladie de l'âge adulte : su
eut mettre en évidence ces causes, il faudra toujours soupçonner la paralysie générale quand on verra la neuras- thénie se mo
dans lesquels une rechute s'est produite avec tous les signes de la paralysie générale. En voici deux brièvement résumés :
cèdent, le premier accès n'a pas été considéré comme relevant de la paralysie générale, surtout par suite de l'absence de sig
à cinquante-cinq ans. Ce seul fait aurait dû faire soupçonner la paralysie générale et peut-être qu'un examen minutieux des
s sont les états de confusion et l'amentia. Il faut encore citer la paralysie générale. Il y a trois ans, se trouvait à la Cl
umatisme crânien ou qui ont eu une affection cérébrale orga- nique ( paralysie infantile cérébrale). Fürstner cite plusieurs exe
organiques (tumeurs, lésions vasculaires par allié- rome, syphilis; paralysie générale). Furstner termine en décrivant les ac
e une démence profonde. - Cette marche rappelle assez celle de la paralysie générale avec laquelle la catatonie a encore un
nt présentés sous l'aspect clinique d'une tumeur cérébrale ou de la paralysie générale, tandis que .la dégénérescence hyaline
'admission dans un asile. Plus lard, la céphalée, les vertiges, les paralysies motrices, les troubles de la vue conduisent le
es apoplexies répétées ont réalisé une forme clinique analogue à la paralysie générale. La plupart des malades étaient âgés d
ésultats de l'autopsie, sont faciles à distinguer des lésions de la paralysie générale et de la démence sénile; on peut sans
symptômes physiques. L'auteur se croit autorisé à admettre entre la paralysie générale d'une part, et la démence sénile de l'
affection périphérique, vu la distribution des atrophies à type de paralysie alternante. M. KOll : o ! ILOFF. Myosite multip
qu'au degré de l'immobilité. Deux jours plus tard on a constaté une paralysie presque com- plète des bras et des jambes, surt
nes postépilep- tiques moteurs, secrétaires et psychiques. Pour les paralysies la théorie de l'anémie ne peut que compléter ce
es prodromaux qui précèdent de longtemps les manifestations de la paralysie générale. Rapporteur : professeur 'faouEN. de Bon
e). - III. Des modifications de l'image 428 8 varia morbide de la paralysie progressive des aliénés durant les trente derni
DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. SUR LA PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET SUR LA MORT DES PARALYTIQUES GÉNÉRA
ARNAUD, Médecin de la maison de santé de Vanves. L'histoire de la paralysie générale a donné lieu, en ce qui concerne ses p
uoi consiste cette opinion. Bayle ', qui a établi la division de la paralysie générale en trois périodes, distinguait trois d
es, les aliénés paralytiques, à leur déclin, ' L.-F. Calmeil. De la paralysie considérée chez les aliénés. Paris, J.-B. Baill
mes. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1859. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GENERALE. '435 végètent dans leur lit, ne pouva
alors seulement leur déchéance irrémédiable justifie le terme de paralysie générale... C'est donc à son mode de terminaison
t et finit par succomber sous l'in- fluence seule des progrès de la paralysie générale... » Sans insister autant, le professe
sez souvent de diarrhée et de marasme (p. 860). A la 3° période, la paralysie envahit les membres enfin, des eschares se déve
ales, 2° édition. Paris, 0. Doin, 1892. 3 Magnan et Sérieux. - La paralysie générale, collection Léauté. Paris, Masson, 189
tronc et des extrémités continuent à s'accentuer pour arriver à une paralysie complète ; de sorte que le malade devient incap
e de multiplier ces citations. Dans tous les travaux consacrés à la paralysie générale on retrouve une description à peu près
duction E. Laurent. Paris, Maloine, 1897. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 437 à la dernière période de leur mal
Il n'est pas rare du tout de voir des paralyti- ques mourir de leur paralysie générale, et non d'un accident quelconque, ayan
été indiquée, même à titre exceptionnel. J'ai réuni tous nos cas de paralysie générale terminée par la mort, pendant ces sept
n n'est pas de décrire dans son ensemble la période terminale de la paralysie générale, ni d'étudier com- plètement la mort d
s utiles en clinique. Tous mes malades étant des hommes, c'est à la paralysie 438 PATHOLOGIE MENTALE. générale masculine se
és par tous les auteurs comme caractérisant la période finale de la paralysie générale. Aucun n'a eu d'eschare véri- table. C
e représente les 4/5 du total des 33 morts. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 439 2. Dans le 2e groupe, celui des m
oupe, celui des morts par affection intercur- rente, étrangère à la paralysie générale, nous trouvons 6 cas : trois fois, mor
près avoir présenté tous les signes physiques et psychiques d'une paralysie générale expansive, y compris plusieurs ictus don
traversé une période d'affaiblissement considérable. La durée de la paralysie géné- rale, dans ces cas, a été assez courte :
iode d'affaiblissement plus ou moins marqué. La durée moyenne de la paralysie générale a été ici notablement plus longue que
eur prodiguer des soins minutieux d'hygiène PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 441 et de propreté; de leur appliquer
exposés ces malades. Il serait évidemment exagéré de dénier à la paralysie géné- rale toute espèce d'influence dans la pro
n très grand nombre de cas, elles ne sont pas un effet direct de la paralysie générale. Sur ce point, d'ailleurs, plusieurs a
us les auteurs signalent la fréquence des ictus dans le cours de la paralysie générale, ils ne leur attribuent guère qu'un ti
ie par bol alimen- taire, etc. arrêterait la marche naturelle de la paralysie générale, marche naturelle dont l'aboutissèment
poplectiformes ou épilepti- formes non comme une complication de la paralysie générale, mais comme un symtôme propre de la ma
ignés dans ce travail. J'ai dit plus haut que, dans les cas où la paralysie générale s'est terminée par une période plus ou
chez les malades qui sont morts debout. 1 PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 443 Ces deux catégories de malades m'
données, établir deux grandes variétés dans l'aspect clinique de la paralysie générale à son déclin : une première variété se
t ne surviendrait qu'après une période d'impotence musculaire (sans paralysie vraie) et de séjour obligé au lit; dans cette s
mes. Toute interprétation laissée de côté, il reste qu'en fait la paralysie générale se termine de façons diverses et qu'il y
, l'intéressante thèse de M. Trénel. Symptômes spasmodiques dans la paralysie générale. Paris, Steinheil, 1894. 444 PATHOLOGI
III. Quant aux troubles trophiques, si libéralement attribués à la paralysie générale, la plupart deviendront exceptionnels
'existence de variétés distinctes dans les dernières périodes de la paralysie générale. Contrairement à l'opinion traditionne
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la paralysie ascendante aiguë (paralysie DE LANDRY) ; par Pl
SE. LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la paralysie ascendante aiguë ( paralysie DE LANDRY) ; par Plarce HALLES et James EwiNG. (N
4 juillet 1896.) Les auteurs se proposent : 1° de décrire un cas de paralysie ascendante aiguë, principalement au point de vu
rieurs à Landry comme caractéristiques de la maladie à savoir : une paralysie ascendante aiguë, causant la mort par envahisse
auteurs ont été amenés à formuler les conclusions suivantes : La paralysie ascendante aiguë est une toxhémie aiguë dans la
La possibilité de la présence des lésions caractéristiques de la paralysie de Landry dans les nerfs périphériques résulte d'
ibres nerveuses. Il est actuellement impossible de contester que la paralysie ascen- dante aiguë peut évoluer jusqu'à la mort
l avec congestion de la faceetincertitude de la démarche, mais sans paralysie , sans perte de connaissance, sans trouble du la
ie a débuté par des phéno- mènes d'ophtalmoplégie : six mois après, paralysie brusque de la main droite, bientôt suivie d'atr
rophie progressive de l'avant-bras et de l'épaule. L'atrophie et la paralysie persistent sans changement pendant trois mois,
is, puis s'aggravent progressivement pendant deux ans; puis ensuite paralysie et atrophie du deltoïde, des muscles de la régi
e. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 LIII. UN cas DE paralysie BULBAIRE AIGUË, avec remarques SUR la pathogéni
ar W. AUZAL. (New-York médical Journal, 14 mars 1896.) Les cas de paralysie bulbaire aiguë ne sont pas communs, et celui qu
lement involontaire de la salive. Pas de déviation de la luette. Paralysie de la moitié droite de la langue, gênant la déglu
considérations étendues sur la pathogénie et le diagnostic de la paralysie bulbaire aiguë. R. DE MUSGBAVE-GLAY. LIX. LE di
acture active commençante. On la rencontre dans les hémiplégies, la paralysie agitante, etc. Il y a généralement concordance
oureuses continuèrent avec une violence extraordinaire ; peu à peu, paralysie des extrémités infé- rieures et rétention d'uri
n s'ag- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 463 grave ; il n'y a pas de paralysie vraie, mais la douleur et la raideur des muscle
facteurs du syndrome clinique, à savoir l'hé- miplégie droite et la paralysie du moteur oculaire commun gauche. L'état athéro
t faiblement toxique. (Revue neurologique, août 1896) E. B. LXIV. Paralysie P03T-PUERPÉftALE par NÉVRITE périphérique ; par
évrite généralisée ou loca- lisée aux membres supérieurs. Quant aux paralysies des membres inférieurs consécutives à l'accouch
on. Paraplégie absolue et immédiate, offrant les carac- tères d'une paralysie par névrite. Suites de couches fébriles avec RE
comprimé dans le bassin pendant un accouchement laborieux et qu'une paralysie immédiate peut en résulter : mais cette paralysie
borieux et qu'une paralysie immédiate peut en résulter : mais cette paralysie sera vraisemblablement bénigne et de courte dur
st and rzezcro- logist, juillet 1896.) E. B. LXXVII. Genèse DE la paralysie faciale DITE rhumatismale ; . par J. NEUMANN. (
teurs : 1° La substance nerveuse est plus ou moins prédisposée à la paralysie par hérédité ou des modifications acquises (dia
Si la lésion est limitée aux cornes anté- rieures, on observe de la paralysie motrice et de l'atrophie muscu- laire, tandis q
suivent les cordons postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie motrice, atrophie musculaire, anesthésies diverse
ns les affections de la moelle. Dans la polyomyélite antérieure, la paralysie motrice est étendue et complète dès le début. P
es antérieures. Il en est de même dans la syrll1go- myélie. Dans la paralysie musculaire progressive, la paralysie résulte de
s la syrll1go- myélie. Dans la paralysie musculaire progressive, la paralysie résulte de la dégénérescence des cylindraxes, d
trophie de leurs cellules d'origine. Dans la myélite transverse, la paralysie est d'ordinaire complète au-dessous du siège de
-dessous du siège de la lésion. L'atrophie musculaire accompagne la paralysie motrice quand la lésion siège dans la substance
un temps très court quel- ques symptômes d'une lésion unilatérale. Paralysie totale de la vessie et du rectum. Douleurs dans
ans cette zone et pins tard dans la par- tie interne des deux bras. Paralysie de la vessie et du rectum. Abolition du réflexe
nnent en propre à la terreur et aussi à l'hystérie, ce sont : 1° la paralysie complète, frappant plus particulièrement les ja
ou symptômes d'une autre psychose. Les délires systématisés de la paralysie générale semblent être le fait d'un paradoxe. L
és de la paralysie générale semblent être le fait d'un paradoxe. La paralysie générale étant psychiquement caractérisée par l
149. Chorée chronique avec alternances semblables il celles de la paralysie générale, par Boudurant, 45. - congénitale, p
E CLARKE. Cellules de la - dans le tabes simple ou asso- cié à la paralysie générale, par nlarmesco, 358. COLOR ITIOX du
Lelloch, 151. Ecriture en miroir, par Allen, 121. Ecrivains. La paralysie des - n'est pas due à l'écriture seule, par H
par Lichtschein, 216. - en justice, par Bell, 317. Hyio4-,LobsE. Paralysie isolée de il -, par Marina, '50. D04 TABLE
ard des d'habitude, par Wood Renon et Yellowlées, 315. LAiIDRY. Paralysie de -, par Rob- son, 52. Langage intérieur dan
-, par Rob- son, 52. Langage intérieur dans les scléroses et la paralysie ,par Trommer, 370. Larynx. Paralysie motrice du
ieur dans les scléroses et la paralysie,par Trommer, 370. Larynx. Paralysie motrice du , par Mac Cassy, 322. Législation
e Mormyrus, 480. PAJET. Maladie osseuse de -, par Devay, f6S. Paralysie des l'le et Vile paires coïncidant avec la coqu
, par Lamy, 472. - Faciale dite rhumatismale, par Neumann, 474. Paralysie générale. Période termi- nale de la -, par Arma
37 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les fonctions du système nerveaux, produit de la somnolence, de la paralysie . Elle peut simuler l'action con- vulsivante de
doses, produit de la fatigue, de l'apathie, de la parésie et de la paralysie , ou même la mort avec dyspnée et arrêt consé- c
nt présenlé . une mégalomanie sans couleur, de la dysarthrie, de la paralysie du facial et des pupilles. C'est ce qu'il appel
e la paralysie du facial et des pupilles. C'est ce qu'il appelle la paralysie générale - typique. 11 donne trois observations
dant, quant à la topographie " de la dégénérescence avec les cas de paralysie générale typique, '* en présente cependant un d
' '' pas dit que les fibres les plus résistantes à la lésion de la paralysie n générale sont celles qui, chez le foetus, se
e de l'écorce d'associa- tion. » *"' Eh bien, nous voyons dans la paralysie générale. la pariétale / ascendante tout aussi
z la nature associative de la pariétale ascendante. >' ' · La paralysie générale typique, accompagnée ou non de tabès, *'
ig comme des centres d'association. Storch, de. son côté, dans la paralysie générale atypique, dans celle qui se traduit mo
calcarine), la première temporale. Ce sont les cas que Storch nomme paralysies générales atypiques; ils sont atypiques tant pa
cliniquement, proportionnellement aux altérations de ce lobe, de la paralysie générale démentielle, typique. La paralysie gén
ons de ce lobe, de la paralysie générale démentielle, typique. La paralysie générale atypique forme, en somme, le pendant de
La paralysie générale atypique forme, en somme, le pendant de la paralysie générale typique. La première se traduit par un l
étale ascendante était moins lésée que la frontale ascendante. La paralysie générale épargne donc exactement le territoire de
auditive. Tout ceci' indique que la dégénérescence corticale de la paralysie géné- rale est une affection élective de l'écor
'un membre. 1 >1111. EGGeR et. Déjerine communiquent deux cas de paralysie radiculaire par arrachement, compliquée d'hémal
osseuse au diapason (ce qui expliquerait la non-flacci- dité de sa paralysie ). Il y a donc dissociation possible des autres
° de 6 pages. Extrait de la Revue Neurologique. Pechin et ALL\RD. - Paralysie faciale et paralysie des mouvements 80 AVIS A N
de la Revue Neurologique. Pechin et ALL\RD. - Paralysie faciale et paralysie des mouvements 80 AVIS A NOS ABONNES. associé
t ans. Début de la maladie en novembre 1900, par céphalées. Bientôt paralysie de toutes les branches de la troisième paire ga
pière. L'oeil est en strabisme externe permanent. On constate une paralysie complète de toutes les. branches de la troisième
plète qu'à gauche ; c'est ainsi que le ptosis et le stra- Fig. 4. - Paralysie de la troisième paire gauche avec ptosis, démar
parésiées ; il a donc semblé qu'il existait à ce moment une légère paralysie des mouvements associés de latéralité (examen d
2° Troubles de la motilité. Il n'existe pas à proprement parler une paralysie motrice. La force musculaire est bien conservée à
che et la jambe droite étant lancée irrégulièrement dans la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERV
droite. coup à celle de la sclérose en plaques. Il n'existe ni paralysie faciale, ni paralysie du voile du palais, ni dé
lle de la sclérose en plaques. Il n'existe ni paralysie faciale, ni paralysie du voile du palais, ni déviation de la langue,
s son lit, cependant on ne constate pas, au sens strict du mot, une paralysie motrice des membres. Les céphalées sont toujour
la pie-mère pédonculaire (p. 20 et91). Notre malade présentait des paralysies oculaires associées à des troubles moteurs des
des membres et à des troubles de la parole. L'explication de ces paralysies oculaires est facile à don- ner : la tumeur a d
deux phases dans l'histoire oculaire du malade, une phase initiale, paralysie complète de la troisième paire gauche, une phas
complète de la troisième paire gauche, une phase terminale, double paralysie des deux troisièmes paires, complète à gau- che
moteurs du bras et de la jambe du côté droit ne consistaient ni en paralysie motrice proprement dite ni en phénomènes tels q
notre malade ces troubles moteurs existaient indépendants de toute paralysie motrice des membres pro- prement dite. Quelle
érantielles et se caractérisaient d'une manière essentielle par une paralysie motrice vraie du bras et de la jambe gauche du
bras et de la jambe gauche du côté opposé à la lésion, et par des paralysies des nerfs crâniens et une asynergie cérébelleuse
en déterminant des troubles moteurs des membres du même côté que la paralysie des nerfs crâniens, c'est-à-dire du côté de la
que les troubles moteurs des membres du côté droit, asso- ciés à la paralysie de la troisième paire gauche, consistent non en
ciés à la paralysie de la troisième paire gauche, consistent non en paralysie motrice vraie, mais en incoordination, en ataxi
uxion de poitrine à la suite de laquelle il a présenté une sorte de paralysie des membres inférieurs (ataxie-abasie ? ) qui a
ples, comme par exemple, une anorexie, une contracture, ou bien une paralysie qui sont présentés à la Vierge miraculeuse par
s en remuer aucune partie non plus que si j'étais morte ». 5° Des paralysies hystériques A un moment, Thérèse a tout le corp
malade dont l'observatiou sert de base à ce travail présentait une paralysie motrice des membres inférieurs et de la partie in
moins volatil. G. Deny. XIV. A propos du signe de Ch.-Bell dans la paralysie faciale péri- phérique ; par le D1' BOUCH.1UD (
ournal de 1'eurolo- gie 1901, n°24.) Chez la patiente atteinte de paralysie faciale périphérique dont l'histoire est rappor
un homme atteint de tabes. Ce phénomène n'est donc pas spécial à la paralysie faciale périphérique, mais son interpré- tation
ne action des anesthésiques sur les centres supérieurs et non à une paralysie des centres médullaires. G. D. XIX. Réflexe pla
e abréviation de la transmission du son par les os du crâne dans la paralysie infantile cérébrale, la syphilis céré- brale, l
, s'accompagnant d'altérations incontesta- bles des tissus, dans la paralysie générale, par exemple, les stigmates ou les com
l'idiotie est rare dans les cas de syphilis congénitale, 2* que la paralysie générale est ordinairement une consé- quence de
i celle-ci a été grave, avec symptômes secondaires très accusés, la paralysie générale peut apparaître dans les deux ans, com
olie chro- nique. li. DE Musgrave-Clay. VI. La décroissance de la paralysie générale des aliénés en Angleterre et dans le P
se- ment établis et puisés a bonne source, l'auteur montre que la paralysie générale a commencé à décroître en Angleterre en
ncontestable que les différentes formes de dégénérescence nerveuse ( paralysie générale, ataxie, etc.), ainsi que le défaut de
er des états neuro-pathologiques et particulièrement la folie et la paralysie générale. On admet aujourd'hui que l'alcoolis
l'alcoolismeet la syphilis sont les deux principaux facteurs de la paralysie générale ; l'auteur a tou- jours combattu cette
rthodoxes), et il constate que les névroses de dégénérescence et la paralysie générale sont communes dans les deux classes, ce
< ? 2oiscitiii. Quelles sont donc les causes déterminantes de la paralysie générale chez les juifs ? La première cause se
diverses circonstances est résulté le récent accroisse- ment de la paralysie générale chez les juifs. Les statistiques doive
coïncidence, i G. D. · 158 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. II. Les paralysies post-anesthésiques; par le D1' de Bucii. (Journ
1' de Bucii. (Journ. de Neurologie, ]903, n° 2.) Les trois cas de paralysie post-anesthésiques rapportés dans cette note co
roisième a été atteinte d'hémiplégie droite, avec aphasie, etc. Ces paralysies ont été observées dans les vingt-quatre heures
k. rattacher ces accidents paralytiques : il s'agirait en un mot de paralysies toxiques et non hystériques comme l'admettent q
IV. Un cas de névrite radiculaire double du plexus brachial avec paralysie unilatérale complète de la troisième paire simula
GIE NERVEUSE. 159 droits, douleurs qui furent bientôt suivies d'une paralysie radiculaii e du type Erb, avec atrophie des mus
ait devint bilatéral ; de plus il survint deux faits nouveaux : une paralysie graduelle et totale du nerf de la troisième pai
s'il s'était agi d'une pachyméningite cervicale hypertrophique, la paralysie n'aurait pas suivid'aussi près les douleurs spo
urait pas suivid'aussi près les douleurs spontanées, et enfin cette paralysie n'aurait pas affecté le type d'Erb; elle aurait
mbres inférieurs. " G. D. 160 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophie chronique des n
qui fut atteinte successivement à l'âge de soixante-deux ans d'une paralysie des lèvres, de la lan- gue et des cordes vocale
nnel et partant curable, cette affection peut entraîner la mort par paralysie respiratoire. Le traitement consiste dans le re
e à la sécrétion des larmes ? Voici ce que dit la clinique. Dans la paralysie faciale, on observe, du même côté, soit, le plu
mais après la réinstallation de l'incitabilité volontaire. Dans la paralysie faciale rhumatismale, il ne survient de trouble
ale rhumatismale, il ne survient de trouble lacrymal que lorsque la paralysie siège dans le voisinage du gan- glion géniculé
glion géniculé (trouble simultané des larmes et du goût). Dans la paralysie faciale d'origine basale, on observe également le
s du trijumeau, ou du sympathique mélangées. P. KERAYAL. XIV. Les paralysies laryngées et leur importance en médecine généra
. Bonne revue des notions que nous possédons actuellement sur les paralysies laryngées et sur l'utilité qu'il y a pour le lary
dictionnaire, c'est le réveil d'une image visuelle particulière. Paralysie générale ci forme sensorielle. 1t. P. Sérieux c
xamen microscopique fait par M. Rabaud, confirme le dia- gnostic de paralysie générale. L'existence d'une lésion bien localis
eux. On est autorisé à'décrire à part une variété sensorielle de la paralysie générale, comprenant les cas caractérisés par l
es troubles de la sphère du langage (symptômes d'excitation ou de paralysie ) tels que : aphasie motrice, hallucinations motri
naissance de cette variété clinique et anatomo-patholo- gique de la paralysie générale est intéressante au point de vue du di
diffuse, mais doivent faire pensera à cette forme sensorielle de la paralysie générale liée à des foyers circonscrits de méni
iagnostique des symptômes oculaires, aux différentes périodes de la Paralysie générale; valeur appuyée surtout sur des observat
du somnambulisme donnèrent lieu à des discussions intéressantes. La paralysie générale occupa la Société dès 188. Neuf séance
e époque, à élucider cette question. Parchappe dit nettement que la paralysie générale « forme une espèce distincte du genre
re et le rapport de cause à effet n'est ni constant ni absolu. '- Paralysie radiculaire traurualique du plexus brachial avec
V et CROUPON présentent un malade de soixante-dix ans atteint d'une paralysie radiculaire du plexus brachial survenue à l'âge
survenue à l'âge de quatorze mois par une traction sur le bras. La paralysie radiculaire a été primitivement totale et s'est
s insistent sur l'absence des troubles de la sensibilité dans cette paralysie radiculaire, qui s'explique par l'adultération
on s'explique ainsi les analogies cliniques qui exis- tent entre la paralysie infantile et les paralysies radiculaires, la to
logies cliniques qui exis- tent entre la paralysie infantile et les paralysies radiculaires, la topographie des troubles moteu
aralysies radiculaires, la topographie des troubles moteurs dans la paralysie infantile affec- tant d'ailleurs une topographi
quent semblent de nature à éclairer la pathogénie non seulement des paralysies centrales sur- venant aux cours des états logiq
ymé- ningite tuberculeuse primitive. Il Lionne rapporte un cas de paralysie générale à marche rapide avec crises d'angoisse
ur, en 183, avec une thèse Sur la folie paralytique et les diverses paralysies générales. Très mûri, d'un sens clinique très s
uvre vraiment remarquable ; il a fixé nos idées sur la marche de la paralysie générale, sur ses variétés habituelles, sur les
est si vaste. Jules Falret développa et compléta ses idées sur la paralysie générale dans plusieurs études ultérieures, don
ons men- tales et délires toxiques d'origine externe ou interne (la paralysie générale et le myxoedème sont compris dans les
? 7 z ARCHIVES DE NEUROLO^È le, X - CLINIQUE MENTALE. La paralysie générale d'après les données de la clinique psy
femmes. De tous ces malades il y en avait 682 qui souffraient de paralysie générale, 590 hommes et 92 femmes. Si nous pre-
venons de citer, relatifs, nous aurons les résultats suivants : ' paralysie générale. ' 195 du nombre des hommes paralytiqu
quatre années. - Concernant la division des malades, atteints de paralysie générale en groupes d'après l'âge, nous nous so
roupe à part, de même que les malades de ce genre, chez lesquels la paralysie générale a manifesté après soixante ans, ont ét
cinq années. De 67.3 paralytiques (hommes et femmes ensemble) : paralysie générale. 197 grand nombre de malades revient a
s hommes à l'âge correspondant. Vu la rareté comparative des cas de paralysie générale dans l'âge très jeune, nous allons cit
dans l'âge très jeune, nous allons citer in extenso trois cas de paralysie générale juvénile. Observation I. Malade B...,
inscrite leur position de famille, peuvent être répartis ainsi : PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 200 . CLINIQUE MENTALE. sion q
pêtres, à condition de la vie à la campagne, ne prédispose pas à la paralysie géné- rale. En examinant la signification de
ès nos données, nous eûmes les résultats suivants : Tableau V - PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 ment.de la paralysie générale, co
ats suivants : Tableau V - PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 ment.de la paralysie générale, comme moment étiologique, doit être e
nt à l'examen de la fréquence de la syphilis dans l'anamnèse de 'la paralysie générale. 520 hommes et 67 femmes ont été répar
plus courte de trois ans (trois cas). Ainsi donc, dans 90 p. 100 de paralysie générale chez les hommes, les périodes entre l'
nous basant sur nos données, nous avons pu obtenir ce qui suit : PARALYSIE GÉNÉRALE. 203 Chez les paralytiques femmes, on
difications qui se sont manifestées dans l'évolution externe de la paralysie générale nous avons déterminé pour chaque derni
dernière période de quatre ans la quantité des malades atteints de paralysie générale, en forme démente et de para- lysie gé
démentes au nombre des formes maniaques, chez les hommes était : PARALYSIE GÉNÉRALE. 205 ment et nous avons constaté que c
s psychoses d'intoxication, les troubles mentaux névropathiques, la paralysie générale. Etiologie : Fréquence. Généralement t
fait le diagnostic différentiel avec la démence précoce simple, la paralysie générale progressive et les idiots épileptiques
s maladies mentales. Rapporteur : " M. Trenel ; 2° Histologie de la paralysie générale. Rapporteur : M. Ir.irrrr,; 3° Questio
t très efficaces dans le traitement d'accidents neurasthéniques, de paralysies , d'anesthésies, etc. M. Paul Il y a plus de vin
hystérique, astasie, abasie, ptosis, spasmes musculaires, parésie, paralysie , diarrhée nerveuse, pollakiurie. Les troubles s
ice Dessaignes, à Blois). In-8» de 17t pages. . Vianny (Ch.). Les paralysies des nerfs périphériques et la systé- matisation
même nuit. (Le Temps 1r août.) RECUEIL DE FAITS. Sur un cas de paralysie générale et d'alcoolisme; Par MM. TRUELLE et PE
nt. Le 12, G... a gâté au lit; le 14 on note de l'em- SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 305 barras de la parol
stertoreuse. Il urine sous lui. Deuxième attaque à 4 heures. Pas de paralysie consécu- tive. Mais jusqu'au milieu de juillet,
éralisé, les pupilles restent inégales, la droite plus grande, avec paralysie de l'accommodation. Puis l'état s'améliore; l'agi
er son travail. Le 4, nouvelle attaque épileptiforme, toujours sans paralysie con- sécutive ; pendant quelques jours, G... ac
quelques bouffées ambitieuses, mais sans suite notam- SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE ET D'ALCOOLISME 307 ment à la suite de
lement debout et marche péniblement ; mais pas de contracture ni de paralysie dans aucun membre. Le lendemain, cette aggravat
lever qu'il marche difficilement en traînant la jambe SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 309 « droite. Depuis t
sme chronique, troubles circulatoires de l'encéphalo- SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 311 méningite que l'au
dantes. 312 RECUEILS DE FAITS. ' cette affection; 3° Produire une paralysie générale qui ne diffère de la paralysie général
affection; 3° Produire une paralysie générale qui ne diffère de la paralysie générale vraie que par des points de détail : c
uis bientôt apparaissent des attaques épileptiformes non suivies de paralysie . Après cinq mois de séjour à l'asile survient u
Quant à savoir si l'on a eu affaire à ce que M. Klippel nomme une paralysie générale inflammatoire primitive, ou bien une p
nomme une paralysie générale inflammatoire primitive, ou bien une paralysie générale associée à d'autres lésions d'en- céph
d'autres lésions d'en- céphalite due à l'alcoolisme, ou bien à une paralysie générale dégénérative ou pseudo-paralysie génér
après les résultats obtenus, nous pensons avoir affaire à un cas de paralysie générale alcoolique. Et c'est sans doute à cett
it là un obstacle suffisant pour nier l'origine alcoolique de cette paralysie générale. L'HYSTERIE DE SAINTE THERESE Par LE
volonté, la mémoire ne sont pas perdues, mais sont dans un état de paralysie ou de demi-sommeil dont on ne peut se réveiller
al. De l'utilité de la ponction lombaire pour le diagnostic de la paralysie générale. MM. A. Joffroy et E. Mercier. Dans un
y et E. Mercier. Dans un grand nombre de cas' - le diagnostic de la paralysie générale, impossible par les anciens moyens d'i
ments blancs dans le liquide céphalo-rachidien permet d'affirmer la paralysie générale, tandis que leur absence permet de rej
e cas où le diagnostic est difficile. Ils pensent qu'au début de la paralysie générale l'augmentation du nombre des éléments
vritique de Korsakofr. La ponction lombaire permet de distinguer la paralysie géné- rale des diverses formes de l'alcoolisme,
dans ces cas. La ponction lombaire permet aussi de distinguer la paralysie générale, au début, d'une psychose, et en parti
éments blancs chez un aphasique permet d'at- tribuer l'aphasie à la paralysie générale dans certains cas où sans la ponction
ès rares où la ponction lombaire ne peut servir au diagnostic de la paralysie générale. Ce sont ceux où il existe une autre a
est le plus constant et le plus précoce des signes physiques de la paralysie générale, et sa découverte a fait faire un prog
st entré à la cli- nique il y a sept ans avec tous les signes de la paralysie générale, puis après une période d'amélioration
pas révélé d'éléments. 11 ne faudrait pas en conclure que dans ces paralysies générales prolongées, l'absence des éléments so
ts à évolution rapide. Ainsi pas plus qu'aucun autre symptôme de la paralysie générale, la présence des éléments n'a une vale
dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la paralysie générale se rencontrant chez les héréditaires v
ion dans la for- mule cytologique dans les phases si diverses de la paralysie géné- rale, ou encore au moment des ictus, fréq
contrôle des effets produits par ce traitement dans certains cas de paralysie générale. Nos observations sont encore trop p
leucocytaire avec les diverses phases cliniques ou les ictus de la paralysie générale, nos obser- vations, trop peu nombreus
s éléments nocifs auxquels on attribue généralement la genèse de la paralysie générale. Syphilis, alcoolisme, surmenage physi
en rémission qui n'en présentaient pas. Chez sept malades, dont la paralysie générale avait déjà atteint une période avancée
cléroses céré- brales atrophiques, et même dans certaines formes de paralysie générale. Enfin dans les scléroses tubéreuses h
e, avait été celle d'une méningite basilaire (troubles cérébelleux; paralysie faciale périphérique ; ophtalmoplégies, trouble
et rapidement progressifs jusqu'à la sur- dité), ophtalmoplégies et paralysie faciale souvent unilatérales ; symptômes habitu
n fondé de cette hypothèse. Observations de deux frères atteints de paralysie générale appartenant ci une famille de dégénéré
dont il s'agit présentaient l'un et l'autre les signes très nets de paralysie géné- rale, embarras de la parole, inégalité pu
dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la paralysie générale se rencon- trait chez les héréditaires
évolution plus longue de la maladie, donnent un aspect spécial à la paralysie générale surve- nant chez les dégénérés. SOCI
des corps opto-striés aux cornes anté- - rieures de la moelle. La paralysie générale au début devant les magistrats. .M. Ma
massage sera utile aux tabétiques. il leur servira aussi contre les paralysies , les atrophies, les fractures et les entorses q
ndrome-a été noté dans diverses affections de l'axe cérébrospinal : paralysie générale, démences alcoolique et sénile, aphémi
symptômes derrière lesquels il faut chercher la base organique, la paralysie générale particu- lièrement (Voisin, Ballet, Fo
s étaient caractérisés par une hémiplégie droite avec contractions; paralysie faciale très peu accentuée, secousses convulsiv
tuée, secousses convulsives dans la langue au début des mouvements, paralysie légère du voile du palais; diminution de l'acui
s. De la sortie refusée des aliénés, par Biaute. Traitement de la paralysie générale. M. Devay (de Lyon) a soumis au traite
mis au traitement spécifique mixte intensif, depuis 1896, 90 cas de paralysie générale. 11 expose les résultats de cette méth
uler son opinion sur la théorie de la nature parasyphilitique de la paralysie géné- rale, aussi bien que du tabes, théorie qu
orie qui a été préjudiciable au traitement de ces affections. Toute paralysie générale doit être soumise à un traitement inte
les accidents comateux dont on l'accuse. Fausse grossesse dans la paralysie générale. M. Dupré. On sait que chez les paraly
st présenté à nous avec les signes, somatiques et psychiques, de la paralysie générale, auxquels s'étaient ajoutés, sous l'in
ssesse somatique et de délire démentiel de grossesse au cours de la paralysie générale. Paralysie générale précoce chez un dé
délire démentiel de grossesse au cours de la paralysie générale. Paralysie générale précoce chez un débile /tc;'eo-syp/<i
de vingt-trois ans qui a suc- combé, au bout de trois années, à une paralysie générale à forme démentielle simple, non délira
t, d'une part, le rôle de l'hérédo-syphilis dansl'étio- logie de la paralysie générale, et, d'autre part, la fréquence de cet
ce de la circulafion locale,' , permet de distinguer la rougeur par paralysie vaso-motrice de la rougeur par vaso-dilatation
me des troubles urinaires. Discussion : MM. Dupré et Régis. De la paralysie générale chez les dégénérés. M. de PEHHY (Borde
s qui viennent corroborer l'aspect spécial que l'on a attribué à la paralysie générale chez les dégénérés. Les antécé- dents
servation qui confirme la marche rapide attribuée généralement à la paralysie générale chez les débiles. Il rapporte aussi le
maladie de Friedreich (to cas), de diverses vésanies autres que la paralysie générale. Au contraire, ils ont pu le constater
drait plutôt admettre que le signe d'Arcyll dénonce un tabes ou une paralysie générale initiaux évoluant, soit à l'état isolé
ographie. , d'autres naissent infirmes, sourds-muets ou atteints de paralysies partielles (pieds-bots, etc.). Ce n'est point,
Orbites peu excavés. Yeux mobiles, ni exophtalmie, ni strabisme, ni paralysie ; iris bleu ; pupilles réagissant bien ; l'acui
ment conduite jusqu'ici. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XV. De la paralysie bilatérale du nerf facial (diplégie faciale) ;
1900). Deux observations accompagnées de figures témoignent d'une paralysie totale du facial des deux côtés, consécutive à un
e idiote de dix ans, issue d'une famille de névropathes, indemne de paralysie ou de symptô nés de lésions en foyer. A la suit
che, une secousse matérielle. Il y a six mois, il s'est produit une paralysie du bras droit qui en a presque absolument suppr
ans une poliomyé- lite bénigne. XIX. Contribution à l'étude de la paralysie isolée du muscle grand dentelé; par A. Souques
onstituée par l'atrophie musculaire myélopathique pro- gressive, la paralysie labio-glosso-laryngée progressive, l'ophtal- mo
e neurologique, novembre 1899.) Observation de syringomyélie avec paralysie et atrophie des muscles de la main gauche, para
ngomyélie avec paralysie et atrophie des muscles de la main gauche, paralysie du muscle orbito-palpébrat' gauche, exagération
acine dorsale et de la huitième racine cervicale, rend compte de la paralysie et de l'atrophie des muscles de la main et des
saire à la production d'un ramollissement. E. B. XXXVIII. Un cas de paralysie faciale d'origine périphérique com- binée avec
cas de paralysie faciale d'origine périphérique com- binée avec une paralysie du nerf oculo-moteur. externe du même côté; par
de la diplopie. Pas d'autre lésion. On se trouve en présence d'une paralysie faciale périphérique, due sans doute à un proce
euse; par contre on sait l'insuccès de la méthode dans le tabes, la paralysie générale, certains néo- plasmes cérébraux. Tous
analyse les résultats dans nombre d'affections (méningites aiguës, paralysie générale, tabès, syringomyélie. méninge-myélite
l'attaque d'apoplexie, de la mort subite, du ramollissement, de la paralysie générale, d'un corps étranger dans l'oreille, d
tion de la manie, mais moins souvent, et l'on peut voir survenir la paralysie géné- raie : un trait commun à noter dans les c
es dans les cas de folie puerpérale. 1. DE IUf,AAVE-CL : 1Y. XIV. Paralysie générale et syphilis : revue critique ; par W.-H.
ue soit l'importance de la syphilis comme facteur étiologique de la paralysie générale, le mercure est ici sans effet. Mais l
ment que toute autre cause, dans les statistiques écologiques de la paralysie générale ; on a montré aussi que les chiffres f
plai- dent dans le même sens. ZD Contre l'opinion qui fait de la paralysie générale une affection para-syphililique, il n'
des éléments de la civilisation qui aide la syphilis à engendrer la paralysie générale, et en d'autres termes, de quelle façon
ique qui résulté de ces don- nées c'est que la syphilis ne donne la paralysie . générale qu'à la condition d'être bénigne, red
amais demandé jusqu'ici si ce n'est pas le mercure qui détermine la paralysie générale. Marshatko a étudié avec beaucoup de s
e étude analogue reste à faire sur les rapports du mercure et de la paralysie générale. - Déjà en 18G1 Kussmaul déclarait que
ion suggère la pensée qu'une enquête analogue sur la question de la paralysie générale pourrait être faite chez les industrie
ure. · On a supposé que l'immunité des Mahométans à l'égard de la paralysie générale était due à la simplicité de leur manièr
asses pauvres de l'Angleterre, et surtout celles de l'Italie, où la paralysie générale abonde, ne peuvent véritablement pas ê
es classes les plus pauvres que se rencontre le plus fréquemment la paralysie générale. On peut conclure de toutes ces donnée
données que la syphilis est un antécédent tellement ordinaire de la paralysie générale, que les cas non-syphilitiques, s'il e
ue de devenir paralytique général. Mais la question de savoir si la paralysie générale est due à la syphilis per se ou la mer
ulsif conscient. E. B. XXI. Essai sur la pathogénie du délire de la paralysie générale ; par le 1),, LALANDE. (Annales 12étli
es 12étliCO-,PS ! ICI1010gi(IIICS, février 1900.) Le délire de la paralysie générale, quelle que soit sa forme, possède sep
es *. 1° Le phénomène de l'hallucinalion excepté, le délire de la paralysie générale est expliqué par la perte graduelle de l
'anomalie intellectuelle. L'auteur estime que la plupart des cas de paralysies générales juvéniles décrits au cours de ces der
on comparée des troubles de la sensibilité aux trois périodes de la paralysie générale ; par le De MARANDON de MO.4- TYEL (Bi
reuse et génitale étudiées simultanément, à toutes les phases de la paralysie géné- rale chez 14 malades, l'auteur tire un ce
u Dr Beriswan- ger, à Iéna. On désigna sa maladie sous le nom de cl paralysie à forme atypique ». Pendant que M. Ireland ache
urs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux deux périodes dans la paralysie générale précoce et de l'âge moyen que dans la
is et le traumatisme. AI. IIAMEL XXXV. Contribution à l'étude des paralysies psychiques ; par llAL'sEn et Lostat JACOB. (Reç
s se rapportent à des sujets non hystériques, et ayant présenté une paralysie de cause vraisembla- blement psychique. Ce qu'i
ement psychique. Ce qu'il y a de particulier à noter, c'est que ces paralysies affectaient, soit exclusivement, soit de préféren
ues, il est peut-être préférable de les ranger simplement parmi les paralysies psychiques, afin de ne pas trop étendre le cadr
R. de Musgrave-Clay. XXXVIII. L'action toxique dans la genèse de la paralysie générale; par F. Robertson. (Brit. cnecl. Journ
après des recherches histologiques per- sonnelles, cette vue que la paralysie générale est une réaction de tous les tissus im
eux effets d'un même état du système nerveux central. ' Un cas de paralysie radiculaire supérieure bilatérale du plexus bra-
aru douteux, la radiographie permit d'établir celui de mal de Pott. Paralysie pseudo-bulbaire chez un jeune homme de vingl-huil
surventes dans la même journée. Signe des orteils. M. Dufour. La paralysie pseudo-bulbaire est, le plus géné- ralement, le
é incomplètement dans la suite, laissant les signes très nets de la paralysie pseudo-bulbaire. - Le signe des orteils de Babi
différence de la mortalité entre 1900 et 1901. tient aux décès par paralysie générale, part entièrement nombreux en 1901, à
(23), qui ont fourni le plus grand nombre des dé- cès. En 1898, la paralysie générale ne venait qu'en quatrième rang; mais d
. Mère alcoo- lique et meurtrière, 188. Drames de 1' -, 285. Voir Paralysie . Aliénés. Les en liberté, 74, 32t, 397, 398,
dhecteur de l'asile des de Tournai blessé par un fou, 78. - Voir Paralysie générale. Essai à l'asile de Pau du traitement
lt;ee. Voir Gros orteil. liEI.L. A propos du signe de - dans la paralysie faciale périphérique, par L3ouchaucl, 143. -
oxication et-par SégJas, ; 516. Essai sur la pathogénie du 1 d la paralysie générale,, par Lalande, 517. Démence. Altérat
par Roilitninn 593, Fascia Voir Réflexe. Fausse - grossesse, Voir Paralysie générale. Fibres des cordons postérieurs qui
mas, 64. Un cas de - radi- cuiairc double du plexus brachial avec paralysie unilatérale com- plète de la troisième paire si
r Atlianassio, 465. 'DÉ1(Ehystérique, par Dufour, 176. OEIL. Voir paralysie générale, Ongles. Voir aliénés. Pachyméningit
. Voir ? zévi,ile. Papillome ÉPITIIÉLI01DE. Voir noyau - rouge. Paralysie faciale périphérique. Voir Bell, La décroissanc
s de - faciale (1-ot-i 1gilie péi ipliérique coin- binée avec une paralysie du nerf oculo-moteur externe du môme côté; pa
hilis cérébrale sept mois après l'accident, par Clumrt, 437. Voir Paralysie générale. Syringomyélie. Main de prédicateur.
ettachycardie.patBaitet et Delherm, 533. Trichotillomanie. - Voir Paralysie générale . ' Trophonévrose IléMiati-OPIliClUe
olution comparée des - de la sensibilité aux trois périodes de la paralysie générale, par Marandon de Mon- tyel, 520. mot
38 (1913) Exposé des travaux scientifiques
ons du même ordre, mais bien moins nettes que chez l'homme. DE LA PARALYSIE PVOCYAXIQUE 13 Quelle est la cause de ce phénom
ode où celle des filets nerveux inlra-musculaires est abolie. DE LA PARALYSIE PYOCYANIQUE (EN COIXAUO11AT10N 1\ EC CTIAlIIII\
TIAlIIII\) Voici les résultats de nos études sur ce sujet z) : La paralysie est produite par l'inoculation des microbes ou l'
t-être pas sans intérêt de faire remarquer à ce sujet que certaines paralysies infectieuses observées chez l'homme, la paralysie
et que certaines paralysies infectieuses observées chez l'homme, la paralysie diphtérique entre autres, se développent, très
maladie. Les membres postérieurs sont atteints les premiers. Cette paralysie est de nature spasmodique ; les réflexes tendin
es. Le mode de ter- minaison n'est pas toujours le même. Lorsque la paralysie est géné- ralisée, la mort est la terminaison h
t géné- ralisée, la mort est la terminaison habituelle. Parfois ces paralysies finissent par disparaître. ' Nos recherches a
x central des lapins paralysés, et cela aux diverses périodes de la paralysie qui, dans deux cas, remontait à deux mois. \ous
été absolument négatifs. Une s'agit pas là, comme on le voit, d'une paralysie banale, niais PARALYSIE DIPHTÉRIQUE 17 bien d
Une s'agit pas là, comme on le voit, d'une paralysie banale, niais PARALYSIE DIPHTÉRIQUE 17 bien d'une affection ayant sa ph
n d'une affection ayant sa physionomie propre, au même titre que la paralysie saturnine ou alcoolique de l'homme. Nous ferons
. Nous ferons remarquer, au sujet de l'absence de lésions dans la paralysie pyocyanique, que les recherches ultérieures entre
yocyanique, que les recherches ultérieures entreprises sur d'autres paralysies infectieuses (par exemple sur la paralysie expéri
ntreprises sur d'autres paralysies infectieuses (par exemple sur la paralysie expéri- mentale observée par Gilbert et Lion co
, soit d'un organisme qui provoque une infection secondaire (25). PARALYSIE DIPHTÉRIQUE J'ai fait des recherches anatomo-pa
E DIPHTÉRIQUE J'ai fait des recherches anatomo-pathologiques sur la paralysie diph- térique expérimentale obtenue par Roux et
et, si d'une part on admet, ce qui est tout à fait légitime, que la paralysie diphtérique est identique chez l'homme, quant à s
phtérique est identique chez l'homme, quant à sa patho- génie, à la paralysie diphtérique expérimentale, si d'autre part on se
phtérique expérimentale, si d'autre part on se rappelle que dans la paralysie diphtérique de l'homme on trouve des altération
s. Fractures spontanées et parfois signe de Babinski dans un cas de paralysie infantile avec reprise tardive» (Revue neurolog
d'eux était atteint d'hémiplégie gauche remontant à trois ans ; la paralysie était flasque au membre inférieur; le membre supé
plégie gauche. Le phénomène des orteils existait dès le début de la paralysie et, trois mois plus tard, la paralysie étant to
existait dès le début de la paralysie et, trois mois plus tard, la paralysie étant toujours flasque et les réflexes tendineu
sité du phénomène des orteils n'est pas proportionnée à celle de la paralysie ; ce signe est très marqué dans certains cas où
l peut être fort peu accusé et même faire défaut dans des cas où la paralysie est très prononcée. « Généralement, du côté opp
a paralysie est très prononcée. « Généralement, du côté opposé à la paralysie , le réflexe cutané plantaire est normal ; parfo
, le réflexe cutané plantaire était rede- venu normal. « Dans les paralysies spinales spasmodiques, quelle qu'en soit la cau
u abolition des réflexes tendineux. Je l'ai constaté, du côté de la paralysie , dans un cas d'hémiplégie spinale avec anes- th
amidal, n'en dénote pas la gravité. Il peut exister dans des cas de paralysie très légère, de para- lysie curable, et dispara
phénomène des orteils fait parfois défaut dans un membre atteint de paralysie spasmodique avec exagération des réflexes ten-
othèse d'attaque hystérique. Je l'ai constaté assez souvent dans la paralysie infantile spinale (Revue neurologique, 1910, 11
st parfois très marqué. 11 m'a paru surtout très développé dans les paralysies spasmodiques congénitales accompagnées d'athéto
l'hémiparésie que dans l'hémiplégie et enfin plus commun dans' les paralysies d'origine spinale que dans celles qui dépendent
on du globe oculaire et du nerf optique et n'est pas associée à une paralysie de la troisième RÉFLEXES PUPILLAIRES ;,9 pair
ate est un candidat à la syphilis cérébro-spinale, au tabes et à la paralysie générale. Nous fai- sions ressortir que ce trou
er la syphilis, doit faire craindre l'évolution d'un tabes ou d'une paralysie générale progressive, doit faire instituer sans
es pupillaires, la syphilis et certaines maladies nerveuses (tabes, paralysie générale progressive) », in Bulletins de la Soc
nous avons fixées, car l'abolition du réflexe s'accompagnait d'une paralysie plus ou moins complète de la 3" paire. Mais en
ur à remplir ses fonctions d'inspecteur de police ; il présente une paralysie de la sixième paire à droite et un peu de conge
nous considérons comme le résultat de la syphilis diffuse : tabes. paralysie générale, signe de Robertson, soit isolé (voir
suffisamment établi pour exclure la possibilité d'un tabcs ou d'une paralysie générale ; dans 2 cas même, ces diagnostics son
ensuite rétablie définitivement. Dans un cas, elle était liée à la paralysie générale, dans l'autre, au tabes. « Il est à re
alisation de l'amyotrophie, les diverses formes de la myopathie (la paralysie pscudo-hypertrophique avec ou sans hypertrophie,
riété de lésion du nerf radial peut être mise en opposition avec la paralysie radiale par compression qui est très commune et b
on qui est très commune et bien connue. Tandis que dans celle-ci la paralysie siège à l'avant-bras et se manifeste par une im
s et n'atteignent pas la motilité d'une manière bien appréciable. PARALYSIE FACIALE On admet généralement que, dans les par
ppréciable. PARALYSIE FACIALE On admet généralement que, dans les paralysies liées à des lésions des nerfs moteurs, l'excita
phérique, une surexcitahililé électrique durable et associée à la paralysie . Ils montrent qu'une paralysie faciale n'est pa
lectrique durable et associée à la paralysie. Ils montrent qu'une paralysie faciale n'est pas nécessairement béni- gne et n
e « périphérique » dont on se sert pour désigner la variété d'hémi- paralysie de la face liée à une lésion de ces mêmes organes
urs, je suis porté à croire qu'il y a une certaine parenté entre la paralysie faciale périphérique et l'hémispasme facial pér
; j'ajoute, à l'appui de cette opi- nion, qu'on peut voir, dans la paralysie faciale périphérique, succéder à la paralysie m
on peut voir, dans la paralysie faciale périphérique, succéder à la paralysie musculaire un état spasmodique ayant de grandes a
avail de C. Negro sur « l'IIémispasme facial comme équivalent de la paralysie faciale périphérique» » (Gazella degli Ospedali
139). A pro- pos de la parenté que Negro cherche à établir entre la paralysie périphérique et l'hémispasme facial périphéliqu
eux où l'un des con- joints étant tabétique, l'autre est atteint de paralysie générale. Afin de réunir ces deux modes d'assoc
portés, il s'agit de conjoints dont l'un est atteint de tabes ou de paralysie générale et dont l'autre, ne présentant aucun s
et, les idées de Fournier sur les liens qui unissent le tabes et la paralysie générale à la syphilis ne sont plus contestées
symptômes qu'on observe dans la myélite circonscrite destruc- tive ( paralysie et anesthésie des membres inférieurs, troubles da
e manière exclusive et que l'hysté- rie est capable d'engendrer une paralysie ayant le même aspect symp- tomatique. C'est sur
nce de ces moyens. Estimant que pour bien connaître la nature d'une paralysie il est essentiel d'envisager les diverses forme
ment ce trouble le signe du peaucier. Il peut exister aussi dans la paralysie faciale périphérique, le peaucier étant innervé
que possible contre le sol, on arrive plus facilement du côté de la paralysie que du côté sain à soulever la jambe par une trac
ourrait-on prévoir théori- quement qu'il doit faire défaut quand la paralysie est complète ; c'est ce que l'observation confi
tteints d'hémiplégie organique avec contracture, à condition que la paralysie du membre supérieur soit assez marquée : jamais
tandis que les mouvements unilatéraux sont abolis d'un côté : la paralysie est « systématique » (34, 35, 38). Si l'on envisa
e temps que les mouvements actifs essentiels (voir p. 13o). Dans la paralysie hystérique, l'abolition de ceux-ci pourrait coï
té. A la vérité, c'est là un fait banal qui s'applique à toutes les paralysies organiques et sur lequel il n'y aurait pas lieu
irer l'attention s'il ne contrastait avec ce qu'on observe dans les paralysies hystériques. Voici, par exemple, deux sujets at
privé de votre appui, l'atti- tude que vous lui aurez imprimée ; la paralysie aura transitoirement disparu. Cette variabilité
ion de la main paralysée dans l'expérience d, sont dues à ce que la paralysie libère les mouvements passifs des entraves qui
observé avec Clunet (i51) un fait d'hémiplégie homo- latérale : la paralysie occupait le côté droit du corps et la nécropsie
de dégénération secondaire, et d'en reconnaître la nature (127). La paralysie , en pareil cas, même après plusieurs mois de du
érieur seporte en avant, ne saurait, en effet. être attribuée à une paralysie des muscles qui dans la marche impriment au tro
que j'avais observé déjà dans l'hémiplégie organique du côté de la paralysie , et je rappelle l'explication que j'en avais do
ultent de cette étude : Une lésion bulbaire peut, sans engendrer de paralysie de la moti- lité volontaire, provoquer des trou
suppurée, de commotion laby- rinthique, de syphilis cérébrale avec paralysie faciale et acoustique, de maladie de Ménière.
plus communs de l'hémiplégie organique, qu'il fait défaut dans les paralysies psychiques, on peut admettre qu'il permet de di
e de l'aorte, étaient attribués autrefois à une irritation ou à une paralysie du nerf sympathique résultant d'une compression
à aucune lésion des globes oculaires et n'étant pas associés à une paralysie de la 3e paire, réalisaient les conditions requ
et même à des gangrènes de la peau, à de l'oedème sous-cutané à des paralysies laryngées, du spasme glottique, de l'oedème de
ns points fonda- mentaux, toute nouvelle. L'étude comparative des paralysies hystériques et des paralysies organiques avait
ute nouvelle. L'étude comparative des paralysies hystériques et des paralysies organiques avait d'abord fixé mon attention et,
avait frappé. On croyait, je le rap- pelle, que ces deux espèces de paralysies étaient capables de se manifester par les mêmes
dits stigmates, que ceux-ci, d'autre part, peuvent s'associer à une paralysie organique ; la présence ou l'absence d'une anes
it donc autoriser à affirmer ou à nier la nature hysté- rique d'une paralysie ; de même, la présence ou l'absence de signes s
yphilis, ne donne pas le droit d'admettre ou d'écarter l'idée d'une paralysie organique. Dès lors la nécessité de soumettre l
furent publiés en 1893, m'amenèrent à cette conclusion que dans les paralysies et les contractures hystériques pures il n'existe
igine bien différente : chez tel malade, réel- lement atteint d'une paralysie hystérique, on croyait à tort trouver des réfle
logique, observable, cela va sans dire, chez un individu atteint de paralysie hystérique aussi bien que chez un sujet sain, j'a
indiqué ailleurs (p. 1 6) toute une série do signes appartenant aux paralysies organiques et faisant défaut dans les paralysies
es appartenant aux paralysies organiques et faisant défaut dans les paralysies hysté- riques. Il n'est pas nécessaire d'y reve
uement les caractères des trou- bles moteurs, on peut distinguer la paralysie faciale hystérique de la paraly sie faciale org
eut, en particulier, reproduire divers phé- nomènes appartenant aux paralysies organiques dont ils constituent, par conséquent
conséquent, des attributs; que le diagnostic de ces deux espèces do paralysies , au lieu de s'appuyer sur des caractères extrinsè
premier de ces groupes appartiennent : des crises convulsives, des paralysies , des contractures variées, des tremblements, des
venir (grandes attaques de nerfs, chorées épidémiques du moyen âge, paralysies guéries « miraculeusement »). J'ai proposé de l
ractères seront faciles à distinguer do ceux qui appartiennent à la paralysie faciale. » HYSTÉRIE. - PITHIATISME 20." On ne
donné, aussitôt après la catastrophe, d'en voir un seul atteint de paralysie , de contracture ou de crises convulsives. Les étu
crise con- vulsive ; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de paralysie ou de contracture. Des enquêtes du même ordre
s'est manifestée sur la nature pithiatique de la contracture, de la paralysie flasque, des anesthésies hystériques, qui sont
'hystérie traumatique. « Les contractures pithiatiqnes,toutcommeles paralysies proprement dites, sont devenues faciles à recon
220 INDEX RIRLIOGRAPIIIQUE r5. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Archives de Neu- rologie, 1886, nO
vec Desnos. Société médi- cale des Hôpitaux, 8 juillet 18g2). 34. Paralysie hystérique systématique. Paralysie partielle ou s
s Hôpitaux, 8 juillet 18g2). 34. Paralysie hystérique systématique. Paralysie partielle ou systématique des fonctions motrice
ique des fonctions motrices du membre intérieur gauche (Id.). 30. Paralysie hystérique systématique. Paralysie faciale hystér
mbre intérieur gauche (Id.). 30. Paralysie hystérique systématique. Paralysie faciale hystérique (Icl., Il no- vembre 18q2).
t dans d'autres états pathologi- ques (Id., 2 décembre 1892). 38. Paralysie faciale liystérique(Id., 16 décembre 18qq). 3g.
ié. Gazette des Hôpitaux, numéros des 5 et 8 mai 1\)00). Go. Sur la paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux (S
ôpitaux, 2 1 février t go3). () 1. Lymphocytose dans le tabes et la paralysie générale (Société de Neurologie, 5 mars igo3).
les (Id., il' décembre tyo4). in. Hémiplégie spasmodique infantile. Paralysie posl-spasmodique (Id.). 1 12. Cyanose des rétin
re igo5). 121. Ilypcrexcitabilité électrique du nerf facial dans la paralysie faciale (Société de Neurologie, f) novembre igo
ie cérébelleuse (Société de Neurologie, 5 juillet 1906). 127. De la paralysie par compression du faisceau pyramidal, sans dégén
logie de Paris, 7 février 1 907). 133. De la radiothérapie dans les paralysies spasmodiques spinales (Société médi- cale des H
a persistance de zones sensibles à topographie radiculaire dans les paralysies médullaires avec anesthésie (en collaboration ave
contractilité électrique des muscles striés après la mort 14 De la paralysie pyocyanique 15 Arthropathies expérimentales Il
De la paralysie pyocyanique 15 Arthropathies expérimentales Il Paralysie diphtérique . 17 Vertige voltaïque. Lésions lab
e 77 Radiothérapie 78 Névrite radiale....................... 7g Paralysie faciale 80 Ilémispasme facial périphérique 81
39 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aternelle, excès de boisson. Cousine germaine '12 THÉRAPEUTIQUE. ^ paralysie consécutive à des convulsions. Cousine germaine s
dernier le degré de la destruction. - Dans les maladies comme la paralysie générale par exemple où la cellule nerveuse s'a
. Durante dans un cas de sclérose combinée enfin et surtout dans la paralysie générale : Aucune maladie n'offre peut-être des
et de la cellule ' Contribution ci l'ancelonaie pathologique de la paralysie générale. (Congrès de Médecine mentale. Blois,
de ce genre ont été constatées par Ballet et IIenriquez 1 dans la paralysie diphtérique. Dans la substance blanche, MM. Cha
ostic du vivant, hérédité convergente. A. M. lit. UNE épidémie DE paralysie infantile; par Andrew MACPHAIL. (British médica
idéré d'abord comme rhumatisant, il fut ensuite pris pour un cas de paralysie de Landry. Au bout de deux mois, il présentait
des muscles du tronc et des membres ; par 13.RLO ? C'est un cas de paralysie de Erb avec lordose chez un enfant de cinq ans,
novembre 1894.) or Marie. z 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Paralysie laryngée dans LES affections NERVEUSES CHRONIQU
lut à la fréquence des altérations fonctionnelles du larynx dans la paralysie générale. Les adducteurs seraient les muscles l
Les adducteurs seraient les muscles le plus souvent atteints par la paralysie . Il n'est pas néces- saire que la paralysie gén
souvent atteints par la paralysie. Il n'est pas néces- saire que la paralysie générale soit associée au tabès, les altéra- ti
rcher et ne peut se tenir debout sans aide. Puis l'atrophie avec la paralysie ^ gagne supra et infra, frappant des groupes mu
et, en tout dernier lieu, les muscles des mains et des pieds. La paralysie , toujours flasque, progresse parallèlement avec
plégies, monoplégies, aphasies); on y constate invariablement de la paralysie faciale seule (lésion du segment inférieur des
BEEVOR.et Balance. (British médical journal, 5 janvier 1895.) La paralysie avait envahi successivement le cou-de-pied, le ge
temps plus ou moins long ayant précédé leur apparition. Reste la paralysie générale pour laquelle des tentatives ont été f
s guéris, mais arrêtés dans leur évolution, sorles de rémissions de paralysie générale. Enfin, con- formément aux vues hardie
ds des bras étaient à peu près normaux. Il n'y avait ni parésie, ni paralysie d'aucun muscle; aucun nerf crânien ne paraissai
existence d'une tumeur cérébrale et permettait de les localiser. La paralysie du bras gauche et les troubles sensoriels dont il
ommençant à l'extrémité des doigts et remontant le long du bras. La paralysie a diminué depuis l'opéra- tion. Le malade peut
médecine mentale de Belgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouveau type de paralysie associée des mouvements horizon/aux des yeux. B
ces phénomènes et les lésions nécropsiques, principalement dans la paralysie générale, et Mickle', après de nombreuses autop
, semble s'être con- vaincu que la plupart des hallucinations de la paralysie géné- rale sont liées d'une façon intime à des
iques, des tumeurs cérébrales, et s'observerait communément dans la paralysie générale. Or, nous savons que les choses ne se
nous savons que les choses ne se passent pas ainsi et que, dans la paralysie générale par exemple, il n'est pas rare de trou
ujet sain, demeurât accessible à des impres- sions d'art. Dans la paralysie générale on voit souvent des malades, norma- le
i l'on considère séparément les altérations neuro-musculaires de la paralysie géné- rale, et si on les compare avec les modif
ressemblance entre ces altérations neuro-mus- culaires propres à la paralysie générale et celles qui se rencontrent dans les
u cette remarque ne s'applique qu'aux cas purement idiopathiques de paralysie générale, et nulle- ment à ceux où l'alcool et
son, l'auteur estime que les altérations qui se rencontrent dans la paralysie générale sont certainement comparables à celles
la moelle, proliféra- tion qui est un caractère si essentiel de la paralysie générale, et que l'on observe si souvent dans l
ns 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. des cas rapidement mortels de paralysie générale, dans lesquels les altérations cérébra
ons de la sen- sibilité ou du mouvement couramment observés dans la paralysie générale : en effet les lésions nerveuses périp
ns quelques cas d'alaxie locomotrice et ceux qui appartiennent à la paralysie générale. S'agit-il ici d'une ataxie locomotrice
'agit-il ici d'une ataxie locomotrice à symptômes mentaux, ou d'une paralysie générale à symptômes alaxiques ? En faveur de c
r des crises con- vulsives plaident contre l'ataxie en faveur de la paralysie générale. La rareté des cas de ce genre mixte c
lièrement aiguë. Mais si, d'autre part, on a eu affaire à un cas de paralysie générale avec symptômes ataxiques, on doit le c
sus morbides jju4-«eprretrouv^nt au fond du tabes dorsalis et de la paralysie ! ! é11hal-&, , . : 1) ? H. 11 .C. '¡' ? '
ue, faite sommairement devant un Congrès. IL M. C. XII. UN cas DE paralysie GENER \LE chez UNE FILLETTE DE NEUF ANS ET neuf
ations constatées a l'autopsie, ce cas est bien et dûment un cas de paralysie générale, remarquable surtout par l'âge de la m
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , Il est incontestable que les cas de paralysie générale chez les très jeunes sujets, fort rare
s recherches dans les conclu- sions suivantes : 1° dans huit cas de paralysie générale examinés à une période relativement pr
sure que la maladie progressait; 3° dans les onze cas étudiés de la paralysie générale avancée, l'excrétion des sulfates comb
nt rigoureusement semblables à ce que l'on observe à la suite des paralysies passagères qui succèdent aux convulsions épilepti
que les vertiges et les nausées, d'un degré plus ou moins accusé de paralysie oculaire. R. DE MUSGRAVE CLAY. SUR la peptonu
ls du pneumogastrique se rencontrent fréquemment chez les aliénés : paralysie des muscles du pharynx, dans la démence paralyt
me du pharynx dans l'hystérie, l'aura épilep- tique, l'hypocondrie; paralysie et spasme du larynx, troubles de l'innervation
paralysie et spasme du larynx, troubles de l'innervation cardiaque; paralysie des fibres de l'oesophage, dans la paralysie gé
innervation cardiaque; paralysie des fibres de l'oesophage, dans la paralysie générale; troubles gastriques dans la mélancolie,
la paralysie générale; troubles gastriques dans la mélancolie, la paralysie générale, l'épilepsie, etc. L'auteur passe en rev
a fièvre est un signe important, mais elle peut se produire dans la paralysie générale, dans i'amentiar On tiendra compte aus
sur le diagnostic avec l'amen- tia, avec le délire de collapsus, la paralysie générale, la folie pério- dique, la folie hébép
de médecine légale de Maschka (1882); la Folie morale (1879), la Paralysie générale progressive (Iahrb. f. Psychiatr., 1879)
lalor (Arch. f. Psychiatrie, XVII, 36,i). 1 Voyez Korsakow. De la paralysie alcoolique, thèse de Moscou, 1887, p. 300, 301.
178 s ANATOMIE PATHOLOGIQUE. nographie bien connue, intitulée De la paralysie alcoolique, plus nettement et plus définitiveme
'itis H-c/t. Az·clz., B. 112, 1888, p. 237-259). 2 Willin.Alcoholie paralysies with central lésion (illed. 11'ews. July 13). V
s l'ouvrage de M. le professeur Kojéwnikow 1 sont cités cinq cas de paralysie alcoolique avec autopsie, où l'on trouva dans l
es postérieures que dans les inférieures. ' Prof. Kojéwnikow. De la paralysie alcoolique. Westnik psycliiatrü, 1891, f. Il, p
s pieds se paralysaient de plus en plus. En réalité, le degré de la paralysie devint si fort que le malade fut obligé de gard
leurs dans les jambes, pas de migraines. Aucun cas de démence ou de paralysie .] Pas de consanguinité; inégalité d'âge de cinq
x cellules nerveuses, aux fibres nerveuses; 2° clinique- ment, à la paralysie générale, à la folie alcoolique, à l'idiotie ép
continua à se plaindre de céphalalgie. Le 21 février, on note une paralysie presque complète des muscles du côté gauche de
ite, et qu'il y a lieu de craindre un abcès du cerveau. Le 27, la paralysie du côté gauche de la face est complète, la pros
rès émoussée. - Du 5 au 7 mars tous les symptômes s'aggravent et la paralysie s'étend au bras gauche où elle devient vite com
'étend au bras gauche où elle devient vite complète. Du 8 au 11, la paralysie se généralise, et une opération est décidée, ma
pachyméningite hémorragique interne, qui sont si fréquents dans la paralysie générale, ne sont pas rares dans la folie sénil
lle entraine avec elle du tissu cérébral, comme cela arrive dans la paralysie générale. Tous les cerveaux séniles d'aliénés q
exemple dans la polynévrite alcoolique, dans la diphtérie, dans la paralysie générale des aliénés ; le fait parait demeurer
ée d'une diminution de la résistance musculaire ou de parésie ou de paralysie évidente des extrémités inférieures, de phénomè
espond à la névrite multiple. L'abolition du réflexe du genou, avec paralysie flasque, atrophie, et perte de la sensibilité f
vorables, la respiration ne subit d'ordinaire aucun changement. Les paralysies générales ou locales, les troubles de l'action
ues intra-craniennes, et devient ainsi presque pathognomonique. Les paralysies beaucoup plus communes dans les autres lésions,
la base serait cinq fois plus fréquent dans la démence que dans la paralysie générale, où il le considère d'ail- leurs comme
ation, bien qu'elle soit incontestablement plus fré- quente dans la paralysie générale : elle peut d'ailleurs se rencon- trer
lésions très diverses de cet organe; ils manquent rarement dans la paralysie générale, mais n'ont pas la valeur d'un signe c
on. P. Keraval. XXII. DE l'atrophie musculaire dégénérative dans la paralysie PROGRESSIVE; par A. HocHE. (Aelii-010g. Cent·al
et leur répartition, se distinguent de l'atrophie ordi- naire de la paralysie générale, et, par la netteté des altérations qu
ique. M. Hoche discute à ce sujet l'opinion de Nageotte pour qui la paralysie générale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes
nérale n'est qu'une forme de tabès, ou le tabes une forme fruste de paralysie générale. P. K. XXIII. UNE gomme dans la RÉGION
lles avec conservation de la réaction à l'accommo- dation (tabes et paralysie générale), et ceux de la perte unilatérale 232
l'alcool. A neuf ans il commença à fumer, et jusqu'au moment de sa paralysie il fumait de dix à quarante cigarettes par jour.
l'état de peintre, et l'exerça dix-mois : c'est alors que parut la paralysie , précédée de douleurs vives et aiguës dans le d
ré gingival. Il paraît évident à l'auteur qu'il s'agissait là d'une paralysie toxique liée à une triple intoxication (alcool,
verses formes de paraplégie. R. de MUSGRAVE CLAY. XLII. Un cas DE paralysie bulbaire UNILATÉRALE SUIi41GUE, AVFC autopsie;
fred Wiener. (The New-York Médical Journal, 14 juillet 1894.) Les paralysies bulbaires unilatérales sont peu communes et l'au-
tuberculeux. Le premier signe qui attira l'attention du côté d'une paralysie bulbaire fut une déviation de la langue à droit
tion était difficile, moins difficile cependant que dans les cas de paralysie bilatérale. Les aliments solides étaient mieux
it due à une lésion du récurrent laryngé droit, ayant déterminé une paralysie unilatérale complète à droite. Les fonctions qu
ration. Tel est le résumé clinique de ce cas qui a commencé par une paralysie unilatérale de la langue, des parties molles du
rynx du côté droit pour aboutir, peut de temps avant la mort, à une paralysie bila- térale incomplète. - L'auteur indique e
its anato- miques. Cliniquernent : développement en dix jours d'une paralysie unilatérale complète du côté droit de la langue
note un tremblement des mains et des pieds, plus ample que dans la paralysie agitante. En cas d'émotion, un peu de trem- ble
font immédiatement écarter la démence paralytique aussi bien que la paralysie agitante. Il ne paraît guère plus légi- time d'
ication dans 33. L'asthénie musculaire, souvent qualifiée à tort de paralysie ou de parésie, a été observée 48 fois ; elle a
u quatrième ven- tricule ; cette compression peut donner lieu à une paralysie des cinquième, sixième, septième, huitième, neu
lésion, les convulsion*, - et, parmi les symptômes secondaires, les paralysies nucléaires, la polyurie, la glycosurie, les tre
ans ce cas confirma le diagnostic. Les symptômes étaient ceux de la paralysie générale; leur disparition sous l'influence du tr
efois à craindre ici que le malade ne finisse par succom- ber à une paralysie générale de nature spécifique. Dans le second c
quième observation est celle d'une gomme de la protubé- rance, avec paralysie croisée : la guérison fut obtenue, sauf en ce q
e de la sensibilité réflexe à la lumière et il l'accommodation); 3° paralysie des muscles oculaires; 4° paralysie 276 6 REVUE
ière et il l'accommodation); 3° paralysie des muscles oculaires; 4° paralysie 276 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. irréguliè
de ceux des yeux, du larynx et de la langue. On la constate dans la paralysie générale des aliénés, où elle modifie à la fois l
oire ET rétrécissement concentrique du champ visuel D\1\, un cas DE paralysie 1NP1NTILE d'origine CËR)'- Ber \LE; par W* Koen
.) L'auteur fait remarquer qu'on désigne souvent sous les noms de paralysie bulbaire chronique ou aiguë et pseudoparalysie bu
r sous le nom de méningomyélite chronique. Lrvor.r.. LV. UN CS DE paralysie isolée traumatique par LÉSION A la base DU NERF
s caverneux, où il se place au côté externe de la carotide interne. Paralysie complète, mais ten- dance à la régénérescence.
maladies nerveuses en 14 ans (1890-94) il n'y avait que 135 cas de paralysie faciale périphérique, soit 2 p. 100. Le tableau
autopsie faite par Minkowski d'un suicidé en pleine évolution d'une paralysie faciale rhuma- tismale grave, vient, de concert
e l'a dit Moebius, et comme le confirme l'autopsie de Minkowski, la paralysie faciale rhumatismale est probablementune espèce
juvant, comme dans la pneumonie fibrineuse. Le facial réagit par la paralysie parce qu'il est le seul moteur; il est aussi pr
. \ 1) grâce aux anastomoses. Ainsi s'établit la bilatéralité de la paralysie faciale ou diplégie. En voici un beau type. D'a
ysie faciale ou diplégie. En voici un beau type. D'abord une légère paralysie faciale à droite tradui- sant l'atteinte du ner
tympan (troubles du goût); six mois après, récidive du même côté ( paralysie de moyenne gravité;. Alors le processus morbide p
ial supérieur, puis, quand cette branche a récupéré sa motilité, la paralysie reparaît et sévit sur le facial inférieur. Les
- dessus du point de départ de la corde du tympan. A ce moment la paralysie disparaît du côté gauche, le dernier pris; il ne
affaiblir la résistance de l'orga- nisme, prédispose l'homme à une paralysie faciale, pourvu qu'il s'expose à l'agent nocif
s. Pendant plusieurs années l'affection reste stationnaire, puis la paralysie spasmodique s'établit définitivement, les contrac
t recouvré leur intégrité. Les troubles sensitifs ont disparu. Puis paralysie transitoire de la troisième paire et quelques p
entant d'une part le syndrome de Mil- lard-Gublér, c'est-à-dire une paralysie du facial et du moteur ocu- laire externe d'un
jambes qui augmenta peu à peu. Bientôt cet homme fut atteint d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de
lement en une déforma- tion syringomyélique plus ou moins complète. Paralysie des sphincters, crises pseudo-angineuses, léger
tout chez. VARIA. * 313 les personnes atteintes dans l'enfance de paralysie infantile qui, quinze; vingt, quarante ans aprè
res nerveux. La maladie affecte alors le plus souvent le type de la paralysie spinale aiguë ou de l'atrophie musculaire progr
ou psychique ; dans tous ces cas aussi l'oedème a fait suite à une paralysie , une parésie ou une contracture des membres att
asme des vaso-moteurs. Pour Pitres au con- traire il s'agit de leur paralysie ; Trintignan dans sa descrip- tion de la pathog
s tous les cas l'oedème était précédé, en dehors du traumatisme, de paralysie , de parésie ou de contracture du membre atteint
e ou d'oedème sont donc favorisées dans un membre immobilisé par la paralysie ou la contracture. En même temps les vaisseaux
ion de la paraly- sie ou de la contracture ; les troubles que cette paralysie ou cette contracture a provoqués se contre-bala
'autre part il n'y a aucune donnée pour l'origine centrale de cette paralysie . On ne peut de même considérer comme primitifs
EWARD. (The Journal of Mental Science, avril 1895.) , La forme de paralysie générale qui s'associe à la force locomo- trice
jours possible. Les recherches de l'auteur ont porté sur 317 cas de paralysie générale, parmi lesquels 85 p. 100 appartenaien
épileptiformes géné- rales ou partielles, attaques apoplectiformes, paralysies passagères) sont plus fréquentes dans la forme
les cas tabétiques. - L'atrophie de la moelle est la règle dans la paralysie générale ; mais il est à noter que dans la form
its les plus saillants, qu'il existe deux types ou deux variélés de paralysie générale, l'une qui se présente associée à la s
nement cette manière de voir. R. M.-C. XXVIII. LES rapports DE la paralysie générale DES aliénés ET DES affections chroniqu
t les suivants : 1° La présence du rein granuleux contracté dans la paralysie générale est très fréquente; 2° La similitude
R. \1.-C. XXXII. SUR les relations cliniques ET pathologiques DE la paralysie générale des aliénés ; par REGINALD FARRAR. (Th
teur lui-même : « Mon but dans ce travail a été de démontrer que la paralysie générale n'est à aucun point de vue une maladie
le. J'admets que l'on puisse utilement conserver la dénomination de paralysie générale comme désignant suffisam- ment un type
éphalite corticale comprend non seulement toutes les variétés de la paralysie générale, mais beaucoup d'autres états que l'on
s que l'on a à tort, essayé jusqu'à présent de différencier de la paralysie générale, car toutes les variétés de l'encéphalit
e se rencontre dans beaucoup de psychoses, particulièrement dans la paralysie générale, où sa durée est ordinairement longue
: on l'observe surtout chez les hommes et plus spécialement dans la paralysie générale. Le début est soudain ou progressif :
ur la diarrhée aqueuse, celle que l'on rencontre si souvent dans la paralysie générale, elle parait due à une irritation cent
gue dans la moelle, et Bevan Lewis attribue l'excès de liquide à la paralysie des nerfs splanchniques (nerfs vaso-moteurs de
ore aidée par l'augmentation des mouvements péristaltiques. Cette paralysie vaso-motrice est probablement la cause de la prés
épartissent ainsi au point de vue des formes d'aliénation mentale : paralysie générale, 18 cas ; démence sénile, 12 cas; méla
sions suivantes : 1° La résistance des côtes à la fracture, dans la paralysie géné- rale est d'ordinaire considérablement inf
S rapports qui existent ENTRE LES maladies chroniques DU rein ET la paralysie générale DES aliénés; par Hubert-C. Bristowe. (
es, d'une forme ou d'une autre, sont extrêmement com- munes dans la paralysie générale. Mais il est obligé de reconnaître en
ner naissance à une maladie du cerveau, et que cette maladie est la paralysie générale des aliénés. R. M.-C. XLI. La FOLIE
able de la manie (321 cas de manie sur un total de 473 aliénés). La paralysie générale est extrêmement rare : sur le même chi
t. I. 23 z354 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .XLVII. Observation DE paralysie générale associée A une atrophie musculaire pro
groupes de cas : celui du type actuel et un autre dans lequel - la paralysie générale précéderait l'atrophie ? On ne sait. Y a
t. Y aurait-il lieu de tenir pour accidentelle la coexistence de la paralysie géné- rale et de l'atrophie, ou de considérer c
des nombreuses moelles de paralytiques généraux. P. K. XLVIII. Des paralysies psychiques ; par C. S. Freund. (Neurolog. Cent1
sychiques ; par C. S. Freund. (Neurolog. Cent1'anl., XIV, z.) Les paralysies hystériques sont des paralysies psychiques, mais
(Neurolog. Cent1'anl., XIV, z.) Les paralysies hystériques sont des paralysies psychiques, mais toute paralysie psychique n'es
s paralysies hystériques sont des paralysies psychiques, mais toute paralysie psychique n'est pas hystérique. La paralysie psy-
psychiques, mais toute paralysie psychique n'est pas hystérique. La paralysie psy- chique est une paralysie centrale qui port
ie psychique n'est pas hystérique. La paralysie psy- chique est une paralysie centrale qui porte sur des formes déter- minées
minées du mouvement mais non sur quelques muscles isolés. Dans ces paralysies , les mouvements sont suspendus exactement dans
nécessaire aux mouve- ments. En ce cas, il y a arrêt de mouvements, paralysie psychique pour l'ensemble du territoire des fib
e par l'exercice résultant de l'expérience. La classification des paralysies psychiques se résume en : paralysie psychique g
érience. La classification des paralysies psychiques se résume en : paralysie psychique généralisée par abdication de l'ensem
ar abdication de l'ensemble de la vie concep- tuelle ou stupeur, et paralysie psychique d'une partie du corps par le détourne
ne est altérée. P. K. LI. Contribution A la symptomatologie DE L1 paralysie générale ET DE l'épilepsie; par H1LLENBERG. (Ne
.) Etude très complète dont nous extrairons le principal. Dans la paralysie générale (48 h., 12 f.) comparée à un nombre ég
sthésie n'est qu'un phénomène rare du complexus symptomatique de la paralysie générale. Les pupilles sont, chez les paralytiq
bitale est un signe de la maladie, quand on n'a pas affaire à de la paralysie générale ; notamment s'il s'agit d'épilepsie di
DE l'urine dans LES MALADIES MENTALES, ET, EN PARTICULIER, DANS LA PARALYSIE PRO- GRESSIVE des aliénés; par P.-R. SIEGMUND.
7 p. 100). Elle faisait défaut chez tout autre aliéné. P. K. LIV. Paralysie hystérique avec contracture ET troubles mentaux ;
tales qu'on n'avait jusque-là rencontrées que chez le blanc : la paralysie générale, la dipsomanie, l'intoxication par l'opi
jambes qui augmenta peu à peu. Bientôt cet homme fut atteint d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de
lement en une déforma- tion syringomyélique plus ou moins complète. Paralysie des Fi ! J,23. UI3sEW'A'l'10\ II. - Prolongem
osthémi- plégiques c'est-à-dire une alternance entre, la période de paralysie complète et les troubles moteurs variés, altern
THOLOGIE NERVEUSE. 369 d'eau et maniant du minium.Il y a trois ans, paralysie de l'extrémité supérieure gauche qui disparait
ularité du pouls; celui-ci devient très petit, il y a embryocardie, paralysie partielle du facial droit ou plutôt des deux ra
res du côté gauche, parésie de la moitié gauche du voile du palais, paralysie et plus tard paré- sie de la corde vocale gauch
zz, r t. XXVII, 1. I, 1895.) Deux cas d'ophtatmoplégie : 1° Une paralysie plus ou moins complète des muscles des yeux (l'
epté) survient brusquement, chez un alcoolique. Vertige, délire. La paralysie persiste adroite; à gauche, parésie. Mort au bo
ingt-sept ans. Terrain syphilitique. Symp- tômes de tabès au début. Paralysie complète des muscles de l'oeil des deux côtés;
Pas d'autopsie. L'auteur après avoir discuté ce cas croit que cette paralysie peut être expliquée par un exsudat méningétique
ciale gauche; vertiges ; vomissements ; troubles de la déglutition, paralysie du mouvement du plan du regard à gau- che ; par
tion de la sensibilité dans les membres du côté droit, c'est-à-dire paralysie croisée du facial, de l'oculomoteur externe, du
milial manquent. La marche de la maladie. est éminemment lente; les paralysies et les contractures n'ont pu être observées jus
la troi- sième côte et des jambes; absence des réflexes tendineux; paralysie de la vessie et du rectum; troubles vasomoteurs
E RUPTURE NON traumatique DE la VESSIE CHEZ DES malades atteints DE paralysie générale; par Herting. (Archiv f. Psychiatrie a
s. Suit une revue des lésions pathologiques des vaisseaux dans la paralysie générale, la syphilis cérébrale, etc... P. K. L
ois- santes. F. BOISSIER. LXIX. Anatomie pathologique d'un cas DE PARALYSIE infantile; par F. TItÉVELLAN. {Drain, été et au
liénés en Anglete7,i,e est ajournée; 2° M. limucc6ra. Sur un cas de paralysie chronique des muscles de l'oeil (avec présentat
nt une amaurose totale de l'oeil gauche. A l'asile, on constate une paralysie complète de l'oculo-moteur commun du côté gauche
l'oculomoteur gauches. L'examen clinique ayant fait con- stater une paralysie complète de l'oculomoteur gauche et une pa- ral
oculomoteurs étaient dégénérés dans leur totalité. 2° M. MENDEL. Paralysie générale et tabes chez le mari et la femme. Il
mme. Il s'agit d'une femme de quarante ans atteinte du tabes avec paralysie générale. Son mari, syphilitique, est mort de par
tabes avec paralysie générale. Son mari, syphilitique, est mort de paralysie générale dans un asile d'aliénés. On n'a pu fai
in temps : la femme a été en effet soignée il y a deux ans pour une paralysie oculaire. 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion :
ICE. A la clinique du professeur Binswanger (Iéna), il est mort, de paralysie générale, après dix ans de maladie, -une femme
il par appareil; l'astasie- abasie hystérique est décrite après les paralysies . L'auteur envisage ensuite les syndromes hystér
olgi nous avons pu cons- tater cette dernière lésion au début de la paralysie générale ' . Au point de vue pathologique les p
e l'atrophie musculaire progressive. Les muscles s'atrophient ; les paralysies ne se produisent qu'en raison du degré de cette
432 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. vulgaire et de la forme tabétique de la paralysie générale des aliénés, a établi les différences
noire mémoire : Lésions et symptômes spinaux, formes spinales de la paralysie générale. (.4rele. de méd. expérimentale et d'a
d'atrophie de la papille dans les formes spinales tabétiques de la paralysie générale 2 dont la lésion primitive est dans d'
faits doivent être très rares. Ainsi dans la forme tabétique de la paralysie générale où la lésion occupe d'abord des neuron
tisme du genou suivi d'arthrite à quatre ans. - Aggrava- tion de la paralysie et contracture des membres inférieurs. - Abcès
paraplégie inférieure. Si, d'après le père, on n'a pas remarqué de paralysie à la nais- sance, il n'y a plus de doute sur sa
ation intellectuelle ; b) par une hémiplégie du côté droit, par une paralysie de la jambe gauche, et enfin c) par l'attitude
ngénitale. \ 464 RECUEIL DE FAITS. inférieur se complique d'une paralysie du membre inférieur gauche. Il semblerait donc
nts, rigidité, arrêt de développement, etc.) des membres frappés de paralysie . Rappelons que l'arrêt de développe- ' Cette op
ti serrurier de seize ans présente un affaiblissement général, avec paralysie partielle du bras droit. C'est la paralysie du
lissement général, avec paralysie partielle du bras droit. C'est la paralysie du plexus brachial de Erb, avec dégé- nérescenc
dégénérescence moindre des sus et sous- épineux et sous-scapulaire, paralysie de la sensibilité dans le terri- toire des nerf
parait être un signe pathogno- monique, un élément de diagnostic de paralysie générale (chez l'homme), mais elle existe aussi
), mais elle existe aussi dans l'épilepsie. Quand on soup- çonne la paralysie générale, l'existence de cette analgésie parait
cette psychopathie organique, son absence semble militer contre la paralysie générale. Mais, chez la femme, ni la conservati
ulnaire ne peuvent servir d'élément de diagnostic pour ou contre la paralysie générale. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
OGIE PATHOLOGIQUES. 479 - L'analgésie ulnaire a pour cause, dans la paralysie générale, la déchéance des éléments histologiqu
lypémaniaques. J. SEGLAS. LXI. SUR QUELQUES problèmes relatifs A la paralysie générale ; par le Dr Angiolklla. (Il manicomio,
du processus anatomique, à son extension, à l'augmentation de la paralysie , aux variétés cliniques, au traitement. Il semb
emble que le processus anatomo-palhologique qui est à la base de la paralysie générale soit le plus souvent l'effet de sub s-
régions soient atteintes de pré- férence. L'augmentation des cas de paralysie générale résulte de toutes les causes dégénérat
etc. J. S. LXVI. LES caractères cliniques différentiels ENTRE la paralysie générale syphilitique ET non syphilitique; par
tc., on peut affirmer que la syphilis n'est qu'une des causes de la paralysie générale, grave si l'on veut, mais pas autre ch
, grave si l'on veut, mais pas autre chose. Entre la syphilis et la paralysie générale il n'y a pas le terme moyen de pseudo-
uand la syphilis céré- brale prend le moins du monde l'aspect de la paralysie générale, c'est de celte dernière qu'il s'agit
, mais les trois derniers doigts ont toujours la situation due à la paralysie du cubital, le pouce et l'index sont en extensi
e à la paralysie du cubital, le pouce et l'index sont en extension. Paralysie persistante des mus- cles innervés par le média
elleux ne se sont montrés que dans la dernière année, ainsi que des paralysies oculaires d'apparence nucléaire, du tremble- me
t et par conséquent simulés. Il ne croit donc pas à l'existence des paralysies hystériques des pupilles, du moteur oculaire ex
upilles, du moteur oculaire externe, de la fièvre hystérique, de la paralysie d'une corde vocale, etc. Il n'a obseivé jusqu'i
ystérique n'avait pas d'autre cause. La répartition et la forme des paralysies et des anesthésies démon- trent en outre que ce
nt les suivantes : paranoia, démence, affaiblissement intellectuel, paralysie générale, épilepsie, manie, mélancolie. Au poin
lérodactylie de Bail ne peut être confondue ne s'accompagnant ni de paralysies , ni d'analgésie. La sclérodermie a bien été dif
seudo-tabes post-inrectieux. Il s'agit là d'un malade atteint d'une paralysie périphérique des extenseurs des membres inférie
(Archives de Neurologie, 1893, nos 73 et 74.) Deux grands types de paralysie infantile. M. Grasset s'attache à différencier
sie infantile. M. Grasset s'attache à différencier nettement ici la paralysie spinale atrophique de la paralysie cérébrale sp
à différencier nettement ici la paralysie spinale atrophique de la paralysie cérébrale spasmodique de l'enfance. z Mal de Po
oint de la moelle que celui qui est en rapport avec la gibbosité. Paralysie ascendante à rétrocession. A propos de deux obser
312, Genèse des accès d ? 1 par de Bechterew, 355. Symptômes delà paralysie générale et de l ? par Iüllenberg, 350. TABLE
n - prolongée chez certaines aliénées, par Fronda, 482. Laryngée. Paralysie - dans les aflec- tions nerveuses chroniques, p
meurtre sous l'influence d'une -, par Vallon, 81. Oculomoteur. Paralysie isolée trau- matique du nerf' - externe, par
, par Koeppen 280. Panaris analgésique, par Bourne- ville, 441. Paralysie psychique, par Freund, 354. associée à uneatrop
, par Wiener, 265 - ascendante à rétrocession par Grasset, 494. Paralysie l'ACI1LE. Etiologie de la- péripliéuque, par Ha
Récidive et diplégie dans la rhu- matismale, parHubschmann, 28a. Paralysie générale I'RGGfiESSI\ E. Al- térations neuro-mu
es généraux. Sulfates dans dans l'urine des -, par Turner, 138. Paralysie infantile. Une épidémie de -, par Macphail, 45.
s les affections cérébrales, par de Bechterew, 57. Plexus DE ERB. Paralysie complète du -, par Weber, 474. Pneumogastriqu
? 293. Urine. Altération de l'- dans les maladies mentales et la paralysie générale, par Siegmund, 357. Urique. Diathèse
40 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
VEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX, Paralysie générale, M.NIN(-0-MYÉLITE vasculaire diffuse E
bien autrement fréquentes de l'axe médullo-cérébral, le tabes et la paralysie générale. Mais, sur ce point, l'étude statistiq
quelle voie on pourra arriver à la solution de ce problème, pour la paralysie générale au moins, car pour le tabes la tâche e
t. XXVII. 1 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. substratum anatomique de la paralysie générale, évoluant chez des syphilitiques, est
ns les questions si controversées de l'origine syphi- litique de la paralysie générale des aliénés et.de la nature de son pro
eux, compare bien les lésions de l'écorce cérébrale, dans un cas de paralysie générale, à celles de la syphilis médullaire, i
ne ne sont pas assez convaincants.. Pour ma part, je crois que la paralysie générale est neuf fois sur dix d'origine syphil
ine syphilitique et que son substratum ana- tomique, je parle de la paralysie générale vraie, est une inflammation interstiti
stion et à montrer que, dans les cas syphilitiques, la lésion de la paralysie générale est une lésion histologique- 4 PATHOLO
est à la méningo- myélite gommeuse et que, par conséquent, entre la paralysie générale vraie et la pseudo-paralysie générale
eux qu'on ne le croit actuellement. Ceci est vrai pour les cas de paralysie générale syphilitique , qui forment, d'après les
, d'après les statistiques bien faites (Régis), les 9/10 des cas de paralysie générale; pour les autres, si réellement elles
ableau clinique qui ressemble d'une façon frappante à celui de la paralysie 0 -énérale. (Cas de Mendel, Beît. klin. Woch., 18
e la base du cerveau. Elle pré- sentait les signes manifestes d'une paralysie générale au début et, de plus, des manifestatio
détails à cette époque, a révélé une très curieuse combinaison de paralysie générale, de tabes légitime et d'une méningo-myél
aire qui ne différait en rien de celle que l'on rencontre dans la paralysie générale ; il' ne manquait que la participation d
ouver que ce sont les vaisseaux qui commencent le processus dans la paralysie générale syphilitique, puisqu'il montre leur lé
ilis datant de quatorze ans. Céphalalgie. Attaque apoplectifoi-ine. Paralysie du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremble
aperçoit le globe oculaire dévié en dehors avec la pupille dilatée ( paralysie de la troisième paire) ; la pupille droite, moy
cette méningo- encéphalite vasculaire diffuse, qui est la lésion de paralysie géné- rale légitime; 2° Cette lésion vasculai
llé. En un mot c'est la lésion typique que l'on rencontre dans la paralysie générale légitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA SYPHIL
rent-ils un peu mieux qu'à l'état sain, ainsi qu'on le voit dans la paralysie géné- rale. Quant aux fibres tangentielles, ell
re, et par conséquent ne peuvent être invo- quées pour expliquer la paralysie du nerf moteur oculaire commun droit. Au contra
ris de diplo- pie et va consulter M. de Wecker qui diagnostique une paralysie du droit externe droit et lui fait, pendant cin
e est dans un état comateux ; la langue est sèche ; il n'y a pas de paralysie appréciable. T. 39°3. Mort le 9 novembre 1893 à
au contraire absolument aux lésions vasculaires du cerveau dans la paralysie générale et de la moelle dans la méningo- myéli
Cerveau. On trouve les lésions vasculaires caractéristiques de la paralysie générale dans toutes les régions de l'écorce, sau
me, J : .-l'incapacité ou le'retard de la°marçhe,< : h3S,ti5S,cles paralysies ou contractures. ^ ^ ^ , 22<*\-ï/w«w.v-j.>
'épilepsie survient au même 'titre, que' des contractures, que des' paralysies , que l'idiotie; il s'agit alors' d'idiotie ordina
Il y a des.cas dans lesquels ? pendant le stade'prodromique de la paralysie générale,' il" se produit des' attaques d'aphasie
par jours et par années qu'appa- raissent les signes'évidents de la paralysie générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l'' ? '
rva- tions. ' ' ., ' l'' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes DE paralysie congénitale DES muscles DES yeux; paé L.' B.Gé
rresponsabilité dans les cas d'accès de manie aiguë ou subaiguë, de paralysie générale, de mélancolie, dans les actes violent
1fI07( ? ? sltfi' l' h> yJ XI. Contribution- a l'étiologie DE la paralysie GÉNÉRALE;.par ? ! >'>. ' » TH. Kans. (411
rossesse, accouchement) ; 2° la femme- folle est moins sujette à la paralysie générale, aux accidents des organes urinaires,
signalé, la terminaison., par de .véritables délires classés (deux paralysies générales et une. typemanie anxieuse) de trois
s sous les deux chefs suivants : 1° le saturnisme peut) produire la paralysie générale vraie : il y a une paralysie générale
saturnisme peut) produire la paralysie générale vraie : il y a une paralysie générale d'origine saturnine ;- 20 le saturnism
'origine saturnine ;- 20 le saturnisme est incapable de produire la paralysie générale; il peut seulement en emprunter le mas
intégrante ; les autres sont communs à la pseudo-paralysie et à la paralysie générale vraie. La pseudo-paralysie saturnine n
à, le plus souvent, de cas de rémission comme on en observe dans la paralysie générale ordinaire. M. Vallon rapporte, en outr
me des pseudo-paralytiques, mais qui n'en ont pas moins abouti à la paralysie générale vraie et à la mort. La pseudo-paralysie
saturnine n'est qu'une phase dans l'évolution du saturnisme vers la paralysie générale, mais le processus n'est pas fatalement
s mêmes critiques : l'alcoolisme, a-t-on affirmé, ne produit pas la paralysie générale vraie, mais seulement une forme fruste
eudo-paralysie générale alcoolique. Celle-ci se distinguerait de la paralysie générale vraie par les antécédents, le mode de
euls pseudo-paralytiques : le faciès, les troubles pupillaires, les paralysies partielles, l'aspect des concep- tions délirant
tique. La marche nettement régressive ou la guérison de la pseudo- paralysie alcoolique, et par suite son pronostic favorable,
stic favorable, en seraient les principaux signes différentiels, la paralysie générale vraie tendant toujours vers la mort. M
e souvent des régressions, c'est' que le processus anatomique de la paralysie générale ne s'organise qu'après une série de po
donc qu'une phase de transition entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale; M. Vallon rappelle, à ce pro- pos, le
ants. (Premier internement pour délire alcoolique avec symptômes de paralysie générale. Sortie par amélioration. Quatre mois
par amélioration. Quatre mois plus tard, deuxième internement pour paralysie générale. -Autopsie.) ' En dehors des observati
rale alcoolique, a définitivement pris les caractères de la vraie paralysie générale. M. Vallon pense que la théorie des ps
alade amélioré ayant été perdu de vue; d'autre part, on sait que la paralysie générale vraie peut s'arrêter dans ses première
es périodes de transition entre le saturnisme ou l'alcoolisme et la paralysie générale ; les guérisons de pseudo-para- lysie
lysie générale ne sont que des cas de rémission ou de guérison de paralysie générale vraie. ' Le mémoire de M. Vallon donne
DE DE LA' SYPHILIS DU'* SYSTÈME" NERVEUX, ''3- ' z , - .* ' fca Paralysie générale, 3rÉNILIGG-111YL : LITE , VASCULAIRE dif
> ce' 1r1 seaux enflammés qui frappent au premier, abord dans la paralysie générale; c'est pourtant bien exactement] la (
syphilitique ''qui présente 'les' symptômes les a plus nets de la paralysie gêné-)' ! ''raie des`aliénéselle='n'ar pas"1'1
.. p , r ? i, ft r -1 . ! conférences, cliniques de l'an dernier. ( Paralysie . générale chez l'ig : o2G ? ·riLres ? mvélineWl
qui. ne me parait être v autre, chose. que, la lésion typique de la paralysie , générale observée chez les syphi- litiques'1 ?
dème cérébral' d'origine rénale, considéré comme cause de certaines paralysies chez les vieillards (Sur la pathogénie''de cert
omme qui présentait à la fois les symptômes du tabes et -ceux de la paralysie générale; le tabes avait débuté assez rapidemen
complète, mais transitoire,' ainsi qu'on l'observe quelquefois ; la paralysie générale affectait la forme de Requin ; l'évolu
cérébrale ? des symptômes qui sont souvent les précurseurs de la paralysie générale, mais aucun accident ultérieur 'n'était
i déjà décrites dans les observations I et II; ce sont celles de la paralysie générale syphilitique; la seule diffé- rence qu
sence d'adhérences méningées, fait qui n'est pas rare, même dans la paralysie générale la plus avancée, ainsi' que je viens e
je crois pouvoir tirer les conclusions sui- vantes : .- e Dans la paralysie générale, d'origine syphilitique, l'altération
la même signification. 134 PATHOLOGIE NER'EÜSE, ` ' '" ' "* La paralysie générale, au moins celle. qui est syphilitique,'
lite vasculaire diffuse, n'est pas encore para- lytique général. La paralysie générale ne survient que lorsque - l'élément ne
tat, mental qui est, loin d'être sain et qui pourtant n'est pas, la paralysie générale ; ces malades ont bien quelques .sympt
andet science clinique. Les symptômes douloureux du début, puis les paralysies des 136 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nerfs
urs rapports avec la syphilis, l'idée de l'origine spécifique de la paralysie générale n'était pas encore mûre; aussi M. Four
encore mûre; aussi M. Fournier n'a'-t-il' pas mis le diagnostic de' paralysie générale vraie sur les faits de. démence syphili-
la ménopause entraine souvent-la mélancolie de- la ménopause, ou la paralysie générale, souvent aussi' la folie systématique
et les morts portent sur les mélancolies graves des gens âgés, les paralysies générales post-inllueuziques; enfin, il y a eu,
e ne se montre que quelques jours à quelques semaines plus tard; la paralysie générale peut survenir six mois après l'accès d
es,le4délirium@, tréméns; 25, p.,100 ? f · ? ,, yn , .. .f', ? d. Paralysie générale, grave, à évolution rapide, en moins de
groupe c.) l'issue dépend du substratum même de l'individu taré. La paralysie , . générale grippale comporte un'très mauvais p
`. ? C · " ' ' .1 · . 17 l«'- » T ,. -. , XXXIV. Les cause ? de, la paralysie générale (statistique de l'asile ? in " Saint-Yon
? in " Saint-Yon) ; par le D1' Nicoulan. t - -, , ' L'examen de ta paralysie générale, sous l'aspect étiologique, est, r dep
s c'est la Ç syphilis qui' constitue la' cause par excellence de la paralysie géné- rate ? pour d'autres c'est l'alcool ? pui
semblablement invoquer; une fois ou l'autre, dans l'éliologie de la paralysie générale; ' mais, alcoolisme, vérole, surmenage,
ls que : attaques congestives subintrantes, gangrènes du décubitus, paralysie et spasmes de la vessie, attaques apoplectiques
asmes de la vessie, attaques apoplectiques laissant après elles des paralysies , accès de folie périodique. Les mois inconstant
de ophthalmo-parésie externe ataxie des extrémités- étourdissements paralysie des deux extrémités supérieures et du membre in
s pendant trois à quatre semaines. Puis la parésie se transforme eu paralysie des membres inférieurs avec oedème musculaire,
; folie neurasthé- sique (1). , La maladie de Basedow tient à une paralysie du centre vascu- laire du bulbe; de là, hypérém
EY, de St-Louis. D'après Erb, les symptômes pathognomoniques de la' paralysie spinale spécifique seraient : 1° la paraplégie
'eurolo,gist, 389, XIV, 3.) A'. AL '1 .'t, 4 .12 ? 1 f n - .. XV. Paralysie cérébrale spasmodique DE .ERH ; par Manuel CARM
un arrêt congénital de développement des faisceaux pyramidaux,' ces paralysies sont apparues consécutivement à des accidents c
ibres et l'embarras' de la parole s'est atténué; dans d'autres, les paralysies des''membres sont restées identiques à celles des
OB. (Archiv f. Psychiat., , -- XXIV, 3.) . Quatre observations de paralysie aiguë de Brown-Sequard, autre- ment dit hématom
raplégique, les deux jambes sont anesthésiques. Le jour suivant, la paralysie monte, il meurt. On diagnostique une hémorrhagie
ronostic défavorable. P. K. XIX. Contribution A LA pathologie DE la paralysie spinale ATRO- PHIQUE chronique; par H. OPPECIIL
XXIV, 3.) Cinq observations avec autopsies.- La mieux étudiée des paralysies de ce genre, c'est la sclérose laté- rale amyol
rale ayant revêtu l'aspect d'une poliomyélite antérieure chronique ( paralysie Ilasque). Observation IV. Phénomènes paralytiqu
ÉHAVAL. ŸI1. Recherches SUR LE bilan DE la nutrition dans UN cas DE PARALYSIE agitante fruste; par A. SCHOEFER. (Archiv f. Ps
iat., XXIV, 3.) Conclusion : 1° Le malade en question, atteint de paralysie agitante avec symptômes de' chorée t héréditair
idérées comme0'de°s^'phério,mè'nés's"ec°ondairés,.f D'après lui, la paralysie agitante est caractérisée par une vaseularisatio'
ans les névroses chroniquesrd'origine fonctionnelle, telles que lai( paralysie agitante,a'chorée,3l'épilepsieethla maladie de
ides. C'es t ainsit que ,1'on (peut expliquer, les origines,. de"la paralysie l agi- tante,^ du oitra : exophtalmique,(denlaz
extrémités 'inférieures favec idiplopie intermittente ; en '1878, : paralysie .passagère 'de 'l'oeil droit ? Excès sexuels et
erplasie inflammatoire de la névro- glie dans la zone tabétique. La paralysie du bras tenait à un foyer de rarrlollissement r
t trem- blement de-la jambe d'un côté.. Ce sont aussi des sortes de paralysie agitante; peu ou pas de trembleme ! 1. L;,pu ou
es de dévelop- - piment. Faut-il,enfin de compte les rattacher à la paralysie agitante ou, pour être plus éxact,là'lalpseudo-
tion dans'laqueHe.]e : signe'foncti6nnet'Ie plus important ,de, la( paralysie ) du. gi,andç dentelé; 1 fait) coniplètemeiit 'déf
,wSy.ï .KjkoH .A- 3 irh ;ai I'X* ri .or Ce n'est pas tout. Dans la paralysie , du grand dentelé, le, bras étant au- repos,, i
ve), dans ceux du bras gauche et de l'éminence théiiar, de'ee côté ( paralysie par. propagation à la moelle),danslé grand pect
articipent aux troubles de la sensibilité ; phé- nomènes bulbaires ( paralysie unilatérale' du voile du palais et des cordes v
nd il s'agit des nombres'et des dates. Inhabi- leté des mains, sans paralysie , ni trouble de la sensibilité cutanée, trèsf lé
s, avee, troubles vaso-moteurs ,et sécrétions, anormales, r-r,;) a- paralysie ,des ! ' nerfs crâniens y compris les syinpi8me
une syringomyélie. Atrophie musculaire des extrémités-supérieures - paralysie dissociée hémilatérale de la sensibilité - trou
I n - . 1 - Etude nosographique. Trois observations : tabes dorsal; paralysie spinale syphilitique; association de tabès et d
tabès et de 'paralysie spinale syphilitique. '' Conclusion. 1° La paralysie spinale syphilitique est assez fréquente, mais
re dépendant du centre cortical où siégeait 1a9 tumeur ; en s outre paralysie progressive. Il faut ajouter .des symptômes gén
e fit cesser tout à fait chez la malade les accès épileptiques,' la paralysie , malgré la large extirpation de' substances cér
décembre, parésie bilatérale de l'oculo-moteur externe ; à droite, paralysie complète de tous les rameaux de l'oculo-moteur
e complète de tous les rameaux de l'oculo-moteur commun ; à gauche, paralysie totale du rameau interne de ce nerf. A droite,
'Intégrité des organes des sens et des organes internes. Plus tard, paralysie des'4uatre'extréiiii tés ave( ? pat, intervalles,
' ' ' , it, Au point de' vue clinique, il s'agissait de deux cas de paralysie générale, sans particularité spéciales à noter.
pariétale gauche ; légère parésie du facial inférieur droit. Pas de paralysie . Papille étranglée. Paraphasie en répétant; pei
omme le poing, adhérente à la dure-mère. A la suite de l'opération, paralysie des extrémités droites, impossibilité de parler
miques; intégrité 'de la perception de rétroaction des membres.' Ni paralysie , ni atexie.De temps à autre, incertitude des7mo
. Démarche extré- mement'incertaine, même' après rétrocession d'une paralysie de l'oculomoteur-» externe ? vertiges nombreux,
iges nombreux, mouvements des maxillaires limités, d'un, côté; puis paralysie croisée de l'oculo- moteur externe qui tend à d
r. e canlharidate de potasse est un bon moyen thérapeutique dans la paralysie générale^de^date récente., rc,t Le phosphate de
qui me semblent augmenter avec le. temps, à mesure que progresse la paralysie générale. M. Voisin demande si l'état des réfle
a faite, d'après mes indications sur les réflexes oculaires dans la paralysie générale. Il n'y a pas de règles fiaes à cet ég
- . y. ' v r·' .i v z ' ' il = 9%ll ? a iF .9'74D ? n61 IV. De la paralysie générale chez : les Ara6és;.paryleIDsPASCaLIS.
U'Oiii trouve; 'pour cette, catégorie' de malades, le diagnostic de paralysie générale, sur les registres de l'asile. De- 187
, tandis qu'elle a été de 9,8 p. 100 parmi les aliénés français. La paralysie générale chez les Arabes ne présente guère, com
rême. Après avoir conclu à la rareté et à ^apparition tardive de la paralysie générale chez les Arabes,'M.' Pascalis ên trôil
s ên trôilvé l'explication dans l'absence de certaines causes'de la paralysie générale, telles que la suracti- vité intellect
coi'nci deàt avec 1 l'ap p 'aritioi, éL l'augmentatioil,.des cas'de paralysie ^générale.' Quant à la syphili ? bien que, fréquen
- cérébral et que leurs lésions destructives ne provoquent pas de paralysie des mouvements. Est-ce à dire que les doctrines
ses lésions destruc- tives doivent nécessairement donner lieu à des paralysies motrices ; mais par contre,' les lésions destru
era.tout,naturellement porté à la considérer comme la cause- de. la paralysie et voilà une observation contra- dictoire à cla
, avëe.lëumême caractère;2cependant,opar.asuite des progrès de la paralysie , elles -,tendent devenir,,plus confuses." ZD je
nnu' comme la con- séquence z ^primitive düëà9üne'`neili`ü=ângio- paralysie et non à un traumatisme ou a une périeliondrite.
nitale''ou~ acquise du cerveau ' (démence', idiotie, ! imbécillité, paralysie générale), ensuite dans ? les vésanies à délire
1 no."%RJ . n 't LXI. Contribution A l'étude DE L E1'fOLOGIE de la" paralysie générale; ..< ! ja pal,le' D ? CBtsTLw. (Iti
Recherches, statistiques^sur^ l'augmentation ^progressive; de la paralysie générale, l'iulluence dusoxe, de J'étatcivii,cond
r.' l'enfance et. l'adolescence comiiie jouissant, à l'égard dénia» paralysie , générale, ,d'une.immunité absolue. L'au- teur
ur a, rassemblé huit, cas, dont.deux.personnels, dans lesquels la z paralysie générale est survenue vers l'époque de la puberté
lie deux observations intéressantes; la première est relative à une paralysie générale ayant fait son apparition à l'âge de d
enseigne sur ses antécédents,, on1 aurait' certainement 'cru 'à une paralysie généiâlétrvul;âir;é; sâiîsétioloie'spécifque`L'ét
*V f LXX11.V RecUERCHES^'sU11JUNÏ3 C1R1.11'lo\'I)Is TYPE DANS 'a LA PARALYSIE générale; par F. ST-JOIIII 13ULLEN (Tlte Joi21v
odifications des réflexes envisagés 'aux différentes périodes de la paralysie générale; : B : l les autres touchant l'ensembl
u conclusions générales pro- ' 'prément 'jîites.' " °I. Dans la, .0 paralysie r- -énérale l'altération ? des 'réflexes est la
ans, dans le service de M. Marcel Briand, une femme, atteinte de paralysie générale, en proie à des hallucinations motrices
ces particularités nous ont paru dignes d'intérêt. Observation '. Paralysie générale. (Signes somatiques et psychiques.) Ac
if, dans le service de M. Marcel Briand, qui porte le diagnostic de paralysie générale. , ` , Etat actuel. On constate à son
'- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie générale. L'histoire clinique de la malade est
sticateur) est un plié- y nomène banal'à la période. avancée, dé la paralysie générale (mâchonnement, grincement des' dents),
"diits'très accentué est un symptôme de 1 la- dernièrépériode'de la paralysie * générale' qui se mani- feste. alors= quer le p
hallucinations motrices verbales n'ont guère été étu- diées dans la paralysie générale : il n'en est, pas fait mention dans.
=.- de Gellhorn 3, d'Obersteinerl sur les hallucinations dans la paralysie générale, ni enfin dans les travaux cités'précéde
ses dont ils'ont été, l'objet.) s Girma. Des hallucinations dans la paralysie générale. Thèse Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9·
i ? >0 r···f lt.-v.Kspf 'h nfg 'l{ ? }f'l"l , Observation,. XIV. Paralysie générale à la première période : étât·stationli
evanche, dans les pages consacrées aux conceptions délirantes de la paralysie progressive, une courte -notice que nous reprod
ses détails, fait allusion à, l'existence' chez un sujet atteint de paralysie générale- (dia- gnostic confirmé par l'autopsie
i l i* ? "'->' , .14, ? ff ? -r tu 1. ' .1 ? l.e4 14 nels de la paralysie générale (aphasie, surdité verbale, acci- " *L
talysi ? ' i-a ' . (S' -Ir, , ! Magnan." Kena; cas d'aphasie dans la paralysie générale. (Soc. de Biologie, 8 nov. 1879.) Loca
. (Soc. de Biologie, 8 nov. 1879.) Localisations cérébrales dans la paralysie gé- nérale. Lésions^ accidentelles (congestions
', et Rappelons aussi les cas de Hirt' (mouvements convutsifs, puis, paralysie aussi les cas de Hirt1 (mouvements corivulsifs,
uis,paralysie aussi les cas de Hirt1 (mouvements corivulsifs, puis, paralysie , isolée double des. muscles. masticateurs, par
0 , ? I, - . , 0. ;d, 11-1 < t ' s , ". ....Irtl ' MÛ suivis de paralysie des muscles masticateurs; autopsie : rame)- >
de la partie adjacente de la frontale ascendante) ? * dé Barlovy3' ( paralysie 4de tous les , mouvements volontaires de la' bo
nstituent' souvent lés' ., ' a .. seuls troubles moteurs' dans la paralysie générale ! " On a signalé à i apparition du ttn
eçons cliniques, M. Magnan a montré, en effet" qu'au '"début de la' paralysie générale et" pendant' les' rémissions on pouvait
ation augmentait; à'deux reprises, un ictus étant venu aggraver la- paralysie générale, le délire systématique s'effaça pour
ipaux : a) Existence des hallucinations motrices verbales dans la paralysie générale. - b) Association étroite des hallucin
enferme, entre autres, le centre masticateur). f) Existence dans la paralysie générale non seulement d'hal- lucinations isolé
iété extrême des accès délirants que l'on peut ren- contrer dans la paralysie générale ' : les uns greffés sur la dé- 1 Voir
greffés sur la dé- 1 Voir sur ce sujet : Magnan et Paul Sérieux. La paralysie géné- 7,ale, vol. de l'Encyclopédie scientifiqu
essio"ns, amène' tinédimiriùtiôïigéilérale ? detensiôu' et causé la paralysie . La présence dé l'alcool provoque nécessairemen
ET (DE-, PHYSIOLOGIE,,PATHOLOGI QUES. 377 provoque; fatalement une paralysie n générilisée,chez, les sujets qui ne'peuvent p
an oh Jq d.9'ItLG(JrLtlTT eecmoiy 2t1 fiez LUI. Les lésions dans la paralysie générale; par le Dr J DAGON>Jx. JfT ? tI40 2
s sur là nature aiiato- ^mique, et, les, lésions complexes de^, la, paralysie générale. Tout t d'abord, "il, remarque- qu.'il
1,JI l'I , . trouve a laide du microscope, a tous. les degrés de la paralysie , les modifications histologiques de la phlogose
terstitiel' le principal rôle dans les lésions histologiques de' la paralysie générale. Il se passerait delà S6't- r e 7' dan
lules nerveuses. Enfin, depuis que ^ Tuczek1 eut' constaté' dans la paralysie générale^la disparition des ' lïb'res'liérveûës
érieurs de la moelle. ^ j-, ? ,,tir<,a,x. ? 8'; - uJ- Lorsque la paralysie générale a présenté une certaine durée, les srl
et la stase lymphatique, jouent un -rôle' des plus néfastes danstla paralysie générale : ils'favorisent, la dégénérescence et
, l'absence de peptone'dans l'urine permettrait d'écarter l'idée de paralysie générale. » . -lA"lâ suite de'ses recherches, M
mptôme 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .. tijtd.nf"Ht ? * delà paralysie "énéi,ale 1() Parce que la pept,iiui,jej se renco
ordre psychique ; 4°. parce que, si elle est plus fréquente dans.la paralysie âénéiale,que dans les autres formes de maladies
° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT CHEZ UN SYPH
t d'actualité : les relations étiolo- giques de la syphilis avec la paralysie générale, et les rap- ports de la paralysie gén
de la syphilis avec la paralysie générale, et les rap- ports de la paralysie générale et du tabes. En ce qui concerne la pre
e dans les deux tiers et même dans les quatre cinquièmes des cas,la paralysie générale reconnaîtrait la syphilis comme un de
prédisposition héréditaire. Eu égard aux rapports du tabès et de la paralysie générale, s'appuyant sur l'association assez ha
tre, nous publions l'observation suivante : 1 Fournier. Syphilis et paralysie générale. (Bulletin médical du 26 avril 1893.)
nérale. (Bulletin médical du 26 avril 1893.) ' Fournier. Tabès et paralysie générale. (Bulletin médical du 11 juin 1893.)
tudesde layie; ( ^ ^ xc ? sane auiq hait u ui·rrnanoa ? #s Jmruob PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE * TABES AU DÉBUT. 403 1 En
sultats ont étéiessmvHLnts-" - - ri tr' '· '1rW -*i"" <*, , .. PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. ' 405 et se
rnant sa fille, le délireiest survenu brusquement, un* matin, alors PARALYSIE GÉNÉRALE .'A FORME DE TABES AU DÉBUT.. t< 407
cembre. Aggravation de tous les phénomènes. Dans l'ordre physique,, paralysie des sphincters ; la malade, urine sous elle', p
, ment qu'elle parle des prétendues tentatives d'empoisonnement ? PARALYSIE GÉNÉRALES FORME ; DE TABES AU DÉBUT. 409 son an
e période, leur signification est des plus nettes, ils précisent la paralysie générale progressive. Pour ceux de la première
on évoque aussitôt l'idée de tabes. Par conséquent, tabes au début, paralysie à la fin, telle serait la rubrique sous laquell
jour, .il. s'agirait. d'un cas de , tabès. ayant versé dans,la r.t paralysie générale. Mais, ce^ diagnostic,' pour si1, vraise
1 J.-1T. Cliarcot. Z.epoH ! du mardi, 1887-1888, p. 267. > ^ç-a PARALYSIE GÉNÉRALE "A* FORME^DE TABES AU DÉBUT. ? 411 *"
nd. Dictionnaire des sciences médicales, article Tabes, p. 310. , PARALYSIE GÉNÉRALE'A FORME 'DE TABES AU DÉBUT. 413 et, da
eux pupilles : * la 4 droite' plus ! dilatée que la gauche; a droite" paralysie 'du sphincter de l'iris et légère parésie du mu
à- droite, .toute {contraction fait défaut; à gauche, en.plus`dé la paralysie dès muscles iriensjparésiemarquj ! e, du muscle
la marche,des phénomènes pupillaires démontre jusqu'à l'évidence la paralysie progressive ^et graduelle de la f musculature i
dev ir.- ,externes p d el k,oe.1 ? tandis s z qu r chez 1 la 3[j paralysie des muscles externes 1 tandis quechez]la.'xi ma
que certainement de la'paras lysie générale'. » ,2 csdsi '91 a La paralysie del'iris. et,de l'accommodation, constituant ce
complète, et sa valeurs. 9 au point, dewuee du diagnostici.der la. paralysie générale,* se id résume,enices termes : t« ! En
19 mfT .srn.a) ' Gilbert Ballet. `- Les troubles ^oculaires dans la paralysie générale .^ progressive. (Progrès' médical du 1
naud. Communication à M. G. BaUct ? M troubles oculaire31eq dans la paralysie générale progressive.. (Progrès médical . du 10,
' Gilbert BaUet. - 2.oc. c ? . ;-49» ? û-t V-V ? <n 1» ? 339 su PARALYSIE GÉNÉRALE'A'FORME'DE TABES AU DÉBUT. 418 part; d
ement' définis, ressortissant1 sansccontestation' ' r possible à.la paralysie générale ? fciMid ? t r`°tJ^ 1 OL)2 M", Par sui
vient-il' de conclure à''un c'as*'de tabès'ayant '* versé dans'^la" paralysie générale ? 'Mais; cette' hypothèse est inadmiss
s3fulgtirationstetvléstcîises`'mscé= n raies ;,ou bien, à'un'caside paralysie "générale compliqué'de tabès : fruste ? mais,"i
est "vrai, -va' l'encontre de'' la doc- trine.' cérébrale de; la ! paralysie généra ! e'*pbùr laquelle -tout' le ? processus
leçon de M. le professeur J Joffroy : Sur les formes spinales de la paralysie générale, in Journal " de Médecine et de Chirur
(Jendrassik) '. Et pour- quoi n'è,séiait 1. i pas.de même pour la, paralysie générale ? C e p'é n d a' in't 1 1 oane - n'est
sions reputees propres au ta ce qui n'implique .pas que tabès et paralysie générale, soient; une seule ., et . même entité
clure deux maladies distinctes ? ou d'avancer que le, tabès. et la paralysie sont l'expression d'un état morbide général, comm
aladies de la moelle, par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1 ..y ? v n PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. 417 ' Quant
anifestations paralytiques, nous ne pouvons y-souscrire'Faire'de la paralysie générale ou du tabès une étape tertiaire, en qu
moins qu'à déclarer qu'en dehors de la syphilis, il n'y a point de paralysie . Et, sans vou- loir tomber dans un excès contra
, il n'a offert aucun signe ou symptôme prémonitoire de tabes ou de paralysie , bien que jamais il n'ait ' Grasset, Archives d
hie musculaire progressive, tabes, para- lysies bulbaireset dans la paralysie faciale. L'électrode indifférente employée dans
E D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. 443 ' y Dans certaines paralysies d'origine incontestablement périphé- 'rique,^ l
'excitabilité faradique 4, se'constate dès les premiers jours de la paralysie .'Dans les paraly- sies périphériques persistant
nerveuses comme très limitée, attendu que dans un certain nombre de paralysies faciales invétérées il n'a pu obtenir la réacti
ides progrès. La durée du traitement varie, comme dans les autres paralysies , suivant le degré du mal et son' extension... '
y· ? 2,1. .a. ,. ? s M. 'DE6E. Quelques phénomènes appartenant à la paralysie géiié- rale progressive. - L'auteur étudie d'ab
il y avait égalité des pupilles; un seul de ceux-ci pré- sentait la paralysie réflexe bilatérale, chez les 34 autres, on cons-
t atteints d'inéga- lité pupillaire; on constata chez eux 7 fois la paralysie complète ou presque complète d'une iris, exclus
pillaire dont 51 cas ? de troubles de. la motilité des pupilles (19 paralysies unilatérales z 32 lésions de nerfs). Il est bon d
est évident que la'sypliilis'est une des causes' principales'de' la paralysie générale/'Mais le''terrain étant' préparé par l
Mais le''terrain étant' préparé par la syphilis,' une fois' que' la paralysie générale y a germé, elle devient indépendante à
il t ..t., ? - ). h <' yr' -) ? 'i M. Koenig. Une forme rare de paralysie infantile, d'origine céré- bi-ale. -,Il s'agit
'puis'celte époque, à la suite de chaque attaque, il se produit une paralysie passagère du côté droit; mais la parésie du'fac
ien a-t-il été atteint ? il est impossible de rien préciser, car la paralysie pharyngée peut dépendre aussi du nerf accessoir
et acabit. , i , DiscussioN : M. Bruns appelle l'attention sur la paralysie du voile du palais,. sans altération du facial.
nervé par l'accessoire ou l'hypoglosse. Jamais l'orateur n'a vu de* paralysie faciale pure, accompagnée de, paralysie, du' vo
Jamais l'orateur n'a vu de* paralysie faciale pure, accompagnée de, paralysie , du' voile" du palais; mais il a vu la paralysi
e, accompagnée de, paralysie, du' voile" du palais; mais il a vu la paralysie du voile du palais'se produire dans un cas de p
il a vu la paralysie du voile du palais'se produire dans un cas de paralysie périphérique du nerf accessoire et de'l'hypogloss
maladies suivantes : 1°, névroses (hystérie, neurasthénie, chorée, paralysie .agitante, crampes professionnelles); 2° les mala
rofessionnelles); 2° les maladies de la moelle (ataxie locomotrice, paralysie infantile, hémorragie et commotion, myélite chr
, sclérose latérale amyotropluque, atrophie musculaire progressive, paralysies consécutives aux maladies aiguës ou infectieuse
u, hypérémie des méninges, épanche- mentsisaiiguins intra-craniens, paralysie générale); 4° névral- gies et névrites (migrain
et chronique, névrites périphériques, sciatiques vraies); - 5° les paralysies motrices d'origine périphé- rique ; 6° les trou
avec ou sans anomalies et qui son tf des' types caractéristiques de paralysie .générale;, l'auteur .termine par une étude de
pathologie des centres nerveux (encan- glais), 9860;-Leçons sur les paralysies des membres inférieurs, 1865 ; Leço ? ? sur le
alatin, existence du renflement du , bourrelet , par Noecke, 214. Paralysie isolée du grand dentelé, » par Bruns, 186; un c
m ? . bolie" de l'artère fémorale, par ' Chvosteck, 196.,ri , . Paralysie AGITANTE, nutrition dans ' un cas de fruste, pa
dans ' un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\ .. - n' paralysie cérébrale spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151
- n' paralysie cérébrale spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151. Paralysie infantile, une forme rare de . d'origine cérébr
tile, une forme rare de . d'origine cérébrale, par Kcenig,,454. Paralysie générale progressive , contribution à l'étiolog
Sérieux, 321; lésions dans la -, par Dagonet, 377. ` ' w - " ("I Paralysie spinale atrophique chro- nique, par Oppenheim,'
2, 201. "' ,i5 nH '·'i . Parole, troubles de la passagers dans la paralysie 'progressive, par Koenig, 40; troubles de la -,
le, par Sommer, 208. Visuel, rétrécissement du champ- , dans la paralysie générale progres- sive, par Bikeles et Kornfeld
par Bikeles et Kornfeld,138. , » , * J -Ml, Yeux, deux causes de paralysie con- génitale des muscles des , par Bacli, z0
41 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rieurs plus ou moins repliés sont aussi contractures. Il existe une paralysie du facial inférieur droit, le malade fume la pipe
et pour résumer celte observation : Cliniquement : au début : Coma, paralysie faciale droite, paralysie du bras gauche, contr
ation : Cliniquement : au début : Coma, paralysie faciale droite, paralysie du bras gauche, contracture des membres inférieur
lade présentait nettement une hémiplégie gauche. Or on sait que les paralysies localisées, l'hémiplégie par exemple, constitue
ls il fut soumis : Ainsi le soir de son entrée, il présentait de la paralysie du facial inférieur droit et du bras gauche, et
cit et ceux d'excitation s'y rencontrent et s'y entre- mêlent ; les paralysies flasques, les contractures, les crises d'épilep
sens génital étudié chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale; Par le D' E. MARANDON DE 110\TYEL,
au même moment toute la symptomatologie physique et mentale de la paralysie générale. Ce travail, le troisième, est consacré
ociété de Médecine mentale de Belgique, 1898. DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 17 naire, vous répondra sincèrement q
es appréciations contenues dans les travaux les plus récents sur la paralysie générale et relatives aux modifications du sens
ts d'excitation, nous apprend M. Sollier, la première période de la paralysie générale est celui où l'éro- tisme est le plus
autres prouesses du même genre. MM. Christian DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 et Ritti sont d'avis que l'excitat
génitales, dans beaucoup de cas, un an et plus avant le début de la paralysie générale confirmée. Cet auteur, lui aussi, ne s
r- ches systématiques poursuivies du début à la terminaison de la paralysie générale chez les mêmes malades. Les fonctions
ctueux, même d'actes crimi- nels. Plus tard, avec les progrès de la paralysie , l'excitation anormale et la fonction sexuelle
recherches patiemment poursuivies du début à la termi- naison de la paralysie générale sur.108 sujets nous apporte- ront des
30 à la seconde; enfin il en est quatre qui . DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 21 depuis plusieurs années sont resté
ien qu'ils présentent les signes physiques caractéristiques de la paralysie générale. Les constatations opérées sur ces 108
cependant sacrifiaient souvent à Vénus; s'en- DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 23 dormaient-ils après des coïts même
stent tant sur l'excitation génitale à la période prodromique de la paralysie générale, c'est qu'elle constitue un fait posit
ons pour nos 1599 constatations d'auormalité. DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 25 tions, elles existent et dès lors
Dans tous les cas, un fait est indéniable : leur existence dans la paralysie générale. On comprendra qu'il ne nous a pas été
les que nous avons notés se répartissent aux trois périodes de la paralysie générale. 26 CLINIQUE MENTALE. alités, incapa
des, il est fourni par le tableau suivant : DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 7 n'existent qu'à ce moment. Il es
sens génital et les diverses formes mentales que peut présenter la paralysie générale, formes expansives, dépressives et mix
t-deux mois, attention, pat oie, préhension, mastica- tion nulles ; paralysie des membres ; grincement des dents ; accès de c
s, longs et très maigres. Les avant-bras sont fléchis sur les bras. Paralysie et contracture prédominant à gauche. La préhens
n que ceux de la Planche II. ZD REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Paralysie générale chez l'enfant; par J. THOJ ! S01\ et 1'e
prison pendant une partie de sa grossesse '. R. M. C. VU. Un cas de paralysie générale juvénile; par A. Hrmx 1301'LE. (The Jo
uelle on diag- nostique à son entrée à l'asile, malgré son âge, une paralysie générale, diagnostic que l'autopsie confirma.
gnaler, c'est la connexion étroite qui paraît avoir existé entre la paralysie géné- rale et la puberté. Les phénomènes de la
é entre la paralysie géné- rale et la puberté. Les phénomènes de la paralysie générale en effet ont fait leur apparition à l'
complète ici son étude antérieure (Revue clemécl.) de la pseudo- paralysie générale arthritique par dégénérescences athéroma
t vrai que l'athéro- masie peut dans certains cas coïncider avec la paralysie générale vraie qui dans ces faits s'est greffée
rentiel. Si parfois le tableau clinique est identique à celui de la paralysie générale, il peut aussi se présenter quelques d
, démence plus accusée ; délire auto-toxique, au lieu que dans la paralysie générale il est plutôt auto-infectieux). La coexi
rs de leur diffusion n'ont pas le moindre rapport avec celles de la paralysie générale et impliquent un processus morbide ess
éralisé et progressif; troubles de la parole caractéristiques de la paralysie générale, tremblement de la langue, inégalité p
nérescence observés chez des enfants et ressemblant beau- coup à la paralysie générale. Ce mémoire se termine par quelques co
et l'ouïe paraissent normales; les autres sens sont intacts. Pas de paralysie ; l'enfant marche et court sans assistance. Il es
l'espèce la plus inférieure; 4° malades à la dernière période de la paralysie générale ; 5° la plupart des épilep- tiques ; 6
est vraiment impos- sible de rattacher à l'hystérie ou aux tics. Paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux.
as d'un spasme d'ori- gine psychique des élévateurs mais bien d'une paralysie des droits inférieurs d'origine organique centr
urvenant après un ictus. M. Parinaud qui a étudié précisément ces paralysies associées assure que ce cas rentre parfaitement
ssi, par suggestion pendant le sommeil naturel. L'hypnotisme et les paralysies psychiques motrices. M. BÉRiLLON. Le phénomène
u un segment de membre peut être paralysé par suggestion. Que ces paralysies psychiques soient obtenues chez un sujet hypnotis
tiellement l'état d'hypnotisme. Il est curieux de constater que ces paralysies psychiques suggérées n'étonnent nullement le su
en vous et elle pense bien que vous saurez la débarrasser de cette paralysie que vous venez de lui donner. Mais, faites-lui
e plus éloignée : si, par exemple, demain elle se réveille avec une paralysie que vous lui aurez suggérée aujourd'hui, elle n
ou extérieure, des malaises, des douleurs, même des parésies et des paralysies ayant eu comme générateur l'élément psychique,
de douze ans, était devenue extrêmement difficile par suite d'une paralysie d'enfant sur- venue dès son plus bas âge ; en
er L... avait été mordu au bras par un cheval de telle façon que la paralysie totale des doigts et des tendons du poignet s'e
séries les plus fortes lais- sant presque toujours après elles une paralysie ou parésie du bras gauche qui se dissipait peu
réditaires. Syphilis conceptionnelle ; le mari est mort en effet de paralysie générale ; la malade aurait eu 9 grossesses, et
que le signe d'Argyll est un des meilleurs signes du tabes et de la paralysie générale. Or, il ne faut pas oublier le rôle si
iplégie cérébrale gauche, de telle sorte qu'il se présente avec une paralysie spasmodique créée par une double lésion cérébra
vant de l'enfance, la gauche provo- quée par la syphilis cérébrale, paralysie qui évolue avec des douleurs fulgurantes et le
tre en bâti- ments. Il aurait eu beaucoup de coliques de plomb, des paralysies «alumines, mais pas d'attaques d'éclampsie. Sa
qu'ici dans la période post hémiplégique, dans les diplégies, la paralysie générale et l'idiotie, les parahsies médullaires
ScuÉPILOFF. VII. Remarques sur les lésions observées dans un cas de paralysie spinale chronique d'origine syphilitique ; par
Le malade observé présente assez bien le cortège de symptômes de la paralysie syphilitique spinale d'Erb avec quelques diffé-
rconvolutions autour de la lésion, et Gierlich a montré que dans la paralysie infantile céré- brale on ne rencontre pas de dé
cinquante-trois ans ; troubles présentant d'abord les signes de la paralysie générale et enfin ceux d'une tumeur, hémi- plég
L'intérêt de cette observation réside dans ce fait que malgré la paralysie des quatre membres présentée par le malade la voi
alade, de la cause et des caractères de l'ictus, de l'évolution des paralysies et des anesthésies, on pourra dans un grand nom
a malade qui fait l'objet de cette observation était atteinte d'une paralysie de tous les nerfs du globe oculaire associée à un
ulaires centrales ; elle n'est pas non plus extra-orbitaire, car la paralysie des deux .branches orbitaires du trijumeau ne p
opsie, surdité) : c) troubles moteurs (para- lysies des extrémités, paralysie des muscles laryngés, aphonie) ; d) troubles vi
peut enfin souvent accompagner les convulsions unilatérales dans la paralysie générale et se montre parfois au cours de l'uré-
ertébrales. P. KERAVAL. XVI. Une observation de tabes dorsal avec paralysie bulbaire; par M. 13c,oco. (lCUI-010g. Cezzt,rab
'aorte ascendante. Le malade (qui vit encore) présente en outre une paralysie bulbaire par lésion de la région des noyaux c'e
alysie bulbaire par lésion de la région des noyaux c'est-à-dire une paralysie glossolabiopharyngée. comme dans les deux seuls
Science, mars 1889) et de Charcot (Progrès médical, 17 juin 1893). Paralysies des muscles des yeux; troubles dans le domaine du
domaine du trijumeau ; atrophie du nerf optique ; phénomènes de la paralysie bulbaire progressive ; symptômes classiques du
nt cependant avoir rétrocédé ; l'ataxie est peu prononcée. Il y a paralysie laryngée mais l'image laryngoscopique est celle
est celle que l'on obtient en pareil cas dans le tabes. Or, dans la paralysie larynsée bulbaire la paralysie atteint les addu
areil cas dans le tabes. Or, dans la paralysie larynsée bulbaire la paralysie atteint les adducteurs des cordes vocales, pres
coexistence d'une lésion cérébrale localisée '. L'hérédité dans la paralysie générale. - M. HAMELINE donne communication d'u
travail accompagné d'observations cliniques sur l'hérédité dans la paralysie générale et en particulier dans l'hérédité simi
. En ce qui concerne l'hérédité des paralytiques en général : 1° La paralysie générale n'apparaît que dans près de la moitié
hez l'enfant, où son existence est encore controuvée. L'étude des paralysies alternes fournit chaque jour des types clinique
Le professeur en profite pour esquisser les différentes variétés de paralysies alternes, motrices et sensitives. Les polioencé
ique ou mésocéphale. Les véritables para- lysies oculaires sont des paralysies dissociées, passagères, de courte durée et faci
i- phérique. La leçon suivante (IX) est consacrée à l'étude de la paralysie bulbaire asthénique : le syndrome de Erb-Goldfl
passer en revue les associations morbides principales du tabes : paralysie générale, syphilis des centres nerveux, ophtalmie
gnostic. Témoin le fait de syringomyélie chez un malade, atteint de paralysie saturnine. Bien que connue depuis peu d'années,
uis une mise au point par- faite de la question de la myoclonie. La paralysie générale juvénile, si difficile le plus souvent
matique. par le Dr Séglas, médecin de Bicêtre. La vraie cause de la paralysie générale, par le professeur Wladimir Tschisch (
s Drs Ch. Vallon et Wahl (de Paris). Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort des paralytiques généra
thologiques de la rougeur émotive, par le Dr Hartenberg (de Paris). Paralysie générale progressive chez un sujet ayant présen
es tics, les décharges épileptiques et hysté- riques, ainsi que les paralysies . Si je rassemble des phénomènes aussi divers en
par une étude d'ensemble' sur les contractions pathologiques et les paralysies , à poser les lois suivantes : Première loi. Cha
Une même cause peut produire plusieurs variétés de secousses et de paralysies ; Troisième tol. Les diverses variétés de secous
ralysies; Troisième tol. Les diverses variétés de secousses et de paralysies peuvent se transformer les unes dans les autres
de secousses et de 1 Cil. Binet-Sany-lé. Lois des secousses et des paralysies . Théorie des /«t'o-<7Mep ? )/c. ? (en prépar
<7Mep ? )/c. ? (en préparation). 212 PHYSIOLOGIE pathologique. paralysies peuvent se transformer les unes dans les autres
tumeur cérébrale, etc.) ; 4° Soit à une déchirure ou à une rupture ( paralysies trau- matiques diverses). Dès qu'un conducteu
statées en correspondance avec les secousses pathologiques et les paralysies : z10 Aspect brillant du corps du neurone; 2° a
2° Ou bien les ondes nerveuses-ne passent plus, et il existe une paralysie qui peut aussi être en partie masquée par les s
trique est absolument imperméable, il n'y a pas de décharges, et la paralysie est complète. Cette théorie fait comprendre pou
is transitoire survenant sans cause évidente. ' A. FOULARD. XXIX. Paralysie de Landry; remarques sur la classification; par
.-L;. CLAHK. (Jour, of IICI-V. and ment. Diseuse, avril 1900.) La paralysie de Landry n'existe pas comme entité morbide. t11
, aucun des symptômes décrits par Landry n'est fondamental. 1° La paralysie flaccide commençant par les extrémités infé- i
fection. Il n'y a donc qu'un certain nombre de cas dans lesquels la paralysie ascendante de Landry soit réellement ascendante
cial. Il est donc évident qu'aucun des symptômes classiques de la paralysie de Landry ne saurait, à la lumière de nos connais
le corte et les racines nerveuses (Bailey et Ewing). Pour Meyer, la paralysie de Landry est un syndrôme auquel correspondent
ez les personnes mortes de ce que nous avons l'habi- tude d'appeler paralysie de Landry. Il n'y a, ici non plus, aucune unité
aladie est plutôt atténuée qu'établie par une telle affirmation. La paralysie de Landry rentre alors tout simplement dans la
ions pathologiques, le vague de l'étiologie, il est probable que la paralysie de Landry ne représente pas un processus auquel
igus. La mort survint au bout de douze jours, avec des symptômes de paralysie bulbaire. Les lésions constatées à l'autopsie c
urant qui à la suite d'une chute dans un escalier fut atteint d'une paralysie fiasque des quatre membres. Cette paralysie qui
ier fut atteint d'une paralysie fiasque des quatre membres. Cette paralysie qui fut suivie d'une atrophie rapide rétrocéda au
onservation des réflexes cutanés. Pas de troubles sensitifs, pas de paralysie des sphincters, aucune modi- lication de l'inte
d'une chute sur le dos. (Journal de Neurologie, 1900, n° 6.) XLI. Paralysie générale et Syphilis; par MM. Sérieux et F.\RNA-
ntes : la syphilis est de beaucoup la cause la plus fréquente de la paralysie générale ; on la trouve certaine ou probable da
L'hérédité paraît être le terrain nécessaire au développement de la paralysie générale. La période qui s'écoule entre l'infecti
érale. La période qui s'écoule entre l'infection syphilitique et la paralysie générale confirmée est en moyenne de quatorze à
onner naissance chez des prédisposés à la méningo-encé- phalite. La paralysie générale ne mérite donc plus les dénomina- tion
son vivant, les signes d'une ophtalmoplégie nucléaire progressive : paralysie du moteur oculaire commun gauche et parésie du
sie du même nerf du côté droit ; névrite optique surtout à droite ; paralysie du facial inférieur droit; dysarthrie par parés
l'hémiplégie droite, facial inférieur droit compris et enfin de la paralysie de la langue. A. FENAYROU. XLIII. La congestion
morbide, en créant les monomanies, bientôt la détermina- tion de la paralysie générale et l'appréciation plus exacte des dif-
, More]) doit être , SECTION DE PSYCHIATRIE. 21b distinguée de la paralysie générale progressive et de la démence épileptiq
térograde, comme dans les cas de psychoses polynévritiques; 9° La paralysie générale progressive juvénile se distance de'la
; 9° La paralysie générale progressive juvénile se distance de'la paralysie générale progressive de l'adulte par l'absence d'
s des malades sont plus ou moins accentuées. La vraie cause de la paralysie progressive. M. le professeur WLADLI1lR Tscmscl
I1lR Tscmscll (Faculté de Dorpat). 1° La vraie et seule cause de la paralysie générale progressive, c'est la syphilis non tra
ent traiter longtemps et soigneusement n'ont pas été atteints de la paralysie générale; 3° L'hérédité pathologique et la dégé
ue et la dégénérescence ne jouent aucun rôle dans l'étiologie de la paralysie générale; 4° Les personnes qui ont de visibles
hysiques et psychi- ques, ne sont atteintes que très rarement de la paralysie progres- sive ou de la syphilis cérébrale. ,
rédisposition héréditaire joue un grand rôle dans l'étiologie de la paralysie générale. M. GREIDENllEIIG. - La syphilis ne pe
G. - La syphilis ne peut être considérée comme la seule cause de la paralysie générale. - M. LALANNE. - A la maison de santé
t syphilitiques. Sur l'origine onirique de certains délires dans la paralysie générale. MM. Régis et LALANNE. - Le délire o
ysie générale. MM. Régis et LALANNE. - Le délire onirique dans la paralysie générale, tel qu'il résulte au moins de nos que
nt lié à la per- sonnalité du sujet. Fractures spontanées dans la paralysie générale. M. LALANNE. De même que dans le tabes
période préparalytique comme première et unique manifestation de la paralysie générale. L'auteur rapporte quatre cas à l'appu
traitement des phobies inhibitoires. Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort des paralytiques généra
ntent pas ces phénomènes spasmodiques. La période terminale de la paralysie générale présente donc deux variétés cliniques :
celui des malades qui ont succombé à une affection étran- gère à la paralysie générale. Le troisième renferme les malades emp
ctrine classique, l'ictus cérébral n'est pas une complication de la paralysie générale, mais bien un symptôme intrinsèque; il e
e rencontrent d'ailleurs associées la neurasthénie et l'hystérie. Paralysie générale progressive chez un sujet ayant présenté
ité : anesthésies, hype ? 'esthésies; - les troubles delamotilité : paralysies , contractures et spasmes en les considérant sui
lpian nous apprenaient à distinguer cette sclérose en plaques de la paralysie agitante, de la maladie de Par- kinson, jusque-
urs de cette même période, une origine analogue fut recon- nue à la paralysie infantile. Déjà précédemment, Heine et Duchenne
t Vulpian, de Clarke, de Charcot et Joffroy, il fut démontré que la paralysie spinale infantile avait pour substra- tum une a
de voir à l'inter- prétation des tremblements, des convulsions, des paralysies . De ce dernier point de vue, je ne dirai rien;
lamptiques ; IL Epileptiques ; 111. Syphilitiques (et aussi de la paralysie générale infantile); IV. Cas paralytiques. 1.
lancher du crâne. La syphilis est, d'ailleurs, une cause commune de paralysie générale infantile. Depuis que le D1' Clouslo
, un cas de l'affection chez un garçon de seize ans, sous le nom de Paralysie générale de développement, 100 observations env
l'examen post mortem, les lésions macroscopiques ordinaires de la paralysie générale furent relevées. Dans tous ces cas, l'at
isseaux (Archives de Neurologie). IV. Dans les cas paralytiques, la paralysie peut survenir avant ou après la naissance, mais
s premiers cas du groupe iraunzalique qui s'offrent à nous sont des paralysies de la naissance, dues aune pression sur la tête à
des infirmités physiques. Les statistiques semblent montrer que les paralysies de la naissance sont plutôt dues à la négligeec
gique de l'idiotie. M. TOULOUSE a soulevé ensuite la question de la Paralysie géné- mie infantile et discuté avec M. Régis la
o-syphilis. Ces cas forment avec l'idiotie ordinaire d'une part, la paralysie générale infantile et juvénile une série d'inte
des résultats thérapeutiques, en dehors de la mélancolie' ? Dans la paralysie générale et la démence précoce, l'auteur a obte
iques de l'aphasie motrice ordi- naire, avec ou sans agraphie, avec paralysies , monoplégies ou hémiplégies, accès épileptiform
compagnée de mouvements ctllvéto.i- formes et ({taxi/ormes et d'une paralysie des mouvements associés des yeux ; néoplasie tu
isait l'association d'une hémiplégie sensitivo-motrice gauche à une paralysie oculaire, le tout survenu sans ictus, et accompa-
it incertaine, par moment titubante. Enfin le malade présentait une paralysie des mouvements associés de latéralité des deux
ablement à l'in- terruption de ces dernières fibres qu'était due la paralysie des mouvements associés de latéralité vers la d
léaire, au voisinage des tubercules qua- drijumeaux postérieurs des paralysies associées des mouvements de latéralité des glob
iées des mouvements de latéralité des globes oculaires. Un cas de paralysie bulbaire aslhénique suivi d'autopsie; par . J.
en- tait les symptômes suivants : une ophtalmoplégie externe, une paralysie des muscles innervés parle facial (supérieur et i
ysie des muscles innervés parle facial (supérieur et inférieur) une paralysie presque complète de la langue ; une parésie des
orrespond au syndrome décrit par Erb et connu encore sous le nom de paralysie bulbaire asthénique. A l'autopsie il n'existait
ance et peut être rapprochée de celle qu'on observe dans les cas de paralysie pseudo-bulbaire. Cette observation ne saurait c
ttre de conclure d'une façon définitive à la nature organique de la paralysie bul- baire asthénique qui est peut être moins u
Dans les myopathies, c'est le type d'extension qui domine ; dans la paralysie agitante c'est au contraire le type de flexion.
rouve cette thèse par l'analyse des faits pathologiques tels que la paralysie tactile, l'aphasie sensorielle, etc. Ces vues son
n'ont pas été constatés, et d'autre part, on peut observer dans la paralysie générale des manifestations catatoniques. . Ça
De sérieuses difficultés se rencontrent pour le diagnostic avec la paralysie générale. Les cas qui surviennent entre quarante-
sans période prodromique parlent en faveur de la mélan- colie ; la paralysie générale sera admise s'il existe des signes d'af-
même procédé que nous employons dans le trai- tement de différentes paralysies . Sans nous arrêter plus longtemps sur l'histori
ie. Quel est le processus de l'action du massage méthodique dans la paralysie ? On , croit, et c'est l'opinion d'une majeure
QUE DES HÉMIPLÉGIQUES. 367 Î des mouvements des membres atteints de paralysie . La gym- nastique rationnelle est produite par
it encore d'autres phénomènes bulbaires, comme le nasil- lement, la paralysie du côté droit du palais, la difficulté de la pa
comme un agent peu utile, lorsqu'on masse les régions atteintes de paralysie . En résumé, nous croyons le traitement masso-mé
femmes) atteints de maladies mentales proprement dites (psychoses, paralysie générale, psychoses épi- leptiques ou hystériqn
dit bouton de Munich'. MI : Grashey raconte avoir observé un cas de paralysie radiale chez un malade camisolé dont on avait i
à sang froid. Chez le chien elles sont ordinairement suivies de la paralysie défi- nitive du coeur, sauf quelquefois chez le
ulaire chez l'homme il existe un paral- lélisme complet. Dans les paralysies simples 'sans troubles trophiques ou avec atrop
sain et en rapport avec le degré de l'impuissance motrice. Dans la paralysie simple et la paralysie atrophique la variation
c le degré de l'impuissance motrice. Dans la paralysie simple et la paralysie atrophique la variation négative s'établit rapi
action se manifeste très évidemment avec ses deux phases. Dans la paralysie compliquée d'atrophie musculaire avec affai- bl
du muscle par un processus de dégénérescence. Dans certains cas de paralysie atrophique dégénérative la seconde phase du coura
e cette affec- t'ou de l'hémiplégie spasmodique infantile, et de la paralysie spasmodique familiale, mais cela permet aussi d
pasmodique familiale, mais cela permet aussi de la distinguer de la paralysie infantile où la reaction de dégénérescence existe
le. S. Leduc a communiqué un procédé de Traitement électrique des paralysies périphériques. Il emploie le courant galvanique s
ésolutive marquée qui s'exerce sur la névrite chronique cause de la paralysie . Elle produit l'état cathéleclrotonique qui augme
hie musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~nerf médian; une paralysie du nerf cubital à la suite d'une fractm de l'hu
ensuite rapidement l'atrophie musculaire. Le troisième cas est une paralysie réflexe des muscles court fléchisseur, opposant
omment comprendre que les lésions, dans un cas, n'engendrent pas de paralysie , alors qu'elles en pro- duisent dans l'autre, c
er paraissant calqué sur le premier. Eh bien ! il m'a semblé que la paralysie qui survenait dans ces cas, avait besoin, pour
rpérale, etc.) ; SECTION DE psychiatrie. 429 M. TOULOUSE. Dans la paralysie générale on observe des lésions cellulaires sem
du professeur MURET.) Recherches sur le réflexe plantaire dans la paralysie générale ; AI;DIN-DGLTL : II,, et T Il. IlOU'I)
aines maladies du système nerveux central et en particulier pour la paralysie générale. Frappés, non seulement par la pénurie
vons eu l'idée d'étudier plus particulièrement les réflexes dans la paralysie générale, en limitant nos recherches à l'étude
abouti les différents auteurs. Sepilli' croit remarquer que dans la paralysie générale, le fait le plus fréquent est la perma
différent dans la moelle. 11 divise ainsi en trois types les cas de paralysie générale qui peuvent'se présenter. Premier ty
sie on trouve une lésion des cordons postérieurs ; Deuxième type. Paralysie avec sclérose latérale de la moelle : les réfle
e tli mcd,legale), fasc. 3 (1882) et 1 (1883). 2 Beatley. General paralysies of the insane. li. G5, avril 18Sj). RÉFLEXE PLA
ysies of the insane. li. G5, avril 18Sj). RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 451 culier sur le réflexe plantaire d
LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 451 culier sur le réflexe plantaire dans la paralysie générale. Dans sa thèse inaugurale, Bettencourt
outit à des conclusions toutes différentes. Il admet que, dans la paralysie générale, les réflexes tendineux sont exagérés da
plantaire. Ces. Aâostini 3 dit que dans la première période de la paralysie générale, il y a défaut ou diminution des réflexe
tenc : ourt-liodrigues. Contribution à l'élude des réflexes dans la paralysie générale des aliénés. Thèse de Paris, 1880. y I
iénés. Thèse de Paris, 1880. y Itenaiul. Elude des réflexes dans la paralysie générale el recherches statistiques sur l'étiol
es jus- qu'alors, Cestan rappelle que Babinski a publié un cas de paralysie générale avec suppression des réflexes tendineux
exes tendineux et phénomène des .orteils. Et Cestan dit : « Dans la paralysie générale et surtout dans la forme clinique dési
générale et surtout dans la forme clinique désignée sous le nom de paralysie générale associée au tubes d'origine syphi- lit
n doive s'attacher à rechercher l'état du réflexe plantaire dans la paralysie générale, mais qu'il soit encore indispensable
res du réflexe cutané plantaire sous ses différentes formes dans la paralysie générale, nous décrirons en quelques mots ce qu
certains 1 Gazette des hôpitaux, 1900. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. li53 cas pathologiques, l'excitation
ches ont porté sur trente-cinq malades présentant le syndrome de la paralysie générale. Nous aurions pu avoir une base statis
réflexe rotulien ou du réflexe plantaire. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 459 A. En ce qui concerne l'état du r
59 A. En ce qui concerne l'état du réflexe plantaire : 1° Dans la paralysie générale, le réflexe plantaire serait plus souv
de ces réflexes et la période évolutive il laquelle est parvenue la paralysie générale, d'une part, et la nature de celle mal
n rapport entre le réflexe plantaire et le réflexe rotulien dans la paralysie générale vraie. b). Au contraire, dans quelques
la paralysie générale vraie. b). Au contraire, dans quelques cas de paralysie généra- lisée syphilitique (pseudo-paralysie gé
at des réflexes soit rotulien, soit plantaire, et la nature de la paralysie générale observée. Ceci pour la paralysie général
taire, et la nature de la paralysie générale observée. Ceci pour la paralysie générale vraie. 4° Au contraire, dans la plup
lysie générale vraie. 4° Au contraire, dans la plupart des cas de paralysie géné- ralisée syphilitique, nous avons observé
ystème pyramidal, mais tout à fait indépendant, croyons-nous, de sa paralysie géné- rale. Si, comme le veut Babinski, le ph
pui de l'opinion qui trace une ligne de séparation absolue entre la paralysie générale vraie et la prétendue paralysie généra
éparation absolue entre la paralysie générale vraie et la prétendue paralysie générale syphilitique. Nos constatations tenden
Nos constatations tendent, en effet, à prouver que, dans les cas de paralysie généralisée syphilitique, il existerait un trou
n 1898 dans les Archives médicales d'Angers. (Du tremblement à la paralysie , 1898-1899-1900.) Charles IW rr-S.wcu : . ENS
X, p. 193 et 371. 474 ENSEIGNEMENT. (signe de \Veslphal), sur la paralysie générale, l'agoraphobie, l'inversion sexuelle.
Vallon et WAUL (Paris). 11 résulte de l'étude de nom- breux cas de paralysie générale que l'on trouve fréquemment dans les f
rès laquelle la lésion transversale supra-lombaire est suivie d'une paralysie qui demeure station- naire, accompagnée par l'a
M. Bruns rapporte les cas de compression médullaire accompagnés de paralysie et d'anesthésie et dans lesquels le moindre attou
survenus à deux jours d'intervalle (1895). Pas d'hémiplégie, pas de paralysie faciale, pas de paralysie de la langue. Parole
tervalle (1895). Pas d'hémiplégie, pas de paralysie faciale, pas de paralysie de la langue. Parole spontanée : vocabulaire ré
ses de l'écorce du cerveau révélées par la méthode de Golgi dans la paralysie générale ; par A. Agapôff. (Neurologie Centrufb
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 519 XXXIII. Lésion anatomique dans un cas de paralysie uni-latérale de l'oculomoteur commun au cours d
as de paralysie uni-latérale de l'oculomoteur commun au cours de la paralysie générale ; par 0. JULIUSBERGER et L. KAPLAN. (N
Il s'agitd'une femme morte à l'Age de cinquante-un ans, atteinte de paralysie générale à l'âge de quarante ans (son mari avait
la syphi- lis), elle était en outre depuis cinq ans affectée d'une paralysie de l'oculomoteur commun du côté droit (mydriase
e maîtresse de~sa paupière. On trouva, l'autopsie les lésions de la paralysie générale et une atrophie microscopique de l'ocu
, une lésion primaire des cellules, exactement comme dans le cas de paralysie progressive multilo- culaires des muscles des y
cles des yeux. Il est intéressant de rapprocher la continuité de la paralysie unilatérale qui nous occupe (cinq ans de durée)
signes de compression médullaire localisée aux points intéressés. Paralysie du grand dentelé. - M. Souquer présente une malad
chés et portés en arrière et en haut. L'examen électrique dénote la paralysie du grand dentelé et du trapèze scapulaire, la b
ort ayant lésé les nerfs correspondant à ces groupes musculaires. Paralysie infantile avec scoliose tardive. M. Marie présent
M. Marie présente un malade, qui ayant subi à l'âge de cinq ans une paralysie infantile du membre inférieur droit, a recommen
graphies relatives à d'autres cas iden- tiques dont l'un montre une paralysie infantile à trois ans amé- liorée avec scoliose
s après guérison de la fièvre typhoïde. Réflexe plantaire dans la paralysie générale. MM. A. DELTEIL et Bouvière (de Montpe
ste pas de rapport entre les réflexes plantaire et rotulien dans la paralysie générale vraie. Il y 52 : 2 sociétés savantes.
e et intitulée : ' Recherches sur le phénomène des' orteils dans la paralysie générale. Ce réflexe serait souvent le seul ind
serait souvent le seul indice de lésions pyramidales au cours de la paralysie générale. Zona thoracique en bande horizontale.
ri des suggestions pendant le sommeil naturel; elle lui suggère des paralysies psychiques, des antipathies, des répulsions ; e
nose. Appareil pour produire Il-, par Lemesle, 522. Hypnotisme et paralysies psychiques motrices, par Bérillon, 68. -chez
erveuses rie 1'01- corce dansia, par Agapoff, 514. - Lésion de la paralysie de l'oculomoteur commun dans la - , par Kapla
519. Réflexe plantaire daus la -, par Delteil et Bouvière, 52t. Paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux,
ions non - des cordons postérieurs, par Bruce, 509. Tabès, avec paralysie bulbaire, par Bloch, 155. Question du syphi-
42 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
re. T. XXVI. Pl. II FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 6. Paralysie supra-bulbaire. - 9. Diplégie cérébrale ; rires e
lus souvent, de diplégies spasmodiques, sous des aspects variés. La paralysie et la contracture, en règle générale, prédomine
ominent dans les membres inférieurs, mais les cas de contracture et paralysie généralisées dans lesquels le syndrome de Liltl
re avec évidence, ne sont pas rares (PI. 1 il V). L'intensité de la paralysie et de la contracture est extrêmement variable c
pas. Au contraire de ceux- là, il existe d'autres malades chez qui paralysie el contracture atteignent le degré le plus élev
uents. Quelquefois, chez des malades pré- sentant des phénomènes de paralysie et de contracture minimes, les mou- vements ano
brale sont, presque toujours, accompagnés de signes cliniques de la paralysie pseudo-bulbaire. Celle-ci se présente, quelquef
langue, etc. Quelques cas curieux sont à signaler, dans lesquels la paralysie supra- bulbaire constitue un élément prédominan
teté et lui semblent « couverts de brouillard ». Il n'existe pas de paralysies de la musculature ex- terne des yeux, tous les
'écartent bien, mais avec une « légère hésitation » ; il n'y a pas de paralysie ni d'atrophie. La voix n'est ni.enrouée ni bito
es nombreuses et profondes, consislance moindre de celte moitié. La paralysie , correspondant à l'atrophie, répond bien au typ
st pas isolée. Les symptômes les plus fréquemment associés sont les paralysies du voile du palais, du larynx, du trapèze et du
ato-laryngée), syndrome de Schmidt (hémiplégie palato-laryngée avec paralysie homo- nyme du sterno-cléido-mastoïdien et du tr
, 16 novembre 19t2 un cas complexe de syndrome de Jackson, qui, aux paralysies non moins glosso-palato-laryn- gée, sterno-cléi
so-palato-laryn- gée, sterno-cléido-mastoïdien et trapèze, unit une paralysie faciale et des troubles sym- palhiques du même
pation de ganglions sous-maxillaires. hémiatrophie linguale 35 La paralysie faciale est assez rarement associée à l'hémiatrop
t assez éloignés. Huet et Lejonne ont ce- pendant signalé un cas de paralysie faciale et d'hémiatrophie linguale ho- monymes
natomiquement expliquer. Pour produire une atrophie linguale et une paralysie faciale alterne, il faudrait deux lésions bulba
e lésion bulbo-protubérantielle droite, susceptible de provoquer la paralysie faciale droite, ne s'accompagnerait, au cas où
alterne et non comme ici d'une hémiparésie du même côté. Par contre paralysie faciale et hémiparésie des membres ho- monymes
n : bulbaire pour r hémiatrophie linguale gauche, cérébrale pour la paralysie faciale et l'hémiparésie droites. B. - 8ans dis
boissons alcooli- ques. Le malade se plaint principalement de la paralysie des membres inférieurs et de douleurs continues
: douleurs persistantes à l'endroit indiqué, surtout au côté droit, paralysie complète des membres inférieurs, suppression de
à l'endroit comprimé. 27. 4 heures de l'après-midi, le même jour. Paralysie spasmodique ; mouvements involontaires; réflexes
; tem- pérature 38°, pouls 140. Etat général satisfaisant. 28. - Paralysie spasmodique ; le genou gauche replié, commence à
nd de 3-4 doigts en travers. 4 avril. Pulsations du coeur égales. Paralysie spasmodique. Réflexes très vifs ; première appa
t des symptômes de lésion transversale de la moelle, marqués par la paralysie complète spasmodique des extrémités inférieures e
eau clinique après le traitement, en dehors de la persistance de la paralysie à caractères spasmodiques, considérée comme sym
s et des jambes. Clonus du pied ; phénomène bilatéral de Babinski ; paralysie des pieds et des orteils ; parésie des mouvemen
t du mouvement dans les articulations des hanches et des genoux, la paralysie des mouvements pour les pieds et les orteils (d
inférieures mais avec une certaine limitation et un faible degré de paralysie ; réflexes ab- dominaux (supérieurs seuls) faib
ans celle des vertèbres lombaires. Accroissement des symp- tômes de paralysie . L'ensemble des symptômes indiqués formant prog
atteinte. 5-21 septembre. -'Le malade marche seul sans symptômes de paralysie ou caractère spastique ; on n'aperçoit l'augmen
extrémi- tés inférieures dans l'état de tonicité spastique extrême, paralysie presque complète; soulèvement des extrémités, i
ments morphologiques ; écoulement du liquide à tension très minime; paralysie des extrémités inférieures. Ainsi donc une femm
-latéral, était aplatie. xxvi t 50 ROTSTADT 27, 5 h. du soir. Paralysie flasque des extrémités inférieures ; réflexes t
de l'état présent ; faible réflexe plantaire bilatéral. 28-29. - Paralysie flasque ; réflexes patellaires et achilléens très
hilléens très faibles ; température 38c. 30. - Continuation de la paralysie des extrémités inférieures; escarre ex- térieur
les pieds et les genoux ; rétention d'urine ; constipation. 31. - Paralysie flasque ; manque de réflexes patellaires ; réflex
escarres. Liquide céphalo-rachidien jaunâtre, stérile, transparent. Paralysie flasque. 23. Etat général empirant avec manque
contraire en une zone éloignée de l'endroit le plus com- primé. La paralysie flasque des extrémités inférieures, immédiatement
considérée comme un signe défavorable; nous savons cependant que la paralysie flasque peut avoir un caractère passager. Toute
lysie flasque peut avoir un caractère passager. Toutefois, comme la paralysie flasque continuait, comme les escarres devenaie
acilement supprimée). Ainsi donc l'issue défavorable du traitement ( paralysie flasque, escarres, constipation grave rebelle, su
emme de 40 ans. Le cours inégal, l'origine et l'accroissement de la paralysie du membre inférieur droit et beaucoup plus tard c
uer du reste que l'observation I, témoignant du développement de la paralysie des extrémités inférieures dans le sens ascendant
comme cela a justement eu lieu dans notre observation II. Malgré la paralysie récidivée des extrémités infé- rieures,l'amélio
e de flanc dans l'hémiplégie organique. Bien au contraire, c'est la paralysie du tibial antérieur et du postérieur (rele- veu
uction, dont les dimensions se réduisent. D'autre côté c'est à la paralysie des péroniers, antérieur et postérieur, à celle
DE DE PRAGUE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU SYSTÈME NERVEUX . DANS LA PARALYSIE AGITANTE PAR LAD. HASKOVEC et J. BASTA. (de
avons eu l'occasion d'examiner le système nerveux dans deux cas de paralysie agitante typique et avancée. Dans le premier ca
née. Dans l'autre il s'agissait d'un malade.de 62 ans atteint d'une paralysie agitante très prononcée accompagnée d'une raide
e postérieure (grossissement plus fort). DU SYSTÈME NERVEUX BANS LA PARALYSIE AGITANTE 129 oblique, sont épaissies et forment
(Immersion ; a et b niveaux différents). DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 13 L tort cellules de Schwann, et ress
. 11. Même coupe. Cellules névralgiques. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 133 ture anatomique des nerfs périphér
eau intra-médullaire des nerfs périphériques dans le premier cas de paralysie agitante avec le réseau névroglique dans la sub
haltigen peripheren Ner- ven mil besonderer Bereichsichlig2411g der Paralysies agilans (Neurolog. Centralblatt, 1912, n° 22).
u dist. quelques minutes, alcool, xylol. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 135 sous le nom de cell ules araclllwï
bryonnaire avec celui des animaux adultes. Fig. 14 - Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Mêmes méthodes. Cel
Mêmes méthodes. Cellules névrogliques. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 137 Nous avons eu l'occasion, de même,
oetus, se compose de cellules et d'une subs- Fie. 15. Second cas de paralysie agitante. Cervelet. Même méthode. . Cellules né
ique d'un nouveau-né et la rigidité de ce même tissu dans un cas de paralysie agitante. Nous sommes d'accord avec les auteurs
roglique' avec jeunes cellules rondes. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 139 la figure 29, excepté les fibres r
apparaît très clairement dans la figure 20. FIO, 19. Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Stratum zonale. Eis
le. Stratum zonale. Eisath-Alzheim er. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 141 . La figure 2 représente les coupe
ion particulière dans notre premier cas. , Fig. 20. Second cas de paralysie agitante. Flemming. Cellules radiculaires. Imme
ch der Neurologie von Levandowsky, 1912). ' FIG. 21. Premier cas de paralysie agitante. Lobe frontal et précentral (Formol. C
« et 6 à divers niveaux. Fic. 22. La cellule « z3 du premier cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » la cellule du seco
(Cajal). a et à à un différent niveau. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA. PARALYSIE AGITANTE 143 De même nous n'avons pu trouver de
e, selon Spielmeyer (2), un rôle important dans la pathogénie de la paralysie agitante. Il décrit une forme particulière des
ans la substance blanche du système nerveux central dans six cas de paralysie agitante. s'agit de cellules assez volumineuses
e ces altérations de la névroglie soient patho- gnomoniques pour la paralysie agitante. Il insiste sur le fait qu'on les trou
es processus morbides. IV Dans les vaisseaux dans nos deux cas de paralysie agitante, nous avons trouvé des signes d'une lé
cas, quelques tubercules dissé- minés. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 145 Quant aux vaisseaux dans la paraly
NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 145 Quant aux vaisseaux dans la paralysie agitante, plusieurs auteurs insis- teut de même
ério-sclérose en tant que l'acteur important dans l'étiologie de la paralysie agitante. La dégénérescence hyaline des capil-
e dans les nerfs périphé- riques, surtout dans notre premier cas de paralysie agitante. Dans les éléments cellulaires du tiss
ues el dans la substance blanche du système nerveux central dans la paralysie agitante au point de vue pathogénique, surtout
aux glandes endocrines un rôle quelconque dans la pathogénie de la paralysie agitante, on pourrait soutenir que l'altération
i donne, quoiqu'il lui soit difficile de le démontrer à cause de la paralysie des membres, du cou, de la déglutition et l'imp
le amblyopique et présente une parésie du VIl" à droite, liée à une paralysie des quatre membres, des muscles du cou, de la dé-
partie du cerveau et éventuellement qu'il s'agissait d'une forme de paralysie pseudo-bulbaire des enfants. Cela est dû ou à d
ance. De même dans celle forme spéciale il existe une diplégie avec paralysie , ou parésie des lèvres, de la langue, du palais
part, s'il existe dès le principe dysarthrie, anarthrie, dysphagie, paralysie des muscles de la mastication, de la VII paire,
plégie, parésie, ou pa- ralysie du palais et du larynx, aphonie, la paralysie du corps est unilaté- rale et il peut aussi y a
s est unilaté- rale et il peut aussi y avoir des formes alternes de paralysie . Il existe en outre de fréquents (roubles de la
este du tableau cli- nique de mon cas se détache complètement de la paralysie bulbaire aiguë des enfants. C'est d'autant plus
lbe. D'autre part, la poliencéphalomyélite est caractérisée par une paralysie essentiellement amyotrophique, fait qui ne se t
la Ve paire, bourdonnements dans les oreilles) ; la parésie, ou la paralysie des extrémités, est fréquemment unilatérale d'a
équemment unilatérale d'abord, pour devenir ensuite bilatérale, les paralysies peu- vent aussi être alternes. Dans mon observa
ettre chez mon malade, sont des faitsexcep- tionnellement rares. La paralysie spinale aiguë ascendante (forme de Lan- dry), q
te conception, aussi bien pour un processus névritique que pour une paralysie de Landry. L'existence d'une forme de myasthéni
ut au plus entrer en discussion au début chez mon malade. Sur cette paralysie bulbaire spéciale l'attention pouvait se porter,
s. Dans ces derniers cas toutefois, on n'atteint jamais la complète paralysie de tous les membres, comme on l'a constaté chez
au plus, suspecter qu'il s'agit d'un indi- vidu, lequel, atteint de paralysie bulbaire, a été atteint d'infection mala- rienn
Xe paires, donnait l'explica- tion, non seulement du mutisme, de la paralysie de la langue, du facial droit, des membres ajou
a aucune connaissance de. l'existence, dans sa famille, d'un cas de paralysie ou d'atrophie musculaire, ou d'une difformité que
ravail dans la lit- térature médicale. , UNIVERSITE DE BUCAREST PARALYSIE PUERPÉRALE DU NERF SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE, D
de suite une application de forceps. L'enfant est extrait mort : PARALYSIE PUERPÉRALE DU NERF SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE 231
ces renseignements bibliographiques. FACULTÉ DE MÉDECINE DE LYON PARALYSIE ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR PROPRE DU POUCE PAR
de Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. XXXVII PARALYSIE ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR PROPRE DU POUCE , (Chi
eralld). Masson & Cie, Éditeurs. PhototH)I Beiiliaud - Pans PARALYSIE ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 235 refusa ;
ement passager en résulta, sans fracture ni luxation ni raideurs ni paralysie ou parésie consécutives. Il y a trois ans il qu
rictionner le pouce, appliquer des pommades, tout fut inutile et la paralysie persista telle quelle, les jours suivants. Exam
omplète du muscle, deux mois et demi seulement après le début de la paralysie ; on aurait pu s'attendre à trouver encore soil u
ment être accepté. Considérations cliniques. Ce malade présente une paralysie du mou- vement d'extension du pouce ; l'adducti
ainsi que la flexion (1) La réaction longitudinale n'existe pas. PARALYSIE ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 237 et que le
, s'il ne clôt pas d'emblée toute discussion sur la nature de cette paralysie , apporte, on va le voir, au débat, des éléments
u pouce gauche est le seul paralysé. C'est donc, non seulement, une paralysie isolée, du pouce, mais encore une paralysie dis
onc, non seulement, une paralysie isolée, du pouce, mais encore une paralysie dissociée, élective car elle a respecté tous les
e certitude, nous pouvons rechercher la nature et le siège de cette paralysie . Il ne s'agit sûrement pas d'une paralysie hyst
ure et le siège de cette paralysie. Il ne s'agit sûrement pas d'une paralysie hystérique. L'absence de tout stigmate et les r
ue en font foi. Nous ne som- mes certainement pas en présence d'une paralysie organique Ce n'est pas non plus, une paralysie
as en présence d'une paralysie organique Ce n'est pas non plus, une paralysie d'origine cérébrale corticale. Le tableau cliniqu
e d'origine cérébrale corticale. Le tableau clinique qu'a tracé des paralysies corticales du pouce Lemonon dans sa thèse (1),
les considérer comme normales (2). Enfin on peut affirmer que celte paralysie n'est pas due à une section nerveuse, le malade
et de la puissance de la contraction qu'elle peul paraître (1) Les paralysies corticales du pouce, Thèse de LEMONON, Lyon, 1907
forme à coup sûr bien étrange. Devons-nous plutôt considérer celte paralysie comme le résultat d'une névrite ? Il est vrai,
doute alors re- levé une DR. Une fois la dégénérescence complète la paralysie serait ap- parue d'une manière apoplectiforme e
iologie. Très difficile aussi à élucider est l'é- tiologie de cette paralysie : aucun traumatisme, aucune section nerveuse. O
thologie de Brouardel, Gilbbrt et TuoINoT ! par MARiNEsco, p. 20. PARALYSIE ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 239 pas par l
ous les jours plusieurs heures par jour et pendant 27 ans. Que la paralysie n'ait frappé qu'un seul muscle de l'économie, cel
des hôpitaux, le 4 mars 1913. 240 CLUZET ET NOVÉ-JOSSERAND de la paralysie ne fut qu'une circonstance occasionnelle ; le ter
en- nes déjà anciennes, d'OEttinger (1) et de l3oisvert (2) sur les paralysies alcooliques ne contiennent aucune observation s
on se rapprochant de la nôtre par une électivité aussi grande de la paralysie . A défaut de faits semblables, nos recherches,
ésence de cas analogues. Ho/jmann (3) a publié une observa- tion de paralysie alrophique isolée du nerf musculo-cutané, très ex
ée, fait sans précédent n. Souques et Castaigne (4) on[ observé une paralysie isolée du muscle grand denlelé. Ils signalent q
t dans le nôtre plus absolue. « Il est possible, disent-ils, que la paralysie du muscle soit incomplète, mais les excitations
surmenage est hors de doute » ; et à ce sujet ils rappellent que la paralysie des tambours, d'après les travaux de Bruns et Zen
à leur excès de fonctionnement. Au surplus, parmi les cas connus de paralysie isolée da grand denlelé, la grande majorité n'a
ières qui l'auraient entourée, expliquerait-elle, (1) Elude sur les paralysies alcooliques à type de névrites multiples. Thèse d
TINGEII, Paris, 1885. (2) Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique : paralysie d'un seul nerf. Thèse de
(2) Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique : paralysie d'un seul nerf. Thèse de BOISVFRT, Paris, 1888.
lée du muscle grand dentelé, Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1899. PARALYSIE ISOLEE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 241 au fond,
899. PARALYSIE ISOLEE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 241 au fond, ces paralysies à étiologie si imprécise et attribuées, bien à re
nt le peu de consis- tance d'une telle supposition ; tels aussi ces paralysies du pouce des jeunes tambours. Au moins, notre
bsolument surdesba- ses scientifiques l'étiologie alcoolique de ces paralysies si localisées, d'al- lure si curieuse, aura du
t par des études dirigées dans ce sens à creuser l'étiologie de ces paralysies localisées à l'extrême et dites « de surmenage»
surmenage». En terminant, insistons sur le pronostic sévère de la paralysie que nous avons observée ; la fonction parait de
ablir jamais ; le traite- ment électrique est resté sans effet ; la paralysie , aussi complète qu'au premier jour, semble défi
de voir. On a encore noté l'association de la sclérodermie avec la paralysie agi- tante [Panegrossi (10), Palmieri (11), Fra
nce de pétrole et présentant en outre des phénomènes né- vritiques ( paralysies , douleurs). Ballet et Bauer (10) ont présenté à
vitiligo chez un malade pré- sentant le signe d'Argyll,du myoss,une paralysie de la corde vocale gau- che, mais sans troubles
cher ma fille. Parole répétée. - Constitutionnel - constitusonel. Paralysie -(exact). Perplexité - perplexiqueté. Mirobol
gauche (avec écoulement de pus assez abondant) qui fut suivie d'une paralysie faciale. L'accouchement fut normal. Quinze jours
rmal. Quinze jours plus tard, elle res- sentit, du même côté que la paralysie faciale, une céphalée extrêmement vio- lente. O
nt plusieurs secondes. Le réflexe olécranien est très exagéré. La paralysie et la contracture sont beaucoup moins marquées au
Bernheim. 342 DEJERINE ET AN DRÉ-THOMAS A la face on constate une paralysie faciale gauche totale (facial supérieur et faci
loyé, à cause de la répugnance qu'éprouve la malade à s'y regarder ( paralysie faciale gauche) ; on y a suppléé par le toucher,
cinq ans et demi. La malade prononce difficilement à cause de sa paralysie faciale gauche, extrêmement accentuée et du man
'est pas émotive. La mimique est conservée, autant toutefois que la paralysie faciale gauche le permet. Paralysie faciale g
rvée, autant toutefois que la paralysie faciale gauche le permet. Paralysie faciale gauche extrêmement prononcée ; impossibil
ment des traits du côté gauche; bout du nez rejeté à droite. Pas de paralysies oculaires. La langue et le voile du palais ne s
la malade était atteinte simul- tanément d'hémiplégie droite et de paralysie faciale gauche, et que les mouvements des lèvre
SYNCINÉTIQUES DE LA FACE LIÉS AU CLIGNEMENT DES PAUPIÈRES DANS LES PARALYSIES FACIALES PÉRIPHÉRIQUES ANCIENNES, SIMULANT LES
, Agrégé de la Faculté de médecine de Bordeaux. On sait que les paralysies faciales périphériques, d'intensité moyenne, so
ki, etc., l'analyse de ces mouvements convulsifs survenant après la paralysie du nerf facial est devenue plus précise, et l'o
de la lèvre supérieure ou dans les zygoma- tiques, au moment où la paralysie faciale quittait la période de flaccidité pour
s élec- trothérapeutes qui assistent de très près à l'évolution des paralysies facia- les, et, en 1905, M. Huet (1) donnait un
nt dans le som- meil. De telles convulsions faciales succédant à la paralysie de la VIIe paire ont pu même être décrites sous
biale que signale Dejerine (1) dans la période de contracture de la paralysie faciale périphérique. La répétition monotone de c
t signalés dans tous les traités et dans beaucoup d'observations de paralysie faciale avec contrac- ture. Ces mouvements asso
cil s'abaisse en même temps. Or, chez certains malades, atteints de paralysie faciale ancienne parvenue au stade de contractu
S ET ABAD1E décrit par Babinski '(1) et étudié par Lamy (2) dans la paralysie faciale périphérique : d'après ce dernier obser
s convulsifs qui peuvent s'observer la période de contracture de la paralysie faciale périphérique. Bien que, de ces phénomènes
cliniques. Or, nous avons remarqué que, dans un certain nom- bre de paralysies faciales anciennes, d'origine périphérique, s'acc
con· sultation des maladies nerveuses, le 18 février 1905, pour une paralysie faciale ancienne. Rien n'est signaler dans se
qui l'obligeait à veiller une partie des nuits, fut atteinte d'une paralysie du côté gauche de (1) Babinski, Hémispasme faci
les Conlraclions synergiques paradoxales observées à la suite de la paralysie faciale périphérique. Nouv. Iconogr. de la Salpêt
En somme, tout le côté gauche de la face était immobile, atteint de paralysie complète : avec cela, le goût avait diminué, la m
lle ; elle eut, paraît-il, à ce moment quelque peu de fièvre. Cette paralysie faciale gauche s'améliora spontanément, mais au b
spasmodique de l'hémiface gauche qui fit progressivement place à la paralysie de ce côté : les traits se dévièrent une second
r, de faire la moue étaient absolument impos- sibles au début de la paralysie faciale. Actuellement, la malade peut silller,
èvres. La parole articulée est normale aujourd'hui ; au début de la paralysie faciale, au contraire, Pair gonflait la joue gauc
ent depuis. Les troubles du goût qui se mon- trèrent au début de la paralysie ont disparu aujourd'hui ; pas de salivation. La
iface gauche. L'explora- tion a été pratiquée depuis le début de la paralysie à plusieurs reprises. A la date du 20 février 1
rvation peut se résumer ainsi : Une femme de 38 ans est atteinte de paralysie faciale gauche périphé- rique, du type a frigor
Exami- née à ce moment, la malade présente : 1° Des reliquats de paralysie faciale gauche, se traduisant, à l'état de repo
asme facial essentiel, on trouve, dans certaines, l'existence d'une paralysie faciale périphérique antérieure il l'apparition d
t mention, à côté de l'hémispasme fa- cial, de symptômes actuels de paralysie faciale plus ou moins accentuée. N'est-on pas a
ions faciales », chez une jeune fille de quinze ans, atteinte d'une paralysie faciale survenue à l'âge de trois ans, offrant en
urvenue à l'âge de trois ans, offrant en- core les caractères d'une paralysie flasque sans aucune apparence de contracture se
ans aucune apparence de contracture secondaire. - Iluer et Lejonne, Paralysie faciale el hémialropliie linguale droites ayant
riphérique de Babinski et l'hémispasme qui succède quelquefois à la paralysie faciale périphérique. D'ailleurs, cette hypothè
é-Tnouns, Contri- bution à l'étude de l'analomie pathologique de la paralysie faciale périphérique et de l'hémispasme facial.
un seul oeil ou les deux. Dans l'état spasmodique qui succède à la paralysie faciale, les phéno- mènes ne se passent pas aut
fait isolé. Nous avons pu observer en effet une vingtaine de cas de paralysies faciales périphériques, parvenues à la phase de
de contestation. En second lieu, nous avons observé dans six cas de paralysies faciales périphériques anciennes t'existenced'u
r achever cette démonstration, il fallait chez un malade atteint de paralysie faciale ancienne, du type périphérique, parvenue
ion des maladies nerveuses, le 8 juillet 1905. Elle est atteinte de paralysie faciale ancienne et se plaint de troubles céréb
a insensiblement du côté gauche : au bout de sept à huit heures, la paralysie faciale était complète, la malade était dans l'im
tous les traits étaient déviés fortement du côté droit. Avec cette paralysie faciale apparurent bien d'autres symptômes qui al
alade fixait son re- gard un moment; il n'y eut cependant jamais de paralysies oculaires; ces troubles de la vue persistèrent
a- ractère devint impressionnable, emporté et méchant. Quant à la paralysie faciale, elle ne fut jamais traitée par l'électro
à faibles doses, de bromures et d'iodures à doses assez élevées. La paralysie resta trois mois sans la moindre amélioration,
ifeste.il y a deux mois, c'est-à-dire deux ans après le début de la paralysie faciale, les phénomènes paralytiques en étaient a
utres muscles. La paroie articulée, gênée légèrement au début de la paralysie , est normale aujourd'hui. Dans l'ouverture de
Là mastication est aujourd'hui normale : autrefois, au début de la paralysie faciale et pendant longtemps, la malade était o
e la salivation pendant trois ou quatre mois après l'apparition de sa paralysie faciale. Elle n'a pas eu de troubles de l'ouïe.
s muscles faite pour la première fois deux ans après le début de sa paralysie faciale donne les résul- tats suivants : Exci
hémiface gauche est tou- jours le même avec les mêmes reliquats de paralysie faciale. On constate de nouveau les mêmes secou
ation peul se résumer ainsi : . Une femme de 33 ans est atteinte de paralysie faciale gauche du type périphérique. Elle n'est
e. Examinée à ce moment, la malade présente : 1° Des reliquats de paralysie faciale gauche, se traduisant par une dimi- nut
assurément, de cas absolument comparables. Tous avaient trait à des paralysies faciales périphériques anciennes, avec état spa
état spasmodique quelquefois même fort léger. Quelques-unes de ces paralysies dataient de l'enfance, et certaines avaient plus
é de confirmer notre opinion. Il nous parait démontré que, dans les paralysies faciales du type péri- phérique parvenues à la
aux mouvements associés involontaires qui ont été décrits dans les paralysies faciales périphériques. Dans son travail sur l'
mas, l'aspect clinique était celui de l'hémispasme secondaire à une paralysie faciale périphérique ancienne en grande partie
vant l'apparition de ces mouvements de la face, le malade n'a eu de paralysie faciale quelconque. Examen du malade. Le malade
ou périphérique dans la sphère du facial inférieur (nombreux cas de paralysie faciale, deux cas de paraly- sie générale précé
face, il faut distinguer ceux qui apparaissent dans certains cas de paralysies faciales, du type périphérique, parvenues à la
du peaucier du cou. Elles ont été observées en particulier dans une paralysie faciale vieille de vingt ans et qui pouvait être
ia est que cette syncinésie peut se rencontrer dans certains cas de paralysie faciale d'origine centrale. ' 396 . PITRES ET A
a face, depuis longtemps décrits dans la phase de contracture de la paralysie faciale périphérique. Spasmes syn- cinétiques l
ttentionné peut être soutenue trop longtemps sans fatigue. Pas de paralysie des sphincters en dehors des périodes de crise.
urtout dans la zone du facial inférieur ; il semble qu'il y ait une paralysie faciale gauche. Cette apparence est bientôt trans
nt se contracter mais sont très paresseuses. Pas de strabisme ni de paralysies oculaires. La sensibilité dans tous ses modes e
.Or l'urémie peut s'accompagner de céphalée,de troubles visuels, de paralysies plus ou moins complètes, de Kernig (méningites ur
es catégories, des symptômes cérébraux (céphalée, troubles visuels, paralysies de la face et du membre supérieur gauches) des sy
e au lit depuis de longues années, ii n'existe aucun phé- nomène de paralysie ; la malade exécute très correctement des mouveme
e remarque s'impose tout d'abord : c'est que dans ce dernier cas la paralysie l'emporte de beaucoup sur la déformation. Ce fait
tique du pied avec lésions articulaires, mais bien de phénomènes de paralysie qui, localisés au niveau des muscles de la régi
oppement. A l'autopsie furent relevées les lésions ordinaires de la paralysie générale; à noter en outre l'existence d'une pe
radiculaire est exprimée par les douleurs extrêmement violentes, la paralysie flasque avec atrophie musculaire, la modification
une syphilis du névraxe, ou par les méningites alcooliques. Dans la paralysie générale la proportion varie de la normale jusq
ale e. delle cliniche, août. VEIIHVOGEN et DusTE.i7teso ? Mfm< paralysie de Landry avec syndrome de Froin. Mal de Poil c
par La Salle ARCfiAIIDAU1.T, 20. Long extenseur propre du pouce, paralysie isolée, Par CLUZET et NO\ ? IOSSEI;ANU, 234.
Chagas, 1. Nerveux (Système) (Contribution à l'étude du - dans la paralysie agitante), par Haskovec et HAST.\, 127. Névro
lude de la base du crâne dans la maladie de -), par LI : RI, 452. Paralysie a.qitanie (Contribution à l'étude du système ne
justice et de la bonté, par DIDE et Mlle LEC2QOE, 56. Puerpérale ( Paralysie - du nerf sciatique poplité externe du côté gau
l'aphasie de Broca, par Dejerine et André-Thomas, 331. Sciatique ( Paralysie puerpérale du nerf - z poplité externe du c"té
ci- nétiques de la face liés au clignement des paupières dans les paralysies faciales pé- riphériques O1lCiennes,simulant le
cinétiques de la face liés au clignement des paupié- res dans les paralysies faciales périphéri- que.. anciennes, ,.Í1l1alan
ci- nétiques de lu face liés un clignement des paupières dans les paralysies fa;iules, 36a André-Thomas et Déjerixe. De la
T\ 1.1.) et IIAsKovEc (Lad.) F.tu<1e du système, nerveux dans la paralysie agi- tante, 127. Itvouet. (J.) et lAHG\ROT (J
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LIX et LX. Paget (Maladie de), hase du crâne (Léri), LXV à LXX. Paralysie isolée du long extenseur propre du pouce (Cluze
43 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es forces est très nette au membre supérieur droit. Il n'y a pas de paralysie faciale. Les divers sphincters fonctionnent bie
nution de la sensibilité du même côté. La face ne présentait aucune paralysie , mais la tête était non pas déviée, mais portée l
l'auteur l'occasion de citer des observations de délires combinés : paralysie générale, alcoolisme, délire des négations, dél
deux de folie systématique (avec et sans halluci- nation'-), une de paralysie générale, une de démence secondaire. La puerpér
n, devient à peine perceptible. Il y a en outre, toujours à droite, paralysie du sphincter irien, parésie du facial, parésie de
ies font partie. (Revue neurologique, janv. 1895.) E. B. XX. Delà paralysie générale A FORME tabétique; par M. 1l' Dr JOFFIIO
et ont eu cours sur les rapports qui existent entre le tabes et la paralysie générale, car, dès f,almil, on avait déjà noté
fréquente des symptômes de l'ataxie locomotrice et de ceux de la paralysie générale. La paralysie générale, dans le cas d'as
mes de l'ataxie locomotrice et de ceux de la paralysie générale. La paralysie générale, dans le cas d'association, est la con
ssus patho- logique établi dans la moelle (Jaccoud). Le tabes et la paralysie générale sont deux affections qui s'as-ocient f
stituent en réalité qu'une maladie unique (Raymond). Le tabes et la paralysie générale sont deux affections différentes, elles
ie nerveuse (Ballet et Joffroy). Le tabès se rencontre combiné à la paralysie générale dans la proportion de 3 p. 100, c'est
0, c'est une dualité pathologique (Renaut). Le tabes associé à la paralysie générale constitue une maladie systématique affec
associations des deux affections ne sont en réalité que des cas de paralysie générale à forme tabétique. La paralysie généra
en réalité que des cas de paralysie générale à forme tabétique. La paralysie générale débute alors par des symptômes spinaux
se. Quelques années après, les signes physiques et psychiques de la paralysie générale apparaissent et s'accentuent de plus e
t. A l'autopsie : lésions macroscopiques cérébralesclassiques de la paralysie générale. A la moelle, lésions histologiques mu
r l'inculpée, états qu'accompa- gnaient des troubles visuels et une paralysie de toutes les fonctions psychiques. L'auteur te
ent fréquemment à des affections graves du cerveau et de la moelle ( paralysie générale, apoplexie, tabes, sclérose en plaques
naissance (accouchement naturel) que sa mère s'est aperçue de cette paralysie faciale du côté droit, avec atrophie des muscle
thorax. Réaction de dégénérescence dans un grand nombre de muscles. Paralysie des deux sixièmes paires. Etat général mauvais,
l'affection répond au diagnostic de pachymé- ningite cervicale avec paralysie atrophique des membres supérieurs, avec des sym
de devenir complètement impotent. A la Salpêtrière on constate : paralysie presque complète du membre inférieur gauche, lé
que sur la fibre musculaire. Dans le premier groupe on trouve la paralysie spinale infantile, l'atrophie musculaire progre
le infantile, l'atrophie musculaire progressive, les atrophies avec paralysies dues à des uévrites périphériques multiples ou
de réactions électriques anormales. A ce groupe appartiennent : la paralysie pseudo-hypertrophique et ces nombreuses variétés
ique peut être symptomatique d'autres affections protopathiques, la paralysie générale, par exem- ple..Toutes ces considérati
rmettent pas de donner toujours un pronostic favorable. C. XVIII. Paralysie bilatérale DU DELTO1DE par élongation DES deux
atin il se réveille ne pouvant plus lever les bras. Il existait une paralysie deltoïdienne double. Le sujet peut à peine es
tielle de dégénéres- cence dans les mêmes muscles. Il y a doue bien paralysie des del- toïdes. D'autres muscles sont-ils para
les sous-épineux fonctionnent normalement. La cause de cette double paralysie réside dans la distension et la, compression de
tout parce qu'il n'y a pas d'atrophie musculaire. L'hypolhèse d'une paralysie hystéro-lraumalique ne convient pas non plus, p
pêtrière, 1894, n° 6.) On désigne sous le nom de signe de Weber une paralysie croisée comprenant le moteur oculaire d'un côté
ieur ainsi que la moitié du corps du,côté opposé. La cause de cette paralysie croisée consiste en une lésion de la troisième
plégie gauche qui se localise au membre supérieur et en même temps, paralysie , de la troisième paire droite. Le traitement an
ans. Hémiphégie com- plète droite respectant le facial supérieur et paralysie de la troisième paire gauche. Embarras de la pa
e de la troisième paire gauche. Embarras de la parole comme dans la paralysie gé- nérale, la motilité de la langue est demeur
le de Villejuif pour leur mémoire sur les Rapports du tabès avec la paralysie générale. 91. B. BIBLIOGRAPHIE. I. Traité cli
olume de la seconde partie du Traité de l'hystérie est consacré aux paralysies et contractures hystériques, aux manifes- tatio
les de l'hystérie et au traitement. Dans le chapitre trai- tant des paralysies et contractures des muscles de la tête et du tron
e intéressante discussion sur l'existence longtemps contestée de la paralysie faciale hystérique qui définitivement doit être
définitivement doit être admise et qu'on peut considérer comme une paralysie faciale systématique depuis le mémoire de M. Ba
rter sa contribution à l'étude des rapports entre la syphilis et la paralysie générale. L'auteur fait observer avec raison qu
riser à ranger cette infection au premier rang des facteurs de la paralysie générale. Voici d'ailleurs un tableau assez démon
. Voici d'ailleurs un tableau assez démonstratif : TOTAL DES CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE 126 asiles d'aliénés. 87 de l'encéph
TRAITEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 117 une cause physiologique, paralysie , atrophie de tel ou tel élé- ment d'organe. La
8 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Il s'agit d'une paralysie générale traumatique consécutive à une lésion e
I. Démence; accès vertigineux; raideur musculaire et attitude de la paralysie agitante; rélropulsion. Arlério-sclérose. Mort
. Contribution A la connaissance : DE l'anatomie pathologique DE la paralysie AGIT.1NTE ET DE SES rapports avec certaines MALA-
ses, l'abondance des corps amyloïdes, que l'on trouve aussi dans la paralysie agitante. Quant à l'épaississement des vaisseaux,
illards autrement bien portants le haut degré qu'il atteint dans la paralysie agitante; chez le vieillard, on ne rencontre pa
vasculaire. Ces lésions anatomiques expliquent la contracture de la paralysie agitante. (Voy. Démange, Contracture tabétique.
u tremblement, symptôme le plus important et le plus précoce, de la paralysie agitante, il n'a pas de substratum anatamo- pat
albl., XIII, 1894.) Individu bien portant, présentant une espèce de paralysie par- tielle du facial localisée dans les muscle
YN- GIEN, DE L'ACCESSOIRE ET DE L'HYPOGLOSSE A PROPOS D'UN CAS DE paralysie BULBKIRE; par W. Adrien TUANEA et W. BULLOCH. (Br
défaut d'ar- ticulation et de déglutition; puis elle présenta de la paralysie des cordes vocales et une atrophie des inteross
so-pharyngien. - Il tire ses arguments de plusieurs observations de paralysie bul- baire et delà section expérimentale du glo
ent l'allure subaiguë. La démence d'emblée est tout à fait rare. La paralysie générale figure pour environ 3,5 p. 100 (20 p.
dans ses véritables causes. R. DE l\ ! USGRAVE CLAY. XXVII. SUR la paralysie générale A la PÉRIODE DU DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE
lemiss. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) Les cas de paralysie générale à la période de l'adolescence ou de la
, en somme, celles que l'on a coutume de rencontrer dans les cas de paralysie générale à forme lente avec excitation mentale
ées de richesse et plus tard de persécution, qui firent penser à la paralysie générale ; mais en présence des alternatives de
taques pendant son internement. Cependant, dans l'hypothèse d'une paralysie générale, on aurait pu penser que les crises ép
s pour de l'épilepsie vraie : mais tous les signes somatiques de la paralysie générale faisaient absolument défaut. L'état du
fication historique DE L'ÉTUDE DES rapports ENTRE la SYPHILIS ET la PARALYSIE générale progressive ; par le professeur P. KOV
Tous les auleurs qui donnent un aperçu historique de l'étude de la paralysie générale aff1l'men l Il Il' ESl1lal'ch elE-seu fu
miers à attirer l'attention sur les rapports de la syphilis avec la paralysie et à avancer que la syphilis est une des graves c
alysie et à avancer que la syphilis est une des graves causes de la paralysie . Ce dernier fait est juste, mais les recherches d
ue, mars 1895.) E.B. XXXIII. SYMPTÔMES oculaires précoces dans la paralysie générale; par le Dr Jameson HEPBURN. D'après
, alors que leur diminution se rencontre dans la plupart des cas de paralysie générale. Lorsqu'il y a tendance à l'excitation
guérison au bout de six mois. Le second cas ressemble assez à de la paralysie générale au début chez une femme prédisposée pa
qu'il lui fut impossible de se tenir debout; elle se mit au lit; la paralysie s'accentua rapidement; le 28, rétention d'urine
rétention d'urine. Le 3 février, voici ce que M. Dutil a constaté : paralysie à peu près complète des membres inférieurs. La
plissent qu'avec un effort énergique de la part de la malade. La paralysie est flasque; pas de trace de raideur; les réflexe
la Salpêtrière. Le 20 février, elle était dans l'état suivant : La paralysie est absolue. Le réflexe rotu- lien du côté gauc
embres inférieurs et dans la partie inférieure du tronc, de plus la paralysie subite des membres inférieurs nous indiquent qu
daires de la maladie, tremblements, contractures et convulsions, paralysies , troubles respiratoires, digestifs, oculaires, et
decine légale ? M. Trenel (de Vannes) communique une observation de paralysie généraleavec maladie de Basedow et tabes combin
re exophtalmique semble lié au tabes qui paraît lui-même comme la paralysie générale être d'origine spécifique. . Archives,
observations d'accès de vagabondage chez des individus atteints de paralysie générale ; mais les caractères d'incohérence qui
du professeur JOLLY. Professeur BINSWANGER. La. délimitation de la paralysie générale. Cette question, des plus difficiles à
ogiques ou cliniques; qui permettent d'affirmer l'exis- tence de la paralysie générale ? Parmi les signes anatomiques microsc
s récents; en outre, elles peuvent être rencontrées en dehors de la paralysie générale. De même pour l'atrophie de l'écorce q
résumé, aucun de ces signes ne peut, à lui seul, faire affirmer la paralysie générale; l'absence d'une quelconque de ces lés
n de ces diverses altéra- tions permet d'admettre l'existence de la paralysie générale. Il en est de même pour les lésions mi
mes cliniques, aucun n'est pathognomonique. Il faut séparer de la paralysie générale typique deux formes qui s'en distingue
uteur admet, avec M. Binswanger, qu'il y a lieu de distinguer de la paralysie générale une dégénération du cerveau d'origine
M. TuczEK. - La difficulté est de trouver une délimitation de la paralysie générale au point de vue clinique. Parmi les form
t de vue clinique. Parmi les formes qui doivent être séparées de la paralysie progressive par le manque de rapport entre l'in
des fibres à myéline, qui se rencontre même dans les cas récents de paralysie générale. On l'a signalée également dans les ps
niles, les intoxications, les arrêts du développement. Mais dans la paralysie générale la disparition des fibres à myéline préd
itié des cas. On ne peut pas dire que les lésions vasculaires de la paralysie générale ne sont pas des lésions syphilitiques.
seule, avoir grande importance. Parmi les formes qui simulent la paralysie générale, il a observé un cas de folie alcoolique
tômes provoqués par une lésion en foyer de ceux qui relèvent de la paralysie générale. Les difficultés deviennent considérable
le premier en Allemagne à défendre l'origine syphilitique de la ^ paralysie générale, thèse actuellement admise par la plupar
générale, thèse actuellement admise par la plupart des médecins. La paralysie générale n'est pas pour cela une affection syph
ne immobilité .des pupilles, sans qu'il soit atteint de tabès ou de paralysie générale. ' M. Alzheimer. L'atrophie nrtério-
nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette forme doit être séparée de la paralysie générale. La maladie, due 'à des lésions athéro
umeur, l'euphorie peuvent faire confondre cette affec- tion avec la paralysie générale. L'encéphalite progressive sous- corti
aut rapprocher cette forme de la démence sénile et l'éloigner de la paralysie générale. Mais la démence sénile est une affect
la fuite des idées, des modifications de l'humeur, des symptômes de paralysie psychique ou motrice. La catalepsie, l'extase,
EUSE. ÉTUDE SUR LA \fÉNI\GO-11YL,LITE DIFFUSE DANS LE TABES, . LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET LA SYPHILIS SPINALE ; Par le Dur NA
us exactement, peut-être, les rapports qui unissent le tabes à la paralysie générale et même aux affections syphilitiques loc
ue névrite trans- verse pour le tabes, -méningo-encéphalite pour la paralysie générale, méningo-myélite plus ou moins circons
s cas absolument classiques; d'ailleurs tous les cas de tabes et de paralysie générale, isolés ou unis, qui ont passé sous no
ièrement de ce qui a trait à la moelle épinière. Observation I. - Paralysie générale, symptômes tabétiformes, mé- ningo-myé
troubles somaliques et intellectuels permettent de diagnostiquer la paralysie générale ; les symptômes médullaires par contre
ires sont relativement moins atteints que dans beau- coup de cas de paralysie cérébrale. Les fibres à myéline sont relativeme
éphalite vasculaire diffuse, qui est le substratum anatomique de la paralysie générale, et l'absence de lésions des cordons p
de l'écorce cérébrale , décrite par M. Magnan dans quelques cas de paralysie générale, bien que sa nature soit totalement di
ion a débuté, pour envahir ultérieu- rement le cerveau et causer la paralysie générale. Cette lacune s'explique sans doute pa
soit d'ailleurs l'intimité des liens qui unis- sent le tabes et la paralysie générale. Quant à la cause de l'abolition des r
qui l'obligea à faire un séjour à l'hôpital, deux ans plus tard des paralysies ocu- laires, de l'impuissance génitale; enfin e
es égales, rétrécies, signe d'Ar=yll-Roberlson. Ily aen outre de la paralysie des troisième et sixième paires et une exoph- t
ales et présentent le signe d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralysie oculaire. L'état mental et le caractère ne para
e cas la répétition exacte du précédent. . Observation IV. Tabès; paralysie générale; méningo-myélite diffuse; plaque de my
utopsie montre des lésions très avancées de tabes et des lésions de paralysie générale à peine visibles à l'oeil nu, mais parfa
cellules rondes. D'ailleurs, ce n'est pas là une exception dans la paralysie générale ; les descriptions des auteurs montren
que la méningo- myélite est plutôt la règle et dans tous les cas de paralysie générale. pure z cas) ou compliquée de tabes (6
aissée l'étude de neuf cas de tabes, dont trois non compliqués de paralysie , est que cette lésion est constante, à des degrés
u'en avant; nous avons toujours trouvé, dans le tabes comme dans la paralysie générale, une réparti- tion à peu près égale àt
tes au premier abord, et qui pour- tant sont unies au tabes et à la paralysie générale par des liens étiologiques étroits; no
ec celles qui, dans le cerveau, sont le substratum anatomique de la paralysie générale; notre maître a traité ce point avec u
, de tous les faits que nous venons de passer en revue, que dans la paralysie géné- rale, le tabes et les myélites syphilitiq
ours relativement peu intense, quel que fut l'âge du tabes ou de la paralysie générale ; nous croyons pouvoir en conclure qu'
is c'est un fait dont les lé-' sions vasculaires du cerveau dans la paralysie générale dé- montrent largement la réalité ; il
dire que notre démonstration se fonde uniquement sur des cas où la paralysie générale avait précédé le tabes. Il ne faut d'a
et veineuses que nous avons toujours rencontré dans le tabes et la paralysie générale. Dans un cas de méningite tuberculeuse
de lui donner naissance peuvent en même temps produire le tabes, la paralysie générale et, peut-être, des lé- sions circonscr
très possible que certains symptômes médullaires du tabes et de la paralysie générale relèvent exclusivement de cette lésion
rstitielle transverse. CONCLUSIONS. -I. Il existe dans le tabes, la paralysie géné- rale et les myélites syphilitiques, un pr
léaires électifs. II. Les lésions de l'écorce cérébrale cause de la paralysie générale, celles des nerfs radiculaires - cause
e compression céré- brale : coma complet, pouls lent, phénomènes de paralysie et d'excitation unilatéraux, parésie du facial,
cardinaux de la névrite se ren- contrent chez la malade : douleur, paralysie , atrophie musculaire, troubles trophiques. La p
de la température. Affai- blissement intellectuel. En décembre 1891 paralysie flasque, y compris les membres du côté gauche.
e obtenue par le cathétérisme contient un peu d'albumine. A droite, paralysie mo- trice, sensibilité conservée. Mort au bout
lpébrale. La pupille droite est contractée et ne réagit pas. Pas de paralysie de la face. On diagnostique une lésion du sympa-
uccédé à l'intervention chirurgicale. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVII. Paralysie bilatérale du NERF facial; par le Dr 1<foNaoos
céda à un traitement général accompagné d'un traitement local de la paralysie . Le second cas a trait à une paralysie bilatéra
'un traitement local de la paralysie. Le second cas a trait à une paralysie bilatérale complète du facial à forme douloureu
ogist, janvier 1895.) E. B. XXVIII. SUR UNE variété particulière DE paralysie alterne; par le professeur RAYMOND. Parmi les
erne; par le professeur RAYMOND. Parmi les nombreuses variétés de paralysies alternes, il en est deux qui ont jusqu'ici atti
r, est caractérisée par une hémiplégie commune, coexistant avec une paralysie de la troisième paire, du côté opposé, c'est-à-
. M. le professeur Raymond montre un exemple d'une variété rare de paralysie alterne : il s'agit d'un cas d'hémiplégie droite,
terne : il s'agit d'un cas d'hémiplégie droite, coexistant avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. - Pour qu'un
on unilatérale produise une hémiplégie vulgaire, coexistant avec la paralysie de l'abducens du côté opposé,' elle doit répond
neumonie du côté gauche. Mort six jours après le commencement de la paralysie du côté gauche. ' L'abcès était complètement
certains cas de lésions éten- dues du cerveau, par exemple dans la paralysie générale ; c. chorée congénitale et athétose do
ion des diverses hypothèses, l'auteur estime qu'il s'agit ici de la paralysie spasmodique de Erb, c'est-à-dire du tabes dorsa
gauche et le tronc. Des phénomènes bulbaires et probable- ment une paralysie du diaphragme terminèrent la scène. L'exa- men
driaque, ou de négation, ils n'ont pas eu de troubles moteurs de la paralysie générale. - La première malade contracte la syp
es hebdomadaires ou journalières réclamées par M. Gi- raud. De la paralysie vaso-motrice dans ses rapports avec l'état affect
mence juvénile » nous semble assez indiqué. On pourrait songer à la paralysie générale juvénile, mais bien des symptômes impo
inq nous nous demandons, si dans l'espace de onze ans une véritable paralysie générale ne se serait pas déjà manifestée par d
t IscovEsco (de Paris). Sur le signe du cubital (analgésie) dans la paralysie générale. Décrit par Biernacki, dans le tabes,
cas d'accidents hystéri- 340 « SOCIÉTÉS SAVANTES. : formes dans la paralysie générale ». C'est un cas assez rare d'asso- cia
paralysie générale ». C'est un cas assez rare d'asso- ciation de la paralysie générale et de l'hystérie. Cette observation '
question. M. Régis réclame la priorité; il a indiqué l'arrêt de la paralysie générale par l'hystérie. M. Piéchaud (de Bordea
estait pas moins solide. Le danger devait venir d'ailleurs' : de là paralysie pseudo-hypertrophique dont les formes ont été s
, soit qu'elle marche avec plus de rapi- bibliographie. 34b dite ( paralysie générale spinale antérieure subaiguë de Duchenne)
lyomyélite antérieure : dans la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie infantile, la syringomyélie. Les coupes colorée
ystérie tardive (hystérie débutant chez le vieillard). HALl PRÉ. La paralysie pseudo-bulbaire d'origine cérébrale. LEBL.is. De
hypodermiques de Om ? 25. Aux doses de 0mm,7 on obtient déjà de la paralysie motrice des deux jambes, de l'affaissement des mu
ncore venu de classer le trépan parmi les modes de traitement de la paralysie générale. Quant au grattage des circonvolutions
les paralytiques, n'est à conseiller ni dans la vésanie, ni dans la paralysie générale comme calmant diurne. En effet, si son
ogique. (An- nales médico-psychologiques, mai 189b.) E. B. X. LES paralysies faciales OTITIQUES : UN cas traité par résection
Drs A. CHIPAULT et DALEINE. La lésion otitique provocatrice d'une paralysie faciale, peut agir sur le nerf en des points le
son trajet pétreux et déter- miner diverses variétés anatomiques de paralysie faciale otitique qui sont parfois possibles à d
oit par l'examen de l'otite causale. La recherche de la cause de la paralysie permet d'établir parmi les formes de la paralys
la cause de la paralysie permet d'établir parmi les formes de la paralysie faciale une véritable échelle de gravité ascendan
du nerf avec le pus. Le pronostic spontané des diverses variétés de paralysie otitique, peut être notablement amélioré par un
hez un malade atteint de nécrose labyrinthique et mastoïdienne avec paralysie faciale complète. Le nerf ne fut nul- lement. l
au cours de l'intervention, que suivit une diminution marquée de la paralysie . A propos de la relation de ce cas, MM. Chi- pa
, XIII, 2, 3.) Décrite pour la première fois par Duchenne, 18GO, la paralysie , labio-glosso-laryngée fut étudiée analomiqueme
ant : des individus de vingt à quarante ans sont pris subitement de paralysie dans le domaine des nerfs craniens ou de grandes
n certain exercice musculaire, arriver à cons- tituer de véritables paralysies généralement passagères. Dans un certain nombre
nt rapide et progressif des symptômes, le caractère particulier des paralysies , la faiblesse des extrémités, la variation fréq
une faiblesse particulière des membres. Le cachet particulier, des paralysies si bien décrit par Goldflam se retrouvait surto
ication de ce genre. P. K. XXXI. LE COMPLEXUS symptomatique DE la paralysie spinale spasmodique COMME ÉPIPHÉNOMÈNE D'UNE LÉ
le semblable à celle des observations de Minkowsky ou de Strumpell ( paralysie spinale spasmodique ou forme spasmodique de la
XXXVI. LÉSIONS MAL DÉFINIES DE LA COLONNE VERTÉBRALE, SUIVIES DE PARALYSIE DE LONGUE DURÉE; AMÉLIORATION PAR LA SUSPENSION E
antes, dégénérées, présentaient une réduction considérable. Dans la paralysie générale, l'étude des lésions des cordons posté-
toujours une perte définitive des réflexes profonds des jambes avec paralysie flasque, et quelquefois atrophie peu marquée de
e travail. " " P. S. XXXIX. SUR l'augmentation de fréquence de la paralysie générale, SES RAPPORTS AVEC LES FACTEURS SOCIOL
nd Neurologie, 1895, XIII, 2, 3.) L'augmentation de fréquence de la paralysie générale, quoique indiscutable d'après l'opinio
on dans la région de l'asile, soit sur l'augmentation du nombre des paralysies générales, par rapport aux sujets atteints d'au
ne statistique d'Allhaus, de Londres, de 1838 à 1850, le nombre des paralysies générales dans les asiles d'aliénés anglais s'é
'après Mendel, on pouvait, en 1870, évaluer ainsi la proportion des paralysies générales dans les asiles d'aliénés. REVUE DE P
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . En 1860 le rapport entre le nombre des paralysies générales hommes et femmes était dans les asile
importantes. Moreau, en 1850, constatait déjà la progression de la paralysie générale et en rendait coupable le progrès de l
la femme de la société actuelleaperdu son immunité relative pour la paralysie générale. Le même fait explique la différence de
tivité de l'homme. Il faut aussi tenir compte au point de vue de la paralysie géné- rale de l'influence de la civilisalion eu
ées d'Arabes de 1860 à 1890 il n'y eut jusqu'en 1877 au- cun cas de paralysie générale. De 1877, sur 253 admissions il y eut
s européens. Ils présentaient presque tous la forme classique de la paralysie générale, la forme maniaque. L'origine urbaine
nces agricoles du Schlewig-Holstein et de Hanovre la proportion des paralysies générales était de 4,56 p. 100 alors que dans l
proportion de 75 p. 100 pour la syphilis. Comme l'apparition de la paralysie générale, dans la majorité des cas, a lieu cinq
nte ans, on s'explique facilement l'époque ordinaire du début de la paralysie générale. La syphilis, en règle générale, étant
ge contribuera à sa progression et, en consé- quence, à celle de la paralysie générale. Dans sa statistique,OEbecke trouve ch
ies par les prêtres catholiques sont assez intéressantes. Sur 2,000 paralysies générales observées par Iirafit-);bin, il n'y e
que alors que de nombreuses recherches sur la proportion des cas de paralysie générale chez les officiers par rapport aux aut
é. Il donne naissance à un tableau qui rappelle souvent celui de la paralysie générale dont elle est quelquefois plutôt le si
TUDES statistiques ET CLINIQUES POUR SERVIR A la connaissance DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ LA FEMME; par R. \VOLLEBEnG. (Arc
oyen de trente-six à quarante ans. Evolution analogue à celle de la paralysie générale chez l'homme; la démence cepen- dant d
été relevée chez 51 p. 100 des malades. L'hérédité semble rendre la paralysie générale plus précoce, 50 p. 100 avaient de l'i
cutanés, cette der- nière étant elle-même sous la dépendance de la paralysie des vaso- moteurs. L'alcool n'est donc ni un al
Tuczek sur l'atrophie des fibres à myéline intra-corticales dans la paralysie générale (1884), cette lésion a été constatée c
roniques évoluant vers la démence, il reste, comme caractérisant la paralysie générale, l'existence cons- tante de la lésion
jamais rencontré l'atrophie des fibres de l'écorce en dehors de la paralysie générale, sinon dans les intoxications, les arr
ant la fréquence des symptômes spasmodiques et contractures dans la paralysie générale, l'auteur les rapproche des tremblemen
ts choréoïdes et des acci- dents analogues qu'on rencontre dans les paralysies spinales spas- modiques, les scléroses et la sy
que amène ainsi l'auteur à conclure à la combinaison possible de la paralysie générale avec ces affections spinales diverses
mment de sa combinaison avec les phénomènes de la névrite multiple ( paralysies , amyotrophies, troubles de la sensibilité), pré
les cérébraux se montrent les symptômes de la névrite multiple. a). Paralysie amyotrophique des membres inférieurs, plus ou m
membres supérieurs. Dans les cas très graves peuvent s'ajouter des paralysies des muscles du tronc, du diaphragme, des muscle
oculomoteurs, des troubles de la miction, de la tachycardie, de la paralysie du coeur. L'évolution de la paralysie est variabl
ion, de la tachycardie, de la paralysie du coeur. L'évolution de la paralysie est variable, tantôt lente, chronique; tantôt g
ité, désordres de la mémoire, agitation, délire; l'apparition d'une paralysie 4G'l- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. amyotrophi
puis se développa brus- quement une polynévrite très accentuée avec paralysie complète des muscles des membres, du tronc et d
ire, exogène par consé- quent, du tabes qui complique si souvent la paralysie généralepro- gressive. Dans une moelle de paral
paralytique, faisant ainsi faire un pas de plus à cette idée que la paralysie générale n'est qu'une maladie d'origine infectieu
nne vertébrale, l'allaiblissement progressif des membres jusqu'à la paralysie , l'hypotrophie générale, l'émission de cris inc
e leurs défectuosités psy- chiques, tandis qu'au contraire, dans la paralysie générale, la perte de la conscience de l'état m
rs après la naissance. Au onzième jour, attaque apoplectiforme avec paralysie du côté droit. Les convulsions continuent ensui
aires d'un sujet atteint de démence sénite. M. NEISSER (de Leubus). Paralysie progressive avec atrophie muscu- laire, spinale
ieurs. Dans ce cas, contrairement aux faits connus actuellement, la paralysie progressive a précédé l'apparition de J'atrophi
le, impossibilité de se tenir debout; puis sociétés savantes. 481 paralysie du moteur oculaire externe droit, ptosis bilatéra
inéga- lité pnpillaire (pupille droite plus large), léger degré de paralysie du facial droit. Au point de vue psychique : ét
quels il a abouti lui- même, l'auteur fait remarquer que les cas de paralysie générale qui lui ont servi étaient des cas anci
t-elle pas une signification importante dans le diagnostic de la paralysie générale, bien que ce signe ne se rencontre chez
r cent aliénés non paralytiques. Associé aux autres symptômes de la paralysie progressive, le signe du cubital aura donc une
linique, des recherches sur le signe de Biernacki dans le tabes, la paralysie générale et diverses névroses. L'importance de
dans une thèse. Il convient de signaler ici un autre symptôme de la paralysie SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 générale au début : l'
se plaint de céphalée, de vertiges, de crampes dans les extrémités. Paralysie survenue brus- quement des deux moteurs oculair
de préparations). Un paralytique général tabétique pré- sentait une paralysie du moteur oculaire commnn droit coïnci- dant av
Labyrintiiique . Le nerf -, par Bounier, 151. L.1\f\ECTOIIE pour paralysie congé- nitale, par Chipault, 375. LAUDHY : Ma
y, 321. MÉNING011YÉLlTG. Etude sur la z diffuse dans le tabes, la paralysie générale et la syphilis spinale par Nageotte,
kewicz, 45. Pachyméningite cervicale syphilitique par Lamy, G3. Paralysie AGITA : 1TE et ses rapports avec certaines mala
vec certaines maladies nerveuses de vieillesse par liedlich, 139. Paralysie générale. Statistiques sur les anomalies somati
, par Hepburn, 164. Délimita- tion de la -, par Binswanger, 258. Paralysie vaso-motrlce dans ' ses rapports avec l'état af
Signe du cubital dans la , par lloedeker et Fal- kenberg, 189. PARALYSIE bilatérale du deltoïde par élongation des deux
, 479. Syndrome de Weber, par Souques et Londe, 77. Syphilis et paralysie générale, par Kovalewsky, 163. Syphilitiques.
44 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
oint de vue avec quelque soin, n'ont présenté dans les membres de paralysie , ni surtout de paralysie localisée. Tous mar- c
e soin, n'ont présenté dans les membres de paralysie, ni surtout de paralysie localisée. Tous mar- chaient et sautaient, rési
maux un certain degré de parésie, il ne s'est produit chez aucun de paralysie véritable. Et cependant les nerfs périphériqu
rent dans le membre supérieur correspondant sans s'accompagner de paralysie motrice véritable , et on ne tarda pas à consta
1 ' ' M. Pierret a soutenu que l'incoordination était le fait de paralysies limitées à certains muscles. Nous ne les' avons
chement d'un muscle par atonie ne doit pas être con- fondu avec sa paralysie , ni même avec sa parésie. Sous l'influence d'un
e si confus des paraplégies. Ce clinicien éminent distin- gua des paralysies une affection dans laquelle la force musculaire
le qui revient à l'alcoolisme dans l'étiologie de certains cas de paralysie générale, suivons les changements pro- duits ch
fait naître un délire alcoolique qui, masquant les symptômes de la paralysie générale, rend impossible toute appréciation ex
t suiv. Genève, 1878. DÉLIRES MULTIPLES. 53 mènes moteurs de la paralysie , et, dans les cas aigus, lorsque des frémisseme
s de telles conditions, le malade est à la pre- mière période de la paralysie générale, il ne se pré- sente pas sous les deho
nution des accidents alcooliques et appari- tion des symptômes de « paralysie générale » ; c'est-à- dire qu'aux premiers jour
nus, il devient facile de reconstituer la période prodromique de la paralysie générale ainsi traversée par un accès de délire
, matité aux deux sommets en arrière, quelques petits râles, pas de paralysie . 1879. 13 janvier. - Quatre accès dans l'après-
en dehors. Les jointures sont rigides à des degrés variables. - La paralysie n'est pas absolue, car l'enfant parvient à port
nes, tels que l'aimant, on pouvait obtenir la guérison de certaines paralysies motrices. Les deux observations suivantes vienn
tirée du côté gauche, ce qui, de prime abord, semble indiquer une paralysie droite, et par conséquent, une paralysie alterne
abord, semble indiquer une paralysie droite, et par conséquent, une paralysie alterne ; mais il n'en est rien, car les mouvem
s 19, 20 et 21 mars, peu de change- ments dans l'état du malade. La paralysie motrice a peu dimi- nué ; le malade distingue u
ous savons du reste par l'analyse de faits semblables que, dans les paralysies motrices liées aux anesthésies, la paralysie mo
blables que, dans les paralysies motrices liées aux anesthésies, la paralysie motrice est à son maximum dans les premiers jou
ée; la malade voit et entend ce qui se passe autour d'elle, mais la paralysie faciale rend ses réponses à peu près inintellig
e la main paralysée. La sensibilité n'a pas reparu. 31 mars. - La paralysie semble céder un peu. - La malade peut soulever
sin (France méd. nos 89, 90. 4 878) ; du même auteur : Traité de la paralysie générale des aliénés. 1879; et, Bull. Acad. de
te, par ordre décroissant, la lypémanie avec agitation (36°,81), la paralysie progressive (36°,63), la démence avec agi- tati
la lypémanie simple et dans la démence simple, tandis que, dans la paralysie progressive et dans la lypémanie avec agitation
avons des exemples dans la pathologie nerveuse. Ne voit-on pas la paralysie des muscles de l'omoplate contrarier un mouve-
points, car, dans les observations, on ne note pas en détail chaque paralysie musculaire isolément. L'argument nous paraît as
est évident que le plus souvent on indique dans les observations la paralysie de la face ou celle des membres, mais qu'on ne
de la face ou celle des membres, mais qu'on ne recherche guère une paralysie du grand dorsal chez un hémiplégique, ou bien c
des membres, M. Vallin, rappelait une observation dans laquelle une paralysie du trapèze obser- vée chez un soldat avait succ
ations pos- sibles des élévations thermiques du cuir chevelu et des paralysies vaso- motrices des régions céphalique, ainsi qu
curieux de déviation conjuguée des yeux, cas dans lequel il y avait paralysie du droit externe de l'oeil droit, en même temps
uis, M. Graux * ayant choisi pour sujet de thèse inaugurale 1 De la paralysie du moteur oculaire externe avec déviation; thèse
e, qui se font du même côté que la lésion ; 2° Les déviations par paralysie , qui se font du côté opposé à la lésion. L. LAN
rve dans les affections de la corde du tympan chez l'homme. Si la paralysie du facial au-dessus de l'origine de la corde RE
qualités nor- males du côté respecté, tandis que de l'autre côté la paralysie est complète. Quant à la sensibilité, elle es
ne rapidité telle que, dès la troisième ou la quatrième semaine, la paralysie n'est plus guère reconnaissable, sauf dans les
es motrices sont inégalement réparties dans ces cordons, puisque la paralysie est presque unilatérale le jour même de l'hémis
on à gauche au-dessus de la première, et, à partir de ce moment, la paralysie et l'anesthésie sont complètes et définitives d
E. le 17 janvier 1880, dans un état de délire et d'hébétude, avec paralysie du côté gauche. Un mois auparavant, cet homme a
eure, complètement aphasique et paralysé' de tout le côté droit. La paralysie ne dura que quelques heures, mais l'aphasie per
février 1880, p. 275.) Un homme de 38 ans eut, en février 4877, une paralysie du tri- jumeau et du facial du côté droit ; cet
77, une paralysie du tri- jumeau et du facial du côté droit ; cette paralysie avait été précé- dée d'une violente céphalée et
tte paralysie avait été précé- dée d'une violente céphalée et d'une paralysie du moteur oculaire commun droit. En mars 1879,
u moteur oculaire commun droit. En mars 1879, hémiplégie gauche; la paralysie des nerfs crâniens persistant, cette hémiplégie
crâniens persistant, cette hémiplégie guérit. En somme, cé- phalée, paralysie du moteur commun, paralysie du trijumeau et du
émiplégie guérit. En somme, cé- phalée, paralysie du moteur commun, paralysie du trijumeau et du facial droits, hémiplégie ga
ilatées, surtout la droite, très paresseuses à la lumière. - Légère paralysie faciale à gauche ; un peu de monoplégie brachia
iers jours, la malade resta au lit, paraissant comprendre, avec une paralysie faciale très marquée. La température oscilla, d
) 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. III. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN HALLUCINÉ MORT DE CONGESTION C
doute sur l'exactitude parfaite des résultats de l'opération. VI. Paralysie générale ET manie SURAIGUE ; par M. DOUTREBENTE
e sujet de cette observation a été atteint en 1878 d'une attaque de paralysie générale très nette ; sorti en état de rémissio
e. (Ami. méd. psych., mars 1880.) VII. Faits DE rémission dans la paralysie générale A la . suite DE suppurations prolongée
Il. d'O. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 155 II. SUR LE TRAITEMENT DE LA PARALYSIE DANS LE PREMIER AGE; par H. G. DAvis. (Boston m
manière et dans le même ordre qui leur avait été enseigné avant la paralysie . Chez les enfants, la paralysie survient à un â
leur avait été enseigné avant la paralysie. Chez les enfants, la paralysie survient à un âge où n'existe encore aucune habi-
chaque cas ; l'âge du malade, le temps écoulé depuis le début de la paralysie , l'aptitude de l'enfant à suivre les instructio
teur a une telle confiance dans le succès de son traite- ment « des paralysies fonctionnelles par l'éducation de la volonté »,
pas avoir tort; le point délicat est de savoir ce qu'il entend par paralysie fonctionnelle ; car il rapporte un cas de guéri
n cas de guérison obtenue par sa méthode, chez un enfant atteint de paralysie du deltoïde avec atrophie muscu- laire complète
aralysie du deltoïde avec atrophie muscu- laire complète; or, cette paralysie atrophique du deltoïde chez l'enfant, n'est pas
le; c'est, on le sait, une des localisations caractéristiques de la paralysie infantile, dont la lésion anatomique n'est plus
. Paris, 1880. V° Adrien Delahaye et Lecrosnier éditeurs. IV. Des paralysies dans les maladies aiguës ; par le Dr L. LANDOUZY.
alite. M. Chauvet ne croit pas la syphilis capable de pro- duire la paralysie générale, mais il admet que des symptômes analo
on, devoir restreindre son sujet à ce qu'on appelait autrefois, les paralysies essentielles ; encore a-t-il dû se limiter aux
lles ; encore a-t-il dû se limiter aux akinésies, à l'exclusion des paralysies de la sensibilité et des nerfs vasculaires. En
reste répondre au titre même de la thèse que de décrire toutes les paralysies motrices survenant à titre d'épiphénomène au co
able. Un des premiers chapitres est consacré, et pour cause, à la paralysie diphthérique dont les allures particulières, l'an
thérie. Dans les chapitres suivants, M. Landouzy passe en revue les paralysies liées aux affections typhoïdes, intestinales (
moires de cet auteur. C'est ainsi que M. Landouzy prend à partie la paralysie angineuse vulgaire, et qu'il la fait rentrer da
e la paralysie angineuse vulgaire, et qu'il la fait rentrer dans la paralysie diphthérique quand elle est grave, et la nie pr
et la nie presque quand l'angine est légère. Cette négation de la paralysie angineuse ne sera peut-être pas admise sans dis-
s frustes d'angine diphthérique : elles s'accompagneraient alors de paralysie : ce serait en quelque sorte la signature de ce
t pendant depuis longtemps, il semble bien démontré que souvent ces paralysies réflexes étaient l'expression d'une myélite don
partie de la thèse de M. Landouzy est consacrée à la pathogénie des paralysies étudiées dans la première partie et à des consi
itement de ces complications des maladies aiguës. Sauf le cas de la paralysie diphthérique, il n'existe guère de don- nées an
nées anatomiques suffisantes pour décider de la pathogénie de ces paralysies . Il est permis de dire qu'elles ne sont pas essen
s qui permettront dé- sormais de reprendre en détail chacune de ces paralysies en ayant un point de départ dans le remarquable
alyse que nous allons faire du tremblement sénile et de celui de la paralysie agitante montrera encore mieux le rôle indispen
dire de celui qui se produit lorsque,, la contracture existant, une paralysie incomplète'' permet encore à ces malades un cer
actions réflexes du triceps, et vice versa. il , l .i ` i Dans la paralysie agitante, la contracture est un des phénomènes
du pouce. L'observation suivante, prise sur un véritable type de paralysie agitante, indique bien l'état des divers groupe
uis. Le malade présente tous les symptômes caractéristiques de la paralysie agitante ; immobilité de la face, roideur du tron
tracés. Tous ceux que nous avons pris chez les sujets atteints, de paralysie agitante ne sont en quelque sorte , que la repr
de la même inter- prétation. En dehors de ces types classiques de paralysie agi- tante, il existe quelquefois des cas dans
rvation I ? «<iS' s "'\ )ú.I1111V ij^Tf^'i ex "If Convulsions; paralysie infantile. Vertiges. Epilepsie. l3rîcluré etecà
nvulsions pendant plus de 12 heures; figure décomposée; à la suite, paralysie de la jambe droite';le bràs du même côté aurait
emble 'symptomatique 1 indique qu'il s'agissait là sans doute d'une paralysie , infantile. De 2 à 10 ans, traite- ! ment par l'é
"'1 , , Les premiers accidents ressemblent beaucoup à ceux de, la paralysie infantile ;, malheureusement l'examen de la moe
,, de migraines, ni d'attaques,de nerfs. [Père, mort à 85 ans, sans paralysie . - ftlète, morte après quatre jours de maladie
ite, M... se tient assis sur son lit et ne présente aucune trace de paralysie ni de contrac- ture. L'appétit est perdu; la la
^ étaient indemnes, ce qui explique parfaitement- lîab.- sence de paralysie , relevée durant' 'la vie.'11 111nt`I" il,q 5 ^
rouble des cellules nerveuses, décrit par M. Mier- zejewsky dans la paralysie générale des aliénés, a été reconnu par nous su
ppellent tout à fait celles que M. jMierzejewsky a décrites dans la paralysie générale des aliénés. La connaissance des faits
I n Il ? il1 ." f,1 fil, zejewsky a décrit le développement dans la paralysie J .J/. < .... ? ? ,"i i, i . |ii ? i 11 ? Jn
? ,. 1 1." "J.. r enéra e ' nôûs "'avns pas 'un ' sule'f'o'ls rè- paralysie générale, nous n'avons pas une seule fois re- D
celles que l'on rencontre dans DE LAT DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 255 la paralysie générale progressive. Elles en diffèrent cepen-
diési avec'tant de-^soin; d'un" autres côté, si tandis que, dans la paralysie générale' classique ylardésion .atteint.surtout
leptique , ne sontmcornparables'f que ? de loin aux symptômes de la paralysie ! . générale. Ce m'est qu'à ,la dernière, pério
s- treint d'ailleurs, qui, outre l'épilepsie, sont atteints de la paralysie générale ordinaire ; en pareil cas, la 'paralys
mmédiate sur l'anesthé- sie des hystériques nilmème sur' certaines, paralysies du mou- vement, et encore moins de vérifier l'a
qu'elle ne s'accompagne pas de contracture musculaire. VIII. DE LA PARALYSIE RÉFLEXE ET DE LA NÉVRITE MIGRATRICE; par TREUB.
expériences invoquées par Lewisson et Nothnagel pour expliquer les paralysies dites ré- flexes : jamais Treub n'a vu une exci
fût, être suivie d'une abolition du pouvoir excito-moteur ou d'une paralysie motrice complète d'un membre. - REVUE DE PHYS
u que, dans ces cas, alors qu'une lésion expérimentale engendre une paralysie à distance, la lésion pa- ralysigène se propage
ntres nerveux, d'une façon centripète. Dans ce cas, il s'agit d'une paralysie névritique, symptomatique de névrite. Sur six l
scères abdominaux; 2° Altération due à l'hémorrhagie consécutive et paralysie du centre altéré qui n'est plus excitable, indi
en- tral du nerf dépresseur du même côté). C. Après excitation et paralysie consécutive de l'un des deux centres vaso-dilat
t de la multiplication des chiffres inférieurs. Ch. FcRi : . SUR la paralysie saturnine ; par le Dr ALFRED Kast, médecin assi
d'action. Dans les expériences de Mason, il n'y aurait donc pas de paralysie saturnine, mais un simple trouble inflammatoire
et mécanique (par le gonflement). L'auteur ajoute le résumé d'une paralysie saturnine (chez un fondeur de caractères) qui p
hez un fondeur de caractères) qui présente le tableau ordinaire : paralysie des extenseurs, etc. On y constate une fois de pl
i les muscles du thénar fonctionnaient parfai- tement sans trace de paralysie ou de faiblesse ; mais ils pré- sentaient la ré
angue, de la face et des muscles respiratoires. Il n'y avait aucune paralysie ; le coeur était normal et le pouls tou- jours
s de. la mo'eaMcAe de,, la ./cure. infé- gcrieure, diminution fleja paralysie ? \ 'C' '1 i ['[boIT' 1'1 ! ,mc¡I/UJl -dn iTur
ée* de son affection, mais on, put constater tous- les signes d'une paralysie . complète de'facial. sI. Le 18 décembre, l'exam
IJd"'}l : d(f 0 ! 1 't;)1 I.lVll , t 1 JU ........... XIII. CAS DE paralysie du grand dentelé A droite. (Serratus major) ; p
ntelé droit étaient sans influence. Il s'agissait donc bienb (Tune, paralysie du¡ muscle, grand, dentelé. (Serratus major des t
1 Sb 5 2Vr.r'Tr;rr anse t9 92fH1b'rm st)B3 e11 £ q em9Ía XIV.,DE·LA PARALYSIE FACIALE A FRIGORE' ET, EX) PARTICULIER DE 1 SON
et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tent'de'Iocatiser la cause de la paralysie , mais n ? aucune relation nécessaire'avec le'de
ction des» cour : ènts'r'électriqûés'surA ? nerf et le' muscle ? la paralysie est* de courte'durée ' ;'la 'o'l ? l'Ison est l
iq asI tE>$;1.61 ne 88'IS¡m Le Dr Parinaud croit, que, parmi'les paralysies de la troi- sième paire sans mydriase et sans p
parmi'les paralysies de la troi- sième paire sans mydriase et sans paralysie de l'accommoda- tion i"en) estlqui.'rsout1.just
te'p;1r dès- : lésiJs intra-cérébrales et constituer une variété dé paralysie dissociée ? '' répondant à des lésions isolées-
p ? ^ ..f .fj ? <.)n r ? vrnj'Vi [ili^ILl.'a.l"8 mydiase et sans paralysie de 1 accommodation on pourrait dire, queicesica
rl> u : J1'I uu s on ! , *ldm9B 91bJ,Lr.m EJ XVI. Observation DE PARALYSIE PSEUDO-HYPERTROPHIQÙE;par" CORNIL. ASoc. médic.
bservation' estldèmble : - d"àbbrd;1 iII's'àg1t t d'un^cas, type de paralysie 1 pseudo-hyplrtroplliqlïe;)jJ1ensúitê'/ l'affec
de la première dorsale). Le membre supérieur gauche' présentait une paralysie complète - , . ? [ ? - 1 1 fi' , f ? ïi ? ,li I
' la jambe' gauches P... , 1-1 .,f ? r ? tc galiel s jointes à la paralysie du moteur oculaire commun droit por- taient, d'
lle^se perdait graduellement. ' L'hémiplégie gauche partielle et la paralysie du moteur ocu- laire commun droit, observés; pe
tobre, le malade pouvait marcher, mais en chancelant un peu. Pas de paralysie ; réflexe ro- tulie,n 1 np ? naI. ,Le 11, octobr
et la démarche devient 'chancelante^' bien" qu'il' n'y ait" aucune paralysie dés membres. ? "' ' 1 1 ? ? ut I] n'y a général
eur qui ne peut suffire au travail exagéré subitement imposé par la paralysie - des artères.^De plus, la paralysie des gros v
agéré subitement imposé par la paralysie - des artères.^De plus, la paralysie des gros vaisseauXt abdomi- naux leur permettra
de l'urine, ni l'anesthésie qu'il faut "1 mettre en'cause, mais' la paralysie vaso-motrice et l'hyperémie consécutive; "il ad
rr ou, éclate un accès maniaque, nous aurions à prononcer le mot de paralysie généralé; sans' l'hésitation" de' M. Lasègue. e
ise M. Lasègue, à ranger le malade' dans une classe admise, dans la paralysie générale, sauf à convenir que cette classe cont
1880,' p. 266.) Un enfant de trois ans et trois mois présentait une paralysie avec contracture du bras et de la jambe droite
que l'intempé- rance, soit des affections organiques telles que la paralysie .générale, soit des influences héréditaires, so
s observé dans les classes supérieures de la société un seul cas de paralysie gé- nérale due à l'alcool, il pense que celui-c
tribue 50 p. 100 des cas de folie à l'alcoo- lisme, et croit que la paralysie générale n'est presque jamais due à l'alcoolism
'organisme : celui-ci produirait d'abord une excita- tion, puis une paralysie des centres nerveux en commençant par les plus
ltat que de produire l'anarchie mentale. M. 1\1oULD (Cheadle). La paralysie générale reconnaît souvent pour cause l'alcooli
de 15 mois. Cet enfant présentait, dès le jour de sa naissance, une paralysie musculaire de tous ses membres, jointe à la con
vie intra-utérine : quant aux contractures, il les explique par les paralysies musculaires, qu'on a pu constater sur le vivant
et la sclérose des circonvolu- tions centrales s'accompagnaient de paralysie des mouvements volontaires et de contractures,
t de développement des circonvo- lutions centrales, il existait une paralysie ou une parésie du côté opposé du corps. Obser
grincementsde dents, de dé- viations oculaires, de diplopie, ni de paralysie des membres; le ventre n'est pas rétracté et l'
upposée n'eût siégé en dehors des points auxquels correspondent les paralysies ordinaires, (auquel cas tout diagnostic est dis
dinaires, (auquel cas tout diagnostic est discutable), l'absence de paralysie et d'accidents épileptiformes chez cette malade
y a donc une certaine raideur des muscles du dos. Ni diplopie, ni paralysie , ni troubles de la sensibilité. Dans ses moments
embres, elle paraît cepen- dant un peu obtuse du côté droit. Aucune paralysie . Les mouvements des mains sur la couverture con
il gauche semble un peu plus petit, plus fermé que le droit. Pas do paralysie faciale. La constipation est très prononcée; on
381 La sensibilité est conservée des deux côtés, il n'y a pas de paralysie ni de contracture des jambes; les réflexes planta
mparable à celui de l'athétose qu'à celui de la chorée. Il n'y a ni paralysie faciale, ni contrac- ture du masque. La raideur
it eu des convulsions du côté droit. En présence des accidents de paralysie , localisée quoique fugace, qui ont été observés
e dans le lobe frontal de l'hémisphère droit, qui n'a occasionné ni paralysie , ni convulsions, ni con- tracture, ce qu'expliq
ffecte des analogies frappantes avec la méningo-encéphalite de la paralysie générale. Enfin, malgré l'évidente hy- 1 Archiv
e expérimentale comme en pathologie. Elle peut avoir pour cause une paralysie vaso-motrice par suite de section, d'altération
que toute valeur aux cas d'hémiplégie dans lesquels on constate une paralysie plus marquée du bras que de la jambe. Certains
ui réunit le pre- mier (1875. Encyclop. de Ziemssen) sous le nom de paralysie spinale spasmodique les divers phénomènes ci-de
Troubles divers de la sensibilité. H. D'OLIER. XLIV. SUR UN cas DE paralysie DES quatre extrémités ET DES MUSCLES DU TORSE,
nça. Il n'y eut pas le plus léger trouble de la sensibilité, pas de paralysie de la vessie ou du rectum, pas de fièvre. Le mi
ce que les mêmes symptômes ne pourraient être produits que par une paralysie de tous les nerfs périphé- riques. L'auteur pen
ynbee, on observe le plus souvent, outre les phénomènes partiels de paralysie , des convulsions qui manqueraient au contraire,
e la parole depuis six semaines. Au moment de l'entrée à l'hôpital, paralysie faciale droite, aphasie, albuminurie, à l'optha
nts syphilitiques paraissant bien éta- blis et datant de trois ans. Paralysie subite des deux côtés; au bout de deux ou trois
en commentant cette observation, qu'il ne s'explique pas comment la paralysie a pu rester limitée à un seul côté, étant donné
ation de pesanteur dans les membres gauches et huit jours plus tard paralysie complète de ces membres et du côté correspondan
subit. Trois jours après, nouvelle attaque; vomissements fréquents, paralysie de la main gauche. Cinq jours après l'entrée à
observer aussi d'ailleurs les formes convulsives, épileptiques, les paralysies partielles, etc., les manifestations, qu'elles
ement des battemements du coeur, imminence d'asphyxie. C. T. LVI. Paralysie bilatérale DES muscles DU larynx INNERVÉS par L
. ORMEROD. (The Lancet, 13 mars . 1880.) Autant sont communes les paralysies unilatérales des muscles du larynx ou même les
munes les paralysies unilatérales des muscles du larynx ou même les paralysies bilatérales des muscles isolés, autant seraient
des muscles isolés, autant seraient rares, d'après M. Ormerod, les paralysies bilatérales intéressant dans sa totalité l'appa
quatorze cas de cette maladie, se décomposant ainsi : trois cas de paralysie bilatérale complète de chaque côté ; huit cas d
s cas de paralysie bilatérale complète de chaque côté ; huit cas de paralysie bilatérale incom- plète d'un côté; enfin deux c
s de paralysie bilatérale incom- plète d'un côté; enfin deux cas de paralysie bilatérale incomplète des deux côtés. Comme on
plète des deux côtés. Comme on le voit, l'inégale intensité de la paralysie des deux côtés du larynx paraît être le cas le pl
'examen laryngoscopique permit alors de constater l'existence d'une paralysie bilatérale du larynx, incomplète à gauche, et e
ssivement employés sans amener aucune amélioration. H. D'O. LVII. Paralysie respiratoire aiguë du larynx; par P. Kocii. (An
e, d'après M. Beard, que chez des filles neurosthé- niques ; 9° des paralysies partielles et passagères qui seraient fréquente
nt fréquentes dans la neurosthénie et souvent confondues avec les paralysies hystériques; enfin, 10° des maladies organiques d
milieu de juin, on constate chez lui le type clinique complet de la paralysie générale. Le 25 janvier 1877, exanthème scarlat
orté sur la psychose. Ainsi les formes secon- daires confinant à la paralysie générale ou à la démence se- raient moins sujet
il fallait s'enquérir. Peut-être même pourrait-on trouver dans des paralysies du gros intestin la raison de ce défaut d'excré-
leptique, et l'observation indique expressément qu'il y avait de la paralysie du pharynx, delaparalysie vésicale. On peut sup
faiblesse des fibres musculaires des parois membraneuses, et cette paralysie se trouve exagérée quand l'influx nerveux lui-m
ies avec conscience ». H. D'O. XXXVIII. UNE LEÇON CLINIQUE SUR la paralysie générale; par A.-E. MACDONALD. (The médical Rec
teur donne dans cette leçon une description clinique complète de la paralysie générale en présentant chemin faisant un certai
alité pupillaire, qu'il l'a maintes fois rencontrée en dehors de la paralysie générale, mais qu'elle n'en est pas moins patho
M. XLI. DE L'ENCÉPHALOPATHIE saturnine dans SES rapports avec la paralysie générale; par E. RÉGIS. Existe-t-il une paralys
apports avec la paralysie générale; par E. RÉGIS. Existe-t-il une paralysie générale saturnine, ou en d'autres termes le sa
e saturnine, ou en d'autres termes le saturnisme peut-il causer une paralysie générale vraie ? 2 Telle est la question que ré
entre les symptômes du saturnisme à un certain degré et ceux de la paralysie générale. Cependant les différen- ces sont cons
he, différence de pronostic. Pour la dernière, nulle difficulté, la paralysie générale essentiellement incurable, la pseudo-p
l a des caractères absolument inverses dans les deux affections. La paralysie générale débute lentement, insidieu- sement et
idées de persécutions, tous ces phénomènes étant fréquents dans la paralysie générale. Il se peut pourtant qu'à l'analyse on
'excitation et la première période d'exaltation fonctionnelle de la paralysie générale; il n'y manque que le ca- chet démenti
pendant, comme l'accès mélancolique, qu'à une manifes- tation de la paralysie générale. 4° Observation de M. Baillarger. Femm
it pouvant expliquer l'hémiplégie. M. Bail- larger ne fait dater la paralysie générale que de l'époque de l'accès maniaque. R
met de conserver des doutes sur le non-existence dès le début de la paralysie générale. (Annales médico-psycholog ., sept. 18
ncéphale et de ses mem- branes. Le délire ressemblait à celui de la paralysie générale dont les signes physiques manquaient.
de la rigidité musculaire portant également sur les deux côtés; la paralysie persista à la suite de cet accès. Peu de temps
neree e della pelle, 1880.) Observation d'un syphilitique frappé de paralysie du bras droit avec hémianesthésie environ un an
3 -ncMgs.chedg a trouvé, e ? 9P ? 1 . ·. m.,JJ ku jl atteint de paralysie agitante, un îlot de substance. griser, situé a
dre aussi des autres phénomènes de l'hystérie. La contracture, la paralysie , la chorée hystériques sont tout aussi bien que l
servés àla Salpêtrière (contracture), puis par M. Millier de Gratz ( paralysie ). Ils sont devenus depuis tellement nombreux qu
ueparle degré de ceux quinous ontservi de texte jusqu'à présent. La paralysie n'est qu'une exagération de l'amyosthénie qui a
que le fait remarquer M. Charcot, la para- lysie hystérique est une paralysie à contracture. L'amaurose est MÉTALLOSCOPIE, ME
. Le malade était un petit garçon de deux ans et demi, atteint de paralysie infantile, occupant lemembre inférieur droit ; il
occupant lemembre inférieur droit ; il est mort de diplitliérie. La paralysie infantile datait de quatre mois et demi. 0 Da
nterruption du cordon nerveux depuis le début jusqu'à la' fin de la paralysie . Après avoir résumé l'état de la question, d'ap
mprend l'ensemble des altéra- tions histologiques correspondant aux paralysies légères déterminées dans les expériences en que
se et le muscle reprend son aspect normal d'autant plus vite que la paralysie a duré moins de temps. Le tissu conjonctif intr
ques, il aurait toujours réussi. P. K. XIV. DE QUELQUES formes DE paralysie D'ORIGINE spinale ET périphérique; par C. EISEN
.) Il s'agit, de trois observations concernant : La première, une paralysie saturnine, déterminée par une névrite parenclay
priorité ou la production secondaire de la névrite parrapport à la paralysie musculaire : à cet égard, le Dr Eisenlohr appelle
e. iles deux autres observations se rapportent à l'histoire de la paralysie infantile spinale. Les pièces anatomiques exa-
substance blanche normale (renflement lombaire); telle encore cette paralysie générale des aliénés présentant une pénétra- ti
n temporo-pariétale (Hitzig et Ferrier) ; l'hémi- plégie gauche, la paralysie de la langue, des masticateurs et du droit exte
par le néoplasme de la moitié droite de la protubérance annulaire ( paralysie alterne); enfin, les accès épileptiformes sont
ments ; 4° Vertiges; 5° Altération des nerfs moteurs (spasmes et paralysies ) ? 6° Altération des. nerfs sensitifs (face, me
semble des symptômes d'une lésion en foyer (contracture du bras et paralysie de la jambe du même côté), compliqués de thromb
u champ postéro-externe des cordons postérieurs ; symptomatologie : paralysie et contracture des extrémités inférieures, trou
endineux, incontinence d'urine. III. De tabes dorsal typique avec paralysie finale des extré- mités inférieures, ataxie et
des vaso-constricteurs-des exsudais sanguins buccaux, du fait d'une paralysie des vaso-constricteurs en un endroit limité, l'
la thèse de Vincent, qui a étudié le myosis dans le tabès, dans la paralysie générale et dans plusieurs autres maladies du s
expansion nor- male, ou même être anormalement dilatées. Dans la paralysie progressive des aliénés, l'immobilité pupil- la
l'abolition du réflexe tendineux ? 2 C. T. LXXXVI. Remarques SUR la paralysie DU MUSCLE grand DENTELÉ, d'après une observatio
UR la paralysie DU MUSCLE grand DENTELÉ, d'après une observation de paralysies atrophiques multiples consécutives au typhus ab
tations paralytiques au bras droit ; quel- ques semaines plus tard, paralysie de l'avant-bras gauche. Trois mois après, quand
avant-bras gau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 601 che atrophie et paralysie complètes des muscles animés par le nerf radial
et paresthésie du pouce et de l'index gauches ; un peu plus tard, paralysie et atrophie de la partie antérieure du deltoïde
s auteurs, son malade pouvait élever le bras du côté où siégeait la paralysie du grand dentelé, non pas seulement jusqu'à l'h
it une très nette dans le cas en question. L'auteur pense que ces paralysies , avec atrophie, ont été plus probablement de caus
ts DE la sclérose multiloculaire DU SYSTÈME nerveux central avec la paralysie générale progressive des aliénés ; par le profe
s, convulsions, parole lente, scandée, mono- tone ; et celles de la paralysie générale (délire des grandeurs, tremblements fi
hémorrhagies stomacales dans LE COURS DES AFFECTIONS MENTALES AVEC PARALYSIE par Julius KRUEG. (A1'chiv. sur Psychiatrie und
tique, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. Schiff, elles sont dues à la paralysie des vaso-moteurs de l'estomac. Pour Ebstein, à
ucune. LXI. Archives cliniques. (Ami. Méd. Psych., janvier 188t.) Paralysie générale chez un imbécile, observation de M. Chri
le, observation de M. Chris- 61 se REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tian ;- Paralysie générale amenée àrémission par des bains pro- l
ation de la cataracte, observation de M. Baillarger; Démonomanie et paralysie générale, observation d'Esquirol. REVUE DE THÉR
peu de temps seulement, il l'applique dans les cas de chorée et de paralysie .. Sur neuf cas de chorée, deux fois les effets
hémianesthésie. Dans le premier cas, la guérison fut complète ; la paralysie du mouvement aussi bien que de la sensibilité d
troubles ont été observés depuis un léger érythème facial, dû à la paralysie vaso-motrice, jusqu'à l'incapacité presque enti
ro- forme et acide formique. Troubles cirulatoires succédant à la paralysie vaso-motrice, etc., oedèmes, ulcérations, etc.
l en est de même pour la belladone et l'hyoscyamine. Dans un cas de paralysie agitante, par la combinaison de la quinine et d
résistants et torpides. Les névralgies par irritation spinale, les paralysies motrices d'origine péri- phérique, les troubles
née et la dilatation pupillaire; 2° la forme angioparaly tique avec paralysie vaso-motrice, produisant la congestion unilatér
tent paralysés. Quand les enfants survivent indéfiniment, tantôt la paralysie reste définitivement constituée sous la forme h
nitivement constituée sous la forme hémiplégique; d'autres fois, la paralysie diminue peu à peu et il ne reste plus qu'une pa
ie cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez les,premiers, la paralysie y est moins prononcée, et les jointures n'ont g
remiers ,mois qui suivent l'état de mal convulsif 'qui a précédé la paralysie . L'arrivée de l'accès est annoncée par une aura
connaît ces manifestations, ce sont des troubles de nutrition, des paralysies partielles, des anesthésies limitées ; aux trou
des, l'état lisse de la peau; la contracture accompagne souvent les paralysies limitées; enfin les troubles de la sensibilité
par Ilartdegeu, 583 ; -parKussmaul et)Ieyer ? 8". Grand dentelé ( paralysie du), par Baumler, 600. Glycosurie (rapports d
, par Galezowski, 475. Hémorrhagies de l'estomac au cours de la paralysie , par Krueg, 608. Hémorrhagie cérébrale, sous-ar
Neurasthénie (conséquences de la), par G. Beard, 470. Névrite ( paralysie réflexe et), mi- , gratrice, par Treub, 278.
ride et James, 474. Otite (méningite aiguë après), par Ross, je Paralysies dans les maladies aiguës, par Landouzy, 166.
oss, je Paralysies dans les maladies aiguës, par Landouzy, 166. Paralysie , des quatre membres et du'torse (par une myélit
66; du larynx et ses rapports avec la tétanie, par Haddon, 467. Paralysie (traitement de la) dans le premier âge, par Dav
aralysie (traitement de la) dans le premier âge, par Davis, '153. Paralysie agitante(altérationsprotn- bérantielles de la),
ie agitante(altérationsprotn- bérantielles de la), par Luys, 326. Paralysie chez l'enfant (traitement de la), par Davis, 33
26. Paralysie chez l'enfant (traitement de la), par Davis, 334. Paralysie chez l'enfant, par Brad- fort, 301. Paralysie
, par Davis, 334. Paralysie chez l'enfant, par Brad- fort, 301. Paralysie faciale (pronostic de la), à frigore, par de Wa
sie faciale (pronostic de la), à frigore, par de Wattevitle, 298. Paralysie du grand dentelé, par Banda, 298. Paralysie g
de Wattevitle, 298. Paralysie du grand dentelé, par Banda, 298. Paralysie générale (lésions de la), chez un halluciné, pa
149; par Macdonald, 483; et encé- phalopathies, par Régis, 484. Paralysie générale (études graphi- ques sur la), par Cham
aralysie générale (études graphi- ques sur la), par Chambard,326. Paralysie générale {rapports de la), et de la sclérose mu
e la), et de la sclérose multiloculaire, par Fr. Schultze, 607. Paralysie pseudo - hypertrophique cinq cas de), par Steel
e cinq cas de), par Steele et Kings- ley, 297; par Cornil, 300. Paralysie infantile (examen de la moelle dans un cas de),
ile (examen de la moelle dans un cas de), par B. Bramwell, 573. Paralysie réflexe et névrite migra- trice, par Treub, 278
573. Paralysie réflexe et névrite migra- trice, par Treub, 278. Paralysie (sur la), saturnine, par Kast, 282. Paralysie
, par Treub, 278. Paralysie (sur la), saturnine, par Kast, 282. Paralysie spinale, par Eisenlohr. 578. Paraplégie spasm
8. Paraplégie spasmodique (trois cas de), par J. Hussell, li53. Paralysie de la 3e paire, dissociée dans la syphilis céré
mpératures cérébrales (tempéra- tures périphériques et), dans les paralysies , par Blaise, 34 ? ;- par Maragliano, 633. Tem
Thérapeutique. Traitement de la folie, par Burman, 154 ; de la paralysie dans le premier âge, par Davis, 155; la tonga c
45 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CULAIRE. il quant au nom que Seeligmùller donne à cette maladie « Paralysie spinale hypertrophique spasmodique » , nous ver
supérieurs ou des muscles de la langue et de la face.- Quant à la paralysie pseudo-hypertrophique, nous ne voyons pas qu'el
s étaient hypertrophiés, il peut être bon de rappeler que dans la paralysie pseudo-hypertrophique, c'est d'une véritable pa
ue dans la paralysie pseudo-hypertrophique, c'est d'une véritable paralysie qu'il s'agit; les muscles les plus volumineux s
et. En tout cas, nous ne saurions souscrire à la qua- lification de paralysie spinale spasmodique hypertro- 2 1. CLINIQUE NER
use et même erronée sur plusieurs points : d'abord ce n'est pas une paralysie , et quant à la na- ture hypertrophique, elle no
CIENCE. ! 17 et ils ne s'en doutent pas. On peut donc dire que la paralysie générale est une maladie essentiellement in- co
qui met sur la voie du diagnostic de la maladie. En dehors de la paralysie générale et de l'épilepsie, mes observations pr
En deux mots, on peut dire que cliniquement on avait affaire à une paralysie spasmodique des membres inférieurs, accompagnée
ole et de l'intelligence. Migraine OPIITIL1L)IIQUI : au DÉBUT d'une paralysie générale ; par le Dr H. P.1RI\.1UD. Dans une
ans le Progrès médical, M. le professeur Charcot signale des cas de paralysie générale dont le début est marqué par des accès
de distribution avaient pour l'expli- cation de certaines formes de paralysie labio-glosso-laryngée (Voy. Arcla. de Phys., 18
ile, la petite malade adoptant le même mode de manger que dans la paralysie associée du facial et du trijumeau (branche masti
lève sa nourriture ou qu'on reste longtemps sans s'occuper d'elle : paralysie totale du tronc et des extrémités, sans raideur
fonction sera entravée quand l'appareil musculaire ne jouera plus ( paralysie faciale), quand la soupape muqueuse n'ouvrira p
troubles du côté delà sensibilité, et de réflexes patellaires ; une paralysie vésicale modérée avec incontinence nocturne et
la suite d'un rhuma- tisme articulaire aigu, est sous le coup d'une paralysie des extenseurs de l'avant-bras gauche, et de tr
ices sont demeurées excellentes, excepté à droite, où il existe une paralysie presque absolue du jambier antérieur, ainsi qu'
auteur de trois étages sur le siège en 1874. Perte de connaissance, paralysie passagère des bras, pa- raplégie pendant trois
n novembre. Folie systé- matique chronique typique. Amaigrissement. Paralysie pres- que complète. Ilyperesthésie des jambes.
al, l'une étant pour lui le point de départ de l'autre. P. K. IX. Paralysie BULBAIRE apoplectique avec anesthésie AL- TERNE
iennent les lésions du bulbe, celles de la pro- tubérance, avec les paralysies alternes et celles des pédoncules. M. Duret ter
question n'est pas élucidée. Jeudi 22 juin. Séance de jour. De la paralysie saturnine, par le D1' Weber (de Boston). On sait
encives était cependant peu apparent. M. Putnam a vu un cas où la paralysie saturnine simulait la myélite ; la guérison fut
fait et il croit que souvent le diagnostic est impossible entre la paralysie saturnine et l'inflam- mation des cornes grises
ises; mais contrairement au Dr Weber, il loca- lise la lésion de la paralysie saturnine dans la moelle. M. Edes était autrefo
, membres correspondants. Observation de myélite des cornes grises ( paralysie spinale), par M. GinEY.Après avoir fait l'histo
culaire pro- gressive, l'angine de poitrine, la maladie de Bell, la paralysie diphthérique, etc. 11 a échoué dans la chorée ;
V. Mars 1883. N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PA
UVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PARINAUD. Dans l'élude des paralysies motrices de l'oeil, on semble admettre que la l
ansions de ces noyaux dans les autres parties de l'encéphale. Les paralysies d'origine centrale revêtent deux formes particu
le revêtent deux formes particulièrement intéressantes. Ce sont les paralysies partielles ou dissociées de la troisième paire,
es j'ai déjà appelé l'attention (Société de Biologie, 1880), et les paralysies des mouvements associés des yeux qui font l'obj
ces faits, a déjà signalé les connexions qui les expliquent. - La paralysie conjuguée des mouvements de latéralité peut nou
. Il n'est pae sans intérêt de rappeler que le point de départ de PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces trava
X. 147 ces travaux a été dans l'observation clinique. En 1858, la paralysie conjuguée latérale a été bien décrite par M. Fo
décrite par M. Foville fils qui, remarquant ses rapports avec la paralysie alterne que MM. MiHard et Gubler venaient de fa
es, vint confirmer ses prévisions et démontrer que cette forme de paralysie relève d'une lésion siégeant au ni- veau de l'e
fait par des fibres commissurantes; car une incision, même super- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 149 ficielle,
rprétation des faits ; aussi me bornerai-je à citer des exemples de paralysie des prin- cipales formes de mouvements associés
ves pour servir à leur étude anato- mique. Lorsque les types de ces paralysies seront bien connus, on distinguera plus facilem
oir trouver de précieux éléments dans cet ordre de symptômes. Ces paralysies sont loin d'être rares, et il est sin- gulier q
par les caractères de la diplopie. Or, on méconnaîtra forcément les paralysies associées, si l'on se borne à l'étude de la dip
existe, elle n'offre généralement rien de caractéris- tique. Les paralysies de ce genre seront surtout re- connues par l'ex
ar l'exploration objective des mouvements oculaires. Les faits de paralysie des mouvements conjugués latéraux commencent d'
is antérieurs ; il a en outre remarqué qu'il y a d'autres formes de paralysies associées, dont il cite des exemples, et que j'
placent dans le même sens, par rapport à l'axe du corps. Ils sont PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 151 très nomb
l'axe antéro-postérieur que l'on trouve souvent modi- fiés dans les paralysies musculaires. Je les signalerai dans les observa
cile de grouper les formes plus com- plexes. J'étudierai donc les paralysies des mouvements sui- vants : a) Mouvements par
NERVEUSE. A. Mouvements parallèles horizontaux. Observation I. - Paralysie conjuguée latérale gauche. Parésie du côté droi
e instinctive, elle n'est occasionnée ni par la contracture,niparla paralysie des muscles du cou. La paralysie oculaire intér
nnée ni par la contracture,niparla paralysie des muscles du cou. La paralysie oculaire intéresse à la fois le droit externe d
rgence. Tous les autres mouvements ont leur amplitude normale. La paralysie conjuguée est d'ailleurs incomplète, elle n'occa-
fait apparaître la diplopie, qui présente tous les caractères de la paralysie de la sixième paire gauche (Images homonymes sa
fs i ce malade m'ont été fournis par son médecin M. le Dur Girou. PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 153 diane.) L
48 kilog. à gauche. Le 2-2 juillet, je constate l'état suivant : la paralysie conju- guée est plus prononcée; elle s'accompag
sont normaux. La diplopie con- serve toujours les caractères de la paralysie de la sixième paire gauche. Les pupilles sont é
marquée à tomber à droite, dès que le malade essaie de marcher. La paralysie de la face est très peu prononcée ; on constate
ralytiques ont été limités aux muscles de l'oeil. Cette forme de paralysie , qui me fit porter dès le début le diagnostic d
à la recherche de la diplopie, laquelle signifiait simple- ment : paralysie incomplète de la sixième paire gauche. Lorsqu'u
gauche. Lorsqu'une lésion de la protubérance produit le syndrome paralysie conjugée des yeux, hémiplégie, et paralysie fac
e produit le syndrome paralysie conjugée des yeux, hémiplégie, et paralysie faciale, cette dernière est ordinairement du mê
lysie faciale, cette dernière est ordinairement du même côté que la paralysie oculaire, qui est également celui de la lésion
he; mais j'ai fait remarquer qu'elle n'était le résultat ni d'une paralysie , ni d'une contracture des muscles du cou, que l
du champ visuel où la vision était meilleure. Ces attitudes sont PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 155 fréquente
PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 155 fréquentes dans les paralysies oculaires. La déviation, du reste, serait dans
déviation des yeux et du côté opposé à la lésion. Observation II. Paralysie conjuguée congénitale droite. Nystagmus dans la
ible dans aucune direction. Observation III. Sclérose en plaques. Paralysie conjuguée latérale droite. Nystagmus. Paralysie
clérose en plaques. Paralysie conjuguée latérale droite. Nystagmus. Paralysie de l'hypoglosse avec atrophie de la langue du c
Symptômes oculaires. Impossibilité de porter le regard à droite. La paralysie intéresse le muscle droit externe droit et le d
us prononcé pour l'oeil droit, où il est même exagéré du fait de la paralysie à peu près complète de l'abducteur. Le regard à
signalerai la déviation de la langue à gauche en rapport avec la paralysie de l'hypoglosse et l'atrophie de l'organe du côté
hie de l'organe du côté droit. Le facial n'est pas intéressé. Les paralysies associées sont fréquentes dans la sclérose en p
souvent défaut et qu'elle n'existe pour ainsi dire jamais quand la paralysie est ancienne. Dans la sclérose en plaques, la p
is quand la paralysie est ancienne. Dans la sclérose en plaques, la paralysie conjuguée est presque toujours accompagnée de n
nystagmus. Cette coïncidence n'est pas propre à cette affection, PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIES DES YEUX. 157 et nous l
ulement dans l'Observa- tion 111, mais dans l'Observation II, où la paralysie conjuguée et le nystagmus sont d'origine congén
res. Il n'y a pas lieu dès lors de s'étonner qu'il coïncide avec la paralysie de ces mouvements. Lorsque la paralysie conjugu
er qu'il coïncide avec la paralysie de ces mouvements. Lorsque la paralysie conjuguée latérale est peu prononcée, son diagn
onvergence. Dans les cas douteux, le diagnostic se pose entre une paralysie de la sixième paire, c'est-à-dire du muscle dro
ie de la sixième paire, c'est-à-dire du muscle droit externe, et la paralysie conjuguée. Or, dans le cas de paralysie du droi
muscle droit externe, et la paralysie conjuguée. Or, dans le cas de paralysie du droit externe de cause périphérique, le droi
raction exagérée. Il y a même des cas que j'ai signalés (Spasnze et paralysie des muscles de Poeil, Gazette hebdomadaire, 187
sence d'une hémiparésie des muscles du côté opposé et surtout d'une paralysie alterne de la face et des membres appellera l'a
ie conjuguée. B. Mouvements parallèles verticaux. Observation IV. Paralysie de l'élévation et de l'abaissement dans les deu
ans les deux yeux avec conservation des mouvements de laté- ralité. Paralysie de la convergence. Sey..., 67 ans. Pas de malad
onsulter le 8 février. Je constate comme phé- nomènes oculaires une paralysie à peu près absolue de l'éléva- lion et de l' ab
- lion et de l' abaissement dans les deux yeux. L'impotence fonc- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 1 .}'J tionne
it fixer les deux yeux simul- tanément ou séparément. Tandis que la paralysie est complète et égale dans les deux yeux pour r
d'une sorte d'impulsion ; qu'elle ne s'accompagne pas d'ailleurs de paralysie appréciable des mem- bres. La sensibilité cutan
ons d'une lésion voisine. La tendance à tomber du côté gauche, sans paralysie appréciable des membres, plaide également dans
lésion occupait manifestement ce siège. Quant au mécanisme de la paralysie associée dans les deux yeux, je ne tenterai pas
tenterai pas de l'expliquer. Je ferai seulement remarquer que cette paralysie n'est pas aussi complexe qu'elle semble l'être
noyau, vers l'angle supérieur du quatrième ventricule. L'absence de paralysie du droit interne pour les mouvements de latéral
it interne pour les mouvements de latéralité s'explique très bien PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 161 par le fi
ux ont insisté. L'observation suivante nous offre le même type de paralysie moins complet. Observation V. Paralysie du mouv
ous offre le même type de paralysie moins complet. Observation V. Paralysie du mouvement de convergence et d'élévation dans
d'un objet rapproché développe un strabisme divergent du fait de la paralysie complète du mou- vement de convergence. Les m
hmidt (loco citato), nous aurons trois variétés d'une même forme de paralysie ainsi constituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS
trois variétés d'une même forme de paralysie ainsi constituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 163 peut, lir
ent apparaître, même avec un verre coloré. Il existe en outre une paralysie à peu près complète de l'ac- commodation sans m
té- rieure du pédoncule. Il est aplati à son origine et divisé en PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 165 quatre 'o
e utilisée pour une locali- sation précise telle que la comporte la paralysie du mouvement de convergence. Nous devons cepend
dans l'observation suivante. Observation VII. Sclérose en plaques. Paralysie du mouvement de convergence. 11-e Ane.... cin
ergence. Les .observations suivantes appartiennent à une forme de paralysie caractérisée par l'impossibilité de ramener les
e parallélisme. Le trou- ble moteur ne peut pas s'expliquer par une paralysie partielle de l'un des muscles abducteurs droit
ir qu'en désignant les faits de ce genre du nom un peu incorrect de paralysie du mouve- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
faits de ce genre du nom un peu incorrect de paralysie du mouve- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 167 Î ment de
nt de divergence, j'ai surtout pour but de les oppo- ser aux cas de paralysie de la convergence, dont ils forment assez exact
lésions unilatérales des mouvements d'abduc- tion. Cette forme de paralysie est essentiellement caracté- risée par une dipl
ppeler combien les images ont de la ten- dance à s'écarter, dans la paralysie même très légère d'un muscle, quand on porte la
ans toutes les directions du regard. Cette diplopie, imputable à la paralysie du mouvement de divergence, est ici d'autant pl
e divergence, est ici d'autant plus remarquable qu'elle est asso- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. IG9 ciée à un
pas, dans les faits de ce genre, de s'arrêter au dia- gnostic de paralysie de la quatrième paire, bien que l'erreur soit p
m'en convaincre en consul- tant d'anciennes observations. Dans la paralysie conjuguée latérale, double et incom- plète, com
e interprétation qui explique celle que je viens de décrire par une paralysie des mouvements parallèles, lesquels ayant une g
plitude dans l'état physiologique, produisent toujours, dans leur paralysie , un écartement plus ou moins prononcé des image
ment intéressé. On se rend très bien compte au contraire de cette PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171 forme de
cette faiblesse aug- menta progressivement et devint une véritable paralysie ren- dant impossibles tous les mouvements volon
ieure droite : parésie du tri- ceps et des muscles de l'avant-bras, paralysie absolue des flé- chisseurs des doigts, atrophie
épourvu de toute sensibilité aux membres inférieurs, en proie à une paralysie motrice géné- ralisée, et présentant dans une é
t d'ouverture de l'anode et du kathode dans différentes maladies ( paralysie faciale de Bell, section nerveuse ancienne, atrop
alogues à ceux obtenus par les sections nerveuses chez les animaux, paralysie pseudo-hypertrophique; les formules normales y
a science. P. M. XVII. Le TREHXLEMKNT sénile et ses nwrouus avec la paralysie AG ! T.1N'fF.; parE. Démange. [Revue de médecin
à la nature de l'affection, l'auteur, se basant sur l'existence de paralysies agitantes frustes si différentes des cas ordinair
a duré deux mois et demi. D. B. XXII. MAL perforant du pied dans la paralysie générale. (Note communiquée à la Société de méd
ette note comprend l'histoire détaillée de deux malades atteints de paralysie générale chez lesquels s'est développé un mal per
istian, tient compte de la rareté relative du mal perforant dans la paralysie générale, car il ne connaît pas d'autres cas que
iiidienne, les troubles rectaux et vésicaux avaient fait écarter la paralysie ascendante aiguë. D. B. XXIV. THE NERVOUS SYMPT
de citations exactes, l'auteur a voulu montrer qu'à l'instar de la paralysie générale et de la sclérose en plaques, l'ataxie
ir- , montre quelques photographies concer- nant un nouveau fait de paralysie isolée du muscle grand dentelé, survenue chez u
les hommes, que l'on ren- contre bien plus de syphilitiques dans la paralysie générale que dans toute autre forme de psychose
e la vérole. La question des rapports des excès alcooliques avec la paralysie générale provoque les observations de M. Grurr.
Grurr. Les faits qu'il a recueillis l'entraînent à conclure que la paralysie générale d'ori- gine alcoolique se différencie
e la paralysie générale d'ori- gine alcoolique se différencie de la paralysie générale ordinaire. La première se fait.effecti
rgi- randière. Thèse de Paris, 1883. Contribution à l'étude de la paralysie bilatérale des dilatateurs de la glotte ; ,- pa
De l'hystérie gastrique; par Deniau. Thèse de Paris, 1883. De la paralysie du nerf radial par compression temporaire; par
supérieurs de la circonvolution pariétale ascendante, détermine une paralysie des deux membres (supérieur et inférieur) du cô
ysie des deux membres (supérieur et inférieur) du côté opposé, sans paralysie de la face H. Et plus loin, ils ajoutaient : «
ére'etc' gauclze. ltla- q(es d'épilepsie partielle. Extension de la paralysie au membre supérieur gauche. Plaque de méningite
bras gauche resta paralysé. ' État actuel (9 mars). Il existe une paralysie flaccide du membre supérieur et du membre infér
82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Au membre inférieur, la paralysie est absolue. Tout au plus la malade peut-elle e
ire, tuberculose méningée. Et se fondant sur )la localisation de la paralysie au membre infé- rieur dans les premiers, temps
nse. R. 59; P. 120. DES LOCALISATIONS MOTRICES PU CERVEAU. 277 La paralysie motrice est toujours absolue. Le membre infé- r
.. En résumé, dans lé cas précédent, nous avons eu affaire à une. paralysie limitée tout d'abord au membre . ues, o ·m i y.
lle n'a pas dormi de la nuit, cause.des,doulçurs dans la jambe : La paralysie dulmembro. inférieur gauche., est complète : 'l
lques jours après -cet accident, nous constatons chez le malade une paralysie motrice complète, occupant tout le membre infér
;rpd'li,ls;8 ? Diarrhée, et aspect cachectique. Le surlendemain, la paralysie s'étendait au bras gauche ; d'abord simple paré
ie s'étendait au bras gauche ; d'abord simple parésie, mais bientôt paralysie to- tale avec sensation de, froid aux extrémité
`)It>JWtif W lyJ , oici un z complelus ctintque.peu commun ? une paralysie limitée 11 1,1 i' .«Ullljl.il' i I -' 1 1 J d
., - ? ' 1 ' -.1 1 ? t isolée ou secondairement associée a a autres paralysies la ? . a 1 iy ,l ? "') ? "*>;" ? a,y ? ^ /rk
itive de l'un,des membres] pelviens et plus tard ex- tension de- la paralysie , au, memhre"supérieur,,corr es- pondant ; dans
, memhre"supérieur,,corr es- pondant ; dans ceux de la seconde, la; paralysie , jusqu'à la fin, est Testée limitée.à la jambe.
é lui-même les premiers symptômes de la tuberculose, fut pris d'une paralysie avec lnjpcresthésie du membre inférieur \ gauch
upérieur : Ils'ait'd'un homme de cinquante et un ans,'ayaht eu une. paralysie dé-la jambe droite complète, incurable,3- accom
a jambe droite complète, incurable,3- accompagnée au- début d'une paralysie partielle et rapidement guérie du bras droit, à
ralysie complète de la jambe droite, puis, au septième jour, une paralysie du bras droit. A la suite de la tré- panation,
au lobule paracentral et qui s'était traduite ciiniquement par' une paralysie localisée au membre inférieur du coté opposé. Nou
"filbts 1 niôtèüg 'd'ufi" iierf, 1 iiii,te l'pour ' provo- quer des paralysies 'ou''des"amyotrophies. 'En'fait;1 l'hypothèse é
ne se produiraient-elles pas plus fréquemment dans le cours- de la paralysie spinale infantile ou de l'atrophie musculaire p
5011 1 tr1·n·w· rlyvl r 11..111 , 1, n Iff lï 1 1tn ,.mï ; u . de paralysie ; la face restait, tirée à gauche, la malade, étai
déepaiâlysie flâsqué eôüqde' 1 nepeuventfemouvon" tes'symptômes de paralysie ilasque ou de cb'ntracturéstes plus accusées'l'
re,, un peu plus tortueux a'gauche. Opacité du cristallin a droite. Paralysie des deux moteurs oculaires externes ? strabisme
rités que présente l'observation que nous .venons, de signaler : la paralysie faciale, la lésion trophique.de la face à bulle
u ;, laire des cornes antérieures de la moelle ? Plusieurs cas de paralysie localisées, comme ceux de M. Erb, survenus souven
1 se ? » 10 , -il VU ? v ., 2°, par les exsudats ménmgiens, dans la paralysie générale des ' '. f , ' L' 'I "'D : U ? IIIUOII
parence périphérique, , lé, même doute peut s'élever à propos de la paralysie saturnine du membre supérieur -.«par exemple, q
r" - i ment combine correspondant, mais non pas nécessairement la paralysie de'chaque muscle' qui entre`en action' Le' degré'
1%.·'( ,itro(rt i|, i,j.,T|ftPsi. r»'r.r-r ,~ ...1, , .,..... r : j paralysie dun muscle innerve par plusieurs racines dépendra
mun , à la plupart , des muscles animes par' le " radial dans ? la0 paralysie saturl7 nine;'pat : exelpplé;ou`'côniinerit il
1t1 n'D" n - Les -lésion's, limitées 'de la moelle dans, des cas'de paralysie ,. , . n tn , r SI W· JtutJ6t.W ? aa -. 1 1) i
nsibilité, l'intégrité de la contractilité électrique excluaient la paralysie générale spi- nale antérieure subaiguë de Duche
ysie générale spi- nale antérieure subaiguë de Duchenne. Quant à la" paralysie spinale générale diffuse subaiguë du môme auteu
s éléments médullaires, pareille à celle qui permet la guérison des paralysies et des amyotro- phies réflexes, la guérison de
on des paralysies et des amyotro- phies réflexes, la guérison de la paralysie générale spinale an- térieure subaiguë., Gommen
vidus sains d'esprit;' il a choisi comme - terme de- comparaison la paralysie générale qui ''constitue, à - ,son sens, unei m
VI. Contribution A L\ pathologie et A l'anatomie pathologique DE LA PARALYSIE PROGRESSIVE; par Vacher. (AL'clv. f. l'srll. ît.
rvenl ? \llf, f.) ,Io ° L'auteur relate une observation complète de paralysie générale ayant en oliti e 1)1'éSelzté 1c syndro
ie générale ayant en oliti e 1)1'éSelzté 1c syndrome clinique de la paralysie spinale spasmodique, sans que l'examen microsco
s la rubrique : Une forme mixte, cotis/t- tuant la transition de la paralysie progressive, ci la sclérose multilocu- Liire en
e; dans le cerveau, de la congestion corticale et des lésions de la paralysie générale sans foyers scléreux nulle part. Intég
;, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION.DES cordons postérieurs dans la PARALYSIE GÉNÉRALE ? , par C.,\1'ESTrIIAL.I(.lrclv. f. Ps
i in n Ili if i ... 1 Il, - i Ï 1 (If, ,. ,). ,' t Les=deux cas de paralysie générale progressive, dont il s'agit ici, sont'
d'une machine du côté atteint),, combinées avec les symptômes de là paralysie géné- rale. On note également des tremblements
? i / REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 délire aigu relevant de la paralysie générale. « Il est certain, ajoute-t-il, que bi
its sous le titre de délire aigu, ressortissént comme celui-ci à la paralysie générale. » P. K. XXIII. SUIt LI ? l'R.\ITEllRN
soirée, il était complètement rétabli etn'of- frait aucune trace de paralysie . Le 17 mai, les mêmes phénomènes, moins les con
e à forme larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). Certaines formes de paralysie générale se manifestent aussi par des symptômes
rras de la prononciation a aussi fait penser à la possibilité d'une paralysie générale. Ce ne sont là que de simples conjectu
euses de Berlin', dans lequel l'autopsie décelait les lésions de la paralysie générale. Or, malgré l'existence d'un névrome f
emande pas davantage de spécifier si l'origine de la vésanie est la paralysie générale, l'hystérie ou l'épilepsie, mais uniquem
xante ans, M'autopsie desquels on constate à la fois des lésions de paralysie générale (adhérences, épaississement des méning
s symptômes psychiques et somatiques mixtes, relevant les uns de la paralysie générale, les autres de l'athérome plus ou moin
faire ad- mettre l'opinion de l'auteur. M. Cullerre n'admet pas la paralysie générale sénile de M. A. Voisin, qui, dans les
é une prédominance des lésions athéromateuses sur les lésions de la paralysie générale, rares ou partielles ; parce que l'adm
rale, rares ou partielles ; parce que l'admission de cette forme de paralysie générale sénile subordonnée presque uniquement
quement à l'athérome généralisé, porterait atteinte à l'unité de la paralysie générale. L'auteur, dans ses conclusions, dit q
tifs, qui ne sont pas sans analogie avec ceux qu'on observe dans la paralysie générale : quelques malades présentent de l'em-
lie. En outre, dans certains cas, il peut y avoir confusion avec la paralysie générale ; la distinction est d'autant plus diffi
alysie générale ; la distinction est d'autant plus difficile que la paralysie générale peut affecter la forme circulaire (Espia
lac'stre, Fabre, etc.) et que la folie à double forme peut comme la paralysie générale se développer concurremment avec l'ataxi
ce, l'idiotie et les vésanies. L'antagonisme de l'épilepsie avec la paralysie générale est nettement affirmé; par contre, iacoi
es faits mêmes de SI. Bénard et le myosis, symptôme principal de la paralysie du sympathique, n'est jamais VARIA. 419 signa
es d'aliénés de Itussie (1848), sa thèse d'agrégation (1853) sur la paralysie générale progressive, des mémoires variés dans
onge chez les enfants 113 20. Migraine ophtalmique au début d'une paralysie générale, par Pa- rinaud, 57. TABLE beys MATI
aire apoplectique avec anesthésie alterne, par Senator, 10 ! 1. Paralysie des mouvements associés des yeux, par l'arinaud
Paralysie des mouvements associés des yeux, par l'arinaud, 145. Paralysie isolée du grand dentelé, 360. Paralysie satur
ux, par l'arinaud, 145. Paralysie isolée du grand dentelé, 360. Paralysie saturnine, US. Paralysie générale (mal perforan
aralysie isolée du grand dentelé, 360. Paralysie saturnine, US. Paralysie générale (mal perforant du [lied dans la), par
générale (mal perforant du [lied dans la), par Christian, 2'iG. Paralysie générale, 36'i. Paralysie générale (migraine op
[lied dans la), par Christian, 2'iG. Paralysie générale, 36'i. Paralysie générale (migraine oph- Par" 1 ïSi e au (inigi,
Par" 1 ïSi e au (inigi,aiiie opli- thalmique au début d'une), 57. Paralysie générale (lésions des cor- dons postérieurs dan
Tremblement sénile, par Thébeault, 41n; dans ses rapports avec la paralysie agitante par Démange, 2 ? Tremblemeutobservé
46 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des maladies inflammatoires du cerveau, et en parti- culier de la paralysie générale. « Les violences exté- rieures exercée
, etc. Le pronostic lui paraît défavorable : 7 fois il observa la paralysie générale. Enfin l'autopsie, qu'il put pra- tiqu
is leur attention me paraît s'être portée trop exclusivement sur la paralysie générale et l'épilepsie. En 1853, dans sa thè
e d'affections et de lésions cérébrales ne soient l'origine de la paralysie générale... Tantôt c'est une chûte grave, tantô
e violente sur la tête; l'intelligence s'était fort peu développée. Paralysie générale : mort de péritonite. A l'autopsie, ad
se de fusil sur la tête; laissé pour mort sur le champ de bataille. Paralysie géné- rale. Mort à Charenton après quatre ans d
erie, quarante-huit ans. Violent coup de sabre sur la tête en 1870. Paralysie générale. Meurt à Charenton en septembre 1883,
Ils peuvent se compliquer, suivant le siège de la bles- sure, de paralysies musculaires, de perte d'un organe (oeil, nez, e
neuf ans, chute sur la tête du haut d'un trapèze : il lui resta une paralysie incomplète avec atrophie des muscles du côté gauc
erdu. Cinq ans après, premiers signes de déran- gement mental, puis paralysie générale qui nécessite son place- ment dans un
uze ans, chute. sur la tête, fracture et enfoncement des os du nez. Paralysie générale à la suite d'un séjour prolongé en Alg
ble particulier de la vision chez les paralytiques \ Au cours de la paralysie pro- gressive, après une attaque épileptiforme
Riva, dans un récent travail sur l'anatomie patholo- gique de la paralysie progressive des aliénés, ont trouvé, sur seize
itatives, soit destrutrives, et déterminant les épilepsies ou les paralysies corticales, est aujourd'hui assez sûr pour que
ibles. Con- servation relative des mouvements réflexes de la queue. Paralysie véscale et anale. Température, 39°,2. 8 juill
20, il commence à traîner la patte postérieure gauche. A Il h. 25, paralysie complète de la molilité de cette patte. OO CLIN
Mère nerveuse, névralgies, céphal- algies. - Grand'mère maternelle, paralysie faciale. - Tante ma- ternelle et arrière-grand-
rveux et jouit d'une bonne santé. - Mère, a eu il y a trois ans une paralysie faciale unilatérale, qui persiste, à la suite d
s, t. iVllI. 9 - 130 REVUE CRITIQUE. tiré de bons effets dans les paralysies oculaires. En Amérique, MM. Dana, Hammond, Mort
le P'' Char- cot, la méthode a été appliquée à 8 sujets atteints de paralysie spasmodique, à 3 affectés de maladie de Friedre
spasmodique, à 3 affectés de maladie de Friedreich, et à 4 cas de paralysie agitante. Les malades atteints deparaplégie spas-
'unejeune fille de treize ans, soignée par M. Blocq. Dans le cas de paralysie agitante, après l'appli- cation du traitement (
'impuissance liés à la neurasthénie. L'amélioration dans les cas de paralysie agitante, de myélite transverse, d'hémiplégie c
des symptômes parétiques aggravés à la suite du traitement; 5° une paralysie radiale, passagère sans doute due à la com- pre
s deux heures par les anastomoses. Ces expériences expliquent les paralysies de courte durée que certains chirurgiens ont vu
iers ou du quart antétieur des deux lobes frontaux n'a amené aucune paralysie , ni aucun trouble delà sensibilité, ni modifica
al correspondant aux aires excitables de la face externe, et que la paralysie produite par l'ablation' des gyrus marginaux se
tion accompagnée de pièces microscopiques à l'appui, relative à une paralysie de la vessie et du rectum après une précipitati
s et les cellules chromopholes. MM. GLUCK et Bernhardt. Un cas de paralysie traumatique du radial guérie par une suture sec
la bandelette optique qu'il se rend. M. PETERSSEN-13011STI : L. Des paralysies générales qui tiennent aux campagnes militaires
e), mais ce n'est qu'au bout de neuf à quinze ans que se déclare la paralysie générale classique. Absence de syphilis. Deux d
ses {ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante). Volume in-8 de 1G9 pages, a\ec 1 fig
lésions étant absolument diffuses, comme dans les démences où la paralysie générale a son terme, une telle recherche DE LA
rvir; ce sont surtout, en pathologie, les mémoires ayant trait à la paralysie générale pro- gressive qui nous ont servi, cett
annulaires, d'après Ranvier. Ce réseau de fibres est altéré dans la paralysie générale, au dire de Tuczek, confirmé par les r
VII. - B..., trente-quatre ans, commis au minis- tère de la guerre. Paralysie générale à forme démente. Entré en janvier 1879
e, mais souffrant beaucoup de céphalalgies : en 1880, il mourait de paralysie générale. L'autopsie ne me révéla aucune partic
ligence s'affaiblit, lamémoirp. se perdit, et le malade, atteint de paralysie générale, dut être placé dant un asile, où il m
is les attaques sont rares. A cinquante-deux ans, délire ambitieux, paralysie générale. A l'autopsie, vaste dépression sur le
sé d'éprouver dans la tête de violentes douleurs : il a fini par la paralysie générale. J'ai eu, depuis, l'occasion d'observe
'est plus le même, et quelques années après il estem- porté par une paralysie générale. Dans ce cas, n'est- on pas autorisé à
é à dire que la chute sur la tête a été la cause déterminante de la paralysie générale, à la- quelle le sujet avait toute cha
délire de persécutions, folie circulaire, ou dé- mence, épilepsie, paralysie générale', non pas indiffé- remment, mais suiva
n maniaque, avec des idées de grandeur, qui peut faire croire à une paralysie générale. Mais il n'y a pas de tremblement mani
de torpeur , enfin la marche de la mala- die n'est pas celle de la paralysie générale : depuis plus de 7 ans le malade reste
entre eux est plus court : Un capitaine d'infanterie, atteint de paralysie générale, est placé à Charenton. La famille, le
1 h. 46 à 1 h. 46, décompression brusque 50 secondes. A 1 h. 51 m., paralysie transitoire de la patte postérieure gauche ayant
de 8 h. 2 ni. à 9 h. 3 m., décompression 1 minute. A 10 h. ' 48 m., paralysie du train postérieur qui rapidement ascendante p
membres inférieurs et du supérieur gauche. A 6 heures environ, la paralysie disparaît avec le développement d'une sensation
plongeur se porte parfaite- ment bien, quand au bout de ce temps la paralysie commence à revenir peu à peu aux mêmes membres
cident, ce scaphandrier a pu marcher à l'aide d'un appui. Plus de paralysie du membre supérieur. A ce moment, les membres i
teurs inférieurs les expriment en tremblement, rigidité légère et paralysie ; b, les centres psycho-corticaux supérieurs, en
alogie dans l'activité de la glande thyroïde et celle des reins, la paralysie ou un affaiblissement de l'activité des reins, en
ique ; 6° démence organique et sénile ; sociétés savantes. 275 7° paralysie générale ; 8° Folies névrosiques (hystérie, épile
IER fait observer que dans la deuxième ou troisième pé- riode de la paralysie générale, alors que l'énergie motrice est souve
intéressantes, touchant le diagnostic de cette affection d'avec la paralysie géné- rale. On peut ainsi résumerrapidement les
se fonder pour les distinguer : 1° le délire hypo- condriaque de la paralysie générale a un caractère de soudaineté, d'incohé
par la morphine (Voisin); 4° l'hérédité est moins manifeste dans la paralysie générale, qui débute de trente-cinq à quarante-ci
nq à soixante ans, plus fréquente chez la femme (à l'encontre de la paralysie générale) ; le délire hypocondriaque dans la ly
M. Falret. M. BRUNET (delà Charité) traite de la spécificité DE la paralysie générale ou PÉRICÉRÉBRITÉ, suivant le nom qu'il
de Lille) communique un travail sur l'arthritisme comme cause DE la paralysie générale. Le rapport intime qui existe entre le
mps signalé par M. Charcot, se remarque aussi en ce qui concerne la paralysie générale. Sur 30 paralytiques généraux, M. Lemo
ets aux poussées congestives, c'est surtout sous cette forme que la paralysie générale se manifeste chez eux. Aussi M. Lemoin
vail sur la PROGRESSION corrélative DE la FOLIE ALCOOLIQUE ET DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ( voir plus haut le Congrès internatio
e a plus que doublé depuis quinze ans. Il en est de même des cas de paralysie générale. D'où l'auteur conclut à l'influence n
bien irrévocable. M. PIERRET (de Lyon) parlant de L'ÉTIOLOGIE DE la paralysie générale confirme et complète dans une certaine
. CHRISTIAN lit un travail sur les rapports DE LI syphilis et de la paralysie générale. Ces rapports sont nuls selon lui. Tout
iencéphalite chro- nique. Cliniquement, il n'existe pas non plus de paralysie géné- rale syphilitique et en outre, à ce point
t parfaitement bien se transfor- mer en d'autres maladies mentales ( paralysie générale par exem- ple) et aboutir à la démence
de la cocaïne. M, LAURENT présente, au sujet d'une observation de paralysie générale, quelques considérations sur la genèse
atisme peut jouer aussi un rôle étiolo- logtque (maladies mentales, paralysie agitante, etc.). Dans les cas de 7,Étilway-spii
eaucoup plus des grands processus cérébraux et en particulier de la paralysie générale. 111. DUPONCHEL fait entrevoir certain
s derniers' moments d'une femme de qua- rante-huit ans, atteinte de paralysie Labio-glosso-p7aaz°yngée, dont 111. Oppenheim a
alade en quatre mois. Les symptômes constatés furent les suivants : Paralysie avec atrophie des muscles des lèvres et diminut
des lèvres et diminution considérable de l'excitabilité électrique, paralysie de l'orbiculaire des paupières (lésions du faci
rira en détail. M. S1GMERLING. Etude clinique et statistique sur la paralysie pro- gressive chez la femme. Le nombre des femm
o- gressive chez la femme. Le nombre des femmes qui, affectées de paralysie générale, ont été admises à la Charité de Berlin
lytiques femmes des classes sociales moyennes et inférieures. La paralysie générale liante la femme surtout entre trente-six
l a vu cinq fois le mari et la femme être simultanément affectés de paralysie géné- rale ; tous deux étaient syphilitiques.
rapport est donc bien de 1 à 3,5. M. WESTPIIIL a vu trois fois la paralysie générale atteindre le mari et la femme ; dans u
malade qui, à la suite d'une chute sur le siège, est atteint d'une paralysie complète de la vessie et du rectum avec anesthé
tance de l'érection, mais impossibilité d'éjaculer, par suite de la paralysie des bulbo.et ischio-caverneux. M. OPPENIIEIM. C
déglutition, des accès de vomissement et de toux convulsifs, de la paralysie des cordes vocales, des contractions spasmodiques
ses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie 320 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. agitante). Volu
RCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE Par M. le D' Paul BLOCQ, Chef des tr
certaines observations où elle appa- raissait dans le tableau de la paralysie générale et de l'hystérie, semblèrent indiquer
n ce qui a trait aux rapports de la migraine opthahnique et de la paralysie générale.. 1. Dans les faits auxquels nous fais
ent appartenir aux prodromes, déjà si multiples et si variés, de la paralysie générale. Quoi- qu'en somme, la théorie pathogé
re la migraine ophtalmique et F hystérie. MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 323 3 l'existence de cette corrélatio
ïncidence, ou si réellement la migraine dépend dans ces cas de la paralysie générale. En effet, cette combinaison, pour vra
ns précédentes, maiscomme accident survenu dans le cours même de la paralysie générale confirmée, présente un notable intérêt
scintillant. La démarche est titubante les MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 325. mains tremblent, la langue tremb
de réelle valeur en faveur de la corrélation, du syndrome et de la paralysie générale, et de la. commune dépendance des deux
près qu'ont apparu les signes révélateurs et caractéristiques de la paralysie générale. Dans notre ' Parinaud. - Migraine oph
érale. Dans notre ' Parinaud. - Migraine ophtalmique au début d'une paralysie gêné raie. (Arch. Neurologie, 1883, p. 57.) M
né raie. (Arch. Neurologie, 1883, p. 57.) MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 327 -i observation, au contraire, la
qu'au cours de la méningo-encéphalite diffuse. Observation III. - Paralysie générale. Accès, incidents d'hémi- paresthésie,
is », tout en s'atténuant, sans s'accom- . pagner à aucun moment de paralysie . La malade ne boitait pas, .et se servait de la
L'urbiculaire des lèvres el la langue sont migraine ophtalmique ET paralysie générale. 329 animés de secousses fibrillaires
ter ici que sur la combinaison de la migraine ophtalmique avec la paralysie générale, on nous permettra de faire re- marque
s après cet accès, un an après les phénomènes vagues du début de la paralysie générale que la ma- lade fut prise d'un accès d
server de nou- - veaux exemples de migraine ophtalmique suivis de paralysie générale, et leur nombre joint aux précé- dente
ion de la migraine ophtal- mique soit au début, soit au cours de la paralysie générale, n'offre pas la seule valeur théorique
ue de ce symptôme, connaissant ces rapports de la migraine et de la paralysie géné- rale. Cet embarras de la parole n'est-il
l une combinaison des deux affec- tions ? migraine ophtalmique ET paralysie générale. 331 Eh bien, précisément la malade do
guérison à l'aide du traitement bromure', tandis que si c'est la paralysie générale qui est en jeu, on devra s'attendre à
s'accroître d'autant plus qu'on aura affaire à une de ces formes de paralysie générale dite congestive par M. Falret, forme d
'affection ne soit sympto- matique, on recherchera des symptômes de paralysie générale, et en tout cas, même en l'absence de
r la nature de cette rela- tion de la migraine ophtalmique et de la paralysie générale. Sans doute, y a-t-il là plus qu'une c
d'apparition et de succession des accidents de la migraine et de la paralysie générale, comme au point de vue anatomique la p
ne ophtalmique comme syn- drome, soit au début, soit au cours de la paralysie générale, tient à la localisation spéciale qu'a
dé- DE LA SUBSTANCE GRISE. 333 terminer, les lésions propres à la paralysie générale viennent à occuper, soit au début, soi
t plus nom- breux à cause de l'atrophie du cerveau. C'est pour la paralysie générale que cette opinion a été émise, quoique
iculier le carmin et rappelant la forme des éléments araignée et la paralysie générale. La substance blanche est infiltrée d'
un reflet jaunâtre et hyalin comparable à celui des cellules de la paralysie générale, elles sont tuméfiées et leurs prolong
les réactions excito-motrices de l'écorce cérébrale, et auquel les paralysies du mouvement et de la sensibilité générale doiv
on des cellules nerveuses de ces centres ? Rien de plus net que les paralysies motrices qui succè- dent à l'ablation et aux lé
icales ; mais de quelle nature sont ces phénomènes de parésie ou de paralysie des mouvements ? Le chien auquel on a enlevé le
es mouvements dépendant de la section corticale circonscrite, et la paralysie motrice succéder à l'ablation de la même région
de médecins et de physiologistes qui n'aient recueilli des cas de paralysie de la sensibilité générale et du mouvement, ou
serve que les lésions des parties de l'écorce qui déterminent des paralysies motrices entraînent après soi des troubles de l
s troubles de la sensibilité cutanée... accompagnent le début de la paralysie elle-même dans la plupart des cas, quelquefois mê
efois lésés - isolément. Nothnagel croit donc que l'existence des paralysies du sens musculaire sans paralysies mo- trices e
l croit donc que l'existence des paralysies du sens musculaire sans paralysies mo- trices est d'une importance capitale pour u
mportance capitale pour une con- ception théorique de la nature des paralysies corti- cales motrices. Selon lui, le lobe parié
e la circonvolution de Broca peut produire une aphasie motrice sans paralysie de l'hypoglosse; d'autre part, une lésion du te
e lésion du territoire cortical de l'hypoglosse peut déterminer une paralysie pure de l'hypoglosse. De même, une lésion du lo
pariétal pourrait produire une ataxie pure des extré- mités sans paralysie motrice, et, d'autre part, une lé- sion des cir
e part, une lé- sion des circonvolutions centrales déterminer une paralysie motrice sans abolition du sens musculaire '. Po
tion donne lieu à des phénomènes moteurs, et la - destruction à des paralysies , doivent être regardés comme «de vrais centres
teurs, et ne sont pas- autre chose. Si, au lieu d'être suivie d'une paralysie , leur destruction n'entraîne qu'une parésie des
et le retour de la motilité volontaire dans les parties frappées de paralysie , sans recourir à aucune des théories proposées
e typique à la lésion de ces ganglions. On sait aujourd'hui que les paralysies motrices dues aux hémorrhagies du noyau lenticu
d'une action à distance exercée sur la capsule interne, et que ces paralysies rétrocèdent, ce qui n'est pas le cas lorsqu'une
lètement détruits et transformés en kystes sans qu'il ait existé de paralysie motrice, pourvu que la capsule interne fût deme
'innervation motl icr dont jouis- sent ses doigts et ses mains. Les paralysies produites par les lésions de ces centres moteur
me les légers états parétiques de quelques groupes de muscles, sans paralysie ni anesthésie véritables, consécutifs aux lésio
on irrésistible à courir, à accomplir des mouvements de manège, les paralysies totales des extrémités, les contractures des mu
elle aucune vraisemblance, et a contre elle la persistance de la paralysie des mouvements volontaires chez l'homme et chez
nservée. Cette ataxie motrice des extrémités est l'effet, non d'une paralysie motrice, mais d'une para- lysie de la sensibili
aire : grâce à cet artifice, Hitzig avait pu abandonner l'idée de paralysie . » - Mais, avec son étrange pénétration, Hitzig
Ni l'un ni l'autre ne sont tombés dans l'explication banale d'une paralysie véritable. Les troubles de la motilité volontai
pation des aires excitables des membres, il n'existât qu'une simple paralysie de la sensibilité tactile des extrémités, comme
et par la vue, puisque, d'après Schiff lui-même, il n'existe pas de paralysie du mou- vement 3 ? Mais c'est des Anglais que
d'un cen- tre moteur cortical ne consistent pas uniquement en une paralysie ou une parésie du mouvement, mais aussi en une
érifier l'existence des phénomènes décrits par Munk; seulement, ces paralysies de la motilité, il ne les attribuait pas à des
ment, ces paralysies de la motilité, il ne les attribuait pas à des paralysies de la sensibilité générale, à la perte des imag
écution de tout mouvement volontaire ou intentionnel, bref, à des paralysies psychiques. Luciani soutenait que, mêlés aux vr
après l'ablation du centre cortical du membre postérieur gauche, la paralysie du mouvement et de la sensibilité s'étendrait p
totale de la zone dite motrice,' · les phénomènes de parésie ou de paralysie affectent-' ils non seulement la motilité volon
s unifor- mément à toute la moitié opposée du corps ? - Non; 'les paralysies sensitivo-motrices qui succèdent à la .décortic
illi pourront toujours répondre que la suppléance des phénomènes de paralysie peut s'ef- fectuer, au moins en partie, grâce a
consécutifs à une lésion unilatérale de la zone exci- table ; la paralysie était naturellement plus intense du côté opposé
l répète, dans ces Leçons, que, dans les monoplégies corticales, la paralysie n'est pas limitée à un membre d'un seul côté ;
ATHOLOGIE NERVEUSE I. NOTES cliniques SUR LES HÉIIORRHAGIES dans L1 paralysie GÉNÉ- RALE; par Geo. H. SAmAGE. (The Journal of
cutanée et comme indice d'un état général. Chez un homme atteint de paralysie générale à forme très aiguë, il vit apparaître
it en raison de ses rapports avec les autres hémorrhagies dans la paralysie générale des aliénés. ' R. M. C. II. SUR la pré
s aliénés. ' R. M. C. II. SUR la prétendue fragilité DES OS dans la paralysie générale; par le Dr T. CURl5TI.\N. (The Journal
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. renton sur la fragilité des os dans la paralysie générale sont au- jourd'hui bien connues, sinon
ptées; nous nous bornerons donc à rappeler que pour M. Christian la paralysie gé- nérale n'entraîne par elle-même aucun accro
une transition entre les lésions les plus carac- téristiques de la paralysie générale d'une part, et de la méningite chroniq
ue l'on sait être fatalement mortelle à une période avan- cée de la paralysie générale. Enfin, clans le troisième cas, la suf
e et des symptômes de goilre exophlhalmique. XI. Pathogénie de la paralysie AGIT.a\TE; par M. J. Teissier. (Lyon méd., 1888
le du grand sympathique (Pierrel). résulte de ces faits : 1° que la paralysie agitant ne doit plus être considérée comme une
e, en un mot symp- tomatique. G. D. XVII. Maladie DE DUPUYTREN. - Paralysie générale, arthritisme^ par le Dr Régis. (Gaz. m
almaire dans la main 440 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. droite, enfin de paralysie de l'oeil droit. Atteint bientôt après de paral
roite, enfin de paralysie de l'oeil droit. Atteint bientôt après de paralysie générale, il présente des convulsions épileplifor
vation a la réalité d'une parenté morbide entre l'arlhritisme et la paralysie générale. G. D. XVIII. Note sur un cas D'UÉMORR
uche et des membres du côté droit avec anesthésie incomplète et une paralysie des deux nerfs de la (te paire. A l'au- topsie
G. D. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. T. LE traitement i;L1'CTRIQUE DE la paralysie faciale par REfROI- DISSEMENT ; par C. EGELiSJO
ar C. EGELiSJOE<.(Ce)<)'<i ? \M ? )/e : 7<[., 1887.) La paralysie faciale rhumatismale est des plus heureusement
Dans la collection des cas de tabès paralytique syphilitique et de paralysie générale de même nature traités par lui dans ce
stic. Après avoir éliminé les cas de tabes dorsal paralytique et de paralysie générale, il nous reste 33 observations dont 29
les, les vomissements, le.' névrites (névralgies, ophthatmoptégies, paralysies des nerfs craniens de la base) témoi- gnent d'u
gt-quatre mélan- coliques, neuf hystériques, huit maniaques, quatre paralysies générales, trois folies systématiques, une hébé
des et de pièces anatomiques). - L'Observation 1 concerne un cas de paralysie bulbaire aiguë. L'auteur, après avoir fait la d
n malade, insiste sur la difficulté de distinguer sûrement entre la paralysie bulbaire franche et la pseudo-paralysie bulbair
s lésionsprincipales doivent occuper le bulbe, le^diagnostic sera : paralysie bulbaire aiguë vraie. On a affaire à une artérite
que avec thrombose et ramollissement consécutifs. - Observation II. Paralysie bulbaire chronique compliquée de para- lysie bu
à l'Assemblée. Le diagnostic a été déterminé pendant la vie par la paralysie associée des yeux, la convergence n'ayant pas sub
qui, après avoir été affecté d'accidents vasomoteurs, et surtout de paralysie vasomo- trice,estactuellement atteint d'une gan
halique, - démence après mélancolie, con- valescence de mélancolie, paralysie générale), qui, sans avoir jamais présenté d'af
e loco- motrice progressive, la sclérose en plaques, l'hystérie, la paralysie agitante; maladies auxquelles on doit toujours
on doit toujours penser quand il 1 FAITS DIVERS. 467 I s'agit de paralysies transitoires ou à répétition ou en dehors de la
iplégie liée à la sclérose en plaques d'avec l'hémiplégie liée à la paralysie générale progressive. L'hémiplégie hystérique
ve. L'hémiplégie hystérique se reconnaît à l'absence ordinaire de paralysie faciale, à la présence au contraire de l'hémispas
nocturne par la sensation de chaleur, le masque facial propres à la paralysie agitante. Charpentier. FAITS DIVERS Asiles
n Bel- gique. 469. Alcoolique (progression de la folie et de la paralysie générale), par Ramier, Ball, Régis, 279 ; - (
tic des - syphilitiques, par Nannyn, iî5. Maladie de Dupuvtren et paralysie OEénerale, par Régis, 439. Médecine légale (c
halie, par Bourneville et Camescasse, 28. Migraine ophthahmque et paralysie générale, par Blocq, 321. Musculaire (dystrop
par Percy : : imita, 268. Paraldéhyde (intoxication parla),316. Paralysie ay taute(pathoâénte delà), par Teissier, 438.
a),316. Paralysie ay taute(pathoâénte delà), par Teissier, 438. Paralysie de la vessie et du rectum, par Oppenheim, 152 ;
vessie et du rectum, par Oppenheim, 152 ; par Bet- nhardt, 300. Paralysie (labio ? losso-pharyngée), nar Remak, 297; trai
297; traitement électrique de la faciale, par Enelsk,joPn, 410. Paralysie générale (trn mt aux cam- pagnes militaires), 1
ses par la), par Raoult, 129. Syphilis (rapports de la- et de la paralysie générale), par Christian, 281; Ballet, 281. S
47 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Hallucinations psycho-motrices dans la paralysie générale; A. MARIE, n J.-B. BIJVAT, Médecin
peut porter sur les images HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES : DANS LA PARALYSIE . 3 graphiques, et on a l'hallucination psycho-m
nts épileptoïdes sont à celles des centres moteurs », l'étude de la paralysie générale, dont les lésions diffuses frappent in
sa conclusion : « Les hallucinations sont très fréquentes dans la paralysie générale, elles peuvent être observées dans tou
motrices verbales graphiques sont considérees comme rares dans la paralysie générale. Cela tient peut-être, d'une part, à ce
es à l'apogée de la phase de dynamie fonc- tionnelle initiale de la paralysie générale au début ou au déclin de périodes de c
u recueillir dans les auteurs sur ce trouble morbide au cours de la paralysie générale. La première observation est tirée d'E
livre (1SS0), fait allusion à l'existence, chez un sujet atteint de paralysie générale (diagnostic con- firmé à l'autopsie) d
é une observation personnelle complète avec examen microscopique de paralysie générale avechallu- cinations psycho-motrices v
de 1894 ; en voici le résumé : « Signes somatiques et psychiques de paralysie générale. Accès mélancoliques passagers, accès
s une thèse récente sur les hallucinations psycho- motrices dans la paralysie générale (Paris. n° 334, mai 1900), Maurice Ric
Leroy, Sérieux, en y ajoutant un cas inédit. Il estime que, dans la paralysie générale, les hallucinations - motrices verbale
'hallucinations psycho-motrices ver- bales, observés au cours de la paralysie générale, sont très peu nombreux jusqu'ici dans
n raison des lésions anatomiques habituellement obser- vées dans la paralysie générale, certains auteurs se sont demandés'si
c la généralisation très précoce dans l'immense majorité des cas de paralysie générale. M. le professeur Joffroy, dans la thè
Saint-Antoine avec un certi- ficat du U' Londe, faisant mention de paralysie générale, et, après être passé par le service d
ice de l'admission où M. Magnan a délivré le certificat suivant : « Paralysie générale avec idées ambitieuses incohérentes; h
illions en quatre ans, vivait séparée de son mari. Un oncle mort de paralysie générale. Le malade est marié, a deux enfants,
mplètement le snmmeil. 11 présente tous les signes somatiques de la paralysie générale : ses pupilles sont inégales et ne réa
éposséder. En 489a, il avait eu un ictus qui aurait été suivi d'une paralysie de l'oeil gauche. A son entrée, il se présente
nts vermicu- laires, il a un ptosis à gauche et un certain degré de paralysie faciale qui donne une dissociation mimique très
entré à Villejuif, venant de l'Asile clinique avec le diagnostic de paralysie générale, G mars 1900. Antécédents. Père viva
philis et a été traité : il s'est marié en 1886 et en 1891 a eu une paralysie faciale. Depuis cette date il a eu de fréquents
s génital étudié chez les' mêmes malades : aux trois périodes de la paralysie générale'; Par le D' E. 11.1Ra\UO\ DE \fONT1'EL
ital chez les para- lytiques généraux : . DU SENS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GENERALE. 15' Il résulterait de nos constatatio
tations que l'état normal du sens génital se trouve surtout dans la paralysie générale de l'âge moyen; en effet, notre tablea
ement après cinquante ans. Il résulte de ces deux faits que dans la paralysie générale tardive, celle survenant à la cinquant
être relevé, le sens tactile étant altéré. DU SENS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 17 altérations des deux sens quand on
les altérations du tact et les altérations du sens génital dans la paralysie générale. Le sens atgésique a été trouvé par no
, quarante-quatre ans, journalier, entré le DU SENS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 20 octobre 1891. Première période.
toutes les femmes de la terre en lançant sa semence à la ronde. La paralysie générale a évolué chez ce malade avec une extrê
ériodes et s'est éteint dans le marasme. Or DU SENS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 21 1 la fin il a conservé son impuiss
vérifiera l'exactitude de nos assertions. DU SENS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 23 Nous n'avons trouvé non plus aucun
i les altérations du sens génital aux deux premières périodes de la paralysie générale sont proportionnelles à l'intensité de
cher. Il convient de se demander si les causes qui ont déterminé la paralysie géné- rale n'exercent pas une influence sur les
in. I. En suivant les mêmes paralytiques aux trois périodes de la paralysie générale et en utilisant l'observation directe, l
nital a été constamment en croissant du début' la terminaison de la paralysie géné- rale. , IX. Il résulte de nos renseigne
en sens inverse, la première augmentant et DU SENS GÉNITAL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 -1 les deux autres diminuant de fr
ccen- tuation, elles peuvent grandement aider au diagnostic de la paralysie générale à la période prodromique, de même leur
nt en avoir, quand son mari, qu'elle aimait beaucoup, fut frappé de paralysie générale et placé à l'Asile de Ville-Evrard où
0.) Les travaux antérieurs sur ce sujet permettent de diviser les paralysies congénitales des muscles oculaires en deux catégo
ralysies congénitales des muscles oculaires en deux catégories : in Paralysies isolées; 2° Paralysies associées. Après étude d'u
es muscles oculaires en deux catégories : in Paralysies isolées; 2° Paralysies associées. Après étude d'un cas très intéressan
à la classification indiquée plus haut une troisième catégorie : 3° Paralysies complexes, carac- térisées par la réunion des é
xes, carac- térisées par la réunion des éléments suivants : ptosis ( paralysie du droit supérieur), paralysie ou parésie des d
nion des éléments suivants : ptosis (paralysie du droit supérieur), paralysie ou parésie des droits interne, externe et infér
ur), paralysie ou parésie des droits interne, externe et inférieur, paralysie ou parésie des obliques (plus rare), intégrité
huit jours après l'opération. L. D. X. Contribution à l'étude de la paralysie post-tabétique ; par , GARBINI. (Il Manicomio,
mènes dorso- lombaires. La forme clinique la plus fréquente de la paralysie générale post-tabétique est la forme maniaque.
s'écoule de trois à cinq ans entre le début du tabes et celui de la paralysie générale qui évolue plus repidement que dans la
lésions anatomiques réunissent celles des deux affections tabes et paralysie générale. L. D. XI. Sur l'analgésie épigastriqu
'aboutit a aucune conclusion bien neuve. L. D. XII. Une épidémie de paralysie spinale infantile ; par SmONL1. (Gaz : , deglio
L1. (Gaz : , degliosped., 1899,43.) L'auteur rapporte cinq cas de paralysie spinale infantile obser- vés dans le même villa
importance au rhumatisme articulaire aigu dans l'étio- logie de la paralysie infantile. Ces cinq cas furent observés dans de
re très élevée qui persista longtemps. Chez les quatre autres, la paralysie s'établit définitivement avec atrophie musculai
normaux. IL y a quatre ans, céphalalgies, et engourdissement, puis paralysie d'abord des doigts, ensuite de la main, enfin d
cidents syphi- litiques des centres nerveux y sont très rares. La paralysie générale et le tabès ne se rencontrent jamais dan
es. M. Ballet. Ceci montre bien que l'argument de la rareté de la paralysie générale chez les Arabes syphilitiques n'infirme
que tous sont syphilitiques et l'on ne rencontre jamais chez eux la paralysie générale, ni le tabès. Leur terrain n'est pas e
sthénie bulbaire et enfin dans les affections organiqups vraies les paralysies bulbaires. Chez les G4 -il SOCIÉTÉS SAVANTES.
t dans les extrémités du même côté. Le côté atteint est para- lysé ( paralysie de la face et du bras, parésie de la jambe). Les
quents. Depuis une quinzaine de jours le côté atteint est frappé de paralysie . Le nombre des accès pen- dant le séjour du mal
de trente-neuf ans, admis à l'asile en février 1898, atteint d'une paralysie générale qui se termina rapi- dement : le 14 oc
e, 1901, n° 4.) Il s'agit d'un enfant de dix ans qui présentait une paralysie complète des membres inférieurs avec abolition
s tendineux et cutanés l'auteur a été amené il conclure que dans la paralysie spasmodique s'il y a toujours une exagération d
vations IX et X mon- trent des lésions de la corne d'Ammon, dans la paralysie progrès sive des aliénés et la démence secondai
s troubles vasculaires, les auteurs ne pensent pouvoir invoquer une paralysie des centres ou des nerfs vaso-constricteurs qui
ec exagération considérable des réflexes. Ils concluent que dans la paralysie spasmodique due à une myélite dorso- lombaire i
ude de. la pathogénie des symptômes de . lésions en foyers dans la' paralysie générale des aliénes; par W. A. I)IOUIIITOW : (
es fonctions corticales autour des circonvo- lutions marginales. 3° Paralysies et spasmes temporaires et réci- divants : mydri
ence de manifestations hystériques. l'OULARD, XIX. Cas anormal ' de paralysie saturnine, suivi d'autopsie par" w Dr B." "' 0,
esease, Alarch 1900.) L'intoxication saturnine : donna lieu à une paralysie ' flaccide complète des deux extrémités inférie
onne qui a une forme complexe de migraine, avec aphasie temporaire, paralysie et paresthésie, peut un jour avoir des attaques
stoire des ascendants. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 145 XXII. Paralysie de Landry; par Philip COOMBS KNAPP et John Jenks
d Mental Desease, février 1900.) Il s'agit de trois nouveaux cas de paralysie de Landry dont un avec autopsie. · Résumé du
mme bien portante est subitement prise de faiblesse et plus tard de paralysie des membres inférieurs, s'étendant aux bras, au
Homme bien portant subitement pris de faiblesse des jambes, puis de paralysie complète s'étendant aux muscles abdominaux, aux
subitement pris de faiblesse dans les jambes, augmentant jusqu'à la paralysie complète et s'étendant aux muscles abdominaux et
n : Ces trois cas présentent trois terminaisons diffé- rentes de la paralysie de Landry, et en même temps invitent à quelques
'aux nerfs crâniens. ' Bien que la substance toxique qui produit la paralysie de Landry soit, comme le plomb, élective, et se
f. Ces caractères se sont vus, bien que rarement, dans des cas de paralysie de Landry. Dans les deux cas qui guérirent il y e
muscles au faradisme. Un des carac- tères les plus frappants de la paralysie de Landry, qui fut donné par Landry lui-même et
et confirmé- depuis par la majorité des auteurs, est l'existence de paralysie complète sans atrophie mus- culaire et sans cha
dans les réactions électriques. Westphal, en 48 îfi, définissant la paralysie de Landry, disait qu'elle était caractérisée pa
ucider. Depuis qu'il est établi que les lésions anatomiques dans la paralysie de Landry sont une dégénération des neurones mo
ectriques demandent un certain temps pour se développer, et dans la paralysie de Landry la mort peut survenir avant que ses s
blance très marquée, les symptômes de la synngomyélie, atrophie et paralysie des muscles de l'épaule, avec des contractions fi
s remarquable, cette disso- ciation sensitive était unilatérale. La paralysie revêtait le type hémiplégique, et le symptôme d
ion sensitive était entièrement limité au côté opposé à celui de la paralysie . C'était le syndrome Brown-Séquard, modifié cep
baiguë par compression. La .paralysie brachiale des nouveau-nés, la paralysie musculo-spinale des buveurs, la paralysie des p
hiale des nouveau-nés, la paralysie musculo-spinale des buveurs, la paralysie des porteurs de béquilles sont des affections a
té de la compression, le début est soudain ou graduel; le summum de paralysie est atteint en un jour ou après des semaines. D
les boues de Dax sont très efficaces dans de tels cas. , 1 Tic et Paralysie . M. Ballet rapporte le cas d'un homme de soixan
gaire non douloureux de la face depuis trente-sept ans. Survint une paralysie faciale, le tic disparut et ne reparut pas après
faciale, le tic disparut et ne reparut pas après la guérison de la paralysie . Paralysie- totale et isolée de la troisième pa
. AcuARD et LOPOLD LEVI. Lorsqu'une lésion pédonculaire produit une paralysie de la 3° paire, elle détermine le plus souvent
e ; c'est le syndrome de Weber. Pour qu'elle produise seulement une paralysie isolée de la 3" paire, il faut qu'elle soit lim
s chez une vieille femme, à la suite d'une attaque apoplectique. La paralysie de la 3e paire était totale; la face et les mem
ples chez un jeune homme dégénéré infantile. Lymphocytose dans la paralysie générale et la méningite tuberculeuse. MM. AN
but plaidait donc en faveur de la lésion vasculaire précoce dans la paralysie générale. La nèvroglie dans la paralysie généra
vasculaire précoce dans la paralysie générale. La nèvroglie dans la paralysie générale. M. ANGLADE au moyen de son procédé pe
la base avec compression de toutes les origines oculomotiices. . Paralysie du grand hypoglosse. MM. P. Marie et GUIL.11N p
repos dans la bouche elle est déviée du côté sain. Il s'agit d'une paralysie périphérique par compression du grand hypogloss
e et des tendances comme seuls prodromes appré- ciables d'un cas de paralysie générale survenu à la suite de l'écrase- ment d
ns cette position donnée ni sans retomber brutalement comme dans la paralysie flasque. On ne constate pas de diathèse de cont
e utile dans certaines affections nerveuses et spécialement dans la paralysie Dénérale..1. SGLA=. XXXVI. Modifications de str
ès étendues. - J. Vécus. XLIII. Sur l'anatomie pathologique de la paralysie de Landry; par le Dr P. GUIZZETTI. (Rio. sp. di
andry; par le Dr P. GUIZZETTI. (Rio. sp. di fren., fasc. 3-4.) La paralysie de Landry est d'ordinaire, peut-être même toujour
es germes dans le tissu nerveux, on doit distinguer deux classes de paralysies de Landry : 1° l'une, directement para- sitaire
s parties les plus délicates de l'élément nerveux. Dans tout cas de paralysie de Landry, pour l'appréciation des altérations,
D'ANATOMIE.ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. g;21) Les lésions de la paralysie de Landry paraissent toujours récentes en raiso
mps de se développer. Il convient aussi de remarquer l'existence de paralysies développées dans des territoires nerveux où les
mieux encore les améliorations rapides, partielles ou générales des paralysies . Au point de vue technique, dans les cas de par
énérales des paralysies. Au point de vue technique, dans les cas de paralysie de Landry, surtout à symplômes spinaux, pour dé
et de la face postéro-interne des extrémités postérieures. 2° De la paralysie du mouvement des deux pattes postérieures, avec
rieures, avec réaction dégénérative des muscles paralysés. 3° De la paralysie des sphincters, de la vessie, et du rectum. Che
s quelques cas même, sur la face antérieure de la jambe. ,u.° De la paralysie du mouvement aux extrémités inférieures, avec m
ent aux extrémités infé- rieures, il peut ne pas y avoir du tout de paralysie motrice de ces membres. 3° De la paralysie du r
e pas y avoir du tout de paralysie motrice de ces membres. 3° De la paralysie du rectum et de la vessie. 4° De l'im- potence
s le cas inverse. ' P. KEHAVAL. XLVII. Altérations spinales dans la paralysie agitante; par Max Nonne. (The hree·icca7z Journ
it publié dans ce même journal (Nov. 1899) un article sur un cas de paralysie agitante, dont il avait fait une étude anatomiq
terstitiel. De ces faits, Dana tire une opinion pathogénique sur la paralysie agitante. Cette maladie résulterait d'une altér
trouve dans les moelles séniles et celles qu'on voit dans le cas de paralysie agitante. Les modifications décrites par Dana r
admettre que ces constatations puissent être en corrélation avec la paralysie agitante. D'après Sander, il serait bon. puisqu'i
bon. puisqu'il y a prolifération de névroglie dans tons les cas de paralysie agitante ceux de Dana et d'Oppenheim excptés -
extrémités infé- 'Qnres, douleurs que la fatigue exaspérait. Pas de paralysie , pas d'incoordination des'mouvements, pas d'ane
pondérant en tout cas, au dire de tous. Et dès lors, le tabes et la paralysie générale vont nous appa- raître, sinon comme de
it le délire aigu à la manie vésanique, à la manie congestive, à la paralysie générale. Brierre de lioismont le séparait de l
bing, l'hyperexcitabilité muscu- laire dans la première période, la paralysie toxique du pharynx et du voile du palais dans l
hypodermiques. Sur 24 malades ainsi traités, il y avait 1 tabes, 1 paralysie générale, 4 psychoses, 6 tics, obsessions, phobie
uelques membres rap- pellent les travaux de Morel, de Lucas, etc. Paralysie générale juvénile. M. Devay. - La paralysie gén
Morel, de Lucas, etc. Paralysie générale juvénile. M. Devay. - La paralysie générale survenant chez les jeunes sujets longt
le professeur Lépine, qui l'envoie à l'Asile avec le diagnostic de paralysie géné- rale. A l'entrée, étal mental. On const
ne de l'autre par la forme démentielle habituellement notée dans la paralysie générale juvé- nile. M. Régis. La paralysie g
llement notée dans la paralysie générale juvé- nile. M. Régis. La paralysie générale juvénile,- quoique rare, est plus fréq
. , 275 1\11\1.. B.\LLET et Brissaud sont persuadés en effet que la paralysie générale, les affections parasyphiliques, de mê
u rôle prépondérant joué par la syphilis dans la production de la paralysie générale : en même temps ils accentuent la différ
olie proprement dite. 4. Nouvelles recherches sur l'Étiologie de la paralysie générale; par le or Gaston BoYER. L'Etiologie
la paralysie générale; par le or Gaston BoYER. L'Etiologie de la paralysie générale offre un intérêt considérable tant au
vis de tous les auteurs, la syphilis est une cause principale de la paralysie générale qui apparait de préférence chez des indi
ient première paralytique. La syphilis est si bien la cause de la paralysie générale qu'elle peut produire cette dernière c
ent imaginaire et si son délire n'a été que de courte durée. 13. La paralysie générale chez les religieux (contribution à l'étu
ale chez les religieux (contribution à l'étude de l'étiologie de la paralysie générale) ; par le Dr A. CABOUREOU. L'étiologie
la paralysie générale) ; par le Dr A. CABOUREOU. L'étiologie de la paralysie générale reste encore discutée et con- troversé
Afin d'éclairer cette étiologie, l'auteur a étudié spécialement la paralysie générale chez les religieux. De son enquête, il a
x. De son enquête, il apparaît qu'on ne rencontre qu'un seul cas de paralysie générale sur 50 alié- nés, encore ne s'agit-il
ne s'agit-il que des religieux hommes, car chez les religieuses, la paralysie générale est totalement inconnue. La rareté de
ses, la paralysie générale est totalement inconnue. La rareté de la paralysie générale chez les religieux ne tient qu'à la ra
tient qu'à la rareté chez eux de la cause vraiment efficiente de la paralysie générale : la syphilis. L'existence'de la syphi
ale : la syphilis. L'existence'de la syphilis dans plusieurs cas de paralysie générale chez les religieux, où on a pu la recher
hercher suffisamment, vient à l'appui de cette opinion. 14. De la paralysie générale simple, démente ou sans délire ; par l
ar le Dr Dorrou, médecin de la Marine. , Il existe réellement une paralysie générale simple, démente ou sans délire. Du gra
servations rapportées par l'au- teur, il ressort que cette forme de paralysie générale est très fré- quente, car on la rencon
, mais encore et surtout en dehors des asiles. Pour M. Duffou, la paralysie générale sans délire constitue la forme type de
u pyramidal ; celles-ci sont assez comprimées pour déterminer de la paralysie , mais elles sont sur- tout excitées. Leur excit
o- piques les plus accentuées. POUL,RD. XXXI. Un cinquième cas de paralysie familiale périodique ; par Léo M. Crafts. (The
of the médical Sciences, juin 1900.) L'auteur rapporte un cas de paralysie familiale périodique, qui joint aux observation
ction une entité morbide distincte. La périodicité des attaques, la paralysie motrice flaccide, la perte des réflexes, les modi
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des cobayes, amena chez ces animaux une paralysie , qui disparut graduellement en quarante-huit he
nstatation plaide fortement en faveur de l'origine toxique de cette paralysie pério- dique. P. XXXII. Un cas de paralysie d
gine toxique de cette paralysie pério- dique. P. XXXII. Un cas de paralysie de Brown-Séquard ; par Richard-F. WooDS. (The A
c : cta Journal of the médical Sciences, juillet 1900.) Ce cas de paralysie de Brown-Séquard eut pour cause un coup de cout
auteur ont porté sur 10 malades : dans 40 p. 100 des cas il y avait paralysie des muscles oculaires; dans GO p. 100 il y avai
on siège dans l'écorce occipitale. De même pour la moelle : dans la paralysie hystérique les cel- lules motrices individuelle
ésie) ou affaiblissement de la décharge cortico-motrice (pa- résie, paralysie ) ; 2° exagération de l'impulsion entrante (hyper-
la langue, déviée à gauche, régurgitation des liquides par le nez, paralysie partielle du côté gauche de la face.' et tic do
ançais et fréquent au contraire d'observer des formes abortives. La paralysie , sans indication de nature, n'a aucune valeur dia
ure, n'a aucune valeur dia- gnostique. Il y a pourtant une forme de paralysie fiasque qui ne se rencontre que dans l'hystérie
ion prise à l'hôpital militaire de Marseille d'un malade atteint de paralysie intermitlente des sphincters anal et vésical su
uite 1). Séance du 2 août (soir) à Saint-Pricsl- Taurion (suite). Paralysie générale juvénile. Voici le texte complet des r
viennent aug- menter le nombre progressivement croissant des cas de paralysie générale juvénile qui, aujourd'hui, s'élèvent e
les preuves micro- graphiques, qu'il s'agissait bien réellement. de paralysie générale. Dans les cas de M. Devay, la syphilis
tre signalé et examiné de plus près. En ce qui concerne l'âge de la paralysie générale juvénile, je crois qu'il importe de bi
entendre suri ses limites. Cela est d'autant plus nécessaire que la paralysie générale juvénile, avec sa symptomatologie et s
urd'hui bien établies, n'appartient à la même série de faits que la paralysie générale survenant entre vingt-cinq et trente a
-cinq et trente ans. Pour ma part, je serais disposé à admettre une paralysie générale juvénile, débutant entre douze et ving
, enfin et si l'existence vient à en être réellement démontrée, une paralysie générale infantile. , , De la dégénérescence
de M. Pailhas et lui adresser de vives félicitations. . Un cas de paralysie générale à début anormal ; par M. le D'' Pailha
nerf facial dans l'oreille moyenne. Ils rappellent la fréquence des paralysies et aussi, et c'est là le côté important de la q
nication. Comme conclusion, les auteurs disent que la fréquence des paralysies , des parésies et des spasmes d'origine otique e
des accidents hystériques tels que mutisme, aphonie, tics, chorée, paralysie , paraplégie, contracture, convulsions, dysphagie,
la forte proportion de 35,3 p. 100 ; aussi souvent donc que dans la paralysie générale; mais bien plus souvent le phénomène a
confirmer des faits déjà observés, c'est l'extrême .fréquence de la paralysie générale chez les Israélites. Il. DE luSGRA VE-
XVIII. Contribution à l'anatomie morbide et à la pathologie de la paralysie générale des aliénés; par David ORR et Thomas Phi
ur nature une opinion précise. En ce qui touche la pathologie de la paralysie générale, il semble qu'il y ait là une affectio
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 nion dogmatique sur l'étiologie de la paralysie générale, maladie encore si peu connue ; mais i
'exception de ce qui concerne une seule de ses formes, à savoir, la paralysie générale associée au tabes vrai. Dans cette mal
diotie, sans faire de distinction entre les cas où il y avait de la paralysie et ceux où il n'en existait pas. Il divise ces
ouvenir dans ce cas que la mydriase alternante se rencontre dans la paralysie générale au début, et aussi qu'elle peut coïncide
s, dont l'âge variait de sept à quinze ans. Neuf étaient des cas de paralysie cérébrale infantile, et dans tous les cas, sauf
sans rien toutefois qui rappelât les troubles d'articulation de la paralysie générale. Le réflexe du genou était exagéré chez
outes les réactions. C'est l'inverse de ce que l'on observe dans la paralysie générale où le plussouvent la réaction de conve
démêler, parce que les facteurs étiologiques de l'idiotie et de la paralysie cérébrale infantile sont nombreux : mais on est
x que l'on a coutume de rencontrer dans les périodes avancées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de syphilis
a guérison. On connaît la fréquence de l'épilepsie au début de la paralysie générale : elle est caractérisée par l'absence de
acquises sont dans la proportion de 6 p. 100; il s'agit surtout de paralysie générale. La plupart des sujets examinés sont des
restent immobiles parce qu'ils se croient de verre. 1 J. Séglas. Paralysie générale et tic aerophagique. Semaine médicale,
duc- tion. Toutefois on peut en rencontrer surtout au début de la paralysie générale. Déjà, M. E. Brissaud2 avait dit : « Par
ts appartiennent en effet, par- fois à la période prodromique de la paralysie générale pro- gressive. » M. Séglas a publié
servation de stéréotypie (tic aérophagique) survenue au début d'une paralysie générale. Voici une autre observation recueilli
ire de l'Académie royale des Sciences, 1738. ' , . ° lllacario. Des paralysies dynamiques ou nerveuses, 1859. - " Archives, 2e
r des lésions organiques. Si nous laissons de côté naturellement la paralysie générale, la syphilis cérébrale, l'alcoolisme,
ut-être les allures des cellules plastiques de Alarschallco dans la paralysie générale fournissent-elles une indication à la
ineuses des modifications des cellules nerveuses corticales dans la paralysie générale ; par George A. WATSON. (The Journal o
cinq semaines, douleur vive et tintements à l'oreille gauche, puis paralysie du côté gauche de la face, aveclagophthalmos et
polynévrite du membre inférieur gauche et chez un homme atteint de paralysie spinale syphilitique de Erb. Ce réflexe achillé
à l'étude de l'anatomie pathologique et de l'is- topathologie de la paralysie générale; par SOURnANOFF et GEIER. (Nouv. Icono
l'exception des phénomènes latents ou post-hystériques tels que la paralysie ) disparaître dans un délai qui varie de vingt-q
ns de l'ouïe chez l'idiot. Prix Sémelaigne (1903). Historique de la paralysie générale. hI. B. Séance du 20 mai 1901. Prési
rticaux très voisins. Les lésionszzéuropatlciyues du cortex dans la paralysie générale. M. Marchand expose que la méthode de
ert, élective pour la névroglie, peut permettre de voir si, dans la paralysie générale, la lésion débute par la cellule ou le
FFROY rapporte l'observation d'un alcoolique nullement soupçonné de paralysie générale dans le liquide céphalo-rachidien duqu
ut pris d'agitation et présenta pour la première fois des signes de paralysie générale qui se sont graduellement complétés.
gnostic d'al- cooliques chroniques avec lésions méningitiques et de paralysie . générale au début, est extrêmement délicat. I
uspend le traitement. Considération sur le délire des actes dans la paralysie générale. M. Truelle communique une étude sur l
. M. Truelle communique une étude sur le délire des actes dans la paralysie générale, d'où il résulte que les troubles de l
donc pour constituer la majeure partie des actes morbides, dans la paralysie générale, que les actes volontaires. Selon l'or
ffaiblissement spécial des facultés intellectuelles. Ainsi, dans la paralysie générale la démence globale et progressive donne
bstituait à cet individu. SOCIÉTÉS SAVANTES. 541 t Imbécillité et paralysie générale juvénile. M. 'l'oULOUSE fait, au nom d
nom de \L-Marchand et au sien, commu- nicàtion d'une observation de paralysie générale chez une jeune fille de quinze ans, ch
men micrographique prouva qu'il s'agissait réellement d'un cas de paralysie générale juvénile. L'observation montre combien
ie générale juvénile. L'observation montre combien le diagnostic de paralysie géné- rale est difficile, quand cette maladie s
avait subi une diminution de poids comme on en ren- contre dans la paralysie générale. Le diagnostic s'étayait d'ailleurs su
semble que le diagnostic qui résulte de l'observation est celui de paralysie générale survenue chez une imbécile. M' TOULO
ogique, par . Botton, 520. des modifications des cellules dans la paralysie é- nérale, par Watson, 520. - des altérations
érillon, 67. L'- et son traitement, par Crocq, 360. HYPOGLOSSE. Paralysie du grand -. part'.Marie et Guillain, 157. Hyp
par Truelle, 540. Imbécillité et - juvénile, par Toulouse, 541. Paralysie . Une épidémie de spi- nale infantite, par Simon
chicocaïnisa- tion, par Marchand, 342. TABi' : TIQUE. Etude de la paralysie post -, par Gardini, 41. Ther- mogenèse des -
par Ley, 40. Extrait dans la folie, par Ba- brocq, 535. Tic et paralysie , par Ballet, 154. Torticolis. Deux cas de menta
48 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ne attaque d'apoplexie, sans perte complète de connaissance et sans paralysie des extrémités. Vomissements violents et répétés.
nt abaissée il droite (du côté opposé à la lésion). Du reste pas de paralysie faciale ; le malade siffle, grimace, fait la moue
en plus lente, non scandée. La voix voilée est faible comme dans la paralysie labio-glosso-Iaryngée. La res- piration a disti
Le nerf moteur oculaire externe était atteint d'un certain degré de paralysie à gauche, et l'on remarquait un peu deptosisde
les vomissements, l'anarthrie et les autres mani- festations d'une paralysie bulbaire aiguë. Un fait qui mérite d'être signa
ubles transitoires comme relevant, ainsi que nous le verrons, d'une paralysie hystérique, ces der- nières étant, on le sait d
nflement et du retrait de l'abdomen chez notre malade, invoquer une paralysie momentanée de la musculature lisse de l'intestin,
qu'il y a là quelque chose de très comparable à la disparition des paralysies et des contractures hys- tériques. Ce n'est l
l'avait déjà soutenue (10). M, Paul Regnard pense également que la paralysie des muscles lisses intestinaux joue le plus gra
la tympanite hystérique. Ferret et Straus (11) invoquent de même la paralysie et l'atonie des libres muscu- laires de l'intes
assification des causes qui produi- sent le météorisme, parle de la paralysie hystérique. Axenfeld et lluchard(12), dans leur
hystériques, n'hésitent pas non plus à rattacher le tympanisme à la paralysie transitoire ou durable des muscles de l'intestin.
ut à la difficulté d'interpréter physiologiquement le phénomène. La paralysie des fibres musculaires lisses de l'intestin n'est
ntenus (a). Si, dans certains cas, les hystériques sont sujets à la paralysie de l'in- testin, ne sait-on pas également qu'il
s très probablement de points sténoses. L'éclat et l'évidence des paralysies hystériques portant sur les muscles de la vie d
constata : vision presque nulle ; voyait à peine une lumière; sans paralysie oculaire elle présentait une atrophie papillaire
es, réflexes lumineux et de l'accommodation perdus. Il n'y a pas de paralysie oculaire d'aucune sorte. A l'examen oplltalmoscop
u- jours delà main et du bras gauche ce qui paraîtrait indiquer une paralysie du côté droit. A l'examen on ne note pas de dif
et 4" paires, compression cependant insuf- fisante pour produire la paralysie , peut-être efficace pour supprimer des fonction
e diminuée, céphalalgie diffuse, réflexes rotuliens normaux, pas de paralysie , pas de con- tracture. 112 F. SOCA 1er octo
rappellera que l'examen clinique n'a pas montré la moindre trace de paralysie oculaire. Dans l'espèce la chose fut assez emba
aient déterminé dans la tu- meur. Pourquoi donc n'y avait-il pas de paralysie ? La raison fondamentale la voici : Ce que je m
nçais. Nous connaissons en outre fort bien l'existence de certaines paralysies localisées atteignant surtout le facial et le c
s paralysies localisées atteignant surtout le facial et le cubital, paralysies étudiées par Buzzard, Fournier, Boix, Brunsgaar
be ou le comprime ? tette théorie paraît bien vraisemblable pour la paralysie faciale qui peut s'accompagner d'autres acciden
sciatique. Enfin Brunsgaard et Barthélémy auraient constaté dans la paralysie du cubital à la période secondaire une hypertroph
nismes, méningite, gommes des nerfs, ostéite, et le mécanisme de la paralysie isolée ducubital resterait doncencore inconnu.
Résumé clinique : Syphilis ,grave le 1. cr mai 4899, apparition de la paralysie des extenseurs du poignet le 14 nzai ; atrophie
inue à s'aggraver, le délire persiste et le 14 mai apparition de la paralysie dans la main droite qui devient tombante ; bien
dans la main droite qui devient tombante ; bientôt apparition de la paralysie dans la main gauche et ces troubles sont surven
e seule. Les injections solubles de mercure paraissent améliorer la paralysie de la main droite qui récupère quelque mouvement
aspect des mains (PI. XXIX). Les mains sont tombantes comme dans la paralysie saturnine mais disons immédiatement que le long
e. En janvier le malade quitte la Salpêtrière conservant une légère paralysie de la main droite et une paralysie plus accentu
alpêtrière conservant une légère paralysie de la main droite et une paralysie plus accentuée de la main gauche. Ainsi sous l'
ki à la Pitié). Résumé : Syphilis le le, octobre 1895 ; début de la paralysie le Il octobre ; atro- phie musculaire avec DR,
ales et alopecie. On constate en outre une atrophie musculaire avec paralysie Ilaccide portant sur les muscles des pieds et d
de des troubles nerveux mal- gré des injections de calomel. Bientôt paralysie complète des 4 membres avec atrophie musculaire
rvenir, avec ou sans phénomènes associés de syphilis cérébrale, des paralysies lentement progressives, et à caractères pé- rip
ieures. La participation des racines antérieures se traduit par des paralysies motrices diverses. A l'autopsie, absence de tou
st conservée. Engourdissement passager des membres en 1884 ; pas de paralysie vraie. Pendant l'été de 1884, lésions trophique
mettre dans un cadre a part, le malade de Kahler qui a présenté une paralysie des nerfs faciaux et oculo-moteurs dues à des g
PHILITIQUE 167 leurs généralisées, les troubles des sphincters, les paralysies rapides, dis- séminées sans ordre avec particip
édul- laire et non périphérique, une paraplégie flasque subite avec paralysie précédant et dominant l'atrophie musculaire, le
ès légers, nous voyons au surplus que chez notre deuxième malade la paralysie a gagné rapidement les quatre membres pour se l
très différente de celle constatée dans la poliomyélite typique, la paralysie infantile, nous porte à penser que dans l'espèc
roubles de l'idéation et de la mémoire comme on l'ob- serve dans la paralysie alcoolique, constater que dans la fonde motrice à
bras le long supinateur n'est pas épargné comme on le voit dans la' paralysie saturnine, mettre en évidence l'intégrité des mus
'intégrité des muscles du voile du palais pris au contraire dans la paralysie diphtérique ; mais l'ab- 168 R. CESTAN sence
ne lésion bilatérale de cette région pourra déter- miner une double paralysie alterne supérieure. C'est un fait de ce genre q
. A son entrée,on fut surtout frappé par l' hémiplégie gauche et la paralysie de la troisième paire droite. Il s'agissait d'h
ntement, par secousses successives. Du côté de l'oeil, il y avait 1 paralysie totale et complète du nerf moteur oculaire commun
y avait donc, chez cette malade, hémiparésie droite associée .a.une paralysie partielle et incomplète de l'oculo-moteur gauch
cation notable ; l'état intellectuel s'aggrava progressivement, une paralysie des sphincters s'établit, et la malade finit pa
commun, et quelques fibres seulement du faisceau-pyramidal. Or, la paralysie de l'oculo-moteur est totale et complète, et l'hé
ne pouvait pas mar- cher ni faire aucun mouvement du bras droit. La paralysie des membres lui donnait l'impression de ne plus
et d'engourdissement dans les membres paralysés. Il n'y a pas eu de paralysie ni de spasmes du côté de la face. L'exploration
a jambe paralysée ; elleporte d'abord le tronc du côté opposé il la paralysie et appuie tout le poids du corps sur le mem- br
d balaye (sweeps) le sol. Cela, je pense, est caractéristique de la paralysie hysté- rique. , (1) Todd, Clinical lectures o
tionnelle. Dans le pas antérieur, à cause de la prédominance de la paralysie de certains muscles, nous voyons dans l'hémiplé
rique et les trou- bles de la marche dans cette affection, c'est la paralysie flasque de tous les muscles des membres touchés
aralysie flasque de tous les muscles des membres touchés. C'est nne paralysie massive, et ce fait nous UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HY
ystème nerveux, telles que le tabes (obs. de VIadelun, deBouju), la paralysie générale (obs. de Targowla), la sciatique (ohs.
torique. C'est en 1844 que nous trouvons la première observation de paralysie traumatique. Elle est due à un médecin de Lyon,
'il est suffisamment conscient, il se rend compte de lui-même de sa paralysie , soit qu'il essaie de parler, d'appeler, soit q
près de trois mois. Dans les premiers temps on a remarqué aucune paralysie , mais on ne peut l'affirmer attendu qu'on faisa
e, le bras droit est paralysé et la sensibilité est diminuée. Cette paralysie postopératoire est vraisemblablement due, d'apr
cérébrale. Cette interprétation est d'autant plus admissible que la paralysie disparut totalement au bout de 10 jours... Deux m
e y porte automatique- ment la main gauche à chaque instant. Pas de paralysie faciale. Lemembre supérieur droit estlesiège d'
Pas de paralysie faciale. Lemembre supérieur droit estlesiège d'une paralysie motrice complète,aucun mouvement des doigts de
Mathieu en 1888 que nous allons citer à propos de l'influence de la paralysie trau- matique sur le développement des enfants.
ec difficulté, il traîne la jambe et avance le pied en fauchant. La paralysie du bras est plus grande que celle de la jambe e
t. La paralysie du bras est plus grande que celle de la jambe et la paralysie de la main est surtout marquée. Pendant les deu
nts saccadés violents ont cessé....... mais on a constaté alors une paralysie gauche comprenant la face (impossibilité de fer
taient contractées, la droite un peu plus que la gauche......... la paralysie siégeant ,¡ gauche, l'anesthésie était complète à
dans un état absolument normal. Du côté droit il n'y avait pas de paralysie motrice, mais une perte définitive de la sensat
emps que l'hémonhagie met il former un foyer capable de produire la paralysie ) sont extrêmement variables. Dans un cas elle s
personnel, il se serait écoulé plusieurs années entre le choc et la paralysie , mais vu la difficulté d'interroger un malade d
jets avec sa main droite pour appeler à l'aide ; car, à cause de sa paralysie faciale il ne pouvait crier que très difficilemen
bien apparaître et se développer tardivement et progressivement la paralysie . Observation XI. Le 11 septembre 1897 un jeun
gnet gauche. Lui-même, dit-il, ne s'était pas aperçu de ce début de paralysie . Le lendemain, en s'éveillant, il ne put se lever
miplé- gie organique. Etablie progressivement, flasque au début, la paralysie ne s'est compliquée de contracture que quatre m
nière observation on assiste bien réellement à la nais- sance de la paralysie . Cette dernière une fois constituée ne présente d
e immédiate. Dans le cas suivant du professeur von Krafft-Ebing, la paralysie tardive se complique d'hémicranie. En voici le
ines le malade était encore au lit et offrait tous les signes d'une paralysie ,. comme il n'était pas alcoolique et qu'il n'avai
oolique et qu'il n'avait pas souffert d'un « trauma capitis » cette paralysie demeurait incompréhensible à moins de l'interpr
tre remarqué un affaiblissement de la mémoire, en même temps que la paralysie survenait. Le professeur Krafft-Ebing signale e
n de signes .qui d'après lui doivent toujours éveiller l'idée d'une paralysie et servent au diagnostic avec l'état neurasthén
territoire atteint ; de sorte qu'on se trouverait en présence d'une paralysie d'origine corticale. L'hémicranie ophtalmique a
celle qui apparaît chez de jeunes sujets, le signe cons- tant d'une paralysie à venir. L'hémicranie ou simple migraine peut s'y
act, à la pression) et de la sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des muscles de l'oeil droit avec abolition des
a pression. Diminution de la sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des muscles de l'oeil droit avec abolition des
sans canne, rappelant de suite la démarche des malades atteints de paralysie des muscles extérieurs des lombes. Observatio
s épigastriques. Douleurs fron- tales en casque. Crises gastriques. Paralysie double du posticus, avec contrac- ture des abdu
termittent, ' sans ptose palpébrale véritable, sans strabisme, sans paralysie des muscles moteurs du globe oculaire. Quelque
douleurs fulgurantes. Chute spontanée des dents. Ptosis gauche avec paralysie du droit interne droit. A 48 ans, douleurs' en ce
ait une chute de la paupière supérieure gauche, coïncidant avec une paralysie du droit interne de l'oeil droit. L'année suiva
penché en avant, le tronc voûté et soudé, à la façon du début de la paralysie agitante. Dans les mouvements du rachis ou dans
. J'y joignais l'étude de la marche dans l'ataxie locomotrice et la paralysie agitante, ceci dit pour éviter des réclamations
l'occlusion, ni froncer énergiquement les sourcils. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'oeil, tous les mouvements isolés
xamen de notre second malade. Membres supérieurs. - Aucune trace de paralysie , la résistance aux mou- vements passifs de flex
ire fonctionne normalement. Motilité des membres supérieurs. - Ni paralysie , ni atrophie musculaire. Au dynamomètre : main
nutes pour l'écrire (Fig. z) : Motilité des membres inférieurs. -Ni paralysie , ni atrophie. Il éprouve seulement un peu plus
s nouveaux sont à signaler; la diplopie, bien qu'il n'existe aucune paralysie appréciable des muscles des globes oculaires et
t tremblée; mais l'atonie proprement dite l'ait défaut; il n'y a ni paralysie , ni diminution de l'énergie musculaire.' Le sig
ousses nystagmiformes ont été vues chez la plupart des malades, les paralysies oculaires existent assez souvent. Aux observa
tension à d'autres organes, bulbe ou protubérance, c'est-à-dire des paralysies de la sensibilité ou de la motricité. Le tabe
e c'est le cas dans la sclérose en plaques. Les malades atteints de paralysie pseudo-bulbàire ont des troubles de la marche,
es membres, le rire et le pleurer spasmodiques appar- tiennent à la paralysie pseudo-bulbaire et la distinguent nettement de
t la proximité des zones motrices corticales pourrait expliquer une paralysie . D'habitude cette dernière survient par lésion
sque, dans cette région, survient une fracture avec enfoncement, la paralysie , l'apha- sie s'expliquent facilement. En effet,
n et le seul fait de l'enfonce- ment d'un fragment d'os explique la paralysie par compression, sans compter que les esquilles
tismes, même atteignant la substance cérébrale, n'entraînent pas la paralysie . Lépine (thèse agrégation, 187;;) signale une h
ais comme au bout d'un certain temps ils présentaient des signes de paralysie , ils s'alitèrent, et moururent. A l'autopsie on t
insi qu'on le sait. Mais, en revanche, elles peuvent conduire à des paralysies bien nettement déve- loppées. En effet, si el
xplique donc la naissance d'hé- miplégies et, suivant son siège, la paralysie sera simple (lésion de la capsule interne, du c
quée : de troubles psychiques (région antérieure de la capsule), de paralysie du moteur oculaire commun (lésion des fibres ra
n hématome de la dure-mère de l'hémisphère opposé au traumatisme et paralysie col- latérale, ou bien il y a une hémorrhagie s
ans la substance cérébrale, du même côté que du traumatisme, et une paralysie contra- latérale. Mais il ajoute que la premièr
thèse est peu vraisemblable et qu'eu ce qui concerne la seconde, la paralysie contra-latérale n'est pas fatale. \ En effet,
trouvé six cas d'hémiplégie non croisée, c'est-à-dire six cas où la paralysie se serait produite du même côté que celui où a
culaire, plus ou moins proche des centres gris pour expliquer cette paralysie . Lésion qui a fort bien pu être favorisée par u
malade l'usage de ses membres. Mais il restait encore des signes de paralysie organique constatés par M. le docteur Babinski
ns signalé plus haut la fréquence de ce symptôme coïncidant avec la paralysie traumatique et nous avions trouvé '14 cas sur 4
du crâne. On verra que la coïncidence du trouble oculaire et de la paralysie s'ex- plique naturellement par la localisation
evint à lui le jour suivant et eut des vomisse- ments. Il avait une paralysie du bras droit, plus accentuée à la main. La parol
e de la bandelette optique. Cela permet de localiser le siège de la paralysie droite et de diagnostiquer une blessure pénétra
onnées nos expé- riences, nous verrons combien souvent à côté de la paralysie motrice sur- vient l'hémianopsie. Les corps é
tile ayant péné- tré par le frontal. Nous connaissons cinq cas de paralysie par traumatisme intra-orbitaire : le cas du pré
l'hémiplégie ou plus exactement une hémi- parésie, avec aphasie et paralysie de la 3e paire, s'est déclarée à la suite de de
et la parésie des membres. Nous n'avons trouvé qu'un seul cas de paralysie du bras gauche avec parésie de la jambe gauche
avec ostéite supprimée et abcès cérébral (Vignard,1899) ; une autre paralysie contra- latérale due à la pénétration d'une lam
us pouvoir marcher ni se servir de son bras droit, puis apparut une paralysie faciale du côté gauche. Dès cette époque, il av
et explique bien les accidents hémiplé- giques..... ' * Quanta la paralysie faciale, elle est très certainement causée par de
longtemps. Rappelons cependant que dans l'observation de Vignaud la paralysie ne survint que 3 ans et 3 mois après l'accident
ture du crâne il ne sera peut-être pas toujours aisé de dire si la paralysie est due à une hémorrhagie dure-mérienne ou à un
années auparavant, nous n'avons retrouvé absolument aucun signe de paralysie . Peut-être 'Li-aine-t-il un peu la jambe et sa
s avons citée déjà du Dr Maurice Bourlier un jardinier guérit de sa paralysie malgré une perte de substance cérébrale très nett
t un cas de CI). T. Poore de New-York dans lequel la guérison de la paralysie et des troubles de la parole a lieu, mais où il
mais où il survient de l'épilepsie jacksonnienne il la place de la paralysie . Observation XV. Il s'agit d'une enfant de 3
e une balle de revolver dans son cerveau et une fois la plaie et la paralysie guéries, tout n'est pas dit. L'avenir est engag
des blessures volontaires. Il est bien évi- dent, en effet, que la paralysie peut rétrocéder et disparaître, il n'en reste p
plus ou moins com- plètement, entraînant l'infirmité. Et même si la paralysie guérit en apparence, rien ne prouve que des acc
, il est facile de différencier l'affec- tion qui nous occupe de la paralysie spinale infantile, de la sclérose latérale amyo
de transition. Au premier abord notre malade semble être atteint de paralysie pseudo- hypertrophique ou plus simplement de my
res, ni troubles vaso-moteurs, ni altérations de la sensibilité, ni paralysie avec ataxie et phénomènes oculo-moteurs, ni déb
de dos ou de 43G ABADIE . profil, le malade parait atteint d'une paralysie des muscles extenseurs des lombes. Il se tourne
de Cohausen, rapporte l'exemple d'un tabacophile qui fui atteint de paralysie du côlé droit à la suite de l'abus de la poudre
BUDAPEST (CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR LAUFENAUER) UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONO Par R Charles HUDO
le service de M. le professeur Laüfe- naûer une malade atteinte de paralysie bulbaire supérieure chronique sans complication
e durée sans complica- tion, - ni avec l'apparition unilatérale des paralysies . Observation. Esther S..., âgée de dix-sept a
n du fond Nouv. Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XIII. Pl. LXX PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE (Ch, Hlldmlel'111
LXX PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE (Ch, Hlldmlel'111g) PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE 475 de l'oeil dro
reste tout à fait nor- male. Diagnostic : Ptosis incomplet gauche, paralysie complète de toutes les autres branches du nerf
culaire commun ; amblyopie congénitale de l'oeil gauche. Outre la paralysie de la troisième paire gauche, il y a encore une p
ans le domaine des nerfs de la figure. A part ces deux groupes de paralysies la malade ne présente ancun symptôme maladif, n
ladie actuelle, qui date de six ans. Cette maladie commença par une paralysie du moteur oculaire commun gauche, avec la dévia
aduellement toutes les branches de la troisième paire gau- che ; la paralysie se développa très lentement, il a fallu quatre an
de fixer la date à laquelle a commencé cette lésion, mais comme la paralysie de la troisième paire gauche s'est développée l
ement et qu'après six ans de persistance elle a atteint le degré de paralysie , nous inclinons à supposer que la parésie du ne
miner toute lésion dans la cavité orbitaire; on trouve seulement la paralysie isolée du mo- teur oculaire commun, cependant u
ions qui puissent produire une affection pareille. Ce n'est pas une paralysie corticale ou supranucléaire ; il y a des lésions
des noyaux de la troisième et de la septième paires gauches, d'une paralysie bulbaire supé- rieure chronique ou polioencépha
ne lésion très rare, mais il y a dans notre cas quelques traits qui PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONIQUE 477 lui donnent u
un seul côté ; il y a des cas avec la prédominance unilatérale des paralysies ou parésies, mais dans tous ces cas, il y a au mo
des nerfs crâniens du côté opposé ; ou sinon, ce sont des cas de la paralysie bulbaire supérieure compliqués soit de la paralys
t des cas de la paralysie bulbaire supérieure compliqués soit de la paralysie bulbaire inférieure, soit d'atrophie musculaire
soit d'atrophie musculaire, soit enfin d'ataxie locomo- trice ou de paralysie générale, ou l'on trouve parfois ou même souvent
f la parésie du nerf facial gau- che, aucun progrès. C'est pour une paralysie bulbaire supérieure incon- testablement un déve
re supérieure incon- testablement un développement fort lent. Si la paralysie bulbaire supé- rieure n'est pas stationnaire, e
on trouve régulièrement une affection des autres nerfs du bulbe, la paralysie bulbaire inférieure ou d'une atrophie musculaire,
res supérieures et inférieures, et comme notre cas a débuté par une paralysie bulbaire supérieure restreinte sur la lésion du n
al : nous inclinons à supposer qu'il s'agit chez notre malade d'une paralysie bulbaire supérieure de caractère descendant, avec
TUDE DE ' L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET DE L'HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE Par SERGE SOUKHA.NOFF et F. GEIER,
psychiatrique de Moscou. de Moscou. L'anatomie pathologique de la paralysie générale possède une littéra- ture très nombreu
nant le système nerveux central de deux malades qui ont souffert de paralysie générale. Pour nos recherches nous nous sommes
ns devaient être mi- ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 479 nutieusement lavées dans l'eau et
eut un accès épileptiforme. Avec le temps on observa de nouveau une paralysie du côté droit, quoique presque tous les muscles d
êtrière T. XIII. PI. LXXI A B c D E HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE (Sollkba1l0ff et Gcier) anatomie pat
llkba1l0ff et Gcier) anatomie pathologique ET HISTOPATHOLOGIE DE la paralysie générale 481 PROCÉDÉ DE Briscii. [. Hémisphèr
lobes frontaux. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET üIS-TOPATIi0LOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 483 En comparant entre elles les prépa
êmes. Sans nous arrêter sur les données pathologiques, propres à la paralysie gé- nérale (hémorrhagies menues, tromboses menu
moelle épinière une ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 485 quantité assez considérable de blo
raphie DE la SALPÊTRIÈRE T. XIII. Pl. LXXII HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE (Soll11baI10ff et Gcier) Masson &
amp; Cie, Editeurs ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET llISTOPATllOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 487 Coloration par les couleurs basiqu
possible. Le trouble de la parole portait un caractère propre à la paralysie générale. Procédé DE BUSCH. I. Hémisphère rau
no 2, pp. 402-125. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 489 seaux. Dans la substance blanche,
édullaire des fibres ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 491 radiculaires, surtout des racines
hique de la part des cellules nerveuses des ganglions spinaux. La paralysie générale donne un tableau patltologo-anatomitlue
ation se trouve en connexion intime avec les accès observés dans la paralysie générale et, peut-être, dépend-elle à son tour
, n. 3, ss. 194-204. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 493 d'un cas de paralysie générale, où
LOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 493 d'un cas de paralysie générale, où il y avait une dégénérescence de la
édié à la même question et basé sur les investigations de 21 cas de paralysie géné- rale (par la méthode de Marchi) ; dans si
attention à l'existence des troubles moteurs chez les malades (des paralysies , des parésies, des tiraillements, des accès para-
cas il s'agissait des malades qui présentaient une forme démente de paralysie générale sans symptômes psychiques et mo- teurs
res, les résultats de l'examen de la moelle épinière dans 12 cas de paralysie générale (par le procédé de Marchi et aussi par
uoi nous sommes parfaitement d'accord, pensant pourtant que plus la paralysie générale a duré et plus il y avait de trou- ble
es cellules nerveuses et des fibres dans la moelle épinière dans la paralysie générale. St-Pétersbourg, 1899. HYSTÉRIE ET GOI
et déjà réglée depuis un an et à laquelle elle a passé dit-elle ses paralysies du côté gauche. Le fait est que la fille décrit t
ns cause appréciable. Début de l'affection il y a vingt ans par une paralysie du droit interne de l'oeil droit, qu'Abadie soi
ortan- tes, trouvent leur cause dans des perturbations musculaires, paralysie ou contracture des muscles extenseurs fléchisse
us ample examen pour le jour suivant. 17 juin. - Je constatai une paralysie absolue du côté gauche, la sensibilité intacte
que et étiologique. Symptomatiquement, il présente le tableau de la paralysie alterne (ce qui est déjà assez rare surtout ave
caractères que nous allons relever chez lui), étiologiquement cette paralysie alterne est la suite d'un traumatisme très net
n'y a pas non plus de blépharospasme. Il y a donc ptosis, par suite paralysie probable du filet de l'oculo-moteur , commun qu
il est plongé dans le coma le plus complet qui dure deux jours, la paralysie de la IIIe paire date du premier moment. L'hémipa
ture ordinaire à 0 m. 40 ; à 0 m. 55 il ne le peut plus ; il y a donc paralysie de l'accommodation. Habitué à ne plus voir qu'a
Il s'habille..... abondante exsudation de matière cérébrale. 17. - Paralysie complète de l'extrémité inférieure gauche et légè
ure gauche et légère paraly- sie du côté gauche de la face. 20. - Paralysie incomplète de la jambe gauche. 30. - ..... et j
rs suivants, amélioration qui devient stationnaire par la suite, la paralysie se limite à l'extrémité du membre supérieur gauch
nt que date une hémianopsie homo- nyme gauche complète ainsi qu'une paralysie qui s'étendit à toute la moitié gauche du corps
aussi bien de son côté droit que du gauche. Avant le soir même, la paralysie fut certifiée par un médecin. Durant ce premier
plus petits la main demeure en flexion, tout à fait comme dans une paralysie obstétricale. Il y a des mouvements méthéméplégiq
releva absolument inconscient, respirant avec peine Il souffrait de paralysie droite avec aphasie... il demeura inconscient p
'il appela. Au moment où je le vis il présentait quelques signes de paralysie provenant d'une blessure à la base du crâneou d
émiplégie traumatique 543 lade n'a eu de vomissements. Le 30 mai la paralysie du bras droit était encore accentuée et M. Blum
é de sécrétions troubles opération Au moi d'avril il persistait une paralysie complète du bras droit et une paré- sie de la j
n constata dans le bras droit des mouvements cloniques Il y a une paralysie complète et isolée des abducteurs droits, une par
et isolée des abducteurs droits, une parésie du facial droit et une paralysie complète des membres inférieur et supérieur droit
des troubles de la sensibilité Au 3 juillet de l'année suivante la paralysie n'a pas changé, mort. Observation XXX. H. SCH
rent la jambe droite. Depuis il n'a pas eu d'autres convulsions. La paralysie des membres s'améliora et il ne resta que l'aph
lui avec intérêt et semble saisir les questions qu'on lui pose. La paralysie est la même, 548 RENÉ martial il essaie de pa
reviennent progressivement dans les mem- bres.... 3 octobre. Les paralysies (membres et facial) ont disparu, mais la parole
couteau. Jusqu'au 30 dé- cembre, augmentation de la température, la paralysie ne s'améliore pas, le malade est somnolent. L
gauche du corps, les mus- cles ne semblaient pas atrophiés. Aucune paralysie de la face, la parole était normale Opération F
t normale Opération Fissure de la lamina vitra Amélioration de la paralysie , les accès épileptiformes seraient revenus quelqu
aurait continué à travail- ler. En 1887 il aurait eu une attaque de paralysie avec ictus. Depuis lors hémiplégie droite persi
c et le côté gauche de la face se para- lyse à partir de ce moment ( paralysie en deux temps par conséquent). Il eut en outre
après. Depuis, il a eu plusieurs pertes de connaissance, mais la paralysie n'a pas augmenté. Il reste six semaines à Lae
re à 10 centimètres de l'angle externe de l'or- bite, côté droit. Paralysie des memhres du côté gauche. Dynamomètre, main dro
ticale normale. Au moment où la malade se réveille, on constate une paralysie faciale com- plète (lèvre et paupière), qui ne
empérature est normale. L'aphasie du début a disparu. 19 mars. La paralysie de la jambe gauche [a complètement disparu, les
guérie. ' BIBLIOGRAPHIE 1801. SAUTEMOUCEOE. - Observation sur une paralysie des jambes, survenue à la suite d'un coup sur l
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t, de Cicu. med., t. III, p. 129-135. 1887. Grasset (J.). Un cas de paralysie alterne d'origine traumatique. Journal Montpell
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med., t. XLII, p. 381. 1896. BEEYOR (C.-E.). - Traumalic funclional paralysies . Internat. clin. Philad., 5° sér., t. IV, p. 15
bservations que j'ai publiées avec Pierre Marie et OEttinger sur la paralysie de Landry peuvent être, si je ne me trompe pas,
errons plus loin, le substratum analomo-pathologique habituel de la paralysie de Landry est représenté par une myélite diffus
r- bure. Fio. 2. Méningite avec myélite disséminée dans un cas de paralysie ascendante accompagnée d'oreillons. Le cordon p
ide extrait par la ponction lombaire le méningocoque dans un cas de paralysie infantile. Ainsi qu'on le voit, le nombre des o
trois cas de rage observée chez l'homme, dont un avait présenté une paralysie ascendante et dont le sujet est mort trois jour
s un cas de rage humaine. Le malade est mort avec des phénomènes de paralysie ascendante de Landry. La cellule nerveuse est en-
'est pas à la lésion des ganglion; spinaux qu'il faut rapporter les paralysies rabiques. Je pourrais ajoute] que si les lésion
ion de la colonne vertébrale, nous avons constaté parfois de vraies paralysies , mais jamais chez ces animaux ainsi paralysés, no
traumatismes répétés de la colonne vertébrale, ayant déterminé des paralysies ou des convulsions. Ici, non plus, nous n'avons
s aseptiques ressemblent jusqu'à un certain point aux lésions de la paralysie infantile. Cette analogie est d'autant plus justi
élite dis- séminée, la poliomyélite en foyer analogue à celle de la paralysie infantile. Ainsi la poliomyélite antérieure est
pinale antérieure. Les foyers de myélite, comme cela arrive dans la paralysie infantile, se cantonnent dans le domaine de l'a
'altération ne s'é- tend que sur quelques segments de la moelle. La paralysie ascendante de Landry, lorsqu'elle est d'origine
s les types anatomo-cli- niques de la myélite transverse jusqu'à la paralysie ascendante, fonction d'une méningo-myélite égal
es jours après ; enfin, lorsqu'il est très virulent, il réalise une paralysie ascendante suraiguë, avec méningo-myélite très ac
BANNES et B. V. BARNEFF Médecin des hôpitaux (de Bordeaux). Les paralysies congénitales des muscles oculaires constituent un
s attachés. Au point de vue clinique, on peut les diviser en : a) paralysies isolées ; b) paralysies associées ; c) paraly
vue clinique, on peut les diviser en : a) paralysies isolées ; b) paralysies associées ; c) paralysies complexes. a) Les p
viser en : a) paralysies isolées ; b) paralysies associées ; c) paralysies complexes. a) Les premières (paralysies isolées
paralysies associées ; c) paralysies complexes. a) Les premières ( paralysies isolées) assez communes comprennent : 1° le pto
uvent héréditaire et familial). 2° le strabisme congénital (dû à la paralysie congénitale d'un seul muscle oculaire : droit i
ur, inférieur ou plus rarement un des obliques). b) Les secondes ( paralysies asssociées ou combinées) comprennent : 1° La pa
s secondes (paralysies asssociées ou combinées) comprennent : 1° La paralysie combinée du releveur de la paupière et du droit s
t su- périeur (ptosis et strabisme supérieur congénitaux). 2° Les paralysies associées du droit interne d'un côté et du droit
la mâchoire quand la paupière tend à se relever. c) Les troisièmes ( paralysies complexes) tiennent à une paralysie con- génita
se relever. c) Les troisièmes (paralysies complexes) tiennent à une paralysie con- génitale de la plupart des muscles oculair
majorité des cas par la réunion des éléments suivants : 1° ptosis, paralysie du droit supérieur ; 2° paralysie ou parésie de
éléments suivants : 1° ptosis, paralysie du droit supérieur ; 2° paralysie ou parésie des droits interne, externe, inférieur
2° paralysie ou parésie des droits interne, externe, inférieur; 3° paralysie ou parésie des obliques (plus rare) ; 616 CABAN
e et muscle ciliaire). Nous avons désigné cette dernière forme de paralysie congénitale sous le nom de paralysie complexe e
ésigné cette dernière forme de paralysie congénitale sous le nom de paralysie complexe en raison du nombre considérable de mus-
peut être associée à d'autres troubles paraly- tiques congénitaux ( paralysie faciale congénitale, anesthésie trigémellaire)
s signalerons surtout celles de Recken où il y avait coexistence de paralysie faciale et celle de Vossius dans laquelle on no
ce fréquente d'autres anomalies de développement, en particulier la paralysie faciale, avec l'opll- talmoplégie congénitale.
ormation des doigts, des mains, des pieds, anesthésie du trijumeau, paralysie faciale : La croissance de l'enfant peut se faire
ans ceux de Gunn, dans le le, de Heuck et le leur de Hirschberg) sa paralysie est in- complète. Le droit inférieur et le droi
5 cas (2e, 3e de Heuck, Mauthner,Lucanus, 1" de Hirsch- berg). Ces paralysies atteignent ordinairement d'une façon égale les de
que, suivant le nom- bre des muscles atteints et l'intensité de la paralysie , les mouvements res- tants seront plus ou moins
'état du système nerveux que dans un cas de Bernhardt relatif à une paralysie partielle des muscles des yeux compliquée de pa
elatif à une paralysie partielle des muscles des yeux compliquée de paralysie faciale congénitale, dans lequel les noyaux bul
isans fervents de la théorie nerveuse, incriminent dans leur cas la paralysie ou le défaut de développement des noyaux bulbai
mbryogénique, constitue une interprétation des plus originales, des paralysies congénitales en gé- néral, et des ophtalmoplégi
proposition suivante : A côté des formes isolées et partielles des paralysies congénitales des muscles des yeux, formes qui s
il put pendant quel- ques semaines avancer sans béquilles, puis la paralysie reparut, les jambes devinrent raides, le dos se
A6ADIE (5 pl. en photocol- logr., 9 dessins), 116, 260, 42, 502. Paralysie (un cas de) bulbaire supérieure chronique, par
supérieure chronique, par IIudovernig (1 photocol- logr.), 473. Paralysie générale (Anatomie pathologique et histopatholo
ge Soukhanoff. L'anatomie pathologique et l'histoputhologie de la paralysie générale (2 pl. en photocol- logr.),478. Gmsa
enfance (avec 4 pl. en photocollogr.), 411. HUOOVEHNIG. Un cas de paralysie bulbaire supérieure chronique (1 photocollogr.)
X, XLI, XLII. Ostéo - arthropathie rare (gaine), LVII, LVIII. Paralysie bulbaire supérieure chronique (HUDOYERNW), LXX.
VIII. Paralysie bulbaire supérieure chronique (HUDOYERNW), LXX. Paralysie générale : histopathologie (Souk- HA\OFF et GEt
49 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de le pro- noncer ? . , , 1 , n t ? " ,1 ! c (A suivre.) . j ¡ LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DIFFUSE SUBAIGUE DE DUCHENNE.
l - - On sait que Duchenne (de Boulogne) a groupé sous le nom de paralysie générale spinale subaiguë les deux variétés de
ale subaiguë les deux variétés de myélopathie suivantes : , DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 19 ) 1 La paralys
antes : , DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 19 ) 1 La paralysie , générale. spinale antérieure subai- guë ; 1 j
spinale antérieure subai- guë ; 1 j 1 "\ · . .J' i . J . . 2° La paralysie générale spinale diffuse subaiguë. > - Vu)pi
n impossible pour le moment, car on sait maintenant que le syndrome paralysie générale spinale de, Duchenne peut répondre à d
ger, dans le cadre des névrites multiples périphériques, ce type de paralysie spinale amyotrophique n'en existe pas moins, le
ue, actuellement, la question du dia- gnostic différentiel entre la paralysie générale spinale antérieure subaiguë de Duchenn
t la polynévrite, gé- 20 pathologie mentale. néralisée à forme de paralysie générale spinale anté- rieure subaiguë de Mme D
Il rapporte les dou- leurs à une méningite spinale, la parésie, la paralysie à un travail inflammatoire des cornes antérieur
ur ce point anatomique, n'a pas été heureux. Mais s'ensuit- DE la paralysie générale spinale DE DUCHENNE. 21 il.de là qu'on
athië qui réponde trait pour trait au tableau qu'il a donné de sa paralysie générale spinale diffuse subaiguë qui consiste
avec la deuxième variété de Duchenn6, qu'on peut se demander si la paralysie générale spi- nale diffuse subaiguë ne représen
pathie. On y rencontre en effet : -1° le syn- drome, clinique de la paralysie générale spinale anté- rieure subaiguë (paralys
e, clinique de la paralysie générale spinale anté- rieure subaiguë ( paralysie avec amyotrophie des quatre extrémités avec par
n, d'ailleurs; ne nie pas complètement l'existence clinique de la paralysie générale spinale diffuse subaiguë et voici comm
e chroniquecou de sclérose combinée. » · l " j. " ,l' ; i f JI. . Paralysie avec atrophie généralisée aux qitatî-e-ext2-émité
rtir' de ce moment, la marche et la station sont impossibles, et la paralysie des membres inférieurs le force à rester au lit
e sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la maladie, la paralysie gagna les membres supérieurs et fut surtout mar
Au cours de tous ces accidents, un travail escharotique avait DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 23 lieu au niveau
- rieure de la cuisse gauche.' " , , l' , Etat de la motilité. La paralysie de la motilité est absolue dans les membres inf
it ses membres inférieurs l'un de l'autre. Membres supérieurs. La paralysie ne parait pas aussi absolue que dans les membre
epré- senté que comme une latte entourée d'un coussin de peau. La paralysie des mains est très accusée ; il ne peut saisir au
actuellement rien de particulier à signaler. Pas de douleurs, DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 2o 5 'pas plus qu
re . par une paraplégie des membres inférieurs : Dix jours après, paralysie des réservoirs. Vers le vingt et unième jour de
de( sa bouche, les mucosités qui s'y accu- ' mulent. De plus, cette paralysie s'accompagne d'une atrophie très prononcée des
avec une remarquabble symétrie. Les caractères de ces symptômes de paralysie amyotro- phiques dénotent qu'on a affaire à des
an-. tonnées dans l'aire des cornes antérieures de la subs- DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 27 Î tance grise
ion cervicale, sont, intéressées. Pris isolément, ces phénomènes de paralysie ! am'yotro- phiqueise rapportent par leur génér
leur généralisation et leur mode de distribution au '1 syndrome'de" paralysie 'géné- rale spinale antérieure subaiguë,) sinon
retrouvons ! chez notre malade, ! bien marqués, (et qui sont : la paralysie des sphincters, une eschare au sacrum,- des tro
A, quelle afTection'avons-nous affaire ? Autant les phénomènes de paralysie atrophique indiquent') des lo- "- . calisations
la rappelle de trop près le tableau que nous a donné Duchenne de la paralysie générale spi- nale diffuse subaiguë, pour que n
devient z pour ainsi dire directrice en produisant uniquement une paralysie amyolrophique des deux membres supé- rieurs et
Du- chenne pour que nous ne donnions pas ce cas comme un type de paralysie générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NER
t provoquent de véritables altérations des mouvements ou même des paralysies . Je ne veux pas dire que toutes les paralysies
uvements ou même des paralysies. Je ne veux pas dire que toutes les paralysies d'origine psychique soient des amnésies, je cro
es altérations du mouvement, nous rappelons seulement que certaines paralysies des mouve- ments des bras ou même des mouvement
onpoint. Il marche lourdement, mais la motilité est intacte, aucune paralysie ni parésie localisées. Rien à noter non plus au
'amnésie qui s'aggrave : incohérence dansles idées, hallucinations, paralysie totale des jambes, des muscles du tronc et des br
S psychoses CONSÉCUTIVES A l'influenza, avec remarque SUR un cas DE paralysie progressive; par J. KRYPIAYIEWICZ. (Jahr- buch.
, est affaibli à gauche. La manie disparaît graduellement, mais les paralysies subsistent, et bientôt l'activité mentale s'affai
ns et vilipendages de la presse et du public. P. K. XI. UN cas DE paralysie générale A FORME circulaire; par H. ROT- TENDIL
econde phase, une rémission qui fut suivie du tableau morbide de la paralysie générale. Ici aussi, comme d'ordinaire, dans les
es que la folie systématique (avec affaiblissement intellectuel) la paralysie générale quelques folies périodiques quelques v
, une évolution prolongée, un pronostic douteux. Quant aux quelques paralysies générales, hystéropathies, folies systéma- tiqu
santé jusqu'à il y a dix ans (eczéma de la tête). Il y a cinq ans, paralysie transi- toire des muscles des yeux. Les acciden
phériques à la moelle. P. K. VI. Contribution A la pathologie DE la paralysie DES tambours ; par L. Bruns. (Neurol. centralbl
out. Trois années après, blépharoptose bilaté- , raie très accusée, paralysie de tous les musses extrinsèques des yeux (globe
nt,, sensation d'engourdissement dans les doigts de la main gauche, paralysie passagère des extrémités' où parésiesinter- val
senté sans cause comme des symptômes d'ophtalmoplégie nucléaire, de paralysie bulbaire, de polioencéphalite antérieure sous f
es, la sclérose en plaques, l'atrophie mus- culaire progressive, la paralysie progressive, la paralysie bulbaire. P. K. X.
, l'atrophie mus- culaire progressive, la paralysie progressive, la paralysie bulbaire. P. K. X. CONTRIBUTION A la connaiss
me forme dans l'encéphale. C'est ainsi que le tabes se complique de paralysie générale. Cette dissémination provient de certa
lors de rigueur. Voici, par exemple, un individu qui est atteint de paralysie psychique. Il ne peut se servir de son bras lég
ins graves que le trouble fonctionnel. C'est à coup sûr l'idée delà paralysie qui a provoqué la paralysie. Pourquoi ? Parce q
nctionnel. C'est à coup sûr l'idée delà paralysie qui a provoqué la paralysie . Pourquoi ? Parce que, à raison d'une prédispos
ation psyclio-pliysique d'ordre moléculaire. En d'autres termes, la paralysie psychique n'est qu'un symptôme d'une névrose gé
onicité musculaire, d'exagération des réflexes. 1 Eh bien ! cette paralysie peut guérir spontanément par l'expec- tation. L
malade se croit-il exposé à un nouveau danger, vite, il oublie la paralysie de son bras et celui-ci reprend ses fonctions. On
nomène bulbaire. A la fin de la deuxième année de maladie, mort par paralysie de diaphragme. Examen microsco- pique : substan
e que chez les hommes et femmes juifs. Pareillement, le tabès et la paralysie générale étaient plus féquents dans la même pro
KOJEWNIKOFF et le 'Dr BAJÉNOFF qui invoque pour la production de la paralysie géné- rale la concomitlance de trois causes : s
etc.). Chez les paysans russes, la vérole est très fréquente et la paralysie générale est très rare. Séance du 15 novembre
e du crâne. Il fut ensuite atteint de strabisme, de nystagmus et de paralysie géné- rale, et avançait si peu en intelligence
pital, la tête avait SI centimètres de circonférence; asymétrie. Ni paralysie , ni contracture. 5 octobre. - Incision de 4 cen
lement pen- dants sur les rapports de la vérole avec le tabes et la paralysie gé- nérale. Mais, ces réserves faites, nous som
trouvera encore un reste panaché, plus ou moins, avec une teinte de paralysie ou d'épilepsie, qui n'est pas toujours aussi so
report of a case of paro- xysmal trépidant. Abasia associated with paralysie agitans. Brochure in-8° de 31 pages, avec 3 fig
es, dont elle ne gardait aucun souvenir après la crise. La crise de paralysie , comme l'appelle la malade, durait tantôt un qu
ie, l'hystérie, l'épilepsie sensitivo-senso- rielle, le tabès et la paralysie générale. Qu'il nous soit permis, avant de parl
rave, tels que les accès d'épilepsie partielle avant-coureurs de la paralysie générale. Ces troubles se manifestent généralem
oubles de la sensibilité. 11 s'agit d'ordinaire de paré- sies ou de paralysies complètes, s'étendant le plus souvent au bras s
Rapports entre l'amblyopie transitoire, l'épilepsie partielle et la paralysie générale progressive. a). Ces rapports sont sig
a- galhaës Lemos (47) sur l'épilepsie sensitive comme début de la paralysie générale. Sous le nom d'épilepsie partielle (se
peut aussi la regarder comme une manifestation symptomatique de la paralysie générale, peut-être même d'autres maladies. L
e d'autres maladies. Les rapports entre l'épilepsie partielle et la paralysie géné- rale ont été mis en lumière par un certai
gnées d'amblyopie transitoire, et, au bout d'environ trois ans, la paralysie générale était nettement déclarée. J'ai pu obse
outils pendant cinq à six minutes. Actuellement le syndrome de - la paralysie progressive commence à se déclarer. La gêne de la
ensitive puisse ouvrir le syndrome 230 . CLINIQUE NERVEUSE. de la paralysie générale, et, non comme une simple coïnci- denc
itoire. Nous savons, en effet, que le substratum anato- mique de la paralysie générale est une encéphalite intersti- tielle d
motrice, amblyopie transitoire, aphasie, etc...), avec lesquels la paralysie générale peut se combiner. - Etant donnée la
les cas d'aphasie motrice pure et isolée, sans partici- pation à la paralysie des membres ni de la face, ont été fort rares.
otrice pure, re- latés ces dernières années, étaient accompagnés de paralysie des membres et de la face avec lésions correspo
Elle avait été frappée d'aphasie. Il n'avait existé aucune trace de paralysie soit du mouvement, soit de la sensibilité. L'ap
un verre et se désespérait quand on ne le comprenait pas. Pas de paralysie , pas de convulsions, pas de perte de connais- s
de difficulté que d'habitude, Il semblerait qu'il y ait un peu de paralysie faciale à droite ; le sillon naso-labial gauche
désordres de structure ou de nutrition des mêmes tissus, comme les paralysies , les convulsions, les anomalies de la sensation
orce, sui- vant ses caractères et sa position, peut entraîner de la paralysie ou des convulsions limitées à la face, aux main
tain que l'ablation d'un hémisphère chez l'homme donne lieu à de la paralysie plus ou moins complète des mouvements volontaires
patient guérit sans fièvre. Les accès ne se reproduisaient plus, la paralysie du bras gauche disparut bientôt et l'enfant auj
ons sensorielles, l'opération de Clay Shaw et de Batty Tuke pour la paralysie générale des aliénés. Il est trop tôt pour se p
A la destruction DES noyaux D'ORIGINE, pour faire SUITE A UN cas de paralysie bulbaire avec sclérose latérale AMYO- trophique
t était de 1 à 2 millimètres (gla- belle); un vieillard, atteint de paralysie faciale et un neurasthénique en possession d'un
oubles de la motilité (contractures, crampes, convulsions, spasmes, paralysies de divers ordres); troubles de la sensibilité p
é par l'atteinte isolée des fonctions motrices du système nerveux ; paralysie bilatérale de l'oculo-moteur commun, du pathéti
THOLOGIE NERVEUSE. gie nucléaire) ; b, polioencéphalite inférieure ( paralysie bulbaire); c, poliomyélite chronique. Ce qui es
fants de douze à seize ans (cinq observations). Elle ressemble à la paralysie infantile d'ori- gine cérébrale, moins la paral
ressemble à la paralysie infantile d'ori- gine cérébrale, moins la paralysie et la contracture qui font tota- lement défaut.
cérébrale. Dans les deux espèces morbides, il y a inflammation, la paralysie infantile ordinaire constituant la forme grave
que la forme signalée dans cet article serait la forme atténuée (ni paralysie , ni contractures). La première aurait pour fact
squ'ici la seule cause connue. On a, il est vrai, aussi attribué la paralysie infantile cérébrale à un germe infectieux, parc
stée à l'occasion d'une maladie fébrile ? 2 P. K. XIX. UN cas DE. paralysie de BROWN-SÉQUARD ; par A.-E. KJOEH. (Neurol. Ce
nant que quelques symptômes se soient effacés. D'ordinaire c'est la paralysie motrice qui disparaît tandis que l'anesthésie c
milieu du dos, à gauche de laligne médiane. P. K. XX. DEUX cas DE paralysie générale AIGUE ; par ZACHER. (Neurol. Ce)t<6
aralysie générale AIGUE ; par ZACHER. (Neurol. Ce)t<6., 1891.) Paralysie générale aiguë (trois et quatre semaines de durée
e micros- copique). P. K. XXIII. Contribution A L'ÉTIOLOGIE de la paralysie faciale PÉRIPHÉ- RiQuF; par S. GOLDPLAf. (Neuro
iale PÉRIPHÉ- RiQuF; par S. GOLDPLAf. (Neurol. Centralbl., 1891.) Paralysie faciale périphérique tout au début de la syphilis
mmé- moratives des impressions optiques. P. K. XXV. SUR UN cas DE paralysie PROGRESSIVE CHRONIQUE DES MUSCLES DES YEUX, ass
ts sus-désignés du côté de l'oeil, puis accidents du tabes et de la paralysie générale. On observa ce malade huit ans. Autops
s de syphilis certaine, 40 (soit 12,5 p. 100) atteints à la fois de paralysie générale et de syphilis. La proportion de la syph
e, voilà le bilan anatomo-pathologique. Si nous laissons de côté la paralysie générale, nous rencontrons sur 32 observations
évrose qui préside aux attaques d'épilepsie-type. P. K. XXXI. Des paralysies OSTÉOM.1LACIQUES; par M. KOEPPEN. (Archiv f. Ps
Il croit que des lésions de la substance musculaire président à la paralysie , car l'impotence due aux douleurs est incapable
mpotence due aux douleurs est incapable à elle seule d'expliquer la paralysie . A côté des symptômes ostéalgiques, il y a quelqu
nt alors aux vésanies intermittentes. Il peut être symptomatique de paralysie générale; il peut aussi s'as- socier au délire
ues de néga- tion, comme celles que 13aillarâer a signalées dans la paralysie générale. Elles peuvent intéresser la constitut
a sphère affective et motrice de la vie psychique. A propos de la paralysie générale, M. Luys a donné une théorie à peu près
se croient ni possédés ni immortels. On les observe aussi dans la paralysie générale; nous ne les avons jamais \us dans cette
la folie sénile et démentielle; 10° le délire hypochondriaque de la paralysie générale, quand il se prolonge, imprime une rap
bserver encore dans d'autres maladies mentales, notam- ment dans la paralysie générale, l'hystérie et certaines aliénations c
ancher le diagnostic, les signes pathognomoni- ques habituels de la paralysie générale peuvent-ils être nécessaires. Les idée
ris) rapporte l'observation d'une malade syphi- litique atteinte de paralysie générale, ayant présenté de l'atrophie musculai
motrices de la substance grise des cornes antérieures comme dans la paralysie infantile, ou plus justement comme la sclérose
du cerveau. Cette façon de com- 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. prendre la paralysie générale tend à en faire une variété des atro-
mond se déclare prêt à se ranger à la théorie parenchymateuse de la paralysie générale et demande à M. Joffroy quelques expli
microscopique. M. MORDREZ (du Mans) a observé récemment un cas de paralysie générale sans lésions macroscopiques. M. DoUT
rBENTF,. Le cas que AI. Joffroy vient de rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOF
des antécédents syphilitiques, cela n'influe pas sur la forme de la paralysie générale. Il n'y a pas de paralysie générale de n
n'influe pas sur la forme de la paralysie générale. Il n'y a pas de paralysie générale de nature, mais d'origine syphilitique
litique; la syphilis est une simple cause prédis- posante. La vraie paralysie générale est celle qui répond au type anatomiqu
ique que je viens de décrire. M. PIERRIET (de Lyon). Rapports de la paralysie générale et des tabès. Je cherche, depuis de lo
troubles psychiques semblables à ceux qui caracté- risent encore la paralysie générale; il avait signalé que les paraly- tiqu
ut le système psycho- moteur, c'est la démence paralytique pure, la paralysie générale sans délire. Les malades qui en sont a
s de décrire ont été jusqu'à présent confondues dans le cadre de la paralysie générale due à des lésions diffuses d'emblée, m
part désormais. M. le Dr Ch. Vallon présente une note sur un cas de paralysie générale vraie consécutive à une encéphalopathi
ite d'une encéphalopathie saturnine, a présenté les symptômes d'une paralysie générale à la dernière période. Au bout de quel
disparu, il s'était produit également une rémission complète de la paralysie générale. A s'en tenir à cette première partie
et de ce fait le considérer comme ayant été atteint d'une pseudo- paralysie saturnine. Presque toutes les observations publié
ère. Après cette rémission de deux mois, tous les symptômes de la paralysie générale se sont montrés de nouveau. La maladie a
nt montrés de nouveau. La maladie a suivi la marche ordinaire de la paralysie générale pour aboutir au ma- rasme paralytique
t très accusées qui sont considérées comme caractéristiques dans la paralysie générale. A mon avis, la pseudo-paralysie satur
ais comme une simple période de l'évo- lution du saturnisme vers la paralysie générale. On ne peut ad- mettre le terme de pse
TÉS SAVANTES. tion de pseudo-paralysie générale saturnine. La vraie paralysie générale est progressive et ne présente que des
t, la seconde montrant une face d'idiote. Pas de contractures ni de paralysie . Elle remue constamment et se tord les mains, m
fut très pénible. Pas de forceps. L'enfant était très petit. Pas de paralysie , mais très faible. On ne trouva pas de fontanelle
geole. A quinze mois, deux attaques distinctes de convulsions, sans paralysie . D'autres attaques se déclarèrent à vingt-deux
le se met à rire et essaie de les attrapper pour jouer avec eux. La paralysie , si apparente avant l'opération, a aujourd'hui
règne une distinction capitale, entre les amnésies organiques de la paralysie générale, du satur- nisme, de l'alcoolisme, etc
rsal. Les autres leçons traitent du tabes dorsal spasmodique, de la paralysie infantile, de la sclérose en plaques, de la mal
l professe sur l'origine vasculaire de ces scléroses. L'étude de la paralysie infantile permet ensuite à M. Marie de revenir
issement envahissant toute une moitié du corps, la langue comprise; paralysie des membres, aphasie motrice, troubles de l'int
, une sensation de fourmillement et d'engour- dissement ; - b), une paralysie de toute la moitié gauche du corps. Les accès,
ation de ces troubles à un côté du corps. b). Pour ce qui est de la paralysie des membres, il est connu qu'un certain degré d
st de la paralysie des membres, il est connu qu'un certain degré de paralysie s'ajoute toujours aux sensa- tions d'engourdiss
ll von hysterischer Aphasie bei einem Knabe, combinirl mit facialis Paralysie . D. medicinische IV, 1890. 1 Fulton. Ein Fall v
général, que l'absence d'exagération des réflexes, des parésies ou paralysies persis- tantes, de rigidité pupillaire, de lési
u fond de l'oeil, les vertiges, la céphalée matutinée, etc. e. - La paralysie générale et les tumeurs malignes ne pourraient
t se convaincre que le chien n'était pas enragé; les douleurs et la paralysie transitoires, disparurent; seulement, de temps
; pendant quatre mois, il a des accès'quoti- diens intermittents de paralysie au bras droit qui cessent de se présenter depui
iplopie, étourdissements sous forme d'accès ; léger trauma- tisme : paralysie et tremblement du bras droit ; hémop- tysie gra
matin à 8 heures et l'autre le soir. Elles ne furent pas suivies de paralysie . Le troisième jour il eut une attaque le matin
qui dura vingt minutes. Cette attaque ne fut pas suivie non plus de paralysie des membres. Le fait d'avoir perdu connaissance
qu'à l'épilepsie : du reste, nous reviendrons sur ce point. 3° La paralysie survenue après la première attaque, dans la sér
izième attaque survenue le même jour. Or il est caractéristique des paralysies hystériques de se manifester et de disparaître
'après l'un de ces accès, se manifeste la disparition brusque d'une paralysie préexistante, comme il est arrivé dans notre cas.
e pas de perte de la connaissance, et après la première attaque une paralysie suivit; le deuxième jour, après la phase convul
ATHOLOGIE NERVEUSE. à son travail, le marteau lui parut lourd et la paralysie du mouvement et de la sensibilité dans la main
ix mois. Cependant, après cette époque, à l'approche des orages, la paralysie de la sensibilité et de la motilité réapparaiss
vi de troubles du langage écrit et parlé, attaques convulsives avec paralysie consécutive de la jambe et du bras : c'est bien
ement : 1° Sur les troubles du langage; 2° sur le caractère de la paralysie consécutive à l'un des accès convulsifs; 3° sur l
organiques. En outre, dans notre cas, il n'y avait pas de trace de paralysie de la langue, ni des lèvres. Nous nous croyons
se de céphalalgie après laquelle il s'é- tait manifesté, de même la paralysie , survenue après la crise convulsive suivante, n
à, considérer celle-ci comme de nature hystérique. En effet, cette paralysie de la jambe a bien tout le caractère de la para
n effet, cette paralysie de la jambe a bien tout le caractère de la paralysie hystérique, qui se manifeste avec une démarche
olonger, puisque à l'irritation vaso-cons- trictrice doit suivre la paralysie du sympathique, l'état de . congestion neuropar
provoquée par la lumière; la fente palpébrale est un peu rétrécie ( paralysie du muscle de iI1üJler). Telle est la descriptio
nelles (neuras- thénie, hystérie, .épilepsie) ou organiques (tabès, paralysie L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 441 générale), est d
es reste permanent, que ces attaques peuvent marquer le début de la paralysie générale ou être associées à nombre d'autres ma
ecine, 1883.) - 33. Parinaud. - Migraine ophtalmique au début de la paralysie générale. (Archives de Neurologie, 1883, t. V,
10 janvier 1888, p. 10.) . 40. P. Blocq. - Migraine ophtalmique et paralysie générale. (Archives de Neurologie, 1889.) 41.
A. Marie. - Contribution ci l'étude des troubles oculaires dans la paralysie générale. (Th. de Paris, 1800.) 45. A. Mazra. O
ystérie. (Th. de Paris, 1891.) 53. Charcot. Sclérose en plaque et paralysie générale. (Leçons à la Salpêtrière, Semaine méd
oins complets. Un indi- vidu, qui travaille dans le plomb, imite la paralysie des exten- seurs de son camarade. Un homme assi
e bras droit coupé après un accident de machine, il rentre avec une paralysie hystérique du bras. Une femme, nous raconte M.
rand'mère maternelle morte à soixante-dix-neuf ans d'une attaque de paralysie ; mère morte à soixante-six ans de la même malad
rgie. Le malade revient à lui au bout de trois jours; il n'a pas de paralysie , mais il éprouve de violentes douleurs dans la
voit encore la cicatrice. Il sort de l'hôpital en octobre avec une paralysie du côté gauche (la langue n'aurait pas été pris
ensibilité est en partie revenue dans la moitié gauche du corps. La paralysie s'est sensiblement amendée et permet quelques m
ement ses fonc- tions, mais l'amélioration de l'anesthésie et de la paralysie est à peine marquée. On essaie encore, mais e
et 1 femme); épilepsie con- génitale : 4 (tous du sexe masculin) ; paralysie générale : 6 (tous du sexe masculin); manie aig
ment sur les mêmes individus a donné onze succès pour treize cas. Paralysie générale : sur quinze cas, quatre à peine sont fa
s persis- tante. P. K. III. Du CHLORURE D'OR ET DE SODIUM DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE progressive; par le Dr BouBILA et MM.
et Cossa. Les discussions sur les rapports de la syphilis et de la paralysie générale sont loin d'être terminées. Dans le No
de l'Europe, l'accord paraît exister sur la nature spécifique de la paralysie générale : il n'en est pas de même en France.
ltats un argument bien net en faveur ou contre la spécificité de la paralysie générale, ils sont loin cependant d'avoir fait
léole rapetissé. M. BRIE. Des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie géné- rale. Les attaques congestives tiennent s
iques de la main droite. L'autopsie montre, outre les lésions de la paralysie générale, une atrophie extrême du segment supér
mémoire sera publié in extenso. M. ASCIIER. De l'aphasie dans la paralysie progressive. - Il s'agit t d'un paralytique gén
plus tard apparurent simultanément les accidents du tabès et de la paralysie générale : diminution du réflexe patellaire dou
(l'élévateur des paupières demeura cependant épargné) ; finalement, paralysie des mouvements de convergence. Les altérations
ts de convergence. Les altérations macroscopiques sont celles de la paralysie géné- rale. Au microscope, on rencontra la dégé
s désigner provisoirement, d'après leurs caractères, sous le nom de paralysie spasmodique ChOI'éiforme. Il est évident qu'ail
asmodique congénitale des membres, ainsi que dans celui de J. Ross ( paralysie spasmodique de l'enfance) qui fait notamment. r
d'athétose. M. REMAK qui, lui aussi, a vu l'athétose compliquer la paralysie infantile spasmodique, croit que dans les cas d
cas présenté dans l'espèce n'a qu'une vague ressemblance avec ces paralysies spasmodico-choréïques, il s'en distingue notammen
ontracture et l'athétose se sont d'emblée déve- loppées sans aucune paralysie , et cela seulement à l'âge de huit ans. Séanc
. PPÉ31DENCE DE M. JOLLY. M, SPERLING présente un malade atteint de paralysie bilatérale du grand dentelé. (Publié dans ]eNeu
d'une piqûre dans la région del'aisselle droite fut atteinte d'une paralysie franche du grand dentelé. L'omoplate ne s'écarte
ment les types de para- lysies périphériques graves, par exemple de paralysies saturnines, paralysies des nerfs'des extrémités
lysies périphériques graves, par exemple de paralysies saturnines, paralysies des nerfs'des extrémités supérieures, des nerfs d
s. Un seul cas a fait exception à cette règle ; il s'agissait d'une paralysie traumatique du médian et du cubital; sous l'in-
s du même genre pourraient être invoqués, soit à propos d'une grave paralysie radiale traumatique, soit eu ce qui concerne un
ne grave paralysie radiale traumatique, soit eu ce qui concerne une paralysie saturnine des extenseurs, mais c'était plutôt u
, la réaction dégénérative de Franklin est très rare, même quand la paralysie grave est de date encore récente, quand elle da
SJCJCnJ.wc présente des préparations de lésions anatomiques dans la paralysie infantile spinale. Mémoire publié dans les -lr-
décider de son degré d'action. M. PLACZEK. De l'association de la paralysie agitante [et du tabès dorsal. Il s'agit d'un né
, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de la sensibilité. La paralysie agitante se révéla par l'immobilité du masque,
étropulsion très accentué. C'est le tabès qui ouvrit la marche ; la paralysie agitante suivit. M. MENDEL. Contribution ci l'a
idence DE M. JOLLY.. Discussion sur les lésions anatomiques dans la paralysie infantile : M. HISSLEII a examiné les pièces de
nt : a le tabès; .6 l'atrophie musculaire spinale progressive et la paralysie bulbaire, qui correspondent à la notion de la fon
lite chronique diffuse, qui correspondent au tableau morbide de la paralysie spinale spasmodique. Mais la maladie de Friedre
Amblyopie, transitoire, par Anto- nelli, 201, 423; - toxique avec paralysie progressive chronique des muscles des yeux, par
hémiplégie consé- cutive à l'intoxication -, par Popoff, 78. - Paralysie générale, à forme circu- laire, par Rottenbille
er dans la-, par Brie, 495; - aphasie dans la-,par Ascher, 497. Paralysie générale spinale diffuse subaiguë de Duchenne,
subaiguë de Duchenne, est elle un type distinct, par Leroy, 18. Paralysie BULBAIRE avec sclérose latérale amyotrophique,
AIRE avec sclérose latérale amyotrophique, par Kron- thal. 260. Paralysie de Brown-Séquard, par Kiver, 274; - des tambour
Semai, 484. SCLÉROSE latérale AIIYOTROPIIlQUEpar Muratoff, 259; - paralysie bul- baire avec -, par Kronthal, 260. SCLÉROS
biné à l'atrophie musculaire, par Jolly, 498; Bernhardt,-503;- et paralysie agitante, par Plac- zeck, 506; - et syphilis, p
(COLLABORATEURS. 3° par Darkschevitch et Ri- bytkow, 263. Yeux, paralysie progressive des muscles des-chez un tabétique,
50 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
Intelligence conservée ; enfoncement du crâne ; trépanation ; coma; paralysie plus marquée; érysipèle de la tête. A la fin d'
ong. Apoplexie à quatre-vingt-trois ans, au mois d'avril 1860, sans paralysie ni perte de l'intelligence, mais avec aphasie e
r un diagnostic que viennent confirmer les symptômes propres à la paralysie générale. Les idées de damnation, comme nous l'
es classe à côté des attaques qui se montrent si fréquentes dans la paralysie générale. Or, on sait que celle-ci peut être el
aux courants faradiques (An S Z > Ka S Z) constituerait dans les paralysies atrophiques un symptôme clinique de bon présage
l'étendue des phénomènes. Pas de troubles de la sensibilité; pas de paralysie franche. Aucun foyer cérébral. ill. Kirchhoff r
l'appui de sa thèse. P. K. IX. Contribution A LI, localisation des PARALYSIES saturnines dans les extrémités inférieures; par
tabli jadis par Remali (Arc/t. f. Psychiatlie, VI, 41) porte sur la paralysie dégénérative des péroniers et des longs extenseur
entier. P. K. iI. L.f.1'l' .\NA'10110-L'.IIHOLOGIQUE D\NS un cas de PARALYSIE infantile spinale EXISr%N'r depuis trois ANS; p
nte du sang dans les vaisseaux , serait-on autorisé a penser que la paralysie spinale aigué de l'enfance a pour origine des h
orrhagies primitives. ' 13. K. 11. Situation DE l'omoplate dans LES paralysies DU grand dentelé, par 1.$EF;LIG)IUELLEIt. (Neur
elé, par 1.$EF;LIG)IUELLEIt. (Neurolo. Central6l., 1882.) Dans la paralysie du grand dentelé qui persiste depuis un temps R
ales du côté droit, ayant déterminé des convulsions a gauche et une paralysie de la jambe gauche. 2" Ramollissement de la cir
ution pariétale ascendante droite, produisant un tremblement et nue paralysie permanente du bras gauche et un tremblement et
et nue paralysie permanente du bras gauche et un tremblement et une paralysie transitoire de la jambe gauche. 3" Ramollisseme
partie inférieure de la frontale ascen- dante des deux côtés, avec paralysie de la face et aphasie. 4" Abcès du cerveau d'or
des circonvolutions ascendantes), produisant des convulsions et une paralysie du bras droit et du côté droit de la face, avec
lissement de la frontale ascendante du côté droit, accompagné d'une paralysie du bras gauche et d'une parésie de la jambe, de
parésie de la jambe, de la face et de la langue. 6° Convulsions et paralysie du côté droit du corps dues à une inflammation
deux observations anatomopathotogiques mettent en évidence dans la paralysie gé- nérale l'atrophie considérable de toutes le
r les lymphatiques de la tête, la fréquence terrninale du poulsh la paralysie du pneu- mogastrique, la dilatation pupillaire
tc.), soit par une cause locale échappant au diagnostic (névralgie, paralysie , épilepsie, hystérie, hypochondrie), soit enfin
ans la leçon XVIII se trouvent consignées plusieurs observations de paralysie rapide et presque généralisée, semblant être sous
flexes tendineux et la para- lysie motrice ; l'auteur rapproche ces paralysies de celles qui s'ob- servent à la suite de la di
système nerveux (teruous mimicry de James Paget); dans aucun cas de paralysie hystérique, l'auteur n'a observé l'abolition de
pendant le'réflexe tendineux pour- rait disparaître dans les cas de paralysie prolongée du triceps fé- moral. Dans un cas, la
es cas de paralysie prolongée du triceps fé- moral. Dans un cas, la paralysie d'un côté de la face aurait été observée. A pro
s permettent pas d'entrer dans le détail des chapitres consacrés la paralysie saturnine, à la paralysie cervicale, à la paral
dans le détail des chapitres consacrés la paralysie saturnine, à la paralysie cervicale, à la paralysie infantile, à la poliomy
es consacrés la paralysie saturnine, à la paralysie cervicale, à la paralysie infantile, à la poliomyélite an- térieure, à la
ale, à la paralysie infantile, à la poliomyélite an- térieure, à la paralysie a21taii te; mais à propos de cette dernière, no
symptômes des tumeurs cérébrales; tantôt c'est un délire aigu, sans paralysie , ni convulsions, donnant l'image du délire alcoo-
artielle par lésion cérébrale. Ce signe négatif, c'est l'absence de paralysie des membres convulsés, quelqu'ait été le nombre
n..., dont le cas est publié plus bas, présentait constamment de la paralysie des membres convulsés après quelques accès. E
du moins, de constater l'absence d'élévation de la température, de paralysie , etc. Il n'en a point été ainsi chez Rosa G...,
ur : 1° l'absence d'élévation de la tempéra- ture ; 2° l'absence de paralysie ; 3° la survie compa- tible avec un très grand n
te : 1° une hyperexcitabi- lité(très manifeste de la moelle ; 2° la paralysie des muscles part aux convulsions. ? Ençé qui co
e- transitoire des muscles con- vulsésJqVtiicirlx.relation de ces ? paralysies telle qu'elle figure dans nos notes relatives à
de .remuer. : ) le. inernbref inférieur,5gaiiclie., Ili texiste une paralysie faciale (très-notte,;rl'ouverture palpébralelba
: sillonlnâso : génien gauche est enacé;'Nous constatons que cette paralysie delà-face est tout; à faitftran- sitoire ; elle
aisse. 'jL ? ? ,c7 . ? entre les accès pour ou elle disparaisse. La paralysie du bras et'de'lafârriliîf'persiste'^ après la
38 ? quell,que"^soitlêT'nonhire°des crises ; chez Rosa G..., pas de paralysies des membres convulsés,o°même,`quand°.laSlnalade
jchez,Foisn ? au,,r,ontraire, après quelques attaques, apparaît une paralysie très mahifestedè iafacëet''dësmembres gauches'
Pendant une occu- pation domestique chancelle1 et perd la parole ; paralysie du bras droit, et plus tard'du membre inférieur
mée Borda tombe frappée d'hé- miplégie et d'aphasie. Pendant que la paralysie per- siste, la parole revient peu à peu. Dans
le; 3° Que dans un nombre de cas, relativement consi- dérable, la paralysie accompagne l'aphasie. En d'autres termes, troub
troubles aphasiques seulement, d'une part ; aphasie véritable avec paralysie , d'autre part; tels sont les symptômes qui cara
entendu, que l'aphasie, car, dans ce cas comme dans le premier, la paralysie du membre supérieur surtout se manifestera à ca
Loi ' 30)J i g'1oa/i Ol;scavaTlo : v 11 (Rochoux). -flylucsie sacts paralysie , y, aszd ? j' ? j ? \ ? , '7 ? ra°rfl'S 4, :
inique de Trousseau.) aaot 'woo 1 193 m f Femme de quarante ans. - Paralysie de tout le côté gauche du corps;) aphasie. <
avant-mur ; athérome artériel. Trois attaques d'hémiplégie gauche ; paralysie com- plète du membre supérieur, incomplète du m
ment des pieds en provoque d'assez intenses ; vomissements bilieux, paralysie faciale très marquée, épigastre douloureux ; in
'atrophie de la troisième frontale gauche, sans se préoccuper de-la paralysie . Aujourd'hui, après le travail de M. Duret sur
paraît bien difficile de ne pas tenir le plus grand compte de la paralysie à gauche et de ne pas la rap- porter à l'athéro
ître la maladie. La période expansive ne sera pas confondue avec la paralysie générale ; l'état de la pupille, l'absence de t
allèlement la santé somatique et la santé mentale. R. M. C. XVII. Paralysie et aphasie congénitale chez un idiot ; atrophie d
ls et d'utiles indications, R. M. C. XIX. Sur la pathologie de la paralysie générale; par Joseph 1'I- CLESWOIITU. (Journal
ante : «La conclusion à laquelle on arrive finalement, c'est que la paralysie générale est une inflammation interstitielle vr
sus des tables, des chaises, etc.). Ason entrée on noiiiote aucune, paralysie motrice; au point de vue mental, il est irritab
connu depuis longtemps par une série d'intéressants travaux sur la paralysie générale, a étudié avec soin l'état du réflexe
1 rn ? J Gût z(Sliil 9tlJCJbG n^I 911n Jy ? l rattachent . , à . la paralysie , générale : . , t 9( r (I r ( n , z ? ,'<*
'sur ]es éléments de f'étiologié et'sur ceux de'U'évolulion ! 'La'' paralysie générale ne provient jamais exclusivement de l'
1excès alcoo- liques 'd'ailleurs très fréquents, tandis que,dans-la paralysie gêné- racles rechutes sont spontanées, la, mqrt
énérale,1 engendrent. des forriies 'mixtes.' Règle1 gé- nérale,' la paralysie générale"alcb6lique a1 une' évolution torpide;
ès prononce d un1 bout a 1 autre. Différences necroscopiques : la paralysie générale1 vraie appartient l'iiîtênsité désraltér
ux ganglions ! On devrait, selon lui,3"accepter là'pathogénie'de'la paralysie générale', de parlés excès alcooliques', sous l
es boisions, aFoqliugpr9çuyhlçpglisLoEI ? oiti ! 19 duquel émane la paralysie générale typique ; . 9D1(hoin 2° Les excès; de,
boissons, précèdenj.,^ jl.s[enpiévelqppe, ^au ^cou.rs du temps, une, paralysie , générale, sanssqu^oQpobserv^eJe^lad^m-, terméd
nséquent, la nature périphérique de ces atîeclions,(3;,com- pris la paralysie saturnine) ne saurait encore être admise comme
génération évidente. Il lui paraît difficile, en ce qui concerne la paralysie saturnine., de rattacher, aune altération fonct
demeurentintacts. La non-participation dus nerfs sensitifs dans la paralysie satur- nine n'a pas encore été démontrée. ; 1 `
inement aux idées de M. Strumpell. Déjà, dans sa monographie sur la paralysie spinale infantile,' il a·e1 supposé l'infection
c'est le domaine 'du59 ' radial qui se trouve atteint ? or, dans la paralysie traumatique > ? du nerf radial, les troubles
1111;DFL (de Berlin). Contribution à l'anatomie pathologique de la paralysie progressive des' aliénés '. - Faut-il, comme le v
iénés '. - Faut-il, comme le veut M. T uczek -, croire que, dans la paralysie générale, l'atrophie des fibres nerveuses à myé
celle des cerveaux pathologiques. (Pièces à l'appui.) Pour lui, la paralysie générale est une'encéphalite'interstitielle.riD I
réciation jsuivante. Au point de vue. clinique, lés 8 symptômes, de paralysie , générale, se montrent en différentes z diffuse
trait qu'à des individus infestés par l'hérédité; il en a exclu la paralysie générale qui, pour lui, ne constitue pas une af
i.sTRomrz croient que l'hérédité n'est pas si rare que cela dans la paralysie générale. M. Ideler demande si les criminels en
re de ces conceptions et leur teneur. Dans les stades avancés de la paralysie générale, l'unitonalité du masque répond à l'ét
cles du corps (état maniaque et surtout délire aigu); d'aucunes, la paralysie , l'incoor- dination des mouvements associés; qu
ions de dédain, de` mépris, de finasserie, existe au summum dans la paralysie générale, et, a un degré plus ou moins prononcé
parait tiques généraux ; ; microphthiilmie des stades avancés de la paralysie générale, de la démence, de l'idiotie.1 En somm
émence arrive et la mort a lieu au milieu du tableau clinique de la paralysie générale. Autopsie. Adhérences corticales carac
grise. Discussion : ? ,R'. M. Westpiul croit que c'est un cas de, paralysie générale ayant commencé par des tabès, et qu'il
ole, etc.), un développe- ment somatique extrêmement restreint, une paralysie totale des deux extrémités, supérieure et infér
ives de l'appareil dentaire. Il rattache l'hémiplégie gaucho et les paralysies des extrémités et du facial de côté, a la destruc
,LSOCiéLé que, quelle que soit la perfection des rémissions dans la paralysie générale, l'étude de récidives s'oppose à ce qu
ut compter avant de prononcer l'épilliète d'in- curable. Quant à la paralysie générale, il est exact que l'on se trouve souve
lytique de cette maladie, mais reconnaît qu'elle peut compliquer la paralysie générale (soixante-dix observations à l'appui).
ue à la Société de biologie, octobre 48831. Charpentier . VIL Des paralysies du nerf sciatique poplité externe d'origine pel-
variable. Tantôt, il s'agit d'une paraplégie complète, tantôt la paralysie est unilatérale ou prédominante d'un côté; tantôt
ralysie est unilatérale ou prédominante d'un côté; tantôt enfin, la paralysie est non seulement unilatérale mais partielle. Que
sie est non seulement unilatérale mais partielle. Quel- quefois, la paralysie partielle est limitée aux nerfs sciatique po- p
en effet expliquait la localisation, qu'il croyait exclusive, de la paralysie au sciatique poplité externe, par le fait que c
.) BIBLIOGRAPHIE. 269 neuropathologie : Aphasie et Arttonontnsie, paralysie par compres- siorz, urticaire chronique, sperrn
céphalique au moyen des vaso-moteurs. La migraine peut produire des paralysies , des convulsions, de l'amnésie, la folie, la pe
Tout d'abord, nous constatons chez lui les signes classiques de la paralysie pseudo- hypertrophique. Les membres inférieurs,
Dans le cas qui vient d'être rapporté, la maladie de Thomsen et la paralysie pseudo-hypertrophique coexis- tent, sans que l'
s sommes arrivé à cette conviction qu'il ne s'agissait pas là d'une paralysie vraie, telle que celle qu'on observe communémen
des attaques seulement. Pas d'élévation de la température ; pas de paralysie consécutive aux accès, mais simplement de l'imp
nement penché pour l'épilepsie, si l'absence d'hyperthermie et de paralysie nette des membres convulsés à la suite des atta
nnels sont peu circonstanciés. La mère de Fore... a été atteinte de paralysie des membres ( ? ) à la suite de couches. Son pè
vec perte de connaissance. Cette attaque se serait accompa- gnée de paralysie du bras gauche. Les attaques se sont re- produi
des accès simplement - épileptiformes. b) Puis vient l'absence de paralysie des membres convulsés dans la fausse épilepsie
épilepsie partielle vraie laissent, au contraire, à leur suite des] paralysies ou parésies passagères ou définitives. c) Il
Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une attaque de paralysie gauche qui l'a enlevé en trois jours; il faisait
ois mois. Lorsqu'il a quitté le lit, « tout le côté gauche était en paralysie » ; on n'avait rien remarqué auparavant; on dut.
te un léger érythème de la fesse droite. On ne trouve nulle part de paralysie ou de contracture; il n'y a pas de raideur du c
2, que de très légères diffé- rences. Au membre supérieur gauche la paralysie persista plus longtemps, et ce ne fut que vers
.paralysie véritable et anesthésie des membres affectés. Jamais de paralysie de la vessie ni du rectum, pas d eschares, spasme
ue; énorme résistance électrique. Légère contracture des genoux. La paralysie et les anesthésies s'évanouirent ultérieurement
t peu profonde du rendement lombaire. P. Marie. XXIV. Deux cas DE paralysie DU trijumeau ; par C.-W. Mueller. Arch. f. Psyc
concerne l'atteinte de la portion sen- sitive du trijumeau droit : paralysie totale, à l'exception du globe oculaire, de la
x observations de formes associées de sclérose multiloculaire et de paralysie progressive. Une femme de quarante-trois ans, i
elques mois, présenté les symptômes prémoni- toires habituels de la paralysie générale, est indubitablement atteinte de cette
rouble de la parole. Quatre ans plus tard, ce sont des symptômes de paralysie générale qui constituent le tableau clinique; l
ment gra- duel et de l'incertitude de la démarche et finalement une paralysie des bras et des jambes. La sensibilité est cons
és. L'une d'elles est, en fait de complexus clinique, un exemple de paralysie ascendante aiguë ayant évolué en dix-sept jours
oelle. Bien des cas, tels que celui-ci, considérés à tort comme une paralysie ascendante aiguë, ne sont-ils pas des faits de
âgée. Le plus, l'atteinte du faisceau pyramidal avait déterminé une paralysie flasque sans rigidité ni contractures. rapproch
'avant-bras, à la main, dans les doigts, sur les mêmes zones que la paralysie . La douleur est en ces régions, au moins par pl
eurs semaines présentèrent de la dégénérescence secondaire ; pas de paralysie complète ; quelques- uns eurent des troubles de
thode d'examen. Cette atrophie appartient-elle exclusi- vement à la paralysie générale ? La réponse appartient à l'avenir. Po
s organes).-Le dernier mémoire (D) n'a d'ail- leurs plus trait à la paralysie générale. M. Tuczek a eu l'idée de soumettre à
ard, parésie des extrémités droites se transformant rapidement en paralysie complète avec contracture dans le sens de l'exten
s DE la réaction dégénérative par- TIELLLE ET sur L'OCCURRENCE DE H paralysie spinale atrophique CHRONIQUE CHEZ l'enfant; par
HEZ UNE FILLETTE DE six ANS (fait unique); la seconde a trait à une paralysie rhumatismale (ou par compression ? ) du Voy. Ar
PATHOLOGIE NERVEUSE. 343 radial gauche; la troisième porte sur une paralysie faciale rhuma- tismale à forme moyenne. Dans to
er plus de résistance que celles qui n'ont pas été atteintes par la paralysie ; 6° même dans les hémiplégies très an- ciennes
médicale. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 3,51 i XXXVIII. Paralysie générale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE
des influences accidentelles diverses peut faire un jour éclore la paralysie générale. 11 est probable que dans la ma- jorit
e rapporte dans ce travail quatre observations dans les- quelles la paralysie générale a fait son apparition plus ou moins lo
ière; eidin, dans un dernier cas, on avait assigné comme cause à la paralysie géné- rale une lésion de l'épine dorsale; mais
'âge de deux ans et demi, et son intelli- gence s'en est ressentie. Paralysie motrice du membre supérieur droit et faiblesse
auteur a obtenu : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 361 ment : de la paralysie de l'oculomoteur externe gauche manifes- tement
agitation croissante et les troubles psychiques et somatiques de la paralysie générale. Durée de cette phase : neuf jours. Fi
ours d'une maladie mentale quel- 361. SOCIÉTÉS SAVANTES. conque ; paralysie générale, délire chronique, épilepsie, etc. Qui
de fois cette situation ne s'est- elle pas constatée au début de la paralysie générale. Tel malade peut tenir de causes héréd
on mariage. Il y a neuf mois, signes somatiques et psychiques de la paralysie générale, sans qu'on fût en état de cons- tater
loppement pour ainsi dire v6 ovo est corroborée par la marche de la paralysie gé- nérale; car, telle est, dès l'apparition de
lures permirent à l'auteur de songer, tout en portant le diagnostic paralysie générale, à l'existence d'une affection orga- n
é a persisté, jamais on n'a constaté de troubles ocu- laires, ni de paralysie , tandis que les attaques, devenues très fré- qu
on, provoqué des convulsions, à l'aide de résec- tions, produit des paralysies , rattache au lobe frontal l'innervation des mus
n du lobe antérieur d'avec le reste du cerveau aurait engendré la paralysie de l'appareil musculaire du tronc du côté opposé,
accompagné de fièvre modérée ; un troisième était en- levé par une paralysie progressive à marche rapide. Deux vivent encore
Malgré les analo- gies irréfutables de cette forme morbide avec la paralysie spinale subaiguë de Ducbeuue, aucun des symptôm
camphre, par exemple) dépendent d'une congestion cérébrale due à la paralysie de la tu- nique musculeuse des vaisseaux ou des
atteint du let au 17 septembre de diphtliérie pharyngée. Dès lors, paralysie du voile du palais 384 SOCIÉTÉS savantes. (pa
isit cette occasion pour compléter sa communi- cation relative à la paralysie progressive de l'ensemble des muscles de I'oeil
sité d'un point d'appui, de la parésie, et, de temps à autre, de la paralysie vésicale, une constipation opiniâtre, des névra
ppréciable, ictus aploplectiquc grave ; trouble de la connaissance, paralysie faciale complète, hémiplégie droite. Vingt-quat
approche de la stupeur; celle-ci est totalement réalisée lorsque la paralysie est absolue. Autrement dit, toute psychose expr
plète, la folie périodique ;le même cadre peut être reporté dans la paralysie générale. Une vésanie typique complète, mortell
tabès spéci- fique ; par P. Portalier. Thèse de Paris, 1884. Des paralysies dans le cours de la colique hépatique ; par BouR-
306. Encéphalopathie saturnine, par Comby, 80. Endartérite avec paralysie et apha- sie, 208. Epilepsie jacksonnienne, p
imbécillité, 91; - (ana- tomie pattoloâique de), 250, 352. Idiot ( paralysie et aphasie congé- nitale chez un), par Shaw, 90
. Olfactive (muqueuse), 378. Omoplate (situation de l' dans les paralysies du grand dentelé), 82. Optique (disposition c
e- rew, 78. Paralvsie progressive des muscles de l'oeil, 384. Paralysies saturnines des extrémités inférieures, par Ilem
Paralysies saturnines des extrémités inférieures, par Ilemak, 84. Paralysie infantile spinale exis- tant depuis trois ans (
(état ana- tomo-pathologique dans un cas de), par Schuitze, 84. Paralysie pseudo-hypertrophique et maladie de Thomsen, pa
udo-hypertrophique et maladie de Thomsen, par Vi- gouroux, 273. Paralysie du grand dentelé, 82. Paralysie générale (sur l
Thomsen, par Vi- gouroux, 273. Paralysie du grand dentelé, 82. Paralysie générale (sur la patholo- gie de la), par Wigle
ues 82. Récompense honorifique, 111. Fabrn, 128. Sciatique (des paralysies du nerf - poplité externe d'origine pel- vien
Tétanos (substratum anatomique du), 84. Thomsen (maladie de) et paralysie pseudo-hypertrophique, par Vi- ,-otii,otix, 2
sie pseudo-hypertrophique, par Vi- ,-otii,otix, 273. Trijumeau ( paralysie du), 396. Tumeur cérébrale avec surdité cen-
51 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
e la plus simple l'hémiplégie purement motrice dans laquelle il y a paralysie des membres, de la langue et de la partie infér
able hémiplégie sensorielle non croisée, c'est-à-dire qu'il y a une paralysie de la moitié gauche des rétines quand la lésion
ésé au-dessus de son entrecroisement. Il présenta simultanément une paralysie de la moitié gauche de la lan- gue, c'est-à-dir
-même, dans son trajet intra-bul- baire, qui a été atteint. Cette paralysie de la langue s'accompagna d'atrophie musculaire,
oteur ocu- laire externe ou de son noyau, amènera égale- ment une paralysie avec atropine uegeneraLive uu muscie urom externe
et la partie inférieure de la face, et en même temps il y aura une paralysie directe du moteur oculaire commun, véritable pa
l y aura une paralysie directe du moteur oculaire commun, véritable paralysie périphérique avec atrophie dégénérative des mus
e la face du côté gauche. Et à cette hémiplégie gauche se joint une paralysie du releveur de la paupière supérieure droite, c'e
neau, chef des travaux ophtalmologiques à la clinique de St-Anne. « Paralysie du releveur de la paupière supérieure droite, par
syndrome de Weber caractérisé ici par une hémiplégie gauche et une paralysie du moteur oculaire com- mun droit. Si, poursu
nt donné naissance. Nous savons déjà que l'hémiplégie gauche avec paralysie du moteur oculaire commun droit se rapporte hab
rois semaines l'hémiplégie des membres était complète, ainsi que la paralysie du releveur de la paupière supérieure et des musc
d'expliquer du même coup tous ces symptô- mes : hémiplégie gauche, paralysie du moteur oculaire commun droit, hémiopie gauch
l'hémiplégie gauche, l'hémiopie gauche, l'aphasie temporaire, et la paralysie temporaire du moteur oculaire com- mun, nous pe
nné lieu aux symptômes très accusés, mais néanmoins temporaires, de paralysie du moteur oculaire commun, ainsi qu'aux symptôm
ants : le mari de la malade aurait eu la syphilis et serait mort de paralysie générale; de sorte qu'on peut supposer que la syp
rs de toute intervention thérapeu- ti que. (1) Mémoire de GUBLER, Paralysies alternes. Gazette hebdomadaire, 1859, p. 87. SY
asiques n'étaient plus que peu accusés, l'hémi- plégie légère et la paralysie des muscles de l'oeil en voie d'amélioration, tan
roubles moteurs qui doivent plutôt être appelés des ataxies que des paralysies proprement dites. Bref, tous ces savants rappor
ais encore la sensibilité cutanée et musculaire, donnent lieu à des paralysies sensitivo- motrices diffuses. Malgré tous ces
e à celte question me semble péremptoire. D'abord, la confusion des paralysies corticales avec les ataxies a bien l'air d'une
es a bien l'air d'une méprise clinique. Mais, vouloir attribuer ces paralysies à t'anesthésie cutanée ou musculaire, c'est en do
ffet, si c'était là la cause de celte impuissance, nous aurions des paralysies dans les mem- bres anesthésiés des hystériques,
les lésions des circonvo- lutions ascendantes peuvent produire des paralysies pures, non accompa- gnées de troubles sensitifs
rmée, puisque l'intensité des anesthésies ne répond pas à celle des paralysies , et la marche des premières n'est pas nécessair
r par la fréquence toujours croissante des faits, dans lesquels les paralysies corticales se compliquent de perturba- lions se
s grandes cellules profondes. D'autres, tenant compte de ce que les paralysies corticales, la plupart du temps dans les 2/3 de
lités de la surface du cerveau dont la lésion produit d'une part la paralysie motrice, d'autre part le trouble du sens muscul
aractère transitoire, possè- dent évidemment la même genèse que les paralysies passagères qu'on observe dans les mêmes conditi
'épuisement nerveux », se fait dans un centre moteur nous avons les paralysies , comme dans les cas étudiés par Tood, Jakson, P
ruction de certaines parties de l'écorce cérébrale est suivie de la paralysie des muscles du côté opposé du corps. Cette « zo
echsig explique comment la destruction de cetle zone n'amène pas de paralysie des muscles oculo-moLeurs dont le centre serait p
celte affection. A cette époque, pendant ou après ( ? ) survint une paralysie de son membre supérieur droit à laquelle succéd
ire on constate une ophtalmoplégie il prédominance unilatérale, par paralysie de tous les mouvements de l'oeil gau- che. Le s
tout le corps s'est développé chez une femme de 45 ans, atteinte de paralysie bulbaire ; dans le second cas, c'est un homme,
tive, une autre fois d'un buste représentant une malade atteinte de Paralysie labio-glosso-laryagée; on a pu voir aussi dans
rt. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 3, 1894. Le faciès dans la Paralysie glosso-labio-laryngée. Ibid., ne 6, 1894. II. M
eureusement impossible d'instituer ce traitement. - NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR DANS L'HÉMIPLÉGIE PAR LÉSIO
e longuesdis- cussions. On a longtemps contesté l'existence de la paralysie faciale dans l'hémi- plégie hystérique. Tandis
sthésie superposée. Ces faits ont paru contredire l'existence de la paralysie faciale ; mais des observations de Chantemesse et
J'avais montré déjà'à l'aide de mesu- res que, même en l'absence de paralysie grossière, dans l'amyosthénie hystérique, il ex
de l'anat. et de la phys., 1892, p. 434). 148 Con. séné posé à la paralysie des membres, peut être la conséquence de la paral
éné posé à la paralysie des membres, peut être la conséquence de la paralysie de la face du côté hémiplégique (1). Hcldenberg
e la langue dans l'hystérie (2). On a admis aussi l'existence d'une paralysie systématique des mouvements d'articulation ; ma
ur intégrité manque il l'appui de cette systématisation. Dans les paralysies par lésions cérébrales, on a admis aussi des rest
ralisation aux muscles de la face. Plusieurs auteurs pensent que la paralysie des mouvements d'articulation peuvent exister s
fonctions soient atteints. La réalité de la systématisation de la paralysie ne peut s'appuyer que sur des mesures démontran
it non plus sur plusieurs autres faits rela- tifs à l'étendue de la paralysie faciale dans l'hémiplégie par lésions céré- bra
culation, Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1890, p. 168. Note sur les paralysies systématiques (C. R. Soc. de biol., 1893, p. 31
volontaire (1), mais on a contesté absolument l'existence de toute paralysie dans le domaine du facial supérieur. Landouzy, pa
ple, admet qu'il n'existe aucun fait l'appui de la réalité de cette paralysie dans les méningo-encéphaiites : « Parmi le gran
s méningo-encéphaiites : « Parmi le grand nombre d'observations des paralysies faciales relevées ici, pas une ne s'est étendue a
caracté- risée par cet ensemble de signes qu'on rencontre dans les paralysies fa- ciales périphériques : impossibilité de clo
id . , p. 663). (2) L. Landouzy, Cotit. il l'él. des convulsions et paralysies liées aux méningo-en- céphaliles front o-pariét
ll (1) est revenu en somme il l'opinion de Berger : suivant lui, la paralysie de l'orbiculaire n'a de valeur au point de vue du
l'orbiculaire n'a de valeur au point de vue du diagnostic entre la paralysie supra-nucléaire et la paralysie nucléaire on in
point de vue du diagnostic entre la paralysie supra-nucléaire et la paralysie nucléaire on infra-nucléaire que lorsque le mal
fer- mer l'oeil. L'orbiculaire des paupières est intéressé dans la paralysie fa- ciale qui accompagne l'hémiplégie, mais la
sé dans la paralysie fa- ciale qui accompagne l'hémiplégie, mais la paralysie est incomplète et z moins marquée que celle des
nervés parle facial inférieur. Au début de l'hémiplégie intense, la paralysie de l'orbiculaire peut être com- plète, mais au
les hémiplégiques, c'est la persistance des signes grossiers de la paralysie du facial supérieur ; aussi ai-je pensé que l'ob-
c fièvre et qui lui laissèrent une paraly- sie du côté droit. Cette paralysie parait avoir été totale, les membres étaient ba
90, p. Il. Nouv. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRT. T. XI. PI. XVIII PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR dans l'Hemip)cgic par lésio
ion cérébrale (Ch. Iiré) MASSON & Cie, Editeurs NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR 151 droit incomplètement fe
les photographies, qui présente les caractères les plus marqués de paralysie . Lorsque les deux yeux sont ouverts, l'oeil dro
nne par lésion cérébrale. Celle participation de l'orbiculaire à la paralysie est remarquable non seulement par sa persistanc
seulement par sa persistance, mais aussi par sa prédo- minance : la paralysie de l'orbiculaire est en effet ce qui frappe le pl
n. Féré, Les épilepsies et les épileptiques. 1890. p. NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR 153 J'ai voulu m'assurer si
t le domaine du facial est atteint : j'ai observé un aphasique avec paralysie faciale et hémiplégie chez lequel les mouvements
d'un grand nombre de para- lysies et en particulier dans celle des paralysies soi-disant systématiques. DE LA MYOSITE OSSIFIA
sur le diagnostic différentiel de la myo- site ossifiante et de la paralysie pseudo-hypertrophique. A une phase assez avancé
omprendre. Pas d'atrophie linguale. Du côté des yeux, il n'y a ni paralysie , ni nystagmus, ni rétrécissement du champ visue
une certaine difficulté à les relever. Il n'y avait aucune trace de paralysie des muscles de l'oeil. Les pupilles réagissaient
debout, ni s'asseoir. H ne parlait pas. ne reconnaissait personne. Paralysie spasmodique des deux jambes et du hras droit. R
z aplati la base, des érosions dentaires, des dents atrophiées, une paralysie faciale du côté droit, et une hydrocéphalie vol
de tout un membre, y compris les os, est bien connue au cours de la paralysie infantile. Elle est en rapport avec une lésion pr
de leprévoir, cette lésion médullaire est différente de celle de la paralysie infantile : c'est, en effet, une atrophie simpl
t en longueur qu'en largeur,aurait donné l'apparence d'un membre de paralysie infantile, n'eùt été l'ankylose du genou. L'atrop
oupes do moelle (méthode de Pal, faible grossissement) 1. Moelle de paralysie infantile (région cervic.ile). Foyer de sclérose
artificielle et n'est pas visible sur la préparation. 3. Moelle de paralysie iiifititile (région lombaire inférieure). On voit
re inférieur gauche. L'aspect extérieur du membre était celui de la paralysie infantile. Il existait, en outre, une légère dé-
e, Darlachewitscli et Tichonow (89 : 3) ont montré, dans des cas de paralysie faciale non spécifique, la dégénérescence du bout
e liée à l'amputation des membres, très diffé- rente de celle de la paralysie infantile, myélopatliie primitive. Les altérati
z. rnéd. de Paris, 1871. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 273 Dans la paralysie infantile, la lésion médullaire est tout à fait d
de vue rappeler deux cas personnels. .Le premier se rapporte à une paralysie infantile développée à l'âge de G mois. Le mala
uxième cas relatif à un malade de GO ans, atteint dans l'enfance de paralysie infantile des deux membres inférieurs avec prédom
igine périphérique, d'une anl3 lose articulaire, tandis que dans la paralysie infantile l'articulation jouit, au contraire, d'u
pitaux (séance du 22 juillet 189S) des pièces provenant d'un cas de paralysie traumatique inférieure du plexus brachial. L'au
ue le traumatisme a provoqué une lésion du nerf sous-orbitaire avec paralysie consécutive des hanches nerveuses destinées aux
e Gibuey en dit en 18 ? Fillette de 10 ans. Diplitérie en 1874 avec paralysie des cordes vocales. Les muscles atteints sont :
alades. On ne compte plus les cas où une épilepsie par- tielle, une paralysie , un trouble du langage ou de la mémoire, des cris
symptômes nerveux, tels que la fonte ou atro- phie des muscles, les paralysies du mouvement et du sentiment, les spasmes, les
es et aux enseignements de Charcot, nous avons appris il guérir des paralysies , des tremblements, des convulsions, des douleur
ue, le traitement des mani- festations de l'hystérie telles que les paralysies , les convulsions, les contractu- res, les perve
tions : Un coup violent, porté sur un membre, peut en déterminer la paralysie . Obsédé par cette idée, un hystérique qui vient
lytique. Il lui est impossible de concevoir, de lui-même, que cette paralysie est de pure imagination, quelque chose comme le
peut de nouveau faire mouvoir son épaule, et presque toujours cette paralysie , quand elle est assez récente, se dissipera insta
augura l'ère de sa célébrité. - La Rédaction SUR UNE VARIÉTÉ DE PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ (grand DENTE
et r Pierre DUVAL .Médecin des Hôpitaux Interne des Hôpitaux. La paralysie du muscle grand dentelé se présente sous des aspe
- férents. Tantôt elle est constituée à l'étal de pureté : c'est la paralysie isolée. Tantôt elle est compliquée de la paraly
ureté : c'est la paralysie isolée. Tantôt elle est compliquée de la paralysie d'un muscle ou de plu- sieurs muscles : c'est l
ée de la paralysie d'un muscle ou de plu- sieurs muscles : c'est la paralysie associée. Le cadre des paralysies associées est
e plu- sieurs muscles : c'est la paralysie associée. Le cadre des paralysies associées est très vaste. Au cours des amyo- tr
que, le grand dentelé est souvent inléressé. D'autre part, dans les paralysies radiculaires du plexus brachial, il n'est pas rar
e ces variétés. Le grand dentelé n'y joue qu'un rôle secondaire; sa paralysie , perdue dans l'ensemble morbide, n'y revêt point
distincte. A côté de ces deux groupes, il faut placer les faits de paralysie du grand denlelé, associée à celle d'un muscle
son mécanisme et ses caractères, mérite une place à part : c'est la paralysie du grand den- Gelé, associée il celle du trapèz
goureux et extraordinairement musclé. Tout se borne chez lui il une paralysie du muscle grand dentelé et des deux tiers inférie
ord les détails des déformations de la région sca- pulo-humérale. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 421 1 A) Stati
1'. XI. PI. XI. VIII A H - - ? c . z. 1 D I : 1. G PARALYSIE DU GRAND DENTELÉ (A Souques ct Dmal.) MASSON
DU GRAND DENTELÉ (A Souques ct Dmal.) MASSON rie F ? it(,\1rc : PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 423 bord spina
ALI'LIHll.lth. T. XI. PI. 1fI\ H I J K - - I. M N R PARALYSIE DU GRAND DENTELÉ (A. Souqucs et Ducal.) PARAL
. M N R PARALYSIE DU GRAND DENTELÉ (A. Souqucs et Ducal.) PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 425 tabilité g
rex- citabilité est-elle plus apparente que réelle, par suite de la paralysie de son an- tagoniste (grand dentelé). Enfin,
Tels sont les détails de l'observation. 11 s'agit, en résumé, d'une paralysie du grand dentelé, associée à la paralysie des p
s'agit, en résumé, d'une paralysie du grand dentelé, associée à la paralysie des portions moyenne et inférieure du trapèze.
en convaincre, de parcourir les principaux travaux pu- bliés sur la paralysie du muscle grand dentelé. On y voit que la paralys
u- bliés sur la paralysie du muscle grand dentelé. On y voit que la paralysie du trapèze complique souvent celle du grand den
igna- lée de manière incidente, il n'en ressort pas moins que cette paralysie as- sociée du grand dentelé est fréquente, plus
de Berlin (1), Remak déclara qu'il n'avait observé que trois cas de paralysie isolée du muscle grand dentelé, tandis qu'il avai
ie isolée du muscle grand dentelé, tandis qu'il avait vu six cas de paralysie du même muscle, associée 1 celle des portions moy
n pa- ralytique. Plus récemment, Barreïro (1) avance aussi que la paralysie concomitante du trapèze est la complication la
concomitante du trapèze est la complication la plus fréquente de la paralysie du grand dentelé. « Les parties du trapèze frap
nne, qui en parle à diverses reprises. Il écrit qu'il n'a pas vu de paralysie ou d'atrophie étroitement localisée au grand de
doit être rare, puisque sur une vingtaine de « cas d'atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j'ai explorés, je ne « l'a
homme qui, à la suite d'une chute d'un lieu élevé, fut frappé d'une paralysie généralisée. Au bout d'un an, il restait encore
bras sur l'épaule. « Dans ce cas,les signes pathognomoniques de la paralysie du grand dentelé « étaient aussi prononcés pend
scapulo-humérale, considérer dans l'espèce ce fait comme un cas de paralysie isolée du grand dentelé. Une des deux dernières
5, ajoute en note : « Depuis lors j'ai observé bien d'autres cas de paralysie ou d'alro- « phie du grand dentelé, dont j'aura
ue regretter, au point de vue (1) Banmuno, Conlrib. à l'étude de la paralysie du muscle grand dentelé. Th. Pa- ris, 1895, p.
l. des mouoem. Paris, 1867, p. 40. (3) DocuEwa, eod. loc., p. 14. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 427 7 document
7 7 documentaire, et au point de vue de la fréquence relative de la paralysie isolée du grand dentelé et de sa paralysie asso
fréquence relative de la paralysie isolée du grand dentelé et de sa paralysie associée à celle du trapèze, que cette expositi
Nous savons, au demeurant, que Duchenne regardait comme des cas de paralysie complexe tous les cas de paralysie isolée du gr
henne regardait comme des cas de paralysie complexe tous les cas de paralysie isolée du grand dentelé, publiés avant lui. Lew
voir de Duchenne. Pour lui, comme pour Duchenne. sont des faits de paralysie complexe tous les faits où on a noté un trouble d
s observations, de savoir par exemple si tel cas se rapporte il une paralysie associée, car ces faits sont pour la plupart in
que exacte, tou- chant la fréquence comparée des diverses formes de paralysie du grand dentelé. Il n'en reste pas moins démon
, plus commune que la forme isolée. Etant donnée la fréquence de la paralysie du muscle grand dentelé, as- sociée à celle des
ors que les deux tiers inférieurs sont paralysés ? 2° Pourquoi la paralysie de ces deux tiers inférieurs coexiste-t-elle fré-
de ces deux tiers inférieurs coexiste-t-elle fré- quemment avec la paralysie du grand dentelé' ? Nous allons essayer de trou
1.1U\'E.\U, Anatomie comparée des animaux domestiques, Paris, 1H57. PARALYSIE ASSOCIÉ DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 429 péziens du
inférieure reçoivent leur innervation du plexus cervical. Dans les paralysies centra- les du spinal, dans ses paralysies péri
lexus cervical. Dans les paralysies centra- les du spinal, dans ses paralysies périphériques (depuis son segment ini- tial jus
: tout récemment \Val- ther Schlottmanu (3), étudiant quatre cas de paralysie périphérique du nerf spinal, conclut de leur ex
, car cette anastomose rare n'expliquerait point la fréquence de la paralysie associée. Et d'ailleurs les traités d'anatomie ne
périphérique qu'il faut chercher la raison de la coexistence de la paralysie du grand dentelé avec celle du trapèze scapulaire
emble contraire à cette opinion. La localisation très étroite de la paralysie au mns- cle grand dentelé et au trapèze scapula
nd dentelé et au trapèze scapulaire, alors que tous les musclesvoi- PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 431 sins sont
s, semble s'opposer à cette conception. D'ailleurs cette for- me de paralysie associée présente tous les caractères d'une lésio
du grand dentelé et des rameaux tra- péziens et consécutivement une paralysie des muscles qu'ils innervent. Le tiraillement d
usques tirailler, comprimer les troncs nerveux et produire ainsi la paralysie des muscles innervés par ces nerfs. Gowers a
des muscles innervés par ces nerfs. Gowers a observé trois cas de paralysie radiale, consécutifs à une vio- lente contracli
ür Chirurg., XLVII, 1. Analyse in Semaine médicale, 1898, p. 271. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 433 étudions i
inu- tile de souligner la fréquence plus grande de cette variété de paralysie chez l'homme, de sa fréquence plus grande du cô
une compression de leurs nerfs respectifs, et, en dernière analyse, paralysie associée de ces deux muscles. La solidarité p
lignes de Duchenne, qui nous ont frappés. Duchenne (1) étudiant la paralysie de la portion adductrice du trapèze, qui est la
ette portion du trapèze est toujours paralysée ou atrophiée dans la paralysie ou l'atrophie du grand dentelé. C'est du moins
ymptomatique. Après avoir étudié la fréquence et le mécanisme de la paralysie associée du grand dentelé et des portions moyen
Un certain nombre de ces caractères appartiennent en propre à cette paralysie associée et la distinguent à première vue, avant
la distinguent à première vue, avant tout examen électrique, 'de la paralysie isolée du grand dentelé. Celle-ci se présente, en
les traits différentiels. On voit qu'il est facile de distinguer la paralysie associée de la paralysie isolée du muscle grand
On voit qu'il est facile de distinguer la paralysie associée de la paralysie isolée du muscle grand dentelé. * .... Il
.... Il nous faut maintenant analyser les principaux signes de la paralysie associée, que nous avons en vue, et discuter la
Au repos du bras. L'abaissement du moignon de l'épaule dépend de la paralysie de la por- tion moyenne du trapèze. cc Lorsqu'à
on que son angle (i) Duchenne, Physiologie des mouvements, p. 10. PARALYSIE associée DU muscle grand DENTELÉ 435 externe se
it conservé la portion moyenne de son trapèze. » En somme, c'est la paralysie seule de la portion moyenne du trapèze qui perm
n masse de cet os (1). » Ce mouvement de rotation est permis par la paralysie associée des deux tiers inférieurs du trapèze e
rapport à la ligne médiane. Cet éloignement relève évidemment de la paralysie des portions inférieure et moyenne du tra- pèze
pa- rallélisme fait défaut. L'obliquité résulte, avant tout, de la paralysie des portions inférieure et surtout moyenne du t
la paralysie des portions inférieure et surtout moyenne du trapèze, paralysie qui permet au rhomboïde et à l'angulaire de dét
(1) Duchenne, eod. loc., p. 33. (2) Duchenne, eod. loc., p. 7. PARALYSIE associée DU muscle grand DENTELÉ 437 tour de so
que l'infé- rieur est porté en dedans et l'interne en dehors. La paralysie du grand dentelé contribue-t-elle à la production
i thoracique et le méplat de la fosse sus-épineuse. C'est encore la paralysie et l'atrophie des deux tiers inférieurs du trapèz
le thorax le bord spinal du scapulum, mais Duchenne affirme que sa paralysie isolée n'entraîne pas, au repos, de déformation a
ntre la pa- roi thoracique. On peul donc mettre sur le compte de sa paralysie l'écar- tement de ce bord spinal. . Quant au
rophie des portions moyenne et inférieure du trapèze. En résumé, la paralysie des deux tiers inférieurs du trapèze est la cause
la région sca- pulaire que l'on constate à l'état de repos, dans la paralysie associée du grand dentelé et des portions infér
nsable pour l'élévation jusqu'à 1'liori- zontale. En effet, dans la paralysie de ce muscle, le bras peut être élevé jusqu'à l
toïde. Notre malade exécute ce mouvement sans difficulté, malgré la paralysie complète de son grand dentelé. Dans l'exécution
ien les mouve- (i) Duchenne. Electrisat. local., 3 édit., p. 939. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 430 ments du b
e cette altitude singulière ? Il est impossible d'in- voquer ici la paralysie du trapèze, puisque le trapèze n'intervient pas d
vient pas dans l'élévation du bras jusqu'à la ligne horizontale. La paralysie du grand dentelé en serait-elle responsable ? O
apulum alatum, dans la (1) Duchenne, Physiol. des mouvem., p. 6u. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ li 41 paralysi
mouvem., p. 6u. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ li 41 paralysie du grand dentelé, est en effet identique il celle
grand dentelé, le deltoïde se contracte isolément (1). En somme, la paralysie du muscle grand dentelé permet au deltoïde, lor
rapproche de la ligne médiane. Tandis que Duchenne incrimi- nait la paralysie du grand dentelé, on tend aujourd'hui à mettre ce
on tend aujourd'hui à mettre cette obli- quité sur le compte de la paralysie du trapèze. Ce mouvement de bascule manquerait
la paralysie du trapèze. Ce mouvement de bascule manquerait dans la paralysie isolée du grand dentelé ; il ne se verrait que
s verrons ce qu'on peut en penser, dans un travail ultérieur sur la paralysie isolée du muscle grand dentelé. Quoi qu'il en
en aile du scapulum est plus ou moins accusée, suivant le degré de paralysie du grand dentelé. Il est à remarquer qu'elle es
traits que nous avons décrits ailleurs et qui sont, en résumé : -. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 443 1° L'élarg
rée. Cette voussure doit vraisemblablement dépendre en partie de la paralysie du grand dentelé. Ce muscle, en effet, dans l'é
ppréciable. Conclusions. 1° Il existe une variété particulière de paralysie associée du muscle grand dentelé et du trapèze
s caractères cliniques, mérite une place spéciale dans le cadre des paralysies du grand dentelé. ` ? ° Le trapèze scapulaire f
ail- lement de leurs nerfs respectifs. 50 Les caractères de cette paralysie associée varient suivant l'altitude du bras.
la région scapulo-humérale sont très accusés et consistent dans : PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 445 a) l'impos
le qu'on observe dans l'élévation volontaire du bras dans le cas de paralysie du grand dentelé. La contraction, indépendante
n plus ou moins de temps. Il n'y a pas équation entre le coup et la paralysie , en- tre la cause et l'effet, mais le coup a ré
les aptitudes hys- tériques du malade qui a répondu en faisant une paralysie avec ses forces et ses moyens propres et person
cateur, et c'est quelque chose ; sans lui il n'y au- rait pas eu de paralysie . Il se passe la même chose avec notre malade : la
ns, pas d'affection semblable chez les ascendants ni rhumatisme, ni paralysie , ni goutte. Ce malade n'a pas eu de rachitisme,
il ne pouvait montrer à l'auditoire : l'asymétrie du visage dans la paralysie faciale, les différentes démarches de l'hémiplégi
Maroc II représente un marchand jllil' de '1\"lollall, aLLeiliL de paralysie agitante. Le pittoresque dn costume et de l'int
asmodique et épilepsie , par L INNOIS et Berncmjd (1 phot.), 446. Paralysie associée du muscle grand den- lelé (sur une var
une variété de), par.\. SouQuEs et Pierre DuvAL (15 phot.), 419. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lés
(1 phot.), 57. DuvAL (Pierre) et A. Souques. Sur une va- riété de paralysie associée du muscle grand dentelé (15 phot.), 41
oïdes et craquements articulai- res, 452. Féré (Cu.). Note sur la paralysie du facial supérieur dans l'hémiplégie par lésio
., 5 fig.), 368. Souques (A.) et Pierre DuvAL. Sur une variété de paralysie associée du muscle grand dentelé (15 phot.), 41
ud), L. Opérations sur la tête (Henry Meige), XXV, XXVI, XXVII. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lés
eur dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale (Cn. Féré), XVIII. Paralysie du grand dentelé (Souques et DUVAL), XLVIII, XL
52 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
les convulsions, les contractures, tous les spasmes musculaires , la paralysie , éclatent alors si soudainement, si inopinément;
une arête aiguë produite de cette manière; le malade n'avait point de paralysie cependant à l'époque où je l'ai connu. Une arête
e impression de l'os sur la moelle; pendant la vie, des phénomènes de paralysie avaient été observés. Dans leur trajet intra-ra
douleur, l'attitude, l'état des mouvements, l'existence des abcès, la paralysie . La douleur est un signe vague, car elle peut d
rent dans des états morbides autres que le mal de Polt. Les abcès, la paralysie ont plus de valeur ; ils servent à éclaircir le d
ès ganglionnaire sur le côté gauche du cou. Elle ne présente point de paralysie ni d'abcès par congestion. Le seul symptôme dans
tion de tous les autres symptômes, oppression, douleur épigastri-que, paralysie , etc., qui différencient le mal de Pott de la dév
en rendre compte, l'attitude caractéristique du tronc, les abcès, la paralysie , dans le cas où ces complications existeraient, e
névralgie, à la coxalgie, etc. § IV. — Lésions de l'innervation. — Paralysie . Ces lésions consistent en troubles de la motil
on matérielle. Il y a une sorte d'antagonisme entre les abcès et la paralysie , et rarement on rencontre ces deux phénomènes sur
ion nerveuse ; on voit des contractures (hypersthénie), ou bien de la paralysie (asthénie, acinésie). L'anesthésie (diminution ou
l'augmentation de cette faculté. Le phénomène le plus commun est la paralysie . Elle porte sur le sentiment ou sur le mouvement;
nt ou sur le mouvement; dans certains cas, sur les deux à la fois. La paralysie isolée du mouvement est la plus commune ; je ne c
ouvement est la plus commune ; je ne connais qu'un seul exemple de la paralysie isolée du sentiment ; il est dû à ML Tavignot. La
ple de la paralysie isolée du sentiment ; il est dû à ML Tavignot. La paralysie est quelquefois combinée avec des contractures.
ot. La paralysie est quelquefois combinée avec des contractures. La paralysie siège dans les parties inférieures au point de la
orsque ce point réside dans la région cervicale, il y a ordinairement paralysie des membres supérieurs et des membres inférieurs;
es membres supérieurs et des membres inférieurs; cependant on a vu la paralysie n'affecter que les membres supérieurs seulement.
x organes contenus dans le bassin, au rectum, à la vessie, etc. Ces paralysies surviennent d'ordinaire lentement; quelquefois el
être que passager. Ces phénomènes augmentent graduellement jusqu'à la paralysie complète. I. Mouvement réflexe. — Cette forme d
lte, d'après les données physiologiques qui précèdent, deux sortes de paralysie : dans l'une, les lobes cérébraux seuls cessent d
es de la moelle restant intactes au-dessous du point malade; c'est la paralysie cérébrale de Marshall-Hali; dans 3. l'autre,
a, en outré, abolition de l'action de la moelle elle-même ; c'est la paralysie spinale du même auteur. La première est la paraly
-même ; c'est la paralysie spinale du même auteur. La première est la paralysie de la motricité volontaire seulement; la deuxième
e éteinte; les mouvements automatiques et réflexes subsistent; il y a paralysie cérébrale dans le sens donné à ce mot par Marshal
£n général, le mouvement réflexe sera d'autant plus prononcé que la paralysie du mouvement volontaire sera plus complète ; au c
vée. En d'autres termes, on pourrait établir en principe que, dans la paralysie dépendante du mal vertébral, le mouvement réflexe
s ce rapport de devenir l'objet d'études sérieuses. IL Degrés de la paralysie . — On peut distinguer trois degrés dans la paraly
IL Degrés de la paralysie. — On peut distinguer trois degrés dans la paralysie produite par le mal vertébral. Dans le premier, l
la course, sont à peu près impossibles. Dans le deuxième degré, la paralysie est encore incomplète; le enfants ne peuvent plus
Les deux membres peuvent être inégalement affectés, de manière que la paralysie présente un degré plus avancé d'un côté que de l'
ous vos yeux plusieurs malades qui offrent ces différentes nuances de paralysie . Vous constatez chez tous l'existence du mouvemen
ité et de la motilité. Une de ces petites malades nous présente une paralysie du deuxième degré, qui a succédé au troisième, do
fait connaître, dans notre dernière réunion, les différents degrés de paralysie déterminés par le mal vertébral. Vous avez vu que
veuses. En effet, la lésion qui correspond aux différents degrés de paralysie que j'ai montrés n'intéresse ordinairement qu'une
rences produites par des contractures, qui compliquent quelquefois la paralysie , par l'état des viscères du petit bassin, lesque
a rétention ou l'incontinence de l'urine et des fèces, suivant que la paralysie porte sur les puissances expultrices ou rétentive
ter inerte au moment de l'accouchement (Brachet). III. Causes de la paralysie .—Ces différents degrés de paralysie correspondent
nt (Brachet). III. Causes de la paralysie.—Ces différents degrés de paralysie correspondent à des lésions plus ou moins profond
pression. — La simple courbure de l'épine peut-elle produire seule la paralysie ? On l'a cru longtemps; Pott l'a nié le premier; N
ivante : vous avez, d'une part, disent-ils, de faibles courbures avec paralysie ; et d'un autre côté, de fortes incurvations ne s
compagnées de phénomènes paralytiques; et d'ailleurs, ajoute-t-on, la paralysie disparaît souvent, quoique la courbure persiste.
t exacts; mais ils montrent seulement qu'il existe d'autres causes de paralysie que celle dont il est ici question, et qu'une com
es que dans le cas de compression par le seul fait de la courbure. La paralysie peut, dans l'un et l'autre cas, rétrograder; de l
alade succomba aux suites de la gangrène. On a trouvé, comme cause de paralysie , un amas de matière tuberculeuse sur les vertèbre
était peu profonde chez ce sujet. Suivant le siège de la lésion, la paralysie affecte une étendue différente de parties. Vous l
atteinte, comme la moelle n'existe plus en ce point, non-seulement la paralysie n'affectera que les nerfs de la queue de cheval e
re pourra être plus ou moins altérée. La forme la plus ordinaire de paralysie consiste, comme on l'a vu, dans l'abolition des m
rt avec la portion du rachis altérée. Diagnostic différentiel de la paralysie . — Voici un jeune enfant qui offre un affaiblisse
ssement musculaire rachitique. Il ne faut pas non plus confondre la paralysie avec la difficulté de marcher, dans le mal de Pot
l'attention , on évitera cette méprise. On peut aussi confondre la paralysie tenant au mal vertébral avec les paraplégies dépe
ec les paraplégies dépendant d'une autre cause, spécialement avec les paralysies essentielles de l'enfance. Je vous renverrai, pou
ertébral, au point de vue du traitement. Dans le premier, il n'y a ni paralysie , ni abcès; dans le second, il y a seulement de la
n'y a ni paralysie, ni abcès; dans le second, il y a seulement de la paralysie ; dans le troisième, il existe des abcès visibles,
; dans le troisième, il existe des abcès visibles, ordinairement sans paralysie . Je n'aurai en vue que les abcès extérieurs visib
ns thérapeutiques il convient de leur opposer. Ier cas : Absence de paralysie et d'abcès par congestion. — Cet état peut durer
plit en même temps une deuxième indication; on prévient l'abcès et la paralysie . Je ne connais pas de moyen constamment efficace
tégories, autant de cas dans lesquels il est survenu des abcès, de la paralysie , autant de cas dans lesquels les malades ont succ
ue le traitement général antiscrofuleux. 11 n'est survenu ni abcès ni paralysie . Il est évident que ce malade n'est pas entièreme
ait d'abord ont ensuite disparu ; jamais il n'est survenu d'abcès, de paralysie . C'est là certainement une terminaison heureuse.
traitement. On ne voyait que dans la courbure rachidienne la cause de paralysie , et l'on disait : redressons l'incurvation du tro
'incurvation du tronc, remédions à la semi-luxation des vertèbres, la paralysie cessera; de là l'emploi des corsets à tuteurs. Ca
se fut élevé avec raison contre l'opinion qui attribue uniquement la paralysie aux courbures de l'épine, un concert unanime de r
ssait d'une jeune fille atteinte de gibbosité lombaire, sans abcès ni paralysie . Des pressions modérées sur l'épine, des exercice
de Pott, au point de vue du traitement : dans le premier, il n'y a ni paralysie ni abcès ; dans le second, il existe de la paraly
ier, il n'y a ni paralysie ni abcès ; dans le second, il existe de la paralysie ; dans le troisième, on voit des abcès, ordinaire
paralysie ; dans le troisième, on voit des abcès, ordinairement sans paralysie . Je ne parle pas de ces abcès qui sont bornés à l
mal vertébral de Pott; ils ne mettent pas à l'abri des abcès ni de la paralysie . Je vous ai fait voir, en outre, que la guérison
est plus facile de limiter son action. IIe CAS : MAL VERTÉBRAL AVEC PARALYSIE . — Quelle est la marche spontanée de la paralys
AL VERTÉBRAL AVEC PARALYSIE. — Quelle est la marche spontanée de la paralysie produite par le mal vertébral? Abandonnée à elle-
fille de 12 ans, atteinte d'une gibbosité énorme, et chez laquelle la paralysie a débuté il y a deux ans. J'ai employé une foul
ères. Malgré cette révulsion énergique, les jambes s'affaiblirent, la paralysie augmenta et devint complète. L'amélioration ne se
es employez qu'après les moyens révulsifs d'une énergie moindre. La paralysie dépendant du mal vertébral présente, dans sa marc
te, dans sa marche, des irrégularités qui la différencient des autres paralysies . C'est qu'en effet les causes qui la produisent s
x moyens thérapeutiques. Une autre cause influe sur la marche de la paralysie . On ne voit pas, en général, survenir ce symptôme
ir ce symptôme quand il existe un abcès par congestion ; et, quand la paralysie existait déjà, elle diminue ordinairement ou disp
ement soumis à notre observation et atteint pour la troisième fois de paralysie dépendant de mal vertébral, tous les moyens avaie
, lorsqu'un abcès parut sur le côté du cou ; à dater de ce moment, la paralysie , qui était complète, a diminué, et aujourd'hui l'
ulogne) l'a imprimé dans un de ses derniers ouvrages, que, lorsque la paralysie a reçu, pour ainsi dire, un coup de fouet, qu'ell
égion cervicale, et ayant éprouvé à trois reprises, depuis un an, une paralysie des membres supérieurs et inférieurs. Les deux pr
écédent, tant par le siège de l'affection osseuse que par celui de la paralysie . Celle-ci est en voie de guérison; les seuls moye
aines contre ce symptôme; la marche en est plus grave que celle de la paralysie . Abandonnés à eux-mêmes, les abcès par congesti
remier cas, c'est-à-dire du mal vertébral non compliqué d'abcès ni de paralysie . La plupart des praticiens mettent leur confiance
sion d'observer beaucoup de maladies de l'épine dorsale, avec ou sans paralysie . « Le plus grand nombre des sujets, dit-il, ont g
vous voyez ici les traces. Cette enfant n'avait présenté ni abcès ni paralysie . Elle a succombé à une phthisie pulmonaire ; le p
r, qu'il y a des destructions très-étendues du rachis sans abcès ni paralysie ; 2° ce cas est également une démonstration de cet
formé une empreinte sur les téguments du thorax. La malade a eu de la paralysie , des fistules cervicales, et a succombé à une mal
ptement. Il y avait de la paraplégie, mais, chose surprenante, pas de paralysie des membres supérieurs. La moelle était comme ram
moelle peuvent ne pas être lésées, ou bien l'on voit seulement de la paralysie comme dans le mal vertébral ordinaire. La compr
e renversent pas la doctrine physiologique admise jusqu'à ce jour, la paralysie du sentiment devrait être plus fréquente, la comp
ulu déduire tous les symptômes de ces affections de ce qu'on a appelé paralysie organique, phénomène auquel on rattache aussi les
lésion de l'innervation produisant ce qu'on appellera, si l'on veut, paralysie organique ou nutritive. Celle-ci pourrait être ra
vienne à être démontrée. Mais on ne peut évidemment attribuer à cette paralysie organique la plupart des phénomènes secondaires d
e musculaire, que l'on a voulu présenter comme le dernier terme de la paralysie . Outre l'action musculaire, il est une autre ca
sements, des fourmillements, ou bien des mouvements convulsifs, de la paralysie . La paralysie affecte plus souvent les membres su
ourmillements, ou bien des mouvements convulsifs, de la paralysie. La paralysie affecte plus souvent les membres supérieurs que d
de l'affection sous-occipitale comprend aussi ctlui de l'abcès, de la paralysie consécutive. On peut recourir aux cautérisations
M. Legrand a rapporté deux guérisons d'affection sous-occipitale avec paralysie , par l'emploi du ;I) Traité des fractures et de
dans ce cas, de la même nature que celui qu'on observe dans certaines paralysies accompagnées du relâchement des ligaments et des
es, comme on le voit dans l'articulation de l'épaule à la suite de la paralysie du deltoïde. La tête du fémur est solidement fixé
aire. Je signale un dernier cas dans le diagnostic différentiel. La paralysie peut produire des phénomènes analogues en apparen
quelle j'ai donné autrefois des soins à l'Hôlel-Dieu. Il existait une paralysie étendue des muscles , tant de la partie antérieur
it d'un affaiblissement des extenseurs du tronc ; il résulte de cette paralysie incomplète que le malade, menacé de tomber en ava
arrière, de la région inférieure du rachis. La seconde catégorie de paralysies pouvant simuler la luxation comprend celles dans
, convulsions, maladies cérébrales, etc. Je ne parle pas des cas de paralysie musculaire partielle, donnant lieu au strabisme p
n n'est alors que symptomatique, et son étude rentre dans celle de la paralysie elle-même. On ne confondra pas d'ailleurs cette a
mobilité de l'œil. Le strabisme fixe pourrait être confondu avec la paralysie : il s'en distingue en ce qu'il s'accompagne enco
on pourrait dire, il est vrai, dans un cas pareil, qu'il s'agit d'une paralysie incomplète; la distinction est difficile, et ne s
es phénomènes concomitants, par exemple, à l'aide des symptômes de la paralysie des autres branches du même nerf. L'anatomie pa
lieu à intervalles éloignés. 4° Le dernier cas embarrassant est la paralysie d'un des muscles latéraux de l'œil. J'ai exposé p
caractères ne suffisent pas toujours pour distinguer d'une véritable paralysie primitive la faiblesse des antagonistes consécuti
st surtout depuis les recherches modernes sur la ténotomie et sur les paralysies que cette loi a été mieux connue. Cette myologie,
chronique et amener de véritables pieds bots. Mais c'est surtout la paralysie qui est la cause la plus fréquente de déviation d
se la plus fréquente de déviation des pieds, et c'est surtout par les paralysies qu'elles laissent à leur suite, que les maladies
uniforme. Un enfant est pris tout à coup, avec ou sans fièvre, d'une paralysie plus ou moins-étendue; au bout d'un temps assez c
é. Je vais faire passer sous vos yeux plusieurs enfants atteints de paralysie incomplète, provenant du mal vertébral ou d'autre
ez un commencement de rétraction du triceps sural coïncidant avec une paralysie du jambier antérieur. La position du pied est cel
e la salle Sainte-Geneviève sont des cas analogues. Le n° 5 offre une paralysie du jambier antérieur à droite seulement; la contr
y aura bientôt pied bot équin si la cause pathologique persiste ; la paralysie des muscles antérieurs est générale. Ve et VIe
in, chez ces deux garçons de la salle Saint-Augustin, l'un atteint de paralysie générale, avec contractures multiples, l'autre de
yeux, par la seule influence d'une faiblesse musculaire générale sans paralysie . Chez presque tous ces enfants, la pointe du pi
il est, comme ce dernier, congenial ou acquis. Mais, hors les cas de paralysies partielles et de contractures, on a encore peu ét
lexion et l'extension sont presque abolies, bien qu'il n'y ait pas de paralysie . Le pied est court, ramassé. Dans ce cas, nous ne
congénial ; il s'est développé après des accès de fièvre suivis d'une paralysie dans laquelle la contractilité électrique est con
périeur, comme une subluxation du cubitus en arrière, conséquence des paralysies et des contractures des muscles de l'avant-bras.
uand ils portent sur le sol, ils tendent à se renverser en dehors. La paralysie n'est pas complète dans les muscles de la jambe,
mouvements sont complètement abolis dans cette main, en sorte que la paralysie porte même sur les muscles qui ont agi avec excès
suite d'une fièvre aiguë avec délire survenue à l'âge de sept ans. La paralysie a été primitivement une paraplégie; mais, avec le
re droit a recouvré une grande partie de ses mouvements. A gauche, la paralysie a persisté et a produit le varus ordinaire. Cepen
écédents, des convulsions à l'âge de trois ou quatre mois : c'est une paralysie croisée. Mais le mouvement est revenu en partie d
t est revenu en partie dans le membre supérieur, tandis qu'au pied la paralysie est complète ; il y a un varus légèrement équin e
abord la cause môme de la difformité peut avoir laissé à sa suite des paralysies plus ou moins étendues. Ces paralysies sont de de
ut avoir laissé à sa suite des paralysies plus ou moins étendues. Ces paralysies sont de deux sortes : dans l'une, le mouvement vo
étals ont été décrits par M. Duchenne (1), le premier sous le nom de paralysie cérébrale, le second sous le nom de paralysie atr
premier sous le nom de paralysie cérébrale, le second sous le nom de paralysie atrophiaue de Venfance. Cette dernière est la par
ous le nom de paralysie atrophiaue de Venfance. Cette dernière est la paralysie spinale de M. Marshall-Hall. Mais, de quelque f
t en restant contourné en dedans. Elle peut se produire à la suite de paralysies portant à la fois sur les extenseurs et sur les a
résenter. Cette forme de pied bot s'est montrée jusqu'ici liée à la paralysie ou à un affaiblissement extrême du triceps sural,
henne a donné la raison de ce fait; dans le talus droit, il n'y a pas paralysie du triceps. Voici trois moules provenant de sujet
e sujets que j'ai connus moi-même; chez aucun d'eux, il n'existait de paralysie du triceps, mais seulement une moindre résistance
noncé des fléchisseurs du pied. Dans le talus creux, au contraire, la paralysie existant toujours, il suffit, pour l'emporter sur
t. Les fonctions du membre sont cependant plus ou moins lésées par la paralysie du triceps sural. Je n'ai distingué que deux so
des inconvénients d'un autre genre. Mal appliqués, ils produisent des paralysies , des gangrènes. On ne peut visiter le pied aussi
premier degré de talus. Il y a eu en même temps, chez cet enfant, une paralysie incomplète du membre supérieur. Cet autre enfan
fit du ressort élastique dont j'ai parlé. Une étude approfondie des paralysies , et en particulier des paralysies du mouvement, a
parlé. Une étude approfondie des paralysies, et en particulier des paralysies du mouvement, a conduit M. le docteur Duchenne à
sés, et ne se contractent même pas par l'excitation électrique. Cette paralysie a succédé, au dire des parents, à une chute arriv
llement nécessaire. Voici, à mon avis, la conduite à tenir : si les paralysies et les contractures sont telles qu'après la ténot
rendront à la longue plus difficile. Mais si vous avez affaire à une paralysie trop étendue pour que le membre, une fois redress
1) Dancel, Traitement des fausses ankyloses. Paris, 1843, p. 43. La paralysie partielle, complication si fréquente du pied bot,
st symptomatique dans trois circonstances principales : 1° Dans les paralysies — je ne fais que les mentionner, elles produisent
(1) J'entends par lordose paralytique celle qui est produite par une paralysie du tronc, paralysie qui porte sur les muscles ext
ordose paralytique celle qui est produite par une paralysie du tronc, paralysie qui porte sur les muscles extenseurs ou fléchisse
its intéressants à ce sujet. Je vous parlerai bientôt peut-être des paralysies en général ; je me bornerai pour le moment à ce q
e en avant que le rachis se courbe et se renverse en arrière; dans la paralysie des fléchisseurs du tronc, c'est parce que le rac
esses sont effacées (2) ; au contraire, sur le moule de la femme à la paralysie abdominale, Pensellure est considérable et le bas
t elle pourrait, à la longue, être suivie de déformation. Guérir la paralysie est l'indication essentielle à remplir dans cette
tels sont les seuls soins que la courbure réclame par elle-même. La paralysie des fléchisseurs ou des extenseurs du cou, consid
es de la tète et des vertèbres cervicales. La cyphose résultant de la paralysie des extenseurs, très-pénible pour les malades, lo
ade de M. Duchenne , dont la tête est ainsi renversée par suite d'une paralysie de ses extenseurs. Cet homme n'évitait la flexion
très-rare aux régions dorsale et lombaire. 2° Flexion latérale par paralysie . — Dans l'hémiplégie, le haut du tronc penche ord
rrière. C'est cette forme que M. Duchenne (de Boulogne) rapporte à la paralysie incomplète des sacro-spinaux. IIe cas. — Voici
s muscles, ou encore d'un affaiblissement des muscles opposés par une paralysie ou une autre cause. Morgagni est seulement un peu
opposées, car alors « on ne voit » pas facilement, dit-il, comment la paralysie alterne. » Il en propose une explication fondée s
re ou même du cerveau chez les sujets gibbeux, d'engourdissements, de paralysies , de contractures des membres, de vertiges, de céc
it scoliose. C'est ce qu'on observe dans les contractures et dans les paralysies des muscles de l'omoplate, lesquelles, selon leur
sifluent.................... ^3 § IV. — Lésions de l'innervation. — Paralysie .......... ib. I. Mouvement réflexe. ¦..........
b. I. Mouvement réflexe. ¦................... ?* II. Degrés de la paralysie .................. ^7 III. Causes de la paralysi
II. Degrés de la paralysie.................. ^7 III. Causes de la paralysie .................. 40 1° Compression............
ation de la moelle................ 41 Diagnostic différentiel de la paralysie .............. 42 § V. — Traitement du mal verté
— Traitement du mal vertébral............... 43 Ier cas. Absence de paralysie et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas. Mal
lysie et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas. Mal vertébral avec paralysie .............. * 3 IIIe cas. Mal vertébral avec
n latérale par contracture............. 307 2° Flexion latérale par paralysie .............. ib. 3° Flexion latérale par doule
53 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e datant de dix ans. - Atrophie progressive des muscles de la main. Paralysie atrophique des membres inférieurs. A ? në<M)
et l'atrophie musculaire des membres inférieurs a progressé; une paralysie complète s'est développée dans la sphère des ners
aient d'une complication. A l'heure qu'il est, les phénomènes d'une paralysie atrophique en sont presque disparus. La malade
e, dont dépendaient les troubles moteurs des membres inférieurs, la paralysie atro- phique des muscles, etc. Vu la restaurati
prime ainsi : « est atteint de démence avec tendances manifestes la paralysie générale, embarras de la parole, marche diffici
blissement, je constatai chez C... les symp- tômes ordinaires de la paralysie générale progressive, idées de grandeur et de r
iers temps de la vie, c'est-à-dire à une période très avancée de la paralysie générale, et nous rappellerons que C... était a
8-». Dans les deux cas de M. J. Christian, il y eut rémission de la paralysie générale dont les malades étaient atteints, à l
oir, car le mal perforant s'est développé à la période ultime de la paralysie générale. Enfin, il résulte du cas de C... que
la paralysie générale. Enfin, il résulte du cas de C... que dans la paralysie générale à sa période d'état, alors même que le
t les par- tisans de la catatonie, la différence est grande avec la paralysie générale, dont la création repose sur une base
omique des symptômes relevés. P.KERAVAL. IV. NOTE SUR DEUX cas DE paralysie radiculaire DU plexus brachial; par M. H. Rendu
par M. H. Rendu. (Rev. de illéd., 1886.) ^ La plupart des faits de paralysie radiculaire publiés jusqu'ici ont trait soit à
et disparaissent au bout de très peu de temps pour faire place à la paralysie et à la l'atrophie. La distribution de l'anesth
sthésie cutanée correspond, à très peu de chose près, à celle de la paralysie motrice, ce qui prouve que les origines réelles
s brachial émanent de la même région de la moelle. Le pronostic des paralysies radiculaires serait, d'après M. Rendu, relative
RISES laryngées, insuffisance AORTIQUE; par le Dr RICHARD1ÈRE. X. Paralysie spinale DE l'adulte ; par MM. Leclerc ET BLANC.
e dix-neuf ans, qui fut pris subi- tement, sans cause connue, d'une paralysie complète des quatre membres. Le mouvement repar
ractères normaux. Il s'agit d'après les auteurs de cette note d'une paralysie spinale de l'adulte sur laquelle est venue se s
dans une affection spinale, on voit appa- raître le syndrome de la paralysie spasmodique, sans troubles de la sensibilité, i
bien portant, de vingt-quatre ans, est successivement affecté : de paralysie vésicale aiguë, qui devient rapidement complète
: de paralysie vésicale aiguë, qui devient rapidement complète, de paralysie flasque des jambes, de parésie des bras, d'anes
phénomènes d'excitation spinaux. Etat stationnaire des symptômes de paralysie ; cystite ; érysipèle. Mort vingt-quatre jours
phie considérable d'un des hémisphères céré- braux, avec lésions de paralysie générale plus accusées dans cet hémisphère que
ATHOLOGIE MENTALE I. Quelques mots ajoutés A ce que l'on sait DE la paralysie GÉNÉ- RALE DES aliénés; par NASSE (Allg. Zcitsc
endu parler. L'auteur fournit encore deux nouvelles observations de paralysie générale à guérison apparente. Qu'est-ce que la
ifférences fondamentales telles entre l'alcoo- hsme chronique et la paralysie générale qu'il n'y a pas lieu de penser que l'a
e aboutira à la démence paraly- tique. Il s'agit dans ces cas d'une paralysie générale survenue sur un terrain alcoolique ; a
fié. On constate alors un stade prodromique semblable à celui de la paralysie générale, puis un état qui rappelle la para- ly
rémissions plus promptes, plus complètes, plus durables que dans la paralysie générale. Améliorations fréquentes, parfois gué
éments habituels. Y a-t-il un rapport entre les syphilitiques et la paralysie générale ? cela est peu probable, car, si sur 2
t fréquents. Un grand nombre de faits d'idiotie, de convulsions, de paralysies , de chorée semblent concorder avec l'opinion de
même) à la polioencéphalite de l'enfance. Seulement, au lieu d'une paralysie atrophique ou spasmodique, elle laisse après el
ouvements delà queue tout à fait symétriques. Donc aucune espèce de paralysie . Pas d'anesthésie ; le tact est simplement un p
. L'animal qui n'a plus d'hémisphère gauche ne présente non plus ni paralysie ni parésie musculaire, ni anesthésie. Qu'on lui
as forcé qu'un chien privé de la moitié du cer- veau présente de la paralysie ou des troubles de la sensibilité nulle part. C
s de syphilis du système nerveux. On sait que Struempell croit' que paralysie générale et tabes dorsal sont deux maladies pro
rs systèmes de fibres. Tel n'est pas l'avis de M. Rumpf. Prenons la paralysie générale. Les pièces anatomiques recueilliespar l
ions cérébrales du labes sont d'une autre es- pèce que celles de la paralysie générale. Les altérations que l'on qualifie de
entales on peut provoquer des altérations semblables à celles de la paralysie générale. M. Rumpf. Quatre-vingts pour cent des
ortion n'est pas celle de Rumpf. M. Schultze. Les altérations de la paralysie générale ne sont pas syphilitiques. Il n'existe
pathique. Les contractures qui se produisent ne dépendent pas de la paralysie des muscles antagonistes; elles sont l'expres-
paresthésies dans les mains et les pieds, bientôt compliquées de paralysie de la motilité dans les territoires nerveux périp
l'influence des névropathies sur les opérations. Dans les faits de paralysie générale, l'étude minutieuse des antécédents mont
sque absolue chez les tdbétiques. On'a vu, rarement à la vérité, la paralysie agitante débuter à la suite de traumatismes lég
production des contractures et des arthralgies, que pour celle des paralysies . C'est aussi dans un nervosisme antérieur qu'on
voquer des troubles trophiques, telles que l'ataxie locomotrice, la paralysie générale qui peuvent avoir une influence fâcheu
136 BIBLIOGRAPHIE. XII. Considérations sur quelques points de la paralysie générale; par Grégoire. Th. Paris, 1883. L'au
rdre et de lumière dans les différentes opinions qui régnent sur la paralysie générale, et particulièrement sur ses modes de
alysie générale, et particulièrement sur ses modes de début, sur la paralysie générale d'origine syphilitique et la folie con
tirées dans ces cas de l'évolution de la maladie et de l'absence de paralysie . Une forme très particulière est constituée par
ractéristique. La rigidité musculaire est alors le seul signe de la paralysie agitante, signe suffisant pour les particularités
aladies de l'esprit; délire des persécutions, délire des grandeurs, paralysie générale, épilepsie, dégénérescence ; délires a
s membres inférieurs et supérieurs et des engourdisse- ments sans paralysie . Le deuxième degré comprend la paraplégie des p
rieurs et la dyspnée, et tantôt, quand le cas est plus grave, la paralysie devient ascendante, les membres supérieurs, l'u
s et sans aucun autre symptôme céphalique. Il n'y a aucune trace de paralysie ; il peut marcher. Ce bien-être ne devait pas d
érieur droit. Pas de perte de connaissance, pas de vertiges, pas de paralysie faciale, ni embarras de la parole : enfin, aucu
mais non sous celui du contact et de la température. Nulle trace de paralysie du membre supérieur droit : Nuls troubles vaso-
ression avec constriction à la nuque, douleurs à l'épaule droite et paralysie de trois membres cités, le malade avait de la r
pression dou- loureuse et constrictive de la nuque ont disparu. La paralysie des trois membres sus-mentionnés persiste compl
e à une para- plégie soudaine complète des membres inférieurs, sans paralysie des extrémités supérieures et de la face. Ses m
du malade le 15 juillet 1884. Il marche sans appui quel- conque. La paralysie est bien plus prononcée à son membre infé- rieu
nait plus d'un quart d'heure dans le fond, il se sentait pris d'une paralysie subite et complète aussi bien de la motilité qu
i bien de la motilité que de la sensibilité des membres inférieurs, paralysie très fugitive, car elle n'a jamais duré plus de
itement bien, sans aucun symptôme cépha- lique, ni aucune espèce de paralysie . A 11 heures du soir, une paraplégie subite sur
23 brasses ; séjour de vingt- cinq minutes ; décompression brusque. Paralysie de la motilité et de la sensibilité des membres
s, enfin aucun autre symptôme céphalique. Mais par contre, il a une paralysie de la motilité et de la sensibilité des membres
issement des yeux; bourdonnements d'oreilles ; vertiges yyraloires. Paralysie et anesthésie des mcm- bres inférieurs; l'extré
ion d'urines ; douleurs aux lombes. État actuel le 15 février 1884. Paralysie spastique du membre inférieur gauche et un peu
176 CLINIQUE NERVEUSE. purgatifs drastiques (huile de croton). La paralysie était à ce mo- ment améliorée parce qu'il pouva
s pas, soutenu toutefois par 2 personnes; il n'y avait pas trace de paralysie de l'extrémité supérieure ni de la face. La sen
; il ne pouvait les mouvoir librement. D'un moment à l'autre, cette paralysie progressait si rapidement que, en une demi-heur
e pouvait rendre ses urines. Rétention des matières fécales. Pas de paralysie aux membres supérieurs ni à la face. Pas d'autr
Beaumetz. Dans les observations de Zacher et de Fürstner, cette paralysie réflexe des nerfs vaso-moteurs s'éten- dait à u
au clinique pur. Des complications semblables par des phénomènes de paralysie plus accusés accompagnés de phénomènes plus ou
haut on peut observer des troubles bulbaires et oculo-moteurs. La paralysie atrophique, développée chez lllme L... (OBs. VI
rsive douze ans. - Affaiblissement intellectuel, augmentation de la paralysie , céphalalgie avec vomissements. Gâtisme. Augmen
es accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni paralysie . Première dent à huit mois. Il a parie a un an,
s l'apparition de ces crises, l'intelligence a encore diminué et la paralysie a augmenté ; l'enfant a aussi commencé à bégaye
des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans convulsions, ni paralysie ; mais à deux ans il eût des convulsions qui n'
qui n'ont porté que sur le côté gauche dont on constate aussitôt la paralysie qui per- sista d'une façon plus ou moins complè
tement la marche. Ces symptômes : prédominance des convulsions et paralysie du côté gauche sont en rap- port avec les lésio
nt les premiers accès procursifs. La parésie qui avait succédé à la paralysie augmenta ; l'affaiblissement intellectuel s'acc
sement intellectuel s'accentua et l'on constata du bégaiement. La paralysie d'abord limitée à gauche, puis amé- liorée, rep
ions de la plus grande partie de la région fronto-pariétale avec «. paralysie des mouvements et diminution de la sensibilité
airement des lésions identiques à celles du noyau principal dans la paralysie labio-glasso-laryngée d'origine bulbaire. Archi
uxquelles se sont livrés ces auteurs sur les lésions causales de la paralysie labio-glosso-laryngée d'origine cérébrale et le
la couche motrice de la pyramide et l'explication anato- mique des paralysies directes se trouve ainsi naturellement donnée (
u lenticulaire », ' Il est démontré par la marche progressive de la paralysie atteignant dans la compression lente de la moel
aphie du faisceau pyramidal. A l'écorce cérébrale, pour qu'il y ait paralysie , il faut une lésion destructive des parties de
otrice, l'hémiplégie est partielle; si elles sont très limitées, la paralysie n'atteint qu'un membre ou même qu'un groupe mus
upes préfrontale et occipitale de Pitres ont toujours déterminé une paralysie croisée, persistante, hémiplégie ou monoplégie.
ou secondaires dégénératives du tiers moyen, qui s'accompagnent de paralysie persistante, hémiplégie totale ordinairement, v
constamment une amyotro- phie', ayant toujours pour conséquence la paralysie progres- sive. Car les cornes antérieures de la
Elle donne naissance, si la marche de la maladie est aiguë, au type paralysie spinale atrophique de l'enfance (po- ' Blocq. D
aire progressive spinale protopathique (type Du- chenne-Aran). 2° Paralysie spinale atrophique de l'enfance. 3° Paralysie s
chenne-Aran). 2° Paralysie spinale atrophique de l'enfance. 3° Paralysie spinale aiguë de l'adulte. 4° Amyotrophies spin
ial de MM. Landouzy et Dejérine. 2° Forme juvénile d'Erb. 3° Type paralysie pseudo-hypertrophique avec ou sans hypertrophie
wsky, '1885, 1.1.) M. Ch..., âgé de trente-quatre ans, présente une paralysie faciale droite totale (supérieure et inférieure
périeure et inférieure) et une déviation conjuguée des yeux. Pas de paralysie des membres supérieurs ni inférieurs. Abolition
s du globe oculaire en dedans ne dépassant pas la ligne médiane. La paralysie du muscle droit externe, ainsi - que la parésie
rne gauche s'observent 1 Indications bibliographiques : Lancereaux. Paralysies toxiques. Gazette des hôpitaux, 1883, n° 40. Al
is. Boston Med. a)ta'. surg. Journal. Mardi 15, 1883. Scolozouboff. Paralysie arsenicale (,I),ch. de Physiologie, 1881, n° 7;
damment des repas. Il y a un mois brusquement seraient survenues la paralysie faciale et la dé- viation oculaire. Par moments
VI. Contribution .1 la Pathologie ET A L'ANATOLE pathologique DE L\ PARALYSIE AIGU1; COMPLÈTE (ALCOOLIQUE) DES MUSCLES DES YEUX
IAz·clc. . Psych. XIX. 1.) Deux observations avec nécropsies, de paralysie aiguë des muscles des yeux ayant surtout porté
notiques provoqués par la même méthode (catalep- sie, contractures, paralysies , hallucinations). Quant à la sugges- tion penda
produire en l'hypnotisant une para- lysie de la parole et même nue paralysie généralisée persistant pendant un certain temps
es. M. HEBOLD (de Sorau). Un cas d'atteinte du nerf vague dans la paralysie progressive. Il y a six ans, traumatisme céphaliq
t dans l'impossibilité absolue de faire le moindre mouvement. Les paralysies des membres supérieurs, qui accom- pagnent la p
hit ce syndrome sans le secours de la vue. Il arrive souvent que la paralysie prédomine d'une façon très prononcée à un des m
marcher de concert avec les troubles de la motilité, sous forme de paralysie plus ou moins complète au moment de l'invasion
ensibilité dans l'immense majorité des cas s'est manifestée par une paralysie soit incomplète, diminu- tion de la sensibilité
esque toujours au moment de l'invasion et marcher de pair avec la paralysie aussi bien de la motilité que de la sensibilité
nique toujours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie , troubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t.
usculaires : par contre, il a constaté qu'il était paraplégique, la paralysie étant un peu moins prononcée au membre gauche,
De 5 heures à G heures, autre intervalle de bien-être. A 6 heures, paralysie des membres inférieurs et du supérieur droit. A
sthésie, rétention d'urines. A 11 heures du soir, disparition de la paralysie , de ~~ l'anesthésie et de la rétention d'urines
rapides, qu'à Il heures du soir, ses membres étaient dégagés de la paralysie , aussi bien de la motilité que de la sensibilit
te fois-ci, l'extrémité inférieure droite n'était pas reprise de sa paralysie . On applique la sonde et tous les petits moyens
bre se raidit en extension durant quelques minutes. Pas de trace de paralysie aux membres supérieurs et à la face. La sensi-
es céphaliques et l'invasion de la paraplégie. AS heures du soir, paralysie complète et soudaine de la ? 71otililé et de la s
es,-il revient complètement. Pas de symptômes cépha- liques, pas de paralysie . Le gonflement continue accompagné de .gêne de
soir, le malade revient sans avoir aucun symptôme céphalique, sans paralysie , enfin parfaitement bien portant. Ce bien-être
grand étonnement, il tombe -paralytique de ses quatre membres ; la paralysie était si complète qu'aucune de ses extrémités n
Le 15 février, c'est-à-dire vingt-cinq jours après l'invasion de la paralysie , les extrémités supérieures étaient complètement
e, les extrémités supérieures étaient complètement dégagées de leur paralysie aussi bien et avaient recouvré la motilité et la
alade a été forcé de garder le lit, son état étant tel qu'il suit : paralysie très prononcée au point que le malade ne pouvai
rvalle de bien-être parfait. Ail heures moins un quart, du malin, paralysie subite et complète des deux membres inférieurs et
ns un quart, tout d'un coup, sans prodromes, il était atteint d'une paralysie subite et complète aussi bien de la motilité qu
6 CLINIQUE NEIIVEUSE. Le 17 mars, il a pu uriner seul. L'état de la paralysie des trois membres n'a pas changé. Le 23 mars,
e soir il a pu recouvrer les fonctions intégrales de ce membre; -la paralysie de ses membres inférieurs est restée stationnaire
ine. Chez les malades aussi elle a été complète dès son début, la paralysie ayant eu dès le premier moment de son invasion
ns le même fait, qui est remar- quable et original, à savoir que la paralysie des membres inférieurs peut être accompagnée de
supérieurs qui au même moment subite et complète accompagnait la paralysie des membres inférieurs, de sorte que la paraplé
paraplégie, dès le début, était complète aux quatre membres. Ces paralysies de membres supérieurs tantôt t sont fugitives (
noplégie du* bras droit, et dure cinq heures. Ail heures du soir la paralysie de ses trois mem- bres disparaît brusquement et
e altération sensitive consiste en une abolition complète, en une paralysie parfaite. Son invasion est subite. L'élément an
es vésicaux. Les symptômes vési- caux ont constamment accompagné la paralysie de la motilité et de la sensibilité; ils ont co
exclusifs et compliqués, présentant des atrophies musculaires, des paralysies et de la prédo- minance de thermanesthésie, qui
es membres inférieurs, à côté des phénomènes caractéristiques de la paralysie alcoolique. On pourrait confondre la gliomatose
ant atteint que les cornes antérieures) qui existe dans les cas à paralysie de sensibilité partielle. Mon observation citée
six pieds de diamètre. La marche était quelquefois chancelante sans paralysie . La tête et la nuque étaient quelque peu inclin
l'athétose, de 438. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'ataxie, de la paralysie agitante, du tremblement intentionnel post-hémi
ution et abolition des réflexes tendineux. P. K. XXIII. Un cas DE paralysie progressive chronique DES muscles DES veux (oph
is observations à l'appui de la théorie anémique et consomplive des paralysies posltypliiques (anémie et épuisement des centre
puisement des centres nerveux) dont une relative à une aphasie sans paralysie (sorte de faux pas du coeur). Deux observations
à toutes les extrémités; en octobre 1884, l'aspect est celui de la paralysie générale, si ce n'est les phé- nomènes nerveux
oD.»rs; par M. BORNHARDT. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observaiion I. Paralysie musculaire de l'aeil, unilatérale niais totale.
se moyenne gauche du crâne. Pas d'autopsie. Trois observations de paralysie nucléaire. V. diagnostic, étude critique. Pas d'a
lus ou moins parfaite. P. K. XXXIII. Contribution LA PATHOLOGIE des paralysies laryngées d'origine centrale ; par C. Eisenlohr
ile palatin, luette déviée à gauche, difficultés de la déglutition. Paralysie totale de la moitié gauche du larynx, avec anes
s de névrites passfts'ë ? '6, isolées, dans le cours même du tubes; paralysie brusque, sans troubles delà sensibilité, évolutio
r M. Bernhardt. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Ce sont : A. Un cas de paralysie pae compression du radial droit, chez un adoles
eurs, c'est d'elle que partent ces accidents. Observation de légère paralysie du radial droit tout acciden- telle par compres
on mentale d'origine paralytique, et notamment à la. guérison de la paralysie générale, à la paralysie générale alcoolique, a
lytique, et notamment à la. guérison de la paralysie générale, à la paralysie générale alcoolique, aux rapports qu'affecte la s
ie générale alcoolique, aux rapports qu'affecte la syphilis avec la paralysie générale6 (Voy. Zeitsch. f. Psych., t. XLII). M
abès et de l'aliénation mentale. - L'orateur distingue avec soin la paralysie générale qui reconnaît les mêmes causes que le ta
onne une observation dans laquelle l'aspect cli- nique décelait une paralysie générale associée au tabes; or, l'au- topsie mo
, à la suite de trois attaques héinilatérales caractérisées par une paralysie de plusieurs mois, l'examen microscopique ne ré
trois ans et trois mois atteint depuis près d'un an d'aphasie avec paralysie de tout le système . 1 Voy. Archives de Neurolo
tendue amnésie »; c'est en vain qu'il prétendit à l'existence d'une paralysie qui se démentit à la longue. M. 0. SNELL soum
me; volonté, passion, intelligence, puis d'aliénation men- tale, de paralysie générale de névroses. La dernière partie du mém
nel en médecine mentale. - Junin : De l'étiologie héréditaire de la paralysie faciale dite à fi,igoî,e. z Lefèvre : De la rév
ans l'tclampsie puerpérale. Le Etude sur les formes cliniques de la paralysie saturnine. Dupain : Eludes cliniques sur le dél
ent par 1'ttizilgésiie. Arnaud Léon : Recherches cliniques sur la paralysie générale chez l'homme. Colin : De la nature infec
inique de quelques accidents consécutifs à la z antérieure aiguë ( paralysie infantile). Puech : Contribution ci l'étude des h
strophantus. 13oisvert : Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique. Concours pour H. nomination des méd
névrvsmes capillaires de la moelle, par Hebold, 449. Aphasie avec paralysie totale, par Nicol, 455. Arthropathie tabétiqu
urrelly, 133;- Trau- matisme et neuropathie, par Ba- taille, 13î; Paralysie générale, parGréoire, 136; - lllaladie de Par
entales des nerls -) par la rotation forcée, par Fuerstner, 89. Paralysie alcoolique des muscles des yeux, par Tlromsen,
Peau (névrose vasculaire de la), par Gock, 294. Plexus brachial ( paralysie radicu- laire dn), par Rendu, 68. Poliomyélen
54 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
même côté par atrophie opti- que, et à droite ptosis incomplet avec paralysie du droit supérieur. On attribua pendant la vie,
ondaire du releveur de la paupière supé- rieure dans le cours de la paralysie faciale ; par MM. E. Berger et R. Loewy. Dans
la contracture secondaire du releveur palpébral dans le cours de la paralysie faciale. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55 Deu
présence d'une contracture secondaire survenue dans le cours d'une paralysie faciale aggrave toujours le pronostic à cause de
core été signalée dans le tabès hérédo- syphilitique. IL C. XXVI. Paralysie radiculaire totale du plexus brachial avec hémia-
t de l'hémiatrophie faciale, d'ori- gine sympathique,dans certaines paralysies radiculaires. Il s'agit d'un homme âgé de vingt
le par endocardite, qui à la suite d'un violent traumatisme eut une paralysie radiculaire totale du plexus bra- chial droit.
s en évidence dans cette observation l'au- teur conclut que dans la paralysie radiculaire totale traumatique du plexux brachi
téressantes d'un malade âgé de trente-six ans. C'est un cas rare de paralysie générale développée chez un individu atteint de
diverses causes - parmi lesquelles la syphilis - qui déterminent la paralysie générale, n'agissent d'une façon efficace que l
ques cas, des attaques épilepti- formes, des ictus cérébelleux, des paralysies et contractures. L'in- tégrité de la sensibilit
xistence primitive d'une surdité complete, de nature nerveuse, avec paralysie faciale, suivie à bref délai de symptômes de tu
n saturnine : colique de plomb, néphropathie, accidents nerveux. La paralysie saturnine a pris une extension grande puis- que
participation du groupe radi- culaire supérieur aux deux bras. Ces paralysies s'accompagnent d'amyotrophie et la réaction de
réaction de dégénérescence est constatée. Quelques observations de paralysies saturnine chez des ouvriers employés dans des f
rop souvent négligée des règlements d'hygiène dans les fabriques. Paralysie hérèdo-syphilitiquc. M. F. Rose présente un mal
lysie hérèdo-syphilitiquc. M. F. Rose présente un malade atteint de paralysie sensitivo- motrice intéressant la plus grande p
des cas d'altéra- tions syphilitiques diverses du système nerveux, paralysie générale, paraplégie spasmodique, etc. A prop
adie de KOHSAKOFF comme une telle forme qui, comme, par exemple, la paralysie générale est une asso- ciation d'un trouble psy
présent : une excitation très vive ; le malade parle beaucoup. Une paralysie complète avec affaiblissement de tous les muscl
s quelques jours, en général avec des accidents aigus paralytiques ( paralysie surtout) ou con- vulsifs (tétanie, contractures
rovoque des crises très pénibles. Vers la même époque apparut une paralysie faciale inté- ressant également le côté droit e
face d'autre part. ' Le membre supérieur gauche est le siège d'une paralysie à peu près complète portant sur la main et les
rappelle qu'il n'eu a pas toujours été ainsi et qu'il a existé une paralysie faciale droite jusqu'en novembre 1903. Au poi
e de la main simienne, en une atrophie musculaire superposable à la paralysie , en une abolition des réflexes tendineux en rap
dans la seconde observation, signalé un steppage en rapport avec la paralysie des muscles antéro-externes des jambes; j'ajout
sie des muscles antéro-externes des jambes; j'ajoute que quand la paralysie faciale s'observe au cours de la syringomyélie
nous occupent, mais bien des différences aussi l'en séparent : à la paralysie se joint l'in- coordination motrice, nous avons
ggravation : aux anesthésies succèdent les troubles trophiques, les paralysies , les ulcé- rations et mutilations diverses ; en
e certaines maladies du système nerveux central, au premier rang la paralysie générale et l'épilepsie, tiennent à ce que sur
n'en sont pas moins versées dans le sang du malade. Genèse de la paralysie générale. -1 a-t-il production continuedu poiso
e, subit l'altération régressive, la dégénérescence progressive. La paralysie générale procède-t-elle par poussées, c'est que
titoxine vient- elle à prédominer; on assiste à une rémission de la paralysie générale. - Malheureusement il ne s'en produit
montre, avec de nombreuses figures à l'appui, qu'il y a des cas de paralysie générale dans lesquels la déchéance des fibres
fibres blanches '. M. Schalferen possède actuellement une autre de paralysie géné- rale à la dernière période, où l'hémisphè
inales siégeant au-dessus du ren- flement cervical. Exagéré dans la paralysie spasmodique et dans la sclérose latérale amyotr
04. - PRÉSIDENCE DE M. Dêjerine. Lésions des neurofibrilles dans la paralysie générale. MM. GILBERT Ballet et LAIGNEL-L,1VAST
ce du 28 mars. - Présidence DE M. BRDNET. Le décubitus aigu dans la paralysie générale. M. VIGOUROUX : fait une étude rapide
ps comme une complication obligatoire de la période terminale de la paralysie générale. Une opinion très courante et partagée
cipalement sur les os des membres nférieurs (tibia, fémur). Dans la paralysie générale, des fractures SOCIÉTÉS SAVANTES. 167
ns horizontale et verticale pouvait faire penser tout d'abord a une paralysie du muscle grand dentelé, mais l'examen électrique
a déformation particulière de l'épaule susceptible de simuler une paralysie du muscle grand dentelé. M. B. SOCIÉTÉ DE NEURO
e supérieure du tronc des deux côtés et dans le bras droit resta la paralysie atrophique ; dans la période de l'amélioration
use du côté droit. Des mouvements involontaires de la langue. De la paralysie atrophique des muscles de la partie supé- rieur
t. Une coexistence, semblable d'accès, peutavoir lieu aussi dans la paralysie générale. Souvent la psychose de Kaon- SAKOFF s
t fut paralysé et la veille de l'entrée à l'hôpital se développa la paralysie de toutes les extrémités. Une paralysie com- pl
à l'hôpital se développa la paralysie de toutes les extrémités. Une paralysie com- plète des membres supérieurs et inférieurs
oce une place distincte à côté des deux autres grandes démences, la paralysie générule et la démence sénile, puisque, primiti
liquide céphalo-rachidien, contrairement à ce qui se passe dans la paralysie généaale, ne contient pas d'éléments figurés :
u'on ait soutenu le contraire s'observent aussi quelquefois dans la paralysie générale et, cependant, l'origine accidentelle de
n'en est pas moins proclamée par la grande majorité des auteurs. La paralysie générale, a déclaré M. Magnan, est la . plus in
nce précoce, tout en restant soumise, dans les mêmes limites que la paralysie générale, à l'inéluctable loi de la prédisposit
vant tou- jours être rattachés à la folie maniaque dépressive, à la paralysie générale, aux folies toxiques, à la demence pré
ressive ou de la démence précoce, quand ils n'étaient pas liés à la paralysie générale ou aux folies toxi-infectieuses. La ma
ets à des rémissions et peuvent même disparaître tout comme dans la paralysie générale, mais le. déficit mental sur lequel il
fections que nous venons de citer (imbé- cillité, débilité mentale, paralysie générale, etc.) et dans la paranoïa. Pour dém
randes lignes, la démence précoce parait devoir comporter, comme la paralysie générale, des signes physi- ques dont aucun, co
tituée, etc.), son père, au moment où elle est née, était en pleine paralysie .générale. C'est un jeune homme, dément paranoï
ivalent à celui que tous les aliénistes lui recon- naissent dans la paralysie générale; mais qu'on cherche chez les paralytiq
uent et incontestable que l'est l'intoxication syphilitique pour la paralysie générale ? Je suis dégagé de tout préjugé au su
upérieurs, supra-nucléaires (Parinaud) dont la lésion pro- duit des paralysies associées, bilatérales, lévogyres ou dextro- gy
(de Lyon), une première dis- cussion s'engage sur l'étiologie de la paralysie générale, à l'occa- sion de la statistique de M
ont subi une énucléation. Quelques réflexions sur l'étiologie de la paralysie générale dans le département de l'Orne. M. le
statations antérieures de divers auteurs, qui tendent à faire de la paralysie une maladie des peuples civilisés, Statistique
de la paralysie une maladie des peuples civilisés, Statistique des paralysies générales de l'asile d'Alençon comparée aux sta
it semble venir confirmer la théorie si rationnelle, qui fait de la paralysie générale une affection due surtout à l'usure cé
ques cas, devenirdéfinitives, rappellent l'atrophie musculaire des paralysies hystériques (Charcot, Babinski) et peut-être plus
'a donné que des insuccès. Relations cliniques de la cécité avec la paralysie générale et le tabès. André LERI (de Paris).
néralement considérée comme fréquente dans le tabes et rare dans la paralysie générale. D'autre part, on admet que les cas de
erson- nelles nous ont convaincu que : A) Pour ce qui concerne la paralysie générale : 1° la cécité est rare dans la paraly
qui concerne la paralysie générale : 1° la cécité est rare dans la paralysie générale confirmée avec troubles mentaux marqué
fréquemment signalée avant l'apparition des troubles mentaux de la paralysie générale progressive. B) Pour ce qui concerne l
ubles mentaux minimes tout à fait ana- logues à ceux du début de la paralysie générale. En somme, le plus souvent la cécité d
es de la méningo-myé- lite spinale postérieure légère. Le tabes, la paralysie générale et l'amaurose dite « tabétique » repré
d'ailleurs l'atrophie optique du tabes est semblable à celle de la paralysie générale ; il s'agit, ce semble, d'atrophie sec
ent dans les formes à accès (74,60 p. 100), moins encore dans les paralysies et contractures (65,38 p. 100). Ce phénomène, s
formes à accès (84,12 p. 100) elle est moins constante que dans les paralysies et contractures (73,07 p. 100), moins encore da
ormes accompa- gnées d'anesthésie (63,63 p. 100), puis viennent les paralysies et contractures (61,53 p. 100) et enfin les acc
(72,72 p. 100) elle se rencontre à peu près aussi souvent dans les paralysies et contractures (53,73 p. 100), et dans lés acc
isté dans nos cas. Surtout fréquent dans les formes accompagnées de paralysies et contractures (11,53 p. 100), le clonus du pi
andis que celui de la . rotule, également le plus fréquent dans les paralysies et contrac- tures (11,53 p. 100) est assez rare
té. Un cas de polynévrite éthylique ayant évolué sous la fonn3 de paralysie ascendante. ' " 11\i. OBERT3SUR et ROGER (de Pa
origine. Contribution à l'étude de l'état du fond de l'oeil dans la paralysie générale. (Résultat de l'examen des paralytique
e l'humanité et de son pays. Etude anatomo-pathologique d'un cas de paralysie infantile au point de vue de la topographie des
t). Nous avons pra- tiqué l'examen anatomo-pathologique d'un cas de paralysie infan- tile, quatre-vingts ans après le début d
peut être généralisée pour les raisons suivantes : Il Parce que la paralysie n'intéresse pas toujours tous les muscles d'un
un des phénomènes accessoires de quelque psychose (démence précoce, paralysie générale, etc.). La constitution idéo-obsessive
état de repos, la flaccidité musculaire est exagérée et rappelle la paralysie . Il ne se passe pas autre chose pour les paupière
, il existe de la cépha- lalgie. Absence de raideur de la nuque, de paralysies , de sueurs hémilatérales, de fièvre. Le second
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. mort, affecté de paralysie périphérique complète des deux branches du faci
s étaient exagérés. Ils disparurent complètement quand survint la paralysie flasque et restèrent absents jusqu'à la mort. A c
orsale. Sans compter qu'il y a eu de ce fait (du fait du foyer) une paralysie spéciale des vasomoteurs médullaires. On en doi
u maxillaire inférieur a le moins souf- fert. L'unilatéralité de la paralysie , notamment du trijumeau, l'envahissement gradue
atrophie musculaire. 1. Les troubles de la motilité sont : a, une paralysie complète du membre supérieur lorsque le foyer s
dans les cas d'hémiparésie, d'hémiplégie, et en général dans les paralysies de l'extrémité supérieure d'origine centrale. Pre
un beau matin, sentiment d'engourdissement de la jambe droite avec paralysie du bras etde la jambe gauches ; pendant quatorz
nue pendant la période de développe- ment du sujet. L'atrophie avec paralysie musculaire et ? 011 dégénérative de l'extrémité
due jusqu'à la huitième racine cervi la première racine dorsale. La paralysie motrice à gauche pagnée d'un émoussement de la
gauche. , Quelle en était la nature * ? Il s'est manifesté une paralysie spinale aiguë portant sur l'appa- reil moteur d
nt des troubles de la sensi- bilité de la jambe droite ainsi qu'une paralysie vésicale et rectale. Tout s'est rapidement réso
ale et rectale. Tout s'est rapidement résolu; il n'est resté qu'une paralysie dégé- nérative de la main gauche et des traces
Widal et Bezançon : l'inoculation de streptocoques a été suivie de paralysies soudaines mortelles avec lésions de la moelle r
maniaque, de la confusion mentale avec stupeur et cata- tonie, une paralysie faciale périphérique. Les deux premières sont é
ces altérations constituent des phé- nomènes très fréquents dans la paralysie générale, le tabès dorsal, la syphilis cérébros
pression d'un processus pathologique d'excitation, de parésie ou de paralysie de certains segments de l'iris, produit par des
expression de la combinaison d'états d'excitation, de parésie ou de paralysie des différents filets des nerfs ciliaires court
régularités constantes du bord des pupilles sont l'expression d'une paralysie définitive de certains segments de l'iris : irido
jet des fibres. P. KERAVAL. III. Convulsions myocloniques dans la paralysie générale pro gressive; par J.-S. Hermann. (Neur
ni avec des attaques congestives apoplectiformes. Le diagnostic de paralysie générale ressort et du tableau clinique, et des l
réflexes patellaires tient à ce que la myoclonie est greffée sur la paralysie générale, qui s'accompagne très souvent de disp
e. U. B. Séance du 27 juin. - Présidence de M. Bonnet. Suicide et paralysie générale; par 11111. nIARIG et VIOLLET. On peut
ré l'attention sur cette question. Cet auteur a observé un cas avec paralysie de la mimique du nerf facial gauche. L'homme en
nt des mois. Au moment de son admission il existe encore une légère paralysie du segment inférieur de la face pour l'expressi
écé- demment décrits de Nothnagel et de Gowers qui ont observé la paralysie des muscles mimiques de la face à la suite d'al
poulo) décrite par Nothnagel a, par son grand volume occasionné une paralysie des muscles de la face, soit des phénomènes d'a
l'organe. G. D. LXXXIII. A propos de l'anatomie pathologique de la paralysie générale; par le Dr l\l.\HAm (Journal de Neurol
vaisseaux de l'écorce cérébrale étaient toujours primitives dans la paralysie générale, l'auteur déclare que de ses recherches
nt. Il ajoute que jusqu'ici on n'a pas encore publié un seul cas de paralysie générale indiscutable avec intégrité des vaisse
èces morbides naturelles. On peut présentement distinguer : 1° La paralysie générale. Il n'est pas exceptionnel de rencontrer
pas exceptionnel de rencontrer dans les asiles d'idiots des cas de paralysie générale juvénile, et surtout chez des sujets p
ébut et leur terminaison ne s'opposent pas à leur rattachement à la paralysie juvénile. 2° L'idiotie amaurotique. La cause se
tingue expérimentalement un certain nombre de syndromes solaires de paralysie , d'excitation ou d'irradiation, et montre que l
endiants et des vagabonds. Cela se voit dans la démence précoce, la paralysie générale, la folie circulaire ou périodique. Ex
s maladies du système nerveux, l'angoisse a été observée : dans les paralysies bulbaires, les lésions méningo-encéphaliques ba
liques basilaires, les affections médullaires, du cervelet, dans la paralysie générale, dans les névroses, vertige mental, ve
re d'aucune classification spéciale. M. H. X. Hystérie à forme de paralysie générale ; par Collet et Lepike. (Revue de méde
ces dernières années une grande importance pour le diagnostic de la paralysie générale à la constatation de certains troubles
1..10FFROY et BADAUD. Si les lésions médullaires postérieures de la paralysie générale sont d'ordinaire différentes de celles
entes de celles du tabes classique, il n'est pas impossible qu'à la paralysie générale frappant uniquement le cerveau, vienne
dinairement les dégé- nérescences postérieures de la moelle dans la paralysie générale affectent un type spécial s'éloignant
tabes vul- gaire, il est des cas, néanmoins, où concurremment à la paralysie générale, évolue un tabes légitime. Dans le pre
envahit l'ensemble de l'axe cérébro-spinal; dans le second cas, la paralysie générale du cerveau est purement et simplement
éaction pupillaire prolongée aux toxiques comme signe précoce de la paralysie générale; par 1\11\1. TOULOUSE et VUftPIS. (Jou
morbide du système ner- veux et permet le diagnostic précoce de la paralysie générale. . G. DENY. 'L'il. Fréquence et évol
'L'il. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale; par MM. Ravurt et CAUDRON. (Journ. de
es latéraux constitue un des meilleurs signes des démences. Dans la paralysie générale, la pression du liquide céphalo-rachidie
Bra à petites doses. L'auteur après avoir examiné l'hypothèse d'une paralysie faciale antécé- dente, d'une affection protubér
derniers caractères se retrouvent dans une observation deIoebius, ( Paralysie simultanée de plusieurs nerfs crâ- niens. Archi
II, p. 292). Il s'agissait d'un jeune garçon de neuf ans affecté de paralysie de plusieurs nerls craniens d'origine basale, s
ic. Marcel Viollet. \ XLVIII. Un cas de tétanos céphalique avec paralysie faciale et oculaire, guérison; par G. HALTENIIO
atiquée deux jours et demie après l'acci- dent, on vit survenir une paralysie du facial droit et du moteur oculaire externe g
complication. Bien que l'examen histologique des nerfs atteints de paralysie soit resté négatif dans les cas mortels on tend à
soit resté négatif dans les cas mortels on tend à admettre que ces paralysies sont le résultat de l'action du poi- son tétani
entres de la moelle allongée et de la protu- bérance. G. D. XLIX. Paralysie faciale : rire et pleurer spasmodiques; localisat
cérébrale du rire et pleurer spasmodiques et de celle du syndrome : paralysie volontaire avec conservation de l'expres- sion
puisse expliquer à la fois les crises de rire et de pleurer, et la paralysie faciale disparaissant à l'occasion des mou- vem
'émettre des sons graves) que l'auteur crut pouvoir attribuer à une paralysie d'origine cérébrale du crico- thyroïdien. Cet
socéphaliques et qu'elle ait ainsi pro- voqué, avec le trismus, une paralysie faciale bilatérale. On n'a encore donné de ce d
MÉDECINE LÉGALE. 427 I LII. Un phénomène palpébral constant dans la paralysie faciale périphérique; par MM. Duruv-DuTEMps et
être considéré comme constant puisqu'il s'est montré dans 15 cas de paralysie faciale périphérique. Voici en quoi il consiste
est convulsé en haut. Ce phénomène est dû à ce que dans les cas de paralysie faciale, la paupière supérieure n'étant plus ma
hysiolo- gique ; il n'en constitue pas moins un signe spécial il la paralysie de l'orbiculaire puisqu'il manque dans les lago
cicatricielles des paupières, etc. G. D. LUI. Un cas particulier de paralysie faciale ; par le Dr Bienfait. (Journ. de Neurol
nfait. (Journ. de Neurologie, 1904, n°2.) Observation d'un cas de paralysie faciale intéressant en raison des phénomènes bu
ie de Menière. D'après l'auteur la lésion qui avait déterminé cette paralysie siégeait dans le conduit auditif interne et int
sont lents partie à cause de son état mental, partie à cause de sa paralysie . Les notions usuelles sont assez limitées. b.
er définitivement, ferait du torticolis congénital l'analogue de la paralysie infantile. Mais il est possible que cette lésio
r. " - Doit-on incriminer l'anémie mécanique ou la congestion par paralysie des vaso-moteurs lésés dans la ligature de la car
r le second point intéressant, c'est-à-dire la pré- dominance de la paralysie au membre supérieur, l'auteur pense que le fait
le diagnostic. Le seul diagnostic' auquel on puisse songer est la paralysie faciale suivie de contracture. G. Carrier. LV.
que; (céphalée plus vive, en une nuit appa- rition d'amblyopie avec paralysie totale des muscles extrinsèques et intrinsèques
atteints de manifestations choréiques). Il présentait en outre une paralysie avec atrophie du membre inférieur droit, vraise
ression des débits d'alcool. il. C. XXX. Rapport du tabes avec la paralysie générale ; par CURIONI. (Nouv. Iconogr. de la S
(Nouv. Iconogr. de la Salpllriène. i'\° 5. 1903.) Le tabes et la paralysie générale sont-ils une seule et même maladie dom
lieu de différen- cier le tabes vrai des lésions tabetiformes de la paralysie progres- sive La question est en débat et ce n'
sions mé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 503 ningo-corticales de la paralysie générale. Du côté de la moelle, lésions des mén
XIV. Contribution à la chimie de la dégénérescence nerveusé dans la paralysie générale et autres maladies mentales; par Isado
'altérations des fibres à myéline ni des vaisseaux. Smon. XXXVII. Paralysie générale aiguë avec une observation, histoire c
t historique avec la classification de Lissaner des cas anormaux de paralysie géné- rale : 1° Paralysie générale avec localis
ification de Lissaner des cas anormaux de paralysie géné- rale : 1° Paralysie générale avec localisation des lésions aux por-
sation des lésions aux por- tions postérieures des hémisphères ; 2° Paralysie générale avec prédominance céribelleuse des lés
sions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à forme aiguë; 4° Paralysie générale compliquant un tabes, avec délire hall
). La syphilis comme cause de folie (Mott : pas de syphilis, pas de paralysie générale). - Tuberculose et dysen- terie dans l
caner M. Toulouse sur sa définition de la démence. La démence de la paralysie générale ne peut prêter à confusion avec la dém
l symptôme invoqué pour faire le diagnostic de démence vésanique. Paralysie générale et pachyméningite gommeuse. MM. DOUTIt
ate des lésions syphilitiques cérébrales surajoutées à celles de la paralysie générale. Il s'agit d'un homme de quarante ans,
nnu atteint de manie, peut-être par alcoolisme, mais sans signes de paralysie générale. Comme au dehors, il se montra agité,
/les. In-8» de 22 pages. Imp. Starck à Lyon. Marie (A.). Névrose et paralysie générale. In-S° de 24 nages. Imp. Severeyns. Br
écité verbale avec agraphie : par Thomas, 74. Voir' Surdité. Voir Paralysie . Centres nerveux. Voir Kyste. Des corticaux d
a- ble de post-hémiplégique, par Devic et Gallavardia, 52. Voir Paralysie . Convulsions. Des rythmiques et des mouvement
nts automatiques chez les hystériques, par Bechte- rew, 326. Voir Paralysie géné- rale. Coprolalie. Voir Tics. Cornée.
elschowsky, 340. Cytodiagnostic - Voir Tabès. Di'.cUBirus. Voir Paralysie générale. Dégénérescences secondaires. Voir C
attaque d'épilepsie. par Ossipow et Borischpolsky,-325 Face. Voir Paralysie . Faisceau longitudinal. Voir Reil. Fibres. De
ion intraartérielle dans la traumatique, par Has- kovec, 62. - et paralysie géné- rale, par A Marie, 526. NEZ. Un arrêt d
Ma- randon de Montyel, 289. 634 TABLE DES MATIÈRES. OEIL. Voir Paralysie générale. OPHTAL110PLÉGIE et arténo-sclérose,
- roubow, 329. Parallélisme. Le moderne, par Moskiewicz, 321. Paralysie . De la contracture secon- daire du releveur de
méningite néoplasique, par Spillmann et Hoche, 188. Parésie. Voir Paralysie . La - spas- modique des vieillards athéro- ma
dans l'hystérie, par Ci-ocq, 261. Un - palpébral constant dans la paralysie faciale périphérique, par Dupuy-Du- temps et
[LHi3E De la pro- longée aux toxiques comme si- gne précoce de la paralysie géné- rale, par Toulouse et Vurpas, 417. RC1,
du , par Widal, Sicard et Ra- vaut, 53. -. Voir Moelle. -. Voir Paralysie générale. Les formes fébriles du -, par Faure.
ude, par ObeOhur et Bousquet, 278. Un cas d'association du à la paralysie générale, par Joffroy et Rabaud, 414. Happort d
alysie générale, par Joffroy et Rabaud, 414. Happort du - avec la paralysie générale, par Cu- rioui, 502. 'l'aDi : ryoe.
un , par Sabrazès, 57. - - 'l'É1AOS. Un cas de céphalique avec paralysie faciale et oculaire ; guérison, par Haltenhoff,
55 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tentes en Afrique. Grand-père paternel : nombreux excès de boisson, paralysie complète avec aphasie. Rensei- 17187ne12tS 2t27
légère- ment exagérés à droite; vomissements; augmentation de la paralysie de la jambe droite. Trépanée à Saint-Antoine le
ou » du vin, de l'absinthe, un peu de tout. Deux mois avant sa mort paralysie complète des 2 côtés' début brusque, avec aphas
ure des os du nez, que la palpation ne révèle pas cependant. Pas de paralysie des membres inférieurs ni supérieurs. 17 août
Yeux enfoncés, mobiles dans tous les sens; pas de strabisme; pas de paralysies muscu- laires ; nystagmus à peu près constant.
signes de Stclhvag, de yon gracie et de Modiius font défaut. Pas de paralysie de la mus- culature externe. Dilatation pupilla
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES l. - Les cellules plasmatiques de la paralysie généra- le ; par le Dr de GUCK (Journal de Neur
logie, 1905, n° 6.) Se basant sur l'étude histologique de 18 cas de paralysie générale, M. de Buck se rallie d'une façon caté
sans aucun doute à la néofor- mation vasculaire qui caractérise la paralysie générale. Mais si l'infiltration périvasculaire
lanc joue un rôle effacé dans l'infil- tration périvasculaire de la paralysie générale. Le proces- sus paralytique, au lieu d
Buck se rallie à la théorie de l'origine vasculaire primitive de la paralysie générale qui lui paraît rendre mieux compte de
G. D. VI. Sur les rapports qui existent entre la topographie des paralysies et celles des altérations des centres mo- teurs
les auteurs se croient en droit de conclure que la topographie des paralysies et des atrophies dans les maladies de la moelle
culaire. Dans la plupart des cas, en effet, l'atrophie ainsi que la paralysie n'intéressent pas tous les muscles innervés par
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Discussion sur les rapports de la paralysie géné- rale et de la syphilis. [Académie de méde
à forme hémiplégique. La cause occasionnelle de l'apparition de la paralysie générale fut, assez rare- ment il est 'vrai, le
t chez les quakers. Il remarque la fréquence de l'association de la paralysie générale et du tabes, insiste sur les paralysie
l'association de la paralysie générale et du tabes, insiste sur les paralysies conjugales, sur celles qui s'ac- compagnent d'a
t les lésions spécifiques vascu- laires d'une part, et celles de la paralysie générale d'autre part, et il admet comme cause
au contraire, insiste sur le rôle de la syphi- lis, non pas que la paralysie générale soit de nature spé- cifique, mais parc
alytiques généraux, 30 à 40 0/0 de syphilitiques. M. Hallopeau : la paralysie générale est une deutéropa- thie syphilitique,
cifique qui alors existe seule ; il n'est plus justifié, lors de la paralysie con- firmée. M. Raymond signale la fréquence
ge avec elle, son étiologie. La non-spécificité des lé- sions de la paralysie générale n'est pas un argument va- lable, car o
roy reconnaît bien que la syphilis est une bonne « fumure » pour la paralysie sur un organisme déjà prédia- Atscmvr ? 2^ séri
. - Quelques réflexions sur le développement de l'étio- logie de la paralysie générale dans le département de l'Orne ; par le
menage intellectuel est la seule et unique cause de la rareté de la paralysie générale dans le département de l'Orne. G. D.
De l'étude histologique de cinq cas de psychose aiguë (délire aigu, paralysie générale, mélancolie anxieuse), l'au- teur tire
dipsomanes. G. D. VIII. - Relations cliniques de la cécité avec la paralysie générale et le tabès ; parA. LÉRI. (Journ. de N
que la cécité est très fréquente dans le tabes et très rare dans la paralysie générale. Il résulte au contraire des recherche
contraire des recherches de l'auteur, que la cécité affecte avec la paralysie générale les mêmes rapports qu'avec le tabes, q
es localisations, spi- nale pour le tabes, céréhrocorticale pour la paralysie géné- rale pourront ou non se développer plus t
ion on puisse le débarrasser de l'idée morbide de la douleur, de la paralysie , de la convulsion, etc., qui l'a envahi en lui
ouvoir, de parler et de penser. Un peut donc comparer cet état à la paralysie psychique qu'il est facile de produire par sugg
eilleurs chapitres de la Pathologie spéciale celui qui traite de la Paralysie géné- rale. Le livre troisième comporte plus
})(''h'ic ! 'c dans le service de M. le professeur Raymond pour une paralysie complète, survenue, il y a ans, à la suite d'un
mois on peut espérer une amélioration des mouvements, malgré une paralysie sphinctérienne totale; au point de vue de la vi
mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE Mal perforant et paralysie générale : Parle Dr MARIE, médecin en chef il e
le 1er décembre ly0' avec le certificat suivant du Dr Legras : « Paralysie générale. affaiblissement intellectuel. Projets
n. l3urlin, 1902. Verlag- S. Karger, p. ? d0.) MAL Perforant Et paralysie générale. 113 frère devait mettre à sa disposit
er, à son entrée dans notre ser- vice, les symptômes évidents de la paralysie générale. Après une période d'excitation intell
arisiens m'est passé aittsi par les mains. » , MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la th
tens. Dans nos observations, les maux perforants ont pré- cédé la paralysie générale ; leur amélioration a cepen- dant été
tian (1) qui l'un des premiers a signalé le mal perforant dans , la paralysie générale. Marandon de Montyel l'y a signalé éga
nalé également ; mais d'après lui, il se rencontre surtout quand la paralysie générale se complique d'alcoolisme. D'après lui
d'ailleurs, il ne fau- (1) Ciiristiax. - « Le mal perforant uans la paralysie générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110
talons et celles du (sacrum) si fréquentes, elles aussi, dans la paralysie générale. Or, comme cette dernière se rencontre
avec les phases critiques prémonitoires des ré- MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 117 missions ? On sait les théories a
sous l'influence de causes très minimes. Il y aurait donc, dans la paralysie générale, déviation du travail curatif, formati
cée de la maladie. Pour lui, dans les premières pério- des de la paralysie générale, les plaies guérissent rapi- dement.
rveau. Tendance àla suppuration, tel est donc le caractère que la paralysie générale imprime aux blessures (Deoorce), , Nou
ra-- (1) D" A. Marie et Viollet. Suppuration et rémission dans il paralysie générale. MAL PERFORANT ET PARALYSIE GENERALE
ation et rémission dans il paralysie générale. MAL PERFORANT ET PARALYSIE GENERALE. 119 lions spontanées, il n'y avait
, par A. Click. (Neurolog. Centralbl. XXIII.) Pièces anatomiques de paralysie infantile cérébrale. llémiatro- phie du cerveau
ternatifs et ondulatoires, l'auteur présente onze observa- lions-de paralysie faciale, de maladie de Thomsen, d'atrophie avan
x suffisent à produire la contrac- tion lente ; plus lard, quand la paralysie périphérique est com- plète, il faut, pour qu'e
rs enveloppes ; il est indépendant du mouvement du sang. Dans les paralysies fiasques complètes, on n'entend, au niveau des
t rien quand on invite les malades à faire des mouvements. Dans les paralysies flasques incomplè- tes, le son musculaire est s
ible énergie de la contraction. On entend le son musculaire dans la paralysie agitante (un cas), dans l'athétose (2 cas), au
net. La contracture tardive des muscles hémiplégies ou en état de paralysie infantile cérébrale n'a pas fourni de son ; celui
THOLOGIQUES. du coude et du poignet. La distribution musculaire des paralysies cérébrales incomplètes se fait. par groupes mus
d'aphasie mais une certaine dysarthrie. en somme comme une sorte de paralysie pseuclo-1>ulllaire qui peut disparaître en q
iques, affections protubérantielles, myélites, sclérose en plaques, paralysies spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe peut servir i
ies spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe peut servir il distinguer une paralysie organique d'u- ne paralysie hystérique. La flex
e réflexe peut servir il distinguer une paralysie organique d'u- ne paralysie hystérique. La flexion plantaire des orteils décè
ganique : par contre, la flexion dorsale n'élimine pas l'idée d'une paralysie organique. Le même réflexe REVUE D'ANATOMIE E
ade dans le coma dépister l'apoplexie et, en ce (l11) le côté du la paralysie : le côté duquel le heurt du dos du pied déterm
du côté do la lésion tandis qu'il est d'ordinaire conservé dans la paralysie faciale d'origine centrale. Il est aug- menté d
ez les paralytiques généraux en particulier; quelques cas isolés de paralysie générale trahissent une différence du ré- tioxe
et achilléens exagérés, la flexion plantaire s'accentue ; exemple : paralysie spinale spas- modique, sclérose en plaques. Ce
ia se traduit par l'extension de la jambe. Il se manifeste dans les paralysies organiques. 2° Le réflexe du grand trochanter c
ns le cours de certaines maladies aiguës ou chroni- quels : lahi.s, paralysie générale, peuvent être aussi des équiva- lents
tes d'hystérie à l'état fruste, et qui fut prise très rapidement de paralysies partielles, à la suite d'une intoxication sulfo-c
matisme et la difficulté médico-légale de tumeurs cérébrales et de paralysies générales survenues après des traumatismes. Hém
holéra toxique au début, puis démangeaisons, douleurs articulaires; paralysie commençant par les extrémités et, portant d'abo
irme et. montre l'importance médico-légale de cette constatation. Paralysie faciale et hémiatrophie linguale. MM. Muet et L
t et LEJONNE montrent une jeune fille dequinzeans atteinte de cette paralysie à l'âge de trois ans, au milieu de phé- nomènes
nvulsions déterminées par une ménin- gite ou une poly-oncéphalile I paralysie flasque, secousses mus- culaires fasciculaires,
ique présentanlunu hérniatl'Ol'hie du voile du palais droite et une paralysie complète de la corde vocale do ce côté. Cet en-
es vides. Ces cas se diuerencient, du la maladie de Duchenne par la paralysie du facial supérieur, les (roubles de la sensibili
tion de la langue. Un n'observe néanmoins aucun signe ni vestige de paralysie faciale. Pas d'asymétrie osseuse de la face. Vo
, et caractérisé par une hémiplégie alterne 4ensitivo- motrice, une paralysie bilatérale et symétrique des muscles in- nervis
ologique et clinique à l'étude des rapports de la syphilis et de la paralysie générale ; par IIODOLFO TANZIALIi.Il1 Annali di
GIQUES. 201 que de la question des rapports de la syphilis et de la paralysie générale ; il insiste surtout sur les recherche
curatif, soit même comme simple calmant des divers symptômes de la paralysie générale. Finalement, ses travaux l'ont amené aux
ravaux l'ont amené aux conclusions suivantes : 1° Sur cent cas de paralysie générale, la syphilis a pu être re- trouvée 87
La syphilis peut constituer à elle seule l'affection causale de la paralysie générale, mais elle peut également agir communé-
autre facteur étiologique héréditaire ou acquis. 40 Dans les cas de paralysie générale développée sur les indi- vidus ayant e
ent mercuriel intensif ne modifie en aucune façon l'évolution de la paralysie générale. En terminant, l'auteur donne la repro
géré dans la démenée précoce (héhéphrénie et catatonie), dans la paralysie générale et dans la manie. ,1. SEGLAS. - Recher
à la Société médicale des hôpitaux, que l'on pouvait observer des paralysies consécutives à la pneumonie, ne rencontra il cett
phiqucs. Quant aux lésions histologiques que l'on ob- serve dans la paralysie 'expérimentale consécutive il l'influence du vi
rhumatisant d'habitude, frappé brusque- mont en pleine santé d'une paralysie spasmodique douloureuse, précédée depuis un moi
résentent une fillette ayant subi après infection des symptômes (le paralysie ascendante aiguë avec troubles sphinctériensft
ntre mouvements volontaires ut réflexes se rencontre aussi dans les paralysies organiques. Clonus du pied. M. Babinski provo
uau qu'il rassembla le, : éléments du sa thèse : Des rapports de la paralysie générale chez la femme avec certains troubla de
lève éprouvant un besoin de locomotion incessant. 1904. Malgré la paralysie dont est affectée sa main gauche Ricqu ? est ar
une affection cérébrale déterminée quelconque (folie, dé- mence, paralysie générale) peut être survenue un an, deux ans, d
, de l'excitation maniaque, de la démence progressive ou même de la paralysie . Mais, côté de ces accidents, positifs pourrait
'est ainsi que nous avons observé- un jockey de courses, atteint de paralysie générale considérée comme 314 ' CLINIQUE MENT
ement des facultés intellectuelles, peut-être symp- tomatique d'une paralysie générale au début. Perte de la mé- moire. Embar
ction entre ce fait et celui d'être âgé de trente-six ans. Le mot : paralysie générale, est missur un des certificats de situ
même année, il est ramené à l'asile, où on lui trouve des signes de paralysie générale, euphorie, idées de gran- deur. Il est
écanisme différent. Les plus récents relè- vent plus ou moins de la paralysie générale; les plus an- ciens relèvent' de cause
s et chirurgiens sur les diathèses, on pourrait soute- tenir que la paralysie générale traumatique, si on l'ad- met, peut êtr
t l'ordre de succession chez un même individu, a pu déterminer la paralysie générale que l'un ou l'autre facteur isolé n'eût
alite comprimée, mais servir de jalon sur pour dater le début de la paralysie générale. Le trau- matisme dans ce cas, postéri
postérieur à l'ictus, devientnon plus un facteur étiologique de la paralysie générale ultérieure, mais déjà une des conséque
acci- dent et du ou des premiers signes physiques constatés de la paralysie générale; si aucun signe ne l'a décelée antérieu-
lier du plomb, un ancien traumatisé peut présenter les signes de la paralysie générale satur- nine. Le paragraphe II des arti
yen de diagnostic entre les pa- ralysies générales centrales et les paralysies générales périphé- riques. Cessons de l'appeler
différence entre les deux membres inférieurs, ni dans l'état de la paralysie ni dans celui des autres phénomènes ner- veux e
congénitale ne s'atrophient pas forcément (Kunn, Lenowa,Jamin). La paralysie congénitale du droit externe sans strabisme peut
e malade essaie de l'adduction, non en dedans mais en arrière. La paralysie congénitale de l'oculomoteur commun porte en l'
aisse par saccades, et les autres muscles reviennent à leur état de paralysie absolue. Le sommeil le plus profond'ne change r
ou, si l'on préfère, athétose de l'ocu- lorhoteur comme en état de paralysie infantile. La cause la plus admissible, c'est u
de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (trois cas) '; 2° type paralysie labio-glosso- laryngée (cinq cas) ; 3D type amy
s. Il n'y a jamais eu de troubles intellectuels même dans les types paralysie labio-glosso-laryngée. Enfin, au point de vue
s scléroses combi- nées des cordons postérieurs et latéraux dans la paralysie géné- rale, mais nullement sur leur interprétat
eux affec- tions en apparence si différentes quesont le tabès et la paralysie générale : : - simple raréfaction des faisceaux
ytiques admises par tous ; lésions simultanées de tabès jeune et de paralysie générale jeune réalisant une maladie unique de
nond et Nageotte). Il semble donc que les deux syndromes, taht's et paralysie générale, apparaissant simultanément ou suc- (-
âge » présenta dans la suite le tableaucliniqueet les lésions de la paralysie générale (démence progressive, abolition des sens
es chez le chien qui fait l'objet de ce tra- vail sont celles de la paralysie générale humaine : il est intéres- sant de cons
pour en induire peut-être des analogies dans la pathoiréncse de la paralysie générale, l'apparition chez un ani- mal d'une m
3.) Malgré le grand nombre des cas déjà publiés, la nature de la paralysie bulbaire asthénique et les causes de sa gravité r
'accidents bulbaires mortels. P. T. XLVLHippus monolatéral dans une paralysie du moteur oculaire commun ; par M. AURAND. (Soc
Lyon, 15 novembre 1905.) Petite fille âgée de 8 ans atteinte d'une paralysie du moteur oculaire commun de l'oeil droit affec
ffectant seulement la muscula- ture externe. L'étiologie de cette paralysie est obscure ; comme il n'y a pas tra- ce de név
n'y a pas tra- ce de névrite optique ancienne, l'auteur pense à une paralysie d'origine nucléaire, par conséquent à une paral
eur pense à une paralysie d'origine nucléaire, par conséquent à une paralysie congénitale. La. malade est intéressante par ce
de la pathogénie de cet hippus pathologique, l'auteur pense que la paralysie nucléaire de l'auto-moteur a d'abord été complète
eddaens, aux oscillations nY5tagniformes qui se produisent dans les paralysies en voie de guérison, lorsque la contractilité n'e
asimir-Delavigne, Petit (E. P ? Para)ysies faciales récidivantes et paralysies fa- ciales à bascule. 1 vol. in-8" de 120 pages
e troubles épileptiques, de lésions circonscrites du cerveau, de la paralysie générale, pas plus quia celle des névroses trau
élibataire 358 CLINIQUE MENTALE. maréchal ferrant, interné pour paralysie générale, le 30 janvier 1901, (non-lieu de vaga
DENTS DU TRAVAIL. 359 C. lléclical. - 2(i mars 1904. Est atteint de paralysie générale. Démence. Embarras considérable de lap
de foi,). Dr P. Garnier. C Immédiat. 7 mars 190'i. Est atteint de paralysie géné- rale, ne peut donner aucun renseignement.
Fracture bi-malléolaire du côté droit ; avril 1904. Est atteint de paralysie générale, inconscient par démence. Gâtisme et f
uence d'un excès d'épuisement, l'on observe dans les deux cas des paralysies aux régions atteintes (monoplégies, oph- talmop
ements, parésies, blépharospasme, convulsions locales et générales, paralysie passagère, obscurcissement de l'intellect, conf
t de l'hypophyse. )1. IL REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 410 LUI. Paralysie des deux hémioculomoteurs, par Grasset et GAUSS
nature tuberculeuse, un syr : drome oculo- moteur consistant en une paralysie de l'oculogyrie latérale des deux côtés avec co
nt rapporté les observations de deux . malades qui présentaient une paralysie des mouvements asso- ciés des yeux pour l'éléva
toute la moitié cor- respondante de la face ; 5°. accessoirement la paralysie des mus- cles masticateurs. L'existence de ce
la simplicité du procédé permet d'y revenir en cas de récidive. 1 Paralysie du tibial antérieur. M. (3RUE présente une para
récidive. 1 Paralysie du tibial antérieur. M. (3RUE présente une paralysie du tihial antérieur due à une hyperextension du
e sauf son quart postérieur. Origine syphilitique du tabès et de la paralysie générale. M. Marinesco n'a pas pu découvrir le
cial parla méthode de Schloesser. Chaque injection fut suivie d'une paralysie faciale fugace. Deux cas de poliomyélite antéri
e est la complication d'une myélite chronique qui a déjà produit la paralysie incomplète des iiieni- bres inférieurs. 11 est
ès de l'asphyxie. L'autopsie a été refusée. Outre l'amyotrophic, la paralysie spasmodique et les phénomènes bulbaires de la s
me B ? 48 ans, est entrée le 19 octobre 1903. Père mort à G5 ans de paralysie . C'était un alcooli- que, le plus grand buveur
tie conservé les mou- vements et il n'y a pas non plus de signes de paralysie du voile du palais. L'impossibilité de la com
que. La présence simultanée des deux grands symptômes cardinaux : paralysie spasmodique et amyotrophie, nous a conduit, mal
04 avecle certificat suivant : « G ? est atteint depuis six mois de paralysie générale avec accès délirants et troubles men-
le d'un malade gai et optimiste. Pas de gâtisme, pas de signes de paralysie générale. Pas de signes oculaires, à part une t
ion mentale caractérisée par une diminution de toutes les facultés ( paralysie générale). 11 est sujet à des crises d'a- gitat
chez lui, à peu près oblité- rée. ' .1 ? présente à la fois de la paralysie spasmodique et cle l'amyo- trophie. Les réflexe
ant plus dilatée. Les pupilles réagissent bien à la lumière; pas de paralysies oculaires. ni denyslagmus. Tous les modes de se
que l'on observe habi- tuellement dans les formes médullaires de la paralysie générale. L'affaiblissement psychique est dès l
A SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 449 massif, comme dans certaines paralysies générales de forme démentielle pure. Dans les p
où il se trouve, se perd et ne connaît plus personne. S'agit-il de paralysie générale légitime ? Nous n'avons guère,comme sy
dinaires visés par M. P. Marie, jusqu'à la démence glo- bale de la paralysie générale ; depuis la psychasthénie simple jusqu
tie acquise. Le fait que le dernier ma- lade paraît être atteint de paralysie générale ne saurait être considéré comme contre
ne saurait être considéré comme contredisant cette opinion, si la paralysie générale n'est elle-même qu'un mode de réac- ti
ber ? (Marcelle), née le 24 décembre 1895, 5 ans. Idiotie profonde, paralysie , onanisme, incontinence d'urine. A son entrée (
ou- liers. Il en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait Vu sa paralysie , la marche était nulle, elle ne se tenait debout
ruits. Il m'est également arrivé d'étudier la moelle dans un cas de paralysie infantile et de mala- die de Friedreich. Il ne
ich. Il ne restait pas la moindre trace de cellules dans le foyerde paralysie infantile. C'est probablement de la mê- me mani
ate, pas d'adéno- pathie, pas de leucémie. 1 Transformation de la paralysie spasmodique en paralysie flas- que pendant la d
e, pas de leucémie. 1 Transformation de la paralysie spasmodique en paralysie flas- que pendant la dernière semaine de la vie
articulaire descendant au-dessous de la tête du péroné. Tabès et paralysie générale conjugale. )1. Charpentier montre un m
éite raréfiante. 1\DI. RAnlOND et ALQUIER. - Douleurs articulaires, paralysie flasque des bras, puis paraplégie spastique bil
te scléreuse diffuse. Jean Abadie. XII. L'altruisme morbide dans la paralysie générale ; par Maurice llulN. [Thèse de Bordeau
ces malades. L'altruisme morbide se rencontre fré- quemment dans la paralysie générale, à toutes les périodes de la maladie,
ltérations. Voir Tissu cérébral. Altruisme morbide. L'- - dans la paralysie générale, par Blain, 509. Amencéphalie. Voir
Canalicules. Voir Cellules. Cécité. Relations cliniques de la la paralysie générale et le labes, par Léri, 53. - - col,
- - Voir Méuino-encf;phalile. Cellules. Les plasmatiques de la paralysie générale, pnr de Ruck, 40. - Sur la présence
n bote. De la congéni- tale, par Grandjean, 231. Mal perforant et paralysie géné- rale, par Marie et M. Pelletier, 112.
e ses annexes, par Jacques, 71. Orne (département de l'-). Voir Paralysie générale. Orteils. Voir Réflexes. De l'in- ve
ur la automatique des hémiplégiques, par Mario Bertolotti. 334. Paralysie générale. Voir Cellules plasmatiques. - -, poli
Poliomyélite. Rapports qui exis- tent entre la topographie des paralysies et celles des altéra- tions des centres moteurs
sakoff. thainmique. par Déjerine et Roussy, 503. Syphilis. Voir Paralysie générale. Syringobulbie. Un cas de Syn- drome
56 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tance grise des corps striés peuvent ne déterminer aucune espèce de paralysie ; 2° que les lésions, destructives très circonsc
t;2"l>. En septembre, attaque.de. dysenterie qui,fait.faire à,la paralysie de rapides progrès. Réflexe rotulien aboli, réf
bonne santé à. part son épilepsie.1 : Réflexe rotulien .normal.- La paralysie survient lentement ! et le force à.'prendre le
le, présente-, une .éruption papulo-squanieuse assez .abon- daute.r Paralysie ,. flasque incomplète.des quatre membres, mais p
rche. 9 ? -. La syphilis, provoque, aussi, tmais moins souvent, des paralysies ,11s-ques, comme dans3 là seconde observation.
s paralysies ,11s-ques, comme dans3 là seconde observation. . Ces , paralysies flasques ont des allures cliniques, très variab
myopathie, à savoir que les trois types, connus sous les noms de : paralysie , pseudo-hyperlro- phique, forme juvénile de l'a
lui-même avait reconnu que sa forme juvénile se confondait avec la paralysie pseudo-hypertrophique, et l'on sait maintenant
par des accidents cérébraux moins constants, comme la céphalée, les paralysies oculaires.'1La seconde période, celle 'des-lési
période, celle 'des-lésions, médullaires,' est' constituée par des paralysies à formes diverses. La; plus "commune est la' para
les psychoses d'origine or- ganique, et, au premier chef,' dans, la paralysie générale; l'action congestive qu'il peut exerce
érescence et de la folie des dégénérés. D'autres, comme celui de la paralysie générale, ont été complètement refaits dans cer
cutions dans ses formes typique, méga- lomaniaque, maniaque dans la paralysie générale, l'alcoolisme, etc., la mégalomanie si
à part, eu égard à son importance. La sixième^ classe comprend la paralysie générale ; la septième les démences primitive,
r. Paris, 1894. Bureaux du Progrès Médical. Magnan et Sérieux. La Paralysie générale. Volume in-12 de 194 pages. Prix : bro
utres méthodes histologiques employées jusqu'ici pour l'étude de la paralysie générale, nous donnons d'abord, résumée, l'obse
iqué à l'aide du picro-carmin et de l'acide osmique. Observation. Paralysie générale progressive à évolution lente, à forme
édé le 5 avril 1894. Les certificats d'entrée sont les suivants : Paralysie générale pro- gressive ayant débuté par des sym
sement des facultés mentales. Em- barras de la parole. Tremblement. Paralysie générale. Signé : Dr PACTET. Antécédents héré
'herpès. Cetle fièvre a duré un mois et lésions histologiques de la paralysie générale. 85 le D''L.M... le traita par des vin
double question se pose : S'agit-il d'altérations caractérisant la paralysie géné- rale elle-même, d'altérations permettant
x, elle donne un appui nouveau à la théorie parenchy- mateuse de la paralysie générale, à l'opinion défendue à plu- sieurs' r
e dans une seconde étape du processus morbide. Si en dehors de la paralysie générale, si dans la mélancolie ainsi que nous
contre des lésions analogues, cela n'ôte rien à ce fait que dans la paralysie générale la cellule nerveuse s'amoindrit, s'éti
ladie ces modifications n'appa- raissent plus nettement que dans la paralysie générale. Ce qu'elle nous montre surtout d'inté
nombreux de l'innervation, qui constituent la symptomatologie de la paralysie générale. PATHOLOGIE NERVEUSE NEURASTHENIE PA
sité de Liège. (Laboratoire de M. le professeur Francotte.) . Les paralysies par intoxication arsenicale sont actuellement b
admettre la participation de la moelle au processus morbide. ' Les paralysies arsenicales ont été moins étudiées expéri- ment
tes. Sur 50 lapins intoxiqués, Alexander 3 a observé six fois des paralysies et dans trois cas, il a pu constater de l'atrophi
ff 1. Delà diarrhée et des hémorragies intestinales. 1 ScolosubofT. Paralysie arsenicale. (Compte rendu de Biol., 1875 et 188
rsenicale. (Compte rendu de Biol., 1875 et 1884.) 2 Brissaud. Les paralysies toxiques, 1886. 1 Alexander. Klinische und expe
oquent dans les régions innervées par les nerfs malades la triade : paralysie , anesthésie, troubles tro- phiques, sans compte
bilité et non par de l'anesthésie totale; se rappeler aussi que les paralysies et anesthésies à cause centrale sont plutôt seg-
sion. Chez les deux malades, progressivement et en peu de jours, la paralysie et l'anesthésie se dissipèrent, les troubles tr
e d'aphasie motrice et d'agraphie. Huit jours après l'opération, la paralysie faciale, l'agraphie et l'aphasie avaient complè
iblissent, et depuis 1891, le bras est complètement paralysé. Cette paralysie du bras gauche dirige l'intervention opératoire
plaie se réunit très bien, sans élévation delà température, mais la paralysie persiste et le malade s'affaisse rapidement et me
neurologique, 1893.) E. BLIN. XI. Contribution A la question de la paralysie générale PRO- GRESSIVE DES aliénés ET A SON tra
te. Conclusion. 1° Le rapport étiologique entre la syphilis et la paralysie générale est encore vague; -2° il n'y a pas plus
t. Il y a des paralytiques généraux non syphilitiques et il y a des paralysies générales issues de la syphilis; 3° la cause pro-
issues de la syphilis; 3° la cause pro- chaine et essentielle de la paralysie générale émane, en chaque cas particulier, des
ême maladie la syphilide pigmentaire, ce que lui est le tabes ou la paralysie géné- rale ; c'est-à-dire qu'elle dérive de la
dait avec une ano- malie. (Revue neurologique, 1893.) " XV. De la paralysie générale chez la femme; par le Dr ID ? Now. Etu
documentée sur les conditions étiologiques et sur la clinique de la paralysie générale chez la femme. Les conclusions soi.t l
nérale chez la femme. Les conclusions soi.t les suivantes : 1° La paralysie s'observe chez la femme bien plus souvent que n
° Ce désaccord avec les anciens auteurs tient en partie à ce que la paralysie générale devient de plus en plus fréquente, surto
en plus fréquente, surtout pour les femmes. 3° L'étiologie de la paralysie générale ne présente, dans ses traits principau
, un fait est caractéristique, c'est la nécessité, pour qu'il y ait paralysie générale, de trois élé- ments étiologiques simu
sexes, et il parait superflu de considérer une forme spéciale de la paralysie générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de
générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de la syphilis dans la paralysie générale est double. Le plus souvent elle ne fa
iques qui sommeillent, puis agissent simultanément, se développe la paralysie générale classique. Dans d'autres cas, beaucoup
rébrales elle peut provoquer le tableau clinique qui ressemble à la paralysie générale ; c'est la pseudo-paralysie générale d
fique. De là résulte cette dernière conclusion dans tous les cas de paralysie gé- nérale, on doit' employer un traitement mod
e dans les quatre membres, une démarche tabéto-cérébel- leuse, sans paralysie , sans nystagmus, la diminution ou l'absence du
nfluences sociales ou à des modifications dues à l'éducation ? La paralysie générale a subi une pression ascendante remar-
psycho-sensorielles, sur la folie à double forme et surtout sur la paralysie générale, tra- vaux qui suffiraient pour immort
e des alié- nés, sans oublier son sujet d'étude de prédilection, la paralysie générale. D'autre part, on vous dira bientôt ce
a tête du Fig. 7. Tremblement de l'orbiculaire des lèvres dans la paralysie générale. AMNÉSIE rétro-antérograde. 167 mala
5, p. 84. Fig. 8. Tremblement vermiculaire de la langue dans la - paralysie générale. 168 CLINIQUE NERVEUSE. M. Arnozan ?
et entraîna la mort au soixantième jour. A. Marie. XXX. Un- cas DE paralysie consécutive A la varicelle; par William GAY.
cas DE paralysie consécutive A la varicelle; par William GAY. La paralysie atteignit les membres inférieurs dont la paraplég
iopathique sans lésion microsco- pique appréciable à l'autopsie. Ni paralysie ni troubles des sens spé- ciaux.Les malades eur
ish31ed. Jou ? nz., 18 mai 1994.)'` A. Marie. z XXXV. Cinq cas DE paralysie PSEUDO-IIYPERTROPHIQUE dans UNE même' famille ;
e laissait pas que d'être assez délicat, eu égard à la nature de la paralysie . La localisation nette des troubles aux extenseur
localisée, contemporaine de celle-ci, ayant eu pour conséquence une paralysie atrophique du membre inférieur ; et dans la con
g. Centralbl., 1893.) Observation, sans autopsie, de tabes avec une paralysie de presque tous les nerfs crâniens et troubles
rapports établis par Baillarger entre la sclérose postérieure et la paralysie générale, serait aussi présomptueux que de prét
e), anesthésies ou plaques hyperesthésiques, les désordres moteurs, paralysies , contractures, tics et mouvements choréiques, t
rente nature. Divers troubles somatiques, les hyperes- thésies, les paralysies , les contractures résultent de pareilles idées.
produits par le même mécanisme qui amène chez d'autres malades des paralysies , des contractures ou des attaques. Pour en fini
e s'applique à plus forte raison aux individus qui sont atteints de paralysies ou de contractures hystéri- ques à la suite de
es appartenant à un territoire nerveux unique. Enfin le fait que la paralysie atrophique de la poly- névrite ne présente en r
présente en réalité aucun caractère différentiel par rap- port à la paralysie atrophique consécutive à la poliomyélite est bien
us ou moins marquées; c'est ainsi que dans quelques observations de paralysie saturnine on a noté l'existence d'altérations d
de la moelle (polymyélite, tabes, etc.) ou du cerveau (hémiplégie, paralysie générale, etc.). En terminant, je n'ai pas beso
e et de la psychiatrie. Délires dans l'alcoolisme, les névroses, la paralysie générale.-Conclusion. MESSIEURS, Deux méthode
tue presque un paradoxe clinique : les délires systématisés dans la paralysie générale ? Ces deux termes sont-ils donc ennemi
ont-ils donc ennemis, contradictoires ? Qu'est-ce, en somme, que la paralysie générale ? Une sclérose interstitielle diffuse
pendant ces périodes de rémission qui interrompent la marche de la paralysie générale à la première période ? Je n'en veux p
uvent, et auquel aboutissent la démence sénile et orga- nique et la paralysie générale, toujours. Les statistiques des maladi
ue et de démence sénile et organique, 20 ^hémorragie' cérébrale, 2; paralysie générale, 13; broncho-pneumonie, 3; affec- tion
'épilepsie, 3; cancer de l'utérus, 1. On remarque que les décès par paralysie générale sont assez nombreux. On verra plus loi
r paralysie générale sont assez nombreux. On verra plus loin que la paralysie générale n'est pas très rare en Eure-et-Loir, q
est extrême en géographie médicale, l'intoxication alcoolique et la paralysie générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au tab
ancolie, aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Quant à la paralysie générale, on a soigné en dix ans, à l'asile, 76
n considère que dans les pays agricoles, la forme démentielle de la paralysie générale est de beaucoup plus fréquente que dan
de beaucoup plus fréquente que dans les centres populeux, et que la paralysie générale à forme démentielle est soignée, non à l
n à l'asile, mais dans les hôpitaux et les familles, on voit que la paralysie générale est loin d'être rare dans le départeme
c autopsie, sans examen microscopique. Jeune homme de dix-huit ans. Paralysie faciale droite, surtout apparente quand le mala
des extrémités supérieures et inférieures; céphalalgie occipitale; paralysie de l'oculo-moteur externe droit; cécité de l'oe
aire correspondant à une hyperactivité fonctionnelle connue dans la paralysie générale, la manie et d'une façon générale tous
ar le Dr STCHERBAA. L'accord est loin d'être fait sur l'origine des paralysies diphté- riques : sont-elles d'origine centrale
d'origine myopathique ? * D'après les expériences de l'auteur, ces paralysies proviennent d'un processus inflammatoire (paren
L.. ? lI. SÉGLAS. (Cette communication sera publiée prochainement.) Paralysie générale A forme tabétique. M. Joffroy. Dans le
de l'intelligence qui ne laissent aucun doute sur l'existence d'une paralysie générale. Enfin, cette année, le malade entra d
moins accusées que dans le tabès classique. C'est en réalité à une paralysie générale spinale ayant simulé le tabès aussi bi
s symptômes du tabès au complet; puis survin- rent les signes de la paralysie générale avec disparition des sym- tômes d'inco
toires de certaines affections cérébrales organiques, telles que la paralysie générale par exemple. MM. LANNOis et Doutrebent
vations de Dreschfeld. Origine OTIQUE D'UN certain NOMBRE DE cas DE paralysie faciale r. c A FRIGORE t. M. LANNOis (de Lyon
faciale r. c A FRIGORE t. M. LANNOis (de Lyon). L'étiologie de la paralysie faciale a frigore reste fréquemment obscure et
quent. J'ai observé plusieurs cas démonstratifs de cette variété de paralysie faciale; l'origine de cette affection rend comp
les cas de para- lysie faciale périphérique, car le pronostic de la paralysie d'ori- gine auriculaire est plutôt favorable, s
ause un traitement approprié. DES URINES A la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie générale ,, ltii. 11LIPPEL et Sérieux (de Paris
généraux de l'excrétion urinaire moyenne à la seconde période de la paralysie générale. Il existe alors une polyurie incontes
cellules cérébrales, médullaires et du grand sympathique dans la paralysie générale et les différentes formes de folies vésa
e atteinte consi- , dérable subie par le système vasomoteur. > Paralysie générale avec chorée. MM. VALLON et A. Marie. N
MM. VALLON et A. Marie. Nous avons observé récemment trois cas de paralysie générale avec chorée. Dans deux de ces cas, la
ons, aujourd'hui nombreuses, où l'on a signalé la coexistence de la paralysie générale avec des symptômes de névroses diverse
ées dans la dernière édition, les unes, comme les amyotrophies, les paralysies pseudo-bulbaires et la neu- rasthénie ont été t
res : aphasies, localisation cérébrale, tabès, sclérose en plaques, paralysie générale progressive, para- BIBLIOGRAPHIE. 349
le des maladies infectieuses dans l'étiologie des méningites, de la paralysie spinale infantile, de la sclérose en plaques, des
vec figures. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés, G fr. Menard (Clr ? Des paralysies para-infectieuses, leur traitement par les eaux
l hypnotique provoqué par les moyens ordi- ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE 365 naires 1. Nous ne doutons pas qu'o
. CHIMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE; Par les D" KLIPPEL, chef de laboratoi
i a pour but la détermination de la formule urinaire exacte de la paralysie générale. Dans notre pensée cette formule servira
diagnostic important, d'autant plus important que le début de la paralysie générale est plus obscur. L'URINE DANS LA PARAL
e début de la paralysie générale est plus obscur. L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE, D'APRÈS LES AUTEURS Nous n'avons poin
hates augmente dans le paroxysme de la manie aiguë consécutive à la paralysie générale, et qu'elle diminue dans son déclin.
Addison. Medico-chir. Review, avril 1805. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 367 Î De son côté, Merson 1, s'appuya
, d'après M. Lailler 3, cité par M. A. Voisin dans son Traité de la Paralysie générale, l'urine a les caractères de celle des
sécrétion urinaire ne présente aucune altération spécifique dans la paralysie générale. Et après lui MM. J. Christian et A. R
. ' Laitier. Ann. méclie. psych., 1876. ' A. Voisin. Traité de la paralysie génér. des aliénés. Paris, 1879. 5 A. Foville,
Rabenan ' avait signalé la présence fréquente de l'albumine dans la paralysie générale (20 cas sur 36, soit 55,5 p. 100), mai
bsence de peptone dans l'urine permettrait d'écarter l'hypothèse de paralysie générale. . C'est aussi l'opinion de R. Fonda q
er. Ann. médéc.-psycla., XIX, p. 17, 1894. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 369 comme un symptôme de paralysie gé
UDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 369 comme un symptôme de paralysie générale. Elle se rencontre en effet dans des i
ui ne représente qu'une minime partie de l'étude de l'urine dans la paralysie générale. Il nous semble en effet nécessaire d'
ariation de cette constitution moyenne avec la forme clinique de la paralysie générale ; 3° la variation de l'urine chez un m
r : Constitu- tion moyenne de L'urine dans la seconde période de la paralysie générale. Pour y arriver nous avons pris les
. i Constitution moyenne DE L'URINE dans la SECONDE PÉRIODE DE la paralysie générale. A. Caractères GÉNERAUX. - 1° Quantité
s, 1894) et dans un nombre assez notable e ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 371 de cas cette polyurie est assez i
es urines neutres ou alcalines se rencontrent donc aisément dans la paralysie générale et cela sans troubles de la miction et
rapport de l'acide urique à l'urée est toujours augmenté. Dans la paralysie générale non seulement par conséquent 1 Nous av
se peut, à l'abri de toute cause d'erreur. ÉTUDE DE l'urine dans la paralysie générale. 373 HOMMES 374 CHIMIE PATHOLOGIQUE.
II) en montrent partout l'excré- FEMMES ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 375 TABLEAU III. Rapport de l'acide p
s. Tableau IV. Excrétion des phosphates. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 377 celle de l'urée ou des phosphates
atre heures. Tableau V. Élimination des chlorures en dehors de la paralysie générale. 378 ' CHIMIE PATHOLOGIQUE. quantité
er la présence de l'acétone comme chose de peu d'importance dans la paralysie générale. Tout au plus peut-on dire qu'on la re
vire au violet en présence de l'acétone. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 379 De plus, nous avons vu que les ur
éraux de l'excrétion urinaire moyenne dans la seconde période de la paralysie générale, comme suit : // y a polyurie dans l
érale, comme suit : // y a polyurie dans la seconde période de la paralysie géné- rale ; les urines ont une faible densité
r la peptonurie ainsi que sur tout ce qui touche les urines de la paralysie générale en dehors de la seconde période de la ma
rolog. Centralbl., 1893.) L'auteur étudie plus particulièrement les paralysies des muscles des yeux, les lésions laryngées, le
les lésions laryngées, les altérations du sens de la pression. Les paralysies des muscles des yeux revêtent, dit-il, une allure
sans compter qu'elles se compliquent parfois aussi passagèrement de paralysies d'autres nerfs crâniens (Schultze). Le larynx
troubles de la phonation, et, plus rarement, de la respiration; la paralysie plus ou moins complète de l'aryténoïdien postér
elle chez un tailleur de pierres (D'' Hamburry).. A. Marie. LVII. Paralysie DU grand DENTELÉ avec atrophie DES muscles DE l
1894, ji» 1725.) Dans les nos 1725 et 1720 suivant, observatioli de paralysie du grand dentelé avec atrophie des muscles de l
progressive. La terminaison ultérieure probable sera la parésie, la paralysie , et même parfois la contrac- ture (Obs. III et
E; par J. DONATH. (Neurol. Cc ? : <)'6 ? 1893.) Observation de paralysie diphtéritique chez un jeune garçon de huit ans,
int de myélite dorsale transverse au niveau de la septième dorsale ( paralysie complète des muscles abdominaux), l'auteur essa
lysie spinale spasmodique congénitale) ; 2° raideur paraplégique ( paralysie spasmodique spinale de l'enfance); 3° hémiplégie
on y peut joindre les complexus moteurs sans débilité mentale et la paralysie avec idiotie. Deux observations personnelles et
la mélancolie, la manie, la démence primitive et consécutive, la paralysie générale, la folie systématique (plus rare), la d
r syphilis héréditaire). Observations. Etiologie syphilitique de la paralysie générale. - A. Ou bien la syphilis n'y est qu'u
identelle. B. Ou la syphilis participe activement à la genèse de la paralysie générale. Pseudo-paralysie générale syphilitiqu
r la découverte de l'évolution antérieure de la syphilis. C'est une paralysie générale atypique. , REVUE DE pathologie mental
pilles ET DE quelques autres PIICENO- mènes qui surviennent dans la paralysie générale, dans leurs rapports avec L question D
ication statistique ET casuistique relative A la CONNAISSANCE DE LA PARALYSIE PROGRESSIVE ; par E. KuNDT. (rlllg. Zeitsch. f.
rner leur attention. Parfois encore on a affaire à des symptômes de paralysie géné- rale progressive dont le pronostic est fa
sique. (Revue neurologique, 1894.) ' E. BLIN. XXXII. Note sur une paralysie nocturne provoquée par le . : chloralose ; par le
ent, debelgiqzie, juin 1894.) @ Observation d'une femme atteinte de paralysie générale qui, au cours d'une période de rémissi
iété extrême des accès déli- rants que l'on peut rencontrer dans la paralysie générale : les uns greffés sur la démence paral
rfs sensoriels (cécité, surdité, insen- sibilité de la crainte), la paralysie de la voix (mutisme de la ter- reur). Que de po
et Gynla, Hongrie). « Enfin Causes et facteurs sociologiques de la Paralysie générale pro- CORRESPONDANCE. 423 grcssive (I
Il reste aujourd'hui des vestiges indubi- tables de cette ancienne paralysie spinale infantile, qui l'ont fait exempter du s
. En 1889, il s'endort un jour sur son bras et se réveille avec une paralysie radiale gauche, qui guérit au bout de trois sem
t 80° à droite). Les pupilles égales réagissent normalement. Pas de paralysie oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuit
en date. Ce sont des céphalées, des troubles de la vision, et des paralysies dans le domaine des nerfs crâniens, indiquant u
Dans une troisième étape la moelle est atteinte à son tour elles paralysies spinales se produisent. Cette évolution, cette
la base qui inaugure cette série d'accidents. b. A la période des paralysies , l'ensemble symptomatique st beaucoup moins car
qui présentent comme une ébauche du type précédent : un vestige de paralysie oculaire, une atrophie papillaire, des cé- phal
accen- tuées que dans les variétés qui précèdent, accompagnées de paralysie absolue des sphincters, de troubles profonds de l
risons radicales des lésions médullaires parvenues à la période des paralysies sont rares. Les myélites aiguës ou chroniques,
vidu qui avait succombé dans le cours de la troisième semaine à une paralysie syphilitique grave, nous avons pu constater au
la lésion destructive du lobe moyen du cervelet produit une vraie paralysie motrice, affectant plus particulièrement les musc
rve alors des troubles circulatoires et respiratoires marqués, sans paralysie . Le malade précité présentait l'un et l'autre de
même dans un accès de suffocation, non sans rapport avec l'état de paralysie des muscles inspirateurs. (Britisla tlled. Jour
48-Dà capacités et d'incapacités de travail), sans lésion en foyer ( paralysie générale avec athéromasie); 4° quand il y a foy
être la maladie mentale la plus favorable de toutes. L'espèce de paralysie de ,toutes les fonctions psychiques que nous ob
tématique aiguë et chronique (paranoia acuta et chronica) enfin, la paralysie générale alcoolique ; il est évident que tout cel
la paranoïa, ceci s'applique encore, à l'exception peut-être de la paralysie progressive, à presque toutes les psychoses. Po
psychose. Il s'agit là d'inflammations du cerveau, à rapprocher des paralysies générales et démences toxiques. Au point de v
uisses, une hyperesthésie de la partie inférieure de l'abdomen avec paralysie motrice des muscles dans toutes ces ré- gions.
ième observation est relative à une distribution singu- lière de la paralysie sensitive et motrice dans un cas de lésion des
ens musculaire sur tout le côté gauche du corps, la face exceptée ; paralysie motrice, d'abord complète, plus tard incomplète
n si nettement exposée et si habilement défendue. J. Noir. XI. La paralysie générale ; par MM. Magnan et Sérieux. (Encyclo-
l'encyclopédie des aide-mémoire, vient s'ajouter le volume de la paralysie générale où se trouvent condensés et coordonnés l
moment donné être appelé à intervenir dans un cas de ce genre. La paralysie générale est en effet autant du domaine de la pat
sur deux cas de - cérébrale, par Ciiil)atilt, 1 ? 7. Ciiloralose, paralysie nocturne pro- voquée par la -, par Féré, 412.
t aménorrhée avec trou- bles cérébraux, par Tlomson, 208. Chorée, paralysie générale avec par Vallon et A. Marie, 338. Co
ndurant, 36. Papille, de la - étranglée, par Adamlciewicz, 483. Paralysie consécutive à la varicelle, par Gay, 207; pseud
house, 395; -nocturne provoquée par le chloralose, par Féré, 412. Paralysie faciale bilatérale due à l'application du force
s, par Ed- gworth, 36; origine otique de la a par Lannois, 327. Paralysie générale progressive, les lésions histologiques
par Bitot, 41; troubles mentaux dans la -, par Kowalewski, 402; paralysie générale et , par OEbecke, 403;localisation méd
es nucleus dos cel- lules nerveuses, par Larbert, 314. Varicelle, paralysie consécutive à la , par Gay, 207. Vergetures t
57 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
drie, le nervosisme sous diverses formes, la folie, le suicide, la paralysie générale, la déséquilibration mentale, les convul
équivalente. Il s'agit bien évidemment d'un phénomène analogue aux paralysies psychiques. Il parait en être de même chez tous
ans fils unique. Père mort de tuberculose du rachis ; mère morte de paralysie à cinquante- quatre ans. ' Enfant délicat, pâ
parler. A douze ans, elle fut réglée pour la première fois. Pas de paralysie des sphincters. Au repos, cette malade ne prése
description clinique peut, en dernière analyse, se résumer ainsi : paralysie de la vessie et du rectum, anesthésie des régions
té, les membres de l'autre; 2° le type de Weber, caractérisé par la paralysie de la troisième paire d'un côté et des membres
sumer ainsi : hémiplé- gie complète des membres du côté droit, sans paralysie faciale, sans aphasie motrice ou sensorielle, f
point où le facial est dissocié du faisceau des membres. En outre, paralysie complète avec déviation à gauche et atrophie de
ite. Il existe donc un type d'hémiplégie croisée caractérisé par la paralysie de l'hypoglosse d'un côté, et celle des membres
ir affaire, à ne considérer que les membres inférieurs, à un cas de paralysie pseudo-hypertro- phique ou myosclérosique de Du
nérative, la dispa- rition des réflexes patellaires, finalement une paralysie complete des jambes. Accidents qui rétrocèdent
on, par poussées; hypertrophie du ventricule gauche. Puis, soudain, paralysie des extenseurs successivement des deux membres
s; plus tard encore, parésie du triceps et du deltoïde; finalement, paralysie avec atrophie rapide de la plupart des muscles
, diplopie, sensation defroid intense et.continue dans les jambes ; paralysies dissociées du sens de la température et de la d
dissociées du sens de la température et de la douleur dans le dos. Paralysie de tous les modes de la sensibilité aux extrémi
rasthénie alcoolique avec des névrites ou des ataxies. P. K. XXII. Paralysie PROGRESSIVE dans LE jeune AGE ET paralysie PRO-
des ataxies. P. K. XXII. Paralysie PROGRESSIVE dans LE jeune AGE ET paralysie PRO- GRESSIVE (tabès) des gens mariés ; par F.
F. Lûhrmann. (Neurolog. Ceatral6G., XIV, 1895.) Observation I. - Paralysie générale à forme démentielle chez une fillette
se, aucune tare héréditaire. Autopsie confirmative. Observation II. Paralysie générale chez le mari à cinquante ans (mégaloma
forme démentielle). Autopsies confir- matives. Observation 111. - Paralysie générale tabétique, démence, mort, chez le mari
chez la femme, signes physiques, commémoratifs et intellectuels de paralysie générale tabétique syphilitique, accidents de g
tique, accidents de gomme osseuse; Kl; amélioration. P. K. XXIII. Paralysie dans LE domaine DU NERF péronier, dans la para-
par Moeli. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) Cinq observations de paralysie périphérique attestée par l'état de l'excitabil
attestée par l'état de l'excitabilité électrique et la limite de la paralysie . Deux autop- sies témoignant d'une certaine déc
s, on a constaté le signe de Westphal, il y a lieu de croire que la paralysie péronière tenait à une lésion de la moelle lombai
apidité, en deux jours, et reproduisaient le tableau clinique de la paralysie générale à sa période termi- nale. Chez un mala
était le siè ! 2 : e de lésions de dégénérescence, se produisit une paralysie aiguë du coeur qui entraîna la mort. Chez un au
oisine jouirait d'une réelle efficacité contre le tremblement de la paralysie générale. Cette efficacité, il est vrai est assez
atistique basée sur des faits précis vînt confirmer l'absence de la paralysie générale malgré la fréquence de la syphilis.
rès analogue aux cas que Alzheimer a séparés, l'année passée, de la paralysie générale. Discussion : M. OEBFKE demande si l'o
SE. NOTE SUR UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE PRISE POUR UNE PARALYSIE GÉNÉRALE; Par le D' F. BOISSIER, Ancien inter
que la pachyméningite hémorragique cérébrale. Qu'elle complique une paralysie générale ou un alcoolisme invétéré; qu'elle sur
a dû dégager minutieuse- ment les conditions différentielles de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques, de la para
ntielles de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques, de la paralysie générale et de l'hémor- ragie cérébrale vulgair
ticulièrement lente et graduelle, on risque d'incriminer à tort une paralysie générale dont il n'y a en réalité pas l'ombre,
t émanait d'un médecin praticien des plus distingués et portait : « paralysie générale avec ictus apoplectiforme ». A l'arriv
autres organes. Il n'y avait donc pas de lésions macroscopiques de paralysie générale ; pas de granulations du calamus, lési
rait pu nous faire réfléchir ; il n'y avait pas de syphilis ; et la paralysie générale sans syphilis est tellement rare que,
n des symptômes. Enfin, en présence de malades supposés atteints de paralysie géné- rale à marche rapide avec ictus multiples
s que cet asile est fondé il ne s'y est rencontré que quatre cas de paralysie générale. Les deux principales critiques formul
la question. L'auteur examine d'abord les formes étendues : pour la paralysie générale il expose et discute toutes les statis
cérébrale, des hémiplégies graves après traumalismes anodins, de la paralysie générale infanlile. La seconde partie est consacr
ntraîné le désordre des actes, comme dans l'excitation maniaque, la paralysie générale au début, l'hystérie; d) l'impulsion s
cette jeune fille. Ajoutons que sa grand'mère migraineuse a eu des paralysies locales transitoires et que sa mère est égaleme
et les lésions graves du système nerveux, éveiller le soupçon de paralysie générale. C'est donc en général un signe dont le
orsqu'elle accompagne l'idiotie, l'affaiblissement intellectuel, la paralysie des pupilles et autres symptômes de la paralysi
t intellectuel, la paralysie des pupilles et autres symptômes de la paralysie générale ; 6° L'exagération du réflexe rotulien
mpagner toujours de l'exagéra- tion des réflexes ; 10" Les cas de paralysie générale dans lesquels on observe le signe de W
igne de Westphall sans qu'on puisse l'attribuer ni au tabes ni à la paralysie générale, il reste, après élimination des alcoo
s séniles, sans que l'on puisse nier pour tous la possibilité d'une paralysie générale tardive. On ne peut attribuer le signe d
nce, en raison de l'absence fréquente du phénomène du genou dans la paralysie générale, de mettre en lumière la valeur de ce
ation notable du phénomène du genou peut servir au diagnostic de la paralysie générale. Il importe seulement de s'assurer de
cas qu'il a observés, l'absence des réflexes n'était pas liée à la paralysie générale. M. JOLLY fait remarquer qu'un certain
cience sur la maladie observée. C'est ainsi qu'il passe en revue la paralysie bilatérale du deltoïde par élongation des deux ne
conflexes, la compression hémorragique du plexus brachial, et les paralysies radiculaires du plexus brachial. La treizième l
iculaires du plexus brachial. La treizième leçon est consacrée à la paralysie radiculaire sen- sitive du plexus brachial : ch
térale; suit l'étude d'une variété BIBLIOGRAPHIE. 153 spéciale de paralysie alterne caractérisée par une hémiplégie droite
e paralysie alterne caractérisée par une hémiplégie droite avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. La maladie d
urellement amené à discuter les rapports de cette affection avec la paralysie labio-glosso-laryngée de Duchenne (de Boulogne)
Duchenne (de Boulogne) dont il montre un exemple à ses lecteurs. La paralysie pseudo-bulbaire forme une transition toute natu-
FRANCOTTE (X.). Du sulfate de Duboisine dans le traitement de la paralysie a( ! ilante. Brochure in-8° de 5 pages. - Bruxell
mes blancs, en îlots, se sont accompagnés. comme ceux des mains, de paralysie des muscles sous-jacents (diffi- cultés de la m
moteurs que l'on peut attribuer : 1° pour le dermographisme, à la paralysie des artérioles, suivie de ralentissement du sang
ette), qui s'ajoute si souvent aux diathèses de contracture ou de paralysie '. Nous prions instamment nos lecteurs dont, l'
n'avoirque des notionsincomplètes etparcon- séquent erronées sur la paralysie générale, l'épilepsie, l'hystérie, la neurasthé
la sclérose en plaques, le tabes, le ramollissement cérébral et la paralysie générale elle-même dont la variété non délirant
s par des toxines sécrétées par le bacille de Nicolaïes, et que les paralysies diphtériques étaient dues à l'intoxication de l
nes lésions organiques des centres nerveux, telles que celles de la paralysie infantile, de la péri-encéphalite, de la scléro
ections qui s'accompagnent le plus souvent d'épilepsie corti- cale ( paralysie générale, tumeurs) ne sont pas celles qui donnent
usquement, à la suite d'un trau- matisme physique ou moral, par une paralysie , une parésie ou une contracture d'un ou de plus
la croit duc à un spasme des vaso-moteurs, Pitres l'attribue à leur paralysie , Gaksewicz aune lésion de l'endothélium, Aleleh
sme vasculaire, mais il fait remarquer que l'oedème estpré- cédé de paralysie , de parésie ou de contracture du membre atteint
cas passagers, la disparition de l'oedème suit la disparition de la paralysie ou de la contracture ; dans les cas durables, a
se distingue de l'oedème bleu de Charcot par l'absence d'oedème, de paralysie , de parésie et de contracture. L'état général d
e cyanose avec oedème accompagnant une 234 Il. SOCIÉTÉS SAVANTES. paralysie , une parésie ou une contracture et donnant lieu à
ès intenses; l'acrocyanose au contraire se montre sans oedème, sans paralysie , sans parésie, sans dou- leurs bien intenses.
hé- rique ou une anémie spéciale. A la suite d'une observation de paralysie générale de longu durée, avec autopsie confirma
use ou interstitielle du processus type. 1 M. Vallon. -Les cas de paralysie générale à longue durée, sans être très fréquen
convient de distinguer deux ordres de faits. La longue durée de la paralysie générale tient le plus souvent à ce que sa marc
n peut les classer de la façon suivante : 1° tremblements au repos ( paralysie agitante) ; 2° tremblements dans les mouvements
s de 40 p. 100 des personnes en bonne santé. Le tremblement de la paralysie générale parait vraiment carac- téristique, au
ai vu un homme atteint d'hémiplégie avec un trem- blement à type de paralysie agitante. L'action psychique de l'ai- mant a gu
lcooliques et saturnins sont accessibles à la suggestion. Dans la paralysie agitante, le tremblement résiste absolument à l
bsinthiques. M. Régis. -Ces décharges ataxiformes, existant dans la paralysie générale ne sont donc pas pathognomoniques des
ées. Les questions adoptées sont : 1° Diagnostic différentiel de la paralysie générale. - Rapporteur, M. ARNAUD (de Vanves) ;
le seul que j'ai observé dans ma pratique déjà longue. M. Régis. Paralysie générale et neurasthénies L'association de la p
M. Régis. Paralysie générale et neurasthénies L'association de la paralysie générale et de la neurasthénie peut se faire à to
erche de la syphilis. L'hérédité cérébrale est une présomp- tion de paralysie générale, tandis que l'hérédité vésanique ou né-
nt pas exactement les mêmes carac- tères dans la neurasthénie et la paralysie générale; enfin, le trai- tement par les douche
ore la neurasthénie, tandis qu'il ne donne pas de résultats dans la paralysie générale ou même donne un coup de fouet à la ma
voués à perpétuité à leur obsession. MM. SPILLMAN1V et Etienne. - Paralysie générale consécutive à une intoxication suraigu
ienne communique au nom de M. S... et au sien, une observation de paralysie générale à évolution irrégulière, survenue chez u
observé dans le service de M. Bernheim (de Nancy) un malade dont la paralysie faciale recon- naissait pour cause une lésion d
soriels et il ressort des renseigne- ments qu'il n'y a jamais eu de paralysie , de contracture ou d'ac- cidents convulsifs aut
e terminal. Dans le premier cas, les symptômes provoqués sont : une paralysie douloureuse ordinairement très incomplète et limi
le rectum, etc. 2° Troubles de la motilité. - Ils se résument en la paralysie de certains groupes de muscles des membres infé
paralysie de certains groupes de muscles des membres inférieurs. La paralysie se borne presque toujours aux muscles postérieu
lysie et d'anesthésie de la vessie, et incontinence, par suite de paralysie du sphincter, la vessie pleine. Les troubles géni
THOLOGIE NERVEUSE. qu'il est paralysé des membres inférieurs. Cette paralysie se dis- sipe ou diminue ensuite, en partie au m
mbaire et aux jambes, sur- tout du côté gauche. Quelque temps après paralysie flasque de la jambp gauche survenue brusquement
la jambp gauche survenue brusquement, puis rétention d'urine. La paralysie se dissipe en partie et progressivement la malade
tension forcée, non pas par suite de contracture, mais par suite de paralysie , c'est un pied bot paralytique. Atrophie marqué
début de l'af- fection, elle fut guérie instantanément, quant à la paralysie , en quelques jours, quant aux plaies, après s'ê
é, les réflexes cutanés n'en étaient pas moins conservés. Malgré la paralysie des membres inférieurs, il survenait parfois de
ès rare dans l'hystérie, elle serait due, dans le cas actuel, à une paralysie du sphincter vésical indépendante de toute lésion
pas due à une contracture du corps de la vessie. Elle est due à la paralysie du sphincter juxtaposé à la muqueuse anesthésiée,
se trouve ouvert en avant. C'est là la cause des antépulsions de la paralysie agitante. C'est également la raison pour laquelle
6, la malade était dans l'état suivant : état général satisfaisant, paralysie complète des membres et du tronc avec atrophie
sensation de compres- sion du thorax en ceinture. Actuellement : ni paralysie , ni atrophie 304 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
'a plus de diplopie. L'examen ophtalmoscopique fait cons- tater une paralysie incomplète des troisièmes paires gauche et droi
'hystérie. Le tremblement est pourtant le tremblement typique de la paralysie agitante. Ya-t-il donc, chez cette jeune fille, m
son, tous ces phénomènes cliniques ne se rencontrent jamais dans la paralysie agitante. Il s'agit donc, en résumé, d'un tremb
ntités nosologiques : l'atrophie musculaire spinale progressive, la paralysie labio-glosso-laryn,ée et l'ophtal- moplégie ext
he. En trois mois le membre affaibli se paralyse complètement et la paralysie s'accompagne d'atrophie musculaire. En janvier
poitrine, sialorrhée abondante et continuelle. En mars, même année, paralysie et atrophie du membre supérieur droit et de l'é
ée excessive. Abolition des mouvements de l'orbiculaire des lèvres, paralysie presque complète des muscles masticateurs. Langue
e l'ophtalmoplégie est externe. 308 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Paralysie et ail ophie considérable des muscles du cou, de
éphalo- myélite : on y trouve l'atrophie musculaire progressive, la paralysie tabto-glossa-laryngée et l'ophtalmoplégie exter
mier symptôme observé est la glossoplégie qui marque le début de la paralysie labio-glosso- laryngée, le bulbe est donc attei
l'aqueduc de Sylvius. Cette disposition explique l'indépendance des paralysies qui atteignent certains muscles de l'oeil inner
vés cependant par le même nerf, etc. Je noterai encore l'exposé des paralysies bulbaires, les unes syndro- miques de certaines
son observation, l'auteur avoue que le début de l'affection par la paralysie bulbaire inférieure fait de son cas un cas uniq
que cette affection peut également débuter par les symptômes de la paralysie glosso- labiale. Dernière remarque : Dans le
310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLI. Saturnisme chronique avec paralysie des nerfs radiaux ; par ' le professeur DE RENZ
nes paralyti- ques, on ne peut guère les attribuer à l'hystérie, la paralysie hys- térique est une paralysie psychique, pour
guère les attribuer à l'hystérie, la paralysie hys- térique est une paralysie psychique, pour ainsi dire, qui se loca- lise m
ion d'autres systèmes musculaires. On ne peut non plus songer à une paralysie a (l'igo1'e, laquelle est ordinairement unilaté
eint comme les autres muscles. Il s'agit donc, sans conteste, d'une paralysie satur- nine. (Rivista clinica e terapezelica. N
oplexie et à la suite hémiplégie droite. Dis- parition rapide de la paralysie au moyen d'injections sous-cuta- nées de bichlo
la motilité, le membre inférieur droit s'améliora le premier et la paralysie y avait complètement disparu le cinquième mois.
ivista clinica e terape2tticca; Naples, 1896, na 5.) C. XLV. SUR la paralysie diphtéritique ; par W. GOOD : 1LL. (Brain, été
temps de devenir paralysés. Sur les 709 cas restants, il y a eu 125 paralysies dont 17 mortelles. Parmi ces 125 cas le sexe étai
embranes avaient presque toujours disparu avant l'application de la paralysie ; dans 10 cas seulement elles duraient encore. L
on de la paralysie; dans 10 cas seulement elles duraient encore. La paralysie a débuté parle voile du palais seul 67 fois, par
a été très limitée dans 66 cas et très généralisée dans 16 cas. La paralysie ciliaire, qui a pu échapper chez les très jeune
voir réuni dans le même groupe le tremblement sénile et celui de la paralysie agitante. L'auteur distingue avant tout les t
condaires ou sympto- maliques, il étudie la sclérose en plaques, la paralysie agitante, le goitre exophtalmique et les trembl
d'un jeune homme ; la violence de l'émotion semblait avoir guéri sa paralysie . » ' Thèses DE la faculté DE médecine DE LYON (
lgurantes et elle semble jouir d'une bonne santé générale. Aucune paralysie aux muscles des yeux, ni à ceux de la face. Rie
pas souffert. L'intelligence est normale, l'humeur calme. Pas de paralysie aux muscles des yeux, ni de la face. Les pupill
glotait, parlait de sa mort prochaine, qu'il allait être atteint de paralysie générale. Pendant des nuits entières sa femme éta
quante-deux ans, fonctionnaire. Le grand- père paternel est mort de paralysie générale. Pas d'autre hérédité neuro ou psychop
usse, avait pour titre : Un trouble de l'activité psychique dans la paralysie alcoolique et ses relations avec les troubles a
récidive à longue échéance, fait qui ne saurait s'observer dans la paralysie générale vraie. Il s'agissait donc, dans ces de
ces deux cas, d'accidents alcooliques ayant revêtu le masque de la paralysie générale progressive. G. DENY. XXIII. LES établ
voir avec le délire des séniles. P. Sérieux. XXV. Observation DE paralysie générale a forme CIBCUL41RG ; par FpOENKEL. (Ne
stante (deux mois), calme pendant un mois; 7° signes physiques de paralysie générale avec déchéance (trois mois); pendant sep
e de pneumonie. Autopsie confirmative. P. K. XXVI. Observation DE paralysie générale infantile; par BRESLER. (Neurolog. Cen
ts choréiques consécutifs à un ictus apo- plectique passé inaperçu. Paralysie générale démentielle, arrêt de développement co
'égoïsme solitaire. A. Marie. XXIX. DES symptômes oculaires dans la paralysie générale ET DE leur valeur CLINIQUE; pal' BEV.\
t en classant en 5 grou- pes distincts à ce point de vue les cas de paralysie générale des aliénés : Premier groupe. Caract
paralytique, iridoplégie réflexe partielle à la lumière seulement; paralysie ataxique des extrémités des membres inférieurs; a
6.) L'auteur conclut de ses observations que même dans les cas de paralysie générale avancée la pression intra-cranienne n'es
surmenage, un des facteurs patho- géniques les plus puissants de la paralysie générale, on voit, en somme, que l'alcoolisme i
ésiste pas à un examen même superficiel. Cependant dans certaines paralysies générales on peut constater des aphasies vraies
fficile, et l'enfant se mit à se courber, enfin en moins d'un an la paralysie des membres inférieurs devint complète. Réflexe
son malade, ou qui n'existaient qu'à un degré trop léger. Ainsi les paralysies n'étaient pas assez prononcées, les muscles pas
amais porté que sur le tissu cellulaire sous-cutané. On provoque la paralysie vaso-mo- trice, soit dans un membre en sectionn
le de leurs devanciers. Ils ont cherché, eux, quelle influence a la paralysie vaso-motrice d'un organe splanchnique sur la lo
faire Antoneili. La vérité est que pour être certain de produire la paralysie vaso- motrice, il faut extirper le plexus ca;li
les conclusions de ces expériences : quand, après avoir produit la paralysie vaso-motrice dans le rein, on injecte dans le s
à l'intégrité du système nerveux de ce tissu. En résumé donc, la paralysie vaso-motrice qui, pour beaucoup d'auteurs, pour
assent presque tous les nerfs qui vont au rein, détermine, outre la paralysie vaso-motrice, des altérations profondes du tissu
gique, juil- let 1896.) Is. B. LIX. SUR LE degré DE fréquence DES paralysies laryngées CHEZ les hémiplégiques; par le Dr Sim
oubles du langage, notamment de dysarthrie, soit de dysphagie ou de paralysie du voile du palais, semblaient devoir offrir de
ves de l'opinion de Semon et Horsley d'après laquelle la rareté des paralysies laryngées chez les hémiplégiques tient à ce que
neurologique, mai 1896.) ' E. D. LXIV. DE LA DEFORMATION ET DE la paralysie DE la LUETTE COMME SIGNE DE DÉGÉNÉRESCENCE; par
nalytique d'un malade de vingt-sept ans chez lequel il existait une paralysie partielle masquée hémiliatérale de la sensi- bi
ortance d'ailleurs mal divisées. 1° Pathologie et pronostic de la paralysie des tambours. Il y en aurait trois types. Le pr
aurait trois types. Le premier, le plus fréquent, consiste en une paralysie du long extenseur du pouce gauche avec parésie de
eur, qui sont fréquemment atrophiés. - Second type, bien plus rare. Paralysie du long fléchisseur du pouce gauche. Parfois au
fléchir la première phalange du pouce. Troisième type, très rare. Paralysie simultanée des longs fléchisseurs et extenseurs :
vite hypertrophique de Erb au niveau du tendon de l'extenseur. 2° Paralysie partielle du nerf cubital gauche par' pression du
ble, ils com- priment ainsi le cubital, et cependant, chez eux, les paralysies sont très rares ; ils ont d'ordinaire des doule
on du coude gauche et des épaississements périostiques des os. 3° Paralysie du radial, par pression, pendant la narcose chlor
rdive de la protubérance. Observation chez un garçon de treize ans. Paralysie du facial et de l'oculomoteur externe droits. a
noyaux de l'oculomoteur externe et du facial. D'autre part, il y a paralysie du droit interne gauche, comportant aussi les m
sion empiète sur la gauche; dès le troisième jour, en effet, il y a paralysie complète de toutes les brancbesexlernes de l'oc
lle fait également comprendre ce phénomène d'ordre pathologique, la paralysie ou parésie d'une fonction, alors que les groupe
roupes musculaires qui l'exécutent normalement, restent indemnes de paralysie ou de parésie. CAMUSET. SOCIÉTÉS SAVANTES. SO
raux et pos- térieurs. Le second cas concerne un sujet atteint de paralysie générale traumatique, développée vingt ans aprè
et du vaisseau de Turck droit. Troisième cas : démence sénile avec paralysie agitante et dimi- nution de la motilité des yeu
mondl, ibs. Neurasthénie et neviose anxieuse, par Freud, 52. - et paralysie gé- nérale, par Régis, 252. cunnsmt : wnur..
rinesco, 31G. 1 PACIIY'lÉl\Il\Gll'E hémorragique prise pour une paralysie générale, par liatssier, 100. - cervicale Inper
iatssier, 100. - cervicale Inper- trophique, par de lieiizi, 309. Paralysie générale du jeune âge, par Lullrmann, 55. Paral
lieiizi, 309. Paralysie générale du jeune âge, par Lullrmann, 55. Paralysie du 506 TABLE DES MATIERES. nerf péronier da
58 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la place naturelle de la démence précoce semble être à côté de la paralysie générale, dans le groupe des psychoses accident
en est généralement augmentée dans les états d'irritation, dans les paralysies générales et chez les épileptiques. C'est dans
ns les paralysies générales et chez les épileptiques. C'est dans la paralysie générale que le liquide céphalo-rachidien se mont
res psychoses, tandis que c'est presque la règle et au-delà dans la paralysie générale. Constante également chez les paralyti
entralbl. ? Xer- venlaeilh, XXV11, 1904.) Les malades atteints de paralysies grades, ceux surtout qui sont incapables ou pre
as de tumeur cérébrale à forme psychi- que ; asthénie générale sans paralysie ; pas d'oedème de la papille ; par 3131. Mouiss
sances rénale et cérébrale. F. TISSOT. '1. - Formes atypiques de la paralysie générale (hémi- ' plégique et aphasique). Prédo
ure. L'auteur les divise en trois groupes : le premier comprend les paralysies générales avec prédominance ou exagération loca
ins points des lésions de méningo-encéphalite ; deuxième groupe : paralysies générales compliquées de lésions en foyer, juxtap
ovoque la dégénération secondaire du faisceau pyrami- dal. Dans les paralysies générales ah piques aphasiques, l'au- teur dist
sai ion de la lé- sion dans la zone du langage. F. 1'tssor. 1'll. Paralysie par épuisement post-épileptique (ex- haustion p
comme ter- rain. (Revue neurologique, avril 1905.) E. Il. XII. - Paralysie générale tuberculeuse ; par Flippez, 31. Klippe
ge du rapprochement de ce cas avec d'autres observations est que la paralysie générale la plus incon- testable par l'ensemble
n évolution, peut répondre à dos lésions de nature différente. La paralysie générale n'est pas l'aboutissant de toute maladie
nfections micro- bipennes.; )1. Klippel conclut en définissant la paralysie générale : « un s5mlrome clinique, caractérisé
nerveux et mentaux. Tous les symptômes qui constituent le syndrome paralysie gé- nérale, ont été isolement observés et décri
ns des centres nerveux, qui peu- vent produire les svmptômes 'de la paralysie générale, doit se manifester par ce syndrome. c
a paralysie générale, doit se manifester par ce syndrome. c Cette paralysie générale diabétique peut se manifester sous di-
onnaire de la démence para- lytique ; par Serge Soukhanoff. Si la paralysie générale présente d'ordinaire une marche pro- g
e et des modifications des réflexes palellaires. Le diagnostic de paralysie générale ne paraît pas douteux pour l'auteur, b
itif. La fièvre typhoïde serait,pour certains auteurs, une cause de paralysie générale, mais en toutcas celte cause de la mal
E. Séance du 0 juillet. Présidence de 31. Ballet. Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troub
1. Cantonnet. Homme, trente ans, syphilitique, pris, sans ictus, de paralysie des membres, du facial inférieur etde la 3° paire
ntale, la démence précoce, la folie périodique, la neurasthénie, la paralysie générale, et les psycho- pathies organiques ; l
et organe permise par cette infec- tion, en rapport surtout avec la paralysie progressive. D'après le règlement, les séances
une inhabile »; puis, sous l'influence d'un pro- cessus surajouté ( paralysie générale), on vit apparaître de nombreux troubl
ine postérieure. CLINIQUE MENTALE Les symptômes oculaires de la Paralysie générale ; par ¡\, ¡WnmT Médecin adjoint (l
établir une revue d'ensemble des troubles oculo- pupillaires de la paralysie générale, il faut observer ces symptômes oculai
es pupilles est le signe le plus fréquemment observé au début de la paralysie générale. Ce symplû- LES SYMPTOMES OCULAIRES
ré l'importance du symptôme isolé : l'inégalité pupillaire, dans la paralysie générale. Ce signe n'a de valeur que parce qu'i
e interne à. développement graduel et progressif. Le Myosis dans la paralysie générale, c'est-à-dire le resserrement exagéré
he progressive : parésic du réflexe pupiliaire à la lumière, puis paralysie de ce même réflexe : parésie de l'accom- ll1oda
paralysie de ce même réflexe : parésie de l'accom- ll1odation,puis paralysie de ce réflexe accommodateur, très souvent aussi
chirurgie, 10 juin 18S, .lor.rnov. Des signes oculaires dans la la paralysie générale. i)-ciiii,es de Neurologie, mai 1904.)
LES SYMPTOMES OCULAIRES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 93 bien dans la paralysie générale que dans le tabès et lasyphilis. Ainsi
pose avec le doigt à l'occlusion des yeux, qui n'existe que dans la paralysie générale, le tabès, la syphilis et la catatonic
e. Ce signe accompagne d'or- dinaire la mydriase paralytique. Les paralysies de la musculature externe de l'oeil avec exopht
uctible non douloureuse peuvent être lapremière manifestation de la Paralysie générale ou apparaître brusquement à la suite d
sie générale ou apparaître brusquement à la suite d'un ic- M. Ces paralysies sont : 1° passagè1'es,2° incomplètes, 3° récidi
laire com- mun est atteint le premier. Ces caractères donnent aux paralysies qui se présentent au cours de la paralysie 94
caractères donnent aux paralysies qui se présentent au cours de la paralysie 94 CLINIQUE MENTALE. générale leur valeur d
gne de troubles hémi- plégiques et aussi du blépharospasme et de la paralysie de l'01'biculaire des paupières. La déviation
à cause de l'état du malade. La isolé, sans ictus, au début de la Paralysie gé nérale, indique l'existence de la syphilis (1)
lis (1). Lorsque l'anestlièsie corneen ? le existe au début de la paralysie générale, elle n'est pas accompagnée de trouble
ymptôme du début qui (toit faire rechercher les autres signes de la paralysie générale. De même, l'importance du scotome ou l
es intoxiqués par le tabac et l'alcool. Sa présence au début de, la paralysie générale sert au dia- gnostic ÏO/OMg. La dysc
traitement. 1. , Troisième période. A la fin de l'évolution de la paralysie générale, se vérifie en général cette loi que,
fierait pour le diagnostic : « une lésion nucléaire entraînant la paralysie du muscle ciliaire quelque temps après celle du
. Cette revue d'ensemble des troubles oculo-pupillai- res dans la paralysie générale ne peut s'établir que par l'observatio
ient la forme : ou cxpansive, ou dé- pressive, ou tabétiforme de la paralysie générale qui in- primeau caractère du malade un
aleur diagnostique des symptômes oculaires aux trois périodes de la paralysie générale. (Dupuy, éditeur, Montpellier 1906).
zra-toi-iaJ'ectieu). Ainsi la démence précoce se place à côté de la paralysie générale, ces deux entités morbides se caractér
be pas tous les délires halluci- natoires chroniques, comme pour la paralysie générale, c'est beaucoup plus les signes physiq
les accidents syphilitiques se- condaires jusqu'à l'éclosion d'une paralysie générale qui né- cessita l'internement cinq ans
cela confirme, déclare M. Dide, la possibilité de la guérison de la paralysie générale par le traitement habituel de la syphi
mence précoce, stupeur mélancolique, dé- générescence hystériforme, paralysie générale juvénile, etc.) Ce qui est le plus rem
tique, rénale, périphéri- que, etc.) Certaines formes simulent la paralysie générale ; les rémissions et les guérisons, la
d elle se complique d'un appoint méningé, le syndrome complet de la paralysie générale. La paralysie générale sénile est bien
n appoint méningé, le syndrome complet de la paralysie générale. La paralysie générale sénile est bien une réalité cli- nique
J'appelle l'attention sur un détail curieux de certaines formes de paralysie cérébrale chez les scléreux qui marchent à peti
nés dans les antécédents : attaque dans ses différen- Les variétés, paralysies etcontractures, troubles sensitifs, mu- tisme,
, voire même de petites attaques vulgaires, du somnambu- lisme, des paralysies ou des contractures, a certainement un système
Des diminutions et des exagéra- tions de la force : contractures et paralysies ,etc. De même leur état mental a toujours pour c
as de tumeurs cérébrales) et en l'absence de symptômes physiques de paralysie générale, doivent être considérés comme suspect
maladie, au même titre que les ictus de la période initiale de la paralysie générale. Leur pathogénie est différente suivan
MM.Duflot et Viollet sur les ponctions lombaires en sé- rie dans la paralysie générale. Par des examens microbiolo- giques du
ues. 1'1. Maurice FAURE (de La Malou). Sans contester le rôle des paralysies ou des parésies des cordes vocales dans la pa-
es crises laryngées. Il peut exister aussi des parésies et même des paralysies ou des atrophies des muscles laryngés, comme il
s atrophies des muscles laryngés, comme il existe des parésies, des paralysies ou des atrophies d'un groupe de mus- cles des m
, ont été compris des accidents complexes pouvant ressortir de la paralysie ou du spasme glottique, mais s'expliquant beauc
, psychose polyné\ rilique, confusion mental", mé- lancolie, manie, paralysie générale) et le coefficient de toxicité du sang
rée cette note, la première concerne une neurasthénique atteinte de paralysies nocturnes et matinales des membres avec obscurc
ffinités cliniques et anatomo-paLltologillues qui existent entre la paralysie grené- rale progressive e1 la chorée de Iltinti
gie spasmodique très intense des membres infé- rieurs et une légère paralysie spasmodique des membres supérieurs. Neuf mois a
spasmodique des membres supérieurs. Neuf mois après le début de la paralysie , c'est-à-dire une année après l'accident, le ma
onomie, la régularité clinique de la manie, de la mélancolie, de la paralysie générale, nous sommes, à l'égard de tous les au
s. Au point de vue pratique, s'il est très difficile de dépister la paralysie générale à la période dite pré-paraty- tique, i
manqué que trois ou quatre fois. Rapport du traumatisme et de la paralysie générale. M.IiItISSAl117 (de Paris). J'ai obser
ris). J'ai observé plusieurs malades chez lesquels des symptômes de paralysie générale ont été notés peu après une chute ou u
se effective, unique de la maladie, a-t-il créé de toutes pièces la paralysie générale ? ou bien, ce que je serais plus tenté
en- dant. si chacun venait ici dire qu'il n'a jamais rencontré de paralysie générale traumatique, la vérité serait bien près
rès d'être établie. Il y a des années que je recherche des cas de paralysie générale traumatique, je n'en ai jamais trouvé. S
onte un peu loin dans l'examen du malade, on trouve que toujours la paralysie générale avait débuté avant le traumatisme incr
e exprimer des conclusions que je partage complètement. Quand une paralysie générale est certaine, j'affirme que toujours la
né d'observer et qui tous deux se présentaient comme des types de paralysie générale traumatique, une enquête attentive a m
de cause occasionnelle. Je ne crois donc pas à l'existence de la paralysie générale exclusivement traumatique. Mais ne faut
onclure de là à l'innocuité complète d'un traumatisme en matière de paralysie générale. Il est très possible, en effet, que t
pour ma part, que des cas où le traumatisme était consécutil à une paralysie géné : ale pré- existante, .léserais donc assez
présomption de relation de cause àeffetentre le traumatisme et la paralysie ,d'abord quand il n'y a pas de cause connue an-
d il n'y a pas de cause connue an- térieure susceptible de créer la paralysie générale, ensuite lors- que le traumatisme a dé
lle mesure le traumatisme a dû favo riser ou hâter l'éclosion de la paralysie générale. M. Giraud rapporte un cas qu'il a eu
ment avec M. Lallemand et pour lequel les experts conclurent que la paralysie générale devait être déjà en évo- lution lorsqu
ue survint le traumatisme. M. DuRE-r. Comment faut-il considérer la paralysie gé- nérale ? Est-ce un syndrome ou une maladie
ou une maladie spécifique ? ' ! Toute la question est là, et.si la paralysie générale est consi- dérée comme un syndrome, il
s membres du Congrès n'a vu le traumatisme créerde toutes pièces la paralysie géné- rale. Désormais la question lui paraît ré
de Paris). Que la syphilis joue un rôle dans le développement de la paralysie générale, je ne le consteste pas, mais, qu'elle
tion suffisante.je ne le crois pas. Toujours ou presque toujours la paralysie généraleest le résultat de l'association de la
CHRISTIAN insiste sur le rôle du surmenage dans l'étiolo- gie de la paralysie générale. M. Pailhas rappelle un cas qu'il a co
s. Tous les progrès réalisés ont été rapidement perdus : démence et paralysie progressive. Nous avons raconté la pé- riode de
constitue l'originalité de cette observation. Syndrome associé de paralysie faciale gauche et du spasme facial droit d'orig
Sicard etTANON présentent les photographies d'un malade atteint de paralysie faciale totale (facial supé- rieur et facial in
t intra-cranien de la 7" paire, provoquer soit du spasme soit de la paralysie . CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGI
ale, par GAUSSEL. Les ponctions lombaires en série au cours de la paralysie géné- rale, par A. Marie. Appréciation des tr
e perte de la contractilité électrique des muscles paralysés. Cette paralysie semble devoir rester station- naire et ne manif
rs invoqués par l'orateur pour expliquer cette double at- teinte de paralysie infantile. G. DFNY. XI. Sur un cas de paralysie
ble at- teinte de paralysie infantile. G. DFNY. XI. Sur un cas de paralysie de la 3° paire ; par M. Jos- SFRAND. (Société d
nvier 1906.) . La malade présente les caractères ordinaires d'une paralysie de la 3o paire du côté droit : strabisme extern
aire du côté droit : strabisme externe, ptosis, un peu de mydriase, paralysie du photo-réflexe et de l'accommodation. Sy- phi
n présence de phénomènes hystéri- ques qui se sont surajoutés à une paralysie organique de la 3° paire. Dans cette hypothèse,
MM. LANNOIS et PERRETIÈRE. (Lyon méd., 4 mars 1906, p. 444.) Les paralysies de la 1% I° paire constituent une des complicatio
utes et polypes de la caisse. Mastoïdite aiguë datant de 4 jours. Paralysie du moteur oculaire externe du même côté depuis 24
sal. Sédation immédiate des phénomènes géné- raux. Apparition d'une paralysie faciale au deuxième jour. Amélioration de la pa
rition d'une paralysie faciale au deuxième jour. Amélioration de la paralysie de l'abducteur deux mois après l'intervention.
s se sont livrés les auteurs, il résulte que, dans fous les cas, la paralysie de l'abducteur ne semble pas avoir un mécanisme
d'abcès encéphaliques suivant l'étape du processus infectieux. La paralysie de l'abducteur peut aussi être la conséquence de
cher leur cas à cette catégorie en rai- son de la persistance de la paralysie et de sa rétrocession après deux mois. Il est
uteurs tirent une conclusion prati- que, c'est qu'en présence d'une paralysie de l'abducteur au cours d'une otite, il ne faut
ntractions « synergiques paradoxales » ob- servées à la suite de la paralysie faciale périphérique; parLAMY. (Nouv. Icon. de
d'apparition de l'impotence fonctionnelle, invasion simultanée delà paralysie aux quatre membres chez l'un, en deux fois dist
92. Raymond et Sicard, J. A. Méningite cérébro-spinale à forme de paralysie infantile, cyto-diagnc,stic. llev. Neurol. Paris,
e traces, et qui fut suivie, à quelques semaines de distance, d'une paralysie flasque de tout le membre, paraissant d'origine
rie ayant eu pour cause occasionnelle le léger traumatisme. Cette paralysie disparaîtra certainement dans un temps difficile
TEURS. On a trouvé au début de cette observation l'histoire de la paralysie flasque du bras droit qui dura près de dix ans.
parfois spas- rcc. 15.- Atrol : Lic du brus droit, secondaire à une paralysie l1as- que hystérique, guérie subitement après u
de l'épaule droite à la suite duquel une 360 CLINIQUE MENTALE. paralysie flasque du bras droit s'installa progressive- m
et d'anorexie ; on élimine facile- ment les cas d'excitation et de paralysie générale. Les signes basés sur les antécédents
rop grande prc- fondeur des plongées. Des douleurs spéciales ot des paralysies tem- poraires sont, fréquemment les signes avan
u- ses. A la première variété appartiennent la démence sénile, la paralysie générale et les démences conséculivesaux tumeurs
s que, jusqu'à présent, seul le tableau anatomo-paLltuloâüluc de la paralysie générale est patl;ognomonique, et qu'il est enc
r der progressiven Paralysen (Sur l'état des neurofibrilles dans la paralysie générale) ; par KARL SCHAr.FFR, de Budapest. (N
ore pour la démence primitive la base anatomique qui existe dans la paralysie générale ; ces symptô- mes ont la variabilité d
être justifier la fréquence de ces troubles. J. S. XX. Un cas de paralysie générale juvénile ; par le dur DsROUBAIx (Bull,
-syphilitique, qui pré- senta à 20 ans les premiers symptômes d'une paralysie générale a laquelle il succomba au bout de six
ue l'auteur fait jouer le prin- cipal rôle dans la production de la paralysie générale ; les altéra- tions cellulaires seraie
t de M. Motet sur un mémoire de M. Marie (deVillejuif) intitulé : « Paralysie générale et syphilis chez les Arabes. Chargé
s cachectiques de la fin sont en tous points analogues à ceux de la paralysie générale vraie. Il n'a pas été possible à Marie
e la plasticité cérébrale. G. DENI'. XXV. L'accommodateur dans la paralysie générale ; 0r MARANUON deMoNTYEL. (Jolt1'n. de
firmer que le réflexe accommodateur est altéré dans tous les cas de paralysie générale sans exception, à un moment ou à un au
t d'ailleurs tout à fait excep- tionnelle.A la première phase de la paralysie générale,l'accommo- da leur est déjà altéré dan
d'un affaiblissement dont la durée est d'autant plus courte que la paralysie générale est à une période plus avancée. G. Den
asthénie, chorée). 3° par perle de l'intelligence (démence précoce, paralysie générale, démence épileptique, spasmodique). Il
décès 217 ; restants au 31 décembre 1905,984 (937 IL,47 le.). - «La paralysie générale, comme toujours, est la maladie la plu
s l'étude que nous avons laite des rémissions qui surviennent de la paralysie générale, celle de l'influence des maladies int
e dans le système nerveux ou dans les muscles. Dans les différentes paralysies , médullaires, cérébrales ou pé- riphériques, l'
. Ueber Narkoselaehmung des N. cruralis und obturatorius (Sur la paralysie par narcose des nerf* cr. et obt.) par SIEGFRIE
;3, p. lOi il 111,) .) D'après K., il n'existerait que trois cas de paralysie du crural par anesthésie, l'lia paralysie de ce
isterait que trois cas de paralysie du crural par anesthésie, l'lia paralysie de ce nerf combinée avec celle de l'obturateur
t toujours aboli. K. passe en revue les diverses causes possible de paralysie et éli- mine successivement : la lésion des tro
e (évolution, hérédité, survenance ou cessation pendant le sommeil, paralysie ou parésie consécutives à l'accès, influence du
te semblait se 1 i-oncet- moins énergiquement que la gauche. Pas de paralysie de la musculature externe de l'oeil. Pas de nys
ion du rhumatisme chronique. L'auteur laisse de côté les faits de paralysie générale arthritique et les divers accidents la
cliniques montrent l'influence du rhu- matisme dans l'origine de la paralysie agitante ; ainsi l'influence curieuse des surme
La véritable analogie clinique entre le rhumatisme chronique et la paralysie agitante est dans ce même état de rigidité, de
e l'idée délirante de la prédominance de certains muscles en cas de paralysie de leurs antagonistes; de même c'est l'absence
ontractions « synergiques pa- radoxales » observées à la suite de paralysie faciale périphé- rique, par Lamy, p. 222. Con
ire, par \larandon de Montyel, p. 241. Fracture. Un cas de avec paralysies nel veuses rares. Con- tribution à la physiolog
uble corticale, par Raymond et Galezowski, p. 49. Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et tro
nales des vertébrés, par Fragnito, p. 146. Sur l'état des dans la paralysie générale, par Schaffer, p. 392. Névralgies gr
congénitale et hérédi- taire, par Chaillous et Pagniez, p. 225. Paralysie . Formes atypiques de la générale (hémiplé- gi
at de mal, par Friedel. p. 158. Les - - en série au cours de la paralysie générale, par A. Ma- rie, p. 217. Pouls. Voir
r déchloruration, p. 158. Traumatismes. Voir Troubles. - . Voir Paralysie générale. TABLE DES MATIERES. 505 TuÉi'i
ébrale. Sur un cas de à forme psychique, asthé- nie générale sans paralysie ; pas d' oedème de la papille, par Mouisset et
59 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eillesse, etc.; 4- que le nombre de décès est relative- ment élevé ( paralysie générale, complications organiques). La populat
bles psychiques, a étudié en premier lieu les psychoses organiques ( paralysie générale, tumeurs cérébrales, artério-sclérose,
e eczémateuse, pas d'accidents nerveux. Grand-père maternel mort de paralysie du cerveau. Grand'mère maternelle, alcoolique,
. Intelligence moyenne. Famille de la mère. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau (' ? ). Mère, alcoolique, elle buv
s. Les yeux sont mobiles en tous les sens. Pas de strabisme, pas de paralysies , pas de nystagmus. Iris bleuâtre ; pupilles sym
ma- ternel, nous notons la mort du grand-père de l'enfant par une paralysie ducerveau, celle de la grand'mère, alcoolique,
tefois et portant exclusivement sur l'état phy- sique : l'espèce de paralysie de l'un des membres inférieurs disparaît. Intel
issance courte. On la transporte à l'hôpital où on diagnostique une paralysie générale. A l'asile on constate une faiblesse m
ômes de neurasthénie cérébrale (Quinke), elle peut aussi simuler la paralysie générale (Bresler, Burr et Carthy). Les lésions
de cas dans lesquels au heu d'une tumeur on avait diagnostiqué une paralysie générale (Bruns). Quant aux physiologistes leur
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Saillie accusée de l'omoplate droite par paralysie du grand dentelé : deltoïde gauche nettement at
d'une entité morbide définie dans ses signes et dans ses lésions. Paralysie associée des globes oculaires pour la latéralité.
d ET CESTAN, ont recueilli une 3e observation anato- mo-clinique de paralysie des mouvements associés de latéralité SOCIÉTÉS
aires. Dans ces trois cas le syndrome observé a con- sisté en cette paralysie sans strabisme interne, sans paralysie faciale
bservé a con- sisté en cette paralysie sans strabisme interne, sans paralysie faciale nucléaire ou tronculaire associée à une
cédés que l'homme, isolément, rééducation, surveillance spéciale. Paralysie générale chez un Arabe. Mii. SCHER]3 et Ben-Tom
le et du tabes chez les indigènes d'Algérie et rapportent un cas de paralysie générale chez un arabe syphilitique, instruit et
. 11,CVU); DES THÈSES DE BORDEAUX 1902 Par LE D DE PERRY I. Des paralysies périphériques d'origine our tienne ; par Auguste
uste LACROIX. Les oreillons sont susceptibles de se compliquer de paralysie , même dans les cas bénins. Cette paralysie, qui
bles de se compliquer de paralysie, même dans les cas bénins. Cette paralysie , qui est tantôt diffuse, généralisée, tantôt lo
ture et reconnaît comme origine une né- vrite toxi-infectieuse. Ces paralysies ourliennes, susceptibles de guérison, ont une i
ace de l'Odéon. Prix : 10 francs. De Paoleicovic-Kapolna (EttA). La paralysie générale peut-elle être distinguée anatomiqueme
étudié les différents stades des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale. Nous rapportons aujourd'hui l'observa
'Armentières le 8 juin 1901, présentant la plupart des signes de la paralysie générale. C'est un syphilitique et un alcooliqu
des l ? Lculiés, dé,orientalion absolue. - Signes physiques de la paralysie géné'ale. Faciès sans expres- sion, tremblement
tions macroscopi- ques. - En somme lésions caractéristiques de la paralysie générale. Les Yeux énucléés quelques heures apr
olique, qui, un an avant de présenter les troubles mentaux de^ la paralysie générale fut atteint de cécité. Lorsque deux ans
x processus inflammatoires et congestif s' carac- téristiques de la paralysie générale. Drames DE l'alcoolisme. · Une victi
e, fureurs, actes inconscients, tentatives de suicide (D1' Legras). Paralysie générale avec idées de satisfaction et de persé
18 ans, entre dans le service le 8 mai 1902, avec le diagnostic de paralysie générale, confirmée à l'examen par la constatatio
olume (110 gr.). Or, s'il est fréquent de constater, au cours de la paralysie générale, des crises d'agitation motrice de plu
II. Des résultats du traitement mercuriel intensif appliqué à la paralysie générale et au tabes ; par le prof. LEmoiNE. L'
tabes ; par le prof. LEmoiNE. L'auteur rapporte six observations de paralysie générale dans lesquelles l'amélioration parle t
ômes ont disparu. Le tabes paraît plus rebelle au traitement que la paralysie géné- rale : un des résultats les plus importan
vue neurologique, juillet 1902). E. B. III. Sur le traitement de la paralysie générale et du tabes ; par M. DEVAY (Société de
ique habituellement, il n'a eu des résultats appré- ciables dans la paralysie générale et le tabes que par l'emploi de doses
is des symptômes sérieux chez un malade tabétique avec symptômes de paralysie générale, qui prenait 1 gr. 50 d'iodure. 148
. DE Musgrave-Clay. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Le crime dans la paralysie générale ; par Y.-C. SULLIVAV. (The Journal o ?
s ou crimes d'ordre sexuel sont, on le sait, communs au début de la paralysie générale sur- tout dans sa forme expansive. ,
causes qui déterminent la direction spéciale de la volonté dans la paralysie générale, et à expliquer le contraste de la con
ulsions à des actes d'appropriation, de vol, sont fréquents dans la paralysie générale, et si le suicide et 1 homicide sont r
cation du caractère particulier de la conduite et des idées dans la paralysie générale rentrerait donc dans le grand problème
endel les paralytiques cardiaques ; Antécédents vésuniques. - Si la paralysie générale survient chez un persécuté, il est natur
e, et si cette forme est particulière- ment fréquente, c'est que la paralysie générale est ordinairement une maladie de l'âge
iverse conduisent à des conclusions identiques. Qu'il s agisse de paralysie générale, d'alcoolisme, de sénilité, la démence
'une tabétique pour 25 hommes. C'est exactement la proportion de la paralysie générale. Près de la moitié des cas, 44,3 p. 10
nt faradique qu'au courant galvanique. Evidemment ce n'est ni une paralysie bulbaire atrophique pro- gressive, ni une paral
ce n'est ni une paralysie bulbaire atrophique pro- gressive, ni une paralysie bulbaire apoplectique aiguë, ni une paralysie p
o- gressive, ni une paralysie bulbaire apoplectique aiguë, ni une paralysie pseudobulbaire, ni une dystrophie musculaire, ni
uit ans jusque-là solide et d'une parfaite santé; l'existence d'une paralysie spasmodique, non dégénérative des extrémités in
1, de la faiblesse de la vue et de la diplopie. On diagnostique une paralysie de la 3° paire du côté gauche, début probable d'u
st bon, les organes fonctionnent bien. L'examen oculaire montre une paralysie complète du droit interne droit et une paré- si
- tats de l'examen histologique dans des cas où des phénomènes de paralysie bulbaire se trouvaient associés à des phénomènes
défaut. Il s'agit d'une affection essentiellement motrice : ptosis, paralysie des muscles de l'oeil, troubles de la mastication
É DE NEUROLOGIE Séance du 2 juillet 1903. Présidence DE M. Riches Paralysie saturnine. MM. 13rai\rtn et Salomon présentent
cas de M. Déjerine il y avait une maladie de Little et deux cas de paralysies spasmodiques cor'icales et les piè- ces montrée
re du bras et de l'épaule dans le domaine du radial supérieur, sans paralysie ni atrophie, mais avec abolition du réflexe du
ainsi que les symptômes moraux ayant suivi la mutilation; un cas de paralysie agitante, guéri, pas évidemment, mais soulagé p
ales, les nombreuses modalités cli- niques de la syringomyélie, les paralysies alternes, les paralysies des mouvements associé
lités cli- niques de la syringomyélie, les paralysies alternes, les paralysies des mouvements associés des yeux, l'asthénie bu
ges paludéens . Extrait de la Grèce médicale. \'L1\\AY (Ch.). Les paralysies des nerfs périphériques et la systé- matisation
morte IL soixante-dix-huit ans, dix-huit mois après une attaque de paralysie (hémiplégie gauche). Grand-père paternel décédé
es. On n'aurait observé qu'une crise de ce genre. Aucune trace de paralysie consécutive. L'intelligence ne fut pas atténuée.
s les plus détaillées. SÉAXCE du 3 août (matin). Histologie de la paralysie générale ; Rapport présenté par M. le Dr Klippe
e modalité de réaction, sous des causes et des lésions diverses. La paralysie géné- rale est un syndrome. La paralysie généra
t des lésions diverses. La paralysie géné- rale est un syndrome. La paralysie générale commence et finit là où commence et où
là où commence et où finit le syndrome clinique. Trois groupes de paralysies générales s'observent. Le premier se caractérise
ler jusqu'à la diapédèse la plus SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 marquée. ( Paralysies générales inflammatoires). Dans le second, la m
des lésions préalables et apparaît comme une infection secondaire. ( Paralysies générales associées). Le troisième comprend des
usion de toute inflam- mation marquée sur la diapédèse vasculaire. ( Paralysies générales dégénératrices.) · · Dans le groupe
t à la syphilis, beau- coup d'aliénistes en sont venus à définir la paralysie générale une maladie parasyphililique. Alors, j
nsitions entre le délire aigu et les formes les plus len- tes de la paralysie générale. D'autre part, c'est l'absence fréquen
est plus rapide et qui parait être l'un des agents pathogènes de la paralysie générale. Pourquoi exigerait-on pour cette mala
à la pré-, sence de globules rouges à noyau. Un second groupe de paralysies générales comprend celles ou l'encéphalite est
secondaire, sur des lésions encéphaliques préalables. Telle est la paralysie gé- nérale des alcooliques. L'encéphale de to
um tremens, rêve prolongé l'état de veille, etc. Telle est aussi la paralysie générale des arthritiques artérioscléreux. Enco
oint du système vasculaire envisagé dans son ensemble. Telle est la paralysie géné- rale associée des tuberculeux. La méningi
des éléments nerveux sont ici les lésions préalables. Telle est la paralysie générale associée aux tumeurs de l'encéphale. L
ables, les points d'ap- pel de l'infection secondaire. Telle est la paralysie générale associée des tabétiques. Jendrassick a
en sont les causes sont les mêmes que celles qu'on retrouve dans la paralysie générale asso- ciée, l'alcoolisme, l'arthritism
- ques-unes de ces formes ont été décrites sous le nom de pseudo- paralysies générales. Pour ma part, j'ai tantôt employé ce d
s 234 i SOCIÉTÉS SAVANTES. formes inflammatoires, tantôt celui de paralysies générales dégéné- 2-tili-ves. Dans ce même gr
phalites dégénératives diverses ont encore leur place. Telle est la paralysie générale dégénérative des tuberculeux dont j'ai
ayant en ces cas une marche lente et parfois latente. Telle est la paralysie générale dégénérative des al- cooliques. Ces de
itions les plus certaines de l'histologie, de continuera définir la paralysie générale : une sclérose diffuse, une encéphalit
n serait l'aboutissant à la fois ultime et si rare, qu'après que la paralysie générale a traversé toutes ses phases cliniques
des variétés correspondantes de la diapédèse. On sait que, dans la paralysie , on rencontre, dans les artérioles encéphaliques,
paration. Par là on s'expli- querait assez bien leur rareté dans la paralysie générale. Enfin, les plasmazellen semblent n'èt
s entre certains délires aigus et les formes les plus chroniques de paralysies générales. J'ai déjà trop insisté sur ces faits m
nérales. J'ai déjà trop insisté sur ces faits mon- trant comment la paralysie générale associée des alcooliques était une mêm
. En ce qui concerne les affinités régionales, on sait que, si la paralysie générale est une maladie caractérisée surtout et
volution ultérieure. M. ANGLADE (de Toulouse). Les lésions de. la paralysie géné- rale ne me semblent pas pouvoir être rame
oivent des excitations anormales qui expliquent les symptômes de la paralysie générale : suractivité désordonnée, convulsions
nvulsions, etc. Au surplus, la clinique ne s'oppose pas à ce que la paralysie générale soit considérée comme une méningo-encé
discuter la nature de cette méningo-encéphalite ou myélite de la paralysie générale. Sans doute, elle n'a aucun caractère
tions, il faut se garder d'exclure de l'étiologie des lésions de la paralysie géné- rale des infections dont nous connaissons
s autant que la première, dominent cliniquement l'étiologie de la paralysie générale. Il est, en effet, très fréquent de cons
l est plus apparente que réelle. S'il est vrai qu'il n'y a guère de paralysie générale sans méningite, comme le soutient M. A
iques avec ceux d'Obers- teiner et l'origine toxi-infectieuse de la paralysie générale. Quant à cette encéphalite, il est inc
rticipation de la névroglie au processus anatomo-pathologique de la paralysie générale, je crois que les altérations de cette
xistence ou l'absence de l'athéro- masie pour créer, sous le nom de paralysies générales associées, un groupe spécial de paral
sous le nom de paralysies générales associées, un groupe spécial de paralysies générales, si ce n'est peut-être dans les cas o
nous ont conduits à adopter dans ses grandes lignes la division des paralysies générales pro- posée par M. Klippel. Nous disti
ar M. Klippel. Nous distinguons, comme lui, trois grands groupes de paralysies générales, entre lesquels il existe, d'ailleurs,
uses formes intermédiaires. Un premier groupe est constitué par des paralysies générales inflammatoires, caractérisées par l'i
raissent se rapporter au type décrit par M. Klippel sous le nom .de paralysie dégénérative ; nous y avons constaté d'une façon
. Dans 8 cas de tabes avancé affection que M. Klippel assimile à la paralysie générale au point de vue de la formule hématolo
rmule hématologique pour le tabès, ni probablement non plus pour la paralysie générale. Séance du 3 août (soir). Traitement
s complets et très stables. Un phénomène palpébral constant dans la paralysie faciale périphérique. MM. Dupuy-Dutemps et Ce
ale périphérique. MM. Dupuy-Dutemps et Cestan. Dans quinze cas de paralysie fa- ciale périphérique, que nous avons examinés
rieure. Ce fait en apparence paradoxal est d'autant plus net.que la paralysie de l'orbiculaire est plus complète. Un mouvemen
ormalement, le globe de l'oeil se convulsé en haut. Dans les cas de paralysie faciale il entraîne et relève dans son mouvemen
re, cette relation nous a néanmoins paru mériter d'être signalée. Paralysie générale juvénile. M. LALANNE (de Bordeaux) com
Ces troubles sont très voisins de ceux que l'on rencontre dans la paralysie générale, aussi l'erreur a-t-elle été commise plu
ice de M. 11ER.1VAL, et où la sclérose en plaques fut combinée à la paralysie générale. Erythromélalgie suivie de gangrène de
rsale a suffi à certains cliniciens pour confirmer le diagnostic de paralysie géné- rale. C'est là une erreur. Au cours des p
termine des hallucinations des divers sens. L'oedème fugace dans la Paralysie générale. MM. Klippel et Vigouroux présentent t
que celle des cas de dermographisme qu'on observe parfois dans la paralysie générale. » M. Trénel a communiqué dernièrement
nnaux ne croyait pas qu'on pût constater ce symptôme au début de la paralysie générale ; mais il l'a observé très fréquem- me
hyp- notisation. M. Doyen. L'état mental des opérés. M. DEMOVCHY. Paralysie vésicule, de nature hystérique traitée avec succè
hystérie paludéenne jouerait un rôle dans la production de quelques paralysies post-paludiques et de certains accès pernicieux
edde (E.). La nature syphilitique et la amabilité du labes et de la paralysie générale. 4 vol. 111-8- de 13 pages. Librairie C.
ne une de ses lettres par cette phrase : « Pitié pour un malade, la paralysie me monte de jour en jour au cerveau et cette le
Loudon o, », hôpital pour les maladies nerveuses, l'épilepsie et la paralysie . Médecin à la Colonie d'épileptiques de Chalfon
ion bien spécifique sur le système moteur l'a fait employer dans la paralysie agitante où elle procure sou- vent un véritable
luent avec une symptomatologie plus ou moins analogue à celle de la paralysie infantile. Il les désigna sous le nom de paraly
ue à celle de la paralysie infantile. Il les désigna sous le nom de paralysies spinales ante- rieures aiguës de l'adulte et le
eune fille de vingt et un ans. ayant entraîné en quelques jours une paralysie complète de tous les muscles du tronc et des qu
la sensibilité. La mort est survenue deux mois après le début de la paralysie . L'examen de la moelle a démontré l'exis- tence
aris). L'auteur donne le nom de syndrome solaire d'excitation ou de paralysie à l'ensemble des symp- tômes résultant de l'exc
solaire, réservant le nom de symptôme solaire d'excitation ou de paralysie , à chacun des troubles, pris isolément, qu'il con
ne toujours ou presque toujours sy- philitique, tels le tabès ou la paralysie générale, telle encore la glossite gommeuse, l'
eur cérébrale (traumatisme, délire aigu, hystérie ( ? ), épilepsie, paralysie générale à la dernière période). Poussant la th
ez ces malades comme chez les autres déterminer la production de la paralysie générale, de l'épilepsie, de la manie et d'une fa
attachés à la même cause.'Après avoir montré que ni le tabes, ni la paralysie générale ne sont absolument incontestables, ils
ces derniers SOCIÉTÉS SAVANTES. 369 temps sous la dénomination de paralysie pseudo-bulbaire congéni- tale. Je ne m'étendrai
quelques rémittences plus ou moins longues, comme il arrive dans la paralysie générale progressive, la démence s'affirme. J'a
QUE. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale. F1'UI)E CLINIQUE ET : 1\.1T0.110-P.IT
1' Kéraval, nous avons étudié les lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale et montré leur fréquence. Le travail
1 Communication au Congrès de Bruxelles. LE FOND DE L'OEIL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 421 Nous avons cru également devoir e
i progressaient ne se modifiant pas au contraire dans les cas où la paralysie géné- rale n'avait fait aucun progrès. Le dét
le malade C... est passé de la seconde à la troisième période de la paralysie générale ; parallèlement sa papille droite blan
oscopique montre que ses papilles sont maintenant blanchâtres. La paralysie générale a évolué lentement chez pareillement l
blanchâtres, leurs vaisseaux se sont amincis. Enfin L... dont la paralysie générale n'a pas évolué présente toujours le mê
le même état flou des papilles. Six autres malades chez lesquels la paralysie générale n'a fait aucun progrès, ne présentent
rs que les malades avaient à peine atteint la seconde période de la paralysie générale. Le résultat de l'exanzenolhtitali2osc
s par l'hénédoatoxte cérébelleuse, l'utaxie spinale héréditaire, la paralysie bullaire progressive, l'atrophie musculaire pro
condamne à périr au bout de peu de temps. Cette idée convient à la paralysie ugilanle, à la sclérose latérale ozuyotro- phiq
phique, à l'hémiah opine faciale progressive, à nombre de cas de paralysie spinale spasmodiquc, à la myélite chronique de la
irecte des vibrations osseuses au muscle lui-même. De plus, dans la paralysie faciale, totale, la percussion du point sus-orb
s d'hyperexcitabitité s'entend. Cest bien là du réflexe. Lorsque la paralysie faciale s'améliore. ce dernier procédé fait con
ut au plus si le retour du premier indiquerait l'amélioration de la paralysie faciale. Quant au phénomène pupillaire, peut-êt
ut-être pourrait-il servir, comme le veut Galassi, à distinguer une paralysie périphé- rique de l'oculomoteur commun d'une pa
stinguer une paralysie périphé- rique de l'oculomoteur commun d'une paralysie centrale. P. Keraval. 3 REXUU U.1\.1'lU\111.
tuberculeux, qui, en deux jours, présente les signes graduels d'une paralysie du membre supérieur gauche et de la moitié gauc
r du même côté. Légère parésie de l'orbiculaire palpé- bral gauche, paralysie totale du facial inférieur aus mouve- ments vol
cendantes et du lobule pariétal inférieur. Elle l'est encore par la paralysie limitée au facial inférieur et à l'hypoglosse exp
s'observent des phénomènes oculaires le plus souvent rapportés à la paralysie générale, à des tumeurs cérébrales, ou aux amau
foie; reins granuleux. II. Homme de trente et un ans, atteint de paralysie : état ma- niaque avec idées de persécution, al
E MENTALE. ' 447 que l'on observe à la période correspondante de la paralysie géné- rale à forme mélancolique. Il faut remarq
oir quelque difficulté à faire le diagnostic diffé- rentiel avec la paralysie générale. Ce travail se termine par six observa
ative, nous permetd'opérerdes semblants de miracles dans les cas de paralysies et de contractures hysté- riques. Sa brochure f
, la représentation des mouvements que les malades affectés d'une paralysie hystérique se croient incapables d'exécuter. Ce f
pute. Par contre, c'est par centaines qu'on trouve des guérisons de paralysie à travers les âges parmi les civilisations les pl
ans doute, nous concevons très bien les causes qui déter- minent la paralysie motrice du côté correspondant à la sec- tion, t
de la moelle. M8 F.17110LOG1 \RliU ? Il y rentre en mars 1897. La paralysie s'est un peu amen- dée, mais l'élément spasmodi
de ces idées dénote un fonds de démence et peut faire soupçonner la paralysie générale. Nous avons déjà dit d'ailleurs au déb
que, février 1901.) E. B. XXXIII. Le syndrome de Briquet (un cas de paralysie diaphrag- matique d'origine hystérique); par le
teutte février 1002.; E. BLIN. ASILES D'ALIÉNÉS. I. Note sur la paralysie générale à l'asile de Saint-Alban (Lozère); pai
isme et la syphilis que le surmenage physique et iulellec- tuel, la paralysie générale était extrêmement rare (deux cas sur 1
nant à ces faits, on serait amené à admettre que si à la base de la paralysie générale il y a la syphilis, cette syphilis ne
ctuel. E. B IL Contribution à la statistique et à l'étiologie de la paralysie générale progressive des aliénés dans le gouver
es habitants des villages qui forment le principal contingent de la paralysie générale : ce sont, d'après les genres d'occupa
socient entre elles comme avec d'autres agents pathogènes ; 1 Io la paralysie générale est, au point de vue étiologique, un phé
CHOLOGIQUE Séance du 27 juillet 1903. Présidence DE M. G. Ballet. Paralysie générale sénile. M. Toulouse rapporte un cas de
Ballet. Paralysie générale sénile. M. Toulouse rapporte un cas de paralysie générale chez une femme âgée de soixante-douze
igne de deuil. Reprise de la séance. Présidence de M. G. Ballet Paralysie générale précoce chez une jeune fille de dix-neuf
11110 GÊRY présente une jeune fille de dix-neuf ans, atteinte de paralysie générale précoce. Cette jeune fille avait la syph
ntérêt du cas pré- senteparM"°Gery réside dans la coexistence de la paralysie géné- rale et de la syphilis, que celle-ci soit
sthésie sensi- tivo-sensorielle droite avec surdité du côté opposé ( paralysie alterne sensitive) et myosis bnlbaire, put être
édecine » aux ai tioles sur les Encéphalites de l'enfance et sur la Paralysie générale ; il écrivait les examens histologique
lude clinique des monologues chez les , par Dar- canne, 479. Voir Paralysie gé- nérale. Sur les résultats lavora- bles du
ine Concours, 46ï. de la Roche-Guyon, 478. de Sainl- ellbau. Voir Paralysie générale. Quelques remarques nouvelles sur le
ique de l'Université de par Sérieux, 15. Globes oculaires. Voir Paralysie . Goitre exophtalmique. Le centre Imlbaire. Tr
950. tthHtCO-ATAXtE. Voir Maladie ner- veuse. Histologie. Voir Paralysie générale Homicide par un adolescent, 95. 1, I
d de i' . \Ulr Para- lytiques généraux. Lésions (lu fond de l' -, Paralysie générale. OI'IITII\Lh101.OGIE. \'or 7hennpeu-
. Pachymémncite cervicale. Voir Pa- raplégie. Voit- YéVI-08C. Paralysie trseudo-hypertrophique. Voir Atrophie musculair
rimentaux, par La;;nel-t.avxaUue, 331. Le - de Briquet (un cas de paralysie (1 i«tpllr,.g triai] il [le d'origine hyaté-
ar I)éjet-iiie, Cluray et Cornélius, 75. - Voir Traumatisme. Voir Paralysie générale. - Voir, Le - chez la lemme, par Dlend
ement, par Joirf, 258. 280. TitIrlIFNT mtrciiiii-1 iutensif. Voir Paralysie générale. médico- N'oil, Idiotie. thy- roi'fi
60 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des maladies nerveuses. Paralysie faciale périphérique due à un fibro- sarcome en
e latérale du bulbe, ne donner lieu à aucun autre symp- tôme qu'une paralysie raciale périphérique. Mais ce qui nous parait d
l,l JII,[lade e pLli¡wi.liL dl' douleul'- 110\ I,<dgi- Fic. 1. PARALYSIE FACIALE PEtUPHgRIQUE DUE A UN FIBRO-SARCOME. 3
umineux, gorgés de sang, plutôt qu'à des hémorrhagies véritables. PARALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN)IBRO-SARCOME. 5 A
on ùu pil'l'o-I'al'llIin, 011 dp la IIll'[lintlt' dt, .\lal'clii, PARALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN FJnRO-SAHCOME. 7
ALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE DUE A UN FJnRO-SAHCOME. 7 En résumé, la paralysie du facial gauche, survenue il l'âge de 06 ans,
mplète. Les constatations anatomiques permettent de rapporter cette paralysie il l'existence d'un fibre-sarcome englobant et
ce cas, de diagnostiquer pendant la vie, la véritable nature de la paralysie . Nous ne reviendrons pas sur le diagnostic anat
n emploi quotidien prolongé pendant 8 mois. (ans, XI et Obs. IX.) Paralysie générale. (lus, XIV, .M. A. 50 ans, présente l'en
.M. A. 50 ans, présente l'en- semble des symptômes classiques de la paralysie générale depuis l'année 1902. Interné en 1903 à
la prise du médicament. IIBS. \1'. - 11. tt..49a)t>, atteint de paralysie générale depui* 1902, est constamment dans un é
z quelques aliénés. 15 Uss. XV). )11110 1 ? 40 uns, est atteinte de paralysie générale depuis 1899. Elle est actuellement tou
naire, est peu employée. 22 RECUEIL de faits. D'après la mère, la paralysie , qui a débuté après le pre- mier état de mal, s
'attitude debout est légè- rement penchée à droite, en raison de la paralysie . La marche s'exécute bien, mais il y a une boit
volonté pour la gym- nastique, mais y réussit peu, en raison de sa paralysie . - Au point de vue de la puberté, le corps est
rveau du chien contient quatre zones suscep- tibles d'engendrer des paralysies des muscles oculaires : zone frontale, pariétal
A l'autopsie, rien d'apparent dans l'o.'ôane cen- tral préposé aux paralysies . L'artère svivienne droite contientun tttromhus
couteau au côté droit de la nu- que. Il détermine : 1° adroite, une paralysie du trijumeau, de l'ncnlomoteureaLerne,chlfacial
hémiparésie passagère et une hémiparésie persistante. C'est la la paralysie alterne inférieure de llillarcl et Cubler. Au m
l droiL par ophtalmie neuro-paralytique, en vertu du concours de la paralysie du facial et de celle du trijumeau : il ne peut
un affaiblissement progressif des membres inférieurs. On constate : paralysie de tous les muscles innervés par le sciatique p
la myoclonie familiale, etc. G. Deny. XVI. - Histopathologie de la paralysie générale ; par le Dr de Bock. (Bull. de la Soc.
istologique, à l'aide des méthodes les plus récentes, de dix cas de paralysie générale avérée, l'auteur admet que cette affec
es recherches c'est qu'il n'existe pas de lésions spécifiques de la paralysie géné- rale et que le diagnostic histopathologiq
s intracellulaires, etc. 31. de Buck admet, en outre que les cas de paralysie générale il forme expansi\e et délirante sont r
(tumeur) du ganglion sym- pathique cervical dans un prétendu cas de paralysie gé- nérale ;par le Dr de IkCK, (Bull, delà Soc.
sence de ces résultats, l'auteur estime qu'il a eu affaire non aune paralysie générale, mais à un délire d'origine infec- tie
n aide des verres convexes de 2 D à 2 I) 5. En un mot il existe une paralysie isolée du muscle ciliaire et du sphincter irien
une importance cli- nique hors de doute. l'. hF(tA1'.1L. III. Des paralysies consécutives à l'usage du phos- phate de créoso
pargnés. Les jambes furent les premières atteintes ; la forme de la paralysie y fut infiniment plus nav e et plus durable qu'au
s grises, des conducteurs moteurs périphériques, ainsi que dans les paralysies infectieuses et lexiques. Rien jusqu'ici n'a ét
e cérébrale, mélancolie, neurasthénie, folie obsé- dante, hystérie, paralysie générale, etc. La dose a varié de 25 cen- tigr.
poliomyélite à marche subaiguë. Hémiplégie spasmodique infantile. ( Paralysie post-spasmodique ,) 31. ,1. Babinsky. - La jeun
taires, nuls pendant les spasmes, sont constamment troublés par une paralysie variable, surtout prononcée à la suite d'un acc
Ilodique infanlill', le s ? Ll'lI1e PYl'amdall'st atteint. 31ais la paralysie a des caractères bien spéciaux intéressants, fluc
aux spasmes el on peut pour ce motif lui donner la dénomination de paralysie post-spasmodi- que. Myopathie hypertrophique
Pl surtout de la racine des membres. Quelques semaines plus lard : paralysie absolue des muscles de l'avanl-bras, des dettoi
ilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibilité, pas de signes du paralysie bulllaire. Réactions électriques simplement rli
ne remontant L'extrême jeu- nesse. llCtlttclia de 13«sctlovo avec paralysie M/&0 ? tt' asthâniquu. 31 31. 13RISS.-I.UO
hoisit pour dresser sa synthèse confuse et laborieuse en face de la paralysie générale, le. moment où l'édifice de cette dern
dil1'l'I'I'IlL tout se qui passe autour de lui. 1'l'I'i,lance de la paralysie \a.,o-ll1otl'ice, surfont aux membres inférieur
gie des sentiments, ? .' édition, t',LUie 1897. UN NOUVEAU CAS DE PARALYSIE GENERALE CONJUGALE 99 l'avaient pas encore été
chopalhiques. RECUEIL DE FAITS Réflexions sur un cas nouveau de paralysie générale conjugale d'origine syphilitique. Pa
blié les premiers cas observés en France, déclarait « qu'en fait de paralysie générale à deux, la syphilis, tout en étant enc
phi- lis n'était pas. avec certitude, la cause déterminante de la paralysie générale des deux conjoints ; dans le second, o
exemple comme militant en faveur de l'origine syphilitique de la paralysie générale o. Un nouveau cas de paralysie gêné- 1
'origine syphilitique de la paralysie générale o. Un nouveau cas de paralysie gêné- 100 RECUEIL DE FAITS. raie conjugale, q
u main aise lie, présentait indubila- blement tous les signes d'une paralysie générale, acc excitation maniaque aiuu. Lm : ya
"l'nla, en août il à sou reloue d'une saison à 1 \ C4S \OT;V1;4U DE PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE 101 Luxeuit, une éruption gé
'cu altrèc, on fut obligé de l'alimenter il la sonde, à cause de la paralysie du pharynx, et elle bredouillait d'une façon in
vue étiologique.' plus complète que la plupart des observations de paralysie générale conjugale publiées, et permet de donne
mater- nel avait succombé dans notre établissement, par suite de paralysie générale confirmée. Ce dernier fait n'indi- que
embres de celte famille, la tendance de leur cerveau il faire de la paralysie générale, parce que la syphilis était entrée en
e chez le cousin paralytique de Marie B..., on vit les accidents do paralysie générale débuter une douzaine d'années après l'
l'infection syphiliti- que. 11 y· a en outre, dans ce fait d'une paralysie générale évoluant successivement chez deux épou
Il semblerait même que l'aptitude de son cer- veau il contracter la paralysie générale était, chez la femme, presque fatale.
ns doute pas suffi il faire naître, en l'absence de syphi- lis, une paralysie , générale chez Marie 13.... car nous ob- servon
act, mais qui est certainement voisin de celui de UN CAS NOUVEAU DE PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE 103 sa soeur, n'a jusqu'à pr
indemne de toulo tension cérébrale. haut-il, pour expliquer cette paralysie générale chez nos deux époux, faire intervenir,
, en général, do tels détails sur l'hérédité des sujets atteints de paralysie générale conjugale. Ainsi que nous l'avons fait
lo qui a, le premier en France, attiré l'attention sur les faits de paralysie générale con- jugale, au congrès aliénisle de R
Zeitschrift sur Ps5·c11, 1888) avaient rapporté des observations do paralysie générale chez des conjoints infectés de syphili
Epilepsie, délire alcoolique, mélancolie, tentative de suicide. et paralysie générale chez le fils d'une mère alcoolisée, d'
es pupillaires. indiquent suffisamment que nous avons à faire à une paralysie gé- nérale en pleine évolution. Les troubles se
alade a été victime dans sa jeunesse, une troisiè- me affection, la paralysie générale, de date plus récente. mais qui dès ma
is il son tour, raffaiblisscmentinlellcctucl dont s'ac- compagne la paralysie générale, est venu les marquer de son empreinte
équilibration mentale d'origine héréditaire, accidents alcooliques, paralysie générale il laquelle la syphilis n'est sans dou
reux d'utiliser pour celle question les maté- , riaux fournis parla paralysie , générale progressive, parce que l'on sait bien
et de libres croisées. L. W. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ri, La paralysie enfantile ; par Glorieux. (Policlinique de Br°t
le bégaiement était confondu avec le bredouillemenl. 1. W, Vllf. Paralysies pseudo-bulbaires chez l'enfant; par De- croly.
ar un mélange de trouble moteur, de trouble sensoriel, et même de paralysie tactile ; il n ? manque clue l'aulollsie pour pré
a loca- lisation reste indécise. P. 11ERAVAL. XVI. Observation de paralysie de l'oculomoteur ex- terne et de parésie des me
st deux mois après l'accident que le voit M. lilocll. Il existe une paralysie de l'oculomoteur externe du côté droit ; les me
. XVHI. - De la participation du muscle orbiculaire palpébral aux paralysies faciales corticales et sous-cortica'3s 148 REVU
tt sur Xel're¡¡heïl1wnde, XXVII, N. F. XV, 1904.) Pourquoi dans les paralysies corticales et sous-corticales du fa- cial, la r
supérieure de la face des deux côtés. Néanmoins chez l'homme les paralysies corticales et sulcorli- i- cales du facial supé
u des extrémités. Le Illèll1esmp- tôme peut constituer le résidu de paralysies faciales périphériques guéries ; le malade, en
) diagnostic) ;Ij> lI1alalLies chro- niques du système nerveux : paralysie générale, tabès, épilopsic, sclérose en plaques
gmentée, 1) IIlplwcylose l) pc de polynucléaire dans le tabès et la paralysie générale, fréquence des éosinophiles dans la sclé
années. M. Pactet. Les lésions diffuses permettent de penser à la paralysie générale. M. Vallon ne croit pas que le diagnos
la démence. SOCIÉTÉS SAVANTES. ^ 155 M. Toulouse consfatequc la paralysie generatepeutdehuterpar le syndrome intermittenc
tribuer une certaine durée à l'injure toxique qui les provoquées. Paralysies générales de longue durée. M. BRUNET communique
UNET communique les observations de quatre malades chez lesquels la paralysie générale adure de 10 à 30 ans. ' 1. 11. Séanc
on des Finances : MM. CHRISTIAN, et Semelaigne, Les escharres de la paralysie générale. MM. A. VIGOUROUX et Saillant rapporte
t que les escharres constituent une complication inevita- ble de la paralysie générale et cependant beaucoup de puldica- tiun
se. 158 sociétés savantes. Les lésions des neurofibrillcs dans la paralysie générale. " 1. G. Ballet. M. J. DagoneL, en f
pal' la méthode de Ilal1lnn y Cajal, exprime l'opinion que, dans la paralysie générale, les neurofibrilles ne sont pas lésées.
IOT montrent un homme atteint d'hémi- plégie droite incomplète avec paralysie partielle de la 3° paire gauche. Le membre supé
miques ; les muscles pos- térieurs de l'avant-bras sont atteints de paralysie avec réaction de dégénérescence. Formes frust
i ontproduit une reple- Lion sanguine qui a causé l'hypertrophie. Paralysie agitante et troubles labio-glosso laryngés. M.
es secondaires, dans les délires systématisés chroniques et dans la paralysie générale ; mais elle prend chez lui, au point d
belges. L. W. XL. Anatomie pathologique et bactériologie de la paralysie ascendante de Landry ; par Xazari. (Rie. crit.
ncore des fibres musculaires suffisamment nor- males pour parera la paralysie étendue, absolue, de certains mou- vements. Ela
long et très intéressant travail dont voici les conclusions : 1° la paralysie spinale syphilitique dans l'immense majorité com-
s un symptôme purement tabétic[uc et peut également préluder à la paralysie générale, à l'hémiplégie, à la paralysie pseudo-b
ut également préluder à la paralysie générale, à l'hémiplégie, à la paralysie pseudo-bulbaire et il la méningo-myélite d'orig
e de la cécité ; H fois seule- ment le traumatisme. Nulle pari la paralysie des muscles intrinsèques de l'oeil n'est établi
VIII. L'étiologie de l'Idiotie simple comparée àl'étiologie de la paralysie infantile cérébrale ; par le D1' W. KOENIG, de
aussi une ophlalmoplégie totale qui s'est laite en plusieurs temps ( paralysie de la \'le paire d'abord, puis de la Ille et de
e, admettent l'évolution de ce syn- drome chez un malade alteint de paralysie infantile myélnpa- Ihique. - ' F. Boissier. C
ut il. ]e lJr I)l'0maf'{1 ; 9 de folie alcoolique, autant de cas de paralysie générale, 10 cas d'idiotie ou ¡J'0pÍlcl'"ie,« C
ar des crises de larmes ou de rires, et entraînerait à sa suite une paralysie avec contracture du côlé gauche durant quelques
ssait d'un tubercule solitaire. Ce malade, qui ne présentait pas de paralysie des extrémités, titubait et était affecté d'aut
ire développé par Cettie et Durante. G. D. 1,Xlll. Histologie de la paralysie générale; par le Dr De- 13RAY. (JOUI'I1, de Neu
rive à colle conclusion que la lésion initiale et fondamentale delà paralysie générale inflammatoire réside dans la cellule n
e sus-orbitaire est sectionné, quand la 5e paire est lésée, dans la paralysie faciale. 11 se produit lorsqu'on pique ou soume
'étude des altérations de la voix aux deux premières périodes de la paralysie générale; par le Dr Marandon de Moni 1 YEL. (Jo
té trouvée cons- tamment normale, aux deux premières périodes de la paralysie 'générale ; dans un autre tiers, api es une pér
ces troubles eux-mêmes. G. Derny. XVI II. Syndrome de Korsâkoffet paralysie générale; par le D DlmOUB.\IX. (JOUI'IL. de Neu
urologie, 1903, no 22.) On sail que quelques auteurs considèrent la paralysie générale comme un facteur éliologique du syndro
prcl1<ll e l'école. Traitement bromure et thyroïdien. L. W. XXV. Paralysie générale et hystérie ; par M..IOFFROY. (Bail. m
syphilitique. Les phénomènes hystériques ont disparu au cours de la paralysie générale ; d'ailleurs hystérie et démence sont
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XLI. Un symptôme rarement décrit dans la paralysie faciale périphérique ; par 1 ! . Cassirer. (Cen
excitation. Ce phénomène serait, il des degrés divers, propre il la paralysie faciale périphérique accompagnée de réaction dé
re des muscles paralysés. Une observation montre, qu'absent dans la paralysie faciale toute récente, il apparaît au bout de 1
s mains, émolivilé. Hérédité alcoolique. Fi. C. L. Observation de paralysie arsenicale ; par ,1. KRON. (Neurolog. Ceu trrr7
névrite rapide ; Pnrcsthésies, suivies de douleurs et finalement de paralysies avec atrophie. Début paralytique pres- que apop
uée d'une légère participation du s sLt'll1e nerveux cen- tl'a1. La paralysie arsenicale a, comme toujours, été bénigne ; elle
nicale a, comme toujours, été bénigne ; elle a, contrairement il la paralysie saturnine, porté surtout sur les extrémités inf
ie par le nez, parla bouche, les oreilles. Puis diabète in- sipide, paralysie du trijumeau, de t'oculomoteur externe, parésie
âne. l'. 11E12.4vAL. LXVI1. De la différence de pronostic entre les paralysies des plexus et celles des tronc des nerfs du mem
nt de la pa- ralysie des nerfs périphériques individuels, 38, de la paralysie par le plexus. Pour des causes diverses, l'aute
uteur ne relient que 47 pa- ralysies des nerfs périphériques, et 23 paralysies par le plexus brachial d'origine traumatique, à
, 34 % d'incurabilité. Pronos- tic extraordinairement favorable des paralysies du radial non seulement par compression, mais a
t par compression, mais aussi par fracture el cal épais. Sur les 23 paralysies du plexus brachial, G guérisons, 17 incura- lti
: 2(i ? tle gttirisons, Î1 V'iucural>iliLé. Ce clui faiL que les paralysies traumatiques des troncs nerveux périphériques o
te explication. 11 faut,conclut-il, se borner à consta- ter que les paralysies des plexus tiennent, quant aux chances de 320 R
celles, très favorables, par lésion des nerfs périphériques, et les paralysies d'un pronostic très de- favorable, dues il une
e sur les maladies du système nerveux à évolution chronique (tabès, paralysie générale), la ponction lom- baire amène quelque
progrès cliniques et anatomo-pathologiques faits dans l'étude de la Paralysie générale, il y a encore bien des points obscurs.
ue, chez qui survient, après une phase de douleurs en ceinture, une paralysie aiguë apoplectiforme, à évolution aiguë; puisqu
ntale normale se rétablit graduelle- ment ; on constate d'abord une paralysie de toutes les fonctions s mentales, les malades
. Reprise de la séance. Persistance des 11Cul'o-jiúrillesda)¡s la paralysie générale. Le Secrétaire général donne lecture d
; 2° les enfants atteints d'af- fections nerveuses accompagnées de paralysies , d'agitations ou de tremblements ; 30 les enfan
CHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Le réflexe lumineux dans la paralysie généràTÎ, Par le \)' E. 1.\1t\. : \))(). : \ lI
fet, avaient suivi Musch qui le premier étudia les réflexes dans la paralysie générale mais qui se borna ;i examiner une 'seu
xe toujours normal et combien toujours anormal. de l'éclosion de la paralysie générale à la mort,et aussi chez combien il y a
alité et à l'anormalité du réflexe : le réflexe lumineux dans I.1 paralysie générale, 1L) 420 CLI ? IQl E 11 ? l.\LE .Mai
onc d'en faire un groupe séparé : LE 1t11LI : \1 : LUMINEUX DANS LA PARALYSIE GENERALE. 421 probants en relevant les seules d
e ne pas croire il l'abolition d'emblée des réflexes iriens dans la paralysie générale. J'estime qu'elle est tou- jours précé
lissement précurseur de l'abolition est d'autant plus courte que la paralysie générale est plus avancée. Il nous est arrivé à
le nombre des constatations doit en donner d'autant moins que la paralysie générale est plus avancée. Enfin, ce tableau co
oujours il un moment ou il un autre de l'é- volution complète de la paralysie générale. 111. En embrassant comme dans la prem
n affai- blissement dont la durée est d'autant plus courte que la paralysie générale est il une période plus avancée. Les a
di- minuent en fréquence et en persistance avec les progrès de la paralysie générale pour disparaître complètement à la tro
s ; elle présente, en" outre, divers symptômes qui font craindre la paralysie générale. Un jour, celte malade Lente de se sui
ne jcune femme non syphilitique qui, après une diplégie totale avec paralysie des sphincters et anesthé- sie survenue rapidem
t, petit de ce côté. La lésion est bulbaire. bibliographie. 453 Paralysie bulbo-spinale asthénique. MM. OUf-MONT et Baudo
s, c'est la démence (il), en parti- culier la démence sénile, et la paralysie générale (25) qui on ! fourni le plus large tri
is, au-dessous; en décembre, 14 (minimum). Il ! ] décès, dont 28 de paralysie générale et 7 de tuberculose pulmonaire. ' Sur
(1889); La progression corrélative de la folie alcoolique, et de la paralysie générale(\889); Le criminel instinctif et les d
e Xeuilly, 91, rue Perronnet, 100 ? Marchand (1..), - Syphilis et paralysie . In-8" de 20 pages. Extl'. de la Presse Médical
13,%DE. Duché de -. Voir Alié- nés. BasEnow. Maladie de avec paralysie bulbo-spinale asthé- nique, par Brissaud et Bau
le, par Lé- pine, 447. Bulbe antirabique. Voir Dou. leurs. Voir Paralysie . CncFn. Un cas de - primitif de la colonne ve
Epilepsie. Délire alcoolique, mélancolie, tentative de suicide et paralysie générale chez le fils d'une mère alcoolisée, d'
namour, 311. Fnoin. Voir Nerfs. GIXGLIOX -\ sympathique. Voir Paralysie . Les altérations du rachidien chez les tabéti-
primi- tive ou précoce, par Bianchi- ni, 305. Histologie de la paralysie gé- nérale, par Debray, 295. Ilr;wrrwrov. Voi
uniquement à ce même côté par la malade, par Du- pouy, 263. Voir Paralysie générale. -Voir Angoisse. Hystériques. Le tra
igier, 65. L'étiologie de l'- simple comparée à l'étiologie de la paralysie infantile céré- brale, par Koenig, 24. i. Imp
a maladie de , par Soukhanoff et Bou- tenko, 63. Syndrome de et paralysie générale, par De- roubaix, 307. Kronthal. Cri
issl, 126. LANDRY. Anatomie pathologique et bactériologie de la paralysie ascendante de , par Nazari, 228. Lapin. Voi
culomoteur externe, . par Liass, 315. - du membre supérieur, Voir Paralysies ,- Voir Cellules motrices. Neurasthénie. Voir
sthénie. Voir Angoisse. NEUiIO-1-IBIIILLFS. Leslésions de dans la paralysie générale, par Ballet, 158. Persistance des da
s la paralysie générale, par Ballet, 158. Persistance des dans la paralysie généra- le, par Dagonet, 399. NEUHO'FIBHO\1.\
de la névrose de défense, par Strohmayer, 64 Oculomoteur. Voir Paralysie . OESOPH \GE, Voir Carcinome. Des corps étrang
BLE DES MATIÈRES. 505 lion* de la étranglée, par UlrtUoiF, 125. Paralysie , faciale périphérique due à un tibrosareome eng
'opération du -, par Hégnault. 316. Phosphate de créosote. Voir Paralysies . Pied. Voir Paralysie générale. Pigeon. Voir
gnault. 316. Phosphate de créosote. Voir Paralysies. Pied. Voir Paralysie générale. Pigeon. Voir Tractus. Pixel. Monume
he au niveau du ganglion spinal, par Wallenberg, 54. Plexus. Voir Paralysies . Poliomyélite subaiguë à type scapulo-huméral
achilléens dans le tabes, par Goldllam, 317. Le- lumineux dans la paralysie , générale par Marandon de Montyel,417. Région
- gique, par Siciliano, 228. - - : Un - rarement décrit dans la paralysie faciale périphérique, par Cassirer, 310 Syndr
61 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
, t. X. 4 Il PATHOLOGIE NERVEUSE. même la signala dans ses cas de paralysie bulbaire, qui, comme l'a démontré l'un de nous,
e thé- nar droite, augmentation des troubles de la parole. - Puis paralysie complète avec phénomènes spasmodiques qui dispa-
cou sont lents, la rotation est pénible. La parole s'embrouille, la paralysie et l'atrophie de la lèvre supérieure sont de pl
tié droite ( ? ? ). Léger tremblement à la pointe. Aucun signe de paralysie du voile du palais. La parole est de plus en pl
troubles bulbaires. Parésie puis- atrophie des membres supérieurs. Paralysie des membres inférieurs avec phénomènes spasmodi
chemin à pied sans diffi- culté et sans qu'on remarquât la moindre paralysie des membres. Pendant le séjour à Tenon, la fi
mbre postérieur où l'élongation du nerf sciatique il été faite, une paralysie plus ou moins mar- quée et persistante, et une
n, l'animal présentait plus ou moins deparésie et quelquefois de la paralysie . Cette dernière a toujours été observée après u
stagmus persiste encore, l'acuité visuelle est encore amoindrie, la paralysie de la convergence persiste pendant les mouvemen
die continuait, comme l'indiquaient parfaitement, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, le regard vague, l'exaltati
emblement pendant les mouve- ments intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, la paralysie de la converge
intentionnels, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, la paralysie de la convergence, l'insuffisance des droits in
is ce malade, et toujours j'ai constaté l'état suivant : nystagmus, paralysies associées des yeux, paralysie de la convergence
constaté l'état suivant : nystagmus, paralysies associées des yeux, paralysie de la convergence, insuffisance des droits inte
de tous ces symptômes. En effet, le regard vague, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, la paralysie de la converge
e regard vague, le nystagmus, les paralysies associées des yeux, la paralysie de la convergence, l'insuffisance des droits in
glions et sur quelques troncs nerveux en arrière. Il en résulte une paralysie complète de la queue, un trouble évident du mou
queue, du périnée, des surfaces postéro-internes des cuisses, de la paralysie des deux sphincters. Quand la section a eu lieu
ent), enfin de l'in- continence d'urine et une soudaine et complète paralysie de la jambe droite. Au moment de l'examen, il e
jambes avec douleurs lancinantes, convulsions de la jambe droite, paralysie complète de la vessie (écoulement inconscient d
des circonvolution cérébrales. Encéphale, 1883). P. K. V. SUR LES paralysies PROGRESSIVES ATROPHIQUES, LEUR NA- TURE central
s, que sur les organes centraux. L'auteur relate une observation de paralysie progressive atro- phique ascendante rapidement
roire qu'elle avait le plus méchant des'époux ». D. B. X. SUR LES paralysies ISOLÉES DES NERFS DU bras ET COM- binées DU bra
M. BERNHARDT. (Cen- tralbl. f. Nervenheilk. 1884.) Observation I. Paralysie isolée du muscle deltoïde gauche. Observation I
tion I. Paralysie isolée du muscle deltoïde gauche. Observation II. Paralysie isolée du nerf musculocutané droit. Observation
II. Paralysie isolée du nerf musculocutané droit. Observation III. Paralysie de Erb. OBSERVATION IV. Forme particulière de p
vation III. Paralysie de Erb. OBSERVATION IV. Forme particulière de paralysie du plexus brachial por- tant sur le nerf sus-sc
hésie sensorielle manque dans REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 101 la paralysie générale, chez les délirants non épileptiques,
noncée de M. WESTPHAL : Sur un cas de lésion spinale avec cécité et paralysie générale. Il s'agit d'un profes- seur syphiliti
été examinée. Peut-être, comme le veut Mendel, s'agissait-il d'une paralysie ascendante; dans ce cas, on trouverait des alté
. M. JasrnowrTZ insiste sur la production, en des cas pareils, de paralysie des cordes vocales. M. REliAI{ ajoute à l'obser
tabès observé par lui pendant un temps assez long, et compliqué de paralysie des muscles de l'oeil, le premier symptôme de l'a
scles de l'oeil, le premier symptôme de l'affection spinale fut une paralysie unilatérale du muscle crico-aryténoidien postér
avail récent de M. F. Krause, qui rattache la plupart de ces cas de paralysie à une contracture des adducteurs des cordes voc
munication de M. Thomsen avec présentation de malade, sur un cas de paralysie de l'oculo-moteur commun à retours pério- dique
ie de l'oculo-moteur commun (avec immobilité raide de la pupille et paralysie de l'accommodation). Début à l'âge de cinq ans,
inq ans, retour une fois ou deux par an (mai-octobre), finale- ment paralysie complète. L'accès est précédé de céphalalgie, nau
vec strabisme divergent très accusé. En trois à quatre semaines, la paralysie rétrocède. Nulle autre anomalie oculaire. L'ora
autre anomalie oculaire. L'orateur en a observé deux accès. Chaque paralysie s'accompa- gnait parallèlement de rétrécissemen
retour à la nor- male sont en rapport direct avec l'intensité de la paralysie . L'acuité centrale se comporte à peu de chose p
ralysie. L'acuité centrale se comporte à peu de chose près comme la paralysie et le champ visuel. Le rétrécissement se montre
n rapport entre les deux affections. L'orateur met en relief que la paralysie de l'oculo-moteur commun est survenue en des ci
d'une forme toute particulière d'hémicrdizie. Dans un autre cas de paralysie périodi- que de l'oculo-moteur commun, il a vu
romener sans se heurter partout. 11 a observé plusieurs fois de ces paralysies de l'oculo-moteur commun rapidement passagères,
usivement de l'astigmatisme, vu ses allures et ses rapports avec la paralysie en question. Réplique de M. HmSCHBEItG, qui se
substance cérébrale, qui ont été le plus souvent signalées dans la paralysie gé- nérale, la manie, la mélancolie, l'idiotie,
ologiste et en clinicien expérimenté. C'est ainsi notamment que les paralysies toxiques, la crampe des écrivains, la névrite s
iedreich). Enfin, l'étude des lésions hémi- latérales de la moelle ( paralysie spinale de Brown-Séquard) scra, croyons-nous, f
logie de la moelle allongée ; aussi l'exposé des formes rares de la paralysie bulbaire chronique et de l'ophLl1almoplégie pro
ions de l'enfance; 2° la danse de saint Guy ou petite chorée; 3° la paralysie agitante; 4° l'athétose; 5° la tétanie; 6 le téta
il la rapprocher des accidents analogues que l'on observe dans la paralysie générale ou dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE
ite des accidents bulbaires. Mais il y a eu toujours auparavant une paralysie des membres avec contrac- ture souvent très mar
2e édit., p. 240. 2 Déjerine. -Etude anatomique'et clinique sur ta paralysie labio-glosso- larngée.(Arcla. de physiol., 1883
eures, affecte ensuite les inférieures et enfin se termine par la paralysie bulbaire » ; aussi l'auteur, tout en avouant qu
ervation comme un fait à part qu'il propose de désigner du nom de paralysie bulbaire amyotrophique spasmo- dique. Leyden
, paraissant par accès périodiques de plus en plus graves. En plus, paralysie des membres inférieurs avec incontinence d'urin
plus il a perdu le souvenir du temps qui s'est écoulé depuis que la paralysie l'a frappé. Il se croit à Saint-Urbain, veut re
ification de la mémoire parait plutôt due à une anesthésie ou à une paralysie de ces cellules qu'à un défaut d'harmonie dans
maladie, soit dans le cours de la première période du tabes. Cette paralysie guérit habituellement. Archives, t. X. 15 226
XVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\ MARCHE ascendante, rappelant la paralysie ascendante aiguë ; pal'l\l. BARTII, médecin des h
guë, puis des fourmillements dans les extrémités, enfin survint une paralysie d'abord des jambes, puis des bras, sans contrac
des hôpitaux (Fr. méd., 4 884, 1.) 1 Limitée au mouvement, cette paralysie ne dure guère que vingt- quatreheures. L'âgede
comprend pas le syndrome REVUE DE pathologie NERVEUSE. 229 de la paralysie spinale spasmodique. Parmi ces cinquante ma- la
t en état de parésie, mais l'anesthésie dépassait les limites de la paralysie et s'étendait du côté gauche seulement sur le t
teur met en relief un mode d'accès d'épilepsie, consis- tant en une paralysie pure, momentanée, sans aucun trouble de la conn
utres troubles nerveux, souvent tout à fait passagers (convulsions, paralysies , sopor, vertiges, hyperes- thésies, anesthésies
ES CELLULES NERVEUSES ganglionnaires DE l'écorce DU CERVEAU DANS LA PARALYSIE PROGRESSIVE DES ALIÉNÉS; par E. MENDEL. (Neurol
surtout chez les vieilles gens ; leur noyau est ellipsoïde. Dans la paralysie générale à évolution courte, il n'existe pas d'
pas d'altérations cellulaires ; pour qu'elles existent, il faut une paralysie générale ancienne, avec démence avancée et phén
. VIII. L'importance DES altérations ANAT011fOPATHOLOGIQUES DE la paralysie progressive DES aliénés dans LEURS rapports ave
ques et leurs formes différentes. Ainsi, les lésions communes de la paralysie générale entrai- nent une hyperpression de la p
l ? i ? Ir', l' mort, hyperthermie à 42,1f-) : 'm OBSE3VATION VIII ( paralysie , ? i ? 1 h"I't ? 1fd ? ,')" : trrl' ,t'l, P,11
l'idiutie., Quant aux troubles de 'la' parole qui rappellent la> paralysie générale, trouvés 'chez un groupe d'épileptique
bopementsyltabiquo ; l'écri- ture offrait tous les caractères de la paralysie générale.. · SOCIÉTÉS' SAVANTES. 253 "Autres
gers, troubles qui peuvent affecter les formes de convul- sions, de paralysie , assoupissements, vertiges, hyperesthésie, anes-
rg j'ai, pendant le stade de sopor d'une épilepsie symplomalique de paralysie générale, vu s'effectuer aussitôt une mydriase
l11bre'188. on constate d'abord une aphasie indéniable typique avec paralysie adroite. Ces symptômes rétro- cèdent, et il s'i
EL. Sur les cellules nerveuses ganglionnaires de l écorce , dans la paralysie progressive des aliénés, ? Ce mémoire déjà publié
\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q \ "...... 1 F 1 auteur a établi que. la paralysie générale se traduit par - ') ? Un agrandissemen
ence. » La décision complète de la question sur l'existence de la paralysie spastique comme une forme spéciale doit apparte
ès ses particularités cliniques le cas de M. Morgan n'a rappelé une paralysie spastique, excepté l'allure du malade, dont l'o
, quelques observateurs ont fait des descriptions de pareils cas de paralysie spastique; où, à l'autopsie, on a pu constater
En considérant toutes les remarques faites plus haut, et les cas de paralysie spastique accompagnés d'examen anatomique qui o
s paroles de M. Charcot qui dit, au sujet du tableau clinique de la paralysie spastique, que nous rappelons ce que les auteur
it, Ollivier (d'Angers) qui le premier a décrit les symptômes de la paralysie spastique, la considère comme une espèce de myé
sse affirmer la supposition de M. Erb de la nature anatomique de la paralysie spastique; 2) On trouve l'ensemble des symptôme
oixante-cinq jours très malade, a déliré pendant deux jours, pas de paralysie ni de con- vulsions. Pas de croûtes, de dartres
. Gâtisme invétéré, onanisme par inter- valles. Marche bien, pas de paralysie . Pas d'épilepsie. 1879. Novembre. P.oids, 14 4
chéance physique et intellectuelle : idiotie com- plète, épilepsie, paralysie , tuberculose, maladie dont la rela- tion avec l
t moral, les troubles fonctionnels si communs chez les hystériques, paralysies ou contractures, tics, névralgies diverses...
érale et viscérale, anes- thésie, hyperesthésie, ou de la motilité, paralysies , contrac- tures, peut être le point de départ d
es de la jamhe gauche. 9 décembre. L'anesthésie a disparu avec la paralysie par suite de l'électrisation aidée de» suggesti
issaient pas liés à des lésions profondes du système ner- veux. Ces paralysies ont pour caractère d'être passagères, incomplèt
nt suffisait pour en provoquer le retour. Il n'y avait pas trace de paralysie dans l'intervalle ; l'intelligence était intacte
ous forme d'ictus apoplectique ou d'attaque convulsive, suivis de paralysie intéressant le plus souvent toute une moitié du
epuis trois à quatre ans quand . elle fut frappée brusquement d'une paralysie de tout le côté gauche du corps. La paralysie s
pée brusquement d'une paralysie de tout le côté gauche du corps. La paralysie se dissipa assez rapidement, et la malade, tout
érit par l'emploi des douches. Ce phénomène doit être rapproché des paralysies mobiles et passagères de la troisième paire, si
uses des troubles de nutrition dans la folie systématique aiguë, la paralysie générale, la méningite chronique, les névroses
ain, température un peu plus élevée àgauche. -Autopsie. C'est une paralysie générale avec foyer de ramollissement occupant le
1. L'auteur appelle l'attention sur les allures du globe oculaire ( paralysie du nerf oculo-moteur externe gauche et du muscl
lo-moteur externe gauche et du muscle droit interne droit) ; sur la paralysie de .l'hypo- glosse droit, tandis que les autres
nerfs crâniens étaient exclu- sivement paralysés à gauche ; sur la paralysie des extrémités du côté droit qui ne fut complèt
incohérent, agité et a des idées de persécution, aucun symptôme de paralysie n'est signalé avant son entrée. IL est arrivé g
spinales; par M. BRAUBACH. (Arch. f. Psych., XV, 2.) Observation : Paralysie des extrémités inférieures, anesthé- sie extrêm
ne qui porte préjudice aux conclusions. P. K. XL VI. Cas guéri DE paralysie DE L'OCULO-MOTEUR externe avec diabète sucré; p
nt l'intérêt réside dans la coïncidence exacte du dia- bète avec la paralysie , celle-ci disparaissant au moment même où dispa
bre extrêmement petit a moins de trente ou plus de soixante ans. La paralysie générale, chez les individus très jeunes, ne re
iliaire, mais elle suit une marche tout spécialement pernicieuse.La paralysie générale est bien moins héréditaire que les aut
il s'écoula cinq à vingt ans entre l'infection et l'explosion de la paralysie générale; résultat nul du traitement antisyphil
de semblables paralytiques avait subi l'action d'autres causes de paralysie générale. Il est rare qu'on soit amené à discuter
PATHOLOGIE MENTALE. fluence d'une psychose primitive comme cause de paralysie générale; pour l'affirmer, i ! faut que la para
comme cause de paralysie générale; pour l'affirmer, i ! faut que la paralysie générale succède directement à un trouble menta
t alors, si ce dernier existe depuis longtemps, on peut dire que la paralysie géné- rale en est la complication, s'il n'exist
n est la complication, s'il n'existe que depuis peu, on dira que la paralysie générale a pris à son début le masque de la psy
ve; mais que dire, lorsqu'il y a eu entre une psychose simple et la paralysie générale un intervalle normal de plusieurs anné
la paralysie générale un intervalle normal de plusieurs années ? La paralysie générale chez la femme est six fois moins fréqu
s qui est ici surtout en jeu. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 419 La paralysie générale offre, comme altération la plus cons-
s). Pas de multiplication des cellules-araignées. Conclusion : La paralysie générale est une encéphalite diffuse de l'écorce
ique ne peutpas être supprimée; défavorable surtout dans les cas de paralysie générale avec complications organiques graves;
t cependant on ne constata ni spasmes localisés, ni convulsions, ni paralysie ; l'impossibilité de se tenir debout, constatée
tûmes cérébraux bien accusés n'ont été nulle part accompagnés d'une paralysie rigoureusement localisée. R. M. C. REVUE DE THÉ
a-t-il des formes mentales caractéristiques héréditaires ? De la paralysie générale. La paralysie générale a été étu- diée
ales caractéristiques héréditaires ? De la paralysie générale. La paralysie générale a été étu- diée comme une maladie indi
ont fait intervenir l'hérédité congestive : depuis, on a admis des paralysies générales d'origine vésanique; aujourd'hui, au
aujourd'hui, au point de vue de la cause, on admet,trois espèces de paralysies générales : spontanées, congestives, vésaniques
es : spontanées, congestives, vésaniques.On a dit, de plus, que ces paralysies générales héréditaires avaient comme caractères
otie, pourquoi n'y a-t-il pas une imbécillité, comme nous avons une paralysie générale avec des caractères essentiels, consta
s essentiels, constants, toujours les' ` mêmes ? C'est que, dans la paralysie générale, la lésion orga-' nique est une et ide
ies aiguës; M. Foville ' a signalé consécutivement à la variole des paralysies généralisées suivies de guérison. Ce ne sont poin
s fébriles sur le cerveau; c'est plus particulière- ment les cas de paralysie ou de dégradation intellectuelles consécutifs a
Marie 8 et beaucoup d'autres ont successivement poursuivies sur les paralysies consé- cutives aux maladies aiguës. M. Landouzy
les pour tous, donnant lieu soit à des vices de conformation, à des paralysies de la motilité, de la sensibilité générale ou d
3 Roger et Damaschino. Recherches accatonzo-patleoloyiyzces sur la paralysie spinale de l'enfance. (Gaz. illid. de Paris, 1871
. Déjerine. Recherches sur tes lésions du système nerveux dans la paralysie diphthéritique ; (arch. de phys. 1101'm. et path.
. - Sclérose en plaques... Progrès médical, 1884. » Landouzy. - Des paralysies dans les maladies aiguës, 1880, p. 312. SOCIÉTÉ
nna un succès complet. Sur le tabou- ret électrique disparaît toute paralysie du mouvement et de la sensibilité; en même temp
ant-bras droit. Le transfert s'opère avec une symétrie parfaite. La paralysie de la sensibilité, du mouvement, a passé de dro
al lui sont absolument inconnus. Cinquième état. - Absence de toute paralysie et anesthésie. Obtenu par le bain électrique ou
l'aimant sur la partie antérieure de la tête. Débarrassé de toute paralysie , le sujet est remarquable d'adresse et d'agilit
nde attaque d'hystéro-épilepsie. Sixième ÉTAT. - Absence de toute paralysie et anesthésie. Obtenu par l'application d'un ba
entre les troubles centraux et périphé- riques ou plutôt entre les paralysies par simple affaiblissement des conducteurs volo
résultat négatif. M. OEBEKE. L'hérédité joue un faible rôle dans la paralysie générale. Cette question comporte deux points d
et celle de transmettre. Les femmes transmettent plus facilement la paralysie générale; les hommes en sont plus aisément atte
urface de la peau. Eh bien, quand il existe une predisposition à la paralysie générale, ou à une affection organique du cerve
elle de cette dernière. C'est alors que la diathèse sedénoue en une paralysie générale àlaquellele traitement anti- syphiliti
s de 1 p. 100. En tout cas, il est clair que la syphilis a, dans la paralysie générale, plus d'importance que dans les autres
Si la syphilis jouait un aussi grand rôle dans la production de la paralysie générale on devrait observer celle- ci plus fré
hapitre syphilis. M. HURLE. La syphilis se comporte vis-à-vis de la paralysie générale, comme vis-à-vis de la dégénérescence
ancolie, plus rares encore de folie systématique, infinitésimaux de paralysie générale typique.. ' M. SCHUCHARDT. Quelques ob
la première, l'auteur soutient que la lésion caractéristique de la paralysie générale porte sur les /tores nerveuses à myéline
bien plus caracté- ristique que les autres lésions attribuées à la paralysie générale. notamment l'atrophie cérébrale, l'inf
manie, de mélancolie, de délire des persécutions, d'érotomanie, de paralysie générale. Le nombre restreint de faits recueillis
iques d'origine nerveuse; par J. WmL. (Thèse de Paris, 1885.) Des paralysies traumatiques d'origine périphérique ; par IL FAU-
par E. 13H;LUZe. (Thèse de Paris, d875.) Contribution à l'étude des paralysies dans l'urémie ; par BERNARD. (Thèse de Paris, 1
Nous citerons parmi les travaux qu'il a publiés : Recherches surlea paralysie générale progressive, thèse, 1849; - De l'a- al
phie), 230. lyélopathie aiguë à marche ascen- dante, rappelant la paralysie as- cendante aigué, par Barth, 226. Névrite m
inale par excitation du sympathique, 225. , Oculo-iholeur commun ( paralysie périodique du), par Thomsen, 119. Oculo-mot
ralysie périodique du), par Thomsen, 119. Oculo-moteur externe ( paralysie de l' ;, guérie chez un diabétique, pur Lands
l'encéphale), par Richter, 267. , Paratdehyde,parDenda,t07,249. Paralysie générale (état des cellules nerveuses dans la),
les nerveuses dans la), par \Iendel, 232; par Meudet, 23,, 270. Paralysies isolées des nerfs du bras, et combinées du bras
62 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vement et par suite de l'exécuter; cliniquement on constatera de la paralysie . Cette étude de pathologie nerveuse nous amène
atteinte=. Ce symptôme ne manque également presque jamais dans les paralysies d'ori- gine corticale. , Y a-t-il lieu d'attr
pharyngien étudiés chez les mêmes malades aux trois périodes de la paralysie générale; par nI. DIAR1NUON de 10 ? TYIL. (Presse
relative aux diverses périodes et dans les diverses formes de la paralysie générale; il étudie aussi les relations de ces al
s (dans plus des deux tiers des cas), à la pre- mière période de la paralysie générale, et, par la suite, il est très utile d
es ne fournissent aucune indi- cation relative au pronostic dans la paralysie générale et il n'est pas vrai que la conservati
uver tous les trois plus ou moins altérés. A. FENAYROU. VI. De la paralysie générale progressive des aliénés chez la femme;
es ; une paralytique générale pour onze femmes. Accroissement de la paralysie générale. 48 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. éta
nt plus que les hommes paralytiques ; 2° le rapport numérique de la paralysie générale chez l'homme et chez la femme dépend d
s moyennes. Cela a été l'inverse pour l'homme ; aussi chez lui la paralysie générale a-t-elle commencé en haut de l'échelle s
e paralytique pour deux paralytiques généraux ; 5- les causes de la paralysie générale sont les mêmes chez l'homme et la femm
particularités signalées plus haut donnent à l'image clinique de la paralysie générale chez la femme un cachet spécial; 7° la
a, dans ces dix dernières années, subies le tableau clinique de la paralysie générale des aliénés ; par E. NENDEL. (New'olo[
les huit der- nières années. On ne trouve d'ailleurs plus dans les paralysies gé- nérales typiques les idées de grandeur au^s
es se bornent à des vertiges, ou qu'elles ont lieu la nuit. 4° La paralysie générale, plus clémente, est aussi plus fréquente
a maintenant une femme paralytique. 5° Fréquence ascendante de la paralysie générale et du tabes REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
de l'âge n'a pas varié, on constate une exigé- ration extrême de la paralysie générale chez l'enfant ou le jeune homme au-des
ision, aux lésions sy- philitiques du système nerveux, celles de la paralysie générale ! 7° La progression de la fréquence do
janv. 1899.) E. B. XI. Pachyméningite hémorragique ayant simulé une paralysie générale; par le DrBoURDIN. (Annales rnédiCO-PS
rmi les maladies qui simulent le mieux, sinon le plus sou- vent, la paralysie générale, la pachyméningite doit être placée au
oit propre et, en ce qui a trait au diagnostic différentiel avec la paralysie générale, l'erreur peut résulter encore de la s
: 1° La gravité des ictus et même des vertiges ; ceux-ci, dans la paralysie générale, où ils se montrent surtout au début, so
« la constatation d'un trouble fonctionnel du cerveau, anesthésie, paralysie , convulsions, qui, de par sa persistance doit ê
t réparer le mal qu'il a causé à la société. A. LB\A71toU. IX. La paralysie générale au point de vue médico-légal; par M. le
es. IL DE Musgraye-Clay. XIX. Etude clinique de vingt-quatre cas de paralysie agitante, avec quelques remarques sur le traite
point de vue clinique à la description que Parkinson a donné de la paralysie agitante en 1823, et ce que l'auteur se propose
ture du crâne, avec phénomènes de compression et con- sécutivement, paralysie , crises épileptiformes ou coma; 2° les émor- rh
au voisinage de la protubérance et du cervelet; d'autre part, la paralysie partielle de la face et du bras, la forme Jackson
inférieurs, vomissements, hoquet incoer- cible, refus des aliments, paralysie du bras droit, cécité, photo- phobie, etc. L'hy
es affections organiques congénitales des centres nerveux, idiotie, paralysie , épilepsie, hémi- plégie cérébrale infantile.
èrent beaucoup pen- dant les derniers jours de sa maladie, quand la paralysie des musclcs du pharynx vint s'ajouter à l'ataxi
aladie devient alors fréquemment absolument semblable à celui de la paralysie générale. Il existe peut-être même des cas où l
dans lequel on aurait trouvé à l'autopsie les signes typiques de la paralysie générale, ajoutant qu'un cas semblable aurait é
lifération des cellules araignées, comme on le voit souvent dans la paralysie générale. Facklam non plus. Je reviendrai tout
oposition analogue, en montrant les analogies qui existent entre la paralysie générale et la chorée héréditaire. Les deux mal
qu'on a voulu faire de la psychose choréique de IIuntington avec la paralysie générale, en l'appelant Démence choréique suiva
ladies au point de vue étiolo- 118 PATHOLOGIE NERVEUSE. gique. La paralysie générale, en effet, est une psychose essentiell
nerveux. Il ne convient donc pas de la mettre en parallèle avec la paralysie générale et je pense qu'on fera bien de s'en te
ais aux familles des cérébraux, et s'il existe une hérédité pour la paralysie générale, ce n'est point l'héré- dité vésanique
lades sont voués à une classe de maladies spéciales en raison de la paralysie générale de leur père ou de leur mère, ce n'est
'est point nécessaire en somme de séparer d'une façon si absolue la paralysie générale des autres vésanies. Telle est l'opini
nces congestives. Nos conclusions seront toutes différentes. , La paralysie générale ne differc pas essentiellement des . a
lacer l'hérédité alcoolique. M. Ma- gnan, du reste, a prouvé que la paralysie générale peut être l'aboutissant de l'alcoolism
voulu dans ce travail étudier les relations de la syphilis et de la paralysie générale. C'est une question assez importante p
dité vésanique se place im- 132 ACTUALITÉS. médiatement après. La paralysie générale rentre donc dans le cadredes autres vé
s (C.-S. Freund), et quant aux symptômes sensitifs, et quant à la paralysie de la vessie, quant aux troubles rectaux. La dimi
ques des petits muscles des mains; cela a suffit pour empê- cher la paralysie spasmodique des extrémités inférieures de se pr
F. IX. 1898.) Voici un malade mort dans le cours du 3° stade d'une paralysie générale de longue durée. Dans le bulbe et au n
nuels : MM. SEMELAIGNE et SOLFIER. De l'atrophie du cerveau dans la paralysie générale. M. Brunet donne lecture d'un mémoire
'où il résulte que l'atro- phie du cerveau serait constatée dans la paralysie générale lorsque cette affection suit sa marche
braux qui existe chez plus de la moitié des individus atteints de paralysie générale. - M. Brunet a pesé l'encéphale de 313
ammes, inégalité qui ne se rencontre guère que dans l'épilepsie, la paralysie générale et cer- taines lésions locales. Cett
ale et cer- taines lésions locales. Cette inégalité tient dans la paralysie à ce que le processus inflammatoire auquel elle
elui-ci de 22 grammes Ce fait s'explique par le développement de la paralysie générale chez des individus atteints d'hypermég
larger, que le poids moyen du cervelet n'était pas augmenté dans la paralysie générale. M. TOULOUSE répond que dans la statis
s la démence sénile elle s'élève à 1276 grammes, tandis que dans la paralysie générale elle n'atteint que 1218 gr. 1. Marcel
l de la vision chez ce malade a montré qu'il ne s'agissait ni d'une paralysie ni d'une contracture des muscles droits inférie
trouble psychique ou somatique ait pu faire porter un diagnostic de paralysie géné- rale. 11 s'agit donc chez ce malade d'u
ne signalé ne peut pas être considéré comme un signe prodromique de paralysie générale, pas plus qu'il ne pense que le malade
conscrite, ou d'une syphilis cérébrale plutôt qu'en faveur d'une paralysie générale. Tumeur du corps calleux. M. Touche.
de la tête et des yeux du même côté. Dans l'intervalle des crises : paralysie faciale inférieure gauche avec déviation de la
la folie délirante. Quelquefois même, la phtisie se termine par la paralysie générale ; -, 2° Les troubles mentaux et la tub
ents territoires sensitifs ou sensoriels, ils ont déterminé la même paralysie que par la destruction des centres kinesthésiques
ues eux- mêmes. M. J. Soury incline à croire avec Bastian que les paralysies hys- tériques sont dues à des spasmes vaso-mote
complète de l'activité fonctionnelle de cette région et partant la paralysie de la motilité ou de la sensibilité. Ces mala-
ation de M. Magnan. Il admet' comme limites extrêmes d'âge, dans la paralysie générale, 35 et 4 ! ) ans ; ces limites sont be
se spontanée; elle a eu de nombreuses attaques de contracture ou de paralysie transi- toires. Elle est d'ailleurs- facilement
aire des quatre membres et de la face est par- faite ; pas trace de paralysie ni de parésie ; la force musculaire est bien co
comme accidentelles. En revanche, celles qui se rencontrent dans la paralysie générale et l'épilepsie, sont en rapport direct
symptômes apparaissent à graduellement. l'improviste. Absence de paralysies , parésies, Il existe des paralysies, paré- cont
ement. l'improviste. Absence de paralysies, parésies, Il existe des paralysies , paré- contractures, épilepsie, chorée ou sies,
sie ; il en a été de même après une crise convulsive au cours d'une paralysie générale. L'excès d'acide urique a été fré- que
yspeptique. On a trouvé de la peptonurie deux fois sur douze cas de paralysie générale. Sur les 202 cas observés, l'albumine a
VI. Les points de différenciation entre la syphilis cérébrale et la paralysie générale des aliénés ; par Iiocx T. PATRICK. (The
t oublieux; pour la moelle, il a mal au dos, il boite; il y a de la paralysie des jambes et de la vessie, de l'hyperesthésie
ues. ' R. DE nIUSGR.IVE-CL : 1Y. XLI. Le diagnostic précoce de la paralysie générale' (démence progressive); par B. S.\CHS.
) Les conclusions présentées par l'auteur sont les suivantes : La paralysie générale ou mieux encore la démence paralytique
eur conseille une étude très attentive de la période initiale de la paralysie générale et recommande de ne pas perdre de vue
dans l'analyse de son travail la dénomination, plus habituelle, de paralysie générale. zu SOCIÉTÉS SAVANTES. toute autre v
sence des symptômes communément regardés comme apparte- nant à la paralysie générale n'implique pas nécessairement l'existe
ndrome de Weber, ainsi caractérisé : une hémiplégie gauche avec une paralysie complète et totale de la troisième paire droite
isième paire droite, d'une part, et une hémiparésie droite avec une paralysie partielle et incomplète de l'oculo-moteur com-
mbreder- nier une fracture des troisième et quatrième dorsales avec paralysie sensitivo-motrice complète etflasque, rétention
le par les professeurs Joffroy, Vignes, Kirmisson, à la suite d'une paralysie pottique grave par Vincent, de tumeurs des méni
combinaisons stables et pro- duisent la perte de connaissance et la paralysie . On obtient un phénomène comparable à l'interfé
réflexes cutanés sont plutôt exagérés. Inté- grité des sphincters. Paralysie complète des muscles des yeux pour les mouvemen
d'abord de l'ataxie et de la parésie des extrémités, ensuite de la paralysie faciale et de la titubation. Un mois plus tard
mais faibles. L'auteur attire l'attention sur la forme spéciale des paralysies oculaires chez son malade ; on les rencontre ra
à une malade qui fut atteinte de céphalées inten- ses et ensuite de paralysie de la sixième paire droite. La paralysie céda a
s inten- ses et ensuite de paralysie de la sixième paire droite. La paralysie céda au traitement par le K. J. Le mari de la m
lade dans l'espace de trois-quatre jours des phénomènes bulbaires : paralysie de la déglutition, respiration fréquente, palpi
ions, pouls petit faiblé 120, cyanose des extrémités et de la face, paralysie faciale supérieure bilatérale, paralysie du voi
extrémités et de la face, paralysie faciale supérieure bilatérale, paralysie du voile du palais avec perte des reflexes de c
, paralysie du voile du palais avec perte des reflexes de celui-ci, paralysie de la langue. Légère parésie du bras 262 SOCIÉT
titubation très accusée. Température 38,6-38,7. Pouls 110. Ensuite paralysie du voile du palais, au bout de trois jours para-
des grandes articulations aux petites; deux-trois jours plus tard paralysie faciale bilatérale inférieure et supérieure. La c
llules nerveuses, de la cel- ule pyramidale en particulier, dans la paralysie générale. (Annales médico-psychologiques, 1898,
896, 2° année.) Azoulay et KLIPPEL. Des lésions histologiques de la paralysie générale étudiées d'après la méthode de Golgi.
mars, n° 88.) KurpEL (et A70ULY). - Des lésions histologiques de la paralysie générale étudiées d'après la méthode de Golgi.
observation dont l'auteur tire les conclusions suivantes : dans la paralysie générale, on peut voir se former dans la moelle
et lombaire. Les hétéropies ne sont pas non plus une rareté dans la paralysie générale, et quelquefois, comme dans le cas act
aux inférieurs; quand la tête est tournée vers le côté où existe la paralysie ou en général quand il y a contracture des musc
and il y a contracture des muscles du cou et de la nuque ; quand la paralysie des bras est plus accentuée que celle des membres
ra presque simultanément et ne se manifestera que tardivement comme paralysie véritable. Enfin, on soupçonnera une tumeur de
pçonnera une tumeur de la partie postérieure du corps calleux si la paralysie commence par les membres inférieurs, si le facial
es éléments nerveux, comme par exemple dans la période ultime de la paralysie générale, le poids spécifique descend beau- cou
aigu, la folie épileptique alcoo- lique, la période congestive delà paralysie générale, le poids spé- cifique de l'écorce cér
e l'activité du coeur, l'hypérémie artérielle reparait par suite de paralysie ou de parésie des vasoconstricteurs du cerveau.
contraction palpébrale. Voici par exem- ple une malade atteinte de paralysie de l'oculomoteur commun du côté gauche depuis d
II, fascicule 14 (juin 87 et janvier 88). 11 s'agissait d'un cas de paralysie périphérique incomplète, par lesion osseuse, de
les autres mouvements des pupilles étant perdus, de distinguer une paralysie périphérique d'une paralysie centrale. En mai 1
pilles étant perdus, de distinguer une paralysie périphérique d'une paralysie centrale. En mai 1890, Fortunati le retrouvait
a- tions. Pas d'examen histologique. G. D. VIII. Les anesthésies, paralysies et amyotrophies en tranches et la théorie métam
e jacksonienne d'ori- gine hystérique. G. D. XI. Diagnostic de la paralysie bulbaire chronique progressive ; par W. IoSEE.
ons de Duchenne et de Charcot, l'auteur critique la dénomination de paralysie labio-glosso-laryngée, aujourd'hui d'ailleurs d
bles pharyngiens et termine par le diagnostic différentiel avec les paralysies pseudo-bulbaires, les tabès spamodiques, les chor
tion en augmentant la suggestibilité des sujets. A. FENAYMU. XXV. Paralysie bulbaire asthénique, avec l'observation d'un cas
ides difficile, les liquides passent par le nez. Constatation de la paralysie de la corde vocale gauche. Tronc et extrémité
note la participation de la branche motrice du cin- quième nerf; la paralysie faciale d'un côté et la parésie de l'autre, don
ostic. -La différenciation doit être faite particulièrement avec la paralysie pseudo-bulbaire et la paralysie bulbaire dégéné-
être faite particulièrement avec la paralysie pseudo-bulbaire et la paralysie bulbaire dégéné- rative vraie. Le diagnostic
la paralysie bulbaire dégéné- rative vraie. Le diagnostic avec la paralysie pseudo-bulbaire est plus difficile à cause de l
à cause de l'absence d'atrophie dans les deux cas. Le diagnostic de paralysie bulbaire vraie repose sur les caractères suivants
paralysie bulbaire vraie repose sur les caractères suivants de la paralysie bulbaire asthénique : ., Etat de la langue pui
anisme. Absence de troubles sensitifs ou sensoriels. POUL1RD. XXVI. Paralysie bulbaire asthénique ; par Wharton SrNKLER. . (J
permettre la vision. Face sans expression, comme un masque. Pas de paralysie des muscles de la face, ni de 31 : .r REVUE DE
ras), est très caractéris- tique de l'affection et la distingue des paralysies bulbaires orga- niques. Dans les antécédents
développement dans les tractus moteurs de la moelle et du pont. La paralysie bulbaire asthénique aurait dans ce cas profité,
aucune action sur la motilité, car on ne constate aucune espèce de paralysie . Ce fait montre que la chromatolyse n'est pas n
s 57 cas ; ataxie dans 24 ; engourdissement des extrémités dans G ; paralysie de la vessie dans 5 ; nausées, vomissements et
trophie optique le signe de Romberg existait en dépit de la cécité. Paralysie des muscles de l'oeil : dans 33 cas. Signe d'Argy
ement circonscrite, et qu'il est exceptionnel de rencontrer dans la paralysie générale. L'examen anatomique montre une méning
FFROY. 11 y a souvent discordance entre l'étendue des lésions de la paralysie générale et le degré minime des symptômes; et l
récente, plus graves que ceux de l'aliénation chronique, et ceux de paralysie générale presque toujours mortels, sont beaucou
extrémités de la face et de la langue. Un officier est atteint de paralysie à droite n. abducentis. On le traite par les in
les injections sous-cutanées de mercure et les manifestations de la paralysie n. abducentis, ne s'affaiblissent pas du tout.
la syphilis par les injec- tions sous-cutanées de mercure, gagna la paralysie du côté gauche, n. abducentis ; il entra à l'hô
jections mercurielles sous-cutanées ; mais les manifestations de la paralysie sont stationnaires, etc., etc. Et vraiment, pre
ptions motrices; en effet, dans la dernière observation de 1897, de paralysie générale avec trouble du sens musculaire à form
première année de sa vie, a fait une chute ayant laissé après elle paralysie et accidents convulsifs. L'examen du crâne prat
che. Le sens musculaire est le plus fortement atteint, et, comme la paralysie , le trouble de la sensibilité est surtout marqué
s inférieur des ascendantes, que trahissent les convulsions et la paralysie du membre inférieur et de la face. C'est bien la
un trai- tement antisyphilitique. Quand l'ataxie se complique de paralysies , on voit la paralysie, débutant par les membres
syphilitique. Quand l'ataxie se complique de paralysies, on voit la paralysie , débutant par les membres inférieurs, envahir l
a guérison, soit jusqu'à la mort. Celle-ci est la conséquence de la paralysie des muscles du tronc et des extrémités. Il peut
ysie des muscles du tronc et des extrémités. Il peut arriver que la paralysie , après avoir épuisé tous les muscles jusqu'à la
cornes antérieures de la substance grise. Ainsi s'expliquent les paralysies par endartérite de la grande artère spinale et le
rition de troubles trophiques sous forme d'une eschare. ' P. LXX. Paralysie du plexus brachial par compression; par le Dr W
nsky. (The journal of neuuous and mental diseuse, novembre 1899.) Paralysie du plexus brachial des deux bras par compression.
fs. Excitabilité faradique perdue pour les neris et les muscles. La paralysie a duré trois mois. Cause : Paralysie survenue a
les neris et les muscles. La paralysie a duré trois mois. Cause : Paralysie survenue après ablation d'une tumeur abdo- mina
nce après cette limite. Il résulte de cette division qu'un cas de paralysie générale, selon qu'elle surviendra avant ou apr
as relevés par M. Souques dans la littérature rapprochés des cas de paralysie générale conju- gale et de ceux où l'un des con
vé aussi deux fois des conjoints atteints l'un de tabes, l'autre de paralysie générale; j'ai vu enfin récemment une femme att
e paralysie générale; j'ai vu enfin récemment une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de l'atrophie papil- lai
dont le mari présentait des signes de tabes fruste. M. Souques. La paralysie générale conjugale est beaucoup mieux connue, s
IÉTÉS SAVANTES. présente le cerveau d'un malade qui, au cours d'une paralysie générale classique où la démence était restée a
douter, le mécanisme des ulcérations tel qu'il se présente dans la paralysie générale vraie. Enfin, l'atrophie avec consista
and de vin, mort d'une maladie de foie. Mère morte d'une attaque de paralysie . Un frère et une soeur bien portants. Antécéd
t, diminution de l'intelligence, diplégie avec prédo- minance de la paralysie à gauche, accès convulsifs. - Vers quinze mois
Jamais de con- vulsions. Diagnostic. Tumeur cérébrale probable. La paralysie ne s'accroît pas ; la céphalée n'est pas trop v
n certain nombre d'états morbides où il a pu les retrouver. Dans la paralysie infantile, les fuseaux musculaires restent tout
articipation des muscles orbiculaire, sourcilier et fronlal; cas de paralysie bulbaire progressive infantile et familiale déc
e, etc. A. 1ENAYRGU. LXXXIH. Lésion en foyer de la capsule interne. Paralysie laryngée, syndrome de Weber; par DIDE et G. A.
alcooliques. Cette femme a été atteinte soudainement d'accidents de paralysie réali- sant dans leur ensemble le syndrome de W
paralysie réali- sant dans leur ensemble le syndrome de Weber avec paralysie du larynx siégeant du côté droit comme la paral
e de Weber avec paralysie du larynx siégeant du côté droit comme la paralysie des membres. A l'autopsie, on a constaté l'exis
, à la partie antérieure du bras postérieur. Il semblerait que la paralysie laryngée accompagnant le syndrome de Weber fût en
pédoncule cé- rébral. MM. Dide et Weil signalent la fréquence de la paralysie laryngée dans l'hémiplégie alterne et son absen
-trois ans qui était atteint d'une paraplégie flasque complète avec paralysie de la vessie et du rectum, exagération des réfl
arquée et spécialement d'anémie pernicieuse, est, avec l'ataxie, la paralysie et la marche rapide, pathognomonique. Pathogé
e : Névrite optique, céphalée, vomissements, vertiges, convulsions, paralysie des nerfs crâniens, même faiblesse et douleurs
l'anesthésie hystérique de certaines zones cutanées et celui des paralysies musculaires hystériques, nous pourrons peut-être,
tre une porte, a été pris de trismus au bout de qualre jours, d'une paralysie faciale périphérique bilatérale, et, au bout de
actement la ligne mé- diane. Si l'on rapproche ce cas de ceux où la paralysie faciale et le trismus siégeaient du même côté q
ar à une compression assez forte et prolongée. "- Sur un cas de` paralysie spinale infantile avec participation du nerf ré
UET. Chez un enfant atteint vers la fin de la première année, d'une paralysie spinale infantile nettement caractérisée, on vo
per simultanément des troubles laryngés comme ceux que détermine la paralysie d'un nerf récur- rent. Ces troubles laryngés ap
rile d'invasion de la maladie; ils suivent la même évolution que la paralysie du membre inférieur frappé par la para- lysie i
ute jamais complètement. Aucune autre cause ne peut expliquer cette paralysie récurrentielle; il n'exisle pas d'adéno- pathie
s leur évolution, et dans leur reliquat semble bien indiquer que la paralysie de quelques muscles intrinsèques du larynx relè
s du larynx relève du même processus que celui qui a déterminé la paralysie du membre inférieur; par conséquent il semble trè
bulbaires et phénomènes liés aux nerfs crâniens. A l'étranger la paralysie infantile se montre souvent sous forme d'épidémie
éorie métnméryue de Brissaud, par Crocq, 330. Anesthésies. Les -, paralysies et amyotrophlee en tranches et la théorie mét
par Vigouroux, 522. Pachymémngite HlhlORRHAGIQUE ayant simulé une paralysie générale, par Bourdin, 53. - chez un enfant d
par Bourdin, 53. - chez un enfant de 9 ans, par Spiller, 343. Paralysie . Etude clinique sur la - aritante, par Collines
nfantile avec partici- pation du nerf récurrent, par Huet, 532. Paralysie générale. Troubles com- parés des dlvels réflex
ercure, par Lmtzon, 77 Différenciation entre la céré- brale et la paralysie générale, par Patrick, 246. - et tabès port-
63 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
siques et dans l'esprit des médecins : je l'énon- cerai ainsi : Une paralysie grave, plus ou moins généralisée, à marche aigu
s des sphinc- ters. Cette gène de la miction tenait sans doute à la paralysie des muscles de la paroi abdominale, et, en part
ouvement d'inspiration. Il n'a pas non plus présenté de signe d'une paralysie du voile du palais. Cependant la sphère des nerfs
e que, par moments, il a vu double et louché. Au dire de Ch...,la paralysie des mouvements est parvenue à son apogée dans l
re-gorge, retombaient entre les dents et les joues, par suite de la paralysie des joues et des lèvres. On ne constatait plu
ie des joues et des lèvres. On ne constatait plus de traces d'une paralysie des muscles extrinsèques de l'oeil. Les pupille
endre-le lit, en raison des progrès de la faiblesse des membres. La paralysie s'était étendue aux muscles du tronc et à ceux de
e des quatre membres et du tronc, avec son caractère de parésie, de paralysie motrice incomplète ; elle se conciliait avec la p
e cas de ce malade, me parait des plus faciles à résoudre : . Une paralysie motrice, qui réalise le mode d'évolution et la di
ns que myélite il y ait eu ; pour qu'elle se fût tra- duite par une paralysie exclusivement motrice, sans douleurs spontanées,
ent. Du même coup, l'atrophie s'empare des muscles dans lesquels la paralysie s'établit à de- meure. L'atrophie musculaire, q
açon,dans les cas de polynévrite plus ou moins généralisée. Ici. la paralysie se développe avec une lenteur rela- tive et ave
presque toujours sous cette forme. Des troubles en rapport avec une paralysie des muscles de l'oeil, ou avec une 7e paire son
e aiguë généra- lisée ; assez souvent, elle s'accompagne de quelque paralysie des muscles de l'oeil, et vous vous rappelez qu
t du strabisme. On a publié des cas de polynévrite compliquée d'une paralysie simple ou double de la 7e paire ; la constatati
ait une signification beaucoup moins grave, lorsqu'elle traduit une paralysie du pneumogastrique, que lorsqu'elle est liée à un
ive de son centre bulbaire. En ce cas, une asphyxie mortelle ou une paralysie irrémédiable du coeur est pres- que inévitable.
refroidissement local des parties dans lesquelles se cantonnent la paralysie et l'atrophie musculaire. Enfin, il n'est pas j
ies des réactions électriques sont en raison directe du degré de la paralysie : Pas de paralysie, vous disais-je, dans une pr
lectriques sont en raison directe du degré de la paralysie : Pas de paralysie , vous disais-je, dans une précédente leçon sur un
signes en rapport avec une ébauche de réaction de dégénérescence ; paralysie complète, réaction complète de dégénéres- cence
précisément ce qui a eu lieu chez notre malade; à une époque où la paralysie avait atteint son maximum d'intensité, aux quatre
es n'étaient pas plus paralysés que d'autres. Enfin, la face, où la paralysie intéressait uniformément tous les muscles inner
. Nombreux sont les indivi- dus qui, ayant échappé a une attaque de paralysie infantile, restent impotents, infirmes, pour le
s qui passeront pour merveilleuses, chez des malades atteints d'une paralysie atrophique aiguë et subaiguë, et qui étaient vo
de myopathie décrits jusqu'à ce jour. Il ne ressemble en rien à la paralysie pseudo-hypertrophique, maladie héréditaire et fam
s. La muscu- Du reste tout est lature est normale. normal. Pas de paralysies ni de tremblements. Tous les mouve- ments,
artin, oculiste à Bordeaux, qui a constaté l'existence d'une double paralysie faciale. Enfin, dans le courant de ces dernière
inte de hernie du poumon qui est le siège de douleurs Vives. Pas de paralysie du diaphragme. L'abdomen est dans son ensemble
. En 1893 sur- viennent des crampes nocturnes dans les mollets, des paralysies oculaires passagères, puis en 1894 une poussée
s l'influence de la colère. Va- riole dans la première enfance sans paralysie consécutive. Pas de btennorrha- gie. A 20 ans,
eur est bien por- tante ; deux frères sont morts de diphtérie (sans paralysie ). Etat actuel (15 juillet 1898). On se trouve e
ans l'hémithorax droit. Respiration courte, diaphragmatique. Pas de paralysie du diaphragme. La tète est mobile dans tous les
llons disséminés sur la langue. Réflexe pharyngien très vif. Pas de paralysie du voile du palais. Pas de dé- viation de la lu
amyotrophie qui ressemble sympto- matiquement aux monoplégies de la paralysie atrophique de l'enfance ou de la paralysie spin
nt aux monoplégies de la paralysie atrophique de l'enfance ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire, a
muscles. ' Un mois après, un nouvel examen permet de constater une paralysie très marquée des muscles du bras et de l'avant-
st plus avancée. L'anesthésie permanente ou passagère associée à la paralysie à la suite d'une lésion nerveuse tron- culaire
ait - et M. Apert (1) en a observé un cas très démonstratif que les paralysies radiculaires traumatiques entraînent, elles aus
la mydriase et le myosis unilatéraux ou bilatéraux, l'amblyopie, la paralysie de l'accommodation à la distance, les combinais
et lointaines chez certains dégénérés Dans le tabes, comme dans la paralysie générale, il existe une phase d'irritabilité nu
ort avec l'appareil labyrinthique est celui de la sixième paire. La paralysie de ce noyau et la diplopie qui en résulte, ne s
Le vertige et le signe de Romberg persistèrent plus longtemps. La paralysie de l'oculomoteur externe, paralysie passagère, co
persistèrent plus longtemps. La paralysie de l'oculomoteur externe, paralysie passagère, comme la paralysie réflexe, d'origin
a paralysie de l'oculomoteur externe, paralysie passagère, comme la paralysie réflexe, d'origine purement labyrinthique, se ret
ui présentait, en même temps qu'une surdité notable à gau- che, une paralysie de l'oculomoteur externe du même côté (2). Un a
rès, ce malade est un tabétique confirmé. Ilolt a signalé un cas de paralysie de l'accommodation coïncidant avec une otite mo
ralysie de l'accommodation coïncidant avec une otite moyenne et une paralysie faciale, toutes deux et peut-être toutes trois
lade sur laquelle on constatait, outre un ptosis du côté droit, une paralysie des mouvements de l'adducteur du même côté pour
par Duval et Laborde entre l'adducteur droit et l'abducteur gauche ( paralysie du premier et spasme du second). A quel point
lieu à une incontinence d'urine analogue à celle qui accompagne les paralysies du sphincter uré- thral. UN NOUVEAU TABLEAU
ier. 12e ANNÉE NI, 3. Mai- Juin 1899 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ \ PAR A. S
itaux. ET J. CASTAIGNE Interne des hôpitaux. L'histoire de la paralysie du muscle grand dentelé est relativement ré- ce
journal médical (5), en trois ans, contient quinze observations de paralysies dites du grand dentelé. Mais ce sont là des fai
On a compris, dit Duchenne (6), ou plutôt confondu, sous le nom de paralysies du grand dentelé, -une affection complexe dans
u grand dentelé qui ont été publiées. » Du reste, tous les faits de paralysie isolée du grand dentelé - la seule que nous aur
phie, Barreïro (8) n'en retient que seize cas. Somme toute, celte paralysie isolée constitue une rareté clinique. Du- (1) V
. und Phys., t. LXXIV, 4Rtû. (8) Bauheiro, Contnib. à l'étude de la paralysie du muscle grand dentelé, Th. de Paris, XII. 189
178 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE chenne (1) déclare n'avoir pas vu de paralysie ou d'atrophie « parfaitement limitée au grand d
suit-il, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j'ai explorés, je ne l'ai pa
er (2). Actuellement tout le monde est d'accord sur la rareté de la paralysie du grand dentelé. Ilenial (3), sur z.000 admiss
(3), sur z.000 admissions hospitalières, n'a constaté que 23 cas de paralysie ou de contracture périphérique des mus- cles de
einture scapulo-humérale. Or, de ces 23 faits, 3 se rapportent à la paralysie isolée du muscle grand dentelé, et 6 à cette même
nt à la paralysie isolée du muscle grand dentelé, et 6 à cette même paralysie associée à celle de la portion moyenne du trapè
1892. NOUV. Iconographie Dt la SAI PÊTRIERE. r. XII. PI. XX111 PARALYSIE ISOLEE DU MUSCLE GRAND DENTELE (.A. Souques et
NTELE (.A. Souques et J. Castaigne) MASSON & cle. Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 179 que gène dan
à sa pneumonie, .mais l'attention ne fut réellement attirée sur sa paralysie , qu'au moment de sa convalescence. Jamais,' aupar
çu qu'un de ses bras fut plus faible que l'autre. Les phénomènes de paralysie qu'il présente sont donc apparus au cours de sa
n nor- NOUV. Iconographie DF la Salpêtrière. l'. XII. PI. XXI'" PARALYSIE ISOLEE DU MUSCLE GRAND DENTELE (A. Souques et J
ND DENTELE (A. Souques et J. Castaigne) MASSON A Cie, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 181 male sans dé
t des C. à 120 millimètres. Il est possible que, chez ce malade, la paralysie du grand dentelé soit incom- plète ; mais les e
s détails de l'observation. Il s'agit incontestablement d'un cas de paralysie isolée du grand dentelé droit survenue au cours d
squement de douleurs vives dans la nuque. Rapidement s'installa une paralysie des muscles du bras droit, puis du bras gauche,
nd dentelé soit exception- nelle au cours de la fièvre typhoïde. La paralysie isolée du muscle grand dentelé n'est-elle pas t
. 95. Nouv. Iconographie 17F la SAI.IltTRIÈRF,. T. XII. PI. XXV PARALYSIE ISOLEE DU MUSCLE GRAND DENTELE (A. Souques et J
ENTELE (A. Souques et J. Gistaigne) MASSON & Cie, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 183 nelle du bra
e d'élever son bras droit et présentait les signes ordinaires de la paralysie du grand dentelé. Le cas de Bernhardt (2) mér
che. Cet homme éprouva, quelques semaines avant l'apparition d'une paralysie du grand dentelé gauche, des douleurs vives dans
ace la déformation de son omoplate. Quant aux trois observations de paralysie isolée du grand dentelé, attri- buée au froid e
i- buée au froid et l'humidité, voici dans quelles conditions cette paralysie est survenue. Dans le cas de Busch (5), il s'
paralysie est survenue. Dans le cas de Busch (5), il s'agit d'une paralysie isolée et bilatérale des deux grands dentelés.
uchement de douleurs vives dans le bras droit et consécutivement de paralysie isolée du muscle grand dentelé, du même côté.
là dans quelles conditions s'est produite, chez ces dix malades, la paralysie du grand dentelé (4). Il conviendrait maintenant
. Woch., 1880, p. 27 î. (4) Dans un très intéressant travail sur la paralysie du grand dentelé, paru dans le Moniteur des méd
s a obligeamment adressé son mémoire, a publié deux observations de paralysie isolée du muscle grand dentelé. En voici le rés
malade aurait toujours pu lever le bras au-dessus de l'horizontale. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 185 Voyons tout
ont très suggestifs : effort mus- culaire violent et aussitôt après paralysie du grand dentelé. Ne peut-on pas supposer ici q
alades, de faire remarquer qu'il s'agit toujours d'hommes et que la paralysie siège chez tous, sauf chez le malade de Bernhar
tous les muscles celui qui agit le plus puissam- (1) On sait que la paralysie des tambours, d'après les travaux de Bruns et de
mouvements du bras. La gène considérable de ces mouvements, dans la paralysie isolée du grand dentelé, en est une preuve irré
tiraillements capables de le paralyser ? Bref, qu'il s'agisse d'une paralysie du muscle grand dentelé, consécu- tive à un eff
e pas prouvée. On invoquait jadis pareille action pour expliquer la paralysie du nerf radial, qu'on attribue aujourd'hui à un
ne compression du nerf. Ne s'agit-il pas de com- pression, dans les paralysies du grand dentelé, survenues la nuit, peut-être
lement du nerf ? Sans pouvoir l'affirmer et sans vouloir rejeter le PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 187 rôle du froi
marquer que notre hypothèse peut s'appuyer sur les cas analogues de paralysies diverses, survenues pendant le sommeil, à la su
enant à envisager le mécanisme des cas de Baeumler et de Weber : la paralysie est consécutive à la fièvre typhoïde et à l'accou
ous venons d'exposer pour expliquer la physiologie pathologique des paralysies isolées du grand dentelé, quelle que soit leur
cette hypothèse, si on veut bien considérer que, sur ces dix cas de paralysie du grand dentelé, sept siègent à droite, deux s
hognomonique, à l'aide duquel on peut établir le dia- gnostic de la paralysie ou de l'atrophie du grand dentelé, alors que le
Cosigne pathognomoni- que, important à connaître dans les cas où la paralysie du grand dentelé se complique de celle du delto
t pas rare, déclare Duchenne, el qui a dû bien des fois empêcher la paralysie du muscle grand dentelé de se manifester), se c
e constater les mêmes phénomènes sur d'autres sujets atteints de la paralysie du grand dentelé. » A la page suivante, Duchenn
Duchenne donne encore un autre signe. qui permet de reconnaître la paralysie du grand dentelé, lorsque l'élévation du bras est
percevoir ce signe, il faut appliquer une main sur chaque épaule du PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 189 sujet, en re
donné d'élé- vation impossible du bras, par exemple dans un cas 'de paralysie du del- toïde compliquant celle du grand dentel
du scapulum. Il n'en reste pas moins établi, pour Duchenne, que la paralysie du grand dentelé n'entraîne aucune difformité a
que, confirme l'opinion de Du- chenne. Il pense que tous les cas de paralysie du grand dentelé, accom- pagnés de déformation
normal, le scapulum reste dans sa position physiologique, malgré la paralysie du grand dentelé. Cet auteur rapporte une obser
mations que les Allemands considè- rent comme caractéristique de la paralysie isolée du grand dentelé, à sa- voir, l'écarteme
éformation qu'on regarde, en Allemagne, comme caractéristique de la paralysie isolée du grand dentelé témoigne de la particip
obliquement en bas et en dehors. Si le trapèze est intact, dans la paralysie du grand dentelé, le scapulum garde sa position p
(1 ) se rapproche aussi de l'opinion de Duchenne. Dans trois cas de paralysie isolée du grand dentelé qu'il a observés, la défo
rement écarté du thorax. Toutes les fois, ajoute-t-il, que dans une paralysie du grand den- telé, le bras étant au repos, le
n fait de para- lysie isolée Au grand dentelé, car il n'a pas vu de paralysie ou d'atro- phie « parfaitement limitée au grand
re rare, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j'ai explorés, dit-il, je ne
r (3), Eulenburg (4) et l3uchmüller (5), etc. sont du même avis. La paralysie isolée du grand dentelé entraîne une déformatio
al. Encyclop., t. XII. (6) IIUCII11CLLER, Thèse d'Erlangen, 1892. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 191 déplacement
u grand dentelé. Cette adduction se répète»* très souvent, et si la paralysie dure quelque temps, l'adduction deYil1;Jï.t hab
ché du rachis. On peut donc admettre en thèse générale que, dans la paralysie isolée du grand dentelé, lorsque le bras est au
allèle au rachis, en était rapproché de deux centimètres environ. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 193 en quelque s
entelé joue un rôle considérable dans la statique de l'omoplate. Sa paralysie doit nécessairement entraîner un trouble de cet
xistence d'une association paralytique du trapèze, soit le degré de paralysie du grand dentelé, complète ici, plus ou moins i
us ou moins incomplète la. Voyons maintenant les caractères de la paralysie du grand dentelé, dans l'élévation volontaire d
note un travail de Morstadt, élève de Ziemmssen, sur quatre cas de paralysie du grand den- telé, Dans un de ces cas, semble-
l'obliquité notable du bord spinal traduit la participation fi. la paralysie des portions moyenne ou inférieure du trapèze.
ant l'élévation du bras (2). » Que va-t-il se passer dans le cas de paralysie du grand dentelé. L'éléva- tion volontaire du b
ne, Physiol. des noruem., p. 53. (2) DUCIIEPNE, loc. cil., p. 65. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 105 Dans Jes con
t de rendre une chute imminente ». Il est donc logique que, dans la paralysie du grand dentelé, l'élévation du bras s'arrête
, du reste, ce qui se voit dans la majorité des observations. Cette paralysie sup- prime, en effet, le mouvement de rotation
ceptionnels d'élévation du bras au-dessus de l'horizontale, dans la paralysie du grand dentelé. , On peut d'abord supposer
telé. , On peut d'abord supposer qu'il s'agit, dans ces cas, non de paralysie absolue, mais de simple parésie, autrement dit
non de paralysie absolue, mais de simple parésie, autrement dit de paralysie incomplète. S'il en était ainsi, l'action du gr
rmettre l'élévation au-dessus de l'horizontale. Mais s'il s'agit de paralysie complète, l'hypothèse précédente ne vaut plus.
et qu'elle jouisse d'une grande force. » Par conséquent, dans la paralysie isolée du grand dentelé, l'élévation du bras ju
défor- mation doit vraisemblablement exister, dans tous les cas de paralysie iso- lée du muscle grand dentelé. Elle ne se vo
spirateurs accessoires. (1) Souques, Déformations du thorax dans la paralysie du muscle grand dentelé. Soc. méd. des hôp., 21
série, t. V, p. 49). (2) CoLonAx, Les ll'ouhles trophiques de la paralysie générale (Arch. de Neurol., 1898, 2e série, t.
Flué, Faits pour servir à l'histoire des Iroubles trophiques dans la paralysie générale des aliénés (Nouv. lcon. de la Salp.,
. LE PRURIT ET LA TRICHOTILLOMANIE 313 l'existence au début de la paralysie générale d'un prurit isolé indépendant de toute
uère avec une lésion des filets nerveux, lésion qui, au cours de la paralysie générale, n'aurait d'ail- leurs guère de tendan
e l'origine cen- trale, elle peut s'appuyer sur des analogies : les paralysies d'origine cen- trale, les hémiplégies cérébrale
on Bechtereid en a cité tout récemment des exemples. Au cours de la paralysie générale le prurit transitoire peut s'expliquer
paralysie générale le prurit transitoire peut s'expliquer comme une paralysie transitoire (ané- mie locale du cerveau). Si on
t constater une diplopie homonyme dans le champ du regard à gauche ( paralysie de la troisième paire gauche), pas de dyschromato
is a été souvent décrit, dérive en somme toujours du traitement des paralysies hystériques par le mouvement attentif tel que l
e atrophie musculaire myélopathique. Il ne peut être question d'une paralysie spinale subaiguë de Duchenne, puisque l'impoten
l'impotence fut toujours fonction de l'atro- phie musculaire, sans paralysie proprement dite, dominant nettement à l'extrémi
e sujet avait été, comme celui de l'observa- tion IV, atteint d'une paralysie infantile, et prédisposé; remarquons ce- pendan
e paralysie infantile, et prédisposé; remarquons ce- pendant que la paralysie infantile n'avait intéressé que la jambe droite.
e infantile n'avait intéressé que la jambe droite. Observation IL Paralysie infantile du membre inférieur droit. - Atrophie m
D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 365 A l'âge de 2 ans, il fut atteint d'une paralysie infantile qui laissa comme déformation une atro
ce cas la coïncidence de l'atrophie musculaire progressive avec la paralysie infantile ; nous insisterons.sur ce point au su
les fermes. Etat actuel. - Rien dans les organes des sens. Pas de paralysie des muscles de la face ni de l'oeil, ni du palais
tion IV. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique. - Paralysie infantile dans les premières années de la vie ;
buté si- multanément et par la jambe antérieurement atteinte par la paralysie infantile, et par les muscles surmenés de l'ava
r (P,j. LX, fig. A et B). Antécédents héréditaires. Père atteint de paralysie infantile, attaque d'apoplexie, étylisme avéré.
el mort d'hémorrhagie cérébrale. Tante paternelle atteinte aussi de paralysie infantile. A 2 frères et 2 soeurs bien portants
bservations III et IV) ; présence d'antécédents poliomyé- litiques ( paralysie infantile) personnels (observations II et'IV) ou
tent dans ces noyaux du bulbe, restent localisées et constituent la paralysie labio-glosso- laryngée progressive essentielle;
es du type sca- pulo-huméral. Il ne s'agit pas chez notre malade de paralysie hystérique, il n'a aucun stigmate de la grande
rique, il n'a aucun stigmate de la grande névrose. Ce n'est pas une paralysie ra- diculaire traumatique bilatérale du plexus
ns une policlinique de Charcot (-1) une intéressante observation de paralysie spasmodique amyotrophique de cause articulaire.
ue, dans certaines observations, au bout de trois à quatre jours la paralysie du muscle extenseur du genou peut exister, que, a
NDRÉ ITICIIE ET DE GOTIIARD il a été atteint, il y a dix ans, d'une paralysie de la jambe droite. Elle a deux enfants, et n'a
complète (en flexion pour la main, en extension pour la jambe) sans paralysie faciale. Quelques mouve- ments partiels et peu
oter au bras droit. La malade n'est pas gauchère. Il n'y a pas de paralysie faciale (1), la langue est un peu tremblante et l
ité;pupillaire énorme, et l'in- telligence manifestement affaiblie ( Paralysie générale ? ). LE TROPHOEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITA
ènes au cours d'une maladie définie du système nerveux (hémiplégie, paralysie infantile, labes,'syringomyélie, etc...). Leur
es à formes arthraigiques) ; ou anesthésies (oedèmes superposés aux paralysies ou aux contractures hystériques). Chez notre ma
l'avis de M. Joffroy qui ce propos,le cas d'une malade atteinte de paralysie infantile du membre inférieur droit accompagnée d
ieu et Joffroy diffèrent des nôtres (ar- tério-sclérose, sciatique, paralysie infantile). Celui de M. Debove s'en rapproche d
rretier et Bordeaux ; n'a jamais quitté la région. Début à 18 ans : paralysie progressive avec atrophie musculaire des mem- b
tion segmentaire ; dystrophie unguéale; acromégalie (radiographie). Paralysie avec atrophie des muscles extenseurs et des cubit
vembre 1898. Cet - homme est atteint, depuis l'âge de 18 ans, d'une paralysie progressive des membres supérieurs. On ne con
ophique du membre inférieur gauche, par Vigoureux (1 phot.), 481. Paralysie isolée du muscle grand dentelé (Contribution à
t.), 69. Castaigne J. et A. Souques. Contribution à l'étude de la paralysie du muscle grand dentelé (4 phot.), 178. Darti
ème dystrophique du membre inférieur gauche (VIGOUROUX). LXXXIII. Paralysie isolée du muscle grand dentelé (Souques et Cast
t.), 37. Souques A. et J. Castaigne. Contribution à l'étude de la paralysie isolée du muscle grand dentelé (4 phot.). 178.
64 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
le interne, dans le cas où le malade survit, il persiste toujours une paralysie avec contracture indélébile. L'importance d'une
, p. 579. — Micrzcjewski. — Éludes sur les liions céré-brales dans la paralysie générale. In Archives de physiologie, p. 194, 187
quinze ans, avait été frappé, dans le cours de sa troisième année, de paralysie spinale infantile. Cette affection avait atteint
ures de substance grise (Fig. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu, la paralysie infantile; dans le mode chronique, les diverses f
éphale, la sclérose symétrique et primitive des cor-dons latéraux, la paralysie bulbaire par lésion isolée des noyaux d'origine d
Elle avait été frappée d'aphasie. 11 n'a-vait existé aucune trace de paralysie soit du mouvement, soit de la sensibilité. L'apha
n limitée au lobe carré (plaque jaune), il n'existait aucun indice de paralysie correspondante. — Dans un autre fait, il s'agit e
hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale, pour la distinguer des paralysies motrices qui résultent quelquefois de la lésion d
hémiplégies cérébrales cor-ticales. b) Dans la majorité des cas, la paralysie liée aux lésions des noyaux gris centraux porte s
s autres noyaux gris. D'un autre côté, le caractère transitoire de la paralysie résultant de ces lésions partielles des masses ga
nt situées très bas du côlé du pédoncule, ces lésions déterminent une paralysie motrice qu'accompagne à peu près nécessairement l
fâcheux augure dans l'espèce parce qu'il annonce dans la règle que la paralysie résistera à tous les moyens thérapeu-tiques. 3°
ent, comme vous le savez, au domaine de l'artère lenticulo-striée, la paralysie portera exclusivement sur le mouvement ; aucun tr
souvent, la lésion siégeant en quelque sorte sur un terrain mixte, la paralysie du sentiment s'accompagnera d'une hémiplégie mo
que par une cicatrice linéaire ochreuse, l'hémianesthésie et même la paralysie motrice, mal-gré la destruction d'une partie du n
suit fatalement ; le plus souvent, il s'y associe un certain degré de paralysie motrice : celle-ci, au contraire, se montre seule
ressort de Veyssière, opérant la section de la capsule interne. une paralysie motrice bien dessinée et qui rappelle l'hémiplé-g
peu près inaccessible à l'anatomo-pathologiste. L'ôpilepsie vraie, la paralysie agitante, l'hystérie même la plus invétérée, la c
z, Messieurs, tout l'intérêt des cas de ce genre, au point de vue des paralysies cérébrales directes. On entend par là, ainsi que
s cérébrales directes. On entend par là, ainsi que vous le savez, les paralysies qui, contraire-ment à la règle, se produisent du
règle, se produisent du même côté que la lésion. L'existence de ces paralysies est incontestable, mais à coup sûr moins fréquent
oup sur le faisceau croisé, circonstance suffisante pour expliquer la paralysie directe. 2e type. Celui-ci a été observé 11 foi
es.Cependant,quelques faits empruntés à fana-tomie pathologique de la paralysie générale (1) semblent dé-montrer qu'il en est rée
rise, ainsi que cela se voit, soit sous une forme aiguë comme dans la paralysie infantile, soit sous une forme chronique comme da
alisations. 17 lysie et hyperesthésie ; de l'autre côté, absence de paralysie motrice, mais anesthésie) (4), L'autopsie démontr
nesthésie et conservation des mouvements ; à droite, hyperesthésie et paralysie du membre inférieur. La mort eut lieu au bout de
n peut expliquer ainsi les paraplégies plus ou moins complètes et les paralysies des deux membres inférieurs, qui se produisent pa
moitié latérale de la moelle chez un cochon d'Inde, par exemple, la paralysie est d'abord très accentuée du côté correspondant
peu de parésie de l'autre côté. Mais bientôt, si l'ani-mal survit, la paralysie diminue du côté de l'hémisection, quoique persist
lement défaut dans l'impuissance motrice liée au tabès ataxique, à la paralysie de cause cérébrale ou spinale de l'enfance et enc
d'autres états du même genre, tandis qu'il ne manque jamais dans les paralysies de cause cérébrale ou spinale dans lesquelles la
e qu'il soitprésent. C'est, en somme, un des caractères du groupe des paralysies spasmodiques ; et les hémiplégies centrales avec
rice par exemple, les poliomyélites antérieures aiguës ou chroniques ( paralysie infantile, atrophie musculaire progressive spinal
ites antérieures ; 2° ou bien il s'exagère notablement comme dans les paralysies spasmodiques. Chez les hémiplé-giques menacés de
de M. Erb — le signe du genou avait fait défaut tant qu'avait duré la paralysie . Il reparut lorsque le malade put recouvrer l'usa
ette Faculté, sur l'usage de la noix vomique dans le traitement de la paralysie . C'est ainsi qu'est intitulé le second mémoire pu
açci-dent, le membre inférieur droit, c'est-à-dire correspondant à la paralysie , étaitdevenu rigide dans toutes ses parties ; on
ins pro-noncée. Cette parésie peut s'aggraver au point de devenir une paralysie complète,véritablement flaccide.J'ai reconnu que
tout autre que celui qui produit les déformations propres à certaines paralysies et qu'on désigne quelquefois sous le nom de contr
ces contractures dites paralyti-ques. Supposons qu'il s'agisse d'une paralysie atrophique des muscles qui, normalement, opèrent
comme la cirrhose par exemple, ainsi que cela se voit dans certaines paralysies faciales. Dans la contrac-ture tardive, au contra
sain qui semble paralysé, et, au premier abord, on peut croire à une paralysie alterne. 4° Je vous ai présenté la contracture
t étroite, le bassin est rétréci et oblique. C'est de la sorte que la paralysie atrophique résultant d'une lésion de la substance
léments ganglionnaires. Il en résulte que, dans ce» parties, outre la paralysie plus ou moins prononcée, il y a uni exagération n
né, s'accuse une cer-taine faiblesse parétique, puis à la longue, une paralysie véri-table, résultat évident de l'interruption de
dans les faisceaux pyramidaux. Notez bien, Messieurs, ce fait que la paralysie en question n'a rien d'une paralysie avec contrac
bien, Messieurs, ce fait que la paralysie en question n'a rien d'une paralysie avec contracture. Mais au bout de quelques jour
on nombre de ces cas qui affectent dans la clinique cette forme de la paralysie spasmodique ; et j'ai pro-posé de les rassembler
ire. — Myélites trans verses et hémisections de la moelle épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs dans le cas de lésion
sclérose en plaques. Tabès dorsal chez l'adulte et chez l'enfant, — Paralysie spasmodique infan-tile. — Etiologie, pathogénie,
ie expérimentale, qu'une lésion transverse hémilaté-rale, produit une paralysie motrice aussi bien dans le membre opposé que dans
de la moelle épiniôre, chez un cochon d'Inde par exemple, produit une paralysie des deux côtés, paralysie, à la vérité, beaucoup
z un cochon d'Inde par exemple, produit une paralysie des deux côtés, paralysie , à la vérité, beaucoup plus accentuée du côté de
près, chez l'homme, au moins chez un certain nombre d'indi-vidus. La paralysie du côté de la lésion n'est jamais aussi com-plète
té opposé à la lésion ne présente pas, lui aussi, un certain degré de paralysie . Cette disposition hypothé- tique offre donc ce
n hémilatérale est très profonde, en répartissant en quelque sorte la paralysie des deux côtés. Du reste, dans le cours ultérieur
avez, à étudier les divers modes de terminaison que peut présenter la paralysie en semblable occurence, alors que déjà la contrac
trer dans la clinique un certain nombre de cas où les symptômes de la paralysie spasmodique, développés primiti-vement comme dans
6. M. Erb a désigné cette affection prétendue spéciale sous le nom de paralysie spinale spasmodique. JJai proposé, puisqu'il s'ag
orbide particulier, le nom de tabès dorsal spasmodique, le terme de « paralysie spasmodique » ne pouvant représenter qu'un syndro
se montrent pas associés, à une certaine époque de la maladie avec la paralysie spasmodique, si celle-ci relève d'une sclérose en
ché, sous Fig. 89. tous les rapports, entre cette affection et la paralysie spinale infantile, et ainsi nous voyons qu'à côté
et la paralysie spinale infantile, et ainsi nous voyons qu'à côté des paralysies spinales infantiles il existe une paralysie spasm
ous voyons qu'à côté des paralysies spinales infantiles il existe une paralysie spasmodique infantile, bien distincte, et netteme
savait du reste — que la dé-marche spasmodique, ou, si vous voulez la paralysie spasmo-dique peut se manisfester sous les formes
-- Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte.
s et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme subaiguë : paralysie
spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme subaiguë : paralysie générale spinale antérieure subaiguë de Du-chenne
econ-naître la signification de ce syndrome, désigné sous le nom de paralysie spasmodique et qui, ainsi que vous 1 avez vu, jou
triques spéciales. C'est là un fait qui distingue du premier coup ces paralysies de celles qui résultent d'une lésion des faisceau
oupe des amyotrophies spinales protopathiques aiguës. a) L'espèce paralysie spinale de V enfance est la maladie qu'ont étudié
iffuses. Ici, la lésiou trophique des muscles, analogue à celle de la paralysie infantile, est chose fréquente. Mais il se produi
ait donc assez naturel-lement que cette malheureuse est frappée d'une paralysie to-tale, flaccide. Il y a cependant loin de là, à
ogressive. Il n'en est rien cependant, et, là encore, il s'agit d'une paralysie spasmodique. En effet, si l'on examine de près ce
ace, elle présente une physionomie qu'on peut caractériser d'un mot : paralysie labio-glosso-laryngée. Mais il s'agit ici d'une p
d'un mot : paralysie labio-glosso-laryngée. Mais il s'agit ici d'une paralysie labio-glosso-laryngée un peu différente de celle
son aspect pleurard, se différencie aisément du mas-que inerte de la paralysie de Duchenne. D'ailleurs, après cela, plus rien
enne. D'ailleurs, après cela, plus rien qui ne se rencontre dans la paralysie labio-glosso-laryngée protopathique ; aujourd'hui
essants et des plus instructifs. Il fait voir un mélange de certaines paralysies musculaires, en apparence flaccides, avec un ense
s que possible ; et c'est précisément là que réside le problème de la paralysie spasmodique. Or, l'histoire de la malade en quest
it un boulet à chaque pied ». Trois mois plus tard, s'est déclarée la paralysie des membres supérieurs, caractérisée par de l'imp
e la pointe du pied) existe aussi, à un très haut degré. Quant à la paralysie labio-glosso-laryngée, elle n'est encore qu'à ses
s débuts, mais rien ne manque : faciès caractéristique de la double paralysie faciale, voix nasillarde, parole pâteuse, langage
prématurés qui ont, à très courte échéance, suivi les symptômes de la paralysie atro-phique des membres. Mais, à part cette légèr
e chefs qui suivent: Io Dans la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie se-rait atonique ; il n'existerait pas de symptôm
musculaire serait le symptôme dominant; et il ne s'agirait pas d'une paralysie atrophique, en ce sens que le stade de paralysie
s'agirait pas d'une paralysie atrophique, en ce sens que le stade de paralysie initiale ferait défaut; 3° Il n'existerait qu'u
ie initiale ferait défaut; 3° Il n'existerait qu'une seule forme de paralysie bulbaire : celle qu'a décrite Duchenne (de Boulog
Den... en particulier, qui, à l'heure actuelle, semble frappée d'une paralysie atonique généralisée, a éprouvé, pendant un an et
role et la déglutition s'embarrassent; les différents symptômes de la paralysie bulbaire s'accentuent rapidement ; le malade succ
ture de la partie inférieure de la face, soulèvement des commissures. Paralysie légère des muscles labiaux (la malade dit qu'elle
Outre que la rigidité articulaire pure et simple, dans le cas d'une paralysie flaccide, semble une chose bien invrai-semblable,
est le symptôme dominant ; et ce n'est pas à pro-prement parler, mie paralysie atrophique, en ce sens qu'il n'y a pas un stade a
aralysie atrophique, en ce sens qu'il n'y a pas un stade antérieur de paralysie simple. C'est là une assertion que M. Charcot r
contestable que, de prime-abord, ces membres paraissent frappés d'une paralysie toute simple. Tel est le cas du malade cité dans
sible : l'atrophie est précédée d'une période plus ou moins longue de paralysie . Mais, aux membres supérieurs même, quand l'atrop
rieurs même, quand l'atrophie ne survient pas trop brusquement, cette paralysie peut se montrer comme un symptôme isolé de la mal
IV sont très concluantes. III. — Quant à l'identité de nature de la paralysie labio-glosso-laryngée de Duchenne, avec les accid
aire. —Myélites trans verses et hémisections de la moelle épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs dans le cas de lésion
sclérose en plaques. Tabes dorsal chez l'adulte et chez reniant. — Paralysie spasmodique infan-tile. — Etiologie, pathogenic,
— Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte.
s et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme, subaiguë : paralysi
spinale infantile, paralysie spinale de l'adulte. — Forme, subaiguë : paralysie générale spinale antérieure subaiguë de Dn ehenne
Paciiyméningite caséo-tuberculeuse, 251. Papille étranglée, 124. Paralysie spinale infantile, 39, 307 ; — quelle place occup
— quelle place occupe-t-elle dans le groupe des poliomyélites, 382. Paralysie spinale de l'adulte, 382. Paraplégie spasmodiqu
rations secondaires dans la —, 278 ; - Contracture dans la —, 359 ; — Paralysie spas-modique dans la —, 369. Scléroses fascicul
65 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re, la stérilité de la pensée et l'impuissance morale, soit avec la paralysie générale, si curieuse- ment représentée par une
ssent très rarement. ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 27 Î paralysie . Or, un membre affaibli n'est pas, par cela mêm
le unilatérale ne produit pas exclusivement et invariablement une paralysie des membres du côté opposé. En général, en outr
paralysie des membres du côté opposé. En général, en outre de la paralysie typique croisée, il existerait une paralysie di
éral, en outre de la paralysie typique croisée, il existerait une paralysie directe légère. Quelquefois aussi, la lésion po
irecte légère. Quelquefois aussi, la lésion pourrait déterminer une paralysie limitée à trois mem- bres (les deux membres inf
ielle qui existe entre l'affaiblissement musculaire et la véritable paralysie . 28 CLINIQUE NERVEUSE. J'ai fait depuis quelq
les d'exercer, la plus légère pression sur le dynamomètre; dans les paralysies incomplètes d'emblée ou devenues incomplètes pa
e ces deux degrés extrêmes, on trouve tous les intermédiaires. La paralysie peut aussi être complète au membre supérieur et
es ne soient réellement compromis que du côté de l'hémiplégie. La paralysie , ou pour employeruneexpression plns pré- cise,
de l'impotence fonctionnelle. Pour apprécier exactement le degré de paralysie d'un membre, il ne suffit pas de connaître l'én
ait, l'état des forces est secondaire. Ce qui est essentiel dans la paralysie cérébrale, c'est la perte absolue ou relative d
de l'impotence fonctionnelle absolue ou relative qui caractérise la paralysie . Les membres du côté correspondant à la lésion
de biol., 1882, p. 328.) 62 RECUEIL DE FAITS. certain degré de paralysie du côté supposé sain, et cette para- lysie est
donner que des renseignements très vagues, n'ont été suivies ni de paralysie , ni de vomissements, etc. Elles n'ont été pré-
et la 8t REVUE CRITIQUE. surdité que l'aphasie ataxique n'est la paralysie . Il s'agit là de la perte de l'une des facultés
on des vaso-constricteurs cervico-céphaliques n'a pas pour cause la paralysie du sympa- thique cervical comme on pourrait le
teurs provenant du cordon cervical (Vulpian), ou au contraire d'une paralysie des nerfs d'arrêt et des vaso-constricteurs ? L
. LEPTODZENINGITIS h^emorrhagica, présentant LES SYMP- TOMES de .LA paralysie progressive; par BECHËTRÈW. [Gazelle clinique h
Mierzejewsky, qui présenta pendant la vie le tableau clinique de la paralysie générale, avec quelques parti- cularités : une
avec un des types cliniques connus (mélancolie, folie systématique, paralysie gé- nérale). Périodiques et souvent précédées d
s, quelquefois môme de l'incoordination des membres inférieurs. Les paralysies véritables manquent habi- tuellement, et n'ont
mentales dont vous pouvez affirmer la constante incurabilité ? La paralysie générale, qui par sa fréquence se présentait en p
grave. Comme le patient chancelle sans présen- ter de symptômes de paralysie , on pense .a une de ces hémorrha- gies qui rapp
mblements par accès demeure immobile. Dilatation pupillaire; pas de paralysie faciale. Parole précipitée mais obtusion intellec
ité du sillon de Rolando ne furent pas suffisantes pour produire la paralysie du facial et de l'hypoglosse. Le tremble- ment
e. 9 '130 SOCIÉTÉS SAVANTES. , M. 13E,4,No communique un cas de paralysie progressive périodique. Il concerne un homme de
nte-neuf ans, qui, dès le 2 mars 1878, était au stade initial de la paralysie générale ; on constatait en même temps chez lui
ènes tabétiques avec divers symptômes com- muns de la syphilis, les paralysies oculaires en particulier; 4° influence dans cer
c troubles mentaux, quinze; hystérie avec aliénation mentale, onze; paralysie gêné- rale, quatorze; délire chronique, trente-
on mentale, de la façon suivante : démence consécutive, vingt-huit; paralysie générale, dix; mélancolie, dix; délire chroniqu
trouve dix-huit avec désordres sexuels, et sur vingt- quatre cas de paralysie générale, vingt avec les mêmes altérations. Au
a ménopause, sur vingt-huit cas, on n'en trouve que huit. Quanta la paralysie générale, sur quatorze cas avant la ménopause,
mme le prouve le fait suivant : Observation I. Hérédité congestive. Paralysie générale progressive à la première période, dat
t der- nièrement M. Dagonet, de voir chez des malades atteints de paralysie générale des lueurs de conscience et, à certain
que les poussées congestives qui sont une des complications de la paralysie générale diminuent à certains moments, de maniè
le preuve. Observation II. Hérédité congeslive. Cxcis de travail. Paralysie générale progressant sans rémission depuis six
. A. l'admission tous les symptômes physiques et psychiques de la paralysie générale progressive à forme expansive, au premie
urs. Observation III. Habitudes alcooliques liées à la ménopause. Paralysie générale avec dipsomanie et kleptomanie. Rémiss
le goût des liqueurs fortes, goût qui s'est accru par la suite. La paralysie générale a débuté en janvier 1879 par une viole
rver dès le dé- but : 1° la mort rapide; 2° les convulsions ; 3° la paralysie sans perte de connaissance ; 4° la paralysie av
es convulsions ; 3° la paralysie sans perte de connaissance ; 4° la paralysie avec perte de connaissance (mode fréquent); 5°
e fréquent); 5° la perte de connaissance partielle ou to- tale sans paralysie . L'auteur constate qu'il lui a été à peu près i
athologie nerveuse. 2° Troubles moteurs. Contractures, convulsions, paralysies , chacun de ces symptômes est étudié dans son ép
'un aliéné dans un établissement ? E. CH. X. Sur l'écriture dans la paralysie générale; par SCHÜLE. (Allgemeine Zeitschrifl s
e, excitation mo- trice, démence, malpropreté, agitation, insomnie, paralysie de 23t revue DE pathologie mentale. la parole
gu; Régis pour un travail sur l'Eliolorlie de quelques formes de la Paralysie générale. M. LASÈGuE demande qu'il soit attribu
isquerait de contenir une foule d'individus atteints de démence, de paralysie , d'imbécillité, de malheureux tombés dans une s
ans les pyramides et le cervelet) ayant déterminé le syndrome de la paralysie spinale spasmodique, jusqu'au moment où une com
ce. L'homme de quarante-six ans, dont il s'agit, offre une complète paralysie de l'oculo-moteur externe du côté gauche, en mê
l'oculo-moteur externe; il ne saurait être question non plus d'une paralysie conjuguée et encore bien moins de la déviation
grité dufacia) à gauche ; parésie de sa branche buccale adroite ; paralysie du muscle élévateur du voile du palais du même cô
Asiatiques. M. Westphal interroge le voyageur sur l'existence de la paralysie générale dans les pays visités par lui. M. V. D
que de la parésie dans le domaine du facial, à droite, ainsi que la paralysie de l'élévateur du voile du palais de ce côté. L
out récemment publiée par Hunnius, et de laquelle il résulte que la paralysie combinée des muscles de 1'oeil ne signifie pas
ient bientôt la place d'abord à de la raideur, enfin à une complète paralysie de la motilité et de la sen- sibilité de tout c
ningite hémorrhagique. M. BINSWAN(-,F.11 se range à l'opinion d'une paralysie générale. Il est facile d'expliquer en un cas d
éningite chronique accom- pagne du reste, comme on sait, souvent la paralysie générale. M. Richter insiste sur l'absence d'in
n générale que le malade laissa sur son esprit fut celle, non de la paralysie générale, mais d'une tumeur cérébrale. I'oor 11
cérébral dans lequel les symptômes notés trois jours avant la mort ( paralysie de l'oculo-moteur, paralysie opposée du facial
tômes notés trois jours avant la mort (paralysie de l'oculo-moteur, paralysie opposée du facial et des extrémités) permirent
tique, des tremblements en général, do la maladie de Parkinson, des paralysies d'origine viscérale et périphérique, du nervosi
· . BIBLIOGRAPHIE. 263 IV. Essai sur une forme rhumatismale de la paralysie agitante ; par VRSSELLE. Thèse de Lyon, 1882.
oppant les idées de son maître M. Pierre), cherche à établir que la paralysie agitante peut avoir des origines variables, qu'
alysie agitante peut avoir des origines variables, qu'il existe des paralysies agitantes à pathogénies différentes. La variété
l'étiologie, permet de croire qu'il est un certain nombre de cas de paralysie agitante d'origine nettement rhuma- tismale ; c
xisté des douleurs rhumatoïdes plus ou moins nettes. Cette forme de paralysie agitante est susceptible d'être améliorée ou mê
aris. 1882. Contribution ci l'étude de la névrite ascendante et des paralysies ré/fees; par OLLIGn. Tlièse de Paris, 1882. E
t de simplicité; dans la seconde, un cas où il est symptomatique de paralysie générale; dans la troisième, les cas où, associ
pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229 CLINIQUE MENTALE. Ces symptômes de paralysie générait ! deviennent de plus en plus marqués p
serve une perle de connaissance subite, dont le malade se tire sans paralysie , ou encore tout se borne à un vertige. Plus s
ou encore tout se borne à un vertige. Plus souvent peut-être, la paralysie se produit sans chue, ni perte do connaissance.
te, assez fréquentes même pour qu'on doive toujours, dans un cas de paralysie limitée, rechercher s'il n'existe pas de sucre
mitée, rechercher s'il n'existe pas de sucre dans les urines. Ces paralysies peuvent être bornées à un membre ou même à un s
Plusieurs sont particulièrement intéressantes en ce qu'on voit les paralysies partielles s'ajouter les unes aux autres. Ousl
che. Observation 111. M. de B..., diabétique. Aphasie totale avec paralysie faciale droite. Quelques jours après, l'index de
Une nuit il est pris subitement, sans perte de connaissance, d'une paralysie du bras gauche avec engourdisse- ment du membre
combinées est celui qui est rapporté par M. Ogle1. -Observation V. Paralysie du bras droit et du côté droit de la face (coïn
ition du sucre dans l'urine; difficulté de l'articulation des mots. Paralysie du bras gaucho; difficulté pour ouvrir la bouch
ple; il en est de môme des hémiplégies. Un autre carac- tère de ces paralysies , c'est qu'elles sont souvent incomplètes. Dans
uvements volontaires, il ne peut se tenir debout. D'autres fois, la paralysie est à la fois incomplète et tout à fait éphémèr
bserve dans le cours du diabète sont loin d'être toujours dus à une paralysie motrice ; ils reconnaissent souvent pour cause
nies passagères sont peut-être susceptibles d'être attribuées à une paralysie temporaire des muscles du larynx. Quant aux p
buées à une paralysie temporaire des muscles du larynx. Quant aux paralysies des muscles de 1'oeil, il n'en existe pas d'obs
tes, même dans la thèse de Kiwatkowski, qui attribue au diabète une paralysie du pathé- tique. L'un de nous a observé une par
u diabète une paralysie du pathé- tique. L'un de nous a observé une paralysie du droit externe survenue dans les mêmes condit
aralysie du droit externe survenue dans les mêmes conditions. Ces paralysies à forme hémiplégique générale, ou partielle, do
intéressant au point de vue séméiologique consiste en une sorte de paralysie du sens mus- culaire, caractérisée par un manqu
importante à noter au point de vue de la pathogénie, c'est que ces paralysies peuvent se développer quelque temps avant que l
fente sténop- cique, un trou d'épingle la corrigeront. Au cas de paralysie incomplète, on conslate tous les troubles carac
les membres, grâce auxquels le malade offre les appa- rences de la paralysie générale. D'ailleurs Delpech a fourni à Marchai
rale. D'ailleurs Delpech a fourni à Marchai (de Calvi') un cas de paralysie générale véritable, survenu chez un glycosurique
ture chirurgicale par allongement passif des antagonistes et par paralysie , enfin pour exprimer la relation, avec les affec-
déglutition s'accomplissait parfais tement, et il n'y avait pas de paralysie des organes de la parole. Avec cette aphasie co
e stomacale, peuvent produire des symptômes nerveux divers dus à la paralysie ou à l'excitation du nerf vague. Ces phénomènes
ns la sphère du nerf vague (irritation de ses rameaux sensitifs, ou paralysie réflexe de ses rameaux car- diaques). Les phéno
es observés, comme probablement analogues à celles trouvées dans la paralysie diphthéritiquo et les autres formes de paralysi
s trouvées dans la paralysie diphthéritiquo et les autres formes de paralysie mentionnées après les maladies aiguës. Les symp
omi- nants d'une affection médullaire unilatérale. Ultérieurement paralysie croissantes'étendant à l'autre jambe; rigidité, c
fes- tations du côté de la sensibilité. Au moment de l'admission, paralysie de la jambe avec rigidité/Phénomènes tendineux ac
d'une affection fébrile aiguë, ainsi qu'à la première période de la paralysie générale. » ' R. DE M.-C. XVIII. De l'emploi DE
vait probablement joué le princi- pal rôle dans la production de la paralysie ainsi que de la lésion descendante secondaire.
396 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXIII. LES hallucinations dans la paralysie générale DES ALIÉNÉS, CONSIDÉRÉES SPÉCIALEMENT
et quelle persévérance M. J. Mie-Icle s'est adonné à l'étude de la paralysie générale des 'aliénés ; le mémoire dont il s'ag
ont les suivantes : Les hallucinations et les illusions ont dans la paralysie géné- rale plus de fréquence et d'importance qu
e la vue ne sont guère plus fréquentes d'une façon absolue, dans la paralysie générale que les hallucinations de l'ouïe. Mais
açon plus précise, chez les soldats atteints de folie non aiguë, la paralysie ' générale étant exclue, les hallu- cinations d
lles l'emportent également sur les hallucinations de la vue dans la paralysie générale. Chez les aliénés, en géné- ral, les h
générale. Chez les aliénés, en géné- ral, les hallucinations de la paralysie générale sont souvent de courte durée; elles ré
s agréables ou très pénibles. La plupart des hallucina- tions de la paralysie générale sont liées d'une façon intime à des lé
els corticaux du cerveau. Lorsqu'on étudie les hallucinations de la paralysie générale au point de vue des localisations céré
s et ne s'accomplissent jamais. R. de M.-C. BIBLIOGRAPHIE De la paralysie générale et du traumatisme dans leurs rapports
er l'influence des traumatismes du crâne sur le développement de la paralysie générale; dans la seconde il étudie les affecti
es traumatismes du crâne peuvent provoquer le développement de la paralysie générale. La maladie peut débuter peu de temps ap
urs une forme particulière qui permette de reconnaître la cause. La paralysie générale, d'origine traumatique, dont la pathog
t reconnaître sûrement l'origine traumatique dans un cas donné de paralysie générale, on pourrait porter un pronostic favorab
ostic favorable sur les enfants nés avant l'accident. II. Dans la paralysie générale on rencontre souvent une raréfac- tien
des sétons et autres moyens du même ordre dans le traitement de la paralysie générale. La maladie, même à la dernière périod
e sur la symptomatologie de l'épilepsie, dans ses recherches sur la paralysie générale et sur l'aphasie. ' Dans un autre or
dérations sur les attaques apoplectifornzes et épileptiformes de la paralysie générale; par A. Broquerre. Thèse de Paris, 1882.
. Divorce et aliénation mentale, 120, 239,243. Ecriture dans la paralysie générale, par Schule, 230. Epilepsie (Importa
s, 86. Hallucinations unilatérales, 117. Hallucinations dans la paralysie générale, considérées spéciale- ment dans leu
. Leptomémiugitis hémorrhagica,pré- sentant les symptômes de la paralysie progressive, par Be- chetrew, 90. n Maladie d
s de l'-sur le cerveau) , 375 . Pacchioni (granulations de), 368. Paralysie agitante (essai sur une forme rhumatismale de l
te (essai sur une forme rhumatismale de la), par Vesselle, 263. Paralysie générale (réflexe tendi- neux dans la), 387.
le, 263. Paralysie générale (réflexe tendi- neux dans la), 387. Paralysie générale et traumatisme, dans leurs rapports ré
traumatisme, dans leurs rapports réciproques, par Vallon, 398. Paralysie progressive périodique, 130. Paralysie spasmo
ques, par Vallon, 398. Paralysie progressive périodique, 130. Paralysie spasmodique (note sur un cas d'hémiplégie avec)
en dehors des attaques), par Marie, 42. Réflexe tendineux dans la paralysie générale.387. Responsabilité criminelle, 397.
66 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
COLE-DE-MÉDECINE REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planebe I. PARALYSIE INFANTILE F ORME P A II A P L É G I Q V E REV
PARIS CLINIQUE MÉDICALE GROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. - PARALYSIE INFANTILE Leçon faite par M. CHARCOT, à la Salp
alement distinctes. Qu'il me suf-fise de citer, à titre d'exemple, la paralysie infantile spinale, la para-lysie générale spinale
n'a pas reçu encore droit de domicile dans les cadres classiques, la paralysie glosso labio-laryngée, Y atrophie musculaire prog
talon la maladie singulière qu'on désigne vulgairement sous le nom de paralysie in-fantile. C'est là, en effet, l'un des types le
accusés de la ma-nière la plus frappante, partant, dans l'espèce, la paralysie infantile peut être présentée comme une maladie d
ans l'âge mûr, une affection qui ne diffère en rien d'essentiel de la paralysie infantile, de telle sorte que, à côté de la paral
essentiel de la paralysie infantile, de telle sorte que, à côté de la paralysie spinale de Venfance, il y a lieu de faire une pla
paralysie spinale de Venfance, il y a lieu de faire une place pour la paralysie spinale de Vadulte. C'est là un point que 1 Lab
aralysie spinale de Vadulte. C'est là un point que 1 Laborde, de la Paralysie (dite essentielle) de l'enfance. Paris, 1864, p.9
aufl. Stuttgart, 1860, p. 60. 3 Duchenne (de Boulogne) fils, de la Paralysie atrophique graisseuse de l'enfance. Paris, 1864,
'enfance. Paris, 1864, p. 21. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX PARALYSIE INFANTILE forme généralisée. s* 1 REVUE PHOTO
éralisée. s* 1 REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche III. PARALYSIE INFANTILE forme généralisée. N° 2 M. Duchenne
nce de deux périodes. Première période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie infantile est, vous le savez, des plus remarquabl
. Ces symptômes paralytiques offrent de grandes variétés de siège. La paralysie est parfois absolue, com-plète, intéresse les qua
sivement les deux membres su-périeurs*; — enfin, il est des cas où la paralysie , atteignant seule-ment les membres inférieurs, re
orme paraplégique. (Yoy. plaische I.) En résumé, on observe ici une paralysie complète, absolue, avec flaccidité des membres, a
'altérations un peu accusées de la sensi-bilité, contrastant avec une paralysie motrice aussi absolue, aussi complète, est un des
solue, aussi complète, est un des caractères les plus frappants de la paralysie infantile1. Yoici encore un nouveau trait. A un
eurs, les caractères les plus saillants de la pre-mière période de la paralysie infantile ; je vous demande la per-mission de les
mission de les résumer en quelques mots : 1° Invasion brusque de la paralysie motrice qui atteint du pre-mier coup son summun d
con-tractilité faradique dans un certain nombre de muscles frappés de paralysie ; 3° Absence de troubles marqués de la sensibil
paralysie ; 3° Absence de troubles marqués de la sensibilité, — de paralysie du rectum ou de la vessie, — absence d'eschares o
DE LA PREMIÈRE ENFANCE observation par les drs ball et liouvili.e Paralysie des membres inférieurs, survenue après des accide
ortantes que nous allons décrire, c'est-à-dire les conséquences d'une paralysie dont le début remontait à l'enfance, à la premièr
paralysie dont le début remontait à l'enfance, à la première enfance, paralysie qui avait frappé certaines parties du corps, mais
—¦ Augmentation progressive du 1* volume de la rate. — Aphonie. — Paralysie incomplète des membres supérieurs, puis des membr
ne aphonie com-plète, à laquelle vint presque aussitôt se joindre une paralysie in-complète de la motilité des membres supérieurs
parut entrer dans une phase plus favorable. — La voix revint, mais la paralysie des membres augmenta, et avec elle l'atrophie mus
l'ictère rend parfaitement compte de ces altérations de l'urine. 6° Paralysie . Après avoir démontré que la paralysie observée n
s altérations de l'urine. 6° Paralysie. Après avoir démontré que la paralysie observée n était ni une paralysie périphérique de
alysie. Après avoir démontré que la paralysie observée n était ni une paralysie périphérique de cause locale, ni une para-lysie p
lle n'est pas admissible, et ils sont amenés à considérer ainsi cette paralysie comme étant de cause réflexe, et en effet, dans l
ure. CLINIQUE MÉDICALE IGROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. - PARALYSIE INFANTILE Leçon faite par M. CHRCOT, à la Salpê
ont nous venons de vous entretenir, inaugure la seconde période de la paralysie infantile. Elle commence à s'accuser du deuxième
raisseux. Elle constitue, d'ailleurs, l'un des traits saillants de la paralysie infantile et elle semble s'accuser •plus vite, da
s-rapide. Ainsi, d'après M. Duchenne (de Boulogne), elle est, dans la paralysie infantile, déjà très appa-rente au bout d'un mois
ullement en rap-port nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'atrophie musculaires. Ainsi, suivant un
suivant une remarque de Duchenne (de Boulogne), un mem-bre frappé de paralysie infantile pourra avoir perdu la plupart de ses mu
que, dans un autre cas, la diminution en longueur du membre frappé de paralysie pourra aller jusqu'à 5 ou 6 centimètres, bien que
ne bonne partie du jour, il dit même avoir vu quatre ou cinq fois une paralysie infantile tout à fait temporaire, et aboutissant
De même que l'atrophie, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres form
s la paralysie spinale infantile que dans toutes les autres formes de paralysie des membres3. C'est peut-être le lieu de faire re
ition, 1872, p. 400. 2 R. Volkmann, loc. cit., p. 6. « Même dans la paralysie infantile très-limitée et très-incomplète, les tr
formités commencent à s'accuser. Ainsi se développe le pied bot de la paralysie infantile qui est le pied bot paralytique par exc
jointures permet de distinguer à coup sûr le pied bot résultant de la paralysie infantile du pied bot con-génital, alors même que
ée à l'âge de cinq ans. Tels sont les caractères fondamentaux de la paralysie infantile spinale considérée dans son mode réguli
droit à notre intérêt. Ainsi il est des cas où, après la fièvre, la paralysie , au lieu d'at-teindre tout à coup son plus haut d
e, à mon avis, ils peuvent servir à établir un trait d'union entre la paralysie infantile spinale et les autres maladies du group
re les lésions que les recherches récentes ont fait constater dans la paralysie infantile et auxquelles se rattache l'ensemble si
l'on étudie les muscles altérés à une épo-que éloignée du début de la paralysie , ainsi que nous avons eu maintes fois l'occasion
s faire recon-naître que malgré cette analogie d'ordre secondaire, la paralysie infantile diffère cependant essentiellement de la
daire, la paralysie infantile diffère cependant essentiellement de la paralysie pseudo-hyperlropliique (atrophia musculorum lipom
le moment de vous faire remarquer que la lésion spinale qui, dans la paralysie infantile, ne fait jamais défaut, manque au contr
rvations, conformes d'ailleurs en cela à celles de Cohnheim — dans la paralysie myo-sclérosique. La surcharge graisseuse bien q
intéressant à la fois, et le plus neuf de l'histoire anatomique de la paralysie infantile. Aussi crois-je utile d'entrer à ce pro
mme étant l'organe où les lésions primordiales et fondamentales de la paralysie infantile devaient être cherchées. C'était, de le
s régulières, relativement à la nécro-scopie du centre spinal dans la paralysie infantile. Dès 1864, nous avions reconnu, M. V.
e (de Boulogne)1. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infan-tile, a été pour la première fois signalée
ritique permet de reconnaître en effet qu'il s'est agi là d'un cas de paralysie infantile spinale. L'époque de la vie où 1 Comp
plus contribué a déter-miner le caractère des lésions spinales de la paralysie infantile, est celle que nous avons faite l'an pa
e Wilson, qui succomba à la phthisie pulmonaire à l'âge de 45 ans. La paralysie chez cette femme s'était dévelop-pée tout à coup,
et Prévost et dans celui de L. Clarke, est un fait con-stant dans la paralysie infantile spinale et d'où dérivent les princi-pau
ù dérivent les princi-paux symptômes de la maladie, en particulier la paralysie ainsi que l'atrophie des muscles ; nous avons en
aux considérations suivantes qui concernent plus particulièrement la paralysie infantile. Relativement à notre première conclu
sale de la moelle épinière faile à la région lombaire, dans un cas de paralysie infantile spinale occupant le membre inférieur dr
ugmentation de la température. A hautes doses : ils déterminent une paralysie vasculaire, dimi-nuent la tension artérielle, la
ons mus-culaires : directes, ou par rétraction ; antagonistes, ou par paralysie . 4° année. 3 Le diagnostic entro ces deux ord
généralement la-cile. Chez notre malade, il n'y a évidemment pas de paralysie . La tête est déviée à gauche (voy. Planche VI) ;
a fréquence de ses battements. La deuxième action détermine : 1° La paralysie réflexe des vaso-moteurs ; — 2° le relâchement et
: 1° hyposlhénisation des centres nerveux et nerfs volontaires ; — 2° paralysie de tout le système musculaire ; — 3° extinction
is en lumière. 1 Voyez Revue, page 1, la leçon de M. Cuaucot sur la Paralysie infantile. 4e AXSÉE. 0 Je traiterai aussi des
ilière, plus chaud que le gauche ; presbytie et tous les signes de la paralysie de Loculo mo-teur commun (chute de la paupière, m
inaires consistent en lésions des nerfs moteurs des muscles de l'œil ( paralysie de la 3e et de la 6e paire). La vision est généra
continus n'indiqueraient au-cune modification dans des cas anciens de paralysie de cause cérébrale par exemple, nous pouvons cons
us long. Ce sont les mêmes phéno^ mènes qu'on observe dans les cas de paralysie faciale périphérique; et c'est probablement à cet
qu'il faut rapporter la diffé-rence d'action, si remarquable dans ces paralysies , des courants induits et des courants continus.
NFÉRIEURS g hez une l'hiiiisique 7 ans, elle a été atteinte d'une paralysie faciale sur laquelle elle ne peut du reste donner
sont pour ainsi dire réduits au squelette. Du reste, il n'y a pas de paralysie véri-table dans ces membres, et, à part une grand
permanents, aux courants continus énergiques et temporaires dans les paralysies , les contractures musculaires et les lésions de n
il s'agissait d'une paraly-sie de l'avant-bras ; dans l'autre, d'une paralysie avec contracture des muscles du mollet et de la p
us peu-vent être d'un immense secours dans le traitement des diverses paralysies , contractures, lésions de nutrition. Remak l'avai
attaques dites congestives, apoplectiformes, ou épileptiformes de la paralysie générale progressive, ainsi que l'a, le premier,
présenta à minuit, dans le bras gauche, où l'on avait constaté de la paralysie , mais pas d'insensibilité, des soubresauts modéré
de M. Sée, de M. Blachez et de M. Bail. Chez six malades atteints de paralysie des extenseurs des doigts, par intoxication satur
s de paralysie des extenseurs des doigts, par intoxication saturnine, paralysie remontant à une époque plus ou moins éloignée, no
e l'électrisation des centres sur les affections périphériques. Ces paralysies saturnines me servent encore admirablement d'exem
les complications de chaque cas. Nous avons en effet trois classes de paralysie saturnine et nous avons eu l'occasion de les cons
à être lésé. Permettez-moi de vous faire remarquer à ce sujet que la paralysie des extenseurs n'indique nullement une af-fection
tion généralisée des centres nerveux, ou une cachexie déterminent des paralysies ou des atrophies musculaires, ce sont toujours le
ues se trouvait à l'ori-gine du nerf facial droit, et avait amené une paralysie des muscles de la face. A mesure que l'état de ce
ortance de ces différences d'action des courants électriques dans les paralysies faciales, dans les paralysies infantiles, dans ce
ction des courants électriques dans les paralysies faciales, dans les paralysies infantiles, dans certains cas hybrides d'atrophie
peut tirer de ces recherches, surtout dans le diagnostic de certaines paralysies , je ne vous citerai que le fait sui-vant, que nou
connaissance. Nous le vîmes deux jours après, et, à l'exception de la paralysie des muscles de la face, le malade n'accusait au
vous auriez certes, pour la plu-part, porté le même diagnostic, à une paralysie périphérique du nerf facial due à l'influence d'u
n'étions qu'au deuxième jour de l'affection. Vous savez que, dans les paralysies faciales périphériques, la contractilité par les
déjà très-notable, et que nous croyions nous trouver devant un cas de paralysie périphérique très-légère et dont la guérison rapi
diplopie homonyme, croissant vers la droite, est symptomatique d'une paralysie plus ou moins complète delà sixième paire, moteur
de siffler ou de souffler, qui reparaît si lentement dans les cas de paralysie faciale ordinaire, a été possible dès les pre-mie
e qui est également le con-traire de ce qu'on observe dans les autres paralysies faciales. C'est donc bien le noyau supérieur du f
ns, sans grande difficulté peut-être, enregistré ce cas parmi ceux de paralysie périphérique conservant sa contractililô farado-m
dans un cas de ce genre, même complète-ment guéri, que dans un cas de paralysie périphérique qui eût guéri plus lentement et moin
peu de dureté de l'ouïe. Mais on constate les signes manifestes d'une paralysie du nerf facial gauche, savoir : effacement des ri
xvn montre les suites de l'opérai ion. 11 est resté naturellement une paralysie du côté gauche de la face, mais avec cette partic
d'autres occasions, que la paupière inférieure seule prend part à la paralysie ; la supérieure peut encore recouvrir pres-que co
cas de ramollissement cérébral terminés par la guérison, avec ou sans paralysie , et dans lesquels nous avons suivi, aussi réguliè
Hémiplégie droite incomplète. — Aphasie absolue. — Amendement de la paralysie . — Incontinence nocturne d'urine. — Intelligenc
L'intelligence persiste, le malade comprend bien ce qu'on lui dit. La paralysie semble moins prononcée. Soir : P. 80; T. R. 38°,
ire son lit; il s'est recouché seul. Ce qui montre la diminution delà paralysie . Il parvient à mettre sa main droite sur sa tête
ara-lysie; dans le repos, il y a une certaine tension active; dans là paralysie , l'anéantissement est complet. » D'une manière gé
ants assez intenses, mais seulement dans les cas où l'on agit sur des paralysies périphériques, sur des atrophies muscu-laires, su
ons encore employé les courants continus chez des femmes atteintes de paralysies agitantes ; elles prétendent avoir moins de tre
mois au moins seront nécessaires pour arriver à ce résultat. » VII. Paralysies obstétricales des nouveau-nés, par Hil. Nadaud1.
lysies obstétricales des nouveau-nés, par Hil. Nadaud1. — Deux cas de paralysie obstétricale chez des nouveau-nés observés par M.
gne), ïarnier etParrot lui ont permis de compléter son travail. Les paralysies de la face et les paralysies du membre supérieur
t permis de compléter son travail. Les paralysies de la face et les paralysies du membre supérieur sont successivement décrites.
sies du membre supérieur sont successivement décrites. Chacune de ces paralysies est divisée en trois variétés qui sont : paralysi
s. Chacune de ces paralysies est divisée en trois variétés qui sont : paralysies spontanées, paralysies dues à une application de
ysies est divisée en trois variétés qui sont : paralysies spontanées, paralysies dues à une application de forceps, paralysies due
paralysies spontanées, paralysies dues à une application de forceps, paralysies dues à des manœuvres de l'accoucheur. Parmi les
forceps, paralysies dues à des manœuvres de l'accoucheur. Parmi les paralysies de la face celles du nerf facial sont commu-nes,
issent spontanément. L'application du forceps peut-elle déterminer la paralysie du nerf moteur oculaire commun? Deux notes, malhe
peu discutées par lui paraîtraient l'indiquer. Viennent ensuite les paralysies des membres supérieurs, qui sont beaucoup moins r
e déterminer la guérison de l'enfant. Dans une dernière partie, les paralysies des membres inférieurs devraient être étudiées, m
ent sont plus minces qu'à l'état normal. Pathogénie; — causes de la paralysie dans le mal de Pott et dans les myélites par comp
t pou-voir affirmer que la myélite par compression est la cause de la paralysie . Quels sont L s agents de celte compression ? C
était encore inconnue. Elle permet d'expliquer le développement de la paralysie lorsque la courbure n'est pas très-prononcée ou m
l'absence de toute courbure ; l'existence de fortes incurvations sans paralysie ; elle permet enfin de comprendre que la paraplég
ubles pupillaii es, de ceux de la respiration et delà déglutition, la paralysie qu'elle amène peut présenter deux formes spéciale
pyra-mide, et la paraplégie cervicale. M. Gull désigne sous ce nom la paralysie des membres thoraciques avec conservation des mou
membres supérieurs, l'atrophie musculaire rapide qui leur succède, la paralysie avec contracture qui vient compléter le tableau l
cet organe, la goutte, le rhumatisme, les névralgies en général, les paralysies rhumatismales, les affec-tions cutanées dues à l'
rent les battements du cœur et diminuent la pression en produisant la paralysie des pneumogastriques et des vaso-moteurs. 4° La
532. Oreille (voy. Anévrysme). Ovariotomie, par Panas, 232. p Paralysie infantile, par Charcot, 1, 56, — par Bail et Liou
éres-thesie de la —, 268. CLASSEMENT DES PHOTOGRAPHIES Planche I. Paralysie infantile (forme paraplégique) .... i Planche I
nche I. Paralysie infantile (forme paraplégique) .... i Planche II. Paralysie infantile (forme généralisée, n° 1). . . 5 Plan
. Paralysie infantile (forme généralisée, n° 1). . . 5 Planche III. Paralysie infantile (forme généralisée, n° 2). . . 5 Plan
67 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
é un certain nombre de malades ne présentant uniquement que de la paralysie atrophique et des altérations de la sensibilité d
occasionnelle, et encore par le côté droit. Ce sont toujours de la paralysie , de l'atrophie, et des troubles de la sensibili
l'autre côté. Les accidents qui se présentent alors sont d'abord la paralysie atrophique des interosseux : les deuxième et tr
par des troubles de la sensibilité, la seconde ~ d'état avec de la paralysie atrophique, la troisième terminale avec des rét
peut faire aucun mouvement du petit doigt. 11 existe en somme .une. paralysie ehune-atropliielde tous'les, muscles innervés par
nsions. M. Panas ' a relaté l'observation d'un malade atteint d'une paralysie du nerf cubital se montrant douze ans et demi a
êné pour son travail. L'examen permit de constater les signes d'une paralysie du cubital; griffe carac- téristique, atrophie
pondérant de l'hérédité dans la pro- 1. Sur une cause peu connue de paralysie du nerf cubital {Archives générales de mé- deci
en particulier par M. Neumann, en ce qui concerne tout un groupe de paralysies périphériques, les paralysies faciales dites a fr
en ce qui concerne tout un groupe de paralysies périphériques, les paralysies faciales dites a friore 1, serions- nous presqu
on. 1. Du rôle de la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale {Archives de neurologie, juillet). - No
rétrécissement du champ \isuel, accidents d'aphasie, de surdité, de paralysie , etc., etc. Nous n'en voulons retenir pour l'in
ts malades. Observation V. Fracture de sacrum remontant à cinq ans. Paralysie . z Crampes. Douleurs. Atrophie musculaire. Trou
le. Un peu plus tard, palpitations. Du côté des membres inférieurs, paralysie complète et anesthésie telle que la malade a ét
n, les douleurs et les crampes signalées ci-dessus. Depuis lors, la paralysie s'est fort amendée; deux années après l'accidenl,
, dans le service de M. le professeur Lannelonguc, qui constata une paralysie flasque des membres inférieurs avec insensibili
il la cuisse pour les mouvements associés. Il faut noter que celte paralysie hémilatérale atteint aussi la moitié du diaphra
inution de la contractilité volontaire. Réflexes exagérés à droite. Paralysie vésicale. Le côté paralysé est le siège d'une h
à droite. 27 décembre. Le malade quitte l'hôpital. Il subsiste une paralysie du membre supérieur droit et de l'épaule corres
oubles de la motilité. - Dans tous les cas, il avait subsisté de la paralysie musculaire, variable comme intensité et comme siè
térales, mais toujours il y a prédominance de certains symptômes- : paralysie , atrophie musculaire, troubles trophiques cutan
bord, ceux-ci plus tardive- ment. Très souvent la disparition de la paralysie musculaire est an- noncée par des secousses vol
a puissance génitale peut renaître en même temps que disparaître la paralysie . L'atrophie des membres in- férieurs est fréque
des résultats très appréciables chez plusieurs malades atteints de paralysie agitante, en calmant les contractures, la sensati
ue dans un cas de sclérose en plaques. - Deux malades atteints de paralysie agitante, et qui y sont actuelle- ment soumis,
ent n'est pas rare dans l'hystérie. Dans son mémoire inédit sur les Paralysies et les contractures hytériques couronné par l'Aca
ensibilité visuelle. Annales d'oculislique, août 1886. - Spasmes et paralysies des muscles de l'oeil. Gazette hebdomadaire de
ofesseur Charcot. Dans ses leçons des deux dernières années sur les paralysies elles contractures hystériques, notre maître a mo
'oeil, il se produit une contracture do l'orbiculaire, mais non une paralysie du releveur de la paupière. « La dis- sociation
FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS Nous ne sommes plus au tem
NÉRALE DES ALIÉNÉS Nous ne sommes plus au temps où l'histoire de la paralysie générale des aliénés paraissait faite et parfai
éterminée, faute d'autopsie. Les troubles trophiques attribués à la paralysie générale sont déjà nombreux. La prédisposition
l'ichtyose qui n'ont guère encore été signalées, je crois, dans la paralysie générale : Scinde dit pourtant que dans les der
1. 6.. uns. 1 (recueillie par M. Pcrruchct, interne du .service). - Paralysie générale. - Troubles trophiques. -1JI a 1 perfo
es généraux, th. 1889. y. Christian, Jlal perforant du pied dans lu paralysie générale (Ann. méd. psych., 1882, t. 1111, p. 2
ilisé pour son mémoire du concours des internes (188G). Obus. II. - Paralysie générale, vitiligo. Mme II... 39 ans. Kcmme de
nalées par M. Régis '. L'existence de l'atrophie musculaire dans la paralysie générale a été contestée, sauf comme coïncidenc
roisième observation : -. Ons. 111 (recueillie par M. Ch. Simon) 2. Paralysie générale, hémia- trophie de la langue. Le nom
égis, Vote sur la dyslrophie et la chute spontanée des ongles dans la paralysie gé- nérale (Gazette médicale, Paris, 1884). 2
opper en conséquence de lésions cérébrales, c'est ainsi que dans la paralysie pseudo-bulbaire signalée par M. Lépine et dont
ie très mani- feste '.L'interprétation de l'atrophie dans ce cas de paralysie générale est donc assez difficile en l'absence
ons de la peau. . Cit. Féré, Mdo'in tic tticuti'c. 1. Ch. Féré, Paralysie pseutlo-Gul6nire par lésion cérébrale bilatéJltle
ed Io culaneous diseuses (Drain, vol. VII, p. 3G3). SUR UN CAS DE PARALYSIE AGITANTE A 1·'OIiIfE HÉMIPLÉGIQUE AVEC ATTITUDE
ique aussi arrêté, aussi personnel, si l'on peut ainsi dire, que la paralysie agitante. Elle compose aux sujets qu'elle frappe
rs dans la conférence clinique du 19 juillet. Il s'agit d'un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique. Le membre supérieu
graphie de la Salpètrière, novembre et décembre 1888. SUR UN CAS DE PARALYSIE AGITANTE. - 167 00 ans, après avoir été paralys
squelles elle passait, que la malade attribue ce qu'elle appelle sa paralysie . Histoire de la maladie. Il y a deux ans enviro
che ne diffère en rien de l'attitude classique de ce membre dans la paralysie agitante. Le coude est un peu écarté du tronc,
NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL XXVIII ATTITUDE ANORMALE DANS LA PARALYSIE AGITANTE (type d'extension) LfiCNOSNIHN 6T BA
X Cliché A. LONDE PNOTOTYPIE BERTHAUD ATTITUDE ANORMALE DANS LA PARALYSIE AGITANTE (TYPE D'EXTENSION) LECROSNIER ET BAB
E (TYPE D'EXTENSION) LECROSNIER ET BABÉ, ÉDITEURS SUR UN CAS DE PARALYSIE acornwre. 169 Bien que la paralysie agitante se
BABÉ, ÉDITEURS SUR UN CAS DE PARALYSIE acornwre. 169 Bien que la paralysie agitante se présente, dans le cas qui précède,
, le développement lentement progressif, la raideur musculaire sans paralysie proprement dite, l'attitude du membre supérieur
Annales de la Charité de Berlin, en 1877, l'observation d'un cas de paralysie agitante dans lequel il exis- tait, comme chez
ouverte. Cela avait fait penser d'abord qu'il y avait là, à droite, paralysie du facial inférieur. Mais avec plus d'attention
que la note suivante : « Celte diplopie était caractéristique de la paralysie incomplète de la sixième paire droite (oeil attei
ettait d'écarter la simulation. Considérant néanmoins la rareté des paralysies oculaires dans l'hystérie, et d'attiré part la co
dont cet oeil avait été atteint, je rapportai la diplopie non il la paralysie du droit externe mais à la contracture du droit
invention d'une machine à calculer, tomba-t-il « dans une espèce de paralysie depuis la ceinture jusqu'en bas, en sorte qu'il
u-de-vie pour tâcher de faire venir la chaleur aux pieds ». Cette paralysie dura trois mois et finit par guérir complètement.
souffrant; les troubles du système nerveux dominent la scène. La paralysie a disparu mais « il avait entre autres incommodit
gnée dans mon mé- moire, encore inédit, sur les contractures et les paralysies hysté- riques qui a remporté le prix Civrieux e
nterprétant le « Miracle opéré sur Marie-Anne Couronneau frappée de paralysie sur tout le côté gauche... privée de l'usage de l
yer dessus, mais même de la lever; et tout son côté gauche étant en paralysie , elle. ne peut presque plus tirer aucun secours
ine à tous ceux qui la voient. «Tel étoit l'état déplorable où la paralysie avoit alors réduit la Cou- ronneau. Elle étoit
e 'lor novembre 1730 survient une attaque d'apoplexie non suivie de paralysie , qui laisse la parole embarrassée; huit jours plu
transportée à l'IIôtel-Dieu, où l'on con- state l'état suivant : Paralysie incomplète du bras gauche ; par contre le membre
che, le pied balaye le sol; cela, je pense, est caractérisque de la paralysie hystérique ». N'oublions pas- que le 1 juin 173
ons pas- que le 1 juin 1731, plus de huit mois après le début de la paralysie , le membre inférieur de M.-A. Couronneau était
plégie organique en effet, le plus souvent la face parti- cipe à la paralysie . La joue du même côté est flasque et pendante.
e dans une de ses moitiés, sa pointe est déviée du même côté que la paralysie . La commissure labiale droite, si par exemple l
é que la paralysie. La commissure labiale droite, si par exemple la paralysie siège à gauche, est plus élevée que la com- mis
ique, car ici la contracture, le mouvement actif, a fait place à la paralysie , à la passivité. C'est dans ce cas qu l'on observ
spasme glosso-labié hystérique. Enfin la disparition soudaine de la paralysie suffirait à elle seule à en démontrer l'origine
, M.-A. Couronneau qui a mis son seul espoir pour la guérison d'une paralysie considérée comme incurable par les médecins, da
ment et un mouvement dans le talon de sa jambe paraly- tique...» La paralysie s'en est allée, Marie-Anne Couronneau est guérie,
piration de M. Sceligmüller °. 1. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. Archives de neurologie, n°' : 31 e
l'une de ces deux dernières observations il y a prédominance de la paralysie et de l'atrophie dans le membre supérieur, dans
ait déjà appréciable tout au plus quinze jours après le début de la paralysie ... La rétrocession de l'atrophie semble pouvoir
uche pendant vingt-quatre heures. Deux mois plus tard, retour de la paralysie avec spasme glosso-labié : durée, trois jours.
i l'ont suivi, l'atrophie a toujours porté sur un membre atteint de paralysie ou de contracture; c'est également ce que nous
ie, si elle ne se superpose pas toujours à une contracture ou à une paralysie , semble donc, au moins, se localiser de préférenc
tte constatation inaccoutumée, devons-nous dire pour cela que cette paralysie n'est pas hystérique alors que tout plaide en f
origine hystérique peut quelquefois envahir des membres indemnes de paralysie ou de contracture. Géné- ralement alors, elle s
ordinaire, pas l'ombre d'un traumatisme, rien de particulier. Cette paralysie persistait depuis un mois et demi lorsqu'il entra
ormale, ni douleurs ni fourmillements dans la- main paralysée; donc paralysie absolue de la main et des doigts, anesthésie co
le il l'usine Eiffel, mais il ne se servait pas du tout de la main. Paralysie , insensi- bilité, oedème, cyanose ont persiste
s'est trouvé paralysé de la main droite pour la troisième fois. La paralysie était ce qu'elle est au- jourd'hui (25 mars 188
t encore sujet, pas d'autres troubles fonctionnels à relever que la paralysie delà main droite. Description de la paralysie.
ls à relever que la paralysie delà main droite. Description de la paralysie . Tous les mouvements de la main et des doigts s
juin. La main est exactement dans le même état de bouffissure et de paralysie qu'elle présentait avant l'amélioration des jours
les membres du même côté. Le gonflement de la main reparaît, et la paralysie également. Dyn. = 0. Cet état per- sisle jusqu'
= 0. Cet état per- sisle jusqu'au 1" juillet, époque à laquelle la paralysie s'est atténuée. L'oedème est moins marqué. Le p
ût. - Durant la nuit, vertiges et étouffements; le gonflement et la paralysie ont reparu le matin. Le lendemain, le malade peut
érature. Les mouvements des doigts reparaissent. Dyn = 1 i 1 : . La paralysie s'atténue les jours suivants. Le 17, Dyn. = 18
ergiquement. 2 ¡, aOlÎt. - Le lendemain, 24 juillet, l'oedème et la paralysie ont reparu ';]72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
uit très calme; bon sommeil. 25 août. - Plus de gonflement, plus de paralysie . Dyn. = 60 kilos; elle est seulement plus froid
e sais où, je ne me rappelle plus... Lui, avait dit que c'était une paralysie hystérique. Il avait dit il un autre : Le père
c'est un demi-setier de trop quand on est malade... Il m'a dit : « Paralysie a frigore. » Qu'est-ce que c'est que ça ? Enfin
vements, arc de cercle, le délire continue. « Alors donc une... une paralysie a frigore et patati et patata. Enfin il me donn
euxième médecin en question. « Le troisième... Celui-là c'était une paralysie par compression... sur il ne m'a pas fait de ma
is bien tranquille, ma main fonctionnait bien... Ah ouiche, v'là ma paralysie qui repique un matin. Ça commençait à ni'emm...
es, parti- culièrement lorsqu'ils sont en état de contracture ou de paralysie . lien a été ainsi dans l'une des trois observat
t, feedème se superpose presque toujours à une contracture ou à une paralysie d'un membre. L'aspect de l'oedème hystérique es
creux poplité droit, côté sain. Nous savonsquc presque toujours la paralysie , l'anesthésie et l'oedème se superposent; il ex
ut est variable; généralement il apparaît avec la contracture ou la paralysie qu'il peut toutefois précéder ; il s'établit en p
et plus, obs. I) elle paraît surtout subordonnée à la marche de la paralysie ou de la contracture sous-jacente. Quand à sa
la température locale, superposition habituelle de l'oedème il une paralysie ou à une contracture avec troubles de sensibilité
ux, et passant par les deux phases successives de contraction et de paralysie . Mais quelle est sa parenté avec l'urticaire vr
e dans les para- lysies radiculaires du plexus brachial et dus à la paralysie des muscles lisses de l'orbite, innervés par le
Pas de tension muscu- laire ni contractures ; aucuns phénomènes de paralysie ; pas deinorsuires à lalangue.Apeinele malade es
15, 16. Miracle (le - opéré sur Marie-Anne Cou- tonneau),40. Paralysie agitante (altitude anormale dans la -), ` ? S,
e - des extrémités supérieures), 1, 2. Troubles trophiques (dans la paralysie géné- rale), 25, ` ? G, 27 ; (- dans l'hystérie
de anormale de la tête et du tronc (extension), par Dutil, 165. Paralysie générale (faits pour servir il l'his- toire des
68 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Un phénomène réflexe original observé sur les extrémités dans les paralysies centrales organiques ; par W. l\[, llECHTEREW,
ations lui ont montré l'apparition de phénomènes analogues dans'les paralysies centrales organiques quand l'observateur pratiq
être cherchés des deux côtés afin d'en comparer les modalités. Les paralysies organiques, à raison de la destruction du neuro
dans la partie du corps paralysée, ce qui n'est pas le cas pour les paralysies fonctionnelles. P. Keraval. REVUE D'ANATOMIE ET
laquelle participe le segment inférieur du bulbe. On constate : une paralysie flasque des membres supé- rieurs et inférieurs
e progressi- vement, de la parésie, des convulsions toniques, de la paralysie , de l'anesthésie du sens musculaire seul, de l'
che en voie de destruction. Dans les processus toxiques, telles les paralysies post-diphtéritiques, les poussières que l'on tr
É DE NEUROLOGIE Séance du 11 mai 1905. Présidence de M. BRISSAUD. Paralysie alterne &t6o-j');'<t( ? )'fttt<e. M.
inl d'hémiplégie droite sen- sitivo-motrice (tronc et membres) avec paralysie gauche de qua- tre nerfs crâniens : facial, mot
est caractéristique du tabès. La malade aveugle présente encore une paralysie du mo- teur oculaire commun, de l'hémialrophic
un même cadre. Contractions associées paradoxales dans une ancienne paralysie , faciale. M. Lamy montre un malade paralysé
rme d'un petit faisceau dans la partie supéro-externe du chiasma. Paralysie générale et syphilis cérébrale diffuse. M. Dupr
tions permettent le diagnostic à l'examen des préparations. Dans la paralysie générale, l'infiltration péri- ' vasculaire est
remblement est à typeparkin sonien. Il y a ophtalmoplégie totale et paralysie faciale gauche sans troubles de la sensibilité.
SYCIIOLOGIQUE. Séance du 20 mai. Suppuration et rémission dans la paralysie générale. M. le 1), A. Marie communique une obs
aralysie générale. M. le 1), A. Marie communique une observation de paralysie générale où survint unerémisson notable avec la
imminente qui aurait déprimé l'étal général du malade plus que la paralysie générale Cette suppuration était évidemment due
ns latentes ou secondairement incidentes si fréquentes au cours des paralysies générales. Mais en supposant que son développem
uration initiale et de sa cure chirurgicale sur réH1lu-. tion de la paralysie générale sous-jacente et ses rémissions. Il est
lètement sur deux formes pathologiques : la manie alcoolique, et la paralysie générale ; les autres formes morbides se présen
é- rébro-spinal dans la dystrophie musculaire progressif, dans la paralysie agitante ; dans le gliome cérébelleux ; dans la n
. , La ponction lombaire permet-elle d'assurer le diagnostic delà paralysie générale ! Le diagnobticen l'espèce était déjà ét
points de repère propres à séparer REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 109 la paralysie générale des formes non inflammatoires de syphili
-elle dedistinguer certaines formes de l'alcoolisme chronique de la paralysie générale ? L'auteur n'a pu décider les alcooliq
(I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la syphilis cérébrale, et la paralysie géné- rale (4 cas, 8 ponctions), ou entre une m
« constitue un auxiliaire très important pour le diagnostic de la « paralysie générale, la lymphocytose n'est qu'un signe morbi
ne aussi grande augmentation des éléments cellulaires « que dans la paralysie générale. Cette multiplication des élé- « monts
o-rachidien de 10 paralytiques généraux à diagnostic certain ; de 3 paralysies générales douteuses ; de 8 épilepsies franches
ide cérébro-spinal indique fort probablement, mais non sûrement, la paralysie gé- nérale. Impossible de trouver aucun rapport
). En général le nom- bre des lymphocytes n'atteint pas celui de la paralysie générale. Les céphalalgies dont se plaignent le
ut dans les cas douteux, servir à éclairer le- diagnostic. entre la paralysie gé- nérale et une autre maladie. Le liquide c
out rencontré dans l'épilepsie mais quelquefois égale- ment dans la paralysie générale. P. Keraval. 11. -Recherches expérimen
mentale en par- ticulier et l'on peut observer ces troubles dans la paralysie géné- rale, la mélancolie sénile, la démence pr
us l'influence de l'oc- clusion palpébrale. Il n'y a en tout cas ni paralysie de l'accom- modation, ni atrophie des nerfs opt
e est depuis des années abso- lument stationnaire. Le diagnostic de paralysie générale devient d'année en année de plus en pl
aient : une légère démence ; une atrophie de la langue àgauche, une paralysie du voile du palais du même côté, des troubles d
méningite gommeuse caractérisés par des phénomènes de névrite et de paralysie dans le territoire de la bandelette optique droit
mer en une inertie pupillaire absolue à laquelle peut s'ajouter une paralysie de l'ac- comniodalion ; de la pupille étroite o
s fréquente. Ainsi il peut exister d'a- bord de la parésie ou de la paralysie du sphincter pupillaire d'un côté ou des deux a
aralysie du sphincter pupillaire d'un côté ou des deux avec ou sans paralysie de l'accommodation ; 120 REVUE D'ANATOMIE ET DE
que le faisceau latéral des pyramides n'a pas été sectionné, que la paralysie motrice rétrocédera et que le patient récupérer
crâniens, et chez l'autre, généralisés selon le type complet de la paralysie agitante avec double clonus du pied, établissant
beau- coup moins importantes. Suppurations et rémissions dans la paralysie générale. (Voir p. 55). MM. MAME et Violet rapp
nostic précoce de certaines affections, telles, par exemple, que la paralysie générale iL son début ; même les troubles de l'
eu des renseignements certains, les premières manifestations de la paralysie générale se sont produi- tes respectivement 12,
, il est vrai, avec une proportion égale- ment très élevée, mais la paralysie générale y est relativement intime, au moins da
mentsans hésitation et avec une cor- rection suffisante. Dans les paralysies , quoique la contractitité musculaire soit amoin
, un constipé croit que son intestin est bouché, etc. De même, la paralysie générale tabétiforme s'accompagne souvent d'un
par les analgésies viscérales signalées au cours du tabès et de la paralysie générale (accouchements indolores,ul- cères ron
'il y aune forme spinale, il y au- rait une forme sympathique de la paralysie générale, caractéri- sée par la coexistence de
s en médecine, syphilopho- bie, préoccupation hypochondriaque de la paralysie générale chez les anciens syphilitiques, etc.)
- pochondriaque délirant à l'asile doit être tenu pour suspect de paralysie générale. 2° L'idiot ne pourra guère interpréte
asiles, nous dire si, chez tel malade, l'hypochondrie est liée à la paralysie générale, à la démence, dans ses principales fo
cas peuvent se présenter : 1° Le spasme est primitif d'emblée, sans paralysie consécutive ; 2° Le spasme est pré-paralytique;
troubles pupillaires s'observent le plus souvent dans le tabes, la paralysie générale et les lésions cérébrales syphilitique
i sont constitués par l'ophtalmoplégie interne partielle ou totale ( paralysie du muscle constric- teur de la pupille, ou du m
e basale. Ils n'ont rien à voir avec le tabès. Les troubles de la paralysie générale sc rapprochent beau- coup de ceux de l
apparaît d'abord dans la P. G., c'est la parésie, allant jusqu'à la paralysie complète du muscle constricteur. Puis la parési
alysie complète du muscle constricteur. Puis la parésie, jusqu'à la paralysie complète du muscle accommo- dateur. En somme, c
énéralisation hâtive, était alors à la base de pres- que toutes les paralysies du mouvement et de la sensibilité : paralysies
es- que toutes les paralysies du mouvement et de la sensibilité : paralysies utérines, urinaires, vésicales, rénales, prostati
ulé par voie sanguine) ; au profit des polynévrites, au profit delà paralysie ascendante et rayonnante de Landry (il s'agit i
s documents, mesuré un syringomyélique et un jeune homme atteint de paralysie spastique avec exagération des réflexes tendine
le temps perdu pour le seuil a été on moyenne de 0',07. Un cas de paralysie spinale aiguë de l'adulte à forme monoplégique.
aiguë de l'adulte à forme monoplégique. Dr CASTES (de Rennes). La paralysie spinale aiguë de l'a- dulte à forme monoplégiqu
s pour la première fois le malade, quelques mois après, je trouve : paralysie flasque du membre atteint, avec motilité entièr
symptôme chez les paralytiques généraux. Le signe de Kernig dans la paralysie générale. Dr DARCANNE (de Fougères). Le signe d
r DARCANNE (de Fougères). Le signe de Kernig est fré- quent dans la paralysie générale, et si l'on examine une série dt malad
il existe néanmoins. Nous avons pu observer 26 femmes atteintes de paralysie générale à l'asile de Bégard (Côtes-du-Nord), e
admet qu'il peut traduire une lé- sion uniquement centrale. Or, la paralysie générale, affection des centres cérébraux et de
tabes. Nous pouvons donc considérer notre signe de Kernig,dans la paralysie générale, comme traduisant soit une lésion cen-
dullaire. Dans le cas où le signe de Kernig existait au début de la paralysie générale, il n'y y avait pas de troubles de la
igne de diagnostic, puisqu'on le trouve à toutes les périodes de la paralysie générale, on le trouve souvent à la phase fi- n
u début que sa présence a le plus d'importance, car dans les cas de paralysie générale fruste, sans signe d'Argyll-Robertson,
t du pronostic. Il indique, en effet, l'évolution progressive de la paralysie générale, sa mar- che ascendante du cerveau dan
peuvent même confiner le malade au lit. Le signe de Kernig, dans la paralysie générale, indique, pour nous, une évolution rap
nisation cérébro-médullaire, achève de montrer toute l'importance PARALYSIE GÉNÉRALE TARDIVE. 203 des courants continus dan
usquement d'une monoplégie brachiale gauche. Guérison. Retour de la paralysie quelques mois après, suivi encore de guérison.
é bien que, dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème cérébral. Les paralysies transitoires des urémiques et, il plus forte ra
gestion passive, favorisé d'ailleurs par la dys- crasie sanguine. Paralysie générale tardive. Méningite scléro- gommeuse du
-Les cas 204 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. de paralysie générale tardive sont assez rares ; il nous a par
ie du cerveau. A l'exa- men histologique : lésions classiques de la paralysie générale dans.tout le cortex ; au niveau du lob
leucocytaire avec les diverses phases cliniques ou les ictus de la paralysie générale, l'albumo-diagnostic montre une altéra
idies (Beni-Barde); de bains froids de courte durée : . 1 Dans la paralysie générale, on aura, pour combattre l'exci- tatio
hémorragies, ramollissement, etc., et plus particulièrement dans la paralysie générale, les grandes appli- cations hydrothéra
ains russes ou turcs). 10" Les folies d'origine organique, comme la paralysie générale et celles qui coexistent avec des affe
es, symptomatiques, etce n'est qu'exception- nellement que, dans la paralysie générale, on recourra au bain tiède ou à l'enve
ment d'une monoplégie brachio-aurale gauche. Guérison/ Retour de la paralysie quelques mois après suivi encore de guérison. C
le bien que dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème cérébral. Les paralysies transitoires des urémiques, et, à plus forte ra
p. Guériu, Dercnne, Lluis, Paris. FOUIINIER (A.) et Raymond (F.). - Paralysie générale et syphilis. 1 vol. In-8, de 100 pages
1 vol. In-8° de 141 pages Simon. Imp. Ren- nes. Petit (E. P.). - Paralysies faciales récidivantes et paralysies faciales à
p. Ren- nes. Petit (E. P.). - Paralysies faciales récidivantes et paralysies faciales à bascule. 1 vol. In 8° de 120 pages.
tique, caractérisée par les symptômes mentaux et somatiques de la paralysie générale. Le tableau clinique est le même et ce
érale. Le tableau clinique est le même et cet état ne diffère de la paralysie générale classique que par son évolution rapide
aturelle à la régression, à la guérison. Ce sont là de véritables paralysies générales régressives ou temporaires (Régis) qu
dans les psychoses des infections aiguës sont en effet celles de la paralysie générale, c'est-à-dire des lésions de mértingo-
equel le malade avait contracté la sy- philis après l'influenza. La paralysie générale de la grippe, si elle est une vraie et
et non une pseudo-paralysie générale, est donc bien le type de ces paralysies générales régres- sines ou temporaires auxquell
aves, on observe le prolapsus de la paupière supérieure, parfois la paralysie du facial. Pour le pouls, il n'y a rien de cons
dies où le cortex est plus ou moins complètement atteint, dans la paralysie générale par exemple, la destruction des territ
té qui se produit chez le nouveau-né » (Muu- XESCO. Sur deux cas do paralysie uasque, etc. Revue Neurologique, 191, p. 210.)
ts sont conformes à ceux de MM. Joffroy et Huchard (1) qui, dans la paralysie in- fantile, n'ont pas trouvé d'altérations app
pfroy et Huchard. - Contribution il l'anatomie pathologi- que de la paralysie spinale aiguë de l'enfance. (Arch. médec. exph-il
de ses con- naissances. F. TISSOT. IV. Contribution à l'étude la paralysie myasthénique ; par Il, nE LÉOr` (1\'oteo. 1co11
uvent méconnue, quoique cliniquement définie ; caractérisée par des paralysies musculaires avec asthénie sans atrophie, sans r
teinte par de la fatigue d'abord, puis de la parésie et enfin de la paralysie . L'auteur fait le diagnostic différentiel de ces
est jusqu'à présent le traitememt le plus efficace. F. TissoT.. V. Paralysie des nerfs craniens d'un côté et déforma- tions
photographies, intéressante parla localisation à un seul côté de la paralysie des ye, Vl°,5rll°, VHP', IX1" et Xe pai- REVUE
pour localiser la névrose sous forme de douleurs, d'anesthésie, de paralysie sur la partie touchée. Pour lui, le véritable
e de 23 ans syphilitique, ayant présenté neLtementle syndrome de la paralysie ascendante aiguë. L'au- topsie montra l'existen
yers ayant tout il fait l'aspect des foyers de ramollissement de la paralysie infantile et intéressant les cornes antérieures
(119 II. et 125 F.) dont 13 cas d'é- pilepsie, G d'hystérie, 26 de paralysie générale, 3 d'idiotie, 15 de folie alcoolique (
et enseigne- ment : nous l'approuvons vivement. BOURNEVILLE. XIV. Paralysie générale et syphilis. parL. MARCHAND, médecin a
néraux sont sII)hilili4lues, e[(Itie d'au- tre part certains cas de paralysie générale n'ont certainement pas pour cause la s
voyer davantage aux cours. 332 BIBLIOGRAPHIE. majorité des cas la paralysie générale est d'origine syphilitique : 1° par l'
ne syphilitique : 1° par l'examen des cerveaux où les lésions de la paralysie géné- rale s'associent à des lésions non douteu
ent à l'auteur d'envisager la syphilis comme une cause puissante de paralysie générale. Il importe dès lors de dif- férencier
3G2 cl.IQw : mentale minulillue ;avait des vomissements avant la paralysie , de nature dyspeptique ( ? ). Chez Louise S., a
pathologiques, tels que l'hystérie, la svringo- mplie et certaines paralysies (cas de l3arl.er). Un sait d'autre part que Mll
TÉS SAVANTES. 377 -1 tic du siège de la lésion dans les différentes paralysies centrales ou périphériques. M. Heilporn (d'.\
estion hypnotique.' * REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Leçon sur la paralysie générale ; par le Prof. Raymond. (Archives de m
re de deux malades : le premier, un homme de 37 ans, est atteint de paralysie àsoil début, quoique cepcndanl déjà nettement c
'état actuel de nos connaissance sur la nature et l'étiologie de la paralysie générale. De la récente discussion qui a eu lieu
idente pour les cas de Iraralyic générale juvénile pour Fie. : iL - Paralysie générale, ancien loyer, hémisphère gauche REVUE
l'origine ) pltilil ique.. I,luant att 1)rohlime de la nalure ln la paralysie générale, sa solution apparient it l'anatomie p
ire de la clinique. Pour Aixhenner, le processus histologique de la paralysie gé- dL'raledif'['c)'oducelu[deIasypItilis' : l'
I. Raymond se demande Po,. 1 ? - Elélllellh de l'iulillrat méningé, paralysie générale (cas 806 du laboratoire}. . 1 384 RE
serons fixés définitive- ment sur l'existence et les caractères des paralysies générales ne relevant pas de la syphilis. Il.
dination à il l'aphasie. L'aphasie s'observe souvent au début de la paralysie générale, et elle constitue ]IL'es- 'rue toujou
F. TissoT. Essai de recherches médico-statistiques sur 900 cas de paralysie générale des aliénés; par G. A. 1)IÉDO\v.(OIlO ?
les conclusions de ce mémoire. 1" La proportion des admissions pour paralysie générale assi- gne àcel hôpital la 3e place par
2' série, l. XX. 25 38G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'homme, la paralysie générale sévit surtout de 30 à 40 ans ; pas un
as·c principale de la clientèle de l'hôpital, mais n'empêche que la paralysie générale pénètre de la ville au village où jadis
ataires hommes et femmes sont bien plus rarement alleints. - 1 La paralysie générale résulte de l'excessive tension, du surme
étiologiques. 10° Assez variés sont les phénomènes initiaux de la paralysie générale : ils conduisent tous à un affaiblisseme
et de rémissions plus fréquentes. Rare est la l'orme classique delà paralysie géné- rale ; elle a cédé la place à la forme dé
se que celle des muscles de la face Dans la forme tabétique de la paralysie générale, les 1'I',lIl'.\('5 musculaires el aut
' IIIU,c]p, étaient mou- et fiasques mais il n'yail aucune (rare de paralysie . L'enfant ne pouvait se tenir debout ni s'asseo
re de certificat. Observation Il. - Homme de 53 ans, présentant une paralysie dutiras gauche. L'altitude évoque l'idée d'une
entant une paralysie dutiras gauche. L'altitude évoque l'idée d'une paralysie radiale ; l'examen montre certaines particulari
papillaires, le nystagmus. ne sont également point rares; quant aux paralysies oculaires connu- guées ou associées, elles sont
fection doit toujours être réservé, les mala- des pouvant mourir de paralysie des nerfs crâniens dans les atta- ques épilepti
L'auleur parle, en terminant, du diagnostic de l'affection avec la paralysie générale, muntrant que dans le stade initial il n
fortes incurvations sans phénomènes paralytiques, ou enfin que la paralysie puisse guérir sans aucune modification de la gi
eurs, et en particulier LEYDEN z2). Pour Ley- den, non seulement la paralysie par compression au cours du mal de l'ott, mais
qu'on n'a aucun motif pour expliquer par une myélite secondaire la paralysie qui se déclare au cours de la spondylite ; la m
ès ' admettre, avec Kraske, qu'au moins dans la moitié des cas de paralysie pottique. la moelle est directement com- primée
de tous les ac- cidents. 0&M)'Mt(tO)t/7T.Syphilis cérébrale. Paralysie . Injections de 1 gr. 52 d'hermophényl en 13 piq
sa conductibilité neuro-volition- nelle. ' Commotion médullaire ; paralysie des membres supérieurs ; , intégrité des membre
dusens des attitudes Depuis l'accident, qui date de trois mois, la paralysie a céd partiellement, surtout à gauche. Les réfl
propulsion, sans signe de Romberg, ni asynergie céré- ])eIIeuse, ni paralysie . Abolition des réflexes rotulicns et achil- lée
s atteints d'affec- tions à manifestations exclusif ement motrices ( paralysie agitante, goitre exophtalmique, chorée, tabès,
motrices et intellectuelles telles que l'épilepsie, l'hystérie, la paralysie générale, la démence sénile, la démence précoce
pharoplose post-typhique (Soc. de Pédiatrie., janvier 190 ? .) - z. Paralysie la- bio-glosso laryngée, probablement liée à un
1903.) 23. La ponc- tion lombaire dans le diagnostic précoce de la paralysie générale (Concours médical, 29 octobre 1904.) 2
avril 1905,p " p. 1042.) 27. La préoccupation hypochondriaque de la paralysie générale chez les syphilitiques. (Journal de Ps
elleux ;.\maladie de Friedreich. Svndromes bulbs- protubérantiels ; Paralysies hu117aires. Myélites aiguës. Paralysie infantil
es bulbs- protubérantiels ; Paralysies hu117aires. Myélites aiguës. Paralysie infantile. Sclérose en plaques. Sclérose latéra
l. Tuberculose des centres nerveux. Syphilis des centres nerveux. Paralysie générale. Atrophie musculaire progressive ; Atrop
ssive ; Atrophies musculaires en général. Myopathies. Polynévrites. Paralysies des plexus : Névralgies (faciale, scia(iclue, e
2. - - Jorns \L. Viuvoiiil . p. 79. Kehnig. Le signe de dans la paralysie générale, par Darcanne, p. 200. Kleptomanie.
émie. Méningite syphilitique. Voir Tabès. scléro-gommeuse. Voir Paralysie générale. chronique chez un hérédi- taire dég
'302. Nerfs crâniens et tachidicnh Voir-Y ? jr ? crâniens. Voir Paralysie . facial. Vo[r7 ? f ? cf ? ff ? 510 TABLE DES
, p. 130. Parole. Voir l'toubfes. -. Voir l'ic. Phénomène. Voir Paralysie . Voir 8/liIlO-IlI1tS('1ÛuI7'r. myotoniques.Vo
e de Bicêtre pour 1903, par Bour- neville, p. 60. Réflexe. Voir paralysie . Nou- veau = de la face, par Fuchs, p. 41. Du
69 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
baye, le lapin, le chien, une hémisection de la moelle entraine une paralysie croisée du sentiment et du mouvement; en d'autres
gment de moelle, situé au-dessous de la section, on observe : Une paralysie motrice accompagnée d'hyperesthésie, dit, côté où
réflexes tendineux, des deux côtés ou seulement du côté où siège la paralysie motrice. On a aussi observé l'exagération des r
ration des réflexes cutanés, mais cela n'est pas constant. d) Une paralysie vaso-motrice du côté de la lésion, superposée par
vaso-motrice du côté de la lésion, superposée par con- séquent à la paralysie motrice ; elle se traduit, du moins au début, par
ncontinence cl'zcricte et des matières fécales, en rapport avec une paralysie de la vessie et du rectum ; elle est à peu près c
de la fente palpébrale. Ces deux derniers phénomènes traduisent une paralysie du grand sympathique. Je viens de vous rappeler
tion et d'ad- duction étaient conservés. En somme, les traces de la paralysie motrice antécédente subsistaient dans un grand
ce ; De l'hyperesthésie cutanée ; De l'anesthésie profonde ; La paralysie vaso-motrice ; . L'exagération des réflexes ten
conservation de la sensibilité profonde. Enfin le malade a eu de la paralysie de la vessie et du rectum. Des deux côtés le ma
c'est que du côté du membre supérieur droit il n'y a ni atrophie ni paralysie , tandis que le memhre supérieur gauche pré- sen
une luxation avait déterminé une contusion du plexus brachial avec paralysie et atrophie du membre supérieur et oedème très
ctions amyotrophiques des extrémités et d'origine centrale comme la paralysie infantile, la poliomyélite antérieure et l'hé-
oedème de cause mécanique. La cause immédiate ne réside ni dans la paralysie , ni dans l'atrophie des muscles dont la contrac
atique détermine de l'aedène ; c'est sans doute, dans ce cas que la paralysie des vaso-constricteurs joue le rôle principal d
el mécanisme ? S'agit-il d'une exci- tation de centre ou bien d'une paralysie . Si on veut bien tenir compte du caractère ryth
ui intervient, c'est-à-dire l'excitation des centres suivie de leur paralysie . Les études de la gliose médullaire consti- tue
on, laquelle quand elle atteint un certain degré, se traduit par la paralysie fonctionnelle. J'ai pu constater à l'aide de la
ait de l'anesthésie superficielle au membre inférieur gauche,et une paralysie motrice totale du membre inférieur droit, avec
ésie cutanée de ce même côté. Un peu plus tard, on a constaté de la paralysie vaso-motrice à droite, et de l'exagération des ré
de la plante du pied jusqu'à la crête iliaque ; de ce même côté, la paralysie du membre inférieur subsistait, mais moins com-
e qui a été entamée. Toujours est-il qu'après une première phase de paralysie complète des deux membres inférieurs, de paraly
remière phase de paralysie complète des deux membres inférieurs, de paralysie de la vessie et du rectum, le blessé a pré- sen
à droite. Les troubles de la sensibilité remontaient presque. La paralysie motrice s'est dissipée très rapidement à droite,
re les 8° et 9° vertèbres dorsales. La blessure avait déterminé une paralysie du membre inférieur droit ; la peau de ce membre
esthésie superficielle, à gauche, par de l'hyperesthésie et par une paralysie motrice. Le malade a suc- combé 43 jours après
rsale. Immédiatement après l'attentat, le malade avait présenté une paralysie complète des membres inférieurs et une paralysie
avait présenté une paralysie complète des membres inférieurs et une paralysie partielle des membres supérieurs. Pendant trois
uteur de la 3"ver- pègre dorsale a eu pour suites ; A gauche, une paralysie motrice de tout le membre inférieur et un peu d
e des apophyses épineuses. In- dépendamment du syndrome classique - paralysie complète du membre inférieur gauche avec hypere
ISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE ni Au bout de quatre semaines, la paralysie motrice, à droite, s'était can- tonnée dans le
au porté il la hauteur de la 2e vertèbre dorsale. II y a eu d'abord paralysie du membre inférieur du côté droit et anesthésie
nence d'urine et constipation opi- niâtre. Au bout de 48 heures, la paralysie motrice était déjà en voie de rétrocession et 2
nt écoulées depuis l'attentai, il ne subsistait plus de trace de la paralysie motrice du membre inférieur gauche ; à l'élévatio
bre inférieur du côté opposé a l'hémisection est resté frappé d'une paralysie motrice partielle. Je vous dirai l'explication qu
demain de l'accident on a constate chez la victime : ci droite, une paralysie motrice complète du membre in- férieur, un peu
ésenté, indépendamment d'une paraplégie des membres inférieurs, une paralysie du membre supérieur gauche sans compter de l'hy
le entre les 6e et 7e vertèbres cervicales. Il en était résulté une paralysie motrice complète du membre inférieur droit, ave
squ'au niveau du mamelon. Au début, le patient a eu égale- ment une paralysie motrice incomplète du membre inférieur gauche.
de ses membres su- périeurs, en même temps que s'était dissipée la paralysie de la vessie. Vingt-cinq ans après l'attentat c
aux'membres supérieurs et aux membres inférieurs ; hyperesthésie et paralysie motrice, à gauche ; hyperesthésie à droite, san
alysie motrice, à gauche ; hyperesthésie à droite, sans compter une paralysie de la vessie,el des érec- tions intermittentes.
tentai, le syndrome de Brown-Sequard existait en plein : ri droite, paralysie motrice complète du membre infé- rieur, parésie
édiatement après l'attentai, le membre inférieur a été frappé d'une paralysie totale et. le membre su- périeur d'une paralysi
a été frappé d'une paralysie totale et. le membre su- périeur d'une paralysie partielle ; les muscles du côté droit de l'abdome
muscles du côté droit de l'abdomen et du thorax participaient il la paralysie , de même que la vessie et le rec- tum. De ce mê
ssister à l'entrée en scène des manifestations symptomatiques d'une paralysie du grand sympathique cervical. Le sujet avait r
au indiqué ou plus haut, se traduira forcément par des symptômes de paralysie du sympathique cervical. Voici par exemple une ob
. Or, dans ce cas, les troubles con- sécutifs se sont réduits à une paralysie motrice du côté gauche, paralysie transitoire.
n- sécutifs se sont réduits à une paralysie motrice du côté gauche, paralysie transitoire. M. Delmas a conclu que l'hémisecli
e Brown-Sequard. Dans l'une et l'autre, les symptômes dé- notant la paralysie du sympathique cervical ont fait défaut, à peu de
s après l'attentat, les suites du traumatisme consistaient dans une paralysie incomplète des membres et dans un émoussement d
me de 50 ans chez lequel, jours après l'attentat, on a constaté une paralysie motrice des memhres du côté droit, à laquelle p
classique. Je ne vous mentionne cette observation que parce que la paralysie motrice s'est doublée d'une atrophie qui intéress
res cer- t'<ca. Quinze jours après l'attentat, on a constaté une paralysie et une atrophie du membre inférieur gauche, laq
occipitale externe, on avait constaté chez la victime, il droite la paralysie de tous les muscles, cou et tête exceptés, une
le corps. Dans une observation déjà ancienne de Brown-Sequard, une paralysie complète du membre supérieur droit avec paresth
l et l'atlas, à droite de la ligne médiane, on avait constaté : une paralysie motrice et une anesthésie de tout le côté gauch
ne paralysie motrice et une anesthésie de tout le côté gauche ; une paralysie motrice du côté droit et une anesthésie de la mai
ôté droit, une abolition partielle du sentiment, superpo- sée à une paralysie motrice des membres ; les troubles du sentiment c
me avait eu tout le côté droit, y compris la nuque, paralysé; cette paralysie du mouve- ment'se doublait d'une hyperesthésie
térielle qui se faisait par la plaie, on constata l'existence d'une paralysie du côté gauche ; seule la moitié droite du thor
la rétention d'urine.. Je note que le 27e jour après l'attentat, la paralysie motrice était en voie de rétrocession dans le m
semble applicable en l'espèce. Mais dans quel sens : contracture ou paralysie ? Charcot invoquait pour les déformations du rh
raison ne plaide en faveur de cette hypothèse. Reste le champ de la paralysie assez vaste encore pour permettre de choisir un
point. Le second, de plus grande valeur, est que la para- lysie, si paralysie il y a eu, ne se rattache à aucuu territoire nerv
del n'ad- met pas non plus que la névrite du cubital ait pu, par la paralysie des muscles du territoire nerveux malade, déter
n en masse vers le bord cubital. Celle-ci serait-elle l'effet de la paralysie de quelque autre groupe ? Nous croyons, mon ami l
appliqué à montrer que le groupement des muscles paralysés dans la paralysie infantile et dans d'autres atrophies musculaires
cas de fractures cons- tatées chez l'homme et ayant été suivies de paralysies . Dans le tableau sui-- vant de Thorburn, le lec
e 1896, n" 17, semble disposé à admettre, dans cette affection, des paralysies du type radiculaire, seulement son cas était d'un
rime de la façon suivante : Une particularité intéressante de cette paralysie atrophique, c'est qu'elle porte surtout sur les
té et du trapèze de l'autre, je dis : alterne, par analogie avec la paralysie de Gubler qui frappe le facial d'un côté et les m
ul- laires, des cornes antérieures par exemple, sont fréquentes, la paralysie infantile ne portant souvent que sur quelques m
ivi d'accidents secondaires. Septembre 1896, hémiplégie gauche sans paralysie faciale ; traitement spécifique non suivi d'améli
peuvent se ramener à . quatre types : 1° Dans un premier type, la paralysie motrice est limitée au membre inférieur, du côt
orsales inférieures, en deçà de la 9°. 2° Dans un second type, la paralysie motrice et les troubles sensitifs re- montent a
souvent, mais non toujours, des manifestations en rapport avec une paralysie du grand sympathique cervical et du nerf phréni
mes de l'hémisection. Dans ces conditions, vous pouvez observer une paralysie motrice occu- pant les deux côtés. Or la bilalé
ralysie motrice occu- pant les deux côtés. Or la bilaléralité de la paralysie motrice, qui pour- rait vous faire douter de l'
e. Le lendemain, il avait les deux membres inférieurs paralysés; la paralysie motrice se doublait d'une anesthésie. Il se plaig
rvical) expliquait la participation de l'appareil respiratoire à la paralysie ; en effet une section, pratiquée à ce niveau, d
rachis, faites des réserves, surtout s'il existe des phénomènes de paralysie respiratoire ; représentez une issue fatale com
cette dysurie s'est dissipée dans la suite. Un peu plus tard, la paralysie du mouvement subsistait à droite; elle intéress
trophie musculaire du membre infé- rieur droit s'était dissipée. La paralysie motrice et les troubles de la sen- sibilité sub
ertèbre dorsale. Immédiate- ment après l'accident on a constaté une paralysie motrice de la jambe gauche et une anesthésie da
tomie des centres ner- veux sont à même de nous rendre compte de la paralysie motrice directe, de l'hémi-anesthésie croisée,
ie directe et de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la paralysie motrice, qu'on observe dans les cas d'hémisecti
cas d'hémisection de la moelle. A. Paralysie motrice directe. - La paralysie qui se produit du côté de la lésion est des plu
endre qu'une hémisection de la moelle entraînera nécessairement une paralysie motrice du même côté, dans les parties innerves p
lle, une hy- peresthésie très nette s'associe, avons-nous dit, à la paralysie motrice. Cette hyperesthésie s'explique sans di
suite d'une hémisection de la moelle. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE PAR , Ch. ACHARD Professeur agrég
n interne, lauréat des hôpitaux. , Les altérations osseuses de la paralysie infantile sont connues depuis longtemps. Elles
nouveau moyen d'investigation à l'étude des lésions osseuses de la paralysie infantile. C'est ce que nous avons pu faire chez
pu faire chez deux ma- lades dont voici les observations. OBS. I. Paralysie spinale infantile sous forme paraplégique remonta
1) A. JoFFnoY et Cn. Acnnno, Contrib. à l'anatomie pathologique de la paralysie spi- nale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine
édecine expériment., janv. 1889, p. 57. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE 325. Début. Son affection débuta le j
La face n'est le siège d'aucun phénomène morbide. On ne note aucune paralysie oculaire, aucun trouble pupillaire. Parfois devan
de rotation se pas- sent à la cuisse. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE 327 Pour les mouvements provoqués, il
sont abolis. Il n'existe pas de troubles de sensibilité. OBs. IL Paralysie spinale infantile limitée au membre supérieur dro
s généraux, mais la toux persista ainsi que la fièvre, l'appétit ne PARALYSIE SPINALE INFANTILE A. Forme paraplégique plus ac
largeur. MASSON & cic) Editeurs. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE 329 revint pas, non plus que lès forc
arfois les doigts sont écartés. En résumé, il s'agit de deux cas de paralysie spinale infantile remon- tant à 50 années envir
et du délire dans une observation, des convulsions dans l'autre. La paralysie affecte la forme paraplégique chez le premier m
bert sur la fréquence de la tuberculose chez les sujets atteints de paralysie infantile (1). D'autres particularités sont à s
mars 1897, RADIOGRAPHIES DES MEMBRES INFERIEURS A. Dans un cas de paralysie infantile. B. Chez un sujet sain, de même âge.
es négative ? RADIOGRAPHIES DES MEMBRES SUPÉRIEURS dans un cas de paralysie infantile. (Épreuves négatives) A. Membre sup
Membre supérieur droit (en pronation). RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE 331 l'extension au moins passagère de
très appréciable portant sur toisa les os. En outre, dans le cas de paralysie infantile, les os (et la comparaison des tibias e
des os dans le sens de la largeur et de l'épaisseur, au cours de la paralysie infantile. En ce qui concerne la longueur des o
et des rétractions tendineuses. De toutes façons il existe dans la paralysie infantile un processus portant sur la con- figu
matisant. La mère a des cauchemars et est sujette à des attaques de paralysie matinale(engourdissement et parésie des extrémité
rite. , Nous savons que les membres hémiplégies sbnt, du fait de la paralysie , sujets à des troubles trophiques : l'amaigriss
s l'immobilisation forcée à laquelle sont contraints, du fait de la paralysie ou mieux de la contracture, le membre supérieur
e membre inférieur du- côté hémiplégie. Après une courte période de paralysie flasque, la con- tracture se montre. Le malade
é (Soc. anatom., nov. 1887 et jan- vier 1887) qu'en dehors de toute paralysie du membre, l'arthrite la plus vulgaire avec amy
é pour être capables de produire l'arthropathie nerveuse pure. La paralysie générale a été incriminée à tort. M. Brissaud, no
s les cas où l'on avait cru pouvoir rapporter l'ar- thropathie à la paralysie générale, il existait concurremment une sclérose
e doivent pas prendre place ici. Telles sont les déformations de la paralysie infantile (2). L'observation complexe de Feréol (
péri- phériques. De même nous éliminons la sclérose en plaques, la paralysie agitante, car on n'a jamais observé, croyons-no
x membres inférieurs, mais aussi aux membres supérieurs indemnes de paralysie . Il en est un peu de même du cas de J. K. Milchel
quoiqu'ils fussent beaucoup plus atteints que les supérieurs par la paralysie . De cette forme aiguë une variété spéciale quan
s deux fois l'arthropathie éphé- mère siégea au genou du côté de la paralysie motrice et de l'hyperesthé- sie, c'est-à-dire p
tude des traumatismes de la moelle. Syndrome de Brown-Séquard, sans paralysie vaso-motrice du côté de la lésion spinale, mais a
é les jambes pliées et les cuisses inclinées pendant la durée de la paralysie (2). (1) L'arthropathie de la sclérose en plaqu
es observée par M. Bourneville se rattache à cette série. - Dans la paralysie agitante nous ne connaissons que les petites ar-
us avons vu l'élément infectieux ne pas respecter les limites de la paralysie , sans observer de différence symp- tomatique en
de vi- (1) Gaz. hebdomadaire, 1866. Contribution à l'laistoia·e des paralysies périphériques et spécialement de la névrite.
hies musculaires des hémiplégiques. L'immobi- lité, résultant de la paralysie ou de la contracture, la favorise singulière- m
eur localisation exclusive dans le do- maine de l'hémiplégie, de la paralysie ou de la névrite. Est-ce à dire que le trouble
(1) Il y a là quelque chose de comparable à l'explosion de certaines paralysies gé- nérales, comme si, dans cette dernière affe
du corps. « Pour ces auteurs l'hyperlrophie dépend avant tout d'une paralysie vaso-motrice produisant une circulation stagnante
te une exagération de la nutrition dans l'organe at- teint. » Cette paralysie se produirait pendant le cours de la vie intra-
bout duquel la main retombe inerte, -- probable- ment un exemple de paralysie radiale (Charcot et Paul Richer). Toutes ces di
t bleu est un malade adulte, atteint d'ulcérations, d'atrophies, de paralysies et de contractures vraisembla- blement d'origin
le vivant. Il s'agit, à n'en pas douter, d'un cas d'hémiplégie avec paralysie faciale. Regardons la face : Du côté gauche,
e un tableau plus précis et plus complet du syndrome clinique de la paralysie faciale ? . Ce n'est pas tout. L'attitude de ce
hémiparésie d'un des côtés du corps. De quel côté ? Etant donnée la paralysie faciale droite avec chute de la paupière, on pe
ent limités, car le bras reste collé au corps. Hémiplégie droite, paralysie faciale du même côté, avec participation du fac
très amaigris, comme desséchés, offrant un assez bon exemple de ces paralysies avec contracture et atrophie musculaire que la
mités,où l'on reconnaît cependant des figurations très réalistes de paralysies , d'atrophies musculaires, de griffes, de contra
planches), par HENRY MEIGE, 45, 127. Radiographie des os dans la paralysie infantile, par CH. Achard et Léopold Lévi (6
UTEURS ACHARD (F.) et LÉOPOLD-LÉVI. Radiogra- phie des os dans la paralysie infantile (6 phototypies), 3'M. - Boix (E.).
), 113. Lévi Léopold et Cn. Achard. Radiogra- phie des os dans la paralysie infantile (6 phototypies), 324. Lévi Léopold
naevus veineux, XVII, XVIII. Ostéite déformante de Paget, XVI. Paralysie spinale infantile, XXXI , XXXII. Les Pédicure
sex- digitaire, V. Radiographie des membres inférieurs dans la paralysie infantile, XXXIII, XXXIV. Radiographies des m
e, XXXIII, XXXIV. Radiographies des membres sup érieurs dans la paralysie infantile, XXXV, XXXVI. Radiographies des pie
70 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
eut résulter que de trois ordres de causes. Ou bien il s'agit d'une paralysie des muscles du côté malade, ou bien les muscles
a jambe paralysée : elle porte d'abord le tronc du côté opposé à la paralysie et appuie tout le poids du corps sur ce membre
rosée. Avec beaucoup de peine nous sommes parvenu à obte- nir une paralysie permanente chez un chien afin d'étudier les alt
mal commence à traîner sa patte postérieure gauche. A 3 h. 20, la paralysie de lamotilité de cette patte est complète ; la se
atte est complète ; la sensibilité est obtuse du même côté ; pas de paralysie rectale ou vésicale; pas de distension gazeuse
dans les articulations des pieds, vingt minutes après, survint- une paralysie complète des membres inférieurs, au point que l
l civil de Darmstadt. Ici, M. le Dr Saeger a constaté ce qui suit : paralysie com- plète motrice des deux membres inférieurs
embres inférieurs et incapacité du patient de s'asseoir ; en outre, paralysie de la vessie et du rectum, une diminution consi
lasensibililé des membres inférieurs était décidément améliorée. La paralysie motrice, au contraire, était restée essentielle
sation de brûlure à ses membres paralytiques et surtout aux jambes. Paralysie de la vessie qui débordait le pubis de quatre t
he; nécessité de vider la vessie par la sonde. ' 29 juillet. = La paralysie aussi bien de la motilité que de la sensibilité
it est mauvais; pouls petit et fréquent. 8 août. -Même état de la paralysie ; affaissement progressif; pouls petit, pulsatio
et endroit c'est la zone motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de paralysie partielle. - L'embolie de l'ar- tère qui naissa
branche fournit au centre du facial inférieur a dû déterminer la paralysie faciale gauche du plongeur de t'OBSERVA- TIOV X
nq immersions de suite, toujours du même acci- dent, à savoir d'une paralysie tantôt gauche, tantôt droite avec ou sans paral
à savoir d'une paralysie tantôt gauche, tantôt droite avec ou sans paralysie faciale, résultat de l'is- chémie des centres d
r et du membre supérieur, suivie au bout d'un certain temps d'une paralysie du membre inférieur par le fait de l'ischémie d
olie. La durée fugitive n'appartient qu'aux embolies gazeuses. La paralysie du facial inférieur et du membre supé- DES ACCI
de a commencé à pouvoir exécuter quelques petits mouve- ments. Sa paralysie faciale aurait été plus améliorée mais dès ce m
ltats. On doit soigneusement éviter tout ce qui peut aggraver les paralysies spasmodiques, par exemple, la faradisation, les
partie clinique de son travail, .Masini constate la persistance des paralysies des cordes vocales du )ar\nx et n'invoque plus, c
points dont la percus- sion provoquait, d'une façon constante, des paralysies sensitivo-motrices du bras, de la jambe, de la
-il, la cécité, la surdité, la « perte du goût et de l'odorat », la paralysie de l'hypoglosse, l'aphasie, etc. Ces paralysies
de l'odorat », la paralysie de l'hypoglosse, l'aphasie, etc. Ces paralysies furent tantôt directes, tantôt croisées. Lombro
ntrac- tilité musculaire, du moins à produire des parésies ou des paralysies de la motilité. Qu'a-t-il manqué à tous les pré
tirer l'attention sur ce point pour voir se multiplier les cas de paralysie mixte de la sensibilité et du mouvement d'origi
i à l'âge de quatre ans avait eu des accidents nerveux suivis.d'une paralysie complète du membre inférieur gauche, puis d'une
thésie cutanées non seulement accompagnent les paré- sies et les paralysies de la motilité : d'ordinaire elles ont une égal
e elles ont une égale extension. « Cette identité d'extension des paralysies du mouvement et de la sensibilité nous semble p
les lésions profondes, des alté- rations du sens musculaire et des paralysies motrices. Quant à la profondeur de la lésion, l
membre postérieur est suivie, nous l'avons vu, de pa- résie ou de paralysies du mouvement et de la sensibi- lité qui, loin d
HOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. Mais ils n'ont pu expliquer pourquoi dans la paralysie bulbaire, alors par exemple qu'il y a paralysie
er pourquoi dans la paralysie bulbaire, alors par exemple qu'il y a paralysie avec atrophie des muscles inner- vés par la bra
it présenté d'au- tres symptômes que les symptômes ordinaires de la paralysie générale. A l'ouverture du crâne, il s'écoula
II. De l'immobilité, DE la fixité paralytique de la pupille dans la paralysie générale; par C. Moeli (Arch. f. Psych" XVIII, 1.
sensitives périphériques ne peuvent dilater la pu- pille. Enfin, la paralysie des pupilles est non pas seulement un symptôme
n symptôme précoce, et par suite un signe diagnostique important de paralysie générale. M. Moeli a, comme il le dit, suivi la
voir été observés pendant des années, ne peuvent être convaincus de paralysie générale; parmi eux, cependant, huit devinrent
tablement des aliénés. R. M. C. IV. DE la contre-irritation dans la paralysie générale ; par Pritchard D.wrES. (The Journal o
6.) Les modifications heureuses apportées à la marche d'un cas de paralysie générale par l'apparition intercurrente d'un anth
de la méthode de contre-irritation des résultats favorables dans la paralysie générale. Le révulsif auquel il donne la préfé-
r des réflexions que nous résumons ici : bien que fréquente dans la paralysie générale et dans Ja démence chronique, la pachy
tiformes, ainsi que des troubles du langage analogues à ceux de la paralysie générale des aliénés. Un autre point digne de re-
Voici le résumé des observations de l'auteur sur ce sujet : Dans la paralysie générale, la voracité des malades est bien conn
élaborer un questionnaire sur les rapports de la syphilis et de la paralysie générale. Ce questionnaire sera envoyé à tous l
urnir de pré- cieux documents sur la question si controversée de la paralysie générale syphilitique. La commission élue est c
a successivement détaché de ce groupe : les mélancolies liées à la paralysie générale, à l'alcoolisme 126 SOCIÉTÉS savantes.
élancolie qui survient à un âge assez avancé et qui s'associe à des paralysies partielles accompagnées elles-mêmes de démence pl
rce qu'ils sont rarement dangereux. Injections d'ergotinine dans la paralysie générale. - 111. CIIRISllM' communique le résul
(de Meynert, aux divers états d'affaiblissement intellectuel, à la paralysie géné- rale. Cette dernière maladie notamment pe
précédemment; cette association infirmerait plutôt le diagnostic de paralysie générale. Le mémoire sera publié in extenso.
les autres formes d'aliéna- tion mentale. Il se rappelle un cas de paralysie générale dans lequel il y avait eu rupture de l
n à la suite de dégénéres- cence amyloïde. M. Buchholz a, dans la paralysie générale surtout, rencontré de la diminution du
que avec, sueurs profuses (2 cas);'il a agi comme palliatif dans la paralysie agilante (un cas) dans la scélérose en plaques
écial, enfin ses lésions propres; si on a soin de la distinguer des paralysies géné- rales de causes diverses (maladies de la
du village de Vimenet, can- ton de Laissac, ayant eu une attaque de paralysie , tomba en léthargie. Après vingt-quatre heures
ses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante). Volume in-8 de 169 pages, avec 5 fig
e 118 pages. - Lansing, 1888. - Thop and Godfrey. RONDOT (E.) Les paralysies de la chorée {chorée paralysante). Bro- chure i
ganes du sens musculaire, devraient surtout être atteints. Avec une paralysie du mouvement, complète et ancienne, la sensibil
a sostana grigia LES FONCTIONS DU CERVEAU. 209 9 traité que de la paralysie générale progressive. Chez les déments paralyti
magistrale de Tamburini et Riva sur l'Anatomie pa- thologique de la paralysie progressive* , que nous avons déjà signalée, et
cas d'agitation épilep- tique ; 2° dans l'agitation délirante de la paralysie générale; 3° enfin dans certaines phases de déb
porte sur des états fonctionnels que sur des états organiques : la paralysie générale n'est remplacée par aucune autre malad
eurs fois alterner avec d'autres névroses ; par exemple, il a vu la paralysie hystérique d'un membre guérir Archives, t. XIX.
tation maniaque, on ne la verra jamais modifier les symptômes de la paralysie générale. - Il y a des maladies qui paraissent
périphériques ) ; leur principal argument est que, dans ce cas, les paralysies des muscles des yeux deviendraient accidentelle
, pas de paresthésie ; disparition des réflexes patellaires, pas de paralysie , pas de symptômes oculaires» pas de troubles de
s'agissait-il d'une maladie de Friedreich. P. K. VIII. Un CAS DE paralysie DE L'OCULO-31OTEUR commun A RÉCIDIVES INTERMITT
pulmonaire. P. S. X. CONTRIBUTION A la QUESTION de la nature DE la paralysie saturnine; par 0. VIERORDT. (Arch. f. Psyc. XVI
gère du nerf médian, douteuse du nerf cubital. D'après l'auteur, la paralysie saturnine ne`serait pas purement centrale. Ce s
. P. K. XI. UN cas DE carcinome secondaire DU cerveau simulant LA PARALYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS ; par R. PERCY SMITII. (Th
il s'agit a simulé à un moment la forme tranquille et démente de la paralysie générale. Bien qu'une céphalalgie intense et de
a névrite optique à manqué pendant-toute la durée de la maladie. La paralysie , en outre, n'a jamais revêtu les caractères d'u
s le ciel) constituaien autant de facteurs opposés au diagnostic de paralysie générale. Cependant, dans un cas de paralysie g
osés au diagnostic de paralysie générale. Cependant, dans un cas de paralysie générale indubitable l'auteur a pu constater ce
'est pas le délire expansif, mais bien la démence progressive de la paralysie générale que simulent les tumeurs cérébrales. I
olies et de les grouper dans un ordre naturel. Des variétés de la paralysie génémle. - M. RIST lit une note d'où il résulte
pidité des résultats est surtout frappante dans les contractures et paralysies rhumatismales. De là à appliquer cette caléfact
3° Une endartérite minime isolée dans trois cas (tumeur céré- brale paralysie générale) ; 4° Il reste par conséquent 24 cas d
on- sidérables dont deux athéromasies avancées (démence sénile et paralysie générale), une endartérite avec dégénérescence gr
e décomposent en : six endartérites oblitérantes (démence sénile et paralysie générale simple ou syphilitique) et quinze endart
réparations et des dessins témoignant des lésions anatomiques de la paralysie infantile; le sujet de l'obser- vation mourut à
vation d'un cas de tabès dorsal avancé caractérisé par une complète paralysie avec atrophie des 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. musc
est-il la sensation du bien-être. M. KOEPPEN (de Strasbourg). De la paralysie ostéomalaciyuc. - Voici trois observations de p
urg). De la paralysie ostéomalaciyuc. - Voici trois observations de paralysies pendant la grossesse qui, après s'être amélioré
mes grosses qui tient à l'ostéornalacie, ainsi que le veut Renz. La paralysie sacrée de Lehmann n'est du reste pas autre chos
compagne les altérations des osetexplique les parésies musculaires ( paralysie notamment du psoas iliaque), et la démarche sem
séances ; exagération des douleurs lancinantes ; mort subite (par paralysie du nerf vague ? ) Un cas seulement témoigne d'une
il sur quelques observations formant le chaînon intermédiaire ci la paralysie générale et ci la catatonie. Présentation du mala
; myosis, pronostic grave. Trois mois après, signes physiques de la paralysie générale de plus en plus accentués; satisfactio
ixième mois, un rapport officiel affirme la démence paralytique, la paralysie générale pro- gressive des aliénés, et exclut t
s que la maladie a débuté; il y a treize ans que la rémission de la paralysie générale s'est mani- festée et celte rémission
t un défaut d'élasticité dans les plis du visage ; aucune espèce de paralysie d'ailleurs, ni de troubles de la parole; il est
. M. iVtUFLLRR. - L'observation de M. Wendt ne rentre pas dans la paralysie générale classique, à raison de la lenteur de l'é
ur guérison se trouvait imprimée. Sans doute il ne s'agit pas d'une paralysie progressive, puisqu'elle n'a pas progressé mais
, dans les temps modernes contemporains, la forme classique de la paralysie générale caractérisée par une stade de prodromes,
tions sociales plus relevées, deviennent plus rares à mesure que la paralysie générale des mêmes sujets se montre plus fréque
rent sur toute la moitié droite du corps; il n'existe pas au lit de paralysie . Le soir du même jour, trois accès de spasme du
s mémoires se rapportent surtout aux 'ma- ladies de la moelle, à la paralysie générale des aliénés et à divers sujets de path
ses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérir, paralysie agitante). Volume in-8 de 169 pages, avec 5 fig
passa- gère. J'ai vu moi-même des exemples de ce genre, plusieurs paralysies alternes en particulier, qui ont été consignés,
paragraphe qui est complètement à remanier. - Quand il parle des paralysies dans le diabète (p. 35) il en vient, dans l'his
ion des ré- flexes patellaires. Là aussi, on a dit que lorsque la paralysie n'est pas complète, c'est-à-dire lorsque le i L
le nom de démarche de steppe ! ' et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les membres inférieurs pré- dom
d'abord et l'avant-pied ensuite. En effet, il existe une véritable paralysie des extenseurs du pied, principalement à droite
vous voyez cela , vous devez penser naturellement tout d'abord à la paralysie alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des
la sensibilité, presque toujours présents à un haut degré dans la paralysie alcoolique et qui consistent en sensations doul
léger pendant le jour. Malgré cette différence, l'analogie avec la paralysie alcoolique se complète encore par la présence d
extension. Cela est encore bien analogue à ce qui se passe dans la paralysie alcoolique classique; et ceci aussi, à savoir q
epuis la précédente leçon. Mais cela tient sans doute à ce que la paralysie des extenseurs du pied, qui les tient immédiate
la marche la pointe du pied tombante de traîner sur le sol. Si la paralysie n'est pas complètement guérie au' point de vue
ations, vous le savez, Messieurs, se remar- quent également dans la paralysie alcoolique, ce qui tend encore à accentuer les
ise une im- pulsion délirante, avec inconscience R. R. M. C. XII. Paralysie générale CHEZ DES jumeaux ; par le Dl CLOUS- TO
LANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DANS LES CAS DE PARALYSIE GENERALE ET DE MANIE ORDINAIRE OU LES SYMPTOMES
l'estomac évacue très vite ses ingestions. P. K. XVIII. Un cas DE paralysie progressive, par L. GREpiiri. (Arch. f. Psych.,
lle, empêchèrent que les troubles psy- chiques et anatomiques de la paralysie générale ne marchassent de pair avec les autres
mé- canisme de la pachy et leptoméningite), compliqué bientôt de paralysie générale ; mais celle-ci ne s'était manifestée qu
formation de la voix. - La malade dont il s'agit était atteinte de paralysie par compression de la partie inférieure de la m
1 ' Id. « . t. 1VILI, p. 160. 406 SOCIÉTÉS SAVANTES. core d'une paralysie de la corde vocale gauche. On rencontra à l'aut
ité des muscles des cordes vocales et du larynx, Par conséquent, la paralysie simultanée de la corde vocale et du facial du c
ppellent surtout la manie grave; l'une d'elles est évidemment de la paralysie générale type. Snell avec sa monomanie ou folie
K.) 424 bibliographie. origines : l'amputation d'un membre ou sa paralysie atropllique. La modification de l'écorce cérébr
ses (Alaxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante).) Volume zn-8° de 169 pages, avec 5 f
par Adenot, 121. Catalepsie (utilité de la), 431. Catatonie et paralysie générale, par Mamroth, 271. " Cécité psychiqu
s du -- par Bullens, 243; carcinome secondaire du - simu- lant la paralysie générale, par Percy-Smith, 248 ; résection du
Sc,hwalbe, 257. Pachvméningite hémorrhagique, par Savage, 120. Paralysie générale (état de la pu- pille dans la), par zi
h, 271 ; chez des jumeaux, 393;- (un cas de), par Greppin, 103. Paralysie intermittente de l'oculo- moteur commun, par Ri
r Koeppcn, 207 ; (nature de la - saturnine), par Vierordt, 247. Paralysie diabétique, par Charcot, 30j, Perception inco
périphériques, par Oppenheim et Siemerling, 245; avec atrophie et paralysie des muscles mastica, teurs, par Schultze, 263.
71 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
phénomène de l'hémianopsie gauche homonyme latérale. Il n'avait ni paralysie , ni aphasie sensorielle, ni troubles de la paro
cédents héré- ditaires dans sa famille, excepté un oncle atteint de paralysie . Le malade lui- même n'était pas alcoolique, il
ALE DE BUDAPEST (CLINIQUE DE nI. LE Pr JENDRASSIK). UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT PAR z le Dr J.
n était abondante, la déglutition difficile, on constata également la paralysie de la langue, du voile du palais et celle du ph
e orbiculaire de la bouche semble être complètement paralysé, cette paralysie se traduit cliniquement dans ses symptômes clas
lade ne peut pas siffler, elle ne peut pas gon- Fig. 1. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 13 fier les joue
rès peu prononcés pendant la phonation. Une autre conséquence de la paralysie de la langue, c'est que bien que les mouvements
paupière gauche supérieure, c'est-à-dire la faiblesse de UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 15 l'élévateur d
ic et l'explication de la maladie. D'abord on pourrait penser à une paralysie bulbaire classique, mais ce diagnostic de paral
it penser à une paralysie bulbaire classique, mais ce diagnostic de paralysie bulbaire de Duchenne (de Boulogne) est facile à
ermet pas de penser à cette espèce morbide. ; Le diagnostic d'une paralysie pseudo-bulbaire doit être réfuté de même. Celle
e les fonctions psychiques sont troublées. La gêne de la parole, la paralysie de la langue, la diffi- culté de la déglutition
ger dans ce cadre nosographique, qu'on connait généra- lement comme paralysies pseudo-bulbaires. Nous n'insistons pas longueme
fisants, l'on ne saurait confon- dre les symptômes décrits avec une paralysie postdiphtérique. Ces cas s'améliorent rapidemen
is est cité comme exceptionnel. " Il nous faut mentionner encore la paralysie bulbaire asthénique. Cette maladie d'une sympto
cas il ne s'agit pas d'accès d'épuisement variable, mais bien d'une paralysie à l'état chronique invariable, datant de douze
re absolu depuis douze ans ; 4° Troubles du sens tactile à côté des paralysies du mouvement. Voici des symptômes qui ne peuven
supérieurs.. , (1) A belgyogyaszat kézikoenyve, Vol. 6. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 17 Quant à la na
voix s'affaiblissait de plus en plus et il se produisit ensuite une paralysie des membres, des muscles du cou et vers la fin
alysie des membres, des muscles du cou et vers la fin de la vie une paralysie ] du facial gauche. La mort a été amenée par la
la vie une paralysie] du facial gauche. La mort a été amenée par la paralysie des muscles respiratoires. Le tra- vail de Redl
urs n'exé- cutèrent plus aucun mouvement. La mort fut causée par la paralysie des muscles respiratoires. L'autopsie démontra
lioration des symptômes initiais, il lui resta défi- nitivement une paralysie symétrique de la langue et des lèvres, avec anar-
, vomissements, troubles oculaires, épilepsie Bravais-Jacksonienne, paralysies . Les phénomènes moteurs, sensitifs, intellectue
toujours pour lui les phénomènes paralytiques ; la deuxième par les paralysies ; d'après cet au- teur, la céphalée se montre s
Dans une observation de estphal, la céphalalgie n'aurait précédé la paralysie que de deux mois. Les phénomènes para- lytiques
de l'encéphale. Paris, 1890. DucAMp. - Kyste hydatique du cerveau, paralysie alterne. Progrès méd., 2, XIV, i 1891. : L013
nous pûmes observer le malade. , 1 7° Symptômes physiques. Pas de paralysie . Diminution des réflexes rotuliens, Pupilles di
ndant la vie extra-utérine, et la décrivit comme complication de la paralysie infantile. Malgré plusieurs travaux, qui ont mi
técédents héréditaires. Son père est mort à 78 aus, après 10 ans de paralysie ; sa mère est morte à 34 ans, probablement de tub
ire à la production de cette attitude vicieuse. Ni rachi- tisme, ni paralysie infantile, ni traumatisme; pas d'opération pratiq
avec succès, puisqu'il n'y a au début et au cours de l'affection ni paralysie vraie, ni contracture; on pourrait sans doute inv
, aucun effort n'a été tenté pour reproduire les déformations de la paralysie . La maladie n'est représentée que par ses signes
'empêcher de remar- quer combien cette main ressemble à une main de paralysie radiale. Certes, l'exécution est maladroite, ma
ladroite, mais nous verrons ultérieurement des repré- sentations de paralysie radiale conçues de la même manière, et qu'une e
eut donc, sans trop s'avancer, admettre qu'il s'agit bien ici d'une paralysie radiale. Ce document nous montre, pour la premièr
vons trouvé un effort, vers la réalité ; cette représentation de la paralysie radiale, tout imparfaite qu'elle soit, nous pro
ève présente au bras droit une déformation qui ressemble trop à une paralysie radiale pour n'être que le résultat d'une malad
ain pendante, aux doigts retombant à peine fléchis, est une main de paralysie radiale. Dans le compartiment reproduit PI. VI,
béquille du mendiant, le ven- tre de batracien, de l'hydropique, la paralysie radiale, l'attitude si carac- téristique de l'a
vers lui son avant bras paralysé lequel nous offre le tableau d'une paralysie radiale typique. L'avant-bras est maintenu ho-
ite,aucune espèce de doute possible au sujet de la réalité de cette paralysie radiale, sur laquelle se concentre tout l'intérêt
ouvons que des traces mini- mes d'observation de la nature. Sauf la paralysie radiale de Monreale, tout le reste est bien con
reconnaître, au point de vue clinique, deux formes principales à la paralysie spinale syphilitique : une forme à début brusque
moins aisée dans la forme xiv ' 8 106 LONG ET WIKI lente de la paralysie spinale syphilitique. On peut cependant les consi
un stade avancé d'organisation. RÉSUMÉ DE l'observation clinique. - Paralysie spinale à marche lente et progressive, survenue
n avec ce qui a été dit maintes fois sur les formes cliniques de la paralysie spinale syphilitique. , La forme rapide est due
DES AUTRES AFFECTIONS NERVEUSES PROFESSIONNELLES OBSERVATIONS DE PARALYSIE CHEZ UN MARCHAND DE NOUVEAUTÉS, DE CRAMPE DES P
e prépondérant dans l'étiologie et le traitement. La crampe et la paralysie des écrivains sont les plus connues de ces affe
ogie, le pronostic et le traitement. Comme les cas de crampes et de paralysies des écrivains sont très connus, . il est mieux
pression des ciseaux sur la branche digitale du nerf radial. Une paralysie flaccide et atrophique, comme celle que nous obse
utes les causes de névrite. Il s'agit donc, sans aucun doute, d'une paralysie des ciseaux. Très souvent, en effet, il était o
e la réaction de dégénérescence. Il s'agit, comme on le voit, d'une paralysie flaccide et atrophique des muscles du côté cubita
étaient plus parfaits, on pourrait la noter dans tous les cas où la paralysie est flaccide. En tout cas, son apparition jette
urs douloureux. C. La faiblesse musculaire est due rarement à de la paralysie complète, mais cela peut s'observer, comme dans
nt de vue du traitement, il est de toute nécessité de distinguer la paralysie du spasme car le traitement diffère complètement.
ucune altération apparente de la nutrition musculaire. Cependant la paralysie peut s'accompagner (['atrophie et le spasme d'hyp
constances variables. A notre avis, il y a toujours dans les cas de paralysie , un léger degré de réaction de dégénérescence, bi
uvant continuer ses occupations ; mais s'ils sont peu prononcés, la paralysie et l'atrophie peuvent survenir avant, que le ma
ir le tremblement (destruction partielle), s'il continue encore, la paralysie placide survient (destruction complète). L'on s
it, du reste, que la dégénérescence du nerf moteur oc- casionne une paralysie flaccide et atrophique que nous ne constatons que
rche de l'affection (crampe avec ou sans hypertrophie, tremblement, paralysie et atrophie), il peut arriver que l'un de ces sta
que, dans certains cas, l'affec- tion peut arriver rapidement à la paralysie et même à l'atrophie sans passer parle spasme i
une histoire familiale de crises nerveuses, de troubles mentaux, de paralysie , etc. Le nervosisme et l'arthritisme étaient tr
même le tremblement sont cepen- dant plus faciles à traiter que la paralysie et l'atrophie. Cette dernière est la plus diffi
s au chloral dans les cas graves. Lorsqu'on est appelé à traiter la paralysie et l'atrophie, on doit quelque peu modifier ses
et, et nous retrouvons encore ici, la main pendante, relâchée de la paralysie radiale. Il est cependant plus vraisemblable qu'i
la paralysie radiale. Il est cependant plus vraisemblable qu'il y a paralysie flasque du membre entier, et nous pouvons remar
lique l'absence, au cours d'une longue évolution clinique, de toute paralysie localisée et notamment d'aphasie. L'étude des t
centre cortical de la VIle paire, en raison du type cérébral de la paralysie faciale ; et sur le tronc de l'oculo-moteur, en
sie faciale ; et sur le tronc de l'oculo-moteur, en déterminant une paralysie dissociée de la IIP paire, intéressant le droit
restée indécise jusqu'aux derniers jours, jusqu'à l'apparition des paralysies du côté gauche, qui permirent de localiser la l
'intervalle des crises elle ne présente aucun phénomène anormal, ni paralysie , ni trouble de la parole, etc. Un examen somatiqu
die de Raynaud. Il ne s'agit pas de contracture artérielle, mais de paralysie veineuse. L'affection neprocèdepas par accès et
tactile est diminuée à gauche), et qu'il peut être superposé à une paralysie (or ici il y a une notable diminution de la for
tiques, toxiques ou infectieuses des nerfs au stade chronique de la paralysie vaso-motrice, c'est-à-dire une hyperémie passive
tent les ondulations nerveuses se manifestent chez lui : 1° par une paralysie des vaisseaux de la peau du bras gauche ; 2° pa
hermique; 5° des neurones (1) Ch. BINET-SANGLÉ,DtG tremblement à la paralysie (in Archives médicales d'Angers, 1898,1899,1900
lus apparente des lésions nerveuses que présente notre malade, à la paralysie des vaisseaux de la peau. Il n'est pas possible e
surtout appréciable au doigt, est dû au non-dé- veloppement ou à la paralysie des muscles vaso-constricteurs, l'action élasti
sont tombés. Les papilles linguales sont extrêmement accusées. La paralysie faciale est totale. Si on dit au malade de faire
aient ses mouvements volontaires. Aslasie-abasip. Il n'avait aucune paralysie et dans sou lit, à part la gêne causée par l'at
s les odeurs produisent des troubles durables ; des pypotomies, des paralysies qui se manifestent de préférence sur les muscle
les modifications ' '(1) Sérieux et MIGNON, Surdité corticale, avec paralysie et hallucinations de Vouïe, due à des kysles hy
ant dès qu'on éveille l'attention du malade. Pas de strabisme ni de paralysie externe. Inégalité pupillaire, la pupille gauche
il traîne la pointe des pieds sur le sol comme un paraplégique avec paralysie des extenseurs en particulier. Dynamomètre : 56
Leur aspect général rappelle celui des cellules ob- servées dans la paralysie infantile aiguë arrivée à la période de cicatrisa
tats sont conformes à ceux de MM. Joffroy et Achard (2) qui dans la paralysie infantile n'ont pas trouvé d'altérations apprécia
94; p. 619. (2) JOFFROY et Achard, Contrib. à l'anat. pathol. de la paralysie spinale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine e
mp et commença à se refermer et à guérir. » Le lende- main aussi la paralysie et la contracture disparaissaient. De même Anne
e la névrose, ne dépend que du traitement psychique et suggestif. PARALYSIE DU NERF CUBITAL ET CONTRACTURE CONSÉCUTIVE MAIN
PAR le Dr DE LÉON, de Montevideo. La contracture consécutive à la paralysie du nerf facial, dont parlent Duchenne dans la p
cutive à la paralysie du nerf facial, dont parlent Duchenne dans la paralysie dite par compression ou a frigore (1), et De- j
main jusqu'à l'aisselle. Seulement, dans ce cas, il n'y eut pas de paralysie antérieure. L'histoire du premier cas qui m'a é
ions électriques étaient normales. Par conséquent, le diagnostic de paralysie organique du nerf cubital s'im- posait : l'impu
la SALPtfRltRE. T. XIV, PI. LIII A B Phototypie Bertliaud B PARALYSIE DU NERF CUBITAL ET CONTRACTURES CONSÉCUTIVES (J
ntes pour établir ce diagnostic. Quelle â pu être la cause de cette paralysie ? ' ? Duchenne décrit cinq cas par contusion ou
chloroformisation, comme dans le cas que je décris. On a décrit des paralysies d'autres nerfs et même des paralysies centrales,
ue je décris. On a décrit des paralysies d'autres nerfs et même des paralysies centrales, consécutives à la narcose (Raymond,
Bastit et Mortet). Les deux derniers auteurs incriminent, dans les paralysies post-opéra- toires centrales, la chloroformisat
au interne parce qu'elle est d'origine névritique, consécutive à la paralysie du cubital, qui n'innerve que celte partie du m
actuellement d'une MAIN EN PINCE 413 contracture consécutive à la paralysie du nerf cubital, analogue aux con- tractures po
ns la partie interne et inférieure du bras, qui lui pro- duisit une paralysie douloureuse de la main correspondante pendant lon
n. Il n'est pas difficile de faire ici un diagnostic rétrospectif : paralysie du nerf cubital par blessure de balle, contract
ERs. - Trois cas par flexion du coude durant le sommeil. BERNHAKDT. Paralysie double par fièvre typhoïde. Pitres. - Paralysie
mmeil. BERNHAKDT. Paralysie double par fièvre typhoïde. Pitres. - Paralysie par fièvre typhoïde. Babinski. Traité médecine.
u sein. Charcot. - Leçons de maladies nerveuses, t. 3. Raymond. - Paralysies radiculaires par chloroformisation. Maladies du s
te syphilitique. Nouvelle iconographie de la Salpêtrière. PnocAs. Paralysie post-opératoire. Revue neurologique, an VII, ne t
aralysie post-opératoire. Revue neurologique, an VII, ne t. Ozekne. Paralysie radicale par compression post-opératoire. Revue n
st-opératoire. Revue neurologique, an VII, no 2. BASTIT et MoKET. Paralysie post-opératoire . Revue neurologique, an VU, n° 1
ralysie post-opératoire . Revue neurologique, an VU, n° 17. Huer. - Paralysie par compression. Revue neurologique, an VlIl, n'
sant glisser sur le sol, mais sans le soulever. C'est une véritable paralysie par épuisement avec son accompagnement psychiqu
ompagnement psychique, l'incapacité de la représentation (4). Cette paralysie ne s'observe pas dans le médius qui travaille, lo
ile, évolution que l'auteur rapproche judicieusement de celle de la paralysie infantile. De nouvelles observations sont néces
né de la poliomyélite antérieure. Quoi ! vouloir comprendre dans la paralysie atrophique de l'enfance une affection qui a l'h
a l'hypertrophie pour caractéris- tique et qui n'offre pas trace de paralysie ! La comparaison n'est-elle pas bien audacieuse
thogénie des deux états, celui que présente notre jeune sujet et la paralysie infantile, existe une étroite SUR UNE FORME D'I
proposons de soutenir, lloS : '6;"sN e- " rons de démontrer que la paralysie atrophique spinale de rellraÂêe"À>nÙ11Bi',é.¡'
es affections médullaires avec amyotrophie. C'est ainsi que dans la paralysie atrophique de l'enfance, le degré d'atrophie ou
nes (2) donne plusieurs observations d'adipose sous-cutanée dans la paralysie infantile avec atrophie musculaire : « Les conc
es, secondaires ou symptomatiques ; 2° d'une façon variable dans la paralysie spinale ; 3° rarement (si tant est qu'elle existe
ns les muscles atrophiés. » Au nombre des troubles trophiques de la paralysie infantile, P. Ma- rie (3) ne manque pas de comp
e quelque droit à figurer aussi dans le tableau symptomatique de la paralysie infan- tile. Bien qu'on la rencontre le plus so
ilibre normal de l'économie. Bien que les symptômes habituels de la paralysie infantile - début fébrile, paralysie motrice d'
les symptômes habituels de la paralysie infantile - début fébrile, paralysie motrice d'un ou de plusieurs membres, atrophie mu
d'expression. C'est ainsi que la fièvre initiale manque parfois. La paralysie peut être très fugace, pas- ser même inaperçue,
r passer inaperçue : « Il importe de rappeler, dit Duchenne, que la paralysie atrophique de l'enfance, quels que soient son éte
nir pourrait-il en être perdu, dans le cas où les phénomènes (1) La paralysie pseudo-hypertrophique pourrait être confondue ave
1) La paralysie pseudo-hypertrophique pourrait être confondue avec la paralysie infantile, en raison de la lipomatose que prenn
l, la pseudo-hypertrophie fût moins étrangère dans son essence à la paralysie infantile qu'on ne le supposerait, bien que, ju
omme le point de départ de l'hypertrophie du membre inférieur. La paralysie également affecte tous les degrés d'intensité. El
façon échapper a l'attention. Aticeaurait- elle été touchée par la paralysie ? Rien ne le prouve d'une manière cer- taine. L
'une courte convales- cence. Le peu d'intensité et de durée de la paralysie n'implique pas forcément des suites en corrélat
jonctive très épaisse. Voll,- mann (1) dit avoir vu 4 ou 5 fois une paralysie infantile tout à fait tem- poraire et aboutissa
(2), n'est pas toujours en rapport avec le degré et l'étendue de la paralysie . Ainsi un membre pourra avoir perdu la plupart de
ns un ou deux muscles. » « Dans quelques cas, dit Boulloche (3), la paralysie infantile n'aboutit à aucune atrophie musculair
s l'époque où la poliomyélite antérieure était considérée comme une paralysie essentielle, l'aspect seul des lésions des corn
tion entre leurs manifestations, les trou- bles trophiques, dans la paralysie infantile, ne semblent pas résulter de lésions
ou chroniques, qui donnent lieu à autant de variétés clini- ques de paralysie spinale ? Dire que l'agent pathogène fait son cho
t-il (1) Brissaud, Atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie infantile, Presse méd., 1896. SUR UNE FORME D
spectives vis-à-vis des causes pathogènes. » Si la pathogénie de la paralysie infantile ne comportait pas ce caractère électif
omatologie de la poliomyélite antérieure, malgré l'absence de toule paralysie . L'expérience ne nous révèle-t-elle pas combien n
exemple, à associer la notion d'atrophie au tableau clinique de la paralysie infantile, pour lui substituer, sans hésitation
t ou seulement ef- fleuré certaines cellules, puisse déterminer une paralysie atrophique ir- rémédiable, oususciterune excita
i nous paraissait exister entre le cas que nous avons observé et la paralysie infantile. Nous croyons pouvoir les compléter en
de cette délicate sélection. » 488 E. RAPIN manifestations de la paralysie infantile ? Nous le rappelons : Etat fébrile sa
yélopathies organiques, il en est que l'on ne rencontre pas dans la paralysie infantile et qui, en vertu de leur défaut, cont
hez notre malade. Nous ferons remarquer, en ou- tre, que lorsque la paralysie infantile est unilatérale, elle est souvent asy-
ncedu 22 janvier 1897), Thibierge présenta, un malade atteint d'une paralysie infantile ayant déterminé une atrophie du bras
jeune sujet, pouvait, au même titre que les autres symptômes de la paralysie infantile, être envisagée comme l'une des consé
es au cours d'une maladie dé- finie du système nerveux (hémiplégie, paralysie infantile, etc.) ». En réunissant les faits qu'
n d'un cas observé par Joffroy, concernant une malade at- teinte de paralysie infantile avec oedème considérable du membre infé
e droite et à gauche pour le membre. supérieur, sans qu'il y ait de paralysie véritable. Cependant l'attitude de la malade mo
ment, ainsi que l'indique la photographie, sur les phénomènes de la paralysie affectant la face gauche avec contracture du hras
sus. J'ajouterai que les membres inférieurs ne sont pas atteints de paralysie complète et que les mouvements, s'ils sont diff
l. Il ne sait pas s'il a eu à ce moment là des arthropathies, de la paralysie ou des contrac- 'tures ; il sait seulement qu'o
par Lu- cien HUDELO et Jean HEIn (4 pl. en photocollogr.), 415. Paralysie bulbaire aigué (Un cas de) chez un enfant, par
aire aigué (Un cas de) chez un enfant, par KOLLARITS (2 fig.), H. Paralysie du nerf cubital et contracture consécutive. Mai
'hémimélie (2 tig" 6 pl. en photocollogr.), 128. Jacinto de Léon. Paralysie du nerf cubital et contracture consécutive. Mai
nopsie d'origine intracérébrale (8 fig.), 4. KOLLARITS, Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez un enfant (2 fig.), 11. L
oder- mie. Autopsie (Lucien HUDELO et Jean IIEITZ), LIV à LVII. Paralysie du cubital, main en pince (JACINTO de LÉON), LU
72 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re de fréquence, les altérations suivantes : 1° la cataracte; 2° la paralysie de l'accommodation et des muscles extrinsèques;
s. Dia- gnostic de la nature de la lésion impossible.. l'. K. IV. Paralysie isolée du long fléchisseur du pouce par SURMENAGE
IV. Paralysie isolée du long fléchisseur du pouce par SURMENAGE ( paralysie des tambours); par BRUNN, (Nelll'oi. Centralbl.,
ouleurs dans l'avant-bras et l'éminence thénar gauche. Tout à coup, paralysie , immobilité complète du pouce de ce côté (mouve
s, les troubles de la motilité, les troubles de la sensibilité, les paralysies des muscles de l'oeil, la démence sarcas- tique
e du membre inférieur gauche chez - -un homme de quarante-deux ans. Paralysie de la motilité avec ? contracture, anesthésie, ma
e (24 éléments,' très fort cou- rant faradique).. P. K. XV. D'UNE paralysie congénitale unilatérale DU trijumeau, DE L'OCUL
eurol, Cezztralbl., 1890.) ; Accouchement normal. Aussitôt après, paralysie de la moitié droite de la face; impossibilité d
de l'oeil gauche. C'est tout. Une tante maternelle est atteinte de paralysie cérébrale spasmodique et d'épilepsie, depuis sa j
même côté. Intégrité des moyennes des nerfs. P. K. ' ' XVI. D'UNE paralysie isolée du NERF sus-scapulaire gauche; par SPERL
dégénérative partielle du sous-épineux. En somme, trois stades : 1° Paralysie complète du bras gauche; 2° Paralysie du sus-ép
En somme, trois stades : 1° Paralysie complète du bras gauche; 2° Paralysie du sus-épineux et du sous-épineux; 3° Paralysie
u bras gauche; 2° Paralysie du sus-épineux et du sous-épineux; 3° Paralysie avec atrophie du sous-épineux seul, ayant passé i
ction compensative du petit rond. La première période est due à une paralysie (par névrite) du brachial entier, puis, pour de
i deux obervations avec autopsie. A une époque peu éloi- gnée de la paralysie d'origine cérébrale, on constate de l'atrophie
sibilité ni des réflexes. C'est une affection de même nature que la paralysie agitante; très souvent on constate la même atti
d'une origine commune. P. Keraval. XXV. DE certaines attaques DE paralysies prodromiques dans LE RAMOLLISSEMENT DU CERVEAU
bl. f. Nervenheilk., 1890, N. F. I.) . Il s'agit de ces attaques de paralysie successives et passagères (quelques minutes) qu
e qu'au bout de plusieurs heures, tandis que les autres attaques de paralysie transitoires antérieures n'eurent pas ce caract
plus qu'ailleurs dans l'hémisphère en ques- tion, il appert que la paralysie delà sensibilité et de la motilité du membre dr
es troubles de la vue, et de la motilité (hémiparésie, paraparésie, paralysie du péronier, de la vessie, du rectum). Quelle
es rouages de l'association des idées. P. K. XXXIII. NOTE sur les paralysies dans la maladie de Parkinson; par le Dr Moucorg
t les suivantes : 1° en dehors de la cachexie, on peut observer des paralysies avec ou sans atrophie à la période préterminale
phie à la période préterminale de la maladie de Par- kinson; 2° des paralysies compliquées ou non d'atrophies peu- vent être é
ériodique (observations n° 29 de folie systématique pério- dique) ; paralysie générale (quatre observations); folie épi- lept
. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '. CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE A DÉBUT TRÈS PRÉCOCE (Pa
UR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE A DÉBUT TRÈS PRÉCOCE ( Paralysie générale juvénile1) ; Pac 111nr. J.-M. CHARCOT
ie générale juvénile1) ; Pac 111nr. J.-M. CHARCOT et A. DUTIL. La paralysie générale progressive est une maladie de l'âge m
XXIII. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. pie, que de pouvoir constater la paralysie générale bien caractérisée chez un sujet à pein
c'est-à-dire à l'âge de quatorze ans. Voici le fait. Observation. Paralysie générale progressive ayant débuté ci l'dge de q
on développe- ment physique, aucun accident névropathique. CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 147 -1 Au dire de ses par
Un embarras de la parole très marqué lorsque le sujet est un CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE. 1119 peu fatigué, lorsqu'
syllabes et parfois des mots entiers. C'est le parler typique de la paralysie générale progressive. Quand il répond sim- plem
aux symptômes que présente G... Il n'existe chez lui ni parésie, ni paralysie localisée. Seulement une débilité musculaire gé
s stigmates de la syphilis héréditaire. On le voit, c'est bien la paralysie générale progres- sive qui est en jeu chez le j
aîné du sujet. Cette dernière locution vise l'attitude et CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 151 la démarche très part
ces troubles de la marche ne sont points étrangers au tableau de la paralysie générale. Ils s'observent même assez communémen
n décrivant ce syndrome, a précisément signalé sa fréquence dans la paralysie générale progressive dont il est souvent (assoc
ts étiologiques auxquels puisse être rattachée, croyons-nous, cette paralysie générale si précoce. Ce fait n'est pas sans pré
fait n'est pas sans précédent. Des cas de ce genre dans lesquels la paralysie générale est apparue avant la vingtième année,
t arriver à quelques conclusions permettant de recon- naître à la paralysie générale très précoce, juvénile; quelques carac
rès précoce, juvénile; quelques caractères qui la distinguent de la paralysie générale venant à son heure, dans des condition
égis. - Encéphale, 1883 et 1885. "Vrain. Contribue. à l'élude de la paralysie générale à début pré- coce, th. doct., Paris, 1
ie générale à début pré- coce, th. doct., Paris, 1887. M/f CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 153 ^probablement, autant
tieux. Les choses, à cet égard, semblent se passer comme dans la paralysie générale des femmes. Il en a 154 CLINIQUE NERVE
ervations précitées. C'est là, en ce qui concerne l'évolution de la paralysie générale juvénile, la seule particularité qu'on
urs on attache trop d'importance, peut-être, dans l'étiologie de la paralysie générale : les excès alcoo- liques ou vénériens
ara- lysie générale juvénile comme ils dominent aussi celle de la paralysie générale des adultes : l'hérédité et la syphili
n'a révélé que des altéra- tions anatomiques caractéristiques de la paralysie géné- rale sans immixtion d'aucune lésion de na
te- ment spécifique. En somme, la syphilis semble agir ici CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 155 comme une cause adjuv
e adjuvante et puissante, mais elle n'est pas la cause foncière. La paralysie générale des adolescents non plus que celle des
ipal facteur pathogénique. « Parmi les causes prédisposantes (de la paralysie générale), l'hérédité, disait Marcé joue un gra
en disant qu'on la rencontre dans un tiers des cas. La folie et la paralysie générale sont bien d'ail- leurs deux rameaux d'
r sans réserves. En tout cas, l'examen com- paratif des exemples de paralysie générale à début très précoce que nous avons ci
ns cités n'est- certes pas pour la démentir. . L'apparition de la paralysie générale à l'époque de la puberté ou dans le co
'âge mûr. - J. l'Iicklel estime que l'âge, auquel se développe la paralysie générale, est aujourd'hui inférieur à ce qu'il
a- rés et plus habiles que nos prédécesseurs à diagnos- tiquer la paralysie générale. 1 1111ckle. - On gênerai paralysis of
blement d'association tabetico-diabétique. Pour ce qui concerne les paralysies des muscles des yeux d'origine- diabétique, Alt
lement on ne possède pas d'observations très con- cluantes sur les paralysies des muscles oculaires, quoique Kiwatkowski en a
res, quoique Kiwatkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une paralysie du muscle droit externe dans des conditions ana
ns des conditions analogues'. » D'après de Wecker et Landolt, ces paralysies seraient probablement due à des trou- bles circ
dans le diabète, ceux que l'on rencontre sont : la cataracte, les paralysies de l'accommodation et celles des mus- cles extr
ans la dépression mélancolique et dans une inertie progressive, par paralysie delà volonté, dit-elle. Voix intérieure. Une vo
f, avec inactivité; - 2° Vanité,' contentement de soi, rappelant la paralysie générale; 3° Etat de stupeur et d'effarement, a
à fait caractéristiques. Il y a lieu de remarquer d'ailleurs que la paralysie générale et l'axie locomo- trice sont assez com
rsonnes. R. M. C. XXII. NOTES SUR l'urine ET la température dans la paralysie générale DES aliénés; par John TURNER. (The Jou
période, 42 à la seconde période, et 9 à la troisième période de la paralysie générale. Chez 8 sur 10 des malades à la premiè
troisième période. - C'est un fait généralement reconnu que dans la paralysie générale, indépendamment de toute complication
, mais vraisemblable que les bizarreries de la température, dans la paralysie générale, reconnaissent pour cause la dissoluti
et un peu après; elle est fréquente dans les dernières phases de la paralysie générale, et Spitzka cite un cas dans lequel un
sie du larynx existait plu- sieurs années avant la découverte de la paralysie générale ; chez les alcooliques, les anesthésie
° Comme agent palliatif : A, dans la folie épileptique ; B, dans la paralysie générale des aliénés, surtout à la première pério
sclérose médullaire, la méningite, les troubles hallucinatoires, la paralysie générale, la pneumonie. Il a constaté, sauf des
SKI (de Strasbourg). Contribution à l'anatomie patholo- gique de la paralysie faciale rhumatismale. - Il s'agit d'un homme de
ingt-sept ans, pris subitement, à la suite d'un refroidissement, de paralysie faciale complète; les segments antérieurs de la
lus les saveurs; il existe passagèrement de l'hyperaconsie et de la paralysie du voile du palais; réaction dégé- nérative d'a
'abord partielle, puis complète. Huit semaines après le début de la paralysie , le patient s'empoisonne en avalant de l'acide
ion de la zone motrice du cerveau peut déterminer chez le chien une paralysie croisée complète ; on observe aussi sur la moit
ammatoire qu'elle contient, il est possible de faire disparaître la paralysie (de lfalinowsky). - 2° Un foyer inflammatoire i
système des faisceaux pyramidaux soit l'intermédiaire obligé de la paralysie motrice et des phéno- mènes d'excilation. Cette
on lui avait extirpé cet hémisphère. Il n'y a eu à aucun moment ni paralysie motrice, ni phénomène d'excitation. Or le système
e céphalique de gravité moyenne, cé- phalalgie localisée, vertiges, paralysie de différents nerfs crâniens, mydriase unilatér
rave, à des intervalles périodiques, s'accompagnant de fièvre ou de paralysie des extrémités. Les facullés mentales disparaisse
t pour y être examinés tant ils étaient tourmentés par l'asthme, la paralysie et d'autres infirmités qui en. faisaient des in
gitée; le 8 au matin, sa parole est inintelligible, on constate une paralysie complète de la partie inférieure du facial gauc
circonscrite des enveloppes de la moelle. M. le Dr Econow : Cas de paralysie spinale spnslique. - Il s'agit d'un syphilitiqu
nce du 12 avril 1891. M. le Dr PRÉOBRAJENSKY communique deux cas de paralysie saturnine observés par lui à l'hôpital Catherin
du diagnostic porté par l'auleur. Chez le premier malade, outre la paralysie (incomplète) et l'atrophie des extenseurs des d
é supé- rieure droite étaient parétiques et atrophiés. A gauche, la paralysie est moins marquée; les muscles de la main sont
e symptôme, en contradiction avec les altérations anatomiques de la paralysie saturnine. 1\I1. les professeurs KOJEVNIKOFF et
OFF présente une étude clinique et anatomique détaillée d'un cas de paralysie atrophique subaiguë des extrémités inférieures
s et nerveuses sont indépendantes les unes des autres. Toutes les paralysies atrophiques aiguës et subaiguës de nature périp
sés par M. Mouratoff en cinq groupes : 1). polyneuritis acutissima ( paralysie de Landry); 2). Polyneuritis subacuta et chroni
retiendrons seulement ce fait que, dans les asiles d'Australie, la paralysie générale est beaucoup plus rare que dans les asil
était en Angleterre de 8,4 p. 100. Il est à remarquer aussi que la paralysie générale paraît plus commune dans les vieilles
tinguent de toutes les autres espèces morbides. De même que dans la paralysie générale, nous avons trouvé comme fonds une dém
r tour, ont leur physionomie particulière et, de même que dans la paralysie générale, les délires empruntent au fonds de dé
les lésions dans l'en- fance qui laissent, surtout après elles, des paralysies . et de la faiblesse intellectuelle, ne. détermi
st la con- tracture des quatre extrémités avec porencéphatie, des paralysies avec contracture, par sclérose ayant détruit le
ez que M. Charcot a démontré la nature morale, psy- chologique, des paralysies hystériques, qu'il a eu l'audace de présenter c
paralysies hystériques, qu'il a eu l'audace de présenter certaines paralysies flasques d'apparence toute phy-' sique comme de
e éprouvait un certain engourdissement dans la main droite, mais la paralysie n'était pas manifeste. Elle se plaignait surtou
ument plus remuer le bras droit; c'est là, à mon avis, une sorte de paralysie hystérique, qui n'est pas apparente à l'état no
qu'on admette avec Vulpian que la cyanose de la face est due à une paralysie des vaso-constric- ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQU
me dû m'abstenir, pour cette raison, de signaler l'homicide dans la paralysie générale, quoiqu'il en existe des cas incontest
PATHOLOGIQUES. I. CONTRIBUTION A l'histologie pathologique DE la paralysie PRO- GRESSI%R ' par A. PicK. (Neurol. Cenlralbl
cation. P. K. III. DÉGÉNÉRESCENCE DES VAISSEAUX CAPILLAIRES DANS LA PARALYSIE progressive DES aliénés, par P. 11RONTIL1L. (Ne
) Il est une catégorie de faits caractéristiques dans lesquels la paralysie générale évolue par exacerbations fébriles; c'est
es altérations en rapport avec les premiers symptômes évidents de paralysie générale qui sont palhognomoniques de cette affec
ro- phie consécutivement. Telle est l'inflammation du début de la paralysie générale. La méningite chronique n'existe pas t
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 tremblement alcoolique et de ceux de la paralysie agitante et de ceux de la sclérose en plaques o
e la pellagre). En somme, si l'atrophie est adéquate au degré de la paralysie . suivant les diverses régions examinées, elle n
ue l'atrophie est survenue juste deux mois après l'apparition de la paralysie , et qu'elle a affecté une marche rapidement pro
ez elle aucun trouble oculaire ni des sens spéciaux, aucun signe de paralysie . ' L'apparition de ce gonflement fut le premier
t initial de la série des lésions histologiques du cerveau, dans la paralysie géné- rale, et que les altérations de la névrog
avec les phénomènes d'excitation, car, atrophie centrale signifie, paralysie périphérique. Et d'autre part, un syphilome, un
lite syphilitique. Cette modalité morbide ressemble évidemment à la paralysie infantile cérébrale, moins la paralysie et la c
e ressemble évidemment à la paralysie infantile cérébrale, moins la paralysie et la contracture. Il se pourrait du resle qu'e
calisation des foyers pathologiques. Pourquoi n'y aurait-il pas une paralysie infantile syphilitique ? Il ne faut pas oublier
l'attention sur les lésions du centre ovale (porencéphalie) dans la paralysie infantile d'origine cérébrale. En des cas tout
ales se distinguent cliniquement et anatomique ment de celles de la paralysie générale. La prochaine séance est fixée au 14 n
s cris spasmodiques, avec troubles de la connaissance, tym- panite, paralysie des jambes. En dehors des crises, intégrité de l'
de clinique et anatomique des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie générale. Comme il est rare que les lésions en
e des attaques; la monoplégie brachiale, caracté- risée non par une paralysie des mouvements en masse, mais par la perte de l
exagération du processus de dégénérescence systématique propre à la paralysie générale qui frappe, non pas seulement les fibr
ir les symptômes de lésions en foyer du cerveau dans le cours de la paralysie générale. Tantôt la poussée dégénérative de cer
s ce dernier cas, nous avons affaire aux symptômes classiques de la paralysie générale, sans symptômes de lésions en foyer pr
congestives (Lissauer). Enfin, il peut arriver que l'on observe des paralysies générales à complexus ordinaire peu accusé, tan
lésions du lobe frontal sont très minimes. On pourrait les appeler paralysies générales à localisation anor- male. M. HAHN
la possibilité de l'ori- gine du laryngisme pareil à la suite d'une paralysie des muscles postérieurs; il explique pourtant l
e s'agissait vrai- . semblablement pas du spasme, mais plutôt d'une paralysie des muscles postérieurs. l1L- le Dr DAIICHENI
ramollissements du cerveau, l'ataxie locomotrice, les myélites, la paralysie infantile; on prenait des observations d'at- te
réellement guéris. Une demoiselle Wolff, entre autres, atteinte de paralysie , raconte qu'après avoir été soignée sans succès
esworth, 219. PARALDÉHYDE, comme hypnotique, par Finucane, 233. Paralysie , du long fléchisseur du pouce, par Bruns, 9î; -
int de , par Feist, 396; Kalhbaum, 434. Pabkinson (maladie de), paralysie dans la - par Noncorgé, 108. Parole, embarras
73 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te-quinze ans, l'autre à soixante-treize ans, avec des symptômes de paralysie . Ses grands-parents maternels sont morts tous d
ues. L'examen des yeux ne font rien constater de spécial. Pas de , paralysie des muscles de l'oeil. Pas de nystagmus. Les pupi
es. Cette dégénération peut être primitive ou secondaire. Dans la paralysie générale la dégénérescence des cellules nerveuses
lète de sensibilité au toucher, à la douleur, au froid et au chaud, paralysie complète, respiration complètement diaphragmati
ois mois et demi avant son admission à l'hôpital : sueurs profuses, paralysie des droits supé- rieurs des yeux, hémianopsie,
e, amnésie. Puis plus tard affaiblissement intel- lectuel, aphasie, paralysie faciale droite, perte du goût et du sens muscul
hronique assez fréquente. 11 convient aussi de séparer nettement la paralysie hystérique de la paralysie neurasthénique et hy
1 convient aussi de séparer nettement la paralysie hystérique de la paralysie neurasthénique et hypochondriaque. Dans cette d
atteint de myosite ossifiante. RRDLICII. Lésions anatomiques de la paralysie agita ? zte. DE Frankl-Hochwart. Présentation d'u
M. LEPP3tANN. Il n'est pas rare de voir la mélan- colie précéder la paralysie générale ; aussi a-t-on parlé de mélan- colie p
beaucoup parlé de la complication d'une psychopathie]simple par la paralysie générale, c'est-à-dire de la folie simple se tr
alysie générale, c'est-à-dire de la folie simple se transformant en paralysie générale terminale. Il y aurait lieu de réexami
i, les lésions anato- miques des psychopathies antérieures et de la paralysie générale sont identiques, la variété de l'évolu
t, j'en ai la conviction, à l'étiologie. Il ne peut y avoir dans la paralysie générale qu'un nouvel élément nuisible autogène
on clinique nous montre, à mon sens, assez souvent l'addition d'une paralysie générale. Je me souviens notamment en ce moment
re, etc... » Or, un beau jour, ce délire chronique se transforma en paralysie générale des plus nettes. A côté de cela il y a
aralysie générale des plus nettes. A côté de cela il y a des cas de paralysie générale qui ressemblent à une para- lysie géné
ion 5 hommes et 6 femmes pour mélancolie 6 hommes et 22 femmes pour paralysie et affaiblissement physique 8 femmes pour gâtis
la production de l'aliénation mentale. Thèse, 17 juin 1824 ; De la paralysie considérée chez les aliénés. Paris, 1826. In-8°;
et physiologie du système nerveux, t. XX, p. 465 à 606. A. 1839; Paralysie générale des aliénés, t. XXIII, p. 133 à 158. A.
citait avantageusement M. Cal- meil et notamment son travail sur la paralysie considérée chez les aliénés. Le professeur Boui
te. Dr CH. BIIIOREL. BIBLIOGRAPHIE. I. Contribution à l'étude des paralysies consécutives aux infections aiguës (paralysies
bution à l'étude des paralysies consécutives aux infections aiguës ( paralysies para-infectieuses), leur traitement par les eaux
nome indépendante et qu'il désigne du nom de para-infectieux. Les paralysies para-infectieuses reconnaissent comme facteur pri
e La Malou agissent favorablement sur le processus régressif de ces paralysies para-infectieuses. DucAmp. II. Étude critique s
somme très bien. Suis-je menacé d'une lésion ou quasi-lésion, de la paralysie ? Puis-je améliorer mon état ou seulement retar
m- pagne la méningite de la base, avec contracture de la nuque et paralysie de la sixième paire dans un cas, ischémie papilla
delà douleur à la percus- sion de l'épine dorsale et la forme de la paralysie , se croit autorisé à considérer son cas comme u
en arc de cercle de la partie supérieure de l'épine dorsale et une paralysie flaccide avec amyotrophie d'un ou plusieurs mem
rf acoustique (entraî- nement à gauche, bourdonnements), le facial ( paralysie ), com- prima encore davantage le mésocéphale (h
caractérise, à côté des symptômes ordi- naires, par la présence des paralysies oculaires (30 et 6e paires), de l'amblyopie, du
nt individuel des doigts qui n'existe que chez l'alcoo- lique. La paralysie agitante et la sclérose en plaques tremblent par
mblement est continuel, mais subit des exagérations au repos par la paralysie agitante, au mou- vement par la sclérose en pla
ésie du côté gauche; coma; mort. A l'autopsie, lésions vulgaires de paralysie générale. Sclérose de l'artère cérébelleuse inf
s caractéristiques, comme Erb a cherché déjà à établir un type de paralysie spinale syphilitique. Il rapporte quatre cas de s
xemple, l'anesthésie ne durait que très peu de temps, tandis que la paralysie ne disparaissait qu'avec une extrême lenteur; e
icité, la présence d'une ataxie nette, l'absence de toute espèce de paralysie , l'âge des malades qui dépassaient la moyenne d
a jambe gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 129 XXVII. Paralysie diphtérique ; ALLOCHIRIE; par WILLIAMS GAY. (jB)'
ré- sentait très nettement le syndrome de Weber, c'est-à-dire une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté
ucun des symptômes de l'hématomyélie : début brusque des accidents, paralysie , puis atrophie, exagération des réflexes dans l
à haute voix. Sur la pathogénie DES ictus épileptiformes dans la paralysie générale. M. LEGR.11N. Il parait ressortir des
s, constalé la fréquence de l'albumine dans, certaines formes de la paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité dé l'urine; m
long, mais reparaissent ensuite comme auparavant. M. LEPPMANN. La paralysie générale dite secondaire pour servir de point d
t atteinte de para- SOCIÉTÉS SAVANTES. 143 légie spasmodique sans paralysie plus accentuée. Quand on la couche sur le dos,
roît notablement quand l'enfant est émue. Il n'existe nulle part de paralysie des membres. Jambes et bras sont mobiles dans t
s les jambes et le tronc, troubles lents du côté de la sensibilité; paralysie vésicorectale, persistance des douleurs précé-
pharmaceutique dans les sociétés de secours mzctuels, 4861); De la paralysie générale ci double forme (Congrès international
rdre de bénignité décroissante les différents genres d'aliénation : paralysie générale, infirmités cérébrales, états mélancol
que sur lequel a insisté Charcot, on peut constater, comme dans les paralysies organiques, la production de tissu fibreux péri
sthé- sies, les tics et les mouvements choréiques, comme pour les paralysies et les contractures, il faut l'intervention de l'
l'origine médullaire n'en soit pas douteuse, ne peut-il y avoir de paralysie infantile hémiplégique ? . En faveur de la th
inué considérable- ment depuis que les accès ont disparu. Dans la paralysie générale, où les troubles vaso-moteurs sont trè
ur l'existence de l'as- phyxie des extrémités dans la lypémanie, la paralysie géné- rale et surtout la folie circulaire ; 9
la paranoïa, aux lésions cérébrales orga- niques, à la sénilité, la paralysie générale progressive, les psychoses (pomieschat
ance. Il ne s'agissait pas d'hystéro-traumatisme, pas non plus de paralysie infantile. Seule l'origine cérébrale pouvait être
6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Mais d'autre part l'intensité de la paralysie et son extension à toute la moitié droite du co
tômes de maladie mentale. G. D. III. Etude SUR la PATHOGENIE' de la paralysie PROGRESSIVE; par le Dr P. Kovalewsky. (Bull. de
. ment., de Belgique, 1894, n°74.) On sait que le processus de la paralysie générale progressive est le résultat pour certa
. Les intoxications d'origine externe susceptibles de produire la paralysie générale sont assez nombreuses : il faut placer e
ues serait en rapport avec les diffé- rentes formes cliniques de la paralysie générale. Quant aux paralysies générales d'orig
iffé- rentes formes cliniques de la paralysie générale. Quant aux paralysies générales d'origine traumatique, elles reconnai
ion de la capacité crânienne. A. Marie. VI. Revue CRITIQUE sur la paralysie générale; par J. Mickle. ' (Brain, part. I, 189
xE. (Brain, part. I, 1894, p. 119 et part. II, p. 263.) Un cas de paralysie pseudo-bulbaire due à des lésions dans cha- que
nements on peut baser le diagnostic entre l'hémiplégie double et la paralysie bulbaire sur ce que dans l'hémiplégie double l'
PATHOLOGIE MENTALE. Cette malade qu'on aurait pu croire atteinte de paralysie générale au début, a radicalement guéri dans un
on mentale a évolué prématurément vers la démence. E. B. XIII. La paralysie générale EST-ELLE UNE maladie infectieuse ? par
BANNISTER. (American Journal of Insanity, 1894.) L'étiologie de la paralysie générale, ou démence paralytique, est un sujet
dans sa production. Il paraît certain, à l'heure actuelle, que la paralysie générale, dans ses formes typiques, peut être c
meilleures statistiques montrent que dans 70 à 90 cas sur 100, la paralysie a été précédée par la syphilis; la paralysie peut
0 à 90 cas sur 100, la paralysie a été précédée par la syphilis; la paralysie peut se com- muniquer du mari à la femme ; elle
yphilis ayant alors agi comme cause directe, l'auteur estime que la paralysie générale est le résultat de l'action d'un poiso
s quelques régions comme l'Egypte, où la syphilis est commune et la paralysie rare, régions où la vie intellectuelle est peu
léphoniques. Trois observations. P. K. XX. Démence paralytique sans paralysie ; par BELKOWSKY. (Centralbl. Nervenheilk. N. F.
trente kilogrammes. LES attaques épileptiformes dans LE COURS DE la paralysie générale. M. CIIRISTIAN fait une communicatio
AN fait une communication sur les attaques épilepti- formes dans la paralysie générale. Il n'est point partisan de la théorie
é. M. G. Ballet. Le mécanisme des attaques épileptiformes dans la paralysie générale, est celui de toute épilepsie jaclcsonui
e. On les distinguera des psychopathies dues à l'épuisement, à la paralysie générale, à l'épilepsie, aux intoxications par le
he, rhébétitde, qui facilite le diagnostic d'avec l'amen- tia et la paralysie générale, le rend difficile dans l'obnubilation
hologie des organes centraux. Tout récemment dans un travail sur la paralysie générale, Buiswanges a attribué la multi- plica
vue les idées de négation que l'on peut ren- contrer au cours de la paralysie générale, dans la sénilité, dans les lésions cé
e Schiller. Mercier (A.). La diminution du poids du cerveau dans la paralysie générale. Graphiques destinés à faire ressortir
re déli- mitée peut aussi se montrer en tant que symptôme dans la paralysie générale, l'hystérie, l'épilepsie, l'alcoolisme,
les rapprocher des lésions de même nature qui se traduisent par la paralysie générale des alcooliques. Ce désordre intelle
e. Cette observation me semble offrir de l'intérêt pour l'étude des paralysies localisées post-épileptiques. Nous avons là un
ty, 1894.) E. B. XXII. Contribution A l'anatomie PATHOLOGIQUE DE la paralysie infantile spinale ; par E. SIE11ERLING. (Archiv
deux ans et demi. Rougeole à neuf mois. Le 8 août 1890, brusquement paralysie de tous les membres; actuellement broncliopneum
ment paralysie de tous les membres; actuellement broncliopneumonie, paralysie flasque des bras et des jambes. Jambe gauche un
ile avec éruption (rougeole ? scarla- tine ? ). Huitjours plus lard paralysie des deux jambes. Deux semai- nes après ces memb
mai- nes après ces membres récupèrent leur mobilité. Actuellement paralysie flasque des extrémités, surtout des jambes. Mort.
uque et le dos ne produit pendant les quatre mois ultérieurs qu'une paralysie flaque des extrémités inférieures avec perte de
que des extrémités inférieures avec perte des réflexes patellaires, paralysie de la vessie et du rectum. On procède à l'exame
eur insiste sur la disparition des réflexes et la persistance de la paralysie flasque des extrémités intérieures, avec une lési
et tendineux des régions sous-jacentes à la lésion font défaut, la paralysie reste flasque, la vessie et le rec- tum restent
st-à-dire bien au delà du temps en rapport avec le Shock, il y a eu paralysie flasque, "sans troubles' de dégénérescence élec
eu paralysie flasque, "sans troubles' de dégénérescence électique, paralysie permanente de la vessie'et du rectum. Anatomiqu
sur les cellules 'et les fibres explique qu'il y ait eu, non de la paralysie , mais des accidents d'incoordination. L'at- tei
que chez les autres aliénés, davantage dans la paranoïa que dans la paralysie générale, peut-être même davantage dans les cas
de la démence paralytique, à la première période, sont dus à une paralysie vaso-motrice des vaisseaux de l'encéphale; l'encé
fs que l'on observe aux périodes postérieures sont consécutifs à la paralysie vaso-motrice des vais- seaux de l'encéphale.
. La semaine suivante, brûlures vives dans les membres et le tronc, paralysie de ces régions. Telle fut jusqu'au 24 juillet la
n de la respiration, toussottement continu, faible expec- toration, paralysie des jambes, des bras, des muscles du tronc, dis
r et l'aqueduc de Sylvius. ' ' En 1891, dans un travail paru sur la paralysie progressive des muscles des yeux, MM. Westphal
que. . 1 M. Hoche. Atrophie musculaire dégéî2é7- -tttive daiis la paralysie pro- gressive. -.Il s'agit de deux hommes chez
s. Quoi qu'il en soit, il n'y a pas d'identité entre le tabès et la paralysie générale, car la lésion des cordons latéraux es
oint du tout des, altérations cérébrales. Sans doute le tabès et la paralysie générale (abstraction faite de l'étiologie conn
ommunauté anatomique et la fréquente coïncidence e du tabès et déjà paralysie ne suffisent pas pour identifier les deux ' mal
ent pas pour identifier les deux ' maladies.. En ce qui concerne la paralysie générale, il y a une 'autonomie locale du proce
autre sujet est atteint de sclérose en foyer, incapable de marcher ( paralysie des jambes), de couper son pain, de boutonner s
e interne. Le malade dont proviennent ces pièces avait présenté une paralysie spasnzo- dique occupant tous les muscles du cor
phénomènes inllammatowes.-11. Struempell décrit enfin un exemple de paralysie bulbaire sans s<OKSK< : (<omues. La je
agit, en pareils cas, d'une forme morbide toute particulière, d'une paralysie bulbaire asthénique. 1 'M. WGIL. De la simula
net. Stigmates mentaux des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud. Paralysies motrices organiques et hystériques. (Ar- c%ives
iation de chaque mot. Tout cet ensemblejpourrait faire penser à la, paralysie , générale qu'il rappelle bien un peu à certains
mais elle peut aussi se montrer sans qu'il y ait une parésie ou une paralysie prédominante du côté droit du corps. Enfin, dan
sur l'action de ces maladies infectieuses dans certaines maladies : paralysies spasmodiques infantiles. N'y a-t-il pas ici que
ments choréiques s'affaiblissent de plus en plus. Il y a une légère paralysie du bras gauche; pendant le bain statique quelqu
ieux en mieux. Encore quelques mouvements choréiques de la face, la paralysie du bras gauche a tout à fait disparu. Le traite
lnérant, mais il y avait, à ce moment (une heure après l'accident), paralysie fuciale gauche, paralysie totale du bras gauche
à ce moment (une heure après l'accident), paralysie fuciale gauche, paralysie totale du bras gauche, parésie de la jambe gauc
guérir. Odorat et gustation intacts. Au bout de quelques jours, la paralysie diminue, mais les régions anesthésiées persistère
es par le chaud, le froid, etc., etc. Du côté droit, pas trace de paralysie , mais anesthésie totale des territoires innervé
e des symptômes, font penser à une lésion de la capsule interne. La paralysie , limitée d'emblée au bras et à la face, montre
du grand dentelé; par le Dl VERHOOGEN. Observation intéressante de paralysie du grand dentelé gauche survenue brusquement ch
toutes les formes de monoplégies hysté- riques soient possibles, la paralysie du grand dentelé est certaine- ment une des moi
hérique, d'origine infectieuse selon toute probabilité, simulant la paralysie de Landry; la netteté des symptômes sensoriels
iels et l'absence de réflexes ainsi que les symptômes ultérieurs de paralysie ascendante permirent le dia- gnostic. ( ? <
894, et Brain, octobre 1892.) A. M. LU. Anatomie pathologique DE la paralysie infantile ; par . TREVFLYAN. (Britisie Médical
: 659 femmes), dont 107 (98 hommes, 9 femmes), soit 7,03, ont eu la paralysie générale. Eléments statistiques. -' Conclusions
a paralysie générale. Eléments statistiques. -' Conclusions : 1° La paralysie progressive, qui est de beaucoup plus fréquente
bonne condition; 2° l'importance étiologique de la syphilis pour la paralysie progres- sive, paraît'être très grande, tandis
ue aucun -rôle important dans les autres formes de psychoses; 3° la paralysie progressive, qui apparaît surtout entre trente
s, et les traumatismes n'ont qu'une impor- tance secondaire pour la paralysie progressive ; 6° parmi les diverses formes de l
pour la paralysie progressive ; 6° parmi les diverses formes de la paralysie générale, la forme maniaque est de beaucoup la
0 de cas; de deux ans dans 43,4 p. 100 ; rémis- sions rares ; 8° la paralysie générale qui succède à la syphilis ne présente
est mort aliéné. Ptithogénie des attaqzies épilepti/'ormcs dans la Paralysie générale. M. A. Voisin. La discussion ouverte s
lancolies avec stupeur, mais surtout ceux qui sont consécutifs à la paralysie générale et. les démences organi- 410 bibliogra
al au repos.Il se produit naturellement comme résultat immédiat une paralysie motrice plus ou moins complète de l'extrémité c
chorée et du côté malade dans les affections unilatérales, dans la paralysie infantile. Après une inversion de courant, la r
ctrothérapie. musculaire progressive (type Aran-Duchennel, 2 cas de paralysie périphérique du facial (a /' ? '0 ! 'e), 1 de p
x. La douche hydrogalvanique locale convient dans les névralgies et paralysies localisées. Les douches hydrofaradiques sont in
ésultats qui nous sont fournis par l'essai de ce traitement dans la paralysie générale sont assez satisfaisants pour nous don
ession vers la onzième apophyse épineuse dorsale, pas de gibbosité. Paralysie complète du membre inférieur gauche, analgésie
a- trième vertèbre cervicale sur la cinquième, suite d'une chute. Paralysie et atrophie des muscles dépendant des quatrième e
sychoses, l'idée délirante a une genèse fort analogue, sauf dans la paralysie générale; dans les psychoses à base affective,
ns la genèse des attaques apo- plectiformes et épileptiformes de la paralysie générale; par M. le Dr L. Guérin. (Th. de Lyon,
la pathogénie des accidents apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie générale. L'auteur n'a pas voulu émettre une th
nombre de cas les attaques apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie générale sontsousia dépendance d'une 1 bibliogr
ie des phénomènes de rappel de M. le professeur Pierre : 4° pour la paralysie générale, l'exactitude de cette théorie expérim
'interprétation des actes apoplectiformes et épilepti- formes de la paralysie générale, il est peut être bon de faire abs- tr
sions des viscères autres que le cerveau et la moelle. 2° Dans la paralysie générale et en particulier chez les paraly- tiq
t forte que les accidents apo- plectiformes et épileptiformes de la paralysie générale sont dus à une intoxication. Dr Devay.
légalement au 1 ? janvier 1893, il y a 4tl hommes et 379 femmes. La paralysie générale est assez rare à la colonie : alors qu
en Afrique; elle frappe surtout les immigrants qui fournissent à la paralysie générale une proportion de 6,3 p. 100. 44 cas
ns, le traitement du , par Bellamy, 470. Démence paralytique sans paralysie . par Belliowslz 217 ; troubles vaso-moteurs d
olita- kis, 121. Paludisme, hystérie et -, par Clé- ment, 68. Paralysies consécutives aux infec- tions dut La Maiou, par
nfantile, par Smmerling, 30l ; - iufautile, par Treveylan, 388. Paralysie générale progressive, lé- sions histologiques f
74 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'appareil de la vision dans les névroses, les in- toxications, la paralysie générale et certaines catégories d'aliénés ; ét
eut rencontrer ce signe dans bien d'autres affections que dans la paralysie générale, dans le tabès notamment, et dans tout
quemment. C'est ainsi que nous l'avons noté, dans 62 % des cas de paralysie générale que nons avons observes ; alors que su
ralement considérée comme un des symptômes les plus fréquents de la paralysie générale. -- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OEIL C
à l'accomodation, on ne la rencontre pas plus fréquemment dans la paralysie générale que dans beaucoup d'autres affections,
té (trois lois plus d'après notre observation 37 % des cas) dans la paralysie géné- rale que dans les autres affections menta
papillaire, fréquemment constatée dans les dermières périodes de la paralysie générale. Enfin dans un assez grand nombre de c
Les troubles pupillaires sont beaucoup moins fréquents que dans la paralysie générale. Les pupilles sont très rarement en ét
calisé. Magnan et Galezowski dès 1868, avaient déjà signalé dans la paralysie générale, il est vrai, un oedème péripapillaire
iagnostique des troubles ocu- laires aux différentes périodes de la paralysie générale appuyée surtout par des observations p
AUDRON. Contribution il l'étude de l'état du fond de l'oeil dans la paralysie générale (Résul- tat de l'examen des paralytiqu
g. des M. al et neur., 1905. Jour- FROY. Des signes oculaires de la paralysie générale. Arch. neurol., mai 1904. A. Keraval
ion à la connaissance des rétrécissements du champ vi- suel dans la paralysie générale. Jahrbuch f. psychiat., XIII 2. KOENiG
de biologie, 1868. MARANDON DE Montyel. Le réflexe lumineux dans la paralysie générale. A. N. juin 1905. MARTIN (G.). Des rap
RON. Fréquen. ce et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie géné- rale. Journ. de neur., 1904. N° 3. -RESNI
ez les aliénés. Riv. sp. t/re ? fasc, 2, 1897. Truelle. Un cas de paralysie générale avec hallucinations. A. N., 31 juillet
ose initiale de 1 gr. 50 centig. 3° Dans l'excitation motrice de la paralysie géné- rale et du délirium tremens les effets ut
atisfaisants. R. de MUSGRAVE CLAY. REVUE DE MEDECINE LEGALE I. La paralysie générale et le crime ; par John BAKER. (The Jou
res inférieurs, des troubles de la parole qui rappellent ceux de la paralysie générale, du nystagmus, du my- xoedeme, de la s
même manière : cette observation s'applique plus spécialement à la paralysie des pieds et-plus rarement des mains. Elle perdai
attiré l'attention de 1885 à 1891. R. M. C. X. L'étiologie de la paralysie générale. (British médical journal, 28 juillet
Dans toutes les contrées civilisées, le mal connu sous le nom de paralysie générale des aliénés, paralysie progressive ou dé
lisées, le mal connu sous le nom de paralysie générale des aliénés, paralysie progressive ou démence paralytique est fortemen
nd Essmarch et Jessen énoncèrent les premiers leur opinion que la paralysie générale était le résultat d'une infection syphil
montré la préexistence .de la syphilis dans la grande majorité des paralysies générales avec une évidence irréfragable. La pa
ajorité des paralysies générales avec une évidence irréfragable. La paralysie générale et la syphi- lis coïncident en distrib
l'exposition aux chances de syphilis (exem- ple : prostituées). La paralysie générale est plus répandue dans les classes : (
nt la syphilis. Krafft-Ebbing, sur près de 3.000 hommes atteints de paralysie générale, n'a trouvé au contraire qu'un prêtre
fois souffert de la syphi- lis ; d'autre part, les cas juvéniles de paralysie générale so nt presque toujours (probablement t
l'hérédo- syphilis ou de la syphilis infantile ; tabes dorsalis et paralysie générale considérés comme distincts sont connus
ce entière de la part exacte prise ici par la syphilis tant pour la paralysie générale que pour le tabes dorsal. La pierre de t
ts aux hypothèses de para-syphilis ou meta-syphilis. Dès lors, la paralysie générale et le tabès dorsal seraient les résult
des asiles Ecossais, dont les conférences sur la pathogénie de la paralysie générale des aliénés (2) ont été récemment publié
oir Soc.,41ed. des Hôp., 21 décembre 1906.) (2) La palhogénie de la paralysie générale par W. Ford Hohcrt- sonM. 11. l. (t.cs
s vues et celles de ses collaborateurs concernant l'étiologie de la paralysie générale en feraient une maladie infectieuse auss
u journal médical anglais. Depuis cette hypothèse diphtérique de la paralysie générale a for- mé l'objet principal des recher
dans les systèmes digestifs et respiratoires sur beaucoup de cas de paralysies générales et dans le système urinaire et génita
ne chèvre infectés par des bacilles diphtéroides isolés d'un cas de paralysie présen- tèrent des symptômes pre mortem et des
es pre mortem et des changements de tissus ressemblant à ceux de la paralysie générale. Les rats se tenaient t immobiles avec
cérébro- spinal, le sang et l'urine de plusieurscas de tabès et de paralysie absolument stériles. Le Dr Ferrier, considère d
te terrible affection ? Dr Marie. XI. - L'angoisse au cours de la paralysie générale ; par FERÉ, (Revue de Médecine ; avril
35 ans qui présenta de l'impotence fonctionnelle des membres, de la paralysie faciale, de l'irido-choroïde double et des troubl
atonique. R. DE Musgrave CLAY. XXI.Observations statistiques sur la paralysie générale; par IIna- YEN BAIRD (The Journal oi m
mmune qu'autrefois dans les cas où le diagnostic porté est celui de paralysie générale ; 6° la mélancolie, le délire, de perséc
nces médicales et sociales. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXIX - Un cas de paralysie générale des aliénés avec méningo- myélite syph
ze ans avant l'entrée à l'asile) et ayant présenté des symptômes de paralysie générale et de méningo-myélite syphilitique. El
la dégénérescence des neurones supérieurs caractéristi- ques de la paralysie générale.L'apport considérable de sang et de ly
douteux, mais bientôt les symptômes inclinèrent nettement vers la paralysie générale. Autre point : comment expliquer les sym
st sensiblement plus grande en fa- veur des hommes, en raison de la paralysie générale et de l'al- coolisme. Le plus grand no
euse et mentale. Dans la première leçon, l'auteur analyse un cas de paralysie spinale périodique qui se distingue de tous les
, contrairement à la règle générale était conservée. La question de paralysie pério- dique, exposée dans toute sa plénitude,
liquer la localisation et la nature éniginatique du processus de la paralysie périodique. Il expose que les différentes théor
cherback se croit en mesure d'expliquer les différentes for- mes de paralysie périodique spinale, lesquelles présentent clini-
sont : « Spasme tonique du diaphragme d'origine. hystérique », « Paralysie hystérique » (deux cas), et « Pseudo-apoplexie hy
al con- firmé. Observation X.X.,ca : n : ]ie ! 'ra.nf, atteint de paralysie génie- rale au cours d'un lahès datant de dix a
philis à.1 : ) ans. régulièrement soignée. Sa femme eslalaxiquc. La paralysie génr- raleilu malade est certaine et toulà l'ai
tres fois elles portent le cachet de la débi- lité originaire. V. Paralysie générale. Deux espèces de fugues : 1° fugues du
ralysie générale. Deux espèces de fugues : 1° fugues du début de la paralysie générale (période mé- dico-légale). La conscien
. A propos ds récents travaux sur l'auscultation du muscle dans les paralysies ,la contracture et la réaction de dégénéres- cen
nstate une hémianopsie homonyme latérale droite et une aphasie sans paralysie des membres ou de la face, sans déviation conju
ent la mu'que d'une démence commençante ou non. » XXXIII. Un cas de paralysie générale de développement; par Jas. Middlemass.
t ici indiscu- table ; 2° les âges auxquels on peut voir débùter la paralysie générale chez les jeunes sujets et chez les adu
wL Cl1Y. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143 XXXVIII. Traumatisme et Paralysie générale; par James Mid- dlemass. (The Journal
en dehors du côté purement scientifique, il s'agit de savoir si une paralysie générale peut-être créée ou hâtée par un accident
agnostique des symptômes oculaires aux di.jjé renies périodes de la paralysie générale, appuyée Slll'tout SllI' des ob- scrva
es. Séance du 29 octobre 1906. - Présider ce de M. Marcel Briand. Paralysie générale traumatique. .\1. COLI ET donne lectur
a trace d'un traumatisme et, en outre des lésions habituelles de la paralysie générale, on constata la présence d'une lésion
du traumatisme, on ne trouve aucune des cau- ses habituelles de la paralysie générale : syphilis, alcool ou pré- disposition
fois scientifique et médico- légal de l'étiologie traumatique de la paralysie générale. Il lui est arrivé plusieurs l'ois de
e chronique, lia pu toujours établir que c'é- tait au contraire,une paralysie générale méconnue à son début, qui avait favori
ersonne ne nie plus aujourd'hui l'origine syphilitique de certaines paralysies générales. Il se range iL l'opinion de M. Vigou
ange iL l'opinion de M. Vigoureux et estime qu'il s'agit bien d'une paralysie générale traumatique. AI. Christian considère l
ticlue, une pleuré- sie traumatique ; pourquoi n'y aurait-il pas de paralysie séné- ralc traumatique ? . ? \I. 1. Séance di
croscopiques, et l'absence de troubles moteurs graves (épilepsie, paralysie ) et d'autres symptômes liés à des altérations loc
es à bâtonnets » (Stab- cheuzellen) et les éléments nerveux dans la paralysie progressi- ve ; par M.Cerletti. (in Rivista spe
l'écorce dans un certain nombre d'affections, mais surtout dans la paralysie pro- gressive. Ce sont, dit-il, des cellules né
, délire hallu- cinatoire, épilepsié; allaiblissement des facultés, paralysie gé- nérale,etc.) où l'intoxication alcoolique a
endra les cas de folies de toute espèce (manie, folie intermittente, paralysie générale, délires systématisés, etc.) qui, sans
aigus fortement dissem- blables les uns des autres. Commedans la paralysie générale et'la démence sé- nile, sur le fond co
ctions psychiques )). ». Mais le malade de Bleuler était atteint de paralysie générale et par conséquent peu propre à l'étude
trois mala- dies bien définies du système nerveux, l'alcoolisme.la paralysie gé- nérale et la folie de l'adolescence, ou si
ens musculaire est pré 342 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. coce dans la paralysie générale, où nous savons que la lésion prin- ci
existe un déficit notable des facultés intellectuelles, tels que la paralysie générale, les démences précoces, séniles, etc.
pourrais en dire leur variabilité et leur insuffisance. Voici une paralysie , hystérique type, d'un bras par exemple, avec a
a représentation des mouvements, avec indifférence du sujet à cette paralysie . Comment les partisans de l'hystérie maladie ps
érie maladie psychique vont-ils l'ex- pliquer ? L'un dit : il y a paralysie parce que le sujet est anesthésie. Ne sentant p
ensibilité profonde. C'est donc l'anesthésie qui est la cause de la paralysie . Mais cette anesthésie n'est que la perte de la
uoi cette anesthésie psychique n'en- traîne- t-elle pas toujours la paralysie ? La paralysie devrait être au prorata de la su
hésie psychique n'en- traîne- t-elle pas toujours la paralysie ? La paralysie devrait être au prorata de la subconscience ou
ée fixe du trouble observé. Avec cette dernière manière de voir, la paralysie tient à ce que le sujet a l'idée fixe que son b
ième ; il ne s'agit pas de représentation, il s'agit d'amnésie ; la paralysie n'est qu'une amnésie systéma- tisée des mouvcme
et qu'il n'y ait pas constamment suppléance ou substitu- tions de paralysies entre elles, au sur et à mesure que tel membre
. Voilà* donc, en présence d'un phénomène aussi gros- sier qu'une paralysie hysté11que d'un bras,neuf manières HYSTÉRIE ET
ie ? La question se pose d'ailleurs immédiatement de savoir si la paralysie peut dépendre de toutes ces différentes cause»
sychologiques subordonnât tous les autres. Or, on ne voit pas,si la paralysie est le fait d'une amnésie systématisée par exem
nts de son bras, ( et est on même temps obsédé parl'idée fixe de sa paralysie . 'Et de même pour toutes les autres particulari
tres particularités psy- chologiques invoquées pour expliquer cette paralysie . Mais il y a plus.Un hystérique présente toujou
blier cette physiologie et cette anatomie du cerveau en présence de paralysies , de contractures, d'anesthésies que nous sommes
ous voulons exécuter. Dès lors nous comprenons immédiatement que la paralysie s'accompagne d'anes- thésie et de perte de repr
362 CLINIQUE NERVEUSE. représentation. C'est ce qui arrive dans les paralysies par émotion, dont les effets sont soumis aux lo
tout cela n'est pas psychique ; le caractère psycho- logique de la paralysie n'est qu'apparent ; il n'est que secondaire ; c
logique dont j'ai montré tout à l'heure l'applica- tion à un cas de paralysie pour la mettre en parallèle avec la théorie psy
atteints. Ceux-ci peuvent bien dans certains cas - comme dans ces paralysies ou contractures qui durent des an- nées persist
, avec début et maximum d'intensité sous la pie- mère comme dans la paralysie générale. La dégénérescence myxoe- démateuse co
lication satisfaisante. " R. DE Musgrave CLAY. LX. Pathologie de la paralysie générale des aliénés ; par '1'. Ford RoBERTSON.
-même un résumé. 1 1 Les statistiques paraissent démontrer que la paralysie générale augmente de fréquence, son étiologie e
élévation de la température. Il a conclu de ses observations que la paralysie générale est une mala- die directement due à de
ssantes de contester l'origine essentiel- lement syphilitique de la paralysie générale et du tabes, et Bianchi et d'autres au
le mémoire. R. de Mus grave CLAN. LXIV.- Lipomes multiples dans la paralysie générale ; par M : Conolly NOR ! AN, (The Journ
The Journal of Mental Science, janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de paralysie générale qui présentait quelques particularités
es ; mais ici le diagnostic est demeuré douteux'en ce qui touche la paralysie gé- nérale. R. de MUSGRAVE CLAY. LXV. Le pron
e à la démence ; i) l'association d'un début de tabes à un début de paralysie générale indique que le cours de cette dernière
récé- dant certaines maladies organiques (tabes. démence précoce, paralysie générale, etc.) Le pronostic se confond naturelle
férence qui pourrait s'expliquer par ce fait que chez les hommes la paralysie générale, où la phtisie est rare, est la cause
me et une poliomyélite d'origine traumatique. Syndrome incomplet de paralysie pseudo-bulbaire. Il. LAMY présente deux observa
bulbaire incom- plet qu'ils présentent; il y a en effet absence de paralysie du côté des membres, parésie du facial inférieu
n entre les troubles fonctionnels accentués et les signes vagues de paralysie glosso- ],Ibio-Ial,¥ngée. c D "> 43S ' SOC
. SiCARD a usé avec succès de l'opothérapie thymique. Paraplégie et paralysie infantile. M. CRouzoN présente un malade âgé de
le. M. CRouzoN présente un malade âgé de 40 ans, atteint jadis do paralysie spinale infantile et qui présente des crises de p
ÉSIDENCE DE 11. DABINSKI, /'o ! t<'ttCfp/KïHte ophtalmoplégie et paralysie bilatérale de la branche motrice du trijumeau.
femme atteinte d'ophtalmoplégie double avec faciès d'llutchinson et paralysie bilatérale avec atro- phie des masticateurs ; l
moplégie double n'est pas rare au cours de cette affection, mais la paralysie dans la sphère motrice du trijumeau est excep-
cemment un cas analogue avec ophtalmo- plégie externe bilatérale et paralysie du voile du palais. Contribution au traitement
l'expression d'un défaut de fonctionnement du cordon postérieur. Paralysie faciale récidivante. \I11. IIULT et LEJONNE, pr
alade de 12 ans 1/2 atteint pour la troisième fois en quatre ans de paralysie faciale du côté gauche. Les circonstances qui e
igine réelle infectieuse de la 440 sociétés savantes. plupart des paralysies faciales dites a frigorc, théorie confirmée par
ans frappée soudainement, après quelques jours d'état fé- brile, de paralysie totale avec douleurs violentes ; il en reste ac-
ux cas sur celte question; / bibliographie. 441 L Un signe de paralysie organique du membre inférieur. )1. t;RASSET (de
hez les Juifs. En tous cas, ils sont prédisposés à la folie et à la paralysie générale. Il semble que l'on puisse ratta- cher
iques concomitants sont accessi- bles, comme une contracture ou une paralysie , la réédu- cation fonctionnelle, en rétablissan
arition de l'idée fixe née au même titre que la con- tracture ou la paralysie . Si l'état est plus ancien, si l'hys- térie est
que est constitué, non pas parce qu'il y a de l'anesthésie ou de la paralysie ou tel autre trouble, mais parce que ces troubl
ttre et de laisser passer les excitations, d'où insensibilité, puis paralysie . Quand il reprend son acti- vité, ce retour s'a
cérébral soit complet, même dans le cas où il apparaît comme tel ( paralysie flasque, léthargie). Dès lors, tout en restant
1. 651) établissait l'analogie qui apparaît entre le sommeil et la paralysie hystérique, eu Tes rapportant l'un et l'autre u
La légende de l'immunité des Arabes syphilitiques relativement à la paralysie générale, par A. Marie. (Revue de Médecine, mai
a recueilli des éléments statistiques sûr les cas de syphilis et de paralysie générale chez les Arabes d'origine. LesArabes c
environ 75 % de la population traitée. En 1901 il y avait 46 cas de paralysie générale dont la grande majo- rité (3/ 4 enviro
er au cours d'une myopathie progressive. F. T. XXX.-Sur un cas de « paralysie des béquilles» ; par SocA. (Nouv. Icon de la Sa
posées à ce qui est généralement admis en la matière, à savoir : la paralysie des béquilles n'est pas une para- lysie du plex
une para- lysie du plexus, ni funiculaire, ni terminale, c'est une paralysie radiculaire totale ; la compression seule est i
suffisante à l'expli- pliquer encore qu'elle ait une action dans la paralysie du radial ; le véritable mécanisme en est dans
encéphalite peut se traduire par divers syndromes : démence simple, paralysie générale, confusion mentale : c'est qu'en effet
uve que ces éléments cellulaires ne sont pas caractéristiques de la paralysie générale, ayant, été rencontrés dans d'autres i
de neuromyo- site post-varicelleuse.- J\n1. LE¡ONJ\'E et C)PPERT . Paralysie uni- latérale de plusieurs nerfs crâniens. MM.
radiculaire supérieure de la pa- ralysie). MM. Crouzon et NATHAN : Paralysie des masticateurs, ophtalmoplégie totale et bila
: Paralysie des masticateurs, ophtalmoplégie totale et bilatérale, paralysie faciale unilatérale, au cours du tabès. MM. C3t
. MM. LEJONNE et Quartier Hémiplégie d'origine thalamique à 23 ans. Paralysie générale et tabès à 26 ans. - 11D,I. AlQUIE11 e
atique MM. BRISSAUD,SICARD et TANON ont vu de ce fait deux cas de paralysie des membres inférieurs avec abolition des contrac
ésultats satisfaisants. 502 SOCIÉTÉS SAVANTES Zona ophtalmique et paralysie du moteur oculaire externe et de l'accommodatio
et de l'accommodation. t M. GALEZOVVSKI, qui présente ce cas de paralysie dissociée, pense qu'il s'agit de lésions périph
t du moteur oculaire externe dans son trajet in- tra-caverneux. - Paralysie pseudo-bulbaire 1 MlI1. RAYMOND et ALQUIER prés
LQUIER présentent la photographie de piè- ces provenant d'un cas de paralysie pseudo-bulbaire ; on y voit des lacunes dans l'
aquelle ce médecin aliéniste, si at- taché à l'étude clinique de la paralysie générale, de l'épilepsie de l'hystérie, de l'al
issimulateurs ; par de Moor et Duclrateau, p. 344. Voir Loi. Voir Paralysie gé- nérale. Sur quelques aspects de la questi
l'observation ; par l31ce, p. 52. Angoisse. L'- au cours de la paralysie générale ; par Féré, p. 68. Anomalies. Voir A
philitiques. La lé- gende de l'immunité des - re- lativement à la paralysie géné- rale ; par A. Marie, p. 495. ARQYLI.-Ho
. - d'électro- thérapie et de radiographie, p. 418. Crime. Voir Paralysie . -- Voir Folie. Crise d'épilepsie. Simulation
cle. A propos de récents tra- vaux sur l'auscultation du dans les paralysies , la contrac- ture et la réaction de dégéné- r
rbone. Voir Glosso- plégie. PACllYMÉNixaiTE. Voir Amau- rose. Paralysie . La générale et le crime ; par Baker, p. 60. L'
ercy Smith, p. 68. Voir Sorcellerie. Voir Délire. Paraplégie et paralysie infan- tile ; par Crouzon, p. 438. PAHAPLÉSIE
ales ; par Bond. p. 144. POLIENCÉPIIALITE. Oplltalmo- plégie et paralysie bilatérale * de la branche motrice du tri- ju
18. table des auteurs et DES collaborateurs. 539 Traumatisme et paralysie géné- rale ; par Middlemass, p. 143. Travail.
Rougon-\Iacquart ; par Mar- tineau, p. 513. Zona ophtalmique et paralysie du moteur oculaire externe et de l'accommodat
75 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
de diagnostic. On éprouve de l'embarras à déterminer la cause de la paralysie . « Si le début par des névralgies irradiées et
té des mouvements, ataxie aboutissant plus ou moins rapidement à la paralysie . Les troubles sensitifs sont très variables; en
es d'excita- tion motrice : spasmes toniques et cloniques ; puis la paralysie devient complète, flasque ou spasmodique, ce qu
toute la partie du corps sous-jacente au point de compression : les paralysies flasques avec aboli- tion des réflexes, atrophi
s'affaiblis- sent rapidemeut. L'examen montre à cette époque une paralysie flasque des deux membres inférieurs. Le malade
toutes sans antopsie : 1° A la suite de douleurs interscapulaires, paralysie flasque et anesthésie des membres inférieurs, a
mal sous-occipital avec luxation du crâne en arrière et attribue la paralysie atrophique de la langue à la compression des hy
bre supérieur, hémiatrophie linguale ; en outre, pseudo-trismus par paralysie des muscles abaisseurs de la mâchoire. B, Mal
rieure. - Cette variété emprunte son intérêt à la possibilité d'une paralysie flasque des membres supérieurs, avec atrophie m
cette attitude dont la correction était douloureuse. Un mois après, paralysie , d'abord du bras gauche, puis du droit flasque, p
inence thénar, notamment. Quelques névralgies avaient précédé cette paralysie : « Au membre supérieur gauche, la sensibilité
chectisa et fut emmené mourant par ses parents. D'ordinaire, à la paralysie flasque des membres supérieurs s'ajoute une par
caractères de douleurs radiculaires. Un mois plus tard, atrophie et paralysie du membre supérieur, puis du membre inférieur g
uis des 2 membres du côté op- posé. Ou constate alors : atrophie et paralysie flasque des muscles de la main, de l'avant-bras
ieurs, parésie des triceps brachiaux, des muscles antibrachiaux, et paralysie des muscles de la main, avec atrophie des émine
entée par le petit malade de M. Broca : douleurs radiculaires, puis paralysie flasque avec atrophie musculaire et troubles se
; presque toujours, l'anesthésie affecte le caractère dissocié. La paralysie des membres supérieurs suit de près ; elle est gé
ire, quand la compression s'exerce sur la moelle, il en résulte une paralysie des quatre membres et du tronc, les réflexes sont
racines cervicales inférieures détermine aux membres supérieurs une paralysie flasque, avec alrophie musculaire, et l'exagéra
teurs, qui se présentent sous l'un des quatre aspects suivants : 1° Paralysie flasque avec ou sans atrophie musculaire ; 20 P
ants : 1° Paralysie flasque avec ou sans atrophie musculaire ; 20 Paralysie spasmodique des membres inférieurs avec intégrité
des membres inférieurs avec intégrité des membres supérieurs ; 3° Paralysie spasmodique des quatre membres ; 4° Paralysie s
res supérieurs ; 3° Paralysie spasmodique des quatre membres ; 4° Paralysie spasmodique des membres inférieurs, paralysie fla
s quatre membres ; 4° Paralysie spasmodique des membres inférieurs, paralysie flasque des membres supérieurs. 1° Il est exc
sie flasque des membres supérieurs. 1° Il est exceptionnel que la paralysie flasque se localise aux membres supérieurs comm
exagération des réflexes rotuliens, signe de Babinski, etc. 2° La paralysie flasque des membres inférieurs peut au contraire
cines, respectant momentanément la moelle. Dans les deux cas, cette paralysie flasque des membres inférieurs pourra donner lieu
embres inférieurs que pour immobiliser le rachis ; l'atrophie et la paralysie respectent d'or- dinaire les muscles de la cein
male, dont nous poursuivons actuellement l'étude histologique. 3° Paralysie spasmodique des quatre membres. Pour donner naiss
lus souvent. Aussi nous pardonnera- t-on de rie pas insister sur la paralysie spasmodique des qualre membres, dont nous n'avo
ne, habituellement, des troubles bulbaires signalés plus haut. 4° Paralysie spasmodique des membres inférieurs, paralysie fla
ignalés plus haut. 4° Paralysie spasmodique des membres inférieurs, paralysie flasque des membres supérieurs . - Lorsque cett
sonnelle, 'l'existence de spasmodicité des membres inférieurs, avec paralysie flas- que des supérieurs, un certain degré d'at
à une attaque apoplectique. Un autre grand-oncle était atteint de paralysie agitante. Il eut un fils idiot, dont la physion
et l'ulcération est constituée. Nous voyons donc ici nettement une paralysie des vaso-moteurs analo - gué à celle qui se pro
ve, non qualitative. Au point de vue fonctionnel, il n'y a aucune paralysie , aucune contrac- ture, aucune modification des
que diffère de tant d'autres atrophies avec arrêt de développement ( paralysie infantile, myopathies, etc.) qui se caractérise
s observations comme le début brusque et douloureux, le début de la paralysie par les extrémités périphériques des membres, la
émités périphériques des membres, la prédo- minance aujourd'hui des paralysies musculaires aux extrémités plus qu'aux racines
e à l'examen électrique des muscles ? et l'absence d'une période de paralysie précédant l'apparition des atrophies ? Nous ne vo
emps de repousser avant sa mort survenue le 10 octobre. Ons. III. Paralysie générale. 7'richolillomanie. S. P... âgé de 41
ie persistante (La Filandre médicale, 1895, ne 18). SUR UN CAS DE « PARALYSIE DES BÉQUILLES », PAR F. SOCA, Professeur à
u bras droit ; celui-ci présentait l'attitude caractéristique de la paralysie saturnine : avant-bras fléchi sur le bras, légè-
trement dit, tombée sur l'avant- bras ; bref l'aspect typique de la paralysie radiale. L'analyse de la paralysie du bras mont
as ; bref l'aspect typique de la paralysie radiale. L'analyse de la paralysie du bras montre qu'elle frappe tous les muscles én
e triceps et les long et court supinateurs. Mais, en réalité, cette paralysie ne se cantonne pas dans le seul territoire du rad
mparaison des mouvements du côté droit avec ceux du côté gauche. La paralysie atteignait également les muscles biceps, brachial
ces derniers, par les branches collatérales du plexus brachial. La paralysie de ces muscles a été dûment établie non seulement
sement fonctionnel, mais encore par l'exploration électrique. Cette paralysie a été poursuivie de muscle en muscle, 172 socA
hautes ; la première idée donc qui vient à l'esprit est celle de la Paralysie des béquil- les, qui fut étudiée il y a quelque
us les auteurs, comme constituant un des plus typiques exemples des paralysies du radial par compression, ou, tout au moins de
elation de succession entre l'usage des béquilles et le début de la paralysie du bras, et le fait si sub- SUR UN CAS DE PARAL
le début de la paralysie du bras, et le fait si sub- SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 173 jectif que la paralysie brach
t si sub- SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 173 jectif que la paralysie brachiale fut beaucoup plus marquée' du côté de
'esprit le plus prévenu, de la rigoureuse exactitude du diagnostic « paralysie des béquilles ». Vrai- ment, le diagnostic est
rard et Capuron, forts de nombreuses expériences sur le cadavre, la paralysie des béquilles était une paralysie par compression
es expériences sur le cadavre, la paralysie des béquilles était une paralysie par compression s'exerçant sur toutes les branc
ions. C'est que, comme le démontre l'analyse de mon observation, la paralysie des béquilles n'est pas une paralysie terminale,
nalyse de mon observation, la paralysie des béquilles n'est pas une paralysie terminale, ou une para- lysie du plexus : c'est
s une paralysie terminale, ou une para- lysie du plexus : c'est une paralysie radiculaire. En effet, par paralysie radiculair
lysie du plexus : c'est une paralysie radiculaire. En effet, par paralysie radiculaire, il faut entendre celle qui a pour
n intra et une extra-rachidienne. Comment reconnaîtra-t-on qu'une paralysie porte sur les racines, sur le plexus ou sur les
si, si la 5e et la 6e racines cervicales sont atteintes, on aura la paralysie Erb-Duchenne qui ne cor- respond au territoire
Mais si toutes les racines étaient frappées ? En ce cas, il y aurait paralysie de tout le territoire du plexus brachial, tout
e qui fût malade. Et même alors, il serait possible de savoir si la paralysie affecte les racines ou bien le plexus. De quelle
plexus. De quelle manière ? par la 174 SOCA raison que, en cas de paralysie radiculaire, se trouveront compromises les fonc
que qui ira former le plexus. Et maintenant, de quelle forme est la paralysie de notre malade ? Est-ce une paralysie radicula
nant, de quelle forme est la paralysie de notre malade ? Est-ce une paralysie radiculaire ? une paralysie du plexus ? une paral
paralysie de notre malade ? Est-ce une paralysie radiculaire ? une paralysie du plexus ? une paralysie termi- nale ou simple
? Est-ce une paralysie radiculaire ? une paralysie du plexus ? une paralysie termi- nale ou simple ? Une paralysie radiculai
une paralysie du plexus ? une paralysie termi- nale ou simple ? Une paralysie radiculaire évidemment puisque, comme nous l'av
l'avons vu par l'histoire du cas, il existait chez notre malade une paralysie du grand dentelé, du rhomboïde, de l'angulaire de
Nous sommes par cela seul fondés à affirmer péremptoirement que la paralysie des béquilles n'est pas une'paralysie par compres
s n'est pas une'paralysie par compression. En effet, si c'était une paralysie par compression, comment pourrait-il se faire que
t où s'exerce l'action de la bé- quille. Le modus agendi de cette paralysie doit donc être tout autre et absolu- ment disti
re, il nous suffira d'étudier briève- ment le mécanisme de quelques paralysies radiculaires mécaniques. Tous les auteurs qui s
ccupés de cette question admettent aujourd'hui que le mécanisme des paralysies radiculaires par traumatismes portant SUR UN CA
des paralysies radiculaires par traumatismes portant SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 175 sur l'épaule, est celui de la
été vérifiée et par l'observation et par l'expérimentation. - Les paralysies produites par les coups sur l'épaule déterminant
t l'abais- sement de la tête humérale et sa projection en avant les paralysies oc- casionnées par les mouvements d'abduction f
nsion projetant de même la tête de l'humérus en bas et en avant les paralysies , suite de tractions exagérées sur le bras comme
ertaines luxations ou dans certaines manoeuvres obsté- tricales les paralysies qui accompagnent les diverses luxations de l'é-
es qui accompagnent les diverses luxations de l'é- paule toutes ces paralysies (la preuve irréfutable en a été donnée) sont, d
i- toire des 5' et 6* cervicales. Et dès qu'il en est ainsi, si ces paralysies sont des paralysies radiculaires, il est éviden
* cervicales. Et dès qu'il en est ainsi, si ces paralysies sont des paralysies radiculaires, il est évident qu'on ne saurait inv
exposées, et ainsi, s'explique aussi la fréquence prédominante des paralysies radiculaires limitées au groupe Duchenne- Erb.
traction était portée trop loin. Il est donc hors de doute que les paralysies radiculaires consécutives aux traumatis- mes de
mécanisme de la traction. En- tel état de cause, pourquoi, dans les paralysies des béquilles, le mécanisme serait-il autre, qu
hidiennes ? Si l'on a pu croire jusqu'à présent qu'il s'agissait de paralysies par compression comme, à la suite d'Hérard et C
aient tous les auteurs, c'est que l'on ignorait avoir affaire à des paralysies radiculaires, et de ceci, la démonstration est
ù a été établie, de mode irréfuta- ble, la nature radiculaire de la Paralysie des béquilles. J'ajoute que cette théorie de la
llain. Mais une objection s'impose. A quoi cette prédominance de la paralysie dans l'aire de la distribution du radial dans l
publiés jusqu'à ce jour, si bien que tous les auteurs décrivent la Paralysie des béquilles au chapitre de la Paralysie radia
les auteurs décrivent la Paralysie des béquilles au chapitre de la Paralysie radiale ? Mais cette prédominance n'est peut-êt
tte prédominance dans le radial soi la résultante des SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 177 conditions de la traction, un
it là une ex- plication adéquate à J'aspect singulier de ce type de paralysie radiculaire. CONCLUSIONS I. La paralysie des
singulier de ce type de paralysie radiculaire. CONCLUSIONS I. La paralysie des béquilles n'est pas une paralysie de plexus,
iculaire. CONCLUSIONS I. La paralysie des béquilles n'est pas une paralysie de plexus, ou funiculaire, ni terminale, comme
funiculaire, ni terminale, comme on l'a cru jusqu'à ce jour. II. La paralysie des béquilles est une paralysie radiculaire total
on l'a cru jusqu'à ce jour. II. La paralysie des béquilles est une paralysie radiculaire totale. III. La compression est abs
III. La compression est absolument insuffisante pour expliquer la paralysie des béquilles, encore qu'elle puisse revendiquer
encore qu'elle puisse revendiquer quelque action en ce qui est des paralysies du radial. IV. - Le véritable mécanisme de la p
ui est des paralysies du radial. IV. - Le véritable mécanisme de la paralysie des béquilles est celui de la traction sur les
hémianopsie à gauche, réflexe plantaire en flexion des deux côtés, paralysie du moteur oculaire externe gauche. 1 Ramollisse
s, proviennent de deux cas de tabès amyotrophique ancien, un cas de paralysie générale sans tabes appréciable par les mé- tho
grand nombre des préparations utilisées dans ce mémoire. Cas. III. Paralysie générale avec tabès incipiens chez un homme de 56
radiculaire par le foyer inflam- matoire qui y siège. Cas. IV. - Paralysie générale chez un homme de 34 ans, mort dans le
a été remis à la rédaction, j'ai eu l'occasion d'étudier un cas de paralysie générale (homme de 38 ans), provenant du service
lle, et particulièrement' dans les cornes antérieures, au cours de la paralysie gé- nérale et du tabes. Soc. de Biol., 12 mai 1
plus ou moins marquée des membres inférieurs allant même jusqu'à la paralysie complète sont, ainsi que nous l'avons indiqué dan
ssaud (2), ne peut laisser de doute,concerne un individu atteint de paralysie générale, mais dont la maladie primordiale fut ce
mptômes qui permirent à M. Joffroy le diagnostic rétrospectif d'une paralysie générale à évolution régulière. M. Brissaud croit
Brissaud croit pouvoir établir que ce malade fut atteint, avant sa paralysie générale, d'un tabes sensitif pur, dont la scia
3 à 4 millimètres de long. Réunion par première intention, pas de paralysie ni d'incoordination. L'a- nimal vit en excellen
ux 2. et 3' nerfs sacrés. ' Guérison par première intention, sans paralysie . Santé parfaite jusqu'au 13 novembre 1904, où i
es sacrées. Réunion par première intention sans suppuration. Aucune paralysie consécutive. L'animal se porte très bien jusqu'
ant aux ire et zu racines sacrées. Réunion sans suppuration, pas de paralysie consécutive. L'animal reste en bonne santé jusq
leur trajet intra-dure-mérien. Réunion par première intention. Pas de paralysie consécutive. L'animal est sacrifié le 24 mai.
gauches, entre la moelle et le ganglion. L'animal se rétablit sans paralysie . Autopsie le 8 août après survie de 18 jours. O
parole, les troubles oculaires, etc. ; elle s'accompagne plutôt de paralysie ; enfin sa marche n'est pas la même que celle de
rès le début de la syphilis elle présenta des troubles visuels, une paralysie progressive de la jambe droite, des troubles de
aladie à 34 ans d'une façon brusque sans perte de connaissance avec paralysie complète de la jambe droite et faiblesse du bra
ète de la jambe droite et faiblesse du bras du même côté. Plus tard, paralysie de la jambe gauche et troubles moteurs qu'on co
éressant de noter l'état de la motilité et de la sen- sibilité'. La paralysie n'a été flasque que dans un cas et tout à fait au
, à la suite desquelles le pied droit demeura « faible », mais sans paralysie véritable ; en peu de temps l'enfant guérit com
du pro- jectile, hernie cérébrale de la grosseur d'une noisette. Paralysie des extrémités des membres supérieur et inférieur
e. A gauche, au niveau de la sortie probable, volumineuse hernie. Paralysie des extrémités. Troubles intellectuels et de la s
s cliniques sur la grande hystérie (1881), puis votre livre sur les Paralysies et les contractures hytériques furent vos premier
t laissé dans l'esprit de ces favorisés un souvenir ineffaçable. La paralysie agitante, le myxoedème, la myopathie progressiv
. La paralysie agitante, le myxoedème, la myopathie progressive, la paralysie labio- glosso-laryngée sont symbolisés par des
, âgé de 6 mois, est amené à l'Hôpital des Enfants-Malades pour une paralysie généralisée remontant à plusieurs mois et s'accom
es ascendants ou collaté- raux desquels on ne retrouve aucun cas de paralysie analogue ; le père nie toute syphilis et n'en p
s sans altérations vasculaires comme celles qui se montrent dans la paralysie infantile. Sur les coupes colorées au picro-car
bservation. Il s'agit d'une fille de 4 ans amenée à l'hôpital, pour paralysie . D'après les renseignements fournis par la mère
ngue, et de la musculature oculaire intrinsèque et extrinsèque, une paralysie presque complète, sans pseudo-hypertrophie, des m
ou, des épaules, des membres supérieurs et des muscles du tronc. La paralysie flasque était peu marquée aux membres inférieur
ctri- xix 30 450 ARMAND-DELILLE ET BOUDET que. 6 mois après, la paralysie avait progressé vers les parties supérieures du
nalogues, l'un concernant un enfant de 9 mois, qui présentait de la paralysie flasque des muscles de la nuque, ducou et du tr
uvent dans la deuxième moitié ? de la première année se développe une paralysie progressive évoluant d'une manière subaiguë ou
de la ceinture scapulaire et des membres supérieurs se prennent. La paralysie s'accompa- POLIOMYÉLITE DIFFUSE SUBAIGUE DE LA
adipose sous-cutanée compensatrice. Tandis que se développe cette paralysie absolument symétrique, les sphincters restent i
restent intacts, la sensibilité n'est pas touchée, on n'observe ni paralysie bulbaire ni aucun trouble cérébral. La mort survi
nx et musculature oculaire). Il discute enfin le diagnostic avec la paralysie infantile, la paralysie d'origine cérébrale, l'
re). Il discute enfin le diagnostic avec la paralysie infantile, la paralysie d'origine cérébrale, l'atrophie névritique Charco
u était apparue une parésie des membres inférieurs. Un an après, la paralysie atteignait les bras et la nuque, l'évolution fut
« un enfant de 2 mois et demi qui présente depuis sa naissance une paralysie flasque avec atrophie musculaire affectant les
s et même la tête, ne peuvent se mouvoir libre- ment. Il existe une paralysie flasque, diffuse, qui rend le nouveau né inerte
ai 1903. SEVESII1E. -Bull. Société de Pédiatrie, février-mars 1899. Paralysie des quatre menu- bres et du thorax, sauf le dia
i ne son pas noueux et fusiformes comme dans la lèpre, l'absence de paralysie faciale. Que pourrions-nous invoquer en faveur
e augmenta légèrement. Le facies toutefois se modifia nettement, la paralysie faciale inférieure aug- menta. Les lèvres devin
nx pratiqué en février 1896 a permis de constater l'existence d'une paralysie laryngée. M. le Dr Natier, qui a pra- tiqué cet
de celle du tabes classique, affection où, ainsi qu'on le sait, les paralysies laryngées sont loin d'être rares. En 1900 le ma
thomas comme steppent les myopathiques ou les sujets atteints d'une paralysie des extenseurs des orteils et du jambier antéri
'inégalité pupil- laire.Comme dans le tabès, on peut observer de la paralysie des muscles du larynx (obs. I) mais, chose inté
arynx ; la corde vocale gauche était paralysée en adduction ; cette paralysie laryngée, et le signe d'Argyll-Robertson rappro-
gne d'Argyll-Robertson, en dehors de la syphilis, du tabès et de la paralysie générale. Ce signe existait dans deux de nos cas
e fut alors admise à la Salpêtrière. 6 ans après, on constatait une paralysie , presque complète des membres inférieurs, avec ex
, brusque incontinence des urines et des ma- tières ; le lendemain, paralysie complète des membres inférieurs,flasque, mais a
bout de huit jours, à son entrée à la Salpêtrière, on constate une paralysie presque complète pour tous les segments du memb
is dans le service de M. le professeur Ray- mond, on constata : z Paralysie de tous les fléchisseurs et abducteurs des membre
Destruction complète de la Ve cervicale. - Evolution en 8 mois 1/2. Paralysie fiasque avec amyotrophie aux membres sllpé- rie
Salpêtrière où on cons- tate une cyphose dorsale moyenne indolore : paralysie flasque des membres iu- NOUVELLE Iconographie d
nt la position du pouce est pré- cisément la position typique de la paralysie des abducteurs et de ses extenseurs ; mais la p
ois avoir pu démon- trer que, contrairement à l'opinion établie, la paralysie générale est fré- quente parmi les aliénés arab
nq des Arabes examinés par moi à Abassieh, tous malades atteints de paralysie générale et sypliilitiques pour la plupart. Nou
ies à Litre- de document conlirmatif de l'existence fréquente de la paralysie générale chez les Arabes (PI. LXXXII et LXXXIII).
note quelques indications complémentaires rela- tives à ces cas de paralysie générale exotique. Les statistiques très oblige
ues sur 35 Ara- bes paralytiques généraux, en )905, 28 sur 34. La paralysie générale est donc fréquente chez les Arabes, en E
s cachectiques de la fin sont de tous points analogues à ceux de la paralysie générale ; en ce qui concerne nos paralytiques
E. ARABES SYPHILITIQUES ET PARALYTIQUES GÉNÉRAUX TABLEAU DES CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ADMIS EN 1905 A L'ASILE ÉGYPTIEN DU CA
uro-tibromatose géné- ralisée (1 pi ), 161. Soca. Sur un cas de « paralysie des bé- quilles », 171. Thomas et Dejerine. S
pi.), par TREPSAT, 95. Paul nicher (hommage à) (1 héliogr.), 4H. Paralysie des béquilles (sur un cas de), par SocA, 171.
76 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
ble d'ordre purement dynamique, d'une névrose. Je veux parler de la paralysie agitante que Charcot a eu raison de dé- nommer
étudiée à nouveau. Si vous parcourez les nombreuses observations de paralysie agitante publiées en France et à l'étranger, vo
e de soucis, de chagrins, causes occasionnelles si fréquentes de la paralysie agitante ; le tremblement n'a pas suivi mais pr
MALADIE DE PARKINSON 15 son ignorance touchant la pâthogénie de la paralysie agitante, la rangeait provisoirement parmi les
ibue, à cette dernière, non seulement, le myxoedème, mais encore la paralysie agitante. J'ai tenu à vous signaler cette thé
matisme, ou les émotions morales, comme causes occasionnelles de la paralysie agitante. Très sou- (1) LUNDBOnG, Deutsche zeit
bsence de cachexie. OBs. IL Femme de 37 ans ; diagnostic clinique : paralysie générale, atro- phie des nerfs optiques. L'ob
istiques. L'écorce cérébrale présente les lésions spécifiques de la paralysie générale. Les notions qui se dégagent des deux
oelle. Cette lésion a été rencontrée dans d'autres cas de tabes, de paralysie générale, de myé- lite, etc.. : elle va jusqu'à
iminution de la sensibilité cutanée au membre sain, en l'absence de paralysie motrice du coté malade, ne me paraît pas suffire
facial ; exagération des ré- flexes ; inégalité pupillaire ; pas de paralysie . - Vomissements ; constipation ; affaiblissemen
'elle parle ou rit : déviation légère des traits à gauche. Pas de paralysie des membres du même côté; la malade -résiste très
raissent diminués. Pas de troubles nets de la sensibilité. Pas de paralysie oculaire. Tremblement de la langue et des lèvre
a Clinique des Maladies mentales. Son certificat d'entrée porte : « Paralysie générale compliqué d'hémispasme facial rebelle sa
s et à la langue; pas de mouvements fibrillaires. Aucune trace de paralysie des membres ; les mouvements isolés des membres
uche. L'occlusion des yeux se fait bien ; pas de nystagmus ; pas de paralysie de la musculature externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A
ntiel progressif, des troubles de la mémoire, des troubles moteurs ( paralysie et inégalité pupillaires, tremblements, parésie
5 juillet 1897. 120 CORNU présente avec le tableau clinique de la paralysie générale progressive, il réside très probableme
lsifs de la face ou des paupières aient été signalés au cours de la paralysie générale (2), l'unilatéralité et l'aggravation
ère une raideur des membres opposés et sa destruction partielle une paralysie opposée. Contrairement à ces résultats nous devon
ment à ces résultats nous devons constater qu'il n'y a pas trace de paralysie des membres et ce fait vient à l'appui des obse
interne. Par contre ces observations mentionnent l'existence d'une paralysie faciale isolée (Nothnagel), des mouvements chor
he de notre malade s'explique, croyons- nous, par l'existence d'une paralysie gauche avec phénomènes de contrac- tures et de
uvements cloniques, fait qui constitue la terminaison fréquente des paralysies faciales (6). Cette paralysie ou ces phénomèn
titue la terminaison fréquente des paralysies faciales (6). Cette paralysie ou ces phénomènes d'irritation seraient dus à la
vailleurs. Les raisons en sont claires : l'invalidité physique, la paralysie motrice, la sénilité en soi. Le chiffre de 36 0
yzantin, et qui a peu duré. Nous y avons relevé un homme atteint de paralysie radiale, une attitude très ca- ractéristique d'
ES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES 183 droit et la face ne présentent aucune paralysie apparente ; cependant on trouve chez cette mala
orté dans les Archives de médecine expéri- mentale (1892) un cas de paralysie alterne du côté droit pour les mem- bres, du cô
oduit cette expérience sur le malade de l'obser- vation III dont la paralysie très accentuée pouvait favoriser une attitude v
en citer de meilleur exemple que la tumeur dorsale du poignet de la paralysie radiale à laquelle M. P. Marie comparait le cas
un service d'aliénés, où elle a succombé avec tous les signes de la paralysie générale. Examen ANATOMIQUE. - A un simple exam
ction à la ceinture, de constric- tion laryngée, douleurs rectales. Paralysie laryngée. Morte le 2 mars 1904. Examen anatomiq
pbell (3) clans le zona,par Marburg (4) dans diverses affections : paralysie progressive, pemphigus, tétanie. Arndt (5) les
ive, pemphigus, tétanie. Arndt (5) les avait déjà signalées dans la paralysie générale progressive. Elles ont été vues dans les
se épineuse fortement enfoncée en avant. A 1 heure, on constate une paralysie flasque totale des quatre membres, avec aboliti
r, comme chez un individu sain. La mort survient le lendemain par paralysie des phréniques, 21 heures après l'accident. L
ullaire localisée comme celle que nous étudions ne produit la vaso- paralysie que dans le territoire même des vaso-moteurs dont
: Iconographie de la Salpêtrière. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA PARALYSIE MYASTIIÉNIQUE (I), PAR R le P Hyacinthe DE LÉ
IÉNIQUE (I), PAR R le P Hyacinthe DE LÉON (de Montévidéo). La paralysie myasthénique, désignée aussi sous les noms de « m
rb, syndrome bulbaire de Erb-Goldflam, maladie de Hoppe-Gold- flam, paralysie asthénique, myasthénie grave pseudo-paralytique e
oitre exophtalmique; une autre, un myxoedème bénin ; une autre, une paralysie faciale périphérique. Un frère se suicida et qu
rémités infé- rieures. Elle se sent mieux le matin, en se levant. PARALYSIE D1YASTllÉ\IQUG 'i71 1 1900. - Les lésions parét
tème nerveux, 1901. 5. s., p. 340. (2) Oppenheim : Die myastenische Paralysie . Berlin, 1901. 272 DE LÉON aussi complet que
est très attaquée par sa maladie habituelle, et semblent tenir à la paralysie rapide et passagère des muscles inspirateurs. D
ns la période menstruelle, elles sont toujours plus fréquentes. , PARALYSIE MYASTHÉNIQUE 273 Les appareils circulatoire et
e l'iris et accommodateur restant toujours indemnes : ensuite cette paralysie s'étendit aux muscles innervés par la protubéranc
nnervés par la moelle, ceux du tronc et des extrémités ; toutes ces paralysies s'aggravaient avec l'exercice et s'amélioraient
repos, ayant plus souvent le caractère d'une myas- thénie que d'une paralysie ; au début, ces aggravations et ces améliorations
ujours. Cette maladie rentre évidemment dans le cadre du diagnostic paralysie my({sthénir¡ue ; il n'y manque que la parésie d
res cas 274 DE LÉON ont commencé par la fatigue, la parésie et la paralysie des muscles innervés par le bulbe et la protubé
toutes les ophtalmoplégies. La forme bulbo-protubérantielle, de la paralysie bulbaire progressive de Duchenne et de la paral
antielle, de la paralysie bulbaire progressive de Duchenne et de la paralysie pseudo-bulbaire de Lépine. La forme spinale, de
atrophie musculaire d'Aran-Duchenne. Migraine ophtalmoplégique ou paralysie récidivante DU nerf moteur oculaire commun. Ell
ralement plus tenace et de plus longue durée, et l'apparition de la paralysie coïncide plus précisément avec la cessation de
ur est plus intraoculaire et pé- riorbitaire et du même côté que la paralysie consécutive ; la paralysie du nerf moteur ocula
t pé- riorbitaire et du même côté que la paralysie consécutive ; la paralysie du nerf moteur oculaire commun est totale et pa
oculaire commun est totale et pas seulement externe, comme dans la paralysie myasthénique, ce qui est un signe de grande valeu
e supérieure du trijumeau ; elle se complique très rarement avec la paralysie de la 4e et Ge paire, comme le fait com- munéme
c la paralysie de la 4e et Ge paire, comme le fait com- munément la paralysie myasthénique ; et enfin, le repos et la l'aligne
utes, pour observer aussitôt cette influence notable dans le cas de paralysie myasthénique. (1) Quelques auteurs, en se fonda
suivis d'autopsie étaient d'origine La- silaire et présentaient la paralysie totale du moteur oculaire commun. Ceci s'accorde
eulement il est accepté comme douteux (OpPENHEtM, Die mya.slenische Paralysie , p. 156). paralysie myasthénique 275 Autres o
é comme douteux (OpPENHEtM, Die mya.slenische Paralysie, p. 156). paralysie myasthénique 275 Autres opiitalmoplégies. - La
ue (diabète, etc.), généralement curables, et celles très rares par paralysie in- fantile, se distinguent par la notion de ca
es uni ou bilatéraux, sont généralement spasmodi- ques, et d'autres paralysies oculaires hystériques, très rares, des mouve- m
uelle, lenteur du pouls et en particulier oedème papillaire. . La paralysie bulbaire progressive se distingue facilement de l
d'atrophie musculaire et la réaction de dégénéralion, oulre que la paralysie de la langue excède 27G ' DE LÉON celle des m
er la dysmassésie; et des toniques généraux. ' Conclusions. 1° La paralysie myasthénique est un élat morbide - entité ou syn-
DE LA SLPI;'T1t11;tiE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET , DÉFORMATI
dies nerveuses à la Salpêtrière pour une para- lysie faciale et des paralysies oculaires situées l'une et l'autre du côté droit.
eil droit. Lui-même n'avait pas remarqué l'existence chez lui d'une paralysie faciale, lorsqu'en avril 1903 son médecin l'en
morbide du côté des membres. Il existe chez ce malade des signes de paralysie motrice et sensitive de la majorité des nerfs c
tive de la majorité des nerfs crâniens du côté droit. D'ahord une paralysie faciale du type périphérique avec atteinte du fac
uement, la pointe déviée à droite. Du côté des yeux on constate une paralysie de la VIe paire droite, du nys- lagml1 bilatéra
éral : aucune lésion du fond de l'oeil, pas de troubles des sphinc- PARALYSIE DES NERS CRANIENS D'UN CÔTÉ 279 la ters iridien
ejeter des particules alimentaires par le nez. Il n'existe pas de paralysie de la langue, mais son côté droit est manifeste-
r, ptérygoïdiens) sont in- demnes. Du côté du larynx, on note une paralysie totale de la corde vocale droite, qui dans les
I'ÊTItIt.RE. T. XVII. Pl. XXXIX DÉFORMATIONS OSSEUSES (Rose.) PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN CÔTÉ zizi Enfin à l'âge
n immédiate des céphalées, l'atténuation légère, il est vrai, de la paralysie faciale, par le traitement spécifique y apporte
e certainement à des lésions médullaires. Hunter (3) trou- vant une paralysie d'une jambe au cours de la maladie de Friedreich
e de Friedreich émet l'hypothèse qu'il s'agissait dans ce cas d'une paralysie spinale infantile qui a précédé, à l'insu des p
us à d'autres formes de trouble mental telles que la mélancolie, la paralysie progressive, etc. Mais nous espérons être plus
ent très net. Il était certainement plus marqué que dans les cas de paralysie géné- rale que nous avons eu ci examiner, même
ysie géné- rale que nous avons eu ci examiner, même dans les cas de paralysie géné- rale avec amblyopie très prononcée. Le
e, de la vue, le cerveau présentait les lésions les plus nettes de la paralysie générale. - On peut suivre simultanément, suiva
olume, leur gaine est plissée. r) Nerf optique de Car... ; tabes et paralysie générale avec amblyopie. - La totalité du pourt
ique comme dans l'ensemble des centres nerveux (dans le tabes ou la paralysie générale par exemple) elle ne se traduit par un
s par atrophie oplique, qu'elles soient associées au talles ou à la paralysie générale, ou qu'elles se présentent comme loca-
îtront plus évidentes encore chez ce malade âgé de 9 ans et dont la paralysie géné- rale débuta il y a près de quatre ans. Re
lumière cette notion qu'il n'y a point de rapport constant, dans la paralysie générale, entre la déchéance intellectuelle et
ue, dans bien des cas, elle soulève immédiatement l'hypothèse d'une paralysie générale. Il faut savoir cependant que chez cer
OFFROY L'aphasie, sous certains modes, est fréquente au cours de la paralysie générale, et j'insiste tout de suite sur ces de
accompagné ou non de phénomènes convulsifs, le paralytique (car la paralysie générale est déjà commencée à ce moment), prése
insi que nous l'avons vu, elle apparaît très souvent au début de la paralysie générale, et le problème se posera souvent de sav
laquelle Charcot a insisté, peutse répéter et éveiller l'idée d'une paralysie générale commençante. Chez les artério-scléreux
s ces considérations sur le diagnostic de l'aphasie motrice dans la paralysie générale, nous pourrions les redire en très grand
iés à l'au- topsie. L'étude de ces modalités de l'aphasie dans la paralysie générale est des plus intéressantes et appelle
pothèses peuvent être réalisées chez les différents malades dans la paralysie générale. Aussi, comme nous faisons avant tout
issent rapidement chez les malades dont nous nous occupons. Dans la paralysie générale, il existe en effet de très bonne heur
malades on observe le contraire. D'un troisième malade, chez qui la paralysie générale évolue avec une certaine lenteur, je p
des troubles de l'écriture comme de tous les autres symptômes de la paralysie générale : presqu'aucun n'est né- cessaire, et
es, ainsi que l'irrégularité de l'époque de leur apparition dans la paralysie générale, doit être rapprochée de la diffu- sio
r cette maladie au tabes, affection systématisée par excellence. La paralysie générale ne prend aucun système, ou du moins -
ral. Je vous parlerai encore de ce malade âgé de 44 ans, atteint de paralysie générale depuis près de huit ans et dont l'écri
Fig. 12. - Ecriture de la malade un an environ avant le début de la paralysie générale. Fig. 13. Ecriture de la malade 18 moi
e de la malade 18 mois après l'apparition des premiers signes de la paralysie générale. - La malade a essayé d'écrire son nom.
ie, l'agraphie peut exister soit au début, soit dans le cours de la paralysie générale, avec ou sans paralysie des membres du
au début, soit dans le cours de la paralysie générale, avec ou sans paralysie des membres du côté droit. Voici deux exemples
s examinés au cours de ces leçons. C'est là un des caractères de la paralysie générale : on peut dire en effet, que la paraly
caractères de la paralysie générale : on peut dire en effet, que la paralysie générale est frappée d'une empreinte indi- vidu
roubles calligraphiques et psychogra- phiques de l'écriture dans la paralysie générale et dans la démence pré- coce nous publ
d'autopsie dans laquelle une lésion en foyer, analogue à celle delà paralysie infantile, ait été constatée ». Notre maître, M
ptômes de poliomyélite antérieure aiguë, fort semblables ceux de là paralysie infantile ; or dans cette moelle nous avons trouv
semblables aux foyers de dégénérescence d'origine infectieuse de la paralysie infantile. Nous avons pu de plus examiner les d
ur mort. Son frère semble avoir eu à l'âge de 2 ans une atteinte de paralysie infantile ? (fièvre, puis pa- ralysie de tous l
à l'Hôtel-Dieu. Examen le 8 octobre 1895. Le malade présente une paralysie du membre inférieur gauche et une fai- blesse a
émotif, est porté à pleurer. 434 LÉI11 ET WILSON 9 octobre. - La paralysie du membre inférieur gauche persiste ainsi que la
diminution de force. T. : matin, 38; soir, 38.3. 10 octobre. - La paralysie du membre inférieur gauche et la faiblesse du d
auche. Les pieds tombent et ne peuvent être fléchis sur la jambe. Paralysie des membres supérieurs plus complète à gauche qu'
rrer peine les objets ; la main droite serre mieux. Par suite de la paralysie des extenseurs des doigts et de l'action prédom
bout de trois semaines, mouvements plus faciles du côté droit, mais paralysie presque complète à gauche. Jusqu'en février 189
e tout à fait l'aspect ordinaire des foyers de ramollissement de la paralysie infantile. A gauche, le foyer est plus étendu q
git d'un homme mort à de 30 ans après avoir présenté un syndrome de paralysie ascendante aiguë 7 ans J /2 auparavant. Le débu
auparavant. Le début avait été rapide et fébrile comme celui de la paralysie infantile, au point que l'on avait pensé au déb
e, au point que l'on avait pensé au début d'une fièvre typhoïde. La paralysie ne fut pas dès les premiers temps régressive co
La paralysie ne fut pas dès les premiers temps régressive comme une paralysie infan- tile, mais au contraire progressive pend
ent atteints les premiers (avec quelques douleurs), le gauche d'une paralysie complète avec abolition du réflexe rotulien; le
rut après quatre jours. A partir de ce moment la fièvre tomba et la paralysie diminua d'in- tensité dans les quatre membres :
utôt régressive fit porter dans les premiers temps le diagnostic de paralysie ascendante aiguë d'origine probablement polyné-
Ces foyers avaient absolument l'aspect des foyers infectieux de la paralysie infantile; il ne semblait pas y avoir eu de des
e antérieure .aiguë avec lésions en foyers analogues à celles de la paralysie infantile : ces lésions peuvent d'ailleurs, com
s, être multiples, et se présenter cliniquement sous la forme de la paralysie ascendante aiguë. Un seul fait, à notre connais
chez une jeune fille de 21 ans ayant entraîné en quelques jours une paralysie complète de tous les muscles du tronc et des qu
te soit de sections nerveuses, soit de lésions médullaires, dans la paralysie infantile par exemple. Qu'elles aient ou non év
rapports étroits entre les myopathies, la myotonie et la myoplégie ( paralysie familiale paroxystique). On sait aussi que Môbi
i que Môbius avait cherché à rapprocher la maladie de Thomsen de la paralysie pseudo-hypertrophique. On peut encore trouver u
succèdent ainsi pendant six mois (lig. 1 et 2). Prise ensuite de paralysie des jambes, elle est obligée d'entrer à l'hôpi-
(1) P. HÉRissEY, Elude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie géné- rale (Thèse Paris, 1903). DES STIGMATES
nt d'ordinaire sous toutes les formes décrites en neuropathoiogie : paralysies , spasmes, contractures, convulsions, tremblements
ion évangélique; ce qui s'explique d'ailleurs si l'on songe que des paralysies , des amauroses, des mutités peuvent survenir su
8. Neu1'O-fib)'omatose généralisée (2 pl.), par F. RUDLER, 203. Paralysie myasthénique (1 photogr.), par J. DE LÉON, 269.
203. Paralysie myasthénique (1 photogr.), par J. DE LÉON, 269. Paralysie des nerfs crâniens d'un côté et déformations os
1 fig.), 343. de LHO11 (.TACIiVTO). Contribution à l'étude de la paralysie myasthénique (1 phot.), 269. Léri. Etude sur
26. RAYMOND. La maladie de Parkinson (4 plan- ' ches), 1. RosE. Paralysie des nerfs craniens d'un côté et de formations o
77 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e droite du thorax pré- sente des mouvements bornés d'expansion. La paralysie du mouvement est complète aux membres inférieur
on nerveuse le défaut de pronon- ciation qui ne provenait que de la paralysie du voile du palais ; mais cette paralysie finit
ui ne provenait que de la paralysie du voile du palais ; mais cette paralysie finit elle-même par produire un tic nou- veau,
nçait. Je crois qu'il imitait ce qu'il avait fait par l'effet de la paralysie . Du reste, le premier tic marqué que nous ayion
vidus, avait eu, six semaines auparavant une diphthérie grave, sans paralysie , et le i éflexe patellaire revenait douze semai
concerne un homme de trente-neuf ans ayant subitement présenté une paralysie de la moitié gauche de la face, une ophthalmie
anique, par heurts, sécheresse de la cornée, est fausse, puisqu'une paralysie unilatérale du nerf en question ne supprime pas
d'origine sensorielle, puisque la conjonctivite qui résulte de la paralysie des paupières (paralysie du facial périphérique)
puisque la conjonctivite qui résulte de la paralysie des paupières ( paralysie du facial périphérique) n'en- traîne jamais de
ulaires DE la nutrition SOUS l'influence DE l'hypnotisme ET dans la paralysie AGIT.1\TE; par G. GUERTLER. (Arclc. f. Psych.,
constitutives (urée, phosphates, chlorures). Il. Les trois faits de paralysie agi- tante examinés par l'auteur n'ont pas révé
opathologie, 1883.) Observation très complète, caractérisée par une paralysie avec raideur du bras et de lajambeducôté droit
llait absolument en donner un il inclinerait à penser que c'est une paralysie générale qui va se développer. Voici le résumé
magne pendant plusieurs années avant son mariage) ; on constate une paralysie motrice très peu marquée du bras gauche, et exi
ures, tantôt se transforment en une entité chronique semblable à la paralysie générale. Ces accidents sé- vissent surtout sur
Puis, ou bien il s 'était développé le tableau cliniquecomplet delà paralysie générale (dix cas), ou l'on avait assisté, soit
à de la folie systématique (trois cas). Neuf morts : altérations de paralysie générale; quatre sorties dont une guérison (mélan
, de même que la dipsomanie, l'infection syphilitique, le tabès, la paralysie générale. La dégénérescence phy- sique fait déf
imentale. P. K. IV. Contribution au traitement SYMPTOMADQUE de la paralysie AGI1'.1\TE; par ? 1LLE\LIETEfi. ((,'Btt>;)'C
ons atrophiques des deux plexus. M. JoLLY (de Strasbourg). Sur la paralysie Ce nom s'applique à des états dans lesquels les
de la respiration présentent des troubles sem- blables a ceux de la paralysie bulbaire, en rapport avec des lésions encéphali
e para- Archives, t. IX, 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. * lytique avec paralysie des muscles de l'articulation, dans lesquels il
éral dans les ganglions de la base. Tableau semblable à celui de la paralysie du bulbe Cas de Joffroy (1872). 11 faut y range
lbe Cas de Joffroy (1872). 11 faut y ranger la plupart des faits de paralysie pseudo-bulbaire, y compris les observations tou
r un exemple à sa clinique (autopsie). On les distingue de la vraie paralysie bulbaire en ce que, dans la paralysie psendo-bu
On les distingue de la vraie paralysie bulbaire en ce que, dans la paralysie psendo-bulbaire, il se produit des attaques apo
troisième catégorie. Il s'agit de faits ressem- blant non plus à la paralysie bulbaire progressive chronique main à la paraly
nt non plus à la paralysie bulbaire progressive chronique main à la paralysie bulbaire aiguë. 11 en communique une observation;
'oculo- moteur commun. On a encore comparativement peu étudié les paralysies des muscles de 1*(jcjl au point de vue neurologiq
on de ces accidents. Une forme particu- lièrement obscure, c'est la paralysie périodique de l'oculo-muteur commun. Elle est d
, née bien portante. On notait chez elle, à l'âge de onze mois, une paralysie de l'aU droit (trois jours de durée); à t'age d
x Revues analytiques. 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. nution de volume, de paralysie (durée des douleurs, neuf à dix jours; durée de
me, de paralysie (durée des douleurs, neuf à dix jours; durée de la paralysie , huit semaines). Depuis lors, chaque année, un
, huit à quatorze jours; la dou- leur disparut aussitôt que vint la paralysie . Au débul d'avril, il e iste de la parésie loca
ien de plus. Rien n'indique la syphilis congénitale ou acquise ; la paralysie rétrocède lentement, mais assez uniformé- ment
paralysie rétrocède lentement, mais assez uniformé- ment (c'est la paralysie de l'iris qui cède la première) ; dix semaines
de sorte qu'il y a lieu de supposer que finalement s'installera une paralysie permanente. La périodicité s'explique, dans le
ne explication. On a bien affaire à une affection cérébrale, car la paralysie débute par de la céphalalgie et des vomissement
des cysticerques est encore assez vague; bien des cas rappellent la paralysie générale. On trouva, dans une observation, le t
élargissement d'individus dont la force de résistance a diminué. La paralysie générale et la démence sénile se prêtent mieux à
, ainsi que pour les états en rapport avec des pertes de substance ( paralysie générale au début). Il importe cependant de cho
équemment dans les diverses mo- dalités de la démence, y compris la paralysie générale. Elles peuvent atteindre n'importe que
quel degré les excès vénériens interviennent dans l'étiologie de la paralysie générale, le D, Ladame admet que les excès joue
affections des nerfs périphériques, sections nerveuses, névralgies, paralysies , en y comprenant même les paralysies toxiques e
ections nerveuses, névralgies, paralysies, en y comprenant même les paralysies toxiques et consécutives aux maladies graves ains
ralysies toxiques et consécutives aux maladies graves ainsi que les paralysies par inauguration (auto-suggestion inconsciente).
tres affections des nerfs tro- phiques, vaso-moteurset sécrétoires ( paralysie diffuse des vaso-mo- teurs,sclérodermie, asphyx
dans l'urne étaient : -1° Nerf facial (anatomie et physio- logie); paralysie faciale; 2° Corps opto-strié (anatomie et physio-
nous, un exemple frappant d'atro- phie musculaire progressive avec paralysie labio-glosso- laryngée. Le point de départ des
- lence des mouvements. Enfin, jamais on ne voit appa- raître ces paralysies qui surviennent assez souvent dans la chorée \
Mais il en est d'autres qui peuvent exister iudé- 1 V. Ollive. Des paralysies chez les choréiques. Thèse, Paris, 1884, p. 37.
la fin de l'année 188'N. Observation XVI. Père alcoolique mort de paralysie générale. Grand*père paternel mystique, violent
prédomi- naient pas d'un côté du corps, et ne furent pas suivies de paralysie ; la maladie dura un mois ; elle eut pour conséq
gitée avec désordre dans les idées. En même temps on constate de la paralysie ou de la parésie étendue de plusieurs muscles :
e complète ou partielle, suivant leb régions explorées. Finalement, paralysie totale des jambes, presqu'absolue des bras. Dan
es muscles, une diminution évidente de la sensibilité tac- tile. La paralysie gagne le tronc et le diaphragme (fréquence très
e phénomène du genou comme un réflexe. P. K. XXVII. Sur un cas de paralysie spinale spasmodique (terme consa- cré) avec néc
cet état persiste à peu près tel quel. En juillet 1880 survient une paralysie rapide du bras droit; en même temps apparaissen
s ; bronchite catarrhale. C'est donc bien, termine M. Westphal, une paralysie spinale spasmodique, en rapport avec la lésion
. CONTRIBUTION A la pathologie ET A l'anatomie PATHOLO- GIQUE DE la paralysie progressive; par ZACHER. (Arch. f. Psych., XIV,
udiée à l'aide de quatre groupes d'obser- vations. Ce sont : 4° des paralysies générales à moelle indemne (nécropsies); 2° des
: 4° des paralysies générales à moelle indemne (nécropsies); 2° des paralysies générales avec sclérose funiforme des deux cord
c sclérose funiforme des deux cordons latéraux (nécropsies); 3° des paralysies générales avec sclérose également systématique
s cordons latéraux et des cordons postérieurs (nécropsies) ; 4" des paralysies générales ne pouvant être classées dans les cat
complètement dans la moitié du corps où l'on ne constate que de la paralysie de la motilité. Relations homologues entre les ré
yeux regardent le côté lésé; dans celles qui se traduisent par des paralysies simples également unilatérales, la tête et les
e bornée aux pertes de connais- sance de longue durée et aux cas de paralysie des voies gastro-oesopha- giennes supérieures.
n démence qui revêt la plupart du temps le caractère de celle de la paralysie Parmi les psychoses secondaires, il faut ranger
minution de la capacité de travail intellectuel ; la persistance de paralysies ou d'autres perturbations sur les organes des sen
stie des vicllurds); c. Inversions du sens géni- tal au début de la paralysie générale (pédérastie paralytique). Comme étiolo
chial chez une demoiselle de trente-huit ans, qui accu- sait de la paralysie et des douleurs dans une des extrémités supérie
a le plexus brachial à un vieillard de soixante-sept ans atteint de paralysie agi- tante, aucune amélioration ne s'ensuivit.
rit en 1882 l'élongation des nerfs médian et cubital dans un cas de paralysie agitante, occasionnée par une vive frayeur; une
du nerf médian amena la guéri- son. Le' Fort (1882) : Névralgie et paralysie à la suite d'un accident de chasse; guérison co
sciatiques et du crural à un homme de trente- cinq ans, atteint de paralysie et de spasmes cloniques des extrémités inférieu
rale des nerfs sciatiques pour une myélite par compression et une paralysie des extrémités inférieures; progrès rapide delà
it part de deux observations sur l'élongation du sciatique pour une paralysie agitante; pour une sciatique ; amélioration cha
e pro- nonce en faveur de cette opération. Simon R. M. 7 (1882) : Paralysie infantile chez un enfant de cinq i Berridge. Th
opéré dans la même séance, au nerf sciatique et au crural pour une paralysie spasmodique. Soulage- ment momentané. En somme,
qu'ils prirent le caractère de symptômes inflammatoires et que la paralysie des membres ne vint que peu à peu dans les dern
derniers temps de la vie. Il nous paraît très vraisemblable, que la paralysie qui peut accompagner un épanchement sanguin et
la partie supérieure du tronc et les membres supérieurs, lorsque la paralysie motrice y est très accusée. Erichsen, après avo
ancé d'abord que la com- motion de la moelle ne s'accompagne pas de paralysie des sphincters, ajoute à la page suivante que l
ais d'une manière très inégale, généralement plus à droite, où la paralysie a été plus complète. Dans l'espace très court d
rdive des traumatismes de la tête, ainsi que dans l'étiologie de la paralysie générale'. Nous tirerons de cet exposé les co
rtes à gauche. Quelques jours après, il était rétabli sans trace de paralysie . c) A sept ans, sans prodromes, ainsi que c'est
s heures, et laissant après elles une hémiplégie du côté gauche. La paralysie s'est compliquée d'athétnse au bout de deux moi
ons ci quatre ans. Hémiplégie gauche consécutive ; diminution de la paralysie , accès d'épilepsie ci quinze ans. Aura indéterm
sept mois et demi. Premières convulsions à deux mois, suivies d'une paralysie gauche. - Depuis, nombreux accès. Gâtisme. Tics
à encore, il s'agissait de troubles cérébraux se traduisant par des paralysies . M. Charpentier. M. Lunier m'objecte que l'homm
Jules Falret. (Recherches sur la folie paralytique et les diverses paralysies géné- )'(t<c4'. Paris, 1853); Devouges (Ue l
iverses paralysies géné- )'(t<c4'. Paris, 1853); Devouges (Ue la paralysie générale d'origine saturnine. Annales médico-ps
en somme, il existe jusqu'à ce jour peu de faits indubitables de paralysie générale à la suite de l'intoxication saturnine=.
e paralytique à son état de parfait développement et, cliniquement, paralysie générale, sans mégalomanie, sans euphorie, sans
d, appartenant à la forme démente, ils ne sont pas encore en pleine paralysie . Exclusion absolue de tous les troubles psychiq
amen décèle une parésie bilatérale de l'oculo-moteur externe, de la paralysie du voile du palais, de la parésie des nerfs axi
n de malade par M. BERNHARDT. Elle a traita un homme en proie à une paralysie partielle de Irt sensibilité sur l'extrémité su
soigneuse- ment étudiées ; l'orateur en présente divers tracés. Les paralysies des muscles de l'oeil sont proportionnellement
de préparations micros- copiques d'atrophie du nerf optique dans la paralysie générale. Il montre également un malade affecté
s muscles atrophiés. La situation des doigts est en rapport avec la paralysie atrophique des interosseux. Les phalanges des d
qués n'est la cause des tabes. Il est probable que généralement les paralysies des muscles de l'oeil d'ordre syphilitique prov
ortune, vol). Sur ces 15 femmes, 7 avaient éprouvé des symptômes de paralysie des muscles de l'oeil (l'auteur n'a pas tenu co
temps un refroidissement probable; 4 avaient eu des symp- tômes de paralysie des muscles de l'oeil, 3 présentaient de l'atro-
un traumatisme (fracture de l'iléon) : tous avaient présenté de la paralysie des muscles de l'oeil; aucun n'était atteint d'
p. 100 de refroidissements, 7 p. 100 de traumatismes, 21 p. 100 de paralysie des muscles de l'aeil. Le troisième cadre embra
de anatomo-pathologique fait entrevoir que le point de départ de la paralysie générale réside dans l'hyperémie organique de l
ment très prononcé, des acci- dents du décubitus, des phénomènes de paralysie généralisée. On cesse d'exécuter les séances de
qu'il y a entre les phénomènes spasmodiques des hydrocéphales et la paralysie spinale spasmodique des en- fants. Rappelons au
ilepsie, l'hypocondrie et enfin un certain nombre d'atrophies et de paralysies fonctionnelles. L'utilité des exercices gymnast
ener à déployer chaque jour une certaine activité musculaire. Les paralysies qui ne sont pas symptomatiques d'une lésion or-
HIE. 441 XI. Contribution à L'étude des troubles trophiques dans la paralysie générale; par J. RAMADtER (Thèse 1884). Les p
tablir définitivement leurs rap- ports avec la maladie de Bayle. La paralysie générale offre avec l'ataxie locomotrice des ra
ne; par PISSOT. (Thèse de Paris, 1885.) De l'aphasie au début de la paralysie générale; par Duhamel. (Thèse de Paris, 1885.)
r, 255 ; par Vierorcit, 236. Nutrition (dans l'hypnotisme et la paralysie agitantel, G4 ; - choz les aliénés pendant l'ab
rmal et n l'état pathologi- que, par llairet, 231, 360. Z commun ( paralysie périodique de z yar laebius,105. (anomalies c
llraml, 136. Optiques (atrophie des nerfs), par Ulittioti, 427. Paralysie agitante (nutrition dans la), 64; traitement sy
toma- tique de la), par Erlenmeyer, 83. TABLE DES MATIERES. 455 Paralysie générale (pathologie et anatomie pathologique),
cher, 20; ; - (Lroubles tropliilues dans la), par Ramadier, 441. Paralysie partielle de la sensibi- lité, 425. Paralysie
ar Ramadier, 441. Paralysie partielle de la sensibi- lité, 425. Paralysie spinale spasmodique avec autopsie, par Westphal
78 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rseille) Les troubles trophiques et vaso-moteurs fournissent à la paralysie générale des symptômes aussi importants que var
d'intérêt comme contribution à l'élude clinique des oedèmes dans la paralysie générale. A... Jules, 42 ans, marchand de nouve
iveau des quatre membres. Il) Bonnets Troubles trophiques dans la paralysie générale {Encéphale, 18S3). (2) DU11.\NTE.- T
le {Encéphale, 18S3). (2) DU11.\NTE.- Troubles trophiques dans la paralysie générale (Ga; he6d.1894). (3) .1·ru,vv.wslo ?
(Ga; he6d.1894). (3) .1·ru,vv.wslo ? I roubles trophiques dans la paralysie générale (Arch. neurol., nov. 1897.) (41 Vu.L
ol., nov. 1897.) (41 Vu.LAi ! )). De quelques complications dans la paralysie gé- nérale (Thèse Paris, 1869). , (3) Namadie
3) Namadier. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans la paralysie générale (Thèse Paris, 1884). 16) Ukhissey. Elu
16) Ukhissey. Elude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1903). Archives, 3' s
ident succède à la simple conlusion et les signes physi- ques de la paralysie générale apparaissent. Aujourd'hui A.. présente
les sont égales mais réagissent paresseusement à la lumière. II y a paralysie de l'oculo-moteur commun du côté droit avec dév
s rapports de l'état affec- tif des paralytiques généraux avec leur paralysie vaso- motrice et tendent à considérer la vaso-d
'état de satisfaction dans la variété expansive. On observe dans la paralysie générale un certain nombre de symptômes qu'il f
d'hémiplégie capsulaire ou cor- ticale, de lésions pontiques, de « paralysie progressive » de l'enfant et de l'adulte, où le
n.(Neurol. Ctrbl.,XXV, fas. 9, p. 391 à 401, 6 fig.) Trois cas de paralysie générale avec état variable des réflexes : 1° F
'a rencontré dans quelques cas de myélite chronique, as- socié à la paralysie et à l'atrophie musculaire et à la perte des ré-
flexes tendineux et aponévrotiques; - chez des enfants atteints de paralysie infantile à forme hémiplégique ou de rachitisme g
souvent aux muscles de l'épaule, plus rarement il ceux des doigts. Paralysie du grand dentelé droit, qui s'améliora spontané
ces efforts combinés la moelle ne reprend pas ses fonctions et les paralysies persistent jusqu'au dernier moment ; il y a donc
bre dorsale. Un an après l'acci- dent, il existait encore, outre la paralysie des membres inférieurs, une perle complète de l
cas qui se compliquent de maladies générales in- flammatoires ou de paralysie générale, l'auteur a constaté que, dans les aut
ut nocturne, des vomissements, une série d'ictus, et finalement une paralysie de tous les nerfs moteurs de l'oed droit avec c
tata la dis- parition rapide et complète de la céphalalgie et de la paralysie des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 6J divers m
e ; abolition du goût sauf pour les saveurs amères ; pouls rapide ; paralysie du récurrent droit (peut-être due à un anévrysm
able de la lésion . Moitié gauche du bulbe : dis- soc. croisée avec paralysie de V,VI et XI ; ne dépasse pas en haut l'extrém
ol. Centralbl. XXV, fasc. 16, p. 753 à 755, 16 août 1906.) Homme. Paralysie spinale infantile à droite, à 4 ans : paralysie
août 1906.) Homme. Paralysie spinale infantile à droite, à 4 ans : paralysie rapidement établie de fout le membre supérieur
1906, n° 129.) Il s'agit d'un homme de 45 ans qui a succombé à une paralysie générale atypique, variété Lissauer, démontrée
ents volontaires qui s'ob- servent en l'absence d'aucun symptôme de paralysie des membres. Il ne faut pas confondre cette apr
érêt capital ; elle empêchera de considérer comme des rémissions de paralysie générale la guérison réelle de ces intermittent
même ordre d'idées, on peut avancer que certains cas rapportés à la paralysie générale à double forme sont des cas ' de folie
ologique et médico-légale et Mlle Pascal : formes atypi- ques de la paralysie générale. Prix Semelaigne ; M. BussARD : Des so
u. Quelquefois les crises toniques subsistent seules ; c'est que la paralysie du coeur a occasionné une anémie cérébrale qui
, l'insuffisance des perceptions et l'indifférence émotionnelle. La paralysie des fa- cultés psychiques supérieures se rencon
diffuse chronique de nature mal déter- minée. Hugo Wolf, mort de paralysie générale, présenta, de vingt- sept à quarante a
ses deux paupières qui étaient complètement paralysées. Il y avait paralysie de la branche du moteur oculaire commun qui pré
ec un courant électrique, l'a débarrassée instantanément de cette paralysie . Cette malade a présenté des troubles trophique
, moi qui avais conscience d'a- voir vu tant d'hystériques, tant de paralysies considérées com- me hystériques, tant d'astasie
NGLADE(Vaucluse) parle de la méniiigo-corticalite dif- fuse dans la paralysie générale. M. Courtellemont (d'Amiens) : Paraplé
s auteurs rapportent les trois cas suivants : 1° Obs. : Début de la paralysie générale à 54 ans, hémipa- résie droite. Démenc
écelé ni sucre, ni albumine. A l'autopsie, lésions classiques de la paralysie gé- nérale. Pas de lésions du foie, de la rate
de lésions du foie, de la rate et des reins. 2° Obs. : Début de la paralysie générale à 35 ans. Troubles du caractère et de
ppréciable des principaux organes thoraciques et ab- dominaux. La paralysie générale progressive et la folie alcoolique en Gr
Niris (d'Athènes) présente un résumé d'une étude statistique sur la paralysie générale et la folie alcoolique en Grèce. De ce
Grèce. De ce travail résultent les conclusions suivantes : 1° La paralysie générale est assez fréquente en Grèce (15- 20 %
a paralysie générale est assez fréquente en Grèce (15- 20 %). 2° La paralysie générale est très rarement observée chez la fem
paralytiques géné- raux, 19 9 seulement étaient des femmes ; 3° La paralysie gé- nérale est dans 75 % des cas de nature syph
alcools provenant ordinaire- ment des substances amylacées ; 5° La paralysie générale de nature alcoolique est très rare en
cliniques et certains faits anatomiques la font distin- guer de la paralysie générale avec laquelle on peut la confon- dre.
flexes musculo-tendineux anesthésies ou hyperesthésies. Parésies et paralysies de loca- lisation variée, agraphie, aphasie, et
paralysies de loca- lisation variée, agraphie, aphasie, etc. Pas de paralysie pro- gressive, marche lente, par poussées. Atta
diffuse se distingue essentiellement sinon toujours aisément de la paralysie générale par les carac- tères suivants : 1. Les
S DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. ICI pas de même dans la paralysie générale où le traitement mer- curiel est, en e
ulaircs déterminait un opisthotonos permanent. Il n'existait pas de paralysie véri- table et aucun signe ne permettait de rap
es postérieures dans 5 nouveaux cas de tabès simple ou associé à la paralysie générale. , On remarque, en général, un rappo
dernier degré de dévelop- pement. La méningo-cérébellite dans la paralysie générale. : .\11\I. ANGLADE et LATRIiILLR (de Bor
RIiILLR (de Bordeaux). Si le cer- velet a été si peu étudié dans la paralysie générale, cela tient à l'insuffisance de nos co
te admirablement aux constatations ana- tomo-pathologiques. Dans la paralysie générale, les lésions du système nerveux s'y sc
nt. On peut, d'ores et déjà, dire qu'on y trouve la preuve que la paralysie générale est bien, avant tout, une méningo-corti-
ILLE présente un sujet dont les membres ont l'attitude de la double paralysie radiale. S'agit-il d'un certain de- gré d'agéné
de cette affection assez rare. Ataxie des muscles oculo-moleurs et paralysies oculaires dans un cas de tabès juvénile. lII,
ique et tabétique, la pré- sence au complet des signes du tabes, la paralysie des deux mus- cles oculo-moteurs, enfin l'ataxi
-LremhlemenL L surtout marqué dans les mouvements volontaires et de paralysie totale de la 3e paire droite avec parésie disso
sés par sclérose, arthropathie scapulaire et chiromégalie droite. Paralysie alterne associée à un syndrome spasmodique dû p
rise ou subit son vertige. On a signalé, pendant cette période, des paralysies di- verses et passagères des muscles de l'aeil.
autopsie des altérations pathologiques nettement caractérisées de paralysie générale et de méningite tuberculeuse. Si aux c
mpte de certains facteurs individuels. Sur les suites éloignées des paralysies oculo-motrices. M. ANTOtELLI (de Paris). - On s
ralysies oculo-motrices. M. ANTOtELLI (de Paris). - On sait que les paralysies du nerf de la sixième paire ayant duré plus ou
analogue à la divergence,dite con- comitante, des myopes. Quant aux paralysies isolées du nerf de la quatrième paire, elles so
que nous puissions en fixer les suites éloignées. A la suite des paralysies guéries du moteur oculaire externe Archives, 3°
t s'appliquer à tous les accidents. Le vrai caractère de toutes les paralysies hystériques, c'est d'être accompagnées ou suivi
de la même fonction ; c'est l'acte subconscient qui caractérise la paralysie hys- térique, comme j'ai essayé de le'montrer i
le'montrer il y a déjà plus de vingt ans.Ce fait s'observe dans les paralysies systématiques portant sur de petites fonctions
est bien visible ; le même fait se retrouve encore dans ces grandes paralysies qui portent sur un côté du corps ou sur les deu
dissociation des fonctions ? Sans doute on ne constate pas dans ces paralysies de grosses alté- rations des réflexes et il y a
i pas trouvé non plus le signe de l'extension des- orteils dans les paralysies nettement hystériques. Cependant je 222 CONGRÈS
systématiques, mais je n'oserais pas conclure bru- talement que la paralysie soit identique à l'immobilité volontaire et la
nté, puis même sous l'influence d'une excitation réflexe ; c'est la paralysie . D'autre part, l'exagération de la force égalem
ation extrême de la sensibilité, peut avoir pour contre-partie, une paralysie , dispari- tion complète de la force ; une parés
es et générales, on voit presque toujours qu'il il leur succède une paralysie aussi momentanée de tous les muscles qui se man
es montrent que les muscles de la vessie eux-mêmes participent à la paralysie . Quand les crises sont moins violentes et se bo
s à l'appui de cette thèse : des malades que j'avais guéris de leur paralysie ,de leur con- tracture hystérique, qui jouissaie
vaient l'hystérie latente. J'ai essayé, au contraire, de donner des paralysies , des contractures à des individus non hystériqu
p. 651) établissait l'analogie qui apparaît entre le sommeil et la paralysie hystérique, en les rap- portant l'un et l'autre
t voici les titres : Ophtalmo-réaction en psychiatrie;' - Atoxyl et paralysie générale ; - Anticorps et microbes dans la P. G
omen avec nausées, étourdissements sans perte de connaissance; Puis paralysie progressive des quatre membres qui fut réalisée
u bout de quatre heures une fois les symptômes de début éteints. La paralysie des membres supérieurs ne persista pas et disparu
s avec abolition complète de la motricité et de la sensibilité, une paralysie des sphincters. Dans la deuxième observation il
histologique, c'est un sarcome. Cliniquement,on avait observée une paralysie presque complète du bras droit avec diminution
s de la base était veloutée. Après durcissement, le diagnostic de paralysie générale fut con- firmé par l'examen microscopi
plets ; on croit quelquefois pouvoir s'occuper moins d'une « banale paralysie » ; à tort comme on le voit. REVUE D'ANATOMIE E
; ils constatèrent la lésion des deux noyaux du IV dans des cas de paralysie unilatérale du gland oblique ; ils admirent enfin
ent pas le type mo- teur. Intégrité de ces noyaux dans des cas de paralysie durable du sphincter et de l'accommodation, soi
ervation d'un hom- me qui offrit une hémiplégie palatolaryngée avec paralysie laciale périphérique, du côté gauche, immédiate
gnaler au point de vue de la médecine des accidents du tra- vail. Paralysie de l'élévation des globes oculaires pour les mouv
es troubles ocu- laires ainsi caractérisés ; ils attribuent à cette paralysie une ori- gine supranuclaire. Inutilité du tra
ie. MM. II. FRANÇAIS et F. Rose présentent une malade atteinte de paralysie flasque avec amyotrophie des membres supérieurs e
e;et c'est à dix-huit ans que le malade eut son accident initial. Paralysie myélopatique des vieillards. IIJI. DuraÉ, LHERM
es régions pehienneet lom - baire, et chez qui le début brusque, la paralysie avec rétrocession ultérieure lit diagnostiqueur
tut et qui intéressent les cas sui- vants : neurasthénie, hystérie, paralysies diverses, incontinence d'urine, impuissance, né
lucinatoires, démence précoce, confusion mentale, folie périodique, paralysie générale, etc. Nous ne retien- drons ici que le
façon éclatante que la plupart de ces manifestations, notamment les paralysies ,les anesthésies, les contractures, les idées fi
l'hystérie peuvent exclure en masse de la vie consciente : telle la paralysie isolée des mouvements de l'écriture. Ces mêmes
un membre est immobilisé un certain temps, et qu'il se produit une paralysie ou une anesthésie hystériques, il est inexact d
anesthésie hystériques, il est inexact de dire que l'idée de cette paralysie en ait été la cause : il ne s'agi- REVUE D'ANAT
6.) Femme; épilepsie génuine sans convulsions jacksoniennes, sans paralysies postparoxystiques ; démence progressive.Deux ans
apie sont d'excellents adjuvants du traitement. L. WrII,. XXXI. - Paralysie isolée du muscle grand dentelé ; par CLAUDE et
ire à la déviation vertébrale qui est elle-même symptomatique de la paralysie du grand dentelé et dans la production de laque
ion réflexe et compensatrice des muscles voisins. La cause de cette paralysie réside dans une infection localisée sur le muscle
névrite consécutive progressivement croissante jusqu'à aboutir à la paralysie complète du muscle. F. Tisser. XXXIII Les accid
iennent los signes de compression radiculo-médullaire consistant en paralysies spasmo- diques ou flasques. Le diagnostic est f
rêt que colui d'une constatation anatomo-pathologique. G. C. XLI. Paralysie ancienne de la branche temporale du nerf facial
r des cautérisations répétées avec une facilité rela- tive, mais la paralysie persista avec occlusion complète des pau- pière
l'oeil gauche épiphora, léger degré d'exorbitis et rides frontales ( paralysie du sourcilier). Bichelonne a tenté de prati- qu
ux membres inférieurs paraît être due à un affaiblissement ou à une paralysie des muscles qui fixent le tronc et le bassin sur
; puis céphalée, troubles de la vue, paresthésie de la main gauche; paralysie transitoire de l'abducens à gauche. Aucun signe
onstate : à gauche amaurose avec atrophie papil- laire ; mydriase ; paralysie de l'abducens ; paralysie faciale,surdité; à dr
e avec atrophie papil- laire ; mydriase ; paralysie de l'abducens ; paralysie faciale,surdité; à droite parésie du facial et
nhardt, Bénédikt et surtout de Hitzig ; ce dernier parvint, dans la paralysie faciale, par excitation du trijumeau ou de l'op
us importante, dans le groupe des amnésies organiques, revient à la paralysie générale et à la démence sénile. Les auteurs ét
xystiques, viennent les dysmnésies progressives parmi lesqueiles la paralysie générale tient la plus grande place. A l'étud
ne peut dire si les convulsions ont déterminé chez la malade de la paralysie . Il en est de même pour la marche, l'enfant rem
e médecin aurait dé- claré à la mère que sa fille était atteinte de paralysie infantile. - L'enfant n'a présenté aucun accès,
ntraire, il y a déficit d'énergie nerveuse, capable d'entraîner des paralysies passagères pouvant elles mêmes alterner avec le
nd guère que le centième du matériel (sic) reçu. » Démence précoce, paralysie générale, ces deux entités auront- elles le mêm
ouille et la malade fut gué- rie. - L. `V.1HL. VI. Traitement des paralysies diphtériques par le sérum de Roux ; par COMDY (
médical, 18 mai 1907. t Tout' malade, enfant ou adulte,-atteint de paralysie diphtérique récente ou ancienne.légère ou grave
5 de ce nouveau produit qui devrait être essayé dans le tabes et la paralysie générale; il faudra surveiller les phénomènes d
ANTHEAUME et ]\fIGNOT.- (L'Encéphale, 1907, n° 2.) A l'instar de la paralysie générale, la démence précoce peut dé- : buter p
n état ; le mélancolique ne l'a généralement pas ; l'hystérie et la paralysie générale ne sont pas toujours faciles à reconnaît
ues et conscientes. 1 F. TISSOT. XVII.-Les hallucinations dans la paralysie générale; pai DUCOSTT (L'Encéphale, 1907, n° 2.
présentent l'observation d'un ma- lade atteint depuis trois ans de paralysie double avec atrophie musculaire, troubles des r
ubles sphinc- tériens, perte du sens génital ; flasque à gauche, la paralysie est spasmodique à droite ; ils concluent dans l
ession dans le rocher, produisant le spasme facial, dans les cas de paralysie faciale. Communication de M. Thomas. Archives
avérée et prolon- gée, 3 malades hommes entrés dans le cours d'une paralysie gé- nérale avancée. « Il n'est pas toujours f
t Chartier, p. 380. @ 1'l'Aa : des muscles oui110-1110-- teurs et paralysie oculaire dans un cas de tabès juvénile, par G
gra- phiques cincsthésiclucs, par Varquliès, y. 77. 1es-dans la paralysie générale, par Ducos- té, p. 100. 11> : wnT
tc, p. 372. Voir Idiotie. II : \I\GO-CÎ : R);17BL1.1TI : . Voir Paralysie f/e; ! ft«<e. Voir Idio- tie. Miracle. Le
sion dans le rocher, produisant le spasme facial, dans lcs cas de paralysie facia- le, par Thomas, p. 465. Neurasthénie.
Contribution à l'étude du phénomène des -, par Noi- ca. p. 166. Paralysie générale. Voir Trou- bles. La générale progress
- cillaire, par Vaillant et Dopler, p. 455. Sérum de Roux, voir Paralysies . Sels. Voir Tétanie. Sensibilité. Voir Réflex
ourtellemont, p. 466. Troubles de la sensibilité au dé- but de la paralysie générale, par Diltz, p. 78. Contribution à l'
79 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
illusions et halluci- nations fréquentes; démarche vacillante sans paralysie des membres ; perversions du goût et de l'odora
t gouttes par la voie sous-cutanée. R. BLANCHARD et J. PIGNOL. X. Paralysie AGITANT guérie par la galvanisation CEN- TRALE,
mise en relief par les écrits de Hugh. Jackson et de Fournier. Les paralysies des muscles de l'oeil aussi bien que les troubl
rouble de la vue : Cette névrite optique peut s'ac- compagner de la paralysie d'uni ou de, plusieurs des 'iuàseles moteurs de
es ne sont pas rares. ' , ? pN Céphalalgie 'rare ? t il'm Si la paralysie existe, règle géné- rale elle n'est pas général
`t;u ut' t,ç9a)tracture, rare., t Ili r;y r·t ! 1 J·v,, , ^ 1, La paralysie est, la règle; elle rc- vêt "généralement la' f
nairement ? ir *' ' "r'> Céphalalgie fréquente (Ramskill). La ( paralysie A est ordinairement généralisée; l'hémiplégie e
1r arn '.i ? w«< '.L ^W 3lza M. Christian atremarqué que dans la paralysie générale former 4 maniaque', une,, maladie ( in
ude du ramollissement cérébral, il confond les lésions propres à la paralysie générale avec celles d'autres affections cérébr
par A. Ascecrr (thèse de Paris, 1881). Du pied-bot consécutif à la paralysie infantile et de son traitement ; par W. ULCOQ (
ientôt suivies d'une sorte de stertor qui dure qnelques minutes. La paralysie du côté droit n'a pas dis- paru. Le sommeil per
ent aux traits de suture. Le visage est asymétrique par suite de la paralysie faciale qui occupe le côté gauche. On note l'ef
nomènes permanents de la névrose, tels que les cou-, tràctures, les paralysies , les troubles de la sensibilité, et qui pré-, s
ntait, lors de son entrée à l'asile, la plupart des symptômes de la paralysie générale, et qui ne tarda pas à les présenter t
é très étonné de ne pas trouver dans l'établissement un seul cas de paralysie générale; depuis ce moment, il a pu observer tr
; d'autre part, le cerveau ne présentait pas les caractères de la paralysie générale; dans le second cas, au contraire, on tr
par la communication annoncée sur un cas d'apoplexie bulbaire avec paralysie croisée de la sensibilité ' . 1. Il s'agissait
it par lui dans la séance de novembre (hémianesthésie analogue à la paralysie alterne de Gubler du facial et des extrémités)
ralytique, une parésie du facial gauche. Appuyant surlemyosis et la paralysie du crico-aryténoidien postérieur droit, M. Rema
ténoidien postérieur droit, M. Remak insiste sur la valeur de cette paralysie partielle en faveur d'une lésion nucléaire de l
de M. Charcot. Sur quatre-vingt-deux cas relatifs au tabès et à la paralysie progressive (thèse de Vincent 1 877) , on note
obiles, dilatées, rétrécies ou de moyenne dimension. Au début de la paralysie progressive, pupilles inégales obéissant moins
is et fixité pupillaire, isolés ou concomitants dans le tabès ou la paralysie progressive, M. H... pense que l'im- mobilité d
de plusieurs centaines de faits semblables recueillis dans diverses paralysies oculaires où dans le strabisme avant et après l
M. SENATOR appuie l'opinion de Râhlmann pour qui, dans le tabes, la paralysie des fibres oeulopupillaires de la moelle cer- v
uble interrup- tion de la conductibilité, le myosis résultant de la paralysie des centres, source desfibres pupillo-dilatatri
xe, mais bien d'une excitation musculaire. Même observation dans la paralysie faciale alors que, l'excitabilité électrique du n
illaire inférieur à droite; le neuvième jour de la dys- phagie avec paralysie de l'oculo-moteur de l'oeil gauche (sphincter i
émanerait d'une anoxhémie pulmonaire. Contribution à l'étude de la paralysie ascendante aiguë, par le professeur SCHULTZE (d
nt d'un sentiment d'affaiblissement, puis de fourmillement, puis de paralysies presque complètes et dans les derniers jours le
hèse de Paris, 1881. lloffiiiann, Sauvages, Bosquillon signalent la paralysie des membres supérieurs ' dans le cours de l'emp
aractérisent la forme brusque : ils consistent en des phénomènes de paralysie plus ou moins étendus qui siègent le plus souve
l'em- 2't6 ' BIBLIOGRAPHIE. pyème. Il s'agit ordinairement d'une paralysie incomplète qui pré- sente des alternatives d'au
sont dus à une influence vaso-motrice. Cn. F. VIII. Essai sur La paralysie diphthéritique du nerf pneumogastrique; par L.-
par L.-E. GULAT. Thèse de Paris, 1881. Dans la convalescence de la paralysie diphthéritique, on observe quelquefois des trou
vomissements alimentaires. Ces troubles succèdent d'habitude à une paralysie du voile du palais consécutive à une angine dipht
théorie bulbaire était vraie, on devrait rencontrer quelquefois la paralysie des nerfs dont les noyaux d'origine sont près d
Il admet que la mort subite ou rapide dans la convalescence de la paralysie diphthéritique est le résultat d'une altération d
ranches terminales du nerf vague. CH. F. IX. Hallucinations dans la paralysie générale (Observations); par J. Girma. Thèse de
. Thèse de Paris, 1881. Les hallucinations, très fréquentes dans la paralysie générale, s'observent à toutes les périodes de
été confondue avec la vraie para- lysie générale et surtout avec la paralysie générale survenant chez un saturnin ; mais elle
l. F. XI. Le délire des grandeurs n'est pas un signe exclusif de la paralysie générale progressive ; par E.-A. Lautar. Thèse
ème nerveux. Electrothérapie. Faradisation et galvanisation dans la paralysie du nerf facial. De l'efficacité des courants co
tié latérale de la moelle épinière : « Du côté correspondant : 1° paralysie du mouve- ment volontaire ; 2° hyperesthésie au
e de tem- pérature dans les parties paralysées ; 6° phénomènes de paralysie des origines du nerf grand sympathique cervical
nous notons dans l'état du malade les modifications suivantes : la paralysie a très légèrement diminué. L'insensibilité au t
tité est de 300 grammes. La constipation persiste. Le 16 mars, la paralysie et l'insensibilité ont encore un peu diminué, s
dans la journée quatre ou cinq selles abondantes. Le 18 mars, la paralysie continue à s'améliorer. L'hyperes- thésie dispa
ilésion, dont elle reproduit fidèlement les traits fondamentaux. La paralysie s'est présentée ici avec ses caractères ordinai
r chaque mode spécial de sensibilité. 280 ' CLINIQUE NERVEUSE. La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limites que la par
ERVEUSE. La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limites que la paralysie motrice; elle était très accentuée, puis- qu'il
respiratoire et musculaire, l'anoxémie s'y surajoute, amenant une paralysie du centre constricteur permet- tant la dilatati
ues limitées, tout à fait semblables à celles qui caractérisent les paralysies atrophiques spinales de l'en- fant et de l'adul
e hypothèse un certain nombre de faits observés chez l'homme, où la paralysie du mouvement existait d'un côté du corps avec c
tablement du côté droit. Depuis huit jours, il existe une véritable paralysie du 'membre supérieur droit; le membre inférieur
suivant la direction des branches sous-occipitales. 11 existe une paralysie incomplète des membres du côte droit. Les mouve
s côtes, sur les fesses) où elle produit des four- millements. La paralysie du 'côté droit tend t diminuer, les mouvements
gèrement émousséc à gauche; la sensibilité au froid est revenue- La paralysie du bras droit diminue de jour en jour. 5 octobr
t, cette observation démontre une fois de plus la disposition de la paralysie motrice et de l'anes- thésie par suite d'une co
anesthésie qui, d'après M. Brown-Séquard, limiterait par en haut la paralysie motrice. La paralysie du mouvement était plus p
M. Brown-Séquard, limiterait par en haut la paralysie motrice. La paralysie du mouvement était plus prononcée au membre sup
uinité. Premières convulsions ci trois mois; prédominance à gauche, paralysie ci gauche, contracture. Affaiblissement progres
r le lit pendant un mois et nous n'avons pu savoir s'il y eut de la paralysie à la suite de ces convulsions; seulement, quelque
six heures, avec prédominance des convulsions à gauche, on nota une paralysie du bras et de la jambe de ce côté. L'enfant eut
u'il put commencer à marcher en traînant la jambe. Dans lasuite, la paralysie de la jambe a diminué, mais il la traîne encore
e à une méningo-encéphalile, plus avancée à gauche, en raison de la paralysie . La débilité intellectuelle a continué de progr
es rencontre, sinon aussi étendues, du moins aussi intenses dans la paralysie générale progressive. Et, depuis que nous avons
ues (janvier 1882), une note dans laquelle il rappelle trois cas de paralysie générale où il a trouvé la même lésion, caracté
ons ensemble provoque l'hémianopsie du côté opposé, c'est-à-dire la paralysie de la moitié des deux rétines du côté correspon
espondant, que d'autre part une lésion cérébrale peut déterminer la paralysie des fibres rétiniennes de la moitié externe de
nes purement spasmodiques. Quelquefois cependant, on a constaté des paralysies ou des parésies limitées : M. Krishaber expliqu
s limitées : M. Krishaber explique cette existence simultanée de la paralysie avec les spasmes, en disant que la paralysie d'
tence simultanée de la paralysie avec les spasmes, en disant que la paralysie d'un muscle pro- voque facilement le spasme de
symptomatique. C. F. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 XXI. DE la paralysie DU nerf MOTEUROCULAIRE EXTERNE CONSÉ- CUTIVE au
, nov. et déc. 1880.) Frappé depuis longtemps de la fréquence de la paralysie traumatique de la 6° paire et peu satisfait de
t. Cette dernière éventualité explique l'apparition tardive de la paralysie . D. BERNARD. XXII. CONTRIBUTION A l'étude de la
357 1° La dépression précédant ordinairement l'exaltation dans la paralysie générale, la maladie était probablement à une pé-
IER. M. Lumer lit une note de M. Baillarger, sur une lésion de la paralysie générale, que l'auteur a rencontrée^ quatre fois.
turnes chez les enfants. Régis : Etiologie de quelques formes de paralysie générale. BERGERON Folie de la puberté. BRIAND :
évolution du délire dans les vésanies. 2° Des conges- tions dans la paralysie générale. M. LEGRrND du SAULLE donne lecture du
pas éventuellement, mais fatalement, des phénomènes de spasme ou de paralysie . Il va sans dire que, parmi les 167 cas utilisé
stance grise dont la lésion ne manque jamais dans tel ou tel cas de paralysie localisée. Ce département relativement restreint
Exner, a rencontre de celte opinion, signale douze observations de paralysie des membres sans lésions du lobule paracentral
it de l'anes- thésie hystérique et des agents oesthésiogènes, de la paralysie et de la contracture hystériques. Le phénomèn
lcoolisme, non seulement n'est pas la cause la plus fréquente de la paralysie générale, mais même qu'il paraît incapable de l
rtains cas d'alcoolisme chronique, res- semblant plus ou moins à la paralysie générale ont été confondus avec cette maladie,
certains cas, considérés aujourd'hui comme constituant la véritable paralysie générale alcoolique, ne sont pas à proprement p
le alcoolique, ne sont pas à proprement parler de véritables cas de paralysie générale, et ils diffèrent des autres cas par l
par des particularités, des symptômes qui lui sont communs avec la paralysie générale. L'inégalité pupillaire, qui manque un
gle dans la pseudo-paralysie, qui se distingue 'encore en ce que la paralysie y commence toujours par les extré- 376 BIBLIOGR
sontplutôt engourdies, inhabiles, qu'affaiblies, tandis que dans la paralysie générale, la paralysie est plus étendue d'emblée,
inhabiles, qu'affaiblies, tandis que dans la paralysie générale, la paralysie est plus étendue d'emblée, et en outre est prog
ie est plus étendue d'emblée, et en outre est progresssive. Dans la paralysie alcoolique, le trem- blement est général, il es
sie alcoolique, le trem- blement est général, il est limité dans la paralysie générale et il est fibrillaire. L'embarras de l
de de 1'), par Raymond et I)re51'uus, 80. Apoplexie bulbaire avec paralysie croisée de la sensibilité, 229. Asile d'alién
10'i. Délire des grandeurs (il n'est pas un signe exclusif de la paralysie générale par Lau- tac, 21s. Démence aiguë c
pied bot va- rus équin, par Pitres, 319. Moteur oculaire externe ( paralysie tiainnatique du), par Panas. 331. Neil' ati
tme). 311. Organes centraux (action de la lymphe sur les), 210, Paralysie agitante guérie, etc., par Mann, 95. Paralysi
e sur les), 210, Paralysie agitante guérie, etc., par Mann, 95. Paralysie ascendante aiguë, 'i0, Paralysie du nerf pnui
te guérie, etc., par Mann, 95. Paralysie ascendante aiguë, 'i0, Paralysie du nerf pnuiimogastiiqiie, par Gulat, 2'ili.
, 'i0, Paralysie du nerf pnuiimogastiiqiie, par Gulat, 2'ili. Paralysie générale (Hallucinations dans la), 217 ; - (éta
un cas de), 310. Piacidia crythrina, par Ott, 9. Pneumogastrique ( paralysie diph- thérique du), 216. Pouls carotidien (ét
dans l'ergotibille, ! )8. Pupille (fixité de la', 231; - dans la paralysie générale, 336. Quadrijuineaux (anatomie des tu-
80 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
lité et du mouvement du côté droit. Il regagne enfin l'Europe et sa paralysie qui s'était améliorée guérit définitivement «pr
dans un travail fort intéressant. La face ne participe en rien à la paralysie . 1. Dz l'atrophie musculaire dans las paralysie
ticipe en rien à la paralysie. 1. Dz l'atrophie musculaire dans las paralysies hystériques. Archives de Neurologie 1886, p. lo
onstata, en essayant de faire marcher le malade, qu'il existait une paralysie flasque du membre infé- rieur droit. Cette tent
qui repose sur le plan du lit par son bord externe, est inerte ; la paralysie flasque est complète (sauf quelques légers mouv
, nous avons la une excellente occasion d'étudier la marche dans la paralysie d'une moitié du corps relevant de la névrose.
du corps relevant de la névrose. Notons que, chez tous les deux, la paralysie est assez complète pour qu'ils ne puissent se t
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. véritablement, bien que la paralysie et la faiblesse générale soient plus accentuées
la jambe paralysée; elle porte d'abord le tronc du côté opposé à la paralysie et appuie tout le poids du corps sur ce membre
balaye (saueeps) le sol. Cela, je pense, est caractéristique de la paralysie hystérique. » La description de Todd est de tou
idal et alors se montre la circumduction signalée par Todd, mais la paralysie est devenue spas- modique. On pourra d'ailleurs
ial à l'hystérie et ce qu'a merveilleusement vu Todd, c'est cette paralysie si absolue, si totale du membre, véritable « pi
près ces crises, la contracture une fois passée, il ne restait pas de paralysie du côté droit, mais, chaque fois que le malade
On sait que certaines rétractions fibreuses, indépendantes de toute paralysie , comme la rétraction de l'aponévrose palmaire, re
copes et qui paraissent bien avoir été des crises hystériques ; une paralysie transitoire du membre supérieur gauche avec anest
terne de la Clinique des maladies du système nerveux. 'un TYPE DE paralysie AGITANTE .La malade que représente la planche V
ade que représente la planche VII est célèbre dans l'histoire de la paralysie agitante. C'était un cas type, éminemment favorab
ONOGRAPHIE T. I PL. Vit PHOTOTYPI1 BERTHAUD CLicHi ? A. LONDE Paralysie AGITANTE DELAHAYE Q LECNOSNIFR, ÉDITEURS UN T
E Paralysie AGITANTE DELAHAYE Q LECNOSNIFR, ÉDITEURS UN TYPE DE PARALYSIE AGITANTE. 41 pieds relevés sur les barreaux d'u
même temps qu'il montrera l'altitude aujourd'hui bien connue de la paralysie agitante sous un aspect qui n'a pas encore été
été fait par M. Parinaud : pas de lésion du fond de l'oeil. Pas de paralysie des muscles moteurs du globe oculaire. Léger nys-
sont pris ; quoi qu'il en soit, pendant plus d'un an, il exista une paralysie atrophique des membres supérieurs avec griffe rad
lysie atrophique des membres supérieurs avec griffe radiale, et une paralysie spasmodique des membres inférieurs, avec flexion
un cas de pachyméningite cervicale hypertrophique ayant produit une paralysie spasmodique avec flexion des membres, dans lequ
une paralysie spasmodique avec flexion des membres, dans lequel la paralysie a guéri au bout de deux ans sans qu'on pût cons
compliquer les contractures hystériques comme elles compliquent les paralysies organiques. Je pourrais même citer trois exempl
notre observation. Nous avons vu que les muscles intéressés par la paralysie sont les deux péroniers, le jambier antérieur,
t tous les muscles innervés par le sciatique poplité externe. Cette paralysie des extenseurs, d'origine traumatique, présente
matique, présente une grande ana- logie de symptômes avec certaines paralysies toxiques, la paralysie alcoolique entre autres.
ande ana- logie de symptômes avec certaines paralysies toxiques, la paralysie alcoolique entre autres. On la distinguera de c
et la soudaineté du début. Un cas cependant peut se présenter où la paralysie des extenseurs peut survenir progres- sivement
la fracture sera d'un grand secours pour le diagnostic; de plus, la paralysie alcoolique est le plus souvent bilatérale et ac
.. compression du sciatique poplité externe par un cal exubérant et paralysie totale des muscles exten- seurs de la jambe. Ré
80 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Si le diagnostic des paralysies consécutives aux fractures de la tête du péroné
s paralysies consécutives aux fractures de la tête du péroné et des paralysies toxiques peut en général se faire facile- ment,
se faire facile- ment, il n'en est pas de même dans certains cas de paralysies rhuma- tismales ou a frigore du sciatique popli
ux causes occasionnelles précédentes, ne développerait-elle pas des paralysies rhumatismales des muscles innervés par le sciat
aider en faveur de cette hy- pothèse : Seeligmtdler1 cite un cas de paralysie dite rhumatismale des muscles extenseurs de la
a douleur et de l'amaigrissement. Rosentha12 rapporte deux cas de paralysie du nerf peronetts, de cause inconnue, dans lesq
du nerf peronetts, de cause inconnue, dans lesquels se trouvent la paralysie des extenseurs et la bande d'hypoesthésie décri
du service, nous a montré, à la consultation, un malade atteint de paralysie des extenseurs de la jambe droite, accompagnant
du malade deviendront très importants pour le diagnostic entre les paralysies traumatiques et les paralysies rhumatismales. L
ortants pour le diagnostic entre les paralysies traumatiques et les paralysies rhumatismales. L'examen de la disposition alfec
emi une impossibilité de la marche. Un malade de Weber conserva une paralysie incomplète des fléchisseurs du pied. Chez le ma
urs du pied. Chez le malade de Brand, il persista quelque temps une paralysie incomplète des muscles et une anesthésie cutané
e locale. Le malade de Duplay présentait encore au bout d'un an une paralysie complète des muscles extenseurs du pied et des
s du pied et des péroniers latéraux. ' Chez le malade.de Perrin, la paralysie , au bout de deux mois, restait telle que le pre
primitifs ne tardèrent pas à s'ajouter des accidents secondaires de paralysie . Enfin, chez notre malade, l'accident primitif
z notre malade, l'accident primitif date de plus de deux mois et la paralysie des muscles extenseurs et des péroniers n'a aucu-
'est pas contracté plaiderait plutôt en faveur de l'hypothèse d'une paralysie faciale localisée à ce même côté. Quoi qu'il en
ée ; il faut noter l'absence de toute espèce de symptômes de foyer, paralysies , contractures, convulsions. D'après Cossy, les
'âge de quatre ans et demi, elle a eu à celte époque une attaque de paralysie du côté gauche; deux ans plus tard, elle eut un
ts ; je ne m'arrêterai que sur un petit nombre. 1. A. Voisin, De la paralysie générale (Union médicale, 1868, t. VI, p. 89). -
firmité, nous ne craindrions pas de nous tromper en disant que la « paralysie infantile », maladie ancienne bien que ré- cemm
t d'action des muscles extenseurs, et dont la cause réside dans une paralysie du nerf radial. J.-M. CHARCOT (de l'Institut)
symptômes d'hystérie assez vagues, mais elle n'a aucun symptôme de paralysie générale. Les tentatives d'hypnotisme restent i
nte de pachyméningite cervicale. Ces deux malades, à la suite d'une paralysie alcoolique occupant les muscles des deux jambes
ent; ses attaques se renouvelaient plusieurs fois par mois, mais sa paralysie a diminué peu à peu. A quatre ans, il pouvait mar
péniblement; mais, à dix ans, on ne distinguait plus de traces de sa paralysie ; il avait toujours des mouvements athétosiques
contracture, il n'y aurait, je crois, qu'une hypothèse, celle de la paralysie des interosseux, hypothèse sans aucune base et
on le transféra dans le service de chirurgie. j Nous constatons une paralysie vésicale, ayant amené une rétention d'urine : q
ine, et bientôt tout dépôt de muco-pus disparut des urines. Mais la paralysie et la rétention persistèrent ou furent à peine
Michel, dans sa thèse, propose trois théories : 1° ou bien c'est ! a paralysie vaso-motrice qui produit la cause adjuvante, et l
GRAPHIE DE LA SALPETRIERE HABITUDE EXTÉRIEURE ET FACIES DANS LA PARALYSIE AGITANTE Le faciès et l'habitude extérieure du
re du corps jouent un rôle considé- rable dans la séméiologie de la paralysie agitante. C'est, en effet, une de ces maladies
capital tel que le tremblement. Cette variété de l'attitude dans la paralysie agitante a été désignée par M. Charcot sous le
ces caractères d'extension persistent. Les Fig. 81.- Attitude de la paralysie agitante dans la station debout et pendant la mar
Blocq, Des contractures, 1888, obs. XXII. Fic. 82. - Attitude de la paralysie agitante dans la station debout et pendant la mar
dorsale, datant de sept ans. - Signes d'hémilésions de la moelle. - Paralysie et atrophie du membre inférieur droit. - Signes d
s, et en particulier les parois abdominales, ne présentent t aucune paralysie ni atrophie musculaire. Enfin l'examen de l'oei
e dans des circonstances et par un mécanisme presque identiques, la paralysie et l'atrophie musculaire prédominantes dans le
aurait constaté dans ce laps de temps, les phénomènes suivants : Paralysie complète des deux membres inférieurs, ayant ensui
avait existé, au moins pendant un certain temps, une tendance à la paralysie vasomotrice de la peau des pieds. 3° Que pens
aisselle, de l'aine, du creux poplité sont normaux. Il n'y a pas de paralysie ; le malade peut remuer bras et jambes, cependant
oliose hystérique), 39, 40; statue de Jason ou de Cincinnatus, 3. Paralysie agitante, 7; attitude dans la - 44; faciès dans
(distribution des cutanés de la face antérieure de la jambe, 36. Paralysie agitante (attitude dans la), 81, 82. Péroné (
. Lépreux (sur un - d'Albert Dürer), par Charcot et Richer, 42. Paralysie agitante (habitude extérieure et facies dans la
81 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
e. Incontinence d'urine. Le mem- bre inférieur droit est en état de paralysie flasque, le gauche ne tombe pas ' inerte quando
ines, affaiblissement du membre in- férieur gauche, depuis 2 jours, paralysie du pied gauche. État actuel. Le sacrum est doul
ôté des racines antérieures, sous forme de contractions spastiques, paralysies et atrophies des différents muscles. Il ya des
avec perte des réflexes et de la sensibilité ; dans le second, une paralysie spastique. En somme les symptômes rappellent ce
laissés dans telle position forcée. Dans le cas de Schlesinger la paralysie spastique a fait place à la para- lysie flasque
ieurs, des vertèbres, dou- leurs en ceinture, rétention des urines, paralysie , affaiblissement ou abolition des réflexes et e
s susdits. Il est évident que si la cause du phénomène avait été la paralysie des extenseurs on n'aurait pas obtenu la flexio
nstater comme une mani- festation d'autres états morbides : dans la paralysie du quadriceps, ou dans la sciatique,comme expre
caractéristique des symptômes péremptoires qu'on fait le diagnostic PARALYSIES RADIALES LÉPREUSES (1) - paii MM. - . DE BEUR
raison Jeanselme, on ne saurait nier qu'il existe dans la lèpre des paralysies proprement dites ». Ces paralysies sont peu con
r qu'il existe dans la lèpre des paralysies proprement dites ». Ces paralysies sont peu connues et a peine citées ; elles sont c
un certain nombre de faits observés en Extrême-Orient, deux cas de paralysies radiales que nous avons pu examiner d'une manière
aractéristique (PI. IX). On constatait tous les signes d'une double paralysie du nerf radial, sans atteinte du cubital ni du
. Nouvelle ICONOGRAi'IIIL DE la SALPÊI'RII`.RL. T.XXI ! I.P).fX PARALYSIES RADIALES LEPREUSES (De Beiirmami el GOIIgnol).
l GOIIgnol). Masson & Cie, Editeurs. PIIULtJtH)le n'rlhl\ud PARALYSIES RADIALES LÉPREUSES i 1 Au niveau de la partie i
ant-bras étaient fort diminués de volume, mais à droite surtout, la paralysie radiale prédominait nette- ment et le malade ne
n de relever la main. Dans ces deux cas et dans d'autres encore, la paralysie radiale s'impo- sait dès le premier examen : le
n- ditions où nous observions. Ces faits prouvent l'existence des paralysies radiales bilatérales hansé- niennes. Ces paraly
l'existence des paralysies radiales bilatérales hansé- niennes. Ces paralysies ne doivent pas être confondues avec l'impotence
s être relevé ». Dans les cas que nous avons observés, il s'agit de paralysie et non d'atrophie musculaire.il s'agit de sujet
que le cubital, ordinairement atteint, paraît intact, tandis qu'une paralysie typique in- dique une lésion du nerf radial, ha
Atrophie presque complète de la papille. Amaurose très avancée. - Paralysie des mouvements associés des globes oculaires dans
tion énorme dans les mouvements des globes oculaires en haut. Cette paralysie des mouvements associés des yeux est à peu pi-ès
les mouvements associés des globes oculaires.- Strabisme divergent. Paralysie partielle des muscles intrinsèques et extrin- s
auche ont leur amplitude normale, tandis qu'il existe une véritable paralysie des mouvements conjugués vers le haut. Les mouv
ncée de la papille. - Acuité visuelle encore assez con- servée. ' Paralysie des mouvements conjugués des globes oculaires ver
idiotie, l'amaurose, la bradylalie, le strabisme, le nystagmus, les paralysies oculaires et enfin l'exagéra- tion des réflexes
malades (observation II), les troubles bulbo- protubérantiels, les paralysies oculaires, l'exagération de certains réflexes (
ait encore quelques points par souligner, notamment par rapport aux paralysies conjugées des globes oculaires. Il s'agit ! ad'un
loppement des membres paraly- sés est d'autant plus prononcé que la paralysie est survenue à un âge plus jeune. Chez l'adulte
vulsifs. Après les crises d'épilepsie jacksonienne, il persista une paralysie flasque de la moitié droite de la face et du br
nienne localisée à la moitié droite de 1 la face et au bras droit ; paralysie flasque de la moitié droite de la face et Nouve
malgré une céphalalgie continue. Les crises fu- rent suivies d'une paralysie transitoire de la moitié droite de la face et du
is, les plantaires normaux. Sensibilité troublée sur les jambes. La paralysie des membres inférieurs est devenue flasque ! ,le
nsistaient en un affaiblissement des jambes qui furent atteintes de paralysie en quel- quesjours. Au commencement le tonus mu
u- périeur gauche était exagéré (à droite diminué). Mais bientôt la paralysie a pris le type flasque avec réflexes patellaire
mble, de- vient douloureuse et se raidit. Très vite se développe la paralysie complète des membres supérieurs. Après deux heu
ugaison, pourtant la moelle offrait des lésions qui ont provoqué la paralysie de tous les membres. L'autopsie de tout le corp
lombaires supérieures et dorsales inférieures sont douloureuses. La paralysie des membres 156 FLATAU inférieurs est complèt
roissaient peu a peu, atteignaient leur maximum et alors survint la paralysie presque instantanée des membres inférieurs TUME
et puis tout il coup alarmer le malade. Le cours de la maladie, la paralysie intervenue brusquement, le bon état général, tout
ales, pupilles, égales. Membres inférieurs, complètement paralysés ( paralysie flasque), les doigts fléchis légèrement. Mains
périostaux très faibles ou absents. Membres inférieurs à l'état de paralysie flasque. Dans le droit, il ya des mouvements mi
Rétention de l'urine el des matières fécales. Enfin il survient une paralysie flasque presque complète des membres inférieurs
plus tardifs dans les membres supérieurs (affaiblissement,atrophie, paralysie ) étaient en grande partie produits par les lési
deux semaines après lesquelles, en quelques jours, se développa la paralysie complète des membres. Dans un autre cas (obs. X),
ousde conjugaison dans le canal rachidien). Quant à la nature de la paralysie , elle est dans la plupart des cas flasque et ac
mpagnée d'affaiblissement ou d'abolition des réflexes tendineux. La paralysie envahit les membres inférieurs et le tronc. Simul
était le cas dans l'observation de l3reqman=Steinhaus). Là aussi la paralysie est du type flasque. Les phénomènes spastiques et
dé- veloppe rapidement en simulant ta myélite aiguë. La période de paralysie de cause médullaire ne se prolonge pas trop lon
ans quelques cas pour provoquer la lésion de la moelle et amener la paralysie . Dans un de nos cas (obs. X) la tumeur envahiss
des psychoses dites organiques, appartiendraient cliniquement : la paralysie générale, la démence artériosclérotiques, la dé-
rquée, l'écorce a ses dimensions et son architecture normales. IL Paralysie générale. Homme de 48 ans. - Fragment de l'écorce
t de définir une entité morbide psychique. La péri- vasculite de la paralysie générale elle-même peut être observée dans d'au-
examen et l'étude de 87 aliénés dont la plupart étaient atteints de paralysie progressive. Mes observations m'ont conduit à d
rouvée réduite, comme nous l'avons dit, à part la crise, à quelques paralysies , quelques contractures, certains mouvements ano
ue qui, à la suite d'un coup insignifiant sur la main, présente une paralysie de l'avant-bras, la simulation est aussi certaine
pourra donc observer à la suite des traumatismes : des crises, des paralysies , des contractures, certains mouvements anormaux,
érie ne peut imiter, c'est la mydriase a la fin de la crise. 2° Les paralysies . Les paralysies hystériques, monoplégies, hémiplé
ter, c'est la mydriase a la fin de la crise. 2° Les paralysies. Les paralysies hystériques, monoplégies, hémiplé- gies, parapl
s signes qui ont été donnés. Il suffit de se souvenir de ceci : une paralysie hystérique n'est pas autre chose qu'une paralys
nir de ceci : une paralysie hystérique n'est pas autre chose qu'une paralysie simulée, simulée inconsciemment. je veux bien,mai
roduire. l°La volonté est impuissante à diminuer le tonus : dans la paralysie hys- térique, le tonus n'est jamais diminué. Si
ssante à produire des troubles trophiques ou vaso-moteurs : Dans la paralysie hystérique : ni atrophie, si ce n'est celle rés
e à modifier les réflexes tendineux : ils res- tent normaux dans la paralysie hystérique. A ce sujet cependant il faut s'expl
réllexe ab- dominaI. 5° La volonté est impuissante à réaliser des paralysies dissociées : il n'y a dans l'hystérie que des p
aliser des paralysies dissociées : il n'y a dans l'hystérie que des paralysies de membres, de segments de membres ou de groupe
aires fonctionnellement associés. On ne voit jamais par exemple, de paralysies hystériques comprenant exactement et unique- me
rritoire d'un nerf périphérique ou d'une racine. Il n'y a jamais de paralysies oculaires. 6° Pour simuler une parésie, faire e
t son effort, lâchez brusquement; sur un sujet normal ou atteint de paralysie organique, le membre s'étendrait aussitôt ; vou
grand nombre de signes sont basés là- dessus. Dans la soi-disant paralysie faciale hystérique, il y a bien asymétrie des t
vement par une main sous le menton ; vous verrez, s'il s'agit d'une paralysie organique, le peaucier du cou dessiner des cordes
en douter, il contractera des muscles soi-disant paralysés. Dans la paralysie organique au contraire, le membre reste inerte
vement du gros orteil. 9" Signalons enfin que presque toujours à la paralysie se superpose une anesthésie complète ayant les
les chaussures, l'usure répond au type de l'impotence observée. La paralysie est constante au point d'amener un gonflement, de
après, raconte la mère, une méningite fébrile bientôt suivie d'une paralysie des quatre membres. A seize mois se produisit un
déjà dans les deux premières années après l'in- fection des cas de paralysie des nerfs cérébraux, d'ophtalmoplégie en môme t
d'un malade, qui déjà huit mois après la conta- gion fut frappé de paralysie bilatérale de l'abducteur, de paralysie péri- p
a conta- gion fut frappé de paralysie bilatérale de l'abducteur, de paralysie péri- phérique du facial, de stase papillaire,
secondaire, de la difficulté dans la parole et l'audition, puis la paralysie du facial droit, de l'hypoglosse et des extrémi
t continuât encore, un an et demi plus tard vint à se manifester la paralysie du facial dedroite, l'anesthésie dans la région
e 43 ans, chez lequel, déjà un mois après la contagion, apparut une paralysie périphérique du facial, suivie, quelques mois a
outer le vertige qui empêchait le sujet de se tenir de- bout, et la paralysie complète du VII° nerf de gauche (janvier 1901),
ux, se manifesta une hémiplégie droite avec aphasie et symptômes de paralysie du nerf vague ; le sujet mourut. A l'autopsie,
ignée irrégulièrement. Après un traitement spécifique énergique, la paralysie s'améliora seulement en partie. Gros et Lancera
mois après l'infection syphilitique, de céphalée, de vertige, d'une paralysie périphérique du facial droit. Pas de renseignem
usion excoriée. Il ne lui resta de ce traumatisme aucune parésie ou paralysie . Mais depuis ce temps-là, le patient est sujet de
s sous forme de roséole, etc. Quelques mois après, fut frappé d'une paralysie périphérique du facial de droite qui guérit moyen
u- laire droite. Presque aussitôt après apparurent des symptômes de paralysie pseudo-bulbaire (dysarthrie grave, dysphagie,'
et d'hémorragies et le tableau clinique y relatif des paré- sies ou paralysies qui s'ensuivent » (Mingazzini). En harmonie avec
es, soit pource qui concerne les métasyphilitiques (tabes dorsal et paralysie progressive). Je m'éloignerais trop de mon suje
manifesta une hémiplégie gauche' suivie bientôt de symptômes d'une paralysie pseudobulbaire rebelles à tout trai- tement, si
urine plus souvent et par gouttes. Constipation. 27 novembre. La paralysie des membres inférieurs est presque complète. Le
ncée qu'au niveau de la VII" vertèbre dorsale. Après l'opération la paralysie des membres inférieurs persiste ; fièvre. La mo
eau de la VII, vertèbre dorsale. On laissa la dure-mère intacte. La paralysie persista après l'opération, la fièvre prit place
men est douloureuse. La difficulté d'uriner per- siste ainsi que la paralysie des deux membres. 2 octobre. - Ponction lombair
des contractions spontanées douloureuses aux membres inférieurs. La paralysie et les réflexes comme au début. L'urine s'élimine
tipation. Neuf mois avant l'opération, la malade fut atteinte de la paralysie presque complète du membre inférieur gauche et de
érable. Après son retour à la maison, son état empira et bientôt la paralysie des membres inférieurs est devenue définitive.
rieurs et de contractions spontanées spastiques dans les genoux. La paralysie est complète. Les dernières traces des mouvements
uleurs dans la fesse gauche. Plus de dou- leur dans le côté gauche. Paralysie complète des membres inférieurs. La tonicité mu
Affaiblissement. Grande soif. Fortes contractions dans les jambes. Paralysie complète spastique. La plaie est bonne. On voit l
es membres tout au début de la maladie qui ensuite se transforma en paralysie complète, l'hypertonicité musculaire, les trouble
patellaires sont conservés. 17. La vessie est fortement dilatée. La paralysie des membres inférieurs est complète. Les réflex
lète des jambes et des régions du coude. Incon- tinence de l'urine. Paralysie complète des jambes avec abolition des réflexes
res supérieurs avec atrophie muscu- laire, affaiblissement suivi de paralysie complète des jambes, troubles urinaires et de l
ation il y avait un fait analogue. Il est impossible d'expliquer la paralysie par les deux foyers localisés dans les cordons
ue et toute la profondeur de la substance grise. Après un temps, la paralysie motrice du membre supérieur gauche ayant dimi-
es cliniques. 71 ans, hémiplégie droite incomplète avec aphasie. La paralysie est plus prononcée au membre supérieur. Le ma-
On constate dans ces conditions une relation entre les degrés de la paralysie et le nombre des cellules altérées ou disparues,
rues, de même, que entre la région plus ou moins atteinte par celte paralysie et la zone cérébrale occupée par les cellules l
de la capsule interne, on constate encore que dans certains cas de paralysie pseudo-bulbaire les lésions cellulaires sont plus
s les cas où les symptômes pseudo-bulbaires sont plus accusés. C. Paralysies par LÉSIONS IÉSENCÉPIIALIQUES. 10 Jean A... Not
ALIQUES. 10 Jean A... Notes cliniques. 30 ans, hémiplégie droite et paralysie fa- ciale gauche (syndrome de Millard-Gübler).
oite et paralysie fa- ciale gauche (syndrome de Millard-Gübler). La paralysie des membres était incomplète, le malade pouvait
rice nous montre qu'il existe toujours un rapport entre le degré de paralysie et l'intensité des lésions corticales de même q
segment que dans le lobule paracentral., L'inverse a lieu quand la paralysie est plus intense [au membre inférieur, les lésion
étant alors plus manifestes dans le lobule paracentral. Dans les paralysies pseudo-bulbaires la réaction et l'atrophie des ce
ynx, etc. Or, ces parties sont justement les plus atteintes dans la paralysie pseudo-bulbaires. Les foyers destruc- tifs dans
t qu'il s'agissait du centre cortical du bras et obser- vant que la paralysie motrice, du membre supérieur, qui s'est produite
e, dans lequel au premier plan ressortent : 1° les douleurs ; 2° la paralysie toujours croissante et débutant par la jambe ga
la jambe gauche avec un faible Brown- Séquard et finissant par une paralysie spastique complète; 3° le type de l'affection p
présence par les symp- tômes radiculo-segmentaires, puis arrive la paralysie d'une moitié du tronc (Brown-Séquard), enfin un
passons maintenant au second stade de la maladie c'est-à-dire à la paralysie du type Brown-Séquard, nous devons avouer qu'on a
stent en un affaiblissement toujours crois- sant, allant jusqu'à la paralysie complète. Dans quelques cas on a pu noter un af
place à la para- lysie complète (Clarke, Flatau et d'autres). La paralysie porte dans la plupart des cas le caractère spasti
nquait le phénomène de Babinski malgré le caractère spastique de la paralysie (Oppenheim, VIe cas). Quand la moelle épinière
cas de Heilbronner on n'a pas pu consta- ter ces troubles malgré la paralysie des membres inférieurs ! De même clan, le cas d
exceptionnels on a constaté des troubles vasomoteurs : c'était une paralysie des vaisseaux des membres (le syndrome de Baynaud
ne amélio- ration spontanée, après quoi une aggravation et enfin la paralysie com- plète. Cette amélioration spontanée assez
la conti- nuité de l'influx nerveux (les phénomènes spastiques, la paralysie spasti- que ou nasique, les anesthésies du type
Saenger), des symptômes bulbaires (Schlesinger et d'au- tres) et la paralysie du nerf phrénique (Minkowski, Mundelius). Le nerf
sence de phénomènes moteurs irritatifs, l'installation graduelle de paralysies (après une période de douleurs), les troubles d
fibrillaires, contractions spontanées), le plus souvent une rapide paralysie flasque de la musculature de la vessie, du rect
ce aussi j'.obser- vai maintes fois la sclérose en plaqnes avec les paralysies d'un côté seule- ment. Dans un de ces cas la ma
vec dissociation de la sensibilité, les atrophies musculaires et la paralysie flasque (surtout dans les membres supérieurs),
e de la colonne vertébrale), nous avons acquis la conviction que la paralysie in- tervient au moment où on ne peut encore sup
aux parus sous son nom, tels que : Héartatomyélie du cône terminal, Paralysie bilatérale du deltoïde par élongation des deux
o/<Me, la Syringomyélie, le Rhu- matisme chronique vertébral, la Paralysie pseudo-bulbaÏ1'e, la Gangrène des extrémités, e
ant pratiqué récemment l'autopsie d'une tabétique chez laquelle les paralysies oculaires étaient très accentuées j'ai saisi l'oc
à gauche, etc. Dans les dernières années, elle était atteinte d'une paralysie bilatérale de la IIIe paire, plus marquée à gau
la IIIe paire, plus marquée à gauche qu'à droite. Crises laryngées, paralysie des crico-aryténoïdiens postérieurs. Paralysie
e. Crises laryngées, paralysie des crico-aryténoïdiens postérieurs. Paralysie des masticateurs. Dès l'atâe de 30 ans elle avait
des masticateurs. Dès l'atâe de 30 ans elle avait été frappée d'une paralysie transitoire delà 111° paire du côté gauche. L'aff
premier insisté sur l'atrophie de l'iris au cours du tabes et de la paralysie générale et sur ses rapports avec l'irrégularité
une forme spéciale d'atrophie de l'iris au cours du labes et de la paralysie générale. Ses rapports avec l irrégularité cl les
tion per- sonne n'aurait cru que celte malade avait été atteinte de paralysie . Dans le 11, cas d'Oppenheim on constata égalem
rès l'opération survient une aggravation passagère sous forme d'une paralysie flasque complète et d'affaiblissement ou aho- l
ion des racines médullaires pen- dant l'opération. Il en résulte la paralysie et l'atrophie des muscles cor- respondants (Opp
étique des affections parasyphi- litiques du système nerveux, de la paralysie générale en particulier, ne sauraient que se ré
eurt dans un ictus paralytique. Diagnostic clinique et anatomique : Paralysie générale. Ce cas est très intéressant par la ri
s ans de séjour, dans le marasme paralytique. Diagnostic clinique : Paralysie générale. L'AORTITE MOYENNE GOMMEUSE OU MÉSAORT
examiner l'aorte. Un seul cas, le troisième, qu'on pourrait appeler paralysie générale foudroyante, puisque l'affection n'a e
pos d'une note de r11. Bauer sur ce sujet), par LEVI, 20. Lèpre, paralysies radiales, par DE Beurmann et Gouobrot, 90. -
il lo- calisation céphalique isolée) (1 pl.), par CaTOLa, 216. Paralysies radiales lépreuses (1 pi.), par de BEUR MANN et
neurotique Charcot-Marie (3 pi.), 91. BEURTfAVN (de) et GOUGEH01'. Paralysies radiales lépreuses (1 pi.), 90. Troubles ment
plasie chez des adultes (10 pi.), 244. GOUGEItOT et Beurmann (de), Paralysies radiales lépreuses (1 pl.), 90. Troubles ment
r Goes (Mélancolie du peintre z (DUPRÉ et DEVAUX), LXVIII. Lèpre, paralysies radiales (de 1 ! EUleamN et GOUGEI10T), IX. ,
82 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
uire, du moins chez certains animaux, comme le singe par exemple, des paralysies des membres, contrairement à l'opinion de Flouren
rs supérieurs de la circonvolution pariétale ascendante détermine une paralysie des deux membres (supérieur et inférieur) du côté
alysie des deux membres (supérieur et inférieur) du côté opposé, sans paralysie de la face. » Et nous ajoutions : « Pour le momen
, de la trépidation épileptoïde, de la tendance à la contracture. Les paralysies transitoires, post-épi-leptoïdes, dites par épuis
as mixtes. Je veux parler de ces cas dans lesquels il y a, à la fois, paralysie permanente avec ou sans contracture et attaques d
où il n'y a que des accès d'épilepsie partielle accompagnée ou non de paralysie transitoire. V. Quelles sont maintenant les l
simuler une paraplégie, et c'est là justement ce qui est arrivé. Une paralysie se développe rapidement d'abord sur un membre inf
cette dramatique histoire. A son entrée, il n'y avait aucune trace de paralysie motrice dans les membres, sauf un peu de parésie
iques : chorée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies , contractures, etc. Le 16 mars 1890, nous l'hyp
âleur de la face. Souffle au i9t temps et à la base du cœur. Pas do paralysie , pas d'atrophie musculaire. Pas de troubles troph
d'eux marche les jambes très écartées (?). L'autre a « une espèce de paralysie des jambes », il traîne ses pieds. Le troisième a
de pour que les bases organiques de la mémoire subissent une sorte de paralysie , restent incapables de reviviscence, alors la dés
paraît-il, des crises d'hystérie, marquées par des hémoptisies et des paralysies transitoires. En 1871, il commit un vol domesti
ui apprend le métier de tailleur, qui était compatible avec l'état de paralysie de ses membres inférieurs et, au bout de quelques
séjour dans cet hospice, il fut pris, à partir du 26 janvier 1884, de paralysies et de contractures diverses. Le 17 avril, à la su
r; il est paralysé des deux jambes. Il vient de Saint-Urbain où cette paralysie s'est développée. Il lit à peine (t est obligé d'
a quatorze ans. Il est doux, convenable et bien élevé. Il n'a aucune paralysie , ni anesthé-sie. On voit combien cet état contras
aspère les phénomènes nerveux, et des attaques convulsives suivies de paralysies apparaissent. En même temps l'enfant perd compl
un membre le fait entrer immédiatement en contracture. Mais point de paralysies , point de contractures spontanées. Si Ton s'adr
Fille. Bystér\e. TABLEAU VI X. . . 70 ans. Epilepsie, diabète, paralysie agitante. Depuis trois ans l'épilepsie et le diab
agitante. Depuis trois ans l'épilepsie et le diabète ont disparu. La paralysie agitante seule persiste. TABLEAU VII père (Fa
gie. Arrière-petit-fils. Diabète. Fille. Rien (?) Petit-fils. Paralysie gêné' raie. TABLEAU IX père (Famille israélit
e. _1__i_ I-1 I I Une sœur. Un frère. Une sœur. M. 0... Rien. Paralysie faciale périphérique Neurasthénie, Neurasthénie,
mptomatique de la maladie de Basedow (Ballet), entre le diabète et la paralysie agitante (Topinard), entre le diabète et l'hystér
rdre de fréquence, les altérations suivantes : 1° la cataracte; 2° la paralysie de l'accommodation et des muscles extrinsèques ;
blement d'association tabético-diabétique. Pour ce qui concerne les paralysies des muscles des yeux d'origine diabétique, Althau
ctuellement on ne possède pas d'observations très concluantes sur les paralysies des muscles oculaires, quoique Kiwalkowski en ait
ulaires, quoique Kiwalkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une paralysie du muscle droit externe dans des conditions analo
e dans des conditions analogues2. » D'après de Wecker et Landolt, ces paralysies seraient probablement dues à des troubles circula
ise de J. Morin, 1885. vention. M. Lecorcbé pense également que ces paralysies sont par essence mobiles et passagères. Quant à
que dans le diabète, ceux que l'on rencontre sont : la cataracte, les paralysies de l'accommodation et celles des muscles extrinsè
famille d... PERE Coliques hépatiques. MERE Diabète. _l Fils. Paralysie générale. TABLEAU XXXI FAMILLE ISRAÉLITE CÔ
Diabétique, avec névrite diabétique, zona, etc. Fils. Tabes ti paralysie générale. TABLEAU XXXIV FAMILLE ISRAÉLITE F
usine germaine du père. M. B... Quelques symptômes tabétiques (?) Paralysie générale progressive. TABLEAU XXXVI CÔTÉ PATE
ffira-t-elle par elle-même à entraîner la conviction. Sur un cas de paralysie conjuguée de la sixième paire (1). On sait que
cas de paralysie conjuguée de la sixième paire (1). On sait que la paralysie de la sixième paire avec déviation conjuguée est
me paire avec déviation conjuguée est caractérisée par ce fait que la paralysie ne reste pas bornée au muscle droit externe du cô
(5), Féréol (6) et Hallo-peau (7). Mais cette forme clinique do la paralysie de ce nerf a été surtout parfaitement étudiée par
(7) Hallopeau. —Archives de physiologie, 1876. (8) Graux. — De la paralysie du moteur oculaire externe avec déviation conjugu
ions pathologiques se traduisent par un symptôme caractéristique : la paralysie du muscle droit externe d'un œil avec inaction co
a plus précise que le noyau de la sixième paire est intéressé, car la paralysie du droit interne de l'œil sain ne s'observe pas d
la paralysie du droit interne de l'œil sain ne s'observe pas dans les paralysies périphériques de la sixième paire. Dans ce dernie
ec le noyau du moteur oculaire interne de (1) Parinaud. — Spasme et paralysie des muscles de l'œil (Gaz. heb. de méd. et de chi
87, n° 46, p. 727). — Parinaud et Georges Guinon : Note sur un cas de paralysie du moteur oculaire externe et du facial avec atte
ntielles. Dans celle que nous donnons plus bas, il existait aussi une paralysie , mais nullement d'origine cérébrale. Bienquela lé
les deux faits cliniques sont à peu près identiques. Obsebvation. — Paralysie conjuguée de la sixième paire droite. —Hémiplégie
aient aucun mouvement quand on sollicitait le regard à droite. Donc : paralysie conjuguée de la 6e paire droite. Mais le droit in
nstate un léger strabisme convergent. L'examen des yeux montre que la paralysie conjuguée de la 6e paire, primitivement limitée a
le défaut de mouvement est moins complet à gauche qu'à droite, où la paralysie est absolue. La diplopie existe dans toute l'éten
endue du champ visuel. Au résumé, dans l'état actuel, le malade a une paralysie des mouvements horizontaux, dans les déplacements
le cérébelleux moyen. 5. Eminentia teres. 6. Bec du oalamus. La paralysie de la sixième paire droite pendant la vie ne pouv
contractait pour la convergence. Ce sont là les signes typiques de la paralysie nucléaire de la sixième paire. On trouvera compar
sixième paire. On trouvera comparativement un exemple très net de la paralysie périphérique du même nerf — paralysie du droit ex
ement un exemple très net de la paralysie périphérique du même nerf — paralysie du droit externe d'un côté, spasme du droit inter
l, mais d'une localisation un peu différente. Chez notre malade, la paralysie tout d'abord unilatérale est devenue double peu d
iveau du noyau d'origine de la sixième paire droite rend compte de la paralysie qui exista tout d'abord, l'extension prise par le
le droit, mais il l'a certainement comprimé. Aussi conçoit-on que la paralysie du moteur oculaire externe gauche a été, comme il
noyau. Nous pensons donc que si dans notre cas il n'a pas existé de paralysie faciale, cela tient à ce que les filets intraprot
trouvait alors en présence de trois types distincts de myopathie : la paralysie pseudo-hypertro-phique ; la forme juvénile de l'a
ues-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive ; paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, atr
térisé par l'impossibilité de l'occlusion des paupières causée par la paralysie de ce muscle, et plus tard avec M. Dejerine fonda
conclusions basées sur ce fait : d'une part, identité de nature de la paralysie pseudo-hypertro-phique et delà forme de Erb, étab
lles, on pouvait rapprocher l'un de l'autre les deux types extrêmes : paralysie pseudodiypertrophique et forme de Landouzy-Dejeri
es deux formes ce que M. Erb avait fait pour la form.3 juvénile et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connaissait avant lui l
ie pseudo-hypertrophique. On connaissait avant lui l'atrophie dans la paralysie pseudo-hypertrophique (myopathie avec prédominanc
certains mouvements. Pas de troubles respiratoires imputables à la paralysie du diaphragme. Pour marcher, le malade cambre s
émond ont montré l'existence de la réaction de dégénérescence dans la paralysie pseudo-hypertrophique (1) dont la nature purement
ce phénomène paraît donc (1) Bédard et Rémond. — Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénéresc
ps que leur volume augmentait. C'est bien là la caractéristique de la paralysie pseudo-hypertrophique : à savoir des muscles gros
lisée en des points qui sont habituellement les plus atteints dans la paralysie pseudo-hyper-trophique pure décrite par Duchenne,
u'il y manquait le signe de Landouzy, l'inocclusion des paupières par paralysie de l'orbiculaire. Mais est-ce là une raison suffi
te n'est plus permis. Mais, en son absence, l'aspect de la bouche, la paralysie de l'orbiculaire des ièvres, le rire en travers «
, M. P. Marie et moi, à l'identité des formes diverses de myopathie : paralysie pseudo-hy-pertrophique, forme juvénile de Erb, fo
de l'atrophie, lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme clans la paralysie pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du t
des cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées comme dans la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme sca-pulo-humérale
ous les malades atteints de sclérose cérébrale infantile avec ou sans paralysie . Leur témoignage, car c'est la plupart du temps a
de fréquence dans la suite (un tous les deux mois environ). Aura : Paralysie brusque des mains, qui lui fait lâcher les objets
rvation VI. Decol... Caroline, 34 ans, tailleuse. Père mort d'une paralysie (?) ayant duré 20 ans. Convulsions dans l'enfan
hérapeutique. La plupart des cas de tabès, de sclérose en plaques, de paralysie générale, d'hystérie, d'épilepsie, dé tumeurs cér
aralysie générale, d'hystérie, d'épilepsie, dé tumeurs cérébrales, de paralysies oculaires, etc., etc., passent au service d'ophth
de vue du diagnostic, des renseignements de première importance. Les paralysies faciales, les surdités, les mutismes, les aphasie
iplégie d'origine cérébrale....... ( Hémiathétose.............. 3 Paralysie pseudo-bulbaire.......... 1 Syphilis cérébrale.
..........198 Idiots, imbéciles et arriérés, non épilepliques. 47 Paralysie générale progressive ........ 59 Maladies menta
ningite tuberculeuse........... 1 Maladies du bulbe........ . 3 . Paralysie labio-glosso-laryngée........ 3 Maladies de la
eich........... 1 Atrophie musculaire du type Duchenne-Aran ... 6 Paralysie spinale infantile.......... 19 Atrophie muscula
e cervico-brachiale......... 3 Névralgie faciale.............. 18 Paralysie de la 6e paire........... 1 Paralysie faciale p
ie faciale.............. 18 Paralysie de la 6e paire........... 1 Paralysie faciale périphérique......... 20 Paralysie radi
6e paire........... 1 Paralysie faciale périphérique......... 20 Paralysie radiale............. 13 Névrites traumatiques..
s saturnines...........• 8 Polynévrite infectieuse aiguë......... Paralysie diphthéritique........• . Névrite diabétique...
d'origine non déterminée. 16 Convulsions de l'enfance.......... 5 Paralysie agitante............ 17 Goitre exophthalmique..
i les autres accidents d'hystérie locale tels que clou, contractures, paralysies , etc. Il semble en somme qu'il y ait une sorte d'
. Il n'a jamais eu ni coliques de plomb, ni douleurs articulaires, ni paralysie des extenseurs, mais il présente à un haut degré
ence des manifestations vulgaires du saturnisme, telles que coliques, paralysie des extenseurs, arthralgies, etc. On sait, d'aill
dans ces cas, n'est pas une affection saturnine au même titre que la paralysie et les coliques, mais le saturnisme détermine un
e MM. Georges Guinon et A. Souques). ... 289 xxxiii Sur un cas de paralysie conjuguée de la sixième paire. (Travail de MM.
— double, 15. Morphinomanie, 438. Moteur oculaire externe (nerf) : paralysie conjuguée du —, 349 ; Noyau du — , 350; Paralysie
re externe (nerf) : paralysie conjuguée du —, 349 ; Noyau du — , 350; Paralysie périphérique du — , 350. Myopathie progressive
83 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
par instants la langue fonctionnait mal. On diagnostiqua alors une paralysie générale au début, puis on pensa à un tabes de
'agit du tabes sont infini- ment supérieurs à ceux obtenus dans les paralysies spasmodiques et la sclérose latérale amyotrophi
qui arrive en pratique, sinon toujours, au moins très souvent. La paralysie spasmodique est caractérisée par des troubles de
UX. 25 et des phénomènes spasmodiques. Les troubles de la motilité ( paralysie ) sont déterminés par la compression des fibres
smodiques. Dans la sclérose latérale amyotrophique où on trouve des paralysies spas- modiques et des lésions des cellules des
sn2éd., 25, X, 51, p. 575, 1889. Weir Mitchell. Treatment of Pott's paralysies by suspension. Amel'ican Journ. of. med., mai 188
près Briquet) et en disparais- sant il laisse comme conséquence les paralysies consécutives de la sensibi- lité et la motilité
ICONOGRAPHIE LE LA SALPÊTRIÈRE. chez le malade de Greenless (1) une paralysie généralisée et subite marqua le début de la mal
assez hypertrophiés. Légère scoliose il convexité gauche. Pas de paralysie appréciable, l'étendue des mouvements intentionne
elles l'atrophie dépend d'une autre maladie et en particulier de-la paralysie infantile. Le cas de Mitchell est bien net à ce
à cet égard, vers ]'age de sept ans son malade a eu une attaque de paralysie infantile, caractérisée par de violentes atta-
érisée par de violentes atta- ques convulsives, de la fièvre et une paralysie des membres inférieurs sui- vie d'arrêt de déve
un enfant atteint d'une athétose dou- ble, et chez qui existait une paralysie infantile. Il faut aussi se rappeler qu'il s'es
individus atteint de la maladie de Freidreich, sclérose en plaque, paralysie générale, chorée chronique, elc... (1) 1V. Ilal
ecousses des choréiques, non plus le tremblement fin et haché de la paralysie agitante. Lorsque D... est ob- servée, qu'elle
s de la face des doigts et des orteils sont à leur maximum.. Pas de paralysie des membres. Pas d'hypertrophie, ni d'atrophie. P
ns sont contracturées. Ces contractures, qui ne dépendent pas de la paralysie des muscles antagonistes, s'exagèrent comme les m
sme, quelquefois deviennent le siège de contractures permanentes. Paralysie . La véritable paralysie n'existe pas dans l'athét
ent le siège de contractures permanentes. Paralysie. La véritable paralysie n'existe pas dans l'athétose dou- ble, presque
Greenless est tout à fait exceptionnel, l'athétose a débuté par une paralysie généralisée. Hughes a vu la paralysie brachiale a
, l'athétose a débuté par une paralysie généralisée. Hughes a vu la paralysie brachiale accompagnée de contracture et qui est
accompagnée de contracture et qui est guérie avec les restes d'une paralysie faciale. Le cas de Rau est du même genre. Tro
e l'abolition des ré- flexes rotuliens, les désordres vésicaux, les paralysies oculaires, le myosis et le signe d'A. Robertson
ulgurantes à retours périodiques ; 2° le signe d'A. Robertson et la paralysie de certains muscles de l'oeil amenant la diplopie
L'attitude permanente des mains témoigne 1 d'une prédominance do la paralysie sur les extenseurs. Main droite : poignet 'Jeu
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L'ordre d'envahissement de la paralysie a été le suivant : en 1880, main droite : en 18
ques du système osseux qui ressortissent à la paréso-anal- gésie. PARALYSIE INFANTILE SPINALE. Heine (2) fut le premier, si
non il signaler, du moins il différencier et à décrire nettement la paralysie spinale infantile. Il y fut conduit par l'étude
Leyden (4), Erb, en ont discuté la pa- thogénic. Il est, dans la paralysie infantile, des déviations dont le mécanisme est
d'ail- leurs rares, où les muscles sacro-lombaires sont frappés de paralysie . Nous parlons ailleurs de cette variété décrite
age (fig. 28, planche XIII). Nous n'y insistons pas. La cyphose par paralysie des extenseurs du rachis est plus rare encore.
e ces cas sont au moins exceptionnels ; il ajoute que d'ailleurs la paralysie se localise rarement, si ce n'est à la première p
d'autres parties ». Tel n'est pas l'avis de Heine. D'après lui, la paralysie frappe souvent toute la partie supérieure du tr
tracture pouvait bien en être la cause, ce dont je ne sais rien, la paralysie , la parésie, l'atonie elle-même suffiront à ex-
nce dans deux cas bien nets. CHAPITRE II 1)I : W1'l'IO\S l'.11t PARALYSIE OU CONTRACTURE DES MUSCLES .MOTEURS OU RACHIS.
déviations vertébrales manifeste- ment et exclusivement liées à la paralysie ou à la contracture de certains muscles moteurs
unilatérales, asymétriques, entraînent des scolioses. Cyphose. La paralysie des extenseurs dorsaux et cervicaux produit une c
ation, il faut que les cuisses se placent en extension forcée. La paralysie des extenseurs du cou (dont ne font pas partie le
radoxal, que Duchenne a mis en évidence et clairement expliqué, une paralysie symétrique des muscles moteurs du rachis lombaire
urs du rachis lombaire produit la lordose, aussi bien lorsque cette paralysie atteint les extenseurs, que lorsqu'elle frappe
traction simultanée de ces deux groupes antagonistes. Supposons une paralysie des /léalhisseurs, c'est-à-dire des muscles dela
bien par cet os ou en avant de lui. Supposons, au contraire, une paralysie bilatérale des extenseurs lomúai- res, c'est-à-
ce en arrière du sacrum, contraire- ment à ce qu'on observe dans la paralysie des fléchisseurs. Cette forme de lordose est ha
le résultat d'une contracture. Il existe pourtant des scolioses par paralysie . A. Scoliose par contracture. Il s'agit toujo
sse sacro-lombaire, nous verrons tout a l'heure que, par contre, la paralysie unilatérale de ces derniers muscles se ren- con
ction musculaire», tant que les vertèbres ne sont pas déformées. La paralysie peut frapper soit les muscles spinaux lombai- r
tion localisée de ces muscles. Dans la cyphose cervico-dorsale par paralysie des spinaux dorsaux et cervicaux, on emploiera
sulv, 166 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Résumé. Les paralysies et contractures des muscles moteurs du rachis dét
contractilité électrique s'explique très bien. Son malade avait une paralysie infantile outre son athétose double. Déformat
nt commencer à marcher qu'à un âge déjà avancé. On n'observe pas de paralysie motrice à proprement parler dans l'athé- tose d
- ladies des tics, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaque, paralysie agitante, etc., affections autonomes et bien di
194 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. les choréiques. Les paralysies rares dans l'athétose double, sont fréquentes d
nt d'attaques convulsives, laissant après elles un certain degré de paralysie des membres et de déviations de. la face, telle
de l'athétose double; et enfin la parole n'est pas altérée dans la paralysie agitante. Sclérose en plaques. L'athétose doubl
- tiers ; dans cette hypothèse ce n'est pas la contracture, mais la paralysie des muscles fléchisseurs latéraux lombaires, qu
cela par le même mécanisme qui détermine une lordose dans le cas de paralysie des muscles extenseurs directs du rachis lombaire
se modifierait pas d'une toute autre manière sous l'influence de la paralysie unilatérale. Hémiplégie infantile. Heine (1) in
2 obser- vations), comme un des caractères qui la distinguent de la paralysie atrophi- que de l'enfance. M. Laborde (2) tient
BRALES DANS DIVERSES AUTRES MALADIES NERVEUSES. Aliénation mentale. Paralysie générale. Il résulte des recherches d'un certai
s'agirait plutôt d'un état spasmodique, et peut-être parfois d'une paralysie des muscles moteurs du rachis. Myopathies pri
usieurs variétés de myopathies primitives, notam- ment dans le type paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne, dans le type
associe une cyphose dorsale plus ou moins prononcée. A propos de la paralysie pseudo-hypertrophique. M. Ray- mond (1) critiqu
ient à lutter contre le poids du tronc. Ainsi, la répartition de la paralysie aux membres inférieurs, aussi bien que son sièg
rachis dans le plan médian. Elles ont été observées dans les cas de paralysie ou d'atrophie symétrique 1° des muscles abdomin
se subdivisent en plusieurs classes : a) Scolioses paralytiques. La paralysie peut frapper la masse sacro- lombaire d'un seul
tèbres, et une courbure de compensation dorso-cervicale. Quand la paralysie frappe il' la fois les muscles sacro-lombaires et
ioses des hémiplégiques. Elles paraissent être la conséquence de la paralysie d'un membre inférieur. Elles résultent d'une cont
hique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie musculaire ( paralysies , contractures). Il serait superflu de discuter
nilatérale des muscles spinaux coïncide, comme dans certains cas de paralysie infantile, avec la période de développement du ra
lésions le plus souvent symétriques. Ce sont : la syringomyélie, la paralysie infantile, la maladie de Friedreich, le tabes.
e changer de position. Cette malade est-elle réellement atteinte de paralysie agitante ? On est Nouvelle iconographie DE la S
us ne voyons en réalité rien qui simule cette dernière affection. Paralysie infantile. Tout récemment, Massalongo vient de ra
il a observé des mouvements involontaires, au cours d'une ancienne paralysie infantile. Il fait remarquer qu'il était impossib
tant. II Depuis longtemps, j'avais appris des malades atteints de paralysie agi- tante, qu'ils retiraient un grand soulagem
uteuil trépidant EN usage A la SALPÊTRIÈRE POUR LE traitement DE la Paralysie AGITANTE JOUIS )3ATT.AILLE A ....cI ? tDITLUPS
che avec raison du fauteuil trépidant qui trouve son emploi dans la paralysie agitante d'un appareil assez analogue imaginé e
ie uniquement le fauteuil trépidant pour les cas bien déterminés de paralysie agitante dans laquelle il produit une sédation
la thérapeutique vibratoire. En ce qui regarde le traitement de la paralysie agitante par le fauteuil trépidant, les séances
avoir récemment beaucoup maigri. Motilité. Le malade présente une paralysie double des extenseurs du pied, complète à gauch
quinze minutes. ` Aux membres supérieurs, il n'y a ni parésie ni paralysie notables ; la force musculaire y est normale à
rale. Massalongo croit à des altérations semblables il celles de la paralysie générale. La plupart des auteurs ne se sont pas
re mort d'une chute d'un arbre. Mère d'une attaque d'apoplexie avec paralysie droite en 11 jours. v 20 298 NOUVELLE ICONOGR
ours les si- gnes des affections qu'ils viennent compliquer (tabes, paralysie infantile, névrite périphérique, hystérie), ce
e sont produites par des lésions étendues de la zone motrice. Les paralysies partielles sont produites au contraire par des lé
nfant atteint d'hémiplégie spasmodique. On sait également que si la paralysie du facial inférieur peut exister dans l'hémiplé
ns corticales des enfants : c'est la règle la plus commune dans les paralysies hystériques. Mais au cas môme où celle atrophie
s'étaient manifestés en dehors de toute at- taque, sans aphasie ni paralysie concomitante. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
nges. D'après ce qui précède, il n'y a pas, à proprement parler, de paralysie des mouvements volontaires, correspondant à l'h
cas de diagnostic difficile (1). » Cette polyopie s'observe dans la paralysie de l'accommodation produite par l'atropine, dan
provoqués par un choc nerveux, ont été des phénomènes capricieux : paralysies , con- tractures, convulsions hystériques ou hys
force nécessaire pour se réaliser objec- tivement sous la forme de paralysie . La sensation dont il s'agit, aurait en conséqu
fai naître l'idée que nous voyons se traduire objectivement par une paralysie . Ce long intervalle entre le choc et les manife
ne voit pas bien claire- ment pourquoi le choc produit l'idée d'une paralysie . Mais le cas que nous observons nous place dans
trange et je vais m'expliquer. Une hémorrhagie cérébrale produit la paralysie en comprimant certaines fibres nerveuses et en
r enchante- ment, à la suite de la seconde attaque apoplectique; la paralysie était de nouveau flasque et complète, tandis qu
pilepti- que), 14. Fauteuil trépidant, pour le traitement de la paralysie agitante, 33. Hermaphrodites, 43, 44, 45, 46, 4
84 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ent l'aspect était normal. Il n'existait à ce moment ni parésie, ni paralysie des membres ou de la face. La parole, les réfle
et Saenger, elle est toujours accompagnée par un spasme ou par une paralysie des muscles intrinsèques ou extrinsèques des ye
syncynésies qui se produisent au moment de fermer les yeux. Dans la paralysie faciale périphérique les deux phénomènes sont exa
fermeture de l'oeil quand on luille. M. Oppenheim, dans un cas de paralysie faciale périphérique, a observé des contraction
ment de clignement des yeux et les dilatateurs des narines. Dans la paralysie faciale périphérique on a souvent observé que l
vrai dire, 1\1. Oppenheim soutient que ce réflexe, dans les cas de paralysie fa- ciale périphérique, est aboli du côté paral
it un relâchement bilatéral rapide du releveur antagoniste. Dans la paralysie faciale d'origine centrale, il y a le signe de
na, Senator, Hoffmann et Bergonié ont observé, dans quelques cas de paralysie périphérique, qu'en excitant le facial du côté sa
M. Oppenheim a observé, chez les personnes qui ont été frappées de paralysie faciale en bas âge, que les muscles voisins de la
ent toutes ensemble. Valobra a donné la même explication aux cas de paralysie faciale périphérique avec réaction contro-latér
Sezione medica, Vol III, fasc. 111, 1896. PAIIINAUD, - Spasmes et paralysies des muscles de l'oeil. Gaz. hebd. de méd., 1891,
pas provoqués, les crémastériens sont présents. Aux membres, pas de paralysies véritables constatées, mais par' la somnolence
du sang a été fait deux semaines après la ren- trée. Est mort d'une paralysie du coeur. Le sang présente une certaine auâ men
ndre ses muscles raidis. Il y a un an, une amie intime mourut d'une paralysie progressive. Elle eut peur d'avoir la même mala
ogique principal, dans ce cas, était, à ce moment, la crainte d'une paralysie . C'était l'appréhension du tremblement, dont elle
et de leur répercussion sur son propre état men- ta 1. Cas III. - Paralysie du type trémulanl d'un écrivain. Un autre cas q
chose professionnelle, est celui d'un caissier de la Marine dont la paralysie trémulante de la main fut guérie après une con-
l que la crainte de manquer de virilité, la peur de la folie, de la paralysie , etc. Et ces inquiétudes doivent se distinguer na
des sujets en pareil cas, il ne se plaignait ni de douleurs, ni de paralysie , mais constatait, ce qui était la vérité, qu'il n
nsuit que dans la plupart des cas on n'a l'occasion de constater ni paralysie , ni atrophie de cause centrale, ni anesthésie d
autre. Jeanselme s'exprime ainsi très à propos à ce sujet : « La paralysie faciale portant sur les deux branches n'est pas
us rares. En général les deux côtés sont pris asymétrique- ment. La paralysie frappe tels muscles, respeclant lelsaulres; elle
de clore- les yeux au moment de la pose photographique, on voit la paralysie de la lèvre supérieure et de la joue du côté droi
tonner que les douleurs aiguës, les spasmes musculaires et même les paralysies et les aÍ1esthésies guérissent sponta- nément.
ies démonstratives. La figure 17 appartient à une femme atteinte de paralysie faciale dou- ble et complète dont l'électro-réa
sont portés vers ce côté. Mais dans la figure 2) il laisse voir la paralysie des deux faciaux supé- Fig 47 Fig 48 Fig. 4
ieur.. En revanche, la femme dont il s'agit dans la figure 10, avec paralysie double de la VII" paire, n'a pas le signe parce
actères généraux et électriques soient dans les deux cas ceux de la paralysie périphérique grave, chez les deux labyrinlhique
uteurs qui prétendent que dans la lèpre nerveuse, il n'y a point de paralysie , et que ce qui existe est purement atrophie muscu
ance anatomique. Il est certain que dans cette maladie l'absence de paralysie existe le plus souvent malgré le trouble trophiqu
ns sonl bien loin d'être rares. Ce qui est bien clair, c'est que la paralysie , quand elle existe, est unie à l'atrophie muscula
e dégé- nérative et que l'atrophie, quand elle n'est pas unie il la paralysie , ne présente point les signes physiques de ! a
courants d'induction se con- serve dans des muscles atrophiés sans paralysie et que son intensité est proportionnelle à leur
interceptons l'innervation d'une région, il peut survenir, outre la paralysie de la motilité, du sentiment etde la vasomotricit
mélancolie circulaire, deux enfanta chez qui le type péronéal de la paralysie iLi-opiliqLle se présenta dès les premières ann
SOCIÉTÉ UF : NEUROLOGIE DE PARIS. SÉANCE DU 1 MAI 1914. ZONA ET PARALYSIE R \DIr;ULAIRES DU MEMBRE SUPÉRIEUR (1), PAR
eu l'occasion d'observer un zona du plexus brachial accom- pagné de paralysie radiculaire. La rareté des faits de ce genre et l
e ce genre et l'obscu- rité de l'interprétation pathogénique de ces paralysies nous ont engagés à présenter ce malade à la Soc
VELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XLVII ZONA ET PARALYSIE RADICULAIRES DU MEMBRE SUPÉRIEUR (Souques, Beau
s, Beaudouin et Laiitiiéioiil) Masson & Cie, Editeurs ZONA ET PARALYSIE IiADICULAIRh6â.tBhtE SUPÉRIEUR 253 Cette locali
et au poignet. Enfin, le sens stéréognostique est altéré. ZONA ET PARALYSIE RADICULAIRES DU MEMBRE SUPERIEUR 255 est clair,
relativement C. 5. Le fait intéressant, c'est la coexistence d'une paralysie qui frappe plus ou moins tous les muscles inver
se gauche plaide également en faveur de l'origine radiculaire de la paralysie . Il y a par conséquent superposition topographi
ectriques, et disposition radiculaire de ces divers troubles. Les paralysies consécutives au zona du membre supérieur sont exc
ervations de Joffroy (1), qui sont assez explicites. Dans l'une, la paralysie a suivi et dans l'autre elle a précédé le zona.
s dans la thèse de Doucet (2). Cette coexistence du zona et de la paralysie n'est pas due une coïn- cidence pure et simple.
t facilement cette propagation. Il semble d'ailleurs que toutes les paralysies zostériennes, quel que soit leur siège, membre,
lèvent d'un mécanisme analogue. Il faut noter cependant que pour la paralysie faciale zostérienne on pourrait, au lieu d'une
e. Archives de physiologie. 1882. (2) DOUCET, Le zona associé aux paralysies et aux amyotrophies . Th. Paris, 1901. LE MÉCAN
s difficilement dans les condi- tions normales. Ainsi, l'idée d'une paralysie , d'une contracture, d'une anesthésie entraîne l
ve et motrice très vive, d'où l'impulsion automatique à l'acte. Une paralysie hystérique, par exemple, n'est, à mon avis, que l
forte impression cénesthésique éprouvée par le malade à l'idée delà paralysie ; la contracture d'un membre implique de même l'
eurs, sécrétoires et parfois trophiques. On a cité très souvent des paralysies , des anesthésies hystériques s'accompagnant d'u
x malades. L'infirmité de ces malades n'est causée ni par la simple paralysie , ni par les troubles de la sensibilité, ni par
rgyll-Robertson est donc positif. Il n'y a pas de uystagmus. Pas de paralysie de la musculature extrinsèque. Le champ visuel
. On peut rencontrer aussi une protrusion des globes oculaires, des paralysies des muscles moteurs de l'oeil, le nys- tagmus,
polyurie à une lésion inlerpédonculaire. Simon l'a signalée dans la paralysie générale. On a signalé enfin ce syndrome dans l
ROPHIE HYPOPHYSAIRE 323 vu la polyurie avec azoturie succéder à une paralysie par lésions céré- brales. Lecorché a noté l'azo
térieur dans la palhogénèse de la polyurie. En ce qui concerne la paralysie vésicale, nous rappellerons que von Frankl-Hoch
'attaques épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur du cerveau, paralysie cérébrale infantile; tumeur de l'hypophyse, scl
iques, iaporencéphaiie, la sclérose tubéreuse (forme d'idiotie), la paralysie cérébrale infantile, le tubercule solitaire, les
ormes de syphilis du système nerveux central (syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive, syphilis cérébrale comme
a les traces de Binswanger et Redlich, considérer ces phénomènes de paralysie unilatérale que comme une accumulation de phénomè
atteint un hémisphère plus que l'autre. Et quand des phénomènes de paralysie cérébrale infantile existent chez des épileptiq
nt existé dans la jeunesse, correspondante ou très apparentée à une paralysie cérébrale infantile (sans toutefois montrer 'to
(sans toutefois montrer 'toujours les phénomènes typiques de cette paralysie ), peut donner lieu à un développement ultérieur
érébrale se rattachent donc tout à fait à l'épilepsie causée par la paralysie cérébrale infantile, car, dans la grande ma- jo
ntile, car, dans la grande ma- jorité de ces cas, l'épilepsie et la paralysie furent causées par un même facteur, à savoir pa
table épilepsie peut se déclarer aussi chez les malades atteints de paralysie cérébrale infantile. Toutefois, cela ne sera qu'u
ception très rare et comme toutes les deux, tant l'épilepsie que la paralysie , peuvent être parfaitement expliquées par le même
omènes d'une même cause. Si nous rencontrons donc également dans la paralysie cérébrale infantile des attaques épileptiques,
même origine qui cause dans un cas l'épilepsie, dans un deuxième la paralysie cérébrale infantile et dans un troisième ces deux
phénomènes épileptiques se présentent seuls, Freud parle alors de « paralysie cérébrale infantile sans paralysie ». Quoi- que
nt seuls, Freud parle alors de « paralysie cérébrale infantile sans paralysie ». Quoi- que cette expression soit étrange, l'i
nomènes très différents et cette cause est la base anatomique de la paralysie cérébrale infantile, dans laquelle se montrent ta
nt tantôt des phé- nomènes d'excitation et tantôt des phénomènes de paralysie . Krause, lui aussi, a appelé l'attention Sur le
d'encéphalite et de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 375 paralysie cérébrale infantile sont bien loin de causer plus
ne pourrait s'appliquer naturellement qu'aux cas de combinaison de paralysie cérébrale infantile avec l'épilepsie véritable es
Cela semble donc aussi étrange quand Redlich dit : « Revenant à la paralysie cérébrale in- fantile, je crois que les concept
r, ne peuvent servir vraiment que pour quelques cas et que, dans la paralysie cérébrale infantile, avec ou sans paralysie, il
ues cas et que, dans la paralysie cérébrale infantile, avec ou sans paralysie , il peut se développer uneépi- lepsie véritable
: l'épilepsie essentielle sera rarement aussi bien combinée avec la paralysie cérébrale infantile qu'avec la maladie de Hirschp
schprung (pour don- ner un exemple) ; si nous trouvons associées la paralysie cérébrale infan- tile et l'épilepsie, toutes de
de la pré- sence ou de l'absence des attaques épileptiques dans la paralysie cérébrale infantile est dans le fait que, dans
re on peut aussi déter miner le passage de certaines épilepsies par paralysie infantile à des ano- malies qui ne peuvenl pas
t étendues si diffusément qu'elles causent' tant l'épilepsie que la paralysie cérébrale infantile, il y a alors épilepsie cér
lument pas être essentielle ; déplus, qu'il y ait des phénomènes de paralysie céréhrale infantile ou non, cela ne change rien
difficile, j'ai trouvé qu'ils se composaient de : 380 BOLTEN · Paralysie cérébrale infantile (avec attaques épileptiformes
epsie essen- tielle » ; si nous en excluons maintenant les 3 cas de paralysie cérébrale infantile que le médecin de la famill
la circulation.-Yéritz, Alt et Bronstein ontdémon- tré cela pour la paralysie générale progressive, processus qui cause une d
n me questionnait, mais je ne pouvais pas parler. C'était comme une paralysie intérieure. Ma tête était comme vide. Je me rappe
sccondaÎ1'e (Absence de - des faisceaux pyramidaux dans un cas de paralysie type Babinski), par CoyoN et Barré, 81. Dégén
RON et CounsoN, 103. Syndactylie, par et HAIIAIIO, 312. Zona et paralysie radiculaires du membre supérieur, par Souques,
gie type Babinski, 81. BAUDOUIN, Souques et Lantuéjoul. Zona et paralysie radiculaires du membre supé- rieur, 251. - -
ng dans la pellagre, 94. Lantuéjoul, Souques et BAUDOUIN, Znna et paralysie radiculaires du membre supé- rieur, 231. Amyo
Charcot-Marie, 175. Souques (A.), BAUDOUIN et LANTUÉJOLL. Zona et paralysie radiculaires du membre supérieur, 251. Amyotr
et COURBON), XXIX. Syndactylie (KLIPPEL et RABAUD), LIX. Zona et paralysie radiculaire (Souques, BAUDOUIN et LANTUJOUL), X
85 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
que relative, et que la moitié gauche du corps participait aussi à la paralysie . Je ne donnai pas une assez grande attention au p
ans, entra à l'infirmerie de la Salpêtrière le i5 août i836, pour une paralysie des membres supérieurs et inférieurs. Il n'était
nférieurs. Il n'était pas difficile de reconnaître la source de cette paralysie dans une maladie des vertèbres cervicales. La têt
épineuses et les lames de la 2e et de la 3e vertèbre cervicale. La paralysie porte sur les membres supérieurs et inférieurs dr
mbres supérieurs sont moins affectés que les membres inférieurs. La paralysie porte à-la-fois sur le mouvement et sur le sentim
e rachidien, ou enfin cette hémiplégie du larynx constitue-t-elle une paralysie locale produite par la compression, par l'atrophi
mpression; 3° par contraction spasmodique ; 4° Par affaiblissement ou paralysie ; 5° par hypertrophie circonscrite ; 6° par végét
l'utérus, maladies du foie, péritonite chronique), sont prises d'une paralysie complète et générale du sentiment et du mouvement
en excepte toutefois les apoplexies centrales de la protubérance, la paralysie porte plus sur une moitié du corps que sur l'autr
ns. 11 y a treize ans qu'elle a été paralysée du côté droit, et cette paralysie a mis un terme fort long à se dissiper complèteme
la Salpêtrière. J'ignore si le membre transformé était le siège d'une paralysie . Dans le cas représenté xxmc livraison, toutes
rs chiens : quelques instans après, mort du membre, manifestée par la paralysie immédiate du mouvement et du sentiment, et par la
es cas, au moins momentanément; il arrive en effet quelquefois qu'une paralysie complète du membre, sans changement de couleur à
e. Dans un cas de ce genre, je crus pendant vingt-quatre heures à une paralysie du bras par lésion du cerveau ou de la moelle, pa
ie du bras par lésion du cerveau ou de la moelle, parce qu'il y avait paralysie du sentiment et du mouvement sans changement de c
fs ou du centre céphalo-rachidien, en ce que, dans le premier cas, la paralysie du sentiment et du mouvement est aussi complète q
omplète que possible, tandis qu'il est excessivement rare de voir une paralysie complète par lésion des nerfs. Un autre caractère
s nerfs. Un autre caractère tout-à-fait pathognomonique, c'est que la paralysie par oblitération artérielle s'accompagne de froid
de la peau à la manière d'un cadavre, ce qui n'a jamais lieu dans la paralysie nerveuse; en outre, dans la paralysie artérielle,
ce qui n'a jamais lieu dans la paralysie nerveuse; en outre, dans la paralysie artérielle, les artères ont cessé de battre dans
le remarquable des analogies et des différences qui existent entre la paralysie nerveuse et la paralysie artérielle. quatrième
ies et des différences qui existent entre la paralysie nerveuse et la paralysie artérielle. quatrième observation. —Pneumonie.
spontanée du membre inférieur droit présentant tous les signes de la paralysie . — Décoloration simple du membre paralysé, qui re
ème observation. — Gangrène spontanée de la main droite, simulant une paralysie rhumatismale. — Gangrène des extrémités digitales
depuis le bout des doigts jusqu'au coude du même côté (côté gauche); paralysie du sentiment et du mouvement de la main : la mala
a piqué un nerf. Le lendemain, il\, je constatai l'existence d'une paralysie du sentiment et du mouvement limitée à la main ga
des douleurs assez prononcées dans les doigts : je mis sur ma note : paralysie rhumatismale de la main ; et ne pouvant m'expliqu
lysie rhumatismale de la main ; et ne pouvant m'expliquer pourquoi la paralysie de la main sans paralysie du coude et du bras, sa
ain ; et ne pouvant m'expliquer pourquoi la paralysie de la main sans paralysie du coude et du bras, sans paralysie aucune du mem
quoi la paralysie de la main sans paralysie du coude et du bras, sans paralysie aucune du membre inférieur, sans hémiplégie facia
ie aucune du membre inférieur, sans hémiplégie faciale ; pourquoi une paralysie complète du sentiment et du mouvement avec douleu
ète du sentiment et du mouvement avec douleur; pourquoi ce mélange de paralysie et de douleur? je pensai que cette paralysie avai
; pourquoi ce mélange de paralysie et de douleur? je pensai que cette paralysie avait son siège non dans le cerveau, mais dans le
filiforme, dure et sensible à la pression, j'ajoutai à ma note que la paralysie purement locale tenait ou à une lésion des nerfs
ation, c'est le mode d'invasion de la gangrène , qui a simulé «elle paralysie rhumatismale douloureuse qui débute parla plante
dynie. Qu'on ne croie pas qu'il soit toujours facile de distinguer la paralysie par suspension de circulation artérielle, delà pa
istinguer la paralysie par suspension de circulation artérielle, delà paralysie par suspension d'action nerveuse : dans un cas, q
e des parties : on évitera toujours l'erreur si on se rappelle que la paralysie artérielle s'accompagne constamment de douleurs t
ent. C'était le sentiment qui avait été intéressé en premier lieu; la paralysie du mouvement n'était venue que plus lard. Senti
a paralysie du mouvement n'était venue que plus lard. Sentiment. La paralysie du sentiment est presque complète sous l'action d
lle parut diminuer de volume. En même temps, diminution notable de la paralysie , sous le rapport du mouvement ; diminution notabl
a moelle de la cause qui la comprimait. Mais cette diminution dans la paralysie du mouvement et dans les douleurs, ne fut pas de
ardent de la mort, comme le seul terme à ses souffrances. Point de paralysie du mouvement. De temps en temps, contraction co
rai qu'elle était affectée d'une double amaurose complète ; que cette paralysie était survenue quatre ans auparavant, à la suite
elques jours. Du reste, l'intelligence est pleine et entière : aucune paralysie du sentiment et du mouvement autre que celle de l
endraient s'appliquer élastiquement contre les fesses. Du reste, la paralysie du mouvement volontaire est complète dans les mem
her trop vite. C'est par les genoux et par la plante des pieds que la paralysie a débuté. Il lui semblait dans les premiers temps
ement diminué de volume au niveau de cette tumeur. La paraplégie ou paralysie partielle peut reconnaître pour cause une compres
idien appartenant à un individu affecté depuis un temps assez long de paralysie incomplète du mouvement des extrémités inférieure
c douleurs excessives dans ces mêmes extrémités. Comme cause de cette paralysie douloureuse, nous avons vu, au niveau des huitièm
eux. La même cause, suivant ses degrés, peut donner lieu tantôt à une paralysie non douloureuse, tantôt à une paralysie douloureu
peut donner lieu tantôt à une paralysie non douloureuse, tantôt à une paralysie douloureuse. La douleur était bien plus vive et b
dans cette maladie en raison inverse de la lésion de la moelle. La paralysie sans douleur suppose une solution de continuité c
un engourdissement douloureux du membre inférieur gauche: il y avait paralysie du mouvement et exaltation de la sensibilité. Le
ute la gravité du cas ; je dis que , selon toutes les apparences , la paralysie allait gagner progressivement le membre inférieur
tronc , les membres supérieurs présentèrent ce singulier amalgame de paralysie et de douleur, qui m'avait si vivement frappé dan
ien persuadé que j'avais affaire à une méningite rachidienne ; que la paralysie n'était qu'un effet de l'inflammation, que le seu
ons , deux vésicatoires à la partie interne des jambes. Le 27mai,la paralysie douloureuse, ou engourdissement douloureux,s'étai
hanche,et dès-lors je diagnostiquai non plus un rhumatisme, mais une paralysie par méningite rachidienne. Le 5 juin, elle occu
u'à la clavicule. Or, voici les caractères fort remarquables de cette paralysie . Impossibilité de mouvoir les membres inférieur
st abolie, mais que la sensibilité des muscles est augmentée : il y a paralysie douloureuse des muscles, et la paralysie musculai
scles est augmentée : il y a paralysie douloureuse des muscles, et la paralysie musculaire me parait exclusivement déterminée par
e parait exclusivement déterminée par la douleur. En un mot, il n'y a paralysie que parce que la contraction musculaire est doulo
la région cervicale, la tête, n'ont, en aucune façon, participé à la paralysie . La gaîté enfantine de la malade contraste avec s
paralysie. La gaîté enfantine de la malade contraste avec son état de paralysie presque générale. Les urines sont volontaires, ma
moxas sont appliqués au milieu de la région cervicale. 7 juin : la paralysie du sentiment de la peau et la paralysie douloureu
gion cervicale. 7 juin : la paralysie du sentiment de la peau et la paralysie douloureuse des muscles ont envahi le membre supé
précédens : elle est en même temps engourdie, preuve évidente que la paralysie a augmenté et qu'elle est sur le point d'atteindr
uer une nouvelle saignée, qui fut suivie de vomissemens. 9 juin. La paralysie s'est étendue au membre supérieur gauche , seul m
hier au soir. lies doigts seuls sont libres et non douloureux; car la paralysie et la douleur marchent toujours simultanément. La
x; car la paralysie et la douleur marchent toujours simultanément. La paralysie du mouvement paraît être l'effet de la douleur mu
leur musculaire, et c'est là la grande différence qui existe entre la paralysie par méningite et la paralysie par compression ou
a grande différence qui existe entre la paralysie par méningite et la paralysie par compression ou désorganisation de la moelle.
es. Les doigts de la main gauche finissent par être envahis. Il y a paralysie complète du sentiment et du mouvement du membre i
ace, la gaîté, la sécurité la plus complète, la causerie et l'état de paralysie douloureuse. Elle raconte qu'elle a rêvé à des vo
à force d'efforts qu'elle y parvient, et le caractère essentiel de la paralysie par méningite rachidienne me paraît consister dan
mais il lui a été impossible de reprendre sa position première. La paralysie complète du sentiment et du mouvement du membre i
s acquièrent la faculté de se mouvoir volontairement, en sorte que la paralysie paraît subordonnée à la douleur. La sensibilité d
n ne saurait la distraire. Le 11 juillet, je crains le retour de la paralysie . La jambe droite est lourde, engourdie, douloureu
de la douleur. Trois pilules de gomme gutte de deux grains. Le 12, paralysie douloureuse de la jambe droite. Lorsque la malade
, douleur de dos, douleur de tête frontale et syncipitale. Le i3,1a paralysie par douleur ou plutôt l'engourdissement douloureu
caractère de la paraplégie par méningite rachidienne est donc, i° une paralysie cutanée qui envahit successivement les membres in
ssivement les membres inférieurs, le tronc et les membres supérieurs, paralysie qui survient graduellement, d'abord dans une frac
puis dans tout un membre, et passe delà dans un autre membre; i° une paralysie des muscles par douleur dans la première période
une paralysie des muscles par douleur dans la première période ; une paralysie des muscles avec insensibilité dans la deuxième p
onté ne peut rien sur les muscles, et c'est alors qu'on dit qu'il y a paralysie . Si, dans la méningite rachidienne, le contact de
était insensible), mais bien par l'endolorissement des muscles. La paralysie par douleur et avec douleur musculaire, douleur l
mens communiqués, aux mouvemens spontanés; tel est le caractère de la paralysie par méningite rachidienne. Il est si vrai que la
tère de la paralysie par méningite rachidienne. Il est si vrai que la paralysie est causée par la douleur, que la paralysie n'est
ne. Il est si vrai que la paralysie est causée par la douleur, que la paralysie n'est pas essentielle, si je puis m'exprimer ains
ns l'observation. Je croyais que, chez mademoiselle Gault, il y avait paralysie du mouvement et exaltation du sentiment en généra
e sentiment avait son siège dans les muscles paralysés, qu'il y avait paralysie du mouvement par exaltation de la sensibilité mus
s complète de toutes celles qui ont été recueillies sur la matière. Paralysie musculaire èt conservation de la sensibilité, tel
ans une partie, mais n'est pas encore abolie. Plus loin, lorsque la paralysie douloureuse s'est étendue aux membres supérieurs,
de dormir. Elle dit avoir eu, pendant les cinq ans qui ont précédé la paralysie , des désirs vénériens très fréquens pendant son s
ens convulsifs. Voici son état le 2 décembre, jour de son entrée. Paralysie presque complète du mouvement dans les membres in
ines toujours purulentes , que j'attribue à un catarrhe de vessie. La paralysie du mouvement est toujours la même; la paralysie d
atarrhe de vessie. La paralysie du mouvement est toujours la même; la paralysie du sentiment semble faire des progrès: elle attei
tres cas, elle peut en être indépendante et survenir primitivement. Paralysie incomplète du mouvement, paralysie presque complè
dante et survenir primitivement. Paralysie incomplète du mouvement, paralysie presque complète de la sensibilité tactile : tels
de la moelle. Nous ne devrons pas oublier comme caractère fréquent de paralysie incomplète de la sensibilité la lenteur de percep
ont Pintensité n'était nullement en rapport avec celle de la cause. Paralysie incomplète des membres inférieurs : affaiblisseme
la pneumonie. Paraplégie avec rétraction des membres inférieurs. —» Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. — Indurati
de de rendre involontairement les urines et les matières fécales. Ces paralysies apparentes par rigidité sont plus communes qu'on
, et puis elles finissent par tenir aux articulations. Dans le cas de paralysie incomplète, la rigidité joue un rôle important au
te, la rigidité joue un rôle important au point de faire croire à une paralysie complète, alors que le membre, revenu à sa flexib
soin de rapprocher ce fait d'autres faits dans lesquels de prétendues paralysies n'étaient autre chose que des rigidités produites
ensibilité. Voici son état le i5 février i833 , jour de son entrée. Paralysie complète des membres inférieurs; le chatouillemen
us légère sensibilité. J'étudie avec beaucoup de soin l'étendue de la paralysie du sen-timent:elle occupait les membres inférieur
e. Voici les renseignemens qu'elle m'a donnés sur l'invasion de cette paralysie , après quoi j'exposerai les symptômes qu'elle a o
nt et du sentiment et du mouvement meurt d'une maladie étrangère à la paralysie . Plusieurs fois j'avais essayé de la faire marche
plet pour la partie historique, est bien remarquable ; car il y avait paralysie du mouvement seulement, et la transformation ou d
ent. Les urines et les selles sont volontaires. Je considérai cette paralysie comme la suite d'une affection rhumatismale. Je r
comme la gauche. Les membres supérieurs finirent par participer à la paralysie : ils étaient tremblans, faibles ; mais la malade
de son entrée salle Saint-Gabriel, n. 8. A. Membres inférieurs, i0 Paralysie complète du sentiment dans toute la moitié inféri
plus violens, les piqûres avec des épingles ne sont pas perçus. 2° Paralysie incomplète du mouvement dans ces mêmes membres in
e parfaitement saine. Réflexions. Dans le cas précédent, il y avait paralysie du sentiment et du mouvement ; mais la paralysie
récédent, il y avait paralysie du sentiment et du mouvement ; mais la paralysie avait beaucoup plus porté sur le sentiment que su
ession delà moelle par une cause susceptible d'être enlevée. Telle la paralysie par les vertèbres déplacées ou par le pus de la c
a volonté. Voici d'ailleurs quel était l'état des membres paralysés : paralysie complète des membres inférieurs, quant au mouveme
et un traitement interne, que la malade n'a pas pu indiquer; mais la paralysie et la douleur firent sans cesse de nouveaux progr
ar inflammation de l'arachnoïde spinale, 4° de fausses paraplégies ou paralysies par immobilité et rigidité, d'autant plus faciles
J'ai dit que, chez cette dernière malade, il y avait en même temps paralysie des membres inférieurs et paralysie du membre sup
malade, il y avait en même temps paralysie des membres inférieurs et paralysie du membre supérieur. Ce n'est pas la première foi
u. Aujourd'hui, à défaut de tout autre symptôme, la coexistence d'une paralysie du sentiment et d'une paralysie du mouvement, m'é
autre symptôme, la coexistence d'une paralysie du sentiment et d'une paralysie du mouvement, m'éclairerait de suite sur le siège
sur l'absence de douleurs, de crampes, de secousses, de rigidité. Une paralysie par compression, à moins qu'elle ne soit complète
es doigts ; et il est bien évident qu'il n'y a pas augmentation de la paralysie , mais bien douleur surajoutée. Je pense à i'ara
its (voy. xxxne livraison), présente une association singulière de la paralysie et de la douleur; et je suis d'autant plus fondé
fets : i° sur les nerfs capillaires cutanés ou musculaires, de là ces paralysies ou névralgies cutanées, de là ces paralysies musc
u musculaires, de là ces paralysies ou névralgies cutanées, de là ces paralysies musculaires qui envahissent tous les muscles ou c
une distinction. Un membre paralysé ne se raccourcit pas, mais si une paralysie complète vient à l'atteindre XXXVIIIe LIVRAISON
ertèbres cervicales et des premières dorsales. —Invasion subite de la paralysie à la suite de douleurs des épaules.—Péritonite tu
s questions. Il m'est impossible d'établir la limite supérieure de la paralysie . L'abdomen est sensible à la pression. Rétentio
novembre, les douleurs se sont dissipées et ont été remplacées par la paralysie , qui, en quelques heures, passa des pieds aux jam
y avait aucune douleur. En outre, l'instantanéité de l'invasion de la paralysie , les douleurs dorsales qui avaient précédé, milit
en novembre jusqu'à sa mort en décembre, aucune amélioration dans la paralysie ne s'est manifestée : eschares aux talons, au sac
n travail morbide irritatif. Relativement a l'invasion subite de la paralysie , elle s'explique par le déplacement des vertèbres
orsale. Cette déviation a lieu aux dépens de cinq ou six vertèbres. Paralysie du sentiment des membres inférieurs jusqu'au nive
sentiment des membres inférieurs jusqu'au niveau de l'ombilic; cette paralysie est complète quant au pincement, quant aux piqûre
ité la plus commune , celle qui précède tous les autres phénomènes de paralysie ; il ne disparait complètement que lorsque la sens
onsommée, l'état du malade resta stationnaire; or, voici cet état : Paralysie complète du sentiment dans les membres inférieurs
et en particulier avec la mixture suivante que j'ai adoptée dans les paralysies : 2/. Alcohol de mélisse, 2 onces. Teinture d
lemment dans cette attitude. Il était aisé de voir que, bien que la paralysie fût stationnaire, le cancer ne l'était pas, et qu
Salpêtrière. (2) J'attache une grande importance dans 1 étude de la paralysie à l'affaissement de l'aile du nez. Dans un grand
l'aile du nez. Dans un grand nombre de cas, c'est le seul symptôme de paralysie qui survive à tous les autres. Il m'arrive souven
'aperçut en outre qu'elle était plus paralysée que de coutume, que la paralysie portait surtout sur le côté gauche, et que la par
insensible aux pincemens et à tous les autres moyens de stimulation ( paralysie avec rigidité), lue membre supérieur droit est da
rêmement difficile, à raison des phénomènes croisés et non croisés de paralysie qu'elle présente : il serait possible que les phé
e qu'elle présente : il serait possible que les phénomènes directs de paralysie tinssent à l'apoplexie du pédoncule, et les phéno
je croyais fermement à une apoplexie de la protubérance, parce que la paralysie étant générale, un peu plus forte cependant à dro
nt établir que le cerveau avait supporté impunément, sans qu'il y eût paralysie , une compression extrêmement forte, si on a égard
ompression médiocre avait, toutes choses égales d'ailleurs, amené une paralysie . La fîg. 2 représente une apoplexie capillaire
verture du cadavre. —¦ Cerveau. — Hémisphère gauche {coté opposé à la paralysie ). Membrane peau de daim remplaçant les circonvolu
mplète du mouvement avec rigidité très prononcée du membre supérieur; paralysie moins complète et sans rigidité du membre inférie
uvé trois attaques successives : une première, il y a quinze ans : la paralysie avait porté sur le côté droit, mais la guérison f
s la guérison fut complète; une deuxième, il y a deux ans et demi: la paralysie fut persistante et porta sur le côté gauche; mais
poque, altération des facultés intellectuelles; urines involontaires, paralysie presque complète du mouvement à gauche. Peu de
in. Ouverture du corps.—Cerveau.—Hémisphère droit {coté opposé à la paralysie ). Grande perte de substance des circonvolutions o
e le ramollissement est limité à la substance grise, les symptômes de paralysie sont rarement persistans. L'état de démence est s
eux de démence, sans lésion organique correspondante. Des vestiges de paralysie , dans le cas de démence avec lésion organique, po
, et, si une multitude de petites brèches existent, il n'y a pas de paralysie ; mais il y a trouble évident dans les facultés in
exie graduelle, à raison de la marche progressive des symptômes de la paralysie ; dans un certain nombre de cas, l'invasion des sy
ovoqués par des élancemens douloureux, a succédé un état comateux. La paralysie de la moitié gauche du corps a augmenté ; la resp
veines iliaques et azygos et de phlébite des sinus de la dure-mère. Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement. — Ramolli
on élève interne, qui l'examine à d'autres heures que moi : i° que la paralysie porte sur le sentiment aussi bien que sur le mouv
sie porte sur le sentiment aussi bien que sur le mouvement; que cette paralysie présente de notables variations. Ainsi, par momen
llaire. Ce ramollissement occupe l'hémisphère droit, côté opposé à la paralysie : il a envahi un grand nombre de points de cet hé
casion de voir des apoplexies capillaires, caractérisées, non par une paralysie graduelle et progressive, mais par une hémiplégie
tablement cause d'arachnitis, le malade pourrait guérir, avec ou sans paralysie des membres inférieurs, suivant que la partie inf
vons nullement ici les symptômes de ramollissement cérébral: point de paralysie lente et graduelle; et, chose bien remarquable, l
antérieur d'unbémisphère a pu être désorganisé presque en entier sans paralysie aucune de la moitié du corps opposé. Un œdème a
emples d'absence complète de mouvement fébrile et de tout symptôme de paralysie , si bien que le médecin doit toujours être en gar
t par la suppuration, et par le ramollissement, et cependant point de paralysie , ni du sentiment ni du mouvement. Le lobe antér
t pas affaissée ; les muscles fronto-palpébraux sont contractiles. La paralysie du mouvement est complète dans le membre supérieu
temps, diminution de la vue de l'œil gauche, puis cécité de cet œil ; paralysie faciale gauche ; faiblesse, fourmillement des mem
le sentiment. Des secousses convulsives épileptiformes non suivies de paralysie peuvent être l'effet pur et simple de la présence
u cerveau : le ramollissement ne commence que lorsque se manifeste la paralysie du sentiment et du mouvement. La tumeur encépha
vent par le : poumon. 33e liv., pl. 11, p.y ; 37e liv., pl. v,p. 2. — Paralysie : graduelle du sentiment et du mouvement. Ramollis
spontanée du membre inférieur droit présentant tous les signes de la paralysie .Décoloration sim pie du membre paralysé, qui repr
7e liv., pl. v,p. 7.—Gangrène spontanée de la main droite simulantnne paralysie rhumatismale.Gangrène des extrémités digitales de
. 3. c. CADAVERISATION. Sorte de cadavérisation qui accompagne la paralysie par oblitération artérielle. 27e liv., pl. y, p.y
cerveau. 20e liv., pl. ni, iv, p. 5.— Observation. Invasion subite de paralysie de la langue et de rigidité du bras. Marche progr
-mère. Ecchymoses superficielles du cerveau. 36e liv., pl. i, p. s. — Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement. Ramolliss
ses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Aucun phénomène de paralysie . Aucun phénomène du côté des organes génitaux. Mo
tre le cervelet ei les fonctions génératrices^ Céphalalgie occipiiale Paralysie du mouvement de la moitié gauche du corps. Diminu
v, p. 3. DOTHINENTÉRITE. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. /. DOULEUR. Paralysie par douleur et avec douleur musculaire. 32e liv.,
spontanée du membre inférieur droit, présentant tous les signes de la paralysie . Décoloration simple du membre paralysé, qui repr
., pl. v, p. y. — Gangrène" spontanée de la main droite, simulant une paralysie rhumatismale. Gangrène des extrémités digitales d
, pl. m, iv, p. 4. —Gangrène spontanée de la main droite simulant une paralysie rhumatismale. Gangrène des extrémités digitales d
rophie avec induration de la moelle; symptômes de cette atrophie. = Paralysie incomplète des membres inférieurs; affaiblissemen
rt de pneumonie. — Paraplégie avec rétraction des membres inférieurs. Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. Induration
vertèbres cervicales el des premières dorsales. Invasion subite de la paralysie à la suite de douleurs des épaules. Périlonile tu
NEZ. Importance de l'affaissement de l'aile du nez comme symptôme de paralysie . 21e liv., pl. v, p a. NIEL (M.), Procédé emplo
. — Tumeurs mélaniques dans le pancréas. 19e liv., pl. m, iv, p. 2. PARALYSIE . Dans beaucoup de cas la paralysie n'est ni précé
réas. 19e liv., pl. m, iv, p. 2. PARALYSIE. Dans beaucoup de cas la paralysie n'est ni précédée ni accompagnée de douleurs dans
ticipant à des mouvemens convulsifs. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 6. — Paralysie du mouvement de la moitié gauche du corps, résult
protubérance annulaire. 18e liv., pl. n, p. 2. — Différences entre la paralysie nerveuse.et la paralysie par oblitération des art
8e liv., pl. n, p. 2. — Différences entre la paralysie nerveuse.et la paralysie par oblitération des artères. 27e liv., pl. v, p.
paralysie par oblitération des artères. 27e liv., pl. v, p. 7, io. — Paralysie avec douleur musculaire. 32e liv. pl. 1, 11, p. f
rachidienne guérie. 32e liv., pl. 1, n, p. 7? % — Caractères de cette paralysie . 32e liv., pl. 1, n,p. 8,n. — La sensibilité de l
ans le tissu cellulaire sous-péritonéal. 32e liv., pl. 1, n, p. i3. — Paralysie incomplète des membres inférieurs : affaiblisseme
rt de pneumonie. = Paraplégie avec rétraction des membres inférieurs. Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. Induration
phlébite cérébrale et l'apoplexie capillaire. 36e liv., pl. i ,p. i.— Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement. Ramollis-
queuse gastrique est un phénomène cadavérique. 33e liv., pl. m, p. 5.— Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement. Ramolliss
ses tuberculeuses dans le lobe gauche du cervelet. Aucun phénomène de paralysie . Aucun phénomène du côté des organes génitaux. 18
86 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ns intra-médullaires; à ce point de vue, on opposait volontiers les paralysies radiculaires inférieures du plexus brachial à la
se poser dans les mêmes termes : Les troubles moteurs des membres, paralysie ou atrophie musculaire, produits par une lésion
ence peuvent fournir des don- nées précises, la syringomyélie et la paralysie infantile. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRE
l'atrophie de l'extrémité proximale d'autre part, avec l'aspect d'une paralysie radiculaire supérieure bilatérale. Aucun mouvem
x de l'aisselle innervé par le nerf intercostal et épargné dans les paralysies ra- diculaires totales du plexus brachial.) E
particulièrement capable de donner la solu- tion de ce problème. La paralysie infantile, en effet, est caractérisée par des f
re. Au pointde vue clinique, ces foyers destructifs déterminent des paralysies définitives avec atrophie musculaire accompagné
des doigts existent. » Il paraît donc assez vraisem- blable que la paralysie s'était cantonnée dans ces deux cas précités sur
terosseux de la main droite. Cette atrophie était due à un foyer de paralysie infantile ayant détruit le groupe externe des c
APHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYELOPATHIQUES (Ces/an et flrml). Paralysie infantile avec localisation des troubles moteurs
S ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATUIQUES 13 ce fait essentiel, que la paralysie peut se localiser sur un groupe muscu- laire, l
ction, la distribution de l'atrophie est la même que dans le cas de paralysie radiculaire supé- rieure du plexus brachial. Lo
aborde écrivait dans sa thèse : « Le docteur' Bruniche mentionne la paralysie des extenseurs et supinateurs de la main et môm
rs de la main et môme celle des interosseux.Sans être impossible,la paralysie de ces der- niers muscles et l'attitude caracté
ée une seule fois... Ce qui tend à démontrer la grande rareté de la paralysie par- tielle des muscles de la main, c'est que l
ocalisation, nous ont engagés à rapporter l'observation suivante de paralysie infantile recueillie à la Clinique Charcot dans l
par un accouchement normal. A sa naissance il n'a pas présenté une paralysie 14 CESTAN ET HUET quelconque des membres ; il
nouveau consulté, le méde- cin déclare que l'enfant est atteint de paralysie infantile. Le bras était inerte, mais sa sensib
de la première enfance et ne présente aucun rapport direct avec la paralysie infantile survenue à l'âge de ans ; il a entraî
l'attention sur le membre supérieur gauche qui a été atteint par la paralysie infantile. Dès qu'on examine la disposition de
infantile. Dès qu'on examine la disposition de l'atrophie et de la paralysie des muscles sur ce membre, on est frappé par le
et suit passivement l'impulsion donnée (main de polichinelle) ; la paralysie est flasque, sans aucunes rétractions. L'avan
abilité électrique du côté gauche, c'est-à-dire du côté où siège la paralysie infantile ; il présente au contraire une excita
ine cervicale, en un mot les muscles que l'on sait atteints dans la paralysie radiculaire inférieure du 22 CESTAN ET HUET p
rvical, ont au contraire récupéré leur fonction les muscles dont la paralysie s'observe dans le type radiculaire supérieur. Une
ctro-diagnostique, un jeune américain, âgé de 12 ans, atteint d'une paralysie du membre supérieur gauche avec atrophie assez
s membres. En même temps le mem- bre supérieur gauche fut frappé de paralysie dans sa totalité. Les autres membres paraissent
ir présenté aussi dans les premiers temps un peu de faiblesse, sans paralysie véritable; ils ont d'ailleurs recouvré rapidement
t très restreints et ne permettent la préhension d'aucun objet ; la paralysie est complètement flasque, et lorsqu'elle est agit
sur quelques muscles avec NFC = PFC. Dans ce cas le diagnostic de paralysie infantile est moins net que chez notre autre pe
oculo-pupillaires que nous n'avons pas rencontrés. Le diagnostic de paralysie infantile nous parait plus probable,et c'estpour
erves 24 CESTAN ET HUET toutefois. Il s'agirait dans ce cas d'une paralysie infantile à forme dou- loureuse, comme il en a
é rapporté des exemples ; le mode d'apparition et l'évolution de la paralysie correspondraient bien à cette hypothèse : au dé
othèse : au début tout le membre supérieur gauche est paralysé ; la paralysie rétrocède assez rapidement sur certains muscles
iste pas, exception faite pour des cas tout à fait exceptionnels de paralysie infan- tile, de myélopathies atteignant tel gro
r au diagnostic de myopathie. Pour M. Babinski le con- traste de la paralysie presque complète des muscles des jambes avec l'in
piétinement sur place. Nous avons encore tous vu aussi, des cas de paralysie de la jambe, tout aussi considérable, mais releva
OUVEAU CAS U·A\110'l'H01'llIL A '111'G CHARCOT-MAROE 61 frappées de paralysie , ce qui est déjà étonnant pour une personne qui c
a deux soeurs et deux frères bien portants. Il ne se souvient ni de paralysie ni d'amaigrissement dans toute sa famille. Et
à la muqueuse uréthro -vé- sicale ; on peut observer, en outre, une paralysie sensitivo-motrice de la région cutanée et des m
nt la symptomatologie des affections du cône terminal : -. 1° Une paralysie motrice, plus ou moins complète, des muscles de l
bolition du réflexe achilléen. En d'autres termes, elle traduit une paralysie sensitivo-motrice des plexus sacré et sacro-coc
olrice, étendue la lotalilé des membres inférieurs, sans compter la paralysie de la vessie, du rectum et l'impuissance géni-
or- sales, lombaires et sa- crées. 84 RAYMOND D aux cas où la paralysie sensitivo-motrice, limitée aux domaines d'inner-
inait par regorgement ; il ne pouvait plus retenir ses matières. La paralysie du mouvement subsistait, telle quelle, aux memb
chis- seurs de la jambe sur la cuisse étaient indemnes. Adroite, la paralysie intéressait également les muscles de la face po
double d'une atrophie diffuse des muscles para- lysés ; . 2° Une paralysie vésico-rectale ; le malade urine par regorgement
ste à le justifier. Une première particularité est à souligner : la paralysie motrice, dont est atteint cet homme, intéresse
s paralysés chez notre malade. Donc, chez lui, il s'agit bien d'une paralysie des branches terminales du plexus sacré. Or, le
e comprend : a) Des troubles de la motilité ; ils consistent en une paralysie incom- plète des membres inférieurs. Presque to
QUEUE DE CHEVAL 95 g) La disposition parfaitement symétrique de la paralysie motrice et de l'anesthésie, la précocité et l'i
ent sectionnée par un large foyer, alors y a-t-il persistance de la paralysie . Donc que la lacune siège dans le noyau lenticu
infectieuses comme par exemple la pneumonie, et voulu expliquer ces paralysies par des embolies microbiennes. On pouvait nous
erveux dans l'origine de ces affections. Erb et Charcot appellent « paralysie spinale spastique » et « tabes dor- sal spasmod
ces symptômes soient bien peu définis, et ap- plicables à bien des paralysies ou paraplégies infantiles; quant à l'ab- 140 GA
e des bras et des jambes. La parésie se transforma peu à peu en une paralysie des bras et des jambes. Les muscles étaient rig
re, pas de troubles sensitifs ou vésicaux. Enfin, au bout de 3 ans, paralysie complète de tous les muscles volontaires du squ
fs. Malgré cela les progrès sont peu prononcés, il y a une sorte de paralysie fiasque des membres inférieurs, qui empêche l'e
uel des maladies de l'Enfance. Paris, 1890. 14. Osier. The cérébral paralysies of chzld ? -e71. E-hiladelphia, 1889. 15. Babin
pe radiculaire, à sa- voir : 1 syringomyélie, fig. 89, 90 et 94 ; 2 paralysies infantiles,fig. 102, 103 et 99, 100; 1 hématomy
ction, la distribution de l'atrophie est la même que dans le cas de paralysie radiculaire supérieure du plexus brachial. Lors
amené par sa femme, parce qu'il présente depuis quelque temps de la paralysie faciale, des troubles de la parole, des troubles
eurs fulgurantes. Examen de la motilité. Le malade présente de la paralysie faciale droite. A l'état de repos, I traits son
èvres. Appareil oculaire. La vue est restée excellente. Il n'y a ni paralysie de la musculature extrinsèque, ni trouble de la
fficulté à se tenir debout et accuse de la faiblesse des jambes. La paralysie faciale, non visible il l'état de repos, se cons-
aractère cé- rébral. Le pouls bat 80, est petit et irrégulier, la paralysie faciale est toujours très appréciable, mais la
ilité. Si on le pique ou le pince, le malade retire le membre. La paralysie faciale n'est appréciable que si on fait remuer l
iquant une altéra lion grave des zones motrices ; il n'y avaitpasde paralysie notable, il n'y avait pas non plus d'attaques épi
raumatisme du crâne chez un homme de 19 ans, apparition ra- pide de paralysie oculaire extrinsèque et épilepsie jaclcsonnienne.
e du côté paralysé. La luette est également déviée à droite, il y a paralysie de la moitié droite du voile du palais, la part
rester debout ou de marcher. De même qu'il peut y avoir amnésie ou paralysie fonctionnelle d'un centre correspondant à la mar-
tre correspondant à la mar- che, de même il peut y avoir amnésie ou paralysie fonctionnelle de l'acte de s'asseoir et de rest
sis. Aussi peut-on certainement observer chez les hystériques cette paralysie systématisée de l'acte de s'asseoir et de reste
l est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des muscles du tronc (1). A de certains moments l
cas de paralysie des muscles du tronc (1). A de certains moments la paralysie était incomplète et la malade pouvait se retour
l y a là beaucoup plus d'impulsion à des mouvements inutiles que de paralysie systématique ; 4° ce qui détermine cette impulsio
Aux caractères précédents qui séparent cette akathisie d'une simple paralysie systématique il faut ajouter d'autres faits qui r
asiles d'aliénés de la Seine. L'étude des formes sensorielles de la paralysie générale a jusqu'ici été singulièrement négligé
equel les symptômes relevant tantôt de l'excitation et tantôt de la paralysie de certains centres sensoriels ont dominé tout
dernier lieu, la surdité verbale : Rares sont les observations de paralysie générale avec troubles de la sphère du langage
corce, en dehors de la lésion en foyer, a confirmé le diagnostic de paralysie géné- rale : épaississement des méninges, adhér
rdée comme la cause de l'apparition d'hallucinations au cours de la paralysie générale : pour nous ces troubles reconnaissent
e qu'on est autorisé à décrire à part une variété sensorielle de la paralysie générale, comprenant les faits caractérisés par
es trou- bles de la sphère du langage (symptômes d'excitation ou de paralysie ) tels que : aphasie motrice, hallucinations mot
er et Alzhei- mer ont réuni les cas de ce genre sous la rubrique de paralysie à forme atypique. Cette variété symptomatique t
onnaissance de cette variété clinique et anatomo-pathologique de la paralysie générale est intéressante sous bien des rapports,
diffuse, mais peuvent faire penser à celle forme sensorielle de la paralysie générale liée à l'existence, au niveau de la ré
suite desquels elle a perdu une partie de ses cheveux. Un zona, une paralysie faciale gauche à 57 ans, la même année la vue s
oubles de la marche : cependant à l'âge de 30 ans elle avait eu une paralysie faciale gauche d'origine périphérique qui a récid
e par Kahlbaum comme une entité clinique spéciale qu'il oppose à la paralysie générale. Cette doctrine eut quelques partisans
mes vésaniques les plus diverses, imbécillité, hystérie, épilepsie, paralysie générale, démence sénile, mélancolie, confusion
entique que l'on rencontre dans d'autres formes mentales (hystérie, paralysie générale, etc.). Le caractère différentiel est
ons des os et certaines altérations du sys- tème nerveux. Dans la paralysie spinale infantile, on constate souvent une atroph
membres paralysés ; car il n'y a souvent pas de proportion entre la paralysie atrophique des muscles et l'arrêt du deve- lopp
fait mention des déformations du rachis que peut dé- terminer la « paralysie agitante ». Il est bien fait allusion, par tous l
nos malades, nul stigmate (['hystérie. Il n'existe pas non plus de paralysie vraie d'un groupe muscu- laire, rendant compte
mère 5 ans, deux soeurs 30 et 35 ans, tous bien portants. A part la paralysie du grand-père, il n'y a jamais eu, dans la famill
troubles de la marche sont plutôt le fait de l'asynergie que de la paralysie : si l'on arrête le malade, et qu'on lui demande
logie, 1895. Etude sur la méningo-myélite diffuse dans le tabes, la paralysie générale et la syphilis spinale. Id. Soc. de Bi
ouvelle Iconographie de la Salpêlrière, 1902. xv 31 474 RAYMOND paralysie sensilivo-motrice toGale des membres inférieurs,
ue de cheval aux cas où, aux membres inférieurs, l'anesthésie et la paralysie motrice respectent en majeure partie ou en tota
ire, du reste, que cette circonscription de l'anes- thésie et de la paralysie motrice est de règle, lorsqu'une lésion intéresse
tement ; même à l'heure présente, elle n'est pas l'expression d'une paralysie motrice, dans le sens strict du mot. Elle contr
eval ; ils sont, au contraire, étrangers à la symptomato= logie des paralysies spinales dites nucléaires, parce qu'elles sont sy
lté croissante pour uriner ; en quelques jours elle dégénéra en une paralysie complète de la vessie : le malade n'urinait plu
et du pied. Nous nous trouvons donc de nouveau en pré- sence d'une paralysie limitée au domaine d'innervation du sciatique (pl
ésie motrice de ce même membre. Peu de temps après est survenue une paralysie de la vessie, puis une parésie du gros intestin
e une paralysie de la vessie, puis une parésie du gros intestin. La paralysie vésicale est dissipée après huit jours d'un trai-
ante du membre; il quelque temps de là, elle s'est compliquée d'une paralysie transitoire de la vessie et d'une cons- tipatio
u moment que les manifestations de cette névrite se réduisent à une paralysie incomplète des muscles innervés par les branche
es, présentées par le malade. Elles se réduisent présentement à une paralysie motrice du membre infé- rieur gauche, qui va en
t, tout il l'heure, à ce sujet. -t La disposition unilatérale de la paralysie motrice et de l'atrophie mus- culaire concomita
tence des membres inférieurs, faisant place, très rapidement, à une paralysie partielle du membre inférieur gauche, limitée au
hoses se passent dans les cas de poliomyélite anté- rieure aigué la paralysie infantile en est la modalité la plus fréquente
e réveiller la nutrition et la contractilité des muscles frappés de paralysie et d'atrophie. L'expérience nous a démontré qu'
'évolution, quelle qu'en soit la forme, qu'il s'agisse de tabes, de paralysie générale ou de lésions conglomérées du cerveau
87 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dès' délires' liés à quelque lésiônror`âniquequënous connaissions- ( paralysie générale ? athéromestcérébraux, hémorrhagies ou
embarras, quel choix faire entre l'excitation de^ce l 'nerf ? et la paralysie » du, pneumogastrique ? Il en est, croyons-nous,
. f. ? .. ,i- I'..... rl . , ? ? i,- ,,i ? ,4, < ► ? ; tioris ( paralysie agitante, tremblement senne,, paralysie géné- r
,i ? ,4, < ► ? ; tioris (paralysie agitante, tremblement senne,, paralysie géné- rale, alcoolisme). Dans, ses,formes les,
e, surtout si on le compare à celui du, tremblement sénile ou de la paralysie agitante, -et avec le, tambour à réaction dont
11 ? , .. " f \<1 ,l' l ,1 , \",1\ ,l'.h t·c pojyn ? , 1. DES PARALYSIES GENERALES SPINALES A MARCHE RAPIDE ET CU- "b[ 1
, , . 1 fT'" ri J'IJI"n;'jJu 1119" ? IyG ? t uug,forme,noucelle de, , paralysie ,, générale spmao.que de- 0crivenyi\It|,L/indbuz
ant' au'diagnostic, on peut facilement distinguer l'affection de la paralysie spinale aiguë de l'adulte, qui se distingue, au d
driase gauche,, de la, déviation de la langue du même côté,, de la. paralysie faciale droite,' une¡ démarche chancelante avec|
de temps à autre; ;des secousses dansées'extrémités gauches. Pas de paralysie ; diminution de tous les modes de la sen- si ! J
Archives, t. VI. 8 114 REVUE, DE, PATHOLOGIE, NERVEUSE. sions, ni paralysie , de déviation conjuguée des yeux à droite. La f
igne, qui, « entraînés par leurs idéesipersonnelles », ont parlé de paralysie du triju- meau. M. Luys laisse,d'ailleurs, chac
orme ; l'évolution,de la maladie ressemble,, dès lors à celle d'une paralysie générale, sans .prédominance, de, symptômes psy
'intoxication saturnine peut entraîner, ! à.sa suite une. véritable paralysie générale, qu'il y,a, dans l'espèce, un.e ? 1}c.
l'111 £ ! .\ 9(JM £ ci 9b asiles XXI. 'Contribution A L'ÉTUDE DE la paralysie ascendante AIGUË ; par Richard ScIIULZ et Fried
it en même : temps ,que la déglutition de- ? vient. pénible; : de 'la paralysie des- muscles de la : nuque ? Miç- a'tion pénibl
grand, quand, à son réveil, nous la trouvons non seulement avec une paralysie flasque du bras droit, mais dans l'impossibilit
e (prépa- rations, de Wernicke); c'est ce qui explique ces faits de paralysie hémilatérale, accompagnée d'aphasie par destruc
ations -sont grossières dans l'encéphalite et plus légères' dans la paralysie générale, les troubles sont plus caractérisés d
lumière d'une -érie d'observations personnelles les phénomènes r de paralysie des muscles de,l'oeil qui se montrent dans la m
qui se montrent dans la méningite. Il envisage, en particulier,'les paralysies qui ne'sauraient s'expliquer par 'l'interruption
et endroit dans la région du cerveau moyen; il faut expli- quer ces paralysies par l'infiltration'méningitique des membra- nes
CKE lit son mémoire, sur les Onctions (révulsives) du crâne dans la paralysie générale progressive. Il sera publiéin ete7r,<
tenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques de paralysie dans les mala- dies mentales. Sera publié 3. ",
vec fureur au début, ou, chez les individus d'un certain âge, à une paralysie progressive" avec agitation pro- dromique, ou e
hyperthermie, le peu de gravité des phénomènes d'exci- tation et.de paralysie psycho-somatiques différencient le délire en qu
blié dans le Centralblàtt 'cÙ¡ NeurolÓgfé'(110 22, 1882) uni cas de paralysie générale chez* la' femme ? pour lui ? cette' l'
nts du sujet. 11 n'est pas le moins du monde rare de rencontrer des paralysies qui de toules les -extrémités, qui i simplement
les -extrémités, qui i simplement des membres opposés au foyer; ces paralysies sont' toujours permanentes et se compliquent très
égions motrice ? de l'écorce sont atteintes, il existe toujours une paralysie fréquemment accompagnée de contracture ; 7° les
maladies nerveuses, l'hystéro-épilepsie, la maladie de Parkinson ou paralysie agitante, l'ataxie locomotrice, etc..., dont no
es inférieurs. Les masses musculaires s'amaigrirent notablement. La paralysie des membres devint complète : rétention d'urine
issance ni pendant, ni après les attaques, qui sont sui- vies d'une paralysie flasque du bras et de la jambe gauches, qui n'e
s qui survient surtout après les crises d'attaques multiples. Cette paralysie se mani- feste également à la face; la bouche e
intervalle de trente à quarante-cinq minutes entre les attaques, la paralysie faciale disparaît ; mais celle des membres du c
professeur licl'7.rjews"i : Lésions de la région corticale dans la paralysie générale. (Archives de Physiologie, 1875.) 228
uoique Figges et d'autres le mentionnent depuis long- temps pour la paralysie générale; mais des recherches ulté- rieures ont
cidents nerveux. [Père, cultivateur, mort à soixante-quatre ans «de paralysie , un peu de partout, mais surtout de la langue )
Mère, morte de la poitrine à vingt-huit ans.- Un frè·c est mort de paralysie générale progressive dans le service de M. J. V
l'on se rappelle que, après la méningite aiguë, l'enfant avait une paralysie du côté gauche, on pourrait s'étonner que les c
oppement exagéré (Cambay); d'autres attribuent le méry- cisme à une paralysie du cardia [Echo médical, 18.i9, p. 6'ils); d'au
. Luys nous renseignât, avec sa statistique, sur le pronostic de la paralysie générale ou de la folie circulaire; mais, en al
gendre souvent des phénomènes mor- bides très voisins de ceux de la paralysie générale. Toutefois, il n'est pas rare de const
contre M. Kowalewskii'. '. P. K. VI. Des frictions du crâne dans la paralysie générale progressive; par Oebeke. (Allg. Zeilsc
sipèle de la face. Le premier fait concerne des manifestations de paralysie générale chez un alcoolique, le second a trait à
ain nombre d'états maniaques. Les amé- liorations observées dans la paralysie générale, sous la même in- fluence, s'expliquer
'1,1., t. VI, p. l.'j6. - -- 2~li SOCIÉTÉS SAVANTES. mastologie : paralysie soudaine des deux jambes, puis des, avant- bras
estent sans effet. Enfin l'expression de flaccidité usitée pour les paralysies sert simplement de contraste à celle de contrac
or, la tonicité mus- culaire ne fait pas forcément défaut dans les paralysies flasques et la preuve, c'est que les paralysies
ent défaut dans les paralysies flasques et la preuve, c'est que les paralysies flasques en apparence, au début, peuvent plus t
la myélite dorsale ! où ses extrémités inférieures sont en état de paralysie flasque, les phénomènes tendineux peu- vent enc
ieure. Mais M. Bernard affirme qu'il n'y a pas lieu de suspecter la paralysie générale, ni dans ces observations, ni dans cel
enant coup, sur coup, et entraînant une démence,),très, prononcée, [ paralysie générale et contractures. Mort douze ans, après
e, affection organique du cerveau. 11 ne tend pas à admettre que la paralysie générale ' procède d'une .encéphalite parenchy;
sion, pen- dant. 1 e\"OlullOn11 anatomIque d un stade précoce de la paralysie 'générale ('st$él3-nipliatirlûéÎiéricéilûlairea
ur. Les hydropisies, l'oedème devraient être rapportés soit à une paralysie des vaso-moteurs, soit au trouble trophique des p
acquisitions sur la rage; par Roux. Thèse de Paris, 1883. ' ' Des paralysies , névralgies, troubles trophiques et vaso-moteurs
halhydrocéle traumatique; par Vivier. Thèse de Paris, 1883. De la paralysie faciale chez les diabétiques; par Grégoire. Thèse
; par L1OE01E, Thèse de Paris, 1883. 29 1 VARIA. Du pronostic des paralysies diphthéritiqties; par Espanet. Thèse de Paris,
lmos paralytique, etc. ; par Olivier. Thèse de Paris, 1883. De la paralysie spinale infantile; par 111'10 BENOIST. Thèse de P
ier. Thèse de Paris, 1883. Considérations sur quelques points de la paralysie générale; par Grégoire. Thèse de Paris, 1883.
ans la corne frontale), il n'y a jamais eu hémiplégie, strabisme ou paralysie . Le trigone est ramolli, déformé; le septum lucid
out cas, il faut tenir compte de différences individuelles. Dans la paralysie géné- rale, la dilatation d'origine cutanée (co
ac- tion sur l'une ou l'autre des périodes. P. K. XXIV. UN cas de paralysie progressive; par 0. Berger. - (Neurolog. Cental
. Altérations DE l'écorce DU cerveau pendant LE premier stade DE la paralysie PROGRESSIVE DES aLIÉNÉS; par E. MENDEL,. (Neurol.
orté fut : mélancolie simple. L'examen microscopique seul décela la paralysie générale. Le début de la lésion est manifesté dan
une femme présen- tant des lésions syphilitiques qui simulaient une paralysie générale ; 414 SOCIÉTÉS SAVANTES. celte malad
ts. Certificat d'entrée à la Salpêlrière : démence consécutive à la paralysie générale. Cer- tificat de Saint-Anne, où la mal
rence, faiblesse musculaire. Certificat à la préfecture de police : Paralysie générale, affaiblissement des fa- cultés, hésit
is presque toujours sans morsure de la langue, ni délire, jamais de paralysies , contractures ni troubles de la sensibilité. De
émence post-épileptique, et conclut à uue démence consécutive à une paralysie générale, en se fondant sur les données du cert
ment si, en raison de l'analogie de ces symp- tômes avec ceux de la paralysie générale type, on ne pourrait pas supposer dans
cellulaire méningitique etencéphalique, analogue aux lésions de la paralysie générale, mais conservant en outre de l'étiolog
les signes présentés par sa ma- lade comme semblables à ceux de la paralysie générale. Qu'il me soit permis de rappeler que
attentivement que le certificat de notre collègueM. Garnier portait paralysie générale. Entre autres signes, M. Garnier signa
de la parole. Pour ma part, je n'ai pas pu m'arrêter au diagnostic paralysie générale et j'ai conclu à l'affaiblissement int
e en quittant mon service n'était donc pas, à mon avis, atteinte de paralysie générale. Voyons ce que disentles symptômes obs
de la bouche. L'hésitation de la parole, ce symptôme capital de la paralysie générale, n'existait pas chez le malade. Mais s
ant de symptômes absolument différents de ceux qui caractérisent la paralysie générale. Quelle est donc la signification de c
nce des facultés, l'oppression et non la perte réelle comme dans la paralysie générale. C'est avec la plus grande peine qu'on
ette malade les éléments de deux maladies différentes : syphilis et paralysie générale. Un paralytique général peut en effet
rreur clinique. On est paraly- tique ou on ne l'est pas. Il y a une paralysie générale type autour de laquelle viennent se gr
des syphilitiques en démence qui avaient la parole lente, avec des paralysies partielles et qui n'étaient que syphilitiques.
syphilitiques. M. Motet, frappé des dissemblances qui séparent la paralysie générale des maladies qu'on désigne du nom de p
voir que la syphilis cérébrale là où M. Fournier croyait avoir une paralysie générale syphilitique. Marcel Briand. SOCIÉTÉS
'étendue purement corticale du processus. Il ajoute : « Bien que la paralysie des deux extrémités et du facial s'expliquent déj
du lobule du pli courbe peut être invoqué pour la pathogénie de la paralysie des extrémités, car j'ai, le 2 décembre 1882, p
, peut en assurer la transmission vers les centres nerveux. » Les paralysies doivent être divisées en paralysies vulgaires et
rs les centres nerveux. » Les paralysies doivent être divisées en paralysies vulgaires et pa- ralysies diabétiques. Ces dern
s, associées et rarement isolées, enfin mobiles et passagères. La paralysie de la sensibilité peut présenter les mômes carac-
our la première fois chez les diabétiques par M. Vergely. Comme les paralysies étudiées plus haut, cette angine de poitrine ne
balmoscopilue, il existe de l'amblyopie ou de l'hémiopie. Quant aux paralysies oculo-motrices, elles sont incomplètes, passagè
ment; Sur un cas de lipome de la pie-mère cérébrale ; Sur un cas de paralysie infantile (avec M. Jofll,o3,); Noie sur l'anato
ntile (avec M. Jofll,o3,); Noie sur l'anatomie pathologique de la paralysie faciale consécutive ci l'application du forceps (
mplacer un accès épi- leptique ; 10. Le rôle de la syphilis dans la paralysie gé- nérale ; 4 1. Des caractères anatomiques de
alement l'hystérie ; - 8. La sclérose latérale aIIIyo- trophique ou paralysie bulbaire progressive amyotrophique, sur- tout à
s dans l'étiologie du tabès dorsalis; - 446 faits DIVERS. ,11. La paralysie de Landry est-elle une maladie particulière ou
115 Ouïe (psychoses dans les affections de l'organe de l') 425. Paralysie générale (troubles de la vue dans la), 280; che
ations de l'écorce cérébrale dans le premier stade de lai, 411. Paralysie progressive, 408. Paralysie générale syphilitiq
dans le premier stade de lai, 411. Paralysie progressive, 408. Paralysie générale syphilitique (pseudo-), 413. Paralys
ogressive, 408. Paralysie générale syphilitique (pseudo-), 413. Paralysie générale ( frictions du crâne dans la), 266.
-), 413. Paralysie générale ( frictions du crâne dans la), 266. Paralysie générale spinale il mar- che' rapide et curable
Paralysie générale spinale il mar- che' rapide et curable, 99. Paralysie ascendante aiguë, 119. Paralysie progressive de
r- che' rapide et curable, 99. Paralysie ascendante aiguë, 119. Paralysie progressive des aliénés, 283. TABLE DES MATIE
88 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
pas de troubles digestifs. Pas de troubles du système nerveux; ni paralysies , ni douleurs il carac- tère déterminé ; intégri
amus (Thl). UN CAS DE PACIlYMÉNINGlTE CERVICALE SYPHILITIQUE AVEC PARALYSIE DOUBLE DE LA SIXIÈME PAIRE L'observation cliniq
symptômes cérébraux, au cours de laquelle s'est produite une double paralysie de la 60 paire - par les résultats du traitement
n de tous les accidents céré- braux, en même temps que de la double paralysie oculaire. Résumé DE l'observation. Syphilis 12
s, vertiges, perte de la mémoire, gêne de la parole, puis diplopie ( paralysie de la (je paire); ultérieurement, violentes dou
ain). Réaction de dégénéres- cence dans un grand nombre de muscles. Paralysie des deux sixièmes paires. Ré- sultat du traitem
élioration considérable des symptômes céphali- ques, guérison de la paralysie oculaire. Persistance des atrophies musculaires.
il voit double. Un médecin oculiste consulté (à Oran) constate une paralysie de la 6c paire gauche, et ordonne un traitement
ains ;,une rigidité dn¡ C01,1 avec flexion légère de la tête et une paralysie des deux sixièmes paires (PI. XVI). Membres sup
ales, réagissent normalement à la lumière et à l'accommoda- tion. Paralysie de la 6° paire gauche. Parésie de la (le paire dr
hypertrophique (1) : tels sont les accidents cérébraux du début, la paralysie des moteurs oculaires externes, les altérations p
stations en rapport avec une néoplasie de la hase (névrite optique, paralysies oculai- res) lorsque ces manifestations coïncid
mais les racines rachidiennes ont été profondément altérées, car la paralysie atro- phique des membres supérieurs est du type
cou et dans les bras, puis de raideur de la nuque et finalement de paralysie des deux bras. L'examen nécroscopique montra un
ans, est entrée salle Briquet, n° 19, le 19 décembre 1893, pour une paralysie du membre pelvien du côlé gauche. C'est une f
t accomplir tous les mouvements ; il n'est nullement atteint par la paralysie . La marche est impossible sans appui. Le pied g
es herculéennes si bien décrites par Du- chenne de Boulogne dans la paralysie pseudo-hypertrophique. Néanmoins, si les relief
t plusieurs for- mes (atrophie musculaire progressive de l'enfance, paralysie pseudo-hyper- trophique), mais dont la différen
clu- sions de Charcot et de ses élèves (3). Parlant d'abord de la paralysie pseudo-hypertrophique qui semble la forme la pl
s doutes au sujet de ces cas pour décider s'ils appartenaient il la paralysie pseudo-hypertrophique ou à la forme juvénile ».
ptions on peut voir combien intimes sont les ressemblances enlre la paralysie pseudo-hypertrophique et la forme juvénile. Il
eudo-hypertrophique et la forme juvénile. Il en résulte que dans la paralysie pseudo-hypertrophique, on trouve toujours une a
eux formes. La conclusion qui s'impose est la suivante : « Entre la paralysie pseu- do-hypertrophique et la forme juvénile il
uvoir être mise en doute » (1). Les points de ressemblance entre la paralysie pseudo-hypertrophique et la forme facio-scapulo
relever ont de grandes analogies, avec ce que l'on observe dans la paralysie pseudo- hypertrophique. ^ y t ' Mais la génér
t que Damaschino (2) a ramenée au groupe des myopathies primitives ( paralysie pseudo-hypertrophique sans pseudo-hypertrophie)
st ici surtout exagérée^ clans le sens de la lordose, comme dans la paralysie pseudo-hypertropliique. J" l i z L' inclinaison
accentuent fortement, plus du côté droit que du coté gauche, car la paralysie atrophique semble plus UN CAS DE MYOPATHIE PRIM
point de vue clinique, ce cas correspond à la « forme infantile de paralysie musculaire progressive » décrite par Duchenne de
n définit l'amyotrophie : une atrophie musculaire qu'accompagne une paralysie proportionnelle, la première division clinique qu
entrent différentes maladies décrites sous les noms suivants : 1° Paralysie spinale infantile, Poliomyélite antérieure aigu
ntérieure aiguë (Kussmaul), Myélite aiguë des contes antérieures, Paralysie spinale atrophique aiguë, Paralysie essentielle
aiguë des contes antérieures, Paralysie spinale atrophique aiguë, Paralysie essentielle des enfants, Ces cas s'observent ch
riétés. 2° Atrophie musculaire progressive (type Ductienne-Aran). Paralysie essentielle des adultes. Atrophie musculaire sp
laire spinale chronique. Po/<o)Mye7/<e antérieure subaiguë. Paralysie spinale atrophique subaiguë ou chronique. Ici,
tres muscles. 3° Névrites périphériques multiples ou localisées. La paralysie l'emporte ici souvent sur l'atrophie. 4" Atro
épendantes de toute lésion de la moelle ou des troncs nerveux. 1° Paralysie pseudo-hypertrophique, de Duchenne (3). (1) CuA
omme Charcot l'a fait observer, que toutes ces formes, y compris la paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne, ne sont que
RIMITIVE 187 musculaires ou des difformités. Pas d'attaques, pas de paralysies tardives, pas de troubles mentaux. Elle a eu
péronier, etc.). Des observations récentes tendent à prouver que la paralysie pseudo- hypertrophique et les autres variétés d
Il faut bien admettre la parenté de ces affections ; et les cas de paralysie pseudo-hypertrophi- que où l'on a noté des modi
ves, soit à des déformations osseuses ou articulai- res, soit à des paralysies . 1 Tel est l'infirme figuré sur un des comparti
t avancé Charcot et P.' Richer, qu'il s'agit là d'une figuration de paralysie infantile avec . Fig. 1. 204 NOUVELLE ICONOGR
mme étend son bras à l'extrémité duquel la main tombe comme dans la paralysie radiale; mais on n'y remarque au- cune trace d'
. LE NOIR ET Bezançon. Revue de médecine, 1890. BÉDARD ET Rémond. Paralysie Pseudoli ypertrophique, Arch. Gen. de \Ied., juil
sur les relations de l'atrophie musc. progr. de l'a- dulte avec la paralysie infantile. Th. Paris, mars 1893. Erb. Syringomy
Méd. moderne, 23 sept. 1893. Ferrier. Pathologie et topographie des paralysies atrophiques. Brit. médic., Assoc. et Sem. méd.
travail, un cas d'arlhro- pathie survenue chez un malade atteint de paralysie générale progressive (1). Il vous suffit de jet
arthropathie dans le pied gauche, accompagnée d'oedème. En 1887, paralysie de la troisième paire de l'oeil droit et diplopie
t morts âgés le grand-père d'hémiplégie gauche, la grand'lllel'e de paralysie il 87 ans. C'é- taient d'excellentes gens, sans
hropathie n'était donc pas possible à faire. Le diagnostic de était paralysie spastique. Les malades des deux premiers auteur
s et du tronc, sauf au niveau de l'hypothénar droit qui est aplati. Paralysie du bras droit ; elle diminue il mesure que l'on
nerveuses à la suite de la luxation de l'épaule donnent lieu à des paralysies qui oc- cupent le territoire du plexus brachial
éviations peuvent être ramenées à deux (4) : 1° Théorie musculaire ( paralysies , contractures) ; 2° Théorie trophique (osseuse,
. Et, cette incapacité do vaincre n'est autre chose qu'une sorte de paralysie passagère. Le muscle fatigué ne se contracte plus
oxiques exerçant sur lui-même une action vraiment cura- risante. La paralysie en question n'est donc pas d'origine centrale ; e
sceau pyramidal. VA de même qu'on voit chez certains tabétiques une paralysie atrophique des muscles succéder tardi- vement i
combien sont rares les véritables arthropathies trophiques dans la paralysie infantile, et c'est à la suite de cette affecti
rcot, en 1891, a proposé de donner le nom de Syndrome de Weber à la paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté du cor
ant Weber, Gubler avait décrit des faits de ce genre sous le nom de paralysies alternes supérieures, et, à pro- pos du cas car
é le siège anatomique de ce syndrome. « Etant donné, disait-il, une paralysie du moteur ocu- laire commun gauche avec une hém
des dou- leurs dans les membres du côté gauche, bientôt suivies de paralysie de ce côté. Cette hémiplégie gauche s'est faite
ment paralysé. En même temps que cette hémiplégie, est survenue une paralysie de la troi- sième paire droite (strabisme exter
ment (9 novembre 1893) on constate le syndrome de Weber classique : paralysie totale et complète du moteur oculaire commun droi
rophiques ni vaso-moteurs appréciables. 2° Du côté des yeux, il y a paralysie complète et totale de la troisième paire du cot
cet oeil, sauf pour la lumière. Dans l'oeil gauche, il n'y a aucune paralysie du mouvement; sa situation est normale. La pupi
es troubles durent quelques jours et disparaissent. 21' février. La paralysie du voile du palais s'est amendée. Les boissons ne
auche. Le ptosis est toujours complet; eh dehors des vestiges de sa paralysie du voile, de ses troubles de la voix'et de la v
la vision par névrile optique. Depuis son entrée, sont survenus une paralysie du voile du palais et quelques phénomènes respi-
tant le facial supé- rieur. La paupière gauche tombante indique une paralysie du moteur oculaire commun gauche qui, où le ver
cédents, ce qui frappait le plus dans l'aspect du ma- lade était la paralysie du moteur oculaire commun gauche consistant en ch
SALPÊTRIÈRE Dans la première observation, l'hémiplégie gauche et la paralysie du moteur oculaire commun droit indiquent une l
ion antéro-latcrale droite de la 11'° vertèbre cervicale sur la 1 ? Paralysie et atrophie des muscles dépendant des lie et ¡Se
tombant d'un arbre, une luxation cervicale immédiatement suivie de paralysie des qua- tre membres. En quelques semaines, cel
ivie de paralysie des qua- tre membres. En quelques semaines, celle paralysie disparut, mais le blessé resta incapable de tou
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE le siège exact de la luxation et la causc des paralysies concomitantes. En effet, le palper de la nuque
otence complète : dans le premier cas, ils affec- taient le'type de paralysie médullaire que j'ai décrit sous le nom de type
re description (1868), Duchenne donnait à celle affection le nom de paralysie musculaire progressive de la langue, du voile dit
èvres (2). Trousseau proposa le nom plus concis et qui est resté de Paralysie glosso--lll,ùio-larYlIgée.. 1 . ' La lésion des
ous les caractères dû Jades décrit par Duchenne (de Boulogne). « La paralysie de l'orbiculaire des lèvres donne une prédominanc
face, (orbiculaire des lèvres et muscles du menton), frappée par la paralysie , demeure inerte et sans vie, le haut du visage
s'ohserve sans que les noyaux du bulbe soient intéressés : dans les paralysies , dites pselldo-vulvaires, par lésions corti- ca
hyméningite cervicale syphilitique (Un cas de), par H. Lamy, 104. Paralysie glosso-labio-laryngée (Le facies dans la), par
iracles de St-Ignace de Loyola, 318. MEIGE (H.) Le facies dans la paralysie glos- so-labro-laryngée, 379. Meige (H.) et T
ette nor- mal, V. Pachyméningite cervicale syphilitique, XVI. Paralysie glosso - labiolaryngée (faciès), XLVIII. Poss
89 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
fibres capsulaires desti- nées au membre supérieur, par exemple, la paralysie consécutive se montrera au même degré dans le g
-unes des fibres capsulai- res destinées aux membres supérieurs, la paralysie n'envahira pas au même degré tous les muscles c
é jusqu'à son entrée à l'hôpital. Etat actuel : Motilité : Pas de paralysie de la face, ni des membres supérieurs, ni du me
es mois qui suivent il n'y a pas grand changement dans l'état de la paralysie ; la marche est presque impossible à cause de l'i
t une lésion de la région du lobule paracentral peut déterminer une paralysie motrice du membre infé- rieur sans que le membr
atomiquement et physiologiquement distinctes. Si, en clinique, leur paralysie isolée s'observe rarement, l'explication du fait
olandique moyenne, et inversement. Dans les deux cas on observe une paralysie mo- trice simultanée des membres supérieur et i
uc- tions plus précises, on doit s'en tenir à la constatation d'une paralysie motrice du membre inférieur, relevant d'une néc
en état de conservation relative (1). Or, si ces formes légères de paralysies - (1) En se reportant à un tableau de l'irrigat
plus encore à la contracture post-hémi- plégique qu'au résidu de la paralysie motrice. Chez les vieillards le retour de la fo
e congénitale de cette difformité et qu'on émit l'hy- pothèse d'une paralysie infantile. La malade n'avait plus été revue à l
c que le diagnostic soit resté incertain et que l'hypo- thèse d'une paralysie infantile ait été faite, malgré les renseignement
gine cé- rébrale survenues à une période plus avancée de la vie, la paralysie faciale s'atténue et peut même disparaître ; l'
paralysie faciale s'atténue et peut même disparaître ; l'étude des paralysies pseudo- bulbaires chez l'homme prouve que les m
ue corres- pondant est en état de dystrophie mais sans présenter de paralysie mo- trice, ni d'état spasmodique. La comparaiso
un vieillard de 74 ans, une lésion cérébrale peu étendue laisse une paralysie permanente ; les phénomènes de suppléance sont nu
le temps de se recoucher. Elle resta ainsi un quart d'heure. Aucune paralysie ne s'ensuivit, elle aurait eu un peu de fièvre pe
0 LAIGNEL- LAVAST1NE mollissement par artérite syphilitique et de paralysie des racines sacrées droi- tes ou syndrome de l'
'avait con- tenue pendant une nuit, on pensa à la possibilité d'une paralysie du nerf radial par compression mécanique au niv
as d'une façon assez précise aux questions qu'on lui pose. 12. La paralysie déborde du territoire du nerf radial et s'étend à
a de nouveau c'est que le bras gauche est frappé lui aussi par une paralysie cantonnée exactement au territoire du radial ; c'
ymptômes initiaux du membre supérieur droit : une main tombante par paralysie du nerf radial. 18. La paralysie s'est étendue
ieur droit : une main tombante par paralysie du nerf radial. 18. La paralysie s'est étendue aux autres nerfs du bras gauche exc
s ne sont plus intacts : eux aussi commencent à être envahis par la paralysie amyotrophique, localisée au jambier antérieur et
extrêmement atrophiés, il n'y reste plus que la peau et les os. La paralysie est complète sauf dans le muscle del- toïde ave
tuberculose pulmonaire et péritonéo-intestinale est frappée par une paralysie amyotrophique progressive débutant par les membre
ve débutant par les membres supérieurs. Au niveau de ces membres la paralysie et l'atrophie musculaire se locali- sent initia
i peuvent prêter à des erreurs de diagnostic, car l'asymétrie de la paralysie initiale et l'absence ou presque de troubles se
iomyé- lite que de la polinévrite. Cependant, en considérant que la paralysie et l'amyotrophie revêtaient au début un type ri
évrite. En disant cela je ne veux pas naturellement affirmer que la paralysie poliomyélitique ne puisse pas, en certaines circo
nels. D'ordinaire, tant chez les en- fants que chez les adultes, la paralysie d'origine poliomyélitique présente les caractèr
a paralysie d'origine poliomyélitique présente les caractères d'une paralysie à topographie médullaire ou vasculaire,plus ou
en faveur de la polinévrite il y avait encore la progression de la paralysie amyotrophique de l'extrémité vers la partie pro
tance serait le suivant : dans la poliomyélite anté- rieureaiguë la paralysie atteint son maximum d'extension très rapidement,
e qu'elle occupait au début ; dans la polinévrite, au contraire, la paralysie se développe progressivement en mettant très sou-
rs points de vue Il y a d'abord à considérer le début brusque de la paralysie qui se développa du soir au lendemain dans le t
édicale. Nous en possédons un exemple dans le cas de Carrière où la paralysie amyotrophique se trouvait cantonnée en grande p
r le nerf médian et un autre dans le malade de Heyse chez lequel la paralysie était circonscrite aux muscles de l'épaule ; ma
compression sur la branche externe du nerf spinal en provoquant la paralysie des muscles correspondants il son inner- vation
ation. Une dernière remarque à faire c'est que chez notre malade la paralysie et l'amyotrophie débutèrent par les membres sup
férieurs. En d'autres termes, nous nous trouvâmes en présence d'une paralysie amyotrophique descendante,c'est-à-dire,d'une pa
ésence d'une paralysie amyotrophique descendante,c'est-à-dire,d'une paralysie de Landry (forme périphérique) à progression inve
ique) à progression inverse, tandis que dans tous les autres cas de paralysie de Landry avec lésions névriti- ques tuberculeu
n du pouce qui sont le « plus souvent paralysés. Après celle-ci, la paralysie la plus fréquente est « celle de la supination
onclusion : « D'une façon générale, dans l'hémiplégie organique, la paralysie porte non seulement sur tel ou tel muscle en pa
i en ne, mais beaucoup plus rares.Aujourd'hui i il n'existe plus de paralysie au membre supérieur ; par contre le membre infé
e sont repré- sentées (manie, mélancolie, paranoia, folie du doute, paralysie générale). Sainton les range en quatre groupes,
a jambe paralysée : elle porte d'abord le tronc du côté opposé à la paralysie et appuie tout le poids du corps sur le membre sa
ye (« sweeps ») le sol. « Cela, je pense, est caractéristique de la paralysie hystérique.» L'étude de la démarche dans l'hémi
l'on constate dans la paraplégie organique. Voici encore un cas de paralysie hystérique du membre inférieur droit que j'ai é
l. Si on fait marcher le malade à quatre pattes, tous les signes de paralysie disparaissent, et il accomplit dans cette posit
onduite de ces malades qui attire l'attention ; tandis que dans les paralysies organiques les malades contractent les muscles
ur est possible pour fa- voriser la démarche ; au contraire dans la paralysie hystérique les muscles DE LA D) ! MAHCHR HYSTÉR
restent passifs ou bien se contractent d'une façon absurde. Dans la paralysie hystérique, comme Brodie l'a dit justement, « c
e bien, avec une manifestation organique. BIBLIOGRAPHIE B1BL'SKI. Paralysie hystérique systématique. Bulletin de la Société m
is l'impotence des mains et des avant- bras est absolue. De même la paralysie des jambes. Par contre, la motilité était conse
on et d'abaissement des globes oculaires est aboli. Toutefois cette paralysie est moins marquée pour l'oeil droit que pour roei
uliens abolis. S'agit-il d'une polynévrite ? Dans cette maladie, la paralysie s'élend plus lentement et débute par les extrém
localisations différentes. Il en était ainsi dans ces épidémies de paralysie infantile où s'associèrent parfois des troubles
e deux observations de poliencépha- 10myélite; dans l'une, outre la paralysie des quatre membres, on nota des troubles de l'o
gère ; dans l'autre, la participation de l'hypoglosse et de plus la paralysie était survenue en deux temps et s'accompagnait
ions électriques - a inté- (1) MoRvAN, Contribution à l'étude de la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte. Thèse de
opposé ;Slrumpell (2), un peu plus tard, remarquait, au cours de la paralysie faciale, que la percussion de la face du côté sai
réflexe controlatéral, celui du tendon d'Achille. Dans deux cas de paralysie spasmodique, la percussion du ten- don d'Achill
des malades indemnes de toute affection du système nerveux (tabes, Paralysie Générale, polynévrite, myasthénie, psychoses, h
les hémiplégiques, du faisceau pyramidal situé du côté opposé à la paralysie : cette hyperex- citabilité bien connue se trad
réflexes rotuliens sont vifs et sen- siblement symétriques. Pas de paralysie faciale, de troubles de la sensibilité ni des s
e distingue pas de l'état organique de même nom, nous arrivons à la paralysie en passant par la parésie et par d'au- tres cas
tcry, De Sanctis, etc. Joffroy a récemment observé dans deux cas de paralysie générale juvé- nile, des symptômes très évident
as CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 429 de paralysie générale juvénile qui affectaient en même temps l
t voir des attaques convulsives généralisées ou à type jacksonien ; paralysie de un ou de plusieurs nerfs crâniens, exophtalm
Berl. klin. Woch., 1902, n° 46. - Cité par Fürnrohr. JOFFROY. - Paralysie générale juvénile chez un sujet de 23 ans. Persis
. BOURNEVILLE, LÉON-KINDBERG et CH. RICHET FILS Si le tabes et la paralysie générale junéviles sont aujourd'hui assez bien
Société de Pédiatrie (novembre 1907) comme atteinte de tabes et de paralysie générale. Aussi insisterons-nous ici surtout sur
yopie double qui rendirent tout travail impossible;, ;, en 1906, la paralysie générale vint compliquer le tabes. Il mourut cett
ant. On peut donc supposer que cette méningite fut le dé- but de la paralysie générale. En juillet 1907, elle entre à l'hôpit
éjà quelque temps. Cette enfant tabétique est également atteinte de paralysie générale. Celle-ci est caractérisée par des con
nt, le diagnostic est évident. L'enfant est atteinte de tabes et de paralysie générale. Elle est au moins autant tahétique que
d'amblyopie. En résumé, arrêt d'évolution du tabes. Par contre, la paralysie générale con- tinua à évoluer. Le développeme
é- quemment deux fois la même phrase, c'est une écriture typique de paralysie générale. ÉTUDE ANATOMO-CLINIQUE D'UN CAS DE
est mythomane et plutôt méchante, mais sans excès. Les signes de paralysie générale vont donc en s'aggravant. Cette évolut
nt donc en s'aggravant. Cette évolution dissociée du tabes et de la paralysie générale est intéressante. Bien que signalée pa
'enfant mourut le 31 août. A l'autopsie, on constata des lésions de paralysie générale et de tabes sur lesquelles nous revien
es comme chez un hémiplégi- que guéri la pneumonie peut éveiller la paralysie latente. Ce fait est intéressant. On peut l'opp
n clinique sont à signaler. Tout d'abord c'est la rareté du cas. La paralysie générale n'est pas chez l'enfant exceptionnelle
uiis (1), un de Srykowski et un autre de Wertlieimér. Mais tabès et paralysie générale associés sont rares chez les enfants. 1
ne pouvons le dire. Le fait n'est. : pas d'ailleurs unique, pour la paralysie générale tout au moins. Dans la thèse de Thiry
moins. Dans la thèse de Thiry (Nancy, 1898), sur 69 observations de paralysie générale juvénile, seize fois nous retrouvons l
leur, d'une part,certains symptômes de la double affection tabes et paralysie générale;d'autre part, l'évolution de la maladi
arche inverse. Le tabes a évolué comme s'il avait été arrêté par la paralysie générale ; peut-être est-ce à ce fait que nous
tabes ne semble pas avoir eu d'influence nette sur la marche de la paralysie générale. Examen du SVSTÈMENERVEUXDEjNANNE B...
bulleuse. Sa pathogénie serait alors la suivante : « Au début, une paralysie des artérioles commandant les zo- nes vasculair
ie a disparu, lors- que nous l'avons guéri de sa contracture, de sa paralysie . Mais ce qui constitue le pithiatisme de M.Babi
e parenchymateuse, à la syringomyélie, à la maladie de Morvan, à la paralysie infantile, au tabes, à la maladie de Frie- drei
maladie de Frie- dreich, à la sclérose latérale amylrophirur., à la paralysie agitante, au mal de Pott, aux myélites, etc.
ent à l'étude des intoxications (alcoolisme et morphinisme) , de la paralysie générale, et de certains états convulsif s. A
nne l'enseignement qu'il y poursuivit pendant 15 ans. Là encore, la paralysie générale et l'alcoolisme restèrent ses sujets d
t chère, à savoir que, si la syphilis est une cause fréquente de la paralysie générale, elle n'est pas suffisante pour la fai
t RlcnET fils. Etude anatolllo-clinique d'un cas de ta- hes et de paralysie générale chez un enfant de 15 ans (1 pl.),415.
nne (2 pl.), 93. Kindberg, BOURJOEVII.LE et Richet fils. Tabès et paralysie générale chez un enfant de 15 ans (1 pl.), 475.
.), 401. 1;1CIIET (fils), BOUI1\E\'ILLh : ft Kindberg. . Tabès et paralysie générale chez un en- fant de 15 ans (1 pl.), 41
) s'accompa- quant de troubles visuels (1 pl.), par Merle, 349. Paralysie générale et tabes chez un enfant de 15 ans (1 p
200. Tabes (Rhumatisme ankylosant et-), par ODDO, 27S. fabes et paralysie yénéralechez un enfant de 15an ? élude allaLomo
hémi-queue de cheval (Lai- gnel-Lavastine), XXI à XXIII. Tabes et paralysie générale chez un enfant (BOUa\EV1LLE, Kindberg
90 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
rvées à droite, mais à gauche, la para- lysie motrice est complète, paralysie flasque. Le membre soulevé retombe lourdement.
différente, vicieuse. La locomotion est donc devenue impossible par paralysie motrice de la jambe gauche qui traîneetpar l'in
ltiloculaire. Il ne s'agit pas non plus d'une polynévrite, ni d'une paralysie spinale ascen- dante, affections qui n'ont rien
ndrome Brown-Séquard, trou- bles sensoriels à droite (côté blessé), paralysie motrice à gauche. La seconde par une diminution
, dysesthésies, anesthésie du froid, ataxie à droite (côté blessé), paralysie motrice et anesthésie du chaud Ù gauche; 3° Ret
te qu'après le 3e jour. La main aurait été d'abord frappée, puis la paralysie aurait ensuite gagné la face et en dernier lieu l
l envisage les attitudes qui résultent de leur contracture, de leur paralysie , de leur atrophie. Gerdy (1) cependant avait
e sifflements d'oreille. La vue est bonne ; jamais il n'y a eu de paralysie oculaire ; on ne trouve de nystagmus dans aucun
abes, les affections cérébelleuses liées à des lésions en foyer, la paralysie pseudo- bulbaire. Parmi les affections essent
culaires presque constamment observés dans l'hérédo-ataxie : pas de paralysie des muscles extrinsèques, pas de modification des
lobes frontaux : 1° Un déficit intellectuel analogue à celui de la paralysie générale si les deux lobes sont atteints. 2°
ce d'une spondylite. Au cours de l'observation se développèrent une paralysie des muscles droits interne et inférieur de l'oeil
une observation de quelque durée nous pensâmes avoir affaire à une paralysie générale juvénile. Ajoutons pour n'y plus revenir
e extrême, elle n'atteignit jamais les degrés qu'on observe dans la paralysie générale. C'est ainsi qu'en décembre 1898 K... éc
s notés trouvent sans difficultés leur explication ; par exemple la paralysie du nerf IIP à droite par destruction directe du
ous sommes habitués à considérer comme quasi caractéristiques de la paralysie progressive. 2° L'ataxie, la dysarthrie et le r
de tumeur est en général bien différente par exemple de celle d'une paralysie générale. Ici c'est surtout l'écorce qui est lé
E DE LA CALOTTE PÉDONCULAIRE. HÉMIPLÉGIE ALTERNE SENS1T1V0-MOTRICE. PARALYSIE DES MOUVE- MENTS ASSOCIÉS DE L'ÉLÉVATION, DE L'
e syndrome de Mitiard-Gùbler ; il est caractérisé d'un côté par une paralysie des mouvements de latéralité des globes oculaires
ement à l'accommodation, mais pas à la lumière. En résumé, il y a paralysie de l'élévateur, du droit supérieur, du droit in-
ination motrice et de l'asynergie musculaire, que par une véritable paralysie . A l'examen de la sensibilité on note dans tout
la position acquise par le ptosis (PI. XXVI, A). On constate une paralysie absolue de l'élévation et de l'abaissement dans l
ès les caractères de cette diplopie on est parfaitement fixé sur la paralysie du pathétique et l'intégrité de la VIe paire de
ur. Pas d'examen de la moelle, l'autopsie ayant été partielle. La paralysie associée de l'élévation, de l'abaissement et de l
u'une hémiplégie motrice ou sensitivo-motrice vienne s'associer une paralysie des mouvements conjugués des yeux. Il s'agit al
s'agit alors d'un syndrome qui se rapproche beaucoup du groupe des paralysies alternes. « Toutefois dit M. Raymond (4) qui à
façon très exacte sur la physiologie des mouvements (1) PARI\.1UU, Paralysie des mouvements associés des yeux, Arch. de neurol
169 associés des yeux et sur le siège des lésions qui entraînent la paralysie de ces mouvements d'ensemble des deux globes oc
des tubercules quadrijumeaux antérieurs, il arrive toujours que la paralysie des mouve- ments associés des globes oculaires,
s de lésions limitées aux tubercules quadrijumeaux antérieurs, sans paralysie des mouvements associés des yeux ; tels sont le
que fois que pendant la vie, le tableau clinique fut dominé par les paralysies oculaires, on vit à l'autopsie que la lésion des
cée dans les tubercules quadrijumeaux antérieurs, peut produire une paralysie des mouvements associés de la bilatéralité ; il s
e de cette dernière. A cette hémiplégie ainsi faite, s'ajoutait'une paralysie bilatérale et symétrique de tous les mus- cles
anatomie pathologique et la clinique ont bien prouvé l'existence de paralysies partielles de l'oculo-moteur commun et d'ophtalmo
- silaire (3) ; d'autre part, en étudiant bien les caractères de la paralysie des muscles des yeux dans nos cas, parfaitement
u pathétique. Une pareille lésion nous renseignait très bien sur la paralysie des muscles des yeux, musculature interne y compr
ar les faisceaux de la calotte protubérantielle, peut entraîner une paralysie des mouvements conjugués de latéralité. Pour
as de tumeurs des tubercules quadrijumeaux ou de leur voisinage, la paralysie des muscles des yeux porte de préférence sur to
il y aurait lieu de pouvoir établir une distinction nette entre les paralysies nucléaires et les paralysies radiculaires ou tr
tablir une distinction nette entre les paralysies nucléaires et les paralysies radiculaires ou tronculaires de la 7 ? paire. Q
les vaso-moteurs ; il n'y avait en effet, chez notre malade, aucune paralysie vaso-motrice cliniquement appréciable, ni oedèm
oculaires dans un cas de tubercule de la calotte pédonculaire avec paralysie bilatérale de la IIP paire ; dans nos deux cas,
re, âgée de 70 ans, entre à l'hôpital à la suite d'une atta- que de paralysie . Le 30 octobre vers midi, la malade rentrait chez
terfasciculaire. Muscles. L'état des muscles est en rapport avec la paralysie . Le jumeau droit, examiné, est pàle et atrophié
en une hyperkinésie (crampes ou spasmes). Pour Ham- mond, c'est une paralysie anapeiratique ; Woillez l'appela, contracture par
des doigts.Il suffit d'une cause quelconque, comme la parésie ou la paralysie de quelques-uns de ces muscles, le tremblement
nférieure du bras droit, consécutive à un accident d'automobile. La paralysie du bras fut complète, avec contracture du bicep
tenu deux guérisons par la faradisation de muscles exten- Fig. 6. - Paralysie radiculaire guérie. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE 2
es à s'occu- per du traitement direct des muscles, atteints soit de paralysie , soit de contrac- ture. Haupt est arrivé à conc
t arrivé à conclure que dans le cas des crampes professionnelles la paralysie est toujours primitive et que la contracture n'es
but de relâcher les muscles pelviens. t Ludwig Mann (2) croit à la paralysie des muscles de la masse dorso- lombaire, du côt
e croisée, du côté opposé pour la scoliose homologue. Lorsqu'il y a paralysie des muscles abdominaux, la scoliose se compliqu
jamais le fait d'une cause unique (contracture, étal spasmodique,. paralysie , etc.), mais bien d'un ensemble de causes relevan
les multiples travaux publiés sur les sclé- roses combinées dans la paralysie générale. L'opinion,qu'exprimait CI. Philippe (
e saurait donc être mise sur le compte des lésions corticales de la paralysie générale ; c'est plutôt une altération développée
, sauf excep- tion (5), les lésions des cordons postérieurs dans la paralysie générale (i) Histologie de la paralysie général
cordons postérieurs dans la paralysie générale (i) Histologie de la paralysie générale. Rapport présenté au XIIIO congrès des a
tes de France et des pays de langue française, Bruxelles, 1903. (2) Paralysie générale progressive, in Tr. de path. mentale, Do
52. (5) A. JoFrroy et E. Rnuaon, Un cas d'association du tabes à la paralysie générale, Revue Neurologique, 30 novembre 1903.
téristique. En outre de cet état démentiel, il présente le syndrome paralysie générale au complet : inégalité pupillaire, tre
nts personnels. - Syphilis probable. A son entrée, le diagnostic de paralysie générale fut porté par le Dr Blin. Il présentai
t LIGNFL-L.\V.1STI\E. Contribut. à l'Étude de quelques formes de la paralysie générale. Congr. de Bruxelles, 1903. Obs. XXV, p.
e l'hôpital à l'asile Ste-Anne. Le Dr Magnan porta le diagnostic de paralysie générale. A l'entrée, il présente de l'affaibli
1). . Seig..., 36 ans, entré le 27 juin 1903 à l'asile de Vaucluse. Paralysie géné- rale avec démence. Euphorie. Pupilles iné
veux. Les troubles du caractère remontent à cinq années. Ictus avec paralysie transitoire, dix-huit mois avant son entrée. De
l'élude de l'anatomie pathologique et de l'his- topatholo,gie de la paralysie générale, Nouv. Iconogr. de la Salp., 1900, p. 41
u. Les coupes de l'écorce montrent les altérations ordinaires de la paralysie générale. La pie-mère est épaissie et infiltrée.
veau. Les coupes du cortex montrent des lésions caractéristiques de paralysie générale. La pie-mère est fort épaisse et infiltr
asile de Vaucluse le 15 novembre 1902. Il présente à son entrée une paralysie générale manifeste caractérisée par 216 VIGOURO
e l'hôpital Saint-Antoine, où le Dr Thoinot, porta le diagnostic de paralysie gé- nérale progressive avec agitation. A son
A son entrée dans le service, il présente les signes classiques de paralysie générale, démence et euphorie, embarras de la p
âgé de 32 ans, entre à l'asile de Vau- cluse le 28 octobre 1902. La paralysie générale avait été diagnostiquée par M. Garnier
sur ses antécédents héréditaires et personnels. Le diagnostic de paralysie générale a été porté par les D" Legras et Magnan
cia d'un non-lieu et fut interné à Sainte- Anne. Le diagnostic de paralysie générale porté par les D°9 Dubuisson et Dagonet
ions tabéto-paralytiques que tout le monde admet aujourd'hui (Tabo- paralysie de Fürstner). A côté de tabes anciens sans autr
encéphalique. Nous avons vu lésions tabétiques jeunes et lésions de paralysie géné- rale jeune n'être que les deux expression
lativement au rôle de la syphilis dans l'éclosion du tabes et de la paralysie générale ap- portent un fort appui à cette faço
s réactions d'apparence souvent aussi différente qu'un tabes ou une paralysie générale, mais dont t (1) Le cas de Curioni, ét
e les tabes vrais et les pseudo-tabes ». Rapports du tabès et de la paralysie générale. Nouv. Icon. Salp., septembre 1903, p.
nsition. Nous ne voulons d'ailleurs pas dire que tous les syndromes paralysie générale, comme tous les syndromes tabes dérive
res sont parésiés, mais les postérieurs le sont davantage. Pas de paralysie faciale ; la face est symétrique. Les réflexes
s lésions observées sont comparables, en tous points, à celle de la paralysie générale chez l'homme. La consta- tation chez l
une cause puissante, habituelle de la méningo-encéphalite et de la paralysie générale par la- quelle elle se traduit, il fau
a maladie actuellement désignée sous le nom de myasthénie grave, de paralysie bulbaire asthénique, de syndrome d'Erb (et nous n
a fatigue vocale est facile et rapide. Mais on ne note aucun signe de paralysie bulbaire : il n'existe de troubles paralytiques
rol. central Blitt., février 1902 ; W. Sinklkr, Myasthénie grave ou paralysie bulbaire asthénique, Philad. med. Journ.,8 févr
-paralitica, Munch mediz. Wochenschr., nos 43-44, 1903 ; Guillain, La paralysie bulbaire asthénique, in Traité de CitAMOT-BoucH
ations à cette loi. Dejerine et Thomas ont constaté, dans un cas de paralysie bulbaire asthénique, des lé- sions atrophiques
des oedè- mes « irrégulièrement distribués sur le territoire de la paralysie , appa- raissant et disparaissant assez vite, re
binski à gauche seulement et peu net. Il existe un certain degré de paralysie du facial inférieur gauche : impossibi- lité de
rs. Rejet des liquides par le nez. Spasme facial droit et peut-être paralysie faciale inférieure gauche. Démarche pachydermiq
es, si ce n'est au niveau des muscles exten- seurs des pieds. Cette paralysie toute localisée a été signalée dans d'autres ca
eurs je suis porté à croire qu'il y a une certaine parenté entre la paralysie faciale périphérique et l'hémispasme facial pér
ns ; j'ajoute, à l'appui de cette opinion, qu'on peut voir, dans la paralysie faciale péri- phérique, à la paralysie musculai
on, qu'on peut voir, dans la paralysie faciale péri- phérique, à la paralysie musculaire succéder un état spasmodique ayant -
NTRACTIONS « SYNERGIQUES PARADOXALES » OBSERVÉES A LA SUITE DE LA PARALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE, - PAR HENRI LAMY. A l
ALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE, - PAR HENRI LAMY. A la suite de la paralysie faciale périphérique, on observe parfois deux o
éno- mènes soient dissociés ; ou du moins on peut, à la suite de la paralysie faciale, observer isolément ces contractions as
'une soixantaine d'années que j'observe actuellement, atteint d'une paralysie faciale droite périphérique depuis la première
sur ce dernier phénomène seulement que je veux insister ici. , La paralysie ne se traduit au repos, chez ce sujet, que par un
I. PI. XLIX CONTRACTIONS SYNERGIQUES PARADOXALES A LA SUITE DE LA PARALYSIE FACIALE PÉRIPHÉRIQUE (H. Lamy). A. Contractio
, qui n'a point encore été proposée que je sache. La guérison de la paralysie faciale s'est faite au prix d'une restauration
ette forme, la synergie paradoxale appartient plus spécialement aux paralysies faciales remontant à la première enfance. XV111
nitive- ment par la suite. Il est à remarquer que chez le cadet, la paralysie des membres s'est produite en même temps qu'aux
leurs vives dans les membres in- férieurs chez un malade atteint de paralysie pseudo-hypertrophique. De même, Mübius a observ
spino-iombaires, forme qu'on oppose à la lordose dépendant d'une paralysie des muscles abdominaux. (1) Société médicale de
Mme Sacara (1), le mécanisme de la lordose est tout autre : dans la paralysie pseudo-hypertrophique, elle dépendrait plutôt d'u
tion des muscles spinaux, qui se contractent pour contrebalancer la paralysie des muscles abdominaux ; l'inclinaison du bassi
urs après son entrée à l'hôpital, il le quitta dans le même état de paralysie ; les douleurs avaient disparu dans les membres s
absence de toute atrophie musculaire empêchait de penser soit à une paralysie infantile, soit à une myopathie, qui, avec une se
de Pott lombaire ou dorso-lombaire tout au plus, et dans ce cas les paralysies , rares d'ailleurs, doivent affecter le type ra-
me des altérations musculaires, quoique plus exceptionnellement. La paralysie infantile s'accompagne d'un raccourcis- sement
, le nystagmus persistent invariables. 19. - Le malade présente une paralysie radiale du côté droit. Cela est dû à une compre
son de stigmates ou d'affections concomitantes comme le tabes ou la paralysie générale. II fait voir que les lésions de méningo
rut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mourut, paraît-il, de paralysie cardiaque. (1) WALTER, Trattato di chirurgia DU
menté, ni diminué de volume. Du côté de la face on ne relève pas de paralysie ou d'atrophie ; le frontal ce- pendant exécute
nous étudions. Au point de vue clinique, il est à remarquer que les paralysies oculai- res chez les malades des observations I
nne par aplatissement et de plus, cela surtout chez la malade 1, de paralysie ou d'atrophie du muscle frontal. Il y a donc là p
ou d'atrophie du muscle frontal. Il y a donc là plus qu'une simple paralysie extrinsèque de l'oeil mais tout un ensemble de tr
très intéressant travail de Ferron (1) sont venues montrer que des paralysies oculaires acquises, avec intégrité du fonctionn
contractures ni de crampes, pas de rétractions tendineuses ; pas de paralysie partielle, ni atrophie ou hyper- trophie ou pse
ADAKI, 140. Contractions synergiques paradoxales à la suite de la paralysie faciale périphéri- que (1 pl.), par Lamy, 424.
e cette affection (2 pl.) par OETT1YGER et AGASSE- LAFONT, 292. Paralysie faciale périphérique (Contrac- tions synergique
ontractions sy- nergiqnes paradoxales observées à la. suite de la paralysie faciale périphéri- que (1 pl.), 424. LA1'NOIS
II et LXIV. Contractions synergiques paradoxales à la suite de la paralysie faciale périphéri- que (LAMm), XLIX. Contract
91 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
côté droit que du côté gauche, mais sans prédominance manifeste de la paralysie plutôt d'un côté que de l'autre. Elle meurt au bo
ii. Homme (Emilie), 58 ans. — Cette femme, qui n'avait jamais eu de paralysie est frappée d'apoplexie le 17 février 1857, et es
saient rapidement après une saignée et ne laissaient après eux aucune paralysie . A la suite de la troisième attaque, on insista p
r supléé par Proust. Til (Nicolas), -40 ans. — Attaque d'apoplexie, paralysie des quatre membres, coma profond, température axi
hurine-Adelaïcle), 76 ans. — Cette femme est frappée d'apoplexie avec paralysie de la face à gauche et hémiplégie manifeste surto
tuellement bien portante, est prise d'apoplexie le 23 juin 1868, avec paralysie de la face à gauche et hémiplégie gauche. Elle a
'état apoplectique, puis reprend connaissance ; on constate alors une paralysie complète de la sensibilité et du mouvement au mem
il y a trois ans, sans perte de-connaissance, une première attaque de paralysie affectant seulement fe membre supérieur droit, fl
émiplégie gauche, il y a trois ans. Deuxième attaque il y a un an, la paralysie augmente et la malade ne peut plus marcher. Enfin
l'hospice de l'Antiquaille, le 13 décembre 1807. On diagnostique une paralysie générale. Le 16 décembre, le malade fait une chut
t il meurt le 21 décembre. A Vautopsie, on trouve les lésions de la paralysie générale; puis dans le lobe postérieur de l'hémis
Moreau. L... (Louise) 59ans(l). — Cette femme,qui était atteinte de paralysie générale, est morte le 20 avril 1808. On trouve à
si différent, M. Charcot croit qu'elles doivent être rapportées à la paralysie vaso-motrice.Elles ne sont pas un phénomène préco
éciardJ ? Parmi les maladies à convulsions cloniques, la chorée et la paralysie agitante peuvent être citées, lorsqu'elles sont i
onvulsifs, ne subit pas de déviation sensible du type normal. Dans la paralysie agitante en particulier, l'exploration thermométr
is 37°,6. Chez une femme âgée d'une quarantaine d'années, atteinte de paralysie agitante trôs-violenfe, et qui exécute constammen
st caractérisée surtout par une perte complète de connaissance et une paralysie avec contracture des membres du côté gauche. C'es
ion bien marquée, soit de l'état des fonctions cérébrales, soit de la paralysie avec contracture des membres du côté gauche. Le 1
que, quia été très courte, il ne paraît être resté aucun phénomène de paralysie , du moins si l'on s'en rapporte aux seuls renseig
-être quelques heures seulement, et n'a pas été suivie d'accidents de paralysie ou de contracture, car, après que la malade eut é
ies du cerveau et de ses membranes. Paris, 1826) et M. Calmeil {De la paralysie considérée chez les aliénés. Paris 1826) (1) ont
hémorrhagie, chez des individus atteints de méningite chronique ou de paralysie générale. Ces deux auteurs n'hésitent pas à attri
tions où ces produits ont été trouvés à l'autopsie de sujets morts de paralysie générale. Pour M. Brunet, les néomembranes se dév
ssent et perdent la certitude de leurs mouvements ; il se produit des paralysies incomplètes et partielles, le plus souvent hémipl
e connaissance observées dans un certain nombre de cas. Lorsqu'il y a paralysie à cette époque, on conçoit qu'elle soit mobile et
'est pourquoi elle est si habituellement méconnue dans le cours de la paralysie générale avec laquelle elle coexiste, comme on
lisée, au-dessus de l'oreille gauche, sans phénomènes concomitants de paralysie . Cette céphalalgie a persisté pendant les deux an
ris de fièvre. Deux jours après, il survient encore un accès suivi de paralysie complète, et enfin quelques jours après le malade
écoulement. Trois jours avant sa mort, elle -tombe dans le coma, avec paralysie in complète du côté gauche et mouvements convul
paralysés occupait le côté droit du corps ; du même côté, il y avait paralysie faciale incomplète : la sensibilité s'était conse
et légèrement dirigé de bas en haut. Le premier jour, on observa une paralysie motrice complète des deux membres inférieurs, de
ets de l'irritation de la moelle épinière et des nerfs, de ceux de la paralysie ou simple cessation d'action de ces parties ; en
mps, il s'était produit aux membres du côté droit un certain degré de paralysie qui n'a pas persisté. Le lo août, nouvelle attaqu
de bonne heure, 16 jours à peine après l'attaque, dans les cas où la paralysie étant restée incomplète, les jointures affectées
aujourd'hui généralement acceptée, ces phénomènes dépendraient de la paralysie d'un certain nombre de filets nerveux vasculo-mot
e et, en particulier, dans les jointures ; car il est démontré que la paralysie vasculo-motrice, déterminée chez les animaux par
té ; dans ces faits d'hémianesthésie, on sait qu'il y a non-seulement paralysie de la sensibilité générale, mais encore des organ
-ro-épilepsiechez elle a survécu quatre annéesàla ménopause(l). II. Paralysie hystérique ; diagnostic. — La paralysie est le ph
annéesàla ménopause(l). II. Paralysie hystérique ; diagnostic. — La paralysie est le phénomène précurseur ordinaire de la contr
tale, prédominante du côté gauche : c'est de ce côté qu'il existe une paralysie hystérique très-marquée. Il y a presque une parap
e très-marquée. Il y a presque une paraplégie. Comment distinguer une paralysie hystérique d'une paralysie due à une myélite, à u
que une paraplégie. Comment distinguer une paralysie hystérique d'une paralysie due à une myélite, à une lésion matérielle de la
elle. Il faut donc chercher ailleurs le diagnostic différentiel de la paralysie hystérique et de la paralysie organique. Il faut
lleurs le diagnostic différentiel de la paralysie hystérique et de la paralysie organique. Il faut étudier le tableau tout entier
pour donner mon avis dans un cas où l'on se demandait la nature d'une paralysie dont était atteinte une jeune femme de vingt ans.
, en effet, elle survint rapidement. Cette jeune fille, atteinte de paralysie du côté gauche, présente aussi une anesthésie tot
us présente, celle-ci voit des chats noir|)du côté gauche, côté de sa paralysie ; celle-là voit un lion rouge, cette autre voit de
bientôt suivies d'une sorte de stertor qui dure quelques minutes. La paralysie du côté droit n'a pas disparu. Le sommeil persist
jusqu'au centre et les réflexes sont abolis le plus souvent. Dans la paralysie infantile, c'est le centre nerveux lui-même qui e
blement affaiblis, et dont l'affaiblissement confine quelquefois à la paralysie . C'est là un exemple des affinités secrètes qui r
s deux états musculaires si opposés en apparence la contracture et la paralysie . La diathèse de contracture, lorsqu'elle est gé
qui avaient résisté à d'autres moyens, ont été guéris de cette façon ( paralysies , mutisme hystérique, etc.) M. le professeur Grass
citerai un fait qui peut avoir son importance : dans certains cas de paralysie spinale où des muscles ne répondaient pas aux cou
car ce temps a suffi pour développer une contracture du poignet avec paralysie de la sensibilité et du mouvement de tout le memb
ma proposition : je me bornerai à quelques exemples. Certains cas de paralysie faciale périphérique sont, vous le savez, diffici
tre action qui paraît propre à l'électricité statique se voit dans la paralysie agitante. Le souffle, ou de faibles étincelles ar
sposés, un état nerveux spécial caractérisé par des contractures, des paralysies , des troubles divers de l'intelligence. Cet état
jusqu'à présent, on n'a jamais pu fournir une observation probante de paralysie flasque de la face dans l'hystérie, tandis que du
asque de la face dans l'hystérie, tandis que du côté des membres, ces paralysies sont, comme on le sait, très fréquentes. L'exci
hypnotiques, quand on provoque par suggestion le développement d'une paralysie flaccide dans un membre, on lui fait perdre, pend
laccide dans un membre, on lui fait perdre, pendant la durée de cette paralysie , toutes les propriétés somatiques, qui persistent
hallucinations, des ordres, des rêves, le frapper d'anesthésie et de paralysie . L'étude de la suggestion ouvre à la psychologie
auditive. On pouvait, au contraire, par ce procédé, faire naître une paralysie flasque ou spas-modique ; toutefois, la suggestio
h yméningite,p . 117,121 : — symptômes, p. 132;— évolution, p. 133. Paralysie agitante, p. 07 Paralysie hystérique, caractère
symptômes, p. 132;— évolution, p. 133. Paralysie agitante, p. 07 Paralysie hystérique, caractères de la—, p. 290; — diagnost
92 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
fistule mène dans la profondeur du rocher sous la saillie du facial. Paralysie faciale post-opératoire : qui disparaît totalemen
de la moti-lité ni de la sensibilité. Rien au fond de l'œil : pas de paralysies oculaires, ni de nystagmus. Pas de fièvre. Les jo
on oreiller. Respiration accélérée ; pouls plus rapide. Coma profond, paralysie du bras droit. L'urine, extraite par la sonde, co
énopathie de la région cervicale supérieure. Le malade présentait une paralysie de la moitié gauche de la langue avec atrophie lé
paralysie de la moitié gauche de la langue avec atrophie légère, une paralysie complète de la moitié gauche du voile du palais a
atin gauche et immobilisation des deux piliers correspondants, et une paralysie de la corde vocale gauche, en position médiane; i
aux de Faure sur l'anastomose spino-faciale appliquée à la cure de la paralysie faciale périphérique d'origine otitique. Ce segme
otitiques. Pendant longtemps on a méconnu l'étiologie otitique de la paralysie faciale dite a frigore. On ne l'a admise définiti
disons « presque constante », car il est hors de doute que parfois la paralysie faciale périphérique apparaît, évolue et guérit s
le ferait supposer l'anatomie. Cet auteur trouve un cas seulement de paralysie faciale sur 100 cas de suppuration chronique, eto
surants encore que ceux de l'illustre otologiste de Munich; un cas de paralysie faciale sur 3oo cas de suppuration de l'oreille.
la totalité du conduit auditif interne détermine presque toujours une paralysie complète ou partielle de l'acoustique et du facia
Que la nécrose du labyrinthe tout entier s'accompagne généralement de paralysie faciale ; 3° Que celle-ci se produit exceptionn
nnellement par nécrose du limaçon ; [\° Qu'enfin, en présence d'une paralysie faciale consécutive à une otite moyenne suppurée,
elet. Mais il sera presque impossible de dissocier cliniquemcnt cette paralysie faciale par compression endocrânienne, de celle p
noyau bulbaire, et aussi du faisceau intra-bulbaire du nerf: c'est la paralysie nucléaire. Nous verrons plus loin que l'abcès d
dans son trajet inter-parotido-mastoïdien. Dans une observation de paralysie faciale congénitale, comuniquée par Marfan et Dev
tte agénésie du rocher forme le substratum anatomo-pathologique de la paralysie faciale congénitale, caractérisée aussi, clinique
llon de l'oreille. Jusqu'en 1898, on regardait comme incurables les paralysies faciales qui se produisaient par carie du rocher
éjà pratiquée, et qui laissait entrevoir la possibilité de guérir les paralysies de cette nature. Il s'agissait de l'anastomose du
onné rarement les résultats qu'on en attendait. Le plus souvent, à la paralysie faciale, qui ne se modifiait en rien, s'ajouta un
t complètement cicatrisée, et la suppuration définitivement tarie; la paralysie faciale persistait aussi complète et absolue qu'a
urulente, par des douleurs persistantes temporo-pariétales et par des paralysies ou parésies du droit externe, comme l'expression
ie localisée à la moitié gauche du front et à la tempe. Il existe une paralysie faciale droite très appréciable sans déviation de
patellaire du côté de la lésion; parmi les seconds, nous citerons les paralysies de la VIe et de la VIIe paires et l'hémiplégie cr
. Drummond commit cette erreur sur un enfant de 9 ans qui offrait une paralysie du bras droit, une parésie de la jambe droite ave
ion spécialement liée avec les fonctions réflexes. La parésie ou la paralysie de la VI6 paire est aussi un symptôme rare des ab
IVe ventricule, soit du nerf lui-même contre l'apophyse basilaire. La paralysie de la VIP paire ne peut servir au diagnostic de l
Paris, 1873. Bonthoux (G.), De l'étiologie otique de certains cas de paralysie faciale, dite a frigore. Thèse de Lyon, i8g4. Bon
e sens des attitudes. Paris, 1904. — Troubles oculo-moteurs dans la paralysie faciale périphérique. Gazette hebdomadaire de méd
f. Ohr. 55 Band. 1902. Bréavoine (G.), Traitement chirurgical de la paralysie faciale d'origine traumatique par l'anastomose sp
J.), Traité (l'anatomie descriptive. Paris, [877. Daleine (E.), Des paralysies faciales otitiques et de leur traitement chirurgi
r un syndrome particulier de complications endocrâniennes otiticpies. Paralysie de l'abducteur d'origine otitique. Annales des ma
s de l'orientation et de l'équilibre. Paris, 1901. Grivot (M.), De la paralysie faciale otitique. Thèse de Paris, 1903. Grossar
ionen am Ohr. Berlin, igo4- Heller (A.), Contribution à l'étude des paralysies faciales congénitales par agénésie du rocher. Thè
site. Thèse de Paris, 1900 Rozier (J.), Otite chronique. Evidement. Paralysie faciale consécutive au curettage de la cavité sou
93 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
nts. — Perte de la notion de position. — Affaiblissement de la vue. — Paralysie des nerfs moteurs à gauche. — Doideurs dans les m
er pour ce qui concerne les pleurésies, les pneumonies, ainsi que les paralysies puerpérales. — Les trois dernières sections sont
si obtenu de bons résultats chez un malade atteint d'arthralgie et de paralysie saturnine. A M. Yulpian nous devons une étude s
observations de M. Joffroy sur Yatrophie mus-culaire progressive avec paralysie labio-glosso-laryngée, sur la sclérose en plaques
et légèrement dirigé de bas en haut. Le premier jour, on observa une paralysie motrice complète des deux membres inférieurs, de
é de l'observation de Moynier. Observation VIII. —Myélite subaiguë.— Paralysie -progressive. — Arthropathie du genou et de Varti
du séjour prolongé dans un endroit humide et de grandes fa-tigues. La paralysie du mouvement commence à se prononcer dans les mem
me, i es mains étaient également affectées, bien qu'il n'y eût pas de paralysie . Pouls, 12a. IIypéresthés;e au plus léger con-tac
t sujette, durant vingt-quatre heures, et cela depuis l'origine de sa paralysie à des accidents bizarres : les membres paralysés
de sa grossesse par la vue d'un de ses voisins qui est atteint d'une paralysie de la main droite1. Elle a allaité son enfant j
, face colorée. Pupilles égales, notablement dilatées. Nulle tiace de paralysie . La malade a bu presque toute sa potion ; la dé.l
tant de ce bain qu'elle aurait été prise de convulsions suivies d'une paralysie du côté droit. Jusqu'à ce moment, D... était très
ffés. Les yeux sont immobiles, non déviés. Il n'y a ni contracture ni paralysie . La sensibilité gé-nérale est à peu près tout à f
que cette même trémulation se ren-contre très-habituellement dans la paralysie avec contracture, liée à une lésion organique spi
able origine. 1° Remarquez en premier lieu, Messieurs, l'absence de paralysie faciale et de déviation de la langue, tirée hors
que l'a montré Brown-Séquard, occuperait le côté du corps opposé à la paralysie motrice. 3° Nous avons à relever encore bien d'
langen, 1869), on devrait à M. Althaus d'avoir signalé L'absence delà paralysie faciale et de la déviation de la bouche et de la
araplégie hystérique, par M. Laycock, dans les termes suivants : « La paralysie plus ou moins prononcée des extrémités inférieure
; cette perturbation se traduit par la constipation, la tympanite, la paralysie vésicale, l'accroissement ou la diminution de la
ait, lui aussi, être in-voqué en faveur de l'origine hystérique de la paralysie . Ainsi, tandis que le membre supérieur était dans
ent surgir. Qu'adviendra-t-il de ces malades? Depuis 2 ou 3 ans, la paralysie avec contracture a persisté, chez elles, sans ame
rétrospective et dans lequel on trouve l'histoire de plusieurs cas de paralysie guérie après des pè-lerinages faits à Saint-Denis
ant celui d'Ambroise Paré pratiquant au roi une saignée, suivie d'une paralysie passagère de quelques doigts et du sphacèle de le
le à l'ambulance de niôtel-de-Ville. CANCROIDE DE L'OREILLE DROITE; PARALYSIE DU MUSCLE FRONTAL CORRESPONDANT par E. basserea
ment. — Le sourciller et le pyramidal n'ont point été atteints. Cette paralysie partielle donne une expression singulière à la fa
Planche XXIX.) REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche \\X. PARALYSIE DU MUSCLE FRONTAL DROIT C A N C R 0 ï D K PAT
veau,\\ y aura affaiblissement intellectuel,coma, délire, quelquefois paralysie ,trou-bles, que d'ailleurs on peut rencontrer dans
it. Nous retrouvons encore cette même attitude chez une femme dont la paralysie , survenue à l'âge de 21 ans, date aujourd'hui de
, la bouche aurait été fortement déviée à gauche durant deux mois. La paralysie de la jambe aurait com-mencé à diminuer au bout d
n ; cet accident reviendrait de temps en temps. État actuel (1862). Paralysie du bras droit avec roideur et flexion très-légère
ure, etc., ne présentent pas de différence. Il n'y a pas de signes de paralysie fa-ciale. Membre supérieur droit. La malade élè
isième et quatrième doigts, est nulle à l'auricu-laire : cependant la paralysie date de l'âge de 17 mois. Voici encore quelques
..., M. Pauline, 26 ans; convulsions à l'âge de 8 mois, suivies d'une paralysie du côté gauche. La main, à angle droit sur l'avan
mosphériques, alors que, pour employer une expression des malades, la paralysie les travaille, l'attitude des membres, les déform
n relâ-chement du parenchyme déjà peu résistant par lui-môme ou d'une paralysie des éléments musculaires des parois vasculaires e
nstances faites pour le retenir à l'hôpital. B. BIBLIOGRAPHIE Des paralysies des muscles moteurs de l'œil, par A. von Gbj:fe,
tre ophthalmologiste s'est proposé de donner un exposé des signes des paralysies musculaires de l'œil. L'ouvrage est divisé en t
yse; — dans la seconde, ces moyens sont appliqués au diagnostic de la paralysie de chaque muscle en particulier ; — dans la troi-
dans la troi-sième, sont examinés des cas plus complexes, tels que la paralysie de plusieurs muscles à la fois. Si bien des cha
nterprétations plus satisfaisantes, il ne saurait en être de même des paralysies oculaires. — Listing, Donders, Helmholtz, de Grae
rimentés. 11 est aisé de conclure que la physiologie pathologique des paralysies soit une œuvre achevée. La connaissance de bien
stions d'ophthalmologie peut être livrée aux spécialistes ; celle des paralysies oculaires est inséparable du bagage de tous les m
actif. Mais ce signe nous dira peu de chose sur les faibles degrés de paralysie , et ne nous révélera rien sur la paralysie de cer
sur les faibles degrés de paralysie, et ne nous révélera rien sur la paralysie de certains muscles qui, comme les obliques, agis
ysé, par une rotation en dehors de la tête. Pour peu qu'il existe une paralysie de plusieurs muscles, ces mou-vements de la tête
paralysé. C. Heste la diplopie, qui apparaît brusquement lorsque la paralysie d'un muscle vient rompre la vision binoculaire, e
pas jusqu'au simple défaut d'équilibre des muscles anta-gonistes sans paralysie que l'on n'arrive à mettre en évidence par les re
acilement. B... se porte bien, ne souffre aucune-ment. Toute trace de paralysie semble aussi avoir disparu. Examen de la tumeur
ricité appliquée à l'art des acco; chements, par Ta-chard, 256. — Des paralysies des muscles moteurs de l'œil, par von Grsefe (ana
iodée, etc., par Bourne-ville, 510. Cancroïde de l'oreille droite ; paralysie du muscle frontal correspondant, par E. Bassereau
e pathologique des parties constituan-tes des), par le même, 1. P Paralysie du muscle frontal droit, 231. Parotide [voy. Ad
anche XXIX. Cancroïdc de l'o-reille droite.........251 Planche XXX. Paralysie du muscle frontal droit.........'¿52 Planche XX
94 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
t éprouvé une vive et douloureuse émotion à laquelle on a attribué la paralysie de R... Elle n'avait pas d'attaques de nerfs, mai
'avait eu d'affections nerveuses. Elle assure qu'elle est née avec sa paralysie du côté droit et qu'elle n'a pas eu de maladies g
ient se présenter. En effet, dans les Observations II, III, V, VI, la paralysie , sous forme hémiplégique, est définitivement cons
servations que nous avons publiées antérieurement (1) en font foi, la paralysie diminue plus ou moins promptement et bientôt les
ant de ce bain qu'elle aurait été prise de convulsions, suivies d'une paralysie du côté droit. Jusqu'à ce moment, D... était très
e la mère d'une de nos malades. Peu à peu, dans beaucoup de cas, la paralysie diminue, principalement au membre inférieur. Ensu
ions n'envahissent encore que le côté droit du corps. Consécutivement paralysie plus accusée, puis roicleur qui persiste, sans at
hez Dabonne... on aurait noté la roideur presque en même temps que la paralysie (?). — Chez St... (Obs. V), la paralysie s'est in
presque en même temps que la paralysie (?). — Chez St... (Obs. V), la paralysie s'est installée progressivement et l'apparition d
l'état de mal. Parmi les autres phénomènes qui se surajoutent à la paralysie , nous signalerons les arthralgies et Y atrophie d
heures, et à la suite desquelles on s'est aperçu que Gr... avait une paralysie du côté gauche du corps; malgré cela, elle a marc
impossible de fléchir aujourd'hui les doigts, parce que, dit-elle, sa paralysie la travaille. En effet, les doigts sont sans cess
atrophie cérébrale sans phénomènes choréiques. Chez les premières, la paralysie est moins prononcée ; d'un autre côté, chez elles
Parents névropathiques et épileptiques. — Convulsions à trois ans. — Paralysie progressive des membres du côté droit. — Appari
d'épilepsie depuis longtemps ; à la suite d'une attaque, il a eu une paralysie du côté droit, suivie d'aphasie. — Un cousin germ
dans le service (3 octobre 1872), St... était, au point de vue de sa paralysie , de la parole et de l'intelligence dans la situat
s convulsions primitives ont été, dans ce cas, de courte durée, et la paralysie , au lieu d'atteindre son maximum dès le début, s'
u au plus quelques mois après Fétat de mal convulsif qui a produit la paralysie . Des symptômes précurseurs, constituant une vér
ffaiblissement paralytique des membres du côté droit. — Progrès de la paralysie sous l'influence des accès d'épilep-sie.— Aura. —
ement après des émotions et à Pepoque des règles. — Ni aliénation, ni paralysies , ni migraines dans la famille]. Pas de consangu
ssivement et l'intelligence semble avoir baissé peu à peu tant que la paralysie n'est pas devenue stationnaire. Autre particulari
tives à des nécroses. Est-ce là un accident qu'il faut rattacher à la paralysie ? S'agit-il là d'une variété de troubles trophique
convulsions dont elle ignore la durée. Ces convulsions ont laissé une paralysie du côté droit du corps. Elle est restée alitée de
que le côté droit ; elles laissèrent après elles un certain degré de paralysie ; l'enfant traînait la jambe droite. De 5 ans et
fant traînait la jambe droite. De 5 ans et demi à 6 ans et demi, la paralysie de la jambe droite ne s'est pas aggravée. Le memb
e si on me dénouait la jambe, » ensuite sentiment de pesanteur). — La paralysie des membres inférieurs, surtout du gauche n'a pas
Antécédents. — Début des attaques à 15 ans et demi. — Anes-thésie et paralysie du côté gauche. — Retour de la motilité et de la
res des attaques en juillet 1873. — Secousse?. — Tremblements, sauf-, paralysie , contracture de la jambe droite ; — contracture d
es ; il est en convalescence d'une pleurésie. [Son père aurait eu une paralysie . — Aucun autre accident nerveux dans la famille.]
is d'avril dernier, une série d'attaques aurait laissé après elle une paralysie du côté gauche du corps : L... ne pouvait pas se
it. Au bout de huit jours, L... aurait eu des attaques répétées et la paralysie , abandonnant le côté gauche, aurait passé à droit
et pourtant jamais elle n'a été réglée. Elle a été admise pour une paralysie de la sensibilité du bras droit et des attaques d
sur lesquels la malade refuse de donner des détails. 6 décembre. — Paralysie absolue de la jambe droite. La malade ne peut la
i a séparé la cinquième attaque de la sixième, on s'est aperçu que la paralysie de la jambe droite avait cessé, car la malade la
et l'allongeait. A onze heures, nous vérifions la disparition de la paralysie : X... se sert de sa jambe, dans laquelle il n'y
été nombreux et variés dans ce cas : secousses, tremblement, cho-rée, paralysie , crampes, contractures. a) Nous avons trop souv
) lorsque, à la suite d'attaques, elle a été affectée d'une véritable paralysie de la jambe droite. e) Vanestkésie, \d.parésie,
contracture. GhezV... (Observation I), il y avait habituellement mie paralysie de la vessie (d'où Y incontinence d'urine) et sou
40. o Œpophagisme, 190. Ouïe (Hallucinations de 1'), 224. P Paralysie hystérique, 113, 135; — guérison par les attaqu
95 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
aotisable et suggestionnable. On produisait chez elle, à volonté, des paralysies psychiques, des hallucinations sensorielles, etc.
œil comme pour le bras, d'un phénomène » d'inhibition qui produit une paralysie systématique (i) »: pour mon collègue et ami M. B
amaurose suggestive, de même que l'amaurose hystérique, n'est pas une paralysie systématique, mais une amaurose purement psychiqu
'œil, comme pour le bras, d'un phénomène d'inhibition qui produit une paralysie systématique », quand nous avons vu Camille, anes
honorable collègue M. Verriest. sur le»'paralysies par inconscience/ paralysies , comme il le dit fort justement, souvent dues à u
la nature des troubles moteurs et sensitifs de cause psychique. Les paralysie » psychiques n'atteignent, comme on le sait, que l
s poursuivons, par une suggestion faite dans l'état hypnotique. Ces paralysies , dit le docteur Lober dans sa thèse d'agrégation,
hèse d'agrégation, présentent absolument les mêmes sj'mptùmes que les paralysies hypnotiques. Nous y trouvons, en effet, le début
y»térogènes, et enfin l'absence de toute participation de U face à la paralysie . Or, tous ces symptômes sont ceux que l'on trouve
es symptômes sont ceux que l'on trouve dans I hystérie confirmée. Les paralysies psychiques forment donc une variété des paralysie
rie confirmée. Les paralysies psychiques forment donc une variété des paralysies hystériques. L'analogie des contractures dévelo
ur qui. pour avoir un motif imaginaire, n'en est pas moins réelle, la paralysie , la contracture, l'hallucination, l'impulsion aux
er aux névroses convulsives, aux maladies à type cho-réique, ou à une paralysie quelle qu'elle soit. C'est le terrain par excelle
ri, on serait peu porté à croire que l'idée de feindre la paraplégie ( paralysie des membres inférieurs pût germera un âge auquel
ed. itat-lomb.. t. XLVII. p. 161. Milano, 1887 (Un cas de guérison de paralysie hystérique par l'hypnotisme.) g. vivien : L'h
bien du coté des muqueuses que du côté de la peau. Il n'existe pas de paralysie , mais il est facile d'en provoquer et môme de les
en provoquer et môme de les faire durer pendant l'état de veille. Une paralysie dn bras et de la jambe gauches provoquée par sugg
reux dan» ces cas-là. Ni le morphinisme. ni l'aphonie nerveuse, ni la paralysie hystérique et les contractures ne figurent sur la
Suggestion. Deutsche med. Wchschr.. année XIV, n° 25, p. 511. 1888. [ Paralysies fonctionnelles chez un plombier guéries par hypno
et et Féré, Pan-Kpd, Pitres, j'ai établi qu'il ne s'agit pas là d'une paralysie réelle, paralysie systématique par inhibition, co
d, Pitres, j'ai établi qu'il ne s'agit pas là d'une paralysie réelle, paralysie systématique par inhibition, comme on a dit pour
lie dans le Progrès médical une observation fort intéressante : Les paralysies étendues survenant après des traumatismes légers
la-lésion primitive et les phénomènes actuels, la distribution Je la paralysie , font penser a une manifestation hystérique et le
négatifs, sauf sur un point, de cet examen, le diagnostic porté est: Paralysie hystéro-traumatique du bras droit, incomplète ai-
Cataplasmes phéniqués. loco dolent!, et repo«. >i 'c lendemain la paralysie n'a pas cessé, j'avertis le malade que je la fera
parahA par suggestion. Le jour suivant, comme c'était à prévoir, la paralysie s'est accentuée, Ies-autres symptômes restant les
vulsive dans la jeunesse. D'autre par:. i rapidité avec laquelle la paralysie a été guérie par simple suggestion, outre qu'elle
tation, que des auteurs ont décrit des convulsions, des syncope*, des paralysies et de contractures persistantes, des accès épilep
n simulée. C'est assez dire que je suis à ses côtés pour repousser la paralysie réelle et systématique par laquelle MM. Féré et B
ystérique qui a été, il y a quelques mois, spontanément frappée d'une paralysie du côté gauche. Cette paralysie s'est progressive
ques mois, spontanément frappée d'une paralysie du côté gauche. Cette paralysie s'est progressivement et presque complètement dis
ents et sans dangers, car, tout à l'heure, nous ferons disparaître la paralysie par la suggestion, aussi aisément que nous l'avon
VATION V. Myélite chronique diffuse (sclérose en plaques fruste). — Paralysie flasque des membres inférieurs. — Anesthésie. — I
évidente et directe. Les principaux symptômes étaient, en effet, la paralysie flasque des membres ink-neurs, avec atrophie musc
t la substance grise de ce côté n'est guère atteinte. Les principales paralysies , celles du moins qui avant la suggestion étaient
e n'ait, pendant la vie, trahi cet état. En résume, les principales paralysies notées pendant la vie et avant la suggestion n'ét
oos tenons en effet, la preuve de ce fait important, qu'il existe des paralysies partielles, sine materia, dans une maladie manife
elles, sine materia, dans une maladie manifestement matérielle. Ces paralysies semblent être des troubles fonctionnels, surajout
on constatée. Si l'on nuus trouve trop affirmatifs en déclarant ces paralysies materia. ».n nous accordera qu'elles dépassent en
ons plutôt que cette influence s'est exercée particulièrement sur ces paralysies surajoutées, qui ne résultaient pas directement d
ient liées à l'ensemble de la perversion fonctionnelle. Ce sont ces paralysies -là, que la suggestion dégage en quelque sorte et
r à >'*§•*! ao «a avait fait «tnèae d-agrd«ati..n en 1KH6. sur le» Paralysies , contracture^ Stotos,d^re^s McÂJpsrMqm, Dan. ce t
vement. Il se passa un certain temps avant que je pusse vaincre cette paralysie par les plus vigoureux efforts. J'ai aussi rema
ivre de 35o pages avec de nombreuses gravures, édité en t886. De la Paralysie alcoolique, par KorsakofX; ouvrage !e plus comple
nté. F. Harez, Bruxelles, in-S*-. 1888. E. Mesnet. — Rapports de la paralysie générale et de la syphilis cérébrale. Masson, in-
de que chez certaines personnes cm pourrait provoquer de La sorte des paralysies , des anesthésies et des hyper-esthésies durables,
; on a cru sans doute que par anesthésie nous entendions parler d'une paralysie vraie, d'une destruction de la sensation et de la
âgé de quarante-quatre ans, qui, depuis quatre ans, était atteint de paralysie agitante, lorsque j'eus ridée d'essayer sur lui l
1880, la maladie se caractérisait d'une faooa des plus typiques comme paralysie agitante. Outre le tremblement si caractéristique
tion considérable qui a été obtenue sous mes yeux. Le diagnostic de paralysie agitante m'a semblé hors de doute. Cependant, j:
ré tout, de mettre un point d'interrogation derrière le dikgnostic de paralysie agitant?. Pour qu'un de ¦os collègues ait pu port
l fallait, ce me semble, que le cas fût douteux, car le diagnostic de paralysie agitante s'impose pour ainsi dire, de lui-même, q
uve en face d'un cas au-pen tique. Au surplus, les cas bien nets de paralysie agitante ne sont pas rares, et M. Luys pourra fac
s la première leçon, le professeur a fait l'étude des symptômes de ht paralysie générale. Dans la seconde, il a parlé des applica
tous les médecins qui s'intéressent à la question de l'hypnotisme. Paralysies hystéro-traumatiques. Dans une des récentes leç
par M. le professeur Charcot, notre éminent maître a étudié un cas de paralysie hystéro-traumatique survenu dans des conditions t
e à l'Institut Pasteur. Pendant te traitement, elle a été prise d'une paralysie du membre mordu, laquelle persiste encore mainten
e mordu, laquelle persiste encore maintenant. Les caractères de cette paralysie sont des plus nets. L'anesthcsie commence au-de
st un phénomène nouveau chez elle. M. Charcot cite encore un cas de paralysie du même ordre survenu chez un ouvrier à la suite
près quelques jours d'engourdissement, il se produisit une véritable" paralysie caractérisée, comme la précédente, par t'anesthés
lui, le champ visuel présente aussi la même altération. Ces formes de paralysie doivent être traitées le plus {rapidement possibl
ue Ton voit dans l'hypnotisme lorsqu'on guérit de la même manière une paralysie que l'on a produite artificiellement. Mjîs, pour
pendant l'hypnose, l'invasion suggérée d'une rougeur à la peau, d'une paralysie flasque, et surtout ces faits si curieux, doni je
résente pas dans sa famille d'antécédents nerveux bien neis, sauf une paralysie agitante qui aurait affecté sa grand*mère materne
e une contracture avec anesthésie de la main chez une hystérique, des paralysies multiples chez une autre : ailleurs, une aphonie,
oi-disant psycho-moteurs des membres dans un hémisphère cérébral sans paralysie aucune comme conséquence. SOCIÉTÉ DE BIOLOGIE
s la chorée, j'ai eu un échec et plusieurs améliorations. Dans la paralysie agitante, l'action de l'hypnotisme a toujours été
par Delbceuf, 66. Ouvrages de Reichenbach, par A. de Rochas, 364. Paralysie agitante ancienne améliorée par les miroirs rotat
gitante ancienne améliorée par les miroirs rotatifs, par Luys. 314. Paralysie hystêro-traumatique, par Charcot, 316. Percepti
96 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ique une force muscu- laire moindre. Mais cependant il n'y a pas de paralysie ou de parésie sys- tématisée dans tel ou tel do
us forme de réaction anormale par excitation vasodilatatrice ou par paralysie vasoconstrictive. L'oedème est produit. La réac
uellement. Il n'y eut à aucun moment de symptômes attribuables à la paralysie générale, telle qu'elle évolue chez l'enfant (1
ussi, qu'à côté de l'ostéopériostite simple (1) V. Ou. THIRY, De la paralysie généiole pi agressive dans l'enfance, Thèse de
nt t parfois sur des cerveaux syphilitiques et qui caractérisent la paralysie générale associée à la syphilis cérébrale. En
aux sont conservés. ' La marche et l'équilibre sont normaux. Pas de paralysie . La force muscu- laire est normale et même au-d
lé d'une famille dont le père est mort dans une maison d'aliénés de paralysie générale d'origine syphilitique ; la mère contami
re externe de l'oeil semble intacte. 0 D : V = 1 avec -I- 1,50 D. Paralysie complète de l'accommodation et du sphincter de
D. Paralysie complète de l'accommodation et du sphincter de l'iris. Paralysie incomplète du droit supérieur et du droit interne
omplète de l'accommodation et du sphincter de l'iris à droite, avec paralysie incomplète du droit supérieur et du droit interne
vestiges angiomateux les plus nets. Aux douleurs avaient succédé la paralysie , puis plus tardivement on constata de l'atrophi
ère, diminution de la force au dynamomètre. , Membres inférieurs. Paralysie complète, fiasque. Réflexes rotuliens exagérés.
bésie en aires. Pas de dissociation de la sensibilité. SPHINCTERS.- Paralysie quelques jours après l'entrée. C'était en somme
ntraire de la conception clinique d'une contracture hystérique. Les paralysies et les contractures hystériques supposent, si on
els, comme cela arrive sinon toujours, au moins fréquemment dans la paralysie agitante. SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCU
kinson, en un mot, nous ne croyons pas que ce soit un cas précis de paralysie agitante. Cependant nous ne sommes pas bien cer
pas quelques rapports entre le trouble présenté par ce malade et la paralysie agitante. L'année dernière, M. Alquier, interne
y ait chez notre malade une prédisposition et une préparation à la paralysie agitante; mais il ne nous semble pas que l'on p
siques et moraux qui sont différents de ceux de l'hystérie ou de la paralysie agitante proprement dite, mais qui ont cepen- d
stérique, de même si nous faisions de ce tremblement un symptôme de paralysie agitante, il faudrait songer à toute l'évolutio
de rétrécissement de la fente palpébrale ni du champ visuel, pas de paralysie des muscles moteurs de l'oeil, ni de troubles d
ntre un trouble fonctionnel du membre su- périeur et une affection, paralysie parcellaire ou parésie, du plexus brachial droi
'agit-il d'une névrite périphérique ? La symétrie des phénomènes de paralysie est également la règle dans ce cas ; dans le type
qui atteint les membres inférieurs (pseudo-tabes alcoolique), ni de paralysie sa- 224 RUDLER turnine, mercurielle ou arseni
nt symétriques ; - une affection localisée à un nerf périphérique : paralysie du médian, avec la flexion de la main sans forc
te de la discussion attribuerait plus justement dans l'hypothèse de paralysie , au nerf sous-scapulaire innervant le muscle sous
ns l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; sa paralysie entraîne l'abolition de cette fonction de rotatio
dorsal, nous condui- sent à examiner l'hypothèse d'une altération, paralysie parcellaire ou parésie du plexus brachial, type
laard, Brissaud, t. VI, p. 835 et suiv. ; et la symptomatologie de la paralysie radi- culaire du plexus brachial dans Collet, P
tion du soldat au port d'arme, attitude attribuée par Hallion à une paralysie du grand dorsal suppléé dans^se» fonctions par
onctions par l'action du rhomboïde et du trapèze). Cette hyp§t4W"dé paralysie parcellaire du plexus brachial .incomplète du fai
ue cette observation puisse être rappro- chée du cas de Giraudeau : paralysie des muscles sus- et sous-épineux, sans troubles
u'un phénomène secondaire. De plus, quelle serait la cause de cette paralysie parcellaire du plexus brachial, respectant les mu
mettre l'index droit sur le bout du nez. Il n'y a d'ailleurs aucune paralysie ni aucune atrophie musculaire à droite. A gauch
bellius, etc.) se ran- gent avec Raymond pour soutenir que tabes et paralysie progressive sont une seule et même maladie domi
rcent de différencier du tabes vrai les lésions tabétiformes de la' paralysie progressive. Mais quelle est donc la raison d'u
as tabétiques vrais des tabétiformes d'une part, et, de l'autre, la paralysie générale proprement dite des pseudo-paraly- sie
ent la théorie dualiste disent que les symptômes tabétiformes de la paralysie générale sont moins nets et moins constants dan
t seulement diminués. Quelqu'un a noté que le syndrome spinal de la paralysie générale est moins xvi 19 274 curioni stabl
corticaux (Raymond). Garbini dit que les lésions anatomiques de la paralysie générale pottabétique sont celles du labes et d
de la paralysie générale pottabétique sont celles du labes et de la paralysie générale unies ensemble. Rabaud soutient que da
bétique différente clinique- ment et anatomo-pathologiquement de la paralysie générale proprement dite ? Il y a des auteurs
'on peut écarter l'alcoolisme ou le morphinisme, on doit songer une paralysie générale associée (Per- père). Mais puisque n
es tabétiques qui, pendant la vie, n'ont pas présenté les signes de paralysie générale et qui, à l'autopsie, ont montré les s
examen clinique pour accepter ou rejeter les formes de tabes et de paralysie associés : la réponse doit être donnée par l'ex
opique. Y a-t-il des altérations histologiques qui caractérisent la paralysie générale ? Jendrassik en 1888, Strümpell en 1
elles et une prolifération de la névroglie analogues à celles de la paralysie générale, et localisées spécialement dans les c
o-paralysies tabétiques a peu d'importance, car on sait que dans la paralysie générale légitime on rencontre des lésions dans l
aire que Perpère considère comme le critérium pour diagnostiquer la paralysie générale, n'ont aucune valeur décisive, quand o
é, oedème des malléoles, température 40, mort. Diagnostic. Tabes, paralysie générale, pleurésie droite, insuffisance- aorti
les lésions histopatholo- giques cérébrales sont bien celles de la paralysie générale classique de cer- tains auteurs, étant
cun critérium péremptoire qui vaille vraiment pour caractériser une paralysie générale unique et bien définie, d'autant que Kli
admettent que le parenchyme cérébral est le premier atteint dans la paralysie générale; d'autres, comme Anglade (de Toulouse)
aralytiques, n'a aucune importance pour affirmer qu'il s'agit d'une paralysie générale post-tabétique, car on a observé des c
binski)], ne serait-il pas bon de se demander si dans les formes de paralysie générale et de tabes (oupseudo-tabes, si l'on veu
nistes et Neurologistes de Bruxelles, août 1903) pour les formes de paralysie générale, a apporté et apportera de nouvelles lum
rester debout ou de marcher. De même qu'il peut y avoir amnésie ou paralysie fonctionnelle d'un centre correspondant à la ma
entre correspondant à la marche, de même il peut y avoir amnésie ou paralysie fonctionnelle de l'acte de s'asseoir et de rest
sis. Aussi peut-on certainement observer chez les hystériques cette paralysie systématisée de l'acte de s'asseoir et de rester
l est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des muscles du tronc (1). A de certains moments
as de paralysie des muscles du tronc (1). A de certains moments, la paralysie était incomplète et la malade pouvait se retour
y a là beaucoup plus d'im- pulsion à des mouvements inutiles que de paralysie systématique ; 4" ce qui détermine cette impuls
sant voir les cas d'akathisie hystérique causée par l'amnésie ou la paralysie fonctionnelle à l'instar de l'astasie-abasie hyst
cation que je veuille expliquer mon premier cas par l'amnésie ou la paralysie fonctionnelle. En y constatant simplement l'hys
ans l'esprit uniquement l'astasie-abasie causée par l'amnésie ou la paralysie fonctionnelle, mais l'astasie-abasie en général
e que je voudrais identifier l'akathisie hystérisque, causée par la paralysie , comme MM. Ray- mond et Janet la décrivent, ave
a suite de cette opération, les troubles moteurs sont limités à une paralysie des muscles opposant du pouce et court abducteur.
re alcoolique continu ; ce dernier surpasse même sous ce rapport la paralysie générale, la mélancolie, la manie, la folie cir
de Moscou, ont pu établir que la prédisposition héréditaire dans la paralysie générale (1) était de 75 p. 100, clans la mé- l
'arl, p. 198-204 (2 phot., 4 fig.). Henry Meige, Les faciès dans la Paralysie glosso-labio laryngée, p, 319-380 (1 phot.).
rsal (3 pl., 2 sché- mas), par BRISSAUD et Bruandet, 73. Tabes el paralysie générale (2 pl. en pho- tocollogr.), par F. Cun
pathie de l'épaule (BRISSAUD et BRUANDET), XIV, XV, XVI. Tabes et paralysie générale (CURIONI) LIV, LV. Tibia en fourreau
97 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
entraînerait de tels troubles dans la nutrition des membres, que la paralysie d'abord et bientôt le sphacèle en seraient la c
rvi de base à de nouvelles méthodes thérapeutiques (déplacement des paralysies , des contractures, etc.). Elle a permis d'étend
es couches corticales dans les lobes cérébraux sans dé- terminer de paralysie ni d'anesthésie persistantes : l'idiotie seule
i y soient mentionnées sont la manie, la mélancolie, la démence, la paralysie générale, l'idiotie et l'imbécillité. Beaucoup
permet pas au De SAVAGE de lire un mé- moire « Sur quelques cas de paralysie générale » qui figurait à l'ordre du jour. (7'y
- ristiques sont : l'anesthésie de la peau, l'hyperesthésie et la paralysie des muscles, l'anasarque, les palpitations, des m
bial antérieur, à l'extrémité des doigts et autour de la bouche. La paralysie occupe, à des degrés variables, certains groupe
il existe une certaine gêne de la respiration, duc probablement àla paralysie des muscles du tho- rax, et des palpitations, q
ution rapide des liquides de l'économie et par l'augmentation de la paralysie et de l'atrophie musculaires. Le béribéri peu
peut quelquefois offrir des formes frustes, avec atténuation de la paralysie , par exemple, et être caractérisé presque exclu
ie dite ataxique) et enfin ceux de MM. Fùrstner et Reinhard (cas de paralysie générale avec hémiopie). M. Kùssmaul a attiré
t-cinq ans, devint aphasique à la ? suite d'une attaque non suivie de paralysie . Les premiers jours 3 après l'attaque, elle ne
Fritsch. - Mme X..., aphasique sans présenter aucun phénomène' de paralysie , entend les moindres bruits, mais ses réponses ne
'apoplexie avec perte de connaissance, chute dans la rue, mais sans paralysie à la suite. Amené à l'asile, il répond à toutes
erte de connaissance a seize ans; accès comateux répétés, suivis de paralysies partielles'; crises gastriques; paraplégie ; at
ire d'extension dans l'articulation du poignet. Il n'y avait pas de paralysie des muscles des bras ou des épaules ; il n'y av
d'une crise de ce genre, plus violente que les précédentes, que la paralysie se manifesta dans les membres inférieurs. Cette
torze autres ? huit ont 'présentera un'1 degré quelconque,' de la paralysie ? treize de' la douleur,"et celle-ci était du car
e incurvation compensa- trice. Il ne peut s'agir non plus ici d'une paralysie faciale ni d'une atrophie musculaire de l'enfan
qui a trait à certaines convulsions isolées qui hantent parfois les paralysies spasmodiques; rarement justiciables des réflexe
dante : ; myélite par., compression, tabès). Aussi, chaque fait, de paralysie ,spasmodique devra-t-il toujours mériter^une analy
50 REVUE.DE pathologie NERVEUSE. VIII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE la paralysie spinale SPASMO- DIQUE, par le Dr Richard SCHULZ
cérébral et les portions avoisinantes de l'hémisphère droit, de la paralysie des nerfs REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 1
phénomènes inflamma- toires prennent un caractère d'acuité. Pour la paralysie géné- rale, notamment, les quatre observationsp
xactement à la compression des différents nerfs. Ptosis, strabisme, paralysie et anesthésie faciale, altéra- tions,de la papi
nir debout. L'hébétude ne fait que croître. Enfin, à la suite d'une paralysie complète du côté gauche accompagnée de con- tra
'affection : neuf mois. Le diagnostic n'avait à hésiter qu'entre la paralysie progres- sive des aliénés et une lésion cérébra
halalgie, la démarche bien différente de celle des paralytiques, la paralysie se généralisant à tout le côté gauche, y compri
Ltt'uup il uf|i- -.J tu ? tur. ? ? fit /'ii8d' f· a9 Pd'q^f XIV.' PARALYSIE LABIO-GLOSSO-PHARYNGÉE d'origine cérébrale 53'A
ment de salive, des signes de parésie buccale des deux côtés,'de là paralysie 'de la 'langue et du voile, dû palais, de l'orb
noyau lenticulaire du côté droit auquel M. Kirchhoff attribue la paralysie labio-glosso-pharyngée et la bilatéralité des sym
nse' que' l'on peut déterminer des localisations cérébrales par les paralysies limitées ; on peut également rechercher le sièg
; ? ' ^-Tinin.in'rp.T rp rr rt, q ? t. t ? .... de la mort a été la paralysie des muscles respiratoires par com- pression bru
on thera- - peutique aussi fidèle, (deux cas de démence aiguë et de paralysie ,(générale.de longue, dûrée2malgréason, ingesti
stfdu ^derniej, point, qu'enK8, 8 ça d'aliéna,tion dediYers.ordres( paralysie 7... générak , démençe^énikj manie) péripdiqu
es V remissions paraissent de- beaucoup plusMiréquentesT dans' la paralysie générale héréditaire ; 'sur 16 'cas' de dispariti
? 100,;rI11 sém)3lérâit,,egâlé mént , découler àe, es études que la paralysie générale héréditaire, si , elle dure longtemps,
s les psychoses d'ordres divers (mélan- colie', monomanie' exaltée, paralysie progressive), il en est qui constituent la'mani
comprend pas les idiots, entraîne la conclusion' que c'est dans la paralysie générale que l'on rencontre le moins de malfornza
s ont déterminé constipation ' et ' rétention ' d'urine opiniâtres ( paralysie des sphincters par intoxication). ? m ' ;l '' ?
eur ani- male. [Expériences 33 à 38); ce résultat ! paraît dû à une paralysie vaso-motrice». Cette action dépend d'un centre;
fs et subits, comme le rhumatisme cérébral, peuvent 'être dus à une paralysie complète des centres nerveux qui président tant
crit une pseudo-para- lysie e potu. 1 ' ' BIBLIOGRAPHIE. 305 La paralysie générale se manifeste un peu plus tôt chez les al
un embarras de la parole extrêmement prononcé. , En^outre, dans la paralysie générale des alcooliques, les rémissions sont plu
faits de/névralgies symétriques, signalés par M. Worms, un fait de paralysie du bras droit et quelques obser- 20 306 BIBLI
vies, 282. Alcoolique (épilepsie), 268. Alcooliques (marche de la paralysie générale chez les), 304. Alcoolisme aigu simu
les), lai, Reinhard, 277, 29G; (prédisposi- tion héréditaire, et paralysie pro- gressive des, parliendel, 250; - (Étude
é du Japon, par D.-B. Sim- mons, 140 : ' Labio-glosso-pharyngée (, paralysie il, d'origine cérébrale à,foyer uni- -* latér
vertiges "dans les lésions de l'),, pansa- giiisky,'267. - .191 Paralysies progressive des aliénés j (prédisposition m hér
aralysie générale (marche défila) , chez les alcooliques, 304.. z Paralysie spinale et spasmodique, 4 parSchultz, 250. · '
98 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
euse morte à 50 ans d'un asthme, peu nerveuse, son père est mort de paralysie , en un jour; sa mère est morte jeune; une tante
mois; pen- dant son séjour à l'hôpital, il se serait développé une paralysie du côté droit (bras et jambe); il fut ensuite e
couvreur en paille, mort à 67 ans, on ne sait de quoi, mais sans paralysie , ni démence, il ne faisait pas d'excès de boisson
inclinée sur l'épaule droite. Bras droit : pas de rigidité, pas de paralysie . Bras gauche, même état, mais les secousses y s
fléchissent les orteils avec petites secousses des membres ; pas de paralysie ; pas d'exagéra- tion du réflexe tendineux ; se
ts de dents. T. R. 41°. 6 mai. Situation à peu près la même. Pas de paralysie , pas de contracture, mais légère raideur du cou
dents. Nystagmus ; pupilles égales et modérément dilatées. Pas de paralysie , pas de contracture des membres L'en- fant tous
la droite parait un peu plus grande que la gauche. Ni raideur ni paralysie . T. R. 39°;8. - Soir : T. R. 40°. 10 mat. Même
ants dans les deux poumons, principalement à la hase gauche. Pas de paralysie ; pas de raideur dans les ar- ticulations, pas
ide, haleine infecte, rien à la gorge. - Pas de contracture ni de paralysie . - Battements du coeur assez forts, réguliers. Un
RACTURE DU CRANE. 115 supérieurs, mais pouvant être vaincue. Pas de paralysie : pas de vomissements; constipation opiniâtre.
istaxis, incontinence nocturne d'u- rine. Première attaque Ù 8 ans. Paralysie (lén6- ralisée consécutive aux attaques (13 ans
mbres inférieurs ; suspension des atla- ques. Guérison subite de la paralysie des membres supérieurs ; guérison graduelle de
au lit. il était souvent fouetté par les soeurs : (1 en hiver 124 i PARALYSIE HYSTÉRIQUE. même on me mettait le derrière dans
de 13 ans; à la suite de l'une d'elles, il aurait été atteint d'une paralysie qui, débutant par les membres inférieurs, aurai
e bien plus lente- ment. Les attaques, qui avaient cessé pendant la paralysie , ont recommencé après sa guérison. Sorti de l
excès alcooliques et vénériens. Les attaques se com- pliquent d'une paralysie généralisée. En quoi a consisté l'oedème des me
e d'être rattaché à cette affection. Considérée en elle-même, cette paralysie nous sem- ble bien être de nature hystérique. E
oituie),s ; Amsterdam, 1,700, p. 240. VIL Deux cas probables de paralysie toxique con- sécutive aux inhalations prolongée
sement des membres infé- rieurs qui s'est bientôt transformé en une paralysie complète. A quelle cause fallait-il rattacher c
isseuse, morte à 58 ans, en 8 jours, d'une affection cérébrale avec paralysie de la langue sans para- lysie des membres ; suj
e l'eau froide, il fait une grimace, mais pas de mouvements ; des PARALYSIE TOXIQUE. 139 deux côtés, exagération du phénomè
rononcées, égales; sillons sous-orbi- taires assez profonds : 140 PARALYSIE TOXIQUE. Système musculaire assez développé ; i
ids et la taille, p. 58). - Les accès ont eu la marche suivante : PARALYSIE TOXIQUE. 141 1 La paraplégie paraît s'être déve
marche ci-après : 148 PARAPLÉGIE TOXIgUE. celle des ataxiques. La paralysie a diminué peu à peu et, àla fin de l'année, Sch
x éléments à ceux qui voudraient entre- prendre une monographie des paralysies toxiques et non pas accomplir nous-même cette t
s paraplégies et l'ataxie du mouvement ; Paris, 1834. Lancereaux. - Paralysies toxiques et syphilis céré- brale, 1882. VIII.
99 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
m’avaient abandonné depuis plus de deux ans. » L’hypnotisme et les paralysies psychiques motrices. par le Dr Edgar Béhillon.
al de l’état hypnotique, c’est celui qui a été désigné sous le nom de paralysie psychique motrice. En effet, de tous les phénom
paralysé par une idée exprimée, c’est-à-dire par suggestion. Que ces paralysies psychiques soient obtenues chez un sujet préalabl
lement le premier degré de l’état d'hypnotisme. La production de la paralysie psychique constitue donc une limite beaucoup plus
pnotiques peuvent être conscients ou inconscients. L’apparition de la paralysie psychique chez un sujet est un phénomène dont il
émoin passif et indifférent. Il est même curieux de constater que ces paralysies psychiques suggérées n’étonnent ni n'effraient le
ce en vous et elle pense bien que vous saurez la débarrasser de cette paralysie que vous venez de lui donner. Mais faites-lui la
ance plus éloignée. Si, par exemple, demain elle se réveille avec une paralysie que vous lui aurez suggérée aujourd’hui, elle ne
plus vite, par la suggestion hypnotique, leurs contractures ou leurs paralysies ? M. Font ajoute : « On ne traitera jamais un n
le ou bégaie d’autant plus. » M. Duprat rapproche le bégaiement des paralysies psychiques ou incapacités motrices qui tiennent s
rtout à un défaut de synthèse mentale. « On supprime, ajoute-t-il,des paralysies psychiques par suggestion,on pourrait en faire au
ive : Anéncrgie : aboulie, hyperboulie. Hallucination impérativc; paralysie psychique. Impulsion; automatisme; illusion d’a
sa marche est trépidante. On a, à propos de cette femme, pensé à la paralysie pseudo-bulbaire; or, il ne s'agit pas d’affection
atrique de Moscou, un traité complet de psychiatrie, un volume sur la paralysie alcoolique, une importante étude sur l’alitement
ent plus rien. (I) D'« Azoulay et Reqxault. De rautomatisme dans la paralysie générale. Société de biologie, août 1892. Si
7. (*) Ces miracles peuvent même être, non seulement la guérison de paralysies , contractures hystériques, mais encore la guériso
es états hypnotiques. Des premières, on peut donner comme exemples la paralysie hystérique des chats, le tremblement héréditaire
ne sait comment expliquer ce phénomène et il songe sérieusement à une paralysie des membres inférieurs. Je l'hypnotise et il me
mputé : par contre, c'est par centaines qu'on trouve des guérisons de paralysie ... « Les sanctuaires se ressemblent tous, son
psychiatrie). — Sur l'origine onirique de certains délires dans la paralysie générale, en collaboration avec le Dr Lalannc. (C
uses sont expliquées par la suggestion (‘) Convulsions, contractures, paralysies , douleurs, et en général toutes les manifestation
t l’ulcère commence à se refermer. La nuit suivante, guérison de la paralysie ; le membre redevient chaud et mobile ; la marche
mple,) et y reste jusqu’à ce qu’on le déplace. Pourtant il n'oiïre de paralysie d’aucun muscle. C’est la volonté qui fait défaut.
démie de Médecine, sans compter ses statuettes de malades : myxœdèmc, paralysie agitante, paralysie labio-glosso-phaiyngée, myopa
ans compter ses statuettes de malades : myxœdèmc, paralysie agitante, paralysie labio-glosso-phaiyngée, myopathie, que devraient
malade au traitement suggestif. Le symptôme le plus marqué était une paralysie de l’accommodation en dehors de l’emploi de tout
e de l’accommodation en dehors de l’emploi de tout mydriatique. Cette paralysie de l’accommodation, qui est un des symptômes les
pothèse que les anesthésies sensorielles et sensitives, ainsi que les paralysies mo-irices chez les hystériques, résulteraient du
’est ainsi que, dès 1805, René Lépine expliquait les anesthésies, les paralysies hystériques et le somnambulisme, par la rupture d
l’amiboïsme des neurones explique non seulement les anesthésies, les paralysies hystériques et le somnambulisme, mais tous les sy
’hypnose. Ils présentaient de l’amnésie au réveil. OdservatîON' I. — Paralysie , chef une hystérique hypnotisable, des sentiments
fera s’aggraver une anesthésie ou apparaître un tic, une chorée, une paralysie , une contracture chez un hystérique. Et d'autre p
ainsi que se produisent l'anorexie par défaut d’alimentation, et les paralysies par séjour au lit chez les hystériques. Et c’est
ttribue la polyopie monoculaire hystérique à une contracture ou à une paralysie des libres musculaires de l’accommodation, et à l
asis à tous les tracas, ennuis et tristesses qu’il eut à supporter. Paralysie de nature hystérique des membres inférieurs chez
tent le degré superlatif de l’aphonie hystérique ; ils comportent une paralysie fonctionnelle de tout l’appareil de l’articulatio
ique, est celui auquel on a donné le nom de copiopsie ; c’est une paralysie subite et très douloureuse de l'accommodation. Un
elle décharge. Hyperamiboïsme des neurones de mouvement. I. — Les paralysies hystériques. Dans le réflexe complet à sommet c
o-psychologique. Ce qu’on appelle l’aboulie hystérique n’est qu'une paralysie des mouvements complexes. Elle correspond à la ré
ones supérieurs de mouvement qui sont en état de rétraction, on a une paralysie s’étendant à tous les actes (aboulie proprement d
aralysie s’étendant à tous les actes (aboulie proprement dite) ou une paralysie n’intéressant que certains actes déterminés. C’es
exes qui auront disparu mais les mouvements simples, et l’on aura une paralysie portant tantôt sur une moitié du corps (hémiplégi
donné tous les neurones moteurs sont en état de rétraction, on a une paralysie . S’ils ne le sont pas tous, on a une parésie. Com
ffit d'une attention {ad tendere) des neurones rétractés pour que les paralysies hystériques disparaissent. II. — Les secousses
Les secousses peuvent aussi disparaitre pour laisser à leur place une paralysie , si les neuro-diélectriques augmentent suffisamme
e propension aux contractures. On voit par ce qui précède que les paralysies hystériques correspondent aux amnésies et aux ane
maladies nerveuses et mentales, de la méningite hypertrophique, de la paralysie infantile, des atrophies musculaires, des névrite
u reste ceux qu’il a publiés depuis sur les maladies mentales, sur la paralysie générale et sur l'intoxication par l’acool. C’e
succomber à des brûlures superficielles et peu étendues. C’est à une paralysie du cœur par shock physique qu’on attribue d'ordin
e intitulée : « Recherches sur les lésions du système nerveux dans la paralysie ascendante aiguë ». L’auteur, y exhumant les impo
tomique pour ses Recherches sur les lésions du système nemeux dans la paralysie diphtérique. Chef de clinique en 1879 à l’hôpital
logiques de l'), par Ch, Binet-Sanglé, p. 8. Hypnotisme (L') et les paralysies psychiques motrices, par Bérillon, p. 22. Hypno
gestion pendant le sommeil naturel, par Pau de Saint-Martin, p. 52. Paralysie de nature hystérique, par Audry, p. 313, Parole
Hyperesthésies hystériques, 321. Mypermnésies hystériques, 324. Paralysies hystériqes, 326, 327. Rétraction combinée des n
100 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
I, p. 346 et suiv. De même pour M. Babînski, les anesthésies, les paralysies flasques, les contractures, la catalepsie sont de
al de l'état hypnotique, c'est celui qui a été désigné sous le nom de paralysie psychique motrice (1). Remarquons en passant qu
m de paralysie psychique motrice (1). Remarquons en passant que ces paralysies , lorsqu'elles se développent en dehors de toute e
s dans des ouvrages d'hyp- (1) M. E. Bërillox : L'hypnotisme et íes paralysies psychiques motrices. Revue de l'hypnotisme, !5* a
dans la main et je lui suggère que son bras est paralysé et que celte paralysie réapparaîtra dès qu il aura dans la main un verre
ns la main un verre rempli d'une boisson alcoolique quelconque. Cette paralysie psychique se reproduit quand le malade a dans la
e ; il est dur, indolore; il se superpose à des contractures ou à des paralysies ; il va de pair avec des troubles de sensibilité.
'air et nous lui suggérons l'apparition dans ses bras d'une véritable paralysie psychique. Nous lui affirmons que lorsque l'impul
rmons que lorsque l'impulsion à céder à l'onanisme se manifestera, la paralysie dont il est l'objet se reproduira immédiatement e
on ne croyait par l'idée pouvoir guérir que des idées: contractures, paralysies , anesthésies, etc., dépendant d'un trouble d'idéa
les appartiennent ces malades, j'ai noté surtout les convulsions, les paralysies infantiles, la méningite, l'hystérie et Pépilepsi
vocaux sont seules troublées: ces troubles sont liés à l'existence de paralysies , d'ordinaire bilatérales, susceptibles de varier
ns à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Un guérisseur de paralysie au XVIIIe siècle. Dans les Nouvelles, petite ga
« On voit ici (à Paris) le détail des trolscures extraordinaires de paralysie faites par un particulier demeurant rue Tiquetonn
s la rue St-Xicaise, affligée depuis 3 ans et 7 mois d'une si cruelle paralysie qu'on était obligé de la porter, parce qu'elle ne
souvent un cheval victime d'un accident a présenté une boiterie, une paralysie sans qu'aucun symptôme apparent pût expliquer d'u
d'observations de ce genre. Le Dr Hygyer nous cite un autre cas de paralysie hystéro-traumatique. Un chat, âgé de neuf mois,
mbes. Du coup cette nouvelle émotion l'avait complètement guéri de sa paralysie sensitivo-motrice. Je me souviens de plusieurs
nifiantes suivies d'accidents hystériques graves, le plus souvent une paralysie ou une contracture. Les accidents arrivés depui
ises hystériques, ces fureurs de chiennes inassouvies, accompagnés de paralysies , d'anesthésies partielles et que à tort on qualif
te nourriture, spasmes cloniques et toniques des membres et du tronc, paralysie de la vessie et attaques classiques de grande hys
s, car l'évangile nous dit qu'ils étaient possédés du démon ('). La paralysie est une des manifestations hystériques les plus c
... Une année s'écoula, a M. X... arrivé à la troisième période de sa paralysie générale, était « alité constamment. Je constatai
met-Saroslak, en Carinthie, alitée depuis dix ans par suite d'une paralysie , eut une telle frayeur en voyant la foudre pénétr
s les grandes manifestations de l'hystérie, les crises nerveuses, les paralysies , les contractures, les anesthé-sies. Quels en son
enir des guérisons par suggestion. Déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que ce trouble est purement imaginaire,
ens que tous les grands accidents hystériques, toutes les variétés de paralysies , de contractures, d'ancsthésies, toutes les forme
oduire chez un grand hypnotique l'hémiplégie faciale périphérique, la paralysie radiale vulgaire, lé sujet en expérience, quelle
culaire d'où dérive la déformation caractéristique de la face dans la paralysie du nerf facial ; il sera incapable aussi de disso
bras l'action du longsupi-natcur de celle du biceps, comme le fait la paralysie radiale. De même que tous les grands accidents
omadaire. (1) Voir à ce sujet :. De ratrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babixski, Travail publié en .
ifs, de beaucoup les plus importants, du reste, les anes-thésies, les paralysies , les contractures, les crises, etc., qui sont sus
tivement ; la suggestion ne peut la faire naître ; elle est liée à la paralysie ou à la contracture hystérique qu'elle ne précède
ait de la D R; aucune autre cause que l'hystérie ne peut produire une paralysie de ce genre ; mais si nous sommes arrivés à cette
exemple, on n'avait observé qu'une seule fois l'amyotrophie liée à la paralysie hystérique, malgré l'apparition de l'atrophie mus
ition de l'atrophie musculaire très peu de temps après le début de la paralysie et la disparition rapide de l'atrophie suivant de
sparition rapide de l'atrophie suivant de très près la guérison de la paralysie , il eût été impossible d'affirmer l'existence d'u
nets où une exagération des réflexes tendineux aurait accompagné une paralysie hystérique et aurait disparu après la guérison, q
ai autant du phénomène des orteils, de l'immobilité pupillaire, de la paralysie limitée au territoire d'un nerf, comme, par exemp
la paralysie limitée au territoire d'un nerf, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du mote
erf, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du moteur oculaire externe. Les observations de c
aude Baudrand, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir ici les paralysies et les contractures des muscles du larynx, qui on
mmutation électrique, fait disparaître instantanément contractures et paralysies . L'émotion ou mieux la cause émotionnelle n'agit
'hystérie, car on a vu subsister, après les crises, épileptoides, des paralysies transitoires, hémiplégies ou monoplégies. Les réf
aire ou morbide, depuis le bâillement suggéré jusqu'au spasme ou à la paralysie imitatifs (croup, épilepsie, paraplégie, etc.). Q
ous citerons parmi les plus fréquents : a) Troubles de la moiilité; paralysies des membres, paralysies oculaires, mutisme, aphon
lus fréquents : a) Troubles de la moiilité; paralysies des membres, paralysies oculaires, mutisme, aphonie nerveuse, bégaiement,
ui l'ont soigné jusqu'à présent. Ils se sont crus en présence d'« une paralysie générale progressive au début ». Après avoir fait
cette femme dans le coma, en train de râler. On constate quelle a une paralysie radi-culaire supérieure du bras gauche : en tomba
e causées par l'oxyde de carbone, aussi bien que les hémiplégies, les paralysies , l'astasie-abasie, etc. Et ce ne sont pas là les
x, des hémorrhagies rétiniennes. On incline à porter le diagnostic de paralysie générale ; or cet homme a très bien guéri. Il e
rveuses (fausses), par Le Menant de Chesnais, p. 277. Guérisseur de paralysie au XVIIIe siècle (Un), p. 127. La guerre du Tra
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