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1 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
iques; les troisièmes, des préparations d'anatomie comparée. L'auteur paraît avoir donné beaucoup plus de soin à l'anatomie de
nique • Tordre anatomique, suivi d'ailleurs par mes modèles, m'a donc paru préférable. En conséquence, nous classerons les a
et des faits isolés qui en appellent d'autres du même genre, lesquels paraîtront dans les livraisons subséquentes. (36) Utile at
itre de Cours d'études anatomiques? et dont les deux premiers volumes paraîtront dans le cours de cet hiver. Paris, le 3o septem
itié, dont la description détaillée et la représentation fidèle m'ont paru propres à jeter quelque jour sur la théorie de ce
ue de semblables injections ne peuvent pas réussir sans rupture. Il paraîtrait même que dans l'état normal il existe, à une cert
j'ai pu tout récemment, dans un cas obscur, porter un diagnostic qui paraissait bien hasardé aux praticiens étrangers à de sembla
urt trajet, se renfle pour former une tumeur triangulaire 2G, qui m'a paru représenter le ganglion cervical moyen. Cette tum
nt en devant des nerfs de la huitième et de la neuvième paires, m'ont paru leur envoyer «quelques filets pour pénétrer ensui
lamens nerveux qui s'éparpillent, revêtent de nouvelles combinaisons, paraissent quelquefois se perdre dans la substance grise pou
ervée dans les calices, comme elle pénétrée de vaisseaux sanguins qui paraissaient de nouvelle formation. Le rein gauche devait donc
rine avait continué dans le rein. Cette dernière circonstance, qui me paraissait inexplicable au moment où je recueillis ce fait,
e flanc droit, tumeur que j'eus occasion de constater pendant la vie, paraissait aux uns appartenir au foie, aux autres occuper le
adavérique va tout éclaircir. L'abdomen ouvert, le péritoine nous a paru parfaitement sain. Le foie, la rate, l'estomac, l
st destinée à représenter cette coupe. Ici le ramollissement du tissu paraît dans tout son jour. La plus légère pression, la p
uffisaient pour le morceler, et ce morcellement, cette dif-fluence me paraissent très-bien rendus par la figure. L'altération étai
aient le diagnostic. Je dois y joindre un mode d'exploration qui me paraît propre à jeter un grand jour sur le diagnostic de
à interprêter qu'on ne le croit communément : et cette difficulté me paraît surtout très - grande pour le rein, qui devient p
parties : Fig. i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait dans l'état normal. L'artère aorte A A présente s
rganes agisse également sur d'autres systèmes ; et si les altérations paraissent au premier abord si disparates, cela tient bien s
trajet sans communiquer entre eux. Le vaisseau VL, VL ( fig. 3 ) m'a paru le plus remarquable; il longeait le bord adhérent
ur des valvules conniventes. Tous ces vaisseaux parallèles, qui m'ont paru s'anastomoser rarement entre eux, venaient se ren
Réflexions. — Sous le rapport anatomique et physiologique, ce fait me paraît prouver le mode d'origine des vaisseaux lactés. C
aisseaux, mais sans ampoule, sans valvules distinctes; mais, comme il paraît n'avoir pas observé les vaisseaux lactés pleins d
s montrer à William Hunter. La cavité spongieuse de Lieberkuhn ne lui parut être autre chose que le tissu cellulaire qui unit
loppé., né avec des mains et des pieds-bots, dont Fexamen détaillé me paraît jeter le plus grand jour sur le mécanisme de la p
lequel aurait dû se trouver appliqué contre le radius. Le périnée P paraît énorme dans son diamètre antéro - postérieur : po
lléole externe, TC tubérosité antérieure du calcanéum dont la saillie paraît dans tout son jour; TA tubérosité de nouvelle for
on corps. Les autres os du tarse sont parfaitement distincts et m'ont paru dans l'état naturel. Ce cas prouve manifestement
ie de figures contenues dans les planches n, m, iv (ne livraison), me paraît établir d'une manière positive i° les causes, 2°
inférieure du cubitus, triple vice de conformation par défaut qui me paraît le résultat exclusif de la compression; il y a là
il n'existait pas sur les enfans pieds-bots que j'ai examinés. Il me paraît probable que, dans le cas actuel, ce ligament éta
ne difformité incurable après une certaine époque; et cette époque me paraît celle où les muscles atrophiés sont aptes à ressa
l'article de la thérapeutique, parce qu'en effet les tendons nous ont paru dans le plus parfait état d'intégrité. Nous ne co
t caractérisé par le stade de sueur : mais la rongeur de la langue me paraît une contre-indication au tâtonnement méthodique q
ite a-t-elle été la cause, a-t-elle été l'effet de la fièvre? Elle me paraît cause au même titre que la pneumonie l'est de la
ont des gouttes d'eau jetées au milieu de flammes ardentes ; si elles paraissent un instant diminuer la violence de m^^dio , r,'es
toujours par doses minimes qu'on procède : on avance, on recule; tout paraît un écueil; le soir on trouve une contre-indicatio
arge main, et le succès a souvent couronné cette pratique qui pouvait paraître hardie, mais qui était justifiée par le défaut de
iendent, sir. gomm. ; cataplasmes et lavemens émolliens. — Les règles paraissent le soir. Pouls moins fréquent le i5; nulle doul
matin. Le 18, le mieux est manifeste. L'indication du quinquina me paraît évidente : forte décoction de quinquina; un verre
x onces d'eau; une cuillerée d'heure en heure. La vie de la malade me paraît dépendre de la possibilité d'administrer cette do
face cadavéreuse, hoquet que j'entends pour la première fois, et qui paraît s'être montré à de longs intervalles les jours pr
e. Le défaut d'efficacité des sangsues, les mauvais effets qu'avaient paru produire la première et la troisième applicatio
tomac n'a pu rien supporter. L'altération essentielle, celle qui me paraît avoir dominé la maladie, c'est le ramollissement
prochaine de l'inflammation : j'avoue que de semblables questions me paraissent encore prématurées ; mais ne peut-on pas se rendr
s. Je terminerai ces réflexions par une observation pratique qui me paraît de la plus haute importance, c'est que les évacua
étallique de l'argent mat ou d'une per|P rîp la plua belle eau : elle paraissait sortir du ventricule moyen, dont les parois étaie
t cependant la nutrition était parfaite. Les facultés intellectuelles paraissaient n'avoir été troublées que depuis deux mois; et le
re l'identité absolue qui existe entre ce fait et le précédent. PA me paraît la coupe de la protubérance, reconnaissable à ses
s du matin. Ouverture du cadavre. Machis. Le prolongement rachidien paraît peu volumineux, surtout à sa partie inférieure. C
ue l'intérieur de certaines coquilles. Coupée « dans son milieu, elle paraît formée de couches concentriques, unies entre elle
la « partie la plus externe de la tumeur; sa substance dans ce point paraît légèrement ramollie, comparati-« vement au côté o
ire, la cuisse gauche de la moelle allongée et le bulbe rachidien; il paraît même que la protubérance comprimée avait subi un
dans les couches cérébrales adjacentes, précipite le terme fatal. Il paraît que, dans le cas actuel, c'est au ramollissement
circonscrite. La malade ne se croit pas dans un état grave. Elle nous paraît à toute extrémité. Traitement. Malgré l'insensi
l présentait un prolongement FGC (fig. 3), également anfractueux, qui paraissait d'une date plus récente que le foyer principal FG
ONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA GANGRÈNE DU POUMON. ¦ Ce cas m'a paru pouvoir servir de type pour la gangrène du poumon
maladie antérieure du poumon,une cause quia agi sur tout l'organisme, paraissent le plus ordinairement une prédisposition nécessai
eur extrêmement fétide, adhérent encore au tissu du poumon et qui m'a paru formé par les couches superficielles de cet organ
issait exactement les limites entre le mort et le vif, en sorte qu'il paraissait n'y avoir aucune communication entre les bronches
quelquefois blancs. L'expectoration fétide et l'hémoptysie réunies me paraissent caractériser autant que possible la gangrène du p
rte et belle constitution, s'étant livré a toutes sortes d'excès, vit paraître il y a deux ans, sans cause connue, une tumeur à
ais la respiration devient de plus en plus fréquente, bruyante; il me paraît évident que la trachée est comprimée. Pouls misér
une lame mince, fibreuse dans l'étendue de quelques lignes NI; il m'a paru qu'il était complètement interrompu, car je n'ai
ofonde ; cette cavité était revêtue par une membrane fibreuse qui m'a paru se continuer avec le ligament costo-claviculaire
e des tubercules concrets blanchâtres, également enkystés. Rien ne me paraît prouver davantage l'analogie qui existe entre la
GÉNÉRALES SUR LES ANÉVRYSMES DE LA CROSSE DE L'AORTE. Ce cas m'a paru pouvoir servir de type pour les anévrysmes en gén
ténacité, leur adhésion aux parois artérielles avec lesquelles elles paraissent faire corps, et surtout le pus qu'on rencontre qu
isent. Le pus qu'on voit quelquefois au milieu de ces concrétions, me paraît le produit d'une sécrétion des parois, produit qu
anger, pourrait donner lieu à l'inflammation des parois; niais il m'a paru que ce sang ne s'altérait que consécutivement à l
pouls peu fréquent, naturel ; la respiration suspirieuse ; le malade paraît sans communication aucune avec les objets extérie
te dans le kiste fibreux d'enveloppe, l'aspect rugueux des parois, me paraissent le résultat de l'accroissement du kyste, graduell
la tête et par les fonctions internes, et cependant il sourit, et ne paraît susceptible que d'impressions gaies. Il se croit
rée au niveau du bulbe rachidien et de la région cervicale, ce qui me paraît s'expliquer par la position déclive donnée au cad
e ces fibres ; et les filets des racines antérieures, teints de sang, paraissent réduits à leur névrilème, ou du moins on ne leur
Thorax. Le cœur et les poumons sont parfaitement sains. Ces derniers paraissent exempts de l'engouement cadavérique. Abdomen. L
et la membrane propre qui pourra elle-même se déchirer. C'est ce qui paraît avoir eu lieu en partie pour le foyer FAP (fig. i
moelle que pour mieux protéger cette substance grise: la conséquence paraîtrait naturelle; car, chez notre sujet, la substance bl
lle du cerveau, assez généralement admise dans ces derniers temps, me paraît une grave erreur physiologique fondée sur d'ingén
sous la pie-merc, qu'il peut érailler et même déchirer; c'est ce qui paraît avoir eu lieu pour le foyer FAP (fig. i ), FAA (
e fonde sur une observation tout-à-fait semblable de M. Dance, qui me paraît pouvoir servir de type pour l'arachnitis ou plutô
7. Ouverture du cadavre. L'abdomen ouvert, l'estomac et le duodénum paraissent parfaitement sains à l'extérieur. Leur paroi anté
couleur rosée. Examinées sous l'eau et à l'aide de la loupe, elles paraissent formées (fig. i) par une innombrable quantité de
une matière gélatineuse mêlée à une matière puriforme, lesquelles me paraissent des débris d'acéphalocystes. Réflexions. — Tous
ane muqueuse était primitivement affectée. Les membranes muqueuses me paraissent essentiellement constituées par une trame vascula
la déchirure des aréoles et des vénules distendues. Au fond, il me paraît résulter de mes recherches, que les cancers, comm
its tubercules cancéreux VLC, WC, quelques-uns de ces vaisseaux m'ont paru gorgés de la même matière cancéreuse. L'estomac
ur , me portent à admettre que ce sont des artères ; les veines m'ont paru l'élément organique qui est le premier désorganis
côté du thorax. Commémoratifs. La maladie, qui date de huit jours, paraît due à un travail excessif, au passage subit du ch
te les jours précédens, est manifeste. Le météorisme et la douleur me paraissent annoncer une péritonite très-aiguë, peut-être par
jusqu'au niveau de la troisième côte, en sorte que la suffocation m'a paru le résultat mécanique du soulèvement du diaphragm
couleur a été parfaitement rendue sur la figure 1, IGP, IGP; elle ne paraîtra forcée qu'à ceux qui n'auront pas vu ce genre de
dehors, on voit une espèce de gerbe de concrétions plâtreuses CS qui paraissent formées aux dépens d'une gerbe de franges synovia
euses, elles étaient parsemées de concrétions blanches, dont les unes paraissaient déposées à leur surface interne et les autres con
ÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA GOUTTE. Les deux faits qui précèdent me paraissent remplir en grande partie la lacune qui existe dan
attaque de goutte? se renouvelle-t-elle à chaque attaque? Cela ne me paraît pas douteux. La formation de l'urate et du phosph
aquant plus particulièrement aux grandes. Les deux faits ci-dessus me paraissent établir la loi qui préside au développement et à
qu'avait pu se loger la queue de cheval. Les nerfs qui la constituent paraissaient comprimés et moins volumineux que de coutume ; il
ranglement qu'ils avaient éprouvé au niveau de la luxation, les nerfs paraissaient reprendre leur volume naturel. Du reste, les os
deux vagins. Cette observation de Boehmer, dans laquelle la division paraît plus considérable encore que dans le cas représen
g du vagin. A cette dépression extérieure répondait une cloison qui paraissait formée par l'adossement des parois de deux utérus
, développé comme il doit l'être au quinzième jour de l'accouchement, paraît également sain à l'extérieur. Les ligamens rond
s les veineà utérines latérales, on voyait cette progression, qui m'a paru constante dans toute phlébite : i° concrétions sa
su de cet organe. J'ai trouvé un petit foyer purulent superficiel qui paraissait le résultat de la déchirure d'une veine suppurée.
épaisses, à liquide trouble et opaque, qu'une hématocèle! Il m'a donc paru de la plus haute importance de présenter dans une
léger effort suffisait pour les dissocier. La tumeur inférieure E m'a paru formée par fépididyme; la tumeur supérieure T, pa
tie supérieure de la tumeur, il existe une bouillie blanchâtre qui me paraît le résultat d'une altération du tissu fibreux. J'
ans infecter la masse, et tantôt l'infectent immédiatement. Ce qui me paraît certain, c'est que tous ces produits nouveaux, to
. Le canal déférent était sain. Les tubercules les moins développés paraissaient formés aux dépens du tissu cellulaire qui entoure
re sous-jacent, et nulle part accumulé en foyer. La membrane muqueuse paraissait elle-même comme imbibée de pus, et ce n'est que d
le cas de notre malade. Je dois faire à ce sujet une remarque qui me paraît importante. Lorsqu'une membrane devient le siège
Le malade effrayé , les yeux égarés , appréhende une suffocation qui paraît en effet inévitable. Son pouls est presque insens
ail que depuis quinze jours; d'ailleurs, point de fièvre, les poumons paraissent sains : seulement caverne sèche et extrêmement so
ute lésion pulmonaire? J'ai recueilli quelques faits cliniques qui me paraissent le démontrer de la manière la plus positive. Mais
a syncope qui accompagne souvent une déplétion subite. La fluctuation paraissait moins obscure aux régions ombilicale et iliaques
ltipliées, surtout dans quelques points. La disposition aréolaire qui paraît être le type de ce genre de productions organique
nkystée de l'ovaire se voit souvent sans ce dernier symptôme. Il me paraît impossible de distinguer, dans l'état actuel de l
cu-laire gélatineux du kyste uniloculaire séreux ; la fluctuation m'a paru la même dans les deux cas : mais je crois qu'on p
est à peine marquée ; celle d'un kyste uniloculaire gélatiniforme m'a paru la même que celle du kyste uniloculaire séreux. L
s liées à des différences d'organisation du cerveau? L'observation me paraît répondre par l'affirmative, et la saine métaphysi
rapports essentiels, l'idiotie congéniale et l'idiotie acquise m'ont paru devoir être réunies dans la même classe de maladi
. Guersent. contraire, bien qu'il ait le même volume que le gauche, paraît transformé dans sa presque totalité en un kyste à
nérale, la lenteur dans la perception des impressions extérieures, me paraissent un effet constant et en quelque sorte pathognomon
complètement au niveau de cette ouverture, la pie-mère elle-même, qui paraît s'enfoncer dans l'hiatus, cesse brusque-quement.
tion était un peu accélérée, le pouls un peu fréquent; l'état général paraissait d'ailleurs le même. Je pronostiquai la mort dans
tant la malade n'accuse aucune douleur. Les jours suivans l'érysipèle paraît diminué ; mais un oedème indolent persiste. Le 2
ivans, l'état du malade ne présente rien de particulier; seulement il paraît dans un état de torpeur qu'on attribue à la pléth
, d'insolite dans les manières, les attitudes et les réponses, qui me paraissent pathognomoniques de l'affection de la séreuse ven
intelligence est parfaite. Mais la petite malade ne demande rien et paraît insensible a ses besoins. Plus de mauvaise humeur
u moindre contact comme les jours précédens : la maladie cérébrale me paraît confirmée. (Demi-bain.) — Le 22, on vient me cher
e 26, petits mouvemens convulsifs dans les extrémités supérieures. Il paraît que l'enfant entend encore, car elle frappe dans
l'attention des praticiens sur l'inégalité de la respiration, qui m'a paru un symptôme caractéristique de cette maladie, mêm
endant la dilatation des pupilles et l'injection de la conjonctive me paraissent le résultat de la compression des nerfs optiques
peau fraîche ; pouls très-lent et un peu inégal : la respiration m'a paru égale. Je l'ai vu bâiller une fois. 11 répond trè
. Les deux pupilles sont très-dilatées. L'extrémité supérieure gauche paraît affaiblie dans sa myotilité, car lorsqu'on la pin
eurs anfractuosités de la voûte (fig. 2 ) plusieurs tubercules TT qui paraissent logés dans l'épaisseur de la substance cérébrale
de spinale. Le crâne ayant été ouvert, la convexité du cerveau nous a paru dans l'état le plus parfait d'intégrité, seulemen
retardés dans leur développement. La substance grise ne commençait à paraître qu'au voisinage du bulbe raehidien. En outre la p
neuse remplissait l'intervalle. La comparaison des figures 3 et 4 nie paraît établir que le développement des vertèbres est pl
ibreux qui constituaient les parois du kyste. La matière contenue m'a paru être constamment soit un liquide qui conserve enc
elles, soit produites par l'art dans les opérations de chirurgie, m'a paru d'un grand intérêt pour la science et le compléme
VI, VIe LIVRAISON.) L étude approfondie des maladies du placenta me paraît devoir jeter un jour tout nouveau sur les vices d
toujours plein de zèle pour les progrès de l'art des accouchemens, me paraît un exemple remarquable d'atrophie du placenta qui
, dans un ouvrage qui fut accueilli avec défaveur dans le temps où il parut (1804), décrivit assez exactement les caractères
à l'innocuité des vomitifs, des purgatifs, et même l'avantage qu'on a paru en retirer dans un grand nombre de cas ; de là le
orme gangreneuse : 5° l'inflammation des ganglions mésentériques, qui paraît n'être qu'accessoire, consécutive dans le plus gr
ntre des cas dans lesquels l'inflammation des ganglions mésentériques paraît la lésion principale, l'inflammation folliculeuse
la lésion locale; quant aux secondes, dans lesquelles l'état général paraît au contraire dominer l'état local, on leur a rése
je ne pouvais obtenir de réponses qu'en lui parlant de chimie, et il paraissait plein de vie à ma dernière visite ; observé par l
observé par l'interne (M. Sestié), à dix heures du soir, son état lui parut à peu près le même qu'à la visite du matin. Il mo
a pression abdominale, soit antéro-posté-rieure, soit latérale, ne me paraît que d'une valeur très-secondaire, et je n'attache
été souvent donné de le constater : la génération de cette maladie me paraît recevoir un jour tout nouveau de l'étude du typhu
se comme les facteurs : ainsi dans les raisonnemens par chiffres, qui paraissent inattaquables au premier abord, combien de fois n
ns la partie élevée que dans la partie basse de la ville ; les causes parurent agir de deux manières différentes, et sur la peau
cet égard. Toutefois je ferai remarquer que le dévoiement ne m'a pas paru avoir une influence avantageuse sur la marche de
forte dose (je veux dire un grain le matin et un grain le soir), m'a paru , dans quelques cas particuliers, triompher du dél
diverses parties du corps, des vésicatoires volans ou à demeure m'ont paru , dans un grand nombre de cas, influer avantageuse
nt sous la main qui le presse avec force et dans tous les sens; il me paraît un peu volumineux. — Pour commémoratifs, je recue
Continuation de l'eau de veau tamarinée. — Quelques selles. Le malade paraît mieux ; il a recouvré toute sa raison. — Le 29, a
que des selles copieuses.—Le 3o, même état ; la région iliaque droite paraît douloureuse. Dix sangsues. — Le Ier octobre , le
exions. — A la forme gangreneuse de l'entérite folliculeuse aiguë m'a paru constamment répondre la forme ataxique. La rapidi
deux applications de sangsues, l'une sur la base du poumon gauche qui parut s'indurer, l'autre sur la région iliaque droite q
tit. Le malade n'accuse aucune douleur; mais la pression de l'abdomen paraît douloureuse. ( Sinapismes ; potion calmante qui c
oujours sous la forme ataxique. L'observation qu'on vient de lire m'a paru être le type de cette forme de maladie. Ces pustu
, sans diminution correspondante des forces musculaires, m'a toujours paru annoncer une mort extrêmement prompte. La ligur
le 18, il bat la campagne et reconnaît à peine ses parens. — Le 19 il paraît mieux. —Le 20, il est apporté à la Maison royale
suraiguë produite par le passage des matières fécales. Ce passage ne paraît pas avoir eu lieu chez ce sujet. Entérite folli
ce des symptômes. —Hallucination.—Mort. — Les ganglions mésentériques paraissent le siège principal de la maladie. — Traces d'une
isole. Je diagnostique une entérite folliculeuse aiguë : le délire me paraît sympathique. (Saignée.) Le délire tombe, la fièvr
aires. Le 21, à la suite d'une sueur extrêmement abondante, le malade paraît mieux; le pouls est à peine fréquent; la langue h
ectés; plusieurs offrent des points blancs à leur surface ; plusieurs paraissaient transformés en une poche fibreuse contenant une m
L'intestin nous a présenté plusieurs espèces d'altérations qui m'ont paru difficiles à analyser : i° le gros intestin, le c
C, aux dépens de cette valvule se voit un aspect ridé, plissé, qui me paraît indiquer une cicatrisation antérieure. On ne saur
l'abdomen. Les cas dans lesquels cette disposition s'est présentée me paraissent des cas anormaux. (1) Archives de médecine, t.
e le développement normal de l'ongle abandonné à lui-même, mais il me paraît constituer un état morbide qui est la conséquence
t chez les vieillards qui gardent le lit depuis longues années. Il me paraît infiniment probable que, dans ce cas, le poids de
curables, tandis que les fongus de la dure-mère, proprement dits, lui paraissent marqués au coin de l'incurabilité. (*) Mémoires
ervateurs s'y sont mépris. Or ces tumeurs careinomateuses du crâne me paraissent formées aux dépens du tissu adipeux médullaire de
ne chute, d'une commotion. Le virus vénérien, le vice scrophu-leux ne paraissent avoir aucune influence sur leur développement. Le
ongueuses qui compriment les circonvolutions antérieures ne m'ont pas paru porter plus particulièrement sur les facultés int
a portion du crâne qui leur a donné naissance. Les faits suivans me paraissent propres à jeter quelque jour sur l'histoire encor
ence. Le malade prenait quelques alimens. La violence des douleurs me parut indiquer des potions calmantes et des linimens ca
ou de queue de faire saillie dans la vessie. Cette portion du calcul paraissait avoir été brisée, Ce calcul occupait le centre du
à peine tenir sa tête en équilibre. L'extrémité inférieure gauche me paraît plus faible que l'extrémité inférieure droite. La
eai qu'on levât cette malade tous les jours. Les premiers jours, elle paraissait mieux; à chaque visite, je la trouvais assise sur
ent en avant comme une masse inerte. L'extrémité inférieure gauche me paraît toujours un peu plus faible que l'extrémité infér
ou de queue de faire saillie dans la vessie. Cette portion du calcul paraissait avoir été brisée, Ce calcul occupait le centre du
toute la durée de cette attaque, qui fut de demi-heure environ, il ne parut pas y avoir eu perte de connaissance. Depuis cett
a langue est repoussée hors de la bouche par une tumeur dont le siège paraît être la glande maxillaire. M. Guersent constate u
son attention par des questions rapides et articulées avec force; il paraît également insensible aux pincemens les plus forts
tes et dont lui-même exprime ses désirs, ses facultés intellectuelles paraissent entières. Il jouit de l'usage de tous ses sens, e
u lobe antérieur gauche. La dure-mère ayant été incisée, l'arachnoïde paraît saine; mais les circonvolutions de l'hémisphère g
qui remplissait les mailles du tissu cellulaire sous-arachnoïdien me paraissent l'effet et nullement la cause de l'atrophie, et d
la marche, il fallait la porter d'un lieu dans un autre. L'olfaction paraissait nulle, ou plutôt la jeune idiote était insensible
anatomiques 5 anatomie descriptive, t. 1, p. 4^2. chronique, il me paraît démontré (*) que les deux opinions, émises à ce s
dans les lobes moyens, que dans les lobes postérieurs. La malade ne paraissait pas jouir de l'olfaction, et cependant les nerfs
ses à travers lesquelles passe le cerveau dans son évolution? Cela me paraît infiniment probable, car les ventricules ne sont
est sans contredit celle représentée fig. 1 et 2. C'est celle qui m'a paru succéder constamment aux maladies ixe livraison.
dies du corps du testicule, tandis que les maladies de l'épididyme me paraissent le plus souvent marquées au coin de la curabilité
donne issue à un pus épais, comme tuberculeux ; mais ces petits abcès paraissent indépendans du corps de la tumeur et le produit d
ère tuberculeuse, laquelle se dépose dans les mailles du tissu, et me paraît susceptible de résolution. Je fais saupoudrer les
este; d'ailleurs, point de douleurs, point d'élancemens; la tumeur ne paraît incommoder que par son poids. L'expérience acquis
int de vue du mode, en aiguë et en chronique. Les tumeurs blanches me paraissent consister essentiellement dans une inflammation c
e, l'avant-bras et la main vus de profil du côté radial. L'avant-bras paraît beaucoup plus court que de coutume ; il forme un
e coupole fibreuse qui reçoit la tête TR du radius. Cette coupole m'a paru formée aux dépens du muscle anconé et de l'aponév
ne maladie de l'articulation radio-cubitale supérieure, mais qu'il me paraît plus probable d'admettre qu'il y a eu luxation in
dans l'estomac d'un cadavre. Un commencement d'altération cadavérique paraît nécessaire; aussi ce ramollissement s'observe-t-i
e que le malade oublie de retirer. (Saignée au bras de huit onces qui paraît soulager.) Le 3o, le malade est mieux. iel mai.
la glace sur la tête pendant le jour, une potion calmante le soir me paraissent remplir les indications. 2 mai. Tranquillité ,
e ce que j'ai à dire sur le ramollissement par une observation qui me paraît de la plus haute importance : c'est que les malad
s physiques ou chimiques des altérations vitales. Cependant ce qui me paraît positif dans l'état actuel de la science, c'est q
re, dans le cœcum, dans l'intestin grêle; mais nulle part elle ne m'a paru aussi fréquente que dans l'estomac, par la raison
mitif de la lésion. L'altération de la membrane fibreuse m'a toujours paru précéder celle de la muqueuse; c'est ce qu'on voi
la ligne blanche, un peu au-dessus de l'ombilic, une tumeur dure qui paraissait superficielle, vu la maigreur du sujet, et qui se
sseaux VL, VL, VL, le long de la grande courbure de l'estomac GC ? Il paraît donc démontré que la matière du cancer aréolaire
ls été les seuls symptômes de la maladie. L'observation suivante me paraît un des types du cancer latent de l'estomac et du
rvenue à la suite de longues courses à cheval : cette infiltration me parut tenir à un affaiblissement général. Je conseillai
t encore, avec le cancer, l'ulcère simple chronique de Vestomac ne me paraît pas avoir fixé l'attention des observateurs comme
e l'organe se trouvant dans un état parfait d'intégrité? Voilà ce qui paraît bien difficile à expliquer. V. Il n'est pas trè
alité et leur quantité. La température très-chaude ou très-froide m'a paru convenir beaucoup mieux que la température tiède.
de ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L'état aigu me paraît démontré : i° par le caractère de l'ulcération, d
à un régime adoucissant qui produisit les meilleurs effets. Le malade paraissait rétabli, lorsqu'un soir, en tirant ses bottes ave
. de Médecine, tome 11e, p. 388. Obs. publiée par M. Rullier. — Il me paraît évident que ce fait doit être rapporté à l'ulcère
vaux , il se livra de nouveau à sa funeste habitude sans que sa santé parût en souffrir notablement. Le i5 avril i83o, chal
seaux lymphatiques et le cœur qui contenaient du pus, m'ont également paru , dans beaucoup de cas, exempts des caractères dit
lus long-temps « après que les premiers accidens de la résorption ont paru , des inflammations et des abcès ensemble, tantôt
plus souvent dans le foie, et quelquefois dans le cerveau -, d'où il paraît que les abcès qui se forment à la suite d'une rés
son impuissance en présence d'un pareil phénomène. Une phlegmasie qui paraissait n'avoir aucun trait à celle qui nous occupe ici,
, une série nombreuse d'expériences que j'ai publiées en 1826 (**) me paraît avoir établi d'une manière rigoureuse cette propo
ais l'analogie porte à penser qu'il en doit être ainsi, car ces abcès paraissent être de même nature et doivent suivre partout la
vent y faire pénétrer du pus en nature. Reste donc la phlébite qui me paraît , comme à M. Dance, l'unique source de tous les ac
éraux, l'intégrité ordinairement parfaite des parties voisines, ne me paraissent pas des objectionspéremptoires contre l'inflammat
ombre de cas de l'observation de ce viscère dont les lésions leur ont paru rendre un compte suffisant des phénomènes. XXXI
. L'humérus était intact, les vaisseaux et nerfs principaux du membre paraissaient également avoir été respectés. Le repos au lit, l
s, concurremment avec une phlébite des grosses veines, m'ont toujours paru le résultat d'une phlébite des veines d'un ordre
uefois très-grande dans la dissection. Les conséquences de ce fait me paraissent très-importantes sous le point de vue chirurgical
y eut plusieurs recrudescences. VIII. L'oblitération des veines me paraît la terminaison du plus grand nombre des phlébites
e dans le cas où cette phlébite, qu'on pourrait appeler primitive, ne paraît pas exister, il faut briser les os qui ont été fr
ement après une hémorrhagie consécutive à la délivrance, m'a toujours paru caractériser soitune inflammation des veines, soi
prélude de l'affection pulmonaire. Du 15 juillet au 3 août, la malade paraissait marcher à la guérison, lorsque tout-à-coup survie
rs qui soulèvent la plèvre, leur disposition à facettes, dont chacune paraît formée par un lobule, les diverses nuances de cou
d'une hémorragie interne mortelle. Le cas représenté planche iv m'a paru pouvoir servir de type pour la gangrène diffuse d
uqueux qui naissent du tissu même de la membrane muqueuse dont ils ne paraissent être qu'un développement hypertrophique circonscr
tte altération du foie que les anciens, et Baillie en particulier, me paraissent avoir désignée sous le nom de tubercules du joie
té de matière colorante, variable dans les diverses granulations, m'a paru en raison directe de leur volume. Les vaisseaux S
stifs, attestait une lésion plus ou moins profonde. IV. L'ascite me paraît donc consécutive : elle peut tenir, ib à l'extens
, ont été sans résultat : les alcalis, les ferrugineux, qui m'avaient paru d'abord produire de bons effets, ont complètement
ïdale et se creuse en godet au centre : cette dernière disposition me paraît s'expliquer par la densité qu'acquiert le tissu c
s un grand nombre de cas, l'ascite symptomatique du cancer au foie me paraît moins l'effet d'une compression des veines porte
lesquels se présentent les cancers du foie par masses disséminées, me paraissent devoir se rapporter à deux variétés principales q
dois dire que, dans beaucoup de cas, ces phénomènes consécutifs m'ont paru reconnaître pour cause l'irritation du péritoine,
n jusqu'à son développement complet; 4° bien que la tumeur cancéreuse paraisse , au premier abord, complètement isolée et sans au
une masse plus ou moins considérable de granulations contiguës. Il me paraît donc démontré que le siège du cancer du foie est
ément anatomique primitivement affecté. Or, cet élément anatomique me paraît être le système capillaire veineux; et voici les
urs impossible de poursuivre au-delà de quelques lignes, parce qu'ils paraissent s'anastomoser entre eux. Dans ces cas, il est vra
ai cet orifice et je parvins dans un vaisseau très volumineux, qui me parut être une des ramifications de la veine porte. Alo
exactitude sur une autre pièce pathologique tout-à-fait semblable, me paraît au-dessus de toute objection. On a opposé à cette
natomique affecté dans le cancer? L'objection tirée de l'injection me paraît un argument en faveur de l'opinion que je soutien
s la région du foie, sentiment qu'il attribuait à des glaires, et qui paraissait d'ailleurs jouir delà meilleure santé. Quatre moi
froid pour toute nourriture passant mieux que les autres alimens, me paraît convenir; infiltration légère des extrémités infé
elles émergent du grain glanduleux lui-même. Mais cette discussion me paraît dénuée de toute espèce d'intérêt. IV. Les calcu
J.-L. Petit, à la présence de calculs biliaires dans la vésicule, me paraissent tenir uniquement aux accidens inflammatoires dont
queuse ; la vésicule tout entière est transformée en un kyste qui m'a paru complètement fibreux. Le péritoine seul a conserv
e do ce licrùido : doux foio j'ai rencontré ce cas. Le ÛSSU du foie paraissait plus humide que de coutume. Il était mou, peu gra
éterminer une rétention complète de bile. Le fait représenté Pl. 5 me paraît d'ailleurs confirmer cette proposition précédemme
erte de villosités très prononcées. Cetétatdela membrane muqueuse m'a paru constituer une simple hypertrophie. Il est donc c
ait une hypertrophie considérable de la membrane musculeuse. Il m'a paru évident que la maladie avait débuté par la membra
ent plutôt par induction que par démonstration directe, ne m'a jamais paru considérable. Sur la figure 1, l'utérus est vu
'ovaire. Inférieurement se voit une petite masse jaunâtre, OE, qui me paraît le corpus luteum des auteurs. Au milieu du tissu
la présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques. I. Au risque de paraître paradoxal, j'affirme que la phlébite utérine est
mpagnées de la présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques, m'ont paru plus fréquemment suivies de pleurésie que les pér
rivé de ne rencontrer du pus que dans un seul vaisseau. Le pus ne m'a paru franchir que dans un seul cas les ganglions qui s
ervice de M. Dupuytren (i), un fait remarquable qui dans le temps, me parut mettre hors de doute l'absorption du pus : il a p
s sensible que le matin ; pouls grêle, très fréquent. Cette malade me paraît perdue. Le 25. Abdomen tendu, excessivement et
atigue. Les injections utérines ont été faites avec grand soin et ont paru soulager; le soir, le pouls était toujours très f
avait pas été donné le soir. Le 13, à la visite du matin, la malade paraît mieux; Pabdomen n'est presque plus sensible à la
ites et gauches. L'injection purulente des vaisseaux lymphatiques m'a paru plus rare du côté gauche, que du côté droit. De
1851, de son second enfant; la montée du lait s'effectue. Son état ne paraît avoir aucune gravité; le 9 seulement, la malade p
aisonnement, et cependant il n'existait aucune cause particulière qui parût s'opposer à la réduction du vagin renversé. La
-petites tumeurs sont la source des plus grandes incommodités. Il m'a paru que les tumeurs situées sous le péritoine, sont c
d'intensité du choléra le plus manifestement épidémique (1). Il ne me paraît exister entre le choléra sporadique, que nous obs
chutes avec ou sans cause, l'estomac ou le gros intestin, qui avaient paru intacts jusque là, manifestaient leur participati
ant dans une période avancée, et résistant aux moyens accoutumés, m'a paru d'un très mauvais augure. VIL Irritation du gro
estin grêle : elle s'est manifestée par un dévoiement bilieux, et m'a paru en général moins difficile à détruire que les pré
nneuses. Il est même des choléras dans lesquels la sécrétion biliaire paraît augmentée dans la même proportion que l'exhalatio
sanguinolentes avec épreintes, comme dans la dyssenterie. Ce cas m'a paru grave; il exige de la part du médecin une surveil
ents et des boissons. La température des lavements et des boissons me paraît un point fondamental dans le traitement. Les lave
as eu besoin de recourir à ces moyens dont les avantages ne m'ont pas paru suffisamment démontrés dans ce cas. XII. Le dév
régime ne semblent exercer sur eux aucune influence ; i° en ceux qui paraissent n'être que les symptômes précurseurs du choléra q
urs dirigée vers les boissons froides et abondantes. Les vomissements paraissent avoir été provoqués par des boissons prises en tr
tres. L'exploration du thorax me démontre l'intégrité des poumons. Il paraît , d'après les commémoratifs, que la malade tousse
e lavement avec diascordium 1/2 gros. Du 1er au 9 mai, la malade me paraît dans un état désespéré : face très altérée, typho
espiration fréquente ; extinction complète de la voix : la malade qui paraît dans un coma profond , répond très bien aux quest
es. IX. desselles manquent très rarement. Leur absence m'a toujours paru de mauvais augure , parce qu'elle dénote, non une
e de la matière colorante de la bile dans les vomissements ne m'a pas paru d'un aussi bon augure que dans les selles. Les vo
ent : le hoquet même persistant pendant plusieurs jours ne m'a jamais paru dénoter un grand danger. XL La suppression d'ur
it des vomissements, c'est-à-dire que la gravité de la maladie ne m'a paru nullement mesurée sur ce symptôme. Les crampes dé
ue. XVI. La dépression du pouls est un phénomène constant et qui me paraît mesurer beaucoup plus exactement que tous les aut
lement sous l'influence d'une gastrite et entérite chroniques. Il m'a paru également qu'une thérapeutique échauffante trop l
apeutique échauffante trop long-temps continuée, pouvait, après avoir paru ressusciter la vie, favoriser ce genre de termina
accouchement. Guérison rapide. L'avortement ou l'accouchement m'a paru le plus souvent exercer sur le choléra une influe
is au monde tantôt un enfant vivant, tantôt un enfant putréfié. Il me paraît bien difficile qu'un choléra intense qui suspend
idité de l'amélioration après la cessation des premiers accidents m'a paru remarquable. Souvent ce n'est qu'à travers une sé
gros intestin et dans l'intestin grêle ; chez d'autres, la maladie a paru siéger tantôt dans le gros intestin seulement, ta
inutes ; la respiration est accélérée à 50. Agitation ; soif; la face paraît moins profondement altérée. A l'agitation succè
i ayant résisté au choléra, sont accouchées d'un enfant mort; et il a paru que l'époque de la mort de l'enfant coïncidait av
, influe avantageusement sur la terminaison. Trois femmes à terme qui paraissaient très gravement atteintes du choléra, ayant été pr
l était sauvé; il était couvert d'une sueur visqueuse et chaude qui paraissait de bon augure; mais la petitesse toujours croissa
injection qui n'est pas uniforme est si considérable, que l'intestin paraît avoir augmenté beaucoup d'épaisseur; et qu'examin
stin grêle, le siège de cette fluxion si rapide et si intense, qui me paraît le fait culminant de la maladie. XXIII. J'avais
puis deux jours un dévoiement auquel elle était assez sujette. Le cas parut si peu grave, que M. Clarens se borna à conseille
rauque ; soif vive ; crampes,, dans l'intervalle desquelles la malade paraît assoupie, mais cet assoupissement n'est qu'appare
uche épaisse très adhérente de mucosités. La muqueuse gastrique m'a paru en général moins fréquemment et moins vivement af
ntensité de la rougeur est en raison inverse de son étendue. Il m'a paru résulter de tous les faits soumis à mon observati
endue par une bile très épaisse et comme poisseuse. Les reins m'ont paru dans l'état naturel; la vessie est aussi contract
s ont fixé l'attention de tous les observateurs. Ces propriétés m'ont paru à peu près les mêmes, et sur le cadavre, et sur
les du sang des cholériques, soumis à l'inspection microscopique, ont paru aux uns identiquement les mêmes que ceux du sang
ment les mêmes que ceux du sang le plus .naturel; aux autres, ils ont paru offrir une disposition un peu différente. Enfin
raux, les nerfs pneumo-gastriques, le système nerveux tout entier m'a paru , dans les cas nombreux où je l'ai examiné, dans l
e des phénomènes qui ont lieu dans l'empoisonnement par l'arsenic, me paraît jeter le plus grand jour sur le choléra : à peine
, se voyaient des cas beaucoup moins graves, dans lesquels la maladie paraissait bornée à une sécrétion surabondante de la peau, e
particulière de cette action. Du reste, l'anatomie pathologique me paraît avoir amplement démontré que le choléra-morbus ne
ui existe entre les membranes séreuses et les membranes muqueuses, me paraît repousser toute analogie. L'anatomie et la phys
otre système planétaire a été mis en jeu; et quelques épidémies ayant paru à la suite de la conjonction de plusieurs planète
re de là dans diverses directions. Souvent, dans sa propagation, il a paru suivre la direction des vents, des grandes routes
is encore pouvoir le nier : l'encombrement des hôpitaux ne nous ayant paru exercer aucune influence sur le développement du
née par des bois, des montagnes, etc. ; voilà ce que l'observation me paraît avoir démontré. C'est en ce sens, mais en ce sens
rvatif doit consister dans 1 eloignement de toutes les causes qui ont paru favoriser son action. Or, il est incontestable qu
cool camphré ou la teinture de kinkina animée par l'ammoniaque, m'ont paru remplir les principales indications à cet égard.
ode de réaction, que la muqueuse intestinale. La formule suivante m'a paru utile dans la période asphyxique: Eau de cannel
malades. Donné à fortes doses dans la période de concentration, il a paru s'opposer à la réaction , ou plonger les malades
le diascordium administrés, soit par le haut, soit par le bas, m'ont paru la préparation d'opium la plus convenable. Je n'a
cas de vomissements opiniâtres. Le musc, le camphre, le castoréum, ne paraissent pas avoir répondu à l'attente des praticiens, U
ssons prises très-chaudes, à la manière du thé ou du café ; et il m'a paru que la réaction se faisait plus promptement que l
n est encore en litige. En général des boissons trop abondantes m'ont paru favoriser le vomissement. Cependant, plusieurs pr
ur cette muqueuse du gros intestin à l'aide des lavements. Or, il m'a paru que les lavements très chauds, à 36°, devaient êt
solution dans les veines d'un cholérique bleu, sans pouls, et qui ne paraît pas avoir deux heures de vie, que le pouls se rel
cette méthode trois malades sur cinq. L'état désespéré du malade me paraît seul justifier de pareilles tentatives qui ne pre
, que les livres n'apprennent pas, amèneront à bon port un malade qui paraissait voué à une mort certaine. Trop souvent, néanmoi
enfant mort le cinquième jour après sa naissance. Un enfant qui ne paraît pas tout-à-fait à terme, après avoir pris le mame
valétudinaire. Le peu de volume du foie? dans les deux observations, paraît une conséquence de la présence de la sérosité dan
lques points l'épaississement était tel, que le calibre de l'intestin paraissait complètement effacé. Le pancréas induré avait tou
l'accouchement. La plupart des enfants asphyxiés des accoucheurs, me paraissent des enfants apoplectiques. Une remarque important
endue. Mort. Enfaut nouveau-né, venu naturellement par les fesses^ il paraît faible, et reste faible jusqu'au moment de la mor
la base : elle consiste dans une induration rouge-noire, humide, qui paraît être une infiltration de sang et de sérosité; on
s joulmonaires sont imperméables. Catarrhe pulmonaire. Cet enfant qui paraissait vivace, présenta pour toute lésion, quelques lobu
adie syphilitique constitutionnelle? C'est une question grave, qui me paraît trop légèrement résolue, dans le plus grand nombr
e. Depuis quinze jours, il était sous l'influence d'une stomatite qui paraissait seule entraver son rétablissement; je lui conseil
un enfant nouveau-né; mais lui prescrire des médicaments m'a toujours paru un contre-sens. xve livraison 1 Inflammation
as de membrane hymen; les » grandes lèvres étaient d'un rouge vif, et paraissaient avoir été fréquemment irritées: les ovaires et »
présence de la sérosité dans ces fosses : voilà les arguments qui me paraissent militer en faveur de l'existence du cervelet et d
autre part, les conditions d'organisation du cerveau proprement dit, paraissent avoir des rapports plus immédiats avec l'intellig
centa n'est exposé qu'à un petit nombre de lésions, dont plusieurs ne paraissent pas avoir été bien interprétées. M. le docteur Mu
t autres observateurs, cas dans lesquels le volume du placenta leur a paru hors de proportion avec celui du fœtus et la caus
e la surface correspondante de l'utérus. Les lésions du placenta me paraissent devoir se rapporter aux chefs suivants : i° Hyp
aient comme d'un centre une foule de vaisseaux radiés. Ces tubercules paraissaient le résultat d'une agglomération de granulations.
ses observations ont prouvé que dans des cas où aucune veine libre ne paraissait enflammée, les veines des os, les veines du tissu
urs phases ou périodes : i° taches sanguines brunâtres, dont le siège paraît être dans les grains glanduleux eux-mêmes; i° inf
nalogues aux tubercules préexistants. Chaque grain glanduleux du foie paraît isolément pénétré de pus et quelquefois une granu
cerveau et à la membrane qui revêt les ventricules. Un fait qui m'a paru constant, c'est la présence, au niveau de la prem
son de roulage où il fut employé à faire des courses. Depuis 1826, il paraît que les varices sont restées stationnaires ; en 1
ans l'abdomen une tumeur très volumineuse, bosselée, dont le siège me parut être l'ovaire ou l'utérus. La peau des parois abd
ion supérieure à l'ombilic était plus épaisse, jaunâtre et opaque, et paraissait être la veine ombilicale elle-même. Un second f
ordinaire, mais on n'a pas pu constater la mobilité des iris. La tète paraît bien conformée, avec cette différence que le coro
n état complet d'idiotisme : rien de ce qui se passe autour de lui ne paraît l'occuper. Cet état contraste singulièrement avec
parties latérales, la dénomination de lobe moyen, admise par Home, me paraît propre k donner une fausse idée de la disposition
était au col de la vessie; la prostate explorée par le rectum m'avait paru volumineuse. Il était donc probable que l'obstacl
rs jours de la vie on sentait à l'hypogastre une tumeur très dure qui paraissait formée par la vessie. Le malade s'éteignit. Ouv
ui a été dépouillée de sa membrane xvnc livraison. 2 interne et qui paraît de nature musculeuse. De cette bride partait une
un obstacle. Je cherche à le tourner ; vains efforts. Un peu de sang paraît . Le doigt introduit dans le rectum reconnaît une
tait de forcer l'obstacle ; que le cas étant insolile et grave, il me paraissait convenable d'avoir un consultant. M. Dupuytren ap
eu des muscles déchirés. Les muscles grands droits de l'abdomen m'ont paru sur-tout exposés à cette altération , que j'ai re
, et se croit en voie de guérison; narines pulvérulentes. Cet état me paraît excessivement grave. Sinapismes ; potion avec sul
érieur et qui me parait indélébile. Ces faits et ces expériences me paraissent jeter le plus grand jour sur une maladie aiguë qu
rganes et en particulier dans le système musculaire. Aucun cas ne m'a paru plus frappant que celui que M. Guéneau de Mussy,
e caractère de l'inflammation du même ordre. Le siège de la douleur paraît être, soit dans les gros cordons nerveux libres (
umatisme puerpéral le rhumatisme des femmes grosses, qui m'a toujours paru plus rebelle que celui qui survient hors l'état d
me avec l'œdème douloureux des femmes en couches, lequel m'a toujours paru l'effet de la phlébite. Une triste expérience m
, le rhumatisme s'est manifesté en même temps que la péritonite et ne paraît avoir eu qu'une faible part dans la maladie et da
rs très grave et toujours le même. Le genou et le membre inférieur me paraissent le point de départ. La difficulté de faire mettre
vant-bras. La malade y ressent des élancements douloureux ; l'abdomen paraît en très bon état, et cependant le mouvement fébri
et de la capsule surrénale. La substance de l'un et de l'autre organe paraît transformée en une bouillie diversement colorée.
oit, douleur que son médecin avait rapportée à une néphrite. Celle-ci parut céder complètement au traitement qui fut mis en u
baire bien mieux encore que par la région antérieure de l'abdomen, me paraît permettre d'établir assez positivement le diagnos
ur rien dans les maladies cancéreuses, tandis que le système artériel paraissait y prendre une part importante, on aurait dû tirer
ltiples dans le cas de phlébite, attestent l'infection générale et me paraissent s'expliquer par la même théorie que les abcès du
l n'en est pas de même de la masse tuberculeuse du lobe droit LDG qui paraît formée par la substance même du cervelet, dont il
; ses camarades le jugeaient idiot et le négligeaient entièrement. 11 parut toujours étranger aux désirs vénériens. Son appét
rnée au mouvement. Le sentiment avait conservé toute son intégrité et paraissait même exalté; irritabilité très grande, impatience
uiétude; que, pendant les 4 mois intermédiaires, l'enfant n'avait pas paru aussi bien portant que par le passé ; qu'on avait
mois avant l'invasion des nouveaux. Mais le coup qu'il s'était donné parut trop léger pour en tenir compte et on ne fit rien
actuels, de même que ceux moins graves observés 4 mois auparavant, me parurent le résultat de l'inflammation des couches cérébra
l'ovaire. Le kyste antérieur, très petit, fait suite à la trompe et paraît formé aux dépens du pavillon de cette trompe. Ce
ion osseuse appartenait à l'os maxillaire supérieur ; l'échancrure DO paraît être le trou sous-orbitaire. Les deux dents sont
: les dents étaient implantées dans deux alvéoles bien distinctes qui paraissent avoir appartenu au maxillaire supérieur. Consid
ir brunâtre et fétide. Cette altération qui peut n'être que partielle paraît tenir , non à la matière grasse elle-même, mais à
aché dans l'épaisseur des parois du kyste; et ce fragment osseux, m'a paru , dans quelques cas, appartenir à l'os maxillaire
ne se produisent de toute pièce. Les conceptions extra-utérines me paraissent seules répondre pleinement à tous les faits connu
s'accompagne de la destruction plus ou moins complète du fœtus, ne me paraît possible que dans les premiers temps de la concep
ius nous a tracé l'histoire, a été trouvé sur une femme de 70 ans qui paraissait grosse depuis 18 au s. L'observateur dit que le f
ai était excellent. Les commémoratifs apprirent que la tumeur avait paru 7 à 8 ans auparavant et sans cause connue : elle
lus grand nombre avait celui d'une noisette ou d'un pois. Ces tumeurs paraissaient formées aux dépens de la peau. Plusieurs étaient
aniques, du volume d'une aveline. Elles étaient pédiculées. Plusieurs paraissaient prête à se détacher. Quelques tubercules occupaie
à la paralysie. Elle était logée dans l'épaisseur du cerveau, mais ne paraissait pas formée aux dépens de sa substance. Cette tume
érus. Ce fut six mois après cette extirpation qu'elles commencèrent à paraître . Le malade accusait des douleurs lancinantes dans
n traçant l'histoire de la mélanose (Auscult. médiate}. Laennec ne me paraît avoir eu sous les yeux que le cancer noir ou méla
euf. C'est à la forme tuberculeuse du cancer mélanique que Laennec me paraît avoir donné le nom de mélanose enkystée. 19 Liv
pongieux des os courts et des os larges. Le tissu compacte ne m'a pas paru susceptible de cette altération en tant que tissu
ertains os, et plus particulièrement dans les os maxillaires où elles paraissent avoir leur siège dans le tissu gingival intra-alv
chexie cancéreuse, la diarrhée, l'augmentation de volume du foie, qui parut affecté de dégénération cancéreuse, éloignèrent d
tout le même caractère : elles étaient parfaitement circonscrites, et paraissaient contenues, sans y adhérer, dans une espèce de coq
assait le niveau des parois du crâne. Le développement de ces tumeurs paraissait surtout se faire du centre à la circonférence. Le
le bras droit, et perdit la faculté de le mouvoir. A la même époque, parurent plusieurs tumeurs, deux sur les parties latérales
upart des autres os, et surtout les fémurs et les tibias, bien qu'ils parussent sains à l'extérieur, présentaient à l'intérieur u
eux, admis par quelques-unes des personnes qui virent la pièce, ne me parut nullement constaté; d'ailleurs l'état graisseux d
fice extérieur de la rupture corresponde quelquefois à la cloison, et paraisse même parfois empiéter un peu sur le ventricule dr
s grand nombre. Les circonvolutions occipitales sont celles qui m'ont paru les plus susceptibles de ce ratatinement atrophiq
d'un grand nombre de lamelles; la substance blanche de quelques-unes paraît avoir subi la même altération. Poumons.—Tout le
e 23 août i833, de paralysie de la langue : en même temps la bouche paraît déviée à gauche; le bras droit est dans un état d
une atteinte : la malade peut marcher, et les deux membres inférieurs paraissent ne présenter aucune différence sous le rapport de
émétique, 2 grains; 2 sinapismes.) Après la saignée, la respiration parut moins gênée, les raidissemens convulsifs des memb
ntes; il y avait affaiblissement général, mais point de paralysie. Il paraît que, dans son dortoir, on était obligé de la traî
ques. Je me fondais aussi sur ce que la paralysie du membre inférieur parut nulle le premier jour, circonstance qui paraissai
sie du membre inférieur parut nulle le premier jour, circonstance qui paraissait établir une sorte de progression dans les symptôm
ouvemens convulsifs; point de rigidité. Elle revient un peu à elle et paraît entendre les questions; elle porte la langue hors
mbres gauches sont paralysés, tandis que la paralysie du membre droit paraît tenir à l'absence de volonté. La déglutition est
u sentiment alternait avec celle du mouvement, et qui dans un instant paraissaient complètement hémiplégiques ou paralysés partielle
s des faits consignés dans la xe livraison, en même temps qu'elles me paraissent jeter un nouveau jour sur les questions pratiques
2 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
adies chroniques, » commencées à une époque de la vie où l'horizon ne paraît pas encore limité, avaient été con-çues sur un pl
ode de recherches, s'étaient accumulés en grand nombre, si bien qu'il parut indispensable, à un moment donné, de les coordonn
différence qu'il té-moigne à l'égard de l'état local. Ce point de vue paraîtrait singulièrement exclusif si l'on oubliait les cond
convention, et ne répondant en rien à la réalité des choses. Il me paraît inutile, messieurs, d'insister longtemps sur 1.
e carrière ne doivent pas nous faire oublier que de certaines limites paraissent lui être imposées. L'expérimentation réussit à pr
ent. Les maladies constitutionnelles et diathésiques, en particulier, paraissent lui être inacces-sibles 1 ; et comment pourraît-i
illamment représentée à Vienne par Rokitansky. Mais déjà Mûller avait paru avec la physiologie, et bientôt il créait l'histo
r Medicin, p. 332. Stuttgard, 1859. cette fièvre de travail, qui ne paraît pas encore près de s'éteindre, a enfanté déjà plu
llemagne ; on doit à cet auteur le premier traité, dogmatique qui ait paru sur les maladies des vieillards (2). Malheureusem
ntradiction fort remarquable, et dont la raison physiologique ne nous paraît pas encore suffi-samment établie, le cœur et les
ui s'observent si fréquemment chez les vieil-lards, alors même qu'ils paraissent jouir d'une bonne santé. Enfin les parois des a
r profondément des formes habituelles de l'atrophie sénile. Celles-ci paraissent être le résultat d'un processus purement passif,
le résultat d'un processus purement passif, celle-là, au con-traire, paraît consister, dans la première phase de son évo-luti
rganes semblent vivre et souffrir isolément, leur sphère d'activité paraît plus restreinte.......................On ne dev
ande partie du parenchyme pulmonaire en suppuration.» Ces récits ne paraissent -ils pas bien étranges ! Est-ce à dire cependant q
symptôme qui puisse faire pressentir la gravité du mal. Ici, le pouls paraît nature ou peu s'en faut, la langue est nette, la
Nous voyons, en effet, la chaleur du corps s'élever dans des cas qui paraissent étrangers à toute création pyrétique : dans le té
qu'ils ont au moins semé de nombreuses vé-rités sur leur chemin. On « paraît l'avoir enfin compris tant en France qu'en Anglet
ais on observe assez fréquem-ment chez lui un mode de terminaison qui paraît être exceptionnel dans l'âge moyen de la vie : au
remière de ces deux opinions ; ou pour parler plus exactement, ils ne paraissent jamais s'être doutés qu'il y eût là un problème à
outte ab-articulaire, on voit se manifester des accidents variés, qui paraissent liés aux mêmes conditions, car l'analyse révèle l
imique. Mais cette partie de la question est encore assez obscure. Il paraît établi cependant : 1° Que la proportion des glo
ion de la matière qui constitue ces dépôts. Examinée à l'œil nu, elle paraît amor-phe et ressemble à du plâtre de Paris; mais
r-phe et ressemble à du plâtre de Paris; mais vue au microscope, elle paraît entièrement formée de cristaux aciculaires; il es
e simple complication ? C'est là une question dont la solution nous paraît devoir être ajournée. Enfin l'ankylose peut rés
rustation des cartilages est inséparable de la goutte articulaire, et paraît exister dès le premier accès. 2° Chez un sujet
es qu'on ne le suppose en général. Mais il est d'autres lésions qui paraissent se rattacher à cette affection et qu'on a rencont
s faits de pathologie comparée et de pathologie expérimentale, qui me paraissent de nature à éclairer d'une vive lumière les quest
aire contient beaucoup d'acide urique. Le cerveau et ses enveloppes paraissent en être complète-ment exemptés. Pour ce qui tou
ette excursion sur le domaine de la pathologie comparée puisse vous paraître un peu étrangère à la clinique, il ne faut point
te sur un autre point, le genou, par exemple. Les causes traumatiques paraissent jouer ici un rôle important; comme pour le rhumat
oubles nerveux ; c'est aussi sous l'influence de cette altération que paraît se dessiner la tendance à certaines affections vi
quelles sont les limites cpi'il convient de lui assigner. Il ne me paraît pas nécessaire, au point où nous en sommes arrivé
clinique pour aborder la description des faits particuliers, il nous paraît indis-pensable de préciser autant que possible le
ieurs observations. Dans les cas de ce genre, l'affection viscérale paraît consister en un trouble purement dynamique ; tout
s. Ces affections offrent un caractère essentiellement mobile : elles paraissent et disparaissent subitement ; elles peuvent coexi
u-laires. Ces lésions, lorsqu'elles se rencontrent chez les goutteux, paraissent surtout reconnaître pour causes l'alcoolisme ou l
lieu, on trouva un racornissement delà moel-le; mais cet exemple nous paraît peu satisfaisant. Il ne faut point oublier d'aill
ri-facial, pendant le cours de la goutte. Elles ont pour caractère de paraître brusquement et de s'évanouir de même, et d'al-ter
Affections concomitantes de la goutte. Sommaire. — Accidents qui paraissent liés à la diathèsc goutteuse. — An-thrax urique.
laires ne m'a pas permis de vous entretenir de certains accidents qui paraissent égale-ment relever, d'une manière plus ou moins d
e genre, lorsqu'ils sur-viennent dans le cours même de cette maladie, paraissent se rattacher à la diathèse goutteuse. Ledxvich et
i soudaine que violente, qui prend rapidement le type adynamique. Ils paraissent exposés,d'ailleurs, aux formes graves de l'éry-si
st probable que le problème est plus complexe que l'auteur anglais ne paraît le supposer ; la erase du sang doit y jouer un gr
-tique de la goutte ( 1 ). A une époque plus rapprochée, Prout, qui paraît avoir en-trevu toutes les questions de ce genre,
tent (Prout). Je pourrais citer des faits dans lesquels la guérison a paru coïncider avec le retour de la gravelle ou de la
urs » Sydenham, Murray, Morgagni, ont signalé cette affinité qui nous paraît incontestable. Mais il existe en même temps un
s, d'é-tudier l'ensemble des conditions climatériques et sociales qui paraissent y prédisposer l'espèce humaine. Envisager une mal
es conditions qui en favorisaient autrefois le dévelop-pement, et qui paraissent avoir cessé d'exister aujourd'hui. — La lèpre sub
te en font foi. Mais, c'est sous le règne des premiers Césars qu'elle paraît avoir atteint son apogée ; nous possédons, à cet
atiques de cette affection. Du ine au vi6 siècle, l'état des choses paraît être resté le même, si nous en jugeons par les éc
idérable de leurs travaux. que ce mouvement rétrograde de la goutte paraît s'être mani-festé. Les documents recueillis par C
ses a beaucoup changé. Voilà pourquoi, sans doute, les écrits qui ont paru sur ce sujet, depuis soixante ans, sont en si pet
en placés qui méprisent les prescriptions du Coran : mais les fellahs paraissent jouir d'une immunité complète à cet égard. Enfi
articulaire se comporte à cet égard d'une façon bien différente : il paraît exister dans tous les climats, et se rencontre so
d'apprendre (pie l'usage et même l'a-bus des liqueurs distillées, ne paraissaient pas exercer la moindre influence à cet égard. E
e. » Le cidre lui-même, cette boisson peu dangereuse en appa-rence, paraît favoriser aussi le développement de cette affec-t
aralysie; ce fait a été constaté chez des saturnins non goutteux, qui paraissent ne point avoir été albuminuriques ; car on a exam
e par Vale et le porter, sur le développement de la goutte, qu'il m'a paru nécessaire de présenter ici quelques renseignemen
ue nous venons de signaler, l'époque des connaissances positives nous paraît remonter aux recherches de Garrod, en 1848. Cet o
uve qu'en proportions bien minimes chez les mammifères, tandis qu'ils paraissent manquer complètement chez les oiseaux et les rept
t de cette dernière substance. Jusqu'ici, les déductions théoriques paraissent assez bien s'accorder avec les données que nous f
érapeutique de l'arsenic ; l'acide lactique introduit dans les veines paraît aussi porter son action sur les jointures (Richar
médecins de l'antiquité, comme nous vous l'avons déjà fait observer, paraissent avoir confondu le rhumatisme articu-laire avec la
les surfaces osseuses rendent l'analogie plus frappante encore; elles paraissent , dans certains cas, participer au travail phlegma
dans l'état actuel de la science), la fièvre est moins intense; elle paraît plus exacte-tement subordonnée au nombre des join
réquence excessive, en dehors de toute interven-tion artificielle. Il paraît donc bien démontré que les lésions de l'endocarde
constaté. Rappelons enfin que, chez plusieurs sujets, le rhumatisme paraît lié à la diathèse hémorrhagique. En résumé, nou
de l'aorte, des traces évidentes de l'endocardite an-cienne. Il me paraît donc évident, d'après les faits que je viens de r
v. compl. t. vu. Maiad. des Vieillards. i5 un logement très humide, paraît avoir eu une attaque, de rhu-matisme articulaire
t c'est peu de temps après cette époque que l'oppression a commencé à paraître . Au début de l'affection pulmonaire, elle était r
dont les rapports, avec le rhumatisme aigu sont si bien démontrés, ne paraît pas exister dans le rhumatisme chronique ; du moi
des tissus fibreux, se faitsentir en ce moment. Enfin l'on voit alors paraître les dé-formations osseuses, suivant certaines loi
es doigts de la main Fig. 19. — Première variété du premier type. paraît excavé à partir de la tête saillante des métacarp
guments que j'ai autrefois exposés, renforcés de ceux de M. Crocq, me paraissent avoir péremptoirement démontré que c'est bien ain
xistait quatre fois plus de phosphate de chaux qu'à l'état normal. Il paraît que le taux normal de l'acide urique n'était pas
s intéressent plus spécialement. A. Le rhumatisme chronique partiel paraît succéder quel-quefois au rhumatisme articulaire a
soit à gauche. Il existe deux nodules au niveau de la jointure, qui paraît , en outre, un peu élargie. Dans l'articulation ma
ne prédisposition à la goutte : et la réciproque de cette proposition paraît être également vraie. 1. Pathologie historiqu
rôler les observations recueillies dans des régions loin-taines. Il paraît cependant établi que le rhumatisme articulaire ai
de, en France, en Allemagne, et dans toute l'Europe centrale. Mais il paraît exister aussi dans les pays chauds. Aux Indes, Ma
de la même affection. Pour le rhumatisme d'Heberden, l'hérédité me paraît éta-blie, d'après mes observations personnelles :
a lieu surtout pour l'arthrite déformante. Les nodosités d'Heberden paraissent être plus fréquentes dans le sexe féminin ; mais
rées la population vit encore dans des habitations souterraines, sans paraître en éprouver de grands inconvénients. C'est ce qui
ville, le vin d'Anduran, les pilules de Lartigue, etc., etc. Or, il paraît établi que ces prétendus spécifiques doivent pour
mènes inflammatoires du côté du tube digestif : d'ailleurs son action paraît être d'autant plus efficace, que les effets visib
emps l'emploi du médi-cament; car chez certains individus, ses effets paraissent s'ac-cumuler. On peut alors avoir à craindre l'im
serais dis-posé à croire que plusieurs cas dans lesquels la goutte a paru rétrocéder sous l'influence du colchique, et déte
se quelquefois de prolonger les accès; mais souvent, au contraire, il paraît abréger la durée du mal (Goupil, de Rennes). 5°
d (1). Mais il est une substance encore peu connue, la lithine, qui paraît l'emporter à tous égards sur la potasse et la sou
s. Quant aux sources alcalines (Vais, Vichy, Carlsbad, etc.), elles paraissent avantageuses, au début de la maladie, chez les su
s de goutte ancienne, avec dépôts tophacés, et les résultats nous ont paru favo-rables. Enfin les eaux ferrugineuses (Pyrmon
au contraire, suivis d'effets facilement appréciables : l'expérience paraît en avoir démontré l'utilité. Quand il s'agit d'un
lland et quelques autres auteurs. Mais c'est là une question qui nous paraît encore loin d'être résolue. F. Régime diététiqu
dit, à propos de la goutte ; au contraire, les ma-lades m'ont souvent paru avoir une certaine tendance à en-graisser. Par ce
emps. Dans le se-cond, les résultats ont été constamment négatifs. Il paraît donc assez probable que ces deux méthodes n'agiss
ns cherché à mettre en lumière les moyens thérapeutiques qui nous ont paru doués de l'efficacité la plus réelle : mais, il f
7 ans, nous ont déterminé à ce choix qui, au premier abord, pour-rait paraître singulier. Messieurs, il est facile de constate
ma se tiennent à un taux relativement inférieur, la proposition ne me paraît -elle pas parfaitement exacte. Tout au plus pourra
pendant à un petit nombre d'éléments principaux. Le point de départ paraît être une rapide métamorphose, ou mieux, une com
et les arguments que ces méde-cins ont fait valoir en sa faveur, nous paraissent dignes d'être pris en sérieuse considération (Med
tres à l'aide de certains caractères, et, vu leur fréquence, elles me paraissent assez mé-riter l'attention pour que je leur consa
32°, S, persistant pendant plusieurs semaines, sans que la nutrition parût souffrir notablement. L'un de ces malades était a
et Frese auteurs de ces expériences. (Centralblatt, 1869, n° 2). Il paraît donc établi que la plupart des substances septiqu
ent les résultats que nous avions obtenus à cette époque. Il pourra paraître singulier, au premier abord, de voir des phlegmas
du délire. L'impulsion du cœur est faible et irrégu-lière, les bruits paraissent sourds et éloignés, ; le pouls est filiforme, tan
ls s'accélérera encore, et le râle laryngo-trachéal ne tar-dera pas à paraître . 2° Si au contraire, en môme temps que les symp
culier (1). 1. Ces leçons, recueillies par M. le Dr A. Jokkroy, ont paru dans la Gazette hebdomadaire en 1869. (21 mai, 19
s en usage pour les combattre, quelquefois dès le début, n'ont jamais paru entra-ver leur marche. Enfin l'autopsie ne nous a
mais elle nous a mis à même de reconnaître des lésions profondes, qui paraissent de nature inflammatoire. La plupart des médecin
vent, elle occupe en même temps le corps des membres ; et alors, elle paraît résider soit dans les extrémités osseuses, soit d
époques que nous aurons à déterminer ; elle n'est pas mobile, elle ne paraît pas sous forme d'accès vérita-bles et ne se trans
it ma-nifestement. Douleur musculaire. La variété de la douleur qui paraît résider dans les muscles se montre ordinairement
t le trajet des nerfs. Dans ces deux cas, c'est le nerf sciatique qui paraît avoir été atteint. Nous ne pouvons donner plus de
efois accompagné ou précédé d'une véritable hydarthrose, que M. Adams paraît considérer comme à peu près constante à une certa
ont les têtes viennent faire saillie sous les tégu-ments amaigris, et paraissent quelquefois au point de les percer. Les jointur
Dans tous les cas que nous avons observés, la rétraction des mus-cles paraît avoir eu la plus grande part dans la production d
même fort souvent, subluxation des os du carpe en avant, ce qui fait paraître le dos de la main comme excavé et raccourci, d'au
le dos de la main, une saillie considérable; par suite, les phalanges paraissent raccourcies et leur dos semble excavé. La subluxa
xion de la pha-langette sur la phalangine, et alors le dos de la main paraît excavé à partir de la tête saillante des métacarp
maginé des fourchettes armées de manches de deux pieds de long et qui paraissent faites sur le même modèle, bien que les inventeur
ême à une époque avancée de la maladie. La rétrac-tion des muscles me paraît la principale causede la flexion per-manentede ce
ations des mem-bres et de leurs extrémités, ne nous ont pas seulement paru Charcot. Œuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillar
distincte de la douleur qui siège dans les jointures, ou de celle qui paraît siéger dans les extrémités osseuses. 2° C'est c
prononcées, un certain nombre seulement des articula-tions déformées paraissent avoir été le siège des lésions in-flammatoires.
, soit dans son cours, aux époques des exacerbations ; leur intensité paraît toujours assez bien en rapport avec le nombre de
et semble faire corps avec les tissus sous-jacents ; leurs jointures paraissent énormes, par suite de l'atrophie qu'ont subi les
ue, qui précède les rétractions quelques circonstances dont il nous a paru utile de tenir compte ; car elles seraient de nat
es sont parvenues, lorsque les pre-miers symptômes se manifestent, me paraît avoir laplus grande influence sur la durée de l'é
ts, la fièvre nulle, l'appétit intact). Au bout de quinze jours, tout paraissait rentré dans l'ordre. A vingt-deux ans, elle retou
âge très avancé (soixante et douze, soixante et dix-sept ans). 11 ne paraît pas que la mort sur-vienne souvent sous l'unique
econde de 40 à 60 ans. Aucun tempérament, aucune constitution n'ont paru avoir d'influence particulière sur le développeme
uchaient. 27 fois donc, sur 41, l'influence prolongée du froid humide paraît avoir contribué à la production de la maladie.
ayons notée ; toutes les autres causes invoquées par les malades nous paraissent pu-rement excitatrices, et elles se distinguent d
e que dans le cas précédent ; les cavités médullaires du corps des os paraissent plus grandes que de coutume, leurs parois sont am
'autres fois, elles étaient vé-ritablement ossifiées, et alors, elles paraissent d'une texture spongieuse et comme vermoulues. En
nent souvent très exactement des replis de la membrane synoviale, qui paraissent moulée sur elles. Les ulcérations de la deuxième
es jointures déviées. Les ligaments péri-articulaires ne nous ont pas paru altérés ; il n'en est pas de même des ligaments i
des productions nouvelles (corps étrangers, bourrelets osseux); elle paraît n'amener jamais, à moins de circonstances étrangè
s'est dé-veloppé des douleurs sourdes, et d'un caractère spécial, qui paraissaient avoir leur siège dans les muscles, et qui s'accom
va-tions beaucoup plus nombreuses et plus suivies que les nôtres nous paraissent nécessaires pour résoudre ces questions que nous
e, la goutte ne saurait être nettement séparée du rhumatisme. 11 nous paraît indubitable, d'après ce que nous avons lu, que pa
athèse urique et productions tophacées dans les join-tures. Il nous a paru peu convenable de reproduire ici, sans avoir pu l
'émotion que cet événement causa à la malade, les règles ont cessé de paraître pendant deux mois. Les urines, assure-t-elle, n'o
tète, le cou est tout à fait roide ; les jointures scapulo-humérales paraissent anky-losées (elles n'ont jamais été douloureuses)
fle-ment cette fois. Lors de son entrée à l'hôpital, cet homme nous paraît d'une constitution entièrement détériorée ; il es
ils, et en particulier du gros orteil. L'articulation tibio-tarsienne paraît déformée, c'est-à-dire que les enfoncements natur
arsienne paraît déformée, c'est-à-dire que les enfoncements naturels, paraissent remplis, et quand on en palpe les contours, la mo
res articulations du pied, et dans celles des orteils, les mouvements paraissent conservés ; les. différentes pièces du tarse para
es mouvements paraissent conservés ; les. différentes pièces du tarse paraissent cependant soudées entre? elles. Au pied droit,
nflées, déformées, mais sans rougeur pour le mo-ment ; la déformation paraît tenir à un gonflement des tissus, osseux mêmes, o
uement des surfaces articulaires, mais sans ankyloses ; les phalanges paraissent en outre déformées un peu en avant de la tête des
mouvements provoqués ou spontanés sont tout-à-fait nuls. L'ankylose paraît complète ; elle remonte, dit-il à une dizaine d'a
voquer la supination, on ne peut y parvenir, car aussitôt les muscles paraissent agir violemment, et des cordes correspondant à le
espondant à leurs tendons se dessinent sous les téguments. Ces cordes paraissent dues aux tendons des muscles long supinateur, gra
eurs ou difficulté. Le biceps brachial et le brachial antérieur ne^ paraissent jouer aucun rôle dans l'obstacle à l'extension. A
ême temps, la texture du cartilage lui-même ait changé de nature ; il paraît s'être ajouté à la substance cartilagineuse, du t
pratique pour y servir aux dissections. Ces fragments de cartilage paraissaient infiltrés d'une ma-tière d'un blanc mat, d'aspect
avant, de nombreux cristaux de formes très variées, mais qui nous ont paru pouvoir être rapportés^ pour la plupart, à l'une
trait jamais dans l'intérieur des cellules. Celles-ci ne nous ont pas paru présenter d'altérations, alors même qu'elles étai
compacte ou friable, qui formait ces dépôts, examinée au mi-croscope, paraissait composée en partie d'une matière gra-nuleuse, amo
pendant ces dernières années un certain nom-bre d'observations qui me paraissent propres à éclairer plu-sieurs points de l'histoir
eté de la craie. Si l'on emporte un fragment sous le microscope, elle paraît quelquefois composée d'une infinité d'aiguilles c
De son mari, elle avait eu dix enfants; cet homme, dont la conduite, paraît -il, laissait beaucoup à désirer, disparut, en 181
condyles du fémur, les surfaces articulaires du tibia et de la rotule paraissent également recouverts par un vernis blanc opaque,
ilages diarthrodiaux. Sur une coupe de ces cartilages, le dépôt blanc paraît limité du côté de la face pro-fonde par une ligne
ux d'acide uriquc,"u ; en c" la membrane de la cellule cartilagineuse paraît , tandis que son noyau reste encore incrusté ; enf
d experiment). Les fils qui avaient été déposés au sein de ce mélange parurent , au bout de trois jours, recouverts d'un certain
ns bosselures ou granulations. Sur une coupe, la substance corti-cale paraît manifestement épaissie; elle est d'une coloration
inés sur des coupes minces, à un faible grosisse-ment (80 diamètres), paraissent légèrement opaques. Ces tubes, plus larges que da
s aux autres, et réunis en fais-ceaux. Quelques-unes de ces aiguilles paraissent s'attacher, par une de leurs extrémités à la mass
lancs est contenue dans l'intérieur même des tubes urinifères où elle paraît exister à l'état de masse amorphe, tandis qu'une
orphe, tandis qu'une autre partie du dépôt située en dehors des tubes paraît , au moins pour la majorité, composée d'aiguilles
le rein, l'auteur que nous analysons les a notés deux fois, mais sans paraître leur attacher une grande importance, dans une de
ie, communément plus larges dans le rein que dans les cartilages, lui parurent plusieurs fois situés dans le tissu cellulaire, p
riode avancée de la maladie où étaient mort ses malades. C'est ce qui paraît résulter de l'analyse de l'observation très intér
les éléments qui entrent dans la structure du car-tilage, l'auteur ne paraît pas avoir une opinion bien arrêtée. « Cependant
avant, de nombreux cristaux de formes très variées, mais qui nous ont paru pouvoir être rapportés pour la plupart, à l'une q
trait jamais dans l'intérieur des cellules. Celles-ci ne nous ont pas paru présenter d'altérations, alors même qu'elles étai
ncrustées (fîg. 19, c1). Puis, la membrane des cellules com-mençait à paraître , et les urates contenus dans son intérieur étaien
l'artère pulmonaire. Dans cette artère, ils ne sont pas adhérents et paraissent partout formés sur place pendant l'agonie. Les
yer) ; les reins présentent des traces de dépôts d'urate de soude. Il paraît bien probable que, dans ce cas, le passage à dive
s ont été recueillies les observations qui leur servent de fondement, paraîtront passibles d'objections. A Londres, en effet, la p
n et l'abus de certaines bois-sons fermentées ; s'il en est ainsi, il paraîtra bien difficile de démêler, au milieu d'éléments é
artenant aux autres professions mécaniques, et cette cir-constance ne paraît guère pouvoir s'expliquer autrement que par l'inf
ive. Tout ce qu'il est permis de dire, quanta présent, c'est que s'il paraît acquis que l'intoxication satur-nine, — ainsi que
our marcher; au-jourd'hui les grandes chaleurs et les premiers froids paraissent également propres à ramener les accès ; dans les
ujourd'hui sur l'oreille externe. Etat actuel le 14 octobre. — S... paraît avoir été d'une très forte constitution ; il a en
court; les cheveux noirs et abondants commencent à gri- sonner. Il paraît être très intelligent, vif; il s'exprime avec vol
ve seulement un état scléreux de la peau qui, surtout au gros orteil, paraît faire corps avec les tissus sous-jacents. Les art
uée, on perçoit une sorte de crépitation à petits grains, Les hanches paraissent complètement libres. Extrémités supérieures. —
au qui les recouvre est sclérosée, pâle, comme polie à sa surface, et paraît soudée aux tissus sous-jacents. Les mains, par su
lors des accès. Il éprouve également, en pareil cas, des douleurs qui paraissent siéger au niveau de l'insertion des cartilages co
portées les médecins anglais, une signification particulière et qu'il paraît superflu de faire ressortir. 1. On sait qu'à l'
emps, il a eu sous les yeux deux goutteux chez lesquels l'hérédité ne paraît avoir joué aucun rôle, mais tous deux ont eu des
p. 336. et au dire des personnes qui sont à même de l'observer, il paraît que sa face devient violacée, turgescente, et qu'
d'un des nerfs laryngés, au même titre que le ver-tige dit de Ménière paraît se rattacher à une affection du nerf auditif dans
nflement.cette fois. Lors de son entrée à l'hôpital, cet homme nous paraît d'une constitution entièrement détériorée; il est
utres articulations du pied et dans celles des orteils,les mouvements paraissent conservés; les différentes piè-ces du tarse parai
les mouvements paraissent conservés; les différentes piè-ces du tarse paraissent cependant soudées entre elles. Au pied droit, pas
onflées, déformées, mais sans rougeur pour le mo-ment. La déformation paraît tenir à un gonflement des tissus osseux mêmes, ou
quement des surfaces articulaires, mais sans ankylose ; les phalanges paraissent en outre déformées un peu en avant de la tête des
mouve-ments provoqués ou spontanés sont tout-à-fait nuls. L'ankylose paraît complète ; elle remonte, dit-il, à une dizaine d'
voquer la supination, on ne peut y parvenir, car aussitôt les muscles paraissent agir violemment et des cordes correspondantes à l
pondantes à leurs tendons se dessinent dans les téguments. Ces cordes paraissent dues aux tendons des muscles long supinateur, gra
ême temps, la texture du cartilage lui-même ait changé de na-ture; il paraît s'être ajouté à la substance cartilagineuse propr
verses affections pathologiques. Or, quelques-unes de ces altérations paraissent devoir être rapportées au rhuma-tisme articulaire
te. Paris, 1802, p. 7), l'affection a occupé le côté droit. La goutte paraîtrait avoir, d'après cela, une certaine prédilection po
hronique. Sur un bon nombre de jointures, les surfaces articulaires paraissent recouvertes d'une couche d'un blanc mat, semblabl
un même agent, à savoir, la rétraction spas-modique des muscles, qui paraît jouer le rôle principal dans la production des dé
les recouvre, distendue et luisante, fait souvent corps avec elles et paraît alors tachetée de plaques arrondies, d'un blanc m
rès la méthode de M. Garrod. Les fils déposés au sein de ce mélange parurent , au bout de trois jours, recouverts d'un certain
al et fondamental dans le processus de l'arthropathie goutteuse. Elle paraît avoir lieu dès la lre attaque (p. 240 du Traité),
aux aciculaires qui pénètrent la substance fondamentale du cartilage, paraissent implantés par une de leurs extrémités dans les ch
peu étudiées, les altérations concomitantes du tissu rénale et, rénal paraissent devoir être rapportées tantôt à la néphrite inter
nce de l'usage des bières fortes sur la production de la goutte. — Il paraît certain qu'à Londres, l'usage habituel et trop so
leurs ; c'est là du moins une opinion à laquelle les médecins anglais paraissent aujourd'hui se ratta-cher tous d'un commun accord
s de cette revue rétros-pective, de même que les témoignages récents, paraissent favo-rables à la thèse soutenue par M. Garrod. Il
er, au moins en partie, pourquoi la goutte est chez eux fréquente. Il paraît , par conséquent, fort difficile, au milieu d'élém
après cela, je crois qu'il est permis dédire, dès à présent, que s'il paraît acquis que l'intoxication saturnine— ainsi que le
rde) sont parsemées de plaques blanches qui, examinées au microscope, paraissent composées de noyaux uratiques amorphes, autour de
l'extrait musculaire. 9° Constamment le cerveau et ses enveloppes ont paru exempts de dépôts uratiquos. 10° Pour ce qui touc
simples, qui, comme la bière et le vin, augmentent cette production, paraissent , au contraire, contri- NOTES SUR LA GOUTTE 537
pathologique du corps humain (planche 3, 4e livraison), et qu'il m'a paru intéressant de rappeler ici. « La lésion matériel
de soude a-t-elle lieu dès la première attaque de goutte ? Cela ne me paraît pas douteux. La formation de Turate est un phénom
« La grande différence qui existe entre la goutte et le rhumatisme me paraît principalement con-sister dans la sécrétion de Fu
fait — dont la raison nous échappe d'ailleurs quant a présent — nous paraît être établie aujourd'hui sur un assez grand nombr
eur Potton, de Lyon (De la goutte, etc., p. 46,61. Paris, 1860), nous paraissent en particulier, pouvoir se prêter à cette interpr
ut de quinze jours environ de ce traitement, les concrétions avaient, paraît -il, complètement disparu (Virchow's Archiv et Gan
ouet dans la gouile. — Quoi qu'il en soit, les muscles et les tendons paraissent subir assez souvent, dans la goutte, des modifica
lle épinière et des nerfs qui en partent. J'ai observé un fait qui me paraît très instructif sous ce rapport. Des douleurs art
dans la forme chronique du rhumatisme articulaire. Cela, du moins, me paraît résulter des observations assez nombreuses que j'
érentes. Tantôt,— et cela s'applique surtout à l'endocardite, — elles paraissent s'être produites pen-dant le cours d'accès de rhu
halangette sur la phalan-gine, et alors le clos des doigts de la main paraît excavé à partir de la tête saillante des métacarp
maginé des fourchettes munies de manche de deux pieds de long, et qui paraissent faites sur le même nio- dèle, bien que les inve
est lisse, luisante, comme parcheminée. En même temps, les join-tures paraissent énormes et les stalactites osseuses soulèvent for
rtilage articulaire et par la mem-brane synoviale que les altérations paraissent débuter. Celle-ci devient rouge, vivement injecté
e surface lisse, luisante, comme éburnée; au-dessous, le tissu osseux paraît raréfié, friable, imbibé de sang. Mais en même te
eux et migraine. — Il faut citer la migraine parmi les affections qui paraissent avoir une certaine relation avec le rhumatisme no
pendant lesquels les join-tures deviennent douloureuses, chaudes, et paraissent tuméfiées plus que de coutume, en même temps qu
imité à la tête qui fait alternativement oui et non. Ce tremblement a paru en 1869, à la suite d'une peur déterminée par un
n'a pu réunir que deux malades : Alten... et Cour... Un premier fait paraît donc acquis : la rareté de la chorée dans la viei
chorée a débuté il y a 12 ans. — Cour... a le même âge ; la chorée a paru à 60 ans. — Ces deux exemples mettent hors de dou
de la tempé-rature. La plupart des vieillards affectés de chorée ont paru à M. Charcot, être dans un état de démence plus o
u de l'étiologie de la chorée des enfants. Chez les vieillards, il ne paraît pas y avoir de relation entre la chorée et le rhu
n'a pas constaté de lésions du cœur. La chorée, chez le vieillard, paraît être une maladie émo-tionnelle, comme le sont tan
'urate de soude. — Ces tophus, au dire du malade, auraient commencé à paraître trois ans après le premier accès de goutte articu
ITIÈME LEÇON AFFECTIONS CONCOMITANTES DE LA GOUTTE. Accidents qui paraissent liés à la diathèse goutteuse. — Anthrax urique.
3 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ment est chez elle un phénomène hystérique : cela, sans doute, vous paraît déjà fort vraisemblable ; mais il nous reste enco
ous phénomènes connexes au bâillement. Je dirai même que, souvent, il paraît y avoir une sorte d'antagonisme entre les phénomè
tout un côté de la famille qui échappe à notre étude. — Rien à noter, paraît -il, chez la mère, en fait de phénomènes nerveux.
hystéro-épilepsie. Une affection^ désignée sous le nom de chorée, a paru également vers cette époque et elle a occupé la s
wischen Ischias und Scoliose ». Un second cas du même genre se trouve paraît -il, dans le même journal 1S87, n° 39. La note de
ur nous un intérêt pratique très particulier ; c'est qu'en effet elle paraît appartenir en propre à certaines formes d'une aff
e spéciale du corps que je signalais tout à l'heure à votre attention paraît n'être qu'une attitude instinctive dont le but es
ent avoir en commun. C'est ici que l'intervention de Lasègue (1) me paraît avoir été décisive au 1. Ch. Lasègue. Considéra
e troubles trophiques de siège musculaire ou cutané et où l'affection paraît devoir être rattachée non plus cette fois à des l
ît perdre immédiatement connaissance. La durée de l'inconscience fut, paraît -il, de dix minutes environ. Une plaie verticale,
s de relever. Il se plaint de souffrir constamment de la tête qui lui paraît enserrée comme dans un casque de plomb, surtout d
affection assez bien déterminée aujourd'hui symptomatiquement, et qui paraît , enfin, définitivement installée dans les .cadres
ien loin de notre point de départ; au premier abord, notre homme nous paraissait placé uniquement sous le coup d'une sciatique gra
sez maintenant que la situation est beaucoup plus complexe qu'elle ne paraissait l'être, et je ne suis pas fâché de vous faire rem
mplète et plus ou moins généralisée. La chorée paralytique d'ailleurs paraît ne pas appartenir particulièrement aux cas où les
ar le fait de l'action du sulfure de carbone et parmi les auteurs qui paraissent avoir les premiers reconnu ces accidents, il faut
carbone, survint l'accident qui l'amène aujourd'hui devant nous. Il paraît qu'il n'est point rare de voir survenir semblable
un mot sur le pronostic et sur le traitement. Pronostic sérieux, cela paraît être la règle dans l'hystérie mâle des adultes. L
partie supérieure du tronc, à la base du cou, un coup de couteau qui paraît avoir pénétré profondément. Vous pouvez encore re
s les observations de Joffroy et Salmon et celles de Viguès. ce qui paraît être la règle. Ceci et certains détails de l'obse
urgie, dirigé par M. le professeur Richet. C'est là seulement qu'il paraît avoir perdu conscience, et il y a dans ses souven
st-à-dire dégagée de toute complication. Quoi qu'il en soit, ce qui paraît bien établi, c'est qu'à son réveil le membre infé
ection latérale de la moelle épinière. Défait, aujourd'hui encore, il paraît fort au courant des caractères du syndrome introd
rquer en passant que ce phénomène de dysesthésie, autant qu'on sache, paraît appartenir exclusivement aux lésions organiques s
tout cas non appréciable pour nos moyens actuels d'investigation qui paraît être le substratum des symptômes hystériques. -
les les membres restent parfaitement mous et flexibles ; ce cas, même, paraît être le plus commun. Un caractère plus important
é signalé par mon collègue, M. Jules Voisin, et qui dans l'espèce, me paraît constituer une anomalie ; ce fait du moins je ne
les. Il est venu nous retrouver ces jours-ci et nous l'avons engagé à paraître devant nous, une fois de plus, ce matin. Ce n'est
rien absolument. Cette apparence tient évidemment, du moins cela nous paraît être, au défaut d'action des muscles tenseurs de
aginée par Vulpian, que j'ai depuis longtemps adoptée et soutenue, me paraît applicable â l'interprétation de toute la série d
giques.D'ailleurs, ¦quoi qu'il en puisse être, la théorie en question paraît être aujourd'hui fondée autrement que sur des ana
;la grand'mère maternelle a été paralysée du côté droit du corps et, paraît -il, aphasique à l'âge de 46 ans. — Un oncle mater
iges, il me semble que je suis en mer, et quelquefois les croisées me paraissent monter au plafond. M. Charcot : Avez-vous donc
ment son affaire. Le diagnostic, certes, après ce colloque, ne vous paraîtra pas difficile. Il s'agit du vertige ab aure lissa
ur, offrent, je le disais tout à l'heure, des traits communs. Elles paraissent toutes anatomiquement caractérisées par une lésio
ent donné permanente. Les premiers symptômes de la paralysie actuelle paraissent remonter à sept ou huit ans. L'atrophie des membr
ge dont les blanchisseuses arrivent chargées. C'est un rude labeur, paraît -il, car il s'agit souvent de lourds fardeaux. Il
éjà on a pris l'absinthe et l'usage de cette substance en particulier paraît être très répandu au lavoir de la rue de Charento
ui lui fut refusée par sa famille. Le chagrin qu'il en éprouva fut, paraît -il profond,et c'est à la suite de libations auxqu
es de la flexion dorsale des pieds. Ainsi, je le répète, il ne nous paraît pas impossible de reconnaître chez notre homme, m
inale dont les vestiges sont encoreparfaitementreconnaissables,ilnous paraît intéressant de rechercher actuellement si nous ne
tantes, et trois frères. L'un de ceux-ci est un délinquant. Il a été, paraît -il, arrêté dans le bois de Vincennes commettant u
ital Laënnec ; elles subsistent encore, dans toute leur intensité. Il paraît au moins fort vraisemblable que l'affection à laq
un vrai chagrin. A ce propos, pour bien établir la situation, il nous paraît nécessaire, désormais, de mettre en lumière chez
hystériques; à cet égard, vous le voyez, les preuves abondent, et il paraît inutile de pousser plus avant. Je ne veux pas o
a paralysie faciale était absolue. L'application du froid dans ce cas paraît avoir contribué à provoquer l'apparition de la pa
les douleurs de l'oreille et des dents n'ont pas été intenses; elles paraissent s'être développées presque en même temps, peut-êt
ée comme bénigne, facilement guérissable. Eh bien, messieurs, cela ne paraît pas être tout à fait le cas chez notre malade, ca
et ne se terminer - que par une guérison incomplète. » Ces cas qui paraissent échapper aux règles posées par M. le professeur E
de douleurs derrière l'oreille du côté droit. La paralysie faciale a paru deux jours après. Impossibilité de fermer l'œil d
on début jusqu'à ce jour. Les premiers mouvements involontaires ont paru dans les bras et dans la tête vers le 5 novembre,
se rendre compte exactement de son état mental. Toujours est-il qu'il paraît comprendre les questions qu'on lui adresse ; sur
le pouls est à 120, régulier. Samedi ^novembre. — Le malade n'a pas paru agité cette nuit : mais son état ce matin n'en es
ts divers de la face; les gesticulations sont encore atténuées. Il ne paraît pas reconnaître les gens qui l'en- tourent. Quo
Hélas ! non, il n'y a là qu'une apparence trompeuse; la chorée molle paraît être généralementbénigne, tandis que, actuellemen
du groupe. Or la comparaison de ces faits apprend ce qui suit : Il ne paraît pas et je m'appuie ici sur les chiffres rassemblé
bord, dans la France médicale (n°7,19 janvier 1886). Cette fille nous paraît avoir succombé à la chorée, par la chorée. Les ph
ardite ancienne relevés chez elle lors de l'autopsie, ne nous ont pas paru expliquer à eux seuls la terminaison fatale. Le d
nale de 41 degrés : Malheureusement l'autopsie a été refusée. Il ne paraît pas que l'existence antérieure du rhumatisme arti
mille. Messieurs, c'est cet élément-là qui, dans le drame morbide, me paraît devoir occuper sur la scène la place prépondérant
dit il y a un instant, se montraient tous les huit jours, n'ont plus paru qu'une fois par mois, pendant toute la durée du t
ont manifestées dès les premières attaques et que jamais celles-ci ne paraissent sans en avoir été précédées. Elles ne sont marqué
, mais encore souvent pendant plusieurs mois avant que celle-ci n'ait paru , autrement dit, dans la période précomi-tiale. Le
e fois de plus, et quelle que soit la cause occasionnelle qui la fait paraître , elle reste toujours la même foncièrement, partou
; diplopie monoculaire, pas de dyschromatopsie. L'odorat et l'ouïe ne paraissent pas sensiblement modifiés. Le goût au contraire e
nsibilité et ceux des mouvements, fort remarquable assurément, et qui paraît appartenir aux seules paralysies hystériques ; no
e cuillère. Ce phénomène n'est donc pas l'apanage, comme quelques-uns paraissent l'avoir supposé, des chorées chroniques. Rien a
ocomotive qui le croisait perpendiculairement et littéralement broyé, paraît -il, en mille pièces. Il ne saurait trop dire ce
cé à s'accentuer. Parmi les autres symptômes neurasthéniques qui me paraissent devoir être signalés encore à propos du cas, je r
hui par quelques mots relatifs au pronostic; eh bien, le pronostic me paraît sérieux, non pas en ce qui concerne la vie bien e
bien entendu, elle n'est nullement menacée : mais en ce sens qu'il me paraît douteux que notre malade puisse jamais reprendre
¦!). Je me bornerai ici à relever quelques tableaux de famille qui me paraissent significatifs. Voici d'abord l'histoire de la d
s ; je me bornerai pour le moment à exposer un dernier tableau qui me paraît être fort instructif. COTÉ PATERNEL Sœur du p
à se produire dans le membre paralysé des douleurs extrêmement vives paraît -il, et qui ont occupé à peu près le trajet du ner
nsi que je le faisais remarquer en commençant, la paralysie infantile paraît évoluer sans s'accompagner de phénomènes douloure
ent parfois cinq ou six mois après, ainsi que l'a vu M. Seeligmîiller, paraissent être relativement plus fréquentes, lorsque la mal
eur gauche a été pris à son tour. Enfin, le quatrième jour, la fièvre paraît -il était tombée et néanmoins, ce jour-là, la para
r pendant six jours ; fait anormal dans l'espèce vous le savez et qui paraît être relativement moins rare lorsque la paralysie
n expresse dans ses Leçons de 1879. « L'hystérie, dit-il, (p. 246) me paraît exercer une influence sur la production de l'atax
e de la ménopause. Les premiers symptômes d'hystérie, en effet, ont paru à l'âge de cinquante-deux ans et déjà à cette épo
également disparu. C'est à l'âge de dix-huit ans qu'ont commencé à paraître les crises hystériques bien formulées. D'abord re
je vous ai fait remarquer que la paralysie véritablement choréique ne paraît pas avoir de gravité. (A la mère) : Cet enfant
Pendant son séjour à la ChWte' elle contracta une fievre typhoïde qui paraît avoir été assez sérieuse et qui t? tenue au lil P
a strychnine donnée à contretemps. Ainsi, messieurs, les sujets qui paraissent guéris d'une paraplégie par compression ne saurai
ns les plus extraordinaires, sans que la moelle soit intéressée. Il paraît établi, actuellement, que dans un certain nombre
ulté de médecine. Paris, 1888, p. 110. telle sorte que la moelle ne paraît en général comprimée que sur une partie de la fac
t guère, chez elle, que la rachialgie et les douleurs en ceinture qui paraissent devoir être rattachées exclusivement à l'élément
ir, d'après ce qui précède, que le pronostic est moins grave qu'il ne paraissait l'être au premier abord, car, en somme, ainsi que
elle par la voie nautique. Ces préliminaires qui, au premier abord, paraissent étrangers à la cause, sont destinés cependant à e
fert d'une grande maladie dont le nom sonne mal à l'oreille ; c'était paraît -il une pleurésie double. La durée en a été de six
de Pott ; et cette opinion, qui fut du reste bientôt abandonnée, vous paraîtra incontestablement fort soutenable pour peu que vo
région lombaire, qui semblent commander cette attitude. Ces douleurs paraissent très vives; elles se font sentir spontanément, et
nifestée chez notre homme. Ce sont les douleurs rachialgiques qui ont paru en premier lieu, et vous savez comment elles ont
la production de cette hypéresthésie exquise des organes génitaux qui paraît jouer un rôle si important sur la scène morbide ;
nts d'ailleurs jusqu'à ce jour, que ce traitement nous a donnés. Il paraît à peine utile de vous rappeler qu'en matière d'at
. Nous mettrons celle-ci à profit dans un instant. C'est le hasard, paraît -il, qui a fait naître chez notre confrère d'Odess
rmés, c'est à peine si le malade oscille. Par contre, le traitement paraît n'avoir eu aucune influence sur les réflexes rotu
t diminuées. Le pouls devient plus fréquent et la pression artérielle paraît plus élevée qu'à l'état normal. Nous avons lais
r de nos propres recherches dont la mise en œuvre d'ailleurs, ne nous paraît plus avoir besoin de justification après ce que v
montré que les séances quotidiennes étaient moins favorables. L'heure paraît importer peu. Lorsque le nombre des minutes fixé
ment de pesanteur qui existait dans les membres inférieurs; la marche paraît être un peu plus facile. Après la huitième séance
rs mais j'éprouve quelquefois encore une espèce de chatouillement qui paraît les remplacer. J'urine presque comme autrefois.
us soutenues. Les réflexes rotuliens font toujours défaut. Il ne me paraît pas nécessaire maintenant,messieurs,d'entrer dans
eil, fréquemment, est devenu meilleur, circonstance qui ne nous a pas paru devoir être uniquement attribuée à la disparition
douleurs fulgurantes. Après tout ce qui précède, messieurs, il vous paraîtra sans doute évident comme à moi, que le traitement
indications de la suspension dans le traitement du tabès. 11 nous a paru que les ataxiques frappés par la maladie lorsqu'i
qu'on pourra retirer ultérieurement de la suspension ; toutefois, il paraît certain qu'une amélioration qui se prononce rapid
eur dure, paraissant occuper l'épaisseur de la peau, mobile, qui nous paraît être constituée par un tofus, bien que l'on ne vo
a description de la colique néphrétique,bien qu'il n'y ait jamais eu, paraît -il, expulsion de calculs. Quoi qu'il en soit, v
ans le but de s'adapter aux oscillations imaginaires que celui-ci lui paraît subir à chaque instant. » Ainsi, l'attitude du
iste en quelque sorte, toujours en puissance: il est imminent, prêt à paraître sous l'influence des causes occasionnelles; mais
ourd'hui, 22 janvier, ils n'ont pas reparu. Le résultat obtenu nous paraît satisfaisant et conforme à nos prévisions. Sans d
n question, étudié aux mains, avec le secours de la méthode graphique, paraît constitué par une série d'oscillations.de trépida
société particulièrement voué aux études neuropathologiques, laisser paraître , à l'égard du diagnostic des « maladies à tremble
de Basedow en l'absence de goitre et d'exophthalmie.La communication paraît avoir été accueillie avec quelque scepticisme et
ez ce malade l'affection qu'il a le premier décrite. L'argument ne me paraît pas d'une valeur absolue : il est fort à présumer
remarquée qu'en novembre et c'est vers la même époque que le goitre a paru . Les palpitations de coeur, revenant par accès, s
prédisposition héréditaire. Les premières palpitations du cœur ont paru chez Duf...che quelques semaines avant la célébra
nt des sueurs profuses répandues principalement sur le tronc. La peau paraît chaude, le pouls varie de 100 à 150. (La malade e
signe d'une lésion viscérale quelconque; les poumons en particulier, paraissent parfaitement libres. Il n'en a pas été tout à fai
nous hantaient lorsque nous avons rencontré dans un travail récemment paru , un certain nombre d'observations qui nous ont se
. Une des observations de M. Bertoye, celle qui porte le n° 1, nous a paru surtout intéressante : elle est relative à une fe
à désirer. Un fait signalé par M. Bertoye dans cette observation nous paraît mériter d'être relevé parce que nous le trouvons
roduites à peu près tous les mois. La maladie de Basedow a commencé à paraître chez elle, il y a 2 ans, peu de jours après une s
cédé rapidement et en même temps, les crises hystériques ont cessé de paraître . La tachycardie a été très 1. Leçons du mardi,
me une lutte pour la prééminence, l'une cédant le pas lorsque l'autre paraît , et inversement. C'est là un incident de notre ob
ît, et inversement. C'est là un incident de notre observation qui m'a paru mériter d'être mis en relief. L'hystérie est repr
venu. Le goitre qui, à un moment donné, est devenu très volumineux, a paru dès la première année. En 1883, s'est produite un
n amaigrissement notable. C est vers la même époque qu'ont commencé à paraître les symptômes paraplégiques, s'accusant d'abord d
que placés sur le second plan par rapport aux symptômes cardinaux. Il paraîtrait même que, dans l'espèce, ce syndrome n'est pas tr
n sortit non guérie; depuis lors, en effet, les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état mental est resté à peu de c
de manie hypnotisante active. J'ai cité un exemple du genre qui me paraît bien frappant et que je vous demanderai la permis
d'hypnotisme, et il y a lieu de s'étonner qu'elles n'aient pas encore paru assez convaincantes pour faire adopter en France
ne est douloureuse. Vous remarquerez que cette plaque hypéresthésique paraît répondre à la partie du membre qui a été, pendant
; il n'a pas fait la noce, et il n'a été victime d'aucun accident. Il paraît d'ailleurs qu'il est plutôt impassible, apathique
œil gauche. Il avait de la diplopie ; les barreaux de son échelle lui paraissaient doubles. Était-ce déjà la diplopie monuculaire qu
en dehors de la bouche, difficulté qui existe encore actuellement. Il paraît que cet organe n'a pas été dévié soit à droite so
che ; mais il tire très difficilement et incomplètement la langue qui paraît contrac-turée; celle-ci n'est déviée nia droite n
x : il voit surtout des couleuvres, des cra pauds ; ces animaux lui paraissent avoir leur couleur et leur grosseur naturelle. Qu
Rien n'est plus frappant que l'aspect et l'allure de cet homme. Il paraît , passez-moi le terme, « complètement ahuri et abr
essayer de cesser la compression ovarienne sans crainte de voir re paraître soit le sommeil, soit les crises convulsives. Vou
op de gêne et le redescendre plusieurs fois. La rigidité a commencé à paraître seulement vers le soir et elle s'est installée pr
versée par un bœuf. Il s'ensuivit une perte de connaissance qui dura, paraît -il, à peu près huit heures, sans convulsions. A
ment,je commis l'imprudence delui adresser quelques questions qui lui parurent sans doute indiscrètes : il fit mine d'accepter l
dans les maisons de refuge ou de réclusion, un sujet d'étude qui. me paraît digne d'exciter leur zèle, et qui promet, si je n
s autres symptômes se sont amendés, et bien qu'actuellement encore il paraisse pas mal abruti, on ne retrouve plus chez lui cett
« syncopes » comme on les appelle encore, dont l'interprétation peut paraître difficile. Ce ne sont là le plus, souvent, suivan
qu'on se puisse figurer, d'autant plus que ce fils était de sa part, paraît -il, l'objet d'une affection profonde. Aussitôt il
ent précède l'hystérie et lui prépare en quelque sorte le terrain. Il paraît , en d'autres termes, qu'en pareil cas pour deveni
e à terre Au bout d'un quart d'heure, il est revenu à lui un instant, paraît -il, puis il est redevenu inconscient, cette fois
avait été malade jusqu'à l'époque où, il y a deux ans, commencèrent à paraître , sans cause appréciable, les crises nerveuses don
lement rares. Une autre anomalie est que l'automatisme ambulatoire ne paraît être chez notre homme précédé par aucun des phéno
s bien être allé jusqu'à la porte de la maison où j'avais affaire. Il paraît que je n'y suis pas entré. J'ai oublié tout ce qu
e fois-ci encore il a conservé un lambeau de souvenir, et ce souvenir paraît très précis. Il affirme avoir passé par un bourg,
au bord de la Seine sous le pont d'Asnières auprès d'un pêcheur qui a paru fort étonné de me voir là. J'étais fort sale, il
nsulter. Nous vous avons dit, messieurs, plus haut, comment il nous a paru que le cas devait être considéré, et la thérapeut
joue et peut à peine ouvrir l'œil droit. Elle s'étend sur le lit et paraît s'assoupir. Au bout d'une heure, elle se lève. La
le rappeler, voilà qui parait extraordinaire. » Oui, sans doute, cela paraît être extraordinaire, quand on n'est pas familiari
de notre malade Men.. s qui, par suite de ce rapprochement même, vous paraîtra , en quelque sorte, moins étrange, moins inattendu
fondamentale. L'état mental, considéré comme syndrome, comme épisode, paraît être essentiellement le même chez les deux sujets
au restaurant ; il apprend qu'il a mangé, qu'il a payé, qu'il n:a pas paru indisposé et qu'il s'est remis en marche vers son
s au choc physique qui leur a donné naissance et surtout, après avoir paru immédiatement après l'accident, elle ne se reprod
rition d'attaques d'hystéro-épilepsie qui, jusque-là, n'avaient point paru et qui se perpétueront par la suite : on peut aff
i cesse de sembler prodigieuse, étonnante, comme elle pouvait vous le paraître lorsque je vous la présentais à l'état d'isolemen
urs. Nous rappellerons seulement, parmi les faits qui, dans l'espèce, paraissent le mieux établis,que le somnambulisme naturel s'o
que des résultats de ce genre peuvent se produire « en petit », il ne paraît pas invraisemblable que, dans certaines circonsta
nir soit de l'intérieur, soit encore de leur propre fonds,ou du moins paraître telle, car il est impossible souvent de saisir l'
rois premières années, les médecins consultés se sont invariablement, paraît -il, crus en présence tantôt du cancer gastrique,
titue jamais. Je viens de signaler, Messieurs, des questions qui me paraissent dignes de tout votre intérêt ; je me propose de m
t-être, à la période de la maladie où l'ataxie motrice n'a pas encore paru et que j'appelais, à l'époque, la « période des d
. Les vomissements noirs, couleur de marc de café sont véritablement, paraît -il chose fort rare. Après le cas de notre malade
ls à la description qui vient d'être donnée. Les symptômes spinaux ne parurent qu'en 1832, c'est-à-dire quatre 1. T. Buzzard,
es crises, et non dans les intervalles que les Vomissements noirs ont paru ? Le malade : Oui, monsieur, c'est bien cela. Le
; après cela je suis tombé,m'a-t-on dit, dans un état très grave. Il paraît que je suis resté sans connaissance pendant près
ue avec persistance pendant une longue période de trois années. Il me paraît , que cette assertion est déjà en grande partie ra
e chronique et aussi chez quelques asthmatiques. L'arthritis en somme paraît être en jeu dans la plupart de ces cas (1). Mai
eaux détails. L'incoordination motrice, ainsi que je vous l'ai dit, a paru seulement au commencement de 1886, c'est-à-dire i
un état déplorable et fut reçu à l'hôpital anglais où il resta traité, paraît -il, pour un « rhumatisme » à l'aide de l'électric
ôté droit du corps : ce sont là, en effet, des circonstances qui nous paraissent avoir joué un rôle important dans le développemen
ci (1). Cette contracture spasmodique du membre supérieur droit date, paraît -il, des premiers jours qui ont suivi la journée d
n instabilité, à sa manie des voyages. Ses récents malheurs ne l'ont, paraît -il, nullement guéri, car il se propose aussitôt q
acrée, pas de confusion de l'esprit, pas de vertiges, etc. L'hystérie paraît être chez lui primitive ; pour le moins c'est ell
n homme âgé de 41 ans, nommé Ro...el, employé dans une imprimerie. Il paraît bien constitué et d'apparence assez vigoureuse, u
. Donc, tout ce qui est relatif aux mouvements dans cette exploration paraît être absolument normal. Pas de rigidité, pas de c
age, etc., etc., fussent aussi indépendants les uns des autres qu'ils paraissent l'être d'après ce qui précède, et aussi indépenda
de plus en plus petits. Ce désordre moteur relatif à l'écriture nous paraît différer complètement de l'agraphie aphasique : d
e contact de la plante du pied sur le sol. Cette interprétation ne me paraît pas tout à fait fondée et je crois même que les c
r dans son travail sur les convulsions statiques réflexes, lesquelles paraissent se rapporter au sujet qui nous occupe (5), e)t au
mment, ces jours-ci même, M. le professeur Grasset a commencé à faire paraître dans le Montpellier médical, sur un cas d'hystéri
sie isolée, indépendante de l'astasie, ne font pas défaut,bien qu'ils paraissent rares, et justement notre cas d'aujourd'hui peut
tation, et les-avant bras se fléchissent à leur tour sur les bras. Il paraît clair que ce sont ces mouvements de flexion exagé
lieu dans une des observations recueillies par M. Blocq. Le sexe mâle paraît être affecté presque aussi fréquemment que le sex
ophiques concomitants de l'existence de névrites périphériques. Elles paraissent se terminer à peu près toujours par la guérison d
après l'accident qui a déterminé l'asphyxie, à une époque où le sujet paraissait avoir complètement récupéré sa santé. On voit alo
us allez le voir. Son père s'est suicidé par pendaison. Cela a été, paraît -il, un suicide par amour. Il était adonné aux boi
étendu sur le dos et regardait avec étonnement cette muraille qui lui paraissait énorme, lorsque tout à coup par-dessus la crête i
erie. C'est un original, vivant assez retiré. Il est célibataire et paraît n'avoir jamais eu l'envie de se marier. Malgré
it, un seul des incidents, quelque insignifiants qu'ils aient pu vous paraître , qui se sont produits chez notre homme à partir d
nt un rôle considérable, à des variations à peine accentuées qui nous paraissent représenter des nuances fort délicates, répondron
rendre témoins, de visu, d'un syndrome fort original et qui du reste paraît être assez rare. C'est qu'en effet, il s'agit ici
le pronostic de la paralysie alcoolique d'après ce qui a été dit vous paraîtra plutôt favorable; je crois qu'il l'est en réalité
tes réserves. Ce n'est pas qu'il mente, à ce que je suppose, et il me paraît au moins fort vraisemblable que les « gros faits
ssus-bord et se trouve par suite con-damnéàmort.Sa peine fut commuée, paraît -il, en dix ans de travaux forcés : en conséquence
ssin d'un homme « en costume de mousquetaire » destiné à représenter, paraît -il, le gouverneur de la colonie pénitentiaire, et
dépensés en orgies de boisson. C'est à cette époque que commencent à paraître les délires surtout nocturnes où il voit des anim
te encore la cicatrice. C'est vers la même époque qu'ont commencé à paraître des crises nerveuses convulsives, qui n'ont pas c
ières années c'est surtout, dans le rôle « de l'homme sauvage » qu'il paraît dans les foires des environs de Paris. Là*, on le
ves qui se reproduisent chez lui de temps à autre, assez fréquemment, paraît -il,depuis six ou sept ans. Il en a eu trois ou qu
l cultive spécialement — c'est une autre affaire ; cela va tout seul, paraît -il, et sans accrocs. Il est donc abasique, si vou
e pas de battre sa femme et ses enfants. La pauvre malheureuse était, paraît -il, très nerveuse. Elle est morte pendant le sièg
son influence que, la prédisposition héréditaire aidant, l'hystérie a paru . Elle est représentée chez notre malade sous se
nt-bras droit, surtout sur la cuisse et la jambe du môme côté, et qui paraît s'être développée très rapidement. Il y a sur la
hemin faisant,l'intérêt du cas que nous venons d'étudier ensemble, me paraît consister surtout en ceci : il montre bien, si je
individu que celui dont l'étude, faite par M. le Dr Rémond de Metz, a paru récemment dans le Progrès médical (12 janvier 188
t-bras est beaucoup moins atrophié que celui de l'autre côté. La main paraît à peu près normale. Telles sont les principales
A la face, pas le moindre signe d'atrophie musculaire : les lèvres ne paraissent pas grosses ni allongées en museau ; siffler est
cutifs à la tephromyélite antérieure aiguë, Thèse de Paris,1888, 11 paraît bien difficile, après ce qui vient d'être exposé,
que cela a eu lieu justement dans l'observation de M. Raymond ; elle paraît n'avoir pas eu de tendance à se généraliser. Mais
ndance à se généraliser. Mais cette théorie « de l'épine morbide » me paraît tout à fait inacceptable, au moins comme élément
savez comment, après sa fièvre typhoïde, il est devenu hystérique. Il paraît qu'au début il a souffert d'une hypéresthésie trè
qu'ils se sont montrés le lendemain même de l'orage du 7 mai ; ils ne paraissent pas, j'y insiste, avoir subi depuis lors la moind
lorsque, au mois de décembre dernier, l'exercice de sa profession qui paraît -il, est assez pénible déjà en temps ordinaire, l'
tronc et même de la tête. Les parties où j'ai ressenti le choc m'ont paru aussitôt lourdes, pesantes, comme engourdies. M
ion. Elle se dérobait sous moi ; je ne la sentais plus guère, elle me paraissait gonflée ; je ne savais pas si, oui ou non, elle p
toujours sur le même point ; puis il se mettait à pleurer. Enfin il a paru s'endormir et je l'ai quitté. Le lendemain matin,
t ce qu'on savait de positif, à l'époque toute récente encore où il a paru . Du résultat de la comparaison que nous allons fa
et tourbillonnant qu'il a vu, après l'éclair et le coup de tonnerre, paraître à quelques pas de lui. N'oubliez pas également
pourra encore rappeler que, plusieurs fois, la foudre globulaire a pu paraître presque au contact de l'homme et le toucher même,
n faire remarquer que la distance à laquelle, par rapport au sujet, a paru la masse lumineuse, deux mètres environ, à ce qu'
ur qu'on puisse relever un certain nombre de caractères cliniques qui paraissent propres à ce genre de paralysies. Il suffit, pour
nographie de Sestier (4). Ces paralysies d'ailleurs, dans l'espèce, paraissent être un fait commun. Il est rare qu'un individu f
ie de la vessie et du rectum, non plus que des eschares. En somme, il paraît s'agir là, à peu près toujours, ainsi que l'indiq
tificiellement produites chez les animaux par l'étincelle électrique, paraissent identiques. Il nous faut rechercher maintenant
n marche se dérobait sous lui ; il ne la sentait plus guère, elle lui paraissait gonflée : « Je ne savais, dit-il, si oui ou non e
. 115. c'est que, au lieu de s'atténuer progressivement, comme cela paraît être la règle, elle est allée, au contraire, en s
le choix des moyens de recherche clinique. Il espérait se convaincre, paraît -il, et convaincre tout le monde, à l'aide d'une e
roître chaque jour à mesure que l'ignorance recule. Entre nous, il me paraît avoir grand besoin de quelques bonnes leçons de d
îner le membre après lui à la manière d'un corps inerte : sa boiterie paraît tenir surtout à un défaut d'énergie dans les mouv
ose traumatique, cemme vous voudrez l'appeler — dans l'espèce cela me paraît être parfaitement indifférent, — est présente dan
u moment où,à la suite d'un grand coup de tonnerre, le globe de feu a paru sur la route, un choc électrique, local, immédiat
x ans après, pendant qu'il travaillait de son métier, son marteau lui parut lourd et bientôt se reproduisit, comme la premièr
n, je vous demande la permission de formuler deux propositions qui me paraissent résumer ce qu'il y a de plus important à retenir
onvulsifs appelés tics, quelque complexes et bizarres qu'ils puissent paraître , ne sont pas toujours, 1. Leçon du mardi 23 oct
aurez accumulé des caractères cliniques tellement particuliers qu'ils paraissent devoir permettre de distinguer, à coup sûr, la ma
ncessants, généralisés, que présentent les deux sujets, les analogies paraissent fort étroites entre les deux cas. L'une de ces fe
a dit, âgée de 21 ans seulement, et chez elle les tics ont commencé à paraître à l'âge de 12 ans. Ils se sont présentés d'abord
e pense, pour vous permettre de reconnaître que les ressemblances qui paraissaient au premier abord les rapprocher étroitement, sont
à ce propos, que chez notre homme, elle dure déjà depuis 8 mois et ne paraît pas prête à s'amender. Le plus souvent, autant
chant à la diathèse hystérique ; mais le plus communément, à ce qu'il paraît , elle se présente là à titre de manifestation iso
nous avons en notre possession,et sur l'application desquels il nous paraît inutile d'insister à nouveau , pour le moment.
t pas cessé d'exister tels que nous les retrouvons aujourd'hui. Il ne paraît pas qu'à cette époque aucun incident soit surve
st ce brave homme, âgé de 75 ans, nommé Cr...t, que je viens de faire paraître devant vous. Il est d'aspect vigoureux, vous le v
un nerveux et n'a jamais donné de signes d'émotivité maladive. Il ne paraît présenter, à l'heure qu'il est, aucune marque de
remiers désordres relatifs aux mouvements de la marche ont commencé à paraître chez lui il y a six ans, sans cause connue, progr
ouffre en effet depuis tantôt cinq ans, d'une façon permanente ; elle paraît s'être plutôt aggravée dans ces derniers temps et
oseraî-je d'admettre que ce brave homme est,sans le savoir et sans le paraître , un névropathe, sujet comme tel à l'action des au
es, en ce qui concerne les effets des lésions des cornes antérieures, paraissent à peu près définitivement fixées. Il semble en ef
iser et à étendre singulièrement nos connaissances à cet égard. Elles paraissent montrer, en effet, conformément aux assertions de
elles montreraient enfin, si l'on en croit certaines observations qui paraissent parfaitement authentiques, que les éléments nerve
du tirage à part. 2. Berlin, klin. Woch. n°3, 1889. Roth (1). Ils paraissent occuper le plus souvent le dos d'une des mains qu
lt, dans la séance de la Société médicale des hôpitaux du 8 mai 1889, paraît peu favorable à la doctrine unitaire (2). 2° Un
pent soit les cornes antérieures, soit les cornes postérieures, il ne paraît pas qu'on doive les y localiser. Il y a quelques
maladie, son pronostic, son étiologie et enfin le diagnostic. Elle paraît être plus fréquente chez l'homme que chez la femm
exercé autrefois la profession de passementière. Chez elle la maladie paraît avoir débuté en 1879, c'est-à-dire il y a 10 ans
est de ce côté littéralement absent. Le grand pectoral, au contraire, paraît respecté, et l'on peut dire que,d'une façon génér
faiblesse générale, avec quelques douleurs passagères à la nuque qui paraissent avoir peu fixé son attention. Au bout de six mois
ébut des accidents actuels remonte à trois années; ils ont commencé à paraître deux ou trois mois après la mort de son enfant.
des crises convulsives avortées. En même temps que les attaques ont paru , il s'est manifesté dans les deux flancs, surtout
élicates sont conservées. Les notions du sens musculaire au contraire paraissent notablement obnubilées dans les doigts de la main
a solution française s'est accentuée dans le mémoire de M. Strümpell, paru en 1888, et, dans son dernier travail sur la mati
ité d'esprit, l'entrain, qu'il avait autrefois, mais son intelligence paraît intacte. Par contre sa mémoire est affaiblie; il
ontracture spasmo-dique hystérique. Mais voici le point commun qui me paraît motiver le rapprochement que nous allons établir
rvention chirurgicale, ou du moins une intervention du même ordre, me paraît actuellement nécessaire pour compléter la guériso
s les muscles de la main, sans espoir de guérison ; c'est pourquoi il paraît inutile d'essayer de modifier chirurgicalement la
Mais il est enfin un troisième ordre de faits, qui dans l'espèce me paraît assez fréquent, et dans lequel, cette fois, l'équ
ture névropathique, des accidents qu'elle appelle des syncopes et qui paraissent bien avoir été des crises hystériques, une paraly
est bientôt arrêté brusquement par un obstacle purement mécanique qui paraît être surtou le tendon d'Achille raccourci, mais q
tique, 25. . Imp. de la Soc. de Typ.— Noizette, 8, r. Campagne-lre, Paru
4 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
. — Bandelettes externes des fais-ceaux postérieurs ; leur altération paraît constante dans l'ataxie locomotrice. Sclérose f
la sclérose symétrique des cordons latéraux, par exemple. La question paraît aujourd'hui définitivement résolue, et personne n
ture irritative de l'altération. Mais il est un point sur lequel il paraît impossible de se pro-noncer, quant à présent, d'u
, p. 74.) acquis, bien qu'imparfaits encore à quelques égards, nous paraissent cependant dignes de vous être présentés. Ils sont
collatéraux postérieurs, et les racines sensi-tives les plus internes paraissent en émerger (Voyez Planche I, Fig. 2). Sur les cou
lésion des faisceaux de fibres qui composent les cordons mé-dians ne paraît pas avoir cet effet. La relation qui existe ent
ou moins généralisée. La raison anatomique de cette complication nous paraît se révéler dans le fait suivant : il s'agit du ca
de me demander quelques explica-tions relativement à la connexion qui paraît exister entre les filets nerveux radiculaires int
festement vers l'extrémité anté-rieure de la corne antérieure, où ils paraissent entrer en connexion avec les filets radiculaires,
ngements of the nervous System, p. 238.) L'auteur, qui, le premier, paraît avoir été frappé des faits de cet ordre, est, si
membres inférieurs, une paralysie temporaire. Quoi qu'il en soit, il paraît bien difficile d'expliquer, par une action de ce
raits essentiels qui ne font jamais défaut d'une façon absolue. Il me paraît utile, avant d'entrer en ma-tière, de rappeler en
e 1 ont appelé l'attention sur une forme de paraplégie qui s'observe, paraît -il, assez fréquemment à Londres, chez les femmes,
oolique. Un des traits les plus saillants de cette forme pathologique paraît être l'exis-tence de douleurs revenant par accès,
te réelle-ment entre les crises gastriques et l'ataxie locomotrice me paraît avoir été signalée, pour la première fois, par M.
bisme qui date de l'époque où les douleurs fulgurantes ont commencé à paraître . Il n'y a pas d'incoordination des mouvements des
et fréquemment aussi le front, l'occiput, la nuque, ont comrflencé à paraître à l'époque où la cécité s'est déclarée. Elles son
en 1855. Les troubles de la vue, accompagnés de douleurs de tête, ont paru en 1850. D'abord limités à l'œil gauche, ils ne t
rappelle à tous égards, celui de la sclérose fasciculée spinale. Elle paraît , en règle générale, débuter par l'extrémité périp
ne certaine dis-tance dans l'épaisseur de la papille, sur laquelle il paraissent être simplement appliqués. Rien d'ailleurs qui s'
lle se produit dans près de la moitié des cas (Friedreich et Ladame), paraît reconnaître le plus souvent pour causes la neuro-
aient de l'exagération de la pression à l'intérieur du crâne. Mais il paraît prouvé qu'en outre de la papille, le nerf lui-mêm
cité acquise par le nerf optique, les capil-laires et la teinte rosée paraissent effacés. Les vaisseaux sont tortueux, sinueux, su
de désigner sous ce nom tout un groupe d'affections arti-culaires qui paraissent être sous la dépendance directe de certaines lési
ulter l'an passé, l'arthropathie, occupant égale-ment le genou, avait paru plus tôt encore — dès les premiè-res crises de do
vrai, ne tarde pas en général à se mon-trer lorsque l'arthropathie a paru . Ainsi celle-ci, vous le voyez, a sa place marqué
jointure atteinte d'arthrite sèche. Or, cette augmentation de liquide paraît constante dans notre arthro-pathie. 2° Quelquef
aître les symptômes particuliers qui la révèlent durant la vie, il me paraît tout à fait indispen-sable de comparer, sous le r
aux dépens de l'enveloppe conjonctive des nerfs et dont la structure paraît faite sur le modèle du réseau muqueux de la gélat
e champignon forme un anneau parfait, de telle sorte que la moelle ne paraît comprimée que sur une partie de sa surface extéri
était des plus prononcées. (Yoyez Planches II et III.) La névroglie paraît transformée en un tissu conjonctif dense et résis
leux. — Beaucoup de cylindres axiles ont persisté ; quelques-uns même paraissent avoir subi une augmentation de volume. II. My
inq ou six faits semblables. En pareille circonstance, la guérison me paraît due à l'intervention de l'art : c'est à la suite
microscopique, était le siège de lésions tellement profondes qu'elle paraissait litté-ralement interrompue sur un point de son tr
ère en possède un grand nombre. Ce n'est pas tout encore. La moelle paraît jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibilité da
égion plus ou moins limitée ; tantôt, au contraire, le trajet nerveux paraît affecté dans toute l'étendue de son parcours. A
mi M. Cazalis. C'est lui, je le répète d'autant plus volontiers qu'on paraît l'avoir oublié dans un article récent, qui a fait
ité des fibres nerveuses. Quoi qu'il en soit, Messieurs, la réalité paraît être que tan-tôt les troubles moteurs (parésie de
e à peu près jamais d'exister à une certaine époque de la maladie qui paraît devoir être rattachée, elle aussi, à la lésion sc
soit suivie, au bout de quelque temps, d'une sensa-tion analogue qui paraît siéger symétriquement dans un point du membre opp
mo-dification nutritive appréciable. Mais la vitalité de ces organes paraît rapidement se modifier sous l'influence de certai
moelle capable de déterminer l'hémiparaplégie avec anesthésie croisée paraît être une conséquence fréquente des lésions du cen
e la moelle est poussée si loin que les deux feuillets de la pie-mère paraissent accolés l'un à l'autre ; au contraire, la moitié
tant de l'entre-croisement des conducteurs des impressions sensitives paraissent ne pas s'éloigner notable-ment du plan médian anl
ivement ses dimensions normales. L'affection osseuse, chez ce malade, paraissait occuper la dernière vertèbre cervicale et les tro
blement en relief, et, à ce pro-pos, il cite une observation qu'il me paraît utile de vous faire connaître au moins sommaireme
'une moitié de la moelle épinière chez cer-tains animaux, l'épilepsie paraît être, chez l'homme, un résultat comparativement a
aillant. D'un autre côté, les affections musculaires dont il s'agit paraissent devoir être rattachées toujours à une altération
ve, je le répète, chez la plupart des enfants ; toutefois, elle peut, paraît -il, faire absolument défaut '. Quoi qu'il en so
tôt ou tard le membre paralysé. De même que l'atrophie, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la paralysie spinale infant
infirmité plus ou moins pénible qui, suivant la remarque de Heine, ne paraît pas avoir d'influence directe sur la durée de la
fs 1. Je n'insisterai pas plus longtemps sur ces faits anormaux qui paraissent , d'ailleurs, assez rares. Je n'ai pas cru devoir
is, c'est là, je le répèle, un fait plutôt exceptionnel. En somme, il paraît constant que les lésions irritatives prédo-minent
musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont il s'agit paraissent s'accuser de bonne heure; M. Damaschino, d'après
s les intervalles qui les séparent ; de telle sorte que ces dernières paraissent comme autant de centres ou foyers, d'où le proces
es, quant à l'intensité, aux lésions de la substance grise. Il nous paraît évident, d'après tout ce qui précède, que les c
ous reportez à la description de la para-lysie infantile, pourra vous paraître constituer, dans l'espèce, une anomalie frappante
al de Dublin {Quaterly Journ. of Medtc. Science, may 18o9, p. 471) me paraît devoir être, comme les précédents, rattaché à la
l, presque à la même distance du précédent et de la crête iliaque. Il paraît certain que ce zona ne s'est pas accompagné de do
octobre que la paraplégie s'est produite. Le malade fut recouché. Il paraît bien établi que, ce jour-là, il n'avait plus de f
'occasion de signaler et de mettre à profit plnsieurs travaux qui ont paru sur ce sujet, depuis la publication des premières
veuses et produit l'épaississement fibroïde du tissu interstitiel qui paraissent être un caractère constant de la lésion spinale p
les foyers primitifs du mal, car, si la lésion s'étend au delà, elle paraît rayonner autour du groupe cellulaire comme autour
st. — Société de biologie, séance du 14 avril 1872. sérieuse ; elle paraît d'ailleurs, aujourd'hui, assez générale-ment répa
ailleurs qu'une sorte d'épiphénomène de la myélite aiguë centrfde. Il paraît certain que, à peu près toujours, l'épanchement d
de fibres atrophiées, plus la fai-blesse est grand-e, et celle-ci ne paraît guère dépendre que de la diminution du nombre ou
oi de le rappeler, en ce que la peau, qui recouvre le muscle atteint, paraît tout à coup soulevée par de petites cordes très f
tant qu'élément étiologique de l'atrophie musculaire progressive, me paraît , d'après la critique des textes à laquelle je me
trophie primitive, le rôle écolo-gique de la transmission héréditaire paraît très important. Il a été relevé par tous les aute
r rappe-ler encore une fois, que la moelle épinière peut, a l'œil nu, paraître tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveu
idérons, en premier lieu, ce qui se passe dans la pelle en passant, paraissent appartenir au même système que les faisceaux laté
nflammatoire de la lésion dans la sclérose latérale amyotrophique m'a paru plus accentué. Ainsi, l'hyperplasie du périmysium
te trémulation, dans les deux derniers cas comme dans le pre-mier, me paraît relever de la sclérose latérale, trait commun ent
il est variable ; mais c'est le renflement cervical de la moelle qui paraît être, en quelque sorte, le lieu d'élection. 1 S
de deux couches : l'une externe, l'autre interne. Cette dernière, qui paraît de formation nouvelle, est constituée, par un tis
tation des symptômes '. 1 La participation des racines postérieures paraît être une condition néces-Ciiarcot. Œuvres complèt
éruptions huileuses et pemphlgoïdes. b) Les symptômes qui précèdent paraissent , vous l'avez compris, relever surtout de l'irrita
on, la contracture des membres inférieurs, dans la pachyméningite, ne paraît se compliquer d'aucune atrophie musculaire. Il
ar contre, la par-ticipation du bulbe, fort rare dans cette dernière, paraît au contraire — nous l'avons dit — être un des élé
l'adulte, car elle se montre surtout vers 35 à 40 ans. L'hérédité ne paraît jouer aucun rôle dans sa pro-duction, mais quelqu
lons que les racines spinales, tant antérieures que postérieures, ont paru également parfaitement saines. Après avoir reco
venant des nerfs sciatiques, o-édians et radiaux, que ces nerfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les apparences
gicale de Lon-dres, un fait qui, sous le rapport anatomo-pahologique, paraît être en contra-diction formelle avec celui qui pr
des muscles, de telle sorte que les lésions spinales, dans ce cas, ne paraissent avoir été, en quelque sorte fortuites : il ne me
phique. Je crois devoir, à ce propos, faire une remarque qui pourrait paraître banale, si le fait auquel elle s'applique n'avait
est à noter qu'en pareil cas, la substitution graisseuse des muscles paraît se rattacher quelquefois à une lipomatose général
quelques détails empruntés à mon travail {loc. cit.), et qui ne vous paraîtront pas, sans doute, dénués d'intérêt. Ce qui frapp
ertrophique, d'une manière fatale, au moins dans quelques muscles, me paraît constituer, dans l'espèce, un caractère vraiment
s les amyotrophies d'origine saturnine, au contraire, l'amyotrophie paraît se produire en conséquence d'une lésion des nerfs
partielles rhumatismales ou de cause traumatique, en ce sens qu'elle paraît dépendre, elle aussi, d'une lésion des nerfs péri
lle aussi, d'une lésion des nerfs périphériques, et ce rappro-chement paraîtra d'autant plus légitime que, dans les deux cas, l'
une étroite connexion, la clinique et l'anatomie pathologique. Il me paraît opportun de vous montrer dans un bref aperçu, pui
adiculaires antérieures (trajet intra-spinal des racines antérieures) paraissent être les seules ré-gions de la moelle épinière qu
a clinique avait, pendant la vie, révélé l'existence de symptômes qui paraissent aujourd'hui pouvoir se rattacher au type tabès do
emier rang, vous ne l'avez pas oublié, et bien longtemps avant que ne paraisse l'incoordina-tion motrice d'où l'affection tire s
situation en disant qu'ils se fatiguent vite, que leurs membres leur paraissent lourds et qu'en mar-chant ils traînent la jambe.
parer qu'à la suite d'efforts où les muscles qui s'insèrent au bassin paraissent jouer le rôle principal et dans lesquels le tronc
ar une excitation périphérique cutanée. Il a combattu dans ce qu'elle paraît avoir de trop abso'u l'opinion de M Erb. Il recon
oudrais compléter la description par quelques traits nouveaux. Elle paraît se manifester surtout entre 30 et 40 ans. Je suis
tion scléreuse descen-dante consécutive des faisceaux latéraux. Il me paraît inutile d'insister pour faire ressortir que les t
vif, passionné parfois de part 1 Cette leçon, faite en juin 1870, a paru dans l'ancien Mouvement Médical, en 1872. et d'
mais il faut l'avouer, malgré tout, les ques-tions qu'il a soulevées paraissent même aujourd'hui, en partie du moins, enveloppées
r-tout préoccupé les médecins qui ont pris part à ce débat. Il leur a paru plus particulièrement intéressant de rechercher p
myélites consécutives. Rare chez les femmes, cette sorte de myélite paraît être, en revanche, assez commune chez les hommes.
nts fournis par l'au-topsie. Il est des cas où, à l'œil nu, la moelle paraît ne pré-senter aucune altération ; si alors, ainsi
'est pas sans intérêt de faire remarquer que la lésion dont il s'agit paraît siéger, originellement du moins, un peu au-dessus
centre gônito-spinal, et d'où parlent les nerfs de la vessie. Il me paraît suffisamment établi par ce qui précède que la 1
étude publiée récemment, se rattache M. Leyden ', et celte opinion me paraît fort vraisem-blable. J'ajouterai qu'elle n'est pa
ucocytes. La partie du nerf com-prise entre les deux foyers purulents paraissait parfaitement saine. Tel est, à ma connaissance,
s qui témoi-gnent dans ce sens sont peu nombreux encore ; mais ils me paraissent assez significatifs pour que nous leur accordions
1 Gazette hebdoma laire, 1866, p. 51, 67, 84. 2 Voici un cas qui me paraît devoir être considéré comme un exemple de névrite
tion très accentuée. laire et les troubles variés de la sensibilité paraissent être des phénomènes constants1. III. Les fait
ection dont il s'agit ne met, par elle-même, la vie en danger ; il ne paraît pas que jamais elle ait abouti à la myélite, et d
z peu explicites où l'autopsie a été pra-tiquée, la moelle a toujours paru exempte d'altération. A la vérité, quant à présen
rs vives sur le trajet des deux nerfs sciatiques. Les cas de ce genre paraissent rares, je le répète, contrairement à l'opinion de
ar-oxystiques du vertige, qui constituent des sortes d'accès. Ceux-ci paraissaient être caractérisés surtout par la sensation d'un b
sont progressivement accentués et rapprochés ; mais dès l'origine ils paraissent avoir présenté, en raccourci, il est vrai, les ca
ux exemples de gué- 1 Cette leçon a été faite en janvier 1874, et a paru pour la première fois dans ie Progrès médical (no
e d'ailleurs chez beaucoup d'au-tres malades du même genre, — simule, paraît -il, jusqu'à s'y méprendre, le bruit strident d'un
remplacé par un bruissement tout différent dans son caractère, et qui paraît devoir être rattaché à l'action de la quinine. En
non sans de grands efforts, deux ou trois pas rendus très difficiles, paraît -il, par une sensi-bilité excessive de la plante d
d'une attaque apoplectique avec perte de connaissance et accompagnée, paraît -il, de vomisse-ment. Revenue à elle, elle présent
nt sans cesse agités de mouvements cho-réiformes, auxquels la face ne paraît point participer, et qui sont exagérés par l'acco
mais très habituel au moins de Yhérnichorée post-hémiplégique. Or, il paraît établi que cette forme particulière d'hômianesthé
le côté droit du corps : à l'heure qu'il est, la sensibilité spéciale paraît s'être partout rétablie, et quant à la sensibilit
elles a figuré la roséole. Le traitement de la maladie à cette époque paraît avoir été régulièrement dirigé et continué pendan
e à l'occiput sans abandonner toutefois jamais son foyer primitif. Il paraît bien établi que les exacerbations ont lieu habitu
me à la bou-che, urines involontaires, etc. L'invasion, je le répète, paraît avoir été littéralement soudaine, inopinée, et le
ement sur le membre supérieur d'abord, puis sur la face. Cet ordre ne paraît êlre presque jamais inter- 1 II est remarquable
gommeuse circonscrite, avec participation des membranes subjacentes, paraissent être le substratum anatomique le plus habituel de
latées me frappèrent très vivement : l'influence de la syphilis ne me paraissait plus méconnaissable et j'étais désireux de regagn
ôté était considérablement tuméfiée', le membre, sur ce point, avait, paraît -il, presque doublé de volume. Cette enflure ne s'
n sont remarqués pour la première fois ; de temps à autre, les objets paraissent doubles : des étincelles passent parfois devant l
les mouvements. Le reste de l'humérus est sain. L'avant-bras gauche paraît légèrement raccourci ; il présente une augmentati
nce appréciable sous ce rapport entre les deux membres inférieurs. Il paraît manifeste, toutefois, qu'au niveau des pieds, la
fait valoir à plusieurs reprises1. 1 Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cer-veau ou de la moelle
laryngé, comparable a certains égards, au vertige de Ménière, qui lui paraît se rattacher à une affection des nerfs du labyrin
tous les cas précédé la chute et la perte de la conscience. Celle-ci paraît être un caractère con-stant de ce que l'on pourra
ssemblance. Dans les observations qui précèdent, le vertige laryngé paraît s'être produit comme une conséquence plus ou moin
cautérisations pharyngées, l'administration du bromure à dose élevée, paraissent avoir été couronnées du succès, — en dehors des f
e de deux centimètres environ, a donné les résultats suivants : il ne paraît exister aucune altération appréciable des élément
pas de granulations graisseuses isolées, au contraire les myélocites paraissent sensiblement plus volumineux qu'à l'état normal.
du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la substance grise n'ont paru présenter au-cune altération appréciable. Obs.
nflement lombaire. Ce renflement, de même que le renflement brachial, paraît à l'œil nu n'avoir subi aucune alté-ration appréc
n accès de dyspnée. La maladie, chez celte femme, se serait déclarée, paraît -il, sans prodromes. La malade assurait toutefois
au noyau. Ce dernier, toutefois, ainsi que le nucléole, ont toujours paru présen-ter les caractères de l'état physiologique
sidérées seulement comme des curiosités d'histologie pathologique. Il paraît au contraire très vraisemblable que ces altératio
sclérose enplaques. Paris, 1869, pp. l! et 13. tion dont il s'agit paraît être, on le voit, avec quelques varian-tes, commu
s tuméfiés qui, examinés sur des coupes lon-gitudinales de la moelle, paraissent inégaux, bossues à leur surface et sillonnés tran
er avec des stries rouges moins nombreuses. — Les sterno-mas-toïdiens paraissent à peu près sains, de même que les muscles des rég
t d'un beau rouge et remarquables par leur épaisseur, ceux du la-rynx paraissent également normaux. La langue a son volume normal,
a pas trace de substitution graisseuse. — Les différents viscères ont paru sains. Examen hislologique. — Région cervicale.
e a subi un épaississement très notable. Quand à l'endothélium, il ne paraît pas manifestement modifié. Malgré un examen atten
atrophie considérable. Les phé-nomènes qui président à cette atrophie paraissent , dans ce cas, identiques à ceux qui se produisent
e peut siffler, souffler, simuler l'acte de don-ner un baiser. Elle paraît très intelligente et semble comprendre parfaiteme
posent habituellement presque inertes ; ce mouvement d élévation, qui paraît exiger de grands efforts, ne peut être tenu longt
les ge-noux, qui sont demi fléchis, et dans l'adduction ; les hanches paraissent être également un peu rigides. La puissance muscu
, ni crampes, ni four-millements. La sensibilité électro-musculaire y paraît également normale, tandis qu'elle paraît être plu
ibilité électro-musculaire y paraît également normale, tandis qu'elle paraît être plutôt exagérée aux membres supérieurs. Un
sains. — Le cœur pesait 185 grammes. Son tissu était rouge, ferme, il paraissait entièrement sain. 11 n'y avait aucune lésion valv
ésentaient rien d'anormal. 2° Au cou. Les sterno-cléïdo-mastoïdiens paraissent sains. Les muscles de la région sus-hyoïdienne so
Les intercostaux sont assez minces et un peu jaunâtres. Le diaphragme paraît sain, du moins à l'œil nu. 5° Aux membres infér
et le pneumogastrique ont été l'objet d'un exa-men spécial; ils n'ont paru offrir aucune altération. d) Nerfs rachidiens.
s deux nerfs phréniques, celui du côté droit principalement, nous ont paru renfermer un certain nombre de tubes nerveux atro
aux commissures antérieures et postérieures : là, les noyaux nous ont paru nom-breux, surtout au voisinage du canal central.
ux noyaux. — Les cornes postérieures de la substance grise nous ont paru offrir toutes les conditions de l'état sain. Ré
re-nue ; enfin le noyau de l'hypoglosse, considéré dans son ensemble, paraissait avoir perdu ses contours arrondis ; il présentait
nférieures du facial ; toutes ces cellules étaient saines et nous ont paru en nombre normal. Plus en dehors encore, on ren
rigine du facial, du moteur oculaire externe et de l'auditif nous ont paru présenter tous les caractères de l'état normal.
ignements fournis par son fils. L'affection dont elle est atteinte ne paraît par avoir débuté brusquement. — Au mois de juin d
taine distance de sa bouche. —Le mouvement de diduction des mâchoires paraît impossible. — La contraction des muscles masticat
'introduction de la substance alimentaire, son entrée dans l'œsophage paraît se faire avec une grande lenteur, et quel- ques
sement nota-ble, étendu à tout le membre ; aucun groupe de muscles ne paraît plus spécialement atteint que les autres. Ils peu
grande que les supérieurs. L'orbiculaire des lèvres, en particulier, paraît très sensible à l'excitation électrique. Mais la
al, à une certaine distance de leur lieu d'origine. La névroglie ne paraît prendre aucune part au processus mor-bide, elle a
de plus à remarquer, que, du moins à la région cervicale, les lésions paraissent être arrivées à une période plus avancée de leur
publiés jusqu'à ce jour. C'est à ce point de vue surtout qu'elle m'a paru di-gne de fixer un instant l'attention du lecteur
nt un état d'anxiété extrême : durant plus de cinq minutes, la malade paraît menacée de suf-focation ; elle ne tousse pas en g
ne médiane et elle n'est pas pendante à l'excès : le voile membraneux paraît se contracter d'ailleurs d'une manière à peu pr
énergique et l'attitude de celle-ci est tout à fait normale. Il ne paraît pas exister de troubles de la vision; les orifice
dente de leur consistance. Au larynx, tous les muscles intrinsèques paraissent sains à l'exception des aryténoïdiens, des crico-
ir subi d'altération appréciable. La tunique musculeuse de l'œsophage paraît être de volume et de consistance normaux. — Les d
exa-minée à l'extérieur et sur des coupes faites à diverses hauteurs, paraît , elle aussi, tout à fait saine. Les filets d'or
ut, sont grêles. Quant aux troncs nerveux éma-nés de ces racines, ils paraissent être un peu moins volumineux que dans l'état norm
ut appliquer la même re-marque aux muscles du pharynx qui, eux aussi, paraissent sains à l'œil nu. Quant aux muscles du larynx, ce
t-bras, ceux de la main (émi-nences thénar et hypothénar), quoiqu'ils parussent à l'œil nu, tout à fait sains, quant à la colorat
tout entremêlées. Les petites cellules des cornes posté-rieures n'ont paru présenter aucune trace de la dégénération jaune.
tre les vaisseaux y sont-ils plus volumineux qu'à l'état normal ; ils paraissent en tous cas gorgés de globules sanguins. La maj
lésées en grand nombre. Les cellules d'origine du pneumogastrique ne paraissent pas aussi profondément altérées. Entre le noyau d
que L. Clarke rattache au noyau du facial. Les cellules de ce groupe paraissent remarquablement petites et peu nombreuses. Elles
es, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérieures ne paraissent pas être affectées. On la rencontre dans toutes
En quoi consiste cette altération? L'accumulation de pig-ment jaune paraît y jouer un grand rôle ; il semble qu'elle soit le
riques, que l'examen du bulbe a fait reconnaître dans notre cas, nous paraît rendre compte de ces troubles cardiaques qui n'on
me les pectoraux, les sacro-lombaires, où l'évolution de l'altération paraît plus avancée, les noyaux et les cellules ont dimi
és par les travées considérablement épaissies du perimysium internum, paraissent , au premier abord, avoir conservé à peu près tout
-là, toujours du plus petit diamètre, — dont la substance muscu-laire paraît divisée en fragments où la striation en travers e
ou bien elle joue un rôle évidemment accessoire. Cette première phase paraît répondre à la première période clinique signalée
s racines spinales, tant anté-rieures que postérieures, ont également paru parfaitement saines. Je ne crois pas devoir ins
raphique. Je crois devoir à ce propos faire une remarque qui pourrait paraître banale, si le fait auquel elle s'applique ne semb
l est à noter qu'en pareil cas la substitution graisseuse des muscles paraît se rattacher quel-quefois à une lipomatose généra
venant des nerfs sciatiques, mé-dians et radiaux, que ces nerfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les apparences
la moitié gauche de la face; ce sont les muscles des commissures qui paraissent surtout agir. — Au cou, les troubles moteurs semb
s moteurs, une analogie dans les conditions de développement, et cela paraît suffire pour faire penser que Vathétose n'est qu'
l. — Bandelettes externes des faisceaux postérieurs ; leur altération paraît constante dans l'ataxie lo-comotrice. Sclérose
5 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
tés, celle qui correspond à la face profonde du derme. Ces follicules paraissent en outre distendus par un liquide, et l'emportent
rassait le sommet de cinq ou six folli-cules pileux qui d'ailleurs ne paraissaient pas plus volumineux ou autrement altérés que ceux
1853, salle Sainte-Anne, n° 19, service de la Clinique. Cette femme paraît robuste ; elle assure jouir habituellement d'une
elle assure avoir eu, vers l'âge de 11 ans, le chicken-pox; mais cela paraît peu probable, car, d'après son récit, les pustule
e. Elle n'a été réglée qu'à 18 ans; depuis cette époque, les règles paraissent habituellement d'une manière régulière et durent
il s'est mani-festé une salivation abondante. L'affection variolique paraît avoir duré en tout dix-sept jours. L'éruption est
deur fétide. Mais, en raison de la macération prolongée à laquelle il paraît avoir été soumis, son épiderme s'enlève avec une
disséminées; une de ces pustules, très large (7 millim. en diamètre), paraît formée par la réunion de plusieurs pustules secon
ents de déglutition simulée. Toutes les parties du voile du palais ne paraissent pas, d'ailleurs, égale-ment affectées ; ainsi, pe
tique. Examen du voile du palais. —- Les muscles du voile du palais paraissent , examinés à l'œil nu, plus pâles que dans l'état
erveux qui sépanouissent dans cette membrane, ont été examinés et ont paru entièrement sains. 1. Il est possible que les f
les salles {Arch. génér. de Méd., t. I, 1853, p. 507). Ces résul-tats paraîtront , sans doute, peu favorables à la doctrine delà co
et, confinés dans un local étroit et mal aéré ; c'est du moins ce qui paraît établi par les belles recherches du docteur Piedv
laissant déposer un sédiment grisâtre qui, à l'examen micros-copique, paraît composé de cellules d'épilhélium rénal et de cail
raphîe mé-dicale, t. IIF, art. 3, § V). — Le professeur de la Charité paraît y avoir dit son dernier mot, relativement à sa ma
, rougeur de la face et des con-jonctives, agitation extrême. D. Il paraît aujourd'hui bien démontré que le sulfate de quini
e de traite-ment, il ne doit pas durer plus de huit ou dix jours ; il paraît convenir surtout aux cas de fièvre intense avec c
ve-ment fébrile, à la congestion cérébrale, etc. En tous cas, l'opium paraît devoir être préféré à d'autres médicaments, tels
e, employée d'abord par les professeurs Graves et Stokes (de Dublin), paraît avoir été en France deux ou trois fois cou-ronnée
s de l'épi-glotte et du larynx qui ont été trouvées par M. Louis nous paraissent être des complications purement accidentelles. »
fet, très rarement dans cette circonstance. Un seul auteur français paraît avoir accordé une impor-tance réelle à la laryngi
plus commun des fièvres continues, dans le climat que nous habitons, paraît être une combinaison du genre synocha et du genre
éjà, en 1837, cherché à établir que le typhus fever d'Amérique, — qui paraît être en tous points identique au typhus d'Irlande
e pareille distinction nosographique. C'est là un point sur lequel il paraît à peine nécessaire d'insister. Le typhus fever, p
celte dénomination est très impropre, car la fièvre de famine (1422) paraît mériter de constituer une maladie bien distincte.
La langue est recouverte d'un enduit d'une coloration très foncée, et paraît comme grillée. — Vers la fin de cette période, il
oires, principalement sur les parties les plus déclives du corps, qui paraissent , en outre, uniformément congestionnées. — En même
laisser de traces; pendant ce temps, de nouvelles taches continuent à paraître tous les jours ou tous les deux jours, jusqu'à la
ment plus ou moins prononcé. Les sujets âgés de plus de cinquante ans paraissent seuls faire exception à cette règle (Jenner). La
docteur Jenner, chez un huitième des sujets. La rigidité cadavérique paraît être ici plus hâtive et disparaît plus rapide-men
ctions sont ou ne sont pas le produit d'une même cause spécifique, ne paraissent avoir donné jusqu'à ce jour que des résultats peu
t, sous forme de maladie populaire, dans le nord de l'Amérique, où il paraît être fréquemment importé par les émigrants irland
est extrait du tome IV des Eléments de Pathologie médicale de Requin, paru en 1863. — Nous rappelons que dans les différents
médicale allemande des documents vraiment scientifiques, et qui nous paraissent de nature à dissiper les doutes concernant le vér
fièvre de sept jours), mild yellow fever (fièvre jaune bénigne). Elle paraît avoir été Dans un article communiqué au Berline
présent, sur l'épidémie de Saint-Pétersbourg; à ce titre, elle nous a paru digne d'être signalée à l'attention des lecteurs
pier annonce de Berlin, en date du 5 avril, qu'une maladie inconnue a paru dans la vallée de la Vistulc, et surtout à Elbing
jours au moins, dix au plus); puis, au mo-ment où tous les symptômes paraissent avoir atteint leur plus grande violence, ils s'am
ient un sentiment de bien-être. Le malade, faible encore et anémique, paraît cependant entrer en convalescence. Mais ce n'est
li-nique, depuis le début de l'épidémie. La fièvre à rechute était, paraît -il, inconnue à Saint-Péters-bourg, avant le dével
eur Botkin.) A. en juger par la description qui précède, l'identité paraît complète entre la maladie de Saint-Pétersbourg et
maladie. C'est ainsi que la léthalilé plus grande de l'épidémie russe paraît devoir être rapportée surtout à la prôdominence d
sixième ou septième jour de la maladie, alors que tous les symptômes paraissent avoir atteint leur plus grande violence, ils s'am
ation des glandes de Peyer ou des follicules isolés. Cette maladie ne paraît avoir été observée, jusqu'à ce jour, qu'en Anglet
ent de l'Aca-démie médico-chirurgicale de Saint-Pétersbourg. C'est, paraît -il, la réponse faite officiellement par le gouver
roscopique de la fièvre à rechute, parce que cette description nous a paru être de tous points conforme à celle qui a été pr
ouvernement de Novgorod, particulièrement sur la ligne ferrée où elle paraît être apportée de la capitale. Mais c'est surtou
ndaires que peut revê-tir la peste, quelque variées qu'elles puissent paraître . Nous distinguerons trois formes principales, sav
térieur une ardeur excessive, et cepen- dantla température du corps paraît à peu près naturelle, si ce n'est à la région pré
tuellement décou-vertes, sur les bras, les jambes, le cou ; la fièvre paraît seule- (53, E.) pendant laquelle, dans les cas
anatomique apparent. Par le fait môme de cette fièvre prodromique qui paraît ne faire défaut que dans des cas infiniment rares
ances au milieu desquelles il se développe, le charbon de la peste ne paraît posséder aucun caractère qui lui soit vraiment pr
ification profonde survenue dans la crase du sang. — On peut les voir paraître sur presque toutes les parties du corps, la face
s séreuses et en particulier les plèvres, le péricarde, le péri-toine paraissent couvertes d'ecchymoses d'une couleur plus ou moin
tout: communiquée à l'homme par voie de contagion, ou, ainsi que cela paraît avoir lieu quelquefois, développée chez lui primi
nombre où elle ne s'éteint peut-être jamais complètement, et où elle paraît trouver les éléments d'une re-production pour ain
aver presque toujours sans danger. Quant à la peste sporadique, il ne paraît pas qu'elle soit ja-mais contagieuse. — Il n'est
de huit jours; dans les foyers épidémiques, la durée de l'incubation paraît être, en général, beaucoup plus courte. — Enfin,
bien communiquer la maladie à un certain nombre d'individus; mais il paraît certain que cette peste importée ne pourra pas, e
rconstances relatives aux climats, aux diverses saisons de l'année ne paraissent pas avoir eu une influence décisive sur la marche
r les températures et sous les latitudes les plus diverses (1754). Il paraît en être autre-mentà l'égard des pays que l'on s'a
es populations, nous dévoilent un certain nombre de circonstances qui paraissent favorables au développement et à l'extension de l
re. La transmission contagieuse de la peste, restreinte, comme elle paraît l'être, dans des limites assez étroites (B, ê.) n
oduire sur les lieux qu'elle avait déjà rava-gés. Ainsi, en 546, elle parut en Allemagne; en 564, elle éclata de nouveau en L
mme les pré-cédentes, l'Afrique pour berceau1. Quoi qu'il en soit, il paraît certain qu'elle ravagea d'abord, dans le cours de
agna l'Angleterre, l'Ecosse, l'Irlande et les Flandres; en 1350, elle parut en Allemagne, en Hongrie, dans le Danemark et en
an 1363. Dans certains lieux, à Florence, par exemple, la peste noire paraît avoir été, dès le début de l'épidémie, caractéris
ar l'existence fréquente de la toux et des cra-chements de sang. Elle paraît d'ailleurs s'être développée dans les lieux mêmes
pour qu'il faille avoir recours aux émissions sanguines. Mais il nous paraît pe u utile d'entrer, à ce propos, dans de plus lo
inutiles (Aubert-Roche). Les bubons et les charbons pestilentiels ne paraissent pas réclamer d'autres soins que ceux qu'on dirige
s émissions sanguines. — Dans la forme congestive, l'action du poison paraît être, dès l'origine, portée à un tel degré, qu'el
symptôme qui puisse faire pressentir la gravité du mal. Ici, le pouls paraît naturel ou peu s'en faut, la langue est nette, la
-tres fois elle existe par places seulement, et la surface de section paraît alors comme marbrée ou semée de taches jaunes, go
ches jaunes, gomme-gutte, oranges ou rouges. Les tons les plus clairs paraissent correspondre aux degrés les plus avancés de l'al-
te sujets morts à la suite de la fièvre jaune qui a régné en 1838. Il paraît certain, toutefois, qu'elle peut faire défaut et
tenant quelles sont les conditions lopographiques à tous les lieux où paraît la fièvre jaune, on remarque que cette maladie ne
atières animales ou végétales s'opère sur une grande échelle. Elle ne paraît jamais dans un pays situé à plus de 2.000 mètres
sixième ou septième jour de la maladie, alors que tous les symptômes paraissent avoir atteint leur plus grande violence, ils s'am
ous rémittent fever, mild yellow fever (fièvre jaune bénigne). — Elle paraît avoir été remarquée pour la première fois à Dubli
ion des glandes de Peyer ou des follicules isolés. — Celte maladie ne paraît avoir été observée jusqu'à ce jour, qu'en Anglete
c. cit., p. 311), à la fièvre rémittente bilieuse des pays chauds qui paraît avoir régné en Grèce et sur les côtes d'Asie dans
i la fièvre jaune n'est point con-tagieuse, ce qui d'ailleurs ne nous paraît nullement démon-tré, il n'en est pas moins vrai q
d, âgé de 42 ans, (hôpital de la Pitié, salle Saint-Benjamin, n° 24), paraît d'une assez forte constitution et n'a éprouvé auc
a-ladie grave jusqu'à l'époque du début de la maladie actuelle. Il ne paraît pas, en particulier, que dans son enfance il ait
oins prononcés qu'à gauche. Enfin, depuis quelque temps, l'anesthésie paraît gagner vers la racine des deux membres, si bien q
ui correspondent aux divisions du nerf qu'on sup-pose comprimé, il me paraît bien évident que l'explication donnée par M. Brow
art., Affections cutanées. 12 les deux cas, l'éruplion cutanée nous paraît devoir être consi-dérée comme une expression des
uque, la région sus-claviculaire du côté droit. Ces douleurs, qui ont paru pour la première fois dans les premiers jours d'o
nues, mais présentent des exacerbations pendant les-quelles la malade paraît souffrir atrocement et pousse des cris. La pressi
st surtout prononcée à la région cervicale. Ici la colonne vertébrale paraît tuméfiée, molle, flexible, fortement incurvée du
senté aucun changement de coloration ou de consistance ; la moelle ne paraissait pas avoir subi la moindre compression. On s'est a
Baeruns-prung. Seulement, dans ce dernier cas, l'affection des nerfs paraît s'être développée spontanément, tandis que, dans
roduisirent, les faits dont je vais donner la relation. Le prisonnier parut avoir, pour la première fois, conscience du dange
traits, et, bien qu'il répondit aux questions qu'on lui adressait, il paraissait véritablement stupéfié par la peur. Or, sous nos
igner ici les principaux d'entre eux, non seulement parce qu'ils nous paraissent , en général, assez peu connus, mais encore et sur
ue. Les articulations des mains sont comme soudées ; les pha-langes paraissent raccourcies ; l'ongle a prodigieusement dis-paru,
des rayons éclai-rants? Non, ou du moins l'intensité de la lumière ne paraît jouer en ceci qu'un rôle secondaire. En effet, da
e. Restent les rayons dits chimiques; c'est cet ordre de rayons qui paraît être l'agent principal, essentiel des accidents.
ications. On n'aperçoit pas distinctement la substance médullaire qui paraît avoir pris les mêmes caractères que la substance
gements multiples, soit des éléments fusiformes allongés qui nous ont paru faire partie des éléments normaux du derme. Le pi
ulé : Ichthyose cornée congénitale chez un veau. Voici ce qu'il m'a paru renfermer de plus intéressant pour le sujet qui n
telle queNuman (d'Utrecht) l'a décrite et représentée. Les crevasses paraissent s'être faites au niveau de ces plis, à une époque
st en effet, dans quelques points, d'une épaisseur de 2 lignes, et il paraît composé de plusieurs couches stratifiées. Au fond
e dans sa texture. Les follicules et les bulbes pileux qu'il contient paraissent tout à fait normaux : mais la tige de la plu-part
nne était la plus épaisse et la plus opaque ; celles des plus petites paraissaient composées de deux feuillets. Le liquide contenu d
uisit sur son doigt jusqu'au point où les enveloppes de la tumeur lui parurent le plus minces et y pratiqua cinq ou six inci-sio
autres développés dans le tissu cellulaire sous-péritonéal du bassin, paraît difficile, sinon impossible, pendant la vie. Vo
'est développée dans le tissu cellulaire sous-périlonéal, le doute me paraît le partj le plus sage. L'observation de M. Cruv
le tissu CELLULAIRE SOUS-PÉRITONÉAL DU PETIT BASSIN. John Hunier paraît avoir attaché beaucoup d'importance à une observa
versé la paroi.de l'abdomen singulière-ment épaissie par ces tumeurs, parurent libres et exempts d'altéra-tion ; il n'y avait pa
rapporté la plupart des détails de cette autopsie, parce qu'il nous a paru intéressant de montrer comment ces kystes hydatiq
se à la pression. Elle est d'ailleurs séparée net-tement du foie, qui paraît entièrement sain. Quand on percute la tumeur, il
serait bien de nature à mettre sur la voie du diagnostic, puisqu'elle paraît être la règle, et la non-coïncidence de l'ex-cept
t ce fut par ces incisions qu'il fit pénétrer un doigt avec lequel il paraît avoir déchiré les parois du kyste: c'était explor
re par l'examen du côté gauche de la poitrine. Les poumons et le cœur paraissent complètement exempts de lésion. Aucun phénomène d
duits biliaires. Le canal cholédoque est extrêmement volumineux; il paraît distendu par une substance ayant la consistance d
on rencontre encore : 1° Une poche hydatique, de moyen volume, qui paraît avoir pris naissance dans l'épaisseur du lobe d
de certains organes, et en particulier dans celles du foie? Il peut paraître assez singulier, au premier abord, de ren-contrer
cules calcaires chez quelques-uns de ces cestoïdes. Ce fait cependant paraîtra moins inattendu, si l'on se rappelle que des cris
n soit, l'organe et le tissu dans lesquels se développe une hydatide, paraissent avoir une influence très réelle sur la génération
soit chez les animaux, dans la cavité des membranes séreuses, et qui paraissent s'y être dé-veloppées primitivement, n'ont jamais
ste ; elle sont à nu dans la membrane séreuse qui les renferme et qui paraît leur en tenir lieu. Les kystes pédicules, au cont
ance cérébrale, au pourtour de la cavité, n'est point ramol-lie; elle paraîtrait plutôt avoir augmenté de consistance et être comm
nt dans un état d'intégrité parfaite. Organes thoraciques.— Le cœur paraît être un peu augmenté de volume, principalement da
'une des colonnes charnues de la valvule mitrale, colonne charnue qui paraît avoir triplé de volume. La tumeur consiste dans u
on d'une lentille, l'autre plus petite, dont la paroi très amincie ne paraît guère être cons-tituée que par l'endocarde. A l
s vermicules. Parmi celles qui contenaient encore du liquide, l'une a paru renfermer quelques débris d'une membrane germinal
-ment des kystes séreux ou des cysticerques. Neuf cas seule-ment nous paraissent authentiques : dans la plupart de ces cas, comme
aussi des tubercules ramollis ou en voie de ramollisse-ment, mais ils paraissent en moins grand nombre. Le cœur est sain. Les
ratiquer; le foie et les reins ne sem-blaient pas malades ; l'estomac paraissait le siège d'une dou-leur fixe et continue qu'exasp
lade avait rejetée par le vomissement la veille de sa mort. Le foie paraît sain, d'un volume normal ; il est remarquable-men
les vomissements cessent alors complètement d'exister ; ils n'ont pas paru une seule fois pendant le dernier mois de la vie.
adhère intimement à la face inférieure du foie par des adhérences qui paraissent de très vieille date ; il en est de même de l'ori
aladies très diverses et dans lesquelles les viscères intesti-naux ne paraissent pas avoir été autrement intéressés. Pour nous, no
leurs assez peu profondément dans l'épaisseur du tissu splénique, qui paraît sain au voisinage. En écartant les bords de cette
bdomen était rempli, chez ce fœtus, prove-nait de la rate ; cela nous paraît peu contestable. Mais quelle a été la cause de la
. a donné l'histoire. Mais ici se présente une difficulté qui ne nous paraît pas pouvoir être résolue. La pre-mière chute a eu
émoigner de la puissance de la thérapeutique. C'est là une vérilé qui paraît avoir été reconnue de tout temps ; il ne faut pas
ey \ publiée en Angleterre, vers la fin du XVIIe siècle, que le terme paraît avoir reçu, pour la première fois, une acception
e que l'esprit est ainsi porté à admettre à priori, l'observa-tion ne paraît pas l'avoir démenti jusqu'à ce jour. La plupart d
est, en effet, alors le seul but de l'art. VIL Certaines maladies paraissent jusqu'à un certain point liées aux révolutions de
al. Les principaux buts que cette expérimentation peut se proposer me paraissent pouvoir se rattachera trois chefs principaux. 1
'expectation pure, il n'y a qu'un pas. C'est dans ce sens que Valleix paraît modifier son opinion, lorsqu'il examine dans les
point exagérer la gravité du pronostic de la pneumonie ; rien ne lui paraît démontrer pé-remptoirement que la pneumonie, aban
ans les salles par les boissons émollientes et les cataplasmes, et il paraît que sa mortalité fut très peu considérable ; on s
[en 1849 (Der Adcrlass in der Lnngenentzùndung. Wien, 1849), a fait paraître un travail basé sur des documents plus étendus da
publiées par les partisans de la médecine active. De ces faits, il paraît résulter que la pneumonie abandon-née à elle-même
airement à une terminai-son funeste : loin de là, sa marche naturelle paraîtrait la diri-ger, en général, vers la guérison. La mét
plus rapidement la pé-riode de fonte purulente, résultats qui ne nous paraissent rien moins que définitivement établis ; il convie
c-tive ; mais il y a en même temps des questions soulevées, et qui ne paraissent pas encore définitivement résolues. Nous l'avons
fréquemment à des doses fort élevées, et qu'il supportait ce-pendant, paraît -il, sans en éprouver d'inconvénients notables.
l'influence de l'emploi prolongé des pré-parations arsenicales, nous paraît établie suffisamment par tout ce qui précède, et
ans la série des symptômes de Yarseni-cisme chronique, l'anaphrodisie paraît devoir être comptée au nombre des plus tardifs :
es cautères sur la région dorso-lombaire et la faradisation elle-même paraissent avoir eu parfois ce résultat. On voit donc combie
commencement de restauration. C'est là une interprétation qui nous paraît très naturelle 1 ; mais, quand même elle serait c
gauche que dans le droit ; mais même du côté gauche, la contractilité paraît bien inférieure au degré nor-mal. Les membres sup
adie, il faut signaler encore une salivation très abondante qui avait paru presque dès le début, et une suspension de la men
e. La contractilité musculaire, examinée à l'aide de l'électricité, paraît un peu affaiblie. La faradisation des muscles est
s la voyons, pour la première fois, elle n'a plus quitté le lit. Elle paraît , d'ailleurs, pendant cette période de deux ans, n
nuit. — La sensation habituelle de froid dans les mem-bres inférieurs paraît avoir tout à fait disparu. — La station et la mar
elques pas dans la salle, soutenue par une aide. Ce petit exercice ne paraît pas produire de fatigue. — On a continué sans int
nouveau à l'hôpital où elle subit trois applications de cautères qui paraissent avoir produit une ag- gravation très notable. U
s ont en commun, et d'in-diquer les principaux enseignements qui nous paraissent découler de leur étude. Dans ces cinq cas, ains
un fauteuil. La sensibilité de contact, de température, de douleur, paraît presque intacte ; cependant elle est légèrement o
s ; la malade se plaignait d'un redouble-ment de ses douleurs, ce qui parut devoir être attribué à l'action des pilules. Le
marquée des symptômes dans des paralysies des membres inférieurs qui paraissaient liées à la myélite. On comprend, d'après ce qui
on de l'argent dans la thérapeutique: car les propriétés de cet agent paraissent avoir été inconnues aux médecins de l'antiquité,
oup à des résultats que l'expérience devait confirmer plus tard. On paraît cependant avoir attribué, dans le principe, aux s
occupé la première place au point de vue thérapeutique. Angelo Sala paraît avoir été l'un des premiers qui aient fait usage
es choses ne se passent pas ainsi. Chez cet animal, en effet, la mort paraît résulter, non d'une asphyxie par écume bronchique
mort a pu être attribuée dans le cas précédent. Cette expérience nous paraît démontrer que ce n'est pas uniquement par un effe
s pouvoir agir avec celles de derrière. En même temps, la sensibilité paraît fort émous-sée ; on peut lui marcher sur les patt
d'irritation intestinale. Enfin, l'usage prolongé de cette subs-tance paraîtrait amoindrir l'intensité de la vie végétative; il y
, se diviser en trois périodes distinctes. 1° Au début, les malades paraissent supporter à merveille l'ingestion du nitrate d'ar
trate d'argent, dont le minimum, d'après nos propres recherches, nous paraît devoir être fixé à deux gram-mes, le sujet présen
guet, alors interne à la Salpètrière, est d'une haute importance : il paraît marquer l'instant où les organes ulté-rieurs comm
tion de 160 grains (8 grammes) de ce médicament : mais ce fait ne lui paraît pas suffisamment authentique pour entrer en ligne
même préconisé les vésicatoires (Biett). Mais aucun de ces remèdes ne paraît jouir d'une véri-table efficacité. On a proposé
urtour des follicules sébacés et des glandes sudorifiques. Les dépôts paraissaient s'être formés autour des points les plus riches e
ffectés. Dans les cas de paraplégie hystérique, le nitrate d'argent paraît avoir été quelquefois utile ; mais nous ne posséd
rmi les maladies les plus rebelles à toute espèce de traitement. Il paraît , au premier abord, impossible d'admettre l'action
z les enfants (Rueff). Dans la dyspepsie flatulente et le pyrosis, on paraît quelquefois en avoir retiré de bons effets, d'apr
fièvre typhoïde, ni dans le cas où la diarrhée est peu abondante : il paraît offrir alors plus d'in-convénients que d'avantage
qu'ici beaucoup de prosélytes. Dans le choléra sporadique, ce moyen paraît avoir été em-ployé avec quelques succès ; il semb
nde intensité de tous les symptômes. Or, dans tous ces cas, il nous a paru que la durée totale de la maladie avait été très
ques particularités observées pendant la durée du traitement qui nous paraissent dignes d'être relevées. Au bout de douze, vingt
trois jours après la cessation du traitement. La sécrétion cutanée ne paraît subir dans sa quantité aucune mo-dification appré
huit ou dix jours, un précipité blanc, floconneux, léger, qui nous a paru composé presque exclusivement d'urate de soude am
s montré exempt des dangers ou même d'inconvénients sérieux, et qu'il paraît digne, à tous égards, d'être soumis au contrôle d
6 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
s ardues, de questions d'autant plus redou-tables qu'elles avaient pu paraître un moment résolues, et qu'après mûr examen, il a
ard Schultze dans un des travaux les plus justement estimés qui aient paru sur la matière 2. Cette planche (Fig. 2) représ
s qui le constituent. Au milieu d'une gangue conjonctive embryonnaire paraissent creusés des conduits, sans paroi propre bien dist
ue. Un résultat acquis par M. Kùtlner dans ses recherches et qui me paraît mieux démontré que le précédent, c'est que, chez
mplet et très régulier. Il n'y manque pas une cellule et celles-ci ne paraissent pas avoir augmenté no-tablement de volume. On ign
r M. Friedlander, 26 sont morts spontanément du 1er au 18° jour. Il paraît bien établi, ainsi que Traube l'avait avancé, que
faitement caractérisée, sa charpente de fibres élastiques. Ces parois paraissent tapissées par un revêtement continu de cellules q
altération me semble être beaucoup plus fréquente que les auteurs ne paraissent l'admettre; j'ai eu, 1 Thaon. — Recherches anat
laissant écouler à peine une petite quantité d'un liquide clair. Elle paraît habituellement, quand on l'examine avec attention
remarquable dans l'histoire de la bron-cho-pneumonie chronique, vous paraîtra sans doute encore plus digne d'intérêt lorsque je
stoire anatomique des boncho-pneumonies chroniques. Mais le fait vous paraîtra , sans doute, plus digne Fig. SO. — Schéma d'une
ans, dans mon exposé et sur les pré-parations du cours pratique. Elle paraît être, dans l'histologie du petit rein rouge, un c
e attention et la cirrhose broncho-pneumonique. Le rapprochement vous paraîtra peut-êLre plus saisissant si je vous remets en mé
e leur côté, dans l'épaisseur du mésoblaste. Le mode de développement paraît être le suivant: de la partie anté-rieure de chaq
faits qui permettront d'éta-blir le parallèle que j'ai en vue, il me paraît indispensable de rappeler quelques traits de la s
ations bien profondes, les parois des grosses artères en particu-lier paraissent saines. Quant aux glomérules de Malpighi, il es
sons de multiplier et de varier cette expérience que le cochon d'Inde paraît très bien supporter. L'anatomie comparée permet
e qui forme l'épithé-lium dont il provient. C'est sur ce modèle que paraissent se former certains can-cers, —- tous les cancers
iguë. Telle est aussi la pneumonie chronique inter-lobulaire qui me paraît devoir être rattachée à l'inflammation des lympha
de la clinique et de l'anatomie pathologique. Une autre remarque me paraît encore nécessaire. Quelques auteurs frappés des c
llissement, a succédé l'induration; on a noté aussi, dans les cas qui paraissent correspondre à des phases un peu plus avancées de
ant çà et là les granulations sont effacées^ et la surface de section paraît lisse et plane. La substance exsudée est plus abo
longuement. Nous ferons remarquer seulement que l'induration jaune ne paraît pas exiger, pour se constituer, plus de temps qu'
nt, qu'une très petite quantité de liquide séreux. — Un caractère qui paraît avoir frappé tous les auteurs, et qu'ils ont pour
ie du tissu lamineux qui sépare les grands et les petits lobules. Ils paraissent être surtout marqués dans les cas d'induration pl
ssant après eux des amas pigmentaires. Alors le parenchyme pulmonaire paraît presque complètement composé de tissu conjonctif
s altérations pulmonaires dans la pneumo-nie chronique simple ne nous paraissent pas pouvoir être résolues quant à présent d'une m
cas de gangrène du poumon observés par cet auteur, il y en a neuf qui paraissent avoir succédé à une pneumonie chronique avec indu
ueillie par nous, il y a plusieurs années, à l'hôpital de La Charité, paraît établir que la gangrène pulmo-naire peut se dével
al pendant un mois. La maladie en question a été désignée, à ce qu'il paraît , sous le nom de bronchite. Le malade est sorti in
que le soir. Le 25, les crachats sont redevenus très abondants, ils paraissent muco-pu-rulents, verts, arrondis et présentent à
l'ouverture de la poi-trine, les parties antérieures des deux poumons paraissent forte-ment distendues par l'air et d'une colorati
environ moitié moins volumineux qu'à l'état normal, il est pesant et paraît à l'extérieur d'un brun rouge foncé. Une coupe es
lumineux, au milieu de ce tissu condensé, dans l'épaisseur duquel ils paraissent comme sculptés. Les premiers ne sont nullement di
cules, soit dans les poumons, soit dans les autres organes. Il nous paraît infiniment probable, d'après l'ensemble des faits
sein même des parties in-durées. 6. Avenbrugger et Gorvisart1 nous paraissent avoir décrit sous le nom de squirrhe du poumon, c
ent anfractueuses, irrégu-lières, dénuées de fausses membranes; elles paraissaient for-mées par le tissu pulmonaire lui-même, on y v
matière mélanique. On voit les bronches aboutir à ces cavités qui me paraissent évi-demment formées par la suppuration et le ramo
une fonte gangreneuse (obs. I). Enfin, dans d'autres cas, la gangrène paraît être pri-mitive et précéder l'ulcération. Les rel
lle débute avec des commencements obscurs, insi-dieux. Le premier cas paraît être le plus fréquent ; telle est du moins l'opin
e, ou encore l'expectoration soudaine d'une grande quantité de pus *, paraissent seuls pou-voir la révéler. Il n'en serait pas de
res circonstances, la durée de la maladie est beaucoup plus longue et paraît pou-voir dépasser une année (obs. I). Les malades
les poumons (obs. III). — Cependant, la pneumonie chronique ulcéreuse paraît être plus rapidement fatale que les autres formes
uffle bronchique mêlé de râle sous-crépi tant. Le murmure vésiculaire paraît affaibli au niveau de la partie postérieure du lo
partie postérieure du lobe inférieur; on le perçoit cepen-dant et il paraît mélangé de râles muqueux fins. Réaction fébrile d
t disposées. Il ne s'en écoule qu'un peu de liquide jau-nâtre, lequel paraît venir surtout des bronches. Celles-ci ne sont nul
notique. Les derniers cloisonne-ments, visibles seulement à la loupe, paraissent marqués non plus par des tractus fibreux seulemen
respiratoire, normal ou anormal, s'observe quelquefois, ce phénomène paraît en général dépendre de l'obstruction des tuyaux b
monies chroniques. Celte opinion à été souvent reproduite, mais il ne paraît pas qu'elle ait été justifiée par des observation
ue, déterminé pardes maladies antérieures ou même en pleine activité, paraît avoir aussi une certaine influence. Ainsi, suivan
ou hépatiques, avec ou sans hydropisie et dégénération rénale. Bright paraît avoir rencontré quelquefois la pneumonie chro-niq
eu-monie chronique. Dans ces deux cas, les symptômes thoraci-ques ont paru être influencés favorablement par le traitement s
à présent, cette maladie a été observée surtout chez l'adulte ; elle paraît être très rare dans l'enfance (Barthez et Rilliet
lesse qu'à toute autre époque delà vie; cela est possible, mais il ne paraît pas encore démontré qu'il en soit réellement ains
les corroborants pourraient trouver leur application. — Si la maladie paraissait liée à la syphilis, un traitement spécifique sera
M. Lagneau, et auquel nous avons déjà fait allusion, ce traitement a paru avoir une influence réelle. — Nous avons parlé dé
rhale. Bans l'autre cas, les premiers accidents thoraciques avaient paru quatre ans avant la mort. Il s'agit d'un enfant d
ronique décrite par Corrigan, sous le nom de cirrhose du poumon, nous paraisse un peu hypothétique, nous en avons tracé les prin
ement dilatées. Tels sont les caractères cl is fi actifs qu'il nous a paru important de faire ressortir. Dans des cas sans
ion VIe du travail de M. Earth offre un exemple de ce genre : il nous paraît probable que dans ces cas, le travail phlegmasiqu
et l'augmentation de consistance des tissus qui existe en pareil cas, paraît reconnaître principalement pour causé l'accumulat
Beale et Bennet(d'£din-burgh)2, les lésions du parenchyme pulmonaire paraissent être le résultat d'un travail d'exsudation et ell
que les pneumonies se multiplient. Du reste, la rareté de ces faits paraîtrait sans doute moins grande, si l'observation de la v
mphangite pulmonaire. Or, dans tous ces cas, le tissu de la plèvre ne paraît pas sérieusement affecté: faut-il admettre qu'il
t et communiquées à M. Charcot, par M. Tapret, in-terne des hôpitaux, paraissent aussi appartenir à ce genre de pneumonie chroniqu
et les alvéoles péribronchiques avec leur contenu !. 1 Ce travail a paru dans la Revue mensuelle de médecine et de chirurg
formes sui-vantes : 1° Pneumonokonioses anthracosiques. — La lésion paraît ici surtout produite par l'introduction de partic
a lame, la surface ou la pointe de divers instruments métalliques. Il paraît que la profession n'est devenue insalubre que dep
oniques. Dans bon nombre de cas, il faut bien le dire, l'état général paraît lié à d'autres conditions encore plus ou moins dé
antes ne reconnais-sent pas ce mode de formation ; mais cette origine paraît être fréquente, surtout dans le tubercule, et l'a
tde 40° le soir. Une angine diphléritique survenue vers le 12e jour paraît avoir déterminé la terminaison fatale. L'autopsie
part confluents. Dans l'intervalle de ces nodules, le tissu du poumon paraît aéré par places, sain ou seulement congestionné,
il y a lieu d'y distinguer deux régions: 1° Région centrale; celle-ci paraît constituée par une substance homogène, translucid
broncho-pneumonie vulgaire. Ainsi, sur certains points, les alvéoles paraissent comblés par des cellules épi-théliales pulmonaire
la dégénération caséeuse des produits d'exsuda-» tion pneumonique me paraît tout à fait compromise ; je » pense, en d'autres
oit, dit M. Charcot, en terminant cette » série de leçons, rien ne me paraît mieux établi que l'exis-» tence de la tuberculose
nte, d'un aspect lout-à-fait spécial. Ces formations, il est vrai, ne paraissent pas appartenir en propre au tubercule : du moins,
culisation miliaire aiguë, simu-lant le typhus, et dans lequel on vit paraître sur le tronc et sur les membres de nombreuses pét
titre de maladie primitive et indépendante, sont peu communs, et ils paraissent devenir chaque jour de plus en plus rares, à mesu
e, par exemple, mais surtout du foie, ces organes dont les fonc-tions paraissent avoir sur la constitution du sang une influence s
istaient en un tissu solide, difficile à écraser, cassant, élastique, parurent à l'examen microscopique constituées par une mati
hent cependant, par plus d'un trait, de celle qui nous occupe. Il m'a paru que, dans les cas où les douleurs se sont montrée
lli, dans ces derniers temps, un certain nombre d'observations qui me paraissent propres à établir que, dans ces mêmes circonstanc
iellement de celles qui ont été antérieurement publiées ; elle nous a paru surtout intéressante en ce qu'elle fait bien conn
ou. Malgré l'altération qu'a évidemment subie la nutrition, le malade paraît encore fort et assez vigoureux. H répond nettemen
ux. H répond nettement à toutes les questions qu'on lui pose, mais il paraît d'une irritabilité excessive. Il parle sans cesse
rouver au malade qu'un senti-ment de gêne, dont nous avons parlé, qui paraît dû à son poids, et qui est surtout remarquable pe
s 19, 20 et 21, le malade mange d'un bon appétit; pendant le jour, il paraît calme, et ne donne aucun signe d'aliénation men-t
à Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 21 demi coagulé, qui ne paraît pas beaucoup comprimer le cerveau. Le cerveau est
, ou plutôt rouge brique, très singulière, il est fluide, trouble; il paraît mélangé de petits corpuscules blan-châtres, presq
du siège et de l'étendue des lésions. Ces lésions et ces symptômes ne paraissent pas devoir constituer une maladie primitive et ay
ent, elles s'agglomèrent au nombre de 2 ou 3, ou même plus encore, et paraissent alors enveloppées d'une substance hyaline, transp
me et de l'absence habituelle d'un noyau distinct, ces corpuscules ne paraissent avoir avec les cellules proprement dites que des
parenchymes, par exemple, ou dans les intervalles des cellu-les, que paraissent siéger surtout les corpuscules pigmen-taires qui
ndes lym-phatiques, les membranes muqueuses, le poumon ; mais elle ne paraît pas y exister jamais à un degré très marqué. 1
et d'autres encore dont l'exposition nous entraînerait trop loin, ont paru suffisants pour faire admettre que les cor-puscul
te des maladies les plus diverses, et dans lesquelles la mélanémie ne paraît avoir joué aucun rôle ; mais les faits de ce genr
ravages1. L'action directe du poison morbide sur les centres nerveux paraît suffire à elle seule pour produire les désordres
1 Torti. — Therapeutice apecialis, p. 128. Venise, 1743. celles qui paraissent dépendre d'une sorte d'apoplexie séreuse et sur l
que. Les troubles cérébraux dépendraient-ils, ici, ainsi que l'auteur paraît disposé à l'admettre, d'une atrophie delà substan
même qu'elle date de loin et quelle est très pro-noncée, n'engendre, paraît -il, que bien rarement des modifica-tionsunpeuprof
s pigmentaires du cerveau et des reins sont à peu près les seules qui paraissent pouvoir se révéler par des symptômes particuliers
ent dans la rate et dans les vaisseaux lymphatiques reste, à ce qu'il paraît , toujours latente. — L'ob-struction des vaisseaux
ronzée de la maladie oV Addison: celle-ci serait-elle, comme celle-là paraît l'être, sous la dépendance d'une altération pigme
u explicite des auteurs: la coloration anormale, en cas de mélanémie, paraît être uni-formément répandue sur toute l'étendue d
signalés. Aucun détail ne doit être négligé: telle particularité qui paraît aujourd'hui de mince valeur deviendra peuL-être p
s tout à fait blancs et décolorés. — Les reins, assez volumi-neux, ne paraissent pas altérés. — Les ganglions lymphatiques, exa-mi
re heures après la mort, le cadavre est encore chaud : la température paraît élevée, surtout au moment où. la main est introdu
pparents, et en les contractant un peu. Les granulations des noyaux paraissent devenir aussi plus accentuées. b) Globules blan
res ou très légèrement colorés par le reflet des globules rouges; ils paraissent , au premier coup d'œil, être constitués par des t
celles des globules blancs. Ces cristaux, quoique assez résistants, paraissent avoir cepen-dant une certaine fragilité. Il arriv
nt, à cause de la matière granuleuse qui remplit les cellules, et qui paraît aussi très abondante dans la cavité des tubuli. O
oser les résultats pré-sente deux particularités principales qui nous paraissent avoir un certain intérêt : l'une est relative à l
forme ces cristaux est, eneffet, en dissolution dans le sang, et elle paraît demander un temps assez long pour passer à l'état
de bruit de fluctuation thoracique; pectoriloquie. Le poumon gau-che paraît sain dans toute son étendue. Volume normal du cœu
Rien à noter du côté des intestins ; pas-dedévoiement. Les deux reins paraissent d'égal volume, mais tous deux semblent avoir subi
rouve pas de fièvre le soir; il n'a pas de sueurs-tiocturnes. Sa peau paraît , quand on la touche, au-dessous de la température
ur ou de consistance. Le ventricule droit qui, avant d'être ouvert, paraissait un peu distendu, est rempli par une concrétion po
res. Aucune des tumeurs appendues aux parois ventriculaires ne nous à paru pleine, mais dans quelques cas, la matière conten
on remarque qu'elle est com-posée : 1° d'une substance amorphe qui ne paraît être autre chose que de la fibrine désagrégée; 2°
concrétions avec matière puriforme de notre deuxième catégorie qu'il paraît avoir rencontrées le plus souvent. Il ne donne pa
egré en général très avancé (excavalion). Le cas rapporté par Laënnec paraît seul faire exception, car ici les tubercules étai
oncrétions cardiaques dites suppurées. Mais cette dis-tinction pourra paraître assez importante peut-être, si l'on considère que
la Soc. de Biol., avril 1851, p. 46), les petites veines des méninges paraissent comme remplies de pus; elles ne contenaient cepen
au moins par l'aspect, à du pus phlegmoneux. Cette deuxième variété paraît correspondre à un degré plus avancé de la maladie
tracture et qui fré-quemment la précèdent ou lui succèdent. — Il nous paraît pro-bable que la lésion organique du cœur n'a pas
uquel nous avions cru devoir nous arrêter. Ces lésions multiples nous paraissaient pouvoir expliquer tous les symptômes observés pen
que n'a pas été fait. La rate est normale. L'estomac et les intestins paraissent sains dans doute leur étendue; leur mem-brane muq
ormal. Il n'a pas contracté d'adhérences avec le péricarde. Sa pointe paraît arrondie, obtuse et présente une coloration d'un
e aucune particularité dans sa forme extérieure. Les ca-vités gauches paraissent seulement un peu globuleuses et comme distendues.
s globules graisseux y prédominent. Les parois du ventricule gauche paraissent légèrement épaissies fig. 44 et 45. — Eléments
et l'endocarde, elles ont à peine 3 millimètres d'épaisseur. Là elles paraissent uniquement constituées en dedans par l'endocarde
ions que dans les points où il est en contact avec le kyste auquel il paraît uni dans certains points par des lamelles cellule
numérale, mais, à mesure qu'il s'éloignait du centre circulatoire, il paraissait moins organisé et de formation plus récente. Dans
s aisément, mais la déglutition se fait avec lenteur. L'intelli-gence paraît très nette, il n'y a pas de surdité. Elle nous fa
r son séant, comme pour mieux respirer. L'œil est hagard et la malade paraît en proie à une vive anxiété. La peau n'est pas ch
s les jambes. Le pouls est toujours insensible. La matité précordiale paraît plus étendue encore que les jours précédents. Les
avec les caillots et l'origine des artères. L'augmentation de volume paraît appartenir exclusivement au ventricule gauche;
ue par une incision parallèle au sillon intervenlriculaire, la cavité paraît alors très vaste, et comme globuleuse; la plus gr
seur (1 cent. J/2) ne présente plus du tout l'aspect musculaire; elle paraît constituée par un tissu fibrineux, résis-tant, na
centimètre. La face interne est recouverte de plaques calcaires; elle paraît , du moins en certains points, re-couverte d'une m
Ces végétations examinées au micros-cope par M. Lebert et M. Davaine, paraissent essentiellement composées de fibrine à l'état amo
t aussi larges qu'une pièce de un franc. De ces ulcérations, les unes paraissaient en pleine activité et étaient entourées d'une aur
ie, 1861, p. 205. — En collaboration avec M. Vclpian. s Cette forme paraît correspondre à Yendocardite gangreneuse de M. Bou
tutifs de l'endocarde, cellules plasmatiques et tissu in-termédiaire, paraissent d'abord, dans une étendue variable, infiltrées d'
enfin en un détritus de consistance pultacée qui, sous le microscope, paraît opaque, finement grenu, résiste à peu près absolu
le peut en expliquer le développement et à laquelle conséquem-ment il paraît se rattacher à titre d'affection secondaire. Le
céreuse typhoïde, il nous reste à faire remarquer que cette affection paraît se développer surtout chez des sujets débilités,
enant chez des individus cachectiques 2; que quelquefois, enfin, elle paraît s'être établie d'emblée, sans avoir été précédée
litz. Le 6. Même état à peu près que la veille. Le bruit de souffle paraît bien plus faible que la veille. On n'a pas conser
ade ne se rappelle pas s'il a uriné, s'il a été a la garde-robe et il paraît cependant qu'il a uriné et qu'hier il a eu une se
arde-robes, malgré l'eau de Sedlitz qui n'a pas été vomie; la rate ne paraît pas avoir un volume consi-dérable ; on avait déjà
sée de petits mamelons gris blanchâtre, assez faciles à dé-tacher qui paraissent constitués surtout par des dépôts de fibrine, et
tion, la cé-phalalgie, le météorisme abdominal sont des symptômes qui paraissent prédominants; ils semblent indiquer une fièvre ty
avers du canal congenial de communication interventriculaire. Mais il paraît certain que la perforation d'une des valves de la
oumons. C'est du moins là le mode de production de ces abcès qui nous paraît le plus probable. Malgré l'incontestable analogie
aillots, dans les veines situées loin du centre circulatoire, il nous paraît bien difficile de l'in-voquer, du moins à titre d
lungen zur Wissenchaft. Mcdicin, p. 219. Frankfurt, 1856. 2 II nous paraît inutile de rappeler ici que c'est à M. le docteur
térante. Une étude complète et régulière de ce genre d'accidents nous paraît être encore à peu près im-possible dans l'état ac
l'organe ont 9 centimètres d'épaisseur environ. Le tissu de l'organe paraît d'ailleurs tout à fait sain. La membrane muqueuse
du ligament large, être prise, tout à coup, à un moment où la maladie paraissait en voie de guérison, sans l'interven-tion d'une c
i avait été affectée d'un œdème douloureux fort grave ; les symptômes paraissaient s'amender depuis quelques jours, lorsque, en voul
, réaction fébrile intense. Au bout de trois jours, la maladie locale paraît rétrograder, mais le pouls reste très fré-quent.
servés du 12 au 25 juillet ; du 15 juillet au 3 août, la malade avait paru marcher vers la conva-lescence. Le 3 août a lieu
caillots fibrineux, sans altération primitive des parois artérielles, paraît devoir être observée, à la suite des affections l
re rheumatique. Il se plaignait de douleurs dans la cuisse droite qui paraissaient avoir leur siège dans les parties molles. Pouls u
caillot veineux. L'affection primitive, dans les cas qui précèdent, paraît avoir été la phlébite ; dans l'observation suivan
— Garçon de vingt-quatre ans. Fièvre typhoïde assez grave. Le malade paraît convalescent depuis quelques jours. Il a bien dor
par des con-crétions fîbrineuses est indiquée comme un fait isolé, on paraît avoir négligé d'explorer attentivement les divers
mp-son sur la mort subite dans l'état puerpéraldeux observa-tions qui paraissent contraires à la proposition dont il s'agit ; mais
fut facile el naturel. Tout alla bien jus-qu'au 30; elle marchait et paraissait en bonne sanlé : ce jour-là, en s'habillant, elle
peu volumineux. Il y a des calculs dans la vésicule biliaire. Le cœur paraît sain ; cepen-dant le tissu musculaire de ses paro
naire des fibres-cellules: mais elles sont si peu dévelop-pées, qu'il paraît douteux qu'elles possèdent un certain degré de co
illaires, renferment des éléments contractiles plus développés. 11 ne paraît pas que des recherches spéciales aient été faites
r un caillot sanguin ; il faut remar-quer toutefois que ces symptômes paraissent être, jusqu'à un eertain point, communs aux cas o
n-naissance commençaient à se manifester. L'état de la malade ne leur parut pas moins des plus alarmants et tout à fait déses
sance n'a guère dépassé douze à quinze minutes, bien que ce temps ait paru beaucoup plus long aux assistants. Dans l'hypothè
i dans « le bassin, aucun indice sensible d'une phlébite obturante, » paraîtront sans doute peu favorables à cette hypothèse. N'es
—Dans les cas bien avérés de celte maladie, les conditions suivantes paraissent avoir présidé à son développe-ment : 1° l'impress
quent de rencontrer à l'intérieur de l'aorte. Traitement. — 11 nous paraît inutile d'insister ici sur les moyens thérapeutiq
s sont si sou-vent liés aux affections valvulaires du cœur qu'il nous paraît bien difficile de reconnaître par l'auscultation
singulière propriété des tumeurs ané-vrismales ; la nutrition des os paraît être, en pareil cas, profondément altérée: ce n'e
odification dans la nature etles symptômes de la maladie. Mais ce qui paraît plus extraordinaire, c'est que l'ou-verture peut
qui intéressent les muqueuses {trachée, bronches, œsophage, intestin) paraissent assez souvent résul-ter d'une gangrène partielle,
le. Bien que plusieurs des distinctions admises par Walshe puissent paraître un peu subtiles, nous avons tenu aies re-produire
ent fondées sur des observations personnelles à l'auteur et il nous a paru utile de montrer, par cet exemple, combien de nua
ouvements, les im-pressions morales, le travail digestif, etc. Elle paraît atteindre son maximum d'intensilé lorsque la tume
thèse, des cas emprun-tés à Yalsalva et Santorini. Mais celte opinion paraît peu fon-dée. W. Turner a deux fois observé l'obli
connues. L'âge, le sexe, les professions, les climatsr les habitudes paraissent exercer une influence incontestable à cet égard.
dépôts alhéromateux ou calcaires. Cette dernière lésion, en effet, paraît être la cause la plus générale et la plus efficac
euvent seuls le caractériser avec certitude, est un problème qui nous paraît insoluble, malgré tous les efforts qu'on a tentés
isme de la crosse aortique. Il en est de même de la dysphagie, ce qui paraît étrange au premier abord ; mais il faut tenir com
on athéromateuse plutôt que d'un véritable anévrisme de l'aorte. 11 paraît cependant démontré que des guérisons ont été opér
re dans les cas d'anévrisme de l'aorte. Si ce mode de traitement ne paraît donner aucun résultat dé-finitif, il semble obvie
e l'emploi de la médecine Leroy, chez un de leurs malades. Ces moyens paraissent rentrer dans la théorie géné-rale du système débi
ment, qui n'ex-cluent pas au besoin la saignée, à titre de palliatif, paraissent avoir quelquefois réalisé des succès bien constat
olongé la vie du malade pendant treize jours. Quoique cette opération paraisse , au premier abord, assez conlraire à la logique,
onnées, que Nicholls appliquait au développement des anévrismes faux, paraissaient suffisantes pour expliquer la formation (d'ailleu
ans la veine cave supérieure. Ceux qui pénètrent dans les oreillettes paraissent occuper de préférence la crosse de l'aorte. L'o
ptée par Peacock, et par la majorité des auteurs allemands. Elle nous paraît aussi la plus satisfaisante de toutes. Figure 5
n anévrysme disséquant. Dans tous les autres cas, la cause de la mort paraissait étrangère à ce vice de conformation. On doit do
ations suivantes, qui ne sont pas mentionnées par Forstcr, ou qui ont paru depuis la publication île son ouvrage.— 53. Walsh
cules granuleux et des gouttelettes huileuses en grande abondance. Il paraît donc démontré, d'après ces faits, que la bouillie
plus d'un titre, qui fait l'objet de la présente communication, nous paraît pouvoir être rap-prochée des cas de claudication
audication permet de cons-tater les phénomènes suivants ; ces membres paraissent être le siège principal de la douleur, autant du
u-dessous de la partie oblitérée par la voie des collatérales, telles paraissent être, en résumé, les seules conditions nécessaire
uis en 1830, en Afrique, où il reçut une balle qui pénétra à ce qu'il paraît , dans le flanc droit, et ne put être extraite. De
ésentent à peu près les rapports de 1 état nor-mal, mais leur calibre paraît très manifestement rétréci, si on les compare, so
. — Les muscles de la cuisse et de la jambe droites ne nous ont point paru présenter d'altérations no-tables. En résumé, u
audication intermittente. Mais déjà, à l'époque où ces phénomènes ont paru pour la première fois, c'est-à-dire huit mois ava
question ailleurs. Quoiqu'il en soit, tout af-faiblis qu'ils puissent paraître , les traits essentiels et caractéristi-ques de l'
sie intermittente. Mais celte interprétation, déjà si vrai-semblable, paraîtra tout-à-fait légitime, si l'on remarque que toute
essous de la partie oblitérée, par la voie des collatérales. Telles paraissent être les seules conditions nécessaires à la. prod
ur toutes les parties du corps, à l'excep-tion de celle où elle avait paru déjà pendant la vie. Mais j'en reviens à la cla
. Rien à noter dans le péri-carde. Les poumons, palpés et percutés, paraissent tout à fait sains ; seulement ils sont emphysémat
e attentivement, au niveau des tâches jaunâtres, la substance du rein paraît conservée, en ce sens qu'on y observe à la loupe
r. Or, au microscope, les dépôts plastiques du rein et de la rate ont paru composés d'une matière amorphe conte-nant une fou
n cancéreuse de ces deux organes. Elle était sourde; son intelligence paraissait altérée, elle ne pouvait, en un mot, donner aucun
pen-dant une de ces syncopes qu'elle mourut. A Y autopsie, le foie paraît , à la coupe, semé d'une vingtaine de points noirâ
e sombre, est mar-bré de grandes taches verdâtres, dont quelques-unes paraissent contenir à leur centre du pus rassemblé en foyer.
s en différant, sous beaucoup d'autres (pyoïdes). Ces deux cas nous paraissent appartenir à un même groupe pathologique. La mult
s organes n'y fait reconnaître aucune lésion importante. Le cœur seul paraît volumineux; on y entend un double bruit de souffl
reuses. Les deux artères fémorales, examinées dans l'espace inguinal, paraissent 1 Extrait des Mém. de la Soc. de Biol., 1855, p
uand on pince la peau de ce membre, la douleur accu-sée par la malade paraît très vive, plus vive même que par le passé. Insom
consistants et adhérant assez intimement aux parois de l'artère, qui paraît fortement distendue. En certains points, l'adhére
dhé-rents, on aperçoit, par transparence, des plaques blanchâtres qui paraissent sous-jacentes, mais pas de véritables plaques cal
ute probabilité, n'étaient autres que des globules blancs du sang. Il paraît que ces globules résistent beaucoup plus longtemp
es sont loin d'avoir la valeur que le docteur Bochdalek leur prête. U paraît , en effet, bien démontré aujourd'hui, et les expé
véoles du poumon pour constituer l'infarctus hémorragique. Dittrich paraît surtout guidé, dans son étude de l'apoplexie pulm
ur des branches de deuxième, troisième et quatrième ordre. Mais il ne paraît pas l'avoir directement observée sur des vaisseau
rtain nombre. Cetle induration spéciale du parenchyme pulmonaire, qui paraît dépendre à la fois d'un travail d'exsudation et d
ment pro-pre aux affections organiques du cœur, de longue durée. Elle paraît exister constamment dans les cas où l'on rencontr
reconnaître les particularités suivantes : les cellules épithéliales paraissent très volumineuses ; elles renferment habituelleme
s élastiques ont conservé leur structure normale; les vaisseaux seuls paraissent quelquefois distendus par le sang. A ces caractèr
tivement à la pathogénie del'infarctuà hémoptoïque du poumon; mais il paraît être du moins le fruil d'études consciencieuses,
7 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
la dilatation. Cette altération scléreuse des artères de l'encéphale paraît être indépendante de l'athérome artériel ; elle p
, mais même de la majorité de ces hémorrliagies. Gull(l) ; ils nous paraissent avoir la plus grande analogie avec des dilatation
re qu'il a observé, mais il n'y voyait qu'un fait exceptionnel qui ne paraît pas avoir fixé son attention sur les conséquences
mplication d'une périartérite, périartérite diffuse dont l'étude nous paraît devoir précéder celle des anévrysmes miliaires eu
ux, plus nettement ovoïdes, qu'on observe quelquefois avec eux et qui paraissent appartenir àl'épithélium de la gaîne. Les premier
ans les capillaires vrais (capillaires du premier ordre de M. Robin), paraît être beaucoup moins intense que celle de l'advent
ow, ectasie qui a de si grandes analogies avec nos anévrysmes qu'elle paraît n'en différer que par le siège et par le rôle pal
a source de l'hémorrhagie sont tous défectueux. Le procédé qui nous a paru fournir les meilleurs résultats est le suivant. A
sme. On aperçoit par transparence le sang dont les éléments normaux paraissent mélangés à des amas granuleux. Si l'on presse sur
de la base sont athéromateuses. Le cœur un peu surchargé de graisse, paraît à peu près sain. L'aorte présente quelques plaque
très petits; ils ne pèsent ensemble que 125 grammes, mais leur tissu paraît normal. Obs. XIV. Salpêtrière, Saint Luc, 5. —
me. Les reins pèsent ensemble 205 grammes et leur substance corticale paraît un peu atrophiée. Obs. XXIV. Salpêtrière, Saint
supérieur gauche. Le lendemain seulement, le membre inférieur gauche paraît un peu paralysé. La malade meurt le 18 septembre
oix, dans l'hémisphère gauche du cervelet : son origine hémorrhagique paraît évidente. On découvre des anévrysmes miliaires ra
ils pèsent ensemble 140 grammes, mais ils ne sont pas granuleux et ne paraissent pas atteints cle néphrite interstitielle. Obs.
upture d'anévrysmes des troncs artériels de la base du cerveau, et il paraît l'avoir mis sur la voie d'une généralisation appl
pas été recherchés, nous avions trouvé autrefois (2) que les artères paraissaient saines 18 fois pour 100. La proportion des cas ou
rhagie cérébrale, une seule, en raison de sa présence constante, nous paraît mériter d'être considérée comme la cause véritabl
tissu feutré, sec, de couleur brune; au dessous le panicule graisseux paraissait partout imbibé de sang noir. Plus profondément, d
liquide abondant qui baignait de toutes parts les fibres musculaires, paraissait sous le microscope assez fortement coloré en roug
dice précurseur d'une mort très prochaine (1). L'ecchymose fessière paraît quelquefois deux jours, l'eschare quatre ou cinq
gnalerai comme un fait remarquable que l'eschare fessière unilatérale paraît propre à l'hémiplégie récente. Les eschares qui s
, p. 538-559.) 3. Loc. eil. dans les cas de convulsions Ioniques, paraît donc concorder avec la théorie. Que se passc-t-
horée alcoolique. De retour chez elle, cette femme, nous assure-t-on, paraissait jouir d'une bonne santé, lorsque, le 5 septembre
avec perte de connaissance et tomba lourdement dans son escalier. Il paraît que, quelque temps auparavant, dans la journée mê
iller un peu et à lui faire proférer quelques plaintes ; mais elle ne paraît pas comprendre ce qu'on lui dit, regarde en face
u n'est pas complètement abolie, car, lorsqu'on pince la malade, elle paraît éprouver de la douleur ; seulement, son attention
e ; la somnolence, toutefois, semble un peu moins profonde. La malade paraît entendre les questions qu'on lui adresse, et elle
en haut. Il n'y a pas d'écume à la bouche ; la perte de connaissance paraît être absolue ; la face devient légèrement violacé
Du 10 au 15 septembre, les accès ne se sont pas reproduits. La malade paraît se réveiller un peu ; cependant, elle ne peut pro
Le 15 septembre, sans qu'il y ait eu de nouveaux accidents, la malade paraît plus affaissée que les jours précédents. Pour la
ayant été enlevée, la surface extérieure de la dure-mère, mise à nu, paraît d'une teinte violet-foncé, surtout du côté droit,
es caillots qui y adhèrent faiblement ont été détachés par le lavage, paraît recouverte, dans tous les points qui corresponden
es unes des autres sans grand effort. La plus externe de ces lamelles paraît simplement accolée à la dure-mère ; on ne peut ce
étacher sans tirailler, puis déchirer de nombreux et fins tractus qui paraissent constitués par des ramifications vas-cufaires trè
ure-mère elle-même, soit à droite, soit à gauche de la grande faux, paraît dans l'état normal; seulement, elle semble plus v
, est prise, le S septembre, d'une nouvelle attaque, après avoir été, paraît -il, maltraitée assez gravement. Cette nouvelle at
l'hôpital ; à la suite de cette attaque, quia été très courte, il ne paraît être resté aucun phénomène de paralysie, du moins
l'hémorrhagie des derniers jours. Ainsi, voilà deux faits qui nous paraissent entièrement certains : l'un, c'est que l'hémorrha
ranes et de l'épanchement observés dans le cas actuel, que les choses paraissent se passer comme nous l'avons admis dans la majori
2° que l'hémorrhagie méningée, d'après un grand nombre de recherches, paraît devoir être considérée, le plus souvent, comme un
ui nous est propre, des cristaux d'hématoïdinc ; mais ce dernier fait paraît assez rare. Si ces cristaux proviennent incontest
l de même, dans tous les cas, des granulations colorées? Cela ne nous paraît pas démontré. De pareilles granulations, en effet
minent, concernant le mode de développement des néo-membranes ne nous paraît plus guère pouvoir être soutenue, au moins d'une
lumières de l'histologie pathologique. Le travail de M. Brunet nous paraît surtout remarquable à ces deux derniers points de
ant il contient, sur quelques faits de détails, des opinions qui nous paraissent discutables. Ainsi, pour M. Brunet, le sang, dans
; car, dans ces cas-là, le sang épanché au sein de la cavité séreuse paraît provenir de la rupture de vaisseaux nombreux et à
e prévoir. Les cas cle ce genre d'ailleurs relativement peu nombreux, paraissent être indépendants de la pachyméningite et ne rent
ici l'hémorrhagie. la relation entre les symptômes et les lésions ne paraîtra pas, ce nous semble, très difficile à établir : l
ce travail, l'histoire des hémorrliagies intra-arach-noïdiennes nous paraît conduire à certaines déductions thé-rapeuthiques
, elle peut être séparée très Facilement de la dure-mère, et celle-ci paraît tout à Fait saine; elle ne semble même pas conges
uosités, se sépare assez facilement de la substance cérébrale, qui ne paraît point ramollie ù sa surface. Sur ['hémisphère d
ines avant son entrée à l'hôpital, après sa dernière attaque, il a vu paraître une diminution de la sensibilité dans le côté dro
ible; le travail dure trois jours. L'enfant est mort, et même sa mort paraît dater de plusieurs jours avant l'accouchement. Qu
tainement été l'affection du pariétal. Sous quelle influence a-t-elle paru ? L'absence de toute manifestation syphilitique a
du foyer de ramollissement par des parties de substance nerveuse qui parurent être à l'état sain. La pièce anatomique a été mis
a question à débattre, elle provoque M. le docteur Auburtin à laisser paraître quelque peu d'inexpérience en matière d'histologi
sés chez les individus atteints de ramollissement ancien, ce symptôme paraît devoir être rattaché à une lésion consécutive de
bose artérielle par inopexie. XII. Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle
outefois, souffre, comme sa mère, de migraines. La matadie actuelle paraît avoir débuté vers l'âge de 48 ans. Avant cette ép
et s'accompagnaient habituellement de vomissements. Ils ont cessé de paraître vers l'âge de 48 ans. Jamais d'habitation humide
ons. Les douleurs fulgurantes, cependant, n'avaient jamais cessé de paraître à des intervalles assez courts ; vers le commence
articulaire. La peau était blanche, luisante ; la seule rougeur qui y parut était celle que déterminait l'application prolong
Un traitement mercuriel fut institué. Depuis cette époque, M. B... ne paraît pas avoir éprouvé d'accidents qu'on puisse rappor
. B... éprouvait des accès de douleurs fulgurantes, lesquels étaient, paraît -il, à peu près toujours suivis d'un peu de fièvre
ouleur en ceinture; parfois seulement un peu de rachialgie. La vision paraît n'avoir jamais été troublée; il n'existe pas de d
caractères que nous lui avons reconnus jusqu'à présent. Toutefois, il paraît s'y être adjoint quelques phénomènes qui s'écarte
à peine accusée. L'absence de fièvre, de rougeur et de douleur (1) paraît être un caractère à peu près constant ; et si dan
es des maladies spinales. L'arthropathie des ataxiques, au contraire, paraît être toujours postérieure en date à l'altération
8. pathie des ataxiques, le rapprochement pourra, au premier abord, paraître singulier ; mais il ne faut pas oublier que les t
u corps, une perturbation plus ou moins profonde des actes nutritifs, paraissent cependant se rapprocher foules par un caractère c
st encore à peine accusée. Mais c'est surtout le tégument externe qui paraît être le siège le plus habituel des accidents sur
aux et des nerfs périphériques dont quelques auteurs ont parlé, il ne paraît pas qu'elle ait jamais été régulièrement constaté
intensité exceptionnelle. Les douleurs, qui étaient vraiment atroces, parurent fixées pendant plusieurs jours sur le trajet des
e, car il lui manque encore l'appui de preuves décisives. Elle nous a paru cependant mériter d'être soumise, au contrôle d'o
ours. Ces douleurs sont surtoutintenses au membre supérieur, où elles paraissent occuper principalement les articulations. L'é-pau
rigidité proprement dite, pas de contracture. La douleur articulaire paraît être d'ailleurs à peu près continue, et elle exis
ent presque continues, occupent les parties intermédiaires du membre, paraissent suivre principalement le trajet des gros troncs n
e, il lui était devenu tout à fait impossible do parler, bien qu'elle parût avoir conservé la connaissance. On constate le ma
euse ; respiration précipitée, irrégulière. La température de la peau paraît très-élevée : une sueur visqueuse couvre tout le
dre, dans l'articulation du genou droit. Les cartilages diarthrodiaux paraissent avoir conservé le poli, la consistance et la colo
njection vasculaire. (PL IV, figure 7, A. B.) Les muscles du bras ont paru présenter des deux côtés les caractères normaux.
de ses membres; de plus, elle était de date récente à l'époque où ont paru les douleurs articulaires, puisqu'elle ne remonta
aminées comparativement offrent le contraste le plus frappant ; elles paraissent relativement très pâles et présentent d'ailleurs
exécuter à ce membre des mouvements passifs, la malade, bien qu'elle paraisse plongée dans un sommeil profond, donne des signes
roles inintelligibles. Ce sont surtout les mouvements de l'épaule qui paraissent douloureux. Ceux du coude et du poignet provoquen
e de l'hémisphère. Les circonvolutions sont élargies et de plus elles paraissent aplaties les unes contre les autres comme tassées
meur, qui a le volume et à peu près la forme d'un gros œuf de pigeon, paraît assez nettement délimitée. Elle est d'une consist
'examen hisiologique donne les résultats suivants : partout la tumeur paraît composée de cellules fusiformes, dites flbro-plas
ndantes dans les parties centrales et même, en certains points, elles paraissent s'être complètement substituées aux éléments cell
rations de cette dernière substance, colorées à l'aide du carmin, ont paru présenter des noyaux de la névroglie en plus gran
s diarthrodiaux présentent une coloration grise toute particulière et paraissent comme imbibés de matière colorante du sang. Ces d
l'état général était devenu des plus graves lorsque ces douleurs ont paru . Déjà une plaque ecchymolique, puis bientôt une e
vives dans les membres paralysés; de plus, elle a perdu l'appétit et paraît avoir la fièvre. En raison cle ces circonstances,
ations métacarpo-phalangiennes du pouce, de l'index et de l'annulaire paraissent surtout douloureuses. Au niveau de ces deux derni
l'articulation du genou sont douloureux. Cette jointure d'ailleurs ne paraît pas tuméfiée. Les autres articulations du même me
contour arrondi, comme dans l'état normal. Les noyaux clu sarcolemme paraissent dans les intervalles des faisceaux plus nombreux
ève aisément avec le dos du scapel et qui, portée sous le microscope, paraît en grande partie composée de minces filaments fib
suivants: En premier lieu, les douleurs articulaires ont commencé à paraître , dans ce cas encore, à l'époque môme où se déclar
tés intellectuelles; selles involontaires. Le membre supérieur gauche paraît un peu plus faible que le droit; la malade peut c
che à sa tête. Les articulations du bras et de l'avant-bras gauche ne paraissent pas être le siège de douleurs. Le 16 février 1867
vagues et embarras notable dans la prononciation. La face et les yeux paraissent constamment dirigés vers le côté droit; rigidité
oqués dans les diverses articulations du membre supérieur paralysé ne paraissent occasionner que de légères douleurs. Cependant, l
gue sèche, pouls 108, peau chaude; soif. T. R. 38°, 4. — La malade ne paraît pas souffrir lorsqu'on meut les diverses jointure
aucoup plus rares (Pl. IV, fîg. h et o). Les deux nerfs médians ont paru présenter le même volume et la même coloration.
ets frappés d'hémiplégie, en conséquence d'une lésion cérébrale, nous paraît suffisamment établie, et nous pouvons essayer act
. Ilï). Les cartilages diarthrodiaux, les parties ligamenteuses n'ont paru présenter jusqu'ici aucune lésion concomitante, d
ment du cerveau qu'à l'hémorrbagïe infra-encéphalique, cette arthrite paraît se développer de préférence à une époque assez bi
Leçons sur les maladies des vieillards, etc. Paris, 1890, p. 186), me paraissent relever surtout de l'influence de l'immobilité lo
à les classer suivant leur effi cacilé relative. Ces tentatives ne paraissent pas, d'ailleurs, avoir eu de retentissement dans
proposée. Je me bornerai à indiquer quelques-uns des arguments qui me paraissent pouvoir lui être opposés. Je relèverai d'abord
is de l'embonpoint. Ses attaques n'ont pas disparu complètement, mais paraissent avoir diminué de nombre et d'intensité. Mais le p
la plupart, par divers observateurs, mais dont l'étroite connexité ne paraît pas avoir été jusqu'ici suffisamment relevée? M.
s, les malades entrent en catalepsie; les yeux restent ouverts, elles paraissent absorbées, elles n'ont plus conscience de ce qui
., sur foule la moitié droite du corps, je puis faire des piqûres qui paraissent monstrueuses aux gens non initiés à cette étude,
ur le disque de Newton que nous projetons sur cet écran. Le reste lui paraît gris ou blanc. Plaçons sur sa tempe droite un ban
Rivista sperimentale di Freniatria. Reggio, 1881). 3. A l'époque où parurent les premiers travaux de la Salpêtrière, le seul t
ux d'une appréciation beaucoup plus délicate, qui, pour le moment, ne paraissent se rattacher par aucun lien saisissable aux faits
t se montrer doués de leurs attributs les plus caractéristiques. Il a paru plus philosophique des'arrêter tout d'abord aux t
r l'élévation des paupières. — Le sujet cataleptisé est immobile ; il paraît comme fasciné. Les yeux sont ouverts, le regard f
mêmes les plus difficiles à maintenir, qu'on leur a communiquées. Ils paraissent d'une grande légèreté lorsqu'on les soulève ou le
nt sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet état paraît correspondre plus particulièrement à ce qu'on a a
t en généra] agitées de frémissements; abandonné à lui-même, le sujet paraît endormi, mais même alors, la résolution des membr
la Salpêtrière en 1878 (1). Grâce à elles, un certain nombre défaits paraissent aujourd'hui bien établis, entre autres : l'influe
rences cliniques, à l'hospice de la Salpôtrière, dont le compte rendu parut à cette époque dans plusieurs journaux : Progrès
le service de l'un de nous (Gharcot) à la Salpôtrière, a depuis fait paraître plusieurs travaux sur ce sujet : Revue scientifiq
grande partie à l'étude de l'hypnotisme et dont quelques extraits ont paru dans le Progrès médical, n"° 14 et 15, 1881, et d
agne et en France, au sujet de l'étude de l'hypnotisme. A l'époque où parurent les premiers travaux de la Salpôtrière, le seul t
ant les sujets, mais qui, malgré ces variétés individuelles, nous ont paru un des caractères les plus constants du sommeil a
ssez étendu de la jambe et à oscillations multiples. Ces oscillations paraissent produites par des contractions alternatives des m
ussitôt les modifications suivantes. En outre que le réflexe rotulien paraît plus intense, qu'il s'obtient à l'aide d'une exci
en opposition avec la loi de la symétrie. D'un autre côté, voici qui paraît conforme à la loi de l'irradiation : nous avons
propre du pouce. Ce dernier muscle, en raison de sa masse musculaire, paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'excitation
ître. Nous ajouterons qu'au sujet des points d'élection dont le siège paraît indiqué d'avance par la topographie nerveuse de l
nt d'élection marqué pour l'excitation électrique, le résultat obtenu paraît , de prime abord, en opposition avec les données d
rs de la phalange sur le métacarpien. Cette anomalie apparente nous paraît s'expliquer assez facilement par la présence, sur
tères du phénomène dans son plus haut degré de développement, il nous paraît utile d'insister un peu sur les variations qu'il
ulsion des globes oculaires. On y arrive cependant, mais le regard ne paraît pas bien fixe et au bout de peu d'instants les pa
sses des bras, analogues à celles du début de son attaque. La crise paraît imminente. Nous nous empressons alors de la révei
nts. La physionomie est impassible et expressive à la fois, la malade paraît absorbée. Ce visage est très vraisemblablement ce
e ; 3° Les membres gardent les positions qu'on leur communique. Ils paraissent d'une grande légèreté, lorsqu'on les soulève ou q
ro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et qui compte au nombre
les. 11 ressort des faits que nous avons pu étudier que cet état, qui paraît tenir à la fois et de la léthargie et de la catal
tate un degré de strabisme plus ou moins accusé, ou bien si le regard paraît direct, il est sans fixité et les paupières ont u
ble caractère d'hyperexcitabilité et d'état cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir de quelle manière l'état catalep
au phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Le membre qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un membre contra
les cas de mouvements volontaires de certains groupes de muscles, me paraît avoir son point de départ dans la moelle. Il est
que de la fibre musculaire en continuité avec la fibre tendineuse, ne paraît pas devoir prévaloir contre celle de M. Erb et de
ptique, soit même alors qu'il est en état de contracture. Ce qui nous paraît indiquer que ces divers troubles de la fonction m
la respiration est légèrement stertoreuse, le sommeil chlorofor-mique paraît profond. — L'excitation mécanique, aussi bien à l
logique — du phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire nous a paru mériter une étude à part. — Les deux autres phase
iré l'attention sur des phénomènes de contracture hypnotique qui nous paraissent devoir rentrer dans la catégorie des contractures
lente, et le début n'en est marqué par aucun phénomène convulsif. Tel paraît être le but cherché par les magnétiseurs, dont la
iques motrices pendant l'état de léthargie hypnotique. Ce fait nous paraît d'autant plus intéressant qu'il vient s'ajouter a
: soit 720 fois en tout. C'est là, dans l'espèce, un chiffre qui peut paraître considérable. En me fondant sur ces résultats, co
es, les secousses provoquées par l'excitation galvanique du crâne ont paru propres à l'état hypnotique. Pour ce qui est de
s obtenus dans celte série de recherches, tout contradictoires qu'ils paraissent , offrent cependant, je crois, quelque intérêt. Il
des communiquées complètement en rapport avec un sentiment donné nous paraît être relativement restreint. Aussi nous avons e
oduit. Le sourcil se contracte énergiquement, par exemple, et la face paraît courroucée, mais le reste du corps par son immobi
, par la manœuvre de M. Erlenmeyer, puisse être raccourci (ce qui lui paraît douteux), les résultats de l'expérience citée plu
de détails et nous renvoyons le lecteur à la note que nous avons fait paraître à ce sujet. Il nous suffit pour le moment d'attir
imentales les résultats sont différents et l'expérience suivante nous paraît particulièrement intéressante. Si pendant que n
vons laissé durer les contractures artificielles ; cela je le répète, paraît paradoxal et contraire à toute physiologie. Nous
lle. 11 n'existe pas chez lui de stigmates hystériques. Comme lecas paraît léger, nous espérons que, sous l'influence de l'i
la suite d'hypnotisations mal faites, inopportunes. Ces accidents me paraissent être surtout fréquents, chose remarquable, non pa
une machine de ce genre qui va fonctionner devant vous ; elle nous a paru s'adapter au plus grand nombre de cas ressortissa
un amendement plus ou moins du rable et quelquefois définitif. Ceci paraît conforme, vous le voyez, au principe de la métall
sieurs, que l'électricité statique, en dehors de l'hystérie, nous a paru apte à rendre de grands services dans une foule d
acture existait déjà, elle l'a fait disparaître. Une autre action qui paraît propre à l'électricité statique se voit dans la p
é pour la faradisation et la galvanisation, la plupart des alcaloïdes paraissent avoir une fâcheuse influence, lorsqu'ils sont adm
possibles ; la catalepsie est, dans cette forme, la période qui nous paraît manquer le plus souvent. — Dans d'autres cas, les
les hypnotiques qui présentent des propriétés somatiques; ces sujets paraissent ètreparfois aussiimpressionnables àlasuggestion q
-il, ils ne sont que l'œuvre de la suggestion: pour ce motif, ils lui paraissent sans importance et ne méritent pas d'arrêter long
enés à un état d'hypnotisa-tion plus parfait. Mais ces sujets ne nous paraissent pas assez sûrs pour servir à des expériences rela
liquer. La thèse de M. Bernheim a eu beaucoup de succès ; cela nous paraît facile à comprendre. Elle a, par-dessus tout, le
un soin et une sévérité tout particuliers. M. Bernheim, en effet, ne paraît guère prendre comme critérium de l'hystérie que l
e une observation qu'il a publiée en 1881 (3). Cette observation nous paraît capitale. 1. Rummo. — Riforma medica, 1888, n *
alpêtrière reposent, au contraire, sur des preuves positives qui nous paraissent absolument inattaquables. J'arrive maintenant à
rmes de l'hypnotisme sont sous la dépendance de l'hystérie,dont elles paraissent être une émanation. En ce qui concerne les form
........................... 156 XIV. Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moell
8 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
vaisseau avait été intéressé, mais les vaisseaux principaux examinés parurent sains : le sang viendrait-il des os fracturés? Ce
nd trochanter. Comment se rendre compte de l'hémorrhagie à laquelle paraît avoir succombé notre malade? En examinant la disp
3° il y a déplacement suivant la circonférence, et ce déplacement m'a paru , au moins dans un certain nombre de cas, le résul
ant les sexes. L'angle d'inclinaison du col sur le corps du fémur m'a paru presque identiquement le même chez la femme et ch
à Fautre fragment, tissu qui naît des cellules de l'os divisé, et qui paraît un développement de la membrane qui les tapisse.
'un ramollissement du cerveau : l'état d'hébétude et de somnolence me parut purement symptomatique. La malade ne pouvait être
fibreuse. Indépendamment de ce déplacement d'avant en arrière, qui me paraît expliquer la déviation en dedans, il y avait un d
tère fémorale sensibles à l'aine : l'existence de ces flexuosités m'a paru constante, et résulte du raccourcissement de la c
ne sais si je m'abuse , mais la fracture du col du fémur m'a toujours paru plus facile à reconnaître à l'aide des signes fou
iliaque antérieure et inférieure est sensiblement augmenté, ce qui me paraît tenir à ce que l'ancienne cavité cotyloïde s'étan
tié supérieure de la capsule fibreuse est de nouvelle formation et me paraît en partie constituée par les fibres du petit fess
oit récentes, soit anciennes, et dont je n'avais lu aucun exemple, me parut favorable à l'hypothèse d'une fracture du col du
à travers la peau, au niveau du grand tro chanter des inégalités qui paraissaient appartenir à une fracture. A l'ouverture, on trou
ueux. Ces pièces qui ont été présentées à la société anatomique ont paru à quelques membres établir l'existence d'une luxa
plète en bas l'ancienne capsule, qui, bien loin d'être atrophiée, m'a paru plus épaisse encore que dans l'état naturel, ce q
soumise, lui donne cette disposition fasciculée cireulairement qui me paraît exister constamment dans les luxations du fémur e
ne fût que comprimée et non altérée dans son organisation, la mort me paraît avoir eu lieu par asphyxie, par la diminution d'a
re, je trouvai, pour la première fois, la malade inondée de sueur; il paraît que ce phénomène existait depuis plusieurs jours,
n appartenant à un autre sujet, affecté de la même maladie et qui m'a paru présenter à son maximum les altérations qui sont
re du corps, ces concrétions d'urate et de phosphate de chaux, qui me paraissent le caractère pathognomonique de la goutte. Les
uelques-uns étaient à l'état de vestige. La rigidité articulaire me paraît devoir être étudiée ex professe- à côté de l'anky
pas nécessaire d'une force égale à celle de quatre chevaux, ainsi que paraît l'être celle du levier employé par ce médecin, po
isposition. Réflexions.—L'altération dont la description précède me paraît appartenir à la classe des dégénérations cancéreu
aient dans la tumeur de la fosse iliaque interne. Réflexions. Il me paraît résulter du fait précédent et de faits analogues
u étaient anévrysmatiques, se présenta incontinent à mon esprit et me parut le type du cas soumis à mon examen. Plusieurs de
l'état ci-des3us. Sur la fin de juin, une nouvelle tumeur pulsatile parut à l'épaule gauche, précédée et accompagnée de dou
soit qu'elles fussent implantées sur les os aux dépens desquels elles paraissaient formées, soit qu'elles fussent étrangères au syst
plus ou moins profondément cariée, ces tumeurs sanguines, dis-je, me paraissent devoir être rapportées à cette catégorie. 33^Li
osé dans les cabinets de la Faculté par M. le docteur Ménière. Il m'a paru curieux de rapprocher deux anomalies aussi parfai
e avec le cinquième métatarsien et avec un petit os rudinientaire qui paraît le vestige du quatrième métatarsien. Enfin M. M
nis, que présente l'ankylose congèniale. Uankylose congèniale ne me paraît pas encore avoir été étudiée d'une manière généra
unies. Le développement des arcs latéraux des vertèbres lombaires m'a paru moins avancé que de coutume, et les pariétaux pré
, il était relevé et cachait une ouverture infun-dibuliforme, qui m'a paru être l'orifice anal. Un stylet, introduit dans ce
ne petite saillie, qui a pour support un os. Cette petite saillie m'a paru sans importance. Les figures 4, 5 et 6, grandeu
ces membres supérieurs une direction perpendiculaire au tronc. Il me paraît donc positif que, si cet enfant eût vécu, il aura
ssait à deux canaux divergens, qui occupaient la base du crâne et qui paraissaient être un vestige des narines. • Quant à la dispo
e cloison complète entre la cavité crânienne et la cavité spinale. Il paraît constant que toute la partie cervico-dorsale de l
n'a présenté, dans le cours de sa grossesse , aucun phénomène qui ait paru digne d'être noté. Le fœtus est de petites dimens
: seulement à leur place, petit tubercule, en forme d'ergot, qui m'a paru être le vestige du clitoris. Les deux pieds se re
té supérieure au gros intestin , à l'aide de filamens fibreux, et m'a paru un vestige d'utérus ou mieux de demi-utérus gauch
, en forme d'ergot CR,seul vestige des parties génitales externes, me paraît un clitoris rudimentaire , auquel aboutissent les
partie de ces muscles qui est située au dessous de l'anus, et qui me paraît correspondre à celle qui s'insère aux ligamens sa
illée et des faits représentés planches 5 et 6, xxxiil6 livraison, me paraît devoir compléter l'histoire anatomique de la syré
. Ce fait vient à l'appui de la théorie que j'ai adoptée, et qui me paraît devoir prévaloir plus tôt ou plus tard dans l'exp
était fendillée, comme rôtie et souillée de sang ; et comme la malade paraissait être aussi bien que de coutume, la veille de l'in
glande sous-maxillaire était parfaitement saine, bien que la parotide parût empiéter sur elle. La veine jugulaire externe éta
nt. Les veines contenues dans l'épaisseur de la parotide ne m'ont pas paru enflammées. L'estomac et les intestins étaient da
arche de la maladie une influence salutaire, et en symptomatiques, me paraît en opposition avec les faits. Pour ce qui me rega
l propre à lever l'étranglement dans une maladie où l'étranglement me paraît jouer un rôle des plus im-portans. Dans tous les
ence une masse très considérable, spongieuse, pénétrée de pus, qui me paraît constituer la plus grande partie de la parotide.
u un seul exemple de parotide suppurée sans gangrène ; la gangrène me paraît le résultat de la structure extrêmement serrée de
les intrinsèques de la moitié droite du larynx, et cette atrophie m'a paru si complète et si remarquable, que j'ai cru devoi
ur résoudre cette question quant au cas actuel. Toujours est-il qu'il paraît démontré qu'il existe des rétrécissemens de l'œso
ntaire qui n'était pas rejeté par cette régurgitation non interrompue paraissait pénétrer, quelque temps après leur ingestion, à t
us particulièrement encore au duodénum , dont la première portion m'a paru prédisposée aux ulcérations chroniques. Dans le
e sorte dans la cavité péritonéale, prolongemens dont l'accroissement paraissait la conséquence d'un travail nutritif exagéré fixé
partenaient évidemment à une lésion identique. Ces taches noires me paraissent n'être autre chose que des cicatrices d'ulcératio
nt complètement étrangères à la formation de ce polype. Ces polypes paraissaient d'ailleurs formés par un épaissi ssementj une hyp
le duodénum. Ce cas a été recueilli dans le service de M. Husson ; il paraît que les accidens de rétention des matières dans l
omie pathologique que je considère ici cette altération ; mais il m'a paru intéressant de présenter parallèlement des lésion
gies de Vestomac. Les hémorrhagies de l'estomac (gastrorrhagies) me paraissent un point de médecine pratique, encore fort imparf
nombre de praticiens , tout le temps que le vomissement noir n'a pas paru , il y a doute sur le caractère cancéreux de la ma
eux, considérablement développés. Vus à la loupe, ces cryptes muqueux paraissent troués à leur centre. Quelques-uns sont entourés
s étaient creusées d'une cavité centrale, remplies d'un mucus qui m'a paru de même nature que le mucus tapissant les intesti
ation en kystes des follicules du tube digestif. Ge mode d'altération paraît n'avoir point encore été observé dans ces organes
culeux. « Depuis l'époque à laquelle cet article a été rédigé, il a paru dans le Journal des connaissances médico-chirurgi
t du développement des follicules de l'estomac et des intestins ne me paraît pas démontrer une relation de cause à effet entre
la malade me dit de suite qu'elle avait un cancer de l'estomac : elle parut peu satisfaite lorsque, dans l'espérance d'agir s
de cire qui se seraient aplaties : les tubercules et les taches m'ont paru développés au-dessous du péritoine. Le grand ép
et d'une autre part, à la présence d'une ascite. L'état de la malade paraît d'ailleurs désespéré. Douleurs abdominales, fièvr
on avec l'enfant. « Le fœtus n'est point renfermé dans un kyste; il paraît au premier coup-d'œil libre d'enveloppes (fig. i
du nez; l'oreille gauche est parfaitement dessinée, et son cartilage paraît ossifié; l'oreille droite est à peine visible. La
é, et qui vont s'insérer d'autre part au colon ascendant; elles m'ont paru organisées, car j'ai pu y constater la présence d
ec la graisse humaine. « Je dois faire observer cependant qu'il m'a paru renfermeren outre une petite quantité de cette ma
, ses ligamens, ses trompes T et ses deux ovaires O. — La vessie V ne paraît contenir aucun liquide. 70 Les membres supérieu
longs que ceux d'un enfant à terme, sont plus épais, leur consistance paraît plus grande; les épiphyses, quoique n'étant pas r
tonéale consécutive , il doit nécessairement y avoir un kyste, lequel paraît être constitué par le péritoine lui-même, doublé
euse. Les fibres circulaires de la tunique musculeuse du rectum m'ont paru également atrophiées dans toute la portion invagi
l, qui est très certainement consécutive au déplacement du rectum, me paraît devoir être une cause de la persistance de ce dép
sentait le point de réflexion du péritoine, point de réflexion qui me paraît fondamental dans ce cas, j'ai fait le sacrifice d
d'intégrité. Réflexions. — Les abcès du foie, dont la formation me paraissait si difficile à expliquer au moment où j'ai observ
eaux et tout prêt à recevoir les circonvolutions intestinales. Il m'a paru que, chez un certain nombre de sujets, le resserr
toute la ligne blanche, l'ombilic se maintient et résiste, « alors il paraît deux hernies, l'une au-dessus et; l'autre au-dess
urante à l'Hôtel-Dieu. Elle offrait à l'ombilic une tumeur énorme qui paraissait formée aux dépens de la plus grande partie des vi
Dupuytren n'ose pas tenter d'opération, tant l'état de la malade lui paraît désespéré. Elle mourut la nuit suivante. Avant
s hernies ombilicales multiloculaires et sur la correspondance qui me parut exister entre la tumeur droite et la tumeur gauch
oup plus difficile et toujours incomplète. La hernie inguinale gauche paraissait exclusivement formée par l'intestin grêle. La f
ie ombilicale ou plutôt une éventration congéniale dont l'histoire me paraît offrir le plus grand intérêt. L'enfant qui en e
. Il n'y a que la portion la plus ex-« térieure de ses enveloppes qui paraît avoir été frappée de gangrène. a Le 5, le pouls
t dans l'épaisseur même des parois de la poche. Cette disposition m'a paru constante dans toutes les éventrations congéniale
stérieure de la membrane, sans pouvoir en être séparé. Du reste, il paraît qu'un travail de séparation entre la poche et la
oisin, de Limoges, m'a remis un fœtus, dont l'éventration congénitale paraissait reconnaître cette cause; car cette éventration, q
creusée en quelque sorte dans l'épaisseur du cordon « ombilical ne me paraît pas démontrée d'une manière positive ; qu'il est
nt à la membrane muqueuse. Les mamelons que présentent ces tumeurs me paraissent formés aux dépens des papilles ou villosités : le
se sont concentrées dans un point fixe au-dessous de l'ombilic et ne paraissaient qu'au moment de la digestion. Elles étaient d'aut
a les deux extrémités de l'intestin parfaitement cicatrisées. « Elles paraissaient avoir été coupées en bec de flûte, et s'être ajus
. 4° Sur dix-neuf cas qui ont eu une terminaison funeste, la mort a paru onze fois la (1) Edinburgh médical and surgical
tion suivante, que j'ai recueillie en 1820 à l'hôpital de Limoges, me paraît propre à éclairer quelques-unes des questions rel
cularité assez remarquable, c'est que les deux portions d'intestin ne paraissaient pas naître immédiatement de l'anneau, mais bien d
nt incomplètement pourvues du sac herniaire. cours des matières, me paraissait une des causes de la persistance de l'anus contre
de l'intestin grêle sont généralement de peu d'éten-« due : elles ne paraissent avoir aucune gravité, et il serait même difficile
une d'inflammation, qu'on rencontre si souvent sur le cadavre, et qui paraissent le résultat de la perturbation dans le mouvement
Auguste Bérard et Hourman. Elle était superficielle, en sorte qu'elle paraissait siéger dans le tissu cellulaire sous-cutané : mai
vîmes alors que la cause de la sensation d'emphysème, qui nous avait paru si inexplicable, était dans l'accumulation d'une
doute, dans le plus grand nombre des cas; mais des faits positifs me paraissent établir qu'il n'en est pas toujours ainsi, et que
gus de ce canal. Un individu, affecté d'entérite folliculeuse aiguë , paraît convalescent : il se lève, il prend des alimens l
reuses ulcérations que présentait l'intestin grêle. Ces « ulcérations paraissaient dater d'époques bien différentes : il y en avait
ans les salles cette malade, accouchée douze jours auparavant, qui me parut dans l'état le plus grave : elle était exsangue,
ueur abondante et d'une douleur vive aux fosses iliaques, douleur qui parut indiquer l'emploi de deux onces d'onguent napolit
Sur le corps d'un enfant de cinq à six ans, mort d'une maladie qui paraissait avoir été très aiguë, j'ai trouvé que la partie i
n grain d'abord, puis de plusieurs grains; la fièvre tombe. Le malade paraît bien, très bien et je le crois hors de danger. Le
petites végétations polypeuses du volume d'un pois, et dont le tissu paraît sain. Toutes les fois que dans les altérations
erficielle, mais occupe toute l'épaisseur de la membrane; cet état me paraît être de la gangrène, bien que le tissu coloré ait
la suite de quinze selles à peine sanguinolentes, mieux notable, qui paraît se maintenir jusqu'au dernier moment. La mort, qu
corrugation, qui lui donnait la consistance d'un gésier de dindon. Il paraissait plein et comme tendu , et cependant il ne contena
sur les malades guéris ou convalescens, il y en a eu deux dont l'état paraissait aussi grave que celui des malades qui ont succomb
de plus en plus grande; altération de la face, qui, le 11, au matin, parut mériter l'épithète de cholérique. Selles toujours
muqueux isolés, d'ailleurs parfaitement sains. La surface de ces plis paraît rugueuse, ce qui résulte de la présence de petits
orme dysentérique de la phlegmasie de la muqueuse du gros intestin me paraît essentiellement liée à son siège dans le rectum.
aitement cicatrisés ou en voie de cicatrisation, à côté d'ulcères qui paraissaient en voie d'accroissement. C'est surtout dans le re
'elle est bien appliquée dans certaines irritations de l'estomac, m'a paru nuisible, au moins dans le plus grand nombre des
es douleurs sans produire aucune évacuation. Plusieurs fois le malade parut prêt à succomber, mais aussitôt que les évacuatio
. Depuis quelque temps, l'obstacle à la sortie des matières fécales paraissait diminué; les crises de rétention étaient moins cr
urs aucune espèce d'hypertrophie; de telle sorte que la cicatrisation paraissait aussi complète que possible. Du reste, point de t
stuleux le plus éloigné de l'anus , il le fit arriver à celui qui lui parut le plus proche, et,ayant substitué au stylet une
lens du foie et des poumons, et l'altération qu'elles représentent me paraît devoir être classée dans la même catégorie. La
ège de l'inflammation, et ce qu'on appelle hypertrophie de la rate me paraît n'être, dans bien des cas, que la conséquence d'u
. A cela je réponds que le sang, infecté par son mélange avec le pus, paraît traverser plus aisément le réseau veineux de la r
une cavité. Ses parois étaient extrêmement épaisses , fibreuses , et paraissaient formées de plusieurs couches superposées. Le tiss
avait été ouverte. Le lobe gauche était très considérable, ce qui me paraît tenir, non à une véritable hypertrophie, mais bie
tre aussi à certaines lésions du foie: à l'époque où la fièvre tierce parut , il devait y avoir long-temps que le foie, que la
loïde du foie (fig. i), 2° des foyers ou kystes gélatiniformes qui me paraissent la conséquence de kystes acéphalocystes du même o
e à leur vascularité: ainsi les unes sont couleur blanc de lait et ne paraissent contenir aucuns vaisseaux dans leur épaisseur, le
lement établi par l'atmosphère séreuse dont le foie est environné, me paraissent expliquer en partie l'isolement des lésions orga-
habituellement pour diagnostiquer les lésions du foie en général, m'a paru parfaitement applicable au cancer du foie, qui ne
nombre de points à-la-fois; de telle sorte que toutes ces altérations paraissent le résultat d'une infection générale de l'économi
ire veineux; que, de même que les abcès consécutifs à une phlébite me paraissaient le résultat d'une phlébite purulente consécutive,
ébite purulente consécutive, de même les foyers ou abcès cancéreux me paraissaient le résultat d'une phlébite cancéreuse consécutive
t à une femme qui a SLiccombé par suite d'un cancer mammaire : il m'a paru remarquable par son défaut de développement qui c
he. Leur tissu criait sous le scalpel à la manière des cartilages, et paraissait essentiellement fibreux; et cependant la pression
pés à pic, une cicatrice de bonne nature couvre sa partie interne. Il paraît en voie de guérison. Tout autour règne une indura
uc cancéreux qui sort à la manière du vermicelle. Bien que la mamelle parût adhérente aux parois osseuses du thorax, cependan
sible d'exprimer une seule goutte de suc cancéreux. Leur nature m'a paru entièrement fibreuse. Il en est de même d'une ind
r cas, la plèvre ou plus exactement le tissu cellulaire sous-pleural, paraît le siège de la maladie. Ces plaques, qui sont d'a
ai trouvé qu'un seul tubercule cancéreux : deux ou trois granulations paraissaient sur le point de subir la dégénération cancéreuse.
es caractères de l'infection cancéreuse portée au plus haut degré. Il paraît que la cicatrisation de la plaie, suite de l'opér
si elle avait été observée chez un individu non cancéreux, aurait pu paraître dénature tuberculeuse. Le poumon présentait çà et
tuberculeuse. Le poumon présentait çà et là quelques indurations qui paraissaient tenir le milieu entre la matière tuberculeuse et
jamais vu dans ce cas les concrétions d'urate et de | ' chaux, qui me paraissent caractéristiques des maladies goutteuses. XXIII
comme autant de rayons d'un centre occupé par une matière jaune, qui paraît avoir servi de noyau au calcul, attestent assez q
une escarre circulaire, située à une petite distance du calcul, m'ont paru répondre au nombre des crises éprouvées; et comme
es cataplasmes, des lavemens, la diète, des boissons adoucissantes me parurent seuls indiqués. Je fus appelé de nouveau le Ier
te pour servir de filtre. Le volume du foie reste stationnaire, et il paraît évident qu'il se fait, dans cet organe, un travai
g fétide ne s'écoulant qu'après un séjour plus ou moins long? Cela me paraît probable, et je suis fondé à admettre que la caus
forte ne développe aucune sensibilité. Les jours suivans, la malade paraissait en voie d'amélioration et même de guérison. L'ict
droit, au niveau de l'attache numérale du deltoïde. Cette tumeur, qui paraissait n'exister que depuis un an, était très sensible à
ce. Vain espoir, il ne sortit que quelques gouttes de sang. Le malade parut insensible à cette opération, laquelle n'exerça a
située au côté externe. Ces tumeurs, du volume d'un gros pois, m'ont paru développées aux dépens de la choroïde. Réflexio
eloppées aux dépens de la choroïde. Réflexions__Le cancer mélanique paraît avoir, à un degré bien plus considérable que le
explique parfaitement comment le cancer développé dans un point où il paraît primitivement local envahit successivement les di
peuse, sans fluctuation, sans bosselures, peu mobile sous la peau, et paraissait indépendante du corps thyroïde. Je crus à une tum
et abcès occupent la région de ce corps. Ce fait bien positif ne me paraît pas sans importance et sous le rapport physiologi
cette singulière altération ? Sans entrer dans cette question, qui me paraît insoluble, au moins quant à présent, je me conten
ait superficielles. Les lignes blanches qu'on voit à sa surface ne me paraissent autre chose que des vaisseaux lymphatiques oblité
ches les plus superficielles des poumons avaient été envahies. Il m'a paru que l'altération de la plèvre était consécutive.
les dans les fastes de l'art, et parmi ces observations, plusieurs me paraissent appartenir à des cas d'empyème circonscrit commun
pénible. Il ne se fit point d'exfoliation : les côtes frac-ce turées paraissaient n'avoir éprouvé aucune déperdition de substance.
e produit d'une ossification accidentelle. La première supposition me paraît plus probable. mécanisme de l'effort et son inf
taient situés immédiatement derrière l'ouverture du sac herniaire, et paraissaient prêts à se déplacer. L'ouverture de communicati
Reflexions. — La formation de ces hernies intercostales abdominales paraîtra toute naturelle, si Ton considère : i° que la par
ens échouent en général, je dois dire que, dans quelques cas, ils ont paru opérer, chez des malades qui paraissaient à toute
ire que, dans quelques cas, ils ont paru opérer, chez des malades qui paraissaient à toute extrémité, une sorte de résurrection. Mon
ie a été consécutive à la formation de cette caverne, dont une partie paraissait n'avoir pour parois que la plèvre épaissie. La
es granuleuses à leur surface. Examinées à la loupe, ces granulations paraissent n'être autre chose que des vaisseaux contournés s
résente des globules appréciables à l'œil nu. Ces trois tumeurs m'ont paru formées aux dépens de la substance cérébrale. R
ieurs, lors même qu'elle se termine par suppuration circonscrite , ne paraît exercer qu'une influence très indirecte sur la fi
as tardé à être amoindri et à être enfin complètement résorbé. Il m'a paru dans quelque cas que la circulation se rétablissa
scle brachial antérieur, était un foyer sanguin considérable, qui m'a paru pénétrer dans l'articulation; 2° derrière l'artic
sse qui remplit l'intervalle des aréoles. Quelques fibres tendineuses paraissent avoir échappé à la dégénération, et leur aspect c
irecte n'a pas confirmé ces prévisions de la théorie. Les valvules ne paraissent pas jouer un rôle bien prononcé dans la formation
e d'Apoplexie capillaire de la peau et du tissu cellulaire, et qui me paraît mieux dénommé phlébite capillaire hémorrhagique.
onchiques. Rien dans les autres organes. La muqueuse du gros intestin paraît comme truitée, chaque follicule présentant une co
ensité de la douleur, la chaleur de la peau et le volume du membre me parurent indiquer l'utilité d'une saignée au bras, qui don
le reste de la jambe présenta une légère tuméfaction jaunâtre : tout paraissait tendre à une guérison plus ou moins prochaine, lo
cipalement à son côté antérieur, le long des muscles extenseurs. Il paraît que depuis quelques jours cette malade accusait,
ute la circonférence du vaisseau. L'artérite latérale de l'aorte ne paraît avoir eu aucune part à la gangrène dans un cas pr
renées elles-mêmes, douleur que la moindre pression exaspère, elle me paraît le résultat, non de l'inflammation, mais d'une so
mittent, si bien que l'indication de l'administration du quinquina me parut évidente. Cette douleur, qui précède la gangrène
rcée sur le membre augmente les souffrances Le cinquième jour,le pied paraît complètement gangrené. Les douleurs se concentren
e plus en plus dur à mesure qu'on l'observait plus inférieurement. Il paraissait comme fibro-cartilagineux et confondu avec les pa
s sans succès. Les douleurs atroces qui accompagnent cette maladie me paraissent nécessiter l'emploi de l'opium que Potta, le prem
eines des membres supérieurs ont été injectées. Cette injection ne me paraît pas d'ailleurs d'une grande utilité dans ce genre
on ne pouvait le retirer sans déchirure. Le tissu propre du cœur m'a paru intact. Artère du membre supérieur gauche ( Côt
on putride, d'aucun changement de couleur. Celui de cadavérisation me paraît plus convenable. J'ai admiré dans ce cas la rapid
ur l'une de ces artères, incomplète sur l'autre : la membrane interne paraissait détruite ; la membrane moyenne était en débris cr
Je viens de faire la dissection d'un anévrysme de l'aorte , qui me paraît résumer la plupart des caractères des tumeurs ané
rd quelque rapport avec la membrane interne des artères, mais qui m'a paru n'être autre chose qu'un caillot sanguin condensé
oût, la tumeur anévrysmale durcit, et, bien loin de s'accroître, elle parut diminuer de volume. En même temps, diminution not
satile par soulèvement d'une tumeur pulsatile par ampîiation, elle me paraît levée par cette circonstance, que, dans la premiè
appliquée sur la tumeur, est fortement soulevée par un mouvement qui paraît être une percussion plutôt qu'un mouvement d'ampl
r était accessible, est très fortement soulevée par une impulsion qui paraît être une percussion. L'oreille constate dans la t
nnaître une tumeur anévrysmale, et ce diagnostic une fois posé, il me parut évident que la tumeur était formée aux dépens de
as l'idée qu'elle pouvait provenir de la crosse de l'aorte ; car elle paraissait circonscrite du côté de la clavicule, dont elle é
euse, dont les caractères attestaient son peu d'ancienneté, et qui me paraît ici la conséquence de l'altération des parois du
ar une ouverture plus ou moins rétrécie. Le fait représenté pl. iv me paraît l'interprétation toute naturelle des faits publié
évrysmal dans le cas actuel, et à sa présence dans les autres cas, me paraît tenir à l'étendue de l'altération, et peut-être a
he surajoutée au cœur lui-même; d'une autre part, cette altération ne paraît pas appartenir à une époque aussi avancée de la m
il morbide ? L'anévrysme vrai partiel ou circonscrit des artères me paraît jeter un grand jour sur cette question : lorsqu'u
iège d'une inflammation aiguë ou chronique; (et cette inflammation me paraît , dans un grand nombre de cas, reconnaître pour ca
consécutive à l'inflammation; voilà le double travail morbide qui me paraît amener la dilatation partielle. Un grand nombre d
ésion au péricarde. Le cœur représenté planche vi, fig. i et 2, m'a paru pouvoir servir de type à la dilatation avec hyper
réunion de la première avec la deuxième pièce du sternum. Ce bruit me paraît exister au deuxième temps. Sauf ce bruit sourd, l
rax, l'aphonie des mouvemens du cœur, les phénomènes d'ondulation, me paraissent appartenir plus particulièrement à l'épanchement,
oduit fut un sang très séreux. La bouffissure et l'oppression m'ayant paru un peu diminuées sous l'action de la saignée , j'
n de la saignée , j'en prescris une seconde le i5 octobre. Le sang me parut tellement séreux , que je désirai connaître la pr
une hydropéricardite, que je combats par les mêmes argumens qui m'ont paru établir, dès le principe, l'existence d'une dilat
malade est brusquement réveillé par le besoin de respirer; l'angoisse paraît extrême dans le moment qui précède le réveil : on
ur, à l'aide d'un tissu cellulaire bien organisé. Ce cœur, qui aurait paru notablement volumineux chez un adulte, était à pl
l'aorte. Le léger épaississement des valvules sygmoïdes de l'aorte me paraît l'explication suffisante du bruit de marteau de f
spectacles. Diagnostic. Hydro-péricarde. Pronostic. La suffocation paraît imminente, et cependant, fondé sur des cas analog
se croit guérie, et en effet, vers la fin du mois, le rétablissement paraît complet. Les mois de juin et juillet se passent à
mes: or, le catarrhe chronique, l'asthme catarrhal m'ont bien souvent paru la point de départ de l'asthme symptomatique des
; car l'orthopnée, c'est une réaction. La cyanose et l'algidité me parurent venir de la gêne de la respiration ; mais l'état
e de la Salpêtrière sur laquelle je n ai aucun renseignement : il m'a paru remarquable en ce qu'il établit que des'épancheme
ette coloration jaune de bois s'alliait à une grande fragilité. Il me paraît raisonnable d'admettre que cette coloration avec
la couleur blanc-jaunâtre maculée de rouge du tissu du cœur, qui m'a paru en outre extrêmement fragile. J'ai cherché à re
ée comme la cause formelle de la rupture, dont la cause occasionnelle paraît avoir été dans des efforts de défécation. Mais
sée du caillot, ni complètement séparée des parois du cœur, dont elle paraît former la couche la plus interne. Cette couche se
u lente, suivant la rapidité de l'hémorrhagie. Les faits suivans me paraissent établir pour le cœur l'existence d'un anévrysme f
bord gauche du cœur, je répondrai par les deux faits suivans, qui me paraissent établir la connexité qui existe entre l'apoplexie
ante qui doit être tenue en ligne de compte, et dont l'application ne paraît pas avoir été faite aux deux cas mentionnés : c'e
e, péricarde plein de sang. Une perforation de l'oreillette droite me parut d'abord en être la source, car une déchirure avai
ois dire cependant que la tunique interne et la tunique moyenne m'ont paru plus fragiles que de coutume. L'orifice aortique
nternes ; j'avoue que je ne comprends pas cette explication, et il me paraît évident que la rupture doit commencer par les fib
héorie de la formation des caillots sanguins purulens dans le cœur me paraît expliquée par celle de la formation des caillots
irmative et soutenue avec beaucoup de talent par M. Bouillaud, qui me paraît avoir rendu un grand service à la science, en éta
e. La formation de ces petits sacs, en manière de doigt de gant, me paraît facile à expliquer par l'inégale résistance des d
peau est réchauffée. Le 8 janvier, à ma dernière visite, la malade ne paraissait pas plus mal que les jours précédens : elle mouru
s denses, du volume d'une aveline, autour desquels le tissu du poumon paraît très sain. Infiltration séreuse d'un certain nomb
rand nombre de ganglions lymphatiques que la veine cave, bien qu'elle paraisse quelquefois comme ensevelie au milieu de ces gang
xillaire présentait avec les parois de cette veine des adhérences qui paraissaient le fait d'une inflammation adhésive accidentellem
auche ; d'ailleurs, pouls toujours misérable et irrégulier, qui ne me paraît pas comporter la moindre évacuation sanguine. Tra
ofondes. Un grand nombre présentent l'aspect de zones incomplètes, et paraissent suivre la direction des vaisseaux. La fin de l'in
Le fait suivant, que j'ai observé en même temps que le précédent, me paraît propre à éclaircir l'histoire de la péricardite.
tat intellectuel. Du reste, la constitution est loin d'être forte, et paraît d'ailleurs détériorée par une mauvaise nourriture
Le 3o juin et les jours suivans jusqu'au 6 juillet, l'état du malade paraît meilleur ; la douleur et la tuméfaction articulai
r lieu dans le lointain. L'idée d'une péricardite avec épanchement me paraît extrêmement probable; mais je suis ébranlé dans m
ses membranes, qui étaient denses, élastiques, et dont l'existence ne paraissait pas remonter à plus de quinze jours, la surface c
atisme articulaire, ou coïncidant avec le rhumatisme articulaire, m'a paru tout aussi fréquente que la péricardite survenant
diète, des boissons chaudes et le temps, voilà le traitement qui m'a paru le meilleur dans le traitement de cette maladie.
s principales l'artère pulmonaire ; mais , dans d'autres cas, l'œdème paraissait indépendant de toute oblitération des vaisseaux p
. La distinction entre l'œdème actif et l'œdème passif des poumons me paraît fondée sur des faits nombreux et irrécusables. L'
ée de son point d'origine. Les deux nerfs de la cinquième paire m'ont paru altérés et gris au sortir du ganglion de Casser.
té fig. 4, a pu facilement en être séparé, en sorte que la tumeur m'a paru naître moins de l'os que de la portion de dure-mè
ère par sa face plane et était libre par sa surface convexe. Elle m'a paru formée aux dépens de la dure-mère avec laquelle e
issement manger-blanc du cerveau avec coloration jaunâtre; lésion qui paraît dépendre d'une fluxion chronique ou subaiguë, aya
a substance cérébrale avec la sérosité. C'est à ce ramollissement que paraît avoir succombé notre malade; et c'est à ce même r
ait à une lésion du tissu même de la moelle. Jusqu'à ce moment, il ne paraît pas exister de caractères différentiels, évidens,
ntractions douloureuses, qui devinrent de plus en plus fréquentes, me parurent devoir être l'objet d'une indication spéciale,
e avec la plus grande facilité : bien que , au premier abord, elle ne paraisse pas vasculaire, cependant,examinée à la loupe, el
omprime seulement les nerfs de la queue de cheval. Le fait suivant me paraît , sous ce rapport, digne d'être noté (i) et mis à
on exercée par la fracture, et l'aspect de la moelle dans ce point me paraît le type des cicatrices du tissu médullaire par su
eumonie aiguë, parvenue à sa dernière période. L'état de la malade me parut désespéré : elle refusa de se mettre sur son séan
dorsale, saignées répétées. Pendant huit à dix jours, la malade nous parut être entre la vie et la mort. La respiration étai
e de médication qui trouvait peu de faveur parmi les assistans et qui paraissait contraster avec une maladie, en apparence asthé-n
la douleur marchent toujours simultanément. La paralysie du mouvement paraît être l'effet de la douleur musculaire, et c'est l
t le caractère essentiel de la paralysie par méningite rachidienne me paraît consister dans l'impossibilité du mouvement à cau
nt la faculté de se mouvoir volontairement, en sorte que la paralysie paraît subordonnée à la douleur. La sensibilité douloure
on de la moelle. L'induration avec ou sans atrophie de la moelle me paraît une cause de paraplégie beaucoup plus fréquente q
reste est un peu plus blanc que de coutume. Les racines des nerfs me paraissent atrophiées. Le bulbe rachidien supérieur est sain
qui s'accompagnait, dans quelques points, de ramollissement et qui me paraît due à l'inflammation, se voyaient plusieurs kyste
quefois pour cause une lésion des reins(i). La question réciproque me paraît bien plus importante; car, s'il est douteux qu'un
r sur l'idée que j'avais eue d'abord au sujet de cette malade , et me parut militer en faveur d'une vraie paraplégie : c'est
égion dorsale, la moelle épinière est renflée, molle, fluctuante , et paraît convertie en une poche contenant un liquide. Du
ères années de sa vie, où elle a été soumise à mon observation, et il paraît d'ailleurs qu'il était resté identiquement le mêm
formation grise. La protubérance est d'ailleurs extrêmement dense, et paraît en quelque sorte racornie, atrophiée. L'origine d
comme le ruban optique qui lui fait suite. La couche optique droite paraissait , au premier abord, avoir subi la transformation g
de sa face supérieure. Cependant, en examinant avec attention, il m'a paru qu'il y avait seulement destruction de la couche
donna un écoulement, pour lequel on lui fit prendre une liqueur, qui paraîtrait être la liqueur de van Swiéten. Il y a trois ans
plète et avec altération profonde du tissu de la moelle, m'a toujours paru s'accompagner des phénomènes d'irritation du cord
e à une arachnitis spinale. Le 11,1a malade accuse un symptôme qui me paraît à-peu-près constant dans les affections de la moe
ose faire mettre la malade sur son séant pour l'explorer, son état me paraît d'ailleurs sans espérance.— Eschare considérable
ans les méninges rachidiennes. Au premier abord , la moelle elle-même paraît saine et offrir sa consistance naturelle; mais,av
squels la distinction des faisceaux, fibres et lamelles du cerveau ne paraît être que d'une importance bien secondaire. La m
niveau des deuxième et troisième vertèbres de cette région, la moelle paraît saine au premier abord ; mais, ayant voulu écarte
rtébrale. — Les douleurs des épaules étaient des douleurs spinales et paraissaient avoir coïncidé avec l'invasion de la carie. Quel
du volume d'une noix et plusieurs granulations blanchâtres qui m'ont paru le premier degré de la dégénération cancéreuse.
grise était remplacée par du tissu filamenteux. La substance blanche paraissait avoir moins d'épaisseur que de coutume. MALADIE
également tous les deux; ils sont d'ailleurs immobiles. La volonté ne paraît exercer aucun empire ni sur les uns ni sur les au
fréquent et dur; chaleur de la peau : cet état fébrile consécutif me paraît indiquer un travail inflammatoire autour du foyer
gauche, que le pharynx a de la peine à fonctionner. L'intelligence paraît pleine et entière; son regard scrutateur semble d
te des gâteuses. Bien qu'elle se servît des membres gauches, il m'a paru que ces membres ne jouissaient pas, à beaucoup pr
émiplégie. Les deux hémisphères étaient parfaitement sains. Il nous a paru que la substance grise de quelques circonvolution
des plaques calcaires. Ce cas d'anévrysme vrai partiel des artères me paraît devoir être comparé à l'anévrysme vrai partiel du
rs apoplectiques; tantôt elles sont sans couleur, circonstance qui me paraît établir que ces kystes sont le résultat d'un ramo
té fig. 3; car, vue à sa surface, la moitié droite de la protubérance paraissait beaucoup plus gravement affectée que la moitié ga
ronc soit vertical. S'il arrivait qu'on le mît au lit au moment où il paraissait profondément endormi, il se réveillait immédiatem
au, et ici la tumeur plongeait au sein de la substance blanche. Il me paraît donc raisonnable d'admettre que la tumeur s'est f
vulsions épileptiformes auxquelles la face ne participait pas, et qui parurent moins fortes à gauche qu'à droite. Insensibilité
l'hémisphère droit était occupé par une volumineuse tumeur ovoïde qui parut développée dans son épaisseur et qui s'étendait j
sin, logés dans les anfractuosités, adhérens à la substance grise qui paraissait intacte. La cavité dite digitale avait à elle seu
térieur; SS, scissure de Sylvius. La cicatrice qu'elle présente m'a paru le type des cicatrices du cerveau, suite d'apople
le bord postérieur du poumon et la gouttière des côtes. Le sang, qui paraissait pur, sauf sa liquidité, avait une couleur noire,
ue les recueils d'observations sont pleins d'exemples d'individus qui paraissaient doués de toute leur intelligence, bien qu'ils eus
quence. Voici une autre observation de cicatrice du cerveau, qui me paraît appartenir au ramollissement. Cette observation v
aux pincemens les plus forts, ou plutôt, quand on la pince, la malade paraît avoir une sensation vague, légère, sans comprendr
rts, intelligens; la malade répond aux questions qu'on lui adresse et paraît conserver ses facultés intellectuelles. L'articul
ment à l'invasion d'une apoplexie ou d'un ramollissement m'a toujours paru un phénomène fort grave. En outre, un symptôme fi
t pas la suite d'une douleur perçue, et les phénomènes de contraction paraissent se passer dans le membre par suite d'une action d
abdomen avec axonge camphrée, amènent une détente telle que la malade paraît à-peu-près guérie de sa péritonite, si bien qu'el
contractent ; les traits se tirent et expriment la douleur. La malade paraît entendre; mais elle ne répond pas. La respiration
ralysie présente de notables variations. Ainsi, par momens, la malade paraît insensible aux pincemens les plus forts, d'autres
e encore : l'intelligence résiste. Le 23, la moitié droite du corps paraît paralysée de même que la moitié gauche. L'intelli
u corps paraît paralysée de même que la moitié gauche. L'intelligence paraît conservée; la malade entend, ouvre les yeux quand
d pas. La déglutition se fait bien. Le pouls est filiforme. La malade paraît insensible aux pincemens les plus forts. Mort le
de la même époque ou appartiennent à des époques différentes. Tous me paraissent contemporains. Plusieurs circonvolutions de la
la scissure de Sylvius présentent des cicatrices peau de daim, qui me paraissent appartenir à d'anciens ramollissemens guéris ; de
lexie capillaire, la tuméfaction des circonvolutions ramollies ne m'a paru plus évidente que dans l'observation précédente.
les pédoncules cérébraux et les pédoncules cérébelleux,lesquels m'ont paru parfaitement sains. Les tubercules mamillairesTM
heveux, était plissé sur lui-même, surtout à la région occipitale, et paraissait avoir été destiné à recouvrir un crâne de dimensi
st toujours assoupie ; mais on l'éveille facilement. La vue et l'ouïe paraissent conservés. Mobilité des pupilles. Les membres son
nellement encore moins développé que le cerveau. A l'extérieur, il ne paraît exister dans le cerveau aucun vice de développeme
jet était très court,jet que la tête, fortement renversée en arrière, paraissait implantée aux deux épaules et à la partie supérie
ieu du tissu cellulaire. Quelques-uns des cysticerques enkystés m'ont paru morts depuis un temps plus ou moins long; car j'a
plusieurs crochets, au centre desquels est une petite trompe qui m'a paru perforée. Quant aux symptômes par lesquels ces
à ses membranes. Dans tous les cas, le traitement antiphlogistique me paraît seul indiqué. Saignée. Le 3o,au matin, diminuti
cavité du crâne. Ici, la dure-mère était intacte, au moins elle m'a paru telle; et le pus de la caisse du tympan était com
ion suivante que j'ai recueillie avec un soin tout particulier pourra paraître intéressante. Je l'ai déjà rapportée ailleurs dan
ance. Le i3 , le malade, qui s'est constamment levé tous les jours, paraît un peu mieux : application d'un séton à la nuque.
ient des points blancs phosphatiques, qui, examinés à la loupe, m'ont paru formés par des vaisseaux ossifiés. Tumeurs de l
ui avaient laissé un affaiblissement notable dans la locomotion: elle paraissait d'ailleurs jouir de la plénitude de ses facultés
de moyens d'expression. Les pupilles sont à peine mobiles. La malade paraît y voir de l'œil gauche, mais non de l'œil droit.
s dorsal immobile; pleurs continuels à toutes les questions , qu'elle paraît comprendre; articulation des sons difficile, cepe
gement ouverts. Pupilles immobiles, insensibilité générale. La malade paraît ne pas entendre. Flaccidité des membres; déglutit
du rocher, en dehors du canal auditif interne. Cette tumeur, qui m'a paru carcinomateuse, était supportée par un noyau osse
infiltrés dans les cellules pulmonaires. lie'flexions. La malade me paraît avoir succombé par suite de l'infiltration séreus
divisions de l'arbre dévie, offrait une disposition flexueuse qui me paraît s'expliquer de la manière suivante : les lobules
à celles de l'albumine fortement concrétée. Cet état du cerveau m'a paru appartenir, non à une dégénération, mais à une in
t qu'on est obligé dé lui mettre les alimens dans la bouche ; elle ne paraît pas avoir le sentiment de la faim, et pourtant el
re toujours la présence d'une grande quantité de matières fécales, me paraît normale. Les artères utérines étaient ossifiées.
nce de la gélatine. ce Les alcalis caustiques (soude ou potasse) ne paraissent pas agir autrement que l'eau à la température ce
tation. Des topiques émolliens et opiacés furent prescrits : la corne parut ébranlée et mobile sur la peau, et le lendemain m
profondément à travers le tissu cellulaire, l'aponévrose lombaire, et paraissait « prendre fin au point de naissance des fibres ch
n fond de consistance ravoïde semé çà et là de poins ramollis qui lui parurent être les premières traces d'une transformation mé
te et avoisine la tumeur (fig. 4), la dégénérescence cancéreuse ne me paraît pas démontrée, et je croirais plutôt à la transfo
comme dans les fig. 3 et 3', mais des faisceaux bien distincts et qui paraissent unis entre eux par une matière glutineuse. Plusie
et, était circonscrite par des tumeurs et par des ulcérations qui lui parurent de nature cancéreuse; et il apprit plus tard que
s le crâne et se continuait avec la substance cérébrale. Ce fait me paraît expliquer la timidité, je dirais presque la terre
gien; ce qui fut exécuté facilement et sans douleur avec une scie. Il parut bientôt une nouvelle production, qui fut sciée de
s'en est convaincu en pinçant le pédicule de la production cornée qui paraissait très mobile. Vicq-d'Azir fait observer avec un gr
res régulièrement et parallèlement disposées. Cette production cornée paraissait un intermédiaire entre le pus desséché et le tiss
la corne ne fût adhérente au périoste et à l'os. Le fait suivant me paraît jeter une grande lumière sur le mécanisme de la f
e de cornes qui naissaient de la peau à la manière de verrues, et qui paraissaient avoir une racine analogue, quoique leur extrémité
tronc présente une multitude de tubercules et de tumeurs dont les uns paraissent développés dans l'épaisseur de la peau, dont les
ces tumeurs présentent un grand nombre de différences, lesquelles me paraissent se résumer dans les nuances suivantes, qui sont a
u'on pourrait appeler ponction de la vessie a travers la prostate, me paraît bien préférable à la ponction de la vessie par le
ette glande. Sous ce rapport, le dépresseur de M. Leroy d'Etiolles me paraîtrait très rationnel si son action pouvait être plus lo
ane musculeuse de la vessie, jointe à la capacité de ce réservoir, me paraît établir que l'incontinence d'urine dont ce malade
I. La fig. i représente un cas d'hypertrophie de la vessie qui m'a paru pouvoir servir de type pour ce genre de lésion. C
explique la gangrène des bourses et du périnée, à laquelle le malade paraît avoir succombé. Les rétrécissemens sont fibreux,
e de la même vessie. On y voit un plan musculaire superficiel qui m'a paru constant, mais qui est trop mince dans les vessie
dont les voies urinaires sont susceptibles. Les auteurs modernes me paraissent avoir gratuitement multiplié les altérations orga
la longueur de ce canal partaient deux trajets: l'un gangreneux, qui paraissait conduire directement dans la vessie, il contenait
aison, sur la maladie à laquelle cet individu a succombé; mais il m'a paru curieux de conserver dans un dessin l'image fidèl
bien qu'il ne puisse pas être considéré comme une lésion morbide, m'a paru digne d'être représenté. Cette pièce a été trou
na rien du côté du cerveau, et la céphalalgie extrêmement intense lui parut un résultat et non point une cause. Cet état se p
le se leva pour aller à la selle, et, jusqu'à ce moment, la parole ne paraissait pas altérée. A neuf heures et demie, elle ronfle
contenterai de dire que, chez la femme Laberthe, cette transformation paraissait subordonnée à la présence d'un calcul dans le bas
le des urines. D'après ce qui précède, le diagnostic était facile, il parut évident à M. Perrot que le siège de la tumeur et
in peut être excessive, et cette distension produire des accidens qui paraissent nécessiter la ponction : c'est ce qui a eu lieu p
haut et la convexité en bas; fluctuation obscure. Cette tumeur, qui paraissait formée par l'agglomération de plusieurs tumeurs p
du sang en circulation se transforment en globules purulens, cela me paraît infiniment probable; mais admettre que le caillot
un développement adipeux. Fig. 3. Le rein représenté figure 3 m'a paru remarquable par le développement de la substance
urs proprement dites. Aucune cause connue, ni morale, ni physique, ne paraît lui avoir donné naissance : la malade était commi
, atrophiée, reléguée sur un des côtés de la tumeur. Le tissu adipeux paraissait également étranger à sa formation. La tumeur es
les autres tumeurs mammaires, les kystes exceptés. Du reste, il m'a paru que ce n'est pas ordinairement aux dépens de la g
ingué, chez une jeune fille de vingt-quatre ans. Cette mamelle ne m'a paru être rien autre choseque le tissu mammaire hypert
deux tumeurs qui furent remplacées par une bonne cicatrice. La malade parut guérie. L'état général était excellent. Deux peti
r l'existence de l'une et de l'autre de ces phlegmasies. La fièvre me paraissait suffisamment expliquée par l'érysipèle. Le foie
pour remédier à des accidensimminens de suffocation. Notre malade me paraît avoir succombé à la pleurésie chronique purulente
chronique purulente, et non directement au cancer, dont la marche m'a paru singulièrement ralentie par les accidens inflamma
et même à la peau qui revêt la mamelle gauche. Cette dernière mamelle paraît atrophiée, et à son côté externe, au-devant du cr
même temps ou presqu'en même temps que la mamelle chez un autre, qui paraît être dans des conditions analogues. Pourquoi, dan
s. Toujours est-il que l'opportunité de l'opération dans le cancer me paraît devoir être restreinte dans de bien étroites limi
tumeurs fibreuses, aucune circonstance appréciable , en - un mot, ne paraît exercer la moindre influence sur le développement
ût saccadée, la malade rendait très bien compte de ses sensations. Il paraît qu'à l'Hôtel-Dieu, trois semaines auparavant, ell
parfait d'intégrité. La tumeur qui était de nature encéphaloïde me paraît avoir été développée aux dépens de la substance c
es libres, toutefois après l'ablation des caillots sanguins qui m'ont paru circonscrire parfaitement en tous points le suc c
. Plusieurs kystes muqueux se voyaient entre ces colonnes. L'utérus paraissait se terminer à un pouce au-dessus du museau de tan
même plus de matière calcaire que les plus volumineuses; il m'a donc paru raisonnable d'admettre que la présence du phospba
mment hypertrophiées, parce que l'ensemble de toutes ces fibres ne me paraît pas à beaucoup près représenter la totalité des f
sur le tissu propre de l'organe. Au reste, cette altération ne m'a paru s'annoncer par aucun symptôme particulier autre q
ment progressif et sans douleur notable, l'utérus vu par le bassin me parut très volumineux, de trois à quatre fois plus cons
ubstance considérable qu'il avait essuyée, perte de substance qui m'a paru comprendre, à peu de chose près, la totalité du c
cautérisa néanmoins trois fois avec le nitrate acide de mercure. Il paraît que depuis ce moment la malade s'affaiblit prodig
quelque raison de croire que la cautérisation, qui, au premier abord, paraît si bien adaptée à la gangrène humide de l'utérus
Cette femme, qui appelait de ses vœux une fin prochaine, mais qui me paraissait devoir prolonger son existence quelques mois enco
dans lesquels l'allongement était tel que, vu par le bassin, l'utérus paraissait occuper sa place accoutumée. Quelque peu résistan
la vessie proprement dite devait servir à bien peu de chose, car elle paraissait exactement moulée sur la volumineuse pierre, à la
rapport de coïncidence, mais non de dépendance. Cette observation me paraît établir que les vaisseaux lymphatiques sont susce
collatéraux, y a été transporté par l'absorption , le second fait me paraît établir positivement le contraire. nous avons vu
l'ovaire ; d'un autre côté, une sorte de renflement creux T, qui m'a paru représenter le pavillon de la trompe; mais dans l
cette perche. Quelque xxxive livraison. I temps après, une hernie parut : c'était l'utérus qui augmenta de volume jusqu'au
pâle , flasque et présentant à son fond des lambeaux membraneuK, qui paraissaient résulter du détachement de Fépiploon. Lallemant
té et comprimait contre le pubis la vessie urinaire, dont la capacité parut moindre que de coutume. La partie supérieure de c
à la manière de cordons, et par une disposition anatomique, qui ne me paraît pas avoir fixé l'attention des observateurs. Cett
Nuck et sa persistance, même chez quelques femmes avancées en âge, me paraissent expliquer en partie non-seulement la fréquence de
ncilier avec l'intégrité de toutes les fonctions. L'état du rein me paraît digne de fixer l'attention. J'ai eu occasion de r
aspée, sans pouvoir en déterminer le véritable caractère. Ici, il m'a paru évident que cette altération xxxviie livraison.
invasion subite des symptômes les plus graves au milieu d'un état qui paraissait compatible avec une vie plus ou moins prolongée,
de la menstruation , ni dans les fonctions digestives. L'état général paraissait excellent. Les sangsues appliquées le long du tra
on de tissu. Cependant la partie inférieure et postérieure du col m'a paru plus dense et plus blanche que les parties vois
cancéreuse par niasses disséminées; mais son tissu incisé ne m'a pas paru offrir d'altération manifeste. Réflexions. Quel
ai trouvé que l'utérus, vu à l'extérieur, avait son volume naturel et paraissait dans son état d'intégrité. Mais ayant incisé cet
eut l'obligeance de me l'adresser; probablement parce que ce cas lui parut fort remarquable et douteux, quant à la nature de
été remis, et qui l'ont été dans des conditions où cette extirpation paraissait indiquée : i° Chez une jeune femme affectée d'h
émorrhagie continuelle dont le museau de tanche mou, spongieux, avait paru de nature cancéreuse; la portion extirpée présent
actères du tissu cancéreux; le ramollissement du tissu de l'utérus me parut l'effet d'une irritation chronique, d'une fluxion
is le succès; l'opération réussit en effet comme opération. La malade parut guérie; mais six mois après, la végétation se rep
atière tuberculeuse dans la trompe et même dans la cavité utérine m'a paru un fait assez important pour mériter de figurer i
est singulièrement hypertrophiée à son extrémité utérine, au point de paraître la continuation de l'utérus lui-même : elle conto
double. L'état embryonnaire du fœtus et surtout l'état de l'ovaire me paraissent des argumens sans réplique en faveur de la grosse
l'un ni l'autre de ces jumeaux n'ont donné signe de vie. Cependant il paraît que le premier vivait au moment de la sortie de l
nchant. La coalition des foies dans les adhésions sus-ombilicales a paru à M. Serres un caractère tellement important, que
ec un cancer de l'estomac. Je voulais aussi constater ce fait qui m'a paru constant, savoir que, dans le cas de dégénération
par l'épiploon. Il existait à peine vestige du sae herniaire, lequel paraissait avoir été, pour ainsi dire, absorbé par la dégéné
de l'intestin. Le cancer primitif ne se révèle que par l'ascite qui paraît en être la conséquence inévitable; le cancer cons
cancéreux était contenu dans de petites ampoules ou poches qui m'ont paru n'être autre chose que des veines dilatées. Le
parfaitement sains. Réflexions. Le point de départ de la lésion me paraît être la masse cancéreuse contenue dans l'excavati
isseuse et que le suc cancéreux suintait par points isolés, qui m'ont paru être les orifices des vaisseaux divisés. Le suc c
re liv., p.j. AVORTEMENT. La transformation vésiculeuse du placenta paraît une cause constante d'avortement. lre liv., pl. i
cence des symptômes; hallucination; mort; les ganglions mésenlériques paraissent le siège principal de la maladie. Traces d'une en
éritable nature des hydatides du placenta. Les hydatides placentaires paraissent une cause constante d'avorlement. lre liv., pl. i
ion du sang, lie ijv. . pj, J} „ j m,^. iy. —L'obltéraiion des veines paraît la terminaison du plus grand nombre des phlébites
lacenta à l'état normal, m La transformation vésicu-leuse du placenta paraît une cause constante d'avorlement. lre liv., pl. 1
9 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
tion où nous sommes, je crois la méthode fort recommandablc. 11 ne me paraît pas douteux, en effet, que ces grands épisodes, m
rsalité, puisque ces variations, quelque nombreuses qu'elles puissent paraître , se rattachent toujours logiquement au type fonda
e, fourni à l'appui de la thèse que vous défendez, des preuves qui me paraissent de nature à entraîner la conviction des plus re-b
e rendu du Pro-grès médical, n° 51, 1878, et ma thèse de doctorat qui parut quelques mois après (avril 1879), ainsi que les a
mé-thode. J'appelle l'attention sur un mode de traitement nouveau qui paraît résumer les propriétés curatives des agents aesth
repris leur cours régulier, richer. Hystéro-cpilepsie. 1 n'ont pas paru . A partir de la même époque, elle se sent plus fa
deux yeux. Toutes les couleurs deviennent du « blanc », seul le bleu paraît « blanc fané ». — Elle dit voir par instants les
ces sans raison et nullement provoquées l. Le plus souvent elles ne paraissent chercher la dispute que pour satisfaire à un beso
ent de plusieurs jours l'apparition des phénomènes dou-loureux. Ils paraissent constants. La malade a de l'inappétence, ou bien
au sommet ou i la nuque. Ces douleurs sont parfois d'une violence qui paraît lépasser toute imagination et les malades n'ont p
43 juillet 1878 et sont consignées tout au long dans un mémoire qui a paru dans le numéro de septembre 1878 de la Revue mens
te et même ne pas exister du tout, il n'en est pas moins vrai qu'elle paraît spéciale à l'hystéro-épilepsie et que son extensi
ig. 22. Phase tonique. Attitude tétanique. Telle est l'attitude qui paraît la plus commune, mais elle peu varier beaucoup.
ateur, et qui, au temps des convulsionnaires de Saint-Médard, avaient paru tellement au-des-sus des ressources de la nature,
me ». Quoi qu'il en soit de la véracité de ces assertions, il ne nous paraît pas douteux que pendant cette attitude de l'arc d
coup elle supplie; ses mains sont jointes, ses bras tendus en i.Il paraît qu'une fois entré dans la chambre où la pauvre pe
on expression de physio-nomie se rapproche de celle de l'extase, elle paraît comme fas-cinée et attirée par la vision qui vien
elle s'écrie : « Mon Dieu! secourez-moi! » Sa prière ne laisse pas de paraître édifiante; mais bientôt elle reprend ses propos i
qui rappellent la décla-mation du théâtre. Un semblable délire doit paraître étrange, et l'on peut se de-mander si l'on a bien
que touche à sa fin, à peine le premier indice de connaissance a-t-il paru , qu'elle est immédiatement rendue cata-leptique p
rine comme pour embrasser la vision qui la ravit. Puis elle se calme, paraît rêver, converse à voix basse ; ses paroles sont i
t son expression devient radieuse. Enfin elle recouvre ses sens, et paraît confuse en reconnaissant les assistants. Questi
u de l'amende. » Après un long instant de silence pendant lequel elle paraît en proie à l'indécision : « Mais non... une poign
d'un coup elle frappe du poing en criant : « Elle est tuée! » Elle ne paraît cependant pas délivrée; car son inquiétude croît.
tes. Il est 7 heures 20, Ler... est toujours agitée, mais l'attaque paraît bien terminée. Ces phénomènes de la fin des att
n, elle demande à boire, avale un verre d'eau d'un seul trait et tout paraît finid. » C'est pendant cette période de l'attaq
s près d'elle tout le temps qu'a duré son attaque. Gl... n'a pas même paru dans la salle. Tous nos efforts n'arrivent pas à
es hysté-riques dont les séries sont fréquentes, la santé générale ne paraît pas altérée; plusieurs ont de l'embonpoint. La
Si l'on veut me permettre une comparaison un peu banale, mais qui me paraît devoir bien faire comprendre ce qui se passe ici,
oints d'analgésie, irrégu-lièrement distribués à la surface du corps, paraissent prédominer à l'entour des grandes articulations.
! qu'il est beau ! » Elle reste en contemplation, joint les mains, paraît réciter quelques prières, car on voit ses lèvres
uand tu seras officier... Après tout je m'en moque pas mal, va. (Elle paraît redoubler d'attention.) Les chevaux sont, encore
t que par la période des hallucinations et du délire, dont la variété paraît inépuisable. En voici un échantillon : 11 heure
ions et des grands mouvements, la période des attitudes passionnelles paraît faire complètement défaut. Cependant la mère de l
exten-sion. La période épileptoïde s'arrête là. Quelquefois même elle paraît man-quer complètement. 2° La deuxième période e
les grands sauts déjà signalés. Cette fois, la période épileptoïde a paru faire complètement défaut. Les grands mouvement
stionné. — Nouvelle attitude de menace. — Terreur. — Plus calme, elle paraît préoccupée d'une vision qui se trouve en haut et
erreur se peint sur ses traits, elle veut fuir. — Peu à peu la vision paraît devenir moins terrible, sa physionomie revêt une
non.,. » elle veut. fuir. Elle se tient la gorge de ses deux mains et paraît en proie à une violente suffocation; le visage es
lle souffle encore. Elle persiste à vouloir le faire envoler, mais il paraît qu'il résiste, car son impatience se traduit bien
ttributs de l'état cataleptique, et que nous étudierons plus loin, ne paraît pas exister ici. La piqûre sur différents points
, oh! ces queues!... » 10 h. 25 m. 30 s. Le délire cesse, la malade paraît calme dans le décu-bitus dorsal; mais de nouveau
ularise, les yeux sont toujours fermés, la face sans expression, elle paraît dormir. —• On voit encore de temps à autre quelqu
use avec les personnes qui l'entourent. Son regard devient fixe, elle paraît absorbée, et tout d'un coup : a). La malade se
t fermés, la face se congestionne, les dents grincent, la respiration paraît suspendue comme dans le phénomène de l'effort. Au
Bien que les visions de rats noirs ou colorés, de chats et de vipères paraissent être les plus fréquentes, chaque ma-lade conserve
ariété de ses mani-festations. Eh bien! ces raretés pathologiques qui paraissent des exceptions et ne semblent soumises à aucune r
ons de la deuxième période, suivis d'une agitation et d'un délire qui paraissent ren-trer dans les troubles intellectuels qui cara
e, une crise de plusieurs heures. Le refus absolu de toute nourriture parut à madame X... la solution la plus rapide pour sor
r des hallucinations de la vue et principalement de l'ouïe. La malade paraît endormie, mais tout à coup elle se met brusquemen
tivité, etc. Une médication assez variée et le séjour à la campagne parurent améliorer la malade; mais bientôt les symptômes n
ontrant l'espace. Durant cette période, la perte de connaissance ne paraît pas complète; il nous a même été donné de constat
des voix d'anges se font entendre l'appelant au ciel. Alors la malade paraît en extase et chante des cantiques. Puis apparaît
iption. Nous n'avons voulu consigner ici que les faits qui nous ont paru les plus complets. On comprendra qu'ils soient as
a face reste pâle, la tête s'incline vers l'une ou l'autre épaule; il paroît rarement des mouvemen s convulsifs; les membres c
ussi cependant lors de l'écoulement des règles que le premier accès a paru . Elles couloient imparfaitement Lcians les périod
ées; elle eut peu d'accès jusqu'à treize ans. L'écoulement mentruel parut à cette époque, accompagné de beaucoup de maux d'
e violence qu'auparavant. Elles cessèrent enfin, et la jeune personne parut bien calme; seulement elle se plaignait d'un gran
présenta des phénomènes qu'on n'a-vait pas observés jusque-là et qui paraissent se rapporter aux atti-tudes passionnelles : « ell
cablant de caresses, tantôt cherchant à la frapper et à la mordre, me paraissent devoir rentrer dans les troubles mentaux qui cara
IÈME OBSERVATION. M. Baillarger parle d'un cas d'épilepsie qui nous paraît bien plutôt rentrer dans les faits de grande hyst
ongation de ce jeûne, sa figure et sa c institution ne nous ont pas paru sensiblement altérées. Dès son entrée dans la m
a vingt-quatre heures, avec perte de connaissance. La seconde attaque parut un mois après. Les suivantes se rapprochèrent, et
ment du côté gauche, la figure se convulsé et devient livide, l'écume paraît à la bouche, la perte de connaissance et de sensi
eptoïde et de la période de clownisme, bien que l'ordre de succession paraisse interverti. TREIZIÈME OBSERVATION l. D... (Fa
es avec perte de la connaissance; jusqu'à l'âge de dix-neuf ans, cela paraît avoir été de l'épilepsie pure (chutes, morsures d
é de l'épilepsie pure (chutes, morsures de la langue) ; à cet âge ont paru de longues attaques avec cris et grandes convulsi
nt de repos, la malade s'agite et l'accès recommence sans que l'écume paraisse jamais à la bouche. Après ces accès, elle s'agite
Ce matin elle a des halluci-nations et répond à un être invisible qui paraît la tourmenter. Toutes les questions qu'on lui adr
s renseignements, parce que sa mémoire s'est affaiblie beaucoup; elle paraît avoir été intelligente. La première attaque convu
yeux fermés bien entendu, a des hallucinations de la vue; autant elle paraissait heureuse tout à l'heure, autant maintenant elle e
e. Nous insis-tons sur cette particularité, parce que nous la verrons paraître dans le som-meil provoqué. Enfin elle revient d
e souvent cet état tétanique. La respiration semble abolie, la malade paraît étouffer, et porte par des mouve-ments brusques e
e- ment. Jamais il n'y avait extase ou délire, et cette attitude ne paraissait dé-terminée ni par de la religiosité ou de l'émot
e de crucifiement. Quant au traitement, la compression ovarienne ne paraissait pas abréger les paroxysmes épileptiformes de M.M.
ncore : « Au moment où le cri hystérique se produit, la suffocation paraît à son summum; il y a une sorte de spasme tonique
nd souvent parler ou répondre à des êtres qu'elles aperçoivent ou qui paraissent con-verser avec elles, ou bien elles se plaignent
dessein. L'étude des variétés de l'attaque hystéro-épileptique nous paraît être la partie la plus intéressante de notre tâch
, et relier à la grande névrose nombre de faits pathologiques qui ont paru isolés et dont le lien qui les rattache à la gran
nnaissance revient tout d'un coup au milieu d'un état dont la gravité paraissait au-dessus de toutes les ressources de l'art. Malh
r. La température rectale est de 38% 5, le pouls est régulier et ne paraît pas augmenté de fréquence. Mais la compression
t à gauche, cachent sous la paupière su-périeure leur pupille, qui ne paraît pas dilatée. L'écume vient aux lèvres. Les bras s
lo-giques de janvier 1844, une observation fort intéressante qui nous paraît devoir être classée parmi les faits de grande hys
oismout, Des hallucinations, p. 308. gonflé, tendu ; La respiration paraît suspendue; l'immobilité du corps entier est pour
es. Elle n'a pu lui répondre, tant elle était émue. » Elle gémit et paraît regretter de ne plus avoir ses visions K L'obse
dans le cours d'une gros-sesse à la suite d'une émotion morale, nous paraît rentrer dans les faits que nous étudions en ce mo
conceptions dé-lirantes se sont dissipées, elle 16 juin 1857, Ch..., paraît complètement gué- rie; elle esl rcdcvenne calme
e de l'œil gauche. A ce moment aussi je la pinçai avec force; elle ne parut rien sentir; je lui enfonçai dans la main une for
r recommencer quelque temps après les mêmes mouvements. La malade a paru fatiguée des diverses épreuves que je lui ai fait
Iionneur à sou imagination. Et, en effet, éveillée, cette fille ne me parut que simple, douce, timide, assez bornée, et par c
e et pousse un cri très fort, elle tressaille légèrement. ))La peau paraît insensible aux piqûres,aux pincements. Notons cep
des maladies mentales. Traduction du D'- Doumic, p.. 215. coovulsif paraissent s'éloigner de la grande névrose, j'ai divisé en d
e regarde h mon arrivée dans la salle avec des veux étianges. Elle ne paraît pas me reconnaître. Puis tout d'un coup, sans mol
verse avec son amant, le rassure au point de vue de la police, car il paraît inquiet. « Écris toujours à l'adresse que je t'ai
essayer la compression des testicules : celle du testicule droit nous parut beaucoup plus douloureusement sentie que celle du
s dans les auteurs. J'en choisis quelques-unes parmi celles qui m'ont paru le plus dignes d'intérêt. Obs. L Nous lisons da
aversée par aucun accident. Vers la fin, alors que mademoiselle X.... paraissait complètement remise, des accidents nerveux se man
Elle a été soignée à l'hôpital Sainte-Eu-génie par M. Barth. Elle ne paraît avoir eu ni péricardite ni endocardite. Ce rhumat
e fille de service. Elle a été sujette à des attaques d'hystérie, qui paraissent avoir coïncidé avec la première mens truation, à
ations vagues delà vue et de l'ouïe. Abandonnée à elle-même, M.... ne paraissait avoir aucune conscience de son état; cependant, s
, se plaignant qu'on l'étrangle ; au moment où l'accès va finir, elle paraît privée de tout sentiment, fait quelques gri-maces
ues gri-maces et puis revient à elle ; quelques minutes après, il n'y paraît plus. Un mois environ avant son admission à la
toutes leurs pa-roles trahissent le désordre de leur esprit, qu'elles paraissent sub-juguées par des convictions délirantes, des h
e qui caracté-rise les troubles psychiques de l'hystérie, l'idée fixe paraît un contre-sens. Pour être d'une rareté relative,
ystérie, que cette névrose, dont les dehors sont si effrayants et qui paraît jeter dans les fonctions cérébrales un trouble si
erverais, je l'étudierais, j'en contrôlerais l'exactitude, et s'il me paraissait réel, il aurait beau donner de l'autorité à des i
que les expériences ont été répétées un grand nombre de fois. Eufm il paraîtrait que dans cet état nerveux certains muscles font e
s, les malades entrent en catalepsie, les yeux restent ouverts, elles paraissent absorbées, elles n'ont plus conscience de ce qui
avant et les deux mains levées à hauteur des oreilles. La cata-lepsie paraît plus intense qu'habituellement, ses membres se la
expériences reproduites plus haut. Dans cette expérience, la malade paraît être plongée d'emblée dans l'état léthargique, sa
par le sou- lèvement des paupières supérieures et le somnambulisme paraît plus parfait. Pendant ce deuxième état de somme
accomplissent certains actes de somnambulisme. Nos malades nous ont paru alors dans le même état que celui que nous pou-vi
élèves du service. trouverons là un certain nombre de faits qui me paraissent de nature à aider à la compréhension de la grande
s du foyer, les y remet, etc.; un parapluie, elle l'ouvre aussitôt et paraît sentir l'orage, car elle frissonne, etc.. Vient
» pour qu'aussi-tôt le concert imaginaire se fasse entendre. Bar..., paraît fort satisfaite, elle est attentive, bat la mesur
s nausées, en lui disant qu'elle a mal au cœur et qu'elle vomit. Elle paraît même tellement souffrir que nous n'osons prolonge
e. Nous disons à Bar... qu'elle est sur le haut d'une tour. Elle en paraît fort contente, elle regarde en bas, décrit le pan
il y a quelques mouvements de déglutition et sous des apparences qui paraissent 1. On a pris soin de placer un écran entre sa m
ains, on lui affirme que c'est un couteau, elle en convient de suite, paraît reconnaître l'instrument au toucher, a peur de se
our elle, dans cet élat, qu'un goût désa-gréable de terre, qui ne lui paraît pas très mauvais. Un mot suffit pour qu'eUe y tro
nd avec beaucoup de sens aux questions qu'on lui pose, l'intelligence paraît même plus éveillée qu'à l'état nor-mal. Nous ne l
se heurter aux accidents de terrain ou aux meubles, bien que ses yeux paraissent fermés. Nous avons même pu nous assurer que, malg
tat spécial d'attraction de la malade pour certaines personnes et qui paraît résider dans une hyperes-thésie du tact. Ce fait
us grande facilité, ils obéissent de suite aux diverses impulsions et paraissent d'une légèreté extrême. Mais il peut exister un
stion (Obs. 1,1'" série). Tels sont les signes de cet état qui nous paraît présenter les ca-ractères de la catalepsie, à ce
ts, qui, tout en présentant une certaine analogie par le dehors, nous paraissent de nature différente quant au fond. (Voy. pag. 42
servir à les différencier, l'hyperexcitabilité neuro-mus-culaire m'a paru un des plus constants. La distinction est facile
ropriété dont ils sont doués, ils se sont contractures. Le membre qui paraît catalep-tique est un membre contracture. En effet
bilité. « Il est des sujets, dit-il, chez lesquels la catalepsie ne paraît pas s'établir d'em-blée, c'est-à-dire que les mem
à un certain degré, y compris celui de la vue (même lorsque les yeux paraissent complètement fermés) et permettent à l'observateu
ix ou de celle des assistants, celui de la rue, le moindre son enfin, paraît affecter cruellement la sensibilité de l'ouïe; un
attaques de som-meil, de coma et de léthargie, parce qu'elles ne lui paraissent être que des degrés de la même modification patho
ielles ou générahsées. — L'attaque de coma, décrite par Briquet, nous paraît rentrer dans ce cadre. h. De l'état cataleptiform
c se creuse en arrière. Telle est la phase tonique qui, à elle seule, paraît représenter la période épilep-toïde. Puis l'arc d
le système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbide, parut aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparavan
qu'auparavant. Pendant son état léthargique, où toutes les fonctions paraissaient suspendues, les forces se concentrèrent sur l'ou'
, et durant plusieurs heures. Une seule année, les mêmes accidents ne parurent pas; elle était enceinte. Depuis, les accidents
et chercher à se soustraire, en se plaignant, à cette compression qui paraissait lui être douloureuse; j'insistai, elle fit quelqu
autre provoquait infailliblement un redoublement de la crise. Ce fait paraissait si extraordinaire que l'on parlait de simu-ktion.
d'avoir lieu, prouvaient bien que, quelque extraordinaire que puisse paraître la spécificité en quelque sorte du moyen employé
p de faits rapportés par les auteurs sous le,nom de ca-talepsie, nous paraissent bien plutôt devoir être considérés comme des cas
r, est donc pour le moins fort rare. Quoi qu'il en soit, il ne nous paraît pas indispensable pour la compréhension du plus g
pré-hension de ce dernier mode de combinaison qui de prime abord peut paraître étrange. Nous étudierons successivement les cas
semblable à celui décrit au début. On la réveille brusque-ment. Elle paraît désappointée, « oh! c'était si joli!... » dit-ell
nter la vision qui occupe son esprit. Dans les instants où son visage paraît im-passible, ce qui arrive parfois, elle dit très
touche du bout du doigt, les paupières clignent et se ferment. La vue paraît perdue. Un flacon d'ammoniaque placé sous l'une
affection hystérique. A mesure que son oppression diminuait, ses yeux paraissaient plus fixes; en même temps qu'elle cessait, il lui
rties de son corps lorsqu'on la soulevait; en lui élevant un bras, il paraissait léger comme une plume, et il demeurait dans la si
moins il n'en est pas parlé), les accidents singuliers qu'on observa paraissent se rattacher à la grande névrose. L'accès de cata
it par les pieds à ce qui la portait, pour l'empêcher de tomber. Elle paraissait insensible, on la secouait, on la pinçait, on la
is suivants se montre l'anurie; et les vomissements, qui avaient déjà paru l'année précédente, redoublent et deviennent quot
te excita-tion semble la réveiller; elle ouvre les yeux, mais elle ne paraît point voir et les yeux sont fixes; elle ne peut p
lle parle en riant et en plaisantant à son persécuteur invisible, qui paraît être une de ses compagnes de la ferme. Pendant ce
la face et du cou se contractent convulsivement, et cette convulsion paraît si douloureuse, qu'elle arrête la malade au mil
itation; quelques paroles incohérentes. Le 10. Au matin la malade a paru se réveiller. La somnolence persiste. Anesthésie
e attaque hystérique. Ces derniers symptômes, pour secondaires qu'ils paraissent parfois, ne doivent jamais passer inaperçus, car
taient du reste conservées pendant de.^ beures entières sans qu'il en parût résulter, au moins immédiatement, une fatigue app
enseurs... (p. 46). Enfin, bien que d'une façon éloignée, voici qui paraît avoir quelques analogies avec f hyperexcitabilité
années consécutives, et dont le terme, d'après les signes antérieurs, paraissait plutôt éloigné, qu'immédiat. CHAPITRE VIII VA
laquelle il fait ren-trer tous les cas de sommeil magnétique, ne nous paraît autre que le somnambuhsme naturel, avec cette dif
iolentes convulsions hystériques sans transi-' tion, et, par là même, paraissent remplacer la troisième période des attitudes pass
de la statique, sans qu'elle bronchât le moins du monde ou qu'elle en parût fatiguée. Elle répétait d'elle-même, exactement,
i tressaillement; si je lui parle, elle ne répond pas ; tous les sens paraissent abolis. 10 h. 15 minutes. —La scène change, la
goût et l'odorat, qui dans l'état de veille sont tout à fait absents, paraissent intacts et peut-être même exagérés. En effet, si
ent bien; la mère a un caractère très vif et emporté; un second frère paraît atteint d'une maladie du cœur. La malade, dans so
n-fants par les sulfureux et les amers.....A dix-sept ans, les règles parurent ; elles ont toujours été difficiles et irréguliè
r qu'elle tomba subi-tement sans connaissance. Cette première attaque paraît avoir duré plusieurs jours; les suivantes se répé
st peint sur la figure de la malade; ses yeux sont ouverts, mais elle paraît ne rien distinguer de ce qui l'entoure, elle ne r
s dont la tempé-rature n'a cependant pas varié. Toute la journée elle paraît épuisée et de-meure plongée dans un état extatiqu
uis, au réveil, les yeux s'ouvrent, mais la malade ne dit rien ; elle paraît ne rien voir et cherche à rassembler ses idées ;
ade a ouvert les yeux dans son état habituel, sans fatigue aucune. 11 paraît qu'il a eu plusieurs crises de ce genre déjà, et
cou, perte de conscience, après quoi le somnambulisme com-mence. H paraît qu'autrefois, à l'origine, les crises épileptoïde
es expériences intempestives, tentées dans le but de magnétiser Lise, paraissent avoir déterminé les crises de somnambulisme. Ce
hébété, à pupille dilatée et immobile. La vue, l'ouïe, la sensibilité paraissent abolies. » Enfin la reprise du traitement ferru
auve-t-elle,si elle est levée, jusqu'au moment de notre départ : elle paraît fort peu disposée, à l'inverse de beau-coup de su
chamaillent » et échangent déjà « des gifles », lorsqu'un cousin qui paraît jouer un certain rôle dans le cœur de notre malad
vait distraire, car elle n'enten-dait rien de ce qu'on lui disait, et paraissait ne pas voir autre chose que ce qu'elle regardait.
cousses et un léger tremblement qui n'ont été que passagers. » Elle paraissait endormie du sommeil naturel; coloration ordinaire
rfois en léthargie. L'observation suivante, empruntée à Bourdin, nous paraît être un exemple de somnambulisme succédant à la c
n fréquence et en durée sur celles-ci. Ici le côté som-bre du tableau paraît s'accuser encore davantage et les impres-sions de
ctale; elle est de 39°8. Au bout détruis à quatre minutes, l'animal paraît inquiet, agité; il gémit, se plaint un peu. La re
sent et on voit apparaître les petites convulsions du début. L'animal paraît revenir un peu à lui. Il a toujours les pupilles
he à se redresser, il ne peut d'abord y parvenir, mais à mesure qu'il paraît reprendre connaissance, on voit se manifester d'a
nt d'être agité la nuit et de ne pas dormir; dans la conversation, il paraît par moment distrait, comme s'il songeait à autre
sque plus, recherchant des aliments vinaigrés et fortement épicés. Il paraît avoir été frappé, en 1870, d'une attaque convulsi
ues personnes, après avoir savouré cette pâle délicieuse, car elle me parut détestable, mais après l'avoir avalée avec quelqu
dai à la bonne de ne pas le prendre aussi jaune que sa figure, qui me paraissait couleur orange. Je passai subitement mes mains
e que je voyais s'était passé dans un temps éloigné; cependant ils me paraissaient là. Qu'éprouvais-je donc? Mais ce fut un bonheu
elle est de règle, de telle façon que son intensité ou son extension paraît en rapport avec la gravité de l'affection. L'an
peu la teinte gagne de la périphérie au centre, et bientôt le papier paraît uniformément coloré, comme il l'est en réalité. A
oscillations sont également plus ou moins longues (les oscil-lations paraissent d'autant plus rapides qu'elles se produisent plus
ndant, au repos, les deux disques, en vertu de son achroma-topsie lui paraissent exactement semblables. 1. Voyez la note de la p
*, fait judicieusement observer que cette division dichoto-mique peut paraître arbitraire, attendu qu'il existe entre les cas de
spontanément, et, dans les cas que nous avons eus sous les yeux, elle paraissait devoir persister si nous ne l'avions pas détruite
peu de roideur musculaire. En même temps la contracture du bras droit paraît moins intense. Peu à peu les mêmes phénomènes s'a
de la réalité de l'anesthésie. Je n'ajouterai qu'un mot, mais qui me paraît décisif. Si, par un rare degré d'énergie, la volo
mptomatologie de la grande hystérie, la santé générale des malades ne paraît pas souffrir. La grande attaque, les longues séri
iques dont nous avons parlé dans le cours de ce travail et que ce cas paraît se rattacher à la grande hystérie. Je n'en veux p
Tant que dure la compression ovarienne, l'attaque est éloignée, pour paraître aussitôt que cesse la compression. On peut ainsi,
ccidents hystéro-épdeptiques disparaître presque tout d'un coup. Elle paraît aujourd'hui complètement guérie. Mais l'hystéro
fesseur à l'université de Rome, dans deux ouvrages, dont le premier ^ parut 1. Progrès médical, 35, 36 et 39, année 'J878.
ie en particulier ^. Mais il est encore un autre agent physique qui paraît surpasser les aimants par la sûreté et la puissan
ers résultats, d'accord avecles inductions légitimes du raisonnement, paraît devoir occuper dans la thérapeutique des affectio
en indiquant pour chacun d'eux le procédé d'électrisation qui nous a paru le plus efficace. 1" Anesthésie cutanée et sens
ul, les signes prémonitoires familiers à la malade n'ayant pas encore paru . Les effets généraux de l'électrisation sont d'
vu plusieurs cas de ce genre et le dernier chez un homme. Il nous a paru que l'afTectiou est plus tenace lorsqu'elle n'est
tion que nous en avons faite en suivant la voie tracée par M. Charcot paraît s'éloigner, par certains côtés, du type jusqu'ici
s et beaucoup d'autres villes delà Belgique, ces danseurs frénétiques parurent avec des couronnes sur la tête, et le ventre ento
t une aversion maladive pour les souliers pointus, si bien qu'un édit parut défendant de porter d'autres souliers que ceux à
ns des attaques de convulsions : à la suite des paroxysmes, sa raison parut égarée et on l'entendait délirer sur les matières
ages suivants : « Dans des instants où elles (les nonnes d'Uvertet) paraissaient jouir d'un calme parfait, il leur arrivait de tom
lecon-« naissait à l'affection qu'elle avait pour lui et que ainsi il paraît bien que cela « n'était pas naturel. ^ » D'aill
ternement, elle ne répliquait pas; la contradiction de ses paroles ne paraissait pas l'em-barrasser. Tous les détails que nous v
la possédée « que la voilà qui pousse des hurlements épouvantables et paraît agitée des convulsions les plus violentes *. »
rait la langue hors de la bouche, avait les joues fort enflées, il ne paraissait des yeux quasi que le blanc ; a été assistée dura
vulsions comme à la ma-tinée de ce jour; en l'une d'icelles ses pieds paraissaient crochus. Lui a ledit Barré fait plusieurs exorcis
étrange en ses plus grandes convulsions, est qu'après iceiles elle ne paraissait guère plus haute en couleur ni plus émue. Les gra
la grille, et s'informant à elles-mêmes de leur état, la sœur » Agnès parut un peu troublée, fit quelques frémissements, qui
che, livide et sèche » à tel point, que le défaut d'humeur la faisait paraître toute velue, sans être )) cependant aucunement pr
porte : « Que l'un des six démons qui la possédaient, nommé Astarot, parut incontinent, » et la troubla; que son exorciste a
et la rendit dure comme du bois : queMon-» sieur ayant désiré de voir paraître tous les diables qui possédaient cette fdle, î l'
sa difformité différente : que quand on eut com-» mandé à Astarot de paraître , on remarqua au-dessus de l'aisselle gauche une »
it aussi » tellement desséchées, qu'elles se pelaient, et que la peau paraissait toute blanche » et soulevée i On voit en somme
) «... que la mère Prieure étant venue sur les rangs, le démon Balaam parut d'abord; mais qu'aussitôt il fit place à Isaacaru
elle le malheureux exorciste devait succomber ^. La catalepsie nous paraît parfaitement décrite dans les extraits qui sui-ve
ire de Sazilli) en sa présence : que le démon, l'ennemi de la vierge, parut selon le commandement que lui en fit le père Éliz
vec une épingle, sans qu'il en sortit du sang, ou que la fille en fît paraître aucun sentiment : que Sabulon parut ensuite, qui
u sang, ou que la fille en fît paraître aucun sentiment : que Sabulon parut ensuite, qui la roula par la chapelle, et lui fit
Ces questions furent encore beaucoup étendues, et à la fin Isaacarum parut enragé, faisant des hurlements effroyables, et de
sur un banc, et après quelques oraisons, il ordonna à Isaacarum, qui paraissait pour Béhémot et qui fut pris pour lui, de se pros
te religieuse... Je laisse à part tous ces hommes et ces fantômes qui paraissaient , la persécutaient, et après lui avoir donné beauc
ettrait jamais un crime si énorme et si manifeste. :.) La forme qui paraissait l'appeler plusieurs fois inobédiente et attachée
» Une nuit, étant couchée, lorsque chacun reposait, un jeune homme parut tout nu dans notre cellule. Je faisais des signes
e dis est vrai, je serai à une partie de l'hostie, et celte partie te paraîtra infailliblement noire. » Cela arriva comme il ava
a peine à me communier, il me montra bien vingt hosties, et toutes me paraissaient à moitié noires. A la fin, je produis des actes d
à présent dans le procès qui en a été fait; et telles qu'aussi elles paraissent encore maintenant durant leurs intervalles à tous
examen cinq des fdles prétendues possédées. Les deux premières qui paraissent d'abord absoluutent saines d'esprit et de corps t
en cette occurrence) elles furent délivrées de cette vexation, elles parurent gaies, saines, vigoureuses sans ressentiment de l
uses sans ressentiment de lassitude, sans perdre d'appétit sans faire paraître aucune marque de faiblesse ou d'altération, ce qu
s efforts furent modérés et relâchés, elle se releva en un moment, et parut comme devant saine et gaillarde, mais pourtant to
r les assistants, et cela sans témoigner aucune douleur et sans qu'il paraisse ni sang, ni contusion. » L'état du corps dans u
erte, les yeux égarés et les prunelles ren-versées au point qu'il n'y paraissait plus que le blanc, tout le reste demeurant caché
lentes dont elles sont agitées pendant l'exorcisme, quelques-unes ont paru si extraordinaires, qu'elles ont été jugées passe
air; que la sœur de la Résurrection a fait la même chose; qu'elle y a paru quelquefois pros-ternée tout le corps plié comme
quelques-unes, entr'autres la sœur Catherine, dans l'exorcisme avait paru la tête renversée, les yeux ouverts, en sorte que
pas : car encore qu'il se soit humihé, c'est en cela que sa grandeur paraît , je le dis â ma confusion : une petite imper-fect
ont été témoins ont regardé comme une chose extraordinaire, et qui le paraît en effet, d'autant plus que leur corps est pour l
erre serrées l'une contre f autre, et on les transporta sans qu'elles parussent s'en apercevoir. Après une heure environ, Marie
'hystéro-démonopathie, en 1861, du Dr Constans. Paris, 1863. lettre paraissait leur faire tantôt un grand plaisii-, tantôt leur
, ces mouve-ments deviennent plus rapides, ensuite plus amples, et ne paraissent bientôt plus qu'une exagération des mouvements ph
ents généraux. A ce moment, les malades dont l'aspect avait d'abord paru exprimer la frayeur entrent dans un état de fureu
sions de Loudun )u de Louviers, aucune idée erotique ne se mêle ou ne paraît s'ajouter à 'idée démoniaque. » Aucune ne dit l
il est très rare qu'elles ne les rabattent presqu'aussitôt. » Il ne paraît donc point qu'il y ait ici lésion de la sensibili
es organes des sens, l'ouïe, la vue, loin de perdre de leur activité, paraissent quelquefois acquérir une finesse, une impressionn
leurs chez les hystériques en général. » Le goiàt et l'odorat m'ont paru à leur état normal; deux ou trois malades seu-lem
n nouvelle. « A peine eut-on interdit l'entrée du saint lieu que Dieu paraissait avoir choisi pour y opérer ses prodiges, dit Carr
Des convulsions bien plus surprenantes que toutes celles qui avaient paru jusqu'alors prirent tout à coup une multitude de
ent tous les mois et quelquefois plus souvent et dans lesquelles elle paraissait goûter à longs traits toutes les horreurs de la m
t plusieurs jours dans une faiblesse léthargique pendant laquede elle paraissait morte, n'ayant aucun sentiment et ne faisant aucu
gue sortit de sa bouche de quatre pouces de long toute violette, elle parut souffrir les plus vives douleurs, ses bras se rai
par bosses et se retira vers le front, sa bouche se tourna, ses yeux parurent tout égarés, tous ses membres se raidirent d'une
t duré environ un bon quart d'heure, pendant lequel temps elle nous a paru sans connaissance : puis ladite demoiselle Fourcr
pied était atteint d'une ankylose absolument incurable. Il ne nous paraît pas difficile aujourd'hui d'établir un diagnostic
ur de ses lèvres desséchées devient noirâtre ; ses yeux à demi fermés paraissent tout à fait éteints ; sa tête, ne pouvant plus se
sur ce qui les occupe. Ils sont eu quel(|ue sorte transfigurés ; ils paraissent tout autres. Ceux mêmes qui en dehors de cet état
farouche, qu'on ne pouvait tirer d'elle une seule parole, et qu'elle paraissait presque imbécile. Cependant, aussitôt qu'ehe étai
x qui ont été faits dans les derniers temps, n'ont été, du moins pour parue , que la production d'une imagination éctiauffee.
ements, pressions, coups modérés sur diverses parties du corps, et il paraît que la satisfaction des instincts lubriques y ent
e les sentiments. A l'égard de petits secours dont quelques-uns ont paru avoir quelque indécence, ou quelque danger pour l
, si énormément multipliés, que des hommes, souvent jeunes (car il ne paraît point que les filles convulsion-naires les appréh
et les os des jambes pour les redresser, dit-on, par ce moyen. 11 ne paraît pas que cela les redresse beaucoup, mais ils en s
Quelques-uns s'enfoncent des épingles dans la tête sans aucun mal, et paraissent avoir le dessein de se précipiter par la fenêtre,
saint Paris. J'observe que les cicatrices de ses mains, qui m'avaient paru récentes au mois d'octobre dernier, sont aujourd'
ère la main droite, qu'on mouille ensuite avec la môme eau. Françoise paraît souffrir beaucoup, surtout de la main droite; mai
l'importance et sur la puissance de la prière. Le revival irlandais paraît avoir été provoqué par certains prêtres irlandais
ommencement de ce siècle dans le Kentucky et le Tennessee, les sujets paraissaient s'évanouir, et après être restés dans cet état qu
ières et de deoaander leur pardon. » Lesfdles des moulins (millgirls) paraissent y avoir été prédisposées d'une façon spéciale : u
nes et des femmes qui ont présenté des exemples de cette maladie : il paraît que, hormis le premier malade, une femme depuis l
qu'elle allât en s'af-faiblissant, n'était point encore éteinte. Il paraît que l'on eut beaucoup de peine à persuader aux ha
de la grande attaque hys-térique sont si saisissantes, que celles-là paraissent être l'expression la plus parfaite et la plus éle
ur s'aperçut que quelquefois elle ne répondait pas à ses questions et paraissait hors d'elle. Les personnes qui assistaient la jeu
tact sûr et délicat qu'elle possède sait écarter tout ce qui pourrait paraître inconvenant. Quand elle est avec des amis, elle p
10 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
quelques renseignements bibliographi-ques sur ces leçons. Après avoir paru dans différents journaux de médecine, elles ont é
ssentiellement d'une influence du système nerveux. La contradiction paraît formelle ; elle n'est qu'apparente. Je vais essay
rotégé (1). 3° En ce qui concerne maintenant la mo die épinière, il paraît démontré que sa section transversale complète ou
èrent normalement; les fonc-tions delà vie organique dans ces membres parurent s'exécuter suivant les conditions physiologiques
Die trophischen Nerven. Leipzig, 1860, p. 61. lapin, Meissner a vu paraître dans l'œil,qui avaitconservé d'ail-leurs sa sensi
9e, 10e et 11e racines dorsales. Bien que les lésions de la dure-mère parussent aussi prononcées à droite qu'à gauche, cependant
ard, Vulpian, et il faut ajouter que les résultats qu'elles ont donné paraissent , du moins pour les points essen-tiels, tout à fai
cordants. Nous allons vous rappeler les principaux incidents qui nous paraissent mériter d'être relevés dans ces expériences. Le
e la disparition du cylindre de myéline, tandis que le filament axile paraît , lui, au contraire, persister à peu près indéfini
l'exis-tence de ce filament axile au bout de plus de six mois. 11 me paraît bien proba-ble qu'il persiste au-delà de ce temps
uire très lentement et se montrer peu accusées. C'est en effet ce qui paraît avoir lien : la plupart des auteurs semblent s'ac
ectrique des muscles de la face est déjà remarquablement amoindrie et paraît même quelquefois tout à fait éteinte (1). Vous
euse des faisceaux musculaires se rencontre rarement en pareil cas et paraît être tout à fait acci-dentelle (1). 1. Voici, e
liniques, observés cependant avec le plusgrand soin, sont, ou dumoins paraissent être,en opposition chschneidung in Schmuit's Ja
ie fonctionnelle de celles qui succèdent à l'irritation des nerfs. Il paraît démontré, en effet, que ces dernières se produise
nés sont nécessairement frappés d'inertie fonction-nelle; mais ils ne paraissent pas subir d'autres altérations que celles qui, à
s Charcot. Œuvres complètes, t. i. 4 au-dessous du point lésé. Il paraît certain que les contractions des muscles, détermi
les animaux, sont mises en parallèle avec les faits pathologiques, me parurent , au premier abord, devoir ruiner tout l'édifice.
, bien que, d'une manière indépendante, par MM. Ziemssen et 0. Weiss, paraissent avoir été conduites avec le plus grand soin. Nous
résister, bien plus qu'à l'état normal, à la dilacé-ration. Il nous paraît rationnel d'admettre que, dans ces expériences, c
ont le siège retentissent jusque surles muscles. A la vérité, il peut paraître difficile de concevoir qu'un nerf ayant subi les
e, mais très lentement ; ce n'est qu'au bout deplusieurs mois qu'elle paraît abolie,et non plus du cinquième au quatorzième jo
ement chez un lapin. Dans le premier cas, la contractilité faradi-que paraît éteinte, dès le 12e jour après l'opération ; par
ans les muscles des membres frappés de paralysie, est un symptôme qui paraît constant. Il a été constaté quatorze jours après
ans les intervalles qui les séparent, dételle sorte que ces dernières paraissent comme autant de centres ou foyers, d'où le proces
arge graisseuse qni s'observe quelquefois, dans les cas très anciens, paraît être un phénomène purement ac-cidentel (1). L''
et des diverses formes de l'amyotrophie de cause spinale, ce rôle ne paraît pas douteux. Son influence est certainement moins
ux qui, par leur réunion, forment les faisceaux blancs. Ces faisceaux paraissent presque entièrementcomposésde fibres qui, nées so
s pustuleuses : leurs relations avec les douleurs fulgurantes ; elles paraissent relever de la même cause organique que les douleu
t les jointures dés membres paralysés. — B. Formes chroniques : elles paraissent dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale
intensité exceptionnelle. Les douleurs, qui étaient vraiment atroces, parurent fixées, durant plusieurs jours, sur le trajet des
pénétrer dans les cornes postérieures de la substance grisé. Il ne paraît guère possible de rattacher la production des dou
végétante, qui siégeait sur l'une des valvules sigmoïdes de l'aorte, paraît avoir été le point de départ de tous les acci-den
-lance de la Salpclrière (service des fiévreux). — Il était en proie, paraît -il, à une fièvre intense depuis deux ou trois jou
n, il est d'autres cas encore à la vérité très exceptionnels, où elle paraît se produire sans l'in-tervention de la moindre pr
ogie, t. II, p. 285. mélastatiques dans les viscères; ce second cas paraît assez rare (1). Nous signalerons aussi les embo
yeux. Les commissures labiales ne sont point déviées; la sensibilité paraît très émoussée sur tous les points du corps. Pas d
, un peu au-dessous du genou, dans un point où le genou gauche fléchi paraît avoir, pendant la nuit, exercé une pression un pe
ouvements spasmodiques, de soubresauts.— Au contraire, la sensibilité paraît , sur ce même membre, exagérée dansla plupart de s
urvint le treizième jour. A l'autopsie, les bords de la plaie spinale parurent tumé-fiées, d'une coloration rouge brun; elle éta
veloppé au voisinage immédiat de la plaie (i), Cela étant admis, il paraîtra légitime, en se fondant sur les 1. Dans un autr
Vhêmatomyêlic qui d'ailleurs, dans un certain nombre de cas au moins, paraît n'être qu'un accident de la myélite centrale^ tém
ves de la moelle épinière sur le développement du décubitus aigu nous paraît mise hors de doute. M. Samuel cependant a avancé
nt les parties les plus fréquemment affectées. Gette forme d'arthrite paraît se montrer surtout dans les cas où l'hémiplégie e
viale. Les cartilages diarthrodiaux, les parties liga-menteuses n'ont paru jusqu'ici présenter aucune lésion conco-mitante,
7. (Noie de M. Charcot.); 1 Charcot.—Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle
fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6. Paris, 1868.) — L'arthropathie dont il s'agit paraît ne devoir pas être confondue avec l'affection art
llules nerveuses descornes antérieures de la substance grise spinale, paraît être le point de départ de l'amyotrophie dans la
Schiff et de Brown-Sé-quard: observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre de la paralysie vaso-motrice: elles doiv
le. — Irritation des nerfs vaso-moteurs; l'ischémie qui en résulte ne paraît pas avoir d'influence; marquée sur la nutrition l
ales. (Compt. rendus de la Soc. de Biologie, 1851, t. Ilf. p. 146). paraissent être d'un ordre à part. En revanche, les affectio
C. Carville. Paris, 1875. (Note de la 2e édition.) tempéraLure, qui paraît résulter uniquement de l'afflux d'une plus grande
re en relief— l'accomplissement des actes inti-mes de la nutrition ne paraît modifié en rien d'essentiel. Ainsi, dans les expé
onditions où elles déterminent ordinairement les troubles trophiques, paraissent s'accompa-gner plutôt d'un abaissement du chiffre
physiologiste célèbre a tirées de ses expériences, ces conclusions ne paraissent pas avoir été ébranlées. Je vous demande la permi
entrant dans la glande (2). D'après l'ensemble de ces résultats, il paraît évidentquel'in-fluence du système nerveux sur la
laire con-comitante se trouve annihilés. Comme d'un autre côté, il ne paraît pas qu'on puisse, expérimentalement, supprimer is
la glande à l'état de repos. Les cellules anciennes, dites muqueuses, paraissent , en effet, après l'irritation, rempla-cées par de
f semble s'y rattacher lorsqu'il reconnaît que « la dilatation active paraît être étrangère aux tuniques propres des vaisseaux
'avenir, des faits, inconnus dans le temps où le livre de M. Samuel a paru , et qui mettent hors de doute l'influence des lés
ement exposée a été presque naturellement accueillie. Il m'a toujours paru que, malgré ses imperfections, elle était digne d
ies, en aussi grand nombre, des femmes chez lesquelles le tremblement paraît constituer le symptôme prédominant ou tout au moi
p d'oeil superficiel, le phénomène tremblement chez toutes ces femmes paraît identique ou peu s'en faut; une seule chose frapp
tion apppa-rente de la force musculaire. Les mouvements sont lents et paraissent faibles, bien que l'expérience dynamométrique dé-
ntre que cette diminution n'est pas réelle. Cette impuissance motrice paraît tenir en partie, nous le verrons, à la rigidité d
orte que le rebord muqueux n'estplus visibleet que la surface cutanée paraît plissée (1). Iln'y a pas d'embarras réel de la pa
à une sorte de contrac-tion des muscles sourciliers, contraction qui paraît être habituelle et exagère les plis du front. Lor
t et ne peut pas la maintenir ouvcrle pendant quelques mi-nutes. Elle paraît se rendre compte de cet accolemcnt ordinaire, per
de générale, fait que les malades, comme recoquevillés sur eux-mêmes, paraissent se déplacer tout d'une pièce ; que leurs jointure
en être le siège, Elle n'a pas à tout moment la même intensité. Elle paraît attein-dre son maximum à la suite du paroxysme de
ante et dans quelques cas de chorée avec agitation excessive nous ont paru mettre ce dernier point hors de doute (1). A ce
, que cet auteur a transcrite du reste de seconde main, il y avait, paraît -il, une augmentation de volume, avec induration d
ou 4 à 5 par minute. Parmi les faits pathologiques qu'il cite, trois paraissent relatifs à la paralysie agitante (2 femmes âgées,
qui nous a été communiqué par M. Duchenne (de Boulogne) (1).—hesexene paraît exercer au-cune action pathogénique : la paralysi
ue quelques-uns. La strychnine, vantée pavTwu$seau.( Journal de Beau), paru m'a plutôt exaspérer le tremblement que le calmer
il existe deux faits, au moins, dans lesquels ce mode de traite-ment paraît avoir été heureux. Le premier appartientà Remack,
10, d'après Frommann), plus ou moins allon-gés (3). Les prolongements paraissent faire corps avec les trabé-cules du réticulum qui
essus de cette cellule, les petits faisceaux se poursuivent. Il ne me paraît pas dou-teux, ajoute M. Ranvier, que cet ensemble
cte, par suite de l'épaississement des trabécules ; les tubes nerveux paraissent plus distants les uns des autres ; en réalité, il
atière amorphe, qui recouvre de toutes parts les fibres du réticulum, paraît plus abondante que dans l'état sain (2). b) Les
ns les zones périphériques ; ils se sont rétrécis dans tous les sens, paraissent comme ratatinés et ne prennent plus sous l'influe
étamorphose fibrillaire, est, — remarquez-le bien, — un caractère qui paraît appartenir en propre, à la sclérose en pla-ques ;
olorent pas parle carmin. — Çà et là, noyaux disséminés. Quelques-uns paraissent en connexion avec les fibrilles conjonctives ; d'
a gaîne de Schwann qui, d'après les recherches les plus récentes (1), paraît ne pas exister sur les tubes plus grêles des cent
urait être fortuite, et tenant compte de tout ce qui précède, il nous paraît légitime de conclure que les cor-puscules médulla
que les gaines lymphatiques sont distendues à l'excès ; les vaisseaux paraissent alors avoir acquis un volume double ou triple de
rais-seuse des tubes nerveux. Le véritable caractère de ce phéno-mène paraît avoir été soupçonné par Gull (1 ) et par Billroth
éressant, du reste, de sclérose cérébro-spinale, mais oùletremblement paraît avoir fait défaut, ainsi que cela se voit quelque
inées dans toutes les parties de l'axe cérébro-spinal. L'ob-servation paraît avoir été recueillie avec une grande fidélité: il
x femmes, que la tête ne prend point part au tremblement, ou, si elle paraît agitée par des oscillations, celles-ci lui sont é
bres et le torse sont le siège. L'absence du tremblement delà tête me paraît être un fait à peu près général dans la paralysie
erroger avec le plus grand soin les malades chez lesquels ce symptôme paraît faire défaut. Il est de règle que le tremblemen
és intellectuelles et affectives émoussées dans leur ensemble. Ce qui paraît dominer chez les malades, c'est une sorte d'indif
mbres inférieurs est affecté en premier lieu et seul tout d'abord. Il paraît lourd, difficile à mouvoir ; le pied tourne dans
s ^Yoirpag Après les détails dans lesquels je viens d'entrer, il me paraît inutile d'entreprendre la description particulièr
eloppementde la sclérose en plaques se réduit à fort peu de chose. 11 paraît établi toutefois, dès à présent, que la maladie e
On l'a observée chez des sujets âgés de 14, 15, 17 ans (1). Mais elle paraît débuter le plus souvent entre 20 et 25 ans. Rare-
ce héréditaire, nous n'aurions à citer qu'un seul exemple où elle ait paru jouer un certain rôle. Cet exemplenousaélécommuni
n général, peu favorables. Le chlorure d'or et le phosphure de zinc paraissent avoir plutôt exaspéré les symptômes. La strychnin
autant du nitrate d'argent. Dans plu-sieurs cas que j'ai observés, il paraît avoir eu sur le tremble-ment et sur la parésie de
ur résultat d'exaspérer ces symptômes. Vhydrothérapie, dans un cas, paraît avoir produit un amen-dement passager ; dans un a
ar. —Depuis la publication de la première édition de ces leçons, il a paru un certain nombre de travaux ou d'observations su
iqu'il en soit, tant que s'effectue cette élimination, les animaux ne paraissent guère souffrir, et c'est seulement lorsqu'ils s'a
victime de l'imposture doit être un médecin. Dans l'espèce, il ne me paraît pas démontrôqùe la parurie erratique des hysté-ri
icile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette attaque paraît avoir été d'une violence extrême: la malade est t
nter de vous présenter à cet égard une hypothèse qui, peut-être, vous paraîtra plau-sible, mais que je vous prie, en tout cas, d
action très prononcée de ces mêmes canaux (1). L'analogie, à son tour paraîtrait étayer cette présomption : chez les hystériques,
observation qui, toute insuffisante qu'elle soit, à certains égards, paraît devoir être rattachée à l'ischurie hystérique. —
er le bout inférieur au bout supérieur. J'avoue que la comparaison me paraît forcée, du moment surtout où l'on pose en princip
ue des diverses parties de l'encé-phale, toute rebutante qu'elle nous paraisse , en raison de la multiplicité et de la singularit
on sens il joue dans la clinique de certaines formes de l'hystérie me paraît mériter toute votre attention. Je veux parler de
plusieurs fois, de transfixer l'ovaire. Cette situation de l'ovaire paraît d'ailleurs avoir été implici-tementreconnueparM.
rfois complètement défaut ; d'autres fois, il est peu prononcé, et il paraît assez vraisem-blable que la tuméfaction dont l'ov
e nouveau le plus douloureux. Il ne faut pas oublier que lovaralgie paraît être un phéno-mène constant, permanent par excell
t la doctrine ancienne (2). Un de ses compatriotes Monardès,procédait, paraît -il,plus résolument (3) : ilplaçait,pen-dant l'acc
aires et des affections hystériques chez la femme, publié en 1858, ne paraît pas avoir eu d'ailleurs un bien grand retentissem
quelque fût d'ailleurs leur mode d'administration, étaient toujours, paraît -il, suivis d'un grand soulagement. Hecquet, méd
ntor-sions) ; dans ce temps la malade prononcedesparoles bizarres, et paraît être en proie à un délire sombre ; — e) pleurs, r
tilité faradique y est amoindrie. Depuis plusieurs années, l'hystérie paraît complète-ment épuisée chez cette femme, et il est
ière année, à plusieurs reprises; mais, depuis près de deux ans, elle paraît définitive (juin 1870). Plusieurs des muscles d
es-uns des traits de l'épilepsie. C'est de cette façon, du reste, que paraissent l'entendre la plu-part des auteurs modernes. L'hy
2° D'autres fois, l'épilepsie succède à l'hystérie. Cette condi-tion paraît être beaucoup plus rare que la précédente. M. Bri
à M. Briquet surtout cette description de Val laque-accès. Elle me paraît concorder de tous points avec les résultats démon
uelle prédomine uneraideur semi-tétanique du tronc et des membres. Ne paraît -il pas d'après cela vraisem-blable déjà que la fo
rvelet, isthme, rien à noter. Moelle. La substance grise à l'œil nu paraît un peu déformée. Thorax. Congestion assez forte
côté droit, sont sans cesse agités. Au premier aperçu, ces mouvements paraissent désordonnés ; il semble difficile de les soumettr
osé d'appeler ovarienne, alors que la menstruation n'avait pas encore paru . L'apparition des règles, qui a eu lieu il y a 2
surtout : l'harmonie, la régularité des mouvements choréiformes ; il paraît attacher une certaine importance diagnostique à c
rousseau, les mo-dérer ou les arrêter par un effort de volonté. Il me paraît inu-tile de multiplier ces exemples. Avant de t
gé de l'y porter sur un brancard. — La propulsion et la rétro-pulsion paraissent avoir disparu ; mais il est difficile d'affirmer
nstipation opiniâtre, s'accomplissentrégu-lièrement. — La température paraît augmenter; la température moyenne de 3 jours a ét
nt vérifier l'exactitude. Néanmoins, Ja conviction n'est pas faite, paraît -il, dans tous les esprits et, en particulier, on
utre, que chez elles latêteneprend pas part au tremblement ou si elle paraît agitée par des oscilla-tions, celles-ci lui sont
res et le torse sont le siège. L'absence du tremblement de la tête me paraît être un fait à peu près général dans la paralysie
Salpêtriôre, nommé Guill..., et chez laquelle le tremblement n'avait paru que quatre ans après le début du mal. M. Charcot
?) que la maladie actuelle aurait débuté. Le premier symptôme observé paraît avoir été ce que M. R... appelle une faiblesse du
à peine pris une Charcot. Œuvres complètes, t. i. 27 attitude qui paraît favorable aa repos qu'il la faut changer, en rais
était agitée par un léger tremblement. Je le lui fis observer. 11 en parut fort étonné, et m'assura, une fois de plus, qu'il
la moindre trace de tremblement. « Toute ma maladie, ajouta-t-il, me paraît con-sister en ce que ma volonté, d'ailleurs aussi
umatisme articulaire aigu ; un peu plus tard, une fièvre typhoïde qui paraît avoir été assez grave ; en dernier lieu une pneum
d'une écriture très fine, mais très lisible et dont les caractères ne paraissent nullement trem-blés, même quand on les examine à
e des malades diminue sou-vent de grandeur {Fig. 30 et 31) et parfois paraît normale au Fig. 30. premier abord. Mais, si,
ans d'intervalle, l'écriture, après a'voir un peu diminué de hauteur, paraît être devenue plus grosse. (B.) Sclérose en plaq
ne dessinent pas nettement leur image ; les draps du lit et le papier paraissent gris, les caractères d'un livre ne sem-blent pas
encore: « Au moment où le cri hystérique se produit, la suffocation paraît à son summum; if y a une sorte de spasme tonique
. Enfin, on voit sou- vent dans l'intervalle des accès épileptoïdes paraître un lambeau des autres périodes qui vient s'interc
e très fréquemment, écritBrodie, que les symptômes locaux d'hysté-rie paraissent devoir être rattachés à l'action d'une cause ex-t
fi Davis d'après une esquisse attribuée à Rubens et qui, en effet, ne paraît pas indigne du maître] En examinant ce tableau
rimé au niveau de ces plaques. Les nerfs émergeant de la protubérance paraissent sains. e, Plaques de sclérose, occupant irrégul
buée. — f, Quelques points restés sains. Les nerfs émergeant du bulbe paraissent sains. Fig. 2. — Coupe horizontale du cervelet,
au niveau de ces altérations. Les nerfs émergeant de la protubérance paraissent sains. e, Plaques et îlots de sclérose occupant
nt elle y est irrégulièrement distribuée Les nerfs émergeant du bulbe paraissent sains. g, Sclérose, au début, dans le tissu qui
eaux devenus de plus en plus apparents dans la substance blanche, qui paraît saine à mesure que la coupe est laissée à Pair.
pustuleuses : leurs relations avec les douleurs fulgurantes ; elles paraissent relever de la même cause organique que les doul
t les jointures des membres paralysés. - B. Formes chroniques : elles paraissent dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale
chiff et de Brown-Sé-quard : observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre cle la paralysie vaso-motrice; elles doi
11 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
s Conditions patlìogéniques de Valbuminurie, publiées par Brissaud, a paru en 1882. Nous avons incorporé la lin de cette deu
aire consacrée à l'enseignement de l'anatomie patho-logique, il ne me paraît pas nécessaire d'entrer dans de longs développeme
ivant, agissant, etc., etc., » l'auteur en question ajoute : « Tel me paraît ètrele véritable esprit de l'anatomie pathologiqu
et assez originale de la membrane interne. Jusque-là, cette membrane paraissait percée de pertuis plus ou moins volumineux, origi
ue, en ce sens que, sous celte in- fluence, la périphérie du lobule paraîtra plus foncée que la partie centrale. Vous voyez
arrangement, M. Hering, (Mé-moire cité) a imaginé un schéma qu'il me paraît utile de vous mettre sous les yeux, avant d'arriv
seuse. De plus, elles contiennent habituellement des granulations qui paraissent constituées par la matière colorante de la bile.
ne et de tyrosine. Ces cristaux sont souvent en quantité telle qu'ils paraissent oblitérer la lumière de vaisseaux volumineux. La
e et de la tyrosine, au lieu et place de l'urée et de l'acide urique, paraît être un phé-nomène vital. En effet, pendant la vi
one moyenne du lobule. Les cellules hépatiques, altérées de la sorte, paraissent plus volumineuses, leurs contours sont arrondis,
ement à la forme hypertrophique, les canaux biliaires interlobulaires paraissent plus volumineux (et peut-être plus nombreux) que
dire, de cellules épithéliales dans les canaux intra-lobu-laires, me paraît assez difficile à comprendre et si la disposi-tio
ération du sang, liée aux maladies palustres, dont le point de départ paraît être dans la rate et qui consiste dans la présenc
mphomes occupent en premier lieu les espaces où la capsule de Glisson paraît tout entière transformée en un tissu réticulé au
, dans le foie de même que dans bien d'autres parties de l'organisme, paraît se déve-lopper soit dans le calibre même (Schuppe
ulté, nous avons observé le même phénomène chez le cochon d'Inde, qui paraît très propre à ce genre d'expérience et supporte a
Pl. xxn, fig. 2. 2° Ces notions, relativement à la veine porte, me paraissent suffisantes, je vais donc maintenant vous dire un
jet de discussions et de contradictions, les princi-pales difficultés paraissent aplanies depuis les travaux de fetrecker (1848).
près cela, viennent en proportion beaucoup moindre, des principes qui paraissent plus particulièrement destinés à être éliminés du
roportion que la Cholesterine. Son rôle physiologique, d'ailleurs, ne paraît pas être, dans le produit de la sécrétion, beauco
i n'aurait pas lieu pour l'hématome. b) Dans la bile, la bilirubine paraît être tenue en dissolu-tion par les acides biliair
nte de la bile semble devoir offrir un grand intérêt. A priori, il ne paraît guère douteux que, de même que les (1; Vulpian.
sur ce sujet, cepen-dant, quelques données qui, je l'espère, ne vous paraîtront pas dénuées de valeur et suffiront probablement à
e urique. En ce qui con-cerne, par exemple, la première substance, il paraît établi (1) Klebs, loc. cit., p. 481. que cert
ons du même organe en déterminent la diminution. M. Meissner, lui, ne paraît con-naître que les faits du second groupe. Quoi
aigu ou subaigu. Dans ce cas, l'abaissement du chiffre de l'urée vous paraîtra d'autant plus intéressant que l'affection hépatiq
vaisseaux avant de le soumettre à l'analyse. Le foie par cela même paraît donc être un foyer important, le principal peut-ê
je dois entrer dans quelques détails relativement à l'in-fluence que paraissent avoir certaines lésions hépatiques sur la formati
hologiques et d'après quelques faits de l'ordre expérimental, le foie paraît être le principal laboratoire où s'effectue le
ignalé sa présence dans la rate ; mais, c'est dans le foie seul qu'il paraît se trouver en assez forte proportion et d'une faç
races d'acide urique. a. Dès maintenant, vous constatez que le foie paraît dési-gné comme l'un des principaux foyers de la p
ce qui a lieu pour la leucine, n'existe pas dans le foie normal. Elle paraît être décidément un produit de désassimilation pat
ns le sang et la saturation qui se produit ainsi, à un mo-ment donné, paraît contribuer à provoquer le développement de l'accè
de la goutte chez les satur-nins (1). s. S'il est vrai, comme cela paraît démontré par les considé-rations qui précèdent, q
t de le modifier profondément. La réalité des faits de ce genre ne me paraît guère douteuse , toutefois, elle n'a pas été jusq
ou striée des calculs. Les calculs de cholestérine pure, en effet, paraissent composés d'aiguilles pyramidales, rayonnant autou
e moule interne des petits conduits biliaires intra-hépatiques et qui paraissent avoir joué le rôle de centre de formation de ces
jaune ; une écorce noirâtre, épaisse de plusieurs millimètres, qui a paru formée d'une agglomé-ration de masses pigmentaire
qui a été pour la première fois consta-tée par Bramsen, la bilirubine paraît se comporter comme un acide faible. Si on mélange
question de savoir, nous l'avons déjà dit, d'où vient cette chaux. Il paraît évident que, dans certains cas, au moins, elle es
tre consulté. La théorie à laquelle cet auteur semble se rattacher me paraît plus que les autres s'appliquer sans trop de diff
ut, tour à tour, l'anatomie et l'expéri-mentation. Toutefois, il me paraît utile de dire un mot de la structure des parois d
s individuelles dans la constitution ana-tomique des parois biliaires paraissent correspondre des diffé-rences dans les propriétés
is en relief par ces mêmes expériences est la sensibilité extrême que paraît posséder la membrane mu-queuse des conduits bilia
0. (3; Klinische Vortrœge, p. 109. raison de cette distension qui paraît constituer un phénomène prodromique et préparatoi
commence à se dessiner seulement quand la douleur hépatalgique a déjà paru . L'in-tensité du mouvement fébrile n'est pas d'ai
, de manière à circonscrire parfois le lobule dans toute son étendue, paraît être la conséquence nécessaire et rapidement prod
de granulations hépatiques. C'est là une différence dont la raison me paraît assez difficile à donner, mais qu'il importait de
à coup en cul-de-sac. (Frerichs, loc. cit., fig. 45). La dilatation paraît affecter surtout les canaux de calibre, ceux qui,
nduit. D'autres fois, l'oblitération est occasionnée par un magma qui paraît composé de muco-pus et de pigment biliaire. D'ail
icot. On les a encore appelés abcès biliaires, parce que leur contenu paraît souvent constitué par un mé-lange intime de pus e
ours naissance auprès de la paroi d'un canalicule biliaire auquel ils paraissent comme accolés. Quelques auteurs, Cru-veilhier en
cholite suppurative, la phlébite. Ces renseignements, Messieurs, me paraissent amplement suffire sur l'anatomie pathologique de
, résultant de la digestion incomplète ou nulle de ces substances. Il paraît certain que la rétention biliaire est capable, à
la suite de la liga-ture du canal cholédoque. D'autres hémorragies paraissent relever de l'altération de la crase du sang ou to
a condition anatomique la plus favorable à l'éclosion de cette fièvre paraît être la présence, dans les voies biliaires (1)
d'odeur ammoniacale, fétide et, en somme, cette altération de l'urine paraît être dans l'espèce, un élément constant. Les re
l, pour en revenir à la fièvre uréthrale, que l'altération de l'urine paraît ici, comme l'altération de la bile dans le cas de
es. En pareille circonstance, la présence de calculs dans la vésicule paraît en favoriser la rupture. Cela est arrivé, entre a
jusqu'au canal cholédoque. Il existe quelques exemples où ce dernier paraît avoir été affecté isolément, sans participa-tion
) fait remarquer que, dans la plupart des cas, l'apparition du cancer paraît avoir été cliniquement précédée de symptômes en r
nde catégorie de faits ; dans la première, au contraire, il pourra ne paraître que d'une façon tardive, ou même man-quer complèt
cédée d'une hypérémie très ac-centuée. L'exsudation interstitielle ne paraît pas jouer, dans ces conditions, un rôle très impo
rrhose hypertro-phique avec ictère ont été de 2,850 gr., 2,920 gr. Il paraît pro-bable que jamais le volume du foie, dans cett
ie, le tissu fibreux qui les entoure ne se rétractant guère ; le foie paraît donc transformé « en un bloc de tissu fibreux, fa
ées rayonnantes, dans l'intervalle desquelles les cellules hépatiques paraissent apla-ties. Ces traînées sont d'ordinaire caractér
ment, à un degré avancé, les vaisseaux portes ont perdu leur paroi et paraissent comme sculptés dans le tissu conjonctif de format
gique sur les préparations in-jectées bien réussies. Seulement, ils y paraissent beaucoup plus multipliés. Un examen attentif, d
ils sont plus contournés, plus sinueux, quelquefois moniliformes. Ils paraissent avoir une paroi plus distincte ; ils sont pourvus
. Donc il y a péri-angiocholite. Et cette inflammation de voisinage paraît s'étendre progressivement de la périphérie vers l
près aussi avancée dans toute l'étendue du foie et, de plus, qu'elle paraît affecter systématiquement les voies biliaires int
que nous avons faite de la cirrhose hyperlrophique avec ictère, vous paraîtrait peut-être aride, nous présentera, je l'espère, d'
ause principale, fon-damentale, de l'altération du foie dont je parle paraît être l'abus des boissons alcooliques. Afin de vou
il s'agit ne doit pas être prise au pied de la lettre. Toutefois, il paraît établi que l'alcoo-lisme intervient beaucoup plus
dans quelques consi-dérations historiques, qui, je l'espère, ne vous paraîtront pas hors de propos. C'est incontestablement Laenn
génient à faire ressortir, c'est le rôle pathologique prédominant que paraît jouer le système porte hépatique dans la producti
aire, le foie passe souvent par une période d'hypertrophie. R. Bright paraît être un des premiers promoteurs, le premier proba
e petites masses ovoïdes ou sphériques, de dimensions diverses et qui paraissent entourées de toutes parts par une enveloppe fibro
bre correspondant de granulations secondaires. Dans d'autres cas, qui paraissent répondre aux phases avancées, ra-rement atteintes
terstitielles où l'altération systématique des canalicules billiaires paraît être le fait primitif. Ainsi: a) dans la cirrhose
sez mal déterminées cliniquement, mais dont quelques-unes cependant paraissent relever de la syphilis. Telle est en particulier
e des notions très confu-ses et très imparfaites jusqu'au moment où a paru son travail présenté à Y Académie de médecine et
ryonnaires ; ils sont en d'autres termes, privés de paroi propre; ils paraissent creusés dans le tissu de jeunes cellules ou déjà
uvelle. Il y a lieu de remarquer à ce propos que le système lacunaire paraît être en communication très large avec les artères
e à se substituer partout au système veineux intra-hépatique et qu'il paraît remplir, en quelque sorte jusqu'à la dernière lim
, ils ne se développent pas comme dans la cirrhose hypertrophique. Us paraissent cependant pouvoir s'hypertrophier accidentellemen
des perturbations appor-tées dans les fonctions diverses dont le foie paraît chargé d'après les recherches nouvelles. Je fais
la plus grande partie des tubes urinifères, les parois de ces canaux paraissent constituées par une membrane anhyste. Cependant M
rations faites par M. le Dr Renaut dans le laboratoire de M. Ranvier, paraît être la principale cause de l'aspect sombre et gr
s, il en est d'autres, non moins importantes, dont le point de départ paraît être dans la gangue conjonctive qui réunit les un
ous le nom de glomérulo-né-phrite (1). Les glomérules, en pareil cas, paraissent exsan-gues, et lorsqu'on les examine au microscop
n'accorde peut-être pas, en gé-néral, toute l'importance qu'elles me paraissent mériter au point de vue théorique aussi bien qu'a
s papillaires ; mais ils sont rarement très nombreux; pourtant, il ne paraît pas impossi-ble que, lorsqu'ils occupent une gran
tère de la pneumonie, de la pyémie, etc.) La formation des cyilindres paraît tenir, dans ces cas, à l'action des acides biliai
on 8 grammes d'une masse jaune-orange qui, à l'examen micros-copique, parut constituée par un grand nombre de cylindres jaune
propor- \1, Ces mômes vues ont été soutenues dans plusieurs écrits parus depuis l'époque où ces leçons ont été faites : Lé
u connues ; l'influence de la goutte, du saturnisme, de l'al-coolisme paraît cependant bien démontrée. Évolution très lente
ès dans le Progrès médical. Depuis cette époque, plusieurs écrits ont paru sur le même sujet : nous nous bornerons à citer c
médullaire. Par suite de la diminution de volume du rein, le bassinet paraît plus ou moins considérablement dilaté. Recherch
on cherche tout d'abord en vain les canalicules contournés ; ceux-ci paraissent remplacés par une zone d'une teinte rouge, produi
nisé; les glomérules de Malpighi qui marquent les limites des lobules paraissent , en raison de l'atrophie subie par les tubes cont
aux dépens des gloaié raies de Malpighi: figurés par Dickin-son. ils paraissent aussi appartenir à la classe des kystes par réten
a tunique interne et surtout de l'adventice. Les parois des vaisseaux paraissent relativement très épaissies, alors que la lumière
coup exercé la sagacité des physiologistes, mais dont la raison ne me paraît pas avoir été donnée encore d'une façon très sati
ion d'urée peuvent encore s'effec-tuer dans le rein, alors même qu'il paraît très altéré, c'est que quelques parties glandulai
tance, s'accumule dans le sang, sous forme d'urate de soude, et telle paraît être, au moins pour une part, la raison des dépôt
turnins. Ce fait, mis en relief chez nous par Ollivier et Lancereaux, paraît bien établi par les statistiques anglaises ; ains
in, Bucquoy, etc. La goutte des saturnins, d'après ce que j'ai vu, ne paraît différer de la goutte ordinaire que par la plus g
e parfois des accidents comateux mortels, probablement urémiques ; il paraît agir surtout dans ce cas en limitant la sécrétion
). Mais, d'autre part, toutes ces appellations consacrent un fait qui paraît bien éta-bli, c'est que dans l'affection dent il
ues, qui ne font intervenir aucune hypothèse, et ma prédilection vous paraîtra sans doute justifiée, lorsque vous saurez que, su
ait été mouillé, et rapidement, l'hydro-pisie était survenue; la mort paraissait avoir été la suite d'ac-cidents pulmonaires. A
degré de l'altéra- lion. Ces groupes de tubuli, devenus graisseux, paraissent opaques relativement aux autres et forment même q
séparation établie entre les deux formes pourrait, au pre-mier abord, paraître arbitraire. On désigne quelquefois, sous le nom
. L'atrophie consécutive, dans le cas de la néphrite parenchymatease, paraît s'effectuer par le mécanisme suivant : les épithé
n très grand nombre dans les publi-cations françaises. Tous ces cas paraissent avoir pour caractère commun de se développer sous
les observations de maladie de Bright parenchyma-teuse, à début aigu, paraissent faites à peu près sur le même modèle. (i) Cases
roid, et abs-traction faite aussi de l'influence de la scarlatine qui paraît n'avoir rien de -commun avec le développement du
ition, constant chez ces malades toujours plus ou moins cachectiques, paraissent suffire à expliquer ce fait. L'excrétion de Vac
araissent suffire à expliquer ce fait. L'excrétion de Vacide urique paraît n'éprouver aucune modification appréciable. Val
is beaucoup plus rarement que dans la néphrite insterstitielle ; elle paraît alors survenir sou-vent dans les cas où on soustr
contraire d'une néphrite interstitielle à développement rapide. Il ne paraît pas que la néphrite scarlatineuse ait jamais abou
issus préexistants ? Dans l'état actuel de la science, cette question paraît être absolument insoluble ; je me contente de la
canaliculi contorti sont affectés; et quant aux anses de Henle, il ne paraît pas qu'elles soient jamais alté-rées. C. En deh
r l'objet de nombreuses discussions Mais avant d'en venir là, il me paraît indispensable de vous rappeler en quelques mots c
nt dans le cul-de-sac terminal dilaté de chacun des tubes urini-fères paraît adapté, par sa structure qui ne se rencontre dans
ant dans la sécrétion urinaire. D'après ces mêmes travaux, ce rôle ne paraît pas important pour ce qui concerne la sécrétion d
oient pas dans la capsule. Mais, relativement au glycose, la question paraît jugée, au moins pour ce qui se passe chez la gren
epose pas sur des assises aussi solides qu'on pouvait le croire. Il paraît simple et facile, en effet, de rapporter, comme l
et albuminurie), il y a toujours intervention d'un autre élément qui paraît jouer le rôle capital. — D'un autre côté, il est
Ici, la stase veineuse dans le glomé-rulc, sous faible pression, nous paraît pouvoir être invoquée comme la cause de l'albumin
e le répète, je ne peux actuellement parler que d'une façon sommaire, paraît déjà bien peu sou-tenable en présence de tant de
12 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
l'écriture impossible, et une grosse incoordination motrice que ne paraît pas exagérer l'occlu- sion des paupières, rend
rticulier à signaler ; existe-t-il une lé- gère scoliose ? Il ne me paraît pas, mais il est vrai que l'on ne peut appré- c
me sur la question dans un article du dictionnaire ency- clopédique paru en 988u ; plus tard, en 1893, je l'éludiais dans
héréditaire et familiale une vérita- ble anomalie de développement, parut séduire au début, mais elle ne put tenir tête a
mon laboratoire. Dans la névrose des deux sujets la sclérose leur a paru bien différente de celle qu'on a l'habitude de
rdons postérieurs, la sclérose des cordons an- téro-latéraux leur a paru plus jeune, moins accusée dans son évolution,et
tive; elle marche, se promène volontiers, bien que ses petits pieds paraissent mal proportionnés avec le volume du corps et de
n- ger (Soc. anatomique, 1900). xvm 3 34 SCIIERB Ce signe m'a paru vrai dans toutes les directions, en avant et laté
n deux temps. - Ce dernier signe n'est pas évident chez D... Ce qui paraît dominer chez lui, c'est l'impossibilité, étant
vure on lui montre un chien. C'est un « sien », un « toutou ». Elle paraît très heureuse d'avoir trouvé et répète plusieurs
isphère gauche, alors que d'autres étaient localisés à droite. Cela paraît peu admissible. Aussi, croyons- nous, quelque t
t sur les oscillations du bassin dans le pas. Si singulier que cela paraisse , l'accord n'est pas fait sur la question de sav
alement ce qui a lieu dans certaines altitudes banchées. Il ne me paraît pas douteux que ce qui se passe dans l'os- cill
bord, c'est la diminution de hauteur de la région abdominale ; elle paraît se produire surtout aux dépens de la partie supér
ndent aux indices tibio-fémoraux les plus faibles. Les déformations paraissent donc inverses étant donné la valeur de ces indi
ombre de fémurs examinés (sept furent à notre disposition) nous ont paru normaux, d'autres ont présenté entre leur longueu
e sénile..... La se- conde de ces affections est une hypoplasie qui paraît nettement liée à l'involu- tion sénile régressi
clairur- gie de Peyrelhe, dont les deux premiers volumes ont seuls paru , le 3° est un manus- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA S
fai t le plus grand honneur à ses sentiments d'humanité, mais elle paraît bien hardie dans la bouche d'un catholique s'ad
ient à mort pour la Religion. » Il est vrai que cette anecdote dis- paraît . dans les éditions suivantes ; il nous en donne l
ytren, Il est d'ailleurs aujourd'hui des guérisons miraculeuses qui paraîtront à NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPLTRIFRE, T. XV
uelle-humidité putréfiée produit de telles bêtes. » Ce prodige vous paraît aujourd'hui difficile à admettre. Et cependant
une chambre à cet usage », puis, les rece- vaient chez eux s'ils ne paraissaient pas dangereux. On employait pour eux « la distr
ryptique qu'à l'hôpital. Cette plus grande richesse de détails nous paraît mieux s'allier, étant donné Memling, avec une s
de l'écorce cérébelleuse, un processus d'atrophie dégénérative qui paraît en pleine évolution. Ce proches- sus ne s'accom
niveau des noyaux dentelés ; ceux-ci ainsi que la région adjacente paraissent sains et riches en fibres myéliniques) portant
ruction décrite plus haut. Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) paraît être doué d'une résistance toute particulière,
ns laquelle on voit difficilement les cellules nerveuses. Celles-ci paraissent par endroits entourées d'un espace péricellulai
jusqu'aux environs du maximum de la tumeur des altérations qui nous paraissent caractéristiques, du moins ne les avons nous ja
mes qui relient les circonvolutions au centre ovale. Ce détail nous paraît très important ; en effet : l'exagération des p
e blan- che a une zone sclérosée. C'est dans le corps calleux qu'il paraît y en avoir le moins. Ces phénomènes disparais
érée à proximité immédiate et en avant de la tu- meur. Les cellules paraissent atrophiées, perdues dans de gros espaces péri-
tructure corticale. Dans le reste du cerveau l'écorce ne nous a pas paru présenter d'anomalie. Il en est de même par le
ns-nous maintenant que K... n'était point paralysé et que sa moelle paraît normale. Nous sommes tentés d'attribuer son ataxi
eau à la couche sclérosée qui borde l'espace périvas- culaire, nous paraissent indiquer que ce travail de dissection s'est fait
donner beaucoup d'indications ni à nous préserver d'erreurs. 1° Il paraît y avoir un courant lymphatique de la circonférenc
e démence. 60 Dans la substance blanche les faisceaux d'association paraissent souf- frir plus que ceux de projection. La dila
espaces périvasculaires, la formation d'hémorrha- gies dans ceux-ci paraissent accompagner régulièrement le développement des
e, car dans nos trois faits le tronc de la troi- sième paire nous a paru normal ; au surplus nos cas ne nous permettent
anément il existait des troubles de la sensibilité; de ces faits il paraît donc résulter que les trou- bles vaso-moteurs a
s. Les orteils et les pieds sont volumineux. Les autres segments ne paraissent pas augmentés. On constate une parésie complète
éreuses ; le pouls est fort, un peu hypertendu. Les autres viscères paraissent normaux. Il n'existe dans les urines ni sucre n
l'oeil nu, les surrénales, bosselées et criblées de points jaunes, paraissent remplies d'adénomes. Sur les coupes microscopiq
s amas cellulaires à noyaux très fortement colorés. La médullaire paraît normale. En résumé, hypertrophie parenchy- ma
le de cellules épithéliales. En dehors de ces corpuscules, les plexus paraissent normaux. Dans les houppes nulle part on ne trou
accumulations de noyaux, que l'on voit en quelques rares points, ne paraissent être qu'une réaction inflammatoire banale et légè
mètres ; largeur maxima : 15 ; minima : 6. Larynx. - Le larynx ne paraît pas augmenté de volume. Le. chaton du cricoïde
se considérable des espaces périvasculaites. Celle observation nous paraît intéressante à plusieurs points de vue. Après a
rapporté des exemples. Il s'agit de tumeurs malignes. Ce fait nous paraît suffire expliquer ] 'apparente contradiction de l
ologique, encore moins de pathogénie. Se placer sur ce terrain nous paraît beaucoup plus suret plus clair que de faire ren
aux autopsies ne sont pas constantes ; quand elles existent, elles paraissent toujours être l'aboutissant d'un pro- cessus d'
our l'apparition des changements squelettiques, un rôle im- portant paraît dévolu à certaines glandes, comme la thyroïde don
nts de vue : urticaire, oedème de Quinke, trophoedème de Meige nous paraîtront comme des différentes ma- nifestations d'une mê
, de cou- leur rose, de la grandeur d'une pièce de cinq francs, ont paru il y a deux jours et lui donnent une démangeais
ui donnent une démangeaison assez supportable. Les oedèmes ont dis- paru partout sauf dans les paupières. La constipation
toraux droits semblent un peu diminués de volume. L'é- paule droite paraît projetée en avant. En arrière, la scoliose vert
thorax ayant les mêmes dimen- sions. Les muscles du bras droit ne paraissent pas atrophiés. Palpation. Vibration très atténu
THORACIQUE PRÉCOCE 213 Le matin, au réveil, tout le côté droit lui paraît raide. Il n'a pas maigri : n'a jamais eu d'hémo
le traitement prophylacti- que des crampes des écrivains». En 1887 parut dans le Wrnlch un second tra vail du même auteu
cès de la douleur entraînait une violente agitation. Ici, l'opéré ne paraît pas attaché à la chaière, mais il semble bien q
service qui contient un grand nombre de ces malades et qui nous ont paru particulièrement suggestives, nous essaierons d
nous terminerons par quelques conclusions d'ordre général qui nous paraissent découler de cette étude. (1) Travail du service
ralysie générale. L'opinion,qu'exprimait CI. Philippe (4.) en 1902, paraît être encore celle de la majorité. « Nous croyon
et du système lymphatique posté- rieur de la moelle (3) ». Il nous paraît évident que Crouzon n'ajoute pas là un nouveau
de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales. A la région dorsale, on ne trouve les
antéro-externe des faisceaux pyramidaux croisés. La région lombaire paraît normale. Les vaisseaux des racines sont très di
(pl. XXXIII, fig. 1). Au Nissl, les cellules des cornes antérieures paraissent altérées. Elles sont peu déformées, mais un trè
llules des cornes antérieures. Les cellules de la colonne de Clarke paraissent moins touchées. Moelle lombaire. L'infiltration
« plané ». La force musculaire est normale. La sensibilité cutanée paraît peu altérée. Les pupilles sont inégales et ne pré
'avant-bras. Ces régions sont d'une teinte livide, la sensibilité y paraît abolie. Le pouls radial est absolument impercep
AUX 217 Bulbe, - Il existe de la méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor- males. Ecorce cérébrale. Les méninges, p
globu- leuse. Beaucoup ont pris une coloration diffuse. Le bulbe paraît à peu près uormal dans son ensemble. Les pyramide
s aux autres, atrophiés dans leur ensemble. Les cordons postérieurs paraissent gris et translucides. Les poumons sont sains,
issl, les cellules pyramidales sont inégalement altérées ; les unes paraissent saines, les autres ont une coloration diffuse de
cellulaire. Au Weigert, vues par simple transparence, les pyramides paraissent beau- coup plus claires. Au microscope, on voit
us grosses qu'à l'état normal est frappante. La substance réticulée paraît également présenter une'diminution de ses fibres
tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules des cornes antérieures paraissent normales. A l'inspection de la moelle cervicale
ait levé ; après son diner on s'aperçoit qu'il était très rouge, il paraît faible et a perdu toute conscience ; il est alité
tout en lui, c'est la vaso-dilatation intense de tout son corps ; il paraît écarlate. Pas de signes pulmonaires. Le soir
ubs- tance sous-épendymaire. Au Weigert, les faisceaux pyramidaux paraissent plus clairs. Moelle. Méningomyélite discrète da
e est partout contem- poraine et diffuse, l'unité du processus nous paraît évident. Dans Ie4°cas(llau....) il y a à la foi
ite comme dans certains cas de Nageotte. Interpréter ces faits nous paraît aujourd'hui moins difficile que naguère. A la c
s de dé- viation des yeux. La sensibilité au tact et à la douleur paraît conservée sur tout le corps. La piqûre de la pe
tête. Les diverses sensibilités spéciales ont été examinées. Toutes paraissent abolies. L'animal ne voit pas. Un obstacle pl
vant l'oeil gauche ou l'oeil droit. Les bruits les plus violents ne paraissent pas perçus ; l'animal continue à tourner en cer
aucune satisfaction. Le chien, qu'il soit au repos ou en mouvement, paraît être dans un état de stupeur absolue. Il ne rép
e dans un état de stupeur absolue. Il ne répond pas à son nom et ne paraît sensible à aucune caresse ; il se laisse examin
aux autres circonvolutions voisines. Le lobe médian et le lobe droit paraissent normaux. Examen llISTOLOGIQUE. Cerveau. Nos r
es parties du cortex très diminuées de nombre; les fibres radiaires paraissent normales. La névroglie est hyperplasiée ; elle
ires sur bien des points. Les mouvements de manège et de ro- tation paraissent provoqués surtout par la lésion du cervelet et de
s trois jours la période comateuse cesse progressivement, la malade paraît s'intéresser à ce qui se passe autour d'elle ;
t encore très nette. Quand cette malade a repris connaissance, elle paraissait souffrir beaucoup de son côté droit, les contra
lleurs imparfaitement. Las de garder auprès d'eux une malade qui ne paraissait pas s'améliorer et qui ne semblait pas devoir g
tance corticale. Les capsules surrénales entourées de tissu adipeux paraissaient intactes ; de même le corps thyroïde, pesant 20
par suite de la faiblesse de la main, invocation a la Vierge, mais, paraît -il, avec moins de succès. Cependant la malade peu
ne amie l'émeut beaucoup, mais elle ajoute qu'elle n'en laisse rien paraître , car elle est très énergique el a beaucoup de v
rticolis mental ; l'origine mentale de la crampe des écrivains nous paraît aussi bien éta- blie. Ledébut a été d'une bru
volumineux, incurvés en avant et en dehors. La crête tibiale a dis- paru , remplacée par une surface mousse. Les mains et
rsque mon grand'père est mort. Il avait une tête très forte, et qui paraissait grossir : en effet il faisait faire ses casquette
blanchisseur (1) pendant la plus grande partie de sa vie, il nous a paru que l'hypothèse d'une intoxication chronique par
à l'intoxication par les acides. Chez les autres,cette étiologie ne paraît pas pouvoir être retrouvée. En voici le détail.
z la malade d'autre tare organique : l'examen du fond d'oeil nous a paru normal ; peut-être y a-t-il sur la rétine quelque
râne de Jules B... Mcisson et C ? Editeurs ('hototYPI8 fiert6aud, Paru DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 307 su
n fardeau, la tête de l'humérus se subluxe en avant et en dedans et paraît n'être arrêtée que par son contact avec l'apoph
s cas plus anciens que nous avons pu découvrir, bien qu'il nous ait paru utile cependant de réunir dans un même tableau
rs semblent ignorer totale ment ses conclusions ; quelques-uns même paraissent découvrir l'affec- tion et'vouloir décrire à no
es au- teurs. C'est à la même époque et à propos de cet article que paraît l'excel- XVI1l 21 Fig. 1. Malade de Pinard et
(de San Francisco) publie une observation semblable. Le dernier cas paru semble être celui de Gross (de Kiel) ; c'est un
décrite. 2° Le signe qui, à côté de l'aplasie claviculaire, nous a paru le plus constant est le retard de. la suture de
es distinctions, fondées sur l'étendue des lésions destructives, nous paraissent à l'heure actuelle tout à fait dépourvues d'imp
me, l'anencéphalie ou la pseudencéphalie, quoique]peu fréquen- tes, paraissent être cependant les moins rares des productions co
pant toute la région médio-dorsale, dans le canal rachidien, et qui paraît être de même nature que la tumeur elle-même. Qu
ncéphalie, en décrit et représente deux au moins sur lesquels il ne paraît y avoir aucun doute possible. Tous deux possèdent
reconnaître dans une bandelette osseuse qui bordée¡i pariétal ; il paraît difficile de contester ou de confirmer cette mani
rès fréquente. Cette disposition, notée par la plupart des auteurs, paraît d'ailleurs en relation avec un phénomène plus gén
re inférieur. Sur les squelettes, en effet, le maxillaire inférieur paraît démesurément grand (fig. 7), et quelques auteurs
phalie. J'ai déjà signalé la fissure palatine, en indiquant qu'elle paraissait être un effet direct du processus pseudencéphal
naire. Néanmoins, et c'est le point important semble-t-il, il ne me paraît pas démontré que la situation en varus, qui est l
on postérieur (v. fig. 10); la pénétration est peu importante; elle paraît tout à fait accessoire dans l'ensemble du phéno
rragiques toute l'importance qu'ils méritent. Cette importance nous paraît au contraire considérable ; de concert avec la
ent du canal par les globules sanguins. L'interpréta- tion, en soi, paraît répondre aux faits observés. La seule rectificati
rois revenues sur elles-mêmes s'était accolées (Pl. XLV-D). Rien ne paraît autoriser à croire que cette disposi- tion soit
ânienne. Sur elle, 384 RABAUD l'action du processus inflammatoire paraît être surtout d'entraver son develop- pement. Ma
e j'ai examinés, l'inflammation est toujours très limitée; il ne me paraît pas contestable, cependant, que l'inflammation fu
uniquement à établir l'état d'intégrité des faisceaux blancs, nous paraissaient des recherches vaines. En effet, l'en- vahissem
e toujours moins atteints que les tissus environnants ; mais ils ne paraissent pas en dehors, masqués qu'ils sont par la moell
oi en une masse homogène de tissu conjonc- tif. Chez l'un d'eux, il paraît persister encore, dans la partie centrale, une ce
ois assez différents ; mais ces différences, aussi grandes qu'elles paraissent , se réduisent en somme, histologiquement, à for
faisceau pyramidal, dont l'un héréditaire. Mais, là encore, un seul paraît pur ; dans les autres, la sclérose d'autres faisc
ment dans les mus- cles où la contraction volontaire est abolie, me paraît être la suivante, qui n'a point encore été prop
r de mouvements d'élévation de l'épaule, et inversement. 11 ne me paraît pas illogique d'admettre que, dans le cas particu
iquité des côtes en effet est plus grande que d'habitude, le thorax paraît plus long et se continue en ligne oblique avec l'
es épaules étaient enflés. Une semaine après, l'inflammation a dis- paru , mais les douleurs étant devenues encore plus for
un aplatissement des os, assez accentué. Le crâne proprement dit paraît grand, comparativement à la face.La circon- fér
uite des rétractions tendineuses. La résistance musculaire est dis- parue entièrement, il y a seulement une nuance quand on
duit à l'état normal ». Mais ces faits, déjà rares chez l'adulte, z paraissent tout à fait exceptionnels chez l'enfant, et dans
que quelconque, produit de merveilleux effets : la contracture dis- paraît comme par enchantement, l'articulation retrouve t
e la malléole externe. Mais à l'inspection, à la palpation, rien ne paraît gonflé, tout est souple. L'enfant se plaint de
ans les os » et en effet au pre- mier abord la pression sur le pied paraît mal supportée. Mais un examen un peu circonstan
normale, les sens spéciaux probablement de même, car si l'olfaction paraît obtuse, des végétations adénoïdes en semblent l
rte de méningite tuberculeuse. Quant à notre malade elle-même, nous paraissons être en face de sa première manifestation hysté-
ion de la tête. L'épaule droite ne présente rien d'a- normal ; elle paraît cependant un peu plus élevée que la gauche. En
aies étaient en voie de cicatrisation, alors que toute complication paraissait devoir être écartée, que la tête s'inclina du c
454 BROCA ET HERBINET emporté, quoiqu'assez doux habituellement. Il paraît aimer beaucoup sa mère, il est très caressant,
chute. Pas de morsure de langue, pas d'émission d'urine, l'enfant, paraît -il, se débat, il a de l'écume aux lèvres. Ces c
cevait que la tête était inclinée sur l'épaule droite, les douleurs paraissaient toujours aussi vives, ce qui détermina une visite
ère est bien portant, que la mère est morte d'accident ; elle avait paraît -il, craché à plusieurs reprises du sang, elle é
n mois après le début des accidents. L'enfant est grande, forte, ne paraît avoir aucunement maigri, ses muscles s sont'fer
as plisser, l'état général est excellent, d'ailleurs l'appétit n'a, paraît -il, jamais changé, il n'y a jamais eu la moindre
lètement par la suspension cervicale. Au premier abord, l'enfant ne paraît pas nerveuse. Elle rit et pleure facile- ment,
e surtout, et l'on voit la difformité s'atténuer, parfois même dis- paraître . Cette courbure est parfois énorme, souvent mal
contestons pas la possibilité de ce mécanisme : seu- lement il nous paraît erroné de le généraliser et il ne s'applique pas
ort de tuberculose pul- monaire,la mère est en bonne santé, elle ne paraît pas nerveuse, dit-on,elle n'a jamais eu d'attaq
nsiblement diminué, le réflexe cornéen est nor- mal. La sensibilité paraît normale sur la plus grande partie du corps, sauf,
précises ; l'enfant est très intelligente pour son âge, elle aime, paraît -il, beaucoup la lecture. Malgré ses protestatio
achet démoniaque qui, même chez cette population arriérée n'eût pas paru spontanément (A Montriond près Morzine, il n'y
veloppement du tissu osseux. Toutefois, malgré les travaux multiples parus sur ce sujet, un grand nombre de ces dystrophie
s et boudinés ; par leurs fractu- res multiples leurs petits sujets paraissent rentrer dans la catégorie des pseudo- achondrop
res dont les portraits nous ont été conservés. La même année voit paraître les importants travaux de Kircbberg et Mar- cha
et rapprochent ces malades de certains peuples nains. Les articles parus sur l'achondroplasie sont actuellement trop nombr
«d'Augustes». Synonymie ET division. - L'affection qui nous occupe paraît avoir aujour- d'hui acquis sa place spéciale da
un travail 5 à 6 fois plus considérable que l'autre. Les membres paraissent d'autant plus courts, plus ramassés qu'ils sont,
les associations qu'elles peuvent réaliser entre elles, aussi nous paraît -il encore prématuré d'établir un. diagnostic ferm
ropliiques. 2° Enfants. Lorsqu'ils survivent, les achondroplases ne paraissent pas souffrir des troubles de leur ossification.
ni des crétins. Si parfois quelques-uns, comme Claudius et Anatole, paraissent à cet égard demeurés un peu au-dessous de leur
fig. 1 avec la fig. 2 concernant un enfant normal] les os longs ne paraissent que par leurs diaphyses qui sont courtes, épais
les unes des autres (Bouchacourt). Toute- fois, ces altérations ne paraissent pas constantes. Enfin les os, d'une façon gé- n
e l'humérus, et chez Anatole, à 40 ans, la soudure des épiphyses ne paraît pas encore complète (P. Marie). Par contre elle
normalement conservée. Tête. La face est en retrait, rétrécie et paraît d'autant plus petite qu'elle se cache sous un c
la face postérieure devient verticale, tandis que la fosse occipitale paraît plus profonde (Regnault). Regnault propose le t
surfaces articulaires élargies. Les diaphyses, dures et compactes, paraissent plus épaissies qu'elles ne le sont en réalité.
l'individu. Les coudures occupant la continuité des diaphyses nous paraissent relever, ainsi que nous l'avons dit plus haut, d'
com- pliquer la lésion primitive. Dans le rachitisme, les lésions paraissent porter avec une prédilection toute spéciale sur
, du tibia, du péroné, de l'humérus et du cubitus nous ont toujours paru offrir les alté- rations les plus typiques. L
une surabondance de mucine, as- sez translucide chez le nouveau-né, paraît parfois, à l'oeil nu, traversé par un réseau de
d'adénome, si ce terme pouvait être employé pour du cartilage, nous paraissent assimilables à d'énormes colonnes de rivulation
est insuf- fisante et défectueuse, autant l'ossification périostale paraît active et se rappro- che en général de la norma
égale- ment réparties sur les différents points de l'os. Il ne nous paraît pas impos- sible qu'elles soient en rapport ave
n Allemagne par des auteurs qui, en présence de cas où le cartilage paraissait normal, se refusaient à admet- tre les dénomina
ticulière. Le terme d'osteogelzesis impcrfecta souvent employé nous paraît trop vague pour être opposé à celui d'achondrop
uoique moins hypertrophiées que dans l'achondroplasie, mais peuvent paraître énonnes par rapport à certaines diapliyses très
tent sous formes d'épaississements ou de viroles saillantes faisant paraître d'autant plus mince la portion de l'os qui les sé
d'ossification (Millier, Paltauf, Porak et Durante). Ces formations paraissent indépendantes de l'af- fection osseuse et répon
fections et particulièrement du rachitisme et du myxoedème, qui ap- paraîtront d'autant plus facilement chez ces petits malades
e petitesse du maxil- laire supérieur avec conformation spéciale ne paraît pas pathologique, et carac- térise l'ensemble d
que nous avons décrits plus haut, que dans l'achondroplasie vraie et paraît être une lésion pathognomonÙ/lte de cette affec
plus probables. L'existence d'un nanisme simple accidentel ne nous paraît plus être ac- tuellement soutenable. Les peti
sant à poser que, chez le myxoedéma- teux, le traitement thyroïdien paraît heureusement efficace, tandis qu'il ne donne qu
sives, renflées aux extrémités ; l'observation III au con- 4 traire paraît être un rachitique congénital. Silberstein a exam
e affection. Quelque incomplets que soient ces caractères, ils nous paraissent se rappro-1 cher beaucoup du rachitisme dont no
e hypothèse ne réunit plus que peu de partisans et l'achondroplasie paraît avoir acquis ses droits à l'individualité. Tout
s comme le point de départ de la dystrophie osseuse. L'achondroplasie paraît indépendante du système nerveux et semble relev
chez le foetus (auto-intoxication), quelque t satisfaisante qu'elle paraisse , manque encore de vérification anatomique. Les
présence. Toutes deux sont possi- bles ; cependant la première nous paraît , jusqu'à preuve du contraire, plus probable vu
er l'étiologie première de cette affection, et cette hypothèse nous paraît confirmée par la présence des lésions congestiv
t spécifique de l'os em- bryonnaire. De même, quoique le rachitisme paraisse pouvoir être réalisé par le nouveau-né spécifiq
entrent dans la catégorie des troubles trophiques . Ces altérations paraissent cytologiquement détermi-' nées par une déviatio
rophie vraie, et ses analogies évidentes . avec les myopathies nous paraissent utiles à relever. Il n'y a rien d'étonnant, du
Porak et relevée, aujourd'hui, dans un grand nombre de cas, ne nous paraît contredire en rien l'étiologie et la pathogénie
de même dans les affections congénitales. Tantôt tous les systèmes paraissent intéressés. |Telle est, par exemple, la syphili
rticulièrement épiphysaire. Cette susceptibilité morbide du cartilage paraît pouvoir être héréditairement transmissible au m
la cause de telle systématisation nerveuse ou myopathique. Il nous paraît inutile de reproduire ici les diverses hypothèses
nt les supérieures. La voûte palatine est très ogivale. Le malade paraît très bien musclé. 11 est difficile d'apprécier
ble du troisième doigt. Très intéressant aussi le sixième doigt qui paraît formé par trois phalanges dont la dernière est ap
parole n'était presque pas embar- rassée. Son trouble manifeste a' paru quelque temps après et plus exactement, trois m
analogue et ajoutait que le rôle pa- thogénique de la syphilis lui paraissait indiscutable. (1) Graves, Clin. Lectures on Pra
cependant un cas où la syphilis, prise par son sujet à 20 ans, lui paraissait la cause de l'altéra- tion vasculaire de la moe
on. Il en sortit un peu amélioré, prit régulièrement de l'iodure et parut d'abord aller mieux. Mais bientôt la gêne redev
très apparente, plus marquée du côté. Côté droit. Epaule. - Il ne paraît pas y avoir d'atrophie marquée du grand dentelé
ze, du sous-épineux, etc. L'angulaire de l'omoplate et le rhomboïde paraissent légèrement atteints. C'est surtout au niveau du d
phie complète du testicule gauche : à sa place, un petit paquet qui paraît vasculaire et un noyau épididy- maire. Il n'a p
des lésions osseuses, avoir été déterminée par elles ? Gela ne nous paraît pas vraisemblable, car chronologiquement l'atro
SUS MÉNINGITIQUE. La nature méningitique de la pseudencéphalie nous paraît suffisamment établie par les descriptions précé
ésions inflammatoires dont elle est le siège. Toute discussion nous paraît oiseuse à cet égard. Il importe davantage de
jaksonien. Les tendances que traduisent de pareilles considérations paraissent au moins déplacées, étant données la nature et
udencéphaliens.Par contre, la croissance du maxillaire inférieur ne paraît pas modifiée, de sorte qu'au bout d'un certain
évidentes sous forme d'une lame plus ou moins large. Les cas qui paraissent à première vue les plus embarrassants sont ceux o
e choeur de l'église de Gueber- schwihr, le le Martyre du saint, me paraît superflue et téméraire. L'artiste a recueilli l
embres supérieurs et des membres inférieurs. Les membres supérieurs paraissent très courts, alors que les membres infé- rieurs
order légère- ment à la face externe du cou-de-pied. Le pied gauche paraît normal et pour- tant la radiographie montre la
t l'hypertrophie de l'extrémité supérieure du péroné. Le pied droit paraît normal. Pourtant, sur la radiographie, on voit
e paternel mourut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mourut, paraît -il, de paralysie cardiaque. (1) WALTER, Trattat
e de la tumeur embarrasse un peu le marcher de la petite fille, qui paraît un peu boiteuse. - La 17", au bord inféro-externe
soi-même l'intumescence aurait-elle disparu par né- crose, comme il paraît être arrivé dans l'exostose du scapulum du cas
entes, lesquelles, précisément en raison de leur caractère spécial, paraissent d'une nature assez suspecte. En aucune des troi
Pie-mère mince et peu injectée.Les artères de la base non sclérosées, paraissent vides de sang, alors que les veines en sont gor
cte- ment périvasculaire. b) Lorsque l'infiltration augmente elle paraît complètement dissocier la paroi du vaisseau. On
de sang ; quel- ques-uns prennent une coloration rouge spéciale et paraissent thrombosés. La moelle allongée. Est plus grosse
CQUIN dant l'apparition de fièvre, de symptômes pleuro-pneumoniques paraît tout expliquer. Survient une rémission qui dure
lorsqu'ils sont entourés de pus sont fort peu infil- trés. Il nous paraît en ressortir que, dans ce cas, leur fonction n'a
rente ; elle a été mariée à un homme de santé assez chancelante qui paraît être mort d'une tuberculose pulmonaire à évolutio
duré pendant plusieurs années. Il n'était point grand buveur et ne paraît pas avoir eu de manifestations syphilitiques qu
sa soeur ; elle présenterait de plus des troubles de la parole qui paraissent ressortir au bégaiement. Le troisième enfant, fil
èbres. Cette cyphose attribuée à un vague traumatisme de l'enfance, paraît , en raison de son siège, de l'époque de son appar
c'est un nouvel argument, dont la valeur pour n'être absolue, nous paraît néanmoins considérable contre l'hypothèse de l'
ire ou autre. C'est là un argument qui pendant longtemps en effet a paru péremptoire pour établir le siège des 666 ' CUA
e nucléaire. Cependant dans les cas d'ophtalmoplégie congénitale il paraît établi par quelques autopsies que l'affection r
autant que l'amplitude de l'excursion de l'angle du scapulum, fait paraître le sujet ailé. Les omoplates sont ailées. Chaqu
ales sont déjà manifestement constituées. En tout état de cause, il paraît difficile d'admettre une relation directe entre l
e pas à pas les destructions successives qu'il opère ; on voit dis- paraître peu à peu les diverses parties de la peau, à l'ex
ndaires, les autres sont (ou peuvent être) primiti- ves. Il ne nous paraît persister aucune incertitude sur ce point. CHAP
sant hernie au-dessus du crâne ; le cerveau, quoique mal développé, paraissait indemne à l'oeil nu. L'auteur considère ce cas
iser, tandis que le cerveau est absolument intact. L'hémicé- phalie paraît être alors primitive ; elle a pour conséquence un
e cérébral ou médullaire. Ce rôle du sympathique après la naissance paraît incontestable ; seul ce sys- tème est capable d
a Sorbonne. (1) Depuis que ce mémoire est imprimé, deux travaux ont paru : G. F. COS\fETTAT05. - L'oeil des Anencéphales
5, 2° série, t. II. e Il s'agit de l'examen d'un seul cas et qui ne paraît pas avoir été fait dans les meil- leures condit
renvoyer à tout ce qui précède. Les photographies que je publie me paraissent de nature à convaincre autrui, comme elles m'on
YA 705 vient d'éternuer violemment. A sa droite, divers spectateurs paraissent se moquer de lui ; derrière eux, un homme à che
13 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
eur CHARCOT Leçons du Professeur, Mémoires, Notes et Observations Parus pendant les années 18S9-90 et 1890-91 et publiés
réunissant en un recueil. C'est le premier volume de ce recueil qui paraît aujourd'hui. J.-M. CHARGOT. Mars 1892. De l
es. En un mot, s'il existe une altération des centres nerveux, ce qui paraît bien possible, étant donnée la symétrie des lésio
nez est aminci, effilé, pincé. Les yeux sont excaves profondément et paraissent volumineux. Au pourtour de l'orbite, il existe un
que (cas de Monod et Reboul, cas de Gom-bault). Mais cette névrite ne paraît pas isolée, périphérique dans l'acception vulgair
simple vertige de Ménière avec lésions scléreusesde l'oreille, qui ne paraît pas avoir de rapport avec l'affection qui nous oc
e un athlète. Les réactions électriques des muscles de la main, qui paraissent seuls atrophiés, sont normales et identiques des
Il n'existe pas de troubles trophiques sur le membre ; la température paraît seulement un peu inférieure à celle du côté sain.
; leurs rapports avec les autres espèces de tremblements, dont ils ne paraissent être que des imitations plus ou moins parfaites;
. Marie, mon chef de clinique d'alors, qu'un do ses caractères est de paraître éminemment variable, si on l'envisage comme une u
ien d'essentiel de celle (l) Le travail de M. Dutil est aujourd'hui paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière,
hystérie et simulant le tremblement hydrargyrique. La réalité du fait paraît établie et la possibilité, constatée par M. Letul
crit, il y a 2 ans, dans les Leçons du Mardi (1). Et le rapprochement paraîtra d'autant plus légitime que, dans un cas (l; Leç
quissent les prodromes de l'attaque convulsive. Après tout cela, il paraît inutile d'insister davantage : le fantôme de la s
un neurasthénique des mieux caractérisés. Notre homme au contraire ne parut se ressentir, d'abord, en rien de la collision qu
ies organiques de la moelle épinière (th. Paris, 1891) et son travail paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière,
, accepter sans réserves cette prédiction optimiste. La migraine ne paraît pas constituer une entité, une unité; elle compre
que l'cphthalmoplégie se produit. L'ophthalmrplégie chez ce sujet n'a paru que dans un petit nombre d'accès. Ce cas met en
est remarquable que le second, le troisième et le quatrième accès ont paru chaque année au mois d'août. 2° Cas de Marie et
des accès migraineux sans paralysie oculaire. Ce genre de migraine paraît surtout fréquent chez les femmes ; chez l'homme o
as. Il est des cas, comme celui de Marie et Parinaud, où la maladie paraît tendre à la guérison, mais je ne crois pas qu'on
raver progressivement semblent beaucoup plus communs que ceux où elle paraît , au contraire, tendre à s'amender. Les premiers a
uestion plus haut. Le premier accès de migraine ophthalmoplégique a paru chez elle en 1885, il y a 5 ans ; elle était alor
ée par des accès de céphalée, revenant une ou deux fois par mois, qui paraissent avoir présenté les caractères de la migraine vulg
senté les caractères de la migraine vulgaire et qui, ayant commencé à paraître vers l'âge de 15 à 16 ans, ont cessé d'exister à
ns doute, à peu près à la même époque de l'année, en mars. La crise paraît avoir été provoquée par une émotion morale. La ma
ccommodation est redevenue absolument normale. La médication bromurée paraît donc avoir agi suivant nos prévisions ; elle sera
t un mois. Au bout de ce temps, la douleur ayant cessé tout à coup de paraître , survient une chute de la paupière droite avec di
empreinte du doigt, de coloration bleu-clair. Un chirurgien, croyant, paraît -il, à une affection du périoste, fit deux longues
à 10 et 12 degrés centigrades. C'est aussi au membre supérieur qu'a paru l'œdème bleu chez les deux malades que je vais vo
ligne circulaire caractéristique. Ici la filiation des accidents me paraît claire comme le jour. Il s'est produit tout d'abo
, vous trouvez chez votre malade la dissociation de l'anesthésie, qui paraît être un des carac- (1) J.-M. Charcot. — Leçons
olacé et refroidissement du dos de la main et du poignet. Il y avait, paraît -il, à cette époque, une anesthésie complète des p
orme, les yeux fermés, pendant lequel elle répondait aux questions et paraissait sensible à quelques suggestions. Mais cet état, q
es précédentes observations d'œdème bleu chez des hystériques, il m'a paru intéressant de placer la relation des deux cas su
ar les mouvements de flexion qui sont cependant possibles. La peau ne paraît pas douloureuse, mais seulement la pression profo
du sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial postérieur nous paraît , si nous en jugeons par le nombre des cas publiés
conférence du mollet). Le pied est inerte et complètement tombant. Il paraît y avoir un certain degré de rétraction des muscle
est due, si l'on veut bien admettre les conclusions de l'auteur, qui paraissent parfaitement conformes à la vérité, non plus à
enues, toutes deux basées sur l'ana-tomie du sciatique, mais l'une ne paraît pas beaucoup plus satisfaisante que l'autre. M. L
a crise qu'elle se redresse. Etat actuel (31 mai 1890). — La malade paraît assez forte, sans obésité ni maigreur exagérées.
s territoires normaux, telles que celles que nous avons données, nous paraissent parfaitement suffisantes Fig. 26,— Distribution
sparaître. Trois ans après, les douleurs s'étendent à la cuisse. Il paraît donc établi que la douleur a été en remontant. Le
la région antéro-ex-terne surtout, mais aussi les muscles du mollet, paraissent amaigris notablement. Le pied est tombant ; et
ner, nous croyons que Ton peut tirer quelques conclusions qu'ils nous paraissent légitimer de tous points : 1° Il existe une com
rminée par l'usage exagéré de la machine à coudre ( 1 ) ; Il nous a paru intéressant de publier l'observation d'une malade
de l'ordinaire ainsi qu'un élément étiologique spécial : l'affection paraît (1) Par MM. J.-B. Charcot, interne du service e
nte notre malade semblerait consécutive à l'abus de la machine nous a paru intéressant, les observations de ce genre étant r
ed dans une position vicieuse. Nous insistons sur ce phénomène qui ne paraît point encore avoir été signalé dans la sciatique.
e cent ans, par Cotugno, étudiée avec soin par Valleix, cette maladie paraissait désormais classée, lorsque Lasègue découvrit qu'i
nt le travail de M. Landouzy. Les choses en étaient là et la question paraissait épuisée, lorsqu'en 1886, je remarquai, pour la pr
vous avez pu remarquer le jour de son arrivée à la consultation. Il paraissait alors frappé de paraplégie, vous disais-je tout à
; elle l'est, à mon avis, dynamiquement. Je m'explique. La moelle me paraît avoir été ici l'intermédiaire obligé entre la sci
, d'après les recherches auxquelles je faisais allusion plus haut, il paraît établi que, contrairement à l'opinion ancienne, c
en faveur de cette solution. M. Dufour (de Lausanne) dans un travail paru récemment dans les Annales d'oculistique (1890) n
s antérieures. Ce rapprochement entre les deux paralysies bulbaires paraît d'autant plus légitime que l'on voit parfois les
tes périphériques. En réalité, à côté des névrites périphériques, qui paraissent constituer des lésions secondaires et d'une impor
blement par la mort. Chez le second de nos malades, le pronostic me paraît moins sombre. Il semble qu'on assiste à une tenda
viens, Messieurs, d'appeler votre attention sur un ordre de faits qui paraît devoir, quelque jour, tenir dans la clinique une
ure. On ne saurait dire quelle est l'explication de ce phénomène, qui paraît cependant exister le plus souvent dans les cas de
n propre poids. Les muscles de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne paraissent pas atrophiés, sont le siège de secousses fibrill
atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier abord elle paraît se répartir à peu près également, et le segment d
des pouces. Les membres inférieurs, la moitié inférieure du tronc, paraissent au premier abord absolument indemnes. Les cuisses
e qui concerne la paralysie bulbaire supérieure, aucun autre noyau ne paraît avoir été envahi. Les mouvements de la face s'exé
ent, qu'elles étaient lourdes; ce fut d'abord la jambe gauche qui lui parut faible, puis ce fut le tour do la jambe droite. U
tié supérieure du bulbe, l'ophthalmoplégie externe. Cette association paraît peu fréquente, il est vrai, mais elle n'est cepen
'association du faciès d'Hutchinson et du faciès myopathique. Ces cas paraissent rares, il est vrai, mais il convient néanmoins de
réactions puissent manquer complètement, bien que des cas semblables paraissent devoir être extrêmement rares. Pourquoi en est-il
vation rapportée dans la thèse de Mme Déjerine-Klumpke, et où il nous paraît bien difficile d'établir un diagnostic posi-tif (
la polynévrite généralisée. Mais dans certains cas, et le nôtre nous paraît être de ce nombre, bien que le malade ait été aut
elever tout entière des lésions spinales de la syringomyélie. Cela me paraît être désormais une querelle vidée. Il n'y a pas d
s tout à l'heure, représente seulement, tout originale qu'elle puisse paraître cliniquement, une forme atypique de la maladie sy
m mit en évidence les lésions classiques de la syringomyélie. Il ne paraît pas nécessaire, je pense, de pousser plus loin la
omadaire, 1890, n° 53, p. 504), un intéressant travail tout récemment paru de M. Bernhardt : Lieber die sogennante Morvans'c
abétique est l'expression d'une auto-intoxication, d'autre part, il paraît vraisemblable que ces monoplégies dont nous parli
emblable que ces monoplégies dont nous parlions tout à l'heure et qui paraissent produites par des foyers de ramollissement multip
par les auteurs, au fur et à mesure qu'on les découvrait. Mais il me paraît vraisemblable d'après ce que j'ai vu, qu'il s'agi
unis un à un et rapprochés les uns des autres, ces troubles divers me paraissent réaliser un type nosogra-phique défini, dont le t
e dynamique? La première hypothèse, dans le courant actuel des idées, paraîtra naturellement plus vraisemblable. En tous cas,
aquelle j'ai proposé d'appliquer le nom de démarche de stepper et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les m
ien qu'il n'ait que 37 ans. Aujourd'hui, je ne veux pas dire qu'il ne paraît pas plus que son âge, mais son teint est plus fle
-il vous rappeler, à l'appui de ce que j'énonce, les nombreux travaux parus récemment sur ce sujei? Qu'il me suffise de vous
e pas, tant s'en faut, au même degré, aussi s'y prend-on quelquefois, paraît -il, à douter de la légitimité cependant parfait
hystérique, dont l'existence, jusque dans ces derniers temps, m'avait paru fort problématique. La paralysie, qui porte sur l
iques et comment, jusque dans ces derniers temps, cette affection qui paraît , quoi qu'il en soit, être un fait assez rare, a p
ut à l'heure la raison de cette distribution de I'anesthésie qui peut paraître singulière au premier abord. Il n'existe point
arque déjà un certain degré d'asymétrie. La commissure labiale gauche paraît légèrement tirée en haut et en dehors, tandis que
e gingivale, que le buc-cinateur a été antérieurement paralysé. Il ne paraît donc y avoir que deux muscles atteints : le bucci
onc une paralysie faciale bien constatée chez un hystérique et qui me paraît bien dépendre de l'hystérie. Il me faut maintenan
te. Tout d'abord elle est en général très peu accentuée. De plus elle paraît toujours s'accompagner d'anesthésie des parties p
e, autant que possible, convenablement en valeur et de noter ceux qui paraissent avoir eu une influence prépondérante. Tout d'ab
déjà des habitudes alcooliques parfaitement caractérisées. Gela est, paraît -il, inhérent à la profession. Il buvait cinq à si
us ne voyons pas en somme que l'abus du vin et de l'eau-de-vie puisse paraître moins honteux à avouer que ne le seraient les e
mier accident traumatique. Mais les temps n'étaient pas encore venus, paraît -il, et il put recevoir à la nuque un violent coup
dans les tempes, vertiges, scotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première attaque a duré environ une heu
t s'exposer de nouveau à retomber dans les écarts qui sont inhérents, paraît -il, à la profession de tonnelier. XV. Sur un
terne, mardi dernier, une jeune fille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt clinique. Vous vous sou
sieurs, avec ces notions quelque peu arides d'anatomie, mais elles me paraissaient indis- pensables comme introduction à l'étude c
le donc en cause? Oui, très certainement, quelque invraisemblable que paraisse cette hypothèse. Je dis invraisemblable, parce qu
qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie était, paraît -il, accompagnée d'une hémianesthésie tellement pr
is est à l'état d'isolement. Je sais bien que, quelque singulière que paraisse tout d'abord cette dissociation, la paralysie de
que, M. Gilles de la Tourette1, a parfaitement mis en évidence et qui paraît particulier au blépharospasme hystérique1. Nous s
voir est fille d'un réfugié polonais, fort buveur et très alcoolique, paraît -il. L'alcoolisme du père constitue le seul facteu
aujourd'hui beaucoup plus rares. Le père est un émigré polonais qui, paraît -il, n'a jamais été malade. C'est un grand buveur
sis de la paupière gauche et l'asymétrie des sourcils. Ce ptosis est, paraît -il, plus ou moins marqué suivant les jours; parfo
ntrerai que ma première argumentation, pour spécieuse qu'elle pouvait paraître , n'avait abouti qu'à des conclusions erronées et
'il arrivait que considérées à un autre point de vue, les choses nous parussent tout autres? Cela n'est peut-être pas impossible;
rrondie, régulière, visible surtout dans l'extension du doigt, et qui paraît être formée soit par un cul-de-sac de la synovial
mate syphilitique à peu près univoque. J'ajouterai que cette atrophie paraît être un des attributs de la syphilis héréditaire
tre est mort aliéné à l'asile Sainte-Anne. Ces faits d'hérédité m'ont paru intéressants à souligner. En effet, n'a pas la sy
s le tableau est si différent dans les deux cas que le contraste vous paraîtra frappant. Chez l'un deux, c'est encore l'épilepsi
nstaté un cas chacun de leur côté. Quelque singulière que puisse vous paraître cette variété, il est cependant aisé de la concev
heures du matin. Lorsqu'elle fut replacée dans son lit, « bientôt il parut évident — c'est toujours M. Féréol qui parle — qu
lle est atteinte ? Au premier abord on est assez aisément dérouté. Il paraît évident qu'il existe un foyer quelconque dans la
sion nucléaire, portant sur les noyaux d'origine ? Cette hypothèse ne paraît pas-vraisemblable. On sait en effet que la destru
ser tout de suite à une tumeur, et c'est en effet cette hypothèse qui paraît la plus plausible. Nous voyons, d'autre part, que
'une anomalie relativement aussi rare. Cette hémiplégie droite nous paraît justiciable d'une explication beaucoup plus simpl
is n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Les grands-parents maternels ne paraissent pas avoir eu d'antécédents nerveux. Une tante, âg
'âge de quatorze ans. Son développement, pendant la première enfance, paraît avoir été régulier jusqu'à l'âge de trois ans. De
régulières jusqu'au début des accidents actuels, mais elles n'ont pas paru depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant auc
cas semblable que l'expression « bâiller à se décrocher la mâchoire » paraîtrait justifiée. Ce bâillement convulsif diffère enco
et la cadence sont des éléments différentiels de premier ordre qui ne paraissent pas exister dans les bâillements épileptiques jus
itude de l'inspiration constitutive de ces bâillements simulés nous a paru se rapprocher beaucoup plus de l'amplitude du bâi
; leurs rapports avec les autres espèces de tremblements, dont ils ne paraissent être que des imitations plus ou moins parfaites ;
14 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
es années précédentes. En voici l'énumération qui, croyons- nous, paraîtra très instructive aux yeux des personnes compéte
les encourager à mieux se conduire et si le repentir même passager paraît sincère, la puni- tion est supprimée en partie
sence de la glande thyroïde. D'où il suit, d'après ces faits, qu'il paraît y avoir une ' Cette étude sur l'idiotie crétino
l'asile, elle fut atteinte d'un premier érysipéle; son intelligence parut plus déve- loppée à la suite de cette affection
moplate ; ils n'étaient/ pas enkystés. La graisse qui les composait paraissait , au micro^ cope, formée de tissu connectif et d
n, fut également atteint d'érysipèle, mais son état intellectuel ne parut nul- lement modifié par cette maladie intercurr
omme correctement divers objets qu'on lui présente. Il estpropre et paraît susceptible d'affection (Fiq. 4 .) La tête est
d'extraordinaire; né à terme. - A la naissance, il était gros, mais paraissait difforme; la tête surtout était « horrible voir
en arrière, on détermine une vive douleur. La sensibilité cutanée paraît normale dans ses différents modes. 0 ? -gaiesde
86. L'état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la mémoire paraît meilleure, il semble un peu plus vif, surtout e
CHYDERMIQUE. 25 La bouffissure de la face, mentionnée ci-dessus, ne paraît pas avoir existé toujours au même degré; il sem
- Th... à l'âge de 21 ans (mai 1882). Aujourd'hui, la face bouffie paraît avoir perdu beaucoup de sa mobilité et les rare
d'un blanc mat, assez résistante sous le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse couche de tissu cellulair
a transpiration est insensible et l'excrétion de la matière sébacée paraît complète- ment suspendue. Au niveau des régio
st très marquée. Quant aux sensibilités spéciales, la vue et l'oUle paraissent égales des deux côtés. Le goût semble intact. T
ure ou des bonbons. Une poupée qu'il a eu pendant quelques semaines paraissait lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est
aude, état saburral des premières voies digestives. 24. - Le malade paraît un peu abattu, la rougeur s'est étendue ainsi q
selle depuis quatre jours (il ne mangeait pas depuis deux jours et paraissait souffrir), est amené à l'infirmerie. Lavement.
ganglions semi-lunaires, la partie inférieure du grand sympathique paraissent absolument normaux; les parties supérieure et d
o à '<6 ? de largeur et 1 centim.de hauteur; il est assez épais; paraît sensiblement hypertrophié. Lorsqu'on enlève le ce
uche optique, sont normaux. Cervelet. - Les hémisphères cérébelleux paraissent normaux. Analyses de la peau. - Nous avons fait
de la scissure sous-pariétale gauche. 3° Enfin le corps pituitaire paraissait sensiblement hypertrophié. Nous reprenons mai
achydermique publiés par les auteurs. Voici un cas de M. Bouchaud', paru en 1884, et que nous reproduisons complètement
dénué de sentiments affectueux, il ne s'at- tache à personne et ne paraît pas reconnaître ceux qui lui don- nent des soin
Les sens sont intacts ; il voit et il entend ; l'odorat et le goût paraissent cepen- dant peu développas. - Il est faible et
e cette peau n'a pas été pratiqué et que la présence de la mucine a paru faire défaut dans un certain nom- bre de cas de
dans le service de Legrand du Saulle. Nous le relatons tel qu'il a paru à cette époque.' Observation VIII. - Oncle pate
nstata enfin une obnubilation générale de l'intelligence. Il nous paraît inutile d'insister sur les symptômes présentés
t souvent du froid. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Rien ne paraît l'intéresser plus longtemps que quelques secondes
ate du début de l'atrophie de la glande thyroïde; toutefois, il lui paraît vraisemblable que, dans son cas, on avait affai
tignolles. L'un de nous a eu l'occasion de voir ce malade qui lui a paru être un bel exemple d'idiotie crétinoïde avec c
ïde avec cachexie pachydermique. La véritable nature de l'affection paraît avoir échappé à M. Bail. Une circonstance parti
; elle était née à terme, était bien conformée, intelligente et ne paraissait que son âge, contrairement à ce qu'écrit M. Bal
égétative s'accomplissent avec régularité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l'état normal et la sensibilité tactile
ous suffit de citer ces quelques lignes pour montrer que M. Bail ne paraît pas être au courant des travaux publiés sur l'i
pplique les méthodes d'enseignement dus à Edouard Seguin. M. Bail paraît ignorer les résultats très sérieux obte- nus da
normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon état paraissait être dû à un excès de la graisse sous-cutanée s
inoïde avec cachexie pachydermique. Le diagnostic de myxoedème nous paraît cependant devoir être posé assez clairement, si
able du corps thyroïde, etc. Aux cas de crétinisme avec myxoedème paraîtrait aussi devoir se rapporter l'observation de M. A
distincte ; l'enfant était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il paraît plutôt s'agir d'un myxoedème opératoire; nous a
th, Bail, Goodhart, etc., et que nous avons rap- portées plus haut, paraissent en fournir la démonstra- tion2. Il ressort de
s idiots crétinoïdes, l'absence ou l'atrophie de la glande thyroïde paraît constante. Les quelques autopsies de sujets att
M. Brandes, il s'agit d'un homme de quarante ans dont le myxoedème paraissait remonter 1 La question de crétinisme mériterait
ux oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde paraissait nor- mal. - Dans l'autopsie du cas de Ord, fait
lement dimi- nuée de volume. 80 IDIOTIE CItCTINO1D1's. glande a paru douteuse (Goodhart, Ilidel-Saillard, Ord, Gowan
sence de la glande thyroïde a été constatée ou dont l'existence a paru très douteuse, semblent établir une relation évi-
tance corticale. Le tissu de l'arachnoïde et surtout de la pie-mère paraît fortement épaissi, mais en intensité variable, à
lia brièvement deux nou- veaux cas. Il faut noter que la cachexie paraît d'autant plus à craindre que l'opéré est dans l
re est plus favorable que celui du myxoedème médical dont la marche paraît fatalement progressive, si l'on en juge par les
s sur les animaux, les plus concluantes et les mieux conduites nous paraissent être celles de M. Horsley, tant à cause de l'es
rches de M. Horsley, entreprises sur le chien, le chat et le singe, paraissent démontrer que la glande thyroïde est d'autant p
pect ordinaire, mais ses circonvolutions sont un peu maigres, et il paraît un peu en retrait sur les parties environnantes
étant mort, la mère malade, il a souffert de la misère. Sa mère, paraît -il, no le laissait pas s'asseoir. Pendant 15 jo
la petite fille, retournée aujourd'hui dans- le pays de sa mère qui paraissait l'affectionner assez, et notre malade qu'elle n
te et lui a enlevé l'enfant pour le faire placer à Sainte- Anne. Il paraît qu'un jour sa mère le laissa enfermé seul toute
, de diarrhée. L'abdomen est un peu gros. - Le foie, la rate, etc., paraissent normaux. Pas de bave, de succion, d'onanisme, n
TUBERCULOSE GÉNÉRALISÉE. 133 on constateque l'enfant se ralentit et paraît de plus en plus souffrant. On l'envoie à l'infi
e d'un cancer de l'utérus. Les antécédents personnels de l'enfant paraissent indi- quer que jusqu'à 5 ans, il était intellig
vril, on remarque que l'enfant travaille de moins en moins et qu'il paraît souffrant. Ces phénomènes s'accusant, il est en
QUES : CONVULSIONS. les crises, il ne reprenait pas connaissance et paraissait être mort. Ces convulsions ont été attribuées à
ines après les précédentes. En juin, les troubles intellectuels ont paru s'améliorer et l'attention paraissait plus faci
uin, les troubles intellectuels ont paru s'améliorer et l'attention paraissait plus facile à fixer. Les convulsions ont reparu
gr. ; le foie, 570 gr. Tête. A l'ouverture du crâne, la dure-mère paraît adhé- rente aux os; le sinus longitudinal supér
substance cérébrale. Le cervelet se décortique avec faci- lité ; il paraît plus dur au toucher qu'à l'ordinaire. Hémisphèr
, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancées, et paraissent avoir mar- ché du centre à la périphérie. En ef
Purkinje sont admirablement conservées. En résumé, les lé- sions paraissent plus marquées sur les régions postérieures de l
petites, cubiques, non granuleuses, remplissent les culs-de-sac et paraissent revenues à l'état indifférent. I. L'existence d
loro- formisation.-A la naissance, l'enfant n'était pas asphyxié, paraissait normal. Elevé au sein par sa mère, il a été sev
re les deux arcades dentaires. A droite, au point correspondant, il paraît avoir existé une môme lésion ac- tuellement cic
lète du tissu adipeux sous-cutané. Les différentes parties du crâne paraissent symétriques. Le trou occipital, les fosses occi
ifférentes scissures delà face interne assez profondes et sinueuses paraissent normales, b) Face convexe. La première circonvo
rement chagrinée. Le lobule orbi- taire est sinueux; le gyrusrectus paraît normal ; les autres circonvolutions de ce lobul
ité postérieure est comprise dans le kyste temporal. Le corps strié paraît normal, ainsi que la couche optique. Le ventr
aît normal, ainsi que la couche optique. Le ventricule latéral ne paraît pas en connexion avec le kyste. L'hémisphère cé
e désir de man- ger ; il ne prend que des aliments, légers et il ne paraît pas savoir mâcher. Ni vomissements, ni ruminati
ts à sa situation normale. D'une manière générale, les contractures paraissent avoir augmenté, les pupilles réagissent mal à l
grise. Sur des coupes colorées, on constate que la vascularisation paraît normale; les cellules nerveuses sont nombreuses
re part, les cellules interstitielles à petits noyaux sphériques ne paraissent pas multipliées dans la subs- tance grise, mais
retrouve dans la plupart descerveaux en voie d'atrophie ; ils nous paraissent constitueruneébauche, un début microscopique, d
à rencontrer la ; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne paraît pas altérée. La lèvre inférieure de la scissure
oup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles paraissent abondan- tes ; à part cela, l'aspect est égalem
ravées nesont pas modifiées. Les faisceaux musculaires eux-mêmes ne paraissent pas altérés. I. Nous n'avons pu recueillir que
rents degrés ; dans la moelle, encéphalite. 177 le même processus paraît plus avancé encore, et l'atrophie des éléments
; 2° sur l'épaule droite et le thorax. L'enfant est maussade et ne paraît pas souffrir localement. 20 août. L'éruption es
cule latéral, la couche optique, le corps strié et la conie d'Ammon paraissent normaux. Lobe orbitaire. Les scissures sont peu
lle est amaigrie et mamelonnée et offre uno surface irrégulière qui paraît être due à l'état chagriné poussé à l'extrême e
oupées de sillons transversaux, su- perficiels,assez nombreux,et il paraît , à cause de cela,cou- vert de hachures. Les sil
s les directions. Le nombre des éléments 188 EXAMEN HISTOLOGIQUE. paraît sensiblement accru, et il existe une série de poi
lules motrices en ce point (1). RÉFLEXIONS.- Cette observation nous paraît justifier les réflexions suivantes : I. Un mo
ie rosée. (Fig. 18, Il,) Membre inférieur droit. La hanche droite paraît normale; toutefois ses mouvements sont un peu l
aucun vestige ; la capsule surrénale gauche existe. Le rein droit paraît normal, mais son uretère est très sinueux, dilaté
me existe chez un aïeul maternel et aucun membre de la famille ne paraît avoir été atteint d'affections nerveuses graves,
ux et des muscles, non intéressés par la tumeur. Cette ectromélie paraît être due à la tumeur; nous ne pouvons être plus
tées ; testicules volumineux et durs. La racine de la bourse droite paraît plus grosse que celle de la gauche. Pas d'onani
urds et mal frappés; pouls, 112 par minute. - Sensibilité générale, paraît normale. Sen- sibilité spéciale, d'une explorat
e. Pas d'emphysème du cou. A l'ouverture de l'abdomen, le péritoine paraît sain ; un peu de liquide rougeâtre dans le peti
n antérieure à l'angle supérieur de la plaie sont gonflées^ mais ne paraissent pas avoir été atteintes.- Pharynx et oesophage
fonds. La scissure de Sulvius est . normale. La frontale ascendante paraît assez bien déve- loppée, elle est sinueuse et i
siège plus fréquemment sur les 6°, 7° et 8« cartilages, ce dernier paraît être plus souvent atteint que les autres. Le ch
ic. Aucun des traités de pathologie,de neu- rologie, de psychiatrie parus , certes, en abondante quantité, dans ces derniè
coup plus com- plet, est antérieur au travail de M. Crichton Browne paru seulement dans le cours de 1873 (The West Ridin
, normal dans toutes ses parties, scissures et circonvolutions ; il paraît plus large dans son ensemble que celui du côté
fre à sa partie moyenne une sur- face en retrait et chagrinée; ello paraît un peu moins déve- loppée qu'à gauche. Les scis
15 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
nnel. Exagérons l'erreur encore : voi là un enfant de seize ans qui paraît n'avoir que dix ans. Cette fois il n'y l'infant
une ca- chexie progressive, au vrai sens de ce mot. Il nous a donc paru rationnel d'assimiler les infantiles à des myxo
cuper d'autres malades,il fondait en larmes. Tous ces enfantillages paraissaient même disproportionnés avec son âge apparent. Ma
près sa naissance. A partir de cette époque ses règles ces- sent de paraître ; ses seins se modifient, diminuent de volume ; s
avons pu suivre pendant plusieurs années, et dont l'histoire nous a paru présenter plusieurs particularités intéressantes.
aujourd'hui, sont normaux'; les masses musculaires sont flasques et paraissent amoindries ; les jambes, en particulier, sont p
ne couche épaisse de plusieurs centimètres. La plupart des viscères paraissent engainés, comme la colonne vertébrale elle-même
sont sains, il n'en est pas de même des disques intervertébraux qui paraissent partiellement ossifiés surtout dans leur partie
nissant les corps vertébraux; les articulations costo-verté- brales paraissent normales. Les lésions des articulations coxo-fé
tte, il existe un épaississement diffus de l'endocarde. Le myocarde paraît normal ; cependant, au niveau des zones sous-endo
de l'organe : cette zone, examinée à un grossissement suf- fisant, paraît formée par des amas pigmentaires d'origine hémati
tissu périvasculaire est épaissi, sans que les vaisseaux eux-mêmes paraissent lésés. La glande ne présente pas d'altération n
être chez un sujet normal. La pituitaire, dans sa partie nerveuse, paraît absolument saine. Dans sa partie glandulaire, l
un certain degré de sclérose interstitielle, sans que la cap- seule paraisse notablement épaissie. L'examen histologique des
né- gatifs. L'écorce, examinée au Nissl, au Marchi, et au Weigert, paraît absolu- ment saine ; les grandes cellules pyram
fférents niveaux (renflements cervical et lombaire, moelle dorsale) paraît tout à fait saine : les grandes cellules radicu
as de sclérose périvasculaire. Sur le second morceau, les lésions paraissent plus avancées. Le fibro-carti- lage du ménisque
Brouardel-Gilbert (fascicule VIII), écrivent cette phrase, qui nous paraît mettre tout à fait les choses au point : « Sans
pte de l'évolution si particulière des acci- dents : mais elle nous paraît conforme aux idées qui ont actuellement cours s
, du grand pectoral. Le trapèze, les muscles sus et sous-épineux ne paraissent pas atteints. L'impotence fonctionnelle de ce m
vite lorsqu'elle les fait agir. Les muscles du bras et de l'épaule paraissent intacts. , On note quelques secousses fibrillai
t l'impotence des membres supérieurs persistent 48 . LONG mais ne paraissent pas progresser. La malade s'est plainte au début
tif, est proportion- nellement moins lésé que les nerfs mixtes ; il paraît presque normal sous un faible grossissement.
s mixtes les faisceaux qui vus à un faible grossissement (PI. V, B) paraissent , comme le nerf brachial cutané interne, peu altér
après traitement par l'acide acétique, la potasse ou la soude elles paraissent plus lisses et homogènes, moins foncées et elles
ées pour montrer combien l'observa- tion que nous rapportons aurait paru difficile à classer il y a quelques années enco
rs vieillards la présence d'un aspect cli- nique particulier qui ne paraissait répondre à aucun des types morbi- des connus. I
us larges qu'à l'état normal et que les circonvolutions à ce niveau paraissent amin- cies, réduites d'épaisseur. Cet amincis
ère ne sont pas réduites de vo- lume : leur conformation extérieure paraît normale. Le cervelet, a été, par une coupe sagi
seau des fibres myéliniques qui se trouve dans la couche des grains paraît être dans les mêmes points un peu raréfié. Il est
on, mais pas une diminu- tion d'épaisseur, la couche moléculaire ne paraît pas atrophiée. Enfin on trouve distribuées parm
s et tassés que ceux d'un cervelet normal, la couche moléculaire ne paraît présenter, pas plus que celle des grains, une r
on embryonnaire ou de multiplication des noyaux. Les vaisseaux ne paraissent pas malades. Noyaux centraux. - Le noyau dentel
x ne paraissent pas malades. Noyaux centraux. - Le noyau dentelé ne paraît pas avoir subi une atrophie : il est bien dével
t que l'épaisseur de la coupe permet d'en juger on peut dire qu'ils paraissent être bien développés et contenir de nom- breuse
de nom- breuses cellules. Les noyaux du toit sont bien visibles et paraissent aussi être bien développés el contenir des cell
nous pouvons nous borner à dire que les noyaux de Deiters nous ont paru bien riches en cellules et que le segment interne
culée de la calotte, la substance grise de la protubérance nous ont paru aussi contenir des cellules aussi nombreuses qu
e, réduite en largeur et en longueur. Cette réduction ne nous a pas paru exister dans notre cas, tout au moins elle n'étai
ubit pas le traitement mercuriel. Un mois plus tard la vision réap- paraît progressivement dans les deux yeux; dès lors la m
fficile et hésitante, en raison des douleurs. Mais la démar- che ne paraît pas ataxique. Elle se conduit bien dans l'obscuri
ont dou- loureux à des degrés divers ; d'une façon générale elle ne paraît pas sensible 86 CHARTIER ET DESCOMPS ment dim
presque nulle. Et il en conclut que « ce bienfait partiel et léger paraît indiquer que le corps thyroïde n'est pas seul res
sont des indices chez lui d'une lésion de la glande pituitaire. Il paraît rationnel d'admettre dès lors que la polysarcie s
notions morphologiques eussent évité cette bévue. L'année suivante, parut encore dans cette revue un article de Paul Bich
rches sur plan ascendant ou descendant, sur escalier,etc.), qui ont paru ici même (1), comprenant non seulement l'exposé
ar la thérapeutique employée. » Plus récemment, l'année dernière, a paru un livre du Dr Bruandet, professeur suppléant à
médecins les services les plus immédia- tement pratiques, vient de paraître sous forme d'un manuel conçu et réalisé encore
ensibilités olfactives et gustatives sont intactes. L'acuité visuelle paraît conservée ; pas de dyschromatopsie ni de modifi
et des temporaux sont au contraire à peine appréciables ; elles ne paraissent pas nulles toutefois, car on obtient un certain
je le crois, ce fait n'a rien de surprenant,car l'ophtalmo- plégie paraît avoir débuté : l'envahissement du noyau masticate
Strümpell et Pierre Marie, combattue ensuite par quelques auteurs, paraît avoir aujour- d'hui rallié beaucoup de suffrage
sclérosées ou présenter un aspect microgy- rique. Leur disposition paraît normale. Le cerveau dans son ensemble parait un
développée que la moitié droite. Cette asymétrie, même à l'oeil nu, paraît être due à une atrophie plus ou moins forte sui
Sur des préparations au Weigert et au Pal la corne antérieure gauche paraît en totalité plus faiblement colorée que la droi
même pour les pyramides bulbaires qui sont très bien colorées et ne paraissent pas atrophiées (PI. XXVIII). Ces pyra- mides bu
us pouvons ajou- ter foi aux renseignements fournis par la mère, il paraît bien qu'il ne s'a- git pas ici d'une paraplégie
hémiplégie cérébrale infantile. En effet, les travaux anatomiques parus depuis lors sur la poliomyélite aiguë de l'enfa
scarlatine, variole, oreillons, etc. Très souvent encore, lorsqu'elle paraît être indépendante d'une maladie infectieuse que
Fischl, Raymond (1), Batten (2)], (3). En présence de ces faits il paraît d'autant plus logique de penser, comme Oppenhei
stitue-t-il une entité bien distincte ? la réponse positive ne nous paraît pas douteuse, et cette affirmation est basée sur
evenant plus ou moins rapidement enva- hissante. i . Ces faits me paraissent permettre la compréhension du mécanisme éta- bl
névrose est épaissie et la travée intermusculaire encore plus (elle paraît sur la coupe comme formée par des piliers de tiss
ctés. Le début a été fébrile. Douleurs et éruption vésiculeuse dis- paraissent . La tuméfaction n'en persista pas moins. Elle ne
ette glande. Ces lésions sont incons- tantes et cette pathogénie ne paraît pas s'appliquer à tous les cas. Quant à l'effic
ependant, il semble exister une certaine raréfaction des fibres qui paraissent plus espacées et moins nombreuses qu'à l'état nor
niveau du bulbe, soit complète. Ce fait qui pourrait de prime abord paraître anormal, n'a rien cependant qui doive nous surp
1° Clinique. - Chez un homme, syphilitique, âgé de 32 ans, est ap- paru , 5 ans après le chancre, dans l'espace de 10 jour
de Reil latéral et du corps genouillé interne, formations qui sont, paraît -il, en rapport intime 206 ROSSI ET ROUSSY ave
s'est accompagné de douleurs continues aux endroits où elle est re- parue . A la limite entre l'anesthésie et la sensibilité
ère ligne, les cordons postérieurs et puis les cordons latéraux. Il paraît que les artères nourricières (Van Ge- huchten)
difficile en ce cas, je me bornai à celle de la douloureuse, qui me parut diminuée dans la main droite. Les réactions élec-
e s'appuyant aux objets, ou murs voisins; les réactions électriques paraissaient être normales; l'atrophie de l'éminence thénar
INFANTILE 223 L'amyotrophie de la polynévrite, qui, selon Dejerine, paraît être plus précoce, est susceptible de s'amélior
n à la Société Médicale des hôpitaux de Pa- ris (2). Mais il nous a paru intéressant de revenir sur quelques points de s
molles que la clavicule se déforme facilement à la pression. Il ne paraît pas qu'il y ait articulation de la clavicule avec
s'articule avec le sternum par un tissu fibreux très lâche. Elle ne paraît pas s'attacher à l'acromion, mais s'ar- rêtera
n peu grosses, légèrement hippocratiques, et cette déformation nous paraît relever des troubles de l'hématose dus à la défor
dont la dentition était très peu developpée. De ce court aperçu il paraît bien que les troubles de la dentition sont un s
alement trouvé signalés en Amérique deux cas qui,d'après leur titre paraissent également concerner des luxations du radius congé
examen histologique permettrait d'en résoudre l'origine. Aussi nous paraît -il difficile d'admettre avec Apert (3), que la dy
du corps étaient bien proportionnées et à un examen superficiel il paraissait être un gar- çon de 12 à 14 ans, il avait conse
e alors qu'il avait 7 ans ; il n'avait ni frère ni soeur. Sa mère paraît bizarre et peut être soupçonnée d'éthylisme. Lui-
57, le gauche pèse 2 gr. 6 centigrammes. La glande thyroïde : elle paraît peu atrophiée relativement, les deux lobes pèse
pha- lo-rachidien pas très abondant. Hémisphères non décortiqués, paraissent extérieurement normaux. Sur la face inférieure
petite noix muriforme, blanchâtre, de consistance crétacée. Elle ne paraît pas augmentée de volume. L'ensemble est conserv
ération de cellules épithéliales et de cellule. Le tissu conjonctif paraît peu augmenter. Le testicule : est le siège d'un
mydriase paralytique . maximale, dont la nature hystérique ne nous paraît pas douteuse. La rareté des faits analogues et
haut et en dedans, ce qui peut être considéré comme nor- mal. Elle paraît ne pas réagir à la lumière du jour ; avec un écla
sion verte qui s'est manifestée après l'instillation d'ésérine nous paraît être un phénomène de même nature ; on ne sait q
chich en Egypte empirerait probablement l'état des choses. L'alcool paraît aussi avoir une action plus délétère, spé- cial
nt amené à leur suite une surdité progressive. ! La maladie .actuelle paraît avoir débuté d'une manière insidieuse vers l'âge
omparaison avec le côté opposé, mais d'une manière abso- lue. Il ne paraît guère, toutefois, exister d'atrophie musculaire e
minués. Par contre, les muscles de la paroi ab- dominale antérieure paraissent bien se contracter ainsi que le diaphragme et l
ns s'accompagner de symptômee cutanés carac- téristiques. Il nous paraît donc inutile de prolonger le diagnostic différent
dus à des lésions d'otite catarrhale chronique et la huitième paire paraît bien indemne. Il existe encore chez ce malade d
ômes que l'on observe chez F...; le maximum des lésions médullaires paraît siéger en C., elles se prolongent probablement
us soit avant tout intra-médullaire, la pachyméningite cervicale ne paraît jouer aucun rôle (absence de douleurs, de raide
douleurs, de raideur de la nuque, etc.). Dans la moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne postérieure (trou
superficielles, troubles trophiques), mais le cordon postérieur ne paraît pas indemne (sensibilités profondes presqu'a- 2
ne de Babinski), enfin, la corne antérieure à la ré- gion cervicale paraît légèrement atteinte (parésie flasque du bras), ma
électriques sont peu troublées au ni- veau des muscles malades, ils paraissent surtout des troubles secondaires, incapables d'
u radius droit est plus volumineuse que celle du côté gauche. Il ne paraît pas y avoir de lésions articulaires. Les os off
due à l'augmentation de volume des parties molles, sans que la peau paraisse prendre une très grande part au pro- cessus.
les. A... ne peut marcher que si on le soutient. A droite l'ouïe ne parut jamais altérée, elle sembla parfois diminuée à ga
trabisme divergent de l'oeil droit. Les moitiés droites des rétines paraissent insensibles. Le strabisme s'accentue, disparaît,
. 2. mais touchant également le pied de Fa. et Pa. G. s. m. et T. 3 paraissent li- bres. Résultats macroscopiques. - Le cerv
es ventricules, puis débité en coupes sériées. L'hé- misphère droit paraissait plus volumineux que le gauche. Cela fut confirmé
é au néo- plasme (Icotogr., n° 2, 1905). Vaisseaux. Il y en a qui paraissent intacts. D'autres ont une intima for- tement ép
nt laissé dilacé- rer par la pression du sang ». Cette hypothèse me paraît difficilement ad- missible, la présence du néop
l- térés, ce qui explique l'hémianopsie, car c. g. e. et le tractus paraissent in- tacts ou peu touchés. L'hémianopsie fut don
d antérieur et médian de l'hémisphère droit du cevelet. Ce kyste ne paraît pas communi- quer avec le IVe ventricule et s'ê
à sa partie inférieure un très petit lobule, de forme arrondie, qui paraissait être un doigt rudimentaire. IL Enfant de deux a
tte articulation. Le bras est long de 7 a 8 centimètres, et il ne paraît pas y a avoir de diffé- rence de longueur ni de
309 deux petits tubercules réunis pas plus gros qu'une noisette, ne paraissent constitués que par des parties molles ; cependa
avec la partie externe du 2" métacarpien. ' . Le grand os anormal paraît résulter de la fusion du pyramidal, du grand os
ge de l'auriculaire. Pour les deux doigts extrêmes, la 1'° phalange paraît à peu près normale, tan- dis que les deux derni
partie interne et antérieure, et externe et postérieure du bras ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui était le seul à la r
ême trajet des artères sous-scapulaires, et la cinquième enfin, qui paraît être la continuation du tronc, descend tout le
de 3 ans. La monstruosité porte tout entière sur l'avant-bras, qui paraît amputé à l'union du tiers supérieur avec les de
eu moins nombreuses du côté de l'hémimélie. Mais, en somme, il nous paraît qu'il s'agit surtout d'une atrophie en masse de l
Sujet mâle, 39 ans. Le fémur se termine par une masse arrondie, qui paraît mamelonnée. La surface articulaire est située s
ne de la cuisse. Le talon regarde en haut et en avant; le calcanéum paraît très irrégulier. On ne peut distinguer les os du
orteils. Leur autre extrémité, au contraire, n'est pas distincte et paraît se souder à une masse osseuse irrégulière, form
iste un petit os pisiforme, isolé des précédents. Ces différents os paraissent être l'ébauche du premier cunéiforme, du scaphoïd
ur son bord interne. Le carpe n'est représenté que par trois os qui paraissent être le trapèze, le grand os, le pyramidal, le
e radius, à part son incurvation, semble avoir une forme normale et paraît complet ; le cubitus, au contraire, n'est pas nor
ie que l'on pourrait appliquer à ce cas d'hémimélie. Les avant-bras paraissent d'autant plus courts qu'ils restent fléchis à ang
ras, la main et les doigts forment comme un Z allongé ; deux doigts paraissent en partie fusionnés." Les radiographies montr
xtrémité inférieure du radius et en bas avec l'os du métacarpe ; il paraît correspondre à la fois au scaphoïde et au tra-
en partie soudés. L'os qui s'ar- ticule avec la tête du métacarpien paraît formé par la fusion de la 1 ? phalange du pouce
gt semble être l'index ou le médius. L'avant-bras extrêmement grêle paraît ne pas présenter de carpe. Le bras gauche possède
ot de sclérose sénile dans la substance blanche, c'est qu'il nous a paru doublement instructif. En effet la sclérose de
let d'un paralytique. Si on veut bien se reporter il un travail qui paraît en même temps que celui-ci dans l'Encéphale (1
diminution de l'odorat, cons- talée par le malade lui-même, et qui paraît nette et bilatérale. La motilité est normale, l
et, si on le lâche, en imminence de tomber en arrière. La force ne paraît pas plus diminuée dans une jambe que dans l'ant
'en arrière, et contenue dans la corne postérieure droite. Sa paroi paraît être constituée par une bande de tissu névrogliqu
igment est abondant, les prolongements grêles. Ces altérations nous paraissent devoir être mises moins sur le compte de la gli
i nous reste à résoudre est particulièrement délicate et il ne nous paraît pas qu'on puisse lui donner, actuellement, une so
mégalie que l'apparition des arthropathies par exemple. Ce qui nous paraît à retenir, c'est l'importance prise dans notre ca
onjonctif, peau) réagissent différemment, elle reste cachée et nous paraît à chercher moins dans la localisation elle-même d
r un agent morbide défini. Après la présentation de ce travail, est paru un important mémoire de M. Karl. Petreu ; nous
Nancy. L'observation suivante d'ecchymoses zoniformes spontanées me paraît . constituer un type morbite dont je n'ai pas en
isant défaut comme il arrive souvent également pour le zona. Elle paraît cependant fort probable dans la deuxième observat
revue générale de Porak et Durante sur les Micromélies congénitales parue ici même en 1905 : on y trouvera l'historique c
rt pas du mystère où se cachent ses semblables, cependant il nous a paru intéres- sant à relater à cause de la multiplic
t d'une double spatule (PI. LXXII) ; la malléole interne manque. Il paraît unique- ment constitué par du tissu spongieux,
ale et s'ar- ticule comme il convient ; sou extrémité supérieure ne paraît pas défectueuse au point de vue anatomique, mai
ur arriver graduellement à l'angle droit; la face supérieure du col paraît d'ailleurs comme usée par les frottements et les
ent différenciés que ceux décrits dans notre cas ? La question nous paraît tout au moins dou- teuse et mérite d'être posée
rpe, et termi- née par des tubercules, en partie cartilagineux, qui paraissent des rudi- ments du squelette métacarpo-phalangi
es par absence de la tige ou rayon radial ; l'avant-bras et la main paraissent mieux représentés dans leur ensemble ; généraleme
tés de l'ectromélie et plus spécialement celles de l'hémimé- lie ne paraissent pas devoir reconnaître une pareille origine; elle
des arrêts de développement et des monstruosités dont le mécanisme paraît être de même nature que celui que nous invoquon
ux central est en pleine période de développement, où ses fonctions paraissent nulles encore et où il ne se trouve pas en conn
t, une origine endogène est possible, mais une origine exogène nous paraît plus probable ». L'origine du processus est, ai
onstruit d'après les indications de Warren Harmon Lewis, combien il paraît logique de penser qu'il s'agit, dans notre cas
yenne, d'une constitution délicate et d'une phy- sionomie agréable, paraît avoir joui d'une bonne santé jusqu'à l'âge de q
r, de 6 kilogrammes 1/2 pour la droite, et de 7 pour la gauche, qui paraissait un peu plus développée. La peau, qui recouvre c
ent dans la constitution normale du sein), la peau, disons-nous, ne paraissait en aucun point avoir subi aucune altération, au
le tableau, une seule représente la malade après l'opération ; elle paraît , à peu de jours près, contemporaine de la peint
s et Barbé) Masson et Cire, ] : ,Ittctllq PhOI01YP ! 11 BrrLhauJ, Paru UN CAS DE P011ENCÉI'.IL[L ? CHEZ UN HYDROCÉPHAL
- lier, pour la distinguer de la porencéphalie vraie. Ce cas nous a paru in- téressant à rapporter tant à cause des part
que se localise la lésion principale Mais con- trairement à ce qui paraît exister chez l'achondroplasique, les os du tronc,
des maladies de la moelle épinière : avec la déformation du visage parurent d'abord l'aménorrhée et les altérations des os,
duraient 3 jours. Mais depuis l'âge de 18 ans les douleurs ont dis- paru et la fonction menstruelle se répète régulièremen
unication à la Société de Neu-. rologie de Paris et dans un travail paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
tronc de ce nerf. Après cette intervention une amélioration réelle paraît se dessiner. Elle persiste pendant environ 3 se-
eux. Il est sensible, impression- nable, mais il ne le laisse point paraître . Fils de cultivateurs robustes, d'une famille o
vie paisible, exempte de chagrins et de préoccupations. Cependant, paraît -il, dans son intérieur, il ne trouve pas toujou
ois. Dès lors, les nuits sont devenues mauvaises, le sommeil a dis- paru presque complètement : impossible de trouver une
parente du sterno-mastoïdien droit était d'ailleurs plus accentuée, paraît -il, il y a quelque temps et elle a tendance à dé-
s que cependant aucune sensation de dou- leur soit éprouvée, et qui paraît dépendre de l'effort que fait le ma- lade pour
tat vibratoire, variable d'ailleurs - suivant les moments, mais qui paraît bien'témoigner d'un certain trouble du contrôle
aux extraits de cetle auto-ob- servation. Certains détails pourront paraître oiseux. En les supprimant, j'ai craint d'établi
ade de remarques destinées à mettre en évidence les faits qui m'ont paru se re- produire dans la plupart des cas de tort
arche en avant. 3° L'exacerbation que 'je viens de vous signaler me paraît due à une recru- descence des contractions des
it le progrès le plus manifeste et dont j'étais le plus heureux; il paraissait même durable, car il persistait dans les journé
plus maî- tre. J'avais obtenu (je m'exprime ainsi parce que cela me paraît bien rendre ma pensée) « l'équilibre dans la dé
ïque, jusquiame et valériane. Ainsi, la crise dure encore, et ne me paraît pas près de finir; c'est la plus douloureuse qu
ogrès réalisables. Je prolongerai mon isolement,si le résultat m'en paraît bienfaisant,aussi longtemps que vous lejugerez né
nuire à la régularité des immobilisations et des mouvements ; cela paraîtrait devoir favoriser la création de l'automa- tisme
mon nouvel état et me préparer à recommencer la lutte. 2° Il m'a paru que les crises que j'ai traversées jusqu'à présen
gauche que sont surtout les con- tractions ; les points de traction paraissent être : le côté latéro-postérieur du cou sous l'
droite la tête fléchie; la posi- tion ainsi prise demi à droite me paraît très favorable à la découtraction et j'y réussi
aître cette influence fâcheuse en m'abstenant pendant huit jours de paraître devant le miroir ; pas de change- ment. Une seu
de me séparer d'eux et je le regrettais d'autant plus que l'aîné me paraît avoir besoin d'une surveillance assidue. Extrêm
16 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ormé; il était bossu ; bien qu'il fît tous ses efforts pour ne pas le paraître , la difformité était même considérable; et, quoiq
un acromion à l'autre, est de 0m,42. Examiné latérale-ment, le thorax paraît peu développé à la partie inférieure, relati-veme
ètre (partie moyenne), 0'n,18. Genou complètement déformé. Le tibia paraît luxé sur le fémur. En dehors et en arrière, le co
Jambe. On ne sent pas la crête du tibia, évidemment émoussé. La jambe paraît un peu plus grosse que la cuisse. Les muscles du
t ceux qui ne se remuaient pas, par la seule volonté, ne nous ont pas paru plus sensibles par l'électricité. Ainsi, égalemen
Tours) a employé le Hachisch pour combattre l'épilepsie ; mais il ne paraît pas en avoir retiré des avantages bien marqués. M
et extrêmement hçureux : il semblait jouir de la suprême fécilité et paraissait extra ordinairement gai* Après un trai-tement de
é, il dit qu'il ne l'avait pas eu depuis longtemps : toutes ses idées paraissaient en même temps confuses ; ses pupilles étaient trè
al Sainte-Eugénie. Un an après environ, à l'âge de 15 ans, les règles parurent pour la première fois. A 16 ans, elle eut encore
dissipèrent spontanément, et vers le milieu du mois d'août la maladie parut entrer dans une phase plus favorable. — La voix r
le diamètre ne dépasse pas 0mm,010. — Les glo-bules rouges discoïdes paraissent normaux, mais au milieu des es-paces vides ménagé
l que dans la forme même des symptômes, quelque chose d'étrange qu'il paraît tout à fait impossible de classer sous une ancien
s le cadre nosologique à côté de la leucocythémie, avec laquelle elle paraît avoir de grandes analogies? C'est ce que décidera
es deux ou trois heures pendant deux ou trois jours). Cette tolérance paraît dépendre beaucoup du degré de la congestion du ce
contribu-tion chez les deux tiers des malades. Le sulfate de quinine parut exercer : 1° une action sédative sur le système n
l'avait envoyée. A la fin de sa maladie, il s'est formé un abcès qui paraît avoir eu pour point de départ le périoste alvéolo
tôt ou tard le membre paralysé. De même que l'atrophie, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la paralysie spinale infant
ifs1. Je n'insisterai pas plus longuement sur ces faits anomaux qui paraissent , d'ailleurs, très-rares. Je n'ai pas cru devoir t
loc. cit., p. 8. le répète, un fait plutôt exceptionnel. En sommeil paraît constant que les lésions irritatives prédominent
musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont il s'agit paraissent s'accuser de bonne heure : M. Damaschino, d'après
ns les intervalles qui les séparent; de telle sorte que ces dernières paraissent comme autant de centres ou foyers, d'où le proces
s, quant à l'intensité, aux lé-sions de la substance grise. Il nous paraît évident,d'après tout ce qui précède,que les cellu
véritable dissociation ; les cas de M. Da-maschino établiraient même, paraît -il, qu'on peut, sur les points de la moelle le pl
ompa-gnant d'une sensation de fourmillement et de picotement. La tête paraît chaude, lourde ; il y a des bourdonnements d'orei
ut les exprimer (Schroff) ou qu'elle les exprime de façon à les faire paraître confuses et incohérentes. Un autre phé-nomène psy
onvulsifs (Gri-maux), dans lesquels l'action des muscles fléchisseurs paraît pré-dominante (Moreau, de Tours). Les animaux eux
considère comme un des caractères de cette sub-stance. Elles ne nous paraissent pas douteuses d'après les renseigne-ments qui nou
idus ont l'aspect stu-pide ou farouche, quelquefois mélancolique. Ils paraissent indiffé-rents au monde extérieur : ordinairement,
nterroge, souvent ils ne sem-blent pas entendre; s'ils entendent, ils paraissent ne pas compren-dre ce qu'on leur demande. Il n'y
frissonnements, et l'ani-mal meurt dans un état d'affaiblissement qui paraît être le résultat de l'absence d'alimentation. R
'ils devenaient secs et se brisaient en grand nombre. Le cuir chevelu paraissait sain.*. La maladie semblait résider exclusivement
n fila-ments multiples finissait par amener la rupture du cheveu, qui paraissait s'être tuméfié par suite du développement dans so
ps cette dame, presque chaque jour, coupe un à un tout cheveu qui lui paraît devenir malade. Sous l'influence de ces coupes pa
sées, dont quelques-unes étaient légèrement saillantes et qui lui ont paru n'être que des petites tumeurs au début. Le malad
rioliforme de Bazin); II. Af-fections sarcomateuses (cas de Hardy qui paraît être une tumeur à cytoblastions d'après Verneuil
t affecté d'un torticolis d'ancienne date. C'est à l'âge de deux ans, paraît -il, que remonte le début de sa maladie. Il est au
'une manière absolue, di-sons qu'une affection osseuse primitive nous paraît ici invraisem-blable. La déformation du squelette
La région hypothénar, non-seulement n'offre plus aucun re-lief, mais paraît creusée. Une saillie marque encore la région th
. Par la dissociation, les tubes du nerf cubital, avant la cicatrice, paraissaient normaux ; on distinguait le cylindre-axe entouré
s hommes célèbres, indiquant une série de no-tices semblables, nous a paru , après lecture, un peu ambitieux dans l'espèce. L
xclusivement usage ou plutôt abus de vin blanc, et ce liquide n'avait paru porter aucune atteinte à l'intelligence ; la moti
aration entre lés parties supérieure et inférieure qui, vues de loin, paraissent se continuer. Voici comment est composée cette pa
des vertèbres cervicales et des six premières vertèbres dorsa-les. 11 paraît donc y avoir une analogie bien réelle entre l'enc
avités ventriculai-res (hydrencéphalocèle), cette raison mécanique ne paraît pas être la véritable cause, des hernies congenia
ernies congeniales de la substance nerveuse. La méningo-encéphalocèle paraît donc être due à une anomalie de développement ain
mettaient manifestement à la paroi thoracique ; son extrémité externe paraissait seule susceptible de REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES
élévation de la température à la suite de la thora-centèse. Il nous a paru utile de mettre ces faits en regard. Repre-nons m
ible d'isoler les parties préposées à l'une et à l'autre fonction. 11 paraît y être arrivé; voici la démonstration : « Lorsq
vent plus épicier que pharmacien. Leur préparation et leur pu-reté me paraissent offrir peu de garantie, lorsque le pharmacien n'a
s besoin d'entrer dans de plus grands détails sur ce travail qui nous paraît éminemment utile, et qui sera consulté avec bea
à une question de fait, et, si les observations de M. Armaingaud nous paraissent un peu insuffisantes pour la trancher, nous croyo
nce brusquement, à 10 centimètres au-dessous de l'arcade cru-rale, et paraît manifestement implantée sur le corps de l'os ; de
L'os fut scié, un peu au-dessus, et bien que la surface de section ne parût pas tout à fait saine, il fut impossible de remon
ces muscles sont complètement recouverts par l'a-ponévrose, qui nous paraît épaissie en certains points, principa-lement au n
e une épaisseur de 0m,05. D'ailleurs, à la coupe le tissu de la paroi paraît blanchâtre, fibreux, dur, et criant sous le scalp
, dur, et criant sous le scalpel ; sur plusieurs points ce tissu nous paraît ramolli, et semble avoir subi une dégénérescence
-mateuse que l'os lui-même. Les ligaments sont simplement amincis, et paraissent avoir perdu beaucoup de leur force; les ligaments
par places par des nodules, jaunâtres, transparents, qui, àla coupe, paraissent plus durs que les autres points de la tumeur et f
nt ces nodules sont en voie de prolifération. Certains de ces nodules paraissent complètement isolés au sein du cartilage, tandis
le répète, la tunique glissait facile-ment sur la tumeur. —Le cordon paraissait sain, les ganglions voisins n'étaient pas engorgé
e, la glande pré-sente en tous les points une coloration uniforme, et paraît com-plètement envahie par une substance jaunâtre.
e, rien de spécial, si ce n'est que les altérations des points envahi paraissent plus profondes. Les canaux déférents sont norma
séminifères et qui, d'après lui, est la caractéristique de l'orchite, paraît n'être que du tubercule. Cependant il est peut-
connexions varient beaucoup. Chez le 1 C'est vers cette époque que parut le travail de M. Chapot; voilà pourquoi l'observa
prend le mot typhoïde dans son sens étymologique, l'appel-lation nous paraît exacte ; mais si, poussant plus loin l'analogie,
ien, ni dans les symptômes, ni dans l'a-natomie pathologique, ne nous paraît justifier cette manière de voir; c'est là du rest
plupart des membres de la savante compagnie se sont ralliés; ce nous paraît être une entérite épizootique de forme spéciale.
lié deux observations intitulées: Ramollissement de la rate, qui nous paraissent être unevéritable congestion de cet organe. Dans
l'anatomie pathologique, vient l'étude de certains abcès utérins qui paraissent être simplement des vaisseaux dilatés. Les abcès
qu'il en soit, tant que s'effectue cette élimination, les animaux ne paraissent guère souffrir, et c'est seulement lorsqu'ils s'a
ictime de l'imposture doit être un médecin. Dans l'espèce, il ne me paraît pas démontré que la parurie erratique des hystéri
icile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette attaque paraît avoir été d'une violence extrême: la malade est t
nter de vous présenter à cet égard une hypothèse qui, peut-être, vous paraîtra plausible, mais que je vous prie, en tout cas, de
ontraction très-prononcée de ces mêmes canaux L'analogie, à son tour, paraîtrait étayer cette présomption : chez les hystériques,
bas-sinets et des artères rénales. L'affection générale n'avait pas paru influencer, dans son sens, celte anomalie (les re
très-bien par l'inspection : toutefois les surfaces ar-ticulaires ne paraissent pas déformées. ha jambe droite est notablement
de cet angle. (Voy. planche XVIII.) On sent le tibia incurvé, mais il paraît plus volumineux et donne la sensation du cal d'un
un peu en dehors, on arrive sur le péroné. Les deux os de la jambe paraissent avoir subi une sorte de torsion et, autant qu'on
ue très-difficilement apprécier l'état du squelette. Cepen-dant il ne paraît pas exister plus de trois métatarsiens. Les ortei
cher la sage-femme, qui examina les parties génitales avec attention, parut fort décon-tenancée, partit et ne revint plus.
nue dans le langage vétérinaire sous le nom de vieille courbature, ne paraît pas devoir être rattachée à la tuberculose, car l
ches de MM. Cornil et Trasbot, communiquées à la Société de biologie, paraissent établir que les granulations du poumon, et les gl
ysme artério-veineux. Dans un certain nombre de cas, les observateurs paraissent avoir méconnu la lé-sion et l'avoir confondue ave
rvations à l'appui de cette opi-nion. De l'ensemble de son travail il paraît bien résulter qu'il existe réellement une conge
e n'a eu cl autre but que d'indiquer les côtés de la question qid lui paraissent plus particulièrement intéressants, soit par leur
te la liqueur titrante, en agitant chaque fois. Quand le précipité ne paraît plus augmenter, on essaye, après chaque nouvelle
ant continu, on n'obtient plus qu'une seule contraction; et, fait qui paraîtra étange et qui recevra tout à l'heure son explicat
lleur antiphlogistique. Un bandage silicate bien ouaté, puis fenêtre, paraît à M. Ollier constituer le meilleur appa-reil. M
duits sont impuissants. L'action des courants continus sur les tissus paraît être différente de l'action des courants induits.
et de l'anode. Au lieu de nous égarer dans des hypothèses, il nous paraît plus profitable de ne considérer que ce fait, qui
rge d'un tiers environ que celle du tibia du côté opposé. Et le tibia paraît à la vue évidemment plus long du côté malade que
n peu à droite, une excroissance qui diffère des autres en ce qu'elle paraît plus ferme, plus ridée. Au milieu, on voit une pe
du malade est bon, toutes les fonctions s'accomplissent bien; il ne paraît pas se douter du danger qu'il court et attend ave
prépuce, si ce n'est cepen-dant le manque des soins de propreté, qui paraissent assez inconnus au malade, à en juger par les bala
ions impossibles et dysurie. Quelle décision prendre? Une opération paraît bien difficile. — M. llicord, consulté, pense qu'
rande quantité des parties environnantes. Celte manière de faire nous paraît avoir deux avantages : Io dans ces tissus friable
est. dis-tendue, la muqueuse est épaissie etrougeâtre. — La prostate paraît saine ainsi que le bulbe. —La muqueuse de Vurèihr
e beau-coup plus considérable que d'habitude. Le stroma ganglionnaire paraissait sain. En résumé, on se trouve ici en face d'une
ermes mêmes de la dénomination mise en usage — hystéro-épilepsie — il paraît ne pouvoir exister aucune équivoque. Cela veut di
es-uns des traits de l'épilepsie. C'est de celte façon, du reste, que paraissent l'entendre la plupart des auteurs modernes. L'hys
2° D'autres fois l'épilepsie succède à l'hystérie. Cette condition paraît être beaucoup plus rare que la précédente. M. Bri
te à M. Briquet surtout cette description de l'attaque-accès. Elle me paraît concorder de tous points avec les ré-sultats de m
lle prédomine une roideur semi-tétanique, du tronc et des membres. Ne paraît -il pas d'après cela très-vraisem-blable déjà, que
ants continus, que lorsqu'ils se contractent très-facilement. Ce fait paraît étrange au premier abord, et je me hâte d'ajout
barrés, illisibles. Loin de se rétablir, la fonction du langage écrit paraîtrait donc s'affaiblir, car il y a dans cet extrait plu
ose pas l'âme et encore moins le libre arbitre. Et toujours il nous a paru bizarre de voir les plus ardents défenseurs de l'
s premiers à signaler. Le mal est reconnu de tous aujourd'hui et l'on paraît disposé à le combattre. Mais, comme dans toute ba
datives ont été utilisées dans le tremblement mercuriel, et elles ont paru donner de bons résultats, ainsi qu'on peut s'en a
a de nouveau disparu. On suspend toute médication sans que le malade paraisse s'en apercevoir pendant trois jours. Cependant de
et25mars. L'état reste sensiblement le même. —26 mars. Le tremblement paraît diminué.—27 mars. On constate une amé-lioration t
us n'insistons pas sur ce cha-pitre qui, après avoir été développé, a paru ici même (1872, pages 452 et 199). Ce mémoire c
plus facile-ment qu'à tout autre. La peau du pavillon de l'oreille paraît plus chaude au toucher que celle de l'oreille dro
ot, tous les détails. On ne se figure pas combien ces conditions, qui paraissent insignifiantes, sont au contraire d'une réelle im
re malade atteinte d'atrophie musculaire progres-sive, le résultat ne paraît pas bien satisfaisant au premier abord, mais néan
at, éburnés, moulés l'un sur l'autre, et toute tentative de réduction paraît devoir alors être rc-jetée, à moins que l'acciden
une végétation s'y déve-loppa. Pendant les premières années, elle ne parut point augmenter de volume. Plus tard on s'aperçut
naires à différentes périodes de leur dé-veloppement. — Le» vaisseaux paraissent être assez rares. — L'ensemble des pièces démontr
urtes, communi-quées à l'auteur et surtout trop peu discutées par lui paraîtraient l'indiquer. Viennent ensuite les paralysies des
us nombreux et plus empressé. Dans le pre-mier fascicule qui vient de paraître , la grossesse simple, la môle vésiculaire et la g
e, aux-quelles on n'accorde d'habitude qu'une simple mention, lui ont paru mériter une description détaillée, justifiée du r
séeuse. 11 en résulte, qu'à l'œil nu, la face externe de la dure-mére paraît recouverte par une couche de pus concret ou de ma
traces de scrofule. La femme est petite, rachitique, mal conformée et paraît avoir un ré-trécissement du bassin, dont le diamè
ieu ou la fin du septième mois. Aucun accident de cause extérieure ne paraît avoir provoqué cet accouchement avant terme. Le
terme. Les eaux sortirent en une seule fois, dit la sage-femme, qui paraît cependant n'en être pas bien certaine. Une fille
par son volume et sa longueur avec le cordon de. l'autre pro-duit. Il paraissait d'ailleurs situé plus en arrière. Nous ne pouvons
elle au bout de dix jours. Le monstre, considéré dans son ensemble, paraît à première vue formé d'une partie sous-ombilica
e normale, surmontée d'une grosse poche molle, presque fluctuante. Il paraît tout de suite évident que la tête manque et que n
autres. Vue parla partie postérieure, cette portion sous-ombilicale paraît normale en tous points. Au-dessus du cordon, no
che qu'à droite, de telle sorte que la partie gauche du haut du corps paraît , comme dans les membres inférieurs, un peu plus d
mètres i /2 au-dessus de l'ombilic. De chaque côté de ce sil-lon, qui paraît produit par labifiditô du sternum, se trouvent de
cavité thoracique ; le droit plus volumineux que le gauche. Tous deux paraissent dé-pourvus de capsules surrénales. Les uretères s
masculin, pesait 2,900 grammes. D'après son développement, cet enfant paraissait bien de 8 mois 1 /2. Voici, du reste, ses dimen
ir, n L'histologie du cerveau, du bulbe, du mésocéphale, etc., nous paraît trop complète, et quoique l'auteur ait puisé ses
d'identité. — Depuis la solution du problème, plusieurs mémoires ont paru , traitant de la digitale et de la digita-line à d
entrale, soit périphérique. A doses toxiques, tout le système nerveux paraît atteint. 2° La digitale et la digitaline produi
ns l'interne de M. Marrolte, et l'énergie de ce médicament nous avait paru telle qu'on ne pouvait, sous aucun rapport, la co
Nativelle commence à faire son apparition dans le commerce et qu'elle paraît être fournie en quantité sérieuse. Ne serait-il d
es chroniqueurs, les historiens et les savants. Pour lui, l'ergotisme paraît avoir fait son apparition vers la sixième année d
-menter la pression artérielle dans les gros troncs ; 5° cette action paraît se manifester même après la section des nerfs vas
t se manifester même après la section des nerfs vaso-moteurs; 4° elle paraît s'étendre môme aux vaisseaux pulmonaires, dont la
17 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
de anatomo-clinique ce problème qu'on ne se posait même pas, car il paraissait alors impossible de confondre la distribution d
embryo- logique si obscur encore de la formation des membres, nous paraît -il pré- férable dans le cas présent d'employer
e car bientôt après survient une phase de réparation cellulaire. Il paraît donc possible a priori par des sections de nerf
erreur ne se retrouvent pas dans la poliomyélite infantile qui nous paraît être plus particulièrement capable de donner la s
ment. Tous les mou- vements de la main et des doigts existent. » Il paraît donc assez vraisem- blable que la paralysie s'é
t par la VIF et la VI11° racines cervicales. Au cas de notre malade paraît le mieux s'appliquer le tableau d'Edin- ger, de
gauche fut frappé de paralysie dans sa totalité. Les autres membres paraissent avoir présenté aussi dans les premiers temps un p
tion étroite à un seul membre ; les autres membres, en effet, s'ils paraissent avoir été un peu affaiblis et douloureux pendan
riphérique à dispo- sition radiculaire, car les racines antérieures paraissent sortir directement de la corne antérieure. Cepe
de l'enfant est intelligente et éveillée. Les mus- cles de la face paraissent normaux. La poitrine est aplatie ; les pectorau
myopathie atrophique progressive. Ce cas en apparence anormal nous paraît venir à l'appui d'une théorie soutenue par plusie
areil visuel sont survenus depuis quelques mois des troubles qui ne paraissent pas être en relation avec l'atrophie musculaire ;
ervés à la clinique de notre maître le professeur Raymond, nous ont paru re- marquables d'abord à cause de l'intensité e
out par le caractère familial de ce pro- cessus, fait qui ne nous a paru jusqu'ici signalé par aucun auteur. 1 NOUVELLE
étraction des chefs externes du trapèze, de telle sorte que la tête paraît enfoncée entre les deux épaules et que les clav
de l'inspection de nos deux malades et en particulier de l'aîné qui paraît rigide, comme soudé, recroquevillé sur lui-même
out très mar- quée au niveau des muscles fléchisseurs rétractés qui paraissent former ainsi de véritables cordes. Mais, en réa
é à la piqûre n'est pas partout pareille, dans certains points elle paraît plus obscure que dans d'autres. Aux pieds la piqû
type décrit par 58 SOCA MM. Charcot-Marie. Trois grands symptômes paraissent caractériser la forme Charcot-Marie, et en marq
rieurs à une époque plus ou moins éloignée du début de la maladie, paraît jusqu'à présent, être une loi du développement de
transition, encore incom- plètement développés. Celle façon de voir paraît très arbitraire, car je ne vois pas pourquoi l'
égrité défi- nitive des membres supérieurs, car en effet la maladie paraît immobili- sée dans les membres inférieurs, elle
out (ce sont ses propres paroles) depuis un temps fort long. Ce cas paraît donc prouver que l'en- vahissement des membres
ion des recherches et de revue littéraire, est dû à Hoffmann (1) et parut dans le recueil jubilaire d'Erb. Tous ces tra
e beaucoup de commun avec la dystrophie progressive musculaire ; il paraît plus juste d'attribuer l'une et l'autre à une l
dis. Parmi les figurations symboliques des Vices, deux images m'ont paru dignes d'être signalées, en raison de leur ress
soit contusion médullaire. Au contraire les altérations constatées paraissent de nature secondaire, consécutives à une lésion d
substance blanche cérébrale. Il existe encore un centre nerveux que paraissent affectionner les lacunes et qui est cependant a
longements inattendus se rencontrent sur les bords d'une cavité qui paraissait de forme a peu près régulière : tels sont par exe
ard dans quel état on les aper- çoit. Mais à première vue la cavité paraît remplie d'une substance plus ou LACUNES DE DÉSI
sseaux. Ces vaisseaux sont coupés perpendiculairement à leur axe et paraissent émerger directement du tissu nerveux sans qu'on
sseaux sont encore apparents, mais au- tour d'eux le tissu cérébral paraît un peu affaissé et grisâtre laissant ainsi sur
. Autour d'elle dans un rayon assez variable le parenchyme cérébral paraît raréfié, c'est-à-dire que les mailles névrogliq
n par des cellules jeunes. Le seul fait un peu anormal est qu'elles paraissent s'accentuer à mesure que l'on gagne la périphérie
une circu- lation abondante. Tout autour des artérioles, le tissu paraît aussi dense qu'ailleurs et se co- lore de la mê
ntinue à s'éloigner on arrive insensiblement dans une région qui ne paraît pas altérée. Les cellules ner- veuses elles-mêm
seul noyau très fortement coloré par les couleurs basiques. Ce noyau paraît homogène et ne laisse pas apercevoir de nucléol
N CÉRÉBRALE 119 de leucocytes polynucléaires, seuls les lymphocytes paraissent envahir les tissus. Du reste nous pouvons dir
différentes de celles que nous signalent ces auteurs. Elles nous ont paru siéger indifféremment dans toutes les lacunes,
riques, ce qui nous explique que souvent sur des coupes ces cellules paraissent manquer de noyau. Il C'est qu'en raison de le
essés, sauf l'acide osmique. Mais sur toutes les coupes colorées il paraît un peu jaunâtre, grenu, -dis- tendant l'envelop
té lacu- naire et prendre l'aspect des corps granuleux ? Le fait ne paraît pas impos- sible. Nous trouvons encore quelqu
es miliaires et que les vaisseaux qui tra- versent les lacunes nous paraissent réaliser les meilleures conditions possibles po
Mais les faits publiés en France se comptent encore. Aussi m'a-t-il paru in- téressant de vous en soumettre un exemple,
Celle-ci, en effet, offre l'anomalie suivante : la clavicule droite paraît plus saillante que la gauche, et au-dessous d'ell
st élar- gie, formée par les muscles grand rond et grand dorsal qui paraissent hyper- trophiés.La figure photographique ci-joi
r les cinq ou six premières côtes, mais les faisceaux claviculaires paraissent faire défaut, de même que les faisceaux sternaux.
osophique. » Comment M. Claparède peut-il affirmer que ces idées ne paraissent pas avoir été très bien saisies par les membres
lons par le terme « sens musculaire », c'est là un terme qui nous a paru meil- leur que tous ceux qui ont été proposés j
rticle sur la topographie des atrophies musculaires myélopatliiques paru dans le dernier numéro de la Nouvelle Iconographi
ap- puyant sur des cas que nous avions pu observer et qui nous ont paru très typiques. Nous avons rappelé accessoiremen
ieure aigué de l'enfance et rapporté deux observations qui nous ont paru particulièrement intéressantes, d'un côté par l
phérique à disposition radiculaire, puisque les racines antérieures paraissent provenir par un trajet direct des cellules motr
segmentaire. Mais, comme nous l'avons dit, cette constatation nous paraît pouvoir s'accorder avec les résultats fournis p
up encore nos connaissances dans cette voie. Pour l'instant il nous paraît résulter de nos faits, comme il résultait de ce
Etat mental. II n'y a pas de perte de la mémoire. L'intelligence ne paraît pas très affaiblie. Le malade donne surtout l'i
entimètres. Cette tumeur sessile, qui à la surface et par ses bords paraît indépendante de la substance des hémisphères, f
très analogues à celui qui constitue la masse néoplasique, et ceux-ci paraissent s'être formés de préférence autour des petits v
a celloïdine, après colora- tion à l'hématoxyline-éosine, la tumeur paraît constituée d'un stroma d'appa- rence counectif,
rondies ou polygonales, mais elles sont toujours plus abondantes et paraissent en voie de prolifération plus riche dans les poin
- ment des os de la voûte crânienne de cette région ; l'oeil gauche paraît plus 208 BALLET ET ARMAND DELILLE enfoncé que
de la sensibilité subjective consistent en crises douloureuses, qui paraissent être de la névralgie de la branche ophtalmique du
a tête, et accuse une sensation de lourdeur du bras gauche, qui lui paraît plus pesant, que le droit. 23 oct. Ce double
matières. Le malade présente un certain degré d'ahurissement, il na paraît pas comprendre ce qu'on lui dit. Le même jour,
ND DELILLE répond que lentement aux questions qu'on lui pose. Il ne paraît pas souffrir, mais quand on lui demande s'il a
e de l'hémisphère est bien visible, on peut constater que la tumeur paraît tout à fait indépendante de la substance cérébr
et des troubles trophiques au niveau du cuir chevelu, troubles qui paraissent relever beaucoup plus de conditions mécaniques
pparition des premières crises, les fil cesser complètement, ce qui parut à cette époque confirmer le diagnostic de mal c
ulement se fasse lentement et progressivement. Un autre fait nous paraît intéressant, c'est que le sarcome par sa situat
le malade dit voir les objets comme dans un brouillard. L'odorat paraît un peu plus faible à gauche qu'à droite. L'acui
s rides du front sont plus marquées à droite qu'à gauche. La langue paraît un peu déviée du côté paralysé. La luette est é
Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel, et l'acuité visuelle paraît peu diminuée. Ouïe. Le malade n'éprouve pas d
lésion méningée récente ou ancienne, la surface des circonvolutions paraît nor- male. La base semble également indemne,
ormés. Dans les régions où les altérations sont le plus intenses et paraissent le plus anciennes, on ne voit qu'une accumulati
le a été la cause du développement de cette tumeur ? Le traumatisme paraît avoir joué un rôle important dans l'étiologie, ca
ux cris de l'enfant un large cloaque naso-bucco-pharyngien. La face paraissait plus monstrueuse encore par la présence d'une s
oppant comme tout autre enfant. Mais le 8 juillet, sans cause, elle parut déprimée, s'alimenta moins, et sans qu'on eût pu
le est, dans son ensemble ab- solument informe. A première vue elle paraît constituée par une masse de chair molle qui l'a
ère. La Ire partie (droite), d'une largeur de 1 centimètre environ, paraît être la 230 UAUSUALTER ET BRIQUEL partie vomé
s décrits par M. IIaslconec, en particulier chez le second qui nous paraît tout à fait identique à notre malade et chez le
iné. Vous voyez que les choses sont bien plus complexes qu'elles ne paraissent être, et qu'il ne s'agit pas d'une simple amnés
chez Liao-Toun-Chen. Les organes géni- taux sont bien développés et paraissent normaux. Au point de vue anthropométrique voici
tion à la main permet également de formuler une conclusion qui nous paraît tout il fait manifeste et assurée. La température
ut il fait manifeste et assurée. La température de Liao-Sienne-Chen paraît toujours et d'une façon très évidente supérieure
provoque le sens de ces modifications tandis que, Liao-Sienne-Chen paraît les subir plus. fatalement. Peut-être faut-il v
même observation pour le champ visuel. La zone interne de la vision paraît légèrement rétrécie. Il semble y avoir là une inf
r. Ajoutons encore que nos jeunes chinois étaient très craintifs et paraissaient exagérer l'interprétation de leurs impressions
os du bassin, à la palpation, sous l'épaisseur des parties molles, paraissent également développés des deux côtés. D'ailleurs l
miné par un petit moignon du côté gauche; du côté droit, le scrotum paraît inhabité. Les hanches du malade ne sont point t
pologiques habituels des eunuques sont en somme esquissés ; il nous paraît appartenir à un type d'eunuchisme assez fruste.
ns se servir des objets usuels. En outre, depuis cinq jours, Rap... paraît avoir perdu la vue ; il serait, à de certains mom
ammatoire interstitiel que Nageotte a décrit en cette région, lui a paru être l'aug- mentation de nombre des fascicules.
tes à la gaine de Schwann revenue sur elle-même, dont les noyaux ne paraissent pas sensiblement multipliés. Cette atrophie est
ux plus nombreux ; sur quelques-uns de ces ganglions, les vaisseaux paraissent plus nombreux et sont gorgés de sang. Les racin
glion- naire et se poursuit jusqu'au pôle central du ganglion. Elle paraît même plus accentuée, pour les 10e et ]le racine
ition de tissu conjonctif. Sur des coupes longitudinales les fibres paraissent à ce niveau un peu plus grêles. Les enveloppes
s nombreux. Dans les racines antérieures au contraire les vaisseaux paraissent indemnes. En résumé l'atrophie des fibres rad
e gan- glionnaire dont il semble qu'ils aient pris la place. Ce qui paraît justifier cette déduction c'est que parfois au
dent et qui sont représentés sur la planche XLII (fig. B). Il nous paraît probable d'après l'examen d'un grand nombre de co
qui persistent sont extrêmement rê- les, quelques-unes au contraire paraissent hypertrophiées, parmi celles-ci il en est, qu'a
de Schwann, sur laquelle se détachent des noyaux allongés ; ceux-ci paraissent beaucoup plus nombreux sur la racine postérieur
hidien ne présente pas d'altérations importan- tes ; les cellules y paraissent un peu plus petites, comme atrophiées, et même
tient moins de fibres à myéline, et, sur quelques coupes, celles-ci paraissent même moins nombreuses il l'entrée dans le gangl
rochés de la moelle, et par place les noyaux de la gaine de Schwann paraissent plus nombreux et plus tassés. Dans le pôle péri
ns de périnévrite font défaut. Dans le ganglion, plusieurs cellules paraissent petites, atrophiées, quel- ques capsules péri-c
e des fibres radiculaires. A côté, les racines antérieures saines paraissent beaucoup plus pâles. On note quel- ques infiltr
ues capsules sont sclérosées. Malgré cela les cellules nerveuses ne paraissent pas en général sensiblement atrophiées. Les r
salement et par série. Sur toutes les coupes, la racine postérieure paraît nettement atrophiée. Dans LÉSIONS RADICULAIRES
ormale, et dans son trajet sous-ganglionnaire la racine postérieure paraît à peu près saine. Dans la portion sus-ganglionn
; ils le sont également autour des vaisseaux. La racine antérieure paraît également infiltrée de noyaux du tissu conjonctif
entent pas de dé- générescence ; quant aux cellules, leur structure paraît normale ; leur taille et leur nombre ne semblen
- régulière bordure; elles ont perdu toute orientation régulière et paraissent s'entrecroiser en tous sens. Malgré l'énorme co
t vers le ganglion. Une quantité assez notable de gaines de Schwann paraissent vides : il en est plusieurs qui sont extrêmemen
paroi n'est pas sensiblement épaissie. Le parenchyme ganglionnaire paraît absolument sain, les cellules et les capsules p
ntent pas d'altérations manifestes. Dans le ganglion les cellules paraissent plutôt un peu petites, et dans le 2e ganglion l
des symptômes de négativisme. Au congrès de Carlsruhe, en 1897 (1), parurent deux communica- tions d'ensemble sur ce sujet,
ment considérable, cyanose et refroidissement des extrémités. Il ne paraît pas anesthésique, mais il ne réagit aux excitatio
milieu : Il ne regarde jamais ce qui se passe autour de lui, et ne paraît pas même faire attention à ce qu'on lui dit. Il c
ssagère. La coexistence de trou- bles sensitifs très marqués nous a paru rendre plus insoluble encore le problème cliniq
avouer que nous n'avons pu la trouver. Quoi qu'il en soit il nous a paru que ce fait, qui a été de notre part l'objet d'
de même, chez nous les lycanthropes et les possédés du diable dis- paraissent à mesure que s'élève la mentalité des classes pau
la crainte de la possession par les renards que, lorsqu'ils voient paraître leur maître, te- nant à la main, un pot de saké
ticulière à cette forme dé- lirante. Déjà dans un nô, nous avons vu paraître sur scène, l'halluci- nation et de délire de ja
mons, en deux tableaux synoptiques, ce qui, dans chaque cas, nous a paru essentiel pour cette étude, Les photographies d
a moelle, 1894, p. 329. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 389 paraît conservée, et cependant la station debout et la m
miliale, et chez un homme présentant la même affection. « Il nous a paru intéressant, disent ces auteurs (1), de signaler,
e à droite, Vig. applique sa main gauche sur la joue gauche, ce qui paraît illogique. Nous pouvons nous-même maintenir la
é l'intégrité de leur force, seule, la flexion du pied sur la jambe paraît un peu affaiblie, surtout à gauche. Quand on tire
ortement appuyé. Nous devons insister sur un dernier point qui nous paraît devoir être rap- proché de ce fait que, à une p
passage de forts courants faradiques, notée dans notre observation, paraît être la règle dans le Friedreich.« La sensi- bi
erches au point de vue des réac- tions électriques, tant elles nous paraissaient anormales. Toujours les mêmes résultats ont été
usque là groupés et compacts sont de la sorte mieux déli- mités, et paraissent accrus de nombre, mais leur multiplication n'est
ent souvent anhystes, réfringentes; et dans quelques cas les fibres paraissent plongées dans une sorte de ciment qui provient
ures est donc un processus segmentaire. C'est un processus qui nous paraît être beaucoup plus fréquent, dans les maladies du
LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 423 térieures nous paraissent trop exclusives, pour avoir laissé dans l'ombre
Dans la plupart des ganglions que nous avons examinés les cellules paraissent normales : dans quelques-uns et plus particulière
es des arguments, qui, quoique en grande partie théoriques, ne nous paraissent pas cependant dénués de valeur. mais elle soulè
deçà de la moelle, il ne s'agisse d'une atrophie rétrograde, ce qui paraît très in- vraisemblable : en effet des maladies
cés ; toutefois, dans certains cas, les altérations interstitielles paraissent relativement récentes alors que l'atrophie des fi
atrophie radiculaire. Les arguments que nous venons d'indiquer nous paraissent suffisam- ment décisifs pour refuser à la lésio
spinale : dans la sclérose des cordons posté- rieurs, elle ne nous paraît pas davantage devoir être considérée comme un é
1898 (1) des recherches expérimentales faites sur les chiens qui me paraissent de nature à éclairer cette action excitante des f
issé dans le travail de M. Sainton sur un cas d'eunuchisme familial paru dans le numéro précédent, p. 216 : Au lieu de :
aux extrémités supérieures. Les cas que nous rapportons ici ne nous paraissent ni assez probants, ni assez démonstratifs pour
e aux membres inférieurs, si rationnelle que cette hypothèse puisse paraître . Le cas publié par le professeur Soca vient com
d'art peintes ou sculptées, n'y figurent. Pour cette raison il m'a paru inté- ressant de signaler, aux lecteurs de cet
deur ; elle atteint maintenant jusqu'à l'os. La lésion pulmonaire paraît être en voie de rétrocession, à en juger par le
les mouvements d'extension. Les mouvements d'adduction des cuisses paraissent être intacts. Au con- traire, les contractions
st atténuée et qu'il a maigri. Le malade est, en effet, maigre, pâle, paraît très faible, ce qui s'explique du reste fort bi
e et à la partie inférieure de la cuisse; à la face, la sensibilité paraît émoussée des deux côtés d'une ma- nière à peu p
s réflexes 494 BABINSKI ET NAGEOTTE tendineux du membre supérieur paraissent un peu plus forts à droite qu'à gauche. Du cô
es propriétés physiques des tissus dans lesquels ils se sont formés paraissent avoir eu sur leur forme et leur extension une i
is le faisceau céré- belleux direct, qui passe très tôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le f
t du trijumeau. Parmi ces fibres, celles desti- nées au noyau grêle paraissent être les plus nombreuses'. S'agit-il de fibres
en soit aperçu. La présence des lésions méningées généralisées nous paraît être la règle dans la syphilis nerveuse en voie
n être la seule manifestation, et que, par conséquent, la méningite paraît être le premier stade des lésions du système ne
de vue de la sensibilité, la disposition anatomo-patlrologique nous paraît s'adapter aux particularités cliniques. Nous av
ve dans les lésions du sympathique cervical. Toutefois ces troubles paraissent être moins accentués que lorsque le sympathique
, ou plutôt non encore décrite, de cellules cérébelleuses ? Il nous parut tout d'abord qu'il s'agis- sait bien de cellule
les séparer. En arrière du chiasma il existe une petite plaque qui paraît surtout formée par de la substance grise et eng
es cérébelleux. - Ce fragment avait été prélevé sur un point qui ne paraissait pas comprimé par le pseudo-kyste et dans le but
vait t à la rigueur dire primitive : dans le premier, la lésion qui paraissait nettement limitée au vermis et aux parties médi
it en nourrice. Depuis elle a toujours pris des crises. Celles-ci paraissent assez fréquentes : la soeur qui l'accompagne en a
leurs peu intelligente ; elle ne sait ni lire ni écrire, sa mémoire paraît défectueuse. Elle est incapable de tout travail
ésions apparentes au niveau de l'isthme : la protubérance notamment paraît aussi développée d'un côté que de l'autre. Le bul
e son manteau gris seulement sur une de ses faces, l'axe médullaire paraît comme déplacé du côté atrophié : il n'est plus co
lutôt leur réseau chromatique étant moins serré, moins compact, ils paraissent comme un peu poussiéreux. Ils sont aussi plus v
es cellules atteint son plein développe- ment, est le mieux isolée, paraît le plus fournie en cellules. Nous n'avons pas e
re du cervelet, nous.avons constamment retrouvé une lésion qui nous paraît absolument caractéristique. Dans les folioles et
lésions diverses du système nerveux. Les lésions cérébelleuses nous paraissent donc assez nettement comme ayant un caractère s
t les différentes espèces de sensibilité ; ces cellules, à ce qu'il paraît , non seulement reçoivent des excitations, partant
ne note donc que de petites tailles. Mais un oncle paternel avait, paraît -il, plus de 2 mètres de haut; et on a toujours pe
aux enfants ; son titre de « seul géant Parisien » lui, aussurait, paraît -il, de grosses recettes. Depuis quatre ans, il
ite n'est que de 68 milli- mètres.- Le maxillaire inférieur n'ap- paraît pas très augmenté de volume ; la bouche est nor
nt de l'appareilgéni- tal est tout à fait incomplet : si la verge paraît bien conformée, elle estde dimen- sions minimes
liques et supporter leur propre poids. L'ensemble du système osseux parut être en état d'ostéoporose ; un simple attoucheme
phie testiculaire et j'hypertrophie hypophysaire. Aussi nous a-t-il paru intéres- sant de généraliser nos recherches et,
r langue; ils craignent les représailles des paotred ar zabat, qui, paraît -il, n'aiment pas que l'on se moque d'eux, et c'
bandes en faisant un vacarme d'enfer. Mais leur occupation favorite paraît être de jouer les plus mauvais tours à la race
zabat n'aiment pas qu'on se moque d'eux, ils n'aiment pas non plus, paraît -il, que l'on mette en doute leur puissance, et vo
nez avec une bande de ces diaboliques danseurs. Ceux-ci n'ayant pas paru remarquer sa présence, au lieu de s'éloigner tr
faits ressemblent fort aux histoires de possession du moyen-âge et paraissent dus, soit à des hallucinations, soit à des mani
aujourd'hui à Florence. Cette statue de dimensions colossales fut, paraît -il, désignée pendant un certain temps sous le n
-je rencontréjusqu'à présent aucune figuration gigan- tesque qui me parut se rapprocher davantage de la vérité naturelle,
nte, le visage du saint gigantesque se rapproche de celui que m'ont paru avoir un certain nombre de géants. Je me gard
sacrés à saint Cristophe, et sauf les deux précédents, aucun ne m'a paru pouvoir donner matière à la critique médi- cale
18 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
eur CHARCOT Leçons du Professeur, Mémoires, Notes et Observations Parus pendant les années 1889-90 et 1890-91 et publiés
alysie de la face. » Et nous ajoutions : « Pour le moment, il ne nous paraît pas possible de préciser davantage. Nous ne penso
ance à la symptomatologie que je viens de mettre en relief? Ce qui me paraît ressortir de recherches faites, à la vérité, un p
Koch. J'ajouterai que la moelle, sectionnée de distance en distance, paraît saine macros-copiquement, mais un examen microsco
t devant les yeux. C'était comme s'il s'agissait d'elle, mais elle ne paraissait pas participer par elle-même à l'action. » Pend
so battre. Alcool. — Elle joint les mains, lève les yeux au ciel et paraît prier. Les diverses excitations des deux autres
agents d'excitation employés. En revanche elles étaient très vives et paraissent correspondre à des hallucinations bien nettes et
s mouvements d'accommodation nécessités par les diverses distances où paraissaient se trouver les objets qu'elle semblait regarder.
e sur sa robe, qu'elle frotte entre ses deux mains, puis brosse. Elle paraît désolée de voir que la tache persiste malgré ses
si on bat du tambour avec les doigts sur une table ou une vitre, elle paraît regarder un spectacle agréable dans le lointain (
aut sur quelque objet sonore, un triangle, par exemple, elle sourit, { paraît satisfaite, puis prenant sa robe dans ses mains,
e rhythme et qu'on joue une valse, par exemple, elle cesse de polker, paraît un peu étonnée et se met à valser fort correcte
ntraire, bien que sa rétine soit évidemment sensible à la lumière, ne paraît pas voir les objets qui l'environnent et semble i
prolongée. Le résultat en a été publié en résumé par M. Ségal, mais, paraît -il, sans l'autorisation de leur véritable auteur
comique. Ce que j'ai chaud! Charles, je sue sur la poitrine... Ça te paraît drôle; c'est que je suis extraordinaire... Ce qu'
conduite par son idée dominante. La parole n'a aucune action. Elle ne paraît pas entendre même les mots les plus simples, tels
a couleur de sa toilette. Verre vert clair (carreau de vitré). — Il paraît regarder au travers d'une fenêtre et assister à u
commander à ses sphincters. Et comme celui-ci sans doute se fâche, il paraît ennuyé de lui avoir fait de la peine. Phosphore
rniches et les toits. Parfois, les actes accomplis pendant le sommeil paraissent moins précisément déterminés ; nous nous rappelon
r un délire dans lequel le malade, par ses paroles et par ses gestes, paraît être sous le coup d'hallucinations de diverse nat
e et de catalepsie, par de légers frottements sur le vertex. Le sujet paraît alors se réveiller; mais, en réalité, i n'en est
t ce qui se passait tout autour de lui semblait lui être étranger. Il paraissait enfermé dans l'unique idée qui le faisait agir et
de son chemin, lui résister jusqu'à le renverser à terre, sans qu'il parût s'en émouvoir, ni s'en étonner. Pour le rendre se
re sensible il fallait entrer dans son idée et s'adresser au sens qui paraissait le plus éveillé, c'est-à-dire le toucher. S'il vo
t lui en présenter une assez près pour lui brûler les cils sans qu'il parût la voir. En la lui mettant dans les mains il al
dans ce groupe, il est une forme, pas très fréquente à la vérité, qui paraît mériter une mention spéciale.Cette forme est cara
hum...,c'était du jus de fumier... Froycinet se mêle de tout ça... Il paraît qu'il fait porter aux soldats le sac sur le devan
la description longue et détaillée que nous en avons donnée, il nous paraît inutile de revenir sur les caractères de cette at
ne de ses filles, âgée de 28 ans, boite depuis l'âge de 10 ans ; elle paraît avoir eu une coxalgie). Sa mère est morte à 35
cile de la maintenir et de la faire aller où l'on désire, quoiqu'elle paraisse complè- tement étrangère au milieu où elle est
omique... Ce que j'ai chaud! Charles, je sue sur la poitrine... Ça te paraît drôle; c'est que je suis extraordinaire... C'est
l'objet de cette impression. On place devant elle une chaise, elle ne paraît pas la voir ou la tourne si elle est en travers
r. On lui présente un fruit, des clefs, une montre, un livre, elle ne paraît pas les voir, toute à l'idée dans laquelle elle e
Lariboisière. Admis là, dans le service de M. 0. Paul, il aurait eu, paraît -il, de la fièvre (39°, 40°), un point de côté trè
ières largement ouvertes, le corps incliné en avjmt, le cou tendu, il paraît suivre avec une attention très vive quelque chose
façon... » On réveille le malade, en lui soufflant sur les yeux. Il paraît ne pas se rappeler qu'on l'ait endormi en lui met
rempli de rouleaux de louis formant une somme de dix mille francs. Il paraît étonné tout d'abord et accepte avec peine nos aff
opie, sans qu'il s'en occupe le moins du monde. Le champ de la vision paraît rétréci et limité exclusivement à son papier. On
ntinuer à écrire. Si on exécute cette soustraction, il s'en aperçoit, paraît étonné ou s'écrie : « Quelle mauvaise blague !...
manuscrit qu'il vient de composer. Il reconnaît bien son écriture et paraît fort étonné d'avoir écrit tout cela en une heure.
a veille de ce qui se passe pendant le somnambulisme. * * Il nous paraît inutile de revenir sur les analogies qui rapproch
aussi à ce point de vue le second malade de M. Mesnet. Deux périodes paraissent avoir fait époque dans sa vie. Il a été soldat et
d'une intensité et d'une durée différentes suivant les cas. Il nous a paru qu'à ce point de vue elles étaient d'autant plus
ou noctambulisme, que nous citions quelques lignes plus haut, il nous paraît bon de faire remarquer que, dans un certain nombr
èvement les caractères dis-tinctifs du somnambulisme hypnotique. Il paraîtra difficile de confondre deux états aussi dissembla
d'hypnotisme que s'arrête M. Forel. Cette interprétation, qui ne nous paraît pas exactement conforme à la réalité, n'étonnera
l nous soit permis maintenant de résumer en quelques mots ce qui nous paraît ressortir de cette étude. La phase passionnelle d
s'étendent violemment..., etc. C'est une esquisse d'attaque, et tout paraît rentrer dans l'ordre, mais désormais nous allons
d'une attaque d'hystérie transformée. Ces états de vigilambulisme me paraissent tout à fait analogues à ces phases délirantes (so
occasion de vous'présenter des arguments et des faits nouveaux qui me paraissent plaider éloquemment en faveur de cette manière de
u sens strict des mots, qu'il y a dédoublement de la personnalité. Il paraît , en effet, exister deux vies distinctes chez le s
s aux autres sans interruptions, est véritablement délirante. Elle ne paraît pas avoir conscience du lieu où elle se trouve ni
s l'hypnotisme. Les expériences de Gurney, de Pierre Janet, de Binet, paraissent à cet égard assez décisives. D'autre part, j'ai m
e dédoublement de la personnalité, tel que nous l'entendons ici, elle paraît absolument normale, vivant de la vie ordinaire, s
eul fait que l'oubli existe toujours au réveil (2). » D'autres signes paraissent exister à peu près constamment, ainsi qu'on le ve
troisième personne, comme s'il s'agissait d'un autre individu. Il ne paraît point en être jamais ainsi dans le dédoublement d
ituellement une myopie assez prononcée. Dans cet état nouveau, elle paraît beaucoup plus active et ses sens semblent doués d
même dans le cas dû à M. Bo-namaison (1). Chez sa malade les facultés paraissaient plus affinées dans l'état second que dans l'état
, des attaques de sommeil. Trois mois après le début de ces dernières paraît la première crise qualifiée par M. Bonamaison de
présentes : « Bonjour 1 » ou bien encore : « Ah ! vous voilà ! » puis paraît se souvenir et reprend la conversation ou le trav
ues de somnambulisme précédentes. « Quelquefois cependant la malade paraît avoir oublié, pendant l'état second, les faits qu
; elle essaye, mais en vain, de boire ; un spasme de l'arrière-gorge paraît être la cause qui s'oppose à la déglutition du li
, battu par sa mère et vagabondant. Il aurait eu déjà à cette époque, paraît -il, des crises d'hystérie, marquées par des hémop
étaient plus toujours fermés mais bien ouverts, et cependant l'enfant paraissait indifférente à tout ce qui se passait autour d'el
l'aspect d'une personne normale. Sa physionomie est expressive; elle paraît tout à fait à son aise et exempte de toute souffr
élida (la malade de M. Azam dont l'observation est résumée plus haut) paraît de beaucoup préférable et doit passer dans l'usag
stions précises àluiadresser, et aussi parce que la transformation ne paraît pas s'être brusquement faite en un jour.paraît co
ossibilité absolue de répondre. « Je ne sais pas, » dit-elle. Elle ne paraît d'ailleurs pas autrement étonnée de cette ignoran
n ville avec leur famille. Elle les connaît donc parfaitement bien et paraît les aimer beaucoup. Elle connaît également les su
avec sa physionomie éveillée et expressive de tout à l'heure. Elle ne paraît d'ailleurs pas bien à son aise dans cet état. Ell
s choses encore qui changeraient. Ainsi, la dernière fois, à ce qu'il paraît que je ne savais pas que Louis (un de ses parents
qui s'est passé antérieurement à une période assez mal délimitée qui paraît comprendre la seconde moitié de 1884 et la premiè
dée ? Peut-être; en tous cas, nous constatons ici un phénomène qui ne paraît pas habituel chez les vigilambules. En effet, san
rie H..., nous dispenseront d'entrer dans d'aussi longs détails. Il paraît certain que l'établissement de l'état second s'es
ersonnalités distinctes absolument ignorantes l'une de l'autre. Il ne paraît pas en être ainsi dans la majorité des cas, tout
ondément différenciées l'une de l'autre ? Une pareille distinction ne paraît point nécessaire et il en est de même en ce qui c
serions capables de bien peu de choses. L'action de marcher, qui nous paraît si simple, continuerait d'être pour l'homme un su
lètement ignorée de la première que la première de la seconde, ce qui paraît vrai, puisque dans nombre de cas celle-ci a une n
ar do courtes périodes d'état normal, A cette objection la réponse me paraît facile, en ayant recours aux faits et rien qu'aux
t concentrée lorsqu'elle se trouvait en état B, n'entendait pas ou ne paraissait pas entendre ce qui se passait autour d'elle, ne
ipant à la fois des caractères de l'un et de l'autre. Le fait ne nous paraît pas impossible et peut-être sera-t-il quelque jou
s pendant six semaines ont été comme balayés ; ils n'existent plus ou paraissent ne plus exister. Remarquez, je vous prie, cette r
ais que les souvenirs accumulés dans cette période n'existent plus ou paraissent ne plus exister. En vous parlant de la période an
r, Messieurs, la situation est moins grave foncièrement qu'elle ne le paraissait tout d'abord. Nous n'avons pas affaire ici à une
ns de famille ; elle est morte d'ictus apoplectique. Son père serait, paraît -il, un homme violent, ivrogne et débauché, qui s'
onnée, elle les a complètement oubliés. Et cet oubli profond, absolu, paraît irrémédiable. Mais rassurez-vous, ces souvenirs n
poitrine, autour de son cou, comme pour les dégager. Elle se tordait, paraît -il, se débattait au point qu'on était obligé de m
é cette amnésie actuelle si rapide et si prononcée, Mme D... vaquait, paraît -il, très convenablement aux soins de son ménage e
inconscient, dans la mémoire de la malade, de tous les faits qu'elle paraissait oublier aujfur et à mesure de leur production. Ce
elle, renvoyant pour cela à une communication de M. Pierre Janet, qui paraîtra prochainement dans la Revue générale des Sciences
sur ce sujet en rapportant une très remarquable observation. Ce fait parut si nouveau que dans la discussion qui suivit, Sén
chapitre le plus important en raison de l'oubli dans lequel on avait paru la laisser jusqu'ici. Les observations que nous a
sénile ; il avait des hématuries. Sa mère est morte âgée; elle était, paraît -il, coléreuse et emportée. Il a eu six frères ou
une sorte de nodule saillant. Celui-ci a une coloration brunâtre qui paraît due à l'hyperémie de la substance épendymaire, pl
ette, le second est plus petit, et gros comme un noyau de cerise. Ils paraissent dépourvus de membrane d'enveloppe, et leurs conto
appartenant au noyau du moteur oculaire externe droit. Il en est qui paraissent gonflées, granuleuses, privées de prolongements,
ée récemment dans le travail que nous citions plus haut (1), et où il paraît s'agir aussi d'un tubercule protubérantiel, mais
t notée également dans l'observation de Graux, analogue à la nôtre, a paru difficile à interpréter à ce dernier auteur. Il p
postérieur et inférieur. 4. Bec du calamus. Cette hypothèse nous paraît malaisée à défendre d'une façon générale, car on
. Charcot et à notre travail précédemment cité. La démonstration nous paraissait suffisante pour établir des conclusions basées su
de plus de dix centimètres de la crête épineuse. Son angle supérieur paraît remonté; à droite, l'angle supérieur est écarté d
forme une ligne à concavité interne. A droite l'articulation du genou paraît subluxée. Il existe un notable degré de pseudo-
du malade dans le service. Les deux articulations tibio-tarsiennes paraissent augmentées de volume. Le pied est tombant. MENS
du même côté du corp3, de façon que le moignon de l'épaule de ce côté paraît être porté en haut et en avant. Lorsqu'il se sait
lement la polioencéphalomyé-lite (2). La variabilité cle ce phénomène paraît donc (1) Bédard et Rémond. — Note sur un cas de
est peut-être plus facilement discutable (les lèvres des myopathiques paraissent , dans la plupart des cas, pseudo-hypertrophiées,
ntion n'a pas été appelée d'une façon particulière, bien qu'elle nous paraisse mériter une mention spéciale. On la constatera fa
i ne semble pas avoir attiré jusqu'ici toute l'attention qu'elle nous paraît mériter. Cependant l'un de nous l'avait, dès 1885
ils ont publié l'observation dans la Revue de médecine (3). Elle nous paraît être assez fréquente puisque, sur cinq myopathiqu
s, revêtent toutes sortes de formes, quelquefois celle du délire. Ils paraissent beaucoup moins fréquents que l'aura véritable. Le
interroge des épileptiques, au premier abord, c'est le contraire qui paraît la règle : l'aura semble rare. Mais si l'on pouss
plupart du temps aux dires du malade qu'il faut se conformer, ne nous paraissait pas assez digne de confiance, étant donné l'état
de plus dans les livres de Russell Reynolds (1) et de Sieveking (2), parus en 1861, ni guère davantage dans celui d'Echeverr
'hystérie, et dans bien des cas d'épi-lepsie pure la sensation perçue paraît exactement la même que le globus hystericus (4).
une sensation d'étouffement. Les manifestations de l'aura céphalique paraissent manquer beaucoup plus fréquemment. Nous les avons
uffant et portant les mains à la région épi-gastrique et au cou. Elle paraît à ce moment souffrir de sensations de douleur et
peu de temps après. L'existence des phénomènes de l'aura hystéroïde paraît bien avérée dans ce cas, bien que la malade ne se
De pareils cas peuvent cependant se rencontrer, mais à la vérité ils paraissent peu fréquents, car nous n'en avons observé qu'un
lques-uns de ceux que nous avons déjà considérés. Cette combinaison paraît d'ailleurs se faire indépendamment de toute espèc
rs se faire indépendamment de toute espèce de règle. Tel phénomène ne paraît pas attirer spécialement tel autre. C'est ainsi q
Nos recherches ont donc porté en apparence sur 71 cas. Mais il nous paraît naturel de déduire de ce total 4 cas à accès excl
ues mots, il ressort de cette étude que l'aura de l'accès épileptiquo paraît être encore un peu plus fréquente que ne l'ont di
les diverses formes de l'aura, il en est une, l'aura hystéroïde, qui paraît particulièrement fréquente, bien qu'elle n'ait pa
ctitude, cela tient sans doute à ce que bien des phénomènes, qui nous paraissent ici pas très rares en raison du grand nombre de n
ion plus ou mois répétée de sons laryngés plus ou moins bruyants, qui paraît quelquefois constituer à elle seule toute la mala
volume des Maladies du système nerveux de M. Charcot. L'une d'elles a paru récemment dans les Archives de Neurologie (n° 67)
ives et délirantes dans lesquelles l'attitude en arc de cercle s'est, paraît -il, plusieurs fois manifestée de la façon la plus
e fini que la série reprend comme de plus belle. Un effort de volonté paraît n'avoir aucun effet inhibitoire. Cependant la r
, puis d'inappétence et de divers accidents qui ont été caractérisés, paraît -il, par le médecin, sous le nom d'embarras gastri
faut. Voici d'ailleurs l'indication des points qui, à cet égard, me paraissent surtout intéressants à signaler. On peut dire d'u
ulgaire, chorée de Syden-ham, comme je l'appelle volontiers, — ce mot paraît avoir fait fortune, — et aussi dans le paramyoclo
térêt pratique, car les accidents de la maladie des tics, bien qu'ils paraissent subir des amendements temporaires, ne sont que ra
aussi d'une gravité beaucoup moins grande ; ce qui, dans l'espèce, ne paraîtra certes pas motivé. Quelle est donc la nature de
rébrale? On ne peut guère incriminer la syphilis, puisque le malade paraît n'avoir jamais présenté aucune manifestation syph
la production des troubles nerveux que présente notre malade? Cela me paraît vraisemblable. Je pense que, chez un sujet préd
nt au point de vue que je viens d'indiquer. Un autre fait important paraît se dégager de notre étude, c'est que, en raison d
hamp visuel) ; intelligence très nette ; un peu de bégaiement ; il ne paraît pas y avoir le moindre embarras dans les idées. L
e combinée avec l'alcoolisme ? La plupart des faits que j'ai lus me paraissent se prêter à cette interprétation, et je puis aujo
19 (1934) Oeuvre scientifique
r en sémiologie qu'une place de second ordre. Ce que je dis là vous paraîtra sans doute exact si vous songez à la diversité
éphalée à un état neurasthénique ou hystéro-neurasthénique ; ce qui paraissait venir à l'appui de cette idée, c'est que cette
donc d'un grand intérêt. Mais encore faut-il que leur authenticité paraisse fondée. J'en arrive ainsi à un chapitre sur leq
ire, dans le but d'obtenir quelque avantage matériel, et mythomanie paraissent devoir être écartés. Ce que je me propose de vo
Chaillous, un grand nombre d'hystériques et le champ visuel nous a paru sensiblement normal chez ceux d'entre eux qui,
attitude, on attendra pour procéder à l'excitation que les muscles paraissent bien relâchés. Il n'est pas indifférent d'excit
de l'hémi- plégie étaient très faibles. L'extension des orteils m'a paru même ordi- nairement plus marquée dans l'hémipl
affections du système nerveux dans lesquelles le signe des orteils paraît faire défaut. Je ne l'ai jamais observé dans l'
que l'extension du gros orteil, et il est parfois très marqué. Il m'a paru surtout très développé dans les paralysies spas
rit sur ce sujet. Mon but est de mettre en lumière les faits qui me paraissent essentiels, et de réunir, à cette occa- sion, l
osseux, en insistant plus particulièrement sur cinq réflexes qui me paraissent constants : zut. - Réflexe rotulien ou du trice
isolément, sont peut-être appe- lées à subir quelques corrections, paraissent tout à fait exactes relative- ment à l'ordre de
constituer la seule manifes- tation de l'affection ; pourtant cela paraît beaucoup plus rare que dans le tabes. Contraire
socie une sclérose des faisceaux pyramidaux, les réflexes tendineux paraissent toujours abolis ou affaiblis. Si, dans les névrit
éflexes au-dessous de la zone atteinte Les phénomènes de shock dis- parus , on voit réapparaître les réflexes tendineux, lor
issait, très souvent, de lésions portant sur le cervelet. Ces faits paraissent explicables, d'après Jackson et Bastian, par le r
dans des développements circonstanciés sur ce sujet c'est qu'il me paraît d'une grande importance pratique ; qu'il est enco
ire à sa partie externe ou à sa partie interne ; 2" dans un travail paru en 19°1 C), où je me suis occupé des perturbation
s relations étroites avec l'exagération des réflexes tendineux, qui paraît en . être la condition nécessaire, ce qui, bien
a été enregistré aucun fait infirmant mon opinion. La question me paraît donc définitivement jugée. Au point de vue clin
e s'est déve- loppée. Ce sont ces derniers caractères auxquels on paraît généralement atta- cher le plus d'importance. V
ation décisifs. C'est à l'exposé des caractères intrinsèques qui me paraissent propres à différencier les deux espèces d'hémip
as d'hémiplégie, la face n'est que très légèrement atteinte et peut paraître même absolument nor- male ? En ce qui concern
ion de spasme asso- cié du peaucier, qui, toute réflexion faite, me paraît défectueuse ; je crois en effet qu'il ne s'agit
issure qui était manifestement d'origine spasmodique ; ces faits me paraissent exceptionnels. Chez les sujets atteints d'hém
endineux, qu'on l'observe, mais je l'ai constaté aussi, ce qui peut paraître surprenante) dans quelques cas d'hé- miplégie a
gie hystérique. D'après mes observations, l'opinion de Rosenbach me paraît juste ; je ne crois pas que l'hystérie puisse,
xe du côté sain, n'est pas rare dans l'hémiplé- gie organique et me paraît avoir plus de valeur, au point de vue du dia- g
émiplégie organique, l'autre d'hémiplégie hystérique, qui tous deux paraissent dans l'impossi- bilité de faire exécuter un mou
est-il atteint de para- lysie hystérique ? Deux interprétations me paraissent soutenables. On peut supposer que le malade a p
ation epileptoïde du pied fait défaut. 7° Les réflexes cutanés ne paraissent pas troublés. Le réflexe abdominal et le réfl
ons qu'il n'y en ait pas un seul qui soit absolument décisif. Il me paraît du moins certain que quand plusieurs de la même e
rébrale, et qui consiste dans ce fait F que les malades ignorent ou paraissent ignorer l'existence de la para- lysie dont ils
ralysée. » Chez cette malade, l'anesthésie était profonde ; elle ne paraissait pas percevoir les déplacements passifs du membr
t l'hypothèse que l'on accepte, il s'agit là d'un phénomène qui m'a paru digne d'être signalé, et crue je me propose d'étu
ique, n° 3. mars 1915. Les phénomènes dont nous allons nous occuper paraissent avoir été t mentionnés pour la première fois en
'affirmer qu'on a affaire à un état morbide. Ce signe à lui seul me paraît donc décisif; c'est le criterium de l'état path
s rapports avec le signe des orteils, puisque ces deux phéno- mènes paraissent bien caractéristiques d'une perturbation de la vo
controverses entre neurologistes. Les phénomènes que nous étudions paraissent avoir été mentionnés pour la première fois en 1
(Revue Neurologique, t. XXVIII, p. 225), Pierre Marie et Foix font paraître à leur tour un mémoire sur « les Réflexes d'aut
vu précé- demment. Ce fait que les réflexes de défense m'avaient paru dès mes premières observations particulièrement
les qui, après avoir présenté une paraplégie plus ou moins marquée, paraissent complè- tement rétablis : la motricité est rede
r lesquelles, à l'état physiologique, les réactions motrices qui me paraissent ressortir aux réflexes de défense s'effectuent
cée sur le jambier antérieur par l'aponé- vrose jambière. Il nous paraît inutile d'analyser le mouvement conjugué d'extens
longé. 2° Le territoire de l'anesthésie organique qui, il est vrai, paraît parfois soumis'à des variations analogues, prés
ec Chauvet (voir Revue neurologique, igi3, n° 12, p. 857)' .Il nous paraît inutile de transcrire ici cette observation; nous
ns le territoire des dernières racines sacrées, où la sen- sibilité paraît absolumeut normale. La sensibilité tactile est
ntraire très marqués à droite. Les muscles de la paroi abdominale paraissent parésiés du côté droit. Des 2 côtés lé réflexe
rovoquées par des excitations déter- minant de la douleur, laquelle paraît se manifester en particulier par les grimaces,
des excitations douloureuses, soit un phénomène volontaire. Il nous paraît donc incontestable qu'il s'agit là d'une réacti
ne par- vient pas au centre encéphalique. Les réflexes de défense paraissent conditionnés par une perturbation de la voie py
le même aspect, particulièrement au point de vue de sa durée et ne paraît pas exposée à la variabilité qui appartient aux
la pupille de l'oeil resté ouvert, dont le réflexe à la lumière m'a paru alors manifestement amoindri, non seulement d'u
la syphilis héréditaire, par Erb ("), qui déclare que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux central est tou
es que l'on observe dans la clinique humaine ; toutefois, il nous a paru indispensable de mettre largement à profit les
arcation entre les fonctions de ces deux organes. Aussi nous a-t-il paru naturel de rap- peler d'abord les résultats de
ce d'une observation isolée de Hup- pert(') lorsque nous avons fait paraître notre mémoire en mai 1909. Notre attention étai
toutes ses formes, explorée avec les divers moyens dont on dispose, paraissait complètement intacte chez les malades de ce gen
le à la démarche asynergique que nous avons décrite. Il nous a donc paru indispensable, pour désigner ce trouble, de lui
récédemment. L'inter- prétation de ce trouble de la déambulation me paraît donc légitime. Elle semble encore plus fondée q
s de même pour les membres. Ceux-ci sont bien plus souvent qu'on ne paraissait l'admettre autrefois le siège de perturbations
? STIIIUL211RL 211 EXPÉRIMENTATION SUR LE PIGEON L'animal qui m'a paru réunir les conditions les plus favorables dans
- circulaires produirait des mouvements différents ; or la réaction paraît être la même, que l'on excite l'un des trois ca
se traduit par l'hyper- excitabilité électrique. Cette hypothèse me paraît d'autant plus accep- table que dans l'observati
é l'atten- tion. D'après ce que j'ai vu, il est assez commun; il me paraît mériter d'être recherché systématiquement et d'
s mois d'une névrite des deux jambes. La réaction de dégénérescence paraît complète par l'explo- ration classique. Le nerf
oyenne ; la malade, du reste, n'est pas menstruée. L'intelli- gence paraît normale, mais la mémoire a diminué beaucoup depui
es abdominaux sont en bon état. Pas d'albumine. Pas de sucre. Il me paraît impossible de porter un diagnostic précis avec ce
scie, et l'on luxe en bas le lambeau osseux ainsi formé. La dure-mère paraît normale; il y a les battements habituels du cer
chez la malade que je présente, à la période menstruelle ; elle me paraît comparable à l'effet produit par la saignée dans
la cécité complète, et du mauvais état général, la crâniectomie me paraît contre-indiquée. Le malade succombe peu de jour
et en atteignant presque le volume ; sa surface est bosselée ; elle paraît s'être développée dans les méninges molles ; elle
lle est remontée à go de ce côté. La céphalée et la torpeur cependant paraissent augmenter. On décide une intervention chirurgic
ite capillaire généralisée, pas d'hépatisation. Les autres viscères paraissent microscopiquement sains. Hémisphère gauche : Au
n constate une petite hémorragie méningée. Le reste de l'hémisphère paraît indemne ; pas de tumeurs. , Hémisphère droit
dantes de la dure-mère et de l'écorce cérébrale qu'elles refoulent, paraissent développées dans les méninges molles. La tume
sont comme lobulées à la surface, d'aspect nacré à la coupe, elles paraissent constituées par des faisceaux entrecroisés en t
dian du corps. L'hémisphère droit auquel sont appendues les tumeurs paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBRALES ET
même dans les néoplasies nullement syphilitiques, l'état du malade paraît quelque peu s'améliorer sous l'influence de cet
ente à la Société un malade atteint d'hémispasme, dont j l'étude me paraît jeter quelque lumière sur la pathogénie du torti-
t tailleur sur acier pour bijoux. Pendant son travail, il est obligé, paraît -il, de porter presque constamment la tête en ro
généralement plus intenses et plus fréquents dans la station et il paraît que les émotions les accentuent, mais les alterna
organique présumée siège-t-elle dans le système pyra- midal, comme paraissent l'indiquer les modifications des réflexes tendi-
l'existence d'aucune excroissance osseuse. La selle turcique nous a paru normale. En résumé, le malade que nous présento
ation de la Société, peut tenir sa tête absolument immobile et elle paraît tout à fait guérie. Le retour à l'état normal n
d'hui que le résultat thérapeutique est remar- quable et ce fait me paraît intéressant au point de vue pratique. Mais il o
le trapèze DÉGÉNÉRATION ET RÉGÉNÉRATION DU STERNO-11ASTOÏDIEN 26g paraissent soumis à un régime privilégié au point de leur ap
le passage suivant : « Les deux autres sujets à section bilatérale paraissent , au contraire, avoir maintenu leur bénéfice opé
omme cela a lieu aussi chez la malade guérie depuis 17 ans. Il me paraît impossible de ne voir dans cette série d'observat
range un peu son intérieur, tantôt elle reste presque immo- bile et paraît dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit sa
aine de la parole et des mouvements de la bouche que les variations paraissent particulièrement prononcées et que les troubles
un effort pour exécuter l'acte commandé. Certains procédés nous ont paru faciliter le déclenchement de la parole : l'exc
et n'a jamais commis aucun acte déraisonnable ; son intelli- gence paraît absolument intacte et par signes ou par écrit, el
ans, chancre qui ne fut pas suivi d'accidents secondaires, mais qui paraît toutefois avoir été considéré comme de nature s
actuel (novembre t 8gg). Aspect extérieur. L'état général du malade paraît satisfaisant, il a un embonpoint moyen. Ce qui
lité olfactive est émoussée du côté droit. La sensibilité gustative paraît à peu près abolie à droite ; l'amertune de la qui
H. M..., atteint d'une lésion cérébello-protubé- rantielle, qui me paraît particulièrement digne de fixer votre attention.
ilibre volitionnel statique, non seulement n'est pas affaibli, mais paraît même plus parfait qu'à l'état normal. Aux mem
atténuée et qu'il a maigri. Le malade est, en effet, maigre, pâle, paraît très faible, ce qui s'explique du reste fort bien
achilléens sont normaux. Les réflexes tendineux du membre supérieur paraissent un peu plus forts a droite qu'à gauche. Du cô
fois le faisceau cérébelleux direct, qui passe très tôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le fai
palpébrale, ainsi qu'en une rétropulsion du globe ocu- laire et qui paraissent semblables à ceux qui résultent de la section des
e prononcer. Ce sont les troubles vaso moteurs et thermiques qui me paraissent constituer la particularité curieuse de ce fait
nsion ; les réflexes tendineux, difficiles à explorer, à la vérité, paraissent normaux. La sensibilité au tact des membres sembl
tendons ro- tuliens ne provoque aucun mouvement réflexe, ce qui paraît dû à l'intensité de la contracture. Il se dével
émer- gence ; dans ce diverticule se trouve un plexus choroïde qui paraît avoir été l'origine de la tumeur. Par son dével
let une loge dont le fond est constitué par la substance blanche et paraît continuer la surface du pédoncule céré- belleux
'ai observés, je dois chercher à faire ressortir les notions qui me paraissent s'en dégager. Considérons d'abord le premier de
la contracture et l'état des réflexes ten- dineux qui n'ont jamais paru exagérés, quelle que soit la période de la mala
e début de sa maladie jusqu'à sa mort, un malade dont l'histoire me paraît fort instruc- J tive au point de vue de la symp
que j'ai avec lui me montre l'exactitude de ses déclarations; il me paraît , en effet, doué d'une intelligence normale, mai
ne contient ni sucre ni albumine. Le diagnostic le plus probable me paraît être le suivant : artérite céré- PARALYSIE PAR
rt les syncopes susmentionnées, et en raison des conditions qui lui paraissent rendre facile l'extraction de la tumeur, le chi
x espèces de paralysies et, pour mettre ce trait en évidence, il me paraîtrait juste de dénommer, jusqu'à nouvel ordre, la paral
e grandes probabilités. Dans ce cas particulier, ce qui m'a surtout paru un argument capital contre l'hypothèse de paralys
a malade que je viens de présenter et dont les réflexes tendi- neux paraissent presque abolis. Mais cela n'est pas constant; dan
e dernier symptôme, l'hypothermie et la parésie du membre inférieur paraissaient dépendre d'une lésion encéphalique. Une explica
tif de lésion des cornes antérieures ou de la voie pyramidale, elle paraît liée, au moins pour une grande part, à la vaso-
es rami-communicantes. On peut aussi, et c'est l'hypothèse qui nous paraît la plus vraisemblable, admettre que la lésion p
out phénomène d'irritation pyramidale entre les crises. ' Il nous paraît impossible de ne pas tenir compte dans l'étiologi
la moelle, produite par la néoformation gliomateuse. Cette idée me paraît concorder fort bien avec les données que nous p
els le réflexe du tendon d'Achille est seul affai- bli ou aboli, me paraissent aussi nombreux que ceux où la perturbation dans
x sujets est lui-même atteint de tabès. Le diagnostic de tabès me paraît certain chez ces deux jeunes filles ; elles pré
imposer à l'es- prit, et les dénégations du père, qui, du reste, me paraît sincère, mon- trent seulement une fois de plus
e nerveux. S'agirait-il d'une simple coïncidence fortuite ? cela me paraît peu probable. Serait-ce, comme l'a supposé Iore
e mari qui avait le premier subi l'infection et la syphilis n'avait paru manifester son action chez la femme que par des
sain; c'est, du moins, ce que j'ai constaté plusieurs fois et cela paraît montrer que le signe de Robertson est sous la d
'inflammation vertébrale au niveau des trous de conjugaison. Il m'a paru légitime d'appliquer aux faits de ce genre la d
ouches. Son premier mari est mort d'une maladie de la moelle qui l'a, paraît -il, fait (1) J. Babinski, Exposé des travaux sc
ui enlevaient tout appétit, la rendaient inapte à tout travail et lui paraissaient abso- lument intolérables ; sa figure exprimait
s donc pu connaitre toute l'évolution de cette affection. Il nous a paru intéressant de rapprocher notre observation de ce
lesquelles nous croyons devoir insister, car elles ne nous ont pas paru avoir été signalées jusqu'ici : Nous avons ét
s qui apparurent après le stade de paraplégie complète. Il nous a paru net que l'excitabilité réflexe cutanée prédominai
ment un peu oblique de la sensibilité (distribution radiculaire) il paraît y avoir, du moins pour d'autres fonctions, une
naissance au moins, signalé dans des cas analogues aux nôtres, nous paraît digne de fixer l'attention, et nous en supputer
médullaire. De l'ensemble des faits dont l'exposé précède, il nous paraît légitime de tirer les conclusions suivantes :
où il semble parfois faire défaut ; la percussion de l'omoplate ne paraît pas provoquer de contraction du deltoïde mais e
éterminent plutôt une impression douloureuse. La sensibilité profonde paraît intacte. La malade se plaint de douleurs dans l
dartérite). Il est certains côtés de cette observation qui nous ont paru particulière- ment intéressants et sur lesquels
itoire atteint, l'anesthésie présente d'habitude les caractères qui paraissent appartenir plus particu- lièrement aux compress
iste même pas du tout et voici ce qu'on observe : un territoire qui paraissait atteint d'anesthésie complète peut, si l'on prolo
n intra- médullaire et une compression extra-médullaire ? Cela nous paraît vraisemblable; quoique nous ne soyons pas encor
que avec abcès par congestion. C'est cette der- nière idée qui nous paraissait la plus probable, malgré l'absence d'alté- rati
'opération. Dans cette observation il y a plusieurs points qui nous paraissent parti- culièrement dignes d'attention. 1° D'a
avait fourni, de son côté, une figure qui, jointe à la précédente, paraissait représenter comme la photographie d'une tumeur
les de pro- voquer les complications en question et dont la plupart paraissent impos- sibles à éviter, il n'en est pas d'autre
bservations recueillies par M. Sicard, la présence de l'huile iodée paraît n'avoir aucune action nocive. (1) M. de Martel
proposer une laminectomie à notre malade. Toutefois, il nous avait paru rationnel d'avoir encore recours à l'épreuve de
tude de M. Jumentié. Nous rappellerons seulement les faits qui nous paraissent essentiels au point de vue de l'in- terprétatio
qui occupent la moelle dorsale. C'est à ces dernières lésions que paraissent liés les troubles sensitifs au niveau de l'abdo
instabilité constitue une de ces particularités : un territoire qui paraissait atteint d'anesthésie complète peut, si l'on prolo
llaire, soit à une pachymé- ningite limitée, où le tableau clinique paraissait semblable à celui des (') J. Babinski et J. Jar
ou médullaires (Obs. II) au niveau même de la compression. Si elles paraissent faire défaut dans les tumeurs juxta-médullaires
emme, dont l'histoire pathologique, ) d'ailleurs assez complexe, me paraît digne d'être rapportée. i Il y a dans cette obs
on quelques faits qui sont rigoureuse- ment établis et qui nous ont paru assez intéressants pour être relatés, quoiqu'il
ons méningées aiguës, si la méningite hémor- ragique fibrineuse qui paraît aujourd'hui guérie n'étaient pas aussi sous la
rosseux, en particulier, sont presque toujours respectés. Il nous paraît essentiel de faire remarquer que, en ce qui conce
a pas manqué de signaler dans ses leçons. Or, s'il en est ainsi, il paraît vraisemblable que l'inégale participation des mus
galités nettement appréciables. Un foetus de cinq mois environ nous paraît être, au point de vue qui nous occupe, un objet
que nous désirons mettre en évidence. Laissant de côté ce qui nous paraît accessoire dans son histoire clini- que, nous n
lui accorde pas dans les traités classiques l'importance qu'il nous paraît mériter. C'est un symptôme cardinal de la myopath
l'espèce d'une altération propre de la fibre musculaire ; cela nous paraît d'autant plus probable qu'il n'existe aucun sig
et de disparaître sous l'influence exclu- sive de la persuasion me paraissent être des caractères de ce genre. Mais avant de
e la langue française, par Littré). Dans le sens médical, ce mot me paraît exprimer l'action par laquelle on cherche à fai
é cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hystérique, paru en 1891 dans les Archives de Neurologie. 46o
eux, comme MM. Dutil etLaubry, au- teurs de l'article « Hystérie », paru dans la deuxième édition du Traité de Médecine
de médecins ne sont même pas si exigeants ; quand un symptôme leur paraît difficile à interpréter et ne peut être rangé,
un grand nombre d'hysté- riques et le champ visuel nous a toujours paru sensiblement normal chez ceux d'entre eux qui,
je viens de l'exposer, d'être reproduits par suggestion et de dis- paraître par persuasion ; il n'en est pas de même des idée
urement, frappé par certaines constatations avec lesquelles elle me parurent difficiles à concilier, je fus amené à douter d
pendant, sont jeunes, n'ont aucun signe d'affection car- diaque, ne paraissent pas syphilitiques, ont, du côté paralysé, de l'an
fs que j'ai découverts depuis. Dans un premier travail sur ce sujet paru en 18c3, et ensuite à maintes reprises, dans de
tériques sont sou- vent réfractaires à la psychothérapie, ce qui me paraît inexact. De plus, parmi ces hémiplégiques il de
DITIONNELLE 49r Sur des raisons d'ordre moral. De plus, ce qui peut paraître paradoxal, j'estime que l'échec de la psychothé
auxquels je donne l'épithète de pithiatiques se développent et dis- paraissent le plus souvent sous l'influence de chocs moraux
ie ; cela s'observe surtout si le chef de service ou ses élèves ont paru s'inté- resser à ces phénomènes et y ont donné
urra guère rester indifférente. Les idées que je viens d'exposer me paraissent dignes d'être méditées, non seulement parce que
me les yeux et semble ne plus pou- voir les ouvrir, que ses membres paraissent inertes et insensibles, etc., on a l'habitude d
mait qu'il est impossible de simuler ces caractères. La volonté lui paraissait impuissante à reproduire la griffe cubitale ou la
es atteints de ces ma- nifestations pathologiques. Cette conception paraît absolument rationnelle, une fois admises les ba
pnotisme constitue une farce n'est pas absurde. Le problème ne me paraît pas comporter une solution catégorique. Mais il
exécuter à un individu placé dans cet état des actes singuliers qui paraissent déraisonnables et qu'il n'a pas l'habitude d'ac
utique. Si l'hypnotisme ne crée ni n'augmente la suggestibilité, il paraît sans objet. Autrefois, il est vrai, on a guéri
ue j'ai rapportés, mais, même au point de vue théorique, elle ne me paraît pas fondée ; j'ai cherché à la réfuter dans mon t
s troubles d'origine lésionnelle. » D'autre part, dans un travail paru dans le n° 3, 2 septembre 1928, de la Revue neu
nes psycho-somatiques explique bien des erreurs. « La question nous paraît d'ailleurs moins insoluble qu'on ne le pense ;
ache par quels caractères cliniques ils se dis- tinguent). Il ne me paraît pas nécessaire de faire la description de l'hémi-
amen je ne crains pas de dire qu'ancun de mes relevés anciens ne me paraît aujourd'hui échapper à la critique et, depuis f
des maladies chroniques ». Ainsi un sixième des cas de maladies lui paraissait imputable à l'hystérie ! Et pour voir à quel poin
veux de toute autre nature. C'est ainsi qu'au début de la guerre on paraissait avoir oublié complètement l'existence de ces pa
uestion est plus complexe. Les associations hystéro-organiques nous paraissent en effet communes à la suite de traumatismes de
elatés dans son livre, avec figures, où le réflexe cutané plantaire paraissait aboli, les muscles étaient également en état de
un seul cas bien établi d'oedème hystérique. La conception ancienne paraissait donc bien avoir pour origine des erreurs de diagn
raits des mani- festations hystériques : la lésion qui les a causés paraît parfois minime, hors de proportion avec les dés
résulte des types cliniques divers qui, malgré leurs dissemblances, paraissent constituer une même famille et repré- senter un
rophie ou à la paralysie amyotrophique. L'exal- tation des réflexes paraît un symptôme commun à ces divers modes de troubl
articulaire ou ab-articulaire suivant l'expression de Dutil, qu'ils paraissent souvent hors de proportion avec la lésion qui l
ie ne décèle aucune lésion arti- culaire. Le réflexe rotulien droit paraît un peu plus fort que le gauche ; mais l'asymétr
actions tendineuses. Pour résoudre cette dernière question, il nous parut bon de soumettre ce malade à la chloroformisati
pport avec une disposition constitutionnelle. Leurs conséquences ne paraissent pas les mêmes que lorsqu'il s'agit de troubles
spect légèrement infiltré, surtout à la face dorsale de la main qui paraît « succulente ». Parfois même, c'est un oedème v
lité mécanique des nerfs, tout comme la surexcitabilité musculaire, paraît assez étroitement liée aux troubles vaso-moteurs
n métacarpienne ou des doigts, ou encore les essais de mobilisation paraissent souvent provoquer des dou- leurs assez vives. N
iatique et encore leur réalité dans les cas d'hystérie pure ne nous paraît -elle pas prouvée. Si l'opinion contraire a été
orsque la main est tenue en ex- tension. Les troubles réflexes nous paraissent aussi s'associerfréquemment aux formes douloure
r la lésion périphérique est bien transmise à la substance grise et paraît impressionner, d'une certaine façon, les élémen
ce trouble : s'agit-il d'une paralysie ? C'est une hypothèse qui ne paraît pas conciliable avec les faits observés. On sait,
excitabilité mécanique des muscles et la lenteur de la secousse, ne paraissent en être qu'une conséquence indirecte. Enfin, il
bles vaso-moteurs très caractérisés. Les deux mécanismes, du reste, paraissent souvent (') Ch. Richet, Chaleur, lu Dictionnair
oi, entre autres faits nombreux, où le traitement hydrargyrique m'a paru donner des résultats satisfaisants, je crois devo
ntes : de plus, le phénomène des orteils que j'ai constaté chez lui paraît montrer qu'aux lésions radiculaires était adjoint
du mercure et l'arrêt dans la marche de la sclé- rose, mais cela me paraît bien vraisemblable, et ces deux faits, particuliè
baire exerce une action sur le labyrinthe. Du reste cette action ne paraissait pas surprenante, la pression du liquide labyrin
La lenteur de la régression et ce fait qu'elle n'est que partielle paraissent dus à la longue durée et à l'intensité de la co
t être appelée paraplégie spasmodique, type extension-flexion. Elle paraît comporter un pronostic moins sévère que la para
s et à la partie inférieure du tronc ; mais, à d'autres moments, elle paraît nor- male et, en définitive, le trouble sensiti
passifs, mais ceux-ci sont très limités. D'autre part le malade qui paraît bien plus contracturé que paralysé, est en mesu
relaté encore un cas de mal de Pott sur lequel les rayons X avaient paru exercer une influence heureuse, et je disais que
être émise dans la plupart des affections organiques, mais elle me paraît peu probable ; en effet, la malade n'a jamais pré
ent. De l'ensemble de ces observations, il résulte que les rayons X paraissent avoir une action curative sur la sciatique acco
20 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
initivement, dans son article du Manuel de médecine Debove- Achard, paru en 1894. En 1901, Schwenn (2) a pratiqué l'auto
oncernant le trajet des racines postérieures prises en bloc, il m'a paru intéressant de placer l'étude comparative d'un
DES CORDONS POSTÉRIEURS 25 relativement à la bandelette externe, il paraît sain, mais si on le compare à l'état normal, on
Pal et par la coloration au carmin. Il faut ajouter que la sclérose paraît être déjà ancienne si l'on en juge par la réact
dogènes fines, 2° fibres endogènes grosses. Cette distinction ne me paraît pas avoir été encore faite par les auteurs qui
a région sacrée, contient un grand nombre de fibres semblables, qui paraissent provenir de la commissure postérieure ; à la ré
'intensité de la lésion des cordons postérieurs; par contre, elle m'a paru être en rapport avec la lésion du réticulum for
ises ; dans le grand nombre de fibres qui, de cette zone marginale, paraissent (1) P. FLECHsiG, Die Leitungsbalanen im Gehirn
nitiale du tabes. Dans l'observation relatée plus haut, les lésions paraissent au contraire presqu'absolument limitées aux systè
tème élémentaire de fibres et affection systématique (1). Ce qui me paraît important à plusieurs points de vue, c'est de bie
s. Toutefois tous les systèmes de fibres qui passent par cette zone paraissent avoir pour propriété commune de résister pendant
postérieure est de nature endogène. G. Les colonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de fibres des racines postérieures
ins d'une façon complète. Les deux observations qui précèdent ne me paraissent donc pas nette- ment systématiques. Je crois qu
pe des scléroses combinées pseudo-sstémrctiues dans le ta- bes nous paraît bien plus important que le précédent. L'apparence
niveau de la décussation des pyramides. Le faisceau pyramidal lui a paru un peu dégénéré dans la région bulbaire. Les pédo
umé, sur les sept observations anatomiques qui précèdent, cinq nous paraissent nettement expliquées par la théorie lymphatique e
anti-crural. Mieux encore qu'à l'état normal, cette décom- position paraît justifiée, car elle est'rendue plus nette par l'h
en flexion et extension successive avec prédominance de l'extension paraît être le type habituel dans les affections spasmod
IGNEL-LAVASTINE. Les tableaux qui représentent des syphilitiques ne paraissent pas avoir encore attiré beaucoup l'attention de
- moin le Pulcinella des farces italiennes. - Le nez syphilitique paraît avoir tenté beaucoup moins les artistes. Dans l
ndance caricaturale d'une assez grande fréquence. Tout autre nous paraît être la signification de la déformation nasale du
courbe à concavité antérieure. Le ventre est dur à la palpation et paraît en état de contraction permanente. Pendant la r
t. Ces différents types de grandes cyphoses forment des groupes qui paraissent se relier par quelques inter- médiaires. (1)
embre sain, en l'absence de paralysie motrice du coté malade, ne me paraît pas suffire pour penser au syndrome de Brown-Se
t qu'elle s'amincit, commencent en outre, dans la plupart de cas, à paraître aussi des épaississements peu marqués au commen
ade -résiste très bien aux mouvements passifs. Réflexes rotuliens paraissent diminués. Pas de troubles nets de la sensibilit
par son asymétrie faciale très nette : la moitié gauche de la face paraît diminuée, abaissement de l'arcade sourcilière, dé
emporal droit et surtout à la face interne des lobes frontaux elles paraissent plus épaisses et lactescentes : l'on note en ce d
ne présentent aucune anomalie d'aspect ni de consistance. Artères paraissent normales. Pas d'hémorragies. Cervelet. - Le cer
res paraissent normales. Pas d'hémorragies. Cervelet. - Le cervelet paraît diminué de volume dans son ensemble et l'hémisp
ion est légèrement plus foncée que normalement; l'aspect à la coupe paraît moins humide. ' TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCIl
bulbe et du peu de saillie de l'olive de ce même côté. Moelle. Elle paraît asymétrique, vue sur des coupes transversales fai
e étant d'ailleurs resté sans résultat et d'autre part la malade ne paraissait pas avoir eu d'habitudes alcooliques. Le diagnost
réflexes exagérés des deux côtés, ni anesthésie, ni hémiplégie) et paraissent justiciables d'une même explication pathogéni-
live bulbaire droite. Ces lésions observées dans notre cas nous ont paru intéressantes au moins comme condition étiologiqu
O-PARALYTIQUE 128 serait constatée plus souvent si on la cherchait, paraît confirmer l'idée - d'une toxi-infection. Au fai
arythmie eu salves. Une injection de caféine faite la veille a bien paru améliorer le malade. Tou- tefois ce matin : per
e montre un second ramollissement occupant la couche optique et qui paraît n'empiéter que très peu à l'oeil nu sur la capsul
postérieures 132 PIC ET BONNAMOUR sont nettement altérées, elles paraissent moins nombreuses qu'à l'état normal ; ellles so
ue, au- tant qu'il est possible de l'apprécier sur la radiographie, paraît grande. Si l'on ajoute à ces différents signes
toutefois à gauche, profondément dans le canal, un testicule qui ne paraît pas minuscule. Le malade assure que ses testicu
t scléro-adipeux, lequel s'arrête nettement au pli du poignet, nous paraissent analogues à celles de la maladie de Dercum (adipo
ble menton bien rempli, les mamelles plus volumineuses ; mais il ne paraît pas, à son dire, qu'il y ait jamais eu de myxoedè
TE, CROISSANCE TARDIVE, DIABÈTE 177 cosurie et la polyurie ont donc paru notablement diminuer par le traitement pancréat
embre inférieur gauche, les mouvements sont à peu près conservés et paraissent semblables à ceux du côté droit. Cependant si la
décrit par M. Dide (1) dans la démence précoce à forme catatonique, paraît un phénomène à peu près constant si on observe
cas dans son travail fondamental : « Le pseudo-eedéme catatonique , paru récem- ment dans l'Iconographie de la Salpêtriè
main) qui produisent ses impulsions. Les hallucinations auditives, paraissent moins nettes qu'au moment de son entrée à l'asi
l'allure incohérente des conceptions et des actes de notre ma- lade paraît bien s'expliquer par l'influence de cet état obsé
us aurons l'oc- casion de revenir plus loin, mais elles ne nous ont paru alors ni cons- tantes, ni même très fréquentes,
aire,et nous devons avouer que les altérations cellulaires nous ont paru plus intenses et plus fréquentes que ne nous l'
elles-mêmes. Le tissu interstitiel-est très épaissi et les capsules paraissent creusées dans du tissu fibreux ou hyalin. La pa
hose à signaler dans le 1 er ganglion cer- vical droit, les racines paraissent saines ; toutefois on y trouve quelques cel- lu
que nous désirons revenir, les alté- rations cellulaires nous ayant paru avoir, au cours de nouvelles investigations, pl
contiennent des boules de graisse colorées en noir. Le tissu hyalin paraît un peu plus abon- dant. OBs. VIII. Viv..., âg
l n'est pas sensiblement épaissi. Les vaisseaux sont sams, mais ils paraissent plus nombreux et dila- tés ; par conséquent il
stitiel et des vaisseaux sont variables. Dans certains cas,ce tissu paraît normal ; dans d'autres cas,il se distingue par
tissu conjonctif et des vaisseaux ganglionnaires nous ont toujours paru sans importance en ce qui concerne le point qui
plus longtemps que la gaine de myéline, et que dans des racines qui paraissent complètement atrophiées, l'examen histologique pa
elui de la physiologie expérimentale, mais il est un point qui nous paraît indiscuta- ble, c'est leur existence, leur fréq
des cellules malades. Il y a des cellules qui sont gon- flées, qui paraissent agrandies et dont le protoplasma est transparent,
as quelques cellules nerveuses en voie de désintégra- tion. Le fait paraît même plus accentué chez les vieillards. Mais cela
l s'agissait là d'une lésion cadavérique. Cette interpréta- tion ne paraît pas devoir s'appliquer aux cas que nous venons de
les données de l'anatomie et de la physiologie qu'ils pourraient le paraître au premier abord : l'étude de l'anatomie et de
HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245 rieur au niveau des IV" et Va segments, paraît résulter d'une rupture d'une des branches horiz
visibles dans les racines du Vle segment. La réaction inflammatoire paraît évidente aussi au niveau du canal épendy- maire
croyons inutile d'insister beaucoup sur les remarques qu'elle nous paraît comporter. L'hypéresthésie en bande que nous
des lésions, à la vérité en partie réparables, mais diffu- ses, qui paraissent devoir être mises sur le compte de la destruction
, et s'éteignent totalement avant d'arriver à vingt ; les réactions paraissent normales clans les autres muscles. Le rectum et
s muscles élévateurs oculo-palpébraux, mais aussi l'orbiculaire, me paraît très efficace. Il suffit de donner au patient u
sies oculaires hystériques, très rares, des mouve- ments conjugués, paraissent se réduire aux mouvements volontaires, et non a
être rejetée pour les mêmes raisons. L'histoire de ce malade nous a paru valoir la peine d'être rapportée. Elle est inté
ux, rouge, vasculaire et la lame de tissu compact périphé- rique ne paraissait pas épaissie. L'étendue de la résection paraiss
malades provenant de la même famille furent déjà publiées. Il nous paraît donc d'un certain in- térêt de leur en addition
ée surtout dans le diamètre antéro- postérieur. Les racines minces, paraissent atrophiées, les méninges de la moelle épaissies
jambes en marchant, mais ne les projette pas, ne les traîne pas, il paraît plutôt les lancer un peu par un mouvement du ba
us du croisement des pyramides qu'il devient perméable, et alors il paraît élargi et entouré d'une couche formée de plusie
réfaction des fibres très forte. C'est surtout les fibres fines qui paraissent faire défaut. Substance blanche de la moelle. -
oeil dans la substance blanche, c'est que même dans les régions qui paraissent tout à fait respectées par la dégénérescence, l
s'approche immédiatement de l'angle médian de la corne antérieure et paraît sortir de cet angle. L'élargissement latéral de
e elle semble renvoyer une forte quantité des fibres sclérosées qui paraissent subir ici un entrecroisement avec les fibres anal
roubles musculaires et ces lésions des cellules ganglionnaires nous paraissent être beaucoup plus fréquentes qu'on l'admet gén
hes suivantes : 308 LORI pas uniquement ; sur une coupe elle peut paraître assez notable alors que le nerf ne contient plu
en plus grand nombre. Il y a là une relative indépendance qui nous paraît intéressante à signaler pour la re- cherche de
ètement (yeux de llelin ? Rossign..), et remplacés par des amas qui paraissent être formés des cellules arron- dies et qui son
de que la couche intergra- nuleuse. Les vaisseaux de la rétine ne paraissent pas sensiblement modifiés de nombre ni de volum
sensiblement modifiés de nombre ni de volume ; cependant leur paroi paraît assez souvent épaissie ; les vaisseaux de la ch
paroi paraît assez souvent épaissie ; les vaisseaux de la choroïde paraissent épaissis, et certains sont complète- ment obtur
ffet que, cliniquement, il existe en général une première phase qui paraît présenter certains caractères d'irritation, d'inf
instantanés reproduisent des scènes identiques. (1) Il existait, paraît -il, autrefois, un autre tableau représentant troi
hors d'haleine, et restaient ainsi longtemps inanimés. Leur ventre paraissait gonflé, et ils portaient une ceinture avec laqu
s grandes attaques (9 ). Mais, si la grande épidémie du XIVe siècle paraît avoir été la plus étendue et la plus grave, ell
célébrées à Rome rappellent les Dionysiaques d'Athè- nes d'où elles paraissent avoir été importées. Il semble cependant qu'avant
s des Dionysiaques et des Bacchanales dont le caractère païen lui i paraissait détestable. On allumait, à ces dates annuelles,
re supérieur, on observe des bigar- rures blanchâtres anormales qui paraissent dues au développement considéra- ble du tissu f
u fibreux. Tous les muscles que nous avons pu examiner à l'autopsie paraissent parti- ciper à l'atrophie, mais celle-ci n'est
normalement, envoyant des diverticules dans son intérieur. Certains paraissent à première vue à peu près- normaux, leurs fibres
de 20 et même de 10 de diamètre (PL LVI11. A). Certains faisceaux paraissent exclusivement composés de fibres normales, d'au
marquée, à tel point qu'en certains endroits la fibre hypertrophiée paraît située en plein tissu graisseux. De plus, il n'
cutai1'e. - Le tissu interstitiel est excessi- vement augmenté ; il paraît en certains points enserrer les fibres musculaire
ont malades; la gangue qui entoure les fais- ceaux neuromusculaires paraît épaissie. Toutefois, il faut signaler l'altératio
tions anatomiques que nous avons fartes au niveau des muscles, nous paraissent expliquer les caractères cliniques assez parti-
ogique sur lesquels nous désirons retenir l'attentions, car il nous paraissent soulever d'intéressants problèmes. Nous avons s
portant sur des fibres isolées et que jamais le muscle au total ne paraissait hypertrophié ; au contraire, il était toujours
ment de noyaux entre ces fibrilles ; la striation transversale dis- paraît et dès lors apparaissent des aspects de longues c
es étaient atrophiées, dans les deux autres les portions dégénérées paraissaient très irrégulièrement disséminées. Leber (1) Len
uvelles idées émises sur la pathogénie du tabes dor- sal, il nous a paru justifié, pour élucider la pathogénie de l'atroph
sma n'était pas encore coupé : dans ces cas l'épaississement nous a paru le plus souvent très net. Il était certainement
né- rale avec amblyopie très prononcée. Le second fait qui nous a paru digne de remarque dans l'examen ma- croscopique
se plisse (nerfs de Besna..., par exemple). Dans le crâne les nerfs paraissent surtout diminués de haut en bas, plus aplatis e
ûr des lymphocytes ; elles en présentent tous les caractères. Elles paraissent for- mées uniquement d'un noyau plus ou moins s
lymphocytes, mais comme d'une part les lymphocytes ne nous ont pas paru pénétrer loin dans le nerf au pourtour des vais
arition des fibres nerveuses qu'elles contiennent, mais ce qui nous paraît indiscutable, c'est l'épaississement parfois co
formé, sclérosé, épaissi et obturé. Mais au premier abord il peut paraître surprenant de voir disparaître les bandes fibre
ubsistent dans le nerf ; beaucoup de cellules de leur paroi interne paraissent avoir subi une dégéné- rescence hyaline. Assez
division en faisceaux de la portion orbitaire, les modifica- tions paraissent à première vue moins intenses. Normalement, en ef
hologique dans la portion orbitaire du nerf. Pourtant les vaisseaux paraissent souvent augmentés de nombre et leurs parois épa
rmal et leur situation n'était pas modifiée; dans ce cas les fibres paraissaient vidées et la coupe avait un aspect finement vacuo
yper- trophie vasculo-conjonctive est des plus manifeste et il nous paraît im- possible de prétendre que le tissu conjonct
Ces considérations et ces conclusions initomo-pithologiques nous paraissent cadrer parfaitement avec un certain nombre de rem
antérieurement. Nous avions noté en effet, que l'amaurose tabétique paraît dans le plus grand nombre des cas évoluer suiva
rtour des effilochures, des inégalités, des dépôts pigmentaires qui paraissent être le résiduel l'indice d'une inflammation né
a deux ans, la relation clinique et histologique d'un cas qui nous parut établir un nouveau mode patliogénique de certaine
on postérieur du même côté un prolongement qui un peu plus haut ap- paraît isolé et comme détaché de la lésion de la corne.
himidues tranchent vivement sur le tissu nerveux au sein duquel ils paraissent comme inclus. Telle est la lésion fondamentale :
le sur une grande étendue, sans que les éléments nerveux voisins en paraissent en rien altérés; leur tissu est fort mince mais
logique est considérable. Sur cer- taines coupes la fente elle-même paraît n'être formée que par la lumière d'un vaisseau,
le processus à divers niveaux. C'est ainsi que en des points où il paraît en voie d'expansion il se montre sous l'aspect d'
ance, à peu près vide, il n'y a nulle réaction névroglique, et elle paraît creusée à même le tissu nerveux (PI. LIV, fig.
de ces lésions et de retrou- z ver les étapes du processus. Il nous paraît acquis que la lésion fondamentale, malgré les d
tre eux dont elle détermine la disparition, la résorption ; il nous paraît que c'est ainsi que peu à peu doit se morceler le
r tout le reste. Mais quel est le primum movens de ce processus qui paraît se limiter, nous l'avons vu, au trajet des gros
ur les tissus nerveux voisins forment un complexus histologique qui paraît distinct de celui qui est regardé habituellemen
coupes on peut conclure que la grande cavité de la région cervicale paraît n'être que l'épanouissement d'une fente primitive
arche et la filiation. Si dans d'autres cas il est plus difficile, il paraît même impossible de rétablir l'évolution, c'est
autre. Un premier groupe comprend ceux où la cavité syringomyélique paraît née autour du canal central, du fait d'une végé
isse faire croire à sa participation directe. 'Le début des cavités paraît plutôt se faire dans une corne postérieure et l
nique externe. Il est même certai- nes observations où cette lésion paraît dominante, tandis qu'en d'autres c'est la dégén
en revanche l'importance attribuée à l'hyperplasie névroglique nous paraît quelque peu usurpée. Ni la qualité ni la quanti
nflammation et la tumeur, comparable en cela à l'adénome. Si elle a paru quelquefois caractériser spécialement soit une in
ractus ou membranes, dont l'action irritative sur la névroglie nous paraît suffisamment dé- montrée par notre première obs
ut être regardé comme le p1'imum mouette du processus, surtout s'il paraît être d'autres fois commandé directement par une l
ignée, et pratiquée ? Hippocrate, il est vrai, l'ignorait ; mais il paraît avoir pratiqué une manoeuvre tout aussi délicat
ne sais rien. » Toutes ces perturbations que décèle la lecture vous paraîtront plus évidentes encore chez ce malade âgé de 9 a
normale, surtout dans les régions cervicale et dorsale. Les racines paraissent avoir dans l'ensemble un petit volume. La ménin
. - Dans sa partie supérieure et dans sa partie inférieure le bulbe paraît tout à fait normal. Peut-être cependant la moitié
petites, allongées et aplaties, ou globuleuses ; leurs granulations paraissent rejetées en cou- ronne.à leur pourtour. - Dan
et une coloration sensiblement normaux. Ire dorsale. - La moelle paraît normale à première vue, sauf qu'elle est notabl
marquée ; volume de la moelle normal. Les gaines périvasculaires paraissent plus vastes et il semble y avoir au ni- veau de
euse plus prononcée encore. , ' , , Nerf tibial antérieur gauche. - Paraît extrêmement grêle, composé pres- que d'un seul
e prit plus ou moins l'aspect d'un hémiplégique gauche. L'affection parut dès lors tout il fait arrêtée, elle laissait le s
s débris de fibres variqueuses. . Pour prédominantes qu'elles aient paru , ces lésions n'étaient pas les seules ; dans to
ement. Seuls, le groupe inter- médio-latéral et le groupe de Clarke paraissaient à peu près intacts, mais le réseau fibrillaire
à tous les niveaux. Le point de départ des lésions en foyers nous a paru être manifeste- ment dans les vaisseaux, nous n
art des foyers. D'ailleurs en dehors même des foyers, les vaisseaux paraissaient très mul- tipliés et entourés d'une gaine large
algré cette constellation négative les lésions vasculaires nous ont paru tout à fait patentes. Cette existence de lésion
omaine de ces artères. . Quoi qu'il en soit, cette observation nous paraît démontrer d'une façon évidente l'existence poss
substance grise et à son voisinage, ces gaines diminuaient et dis- paraissaient vers la périphérie de la moelle; la syphilis n'av
hérie de la moelle; la syphilis n'avait pas été recherchée. Un fait paraissait incontestable à l'examen des coupes, c'est que,
Thomsen fruste avec atro- phie musculaire. Les faits de ce genre me paraissent mériter d'être publiés pour deux raisons : la p
s marquée si on regarde les mollets : c'est leur partie interne qui paraît aplatie. Il y a encore un contraste très manife
t-bras, mais moins accusé qu'aux membres inférieurs : l'avant- bras paraît plus petit qu'il ne devrait être, mais sans local
substance musculaire diminue, quand la libre s'atrophie, ces noyaux paraissent proportionnellement augmentés de nombre. On voit
e associée. Il est revenu sur ce sujet dans un mémoire très complet paru dans le recueil jubilaire de Erb. Kornhold (3
z, une grande hystérique dont l'histoire, extrêmement chargée, nous paraît présenter quelques points intéressants à reteni
ur dans sa « Séméiologie des affections mentales » (3). Cet emprunt paraîtra d'autant plus justifié que cette étude, absolumen
jarde est aujourd'hui démontrée ; seules les lésions tendineuses ne paraissent pas transmissibles. Les défectuosités du boul
mes somatiques qui, dans quel- ques cas (tics et stéréotypies), ont paru liés à des troubles psychiques. Il importe donc
égénérescence. 2. Activité réflexe. - L'étude de l'activité réflexe paraît peu avancée en pathologie animale. Des recherch
(M. L. Bianchini) Masson & CI. Éditeurs Pbotot)ple 13,tha.d Paru LE DENTISTE 491 L moment où l'instrument qu'i
tre à nu l'abdomen des malades; cette exhibition ne laissait pas de paraître choquante dans un tableau religieux, et l'on sa
- cle) qui a fait l\)bje(d'une intéressante étude de M. Jean Heitz, parue dans ce recueil (1). : On y voit « un homme b
21 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
IONS DE LA PUBLICATION La NOUVELLE ICONOGRAPHIE de la SALPÊTRIÈRE paraît en six fascicules annuels PRIX DE L'ABONNEMENT
presque tout à fait détruit par le ramollissement, de même que ia parue interne au lobe lusitorme et la partie intérieure
hydatiques se vider par l'orbite et par les fosses na- sales. Il paraît exceptionnel que les hydatides cérébrales puissen
uellement les foyers emboliques sont, comme ici, corticaux. Ce fait paraît être en rapport avec une dis- position anatomiq
être signalés (paralexie et perle de la compréhension des mots lus) paraissent devoir relever de l'interruption des voies d'as
se, celle-ci manque encore de caractè res précis; aussi nous a-t-il paru intéressant de faire connaître l'observa- tion
ire droite, que notre homme attribue au refroidis- sement, mais qui paraît plutôt être en rapport avec l'attitude vicieuse d
st de 33 à droite et de 34 et demi à gauche. Enfin la température paraît un peu abaissée de ce côté ; et le pied droit t
e supérieur, etc.) et le système musculaire du reste de l'organisme paraissent absolument sains (pas de craquement, pas de déf
mine. Le diagnostic de la déformation présentée par notre malade ne paraît pas devoir prêter à une longue discussion. Il s
athogéniques. Les exemples de genu recurvatum survenus du côté sain paraissent être très rares, puisque nous n'avons pu en rel
t, cette dé- formation qui s'impose à la vue dès le premier examen, paraît être, on ne peut le nier, d'une rareté extrême
ndant la durée du traitement au lit. La raison de cette discordance paraît résider surtout dans la nature différente des f
ligamenteuse), que l'on pourrait concevoir, les deux premières nous paraissent insoutenables. La théorie osseuse a contre elle
s disent qu'Abisag fut véritablement femme de David et saint Jérôme paraît être de ce sentiment, d'autres, qu'elle ne fut de
coup de l'espérance de la pousser au delà de cent ans. De là il me paraît évident que si nous nous tenons seulement en gard
omposition élégante et riche de l'Hermipus redivi- vus. L'ouvrage parut en 1742 à Francfort-sur-le-Mein (4). En voici le
se de l'ouvrage en insistant çà et là sur les passages qui nous ont paru dignes d'être mis en relief. Cohausen nous donn
itaphe lui sont matière à développement. Une semblable méthode nous paraît aujourd'hui fastidieuse. Nous préférons une cri
toutes les huiles essen- tielles. » Cette vertu du souffle humain paraîtra moins étrange quand on saura qu'il est capable
e tous côtés on s'agite autour de cette question.M. J. Fi- not fait paraître son livre si intéressant La philosophie de la lon
gements. Les premières recherches de ce genre venaient à peine de paraître que certains critiques avaient déjà compris tou
s possédés jusqu'à ce qu'ils se tinssent tranquilles. Rien n'était, paraît -il, plus désagréable au diable que de recevoir le
e du volume de la moelle a attiré notre attention. Il ne nous a pas paru possible de l'expliquer uniquement par les lési
ans le 4° segment dorsal. Ici la tête de la corne antérieure droite paraît comme décapi- tée (fig. 5) par suite de la disp
s de Geoffroy Saint-Hilaire, dans le genre des hémimèles, Il nous a paru intéressant et digne d'être décrit ici non seulem
aille moyenne. La tête, la face, le tronc et les membres inférieurs paraissent bien constitués et ne présentent pas d'anomalies
et Infroit). Masson & Ci, Editeurs z Pholot\illl tbilltauil, Paru DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN nÉMIMÈLE 129 mus
que l'on pourrait appliquer dans ce cas d'hémimélie. Les avant-bras paraissent d'autant plus courts qu'ils restent fléchis à ang
ses cô- tés, on voit des saillies musculaires bien développées qui paraissent correspon dre comme forme et comme disposition
rpe et le mé- tacarpe et 6 centimètres pour le doigt. Les phalanges paraissent sensiblement normales comme forme et comme volu
totale d'environ 30 centimètres sur la radiographie. La tète numérale paraît normale comme forme et comme volume ; la diaphy
extrémité inférieure du radius et en bas avec l'os du métacarpe, il paraît correspondre à la fois au scaphoïde et au trapè
ésente une assez grande ressemblance avec un métacarpien normal. Il paraît correspondre au premier métacarpien, bien qu'il s
ant bien que le doigt existant est un pouce ; mais cet os sésamoïde paraît unique et il est notablement plus gros que dans
igts surnuméraires. L'os qui s'articule avec la tête du métacarpien paraît formé par la fusion de la première phalange du po
squelette de l'épaule est normalement conformé; l'humérus également paraît normal à son extrémité supérieure et dans une gra
t extrêmement réduit et n'a que les dimensions d'un petit pois ; il paraît formé par l'épiphyse de la première phalange sé
rive pas jusqu'à placer l'avant-bras à angle droit sur le bras ; il paraît moins limité par le mode d'articulation du coude
mérus à la partie supérieure et externe de l'os de l'avant-bras ; il paraît corres- pondre soit au court supinateur, soit p
é- mité inférieure de l'humérus à la partie externe du poignet ; il paraît bien correspondre au long supinateur ; il se co
e l'avant-bras, extenseurs et fléchisseurs des doigts (ou du pouce) paraissent très peu développés ; les cubitaux antérieur et
ion por- tée sur le trajet habituel du nerf cubital au bras n'a pas paru éveiller de sen- sations dans l'extrémité du me
upérieur gauche. - Comme à droite la musculature de l'épaule gauche paraît normale. Les mouvements de l'articulation scapulo
la dernière pha- lange du doigt. Les autres muscles de l'avant-bras paraissent soit faire défaut, soit être très rudimentaires
être très rudimentaires. A la main les muscles de l'éminence thénar paraissent bien développés, leur action se manifeste surto
i à droite, ni à gauche. Autour du coude, également, la circulation paraît assez peu active ; pendant les derniers froids
l'examen rapide et superficiel que nous avons pu en faire, nous ont paru bien conformés, assez petits cepen- dant. La ba
n générale de l'os de l'avant-bras et de l'état de la main. Il nous paraît bien plus vraisemblable d'admettre que le radiu
la palpation l'extrémité supérieure de l'os unique de l'avant-bras paraissait ressembler à l'olécrane ; mais, comme ni l'exam
phique n'ont pu être faits et qu'aux deux mains les doigts existant paraissaient être des pouces, il nous semble bien plus proba
rs présentent des difformités. A droite les deux os de l'avant-bras paraissent faire complètement défaut et la main s'ar- ticu
de trois phalanges, le troisième externe n'a que deux phalanges, il paraît correspondre au pouce. Le cubitus semble faire
les par absence de la tige ou rayon radial, l'avant-bras et la main paraissent mieux représentés dans leur ensemble ; générale
une condition particulière qui puisse être incriminée : ses parents paraissaient jouir d'une bonne santé; sa mère est restée bien
ement ont été jumeaux, circonstance qui dans le cas présent ne nous paraît pas avoir grande importance; parmi ses autres p
iétés de l'ectromélie et plus spécialement celles de l'hémimélie ne paraissent pas devoir reconnaître une pareille origine ; ell
ux central est en pleine période de développement, où ses fonctions paraissent nulles encore et où il ne se trouve pas en connex
une origine en- dogène est possible, mais une origine exogène nous paraît plus probable. DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET
, cependant moins impor- tant que les autres, tout étrange que cela paraisse , est le stade auquel se trouve la maladie. Le s
ns mercurielles, pratiquées sur lui chez le professeur Panas; et il paraît assez vraisemblable de songer, en l'occurrence, à
be, le protubérance, ,1e cervelet et la moelle. Les nerfs optiques paraissent relativement libres, mais réduits de volume ; l
sujet, hanté par son rêve, évolue avec ai- sance dans un milieu qui paraît à la fois complètement étranger à son attention
unes n'y manquent pas. Le nombre relativement restreint des travaux parus sur cette question, l'insuffisance documentaire d
llement une figure rappelant un de ces globes, et le contraste nous paraît assez important t pour le noter au passage. Du
roi- sième stade, on la voit se combler par des masses amorphes qui paraissent pro- venir du gonflement des cellules les plus
le les distingue des vaisseaux. Cependant leur nature vasculaire ne paraît pas douteuse, puisqu'elles sont remplies de globu
re, la prolifération de l'endothé- lium des vaisseaux. Mais il peut paraître exclusif de ne pas tenir compte, dans le dévelo
ue ; c'est une diminu- tion d'épaisseur de la substance grise; elle paraît tassée et comprimée par le 196 DUPRÉ ET DEVAUX
analogues à celles de la zone paracentale, d'au- tres au contraire paraissent normales, quant aux trois variétés de corps leur
des cellules en achromatose également gonflées. Ces deux faits nous paraissent plaider contre l'idée qui fait du gonflement un m
tes; pour les autres, ce rôle revient aux cellules névrogliques. Il paraît pos- sible, d'après ce que nous venons d'expose
il importe de faire une place à part au dermographisme, . qui ne me paraît pas être très rare si on prend la peine de le rec
rtié se produit et se dessine on voit la rougeur s'atténuer et dis- paraître à la fois à la périphérie et au centre, dans l'es
icielles. L'intensité et la durée de l'éruption nous ont d'ailleurs paru en rapport avec l'intensité de l'ex- citation.
ais ne parvint jamais à les faire disparaître complètement. Il nous parut avoir aussi une influence sur le dermographisme q
emme dans un état particulier qui autorise la supposition. Et il me paraît bien que c'est à la présence des oxyures qu'il fa
es de ver (sans doute deux individus), mais pas de tête. Ses crises parurent moins nombreuses et la malade sortit le 23 décemb
le côté droit. A la main les régions thoracique et scapulo-humérale paraissent plus chaudes à gauche qu'à droite. Mais c'est le
La pupille gauche plus dilatée que la droite. La tonicité de l'oeil paraît plus élevée à gauche. Si l'on présente au mal
lternativement avec l'oeil gauche et avec l'oeil droit, l'objet lui paraît plus éloigné et situé à deux centimètres plus à d
employé ce procédé expérimental. Cette hypoesthésie oscillante me paraît due à l'hyperamiboïsme des neurones de sensatio
ffisantes. J'ai montré en effet, dans un tra- vail qui doit bientôt paraître , qu'il existe pour les êtres monoplastidaires e
quer la coïncidence de l'hyperalgésie et de l'hy du même côté. Cela paraît être dû à ce que les neurones des sensations ta
ons auditives. La diminution de la sensibilité auditive à gauche me paraît due égale- ment à une lésion, peut-être puremen
nts oscillants des champs chromatiques que présente notre malade me paraissent dus à l'hyperamiboïsme des neurones des sen- sa
contigus de ce groupe. La pathogénie générale de la contracture me paraît assez simple. Des ondulations nerveuses qui rés
ntracture. La contracture du muscle ciliaire et du droit interne me paraît donc due à l'existence de neuro-diélectriques a
assez normal, le réflexe idio-musculaire. Les réflexes vaso-moteurs paraissent normaux. L... a toujours été émotive et peureus
e reste sans changement jusqu'au moment où la couche inter-olivaire paraîtra . Les cordonspostérieurs se séparent de la moell
ie pyramidale. La fissure dans les parties latérales a presque dis- paru . Les racines postérieures sont presque invisibles
rieure de la moelle de la partie postérieure, ont complètement dis- paru . Dans la partie postérieure de la moelle nous ren
tténue à me- sure que l'on atteint l'extrémité distale. Les membres paraissent comme tassés sur eux-mêmes et le parfait dévelo
e présente une transparence normale, l'épiphyse au contraire nous a paru plus opaque et surtout on ne voit pas cette ligne
chiens bassets » (Belgique méd., 1900, p. 737). Ces raisons ne nous paraissent pas péremptoires, nous avons même essayé de dém
ations squelettiques fort mar- quées. Trois autres enfants nous ont paru à peu près indemnes. Leur mère, bien qu'elle ne
ouchée, et d'après les renseignements que nous avons pu obtenir, il paraîtrait que, sur trois enfants, une soeur échappa seule
ans, ouvrière, travaille à la journée. Antécédents : Les parents ne paraissent pas, d'après les renseignements que nous avons
s, le squelette a subi des altérations nota- bles. Les deux membres paraissent s'entrecroiser comme les branches d'un X. A don
ccentuée. Le fémur droit s'incline davantage sur l'ho- rizontale et paraît du reste un peu plus long que le gauche (26 cent.
du péroné participe à l'épaississement épiphysaire. Comme le bassin paraît s'enfoncer entre les deux fémurs, il en résulte
tisme, chez Berthe, n'offre pas de nombreux stigmates et l'atteinte paraît avoir été légère. On n'observe guère que des bo
e dorsale offrent une courbure compensatrice. Mais ces déformations paraissent tenir à une luxation en haut de la tête fémoral
, a marché il l'âge de 20 mois. Sevré à la même époque. L'enfant ne paraît présenter aucun signe de rachitisme. On remarqu
réditaire du rachitisme, théorie qui, dans l'observation ci-dessus, paraît entièrement justifiée. La répétition du rachiti
ts. Ajoutons que cette théorie de l'hérédité (directe ou indirecte) paraissait trouver une réelle confirmation dans les faits
Resterait à expliquer la pathogénie du rachitisme intra-utérin qui paraît se trouver en contradiction avec la théorie ali
tres de profondeur. De plus, la main gauche vue par sa face dorsale paraît plus large que la droite et de fait, la mensura
pas congénitale, comme la malformation des doigts ; elle n'existe, paraît -il, que depuis un an et demi. Les artères radia
su compact et de tissu spongieux normaux. De même, les cartilages paraissent sains. Les articulations sont saines aussi, mai
gistrées : devant le tambour enregistreur les périodes ont toujours paru régulières et synchrones et ces irrégularités ont
les soupçonne pas si une serviette est jetée sur les épaules. Elles paraissent continues d'abord et sans relation avec le spas
s », mais dont le tremblement n'est pas exclus. Si les oscillations paraissent moins fré- quentes c'est que W... écrivait plus
eu de 60. Stigmates physiques de dégénérescence. - La physionomie paraît il la fois in- dolente, inquiète et distraite.
une seule fois, néanmoins le spasme rythmé cesse aussitôt et ne re- paraît pas de la journée, mais il y a du tremblement par
nt et divers ». C'est un état de conscience qui peut laisser trans- paraître les singularités patentes et latentes de chaque c
vi dans cette série un peu longue d'excitations de l'odorat qui ont paru les plus inoffensives. On peut reprocher aux subs
s à une sorte de démence précoce (3). En dehors de ces troubles qui paraissent liés à une susceptibilité parti- culière, l'abu
e d'un parfum employé à hautes doses et dont l'essence d'héliotrope paraissait constituer l'élément principal, fut justement l
nomènes dont il ne faut pas faire totale- ment abstraction. Il nous paraît certain que certains troubles visuels, les amau
très vague. La tunique interne et moyenne des vaisseaux, épaissie, paraît macérée en beaucoup de points. La tumeur est donc
éflexes sans exception sont abolis. Parole. La gêne de la phonation paraît surtout provenir de la dyspnée : la parole est
I, C et D). , Les cellules de la substance grise de la protubérance paraissent être en nom- bre normal et intactes. Le ruban d
eaux sensitifs et moteurs. D'une façon générale les premiers nous ont paru assez bien conservés, alors que nous constation
externe ou de l'extrémité supérieure de l'hypoglosse, dont lesnoyaux paraissent sous le plancher ventriculaire et rapprochés de
e l'aspect du kyste qui remplaçait la boîte crânienne ne nous a pas paru de prime abord et avant l'autopsie complètement d
isait pour faire disparaître la sensation d'étranglement. Elle ne paraît pas avoir jamais pris de grandes crises, mais lor
servant d'expres- sions médicales estropiées et risibles... Elle ne paraît pas avoir de troubles psychiques. Elle a des
ouver blanc, rouge ou violet et c'est à cette manière devoir qu'il me paraît légitime de se ranger avec Gilles de la Tourett
nons de passer en revue les plus frappantes manifestations. Il me paraît superflu d'insister sur l'intérêt que présente le
on le verra, les lésions du système nerveux central ne nous ont pas paru assez spéciales et assez localisées pour que no
t que rarement pour se traîner péniblement d'un lit l'autre. Elle paraissait fort affaissée, et ne prononçait que de rares par
ble à la région cervicale, ni dans l'aisselle gauche. Le crâne ne paraissait pas déformé, c'est à peine si les bosses frontale
10 grammes. Les capsules surrénales, ainsi que le corps pituitaire, paraissent normales à l'examen macroscopique. Les organe
mens tant radiographiques qu'histologiques. La lésion ne nous a pas paru sous-périostée, comme le pense M. Béclère, mais
ures apparaissent en nombre nor- mal, sans qu'aucun des groupements paraisse atrophié. Un bon nombre de ces UN CAS D'OSTÉITE
nterstitiel ne semble pas pris. Quelques gaines de myéline çà et là paraissent vides. Sur un petit filet détaché, ou note, très
écrit comme névrite d'origine vasculaire. Quant aux muscles, ils ne paraissent pas très atteints. Il n'y a pas de pro- liférat
petits rameaux. En tout cas, ces constatations presqu'unanimes nous paraissent être d'imporlance capitale,.si nous nous plaçon
mes lésions de moelle sénile que L. Lévi, et elles ne nous ont pas paru , non plus qu'à cet auteur, pouvoir expliquer le
lis. Les modifications des réflexes, dans la maladie de Paget, nous paraissent dépendre de la localisation des lésions vascula
rmation et le bou- leversement complet de l'architecture qui nous a paru le trait dominant des lésions osseuses. Pour tr
sont enflés, tendus; la peau bleuâtre, violacée. L'enfant pleure et paraît souffrir. En dehors de ces symptômes, aucun sig
le ait éprouvé plusieurs crises douloureuses dans la nuit, l'enfant paraît être un peu mieux ; les téguments sont moins tend
mbes. A part cela, tout va bien. 18. Convalescence franche; le bras paraît avoir repris son volume nor- mal. Depuis ces
la mère remarqua que le membre inférieur gauche, la cuisse surtout, paraissait plus volumineux que le droit. Ce fut l'inégalit
dont l'enflure nous avait si fort inquiété l'année précédente, nous paraît être tout d'abord dans des conditions physiologiq
n dehors de la thèse de Collette, dit l'auteur, ni dans les travaux parus récemment, soit sur les atrophies mus- culaires
iation ou son engraissement, ses déviations partielles ou générales paraissent avoir aussi peu préoccupé les physiologistes que
comprenant une certaine étendue en bloc de la substance grise. Ils paraissent être plutôt l'expression de lésions éparses, fr
par quelques preuves directes, à établir l'étroite parenté qui nous paraissait exister entre le cas que nous avons observé et
us aurions donc là l'exemple typique d'un trouble de nutrition cité paraît avoir été plus particulièrement altérée aurait éc
ssus sous-jacents est lisse et d'ail- leurs normale. Les muscles ne paraissent pas hypertrophiés ; les os de longueur normale
fesseur Debove, parmi les antécédents de la malade. Dans un travail paru ici même (2), M. Henry Meige décrit une affec-
and développement. La peau est blanche, douce au toucher et partout paraît normale. L'on ne remarque aucun vaisseau sa surfa
ue celle du côté gauche dans tous ses diamètres. L'os maxillaire ne paraît pas épaissi ; les dents sont généralement mauva
cuisse. La tuméfaction s'est ensuite étendue au pied. En même temps paraissaient les taches vineuses. Depuis lors, le mal a prog
uche fermée. La langue n'est pas hypertrophiée ; au contraire, elle paraît plutôt mince et allongée. Sur le bord correspon
ésie est surtout périphérique. De même, la sensibilité au contact paraît émoussée; mais, fait particu- lier, la sensibil
joue droite est charnue, plus grosse que la joue gauche, la peau y paraît plus épaisse, mais il n'existe aucune différenc
rmaux. A la palpation les os du crâne et le maxillaire inférieur ne paraissent pas plus développés d'un côté que de l'autre.
profonde, les os des membres infé- rieurs (fémur, tibia et péroné) paraissent réellement plus volumineux du côté gauche et il
te. A ce premier examen, les mouvements des membres droits nous ont paru avoir une amplitude un peu plus grande que ceux
lors les yeux roulent dans leur orbite, le corps se raidit, elle ne paraît pas entendre les questions qu'on lui pose : ell
à d'autres causes ; ainsi, à notre deuxième examen,la peau nous' a paru beaucoup moins épaisse que la première fois, auss
e pronostic de cette singulière difformité moins sombre qu'il ne le paraît tout d'abord. Nou\ l'LI ICONOGHAPH1E DE LA SALP
r avoir pu faire quelque temps les écritures du service. Le' bassin paraît complètement ankylosé et sans mouvement possible
'ankylose vertébrale dans cette posilion et en outre l'affection ne paraît pas congénitale chez notre malade. Je ne vois p
que nous avons trouvés dans la littérature médicale, un seul nous a paru pouvoir être rapproché du nôtre. C'est celui qu
0. ' 522 E. APERT Muscles et tendons. - Tous les muscles nous ont paru sains, il n'y avait nulle part d'altération, ni
22 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
l'enseignement et aux exigences du progrès scientifique. IV Il me paraît inutile de développer plus longuement cette apolo
dans tous les sens, est-il vraiment aussi difficile que quelques-uns paraissent le croire, de discerner la symptomatologie réelle
le malade resta au lit, mais sans fièvre. Les médecins qui le voient paraissent étonnés du contraste qui existe entre l'arthrite,
ns la direction du traitement. La plupart des auteurs contemporains paraissent d'ailleurs fixés sur ce point de théorie : l'affe
sont dans l'état de torpeur que nous supposions tout à l'heure ? Cela paraîtrait vraisemblable, d'après quelques autres faits anal
qu'à présent sont encourageants pour l'avenir. L'étincelle électrique paraît avoir joué déjà un rôle remarquable, en ramenant
drez tout à l'heure pourquoi je fais cette réserve. Il s'agit ou il paraît s'agir d'un tic non douloureux de la face ; mais
ur le tabouret électrique, les paupières à découvert, la jeune malade paraît se fatiguer visiblement ; au bout d'un quart d'he
ade paraît se fatiguer visiblement ; au bout d'un quart d'heure, elle paraît haletante, son corps se couvre d'une sueur froide
rtant toutefois, de façon à déterminer le sens de la déviation. Il ne paraît pas s'agir ici d'une contraction intentionnelle o
née par voie réflexe ; et de mettre en relief, enfin, la relation qui paraît exister entre ces deux ordres de faits, en appare
de la fesse droite, qui est très remarquable. Non seulement la fesse paraît à première vue très amaigrie, mais par la palpati
eu du côté gauche; en outre, vous voyez que le grand trochanter droit paraît beaucoup plus saillant, ce qui tient à l'atrophie
chronique. — Dessin de M. P. Richer. que variées qu'elles puissent paraître , à deux types fondamentaux auxquels peuvent être
lement affectées. Tels sont, Messieurs, les divers arguments qui me paraissent établir que, dans le rhumatisme articulaire chron
cas dans lesquels la dépression fonctionnelle de la cellule nerveuse paraît se développer primitivement d'emblée : ainsi para
cellule nerveuse paraît se développer primitivement d'emblée : ainsi paraissent se passer les choses dans les exemples d'amyotrop
rras de la parole. L'intelligence reste obtuse pendant 24 heures ; il paraît se remettre complètement, en apparence; mais il e
ue complètement libre. J'ajouterai que la tendance à la contracture paraît ne plus exister chez notre malade, car l'applicat
rs d'entre vous ont eu déjà l'occasion d'examiner. Ces deux cas m'ont paru dignes de vous occuper un instant; ils ont entre
vécu trois ans ; la maladie qui a motivé son admission dans cet asile paraît avoir été la paralysie générale progressive, si o
ns le présent, des phénomènes de l'hystérie con-vulsive. Notre malade paraît ignorer absolument la boule hystérique, les spasm
ement hystérique. Et vous voyez qu'en somme ce qui, au premier abord, paraissait irrégulier, bizarre, rentre par celte voie dans l
ns, un homme atteint de la même affection. Ce chiffre, je l'avoue, me paraît un peu fort ; toujours est-il que M. Klein, l'aut
ois, beaucoup plus fréquemment, on peut dire, que la contracture, qui paraît avoir été rarement rencontrée. Mais vous ne dev
t-bras et le dos de la main. L'accident n'a pas causé trop d'émotion, paraît -il. D'autre part, la contracture n'a pas suivi im
qu'il exerce la profession de menuisier, il vit avec sobriété. Il ne paraît pas qu'il ait eu la syphilis; très certainement,
e suite qu'il s'agit d'une maladie accidentelle, pour ainsi dire, qui paraît reconnaître souvent pour cause l'influence du fro
arrêté par une résistance mécanique en quelque sorte, dont le siège paraissait êlre dans le creux poplité ; nous avons pensé que
le du tissu fibreux, formant une masse non circonscrite, dure, et qui paraît le principal obstacle au redressement du membre.
t la région frontale droite, un peu au-dessus du sourcil ; b) elle ne paraît pas s'accompagner de troubles de la vision; il ne
s égards, mais que je ne fais que signaler en passant, parce qu'il ne paraît pas se rattacher très directement aux accidents q
de sa main droite. Les notions fournies par ces mouvements des doigts paraissent indispensables pour donner de la valeur, de la pr
aisse, les autres restant intactes. C'est un fait qui doit maintenant paraître simple, n'exiger aucune explication, puisqu'il ré
a constamment fait défaut à M. X... ou tout au moins elle n'a jamais paru chez lui que sur le second plan. Il n'a jamais eu
un an et demi, à propos de créances importantes dont le paiement lui paraissait incertain. Il perdit l'appétit et le sommeil; l'é
laïujue et des lèvres pour comprendre les lignes qu'il lit. M. X... paraît avoir très bien analysé tout le mécanisme nouveau
fixer par le dessin. Lorsqu'elle est ainsi développée, celte faculté paraît être, suivant M. Gallon, un don de famille, et, d
blier, enfin, qu'en ce qui concerne le mécanisme du rappel du mot, il paraît exister des variétés individuelles assez tranchée
raire, l'absence de l'élément visuel, dans la constitution de l'idée, paraît être un dommage désormais difficilement réparable
en général indemnes de toute atrophie. C'est l'atrophie «en effet qui paraît le fait caractéristique: l'hypertrophie est rare,
, bien qu'avec quelques réserves, par M. Erb, dans son travail qui me paraît jeter une vive lumière sur la question qui nous o
uchenne? Non Messieurs, ni dans l'une, ni dans l'autre exactement. Il paraît s'agir, en somme, non pas d'espèces morbides dist
Cette forme, d'ailleurs, ne s'éloigne pas sensiblement, à ce qu'il me paraît , de l'amyo-trophie juvénile d'Erb, et il est bien
provoquer à coup sûr par certaines manœuvres. L'électricité statique paraît avoir produit l'amendement qui s'est fait dans ce
s dans ma description générale. Quand le début est spontané, la crise paraît sans autre aura, qu'un battement de la paupière d
le pénitencier, depuis 3 ans 1/2, est actuellement âgé de 43 ans ; il paraît assez intelligent, bien qu'il ait parcouru la car
agnie. Désireuse d'interroger l'âme d'un certain personnage laquelle, paraît -il, était sœur de la sienne, elle emmena Julie ch
pas établies en permanence; malgré ce que nous a appris la mère, elle paraît avoir un caractère doux et tranquille. Dès les pr
ccès qui durent rarement plus d'un quart d'heure. % Ces faits m'ont paru mériter une attention particulière. Ce ne sont pa
ces enfants : Julie est malade depuis quatre mois, et, si l'isolement paraît avoir un peu calmé ses crises ainsi que celles de
vis, qu'une seule chance de succès ; c'était qu'ils s'éloignassent ou parussent s'éloigner au plus vite, ce qui revenait au même.
e M. le Dr Olivier, a pu réunir 80 cas de cette affection. Depuis ont paru les importantes publications de M. Bourneville et
déraillement, devenir hystérique, au même titre qu'une femme, voilà, paraît -il, qui dépasse l'imagination. Rien n'est mieux p
décrite, et qui mérite une place à part. Une erreur de ce genre me paraît avoir été commise par MM. Oppenheim et Thomsen (d
fréquemment. Il en a compté dans le temps jusqu'à 4 ou 5 par mois. Il paraît que, à cette époque, dans plusieurs accès, il a u
remière fois constatée. Les attaques alors fréquentes et considérées, paraît -il, dans le service comme relevant du mal comitia
uit : L'état général, en ce qui concerne les fonctions de nutrition paraît assez satisfaisant. 11 mange bien et n'est pas an
t à l'âge de 48 ans, alcoolique avéré, et sa mère encore vivante, qui paraît n'avoir jamais souffert d'affections nerveuses. I
sœurs ; un seul de ses frères est vivant : il n'a jamais été malade, paraît -il, et n'est pas nerveux. Vers l'âge de 12 ou 1
ls le privaient naturellement du sommeil nécessaire. Cependant ils ne paraissaient , pas le fatiguer beaucoup, car le lendemain, il s
nouveau à l'Hôtel-Dieu, dans le service de M. le professeur Panas. Il paraît qu'on craignit alors l'existence d'une fracture d
1 est, vous le savez, assez bien musclé, vigoureux ; son état général paraît satisfaisant. L'é-Charcot. Œuvres complètes, t. n
r M. Georges Guinon, interne du service. Mais, chez lui, la maladie paraît douée, vous allez le voir, de ce caractère de per
ux, avant l'âge de la puberté. A cet âge, c'est là du moins ce qui me paraît résulter des observations nombreuses que j'ai eu
uvaise plaisanterie imaginée par un malade couché dans la même salle, paraît avoir décidé la situation, car, à partir de cette
vient la phase des attitudes passionnelles pendant laquelle le malade paraît en proie à un délire sombre ou furieux. Ainsi, de
re l'accès dans les diverses phases de son évolution. Au réveil, L... paraît étonné, comme stupide, et il assure ne se souveni
était devenu faible. Il alla alors consulter un médecin qui reconnut, paraît -il, une parésie de tous les mouvements du bras ga
gauche. La phase des attitudes passionnelles se développe ensuite; P. paraît en proie à un délire furieux : il injurie, provoq
d'attaques de nerfs, probablement de nature hystérique. Il n'y a pas, paraît -il, d'aliénés dans la famille. Parmi les antécé
du palper, une pièce de 5 rancs d'une pièce de 10 centimes; elles lui paraissent toutes deux également légères. En résumé, impui
paule, et un certain nombre des phénomènes observés chez notre malade paraissent , à première vue, pouvoir s'expliquer tout naturel
lètement séparé du corps. Puis survint une perte de connaissance qui, paraît -il, dura trois heures. Lorsque Deb.,. re- i. To
l'épaule étaient conservés. Quant aux troubles de la sensibilité, ils paraissent avoir été, dès ce moment, tels que nous allons le
e mode de répartition de l'anesthésie cutanée sur laquelle j'insiste, paraît donc être, en somme, l'expression classique des l
té tactile, sensibilité à la douleur, sens musculaire, etc.). Mais il paraît établi, néanmoins, par ces mêmes observations que
n dehors même de l'absence de ces causes, la polyopie des hystériques paraît , je vous l'ai dit, se distinguer par des caractèr
ttes. De plus, au moment où le crayon est placé tout près de l'œil il paraît démesurément gros, tandis que tenu à une distance
ément gros, tandis que tenu à une distance de 15 à 20 centimètres, il paraît deux fois plus petit que cela ne devrait être dan
t rester douteuse. Tels sont, Messieurs, les arguments, et ils nous paraissent péremptoires, qui nous conduisent à affirmer que,
uer que le malade ayant succombé ces jours-ci inopinément (il aurait, paraît -il, ingéré tout d'un coup un dose énorme de chora
endant à relever, sur un point, une différence qui, au premier abord, paraît bien profonde. Elle est relative, vous l'avez com
éveil, pour peu que l'hypnose ait été profonde, les sujets hypnotisés paraissent le plus souvent ignorer absolument les phénomènes
la description de Brodie : 1° l^e membre inférieur du côté affecté paraît raccourci, par suite de la contracture musculaire
résultant de la contraction du grand fessier ; la gauche au contraire paraît plus large, aplalie, flasque ; ces caractères se
a hanche et du genou, tandis que les autres situées plus profondément paraissent siéger soit dans la synoviale, soit dans la capsu
réditaires nuls. A 6 ans et à 14 ans, crises nerveuses nombreuses qui paraissent avoir été des accès d'hystérie à forme d'épilepsi
degré de déformation qui ne cède pas à l'action du chloroforme et qui paraît relever de la production du tissu fibreux. Mess
par la chute d'un corps lourd — à savoir une moitié de bœuf, pesant, paraît -il» environ 300 kilos, — sur celte partie du corp
l, fait d'excès de boisson ; il a, comme la plupart de ses camarades, paraît -il, l'habitude assez répugnante de boire tous les
nerveux qu'il a éprouvé là a été assez profond, car, actuellement, il paraît exister, chez notre sujet, un certain degré d'amn
es à l'accident, mais, môme aussi sur les choses présentes ; et il ne paraît pas qu'il y ait, à cet égard, simulation ou dissi
ù celui-ci s'est produit, il a entendu un bruit de craquement qui lui paraissait avoir pour siège son avant-bras gauche, mais il a
mouvement volontaire n'y était possible. D'après ce qui précède, il paraît , pour le moins, très vraisemblable que les phénom
en soit chez notre malade, les phénomènes du choc local (Local shock) paraissent avoir été très accusés, puisque non-seulement la
t la fracture s'est opérée sans douleur, mais que, de plus, le membre paraît avoir été frappé d'anesthésie complète dans toute
e-là rattaché sans réserve, — que les paralysies motrices hystériques paraissent être régulièrement marquées par l'existence d'un
ails sur lesquels j'appellerai votre attention dans un instant, il me paraît légitime d'admettre que la contracture en questio
gts chargés de plaques et anneaux de cuivre, qu'il n'a guère quittés, paraît -il, depuis l'époque où il nous a échappé. Voici q
alade. Dans le membre supérieur gauche, la sensibilité a reparu; elle paraît même exaltée, surtout sur la face palmaire de la
, Messieurs, que, dans de certaines circonstances, la simulation peut paraître très vraisemblable, alors qu'un examen plus atten
s effort pour parler plus haut, mais vous continuez le même jeu et ne paraissez pas comprendre davantage qu'auparavant. Il arrive
ellement le syndrome mutisme hystérique, par voie de suggestion, nous paraît désigner suffisamment Je point de départ de tous
. 1. Le malade hystérique qui avait assistée une partie de la leçon paraît avoir été vivement impressionné par tout ce qu'il
d on lui touche légèrement la tête et qu'on frôle le cuir chevelu, il paraît vivement souffrir. Il dit avoir la nuit des flamm
ls de son accident tels qu'il les a imaginés. Sa mémoire, d'ailleurs, paraît considérablement affaiblie. De l'accident lui-mêm
pu en juger depuis 8 mois qu'il est dans le service, l'imagination ne paraît pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne paraît pa
vice, l'imagination ne paraît pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne paraît pas qu'aucune maladie nerveuse ait existé dans la
onséquence d'une diffusion de la lésion de ces centres. C'est ce dont paraissent témoigner et la perte des mouvements automatiques
mouvements volontaires. Les quelques passages qui vont suivre m'ont paru suffisamment caractéristiques pour montrer l'idée
gie, trad. franc., p. 447), » le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être clans les muscles, mais bien dans les ce
Maudsley (Physiolog. de l'Esprit, trad. A. Herzen, p. 249-250), « il paraît que c'est dans la partie frontale des circonvolut
es moteurs, où qu'ils soient situés, sont des parties dont l'activité paraît absolument libre de phases subjectives concomitan
ace de contusion. Toutefois ses règles, qu'elle ne s'attendait à voir paraître que quelques jours plus lard, survinrent dans le
Ce caractère négatif a été élevé à la hauteur d'une loi et un médecin paraît être fondé à rejeter du cadre de l'hystérie tout
y a pas de secousses fibrillaires ; 3° l'excitabilité idio-musculaire paraît normale ; 4° la contractilité électrique est dimi
es phénomènes dits trophiques. Une pareille assertion peut pourtant paraître étrange; car, 1. Voir la Leçon XX. est-il pos
ui devenait aphasique régulièrement tous les jours; l'intelligence ne paraissait nullement altérée. L'accès se terminait par une a
observés en môme temps sont publiés dans un mémoire fort intéressant paru dans la Revue de la Suisse romande. J'ai pu rec
ment ses réponses. Ce phénomène dure un temps plus ou moins long, qui paraît en rapport avec la violence de l'attaque ; la dur
ur où il a perdu la parole ; il prononce a, é. Les jours suivants, il paraît présenter de l'amnésie motrice ; on écrit devant
t plus ses mouvements de rotation sur son axe. La corde vocale gauche paraissait plus courte que l'autre, à cause de sa laxité et
hors des troubles laryngiens et de la douleur ovarienne, la malade ne paraît présenter rien d'anormal. La paralysie laryngée
degré de déformation qui ne cède pas à l'action du chloroforme et qui paraît relever de la production du tissu fibreux........
23 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
er,qui,grosses de conséquences au point de vue de la physique pure, paraissent devoir présenter en ce qui concerne les applica
phie à travers les corps opaques, si invraisemblable qu'elle puisse paraître au premier abord, correspond néanmoins 1 la réali
ont par être traversés et seul le système os- seux restera. Il nous paraît inutile d'insister sur l'intérêt de cette sorte d
es cordons posté- rieurs, elle se présentait sous forme d'îlots qui paraissaient être indépen- dants de la masse centrale. Opp
se, un dénouement fatal à brève échéance est à craindre, et cela me paraît malheureusement trop certain. 1 . Ce qu'il me
enne, la moelle présente, à la coupe, des cornes et des cordons qui paraissent absolument normaux à l'oeil nu ; on ne voit pas d
rter en bas, il se dévie énergiquement en dedans et en bas ; ce qui paraît dû à la prépondérance d'action de l'abaisseur (dr
chaud. Il faut noter cependant qu'à un premier examen la malade ne paraissait plus avoir la notion du froid. A chaque fois qu
à un certain point établir le pronostic de ce cas particulier. Tout paraît prouver que nous sommes en présence d'un tabes
ion est la plus considérable et va ensuite en s'atténuant pour dis- paraître complètement en allant se confondre au niveau de
é, que l'écoulement est tari, les muscles des membres inférieurs ne paraissent nullement « se refaire » elle contraire même se
détails de la forme et plus séduits par les impressions d'ensemble, paraissent les pré- curseurs d'un Art tout à fait contempo
hique de la lésion : d'une façon géné- rale, les membres supérieurs paraissent exclus de la paraplégie ; le ma- lade remue les
turés ainsi que ceux de la nuque ; les sternocléi- do-mastoïdiéns paraissent indem- nes. La musculature faciale fonc- ti
st seulement plus rouge dans ces régions. Les masses musculaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence de ce tableau cli
ales de l'axe gris : la corne antérieure gauche a complètement dis- paru ; son siège correspondrait au centre même de la t
ent, envahiesparle processus infectieux, alors que certaines veines paraissaient à peine atteintes. - . 1 Si nous abordons mai
oisine et la pie-mère sous-jacente ; la tunique moyenne de l'artère paraît en général respectée par l'infiltration nucléaire
ables petites gommes miliaires. A ce niveau, les cellules nerveuses paraissent saines, leur noyau est normalement coloré, leur
inflammatoires; leur dilatation, jointe à ce fait qu'aucun d'eux ne paraît obstrué par un processus endovasculaire, témoigne
ie AG. Toute cette conception physiologique, pour théorique qu'elle paraisse , n'en est pas moins acceptable ; elle a déjà tr
nus dans le cordol;lde Goll, les autres (thenni- que et douloureux) paraissent constitués exclusivement par la substance grise
sologique que nous allons tenter semblera-t-il prématuré. Il nous a paru cependant utile, ne fût-ce que pour encadrer les
par Gubler dans la syphilis congé- nitale. l ' « Les cerveaux ne parurent pas altérés, ils offraient la consistance molle
tance molle habituelle à cet âge. La moelle de l'un des deux foetus paraissait être à l'état normal, on reconnaissait très bie
stitielle. Macroscopiquement, le cerveau et les méninges cérébrales paraissent sains mais on trouve, au microscope, une infilt
rdon latéral droit et empiétant [sur les racines posté- rieures qui paraissent grisâtres. En résumé, si la syphilis congénital
ange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes cérébraux paraissent prédominer : avec les troubles des fonctions in
re compartiments oùsont enchâssés quatre masca- rons grimaçants qui paraissent se rapporter à des types d'aliénés. La figure d
- tion. L'appétit est bon ; les organes thoraciques et abdominaux paraissent sains. ` ? ° catégorie. Cas dans lesquels la sy
n de la moelle était consécutive aux lésions cérébrales, lesquelles paraissaient elles-mêmes, sous la dépendance d'une lésion va
ns siègent dans la moelle et sont de même nature. » Ces conclusions paraîtront peut-être trop précises en l'absence d'inves- t
e compression brusque, de plus l'exagération de la courbure dorsale paraît postérieure d'un an à l'apparition de la paraplég
n il noter aux yeux, aux oreilles, au nez. Les dents sont bonnes et paraissent régulièrement conformées, toute- fois une épais
regarde en avant, en dehors et en haut. Le siège de cette déformation paraît être à la fois dans les articulations tibio-tar
voûte du pa- lais, surtout il gauche, une série de dépressions qui paraissent bien être d'ori- gine cicatricielle. - . 1 Tr
des membres inférieurs « qu'il ne pouvait marcher », Ces accidents paraissaient nettement attribuables à la syphilis, mais on pou
Dans ce cas, comme clans le précédent, la syphilis héréditaire nous paraît indéniable : polyléthalité se jugeant par 17 mo
t qu'il aurait fallu lui tirer fortement les jambes pour faire dis- paraître cet engourdissement. Elle ne suivit aucun traitem
cicatrice. Elle n'a été réglée qu'à l'âge de 17 ans ; depuis, elle paraît l'avoir été régu- lièrement,sauf à partir de 18
pourrions citer d'autres observations de môme ordre où la syphilis paraissait également faire défaut. Aussi ne nous avancerons-
l'enfant touché congénitalement survit, les symptômes cliniques ap- paraissent . Ceux-ci sont le plus souvent dominés par les phé
du reste gardé sa forme biconcave habituelle ; sa partie supérieure paraît ne pas avoir été touchée ; son corps, peut- êtr
it ainsi dans le cas de Riehl, où l'atrophie du premier métacarpien paraît avoir été due à l'éli- mination gommeuse de son
tout à fait normale au-dessus des hanches. Les différents muscles paraissent à peu près conservés. Le malade se redresse ass
el que celui-ci nous apparaît vu par le gros bout d'une lunette, ne paraît pas exister dans la nature, et les exemples qui
tion précé- dente comme de rarissimes exceptions. Il en a existé, paraît -il, quelques-uns. , On accoutume de citer, comm
mmodait, à moins qu'il ne fût chaud ; on le promenait au soleil qui paraissait le ranimer ; mais à peine pouvait-il faire cent
le (-1). On ignore ce qu'est devenu ce curieux document qui servit, paraît -il, de modèle à des Bacchus et à des Silènes. J
proéminente, à gros nez, à lèvres épaisses, leur dos voûté jusqu'à paraître bossu, leurs mains en battoirs et leurs pieds dém
intéressant par sa très petite taille et l'énormité de sa tête qui paraît appartenir à un adulte de belle pres- tance, di
e pres- tance, disposition fréquente dans les cas de nanisme. Il ne paraît pas douteux que le rachitisme ajoute à sa diffo
elles, ayant cependant entre elles un certain air,de parenté. Il ne paraît pas douteux que le fa- cies des bossus, surtout
qui a été publié en France sur le borax dans l'épi- lepsie,et qui a paru dans ce recueil,avait pour but de signaler un acc
itement par le borax à la dose de 3 grammes par jour, le médicament paraissait assez bien supporté, lorsqu'au bout de six sema
attention sur les tractus olfactifs. ' Le corps mammillaire gauche paraît être plus mince que le droit; mais la différenc
erres. Peu après elle fut prise de vomissements et ce qu'elle vomit parut être de l'urine avec encore des pierres, « gros-
rent en- core de se révolter. La dénonciation de ce subterfuge leur parut « un outrage qui criait vengeance et où la pati
e l'ignorance, et il qui il faut s'adresser dans tous les faits qui paraissent surpasser les forces de la nature ». Ces louang
e dents, raidissements de tous les membres, et autres symptômes qui paraissaient épileptiques. . LA MALADIE DE LA FILLE DE SAINT
dait qu'elle ne le dirait jamais ; pendant ce temps, quoiqu'elle ne parût pas souffrir, elle ne pre- nait aucune nourritu
aré des accidents d'une autre espèce que tous ceux qui avaient déjà paru . Geneviève Martin, tourmentée de douleurs qui d
anasarque fut surtout considérable il la région lombaire, la malade parut menacée de devenir hydropique : cet état était ac
6 août, dans un accès de transport, elle en a rendu encore une, qui paraît différente des autres, mais qui ne l'est point ré
ide ; elle me serra plusieurs fois la main dans les siennes, qui me parurent suantes, et me lais- sèrent une odeur d'urine s
i laborieuses que celles qu'elle a subies. Ses mains et ses bras me parurent assez maigres, et marqués de cicatrices qu'on d
e jour, et que vers les quatre ou cinq heures du soir, les douleurs paraissent se réveiller, et durent jusqu'à dix ou onze heu
; lorsqu'ils furent cessés je touchai le pouls de la malade, qui me parut seulement plus fréquent, . mais point élevé.
ation marquée dans le canal de l'urèthre, elle ne m'a pas cependant paru telle que je l'aurais imaginée et telle que tout
rter chez moi pour en faire l'examen. Ce que la malade avait vomi parut être du vin .qu'on lui avait donné de temps en
au matin, je ne pus juger des urines de la malade, ses règles ayant paru . Sur les 11 heures, j'eus l'honneur d'accompagn
pressée de la question- ner indiscrètement sur ce mauvais bruit qui paraissait se renouveler ; Gene- viève en était fort chagr
moiteur qui* couvrait ses mains,-et qui depuis deux ou trois jours me paraissait plus supportable. Le 19, la malade a été dans
omme si elle eût séjourné ; après l'avoir laissée reposer, elle m'a paru la môme que celle qu'elle avait rendue le 16, ave
temps attaquée d'une affection hystérique, et que les coliques qui paraissent aujourd'hui sa seule maladie, sont hystériques] e
decins à tirer le voile mystérieux qui peut en imposer ». Il nous paraît impossible de juger plus sainement le cas de la F
ent du cas de Geneviève Martin. La Fille de Crémone est celle qui paraît avoir le plus de ressemblance avec la Fille do
» que l'on appelle vulgairement « hommes squelettes » ; celui-ci me paraît plu- tôt devoir être appelé un c homme momie ».
intéressant de la question ; mais dans l'espèce, ce point de vue me paraît secondaire, parce qu'il reste obscur, et que ce
s n'apporte aucun document nouveau pour l'éclairer. Le « sujet » me paraît bien plus intéressant, comme représentant un sy
tose au niveau de l'apophyse gau- che. Déplus, les fontanelles nous paraissent mal ossifiées. Les membres supérieurs sont dans
épiphyses juxta-pltalangiennes, un épaississement c) lindroïde qui paraît anormal, et que nous n'avons qu'a enregistrer,
ace palmaire. Dans son ensemble, la main maintenue en demi-flexion, paraît immo- bilisée dans une position de repos. Cepen
'une légère dimi- nution de l'ouïe, qui ne date que de deux ans, et paraît devoir être rap- portée il la sclérose de l'ore
mais ne possédai que quatre dents il 14 mois. A 2 ans la dystrophie parut plus manifeste parce que le développement génér
ivre de quelques remarques à propos des manifestations qui nous ont paru dignes d'attirer l'attention. Observation. B...
CALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 279 Les organes qui paraissent le plus fréquemment, frappés par la syphilis hé
crites par Gubler dans la syphilis congénitale. « Les cerveaux ne parurent pas altérés, ils offraient la consistance molle h
sistance molle ha- bituelle à cet âge. La moelle de l'un des foetus paraissait être à l'état normal, on reconnaissait très bie
est de constitution normale, un peu épaissie peut-être : la moelle paraît tuméfiée. Après avoir ouvert la dure-mère, on v
postérieures. Les racines des renflements lombaire et cervical qui paraissent plus libres sont engaiuées aussi par une étroite
ice, ou encore ces parois sur de fines coupes en travers ou en long paraissent hyalines, sans structure et prennent d'une façon
tes masses nucléaires qui végètent entre eux, ils se contournent et paraissent se désagréger. Certaines places des cornes anté-
s- seaux de l'axe spinal, mais à côté de cette congeslion, qui peut paraître n'être qu'un phénomène d'ordre banal, nous avon
ù circule normalement le liquide céphalo- rachidien nous a toujours paru absolument libre sur les coupes de moelles de f
que nous formulerons en parlant des cellules de la moelle, nous ont paru conserver leurs caractères nor- maux, elles for
erveau et ses enveloppes d'apparence normale. La moelle à l'aeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope :
arence normale. La moelle a conservé sa forme normale, la dure-mère paraît très épaisse, l'espace extradural est rempli pa
régu- lière, à contours festonués ; les tuniques interne et moyenne paraissent saines, mais l'adventice considérablement épais
confondue avec les tissus voisins. Les vaisseaux spinaux antérieurs paraissent ici moins atteints que dans la région cervicale
envahi tous les espaces laissés libres entre elles. Les ganglions paraissent moins infiltrés que dans les coupes précédentes.
d'autre part. La substance nerveuse n'est pas refoulée du reste et paraît n'avoir subi de ce fait aucune atteinte. Obse
n- gestionnés.. Le bulbe et ses enveloppes, sauf la dure-mère qui paraît un peu épaisse, ont macroscopiquement l'apparen
d'un blanc mat, différant peu de celle de la moelle, sa consistance paraît également être à peu près celle du tissu nerveux.
deux côtés de la scissure interhémisphérique. La moelle à l'oeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope :
aires. L'arachnoïde est reconnaissable seulement par endroits, elle paraît peu at- teinte, mais elle disparaît au milieu d
, qu'un nombre relativement considérable de cellules rondes isolées paraissent errer librement-entre les racines sans toutefoi
par les cellules rondes qui infiltrent leurs parois. Les racines paraissent normales dans les régions cervicale et dorsale, l
jour quelque malade dont la physionomie disproportionnée lui avait paru réunir tous les éléments nécessaires à la const
t loin d'avoir récupéré leur force normale. Les muscles' extenseurs paraissent avoir été touchés dans une mesure prépondérante
déjà cité, M. Imhert-Courbéyre rapporte, d'après un mémoire anglais paru en 1787, l'histoire de deux garçons de neuf et de
'empoisonnement arsenical à l'instar de l'empoisonnement alcoolique paraît être apte à provoquer des attaques épileptiformes
é, pèse 2320 grammes. Organes viscéraux, d'aspect normal. Encéphale paraît sain. Moelle, région cervicale : distension de
sé de vastes cavités anfractueuses. Remarquons ici que les méninges paraissent saines et que le processus est ainsi limité à l
ue. Non macéré. Organes viscéraux d'apparence normaux. Le cerveau paraît sain. Moelle absolument normale. Rien à signale
en est envahie pres- que tout entière par un tissu blanchâtre qu'il paraît difficile au premier abord de rattacher à une f
e même des racines postérieures, celles-ci cependant n'ont pas dis- paru tout entières, quelques fascicules ont été repous
drait répéter la même description. Disons seule- ment due la moelle paraît encore plus atteinte, il est impossible de distin
compacte dans laquelle les racines sont absolument englobées, sans paraître pénétrées du reste par les noyaux. La pie-mèr
ent sur elle. Les vaisseaux sont facilement reconnaissables, ils ne paraissent pas mala- des. Région lombaire. Le processus
eux très serré, sans infil- tration cellulaire. L'espace extradural paraît presque sain. Région dorsale. L'aspect est sens
altérées, la dégénérescence des faisceaux blancs, rarement étendue, paraît plutôt sous la dépendance des lésions directes
MARE Externe de la Clinique des Maladies du Système nerveux. Il a paru intéressant de réunir et de publier à la suite le
nerveux (hystérie, maladie de Raynaud), parce qu'elles montrent ou paraissent montrer les divers stades évolutifs d'un même p
s d'aspect, de coloration, etc. de ces 3 ongles sont minimes et ils paraissent bien présenter une lésion univoque. , Ces 3 ong
es, plus durs que les ongles correspondants de la main droite ; ils paraissent plus épais. Leur surface libre, très lisse, app
qu'il est fort mince, terne et grisâtre. Le fait, de prime abord, paraît singulier et, en contradiction avec l'épaissis-
le a des crises et un rétrécissement très net du champ visuel. Elle paraît avoir abusé du café et surtout du vulnéraire. E
rent ces 2 cas d'onychotrophose. Z) La relation entre les 2 lésions paraît moins évidente : il semble bien cepen- dant qu'
le titre de Polecenellrt. » Il faut avouer que pareille étymologie paraît bien romanesque. Certains auteurs pensent que P
la même époque, vers la fin du règne des Stuarts, que Pulci- nella parut en Angleterre et devint d'abord Punchinello, et e
etites pièces qu'on jouait le matin avant la grande pièce. Maccus y paraissait dans toute sa gloire ; mais, comme à tous les c
nt prétendu même confondre ces deux peuples. » Le'Maccus des Latins paraît donc être le père du Pulcinella italien. On sai
24 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
de Dodone, ville de l’Epire, celles de Jupiter-Ammon, dans la Lvbie, paraissaient agitées d’un somnambu- (I) Uëcjv. tuur., |. Y,
. Ils peuvent môme distinguer les objets à travers les corps qui nous paraissent opaques, ce qui prouve que l’opacité dans les cor
dernier état. Le sommeil magnétique, analogue au sommeil ordinaire, paraît être le résultat d’une intermittence de toute sur
nt et ne voit pas, son intuition est plus parfaite. Cet instinct, qui paraît appartenir à l’appareil du système nerveux gangli
l’on observe communément chez les somnambules. L’explication nous en paraît bien simple : dans cette autre vie, où la dissimu
’elle et je veux lui appliquer ma main sur l’épigastre : ses douleurs paraissent plus vives, les contorsions du visage augmentent.
du matin le ventre à diminué ainsi que les douleurs : les époques ont paru très-abondantes, après une interruption de près d
les jambes sont généralement moins enflées, excepté le soir ; le cœur paraît être dans le même état; quand il est douloureux,
emplit presque le vase, quoique jusqu’à ce moment la vessie n’ait pas paru être distendue. i*r,mai. — La céphalalgie est s
t qui n’a pu l’être et dont on ne peut affirmer la véracité. Postolet paraissait absorbé par un rêve, quand tout à coup il se lève
guéris, et dont le plus long traitement a été de cinq mois. Il m’a paru que le directeur prescrivait généralement l’usage
qui a porté bonheur à l’artiste. Le portrait est fidèle; Mesmer nous paraît dans son image morale, tel que le verra l’avenir,
is au nombre îles fables tous ces merveilleux récits, sur lesquels me paraissait déteindre la brillante et poétique imagination de
des effets du somnambulisme; c'est au moins ce que l’opinion publique paraît supposer. J’espère que ces considérations suffiro
ière bonne occasion. Cette brochure n’est pas étendue, mais elle me paraît avoir une grande portée dans la science; personne
n’avons pas, quant à nous, à trancher. « En résumé, l’art. ¿79 nous paraît généralement inapplicable. 11 a été édicté pour u
le pourra toutes les fois que l’on saura le vouloir. Cette assertion paraîtra peut-être téméraire à quelques-uns ; mais elle se
sir. Réduit à des conjectures, nous cherchons les faits où son action paraît bien déiërfmiiuif, nous rassemblons les phénomène
de sarcasmes pour accabler l’homme qui nierait leur réalité. Ce qui paraît mensonge est souvent vérité, et comme nous sommes
l’exercice, préviennent, autant que possible, les abus. I.a chose me paraît d’autant plus importante, pi au fond,de quoi s’ag
ndividu, et pas du tout la conservation de l’espèce, qui m’a toujours paru fort étrangère auxdits actes. Ces deux points de
dont il s’y agit, quelque singuliers ou inexplicables qu’ils puissent paraître encore, n’en sont pas moins des faits; tous me so
le à la raison d’uu enfant de six ans, de la classe moyenne. “2° 11 paraît que les coups mystérieux ont aussi passé l’Atlant
is cependant dire à Votre Grandeur que les expressions qui pourraient paraître avoir été placées là par ostentation, à quiconque
des malades par le magnétisme ne semble pas avoir les proportions que paraîtrait vouloir lui attribuer le mémoire. Ce point se réd
comme dans l’autre hypothèse, l’intérêt et le but d’une interdiction paraissent donc manifestes, et, s'il en est ainsi, il semble
pratique de faire servir cette faculté, à guérir des malades, il peut paraître douteux que la faculté de guérir ne se soit pas t
naux pour le magnétisme animal. Il est peut-être temps que l’on fasse paraître aussi chez nous une publication régulière qui nou
assez répandus, et, après quelques années d’essai, nous cesserions de paraître . Mais nous espérons que les choses se passeront a
oir, malgré vous, forcer votre conviction sur des phénomènes qui vous paraissent si étrangers... 11 est de la croyance au magnétis
t véritable, et très-véritable , quelque peu vraisemblable qu’il vous paraisse . Ce phénomène a des témoins par centaines, par mi
es, de toutes les religions, de tous les pays ! ! ! Un fait nouveau paraît extraordinaire, prodigieux! Faut-il, parce qq’on
it est que depuis une quinzaine de jours, pas une de ces annonces n’a paru . » — Le feuilleton du Journal des Débats, du 13
qui accompagnait l’envoi que vous me fîtes de votre Magie, vous avez paru désirer que je vous communiquasse mes travaux et
oigts..... Pas de vision ; seulement la partie centrale du miroir lui paraît plus blanche : elle y distingue, dit-elle, comme
e je ne m’attendais guère. Du sein de ce foyer de lumière, une tète paraît surgir, les traits s’accentuent, et elle distingu
e, qu’elle croit voir double ; seulement la physionomie du disque lui paraît plus sévère, et les yeux sont fixes et lumineux ;
tome IX , p. 550. moment, et de plus, que ces phénomènes singuliers paraissent se lier trop étroitement au magnétisme pour qu’il
intéressants qui se trouvent dans les derniers numéros du Journal, il paraît que les «coups» commencent à se faire entendre su
nte de son pays, nous a amené ici un de ces médiums, dont la présence paraît être la condition indispensable de la production
ont eu à supporter presque seules le poids du nouvel apostolat. Il paraît donc que la faculté de faire produire ces «coups»
qui doit servir d’instrument de communication entre eux et nous. Il paraît aussi que la diversité des intermédiaires serait
roduisant partout. C’est-à-dire que partout où il ya un medium (et il paraît qu’il y en a énormément, et que beaucoup de gens
teries beaucoup plus convaincantes qu’agréables, mais que les Esprits paraissent trouver'infiniment amusantes, une foule de person
es croyants persécutés ; car, disons-le en passant, la persécution ne paraît pas devoir faire défaut aux illuminés; leurs adve
disent sur d’autres sujets, tout comme les savants de ce monde, ils paraissent généralement tenir à peu près les idées précitées
èrement punis par les « moniteurs » (sorte de police dont l'office ne paraît pas devoir être une sinécure), et dont les «bons»
omme son maître au séjour et aux privilèges de l'immortalité. Ce fait paraît être rare, la plupart des animaux terrestres se t
er la facidté de clairvoyance à un degré presque miraculeux (et il ne paraît pas qu’elle la possède du tout), n’a pu être pour
ment, en terminant ma lettre déjà beaucoup trop longue, que les Coups paraissent excessivement contents du succès de leurs efforts
e presque toutes les familles. Mais je veux parler sérieusement. Il paraît que l’organisme humain dégage un fluide impondéra
érable, de l’existence duquel on ne s’élait pas douté jusqu’ici. Il paraîtrait , de plus, qu’en plaçant le corps humain dans cert
pétées et variées, que j’écrivis, lundi soir, les quelques lignes qui parurent dans Y Union de mardi. Pour moi, le phénomène é
ns auxquelles je ne pensais pas, a fait des contre-épreuves qui m’ont paru , à moi, décisives. 11 ne m’appartient pas de dire
n plein succès, dans une société où il y avait des dames, ce qui est, paraît -il, une garantie de plus prompte réussite. Lu d
Avis général. '— Un numéro supplémentaire du Journal du Magnétisme paraîtra dans quelques jours, pour tenir scs lecteurs au c
les idées et à tous les dévouements. Toute étude consciencieuse nous paraît respectable, et nous considérons comme un devoir
ns également, et plus d’une fois, constaté ces surprenants effets. Il paraît établi que l’association des sexes différents pro
résistance. L’âge et la disposition d’esprit ou de volonté de ceux-ci paraissent être aussi pour quelque chose dans la reproductio
es. Avec sa vivacité et son énergie de volonté, la première, jeunesse paraît beaucoup plus apte à produire les effets désiFési
es tables mouvantes, ont dû convertir les plus sceptiques et vous ont paru , ii vous aussi, de nature à ne plus laisser l’omb
as d’illusion possible, et c’est sur elle surtout que l’expérience me parut concluante) ; d’un côté, on ne pouvait la souleve
y laissa pénétrer un à un les curieux. Cet immense concours de monde parut flatter l’esprit frappeur; il se proposa, en cons
progressive et constante des sciences sœurs fera une réalité. Un jour paraîtra la terre promise, où ira, comme dans un port fort
ici la fable dont nous avons parlé; en la disant, M. Jobard avait, il paraît , magnétisé l’auditoire, car tout le monde l’enten
très-douloureux et la voix presque éteinte. Cet état alarmant, qui paraissait déterminé par une quantité d’émétique cinquante f
ouls, au lieu de se relever, disparut entièrement , et la respiration paraissait connue suspendue, ce qui, joint à l'immobilité de
le bonheur qu’on éprouve en voyant revenir à la vie une personne qui paraissait vouée à une mort certaine, car si c’est pour nous
t tous les moyens conseillés par le I)r Jouënne, son médecin, avaient paru plutôt augmenter le mal que le diminuer. Deux s
es ou même isolants, et les agents de destruction les plus énergiques paraissent avoir peu d’influence sur les objets qui en sont
ps, il en était peu, quelque ridicules et même extravagantes qu'elles paraissent , qui ne pussent être considérées comme le reste d
, etc., employés par M. du Potet, sont les éléments de phénomènes qui paraissent obéir à des lois spéciales. O11 donne à l’eau l
n’ont jamais vus. Dans ces faits merveilleux, le fluide magnétique paraît être le véhicule de notre pensée, qui s’individua
ées. . Vous parlez avec sympathie de ces faits surnaturels qui vous paraissent d’une haute importance, et auxquels se rattachent
charité et l’amour , un médiateur entre Dieu et les créatures, que me paraît appartenir en propre le secret et la puissance de
ces considérations, et partant du point de vue que les phénomènes qui paraissent aussi subitement n’ont point un but assez élevé n
’intelligence s’abaisse et s’éteint; comme celle des vieillards, elle paraît tomber en enfance et elle se passionne pour des n
es qui tournent ou que l’on essaie de faire tourner. « Les convives paraissaient entraînés par cette conviction et applaudissaient
Bruxelles, M. Jobart, qui, malgré son nom, ne manque pas d’esprit et paraît s’amuser beaucoup des opérations magnétiques. Il
ité que la cause en soit dans la nature; quelque « étrange qu il vous paraisse , il ne peut être hors de la na-« ture : cherchez-
oient les phénomènes du somnambulisme , quelque variables qu’ils nous paraissent el quel que soit l’agent de ces phéno r.ènes, sur
r quand nous ne les avons pas vus, sous le banal prétexte qu’ils nous paraissent inexplicables. En effet, nous sommes si loin de c
avec une attention et une constance d'autant plus grandes qu’ils nous paraissent plus étonnants et plus difficiles à admettre. On
as sur ce point. Le phénomène de la rotation , s’il était seul, ne me paraîtrait pas entière-rement concluant. Je suis défiant, qu
n voyage aux Pyrénées. » Inutile de dire que toutes ces prescriptions paraissent parfaitement adaptées à l’état et au besoin de la
s-nous au rôle modeste qu’il nous a assigné dans ce monde. « Ce qui paraît aujourd'hui surnaturel, impossible, sera sans dou
ce mystérieuse, et enseignons-le aux autres. Quelque étrange que cela paraisse , les magnétiseurs sont préparés à le vérifier ; i
our moi, la position de sa femme était très-grave, que l’opération me paraissait imminente, et que ses chances étaient de beaucoup
je le sais; mais comme vous avez trouvé en moi un beau cas, ça vous a paru digne de rester. Ah ! c’est que je vois tout, moi
lance des notables habitants. Le compte-rendu de scs démonstrations a paru , il y a quelque temps, dans un journal de la loca
et uniforme de ces lois, une foule de faits qui autrefois lui avaient paru nécessiter l’action de divinités secondaires : ai
t la discussion. Quant aux faits, plusieurs, nous le reconnaissons, paraissent d’une authenticité irrécusable ; tels sont les av
sseur de philosophie au grand séminaire de Versailles, vient de faire paraître un ouvrage intitulé : Théorie des relations consi
evoir pour lui de dire ce qu’il a vu, quelque paradoxales que doivent paraître ses assertions ? Ce mémoire, rédigé sous l’impr
on générale se manifestèrent au bout de quelque temps. Le jeune homme paraissait avoir plus de vivacité qu’à l’ordinaire; un vésic
eux. Le petit-lait, les bains, sont employés sans succès; les bains paraissent même donner plus d’agitation au malade qui refuse
tive ou de rejeter leur témoignage, ou de croire à des phénomènes qui paraissaient en opposition avec les lois de notre économie phy
ses. Le malade, marchant les yeux fermés, flairait continuellement et paraissait sentir les objets qui étaient sur son passage et
s, certaines personnes qu’il voyait habituellement. La chose 11e me paraît pas impossible, mais je n’ai pas été à portée de
tait naturel et la santé généralement bonne. L’attaque terminée, M*** paraissait aussi calme que s’il n’avait rien éprouvé et ne c
qu’ils ne sont ni des imposteurs ni des sots? M. le doyen Lordat me paraît avoir parfaitement répondu à ces questions. Les c
itement répondu à ces questions. Les considérations qu’il présente me paraissent aussi justes qu’elles sont ingénieuses, et sans a
une autre surface ? Je ne le pense pas, et une telle conclusion ne me paraît pas légitimée par les règles d’une saine logique.
; mais il s’agit de se bien entendre sur le sens du mot image, qui me paraît avoir ici une double signification. 1. L'image
aiser la main, Fatma a consenti à s’unir en mariage au chapelier, qui paraissait épris de ses charmes. Ce dernier, évoquant peut-ê
ressée de questions, avoua sa culpabilité. « La décision du jury ne paraissait pas devoir être douteuse, même en mettant de côté
e). Ensuite il tire sur les soldats sa carabine. « Enfin le brigand paraît en justice, nie des assassinats commis ; avoue av
rand nombre de réponses formant un système concordant. Comme le sujet paraît fatigué, nous mettons fin à ces exercices au bout
ence au collège de France. Paris, 1845. « Or, si les magiciens font paraître les fantômes, s'ils évo-« quent les âmes des mort
pourraient la tenir un moment suspendue comme par enchantement : cela paraît impossible, mais moi qui le vois, je vous assure
le célèbre violoniste devait se faire entendre. « Lorsque M. Sivori parut tenant son violon, tous les cœurs battirent vivem
cieuse du corps médical. La pièce lui fut courtoisement exhibée. Elle paraissait parfaitement en règle ; mais le commissaire conce
ire une traduction allemande du Petit Catéchisme magnétique, qui doit paraître incessamment à Berlin. Le môme ouvrage a été tr
e ouvrage a été traduit en anglais par M. le docteur Bergevin , et va paraître à New-York. Ainsi, grâce à ces traductions, la pr
faite intégrité. Avant son arrivée à Divonne, les accès hystériques paraissaient tous les huit jours environ, et étaient ainsi car
incues, en outre), et qui ne se font guère obéir. « Ce fait, qui me paraît de nature à renverser beaucoup d’hypothèses expli
happer à 1 ordre des faits naturels, il s’agit d’en introduire un qui paraît impossible, parce qu’il est nouveau. Tout fait no
peu, et les Académies lui feront sa place, et, une fois casé, il nous paraîtra le plus simple du monde, aussi simple que le cont
s cette première impulsion surtout que le mode d’expérimentation nous paraît défectueux. « Lorsqu’on cherche à suivre le mou
Ampère et son interprétation d’un phénomène exactement comparable. Il paraît qu’à l’époque, cette découverte des mouvements d’
ie pour cela : je respecte toutes les opinions, môme celles qui ne me paraissent pas raisonnables. » — Nous avons vu ci-dessus l
er avec les autres. Disons, pour terminer cet aperçu, que l’ouvrage paraît destiné à recommander une somnambule qui sert de
e fort difficile de hasarder quelques explications. Néanmoins il nous paraît certain que le magnétisme animal joue ici un gran
politique, qui transpirent de^ ces réunions secrètes, dont la police paraît s’inquiéter assez pour avoir envoyé des inspecteu
ais nous n’avons jamais pu obtenir douze tours à la minute : cela m’a paru exagéré. 11 faut, pour avoir quelques résultats,
oment où l’on désespérait du succès des moyens employés, que la fille parut respirer. Des larmes de joie et d’espoir coulèren
ectrisés, ni les aiguilles, comme les aimants. Une observation nous paraît utile à faire ; c’est que cette jeune personne et
t l’existence même d’un agent aussi perceptible que le magnétisme, me paraissent insensés ! Ils ont donc amoindri, altéré chez eux
notre foi était plus vive, beaucoup de choses merveilleuses, qui nous paraissent impossibles à produire aujourd’hui, seraient faci
melles, elles se combattent sans pouvoir se détruire. Lorsque le jour paraît , la nuit se retire ; bientôt celle-ci regagne le
aveur de leurs théories, viennent de se produire coup sur coup et ont paru mériter la sérieuse attention de la justice. «
, car malheureusement le contraire arrive presque constamment, nous a paru mériter d’être mentionné, en ce que c’est pour la
’honneur de me demander mon opinion sur cet intéressant phénomène, il paraît que beaucoup de gens tournent encore. J’en suis f
ensée des autres, il change bientôt de direction lorsque la chaîne ne paraît pas satisfaite et quand elle dît: Ah! voilà..., a
d elle dît: Ah! voilà..., alors le mouvement s’accélère. La rfoigsitp paraît complète, à moins qu’on n’appuie le pouce et l'in
pour produire certains actes et converser avec nous. L’auteur, qui ne paraît pas avoir suffisamment étudié cette branche si cu
d’autant plus nécessaire, que le dentiste, qui riait déjà sous cape, paraissait ne pas croire à la possibilité de produire l’inse
oir que le magnétiseur ou le somnambule n’ont pu vouloir. » Il nous paraît , facile de faire justice de ces étranges paradoxe
je n’avais pas d’autre idée à ce sujet, le diagnostique du médecin me paraissait fondé. Quel fut pourtant mon étonnement lorsque j
t rouges et enflammés, tandis que le nez, prenant une couleur livide, paraît s’applatir ou rentrer dans les chahs; le bas de l
e, j’interrogeai le pouls, il était naturel; la chaleur de la peau ne paraissait point être augmentée, et les crises nerveuses dit
que l’autre; les ongles sont pâles, la peau froide, en un mot, la vie paraît l'abandonner totalement. Tous les malins, vomis
avaient décidé, avant que la maladie ne gagnât l’épaule, lorsqu'elle paraissait circonscrite aux environs du poignet, de couper l
ssource nouvelle et d’une certaine importance. Si mon offre ne vous paraît point acceptable, votre refus ne diminuera en rie
eur pour les rédacteurs du Constitutionnel, auquel le discret docteur paraît ne pas être abonné, car il aurait vu que ce journ
lé : Ridicules des rêveurs magnétiques , signé Delaage, article qui a paru dans le Pays du 24 courant, il y a une assertion
argentins. Parmi les types présentés par l’auteur, un surtout nous a paru mériter l’attention de nos lecteurs : le Dépisteu
picacité, il avait très-bien pu deviner ce qu’il m’a dit. « — Ça me paraît fort I « — Non, c’est au contraire très-simple
e l’on ne peut saisir, puisque le sujet, malgré la force physique qui paraît l’enlever, ne sent presque pas l’impulsion des do
amusé h ce jeu, porteur ou porté, et je puis affirmer que ses effets paraissent surprenants à tous ceux qui l’exécutent, car ils
parfaite virginité ! Cette comparaison, toute hyperbolique qu’elle paraisse , était cependant nécessaire pour empêcher qu’on n
nant, que dites-vous, lecteur, de ce passage ? Le movimus'tandem vous paraît -il clair? En faut-il davantage pour prouver que l
our la manière d’agir, ni pour le résultat qu’on peut en attendre. Il paraît que certaines dispositions sthéniques contre-indi
n archevêque même, les tables tournent — après le dîner, s’entend; il paraît même qu’on les interroge dans les palais. Que f
Ne rien négliger de tout ce qui pourrait éclairer cette question nous paraît être aujourd’hui un devoir. Lecteurs déjà habit
ouvant supporter cette lumière divine ! Mais aussi quelle grandeur va paraître dans les conceptions nouvelles ; et si quelques n
e borne à présenter, sans les imposer à personne, les raisons qui lui paraissent de nature à faire soupçonner dans l’air des puiss
tant en Angleterre qu’en Amérique et à Paris. Voici celle qui nous a paru la plus curieuse, et sans la gravité du caractère
25 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ent le type clinique. En France et en Italie les premiers travaux paraissent avoir passé inaperçus; mais, en 1902, Bournevil
trophie double des nerfs optiques (1). A peu près à la même époque, parurent plusieurs travaux d'ensemble sur cette question
us (3), el surtout le travail d'Enslin (4). Enfin la thèse de Patry parue en 1905 (5) mérite une citation toute particuli
re considérée avec raison comme le travaille plus documenté qui ait paru sur celle question avant le mémoire de Mellzer
un caractère dégénératif. Il est très adroit dans sa profession et il paraît doué d'une intelligence assez vive. Pas de cons
is à un allaitement mercenaire très mauvais et très insuffisant. Il paraît , par les renseignements des parents que, à l'âge
était énorme, c'était une véritable tête d'enfant rachitique et il paraît que la soudure des os de la calotte s'est accom-
tées par notre petit sujet. Les membres supérieurs minces et grêles paraissent très longs en comparaison du tronc. Le thorax p
s sont vivants et bien portants ; pas de consanguinité chez eux. Il paraît que le père n'est ni alcoolique, ni syphilitique,
ontafe, où l'on sent une encoche assez profonde. Les autres sutures paraissent bien individualisées. La forme extérieure du cr
il nous a été plus difficile d'évaluer le degré d'intelligence. Il paraîtrait , d'après les renseignements fournis par son ins
sme. Le père et la mère de l'enfant ne sont pas consanguins. ' Il paraît , d'après les renseignements qu'on m'a donnés, que
suite d'une indisposition maternelle elle fut envoyée en nourrice. Il paraît que l'enfant a beaucoup souffert pendant l'alla
tous les réflexes sont normaux. L'intelligence de la petite fille paraît assez bien éveillée. 18 BERTOLOTTI Observatio
mère ne pouvant se charger du petit, il fut mis en nour- rice et il paraît qu'il a souffert beaucoup pendant l'allaitement,
ours affligé de troubles gastriques et de diarrhée. Les altérations paraissent n'avoir commencé qu'à cet âge. Etat présent.
n de la ré- gion frontale susjacente peut contribuer encore à faire paraître l'oeil plus saillant (PI. VIII). ' Enfin je s
face, surtout dans la portion sous-nasale. La déformation du nez ne paraît pas avoir retenu beaucoup l'attention des auteu
l'em- preinte des circonvolutions cérébrales. )-, dans un Li-avail paru dans Il A ce propos, j'ai publié en 1910 (1), d
paru dans Il A ce propos, j'ai publié en 1910 (1), dans un travail paru dans la Presse médicale, quelques remarques qui
hie. Spiller qui avait publié son travail un mois après mon mémoire paru dans la Presse médicale n'avait pas eu assuréme
date de 1905, et elle est peut-être le Ira- vail le plus documenlé paru sur l'oxycéphalie. Palry a fait un travail d'en
côté droit. Les réflexes sont normaux, exceptés les rotuliens qui paraissent un peu diminués. Sensibilité parfaite. Il f
n assez bien connue depuis les travaux de Quincke (2). Ces cas nous paraissent d'autant plus intéres- sants qu'ils offrent un
, vol. XXXIX, 1910. 60 MARINESCO ET GOLDSTEIN plus probable qu'il paraît que les méninges sont atteintes même dans les c
nte et un oncle paternels morts de vieillesse; la grand'mère avait, paraît -il, de façon intermittente, une démarche chance
t de son affection nerveuse n'a pu être déterminé, un fait du moins paraît établi, c'est qu'à vingt ans, au moment du tirage
ni troubles vésa- niques d'aucune sorte ; cet état démentiel simple paraît être primitif, en ce sens qu'il doit être rappo
iste des extenseurs. Les membres sont sensiblement amaigris, ce qui paraît tenir autant la la disparition de la graisse qu
. Seul dans les cordons de la moelle le faisceau cérébelleux direct paraît avoir un volume inférieur à la moyenne sans pré
l, ils avaient constaté l'abolition du phénomène du genou (3), il a paru , en effet, de nombreuses statistiques apportant
tuliens manquent, le nombre de cas publiés où ils étaient conservés paraît somme toute bien faible ; la proportion de 13 0/0
sions nettes. Appareil digestif. Rien à l'oesophage. L'estomac ne paraît pas dilaté. Même rempli d'eau, il ne se distend p
e zone rarliculaire moyenne de Flechsig (1), La zone de Lissauer ne paraît pas intéressée ; la zone d'entrée des racines d
eures. Dans la question suivante, également controversée, notre cas paraît fa- vorable à l'opinion de Nageotte. D'après De
s, à propos duquel M. Nageotte (1) écrivait les lignes précédentes, paraissait présenter le signe de Westplial ; l'observation a
et leur relation avec l'encéphale demande quelque réserve. Il nous paraît , malgré cela, infiniment probable que, chez les
t ne saurait convenir intégralement. L'influence du traitement nous paraît , somme toute, assez simple. Il a pu se développ
sur le sympathique de tabétiques à lésions radiculo-médullaires qui paraissent très avancées et étendues d'après le compte rendu
trouvera l'indication et l'analyse des prin- cipaux travaux qui ont paru sur ce sujet et une revue critique de MM. To- l
ter (I), serait moins rare qu'on ne le croit communément. Enfin, il paraît possible, d'après les données de la phy- siolog
re, un certain nombre de troubles cérébraux intéressants, il nous a paru mériter d'être décrit. Le 17 août 1911 aux exer
centre optique du manteau et les ganglions a été interrompue. Il ne paraît point probable que la scissure calcarine soit a
le copie lente- ment certes, mais avec une facilité relative, et il paraît se rendre partiel- lement compte de la forme de
centre cénestésique pour les mouvements des bras et des mains nous paraît aussi plausible que l'existence d'un tel centre p
ymptômes d'aphasie sensorielle^ que nous avons pu souvent constater paraissent être d'un caractère passager et de peu d'import
, encore trop ignoré, de la pathologie. L'observation suivante me paraît digne d'attirer l'attention. Observation (PI. X
les traces sous forme de cicatrices profondes). Son intelligence paraissait normale ; elle ne fut soumise d'ailleurs à aucuue
re des dessins très simples (un carré par exemple). Son état mental paraît donc avoir évolué formellement ; les gestes et le
uciante, instable et incapable de se livrer à aucun tra- vail. Elle paraît d'ailleurs satisfaite de son internement à l'hôpi
en sortir. Elle ne se préoccupe pas davantage de sa famille, qui ne paraît pas s'en préoccuper non plus ; il a fallu employe
a radiographie, qu'il s'agit là d'une fracture; la totalité de l'os paraît ossifiée. Cependant la clavicule, comme d'aille
lie obtuse au niveau de la septième vertèbre cervicale. La vertèbre paraît plus proéminente que d'ordinaire, en raison surto
érable : elle est capable de renverser un infirmier ro- buste. Elle paraît très habile à se servir des mains et des doigts',
chitisme. L'achondroplasie a donné lieu à des travaux considérables parus au cours de ces dernières années,et la majorité
Chez MICROMÉLIE RH)ZOMÉL1QUE PARTIELLE 145 Khéroufa, le physique paraît n'avoir pas eu beaucoup d'influence sur son mor
s, avec exhibitionnisme, qu'elle a présenté au moment de sa puberté paraît avoirévolué sur un fond de dégénérescence, qui
due pour que son histoire fût définitivement complétée. Elle nous a paru ce- pendant assez intéressante pour être rappor
es, bru- nâtres, se rejoignant assez vite et la coloration présente paraît être stationnaire depuis longtemps. Mais tout c
t bien, et entend bien ; pas de troubles de son intellectualité qui paraît avoir toujours été assez rudimentaire. Il répond
u Traité de la Lumière dont il n'est d'ailleurs que la suite. Il ne parut pour la première fois en français, qu'en 1664,
2) ». Et celle physiologie de la pensée fondée sur le réflexe, nous paraît singuliè- rement proche par quelques-unes de se
nce à grandir d'une façon anor- male, de sorte qu'à cinq ans, il en paraissait sept. Développement intel- lectuel précoce, il
uites orientées dans tous les sens indifféremment. Chaque particule paraît se mouvoir indépendamment de ses voisines et si e
colorées seulement sur une partie de leur contour, ce qui les fait paraître sembla- bles à un croissant lunaire. Dans quelq
ne dissolution rapide de leurs granulations, elles gonflent et dis- paraissent rapidement par cytolise; d'autres, dont les granu
du cytoplasma en diminuant par conséquent sa viscosité, nous voyons paraître les mouvements browniens et leur intensité est du
chien, examinè d.ms le sérum animal à l'obj. no 6. Les granulations paraissent assez grosses précisément à cause de l'objectif
ès le premier examen, on est frappé par l'aspect du malade : Le cou paraît supprimé; la tète est immédiatement appliquée sur
médecin qui a proposé une opéra- tion. A ce moment, il présentait, paraît -il, outre l'absence de cou, une forte déviation
dura jusqu'à l'âge de 12 ans, époque à laquelle peu à peu elle dis- parut . t.. - Examen du malade (PI. XXIX). Le malade e
onne vertébrale semble déviée vers la gauche ; l'hémi- thorax droit paraît de ce fait plus grand que celui du côté gauche.
cher et à se réunir vers la partie supé- rieure du thorax.Ces côtes paraissent s'attacher régulièrement sur les 12 vertè- bres
u'avoir des présomp- tions sur leur trajet et leurs rapports, elles paraissent avoir une disposition normale et se trouver en
ommet. Les poumons remontent en avant au-dessus de la clavicule, et paraissent atteindre en projection une ligne ho- rizontale
cupée en- tièrement par les deux poumons, dont les lobes supérieurs paraissent venir se mouler sur le sommet de la cage. C'e
nne vertébrale étendue de l'occipital au sacrum ; le reste nous ayant paru normal. Les courbures. Faces latérales : Vue
trajet. FfG.6. 236 KLIPPEL ET Fenil Cette dernière partie nous paraît donc répondre à la colonne cervicale fu- sionné
variations (1). » Voici quelques mensurations parmi celles qui nous paraissent les plus intéressantes : Dimensions de la col
ème de IoseuaGm. Un anatomiste allemand, Rosemberg, ad- met, ce qui paraît exact, que la partie moyenne de la colonne vertéb
verlébrale, qui possède avec lui des rapports intimes. Cependant il paraît difficile de faire jouer un tel rôle au système n
malade ne s'était jamais plaint de sa difformité ; et, ce qui nous paraît plus intéres- sant, cet homme s'était présenté
'est aussi celle qui nous semble mériler le plus d'attention et qui paraît la plus rapprochée de la vérité. Il est plus
dans la maison cinq ans sans interruption. Avec cette femme, qui me parut honnête et intelligente, je pus avoir une convers
s, elle peut lire couramment, et raconter ce qu'elle avait lu, elle paraissait d'une intelligence normale, se rappelait sa fréqu
i, toutefois, ne dépassait pas les mesures. Malgré ses 49 ans, elle paraissait jeune encore, grâce à son ! eint rose sans ride
raordinaire. Lorsque la conversation tombait sur ce sujet, Caroline paraissait plus renfermée et moins affirmative. Elle n'ava
le nerf tibial antérieur. A l'examen macroscopique, ces nerfs ne paraissent pas augmentés de volu- me, mais les plus volumi
avancé dans la destruction des éléments nerveux : ceux qui restent paraissent dissociés, les uns encore myélinisés, les autre
s membres : les modifications si considérables que l'on y trouve ne paraissent pas conserver la même intensité dans les rameau
'agit, tantôt d'une raréfaction diffuse des fibres nerveuses qui fait paraître le tractus moins coloré par la méthode de Weige
ibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres supérieurs ; les bras paraissent hypertrophiés. La soeur de ce ma- lade ne prése
YPE ARAN-DUCHENNE 293 type Charcot-Marie, tandis que la seconde lui paraissait être d'origine spinale.- . Hoffmann (1) fait
que constantes ; on com- 304 LONG prend que sur cette base il ait paru difficile à d'autres auteurs (Dejerine, P. Mari
de la maladie, et sont toujours d'intensité variable. Si donc, ils paraissent devoir être attribués aux lésions des nerfs périp
n réciproque, sans organisation conjonctive, sans vaisseaux ; il ne paraît pas s'agir d'un lipome, d'un fibro-li- pome, ni
LI, fig. 4). Sur les coupes passant à ce niveau, la substance grise paraît intacte, les faisceaux des cordons antéro-latérau
oelle ; elle se continue avec l'enveloppe fibreuse de la tumeur qui paraît formée par elle. Les vaisseaux médullaires sont
eux qui entoure la tumeur et lui forme une coque, cette dernière ne paraît qu'être un dédoublement de la pie-mère. Les vai
LIII Fio. 9. - Coupe passant sur S2, partie supérieure. La moelle paraît intacte à droite, complètement détruite il gauche
des deux côtés, mais lors de l'émission des sons, la voûte palatine paraît plus rétrécie à gauche, qu'à droite. La mâchoir
l'extrémité des pieds est tournée en dehors : la cuisse et la jambe paraissent ne faire qu'un et décrivent ensemble un arc de
us opaque. Lors de notre premier examen, la radiographie nous avait paru pré- senter aussi quelques dissemblances avec l
uble contour et explique qu'un os gros et trapu sur la photographie paraît plus ou moins mince et grêle sur la ra- diograp
genre, surtout à des troubles trophiques d'origine vasculaire, que paraissent pouvoir se rattacher la plupart des scléroses h
de lésions nerveuses ou vasculaires qu'il détermine. Notre cas nous paraît être tout à fait analogue. Un fait pourtant en
lication un peu moins simple, c'est que le tiers inférieur du fémur paraît atteint aussi. En 1910, ia radiographie nous av
férieure du fémur était hypertrophiée, mais cette hypertrophie nous paraissait due seulement à une hyperossification partielle
n appelle le « délire onirique » ; les émotions dou- loureuses nous paraissent avoir joué un rôle important dans l'étiologie d
lare souvent aux in- z firmières qu'il voit le Diable. , 23. - Il paraît plus calme. Ce matin il est monté au haut d'une é
giment pour entrer à l'Arsenal. Il était d'une sobriété exemplaire, paraît -il. Seize mois après son retour des colonies, i
Les vaisseaux sont très épaissis, et, au point maxima, les cellules paraissent diminuées de nombre. Elles sont en général ce
absolue des cordons blancs. Au premier abord, la corne poslérieure paraît saine. A un examen un peu plus attentif, l'on v
au myélinique de la corne postérieure est presque complètement dis- paru . Les vaisseaux ont leurs parois très épaissies et
eur à celui des cordons blancs du côté sain, mais en même temps ils paraissent plus fortement colorés par la méthode de Weiger
l frappait les éminences thénar et hypothénar. A l'autopsie, moelle paraissait saine,les nerfs également, macoscropiquement du
ainsi qu'aux raisons de sa localisation spéciale, il ne nous a pas paru possible de l'élucider dans ce cas. Des quatr
constatations semblables, elles végé- tations conjonctives lui ont paru suffisamment accentuées dans certains cas, pour
graphié un certain nombre de détails, dont la repro- duction nous a paru indispensable pour la démonstration. En examina
ent pas également sur toute leur étendue. Les membranes papillaires paraissent plus solidement attachées, par les pinceaux név
ulaires, constituer la lésion fondamentale, tandis que le gliome ne paraissait avoir joué qu'un rôle secondaire dans l'édifica
ements méningés du sillon antérieur et du sillon postérieur ne nous paraissent subordonnées l'évolution du gliome. SYRINGOMY
e plus souvent associés. Dans le cas rapporté ci-dessous, il nous a paru cependant que le trau- matisme crânien avait un
des méfaits imaginaires. Des hallucinations de la vue et de l'ouïe paraissent également exister, chez le malade, pendant la n
ension. Ebauche de Romberg. La force musculaire est conservée, mais paraît plus accentuée du côté gauche. Pas de perle du
t traumatisme crânien dont les conséquences psychiques immé- diates paraissent bénignes malgré la gravité de la fracture - Huit
à l'âge de 41 ans. Les troubles mentaux s'accentuent rapidement et paraissent aboutir à un état démentiel de plus en plus mar
s convulsifs et des troubles mentaux relevés chez notre malade nous paraît essentiellement déterminée par le violent traum
é- formant la circonférence en plusieurs endroits. La partie gauche paraît être le plus comprimée, à savoir la partie post
e. Les pupilles ne sont pas parfaitement égales : la pupille droite paraît un peu plus grande. Les réflexes à la lumière, et
bjet placé devant ses pieds : le mouvement de la colonne vertébrale paraît tout à fait libre, normal. On peut dire la même c
embres interosseux. Pas d'autre atrophie musculaire. La main gauche paraît normale. Les ré- flexes du poignet sont très di
e hypolhéuar et les interosseux. La main gauche, un peu amaigrie, paraît respectée à l'examen fonctionnel et à l'examen
abondants et moins volumineux que du côté droit, la substance blanche paraît intacte. La destruction de la corne antérieure
e la main. En particulier, les articulations du carpe et des doigts paraissent saines. Les coudes sont un peu raides, mais tou
xion bilatérale. Réflexes abdominaux abolis. Les ré llexes du coude paraissent abolis également. Les réflexes du poignet cubit
muscles de l'éminence thénar, notamment l'abducteur et l'opposant, paraissent complètement détruits. Il en est de même de l'émi
raction se fait normalement. Les muscles de l'avant-bras et du bras paraissent égaux des deux côtés.Le sous-épineux paraît un pe
ant-bras et du bras paraissent égaux des deux côtés.Le sous-épineux paraît un peu atrophié à droite. Le sterno et le trapè
mitée au côté droit. A l'autopsie, la moelle et les centres nerveux paraissent macroscopiquement indemnes, sauf que les 7e et
iquement indemnes, sauf que les 7e et 8e racines cervicales droites paraissent un peu plus FIG. 10. Obs. IV. Névrite interstit
e thénar droite (PI. LXI). L'éminence hypothénar et les interosseux paraissent complètement respectées et égales d'un côté à l'a
résultats suivants : Les réllexes du coude et les réflexes cubitaux paraissent abolis. Le réflexe radial très diminué du côté
e est pris comme le court abducteur et l'opposant. ' La main gauche paraît indemne ainsi que les membres supérieurs et infé-
eux sont également touchés, mais moins, enfin l'éminence hypothénar paraît égalemeut quelque peu atro- phiée. L'avant-bras
des deux dernières phalanges. Réflexe du membre supérieur : coude, paraît aboli des deux côtés. Poignet, cubital, paraiss
e supérieur : coude, paraît aboli des deux côtés. Poignet, cubital, paraissent abolis des deux côtés. Radial paraît aboli à ga
côtés. Poignet, cubital, paraissent abolis des deux côtés. Radial paraît aboli à gauche. L'ou n'observe pas de mouvement,
e, dont la peau mince laisse voir les digitations du grand dentelé, paraît appartenir à un adolescent, tandis que le train
l'ébauche du bourrelet fessier et l'épais capitonnage des téguments paraît d'une femme après la ménopause. Pour fixer les
'agit d'une adipose segmen- taire des membres inférieurs , qui nous paraît être un exemplaire exagéré jusqu'à l'infirmité,
urol., p. 138. ADIPOSE SEGMENTAIRE DES MEMBRES INFÉRIEURS 481 m'a paru que l'épaississement adipeux remontait jusqu'à la
a avec le syn- drome de Basedow auquel goitre simple et trophoedéme paraissent avoir été antérieurs. Pour en revenir à notre
nsuite associé l'opothérapie ovarienne. L'opothérapie associée ne paraît pas avoir mieux agi que la simple. Pour situer
sont occupées par du tissu graisseux. Les deux régions scapulaires paraissent notablement hypertrophiées ; de chaque côté les
enormand et Verdun, à propos d'un cas d'adéno-lipo- matose qui nous paraît être celui de notre malade lui-même. Schéma tir
n du 6° Congrès international d'éleclroloie et de radiologie il m'a paru intéressant de rappeler l'histoire des premiers e
26 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
et des apophyses épineuses (ligne pointillée). Ceuedispositionnous paraît en rapport avec le développement des masses mus
MIE MORPHOLOGIQUE. 23 Celle-ci, en dehors de l'accident initial qui paraît avoir été mal observé, se manifesta d'abord par
la face interne des joues, en même temps que la corona Yeneris ap- paraissait sur le front. De 1880 à 1884, la syphilis reste
de réac- tion nerveuse pathologique; cependant l'affection actuelle paraît avoir débuté à la suite et à l'occasion de caus
Olympe est une femme de forte constitution, pres. que obèse, et ne paraît pas avoir beaucoup soulfert des troubles gaslro-i
e névropathique ; des accidents qu'elle appelle des syncopes et qui paraissent bien avoir été des crises hystériques ; une par
ssage : ce dernier mode de traitement mis en oeuvre pendant un mois paraît avoir produit une notable amélioration. La flex
bientôt arrêté brusquement par un obs- tacle purement mécanique qui paraît être surtout le tendon d'Achille raccourci, mai
it intéressant de sortir de l'ombre notre ancien croquis. Il nous a paru bien à sa place dans le premier numéro de la No
yllabes et sa prononciation est largement scandée. Son intelligence paraît peu développée ; son instruction est très bornée
a eu, vers l'âge de trente ans, plusieurs attaques convulsives qui paraissent être de nature hystérique. Pas d'antécédents ne
e sa maladie, elle a eu la rougeole; à ce moment, le tremblement ne paraît pas avoir augmenté. État actuel, aoùt 1885. - L
s'est aperçu que l'écriture devenait tremblée. Cependant l'écriture paraît s'être améliorée, ainsi qu'il résulte de l'insp
on de la voûte plantaire avec saillie du tarse; ces phénomènes dis- paraissent dans la station debout. L'épaule droite est plu
. L'écriture est irrégulière. Les organes thoraciques et abdominaux paraissent sains. Ons. IV. - Aub..., dix-huit ans, institu
ait de se livrer aux rudes travaux des champs. L'affection actuelle paraît avoir débuté chez Aub... vers l'âge ;lc quatorze
s la circonstance par une saillie exagérée de la région dorsale qui paraît bombée, surtout lorsqu'on la regarde de profil, e
es orteils. Leurs muscles, de même que ceux des membres inférieurs, paraissent avoir con- servé leur force normale. Les orga
s et vésicales sont normales; les organes thoraciques et abdominaux paraissent sains. p FIG. 2t. - Empreinte du pied d'Aub, (O
rmir étant assis. On note aussi un strabisme de l'oeil gauche, qui. paraît -il, est congénital. Il n'existe pas de nystagmu
s et les yeux fermés, est impossible (signe de Romberg). Le trouble paraît augmenté par l'occlusion des yeux. La sensibili
semble résulter de phénomènes complexes; dans tous les cas, elle ne paraît pas être sous la dépendance d'altérations dans
te à ce niveau un épaississement considérable de tissu fibreux, qui paraît le prin- cipal obstacle au redressement du memb
jusqu'àses dernières limites lèvera tous les doutes en faisant dis- paraître complètement la contracture spasmodique, en resta
base. D'après ces données, dans la majorité des faits, les lésions paraissent être exclusivement tendineuses. Or, sont-ce les
orsque, dans un cas de contracture, l'élément spasmodique aura dis- paru et qu'on sera assuré que la déformation est le ré
nte sujets par catégories, nous obtenons le tableau suivant, qui me paraît assez instructif : 1. Bull. Soc. de biologie, 1
odiques de la respiration, et en particulier de l'expiration, m'ont paru intéressants a signaler, parce qu'ils semblent
l1'S. Au niveau de l'ancienne bande d'anesthésie, la température ne paraît pas inférieure à celle des parties voisines. Ex
mité supérieure du péroné pourrait être invoqué ou défendu; il nous paraît rationnel d'admettre un mécanisme hybride, méla
'artiste de Santa Maria Formosa, en quête d'un type-grotesque, nous paraît l'avoir rencontré sur son chemin, vu de ses yeux,
eu tom- bantes, ont un aspect féminin. Phimosis. , La sensibilité paraît égale des deux côtés. Le malade est gaucher : f
ns nos observations (pl. XI). La direction de cette scoliose nous a paru variable. Elle peut s'ac- compagner de cyphose
scoliose du reste et sa fréquence, bien plus que sa direction, nous paraissent caractéristiques dans l'espèce. Il est difficil
ment été noté par les observa- teurs étrangers, le plus souvent ils paraissaient être au-dessous de leur âge. Ce faciès coïnci
e. La main n'est nullement contrefaite, l'avant-bras seul découvert paraît bien musclé; ici, pas-trace d'atrophie musculai
xion du poignet absolument caractéristique. Toute simple que puisse paraître cette, attitude, elle offre un aspect si spécial
en dehors de toute autre cause connue chez un ataxique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lésions osseuses ci
la réserve relativement à la nature intime de l'affection qui nous parut provisoirement désignée suffisamment sous le no
evoir insister sur ce travail, parce qu'il est le pre- mier qui ait paru sur la question, et que celle priorité est souven
médecine; de même M. Page, dans The Lancel. En 188, M. Boyer fit paraître dans la Revue de médecine un cas de pied tabéti
ériode du tabes. La même année, à la Société médicale des hôpitaux, parut un cas de pied tabétique observé par M. Féréol.
- 13G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. gour et de douleur paraît être un caractère il peu près constant. » (Char
sont en relâchement, la contracture spasmodique s'amoindrit, dis- paraît même complètement et alors tous les mouvements de
plète que nous avons entreprise sur la maladie de Friedreich et qui paraîtra ulté- rieurement. I. Pag... Alexandre, dix-hu
pour son âge. Il pèse 9 livres, est de taille moyenne, brun, pâle, paraît assez bien nourri : pas de pannicule adipeux sous
e, et son instruction est en rapport avec sa condition sociale. Il ne paraît avoir aucun vice dangereux. Il ne fume pas : il
sait vers l'âge de seize ans. Depuis lors, son état est, à ce qu'il paraît , sensiblement le même qu'à cette époque. C'est ai
parler, écrire, des mouvements divers apparaissent. Il est inquiet, paraît agité : il remue conti- nuellement soit ses bra
tendue, de vrais petits mouvements de salutation. Ces mouvements me paraissent rappeler, d'une manière bien lointaine, ceux d'
nquille. Les paroxysmes se présentent sous la forme de vertiges qui paraissent se bor- ner à de simples éblouissements sans ch
r dans sa main les objets qu'on y place. Pendant une demi-heure, il paraît suivre du regard des objets imaginaires. Au bou
re ni à compter; il est très difficile de fixer son attention et il paraît avoir fort peu de mémoire; il reconnaît pourtant
pneumographe de Marey, m'a fourni quelques tracés qui ne m'ont pas paru dépourvus d'intérêt. On y voit, par exemple, qu'e
ies. Elles ont un accent d'originalité bien particulier et qui nous paraît puisé dans une juste observation de la nature.
e; pommettes sail- lantes ; orbites creux au fond desquels les yeux paraissent plus brillants; nez écrasé à sa racine, élargi
articulations noueuses, le tibia droit légèrement incurvé. Il nous paraît difficile d'accuser plus directement, tout en r
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE L'ACROMÉGALIE Dans un travail paru en 1886 (Revue de médecine), j'avais cherché à
nt échappé dont j'ai eu depuis connaissance'. Plusieurs travaux ont paru en outre récemment sur cette question, . parmi
sens antéro-postérieur semblent cependant augmentées. L'os hyoïde paraît être aussi d'un volume supérieur à la normale.
de dégénérescence; les réactions élec- triques, au contraire, m'ont paru normales. Les phénomènes vaso-moteurs sont repr
mineux, trop vo- lumineux peut-être. Pourtant l'instinct génital ne paraît pas s'être développé encore. Quoique d'un âge o
ne trouvons presque rien de ce côté, si ce n'est l'arthritisme dont paraît être entachée la famille de sa mère. 186 NOUVEL
résie constante ou très fré- quente des chances d'exactitude qui me paraissent considérables. Du reste, la notion de la contra
ies si remarquablement conduites et si concluantes de Rütimeyer. Il paraît bien probable que le cordon latéral est touché
'ai appelée tabéto-cérébello-parétique : la dernière épithète ne me paraît pas être la moins importante. D'autres observat
les cas, la faiblesse de l'ataxie dans la maladie de Friedreich me paraît tenir à la parésie, et à rien autre chose, malg
SALPÊTRIÈRE. pareils dans aucune autre maladie. En tout cas, il m'a paru curieux et intéressant de les relever. Le pie
nque de la sensibilité est relevé. Sur soixante et un cas qui m'ont paru utilisables à ce sujet, j'en ai trouvé trente-d
tal. Beaucoup d'auteurs disent bien le contraire, mais cela ne nous paraît pas juste. Il ne paraît pas y avoir un seul cas
disent bien le contraire, mais cela ne nous paraît pas juste. Il ne paraît pas y avoir un seul cas d'impuissance par maladie
lates sont presque au contact sur la ligne médiane. L'épaule gauche paraît abaissée. , Lorsqu'on dirige maintenant son exa
nous bornerons à signaler le mouvement expressif des yeux qui nous paraît admirable- ment rendu. Ces yeux inégalement ouv
A MOELLE, EN PARTICULIER DANS LES FRACTURES DU RACHIS I Il nous a paru intéressant d'étudier/chez quelques malades qui s
us les mouvements sont possibles, mais sans force. L'im- potence ne paraît pas prédominer notablement sur un ou plusieurs gr
toutle membre inférieur droit; 2° sur les cordons postérieurs, qui paraissent avoir été le siège d'une sclérose ascendante. Les
peu prononcée, saillie qui se prolonge en bas dans une étendue qui paraît correspondre aux deux premières vertèbres lombair
néanmoins très net. Il n'y a pas de déviation latérale. Celle lésion paraît pou- voir être rapportée à une fracture ancienn
n refroi- dissement local intense et prolongé. Cependant il ne nous paraît pas 228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
survenue cliez D... à de vingt-trois ans, cinq mois après sa chuter paraît relever nettement du traumatisme. Mais par quel
ie symptomatique.... En résumé, et pour nous en tenir aux faits qui paraissent hors de contestation, nous trouvons chez D...,
e ; il est notablement diminué de volume ; les cartilages du larynx paraissent un peu volumineux, sans que l'on puisse affirme
es d'eau ; depuis assez longtemps cette soif n'existe plus, mais il paraîtrait qu'elle se montre encore quelquefois à intervalle
parties molles. Les côtes ont bien un pouce et demi de largeur, et paraissent même en quelques endroits déborder les unes sur l
ttaquées d'un gonflement, comme on dit, à pleine peau. Les jambes paraissent à la première inspection ne point cadrer avec le
poser sur la partie supérieure du sternum, de manière que le sujet paraît n'avoir point de cou. Le jeu des articulation
, grosse comme un pain d'une livre, mollasse et emphysémateuse, qui paraissait et disparaissait suc- cessivement... « L'enfl
ique au bout d'un an après avoir eu la variole ; la menstruation re parut à l'âge de seize ans, et continua très abondante
1881. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lion de volume paraît être survenue partout en même temps. La circonfé-
vérité élargis, mais, en comparaison avec les doigts du malade, ils paraissent plutôt petits. Les phalangettes sont d'ailleurs c
écartées l'une de l'autre (moins en avant qu'en arrière); et cela, paraît -il, beaucoup plus qu'auparavant ; elles sont de g
ermétropes mais d'une acuité visuelle normale. Les globes oculaires paraissent augmentés de volume. Léger arc sénile. La sensibi
de Colmar, en Alsace. Il représente 1. En même temps que ce numéro paraît à la librairie Lecrosnier et Babé le livre de n
croire aussi quelepeintreacopié son sujetsorlamm ? car les lésions paraissent figurées avec une grande vérité. H y a {«mit- ê
27 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
s alors par Pierre Marie présentaient un aspect très spécial, et il paraissait tout à fait justifié de faire du syndrome cli-
a part de J. Teissier, de Mayet, de Forestier, etc., et comme il ne paraissait se (1) Exanten du Rachis dans un cas de Spondyl
renforcé, soit assez puissante pour empêcher les mouvements.il nous paraissait donc lo- gique d'émettre « jusqu'à nouvel ordre
re colonne vertébrale n'étaient pas osssifiés,mais que nous avaient paru ossifiés surtout ceux qui occupaient la convexi
quelle nous tenons à n'engager aucune responsabilité, car elle nous paraît encore trop manquer de tout appui solide ; et c'e
enté au Congrès de Liège et que nous publions aujourd'hui : il nous paraît absolument con- firmatif de nos hypothèses anté
t justifier ce diagnostic. Le ligament vertébral commun antérieur paraît presque sain ;.il existe ce- pendant dans toute
térieur. Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales supérieures paraissent très allongées par une ossification partielle d
uleur grisâtre des apophyses normales. Les apophyses articulaires paraissent toutes entièrement soudées, les cervi- cales et
ment des dernières portions de parties molles. Les ligaments jaunes paraissent beaucoup moins atteints que dans notre première
ôtes. Les têtes des côtes et la partie voisine des corps vertébraux paraissent très poreuses et sans doute très vasculaires. L
tes ne présentent pas d'articulation costo-transversaire. Les côtes paraissent particulièrement étroites et minces. c) Bassin.
fémoral, par un interligne linéaire, inégal et sinueux, qui tantôt paraît au sommet de la saillie, tantôt s'enfonce vers sa
cette coupe, faite à la scie, a été des plus aisées et l'os nous a paru particulièrement mou. Une seconde coupe, passant
pubis et du fémur : sur cette coupe les branches du pubis nous ont paru très friables et dépressibles à la simple press
étaient rugueuses et recouvertes de saillies, mais ces rugosités ne paraissaient pas assez importantes pour immobiliser l'articl
d'anormal au niveau du genou droit. , Cette nouvelle autopsie nous paraît très confirmative des deux hypothè- 44 PIERRE M
e primordiale et capitale au niveau de la hanche nous a précisément paru être l'ossification du bourrelet cotyloïdien. Il
de son ménisque n'est pas une preuve contre la pathogénie qui nous paraît très vraisemblable ; car aucune ostéo-arthropat
de pou- voir faire la coupe, a pu constater avec nous combien l'os paraissait friable, presque sectionnable au couteau. Loi
Toutes ces ossifications, localisées dans une seule et même région paraissaient bien être la conséquence de ruptures ligamenteuse
ement, de frac- ture ou de destruction. , 3° Un seul procédé nous paraît recommandable sans hésitation ; c'est celui qui
18 ans. Jante : Est venue au monde d'un accouchement gémellaire. Il paraît qu'elle était assez développée, et qu'elle marc
our retomber dans l'excitation maniaque sans transition, à ce qu'il paraît , d'un état normal ; et il se trouvait encore ex
nt même quelques réserves nécessaires, ce bienfait partiel et léger paraît indiquer que le corps thyroïde n'est pas seul res
t, à mes yeux, nier l'évidence même. L'augmentation de la taille me paraît donc être subordonnée, dans une large mesure, à
ntre eux de grandes affinités, des rapports très intimes, puisqu'il paraît , jusqu'à plus ample informé, qu'ils tiennent de l
ppement supérieur à celui qui corres- pond avec l'âge. La spongiose paraît contenir moins de substances calcaires. Au radi
découvert pendant quelque temps pour un examen électrique exact. Il paraît donc justifié de parler de douleurs rhumatismales
que je voudrais considérer la ma- ladie do notre garçon. Quoiqu'il paraisse étrange qu'une des localisations les plus const
l le pancréas ou particulièrement les îlots de Langerhans .le sucre paraît dans l'urine, mais la glande thyroïde s'agrandit
au lit, en des points où les couvertures n'avaient aucun contact II paraît rationnel d'attribuer pour la plus grande part la
r sa fonction visuelle pour les activités dans lesquelles la vue ne paraît pas en jeu. L'utilité des appareils adjuvants d
nvexe de l'oeil sur les statues de femmes, également éclairée, fait paraître toute la figure douce et tranquille. Simultan
, fonction d'un affai- hlissement général de l'organisme. Il nous a paru intéressant de rapporter un cas de scoliose de
rtantes (1). C'est un cas de ce genre que nous rapportons ; il nous paraît intéres- sant à cause des phénomènes du côté du
naires (pleurésie, bronchites répétées) dont l'ori- gine bacillaire paraît probable. Sa mère, âgée de 48 ans, offre les stig
ise ; elle y met une lenteur toute particu- lière et ses jambes lui paraissent toute raides. Cette raideur diminue lorsque la
: il faut ajou- ter que ce clonus constaté à plusieurs reprises ne paraît plus exister actuel- lement. Le signe de Babins
ces dernières années ; comme chez ces malades, la lésion cardiaque paraît bien être congénitale et ne s'être révélée que
aux pyramidaux ? L'hypothèse d'une sclérose acquise et récente nous paraît la moins sédui- sante,la bacillose légère prése
n état géné- ral fut excellent ; elle consommait toute sa ration et paraissait n'éprouver au- cune souffrance, puis, du jour a
t qu'un seul kyste et pesait 70 grammes. (Les lésions rénales ne me paraissent avoir aucun rapport avec les nombreu- ses tumeu
réaction réflexe. Mais certains sujets atteints de troubles mentaux paraissent agir sans excitation locale préalable ; j'ai dé
urent la peau en se grattant. Chez nos sujets la trichotilloma- nie paraît être un phénomène rélléchi et non pas spontané.
n générale du pulvinar. Un peu en avant, le corps genouillé interne paraît légèrement pâle en raison de la dégé- nérescenc
miques ne reconnaissant aucune distribution particulière. Cela nous paraît quelque peu exagéré ; qu'il en soit ainsi au ni-
ement sur la considération des fibres d'asso- ciation ; cela nous a paru indispensable à l'élucidation d'un sujet fort com
érinévrite et de l'endonévrite ; les fibres de la racine antérieure paraissent intactes, tandis que la racine postérieure a perd
plus inférieures ; les racines qui pénètrent au niveau de la coupe paraissent absolument saines ; la moelle n'est pas atrophi
sitives varie tellement que, dans certains cas, les fibres motrices paraissent com- plètement intactes, tandis que dans d'autr
peut sortir lésée du foyer inflammatoire, même dans des cas où elle paraîtrait avoir résisté d'une façon absolue, si l'on s'en
ique, où Ramon y Cajal les a décrites comme des organes auxquels il paraissait diffi- cile d'assigner une fonction précise. Ce
ces trois modes d'origine, celui qui se fait au niveau du glomérule paraît être le plus fréquent; la naissance des fibres di
ncipiens (obs. III) les fibres nouvelles naissent isolé- ment et ne paraissent pas se ramifier beaucoup (Pl. XXXVI, fig. 6). D
m'a pas été possible d'y déceler de neurofibrilles ; leur substance paraît homogène ou granuleuse. Certaines d'entre elles
us rappro- chée du ganglion; mais, bien que les espaces conjonctifs paraissent libres, aucune ne traverse le foyer de névrite
ir là une influence qui les arrête complètement, et cette influence paraît être la même que celle qui a produit la destruc
éalité chez l'homme nor- mal ou tout au moins dans des cas où elles paraissent complètement indé- pendantes de l'affection don
hien, dans certaines circonstances, sans que le tissu de cet organe paraissent autrement lésé (Cajal). Il est donc certain que
ur établir définitivement le bien-fondé de cette hypothèse, qui m'a paru être suffisamment étayée par des commencements
i se présentent sous des aspects divers assez faciles à distinguer, paraissent être toutes en régression. Nulle part, en dehors
A l'asile on le considéra d'abord comme paralytique général, ce qui paraissait justifié par le status et les anté- cédents (ga
us particulièrement des faisceaux d'association. Ceux de projection paraissent avoir peu perdu. Le corps calleux est fortement
u pôle frontal. Thaï, opt., noyaux caudés et noyaux lenticu- laires paraissent normaux. Le nombre des cellules nerveuses de l'
sions et une partie des symptômes corpo- rels présentés par B... me paraît hors de doute. 1. Par obstruction de l'aqueduc
rfois en dehors et sa pupille est dilatée. La réaction à la lumière paraît abolie des deux côtés, mais l'examen est fort dif
lanche sont seules régulièrement entourées d'une zone vacuolée, qui paraît augmenter avec les dimensions du cancer et son
nées. Ecorce (Coloration au carmin en bloc et rouge de Magenta). Ne paraît pas altérée jusque vers le maximum d'extension
de la substance blanche sont notablement plus étendues que là. // paraît logique d'admettre que les néoplasmes se développ
eaux de projection par rapport à ceux d'association ? 2. L'épendyme paraît réagir à l'augmentation de pression par un. épais
ssons aucun exemple dans le sexe masculin), cette affection ne nous paraît pas avoir beaucoup attiré l'attention des médecin
avons pratiquées chez le vieillard dont, cliniquement, les muscles paraissaient sains, nous portent à penser au contraire, que
ent plus ou moins grossièrement atrophiés. De plus, et ce fait nous paraît primordial, on peut observer des vieillards attei
ffaiblissement et limitation de l'activité intellectuelle) si elles paraissent être des conditions importantes au développement
es, les omoplates déchar- nées. Sur les membres les articulations paraissent énormes, relativement au reste du membre.Cela n
atiques épaissies. En de certains endroits, chaque fibre musculaire paraît isolée, entourée qu'elle est par une lame conjo
propos. Quanta l'infiltration adipeuse si souvent rencontrée, elle paraît résulter de la transformation adipeuse des élém
mais on ne trouve d'infiltration embryonnaire périvas- culaire,nous paraissent devoir être remarquées, car elles n'arrivent jama
tées, ligamentaires et capsulaires surajoutées. La densité osseuse paraît dimi- nuée ; elle le serait moins, d'après M. F
des membres supérieurs sont également exagérés. Les sensibilités paraissent absolument intactes (nous devons dire que le ma-
bles psychiques s'accentuent dans le sens de la démence et le genou paraît se dévier davantage quand le malade est debout.
use fut un prodrome. Dans ces deux cas, les arthropathies nerveuses paraissent bien avoir évolué, non parce que les malades ét
n'en est pas de même dans notre observation dont la pathogénie nous paraît encore fort obscure. xix 19 SOCIÉTÉ DE NEUROL
no-cléido-mastoïdien gau- che : cette tumeur sonore à la percussion paraît être due au poumon fai- sant hernie pendant les
ditaires. - Père imparfaitement connu : était officier de marine et paraissait jouir d'une santé robuste. Mère nerveuse, impre
ciété de biologie (5) nos premières constatations, et simultanément paraissait la thèse de Koster sur les (1) Joseph, loc. cil
ins nombreuses que du côté opposé ; coupées transvei salement elles paraissent noimales (même technique, obj. 4, ocul. 2). F
par Van Gehuchten (1), par Nissl, par Marinesco (2). La même année paraissait la thèse de Bonne (3), qui, au bout de 9, 30, 42,
ace occupée par les cel- lules disparues, et l'ensemble du ganglion paraissait légèrement réduit de vo- lume. Quant aux fibres
sions véritables doit être fixé seulement au quatrième mois, où ap- paraît la diminution générale de la grandeur des cellule
me de volume réduit dans son ensemble. Les lésions, par contre, lui paraissent toujours être restées diffuses, sans localisation
du tissu conjonctif. Le nombre des cellules, enfin, nous a toujours paru compa- rable des deux côtés, et nous n'avons ja
du chat V, survie 338 jours). Les cellules ganglionnaires nous ont paru bien conservées, sans diminution de leur volume
usement juger de l'état du cylindraxe, mais la gaîne protoplasmique paraissait en différents points augmentée. Ces lésions, ta
ois, nous nous trouvons en face de cette question et le moment nous paraît venu de chercher à la résoudre. Etat du bout
erfs périphériques. ' Les fibres régénérées du bout médullaire nous paraissent succéder aux fibres fines, que nous avons vues
médicale, 18 avril 1906. (2) Voir à ce sujet l'article de NAGEOTTE, paru dans le numéro précédent de la Nouv. Icon., art
° mois, dans le bout ganglionnaire des racines sectionnées. Il nous paraît très probable que certaines des dégénéres- cenc
vent-elles être expliquées de la même manière ? C'est ce qu'il nous paraît difficile d'admettre. On comprendrait mal, en e
n grand nombre de fibres motrices dans les troncs mixtes doit faire paraître les autres fibres moins nombreuses, et d'autre
fets doivent être également différents. Une conclusion ferme nous paraît prématurée, mais nous croyons cependant que les
régénératif, enfin des altérations cellulaires du tabes. Elle nous paraît s'exercer non seulement sur l'ensemble du proto-n
écrites, à cette époque, comme partiellement atro- phiées, nous ont paru rester normales en nombre et en dimension. 5° U
acine anté- rieure, pour chacune des racines sectionnées lesquelles paraissent aboutir aux 3e, 4e et peut-être aussi aux 2° et
li- niques, n'ont pas eu encore le loisir de se tasser, ce qui fait paraître les fais- ceaux plus volumineux, et par suite l
rent du pôle périphérique de ces ganglions. Les racines sectionnées paraissent avoir été celles des 2eue et peut-être 2e et 5e s
e la sensibilité de la main droite et de la jambe gauche. Enfin ap- parurent une contracture dans la jambe droite, le clonus d
is l'observation qui a fait le sujet de la thèse de M. Long ne nous paraît pas suffisamment concluante pour en dé- montrer
puis ont reparu de temps à autre. L'histoire de sa maladie actuelle paraît remonter à 1891. A cette époque il éprouva de f
mes nerveux. La critique que Rumpf fait à cette observation ne nous paraît pas détruire sa valeur fondamentale. La symptom
entendit et comprit très bien la musique jouée devant lui. En 1885 parut le livre de Stricker (3) sur le mécanisme psych
le de reconnaître les sons et les mélodies qu'il entend, et qui lui paraissent n'être plus que des bruits dépourvus de tout cara
musie senso- rielle, et bien qu'elle perçoive les sons musicaux, il paraît qu'elle les apprécie plutôt comme des bruits qu
protubérantielles sont loin d'être très communes, aussi nous a-t-il paru intéressant d'en présenter deux exemples. Ces cas
e l'os a subi une prolifération d'origine périostique. Souvent il paraît se joindre à ces déformations des irrégularités d
es articulations par du tissu dur. Mais le type de P. Marie et Léri paraît surtout caractérisé cliniquement par des subluxa-
et de l'oligurie. Ces symptômes sont survenus progressivement mais paraissent avoir été exagérés par un refroidissement ces jou
re est en rapport avec l'âge du sujet, les facultés intellectuelles paraissent être adéquates à sa situa- tion sociale. Le m
cerveau, la moelle et les nerfs périphériques étaient intacts. Il paraît donc logique d'invoquer une fois de plus un troub
à l'écart d'une semblable manifesta- tion. C'est pourquoi il nous a paru opportun de reproduire ici l'oeuvre d'art exécu
n médecine qui concourait alors pour l'in- ternat et dont le succès paraissait certain (il fut effectivement nommé le troisièm
de la moelle, décri- vant ainsi une sorte de capuchon.Ensuite, elle paraît étranglée au niveau de sa partie moyenne là où
ues, représentent des espèces de fibroblastes, d'autres fois, elles paraissent rondes, on ne voit alors que le noyau, enfin elle
de volume,de sorte que les deuxième et quatrième segments lombaires paraissent confondus au premier abord. Par suite de cette
- 436 ' MARINESCO ET MINE A cile.Les méninges sont normales et ne paraissent pas épaissies. Rien à noter du côté des racines
continuent leur trajet plus ou moins oblique, mais un grand nombre paraissent coupés transversalement. Ces faisceaux isolés o
s entre les cellules de cet épithélium. Les fibres sont fines et ne paraissent pas suivre un trajet régulier et se rami- fient
strabisme, les réactions pupillaires sont normales. L'intelligence paraît intacte par rapport à l'âge de l'enfant. L'exam
ulaires sont difficilement perçues; aux mollets, par exemple, elles paraissent complètement disparues et remplacées par un tis
e d'apnée qui nécessite la respiration artificielle. 15. L'enfant paraît plus vif, et les mouvements des orteils ont acqui
imple très marquées. Il existe quelques fibres d'aspect normal, qui paraissent saines, mais la presque totalité présente des m
u muscle jumeau interne, mais sur les coupes examinées, ces lésions paraissent encore plus marquées. Il n'existe aucune fibre sa
le malade s'étant refusé à toute investigation biopsique, il nous a paru intéressant de rapporter l'histoire clinique de c
s appareils fonctionnent normalement. Motilité. La force musculaire paraît assez bien conservée dans les différents segmen
ré- senté. La crise est annoncée par de courts prodromes : le chien paraît anxieux, piétine quelques instants, puis brusqu
dales et l'accolement à ces cellules de petites cellules rondes qui paraissent être des lymphocytes. Pas de lésions méningées.
niques et intellectuelles. ' La malade que nous présentons nous a paru rentrer dans le groupe des dystrophies acquises
s ac- tuellement stationnaires et datant probablement de l'enfance, paraissent être dues, comme l'augmentation de volume du cr
ombreuse des documents médico- artistiques pour la grande part déjà parus dans cette revue. Un distique latin, qui s'éten
x pieds sont nettement atrophiés ; pour les interosseux, l'atrophie paraît moins prononcée. Les muscles des deux jambes 48
ble de celui de l'état ordinaire et très durs' la palpation. Ils ne paraissent cependant pas sensiblement plus douloureux à la
veux,des muscles et des nerfs. , Examen macroscopique. Le cerveau paraît absolument normal. Ce qui frappe le plus, quand
e), il existe tous les intermé- diaires. Par contre quelques fibres paraissent augmentées de volume, hyper- trophiées ; enfin
autres, sans entrelacement : le tissu conjonctif inters- titiel ne paraît pas manifestement proliféré. Sur d'autres groupes
nes antérieures depuis la moelle jusqu'à la péri- phérie, il nous a paru intéressant de diviser une racine en deux segment
ue des racines de tabétiques, si ce n'est que les gaines de Schwann paraissent plus grosses, les noyaux plus gros et plus nomb
amas de gros noyaux ou de tissu con- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent constitués par une fibre nerveuse entou- rée de
tou- rée de tissu conjonctif. ' En résumé,les fibres radiculaires paraissent souvent engainées dans un man- chon de tissu co
les mêmes considérations que pour les nerfs, moteurs ; les lésions paraissent d'autant plus jeunes qu'on se rapproche davantage
u de la deuxième et de la première sacrées, les racines antérieures paraissent plus volumineuses dans leur trajet médullaire e
nuent en remontant vers la racine des membres et, leur distribution paraît appartenir à la topographie périphérique. Nous di
tion paraît appartenir à la topographie périphérique. Nous disons « paraît » car chez la soeur de ce malade, examinée en 189
s que nous avons observés jusqu'ici, la domaine du facial supérieur paraissait encore intact. Nous ajouterons enfin que chez t
scence wallérienne n'a été constatée nulle part et les gaines vides paraissent plus épaisses que dans les dégénérations de ner
de 506 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS C'est qu'en effet dans un travail paru en 1894, Marinesco ('1) a soutenu que la névrit
L'étude des racines antérieures et des nerfs, après la compression, paraît avoir été négligée jusqu'ici. Enfin, rarement,
des cylindres-axes, épaississe- ment de la névroglie,' lésions qui paraissent pouvoir aller jusqu'à la myélomalacie, indépend
des traces dou- teuses d'oedème cortical : toutes ces lésions nous paraissent dues à la néphrite et à l'artério-sclérose plut
ts nécrosés : plusieurs sont comme enchâtonnées dans la moelle, qui paraît s'être gonflée. La moelle est atteinte de myélo
t les auteurs, pouvoir être rapportées à l'oedème de la moelle, qui paraissait net dans l'observation VI. D'ordinaire, les esp
l'observation X). A l'autopsie, en effet, l'englobement des racines paraît tout aussi marqué dans l'observation XI, pour l
pigmentation, lésions d'apparence banales; les racines antérieures, paraissent saines. Comment expliquer la réaction de dégéné
ce pour les zones radiculaires. En dehors de la moelle, les racines paraissent intactes. Cas. XIV (n° 870). Tuberculose vertéb
s les cas, mais, le plus souvent, les Irons de conjugaison nous ont paru sains, pas notablement rétrécis par des fongosité
vé, englobées dans le foyer épidural, des racinesqui, cliniquement, paraissaient indemnes ; dans l'observation VIII, les signes
ar le plexus sacré. Pour les racines postérieures qui, cependant, paraissent , d'ordinaire plus atteintes que les antérieures
a moelle avec déformation accentuée. Hormis ces cas, elles nous ont paru saines, lorsque le processus tuberculeux seul e
conservée. Les pupilles égales réagissaient normalement. L'audition paraissait dimi- nuée des deux côtés. Quelques jours ava
le système visuel central. Le second grief émis contre nous ne nous paraît qu'une adroite redite de la part du distingué p
en une seule cou- che mal différenciée. Cette explication nous a paru nécessaire, car il est fait mention de « seg- m
ations thalamiques et faisceau longitudinal inférieur). » Cela nous paraît très important, car nous savons que certains ra-
sectionnait pas les couches sagittales de la région. » Ce cas nous paraît fort précieux et nous rappelle la lésion assez an
re plus précis encore, nons ajouterons la formule inverse, qui peut paraître dogmatique mais qui n'en est que plus utile : « à
'ap- pui de notre thèse, quelques considérations nouvelles qui nous paraissent dé- montrer que le faisceau optique central pos
n° ` ? ` ? et Nouvelle Ico- nog., 1906, n° 2, p. 201), et elle nous paraît encore suffisamment claire. Il ressort nettemen
n (Rev. Neurol., 1905, no 22, p. 1064-1065). Mais tout cela ne nous paraît pas indispensable, car bien que nous n'admetton
it comparable au centre moteur cortical. Cette manière de voir peut paraître étrange, mais il faut bien dire.que les noyaux
faisceau optique central est sensiblement moins volumineux qu'il ne paraît . La configuration de l'hémisphère prête à l'illus
28 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
outefois négliger d'indiquer le lien de parenté qui les unit et qui paraît leur mériter, sinon' une place à part dans les ca
ubital. Dans notre observation II, on est frappé de la relation qui paraît exister entre le début de l'affection paralytiq
asionnées, elle n'a pas souffert. La peau des mêmes doigts est lisse, paraît épaissie et rétractée. Les ongles sont sains. I
sont sains. ' ' z -' Dans le cas qu'on vient de lire le traumatisme paraît avoir-joué'un rôle prépondérant quoique indirec
on- tant à trente-quatre ans. L'influence de ce traumatisme m'avait paru , a priori, très contestable : il est peu admiss
guments décisifs, nous établirons toutefois les inductions que nous paraît autoriser la seule étude clinique sur la nature
ammations chroniques des nerfs. De plus, quelque peu acceptable que paraisse ci priori l'hypo- thèse de névrite symétrique p
affecté symétriquement. C'est pourquoi, quelque caractéristique que paraisse le tableau clinique si uniforme dans chacune de
née est souvent altérée. Dans un cas (observa- tion I) l'anesthésie paraissait nettement limitée aux filets descendants du fém
es lésions que les malades attribuaient à l'action du froid, et qui paraissaient être en effet des gelures, mais celles-ci avaient
(fig. 19). - Le malade est de moyenne grandeur (104 centimètres), paraît anémique, se trouve dans un état de nutrition s
triation longitudinale nette ; en comparai- son avec les doigts ils paraissent un peu petits. Les avant-bras paraissent auss
son avec les doigts ils paraissent un peu petits. Les avant-bras paraissent aussi un peu épaissis, quoique a une lapon moins
ui est plus pro- noncée dans les parties périphériques. Les cuisses paraissent tout à fait nor- males ; les jambes présentent
es et du palais par- tout hypertrophiée. Les cartilages du larynx paraissent peut-être un peu volumineux, surtout FIG. 20 (O
a partie moyenne, la langue étant tirée. ' Le palais et la luette paraissent manifestement volumineux, cette dernière 1"1(;.
es extenseurs à l'avant-bras, muscles dont le volume est exa- géré, paraissent plutôt affaiblis. - Dynamomètre à droite 12°; à g
ate, de fer, extrait de quinquina. Lorsque la malade sortit, elle paraissait notablement améliorée, elle se- servait plus ai
ance, oui et non, et cela se comprend. ' , . La science de Mesmer paraissait en effet si merveilleuse, les effets qu'il obte
à l'argent qu'aux faveurs de ses clientes. Quelques jours plus tard paraissait un autre rapport de la Société royale de médeci
démasqué. De la main droite il magnétise la lune, ce qu'il s'était, paraît -il, vanté de pouvoir faire. La lune, à son tour
uvrir. , Derrière le fauteuil sur lequel il s'appuie, un spectateur paraît beaucoup plus s'intéresser aux tentations du sa
un phlegmon de la main, dont l'ouverture au bistouri ne causa pas,- paraît -il, de douleur apparente. Elle tomba à ce momen
es yeux couverts d'un bandeau qn'elle maintient avec sa main ; elle paraît terrifiée et nous avoue qu'elle a vu depuis tro
ent. Il n'existe d'ailleurs ni contracture, ni raideur. L'attention paraît jouer dans le phénomène un rôle important, car
et qui, dans les circonstances où elles se sont produites, ne nous paraissent pouvoir être considérées que comme des troubles
89, par M. Gilles de la Tourette, chef de clinique. - Cet article a paru dans le Progrei médical, n° du 19 janvier 1889.
ignement et la difficulté de se faire conduire à l'hôpital nous ont paru surtout à invoquer. Les quatorze autres ont res
néral s'améliore, le sommeil devient meilleur, ce qui ne nous a pas paru devoir être uniquement attribué à la disparitio
és ont été améliorés à des degrés divers, l'amélioration nous ayant paru en rapport avec la durée du traitement Un seu
cas, le traitement peut être institué avec confiance, car il nous a paru toujours, lorsqu'il est convenablement appliqué,
les séances quotidiennes étaient plus nuisibles qu'utiles. L'heure paraît importer peu; la régularité dans les séances es
t, « le traitement peut être institué avec confiance, car il nous a paru toujours, lorsqu'il est ' convenablement appliq
atalement sur le vivant. Quand aux ano- malies musculaires elles ne paraissent pas avoir attiré l'attention même sur les cadav
crises convulsives qui n'ont pu être observées, et 34 vertiges qui paraissent varier considérablement, tan- tôt il tourne sur
avant par aucune saillie,- par1aucÍ.lli tendon.' Le -grand pectoral paraît donc absent. Cependant il est représenté par un f
édius droit a 8 millimètres de plus que le gauche. Les deux cubitus paraissent égaux. La demi-envergure mesurée de la ligne mé
e par le maxillaire inférieur, fait, par ses dimensions colossales, paraître le crâne proprement dit trop petit, elle est fo
sont assez maigres, les mollets sont flasques. La région du bassin paraît plus large que normalement. Le mont de Vénus tr
e un certain Mondor et la belle Agiaé auprès de laquelle ce dernier paraît devoir être supplanté par un jeune abbé fort ga
ent magnétisés ! Et les effets qui se produisaient alors n'étaient, paraît -il, guère plus anodins que ceux que l'on observ
de la gorge eut complètement disparu, on put de nouveau faire dis- paraître l'aphonie par suggestion pendant l'état hypnotiqu
uscles antagonistes, le rele- veur de la paupière et l'orbiculaire, paraissent intéressés par suite d'un trouble complexe diff
nos efforts aidés surtout par la suggestion ont bien pu faire dis- paraître momentanément le spasme, mais jamais d'une façon
ourcissement n'est qu'appa- rent. t. Les muscles du cou il gauche paraissent raides et tendus sans que cette contracture occ
sure de faire un examen complet; toutefois cette observation nous a paru digne d'être signalée, parce qu'il s'agit d'une
ient complètement abolies, puis tout rentra dans l'ordre, et la santé parut être aussi parfaite qu'avant l'accès. A trois
ble digestif. La nuit, en dehors des accès, la phase d'exci- tation paraît se calmer et il dort d'un profond sommeil. Peu
aît se calmer et il dort d'un profond sommeil. Peu dt peu les accès paraissent diminuer de fréquence, et ils ne se montrent bi
ce de poils que sur le thorax. Le muscles y sont bien développés et paraissent puissants; cependant la pres- sion d'un dynamom
volume égalait à peine celui d'une petite noix. Le testicule droit paraît être plus élevé et situé sur un plan plus antér
nibles dont il s'acquitte parfaitement. Quant au sens génésique, il paraît complètement aboli. Jamais d'érection en dehors
l rit continuellement et sans cause. Aura. Au moment de l'accès, il paraît avoir de l'hyperacousie, il prétend qu'il enten
us antérieurement en rêve à la suite d'accès. Aujourd'hui le malade paraît ne pas être certain de ce qu'il avance ; il rép
'anomalie la plus intéressante chez ce malade, est une anomalie qui paraît exceptionnelle. Demar- quay, dans son Traité de
verge très petite. Notre malade est microrchide. Cette anomalie ne paraît pas exister à l'état d'isolement, elle est par
volume que présentait extérieurement le crâne. Tandis que celui-ci paraissait volumineux et allongé dans le sens du diamètre an
d'habitude d'avant en arrière, de sorte que les fosses occipitales paraissent être presque au même niveau que les fosses ANAT
rt, par J. M. Charcot (de l'Ins- titut) et Paul Richer qui \ient de paraître à la librairie Lecrosnier et Babé. 2. Nous avon
nous assure ( de la réussite de l'opération. Le patient d'ailleurs paraît peu inquiet; - : . il lui abandonne son bras dr
femme assise présente son bras au médecin qui lui tâte le pouls et paraît fort perplexe. Jan Steen, pour aider au spectat
i attend avec anxiété le résultat du remède. C'est d'un cordial que paraît avoir besoin la malade, dont les traits sont bien
es plus au temps où l'histoire de la paralysie générale des aliénés paraissait faite et parfaite, où ce groupe symptomatique p
es aliénés paraissait faite et parfaite, où ce groupe symptomatique paraissait nettement constitué en une maladie à types fixes
faits suivants où on trouve quelques troubles trophiques qui m'ont paru dignes d'intérêt, mais dont la cause anatomique
aits : une observation de Biture et Bonnet a eu la bonne fortune de paraître très démonstrative à cet égard; mais ce n'est pas
r. » Pendant près d'un an les symptômes ne changent pas, la maladie paraît rester stationnaire. 1,t mai 1887. Le malade
11 juin. Le délire mélancolique continue toujours; l'état de sa santé paraît surtout le préoccuper, il se plaint continuelle
ectiforme, cependant, depuis quelques jours, il fait sous lui et ne paraît pas avoir conscience de son état. Poids riz Idi
ucune douleur. 23 avril. Le faciès du malade exprime l'hébétude, il paraît indifférent il tout ce qui se passe autour de l
uche est plus petit que le droit, la pommette est moins saillantect paraît aplatie. Le nez est dévié vers la gauche, le fr
notre malade, l'examen de la sensibilité est presque impossible. Il paraît cependant réagir à la douleur lorsqu'on le pique
tactile, au goût, à l'ouïe, on ne sait s'ils sont altérés. L'odorat paraît notablement affaibli ; un flacon d'ammoniaque p
notablement affaibli ; un flacon d'ammoniaque placé sous le nez ne paraît occasionner aucune sensation pénible. On ne peu
st absolument sèche. Les masses musculaires des cuisses et des bras paraissent diminuées de volume, même à l'état de contracti
t de contraction, elles présentent un certain degré de mollesse. Il paraît y avoir un léger degré d'atrophie. L'articulati
tion, mais un empâtement de la région. Cette augmentation de volume paraît porter sur les extrémités articulaires des deux o
'étais chargé de la consultation externe,, suppléant M. Falret, m'a paru digne d'être rapporté tel qu'il a été résumée par
on externe do la Salpêtrière. Le début de la maladie de Mme II... paraît remonter il un an. A celte époque la malade dit
n léger tremblement lorsque le bras est étendu. La force musculaire paraît conservée. Les pupilles sont également et moyen
complète et une aphasie complexe. Il ne pouvait proférer aucun son, paraissait écouter ce que l'on disait, se retournait au brui
ars 1888, le membre inférieur gauche fut affecté à son tour. Il lui paraissait lourd et comme engourdi, dès lors elle commença à
E LA SaLl'1 : 'l'I.IÈIiE. La sensibilité cornéenne et conjonctivale paraissent normales ; la langue est insensible dans sa tot
de la face, et très probablement sous sa dépendance. Ces faits nous paraissaient intéressants et nous allions àla recherche d'au
auche est large et souple. La com- missure gauche est normale, elle paraît toutefois légèrement entr'ouverte, mais par opp
la courbe appelée Cycloïde ou Roulette. Un jour, sa névralgie dis- paraît subitement, mais les maux de tête reprennent de p
is ou si c'en avait été l'effet. A l'ouverture de la tête, le crâne parut n'avoir aucune suture si ce n'est peut-être la
lement légèrement dé- jetée du même côté. « Les globes occulaires paraissent égaux et également saillants; mais l'arcade orb
lies de la partie gauche du visage. Il faut ajouter que le front ne paraît avoir subi aucune déformation et que son développ
lle sentit une douleur intense dans la hanche droite. Cette douleur paraît avoir persisté plusieurs jours. Pendant qu'elle g
ysmes épileptiques sous toutes leurs formes. Le fait suivant nous a paru mériter quelque intérêt. OBS. - Le nommé Arthur
II, 1" 3U. SUR UN CAS D'ÉPILEPSIE. 215 C'est en 188 que le malade paraît avoir ressenti pour la première fois une aura p
simple. Il est donc permis de n'omettre aucun détail, au risque de paraître fastidieux. Face externe du crâne. Les sutures,
ouronneau le diagnostic d'hémiplégie hystérique. Toutefois, il nous paraît nécessaire d'insister encore quelque peu pour écl
pas de secousses fibrillaires,. 3° l'excita- bilité idio-musculaire paraît normale ; /in la contractilité électrique est d
258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. jours, sans pour cela, paraît -il, se griser outre mesure; travaille régulière-
Des médecins, on en a vu des malins, qui se disent t malins, ou qui paraissent l'être... Il y en a un... on pent bien le nommer
blement le godet de l'oedème. Le tissu aréolaire de la jambe gauche paraissait plus ferme que celui de la jambe droite. On l
r dans l'espèce : c'est un gonflement dur; mais l'ex- pression nous paraît consacrée par l'usage qui a force de loi. La pe
stérique semble devoir se limiter. La station debout prolongée ne paraît pas l'augmenter : dans notre observation III (C
age. Sa durée peut être fort longue (deux ans et plus, obs. I) elle paraît surtout subordonnée à la marche de la paralysie
vec anesthésie géné- rale. L'amaigrissement de la malade ne m'a pas paru beaucoup plus grand que lorsque vous l'avez vue
hronologique dans lequel ont été faites nos observations, il nous a paru intéressant de donner tout d'abord l'analyse d'
dure 3 jours et se rapproche à un tel point du précédent qu'il nous paraît inutile de donner le détail des analyses. Elle ma
t. , Pour toutes ces raisons, disons-nous, cette observation nous a paru intéressante et mériter d'être publiée. Schwe
29 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
IONS DE LA PUBLICATION LA NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE paraît en six. fascicules annuels PRIX DE L'ABONNEMENT
surtout remarquables et caractéristiques. Tandis que l'olive droite paraît tout il fait normale et ne ren- ferme peut-être
tre les deux côtés. Le nombre de celles qui vont de gauche à droite paraît toutefois un peu plus petit que celui des fibres
(noyaux vestibulaires) à droite et à gauche. Les stries acoustiques paraissent mieux développées à gauche qu'à droite dans les
e les restes du pédoncule cérébral, qui sont normalement conservés, paraissent former la partie basale de la protubérance en a
nterne et externe à droite ne renferment pas de foyers primaires et paraissent normaux. Le faisceau Bath de Forel est diminué
e entre les noyaux des couches optiques à droite et à gauche. Il ne paraît donc pas qu'une lésion homolatérale du thalamus
de 7 centi- mètres sur le plan de la région sternale supérieure qui paraît normale. Le ver- NOUV. Iconographie DE la SALP$
issu musculaire. A l'oeil nu les masses musculaires ne nous avaient paru modifiées ni comme forme ni comme couleur, ni c
uvelles observations ont été rapportées dans la thèse de Lucien Tapie parue récemment. (26 décembre 1899) et inspirée par M
ucun changement dans l'état de S... pendant ces quelques mois, il a paru plus clair de ras- sembler tous les résultats.
olongée, ont provoqué le tympanisme. La condition la plus favorable paraît être un travail de couture un peu prolongé. Le
si fortement accusés chez notre sujet. Le seul diagnostic qui nous paraisse mériter discussion dans le cas pré- sent est ce
stif par l'une ou l'autre extrémité, du gaz dont la tension pouvait paraître pathologique et à l'aire accepter des diagnosti
l'intérêt du malade, comme l'intérêt du fait rapporté ne nous ont pas paru légitimer ces manoeuvres qui peuvent devenir no
l apporterait à la circulation veineuse. Toutes ces hypothèses nous paraissent s'accorder insuffisamment avec la rapidité de l
ves très serrées. D'une façon concluante, les boyaux serpentins qui paraissent à peu près isolables sont constitués par un mél
es relèvent de l'histoire et de la critique médicales. Au risque de paraître trop osé, on peut donc les aborder,, avec toute
- Ses antécédents héréditaires sont à peu près inconnus. - Elle ne paraît avoir fait aucune maladie avant celle qui l'amè
un mois avant son entrée à l'hôpital, cette fille était, à ce qu'il paraît , tout à fait bien porlante. C'est alors qu'un b
. Mais à part ces réveils provoqués, elle en avait de spontanés qui paraissaient produits par la faim, cardans ces cas elle dema
ensibilité sensorielle n'est pas intacte partout tant s'en faut. Il paraît y avoir un certain degré d'anosmie droite,mais c'
iminuée. Elle se sert tou- jours delà main et du bras gauche ce qui paraîtrait indiquer une paralysie du côté droit. A l'exame
e note pas de différence considérable des deux côtés, mais le droit paraît bien le plus faible. A la face, rien. Jamais de
t quelque peu rejetés des deux côtés surtout le droit ; mais ils ne paraissent pas altérés. Les nerfs optiques à leur naissanc
NGÉ PENDANT SEPT MOIS 105 mais il n'y a aucune adhérence, les nerfs paraissent absolument intacts et ne sont pas même déviés d
Le malade est difficilement ré- veillé ; quand on le réveille il ne paraît recouvrer sa conscience. Il ne re- devient pas
e sommeil. Cependant les paroles de M. Ballet en commentant le cas, paraissent in- diquer qu'il s'agissait bien de coma. Du re
nts héréditaires, ni personnels impor- tants. Vue en 1896 la malade paraissait souffrir depuis 6 ou 7 ans. Pendant les quatre
la proposition de Leclerc.De toutes façons l'histoire de ma malade paraît la contredire. Un mois avant l'examen pra- tiqu
errasrtr (îe m¿rÙ- cine de Bordeaux de 1887 (5). En juillet 1886, paraissait aussi dans la Revue de mérlecine'. le traira EX
ées dorénavant sous le nom de cas de Pitres et Vaillard. En 1888, paraît , en Allemagne, un second mémoire de G. Kroenigf/)
us cer- tains que l'observation de Gombault et Malle ! . En 1891, paraît la thèse inaugurale de Monsarrat sur les scoliose
Au- ché : il rapporte même in extenso l'analyse de cette dernière, parue dans la Revue des sciences médicales de 1887. I
son formé par la réunion de ces deux vertèbres. Enfin tous ces os paraissent avoir subi de profondes modifications dans leur
s saillies sous la peau. Au- dessous, la région sacrée est plane et paraît enfoncée. 'Au-dessus, la cyphose se continue en
ndres divi- sions jusqu'à l'intérieur de la substance cérébrale qui paraît comme injectée. A la face interne de l'hémisphè
n osseux. Les bords de la cavité articulaire manquent de netteté et paraissent le siège d'altérations qui ont atteint les région
d'un tissu osseux compact. La seconde, de dimensions plus grandes, paraît formée de lamelles osseuses irrégulières que l'
relati- vement clair, de 2 ou 3 centimètres de largeur moyenne, qui paraît occupé par un tissu osseux raréfié, ou bien par
hilitique de voisinage qui l'englobe ou le comprime ? tette théorie paraît bien vraisemblable pour la paralysie faciale qu
nt M. Gaucher a apporté des observations de névrite cubitale qui ne paraissent pas expli- quées par ces divers mécanismes, mén
i disparaît bientôt toute seule. Les injections solubles de mercure paraissent améliorer la paralysie de la main droite qui ré
iodo-mercuriel intensif et au régime lacté. En résu- mé, le malade paraît être très sérieusement syphilisé. Du côté du sy
es extenseurs propres de l'index et du petit doigt. Elle avait dis- paru dans le long supinateur ne laissant plus que de t
ussitôt, la diversité telle du tableau décrit par les auteurs qu'il paraît difficile d'écrire la symptomatologie de 102 U.
e la Tourette), dans un troisième groupe enfin les polynévrites qui paraissent exclusivement causées par la syphilis (2 cas pe
gravité particulière de la syphilis. Cependant notre premier malade paraît avoir été singuliè- rement infecté par le virus
te multiple syphilitique, nocive dans la névrite hydrargyrique nous paraît être la véritable pierre de touche du diagnosti
vations sont très rares dans la littérature médicale. Aussi il nous a paru intéressant de rapporter brièvement ce cas clin
et appuie. Il s'agit en somme de vaisseaux dilatés dont les parois paraissent épaissies. La palpation de ces tumeurs ne révèl
. Il n'existe aucune vibration anor- male. Les artères du membre ne paraissent avoir subi aucune modifica- tion puisqu'on perç
partielle et incomplète de l'oculo-moteur gauche.' La sensibilité paraissait intacte. Les réflexes rotuliens n'étaient ni exa-
oteurs oculaires communs sont respectés. Les cellules du côté droit paraissent cependant moins volumineuses que celles du côté
considérable et réduit à la vision centrale. La vision des couleurs paraissait intacte; les pupilles étaient égales sensibles
à rapprocher du goitre exophtalmique. Si tentante qu'elle puisse paraître au premier abord, l'hypothèse de Madelung ne ré
ces deux affections peut être telle que le diagnostic différentiel paraît presque impossible (voir au chapitre du diagnos
plus importante : Tels sont parmi les tableaux de ce genre qui nous paraissent dignes d'être mentionnés. Un arracheur de den
client à la figure épouvantée se trouve entre deux .opérateurs qui paraissent le maintenir étroitement ; celui de droite tien
avec un certain nombre d'autres à la fin de notre travail). En 1863 paraît une observation, discutable d'ailleurs, de Sonrie
e passant par le trou sous-orbitaire. Au bout de quelques jours ap- paraissait l'hémiplégie (ce cas dont l'observation appartien
de 4 à 2 centimètres suivant les segments du membre. Le pied gauche paraît plus petit que le droit à cause de la traction op
tine. Il y a bien un cas où le choc a porté sur le sourcil, mais il paraît bien devoir se ranger au nombre des cas d'hysté
éflexes'ne présentent pas de modifications spéciales, les tendineux paraissent le plus souvent augmentés, les musculaires sont
sible d'y réussir; les parents nous ont seulement ré- pondu qu'elle paraissait se développer dans des conditions normales. Dan
I. Schéma VII. 224 RENÉ MARTIAL Les altérations du champ visuel paraissent être de celles qui rétrocèdent t avec le plus d
droit. De plus il était dans l'impossibilité absolue de parler. Il ne paraît pas avoir eu de fièvre : les médecins qui l'ont
oint de vue du développement ultérieur, l'hémiplégie traumatique ne paraît donc pas être un événement trop grave dans ces de
er, de même pour les diverses couleurs. Chez cet homme le caractère paraît avoir été moins atteint que chez d'autres sujets,
la satisfaction qu'ils éprouvent à ennuyer autrui. D'autres encore paraissent quelque peu enclins à la persécution et ils for
mptement excitahles. Cependant chez l'un d'eux, les accès de gaieté paraissent naître aussi facilement que ceux de colère. Ce
mps après. Les lésions se font dans la profondeur sans que l'écorce paraisse lésée, du moins grossièrement. Sur 47 cas d'hém
tion des membres est altérée notablement. La parole, très troublée, paraît -il, au début, puisque le malade parvenait diffici
rmalement. L'intelligence et la mémoire sont peu cultivées, mais ne paraissent pas avoir été altérées. Le malade sait lire et
cile. Inutile d'ajouter qu'aucune intervention opératoire ne nous paraît indi- quée » Dans cette dernière observation
générale, 1 IL les symptômes sont plus accusés et l'issue fatale paraît plus fréquente que dans la forme immédiate. D
portion antérieure le néoplasme a une forme assez régulière : il ne paraît que vaguement lobulé. La peau n'a pas subi d'al-
linge non ami- donné. X... est un homme fortement musclé, qui me paraît très vigoureux. La tumeur pour laquelle est ven
culant normalement avec le trapèze ; en revanche ses deux phalanges paraissent peu développées et soudées l'une à l'autre en lé-
e ; puis la deuxième est épaisse et fort courte, enfin la troisième paraît assez développée. Les métacarpiens intermédiaires
mpression manuelle des régions endolories; ce- pendant les gencives paraissaient normales; les dents étaient saines, blanches, s
battant 72 fois par minute, de tension moyenne. Coeur et vaisseaux paraissent normaux. Accentuation du second bruit aortique.
asonnée. Cette femme a conservé toute sa luci- dité d'esprit ; elle paraît même malicieuse. Elle rêve fréquemment la nuit,
hes avec sa jambe gauche : à ce moment, il ressentit nette- ment, paraît -il, un craquement dans sa colonne lombaire. Il
re davantage. Plusieurs apophyses épineuses des vertèbres lombaires paraissent épaissies et plus saillantes, on les sépare dif
acente. Le reste du segment lombaire se laisse facilement palper : il paraît être porté en totalité d'arrière en avant. Da
s de M. Brissaud. Elle figure aussi dans le travail de M. IIallion, paru dans la Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtriè
remière est plus accentuée, la seconde plus étendue; cette dernière paraît constituer simplement une courbure de compensat
'un souci pour elle. C'est à la suite de ces chagrins multiples que paraît avoir débuté la maladie de Marie M... En 1886,
forces, elle essaya d'abord de la masturbation pour les faire dis- paraître , sans aucun succès d'ailleurs, la fatigue seule é
En 1892, surviennent les premiers troubles de la marche. Le sol lui paraît moins résistant, ses jambes moins fortes. Desce
olonté, par une action musculaire quelconque. La colonne vertébrale paraît soudée sur presque toute sa hauteur et tous les
alade se plaint beaucoup de la raideur de ses jambes, ses pieds lui paraissent serrés comme avec une corde. Il marche, les y
particulier. Les vertèbres qui correspondent à cette déformation ne paraissent pas avoir un volume exagéré ou une situation an
ombaire : à ce niveau les articula- tions des vertèbres entre elles paraissent plus souples et les mouvements plus étendus qu'
épineuses des vertèbres correspondantes sont épais- sies. Le tronc paraît raccourci, par rapport aux membres inférieurs, et
génitaux. Etal actuel le 24 novembre 1899. La physionomie du malade paraît assez intelligente, le front est découvert, sil
, La sensibilité cutanée au contact, à la température, à la douleur paraît dimi- nuée il gauche, mais très légèrement. On
e. La colonne vertébrale est examinée de face, la ligue apopbysairo paraît peu saillante, elle est assez apparente pour offr
oliose dorso-lombaire s'accentue notablement. La colonne vertébrale paraît soudée sur toute sa hauteur : tous les efforts du
et là dans la science,aucun travail d'ensemble ou de détail n'avait paru en 1886, sur ce chapitre de pathologie. En outre
ont été décrites sous le nom de « dégénérescence de Nissl » et qui paraissent prendre une importance de plus en plus grande d
nte, indiquée par M. Van Gehuchten (1) et dont les résul- tats nous paraissent très satisfaisants à tous égards. Nous y avons
(1). Nous allons exposer maintenant les modifications qu'il nous a paru utile d'apporter au procédé du savant professeu
eprendre avec succès la coloration des coupes. La coloration nous a paru réussir beaucoup mieux quand nous passions nos
le s'étire, s'allonge dans le sens de migration du noyau, ce qui me paraît témoigner en faveur du déplacement actif de celui
s occupée par un élément nerveux totale- ment disparu. Ces cellules paraissent être des éléments conjonctifs de néofor- mation
ares cylindres-axes courent au milieu de ces mailles. Les vaisseaux paraissent normaux : ni prolifération vasculaire,ni épaissis
ans son ensemble; comparé au noyau dentelé d'un cervelet normal, il paraît petit, mais les fibres de sa toison et celles d
es- sion d'un organe malade, les fibres médullaires et les cellules paraissent en aussi grand nombre que sur un noyau sain, ce
antérieur et le tiers postérieur sont plus faiblement colorés, ils paraissent partiellement dé- générés. A ce confluent about
faisceau unique, circulaire. La substance réticulée de la calotte paraît moins riche en cellules et la dimi- nution des
de dégénérescence ; mais, mal- gré leur intégrité apparente, ils ne paraissent pas aussi volumineux que des pédoncules normaux
et du corps resti fornze. Les pyramides et les pédoncules cérébraux paraissent plus petits que normalement, mais sans trace de
lleuse et à la maladie de Friedreich. Lorsque le mémoire de Marie a paru , il n'existait que deux cas suivis d'autopsie,
et les cornes antérieures, particulièrement dans la moelle dorsale, paraissent atrophiées. Dans la région moyenne de la moelle d
s symptomatiques et de quelques particularités cliniques, il nous a paru intéressant de la reproduire. En résumé la cl
nt plus rares; la maladie est plus accessible à la suggestion, elle paraît parfois plus affectée que naturelle. Nos observ
rain, on peut voir les troubles moteurs s'accentuer et s'étendre. Il paraît difficile d'expliquer ce processus, on pourrait
u par armes à feu, ne dépend que de l'étendue de la lésion et il ne paraît pas possible de diagnostiquer les lésions parti
du champ visuel, huit sont dus à des bles- sures pénétrantes. Tous paraissent dus à la lésion de la bandelette optique. Nous
es méninges ni trace de méningite suppurée. L'hémisphère droit nous paraît absolument sain, quant à l'hémisphère gauche, il
veau et le blessé reprend ses occupations et sa vie habituelle sans paraître aucunement souffrir de la présence de ce corps ét
'une façon générale les tendances ac- tuelles. Dans certains cas il paraît sage d'attendre traumatismes par balles de revo
au laboratoire du service de clinique de la Salpêtrière. 11 nous a paru intéressant de faire connaître ces documents icon
attire immédiatement l'attention. Pieds nus, il mesure 2 m. 12. Il paraît avoir atteint cette taille depuis l'âge de 21 ans
usse couche et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la syphilis ne paraît pas exister dans les an- técédents héréditaires
reconnut pour la première fois l'existence d'un diabète sucré, qui paraît , d'ailleurs, de date assez récente. L'examen de
ils se sont faits peu à peu. Les troubles fonctionnels du diabète paraissent remonter seulement à 9 se- maines. A cette époq
de liquide dans la journée. Très gros mangeur de tout temps, il ne paraît pas avoir un appétit plus développé qu'autrefoi
qu'à l'époque où la taille achevait de croître. Enfin le diabète paraît être une particularité intéressante de notre cas.
dont je rapporte ici l'observation présente un type clinique qui me paraît unique jusqu'à présent dans les annales de la méd
peine au moment où cette photographie a été faite (PI. LX, M) et elle paraît en avoir au moins lui-5. Les traits sont fatigu
n exagérer d'ailleurs l'importance, c'est que cette excitabilité ne paraît pas normale, il quelques exceptions près. Aussi b
t une rue, il fait un effort pour marcher plus vite et aussitôt ap- paraît la sensation d'une boule dure comprimant l'abdome
nt; i, ils se perdent en arrière dans la région lombaire. La taille paraît petite, le corps disproportionné, les hras déme
ment agréable à l'oeil. A l'égard des Arracheurs rfe dente, Teniers paraît cependant s'être mon- tré moins libéral qu'enve
us, d'Archelaûs, de Lucrèce. Le jeune Petronius en prend aussi pour paraître du bel air et galant homme, comme disent les Fr
rapidement en lVestphalie, en Hollande et en Allemagne, et en 1720 paraissait à Leipzig la traduction allemande faite par un pr
erses idées déli- rantes, souvent entrecoupées. Ensuite, commença à paraître une faiblesse mus- culaire très marquée et une
un point noir (une nucléole ? ). 482 SOUKHANOFF ET GEIER Comme il paraît , de pareilles cellules ne sont pas en liaison ave
la région antérieure des cordons postérieurs se trouve, à ce qu'il paraît , en liaison avec un petit foyer de désagrégatio
e Basedow est la fois effet et cause de l'hystérie ». Cette théorie paraît d'ailleurs être acceptée par les auteurs qui se s
minante des deux syndromes. C'est à cet égard que le cas actuel m'a paru présenter quelqu'intérêt. Observation. Hystér
ourcine pour une affection qu'elle ne décrit pas clairement; mais qui parut avoir été un écoulement vaginal. En tout cas on
sme. * A 40 ans elle a eu une attaque de rhumatisme articulaire qui paraît avoir duré 6 mois environ. Depuis cette époque
est sujette à des bouffées de chaleur et à des crises de sueur qui paraissent prédominer du côté droit. Il existe du côté dro
ntérieure ne présente aucun changement de volume; le corps thyroïde paraît aussi normal d'un côté que de l'autre. Le pouls b
ué à droite. Le malade a suivi divers traitements; ceux qui lui ont paru le plus favora- bles ont été l'hydrothérapie et
miques et cliniques de tout genre. Si l'observation suivante nous a paru digne d'être publiée, c'est qu'elle apporte à l
w uns des autres, et à des distances diverses de l'articulation. Il paraît en exister dans l'interligne articulaire d'une
le moindre effort sont des preuves grossières, mais elles nous ont paru suffisantes. De même, nous n'avons pas pratiqué d
uelques faits démontrés et sur de nombreuses hypothèses : elle nous paraît logique, ce sera notre excuse de l'avoir for- m
st trau- matique. Mais l'existence de l'épanchement de ce genre qui paraît d'abord se concilier avec l'interruption de la
mené une vie agitée, s'alcoolisant et faisant divers excès. C'était paraît -il un cerveau mal équilibré, les bizarreries de s
solument flasque et retombait inerte quand on le soulevait, la face paraissait légèrement déviée à gauche, la température était
s de surdité verbale, car au commandement il sortait la langue, qui paraissait lé- gèrement déviée à droite. Les membres infér
à ce jour. On retira du crâne des morceaux de charbon, mais l'os ne paraît pas avoir été fracturé. Cependant on constata dan
presque complètement enveloppé d'une bouillie molle et grisâtre qui paraît très fondante. Cet état se rencontre l'intérieur
t le sens stéréognostique est conservé. La sensibilité à la douleur paraît exagérée du côté droit, mais le malade lo- cali
Il ne peut souffrir la moquerie. La mémoire des faits en gé- néral paraît être conservée, mais il semble être embarrassé po
ures. Réflexes tendineux, patellaire exagéré à gauche, crémastérien paraît aboli (hernie inguinale double). Cubital du poi
outre à partir du même moment un rétrécissement de Foesopbage, qui paraît être d'origine purement nerveuse car il cessa b
i trouvé que la plupart des réactions inflammatoires avaient dis- paru . Il n'y avait qu'une légère in- filtration de l
des toxines des streptocoques ? C'est cette dernière opinion qui me paraît la plus vraisemblable. En effet, j'aurais la tend
originaux. Déjà en 1883 M*J. P. Richter (2) (de Londres) avait fait paraître en deux gros volumes plus de 1500 extraits des oe
et en arrière autant qu'il se peut, et de même en avant; et s'il te paraît bon de le faire de plusieurs façons, la fonction
ins, Sabba de Castiglione et le sculpteur BaffalledeMonleluppo qui, paraît -il, écrivaient à sa manière de droite à gauche «
ite déchiffrable pour quiconque y prête attention. L'hypothèse nous paraît tellement inadmissible que nous ferions plutôt l'
aussi l'opinion de M. Eugène' 614 GILBERT BALLET Müntz : « il me paraît difficile nous écrit l'éminent historien, d'admet
Puis vient une observation de Raehlmann (1878). Heuck (1878) fait paraître un travail très intéressant sur la question des
r est moins profond que d'habitude. Rien cependant dans l'orbite ne paraît soulever ce sillon et le petit doigt introduit
et surtout au vent. La mobilité des paupières et celle des yeux ne paraît pas s'être sensiblement améliorée : cependant,
Hirschberg, (1) Ce chapitre que nous avons fait en collaboration a paru intégralement dans la thèse précitée (de Barnef
usclés. Dans notre obser- vation, la petite malade âgée de zig mois paraissait à peine avoir 18 à 19 mois. . Évolution.-On i
usifs de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire. Elle nous paraît aussi la plus ra- tionnelle et la plus scientif
e jambe ; on lui fit gar- der le lit, la jambe en élévation, ce qui parut diminuer l'oedème, mais ne le fit pas disparaît
laires. Ni sucre, ni al- bumine dans l'urine. s Le corps thyroïde paraît normal ; on sent nettement le lobe gauche. Bien
lobe gauche. Bien qu'à cette époque le diagnostic le plus probable parût être le myxoe- dème, il est bien spécifié dans
it que les urines avaient de l'albumine. Celle-ci a d'ailleurs dis- paru actuellement. Après la scarlatine, l'oeùème red
nt l'un, âgé de 5 ans, a des convulsions qui d'après la description paraissent bien comitiales (rappelons que le grand-père ét
n'ai cependant pas hésité à la rapprocher des autres, car il ne me paraît pas que l'on doive limiter l'apparition de l'oedè
localisation spinale de la fibro- matose, cette observation nous a paru mériter d'être rapportée. Observation. F. M...
Les dessins et les reproductions photographiques de préparations ne paraissent laisser aucun doute à cet égard. Aussi avons-nous
ultiplié nos mesures pour contrôler nos premiers résultats qui nous paraissaient en trop nette contradiction avec les affirmations
la coloration différente des cellules en chromatolyse les fait-elle paraître plus volumi- neuses ? Quoi qu'il en soit, nou
L'auteur y a condensé sous une forme excellente les documents déjà parus sur ce arracheurs DE DENTS 663 Je me contente
run de Scribonius Largus, l'acaathobolos de Paul d'Egine, etc., re- paraissent plus ou moins modifiés dans les livres d'Ambroise
mâchoire. Cette cavalière extraction,si elle n'est pas sans danger, paraîtra du moins ingénieuse.Elle rappelle un peu le pro
ts ne servent qu'à favoriser l'extraction. Ces manoeuvres violentes paraissent aujourd'hui excessives.Les chirur- giens ne con
e de la dent, qu'il empoigne ensuite avec l'instrument qui luy aura paru le plus con- venable » (4 ).. En somme, on pr
30 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ement musclé. Les réactions électriques des muscles de la main, qui paraissent seuls atrophiés, sont normales etidentiques des
ence d'une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ne paraît nulle- ment justifié. Rien dans* l'histoire du
deux malades se ressemblent jusque dans certains traits qui peuvent paraître accessoires au premier abord, mais qui ont cepend
. sens; intacts,- sauf un léger- degré' de surdité, dé date récente paraîtrait -il/ Il n'y a non' plus aucun trouble de la sensib
' , ... : - Les réflexes tendineux sont pourtant abolis; mais cela paraît tenir surtout à l'état morbide des articulation
u; tant aux membres supérieurs qu'inférieurs, le système musculaire paraissait en voie de régénération, et les têtes osseuses
N EXTÉRIEURE DU CORI'S HUMAIN [Presque en même temps que cc numéro, paraîtra chez Pion, Nourrit et Cie l'important ouvrage d
n`. » Nous n'avons pas à faire ici l'analyse de cet ouvrage, qui va paraître 1. Leçons du mardi, 30 uet. 1888. 2e année, 2L
ns les mémoires de MM. Oppenheim et Thomsen quelques faits qui nous paraissent être des exemples indéniables de tremblements d
nerveuse. Ce sontlà, en effet, les deux données capitales qui nous paraissent se dégager de l'examen comparatif des cas que n
ous les modes de début des tremblements hystériques, celui qui nous paraît être de beaucoup plus fréquent. Au lieu de se m
la névrose hystérique (Observ. d'Armandine Roug...). Ces faits nous paraissent particulièrement intéressants au point de vue du
rveux présente, au point de vue pratique, une importance qu'il nous paraît inutile de faire ressortir. C'est en lui que se
ent de la prise du tracé. Le caractère indiqué par M. Marie ne nous paraît donc pas suf- fisant pour différencier le tremb
er que, bien que sa femme et les membres de la famille de sa femme, paraissent être indemnes de toute tare nerveuse hé- rédita
isa le fourgon d'un train de marchandises. Dans ce fourgon qui fut, paraît -il, mis en pièces,' se trouvait un employé. Relev
ers jours du mois de novembre 1888 il remarqua que sa be- sogne lui paraissait plus pénible. Bien qu'aucun surcroît de travail n
le constituent, et il existe à ce niveau un infundibulum cutané qui paraît jouer un rôle dans la pathogénie de quelques tu
e de quelques tumeurs sébacées de cette région1. Cette infundibulum paraît correspondre à l'extrémité postérieure du sillo
n générale, reproduisent presque exactement les formes humaines, ne paraît pas susceptible d'une interprétation autre que
les ecchymoses spontanées des hystériques, c'est que celles-ci nous paraissent avoir un grand intérêt au point de vue médico-l
part de la dégénérescence, cette notion de la suggestibilité nous a paru être la caractéristique cherchée et trouvée. Si n
spiration de notre maître, nous avons donné la description. Elle ne parut cependant que moyen- nement incommodée à la vue
ées par M. le pro- fesseur Guyon il l'hôpital Necker. La guérison paraissait obtenue, lorsque huit mois plus tard de nouveau
particulier au niveau de la face antérieure du sternum, mais qui ne paraissent pas relever de la même cause. La malade a notab
représenté sur le dessin et les photogra- phies ci-jointes nous ont paru mériter d'arrêter spécialement l'attention à ca
de rotation ou d'abduction dont la localisation n'est pas précisée, paraissent coïncider avec d'autres mouvements des membres.
as non plus d'asymétrie bien nette, cependant les saillies osseuses paraissent moins accentuées du côté gauche ; l'apophyse or
, la langue ne présente aucune déviation, aucune asymétrie, et elle paraît mobile dans tous les sens; cependant ses mouvem
sultat, peut-être en raison de l'insuffisance des doses. Les crises paraissent avoir diminué de moitié sous l'influence du trai-
e malade est devenu triste, soucieux ; son intel- ligence toutefois paraît n'avoir subi aucune atteinte, non plus que sa mém
tre disposition. Ce dessin, nous le croyons inédit, et son histoire paraît être intime- ment liée aux deux toiles de Brauw
et se gausse des cris arrachés au malheureux par l'opération car il paraît que, cette fois, celle-ci ne s'est pas faite sa
Vienne et Munich ? Cela est très vraisemblable. Mais ce qui nous paraît plus probable encore c'est que le dessin sert d
'a jamais eu d'at- taques de nerfs. Les grands-parents maternels ne paraissent pas avoir eu d'antécédents nerveux. Une tante,
ES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES. 99 pement, pendant la première enfance, paraît avoir été régulier jusqu'à l'àge de trois ans.
gulières jusqu'au début des accidents actuels, mais elles n'ont pas paru depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant a
ude de l'inspiration constitutive de ces bâillements simulés nous a paru se rapprocher beaucoup plus de l'amplitude du b
it ans, il a fait connaissance d'une femme plus âgée que lui. Il ne paraît pas avoir fait d'excès vénériens et ne s'est jama
être retenu sous les drapeaux, prit un autre amant. Emile J... n'en parut pas trop contrarié, car il songea à se marier dès
mobile, urinant dans son lit. - - Quand il vit ses parents, il ne parut pas les reconnaître, ne leur adressa pas un seu
semblable que 1 l'expression « bâiller à se décrocher la mâchoire » paraîtrait justifiée. \ Ce bâillement convulsif diffère en
la cadence sont des éléments différentiels de premier ordre qui ne paraissent pas exister dans les bâillements épileptiques j
es. En réalité, la volonté, ou pour mieux dire lé défaut de volonté paraît jouer un rôle important dans ces phénomènes. On
ces hallucinations, si tant est qu'elles existent actuellement, ne paraissent pas de nature terrifiante, car on ne surprend j
cataleptoïdes analogues. Chez notre malade, cet état mélan- colique paraît être primitif. L'exploration de sa sensibilité, s
la rupture d'une corde. En tout cas, cette méthode de traite- ment paraît donner de meilleurs résultats dans le tabès que t
es lorsqu'on procède avec prudence. Les menaces de syncope nous ont paru surtout se montrer, - les cardiaques étant élim
nnaire. Dans ces cas, un repos d'un mois et demi à deux mois nous a paru favorable, la reprise de la suspension ayant am
r celui de contracture hystérique. Le pied et le reste du membre ne paraissent pas, en effet, diminués de volume si on les com-
pinale aiguë. L'un de nous a combattu cette opinion dans un article paru il y a quelques mois dans le Bulletin médical*.
comportait certaines considérations sur la controverse actuelle. Il paraît avéré, et l'une de nos observations en fait foi,
us reproduirons d'abord deux cas de paralysie spinale aiguë, qui ne paraissent pas jusqu'à présent avoir été mis en valeur, du m
glie sont aussi infiltrées de leucocytes. Ces dernières altérations paraissent n'être que secondaires et sont une conséquence
Alphonsine Prev.... est une jeune fille de dix-huit ans et demi qui paraît à première vue bien plus âgée, vingt-cinq ans au
ions, et à cause de leur allon- gement même, les extrémités doivent paraître moins élargies. Dans l'acromégalie, la cécité e
ux extrémités, y est moins étroitement cantonnée ; 3° L'affection paraît revêtir alors une marche plus rapide. ' Dr IL S
ns l'hystérie et dans la grossesse, mais dans des conditions qui ne paraissent pas nettement déterminées. Mais c'est surtout dan
e de l'extrémité céphalique. L'ovale est nettementexagéré. Le front paraît fuyant et cette apparence est rendue ONOORAPHIT
tition. " La voûte palatine présente une étendue considérable. Elle paraît fortement allongée d'avant en arrière et légère
, et elle a beaucoup de cheveux blancs pour son âge (sa mère était, paraît -il, toute grise à 35 ans). La voix a baissé, et
en effet, dans bon nombre de troubles de l'articulation, la langue paraît capable d'exécuter normalement tous les mouveme
thorax. La connaissance des défauts des mouvements les plus simples paraît en effet indiquer la voie du traitement de ces
des épileptiques et en particulier leurs troublespostparoxystiques paraissent à un examen superficiel avoir une grande analog
arghilé. On la rencontre du reste fréquemment dans le tabagisme. Il paraît que c'est à peu près le même mécanisme qui la fai
n d'anormal. J'ai rencontré deux cas d'angine de poitrine qui m'ont paru essentielles, sans aucune complication vasculai
gère ancsthésio du territoire de la 2° branche. La lésion nucléaire paraît invraisemblable. 1. MoelJius, Ueber die Localis
s avaient conservé leurs mouvements normaux et l'accom- modation ne paraissait pas avoir souffert. Le 24, les yeux étaient tou
s globules rouges au milieu d'une substance granuleuse claire qui paraît être de la fibrine. Région lombaire. Bien que t
on, et nous ne rappellerons que celles d'entre les observations qui paraissent affecter une certaine parenté avec la nôtre.
ansport à l'hôpital. A son entrée à l'hôpital, son état présentait, paraît -il, tout à fait les caractères de l'ivresse. C'
ssance, et qu'elle cessa de se souvenir de ce qui s'était passé. Il paraît qu'elle eut beaucoup de délire et que l'emploi de
est plus paralysée, est très oedé- matiée. 11 est des jours où elle paraît très chaude, d'autres où elle est froide, et où
i de volume. A la coupe, la substance grise se dessine très bien et paraît un peu injectée, en les diverses régions de l'o
qu'à l'état normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au bras les muscles paraissent un peu atrophiés, ils ne présentent pas de modi
naler, des sortes de cylindres hyalins d'une sub- stance foncée qui paraissent provenir de la dégénérescence hyaline de globul
us chaud que l'autre; au bout de trois semaines la tuméfaction dis- parut . Les mêmes symptômes se reproduisirent peu de tem
ellent ce que l'on a décrit sous le nom de pied tabétique. Le tabes paraît donc indéniable. Une semble pas que jusqu'ici o
e est atteinte ? Au premier abord on est assez aisément dérouté. Il paraît évident qu'il existe un foyer quelconque dans l
r tout de suite à une tumeur, et c'est en effet cette hypothèse qui paraît la plus plausible. Nous voyons, d'autre part, q
'une anomalie relativement aussi rare. Cette hémiplégie droite nous paraît justiciable d'une explication beaucoup plus sim
vement depuis son départ de la Salpêtrière ont pour ainsi dire dis- paru ; elles sont de plus en plus rares et ne reparais
met en colère sans raison et que son humeur est assez mobile. Hier, paraît -il, il avait été gai toute la journée; le soir
ou moins rétrocédé ultérieurement, phénomènes dont le groupement paraît , même aujourd'hui, caractéristique à un premier e
névritique '. Quant aux oedèmes relevés dans notre observation, ils paraissent avoir été cachectiques. Les troubles qui ont ét
dans le tableau de cette variété de polynévrites amyotrophiques, ne paraît -il pas rationnel de supposer que ces cas ressor
phiques s'accompagnant de troubles psycho-moteurs). 5" Il ne nous paraît pas possible, actuellement, de fixer d'une façon
permet l'impression du doigt et la formation d'un godet lent à dis- paraître . Pas de réseauveineux superficiel, pas de cordo
Ces douleurs se calment lorsque la malade reste immobile, sans dis- paraître cependant. Elles sont continuelles quoique atténu
ns et du trochléaire. Le fait est inté- ressant en ce que la lésion paraît localisée et éteinte depuis longtemps. » Dans c
Lariboisière, où il est électrisé. Pendant quelques jours son état paraît s'améliorer, il avale plus facilement, quand so
baires. Mort (Bresgen 1). Marguerite K..., âgée de vingt-cinq ans, paraît bien constituée et n'a jamais été malade. - -
x ans; la troisième phase bulbaire est en général fort courte et ne paraît pas dépasser une année (Bresgen). Quelquefois,
rantielle qu'on a donné le nom de poliencéphalomyélite. Rosenthal paraît avoir signalé lepremier lacoïncidence de l'opbtha
bel Allas do uos collabo- rateurs 11H. P. nIuC ! 1 et A. Londe, qui paraîtra proch,linementchez )Iasson, Nous adressons tous
31 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ons- nous, n'avaient pas attiré l'attention jusqu'alors et qui nous paraissent devoir faire partie de la réaction myotonique.
rait pas gênée ; les muscles des paupières, ceux du globe de l'oeil paraissent aussi indemnes. Tous les troubles que nous veno
latoires. Les réflexes cutanés sont normaux. Les réflexes rotuliens paraissent abolis à un examen rapide ; mais, si l'on prend
ant dans ces conditions d'application du courant faradique, ne nous paraissent pas avoir été suffisamment distingués des effet
ulement di- minué, et après quelques secondes (5, 10, 15) le muscle paraît complète- ment libéré du spasme myotonique, qui
ne sont pas les mêmes pour les fibres des différents systèmes. Ceci paraît improbable à première vue. Il paraîtrait que la
des différents systèmes. Ceci paraît improbable à première vue. Il paraîtrait que la lésion étant la même, l'ac- tion devrait
éveloppement retardé. Elle avait 17 ans et ses règles n'avaient pas paru encore, lorsqu'au mois d'août 1885, après quelq
apparurent aux bras et il la jambe gauche. L'appareil digestif ne parut pas altéré, si nous exceptons l'anorexie complète
la forme fébrile que l'hystérie avait pris chez cette malade, ' il paraîtrait qu'il fut facile de faire le diagnostic des deux
les craintes, en laissant cependant des doutes inquiétants qui dis- parurent seulement avec l'apparition de l'urine. Il n'y a
mouvements de la face : « Un fait rare dans l'hémi-athétose et qui paraît beaucoup plus fréquent dans l'athétose double,
s de chorée, ni coqueluche. Il a marché avant un an, marchait bien, paraissait intelligent, parlait aussi très bien et apprena
s facilement étant déshabillé et nu-pieds que chaussé, la marche ne paraît pas être influencée parce qu'on le regarde. Ecr
le soil, où on cherche à les fixer. Au premier abord les mouvements paraissent très compliqués, mais l'ob- servation attentive
uent de fréquence et d'intensité, jamais cependant au point de dis- paraître complètement pendant l'état de veille. Rapidité
élevée. Ni la menstruation, ni les maladies fébriles ou autres, ne paraissent pas modifier les mouvements à en juger d'après
ements ou actes volontaires des conséquences sur lesquelles il nous paraît inutile d'insister en ce qui concerne les mouve
- core bien plus accentuée qu'aux membres supérieurs. Le côté droit paraît plus raide que le côté gauche. Les mouvements
'athétose double. La surdité verbale ainsi que la cécité verbale ne paraissent jamais avoir été rencontrées, quelques- uns de
qui comprend l'én1llné- ration des malades, chez qui l'intelligence paraît être restée bonne on avoir été relativement peu
tions du courant. La cause réelle, dans ces deux derniers cas, nous paraît être la même que précédemment, des courants for
dement le muscle. Les mouvements ondulatoires une fois produits re- paraissent avec la plus grande facilité, même avec des coura
ns la journée, soit les journées suivantes. La saison froide nous a paru , aussi, causer l'apparition plus facile des mouve
urs jours, mais encore pendant une ou plusieurs semaines. Il nous a paru que cette plus grande facilité dans la produc-
es ataxique à son début. Avant d'entrer dans l'exposé des cas il me paraît nécessaire, pour le bien mettre en valeur et vo
s se portât davantage sur ce point. La lordose est une rareté, elle paraît se localisera la région lombaire. « La cyphose
très notable, plus marquée M droite, sauf pour les interosseux, qui paraissent plus atrophiés -Il la main gauche, il en juger
tout instant de le faire choir. 5 avril. L'état de la difformité ne paraît pas avoir notablement changé (non plus d'ailleu
s et surtout sans force. Los doigls présentent des déformations qui paraissent tenir à des lésions des articulations interphal
'un côté à l'autre. Les mouvements d'inclinaison latérale du rachis paraissent s'exécuter avec une force sensiblement égale da
nneté, ni au degré ou à l'étendue de la paréso-analgésie... Elle ne paraît pas en rapport avec l'existence de lésions artl
tic était-il, dans ce cas, assez suspect. Enfin certaines déviations paraissent résulter d'une inclinaison vicieuse du bassin.
oenig sont plus complètement étudiés au point de vue clinique ; ils paraissent ressortir a des cas de fractures vertébrales, com
l'exploration. Le reste du segment lombaire est facile à sentir ; il paraît être porté en totalité d'arrière cu avant. Da
quel on sent une boucle (Spanye) dirigée en haut et à droite et qui paraît représenter un fragment vertébral détaché, ayant
rent clans la syringomyélie ou dans la maladie de Friedreich et qui paraissent s'étendre uniformément il toute la colonne vertéb
t auteur. A part la sclérose en placlues, dans laquelle la scoliose paraît d'ailleurs être au moins fort rare, les affecti
t saillante, et, par suite de l'inclinaison totale du tronc droite, paraissait plus élevée que la droite... Mais le phénomène
coup, près d'une année plus lard ; les interventions thérapeutiques paraissent n'avoir eu dans ce résultai qu'une part minime,
mple, ou un degré plus prononcé dans l'altération des muscles, nous paraissent aussi avoir une influence manifeste sur leur pr
itatives : Sous le rapport de la quantité l'excitabilité galvanique paraît un peu augmentée. Des courants d'une intensité
vers, les facultés percepti- ves. Enfin, deux ou trois observations paraissent établir nettement l'inté- grité du sens muscula
sans déformations avec des troubles intellectuels en plus haute. Il paraît d'après cela qu'il n'y a pas un rapport bien net
vent difficile à appliquer chez les malades de ce genre. .... Lange paraît avoir atténué la lassitude musculaire dans le cas
avoir été négatif. Aujourd'hui les progrès de la chirurgie moderne, paraissent nous encourager à la dis- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'
e approche de la bouche. A bien examiner les choses la confusion ne paraît pas possible entre ce tremblement et les mouvem
quelques scarifica- tions préalables. La malade tout attentive n'en paraît pas autrement émue. Elle est',vêtue de 'riches
e simulation ; d'autre part, on trouve dans les auteurs des cas qui paraissent beaucoup se rap- procher de celui que nous avon
s cas de ce genre. On sait aujourd'hui que la déformation peut dis- paraître complètement dans ces conditions ; le phénomène i
n a débuté et dis- DES DÉVIATIONS VERTÉBRALES NÉVROPATHIQUES. 207 paru en même temps que la douleur elle-même. Il est lé
ituelle. Mais il n'en est pas toujours ainsi, et souvent (cela nous paraît même être la règle chez les hémiplégiques ancie
n du rachis à l'atrophie osseuse unilatérale. En somme, ce qui nous paraît digne surtout de remarque, c'est le faible degr
et aussi des déviations du rachis. Les déviations les plus communes paraissent être des scolioses; la cyphose n'est pas rare ;
mation à la faiblesse des muscles extenseurs du tronc, mais elle me paraît due plutôt à ce que, en marchant et dans l'attitu
tamment de pratiquer l'examen histologique de la moelle, qui nous a paru altérée. Le durcisse- ment des pièces est encor
isseurs latéraux lombaires. d) Scolioses des hémiplégiques. Elles paraissent être la conséquence de la paralysie d'un membre
ure est en cause. Pour toutes ces raisons, l'action musculaire nous paraît insuffisante pour expliquer la scoliose de Balt
ttre que la pleurésie a suscité, sinon l'hypertrophie elle-même qui paraît antécédente, du moins l'exagération de cette di
citait récemment un exemple ob- servé dans sa pratique privée. Il paraît donc bien établi que cette association n'est pas
ter quelque intérêt. Deux d'entre eux, M. Beh. et Mme Ot., nous ont paru mériter de prendre place à côté des cas décrits p
d'ordinaire; c'est surtout à ce titre que cette observation nous a paru présenter quelque intérêt. OBS. III. Rab. Léon,
courant d'une intensité de 4 milliampères les secousses de PF dis- paraissent alors que celles de NF restent encore assez forte
négatif. Elles nous montrent que les secousses du pôle négatif ap- paraissent plutôt que celles du pôle positif, que celles-là
le travail de Erb, des cas de maladie de Thomsen, et cette réaction paraît de plus en plus réellement spéciale à cette aff
ps (de 5 à 30 secondes) suivant l'intensité du courant, et qui dis- paraît graduellement. Sur le malade que nous avons obser
ès de IIeidelber de septembre 1889 (2). Ces mouvements ondulatoires paraissent être provoqués plus facilement lorsque l'électrod
uefois au cours d'une maladie quelconque, ataxie ou autres, il nous paraît certain qu'il existe certaines différences entr
IEF D'ALFRED -BOUCHER - TOBIE RENDANT LA VUE A SON PÈRE Il nous a paru intéressant de faire une incursion dans le domain
rches. Il n'en fut pas de même de M. M. Granville qui dans un livre paru en 1883 (2) nous fait connaître les résultats d
ocure un grand soulagement Sauf dans un cas, le tremblement n'a pas paru être sensiblement influencé. Ce bien-être se fa
pour employer l'ex- pression alors consacrée. Le trémoussoir eut paraît -il un grand succès, Voltaire en vante les bien-
r tirer les déductions suivantes (1) : 1° « La méthode vibratoire paraît avoir surtout des indications précises dans les
nous bornerons à dire que l'action du casque vibrant nous a toujours paru être éminemment sédative et qu'il nous a donné
rès être restée sans manger pendant quelque temps, l'appétit a dis- paru , j'ai été pendant plusieurs mois sans avoir faim
douleur, de parésie et de troubles vaso-dilatateurs. Ce cas nous a paru intéressant à rapporter, en raison de la comple
de même taille, de même âge et cle profession similaire, ces mains paraissent énormes. Cette augmentation de volume a surtout
contemporaines ? Pour l'hyper- trophie des extrémités, elle ne nous paraît pas pouvoir être mise sur le compte de l'hystér
tysie foudroyante. Il a eu vingt-cinq frères ou soeurs qui étaient, paraît -il, tous forts et vigou- reux ; ceux qui vivent
déformations portent symétriquement sur les deux pieds et les font paraître raccourcis mais c'est un raccourcis- sement app
esseur Charcot ont établi cette doctrine unitaire sur des bases qui paraissent inébranlables. A. SOUQUES, Ancien interne, mé
s il nous faut citer en particulier le traumatisme dont l'influence paraît très évidente dans les observations de Ross et
ble une espèce de chorée dont la nature n'est pas encore fixée, qui paraît souvent liée, comme l'hémiathétose, à l'atrophi
ifférentes hauteurs dans les régions cervicale, dorsale et lombaire paraît absolument saine. L'examen microscopique de ces c
nue ou à peine entrevue. A placer à côté des chorées chroniques qui paraissent être dans le même cas, sans vouloir préjuger de l
xion est peu marqué il gauche ; de ce côté les mouvements spontanés paraissent plus rares et plus limités qu'à droite. A droit
ont une coloration générale, un peu couleur hortensia ; les sillons paraissent assez profonds : les bords des circonvolutions so
IQUE SUR L'ATUËTOSE DOUBLE. 307 CONCLUSIONS. 1° L'athétose double paraît être une affection autonome, sur les lésions de
artistique préconçue et en mettant à contribution tous les travaux parus jusqu'à ce jour offrant les meilleures garantie
ues, sur lesquels s'appuie M. Duhousset pour'la justifier., ne nous paraissent pas absolument probants. Car ces mesures sont p
e torse long. Dans certaines familles, ces variétés de conformation paraissent héréditaires (1). D'autre part, que deviennent le
moindres, et ce n'est que pro- portionnellement il ta taitte qu'il paraît plus court. Le canon de Gcrdy, qui a suivi à pe
faits qui découlent des recherches des anthropologistes et qui nous paraissent de nature à intéres- ser les artistes. Il rés
nt un âge qui, réunissant bien les caractères propres à l'en- fant, paraît avoir particulièrement attiré l'attention des maî
e France. ... . Dix-huitième année. 1893 La REVUE PHILOSOPHIQUE paraît tous les mois, par livraisons de 6 à 7 feuilles g
que le Traité clinique et théra- peutique de l'hystérie de Briquet, paru en 1859, marque décidément une phase nouvelle d
viron 300 pages, rempli de faits curieux et intéressants, méritait, paraît -il, la faveur de ses con- temporains. Or, beauc
de M. Paul Richer sur le même sujet (1885) et la thèse de Peugniez, parue la même année. Une mention spéciale est due ai la
ainement celle de ne pas être dépassés à l'étranger par les travaux parus sur l'hystérie chez les enfants. En Allemagne,
erreurs probables, en forçant 'parfois la pensée des auteurs, nous paraît au moins aussi singulier que d'accepter sans rése
hésitons pas à regarder son travail comme le plus important qui ait paru sur l'ensemble de la ques- tion, quand bien mêm
ation de M. Babinski est des plus intéressantes à cet égard (4). Il paraît donc démontré actuellement que si l'hystérie peut
e sa grand'mère, avant l'époque de sa maladie, et son imagina- tion paraît encore frappée de ces mouvements dont il a été le
nal est plus accentué à droite qu'à gauche et le membre tout entier paraît remonté. Le pied droit est en varus-équin ; les o
eux membres que l'impossibilité de les mouvoir. La force musculaire paraît d'ailleurs peu modifiée à droite ; mais, de même
nclusions. Cette observation qui peut sembler un peu longue, nous a paru néan- moins comporter tous ces développements,
à cette manipulation élec- tro-thérapeutique. Cela ne nous doit pas paraître étonnant : 1° parce que l'excitation du grand s
ndrai plus loin sur la pathogénie de cet amendement énorme qui peut paraître incroyable et je passe maintenant il d'autres par
t l'a- mendement de la douleur du bassin ? Ma simple explication ne paraîtra pas étrange, parce qu'il est établi depuis long
vaso-motrices qui remontent au cerveau et à la tête en général, il paraît rationnel de le faradiser là où il s'agit d'une
rchais un autre point pour l'application du rhéophore actif. Il m'a paru qu'il serait plus avantageux de le poser entre
morrhagie. Je sais très bien que ce traitement de l'hémiplégie doit paraître étrange et je vais m'expliquer. Une hémorrhagie
de la région claviculaire dans la première phase de la phthisie me paraît due, en partie du moins, à l'évacuation des bronc
édiat d'une séance sur les mouvements des membres infé- rieurs peut paraître étrange et j'ajouterai quelques mots pour expliqu
disparaître même là où elle était très prononcée. Cela ne doit pas paraître étrange après l'explication précédente. Leprocess
32 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
optiques... ni enfin de la substance cor- ticale du cerveau.... il paraît qu'on peutconclure, que le corps calleux est le
u côté gauche étaient seulement di- minuée. Quant au reste l'animal paraissait complètement normal. L'étude anatomique entrepr
les soient suivies d'un dérangement psychi- que quelconque, il nous paraît évident que tout ceci indique, en'compre- nant
bral qui sont enflammées. La première partie de la proposition nous paraît vraie, prise absolument dans le sens général, mai
es maladies de la moelle, 1892, p. 24. 30 NOICA Jusqu'ici il nous paraît qu'on peut résumer les travaux que nous avons e
e contracture et d'exagération des réflexes tendineux. Les choses paraissaient bien établies quand Bastian est venu démontrer
lade, s'il vit encore, présente delà paraplégie flasque. Alors tout paraît tomber, et la clinique ancienne, et la physiologi
on que le cerveau a sur le tonus, et qui dans la contracture a dis- paru . C'est ce que les anciens, Charcot, etc. ont vu a
néré. Il peut se faire en effet qu'une dégénération secondaire, qui paraît peu impor- tante dans une certaine région, soit
her dans cette dernière la dégénérescence de la voie pyramidale qui paraissait faire défaut plus haut. Inversement, de l'étendue
pliquer à cette atrophie partielle du membre supérieur gauche avait paru incertain et dans les notes de nos prédécesseurs
mond et Gougerot) Masson & Cie, Editeurs Phototypte Berthaud, Paru NOUVELLLE Iconographie DE la SALPËTRÎERE T. X
nt de cinq mois. - ' 60 RAYMOND ET GOUGEROT Auriculaire. Ce doigt paraît normal d'aspect, pourtant il est le siège de do
e. L'artère radiale qui ne bat plus se sent mal, les troncs nerveux paraissent normaux à la palpation. Membres inférieurs Le m
LLEMONT sance et ne frappe qu'un seul membre de la famille. Ce type paraît le plus rare de tous (cas de Rapin-Long, observ
roportions moindres que la jambe. Tandis que le cylindre d'oedème paraît se terminer brusquement au cou-de- pied au nive
ntales, parallèles, alternativement noires et blanches ; ces bandes paraissent bien correspondre à une couche fibre-adipeuse d
voir, de travailler, de faire,de défaire ; dû dé- ment, désireux de paraître solennel ; le militarisme rappelle les idées du
sont également grotesques. Mais, pendant que le grotesque du dément paraît inconscient de soi-même, chez le maniaque, il e
hogenèse de la dysostose cléido- crânienne, avec aperçu historique, paraîtra dans un prochain numéro de la Zeitschrift fiir
saux du même sujet). Masson et Cie, Éditeurs Phototypie Dorthaud, Paru LES ALTÉRATIONS DU CRANE DANS LA DYSOSTOSE CLÉI
e de la région occipitale est plus variable : le plus souvent, elle paraît aplatie dans la partie supérieure et bombée dans
e que Voisin, de Lépinay et Infroit ont jointe à leur communication parue dans le dernier Tolume de ce journal (1). Il es
- telles et sans liaison intime avec les caractères typiques. Il me paraît ce- pendant probable que la fréquence de ces an
ent dans les extrémités de ce côté du corps. Les réflexes rotuliens paraissent égaux et normaux, ainsi que les achilléens. Il
) Orrevurm, Arch. f. Psych., 4885. xxi U 126 LAIGNL~L-LAVASTINE Paraît avoir plus d'importance l'unilatéralité des troub
, dans les polynévrites dites parenchy- mateuses. C'est en 1886 que parut le travail de Pitres et Vaillard qui fait époqu
'état précis de leur structure qui, à un premier examen, nous avait parue complètement normale. Les méthodes utilisées on
uble coloration à l'hématoxyline-éosine. Ces deux méthodes nous ont paru suffisantes à démontrer que les vaisseaux, les
ans quelques traits cependant les cylindraxes ont complètement dis- paru . Méthode de Van Gieson et double coloration à l
autres cas. Ce phénomène de propagation de la contractilité nous a paru subir une certaine règle, et non pas seulement
ajouter : d'un segment médullaire à un autre. Pour nous, il nous a paru que la propagation se fait avec plus de facilit
s troubles graves de la motilité volontaire du côté malade. Il nous paraît inutile de charger notre travail en publiant comp
rêver aux psychologues. Encore l'association des idées ! ce qui nous paraît prouver apertement que, même dans les assez rar
ez rares moments de sa vie où l'imagination de M. X... (lui-même) a paru dévier, il n'a jamais perdu l'excel- lente habi
Derrière lui est vaguement indiqué le le portrait de T..., qui nous paraît ressembler vaguement à Sarah Bernhardt et que M
). (Observation 1) Masson et Ce, Éditeurs Phototypte ilerllmud, Paru DESSINS ET MANIFESTATIONS D'ART CHEZ DEUX .ALIÉ
ier quelques-unes de ces oeuvres. Celles que j'ai reproduites m'ont paru s'identifier plus spécialement avec la personna-
es et derrière les genoux. A la palpation légère toutes ces parties paraissaient fermes ; mais en exerçant avec le doigt une press
t debout avec difficulté et elle ne pouvait presque pas marcher. Il paraît toutefois vraisemblable que cette faiblesse appar
par devant et de pouces par derrière, entourait le mollet droit et paraissait beaucoup plus chaud au toucher que la peau avoi
que des « atta- ques aiguës » soient survenues. Par conséquent il paraît clair que les « attaques aiguës » sont plutôt des
des maintenues en permanence. Les « attaques aiguës » bien qu'elles paraissent dangereuses disparais- sent toutes seules en qu
atteints. CONCLUSIONS La famille dont nous avons donné l'histoire paraît comparable, bien qu'il y ait quelques différenc
s de rougeur bien nette ; au, toucher, la température du bras droit paraît un peu plus élevée que celle du bras gauche, mais
r est égale des deux côtés. La force musculaire est considérable et paraît égale à droite et à gauche pour la pression de
et la face. Le simple contact du doigt est partout bien perçu ; il paraît cependant un peu moins bien perçu sur le bras d
ain et le cas qu'ils présentaient était d'origine mixte. Il ne me paraît pas douteux que les lésions d'ostéite jouent ici
roubles psychiques, qui fréquemment s'observent dans ces syndromes, paraissent eux aussi L liés à une insuffisance thyroïdienn
modifications habituelles de l'état psychi- que des basedowiens ne paraît plus contestable. Sa démonstration s'appuie sur
faveur du nervosisme produit par l'intoxication basedowienne qu'ap- paraissent occasionnellement chez ces malades les phénomènes
SYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 221 des basedowiens et qui paraît sous l'influence d'une hyperthyroïdation ; la c
ntoxication endogène thyroïdienne, aussi bien qu'elles auraient ap- paru sous l'influence de l'intoxication exogène alcool
ause d'erreur qu'il ne faut jamais oublier, la suggestion. Son rôle paraît évi- dent dans un cas de Rattner, où l'antithyr
tent que quelques-uns des caractères du syndrome et qui néan- moins paraissent s'y'rattacher par une série d'intermédiaires. 2
rba lions de la thyroïde. Pour eux donc la thèse que je soutiens me paraît démontrée. D auh'e part, il est des troubles ps
yndrome basedowien et de la psychose ; mais dans certains cas il me paraît démontré par la clinique et l'opothérapie que l
s avons numérotées pour la commodité de la description : elles nous paraissent toutes représenter des t5pes pathologiques et n
auxquelles il faut les rattacher. Les mains numérotées 1 et 3 nous paraissent devoir être rapprochées l'une de l'autre ; de mêm
ne tendance à la flexion, seuls l'index et le pouce sont étendus et paraissent avoir conservé la totalité des mouve- ments. C'
contracture des deux derniers doigts qui est nette ici et elle nous paraît un stade de début de la main en" pince. On pour
tre de rétraction de l'aponévrose palmaire,,mais ce diagnostic nous paraît devoir être écarté en raison de la persistance
Ainsi donc sur les quatre mains représentées par Holbein, deux nous paraissent reproduire des types de mains syringomyéliques, d
araissent reproduire des types de mains syringomyéliques, deux nous paraissent se rapporter à des variétés de rhumatisme chroniq
des variétés de rhumatisme chronique. Et celle étude de mains nous paraît autant remarquable par l'exactitude et la fidé-
is une superbe édition de la traduction latine de Guido Guidi. Elle parut en 1544. Le manuscrit latin de Guido Guidi est
L'ÉPAULE (Pl. XII). Masson et Cie, EJuel1l5 Phototyplt Bert6wd, Paru Nouvelle Iconographie de la SALPÉTRIÈRE. T. X
ALIEN (Pl. XXXII). Masson et Ci», Editeurs Phototypie Barthaui, Paru Nouvelle Iconographie de la SALP$TRI8R8. T. X
quette et de s'en aller (Pl. XLV). Cette attitude déjà bizarre, le paraît encore davantage lorsqu'on sait à la suite de q
il en soit, cette succession de deux phases aussi distinctes nous a paru intéressante à signaler. En effet il est admis qu
e dit des délires de préjudice préséniles, dans lequel notre malade paraissait , au début tout au moins, devoir prendre place,
(Brissaud ci Gy). Masson & Cie, Éditeurs Phototypie Berthaud, Paru UN CAS DE POL1ENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE 255 liè
ements de latéralité sont fortement diminués, 'mais le dex- trogyre paraît un peu moins atteint que le levogyre. ' ' Les m
a lèvre supérieure. ' ' 256 BRISSAUD ET GY L'ouverture buccale ne paraît pas horizontale, mais suivant une ligne légère-
est presque nulle, l'abduction partielle. En bas, les mou- vements paraissent normaux, mais la diplopie persiste dans le regard
e lever, se diriger vers sa baignoire. 29. Les mouvements oculaires paraissent normaux ; ils sont limités un peu dans l'abduct
alisation exacte de la lésion, l'origine infectieuse de l'affection paraît évidente. La nature intime n'en a pu être décelée
ures qui les divisent (PI. XLVIII, A, B). Aussi les circonvolutions paraissent -elles divisées en un plus grand nombre de plis
pu observer un certain nombre de cas d'ankylose vertébrale. Il m'a paru que deux d'entre eux étaient assez intéressants p
ngle ouvert en avant et très obtus. Le ligament vertébral antérieur paraît presque sain ; il existe dans toute la région d
sques. * Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales supérieures paraissent très allongées par une ossification partielle d
couleur grisâtre des apophyses normales. Les apophyses articulaires paraissent toutes entièrement sou- dées. Les ligaments jau
aires paraissent toutes entièrement sou- dées. Les ligaments jaunes paraissent beaucoup moins atteints que dans la première au
sains, mais il n'en est pas de même des disques intervertébraux qui paraissent par- tiellement ossifiés, surtout dans leur par
unissant les corps vertébraux ; les articulations costo-vertébrales paraissent normales. En résumé, ankylose mixte de la colon
unit les corps vertébraux à leur partie périphérique et a fait dis- paraître en grande partie la ligne de démarcation qui les
que des lésions limitées des racines et de la moelle ; ces lésions paraissent rester sous la dépendance des altérations rachi
is. Pas de troubles visuels, pas de scotome. Les membres supérieurs paraissent intacts. Par con- tre, l'ankylose des hanches p
supérieurs paraissent intacts. Par con- tre, l'ankylose des hanches paraît avoir diminué depuis 18 mois, la hanche gauche
apparut petite et plutôt faible, mais apparemment normale. Elle ne parut pas souffrir du mauvais allaitemeut, augmenta d
assez net sur le visage ; aucune trace de rugosité au visage qui ne paraît pas vieillot. OHSERV. I. Marg. S. CONTRIBUTIO
omalie du côté du thymus qui n'est pas visible ; le volume du coeur paraît normal en proportion du développement du corps ;
age mimique est très riche ; pas de tics, pas de grimaces. Les yeux paraissent légèrement enfoncés par la prominence du front
et normalement mobile. . Le volume du coeur et des grands vaisseaux paraît , à l'examen clinique et radioscopique, normal e
ormation osseuse très grêle, de formes pointues, très maigre, il ne paraît pas plus de 13 à 14 ans. Le crâne est bien conf
x un change- ment de niveau très évident. L'implantation dentaire paraît normale. Vertèbres cervicales, dorsales et lomb
visible à l'extrémité proximale du premier métacarpien. Le carpe paraît normalement ossifié. Radius et cubitus.- Très é
eurs Ser... La main de la soeur ainée normale de 22 ans, Henriette, paraît in loto nor- male ; seulement si l'on compare l
C'est pour cela qu'une contribution il l'étude de cette maladie ne paraîtra pas superflue ; il s'agit d'ailleurs de cas qui
veloppement exagéré de son visage, de ses mains et de ses pieds. Il paraît qu'au bout d'un an ce dé- veloppement anormal s
une légère saillie de la bosse occipitale, les arcades sourcilières paraissent bien plus proé- minentes à droite qu'à gauche,
e son bras droit est un peu plus long que le gauche. Les deux mains paraissent lourdes, grosses et larges, avec des doigts épais
ulierdu côté des cordes vocales ; le cartilage aryténoide de droite paraît plus gros et comme empiétant vers la gauche.
nnée à l'âge de la pa- tiente. Les menstruations n'ayant pas encore paru , c'est à ce détail qu'on attri- bua tout. La
remarqué de particulier. Les acromégaliques, outre qu'asthéniques, paraissent être des sujets en proie à une intoxication qui
it se répéter pour ce qui concerne les altérations du rein; j'ai vu paraître l'albuminurie, généralement légère cependant, par
r trop longuement dans le champ des hypothèses, même lorsqu'el- les paraissent vraisemblables. Je serais peu enclin à admettre q
choire très larges et épaisses. Quelques parties de la calotte ont paru épais- sies, d'autres amincies ; mais c'est à l
ntré une selle turcique normale. L'examen radiographique de ces cas paraissait devoir être le plus intéressant vu que la moiti
graphique des mains et des pieds le développement du tissu osseux a paru des deux côtés nor- mal, quoique un peu fort et
de l'os. De plus l'articulation de la clavicule droite à l'acromion paraît plus amincie que celle de gauche. Il n'est pas
gnes de tu- meur endo-crânienne, sauf céphalée, la^ selle turciquea paru normale, tandis que le crâne était énorme, avec
itées dans les périodes de bien-être, où l'on peut même, à ce qu'il paraît , avoir une rétention d'azote ? Les travaux de M
res raides ; les pas petits et hésitants. Le membre inférieur droit paraît un peu plus difficile à mouvoir. L'examen des r
ls ne pourraient relever d'une même cause cérébrale : les symptômes paraissent être purement oculaires. OBSERVATION Il (PI. LV
erveau qui tend à se développer (Hanotte). La déformation du nez ne paraît pas avoir beaucoup retenu l'attention des auteu
un certain nombre d'autopsies leur donnent raison. La syphilis ne paraît pas probable (Patry). Dans un seul cas elle paraî
. La syphilis ne paraît pas probable (Patry). Dans un seul cas elle paraît bien établie. Deux malades ont contracté la syp
ujet dont l'histoire clinique n'a pu être reconstituée, mais qui ne paraît pas avoir été atteint du côté de la vue. - En
aississement osseux là où la tension est la plus forte. » Il nous a paru intéressant de rapporter ces deux cas et de résum
centués, moins au coude, encore moins à l'épaule. La sensibilité ne parut pas altérée d'abord. Cela parlaiten faveurd'un
l'ai décrit précédemment, l'écorce et les masses grises de la base paraissent avoir peu souffert de la pression. Même dans les
lu- les araignées et les masses colloïdes. Voici un exemple qui m'a paru frappant, d'une tumeur restée longtemps latente
lasticité, prirent le moins de place possible. Ces masses colloïdes paraissent se former d'abord autour des vaisseaux; c'est e
té sensoriel. Dès le mois d'octobre 1906, Mme C... très somnolente, parut atteinte de cécité complète, car elle ne réagis
seaux y ont leur paroi d'une épaisseur extraordinaire. Le néoplasme paraît avoir eu son point de départ la la base, régions
es cellules araignées gonflées. Puis le tiers supérieur de la coupe paraît normal ; mais ce n'est qu'immédiatement en arrièr
a quelques années, la synthèse de tous les états névrosiques aurait paru impossible, parce que, en inventant les stigmates
un jeune enfant vêtu d'une robe de drap d'or. Ces deux figures nous paraissent représenter Louise de Savoie, veuve depuis 1490 d
utre, le frère et les soeurs du malade sont mentalement sains et ne paraissent pas,du moins à première vue, faibles d'esprit.
faut lui répéter à plusieurs reprises les mêmes phrases, pour qu'il paraisse en avoir la compréhension nette et qu'il y répond
406 RÉGIS Il le fait d'ailleurs de façon peu précise. Ce phénomène paraît résulter d'une diminution de l'attention et d'i
t la plume de la main gauche, entre le pouce et l'index. L'écriture paraît impossible de la main droite vu la disposition
nous donner par écrit de ces radiographies. Main droite. Le carpe paraît normal. Le troisième métacarpien, qui paraît s'
Main droite. Le carpe paraît normal. Le troisième métacarpien, qui paraît s'articuler en arrière avec le grand os, suivan
au côté gauche qu'au côté droit. Réflexions. Trois points nous paraissent surtout à relever dans l'observation qui précèd
ur la plupart, à l'intégrité psychique des syn- dactyles. Il nous paraît qu'il y a lieu de réviser cette affirmation et de
l'angle droit. Ceinture thoracique. Les clavicules et les omoplates paraissent nor- males, mais les muscles qui s'y insèrent s
me, et par ses connexions avec les quatre méta- carpiens à la fois, paraît représentera la fois l'unciforme, le grand os et
normaux ; la malformation n'est le plus souvent pas héréditaire et paraît due à une amniotite accidentelle. Toutefois ell
ent évidenls chez tous les autres membres de la même famille. Il ne paraît pas que chez aucun de ces individus il y eût de s
ique également à mon troisième cas : ce grand garçon de 22 ans n'en paraît pas plus de 14, il est svelte et délicat, angul
e comme classique par la pi us grande partie des auteurs et il nous paraît en conséquence utile de nous arrêter un peu CON
a théorie polyglandulaire de De Sanctis. Un telle conclusion nous paraît la seule acceptable quoique selon des mémoires
der de dix ans tout autre symptôme : la lésion des nerfs opti- ques parut seulement plus tard. Axehfeld a depuis 1903 mis
nature ; le premier sujet, Max D. 456 ETTORE LEVI de 16 ans n'en paraissait que 12 ; pendant plusieurs années elle ne pré-
ore plus démonstratif : il s'agissait d'un homme de 20 ans qui n'en paraissait que 10 et dont la taille était de 123 cent- mèt
selle turcique : ce fait aussi parle contre l'hypothèse qui nous a paru d'abord si séduisante. En pensant aux cas de Na
r gaine est infiltrée de cellules rondes. Le cervelet ne nous a pas paru présenter de lésion importante. A la moelle les
e la motilité (1). A l'hôpital, sous une surveillance très étroite, parut la troisième poussée de gangrène cutanée au côt
ue. La lésion initiale très douloureuse et l'émotion du traumatisme paraissent avoir une' influence sur le psychisme malade du
e constater. » Si l'observation citée par M. Valobra avait toujours paru probante à M. Dejerine, il l'aurait sans doute
recueillant avec détail et les décri- vant longuement, au risque de paraître méticuleux. C'est qu'en toutes choses il avait
33 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ondant sur la nature essentiellement mobile de ses accidents - elle paraît avoir été considérée jusqu'à présent comme inca
on des tissus ; l'absence de trou- 1 Un résumé de ce travail a déjà paru dans le Progrès médical, an- née 1886, no 6. -
rs le milieu de 1884, il reçoit à la tempe. gauche une blessure qui paraît avoir été superficielle, et dont il reste encor
uver la moindre fatigue. Ajoutons que quoique le début de l'attaque paraisse absolument brusque et que quoique le malade sem
du membro inférieur gauche n'est plus appréciable; les deux jambes paraissent avoir la même force. Mais la paralysie et l'ane
omène au point de vue du diagnostic. Quant à l'amyotrophie, il nous paraît de toute évidence qu'elle doit être rattachée à
atismales siégeant dans le côté gauche, dont la sensibilité cutanée paraissait émoussée et qui, de plus, était plus faible que
même niveau à droite le périmètre est de 22 centimètres. L'atrophie paraît porter davantage sur les muscles épitrochléens
Son état général est toujours le même. Le membre supérieur gauche paraît un peu plus fort qu'autrefois, mais il est toujou
s dans son travail sur les monoplégies hysté- riques ; la paralysie paraît donc en rapport intime avec l'anesthésie et cel
éjà émise en 1882 dans la thèse'de mon ancien interne Brousse, me paraît jeter un grand jour sur ces questions. . Il n'y
c'est une myélite mixte. - Cette manière de concevoir les choses me paraît correspondre aux faits et, en même temps, perme
r le terrain clinique. Cela posé, arrive uue autre question, qui me paraît secondaire, mais dont je ne veux pas cependant
nte-trois cas (suivis d'autopsie) qui figurent dans nos tableaux me paraissent établir l'existence d'un type clinique, distinc
m- bèrent malades. L'évolution, identique, comme type, chez tous, parut plus atténuée et moins longue chez les aliénés; e
ment, il était entièrement aphasique. L'attention, la perception ne paraissaient pas altérées; il différait même sensiblement en
nça à s'améliorer, il ne répon- dait que par oui ou par non; encore paraissait -il craindre d'em- ployer ces deux mots mal à pr
ne des circonvo- lutions pariétales ascendantes : ce ramollissement paraissait lié à une thrombose veineuse résultant d'une ob
B envisage cinq familles dans lesquelles la perturba- tion mentale paraît produite moins par l'hérédité que par des cause
arachnoïde. L'hémis- 90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. phère gauche paraissait plus volumineux que l'hémisphère droit, mais on
n- tation de volume de la substance cérébrale ; ce phénomène dis- paraît quand l'on éloigne l'amylnitrile, il y a aussi au
uel im- 96 'REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. possible. L'âge et le sexe ne paraissaient exercer aucune influence. b. De l'influence q
onstance égale des altérations de la sensibilité qui finit par dis- paraître par tout le corps, y compris les muqueuses ; on n
citabilité électrique disparaît quand survient la paralysie, et re- paraît quand la circulation est rétablie. M. REMAK pré
cation du timbre (grosse). Paralysie générale, la parole nasonnée a paru sous ladépen- dance du voile du palais ; la voi
x observa- tions qu'elle contient avaient été plus explicites. Elle paraît ex- primer l'opinion de M. Christian, qui s'est
imitant le pro- cédé de la nature (suppurations) aient quelquefois paru provoquer des rémissions au début. Cil. F. V.
sence de la glande thyroïde. D'où il suit, d'après ces faits, qu'il paraît y avoir une relation évi- dente entre l'abseuce
l'asile, elle fut atteinte d'un premier érysipèle; son intelligence parut plus déve- loppée à la suite de cette affection
omoplate ; ils n'étaient pas enkystés. La graisse qui les composait paraissait , au micros- cope, formée'de tissu coritiectif e
n, fut également atteint d'érysipèle, mais son état intellectuel ne parut nul- lement modifié par cette maladie intercurr
mme correctement divers objets qu'on lui présente. Il est propre et paraît susceptible d'affection. (Fig. 5) La tête est g
u d'extraordinaire; né à terme. A la naissance, il était gros, mais paraissait dil- forme ; la tête surtout était « horrible à
en arrière, on détermine une vive douleur. La sensibilité cutanée paraît normale dans ses différents modes. Organes des
(inguinale droite) et des douleurs aussi du côté opposé. La hernie paraît réductible. Bain d'une heure. Soir : T. R.37»,7
86. L'état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la mémoire paraît meilleure, il semble un peu plus vif, surtout e
e la motilité du côté de la face ; le pharynx et le voile du palais paraissent d'ha- bitude très bien fonctionner, mais parfoi
es pendant plusieurs jours et parfois sa langue est contracturée et paraît tordue sur elle-même, de telle sorte que la fac
eigne- ments provenant d'autres sources et dont la réalité nous a paru certaine; c'est pour ce motif que dans les antécé
ntait rien de particulier, elle n'était pas déviée, mais la vue lui paraissait plus trouble à gauche qu'à droite. Le membre su
publions pourtant cette observation, car ce qui y est consigné nous paraît absolument suffisant pour établir rigoureusemen
on dynamique des centres nerveux. Quant à l'hémianesthésie, il nous paraît tout naturel de la rattacher à la même cause qu
che. La sensibilité gustalive semble diminuée à droite. Les yeux paraissent normaux des deux côtés. Le malade n'a jamais eu
du membre supérieur gauche paralysé depuis l'épaule jusqu'à la main paraissent atteints; le bras est plus atrophié que l'avant
sente des caractères dignes d'intérêt. Le début de cette atrophie paraît être généralement rapide. Dans l'Ob- servation
atrophie musculaire, celle-ci, comme nous l'avons dit plus haut, ne paraît pas dépasser certaines limites; ce fait tient s
phénomènes dits trophiques. Une pareille assertion peut pourtant paraître étrange; car est-il possible de comparer l'atro
jection fondamen- tale contre l'hypothèse d'hystérie, et qui aurait paru suffisante à beaucoup de médecins pour la rejet
e. Sauf l'impotence absolue du bras droit la malade était valide et paraissait bien portante. Cependant elle était depuis six
de cette monoplégie brachiale et des antécédents de la malade il me parut évident que j'avais affaire à 204 RECUEIL DE FA
d'avril dernier, c'est-à-dire quatre mois après celte guérison, qui parut miraculeuse aux assistants, j'ai eu des nou- ve
ve. Malade en traitement. Le diagnostic émane de l'âge auquel ap- parurent les premierssymptômes, de la localisation de l'at
urol. Central6l., 1885.) L'auteur résume les propositions qui lui paraissent émaner de treize observations suivies avec le p
e ; intégrité des faisceaux blancs, quoique le cordon latéral droit paraisse atrophié au niveau de la partie supérieure de la
considérable des noyaux du sarcolemme; la stria- tion transversale paraissait plus fine et souvent un peu moins nette. Il. IL
nds parents des malades présentés, bien que cousin et cousine, ne paraissent pas a\oir souffert de cette maladie; les parents
a moelle épinière. La femme qui fait l'objet de cette observation paraissait , selon la nomenclature deFried. Schultze, en proi
aterait de l'âge de trois mois; à l'âge de six mois, les mouvements parurent maladroits; l'enfant ne présentait pas cette al
diminuait les attaques, mais le petit mal redoublait. Le borax a paru donner quelquefois de la diarrhée, mais il ne pro
os divergences ne sont pas aussi profondes, en réalité, qu'elles le paraissent au prime abord et que, dans le problème si com-
, il lui a élé impossible de lever les bras, une légère timbale lui paraissait lourde comme un broc en zinc et les membres eux
pent de l'obtenir. Il faut dire que les administrations n'ont pas paru jusqu'ici se faire une idée exacte des besoins, e
e point de vue, votre tâche, parfois si dure et si répugnante, vous paraîtra légère et vous l'accomplirez avec plaisir, en v
paralysie a disparu sans laisser de traces ; la rétention d'urine paraît et disparaît sans avoir de cause; il en est de
her facilement, mais après il revenait au même état. Moralement, il paraissait abattu, parfois la tristesse s'emparait de lui
cas était causé par la paralysie des cordes vocales; celui du 3" paraissait être dû à un défaut d'énergie pour articuler le
s. Celle du pharynx mérite une attention particulière parce qu'elle paraît constante (7 cas sur 11); on ne l'a pas observé
d'un blanc mat, assez résistante sous le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse couche de tissu cellulair
st très marquée. Quant aux sensibilités spéciales, la vue et l'ouïe paraissent égales des deux côtés. Le goût semble intact. T
ure ou des bonbons. Une poupée qu'il a eu pendant quelques semaines paraissait lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est
On l'exerce à marcher, ce qu'il fait, tenu par la main. La mémoiie paraît exister; il reconnaît les personnes qui fréquen
selle depuis quatre jours (il ne mangeait pas depuis deux jours et paraissait souifrir), est amené à l'infirmerie. Lavement.
isse, se décortique facilement (quelques étoiles de Verrheyen) ; il paraît au toucher plus dur que d'habi- tude, sans qu'o
ganglions semi-lunaires, la partie inférieure du grand sympathique paraissent absolument normaux ; les parties supérieure et
a 15 a 16mm de largeur et 1 centim. de hauteur; il est assez épais; paraît sensiblement hypertrophié. Lorsqu'on enlève le ce
iculaire interne (Se. p. i.) est très profonde, béante. Le coin (C) paraît peu développé. La fissure calcarine (F. ca), dé
uche optique, sont normaux. Cervelet. ' Les hémisphères cérébelleux paraissent normaux. Analyse de la peau. Nous avons fait fa
de la scissure sous-pariétale gauche. 3° Enfin le corps pituitaire paraissait sensiblement hypertrophié. Nous reprenons mai
hydermique, publiés par les auteurs . Voici un cas de M. Bouchaud', paru en 1884, et que nous reproduisons complètement
lation est saine. - Le père, âgé actuellement de quarante-cinq ans, paraît très intelligent; il est d'une consli- tution r
Les sens sont intacts ; il voit et il entend ; l'odorat et le goût paraissent cepen- dant peu développés. Il est faible et tr
e cette peau n'a pas été pratiqué et que la présence de la mucine a paru faire défaut dans un certain nom- bre de cas de
dans le service de Legrand du Saulle. Nous le relatons tel qu'il a paru à cette époque. Observation VIII. Oncle paterne
nstata enfin une obnubilation générale de l'intelligence. Il nous paraît inutile d'insister sur les symptômes présentés
ate du début de l'atrophie de la glande thyroïde; toutefois, il lui paraît vraisemblable que, dans son cas, on avait affai
tignolles. L'un de nous a eu l'occasion de voir ce malade qui lui a paru être un bel exemple d'idiotie crétinoïde avec c
ïde avec cachexie pachydermique. La véritable nature de l'affection paraît avoir échappé à M. Bail. Une circonstance parti
e; elle était née à terme, était bien conformée, intelligente et ne paraissait que son âge, contrairement à ce qu'écrit M. Bai
égétative s'accomplissent avec régularité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l'état normal et la sensibilité tactile
ous suffit de citer ces quelques lignes pour montrer que M. Bail ne paraît pas être au courant des travaux publiés sur l'i
pplique les méthodes d'enseignement dus à Edouard Seguin. M. Bail paraît ignorer les résultats très sérieux obte- nus da
normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon état paraissait être dû à un excès de la graisse sous-cutanée s
inoïde avec cachexie pachydermique. Le diagnostic de myxoedème nous paraît cependant devoir être posé assez clairement, si
able du corps thyroïde, etc. Aux cas de crétinisme avec myxoedème paraîtrait aussi devoir se rapporter l'observation de M. A
ndistincte; l'enfant était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il paraît plutôt s'agir d'un myxoedème opératoire; nous a
th, Bail, Goodhart, etc., et que nous avons rap- portées plus haut, paraissent en fournir la démonstra- tion. Il ressort des
s idiots crétinoïdes, l'absence ou l'atrophie de la glande thyroïde paraît constante. Les quelques autopsies de sujets att
M. Brandes, il s'agit d'un homme de quarante ans dont le myxoedème paraissait remonter 1 La question de crétinisme mériterait
ux oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde paraissait nor- mal. - Dans l'autopsie du cas de Ord, fait
nuée de volume. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 353 glande a paru douteuse (Goodhart, Ridel-Saillard, Ord, Gowans
sence de la glande thyroïde a été constatée ou dont l'existence a paru très douteuse, semblent établir une relation évi-
é sur la face), et surtout aux parties latérales du tronc. Le corps paraît atteint d'anasarque généralisé moyen. l'ig. 23.
tance corticale. Le tissu de l'arachnoïde et surtout de la pie-mère paraît forlement épaissi, mais en intensité variable, à
lia brièvement deux nou- veaux cas. Il faut noter que la cachexie paraît d'autant plus à craindre que l'opéré est dans l
s sur les animaux, les plus concluantes et les mieux conduites nous paraissent être celles de M. Horsley, tant à cause de l'es
rches de M. Horsley, entreprises sur le chien, le chat et le singe, paraissent démontrer que la glande thyroïde est d'autant p
n des aliénés de l'hospice de la Salpêtrière, un épisode qui nous a paru mériter une courte analyse. Nous ne nous arrête
lement. Samedi 28. Le gonflement est à peu près complètement dis- paru ; la respiration est devenue normale, la voix res
mes propos qu'avant sa tentative; néanmoins, les idées de sui- cide paraissent disparues. A partir du 16 septembre, à la suite
eau que l'on peut ensuite rabaisser comme le couvercle d'une boite, paraît maintenant évident, puisque d'un seul morceau,
tumeur était beaucoup plus dure que la subs- tance du cerveau. Elle paraissait large seulement de douze milli- mètres ; mais,
-la collection Ziemssen (2e édition, 1880). J. Quand M. Schuele fit paraître cet IIandi)uch, il nous souvient d'avoir entend
34 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
Vin. — N" Si. — 10 JANVIER 1 au collège dos chirurgiens. Il nous a paru intéressant, sous ce rapport, de conserver les fa
fr. par\'r. BIBLIOGRAPHIE. Un nouveau volume des Arcanes vient de paraître , c’est le second fruit d’un arbre dont les rameau
avions nos raisons pour cela. M. Cahagnet, excellent homme du reste, paraît être d’une susceptibilité excessive à l’égard de
avions-nous « tondu de ce pré la largeur de notre langue » , qu’il a paru à M. Cahagnet que c’était une témérité punissable
ons point, le temps y échouerait lui-méme. Nos observations actuelles paraîtront dictées par un sentiment malveillant et injuste,
s miasmes paludéens en sont la cause; « 2° Ces fièvres commencent à paraître au printemps, et durent ordinairement jusqu’en au
ier chez le docteur William une scène de magnétisme bien amusante. 11 paraît que ce médecin peut faire qu’un homme s’imagine o
merai mes observations sur l’ensemble du livre. A. Forme. — Elle me paraît essentiellement défectueuse; mais, je me trompe p
ue, car il est naturel que le principe devance les conséquences. 11 paraît que vous n’avez pas cru cette marche applicable à
n rôle de demain. Je vous confesse que cette façade de l’édifice me paraît avoir besoin d’être badigeonnée. Autre chose.
, quoique l’opération eût parfaitement réussi. Votre explication vous paraîtra peut-être inexacte, surtout si vous réfléchissez
a figure. Cet emblème est assez bien choisi, mais la forme ne nous en paraît pas heureuse. Pourquoi une main de femme? Celle d
sant que probablement la poche s’était crevée durant son sommeil ; il parut accepter cette solution vraisemblable du problème
rejetés sur le lit sans aucun signe de mouvements volontaires. Il ne parut pas non plus éprouver d’émotion lorsqu’on le piqu
frais, on le réveilla non sans quelque difficulté. Questionné, il ne parut pas avoir conscience de ce qui lui était arrivé;
que. On la magnétisera une heure et demie chaque jour. Le 3o elle parut être profondément cntrancée. Ses membres étaient
ement flexibles, et on la secoua presque avec rudesse sans qu’elle en parut émue. On lui enfonça une épingle dans le bout du
s un de nos précédents numéros, écrit dans le Constitutionnel. « 11 paraît que la population de la commune de Guillonville,
e anecdote remonte à près de six siècles; mais depuis lors ce procédé paraît s'étre beaucoup perfectionné; on dit que lorsque
é au bras cToù il est extrait. Quelque temps après, quand Fad-hérence paraît être suffisamment établie, le chirurgien coupe le
rer cette conséquence que les ombres des trépassés qu’on voit souvent paraître aux cimetières sont naturelles, étant la forme de
vers l’abdomen, sans l'éveiller. Le 20. On le secoua fortement, il parut le ressentir, et en conséquence 011 fut obligé de
le mes-mériser une heure de plus que le temps ordinaire. Après qu’il parut profondément entrancé, la tumeur fut secouée plus
cela excitât le moindre mouvement dans tout son système. Le 21. Il parut être profondément entrancé, c’est pourquoi il fut
ans. Il sera mes-mérisé tous les jours pendant une heure. Le i5. Il paraît dormir du sommeil naturel» Le 16. Ses bras sont
lui piqua plusieurs fois le mamelon droit. Cette dernière expérience paraît l’avoir éveillé. En voyant sa main tachée de sang
peau d’environ le volume d’une fève française (un haricot). Cet homme parut aussi agité vers la fin de l’opération ; mais il
jambes, oh! cela brûle! Qu’avez-vous mis sur moi, Dr Sahib? » lit il parut éprouver une vive souffrance. Je le fis aussitôt
troisième fois, et je lui arrachai un poil de sa moustache sans qu’il parût s’en apercevoir; j’eus beaucoup de peine à l’évei
impondérable, le biomagnétique compris, et sur la forme élipsoïde qui paraît être la grande loi naturelle du mouvement, depuis
st susceptible. Je ne dirai pas jusqu’à quel point ces prétentions me paraissent fondées; mais, ce qu’il y a de certain là-dessus,
s ont affaibli sa vue; quand elle regarde dans un livre, les mots lui paraissent ne former qu’une seule ligne. TOME vin. — N° 89
esque à volonté, étendre et plier l’avant* bras. Du iq mai. Le bras paraît parfaitement droit ; le mouvement en est redevenu
il est calme et tranquille. Le moral est abattu, et ce malheureux ne paraît disposé à aucun genre d’exercice. 11 a une douleu
. — La pretnière partie de l’ouvrage annoncé, de M. Ollivié, vient de paraître à Toulouse; nous en aurons dans quelques jours à
n de cet ouvrage, par le Dr Mure, lie passage suivant : « 11 nous a paru urgent d’acquérir à l’homéo-palhie une notion déj
’eau transformée ainsi par un pur acte de la volonté; el cela ne nous paraît pas plus extraordinaire que l’odeur du soufre dév
c tous d’assertions hasardées, fausses ou douteuses, de peur qu’elles paraissent mensongères ; nous avons bien assez d’ennemis nat
mer, de chérir les grands hommes ? Les intentions de M. Gentil nous paraissent meilleures que l’explication qu’il donne des phén
aturel avec tout ce que la science a révélé. En somme, M. Gentil nous paraît être rempli de son sujet; ce qui lui manque , c’e
ité de la prophétie d’Orval , re-. produite par nous l’an dernier. Il paraît que c’est une pure invention , composée dans un b
se est la même que celle des épidémies qui, sous différents noms, ont paru sur la terre, décimant les populations et dispara
la réaction commencera à s’établir, que la transpiration commencera à paraître , on la favorisera par l’administration à petites
ent offrir les organes aux forces vives qui, dans cette circonstance, paraissent quintuplées. Et ce que l’on voit dépasse de bien
uatre jours a soumis Anne Chaigncau à un traitement magnétique qui ne paraît pas avoir produit encore d’heureux résultats bien
x qui décorent la cellule du bienheureux Laforgue. Jamais joie ne m’a paru plus vive que celle exprimée par les traits de l’
vait aussi, depuis sept mois, une extinction de voix. La catalepsie paraît héréditaire dans Còlte famille, car une tante dés
A la i3®, point d’accès, ni toux, ni vomissement. Les menstrues ont paru ; la malade se trouve bien. De la ¡4' à la 17e
ite â nia ferme, où elle décrivit mes récoltes écourtées, quoiqu’elle parût , à l’occasion, embarrassée de distinguer les plan
magnétisme. Il est écrit partie en français , partie en allemand, et paraît avoir été composé vers 1820. — M. Charpignon no
n emparer et répéter le« prodiges, c’est autre chose. M. Morin nous a paru pénétré d’une conviction profonde; mais nous ne c
es. — Nous avons déjà dit un mot d’une découverte physiologique qui paraît devoir venir en aide au mesmérisme. Elle a été of
une lettre de M. de liumboldt, dont voici un extrait: i II vient de paraître ici (Berlin) des recherches sur l’électricité ani
s spontanées et de tumeurs enkystées, le traitement par le magnétisme paraît offrir quelques inconvénients; à part aussi certa
i aussi une manière de ne faire que de bons somnambules; mais cela me paraît si simple, que je n’ose dire que c’en soit une :
euxième livraison de l’ouvrage de M. 01-livier, de Toulouse, vient de paraître , et la troisième doit la suivre de près. Nous fer
l’action vitale qui semble s’éteindre. La position de. ce malade me paraissait fort grave. Mon esprit inquiet travaillait sans c
mbes et surtout des mollets. Vers neuf heures du soir, même jour , il parut y avoir chez mon malade une amélioration sensible
. Un des moyens qu’elle indique pour combattre ce terrible fléau, m’a paru neuf, et mériter peut-être quelque attention. Vou
Magie magnétique. (Suite.) Je n’ai point pour auxiliaire ce qui paraissait indispensable dans l’antiquité : le silence des s
je participe en quelque sorte à ce qui se passe ; mon organisation me paraît quelque peu enchaînée, je puis croire être une pi
atiente : Je ne vois point son pied, dit-il. Il tourne, se penche, et paraît contrarié; mais le pied de la charmante femme app
attentifs; vous ne connaissez point l’agent dont vous vous servez; il paraît avoir des affinités avec d’autres agents plus sub
n tour la dérivation d’une aiguille librement suspendue. La déduction paraissait claire et évidente; mais M. Arago sourit de son s
rants électriques dans les contractions des muscles ; seulement il me paraît difficile, comme le fait observer judicieusement
rant la mesmérisation ; mais aucun symptôme spécifique n’ayant encore paru le 12 août, je perdis patience, et résolus d’essa
sécutive d’un hydrocèle qui vint lui-même à la suite d’une fièvre qui paraissait deux fois par mois, au changement de lune. Du 7
ns son Facts in Mesmer ism, de l’action habituelle des sens, l’esprit paraît acquérir de plus justes notions des choses pureme
imulent pas leurs sentiments réels au moment où ils les éprouvent. Il paraît exister chez eux un éloignement instinctif pour t
umission; son orgueil, humilité ; et en proportion exacte de ce qu’il paraissait en savoir davantage, il se croyait lui-même plus
rette profondément! » Rendu à son état de veille , il rit, parla , et parut tout indifférent que de coutume. » /^T'v Un éta
ce mis dans la main du sujet y fondit promp-toment, sans que celui-ci parût en ressentir la moindre incommodité; et au moment
yées, et toutes offrirent les mêmes résultats. De telle sorte qu’il paraît que, par l’excitation de cet organe, si le calori
argée dans l’intention de produire des décharges électriques. Elle ne parut pas très fortement chargée, car les étincelles n’
ébilitée par un jeûne forcé. Cette pensée est déplorable!... lille ne paraît pas avoir souifert. Elle est grasse, rosée, causa
la soustrait, dans l’irritation, au moyen d’électro-moteurs, et cela paraît fort rationnel ; car si l’électricité se trouve e
envoyer au Musée britannique; et comme, en même temps, l’occasion lui paraissait belle pour s’assurer du pouvoir tant vanté des ch
reptile, en lui poussant un chilfon rouge au bout d’un bâton, ce qui parut grandement l’irriter, à en juger par scs siffleme
résolution. Une fois, un vigoureux gaillard saisit le fils aîné, qui paraissait exercer sur la famille une grande influence, le J
fille, à l’hôpital de Saint-Clpude. La jeune fille, à qui ce mutisme paraissait peser davantage, répondit effectivement à quelque
équemment constater rien de positif. Mais, du peu que j’ai vu, il m’a paru résulter, d’une part, que le magnétisme n’est pas
je lui jetai de l’eau froide sur les yeux, qu’il ouvrit enfin. « Il paraissait éveillé. Je lui demandai qui j’étais, 11 me répon
ne entière différence entre les plaintes d’un dormeur magnétique, qui paraît souffrir, et celles des patients ordinaires, sous
prit est troublé, la vie volontaire, dont la conscience de la douleur paraît dépendre, n’est point incitée, et le cerveau semb
ait courbé sous le poids des souffrances les plus atroces, ses forces paraissaient épuisées; elle accusait une violente douleur à
lendemain, à neuf heures du matin, elle ne s’était pas réveillée, et paraissait jouir de la béatitude la plus complète; je la rév
e Vendôme, des scènes où tonies les lois ordinaires du monde physique paraissaient renversées. «Au milieu d’une grande salle, auto
s esprits sur ce qu'on devait penser de cette nouvelle découverte qui paraissait destinée à renverser toute la médecine , et peut-
contradictoires dans la forme, mais d’accord sur le fond, et la chose paraissait tout-à-fait terminée, lorsque M. le docteur Ducro
es expériences qu’ils rapportent, comme un amusement théâtral; et tel paraît être, en effet, le caractère des séances en quest
Van Helmond avait une grande confiance dans l’onguent armaire, qu’il paraît distinguer de l’onguent de Paracelse. Il s’appuie
à rendre le monde meilleur, à moraliser les relations sociales, cela paraît incontestable, et le fait suivant en fournirait a
agnétisme est donc insuffisant pour la peindre. « C’est elle qui va paraître tout à l’heure dans les œuvres que vous aurez à r
uperstitions, 1.1, p. 561. (2) Hist. tri part. (3) De Demoniac. paraissaient s’écarter des lois de la nature par la singularit
Perses; le principe du mal était appelé Satan par les Arabes, et Job paraît être le premier qui ait employé ce terme. Enfin,
ette médication la plupart des cures du célèbre thaumaturge, qui nous paraissent appartenir à la médecine de l’imagination ; car e
entes. 11 exigeait une foi vive chez les malades, cette condition lui paraissait indispensable à scs succès. 11 (1) Voyez PAnti-
Ils recevaient de violents coups sur toutes les parties du corps sans paraître s’en apercevoir ; des hommes leur marchaient sur
ibitions déconsidèrent le magnétisme, ce qui n’est pas douteux, elles paraissent aussi servir à sa propagation, en appelant sur lu
tteinte portée à sa réputation ; mais il a été débouté. Le tribunal paraît reconnaître, par ce jugement, que les révélations
mme dans les plus terribles de ces opérations, rien que le succès! 11 paraît qu’en donnant l’insensibilité, le magnétisme pénè
palpable, mais personne ne l’appliqua, si même quelqu’un y pensa. Il paraîtrait que les choses les plus simples sont les plus len
noncé au bénéfice de l’anesthésie, lorsque l’insensibilité magnétique parut . Née à l’Hôtel-Dieu de Paris, durant les mémorabl
de Paris, durant les mémorables expériences de M. du Potet, sa venue parut providentielle. Georget fit voir par quels caract
et morale de la femme , dans lequel il traitera du magnétisme, qu’il paraît devoir considérer comme un produit de l’imaginati
mais, offrons-en quelques autres : Que ce jeune homme blond, et qui paraît joyeux de la scène qu’il vient devoir, entre auss
r dès le début de cet article : des êtres providentiels surgissent et paraissent inspirés; ils tracent le chemin que doit suivre l
, la vérité; après la nuit, le jour; mais la lumière est bien lente à paraître ! Celle qui jaillit en cet instant ne peut éclaire
mois, la santé était redevenue parfaite, et nulle trace d’enflure ne paraissait plus. Depuis cette époque, bien des années se son
dans la région de l’estomac et dans les intestins , dont le caractère paraissait nerveux. Les digestions étaient très-difficiles,
ont fait revenir à la conviction que de9 assertions qui nou9 avaient paru hétéroclites, portaient le germe de principes tou
ruisons tous les systèmes, et nous avons devant nous des édifices qui paraissent inébranlables. C’est donc une œuvre colossale, im
octobre publie la note, assez méchamment rédigée, que voici : « Il paraîtrait que Mesmer aurait été devancé par quelques illumi
elle prouve combien peu vous avez souci des vivants : les morts seuls paraissent occuper vos pensées. Correspondance. — Notre sa
e succès des expériences; mais leur récit est plein d’une emphase qui paraît commandée. — Le Temps du 8 octobre, publie une
t simple à l’état de veille. Appeler cela une vision corporelle, nous paraît prodigieux. Risum teneatis, amiei! Si nous acco
is seulement qu’on m’endort; voilà tout ce que je sais. La prévenue paraît en proie à une violente émotion. D. Vous étiez
Onéirapoles, prêtres somnambules de l’antiquité, 162. — L’art médical paraît avoir son origine dans les révélations somnambuli
35 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ires et par avis inséré aux deux numéros du Journal du Magnétisme qui paraîtront Immédiatement avant la réunion. Abt. ts. Lors d
illes non fortunées. Or, les riches étant les moins nombreux, il nous parut que c’était vers les classes laborieuses et souff
Notre journal d'abord mensuel, comme tous ceux qui l’avaient précédé, parut par quinzaine, la deuxième année; donnant ainsi,
restée rebelle à tout traitement. Après quelques renseignements, qui parurent nécessaires à notre confrère, le magnétisme fut p
Paris, 1848 ; prix:t> fr. Cet ouvrage si impatiemment attendu a paru hier; nous ne l’avons pas encore lu, mais voici,
; et franchir d’un seul bond la distance qui nous sépare de Dieu peut paraître hasardeux. J'aimerais à voir un homme aller du co
constatai que les muqueuses étaient tellement enflammées que les yeux paraissaient pleins de sang; la mère me déclara que cet état d
s apercevons les objets, peut-être tout ce que nous venons de dire ne paraîtra-t -il plus aussi étrange qu’il peut l’avoir paru d’a
venons de dire ne paraîtra-t-il plus aussi étrange qu’il peut l’avoir paru d’abord. S’il n’y a aucun rapport réel entre les
bien, voici qu’elle sort de chez elle. Dans une heure vous la verrez paraître . A moins pourtant qu’elle ne j>orte en ce mome
ards se tournèrent vers la porte, qui était restée ouverte. Une femme parut ; une femme jeune, blonde, et d’une assez jolie fi
a plaidé de la manière la plus spirituelle cette cause étrange. Sans paraître croire à toutes les merveilles du magnétisme, il
oici maintenant la Porte Saint-Martin qui, dans La fin du monde, fait paraître une somnambule toute éveillée. Nous savons, de pl
te éveillée. Nous savons, de plus, que la censure a refusé de laisser paraître , sur la scène de Beaumarchais, une véritable somn
il a qualifiée de la itins lucide de Paris. Il annonce qu’il va faire paraître à ce sujet une brochure intitulée : Confessions d
ée bien longtemps avant que des événements arrivés de nos jours aient paru l'accomplir. Charles XI, père du fameux Charles
reté pour celte princesse eut, dit-on, hâté sa fin, il l’estimait, et parut plus touché de sa mort qu’on ne l’aurait attendu
nversation qui s’épuisaient tous à la seconde ou troisième phrase. 11 paraissait évident que Sa Majesté était dans une de ses hume
ette salle semblaient en ce moment éclairées d’une vive lumière. Cela parut étrange au roi. Il supposa d’abord que celle lu
t remplacé l’antique tapisserie à personnages. Le long des murailles, paraissaient disposés en ordre, comme à l'ordinaire, des drape
s étaient habillés de noir, et cette multitude de faces humaines, qui paraissaient lumineuses sur un font sombre, éblouissaient tell
un maintien grave et austère, revêtus de longues robes noires, et qui paraissaient être des juges, étaient assis devant une table su
ots articulés ; puis le plus âgé des juges en robes noires, celui qui paraissait remplir les fondions de président, se leva, et fr
llot, qu’il regarda avec un dédain superbe. En même temps, le cadavre parut trembler d’un mouvement convulsif, et un sang fra
é mesmérienne, et de sa propagation, comme pour toutes choses, a fait paraître une profonde sagesse en ne permettant pas, jusqu’
este je vous soumets, vaudrait la peine d’être examinée, car elle m’a paru renfermer plus d’un enseignement utile; et c’est
e monopole, de privilège, est synonyme d'injustice, de spoliation; et paraître s’en faire le défenseur, suffit pour attirer sur
e j’ai pris la plume pour vous exprimer ces quelques idées, qui m'ont paru avoir leur utilité, si elles obtenaient votre app
en lui faisant respirer de l’ammoniaque liquide et carhonatée, ce qui parut le déranger un peu, mais il dit qu’il ne flairait
sensible aux piqûres un certain temps après avoir été couché et qu’il paraissait seulement très-ivre; mais quand je re-.tournai au
é de ces deux hommes eût pu être opéré presque sans limites, non sans paraître le sentir, mais sans en avoir connaissance après;
à ce moment qu’il lui arriva un fait assez curieux. Deux fois il vit paraître , quoique fort bien éveillé, mais ayant les yeux f
ésorption de cesglandes. Cette crise n’eut pour résultat que de faire paraître une nouvelle dent au fond de la bouche. A son r
ans avoir pu arrêter la progression de son mal. Tous les 5 ou G jours paraissait une crise qui durait plusieurs heures, et laissai
ces se développèrent des crises si énergiques dans l’hypogastre qu’il paraissait en proie aux plus violentes convulsions, puis tou
heure il me dit qn’il avait bien senti quelque effet, mais que ce lui paraissait être peu de chose; je l’engage à se lever et à es
ans s’en apercevoir, à l’engourdissement de voluptueuse extase qu’ils paraissent éprouver. » Cette walse lente et continue, guid
semblaient se soulever d’eux-mèmes, car les mains qui les touchaient paraissaient impuissantes et débiles. Le fer même était rompu,
toutes les hallucinations du sommeil extatique. Des êtres surnaturels paraissent au milieu de nuages légers, tenant des harpes, de
vieillard endormi, assis dans un fauteuil, entouré de personnages qui paraissent être la famille. Placé à l’extrémité de la grande
du docteur Poeti, que le docteur Dugnani nous annonçait comme devant paraître à Turin. C’est un volume in-8°. Il traite de l’ho
e de l’homœopa-thie et du magnétisme. Plusieurs observations nous ont paru assez importantes pour être traduites; aussitôt q
e heure du matin, elle serait réveillée en sursaut, et que ses règles paraîtraient pour durer cinq jours avec abondance, et qu’elles
ailleurs, en dehors même de leur talent de prévision, m’ont toujours paru raisonner plus juste des affaires de la vie ordin
Providence éternelle! manifeste ton pouvoir et la loi, hâte-toi de paraître dans cette confusion des esprits; parle à la foul
res, pendant leurs expéditions au pôle nord. Une partie du lac Iluron paraît être également le centre d’une attraction magnéti
t les magiciennes fameuses de 1 antiquité. Cir-cée des déserts, il me parut que les doctrines religieuses de lady Esther étai
e la révolution de février s’est chargée d’accomplir, el qui nous oui paru trop remarquables pour ne pas être signalés. «.
votre lettre à A. G. — Sous n'enverrons plus par V. Hébert. — Il n’a paru , irrégulièrement, de la R. M. que ce que vous ave
de verre l'effet est attribué à d’autres causes. Un mot d’explication paraîtra à cet égard. Caen. — M. 1’.....r. — Envoyé à Vi
science possède sont encore peu nombreux, mais très-précis. Ils m'ont paru de nature à intéresser tous ceux qui s’occupent d
sommes toujours heureux d’enregistrer 1111 acte d'acquittement qui a paru fondé à la justice, lorsque surtout elle a double
beaucoupde choses, mais non la république.Cette mauvaise plaisanterie paraît inspirée par une pensée de critique des somnambul
s faudra Plus d'un jour pour ca! — Il va, nous assurc-t-on, bientôt paraître un opuscule mystique dont l’auteur, M. Morin, se
assura que, pour aucun prix, il ne recommencerait l’épreuve. La vache paraissait fort irritée, et elle m’aurait, je crois, éventré
.suffrages des électeurs pour la représentation nationale, il nous a paru bon de faire connaître à nos amis son opinion mag
phrénoménographi-ques et littéraires de mesniérologie. Cette feuille paraîtra tous les mois. » Tous les dimanches, k trois he
isse pour souffler sur le centre épigastrique où des désordres graves paraissaient exister, la mère éprouve un tel effet, que nous l
point, s’en va quand on voudrait la retenir. C’est ainsi qu’on a vu paraître les prophètes, sibylles, devins, etc., traduisant
non, Physiologie, médecine et métaphysique du magnétisme, vient fie paraître . Nous l’analyserons très-prochainement. — On ve
lie, les presses gémissent, les journaux se multiplient, et l’on voit paraître plus de livres dans une année qu’il n’en était au
ercevoir les choses qui lui échappent. Bien que dans ce dialogue tout paraisse arrangé de manière à faire penser que le somnambu
endre sourire, et quoiqu’on proie à des douleurs physiques aiguës, il parut , moralement du moins, tout à fait heureux à mon a
s arguments primordiaux du héros incrédule du livre. En résumé, il me parut évident que le raisonneur n’avait pas même réus
magnétique. Sa respiration devint immédiatement plus aisée, et il ne parut plus souffrir aucun malaise physique. La conversa
s par un pur effet de volonté; habitant non plus les étoiles qui nous paraissent les seuls mondes palpables, et pour l’emmagasinem
le vis la première fois : son intelligence semblait être éveillée; il paraissait comprendre ce qu’on TOSB VI. — Ri" 71. — 10 JUI
sa mère. Ceci est à la lettre, et, quelque invraisemblable que doive paraître mon récit, j’atteste qu’il est vrai. » Chroniqu
magnétisme n’y est pas complètement étranger. La Mouche a cessé de paraître ; c’est une grande perte pour le magnétisme dont
es de diamètre et pesait 7 onces. J’appris en outre que ce fait avait paru si extraordinaire que pas moins de deux cents per
uire, que nous trouvâmes sous le poids d’une de ses crises, et qui ne parut pas s’apercevoir de notre présence, malgré les pa
milieu de laquelle il est sage de choisir ; l’énumération complète en paraîtrait d’autant plus longue qu’elle offrirait moins l’ét
qu’on présentait à cet égard. Cette théorie, au fait assez simple, paraissait pourtant avoir pour elle une grande raison, l’ana
i mixte, si violé, si incompréhensible et si indéfinissable qu’il eût paru . Dès son origine, le magnétisme animal a préten
raffinements. " Toutefois cette assimilation, si frappante qu’elle paraisse , n’est pas juste. D’abord l’action du magnétise
« Quant à l’anti-magnétisme ou seconde vue des prestidigitateurs, il paraît d’après ce que vous médités qu’à Paris l’opinion
agnétisme. — La nouvelle loi sur la presse empêche le Révélateur de paraître désormais. -Ses numéros 2 et 3contien-nent divers
rouver place dans cette revue, sauf la critique des opinions qui nous paraîtraient en opposition avec les vérités que nous avons cru
ait abandonner. Ce luxe prodigieux de doctrines médicales qui ont paru comme rivales «le la médecine hippocratique est d
mal qu’a causé au genre humain le nombre immense des médecins qui ont paru depuis eux, il deviendra évident qu’il aurait été
t conséquents, el la dose des médicaments, quelque minime qu’elle pût paraître , était néanmoins pondérable et appréciable physiq
evenu à travers tous les éléments. Au milieu de la nuit, le soleil me parut briller d’une lumière éclatante. J’ai été en prés
ubstance. Voici ce que dit le docteur Jahr : « Quelque absurdes que paraissent au premier aspect les atténuations infinitésimale
ous la bannière du vitalisme, le problème de la curalion des maladies paraissait simple, et consistait à trouver le moyen de prése
— La Mouche, dont nous avons annoncé la cessation de publication, a paru pour la dernière fois le 29 juillet. Dans ses adi
être pas la seule que nous puissions observer. On voit des hommes qui paraissent jouir de facultés vraiment aromales dans un certa
éjudice aux somnambules consultants; le salaire qu’ils reçoivent doit paraître modique à celui qui sait apprécier les fatigues q
nt avec la maladie? Maiscc n’est pas tout; cette Explication pourrait paraître spécieuse, partant contestable. Quelle partie dn
nconnus, se manifestèrent sous l’application des procédés, la théorie parut sanctionnée par la pratique, et gagna des discipl
ades, une cause de mort. Combien donc la profession de médecin doit paraître sublime à celui qui l’a comprise ! quels travaux
s rendue cependant presque croyable, tant les discours de ces malades paraissent serrés de logique et empreints de vérité. C'est q
terprète, M. Lassaigne magnétisa sa somnambule. La plupart des Arabes parurent étonnés de voir le sujet succomber si promptement
s procès-verbaux constatent que toutes ces religieuses sans exception paraissaient avoir le don des langues, en ce qu’elles avaient
que de sa délivrance, jeta par la bouche un taffetas plié dans lequel parut écrit en lettres rouges le nom de MARIE et les qu
démons chassés de son corps dans le commencement de l’exorcisme, fit paraître dans un instant sur son bandeau, en gros caractèr
sentence ecclésiastique entre plusieurs autres, parce qu’elle nous a paru donner une idée assez exacte de ce qu’on entendai
mon domicile. Ce fut pour moi une véritable tyrannie, et chose qui me parut de prime abord fort inconcevable, c’est que les g
ait facile de le reconnaître, car sa voix qui le premier jour m'avait paru si faible, puisque j’en appréciais le timbre tout
sépare la maison que j’habite de celle qui se trouve vis-à-vis, et il paraîtra surprenant que je pusse dans un tel éloignement i
de était changée. La voix ne me semblait plus partir du même point et paraissait au contraire venir d’un côté diamétralement oppos
là, il me faisait défaut même pour soutenir son regard; enfin, il me parut d’un abord si dur et si repoussant, qu’au lieu de
reconnus plus tard la fausseté de cet argument qui de prime abord me paraissait fort juste. D’ailleurs je ne pouvais en faire l’a
rès d’une heure, durant laquelle l’influence de mon magnétiseur ne me parut nullement s’affaiblir, et comme ce recueillement
cle, n'étant en substance (pie le type anticipé de celui qui vient de paraître , loin de trouver eu vous un patron avoué, fut acc
me; il n’en parle que par incidence. Cette abstcusion de sa part peut paraître partiale, car l’historien d’une science ne doit r
MAGNÉTISME. Deuxième observation. (Suite.) Cependant mon ennemi paraissait vivement contrarié de mon obstination à le poursu
ples impressions qui pour toute personne ignorant mon état pourraient paraître vagues, j’attendais pour plus de certitude qu’il
première fois et avec la persuasion que la puissance de mon ennemi me paraîtrait plus insupportable, puisque pendant quelque temps
ire part dumotifde ma visite, je lui exposai brièvement inon état qui parut l’intéresser; cherchant à rappeler ses souvenirs,
voir réfutées victorieusement. Cependant il est un point qui leur a paru contestable et sur lequel quelques-uns d’entre eu
ommuniqué par un de nos abonnés, M. Leroyj nous le ferons graver pour paraître dans le Journal avec une note biographique de ce
lle sans cesse à notre conservation. Le système nerveux ganglionnaire paraît être le siège habituel de ses fondions. A l’éta
des effets de f intuition médicale. §1. L’intuition somnambuliquc paraît se modifier suivant l’idiosyncralie des sujets. J
des malades, soit par une sorte d’efllux de matières morbifiques qui paraîtraient se dégager du corps ou des vêtements de la person
par des moyens différents, et guéries d’une manière inattendue. Tout paraît individuel dans les intuitions des somnambules. »
deuxième édition de The Nighi siile of Nature, par M. Crowe, vient de paraître à Londres, la première ayant été épuisée en moins
seur qui a beaucoup pratiqué. Le somnambulisme et l’extase nous ont paru savamment étudiés. Des faits du plus haut intérêt
n jour perdre quelques fleurons! M. Charpignon vient aussi de faire paraître , en brochure, son Mémoire sur les Doctrines médi
s d’un ouvrage qui, d’après quelques pages que nous avons lues , nous paraît devoir être plein d’intérêt. Nous pensons qu’il j
l n’obtint aucun eifet. M. Maitland le prit alors; et, quand l’enfant parut dormir, il lui étendit le bras qu’il massa, dans
qu’on peut produire un état comateux dont le magnétisme animal ne lui paraît point être la cause. « M. Rumball s’adresse'ens
oses, comment admettre qu’elle fût insensible à la douleur (i)? II ne paraît pas que les lois de la nature puissent être enfre
il, contrarièrent la nature, et ce ne fut que le mois suivant quelles parurent . Depuis lors elle s’est portée à merveille. » L
i. M. Poeti examine, dans le chapitre xii, les cas où le magnétisme paraît impuissant. Il pense que : i° Chez les person
ercer une action occulte. Sa pensée eût été erronée, mais elle eût pu paraître vraisemblable. Voilà donc encore un cas qui pro
ntra dans les détails les plus circonstanciés, et ayant une suite qui paraissait fort raisonnable. Ce n’était plus des magnétise
a au pape ; nous ne connaissons pas la réponse qu’il lui fit, mais il paraît qu’elle n’en fut pas satisfaite, car, dernièremen
rien dans les faits de ces récits, y est tout à fait étranger. Ce qui paraît évident est l’action de l’individu sur lui-même;
ner, et s’éveilla bientôt après spontanément, dit-il. « Le 6, il me parut en état d’étre opéré. « Le 7, j’invitai beaucou
ucun. « Le 3 mars, il fut sourd aux bruits les plus forts ; mais il parut souffrir teste compresso. k Le 4, il fut très-p
que jetais prêt à le faire s’il ne s’y opposait pas : son silence me parut un consentement. • Le 5, les mêmes essais furen
aduellement par l’usage approprié de laxatifs et de quinine. La plaie paraît en bon état, et se ferme rapidement. 11 s’assied
36 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
une erreur grossière. Sans doute, la théorie d'unicité causale peut paraître simple et séduisante, mais les théories les plus
peut se faire longtemps attendre. Ces considérations générales nous paraissent devoir assombrir, d'une manière indirecte, il e
évropathiques » qui présentent le plus d'analogies, encore qu'elles paraissent tout d'abord si éloignées. Toutes les deux, en
clérose en plaques. Les observations que nous allons rapporter nous paraissent décisives; elles montrent avec une évidence par
un d'eux, garçon de quatorze ans, actuel- lement chez son oncle, a, paraît -il, très mauvaise tête, il est méchant pour ses
ncontre dans la sclérose en plaques. La langue est tremblante; elle paraît au malade raidie, comme collée dans le fond de
es telles que le malade me- nace de tomber. L'occlusion des yeux ne paraît pas augi-nen ter l'instabilité. Pendant la marc
l'influence des émotions. Quand le malade esl debout, tout le corps paraît animé de petites oscilla- lions dont le centre
au de l'ataxie locomotrice. En outre, chez cet homme, tous les sens paraissent plus ou moins affectés, sauf celui de l'ouïe : la
ensibilité n'est pas prati- cable à cause de son état psychique. II paraît certain « scheint es sicher » qu'il n'y a pas.d
pouvait lire. La pupille gauche ne réagissait pas à la lumière. Il paraît que deux ans avant, elle avait des engourdisser
propre poids. Les muscles de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne paraissent pas atrophiés, sontle siège de secousses fibril
rophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier abord elle paraît se répartir à peu près également, et le segment
des pouces. Les membres inférieurs, la moitié inférieure du tronc, paraissent au pre- mier abord absolument indemnes. Les cui
t, qu'elles étaient lourdes; ce fut d'abord la jambe gauche qui lui parut faible, puis ce fut le tour de la jambe droite. U
re, des tendons fléchisseurs des deux derniers doigts. « Il ne nous paraît pas nécessaire de discuter l'existence d'une infl
baissement de la température de la main droite. Ce symptôme ne nous paraît infirmer en rien l'interprétation que nous venons
ction, il n'estplus le même homme; il est devenu triste, songeur et paraît très préoc- cupé de son état. ,Motilité. Moye
e malade attire volon- tiers l'attention. Cette hyperhydrose locale paraît continue; nous n'avons pu en observer des varia
tous les caractères de cette affection. Mais trois points nous ont paru devoir être mis en relief. 1° La coloration s
devant les yeux. C'était comme s'il s'agissait d'elle, mais elle ne paraissait pas participer par elle-même à l'action. » Pe
provoque un sourire, puis le geste d'envoyer un baiser. Enfin elle paraît honteuse et confuse de ce qu'elle vient de faire.
SALPÊTRIÈRE. Alcool. Elle joint les mains, lève les yeux au ciel et paraît prier. Les diverses excitations des deux autres
ents d'excitation employés. En revanche elles étaient très vives et paraissent correspon- dre à des hallucinations bien nettes
mouvements d'accommodation nécessités par les diverses distances où paraissaient se trouver les objets qu'elle semblait regarder
sur sa robe, qu'elle frotte entre ses deux mains, puis brosse. Elle paraît désolée de voir que la tache persiste malgré se
n bat du tambour avec 'les 'doigts sur une table ou une vitre, elle paraît regarder un spectacle agréable dans le lointain
ut sur quelque ohjet sonore, un triangle par exemple, elle .sourit, paraît satisfaite, puis prenant sa robe dans ses mains,
ythme et qu'on joue .une valse, par .exemple, elle cesse de polker, paraît un peu étonnée et se met à valser fort correcte
raire, bien que sa rétine soit évidemment sensible à la lumière, ne paraît pas voir les objets qui l'environnent et semble
oppement de l'encéphale. On sait qué cette doctrine séduisante, qui paraissait expliquer à merveille certaines formes spé- cia
rachitisme. Les états morbides qui, dans une certaine mesure, m'ont paru pou- voir être modifiés par la craniectomie son
Les fonctions corticales motrices, pour n'envisager que celles-là, paraissent si peu développées à la naissance qu'on compren
noncée de cette membrane et dans quelques cas ces altérations m'ont paru partielles. Dans une autre circonstance, je fus
ées, de saillies anormales, sera un indice impor- tant surtout s'il paraît en harmonie avec les signes qui dépendent des l
a. Une des dernières craniectomies linéaires que j'ai pratiquées me paraît mériter d'être signalée à part. Il s'agissait d
s, d'ailleurs, je l'ai réséqué et l'examen de ces sujets ne m'a pas paru présenter de différence avec ceux où je ne m'en é
dant cet effort de fixer ses regards sur son bras, et son attention paraît forlement concentrée sur ce qu'il exécute. En m
anormale, le malade peut aller et venir, parler, boire, etc., sans paraître le moins du monde incommodé et cela pen- dant u
ibles. Il semble y avoir un fonction- nement assez singulier et qui paraît presque anormal de l'appareil respiratoire. L
normal de l'appareil respiratoire. L'histoire de ce malade nous a paru digne d'être rapportée à plu- sieurs points de
du côté dc la respiration pendant l'immo- bilisation du thorax nous paraissent aussi dignes d'attention. En pre- mier lieu le
sujet qui pouvait conserver cette situation antiphysiologique'sans paraître éprouver la moindre'gêne, si ce n'est au bout d
ents res- piratoires, mais réduits à une si faible amplitude qu'ils paraissent tout à fait insuffisants pour maintenir aussi l
a paralysie générale progressive, de la maladie de Basedow), nous a paru devoir être distrait des autres formes de tremb
à l'occa- sion des mouvements volontaires. C'est pourquoi il nous a paru mériter la double qualification de rémittent-in
i revient « à l'idée » dans la genèse de ces tremblements. Ils nous paraissent être on ne peut plus significatifs. Ils ont été
es mouvements alternatifs de flexion et d'extension; ces mouvements paraissent avoir pour centre l'articu- lation du poignet;
mi fléchis ou étendus sont entraînés dans le mouvement, mais ils ne paraissent pas être animés de secousses actives et qui leu
ès alcoo- liques. En présence de cet ensemble de symptômes qui me paraissaient , je l'avoue, ne pouvoir être expliqués que par
izct, s'en déclarèrent partisans, mais le mémoire de M. Chédevcrgne paru en lSGcJ la fit rentrer dans l'oubli. En Angle-
isses sont amaigries : excepté la goutte qui le tient aux pieds, il paraît qu'il marche bien. Réflexes patellaires normaux
les adducteurs ont conservé leurs réactions électriques normales et paraissent encore fermes. Les fessiers sont flasques et pe
s fessiers sont flasques et peu excitables faradiquement. Le visage paraît amaigri. La mastication est longue, s'accomplit d
céleste, et qu'à mesme instant Lancinet se trouva guéri, sans qu'il parût aucune cicatrice. Le Roy s'estant levé plus joy
é l'odeur de l'encens. D'après un traité attribué à Raban Maur, qui paraît n'avoir pas eu le don de prophétie, « vers le f
barbiers les. visitaient à l'arrivée, et renvoyaient : ceux qui ne paraissaient pas sérieusement atteints. Les autres étaient ran
l blêmissoit un peu, ajoute-t-il, mais il ne le voulut jamais faire paroître , et ne voulut pas prendre de l'écorce de citron `
é- rieure du thorax, où elle est froncée et plissée et, par places, paraît encore le siège d'une infiltration oedémateuse.
présentent autre chose digne de remarque. Ils sont bien portants et paraissent l'âge qu'ils ont. Armandine a eu deux frères qu
gs. Elle était gaie, joueuse, aimant beaucoup ;i s'amuser. C'était, paraît -il, uneenfant très gentille et d'un visage très a
aurait eu une série de poussées. Ces boutons étaient assez espacés, paraît -il, laissant entre eux des espaces de peau sain
dure des bords palpébraux, au niveau des com- fissures, ce qui fait paraître les yeux bridés et assez petits. Le nez est effil
n'avons personnellement rencontré aucun fait de cet ordre. Il nous paraît intéressant de rapprocher de ce fait si bien obse
té d'esprit, l'entrain qu'il avait autrefois, mais son intelligence paraît intacte. Par contre, sa mémoire est affaiblie;
secondes. El si on l'examine un peu superficiellement, cette malade paraît trembler d'une façon incessante. Ce tremblement
ra quinze jours. En février 1889, à la suite d'une attaque qui fut, paraît -il, par- ticulièrement violente, le malade vit
orte surtout sur les muscles. L'éminence thénar a complètement dis- paru . Il s'agit d'atrophie simple sans réaction de dég
qui tremble, le bras restant au repos, et vice versa. Chaque membre paraît trembler pour son compte, séparément. Il arrive c
seignements inté- ressants, quelque contradictoires qu'ils puissent paraître . On sait qu'il est de règle de constater dans l
ème, après avoir pour ainsi dire sommeillé pendant quatre ans, elle paraît se réveiller aujourd'hui; la paralysie glossola
lbe inférieur au compo. bide. Malgré tout, l'avenir de notre malade paraissait bien sombre; et pouvait-il en être autrement en
supérieure du bulbe, l'ophthalmoplégie externe. Cette association paraît peu fréquente, il est vrai, mais elle n'est cepen
ociation du faciès d'Ilutctlinson et du faciès myopathique. Ces cas paraissent rares, il est vrai, mais il con- vient néanmoin
réaction puissent manquer complètement, bien que des cas semblables paraissent devoir être extrêmement rares. Pourquoi en est-
on rapportée dans la thèse de 111 ? Déjerine-Klumpke, et où il nous paraît bien difficile d'établir un diagnostic positif.
poly- névrite généralisée. Mais dans certains cas, et le nôtre nous paraît être de ce nombre, bien que le malade ait été a
igine de la 6- paire, lésions très prononcées. Le processus initial paraît être une sclérose vasculaire; secondairement se s
s 4° et 5° nerfs sacrés, la lésion débordait les cordons de Goll et paraissait derrière les cordons postérieurs jusqu'au niveau
aires du noyau de l'ocnlo- moteur commun; la substance fondamentale paraissait intacte. Dans la partie supérieure du noyau de
ires sont clairsemées, groupées en certains endroits, quelques-unes paraissent ratatinées, dépourvues de prolongements; le rés
toute fortuite et rappelle à ce propos les nombreux travaux qui ont paru sur cette question. Polioencéphalite aiguë et
ions arti- culaires oupéri-articulaires. Ces lésions articulaires paraissent dues principalement à un épaissis- sement des c
ns une leçon qui vient d'être récemment publiée '. « La querelle me paraît être désormais vidée, dit-il; il n'y a pas deux
tout à l'heure, représente seulement, tout originale qu'elle puisse paraître cliniquement, une forme atypique de la maladie
uit ans, il eut un chancre de la rainure balano-prépuliale qui dis- parut , sans laisser de trace, sous l'influence d'un tra
rachiale se cicatrisa peu à peu; à la fin d'octobre elle avait dis- paru , mais les autres, et surtout le panaris, restaien
ées sont un reste des phlyc- tènes qui, à plusieurs reprises, y ont paru et se sont rompues. L'ongle est bosselé, élargi
u lit. On ne provoque pas la trépidation réflexe. L'épaule droite paraît un peu tombante, surtout quand on examine le ma
e de corps granuleux. Toute la partie restante des couches optiqnes paraissait être intacte et on ne trouva rien non plus d'anor
us d'anormal dans les autres parties du cerveau. La moelle allongée paraissait aussi en bon état, mais dans le quatrième ventr
entaient ces paralysies oculaires. Rappelons en passant que Uhthoff paraît avoir publié une des premières observations, sino
nt importantes au point de vue étiologique et pathogénique nous ont paru dignes d'être relevées. Voici donc son observat
ure de la conque un contrefort peu saillant et le fond de la conque paraît plan. Chez certains sujets, cette racine de l'h
rd de l'hélix. Pour la majorité des auteurs, le tubercule de Darwin paraît constituer une déformation atavique rappelant l
sure inlertragienne disparaît et que le bord inférieur de la conque paraît suivre une ligne régulière. Dans ces cas la rac
i je vous con- seillerai de ne le faire que dans les cas où il vous paraîtra indis- pensable et alors même de le pratiquer a
engourdissement et des fourmillements dans sa jambe droite, qui lui paraissait « endormie ». Néan- moins, il travailla encore
douleur vive vers le milieu du dos, surtout et même exclusivement, paraît -il, du eôté gauche. On assure que cette douleur
sant sur les dernières fausses côtes du côté gauche. Cette attitude paraît amener un sou- z lagement. Dans l'examen de la
assez manifestes et semble menacée de tomber. La gêne de la marche paraît déterminée par la douleur autant que par la rig
qui était à la veille de se produire. Notre chère malade, poussée, paraît -il, par un rêve qu'elle avait fait la nuit, a p
exagérés; la trépidation est très manifeste, mais la raideur a dis- paru . On constate aussi que l'hyperesthésie qui exista
rations capables de tout expliquer. C'est une objection qui ne nous paraît pas valable. La malade était manifestement hyst
1889. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 319 nerfs paraisse déterminer rien de spécial. Les membres inférieur
outeux ; que tout chez elle relève de la névrose, c'est ce qui nous paraît à peu près certain. Nous n'oserions l'affirmer
lui sont inférieurs. Ils sont en quelque sorte « moins nature » et paraissent faits d'après une tradition ou, pour mieux dire,
ale la malformation de ses trois malades. Le thorax en entonnoir ne paraît pas entraîner de troubles fonction- nels sérieu
ux cas où le thorax en entonnoir ne s'est révélé que plus tard, ils paraissent dus à l'influence d'une maladie à localisation
Richer sur les Paralysies et les contractures hystériques qui doit paraître très prochainement chez Doin, éditeur. N. D. L. I
qu'au poi- gnet. Cet état augmente sous l'influence du froid, et il paraît prédisposer aux engelures : un de mes malades a
it dont ses compagnons n'avaient nullement souffert. Cette asphyxie paraît encore augmenter, toutes choses égales d'ailleu
t état se soit montré généralisé; aussi l'observation suivante m'ai paru présenter un certain intérêt. Epilepsie. Asphyx
dans la nuit, a un accès caractérisé par une raideur tétanique qui paraît avoir duré plusieurs minutes, avec perte de conna
nifestations épileptiques et les troubles de la circulation cutanée paraissent s'être développés vers la même époque, et ils p
er vers quatorze mois; dix mois plus lard, il cou- rait et parlait, paraît -il, comme tous les enfants de son âge.' Jusqu'à c
e plus faciles, au moins plus excusables, lorsque l'apophyse est ou paraît plus saillante, ou lors- qu'elle est déviée lat
ef a consacré sa thèse inaugurale ! . Mais il en est un qui ne nous paraît pas avoir éveillé l'attention des observateurs, e
u tabes. L'hystérie n'est pas niable dans ce cas, mais elle ne nous paraît pas seule en jeu; il s'agit bien plutôt d'une a
re en vue d'un concours, était déjà ter- miné lorsque cette leçon a paru . Nous voulons aujourd'hui réparer cet oubli inv
cette époque qu'elle entra à la Salpêtrière ; elle marchait alors, paraît -il, très difficilement, appuyée sur une canne, je
pitalière. Déjà Vulpian, en 18793, pouvait dire : « L'hys- térie me paraît exercer une influence sur la production de l'atax
'hystérie sont par nature fugaces et mobiles; on peut les voir dis- paraître et reparaître tour à tour sous la même forme ou s
ude de cette question et en fit l'objet du premier travail original paru sur la matière. Le 27 novembre 1885, M. Féréol
as de secousses si brillaires; « 3° L'excitabilité idio- musculaire paraît normale; « 4° La contractilité électrique est d
tence que l'hypothèse de troubles trophiques du côté des nerfs nous paraît défendable. Cette hypothèse est du reste en rap
nérales a ce sujet. A priori, l'atrophie avec réaction dégénérative paraît plus grave que l'amyotrophie simple. Mais les o
ent. Dans tous les cas, elle se serait fortement amendée, puisqu'il paraîtrait que, àl'àe de seize mois, lorsque sa fille a com-
ues d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. Néanmoins, il ne nous paraît pas qu'ici l'hystérie puisse expliquer les convul
ndemain, ses parents le trouvèrent paralysé du côté gaucho. La face paraît être restée intacte. Cette hémiplégie est resté
de syphilis. Il n'a jamais eu d'attaques de nerfs avant 1888. Il ne paraît pas avoir un caractère particulièrement irritab
isé; le buccinateur est aussi atrophié. L'orbiculaire des lèvres ne paraît pas participer à cet état, quoique le malade ne p
le du mamelon, la portion inférieure manque et la partie supérieure paraît moins épaisse que celle du côté opposé. Tous le
onne 41 à la main gauche et 35 à la droite. La sensibilité au froid paraît encore plus obtuse du côté droit que d'ordinair
é. L... accuse de lui-même une difficulté de la respiration qui lui paraît plus marquée du côté droit, mais ce fait n'a pa
droit le petit pectoral manque complètement (fig. 79). Ce fait m'a paru digne d'être signalé en raison de cette circonsta
de la moelle épinière. Cependant les observations de Lombroso ne me paraissent pas démonstratives. En effet en suspendant les la
ous ses discours, il est sérieux, parle peu : sa tête en tout temps paraît chargée de grandes pensées. » A droite, Antoine
37 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
plus saintes, les plus parfaites, étaient celles qui, dans cet état, paraissaient au chœur pour y recevoir l'Eucharistie, etc., etc
tradition qui assurait que son corps , lorsqu’il fut tiré de ce lieu, paraissait plein de vie, et que du fond du puits il vomit pe
hénomènes les plus curieux que j’ai obtenus jusqu’alors, aucun ne m’a paru aussi étrange que celui que je vais vous décrire,
e Jésus-Christ, le vin, devenu sang, ruissela jusqu’à terre; que Pieu parut , selon son humanité, la très-sainte Vierge à ses
ilèges ; qu’un jour, pendant matines, il tomba dans l’église et qu’il parut alors effroyable; qu’il se tordait en se (1) Vo
par M. Auguste Le Prévost, c'est une apologie de Mathurin Picard que paraît avoir beaucoup consulté Dibon. L auteur de cetto
davantage que ne l’ont fait ceg messieurs, car mon expérience, qui me paraît plus concluante que la vue à distance, c’est le t
dans sa main. J'ai renouvelé plusieurs fois cette expérience qui me paraît , à tort ou à raison, prêter moins à l’illusion qu
aide de miroirs magiques, semble amener l’image devant le sujet et ne paraît pas exiger de déplacement de sa part ; elle est d
e sur la mer Noire dans un miroir magique, les vaisseaux de ligne lui paraissaient tout petits, comme si la vision s’opérait de très
à distance, et je livre aux réflexions de vos lecteurs ces faits qui paraissaient incroyables à d’autres qu’à des magnétistes.
choses, il est nécessaire d’exposer certaines idées-princi-pçs qui me paraissent dominer toute cette discussion et sur lesquelles
gnes, les formes, les images existent indépendamment de la matière et paraissent la contenir. Les forces se combinent avec la mati
spontané : l’esprit ne s’appartient plus en quelque sorte, ses actes paraissent irréfléchis ; il ne raisonne pas, il perçoit et s
e son corps matériel tranquillement assis dans un fauteuil. Cela nous paraît prouvé non seulement par l’assertion des esprits,
s prend les proportions d’un fait qu’il est impossible de nier, et il paraît plus sage de désirer vivement l’explication de ce
ls nous présentent une réfutation, ou plutôt une négation qui ne nous paraît rien moins que concluante; mais de preuves, aucun
us du coup. De discuter sur la lumière Avec un aveugle entêté, Me paraît une absurdité. De tous les arguments contre la
onnelles et veuve d’un des plus célèbres hommes d’Etat de l’Amérique, paraissait ne compter que des hommes d’un parfait savoir-viv
ne pouvaient dissimuler à la susceptibilité nerveuse du médium. Il me parut tout d’abord en proie à un grand malaise et comme
ive, avec le même insuccès. Là se termina une séance dont le médium paraissait très-peu satisfait, mais qui, bien que ne me prés
ger les conditions de l'expérience, par deux ou trois fois des lueurs parurent sur la table auprès de M. Willis. Elles allaient
renaient de l’intensité dans l’obscurité, mais les nerfs de M. Willis paraissaient en être affectés désagréablement, et il pria qu’o
ai cité de fort remarquables. Ce principe de la médecine intuitive me paraît donc certain, et je le proclame encore comme autr
age, ouvrage publw en 1841, tandis que depuis, en 1848, j'ai fait paraître cette Physiologie, Médecine et Métaphysique du ma
ts où es spectateurs, électrisés par la contemplation de l’exta-ique, paraissaient partager les sentiments qu’elle savait ai )ien ex
e, au lien de dans la flotte. A la dertiitti'B ligne de la jnie *e, paraîtraient au lieu de paraissaient. A l’anlé-pénultièmc lign
otte. A la dertiitti'B ligne de la jnie *e, paraîtraient au lieu de paraissaient . A l’anlé-pénultièmc ligne de la page 47, les au
eil. Voilà en résu né l'état dans lequel je le trouve. Ses jours me paraissent compromis si une nouvelle médication ne vient sur
clut toute intervention d'êtres invisibles. Une des circonstances qui paraît la plus probante à l’auteur, c est qu’une table a
ou moins frappeurs, par l’intermédiaire des meubles ou autrement, me paraissait très-imparfait et manquant tout à fait de la grav
mborgienne ; Voltaire, pécheur repentant chez M. Ca- rion, nous a paru déiste et persévérant dans l’œuvre de sa vie terr
es analyser, de les repro- (luire par extraits. C’est ce qui nous paraît avoir été fait avec un certain soin. Mais alors p
ssi admettre qu’il eilt dédaigné de tirer vengeance d’un fait qui lui paraissait sms importance, et que, plus tard, lorsque Laubar
d’ailleurs d’adopter les tendances rétrogrades : M. de Mirville nous paraît avoir donné un sens assez vrai à cette affaire; e
Sullivan fut complet. « Je remarquai, dit M. Crocker, que le « cheval paraissait terrifié chaque fois que le charmeur le « regarda
eux du poulain se calmèrent : il devint immobile, puis il trembla. Il paraissait prendre uu vif plaisir à l’épreuve qu’il subissai
euf fois, la centième je me tromperai et vous perdrez tout. Mais il paraît qu’on ne saurait se borner quand on est en veine
nou ; d’autre part, s’il est médium, ce qu’on ne dit pa*, mais ce qui paraît probable, il pouvait être assez sensitif pour rec
té du bon sens. Les données du bon sens se composent des opinions qui paraissent raisonnables à chacun, il est donc néJ cessaireme
illisibles et étranges, tracés sur des morceaux de papier, et qui ne paraissaient pas provenir du médium, l’auteur a voulu constate
lait dominé par une impression profonde, et dont les forces physiques paraissaient en quelque sorte sommeiller. Cet état particulier
ofondi nous mette à même de les apprécier. Les deux numéros qui ont paru contiennent des dissertations intéressantes, quel
comme l’œuvre des esprits qui les ont dictés aux médiums. Les auteurs paraissent animés d’une conviction parfaite et d’un zèle ard
its, fut invité à voir le malade. Il lui prescrivit un médicament qui parut produire le bon effet de diminuer la violence des
affections relatives ou morales ; que ces fonctions et ces affections paraissent dépendre d’une cause invisible, insaisissable, et
gistes aient pu observe*1.' , « Les opérations de l’intelligence ne paraissent pas commencer en même temps que celles de la forc
tent point, au début de la vie, avec le même degré d'énergie ; ils ne paraissent point subordonnés à la môme loi générale. « Pen
u’il en a, au contraire, été maintes fois la victime lui-même. « 11 paraît qu’il y a plus d’un mois que ce manège a commencé
propre intelligence que les résultats obtenus jusqu’à ce jour sont ou paraissent si incohérents, si contradictoires, si absurdes o
rtions de M. Girard, M. Morin se livre à des suppositions qui ne nous paraissent pas trè&-probantes, surtout celles contenues
autant du spiritualisme , quand ce serait plutôt le cas. M. Girard ne paraît pas se douter qu’il n’est autre chose qu’un possé
ège au musicien invisible, lin autre de ses exploits, qui, à ce qu’il paraît , étonne beaucoup les gens qui ne sont pas habitué
ain appelé reconnaît notre homme. C'était tout simplement, à ce qu’il paraît , un somnambule du voisinage; il fallut aller ■che
s considérables , et que la science actuelle ne peut déterminer. Elle paraît adhérer moins fortement là où elle existe en plus
ou de (1) Re'vei et RialUit, par madame Blanchccolte. ne faire paraître de leur caractère que ce qui est nécessaire pour
ier comme les siècles proprement dits. Alors, des opinions , qui nous paraissent aujourd’hui ou bizarres ou insensées, seront des
cculte exercée par un individu sur un autre et dans ces conditions me paraissait impossible. Petit à petit, la lumière s’est faite
; celle consacrée entièrement au magnétisme; le spiritualisme, s’il a paru pour la première fois dans ce banquet, s’y est mo
ts, dut apprendre que ses désirs étaient ceux de toute l’assemblée. Parut alors M. le docteur Ordinaire, ce vieil athlète d
Si bien que cette pauvre bête, Perdant et la piste et la tète, Parut enragé tout à fait. Sur lui la canaille se rue
».nier mordiieui- A son point de mire, l'échafaudage de son plaidoyer paraît d’autant plus plausible quo les imprudents Tyrlée
s, tableaux, elc., qui garnissent l'établissement. La Société a bien, paraît -il, quelques petites dettes, par ci, par là ; mai
M. Ch. Lévêque, professeur à la Faculté des lettres de Paris, a fait paraître dans la Revue des Deux-Mondes (15 avril dernier)
avancés que vous dans le temps présent. Cette courte exorde nous a paru indispensable pour oser dire que nous voulons déf
11 s’était décidé à composer cette œuvre de démence, et qui fait bien paraître la fragilité des plus grands esprits, en voyant b
ussion, la conviction des dissidents et des indécis. M. Cahagnet ne paraît pas s’être livré lui-même à des opérations de ce
és. Sur la production des tempêtes, M. Ricard (Cours de magnétisme) paraît disposé à reconnaître l'influence du fluide humai
nception de l’idée d’esprit due aux nouveaux spiritualistes, ils nous paraissent donner la main, sans s’en douter, aux démonograph
t sur la table, et je recommençai à chanter la même chanson ; mais il paraît que Jinn n’est pas professeur de guitare, car son
s’aperçut que ce n’était pas le sien, maiscelui de sa sœur. Ainsi, il paraît que Jinn et ses amis avaient changé les souliers
ovembre dernier, chez le nommé C..., exerçant à Marseille, à ce qu’il paraît , la profession de guérisseur parle magnétisme. Ch
s par lesquels on les explique. Le Spiritual Telegraph du 1" mai nous paraît surpasser en merveilleux tous les récits de ses c
ent pas se dépouiller d’opinions préconçues. Homme de savoir, il nous paraît avoir voulu montrer aux ministres du culte que, n
nt beaucoup moins explicables ici que là. Quant à vous, docteur, vous paraissez voir, dans le premier cas, un fait purement psych
oup le silence, et s’adressant à k de L... — Monsieur, dit-il, vous paraissez résolu à ne croire au-cnn des faits qu'on vous ra
un volume de M. Louis Ulbach, sur les Secrets du Diable, qui »¡ent de paraître chez MM. Michel Lévy. l’automne dernier, piqu
t que la dame châtelaine, morte en ÜOO, qui, depuis cinquante ans, ne paraissait plus à New-Ebersteiïï, s’était montrée deux fois
crus entendre un bruit violent qui partait au-dessus de ilia tôle, et paraissait s’avàn-cer rapidement vers moi. J’étais dans un a
très-subtils, et l’àme humaine, considérés dans tous leurs rapports, paraissent jouer ici le rôle principal. Préjugés. Dans tou
lacés. Ces phénomènes sont dus à différentes causes, dont la première paraît être un agent très-subtil, et connu clans la scie
nature nous échappe, mais dont on ne peut guère nier l’existence, qui paraît produire entre deux individus une influence récip
s, et peut-être la mort. L’ouïe, l’odorat, le goût de ces somnambules paraissent doués de la même impressionnabilité. Les somn
plus fortes, ne font aucun effet sur ces sujets; le corps, en un mot, paraît tout à fait insensible à la violence du fer et du
n. Nous extrayons ce récit d’un ouvrage intitulé : la Mystique, qui a paru , eii 1854, chez M. Poussielgue-Rusand, libraire.
s, ne mettent en doute l’existence et les tintamarres des esprits. 11 paraîtrait donc qu’il y a plus de deux siècles, les hommes é
anima, ses prunelles rayonnèrent comme deux charbons ardents ; ¡1 parut faire un violent clFort, et d’une voix sourde et
et redescendit au salon. Quand il y entra, aucun signe d’émotion ne parut sur son visage. 11 se mêla à la conversation, et,
res, ni la prudence, ni la probité, et qui. quoique inexplicables, ne paraissent pas sortir de la classe des faits physiques et ps
ces deux étais, ne leur pas supposer les mêmes causes ? 2° 11 nous paraît difficile à expliquer et dangereux de prétendre q
l faudrait nécessairement accorder à un bon nombre d'électriseurs qui paraissent plonger dans le somnambulisme et en retirer à leu
ait est une vérité, et d’autant plus importante, que le fait lui-même paraît sortir davantage de la vulgarité, il suit que la
sculaires. Enfin, en dirigeant spécialement son action sur la tête où paraissait s’être concentrée mon influence beaucoup plus que
entrée mon influence beaucoup plus que dans le reste du corps, on vit paraître quelques signes de sensibilité. L’opérateur ayant
étrangère une volonté confuse et non encore bien «* arrêtée ; l’ouïe parut peu à peu se rétablir. La malade ne pouvait pas e
es maux ! L’ignorance des savants, ainsi que celle des médecins, vous paraîtrait trop manifeste ; mais je rabaisse volontairement
s, sa clairvoyance n’eût été en défaut ; les dix minutes annoncées me paraissaient d’une longueur désespérante ; mon impatience, mon
quoi, (.’est d ailleurs une femme de beaucoup d’intelligence, et elle parut enchantée de l’effet produit. Le lendemain, je lu
'entendre, qu’il n’en demanda pas davantage pour être convaincu. 11 paraît qu’elle a surtout le don de lire dans la pensée e
ue sa conversation avait lieu à haute voix ; toutefois, son organisme paraissait complètement changé, son état d’extase était tel,
mpte ; nous attendions que la lumière se (it, mais la lumière tarde à paraître , seulement une longue polémique s’est engagée ; o
endre même à ce que de nouvelles visions, toutes semblables, car cela paraît être une épidémie, viendront troubler l’esprit de
rdes. Mais la Publicité nivernaise ne l’entend pas ainsi, et ne veut, paraît -il, pas laisser entrer le Nivernais en concurrenc
siques dussent s’altérer sans recevoir aucune réparation, sa santé ne paraissait pas plus mauvaise, rien n’indiquait qu’elle eût f
ente la peau, il produit une sorte de chatouillement qui est loin, il paraît , d’être désagréable. La réalité de cette circulat
epuis si longtemps ne pouvait rien avaler, en but trois verres ; elle paraissait alors revenir à un état plus naturel. Ici, le méd
dans une brochure imprimée en petit texte. Cependant l'expérience ne parut pas complètement satisfaisante ; la somnambule ne
par conséquent tout ki fait curieuic de ces choses, dont l’aspect me. paraissait plus soleuaiel qu'étrange : ce cerveau a pensé, m
ond déluge, cet instant adù être bien court. Les habitants à ce qu’il paraît , n’ont vu dans tous ces faits rien de diabolique
elle pensa que c’étaient sa femme et ses deux fils. Cette prédiction parut fort étrange , car M. X... était d’une constituti
ment réveiller les dormeurs magnétiques, lorsque leur sommeil m’avait paru infiniment trop prolongé, c’était en vain ; il y
t la perpétuité, parce qu’ils se trouvent bien dans cet état qui leur paraît infiniment plus supportable que la veille. On les
ôt elle éprouvait des convulsions extrêmement violentes ; tantôt elle paraissait être en somnambulisme, parlait, répondait aux que
clara qu’elle se portait bien, qu’elle ne souffrait pas du tout, et a paru étonnée qu’on se fût alarmé à cause d’elle. A.
qui prouve combien sont maintenant vulgarisées des idées qui naguère paraissaient si étranges. Dans l’opéra bouffon, intitulé : Orp
its merveilleux qu'il attribue au (lamine Sempronius, 11e doivent pas paraître étonnants à ceux qui savent que les magnétiseurs
llyer exécuta les gestes connus en agissant sur son fils Frédéric qui parut plongé dans le sommeil. Plusieurs personnes e
sujet remua la tête et les épaules et se réveilla ; il souriait et ne paraissait qu’à demi redevenu maître de lui-même. Il resta a
succès du magnétiseur. Ce‘même individu, magnétisé par M. Gregerson, parut s’endormir. Quand il fut réveillé, 011 lui demand
ne puis mouvoir ni les yeux ni les membres. Une minute après, iJ parut plus maître de lui-même, et il fit le récit suiva
Commence à agir à h heures AO minutes.. Sept minute», après, le sujet paraît endormi. Le magnétiseur applique' ses; mains au-d
s mystères du sommeil, j’inscris ici un de ces rêves bizarres qui m’a paru mériter de figurer dans le journal. Do Potet.
v trouvaient assis sur un banc..., leur costume différait du nôtre et paraissait remonter à une époque plus reculée et d’un autre
, je fis de même en allant à leur rencontre, et alors un fait, qui me parut extraordinaire, se passa. Nous fûmes tous confo
anchait sur cette assistance vulgaire. La somnambule ne tarda pas à paraître . Elle avait la mine dure et maussade , une toilet
ayant sa source partie dans l'aimant, partie dans l’organisme humain, paraissait s’adresser à la fois au physicien et au physiolog
oute antiquitté. 11 y a donc aussi un lien entre ces phénomènes qui paraissent de prime-abord si distincts : — l’élévation de te
n français, et dont le Journal du Magnétisme a parlé lorsqu'elles ont paru . Depuis , ce savant professeur a publié deux volu
es sciences, du 14 novembre , annonce qu’une dernière brochure, qui a paru à Vienne cette année , sous le titre : le Monde d
ct sont de même nom ou de noms contraires. Jusqu ici les phénomènes paraissent spéciaux à l’organisme humain, et ne se rattachen
e avait été très-bonne, toute douleur avait cessé; ses règles avaient paru , avec une avance de deux jours, ce qui n’était ja
, elle était très-bien, avait bien dormi et les règles continuaient à paraître ; mais si je m’approchais d'elle, les mouvements
e du roi, son oncle, me disait que, seulement lorsque la conversation paraissait languir, il avait soin de pousser quelque plat ve
énistes, la chose était indubitable; mais, selon ma conscience, il me paraissait que non. Toujours craintif et flottant dans cotte
anchement ;'i l’opinion (les finalistes, parce que leurs arguments me paraissent sans réplique et cadrent parfaitement avec mes ob
plus fortes ne font aucun effet sur ces sujets ; le corps, en un mot, paraît tout à fait insensible à la violence du fer et du
ont assises autour d’une table, et l'on entend retentir des coups qui paraissent venir de dessons la table ; ces coups, par leurs
38 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
j'ai reçu de vous. FRANÇOIS LEURET. AVIS DE L'ÉDITEUR. Lorsque parut , en 1839, le premier volume de Y Anatomic du syst
en compléter l'anatomic comparée du système nerveux. Personne ne nous paraissait , en effet, dans des conditions meilleures pour ex
ombre qui aient résisté à ce genre d'épreuve. Lorsque des faits m'ont paru incomplètement observés ou en trop petit nombre,
j'ai pris les autres, parce que la probité en matière de science, m'a paru aussi nécessaire qu'en toute autre chose. Les c
'hygiène publique et de médecine légale ne tardèrent pas, en effet, à paraître , et la promesse de M. Esquirol fut tenue. L'activ
rve, il s'acquitta de ce double devoir avec une' telle activité qu'il paraissait toujours exclusivement occupé d'un seul. L'admini
évation philosophique des idées et des sentiments qui s'y produisent, parut en 1834. Après l'abus qu'on avait pour ainsi dire
ls, et qui peuvent servir de preuve; mais ni M. Oken, ni M. Carlis ne paraissent s'en être occupés. M. Brachetqui adopte comme vra
férens nerfs. Je n'ai pu apercevoir d'œil quoique la figure de Phipps paraisse en indiquer un, ni aucun organe particulier des s
e ceux qui vont aux muscles ou aux organes nutritifs. Chaque ganglion paraît avoir des fonctions spéciales, le ganglion céphal
Le ganglion céphalique et les nerfs qui en émanent directement m'ont paru se rapprocher, plus que les autres, de l'organisa
e nom de ganglion céphalique , sous lequel il a été désigné et qui me paraît le plus convenable, particulièrement en ce qu'il
du défaut de développement du nerf olfactif des cétacés, où l'odorat paraît être très peu développé ; celui que l'on pourrait
t nombre. Ils ont la sensibilité générale, ou le sens du toucher, qui paraît s'exercer par toute la surface de leur corps, non
autres insectes, il y a des nerfs intermédiaires aux ganglions et qui paraissent tirer leur origine des cordons inter-ganglionaire
pu distinguer, à ces raci' nés, de fibres transverses; elles m'ont paru se continuer seulement dans les fibres longitudin
gement rachidien, des ganglions et des nerfs; et les diverses parties paraissent avoir les mêmes attributions physiologiques que d
and on approche une chandelle allumée du vase où elle se trouve; elle paraît manquer entièrement de l'ouïe, de l'odorat et de
que qu'ils agissent de concert ; leurs actions instinctives pour tous paraissent isolées, individuelles ou imitatives. Les ancie
le tarentisme, en considérant que l'époque à laquelle cette maladie a paru , est précisément celle où des convulsionnaires de
ussi venimeux que la tarentule, et les piqûres faites par ces animaux paraissent aussi avoir été suivies d'accidens très graves. L
ux araignées qui établissent leur demeure au-dessus des ruisseaux; il paraît que prévoyant la crue des eaux, elles élèvent leu
s facultés instinctives. Ces chenilles se dessèchent, ou plutôt elles paraissent se dessécher, et dans leur état de mort apparente
it çà et là sur le nid ; elle revenait constamment à la même place et paraissait avoir un dessein marqué, car elle travaillait ave
squ'une fourmi arrivée sur la place, après avoir visité ces ouvrages, parut être frappée de la même difficulté, car elle comm
rs placées en sentinelles à l'entrée de la fourmilière ; si le soleil paraît , ces sentinelles vont trouver leurs compagnes qu'
ectivement, elles ne tardèrent pas à s'y replacer. Leur premier soin, parut être de chercher leur femelle; elles étaient enco
rcle contre la cellule, avec quelques particules de cire. Ce qui nous parut alors fort singulier, c'est que celte femelle ren
oit la cause qui lui ait fait choisir celte altitude, les abeilles en paraissaient affectées, toutes baissaient alors la tête et res
les particularités. Lorsque la reine vient à manquer, les abeilles paraissent fort tourmentées de cet événement, pendant vingt-
ue tout rapport, tout désordre même, pourvu qu'il soit constant, nous paraît une harmonie dès que nous en ignorons les causes,
cet organe chez l'homme et chez les animaux, j'ai créé un mot qui m'a paru nécessaire pour rendre cette comparaison exacte e
s'en rapportait à la simple vue, l'analogie que l'on a voulu établir paraîtrait fondée ; mais si l'on étudie la structure comparé
sont doubles comme chez les hauts vertébrés. 10. Les renflemens qui paraissent sur la moelle épinière de l'anguille, n'indiquent
vu n'est pas le résultat de la macération ? Quelque vicieux que m'ait paru tout d'abord le procédé de M. Bauer, je l'ai mis
examiné que des portions séparées de la substance nerveuse, et il ne paraît pas que l'on ait songé à pla- (i) Op. cit., p,
e prolonge forl loin dans le canal vertébral. Cette différence, qui paraît capitale à beaucoup d'anatomistes, me semble à mo
e poisson-lune, aussi bien que la baudroie, tout exceptionnels qu'ils paraissent sur ce point, ne font que répéter d'une manière e
oelle épinière des poissons, en plus grande quantité que M. Serres ne paraît en admettre; ensuite, puisque les fibres de la mo
substance nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres des nerfs paraissent -elles plus régulières que celles de l'encéphale o
nt sous deux aspects différens : les unes sont comme granulées, elles paraissent de couleur jaune paille ; les autres sont blanche
ubule nerveux. 9e expérience. —Carpe. Nerf olfactif. A l'œil nu, il paraît fibreux ; au microscope, on découvre une infinité
es animaux, je ne croirais pas devoir renoncer à cette opinion, comme paraît être tenté de le faire, M. Langenbeck. En effet,
in d'en faire leur pâture. Tous marchent de concert, et les petits ne paraissent en aucune manière redouter les plus gros: c'est l
écailles dont la peau est couverte pourraient le faire soupçonner; il paraît être plus délicat sous le ventre, que partout ail
il se précipite de préférence sur les premiers qu'il sent à ce qu'il paraît d'assez loin, à cause de l'odeur qu'ils répandent
tomac avec l'hameçon; sinon, il flaire, s'approche, puis s'éloigne et paraît hésiter. Alors que l'on feigne de retirer l'appât
es et des rivières. On dirait que sa faim est insatiable, car elle ne paraît pas satisfaite par la grande quantité de poissons
or, n'éprouvant jamais aucune résistance, ils n'ont pas l'occasion de paraître cruels, et quand les gros poissons viennent les m
du corps. On en a retiré qui étaient ainsi enfoncés et dont les sens paraissaient entièrement émoussés; ils ne voyaient ni n'entend
'encéphale ou des différentes parties de cet organe, m'avait toujours paru singulière* Pour peser le cervelet, par exemple,
ards s'approchent des endroits habités par l'homme ; ils le voient et paraissent se plaire à le regarder, quelquefois ils semblent
au cerveau. 2epaire. Nerfs optiques. L'existence des nerfs optiques paraît n'être pas constante chez les reptiles. Tréviranu
tébrés existent chez les reptiles; cependant il existe un reptile qui paraît être dépourvu de nerfs optiques. 7. La comparai
encéphaliques ; les unes et les autres ne m'ont pas aussi évidemment paru canaliculées que les autres. Je dois eu termina
rations psychiques des animaux, n'est pas aussi impénétrable qu'il le paraît au premier abord; sur ce sujet nous nous regarder
ribuer leur fuite dès qu'ils entendent quelque bruit. Un besoin qui paraît être, chez eux, plus impérieux qu'aucun autre, es
se tenait ordinairement sous un escalier; il se laissait prendre, et paraissait même attendre qu'on le prît pour le placer sur un
es tortues de mer, en nombre parfois très considérable. Mais elles ne paraissent pas se rendre des secours mutuels; elles ont le s
met plus d'un mois à achever. L'amour est la seule passion qu'elles paraissent vivement ressentir ; la tortue jaune, muette en t
dents canines ou crochets. Toutes les vipères sont venimeuses, et il paraît qu'elles le savent, car souvent elles se cachent
ité. Il n'y aurait d'exception que pour un petit nombre d'animaux qui paraissent vivre partout ou presque partout, encore, pour ce
rédécesseurs de toutes les parties composant l'encéphale des oiseaux, paraît regarder les lobes cérébraux comme les analogues
ermé dans ces limites, le nombre plus ou moins grand des lamelles m'a paru être en raison directe du volume du cervelet. De
mineux viennent seulement des lobes optiques, et les couches optiques paraissent être complètement étrangères à leur production ;
d nombre dans les fibres de la moelle épinière ; particularité qui me paraît devoir être attribuée à ce que, dans la préparati
usoires s'agiteraient sur tous les points du globe, que le globe n'en paraîtrait pas moins plongé dans la torpeur; il serait morne
es, pas de reconnaissance des enfans aux géniteurs. Que les oiseaux paraissent , et la grâce de leur forme, l'éclat de leur pluma
tement jointes les unes aux autres. (2) (1) L'ouïe des gros oiseaux paraît être plus fine que celle des petits, car ils fuie
usieurs, car, chez les oiseaux comme chez l'homme, et même à ce qu'il paraît en plus grande proportion que chez ce dernier, il
es trouve jamais que réunis par grandes troupes , et leur attachement paraît s'étendre aussi bien sur tous les membres de la c
inolte, le martin, le serin el le rossignol. Quelques-uns d'entre eux paraissent attacher un sens à nos paroles, et souvent on a v
assurer que cette ressemblance n'est pas aussi grande qu'elle nous le paraît au premier coup-d'œil. Ceux qui les connaissent b
qui sont nouveaux pour nous et qui ont de l'analogie entre eux, nous paraissent , par cela seul et après un examen superficiel, êt
l. Le langage du corbeau, pour nous si monotone et si uniforme, lui a paru composé de vingt-cinq mots, très rapprochés les u
ait froid, elle reste des heures entières dans la même attitude, sans paraître animée par aucun instinct. Mais il faut remarquer
acilement à parler, qui retiennent le mieux ce qu'ils ont appris, qui paraissent attacher quelque sens aux mots qu'ils disent, et
à gorge jaunes. L'antipathie que les perroquets ont pour les enfans paraît avoir pour cause la jalousie. Les perroquets aime
par les passagers. Ainsi que plusieurs autres animaux, les perroquets paraissent avoir des rêves, car on a entendu ces derniers pa
s en devint tout maigre et mourut de chagrin. Une amitié réciproque paraît réunir tous les pétrels d'une même troupe, et qua
s la série animale, le développement des circonvolutions m'a toujours paru en rapport direct avec le développement du cervea
directe avec chacune de ces propositions. Le fœtus humain, dès qu'il paraît des circonvolutions à sa surface, a des (1) Op.
x encore, si on les met en présence d'un cerveau de lion ou de tigre, paraîtront avoir été imaginées tout exprès pour offrir un dé
t vrai, par les mammifères qui sont le moins inlelligens, et je terme paraît encore au-dessous de celui de Spurzheim, pour la
mmissure anléro-poslérieure de quelques mammifères, développement qui paraît d'autant plus considérable, que les autres commis
et par moi, indique à peine une tendance vers le résultat qui nous a paru assez clairement donné par les oiseaux, savoir, q
ânes d'hommes et d'animaux châtrés jeunes, la place du cervelet, elle paraît comme ratatinée; elle est beaucoup moins large et
ement; les ventricules, le corps calleux, les corps cannelés, lui ont paru d'une grande perfection, et c'est à leur conforma
ables par leur grande largeur; au premier aspect, celui de la baleine paraît aussi riche en circonvolutions que celui de l'élé
ans notre jugement, les adopter ou les rejeter, suivant qu'elles nous paraîtront justes ou erronées. L'autorité de Fréd. Cuvier, c
re ces deux points, j'ai coordonné les cerveaux de la manière qui m'a paru la plus favorable à leur description. La nettet
nt, non-seulement les choses qui sont à leur usage, mais celles qui y paraîtraient les plus étrangères, et l'éducation qu'ils reçoiv
ue le loup; en captivité et dans les climats tempérés, leur caractère paraît s'adoucir, on peut en apprivoiser quelques-uns et
fer. Le lion placé près de la loge du tigre et qui jusqu'alors avait paru assez inoffensif quand on ne l'approchait pas de
e que le mâle ; ceux-ci dévorent souvent leurs petits. » Le guépard paraît être, d'après la conformation de ses pieds qui so
la transition entre les carnivores et les frugivores ; cependant ils paraissent , à certains égards, plus cruels que les premiers
le chasse de la même manière et fait aussi des provisions. Son odorat paraît être exquis. Buffon en avait apprivoisé une, à fo
amponnent après elle, jusqu'à ce qu'ils soient en état de voler. Il paraît que toutes les localités entre lesquelles nous n'
rs ; un rat du nord, né sur les bords de la mer glaciale, le lemming, paraît être encore plus prolifique que le rat de Montfau
aux, avec des débris de plantes aquatiques. Il se nourrit, à ce qu'il paraît , d'herbes et de grains. (1) D. Sarigue, cayopol
qui le nourrissait et le caressait. Chaque fois qu'on le prenait, il paraissait effrayé et se cramponnait partout à l'aide de ses
eoffroy Sainl-Hilaire et Fr. Cuvier, 1.1. ne le défend pas, elle ne paraît pas s'en apercevoir. Toutefois, le bélier n'est p
; mais il ne peut jamais compter sur leur docilité. Leur intelligence paraît être inférieure à celle de l'âne; je dois ajouter
la détente d'un pistolet chargé, et a fait partir ce pistolet sans paraître surpris de la détonnation; il est même revenu exa
e si on a enlevé un phoque, ses compagnons pleurent sa perte : ce qui paraît certain, c'est que les phoques se connaissent, et
Les marins disent avoir vu des troupes nombreuses de ca chalots qui paraissaient commandés par le plus grand et le plus fort de la
en donne. Toutefois son obéissance n'est pas aussi passive qu'elle le paraît . U voyait du foin dans une] enceinte fermée par u
it l'habitude de le battre. L'éléphant, auparavant d'une humeur gaie, parut taciturne et l'on crut qu'il était malade : ses j
s émotions fortes en entendant la musique, quoique assez générale, ne paraît cependant pas constante, et elle a été niée par q
rêter peu d'attention à ce qui se passait autour d'eux, et les singes paraissent les regarder comme n'étant pas de leur espèce. Fr
its ne reçoivent aucune éducation. 27. La tendresse pour les petits paraît être plus durable chez les singes que chez les au
'est pas heureusement coi sie ; la brebis vit en troupe, mais elle ne paraît avoir d'attachement pour aucune de ses compagnes;
oint se sont bornés à choisir çà et là, quelques observations qui lui paraissaient en harmonie avec des idées conçues à priori. Il s
'analyse anatomique des cerveaux, et en voyant que les phrénologistes paraissaient sentir l'importance d'études précises faites sur
ntal de l'organe est de procurer des moyens d'alimentation comme cela paraît certain. » Mais , pour répondre à Broussais et
as une loi. La présence ou l'absence des circonvolutions cérébrales paraît avoir une valeur beaucoup plus grande que la plup
de la chèvre. Le cerveau du moufflon est aussi subdivisé, mais il m'a paru un peu moins ondulé que celui du mouton ; celui d
ux chez les carnivores et chez les herbivores, des différences qui me paraissent dignes de fixer l'attention des anatomistes. La
ême au niveau de la plupart des ruminans. A cette objection, qui me paraît sans réplique, j'en ajouterai une seconde qui ne
s de localisations cérébrales: ce qu'un certain nombre de faits avait paru démontrer est démenti par un nombre plus grand. P
e l'orang-outang mettez celui du chien et celui du mouton : le mouton paraîtra , d'après cette règle, de beaucoup supérieur au ch
39 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
ans ce cas, elle est généralement plus tardive ; la résistance vitale paraît plus grande, parce qu'elle est moins concentrée.
e affection en partie différente et profonde. Cette distinction ne me paraît pas complètement en rapport avec les faits. Con
re, soit sur les parties latérales ; on cite même un cas où il aurait paru à la partie antérieure de la poitrine, en contour
sque jamais rencontré dans les autopsies. L'étendue de la matité nous paraît causée plutôt par la présence du pus ou des tuber
cas de ce genre, les ganglions se mortifier par la présence du pus et paraître au dehors sous la forme de champignons. L'orifice
sale. Après avoir été traité pendant plusieurs années, ce jeune homme parut guéri; il ne ressentait plus de douleurs et tous
, en dormant, était pris subitement d'accès de suffocation. Peu après parut au cou une petite tumeur qui fut prise d'abord po
ait être saine dans une partie de son épaisseur. Cette explication me paraît plus probable que celle d'Ollivier (d'Angers), qu
ébral. Vers la fin du siècle dernier, dans la même année, en 1779 , parurent deux opuscules, qui traitaient du mal vertébral.
acides concentrés. La cautérisation produite par ce moyen ne m'a pas paru préférable aux précédentes; elle ne produit pas,
ant de mal vertébral, tous les moyens avaient échoué, lorsqu'un abcès parut sur le côté du cou ; à dater de ce moment, la par
ances, l'enfant allait mieux. Il marchait avec hésitation ; mais cela paraissait plutôt dû à un reste d'affaiblissement général, à
je lui montrai cette malade ; il l'examina, et me dit : Le cas ne me paraît pas clair ; je n'opérerais pas. J'ai suivi son co
ur et publiée par M. Séguin comme un cas de torticolis musculaire, me paraît un exemple de synovite sous-occipitale guérie par
des os en rendant aux parties leur attitude normale. Ce principe m'a paru vrai dans certains cas de maladie sous-occipitale
est aujourd'hui un fait bien constaté. L'explication de Dupuytren me paraît encore la plus plausible, et si l'on admet des ps
. A cette obliquité vient s'ajouter un certain degré de rotation. Ici paraît la première erreur de Du-puytren. Suivant ce chir
les sujets rejettent le corps du côté opposé ; la hanche de ce côté paraît s'élever. De là une claudication à double mouveme
ation, l'attitude, les mouvements de la cuisse. Cette condition ne me paraît point indispensable, et il est en effet bien plus
de réduire le déplacement clans ces circonstances, et ces tentatives paraissent avoir été un peu plus fréquemment couronnées de s
semblera incroyable, tant c'est véritablement prodigieux, — tout cela paraît le produit d'une illusion, d'un mirage, et, pour
illeurs aucune circonstance complètement défavorable à la réussite ne parût s'y opposer, vous pourriez tenter de reconstituer
. Vous ne nierez pas la persistance de la claudication, parce qu'elle paraîtra un peu diminuée. Vous ne méconnaîtrez pas une têt
e erreur. Cette enfant, atteinte de luxation congénitale double, me paraît présenter la complication que j'indique : la flex
nystagmus, c'est-à-dire d'oscillations fréquentes et peu étendues; il paraît jouir d'une abduction complète. VIe cas. — Nous
ème image est toujours située à sa droite. Le mouvement d'abduction paraît à peu près égal des deux côtés. IXe cas. — Ce j
ment la conjonctive. Malgré les reproches qu'on lui a adressés, il me paraît encore, comme méthode générale, préférable à tous
es. Les choses se passent différemment dans les muscles de l'œil ; il paraît que les deux bouts ne se réunissent jamais ; du m
jonclival. Le cas dans lequel M. Bonnet a cru voir celle réunion nous paraît prouver le contraire; et quant aux observations f
lement, le défaut de convergence dont je viens de parler; l'abduction paraît complète comme l'adduction. VIe cas. — Cette ma
il gauche retournait à sa position vicieuse. En lisant, l'enfant ne paraissait regarder que de l'œil droit, l'œil gauche restant
'extenseur-adducteur du pied. Le long fléchisseur du gros orteil ne paraît concourir à l'exten-sion-adduction que dans des c
frant des exemples de pieds plats à différents degrés, qui la plupart paraissent être congénitaux. Ier cas. — Chez l'un, pourtan
ne peut nier que, dans certains cas, la pression des membres du fœtus paraisse réellement donner lieu à des inclinaisons permane
d bot équin varus à droite, survenu à la suite de convulsions qui ont paru à l'âge de dix-huit mois. On fît, dès l'âge de de
un exemple qui se voit au musée Dupoytren; sur cette pièce, le tib;a paraît avoir éprouvé une torsion, et la rotule ne répond
cause du renversement en dehors du calcanéum, et l'adduction exagérée paraît résulter de la contraction des fléchisseurs des o
tenir compte de la direction opposée de la déviation. L'ankylose ne paraît pas très-rare dans le valgus ; vous en voyez ici
i le pied équin est-il habituellement un pied creux. Le long péronier paraît êlre l'agent principal de cette déformation ; ce
e de son inclinaison et de la pression du tendon d'Achille; tout l'os paraît allongé et se termine en arrière par une extrémit
li très-pofond à la piaule, et un grand élargissement du talon. 11 ne paraît pa , aujourd'hui, y avoir de valgus avec cette dé
des Indiens, il avait imaginés pour les fractures, et cette méthode a paru chez nous assez importante pour devenir l'objet d
à chaque coussin est fixée aux boutons de la semelle ; si le pied ne paraît pas suffisamment fixé, on peut ajouter d'autres c
'extérieur. Mais l'un de vous me fait remarquer que la section ne lui paraît pas complète, qu'il trouve sous le doigt une brid
peu fait connaître les détails et les résultats de ces opérations; il paraîtrait môme qu'on n'a pas toujours bien su ce que l'on c
uand j'ai eu à la pratiquer dans la première année, son innocuité m'a paru la même que dans un âge plus avancé. Cependant il
nocuité m'a paru la même que dans un âge plus avancé. Cependant il me paraît sage, en général, d'attendre quelques semaines ou
elle aussi? Glisson le croit: le rachitis, d'après cet auteur, aurait paru dans certaines contrées occidentales de l'Anglete
d'altération propre au rachitisme. La graisse des os rachitiques ne paraît pas différer de celle des os normaux; elle est so
par les pressions que les os peuvent y subir, fractures dont les unes paraissent récentes, tandis que d'autres sont en voie de con
enfants rachitiques. Réciproquement, le défaut de résistance du crâne paraît influer sur le développement du cerveau, ainsi qu
utant qu'on peut en juger à cet âge, le développement intellectuel ne paraît pas aussi avancé que chez un autre enfant. Le r
fontanelle ossifiée ; le thorax est déprimé latéralement ; le rachis paraît infléchi, il y a une déviation dorsale latérale d
téralement, avec chapelet bien marqué. Le rachis est droit; le bassin paraît régulier. Les membres supérieurs n'offrent pas de
exemples de rachitisme rassemblés par cet excellent observateur ne me paraissent pas assez nombreux pour renverser l'ordre établi
i un cas où la courbure est aussi anguleuse que dans une fracture. Il paraît naturel d'attribuer cette (1) Buffon, Histoire
orax ajoute à la gêne de la respiration. D. Les viscères abdominaux paraissent volumineux ; mais le développement de l'abdomen e
a muqueuse intestinale, l'engorgement des ganglions mésentériques, ne paraissent pas plus fréquents dans cette affection que dans
ne époque de la vie, et le rachitisme à une autre époque, comme elles paraissent , dans des cas exceptionnels, produire à la fois l
u trop âgés, donnent des produits semblables, l'influence héréditaire paraît incontestable. Le rachitisme congénital ne peut d
trumeuses, qui attaquait les porcs de Westphalie. Le régime animal ne paraît pas agir sur ces quadrupèdes comme sur les petits
t, était maigre, débile en sortant de nourrice, à neuf mois ; mais il paraît qu'elle avait encore les membres droits. Aujourd'
rrière, perd complètement cette convexité dans l'extension. Le bassin paraît bien fait. Les membres inférieurs sont courbés en
Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît lié à la période de ramollissement des os. C'est
igu est accompagné d'une fièvre d'abord passagère. puis continue, qui paraît coïncider avec le moment du plus grand ramollisse
uvé ce souffle que dans le rachitisme (3). De nouvelles recherches me paraissent nécessaires pour fixer la valeur de ce signe. Les
es, tour à tour vantés et proscrits dans le traitement du rachitisme, paraissent depuis quelque temps reprendre faveur. Je ne conn
e cas. — Voici une petite fille âgée de trois ans et quatre mois, qui paraît forte et bien portante. Elle n'offre qu'une dévia
e, aussi bien que le sens qu'on lui a attribué. Et, en effet, ce sens paraît avoir varié chez les GreGs mêmes : SxoXiWiç désig
des épaules sont saillants ; ils tendent à se rapprocher, ce qui fait paraître la poitrine comme rentrée et plus étroite ; le ve
a gymnastique , est particulièrement applicable lorsque les exercices paraissent insuffisants à cause de la résistance des parties
yen ne serait indiqué que si la contraction et la tension des muscles paraissaient de nature spasmodique , et si elles persistaient
dirai, en terminant, quelques mots de la lordose congénitale, qui me paraît rentrer dans la même catégorie. A. La-contractu
En un mot, ce n'est qu'une courbure par flexion ; mais cette flexion paraît dépasser les limites de l'état normal, et elle po
uteiller, il y avait de plus transposition des viscères. Le cerveau a paru normal, mais la pièce était trop altérée pour qu'
direction des os coxaux. Ainsi voilà toute une série de désordres qui paraissent dériver d'une même cause, d'une pression mécaniqu
lle témoignages l'attestent ; il me suffirait de citer Ésope, s'il ne paraissait démontré que la difformité du célèbre fabuliste n
te que ne le croyait Sabatier, surtout si l'on tient compte, comme il paraît le faire lui-même, des cas où elle n'est représen
ure se bombe légèrement du côté convexe de la courbure vertébrale, et paraît légèrement aplatie du côté concave. L'épaule, à s
ulevée du côté où leur excès de courbure les rend plus saillantes, et paraît plus déprimée de l'autre côté. C'est là la vérita
es exemples de courbure latérale normale : Ier cas. —Ce garçon, qui paraît avoir seize ans, bien qu'il n'en accuse que quato
roite; il en est résulté une très-légère voussure dorsale gauche, qui paraît plutôt due à une flexion latérale physiologique q
nfin, voici un dernier exemple où la compensation et même l'équilibre paraissent avoir été impossibles. Le cou, en totalité, est p
us un peu plus minces d'un côté que de l'autre. Cette déformation m'a paru moins prononcée que celle des noyaux osseux. 2°
'un effet de la déformation des vertèbres, et la rotation totale me paraît due à l'inégalité de la pression supportée par le
ièces. D'autres fois, exceptionnellement, le rétrécissement du bassin paraît dépendre de la courbure dorsale et siège du même
ure dorsale est prédominante. Somme toute, les déformations du bassin paraissent dépendre de la manière dont le poids du corps est
uvent racourcie, et c'est alors uniquement son étroitesse qui la fait paraître plus longue. Cette tête d'une jeune fille gibbeus
aux individus gib-beux des membres longs et grêles ; leur longueur ne paraît excessive qu'en raison de la brièveté du tronc ,
nfiguration nouvelle du thorax. Son sommet et sa base, moins réduits, paraissent renflés parce qu'ils correspondent à la concavité
'ils supportent en commun. Aussi sa configuration, ses dimensions, ne paraissent -elles pas altérées sur la plupart de ces dessins
à se loger dans l'étroit espace que lui laissait le poumon, et qu'il paraissait fortement appliqué contre les deux parois thoraci
2). Il est quelquefois en partie graisseux ; mais cet état ne m'a pas paru plus fréquent chez les sujets gibbeux que chez le
es pl. 12, fig. 2; 13, fig. 1 et 2. Vous remarquerez que l'aorte ne paraît pas toujours située à la gauche des vertèbres dor
rres. Vu en avant, vers sa partie moyenne et sa face convexe, le foie paraît peu s'éloigner de l'état normal, ainsi que vous l
ngenitis circa thoracem et abdomen. Erlangœ, 1810, pag. 6. bures ne paraît pas ici aussi générale qu'après la naissance ; el
u rachis et même des gibbositês; mais d'autres déviations vertébrales paraissent se rapporter plutôt à la scoliose par simple flex
e. La contracture des muscles du tronc, si rare après la naissance, paraît plus fréquente chez le fœtus, et certaines scolio
u'ils ne tordent pas deux fois le rachis en sens inverse , comme on a paru l'admettre? Vous voyez bien que cela est impossib
la scoliose se montre ou qu'elle se prononce davantage, si elle avait paru auparavant. On comprend, d'après ces considérat
de débilité générale. En résumé, la scoliose spontanée, régulière, paraît généralement produite par l'action de l'aorte sur
r degré. Voici cependant une petite fille de trois ans et demi qui me paraît atteinte d'une scoliose pleurétique commençante.
emi. Il y a encore des traces de vésicatoire de ce côté. La déviation paraît récente, et n'existait pas, au dire de la mère, i
se antérieure et postérieure du polichinelle. Les organes thoraciques paraissent gênés ; il y a des palpitations et de l'anhélatio
, cette énorme courbure dorsale que vous avez sous les yeux, qui nous paraît évidemment primitive, ne serait qu'une suite de c
nd des symptômes insolites persistent sans cause connue ; mais il m'a paru bien rarement démontré que les accidents de ce ge
général de la jeune fille. Les irrégularités, dans les autres cas, ne paraissent pas liées à l'existence de la scoliose. Rien n'
de l'autre côté; le bassin est abaissé à gauche; cette attitude fait paraître davantage la bosse, et fait passer la scoliose du
fin de la deuxième période ou au commencement de la troisième. Elle a paru spontanément, longtemps après une attaque très-lé
oumon anère et celle des corps vertébraux tournés à gauche. Le cœur paraît atsez gros; ses battements sont forts; quoique si
, ne présente pas de lésion fonctionnelle sensible; tous ses viscères paraissent dans l'état naturel. Le foie ne dépasse pas les f
u toucher la crête iliaque gauche, beaucoup plus élevée qu'elle ne le paraît à la vue. Le développement général de cette enf
nce n'est nullement compromise, au moins pour le moment. Celte enfant paraît même assez vivace. Elle était entrée dans le serv
prend pour la guérison d'une vraie scoliose. La méthode dynamique a paru quelquefois suffire pour rendre la déviation stat
ment sur une » espèce de planche un peu matelassée (2). » Ce précepie paraît avoir été le point de départ de l'usage des lits
rticulière, et lorsque l'état de station droite qui les accompagne ne paraîtra pas devoir détruire l'effet des moyens de redress
quoique employée dans les palestres comme exercice préparatoire, elle paraît avoir été peu usitée dans les gymnases. Les pierr
on horizontale, accompagnées de pressions sur la [gibbosité (3). Cela paraît concerner plutôt la cyphose que la scoliose; mais
ès-grande souplesse. "Werner, médecin allemand que j'ai déjà cité, me paraît avoir confondu l'effet direct de la pression, qu'
e à gauche. Cela change tout l'aspect du tronc: la courbure dorsale paraît beaucoup diminuée et la lombaire augmentée; la dé
e dorsale plus prononcée. Cette enfant porte un appareil à levier qui paraît bien fonctionner. Il n'y a pas de douleurs, et l'
40 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
est-à-dire l'ostéite : Il a une ostéite de la tête de l'humérus. Il paraît doué d'une très-bonne santé, et il semble que ce
est fait, c'est par le sous-scapulaire. La première fistule qui ait paru , je la nommerai deltoïde, parce qu'elle est creus
l est bien à nu en ce point, et je crois qu'il l'est plus qu'il ne le paraît . Mais ce n'est pas tout encore. Il faut savoir
a pas ici de physiono¬mie syphilitique. Les ostéites de cette nature paraissent brusque¬ment, et puis elles s'arrêtent, elles res
restituerons une partie de la mobilité de son membre. L'opération me paraît parfaitement justifiée. Je vais d'abord faire u
ouleurs seu¬lement dans les petites mamelles. Depuis sa grossesse a paru une tache pigmentaire sur la ma¬melle axillaire g
es possèdent un mamelon peu coloré, une très-petite auréole ; le lait paraît sourdre en une goutte unique. Le 7 octobre, la
s frictions stibiées dans le traitement des ncevi. Ces frictions, qui paraissent avoir été d'abord employées par Young etCumming1,
diffère pas beaucoup de celle de M. Ziessl. Mais tandis que celui-ci paraît conseiller l'emplâtre stibié seulement contre les
ustation des cartilages est inséparable de la goutte arti¬culaire, et paraît exister dès le premier accès ; 2° chez un sujet g
ongueurs,de digressions inutiles, habituelles à^certains auteurs, qui paraissent surtout désireux de fabriquer de gros volumes.
de l'induration de leurs parois : les testicules et leurs annexes ne paraissent pas être al¬térés; il y a une hernie inguinale ga
par nous s'il n'avait pré¬senté plusieurs particularités qui nous ont paru dignes d'être re¬levées. Nous ferons suivre notre
ngle, c'est-à-dire vers le milieu de la région dorsale. Cette portion paraît répofldre aux vertèbres cervicales et à quelques-
-moratifs que ceux d'un refroidissement, l'abcès idiopathique pleural paraît plus probable que l'abcès idiopathique pulmonaire
tivement au mode de pénétration de l'épi, une seule supposi¬tion nous paraît admissible, c'est que le malade aurait eu cet épi
e dans lesquels il n'a pu constater aucun battement, mais qui lui ont paru avoir le caractère d'anévrysmes miliaires ; l'aut
rtiale sincérité dans nos appré¬ dations pour féliciter ce qui nous paraît digne d'éloges et pour blâmer ce que nous n'appro
s ou moins actifs. Nous avons réuni, nous ne disons pas tout ce qui a paru sur ce sujet, mais au moins un certain nombre de
ntervalle il contracte une blépharile (15 ans) qui persiste encore et paraît due plutôt aux poussières qu'il fait en travailla
on en avant, perte de connais¬sance, chute, cyanose de la face : " il paraît que j'étais tout noir, » écume à la bouche. A-t-i
large et se terminait par un petit renflement qui, h la loupe, nous a paru être la tête. Nous avions mis cette partie de côt
it un peu d'excès et le len- 1 Le choc du marleau sur l'enclume lui paraissait double. - M. Hardy était alors en vacances. dem
ique donné par l'auteur à son ouvrage. La région du larynx vient de paraître ; le cerveau est en prépara¬tion. M. Witkowski no
s-succinctement nos trois volu¬mes, et signaler les mémoires qui nous paraissent être les plus remarquables : pour être juste, il
decine légale, par M. Yeknois1.) Il y a un certain nombre d'années, parut dans un journal américain une note conçue à peu p
times dans l'esprit. Les expériences auxquelles je me suis livré me paraissent donc peu favorables à l'opinion émise par le doct
quel-ques circonstances, mais fort rares et sollicitées, l'impression paraît pouvoir durer quelques minutes. La loi de la pers
nues avec les deux planches, certaines lettres et certaines lignes ne paraissent pas sortir du plan du papier. C'est là le moyen l
trument, et l'on recherche si dans l'image résultante tous les traits paraissent être dans le même plan. On devra appliquer la p
t Grenet, une nouvelle espèce de taenia dont la description aurait dû paraître dans son entier. Mais par erreur la fin de cette
uvelle (Bulletin de la Société médicale de l'Aisne, 1866, p. 88) nous paraît susceptible d'être rangée dans la même catégorie.
résisté au sulfate de quinine et ils ont au contraire tout à fait dis¬ paru sitôt que le parasite a été expulsé l. Aux symp
rétablit, et l'aphasie, de même que les phénomènes paralytiques, dis¬ parut . L'auteur ne s'est pas borné à cette simple con
s, Jackson, Lancereaux, Minich, Munck, Gior, Dumolel, Bussel, Leared, paraissent appuyer cette manière de voir.) La seconde caté
sur le Monstre double monocéphalicn, répondant aux planches XI et Xll paraîtra dans le prochain numéro. Le Gérant : a. de mont
t des grumeaux fibrineux. Après chaque exploration avec le stylet, ap¬ paraît un léger écoulement sanguin dû à la déchirure de
raitement trouvé par Bertolus dans ses expériences sur les animaux a, paraît -il, une efficacité réelle. " Un jour, écrit M. Lo
mment cette deuxième dose suffit. Les enfants, au dire de M. Podesta, paraissent plus rebelles à l'action des semences de ci¬troui
e par la sonde. Le quatrième jour, la réunion des bords de la fistule paraissait par¬faite. Deux fils d'argent furent enlevés le h
t que la fixation des dents par des fils métalliques. L'appareil nous paraît hors de cause. La pointe métallique de Malgaign
qu'a d'insolite une pareille thérapeutique: mais si insolite qu'elle paraisse , dès lors qu'après avoir essayé toutes les méthod
iciles et graves, elle sauvera quelques membres qui jusque-là avaient paru condamnés à l'amputation ; et l'enjeu est assez b
mique, le 12 mai 1870, par M. Gripat, interne du service. Le malade paraissait devoir guérir parfaitement de cette lésion, lorsq
augmentation de la paralysie du train postérieur, où les convulsions paraissent avoir leur maxi¬mum. Larmoiement très-prononcé: l
araissent avoir leur maxi¬mum. Larmoiement très-prononcé: l'animal ne paraît plus voir. — 10h35-40 : l'animal est couché sur l
étude aussi approfondie. II. Analyse de la pulsation. — Si le pouls paraît simple à la main qui le touche, il n'en est plus
it survenue à la suite d'une couche ; elle toussait beaucoup, mais ne paraît pas avoir eu d'hémoptysie. Elle était sujette à d
extrémité unguéale arrive à peine à leur ligne d'implantation. Il ne paraît plus formé que par la phalangette et la phalangin
ppellerons l'attention sur quelques particularités cliniques qui nous paraissent ressortir de cette observation. — La fin au pro
s inguinales continuent, et la contracture est revenue assez forte et paraît plus générale.— Temp. 37°,5—Six grammes de chlora
ts grammes en vingt-huit jours, enfin d'une action réelle et prompte, paraît exempt des inconvénients qu'on pourrait reprocher
upe de préférence les régions cru¬rales lombaires. Le liquide contenu paraît être de la sérosité du sang, renfermant quelques
premier lieu, un mémoire de M. Charcot sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau et de la moelle
ce qui a été dit plus haut. La sensibilité à la douleur et au contact paraît conservée aux cuisses. Le froid produit une sensa
sont plus saillants qu'autrefois; les pupilles, moyennement dilatées, paraissent peu contractiles. La faiblesse de la vue a encore
aleur et le froid, mais, pour les diverses espèces de sensibilité, il paraît y avoir un assez long retard dans la perception.
sont saillants. La cavité glénoïde de l'omoplate, facilement sentie, paraît moins creuse qu'à l'état sain; son bord an¬térieu
ie sem¬blait considérablement augmenté à la percussion, et cet organe paraissait dépasser de deux travers du doigt le rebord infér
ésultant de l'examen des urines, dans les cas de calculs rénaux, peut paraître extraordi¬naire. Il n'est pas très-rare cependant
n succédèrent bientôt à la perte de l'appétit, et la vie de la malade parut en danger aux membres de sa famille. C'est à ce
sidérable que les autres. Il résulte de cette discussion qu'il nous paraît clairement dé¬ montré qu'aucune des opinions pr
s, P. 126; T. R. 40°,2. Le malade est somnolent; la contracture a dis¬ paru . A 9 heures, le malade s'est un peu affaibli ; le
u affaibli ; le pouls a perdu de sa force. La toux et l'expectoration paraissent gênées. On prescrit une dose de chloral pour la n
rs bien. Soir : P. 64; T. 30",5. ~~ La fièvre, dans ce cas, ne nous paraît attribuable qu'à la montée du lait, car l'auteur,
itexiste-t-elle réellement? Les faits que nous venons de relater nous paraissent indiquer d'une manière catégorique la réalité de
certaines pyrexies (cette cause n'est mentionnée qu'avec réserve; il paraît beaucoup plus rationnel, en effet, d'admettre que
été remis en honneur dans ces der¬niers temps, et des faits nombreux paraissent attester d'une manière incontestable l'influence
ôtés de la rotule et dans le creux poplité. Les pieds, les hanches ne paraissent pas malades. Membres supérieurs. Ni déformation
ntité d'ophthalmies que l'on observe sur les bords du Nil, et il nous paraît nécessaire d'invoquer d'autres causes. Suivant no
ndre les moyens de se préserver de leur contact. Ce dernier fait peut paraître très-surprenant : il est cependant l'expression d
des doses variant de 30 à 60 grains. Une ou deux fois, comme le coma paraissait être une contre-indication, on ne donna pas le mé
ade prend un second bain à la suite duquel les convul¬sions cloniques paraissent augmenter d'intensité et de fréquence. P. 128 ; c
otre seconde observation nous fait voir, de plus, que la tempé¬rature paraît s'élever progressivement dans les cas qui se term
41 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
s services généraux, cuisine et dépendances, hydro- thérapie, etc., paraissent combinés en vue de l'asile seu- lement, mais de
nt la position paralyse d'ailleurs un espace très important, et qui paraîtrait pou- voir être mieux placée par une interversio
ations profondes et par consé- quent coûteuses. Du reste l'auteur paraît n'avoir pas en lui-même une confiance entière d
Les bâtiments désignés sous la rubrique de Pavillons agricoles ne paraissent pas bien déterminés dans leur ob- jet et devrai
long et abondant, surtout les premiers. - La sensibi- lité générale paraît physiologique. La parole n'est pas tout à fait
xtrait du procès verbal de la séance du 30 juin du Conseil général, paru dans le Bulletin muni- cipal officiel du 1er ju
es, surtout chez les enfants. Le salicylate de chaux, dans ces cas, paraît très efficace. Il aurait Diarrhée chronique ET
ou bord externe. Intelligence : très peu développée, pourtant I'... paraît rccon- naitre les personnes qui le soignent; du
nt de succomber à la suite de tuberculose pulmonaire. - Les accès paraissent avoir diminué de fréquence. 3 décembre. - Chute
décembre. T. R. 39-, 2 ? Soir : 40". 2. 30 décembre. - La sonorité paraît un peu revenue à droite, respiration soufflante
ments, l'hérédité serait peu chargée et la cause de l'idiotie, qui paraît congénitale, aurait échappé. II. Notons au poin
jour, et après chacune léger écoulement sanguinolent; les selles ne paraissent pas douloureuses ; a rendu un ver. On a combatt
tandis que les épileptiques qui reviennent vite à la connaissance paraissent conserver longtemps, sinon toujours, leur intel
reste de la journée, un certain degré d'obttcsio7t intellectuelle, paraissent frappés plus promptement de démence. III. La
la potion précédente, on a eu recours au ratanhia et les selles ont paru devenir plus épaisses. Le malade est plus gai,
st indifférent « elle ne connait que son biberon » ; autrefois elle paraissait reconnaître son père, plus maintenant. Quelquef
présente une fine vascularisation. Les nerfs optiques et olfactifs paraissent égaux, mais la bandelette optique gauche est d'
mois et demi. 'Toutes les causes que nous venons d'énumérer nous paraissent suffisantes' pour démontrer la congé- nialité d
ides progrès. ' 26 février. - L'enfant qui tousse depuis la veille, paraît très abattue, et a de la diarrhée. T. R. 37", 8
petit haricot aplati. - Les différentes parties de la base du crans paraissent symétri- ques. - Le liquide céphalo-rachidien e
e. - Les nerfs optiques et les bandelettes optiques sont maigres et paraissent atrophiés iL un degré inégal, plus à gauche. Il
oujours, pour la prote- bérance et la pyramide bulbaire. Les olives paraissent égales. Cerveau. - En juxtaposant les deux hé
mêmes lésions que nous avons signalées sur la face oxterne, elles paraissent même un peu plus étendues que du côté droit. No
ation précédente (V. p. 54). Les deux faisceaux pyramidaux nous ont paru intacts, à tous les niveaux, sans sclérose ni a
bien développés, ne présentant rien d'anormal ; cependant l'enfant paraît avoir moins de force dans ç le membre gauche. M
jours son pouce. Membres inférieurs bien développés, le côté gauche paraît très légèrement plus petit que le droit. L'enfa
lle boit avec avidité. - L'odo- rat et le goût existent; la musique paraît impressionner agréablement son oreille. 1896.
un véritable centre de ralliement où toutes les circonvolu- tions paraissent s'être donné rendez-vous. Ce n'est pas tout : s
nt être regardée comme étant toujours un arrêt de formation; elle paraît tout au contraire dépendre d'un processus patho
rique et régulier de leurs parois les tuniques, externe et moyenne, paraissent plus spécia- lement sclérosées. Ainsi constitué
ut-être plus grêles qu'a l'état normal ; si quelques-uns ont dis- paru , c'est le petit nombre. On ne constate pas de g
par le procédé de Vei- gert-Pal. Les zones les plus prises nous ont paru occuper surtout la moelle dorsale et la moelle
; examen microscopique. 81 ou moins sclérosés. Là encore, la lésion paraît être de date ancienne. Par contre, si les fai
ate ancienne. Par contre, si les faisceaux blancs et les méninges paraissent altérés il des degrés divers, dans toute la hau-
affirmer l'existence de lésions médullaires déjà anciennes, qui ne paraissent plus en train d'évoluer. Ces lésions consistent
lus profondes de la méninge révèle un autre aspect. Là, les lésions paraissent être en pleine activité : les amas cellulaires
es altérations qui ont causé cet épaississement des méninges molles paraissent être constituées sur un type assez spécial. A l
sissement des méninges molles dans le cas actuel, ce processus nous paraît résulter surtout d'une néoformation vasculaire
ges molles. Lésions corticales. - Les lésions corticales nous ont paru se présenter suivant deux types principaux. - Dan
es dans lesquelles on rencontre des fibrilles cassées, éparses, qui paraissent avoir perdu toute colorabilité, comme si elles
dans toute la hauteur du poumon droit; râles fins. Le poumon gauche paraît indemne. La per- cussion, douloureuse, donne un
n'était plus la même : « son regard n'était plus le même, elle ne paraissait plus avoir sa connaissance ». Pendant les deux
s normales. Larynx légère- ment saillant, mais le corps thyroïde ne paraît pas très- développé. Membres supérieurs bien
her les mains. L'enfant ne dit que quelques mots inintelligibles et paraît ne rien comprendre à ce qu'on lui dit lorsqu'on
tait sur ses aliments. - Le 1 septembre, elle cessa de manger, mais paraissait très altérée. - Pas de fièvre. L'auscultation,
relle, sont assez grosses, sauf les circonvolutions occipitales, et paraissent tassées les unes contre les autres. - Les sillo
nt, l'épilepsie, la « bête noire » des idiots. V. L'épilepsie n'a paru qu'au début de la huitième année et durant les
d'une hypothermie dans les derniers jours, hypo- thermie qu'il nous paraît utile de mentionner ici : Température rectale.
a infantile. Elle a eu des convulsions au moment de la mort. Elle paraissait devoir bien venir. - La troisième, 7 ans, est bie
ement en colère. Jusqu'à l'âge de dix mois, nous répète- t-on, elle paraissait absolument normale. - Pas d'autres maladies, ni
au palais, au gosier. Pas de réflexe pharyngé. Le goût et l'odorat paraissent nuls. - Menton moyen et régulier. - Oreilles gr
de Sylvius, béante, laisse l'insula faire saillie. Cette région ne paraît pas altérée. Les circonvolutions frontales et P
pas entravé le développement physique et cérébral de l'enfant qui paraissait intelligent, riait et reconnaissait un peu son
u coté droit de la face. Enfin les convulsions cloniques terminales paraissent égales des deux côtés. Pas de bave ni de rondem
puis de vertiges épileptiques. IV. Ici, l'idiotie et l'épilepsie paraissent concomit- tantes et reconnaître la même origine
1397. 10 1 Hi . ÉPILEPSIE : cerveau. Cerveau. Les circonvolutions paraissent assez dévelop- pées et les sillons assez profon
syphilis héréditaire. Notre malade et deux frères, venus aprèslui, paraissent avoir été exempts de l'infection syphilitique.
é exempts de l'infection syphilitique. La syphilis héréditaire ne paraît pas exercer, d'ailleurs, un rôle important dans
minué surtout depuis deux ans. Aujourd'hui, il ne dit plus rien, ne paraît plus rien comprendre. « Il ne me reconnaît même
ns tous ses modes, en raison de l'état intellectuel de l'enfant. Il paraît tout h fait inintelligent, ne semble pas compre
il faut crier tout près des oreilles pour qu'il entende. Le toucher paraît normal. -Aucune notion scolaire, ne sait pas te
, dans toute sa longueur, est rempli par un caillot noir. - La base paraît symétrique; toutefois la fosse temporale gauche
et du pli courbe dont une partie des circonvolutions, très grêles, paraissent atteintes de sclérose, alors que les circon- vo
42 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
Conde de Ferreira (Porto). Quelque curieux et déconcertant que cela paraisse , on peut avancer que les géants et les enfants
er à une lésion du corps thyroïde ; et, en effet, cet organe nous a paru sensiblement atrophié, à la palpation. Mais la
es petits et de taille moyenne. et la chose n'est plus douteuse, il paraît au premier abord que l'hyperfonction du corps p
ue. 6° L'état morphologique et dystrophique du gigantisme infantile paraît être essentiellement dû à l'hypertrophie de l'h
s ; parmi elles les myélocytes amphophiles et les hématies nucléées paraissent tout particuliè- rement nombreux ; par contre l
ain en avant », Made- lung en 1889 nous avait donné dans un article paru clans les « Archiv fiir klinische Chirurgie » l
re rappor- tés à la Presbyophrénie des auteurs allemands. Il nous a paru intéressant d'entreprendre, à l'aide de ces doc
, se trouvent associés deux ordres d'éléments bien distincts, qu'il paraît difficile de ré- unir dans une même affection :
l a un grand ruban à son cll3- peau ; il ne sait pas s'arranger; il paraît 10 ans de ! plus que son âge.C'est très importa
ter d'autres ; je n'en suis pas à un rideau près.» Ses affirmations paraissent sincères; elle ne s'indigne pas de l'accusation
voir volée, et appuyait ses affirmations de récits imaginaires, qui parurent tout d'abord vraisemblables; une autre accuse u
ces médico-légales, son principal intérêt théorique etpratique nous paraît donc résider, en défi- nitive, dans l'élude des
ppliqué au membre fracturé l'extension continue. L'état du malade a paru s'améliorer au début, tant au point de vue local
la néoformation spécifique, formée aux dépens du tissu osseux, qui paraît épaissi, se distingue par une zone plus claire,
est l'érosion de l'os fail 1 par celui-ci, qui est très nette, l'os paraît comme rongé par la néoplasir, qui faisant une b
ement de celui-ci en haut vers la fosse iliaque. La tête de fémur paraît atrophiée, ne se voyant presque pas dans la cav
de sclérose très accusée. Les nerfs périphériques (médian, radial) paraissent infiltrés de graisse. Le tissu cellulaire sous-
tention ; une fois cela obtenu, F. voit et reconnaît les objets. Il paraîtrait ensuite permis d'admettre qu'une part très import
ne table, s'attira un décollement de la rétine gauche.-En 1905 sa fin parut imminente, mais à peine sorti de son état comat
s'emboîtent les unes dans les-autres. En dehors de cela, le cerveau paraît peu comprimé, sauf dans les régions occipitales.
urs, tandis que le type paranoïde y est plutôt rare; enfin, il nous paraît démontré par l'anamnèse que.1. était déjà «pers
e en partie être alimenté par sécrétion des plexus choroïdes, il me paraît certain également que ce liquide céphalo-rachid
rce verres de vin ou de liqueurs. Depuis un an environ, sa conduite paraissait anormale. Il accomplissait avec irrégularité so
sentant une fête des fous sous Henri III. Comme nous le verrons, il paraît bien s'agir d'une fête des fous, mais d'une esp
elli. Le sous-titre de la partie du poème qui a trait à nos images, paraît bien indiquer que la mascarade eut réellement l
ibuées pendant la marche du cor- tège par certains figurants : cela paraît presque prouvé d'après une phrase (1) Astruc, T
mot Scorra ? Le hibliophile Jacob est tenté de l'admettre,mais cela paraît peu justifiable au pointde vue linguistique. C'
lles, de l'autre, une fiole à demi pleine. Elle lève cette fiole et paraît l'examiner à la façon des Médecins aux Urines (
des Retordeurs (2) et des Faiseurs de nouveau CIl ! }I' qui ne nous paraissent pas être comme le veut Montaiglon, des médecins,
out au con- traire des premières années. Les pustules, lorsqu'il en paraît , sont plus sèches, et les douleurs, lorsqu'il e
s récents et contemporains. Par contemporains, je n'entends pas ap- parus au même moment ; j'entends apparus à la même époq
re est plus marquée à gauche qu'il droite et les réflexes tendineux paraissent normaux. Le malade élève cons- tamment le membr
immobilité, le plus souvent flexion légère. Les réflexes rotuliens paraissent égaux des deux côtés. Dans les urines, grande qua
lques jours que le malade est sorti de la torpeur, il est gâteux et paraît très affaibli intellectuellement. On voit au ni
de tout petit calibre, et une hypertension arté- rielle permanente paraissent les conditions principales de ces hémorragies à
ù l'aqueduc est oblitéré, les gaines radiculaires des nerfs spinaux paraissent , autant, du moins qu'on en peut juger à l'oeil
ective. - La sensinilité tactile est conservée sur tout le corps et paraît normale. La sensibilité à la piqûre est conserv
e ; il apprenait lentement. Il y a deux ans G. a été très malade, paraît -il, pour avoir entendu crier une dame qui accou
il s'était presque trouvé mal). Lui qui aimait beaucoup sa mère, il paraissait l'avoir prise en aversion. Le sommeil devient m
'anesthésie il la piqûre. Léger dermographisme. Le testicule gauche paraît plus sensible que le droit. Vari- oocèle peu pr
20 septembre 1908 il est opéré d'un varicocèle. Le surlendemain il paraît bizarre. Le 24 on le conduit dans le service du d
t de deux mois sa femme le reprend, et pendant douze jours son état paraît se modifier très fa- (1) Ces renseignements sur
né ? R. - 1874. D. En quelle année sommes-nous ? Zen 1900. Il paraît faire une grimace de douleur. D.- Où souffrez-v
- bout ou assis, immobile,en faisant ses gestes particuliers qui ne paraissent pas être toujours les mêmes. Depuis environ un
est venue hier et j'étais un peu content d'avoir de ses nouvelles. Paraît que ça a été dur pour toi et que tu a souffert
moi. Est-elle gentille ? » 22 juillet. Mutisme absolu, négativisme. Paraît de temps en temps s'in- téresser à quelqu'objet
. Il mange souvent avec ses doigts n'importe ce que l'on sert; mais paraît préférer ce que sa mère lui apporte. Lorsque
as parmi les 500 aliénés de notre service. Quoi qu'il en soil, il paraît assez naturel, a przori, d'admettre qu'une caus
sée par une automobile. Cette chute et le procès qui s'en est suivi paraissent avoir, sur un terrain de dégénérescence, favorisé
santes à expliquer la situation de ces différents placards : ils ne paraissent pas occuper des surfaces correspondant à des de
occuper des surfaces correspondant à des dermato-métaméres ; ils ne paraissent pas exactement localisés selon les lignes frontiè
alcooliques ». Cette malade présente un noevus vasculaire, qui nous paraît remarquable par son étendue et sa localisation
t situées en dehors et en bas de la précédente. Cette malade nous paraît également intéressante, à cause de la disproporti
ux ostéo ? ypertrop)jique. Dans le cas qui nous occupe, les varices paraissent faire défaut; ceci peut tenir à ce que le noevu
tous les troubles que nous venons de dé- crire ; c'estelle qui nous paraît la plus acceptable et ceci pour plusieurs raiso
lusivement les 7e et Se racines cervicales ainsi que la lre dorsale paraissent avoir été moins atteintes par ce processus toxi
s et il en ajoute encore d'autres. Après le travail de Dimitrova, a paru en outre une communication de xxiv z 1 238 tC
blement des éléments cellu- laires d'une autre nature. En 1905, a paru un grand travail sur « les organes pariétaux » de
ires qui seront men- tionnées plus loin, parce que ces cellules ont paru être les plus communes dans un cas où le parenc
- tif produisent différents types de glandes : 1) Les glandes qui paraissent les plus normales montrent sur les cou- pes des
271 .10',%NESCO Altérations de l'appareil nucléolaire. Il nous paraît indispensable pour la compréhension des lésions f
homogènes; 3° ils sont toujours situés au voisinage du nucléole et paraissent même faire partie de l'appareil nucléolaire car
tcléolaire. - Le passage du nucléole dans le protoplasme cellulaire paraît être une des questions les plus délicates et le
laire au tran- chant du rasoir. Telles sont les conditions qui nous paraissent nécessai- res pour faire accepter l'issue mécan
âche et Marinesco) finement granuleuse qui délimite ce dernier sans paraître contracter aucune relation avec sa périphérie. On
chevêtre- ment se dégagent deux, trois ou même quatre filaments qui paraissent s'attacher contre la périphérie du nucléole en
uefois même diamétralement opposés. Cet éloignement des corpuscules paraît tout à fait spécial car, comme nous l'avons vu
té impossible de constater sa pré- sence ; dans d'autres, il nous a paru que les petites plaquettes de basichro- matine
pour le moment à attirer l'attention sur elle ; 2" cette migration paraît être en rapport avec l'étal de la cellule car t
ore en rouge et quelquefois en rouge violet ; ces deux nuances nous paraissent dépendre de la façon d'employer le réactif, car
'on trouve en même temps avec le nucléole dans le pigment jaune, ne paraît pas certaine, vu les arguments invoqués, il reste
le n'est que relatif car les formes ne varient pas a ! 'infini mais paraissent bien subordonnées à l'état de la substance chro
les de César Bianci, les corps de Negri etc...; certaines analogies paraissent exister entre cette formation et le corps énigm
late gauche est éloignée de la ligne médiane, le creux sus- épineux paraît amaigri. A l'état dynamique la déformation s'ac
0 centimètres à peine. VOG : la malade ne sait pas lire. Son acuité paraît normale, IIRDiISYNOROME BULBAIRE PAR LÉSION PÉR
, Maixner, Jolly, etc. Elles sont donc loin d'être rares. Il nous paraît cependant impossible de penser chez notre malade
ce signe ajouté aux considérations que nous avons déjà exposés nous paraît éliminer le mal de Pott. Reste la syphilis sous
que. Malgré l'absence de lymphocytose cette dernière hypothèse nous paraît la plus vraisemblable. Notre malade qui présent
r la possibilité d'une tumeur en surface des méninges, cette malade paraît justiciable d'un traitement qui restera prudent
chez le père ou chez la mère. Quant aux trois avortements, ils ne paraissent pas dus à la syphilis. Au point de vue personne
rieurs robustes, pieds énormes. Les membres supérieurs au contraire paraissent plus grêles. 318 MOSSÉ Les bras, les avant-br
st pas perceptible la palpation. Tête. La tête qui au premier abord paraît petite, présente néanmoins des dimensions qui n
poils au niveau de la lèvre supérieure et du menton. La langue ne paraît pas trop augmentée de volume et la prononciation
sence de traces d'albumine, mais pas de sucre. Les organes génitaux paraissent bien développés : la région sus-pubienne est re
r. Il nie la syphilis et la blennorrhagie. Son appareil digestif ne paraît rien présenter de particulier. Jamais de vomiss
n'avait pas toujours mangé ô'sa faim les jours précédents. Le foie paraît de dimension normal. La rate n'est pas percutab
ît de dimension normal. La rate n'est pas percutable. Le coeur ne paraît présenter aucune lésion. La respiration est nor
sibilité générale est intacte. Les réflexes rotulieus et achilléens paraissent normaux. La force musculaire au dynamomètre don
jour le jour comme un vagabond. Il est également très insouciant et paraît avoir peu d'affection pour les divers membres d
er un trouble' dans les glandes à sécrétion interne. L'hypophyse ne paraît pas hypertrophiée, le corps thyroïde est, il es
et n'ayant aucune dilformité quel- conque dans leur squelette,elle paraît être un peu supérieure à la moyenne. Les os du
soupçonner que le malade est ataxique. S'il est debout, le malade paraît au début un peu gêné dans cet appareil qui lui
ire. Voici comment cet auteur s'exprime à ce sujet dans son travail paru en 1863 (Die gratte Degeneralion der hinteren Rü-
grande inégalité de la tonicité musculaire, et celle inégalité nous paraît être la cause de l'incoordination motrice. » Ce
ff et d'autres. Cependant le cas d'atrophie que nous présentons ici paraît unique dans son genre. Il reconnaît une tout au
nsité reconnue dans notre cas. Après ce que nous allons ajouter, il paraîtra évi- dent que, dans le fait étudié par nous, la
ui ne vécut que 2 mois. Il faut noter que ces 2 enfants nés à terme paraissent avoir été hydrocéphales, car elle déclare qu'il
aucun trouble. Il n'y a pas trace de myxoedème ; le corps thyroïde paraît normal. Les différents appareils fonctionnent r
nds-parents de notre sujet qui se les rappelle très bien. Une soeur paraît avoir été scoliotique. Elle-même déclare que se
ndication au point de vue pathogénique ? Tout caractère héréditaire paraît devoir être éliminé chez notre sujet. Mais ce n
ège, au lycée des jeunes gens qui, en seconde ou même en troisième, paraissent déjà de petits hommes : précocement barbus, il
nel des glandes à sécrétion interne, régulatrices de la croissance, paraît être la cause immédiate de l'achondro- plasie,
'occasion d'examiner après autopsies d'achondropiases, ont en effet paru avoir une constitution normale; cet argument n'
ine de la dystrophie elle-même. Cette manière de voir est simple et paraît très vraisemblable à notre esprit, c'est peut-
mnés » (Dutil) (1). Voilà donc une maladie pour laquelle il n'a pas paru étrange d'expliquer les troubles psychiques par l
es conteurs et des gens du monde. Nous ne voudrions pas cependant paraître attacher une trop grande importance à ce systèm
ette dystrophie. Si toutes les raisons que nous en avons données ne paraissent pas également convaincantes, il y en a une au moi
pulmonaire. Il a un frère, âgé de cinq ans, dont la santé générale paraît bonne, mais qui a une otorrbée. En décembre 190
oduit une tache blanche, qui demande dix à douze secondes pour dis- paraître . Les diverses sensibilités sont normales et la te
s. Malheureusement ces couleurs sont très photogéniques et elles ne paraissent pas sur notre photo- graphie. Nous avons vu q
du triiodure d'arsenic (gouttes païdophiles de Guiraud), qui nous a paru avoir une influence favorable sur ia marche de
nes (deux cas) d'une abondance étrange, des céphalées tenaces, nous paraissent encore plus difficilement explicables : l'hypop
omiquement l'intervention pluriglandulaire est certaine. 2° Mais il paraît excessif de vouloir ranger dans ce groupe si comp
sclérose intersti- 422 CORDIER ET REBATTU tielle très marquée. Il paraît donc certain qu'en pareil cas la dysthyroïdie a
avait un peu de myxoe- dème, le corps thyroïde pesait 15 grammes et paraissait normal ; en re- vanche les ovaires étaient très
re- vanche les ovaires étaient très scléreux, et l'origine génitale paraissait plus probable. Notons aussi l'absence complète
on d'une anorchidie. Cette distinction a plus d'importance qu'il ne paraît au premier abord. Ces réserves faites, il faut
hyper- fonctionnement ou en hypofonctionuement. Cette répercussion paraît des plus capricieuses et sa marche ne peut être
ité, s'amollissent, diminuent de vo- lume d'une manière graduée, et paraissent se dessécher. Le plus ordinaire- ment l'altérat
de troubles intellectuels ni vocaux. Le corps thyroïde et les seins paraissent normaux. Pas de troubles du squelette. Urémie
la région pubienne (divertissement très en honneur chez les marins, paraît -il), les poils ne repous- sèrent pas. Enfin ses
i existe entre la longueur des membres et celle du tronc. Assis, il paraît d'une taille très ordi- naire ; quand il se lèv
ctobre 1911) : Homme de 34 ans, qui, soit debout, soit au lit, n'en paraît que 18. L'aspect un peu âgé qu'il avait encore il
(1). Elle a été développée dans deux Mémoires des mêmes auteurs (2) parus dans le « Journal de physiologie et de patholog
sie affirment l'hypothyroïdie ; à la palpation, le corps thy- roïde paraît atrophié. Hypothyroïdie, mais non myxoedème car l
atrophiées, pèsent chacune 5 grammes. L'hypophyse dont la capsule paraît épaissie, fibreuse, pèse 0 gr. 30 (on se souvie
era fait mention ultérieurement, la micromélie humérale congénitale paraît avoir échappé ci l'observation médicale. Les fa
ux d'un individu normal. La mus- culature de la ceinture scapulaire paraît bonne et elle ne présente rien de par- ticulier
ouvements sont parfaitement libres. Les articulations des épaules paraissent normales à l'inspection ; mais on note que, lor
e sorte qu'une modification dans l'articulation huméro-glénoïdienne paraît possible. En outre une crépitation fine, mais dis
s. Les arti- culations du poignet sont quelque peu élargies ; elles paraissent comme molles et pâteuses et elles permettent de
t exacte de la réalité. Le pied est court et trapu ; en même temps il paraît , si l'on peut dire, épaissi. Nous avons l'impre
osable à celui qui avait été recueilli six mois plus tôt, il nous a paru inutile de le reproduire. '0 RÉSUMÉ DE L'OBSERV
s symptômes accusés par le blessé, douleurs, perte des forces, nous paraissaient très exagérés. En effet, la palpation était peu
é accuse des sensations douloureuses et une perte des forces qui ne paraissent pas justifiées par les signes objectifs, qu'il
esque textuellement les conclusions de la thèse de Sans; elles nous paraissent résumer l'état actuel de la question : to On
s surpris de voir que le malade, ne faisait pas cette chose, qui me paraissait à moi si simple. Alors il me répondit qu'il vou
est im- possible de marcher avec les yeux fermés. Si le malade, qui paraît sincère, nous dit la vérité, ce phénomène resse
43 (1913) Exposé des travaux scientifiques
n'ont pas trouvé place dans les chapitres que j'ai traités; il m'a paru , pour le moment, suffisant de les mentionner .
IE EXPÉRIMENTALE FAISCEAUX NEURO-MUSCULAIRES En 1886, j j'ai fait paraître dans les Bulletins de la Société de Biolo- gie
ÈS SECTION DES NERFS QUI S'Y RENDENT D'un travail (8) que j'ai fait paraître sur ce sujet en ]88, j'extrais les passages sui
ne disposition particulière des fibres musculaires altérées, qui me paraît propre à faire comprendre la nature des lésions q
e, six semaines après la section du nerf qui leur correspond, m'ont paru un bon objet d'observation parce qu'on peut y t
ats de mes,reclierches. « Cette hyperplasie du sarcoplasme, dit-il, paraît bien être, en effet, le pro- cessus primordial
s lapins atteints de la maladie pyo- cyanique des arthropathies qui paraissent se développer de préférence dans les membres pa
r sémiologique de l'inversion du réflexe du radius. » ..... « Il ne paraît pas douteux que le 5° segment en particulier est
attitude, on attendra pour procéder à l'excitation que les muscles paraissent bien relâchés. « Il n'est pas indifférent d'e
hémiplégie étaient très faibles. L'exten- sion des orteils m'a même paru ordinairement plus marquée dans l'hémiplégie ré
deux réflexes ne sont pas incompatibles. b. Dans un travail (106) paru en igo4, et relatif aux perturbations des réfle
omène des orteils », non plus que des diverses publications qui ont paru sur ce sujet en France et à l'étranger; autrement
e l'extension du gros orteil, et il est parfois très marqué. 11 m'a paru surtout très développé dans les paralysies spasmo
système pyramidal ; néanmoins, quand il est très accentué, il me paraît avoir une FiG. 4. - Abduction réflexe des ort
FIG. 5. - Abduction associée des orteils. Dans une deuxième note parue quelques mois plus tard (102), je disais : «
les observations que j'ai faites depuis que je le recherche, il me paraît plus commun dans l'hémiplégie infantile que dan
The Journal of Mental Science, July 1900). Erb dit que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux central est tou-
upés de la question ont confirmé l'opinion de cet auteur. » Il me paraît inutile de faire d'autres citations. L'idée que j
de surréllectivité tendineuse ou cuta- née. 08 SÉMIOLOGIE Elle paraît due à une irritation des cellules des cornes anté
, tandis que dans les cas étudiés par ces auteurs la polynu- cléose paraissait liée soit à des raptus congestifs survenant au co
p. 126). \I ? RT'fl; SCIATIQUE Scoliose sciatique. J'ai fait paraître , il y a 25 ans, un travail inspiré par mon maître
du nerf. « Ce signe, comme en général tous les signes objectifs, me paraît avoir une grande valeur diagnostique ; sa prése
ar l'électrisation des branches du nerf facial. Or, à priori, il me paraît déjà difficile d'admettre qu'une excitation d'u
ublication sur ce sujet (177), plusieurs travaux confir- matifs ont paru . Souques, dans la séance du 12 janvier igi2 de
plement que les réflexes tendineux n'étaient pas exagérés et qu'ils paraissaient même affai- blis. » Dans la séance du 6 mars
ropathies dites « tabétiques » avec le tabes, je disais qu'il ne me paraissait pas prouvé qu'elles fussent sous la dépendance de
njugale ». J'ai soutenu aussi que le tabès hérédo-syphilitique, qui paraissait exceptionnel sans doute pour des raisons sembla
iété de Biologie (18). Mais, ce qui semblait alors une exception me paraît aujourd'hui chose assez commune. Je connais des
nflammation verté- brale au niveau des trous de conjugaison. Il m'a paru légitime d'appli- quer aux faits de ce genre la
rique d'un nerf sectionné, en admettant qu'elle intervienne ici, ne paraît être qu'accessoire. Les cellules de la névro- g
chez l'homme, disais-je, est encore loin d'être démontrée. Il nous paraît , certes, très vraisemblable que, lorsque les cy
tion de la même façon que dans les nerfs périphériques. Ce qui nous paraît douteux, c'est que la régénération puisse about
ui semble la plus favorable à cette hypothèse et elle ne nous a pas paru tout à fait démonstrative. « Ainsi, en admettan
que l'on pourrait dire qu'il s'agit surtout d'arachnitis ; il nous paraît préférable de désigner ces lésions sous le nom
acksonienne à droite, la nécropsie a décelé, sous la dure- mère qui paraissait saine, la présence d'un vaste caillot sanguin de
tabétiques, quand elles viennent s'ajouter aux lésions pyramidales, paraissent ne pas le mo- difier. Hypotonicité musculaire
ndineux, qu'on l'observe ; mais je l'ai constaté aussi, ce qui peut paraître surprenant, dans quelques cas d'hémiplégie anci
de la commissure, d'origine manifestement spasmodique; ces faits me paraissent exceptionnels. Mouvement combiné de flexion de
is faire remarquer qu'à l'état normal l'immobilisation de la cuisse paraît être plus ou moins parfaite suivant les sujets, c
'un axe longitudinal passant par le côté paralysé ; ce mouvement me paraît être le résultat de l'action, limitée à un côté d
iplégie organique, l'autre d'hémiplégie hystérique et qui tous deux paraissent dans l'impossibilité de faire exé- cuter un mou
chirurgie cérébrale en France. La craniectomie, malgré les travaux parus à l'étranger sur ce sujet. ceux de I-Iorsley en p
ue à ma connaissance qu'après ma première publication sur ce sujet, paraît avoir échappé à l'atten- tion des neurologistes
nt s'accom- plir. L'interprétation de ce trouble de déambulation me paraît donc légitime. Elle semble encore mieux fondée
liner, elle se porte en arrière. D'autres fois enfin, l'inclination paraît se faire exclusivement du côté sain, comme dans
Laryngologie, iyo2). Dans son Traité d'Électrothérapie clinique, paru en y6 (Masson et Cie, édi- teurs), Zimmern cons
ici, extraite de mon article sur le traitement du vertige auriculaire paru en 190/i, une phrase, entre autres, qui ne lais
e exerce une action sur le labyrinthe. Du reste, cette action ne me paraissait pas surprenante, la pression du liquide labyrin
tagmus par les mouvements rapides de la tête, mais les malades n'en paraissaient plus vraiment gênés. » J. J. Putnam (« The Babi
signe des orteils était le témoignage. C'est l'opinion qui m'avait paru la plus vraisemblable. En igoi, j'ai rapporté u
on organique présumée siège-t-elle dans le système pyramidal, comme paraissent l'indiquer les modifications des réflexes tendi
malades atteintes de paraplégie spasmodique familiale. « Il nous a paru intéressant, disent ces auteurs, de signaler, che
ent dans l'impossibilité de se livrer à un travail quelconque, elle paraît absolument désespérée. La section du spinal a p
, comparés à ceux des membres inférieurs ou des membres supérieurs, paraissent sou- mis à un régime privilégié leur conférant
auteur moyenne; du reste la malade n'est pas réglée. L'intelligence paraît normale, mais la mémoire a beaucoup diminué dep
seuls toute la maladie, et cela pendant un temps très long, il nous a paru légi- time de donner à cette association la dén
régnantes sur ce sujet il y a une vingtaine d'années, à l'époque où parut mon premier travail de revision. L'hystérie é
mmunications sur ce sujet abondaient. A partir de yogi, époque où a paru mon premier travail d'ensemble sur la délimitat
et expériences comparatives je retiens seule- ment celles qui m'ont paru décisives et m'ont permis d'atteindre le but vi
ue du système nerveux, on obtient souvent une reproduction qui peut paraître parfaite à un observateur peu attentif. Mais il n
des maladies chroniques». Ainsi un sixième des cas de maladies lui paraissait imputable à l'hystérie ! Et pour voir à quel po
dans son livre : «Eléments de sémiologie et clinique men- tales », paru en l()'2, termine ainsi l'article consacré à l'hy
44 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique il se développe une déformation particulière du tronc qui nous paraît avoir échappé jusqu'à présent à l'attention des
frant la même attitude (Cas. 1). Le rapprochement de ces deux cas paraissait bien montrer qu'il y a entre la sciatique et la
le malade, il éprouve de la douleur et l'on sent une résistance qui paraît difficile à vaincre. Dans le lit, la déviation
elle s'est développée après le début de la sciatique, et il ne nous paraît pas discutable qu'elle doive être mise sur le c
intime avec lui. Il s'agit donc là d'un caractère constant qui nous paraît avoir une assez grande importance. Archives,
rs que les souffrances devenaient plus fortes, la déformation ap- paraissait . Dans l'OBSERVATION III il est noté que le lend
ffé- rentiel de la déformation que nous venons d'étudier. Il nous paraît inutile d'établir un parallèle entre cette défo
très rare, n'a été vue jusqu'ici que chez les hystériques, et elle paraît tenir à l'exagération de - ' Voici un extrait,
sparaît lentement ou brus- quement et est sujet à des récidives. Il paraît en rela- tion avec la diathèse hystérique. Il n
e rétablir. Les efforts dirigés dans ce but dépassent la mesure, il paraît y avoir défaut dans l'action antagoniste normal
rouge. Elle repose dans le décubitus latéral droit ou gauche, elle paraît éviter d'être tout à fait sur le dos. Elle a un
is ses jambes faisaient avec son corps une sorte de plan incliné et paraissaient comme disloquées. Il avait la bonne volonté de
2 : à cette époque survinrentdes attaques hystéro- épileptiques qui paraissent avoir eu la forme classique (arc de cercle, att
sibilité, existe de plus des troubles de la station et de la marche paraissent indépendants de ces ces altérations. re- pos, l
de deux cannes, les yeux fixés constamment à terre : les mouvements paraissent plutôt maladroits que désor- donnés tout en pré
d'une à deux minutes dans la sudation du côté paralysé. Les sueurs paraissent aussi persister un peu plus longtemps de ce côt
dont le compas de Weber montre l'exactitude. A la main droite, D... paraît sentir aussi bien sur la sphère du cubital que
es ni au-dessus ni au-dessous du ganglion. Cette observation nous paraît être la seule dans laquelle, avec les symptômes
mum, il y avait hypérémie de la région. Chez ce malade, l'affection paraissait être héréditaire : la soeur en était atteinte,
que. Dans quelques cas, l'éphidrose DE l'épilepsie PROCURSIVF. 75 paraît n'être qu'une détermination locale du nervo- si
aît que longtemps après le début de l'épilepsie et chez lesquels il paraît être un accident isolé indépendant de l'accès,
'étiologie héréditaire de l'épilepsie, tandis que l'hérédité réelle paraît être beaucoup plus rare. La peur qui avait été
u exhibe ses organes génitaux à la première invita- tion, mais sans paraître y mettre d'intention immorale. 11 était nécessa
ns l'établissement. Les repas sont réguliers et suffisants; Mistral paraît préférer les légumes à la viande, mais, en somm
u sabbat. On l'enferma dans une chambre; aussitôt elle se coucha et parut morte : on la remua, elle ne le sentit point; o
concernant les faits analogues relatés dans les différents ouvrages parus au xviiie siècle. Toutefois, nous devons accord
dans une espèce de collapsus. Les fonctions du coeur et des poumons paraissent suspendues ; le pouls est insensible et la chal
ne attaque convulsive.-Les mouvements limités d'abord au tronc, qui paraissait par des efforts de torsion fuir sous la pressio
température s'élève à 37°,8. Les organes thoraciques et abdominaux paraissent sains; la percussion indique que la vessie est
médecine. Quoi qu'il en soit, tous ces désordres, si graves qu'ils paraissent , peuvent s'effacer et 's'évanouissent souvent q
vêtement cutané; il ne présentait aucune paralysie motrice. Mais il paraissait complètement aveugle, bien que la sphère visuel
ance blanche; absence d'hydropisie ventriculaire. La région motrice paraît principalement étriquée; il en est de même, mais
e granuleuse, formation de cellules granuleuses. Les cylindraxes ne paraissent pas subir d'hyperplasie. On constate simplement
e si l'aliéné interné possède des ressources suffisantes pour qu'il paraisse légitime de lui imposer une quote-part dans le
phe dans l'intervalle des deux délibérations. M. le Président. Vous paraissez être d'accord, messieurs, sauf SÉNAT. 145 une
e la République prenne personnellement les renseigne- ments qui lui paraissent nécessaires pour s'éclairer à ces ditré- rents
rts récents de la commission supérieure pour remédier à ces défauts paraissent être bien dirigés, et on ne peut que re- grette
ernier. H y a eu 2-10 admissions, sur lesquelles, 40 cas p. 100 ont paru curables à l'entrée. La proportion des guérison
d'excès vénériens; onanisme modéré à l'adolescence. Vers Noël 1883, parut pour la première fois et se répéta depuis, de t
au plus haut degré ; au palper ils semblent avoir disparu; la peau paraît comme collée sur l'os; pourtant l'existence des
uche); le muscle trapèze est conservé dans sa portion supérieure et paraît atrophié dans les autres. Les res- tants des mu
re ne présentent pas d'atrophie notable et le muscle pectoral droit paraît même hyper- trophié en comparaison du gauche. L
elet solide proéminent (hypertrophie); du côté gauche les muscles paraissent ne pas être atrophiés. Les muscles de la face, au
e augmenta sur le thorax; une raie de Lher- mo-anesthésie profonde, parut nettement limitée en haut par le niveau de l'om
étrangère, il y éprouvait une certaine sensation qui la lui faisait paraître plus lourde. En été 1884, durant deux, trois se
e. Le sens de la pression examiné sur la paume et le dos de la main paraît égal des deux côtés ; le malade est assez inatt
la sécrétion sudorale. Antécédents du malade. - L'époque à laquelle parut la therma- nesthésie du membre supérieur droit
douleur se diri- geant vers le pouce le long de l'avant-bras droit parut pour dispa- raître bientôt après. Cette douleur
anté. La malade jouissait en général d'une bonne santé ; les règles parurent à l'âge de dix-sept ans; dès cette même époque,
e des parties périphériques diminua, mais les douleurs montèrent et parurent dans la région scapulaire, près de la clavicule
étaient encore parfaitement normaux, mais depuis l'été, commença à paraître une crampe dans la première et la deuxième phal
di- vers mouvements contradictoires et incoordonnés : les jambes paraissent comme disloquées et s'embarrassent l'une dans l
'influence de l'occlusion des yeux est inconstante; toutefois, elle paraît d'habitude aggraver le désordre. Les réflexes t
z une femme de cinquante-deux ans. La cause immédiate des accidents paraît être le plus souvent une émotion plus ou moins
normal. Nous em- pruntons d'abord à M. Mosso un passage qui nous paraît approprié au but que nous nous proposons d'atte
beau- coup de nos faits, l'existence d'influences psychiques qui paraissent avoir présidé soit au développement, DE l'astas
un mécanisme du même ordre dans le cas même où l'influence émotive paraît 1 Leçons sur les maladies du système nerveux, t
bord s'adresser. Et en effet, même dans les cas où l'etlcé- phale paraît présider à l'apparition d'une éphidrose, le rôl
se concomitante. Les fibres excito- sudorales et irido-dilatatrices paraissent donc nette- ment séparées. De même., il y a d
mydriase. La question est toutefois plus complexe qu'elle ne le paraît au premier abord. En effet, outre que, comme no
hénomènes morbides qu'il a observés. Ces lésions des ganglions ne paraissent pas cepen- dant être toujours en rapport avec l
ort avec leurs habitudes; tel est le cas de la malade de Herpin qui paraissait imiter un joueur de guitare, quoique n'ayant ja
nde circon- volution frontale. La troisième circonvolution frontale paraît assez bien développée.-La circonvolution fronta
deuxième scissure et la deuxième circonvolution temporo-occipilales paraissent assez bien con- formées, toutefois la partie mé
ucune anomalie. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique paraissent nor- maux. Il en est de même du lobule de l'ins
sa position ordinaire et observer que le plus souvent les pupilles paraissent normales ou dans un état variable decontraction
sement con- sidérable. Cet amaigrissement, toutefois, ne nous a pas paru être en rapport direct avec la longue durée du
la sécrétion urinaire difficilement appréciable à la vérité, nous a paru presque toujours ralentie; notre malade urinait
ses sécrétions pendant l'attaque de sommeil; toutefois elles nous paraissent ralenties. Ce ralentissement tient-il à la diffic
n de vapeurs irritantes; quant au goût et à la vue leur sensibilité paraît également abolie. Toutefois, il ne faudrait pas
e système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbide, parut aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparav
auparavant. Pendant son état léthargique, où toutes les fonc- tions paraissaient suspendues, les forces se concentraient sur l'o
une malade cependant, dit Briquet (p. 422), l'attaque léthargique a paru avoir épuisé la source des accidents, car il y
façon. A l'inverse donc de Briquet, MM. Bourneville et Regnard nous paraissent avoir donné la note exacte : « Tantôt, disent
des lèves, des pleurs, de l'excitation. Les malades sont étonnées, paraissent ne plus se sou- venir du lieu où elles se trouv
de ces états prête à l'étude sé- méiologique. Ici encore il nous paraît indispensable d'établir quelques distinctions e
as accentués, le ma- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade paraît plongé dans un véritable état apoplectique d'orig
tefois aussi loin que M. Achard, qui nous dit (p. 52) : « Il nous paraît impossible d'admettre que les agents esthésio-
encore là, du reste, des cas sur la pathogénie desquels les auteurs paraissent mal fixés. Rappelons de plus, que certains déli
ur le tronc ou sur les membres 'si la circulation ou la respiration paraissaient se faire trop faiblement. » Nous ne serons pa
onsidérant l'insuffi- sance valvulaire. M. R1CHTER. Le patient ne paraissait pas atteint de surdité ver- bale, car celle-ci
oscillations dans les symptômes psychiques. ' Aujourd'hui le malade paraîtra d'une lucidité étonnante; demain, ce sera un vr
es à établir; à propos de plusieurs d'entre elles, où le diagnostic paraissait fixé, on obtint cependant une guérison durable.
iénés à Paris, dont les asiles étaient en piteux état, et qu'il ait paru accomplir dans la capitale delà France une réform
e la sensibilité. Quant aux zones hystérogènes des muqueuses, elles paraissent très fréquentes puisque sur onze cas l'auteur t
mon travail : « De la curabilité de la sclérose en plaques-», qui a paru dans les Archives de Neurologie, n° 28, 1885, j
les scléroses des cordons de Goll et les névrites périphériques ne paraissent pas devoir fournir l'expli- cation de tous les
sistaient depuis une di- zaine d'années. Ils étaient si nombreux et paraissaient si précis que tous les médecins qui ont vu le m
lle que soit l'interprétation qu'on veuille donner à ce fait, il me paraît assez curieux et assez imprévu ' Lcvat-Piqueehe
fluence de ce traitement, les douleurs rachialgiques et la polyurie parurent s'atténuer. Pur...reprit son travail, souffrant
libre. Ses pieds étaient le siège d'une sensation bizarre ; ils lui paraissaient tou- jours enflés. Un peu plus tard, il lui sem
c'est seulement après avoir subi cet enfoncement que le pied lui paraissait solidement fixe sur un plan résistant. Les troubl
dinale de la dure-mère, on aperçoit les méninges rachi- diennes qui paraissent tout à fait saines. Pas d'épaississement 350 CL
ieurs. Les substances blanche et grise sont bien distinctes ; elles paraissent inaltérées. Plusieurs ganglions rachidiens, enl
autres par la dissocia- tion. Les nerfs de l'estomac et du coeur paraissent également altérés.' Les quelques fibres rnyélin
est le résultat d'un simple trouble fonctionnel. Les accidents qui paraissent relever le plus sûrement des lésions organiques
héréditaire. Les 17 cas rapportés dans notre travail nous avaient paru suffisamment démonstratifs pour entraîner notre
mois environ. En 4883, trois ans après le début de la syphilis, ont paru les pre- mières douleurs fulgurantes, se manife
te ans, qu'à toute autre époque de l'existence. Quant au sexe, il paraît avoir une influence plus marquée et l'ensemble
tre du bord interne du sourcil; de ce fait les arcades sourcillères paraissent proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas
conformés, le droit est un peu plus élevé que le gauche. Le malade paraît se masturber pendant l'examen ; il se frotte le
es de la base sont symétriques; toutefois, la cérébrale postérieure paraît un peu plus volumineuse à droite. Les tuber- cu
interne), la décortication est facile. Le pédoncule cérébral gauche paraît plus petit que le droit; il en est de même de l
ure calcarine, le corps calleux, le corps strié, la couche optique, paraissent normaux. Hémisphère gauche. La scissure de Sylv
lons qui les découpent. Le lobe occipital, dont lés circonvolutions paraissent un peu grêles, est également très sillonné; il
er; pendant une tempête qui a duré deux jours, son chien n'a plus paru ; il resta dans un coin du bateau bien triste,
che progressivement ascendante du début à la mort. Les maladies qui paraissent se rapprocher le plus de l'athé- tose double, s
ecliformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques ne paraissent pas se rencontrer dans l'athétose double. Les
ite plus ou moins rapidement; dans l'athétose double le tremblement paraît atteindre son maximum d'intensité et d'étendue
s. Les symptômes et l'évolution de la maladie, dit M. Séglas, nous paraissent ressembler assez àce qui a été dit du délire ch
face, si elle existe, n'est guère appréciable et que la malade m'a parue intelligente ; c'est aussi, d'ailleurs, l'avis
e revêt ce phénomène sub- jectif l'mporlance donnée au chiffre 3 me paraît devoir être si- gnalé. Son état de débilité men
ar suite d'examens répètes et faits par dif- férentes personnes, me paraissait indiscutable. D'ailleurs, qu'importe leur exist
comme le délire chronique est très rare chez ces derniers, il ne paraissait guère probable que {'hypochondriaque persécuté am
e plus médical. Quant au mot « phase », je le répète, il nous avait paru suffisamment clair. Nous l'avions pris dans le
ous n'avions pas cru qu'il pût prêter à l'équivoque ; il nous avait paru évident que le médecin ne pourrait pas tomber s
at ne présentant aucun danger pour la société. Le Dr R... fit alors paraître une brochure intitulée : Observations sur la ma
45 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
u successi- vement et sans danger tous les muscles du corps, nous parut devoir être accepté, sinon définitivement, au m
t il MALADIE BLEUE. violacé. L'oreillette droite, très distendue, paraît ainsi que le ventricule correspondant, beaucoup
s de tronc brachio-céphalique. Réflexions. Cette observation nous a paru intéres- sante à divers titres. Les anomalies c
e tel que nous l'avons décrit dans l'observation précédente, nous paraît être un cas unique. Nous réunissons ici, comme
rminaison heureuse que nous avons rapportée plus haut (Obs. XXII) paraît , d'autre part, nous autoriser à penser que : dans
Courancelle (Meuse). Elle ne porte aucune trace de goitre et il ne paraît pas que le goitre ni le crétinisme soient endé ?
peut néanmoins fermer la bouche quand il le veut, mais un effort paraît nécessaire pour cela et il ne ne le fait guère
it persistent en avant des dents définitives correspondantes. Il ne paraît pas exis- ter d'asymétrie de la voûte palatine
it assez exacte- ment ses sentiments : aujourd'hui, la face bouffie paraît avoir perdu beaucoup de samobilité et les rares
a transpiration est insensible et l'excrétion de la matière sébacée paraît complètement suspendue. Au niveau des régions s
maine depuis octobre 1879. La sensibilité générale est conservée et paraît un peu émoussée; le chatouillement n'est généra
t très marquée. Quantaux sensibi- lités spéciales, la vue et l'ouïe paraissent égales ciels deux côtés. Le goût semble intact
re ou des bonbons. Une poupée qu'il a eue pendant quelques semaines paraissait lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est tr
grâce à un traitement tonique et à une meilleure hygiène, ne nous paraît laisser aucun doute à cet égard. L'aspect de no
- sives médianes sont implantées obliquement. - La voûte palatine paraît symétrique; elle est profonde légèrement ogival
rs sont très incomplètes, et l'on conçoit facilement qu'elles aient paru jusqu'ici insuffisantes pour HTSTRO-IsPILI : PS
es pleurs. Pas de folie ; les nuits sont calmes ; l'intelligence ne paraît pas s'être modifiée. Pas de kleptomanie. Sentim
respiratoire, circulatoire et génito-urinaire. Tous les orga- nes paraissent normaux et les diverses fonctions s'accom- plis
des, parfois très fugaces et presque insaisissables. Il nous a donc paru préférable, pour fixer les idées et éviter les
e état se représente dans les intervalles des atta- ques ; l'enfant paraît alors comprendre ce qu'on lui dit, mais il ne r
ste intacte à gauche, abolie à droite. Les zones hystérogèncs n'ont paru subir aucune modification pendant l'expérience.
(Ann. d'hygiène publique. Paris, 1833 ; tome X, p. 1;); ia maladie paraît donc avoir exercé une influence assez fâcheuse
soumis ainsi à une série d'oscillations de près d'un mill. ; il ne paraît donc y avoir à cet égard rien de constant. - La
nt chez la plupart des malades. L'urine, dont la quantité n'a pas paru varier 11'a jamais contenu ni sucre ni albumine.
e; dans d'autres cas, la durée et l'in- tensité des convulsions ont paru diminuer; quelquefois enfin, la médication n'a
té, des deux côtés. Lèvres volumineuses; la supérieure très épaisse paraît t avoir été coupée à plusieures reprises., soit
. La voûte palatine, le voile du palais, les arcades dentaires ne paraissent pas présenter d'asymétrie. La physionomie prése
comme des pièces d'un franc. Du côté du cuir chevelu, la rougeur ne paraît pas dépasser la région temporale. Il y a, en pl
t très apparente à la vue. Du côté gauche, la scissure de Sylvius paraît se prolonger en arrière plus loin que sur l'hémis
rconvolutions fron- tales, que nous avons mentionnées plus haut. Il paraît au moins exagéré de persister à considérer comm
corticales et méningées qu'on observe chez les épileptiques, et qui paraissent se rapprocher singulièrement de celles de la pa
e. L'accouchement a eu lieu à terme et sans difficulté ; l'enfant paraissait fort, mais on aurait remarqué dès le moment mêm
ou moins violentes et espacées de plusieurs secondes. Les secousses paraissent avoir été absolument distinguées des secousses
but de modifier la marche des accès épileptiques. Cette médication parut avoir sur lui une influence marquée : il y eut
ent ternes, les dents fuligineuses, le faciès décomposé : la mort paraissait imminente. Des applications de sinapismes aux c
ns de sinapismes aux cuisses et de ventouses sèches sur la poitrine parurent faire sortir un instant le malade de sa torpeur
a face interne de l'écaille du temporal. Les fosses céré- belleuses paraissent de dimensions égales. Pas de rétrécis- sement n
la manière d'un voile rosé, épais d'un peu plus d'un millimètre et paraît sil- lonné de vaisseaux nombreux. Sur les. conf
ne de cet hémisphère et sur l'hémisphère droit, les circonvolutions paraissent normales. Le volume des noyaux gris paraît un p
les circonvolutions paraissent normales. Le volume des noyaux gris paraît un peu diminué du côté, gauche. Cervelet. Pas d
résente rien de particulier. RÉFLEXIONS.I. Cette observation nous a paru offrir quel- que intérêt, surtout au point de v
plus souvent limitées. Or, le centre des mouvements de ce membre ne paraissait point lésé. Enfin, on a noté des mouvements du
te probabilité à la vie intra-utérine. Quant à son origine, elle ne paraît pas, d'après les renseignements fournis par la
ns incessantes. Nous devons insister sur ces lésions qui nous ont paru avoir un caractère assez spécial. Les membres in-
ue les escharres fessière et sacrée, dont le processus anatomique paraît être identique, sont'ni1àpportées aux lésions cér
ion d'une 72 1',\CH"Drtxli\C : TE riÍ,;\,¡ ? i'.ALrSÍm. lentille, paraissent situées de préférence sur le trajet des vaissea
GNARD. Iconographie photographique de la Salpêtrière. Cet ouvrage a paru par livraisons de 16 pages de texte et 4 photo-
, E. Teinturier, R. Vigouroux, collabo- rateurs du Progrès médical. Paraît tous les ans, pendant le courant du mois d'avri
46 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
rattacheraient selon les auteurs à des types divers, mais qui nous paraissent se' subordonner mieux à une rubrique générale, co
du D' Jayme Rosado, Estudo 1'adiologico de sella turcica, qui doit paraître dans quelques mois. (2) Traduction : Droit à la
ce sont des façades - Quand (elles) sortent dans la rue - Beaucoup paraissent des Marquises Selon ce que j'ai-entendu (dire)
de la base. Le 30 décembre, après une assez longue période où elle paraissait obnubilée, la malade recommence à s'agiter ; le
nienne ne conserve pas exactement sa forme ; c'est pourquoi il nous paraît utile de décrire brièvement le moulage de la cavi
tes par rapport à leur largeur ; les circonvolutions tempo- rales y paraissent atrophiées. Sur les coupes sagittales, le lobe oc
' tout présente des circonvolutions très nombreuses et minces, qui paraissent t entassées dans un espace trop petit. Ventri
tuer à mesure qu'on appro- che du pôle frontal. L'hypophyse, -qui paraît agrandie sur le radiogramme, ne présente rien de
és au centre des circonvolutions, les fibres tangentielles ont dis- paru à la périphérie. , , Comme signes de l'oxycépha
qu'à droite. Pour l'oculo- moteur commun, c'est l'inverse; ce fait paraît difficile à expliquer, à moins d'admettre qu'il
nie en spondylite hystérique et spondylite organique. Ce terme nous paraît être sujet à la critique, étant donné que sous le
lonne vertébrale avec mobilité normale du rachis. Les mouvements ne paraissent pas être très douloureux, ils ne provoquent qu'
aitement symptomatique, le corset plâtré conseillé par M. Sou- ques paraît le meilleur moyen de redressement et de suggestio
ès différentes. En premier lieu ce sont les agonistes qui, souvent, paraissent très peu accessibles à l'impulsion nerveuse. Ce
est pas t'hypertonie musculaire qui doit être accusée : les muscles paraissent temporairement inaccessibles au courant nerveux
ité mécanique des muscles du bras, de l'avant-bras et de la main ne paraît pas modifiée sauf pour le long supinateur où el
nous avons vu que ces phalanges, surtout pour le médius et l'index, paraissent boursouflées. Les particules de plomb vues à la
disparition a une certaine valeur. La disparition de la contracture paraît plus rapide quand celle-ci est d'origine psychiqu
cas de poussière métallique de Léri (VII), tantôt l'hyper- myotonie paraît secondaire à une évolution irritative d'une lésio
C'est pour éviter des erreurs de diagnostic ana- logues qu'il nous paraît intéressant de les rapporter ; c'est aussi pour s
ongles est épaissie et saillante. La peau est froide, violacée, et paraît amincie (PI. XXVIII, B). Mains et doigts sont c
t, toute pres- sion, surtout tonte, tentative de mouvements passifs paraissent être très dou- lourez. ' Aucun trouble de mot
i ne sont qu'ébauchées (PI. XXVIII, 0). Passivement, les mouvements paraissent douloureux, mais on arriye à flé- chir à peu pr
u repos, mais tout contapt ou toute pression des 3,e ! Jt 46 doigts paraît partiçuljèrenieiit dou : Ignreux. Pas d'anesthé
édi- cales, notamment avec des bandes de tarlatane mouillée^ nous a paru mé- riter d'être signalée, étant donné surtout
erniers troubles (1), Les quelques faits que nous reproduisons nous paraissent venir à l'appui de cette hypothèse. 1 (fig. A
lacées, froides, effilées ou plus ou moins succulentes, alors qu'il paraissait bien peu vraisemblable qu'un gros vaisseau ait pu
aires plus que du vaisseau lui-même ; plu- sieurs interventions ont paru lui donner raison, et M. Meige et Mme Bé- nisty
us avons observées,où cliniquement une lésion vasculaire importante paraissait bien peu vraisemblable et où opératoirement on
uts écartés ; dans ce cas exceptionnel, la genèse des douleurs nous paraît actuellement fort mal explicable. Inversement
hé sur le dos ou de préférence sur le ventre. 136 LÉRI Le talon paraît à la fois rétréci et effilé ; au lieu d'être plus
plante. Donc, dans son ensemble, et par toutes ses parties, le pied paraît rétréci et comme effilé. Ce « pied effilé » e
général plus ou moins propor- tionné à l'intensité des douleurs, il paraît en effet tout à fait sans rapport avec le degré
yés pour expertise médico-légale à la suite de douleurs qui avaient paru anormalement persistantes ; il suffisait pourtant
ves, à caractère plus ou moins causalgique ; cette fréquence nous a paru très grande ; il est bien 138 - - LÉRI' < -
'à l'épaule. Les nerfs, notamment' le cubital dans la gouttière, ne paraissent pas gonflés ni épaissis. Les déformations et les
lésions, rétraction de l'aponévrose et nodo- sités digitales, nous paraissent en faveur des théories qui leur attribuent même
articulations qui les présentent, le fait que nous rapportons nous paraît en faveur de la théorie, soutenue notamment par
tographies et radiographies. Depuis, aucune nouvelle observation ne paraît avoir été publiée, au moins en France. Une revu
ouver huit autres personnes atteintes de cette malformation, nous a paru à ce sujet digne d'être rapporté. Grâce à la ra
et que dans, le cas précédent. Il y a d'abord un 6° métatarsien qui paraît indépendant jusqu'à sa base où son ombre se sup
le du 5" orteil. La phalangine et la pha- langette bien constituées paraissent en synostose. Peut-être n'est-ce là, d'ailleurs
que les auteurs ont, croyons-nous, passé sous si- lence et qui nous paraît cependant assez remarquable. Il est d'ailleurs
semblablement aux lois établies par Mendel, touchant l'hérédité, et paraît bien présenter le ca- ractère d'une affection d
t depuis lors accentués progressivement, jusqu'à l'état actuel, qui paraît au malade être relativement stable depuis quelq
de Méd., t. Il, 8«il année, Syndrome de M. Raynaud et sclérodermie, paraît songer à des lé- sions de ce genre : « Il sembl
t suflisamment diminué, le bras fut placé dans une gouttière. Il ne paraissait pas y avoir de paralysie des troncs nerveux. Le
ciel, si Allah veut, tu ne seras pas blessé. » Ce fatalisme sublime paraît moins admirable quand on est auprès d'eux devan
e vitupéra violemment. Mais l'interprète, comme tous les auditeurs, parut ne pas saisir le sens. Il avait compris voler l
ur la réalité d'une infériorité mentale qui à l'heure actuelle peut paraître incurable. - L'influence à laquelle ils semblen
ement sexuel et l'engraissement. Cette augmen- tation de la graisse paraît être, dans notre cas, postérieure à l'arrêt sexue
u'à ce jour. Il est nécessaire, avant tout, d'éclairer un point qui paraît contradic toire dans les faits antérieurement é
raction idio-musculaire. La force musculaire des membres supérieurs paraît intacte. Le réflexe cubital est peu marqué à droi
nie à gauche. Le malade urine spontanément. La force musculaire paraît intacte dans les membres supérieurs. 18. - Trép
ets mous ; atrophie musculaire. Réflexes rotuliens vifs. La maladie paraît avoir évolué en deux temps, avec une période doul
t à une section d'infirmiers dont les relations avec cette division paraissent éloignées. L'épidémie paraît donc assez concent
es relations avec cette division paraissent éloignées. L'épidémie paraît donc assez concentrée, moins étalée qu'il n'est s
nt remplacée. D'autre part, des renseignements que j'ai reçus il ne paraît pas en avoir été constaté d'autre cas parmi les t
la fréquence est notée par M. Netter; dans l'observation I, elle ne paraît cependant pas provoquée par l'hyper- tension, l
vation I un paradoxal abaissement du pouls, à 54. La période d'état paraît surtout caractérisée par l'apparition des acci-
fait la plus grande partie de leur évolu- tion sans que l'attention paraisse avoir été attirée sur le système nerveux, et no
'a été attirée que vers les troubles douloureux ; les mouvements ne paraissaient pas plus modifiés qu'au cours d'une mala- die g
té notamment nette à cet égard ; chez ce malade, les contrac- tures paraissent avoir été remarquablement précoces ; presque dès
lée a été absente dans les observations IV et VI. Cette céphalée ne paraît pas en rapport avec l'état du liquide céphalo-
de l'existence connue de cas dans les milieux observés, rien ne me paraît pouvoir fixer l'attention sur la myélite aiguë,
la suppression du traitement mercuriel, tous ces symptômes ont dis- paru . Quand on prend en considération même les autre
heure après, douleurs et engourdissement avaient complètement dis- paru . Le malade n'y pensa plus ; à aucun moment il n'e
sorte de rotation du pouce autour de son axe ; mais cette rotation paraît se produire uniquement dans l'articulation carp
et avec force. Dans la flexion de l'avant-bras, le long supinateur paraît aussi fort que du côté sain. L'atrophie du bras
es de l'épaule et du dos et tous les autres muscles de l'éco- nomie paraissent tout à fait indemnes, et tous les mouvements de l
ucune anesthésie, et, trois mois après, l'atrophie progressive a pu paraître véritablement le phénomène primitif ; le malade
s. En ce temps de traumatismes si fréquents et si divers, il nous a paru 256 LÉRI intéressant d'appeler l'attention su
nature. C'est à ces deux points de vue que cette observation nous a paru mériter d'être rapportée. 260 - LÉRI III
uelle on ne sent pas les tendons péroniers ; cette saillie anormale paraît due surtout à l'atrophie des péroniers latéraux
ntensité du trauma- tisme et avec son ancienneté relative quand ont paru les troubles. De plus, il nous a été facile de
e un peu excessive et le ventre proémine. Ces déformations du tronc paraissent dues à une sorte de bascule autour des articula
. niveau des jambiers antérieurs ; les sciatiques poplités internes paraissent inexcitables au creux puplité, les sciatiques p
ologie est donc celle de l'amyotrophie Charcot-Marie, le diagnostic paraît s'im- poser. Le malade déclare du reste qu'il a
! ) Bien que l'interprétation que nous avons donnée de notre cas nous paraisse de beaucoup la plus plausible, nous ne pouvons
eumonie aiguë ; trois frères et une soeur vivent en bonne santé. Il paraît avoir eu une enfance et une première jeunesse san
ble à frigore datant de trois 'mois. Dans ces conditions, il nous a paru intéressant de rapporter l'observation suivante :
t colle ses lèvres contre les arcades dentaires. Les buccinateurs paraissent se contracter. Grimace uni et bilatérale possible
ervicale. Nous reviendrons plus loin sur ce point. Les buccinateurs paraissent se contracter, mais les orbiculaires des lèvres
acquis les propriétés motrices. Les explications de ce fait ne nous paraissent pas très satisfaisantes., Faut-il, pour qu'un n
Cette théorie est séduisante (1). Elle est inadmissible. Il nous a paru intéressant de la signaler en passant. Mais que
rement dit, passer de la morphologie à la morphogénie. Il ne nous paraît donc pas inopportun de contribuer à la documenta-
culaires, à chacune desquelles se rapporte un os métacarpien, ce qui paraît le désigner comme os crochu. Au-dessus de celui
juge de la faiblesse d'un homme et de là vient que ceux qui veulent paraître faibles parlent extrêmement bas. La faiblesse est
ne (2) et par ses élèves, Bernheim, Toulouse et Marchand. Il nous a paru intéressant à ce point de vue de comparer l'histo
de la Maternité (le 14 février) 3.30 grammes. La première dent a paru à 4 mois. L'enfant a eu une crise de convulsions
peine à lui faire dépasser l'arcade dentaire. Le voile du palais ne paraît pas être touché, la voix n'est pas nasonnée, co
n. Cependant, une cerlaine partie du tissu nerveux de la bandelette paraissait intacte. L'hémorragie ne paraissait pas avoir dép
tissu nerveux de la bandelette paraissait intacte. L'hémorragie ne paraissait pas avoir dépassé la région de la bandelette op
antérieur^droit, dont nous avons déjà parlé. Le pédoncule olfactif paraît macroscopiquement intact. Le trigone olfactif e
nt son triage des cas semble être tant soit peu arbitraire. Il nous paraît impossible de décider sans l'évidence indubitable
Le tonus de l'oeil droit est un peu diminué. L'ouverture palpébrale paraît élargie. T. A. à gauche : 18-1O ? 4. à droite
à droite (ralentissement de 21 au lieu de 16). Ce ralentissement paraît liéà la phase d'exaltation vagotonique produite
e (ralen- tissement à la minute de 12 au lieu de 10 pulsations) qui paraît paradoxal, de même d'ailleurs que l'abaissement
nt ? , 10, 11, 1-3, 17 mois après le traumatisme, et les blessés ne paraissaient pas à ce moment s'orienter vers la guérison. L'
nsion sont bons. Pour la main, les mouvements de flexion des doigts paraissent très diminués de forcp, particulièrement pour l
ureux à la pression digitale. Au niveau du point d'Erb, la pression paraît même intolérable. Il existe en outre une légère
e en position cadavérique. Pouls : 116. - 20 septembre. L'aphonie paraît s'améliorer un peu et il semble qu'il y ait une
e oculo-cardiaque est intense à droite : à gauche, 2 pulsations ont paru seulement retardées malgré une compression prol
deux côtés, de même que le nerf crural. Certains segments du tronc paraissent plus épaissis que d'autres sans présenter jamai
craque- ments intra-articulaires et surtout de gros frottements qui paraissent dus à des \ altérations synoviales ; on ne perç
relationne avec les modifications somatiques dans ce type, il nous paraît digne de noter que l'appareil circulatoire présen
urant toujours la lésion essentielle. Un certain - nombre d'auteurs paraissent cependant envisager notre hypothèse comme plaus
la lésion testiculaire soit primitive, consécutive ou simultanée, me paraît (1) Henuy Meige, op. cit., p. S. (2) Souques.
revenir à cette citation et de lui donner l'interprétation qui nous paraît logique. ~ ' 1 Pour corroborer l'inclusion de
ortant à cette façon de penser, fait la réflexion suivante qui nous paraît raisonnable : « Sur la base de ces faits, Falta a
un jeune homme (ils sont jeunes et semblent vieux ; quand vieux ils paraissent jeunes) conservant le secret de cette jeunesse
t l'adipose caracté- ristique fait défaut. Dans ces cas, il ne nous paraît pas exact d'accepter la dénomination d'eunuchoï
premier jour, et pendant 21 mois, des troubles urinaires, qui ont, paraît -il, nécessité un sondage régulier deux fois par j
plaie ni ecchymose. A l'ambulance où il a été transporté, on a dû, paraît -il, le sonder pendant deux jours. Dans les no
, si l'on en juge par certaines images d'art, la médecine empirique paraît s'être mêlée de la guérison des affections ment
ne ville de Phocide, située sur le golfe de Corinthe où l'ellébore, paraît -il, poussait en abondance. Un proverbe conseill
47 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ur 100 lits. Cette dernière proposition, qui est urgente, ne nous paraît pas pouvoir être tranchée, si on n'est préablemen
ie, le pavillon des contagieuses, le pavillon des cellules, ne nous paraît pas il sa véritable place. Ce n'est pas à l'ent
laisser échapper très facilement toutes ses buées. G" Les ateliers paraissent être prévus dans le sous-sol des écoles, ce qui
des bâtiments du futur asile doivent avoir deux étages, ce qui nous paraît déplorable. Et, comme il s'agit de placer dans
Bicétre et qui consiste il placer un lit entre chaque fenêtre nous paraît de beaucoup préférable. Et nous ne sommes pas s
d'agrandissement des services généraux de la Fondation Vallée ne me paraissent pas comprises dans ce projet. Or, il est éviden
nt été construits à l'Asile de Villejuif (1). II. Tout le monde a paru d'accord pour placer l'entrée de l'asile sur la
0 lits n'est que de 30.800 métrés carrés. Une étendue de 3 à 35.000 paraît suffisante à notre collègue. Là sous-commission
tration avait soutenu un projet de bâtiment à deux étages qui, seul paraissait pouvoir répon- dre à ce programme; mais étant d
er et pleure. i Multiplier ces exemples serait aisé. Ceux-ci nous paraissent suffire pour démontrer, aux personnes qui en do
tions par des sillons antéro- postérieurs ; seul le tiers inférieur paraît bien développé. FA est très volumineuse. Rien à
ssez nombreuses au niveau du lobe orbitaire. Les couches optiques paraissent un peu rétrécies. RÉFLEXIONS. 9 Les ventricul
a pas fait la moindre amitié à ses parents à leurs deux visites; ne paraissait pas les reconnaître. Poids : 8 kilog ; taille :
n à lalumière et à l'accommodation, conjonctive sensible. La vue ne paraît être le siège d'aucun trouble. Nez légèrement c
e normal. Oreilles bien ourlées, implantées régulièrement. L'ouïe paraît saine. Cou : circonférence, 27 cm. Pas de goitr
i indé- niable : l'asphyxie à la naissance, intense et prolongée, paraît en être la première conséquence. Rappelons que
la verge. Les testicules, de la grosseur d'un petit oeuf de pigeon, paraissent égaux. 1890. Janvier. - Traitement : élixir P01
souvent de ses prières et du bon Dieu. A l'ate- lier de couture, il paraît un peu en progrès et fait bien mieux les coutur
r en même temps qu'apparaissait l'athétose, Le diagnostic méningite paraît exact, car, à l'autopsie, nous avons trouvé un
e végétative, si l'on peut appeler ainsi l'état d'une enfant qui ne paraît même pas éprouver le besoin de manger et de boi
re compte de l'état de la sen sibilité. La sensibilité à la douleur paraît abolie au niveau des jambes; elle semble existe
faire couper la tète. » Il s'échappa de l'asile et pendant 18 mois parut à peu près raisonnable. 11 revint en France, de
uche saburrale, rouge à la pointe. Palais absolument pâle. L'enfant paraît distinguer et Bourneville, Bicêtre, 1892. G 8
A la naissance, pas d'asphyxie; l'enfant était en excellent état et paraissait vigoureux et bren constitué. - La mère le nourr
ctuel (21 mai 18 ! J'2¡. - L'enfant est développé physi- quement et paraît bien portant; Pas d'adipose. Le faciès est abso
lpébrales' sont dirigées en haut et en dehors. Les globes oculaires paraissent mobiles dans tous les sens. Il y a du strabisme
liquides. DOUBLE porencéphalie vraie. 95 Les sentiments affectifs paraissent nuls; les caresses le laissent complètement fro
de particulier. Le quatrième ventricule est iiot-iiiiil. - Le bulbe paraît être complet ; macroscopiquement on lui disting
les paralysies et les contrac- tures sont le cortège habituel d'un parus cérébral. La lecture de nos observations suffir
issées par la réflexion des circonvolutions voi- sines. Il nous a paru bon d'examiner aussi sur les calottes crânienne
ines, ni de fièvre typhoïde. C'était un homme très vigoureux, il ne paraissait pas avoir eu, la syphilis et n'a jamais eu aucu
ition temporaire complète. - L'enfant 110 Antécédents personnels. paraissait intelligent, connaissait bien ses parents. On ne
et cela sur chaque hémisphère. - Les artères, les nerfs de la base paraissent tout,il,fait symétriques. Les tubercules mamill
l n'y a pas de déviation de la cloison et la fonc- tion de l'odorat paraît normale ! ? ). -La bouche est grande et horizon
oryza, ni conjonctivite. Il dort couché sur le côté droit. Hier : a paru une éruption de taches lenticulaires et rosées. C
re augmente très rapidement et durant l'examen de l'en- fant, elles paraissent se multiplier. La face externe du bras droit es
e gauche. métrique ; elle est beaucoup plus développée iL droite et paraît tordue autour de son axe antéro-postérieur, qui
lièrement avec V induration du côté opposé. Les lobes du cervelet paraissent sains, mais le gauche est plus volumineux que l
l'affirmer, faute de renseignements précis. Quoiqu'il en soit, il paraît avoir contracté cette maladie, à laquelle il a
, 9. Son père est venu ce malin et, à sa vue, Ter.. a pleuré puis a paru content. - Soir : 'l'. R. 39°, 4. 15G TUBERCU
normale. 15 août. - La djfervesconco s'est faite lentement : elle paraissait complète le 10 août, mais le lendemain, la tempé-
de suffocation qui a duré 15 minutes. Les inhalations d'oxygène ont paru le soulager. Vers 4 heures, il a mangé du potag
tuberculose des poumons et des méninges. Ces tares ancestrales nous paraissent avoir joué un rôle prépondérant dans la prépara
en fonctionnel de l'cril impossible. - Nez petit et droit. L'odorat paraît normal. - Pommettes peu saillantes, symétriques
Le liquide État DU crâne ; méningite. 169 cépha.lo-1'achidien ne paraît pas sensiblement augmenté. La pie-mère est part
es et à la partie antérieure des lobes temporaux. Ces infiltrations paraissent un peu plus prononcées sur la face convexe gauc
a bru n'y est venue qu'une fois en 6 mois; de plus, elle n'a jamais paru ivre ou déraisonnable pendant ces visites, qu'e
ités de quelques mouvements, durant trois ou quatre secondes. Il ne paraissait pas y avoir syncope. Ces crises se sont renouve
naire. Amygdales assez petites. Réflexe pharyngien normal. L'enfant paraît aimer les substances sucrées. Elle fait la grim
embre. Après avoir été un jour encore dans un état inquiétant, G... paraît aujourd'hui absolument remise. Elle réclame de
excès de boisson. Elle est morte à 58 ans d'une maladie du foie qui paraît avoir été une cirrhose atrophique. - Grand-père
et. Les sinus sont gorgés de sang coagulé. Les cavités de la base paraissent symétriques, le trou occipital est normal. Corps
ourvus de tissu graisseux sous-cutané. Les mouvements des deux bras paraissent possibles. Ongles minces. MÉNINGITE. 203 Me
tion céxébrale. Un autre frère de la mère a un fils paralysé et qui paraît être hydrocéphale. Un autre frère de la mère en
uillet. - Ce matin il n'y a plus que 37°, 5. L'enfant est pâle mais paraît assez éveillé, s'assied même sur son lit Il ne
ndre compte de l'état des sutures et des fontanelles. Ces dernières paraissent comblées. Le visage est plein et arrondi. Les a
ilaté, la couche optique, le corps strié ainsi que la corne d'Ammon paraissent normaux. Hémisphère droit. - La pie-mère s'enlè
as dilaté. La couche optique, le corps strié et la corne dam- mon paraissent normaux. Même vascularisation de la pie- mère s
ur cet hémisphère que sur l'autre. Les deux hémisphères décortiqués paraissent très iné- gaux. ! 22 RÉFLEXIONS. Réflexions
percussion ni l'auscultation. Abdomen en bateau. Le foie et la rate paraissent de dimen- sions normales. Puberté et organes
ère de la suture, de petits îlots osseux très petits et isolés, qui paraissent provenir d'un travail partiel de synostose de c
la région temporo-sphénoidale, la circonvolution du corps calleux paraissent pas altérés. Il en est de même des noyau»; gris
laté qu'à droite. Les noyaux gris cen- traux, les pédoncules, etc., paraissent normaux. Le cervelet offre de nombreuses adhére
n est de même du bulbe et de la protubérance. La moelle épinière ne paraît pas asymétrique, on ne remarque sur sa coupe, à
ents survenus au moment de la conception et durant la grossesse, ne paraissent pas devoir être pris en considération, car jusq
Notre malade. Au moment de la conception, le mari buvait beaucoup, paraît -il. Pendant la grossesse, il adonné quelque- fo
e pituitaire est un peu élargie, aplatie. Les fosses sphénoïdales paraissent symétriques. La fosse occipitale gauche est un pe
s mamillaires sont tout-à-fait aplatis. Les autres nerfs de la base paraissent à peu près normaux. - Les artères sont symétriq
laisse apercevoir le lobe de l'insula formé de 6 digitations qui ne paraissent pas altérées. Le sillon de Rolando, superficiel
normale. Le lobule de l'insula est formé de cinq digitations et ne paraît pas altéré. Fi, F2 et F3 sont bien contournées
ots. 252 Réflexions : Hydrocéphalie. sorte que cette membrane qui paraissait homogène sur le kyste à l'oeil nu, s'étale en u
ux qu'on peut qualifier de septico-pyohémie. Ces complications nous paraissent être d'origine tro- 254 Réflexions. phique. C
riculaire. Tandis qu'à l'entrée de la malade le 19 mai 1888, les os paraissaient réunis sans intervalles donnant la sensation d'
ve pas de dégoût pour la teinture de coloquinte. L'odorat, l'ouie paraissent normaux. L'examen de la vue est impossi- ble.
ar minute. Les derniers tours sont encore plus rapides, après il ne paraît pas étourdi, s'assied ensuite, la tète entre le
lacés à une cer- taine distance de lui. Ses pupilles, peu dilatées, paraissent être plus sensibles à la lumière qu'à l'accommo
ns la rue, elle se trainait dans la boue, faisait ses ordures, sans paraître en avoir conscience. Elle bavait z constamment,
peu développé, elle mangeait de tout indifféremment, pourtant elle paraît avoir certaines préférences, aime beaucoup la s
.. ne parle pas mieux maintenant qu'avant l'opération. Ses idées ne paraissent pas plus claires ; elle n'est pas plus suscepti
, sous-cloisons un peu saillan- tes ; cloison non déviée. L'odorat paraît présenter un certain développement. - Bouche tr
. Ongles très grands, bombés transversalement. Sensibilité : elle paraît assez obtuse sur les différents points de la su
trace de tubercules. La configuration extérieure de cet hémisphère paraît assez régulière. Le cervelet est normal ainsi q
ales agglutinées par des fausses membranes. il) Son observation a paru dans notre Compte rendu de 1890, p. 41. '304 Su
; la droite (25 mm.) est moitié plus grande que la gauche. La voùte paraît symétrique (Voir PL. III, IV, V et VI.) OBS.
sistance du trou de Botal. Lésions pulmonaires. Crâne. La calotte paraît légèrement asymétrique, mais cette asymétrie es
n cérébrale. Un autre frère de la mère a eu un fils paralysé et qui paraît être hydrocéphale. - Un autre frère de la mère
partie des malades morts depuis un an dans notre service, nous ont paru suffisants. Ce n'est pas que nous soyions absol
-t-elle ? Les crânes des malades des observations IV et XII, nous paraissent en fournir l'explication. Ces malades ont succo
48 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
organe des faits magnétotliérapiqires et niagnétolo-giques va bientôt paraître . « L*administration recevra toutes les communic
er, seulement par la force attractive de ses mains. En marchant, elle parut avoir les yeux fermés, mais sa démarche était nat
ntinuelle par la vue n’est pas empêchée. * La seule chose qui m’ait paru nouvelle dans toutes ces expériences magnétiques,
tre heures. Après l’avoir magnétisée deux ou trois fois, je l’ai fait paraître dans une séance publique, et je l’ai congédiée le
oman de M. Paul Féval, intitulé le Paradis des Femmes, dans lequel il paraît devoir se trouver plusieurs scènes de somnambulis
ir: les caries, le marc de café, la chiromancie, etc., tout cela leur paraît un misérable attirail de jonglerie digne du mépri
ir: les caries, le marc de café, la chiromancie, etc., tout cela leur paraît un misérable attirail de jonglerie digne du mépri
onnues. » Le second renferme plusieurs propositions dont l’évidence paraît incontestable ; ainsi, en parlant de la compositi
haîne, l’auteur dit : « De petits enfants et des personnes âgées ne paraissent pas aussi propres, attendu qu’il n'ont ni assez
nomène, une autre explication des résultats qui l’accompagnent, et il paraît nécessaire de rechercher I une et l'autre dans l’
accidents dont le détail forme son chapitre V : « Comme les tables paraissent être mises en mouvement par le fluide magnétique,
’a rendu témoin feu le bon I)' Despine, faits dont la relation a déjà paru en partie dans le Journal du magnétisme (1), et q
s elle n’était pas dans cette maison la première fois! » Comme cela paraissait la fatiguer, je m’empressai de la rassurer. Je la
ne heure des efforts inouïs pour lire le cahier de la petite, qui lui paraissait si joli, et entendre ce que l’on disait et qui lu
y a toujours un moment de repos, ce ne fut qu’à ce moment là qu’elle parut revenir à nous répondre en commençant par nous di
iiez-vous, et cent personnes vous servaient d’écho. Eli bien ! ce qui paraissait ne devoir durer qu’ un instant est devenu inaltér
vue matériel qu’au point de vue moral.' E. V. LÉGEH. II vient de paraître chez Dentu : 1° Une brochure de l’abbé Almignan
laire, par lequel tous nos mouvements volontaires sont guidés ; et il paraît assez croître en acuité pour remplacer complèteme
ns d’hésitation qu’ils ne le feraient pendant la veille. De fait, ils paraissent n’avoir aucune conscience du danger couru, et tou
ès presque invariable qu’elle a entre les mains de il. Braid lui-même paraît en partie dû à la condition mentale du patient qu
réalité et l’imposture. La production du somnambulisme mesmérien nous paraît pleinement explicable par les faits rapportés p
up d’égards, identiques à ceux de Xhypnotisme, excepté en ceci, qu’il paraît exister une relation particulière entre le somnam
de la rotation des tables, non par désœuvrement, mais parce qu’il m’a paru présenter des effets dignes d’étude. Je ne préten
tenir le phénomène nouveau, sans oser croire à sa réalité, tant il me paraissait en dehors des lois naturelles connues. Il avait d
u des êtres en dehors de nos relations pour expliquer ces faits ne me paraît en aucune façon nécessaire, dès que les facultés
u temps le confirment, les hommes des temps qui ont précédé le Christ paraissent donc avoir eu sur l’ordre naturel et divin des co
nées fournies en même temps par la science, la raison et la foi, nous paraissent indispensables pour étudier et expliquer convenab
très-subtils, et l’âme humaine, considérés dans tous leurs rapports, paraissent jouer ici le rôle principal. » Nous croyons sur
s, ni la prudence, « ni la probité, et qui, quoique inexplicables, ne paraissent « pas sortir de la classe des faits physiques et
ue « des remèdes propres à soulager ou à guérir les maladies ; « il paraît même savoir des choses qu’il ne savait pas dans «
munications que j’ai eues avec l’esprit d’Abdallah-Me-Cani, et qui me paraissent mériter d’être répandues parmi les hommes. Vous t
s qui remuaient, changeaient de place et s’effaçaient pour en laisser paraître de nouvelles. La tête seule était visible dans ce
midable ce qu’il lui voulait, qu’il en avait été d’abord terrifié. 11 paraît que c’était, au dire du cabaliste, un habitant de
yer une troisième fois ; je n’obtiens pour résultat qu’une nausée. 11 paraît que le vomissement n’était plus nécesssaire, car
gatif et m’a parfaitement guéri. Si ce que je viens de dire ne vous paraît pas sortir des limites de votre Journal, je ne me
re suivante qui, quoique rapportée sous le titre de Superstition, m’a paru mériter d’être traduite. « Il y a quelque temps
recouvrant chaque jour de plus en plus la santé. » Bien que cc fait paraisse étranger au magnétisme, je suis disposée à l’y ra
seur, lorsqu’elle frappe l’oreille du somnambule acquiert, à ce qu’il paraît , un volume proportionnel à la lucidité de ce dern
’osait sortir de chez elle qu’en tremblant, n’avait plus d’appétit et paraissait dans un dépérissement complet. M. le curé l’avait
lité du public devant lequel l’expérience a lieu entraîne, à ce qu’il paraît , comme conséquence forcée, la frivolité de l’expé
t, c’est toujours le même système, la négation absolue de tout ce qui paraît passer toute possibilité, système dont la formule
vant de s’être informé si elle vivait encore. « Tout secours humain paraissait inutile ; une amie conseilla à la jeune malade de
uxième, aussi dangereux que le premier, est rare ; déclaration qui me paraît peu consolante pour les malheureux atteints de ce
la même force, je préfère dire à M. Masson, qui n’a point, à ce qu’il paraît , l’habitude de voir des cures dans le genre de ce
ages de la Perse et parles initiés aux grands mystères, le magnétisme paraît ne l’avoir été que sous le rapport médical. Il es
ystème tout entier. Mais nous avouons que, pour nous, ce sujet nous paraît sentir un peu trop le fagot, et bien qu’aujourd’h
ourrait être autrement de celui qui, franc-maçon lui-même, à ce qu’il paraît , et probablement un des grands dignitaires de l’o
., ETC. Le magnétisme animal gagnant journellement du terrain, nous paraît mériter l’examen des hommes de science. Je compre
u peau et l’état des yeux qui sont convulsés vers le haut, ce sommeil paraissait tout à fait naturel. Le 8 au soir, je trouvai la
ouveau très-distendue, mais il n’y a pas de miction involontaire ; il paraît , au contraire certain que la malade s’est levée l
u ; il existe, donc il peut exister ; et qnelque absurde qu’il puisse paraître , il a dans son existence même la preuve de sa non
ue du> thaumaturge. L’enthousiasme est à son comble, le magnétisme paraît devoir triompher ; un gouvernement ami du progrès
à sa fin, elle a resserré les liens qui nous unissent. Chacun de nous paraissait être au milieu de sa famille. N’est-ce pas le plu
du défenseur de M. et de M™' Mongruel, M” Pezzani, que tout lui avait paru vrai dans les déclarations de la somnambule ; mai
cheveux noirs, etc. La description faite par la somnambule lui avait paru d’une application si facile, qu’elle hésita un in
magnétisme. Une formule aussi absolue et qui, à première vue, peut paraître choquante en rappelant les idées fantastiques de
lendemain. Permettez-moi cependant, quelque présomption qu’il puisse paraître y avoir en cela de ma part, de vous parler d’un f
partements, viennent s’immiscer quelques contrariétés qui, à ce qu’il paraît , sont la conséquence inévitable de toute création
a voir se briser entre nos mains. — Pour si épouvantable que cet état paraisse , il n’y a point à s’en alarmer, il n’est pas dang
t un travail beaucoup trop long. Les observations sont consignées, et paraîtront plus tard dans un journal. Je vous ferai savoir
e toute sorte qui lui furent prodigués à cet eflet; au contraire elle parut s’aggraver. Elle siégeait tout autour de l’articu
able qu’on les emploie à tour de bras : la raison n’ayant, à ce qu’il paraît , rien à faire dans ce débat. Mais vous vous tromp
court, par le seul acte de la volonté de l’expérimentateur. Ce fait parut si extraordinaire à Mgr, que S. G. s’adressant
sme. Vous connaissez, vous discutez très-bien les premiers, mais vous paraissez ne pas connaître les seconds. 11 est facile d’en
eulement la vision exercée sans le secours des yeux, pour laquelle il paraît avoir une si profonde répugnance, mais encore un
s, subdivisions, catégories, sections et sous-sections cérébrales lui paraissent assez confuses, et nous ne pouvons dire qu’il ait
e technique fait, il s’eu va magnétisant, et bientôt il n’a plus qu’à paraître pour que telle personne éprouve une émotion profo
éloignés, plus ou moins inconnus, de telle sorte que les distances ne paraissent plus exister ..i pour le temps ni pour l’espace ?
apeutique), afin de me consacrer, en terminant, à la première, qui me paraît offrir un véritable intérêt. » Qu’en dites-vous
pensé ici de tout commentaire. » Ainsi M. Segond, qui d’abord avait paru vouloir demeurer stationnaire à son année de préd
. Les uns ont attribué à une action spéciale de Dieu tout ce qui leur paraissait s’écarter des lois naturelles, pendant que d’autr
e vérité. » Malgré ces restrictions, l’aveu de ces messieurs nous a paru bon à enregistrer. On voit poindre par là l’opini
nir ma malade de loin. Je résistais à tenter une expérience qui ne me paraissait pas sans danger; je m’étais fait une loi, dont je
questions ordinaires. Réveillée quelques instants après, la malade parut tout étonnée de me voir à côté d’elle, et me dema
restriction, les hommes agissent sur leurs semblables par un mode qui paraît mixte, tenant à la fois du mode moral et du mode
ulées, la bénédiction, tout en conservant un caractère familial, n’en paraît pas moins étendue ni moins générale. — Ce caractè
nifiance apparente pour ceux qui connaissent la matière médicale, ont paru guérir des cas désespérés. — N’auraient-ils pas é
s, d’un calcul de la vessie d’un assez gros volume, dont la formation paraissait remonter à quelques années. Plusieurs fois la m
ette nature, ainsi que dans un grand nombre d’autres dont la guérison paraît , sinon impossible, du moins difficile, et qui, en
lairvoyance qu’elle présente pendant le sommeil som-nambulique nous a paru très-incertaine, ce qui tient sans doute à la mau
tir la formule de bénédiction traduite en français, —où bénissez peut paraître adressé à Dieu, — la bénédiction doit être donnée
s gens ?i mine sensuelle; et tous ceux dont elle accepte le ministère paraissent rayonnants de foi et de volonté dans l’acte de la
, d’une gastrite chronique et d’une maladie du cœur. Tous les organes paraissaient attaqués à la fois; il allait s’affaiblissant, en
rouver l'origine «les préjugés ou des superstitions (1). Le sai.bat paraît avoir été la réunion de certaines sociétés secrèt
ent nécessaires pour résoudre ce problème; mais les sources anciennes paraissent épuisées. Le haschish et le chloroforme, qui ont
toiles. » Dans un désert parfaitement aride, cette hallucination me paraît trouver son rudiment dans l’engorgement sanguin d
s ouvert, ces objets prennent une apparence différente. Les images ne paraissent souvent pas éloignées de l’œil de plus de cinquan
les maisons et tous les objets qui présentent un*' sulace vertical»' paraissent pins élevés qu’ils ne le sont, sans cependant par
ont, sans cependant paratlr- plus large«: ainsi une maison d’un étage paraît un r,\oi: ai* moins deux. « Le rudiment de tout
ce d’arriver à temps pour arracher ce voyageur à la mort, lui faisait paraître la route bien longue. Préoccupé du moment où il v
mmes « montés à dos de dromadaire envoyés à ma recherche. Ce « qui me paraissait le plus extraordinaire, c’est que toutes « mes im
ation. Le contact de cet air qui, pour nous eût été chaud, devait lui paraître , à lui, trës-i'rokl; il devait confondre ces aspi
arle succès de sa première publication, M. de Mirville vient de faire paraître un second ouvrage dans lequel il ajoute de nouvea
rquant que tout était dans le même état que lorsqu’elle s’assit, elle parut déroutée, bien que, d’après les manières de M. Tu
t reproduit l’ar- . ticle du Zoist ; le (lutin nu ni's Messenger, qui paraît à Paris, l’a accueilli dans ses colonnes. Une aus
alepsie qu’à toute autre affection, et que si par intervalles on voit paraître quelques phénomènes hystériformes ou autres, bien
le il désirait lui-même vivement prendre part. Pendant son délire, il paraît suivre avec anxiété toutes les phases de cet exer
vons dans le numéro du 15 mars dernier la lettre suivante, qui nous a paru digne d’intérêt : « Je vous ai déjà adressé une
rticle que je vous ai adressé à ce sujet est le premier que j’ai fait paraître , et j’espère qu'il ne sera pas le dernier, persua
ertain nombre de vibrations indiquant le nombre de pieds. Ce qui peut paraître étrange, c’est que j’ai plus souvent obtenu l’ind
Qu'on ne nous taxe plus d’exagération, quelque nouvelle que puisse paraître cette manière d’envisager ces grands faits histor
guérir prouve « qu’il n’y avait là ni miracle ni influence divine. 11 paraît « qu’il s’échappait de son corps une émanation ba
tir le point de départ des croyances au sujet des phénomènes qui nous paraissent extraordinaires, et avoir raison des erreurs de d
honorable rédacteur en chef de X Union médicale, ces paroles : « Il paraîtrait que l’organisme humain, placé dans cer-« taines c
émontrer, ni les compter, ni les calculer... Cela est savant, mais me paraît un peu hasardé et ne me fait pas mieux comprendre
là après y être venue accidentellement? Cette dernière hypothèse nous paraîtrait bien hasardée. Pourquoi surtout la malade donne-t
e vit encore! Elle annonce ses règles pour le 12 février, et elles ne paraissent pas : cela est déjà arrivé à bien des femmes non
ux qui 11e savent se donner la faculté de voir, ce que je rapporte ne paraîtra que l’excentricité d’un conte, d’une hallucinat
que compliqué, quelque surabondant, quelque bizarre même qu’il puisse paraître , j’assure que, pour mon compte, je m’y soumettrai
vertissement invariable : « Jeannette te trompe. » Jeannette pourtant paraissait honnête; c’était une chambrière rebondie* faisant
s pièces ont été reconnues pour appartenir à divers auteurs; d’autres paraissent être originales. On donne comme échantillon des v
oi, mais à un étage supérieur. Le lendemain matin, en me voyant, il parut me considérer avec un air d’inquiétude. — J’ai
ait uniquement au soin des malades. Il passa une année à Londres et parut s’ennuyer d’occuper de lui le public. 11 retourna
ion pour objet, et cependant, dans son ouvrage de Miracu/is qu’il fit paraître en 1776, il semble porté à croire qu’il faut cons
1 commence par se livrer à des discussions métaphysiques qui nous ont paru manquer de netteté et de clarté. Aiusi, selon lui
tats sardes, l’application de cet agent merveilleux. Les statuts nous paraissent sagement conçus. L’institution compte pour se sou
s autour de la salle, se livrent ii toutes sortes de plaisanteries et paraissent s’amuser beaucoup de tout ce qui se passe. Les
qu’en donne l’auteur au moyen de la polarisation des forces, ne nous paraît pas satisfaisante. Quant à son spirod, nous lui f
e. En conséquence, et quoique les morceaux détachés fussent froids et parussent ne conserver aucune étincelle de vitalité, je les
réponse a toujours été affirmative. Une fois, les portions rajustées paraissaient prêtes à se détacher, mais on m'assura que ça n’a
ent perdu l’appétit et qu’elle était privée de sommeil; les règles ne paraissaient qu’un jour et en petite quantité ; le sang était
u obsession, et a reproduit des extraits étendus d’une brochure qui a paru en 18/i0, et ayant pour titre : Observation de ma
emples d’aberration se sont produits assez fréquemment, et qu’il nous paraît important de dégager la cause du magnétisme de fa
passes ni manipulations. Le don de voir vint instantanément. Elle ne paraissait être ni dans l’état magnétique ni dans l’état bio
liberté et de facilité qu’avant le commencement de l’expérience. Elle paraissait aussi susceptible d’éprouver tous les sentiments
ions dans l’état de clairvoyance que dans son état normal. Quand elle paraissait s’affaiblir et qu’elle donnait quelques signes d’
e distance, ou nous les liâmes à la hauteur de sa tête; les positions parurent produire une certaine différence; cependant elle
auteurs aient possédé une véritable science. Le chapitre 13 nous a paru mériter une mention particulière. L’auteur nous a
49 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
e, la prétention de faire oublier une perte irréparable-, mais il a paru utile aux éditeurs et aux amis de M. Leuret de co
seraient comblés, si son œuvre, ajoutée à celle de son devancier, ne paraissait pas absolument indigne d'elle. La marche que j'
Vicq-d'Azyr, de Reil, de Gall, de Burdach, d'Arnold et de M. Foville, paraissait à peu près délaissée pour des sujets, à coup sûr,
issée pour des sujets, à coup sûr, moins importants ; cet abandon m'a paru résulter de deux causes principales, à savoir : d
sification des plans fibreux qui composent le centre ovale du cerveau paraîtront aux philosophes, être un véritable acheminement v
le des idéologistes; mais si l'on juge que j'y ai réussi, peut-être paraîtrai -je avoir à mon tour payé mon tribut à la noble sc
llules sont accumulées comme des grains dans une masse de sable, sans paraître communiquer soit avec les fibres nerveuses qui tr
pas à la même « face du corps que la moelle épinière. » Dugès ne me paraît pas avoir rempli sa promesse de résoudre cette di
énoncé la même théorie dans ses cours, en se l'attribuant, elle ne me paraît ni mieux conçue ni mieux établie. Ainsi, cette
ce qu'on a appelé le nerf sympathique dans les animaux vertébrés, me paraît avoir encore aujourd'hui toute sa force. En vain
s les commissures qui unissent les deux moitiés du ganglion inférieur paraissent manquer, et l'anneau est divisé par le milieu de
postérieur. Voilà une première division. Le grand cordon antérieur paraît à son tour subdivisé en deux faisceaux secondaire
leur correspondent, du moins au point de vue de leurs propriétés. Il paraît toutefois qu'on s'est trop hâté de généraliser, e
funicules blancs dont l'existence est constante, mais dont le nombre paraît varier. Dans certains points, on peut en compter
oelle; elle est également constante dans l'enfant nouveau-né, mais il paraît quelquefois oblitéré chez l'adulte. Au-devant d
ellules contiennent un pigment coloré le plus souvent en brun ; il ne paraît pas d'ailleurs que la coloration de toutes les ce
ion de toutes les cellules soit exclusivement due à ce pigment ; elle paraît tenir, dans certains cas, à leur manière de réfra
e temps que ces recherches fastidieuses m'ont coûté, si elles peuvent paraître de quelque utilité pour l'histoire philosophique
moitiés de l'axe encéphalique, l'ouverture supérieure de cette cavité paraîtra divisée par le pont transverse de la commissure m
ou antérieur ; c'est au genou postérieur que sa plus grande épaisseur paraît correspondre. Le corps calleux n'est point cour
, dans le Callithrix moloch, dans le Pinche et dans les Ouistitis. Il paraît donc exister dans tous les singes inférieurs, mai
de vérifier l'exactitude; mais j'aime mieux avouer que la chose m'a paru impossible, ce qu'on pourra aisément concevoir;
n dans tous les animaux justifient cette dénomination. Ces lobes ne paraissent point avoir, dans l'ordre des organes de l'intell
es moyennes elles-mêmes sont très-difficiles à établir, parce qu'il a paru plus commode d'apprécier la totalité du poids ou
entés par Rolando, par M. Arnold et par M. Foville. Le lobe central paraît particulier à l'homme et aux singes, peut-être vo
aux postérieurs échappent seules à cet arrangement. Cette structure paraît au premier abord toute différente de celle de la
des physiologistes. La réalité des analogies que nous discutons ici paraît confirmée par un autre fait. C'est de cette doubl
ts grossissements, la paroi de la bourse et de ses noyaux accessoires paraît formée de petits ganglions gris que séparent les
du type, on arrive à le retrouver aisément sous des dissemblances qui paraissent , au premier abord, établir une différence totale.
lent aux rayons de la couronne de Reil. Quelques-unes de leurs fibres paraissent se terminer dans le corps strié externe, d'autres
rijumeaux. Ces tubercules, qu'on a aussi appelés lobes optiques, ne paraissent pas avoir, dans l'ordre des organes intellectuels
s passent horizontalement sur la surface du cerveau, et ces fibres ne paraissent pas en connexion avec celles des autres couches.
es grises sont : 1° une cellule arrondie fort petite qui ne m'a point paru émettre de prolongements. Le noyau et le nucléole
tre leur analogie avec celle du ruban fibreux de l'ourlet. Elles nous paraissent en conséquence appartenir au système des commissu
de direction des fibres dans l'expansion cérébrale du nerf optique me paraît un fait très-important, et digne d'être signalé d
s. D'ailleurs, elle n'est pas chez tous également apparente. Elle m'a paru plus considérable, en général, dans les Carnassie
e; la première s'épanouit immédiatement dans l'hémisphère, la seconde paraît y tendre, mais n'y va pas en droite ligne, et s
ir: les lobes optiques et les corps genouillés internes. Voilà ce qui paraît hors de doute. Serait-il dès lors imprudent d'app
destinée aux lobes optiques s'accroît proportionnellement; ces faits paraissent hors de doute. Pour en tirer des conclusions ce
lancher du quatrième ventricule, ou bien dans le corps restiforme, me paraissent avoir émis une assertion que ne sauraient légitim
ecroisent sur la ligne médiane avec celles du côté opposé. Ces fibres paraissent être en série avec celles du facial. 6. Deuxièm
rtaines connexions de la cinquième paire avec le cervelet, de même il paraît y avoir, par la racine que nous venons de décrire
par cette expression Vésale désigne le nerf pathétique. Cette opinion paraît fort probable à Niemeyer et nous la partageons ég
loin que le demanderaient les besoins de la physiologie actuelle. Il paraît en effet que si le nerf acoustique agit sur le ce
rieurs, mais dans l'homme et dans les mammifères les plus élevés elle paraît assez évidente au premier abord, et l'on se décid
âniens réunis, ne pourrait rendre raison de la quantité de fibres que paraît comprendre un seul hémisphère. Mais on ne pourrai
n deux moitiés distinctes les deux lobes des hémisphères futurs. Il paraît qu'au début de la vie il n'y a aucune adhérence e
s régions postérieures de la masse encéphalique. Ces réflexions m'ont paru nécessaires, car certaines figures de Tiédemann,
cette époque, par de petites scissures rayonnantes. Ces scissures ne paraissent point être le résultat accidentel de certaines ci
ière absolument symétrique. Ainsi, le développement des plis frontaux paraît se faire plus vite à gauche qu'à droite, tandis q
rfectionnant dans le sens d'une complication toujours croissante, ils paraîtront , en généra', d'autant pius semblables au premier
sinus caverneux. Vaisseaux lymphatiques. — La substance du cerveau paraît en être dépourvue, mais ils sont, d'après Arnold
Ces différences ne sont point à coup sûr un effet du hasard. Elles ne paraissent dépendre ni du climat, ni des habitudes des peupl
u s'étend à la fois dans le domaine de ces deux vertèbres. Mais il ne paraît pas que cette extension se fasse indifféremment d
qu'il en soit, les moyennes des observations de M. Van der Hoeven me paraissent fort exactes, sauf pour le frontal dont la largeu
nforme aux principes de la crânios-copie moderne; or celle-ci ne nous paraît pas beaucoup plus certaine que celle des anciens.
glion postérieur, qui correspond au cervelet et à l'organe de l'ouïe, paraît être le siège des instincts des passions et de la
Quant à nous, nous le répétons, si le développement du frontal nous paraît plus significatif en faveur de l'intelligence que
naire qui longe la grande scissure cérébrale. Ainsi cette région nous paraît -elle mériter de fixer plus particulièrement l'att
ussi elle est un conducteur d'impressions et de réactions, et ce rôle paraît appartenir surtout à ses fasciculations blanches.
hait comme dans l'état normal. Les parties postérieures à la blessure parurent alors plus sensibles que les antérieures (2). A l
à s'en tenir à de pareils résultats, la physiologie expérimentale ne paraîtra-t -elle pas mériter une place distinguée dans les éc
it, volait, se mouvait comme auparavant, sauf un peu de faiblesse qui parut d'abord dans ie côté gauche et qui bientôt Ce p
V, p. 399. , .,, cervelet. La section de l'un des pédoncules moyens paraît en effet équivaloir à l'ablation de l'une des deu
mis à des piqûres superficielles tout le côté droit du cervelet; il a paru sir-le-champ une faiblesse assez marquée du côté
rveau. Thèses de Paris, 5 janvier 1856. Ces observations pourraient paraître , au premier abord, aussi favorables à l'hypothèse
a matière des corps. Quelle que soit l'hypothèse que l'on préfère, il paraîtra fort difficile d'admettre que ce qui connaît son
ient fort bien compris, aussi affirmaient-ils nettement que les bêtes paraissent sentir, mais qu'elles ne sentent pas (1). Parmi
èrement la réalité d'une autre vie, déclarent néanmoins qu'il ne leur paraît pas contradictoire d'accorder que la matière ou l
n nous. Celle de notre âme est donc certaine, et celle de notre corps paraît douteuse, dès qu'on vient à penser que la matière
atius. De itiimortulitate animœ, cap. iv, p. 9. Vâme d'Àristote ont paru à bien des gens justifier cette opinion d'Àverroë
prendre la création, nous l'assimilons volontiers à une émanation. Il parut ainsi naturel à des âmes extatiques de se considé
l'intérêt de la philosophie, et indiqué quelques expériences qui nous paraissent jeter un nouveau jour sur cette importante questi
re n'est-ce là qu'un jugement, mais ce jugement est si immédiat qu'il paraît inséparable de sa cause. Nous allons essayer d'en
tes de celles du contact proprement dit; en effet, le même corps peut paraître chaud ou froid, bien qu'il soit jugé le même par
« aucune idée des distances. Sans le toucher, s tous les objets nous paraîtraient être dans nos yeux, parce (( que les images des o
Mûller ont invoqué en faveur de la théorie que nous combattons, nous paraît plus spécieux que solide. Quand tout est renversé
out est renversé, disent-ils, (1) La célèbre expérience de Lecat ne paraît point concluante, la voici: « Mettez une lumière
ineux en rêvant, c'est-à-dire, l'œil relâché ou dilaté. Ce point vous paraîtra plus gros et rayonné ; alors, si vous placez votr
le voir unique, tous les objets placés en deçà ou au delà de ce point paraissent doubles. L'accord physiologique des deux yeux est
ommençait à voir, n'appréciait pas les distances, tous les objets lui paraissaient également rapprochés. C'est par un long usage de
mples. C'est ainsi qu'une chose qui nous cache un autre objet, nous paraît plus rapprochée de nous. Cette observation est un
5 secondes, suivant Plateau. Cette image, lumineuse sur un fond noir, paraît noire sur un fond éclairé. Quoi qu'il en soit, pe
nt une feuille de papier d'une couleur A. Lorsque cette couleur lui paraît s'obscurcir, il se porie immédiatement sur une fe
se concentrer, et toujours en sens inverse du mouvement dont la spire paraissait animée. Semblait-elle se dérouler, la tête se con
est souvent multiple pour plusieurs observateurs dont le point de vue paraît être le même. Ce rôle immense de l'esprit dans la
chaque cellule est un centre nerveux complet. Cette manière de voir paraît trouver un point d'appui dans les curieuses expér
dmirable. Si l'hypothèse que nous proposons ici est fondée, rien ne paraîtra plus automatique que la mémoire. Cependant l'inte
tes, sinon les sensations imaginaires. Il y a un troisième état qui paraît résulter d'une excitation excessive des organes e
cent graduellement sous les yeux de l'homme qui s'endort, après avoir paru doublées. On sait par expérience que pendant la
assez mauvais sujet; il lit une chute, et pendant plusieurs jours il parut comme mort. Au bout de ce temps il s'éveilla de
iculièrement sur quelques rêves que j'ai eus, et où cette proposition paraît assez prouvée. Il y a quelques années, qu'occup
, pouvant influer sur la détermination d'un homme, il pourra aisément paraître prophétique, mais surtout dans la sphère naturell
allucinations de l'ouïe. Cela est d'autant plus nécessaire qu'il nous paraît y avoir à cet égard quelques incertitudes chez le
gorie d'hallucinations sensoriales, acceptée par quelques auteurs, me paraît devoir être complètement rejetée. 11 n'y a pour
nalogues aux sensations actuelles. Une proposition pareille ne pourra paraître hardie qu'à ceux qui n'auraient pas l'habitude de
à remarquer que ces apparences se font impérieusement regarder. Elles paraissent suivre le mouvement des yeux, mais il ne s'ensuit
disparaît; dirige-t-on les yeux sur le lieu où on l'a vu d'abord? il paraît de nouveau. Par quel autre procédé un homme de se
ouvé que cet endroit pur dans « Rome. Il invoqua son démon afin qu'il parût ; mais à sa « place on vit paraître un dieu qui n'
Rome. Il invoqua son démon afin qu'il parût; mais à sa « place on vit paraître un dieu qui n'était point à l'ordre des « démons.
en général une altération do l'intelligence. Les illusions de la vue paraissent par leur fréquence l'emporter sur toutes les autr
Souvent, grâce à ces modifications singulières, ce qui était immobile paraît se mouvoir; l'homme ami qui veille pieusement aup
ts dans l'histoire des mystiques. D'autrefois, le corps est oublié et paraît comme mort. Tel était cet Hermotime si célèbre ch
toutes celles qui lui sont imposées. D'ailleurs, les cataleptiques ne paraissent pas absolument étrangers au monde, mais les facul
(1) Des hallucinations, dans les Mémoires de l'Académie de médecine, Paru , 1846, t. XII. quement le centre ovale, celui-c
Monsieur, rendez-moi encore un service. Ces cordes qui me lient ne me paraissent pas très-solides ; je suis si fort que je pourrai
extatiques devenues célèbres sous le nom de Stigmatisées du Tyrol. Il paraît , en effet, désormais certain que le pouvoir de l'
développé sont surtout guidés par leurs instincts; mais l'expérience paraît en certains cas en modifier les résultats. Toutef
e entière , officiers et cava-« liers (1). » A côté de ce fait, qui paraîtra incroyable, je citerai l'histoire de deux oursons
nt persistant et distinct de personnalité; or, dit Wolf, les bêtes ne paraissent point avoir ce sentiment. Il est certain, ajoute-
oment, le coati, qui grimpait dans la partie supérieure de la cage et paraissait d'abord indifférent à cette scène, descendit en t
i, irrité, se retourne pour mordre, un des « camarades du corbeau qui paraissait avoir été aposté pour cela, saisit cet « instant,
puissance modificatrice de l'homme sur les espèces domestiques. 11 paraît d'ailleurs que ces éclairs de science qui étincel
frémissements sympathiques des peaussiers, et le langage d'expression paraîtra d'autant plus intelligible, qu'il est éminemment
ble, et son ornière est éternelle. Dans certains cas, cependant, il paraît se modifier et recevoir quelque variété de la div
par leurs vêtements. Ce langage implique déjà plus d'intelligence, il paraît fort en usage parmi les animaux qui vivent en soc
ion exaltée par les sollicitations de l'instinct. Mais les animaux ne paraissent pas s'instruire entre eux, quant à ces faits exce
hommes ont-ils un culte? Certains sauvages sont si abrutis qu'ils ne paraissent pas avoir la moindre idée oe Dieu; et, quant à l'
ité d'action ; en un mot, les hémisphères demeurent unis. Cette union paraît dépendre de la commissure antérieure, et peut-êtr
erveau est divisé en deux moitiés parfaitement distinctes, de même il paraît y avoir en chacune d'elles des départements disti
distincts, non pour l'intelligence, mais pour les sensations. Cela paraît assez prouvé pour les nerfs olfactifs et gustatif
50 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
evons les examiner avec une attention d’autant plus scrupuleuse qu’il paraît plus difficile de les admettre. • Nous n’avons
oques conductrice, à d’autres isolante. » Ces explications nous ont paru nécessaires pour faire sentir à nos adversaires l
on ennemi lui a fait avaler. Qu’on me pardonne ces détails, ils m’ont paru nécessaires pour qu’on puisse se rendre compte de
ec vingt-cinq grains d’assa-fœtïda. Le 17, les crises continuent et paraissent même se prolonger davantage. La peau est encore c
nnons peu d’articles sur la magie : en voici la raison. Les faits qui paraissent supérieurs à la nature, exaltent quelques-uns des
prochent une exaltation dangereuse. Le magnétisme cesse dès lors de paraître ce qu’il est réellement, il devient une chose abs
Médecine magnétique. (Suile.) F.-A. Mesmer, médecin allemand, fit paraître , en 1766, une thèse (1) dans laquelle il soutient
élec- trique, à sc mettre en équilibre dans les corps. L’homme seul paraît posséder la faculté de le mettre en mouvement.
ntre non seulement dans les matières indispensables à la vie, mais il paraît être répandu par tout l'univers, et imprimer le m
ment à la génération, l’être aux corps organisés. » Ce langage doit paraître étrange dans la bouche 4’j*n ardents détracteurs
te à (’Académie des Sciences , au mois d’avril 1819 : « Il vient de paraître ici des Recherches sur l’électricité animale, par
, le fluide magnétique est brillant et jaune comme du paillon. Il lui paraissait d’un jaune pâle, lorsque son magnétiseur était so
lié plusieurs faits semblables, et nous en avons encore d’inédits qui paraîtront bientôt. « ie i8 juin t84g> a minuit, un de
nd'-Fardêl qtii est chargé d« la rédaction de l’article Magnétisme v» paraître dans le supplément au Dictionnaire de mé-de«w4>
mmencer l’étude de la question qu’il doit traiter. Son travail devant paraître au commencement de juillet, il y a tout lieu de s
teur, fit irruption dans l’arène philosophique ; et l’on vit aussitôt paraître les oracles de Zoroastre, du Pxmandre, de YAsclép
é du mélange des éléments qui devant constituer le RalhoUçiswe. Pnis,, parurent Pompy^^i, Cesalpini, Bruno, Cajp-panefla, Vanini.
; et prouver, parconséquent, que Swedenborg le connaissait. Il nous paraît curieux de produire ici d’autres extraits qui mon
au fait des déceptions?» Quoique cette réflexion inductive ne nous paraisse pas très-solide, on doit savoir gré au professeur
in. Le défi suivant, inspiré sans doute pdr une jalousie de métier, a paru dans la Patrie du i3 février. Il est rèsté sans r
a été publiée avec la signature de Monpas. En même temps qu’elle m’a paru être une réclame en votre faveur, elle m'a semblé
endon du muscle. L artificielle de même nom se conçoit aisément. Il paraît donc qu’en considérant les éléments des fibres mu
de trois enfants, appartenant à U. Michael Jones, de cette ville, qui paraissent être sous une influence mesmérique permanente. De
ité de l’âme. A peine au quart de son programme, M. Hébert a cessé de paraître ; M. Gouré, médecin homéojpatf»e, qui ? dans un op
pas. « Et je commençai. A peine avaii-je montré au doigt (ce qui parut à tout le, mondé ê,tre l'effet du hasard, bien en
trop favorablement pour lui. Il est bien vrai que certains faits nons parurent dépendre d’un rapport magnétique; mais tous ne fu
ét^it réi^ii^ tyt répétésans aucune hésitation. La jeune comtesse me parut , plup q^ie les autres personnes, frappée de parei
demoiselle pût répéter le nom de la fleur que j’avais écrit» mais il paraîtrait que je suis possesseur d’une dose considérable de
, on en prépare uné nouvelle édition, considérablement augmentée, qui paraîtra avant un moi». " ■ • Le Gérant • HÉBËRT (do G*r
ise, voici l’explication qu’elle en a donnée. Tout étrange que peut paraître cette explication , je n’hésite pas à la faire co
r se donner l’air inspiré. Il tient â la main une grosse Bible, qu’il paraît lire avec attention. Il exhale une odeur d’ail et
alades. C’est sa panacée universelle. Il est fort modestement vêtu et paraît blessé d’un pied. L’auditoire s’étonne que Guéril
. Le père veille jusqu’à trois heures du matin et se couche. L’enfant paraissait mieux; le lendemain matin , elle était plus mal,
de fumer. Pichon, c’est le mari de la somnambule; il est chauve et paraît très-chétif. C’est une espèce de crétin. Le témoi
ions qu’il leur a faites. Les femmes Pichon et Fourier, qui avaient paru comme témoins à la première audience, sont poursu
s de besoin. Tel est, Monsieur, l’ensemble des mesures qui nous ont paru propres à donner à celle cérémonie l'éclat que
ons pas éloignés de nous entendre, malgré la dissidence d’opinion qui paraît exister aujourd’hui entre nous au sujet du fluide
exposer comment le fluide traverserait les cent lieues; mais il ne me paraît pas plus facile de comprendre et d'expliquer comm
observations que j’ai consignées dans le Journal du Magnétisme. Il me paraît en résulter invinciblement ceci: les somnambules
sa générosité aux dépenses courantes de l'hôpital. « Les indigènes paraissent plus généralement affligés que les Européens, des
’année d’essai de cet établissement étant écoulée, aucune décision ne parût avoir été prise pour sa continuation. « Nous av
été appliqué avec succès à diverses maladies. Et nous exposons qu’il paraît insignifiant qu’un plus ou moins grand nombre de
ême en somnambulisme, et écrit des ouvragas dont un volume va bientôt paraître . Une polémique très-ardente se suit sur l’origine
e son trône, l’excitait de sa harpe d’or. Tout-ù-coup Urbain Grandier paraît ; les gra- cieuses danseuses disparaissent, et l
ins d’un mouvement social et moral qui se prépare dans la nation, ils paraissent résolus à n’y prendre aucune part. Semblables à d
estiné, instrument de la Providence, de par monsieur Swedenborg ! U paraît , décidément, que c’est un mal contagieux, et que
ces choses sont réellement à eux. » Nous puiserons un fait qui nous paraît avoir une grande similitude avec celui que rappor
ui fut révélé? Savez-vous que dans ces temps de ténèbres la lumière a paru , et que ce que votre souffle empoisonné éteignit
royen de se faire représenter par une députation à la fête de Mesmer, parut à tous une heureuse innovation, et chacun fit des
c’est moi senl qo'il entend ; II enlr’ouvre son cœur quand il me sent paraître ; Je parle dans la voix dont s'inspire le prêtre,
mai prend sa robe de fleurs : Sous ce chaume bruni Mesmer vient de paraître . Au berceau déjà grand, enfant et déjà maître,
le regret de ne pouvoir honorer Mesmer en commun. Celle de M. Govi a paru mériter une attention spéciale ; elle devait être
er à la poussière des tombeaux la pensée qu’on ne lui accorde pas, me paraît chose complètement absurde. Restons dans les limi
sirée. Considérée sous ce point de vue, la noie de RI. Almignana nous paraît avoir un droit puissant aux méditations des inves
s phénomènes, que plus de cent personnes ont pu constater, nous ayant paru de nature à être consignés, nous avons rédigé et
magnétisme ! Vous verrez le sujet le plus extra-lucide qui ait jamais paru !.... » Et la foule d’envahir les bancs. Après
our ses 10 centimes, m’a dit avoir regardé dans un miroir et avoir vu paraître une grosse brune en déshabillé un peu négligé...
Paris. — On a beaucoup parlé récemment d’un événement inattendu; il paraît que le Dr Th. Léger, de magnétiseur est devenu so
imbre nous oblige à changer de mode de publicalion ; notre Journal ne paraîtra plus que mensuellement, mais les cahiers contiend
magnétisme soit un élément pour les âmes distinguées; et M. Ordinaire paraît doué d’une des qualités sans lesquelles on ne peu
me qu’il parle de merveilles, tant on craint d’opposer des doutes qui paraissent malveillants. C’est la force qui confond la faibl
ste est évidente , et si, comme nous n’en doutons pas, ses actes vous paraissent devoir être encouragés, nous nous chargerons de l
isté, eût été par tous jugée digne du plus bel encouragement. Il nous paraît qu’en accordant la médaille de bronze à son auteu
arrêtera. Ce redoublement de procès a quelque chose de surprenanl, et paraît résulter d’un plan habilement concerté. La suite
eulement sont présentes. L’une d’elles est jeune et jolie; les autres paraissent avoir beaucoup souffert de l’état extatique qui l
que qui leur est habituel. Elles ont toutes l’air somnolent, et elles paraissent endormies tant qu’il ne s’agit pas de l’affaire s
rveilles du magnétisme avec M. Adolphe Didier et MK* Sarah. Le public paraît moins empressé que naguère pour ce genre d’amusem
fonctions de la vie humaine. Ces phénomènes, tout insolites qu’ils paraissent , sont inhérents à la nature de l’homme; ils doive
’un haut intérêt, sans doute, mais que je ne puis examiner ici. Il me paraît évident que l’homme peut étendre hors de lui son
ssi longuement d'un fait peut être ordinaire pour vous , mais qui m’a paru prodigieux et surtout bien con- cluant en faveu
é des phénomènes contestés — quelque incompréhensible qu’ils puissent paraître — ne suffiraient pas à soustraire le magnétisme à
st qu’il ne faudrait pas fournir à l’autorité le droit de sévir, s’il paraissait y avoir organisation et solidarité pour soutenir
sdreub jeupe. Peu de jours après la publicalion de eet écrit, il on parut une variété, sans changement de date ni indicatio
gruel, non pas sur un trépied, mais assise dans un bon fauteuil; elle paraissait en extase , et près d’elle se trouvait le grand p
me ClaudePonsignon; l’instruction lui donne quarante-six ans, mais il paraît en avoir davantage. Il est de taille élevée, et s
plus loin son odieuse entreprise. A son retour, la femme Ponsignon parut .1 peine s’apercevoir du trouble de l’enfant qui
é la publication du précédent numéro et de celui-ci, mais le prochain paraîtra régulièrement. Avis général. — A partir du proc
d’erreurs ; mais, pour le plus grand nombre, la nouvelle doctrine ne parut être qu’une extravagance ou une insigne jonglerie
endues et complètement inexplicables. Toutes les conditions de la vie paraissent changées, et il se produit des actes qui excitent
écrire, calculer, dessiner, faire de la musique, etc. ; en un mot, il paraît être, à quelques exceptions près et sur quelques
erme. A peine pus-je obtenir ce que je demandais, tant ma proposition paraissait peu sé rieuse, extravagante même. Quelle ne fut p
ra, sans doute, jamais. Il est sensible que lous ces mystères doivent paraître tout à fait incroyables aux matérialistes, et pou
à l’égard des maladies et des moyens propres à les combattre, ils ne paraissent avoir que des notions bien incomplètes ou même to
de l’allouche-nient, et qu’on nomme des passes magnétiques ; mais il paraît bien démontré qu’elle sort directement de la 15
es qu’on imprime à la main ou au bras , en disant : Éveillez-vous. Il paraît que le concours de deux volontés est nécessaire,
vent dans les mêmes circonstances que le somnambulisme, et qu’on voit paraître à la suite des passes magnétiques et suivre l’act
s se montrent ordinairement chez les sujets nerveux et mobiles, et ne paraissent être autre chose que des excentricités de l’actio
précédé de l’avis éditorial qui suit : « Un genre de phénomène qui paraît avoir augmenté, depuis quelques années, le nombre
pelé, et que M. et Mmc Mongruel ont fait opposition. Ils doivent donc paraître devant les mêmes juges, pour s’entendre reprocher
nelle portée par lui, el avec cela vous prétendiez le guérir? — R. Il paraît ; je n’en sais rien; je ne fais cela qu’à l’état d
n répondre, je ne sais rien ; une séance subséquente a été donnée, il paraît que j’ai affirmé n’avoir point nommé M1'® Dubuiss
puissance ou donner un nom. — R. Je ne puis m’expliquer là-dessus; il paraît que j’ai indiqué qu’elle était blonde, et elle es
resse, nous recevons une nouvelle communication de M. Ordinaire; elle paraîtra suivie de réflexions par M. du Potet. indépenda
s donnons la préférence à la médecine magnétique , c’est qu’elle nous paraît d’une supériorité incontestable dans le traitemen
51 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
clinique de M. le professeur Bard, j'ai pu suivre un cas qui nous a paru , de toute évidence appartenir à cette dernière
s, livides ; il l'affirme catégoriquement. En même temps, elles lui paraissent engourdies : il a de la peine à les fermer; il
les avant-bras devenaient plus petits. Les jambes et les cuisses ne paraissent pas atrophiées. ' Le malade se plaint toujours
certaines observations produites sous le nom de maladie de Raynaud paraissent reproduire le tableau de l'acro-cyanose hypertr
nt spécialement leur action sur les os des extrémités. La né- vrite paraît devoir être mise en cause. Les altérations digita
la voûte palatine et du voile du palais est manifeste; la luette ne paraît pas déviée. Pour être complets, terminons en no
sant, de nous expliquer sur certaines questions de mé- thode qui ne paraissent pas encore être claires à quelques biologistes.
167) de tous les termes le moins convenable. De plus en plus il me paraît que 11. Bonnier ne connaît, de cette vaste ques
à l'article de 111. .Armand Gautier (de l'Institut) sur « la Vie », paru dans la Revue générale des sciences du 30 juin
deux contacts ; elles peuvent être objectivement très éloignées et paraître subjectivement très rapprochées. Il est bien in
u'il est imposssible de savoir, et toute discussion sur ce point me paraît stérile; comme je l'ai dit, nous ne parlons pas
orté pendant trois jours consécutifs. Tout d'abord, les objets vous parurent renversés, mais bientôt le sujet eut l'impressi
ns de M. Bonnier ne sont donc pas si sûres et si positives qu'il le paraît à première vue. LES UROLOGUES (Documents comp
mentaires). PAR HENRY MEIGE. Dans une étude sur le Mal d'amour, parue en 1899 dans ce recueil, j'ai déjà eu l'occasio
obe de chambre à ramages, un foulard autour du cou. L'urinai a dis- paru : le ballon rond au col évasé, symbole respecté,
abié, et du moins, ici, la recherche de la déformation pathologique paraît évidente. Il n'en est peut-être pas absolument
plaignant de douleurs abdominales avec gonflement du ventre. On a, paraît -il, diagnos- tiqué une péritonite tuberculeuse.
ir de tractus de dégénération. Le faisceau de Ilelweg ne nous a pas paru dégénéré. Les coupes de la moelle épinière mont
fois nous ferons remarquer que les lésions médullaires observées ne paraissent avoir aucun rapport avec l'hémiplégie infantile
x. Ses vaisseaux satellites comme ceux du reste de la colonne grise paraissent seulement dilatés, sans modifica- tion sensible
ées à la base, à forme d'exsudat épais, que nous avons notées, nous paraissent aussi très éloignées des petites lésions d'appare
te droit, la zone dégénérée est moins étendue. Les corps genouillés paraissent peu altérés; leurs grosses cellules paraissent
Les corps genouillés paraissent peu altérés; leurs grosses cellules paraissent saines. Les nerfs optiques et la rétine sembl
ion. Les autres parties du squelette, explorées avec soin, nous ont paru indemnes. 11 est très rare d'observer des défor
ture localisées à un seul os. Lannelongue, dans son premier mémoire paru en 1881, relevait les chiffres suivants d'os in
qui présente des malformations congénitales multiples, qui nous ont paru mériter une des- cription détaillée. Ernest F
ste du pourtour de la coupe, à gauche et en arrière, la pie-mère ne paraît pas modifiée. Au centre de la coupe, là où l'on
artie droite de la moelle, la corne antérieure et la corne latérale paraissent confondues dans une autre masse plus homogène q
ure, de la corne gauche, l'entoure en avant et il gauche. La tumeur paraît développée ici dans la moitié gauche de la moelle
ommissure et en dedans de la corne gauche. Le reste de la moelle ne paraît pas considérablement modifié ; on distingue assez
sversale, les cellules sont égale- ment coupées transversalement et paraissent arrondies; les fibrilles intermé- diaires forme
eint le poids de 250 grammes. La glande thyroïde, sur le vivant, ne paraissait pas extrêmement dévelop- pée. Achard et Loeper
'a pas montré de lésions bien caractéristiques. Toutefois il nous a paru intéressant de résumer les différentes constata
galement à l'intérieur des veines et dans leurs parois. L'épididyme paraît normal. Corps thyroïde. - Les vésicules, assez
orne postérieure, quelques grosses cellules isolées, arrondies, qui paraissent être des cellules névrogliques. A la région lom
avec celles du corps pituitaire normal et la seule dénomination qui paraît convenir à la tumeur est celle à' épithélioma p
t de mettre en valeur quelques-unes des particularités qui nous ont paru les plus intéressantes. La première et non la m
la splanchnomégalie, le diabète qui existait chez notre géant nous paraît être encore une conséquence directe de la tumeur
S, Chef de clinique. Interne. Dans son travail Sur le Gigantisme, paru en 19U,141. Henry Meige (2), a donné une descri
a semblé indiqué de faire des radio- grammes Rôntgen, cette méthode paraissait dénature à nous donner quel- ques renseignement
nt. 204 HENRY MEIGE « Comme elle fut sur le point d'accoucher, il parut qu'il y avait deux jumeaux dans son sein. Et lo
spontané de ce bras, et l'issue de l'autre jumeau avant le premier paru . La gravure en question extraite d'un Ancien Te
; il est accompagné d'autres phénomènes ca- ractéristiques qui nous paraissent importants. D'une famille névropathique, cet ho
ltoïde, .le brachial antérieur ainsi que les autres muscles du bras paraissent intacts, sans atrophie, ils se contractent bien
os, saillant; il n'y a pas de hernie ombilicale. Les règles ont ap- paru assez tard, faiblement, irrégulièrement ; elles c
, et se serait développée assez lentement; étant jeune, elle était, paraît -il, petite, lourde, de figure bouf- fie. Actuel
tions. Si de ces ob- servations se dégagent déjà quelques types qui paraissent bien définis, il reste à côté d'eux divers cas
érieur du pé- dicule et formant son axe, un cordon tendineux qui ne paraît s'insérer sur aucun os par l'une ou l'autre de
ts fournis permettent de porter une appréciation, le cas de Dolbeau paraît être assez semblable au nôtre. L'anomalie porte
erminaux. De l'ensemble des observa- tions actuellement connues, il paraît ressortir, en effet, que l'absence totale du ra
e, dans le cas particulier, l'anomalie de gauche et celle de droite paraissent liées entre elles, non point par une relation d
us n'observons rien de pareil. Les corps charnus faisant défaut, il paraît contradictoire d'admettre que les ten- dons aie
ement indiquer que le proces- sus particulier dont il s'agit ici ne paraît pas être le processus de toutes les formes dési
nt indiquer que l'ensemble des observations actuellement connues ne paraissent pas démontrer, au contraire, que les anomalies
nt marqués par des grosses lignes de confin, de façon qu'il ne nous paraît pas trop inexact de lui donner l'appellation de
r le même liquide, sans fragments osseux ; puis, peu à peu, le pied parut se disloquer, mais sans causer de grandes douleur
une intervention conservatrice, avant de songer à l'amputation qui paraissait s'imposer tout d'abord. Opération, le 17 févrie
canéum ; deux véritables remparts osseux, remplaçant les malléoles, paraissent ainsi s'être reconstitués; Juin 1903. Le mala
iers jours, il y eut quelques signes d'infection, et le résultat ne parut pas tout d'abord très brillant; mais, au bout d
in temps, les phénomènes locaux allèrent en s'améliorant, la cavité parut s'être réduite ; les mouve- ments étaient plus
pose douloureuse. En attendant de nouvelles observations, il nous a paru intéressant de faire connaître cet exemple d'ad
des décrits par M. Haskowec, en particulier chez le second qui nous paraît tout à fait identique à notre malade et chez le
é. Vous voyez que les choses sont bien plus com- plexes qu'elles ne paraissent être, et qu'il ne s'agit pas d'une simple amnésie
ouvrir les yeux ni manifester aucun désir, de manière que lui aussi paraissait totalement malade et innocent, sans pouvoir utili
st attribuée à Jean Wave ou Waw, ou Wouven, sculpteur sur bois, qui paraît être d'origine anversoise. Le volet gauche de l'é
ésentent rien de pathologique (Voy. pl. LXII, fig. A, c). La moelle paraît normale. Les mensurations, faites après un séjo
le impliquer l'existence d'anastomoses péri- phériques. Tous deux paraissent en opposition formelle avec la doctrine du Neuron
le Pal et par l'encre d'anthracène ils deviennent parfois noirs et paraissent alors comme un trait couleur encre de Chine au
s disposés à l'in- térieur de larges faisceaux. Les tubes nerveux y paraissent plus nombreux que sur les coupes longitudinales
, et chargés de noyaux ovoïdes assez également disposés. Ces noyaux paraissent répondre, surtout dans le centre des faisceaux, s
de rares stries rouges bien limitées mais relativement courtes, qui paraissent des segments de cylin- draxe. Le Pal fait res
re d'opinion certaine. Enfin, quelques-unes de ces fibres homogènes paraissaient , déplace en place, interrompues par une gouttel
idérable de l'endonè- vre. A un faible grossissement, ces faisceaux paraissent formés d'un tissu fibreux compact dans lequel l
esque jamais celle d'une fibre normale (Voy. pl. LXIV, fig. J). Ils paraissent formés d'une substance non diffé- renciée pour
la myéline ni ceux du cylindre-axe. Quoique toute différen- ciation paraisse faire défaut à ce niveau, il en existe cependant
ryonnaires se reconnaissent mieux sur ces coupes transversales et y paraissent plus nombreuses que sur les coupes longitudinales
que les coupes sont les plus intéressantes à étudier, car on y voit paraître , à côté des fibres em- 330 DURANTE .bryonnair
extrémité arrondie bien limitée. Tantôt les deux segments adjacents paraissent lâchement unis par une traînée protoplasmique r
reconnaissable seulement à un très fort grossisse- ment. Tantôt ils paraissent nettement indépendants et sans lien entre eux ;
s-ci, et particulièrement les moniliformes (voy. pl. LXII, (ig. G), paraissent formées d'une bande protoplasmique recouverte d'u
différentes est souvent très nette. Les cylindres noirs par le Pal paraissent , du reste, les plus parfaits,tandis que les rou
LXIV, le nombre des éléments nerveux est assez grand. Les faisceaux paraissent formés de fibres plus serrées que ne le faisaie
s de différen- ciation. Les segments interannulaires, très espacés, paraissent souvent presque indépendants les uns des autres
évrome. En faveur du lipome, nous avons l'infiltration adipeuse qui paraît carac- téristique. Mais le lipome, tumeur conjo
ls Elzholz a attiré l'attention. Cette hypothèse, toutefois, nous paraît renversée : par là présence, sur les coupes lon
de tissu plexiforme, ces tubes en voie de néoformation active nous paraissent caractéristiques du névrome myélinique vrai. Ce
les ganglionnaires pour leur donner naissance. Celte objection nous paraît de peu d'importance si, comme le veulent les trav
mêmes, l'interprétation que l'on en donne n'a jamais été démontrée et paraît même controuvée par tout un ensemble de travaux
démontrée et paraît même controuvée par tout un ensemble de travaux parus dans ces dix der- nières années. En embryolog
che- chement pour adopter la conception de chapelet cellulaire, qui paraît plus exacte, qui est, en tout cas, plus conform
disparaître ailleurs aussi passagèrement. Ces oscillations ne dis- paraissent qu'à la longue. On pourrait les interpréter par l
cylindraxe très net, parfois avec renflements fusiformes. D'autres paraissent privées de cylindre-axe. Quelques-unes ont une di
n cylindraxe plus ou moins net au milieu de la myéline, d'autres en paraissent privées et présentent parfois un aspect annelé. D
ux et plus larges que dans le bout central (comparer la fig.E). Ils paraissent tantôt vides, tantôt occupés par un grêle cylindr
t très petites et dépourvues de cololïde. Quelques-unes des grandes paraissent résulter de la coalescence de deux vésicules. E
pied et le dos de la main. Si par ailleurs, les membres et le tronc paraissent épaissis, c'est que là le tissu graisseux est a
que justice d'attacher le nom de Henry Meige et dont la réalité me paraît incontestable. Les femmes sont beaucoup plus pr
sant facilement et n'influençant pas la san- té générale. Or, il ne paraît pas douteux que dans ce cas, l'atrophie mus- cu
te, pendant les halles (Symbole et Rasoir) ; la présence du mors ne paraît pas incommoder le lécheur et l'accès est alors
L Les réflexes généraux (1) sont normaux; seul le 1'éflexe lombaire paraît modifié, exagéré chez Symbole avec irritation t
éservée ; ces malfor- mations peuvent être congénitales, mais elles paraissent plutôt « l'in- dice de lésions anciennes » (3).
ls aux tics ou aux stéréoty- pies ? Le diagnostic différentiel peut paraître délicat. N'observe-t-on pas, en effet, chez nos
les accidents de même nature observés chez l'homme. Mais il ne nous paraît pas défendu de supposer que ces mouve- ments so
, une observation que nous avons recueillie récemment et qu'il nous paraît utile de relater ici avec détails : Observation
athologie comparée. Les recher- ches sur les psychopathies animales paraîtront peut-être prématurées alors que nous sommes enc
(russe) de Psychiatrie, 1903, n- 3. DÉLIRE ALCOOLIQUE CONTINU 399 paraît être tout autre chose que le délire alcoolique co
ouve aussi bien en Russie qu'en Allemagne, en Espagne qu'en Italie, paraît avoir été de tout temps employée; sans remontera
sédés, aux convulsionnaires et aux extatiques. Bientôt après (1887) paraissait l'ouvrage de Charcot et Paul Bicher sur Les Dém
893, aux travaux personnels de son Rédacteur, M. Henry Meige. Ainsi parurent : le Juif Errant ci la Salpêtrière, les Possé-
i se sont déjà occupés de la question. C'est qu'en effet ce livre a paru en l'année 1903, alors que, depuis un temps déj
Un remarquable volume du Dr Paul Ricber, tôt et la Médecine (1), paru au mois de mars 1902, était venu donner le plus é
assez singuliers : « Pendant la publication de mon livre, dit-il, a paru L'Art et la Mède- cine, du Dr Paul Bicher, une
STIQUE de Tours : Les Leçons d'Anatomie et les Peintres Hollandais, paru en 1897. Quand l'auteur allemand arrive aux scè
ui s'occupent d'Histoire ou d'Iconographie médicales, dans Janus, a paru en 1901 un article intitulé : La Triple Allianc
52 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
se. Les puits, creusés déjà à une profondeur de près de G mètres, paraissent faire douter de la réalité de cette hypothèse (
ion de M. le Dr Bourneville. 2° Le plan du pavillon à construire ne paraît pas admettre que, dans l'avenir, les pavillons
une porte. Il y a une galerie- extérieure, ouverte, qui m'a toujous paru sullisante. M. Le Roux. L'emplacement affecté a
urtout à gauche, d'où un léger degré d'asymétrie. La coupe du crâne paraît presque ronde, elle est en général mince de 2 o
iétale ascendante. LI'. lobe pariétal. 1,0, lobe occipital. 1', parus , sr, sillon de Rolando TRAITEMENT CHIRURGICAL
e (95 mm.) est moitié plus grande que la gauche (Fia. 50). La voûte paraît symétrique. Les Fia 21. '2'2, "3 et 54 permette
pen- dant l'enfance (2 fois), migraines de 16 à 23 ans ayant dis- paru par le mariage. - Grand'mère maternelle, paralyti
deux procédés pathologiques de la distension des sutures, ils nous paraissent donner une idée du procède -physiologique et mé
e ou l'an dernier, sauf ceux de Bourg... Clut... et Ber... Ils nous paraissent démontrer d'une façon péremptoirc que chez les
eux ; il lui était impossible de se tenir debout. La « jambe gauche paraissait un peu plus faible que la droite. On Il notait
Messieurs, de multiplier ces exemples (1). Ceux qui précèdent nous paraissent de nature à apporter la conviction dans vos esp
3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intelligente ; ;- 7° Fille, 13 mois, paraît intel- ligente, bien portante, turbulente. No
uide céphalo-rachidien. Les différentes parties de la base du crâne paraissent symé- triques. Le corps pituitaire est petit, d
droit adhère à celle du lobe frontal gauche. Les circonvolutions paraissent simples et les sillons sont moyennement profonds.
nant quotidiennement du cinquième mois à la fin du huitième, qui paraissent avoir retenti sur l'enfant, puisque, dès le sec
la permission de lui donner des pots de graisse et de lard, qui lui paraissent pré- férables aux travaux de la classe, de l'at
l intérêt, ainsi qu'on le constatera dans l'avenir, mais dont on ne paraît pas encore avoir compris l'importance en dépit
ui est né après n'ont rien présenté d'anormal jusqu'à présent. Il paraît donc s'agir d'une maladie accidentelle. Or, la
. Température. 113 Les cas d'hétérotopie de la substance nerveuse paraissent être assez rares. Récemment M. Mate lien, a pub
temporal. - La Ire circonvolution temporale, assez bien développée, paraît normale à sa partie postérieure, mais à sa part
n développée surtout son cap. - Le cap et le pied de la 3e frontale paraissent atteints légèrement de méningo-encépha- lite. L
découpé ; il en est de même du lobule pariétal inférieur qui, lui, paraît avoir été atteint de méningo-encéphalite superf
ses frères, il a subi l'influence héréditaire d'autant plus qu'il paraît avoir été conçu alors que son père avait eu déjà
al ses aliments il cause de sa mauvaise dentition. La première dent parut à un an, les autres n'ont poussé que très lente
pupilles égales, pas de strabisme, ni de paralysie oculaire; la vue paraît normale ( ? ). Lèvres charnues. Bouche petite,
ntion obstétricale quelconque. A la naissance, l'enfant était beau, paraissait régulièrement conformé, n'avait pas de circulai
e l'on enlève en coupant la calotte circulai-, re'iÚcl1t à sa base, paraît nager dans le crâne comme dans un : lac.'Il'off
ance cérébrale. On peut constater sur la base des dépressions qui paraissent l'origine de la sci.'jsure de Sylvius. - Les pédo
bleus, pupilles très dilatées, égales, pas de strabisme, la vision paraît normale; néanmoins l'enfant sem- ble désagréabl
au-dessus des arcades sourcillières qui ne sont pas saillantes et paraissent symétriques. - Yeux n'offrant aucune lésion, ni
iminué notablement le nombre des crises. (Voir le tableau.) Sa mort paraît avoir été déterminée par asphyxie durant un acc
e suite, mais il avait un circu- laire du cordon autour du cou ; il paraissait bien portant. Nourri au biberon avec du lait de
licale ; le jour même de cette constatation l'enfant se plaignit et parut congestionné : le lendemain vers une heure du soi
entimètres de diagonale transversale. Pas de strabisme, les yeux ne paraissent point percevoir la lumière, les pupilles, moyen
ns sont le siège d'une certaine raideur. Le malade, - étant couché, paraît avoir un léger raccourcissement du mem- bre dro
67 ans, fait quelques excès de vin, mais les supporte très bien, ne paraît jamais ivre, est calme et ne présente aucun tro
urnée immobile et sans prendre de nour- riture ? 1 cet âge le crâne parut devenir plus résistant. Vers 4 ans, Vign... éta
soins, il glissait sur sa chaise. Son sommeil était régulier. Il ne paraissait doué d'aucun sentiment affectif. Par- fois il é
st nettement plus accentuée que la droite. La fontanelle antérieure paraît oblitérée, tandis que l'on sent très nettemeut
Pas d'exophtalmie. Iris bleu ver- datre. Pupilles égales. L'enfant paraît voir normalement ( ? ) Nez, écrasé il la racine
crasé il la racine, petit ; narines écrasées, horizontales. Vign... paraît sentir les odeurs. Bouche petite, entrou- verte
xion, on ne peut les amener dans l'exten- sion complète. Les tibias paraissent légèrement concaves en dedans. Les pieds plats
utréfaction n'a pu être décrit). - Le cervelet, le bulbe, la moelle" paraissent normaux; le canal de l'épendyme n'est pas dilat
ut marquée au niveau de l'os fronto- pariétal où la voûte crânienne paraît avoir son maximum de solidité. Les os ont une c
nt les côtés de la fontanelle postérieure. L'écaillé de l'occipital paraît peu développée relativement au reste de la voût
olé au feuillet pariétal, s'en détacherait un peu plus loin. Ce qui paraît confirmer cette apparence, c'ast que : 1° en ce
eux, en tout ana- logue au liquide céphalo-rachidien avec lequel il paraissait communiquer ; nous devons dire toutefois que, a
tante, mais est nerveuse, impressionable et pleure facilement. Elle paraît intelligente. [Famille de la 7zzèz'c. -Père , m
bservation d'un travail {Contribution à l'étude de t'idiotie) qui a paru dans les Archives de neurologie (1880, t. I, p. 6
tir des sillons irréguliers. Palais très ogival. Le voile du palais paraît déprimé par des végétations adénoïdes. Les amyg
bulbe, la protubérance, le quatrième ventri- cule, ni la moelle ne paraissent pas, macroscopicluemeut, être le siège d'une lé
ssion existe au-dessus des ar- cades sourcilières qui, par ce fait, paraissent saillantes. Pas d'asymétrie faciale. Fentes pal
La cicatrice ombilicale fait saillie. Les organes de l'abdomen ne paraissent le siège d'aucun trouble perceptible à la palpa-
te à 14 mois, on ne sait de quoi. Elle n'a pas eu de convulsions et paraissait intelligente. Notre malade. - La conception par
econnaissant, mais est fort susceptible. La sensibilité et les sens paraissent normaux. 26 juin. Moq... mange avec la cuillère
et le résultat' négatif d'une enquête à cet égard, ces accidents paraissent d'origine syphilitique. 1889. Durant toute l'an
Au début de son mariage, il aurait eu quelques douleurs de tête qui paraissaient avoir les caractères attenués de la migraine. A
sont les points d'accumulation de ce liquide. La substance nerveuse paraît lavée par le séjour dans ce liquide. Les ventri
eine par la couleur de la substance nerveuse avec laquelle elles ne paraissent pourtant pas se continuer. De chaque côté du bu
une parti- cularité, à part un certain degré de vascularisation qui paraît un peu plus considérable qu'à l'état normal. Il
s mamillaires sont tout-à-fait aplatis. Les autres nerfs de la base paraissent à peu près normaux. Les artères sont symétrique
que la piqûre, que les parties exposées à l'air, telle que la face, paraissaient un peu moins sensibles. 6° Organes des sens.
. 6° Organes des sens. L'ouïe, l'odorat, le goût, ne nous ont pas paru très profondément modifiés. Il n'en est pas de
me de la vue. Les hydrocéphales les plus accentués, tels qu'Ess..., paraissent être complètement aveugles. Presque tous ont la
n portante, intelli- gente ; elle a une petite fille qui a 29 mois, paraît forte et intelligente. Aucun autre antécédent p
la cornée normale. Iris châtain foncé, pupilles inégales (la gauche paraît plus dila- tée que la droite, mais à un nouvel
aît plus dila- tée que la droite, mais à un nouvel examen l'inverse paraissait se manifester) ; réactions pupillaires normales
Marche DE l'hydrocéphalie, 339 Lle;cewLne. - Les règles n'ont point paru ce mois. Aucun progrès n'est à constater. Le gâ
ent ces temps derniers sont moins fréquents. Les règles n'ont point paru cette année. Caractère plus doux, mais aucune a
igente et jouir d'une bonne mémoire. La physionomie de la mère, qui paraît intelligente du reste, 1'cssem}¡le un peu à cel
e se plaint actuellement (1893) de douleurs de l'oreille gauche qui paraissent dues à sa den- tition défectueuse. Elle est fai
cin lui demandant de le pardonner. Dans cette lettre, le repen- tir paraît nettement tenir à ce qu'il « s'ennuie de trop dan
mptant correctement, Peti ? qui jadis travaillait bien à l'atelier, paraît abuser de ses troubles oculaires pour ne plus t
ent une grande place. Dans une de nos observations, l'hydrocéphalie paraît nettement déterminée par la variole de la mère
le reproduire, et l'opération, jugée à ce simple point de vue, nous paraît tout au moins inutile. Le traitement médical
d'accidents méningitiques, après une rougeole. Cette enfant, qui paraissait intelligente, n'avait eu ni convulsions, ni para-
ins salés par semaine. La tête, toujours couverte de transpiration, paraît avoir légèrement diminué. 9 octobre. La mère
53 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
plus de dix centimètres de la crête épineuse. Son angle supé- rieur paraît remonté ; à droite, l'angle inférieur est écarté
rme une ligne à concavité interne. A droite l'articulation du genou paraît subluxée. Il existe un notable degré de pseudo-
du malade dans le service. Les deux articulations tibio-tarsiennes paraissent augmentées de volume. Le pied est tombant. ME
peut- être plus facilement discutable (les lèvres des myopathiques paraissent , dans la plupart des cas, pseudo-hypertrophiées
'avril, les contractures signalées précédemment ont à peu près dis- paru , quand se manifeste un strabisme interne de l'oei
ouble passager, qui disparaît au bout de 3 ou si jours et qui réap- paraît pour moins de temps. C'est sur ces entrefaites
'épilepsie partielle dans lesquelles le sys- tème cérébro-spinal ne paraissait pas atteint d'affection grave. M. IIu- chard (3
parfaite. Le diagnostic d'hystérie porté à la Salpètrière et qui a paru évident à tous ceux qui ont vu l'enfant ne peut
e. A commencé à parler vers un an ; son langage et son intelligence paraissaient même précoces. S'est développée d'une façon nor
e qui s'étaient probablement trouvée en défaut de surveil- lance ne paraissait pas en savoir davantage ou du moins ne voulait pa
Je vois depuis plusieurs années, de temps en temps, deux hommes qui paraissent parfaitement guéris du tabes par la faradisation.
en somme possible, et dès lors probable, quoique ce nerf n'ait pas paru touché lors de la suture de la plaie, le lendem
(1). Messieurs, cette digression sur le terrain de la médecine m'a paru né- cessaire pour vous mettre en garde contre d
ère opé- ration. Mais chez notre blessé d'aujourd'hui, la cicatrice paraît adhérente; il nous faudra évidemment disséquer
le du médius a repoussé : toute trace de troubles trophiques a dis- paru , et l'on ne voit plus qu'une petite cicatrice ter
92. Depuis qu'il a été déposé à l'imprimerie, plusieurs travaux ont paru sur le même sujet, entre autres deux communicat
e a été peu étudiée jus- qu'à ces dernières années. A l'époque où parut en France sur ce sujet le travail de MM. Charcot
une quantité considérable de travaux sur la syphilis de la moelle a paru dans ces dernières années. Depuis l'article d'IIe
au. En l'état actuel celle distinction rigoureusement comprise nous paraît difficile à faire : nous verrons par la suite q
u de localisation de celui-ci. Mais avant d'aborder cette étude, il paraît tout indiqué de jeter un coup d'oeil d'ensemble
n seulement ont été examinés histologiquement, le cerveau qui avait paru sain à l'oeil nu n'ayant malheureusement pas ét
celles qui ont envahi les tuniques veineuses ; leur lumière cependant paraît restée libre et on y aperçoit des globules sang
94 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gulum amorphe. Elles paraissent occuper l'espace périvasculaire des capillaires
t la commissure et les deux cornes, surtout les antérieures : elles paraissent constituées par une substance vitreuse ou collo
cornes antérieures au contraire, la ma- tière colloïde en question paraît s'être infiltrée au sein même du tissu fonda- m
par les réactifs, ait envahi la moelle par ce sillon. Bien qu'elle paraisse amorphe quand on l'examine avec un objectif fai
oplasie a envahi la moelle de cette manière (tu) ; leur destruction paraît avoir été beaucoup plus brutale que dans les te
cupés par une substance colloïde teintée en rose par le carmin, qui paraît absolument identique il celle dont nous avons sig
ence dans la substance grise. Ici, comme dans la substance grise elle paraît avoir pour siège non seulement les gaines lymph
nerveux dans les régions où cette matière colloide s'est infiltrée, paraissent sains pour la plupart. Quant aux altérations mé
la pau- pière est intact des deux côtés, la fente palpébrale droite paraît même plus éle- vée que la gauche, il cause de l
it dans une pension où on l'occupe à des travaux manuels et où elle paraît fort s'ennuyer. Antécédents personnels. Fièvre
mais il n'y a la rien de patho- logique. Quand on l'interroge, elle paraît ennuyée de répondre et manque de franchise. L
raît ennuyée de répondre et manque de franchise. La petite malade paraît très abattue ; son faciès est coloré et rouge. El
que par monosyllabes aux questions qu'on lui pose ; son intelligence paraît au premier abord assez obtuse. Elle se plaint p
est un groupe de gens attirés par la curiosité et le plaisir et qui paraissent fort tentés de prendre part à la danse. En avant
nt tribut ci l'affection. L'hiver dernier (1892), une phlyctène ap- paraît à l'extrémité de l'auriculaire. Une ulcération lu
ts; les artères ne sont pas athéromateuses. Les deux nerfs cubitaux paraissent un peu plus volumi- neux que normalement, mais
us- 128 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cles interosseux paraissent atrophiés. Le pouce a relativement conservé sa
spect gélatineux. Le fond de l'excavation est rouge, anfractueux et paraît constitué par les muscles de la région plantair
moins l'argument qu'on pourrait tirer de l'âge auquel a débuté ou a paru débuté l'affection est des plus spécieux ; en e
nchent sur les régions voisines. Cependant, en dehors des noevi qui paraissent d'ailleurs plus fréquents chez eux (2), on peut
ution pour des hypertrichoses symptomatiques. L'exemple suivant m'a paru di- gne de remarque. B..., 28 ans. Antécéde
épaisses. Ces troubles de la circulation augmen- tent l'hiver; ils paraissent avoir légèrement diminué depuis que le ma- lade
ttaque de rhumatisme a été intense et prolongée, mais aussi qu'elle paraît avoir touché le coeur si l'on prend en considérat
Par contre les troubles de la sensibilité aux membres inférieurs ne paraissent pas fréquents dans ces cas. Nous ne les avons rel
fisance aortique chez les alaxiques, le rhumatisme articulaire aigu paraît avoir été bien rarement relevé (1). Il faut don
ulaire dans le cordon latéral. L'existence deces petits foyers nous paraît s'expliquer tout naturellement de la façon suivan
de centres d'infiltration. Dans la substance grise, « le tissu, qui paraît raréfié est infiltré çà et là par une matière a
ment donné. Enfin le fait t de Siemerling, notre observation I nous paraissent de nature à donner une (1) LANCEREAUX, Leçons d
elques heures emporta le malade en moins de mois. La moelle fraîche paraissait saine à l'oeil nu. Mais le microscope montra des
tate aucune altération du canal rachidien ; les enveloppes spinales paraissent saines il l'oeil nu, les vais- seaux qui serpen
moelle sont gorgés de sang. Sur les cou- pes, la substance grise a paru seulement congestionnée dans toute la hauteur.
e; sa configuration sur la coupe est méconnaissable. La consistance paraît augmentée ; il existe manifestement une sclérose
la partie inférieure du renflement lombaire. Cette dernière région paraît absolument saine, à part la double dégénération
, dorsale inférieure et lombaire. Le bulbe, le cerveau, qui avaient paru sains à l'oeil nu, n'ont pas été conservés. Cou
re est peu touchée ; elle est modéré- ment épaissie ; en outre elle paraît plus adhérente qu'à l'état normal au tissu médu
érieure ne présente pas une seule grande cellule, on peut dire, qui paraisse normale sur les coupes. Les unes sont situées e
foyer, qui présente il l'oeil nu les dimensions d'une tête d'épingle paraît jig. z Une partie périphéri- que du petit foy
e très avancée, au point que tous les éléments nerveux avaient dis- paru . Les auteurs font remarquer à ce propos qu'il est
E. Imp. Vve LOURDOT, 33, rue des BallgDolies. Paris. Au moment de paraître nous apprenons la mort subite de notre cher et
de la parésie du muscle élévateur de la paupière en sorte qu'il me paraît impossible d'expliquer les parésies mi- miques
l des impulsions irrésistibles qui les (1) M. le D Dutil doit faire paraître prochainement une étude sur la pathologie des J
t qu'offrent ces cas au point de vue neu- ropathologique, il nous a paru curieux de comparer l'histoire de ces mala- des
et modernes qui ont popularisé le type du Juif-Errant. Et il nous a paru intéressant de rapprocher les anciens récits dans
mplainte. Et Gustave Doré qui en a fait de vastes illustrations, ne paraît pas avoir compris la figure du Juif-Errant avec l
t intéressant de connaître l'auteur de ce type primitif sur. lequel paraissent calqués tous les autres. Cependant, tout en conti
e grise a sa configura- tion normale. Les cordons postérieurs seuls paraissent avoir souffert : ils pré- sentent une coloratio
toute la région, les cellules nerveuses qui com- posent ces noyaux paraissent peu nombreuses et diminuées de volume relative-
vaso-vasorum sont oblitérés en grand nombre. La tunique musculaire paraît normale; l'élastique est comme tendue, et ne décr
icale à ce sujet, on trouve un certain nombre de faits publiés, qui paraissent , pour ainsi dire, calqués sur le précédent jusq
t remarquer il ce propos que la syphilis, dans les centres nerveux, paraissait suivre fréquemment une marche descendante. Nous
DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 217 Jusqu'ici tous les accidents paraissent être en relation avec une poussée de méningite
laire. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 221 L'histoire suivante paraît copiée, pour ainsi dire, sur la précédente, en
l'apparition d'accidents syphilitiques du côté des centres nerveux paraît avoir été déterminée par un traumatisme moral,
ans les différents segments des membres inférieurs ; cependant elle paraît diminuée à droite. Au niveau du pied, du genou,
ue la paralysie de l'oculo-moteur gauche n'est pas tout à fait dis- parue . Les mouvements du cou sont parfaitement libres
plégies syphilitiques le plus communément observées en clinique lui paraissaient présenter des caractères assez spéciaux pour être
légie vulgaire. Mais les événements antérieurs à sa paraplégie nous paraissent assez caractéristiques pour justifier il eux seul
le, peu vigoureux, mais sans aucune lésion viscérale. L'étal mental paraît normal aujourd'Ini : il ren- seigne bien sur le
ie signale expressément cette particularité dans une récente leçon, parue dans la Semaine médicale (1893). Notre maître M
pendance les symptômes cardinaux de l'ataxie locomo- trice. Mais il paraît en être très rarement ainsi : et, au point de vue
intérêt de remarquer à ce propos que l'action du virus syphilitique paraît s'exercer de très bonne heure sur les centres ner
térations des méninges et des parois vasculaires. Un premier fait paraît acquis, c'est que les lésions des veines spinales
état déplorable et fut reçu à l'hôpital anglais où il resta traité, paraît -il, pour un « rhumatisme », à l'aide de l'électri
té droit du corps. Ce sont là, en effet, des circonstances qui nous paraissent avoir joué un rôle important dans le développem
ontre pas de symp- tômes neurasthéniques bien accentués. L'hystérie paraît être chez lui pri- mitive : pour le moins c'est
physique et moral de ce malade. Mais ses récents malheurs ne l'ont, paraît -il, nullement guéri de sa manie des voyages, ca
ent tous les membres, etc., etc. Toutes ces impressions, le sujet paraît les avoir observées, analysées et mé- ditées lo
l énu- mère en répondant tous les chapitres de la thérapeutique. Il paraît avoir expé- rimenté la médication révulsive sou
enise 1583 et 1605, in-folio, divisé en 7 livres. Le même ouvrage a paru en latin sous le titre de Ghir1trgiæ universali
ste, si l'au- teur vénitien connaît Bérenger de Carpi, il ignore ou paraît ignorer le tra- vail de Paré, à peu près contem
se manifeste par une augmentation du pigment, au milieu duquel ap- paraît la couleur blanche de la sclérose. La réaction
27. La température du corps est normale. Les tâches bleuâtres dis- paraissent sans laisser de traces. Quand on mesure avec un r
u 4° jour; dans la région fémorale les lâches bleu-pourpre ont dis- paru . 21 juillet. Les métatarsiens el les articulati
chymoses et les stases e trauma commencent à disparaître. Il nous a paru nécessaire de nous étendre sur tous ces détails
ne resta que quinze jours, les médicaments qu'on lui prescrivit lui parurent absolument inef- ficaces, car elle eut trois at
s la langue du pays (1) ». Quoi qu'il en soit, l'origine germanique paraît indéniable; peut-être tous sont-ils alle- mands
l dit dans la complainte, et plus loin : A voir votre visage Vous paraissez fort vieux Vous avez bien cent ans Vous montr
ant, à tomber sous le coup de la police. Or, l'hystéro-neurasthénie paraît chose vraiment fréquente parmi les miséra- bles
54 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
e. Paris, 9 juillet 1840. « Mon très-honoré confrère, « Vous me paraissez avoir une vénération si vraie, si profonde, si pl
me parait une prétention hardie, une espérance irréalisable. 0 Vous paraît !... Ainsi, à vos yeux, ma prétention de réforme
répondant à M. Bouillaud, s’exprimait à ce sujet; ses arguments nous paraissent sans réplique ; il adressait ses réflexions à un
lus petits, même les plus cachés... Tous ses sens, et surtout le tact paraissaient dédoublés. _ « Voilà les caractères qu’elle ava
re nous a fait connaître le résultat des séances de ce personnage qui paraît être resté bien au-dessous de son programme. Il
pas prendre sur moi de statuer dans cette affaire ; il faudra qu’elle paraisse devant les assises. M. Lewis. — Il n’y a aucune
avec l’alcool la troisième trituration. Des liomœo-palhes, qui m’ont paru en cela parfaitement logiques, reconnaissent que
rieuses de faits observés à des points de vue très-différents, et qui paraissent indiquer que les substances matérielles seraient
n amour mutuel. De ce moment, le somnambulisme, de plus en plus rare, paraissait devoir bientôt disparaître entièrement. Mais le
e littéralement la salle d’audience se portent sur Mlle Bressac. Elle paraît émue, et, pour se rassurer, elle cause avec son a
n, jadis chef suprême de la religion Saint-Simonienne, vient de faire paraître un volume intiluléSWwic« de Chomme : il y reprodu
eule m'a rendue plus calme, u En effet, quelques minutes après , elle parut soulagée. u Immobile de surprise, je m’informai
ors de ces phénomènes. D’ailleurs ses idées sur cette matière ne nous paraissent pas bien fixées. La principale autorité qu’il inv
orts; 6° songes qui offrent des visions diverses. Ces catégories nous paraissent peu rationnelles. Un grand nombre d'autres aute
res d’Artémidore, le grand devin des songes, le seul passage qui nous paraisse digne d’attention est le suivant, dont le sens ré
dont ma femme avait fait preuve : le résultat obtenu et constaté m’en paraît être une suffisante confirmation. « Veuillez ag
et je me réserve de vous signaler par la suite tous les faits qui me paraîtront utiles à la science magnétique. (i Recevez l’as
n s’appuyant sur des faits nombreux et d’un contrôle facile, pourrait paraître digne de soutenu-l’examen des hommes de la scienc
en tirer un parti convenable, à une série d’actes physiologiques qui paraissent surnaturels. » L’auteur décrit les effets variés
aurait pu les croire super-ducs et intempestives, tant la démonologie paraissait frappée de discrédit ; les possessions n'étaient
érieusement des faits de possession calqués sur ceux du moyen âge, et paraissent s'inspirer de la Fleur des saints et de la Légend
moyen de contrôler l’exactitude des pharmaciens. Cette exactitude lui paraît douteuse lorsqu’il s’agit de faire vingt, trente
d rôle et qui peuvent fournir tant de lumières à la psychologie. Elle parut comprendre qu’il était de son devoir de ne pas re
observait fort bien notre maître à tous, M. le baron du Po-tet, il ne paraît plus d’ouvrage important de médecine qui au moins
rce herculéenne; après l’avoir magnétisé si\ minutes, benqu il no parut point sensible, je le priai de se lever, puis, me
e ; elle en suivait la lecture avec autant d’intérêt que moi-même, et paraissait contente d’apprendre les diverses péri pitiés d’u
vais sens ; la vision sans l’intermédiaire de l’organe externe ne lui paraît pas impossible ; et, s’il n’accepte pas lès faits
psychologique qui n’est ni pensée claire, ni acte libre, et qui nous paraît être, par excellence, le fait de sens intime plei
on et l’affaiblissement de la vie ordinaire, noire âme et notre corps paraissaient transparents, lumineux, pleins de force et de sér
cette école, pour refuser d’accepter les épreuves des concours ou de paraître devant les commissions d’examen ; ils ajoutent au
est celui où nous nous trouvons le plus souvent (et c’est pourquoi il paraît au sens commun J’-état normal), l’âme est en rela
touche et ne rend des sons que par son impulsion. De là, ce qui nous paraît fortuit, capricieux, bizarre, dans ^inspiration d
de la nécromancie. Mais ces sentiments étroits, tout naturels qu’ils paraissent , n’en sont pas moins étrangers, assure-t-on, au c
avisés, les spiritualistes n’en trouvent que deux dont l’abaissement paraisse indispensable, savoir, l’autorité de l’Eglise cat
rien au-delà de ce qu’il y trouve écrit. Mais cette explication, qui paraît bien simple, est pourtant sujette à de graves dif
(1) 1657, page 233. font enfoncer des sabres dans le ventre, qui paraissent insensibles à la douleur, etc. M. Iloudin, après
dispensa- (I) Nous avons déjà donné du même auteur un article qui a paru dans le n* 5S du 10 mars 1859, page lîl. Cet arti
aron du Polct de l'insertion de ses deux prudentes relations qiii ont paru dans le numéro du Î5 m«rs, n. 54. « Craignant
t et s’enquérir des résultats qu’il obtient. Si étranges que puissent paraître ses affirmations à des personnes étrangères à tou
teurs semble se reposer sur ses conquêtes ; aucun travail sérieux n’a paru cette année. Le spiritualisme a partagé le monde
plutôt contre M. Laurent et Mlle Prudence. Cette critique nous avait paru des plus faibles et aller presque à rencontre de
. La seconde expérience, dans laquelle il commit une erreur, nous a paru des plus curieuses, précisément à cause de cette
is que les opinions, que Deleuze ne regarde pas comme probables, nous paraissent à nous non-seulement probables, mais même certain
as relever un défi, c’est s’avouer battu, et que M. Mabru pourra bien paraître comme un géant Goliath qui n’a pas encore rencon-
à la perception des sons est peu parfait chez les serpents, et ils ne paraissent pas avoir l’ouïe très-line. La couleuvre était d’
es, et dont. 011 vante la lucidité : l’ouvrage qu'elle vient de faire paraître prouve qu’elle est également distinguée par les q
ns mon ouvrage intilulé : Du Magnétisme e( des sciences occultes, qui paraîtra prochainement. ceux qui, ne jouissant d'aucun
s communs consiste dans les coups mystérieux ; ce sont des bruits qui paraissent n’être dus ni à une action humaine, ni à aucune d
ourne-broche ; ils étaient suspendus à la volonté de la jeune fdle et paraissaient avoir leur siège dans les muscles de la région lo
t tenu de manière à ne pas être vu du médium. Une première expérience parut favoriser l’hypothèse spiritualiste : une réponse
lum. — Dans le dernier numéro de la Revue spiri-lualiste qui vient de paraître , M. Matthieu, auteur de plusieurs ouvrages estimé
dit qu’un courant magnétique s’échappait de son abdomen, courant qui paraissait fuir en ligne droite. Si alors je tenais la main
rencontrait le courant, il pouvait presque en mesurer le diamètre qui paraissait avoir 5 ou 6 pouces. Comme je viens de le dire, l
netteté à toutes les questions qu’on lui adressait. Seulement il m’a paru que ses réponses étaient beaucoup moins justes, q
il fut revêtu. Dans tous ces phénomènes, le rôle du miroir 11e nous paraît que d’une importance secondaire : ce n’est guère
onde fois que le mot de commissaire de police a été prononcé, ellem’a paru se réveiller spontanément. Je crois, sans pouvoir
de grandes et publiques calamités. La forme parfaite d’un arc indien parut dans l’air à New-Plymouth, il fut considéré par l
ARIÉTÉS. TRIBUNAUX. — AFFAIRE BERNEY. Dans le com pte-rendu qui a paru dans notre dernier numéro d’une affaire d’escroqu
populations, l’ignorance et le superstition. Mais ces faits leur ont paru fort peu graves, et ils les ont classés parmi les
mèdes propres à soulager et même guérir les mala-« dies du corps ; il paraît savoir des choses qu’il ne savait ■( pas et q
incapables dans leur état ordinaire. Voici un nouvel exemple qui nous paraît surpasser tout ce que l’on connaît dans ce genre.
h I voilà la lune qui se cache. » Et elle continua de travailler sans paraître gênée le moins du monde. Quand elle avait répon
e moins du monde. Quand elle avait répondu à quelque question, elle paraissait oublier, un instant après, qu’il y eût du monde d
ux ont ôté tant de fois témoins? A ces dernières paroles, mes sœurs parurent s’émouvoir. Elles se consultèrent, se levèrent et
erre, et si nous osons la mettre un instant en doute, si parfois nous paraissons même la combattre avec assez de force , ce n’est
nous avons lu sur ce sujet dans les magnétistes spiritualistes nous a paru si faible, que nous n’avons pas même cru devoir l
dernier argument, que nous ne craignons point de produire nous-même, paraîtra au premier coup d’œil une arme très-forte dans la
s pour faire taire les intérêts engagés dans les messageries et faire paraître la vapeur? Combien de temps pour convaincre les i
n, pour un soulagement qu’elle avait demandé en vain à la Faculté. Il paraît que ses médecins s’étaient complètement trompés s
euve que c’était bien elle qui revenait chercher son fils, en faisant paraître le nombre 13 dans l’époque de sa mort et le vendr
a peu de temps après. >» PUBLICATIONS NOUVELLES. 11 vient de paraître un nouvel organe du magnétisme. M. Lafontaine, ma
urnal de M. Lafontaine se publie à Genève, quai des Bergues, 1 Zi, et paraît le 15 de chaque mois, sous ce titre : Le Magnétis
chée avec l’enfant le plus petit. Ses yeux se remuaient pt ses lèvres paraissaient parler, mais elle ne disait rien. La bonne se mon
des Songes de M. Conrot, nous publions aujourd'hui la suite qui nous paraît toujours avoir un grand intérêt, et comme l’écriv
e retour chez moi, je considérai attentivement mes enfants; l’aîné me parut souffrant. « Où as-tu mal? Au ventre? Y sens-tu d
cle de nos connaissances, et que les expériences de M. Tréfeu doivent paraître , au premier abord, chose à peu près incroyable, j
dans les mômes conditions que le médium de M. Mathieu, peut faire paraître sur le papier quelques mots écrits. Un membre d
t ainsi un ou deux mots qu’on peut même, avec un peu d’adresse, faire paraître quatre fois, aux quatre coins du papier. Divers
ntenant pareillement édifié sur la seconde manifestation, qui m’avait paru , je dois le dire, tout aussi suspecte que la prem
la science soit pur? et sans souillure. B°" du Potet. Nous ferons paraître prochainement les observations qu’a suggérées à M
tel est élevé sur le devant de la porte du temple. « Enfin le bokle paraît . Il s'avance gravement au milieu des acclamations
violentes du système musculaire succéda un état de calme complet; il paraissait endormi, ses yeux étaient fermés, et pourtant, so
t venu eu plein midi et en pleine veille. Les passes magnétiques me paraissent être la cause de l’état actuel de l'enfant : je n
60).-Ge«mer Baiu.ièrb, éditeur. Cet ouvrage important, qui vient de paraître , mérite un examen approfondi : nous nous proposon
frayant, une création ex nihilo... Voilà ce qu’on apprend, à ce qu’il paraît , sur les bancs de l’école. Vertu admirable du dip
voyait rien. Il fit de son mieux pour rassurer son camarade. Le jour parut , et avec le jour des occupations assez sérieuses
possédé en criant : Voilà que j’aperçois un enfant comme moi, qui me paraît avoir quelque chose d’angélique. Et il en donna u
descendait l’escalier et embrassait un autre de ses frères. Cela parut alors impossible aux assistants, parce que ce mêm
es frères qui était mort encore jeune : l'enlant le vit en effet ; il paraissait gai et content, ce qui fit penser qu’il était dan
des artères dans leur gaines communes avec les veines; ces causes ne paraîtront jamais suffisantes à ceux qui exigent, pour se re
pouvait dire au règne de quel souverain appartenaient ces pièces. 11 paraît même que cette malade réussit à épeler le mot com
oignis ce que les adeptes appellent pusses magnétiques. Le sommeil me parut profond, et toutefois la malade répondait à mes q
eurs centimètres de profondeur, et, depuis un an qu’elle existait, ne paraissait pas devoir se cicatriser. J’eus recours à des inj
expériences, ayant remarqué dans tous les ouvrages que vous avez fait paraître jusqu’à ce jour, que votre désir sincère est le b
nstrations étaient réellement sincères, et quelques expériences enfin parurent offrir quelque intérêt. Le silence était complet.
er une main, puis l’autre sur scs yeux, pour combattre, à ce qu’il me parut du moins, un commencement de sommeil. Un léger Ir
son sujet. i Je l’avais vue combattre un sommeil naissant qui me parut sinon naturel au moins assez étrange ;et, ne pouv
ptions des lieux enchanteurs qu’ils parcouraient et dans lesquels ils paraissaient entrer en rapport direct avec des êtres de beauco
à l'examen consciencieux des spiritualistes une révélation qui nous a paru tant 6oit peu moins illusoire que les autres, et
seront utilisés avec fruit. Son explication de la lucidité 11e nous paraît pas heureuse. A propos d’un cas où une somnambule
. AVIS. A dater du 10 janvier prochain, 1 e Journal du Magnétisme paraîtra illustré de gravures au trait représentant des sc
AVIS. A dater du 10 janvier prochain, le Journal du Magnétisme paraîtra illustré de gravures au trait représentant des sc
r- Peu ^ temps auparavant, et avau fait des prières pour elle ; et il paraît qu’il lui avait persuadé que les guérisons par le
culents, puis elle revint chez elle. En quelques jours, le cancer parut être délogé de l’estomac et fut expulsé en morcea
ups avec la conviction qu’il faisait un acte de bonne justice ; aussi paraît -il très-étonné de se voir traduire devant la cour
t celle de l’avenir. L’auteur repousse certaines explications qui lui paraissent déraisonnables, et il avoue qu’il n’en a aucune a
; pour l’étranger, 10; pour les pays surtaxés, 12. Le second numéro a paru . Baron dd POTET, propriétaire-gérant. AVIS.
AVIS. A dater du 10 janvier prochain , le Journal du Magnétisme paraîtra illustré de gravures au trait représentant des sc
IMAL. « Le magnétisme auimal, gagnant journellementdu terrain, nous paraît mériter l’examen des hommes de science. Je compre
peau, etl’état desyeux qui étaient convulsés vers le haut, ce sommeil paraissait tout à fait naturel. « Le ÿ au soir, je trouvai
’insecte lui fait mal. — M. Gros essaye de la démagnétiser; la malade paraît en souffrir, et il me faut beaucoup plus de t
, la menstruation s’établit sans accidents. «Le 12 mars, les règles paraissent plusabondantes que depuis bien des années. «P.
procédés, il est facile de faire varier les bruits de manière qu’ils paraissent venir de diverses directions et produits par diff
ons. «Les bruits que fait entendre le médium par le jeu des muscles paraît quelquefois venir de loin : c’est une illusion pr
ppose ordinairement, mais il en gradue l’intensité de manière à faire paraître le son plus ou moins éloigné ; il dissimule en mê
, l’attention des auditeurs vers les endroits d’où il veut que le son paraisse provenir. Chez les frappeuses de Rochester, le ge
cent alors la jambe en contact avec une partie de la table, les coups paraissent venir de dessus la table. Mais si le membre n’est
table. Mais si le membre n’est en contact qu’avec le parquet, le son paraît venir d’en bas. Quelquefois les frappeuses , dans
touchent avec leur jambe ou si elles se tiennent tout auprès, le son paraît venir de la porte, et l’on peut la sentir vibrer;
vibrer; si elles se tiennent à quelque distance de la porte, les sons paraissent venir d’en bas. En réalité, les coups ne paraisse
a porte, les sons paraissent venir d’en bas. En réalité, les coups ne paraissent jamais venir d'une grande distance, à moins que l
ient invariablement entendre quand ils étaient demandés ; les sons ne paraissaient jamais venir de la porte, à moins que mademoisell
r toucher de son pied le pied de la table; mais généralement les sons paraissaient venir du parquet, dans le voisinage du médium, bi
elà salle, il arrivera, comme pour le cas de ventriloquie, que le son paraîtra venir de là. C’est une chose bien connue que cett
de variété dans l’intensité des sons et dans les directions d’où ils paraissent venir. Et personne n’est en droit de dire qu il n
lus heureux ; je frappai trois coups sur le mur d’où les sons avaient paru venir, et je dis d’une voix impérieuse : «Qui es-
nftiqitc, bien que, d’après les statuts que nous avons reçus, elle ne paraisse pasconsacrée spécialement à la magnétisation des
, M. A. S. Morin, intitulé : du Magnétisme et des Sciences occultes , paraîtra à la fin de ce mois, à la librairie de Germer Bai
vais donner au journal une partie des gravures destinées d’abord à ne paraître que dans mon ouvrage de la Thérapeutique divine e
omme 011 le verra par la lecture d un article de RI. Jos Barthet, qui parut dans le journal en octobre 1851, pages 520 à 574
ait à ce disque une action directe électrique ou galvanique ; mais il paraît que sa composition est indifférente, et qu’il ser
que si les effets suggérés et commandés, dont le sommeil puységurique paraissait être la condition, s’obtiennent dans l’état de ve
nsmouvcmenlapparenl cI qu’on peu! mémo les modifier de manière qu'ils paraissent venir de différentes directions, et personne ne p
55 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
enté par M. l'Archi- tecte, et dont je viens de vous entretenir, me paraît entraîner des modifications tellement important
que se conformer à la loi. Tout autre genre d'intervention ne nous paraîtrait pas justifié. M. 13AILLY. Ce n'est pas au point
RVICE médical. LXXXVII surveillance de l'Assistance publique nous a paru trou- ver naturellement sa place ici. M. RISL
pour les enfants gâteuses au réfectoire. Cette énumération nous a paru utile, car elle mon- tre comment il a été possi
u niveau de la base du crâne, les fosses moyennes et cérébelleuses, paraissent un peu moins développées à droite qu'à gauche.
sérieuse sur le foetus. V. L'imbécillité, qui était très prononcée, paraît d'origine congénitale et avoir été aggravée par
envoyé sans succès à l'école et loin de s'améliorer, sa situation paraît s'être empirée : sous l'influence des moqueries
as de lésions oculaires,pas de strabisme ou de nystagmus. La vision paraît être normale. Le nez est droit, un peu épaté ma
a mère. Il n'aurait jamais eu de convulsions et son - développement paraissait se faire normalement. - A 6 mois on remarqua qu
er à côté de lui. Les yeux étaient hagards. Il riait quelquefois et paraissait s'intéresser un peu aux ' jouets qu'on lui donn
et que son soulier était usé davantage de ce côté ; , 1 en outre il paraissait plus maladroit de la main droite que de : la ma
à l'hôpital. Il y resta 15 jours. A sa sortie le gâtisme avait dis- paru . Il fit après cela un séjour de 2 mois à l'hôpita
Autopsie : Sarcomes DU ceryelet. ' nerveuse avec laquelle elles ne paraissent cependant pas se continuer. De chaque côté du b
n nourrice. Il était bietï portant à-ce moment et son développement paraissait se faire normal lement. Sa mère ne le revit qu'
. Pas de déformation de l'hélix, de l'anthélix ou du lobule. L'ouie paraît normale. Les membres supérieurs ne présentent n
braux ne sont pas dilatés. La quantité de liquide céphalo-rachidien paraît normale. Au point de vue morphologique, les cir
terne des hémisphères. Les noyaux gris centraux, le corps calleux paraissent normaux à l'examen macroscopique. La glande pin
enfin les troubles vaso-moteurs, ensemble symptomatique qui nous paraît de nature à conduire, pendant la vie, au diagno
. 6 : , ) cas là, il est facile de voir que la déviation oculaire paraît correspondre à un trouble nerveux unilatéral :
Nous avons dit que ce strabisme s'exagérait par instants. Il nous paraissait donc lié à un trouble nerveux de l'appa- reil d
n de phosphate de chaux. 9 juillet. - On supprime les douches qui paraissent être douloureuses. État actuel. 10 Juillet. T
se ma- nifester pendant la nuit. 27 Le malaise a cessé. L'enfant paraît reprendre un peu. 22 juillet. L'enfant est faib
tem- poral semble normal, mais d'une façon générale tout ce lobe paraît légèrement atrophié, et un peu chagriné. Il se tr
ns la continuité de la scissure calloso-marginale. Le corps calleux paraît atrophié, surtout dans sa moitié antérieure ; i
ofonde. Ses bords écartés laissent voir le lobule de l'insula. Elle paraît se continuer en arrière avec un sillon ascendan
illons et des circonvolutions nor- males, mais dans son ensemble il paraît un peu atrophié et en retrait à sa partie infér
circonvolutions du lobe temporal, surtout à sa partie supé- rieure, paraissent un peu chagrinées. Le cervelet a son lobe droit
Tête : voûte, très-légèrement asymétrique : toute la moitié droite paraît reportée en avant; la bosse frontale droite est
es, pré- domine cependant sur celles du côté gauche. L'anesthésie paraît plus marquée aussi à ce niveau (froid, piqûre). D
ale : -Rien du côté de la vision, de l'ouie, de l'olfaction.Le goût paraît plus délicat à droite qu'à. gauche. DESCRIPTION
e douleur dans les testicules et au niveau des anneaux, les parties paraissent être d'une 11y17crcsthèsie notable au toucher q
Série d'attaques, comme celles décrites ci-dessus. Bien des choses paraissent exagérées dans ces ac- cidents : témoin ce fait
de localisation. Du côté gau- che, môme état de la sensibilité qui paraît seulement un peu obtuse sur la cuisse, sauf à l
ité générale : Notablement diminuée des 2 côtés ; dans le dos, elle paraît inégalement développée des 2 côtés, des zones m
de la salle : pas d'achromatopsie ni de dyschroma- topsie. L'odorat paraît plus développé à droite; l'ouïe, de même. - Le
les mois. 1886. Janvier. Poids : 56 k. 20 février. La sensibilité paraît plus développée à gauche qu'à droite. Déformati
eau et qui entraîne, comme (11 Ce mémoire et le suivant auraient dû paraître dans le Compte rendu de 188). Mais il a été imp
siré et ce n'est qu'au mois d'octobre que le volume du Congrès a pu paraître . De là, aussi, le retard de notre Compte rendu de
ataviques et dès lors, d'autres caractères moins déci- sifs m'ont paru plus vraisemblablement de nature (1) Ibid., p.
la femme de son frère, et de la Paria indoue, de Schort, qui eut paraît -il, un enfant mort-né. « Peut-être, ajoute- t-i
rconférence. Ses testicules avaient le volume d'une olive, le droit paraissait être un peu plus volu. mineux que le gauche.
aient pas déviés, mais déjà ils remuaient presque constamment. « Il paraissait ne rien voir. On ne pouvait fixer son attention
peu souples et étendus dans l'axe de la jambe : au premier adord il paraît exister un pied-bot, ce qui doit tenir à ce que
réguliers. Toutes les articulations sont assez souples; les genoux paraissent volumineux, en raison de la maigreur des membre
ultat. La canule a été introduite sans difficulté. La respiration a paru d'abord se rétablir avec facilité, puis elle es
lotte crânienne a été enlevée et la pie-mère incisée, le cerveau ne paraissait en retrait, par rapport au cerve- let, que de d
l gâtait, mais sa mère lui apprenait les prières, les 1 et 1res (il paraît avoir oublié cela ici 136 Microcéphalie. au d
ture de valériane (faible il est vrai) lui parait agréable. Le goût paraît peu délicat : Jan. recon- nait le sucre et le s
ndait, il cessait. Il n'était pas méchant, mais colère, boudeur. Il paraissait aimer sa tante, mais il avait l'air de la crain
dorat est obtus : l'ammoniaque, la valériane, l'eau de Cologne ne paraissent faire sur lui aucune impression. En ce qui con-
gâteux; il lui était impossible de se tenir debout. La jambe gauche paraissait un peu plus faible que la droite. On notait che
nique avec le ventricule latéral. Enfin dans notre dernier cas, qui paraît calqué sur le précédent sous le rapport anatomo
re pas ; parfois pousse de petites plaintes. Pas de vertiges. Il ne paraît pas-savoir se servir de ses mains. Tel qu'on le
l'extrémité postérieure, on trouve une circonvolution sinueuse qui paraît répondre au lobul pariétal supérieur. En arri
dilaté ; il est plutôt étroit. La couche optique et le corps strié paraissent réguliers. Hémisphère droit. L'une des photogra
e en avant et incomplètement par un sillon longitudinal de ce qui paraît être la circonvolution de l'hippocampe. Il présen
ascendantes, frontale et pariétale. Cette masse longitudinale nous paraît répondre à une partie de la circonvolution fron
e voit une masse de substance blanche, volumi- neuse, arrondie, qui paraît correspondre aux ganglions céré- braux. En avan
emporale qui est irrégulière. z Le corps strié et la couche optique paraissent sains, normaux. - Le ventricule latéral n'est p
développé, avec des sillons très superficiels. Le corps opta-strié paraît normal. - Le ventricule latéral n'est pas dilat
n passait en- suite deux ou trois semaines sans en voir revenir. Il paraissait y avoir une aura, car Paul s'écriait quelques s
nt aucune saillie et le pubis étant glabre. La glande thyroïde ne paraît pas exister. Au-dessus des clavicules, il y a d
he en se dandinant un peu. Elle se sert de ses mains. Tous les sens paraissent normaux, mais la perception est bien lente. La
guration de la tête ne présente aucune anomalie, et les fontanelles paraissent fermées ( ? ). Lourdeur prononcée de la partie
e pénil est glabre ainsi que les aisselles; les règles n'ont jamais paru . Les mains sont courtes, larges, bouffies et fr
ous avons relevés chez nos malades. Mais il en est quelques-uns qui paraissent faire défaut, par exemple, l'alopécie partielle
eveux, secs à la racine, assez soyeux à 5 ou 6 centimè- tres de là, paraissent plus gros en arrière; ils sont longs, noirs, av
ès prononcée. Les dernières côtes sont saillantes. Ces déformations paraissent plus accentuées lorsqu'on exa- mine la malade d
ique. La sensibilité générale, ainsi que la sensibilité spéciale, paraissent conservées. Voici quelles son tics principales di
56 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
trop multipliés, la canule de Pellier, adoptée par M. Malgaigne, nous paraît préférable aux autres. 4° Enfin plusieurs chirurg
riser la plaie. Aucun accident n'est survenu. — Pour un cas qui lui a paru semblable, M. Malgaigne a pratiqué la perforation
érieur, et a laissé le fil à demeure jusqu'à ce que le trajet lui ait paru assuré. Le malade a guéri sans larmoiement, quoiq
convenable. Le procédé de Pellier, qui agit de dehors en dedans, nous paraît donc encore le meilleur. Appréciation. En réc
Laforest. Sous ce rapport le ca-théter et la sonde de M. Gensoul nous paraissent les meilleurs et ceux dont l'emploi est le plus f
t le trajet normal, est préférable aux autres; mais dans le cas où il paraîtrait inapplicable, la perforation de l'os unguis perfe
îtrait inapplicable, la perforation de l'os unguis perfectionnée nous paraît devoir rester dans la science. ORGANES PROTECTE
se et la conjonctive sont intéressés, la peau étant intacte, qui nous paraît ressembler le plus à celui des anciens décrit dan
vec soin et s'assurer de l'effet produit. Si la rétraction de la peau paraît suffisante pour corriger l'introversion delà paup
ce, à cautériser légèrement la surface de la plaie. Mais si le cancer paraît avoir envahi dans l'épaisseur de la paupière, il
d'aucun homme en particulier, l'ingénieuse opération de la cataracte paraît avoir être l'un de ces produits des efforts combi
une opération qui n'est pas actuellement nécessaire. Ce conseil nous paraît devoir être suivi. Quand le malade voit encore d'
des cas nombreux où la sortie d'une certaine quantité de ce liquide a paru concourir plutôt que nuire au succès de l'opérati
en venir à broyer le corps opaque, le kystotriteur de M. Furnari nous paraîtrait trop faible; nous avons dû le rem-placer par des
e, un des plus grands inconvéniens du procédé de Scarpa. Mais il nous paraît également douteux que le recollement puisse être
t l'incision de la cornée suivant la modification de M. Walther, nous paraît devoir être préféré. C. Décollement. Exposant m
die à une simple dif-formité qu'en en produisant deux autres, ne nous paraît , ni par son but ni par ses résultats, devoir être
u simple stylet coudé à angle de i35° (pl. i , fig. 2). Sa forme nous paraît plus conve-nable que celle donnée aux autres cath
en bouchant préalablement par un tampon son orifice pharyngien, nous paraissent ce qu'il y a de plus convenable. Pour l'extract
du cautère actuel, les médecins qui lui ont succédé dans l'antiquité paraissent avoir toujours préféré les caustiques. Philoxènc
l'invention même d'un porte-liga-ture. Cet instrument, du reste, nous paraît offrir l'inconvénient d'être trop large à son ext
dont les trois branches s'écartent et se rappro-chent à volonté, nous paraît préférable sous ce rapport, l'instru-ment pouvant
ain, et faisant renifler le malade parla narine du côté malade, l'air paraît traverser avec facilité la fosse nasale, c'est un
dedans. Ce procédé, qu'on pourrait appeler pro-cédé d'élection, nous paraît réunir tous les avantages : i° on at-taque le sin
veilhier ont trouvé que les lèvres, dès quelles commencent i poindre, paraissent entières, et qu'à aucun âge fœtal elles ai sont f
a plaie; mais on ignore comment la suture était pratiquée. Les Arabes paraissent avoir employé celle du pelletier. Heuerinann, Oll
s dans les premiers temps avec ce procédé par MM. Mott et Mighels, il paraît néanmoins que l'on n'a pu tou-jours éviter les ré
ntels en travers, il les dirige de haut en bas; modification qui nous paraît avan-tageuse, le peu d'éloignement du muscle mass
ns que, malgré le résultat expérimental sur lequel on s'appuie, il ne paraît nullement probable que la liga-ture , bien plus e
n. Ce moyen, proposé par M. Velpeau, n'a pas en-core été essayé, mais paraît assez rationnel. Son auteur indique de comprendre
e mince feuille d'or fixée par une mouche de poix de Bourgogne. Il ne paraît pas déraisonnable de penser que ce moyen, très si
tules parotidiennes, le vésicatoirc, comme étant le plus simple, nous paraîtrait devoir être essayé d'abord; et s'il était sans ef
hève de la détacher soit par déchirement, soit par excision : si elle paraissait tenir encore par quelque prolongement vasculaire,
use ou purulente, des calculs, etc ; mais comme le siège delà maladie paraît peu varier, il en résulterait que, dans la plupar
. Reste à indiquer le procédé proposé par M. Maingault, et qui nous paraît fort rationnel. Pour éviter de pratiquer une plai
petit malade guérit parfai-tement. Toutefois cette première tentative paraît être restée com-plètement dans l'oubli. Il en est
le système de M. de Pierris, et opère l'avivement d'un second coup, a paru d'abord vouloir trop exiger d'un instrument; déjà
striction, les serre-nœuds de MM- Grafe, Colomba! et Donigès ne nous paraissent pas apporter un secours assez effi-cace pour qu'o
nouvelle, et qui n'a point encore essayé toutes ses chances, il nous paraît tout-à-fait convenable de préférer les procédés,
aiguës de mauvais caractère. Ligature (pl. 23, fig. 5). Ce procédé paraît avoir été leplusgé-néralement adopté au moyen âge
un peu modifié par MM. Ricord (pl. ig, fig. 46) et Velpeau (fig 45) ? paraît prévaloir en France. C'est la combinaison des deu
M. Velpeau, avec la fourchette de pré-hension de M. Ricord, qui nous paraîtrait devoir constituer le meilleur instrument. Procé
la rencontre des deux anses tranchantes. C'est ce mécanisme qui nous paraît le plus convenable, parce que la branche mobile v
première opération n'aurait pu enlever. Sétons. L'usage de ce moyen paraît remonter à la renais-sance, mais sans avoir beauc
chée artère, et se vit contraint de renoncer à l'extirpation, qui lui parut impossible sans un danger imminent. Extirpation
tout temps, les difficultés et les dangers. A quelle époque a-t-elle paru dans l'antiquité ? On l'i-gnore. Asclépiade paraî
elle époque a-t-elle paru dans l'antiquité ? On l'i-gnore. Asclépiade paraît être le premier qui en ait fait usage. C. Aurélia
age. C. Aurélianus, Arétée la condamnent comme téméraire; pourtant il paraît qu'elle s'est soutenue chez les Romains, car Anty
ions réputées légitimes par leur nécessité, ce chiffre néanmoins peut paraître faible. Toutefois, on y trouvera un résultat enco
torisé à conseiller la trachéotomie dans le croup, lorsque la maladie paraît grave; l'essentiel est de ne pas perdre de temps,
e ciseaux mousses ou du bis-touri boutonné ; mais cette manœuvre nous paraît une perte de temps inutile, l'inclinaison du bist
l'hémorrhagie moins à craindre et la plaie plus superfi-cielle , nous paraît devoir être préféré. Telle est, en substance, l
de larges inspirations pour faire cesser l'hémorrhagie veineuse, nous paraît d'autant moins raisonnable que , si l'on est pres
assez facile, on a tout le temps de lier les vaisseaux. Ce parti nous paraît donc le meilleur et le plus sûr. Toutefois, après
che, dont les lèvres s'appliquent sur tout l'orifice tra-chéal , nous paraît bien supérieure à l'introduction d'une sonde , qu
canule, en excisant de chaque côté un hémicycle cartilagineux. Andrée paraît avoir employé ce moyen , qui a été recommandé par
a lésion en travers des cordes vocales du côté de l'incision, ne nous paraît pas offrir d'avantage réel. Du reste , cette obje
r mois de traitement, en avaient éprouvé beaucoup d'améliora-tion, il paraît que, continué pendant tout le temps convenable, i
elques tentatives suivies de résultats va-riés. D'après ces faits, il paraît que la cautérisation avec un causti-que solide, e
d'où il implique que l'opération est formellement indiquée, quand il paraît être le produit local d'une cause accidentelle. L
de la tumeur, sa fixité , la largeur de sa base, l'ulcération même ne paraissent pas suffire encore pour s'abstenir d'opérer, si d
contentant d'écarter le nerf : telles sont les manœuvres cpi'il nous paraîtrait convenable d'employer, et qui sont celles dont na
a fait, la torsion , qui, vu la difficulté d'isoler l'artère, ne nous paraîtrait pas devoir offrir une assez grande sécurité. EM
z les Romains, les mêmes procédés continuèrent à être suivis; mais il paraît que les résultats de l'incision n'étaient pas fav
se de celle précédem-ment admise peut surprendre, et en tout cas nous paraît admet-tre une restriction. La conséquence inévita
ion atmosphé-rique; et si le poumon est adhérent, la piqûre ne lui en paraît pas grave. Nous n'oserions pas, nous l'avouons, c
d'i-voire, peut servir. Un tuyau de plume que l'on a indiqué, ne nous paraît pas convenir; son calibre est trop petit et il s'
nner lieu à la lésion du lobe pulmonaire aminci en auricule, comme il paraît être arrivé à Desault. Ces conditions pathologiqu
un kyste, et que le bord du poumon avait été lésé. Ce procédé ne nous paraît pas convenable. Le lieu de la piqûre est trop déc
s loin ces deux opinions, et les raisons qui, d'une manière générale, paraissent militer plutôt en faveur de la première. Quant à
n cas étant donné d'une tu-meur du foie, dont, après consultation, il paraît nécessaire d'ob-tenir l'évacuation, à notre avis,
et d'une pro-fondeur suffisantes. Si au contraire la paroi abdominale paraît encore intacte, il applique en forme de couronne,
roi abdominale avant d'ouvrir ce viscère. Mais cette question ne nous paraît même pas raisonnable. Les cas où il est indispens
la section de l'estomac , pour extrac-tion de corps étrangers, nous a paru une opération à peine pro-posable par impossibili
corps étranger placé dans l'intérieur de l'in-testin. Pourtant il ne paraît pas que le procédé des quatre-maîtres ait obtenu
que suture. Le moyen imaginé par M. Reybard est ingénieux, mais il ne paraît pas que l'application en ait encore été faite à l
affermies au besoin en les trempant dans des huiles siccatives, nous paraîtraient réunir toutes les conditions désirables. Procéd
lière des fils n'est pas assez certaine. Le procédé de M. Denans nous paraît supérieur sous tous les rapports. Les bouts d'int
striction des fils ait été suffisante ; enfin ce procédé , quoiqu'il paraisse complexe, est cependant le seul dont la manœuvre
s de Richter et de Scarpa résumèrent les faits et les doc-trines , et parurent avoir fixé la science pour un certain temps. Mais
, ainsi que cela arrive lorsqu'une hernie s'étrangle aussitôt qu'elle paraît ; tantôt l'ouverture devient relativement trop ét
trophiées , tantôt elles sont devenues plus minces, transparentes, et paraissent avoir changé de nature. En certains cas, on trouv
t l'ouverture qui donnait issue aux intestins. Les chirurgiens arabes paraissent ne s'être pas occupés de la manière de contenir l
doit ici suppléer aux préceptes : mais néanmoins, à une époque où on paraît être enclin à beaucoup compter sur les avantages
ans le petit nombre de cas où cette particularité s'est présentée, il paraît qu'on a pu reconnaître l'intestin à sa tunique ch
ooper, Hessel-bach, M. J. Cloquet et par quelques autres chirurgiens, paraît avoir été opérée par Garengeot et plus récemment
loigner des points où doit passer l'aiguille. L'opération de M. Gerdy paraît avoir été pratiquée déjà une soixantaine de fois;
uer deux fois l'opération ; enfin chez un assez bon nom-bre la cure a paru définitive, même plusieurs mois après l'opé-ratio
procédé. Chez l'un des malades , homme adulte, aucun accident n'avait paru jusqu'au vingt-cin-quième jour et tout était term
aux matières. Cette indication, toute différente de la première, nous paraît devoir être plus con-venablement désignée sous le
exigeait une ou deux se-maines. Lorsque le calibre de l'intestin lui paraissait suffisam-ment augmenté pour donner un libre passa
dont on le comprend aujour-d'hui, à déprimer l'éperon intestinal. Il paraît pourtant, comme ce nous semble, que ce dernier ef
pour placer l'anus artificiel plutôt à droite qu'à gauche, elles nous paraissent fondées, mais avant de se prononcer, il nous semb
es. M. Velpeau rejette cette dernière manœuvre dont l'uti-lité ne lui paraît compensée par les difficultés d'exécution qu'elle
oir recours, de l'anus périnéal ou de l'anus abdominal. Le se- cond paraît bien le plus sûr, mais peut-on, à cet âge, appele
'elle accompagne et complique fréquemment ces diverses maladies. Il paraît donc bien que la connaissance de la fissure est,
arde comme la cause première de la fissure. M. Velpeau, au contraire, paraît croire que, dans cette concomitance des deux affe
des matières fécales ^ produit la constriction du sphincter. Il nous paraît bien clair que ces deux opinions sont également v
l songea à guérir la fissure anale par la section du sphincter, et il paraît bien que cette opinion était fondée en fait, puis
e l'excision sur le nœud après l'avoir liée. L'opinion de J. L. Petit paraît avoir entraîné celle de la plu-part des chirurgie
e raison physiologique qu'il importe de rechercher. Cette raison nous paraît avoir sa base dans laconstitution et le climat de
nt les chefs des fils, il les noue par autant de sutures séparées. Il paraît que ce procédé a été fréquemment mis en usage et
e volume. Si malgré la succession méthodique des manœuvres, la tumeur paraît irréductible, soit en totalité , soit dans une po
heures ou le lendemain. Mais au contraire, si la tumeur se gonfle et paraît disposée à s'enflammer, c'est le cas de pratiquer
l'orifice rectal, si l'on peut choisir le lieu de l'incision, il nous paraît convenable, pour les suites, de préférer la secti
sus du mal, en comprenant même dans la dissection tous les tissus qui paraissent malades. Cette dissection est longue, difficile e
indiqué, disent les uns, par Lanfranc, les autres par /Franco;mais il paraîtrait que Galien en avait dit quelques mots. Ge procédé
s inconvéniens , l'injection d'iode et la méthode de M. Baudens, nous paraissent incontestablement celles dont on doit préférer l'
endommager la peau, aussi inventa-t-il un instrument qui, ci priori, paraissait remplir ces conditions, mais que la prati-que a c
rt fut-elle ou non la conséquence de l'opération, c'est ce qu'il nous paraît difficile de décider. Malgré cela, cependant, nou
continué. Mais lorsque la tumeur a acquis un volume considérable, il paraît bien prouvé que le seul moyen thé-rapeutique qu'o
is d'enlever la totalité des tissus malades. Une circonstance, quia paru embarrassante, a été la longueur des cordons ; ma
eaux courbes sur le plat et bien tranchans. Si la première échancrure paraît insuffisante il en pratique plusieurs dans des po
l est vrai qu'immédiatement après l'opération, les lèvres de la plaie paraissent grosses et tuméfiées ; mais après la guérison , l
sent peu à peu-le-gland et les corps caverneux en arrière au point de paraître occuper le corps même du pénis quand il n'y a, en
osition des artères caverneuses renfermées dans leur intérieur et qui paraissent proéminentes à sa surface, ou enfoncées dans son
r une extrémité renflée appelée gland ; vu extérieurement son vo-lume paraît aller en décroissant depuis son origine jusqu'à s
ion de sa sécrétion. La vessie est « revenue sur elle-même, sa cavité paraît presque effacée, et le « bec de l'algalie, après
la taille elle-même étaient beau-coup plus difficiles qu'elles ne le paraissaient exécutées par des mains habiles. Mais lorsqu'on e
e sur l'urètre qu'on peut sentir le point malade. Souvent la muqueuse paraît saine , et l'indura-tion a son siège dans les tis
ouvent les fausses routes, tandis que les rétrécissemens spasmodiques paraissent affecter plus spécialement le point d'union de la
ns que les mentionner ici. Du reste quelque ingénieux cpie puissent paraître tous ces instrumens ils laissent encore beaucoup
er d'un nouveau genre de dilatateur imaginé par M. Perreve et dont il paraît que l'auteur a obtenu de grands avan-tages. Mais
ui-même. Le procédé de Ducamp pour la cautérisation de l'urètre qui paraît , au premier abord, si ingénieux et si séduisant,
pporte, ait essayé trois (ois avec succès de cette méthode, elle nous paraît trop dange-reuse et trop susceptible de conduire
tude d'in-strumens que nous avons énumérés, serait fort difficile. Il paraît néanmoins qu'en général on préfère l'urétrotome,
iquer une seconde et même une troisième. Si, lorsque le jet d'urine a paru , il se suspendait de nouveau, il serait à présume
s non-seulement les choses ne se passent pas tou-jours ainsi, mais il paraît même que les accidens sont moins communs qu'on ne
es méthodes dont nous avons déjà parlé suffi-sent le plus souvent, il paraît néanmoins que l'incision avait été abandonnée tro
uction d'une sonde au périnée, en raison de ses inconvéniens, ne leur paraît admissible que dans trois cas, i° lorsque l'urètr
e (Pl. S'], fig-4)- Cette opération n'est pas très ancienne , et ne paraît guère antérieure à la fin du xvii6 siècle. Méry
e aux urines sans le secours des sondes. Les modifications qui nous paraîtraient devoir être apportées à ce procédé si l'on voulai
inion des chi-rurgiens, sur l'extrême gravité de l'opération, ne nous paraît pas suffisamment justifiée, car la ponction de la
a eu foi que dans des médi-castres spéciaux. Quoi qu'il en soit, il paraît certain que la lithotomie était pra-tiquée habitu
udgère dont le bec est introduit dans la sonde. Ce dernier moyen nous paraît mériter la préférence, et il est tellement effica
multiples ont été rencontrés chez certains malades dans un nombre qui paraît incroyable. Beau-coup de chirurgiens en ont trouv
s à ce sujet à propos de malades chez lesquels le cathétérisme leur a paru alternativement prouver ou infirmer l'existence d
mière n'ayant pas encore produit de résultats assez positifs, il nous paraît que le temps n'est pas encore venu de lui accorde
dée de dissoudre les calculs dans la vessie, par des agens chimiques, paraît avoir été aussi ancienne que la médecine. Cette p
de nos jours l'énoncé des substances dont il faisait usage peut nous paraître ridicule, du moins l'absence de toute notion sur
issoudre (utaturpatiens medicinis fran-gentibus lapidem). Mais s'il paraît bien qu'Azzabravi, ou, si l'on veut, Albucasis, n
ent courbe à trois bran- ches (Pl. 61, fig. 10). Cet instrument qui parut en 1828 pour la première fois, a la même courbure
mé-thode par brisement direct, dontnous parlerons plus tard, avaient paru dangereuses à quelques praticiens , par plusieurs
le plus souvent avec succès. Lorsque les pierres étaient petites, il paraît qu'elles se broyaient sans que l'opérateur s'en a
ux comme sur le calcul entier. Appréciation. Lorsque cet instrument parut , il souleva contre lui de nombreuses préventions^
bord , dit M. Bégin « (JDict. de Méd. et Chir. prat.), cet instrument paraît effective-« ment trop grêle, et manquer d'une sol
l'in-strument à l'étau du lit qui l'accompagne, ou bien, ce qui nous paraît préférable parce qu'on ne cause pas plus d'ébranl
ble, imagina un lit particulier au-quel était adapté un étau. Il nous paraît bien inutile de donner la description de cet appa
é de la force comprimante. \" Pression avec la main. Ce moyen ayant paru suffire dans les cas où le calcul était petit ou
dans le système de Touzay, Clot-Bey et Sirhenry, lorsque la pression paraissait suffisante et même dangereuse, on ne pouvait pass
atifs pour servira leur engrenage. Mais cette disposition n'ayant pas paru favorable à la saisie des petites pierres, et au
mètres de diamètre à laquelle M. Civiale conseille de s'arrêter, nous paraît trop forte; nous croyons qu'en général il serait
ur des chances de succès que présentent ces organes à l'état sain, il paraît donc décidé par l'expérience que c'est dans l'âge
85 individus de la seconde sé-rie, chez lesquels la lithotritie avait paru difficile ou impossible, 88 ont été taillés, et 9
ls il n'en est mort qu'un seul, et 37 ont parfaitement guéri; mais il paraît que cette appréciation est exagérée, du moins, d'
erre; toute-fois on n'a aucunes données certaines sur son origine; il paraîtrait , d'après ce qu'en dit Prosper Alpin, que les Egyp
t traversé par l'urètre qu'il soutient dans sa partie membraneuse. Il paraît aussi destiné à résister à la pression des viscèr
peu-à-peu par des progrès lents et gradués. Au reste, quoique Romani paraisse avoir généreusement démontré la taille médiane, c
le il retourna à Besançon où il mourut, dit-on, le 6 décembre 1714- Û paraît , d'après Normand, qu'il ne serait mort qu'en 1720
, qu'on s'est accordé à assi-miler les deux manières d'opérer; car il paraît que Raw n'a jamais rien écrit sur ce sujet. Voi
lame de « l'instrument au-delà du n' 11, quelque volumineuse que me « paraisse la pierre, et le plus ordinairement je ne l'ouvre
rés. Bien que ce nombre de soixante-dix soit très restreint et puisse paraître insuffisant à quelques per-sonnes , pour juger de
atiquée. Sur une centaine environ d'opérations de cette nature, il ne paraît pas qu'il y en ait été pratiqué plus d'une trenta
pour mettre la vessie à découvert. Historique. Personne, à ce qu'il paraît , n'avait conçu l'idée de la taille hypogastrique
a proposa comme méthode générale. Quoiqu'il l'ait beaucoup vantée, il paraît néanmoins qu'il n'eut jamais l'occasion de la pra
r en même temps des redites et des longueurs inutiles, il nous a donc paru convena-ble de décrire d'une seule fois la méthod
ont si peu précis qu'on ne sait trop comment ils l'exécutaient; et il paraît même que l'intention chirurgicale et la manière d
du malade. D'après l'inventeur ce moyen réussirait fort bien, mais il paraîtrait qu'il n'aurait pas eu autant de succès entre les
donnant issue à l'urine, comme il est arrivé à M. Kirby et à ce qu'il paraît aussi à M. Amussat; ce qui démontre bien plus cla
en puisse jamais devenir nécessaire , et ajoutons aussi qu'il ne nous paraît pas sans danger. a0 Ouverture du péritoine. La
par le diagnostic. Si le calcul est très volu-mineux, et surtout s'il paraît adhérent ou enchatonné, il est évident que l'on n
ile à exécuter, n'est accompagnée d'aucun danger, mais seulement elle paraît être assez fréquemment suivie de fistule vésico-v
mble redouter au point de préférer la taille hypo-gastrique , ne nous paraît pas établie sur un assez grand nombre de faits, p
e proportion, qui est beaucoup moins satisfaisante que la précédente, paraît tenir à l'incision périnéale qu'il ajoutait. M. S
ts sur g opérés. Que croyez-vous donc, dira-t-on ? je crois ce qui me paraît raison-nable. Je prends la moyenne entre les asse
out temps, leur na-ture n'était pas bien reconnue avant Levret. Bueff paraît être le premier qui en ait parlé dans son traité
cilement la convexité de la sonde, et si les tissus intermédiaires ne paraissent pas présenter plus d'épaisseur que les parois rec
lques gaz ; mais suivant les témoignages de MM. Rampon et Velpeau, il paraît cependant que la fistule aur aitpersisté chez plu
lui de M. Colombat. Celui de madame Roivin, un des premiers qui ait paru , se compose de deux demi-cylindres dont les bords
um porte une branche à glis-sement destinée au même usage. Mais il ne paraît pas que ces in-strumens soient susceptibles d'êtr
re, qu'on est souvent obligé de recommencer plusieurs fois, ne nous paraît pas exempte de danger, et nous préférons suivre l
e, que l'on guide sur le doigt indicateur ou sur le petit doigt, nous paraît encore ce qu'il y a de mieux, dans le cas de fist
ec des succès variés. Dans la plupart des cas cités qui, au reste, ne paraissent pas tous authen-tiques, on voit qu'elle n'a pu su
-rences. Ce procédé, mis en usage une seule fois, a échoué. Il nous paraît mériter devoir être essayé de nouveau. Dans le ca
enfoncée dans l'un des bords avivés du vagin, jusqu'à ce que le chas parût entre les lèvres de la plaie ; l'anse fut dégagée
crétions calcaires, le temps pendant lequel la ci-catrice a existé ne paraît pas assez long pour qu'on puisse se prononcer pou
parle rétrécissement de la vulve. 1" Cautérisation. M. R. Gérardin paraît être le premier qui en ait exprimé l'idée dans de
ur. Les malades, que M. Bérard a opérées de cette manière ont d'abord paru guéries, mais bientôt il y a eu rechute. Procéd
lève les sutures. Chez deux malades opérées de la sorte, la maladie a paru guérir d'abord, mais a récidivé après un à trois
re-ce tiré aucun fruit non plus ( Méd. opérât., t. iv, p. 366 ). » Il paraît aussi que la guérison ne s'est pas maintenue chez
éro - postérieur du bassin. Historique, Cette espèce de déplacement paraît avoir été connue, d'Hippocrate, ainsi que l'indiq
s tard, en sorte qu'on peut les enlever avec succès, lor. même qu'ils paraissent arrivés à un état de complète dégénères cence.
s, puis par Moschion, chez les Arabes. Mais parmi les modernes, il ne paraît pas que, avant Levret, elle eût jamais été appliq
t possède, beaucoup de chirurgiens hésitent encore à la pratiquer, il paraît néanmoins qu'elle aurait été l'une des plus ancie
é de l'utérus. Mais, loin que son exemple soit suivi, cette opération paraît abandonnée des chirurgiens du dernier siècle, tou
es sciences en i83/i, résume, en cinq propositions, les cas où il lui paraît convenable d'opérer : i° lorsque le cancer est bi
les tractions nécessaires pour le faire saillir dans le sens qui lui paraît con-venable. SECTION DU COL DE LA MATRICE SANS
centre de la matrice. Le spéculum n'a pas une grande utilité. Il nous paraît même qu'il est souvent plus gênant qu'utile, et q
(pl. 74, f. 2). Quant au procédé à suivre, celui de M. Lisfranc nous paraît mériter la préférence dans la ma-jorité des cas.
. Le pro-cédé fondé sur l'emploi de l'instrument de M. Colombat, nous paraîtrait plus facile à pratiquer que les autres, si ce n'é
spéculum et cautériser ou tamponner. D'après M. Pauly , l'hémorrhagie paraît être un des accidens les plus redoutables de l'op
ites du vagin ; enfin , que le plus grand nombre de personnes opérées paraissent d'abord vou-loir très bien se rétablir, et ne suc
éreuse, et la communication de sa cavité interne avec l'air extérieur paraît avoir une influence notable sur les phlegmasies c
ont soutenu la possibilité de l'exécuter avec avantage. Toutefois, il paraît que personne n'avait osé l'entreprendre avant 180
quer l'opération en deux temps; mais sa ma-nière de faire n'ayant pas paru convenable, on proposa de faire une très petite i
te consolida-tion se fait mal, ou même ne se fait pas; après tout, il paraît qu'elle n'est pas indispensable pour que les femm
-utérines. Quoique cette opération ne porte pas sur l'utérus, il nous paraît que l'on doit la ranger au nombre des opérations
ique usuelle. Nous ferons à cet égard, pour chacun d'eux, ce qui nous paraîtra indispensable, mais nous n'irons pas au-delà. S
re qu'imparfaitement après avoir été redressé. Du reste tel strabisme paraît simple avant l'opération, qui cependant est doubl
erne, concave, étant plus court que son bord externe convexe; d'où il paraît que ses fibres internes con-couraient avec le mus
nstater le fait général et la théorie qui en résulte : que la myo-pie paraît souvent produite par rallongement du diamètre ant
l ou circulaire-ment en diagonale, et qu'elle peut guérir, à ce qu'il paraît , en faisant cesser la pression, ou, en d'autres t
mieux et, heureusement, les plus nombreux. La contracture musculaire paraît être caractérisée par la tendance de l'œil à rest
e, dû à la contracture spasmodi-« que de l'un des muscles droits, lui paraissait curable par la « section de ce muscle. Malgré mes
Guérin a signalé dans « ses conférences le procédé opératoire qui lui paraissait le plus « convenable. Il voulait appliquer à la s
m'avait accordée, en lui demandant « le motif d'une opération qui me paraissait parfaitement inutile, « pour ne pas dire dangereu
le bon et le mauvais qu'ilsvont semer partout. Quoi qu'il en soit, il paraît incontestable que quelque chose de l'opération du
on du strabisme, si vivement agité depuis deux ans en Europe, il nous paraît résulter incontestablement les trois propositions
ption inutile qui sépare les deux temps. Une autre objection qui nous paraît plus grave, est de n'employer aucun moyen pour at
e la piqûre. Tel est celui des deux procédés de M. Guérin auquel il paraît se tenir définitivement et qui constitue particul
traces; mais d'un autre côté, ce mode opératoire comparé aux autres a paru complexe et difficile. Il exige des instrumens pa
roduction .Un autre reproche que l'on a fait à ce procédé et qui nous paraît bien plus fondé, c'est le tiraillement excessif q
ssent encore beaucoup à désirer, du moins, comme résultat général, il paraît bien que la myotomie du strabisme doit être admis
ent infirmer. Au reste, pourvu que l'opération soit bien faite, il ne paraît pas qu'entre des pro-cédés si peu différens, le c
rticulier de l'un d'entre eux ait une grande importance, puisque tous paraissent également réussir dans une même proportion. Parmi
un signe d'inflammation. C'est cette dernière circonstance qui nous paraît extraordinaire et sur laquelle nous craignons que
frottement de l'œil en sens opposé par des compresses graduées, nous paraît donc bien préférable. 8° Strabisme inverse cons
blique amène le redressement complet de l'œil. Ici les trois sections paraissent avoir été nécessaires; mais dans ce cas, connue d
nus par M. Baudens. Delà comparaison des cas qui précèdent, il nous paraît res-sortir cette observation générale qui peut se
uelque brusque accès nerveux allait se déclarer. Cet état maladif m'a paru se rencontrer surtout dans les cas où l'opération
es manœuvres qui ont rapport aux sections nous étant déjà connues. Il paraît bien que c'est M. Phillips qui, dans sa lettre à
et sous-muqueux, et sans doute à d'autres muscles de la langue, comme paraissent lé prouver des observations récentes. Causes ac
e réapparition de la même doctrine, à de longs intervalles, elle a pu paraître nouvelle, comme l'illusion en dure encore dans le
avons plus que quelques mots à ajouter. Après Fabrice de Hilden, il paraît que l'opération continue à rester dans la pratiqu
de la lecture des trois derniers auteurs que nous venons de citer, il paraît résulter qu'au milieu du siècle dernier, l'opé-ra
es procédés anciens et qu'elle forme la base de ceux de nos jours qui paraissent devoir être conservés. Après avoir tracé l'histor
que, la section transversale de toute la mus-culature de la langue me parut une entreprise digne d'être tentée et aussi infai
La largeur de la plaie faite par l'entrée et la sortie du bistouri ne parut pas dépasser celle de l'instrument, ce qui proven
section de la langue n'a eu aucune influence sur le sens du goût, qui paraît cependant être moins subtil dans les premiers tem
où l'on avait pu croire que la langue était trop longue ; mais il ne paraît pas que cette étiologie ait subi l'épreuve des fa
si elle ne peut y arriver facilement, il enlève encore les fibres qui paraissent s'opposer à ce mouvement. Pendant quelque temps a
suffit, et le patient prononce avec assez de facilité. Si le résultat paraît satisfaisant, l'opérateur remet à quelques jours
é antérieure des glandes sublinguales , quoique cette circonstance ne paraisse avoir donné lieu à aucun accident. Mais ce qui es
fut appliqué, et, chose remarquable ! pendant cette opération le sang paraissait jaillir sur les côtés du cautère avec plus de vio
mens causés par une difficulté dans les mouvemens de la langue, lui a paru très marquée passé 3o ans. Les bègues qu'il a opé
pratique de ce dernier; mais l'opé-ration, comme il la pratique, nous paraît louable, et, par les résultats que nous en avons
s, de manière à en tracer des monographies iconologiques qui nous ont paru d'autant plus nécessaires que les livres spéciaux
rop étroit; ce'te opinion, soutenue par Glisson, Camper et Chaussier, paraît , à M. Bouvier, sans fon-dement dans certains cas.
s, les pieds sont dans une ex-tension complète quand ils commencent à paraître et, lorsqu'ils viennent à former un angle avec la
es dénominations vagues de premier, second, troi-sième degré, il nous paraît plus convenable d'en donner l'énu-mération d'aprè
d'amélioration possible. Quant à la ténotomie du pied-bot, il nous paraît inutile d'en-trer, à cet égard, dans des descript
vec violence pour obtenir un effet instantané. Michaëlis, en 1809-10, paraît être le premier qui ait fait la section de quelqu
; mais s'il n'en est pas survenu d'accidens très graves, du moins il paraît bien que le bénéfice de l'opération a été nul, po
au même degré; tantôt le premier l'est beaucoup plus que l'autre, et paraît seul soulevé et tendu. J'ai vu le contraire dans
se rendent au point de jonction en S, de deux courbu-res inverses, et paraissent être en même temps la corde de l'arc inférieur et
pourtant que nous avons vu , chez M. Guérin, des malades où il nous a paru qu'il y avait une rétraction bien manifeste des m
tions de ténotomie, dans ses nombreuses publications de i838 à 18/40, paraît con-tent du résultat obtenu, lorsque la guérisonn
idens les plus graves résultant de l'inflammation, dont la venue leur paraissait inévitable, mais on n'avait pas supposé qu'une se
in et enlever ses débris et ceux de sa capsule. Lekystotriteur nous paraît très incommode à l'usage, la main qui le l'ait ag
recoupée, en avant une suture en-tortillée, de part en part, qui nous paraît nécessaire pour combattre la rétraction déterminé
maintînt oblitéré avec le pouce. La sortie des viscères de l'abdomen paraît avoir lieu entre les vaisseaux épigastriques et l
A. Cooper. — 19, 21. A trois branches (le n" 21, qui est courbe, nous paraît le meilleur et le plus efFicace). — 18. De M. Cha
57 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
t laissa retomber successivement le bras qui tenait le poignard, sans paraître avoir la conscience de ces mouvements et comme mu
vaut encore pour nos actrices se risquer sans maîtres, dussent-elles paraître invraisemblables. En somme, les Cheveux de nui fe
tôt, la clarté, de plus en plus, illumine la terre et enfin le soleil paraît avec éclat. Si cet astre brillant paraissait tout
la terre et enfin le soleil paraît avec éclat. Si cet astre brillant paraissait tout à coup avec la force qu’il a dans le milieu
par la nature matérielle, se répète dans la spiritualité. L’aurore a paru sur la terre, et Dieu s’est servi de moi pour com
rou recouvert de papier, le décolle et se précipite dans la cheminée, paraissait doué d’une certaine intelligence. On en peut di
me numéro de son journal avec un autre magnétiseur, M. Allix, ne nous paraît donc pas d un bien bon goût, et nous eussions pré
Cependant nous hésitions à ajouter foi à cet événement, tant il nous paraissait extraordinaire. J’avais entendu parler de faits
point de vue qui semblera puéril à beaucoup de gens, bien qu’il nous paraisse grave. M. du Potet, en effet, est avant tout ce q
le mouvement très-précipité du langage alphabétique : — La tète me paraît étrange dans ses dissemblances harmoniques. La pr
stion : les jours te semblent-ils pareils, quand en toutes choses ils paraissent semblables? Béponds ! La science et l’esprit se s
ériter toujours une courtoisie telle, que l’attente qu’il impose doit paraître aimable. L’esprit attendra le jour et l’heure de
ache si elle pioduira l’effet voulu : car enfin, si bizarre qu’elle paraisse , si elle guérit, elle a atteint le but; le malad
et, ma foi, notre sièqe est fait. y Les somnambules ont, à ce qu’il paraît , un tort bien grave, c est de ne s’assujettir dan
avons inséré dans notre dernier numéro la relation de phénomènes qui paraissent contradictoires ou opposés au spiritualisme, que
mouvements étaient généralement connexes, en Amérique les deux ordres paraissent se diviser d’une façon plus tranchée : ici l’on a
se, la constatation en est fort peu régulière, et surtout leur portée paraît souvent d’une puérilité extrême. Quant aux comm
souvent d’une puérilité extrême. Quant aux communications, elles ne paraissent pas dépasser la limite des forces intellectuelles
nt elles restent au-dessous de la médiocrité. Seulement leur ensemble paraît avoir une tendance assez remarquable. En Amériq
ion du phénomène , et cela se conçoit. L’enthousiasme et l’exaltation paraissent être les conditions nécessaires pour qu’ils prenn
indre que son ignorance et sa niaiserie. Nous avons vu un journal qui paraissait à toutes les nouvelles lunes, dont le rédacteur a
z maître. Nous avons beaucoup insisté sur ce point parce qu’il nous paraît capital, et que nous ne saurions trop mettre en g
même quand il s’agirait de détails et de circonstances qui pourraient paraître de peu de valeur. Puis, au fur et à mesure que
ils se produisent spontanément ou à la demande des assistants ; s’ils paraissent pour tous les observateurs partir du même point.
rieux a bien sa cause médiate ou immédiate dans le corps même d'où il paraît provenir. Nous avons indiqué un mode d’expérien
pourtant fixé des conditions assez sévères, et bien qu’elles ne nous paraissent pas probantes, beaucoup de spiritualistes n’en on
entier attend qu’il ait une opinion.» Ces réflexions judicieuses me paraissent renfermer en peu de mots la solution de la questi
urs que la science officielle reconnaisse le magnétisme ? La question paraîtra étrange à bien des gens, et si nous la résolvions
parlais tout à l’heure, M. E. P...., m’a raconté une anecdote qui me paraît bien faire ressortir cette distinction. Il avai
sse en allant du Midi vers le Nord, tandis que les facultés mystiques paraissent plus développées dans les climats extrêmes et moi
elle cacha si bien la clef qu'il fut impossible de la retrouver. Cela paraît d’autant plus extraordinaire, qu’on ne l’avait pa
-t-on la clef de l’armoire tout le jour suivant; M“* *** elle-même eu parut vivement contrariée ; elle dut se passer de plusi
détails curieux offerts par cette observation et les rapports qui ont paru exister entre les phénomènes de somnambulisme et
tinuation du travail de M. le Dr Clevers de Maldigny, qui n’aurait pu paraître que par trop minimes fractions ; ce travail repre
re Les résultats se dessinèrent en raison des idiosyncrasies. L'effet parut nul chez M. Alexandre, où domine l'activité sangu
était consommé. » par c- C"““L • -net*. dipuli cU ta Scint, «le. Paru , 18M-J'aurais pu pui*r de ce. r.il.l m. propre *,
ener ù la pathologie et nient tout le reste, c’est-à-dire tout ce qui paraît en dehors des lois constatées de la physique. La
ilité à personne. « Nous ne pensons pas que cette digression puisse paraître superflue; nous avions à nous prononcer sur le ca
vocations les plus agaçantes, auxquelles il résista obtinément. Alors parurent une autre femme et trois hommes qui furent bientô
a manifestation : les âmes ayant quitté nos conditions, et revenant y paraître semblables sous un organisme d’emprunt, doivent-e
e ses cures extraordinaires ; fort du témoignage de sa conscience, il paraît avoir prédit son acquittement. Avant de broder su
sser en Lombardie. Les débats ont entièrement roulé sur des faits qui paraissaient surnaturels, en sorte que l’avocat Borio, l'un de
roient à l’immortalité. les phénomènes que je viens d’exposer doivent paraître conformes à la nature des choses. Je terminerai c
ations sont en tout conformes à celles du prophète suédois (1). Elles paraîtront bizarres à ceux dont elles contrarieront les conv
e seul l’infini ! Pour nous, créatures visiteuses de la terre, ce qui paraît indubitable jusqu’ici, c’est uniquement la perspe
fait pass;r à sa famille le gué de Jaboc, y fut demeuré seul : « Il parut en même temps un homme qui lutta contre lui jusqu
. « Et il lui dit: Laissez- moi aller, car l’aurore commence déjà à paraître . Jacob lui répondit : Je ne vous laisserai point
de courriers partis du champ de bataille mémo. o Un fait Identique paraît se produire en ce moment. « I.es lettres de Cal
is que nous avions pris la direction effective du journal les numéros paraissent dans leur ordre, et que déjà nous avions regagné
q années, d’une maladie aussi singulière que cruelle, et qui pourra paraître bien invraisemblable, quoiqu’elle ne soit pas san
’un souille extrêmement léger, presque imperceptible. « Mais ce qui paraîtra le plus extraordinaire, et ce fait rencontrera pl
embonpoint remarquable : sa figure est pleine, fraîche et rose ; elle paraît jouir d’une excellente santé, et elle avoue ne re
ait bien et dûment atteinte de tumeur cancéreuse intestinale. Mais il paraît que ces médecins, qu’on nous dit tn's-éelairés, n
de cette urbe inclyte. Ici nous avons la thériaque qui, à ce qu’il paraît , est une espèce d’opiat fort compliqué dans le ge
assister à quelque séance magnétique, qu’il retienne le tour qui lui paraîtra le plus surprenant, et que, rentré chez lui, il c
aux envois qu’ils veulent bien nous faire. Il Mesmerisla, qui nous paraît être la continuation, sous un autre format, du Ma
ce universelle. E. de MALHERBE. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). Paru . — Imprimerie de Powumi cl Moumg, 17, qnoi des Au
it parfois sous des formes étranges, merveilleuses, insolites, et qui paraît appelé à modifier profondément les opinions relig
ffluves magnétiques, la gaieté et la bienveillance sympathiques qu’il paraît avoir reçues de la nation bénie qui le féconde.
madame F.... entendit à son oreille une voix très-distincte qui lui parut parfaitement naturelle, et qui lui dit : * Tu la
au plancher et ramené à son siège. Et, pendant tout ce temps, il nous parut ne remuer aucun de ses muscles. 11 nous fut impos
e. Nous entendîmes des coups très-forts dans cette table, et d’autres paraissaient venir des différents côtés de la chambre. Moi et
me sera permis d’assister que d’esprit et de cœur. « Si je n’ai pas paru à vos séances, cher maître, je ne me suis pas fai
ame au nom de ces messieurs, je ne fais que dégager ma parole. « Il paraît que — comme les livres — les lettres et les médai
able, le médium, un jeune homme, tombe spontanément flans un état qui paraît être le somnambulisme très-lucide, et que c’est a
lucide, et que c’est alors qu’ont lieu les phénomènes en question. Il paraît que la lucidité de ce médium est bien grande. A l
ue cette malade a eu des visions dont elle me parla souvent, mais qui paraissaient ressembler à des songes. Mais il y a six ans, éta
u personnage qui a la parole. Voici quelques-uns de ceux qui nous ont paru les plus piquants : VARIÉTÉS. LE MAGNÉTISME
ut avec une orthographe à faire frémir une plume d’auberge. Le crayon paraissait enfin, accomplir sa tache avec assez de mauvaise
trop précieuse; puis, comme s’il se lut aperçu que sa sortie pouvait paraître quelque peu inconvenante, il crut la réparer en a
’un de* assistants. Ln instant aprèS, et ne trouvant pas suffisant, paraît -il, le enipérament donné à sa brusquerie première
pour obtenir des guérisons qui semblaient être miraculeuses et qui le paraîtraient encore aujourd’hui si nous ne connaissions celles
vous proposez de donner au Journal du Magnétisme? Puis, comme vous paraissez accepter avec une certaine préférence l’opinion d
élations sur les Ames des morts et les apparitions d’esprits, ne vous paraissent -elles pas écrites d’hier tant elles sont applicab
nt, se faisaient entendre en divers endroits de la chambre. «Redman paraissait effrayé, et il craignait quelque mauvais tour lor
e je l’avais arrangée, de même que ses mains et ses pieds ; le médium parut sortir d’une sorte de sommeil dès que je l’eus to
, avec une décoloration complète de la peau, les règles n’avaient pas paru depuis plus d’un an , le docteur Leger prescrivit
er les restrictions logiques quand bien môme, énoncées, elles peuvent paraître par trop évidentes. Ainsi nous n’avons pas la p
exercer sur eux une action par influence mentale. Celle conclusion paraît théoriquement probable. Mais du moins, eu ce qui
te eu lui que l’appétit, et qu’il déchire sa rate à belles dents sans paraître percevoir d’autre sensation que la satisfaction g
satisfaction par les admirateurs et les adeptes de la dame D..., qui paraissent professer pour elle un véritable enthousiasme. Dé
s , la chose a été accueillie par eux avec faveur, et l’auteur leur a paru digne du prix. Applaudissons à leur sentence : qu
de faits où intervient la liberté humaine et dont la prévision ne me paraît pas incompatible avec le libre arbitre. 1“ Souven
sque-là été tremblante et glacée, se réchauffa sensiblement : le sang parut revenir en bouillonnant dans les veines de la jam
t longuement causer l’ancien malade sur tout ce qui s’était passé, et parurent extrêmement intéressés par son récit et surtout p
vais vu dans mon rêve, et la « montre était auprès. » « Ce récit me parut contenir tous les éléments d’une lucidité détermi
vent réussi : la plupart des magnétiseurs les ont faites. Mais il m’a paru utile de montrer un échec, afin de garantir contr
e mon somnambule. Cette transition involontaire d’idées anciennes m’a paru un fait assez remarquable pour mériter d’être not
ceptionnelles , ce qui distingue en propre la méthode américaine (qui paraît appartenir à M. Buchanau), c’est l’emploi de la p
Il lui arriva plusieurs fois d’écrire en se servant de caractères qui parurent n’appartenir à aucun alphabet connu, mais qu’elle
e trouvent rapportés certains faits de lucidité som-nambulique qui me paraissent de nature à intéresser nos lecteurs, et dont je c
personne étrangère. « Maintenant ce phénomène de vision, qui pourra paraître extraordinaire à quiconque n’a pas étudié le somn
: on verra avec étonnement que la tête disparaît et d’autres figures paraissent . Si on désire voir un des siens, même des personn
iens, même des personnes qui sont mortes, les images de ces personnes paraîtront sur la demande de l’opérateur : il est bien enten
est dans le rapprochement des dates. La première édition du Manuel a paru en 1848, et la publication en est môme plus ancie
te précisément ce fruit défendu dont la possession serait, à ce qu’il paraît , un don funeste? Quand le magnétiseur parvient à
dans laquelle on remarque cette phrase : « Lorsque Mesmer venait à paraître , tenant en main la baguette magique dont tous av
oit ainsi tourmentée 1 II est vrai que parmi les hommes qui ont voulu paraître servir le magnétisme, un trop grand nombre a semé
re les désirs qui leur sont exprimés, tout autant que ces désirs leur paraissent justes et convenables, et notamment de se déplace
dant le sommeil magnétique. Ce docteur Simpson, qui est, à ce qu’il paraît , un des éditeurs du journal des Sciences d’Édimbo
rt, comme si un obstacle insurmontable lui coupait la parole,.et elle parut incapable d’articuler aucun mot. Le lendemain, à
s en vertu de lois immuables. Avec ce commentaire, le mot voyant nous paraît admissible. Maintenant, quels sont les faits qu
rofondément minée dans ce pays qu’on ne le suppose généralement. Elle paraît encore presque intacte ii la surface ; mais, à la
cle, aux côtés et aux bouts de la taille. Lorsque ces organisations parurent à cette séparation des •Utiles, elles semblaient
s une position horizontale, et l'extension en était telle que ce qui1 paraissait de la jambe était presque en ligne droite avec le
nétique, avez-vous été à même déjà de le constater ; pour moi, il m'a paru digne d’«bservation. « 11 y a eu deux ans au mo
Ce Paramelle des esprits frappeurs ne se prodigue pas , il n’a encore paru que dans trois ou quatre maisons, dont le mobilie
de solides arguments. Il est tellement pénétré de son sujet, qu’il ne paraît pas même s’inquiéter si ses assertions devront êt
Elle est de la (aille de M™ 11. — C’était à peu près cela. — Elle me paraît âgée de quarante-cinq ans. — Elle les avait quand
on à elle avec les matériaux qu’elle trouve en nous. Tout cela nous paraîtra 'bien bizarre, bien incroyable j mais après vérif
louie soudain par une vive clarté ; l’église, qu’elle apercevait, lui parut illuminée : Jeanne, tombant à genoux avec recueil
a dernière ressource, crut devoir profiter du courage d’une fille qui paraissait avoir l'enthousiasme d’une inspirée et la valeur
on sexe, séduisant les princes et les peuples , etc., etc. » Jeanne parut sur le bûcher le 30 mai avec la même fermeté que
it eu aussi pour effet immédiat de la faire sortir du sommeil où elle paraissait plohgée. Ne sont-ce pas là des preuves certaines
fois avant de l’adopter. Dans les diverses publications qui ont déjà paru sur le phénomène des tables parlantes, elle a été
Galilée. Les découvertes de ce grand homme importunaient 1*Eglise et paraissaient inconciliables avec l’orthodoxie ; aussi on les a
nnes prises au hasard, on en compose une troisième des sujets qui ont paru les plus remarquables, dont on développe davantag
périence fut en tout identique à la précédente. Au second essai, il parut ii M. Sicmelink qu'on avait essayé d’ouvrir les y
mais pas excessif ; le vaisseau n’a pas encore passé la ligne ; il me paraît qu'à présent il est à 10 degrés de latitude septe
re de l’étudiant magnétiseur. La petite brochure qu’il vient de faire paraître est destinée à donner les notions les plu» élémen
Nous ne pourrions répondre dr une manière complète à tout ce qui nous paraît contestable, sans faire un travail plus étendu qu
anctuaire de la conscience d’autrui (page 36). 'Cette solution nous paraît beaucoup trop radicale. Il importe avant tout de
nos forces. Parmi les objets de recherche énumérés, il y en a qui ne paraissent pas avoir été atteints, d’autres qui l’ont été ce
ectement à M. lo baron du Potet. (Affranchir.) Un nouveau programme paraîtra dans le premier numéro de janvier 1857 ; Il Indiq
58 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns de l'intoxication saturnine. C'était en 1862; à celte époque, il paraît avoir éprouvé une première attaque de coliques.
aperçoit que tout tourne autour de lui. Les objets environnants lui paraissent rouges verts, et il voit passer devant ses yeux
etin médical de 1888. , Dans un récent et très intéressant mémoire, paru dans la Revue de médecine (1889-1890), Lemoine
e tiqueuse. C'est là une maladie de description récente, dont il me paraît intéressant de relever et d'analyser un,nouvel
e de leur histoire, en lisant les articles de Letulle et de Guinon, parus en 1885 et 1887 dans les deux Dictionnaires. Ma
s sont sclérosées. La névroglie, de même que le tissu conjonclif, paraissent épaissis. Les cellules des cornes antérieures p
par le carmin ammoniacal et le violet de gentiane aniliné, on fait paraître ces éléments à REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
nt, la substance blanche change de couleur, s'émiette, les contours paraissent cre- vassés. rongés, infiltrés de boulettes ou
tal Science, avril 1888.) L'auteur conclut : 1° que des actions qui paraissent être le résultat d'une grande intelligence peuv
agereausuicideehex les imbéciles se pré- sente avec des allures qui paraissent caractéristiques, et à ce point de vue, l'auteu
e découverte peu après la Pentecôte. Le soir, ses articulations lui parurent si raides qu'il lui fut difficile de retourner
la bio ? 1 osso -pliat-y iizée, et d'en autopsier trois, il nous a paru utile d'en faire une communication. Ils appar-
ui a fait ses preuves; des experts dont l'o- pinion aune valeur.-Il paraîtrait que cela ne suffit pas et que le besoin d'une n
âteaux à l'étalage d'un pâtissier. Celui-ci porta plainle; l'enfant parut au tribunal correctionnel accompagné de son pèr
u sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial postérieur nous paraît , si nous en jugeons par le nombre des cas publi
érence du mol- let). Le pied est inerte et complètement tombant. Il paraît y avoir un certain degré de rétraction des musc
st due, si l'on veut bien admettre les conclusions de l'auteur, qui paraissent parfaitement conformes à la vérité, non plus à
erritoires normaux, telles que celles que nous -avons données, nous paraissent par- faitement suffisantes pour conclure à la l
la région antéro-externe surtout, mais aussi les muscles du mollet, paraissent amaigris notablement. Le pied est tombant; et l
, nous croyons que l'on peut tirer quelques conclusions qu'ils nous paraissent légitimer de tous points : 1° Il existe une c
CS ET TREMBLEMENT. 195 notre cas. Bien au contraire, la trépidation paraît dans l'espèce, s'exagérer quelque peu sous l'in
s ou moins étendus, de sclérose périvasculaire. Ces lésions ne me paraissent pas aussi banales qu'à De- mange. Je verrais vo
j'ai relevé trois cas où le rapport du tremblement avec l'hystérie paraît absolu- ment incontestable. On peut dire, par c
a azotés et phosphatiques. Dans la paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 ' CLINIQUE NERVEUSE.' r. passer
pratique. i> Le même auteur apprécie les travaux, simultanément parus , d edeux grands neuro-pathologistes contemporai
cas, on a signalé des troubles paralytiques fugaces qui ont dis- paru dès que les conditions hygiéniques ont été modi
it est rare. Des sensations d'engourdissement et de fourmillement paraissent toujours précéder le retour de la motilité. Tro
es symptômes de paralysie ascendante aiguë. Le cerveau et la moelle paraissaient intacts (l'examen histologique ne fut pas fait)
eux. Remar- quons, d'ailleurs, à ce sujet, que l'oxyde de carbone paraît se comporter comme le plomb : jamais Gom- baut
ait à une paralysie des exten- seurs, cette origine périphérique ne paraît pas pou- voir être mise en doute. Les tubes ner
ce : guérison en un mois. Ici l'origine nerveuse des accidents nous paraît très probable. Il est certain que l'oxyde de ca
un coup d'épingle à cheveux; la pointe pénètre assez profondément, paraît -il, à la face dorsale de la main, au ni- veau d
uand du reste, à la suite d'une seule percussion, plusieurs muscles paraissent réagir, il ne s'agit pas le moins du monde de l
s sur la fréquence et l'étiologie de la paralysie générale, qui lui paraît augmenter de fréquence, bien que le nombre de s
facement des images sensorielles diverses, des images visuelles qui paraissent avoir tou- jours été prédominantes dans ce cas
er le malade, le premier ayant intérêt à s'en débarrasser dès qu'il paraît plus calme, et le second dès qu'il s'agite un p
uze fois par mois en moyenne diminuèrent de moitié en 1889 et elles paraissent encore devoir s'effacer en 1890. L'au- teur con
troubles caractéristiques de la parole, alors même que le délire paraîtrait celui de la paralysie générale vraie. ' M. COST
s de recensement ont eu trait à l'hérédité indirecte. Mais il ne me paraît pas heureux d'en appe- ler à la question de l'h
illé le germe. Chez deux paralytiques généraux, l'affection mentale paraissait avoir été produite par l'influenza ; il s'agiss
ou épileptiques atteints d'influenza. Cette maladie ne nous a point paru avoir d'action sur l'état mental ou sur les accès
fulie. Le banquet annuel n'a pas eu lieu. 1 Erratum. - La séance parue dans le n° 58, p. 111, avec la date du 28 avril
ion plus nette des différents procédés employés. -L'ordre adopté ne paraît pas toujours très logique. - Pourquoi décrire d
on des rédacteurs du Progrès Médical et des Archives de Neurologie. Paraît tous les ans. Douze volumes sont en vente (1878-
igou- reuses. C'est ainsi que la grande attaque d'hystérie, qui paraissait autrefois caractérisée par une succession de co
n stigmate hystérique. En pareil cas, le diagnostic d'hystérie peut paraître difficile à soutenir. Toutefois, si on se repor
iques ; à l'un appartiennent les troubles auxquels l'hystérie seule paraît capable de donner naissance ; ce sont en quelqu
Quoi qu'il en soit de ces hypothèses la distinction pré- cédente me paraît justifiée jusqu'à nouvel ordre. Nous venons de
ois après, d'un spasme du cou; or il s'agit là de deux états qui ne paraissent pas avoir de con- nexions intimes. Aussi l'argu
ument précédent nous DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 31 S paraît -il surtout démonstratif, lorsque les deux phéno-
btient souvent une repro- 316 CLINIQUE NERVEUSE. duction qui peut paraître parfaite à un observateur peu attentif. Mais il
à se faire une opinion motivée. Les considérations précédentes ne paraîtront pas déplacées, je le suppose, ni étrangères au
çons de mardi, 1887, 1888, p. 101. 3 Un résumé de ce travail a déjà paru dans les Bulletins de la Société de Biologie, 1
ade peut percevoir à ce moment les objets environnants, mais ils ne paraissent pas en place; par exemple les arbres d'une aven
des équivalents morbides; or, comme le mutisme, par ses caractères, paraît manifestement de nature hystérique, il doit en
ne sont accompagnés de manifestations nerveuses dont la nature nous paraît incontestable ; les battements dans les tempes,
en partie à cause du rôle important que les excitations psychiques paraissent jouer dans l'apparition et la disparition des a
ès de migraine ophthalmique ; mais quelque satisfaisants qu'aient paru les résultats de ces expériences nous croyons n
à l'hystérie n'est pas déterminée d'une façon indiscutable. Il nous paraît très vraisemblable que la migraine relève de l'
- mique hystérique et en particulier du scotome scin- tillant, ne paraît pas présenter, d'après les observa- tions que n
et l'hémiopie une parenté étroite, et que, d'autre part, l'hémiopie paraît étrangère à l'hystérie. On sait en effet que da
nnaître aussi que, malgré l'opinion de quelques auteurs, l'hémiopie paraît indé- pendante de l'hystérie, puisque, comme no
nostic, si on s'en rapporte en particulier aux Observations 1 et II paraîtrait bénin. En ce qui con- cerne le traitement, comm
le siège est identique; l'OBSERVATION 1 dans laquelle la migraine paraît être comme un équivalent du mu- tisme plaide da
xpérimentale qui, seule, aux faits dont la solidarité anatomique me paraît aujourd'hui très nettement éta- 1 En raison du
urs les plus consciencieux se laissent entraîner à voir ce qui leur paraît devoir exister, au lieu de s'en tenir à ce qui
s, entre autres celle de l'arc direct C. b. et les rapports qu'il paraît avoir avec le nerf olfactif et son lobe. Lobes
e du moins. Les raisons embryogéniques et histologiques n'ont pas paru suffisantes pour en faire une « expansion du cer-
interne de l'espace perforé. En dehors de cette disposition qui m'a paru être la règle, je citerai celle dans laquelle l
i parlé plus haut. . Quant à la circonvolution externe, quoiqu'elle paraisse se continuer quelquefois très loin, elle ne dép
cessus morbide; 2° cas négatifs où la perceptibilité différentielle paraît ne pas être at- teinte par la maladie. Bien ent
même divergence se constate aussi dans l'oeil malade. Ce fait nous paraît être d'une im- portance capitale pour la psycho
on périphérique et la perceptibilité différentielle. Ce fait nous paraît important au point de vue diagnostique. La mani
ait bien plus rapidement que celle pour le noir et le blanc. Aubert paraît être arrivé au même résul- tat pour le centre d
Le milieu dans lequel elle a vécu depuis cette époque, nous ayant paru de nature à influencer l'état mental de la malade
uelle sont assez difficiles à préciser, mais quoiqu'il en soit, ils paraissent intimement liés au dernier accouchement de la m
les poignets, dans les jambes et dans les pieds. Mais ces douleurs paraissent avoir augmenté car elle disait dans son délire
soirs : ne me quitte pas, tu vas coucher avec moi. » Le soir, elle paraissait éprouver des terreurs et, quoique l'on allu- mâ
orce de crier sa voix était devenue toute éteinte. Cette excitation parut se calmer un mois environ avant l'entrée. Elle
tellectuelles de notre malade, et parti- culièrement la mémoire, ne paraissaient pas se rétablir, et que d'un autre côté elle ne
nt perdus à gauche, très obtus à droite. Les sensibilités spéciales paraissent conservées. Le champ visuel n'est pas rétréci e
dit à propos de la marche en est du reste la confirmation. Elle ne paraît pas d'une intelli- gence élevée, et, au premier
n résumé, le délire est peu accentué chez cette malade et les idées paraissent même un peu incohérentes. C'est la raison de ce
encore à l'appui de cette opinion. Quant aux accidents actuels, ils paraissent nettement s'être développés à l'occasion de l'a
n effet qu'une notion très inexacte du temps. Le temps actuel lui paraît long, et cela, non pas parce qu'il est rempli par
llement sont les images visuelles, ce sont à celles-là qu'il nous a paru bon de s'adresser tout d'abord, en lui recomman
en l'épelant. Les images visuelles, qui sont les moins atteintes et paraissent toujours d'ailleurs avoir été prédomi- nantes,
uérison, etc. Pour assurer la reviviscence des souvenirs, il nous a paru souvent préférable de nous adresser en même tem
différence observée par Steiner était que les poissons sans cerveau paraissaient plus impulsifs et moins prudents que ceux qui n'a
e activité variable sous les mêmes causes apparentes extérieures) paraît annihilée. Son expérience passée est envolée; et
l'abondance. Cepen- dant les expériences plus récentes de Schræder1 paraissent démon- trer que l'ablation des hémisphères ne p
particulier par Longet et Vul- pian.. Longet trouva que les animaux paraissaient voir assez pour suivre les mouvements d'une fla
tiré près d'eux; et, d'après leurs mouvements et leurs gestes, ils paraissaient ressentir les im- pressions faites sur les nerf
nt ils évi- taient les obstacles sur leur route dans leur vol, mais paraissaient capables de voler d'une place à une antre en to
iture quand on la plaçait au coin habituel de sa cage, cependant il paraissait ne pas pouvoir la trouver quand on la changeait
et ne montrait aucune crainte à aucune sorte de menaces. Quoiqu'il paraissait complètement .aveugle, cependant des expérience
hloroforme, et il aurait mangé une pièce de bois comme un os. Il ne paraissait pas être influencé par le voisinage d'un autre
. f. Nervenheilh. 1888.) Résumé du travail de l'auteur américain, paru dans l'American Jonrnal of medic. Sciences, 188
la maladie se ralentit Ceci prouve que, si périphérique qu'elle le paraît , la névrite multi- loculaire retentit simultané
iote. Depuis trois jours on ne les avait pas vus. Cette disparition parut étrange aux voisins; on voulut savoir ce qu'ils
s d'aliénés de l'Amérique. Depuis la publication de cet ouvrage, il paraîtrait que rien n'a eté changé dans le système de trai
ine de l'établissement où il est employé. Il ne se rappelle rien et paraît très surpris de l'acte insensé qu'il a commis.
on des rédacteurs du Progrès Médical et des Archives de Neurologie. Paraît tous les ans. Douze volumes sont en vente (1878-
59 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
t surtout la laïcisation. Celle seconde partie de notre réponse a paru dans le 7 mai (Ibid., p. 37t ! ). XLII ASSISTAN
mes de leurs impru- dentes taquineries. » Toutes ces raisons nous paraissent démontrer d'une façon irré- futable, la nécessi
e, -I8SS7. 1 2 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. lésion encéphalique qui paraît à peu près constante déjà macroscopiquement.
SIVE. 5 ments de manège, soit des mouvements irréguliers. Il nous paraît intéressant de rapprocher de ces cas ce que nou
emples de musculation in- volontaire ou de spasmes coordonnés, nous paraissent se rapporter plutôt à la paralysie agitante qu'
u traitement, le malade fut parfaitement guéri. Cette observation paraît plutôt appartenir à un cas de chorée; seuls la
ué, depuis le 21 février jusqu'au 20 mars, à doses ascendantes ; il parut un exanthème miliaire et des furoncles au bras
suivit. Cette observation, qui se rapproche delà précédente, nous paraît concerner un cas de chorée avec accidents procu
ursifs concomitants. Nous l'aurions même écartée s'il ne nous avait paru intéressant de la mettre en regard de celle d'l
r Roth dans son chapitre sur la Musculation irrésistible, ne nous paraissent pas se rapporter à l'épilepsie procursive et no
s ne retiendrons, pour l'instant que, les phénomènes procursifs qui paraissent avoir été occasionnés par ) ? o ? 7 ? e ? 'o/Me
nte-sept et à gauche quarante- cinq. Les facultés intellectuelles paraissent assez bien conservées ; Grand... est très peure
rêté, ce qui a lieu DE l'épilepsie procursive. 33 brusquement, il paraît étonné, se remet de suite et continue ce qu'il
ate de pilocarpine. 4 Cette première partie de l'observation a déjà paru sous le titre d'É- pilepsie procursive dans la
ch... porte une cou- damnation. J'ai chargé votre employé, qui ne paraissait pas se rendre un compte exact de la gravité des
nnent presque aussitôt à leur état normal. Cette variété d'accès, paraît -il, se rapproche de l'accès ordinaire : cette r
à partir de DE l'épilepsie PROCURSI'E. 57 1878 ; cette déchéance paraît être due exclusivement à l'accroissement progre
cte; celui-ci s'est aperçu que l'enfant avait des absences, mais il paraît qu'alors, elles étaient peu fréquentes. A quato
ation ni de salacité. Alép... est peu caressant, très turbulent; il paraissait très intelligent jusqu'à trois ans.. On attribu
aît que longtemps après le début de l'épilepsie et chez lesquels il paraît être un accident isolé indépendant de l'accès.
ort avec leurs habitudes; tel est le cas de la malade de Herpin qui paraissait imiter un joueur de guitare, quoique n'ayant ja
nde circon- volution frontale. La troisième circonvolution frontale paraît assez bien dévc)oppée.La circonvolution frontal
euxième scissure et la deuxième circonvolution lempú1"o-occipitales paraissent assez bien con- formées, toutefois la partie mé
une anomalie. - Le corps calleux, le corps strié, la couche optique paraissent nor- maux. Il en est de môme du lobule de l'ins
ètre dubord interne du sourcil; de ce fait les arcades sourcillères paraissent proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas
conformés, le droit est un peu plus élevé que le gauche. Le malade paraît se masturber pendant l'examen ; il se frotte le
s de la base sont symétriques ; toutefois, la cérébrale postérieure paraît un peu plus volumineuse à droite. - Les tuber-
ure calcarone, le corps calleux, le corps strié, la couche optique, paraissent normaux. ,Hémisphère gauche. - La scissure de S
lons qui les découpent. Le lobe occipital, dont lés circonvolutions paraissent un peu grêles, est également très sillonné ; il
la cérébrale antérieure du même côté. - Le pédoncule cérébral droit paraît plus étroit que le gauche. La pyramide droite e
ongue et plus large d'un tiers que la gauche. Les nerfs cl'd- niens paraissent normaux. Cervelet, bulbe et protubérance, 150 g
quantité de liquide et sont dilatés. La moitié gauche de la moelle paraît atrophiée et le cordon latéral de ce côté est u
ns son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie postérieure, paraissent atrophiés. Hémisphère droit. - La scissure de S
ormales. On retrouve un certain nombre des gros blocs graisseux qui paraissent dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerv
t, examinées comparative- ment avec celles du côté gauche n'ont pas paru présenter de différence sensible. - Les coupes
hères cérébelleux étaient sensiblement égaux, toutefois le gauche paraissait un peu plus petit. C'est aussi lors de l'appari
llectuel de ces malades; tant qu'ils existent seuls, l'intelligence paraît , en effet, peu atteinte et la mémoire semble bi
- naire et par conséquent sont très variables. Le diagnostic nous paraît facile. Les accidents pro- cursifs, vertiges ou
ve. Disons de suite que la propriété de coordonner les mouvements paraît devoir être exclusivement réservée à son lobe m
stés inefficaces, seuls les accès consécutifs d'épilepsie classique paraissent justiciables d'un traitement amenant parfois un
adie nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnostic précis nous paraît offrir quelque dif- ficulté. Observation I. -
OUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 16î La vue est bonne. La vision monoculaire paraît un peu trouble pour l'oeil gauche ( ? ). Les pu
s, il reviendra comme il est parti. » Les soins matériels du voyage paraissent avoir été assez bien entendus, à part ce fait q
s nus. On constate alors que le talon gauche, qui avec les souliers paraissait quelque- fois toucher le sol, reste élevé et qu
s ou quatre mois, premières convulsions; jusque-là il était fort et paraissait bien venir. Les convulsions portaient sur les y
ts lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes cboréiformes ne paraissent aucunement modifiés. 16 février. - A la suite d
des mouvements dans les doigts, des grimaces de la face : la bouche paraît serrée, comme s'il y avait une contraction per-
s labiales s'abaissent, le menton se plisse, les yeux s'ouvrent. Il paraît qu'il en est ainsi chaque fois qu'il est contra
S D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. Les sens sont normaux. Lem... paraît connaître les couleurs, bien qu'il ne puisse pa
che progressivement ascendante du début à la mort. Les maladies qui paraissent se rapprocher le plus de l'athé- tose double, s
ctiformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques, ne paraissent pas se rencontrer dans l'athétose double. Les
ite plus ou moins rapidement; dans l'athétose double le tremblement paraît atteindre son maximum d'intensité et d'étendue
lic. Aucun des traités de pathologie, de neurologie, de psychiatrie parus , certes, en abon- dante quantité, daus ces dern
uelles sont celles qui sont prédo- minantes ? voilà ce qu'il nous a paru intéressant de re- chercher. Nos observations,
lie. C'est dans ce cas seulement que nous l'avons noté et il nous a paru beaucoup plus fréquent que chez les in- dividus
oins d'anomalies que les idiots simples. Leurs aptitudes génésiques paraissent 20 Í CONCLUSIONS. être, malheureusement, moin
sien, et possède un petit onglo, déformé et écailleux, qui était, paraît -il, pour la malade une cause de douleur, par suit
épatico-duodénal, ou plutôt hépa- (1) Le grand et le petit épiploon paraissent parfois contribuer également à la formation de
nements sur la température, chez un pendu ramené à la vie, nous ont paru mériter d'être connus. DE LA DENTITION DES ID
première fois traitée dans deux mémoires anglais, celui de Ballard, paru en 1860 et celui de Langdon Down, paru en 1861.
s anglais, celui de Ballard, paru en 1860 et celui de Langdon Down, paru en 1861. - Mais c'est à M. Bourneville qu'on do
précis qui ait été écrit jusqu'à présent sur ce sujet, travail qui parut en 1862 et dans lequel l'auteur signala la plup
ux de folie de l'en- fance que nous avons observés, le suivant nous paraît mériter, à des titres divers, l'attention du le
A aucune époque il n'a eu de convulsions. Les premières dents ont paru à sept mois. - A4 ans 1/2, rougeole et coqueluc
auvais coup. Son père ré- pondit qu'on le lui renvoyât, mais, ayant paru mieux à ce moment, on le garda. Deux jours aprè
usations relativement à la mort de sa petite soeur. Celle-ci, qu'il paraissait aimer beaucoup, était morte quand il avait à pe
re était probable- ment d'accord avec sa mère. De temps en temps il paraît triste, se tient à l'écart des autres enfants,
tend-il qu'il ne dort pas, mais il n'aurait pas de visions. Il ne paraît pas avoir d'hallucinations de la vue ni de l'ouïe
. Dans une lettre à ses parents datée de la veille, il écrit : a Il paraît que j'ai de l'argent ici, mais je demande à l'a
Le médecin m'a ordonné des douches. On ne va pas en promenade. Il paraît que j'ai de l'argent ici, mais je demande à l'avo
il arrive, se laisse embrasser par elle mais l'embrasse à peine, et paraît peu touché de sa venue. Il n'a plus écrit de le
pas de mémoire comme autrefois et qu'il riait encore beaucoup. Il paraît moins sombre, moins sournois, et travaille bien.
ré, qui a pris possession du service des adultes le ter février. Il paraît que ses parents refusaient de le re- cevoir, et
par son patron. A la suite d'une accusation d'indélicatesse, qui ne paraît pas justi- BOURNEVILLE, 1887. 17 i 258 mélanc
60 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la paralysie. Les faits cliniques que nous venons de relater nous paraissent suffisamment démonstratifs pour mettre en lumiè
mit de son émotion en prenant un petit verre d'eau-de-vie auquel il paraissait accoutumé. Il avait de ces accidents plus ou mo
le dirai plus loin, la douleur abdominale chez l'homme. Cela ne me paraît pas démontrer du tout que la douleur ne siège p
hez l'homme elle se fixe, dans les plexus de l'abdomen. Tout cela paraît assez simple. Ce sont des phénomènes qui se pro
des faits extraordinaires, de choses dites inex- plicables, qui ont paru si étranges qu'il a semblé sou- vent plus simpl
s dans le même ordre d'idées, j'ai vu quelques phénomènes qui m'ont paru 24 pathologie NERVEUSE. avoir échappé à d'aut
ieuses. La raison principale de tous ces faits extraor- dinaires me paraît tout simplement que ces races sont plus faciles
lait le chloroforme. Ils acceptaient bien les opé- rations qui leur paraissaient devoir leur rendre service, mais à la condition
joue un rôle important. Les Aissaouas appartiennent à une secte qui paraît avoir réduitle principal de sesmanifestations r
sorte de cierge placé à côté du chef des musiciens. Cette flamme paraît jouer un rôle important dans le développement d
1, hystérie CHEZ L'HOMME. 31 Mais d'autres éléments de préparation paraissent en- core se joindre aux précédents. Des matière
ai vus quelquefois mani- fester de la douleur. C'est celui qui m'a paru en général le plus mal supporté et j'ai vu plus
s- cience. - Cette conservation de la conscience au premier abord paraît complète puisque ledanseur s'in- terrompt, choi
avant et en arrière. Mais le mouvement de circumduction de la tête paraît être le mouvement capital; ceux qui essaient de
au son. J'ai remarqué à plusieurs reprises une manoeuvre qui m'a paru être propre à ajouter à l'anesthésie. L'ac- teu
tance. La longue durée des mou- vements de la tête et de la musique paraît un élément important pour la perte de la sensib
t égard des renseigne- ments très complets. Le résultat obtenu me paraît assez simple à analy- ser. Après ces exercices
ue veine superficielle, car il se mit à saigner. Ces évé- nements parurent leur être désagréables; ils les dissi- mulèrent
elle mesure les scorpions avaient été rendus inoffensifs. Cela me paraît rentrer dans ce qui fait la part de l'acrobatie.
que nécessaire explique comment, la séance terminée, l'Ais- saoua paraît calme et comment, le lendemain, il peut être re
pas que l'on ait attiré l'attention sur ce point. Ce petit fait me paraît jeter un grand jour sur la physiologie patholog
e leurs exercices déterminent une certaine excitation génésique. II paraît certain qu'au cours de ces exercices il se prod
ntraînement religieux ne présente pas une grande intensité et qui paraissent agir ainsi pour le plaisir des sens. Si on cher
ts ceux des Ais- saouas. Les séances religieuses où le magnétisme paraît jouer un rôle important, se terminent par des c
a conquis déjà depuis bien longtemps. Ces préliminaires nous ont paru indispensables pour l'intelligence des faits qu
mouve- ments de manège, soit des mouvements irréguliers. Il nous paraît intéressant de rapprocher de ces cas ce que nou
emples de musculation in- volontaire ou de spasmes coordonnés, nous paraissent se rapporter plutôt à la paralysie agitante qu'
u traitement, le malade fut parfaitement guéri. Cette observation paraît plutôt appartenir à un cas de chorée; seuls la
ué, depuis le 21 février jusqu'au 20 mars, à doses ascendantes ; il parut un exanthème miliaire et des furoncles au bras
ensuivit. Cette observation qui se rapproche delà précédente nous paraît concerner un cas de chorée avec accidents procu
ursifs concomitants. Nous l'aurions même écartée s'il ne nous avait paru intéressant de la mettre en regard de celle d'I
r Roth dans son chapitre sur la musculation irrésistible, ne nous paraissent pas se rapporter à l'épilepsie procursive et no
ola, dans une lettre qu'il nous adressa il ce sujet le 28 mai 1882, paraît ignorer complètement la publication que fit son
s ne retiendrons, pour l'instant que, les phénomènes procursifs qui paraissent avoir été occasionnés par t'M ! on'a'e ? 'oe ?
n faisait mention dans ses leçons. La première élude sur ce sujet paraît cependant appartenir légitimement à Landry quipub
la pensée et tout dernièrement enfin dans une longue revue critique parue dans le journal Brait en avril 1887. Pour plus
s enjeu. D'après Wundt, « le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être dans les muscles mais bien dans les cell
ellement sen- sitif. Lotze (Medicinische psychologie, 1852, p. 293) paraît avoir été le premier à soutenir que les sensati
roubles du langage produits par une lésion du lobule de l'insula ne paraissent pas différer de ceux qui résultent de la destru
ce cas, au contraire, les accidents sont survenus spontanément et paraissent devoir être attribués au froid, la malade travail
océder à cet examen mi- croscopique ; l'observation lui a cependant paru intéressante à rapporter, précisément à cause d
our ma part, je serais heureux d'applaudir sans réserve, si elle me paraissait actuellement réalisable, celle de grouper d'une
te raison qu'il n'aura pas à subir les mauvais traitements que l'on paraît redouter pour lui. Je sais bien qu'on fait une
endre que le procureur de la République, dans le cas où un fait lui paraîtrait délictueux ou coupable, pourrait demander l'app
ade, pourrait provoquer le placement d'office de ce malade s'il lui paraissait être dans des conditions où il ne re- cevrait p
r ces deux hypothèses profondément distinctes en elles-mêmes, on me paraît avoir eu tort de les rassembler dans un seul pa
eilde famille, le droit de provoquer lui-même cet internement. Il a paru à la commission que ce cas pouvait se présenter,
que cet article, tel qu'il a été rédigé par la commission, m'avait paru trop vague. J'en trouvais la preuve en ce que,
ou l'attribuer à quelque sortilège. Il me semble que tout cela me paraît bien invraisemblable et n'est pas de ma com- pé
singulièrement instructif. Voici des cas où le traumatisme initial paraît avoir eu une certaine importance. DES MONOPLÉ
dducteur du pouce droit. Comparé à son congénère du côté opposé, il paraît un peu aminci, moins épais, comme s'il avait su
description qui précède, car les faits parlent d'eux-mêmes. Il ne paraît pas douteux que chez Mlle V..., la para- lysie
connaissance d'un mémoire du professeur Adamkiewicz (de Cracovie), paru le 5 juin dernier dans le Wiener Medizinische P
compatible avec la paralysie hystérique, et d'ailleurs cette lésion paraît avoir été transitoire chez le malade d'Adamkiew
mois de traitement, et après que plusieurs fois l'amputation avait paru indispensable; un troisième avait été criblé de
marins, qui ont été dans les pays chauds. A cette influence, qui ne paraît pas douteuse, on peut com- parer, dans une cert
lus grand nombre de cas. Cette distinction bien éta- blie, il ne me paraît pas impossible cependant que la paralysie génér
faitement géré ses affaires, menait une vie très régu- lière, et paraissait jouir d'une excellente santé. A cette époque, i
er fréquemment dans les antécédents des paralytiques généraux, ne paraissent au contraire exercer qu'une influence très modé
bliées, et l'on a cherché à cette complicationune explication qui a paru toute naturelle : l'ataxie tenant à une scléros
s en haut. Je me suis déjà élevé contre cette théorie', qui ne me paraît justifiée en aucune façon. Cliniquement d'ail-
nd cependant, tous ces faits ne sont pas si dissemblables qu'ils le paraissent de prime abord, et en y regardant de près, il m
'ils le paraissent de prime abord, et en y regardant de près, il me paraît possible d'en tirer une donnée générale, de fai
sition à la paralysie générale. Or, à cet'égard uu premier point me paraît à noter : lorsque l'on étudie les paralytiques
paralysie générale depuis qu'elle est connue. Cette augmentation me paraît réelle, car, si les causes que j'ai examinées n
C'est ainsi que le nombre des surmenés augmentant fatalement, il me paraît que le nombre des paralyti- ques généraux doit
cte; celui-ci s'est aperçu que l'enfant avait des absences, mais il paraît qu'alors, elles étaient peu fréquentes. A quato
rs et épais ; les diffé- rentes parties de la calotte et de la base paraissent symétri- ques, le trou occipital est normal. Le
ation ni de salacité. Alép... est peu caressant, très turbulent; il paraissait très intelligent jusqu'à trois ans. On attribue
ait M. Gaillard, qu'un homme est atteint d'aliénation mentale, nous paraîtrait insuffisant et nous laisserait tout le diagnostic
négociant témoigne en effet, que de temps en temps 1 e banquier lui parut très agité, qu'il changeait constamment d'humeu
son de santé en accusant des malaises psychiques mal déterminés. Il paraissait vouloir qu'on le considérât comme aliéné. Mais
nt pas sont ramenés dans l'asile fermé. Ici aussi les expé- riences paraissent favorables quant à l'action des soins de famille
rvations publiées par M. Joffroy en 1869, la thèse de M. Gom- bault parue en 1877, enfin le remarquable travail inséré par
coïncidant avec des troubles cérébraux, car ceux-ci peuvent dis- paraître par le simple traitement de l'affection gastrique
t d'autres ont étudié la suggestion avec un soin tout spécial. Il a paru alors à ces mé- decins que les caractères somat
et est commandé par elle. La malade dont nous allons parler nous paraît pou- voir éclairer le débat. Son histoire nous
tisme; 3° enfin que la nature de ces caractères somatiques fixes, paraît , au moins dans les cas semblables au nôtre, dom
pas d'obéir, bien que personne ne lui rappelle cet ordre et qu'elle paraisse l'avoir com- plètement oublié. Son action, dans
plètement oublié. Son action, dans ce cas semble inconsciente et paraît analogue à celles qui se produisent dans le somna
lle accuse une fai- blesse particulière dans le côté droit, côté où paraissent prédo- miner les points hystérogènes; mais il n
muscles de la tête échappent seuls à cette contracture. Les sens paraissent éteints ; mais l'ouïe est conservée, ainsi que
de toutes ces formes symptomatiques. Ces courtes réflexions nous paraissent démontrer que déjà la névrose spontanée de notr
acuité visuelle. Etant donné qu'un objet, pris dans son ensemble, paraît sous un angle visuel plus grand que ses parties
te. Mais la technique présente ici de telles dif- ficultés, qu'il a paru nécessaire de mesurer au photo- mètre chacun de
avec grand étonnement et avec une incrédulité cette déclaration. Il paraît que le temps de pareilles surprises n'est pas e
dans la moitié des cas, sinon davantage, le premier symptôme qui paraît n'est pas même de l'analgésie toujours plus fac
ntécédents. - Les parents sont vivants, se portent bien. A ce qu'il paraît ils n'étaient pas atteints de syphilis. Cependant
l sera question plus bas. La moitié gauche du corps est frileuse et paraît plus froide au palper que la droite. Les organe
'idiotie avec accès épileptiques présumés. Cette dernière affection paraît douteuse; les mouvements irréguliers dépendraie
ux membres et à la face ? La vue est bonne. La vision monoculaire paraît un peu trouble pour l'oeil gauche ( ? ). Les pu
s, il reviendra comme il est parti. » Les soins matériels du voyage paraissent avoir été assez bien entendus, à part ce fait q
re les deux côtés. Il en est de même de la sensibilité générale qui paraît plutôt un peu exagérée : « La moindre des chose
s nus. On constate alors que le talon gauche, qui avec les souliers paraissait quelque- fois toucher le sol, reste élevé et qu
. ou quatre mois, premières convulsions; jusque-là il était fort et paraissait bien venir. Les convulsions portaient sur les y
ts lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes choréiformes ne paraissent aucunement modifiés. 16 février. A la suite des
qui séparent l'affec- tion dont ils sont atteints, des maladies qui paraissent s'en rapprocher le plus : la chorée, la.scléros
al du cerveau ; 40 les fibres radiculaircs des cordons anté- rieurs paraissent chez les individus microcéphales moins volumineus
e système de la loi de 1838. La suppression de l'action du préfet parut devoir entraîner comme conséquence la suppressi
adoptées, disait M. Vivien pour justifier la suppression, nous ont paru ôter toute son utilité à la commis- sion ; il n
runté à l'expérience acquise en Angleterre et dont les résulats ont paru décisifs à tous ceux qui ont examiné de près le
éné, le fils était chargé de l'ex- ploitation de ses biens, et l'on paraissait trouver dur de le dépos- séder, en fait, de cet
61 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
t en ligne oblique, tantôt transversalement. Toutes ces modifications paraissaient si essentielles à observer, que les médecins de c
s recoinmandables, se soit arrêtée tout a coup dans sa marche! Mesmer parut en France, et cette méthode se trouva reléguée au
t les dates, c’est tout ce que j’ai voulu. Cette histoire abrégée m’a paru essentielle, je le répète, sans cela je no l’euss
rent dans la carrière magnétique; mais une chose me préoccupait et me paraissait plus importante : produire d’abord des œuvres pro
e convaincre de l’utilité des sciences ; les savants que je voyais me paraissaient faits comme les autres hommes. Je comprenais le c
un bonheur pour lui au monde : voir ses idées partagées. I.a mort lui paraît douce, lorsqu’il aperçoit le triomphe. Sa lâche,
C’était donc un troisième degré d’initiation à subir ; j’allais voir paraître devant moi tous les ministres de la mort, tous ce
squ’à la faiblesse, obligé de corriger ma nature, ou tout au moins de paraître résolu; me voilà, moi, enfant encore, en présence
relativement au diagnostic des maladies par le somnambulisme (1). Il paraît qu’il avait produit alors assez de faits remarqua
rémonies religieuses et les exorcismes. Cette médecine d’attouchement paraît appartenir aux pratiques mystérieuses des Brames,
très-probablement ; il donne à réfléchir. « Une conclusion pareille paraîtra peut-être un peu faible, mise en regard «le l'arg
taient les mêmes dans tous les pays; et qu’en France, où les préjugés paraissent plus sérieusement combattus que partout ailleur
d’un auditoire assez peu bienveillant. Je voulais ressusciter ce qui paraissait mort, bien mort; et j’étais un jeune homme n’ayan
aire quelque tentative pour en obtenir parmi tous les jeunes gens qui paraissaient déjà avides de saisir au moins quelques traits. C
nt. Tous les magnétologistes me manquèrent à la lois lorsqu’il fallut paraître , mais ils me promettaient toujours cependant que
n article, puis un autre : de vraies ébauches , mais je continuais de paraître . L’œuvre dura toute une année; épuisé, endetté, j
des procureurs sera terminée, un de nos collaborateurs, avocat, fera paraître un travail sur l’ensemble des faits, de manière à
lles , à Romainville. A cette industrie utile, mais peu lucrative, il paraît qu’elle a juge à propos d’adjoindre la profession
emier témoin entendu est le sieur Rridaut, cultivateur à Bagnolet. Il paraît d’abord vouloir se montrer beaucoup moins explici
Comment ! est-ce qu’on adoptait un costume particulier ? Marie. Il paraît , Monsieur le président, puisqu’elle passa une rob
moi avec un garde républicain, sur le compte duquel elle m’avait, il paraît , interrogée; ils m’ont menacé de me dénoncer si j
ur l'honnne singulier qui, jusqu’au milieu de nous, n’a pas craint de paraître et de justifier en partie l’existence d’un agent
ant de dieux d’origine différente, je restais ébahi; comment ce qui paraissait ici vérité , se traduisait ailleurs par mensonge
Quoique tombée dans le domaine des lieux communs, cette doctrine nous paraît bien exposée et donne une idée avantageuse du tal
vironnaient, moins j’en étais capable; jusqu’à ce que chaque lieu qui paraissait m’attacher au monde extérieur eût été entièrement
refroidi l’ardeur de magnétisme qui régnait à cette époque, mais qui paraît se ranimer de nos jours. Il y avait cependant enc
tomba ensuite sur Tacite, Tite-Live, Salluste, Puffendorf, que le roi paraissait avoir lus. On passa bientôt à la médecine. Quelqu
mière visite, a éprouvé pendant quelque temps une douleur de tôle qui paraissait avoir le même siège que chez moi, et sa vue se tr
u un non. Je n’y prêtai aucune attention. Les propos de cette dame me parurent fort indécents. Je n’en ai rien retenu, sinon qu’
ls, la correspondance de l’intimité, les notes qui ne devaient jamais paraître sous d’autres yeux que les nôtres, surprenne ains
t, n’a pas eu pour but de prendre adroitement des renseignements pour paraître deviner ce qu’elle avait appris, et donner ainsi
droit de vous dire que nous avons prescrit de bonne foi ce qui nous a paru le plus convenable dans l’intérêt des malades ; r
ours de corriger ou même de répudier les indications qui lui auraient paru contraires à celles de la science, comme il est a
aire de fait, usurpe les fonctiens notariales. Ces deux exemples me paraissent propres à compléter la démonstration sur l’inviol
vous aurez retiré de l’eau n’aura rien perdu de son poids, l’eau ne paraîtra avoir éprouvé aucune modification dans sa composi
emme m’a tiré par ma robe, jusqu’à ce qu’elle ait obtenu la faveur de paraître comme témoin devant le tribunal ; elle attesta qu
sans , il fallait nécessairement frapper un grand coup afin de ne pas paraître systématiquement hostiles, et tuer encore une foi
me temps il annonça que sir John Franklin se portait bien, mais qu’il paraissait amaigri, et qu’il reviendrait sauf. Notre corresp
uvoir se dégager de leur situation dans peu de jours, ce dont l’autre paraissait douter. Les rations de l’équipage venaient d’être
à épeler le nom l'Erèbe. Il vit aussitôt le capitaine, et dit qu’il paraissait très-malade, et avait l’air abattu ; il avait u
r au vaisseau. Deux d’entre eux étaient affaiblis par la fatigue , et paraissaient incapables d’aller plus loin; mais les autres ne
t des provisions, et sc procuraient des oiseaux sauvages. Le vaisseau paraissait être à une distance considérable du rivage de la
mondes auxquels ils attribuèrent un axe et deux pôles. Cette opinion paraît tirer son origine des effets de l’aiguille aimant
lui donnons la préférence dans beaucoup de cas, parce qu’elle nous a paru plus efficace après des épreuves comparatives. No
tes les choses extérieures. Le pouls devenait faible , la respiration paraissait presque suspendue, el tous les sens étaient entiè
mme au point de vue du mesmérisme. Cependant les résultats ne nous en paraissent que peu satisfaisants. Après un examen conscienci
ritualiste. Aujourd’hui, nous savons qu’il ne suit aucun culte, qu’il paraît n’avoir aucune croyance. Une autre nuance très
qu’à la manifestation de sa taculté auto-extatique. Ainsi, le premier paraît vouloir exploiter le privilège naturel d’un état
emme Ilarrault a toujours protesté de son innocence, et lorsqu’elle a paru il y a quelques jours devant le jury , elle a com
l’un à Mézières, l’autre à Epernay; la fin de ce long compte-rendu paraîtra dans notre prochain numéro, avec des commentaires
’on lui apprit que son sommeil avait duré deux semaines , elle rit et parut très-étonnée. Elle déclara, en outre, ne plus épr
ces Lits que comme des exceptions , quoique la pratique du O1 Esdaile paraisse inürmar les idées régnantes sur ce point. « Nou
tre contestée dans le traitement des maladies aiguës ; mais elle nous paraît être entièrement problématique dans la cure des m
tion palmaire est insuffisante, et surtout pour les cas où les crises paraissent indispensables. On renforce les courants magnét
pareil banquet a lieu. A ces mots, chacun regarde, et, dès qu’on voit paraître le représentant des magnétiseurs du No«-ycau-Mond
er, et à indiquer brièvement les points sur lesquels la jurisprudence paraît s’être éta~ blie avec quelque certitude. Une lo
ons prononcées contre fies somnambules sc disant assislés de médecins paraissent s’élever contre cctlc théorie. II est bon de rema
i, pressé de demandes, il a donné des consultations? Le doute ne nous paraît pas possible. Le principe éternel qu’il n’existe
connu. II. La seconde question toucheau magnétisme pur ; elle nous paraît d’une solution facile. Nous n’hési- Ions jias à
des instruments et costumes servant à l’exercice du métier de devin, paraissent prouver d’une manière certaine que c’est aux seul
rer des inductions merveilleuses pour tous, très-simples pour lui, et paraître un devin quand il n’est qu’un logicien; sous cett
incrédulité des assistants, considérée comme cause morale d’insuccès, paraissait devoir amoindrir, paralyser même les résultats qu
fet, sont abandonnées, pour laisser continuer l’action sur celles qui paraissent devoir être plus influencées. Quand l’épreuve est
er de la contagion, que les médecins appellent fièvre imitative. 11 paraît que dans les séances où on magnétise peu, les suj
puissance de l’harmonie! Eh bien! le père, devant ce tableau, ne me parut pas plus ému que s’il eût été statue.... Sic 3
e cette solennité a provoqués ; mais, si l’on en croit les on dit, il paraît que la fable de M. Jobard a été généralement admi
mme de simples mortelles. « Quant à ¡Messieurs les magnétiseurs, ii paraît qu’ils ne sc sont pas encore avises do mettre leu
ivé de proposer à des médecins de les en rendre témoins, mais ils ont paru craindre de voir leurs théories en défaut. Nous n
, que des circonstances indépendantes de notre volonté ont empêché de paraître . Oh! sans doute, M. J. I»., Hahnemann n’a pas p
cela parce qu’on tire de ce livre des citations qui 11e nous ont pas paru utiles pour appuyer les réformes homéopathiques q
mbre : l'un parle, dit M. J. B., l autre agit. Cette distinction nous paraît futile ; le magnétisme est un moyen thérapeutique
ccouchement. Nous avons déclaré cette somnambule parfaite, le mot paraîtra exagéré à certains......... Je p/ace hors de ce
a; mes lettres étaient déjà en grande partie imprimées, et elles vont paraître dans quinze jours. Je vous dis cela, afin de vous
j’ai eu l’intention d’écrire sur le magnétisme. Les ouvrages qui ont paru en Angleterre n’ont pas, pour la plupart, été écr
fait le miroir magique. Je vous avoue que cette réticence ne m’a pas paru suffisamment motivée. Depuis quatre à cinq mois
s, et non pas tant de discours. Mais chez vous c’est différent, et il paraît que le Journal va bien, ce qui prouve que je me t
t , et que vous connaissez bien vos compatriotes. Votre Manuel, qui a paru d’abord dans le Journal, est excellent, surtout d
pour vous dire que l’ouvrage annoncé dans ma dernière lettre vient de paraître , et que j’ai dit aux éditeurs, à Londres, de vous
sait à ce disque une action directe électrique ou galvanique; mais il paraît que sa composition est indifférente , et qu’il se
que si les effets suggérés et commandés, dont le sommeil puységurique paraissait être la condition, s’obtiennent dans l’état de ve
ttentivement : soit le bouton du ressort d’une boîte à allumettes. Il paraît que la fixité du regard dans celte position incom
du sang, etc. Ce soir, il doit parler de Vac-quiswitè, organe qui me paraît devoir être fort développé chez lui. Je vous reco
magnétiseurs à aller voir M. Fiske, parce que ses expériences ne nous paraissent pas devoir rien leur apprendre ; quant aux person
dit de 1 'Electro-Biologie. Les personnes sur lesquelles il a opéré paraissaient avoir perdu toute force physique, el la volonté s
ui, à Armory-Hall. Quelque merveilleuses que ces expériences puissent paraître , nous sommes parfaitement convaincus qu’il n’y a
ion démesurée dans ceux sur qui l’expérience fut faite, el l’un d'eux parut se faire violence pour résister au désir de lui d
heureux, j’en vis un qui venait d’être amené par un icatch man; il me parut réunir les conditions demandées par le Dr Fiskc,
ment ivre, qu’il fallut quatre hommes pour le faire monter. Lorsqu’il parut dans la salle, le Dr Fiske fit observer que ce n’
BUMPO-BIOLOG\ (i). — Le professeur l’oans est arrivé, et va bientôt paraître au salon de Cassedy. Il essaiera d’expliquer, d’a
t parfait. La porte du Cercle cria sur ses gonds et Timolhée Tilmarsh parut sur la scène. Son esprit était absorbé par les me
lusions et des hallucinations dans un état de veille, ou du moins qui paraît tel, où le rapport niagnélique est très-intime.
à terre au milieu de la foule, saisi d’une atlaque d’épilepsic, et il paraissait en proie à l’agonie do la morl. Il y avait là q
es articles seront fort courts, afin d’étre lus par tout le monde, et paraîtront à plusieurs jours d’intervalle, pour ne pas fatig
sque la sensation avertit le cerveau que l’ordre est exécuté. Ce fait paraît bien simple ; il ne trouve pas un incrédule, et p
, avait enfin trouvé un remède contre les névralgies ! Ce remède, qui paraît être le fer rouge, est assurément fort commode :
pe... » Nous la magnétisâmes quatre fois par jour, tant que cela nous parut nécessaire, et dès le second jour on put constate
il, convient aussi dans ces cas, etc. >» Puis soudain, pour ne pas paraître exclusif, vous consentez à l’intervention des sec
érôme Bonaparte, et une séance de magnétisme. « Le prince Jérôme ne parut pas, ce dont nous noua consolâmes. « Mais le ma
exis, et toujours les faits somnamhuliques donl j'ai élé témoin m’ont paru de nature à dompter les esprits les plus incrédul
bourgeois de Calais... » « Celle prédiction, si singulière qu’elle parût , s’accomplit de point en point, et le chien fut d
envoya sa volonté sons la forme d’une lumière toute brillante; elle parut sous la ligure d’un homme. L’hérésiarque Simon
nt en l’exposant sur des tréteaux aux regards de la foule. Rien ne me parut jamais si méprisable. Et je me dis : que serail-c
ravaux de M. Reichenbach sur l’aimant et autres agents dont la nature paraît analogue au magnétisme animal. Ce livre, que nos
ar le rédacteur en chef du Canadien. » Loblinière, 5 mai 1851. 11 paraît , j’en suis même certain, que plus de la moitié de
sans frais, sans remèdes et sans danger. Cette assertion peut et doit paraître extraordinaire ; chacun cependant peut s’assurer
celles dont le siège m’était inconnu. Cette manière de guérir ne me paraît point une science, c’est un sixième sens dont l’h
reil phénomène. La science viendra sans doute bientôt éclairer ce qui paraît encore mystérieux et prouver que je ne suis pas u
l à sa belle lucidité en somnambulisme, lucidité si naturelle qu’elle paraît soumise à sa volonté, je ne doute pas, dis-je, qu
ans la tête ; ! « grande oppression nerveuse que je ressentais a di-« paru , et avec elle les noirs pressentiments. L’ouït «
cela, à notre insu, non officiel, mais correct. » Aussi n’en a-l-il paru qu’un fragment dans un des tionné : BANyl ET
toute circonstance, d’ailleurs, où l’usage de la chaîne communicative paraît indispensable, nous lui préférerons la magnétisat
al. 4° Par diverses substances. La plupart des corps inertes nous paraissent être d’excellents réservoirs magnétiques, mais no
ement des effets avantageux. Alexandre Ier, sous le pontificat duquel paraît re- (1) Nombres, chap. 19. (i) Antiquités rom
a musique au nombre des accessoires du magnétisme, c’est qu’elle nous paraît exercer de puissantes déterminations sur la cure
s sur le système de l’innervation ne sont pas douteux pour nous; elle paraît produire sur nos organes un ébranlement qui favor
les prophètes faisaient leurs prédictions au bruit d’instruments qui paraissaient les plonger dans les transports d’une sainte fure
années, de nombreuses expériences sur des idiots; leur intelligence a paru se développer sous le pouvoir de cot agent. Comme
Eugénie Morel, de Grainville-Ymauville. Yoici un fait nouveau qui m’a paru mériter de faire suite aux autres et d’être porté
espèce d’oreiller, un gros coussin bourré de grosse laine et qui m’a paru devoir peser deux ou trois kilogrammes. Ce coussi
core connu; nous le publierons aussitôt qu'il nous sera parvenu. Il paraît que, outre les traitements, cette société s’occup
e somnambule. Celui-ci mêlait les cartes avec une grande dextérité et paraissait jouer avec toute l’habileté d’un joueur consommé.
62 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
obie du regard écrite en allemand, « Dans un journal de Budapest, â paru aujourd'hui un article sur "votre travail de la
ise au jour et l'adoption d'un certain nombre de mesures qui à tous paraissaient , à juste raison, être très délicates, puisqu'el
et extra-professionnelles, de plus en plus longs, alors qu'ils nous paraissent cependant deve- nir de plus en plus inutiles. ,
en plus inutiles. , Avec l'organisation ancienne, un stage pouvait paraître raisonnable, parce que jusqu'en 1888 le recrute
pagné dans celle visite par le médecin-adjoint Il nous a toujours paru à tous qu'une telle manière de faire consacrait
és. Les décrets et règlements actuels, la loi môme de 1838, ne nous paraissent pas appliqués suivant les mêmes règles dans tou
poitrine ; il accuse la lourdeur de ces extrémités. Ses jambes lui paraissent également fléchies sur lescuisses et violemment
ivité plus intense et plus productive. 3. La complexité de la forme paraît donc être le reflet et la condition de la compl
uand les coupes sortent de la seconde opération de coloration elles paraissent totalement noires et couvertes de bourbe, cette
bromure a été invariable.) Au premier abord, cet insuccès clinique paraît devoir servir d'argument contre la théorie path
ssion du Conseil supérieur de l'Assistance publique, de laquelle il paraît résulter que l'Administration de l'Asile reste
t la situation faite aux asiles de pro- vince ; je dis mieux, il me paraît qu'un jugement équitable ne peut être porté sur
, entourées parfois de restrictions,comme dans le Finis- tère. lime paraît aussi que les asiles s'honoreraient de porter,non
lique une action sur l'autre. Deux faits - ou qui semblent tels - paraissent conduire à la conclusion que la main droite est
cette affection est très rarement citée.Dans la thèse de Dufour (1) parue en 189G, sur les lésions de la queue de cheval,
en 1901 par Cestan et Ba- bonneix (2). Bartels (3) dans son travail paru en 1903 sur les lésions de la queue de cheval,
plus que par une paresie véritable ; toutefois la force musculaire paraît être diminuée dans tous les seg- ments des deux
ésentent aucune adhérence avec la face interne de la dure-mère, qui paraît lisse, d'aspect normal, sauf une légère congest
uscles postérieurs de la cuisse. Au contraire, les muscles fessiers paraissent atrophiés ; ils présentent une notable diminuti
re et . au-dessus encore, la zone d'entrée des racines postérieures paraît absolument intacte de chaque côté. Les racine
cellules étudiées par la méthode de Nisslsontbien conservées et ne paraissent pas diminuées de nom- bre. Les cellules radic
points de sortie des ra- cines sacrées et lombaires inférieures. Il paraît qu'ici la dure-mère, comme il arrive dans la ma
a réagi en s'épaississant, et l'épaississement de la dure-mère seul paraît ici être la cause des lésions d'in- tensité var
radiculaires présentes ou d'en produire de nou- velles. Ce cas m'a paru digne d'être publié par ce qu'il se rapporte à
de la circulation, les troubles gastro-intesti- naux. Mais le foie paraît être atteint en premier lieu. Dans la mélancoli
et des signes cliniques, qui attestent bien que le foie est lésé et paraît être le premier atteint. II. Parallélisme entre
e chez beaucoup d'autres malades, ce hâle, cette teinte bistre, qui paraît se rattacher à une pigmentation due à une hémat
lange d'une grande quantité de sang. La prééminence des lymphocytes paraît plus accentuée chez t'épitcptiqueque chez le pa
pelvienne et la région antérieure (le la cuisse. Celte amyotrophie paraît avoir débuté vers l'âge de 16 ans au moment d'u
lui-même devant le public, il en arrive à re- douter précisément do paraître en public, et le trac est ainsi constitué, cons
ptomatiques de quelque affection déterminée ». Si celte formule a paru excessive à notre distingué collègue Deny, delà
cessive à notre distingué collègue Deny, delà Salpétriero, si cllea paru incomplète à MM. Régis et Brissaud, il n'en est
ditions alors que, d'autre part, je réclamais des interventions qui paraissaient inutiles au premier abord. Je ne rappellerai
ions personnelles et inédites que j'ai choi- sies parce qu'elles me paraissent particulièrement nettes, trois se rapportent à
tés avec hallucinations de l'ouïe, la quatrième à une malade qui me paraît ne rentrer exacte- ment dans aucun des cadres c
alhogénique, on est mal renseigné sur ces faits. En particulier, il paraît paradoxal que les réac- tions électriques soien
rant cette incubation, parfois si longue, aucun symptôme morbide ne paraît révéler cette imprégnation lente,continue, asce
ité, et de la trophicité des régions atteintes. La deuxième étape paraît caractérisée par le rayonnement et la diffusion
dant à l'amputation que du côté opposé. Celte variabilité ne nous paraît guère conciliable avec l'idée d'une simple lésion
taires, soit d'épaississements sclé- reux. Ces constatations nous paraissent intéressantes en ce que la méningite explique p
querait l'étape périphé- rique de l'affection : ce syndrome ne nous paraît donc pas obligatoire. Peut-être y aurait-il l
re entre la lésion pé- riphérique et la lésion médullaire ; il nous paraît logique de supposer que les lésions méningées p
'axe. J'ai recherché de combien je devais incliner, pour qu'elle me parût verticale, pendant la rotation : 1° une tige que
dans aucune autre occasion. Dis- cussion du cas. Un trouble émotif paraît bien être à la base du trouble vaso-moteur, ind
OGISTES. de paralysie générale tardive sont assez rares ; il nous a paru intéressant de publier le cas suivant : 11 s'
(de Villejuif). Dans ses recherches, le sé- rum marin de Quinton a paru influer heureusement sur les accidents convulsi
masqué. Contrairement aux prescriptions de Fuchs et Schultze, il ne paraît pas agir sur les convulsifs aux doses expérimen-
ant, emportèrent le délire dans l'es- pace de deux mois. Les règles parurent alors et la malade fut entièrement rétablie." E
de Boismont), les seuls faits peuvent répondre ; tou- tefois, il ne paraît point que soustraire, à intervalles variables,
mi- nistrer elles-mêmes les douches (1). Nos confrères de l'armée paraissent s'intéresser au traile- ment hydrothérapique et
. C'est l'inter- ruption brusque de la nutrition de l'encéphale qui paraît en cause, comme pour les convulsions succédant
x inhalations d'oxygène pendant des cri- ses menaçantes. Nos essais paraissent très encourageants et sont poursuivis attentive
que l'emploi des inhalations d'oxy- gène (emploi qui, bien entendu, paraît tout à fait inoffensif), l'ait rapidement cesse
ou moins hallucinatoires sans é\o- lution démentielle. 11 nous a paru intéressant de rechercher quelles différences p
s veines sont dilatées et tor- tueuses. Les artères ne nous ont pas paru présenter de modi- fication appréciable. 2° M
du ma- lade n'est pas forcé. La surveillance officielle et médicale paraît suffisante. Si on considérait Gheel non comme u
u'ils avaient soigné avec dénuement. Aussi, dès que Fernand Dijon parut guéri, ses parents s'empressèrent-ils d'aller le
s surtout par'les temps orageux que nous traversons. Avant-hier, il parut à nouveau très exalté. Toutefois, son état n'in
gramme son arrestation à Trésigny-sur-Orge. L'état de Mme Di- jon paraît désespéré. Drame de la folie. - Vendredi dernie
troubles de la perception externe : les personnes et les objets lui paraissent changés, différents de ce qu'ils étaient autref
hésiopathie, suggéré par M. E. Dupré, tous les psycho-syndromes qui paraissent liés à une al- tération a, hypo, hyper ou para
ychiatrie (3° édition, collection Testai) qui va très prochainement paraître . LES PSYCHOSES DES INFECTIONS AIGUËS. 209 ai
crépusculaire de l'es- (1) Cette confusion des couches de cellules paraît être des plus importantes au point de vue de la
(2). Parmi elles, les voies conductrices des sensations organiques paraissent les premières, puis viennent celles des sensati
'ailleurs que le commencement de cette formation histologiquc qui paraît indispensable à la propagation de l'influx nerv
conscience. - V. Nous avons dû, pour discuter les points qui nous paraissaient obscurs de la psychologie du nouveau-né et pour
un modo spé- cial. Je tiens.avant de développer les argument"qui me paraissent plaider contre cette façon de faire, a bien dir
sais pas avoir été surpris par la pauvreté, je dis pauvreté pour ne paraître pas méchant, des raisons alléguées par nos coll
n'étouffe pas la notion supérieure de l'intérêt général », il avait paru que le concours institué en 1902 offrait le maxim
es distingués et craintifs, mais s'ils sont très distingués, ils me paraissent avoir d'autres débouchés, qu'ils se présententà G
, qu'on leur donne des places de mé- decins-inspecteurs. Et cela me paraît très beau pour eux, car après tout il y a en Fr
tir les étranges désirs de nus collègues de la Seine,mais il nous a paru qu'il était de l'intérêt de tous do ne paspasser
n delà maladie. L'auteur cite plusieurs observations où la blessure parut intervenir principalement pour localiser la név
dès l'amélioration confirmée des malades, chaque fois qu'il nous a paru possible de les confier à. leurs familles. Nous
, mais à être des auxiliaires des méde- cins. M. le 1)1' Dubourdieu paraît être décidé à faire cet enseigne- ment : nous l
17 mois. Propreté iL 18 mois. Les premiers accidents convulsifs ont paru à 9 ans et demi. Alors B.. était trèsimpression
e allait mourir ; elle voyait tout le monde en noir, « les gens lui paraissaient tout noirs. » Elle avait peur, ne sachant de qu
causeuse, un peu triste de nature. Le début de la maladie actuelle paraît dater de G mois. Il s'est manifesté par de l'in
qui parlent d'elle et la font passer pour aliénée. Les autres sens paraissent respectés. Dans la mélancolie anxieuse alcooliq
é, avec l'indi- canuric ou avec l'albuminurie. La glycosurie nous a paru plus fréquente chez les mélancoliques stupides.
lanco- lie que nous avons observés, les troubles du foie ont dis- paru en premier lieu ; la cholémie a diminué avant qu'
830 a 1858 et qua-i IIuhliÚ, Il'111' hi ? loil'e paLlwjogique ayaut paru cloe dl'pui plu- ,le '10 au-. On les cOII,idÚmi
heilllunde XXTI. 1. F. XIV. 1903.) Répétition de l'article russe paru dans l'Oboréni psichiatrii. VIL 1902. Ana)\se i
était par conséquent incapable de le sortir. sa naissance, l'enfant parut en excellente santé. Il fui nourri au sein jusq
l'aihlies el les membres pas par- lindii'reJ1lpn L "euilde". L'oujp paraissait être quelque peu défec- tueuse car, s'il se pro
pique très difficile (ait avec une lampe à l'huile, les cristallins parurent atropines. Je regrette, beaucoup que durant ili
e fut amené à l'âge de 18 mois. Antérieurement, il m'avait toujours paru quelque peu affecté ; et, connaissant comme je
s et \'aillanl ont permis d'admettre que ces névrites périphériques paraissent dues à l'action des toxines tuberculeuses. L'in
a lésion dclamoellc n'était prut-etre pas aussi complète qu'elle le paraissait microscopique- mou. Les A. n'en furent nas moin
u dehors, une des peli les -veines (.missail'l's. Ce 111{'l'ani'3m( paraît asl'Z It'{'qu('nt Lorsque l'abcès rslpérisinusi
re son doigt en place avec le pouce de l'autre main. Les muscles ne paraissent pas atrophiés. Il présente aussi une contractio
el g,)I1cOln'. C'est un livre qui vient bien a son heure, puisqu'on paraît enlin se décider faire quel- que chose pourles
rage consiùérahle quP- .\1.'1. Launois el P. lloy viennent de faire paraître sur les géants constitue une étude anthrololn-
s mouvemeiils. Très excité, d'une force lLerculéenne,Descouleurs ne paraissait pas disposé à se lais- ser emmener par deux hom
sprit, Crimes et délits dans la folie, le ^[onde des J ? ces. etc., parus pendant sa période d'exercice, a a publié, dans s
la compression exerce sur les éléments du tissu nerveux. Enfin, il paraît aussi indéniable que, dans certains cas, l'irri
nt mécanique, un rôle dans la production de l'oedème médullaire, ne paraît pas être universellement acceptée ; en effet, c
dullaire sur lequel Schmaus et Fickler ont attiré l'attention. 11 paraît , en effci, ne pas s'agir ici d'une conception pur
ison, une fois que la tuberculose s'est propagée au périnévrc. Il paraît toutefois qu'on peut faire quelques réserves (1
t dilaté que rétréci remplis de sang, surtout les reines : aucun ne paraît thrombose, aucun ne présente d'infiltration emb
oelle. - , Dans notre cas, en résumé, la péri-pachyméningite nous paraît avoir agi de deux manières : d'une part en comp
latéraux, soit au-dessous ou au-.dessus de la lésion, et qui dis- paraît complètement quelque segment après l'interrup-
s el dans le cordon antérieur ; dans ces régions, la névroglie ne paraît pas lvrolilér(·e : dans la partie antérieure des
xerce sur la partie médiane de a périphérie antérieure de la moelle paraît , ici, avoir plutôt agi en provoquant un oedème
lle; en outre, la circulation de la moelle lombaire ne nous a pas paru oll'rir d'altérations appréciables. La conserva
d'être complète. Troisième cas. M. L., 77 ans. Déhul de la maladie, paraît -il, il 1'11ge de 70 ans, par des douleurs si es
1'I111'P les méninges et la dure. ,,La moelle, de volume normal, ne paraît en aucun point al7lali·, ni déformée. 7Yt))it
on, mais ils restent encore largement perméables, et aucun d'eux ne paraît thrombose. Les espaces 1)("I'i\llSCulaj¡'eOIlt di
proéminent et la cyphose cervicodorsale ne manquait pas. Le front paraissait bas et faisait ainsi contraste avec les dimen-
dans le sang des épileptiques la présence d'un microcoque qui me paraissait devoir être considéré comme étant vraisem- blab
'agent pathogène du mal comitial. Quel- ques mois après, un article paru dans la Revue neurolo- gique (2) complétait cet
ns cette courte note aux auteurs précités, mais leurs objections me paraissent , en somme, porter sur trois points principaux :
pileptiques ayant des accès en série ou du délire, un seul examen a paru posi- tir : « En quelques points, il semble y a
ement arrondis comme s'ils provenaient de globules parasités dis- parus . ' ( '1">. 1 La figure schématique ci-dessus
la suspension des attaques déterminée par les bromures alcalins ne paraît pas due à une action mi- crobicide. b) Résist
comme dans les infections du sang en général, de fréquents insuccès paraissent dus à ce processus fibrineux. La culture dans l
sous peu appuyer ces faits. J'ajoute que d'expériences en cours, il paraît résulter que les cultures du neurocoque favoris
s systématique et persévérante une série de mesures palliatives. Il paraît indispensable, en tout cas, d'enregistrer scrup
malade est décédé en 1902 d'entérite tuberculeuse. Ce qui nous a paru intéressant dans cette pièce, c'est la réfec- t
monographie sur la Démence précoce qui fut un des premiers travaux parus en France sur cette ques- tion. Interne de M.
uis quelques jours, à l'hôpital, pour une affection de poitrine. Il paraissait fort calme, mais, ce soir, comme l'interne approc
63 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
e ce principe nouveau, en ne m’a coûté, aucun sacrifice ne m’a jamais paru mé-er une considération, et, joyeux de mon entrep
politique, r«ligieuse et sociale, où la partie animique de l’homme ap parut dans toute sa force, tendant à s’épancher au deho
Helmont, des Jacob Bœlim, de Cardan, des Campanella, des Del Rio, qui parurent dans ce siècles, il faut ajouter les écrits moins
IÈRE CAUSERIE MAGNÉTIQUE. Patience et persévérance. Le magnétisme paraît souvent lent dans sa marche, obscur dans son acti
vous ; les visages sont mornes; votre assurance à vous, magnétiseur, paraît téméraire ; votre parole ne trouve point d’écho.
rir la cause qui produisait les coups ; on ne put y parvenir ; le son paraissait partir du médium et être dirigé vers l’interrogat
que les coups n’étaient pas produits par ceux-ci, que même les coups paraissaient quelquefois venir d’une armoire à livres ou d
de remèdes matériels. Procéder en médecine autrement que le médecin paraît déraisonnable, et pour arriver à guérir, il n’y a
les jours, ni les mois, ni les années. Pour que la moindre végétation parût sur les masses de granit sorties du sein de la te
n’en prendre qu’une connaissance superficielle, rire de ceux qui lui paraissaient surnaturels et ne point chercher par de profondes
l pas réservé à notre fin terrestre? Dans tous les cas, ces vues nous paraissent bien supérieures, quoique antérieures, à celles d
giques et scientifiques. Cette analyse, quoique fort sommaire, a pu paraître longue à raison de la date déjà ancienne du livre
et les voies nouvelles de spiritualisme positif dans lesquelles nous paraît , entrer le monde nous ont semblé lui donner aujou
avons cependant à faire quelques réserves sur des citations qui nous paraissent détournées de leur vrai sens. Voir dans l’histo
sur Moïse, sur Daniel, sur saint Paul, est fort bien pensé et nous a paru présenter souvent des aperçus nouveaux. Les pages
is esprits qui vous assaillent. I)u reste, l’influence astrale nous paraît quelquefois singulièrement exagérée par les astro
oici dans quelles circonstances : M. le curé de Levis est, à ce qu’il paraît , fort habile dans l’art de rebouter, c’est-à-dire
s livré qu’à de simples reboutages, et que toutes les fois que le cas paraissait grave, il faisait appeler un officier de santé. C
ux observations que nous venons de recueillir, en même temps qu’elles paraissent offrir un caractère physique commun, attestant le
de se coucher. « Je fais les passes comme je l’ai déjà fait ; il me paraît , an bout de dix minues, que la malade dort réelle
les conquêtes de la science. Dans le petit livre qu’il vient de faire paraître et qui n’est que le prélude d’un ouvrage plus éte
s purement et simplement à titre de faits, quelque discordants qu’ils paraissent avec les notions les plus certaines de la physiol
s et recherchent avec avidité un regard rie cet homme pour lequel ils paraissent éprouver une vive affection , bien qu’il ne s’occ
’eux. » M. Bonnemère, dans l’excellent ouvrage qu’il vient de faire paraître , intitulé Histoire des Paysans, rapporte l’anecdo
e le Précurseur d’Anvers appelle une prétendue marquise ; mais ce qui paraît certain, c’est que cette somnambule avait l’avant
onnages fort éminents. On termine par quelques anecdotes qui nous ont paru propres à jeter de la lumière sur le rOle des méd
à l’aide de moyens renouvelés des siècles « du paganisme, sans qu’ils paraissent se rappeler ni même u savoir qu’ils commetten
s articles subséquents, a parlé en termes plus sérieux des médiums et paraît disposé à croire àleur existence ; l’autre s’est
me. Les faits contenus dans ces articles, tout extraordinaires qu’ils paraissent , n’en sont pas moins reconnus comme étant très-vé
i-ci et où commence l’autre. La réponse à une pareille objection nous paraît facile ; en admettant qu'on ne puisse1 déterminer
t produit dans ce monde est naturel , quel qu’il soit, et s’il ne lui paraît pas tel au premier abord, c’est que son défaut de
rme, toute frivole qu’elle se montre , toute scabreuse qu’elle puisse paraître à certaine critique, n’en est pas moins une voie
ouvrent dans le langage ce qui est banal et ce qui est senti ; ce qui paraît partir d’idées arrêtées et d’une bouche convaincu
l n’y avait personne dans la maison que moi, ma femme et ma fille qui paraissait prête à rendre le dernier soupir. Ma femme et moi
ui m’accompagna, mais aussi celle de ma fille, bien que celle-ci nous parût près d’expirer ; elle chanta avec autant de force
vers la personne magnétisée, j’enlevai le fluide des oreilles , elle parut réfléchir un instant, comme si elle écoutait parl
r, et pour sc désaltérer, je lui fis boire un demi-seau d’eau qui lui parut de la bière. I.e lendemain, les coréligionnaires
. Qu’ils nous permettent de leur en signaler une application qui nous paraît d’une certaine importance. Les enfants sont par
s justifiables pourtant en présence d’ennemis, mais qui, là, auraient paru déplacées. Nous allons donner en substance les
tait réservé, et j’en remercie la Providence. « Si mes paroles vous paraissent téméraires, j'ai en moi ce rayon de feu divin déc
btenu ces résultats salutaires, tandis qu'ils ne sont dus (à ce qu’il paraît ) qu’au diable qui a la modestie de ne pas se mont
naître ! Ne serait-il pas sage de chercher les lois d’une science qui paraît destinée à cesser d’être occulte? L’Amérique en c
r, je dois tout saisir, tout voir, tout entendre etrépéter ce qui m’a paru vrai,, sans cela des reproches pourraient m’attei
courtoisie ses \dées, tâchant toujours de les asseoir sur ce qui lui paraît le plus probable. H respecte la sincérité des pen
pose le critérium de l’analogie, l’audace de ces sublimes conjectures paraîtra probablement s’élancer jusqu’à la témérité. Préte
g reprend plus promptement sa circulation normale. M. Louyet, ayant paru croire , d'après le traitement indiqué pour les s
iste, le sang ne jaillit jamais des piqûres faites au patient ; il ne paraît que lorsque la sensibilité est revenue. Evidemmen
urche sans hésiter, mais il ne peut s’empêcher de dire : « Allons, il paraît que ma dernière heure a sonné ! » et se rue sur l
uverte en Europe, qui n’ait été faite antérieurement par la Chine. Il paraît que ni l’Europe, ni même l'Amérique, ne sont fond
e pas que Satan (2), l’esprit trompeur, est te Prince de l’air ? Il paraît évidemment, par le texte de Moïse, que cet écriva
es.) Eh bien ! cette correspondance cachée (terranée-atmosphërique) paraît exister pour tous, moralement et physiquement.
derniers vestiges de leur fluide. Et l’existence de ce corps aérien paraît être longue, puisque, en 1851, Eliphas L6vi, d’ap
èle, les yeux clos et les paupières agitées de secousses convulsives, parut prononcer quelques mots à voix basse, en m’annonç
dernièrement sur les médiums. Si tous les faits qui y sont relatés ne paraissent pas également acceptables, attendu que le narrate
t la donner en raccourci, c’est-à-dire en me bornant aux faits qui me paraîtront les plus dignes d’intérêt, car je ne veux pas abu
; les feuilles mêmes se faisaient remarquer, quoique plus mates. Tout paraissait dans une délicate incandescence ; les parties sex
ont à une silhouette sur un fond faiblement éclairé; enfin les doigts paraîtront avec leur propre lumière ; ils auront l'apparence
les motifs de cette détermination, que nous avons combattus, nous ont paru légitimes et respectables au point de ne pas nous
pas tout à fait étranger aux lecteurs de notre journal, dans lequel a paru de lui un discours remarquable prononcé à un de n
n'eùt-ceélé qu'à titre dubitatif : Des modifications d«l’état nerveux paraissent amener des perceptions insolites, qui semblent na
ns devenir pour cela tout à fait étrangère à ce monde. Et les visions paraissaient beaucoup mieux-à la clarté du soleil (■) ou de la
us témoigner de leur souvenir cl de leur affection? Voilà ce que me paraissent , dans leurs principaux caractères, les merveilles
L’esprit réside en notre âme. C’est le principe incompréhensible qui paraît posséder et développer les formes. Le corps, il n
e quelque émanation de l'âme avec « les facultés intellectuelles, que paraissent résulter cessons inestimables « du vrai, du juste
s (les plexus et leurs ganglions, la moelle épinière et i’cncéplialc) paraissent être des condensateurs, des magasins d’approvisio
fut impossible de découvrir la moindre fraude. Les caractères nous n parurent faire partie de la feuille, comme les veines et l
sincérité de notre re-« talion. « L'arbre des dix mille images nous parut très-vieux; son tronc, que trois « hommes pourrai
s, si l'on n'oublia pas que la parole est une principialion. (3) Il paraît que, pources phénomènes d’insensibilité, l'âme ag
isposé à croire; il nefaisait pas la moindre objection, aussi Home ne paraissait nullement le redouter. Le comte Georges est un cr
'homme. Malgré les citations pompeuses empruntées à des écrivains qui paraissent n’avoir pas lu la Bible, le premier point est l’a
longtemps complète, ni quant à l’arc-en-ciel qui n’aurait commencé à paraître qu’après le déluge, etc. Et quand môme le récit d
bruits étranges et mystérieux. « C’était étrange, mais ce qui nous paraissait bien plus étrange, c’était la foi que les personn
qu'il y a clairement vu les choses les plus étranges, mais ce qui lui paraissait plus étrange encore, c'était la foi (pie les pers
le spiritualisme, repose principalement sur trois faits généraux qui paraissent surabondamment établis par les expériences d’une
à tour manifester leurs opinions sur une foule de questions qui leur paraissent compétentes. Parfois aussi l’esprit de quelque gr
ribles et d’une efficacité qui n’était point douteusfc, mais qui leur parut telle alors, ils se croyaient dans cet instant co
rent qu’on doit obéir aveuglément. Cet argument tiré des auteurs leur paraît très-puissant, bien qu’ils reconnaissent qu’à cet
entendre sur le mur éloigné; ils devinrent de plus en plus forts, et parurent se rapprocher de nous. Je levai la tète pour tâch
t, se faisaient entendre en divers endroits de la chambre. Redman paraissait très-effrayé, et il craignit quelque mauvais tour
n’existent plus pour moi, puisque je les ai parcourues, les objets me paraissent être aussi près de moi que ceux que je puis touch
licures de ce mode de traitement, les menstrues, qui n'avaient point paru depuis vingt-trois mois, jaillirent avec abondanc
issement de laquelle je travaillais énergiquement, ne tarderait pas à paraître . Le 2 septembre, la malade se sentait déjà si b
jeter sa pelisse sur ses épaules, sans pouvoir se réchauffer. Home paraissait endormi dans l’angle d’un divan. En réalité, il é
état qui, sans être une maladie comme les affections convulsives , me paraît devoir y prédisposer singulièrement. Chez Home, c
’épaule droite six cercles qui conseï valent leur couleur de chair et paraissaient d’autant mieux tranchées sur la peau noirâtre. Ce
t eu lieu effectivement ; mais nous contestons les conséquences qu’on paraît vouloir en tirer. CONTROVERSE. Nous ne repr
me et du corps ; nous rappellerons seulement cette objection qui nous paraît sans réplique, que le somnambule, pendant qu’il d
le dernier numér«par M. Lamothe, sur un système intermédiaire , nous paraissent nécessiter une réfutation : ce sera le sujet d’un
ons magnétiques et spiriualistes, et c’est le premier en ce genre qui paraît dans ce pays des brouillards et des marécages, où
e nous traduisons du Ilandelsblad du 13 août 1857 : « Prochainement paraîtra un ouvrage du sieur Siemelink, magnétiseur en vil
ent traité du magnétisme dont nous avons rendu compte, vient de faire paraître en français un Cours théorique et pratique de mag
ts qui se produisent par de là l’Atlantique et même chez nous, et qui paraissent au premier coup d’œil devoir être rangés parmi ce
ite quelques beaux faits de sa pratique, produits par ce qu’il nomme, paraît -il, magnétisation de la matière. M. Ordinaire t
gros ou le polir davantage. Libre à eux de polir aussi celui qui leur paraît ne pas l’être assez . je dirai même que c’est en
ue nous employons; et qu’enfin ces faits, tout extraordinaires qu’ils paraissent , sont, au contraire et si l’on y réfléchit, bien
dant à M. de Mirvillc, consiste à attribuer au démon tout ce qui leur paraît inexplicable ; c’est vraiment vouloir déraisonner
é comme d’ordinaire, le succès a été complet, et Satan n’a pas laissé paraître le plus petit bout de queue... Nos démonolâtres d
ission de tels êtres n’a donc rien de contraire à l’orthodoxie. Telle paraît être l’opinion de M. de Résie, qui a un faible po
es, ni âmes de décédés, et disposés, sous certaines conditions qui ne paraissent pas contraires au salut, à être utiles à l’homme
t avec un semblable instrument. Mais si vous sortez de ce cercle, qui paraît tout physique, vous perdez bientôt pied , vous en
de certitude à des faits que l’on n’osait avouer tout haut, tant ils paraissaient extraordinaires et surnaturels. Voilà pourquoi,
incomplète, mérite d'ètre rapportée cause de certains faits qu’il m’a paru intéressant de faire connaître. Ils pourraient êt
à peu. Les jours qui suivirent, tout allait pour le mieux, rien ne paraissait l’incommoder. Le sommeil était revenu, ainsi qu’u
nt des passes du cou au bassin. Le septième jour, — le malade avait paru insensible jusque-là, — la douleur se déplaça et
mbulisme ; nous allons seulement rendre compte de celles qui nous ont paru remarquables. 1° Le sujet est posé à terre, cou
es recevoir. Mon voisin adressa les premières questions; les réponses parurent le confondre, et je trouvai qu’il y avait de quoi
is, semble indépendante des qualités sonores de l'objet d’où ils nous paraissent procéder, car, bien qu’ils frappent l’oreille com
ic à venir observer les phénomènes surprenants auxquels leur présence paraît donner lieu, et se soumettent de bonne grâceà tou
ce point. Mais voilà que les sons, de plus en plus forts et pressés, paraissent se rapprocher de nous par degrés, et enfin l’inst
brassèrent respectivement mon bras et s’y appuyèrent fortement. Il me paraît impossible que, dans des conditions pareilles, ce
la fréquentation habituelle de la meilleure compagnie ; son éducation paraît avoir été soignée, et il possède l'instruction sé
s bienfaits du magnétisme, je lui en citai plusieurs exemples qu’elle parut croire; je lui proposai d’en essayer, ce qu’elle
, malade depuis plusieurs mois, et privée de ce qui avait habitude de paraître régulièrement. Je lui dis de se rappeler l’époque
sans moyen physique appréciable, etc. On cite aussi des guérisons qui paraissent être dues à une action magnétique, et de prodigie
s suivants : « Je sens que j’ai bien peu de temps à, vivre; et prêt à paraître devant Dieu, je suis incapable d’altérer la vérit
plaindre d’un mal erratique qui lui prend tous les muscles, mais qui paraît avoir son siège dans le ventre et à la tète, et d
s son larynx ; elle commençait à ressentir un tremblement général, et paraissait en proie à de fortes douleurs. J’ai eu pitié de l
e Béranger se trouve l'Uisloire d'une idée. Le couplet suivant nous a paru avoir tant d’à propos, qu'on le dirait fait à l'a
me qu’il vient de publier est la reproduction des leçons qui ont déjà paru par fragments dans son journal. C’est un petit ma
64 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
it décrit déjà trois degrés de l'inflammation périostique. En 1839, paraît dans les Archives de médecine un extrait d'un mé-
ère de chronicité sur lequel ont tant insisté les auteurs. En 1855, paraît dans les Archives le mémoire de Gerdy sur la pe-r
et les condyles du fémur, aussi bien que les tubérosités du tibia, ne paraissent pas usées à un haut degré. Outre ces symptômes,
abolie. La sensibilité à la douleur est notablement émoussée ; il ne paraît pas y avoir de retard dans la perception. Pince-t
ur que de souffrance. La sensibilité au froid, loin d'être affaiblie, paraît un peu exagérée. Le B... perçoit le chatouillemen
e a du délire. Relevons, en passant, que les pan-sements n'ont jamais paru si peu pénibles que depuis le début du tétanos.
cette revue, déjà trop longue, par les quelques conclusions qui nous paraissent en ressortir. Le premier cas, observé à la Rama
grande efficacité aux injections intra-utérines, efficacité qui nous paraît avoir été démon-trée d'une façon évidente dans un
ues. On les voit surtout au tibia ; une incision prompte et large lui paraît donner les résultats les plus favorables. » Il ne
s supérieurs ou, en d'autres termes, l'incoordination ne faisait qu'y paraître , quand l'arthropathie est survenue. 1 Voy. hevu
n à la base du thorax, ont été les premiers symptômes; puis elle a vu paraître l'anesthésie et de l'affaiblissement des membres
arville et par moi. n'a été suivie d'aucune douleur, l'articulation paraît mieux fonc-tionner. 24 février. Une nouvelle po
Il existe donc une luxation intra-coracoïdienne. La tête de l'humérus paraît plus petite qu'à l'état normal. La luxation se
ce genre d'éruption. Peu élevées au-dessus des téguments, ces plaques paraissaient avoir une épaisseur égale; les grandes plaques ét
topsie2. —L'arthropathie observée chez la malade précédente ne nous paraît différer par aucun symptôme important de celle de
rougeur, ni chaleur, etc. ; et, de plus, la lésion de la moelle nous paraît la môme , à savoir ; lésion des cellules de la pa
aupières sont ouvertes également et les globes oculaires, au toucher, paraissent avoir le môme volume. Les pupilles sont nor-males
— 18G8. ... 21 — — 1871. . . . 5 — D'après ce tableau, les accès paraîtraient diminuer. — La suite au prochain numero. — TÉ
ppement qui n'in-téresse que l'avant-bras. En effet, les deux bras ne paraissent différer ni dans leur volume ni dans leur configu
que extrémité osseuse. La dépression interne qui correspond au radius paraît plus excavée ; cette apparence est due à la longu
us.—La dilatation du col est plus grande que pendant la vie. Le fœtus paraît à terme. 11 est considérablement œdématié, et sur
ande quantité d'albu-mine, 10 heures. Après la saignée, la malade a paru un peu éveillée: nous n'avons obtenu d'elle aucun
eur E. Rœckel. Voici les conclusions d'un travail intéressant qui a paru dans les derniers numéros des Archives de physiol
formation, qui d'ailleurs n'amène par elle-même aucun trouble visuel, paraît devoir persister définitivement. La vue devient
e brun foncé, qui se dirige vers le côté opposé de la pupille où elle paraît se perdre derrière l'iris. (Voy. Planche XIV, fig
han-tilly, elle est venue à Paris à l'âge de onze ans. Ses règles ont paru pour la première fois à dix-huit ans. Elle n'a ja
par-faite dans les muscles coraco-huméral et biceps ; ce dernier même paraît envoyer une expansion musculaire au mamelon qui e
s Yéclampsie puerpérale1 nous a fourni divers renseignements qui nous paraissent d'autant plus utiles que souvent on a établi entr
ille circonstance. « La température du corps, dit M. W. Roberts, ne paraît pas: élevée dans l'empoisonnement urémique. Il y
as de maladie deBright chronique que j'ai vu récemment, ce point me parut même plus frappant, car plus d'une quinzaine avan
che. — Les plis du front sont marqués et égaux. — Les plis palpébraux paraissent moins accusés à droite qu'à gauche, mais à un fai
nalée, ne sont pas dus à la répétition des accès d'épilepsie, car ils paraissent , au contraire, devenir de plus en plus rares. Le
e tumeurs que l'on trouve chez la femme. — Jusqu'en 1859, le squirrhe paraît être la seule variété de cancer décrite et observ
et enveloppe le mamelon; elle a environ les dimensions d'une noix et paraît légèrement nodulée. Le système lymphatique n'est
parente...» «Les cris aigus se répètent à chaque instant et le malade paraît à peine en avoir conscience. La moindre pression
ce la thérapeutique hydrominé-rale de ces affections. Quelques-uns ne paraissent citer les eaux mi-nérales que pour être complets,
flammation ait débuté par l'un des tissus de l'ovaire, ainsi que cela paraît dé-montré par plusieurs observations rapportées p
1/2. L'aspect général de ce membre rappelle ceux du phoque. Le fémur paraît ne pas exister ou être réduit à l'état rudimentai
sez li-mités. Membre inférieur gauche. — Le membre inférieur gauche paraît avoir une conformation normale ; il a 57 centimèt
semble qu'il existe une luxation du pied en dehors; cette disposition paraît être congénitale. Une particularité importante
nerfs crâniens, grand hypoglosse, spinal et facial. 11 n'y a rien qui paraisse étrange dans cette diffusion des lésions ; c'est,
postérieures a été plusieurs fois expressément signalée. L'altération paraît se développer souvent sous l'influence de lésions
« fièvre muqueuse, » qui la confina au lit pendant quatre mois. Elle paraît avoir eu, en même temps, ou dans le cours de la c
ses cheveux tomber en abondance, les a fait couper. Actuellement ils paraissent repousser avec assez de rapidité. Elle a des adén
ue le malade ne réagisse plus et laisse presser la partie malade sans paraître s'en apercevoir. Je ne connais pas de ces faits,
que et se coa-gule par la chaleur. Les kystes hydatiques de la rate paraissent être plus fréquents que les kystes séreux ; ils s
me et onzième racines dorsales. Bien que les lé-sions de la dure-mère paraissent aussi prononcées à droite qu'à gauclie, cepen-dan
r le calcul. L'instrument n'est pas encore terminé; aussitôt qu'il me paraîtra parfait et que j'aurai obtenu un succès avec lui,
nguinolent par la plaie, la torpeur a beaucoup diminué, et les forces paraissent plus grandes que la veille, quoique le blessé soi
onclusion à laquelle est également arrivé C. Schmidt. Depuis lors ont paru divers travaux intéressants à différents titres,
à tout âge ; mais elle est surtout fréquente de 20 à 30 ans ; l'homme paraît y être plus sujet que la femme (87 hommes, 57 fem
hommes, 57 fem-mes , d'après les cas relevés par Fehr). L'altération paraît plus fréquente en Allemagne et en Angleterre; mai
yens thérapeutiques mis en usage contre cette dernière, bien peu nous paraissent offrir quelque valeur. Les succès connus jusqu'
ucture des divers organes? 1° Où et comment se forme le pigment? Il paraît bien prouvé que le pigment se développe dans la r
le pied qui est dévié. — Les muscles extenseurs, fléchisseurs, etc., paraissent avoir conservé leur contractilité. — Point hypere
ombreuses extravasations foncées à l'origine de la trachée. Le foie paraît tout à fait normal ; la rate peu gonflée, rouge b
quelques-unes des con-clusions de l'auteur : L'érysipèle épidémique paraît tenir à la septicémie, et doit être classé, par c
iers inférieurs du muscle sterno-cléido-masloïdien. — En un mot, elle paraît complètement limitée aux ganglions qui avoi-sinen
ache laiteuse large comme une pièce de deux francs. La ca-vité droite paraît un peu distendue ; à la percussion elle présente
de la rate est grisâtre, friable ; le pa-renchyme est plus serré, il paraît comme infiltré de sang noirâtre coagulé, et déjà
e 7 ou 8 jours ; la fièvre tombe, la douleur disparaît. Cette, époque paraît coïncider avec la réunion du pus en foyer ; alors
son égard. Le fait dont nous allons entretenir nos lecteurs nous a paru réunir les divers caractères propres au goitre ex
is-sance aveugle e! de servilisine absolu. Si, par hasard, l'un d'eux paraissait vouloir faiblir dans l'accomplissement de ses dev
e sans laisser après lui aucune fatigue. L'année suivante, en 1845, parut le livre de M. Moreau (de Tours), (du Hachisch et
mouvements, elle se déplace assez bien avec l'enveloppe cutanée. Elle paraît être très-vasculaire. Dans la moitié supérieure d
la fré-quence excessive del'ataxie locomotrice, ce chiffre devra vous paraître bien peu considérable. La statistique m'avait f
'arthropalhie, on a noté la coïncidence de ces troubles viscéraux qui paraissent se développer à la suite de l'affection médullair
parti du membre affecté, d'autant plus que les lésions de ce genre ne paraissent pas en général suivre une marche progressive. Enf
nné sous forme d'extrait gras (damawesc) à onze individus dont l'état paraissait désespéré : sept guérirent. Ces derniers avaient
rent ; elle entra enfin en pleine convalescence. L'action du hachisch parut consister chez elle dans une sorte d'agi-tation e
ns donner aucun détail précis sur les faits observés. Ce médicament paraît cependant avoir été administré avec avan-tage par
on iodée. On ne sent aucune tumeur dans la cavité abdominale. Le foie paraît peu volumineux. Les bruits du cœur semblent norma
niveau de l'hypochondre et du flanc gauches, une sorte de plaque qui paraît confondue avec la paroi abdominale. A droite, au
.. est venu de temps à autre à l'hôpital Saint-Louis. Sa condition ne paraissait pas changer notablement. Toutefois on avait remar
trouve englobée dans la cuirasse cancéreuse. Son tissu un peu ramolli paraît , d'ailleurs, sain. — Épanchement considérable de
65 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
r l'achèvement du quartier des enfants idiots. Cette assertion peut paraître au premier abord paradoxale, et pourtant elle e
France ASSISTANCE DES ENFANTS IDIOTS. XLVII où, jusqu'ici, on ne paraît pas se rendre compte de l'urgence de ces réform
s insignifiante. La tem- pérature a été prise du 29 au 31 mai. Elle paraît avoir subi un abaissement assez marqué sous l'i
ité d'âge d'un an. Un seul enfant, notre malade. - La conception ne paraît pas avoir eu lieu pendant l'ivresse. « Mon mari
reux à l'anus, pas d'onanisme avoué. Les facultés intellectuelles paraissent assez développées; toutefois la mémoire semble
ès. 1888. 4 jazzvie7·.- Bronchite légère. 28 février. - Le malade paraît devenir violent. Il riposte par des coups de po
uvant expliquer le développement du myxoe- dème, La première dent a paru vers le 6e mois ; les pre- mières tumeurs du co
omme des crins, en même temps que les croûtes du cuir chevelu ont paru . La coloration jaune de la peau de la face se ser
s grande lenteur. Elle reconnaît tout le monde, est très pu- dique, paraît affectueuse. Elle n'est pas jalouse. Elle est trè
, surmontée d'un méplat. Les bosses pariétales, assez volumineuses, paraissent égales. Le front est un peu carré, étroit ; il
chevelu est toujours envahi par une éruption eczémateuse. Le ne : paraît encore plus écrasé, les paupières, les joues, les
; il n'a jamais marché seul. - La parole est à peu près nulle. Il paraît comprendre assez bien ce qu'on lui dit, semble af
cicatrices de vaccin sur le haut des bras. La sensibilité générale paraît être conservée dans ses dif- férents modes. Il
e faire durcir (I). Cou.- Les glandes sous-maxillaires et linguales paraissent normales. Elles Mont entourées de petites boule
ant. Tandis que le dos et la région lombaire sont larges, le bassin paraît rétréci. La fossette coccygienne est couverte d
e. - Taille : 56 cm. ; poids : 4 kil. 800. 31 juillet. - L'enfant paraît venir assez bien. La peau est sèche et a, parto
et ne se tient pas sur les jambes. Son sommeil est prolongé. Elle paraît très sensible au froid. Les cheveux sont secs,
a voûte du crâne (2). - La quantité de liquide céphalo-rachidien ne paraît ni augmentée, ni dimi- nuée. La pie-mère n'offr
ntricule latéral n'est pas dilaté, sa surface est lisse; les noyaux paraissent normaux. 2° Hémisphère gatcche. -a) Face conv
Cervelet.- Les deux lobes latéraux sont symétriques, le lobe moyen paraît petit; la protubérance, le bulbe et les olives so
protubérance, le bulbe et les olives sont également symétriques et paraissent normaux. IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 97 Cou. Un e
s névrogliques sont relativement abondantes. La substance blanche paraît parsemée de corps granuleux, mais cet aspect es
e du long séjour de la pièce dans l'alcool. Le stroma névroglique paraît nettement fibrillaire, surtout dans les portions
les ; les grandes cellules de Pur- kinje sont très nombreuses et ne paraissent pas non plus altérées. En tout cas, elles ne so
et mère, mais chez les 2 grand'- mères. La tuberculose pulmonaire paraît jouer un rôle im- portant. Nous l'avons rencont
sinon dans tous, arrêtés dans leur développement. Les testicules paraissent descendre tardivement et restent petits. Les gr
sensibilité au froid. La sécrétion urinaire et la miction nous ont paru normales. La sécrétion sudorale, au contraire,
poils. Les règles n'apparaissent pas ou se sus- pendent après avoir paru une ou deux fois ; les seins ' IDIOTIE MYXOEDÉM
ue chirurgicale, ainsi que les expériences des physiologistes, nous paraissent confirmer la]3ai/io- clénie que nous avons donn
pour les rachitiques ». Cette dégéné- ration, au contraire, nous a paru fréquente chez les idiots myxccdémateux. Le c
soixante ans ou au delà. Sous ce rapport, les idiots myxoedémateux paraissent ressembler aux cré- tins ; mais il convient de
rise. Sur des coupes colorées, on cons- tate que la vascularisation paraît normale ; les cellules nerveuses sont nombreuse
l'écorce. On les trouve dans la plupart des cerveaux d'idiots; ils paraissent un début microscopique, de ce qu'ont décrit MM.
d à rencontrer là; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne paraît pas altérée. La lèvre inférieure de là scissure
oup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles paraissent abondantes ; à part cela l'aspect est le même q
ées ne sont pas modifiées. Les faisceaux muscu- laires eux-mêmes ne paraissent pas altérés. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTA
en partie à l'oeil nu par la prolifération scléreuse. Ce processus paraît s'être fait d'une façon chronique pour l'ensemb
s signaler. Le rôle des vaisseaux dans ces lésions déjà anciennes paraît peu considérable. Nous verrous chez des idiots
, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancées, et paraissent avoir marché du centre à la périphérie. En effe
e Purkinje, sont admirablement conservées. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les régions postérieures de l'h
éterminant une irritation assez forte. On a dit que les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l'atrophie du cervea
e réseau vasculaire tel que nous l'avons vu et fait dessiner nous paraît en grande partie néoforme. Observation III. - V
dérable dans les autopsies des maternités que cette opinion nous paraît très plausible. On peut voir sur ce sujet la th
olycycliques, réfringents, ressemblant à des corps amyloïdes et qui paraissent résulter de la fusion d'anciens corps granuleux
les dont les noyaux sont très gros et dont les corps cellulaires ne paraissent pas distincts les uns des autres. La moelle cer
normales. On retrouve un certain nombre de gros blocs graisseux qui paraissent dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerv
it, examinées comparativement avec celles du côté gauche, n'ont pas paru présenter de différence sensible. - Les coupes du
fallait sabrer et tuer tout ce qui se trouvait sur son passage. Il paraît qu'il voyait un chien rouge. 21 août. - Il se c
u'il tenait serrés. Les paupières s'abaissent t légèrement, mais il paraît se réveiller. 11 semble imiter les yeux de l'ex
des cheveux qui passent. Sa vue se brouille. Les règles n'ont pas paru le 22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars
rions voulu avoir des renseignements plus détaillés,. mais elle ne. paraît pas avoir de parents à Paris, car. son corps n'a
oule, s'apla- tissanl par la pression et contribuant encore à faire paraître le cou plus court. On dirait que la tête s'enfo
de la Suisse romande, lév. et août 1884). Bien que ce travail ait paru dans le na des Archives de Neurologie du 1" fév
66 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
e, qu'aucune description en règle n'avait été tracée jusqu'au jour où parut la thèse de Bravais (1). L'idée vraiment origin
st légèrement tirée à gauche. La voûte et le voile du palais nous ont paru symétriques. L'ouïe, le goût et Yodorat sont no
coup plus considérable que chez toutes nos autres malades et que nous paraît pouvoir expliquer la vive émotion éprouvée par sa
emblent plus épaisses à gauche qu'à droite ; les os malaires nous ont paru les mêmes. La moitié gauche du palais est légèrem
naso-labial droit, seul, est moins accentué que le gauche. Gela nous paraît tenir à ce qu'il existe un certain degré de contr
e verre. » La menstruation devient très-irrégulière. Les règles ont paru le 10 octobre dernier ; il y avait dix mois qu'el
t rien vu. En novembre etdécembre(1874),elles ont manqué. Elles n'ont paru que 10 fois en 1875. Durant les six premiers mois
que 10 fois en 1875. Durant les six premiers mois de 1876, elles ont paru deux fois et ont cessé définitivement en juin 187
du second groupe, dans lesquels la vie persiste plusieurs jours, nous paraissent autoriser à croire qu'il s'agit là d'une lésion d
che. — Les plis du front sont marqués et égaux. — Les plis palpébraux paraissent moins accusés à droite qu'à gauche, mais à un fai
signalée, ne sont pas dus à la répétition des accès d'épilepsie, qui paraissent , au contraire, devenir de plus en plus rares. 4
que), elle aurait été opérée au Bureau central, par Vincent Duval; il paraît que l'opération aurait eu pour avantage de faire
Avant 6 ans, les accès étaient surtout diurnes ; après 9 ans, ils ont paru de plus en plus durant la nuit. En ce qui conce
comme profondeur, mais il y en a 4 à gauche et 5 à droite. — Les yeux paraissent égaux. Les pupilles sont normales. Il y a un pli
auche. — Ni roideur, ni craquements dans les jointures. Toutefois, il paraîtrait que le pied deviendrai t un peu roide « quand le
et a été élevée au sein par sa mère. Elle a marché vers un an ; elle paraissait bien venir; peut-être, cependant, avait-elle quel
le a pissé au lit, de temps en temps, jusqu'à 9 ans. — Les règles ont paru à 12 ans ; elles ont été régulières dès le débu
ue ; les arcades sourci-lières sont assez saillantes. Les os malaires paraissent égaux, mais les parties molles de la joue gauche
e les aliments soient coupés par morceaux. Les fonctions digestives paraissent régulières.—Lepouls, compté dans la station verti
Circonférence du thorax.......... 32 33 Au palper, les seins ne paraissent pas différer de volume. Le droit est peut-être pl
générale est conservée dans ses divers modes. — UoiCie, la vue, etc., paraissent intactes. — La parole est embarrassée, peu dévelo
tremblante. M.., a toujours été affectueuse pour ses compagnes et ne paraît pas avoir des habitudes d'onanisme. Relevons, c
rès le premier. — Les règles, qui se sont établies sans accident, ont paru quelques mois plus tard, vers 13 ans et demi. Leu
et remontait à la gorge ; elles ont été longtemps irrégulières et ne paraissent avoir exercé aucune action sur l'épilepsie. P..
sler-tor).1. V. 37°,7. (L'exploration a été faite sans que la malade paraisse en avoir conscience.) — • Vingt minutes plus lard
rs n'ont point participé à cette sorte d'accès incomplet. — Il nous a paru que, sous l'influence de l'extension de la main s
de spécial durant les neuf premiers mois. Octobre. — Les règles ont paru hier. Du 25 au 30 septembre, pas d'accès. Le 1or
on ne peut obtenir aucune réponse sérieuse. Le plus souvent, elle ne paraît pas être à ce qu'on lui dit. — Contracture habitu
sente ainsi qu'il suit : 1° Le menton s'incline en avant, la tête qui paraît s'enfoncer entre les épaules, se renverse en arri
premières formes. Les observations que nous avons rapportées, nous paraissent mettre hors de doute la réalité de Yépilepsie par
mettre hors de doute la réalité de Yépilepsie partielle ; elles nous paraissent montrer aussi, que, dans ce groupe même, il est p
vre une thérapeutique appropriée (1). (l) Les règles, chez P..., ne paraissent pas exercer d'action Lien notable sur les accès,
re d'abcès et de clous. A 14 ans et demi, elle était grande, forte, paraissait avoir 47 ou 18 ans. Elle fut placée dans une fami
se l'a produit, c'est ce que nous n'avons pu savoir. Les règles ont paru à 16 ans ; leur établissement a été pénible; V...
avec précaution et à petite dose. Les attaques cessent. V... mange et paraît revenue à sa condition normale. T. R. 38°,3. A
ui suit : A gauche, le jaune, le violet, le bleu, le vert, le rouge paraissent d'un blanc sale. A droite, Y... distingue toutes
ournées avec son frère, Antonio, moins âgé d'un an, qui, très avancé, paraît -il, lui apprenait beaucoup de choses qu'elle aura
s-vite, comme si elle manquait d'air. 3 septembre. — Les règles ont paru le 10r; le 2, elle a eu des attaques, et aujourd'
s ; X... n'en avait pas eu depuis le 6. 7 février. — Les règles ont paru le 4; elles ont coulé assez bien jusqu'à ce matin
jusqu'à 8 heures ce matin, même état ; pas d'attaques. Les règles ont paru hier. — De 8 à onze heures, 30 attaques. Disparit
; arrêt définitif par le nitrite d'amyle. 20 mars. — Les règles ont paru hier. — Accès de colère, à la suite d'une contrar
des accès oVépilepsie, nous n'avons aucun souvenir d'avoir vu l'écume paraître dès le début de l'accès : c'est là, croyons- b)
verse avec son amant, le rassure au point de vue de la police, car il paraît inquiet. « Ecris toujours à l'adresse que je t'ai
a! Continue (Air et ton impératifs). Dis-le moi tout de même. » (Elle paraît écouter attentivement ce que lui raconte son frèr
ns lequel elle parle de son escapade et des scènes un peu légères qui paraissent avoir eu lieu. Puis, elle revient sur sa mère, su
it pas.. . Je te dis que Monsieur est parti (ter). .. Elle regarde et paraît voir quelqu'un : « Je t'aime bien (ter).. . 11 se
s toutes les périodes qui constituent les attaques complètes. Il nous paraît inutile de revenir sur ce sujet, afin de pouvoir
Yéther est administré aux hystériques, en dehors des attaques, il ne paraît déterminer que l'hystérie gaie. (2) Démon de se
« ... La Mére Prieure étant venue sur les rangs, le » Démon Balaam parut d'abord, mais qu'aussi-tôt il fit » place à Isaac
u 16 décembre. Les accidents convulsifs, maniaques, etc., n'ont point paru influencés d'une façon particulière par les menst
it pour déterminer des tressaillements ou des mouvements du corps qui paraissent involontaires, mais qu'on peut ordinairement fair
jà; elle était frappée de sa ressemblance avec Camille, mais cela lui paraissait impossible. 20 octobre. — M. X... n'est pas ven
efois, n'a plus de battements de cœur aussi violents.— Les règles ont paru du 9 au 10 novembre et du 26 au 27. Les visites
j'étois au Ménil-Iourdain : » Boullé (le vicaire) et sa grande amie y parurent , et » nous estions auprès du cadavre de Picard, o
ffroyable grande comme vn cheval; et je » croy que c'est la mesme qui parut après en l'air vers » la Court de la Maison de Lo
s les mains ; à se rendre dans cet état à la cathédrale de Cordoue, à paraître sur un échafaud dressé pour la cérémonie de son a
67 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ution de la corne d'Ammon, dit-il, la substance grise corti- cale paraît quitter la surface de l'hémisphère pour devenir
la corne d'Ammon. » «... Mais avant de dis- LA CORNE D'AMMON. 11 paraître elle se met en rapport avec une traînée de subs
e loi générale, à savoir que sur ce cerveau lisse, c'est-à-dire qui paraît sans circonvo- lution quand on n'examine que se
manière accessoire et avec diverses lacunes, de sorte qu'il nous a paru nécessaire de reprendre cette étude à notre poi
les suivants d'après des encéphales de rongeurs; mais la série nous paraît avoir été, dans ces conditions, suffisamment dé
figure 17 (lapin à terme) ce stratum est apparu (en b), et il nous paraît inutile de donner de cette figure toute autre d
écédemment citée, rédigée en juin der- nier par le malade, celui-ci paraissait absolument esclave de ses appétits anormaux ; c
bleau symptomatique complet du myxoedème. De son côté, Thaon fait paraître dans la Revue mensuelle un travail d'ensemble i
nt épaissie et le corps thy- roïde à peine marqué. La peau du tronc paraît fine, d'un blanc mat, résistante sous le doigt,
e. Partout la peau est absolu- ment glabre; la sensibilité générale paraît émoussée; le ^chatouillement n'est pas ordinair
attiréesur le myxoedème, de nouvelles observations ne tardent pas à paraître . Le z5 septem- bre 1880, Thomas Inglis1 publie
ne expression d'hébétude et perd même toute expression. La laugne paraît trop grande pour la bouche, sans cependant qu'i
ne renferme pas d'albumine (d=10 t 5). Le coeur bat lentement, mais paraît sain. La surface du corps est toujours froide a
PATHOLOGIE NERVEUSE. dessous de 60. Mais tous les organes internes paraissent sains. La malade a un appétit capricieux, des n
Il lui semblait marcher sur un coussin, et l'extrémité des doigts paraissait serrée comme par un dé à coudre. Elle éprouvait
démontrait l'existence d'une neuro- rétinite bilatérale. Les objets paraissaient tachés et en- tourés d'une ombre. Les pupilles
ardait fixement, une minute entière, celui qui l'in- terrogeait, ne paraissait pas comprendre la question ou du moins ne sacha
çon cli- nique de M. le professeur Charcot que M. de Ranse a fait paraître dans la Gazette médicale, de Paris (n° 51, 1880
e supérieur ou inférieur droit, on voit la face grimacer; le malade paraît donc sentir la douleur à droite; la même expéri
'symptômes attribuables'à'la syphilis céré- t brale. Si étrange que paraisse le fait; en effet, diverses observa- 'tions ont
ppuration qui succède à la; lésion.'Plusieurs malades, dont,,l'état paraissait 1 désespéré, Ont été sauvés par ce traite- ment
les divers âges que l'hémorrhagie cérébrale pro- prement dite. Elle paraît avoir été observée plus souvent chez les hommes
aires cérébrales, prédisposent à l'hémorrhagie cérébrale ordinaire^ paraissent devoir prédispo- ser également'à l'hémorrhagie
iège mêmedel'hémorrhagie, lesphénornènes anatomo-pathologiques ne paraissent présenter aucun caractère, qui leur soit exclusif
s cette masse plus ou moins homogène, les cellules gan- glionnaires paraissaient gonflées et,comme i;énipliés déliquide : ,r, da
e second avait manifestement franchi les bornes de la normale, et paraissait atteint de faiblesse mentale. Le tribunal ayant d
Lorsque la première édition, des "Leçons sur- les^ phrénopa- thies parut en 1852, l'accueil qui lui fut fait, montra en qu
du phénomène dans son plus haut degré de développe- ment, il nous paraît utile d'insister un peu sur les variations qu'i
ui dure qnelques minutes. La paralysie du côté droit n'a pas dis- paru . Le sommeil persiste avec les mêmes caractères qu
e a mené jusqu'à l'âge adulte une vie très active. Son intelligence paraissait vive et sa parole était rapide, à tel point que
émoussée, au moins d'une façon appréciable. Les organes internes paraissent sains. A l'auscultation du coeur, on trouve un
e de potassium. Mais ce traitement, loin d'amener une amélioration, paraissait augmen- ter la faiblesse générale. Aussi, et co
e un inter- valle de temps assez notable, sont des faits qui nous paraissent mériter une attention spéciale. D'autre part l'
n l'amélioration qui se trouve notée dans plusieurs observations ne paraît nulle part aussi mar- quée que chez notre malad
xie pac7aderrzz jue » , créée par 31. Charcot, parce qu'elle nous paraît de beaucoup la meilleure. L'état de cachexie qu
étacher. La langue est habituellement large, épaisse et peut môme paraître trop grande pour la bouche. La mu- queuse bucca
e s'accomplissent toutes les fiteuliés intellectuelles. Les malades paraissent indifférents à ce qui se passe autour d'eux. Pe
lésions portant sur ce système ? L'exis- tence de ces lésions peut paraître très vraisemblable, mais il ne faut pas oublier
dermique. Dans l'étal actuel de la science, cette opi- nion nous paraît la plus vraisemblable. La marche de l'affection
ent appeler l'attention sur une manifestation cutanée qui ne nous paraît pas avoir été encore signalée, nous voulons par
ocalisation du DF 1,'HYSTRO -ÉPI 1,EPSIF. 169 zona, et ce dernier paraît avoir eu une action suspen- sive sur les manife
avons observé une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui nous paraît intéressante au point de vue de l'étude de l'in
it en apparence : le malade allait et venait, ne toussait pas et ne paraissait pas avoir d'oppres- sion ; sa voix restait fort
s 1 Extrait d'un ouvrage sur les 1\cvnosLS, qui doit incessamment paraître . f88 revue critique. ? r long les manifestati
telle heure ; elle convie ses amies à des danses, donne des fêtes, paraît gaie, animée, pleine' d'entrain ; le soir elle
r l'opium ; un jour elle force la serrure d'un placard, fait dis- paraître un flacon renfermant deux grammes de morphine p
rsonnes qui les entourent, et surtout les médecins, lorsque ceux-ci paraissent s'occuper d'elles et s'intéresser scientifiquem
si une grande mobilité d'humeur et des bizarreries de caractère qui paraissent étranges; coquettes et maniérées, elles éprouve
ts en faveur de la conclusion que le système des replis cérébraux paraît témoigner bien plus d'un excès que d'un défaut d'
d il y a dilatation pupillaire chez le tabétique; l'observation lui paraît plus difficile quand les pupilles sont étroites
uatre minutes. Absence d'écume à la bouche. Cet incident, qui avait paru provoqué la première fois par le contactd'une c
oqué par l'excitation portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui paraît distinguer ce réflexe cutané du réflexe tendineux
ois seulement il s'agissait de femmes. La nature du liquide injecté paraît sans influence, mais il n'en est pas de même de s
de la région précordiale et de la partie postérieure du thorax. Il paraît certain que les caillots trouvés dans le coeur
cent à l'Université de Berlin. Ce journal, dont le premier numéro a paru le 27 janvier, est bimensuel. Il comprend des t
upait le siège habituel ; elle avait à peu près complètement dis- paru le cinquième jour, et n'existait plus lorsque le
ériques, au lieu d'offrir une diminution de la sensibilité cutanée, paraissent présenter au con- traire une exagération de la
bilité spéciale de l'oeil et la sensibilité de la conjonctive, nous paraît encore trouver une preuve dans une observation
par un spasme de l'accommodation'. En somme, c'est un point qui ne paraît pas avoir été le sujet d'une étude bien détaill
n et de rétrécissement qui varient avec l'attitude du sujet, et qui paraissent dues à la nécessité du mouvement d'accommodatio
r la sen- sibilité oculaire et par l'état de la pupille, qui nous paraissent avoir une grande importance, pour établir l'abs
me à l'état d'isolement. En outre, ces phénomènes oculo-pupillaires paraîtront tout à fait caractéristiques dans l'hystéro-épi
lus profonds et par conséquent moins faciles à bien limiter ; ils paraissent à peu près symétiiquement placés à G centimètres
s. La physionomie est impassible et expressive à la fois, la malade paraît absorbée. Ce vi- sage est très vraisemblablemen
; 3° Les membres gardent les positions qu'on leur communique. Ils paraissent d'une grande légèreté, lorsqu'on les soulève ou
-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et qui compte au nomb
s. Il ressort des faits que nous avons pu étudier que cet état, qui paraît tenir à la fois et de la léthargie et de la cat
degré des tra- bisme plus ou moins accusé , ou bien si le regard paraît direct, il est sans fixité et les paupières ont
e caractère d'hyperexcitabiiité et d'état cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir de quelle manière l'état catal
hénomène de l'hyper- excitabilité neuro-musculaire. Le membre qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un membre cont
sures, les cordons de substance blanche, les cornes postérieures ne paraissent pas altérées. La corne postérieure gauche est u
ses modes, à droite comme à gauche. L'observation qui précède nous paraît remarquable à plusieurs titres. L'hémiplégie sp
mes ; les artères de la base, les nerfs, le chiasma, les pédoncules paraissent symétriques. Les hémisphères ne paraissent pas
chiasma, les pédoncules paraissent symétriques. Les hémisphères ne paraissent pas égaux; du côté droit les lobes frontal et occ
sphère droit ne me- sure que 17 c. dans sa plus grande longueur, et paraît moins large aussi que le gauche qui mesure 17 r
é opposé. La corne d'Ammon est aussi indurée, le ventricule latéral paraît normal. Le corps calleux et les corps ohto-stri
ts de ramollissement, rapportés par MM. Curcshmann et Westphal nous paraissent sur- tout péremptoires, et démontrent nettement
e rectilignes sont on- dulées. Il existe des fibres, très fines qui paraissent naître des cellules pigmentées de la substance
ne pas leur reconnaître de type spécial. Quelque asymétrique que paraisse être la disposition de l'écorce dans les deux h
sieurs heures. Leur apparition n'est soumise à aucune règle ; elles paraissent cependant plus fréquentes pendant le jour; elle
homme mort à quarante ans a eu une enfance très tourmentée et ne paraissait pas devoir vivre longtemps. Il se fit cependant r
e, irritable, et depuis une fièvre tpliolde n'a jamais été ce qu'il paraissait être auparavant. Ces faits justifient parfaitemen
ent toujours et fatalement ces troubles. A pre- mière -vue, il peut paraître singulier qu'un territoire cortical soit, suiva
endice. Qu'est devenu le projet d'un cha- pitre dont le titre avait paru fort original : « De l'hystérie dans l'art ? »
a cause la plus fréquente de la paralysie générale, mais même qu'il paraît incapable de l'engendrer de toutes pièces. L'er
ramenant la température de 42 à 40 puis de 40 à 38 en faisant dis- paraître le coma. Plusieurs exemples de guérison maintenue
r mériter la préférence. Et de fait, les arguments présentés nous paraissent rationnnels. P. K. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Ense
68 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
es accès; mais on n'y réussissait pas constamment, et le peu de sucés paraissait lié le plus souvent à une préoccupation d’esprit
erveuse, comme l'aphonie, le délire, le tremblement, les convulsions, parurent à diverses époques, et presque toujours à la suit
1 a dislauce et on découvre la plante au pied d’un chêne-vert. « Il paraît , au surplus, que les objets qui constituent la qu
ns le système vital. C’est un développement nouveau d’un travail déjà paru . Voici en quels termes il résume sa synthèse :
ciaire a eu lieu, dont, le résultat a été la saisie d’un poignard qui paraîtrait avoir quelque similitude avec celui dont le sieur
res et les regarde. Etant tombé sur un petit volume dont le titre lui paraît nouveau, il l’ouvre, (1) El traite de La tuile
foulards sur foulards qui lui couvraient les yeux. Une addition ayant paru l’embarrasser, une personne du parterre demauda à
ies, doivent aussi participer aux bienfaits du magnétisme. La société paraît décidée à maintenir ses traitements gratuits, mai
ôt attiré dans ce plan, dont il ne peut franchir les limites, qui lui paraissent comme des murailles contre lesquelles il se heurt
un enfant de quatre à cinq ans. Quoique voilée, suivant l’usage, elle paraissait âgée de quarante ans. Elle alla droit à 1 émir en
mes, jeunes et vieux, se présentèrent successivement. Quelques-uns ne paraissaient pas malades; d'autres, au contraire, la tête tris
u désintéressement avec lesquels ils remplissaient leur ministère. Il parut flatté de ma prévenance et de la bonne opinion qu
a nature aurait accordé à quelques-uns un si grand privilège; il uous paraît plus naturel d’accuser notre ignorance. C’est pou
n? Essayons encore, dit M. du Potet; et, prenant un nouveau sujet qui paraît sûr de lui, il le place sur l’étoile X comme les
la crainte de les produire. » Mais ce n’est pas aussi étonnant qu’il paraît à messieurs les gallicans. La crainte naît de l'i
ois des jours heureux!....» En effet, toutes les personnes de la noce paraissent , et les deux premières qui se trouvent en présenc
ntre ; nous.verrons. _ M. Thuillier de Saint-Marceau vient de faire paraître la Planète Leverrier, chansonnette qui contient d
iser; c’est son premier écrit. Nous l’analyserons aussitôt qu’il aura paru . —11 n’est plus question de l'affaire Cuny. Nou
Tribunaux; ce n’était par conséquent qu’une égratignure. Au reste, ¡1 paraît qu’il est tout k fait remis, car il s’est marié,
de santé du 31 janvier; ils se convaincront que, tout âpres qu’elles paraissent , nos attaques sont modérées k côté des injures qu
rtain J'an Raymond, son 'feuilletoniste, d’attaquer le magnétisme. Il paraît que la Mouche ne s’est pas Itonvée le seul Hmcote
cette représentation soit contrebalancée par des intérêts opposés qui paraissent plus forts. Pour prévenir cet égarement do la v
peines devant être un remède, doivent avoir un terme, et ce terme ne paraît pas devoir se prolonger au delà de cinq ans : 1
es ordres que je lui intime mentalement. Fatiguée par un hoquet qui paraît avec le sommeil et disparaît au réveil, elle dema
aient aucun accident fâcheux. Celte raison est possible, mais ne nous paraît pas la seule; car l’éthérisation est une intoxica
, il le déclare souverainement impuissant à les guérir; mais, et cela paraît contradictoire, il le proclame supérieur à tout a
atin. Dénier aux écrits des magnétiseurs toute espèce d’autorité nous paraît , de la part d'un homme aussi éminent que M. Simon
hérapeutique, critiquant l’article du Médical Times, le premier qui a paru sur l’éther, dit que c’est.pour contrebalancer le
ut s’accoutumer à ce régime; elle se fit magnétiser, et tous scs maux parurent se dissiper. Veuve et jeune, elle se remaria; m
ns le foyer brûlant quelques verres d’eau. Chaque jour le terme fatal paraissait se rapprocher. Erreur 1 Dix jours se passent ains
leine cl entière, la face avait perdu sa couleur bleuâtre, et rien ne paraissait la troubler dans ce bienheureux repos; les al-lan
plus étonnants que, depuis six mois qu’elle était à la cour, il avait paru assez indifférent pour ces pâmes charmes qui, dan
ssion; son élection à la couronne de Pologne, loin de le llalter, lui parût un exil; et quand il fut dans ce royaume, l’absen
les gémissements; et lorsqu’ 1 fut obligé de se montrer en public, il parut dans le plus grand deuil. Il y avait déjà plus
était écrit fort lisiblement : 23 juin 184..., avec des initiales qui paraissaient effacées, et qu’il ne put reconnaître. Une tell
le magnétisme. Ainsi peu à pcn nos idées pénètrent dans les pays qui paraissent leur être les plus inaccessibles, ceux où le chri
eusement dans son numéro du 31 mars. — M. Lafontaine vient de faire paraître son Art de magnétiser à la librairie Germer-Baill
n et de l’expérimentation, comme nous le voyons, est immense, et ne paraît pas stérile pour le médecin attentif qui tournera
e cl qui mérite un sérieux examen. C’est que le fluide magnétique 11e paraît pas doué chez tous de propriétés identiques. M. L
ualité dominante du sien, adoptera la spécialité à laquelle la nature paraîtra l’avoir appelé. Ainsi, ceux qui posséderont l’h
guérir son enfant. Cette manière d’improviser la science médicale lui parut absurde, impossible, et elle s’y refusa. Mais le
lle celte séance parce que lant de lucidité en un premier sommeil m’a paru si surprenant, que je suis encore à me demander s
qoi s’avancait vers moi. Elle me « prend la main, l’ouvre, regarde et paraît surprise. « Qu’a-t-ellc d’extraordinaire? deman
e « Français laisse son héritage à ses enfants; quant aux « miens, il paraîtrait que leurs vertus deviendraient un «jour leur plus
la fièvre intermittente, la benoîte naît au moment où ces affections paraissent d'ordinaire, et donne sa graine à l’époque où ell
sition d’un ordre à l’autre et nouent les fils de la trame. L’unité parut Lien plus belle dès lors, puisque l'on pouvait ai
age, muet témoin, quoiqu’animé par le ciseau, le burin et le pinceau, paraissait joyeux comme les conviés.... Voyez comme les plus
puis, dans nos heures de repos, étudions toutes ses ressources, elles paraissent infinies. C’est ainsi que nous parviendrons à nou
e sur les champs de bataille, et que les assassinats de septembre lui paraissaient déshonorer la liberté. „ — Vous êtes trop jeune
ion, apporter à son acte de constitution tous les changements qui lui paraîtront utiles. Art. 36. — Le présent acte de constitut
a septième paire, des muscles du visage, et dans toutes celles qui ne paraissent pas liées à une affection grave de la moelle, c’e
, si ce n’est dans certains cas, où d’après l’exposé qu’on en fit, il paraissait quelque chose de contraire aux bonnes moeurs. A
1847. — Sous le modeste titre de Mesmer and Swedenborg, il vient de paraître à New-York un volume qui traite des rapports exis
s, les trémoussements le saisirent, il était sept heures un quart; il paraissait en proie à des souffrances extrêmes, et revenu
aule droite, où l’on peut pincer ou piquer la peau sans que la malade paraisse s’en apercevoir. La muqueuse nasale du côté droit
côté gauche. Du reste, à l’exception de ces phénomènes, la malade ne paraît pas dans un très-mauvais état : elle est gaie ; s
t la discussion sur l’intéressant chapitre de l’unité vitale, et nous paraissent devoir faire abandonner les épithètes restrictive
e les travaux des séances, et le tout ainsi que les circonstances lui paraissent l’exiger. Il porte la parole au nom de la Socié
dent et un censeur peuvent traduire les membres dont la conduite leur paraît répréhensible. Les peines que ce conseil peut p
es imiter, peut, sans grand labeur, produire des œuvres qui le feront paraître supérieur. Au contraire, lorsque nul son ne fra
assistants, elle leur dit : Vous m’écoutez tous en silence Et vous paraissez tres-surpris ; Vous admirez mon éloquence Et vo
ment!) Permettez : j’en demande bien pardon à MM. les savants, qui me paraissent bien pressés; nous le sommes un peu moins, nous,
ien. — M. le vicomte Adalbert de Beaumont se propose aussi de faire paraître incessamment un écrit sur la magie. Il a, comme M
il peut souvent suffire dans les deux premiers cas. « Son action ne paraît contrarier en rien celle des médicaments homœopat
que la présomption d’homicide est ici plus que légitime. Ce fait, qui paraît simple an premier abord, est cependant l’histoire
dit vulgairement Fraufel; je me retirai moi-même à la campagne. lime parut par notre correspondance que son séjour en Suisse
et évêque de Constance, et de défunte Thérèse Euderin , comme il nous paraît par son certificat de vie et mœurs, h lui délivré
au moment où l’aurore (1) Traité de la cessation des oracles. va paraître , comme nous l’apprend Moschus dans son Idylle de
une crise nerveuse des plus violentes et fut remise à ses maîtres. Il paraît que cette jeune fille allait, pendant son sommeil
ire l’état intense de sommeil puységurique, dans la majorité des cas, paraît très-défavorable à l’introduction générale du mes
rs mesmériseurs furent successivement employés, et le résultat nous a paru corroborer l’assertion du docteur Esdaile. « La
nent successivement de plus en plus accessibles à cette influence; il paraît que leur système nerveux est amené à un état d’im
moins ne fût faisable. Cependant, dans notre époque de doute, il me parut qn’nne seule conviction ne suffisait pas, ot qu’i
ue par conséquent on pouvait exiger de lui.tout ce qu’on voudrait. Il paraissait effectivement, au milieu de son sommeil, en proie
nant des consultations en cette qualité, et indiquant des remèdes. Il paraît que, depuis quelque temps, M. Mochez lui avait de
a quelques mois, sera exhumé pour en faire également l’autopsie ; il paraît qne la femme W... a traité aussi cette dame. Cett
en parlerons d’une manière plus explicite. PETITE CORRESPONDANCE. Paru . — ./toi* général. — La reprise de nos conférence
-il rien d’extraordinaire que les magiciens de Pharaon aient pu faire paraître au bout d’un bâton tout à coup un serpent, d’auta
Moi, penchant pour ces derniers, je me fais ce raisonnement : Ce qui paraîtrait s’opposer à ce que Dieu se serve d’une pythonissc
ns se soient ouvertes pour en recevoir un salaire, doit se justifier, paraître devant la justice. Qu’a-t-il donc fait? Hélas! ce
toutes les inflexions de force «et de sentiment dont la voix humaine paraît snscepti-« ble; mais, au grand étonnement de tous
i l'examinaient ne lui refusèrent pas le bonnet doctoral !... ail a paru , et il se publie Ions les jours, une foule d’ouvr
lui est un grand homme et l'esculape-somnamhule sans pareil. L’auteur paraît animé des meilleures intentions, et les sentiment
ité de pensée sur le magnétisme parmi des ministres de cultes opposés paraîtrait quelque chose de providentiel qui nous indiquerai
st qu’en me servant du simple bon sens qui me reste, les prophètes me paraissent aussi évidents, aussi nécessaires dans les premie
ême à la maison. Ce qui n’est pas le moins étrange, c’est que cela me paraissait tout simple dans le moment. Celte inconcevable pr
ps. On medii.au resle, que j’élais un faux prophète, car il venait de paraître un ordre du jour excellent pour la garde national
de Fontgibu! annonça un laquais d’une voix éclatante. Et un étranger parut entre les deux battants de la porte. « Nou9 éti
adressée dans un but confidentiel, mais le fait qu’elle relate nous a paru trop utile à connaître, et nous en avons résolu l
de vouloir bien l’admettre un dimanche à l’une de vos conférences. Il paraissait enchanté, et me quitta brus- quemcnt en me disa
BIBLIOGRAPHIE. Nous* avons parlé, page 160, d’un ouvrage qui doit paraître sous, le titre des : Arcanes de la vie future dév
our connaître si le démon intervient dans les opérations magnétiques, paraissaient tant soit peu gênants, il y en a encore un autre
de nouveau et la tumeur enlevée aux deux tiers sans qu’elle remuât ou parût sentir; mais alors elle s’éveilla et sembla recou
sible aux piqûres que je lui fis en différents endroits; le moment me parut favorable, et je me mis en devoir de l’opérer.
ant familière, comme on peut le voir dans mon Maniérisme in India, il paraîtra surprenant que je ne me sois pas mieux tenu en ga
s en pareille occurrence. On lui montra ensuite sa plaie blanchie; il parut à l'instant en souffrir grandement, comme tous ce
ant qui fait jaillir le feu d’un caillou, mon faible esprit aura fait paraître une étincelle, qui suffira, cependant, pour pénét
ans les rayons de l'intelligence les germes des facultés .mimiques ne paraîtraient point et ces phénomènes si brillants que nous pou
is et collaborateurs, M. Meade, nous écrit de Londres, qu’il vient de paraître à New-York un ouvrage fort extraordinaire dont un
-» Jluxes fromwelt. » — Le K. P. Hillarion Tissot va sous peu faire paraître un journal hostile au magnétisme. Les RU. PP., de
ce à MAcon de magnétiseurs el somnambules ambulants dont la sincérité paraît plus que douteuse. M. Ordinaire fait ressortir ce
re. Elle parle en s’agitant el chacun peut entendre des phrases qui paraissent sans suite, mais qui pour elle sont l’expression
t en médecine, el, de là, nous tâcherons d’émettre l’opinion qui nous paraîtra la plus conforme au vrai. » 1" Histoire du Magn
un rôle, son rôle, nécessaire à la perfection de l’ensemble. Et il me paraît , pour me servir d’une image propie à rendre ma pe
mais bientôt après tous ces commencements d’effets cessèrent, et elle parut de nouveau être insensible. Le troisième mois s’é
e. Le troisième mois s’écoula sans décourager mon ami, mais sans voir paraître les prémices du résultat qu’il poursuivait. Ali!
uniquer ces quelques idées; je ne m’y suis résolu que parce qu’il m’a paru qu’elles pourraient être aujourd’hui de quelque u
à cessait tout ce qui esi physique, et qu’un ordre moral commençait à paraître . Comme le soleil qui chasse devant lui les ombres
lu parais sans vie; dans la personne comme dans les discours rien ne paraît sacré ; ion sacerdoce esl devenu un inélier, el l
ntrent dans ce lieu ne semble posséder le feu sacré, el son cerveau paraît avoir clé desséché par l’aridilé de ses études. C
me provoquer. Le calme reparait sur son visage, elle change d’aspect, paraît honteuse et devient confuse. Elle a conscience de
ntenant 88 souscripteurs ; l’impression en est commencée et l’ouvrage paraîtra vers la mi-janvier. — Nous avons reçu les Divin
Hilarión Tissot, dont nous annoncions dernièrement la publication, a paru le 15 novembre, sous le titre de Journal de la Mé
mençai mon traitement magnétique; au bout de huit jours les objets me paraissaient plus distincts, el le brouillard que j’avais su
mènes qui éclatent dans tous les degrés de l’échelle animale et qui paraissent être produits par l’action de mômes organes, depu
ez quelques individus, sont rectifiées par des impulsions dont ils ne paraissent pas avoir la conscience. Je crois qu’il est fac
’instinct. Si la masse encéphalique se partage en circonvolutions qui paraissent présider à autant de modifications de l’intellect
uit n’est pas encore venu. En attendant ce moment opportun, il nous a paru qu’on ne lirait pas sans profil ni plaisir l’anal
69 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue habituels, ne présentent pas de détails importants à signaler et paraissent de structure normale. L'examen microscopique de
e. Il n'en était pas de même de la parésie faciale passa- gère, qui paraît d'ailleurs n'avoir consisté qu'en un léger abais-
être non plus rapportée à l'irritation du triju- meau, elle n'a pas paru avoir été unilatérale; elle présentait bien le
parésie qui aurait existé au début. Pour conclure, notre cas nous paraît jusqu'à un certain point remplir le desideratum
s sur lesquelles nous insisterons plus loin. Mais ces phénomènes ne paraissent avoir joué vis-à-vis du délire qu'un rôle effac
rochement. On remarquera encore que les hallucinations en général paraissent rares (du moins elles n'ont guère été enregistrée
s, etc.), qui sont transformées en hallucinations ? «Notre malade paraît rentrer dans la catégorie de ces prédisposés et s
de percevoir des bruits assez faibles; bien mieux, il entendait et paraissait comprendre un certain nombre de paroles simples
ionale des sourds-muets de Paris. III. L'exemple du jeune D... nous paraît justifier, dans cer- tains cas, l'admission d'e
ans, fille d'un marchand (le frère souffre d'asthme). Les règles parurent à douze ans ; jusqu'à onze ans elle jouissait d'u
sa voix s'affaiblissait et devenait nasillarde. Au mois de février parut une faiblesse des lèvres et tout ces symptômes
rrassée et la faiblesse des membres augmenta ; le strabisme interne parut , la malade ne pouvait pas tenir sa tête droite
'exprime par cela, que M. Eguier, en se courbant préalablement fait paraître , une contraction des muscles abdominaux et repous
e diaphragme dans un état d'affaiblissement; alors les entrailles paraissent aspirées dans la cavité thoracique et le mur abdo
et replacer ses entrailles conformément à cela de manière, que cela paraît qu'un grand globe se roule du haut en bas sous
avec les autres, se rencontre assez souvent; l'impulsion volontaire paraît se diriger de l'écorce cérébrale tout droit vers
. En 1892, il eut une gomme à la langue. En octobre de l'année 1894 parut une névralgie intercostale du coté droit; la mê
neuses, plus de saillies ni d'enfoncements ; les veines elles-mêmes paraissent comme voilées ; l'impression que produit cette
inée comme la sclérose médullaire elle-même. Voilà les faits qui me paraissent établir nettement qu'au moins, dans certains ca
n on change son diagnostic. La vraie interprétation de ces faits me paraît être d'ad- mettre dans le tabes et la paralysie
t une maladie surtout caracté- risée par sa lésion, le désaccord me paraissait avoir un cer- tain retentissement doctrinal sur
ernier, et n'y reviendrais pas sans la critique de Huchard, qui m'a paru mériter une réponse. Je vous ai montré pour div
23 Tout récemment encore, dans un livre que nous avons déjà cité, paru depuis ces leçons, Brault étudie, dans une séri
ère grand amateur de lecture et souvent il prenait des livres qu'il paraissait lire aveè intelligence; mais sa mère avait rema
e a été décrite par ce professeur jusqu'à celui de sa mort, et elle paraît également être restée stationnaire les quatre p
de ce foyer on voit que celui-ci est beaucoup plus étendu qu'il ne paraissait l'être avant cet enlèvement. Il s'enfonce en effe
, le bulbe ne présentent pas de lésions macroscopiques. Ce qui me paraît intéressant dans cette observation, c'est le dé
gt-un ans, auquel a débuté l'aphasie, la longue durée de la maladie paraissaient deux conditions très favorables pour déterminer
t à de simples troubles circulatoires. Dans celle observation il ne paraissait pas y avoir de surdité verbale, bien que la pre
rd de très fréquentes rechutes à début brusque alors que la maladie paraissait évoluer favorablement; une rigi- dité musculair
l'égard des événements qui sont survenus au moment où la stu- peur paraissait absolument complète, et même des faits anté- ri
de la fibre. Les extrémités remar- quablement épaissies des fibres paraissent être souvent placées contre une cellule de la n
rations observées dans le= enveloppes du cerveau chez les alié- nés paraissent devoir être attribuées en grande partie à des ano
s de mariage émises par le malade : ce dernier, quelque guéri qu'il paraisse , rete sujet à des rechutes qui, au lieu de fair
al doit être prescrit à la dose de 1 gramme. Enfin ce médicament ne paraît avoir aucun effet secondaire fâcheux : si l'hél
si l'on admet la division en crétins sporadiques et endémiques. Il paraît s'être fort bien trouvé du traitement thy- roïd
ée d'une vue et d'un plan, de ce vaste et magnifique asile, où l'on paraît avoir réalisé tous les progrès récents et rempl
ification de ces recherches, quoique de prime abord, elles puissent paraître minutieuses et d'ordre bien technique. Nous fer
dants, suivant la situation même de leur tache scléreuse. Il nous paraît inutile d'entrer dans de plus longs détails pou
ulaires. Pour bien faire comprendre leur mode de formation, il nous paraît utile d'étudier d'abord le trajet d'une racine
des fascicules indi- vidualisés et compacts ; leur importance nous paraît donc secondaire. Ainsi toute racine postérieu
rs travaux faits avec la méthode des dégénérations secondaires nous paraissent démontrer que cette continuité est assurée par
es fascicules à chaque étage de la moelle. Chaque fascicule nouveau paraît prendre naissance, au moins pour les régions ce
, des fibres courtes, des fibres moyennes et des fibres longues qui paraissent intimement mélangées les unes aux autres, quel
la moelle. Le faisceau endogène ascendant des cordons postérieurs paraît moins nettement topographié que le précédent. Ses
asciculation, exogène et endo- gène, des cordons postérieurs nous a paru nécessaire pour appuyer notre topographie des l
ées, au prorata même de leurs altérations. Ce procédé nous a donc paru le procédé de choix, pour notre étude topographiq
e faisceau compact. radiculaire. Au niveau des racines, il nous a paru impossible de systématiser la lésion : les fibr
tuées à ce niveau, appartiennent aux fibres dites moyennes. Il nous paraît donc logique de conclure que les fibres radicul
'origine des racines postérieures. Les lésions interstitielles nous paraissent avoir une im- portance secondaire ait cours du
en- contré une légère leucocytose périvasculaire ; mais elle nous paraît suffisamment expliquée par la phase agonique ou p
es, les cellules (embryonnaires ou conjonctives) ne nous ont jamais paru en nombre suffisam- ment considérable pour pouv
ure. Elle eut ses partisans déclarés. Mais actuellement les auteurs paraissent être d'accord pour lui refuser toute action dir
renchymateuses sont surtout primitives. - Voyons les faits qui nous paraissent entraîner cette conclusion. Nos recherches on
phie considérable du tube nerveux. Le processus atrophique nous a paru passer par plusieurs phases. Au début, la myéline
e moléculaire de la myéline voisine. - Le tissu interstitiel nous a paru sain ; il n'y a pas de sclérose vraiment import
t dans le tabes médullaire. Cependant, quelques pro- babilités nous paraissent en faveur de la longue persis- tance du cylindr
le du tube nerveux). Les cellules des ganglions vertébraux nous ont paru remar- quablement intactes, même dans les cas d
stèmes cellulaires (corne postérieure, colonnes de Clarke) nous ont paru intacts ; dans toutes ces zones, nous n'avons c
nous permettra cependant d'exposer ici quelques faits qui nous ont paru ressortir de ces recher- ches cliniques. Dans
nients du système adopté par la Commission de la Chambre et qu'il a paru surpris de l'inter- prétation que je donnais et
t interne d'un côté avec le noyau du droit externe de l'autre côté, paraissent occuper les parties latéro-antérieures du faiscea
stinées à la face dorsale des deux dernières pha- langes des doigts paraissent courir simultanément n'importe où dans les raci
ent à dégénérer ou lorsqu'ils n'ont pas terminé leur évolution, ils paraissent être à l'abri de la périencéphalite chronique d
ale augmente de fréquence dans les campagnes; cette augmentation ne paraît pas être le fait du développement de l'alcoolis
t établis de bonne heure, et signale la forme épidémique. Peu après paraît la thèse de 111 ? Hélène Goldspiegel, Contributio
en les phases de la question et le point où elle était au moment où parut cet impor- tant travail. Troisième période. -
parut cet impor- tant travail. Troisième période. - En mars 1880 parut la thèse de Paris, ins- pirée par J. Simon « su
t sou- vent à des troubles psychiques et digestifs. En avril 1880 paraît la thèse de Giraud, inspirée par J. Simon. Elle
est fréquente à treize, quatorze, dix-sept et dix-neuf ans. En 1889 paraissent les cliniques d'Ollivier, qui mettent en vue l'ur
érie simulatrice des maladies de l'encéphale chez l'enfant. A Nancy parut en février 1894 la thèse de Fischer « sur l'hys
lamment sentir les épines; mais que m'a-t-il répondu ? Il m'avait paru exorbitant qu'un collègue, occupant une situa-
mardi 29 avril dernier cette fille disparut subitement. Comme elle paraissait s'ennuyer à Nimes., M. Prompt supposa qu'elle s
dico-psychologique et le Congrès des médecins aliénistes. Il nous a paru que dans une discussion de cette nature, qui to
la fillette reprend connaissance, elle entend quand on lui parle et paraît comprendre ce qu'on lui dit, mais l'aphonie per-
anches. Claudication qui s'est 3110 () CLINIQUE NERVEUSE effacée, paraît -il, au bout de deux mois environ. Je dis : paraît
NERVEUSE effacée, paraît-il, au bout de deux mois environ. Je dis : paraît -il, car on avait cessé de m'appeler malgré les
te soif ardente et contrôler l'exactitude des renseignements qui me paraissaient tout d'abord taxés d'exa- gération, tant le chi
paralysie survient en deuxjours sans que l'état général de l'enfant paraisse s'aggraver, il marche en traînant la jambe. Ane
nale que l'enfant avait absorbé d'un seul Irait 1 litre de vin sans paraître incommodé, sans donner aucun signe d'ivresse. J
ésent, mais dans le sérum sanguin lui-même. Les résultats obtenus paraissent diminuer l'importance des pro- duits excrétoire
aliénés les troubles qui pourraient correspondre à ces lésions qui paraissent assez fréquentes. M. Sabrazès pense qu'il faut
x, soit dans, soit autour de la gaine péri- vasculaire. La moelle paraît légèrement atteinte dans les faisceaux descen-
italité de nature à accentuer les états hypcrsthéniques, aux- quels paraît se rattacher essentiellement l'hystérie, et à ame
pertrophie des pieds. En revanche le prognathisme et la cyphose ont paru amoindris. Du côté des urines, les auteurs ont
e et l'enveloppe. Cette tumeur est reliée par un large pédicule qui paraît s'enfon- cer dans l'encéphale. Privée de tout m
s sutures sont larges ; les fontanelles antérieures et postérieures paraissent faire défaut ou sont remplacées par l'hiatus d'où
rmale (un peu violacée le premier jour). Les fonc- tions digestives paraissent normales, l'enfant telle avec avidité. Les réfl
nique mentale, en médecine légale, en anthropologie. La plupart ont paru dans les Annales médico-psychologiques et les A
l'analyse substantielle des travaux de neurologie et de psychiatrie parus en France et à l'étranger. Membre de la Société
novembre 1741 : « L'évêque de Saintes marque que les femmes qui ont paru , il y a quelque temps, dans les assemblées reli
s fonctions de ministres et de prédicantes, continuent toujours à y paraître et y font la même impression. On ne crut pas de
es mêmes femmes qui y faisaient personnages continuent toujours d'y paraître de la même manière. En ce cas vous pourriez m'e
'urine de la journée chez un enfant de cet âge, d'autant plus qu'il paraissait avoir une intelligence trop obtuse pour qu'on p
crise venait de se terminer, et je trouve un beau bébé qui, certes, paraissait nullement souffrir, il s'amusait. Je réserve mo
ce qu'il a vu, si extraordinaires, si invraisemblables que puissent paraître les phénomènes offerts à son observation, surto
ontient trois, les deux autres sont plus petites, j'en.vois une qui paraît mieux que la grande. » Elle donna ensuite .d'au
réputation et elle est méritée : six à huit litres de vin par jour paraît une dose très raisonnable au paysan Archives, 2
ou maladie nerveuse dans la' famille. Cette négation ne nous a pas paru sincère, elle est suspecte. D'un autre côté, co
rachycéphalie d'une part, et la direction des sillons d'aulre part, paraît également fondé à Lugaro ; mais, comme la raiso
s heures nocturnes : la dépression est plus grande, les obstacles paraissent plus insurmontables et le pouvoir de résistance a
s ganglionnaires spinales. Nous avons ainsi noté des faits qui nous paraissent intéressants au point de vue de la pathologie g
tion du noyau. Cette chromatolyse partielle initiale ne nous a pas paru avoir une répartition topographique régulière et
insi lésées ont subi un certain degré de tuméfaction ; leurs noyaux paraissent intacts et gardent, en général, leur posi- tion
e de Basedow. Quelle est la cause de celte accélération ? Elle peut paraître ou bien après la paralysie du centre ou de l'ap
e alors moins étroite, quand les traitements spécifiques antérieurs paraissent avoir été- suffisants, parce qu'on n'est jamais
lument certain de l'absence de toute syphilis antérieure. Or, il me paraît absolument difficile d'avoir une certitude de c
s cas; dit Bouchard, où les névrites primaires du tabes « m'avaient paru être toxiques et relevaient' d'une auto- intoxi
avement, un gramme parjour, dans une infusion de valériane. Il me paraît , comme à Rauzier, légitime de placer le nitrate
aire, mais un phénomène secondaire. Deux processus morbides surtout paraissent être la cause de cette modification secondaire
ux, dans cette dégénérescence ascendante des faisceaux sensitifs, paraissent être de l'atrophie simple et correspondent aux mo
llait rigoureusement écarter de la construction tout ce qui pouvait paraître superflu. Il n'est pas inutile de noter en pass
s cas, son facteur étiologique, le plus constant dans les autres, a paru être la grippe. Au reste, la pathogénie de cette
, éditeur. Voici les titres des travaux relatifs au système nerveux parus dans cet important recueil durant l'année 1897
, de direction et de longueur normales. Par comparaison, les ongles paraissent petits; ils sont aplatis, élargis, striés dans le
rmulée par M. Ballet à la Société médi- cale des hôpitaux, en 1890, paraît par trop exclusive. M. Jof- froy, à la Société
cation anti- syphilitique, qui est basée sur une théorie qui ne lui paraît pas absolument certaine. SOCIÉTÉS SAVANTES..
s des faits cliniques que nous avons rencontrés dans notre pratique paraissaient approuver cette manière de voir, mais un seul d
ant, parce qu'il contribue à donner plus de poids à la doctrine qui paraît s'affermir, dans la science, sur le rôle accord
comme sur celle de l'occipital. Nous savons que le girus angulaire paraît intervenir dans la fonction du sens de la visio
es névroses en général dépendent de la névrose de l'estomac et dis- paraissent avec elle Cas de maladies cérébrales dans lesqu
lle manque dans un tiers des cas. Certains délires de per- sécution paraissent s'arrêter, s'améliorer et même guérir. La malad
par le Dr CHRISTIAN. Réponse à un article de M. Marandon de Montyel paru dans les Annales médico-psychologiques (l'Open
nément, car une nouvelle correction fit disparaître com- plètement, paraît -il, sa manie de gifler. Bourneville. Comité DE
70 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
avait constaté l'in- telligence paresseuse, l'esprit obtus, qui ne paraissait songer qu'à boire, manger et dormir, a réalisé
lication d'un certain' nombre d'appareils mécaniques dont l'utilité paraît fort dou- teuse en tout cas et qui présentent a
nel enseignant toute incertitude. Si, pour cette enquête, il vous paraissait nécessaire d'adopter une autre classification,
s enfants frappés d'imbécillité proprement dite. Ces classes nous paraissent devoir être consacrées aux enfants atteints : 1
ance, nous nous associons complètement à cette réclamation qui nous paraît justifiée. » Le Journal de médecine de Paris, l
ires. - Père, cinquante-cinq ans, homme de peine dans un lavoir. Il paraît plus vieux que son âge. Il a la lèle- conique e
u pied et des orteils ont peu d'amplitude. Les réflexes tendineux paraissent normaux ( ? ). Organes génitaux. - Bourses pend
r les autres doigts et à la paume de la main, les épais- sissements paraissent dus à la profession. Très souvent, le pouce, pa
eux ans et qui auraient duré chaque fois deux ou trois heures, nous paraissent expliquer d'ailleurs l'hémiplégie qui existe du
Il s'y joignait une perversion des instincts assez prononcée, qui a paru s'exagérer par périodes durant lesquelles, entr
rtir de leur apparition, La tête, qu'elle se cognait contre le lit, paraissait à cette époque proportionnellement plus grosse
mouve- ments de la tête du fémur dans la cavité cotyloide droite paraissent très douloureux. L'enfant dessine des mouvements
- vie camphrée. Au bout de deux jours, ces accidents avaient dis- paru et l'enfant revenait à son état antérieur. 16 a
s mamillaires sont sensiblement égaux. Le pédoncule cérébral gauche paraît plus large et plus épais que le droit. - La pro
e lui on note une atrophie et un aplatissement du lobe frontal, qui paraît même déprimé et concave au niveau du pied de la
ui avaient été le point de départ de notre travail. Nos dires ont paru vous intéresser. Aussi, afin de vous mettre mieux
ansver- salement. La postérieure pa- rait fermée. Les autres os paraissent soudés. Les bos- ses pariétales sont assez sa
les anneaux de la tra- chée et les cartilages du la- rynx. Il ne paraît pas y avoir de traces du corps thyroïde. Le c
chez les autres myxoedé- mateux. Thorax. En avant la poi- trine paraît comme carrée et bombée au niveau des régions
un bruit de souffle très intense iL la base. Ce bruit de souille paraît couvrir les deux temps. l'as d'accès de cyano
ntrac- ture. - La sensibilité est un peu obtuse. - Les réflexes paraissent normaux. Membres inférieurs. - Ils sont remar
reuse du reste du corps. Les pieds offrent les mômes changements et paraissent également moins oedéma- teux. La langue ne tend
quelques gouttes de sang au niveau de la vulve, dont l'ori- gine paraissait être interne. 14 mai. - Un gramme de glande thy
regard est en grande par- tie éteint. A la percussion, la sonorité paraît conservée sauf en arrière au niveau du poumon g
don. Sa mère l'a nourri jusqu'à 15 mois ; c'est vers 13 mois qu'ont paru les premières dents. D... commencé à parler à 1
inférieur de la même côte. Les vaisseaux huméraux droits et gauches paraissent nor- maux : même couleur, même calibre, etc., a
t est en retrait en avant et en arrière de l'hémisphère droit qui paraît bien conformé. Pas d'adhérences. Le ventricule la
e cérébral gauche, la moitié, gauche de la protubérance et du bulbe paraissent moins déve- loppées qu'à droite. Il en est de m
lus saillante que la droite. Par contre la fosse tem- porale gauche paraît un peu plus profonde et plus étroite que la dro
fosse pituitaire est normale. - Les différentes parties de la face paraissent symétriques ainsi que le maxillaire inférieur.
iaclue parait plus relevée que la gau- che. La fosse iliaque droite paraît un peu moins profonde que la gauche. Le maximum
rabisme, ni nystagmus, pupilles égales à réactions normales. La vue paraît bonne ( ? ). Nez mince, pas de déviations de la
u pendant un an, à de nombreuses reprises, des vers intestinaux qui paraissent avoir été des asca- rides. Aucune espèce d'acci
cache, a peur, ses paupiè- res battent. Quand on lui parle elle ne paraît pas comprendre, regarde avec hébétement. Les
tes deux moitiés de la protubérance, les pyramides et les olives paraissent égaux et symétriques. - La glande pinéale n'offre
terne des hémisphères la vascularisation est générale. Les sillons paraissent comme fermés, accolés les uns aux autres jusqu'
sont lisses et régulières. Les couches optiques et les corps striés paraissent normaux. Les deux lobes du cervelet, ainsi que
un groupe de six idiots avec cachexie pachy- dermique ne nous avait paru de nature à vous inté- resser et à vous permett
mijxoedémateuse, 1888, 1889,18 ! )0, 1801, 1805. Tous ces travaux, parus dans le l'roltrcs indilical ou dans les chiues
filles (vingt ans et quatorze ans neuf mois) les règles n'ont point paru ; les seins sont rudimentaires ; les appétits s
aucun de nos six malades. La sensibilité générale est naturelle. Il paraît en être de même de la sensibilité spéciale, aut
M. Ferrant ! a insisté sur ce fait que la glande don- née en nature paraissait plus efficace que les préparations pharmaceutiq
rectal. On n'a pas remarqué d'hémorroïdes. La mère dit que l'enfant paraissait souffrir en urinant, qu'elle tousse parfois, es
ues différences : la langue s'est épaissie et sortait de la bouche, paraît -il. On ne peut préciser le début de l'épaississ
très sensible au froid, répugne à tout mouvement. L'acuité visuelle paraît normale, ainsi que l'audition. Il est impossibl
pproche du feu. La colo- ration jaune, cireuse, de la peau n'aurait paru qu'au mois de mars de cette année ( ? ). On n'a
e chute du rectum. L'attention est très difficile a fixer. L'enfant paraît affec- tueuse. Depuis son arrivée à Paris, elle
t retourne, ne veut pas rester couverte. 2 février. - L'enfant, qui paraît souffrir, pleure presque toute la journée et ne
out les personnes qui la soignent; elle est de meilleure humeur, ne paraît ressentir aucun malaise, dort bien; propre le j
e 1890. ;, Médication thyroïdienne. 173 colère s'éloignent. Kr... paraît contente de marcher seule, cherche à se faire c
ulement que le chiffre clos leucocytes éosino- philes ne nous a pas paru présenter de modifications, Examen du sang. 185
aire d'en tirer des conclusions définitives. Il y a des faits qui paraissent acquis et que nous avons signalés au cours de c
ingite. Il a pensé que les accidents étaient dus à l'alcool, car il paraît que l'enfant avait l'habi- tude de boire les re
mal convulsif. II. Les accidents aigus observés chez cet enfant paraissent s'être développés sur un état alcoolique antéri
mmeil bon; pas de cauchemars. c) Etat psychologique. L'intelligence paraît être norma- lement développée. L'attention el l
e poing. On ne peut l'approcher. Par moments son corps se raidit et paraît agité de mouvements convulsifs. 11 ne s'arrête
ue ses forces furent à bout. Il resta un quart d'heure immobile, il paraissait essou- né. Nous nous approchâmes de lui en l'in
, il nous écouta, se leva et nous suivit. Il resta une heure sans paraître faire attention iL ce que nous lui disions. 11 se
oreille gauche a persisté, mais les douleurs que l'enfant éprouvait paraissent avoir disparu. Juin. Même traitement : les in
nt, d'hémichoréc, d'athétose, d'épilepsie, etc. Ces travaux qui ont paru dans le Progrès médical, clans les Archives de
suivante, exemple typique de paraplégie spasmodique infantile, nous paraissent offrir un réel intérêt. SOI111AIR1 ? Père, cé
rises nerveuses de 3 à 15 ans; elle a eu quatre enfants, dont trois paraissent être morts de convulsions. - Rien iL noter dans
. Il continue, à- déployer une activité physique plus grande que ne paraît le comporter son infirmité : il affectionne les
e s'est éclairée, l'expression du regard est vague, tantôt les yeux paraissent normaux, tantot au contraire, ils se por- tent
t atteint d'imbécillité avec paraplégie spasmodique, dont l'origine paraît être congénitale. Nous allons donc relever ce q
71 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
ssant l'influence magnétique,-s’ôtaient profondément endormis. « Il paraît que le sieur L... voulait chèrement vendre sa déf
a de différentes parties du corps de M. L..... Chaque fois celui-ci parut en éprouver une commotion pénible, comparable à
algré la peine que se donnait le magnétiseur pour l’apaiser. Le sujet paraissait souffrir extrêmement, car il frottait ses membres
té : le cerveau ne sait rien de ce qui a lieu en nous-même, et ce qui paraît de notre volonté et d’un choix réfléchi, est exci
eurs qui croient que l'antiquité connaissait presque tout ce qui nous paraît nouveau. Le Siècle publie un feuilleton intitulé
er sa chambre, lorsqu’il aper- çut qu’elle avait les yeux fermés et paraissait profondément endormie. «La jeune somnambule, ca
er agréablement sur les petits incidents des toumements de tables. 11 paraît croire de la meilleure foi du monde qu’il a fait
n. Les mensambules se trouvent dans un état singulier dont les uns ne paraissent point frappés particulièrement, et qui cause à d’
me, dont la conduite n’a jamais été l’objet d’aucun reproche sérieux, paraît digne d’indulgence, que c’est donc le cas de lui
onté énergique. Alais les attouchements, les gestes, les paroles leur paraissent de puissants auxiliaires : la doctrine du chevali
ce problème. L'intervention des esprits dans cette question ne nous paraît pas sérieuse. Si Dieu, dans sa sagesse, avait per
vangile. «Si nous avons combattu, Y T. C., des observances qui nous paraissent pleines de dangers, il ne faut pas conclure de là
huit, douze, quinze jours à l’avance; et pourtant leur nom n’a jamais paru dans les journaux : c’est la reconnaissance qui p
ns mes élèves celui qui Toiie XIII. _ NO 183. _ 10 Mins |g., 5 me paraissait le plus capable de mener à bien mon projet; M. Hé
moins de densité. Cette idée, sur laquelle il revient sans cesse, m'a paru digne de fixer l’attention des magnétiseurs ; et
pas de chez eux sans avoir enlevé le mal de tête à leur fille, ce qui parut les surprendre beaucoup. Je fondais mon espérance
un verre de fort vinaigre pour augmenter sa clairvoyance. Rien ne me paraît plus rationnel que ce moyen, la chimie ayant démo
dont 011 s’est tant occupé l’année dernière ; et ce qui du moins nous paraît incontestable, c’est que consulter sérieusement l
tate des faits vraiment surnaturels, je dirai même des phénomènes qui paraissent absurdes à la raison sévère. Non-seulement les ta
on. 1 Le sujet, dit encore M. Bégué, malgré la force physique 3ui paraît l’enlever, ne sent presque pas l’impulsion des oi
tre savant confrère attribue ici à une action mflalloilifrapique nous paraît tout simplement dû à une soustraction de caloriqu
-mêmes cette science qui produit les prodiges dont la peinture leur a paru si séduisante; ils ont fait quelques pas de plus,
prix de ses travaux. A. s. MOBIN. M. J. de Rovère vient de faire paraître à Dunkerque une brochure destinée à populariser l
fait périr plusieurs. Elle était malade depuis un jour, et son état paraissait désespéré. .le la magnétisai ; elle s’est ranimée
bruits consistent en partie dans certains tapotements mystérieux qui paraissent indiquer la présence d’une intelligence invisible
nce de concours humain ou d’aucun autre agent visible. Ces phénomènes paraissent se produire, quant à ce qui a rapport à leur émis
int rassemblé, accumulé les agents qui les attirent et les forcent à. paraître . — Mais où sont-ils donc ces agents? — D’abor
et mèn e 011 le fait cesser. L’esprit, chez la plupart des dormeurs, paraît frappé de la même torpeur que le corps : quand il
, une explication qui a quelque analogie avec celle-ci, mais qui nous paraît avoir de plus le mérite de la simplicité, en ce q
couvrant de sa responsabilité, les magnétiseurs non médecins qui lui paraissent dignes de son appui. Il serait superflu d’appuy
distinction que nous sollicitons pour M. du Planty ; ceux-ci nous ont paru plausibles, et nous espérons que vous lui décerne
ancien et si fréquent, que tout d’abord la prétention de M. Clapier a paru exagéré, et un long examen a dû s’ensuivre. Maint
enir deux fois en France sans pouvoir se guérir. En résumé, il nous paraît évident que, quoique l’on se soit souvent servi d
ars. Elle vient en outre de fonder un journal, dont le premier numéro paraîtra le 15 mai. Si vous croyez que pour montrer les
aisser et à prendre, » (Paroles d’un somnambule.) ( Cette assertion paraîtra téméraire, sans doute, en présence des savantes d
’insu des personnes qui expérimentent, tombe devant ce fait. Celle-ci paraît plus sérieuse, mais n’est pas moins facile à détr
intitulé: Comment l’esprit vient aux tables (1) ? 11 n’a encore fait paraître que le premier numéro de son recueil. L’extérieur
forme le mot Dieu. C’est neuf, mais peu ingénieux. Le recueil doit paraître aux nouvelles lunes : cette formule indique-t-ell
rt de les regarder comme magiques. S’il en était ainsi, le titre nous paraîtrait mal choisi, et l’auteur se servirait de termes im
la littérature sur cette matière ; car il n'y a pas de mois qu’il ne paraisse un ouvrage soit en français, en allemand , en ang
ésulte un état particulier, l'état dans lequel les facultés de l'être paraissent modifiées. C’est ce qu’admet aussi M. Babinet, da
nt. (La plupart des expériences ont été faites à deux.) Ainsi Moïse paraissait avoir adopté la réforme orthographique de M. Mari
outenu ce rôle qui 11e me semble pas sans difficulté. Salomon, lui, paraissait très-porté à s’occuper des affaires privées ou do
Uc lumière cl d'amour sympathique élément, Elle impose sa loi sans paraître sévèro ; Quiconque en cet état la prend pour co
cience, ils nous révèlent de merveilleux phénomènes ; ils ne font que paraître , et déjà ils nous dépassent! Que ces précieux a
e-même, Ou l'agent de ses flots divers. Or, en ce vingt-trois mai parut Un homme qui dès son enfance Recherchait de toute
omme, plusieurs guérisons remarquables, mais que l'imagination créole paraît avoir singulièrement exagérées. A croire certaine
pour l’étude, ceux qui l’ont précédé s’empressent de l’aider : tel a paru M. Cahagnet, et ainsi sa venue a été accueillie.
édition de ma Physiologie, qui n’était que l’ébauche de la deuxième, parue il y a quelque deux ans. En 1843, j’envoyais à l’
ter, je m’abstiendrais d'en parler ici ; mais, comme 011 le verra, il paraît qu’elle est tout à fait indispensable. « C’étai
’entre eux, déjà un peu étourdis par ce balancement, ne se lèvent; il paraît qu’ils ont très-chaud, ils se débarrassent de leu
emble d’action et l’équilibre des forces. » Cette proposition ne me paraît pas hasardée, et je suis disposé à croire qu’elle
i qui est soumis à sa puissance. Je suis certain que ce rapprochement paraîtra impossible. 11 ne l’est pas pourtant, car, en réf
part n’étaient de bonne compa- Eie que dans la mauvaise, et eussent paru de la mauvaise as celle véritablement bonne, si e
vec soin avant son départ pour l’Egypte; ce fut sans succès, et il en parut inconsolable. i Que de faiblesse dans un person
e ne m’en décidai pas moins à essayer encore ce dernier moyen, qui me paraissait être désespéré. Nous arrivâmes à Paris au mois de
emps de vingl-et-une semaines. » u Quelque incroyable que cela nous parût alors, il me faut néanmoins lui donner ce témoign
comtc de Szapary. 1 vol. in-8. Paris, 1855. La deuxième édition doit paraître dans quelques jours. qu6 les organes intérieurs
nous étions restés au-dessous de ce que nous devions faire. Il nous a paru devoir aller de pair avec les Elliotson, Es-daile
ussitôt. Le 23 février, la partie externe de la cornée transparente parut s’éclaircir : c'est le seul point où la malade pe
tée d’une tumeur abdominale depuis 1842, laquelle tumeur a commencé à paraître au-dessus du pubis et s’est propagée graduellemen
région dans le bas-ventre. Depuis notre visite du lt>, la tumeur paraît moins volumineuse, moins dense et un peu mobile.
A part cette considération restrictive, la conduite de M. Houlet lui paraît (ligne d’éloges; en conséquence il le porte candi
communications avec les esprits, au moyen du fluide magnétique ; ils paraissent croire que tout n’est pas chimérique dans les phé
s. Il analyse parfaitement ce qu’il sait; mais comme plusieurs choses paraissent lui être inconnues, il arrive qu’il marche parfoi
iracle dans ce cceur simple- ! ! ! Quoique l’infusion du don divin me paraisse uu peu dure, je ne puis m’empêcher d’admirer les
Un fait qu’on n’a pas expliqué jusqu’ici, et qui maintenant va nous paraître bien simple, c’est la mortification spontanée de
n’ait un effet réel indépendant de l'imagination de l’un des deux; il paraît assez clairement que ces effets sont dus A une co
à un maître sorcier. Suivant tes lois absolues de la création.... U paraît que la création a des lois absolues et d’autres q
ôme tracer entre chaque ligne le chiffre menaçant. ;i Enfin le jour parut . Le colonel, se trouvant un peu mieux, sortit pou
C’est bien simple. Pour les uns, la chose est si étonnante, elle leur paraît si monstrueuse, qu’ils ne conçoivent pas que cela
’étant irrités, 011 eut recours à l’opium et à ses succédanés. Le mal parut céder un instant sous l’empire de cette médicatio
Une troisième affection compliquait ces divers états, dette dernière paraissait , à mon avis, la plus grave, parce que l’œil, qui
furenteontinuées deux fois par jour, jusqu'à ce que la convalescence parut bien s’établir. Après que les sueurs eurent dispa
ant. Les médecins, qui n’avaient point discontinué leurs visites, 11e parurent nullement, étonnés de la réaction qui s’était opé
tomatique; on la rencontre quelquefios à l'état de veille, où elle ne paraît être que de l’imitation exagérée. MM. Hébert et B
amille, qui ont voulu empêcher que d’autres ne s’en emparassent. Elle paraît avoir été brûlée il v a longtemps. «La somnambu
un mur; niais le lait est certain. On remarquera que ceci ne doit pas paraître plus merveilleux que lorsque le sujet voit la mai
r de leur corps jusque dans ses plus petits détails. L’organisme leur paraît transparent, brillant de lumière, plein de vie et
le pendant un temps très-court, il éprouve différentes visions qui me paraissent dues à la contemplation et que je regarde comme u
et encore elle disait que quand elle le tenait dans sa inain, ça lui paraissait comme une brillante lumière et que ça augmentait
z pour nous assurer qu’elles se rapportent à des événements réels. 11 paraîtrait , d’après ce que j’ai vu, que la lucidité produite
t honoré confrère, Je vous transmets la relation d’une cure qui m’a paru digne de fixer l’attention, tant sous le rapport
jeune enfant, âgé de huit à neuf mois. Cependant, deux fois elle a paru faire attention à ce qui se passait autour d’elle
a) s ; il parle mieux que le précédent, mais écrit moins bien, ce qui paraît tenir à ce qu’il a moins d’intelligence. « Enfi
vention des esprits, et quoique les diverses évolutions des tables me paraissent rentrer dans le clercle des phénomènes magnétique
busdam œliise. A cette école appartient M. de Morogues. Son œuvre paraît le résultat d’études sérieuses et consciencieuses
et ascendant si le contact est donné par du cuivre. Le pied gauche paraît à M. de Morogues jouer le même rôle que la main d
eur entre dans peu de détails à ce sujet ; mais l’eau et les minerais paraissent rentrer dans cette catégorie. Ces corps n’ont plu
e cours d’eau produit toujours un même effet, et que la différence ne paraît due qu’à la distance. Ceci est hors d’analogie av
e avec toutes les lois physiques que nous connaissons; car les effets paraissent toujours fonction composée des masses et des dist
resque continuelle ; fièvre peu prononcée. Les fonctions ordinaires paraissaient se conserver assez bien. Depuis deux ans environ,
Magnétisée une demi-heure tous les jours, du 18 au 22 juillet, elle parut insensible à l’action magnétique ; pas le plus lé
attendue la jeta: dans un trouble extrême , à tel point que sa raison parut un instant compromise. Depuis ce moment se déclar
lui, l’entretint de sa famille et lui dit beaucoup de choses qui lui parurent fort étranges. Le ministre remarqua que son père
tait bien son père qu'il venait de voir, et qu’il ne lui avait jamais paru en meilleure santé. Il lui lallui un temps un peu
L’écriture est illisible pendant quelques minutes, mais bientôt elle paraît en lettres fort nettes, qui peuvent être tout la
uffrances les désespéraient. C’étaient surtout les anges gardiens qui paraissaient le préoccuper d’une manière plus spéciale. Interr
e front une flamme ; tandis que la physionomie du second est dure, il paraît méchant et me fait peur : c’est le démon, c’est m
térêt que les personnes qui avaient assisté à ces diverses opérations paraissaient y prendre, les engagèrent à donner dans la soirée
ions, injections et applications sur les parties affectées. Cette eau paraissait avoir pour les malades une certaine saveur aigrel
s pour les rhumatismes et les refroidissements. Le jeune somnambule paraissait insister beaucoup pour l’usage des fumigations de
rdinier. Le malheureux Julien venait de tuer son père. Pierre D..., paraîtrait -il, était somnambule; il se levait la nuit, et co
t, fait imprimer en ce moment à Toulouse un Manuel du magnétisme, qui paraîtra vers la fin du mois d’octobre. j. BÉGUÉ. Le G
ie formé. Les détails de cette organisation, plusieurs fois ajournés, paraîtront en entier dans notre prochain numéro. Chacun alor
cultés intellectuelles. Je dois néanmoins dire que jamais elles ne me parurent excéder les bornes de l’intelligence que je lui c
die, que je considérai dès le principe comme un cas de catalepsie, me parut fort grave. Je craignis pendant longtemps pour ce
ys chauds n’avaient produit aucun changement en lui; au contraire, il paraissait plus jeune, mieux portant et plus frais. Ce qui n
rveuses des langues, et les détours capricieux des rivières. Tout lui parut disposé dans une progression mathématique : les c
état de somnambulisme, état qui lui était habituel, lors môme qu’elle paraissait éveillée. Tout ce qui va suivre a été observé et
’œil droit de plusieurs animaux, elle a vu une flamme bleue qui lui a paru être un rayon de la conscience d’eux-mêmes. Elle
ement et renouvelées de semaine en semaine. L’honorable M. Capern m’a paru s’acquitter de ses fonctions avec une grande inte
ait ponctuellement les ordres du comité dirigeant. Les hommes m’ont paru plus attentifs que les dames, aussi obtenaient-il
que les médicaments indiqués par les clairvoyants sont inutiles, m’a paru exagéré; je crains même qu’on néglige l’applicati
es par une personne placée à l’intérieur, et l’on entend des voix qui paraissent sortir, tantôt d’une des trois loges, tantôt de t
hose que lui. Cet agent merveilleux est toujours avec'moi, à ce qu’il paraît ; et dans les travaux des cures, il met mes membre
peu de distance un grand arbre, et au-dessous le corps d’un homme qui paraissait mort. « Gela, dit M. Barlett, ressemble à une s
oi on se fonde pour affirmer qu’un fait, si extraordinaire qu’il nous paraisse , n’a pu Cire produit ni par le jeu régulier et
large élimination, 011 se trouve en présence de faits importants qui paraissent bien avérés et qui s’écartent des lois connues ;
dispositions principales et renferment quelques innovations «pii nous paraissent heureuses. Nous regrettons que, par une dérogatio
i, dans l'après-midi, environ deux heures plus tôt que d’habitude. 11 parut entrer par la porte de face, puis se promener dan
le D' Nicolas, rédacteur de Y Union médicale de la Louisiane, a fait paraître , dans le n° 2 de ce journal, un article très-favo
qu’elle avait caché la veille, et quand elle ne le trouvait pas, elle paraissait péniblement affectée; elle faisait des efforts po
les autres personnes, il les entend également; la transmission du son paraît produire sur lui la même impression que dans l’ét
Le début rappelle que tout ce qui n’est pas habituel au vulgaire lui paraît incroyable, et que les savants n’acceptent les ph
’ai dit, foudroyer un bœuf par son moyen. Eh bien ! là dedans rien ne paraît maintenant extraordinaire, inimaginable, incroyab
u courant qui l’a déjà mise en mouvement, et obeisse à la volonté. 11 paraît même qu’une seule volonté suffit, sous la conditi
ître la pensée qu’une même cause agit dans les deux cas ; mais ce qui paraît si simple, maintenant qu’on a la comparaison sous
nitaire. Cette composition n’a de magnétique que le titre; l’auteur paraît avoir eu en vue un autre objet même que le spirit
demandent qu’à croire. Cette légitime colère apaisée, l’hésitation me paraissait un crime. En effet, ne pas sauver un homme en pér
erses personnes honorables, dont le caractère et l'éducation nous ont paru une garantie suffisante en attendant que la scien
l’ai fidèlement tenue et je n’y manquerai point. Ces Mémoires, s’ils paraissent , ne verront le jour qu’à une époque où la postéri
pe une autre. Je fus d’abord étonné de cette ren-« contre; puis il me parut que tout le côté qu'il touchait « presque se refr
ns les cas les plus difficiles. Doué d’une grande puissance, son rôle paraît être de produire des faits physiques ; il excelle
ette femme la puissance d’arracher un élu du Paradis pour la forcer à paraître sur cette terre. « — Ce n’est pas à cette femme
ripteurs recevront, en compensation des trois numéros qui restaient à paraître pour compléter l’année, l’analyse de l'ouvrage de
72 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
l'Institut de Radiologie médicale. Dans ces derniers temps on a vu paraître des nombreux travaux sur le gigantisme et la li
t un véritable géant, il mesurait au moins 1 m. 95 de hauteur et il paraît qu'il était un homme assez vigoureux et bien po
remarquable existant entre les dimensions de la boîte crânienne qui paraît petite en comparaison du développement de la pa
u à ma connaissance se rapporte au cas de MM. Franchini et Giglioli paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
s, celte question n'est pas élucidée et que dans le dernier travail paru sur cet argument, celui de Franchi ni el, Gigli
la conclusion qui se dégage du travail de MM Thibierge et Gastinel paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière d
stant à la Clinique Médicale Générale. Une note que M. Bauer a fait paraître tout récemment dans la Presse Médicale (4 décem
assez largement dans mon mémoire sur l'Infantilisme du type Lorain, paru en 1908 dans le numéro h de la Nouvelle Iconograp
ujets dont il rapporte l'histoire, des conclusions auxquelles il me paraît difficile de souscrire. Nos trois infantiles, d
ionomie de cette jeune fille ne semble pas celle d'une enfant, elle paraît même porter plus de 15 ans. Son corps ne semble
du pied. Autrement on ne remarque rien de pathologique, sauf qu'il paraît atteint de tuberculose, vu son abcès froid et s
ètres, la longueur du pied = 13 cm. 5. , Les épiphyses des os longs paraissent assez volumineuses ; les diaphyses, n'offrent p
ait beaucoup rire par ses plaisanteries ses spectateurs chinois. Il paraissait mener une existence indépendante, du moins les
ntérieure delà cuisse droite. (Quant aux douleurs du ventre qui ap- parurent quelques années auparavant, on ne peut pas fixer
a tumeur médullaire au niveau des VIlle-IX" segments dorsaux nous a paru le plus probable. Nous avons cru devoir faire u
d'hémiplégie organique dans le membre inférieur paralysé. Peut-être paraît -il inutile d'insister sur ce sujet de- puis que
le diagnostic de lèpre parce que le cubital, ordinairement atteint, paraît intact, tandis qu'une paralysie typique in- diq
me on peut en juger parfaitement par la photographie (PI. XI) où il paraît à côté de sa mère. Je dois dire qu'il est très
int pendant une semaine. Après une huitaine, cet état fiévreux dis- parut , mais la mère s'aperçut que l'enfant présentait e
bas de la montagne. Selon les renseignements donnés par la mère, il paraît que les phénomènes d'atrophie musculaire, début
nts, etc. L'examen du goût a été pratiqué d'une façon sommaire ; il paraît pourtant qu'elle soit encore capable de disting
s soeurs. L'examen de la sensibilité dans le domaine de la Ve paire paraît normale. Marguerite réagit à la piqûre de même
tion des épaules est normal. Les mouvements inspiratoires du thorax paraissent aussi tout à fait normaux. La respiration se fa
aucun degré d'anesthésie thermique. - La sensibilité à la douleur paraît encore bien conservée. Pour ce qui a trait à la
lation artérielle et veineuse. L'action des muscles sphinctériens paraît assez bien conservée ; à l'examen des urines, o
normale (lu-15 à la minute). La sensibilité subjective n'a jamais paru altérée. Examen des réactions électriques. Nous
en un peu relâchés ; la sensibilité dans le territoire du trijumeau paraît normale. Le réflexe massétérin est très exagéré
que sa soeur lui donne de temps en temps. Son affectivité pourtant paraît encore un peu conservée. Elle se met à pleu- re
ns les pieds d'Aurélie. Sur la photographie (V. PI. XII), les pieds paraissent très volumineux, mais ce fait, qui ne correspon
it la sixième de la nichée. Elle aussi fût allaitée par sa mère. Il paraît que Elisabeth aurait montré un développement phys
r que l'ouïe chez nos trois malades a été complètement épargnée. Il paraît de même que le goût et l'odorat sont assez bien
partout l'état des sensibilités superficielles et profondes nous a paru absolument normal. La sensibilité subjective au
re importance à une dépense excessive d'énergie (surmenage). Il m'a paru dans cet état des choses pouvoir ranger cette mal
bjective. 9. La main droite est violacée ; toutes les articulations paraissent gonflées. La température de la main est normale
s se sont accentués. Les articulations des doigts de la main droite paraissent ankylosées ; la peau des doigts est luisante, lis
ais sa flexion est limitée. L'articu- lation métacarpo-phalaugienne paraît normale. Comme autre déformation, on note la fo
uccession des divers symptômes et la lenteur de leur évolution nous paraissent plutôt en rapport avec une lésion de nature inf
tes inférieures. Dans ces régions la sensibilité douloureuse a dis- paru ; depuis les dernières côtes jusqu'aux VA et IVe
ses néoplasiques qui entourent la dure-mère sont peu graves et dis- paraissent tout à fait. t. En effet dans le cas décrit par
ue-là que peu d'éléments pathologiques. Citons les nombreux travaux parus sur la rage expérimentale, sur la fatigue prolo
ie d'altérations de la subs- tance corticale. Parfois les lésions paraîtront minimes et ne seront bien mises en évi- dence q
phisme rouge et seulement deux avec le dermographisme blanc, ce qui paraît indiquer la rareté relative de ce dernier phénomè
2 ( ! ). Les auteurs (2) qui ont écrit ultérieurement sur ce sujet, paraissent ignorer la coexistence des deux dermographismes
n, à la longue, de rétractions fihro-tendineuses, cette contracture paraît impossible à celui qui ne pré- sente pas une pr
ade de l'étendre en vous opposant à ce mouvement; lorsque le malade paraîtra donner tout son effort, lâchez brusquement; sur
mais peu entreprenants quoiqu'on les trouve volontaires. L'un d'eux paraît lymphatique, un autre a traversé heureusement u
u de la vie pèsent-ils sur son attitude ? Si logique'que cette idée paraisse , elle supporte deux objections. Il faudra d'abo
que la III". Les phalanges sont normales. L'ombre osseuse nous a paru peu modifiée.Cependant,sur les deux radiogra- p
n trajet ascendant sur les dos du pied (lig. 1). Le deuxième orteil paraît « s'enclaver comme un coin entre le gros orteil e
AIRE 259 Le front est haut, énorme et saillant en avant ; le visage paraît petit, quoi- qu'il ne le soit pas, en comparais
ières il forme des proéminences très accentuées. Cette accentuation paraît encore plus grande à cause de la forte lordose
une tubérosité. Le chapiteau huméral, dans l'articulation radiale, paraît moins développé que de coutume. Il en résulte u
ent réfutées dans une belle monographie de M. le Dr Lévi, récemment parue dans cette Revue même ; l'auteur, en dernière a
our des causes mécaniques résul- tant de sa conformation même. Il paraît désormais acquis que des troubles digestifs peuve
utres qui ont été oubliés dans la bibliographie de M. Lévi, ou sont parus après J APERT. Nouvelle Icon. de la Salpêtrière
s, d'autant plus que deux importants mémoires sur ce même sujet ont paru , il y a à peine quelques mois, dans ce même pério
aractères intrinsèques qu'elle présente à notre observation ne nous paraissent pas ceux absolument typiques de la maladie de P
étiques s'améliorèrent beaucoup. Une quinzaine de jours après réap- parurent de nouveau ensemble la céphalée et les douleurs o
gauche de la face reste presque immobile, La langue, à sa place, ne paraît pas déviée ; elle ne peut pas bien sortir et alor
sclérose initiale ; dans le second cas, quatorze mois après. Il me paraît superflu de devoir démontrer que dans les deux
lo-rachidien déposent sûremenl en faveur d'un tel diagnostic. Il me paraît au. contraire plus utile de rechercher les facteu
'ennuis, un individu atteint de syphilis. Un soupçon de ce genre ne paraîtra pas puéril, si l'on pense que Nonne lui-même, apr
firmer que le membre gauche fut plus touché que le droit. Il nous paraissait pourtant étrange que les troubles sensitifs fusse
niveau le groupement des cellules nerveuses redevient normal. Elles paraissent pourtant très pâles (pathologi- quement ? ).
ée alors dans notre service où elle est restée pendant trois mois. Il paraît que sous l'influence du traitement (bains, mass
IÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 347 Quelque temps après la malade, paraît -il, a perdu complètement et tout d'un coup la p
moelle épinière. 348 FLATAU Certains symptômes pourtant nous ont paru assez étranges, et surtout la- perte rapide de
sont moins denses que dans la pariétale ascendante, où les cellules paraissent plus serrées et plus nombreuses. En effet, la s
ténuant progressivement leur coloration. Ces deux derniers systèmes paraissent dépendre, le premier des rameaux récurrents du
sibilité à la peau de la partie inférieure de la fesse. Le deuxième paraît ressortir au réseau d'épanouissement des branches
tous les derniers inter- costaux, est plus régulière qu'elle ne le paraît à première vue ; elle correspond précisément su
antérieurement rapportées. Le type névritique continue donc à nous paraître le plus fréquent au thorax, de même qu'à la fac
a topographie névritique, de sorte qu'une portion seulement du nerf paraît intéressée ; c'est le cas notamment pour les bran
ant (n° VI) nous parait plutôt d'origine myétitique. Sa disposition paraît bien recouvrir la partie interne des deux zones
on des anastomoses des intercostaux voisins). Et cette origine nous paraît interpréter la très intéressante observation 6 de
mations, dont le cas le plus remarquable,absolument schématique, me paraît être la neuro-fibromatose observée par MM. Si-
ent vasculaire, mais qui d'après les considérations ci-dessus, nous paraissent pouvoir relever aussi du développement de deux
marcher, les troubles recto-vésicaux, etc. Ce qui, au contraire, me paraît digne d'une démonstration plus pé- remptoire, c
sent avoir une'impor- tance particulière. Un dernier fait, qui me paraît présenter quelque intérêt, est la possi- bilité
Le bassin est infantile, étroit et haut. Les- membres supérieurs paraissent longs ; les épiphyses sont un peu grosses. Le
s cheveux sont noirs ; la peau est foncée : ses parents sont aussi, paraît -il, 'très bruns. L'amaigrissement déjà grand il
ra- tion est faible. Les battements du coeur sont normaux. Ce qui paraît dominer actuellement c'est la cachexie tuberculeu
as, à ce degré léger un fait pathologique (PI. L). 440 CHEVALLIER parut après trois semaines. Nourri au sein, le bébé eut
sens. La tête du deuxième méta- carpien est aussi élargie, la glène paraît plus étroite que normalement. A la main droite,
courts. Le maximum des lésions osseuses (modifications de l'ombre) paraît siéger au niveau du métacarpien le plus court.
uatrième ; les tètes sont très claires, à fines cellules; les bases paraissent creusées de larges alvéoles mal remplies de tra
es grandes articulations prennent plus d'amplitude. Peu à peu réap- paraît la sensibilité (du côté droit dans le sens descen
r dorsal. On ne constate pas de tumeur extramé- dullaire. La moelle paraît large. L'absence complète du liquide céphalo-rach
. ' Dans une monographie bien connue sur les affections médullaires parue en 1874, Leyden a émis l'opinion que lorsqu'il
ration se faisant au sein du tissu nerveux ramolli). Un fait nous paraissait assez étrange, à savoir que dans certains cas,
retrouvera dans la collection de ce recueil, d'intéressants travaux parus sous son nom, tels que : Héartatomyélie du cône
e pseudo-bulbaÏ1'e, la Gangrène des extrémités, etc., ont également paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
temporalis supel'iol' est normal ; l'operculum rolandicum est dis- paru . Une partie des fibres de l'ol)ei-c ? tl2tîîi des
"- dans la répétition des mots de trois syllabes et davantage. Il paraît donc que la répétition des monosyllabes et des
rbent en haut, s'enchevêtrent avec les radiations calleuses et dis- paraissent dans la zone sous-corticale. Le faisceau sous-cal
à comprimer fortement la région pariétale sous-jacente. Le cerveau paraissait quelque peu augmenté de volume, et les circonvo
sur l'agénésie du corps calleux est celui de Arndt et Sklarek (1), paru en 9903. Le cas rapporté par ces au- teurs est
hisme sont normaux ; somatiquement et psychiquement ces in- dividus paraissent leur âge réel. xm 35 S2( ! ` E7'TORE LEVI .
t avoir des caractères sexuels et un psychisme normal, et comme eux paraître leur âge réel,mais,'dans leurs tares physiques,
. Ce point que M. von Hansemann considère comme essentiel ne nous paraît pas acceptable, car il est toujours très difficil
icrogyries et toutes les scléroses atrophiques assez éten- dues, il paraîtra rationnel d'admettrequel'amoinflrissement du déve
174H, de Rensis publiait l'observation d'une femme de 30 ans qui en paraissait 10. Elle n'était pas rachitique, mais son bassin
(ici, plus qu'en tout autre cas, cette expression de M. Meige nous paraît parfaite). Notre nain se différencie du sujet de
relative, est parfait. Examens locaux. - Crâne. La tête,vue de face, paraît absolument nor- male ; en la regardant de profi
nis ; les moustaches sont fortes et la barbe qui est rasée de près, paraît abondante et point clairsemée. L'expression du
est allongé et rond. La glande thyroïde est facilement palpable et paraît normalement développée. On ne palpe pas de glande
Etloic Levi) LA MICROSOttlË ESSENTIELLE HÉRËDO-PAMiLlALË 559 fait paraître les membres plus minces qu'ils ne sont, cependant
peux très réduits ne cachent aucunement le dessin des mus- cles qui paraissent très bien conformés ; leur tonicité et leur énerg
apparaît comme une enfant normalement déve- loppée, quoiqu'elle ne paraisse pas plus d'un an ; elle a l'air un peu chétif san
nue plus haut avec la racine motrice de la IIIe paire. Les cellules paraissent aussi nombreuses qu'à l'état normal (PI. LXIV, C)
ns on voit des lymphocytes. Sur les coupes les bandelettes optiques paraissent normales ; les diverses couches myéliniques du
es diverses couches myéliniques du tubercule quadrijumeau antérieur paraissent assez mal colorées (méthode de Pal), mais les c
IIIe paire, dans son trajet intracranien quelques très rares libres paraissent manquer. Les nerfs optiques et le chiasma sont
'intégrité des cellules. Les méthodes que nous avons employées nous paraissent cepen- dant suffisantes, et il serait bien surp
'une façon différente. Cepen- dant la morphologie de la tête nous a paru présenter des altérations moins marquées. Nou
oit un peu augmen- tée ; parfois elle est diminuée : ce fait nous a paru plus fréquent aux pieds. On peut même observer
le pas d'iné- galité entre les os d'un même segment ; les épiphyses paraissent norma- les. Les attributs de la puberté (qui ne
s mélapodianx entre eux. La longueur du deuxième métacarpien nous a paru la plus constante; le quatrième au contraire, n
ujet de l'achondroplasie : « La susceptibilité morbide du cartilage paraît pouvoir être héréditaire- ment transmissible, a
acarpiens (l).Bardenheuer (2) l'admet. Mais les auteurs français ne paraissent pas du même avis. Le cas de Malgai- gne (3) est
lique du troisième métacarpien a légèrement glissé de côté; la tête paraît aplatie; l'os est un peu raccourci (lésion réce
la maladie exostosique par exemple, la brachymélie métapodiale nous paraît avoir une origine endogène. Il n'est pas imposs
ndable par la radiogra- phie ; cet accroissement - insuffisant nous paraît certain au moins chez les jeunes enfants, et le
on rencontre parfois de petites pla- ques de sclérose arrondies qui paraissent être situées eu pleine substance blanche et ind
membrane épendymaire elle-même, qui recouvre la couche de sclérose, paraît par endroits comme détachée, ayant perdu son adhé
de la plaque de sclérose pro- prement dite, de petites plaques qui paraissent répondre, macroscopiquement, à un tissu différe
des coupes pratiquées au voisinage du ventricule, on constate qu'il paraît exister plusieurs variétés de plaques de scléro
arge du tissu myélinisé : ils présentent de petits noyaux denses et paraissent être vraisemblablement d'origine et de nature név
ez sa malade. Dans notre cas, il n'existe rien de sem- blable et il paraît bien difficile de savoir quelle part peut prendre
e plaques de sclé- rose au point de vue de la structure, qu'il nous paraît intéressant de dif- férencier. Les unes nette
ne cérébral qui en occupe environ la moitié inférieure. Ce faisceau paraît légère- ment atrophié bien qu'il se colore fort
ns médianes et vers le bord supérieur de l'hémisphère. 1.'avant-mur paraît anormalement large et se confond au-dessus avec l
xus choroïdien ou de l'épendyme. Les couches sagittales pro- fondes paraissent indemnes, sauf que dans quelques endroits, surtou
par une incisure et plus en dehors par un septum vasculaire qui ne paraît être qu'un prolongement de la toile choroïdienn
s la partie correspondante de la capsule interne. La glande pinéale paraît plutôt volumineuse et a été très nettement dévi
notable. La corne sphénoïdale a acquis ses dimen- sions normales et paraît indemne de toute altération épendymaire. En revan
le stratum calcarinum ne se détache pas avec son relief habituel et paraît être situé plus bas qu'à l'état normal. Le fais
curieux et plutôt intrigant. Alors que la couche sagittale externe paraît bien développée et normalement disposée, la cou
rien d'anormal, sauf que le tubercule cendré et le corps mamillaire paraissent plutôt volumineux. On note de nombreuses altérati
rée des sillons de la face inférieure de l'hémisphère, mais il nous paraît être plus logique de les considérer comme des î
e segment homolatéral, anormalement disposé, du corps calleux, nous paraît être un fait absolument incontestable. Au-dessu
'écorce au niveau des régions atteintes de microgyrie ne nous a pas paru différer sensiblement de celle de l'écorce normal
ues, lespotticlues, l'appareil génital est normale- ment développé, paraît même proportionnellement exagéré et les carac-
rmer mot par mot ce. que nous avons avancé dans notre dernière note parue sur cette ques- tion dans le numéro de janvier
hez les individus appartenant aux pre- mières catégories, et ils ne paraissent jamais leur âge réel. IV. Aussi bien la microso
surnuméraire presque normal, coïncident; une maladie intra-utérine paraît avoir existé au cours de ladeuxième grossesse. Ic
u XVIIIe siècle, quelques grosses fautes d'anatomie, mais il nous a paru intéressant de les signaler. (1) Dr E. HOLLANDE
73 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
cette constatation que Lancereaux (4) dit que « le système nerveux paraît jouer un rôle important dans la pro- duction de
s trois cas où les nerfs ont été étudiés liistologiquement, ils ont paru malades (leur cas ; celui de G. de la Tourelle
nous avons faites sur des os secs. Parmi les résultats qui nous ont paru intéressants, nous voulons signa- ler aujourd'h
de 1 centimètre à 3 ou 5 centimètres de diamètre, irrégulières, qui paraissent fermées ou communiquent entre elles (pli. V et
cin du village. Elle resta alitée pendant trois jours, sans lièvre, paraît -il, avec la sensation d'une gêne douloureuse da
ol. XII, 1899. (4) L. FBIIRIO, Stillh ptogi. del c.ipo.Ce mémoire a paru dans un recueil des travaux publiés en 19d4 dan
u livre de René Cruchet sur les torticolis spasmodiques (39)*, nous paraît devoir s'appliquer avec autant de justesse aux cr
aux névroses d'occupation ; mais sa classification nouvelle nous a paru obscure et ne nous a point semblé englober tous
utres, tant par leurs manifestations que par leur nature, il nous a paru intéressant de re- prendre l'étude de cette que
même en lui disant que son affection est incurable ; il nous a donc paru utile de grouper en un long chapitre les différen
étiologie, le terrain spécial sur lequel elles évoluent. Aussi nous paraît -il avantageux d'étudier en un seul chapitre l'éti
perturbation règne dans l'acte nerveux central. Cette hypothèse me paraît justifiée par la cli- nique. » « Existerait-i
ombre de cas de crampes professionnelles dont la cause provocatrice paraît bien être ainsi que le démontre le trai- tement
n rétrécissement aorti- que. Le foyer d'intensité maxima du souille paraissait mitral, mais cependant un peu interne par rappo
é, ne présentait aucune autre affection, et tous ses autres organes paraissaient normaux. Le sujet prenait depuis quelque temps de
ez les psychasthéniques; depuis quelque temps aussi son travail lui paraissait mal fait, ridicule, honteux ; quand elle se met
utres phénomènes enfin, les troubles vaso-moteurs et trophiques, ne paraissent plus avoir avec l'hystérie les liens intimes qu'o
ans le livre du Dr Portigliotti sur les Fous dans l'Art, où elle me paraît tout à fait à sa place. Mais, lorsque l'auteur
sairement une démoniaque ? - Il y a quelques années, le doute m'eût paru impossible ; aujourd'hui, il me semble inévitable
imites de son intellec- tualité sont restreintes, mais il en a été, paraît -il, toujours ainsi. Pas de troubles des sphinct
s à un quart d'heure, le malade demeure abattu, mais bientôt il n'y paraît plus. Après la crise, il n'y a pas de tristesse
l est triste, c'est qu'il a pleuré involontairement (3). Son spasme paraît bien sous la dé- pendance d'une lésion capsulai
st voilée, enrouée, les lèvres, les joues se contractent, le ma.ade paraît faire un gros effort pour parler. Lorsque l'i
UD ET ANGLADA La voix est faible, par moments presque éteinte, elle paraît arrêtée par une constriction delà glotte. « La
de limiter les grandes lignes de cette courte dis-' cussion, il ne paraît pas que la contracture intermittente présentée pa
ntée par le malade ait une allure quelconque professionnelle, il ne paraît pas non plus qu'il soit légitime de la considér
onc légitime de cataloguer spasme ce qui à un examen rapide pouvait paraître un tic, et le spasme est aussi bien facial que ce
liographie de ce mémoire qui ne comprend, en effet, que les travaux parus après 1905 ; il nous a semblé inutile de faire
à-dire l'abondance de l'enveloppe cutanée des mains ; celles-ci ap- paraissent en effet toutes ridées comme si la peau était en
légen- daires. Dans l'excellent mémoire de MM. Porak et Durante, paru dans ce même journal en 1905, tout ce qui regar
ent traité ce sujet dans mon mémoire sur l'infantilisme de Loi'ain, paru sur ce même journal (1908, nO' 5 et 6) et tout en
'ADULTE 151 BIBLIOGRAPHIE. La bibliographie comprend les ouvrages parus sur l'achondroplasie après 1905. ApERT. - Une
qu'il a pu en avoir. Du court exposé qui pré- cède cependant, il me paraît résulter qu'à une même époque, on peut observer
èce conduit celle-ci à un stade d'évolution supérieur. A priori, il paraît même vraisemblable de penser le simple réflexe
it qu'elle soit liée à un degré d'excitation déterminé. Mais il m'a paru que les choses se passaient comme s'il existait
les, lorsqu'on les rencontre chez l'homme ; non seulement il nous a paru apte à produire,par une complication et une exten
s. Le mécanisme réflexe suffit pleinement à cette tâche et il ne me paraît pas qu'il y ait lieu d'en chercher un autre. Re
manifestation de la vie intellectuelle, à tel point que celle-ci ne paraît pas possible sans lui. S'il fallait un acte de
on du méca- nisme cérébral, pour autant qu'elle ait quelque valeur, paraîtra peut-être facile et naturelle, mais n'ayant pas
être révoquée en doute, le fait, malgré l'évidence, pouvait encore paraître incroyable, parce qu'il était impossible de con
es qu'aux femmes de donner la vie. Voilà certai- nement un fait qui paraîtrait incroyable, si nous n'en avions pas chaque jour
tre assis sur une chaise en présence d'une machine intelligente qui paraît fonctionner d'elle-même, suivre du regard les t
tissu spongieux moins dense, à larges mailles. Les articulations ne paraissent pas modifiées : « Il s'agit, dit l'auteur, d'un
s, pour étudier ensuite successivement les altérations qui nous ont paru notables, au niveau du genou, de l'épaule et du
dans la position assise : il tombe en avant ou en arrière. La face paraît épargnée. Les réflexes ne peuvent être obtenus.
ent arrondie, comme émoussée. Dans cette épiphyse, le tissu compact paraît énormément diminué, et remplacé par du tissu sp
, oblique aussi^des plis de l'abdomen. Les quatre dernières côtes paraissent soudées entre elles. A droite elles ont subi un
contraire il a de l'aplatissement marqué. La muscula- ture du tronc paraît relativement conservée. L'abdomen comprimé entr
rement épaissis à leur partie inférieure. Les avant-bras, arrondis, paraissent d'un volume nor- mal ; les mains sont larges, a
ieure du radius. Les doigts de la main sont volumineux, mais il n'y paraît pas d'hypertrophie localisée manifeste. L'emp
raphique des myopathies ; on peut la rapprocher de celle de Raymond parue en 1907 dans l'Iconographie, HOPITAL MAJEUR DE
u sain. Dès l'enfance il a toujours joui d'une excellente santé. Il paraît toutefois que, à l'âge de 8 ans, il a été attei
rt. Etal actuel. C'est un homme de petite taille, un peu bossu, qui paraît plus que son âge. A l'examen on est frappé pa
ns le bassin. Le dos est très voûté, la taille est petite, les bras paraissent très longs et les mains descendent jusqu'aux geno
externe. Comme il a été remarqué, le raccourcissement du tronc fait paraître les bras beaucoup trop longs ; toutefois ils ne
le malade. L'abdomen est un peu douloureux à la palpation, le foie paraît augmenté de volume, en effet ses limites supéri
ET BERTOLOTTI Après les observations qui, dernièrement encore, ont paru sur l'ostéite déformante de Paget, nous ne croy
et nous nous bornerons à souligner les quelques points qui nous ont paru les plus intéressants dans cette observation en
breux partisans notamment en France où des thèses intéressantes ont paru à ce sujet. Nous avons soigneusement analysé le
aus). Le trouble vasculaire, la dégénérescence des petits vaisseaux paraissent être la cause des modifications du tissu con- j
n. Quinze ans plus tard le redressement du petit doigta cet endroit parut embarrassé. En 1902, la dépression parut plus m
u petit doigta cet endroit parut embarrassé. En 1902, la dépression parut plus marquée, les mouvements furent plus limité
gressa surtout pendant ces trois dernières années. Deux gonflements parurent , l'un à l'articulation phalango-phalangienne, l'a
s suivants : les appa- reils circulatoire, respiratoire et digestif paraissent ne présenter aucun trouble. Les urines ne conti
des. Les muscles des membres inférieurs sont atrophiés ; l'atrophie paraît résul- ter de l'inertie même de la malade. Le
t le tissu cellulaire sous-cutané sont distendus par un liquide qui paraît être entraîné dans les parties les plus déclive
. cit. INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHALGIE 287 Il paraît arriver très rarement que les côtes cervicales dé
e la côte cervicale ou de l'apo- phye prétendue telle, notre malade parut s'être rétablie complètement. Les douleurs et l
s méthodes que nous décrirons, en insistant sur celles qui nous ont paru le plus fidèles ; et nous nous contenterons de
sique, ou externe 1° S'il existe une lésion périphérique locale qui paraisse être la cause provocatrice de la crampe, un tra
d'appliquer d'une façon générale leurs méthodes spéciales ; il nous paraît plus logique de n appliquer ces thérapeutiques lo
ampe des ouvriers employant la pédale. La crampe des automobilistes paraît être la dernière venue. Mais en réalité toute p
des lé- sions scléreuses prédominantes de la capsule surrénale, il paraît secondaire au néoplasme de l'estomac, malgré le
se d'une embolie cérébrale, d'origine anévrysmatique. Ce diagnostic paraissait être corroboré parla coexistence d'une hémiplég
e redresse- ment du pied droit est impossible. ' Tous les muscles paraissent atrophiés. Le signe de Babinski n'existe pas. L
'infection rétrocède, les troubles névritiques s'amendent puis dis- paraissent . Dans ces conditions, il devient impossible de
septembre. La malade est dans un état de prostration profonde. Elle paraît indifférente à tout ce qui l'entoure et ne peut d
inférieurs les nerfs crural et sciatique ainsi que leurs bran- ches paraissaient légèrement diminués de volume. Ces nerfs ne pré
Les segments cervicaux, dorsaux et les premiers segments lombaires paraissaient absolument normaux, exception faite de quelques c
blocs de Nissl bien dis- tincts. Toutes les cellules motrices ne paraissent toutefois pas être également at- teintes par le
en nette ; lorsque l'état spumeux atteint un haut degré, la cellule paraît être frappée à mort (fig. I, il) ; dans ce cas la
pée à mort (fig. I, il) ; dans ce cas la structure fibrillaire dis. paraît complètement ; et les prolongements cellulaires s
° Racines antérieures et postérieures. - A première vue les racines paraissent complètement normales. A un examen plus minutieux
s de faits ontprobablement existé et ont surajouté leurs effets. Il paraît d'ailleurs certain que les théories de Saenger
traux. La névrite parenchymateuse limitée aux cellules à myéline paraît être assez rare : elle se manifeste tout partic
voisinage immédiat des lésions inflammatoires, dont la présence ne paraît même pas nécessaire pour leur production, certa
tre pratiquée quelques heures après lamort. Les principaux viscères paraissent absolument sains, à part une congestion récente
oma- lacie récente, datant au plus de quelques semaines. Les tissus paraissent nécrosés,le plus grand nombre des fibres nerveu
upe actuellement. Certes le trouble circulatoire existe, mais il ne paraît pas suffisant pour expliquer à lui seul les lésio
el que nous le présentent ces travaux et un grand nom- bre d'autres parus dans divers pays ? C'est ce que nous essayerons d
exactement la pression sous laquelle le liquide se trouve. Il nous paraît que c'est en Allemagne une méthode généralement
moelle étudiés par l'observation clinique et anato- mique où il me paraissait probable, étant donné la nature de la maladie,
douteuse pour les cas XXVII et XXIX. L'histoiredu cas XXVIII nous a paru parler, lors de l'entrée à la clinique, aussi hie
esseur Gil- bert Ballet et dans lequel les lésions musculaires nous paraissent parti- culièrement remarquables. Observation.
où survenaient les accidents que nous venons de décrire, la malade paraissait à son entourage à peu près normale et elle pouvai
demander ce qui lui est indispensable. Quand nous l'examinons, elle paraît demeurer indifférente à ce qui se passe autour d'
ui est unie aux organes voisins par du tissu cellulaire lâche et ne paraît exercer aucune compression. Son poids est de 36
int. Le coeur est petit, contracté en systole ; les cavités droites paraissent un peu dilatées ; elles ne contiennent que du s
aires de nerfs crâniens. Les cellules de tous ces noyaux nous ont paru absolument normales, tant en ce qui concerne le
Légère sclérose inter-fasci- culaire. La graisse interstitielle ne paraît pas augmentée. Sur les coupes colorées à l'héma
ille sous-mamelonnaire mesure 0 m. 93. La circonférence des membres paraît partout normale. Les mains sont volumineuses, p
t exercer sa profession de serrurier, dit y être assez habile et ne paraît pas faire seulement l'ajustage des pièces. Il e
e la puberté les caractères sexuels secondaires se ma- nifestèrent, paraît -il ( ? ), normalement, mais notre patient n'avait
de famille, la syphilis. Après la publication des cas de Bechterew, paraissent les observations de Strümpell et de Marie, dans
se tenait courbé ; les muscles du cou ainsi que ceux de l'omoplate paraissaient atrophiés ; il n'en était pas de même pour le m
ême temps qu'une gêne dans les mouvements de la colonne vertébrale, parurent des douleurs dans cette région. L'année dernièr
forme demi-circulaire, sont plates et, confondues toutes ensemble, paraissent constituer un seul os. Région dorsale. La premi
nt atrophiées, diminuées de volume, aplaties laté- ralement ; elles paraissent triangulaires et forment une scoliose. Quant à
le, les fentes intervertébrales n'existent plus ici ; les vertèbres paraissent devant plus ou moins polies et forment latéraleme
avec les vertèbres). La direction des côtes est irrégulière ; elles paraissent incurvées et comme tordues autour de leur axe.
ndis que les épines transversales de toutes les autres vertèbres ne paraissent former qu'un seul os. Il faut donc se demander,
res et des articulations, que « les articulations coslo-vertébrales paraissent normales ». Ces auteurs n'ont pas trouvé d'exos
vertébrale, im- possible à délimiter d'une façon précise, mais qui paraît certainement être deux fois plus grosse que le
t il souffre également et qui néanmoins, il un examen ordinaire, ne paraîtraient pas avoir eux-mêmes une très grande importance,
avant de l'articulation tibio-tarsienne. Cette néoformation osseuse paraît , dans son ensemble, être grosse comme la moitié
imètres. A cause de cela la bosse frontale et tout le frontal droit paraissent beaucoup plus saillants. Les tissus voisins ne so
es et incurvées. Presque tous les os du tronc, y compris les côtes, paraissent augmentés de volume à la palpation ; les mains
ssin, les mem- bres supérieurs qui, vu l'abaissement de la slature, paraissent d'une longueur disproportionnée, la courbure en
ndue considérable. D'autre part, l'histoire de notre malade ne nous paraît pas dénuée d'intérêt au point de vue clinique.
race de sen- timents affectifs. Il n'est pas négativiste. B... ne paraît avoir ni idées délirantes ni troubles sensoriels.
d'une façon normale. J'ai déjà insisté sur ce fait dans un travail paru en suédois (80). 1° La première fois que je l'a
fections. Bibliographie La bibliographie est limitée aux mémoires parus après la publication de la monographie de MM. L
« non encore éprouvés». Le nombre des femmes tatouées augmenterait, paraît -il, rapidement dans cette société spéciale. Que
ui mériter le nom d'atrophie olivo-rzsbro-céré- belleuse. Il nous a paru intéressant de montrer quelle place elle doit occ
altérations macroscopiques appréciables, et les méninges cérébrales paraissent saines. Les vaisseaux de la base de l'encéphale
moitié gauche de la protubérance. Les nerfs optiques et le chiasma paraissent intacts macroscopiquement. Les hémisphères cé
age assez dense. Noyaux centraux. Les noyaux du toit à l'oeil nu ne paraissent pas sen- siblement atrophiés ; ils sont égaux e
lement décelable. 608 LEJONNE ET LHERMITTE Les fibres blanches ne paraissent pas très altérées ; il semble que par endroits
- dante en noyaux. Noyaux dentelés accessoires. Les deux bouchons paraissent avoir leurs dimensions normales; les cellules n
x du toit ; il y a peu de réaction névroglique. - Globules. - Ils paraissent également normaux tant au point de vue des cell
E OLEUSE 609 par le Van Gieson. Au niveau du foyer les vaisseaux ne paraissent pas malades. Les fibres du noyau dentelé semb
fibres bien colorées, mais peu nombreuses ; beaucoup de ces fibres paraissent normales, plusieurs sont qioiiilifortiies ; dans
aire. Les pédoncules cérébelleux supérieurs, toujours très réduits, paraissent cependant posséder plus de libres que dans les
tourées de noyaux névrogliques abondantes ; d'ailleurs la névroglie paraît légèrement proliférée. On n'observe toujours pa
erve toujours pas de lésions vasculaires. La capsule du noyau rouge paraît à peu près normale du côté droit ; du côté gauche
nes coupes, particulièrement dans la région supérieure, l'olive ap- paraît comme une masse arrondie, décolorée, dans laquell
interne du pédoncule cérébelleux inférieur (corps juxta-restiforme) paraît intacte; les fibres semi-circulaires internes son
c celles des pédoncules inférieurs. Radiations de la calotte. Elles paraissent tout à fait normales ; il n'y a aucune différen
e paroi un peu épaissie. Jamais en tous cas le tissu environnant ne paraît réagir. Syndrome de Weber. Foyer d'origine. Nou
nous occupe. L'atrophie olivo-rubro-cérébelleuse au contraire nous paraît mériter une étude plus approfondie. Nous avons
gine interstitielle ou vasculaire. Ces deux classifications ne nous paraissent point suffisamment compré- hensives ; de plus e
trop sommaire. La classification de MM. Dejerine et Thomas ne nous paraît pas- tenir un compte suffisant de la genèse des
opique. Le bulbe et la protubérance examinés par leur face ventrale paraissaient considérablement augmentés de volume, au point
es par le développement interstitiel d'un néoplasme. La tuméfaction paraissait beaucoup plus intense dans la moitié bulbo-prot
son aspect macroscopique seul permettait d'identifier à un gliome, paraissait gonfler le bulbe et la protu- bérance sans parv
ques des différentes étapes de l'évolution clinique de ce cas. Il paraît certain que le début du processus gliomateux se f
nt le tissu graisseux et les organes génitaux. Ces malades nous ont paru intéressants précisément à cause de ces dystro-
encontre chez des enfants, n'offrent pas de grandes altérations. Il paraît plutôt présenter un arrêt de développement. L
ficilement examinée à cause de l'état men- tal de la malade. La vue paraît être normale, de même que l'ouïe, la malade rép
qui a joué le premier rôle dans la production de la dystrophie. Il paraît plus probable que le trouble produit dans la st
et, petit à petit, atteint un grand nombre de muscles, de manière à paraître comme une atrophie musculaire généralisée, ordi
agirait de maladies d'une nature identique. Dans un autre travail paru quelques années plus tard (1891), Strüm- pell m
i travaillé et si intéressant sur les 1VIICROAfÉf.IES congénitales, paru il y a quelques années dans ceRecueil (1), MM.
sont rac- courcis. Dans tout le reste de son organisation, le sujet paraît absolument nor- mal ; la tête, le cou, le tronc
ni de la nature du processus (1). (1) Dans une note tout^récemment parue (Bulletins de la Société anatomique, juil- let
'on examine le fonctionnement des idées ou celui des organes, il me paraît ressortir de cette étude que tout se fait par v
eux qui ressortissent ultérieurement au domaine de la conscience et paraissent volontaires, se rencontrent déjà en partie à la
Après cette découverte dont l'authenticité n'est plus con- testée, paraît -il, il faut reconnaître que l'importance du réfle
'étonne ni ne surprend. Le Professeur E. BRISSAUD Au moment où va paraître le dernier fascicule de la Nouvelle Iconographi
74 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
il n'y a aucun danger et le rassurer d'une façon absolue. S'il laisse paraître la moindre appréhension, ne pas insister et atten
ête et vous a attrapée sur le nez. Vous vous rappelez bien ! » — Elle paraît d'abord un peu étonnée. Je répète la chose une se
moignage vrai et le témoignage faussé par la suggestion : 1° Il m'a paru que les témoins ou accusateurs faussés comme il v
professeur a l'université de liège L'étude dont l'indique le litre paraîtra prochainement dans les Bulletins de l'Académie ro
alors piquer avec une épingle le bras de la malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés
eux profonds soupirs et quelques 'mouvements, Mme B... se réveilla et parut étonnée de voir tant de monde dans sa chambre. El
embrasser ses enfants. Il y eut alors un temps de silence ; Mme B... paraissait indécise, regardait son mari, puis les assistants
l pendant laquelle je renouvelai énergiquement les suggestions qui me parurent opportunes. Depuis cette époque, près de deux a
. A peine étendu, M. D... poussa un profond soupir, ferma les yeux et parut s'endormir. Je procédai alors par voie de suggest
fants, puis s'écria : « Ah ! mes amis, j'ai été bien malade. » Il parut reconnaître chacun des assistants et sembla étonn
Environ une demi-heure après, je fus averti que l'excitation morbide paraissait revenir et qu'il semblait voir des objets imagina
e recommençai, mais sans l'endormir, les suggestions précédentes : il parut écouter avec intérêt les détails concernant la cr
, il reprit la conversation, s'informant de quelques livres récemment parus et de quelques faits musicaux, et pendant près de
rui, puisque des expériences comme celles que je viens de rappeler ne paraissent pas décisives; et enfin, en montrant la grosseur
le souffre trop, qu'il faut l'accoucher avec les fers ! Elle nous a paru , à partir de ce moment, souffrir autant que toute
e se frotte les paupières, les ouvre, s'étonne qu'il fasse déjà jour, paraît surprise qu'on soit près d'elle à une heure si ma
us n'avons plus eu d'action sur elle, et dès lors les souffrances ont paru , d'après son attitude, ses cris, ses gestes. ses
ui lui donna le premier éveil de son accouchement. Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la p
Par M. le Docteur Auguste VOISIN medecin de la SALPÊTRIÈRE I! m'a paru intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
ains prolongés avec ou sans affusions froides sur la tête ont surtout paru utiles dans les cas où il y avait de l'insomnie e
e portée à deux ou même trois années. La gravité de la dipsomanie a paru tellement grande aux médecins de l'Angleterre et
demande a présenter quelques observations. Un des arguments qui me paraît le plus favorable à cette prétendue nécessite de
édecine, chirurgien de Lourciae. » II est en effet fréquent de voir paraître dans la presse des nouvelles ayant trait à certai
r M. Paul COPIN Dans un remarquable ouvrage de Sociologie récemment paru (1). le docteur Bordier, étudiant les causes mult
fonctions de la vue et de leurs anomalies, dont la seconde édition a paru en 1878;— enfin, un gros volume de près de mille
un gros volume de près de mille paces sur la vision et ses anomalies, paru en A un moment donné, il s'était beaucoup occup
n moment donné, il s'était beaucoup occupé d'hypnotisme et avait fait paraître , en collaboration avec Demarquoy, des pages intér
allant jusqu'à un état de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine paraît avoir une action stupéfiante plus intense. Présen
ourru et Burot. dans le livre si intéressant qu'ils viennent de faire paraître (1 vol. in-12 de la Bibliothèque scientifique int
ordonner les mouvements des doigts, mais la sensibilité de la peau ne paraissait pas modifiée ; ces phénomènes disparurent peu i p
onditions fréquentes dans l'hystérie, l'hypnotisme, le somnambulisme, paraissent les meilleures pour exalter et mettre en évidence
massage dans le traitement des lombagos, mais ce n'est qu'en 1868 que parut la thèse d'Estradère, magnifique travail d'ensemb
revue. M. Forel a publié des cas dans un excellent article qui a paru le 15 août 1887 (1). Le savant professeur de Zuri
, prés de trente jours après, car elle eut une rechute. La guérîson a paru , depuis lors, définitive: voila plus d'une année,
is; c'est plutôt une véritable impulsion. L'hérédité et l'imitation paraissent être les deux principaux facteurs de cette névros
oindrir l'excitation réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a paru le moyen le plus sûr pour arriver à ce résultat,
ain sur ses parties. Celte enfant est très forte pour son âge, elle paraît avoir quinze ans ; ses membres, son ventre présen
5 août 1887.— La guérison est complète. La lenteur des résultats m'a paru tenir à ce que l'enfant n'était pas plongée dans
la pensée du malade sur l'idée qu'il lui suggère. En résume, il m'a paru intéressant de présenter à l'Association cette no
l a publié sur la gymnastique es certainement le plus complet qui ait paru sur cette matière. Mais il semble que dans le rec
réveil seulement, il lui demanda ce qu'elle éprouvait. La suggestion paraissait devoir être exclue. M. Focachon conservait cepend
e correspondait à l'action réelle du médicament. La question nous a paru jugée, pour ce qui concerne l'action médicamenteu
on de satisfaire sa passion fatale. La séquestration dans un-asile me paraît ici absolument nécessaire. La suggestion ne pourr
eants et confirment pleinement les leurs. La suggestion hypnotique me paraît donc un moyen éprouvé pour lutter contre le vice
e de l'Hypnotisme (juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque, parue depuis notre première communication, il déclare q
estion hypnotique, nous devons ajouter, quelque paradoxale que puisse paraître notre opinion, que ce traitement trouve aussi son
nt croire qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on n'a pas vu paraître de phlyetènes. M. Voisin a obtenu un résultat p
ion supprimée. M. Beaunis a vu que l'on peut, par suggestion, faire paraître une hyperémie limitée en un point. J'ai pu vérifi
pas dans la critique des diverses interprétations proposées. Elles me paraissent insuffisantes. Je veux seulement répéter que l'hy
en essayer l'action. Ce n'est qu'en répétant les expériences qui nous paraissent difficiles à admettre que nous jugerons de leur c
s'est d'abord servi d'alcool, le flacon étant débouché, — ce qui m'a paru incorrect, les émanations pouvant prévenir la per
généralement lorsque le sujet cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru concluant. Il ne saurait être question d'ivresse
enticité des faits énoncés. L'émotion du public extra-médical ne me paraît guère justifiée jusqu'à nouvel ordre; il y a d'ai
« Quand elle était jeune fille, » me dit une de ses cousines, il n'y paraissait pas trop, mais elle était » drôle (sic). » Ce qu'
articularités de mes fonctions cé-» rébrales. Etre utile m'a toujours paru le but le plus beau de la vie; je » désire être u
Des hommes très éclairés et très honorables ont observé des faits qui paraissent concluants. Le docteur Giben, du Havre, M. Pier
ar le même souci. Ses caractères ne sont qu'ébauchés, ses personnages paraissent à peine jetés; mais ils font partie du monde réel
entes expériences relatives a l'action des médicaments à distance. 11 paraît que M. Constantin Paul s'était trop hâté d'interp
r d'écouter. M. C Paul ht venir dans son cabinet une femme qu'il me parut alors connaître ton peu, sortie je ne sais d'où,
ait on mène grand tapage! Pour tout critique sérieux et impartial, il paraîtra dénué de toute signification. Je regrette. Mons
es coups légers d'abord, puis plus violents, ainsi que les grattages, paraissaient être produits contre le panneau de bois du lit qu
leux et les plus faits pour déconcerter la raison? Si les accidents paraissent exciter !a curiosité, ils s'accentuent et l'on as
approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l'état normal, mais elle paraissait tout à fait hébétée et ne pouvait coudre. Cependa
salon, puisque vous m'appeliez. » Cette expérience est celle qui me paraît avoir le plus de valeur. Elle m'a donné cette imp
eût certes été très intéressant de réussir dans ces conditions qui me paraissaient excellentes; car assurément nulle expectant atten
istance . Le hasard est une hypothèse très simple : mais elle ne me paraît pas acceptable, car il faudrait admettre une séri
c assez de soin par M. Gibert, par M. Janet et par moi, pour qu'il me paraisse au plus haut degré absurde de supposer qu'elle a
tte conclusion que, si mes expériences sont mauvaises, et elles ne me paraissent ni irréprochables ni tout à (ait mauvaises, c'est
ferions, sous une appellation générique. Ce que nous allons dire va paraître un peu paradoxal, mais nous semble assez juste :
de les suivre: du côté du bulbe, leur terminaison est moins nette et paraît varier suivant les sujets: sur les uns, ces faisc
rande frayeur à la vue d'un incendie. C'est à la suite de cette peur, paraît -il, qu'elle devint somnambule. Elle se souvient t
gle. Je la réveillai par suggestion, mais non sans difficulté. Elle paraissait égarée à l'instant du réveil, elle avait peur et
étention scientifique. Le secret des expériences du Belge Donato, qui paraissent si merveilleuses aux yeux d'une portion du public
'encéphale, une sensation de fatigue, du vertige, des nausées; les os paraissent se briser; le cœur bat en dehors du rythme normal
les mêmes que ceux des autres individus, seulement ils sont creux et paraissent vides. Les Circassiens considèrent aussi une cert
oader, vous avez dû être hypnotisé. — Aussi étrange que cela puisse paraître , c'est la seule explication de ce vol étonnant, r
u les premiers numéros d'un nouveau journal médical et littéraire qui paraît à Madrid sous le titre: La Hipnoterapia. Le direc
rmes vagues, par exemple, qu'il n'est pas naturel. Cest bien là. me paraît -il, cette condition seconde si curieuse, décrite
la condition normale. Quant à cette dernière identification, elle me paraît aujourd'hui indiscutable. Il y aurait peut-être
s nécessaires. Cependant, ni ce jour-là, ni les suivants, l'amant n'a paru , et voilà la femme complètement abandonnée. Jeann
au succès de l'hypnotisme comme anesthésique. » 7° L'hypnotisme ne paraît pas avoir d'influence nette sur la marche du trav
s phénomènes observés, quel que fût le tube dont on se servir, ce qui paraît résulter de la symptomatologie très limitée provo
erture des plis cachetés. Elle constata alors qu'aucune relation ne paraissait exister entre les symptômes manifestés et le tube
par des médicaments placés a distance chez des sujets hypnotisables, paraissaient dépendre plus des caprices de la fantaisie et du
t prodigieuse. Depuis cette époque, excepté pendant un mois, il avait paru chaque jour et chaque soir, devant un public nomb
ent des sciences (session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment où paraîtront ces lignes, le Congrès d'Oran sera en pleine acti
e de suicide. Son mari est venu plusieurs fois la voir et ses visites paraissent lui être très pénibles, d'autant que deux fois il
ement depuis cette époque et présenter quelques considérations qui me paraissent nouvelles. C'est la première fois que cette malad
oindre étendue. Enfin, en Amérique, le professeur Ladd vient de faire paraître un volumineux traité qui, malgré des tendances mé
ent. Cette analyse, que je ne puis qu'indiquer très grossièrement, me paraît bien l'oeuvre propre de notre pays. Je ne vois du
ui se prête â des perversions plus étranges, même cher les sujets qui paraissent sous tous les autres points de vue avoir conservé
édacteur en chef (1). Vous avez appris que je prépare un livre, qui paraîtra le mois prochain, chez M. Octave Doin, éditeur à
a plupart, confirmé les vues de l'Ecole de Nancy, qui avaient d'abord paru si aventurées et si hardies. En présence du nom
i les endormirent tous deux. J'ajouterai ici une observation qui me paraît avoir une certaine importance. Il m'a semblé dé
dans le seul but de les montrer au public comme des animaux. 11 m'a paru intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
tenons encore bien ceci qui est capital. En le supposant empêché de paraître devant le public, l'hypnotisme ne cessera pas de
our interdire les spectacles en question. Les autorités communales ne paraissent pas aujourd'hui suffisamment armées pour réprimer
75 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
il n'y a aucun danger et le rassurer d'une façon absolue. S'il laisse paraître la moindre appréhension, ne pas insister et atten
ête et vous a attrapée sur le nez. Vous vous rappelez bien ! » — Elle paraît d'abord un peu étonnée. Je répète la chose une se
moignage vrai et le témoignage faussé par la suggestion : 1° Il m'a paru que les témoins ou accusateurs faussés comme il v
professeur a l'université de liège L'étude dont l'indique le litre paraîtra prochainement dans les Bulletins de l'Académie ro
alors piquer avec une épingle le bras de la malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés
eux profonds soupirs et quelques 'mouvements, Mme B... se réveilla et parut étonnée de voir tant de monde dans sa chambre. El
embrasser ses enfants. Il y eut alors un temps de silence ; Mme B... paraissait indécise, regardait son mari, puis les assistants
l pendant laquelle je renouvelai énergiquement les suggestions qui me parurent opportunes. Depuis cette époque, près de deux a
. A peine étendu, M. D... poussa un profond soupir, ferma les yeux et parut s'endormir. Je procédai alors par voie de suggest
fants, puis s'écria : « Ah ! mes amis, j'ai été bien malade. » Il parut reconnaître chacun des assistants et sembla étonn
Environ une demi-heure après, je fus averti que l'excitation morbide paraissait revenir et qu'il semblait voir des objets imagina
e recommençai, mais sans l'endormir, les suggestions précédentes : il parut écouter avec intérêt les détails concernant la cr
, il reprit la conversation, s'informant de quelques livres récemment parus et de quelques faits musicaux, et pendant près de
rui, puisque des expériences comme celles que je viens de rappeler ne paraissent pas décisives; et enfin, en montrant la grosseur
le souffre trop, qu'il faut l'accoucher avec les fers ! Elle nous a paru , à partir de ce moment, souffrir autant que toute
e se frotte les paupières, les ouvre, s'étonne qu'il fasse déjà jour, paraît surprise qu'on soit près d'elle à une heure si ma
us n'avons plus eu d'action sur elle, et dès lors les souffrances ont paru , d'après son attitude, ses cris, ses gestes. ses
ui lui donna le premier éveil de son accouchement. Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la p
Par M. le Docteur Auguste VOISIN medecin de la SALPÊTRIÈRE I! m'a paru intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
ains prolongés avec ou sans affusions froides sur la tête ont surtout paru utiles dans les cas où il y avait de l'insomnie e
e portée à deux ou même trois années. La gravité de la dipsomanie a paru tellement grande aux médecins de l'Angleterre et
demande a présenter quelques observations. Un des arguments qui me paraît le plus favorable à cette prétendue nécessite de
édecine, chirurgien de Lourciae. » II est en effet fréquent de voir paraître dans la presse des nouvelles ayant trait à certai
r M. Paul COPIN Dans un remarquable ouvrage de Sociologie récemment paru (1). le docteur Bordier, étudiant les causes mult
fonctions de la vue et de leurs anomalies, dont la seconde édition a paru en 1878;— enfin, un gros volume de près de mille
un gros volume de près de mille paces sur la vision et ses anomalies, paru en A un moment donné, il s'était beaucoup occup
n moment donné, il s'était beaucoup occupé d'hypnotisme et avait fait paraître , en collaboration avec Demarquoy, des pages intér
allant jusqu'à un état de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine paraît avoir une action stupéfiante plus intense. Présen
ourru et Burot. dans le livre si intéressant qu'ils viennent de faire paraître (1 vol. in-12 de la Bibliothèque scientifique int
ordonner les mouvements des doigts, mais la sensibilité de la peau ne paraissait pas modifiée ; ces phénomènes disparurent peu i p
onditions fréquentes dans l'hystérie, l'hypnotisme, le somnambulisme, paraissent les meilleures pour exalter et mettre en évidence
massage dans le traitement des lombagos, mais ce n'est qu'en 1868 que parut la thèse d'Estradère, magnifique travail d'ensemb
revue. M. Forel a publié des cas dans un excellent article qui a paru le 15 août 1887 (1). Le savant professeur de Zuri
, prés de trente jours après, car elle eut une rechute. La guérîson a paru , depuis lors, définitive: voila plus d'une année,
is; c'est plutôt une véritable impulsion. L'hérédité et l'imitation paraissent être les deux principaux facteurs de cette névros
oindrir l'excitation réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a paru le moyen le plus sûr pour arriver à ce résultat,
ain sur ses parties. Celte enfant est très forte pour son âge, elle paraît avoir quinze ans ; ses membres, son ventre présen
5 août 1887.— La guérison est complète. La lenteur des résultats m'a paru tenir à ce que l'enfant n'était pas plongée dans
la pensée du malade sur l'idée qu'il lui suggère. En résume, il m'a paru intéressant de présenter à l'Association cette no
l a publié sur la gymnastique es certainement le plus complet qui ait paru sur cette matière. Mais il semble que dans le rec
réveil seulement, il lui demanda ce qu'elle éprouvait. La suggestion paraissait devoir être exclue. M. Focachon conservait cepend
e correspondait à l'action réelle du médicament. La question nous a paru jugée, pour ce qui concerne l'action médicamenteu
on de satisfaire sa passion fatale. La séquestration dans un-asile me paraît ici absolument nécessaire. La suggestion ne pourr
eants et confirment pleinement les leurs. La suggestion hypnotique me paraît donc un moyen éprouvé pour lutter contre le vice
e de l'Hypnotisme (juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque, parue depuis notre première communication, il déclare q
estion hypnotique, nous devons ajouter, quelque paradoxale que puisse paraître notre opinion, que ce traitement trouve aussi son
nt croire qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on n'a pas vu paraître de phlyetènes. M. Voisin a obtenu un résultat p
ion supprimée. M. Beaunis a vu que l'on peut, par suggestion, faire paraître une hyperémie limitée en un point. J'ai pu vérifi
pas dans la critique des diverses interprétations proposées. Elles me paraissent insuffisantes. Je veux seulement répéter que l'hy
en essayer l'action. Ce n'est qu'en répétant les expériences qui nous paraissent difficiles à admettre que nous jugerons de leur c
s'est d'abord servi d'alcool, le flacon étant débouché, — ce qui m'a paru incorrect, les émanations pouvant prévenir la per
généralement lorsque le sujet cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru concluant. Il ne saurait être question d'ivresse
enticité des faits énoncés. L'émotion du public extra-médical ne me paraît guère justifiée jusqu'à nouvel ordre; il y a d'ai
« Quand elle était jeune fille, » me dit une de ses cousines, il n'y paraissait pas trop, mais elle était » drôle (sic). » Ce qu'
articularités de mes fonctions cé-» rébrales. Etre utile m'a toujours paru le but le plus beau de la vie; je » désire être u
Des hommes très éclairés et très honorables ont observé des faits qui paraissent concluants. Le docteur Giben, du Havre, M. Pier
ar le même souci. Ses caractères ne sont qu'ébauchés, ses personnages paraissent à peine jetés; mais ils font partie du monde réel
entes expériences relatives a l'action des médicaments à distance. 11 paraît que M. Constantin Paul s'était trop hâté d'interp
r d'écouter. M. C Paul ht venir dans son cabinet une femme qu'il me parut alors connaître ton peu, sortie je ne sais d'où,
ait on mène grand tapage! Pour tout critique sérieux et impartial, il paraîtra dénué de toute signification. Je regrette. Mons
es coups légers d'abord, puis plus violents, ainsi que les grattages, paraissaient être produits contre le panneau de bois du lit qu
leux et les plus faits pour déconcerter la raison? Si les accidents paraissent exciter !a curiosité, ils s'accentuent et l'on as
approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l'état normal, mais elle paraissait tout à fait hébétée et ne pouvait coudre. Cependa
salon, puisque vous m'appeliez. » Cette expérience est celle qui me paraît avoir le plus de valeur. Elle m'a donné cette imp
eût certes été très intéressant de réussir dans ces conditions qui me paraissaient excellentes; car assurément nulle expectant atten
istance . Le hasard est une hypothèse très simple : mais elle ne me paraît pas acceptable, car il faudrait admettre une séri
c assez de soin par M. Gibert, par M. Janet et par moi, pour qu'il me paraisse au plus haut degré absurde de supposer qu'elle a
tte conclusion que, si mes expériences sont mauvaises, et elles ne me paraissent ni irréprochables ni tout à (ait mauvaises, c'est
ferions, sous une appellation générique. Ce que nous allons dire va paraître un peu paradoxal, mais nous semble assez juste :
de les suivre: du côté du bulbe, leur terminaison est moins nette et paraît varier suivant les sujets: sur les uns, ces faisc
rande frayeur à la vue d'un incendie. C'est à la suite de cette peur, paraît -il, qu'elle devint somnambule. Elle se souvient t
gle. Je la réveillai par suggestion, mais non sans difficulté. Elle paraissait égarée à l'instant du réveil, elle avait peur et
étention scientifique. Le secret des expériences du Belge Donato, qui paraissent si merveilleuses aux yeux d'une portion du public
'encéphale, une sensation de fatigue, du vertige, des nausées; les os paraissent se briser; le cœur bat en dehors du rythme normal
les mêmes que ceux des autres individus, seulement ils sont creux et paraissent vides. Les Circassiens considèrent aussi une cert
oader, vous avez dû être hypnotisé. — Aussi étrange que cela puisse paraître , c'est la seule explication de ce vol étonnant, r
u les premiers numéros d'un nouveau journal médical et littéraire qui paraît à Madrid sous le titre: La Hipnoterapia. Le direc
rmes vagues, par exemple, qu'il n'est pas naturel. Cest bien là. me paraît -il, cette condition seconde si curieuse, décrite
la condition normale. Quant à cette dernière identification, elle me paraît aujourd'hui indiscutable. Il y aurait peut-être
s nécessaires. Cependant, ni ce jour-là, ni les suivants, l'amant n'a paru , et voilà la femme complètement abandonnée. Jeann
au succès de l'hypnotisme comme anesthésique. » 7° L'hypnotisme ne paraît pas avoir d'influence nette sur la marche du trav
s phénomènes observés, quel que fût le tube dont on se servir, ce qui paraît résulter de la symptomatologie très limitée provo
erture des plis cachetés. Elle constata alors qu'aucune relation ne paraissait exister entre les symptômes manifestés et le tube
par des médicaments placés a distance chez des sujets hypnotisables, paraissaient dépendre plus des caprices de la fantaisie et du
t prodigieuse. Depuis cette époque, excepté pendant un mois, il avait paru chaque jour et chaque soir, devant un public nomb
ent des sciences (session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment où paraîtront ces lignes, le Congrès d'Oran sera en pleine acti
e de suicide. Son mari est venu plusieurs fois la voir et ses visites paraissent lui être très pénibles, d'autant que deux fois il
ement depuis cette époque et présenter quelques considérations qui me paraissent nouvelles. C'est la première fois que cette malad
oindre étendue. Enfin, en Amérique, le professeur Ladd vient de faire paraître un volumineux traité qui, malgré des tendances mé
ent. Cette analyse, que je ne puis qu'indiquer très grossièrement, me paraît bien l'oeuvre propre de notre pays. Je ne vois du
ui se prête â des perversions plus étranges, même cher les sujets qui paraissent sous tous les autres points de vue avoir conservé
édacteur en chef (1). Vous avez appris que je prépare un livre, qui paraîtra le mois prochain, chez M. Octave Doin, éditeur à
a plupart, confirmé les vues de l'Ecole de Nancy, qui avaient d'abord paru si aventurées et si hardies. En présence du nom
i les endormirent tous deux. J'ajouterai ici une observation qui me paraît avoir une certaine importance. Il m'a semblé dé
dans le seul but de les montrer au public comme des animaux. 11 m'a paru intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
tenons encore bien ceci qui est capital. En le supposant empêché de paraître devant le public, l'hypnotisme ne cessera pas de
our interdire les spectacles en question. Les autorités communales ne paraissent pas aujourd'hui suffisamment armées pour réprimer
76 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans les deux dictionnaires de médecine, ensuite du mémoire que fit paraître à la même époque Jules Faire ! sur la folie cir
des maladies mentales, complètement différente de celle qui avait paru dans les éditions précédentes. Je vous ai déjà
12 CLINIQUE MENTALE santé au premier abord ; cependant, elle nous paraît trop absolue et parlant inadmissible ». Pour
e peut révéler des lé- sions alors que toute le reste de l'économie paraît intact. Parfois, au contraire, la cellule céréb
nnements accompagnés ou non de troubles mentaux appréciables. 11 ne paraît pas possible, ac- tuellement, de classer tous c
au) correspondant il une lésion cellulaire ré- parallle, qui leur a paru liée, d'une parla a l'état cuto-toxiqne ré- ARC
ns des réflexes palellaires. Le diagnostic de paralysie générale ne paraît pas douteux pour l'auteur, bien qu'il ne fasse
- mènes qui la déterminent, les tendances. La tendance directrice paraît à Masselon intacte ou à peu près chez les mélanco
iques se ramène à un trouble d'évo- cation des idées. Ce trouble ne paraît pas toujours, comme pré- tend Schule, la conséq
es 58 VARIA. du foie). De sorte que la conception de 31. Jonroy paraît la plus réelle : la mélancolie affective ou ess
nt relativement assez rares. Celui que nous rappor- tons ici nous a paru digne d'être publié malgré l'absence d'examen m
e. Le noyau rouge droit est difficile à distinguer il l'oeil nu, et paraît , en fout cas, 1-11(tAGI;NÉSII's CÉRÉBELLEUSE.
a- phiques avec la région de l'insula. L'hypothèse la plus simple paraît donc être celle qui est indiquée par la notatio
a-marginal) et l'opercule pariétal. Mais, dans cette hypothèse, qui paraît pourtant la plus plausible, le pli courbe ne pr
es du trijumeau droit et de l'acoustique gauche ; la protu- bérance paraissait extraordinairement réduite dans ses dimen- ,
me ner- veux basée sur l'unité même de ce système nerveux. Il m'a paru utile d'affirmer et de développer cette pensée,
n discours l'honneur que vous lui avez fait en le désignant, il m'a paru bon d'essayer de démontrer une fois de plus dev
en lésions scléreuses des vaisseaux. Ces trois sortes de lésions ne paraissent pas, en général, dépendre l'une de l'autre, mai
D'une façon générale, la substance blanche de chaque circonvolution paraît beaucoup plus diminuée que la substance grise.
dilatations périvascu- laires (état criblé ou dilatations isolées) paraissent tenir au retrait du parenchyme cérébral atrophi
pigmentaires qui ont été décrites sous le nom de « pigment jaune » paraissent dériver l'une de l'autre et représenter les pha
ibres tangentielles de Tuczek : cette dernière lésion est celle qui paraît avoir été surtout constatée dans les démences,
ion de corps granuleux. Des corps amyloïdes sont assez fréquents et paraissent résulter de la segmentation de cylindraxes vari
myéliniques explique pour- quoi l'atrophie de la substance blanche paraît beaucoup plus considérable que celle de la subs
à la sclérose des petites artères. 4° Toutes les lésions en foyer paraissent déterminées surtout par les altérations vascula
mollissement et à'hémorrhagie cérébrale. 5° Les lésions diffuses ne paraissent , au contraire, pas être sous la dépendance dire
gie lacu- naire bilatérale. Les véritables paraplégies lacunaires paraissent rares ; elles restent généralement plus ou moin
ntégration non lacunaire ou par la cérébro-sclérose lacunaire. Elle paraît pouvoir recon- naître aussi pour cause détermin
n, il y a tou- jours eu de l'épilepsie sénile. L'épilepsie sénile paraît donc plus fréquemment sym- ptomatique que l'épi
ments ; l'irresponsabilité est évidente chez les déments, elle peut paraître douteuse ou limitée chez les simples affaiblis,
la démence simple, avec ou sans idées délirantes vagues et isolées, paraissent devoir s'expliquer par l'atrophie et la dégénér
iqués chroniques, notamment des alcooliques. Les épisodes délirants paraissent résulter d'une intoxication ou toxi-infection s
les des altérations par intoxications prolongées ; cette étude nous paraît être un argument en faveur delà théorie qui fai
cette superposition, très tentante au premier abord, ne lui a pas paru réalisable pour l'ensemble de l'étude du cerveau
as primitive et, en tous cas, il insiste sur ce fait qu'elle ne lui paraît pas être la cause constante des lacunes de dési
ication correspondante de la loi. Or, scientifiquement, la chose ne paraît pas douteuse. Quelle est actuellement la base m
ponsabilité ? La normalité des neurones psychiques. Dès lors, il me paraît impossible de se borner à classer l'humanité en
TES ET NEUROLOGISTES. part de l'hystérie et de la simulation. Il me paraît difficile de distinguer, à cet égard, le rôle r
démontré.), ce sont certainement des faits exceptionnels. Il noqs paraît donc que, sous le nom de « crise laryngée », on
1<J(> REVUE D'.\i\A1'Oj[1E ET DU PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. paraissent naître de cette façon se réduisent à une associat
élevée ; et encore est-il à observer que la dépression du malade paraît moins marquée. Dans le courant de décembre, nou
onné. - D'un autre côté, la cessation brusque de la bromura- tion paraît , ainsi que l'a remarqué Icgrand du Saule, révei
tion brusque de la prise de bromure pour enrayer cette intoxication paraît être dangereuse. Par contre, lorsque l'on se
TEMENT DE L'ÉPILEPSIE. 105 la bromuration antérieure de l'organisme paraissait nécessaire pour que l'institution d'un régime s
le bromure dans ses combinaisons albuminoïdes, le rôle capital nous paraît revenir aux phénomènes d'osmose et aux phénomèn
pas échap- per complètement à ce dernier reproche, mais il nous a paru cependant que ses éléments constitutifs étaient a
pe d'un préceptorat chez la comtesse V ? et c'est àcette époque que paraît débuter le délire plus net qui constitue le point
de ma famille, « de ma mère, de ma pauvre mère » ; ses questions me paraissent indiscrètes. « 2" A X ? dans l'intimité de la c
nt halluci- nations auditives impéralives, etc ? n'avait pas encore paru nu milieu de mes représentations. Il ne se mont
asard, lorsque le délire est déjà constitué et de même elles dis- paraissent sans déterminer l'apparition d'un état nou- vea
né a tous les droits de bâtir des conceptions déli- rantes, il nous paraît que celui qui ne l'est pas en a beaucoup moins
peut se procurer de renseignement. A partir de cette époque, ap- parurent des crises convulsives Se produisant assez irrégu
enfoncée ; mais il n'y a pas de cavité à proprement parler et il ne paraît pas y avoir perle de substance. La périphérie,
le cadre de cette affection en- core imparfaitement connue. Il m'a paru intéressant de le faire connaître pour grossir
conjonctive, etc., étaient décolorées, anémiques, chose qui dis- - paraît peu de jours après il l'aide des ferrugineux, ain
me très légèrement, leur per- met d'entreprendre un chemin qui leur paraissait impossi- ble. Enfin, le même sujet, qui semble
s d'appui qu'il est assuré de rencontrer (toujours à la même place), paraît frappé d'im- mobilité complète, lorsqu'il se tr
tout à coup dans un passage où la conservation de son équilibre lui paraîtra diffi- ficileou dangereuse, peut, si elle est u
de toutes pièces la paralysie géné- rale. Désormais la question lui paraît résolue. Au point de vue médico-légal, le traum
t affirmer que les crânes de myxoedémateux ont une transparence qui paraît en relation avec une moindre densité. Suture
'animal. La malade a eu une desquamation généralisée. La scarlatine paraît seule expliquer l'évolution morbide. La tubercu
ne, et, de plus, qu'il ne préexiste pas dans le sérum sanguin, mais paraît naître sous l'action des réactifs et par un pro
oculations du bulbe de la malade. Or, les premières expériences ont paru donner des résultats positifs.Les lapins sont m
énorme de dégénérés une affection caractérisée par un nystagmus qui paraît être congéni- tal, ou du moins que se manifeste
t et conslatant que la cécité ou la surdi-mutité est complète et ne paraît pas curable; que l'enfant a été vacciné avec su
oudraient la faire dériver. Il est expliqué dans le dernier ouvrage paru sur la question ! volume signé de deux aliénist
n autre aliéné comme lui avec le- quel il vit, car le phénomène lui paraissait bien étrange et contraire à ses observations, a
cin assistant à la clinique psychiatrique de Moscou ; son mémoire a paru en 1900. Il est partisan convaincu et enthousia
oué d'une érudition considérable,il connait à fond tous les travaux parus non seulement dans son pays, mais encore àl'étr
antécédents héréditaires, tandis que chez les autres, la généalogie paraît absolument irréprocha- ble au point de vue de l
aux lourdes tares vésaniques, dont elles étaient frappées. La mère paraissait absolument normale, bien douée en tous les poin
. Dans le second cas, au contraire, les doses plus grosses de brome paraissent t avoir une influence modératrice sur la percep
tié de la recherche, est encore plus petit que dans la première. Il paraît donc que la fatigue, imminente après 20-30 minu
copié, et cela probablement parce que la fatigue des muscles à fait paraître plus petite l'opération de l'addition qu'elle n
disposition momentanée. D'après les résultats de N. I et N. III, il paraît que, pour Je sujet L, la fatigue pour les addit
s psychiques comparables : artificiellement provoqués. Or telle a paru être, de l'avis de Krmpelin, la mémorisation des
principe de la colonisation du travail pourles aliénés chro- niques paraît clairement adopté par la majorité desaliénis- t
ien peu par rapport à ce qui reste à faire. La salle à manger lui a paru jolie, le parc superbe, oui, mais sait-il que,
ui y consentiront, les malades convalescents ou amélio- rés qui lui paraîtront susceptibles de bénéficier de celte mesure. « 2
t retenir trop longtemps à l'asile les alcooliques, même lorsqu'ils paraissent guéris. C'est qu'en effet la guérison n'est qu'
ckoere nue nous devons l'envoi de celle con- férence, qui a d'abord paru dans les Archives de Psychologie de MM. Flourno
décembre 1903, - D ? était très bien ce jour là, n'avait pas bu, ne paraissait pas drôle, après avoir passé la journée comme d
et au membre inférieur droit en arrière. La sensibilité musculaire paraissait également altérée, aussi D ? ne percevait-il pa
aux. Dans la main droite, ces deux pièces successivement placées ne paraissent pas de diamètre différent au malade, mais il re
é opposé. 20 septembre. Depuis quelques jours, la céphalée a dis- paru . 5 octobre. Elle réapparut passagèrement celte
droite cet attouchement est douloureux. A gauche, l'acuité auditive paraît généralement bonne, le tic-tac d'une montre est
iste de la dyschromatopsie, le vert est vu normalement à gauche, il paraît gris à droite; le jaune paraît plus pâle à droi
vert est vu normalement à gauche, il paraît gris à droite; le jaune paraît plus pâle à droite, le rouge également, cette d
au niveau de 'l'articulation gléno-humérale dont les mouve- ments paraissaient limités. Tous les autres mouvements de l'avant-
aine de jours pour une tuberculose au premier degré, et la réaction paraît se conserver d'autant plus longtemps que les lé
omprise entre l'omoplate et la colonne; le rhomboïde et l'angulaire paraissent sous-cuta- nés ; atrophie du stemo- mastoidien.
ple, ou compliqué transiloirement ll'exci tation ou de turbulence, paraît devoir rester dans le domaine particulier de l'As
- sant mécaniquement, à l'instar d un massage excitant, il nous a paru indiqué de renoncer à la douche froide généraleme
ion avec Al. le Dr Raviart, médecin-adjoint, abondamment illustré,a paru dans l'Echo médi- cal du Nord du 17 décembre 19
ines dans le muscle légèrement alcoolisé ? Une seule explication me paraît possible, et elle est conforme aux données phys
ntres nerveux que se produit l'action excitante sur le muscle. Il paraît donc certain que la caféine ne peut être considé-
e l'inertie grandissante du muscle. Après cet exposé, qui peut-être paraîtra bien long, j'ai peu de chose à dire relativemen
ssures de Sylvius, les nerfs, les artères de la base de l'encéphale paraissent symétriques. La protubérance est petite, ainsi
e, contient un peu de liquide alimentaire. Le pancréas pèse 35 gr., paraît normal ; la rate, assez consis- tante, ne prése
disséminés dans tout l'organe ; le reste de la substance corticale paraît normale ; le rein droit pèse 85 gr., il présent
onjonctif IMJ : ÉCILLI 1 PRONONCÉE COGI ? i 1 \LE. 4 : 5 : 1 ne paraît pas épaissi ; en outre, la coupe intéresse dans s
revue générale sur la curabilité des méningites ologè- nes il leur paraît légitime de tirer cette conclusion que l'interven
l'interné. Mais il suffira que l'opportunité de la sé- questration paraisse douteuse pour que le Parquet n'hésite pas à pré
77 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s'arracher la muqueuse. Sauf la vue, qui est nulle, les autres sens paraissent normaux. L'enfant s'affaiblit de plus en plus,
s. Les nerfs optiques sont très atrophiés, gris, vitreux, durs; ils paraissent égaux. Les bandelettes optiques sont encore plu
es psychiques tantôt éphémères, tan- tôt durables, qui très souvent paraissent n'être liés à l'af- fection goitreuse que par d
s accidents dont elle souffre al1joUl'd'hui. Les troubles men- taux paraissent les' premiers en date et seraient survenus à l'oc
t dans celte région des sensations de constriction ; la respiration paraissait gênée et la phonation modifiée. De même que les
a symétrie des formesnor- males. A la palpation, la glande thyroïde paraît beaucoup plus développée à droite ; elle donne
taux (2) ; Voilà les gros arguments abusifs que les promoteurs me paraissent destinés à se voir reprocher ; il y en a d'autres
pas de personnalités. Du reste la note ministérielle ci-après, nous paraît devoir trancher la question au moins pour le mo
de l'origine vasculaire primitive de la paralysie générale qui lui paraît rendre mieux compte de la marche. du pronostic
e de brandy qu'elle avait bu à la sollicitation d'un ami. Cet homme paraissait trouver que par suite du long sacrifice qu'il s
binet des consultations médicales. Mais le médecin de ce cabinet ne parut pas partager l'enthousias- me des pèlerins. Il
e le choix de ce pre- mier aliment était plutôt contestable. Il lui parut en particulier que des pommes frites en cette o
n. Depuis la deuxième édition du Manuel bien connu de M. Ré- gis, paru en 1892, il s'est produit, en psychiatrie, dans t
pas une troisième édition du Manuel pratique des maladies mentales paru pour la première fois en 1884, mais un livre en
ibuée à la démence précoce dans le groupe des confusions. Il nous paraît inutile d'insister sur les critiques qu'il serait
le a été traitée et guérie, les hallucinations auditives ont dis- paru ; elles se sont atténuées quand la maladie a dimi
nt des complications méningitiques : la forme pseudo-tuberculeuse paraît la plus bénigne. La ponction lombaire, les bains
devient subitement pâle, chancelle sans tomber, fait quelques pas, paraît absolument étrangère à cequi l'entoure, puis s'
est très diminué au niveau de Fa. L'aspect du ce dernier hémisphère paraît , du reste, peu modifié quant à la formegénérate
ses bas que nous avions fait enle- ver pour l'examen, il a d'abord paru très mal habile et les doigts étaient raides ;
, on peut même affirmer que ce n'est pas un ouvrier ordinaire. Il paraît timide ; n'a jamais de maux de fête ; ne se plain
isses dans le cerveau ; b) de l'état criblé de DlIl'and-Ful'del qui paraît dû surtout à une rétraction -en masse du parenc
elles-ci vont l'une vers l'autre quand on approche le doigt ; elles paraissent l'('poussées parle doigt. Même chose a lieu qua
ue les électricités du même nom se repoussent ; l'électros- cope ne paraît pas chargé. Place-t-on alors les doigts sur le pl
érie, 1906, t. XXI. 10 14G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. serve, paraît -il,un cas où à la sialorrbée étaient associés tle
deux cas de démence précoce communiqués par M. Doutrebentene lui paraissent pas devoir entrer dans le même cadre. L'un lui
st moins démonstra- tif ; c'est néanmoins un enfant malingre et qui paraît souffrir. Chose étrange, la mère se préoccupe b
lle rencontrait sous sa main. La réaction terminée, la femme P ? ne paraît plus se souvenir des injures qu'elle a proférée
es annonces après le Sommaire.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Vient de paraître : L'Encéphale (Journal de psychiatrie), publié
un de ceux-ci qui occasion- nerait la sitiophobie. Il nous a plutôt paru que tous ces symptômes pouvaient se trouver réu
rme chez celte malade en stéréolypie. , Cependant celle nouveauté parut avoir lait sur Madame D ? une grande impression
s couver- tures et ne laissant dépasser que l'extrémité du chignon, paraît somnoler et rester indifférente. Quand on ouvre
is cependant, bien que sa tête soit sous ses couvertures et qu'elle paraisse dormir, elle n'eslaucunemenl in- différente à c
out soit rentré dans l'ordre'. Pendant le mois de mars 1905, elle paraît s'améliorer un peu. Ace moment elle refuse touj
river ainsi à substituer une stéréotypie à une autre. Comme elle paraissait à ce moment plus éveillée etmoins négativiste, on
es potages et des oeufs. Il nous semble que ces deux observations paraîtront au lecteur suffisamment probantes pour entraîne
symptômes sont étroitemement associés. La seconde observation nous paraît tout aussi nette : la sitiophobie s'installe ch
és par le sort, eussent continué à être suffisamment normaux pour paraître tels il leur ambiance ; mais qui. sous l'influenc
-maçons, et dans ses con- versationsil il fait tousses efforts pour paraître simplement eu qu'il est un brave homme de comme
RE DITE DE DEUX ANS. 195 rendu impossible : en effet, ce choix nous paraît d'abord enlevé désormais aux directeurs et aux
2.) Les troubles cliniques déterminés par les fumeurs cérébrales paraissent liés non a leur volume, mais bien au degré de gên
ubstance blanche que sur l'écorce, et les faisceaux d'associa- tion paraissent souffrir plus que ceux de projection. Au cas de
inal postérieur ainsi que de quel- ques libres radiculaires du 111, paraissent aux auteurs pu argu- ment probant en faveur de
physaires et par là de produire le syndrome. Mais un rôle important paraît dévolu à certaines glandes (thyroïdes, surrénal
, le système artériel cérébral montre des lésions histologiques qui paraissent être le point de départ du processus anatomique
rois cas qu'ils ont vus évoluer et où les symptô- mes délirants ont paru imprimer il. la maladie une allure parti- culiè
dans la joue un avant des masséters; dans la fosse temporale il ne paraît plus exister de tissu cellulaire ni du muscle.
OLOGIE NERVEUSE. ture de cette maladie, dont l'origine thyroïdienne paraît admise aujourd'hui sans conteste. Il rapporte s
s antécédents personnels. Il en est d'autres, au contraire, où elle paraît , par l'absence de toute lare nerveuse héréditai
e la suggestion armée ; au bout du quelques séances, ils ont dis- paru pendant la journée, mais persistent lanuit ; fina
mensuels enregistrant les progrès. Photographies et cahiers ne nous paraissent devoir laisser subsister aucun doute, même dans
à 676). Traitement \IÉDICO-l'1 ? D.1GOGIQL'E des idioties. 2j7 paru . De notables progrès sont à signaler à la classe,
rappant fortement. La compré- hensioa est pour ainsi dire nulle. Il paraît être affectueux, mais il est méchant pour les a
ui et obtenu un calme relatif; les premiers exercices scolaires ont paru l'intéresser et il s'est mis à tra- vailler ave
un chuintement prononcé. Lucien, beaucoup plus dépourvu qu'il ne le paraît , ne possédait aucune notion sco- ]dlre à son en
ait de petits exercices de grammaire, dictées, analyses, verbes; il paraît toutefois réfrac- taire au calcul; l'écriture l
s l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la mémoire a paru se développer et les pro- grès en toutes choses
de peine et de temps, car il est beaucoup plus dépourvu qu'il ne le paraît de prime-abord. 1901. La lecture devient plus c
ne d'urine, accompagnée souvent de ga fisme complet. La physionomie paraissait beaucoup plus expressive que ne le comportait l
faire appel à sa raison et réveiller les heureuses dispositions qui paraissent être à l'état latent dans son coeur; enfin comm
le obtiendra son diplôme à la fin de l'année sco- laire. Marguerite paraît très satisfaite de J;es succès, elle espère à j
on passage. Loin d'érrou- vfci un regret de ces actes brutaux, elle paraît en ressentir du contentement;' elle rit aux écl
distinctifs. 1\1, Christian, à qui on doit une synthèse des travaux parus sur la question, repousse cependant l'étiquette
l'adjonction du chirurgien 30S CLINIQUE MENTALE. au psychiatre paraît ici indispensable pour résoudre ces premiers po
épicrâne en témoignaient; mais, dates et anté- cédents vérifiés, il parut que les premières chutes rele- vaient d'excès a
t sa carrière de jo- key. Il est tombé souvent sur la tète, mais ne paraît pas avoir eu de fracture du crâne ; il ne prése
e du malade, hormis ce qu'il lui en a dit. Le début de la maladie paraît remonter à quatre ans : à la suite d'ennuis ( ?
sse, cause vraie de - l'accident). Le point culminant du problème paraîtrait donc sur- tout résider dans l'examen des dates
z loin pour que la période préparalytique l'ait pu suivre, le doute paraît permis. Dans la pratique, en revanche, le pos
eurs de sorte qu'il n'est pas rare que les extrémités su- périeures paraissent à cet égard indemnes. Dans la névrite- mulLi- p
son intrapsychologie, Tarde,quoique adversaire du darwinisme, a pu paraître sauvegarder les lois de l'évolution ; en outre,
l'idiotie et la surdi-mutité, par ILard (1). Le troisième volume, paru en 1895, intitulé : Rapport et mémoires de Bégu
ts spéciaux dont il s'agit existant dans voire département, il vous paraîtrait possi- lile d'opérer la transformation en insti
en chef des Asiles (1). Deux cas observés dans le service nous ont paru /cor- respondre à des troubles mentaux développé
à un traumatisme accidentel datant de deux ans environ. L'amnésie paraît persistante et définitive ; dilatation pupil- l
où, après les symptômes immédiats plus ou moins graves, le blessé paraîtra revenu et définitivement revenu à son état nor-
er peu après un certificat d'aliénation mentale. L'entrée à l'asile parut être un moyen d'obtenir une pièce importante po
et descend les escaliers en se tenant des deux mains à la rampe et paraît fière de pouvoir faire cet exercice sans l'aide
isant des gri- maces et des excentricités pour les faire rire, elle paraît alors très satisfaite d'elle-même. Le caractère
battue ou battant. Elle était complètement nul}§ pour la classe, ne paraissait rien comprendre .de ce qu'on ensei- gnait, rien
puis finissait toujours par les taquiner et les faire pleurer et paraissait satisfaite quand elle arrivait à son but. Elle po
lleur; elle se faisait détester de toutes ses compagnes. La mémoire paraissait très faible pour les leçons classiques, l'enfan
ela, elle avait la physionomie assez expressive et, de prime abord, paraissait TRAITEMENT DiI : DICO-P1 : DAGOGIQI : li DES
début, elle TRAITEMENT MliDICO-PIsDAGIOGIQUE DES IDIOTIES. 411 paraissait toujours triste et préoccupée, répondait à peine
cer des bâtons sur l'ar- doise. Ajoutons encore que cette enfant ne paraissait avoii aucune aptitude pour ce qui était enseign
pour les travaux de couture, ni aucune notion de la gymnastique, paraissait même avoir pour ce dernier exercice des difficult
tteint de double ré- traction de l'aponévrose palmaire. Ce syndrome paraît être lié à la pellagre et être un trouble troph
z des sujets n'ayant point d'autres signes comitiaux, néanmoins ils paraissent constituer dans certains cas des équi- valents
le tableau de quaranle-six observations, où le diagnostic de labes paraît certain. Ils ajoutent une observation personnel
roubles de la parole : mais, au cours des études, les blésités dis- paraissent on partie, de telle sorte qu'il ne reste que 6.8
e de parler et de se faire comprendre. Il y a trois ans environ que parurent les troubles mentaux à la suite d'une accusatio
cranien que le malade a dit avoir subi un an avant sa maladie,il paraît avoir été bien léger etdetrop peu d'im- portanc
maladie. J'ai vu dans mon cabinet, en mai 1905, un malade qui m'a paru être atteint de sclérose latérale amyotrophique
). Il avait aussi des hallucinations de l'ouïe. En ce moment, il ne paraît plus délirer. A l'examen physique. G ? est un i
ste, bien développé, sans infirmités apparentes. Tous les organes paraissent normaux, à part le coeur, où l'on constate les si
eut plus prononcer que la syllabe « si ». La plupart du temps il ne paraît pas comprendre les questions qu'on lui pose et
globalc, sorte d'idiotie acquise. Le fait que le dernier ma- lade paraît être atteint de paralysie générale ne saurait ê
chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa faible intelligence paraissait tout à fait impropre à l'étude. Actuellement
repasse comme une grande personne. Il fal- lait à cette nature qui paraissait indomptable, de l'affection et beaucoup d'exerc
aient posées. Elle était très craintive, restait inerte, sa mémoire paraissait très faible; elle était nulle pour la classe. E
ansformation, cette enfant raisonne bien, se rend compte de tout et paraît avoir un cer- tain jugement. On prend plaisir à
ans ses mouvements. En classe, elle ne connaissait aucune lettre et paraissait insou- ciante de s'instruire. Mise aussitôt e
fant. Elle commença à prendre du goût à l'étude; son attention, qui paraissait nulle, s'éveilla, et elle ne tarda pas à connaî
n somme, ses progrès en classe ont été rapides. Cette enfant, qui paraissait si indifférente, s'intéresse à tout maintenant,
Son caractère, autre- fois sombre et sournois, est devenu gai. Elle paraît très affec- tée si on lui fait une réprimande e
r- sonne qui fera effectuer le placement; mais cette réserve peut paraître une faible garantie contre certains ahus possible
décisives, de procéder à une enquête ap- profondie sur les cas qui paraîtront douteux. Aucun médecin ne Se plaindra d'une tel
eut substituer au mot bienveillance celui d'al- truisme morbide qui paraît mieux désigner les dispositions habi- tuelles d
78 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
uefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a paru être celle d’un marin cherchant à prendre la haut
our ceux qui croient fermement à l’apparition des Esprits, ce fait ne paraîtra point extraordinaire ; mais je voudrais au moins
en si bonne voie. Je vous tiendrai au courant du résultat, qui ne me paraît pas devoir être douteux. Je suis, avec un profo
enir aucun phénomène de transmission de pensée. Cette expérience nous paraît décisive. Elle s’accorde d’ailleurs parfaitemen
idèle exécution du programme, la pauvre femme, pétrifiée de surprise, paraissait en proie à d’étranges sentiments. » A ces détai
Bien que nous ne connaissions cet auteur que par ses écrits, il nous paraît un savant trop consciencieux malgré ses erreurs,
i plusieurs objets posés sur une table, puis, me plaçant au piano, je parus jouer différents airs, bien quelle ne les entendi
ois directement. Nous allons donner l’explication de ce phénomène qui paraît surprenant à M. Clever de Maldigny, uniquement pa
réagir sur elles sans leur consentement, et relu à distance. Cet aveu parut les impressionner vivement. Comme nous étions alo
ous racontèrent alors ce qui avait eu lieu pendant la nuit, et ils ne paraissaient pas trop rassurés au sujet de notre visite noctur
indication, ne voulant point, ou n’osant pas avancer dans ce qui nous paraît pourtant si vrai mais trop haut placé au-dessus d
e le mis immédiatement en pratique, et bien que l’état de ma femme me parût , ainsi qu’aux médecins, désespéré, je ne laissai
e lendemain. Devant donc passer la nuit au château et ne voyant pas paraître le soi-disant seigneur du lieu, chose qui l’intri
!) Il est à regretter que cette personne ne veuille point que son nom paraisse ici. Cependant, quoiqu'elle craigne aujourd'hui d
s trop ignorées de nous; ils s’étaient acquis des certitudes qui nous paraissent des fables ; ils possédaient une énergie, une fer
e que cela parait facile. Ces œuvres communes toutes petites qu’elles paraissent , étonnent et confondent la raison des savants, ca
sères humaines et leur soulagement n’en offrent pas moins; qu’il nous paraissait d’ailleurs prudent de nous assurer la conquête du
s, Venez des voûtes éternelles, Nous effleurer avec vos ailes ; Paraissez à nos yeux épris ! XI Arrêtez un peu votre co
nt peut-être que le costume toujours symbolique du prêtre égyptien ne parût étrange à vos lecteurs : Il s’est mépris à cet ég
ssin. Ses figures, vues de profil, offrent les yeux comme ils doivent paraître , tandis que, traditionnellement, l’artiste égypti
emme ou le jeune homme qui esta côté et debout, a les bras étendus et paraît implorer du secours pour le mourant, en s’adressa
le vrai, sous le titre : Antiquité Étrusque que la gravure aurait du paraître . La figure de Y Univers pittoresque à laquelle
nir, rue de l’École-de-Médecine, 17. Cette seconde édition vient de paraître et l’on y remarque de notables additions : d’abor
ssaise, miss II., qui passait pour avoir le don de seconde vue et qui paraissait , il faut en convenir, très-peu flattée de la facu
uvait se rendre compte, et qui la forçait à parler. Au reste, elle ne paraissait attacher aucune importance à ce don : bien loin d
res diables de visiteurs, comme témoignage de leur reconnaissance. Il paraît queM. le curé, en pasteur sage et intelligent, a
Yonne), élevait un jeune chien de chasse. Cet animal fit ses dents et parut beaucoup souffrir. Touché de ses gémissements, so
Magnétisme et de ses effets, etc...., par le Dr Cornet. Ce volume a paru par livraisons, et il y a déjà quelque temps que
les de la vie intérieure ou organique, quoique l’inlluence du cerveau paraisse secondaire , comparée à celle de l’organe rachidi
historiques et scientifiques de la savante Allemagne, vient de faire paraître , dans ses numéros du 31 mai et du 15 juin, une Ét
savant précédant l’époque actuelle ; mais, comme dans la romance, il paraît qu’un vent venu de la montagne a rendu fous nos l
nciens. Cette publication nous promet d’autres documents. Ils doivent paraître par livraisons de 25 pages, et la publication doi
emples, loin des yeux du vulgaire? ne croit-on pas aujourd’hui, et ne paraît -il pas positif que la magie était le premier myst
quelque part que le fluide magnétique vu par des somnambules lucides paraît bleuâtre. L’eau, d’après Reichen-bach, imprégnée
Cette manière-ci est, à ce qu’on voit, le nazar-boundjek naturel. Il paraît que l’homme a toujours été inspiré à lancer, pour
uvant ainsi plonger dans l’intérieur de l’œuf, la matière albumineuse paraît enveloppée d’une lueur très-faible, et le jaune d
quelque action sur la marche des événements de ce monde pourra-t-elle paraître désormais exagérée? cette croyance, jadis univers
nous. Cette façon de procéder n’entre pas dans l’usuel de tous : en paraîtra-t -elle plus défectueuse pour cela? Chacun, autant q
e proposition, quelque hazardéc que l’opinion qu’elle comporte puisse paraître au premier abord, il est à présumer qu’elle sera
n serait un crime. » Oui, les magnétistes doivent aider tout ce qui paraît offrir une chance de vérité, tant petite qu’elle
* Cependant il sortait des ténèbres une autre voix inarticulée, elle paraissait être la voix delà lumière. Ce verbe saint était p
n d’une opinion contraire à la logique ou des appréciations qui ne me paraîtront pas être mûrement étudiées, ou du moins qui ne se
enne maladie puriforme des poumons, qui a emporté le malade. . « Il paraît donc avéré qu’il n’était pas atteint de la fièvre
t provisoirement déposé dans la prison des Madelonnettes. Cet bomme paraissait avoir recouvré le calme, et on s’élait un peu rel
frappe le tyran l frappe! et garde toi bien qu'il en revienne ! * Il paraissait assister à cette scène, et pousser résolument le
uel motif il posait à deux fois cette question, dont l’opportunité ne paraissait pas bien pressante, en effet, à des tempéraments
ainsi tout à fait insensible. On le piquait, on le brûlait sans qu’il parut (•) Jérôme Cardan, savant médecin do xvi* siècl
bilité de se transporter au loin ? Plusieurs l'assurent, et les faits paraissent appuyer leur affirmation. Ce soi-disant transport
tes : si je ne me trompe, jamais leur caractère de psychisme n’aurait paru plus évidemment démontré. Mais, écrit M. d’Arba
catalepsie en amateur, bien qu'il lui plaise de pérorer en maître, ne paraît pas différencier cette grave afT-ction de celle d
, ou Y Art Je guérir les inuladtes par le magnétisme. Cette œuvre paraîtra sous la couverture du Journal, imprimée sur très-
r sur les doctrines ou les systèmes qui se trouvent dans les ouvrages parus . Nous traiterons de notre pratique seule, et auss
pour Paris; lâ fr. pour les Départements; 16 fr. pour l’Étranger. Il paraîtra par livraisons de deux feuilles d’impression : il
. On reçoit dès fi présent les souscriptions. La première livraison paraîtra le 1" janvier 1862. Baron Du Potet. Baron Du
ire atmosphérique, les vibrations d’un mouvement communiqué : rien ne paraît plus ordinaire. Mais deux âmes terrestres, l’une
ndance. « Il prie avec tant d'ardeur, écrit le témoin oculaire, qu'il paraît de temps en temps prêt à tomber en faiblesse. » D
mes appréciations diffèrent de celles du magnétiseur de Caliors, qui paraît ne pas connaître le procédé de magnétisme nommé «
à leurs théories. J’ai gardé le plus souvent le silence sur ce qui me paraissait des contradictions et même des erreurs; j’ai préf
t que le navire eut repris sa route, M. Bruce dit au capitaine : — Il paraît que ce n’est pas un Esprit que j’ai vu aujourd’hu
si les Grecs l’otit-lls assimilé à Esculape. La personnalité de Chons paraît avoir été envisagée sÔUs deux faCës! d'une part l
ection. Ce nom désignait la première forme de Chons, sous laquelle il paraît avoir été conçu comme se reposant dans sa grandeu
ssi en raison de la nature mystique du texte, une analyse complète me paraît bien difficile, sinon impossible. Je ne me propos
but étant d’expliquer seulement un petit nombre de passages qui m’ont paru particulièrement remarquables. « Le premier de
obablement quelque lumière sur la question. Quoi qu’il en soit, il me paraît vraisemblable que les opérations magiques, reproc
t, toutefois, ma tâche n’est pas terminée. Le 15 août dernier, il a paru dans Le Magnétiseur de Genève, un article très-ma
it ce praticien, il faut que je fasse encore mention de celui qui m’a paru exercer le plus d’action sur les somnambules (2).
ne sauraient jamais rendre prisonnière dans leurs appareils. » « 11 paraît , dit encore M. Millet (1), que la mer à une influ
convenu qu’en général, lorsque j’aborderai des questions qui peuvent paraître ardues, je ne citerai aucun fait personnel ; j’ai
articulier en cinq catégories seulement, c’est que celle division m’a paru plus que suffisante; et que si l'ordre que j’ai s
les livres, traitent aujourd’hui de celte question qui, nnguôre, leur paraissait indifférente : C’est ainsi qu’en fort peu de temp
iés des uns et des autres, dans les Journaux ; un petit diurne, qui a paru dans la Revue des deux Mondes, intitulé le Drak,
anquera même pour achever des travaux dont les commencements ont déjà paru dans le Journal. On le voit, jamais on ne s'est
euses, les critiques augmentaient. Peu de jours avant que d'Eslon fit paraître ses Observations sur le magnétisme animal (1780),
ppli-« quer un de ses doigts sur le front de ceux ou celles qui lui « paraissaient avoir besoin d’un secours si puissant et si proie
taient les procédés du Mesmérisme (2). » Quelque chargée que puisse paraître cette description du baquet magnétique, elle n’en
laquelle il ne faut pas prêter grande foi. Néanmoins, ces faits me parurent assez carieux : ils s’accordaient d’ailleurs trop
on réussissait souvent. Jean Fernel (3) nous dit notamment qu’il a vu paraître dans un miroir diverses figures qui exécutaient s
rle dans la première opération magique exécutée par Achined vit aussi paraître en premier lieu un soldat turc balayant une place
en magnétisant et dont nous ne tenons aucun compte, soit qu’ils nous paraissent trop simples, soit qu’ils aient été rapportés par
gnétique humain se fasse par l’un de ces modes. Cette transmission me paraît se produire par l'émission ou le rayonnement, qui
là ni vibrations ni ondulations; car ces vibrations ou ondulations me paraissent hypothétiques, tandis que 1 émission me paraît se
ou ondulations me paraissent hypothétiques, tandis que 1 émission me paraît seule possible. Le fait que j’ai rapporté moi-m
érapeutique magnétique, ouvrage auquel il met la dernière main et qui paraîtra par livraisons, sous la cou- verture du journal
79 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'expérience, les lapins ont le regard inquiet. b). Cobayes. Ils paraissent inquiets et font des mouvements de mastication
vite, ce que la malade rattache à un refroidissement; des douleurs parurent dans différents endroits et persistèrent jusqu'
elà thermanesthésie diminua au membre inférieur droit, mais ensuite parut une zone d'anesthésie ther- mique plus profonde
satisfaisant. Dans le courant des deux dernières années, la maladie paraissait avoir progressé ; on me communi- qua que l'état
e distinguait la différence entre 17 et 19°, mais cette température paraissait tiède, peut-être sous l'in- fluence de la tempé
esse gagna les trois autres doigts et, huit jours plus tard encore, parut un léger engourdissement et une certaine faible
ès les travaux et les observations de SI. Wernicke9, qui le premier paraît avoir étudié le phénomène connu sous le nom d'a
e altération de l'os ni du périoste ; les vaisseaux du pied ne nous parurent pas présenter d'altérations. REMARQUES. - On no
s rencontré d'altération des vaisseaux du pied. Notre observation paraît plutôt se rapprocher de celles que M.J.Christia
n'est pas une -explication : mais c'est la seule opinion qui nous paraît pouvoir être formulée dans l'état actuel de la sc
s phénomènes qui caractérisent la maladie et qui, au premier abord, paraissent si différents, sont de la même famille et qu'on
tissu modulaire ou de la graisse ; une partie des tubes nerveux ont paru en voie de désintégration. D'autre part, la moe
relevé, produisant un certain degré d'acrocéphalie ». Or, ce qui me paraissait visible sur la photographie de profil, n'est po
munications, a rapporté l'une d'elles in extenso et que l'autre n'a paru que résu- mée. SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 na mèt
: par exemple les grandes cellules multipolaires de la moelle n'en paraissent pas susceptibles. Le mémoire est publié eu déta
ment qu'à la condition d'en élaguer certaines dispositions qui leur paraissaient la rendre inacceptable. Nous ne pouvions pas
l'amendement qui vient en délibération, nous avons du prévoir qu'il paraîtrait à plusieurs d'entre vous une innovation un peu
vrai, dans toute son étendue, au projet de loi primitif. Elle avait paru si décisive et si convaincante, que votre commi
ces maladies. Sans vouloir ici discuter ces conclusions, il nous paraît que la seule affirmation de M. Bourelly ne saurai
aient, la plupart du temps, hystériques. Mais où l'auteur, qui nous paraît déjà peu prudent, dans son inter- prétation des
pouvoir être dirigé sur l'asile de Sainte-Gemme. Ce malheureux, qui paraissait un dément, inotfensif et dont l'indigence était
commune paieront, si le malade est ou non dangereux, questions qui paraissent plus importantes que la question d'assistance,
lé : Considérations sur l'hygiène des pêcheurs d'épongés et qui a paru dans les « Annales d'hygiène publique et de méd
autopsie à notre chapitre d'Aîîatomie pathologique. En 1882, il a paru un travail intéressant et original de M. Nicola
mais très diffi- cilement ; il traînait ses jambes, dit-il, qui lui paraissaient lourdes et raides comme de véritables barres de
moindre qu'à droite. La sensibilité examinée sous tous ses modes paraît annihilée (douleur, température contact) au mem
-Rien aux membres supérieurs. Les autres fonctions de l'organisme paraissent s'effectuer régulièrement. Observation II. - Ac
ont physiologiques. Aucun symptôme céphalique. Les autres organes paraissent bien fonctionner. OBSERVATION III. Accident pro
oite pour pouvoir déta- cher du sol le membre correspondant qui lui paraît long à cause de l'impossibilité où il est de fl
es génitaux. Pas de symptômes céphaliques. Les autres appa- reils paraissent bien fonctionner. Observation IV. Accident occa
uilles; il frotte moins le sol ; il traîne moins ses jambes qui lui paraissent moins lourdes et moins rigides; le tremblement
; il continue à commettre des excès alcooliques. Les autres organes paraissent bien fonctionner. Observation V. Accident provo
à ce moyen, et après une immersion, rarement deux, le prurit dis- parut . Observation VI. Accident survenu à la cinquièm
quelques pas en s'appuyant sur une corde du caique. Ses membres lui paraissaient , dit-il, extrêmement lourds, et souvent, ils ét
ans la même direction. Une légère flexion du pied suffit pour faire paraître l'épilepsie DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAP
rande quantité de pus et de mucus. Les fonctions des autres organes paraissent bien se faire. Il n'y a rien du côté du rectum
lement, et en boi- tant d'une manière très visible. Ses membres lui paraissent très lourds, ils étaient souvent agités d'un tr
s sont normales. Pas de symptômes céphaliques. Les autres appareils paraissent bien fonc- tionner. Observation X. Accident p
pris d'étourdissements; il ressent un malaise; tous les objets lui paraissent se mouvoir. Pas de troubles aphasi- ques ou sen
quelques progrès; en effet, il marchait sans bâton, ses membres lui paraissaient plus 180 CLINIQUE NERVEUSE. légers, les érect
la face. Aucun symtôme céphalique. Les fonctions des autres organes paraissent se faire régulièrement. Je lui ai conseillé :
. - A. Groupe de symptômes céphaliques. Les symptômes céphaliques paraissent occuper une place importante parmi les symptôme
erte de connaissance a une incommodité qui fait que tous les objets paraissent se mouvoir. A propre-, ment parler l'étourdisse
t. C). Groupe DE symptômes gastriques. Les symp- tômes gastriques paraissent occuper en raison de leur fréquence un rang imp
rès fugitif ; il n'a duré que cinq minutes. a). Soif. Ce symptôme paraît souvent tourmenter les malades. Parmi nos obser
ce blanche, ils constituent plutôt une complication accidentelle et paraissent habituelle- ment à une période plus tardive. No
tôt que l'anesthésie n'arrive qu'à la région du nerf trijumeau et paraît être comme distribuée suivant les nerfs (nerf o
s perceptions de la chaleur et du froid s'élargissaient, mais ils paraissaient s'éloigner davantage tantôt de l'une, tantôt de
ajoutée à la thermanesthésie partielle qu'après quatorze ans. Il paraît qu'une apparition semblable d'analgésie con- sé
du sens du tact et du lieu, tantôt ne s'observe pas du tout, tantôt paraît par-ci, par-là, en occupant une région peu cons
vident. La continuité des douleurs est différente ; parfois elles paraissent par accès pour quelques moments, quelques heure
e symptômes, observés chez ses malades. Les troubles vaso-moteurs paraissent être la source de quelques paresthésies et joue
gtemps, comme le démontrent nos OBSER- vations III et VII. Une fois parue , elle se développe très lentement, et ne montre
t à cette sorte de symptômes accidentels de la maladie, qui peuvent paraître dans des combi- naisons les plus variées, si le
aisseaux du bulbe, d'où les troubles circulatoires et respiratoires paraissent avec des vomissements ou s'ag- DU VERTIGE MARIN
e la cérébrale antérieure du même côté. Le pédoncule cérébral droit paraît plus étroit que le gauche. La pyramide droite e
longue et plus large d'un tiers que la gauche. Les nerfs crd- niens paraissent normaux. Cervelet, bulbe et protubérance, 150 g
quantité de liquide et sont dilatés. La moitié gauche de la moelle paraît atrophiée et le cordon latéral de ce côté est u
toute son étendue. Le lobule paracentral, relativement assez gros, paraît peu lésé, sauf dans sa partie la plus postérieu
r. La scis- sure perpendiculaire interne est très profonde. Le coin paraît un . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 243 3 peu grê
ns son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie postérieure, paraissent atrophiés. Hémisphère droit. La scissure de Syl
lques traces d'adhérences ; la coloration de la substance cérébrale paraît à peu près normale. Le lobe occipital, sans êtr
ormales. On retrouve un certain nombre des gros blocs graisseux qui paraissent dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerv
t, examinées comparative- ment avec celles du côté gauche n'ont pas paru présenter de différence sensible. Les coupes du
dante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne paraît un peu plus volumineuse que celle du côté oppos
hères cérébelleux étaient sensiblement égaux, toutefois le gauche paraissait un peu plus petit. C'est aussi lors de l'appari
la paralysie progres- sive. Car les cornes antérieures de la moelle paraissent être avec les zones radiculaires antérieures (t
vons trouvé à la par- tie externe et postérieure du cordon latéral, paraissent se réu- nir en anatomie pathologique pour révél
tripètes externes de l'étage inférieur. D'autres fibres centripètes paraissent oc- cuper l'étage supérieur (PL. II, fig. 1, ro
une erreur de mise en pages, les séances de décembre et janvier ont paru dans les Archives à la suite de celle de SOCIÉT
fonctionnaires médicaux de la Fruste à Bei,lin; le 10 juillet 1886 parut un décret gouvernemental pour le district de Po
cins en chef ou directeurs-médecins dans toute la France. 1 Il nous paraît difficile qu'il n'y ait pas de vacance d'emploi d
e partie de sa carrière, lorsque l'autre éclate; jamais ils ne sont parus exactement à la même époque. Il en est un qui a
I DES SCAPHANDRES. 349 2. Période paralytique OU paraplégique. Il paraît que pour la plupart des cas, l'explosion de la
sion (OBS. III, IV, V, VI, VII, IX, X, XIII). Pour quelques cas, il paraît qu'il faut à la paraplégie un certain temps pou
vation XII ont commencé à se dissiper le quinzième jour pour dis- paraître tout à fait, quelques jours après. Examinons ma
t 5° douleurs aux lombes. 1). Symptômes sensilifs. La sensibilité paraît être constamment altérée ; au moins sur les tre
et, le malade frotte bien moins et traîne moins ses membres qui lui paraissent moins lourds et moins rigides ; son tremblement
mal. Pas de symptômes céphaliques. Les fonctions des autres organes paraissent t se faire régulièrement. Nous lui avons ordonn
faire quelques petits pas à l'aide de deux bâtons ; ses membres lui paraissent très lourds et s'agitent souvent comme d'un tre
'uriner qui rarement survient au malade. Les fonctions de la vessie paraissent se faire régulièrement. Rien du côté du rectum
r- ganes génitaux sont normales. Les fonctions des autres organes paraissent se faire régulièrement. Observation XVIII. Acci
taux; pas de symptômes céphaliques. Les fondions des autres organes paraissent régulières. DES ACCIDENTS PAR 1,'E)IPLOI DES SC
dégénérescence. Dans d'autres cas, on observe la dégénérescence qui paraît se faire en bloc d'une certaine partie sans alt
r sur cette supposition s'il n'y avait des faits anatomiques, qui paraissent parler en sa faveur. Dans certains cas d'anesth
éclarée entre dix-sept et vingt-cinq ans; chez un autre malade elle parut à quarante-neuf ans et chez un autre encore ell
les panaris, surtout lorsque ces der- niers se répètent souvent ou paraissent être peu dou- loureux ; 2) dans les fractures d
ns à l'onguent gris chez un sujet qui avait eu jadis la syphilis, parurent nuisibles. Les vésicatoires, les pointes de feu
syphilis, parurent nuisibles. Les vésicatoires, les pointes de feu paraissent être utiles. Bien entendu que l'expérience clin
llectuel de ces malades; tant qu'ils existent seuls, l'intelligence paraît , en effet, peu atteinte et la mémoire semble bi
- naire et par conséquent sont très variables. Le diagnostic nous paraît facile. Les accidents pro- cursifs, vertiges ou
ve. Disons de suite que la propriété de coordonner les mouvements paraît devoir être exclusivement réservée à son lobe m
stés inefficaces, seuls les accès consécutifs d'épilepsie classique paraissent justiciables d'un traitement amenant parfois un
eux sont enfoncés IDIOTIE AVEC C : 1CHL.lIE PACHYDERMIQUE. 433 et paraissent petits. Le regard est sans expression. I\le : : c
non corticaux. L'apparence clinique d'après laquelle l'état tonique paraît résulter de la confusion des contractions cloni
ES. 45t asile ne sont pas aussi défavorables qu'elles le pourraient paraître au premier abord, par un simple rapprochement d
Elle pourra, par exemple, si les cer- tificats des médecins ne lui paraissent pas décisifs, faire appel aux inspecteurs génér
fficultés sérieuses. La seule difficulté qui pouvait exister a.dis- paru daus la rédaction nouvelle de votre commission. I
oute de Souvigny et arrivait, vers neuf heures, dans sa famille. Il paraissait très calme et rien dans ses allures ne pouvait fa
80 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à quelques ré- ponses d'une laconicité extrême et au plaisir que paraît lui procurer la vue d'une parente. L'agitation,
rce normale. Toujours les deux membres supérieur et inférieur m'ont paru affaiblis. Mais il arrive quelquefois, que, con
s malades au lit, le membre inférieur du côté opposé à l'hémiplégie paraît normal : les malades peuvent le fléchir, l'éten
que pour les membres supérieurs. La motilité des membres inférieurs paraît être sous la dépendance moins immédiate et moin
'impressionnent vive- ment ; son sommeil se trouble, le travail lui paraît plus pénible et plus fatigant, et sentant ses f
tristesse, il se montrait sombre, taciturne, méfiant; ses facultés paraissaient oblitérées et ce n'est qu'à la longue, au bout
is de placer sous les yeux de nos lecteurs plusieurs faits qui nous paraissent propres à éclairer cet intéressant sujet. Toute
t à minuit). Le lendemain il ne restait qu'une grande fatigue. Cela paraît avoir été un accès d'épilepsie. Telle est l'ori
né a5 son travail à midi et demi jusqu'à deux heures et demie, mais paraissait pré- occupé ; ensuite il est allé à la cantine
part, l'existence d'accidents iîév2,opatlii- ques de l'autre, nous paraissent avoir exercé une action sur la condition cérébr
pression est peut-être diminuée à droite. Les pièces de monnaie lui paraissent moins lourdes dans la main droite; mais il n'y
s'agit ici moins d'une revue que d'une analyse, celle d'un travail paru il y a déjà plus d'un an. Peut-ùtrela trouvera-t-
la périphérie, fibres des nerfs opti- ques et peut-être olfactifs, paraissent traverser la couche optique avant de gagner la
stance grise (cornes posté- rieures, surtout la base de ces cornes) paraissent spécialement affectées à la conductibilité (Rec
cé de faire, en mettant à profit un procédé de préparation qui nous paraît appelé à rendre de réels services. Quand nous
ux seraient situées en dedans des premières. Cette hypothèse nous a paru d'autant plus plausible que, en étudiant anatom
ar les auteurs qui précèdent et d'après d'autres analogues, qui ont paru en France dans ces derniers temps, que la cécit
u visuels dans les points indiqués par Ferrier. Bien plus, ils nous paraissent très propres à établir que le pli courbe n'est
et que la thrombose du sinus s'est produite secondaire- ment ; cela paraît ressortir de ce fait qu'on trouva dans les bron
iore peu à peu; la langue se nettoie, la fétidité de l'haleine dis- paraît , l'appétit renaît rapidement; les selles reprenne
jour, les règles qui avaient cessé depuis l'automne de 1877, réap- parurent sans douleur. Le 20 février on injecta trois cent
évacuations alvines spontanées. Au 2 février, le myosis avait dis- paru , et, le 10, il n'y avait plus que des traces d'al
ganisé et fait à domicile. Toutes ces conditions, sauf la dernière, paraissent bien fondées. Il est en effet fort difficile, s
nsformés, jusque pendant la convalescence. La même cause, du reste, paraît donner la raison du délire asthénique qui peut
rette de ne pas voir de médecin en permanence à la colonie ; il lui paraît au moins indispensable que les travailleurs ali
econnaître ces différences. II. Cela posé en physiologie, il nous parut intéres- sant, et même nécessaire d'étudier ces
ésultats de nos recherches; bien que sommairement exposés, ils nous paraissent suffire à dé- montrer l'importance qu'a la déte
dans ce mémoire, d'exposer une évolution délirante spéciale, qui me paraît appartenir à un assez grand nombre de ces mélan
ue le côté moral. Il en est de même de la plupart des auteurs et il paraît étrange qu'une lésion intellectuelle aussi cara
délires mélancoliques, confondus par la plupart des auteurs. Marcé paraît l'admettre implicitement; il ne signale, dans l
is il n'insiste pas autrement sur cette distinc- tion, qui du reste paraît trop absolue, puisque certains persécutés prése
lade ne perçoit plus la réalité que d'une manière confuse; tout lui paraît transformé. A - mesure que l'état maladif devie
au contraire examine soigneusement ses aliments, cherche ce-qui lui paraît bon, rejette ce qui lui semble suspect ; quand
l'hypochondrie du début; elle l'est aussi dans le cas où le mal ne paraît pas évoluer au delà de cette forme ébauchée.
ode moyenne de la vie, des personnes dont la santé mo- rale avait paru jusque-là correcte; quand elle gué- rit, la gué
ie est devenue continue. Je veux seulement signaler un point qui me paraît établir une différence entre les négateurs et d
posées aux irrégularités et suppressions mens- truelles, ce qui lui paraît toutefois trop exagéré (loc. cit., p. 301). Mar
mentale, en prenant les chiffres à peu près égaux, on voit qu'il ne paraît pas y avoir une tendance plus prononcée chez le
ladies sexuelles. En résumé, les résultats de mes recherches me paraissent être les suivants : La complication de la folie
d'abord examiner en détail toutes les causes, si minimes qu'elles paraissent . Or, c'est précisément dans cette série de caus
dans les délires dépressifs aigus, quoiqu'eucore possibles, ils ne paraissent pas se montrer dans les délires partiels, du mo
e do la surface articulaire. L'épine de l'omoplate est épaissie, et paraît plus dense que celle du côté opposé. Sa face su
uvelle au traitement. Si bizarre et si peu physiologique que puisse paraître au premier abord une pareille idée, M. Mortimer
du rachis une petite quantité d'eau froide (dans quelques cas, il a paru utile de sinapiser la colonne vertébrale dans tou
e a été trouvée dans six cas seulement. La déviation de la langue paraît rare. La difficulté ou l'impossibilité de la dé-
de mise en piges a reculé la publication de cette séance qui devait paraître dans le dernier numéro des Archives de Neurologie
Traité des Névroses, d'Axen- feld, M. Henri Huchard vient de faire paraître une oeuvre personnelle importante. C'est le sor
que les exigences du lecteur, qui demande à un livre nou- vellement paru de n'ignorer aucune des récentes acquisitions d
chard n'a négligé aucune des ressources que les travaux ré- cemment parus aussi bien à l'étranger qu'en France pouvaient lu
apidement et profondément con- promis. Chez la femme, l'absinthisme paraît rendre la ménopause plus précoce et prédisposer
scléreuse ; le labyrinthe d'ap- parence normale ; la fenêtre ronde parut bombée en dehors. Ce court aperçu montre des lé
E DES NÉGATIONS (Suite)1; ParM.COTARD. Si le délire des négations paraît se rattacher, dans bien des cas, aux vésanies i
délire des petitesses signalé dans cette maladie par le D' Materne paraît fort voisin du délire des négations et peut coe
IV. Mm0 M..., âgée de cinquante et un ans, mariée, mère de famille, paraît avoir toujours été bien portante jusqu'à l'anné
son caractère commença à s'altérer, il devint sombre, irritable, et parut s'absorber dans une pro- fonde tristesse. Il ex
situation est toujours la même; cependant les idées de persécution paraissent prédominer de plus en plus, M ? G... accuse les
yeux desquels ont passé des individus essentiellement vicieux, ont paru jusqu'ici peu disposés à attribuer à la maladie
nsibles, quelque contraires à la nature et à la raison que puissent paraître les actes de pédérastie, ils ne sauraient échap
défunt qui passait tous ses loisirs à s'amuser avec eux. . ' Or, il paraît que deux mois auparavant, on avait tué le chien
s qui 'c'ouraient'paraHelement à la surface de la coupe, les noyaux paraissaient plus rares'parce qu'ils étaient disséminés'le l
talement ou obliquement,'les n'6'yaux'se'pr'é saient sur la couplet paraissaient plus nombreux, faute d'é perspec- live ? Tous c
irconférence de la tumeur et 'un peu en delibrs de son '-dfltre;'Il paraissait blanc a la lumière incidente et noir la lSjtto'èt
ance blanche c'est le cordon latéral qui avait le plus souffert. 11 paraissait réduit à un mince filet logé entre la tumeur et
pparition d'escarres et d'hémorrhagies abondantes. Ces lésions nous paraissent devoir être rapprochées des gan- grènes localis
branches vasculaires convergent vers l'axe médian. Cette conception paraît d'adord séduisante : mais elle est spécieuse, s
du sillon ne diffère pas essentiellement de la nôtre, quoiqu'elle paraisse entrer dans des détails plus nombreux. Nous disio
0/'MM ! latérales, nos artères radiculaires postérieures : 3o il ne paraît pas com- prendre l'importance des artères radic
des artères radiculaires, comparée à celle de l'auteur allemand, paraîtra d'ze7e plus grande clarté : «Les artères radicula
cette suture, plus ou moins oblique suivant l'âge. Le ptérion lui a paru toutefois, quant à ses rapports avec les circon
. Ces explications physiologiques, toutes satisfaisantes qu'elles paraissent , ont néanmoins, comme le fait remarquer l'auteur,
respiration stertoreuse. Dix-huit heures après la chute, le malade parut posséder la faculté d'articuler nettement les m
phasique, et, même après le retour com- plet de la connaissance, il parut avoir complètement perdu la faculté de traduire
et arythmie). L'âge et la condition de santé habituelle des malades paraissent être pour quelque chose dans le mode de réponse
ne pouvant, disait-il, remuer les jambes en aucune façon. Celles-ci paraissaient du reste com- plètement normales : la peau avai
erait au contraire cette valeur. Dans cette dernière hypothèse, qui paraît à M. Gasquet beaucoup plus vraisemblable que la
tte de n'avoir pu jusqu'ici l'expérimenter dans des cas aigus. Il a paru à l'auteur que l'action de l'atropine était moi
trée à l'asile, elle a eu une attaque de rhumatisme articulaire qui paraît avoir été subaigu; les troubles mentaux datent
gressive, mais lente ; elle a une grande diffi- culté à parler, qui paraît due à un défaut de coordination des muscles qui
hèque et des jeux; mais l'administration impériale a tout fait dis- paraître .' (B.) ' 394 le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
it la jambe gauche, et d'un certain degré d'hyperesthésie qui avait paru exister sur les membres du côté droit. L'état d
tate également que la deuxième circonvolution temporo-sphénoïdale paraît être plus atteinte que la première dans les cas q
81 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
livrer à ses études depuis plusieurs années. Cette affection nous parut curieuse et nous fîmes des recherches pour trou-
u quartier. Mais cette hydrothéra- pie, loin de soulager le malade, parut aggraver son état. Il fallut, au bout de trois
au baccalauréat ès sciences. Mais le travail des mathématiques lui parut trop pé- nible ; il eut peur d'une rechute et,
on recourut à l'hydrothé- rapie. Mais, cette fois, la médication ne parut pas réussir. Au bout de deux mois, le mal avait
oides aussitôt que la guérison du 8 CLINIQUE NERVEUSE. genou nous parut suffisamment consolidée. Le résultat de ce seco
t dans un gymnase. Mais il dut renoncer à ce mode de traitement qui parut aggraver ses douleurs. On lui donna alors un pr
jour, tout en suivant son traitement. Enfin, au mois de mai, l'état parut si satisfaisant au Dr Bucquoy, qu'il consentit
'souvent : da : çls)no.tre1s.ociété, Joutât lutte pour l'existence, paraît 1 atteindrc S09.lS1- Mum; 1 le 'Prédisposé, suc
avo ! ! s,¡pu,1 r : e,cueilllr¡ surf., ce, 1 point, ((ce fait.nous¡ paraît , être,, une /vérité., essentielle- ment'cliniqu
matériaux à\l'édifica' tioir du 'délire : inais'eux[, non plus lie paraissent point é'sséntiels'dansla vét : anie ;1' à/notre
s apparents,, quant aux raison- nements,qui ? chez chaque^ aliéné,^ paraissent justifier ,cette. succession-.de. sentiments, f
ette ambition, -encore ^-inconscients,' et ! qui. -n'osent- encore ^ paraître auijour. Comme fait second, comme conséquence,
léments simples que nous av6ns<pu dégager jusqu'ici, et qui nous paraissent ca- ractériser d'évolution du délire dans la vé
ut assombrissait l'avenir. Je me suis opposé à l'isolement qui me parut devoir être préjudiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t
dp coeur et ne se sent plus le même. Le lendemain tout avait dis- paru . Huit jours après, retour des mêmes troubles, il
uissance à les dominer. -Lors. de; la première crise, la conscience paraît , aussi, avoir été conservée, car, d'après les
hallu- cinations ; revêtirent un, caractère terrifiant. M110 Es... parut effrayée, elle eut le facies anxieux, l'oeil in
oire ;, quand 1 intellect, est,, .entier surexcité ou déprimé ? il) paraît , difficile que da .cons- cience'puisse'se scind
: du).'mot ? ce qu'elle'éprouvait était subjectif.-iL'intelligence parut s'affai- blir assez rapidement ? 1 si exl , i ,
lit6 (,générale et du 1 sens ,¡génésique : , Le jour, q les,- gens - paraissent lui, faire la grimace, l'a montrer du doigt., E
1 ? 1 ? 1" prr f'1 : JC"fTf ? f) ! Jl.f9 , t TY1J ? f ï religieuses paraissaient germer dans son esprit ? D après une note'qu'a
'homrne 9crpd` fia a9(dira` ! t - fil XXVIII.'Les'foHes conscientes paraissent se montrer -'de préférence chez la-femme a'la)
t '111'" l ¡.J..JI) ? I. "dt J ? ...]0 .. - 9jXXXI. mégalomaniaques paraissent exclu- sivestdejJa conservation1 de- la 'consci
qu'après de nombreuses tentatives ? « Ce développement rudimentaire parut d'aitteurst l'instigateur - 'd'une sorte de rév
femme de son frère,'et' de la Paria indoue;' de Sh'o'ru : 1quï'eui; paraît -il, un enfant' mort-né ». L'état et le fonétion
des symptômes observés. -1' "f -Ilf . , ' Plus récemmènt'encore a paru un travail fort intéressant de notre'ami'G. Bal
1 particulier, la panse .présentes des groupes de-diverticules qui paraissent destinés à servir de ré- servoir aux boissons;'
de relever dans, ! quelques : unes'' certains 'points qui ¡ : nous paraissent ne pas correspondre à la réalité 'dés faits ? 1'
. ,'met Maintenant que nous avons insisté sur ce point qu'il nous paraissait important d'élucider, nousJtermineronst en donnan
mérycisme/ Celles del,Percy ? de ! Littré et Robin/de Cambay nous ! paraissent «bien dépeindre ce'phéno- mène; mais' la plus n
que'iet ,du trij umeau avec : le cervelet. Un résumé lde5'.travauxr, parus .sur ces' divers points'termine cette partie'. ?
\ tHP') ! ' rt° : J,1 a. ? IQ"" -i1 ? cipation de la conscience lui paraissent être concluantes, au cas même où les faisceaux
'( 'wÜ1 ! l1q L'observation qui sert de fondement à ce travail nous paraît mériter ]plpeineid'uiie apal3=se : ahs'a'it=d'u
. 6" Les personnes dont on instruit l'affaire ou dont l'état mental paraît douteux à l'époque de l'acte délictueux, peuven
pouls; alternative de congestion et-de pâleur. Aussi, le pronostic paraît -il défavorable. ? Mais il 'n'en est. rien'; la
publié sous les auspices de la Medico-legal Society de New-York , a paru en juin 1883. Le rédacteur-gérant, Bourkevill
es inégalités d'humeur et de caractère, et c'est ainsi, qu'il avait paru tantôt emporté, menaçant et violent, et tantôt
n'a pas dormi un seul instant; il a constamment pleuré et gémi. Il paraissait désespéré. Le 11 mai, il entre très pâle dans m
de l'accès délirant après cinq, dix, quinze ans et môme davantage, paraissent protester contre l'hypothèse d'une lésion absol
sera simplement le sentiment de satisfaction, de béati- tude dont paraîtra pénétré le dément. Nous avons là DU DELIRE DANS
e pré- sente à l'esprit. Tel est le mode d'explication qui - nous paraît le plus vraisemblable; nous ne le présen- tons
vidualités morbides qui auront cha- cune leur histoire propre, nous paraît être un singu- lier artifice pour démembrer la
ent indiqués. A l'examen macroscopique tous les nerfs périphériques paraissent sains Les racines postérieures de la région dor
s fibres nerveuses, le tissu conjonctif interstitiel, les vaisseaux paraissent tout à fait normaux. Sur des coupes trans- vers
. 187 Réflexions. L'observation que nous venons de rapporter nous paraît extrêmement- instructive. Elle nous montre plus
et sacrés avec les racines correspondantes. Aucun de ces organes ne paraissait altéré; ils n'étaient ni rouges, ni tuméfiés, n
tes. L'altération principale y est figurée par les types 2 et 3 qui paraissent exister en égale proportion et à côté desquels
bres de structure normale sont en majorité; quelques-unes cependant paraissent être en voie d'altéralion manifeste et présente
erne n'est que faiblement et partiellement atteint ; le sciatique a paru intact aussi bien sur les préparations à l'acide
n cer- vicale, étudiées par comparaison avec les précédentes, ont paru absolument normales. RÉFLEXIONS.Malgré son appa
évrites qui coexistent avec les alté- rations trophiques de la peau paraissent se développer de la périphérie vers les centres
naler le fait sans chercher à l'expli- quer. Notons cependant qu'il paraît avoir une certaine fréquence, car il est encore
extrémités et disparaître totalement dans les troncs nerveux; elles paraissent ainsi avoir une marche ascendante centripète. M
marche ascendante centripète. Même dans les cas où ces né- vrites paraissent liées à des altérations primitives des centres
la sensibilité. Telles sont les conclusions principales qui nous paraissent ressortir de l'étude de nos observations. Nous
o- nomie. Le diagnostic différentiel de cette affection ne nous paraît pas difficile à établir. Aucun de nos malades ne
en certainement des causes complexes ; mais la plus évidente nous paraît être celle qu'a signalée M. le professeur Bou-
qu'une seule de nos observations con- cernait une fille. La maladie paraît , en effet, n'atteindre que rarement ce sexe. Pl
et celle qui remplira ces conditions le plus avanta- geusement nous paraît être l'hydrothérapie. Par la complexité de son
nous venons de rapporter se ressemblent toutes tellement qu'il nous paraît su- perflu de démontrer que, dans tous ces cas,
sin- gulière qui est peut-être moins rare qu'elle ne pourrait le paraître au premier abord, puisque, dans notre seule pra
sive qu'elle a présentée dans l'ensemble des autres cas et qui nous paraît devoir être la règle. RECUEIL DE FAITS ENCÉ
térations anatomiqucs qui seront l'objet de notre étude, elles nous paraissent présenter certaines particu- larités qui nous a
irconvolutions du côté droit et du côté gauche. Du côté droit, elle paraît être plus pâle, plus épaisse que de l'autre côt
d du sillon, en passant ensuite insensiblement dans les parties qui paraissent être saines. Dans la direction occipitale, la d
lules, beaucoup plus nombreuses que les précé- dentes, l'altération paraissait poussée à un degré beaucoup plus avancé, la tum
ne prolifération des noyaux très abondante (de sorte que les parois paraissent en être presque totalement 'tapissées), et acqu
quantité de globules rouges, des leucocytes et des granulations qui paraissaient consister dans l'agglomération des noyaux de la
nt en dehors de la gaine lymphatique des vaisseaux, ces dernières paraissaient pénétrer dans le corps des cellules voisines en
euse. Ils insistent encore sur ce que cette lésion ne leur a jamais paru s'étendre jusqu'au fond des sillons et des scis
ifférence bien connue des personnes compétentes, ce rapprochement paraîtra au moins singulier. Notre aperçu bibliographiqu
omisse- ments ; ventre volumineux, souple, non douloureux; le colon paraît distendu; diarrhée jaunâtre, glaireuse. - A la
matique, que l'on a coutume de désigner sous le nom d'idiotie, nous paraît beaucoup plutôt comparable à la démence paralyt
la rumination commence. Les aliments en revenant dans la bouche ne paraissent avoir subi aucune altération dans l'estomac et
s sexuels avant son mariage. Les troubles fonctionnels de l'estomac paraissent aussi jouer quelquefois le rôle de causes occas
aminer. Causes prédisposantes. - L'âge, avons-nous dit plus haut, paraît n'être qu'une cause de faible importance, car le
mmes de bromure. Les crises ont cessé tout à coup sans que l'enfant parut épuisée; elle dansait même le surlendemain. M
ctives dans un but de déception. Aucune de ces deux alternatives ne paraîtra admissible à un savant de bonne foi, fut-il inc
n dehors de toute autre cause connue chez un ataxique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lé- sions osseuses
la réserve, relativement à la nature intime de l'affection qui nous parut provi- soirement désignée suffisamment sous le
cuboïde, le scaphoïde, les trois cunéiformes et les os du métatarse paraissent augmentés de volume, et ou peut les mouvoir l'u
is il y a huit ans environ, et chez la- quelle l'évolution du tabes paraît avoir été précipitée depuis quatre ans, par une
n effacement à peu près complet de la voûte plantaire. Le métatarse paraît porté en dehors,comme s' 1 I était luxé; cette
e l'articulation tarso-métatarsienne. Ces parties sont indolores et paraissent l'avoir toujours été, ou peut s'en faut; il n'y
cou-de-pied jusqu'à la racine du membre. Depuis un an les douleurs paraissent avoir beaucoup dimi- nué, mais il est survenu d
sible de faire un pas. Du côté droit, la partie inférieure du fémur paraît augmen- tée de volume et les condyles font sail
l'examen de la moelle épinière, l'origine de l'affection du pied ne paraît pas pouvoir rester douteuse. Il peut, comme o
ique semble courante et facile, tandis que la parole du second type paraît embrouillée, confuse. Or, en réalité, aucun des
anifeste pas d'emblée dès la naissance de l'enfant, mais il n'ap- paraît que graduellement. L'appareil vocal est le pre-
s'est améliorée sous l'influence du traitement, le délire chronique paraît devoir suivre sa marche progressive pour abouti
if, CLINIQUE MENTALE. chez tous les trois, nous voyons commencer à paraître quelques idées ambitieuses. Pourquoi, dans l'
tuel, et il mit en avant la théorie mixte ou psycho-sensorielle qui paraissait répondre à toutes les exigences. Cette théori
- mités et en partie dans ceux du tronc. Anamnèse. - Le malade ne paraît présenter aucune prédis- position aux maladies
lle eut étéhyperémiée. A l'oeil nu, les racines des nerfs spinaux paraissaient être nor- males ; il faut excepter les racines
es étaient très amincies à la suite de la diminution de la myéline, paraissait -il; dans d'au- tres, la gaîne de myéline était
irconstance pourrait- elle expliquer certains cas pathologiques qui paraissent con- tredire la règle générale des localisation
couvert en partie par les cheveux. Les lèvres sont volumineuses et paraissent plus saillantes encore, grâce à un mouvement de
aucun phénomène d'effort. Mais, en définitive, ces agents ne nous paraissent pas suffisants, et nous croyons que le principal
mois. A cette époque, il commença à marcher et ses premières dents parurent , la dentition était complète à deux ans; pour le
'on observe chez les aliénés. Voici les particula- rités qu'il nous paraît intéressant de mettre en relief. Les sensations
Le premier, tout à fait au début avec ses accrocs qui commencent à paraître , un deuxième avec de l'hé- sitation intermitten
s périphériques avec la genèse des hallucinations sont multiples et paraissent par- fois contradictoires. C'est ainsi qu'on co
on constate des- tentatives de suicide de leur part sans qu'elles paraissent préparées. Ce travail sera publié in extenso 1.
sa pathogénie particulière. Aujourd'hui une pareille tentative nous paraît prématurée. » La deuxième partie de ce travail
82 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nément curables, qui surviennent sans autre symptôme cérébral et paraissent dues à l'action directe du virus syphilitique sur
oisième paire, par son voisinage de l'artère cérébrale postérieure, paraît tout particulièrement exposée à cet accident. O
si l'on a affaire à une thrombose ou à une hémorragie : la première paraît un peu moins soudaine, s'accompagne le plus sou
cérébrale prend le masque de la paralysie générale ne nous ont pas paru se rattacher à la syphilis des artères plutôt q
ble de la déglutition. Réflexe pharyngé normal. Le facial supérieur paraît intact; l'orbi- culaire des paupières se contra
e lésion; la pie-mère est normale; les vaisseaux de la convexité ne paraissent pas altérés. L'encéphale étantretiré, on examin
e facial était assez loin de l'artère dilatée, et macroscopiquement paraissait sain. Nous sommes donc déjà amenés à admettre u
tatistique que nous rapportons plus loin, les troubles tro- phiques paraissent assez fréquents dans laparalysie générale. Cett
la destruction, l'usure du tissu dur de la dent. Cette abrasion ne paraît pas résulter t' d'une défectueuse articulation
côté du trijumeau, et les troubles fonctionnels pouvant en résulter paraissent plutôt de nature à créer un terrain, c'est-à-di
puis Bird ; d'ailleurs, nous n'insisterons pas sur cette tumeur qui paraît être plutôt un trouble de circulation2, et, « s
. L'un de ces malades, pourtant, a des pigments apparus subitement, paraît -il, sans éruption bulleuse. En voici d'ail- leu
réflexes tendineux. En général, l'angle de réflexion de la cuisse paraît moindre chez .l'enfant, les individus musclés, su
on maxillaire ; 2° La partie postérolatérale du faisceau de Burdach paraît ( ? ) être en rapport avec l'innervation de la pu
Dans ces deux dernières observations le décours des contractions ne paraîtras modifié. P. KERAVAL. VIII. Contribution A l'éti
fréquemment des sensations désagréables ou douloureuses, qui leur paraissent siéger dans les parties du corps qu'ils ont perdu
la ramener d'ailleurs presque aussitôt à sa position première. Il paraît vraisemblable d'admettre que, dans ce cas, l'ense
suivis de succès ; non seulement l'exopththalmie a toujours dis- paru , mais les autres symptômes ont au;si rétrocédé en
ent généralement le soir, et le sommeil les fait disparaître; elles paraissent s'être atténuées par le fonction- nement normal
ns le palais mou même on parvint à l'aide du courant induit à faire paraître des contractions, quoique faibles ; quant aux m
anesthésie plus ou moins étendue ne dorment pas ou presque pas sans paraître en éprou- ver aucune fatigue. Bien que signal
crédit sur les biens des Célestins. L'archevêque répondit qu'il lui paraissait « peu possible de prendre, sur la caisse des Céle
s et à l'intolérance gastrique, soit à la dénutrition excessive qui paraît sous la dépendance des lésions de l'écorce et r
écorce par l'encéphalite spécifique. Dans les cas plus bénins où il paraît sous l'influence d'une simple poussée congestiv
rou- bles et souvent de la photophobie. Actuellement, la céphalée paraît extrême et se reflète sur la physionomie par un
anisation. Les vaisseaux sont à peine visibles sur ,Ja papille; ils paraissent se~ perdre à quelque distance de son bord ; pas
infiltration gommeuse diffuse à limites indécises. Ces deux formes paraissent pou- voir être réunies dans le même tableau sym
urs reprises elle présenta des rémissions pendant lesquelles elle paraissait complètement guérie ; au moment où nous écri- v
vaisseaux font un crochet notable à leur entrée sur la papille, et paraissent se perdre un instant. Il n'y a pas d'exsudats i
gèrement strié suivant la direction des fibres nerveuses. Ses bords paraissent flous et se délimitent mal de la région péripap
ait tout dans son lit, s'en barbouille les mains et la figure, sans paraître en souffrir. Elle ne manifeste ni joie ni souff
rectement. Il n'y a pas de paraphasie. Les ^réponses qu'on obtient, paraissent uniquement réflexes. Aussi est- il très diffici
eaux font encore un léger coude. L'état mental est bien meilleur et paraît au premier abord presque normal. Cependant on o
isonnants au début, persécutés hallucinés par la suite, ces malades paraissent hésiter au seuil de la phase mégatomaniaque, sa
eut être le mobile d'actes qui, quoique non pathologiques , peuvent paraître punissables ou immoraux. Elle peut donner naiss
consécutivement de l'aphasie et de l'hémiplégie droite qui ont dis- paru au bout de plusieurs mois. Syphilis ? J... Alph
émission; il n'a plus ni idées ambitieuses, ni idées de richesse et paraît s'intéresser à sa situa- tion. La mémoire est s
ques de la paralysie générale., La paralysie déclarée, l'alopécie paraît marcher à grands pas ; elle atteint l'apogée au
le muscle court abducteur du pouce l'étaient déjà. Les métacarpiens paraissaient décharnés par suite de l'atrophie des interosse
dre au début et la suivre. Nous ne l'avons pu faire, mais il nous a paru que les chiffres obtenus par l'observation de n
L'alopécie a été comptée 26 fois sur 57 cas, mais ce chiffre nous paraît exagéré. Dans le nombre de nos malades, plu- si
fanfaron, alors que sa .taille gigantesque semblait en imposer. Il paraissait avoir des hallucinations visuelles non terrifia
l'arrêt de développement de ses organes génitaux. Un caractère qui paraîtrait plus corrélatif de l'atrophie de son système gé
isse produire des symptômes du fait de sa locali- sation. Ce fait a paru longtemps établi en raison de la coïnci- dence
inférieure symétrique. Ce symptôme persiste depuis dix-huit mois et paraît devoir être définitif. Pas de lésions de la pap
tions visuelles. Mais au bout d'un mois ou deux, celte obsession .a paru s'évanouir pour faire place à une autre préoccupa
ires ne disparaissaient que dans le hulbe. Les racines rachidiennes paraissaient intactes. En somme, la maladie a présenté les p
doit contenir 1.200 malades sans compter le personnel et qui doit, paraît -il, abriter 500 alcooliques ! ! 1 Le conseil gé
mmission, nous avons appelé l'attention sur deux questions qui nous paraissent d'une réelle importance pour tous nos confrères
égal qui, lui, fait partie du dossier du parquet et qui, à ce qu'il paraît , doit rester inconnu de tout le monde. Médicale
orygmes ont pour siège l'estomac. Les conditions de leur production paraissent être : la présence de gaz dégluti ou provenant
, comme la plupart des névropathies et des psychopathies ', elles paraissent plus fréquentes qu'autrefois, c'est peut-être par
un certain nombre d'exemples, et il est possible que la rareté qui paraît indiquée par la pauvreté de la littérature médi
s ne sont .suivies d'aucune obnubilation, d'au- cune fatigue, et ne paraissent pas avoir affaibli l'intelligence. A ces 282 CL
a sensibilité ni de la motilité, son intelligence est normale; elle paraît d'une grande indifférence sexuelle, mais ne manif
prétexte pour écrire une lettre au moins chaque soir. Son amie, qui paraissait lui rendre son affection, lui écrivait très rar
plusieurs heures, on vit succéder une atti- tude de résignation qui parut de bon augure; la jeune fille déclara que, puis
e famille qui a toujours vécu à la campagne et composée de gens qui paraissaient sains au point de vue mental : son père est mor
de sécré- tion lactée, ni aucun gonflement des seins. Les organes paraissaient assez volumineux, mais en réalité la graisse re
éra infantile. Elle a eu des convulsions au moment de la mort. Elle paraissait devoir bien venir. La troisième, sept ans, est
rement en colère. Jusqu'à t'âge de dix mois, nous répète-t-on, elle paraissait abso- lument normale. Pas d'autres maladies, ni
léger strabisme divergent. 1.'oeil gauche a l'iris gris foncé et paraît sain. La lumière amène la téaction pupillaire. 11
au palais, au gosier. Pas de réitexe pharyngé. Le goût et l'odorat paraissent nuls. Menton moyen et régulier. Oreilles grande
te de la paralysie gauche et des troubles de la vue. L'hydrocéphale paraît , dans cette observation, être la résultante de
à un obstacle foncier : toute oeuvre antialcoolique est, à ce qu'il paraît , entachée du vice protestant, sans doute parce qu
énergique appel est adressé au clergé subalterne. Or, ces messieurs paraissent jusqu'a- lors avoir perdu leur temps. La pres
es espérances de réalisation. Conclusions. Deux faits capitaux me paraissent devoir résumer l'impression des congressistes.
dance des abstinents à généraliser leur doctrine, doctrine qui peut paraître exagérée et même absurde à quiconque ne connaît
on- daires. Dans certains cas, les symptômes secondaires pourront paraître prédominants au premier abord, mais un examen att
uns ont à la section un aspect néoplasique; d'autres, au contraire, paraissent contenir une substance caséeuse. Les ganglions
ersion, forceps. etc. ; particulièrement les présentations du siège paraissent amener les hémorragies ménin- 3^0 0 REVUE DE PA
es principaux travaux relatifs à la neurologie et à la psychiatrie, parus en Amérique au cours de ces trente dernières anné
ent à l'investiga- tion scientifique de faits qui peuvent même leur paraître des impos- tures qu'ils veulent dévoiler. N'est
ges se sont manifestées dès le premier âge, alors que l'hystérie ne paraissait pas devoir être mise en cause, et doivent être
bservent guère que chez des faibles d'esprit, mais leur exis- tence paraît hors de doute. En dehors de ces différences d'é
aient la priorité, même si la nomina- tion d'un serviteur ordinaire paraissait préférable à un titre quel- conque : ce devrait
tain nombre d'observations, signa- lées seulement dans leur mémoire paru dans les Archives de Neuro- logie. 21. La Sor
idoiries in-extenso. Rédacteur en chef : Me B. Monteux. Cette revue paraît du 15 au 20 de chaque mois ; chaque livraison c
nte. Par le côté affectif et émotionnel, les objets extérieurs ne paraissent plus les mêmes qu'autrefois, les impressions sont
rale ; les membres semblent engourdis et endoloris; les vis- cères paraissent plus pesants ou, au contraire, rétractés et dim
rger appelait des hallucinations psychiques, qui eux, au contraire, paraissent de règle chez les malades qui nous occupent.
63 d'eux et de leur participation volontaire. Ces opérations leur paraissent d'autant plus étrangères qu'ils sentent que la di
s'altère par les lésions psychomotrices, comme le milieu extérieur paraît se modi- fier et s'altérer sous l'influence des
ques complets dont le délire systé- matisé secondaire de possession paraît le type. Aux formes frustes et à l'état faible
semblable, mais qui a un autre accompagnement : les deux peuvent paraître miens quoique se contredisant ; selon que la sc
rveux auraient pu avoir lieu sans un tel luxe de ramifications, qui paraît à l'auteur vraiment excessif dans certaines rég
nts répétés se prolonge aussi parfois des mois entiers, et rien n'a paru plus surprenant que de voir une fois de plus la
observés chez les per- sonnes atteintes de lésions en foyer, il ne paraît pas inutile de rappeler, en terminant, que l'am
, spécialement sur les cellules des cornes antérieures. Ces lésions paraissent détermi- nées par les substances toxiques qui c
un, d'autre part de l'oculo-moteur externe : L'oculo-moteurcommuu paraît venir du lobe pariétal (pli courbe); de là les
ie de ses muscles, ensuite par leur contracture. Or l'inhibition ne paraît être qu'un effet de contracture, et partant d'i
ée éphémère. Puis il créa, seul, les « Archives of Medicine qui ont paru de 1859 ' Voir la notice sur E. Séguin, le gran
nsibilité ; enfin au point de vue histologique, cette tumeur nous a paru intéressante par sa structure assez parti- culi
ro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Aux membres supérieurs, il paraît y avoir une diminution de force notable du côté
acliidien est ouvert de l'occipital à la deuxième sacrée. La moelle paraît déjà augmentée de volume au niveau de la région
itième cervicales antérieures gauches sont beaucoup plus déviées et paraissent sortir du sillon médian anté- rieur ; elles son
raissent sortir du sillon médian anté- rieur ; elles sont minces et paraissent atrophiées. La première dor- sale antérieure ga
ance assez ferme, sans aucune adhérence à la dure-mère; ses bords paraissent soulevés, décollés, non adhérents à la moelle, co
des onzième et douzième dorsales, parce qu'en ce point la pie-mère paraissait à nouveau envahie. Enfin, de la même façon fut
s de pigment ocre. Cer- tains lobules, les plus étendus en général, paraissent dépourvus de noyaux et de cellules et ne plus ê
réparties dans tous les autres faisceaux. Cette observation nous paraît intéressante au triple point de vue du diagnost
profondes. Les premières étaient complètement abolies, les secondes paraissaient au contraire exaltées. Les contacts et les piqû
450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les sensations profondes au contraire paraissent rester du même côté : dans le syndrome de Brown
ation des sensibilités profondes et du sens musculaire, ce qui nous paraît impossible à rechercher. La recherche des sensi
lement même des cordons postérieurs. Dans notre observation ceux-ci paraissaient en effet les moins altérés des faisceaux blancs
os coupes aient porté, d'excavations, ni même de zones où la tumeur parût dégé- nérer ou se ramollir ; elle est partout d
« Ce n'est pas une rose ! » L'idée et le mot lui restent, mais lui paraissent , en quelque sorte, vides de leur contenu, selon
iques à idées de damnation. Ces phénomènes d'articulation mentale paraissent même le substratum essentiel des délires de pos
avoir une influence capitale ; les observations qui suivent nous paraissent le démontrer. Une de nos malades, en proie à un
ire exorciser. Ses sensations sont changées, la lumière du jour lui paraît terne, verte ou brune. Il n'y a plus de Dieu, l
r l'évolution du langage considérée au point de vue de l'aphasie », paru dans le numéro du 29 décembre 1897 de la Presse
qu'une simple exaltation personnelle non suffisante pour faire dis- paraître la responsabilité de leurs actes. Elles furent mi
a distinction en épilepsie dite idiopathique et épilepsie partielle paraissait créée tout exprès pour les chirurgiens et sembl
uée par l'existence de symptômes initiaux précis, sans que l'écorce paraisse altérée à l'eeil nu. Ces opérations n'ont pas e
mitivement soignés. Au même établisse- ment le patronage familial a paru moins convenir aux imbéciles qu'aux idiots. Les
83 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
un monument d'i- gnorance et d'inexcusable légèreté. Pas une ligne, paraît -il, qui ne contienne une erreur : rien n'y vaut
rillon, etc. Ces auteurs tirent de ces faits des conclusions qui me paraissent bien graves Archives, 3' série 1907, t. 11. 2
n'attache pas de signification aux hallucinations unilatérales qui paraissent au contraire très significatives à d'autres. Aujo
Janet ajoute « En tous les cas ». Aujourd'hui comme hier. M. Janet paraît bien comme à l'époque où il écrivait 1' « Autom
ries de faits s'observent dans la formation des or- ganès, les unes paraissent provenir d'une ébauche simple et deve- nir doub
eaucoup d'autres naissent et restent doubles. Un au moins, la rate, paraît naître et rester simple. Rappelons au lecteur m
naissent doubles serait beaucoup plus longue que celle de ceux qui paraissent naître sim- ples. La règle serait avec les prem
seconde et plus importante observation est que tous les organes qui paraissent naître d'une ébauche simple sont placés sur la
mé ; et j'expliquais cette inicité secondaire, d'une façon qui a pu paraître simpliste à M. Bonne qui est lui, toujours sava
deux moitiés latérales, les deux co-êtres. Mais, puisque M. Bonne y paraît tenir, étudions le tube digestif en ses origine
e. Je suis partagé entre la crainte d'abuser du lecteur et celle de paraître esquiver un argument de M. Bonne. C'est ainsi q
ître esquiver un argument de M. Bonne. C'est ainsi que mon critique paraît m'incriminer à propos du thy- mus que je signal
Enseignée en Amérique par S. Minot, en Russie par Kowalewsky, elle paraît avoir en France les préférences de Prenant, Sui
Chabry ou des individus complets à quelques organes près, M. Bonne paraît y attacher de l'importance. Nous aussi, car nou
ition rigoureusement symétrique ; il est souvent très irrégulier et paraît s'être fait au hasard. Enfin chez les espèces (
faits de production d'un animal complet par un seul blastomère me parurent z - et me paraissent encore enlever toute force a
on d'un animal complet par un seul blastomère me parurent z - et me paraissent encore enlever toute force aux considérations p
xe cérébro-spinal dans son ensemble. L'observation suivante, nous a paru digne d'intérêt comme contribution à l'élude cl
nsion qu'on imprime au membre.Par cnnfre,la sensibilité à la piqûre paraît obtuse du côté correspon- dant à l'oedème. Le c
tait beaucoup plus lente du côté opéré que du côté sain. Ce fait ne paraît actuellement comporter qu'une seule explication :
très légère, qui échappe au Pal, tandis que les cordons postérieurs paraissent sains. L'auteur remarque que dans les cas I et
ves de la sensibilité, mais ce résultat, contraire aux vuesde l'A., paraît à ce- lui-ci sans valeur parce que la sensibili
on (février à mai) et chez certaines catégories d'in- dividus qui y paraissent particulièrement sujets, notamment les tailleur
rupulo-inquiet) ; de plus.la psy- chose qui éclôt sur ce terrain ne paraît pas être de la mélancolie vraie, mais bien un é
de l'hystérie ou de l'épilepsie avec la dé- mence précoce ; mais il paraît certain que celle-ci peut à elle seule revue de
et VOIVENEI, ; dans la plupart des cas cette opothérapie cérébrale paraît avoir donné des résultats satisfaisants. Le pla
de la douleur ; dépouillés de l'un ou l'autre deces phénomènes ils paraissent s'évanouir. Or il existe des états affectifs, s
dans l'état d'hypnotisme chez des sujets qui à l'état de veille en paraissaient dépourvus. A la culture du réflexe de l'obéis-
de Paris. Oct. Doin éditeur,Paris, 1907. Cet ouvrage est le second paru des volumes de la « Bibliothèque de neurologie
s citations, aussi courtes que possible, tirées de ces écrits, nous paraissent nécessaires. En voici quelques-unes : « Décembr
u'avec des tensions élevées (au-dessus de 600 volts , fait qui peut paraître paradoxal au premier abord. Les crises cloniq
ntraîner comme sanction l'atténuation de la peine, la seule qu'elle paraisse logiquement comporter ; or, si de tous côtés on
decin peut s'en rendre compte ». 3. Aux raisons précédentes, qui me paraissent déjà bien justifier l'intervention du médecin d
ac- cidentés du travail ou des tuberculeux, et ce devoir ne dis- paraît pas parce que le malade psychique aura commis un
it laisser indifférents les juristes et les magistrats. » Ceci ne paraît -il pas écrit au moyen âge ou même plus an- cien
s ces questions de responsabilité, alors que le progrès social me paraît être intimement lié au développement croissant et
enfants ? Je ne liens pas plus à ce terme qu'à un autre, mais il me paraît évident qu'à une notion directrice nouvelle doi
e de considérer la question bien en face. L'experf-médccin,quand il paraît comme témoin rélri- (1) Nous publions le texte
hénomènes de même nature à des intervalles plus ou moins réguliers, paraît être une loi qui régit tous les phénomènes de l
La conception de Kraepelin a soulevé diverses objections, qui ne paraissent pas essentielles ; elle a par contre rallié un
im- ples, non récidivantes,de ces affections. Cette proportion me paraît considérable ; elle est en tout cas de beaucoup s
ologiques normaux. C'est à cette seconde ma- nière de voir que l'on paraît se rallier. M. Bernheim a insisté fout à l'heur
toujours de recourir aux originaux. Aussi comme tous les fascicules parus , de la Revue générale d'Histo- logie, celui-ci
s, Mais cette division adoptée par Pichon dans son travail (2) nous paraît toute conventionnelle en ce qui concerne les si
ion clinique pou- vait avoir de hardi et de discutable. Il nous a paru intéressant.dans un travail d'ensemble, de résu
ssl, Weigert, et Ramon y Cajal. Au point de vue topographique, il paraît difficile de tirer des conclusions absolument p
il 1893 (les départements n'ac- ceptaient pas leurs retenues), il a paru indispensable de leur accorder un délai pour se
écu moins longtemps que les témoins. Les sels de calcium nous ont paru avoir au contraire une action sédative. La plupar
thérapie n'a que peu d'action dans ces cas. Les ma- lades qu'elle a paru améliorer ou guérir ont bénéficié en réalité so
pas des consanguins, et comme la syphilis ou tout autre infection paraît devoir être écarté, pour expliquer l'origine de c
oment du passage du courant (pendant quatre secondes) le cerveau me paraissait pâlir (un des deux collègues qui assis- taient
ssent normaux le cul-de-sac dorsal, exploré au doigt, est souple et paraît sain. L'intervention ne produisit aucun changem
s avez monté leur calvaire, vous avez vu souvent que ce qui pouvait paraître au premier abord de la mauvaise vo- lonté, le d
ortie il y a quelques jours de l'asile d'aliénés de Montreuil. Elle paraissait guérie et l'adminis- tration de l'hospice lui a
t, depuis quelques jours, le théâtre de bizarres manifestations qui paraissent a,oil' leur origine dans une exaltation religie
rré où il se serait dissimulé sentant venir une crise ? Une enquête paraît s'imposer. (L'Aurore, 8 septembre). varia. 253
est le sentiment du dégoût, c'est le « dégoûtant » en général qui paraît ici «le fétiche », sous la dépendance exclusive
e impression. Dans cette pièce un acteur et une actrice ligotés ont paru sur la scène ; à cette vue le malade a cessé co
es aliénés. Mais l'intérêt des malades n'est pas aussi simple qu'il paraît au premier abord. Seules, des personnes ne sach
e aucune ressource au point de vue de l'enseignement médical, il me paraît naturel que les médecins traitants con- tinuent
e n'est pas en général recommandable pour le médecin d'asile, il me paraît juste néanmoins, pour des raisons d'ordre génér
médecins de l'asile seront.au contraire, dans l'organisation qui me paraît la meilleure, non seule- ment autorisés, mais i
sion de s'instruire qu'une source de bénéfices importants, et il me paraît dès lors peu légitime,de la part du législateur
être exercée sans l'expérience de celle-ci ? Ces raisons, qui me paraissent plaider en faveur du libre exercice de la médec
stant privés de toute instruction était insignifiant. Par suite, il parut alors au Gouvernement qu'en fait les prescripti
et de l'Instruction publique va-t-elle s'établir sur les bases que paraît avoir approuvées le Parlement ; les questions c
on dont il a été parlé plus haut ; leur nombre est considérable, il paraît atteindre 20.000 et il à remarquer qu'on n'a pa
on d'étu- des constituée ainsi qu'il a été dit plus haut, il nous a paru Archives, 3' série, 1907, L. II. 19 290 LÉGIS
s de supprimer une partie de ces inconvénients : on exigera si cela paraît nécessaire que la classe annexée à l'école comm
fectionnement qu'on se propose d'organiser et celui dont l'adoption paraît indis- pensable. En fondant ces écoles de perfe
traste de leur facies et de leur dysarthrie a\ec leur mentalité,qui paraît normale pour leur âge. Méningite chronique sy
uvelle que vient de faire sur la question le professeur Mairet.Elle paraît à un moment où la responsabilité est plus que j
rès de dois. Depuis, les choses en sont restées là ; de temps autre paraissent dans les journaux spéciaux les doléances de que
taux uniforme de 4000 fr. Le mot de spoliation ne m'avait même pas paru exces- sif pour caractériser la mesure, très li
imum avant la retraite. La solution que j'apportais m'avait alors paru concilier à la fois nos intérêts et ceux de l'E
e notre situation avec celle des commissaires de police, elle ne me paraît ni heureuse, ni désirable. Veuillez agréer, mon
et, qui est resté depuis lors introuvable. En 1889, 11 ? Granet vit paraît -il entièrement seule, puis vend ses meubles et
suffocation et de lar- mes durant parfois « un jour entier ». Elle paraît avoir traversé, il y a quinze ans, une période
malade pour ses lésions. Elle marche, enlève et remet ses bas sans paraître au- cunement souffrir. La piqûre est à peine pe
faites spontanément, dès les premiers mots de l'entretien, nous ont paru dénués de toute hypo- crisie. Motivé sur le mom
ies d'une reprise du même thème. Ce thème Jui-même,à chaque reprise, paraît devoir subir des additions et suppressions tell
sa soeur, de lui annoncer l'avenir. Cette nouvelle « épreuve » lui paraît suffi- sante et elle quitte sa place. Au cour
ment. D'autres gestes, outre ceux que nous venons de décrire, lui paraissent suspects : celui de se prendre le menton, celui d
je me jetterai sous une automobile ». Ces tendances au suicide nous paraissent actuellement plus fré- quentes,au cours de l'ex
sions constatées sont responsables des phéno- mènes hystériques. Il paraît probable que souvent les accidents hystériques
RBAK. (L'Encéphale, 1907, n° 5.) Travail faisant suite à un premier paru dans l'Encéphale 1907, n° 3 et où l'auteur expo
f. Raymond rapporte deux observations, l'une de pem- phigus qui lui paraît authentique, l'autre d'oedème hystérique dia- g
n traumatis- Chen-Neurosen. Quelques remarques sur les névrose tr.; paru .- HELrr-SPECHr, deTubingen. (Ctrbl. f.Nervenhei
deux côtés et si du côté ou les réflexes sont les plus faibles, ils paraissent égaux ou supérieurs à la normale, on pourra dir
qui sont au nom- bre de trois principales : 10 Le réflexe existe et paraît aboli par con- traction permanente consciente o
te consciente ou inconsciente du biceps sural ; 2° le réflexe aboli paraît exister, on constate même parfois le ré- flexe
r jour. 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. deux membres inférieurs paraît être due à un affaiblissement ou à une paralysi
ènes de lévitation). Les rapports entre l'hystérie et la médiumnité paraissent aujourd'hui accessibles ; et le Dr Dupouy parle
mment de la constitution des autres centres. Cette démonstration ne paraît pas possible, tant que nous ne pourrons pas ima
ui étaient restées dans la boîte ou- verte la veille. Les conserves paraissaient être bien fraîches et étaient assez agréables a
leur toxicité on tous cas s'est accrue considérablement. A ce qu'il paraît , même le premier jour les conserves étaient res
e de traumatismes cé- phaliques. Elle est grande, bien portante, et paraît intclli- gente. S'est mariée à 20 ans ; n'a jam
sme, pas cl'écholalie, pas de pyromanie. Les sentiments affectifs paraissent limités à sa mère ; elle ne connaît qu'elle et
t réapparus depuis quelque temps. La vue, l'ouïe, l'odorat, le goût paraissent normaux, l'intelligence est nulle, il en est de
cède pas à ses caprices. Si on la caresse elle sourit. La malade ne paraît pas souffrir, elle ne grince pas des dents, et
est assise elle remue perpétuellement ses bras et jambes. Sa vue paraît bonne mais elle présente un strabisme très pronon
paraît bonne mais elle présente un strabisme très prononcé. L'ouïe paraît normale, l'enfant semble entendre avec satis- f
iculier à la palpation, ni à la percussion. La sensibilité générale paraît intacte, Puberté : les aisselles sont glabres,
ien de particulier dans les sinus.Les différentes fosses de la base paraissent symétriques. La pie-mère du cervelet est un peu
régulièrement sans grand succès. Toute- Ibis, ce dernier médicament paraît avoir eu une action sur les vertiges qui sont
n, adopté assez fréquemment autrefois, a été fortement critiqué; il paraît , en effet, mieux convenir à la rigueur . GRL'N'
est de la famille du lézard de M. Richelot,dont la postérité vient , paraît -il, de s'enrichir d'une salamandre. Une né- vro
Importante revue critique mettant à contribution tous les tra- vaux parus sur la question et sur les questions connexes, tr
es habi- tudes alcooliques. On sait maintenant (c'est à ce qu'il me paraît , ici, le seul résultat de la campagne contre l'
84 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
nt pas attiré l'attention de l'admi- nistration de la Seine avaient paru excellents au Conseil général du département de
e de la journée était prise en deux fois. Les effets physiologiques paraissent avoir été nuls; nous n'avons remarqué aucun cha
ité à nouveau par les douches avec le même succès. (L'observation a paru cinq mois après ce nouvel accès). Fleury a pu
résentait rien d'extraordi- 14 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. naire, paraissait intelligent, mangeait seul et savait s'habiller,
donne à droite : 25. à gauche : 25. Les facultés intellectuelles paraissent intactes; on n'observe pas d'embarras de la par
ce matin, par exemple, il n'a fait, sui- vant son expression, « que paraître tomber; » dans cette caté- gorie d'accès les co
est peut-être pas tout à fait symétrique ; l'ar- cade du côté droit paraît un peu moins large que la gauche ; il semble qu
ue ; pas de miction involontaire ; - durée 5, 6, 7 minutes; Dog..., paraît avoir une aura ; d'après son père, « quand il a
e est bien conformée, sans exagération des parties postérieures qui paraissaient dévelop- pées, parce que la partie antérieure e
ession que, à ce point de vue particulier, l'hydro- thérapie avait [ paru exercer autant d'action que le bro- mure de pot
r les accès sont plus que douteux, mais leur action sur les crampes paraît réelle. 7° (Obs.XLVI). L'épilepsie tardive et p
s a fourni aucune donnée ; la fréquence, le rhythme ne nous ont pas paru sensiblement modifiés; seul un de nos épileptiq
de 79,mais on a relevé 106 vertiges au lieu de 7. Ce malade avait paru amélioré pendant les premiers temps du traite-
l'onanisme. Enfin Pap..., ma- lade que nous avons déjà signalé, qui paraissait avoir une aura cardiaque, n'a eu que 108 accès
fice. Sur les 7 malades soumis au traitement par les armures, 2 ont paru améliorés. On a relevé chez Lan..., pendant les
accès ; en 1881, il en avait eu 12 et en 1880, 9. Les armures ont paru produire la disparition des crampes au quelles ét
marché comme d'habitude, on ne s'est aperçu de rien. L'évolution a paru continuer : à deux ans et demi il prononçait to
nvulsions; elles ont duré vingt-cinq minutes, elles étaient fortes, paraissaient générales et égales (cyanose,, écume, pas de mo
ès également; parfois les mou- vements convulsifs, durant les cris, paraissent plus accusés à gauche. Pas de grincements de de
involontaires et abondantes. T. R. 38°. Dans la journée, l'enfant a paru prendre son lait et son bouillon avec moins de
les jours précédents, sont devenus intermittents; quand la douleur paraît devenir trop forte, l'enfant pousse un cri lége
bateau. T. R. 39°, 8. - Soir : T. R. 39°, 6. 11 mai. L'affaissement paraît encore plus grand. La tête est animée d'un mouv
sont pas descendus complètement dans les bourses. Tête. - Le crâne paraît symétrique en avant, mais asy- métrique en arri
Nous avons vu que l'enfant se servait des membres supérieurs, qui paraissaient plus vigoureux et plus habiles que les membres
volutions étaient plus arrondis ; enfin la substance blan- che ne paraissait pas avoir perdu de son épaisseur. Nous ne pouvo
rne du radius. Rien au cubitus. Membre inférieur droit. - La cuisse paraît un peu plus incurvée en dedans que celle du côt
al. Dans la soirée, sa mère en venant le voir s'est aperçue qu'il paraissait souffrant : il pleurait, contrairement à son ha
sque méconnaissable, les faces antérieure et postérieure ont dis- paru et sont remplacées par des bourrelets osseux couv
ais de nombreuses aspérités, d'aspect cartilagineux, qui ont dis- paru par la macération- HO PATHOGÉNIE DES EXOSTOSES.
une deuxième circonvolution pariétale ascendante. II. Le cas nous paraît fournir un beau type de ces exos- toses multipl
ns ont déjà été publiées (1) ; parmi celles dont l'histoire n'a pas paru , nous choisis- sons la suivante, qui nous sembl
elquefois pourtant, et. durant 2 minutes environ après un accès, il paraissait égaré, sem- blait chercher, se frappait le fron
s et muqueux en avant et en arrière. Membres inférieurs. L'enfant paraît très faible, mais peut se tenir assis ; il est
sement. L'appétit est médiocre ; les selles régulières. La parole paraît devenir plus embarrassée. 18 août. La parole es
normal. Sensibilité spéciale (odorat, goût) obtuse. Vue bonne ; ne paraît pas connaître les cou- leurs. Parole libre po
eu la marche suivante : PARALYSIE TOXIQUE. 141 1 La paraplégie paraît s'être développée progressive- ment, et avoir a
isseuse, présente un enchondrome de la région parotidienne droite ; paraît intelligente ; peut- être un peu faible, mais e
ntal est saillante, la gauche déprimée ; la bosse frontale droite paraît plus saillante que la gauche, ce qui peut tenir a
à la température prise immédiatement après le réveil, elle n'a pas paru varier sensiblement. 1er mars. L'agitation re
M. Vix (1) et Volkmann, qui ont rapporté des faits où ces exostoses paraissaient liées au rachitisme. M. Virchow,qui avait bien
85 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ar malade. Avec de la patience et de la méthode, il nous a toujours paru aisé d'obtenir, si- non dès les premières séanc
ues, et numérotées, et nous ne publie- rons que celles qui nous ont paru * les plus caractéris- tiques pour chacun des ca
3 heui es. -Le 31 octobre. Le champ est étendu, bien que la malade paraisse déprimée, elle s'agite le tende main. Le 5 nov.
is sur 12 épileptiques en dehors de l'accès. Toutefois leur étendue paraît être en rapport avec les troubles de l'activité
'observations complètes), l'éten- due du champ visuel ne nous a pas paru être fonction de la névrose elle-même, mais bie
ond de l'oeil (staphylome postérieur), lorsque res lésions nous ont paru absolument indépen- dantes de toute affection m
à l'accommodation; mais lente- ment et incomplètement. Il nous a paru que le signe d'Argyll Robertson se ren- contre
pourraient n'avoir rien d'anor- mal. Dans un cas, la papille nous a paru uniformément décolorée ; généralement, cette pâ
bablement que des lésions d'artérite syphilitique. La vision nous a paru le plus su- vent conservée ; dans 50 % des cas,
ière ou à l'accommodation, ou à l'un et à l'autre réflexe, nous a paru fréquente. Nous l'avons constatée dans 39 % des
apille, qui CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIÉNÉS. 31 paraît tantôt hyperhémiée, tantôt décolorée dans son s
partie plus ou moins large de la circonférence. Il ne nous a jamais paru s'étendre plus loin que deux ou trois diamètres
oedème d'origine névritique. D'ail- leurs, ce signe nous a toujours paru très fugace ; il nous est arrivé de ne pas le r
as tout à fait nets. Si dans plusieurs cas le rétrécissement nous a paru fugace, susceptible de se modifier entre deux e
fois à l'un et à l'autre. Le fond de l'oeil du maniaque ne nous a paru présenter rien de caractéristique de même que c
le bord flou de la papille dans un certain nombre de cas. Il nous a paru cependant que le fond de l'oeil du maniaque éta
prétante et délirante ; y avec stupi- dité. Les pupilles nous ont paru généralement étroites ; dans 17 % des cas, elle
c- lion. L'oeil des aliénés, pris d'une façon générale, ne nous a paru normal que dans la moitié des cas. L'amé- tropi
es impulsions épileptiques : l'incons- cience et l'amnésie. Il ne paraît pas qu'il faille rien modifier à ces conclu- si
faut avouer qu'on n'en peut retenir aucun. En effet, les auteurs paraissent avoir une conception extrêmement vague de la si
tement la moitié de l'ouvrage. Elle se rapporte il un malade qui paraît être un hystérique et que M. Tissié définit ainsi
ces malades deviennent né- cessairement des vagabonds, Heilbronner paraît être de cet avis : d'après lui, les fugues se p
gue en rien du tabes vulgaire si ce n'est que la période ataxiqe paraît assez précoce. Les accidents spécifiques n'ow rie
e bactérienne. Il faut noter d'abord que la voie buccale a toujours paru nettement préférable à la voie sous-cuta- née.
a dans l'un d'eux, où elle est demeurée, sans que l'état normal ait paru jamais reprendre sa place. En terminant, le r
ladie destructrice des cellules cérébrales. Plusieurs faits publiés paraissent indiquer que le point le plus important du trai
s C. Bruce (1) se fondaient surdes investigations indépendantes qui parurent dans le même numéro du journal médical anglais.
En admettant l'existence de cas aigus dans lesquels les délu- sions paraissent organisées et systématisées et dans lesquels pour
organisées et systématisées et dans lesquels pour- tant la guérison paraît se produire, beaucoup de ces cas ne sont que la
urie, avec appui sur les mangeoires, le bat-flanc, etc. Les animaux paraissent se transmettre ce vice par hérédité et aussi pa
e du cerveau, terminent l'ouvrage du professeur Fore ! , qui nous a paru une excellente oeu\ re de vulgarisation de princi
aladies mentales ne s'appelleront plus « asiles » mais hôpitaux. Il paraît que l'avantage est réel, et il était pro z clam
ment du servi- ce intérieur. La question des médecins-adjoints me paraît avoir été supérieurement traitée par M. Lefort,
onfrères partagent mon opinion, l'unification des placements : il paraît peu démocratique, en un temps où ce mot est si
à pour montrer que tel aliéné, devenu criminel, avait jus- que-là paru inoffensif. L'art. 14, devenu l'art. 13, appell
mémoire, el répond au hasard. Quelques mois après, en rémission il paraît avoir un vague sjuvenir de ces fugues, mais ne
ET LES DEMENCES. 133 telle que l'étude de nos malades nous la fait paraître , abstraction faite des caractères concomitants
ce et la mémoire sont à peu près nettes ; en elle-même, la fugue ne paraît pas tou- jours l'acte d'un affaibli : cependant
grand nombre d'affections où soit la somno- lence, soit l'insomnie paraissent liées à des troubles de font. tionnement de l'h
s sous-corti- caux ; les cellules de l'écorce sont gonflées mais ne paraissent pas altérées. Parfois ces lésions sont suscepti
res. A l'autopsie, prédo- minance de lésions Illúnin) ! iliques qui paraissent avoir été pri- mitives, avec, névrite hyperlrop
rtout chez de vieux tuberculeux à lésions fibreuses et ces troubles paraissent être en raison directe de l'étendue et de l'int
guérison de la maladie mentale survient : même' : dans les cas qui paraissent désespérés ; mais il ne faut pas perdre de vue
e, atteinte de sclérose en plaques et de troubles intellectuels qui paraissent liés aux lésions du cerveau. M. LAPOINTE pense
joutent-ils.s'occupe de leur faire obtenir l'indemnitéàlaquelle ils paraissent avoir droit. Les auteurs estiment que le médecin
pellier.l)é,jà. Al. Parant, en une critique courtoise, mais sévère, parue dans les - inti. méd. psych. de mai-juin 1906,
le degré 1. 24 dans le degré Il, 28 dans le degré Ill. (Ce dernier paraît trop chargé). Chez les petits, il y aura au pla
a législation qui régit la surveillance, des maisons d'aliénés nous paraît insuffisante. Des faits récemment portés devant
de trente-cinq ans, ancienne institu- trice en Savoie. Son état ne paraissait pas dangereux et il avait été laissé libre de s
e sur J.-J. Rousseau, sur Goethe, Scliopenhauer, Nietzsche. En 1905 parut une importante élude sur la vie et les travaux
rillon (Paris 1884) représente le travail le plus important qui ait paru jusqu'ici sur la question ; celle-ci y est réso-
es ; les« faits d'atten- tion multiple ». Aucun de ces arguments ne paraît aujourd'hui probant, et quelques-uns paraissent
cun de ces arguments ne paraît aujourd'hui probant, et quelques-uns paraissent difficiles à accorder, mais leur SUR La SYMÉTRI
ions imposées par le milieu ? Cette question, quelque vaine qu'elle paraisse ,l'Auteur ne pouvait se dispenser de la résoudre
seaux ? Hélas ! « Les organes, dit l'Auteur de la préface, qui nous paraissent uniques dans l'individu ar- rivé à son complet
e » (p. XII). Et l'Auteur du livre ne trouve que deux organes qui « paraissent non doubles ... la colonne vertébrale et le tub
liques qui sont presque toujours nettement indiqués avant qu'ap- paraisse la moindre dépression médiane ; les hémisphères c
ar ses prédécesseurs venus de l'un et de l'autre côté. Cette fusion paraît même nécessaire à la création des signes locaux
saris cerveau, sans même que s'es caractères psychologiques propres paraissent sensiblement altérés. L'absence d'un hémisphère
veaux frais. Les formes actuelles sont plus simples,et par suite me paraissent préférables. Les art. 3S et 39 sont ceux qui tr
e pratique des sorties provisoires. La mesure m'avait long- temps paru merveilleuse,l'expérience m'en a fait rabattre;
demander la sortie au Préfet, dès que ['amélioration du malade lui paraîtrait suffisante, que le placement soit volontaire ou
travail élail terminé lorsqu'on me communique une série d'articles parus dans" la Ui'p('che »11l' Toulouo.;p SUI' le nttio
ière co- lonne dans laquelle sera notée la boisson habituelle qui paraît la plus directement responsable de l'état du mala
sur l'hyperexcitabilité mécanique du nerf facial,ce symptôme nous a paru assez fréquent dans les états toxiques aigus (a
t, une congestion pulmonaire double. , Début. -Le premiers troubles paraissent en 1894, l'âge de 22 ans. Ce sont des phénomène
, tout l'or- (1) Une intéressante observation d'apraxie unilatérale parue le 1 : mars 1907) nu cours de la correclion de
e le 1 : mars 1907) nu cours de la correclion de nos épreuves, nous paraît devoir être brièvement mentionnée ici ainsi que
galement cité d'après Ribot qui l'a- vait emprunté à Dumontpallier, paraît beaucoup plus caractéristique : la mimique de l
t. s (p. 96 et 97). Mais si, dans tout le reste du livre.l'Auteur paraît véri- tablement oublier son sujet, la démonstra
droite ? Si elle ne le fait pas toujours, elle peut le faire ; elle paraît même agir le plus souvent ainsi,d'après les der
la vie du moi que celle du coêtre. Enfin, les rêves où la personne paraît dédoublée en deux individus qui s'opposent l'un
garantie de la liberté individuelle a dominé le débat. Il nous a paru intéressant de comparer les garanties contre de
pneu- mogastrique. L'intensité et la durée de la première période paraissent être en raison inverse de la dose d'alcool admi
ariabi- lité. En somme, l'étude des chiffres et de leur répartition paraît justifier les conclusions suivantes : les agglo
és par la faiblesse mentale congénitale, l'im- bécillité, l'idiotie, paraissent être surtout les résultats d'une toxé- mie mate
par une représentation ? Les partisans de l'hystérie psy- chique ne paraissent pas avoir vu toutes les questions psychologique
e localisation ne sem- ble encore possible ni même probable, et qui paraît pré- parée aux fonctions psychiques les plus él
es possibles. Elle leur sert de base et de justification au lieu de paraître livrées à l'arbitraire de l'observateur. Et,
terroger. Charcot avait déjà montré que certaines hystériques qui paraissent éveillées, dorment en réalité et sont plon- gée
c qu'à de certaines occasions, rares et courtes, comme l'Au- teur paraît quelquefois vouloir le laisser comprendre, par
ent donc quelque chose de commun Si cette manière de s'expri- mer paraît dépasser en originalité le duplicisme même l'Au
iment de liberté et dans les- quelles les idées les plus abstraites paraissent souvent intervenir seules,on passe par une séri
nt : fléchir le doigt ou ne pas le fléchir ; le motif détermi- nant paraît être dans plus d'un cas la prédominance de l'imag
pourquoi elles sont ainsi. La notion de cause à effet (sic) va lui paraître d'un intérêt croissant » (p. 126). . On voit
ar le conseil de fa- mille ou la Commission de surveillance qui lui paraîtrait de nature à nuire aux intérêts de l'aliéné. A
é ainsi, mais dans deux au- tres il est à remarquer que la gliose a paru envahir les tissus de de- hors en dedans, avec
l'égard des agents irritants. Les grandes cellules pyramidales ont paru être les dernières à dégénérer et à disparaître
e texte publié ici étant lui-même un résumé. 1 1 Les statistiques paraissent démontrer que la paralysie générale augmente de
période initiale des symptômes de folie aiguë. Plusieurs de ces cas paraissent répondre à la description de la démence précoce
é et de l'incohé- rence paraphasique. Le diagnostic de katatonie ne paraît avoir ici aucune signification étiologique. L'a
is désarmer vis à-vis d'elle. L'auteur indique les moyens qui lui paraissent les plus utiles pour combattre efficacement la
es indiquant à leur place. En vérité, aucune de ces dispositions ne paraît injus- tifiée ; la lecture des courhesen estsim
qui sont décrits chez les auteurs. Quant aux troubles mentaux, ils paraissent offrir un pronos- tic plus sombre chez les Juif
SOLLIER. La définition suivante, que j'ai proposée de l'hystérie, paraît donc répondre aux différents points de vue aux-
es accidents qu'il présente successivement et dont l'enchaînement paraît incohérent si on ne tient pas compte de cette no-
t de la sen- sibilité. Ce qu'on pourrait me reprocher,c'est d'avoir paru donner une importance trop grande et une délimi
mmeil naturel, du moins compris'à sa manière. Or cette conclusion paraît bien singulière quand on le voit ensuite me rep
investiga- tions sociologiques » (p. 141). A. La Morale. L'Auteur paraît méconnaître les sys- tèmes de morale basés sur
(p. 104). La base fournie à la morale par les systèmes de l'intérêt paraît pourtant bien aussi solide. Ces « principes »
périence qu'on puisse tenir pour absolu. Les quelques principes qui paraissent généralement acceptés ne sont que relatifs » (p
nt d'autrui. L'énoncé assez obscur de ce principe et son importance paraissent nécessiter la cita- SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE
approfondie des conditions du fonc- tionnement du cerveau. Mais il paraît incontestable que la tendance actuelle est de r
sans les mots qui les expriment, la collaboration des hémisphères paraît également nécessaire, collaboration effective et
misphère, dont l'intervention a été suppo- sée secondaire ; mais il paraît probable qLe le réveil de quelques-uns des rési
., Leipzig, W. Engelmann, t. I, 1902. La partie de ce mémoire qui a paru dans le numéro d'avril n'a pu être revue qu'une
: Elle n'a pas été mesurée z pour 24 heures; 2° Couleur : l'urine a paru être plus foncée au mo- ment de l'entrée, c'est
orsque le système moteur instinctif est atteint, les instincts dis- paraissent dans l'ordre inverse de leur développement, c'est
othèse de sugges- tion ou d'imitation doit être écartée*. Aucun n'a paru obéir à une sensation subjective préalable, mai
a conduite des infirmiers et des infirmières envers les malades ont paru . Nous citerons, après les chapitres de notre Ma
train de s'opérer. La possibilité d'instruire le personnel nous ap- paraît d'ores et déjà comme hors de conteste. A l'heure
e. 11 meurt à 58 ans, en laissant les matériaux du 5e livre, qui ne parut que 11 ans plus tard. - L'histoire de Rabelais mo
La question de l'éducation, base du traitement de l'idiotie, ap- paraît déjà dans le livre de Séguin, le point d'appui du
rté, le jugeant définitivement guéri. Les bles- sures du docteur ne paraissent pas devoir être mortelles ; mais l'état général
86 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t à un examen superficiel, la paralysie du facial supérieur n'ap- paraît pas. Pour la mettre en évidence il faut user d'ar
perte de l'occlusion isolée de l'oeil, du côté sain, ne nous a pas paru aussi fréquente qu'à Simoneau et Pugliese. Cepen-
lésion anatomique n'étant pas encore connue. Les centres nerveux paraissent absolument indemnes. On note parfois des troubl
origine, la cause de cet état de dépression de l'activité cérébrale paraissent dus à une altéra- tion soit vasculaire. soit es
actérisée entre autres symp- tômes par une angoisse précordiale qui paraît due à une irri- tation du pneumogastrique; une
nt la marche du délire ou l'état d'angoisse. Les organes des sens paraissent souvent pervertis dans leurs fonctions; ainsi l
de la rétine. La papille est normale comme coloration, elle n'a pas paru excavée. LES MÉLANCOLIQUES. 33 Le pouls est
la douleur est un peu diminuée et retardée. La sensibilité spéciale paraît bonne, mais l'état mental du malade ne permet p
s. Rien à noter du côté des autres organes, excepté les poumons qui paraissent suspects. Le patient mange bien, sans modifier
cer aucun mot. Elle répond difficilement aux questions posées, elle paraît réfléchir longtemps à la réponse et c'est seule
ltés intellectuelles et sur sa mémoire. La mé- moire pour le calcul paraît bonne, il est en état de faire des petits calcu
la première fois, en exceptant pourtant les états catatoniques, qui paraissent cette fois beaucoup moins accentués; les autres
llement ils se continuent avec la peau voisine, de même l'hélix qui paraît s'insérer directe- ment à la surface cutanée.
, gémit, soupire et est prête à pleurer; les yeux s'humectent. Elle paraît ne pas comprendre, ou au moins comprendre diffi
le pique. L'odorat et le goût sont normaux. Les ganglions inguinaux paraissent engor- gés de deux côtés, mais pas bien classiq
i-même si on ne cède pas à ses caprices. Les fonctions digestives paraissent se troubler, indigestions avec douleurs de tête
ances pyromaniaques. Etal à l'entrée. Etat physique. La physionomie paraît intel- ligente c futée » ; les cheveux sont châ
ents les plus étendus. Les fonctions respiratoires et circulatoires paraissent normales ; les fonctions digestives ne sont pas
e colères, soit des accès de mélan- colie. Les sentiments affectifs paraissent disparus. Volonté négative énergique. Sens mora
ues. Les parties des racines rachidiennes comprises dans les coupes paraissaient normales. Ces lésions, très prononcées au nivea
a mort, dans tous les cas funestes, tandis que ce symptôme a dis- paru au bout de quelques jours, dans tous les autres c
démateuses, gros, clairsemés et rudes. Les sécrétions de la peau ne paraissaient pas altérées et même, au niveau des zones myxoe
98.) Les réflexes cutanés, notamment abdominaux et épigastriques, paraissent dans les périodes de début du tabes, notablement-
rcuter sur la cellule germe et modifier son caractère. L'hérédité paraît reposer sur ce fait que la cellule-germe pos- s
eur Raymond (3° série). Doin, éditeur. Le professeur Raymond fait paraître la troisième série de ses leçons cliniques, pro
vée pour le toucher, la tempé- rature et la douleur (cette dernière paraît même un peu exa- gérée); mais le malade ne peut
es organes sont sains. Les ganglions inguinaux pris des deux côtés, paraissent spécifiques. Les tibias et clavicules sont régu
à répondu à d'autres docteurs ce que nous lui demandons. La mémoire paraît conservée. L'idéation et le raisonnement sont p
trépidation épileptoïde. La marche normale. La sensibilité générale paraît relardée pour le. toucher et pour la douleur; n
tible. La mémoire de quelques rares réponses que nous recueil- lons paraît conservée. Elle exécute ce que nous disons de fai
près avoir rêvé la nuit une tête d'enfant. Les sentiments affectifs paraissent diminués, parce que, en lui demandant si elle veu
taire est aboli. La sensibilité générale au toucher et à la doulenr paraît conservée, quoique la malade ne puisse pas préc
avortement, elle a eu deux accou- chements gémellaires. La mémoire paraît diminuée pour le pré- sent et le passé. Les sen
té générale conservée pour le toucher et la douleur, toutefois elle paraît un peu retardée. Elle n'a pas de plaques anal-
l'idée et l'image du crime lui sont toujours présentes. La mémoire paraît conservée, elle se rappelle les noms de ses enfan
s de zoopsies, nie les abus alcooliques. Les sentiments affectifs paraissent conservés, la malade désirant voir ses enfants
ni de diplopie monoculaire. Le sens chromatique est normal. Le goût paraît un peu diminué. Il y a des tremblements de la l
res a connaissance qu'un indigent résidant dans son district est ou paraît être aliéné, il en donne avis au commissaire des
t et le fait visiter par un médecin ; après telles enquêtes qui lui paraîtront convenables, s'il est convaincu de la folie de
xperts. Disons, en passant, que l'utilité de ce double certificat a paru si contes- table qu'il ne figure plus dans le p
es sans ordre et sans discipline. Loin de là, nulle part l'ordre ne paraît plus réel ; seulement les obstacles matériels o
ons spéciales. La substance achromatique, plus difficile à étudier, paraît représentée par les fines travées qui se voient d
ésion organique en sorte que les altérations cellulaires constatées paraissent nettement se rattacher au processus patholo- gi
e chromatique a disparu : sous l'influence de la colora- tion il ne paraît ni homogène, ni granuleux, mais finement et in-
symptômes qu'elles déterminent sont la somnolence et le coma. Il paraît probable que ces modes d'altération des cellules
yroïde augmente toujours de volume au cours de la grossesse, ce qui paraît indiquer que l'éco- nomie a alors grand besoin
grand besoin de suc thyroïdien. La femelle grosse ' Mais il ne nous paraît pas que l'opération le soit... au moins comme m
e. La paralysie de la partie supérieure du bras a totalement dis- paru , mais il n'en est pas de même de celle de l'avant
ce seul fait, à savoir que les lésions- de la paralysie générale paraissent procéder d'une toxine et je prends acte de cette
e myxoedé- maleuse, 1888, 1889, 1SJ0, 1891, 1895. Tous ces travaux, parus dans le Progrès médical ou dans les Archives de
nous désignons sous le nom d'imbéciles moraux. Cette classification paraît faire suppo- ser que parmi les anormaux il exis
es et cliniques, démontrent pourtant qu'une intoxication existe, et paraît être la cause quoique secondaire mais réelle de
s expériences, d'après lesquelles le sérum sanguin des épileptiques paraît être moins toxique que celui de l'homme sain. C
z l'homme sain. Nous avons au contraire constaté que cette toxicité paraît toujours supérieure à celle de l'individu bien
rès peu suffisantes ne nous le disent pas. Le sang de l'épileptique paraît toxique, mais nous ignorons encore à quelle dos
périences comme précédant immédiatement l'attaque. Pourtant ce sang paraît assez toxique, plus toxique que chez l'homme bi
Ainsi, d'après ces quelques expériences, le sang des épi- leptiques paraît toxique. Et c'est ici que nous ne sommes pas d'
portant n'ont absolument rien provoqué. Le sang des épileptiques paraît donc plus toxique en géné- ral, même chez ceux
etour des fourmillements qui se généralisèrent par tout le corps et parurent influencer l'état mental, car le malade passait
MM. Bail et Régis qui dans le journal l'Encéphale, 1883, ont fait paraître une série d'articles sur le môme sujet. PREMIÈR
mnésie; ils sont ordinaire- ment sans motifs et si impulsifs qu'ils paraissent avoir une ori- gine réflexe. La question se p
ières) sur les rap- ports de la maladie du sommeil et du myxoedème, paru dans le numéro du 7 septembre 1898, de la Press
. Gaide a été amené à l'utiliser par l'analogie frappante qui lui a paru exister entre les symptômes de cette affection
saire de continuer long- temps le traitement, même si les résultats paraissent nuls; car souvent l'amélioration est tardive. A
travail ont été publiées dans le même journal (Semaine Médicale) où parut plus tard le travail du M. Marinesco. En outre,
. Car un fait à noter, c'est qu'à l'heure actuelle, les régions qui paraissent pro- duire des aliénés mystiques, sont précisém
eurs et sensoriels exis- tent souvent, mais leur ordre d'apparition paraît d'une im- portance considérable en ce que de lu
de croire que toujours le démoniaque se transforme en théomane, il paraît au contraire y avoir deux ordres de systématisa
uses du délire chronique de M. Magan. Les hallucina- tions motrices paraissent le lien unissant ces deux groupes opposés, et l
an. Archives de Neurologie. 270 CLINIQUE MENTALE. Bien que cela paraisse une assertion paradoxale au pre- mier abord, c'
énérale. Chez les paralytiques généraux un des caractères du délire paraît fourni, dit Cotard, « par la prépondérance des
démontrer qu'ils n'existent pas en dehors d'elle ; or le contraire paraît établi. D'ailleurs l'hystérie n'exclut pas les
on logique et métho- dique des conceptions délirantes systématisées paraît en raison inverse de l'état dégénératif congéni
observations de cette catégorie. La durée d'évolution dela'psychose paraît en raison inverse des tares; plus celles-ci son
tion logique et méthodique des conceptions délirantes systématisées paraît en raison inverse de l'état dégénératif congéni
Il résulte en effet de tous les travaux, sans exception, qui ont paru sur la matière, que les psychoses des auto-intoxi
si violente dans certains cas que ce sont ses paroxysmes mêmes qui paraissent créer le délire et en tout cas le précédent imm
. dire que les intoxiqués, les hystériques, les délirants fébriles, paraissent avoir des rêves de caractères spéciaux, en ce s
lire des intoxications un délire de rêve, qui au premier abord peut paraître étrange, n'a rien au fond que de très logique e
Délire .aigu : .' « Le malade presque toujours assoupi, somnolent, paraît rêver (le mot est souligné par Georget lui-même
ré de plus l'incohérence est telle que deux images successives ne paraissent plus avoir de relations entre elles. La suite est
rangers et malgré notre peu de confiance dans ce moyen, qui ne nous paraissait guère appli- cable en raison de l'agitation, no
épileptique qui avait été soumis à la sympathec- tomie. L'épilepsie paraît avoir été en rapport avec l'atrophie céré- bell
si fortement établie par Charcot et son école commence cependant à paraître incomplète. Et pourtant il faut reconnaître que
droite. Après une immobilisation de trois mois, la conso- lidation paraît parfaite et notre malade en état de marcher. Vain
ire six jours avant son admission à Sainte-Anne, qu'elle commence à paraître étrange; elle s'attribue les faits divers ou le
o- santes viennent agir sur la malade ; car le délire actuel dis- paru , nous resterons évidemment en présence du fond dé
tat mental. Il y a, par exemple, des journées entières où la malade paraît complètement sauvée, causant de choses et d'aut
sensibilité; mais les importantes et nouvelles expériences de Mott paraissent renverser cette théorie, qui du reste ,a été re
Les affections les ovaires, du col utérin et de la muqueuse utérine paraissent donc avoir dans la production des troubles ment
rapidement la vie d'Aubanel, c'est à contre-coeur ; car rien ne me paraissait plus facile à faire que l'éloge du savant, de l
ogique et une élude'sur les'travaux scientifiques d'Aubanel, elle a paru en 1863 dans les Annales médico-psycho- logique
s, à nous appuyer et à rendre possible une tâche qui, tout d'abord, paraissait au-des- sus de nos forces. La plupart d'entre
l'association de troubles cérébraux et d'une lésion polynévritique parut singulière, mais bientôt la réa- lité de cette
, une porte d'entrée de la dégénérescence. Toutes les deux du reste paraissent êlre la con- séquence d'une même cause dyscrasi
de l'arthrite tuberculeuse et de la lésion médullaire. Ce fait leur paraît une démonstration nette de l'origine infectieuse
ire. On peut être surpris au premier abord, que cette affection ait paru assez grave à l'autorité mili- taire pour justi
olie systématique. Voici d'ailleurs un exemple entr'autres qui me paraît bien démonstratif. X... est un jeune homme de
ur les autres comme pour lui-même, se sentant froissé lorsqu'ils ne paraissaient pas manifester soit à son égard, soit encore en
APERÇU GÉNÉRAL DES VICES DE LA PAROLE. 451 1877, que nous voyons paraître l'ouvrage classique de Kussmaul qui, malgré bie
garçons : l'aîné, mort à dix- sept ans, de croissance ( ? ), avait paraît -il, 2 m. 10 de taille; le second a été emporté
, P... reste chez ses parents, fréquen- tant,l'école primaire où il paraît avoir été un de ces élèves moyens dont on ne di
e lui dire qu'il est dans un hôpital ; ses facultés intellectuelles paraissent obnubilées. La respiration, la circulation, la
é notre observation hys- térie mâle; ce diagnostic,' en effet, nous paraît s'imposer. Notre homme était porteur de stigmat
sons et dans les corps d'épreuve ? Quatre hypothèses seulement nous paraissent admissibles : 1° La première serait que les réf
tômes qui justifient le titre de notre publication et ce qui nous a paru intéressant, c'est que les symp- tômes urinaire
elle que nous avait fournie la main d'une personne vivante. 11 nous paraît donc difficile de voir dans ce phénomène dont nou
Lustgarten (Paris, 1898) donne les indications les plus récentes, paraissent dépendre non du gonocoque, mais des infections se
87 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ui n'ont pas soigné ou qui ont mal soigné leur vérole parce qu'elle paraissait bénigne. La maladie ne s'était manifestée que p
antage, il en est d'autres de controuvées qui, toutefois, pouvaient paraître légitimes à l'époque où elles ont été émises, é
onsistant dans la reproduction des mouve- ments habituels au malade paraît intimement liée à l'émission des mots orduriers
donnent lieu à quelques considérations d'ordre géné- ral, qui nous paraissent importantes au point de vue du dia- gnostic et
organique. Chez la pre- mière malade, le diagnostic de tuberculose paraissait s'imposer par ses antécédents, par son amaigris
algie et de la crise, à la suite de laquelle ces phénomènes avaient paru . Enfin l'étude de l'évolution des symptômes ne
r de nos observations une conclusion d'ordre thérapeutique qui nous paraît très intéres- sante. C'est que dans tous les
demment les raisons pour lesquelles ce moyen de diagnostic ne nous paraît pas utilisable dans la pratique courante. La pr
aumatisme dont Bo... avait été victime vingt ans auparavant ne nous paraissait pas admissible pour les raisons suivantes. Le t
ilen- cieuse, un silence de vingt ans, comme dans notre cas, nous paraît à vrai dire un peu trop prolongé. Puis, l'hémiplé
ravail, qu'il nous soit permis d'ex- primer une conclusion qui nous paraît s'en écouler tout logi- quement. C'est que dans
n particulier, les malades gravement atteints dans leur état mental paraissent avoir une hypotoxicité constante (voir tableau
spaces intercalaires. Ces deux phénomènes sont donc concomitants et paraissent être sous la même dépen- dance. Cette corrélati
tête était intense, et une fois il y eut perte de connaissance. Il parut alors se remettre. Au bout d'un semaine ou deux
al (ventro-latéral) ; la partie supérieure ou dorsale de cet organe paraît être en relations avec les racines des paires c
t la seconde phase, entrant ensuite dans la phase mégaloma- niaque, paraît presque calquée sur la description classique; de
rviennent les accidents et aujourd'hui elle serait guérie. Il ne me paraît pas que la guérison soit très complète, puisque
e part, nous n'hési- tons pas à dire que l'opinion de M. Régis nous paraît bien plus conforme à la réalité des faits qui n
n examen. Cette mesure, appliquée dans plusieurs pays étrangers, ne paraît pas avoir encore appelé l'attention des doyens
tendait. Les agents s'aperçurent alors que le cocher fantaisiste ne paraissait pas jouir de ses facultés mentales, et ils se dis
myélite antérieure est isolée, tandis que dans l'autre maladie elle paraît être consécutive ou tout au moins associée à un
ne téphro-myélite aiguë, l'idée n'est pas plus sou- tenable etil me paraît inutile d'y insister. Serait-ce une de ces myél
cep- tions ; cependant il admet aussi la théorie ordinaire. Il me paraît inutile d'insister davantage ; ces citations pui-
ion sur la marche ou la station, les yeux étant fermés ; mais il me paraît démontré que là n'est pas la théorie physiologi
ut atteindre la ligne médiane. Les rhomboïdes semblent avoir dis- paru . Les sus ou sous-épineux sont très bien conservés
ors une concavité posté- rieure, de telle façon que le pli du coude paraît convexe et saillant. SUR UN CAS DE .MYOPATHIE P
des départements musculaires, qui lors des premiers examens avaient paru presque indemnes. A la face, les yeux restent l
foncée, que l'on est habitué à voir chez les sujets vigoureux ; ils paraissent même d'une apparence plus saine, que l'on ne se
eaux de l'extenseur commun. Tous les autres muscles de l'avant-bras paraissent sains. · Les muscles des éminences thénar et hy
de même des nerfs musculaires dont les plus fines ramification.') paraissent normales en leurs diverses parties : myéline, cyl
rendre compte, jusqu'à un certain point, de la signification qu'ils paraissent avoir. On y voit, en effet, parfois, des fibres
nous avons dites et dont on peut s'autoriser actuellement, il nous paraisse légi- time jusqu'à plus ample informé, de consi
erveux comme l'idiotie, l'épilcpsie. - Cette manière de voir nous paraît toutefois difficilement acceptable, et cela pou
Roth -- qui serait prise la première; et c'est, aussi, ce qui nous paraît résulter du fait que nous avons observé. Toutef
GRESSIVE. 20ï que de proposer, à notre tour, la conception qui nous paraît actuellement la plus admissible sur ce point dé
avagante, « Elle était comme un homme, . - Le grand-père pale1'1lel paraît avoir été diabétique. La grand'mère maternelle
ve pas de dégoût pour la teinture de coloquinte. ]/ odorat, l'ouïe, paraissent normaux. L'examen de la vue est impossible. 2
ar minute. Les derniers tours sont encore plus rapides, après il ne paraît pas, étourdi, s'assied ensuite la tête entre le
. Les testicules sont de la srosseur d'un oeuf de pigeon, le gauche paraît un peu plus gros que le droit. - Ros... passe a
placés à une certaine distance de lui. Se= pupilles, peu dilatées, paraissent être plus sensibles à la lumière qu'à l'accommo
BEVUES analytiques, nous publions le résumé de tous les travaux qui paraissent dans les journaux con- sacrés à /'aliénation me
en France qu'on rencontre de l'encom- brement dans les asiles : il paraît qu'en Amérique la situation est encore pire. On
excès de tabac, etc.; 2° par contre, le tremblement dit sénile, ne paraît pas exister; 3° le rôle do l'arté- rio-sclérose
dans le collapsus le plus profond. Généralement, le collapsus, qui paraît si grave, cesse soudain, après avoir duré quelque
n'a pas été plus sérieuse au point de vue des résultats. 11 nous paraît donc impossible de dresser une statistique fidèle
he, s'est trouvée tout à coup dans l'opulence, ce qui ne leur a pas paru naturel. Sir William Abdy a démontré qu'aux dif
rbe appartement du quartier de l'Europe. Elle ne se contentait pas, paraît -il, de dire le passé, le présent et l'avenir; m
cteurs. A partir du -1 CI' mai prochain, les Archives de Neurologie paraîtront tous LES mois. Le rédacteur-gérant, 1l0un : OE\
ment à ses doigts d'abord. Le massage de la région, qui fait dis- paraître l'oedème bleu semble être une circonstance adjuva
ptée, on comprendra aisément pourquoi le mouvement du coude a re- paru rapidement sous l'influence d'un traitement psych
ovarie. Résultat du traitement. La paralysie hystérique peut dis- paraître spontanément sans aucun traitement, mais plus sou
tel point, nous a-t-il été répété, que les os semblaient avoir dis- paru en grande partie. Une de ses soeurs, sans enfan
autres parties du;corps sont atrophiées; en outre, la jambe gauche paraît légèrement plus amaigrie. De chaque côté 360 CL
le soutenir. La mastication, et les autres actes de la digestion ne paraissent pas troublés. Au niveau du dos, nous trouvons l
tion opposée; mais cette déviation est si faible qu'elle ne nous paraît pas bien mériter qu'on s'y attache, et qu'on trou
nne vertébrale, du bassin, et de la cage thoracique ne nous ont pas paru offrir des altérations pro- fondes comme cela a
on irrégulière. Malgré la déformation vertébrale, la respiration ne paraît pas trop gênée. Il en est de même de la digesti
n, fait qui, d'ailleurs, a été noté par quelques auteurs. Il nous a paru nécessaire de rechercher du côté des ascendants
, en premier lieu, au rachitisme. Néan- moins, cette hypothèse nous paraît susceptible d'être écartée, d'abord, parce que
faits ont été presque entièrement passés sous silence qui cependant paraissent expliquer la plupart des autre phé- nomènes et
es sans suite et se livre à des actes souvent incompréhensibles qui paraissent reliés plus ou moins aux hallucinations. Sur cet
. 1° Etats maniaques. - L'attaque cholérique a toujours fait dis- paraître l'état maniaque quelle que fût l'intensité, quell
e frayeur de la mort. 5° Idiotie, débilité mentale, - Les idiots ne paraissent pas avoir une grande sensibilité, mais deux déb
on profonde des sentiments affectifs et mo- raux. Ses conversations paraissent raisonnables, mais la vie quoti- dienne la mont
membres, ne peut plus bouger. Les bras obéissent si vite qu'ils en paraissent légers, il semble qu'il y a aide de la part du
uf aux membres infé- rieurs, où la sensibilité au chaud et au froid paraissent se confondre. Les troubles trophiques qui sont
malade ? Ces deux affections se sont développées parallèlement sans paraître s'in- fluencer mutuellement. Peut-être pourrait
t quarante-cinq ans; elle est plus fréquente chez la femme, où elle paraît pouvoir peut-être se rattacher à la méno- pause
démontré que sur quatorze prisonniers qui, dans cet établissement, paraissaient absolument réfractaires à toute obéissance aux
e peuvent se résumer de la façon suivante : la chorée de Huntington paraît être une des mala- dies les plus héréditaires q
une des mala- dies les plus héréditaires que l'on connaisse ; elle paraît frapper les hommes plus fréquemment que les fem
ion de la communication de M. Lefiliâtre le travail de M. Liondimov paru dernièrement dans le Messager de Psychiatrie, d
M. Luys) un recueil intitulé {'Encéphale, etc. Il a également fait paraître les Leçons de M. Charcot sur les maladies des v
ur maniaque, signalé parles auteurs comme phénomène paroxystique, paraît être directement en rapport avec le traitement, c
s ? Et comment supposer la permanence de l'émotion, quand le malade paraît tout à rait calme et indifférent ? Néan- moins,
BLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. Un grand nombre d'accidents hystériques paraissent dé- pendre de certaines idées fixes, de certain
é toutes les complications que ce symptôme peut pré- senter, nous a paru le seul caractère constant et essentiel du somn
iel du somnambulisme. Le plus souvent, les souvenirs perdus réap- paraissent quand le sujet se retrouve de nouveau dans l'état
nce, mais des états de durée très courte pendant lesquels le malade paraît marcher ou agir au- tomatiquement, ces fugues d
, il ' Autam, psycho., p. 455. = Les rêveries et les extases nous paraissent plus fréquentes et plus importantes dans l'hyst
plus affaiblie, profite de la moindre occasion pour la terrasser et paraître au grand jour'. » Un grand nombre d'études psyc
conceptions médicales de l'hystérie. M. Laurent, dans un tra- vail paru d'abord dans les Archives cliniques de Bordeaux 2
des est sans contredit l'article de MM. Brener et Frend récemment paru dans le Neurologisches centmlblatt 4. Nous sommes
des actes intentionnels, ils diminuent sensiblement d'éten- due et paraissent cesser complètement si, par exemple, le maladu
mé- moire et des céphalalgies violentes avaient complètement dis- paru . 452 revue DE thérapeutique. De ces trois cas
tère vertébrale fut préconisée dans le traitement de l'épilepsie et parut d'abord donner quelques résultats heureux ; mai
très accusé. Dans les cas d'hys- térie avec hallucinations, elle a paru plutôt nuisible; dans la dépression mentale, el
nce sur la possibilité de sa seconde guérison. La cocaïne cependant paraissait avoir pour elle encore plus de séductions que l
par la relation détaillée de l'observation de cinq malades qui ont paru à l'auteur d'autant plus intéressants qu'on a p
traiter. Mais il s'empresse de reconnaître que si le milieu ambiant paraît agir défavorablement sur l'état mental, si les
: 1 Tout d'abord comment peut-on accorder les contradictions qui paraissent exister entre l'école de la Salpêtrière et l'écol
antages très res- treints. Quant aux dangers de l'hypnotisme, ils paraissent négligeables, pourvu que l'emploi de ce moyen r
cylindres hyalins. Coeur normal. En quelques mois, l'oedème dis- paraît et l'état mental se guérit. 6° Mélancolie avec
°, avec 20 planches et 6 cartes.) Voilà déjà bientôt trois ans qu'a paru la première partie de cet ouvrage considérable
et aux trajets visuels. Disons tout de suite de la deuxième partie, parue l'été dernier, qu'elle continue dignement la pr
n Valroff à cinq ans de réclusion. D'après les journaux de Nice, il paraît que Valroff va se pourvoir en cassation. , FA
88 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
re du malade, pris après le décès : l'en- semble de ces documents a paru attirer assez vivement l'attention de la Sociét
Lemass., E. Armand, 13 ans : Imbécillité; bégaiement ; onanisme. Il paraît avoir eu trois fois des rapports avec l'in- fir
ne éruption papuleuse ;-que la date d'inoculation de cette syphilis paraissait remonter à trois ou quatre mois ; -) - que D...
ne peut avoir de renseignements précis sur l'état de l'odorat,- il paraît con- tent lorsqu'on lui frotte la tête, mais do
noyau, ni sur la couche optique. Réflexions. Cette observation nous paraît digne de remarques à différents points de vue.
devons signaler la rareté de cette affection. Quatre cas seulement paraissent avoir été publiés jusqu'ici : le premier a été
s ; les artères de la base, les nerfs. le chiasma, les pé- doncules paraissent symétriques. Les hémisphères ne pa- raissent pa
phère droit ne mesure que 17 c. dans sa plus grande lon- gueur et paraît moins largo aussi que le gauche qui me- 24 IDIO
es convulsives. Du- rant cette phase, les facultés intellectuelles, paraît -il, n'au- raient été que médiocrement affaiblie
t à minuit). Lclendemain, il ne restait qu'une grande fatigue. Cela paraît avoir été un accès d'épilepsie. ' MICROCÉPHAL
lis, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A première vue, Cher... paraît assez intelligent ; ses yeux sont vifs et parfo
é à son travail à midi et demi jusqu'à deux heures et demie, mais paraissait préoccupé ; ensuite, il est allé à la cantine d
une part, l'existence d'accidents né- zoopathiques de l'autre, nous paraissent avoir exercé une action sur la condition cérébr
après de nombreu- ses tentatives. « Ce développement rudimentaire parut d'ailleurs l'insti- gateur d'une sorte de révei
vacillant, une proportion plus exacte. Pour le cerceau, après avoir paru très longtemps étranger au mécanisme de sa marc
Voici d'ailleurs leur marche de 1850 à 1860 : microcéphalie. 41 paraissent moins pointus en avant que ceux de la négresse.
du sillon prérolandique entre lesquelles elle passe. Cette incisure paraît avoir pour analogue à gauche une petite bifurca
nvolution, anastomosée large- ment avec la deuxième circonvolution, paraît fusionnée en avant avec la troisième circonvolu
en haut et en arrière, longue à gauche, rudimentaire à droite, qui paraît être la branche ascendante de Sylvius. D'ordina
er la femme de son frère et de la Paria indoue, de Shortt, qui eut, paraît -il, un enfant mort-né. » L'état et le fonctionn
pendant la guerre de 1871 ; -4° garçon âgé de 7 ans, bien portant, paraît moins nerveux que le précédent; -5- garçon mort
ensibilité générale, dans ses divers modes, est con- servée et elle paraît égale des deux côtés. Il n'en est pas de môme p
tes à une heure. 16 avril. Douches. 21 mai. Les points hystérogènes paraissent un peu atté- nués et se montrent moins sensible
pression. Au niveau de la zone dorsale, la sensibilité à la chaleur paraît diminuée à droite. . 1 CI' décembre. Pendant
aucun doute sur leurs principaux caractères. La période de rigidité paraît avoir été toujours assez courte ; toutefois, so
nous avons déjà mentionné et sur lequel l'attention des auteurs ne paraît pas s'être fixée. La période des contorsions, l
rieures. Les prolongements de l'axe gris central au niveau du bulbe paraissent entièrement gains. 72 ATAXIE LOCOMOTRICE ; EPIL
notablement affaissé depuis cette même époque, et il s'est produit, paraît -il, un amaigrissement considérable. A part l'ét
leur marche de 1871 1 à 1881. ATROPHIE DES CIRCONVOLUTIONS. 85 paraissait pas avoir d'oppression; sa voix restait forte ; r
l. Le 9 avril, elle a eu trois'accès. Le 10, elle s'est levée, mais paraissait souffrante, ne mangeait ni ne parlait. L'examen
itué tout entier à droite de la colonne vertébrale ; le lobe gauche paraît manquer, la face inférieure est devenue presque
coccyx, laquelle est à peu près hori- zontale. Les trous sacrés ne paraissent pas sensiblement dé- formés. La face externe
airement prédisposée à des accidents ner- veux. L'intelligence ne paraît pas avoir jamais été bien déve- loppée ; toutef
état. T. R.' 39°,4. Soir : T. R. 40°,4. 15 janvier. L'exanthème a paru ce matin; il se montre surtout à la face ; il e
'iode). 6 Février. Le souffle à l'expiration du côté droit a dis- paru ; à gaucho, au contraire, il est devenu très inte
es sous-crépitants abondants dans toute la poitrine. L'état général paraît satisfaisant. La température oscille régulièrem
i- vite persiste ; la langue reste saburrale ; la diarrhée a dis- paru . Respiration très soufflante à gauche; à droite,
n physique (1880). Arrêt dedéveloppement : l'en- fant, qui ail ans, paraît en avoir 4 ou 5 à peine. Taille 0 ? J ! i ; poi
le tronc et le visage ; elle se dispose en corymbes ; elle n'a pas paru sur les membres. L'enfant cause et est assez ga
andes dans l'aisselle. Rien au pli de l'aine. 8 février. L'enfant paraît complètement guéri, est gai, mange de bon appét
n du tube digestif, comme d'ailleurs l'estomac et le gros intestin, paraît saine. Tête. Calotte crânienne régulière et sym
ts de fièvre typhoïde.] Mère, 25 ans, couturière, de taille petite, paraît intelli- gente. Elle est un peu nerveuse et aur
s latérales de droite. La voûte palatine, très plate et très large, paraît symétrique; les amygdales sontvolumineuses. La
pyramides antérieures et les olives sont en partie confondues, mais paraissent de dimensions égales. Le cervelet et l'isthme p
s'est brûlé la fesse en s'asseyant sur le couvercle d'un poêle ; il paraissait insensible à la brûlure et ne criait pas. La ci
iait pas. La cicatrisation s'est faite en cinq jours sans qu'il ait paru souffrir. D'autres fois, il saisissait à la mai
pées : toutefois la partie antérieure des circonvolutions frontales paraît un peu plus petite. En résumé, cette rougeole a
d donc pas au maximum de l'éruption qui, nous le répétons, nous a paru coïncider avec le maximum thermique, dans les c
89 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
rte de la laryngoscopie. Il suffit aujourd'hui de lire les ouvrages parus en Allemagne, en Russie, en Angleterre, en Amériq
presque complète de la cornée : dans toute la partie centrale l'iris paraissait à nu; c'est seulement à la périphérie que l'on
vait été pris de pneumonie lobaire, et qui en est mort, l'anthrax m'a paru être pour quelque chose dans cette terminaison fu
i de l'air. Le malade est au douzième jour de sa ponction, et l'abcès paraît en voie de guérison. Un abcès de la région du foi
larynx et de la bifurcation de la trachée. Le parenchyme pulmonaire paraît insensible. La toux est considérée comme un des s
evoir faire subir au procédé de Roux.— Une de ces observations a déjà paru dans l'Union médicale, la. deuxième sera livrée à
urs des fils métalliques ne provoquât celle de la suture cutanée, qui paraissait d'ailleurs parfaitement réunie. Ces fils enlevés,
ffet. On visita la suture muqueuse, et comme de ce côté les fils ne paraissaient provoquer aucune irritation, on jugea prudent de
ient qu'un eczéma. Il passa un mois et demi à Saint-Louis, sans qu'il parût d'éruption sur un autre point du corps. Pendant
ons cutanées auquel il a donné le nom de mycosis-fongoïde, et qui lui paraît n'être que l'expression d'une diathèse également
même, à côté de l'altération qui nous occupe, on voit de l'eczéma qui paraît se confondre avec elle, et il insiste surtout sur
surtout de son deltoïde et son grand dentelé droits, ce dont elle ne paraît pas se douter. On retrouve aussi chez elle de gro
enne de Boulogne (i). Les observations que nous venons de donner nous paraissent présenter un tableau suffisamment exact de la mal
ns répétées et confirmées avec la coralline elle-même (i). « Il m'a paru curieux de pousser plus loin les investigations,
ue, les autres cicatrices et les autres ulcérations situées plus haut paraissent être des récidives du chancre, les plus inférieur
de quelques poils rares et courts, de sorte qu'au premier abord elle paraît avoir été rasée. Cette particularité de la peau r
des condyles ; là on sent encore la trace de ces apophyses, mais l'os paraît se terminer d'une manière brusque par un léger re
s. Le bras se termine par un moignon parfaitement arrondi; ce moignon paraît composé de l'extrémité numérale recouverte par un
ccepté comme certains ou infiniment probables que les faits qui m'ont paru tels, car la sincérité et l'exactitude peuvent se
Lyon médical, d'après Archives de méd.) BIBLIOGRAPHIE Il vient de paraître un livre intitulé Traité des affections de la p
es doctrines de M. Bazin, médecin de l'hôpital Saint-Louis. — Il nous paraît évident que ce livre soit la fidèle interprétatio
ment un aspect monstrueux. La peau et le tissu cellulaire sous-jacent paraissent intéressés tout d'abord; ils sont comme confondus
e inférieur gauche l'emportait en volume sur le droit ; ce gonflement paraît s'être produit peu à peu, atteignant à peu près e
s en une masse de consistance presque ligneuse. A la cuisse la lésion paraît moins avancée, ou du moins présente des caractère
i alcoolisme du côté du père, ni vice de conformation ; l'hérédité ne paraît pas avoir joué un grand rôle. Mais il n'en est pa
eils. Ces orteils doubles ont une enveloppe cutanée commune et qui ne paraît pas avoir été double. Chacun de ces orteils prése
lions qui lui correspondent; pendant un certain temps il constitue ou paraît constituer l'expression unique par laquelle se tr
s vaisseaux rétiniens, on ne distingue guère que les plus gros qui ne paraissent ni flexueux ni modifiés dans leur calibre. Ils pr
mesure cinq à six centimètres. La main, appliquée sur la tumeur qui paraît ovoïde, perçoit des battements assez forts, répon
avec la paroi de la poche. Cette petite vésicule assez dure, opaque, paraissait contenir dans son intérieur un petit corps jaune
t les plonger dans des milieux différents, leurs œufs ne perdent pas, paraît -il, malgré cela, leurs propriétés germinatives. I
de Cayenne), fauves, blanches, se répandent sur tout le corps ; elles paraissent et disparaissent plusieurs fois avant de rester s
fection intus et extra. On le soumet à cette nouvelle médication, qui paraît rendre les tubercules plus rouges. Enfin, dans ce
spores rappelant celles du trichophyton, de telle sorte que l'auteur paraît avoir eu quelque velléité de désigner cette nouve
ine de Paris, chirurgiens des hôpitaux (i). Foucher avait déjà fait paraître la première partie de ce livre lorsqu'une mort pr
. La prédilection de Desault pour la section du cartilage thy-roide paraît donc bien justifiée; mais déjà l'exercice sur le
s Archives générales de médecine (1), nous lésa fait connaître, et il paraît résulter de la pratique des quatre dernières anné
ées de toiles supportées par une charpente. Le meilleur type à suivre paraît être la tente militaire prussienne qui mesure 20
'infirmerie, pour accoucher (22 ans). La grossesse, la parturition ne paraissent avoir présenté rien de particulier. — Le sein dro
ueviller sur la paume de la main. D'une façon générale la sensibilité paraît normale à droite. Par le chatouillement de la pla
este, la possibilité de l'infection tuberculeuse par le tube digestif paraît avoir attiré l'attention il y a déjà plusieurs an
nullement athéromateuses. Les hémisphères cérébraux, étant en place, paraissent à peu près aussi volumineux. — L'hémisphère droit
guliers; elle présente cette particularité qu'en certains points elle paraît comme rasée, c'est-à dire dépourvue de papilles.
a poitrine tant qu'on le croit nécessaire ; lui donner accès, si cela paraît utile, dans la mesure que l'on juge convenable; f
ssus des puissantes arcades sourci-lières sur lesquelles il s'appuie, paraît normale, car elle se fond insensiblement, et pour
a figure est plus altérée. La malade n'a pas dormi : la veille elle a paru s'assoupir un peu dans la journée; mais bientôt e
e a déliré toute la journée ; cependant, elle n'est pas agitée ; elle paraît entendre quand on parle, mais ne répond pas. Elle
ié et utilisé par tout le monde. L'ouvrage, comprenant 72 leçons, a paru en [cinq fascicules qui répondent, pour ainsi dir
90 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
2. Aux faits anciens, nous allons en ajouter quelques-uns qui nous paraissent de nature à encou- rager les médecins praticien
après. La nuit a été bonne. Cet accès, le premier, depuis l'entrée, paraît avoir été provoqué par une indigestion. Tempé
ant passer les petites lèvres brunes. Les règles n'ont point encore paru .. , ' . ' 1896. Juin. Ptt&e ? Quelquesrares
1898. Janvier. Puberté. Seins, 16 sur 18. L'orifice de l'hy- men paraît un peu large et permet facilement l'entrée de l'i
l'entrée. 16 THÉRAPEUTIQUE. ' son caractère avant de tomber. Elle paraissait calme. Immédiate- ment avant la chute, étant à
plus longs sur le pénil. Pas, d'autres changements. Les règles ont paru , pour la première fois, , du 12 au 19 juillet,
bles, tant qu'on n'a pas affaire à un agent spécifique. Après avoir paru efficace dans un grand nombre de circonstances,
ace dans un grand nombre de circonstances, le même' médicament peut paraître tout à fait inutile. De son inutilité, dans un
le sang les formes parasitaires type- 1 ques du sang comitial. Il paraît s'agir, en somme, d'un streptocoque qui, par ses
tée dans un herbage, ti commit sur elle un attentat à la pudeur. Il paraît , de son propre;, aveu, que c'est le troisième f
que dans ce dernier côté. Vers la fin, les deux sixièmes paires ont paru parésiées ; il a donc semblé qu'il existait à c
ès durcissement dans les réactifs habituels, cette tumeur, nous , a paru solitaire dans un examen minutieux macroscopique
a rien montré d'anormal ; enfin les cellules néoplasiques nous ont paru un peu différentes des cellules épendymaires qu
ans notre cas, la voie pyramidale examinée par la méthode de Marchi paraît intacte ; en outre, nous avons maintenant en no
nsi les mouvements ataxi- formes présentés par notre malade ne nous paraissent pas être sous la dépendance d'une perturbation
voie cérébelleuse médullo-cérébelleuse, ou cérébello-médullaire ne paraît pas s'entrecroiser, il est natu- rel que les tr
un véritable syndrome clinique plus ou moins complexe qu'il nous a paru intéres- sant d'approfondir. L'observation d'un
on entre le tremblement héréditaire et le tremblement sénile nous paraît injustifiée et nous estimons qu'il y aurait tout
ITAUX '108 nerveuse semble influencer sa production. La dentition paraît avoir un effet prédisposant ainsi que certaines m
à fait étrangère au tremblement essentiel infantile dont la durée paraît être indéfinie. En outre il y a dans cette derniè
clonus que nous n'avons pu obtenir qu'à la première épreuve nous a paru cependant indéniable. Devons-nous donc considér
rencontrer dans nombre d'affections céré- brales sans que la lésion paraisse avoir de territoire spécial; .pourtant dans auc
une lésion systématisée. Néanmoins et pour spécieuse qu'elle puisse paraître , cette conception nous permet d'envisager les t
ts incoordonnés des membres. Plus élevés dans la série morbide nous paraissent être les nystagmus avec symptômes surajoutés sp
à un délire ' maniaque très violent. D'après les renseignements, il paraissait alors avoir des hallucinations effrayantes, ten
dû se rendre lui-même au commissariat de police de son quartier et paraître là assez souffrant pour être transféré 124 RECU
TÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 131 I A ces écrits dont les quatre premiers parurent de son vivant, il faut ajouter ses lettres (Las
tte : A certains moments, le mal L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si grand, la mort paraît si imminente que si la c
le mal L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si grand, la mort paraît si imminente que si la cure dite miraculeuse a
atte- ments faibles et lents du coeur qui persistaient, la malade paraissait en effet à l'article de la mort ; après avoir mis
ure n'étant plus placées dans le sens habituel; mais à ma visite il paraissait toujours comme un cadavre et nous ne pûmes obte
les moyens employés pour la réveiller sont res- tés sans succès. Il paraît que depuis quelques années, à diverses reprises
mal et peu distinctement. Le protoplasma se colore à peine ; elles paraissent représenter les cellules de la névroglie envahi
-trois ans, atteinte de manie chro- nique : la gravité de la lésion paraît ici en désaccord avec la vio- lence du traumati
, leurs habitudes étaient presque identiques. Les crises délirantes paraissent avoir été spontanées chez toutes deux et s'être
ux sont demeurées dans le même état depuis leur entrée à l'asile et paraissent marcher vers la mélancolie chro- nique. li. DE
al Science, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et de tableaux, qui paraissent judicieuse- ment établis et puisés a bonne sour
té la cause unique de l'amélioration, mais il est certain qu'elle a paru nettement utile chez deux d'entre eux et que la
veau du même membre. Les faits analogues à l'observation ci-dessus, paraissent à tort exceptionnels; ils seront plus fréquemme
surie alimentaire, qui leur servait de pierre de touche quand dis- paraissaient les troubles mentaux (confusion mentale, délire o
s fonctions psychiques de ces malades. Les réflexes tendineux lui paraissent bien, par contre, en général exagérés, surtout ch
es laissant errer leur regard vaguement fixé dans le lointain. Cela paraît surtout net chez les catatoniques. Il semblerai
e blâme à Le Bechec en termes très vifs. Le Bechec, qui avait fait, paraît -il, de longues stations dans un cabaret situé d
laire sur laquelle je désire appeler l'attention, parce qu'elle m'a paru nettement établie, très spéciale quant à sa nat
trique. Le' 4 septembre, toute altération de la cornée avait dis- paru . D'autre part, la malade se montrait, à partir
une émotion un peu vive (celle résultant de la visite de sa mère) a paru stimuler favorablement son activité cérébrale. ,-
par une sorte de rêvasserie agitée, au cours de laquelle le malade paraît en proie à des hallucinations pénibles. Son langa
t toujours l'objet de soins d'infirmerie, bien que son état général paraisse meilleur ; sa physionomie devient plus normale;
tro- phiques profondes (abcès indolents, kératomalaxie, xérosis), paraît plus directement en rapport avec les centres trop
que constituerait le ganglion de Gasser. 4° Dans tous les cas, il paraît résulter des observations qui précèdent, que, q
moins trois fois plus volumineux qu'à l'état habituel et la malade paraissait éprou- ver une douleur assez vive de ce côté. ·
e inférieure et externe. Les ma- melons, loin d'être hypertrophiés, paraissent , au contraire, rétrac- tés, enfoncés dans la ma
quelques céphalalgies. Pas de zones hystérogènes. Les sens spéciaux paraissent normaux (odorat, ouïe, olfaction, gustation) ;
éclat surpassaient tout ce ' qu'on peut imaginer; ce que je voyais paraissait bien encore tenir de l'image, néanmoins je conn
e quand il s'agit de choses surnaturelles ; les diamants ne pouvant paraître que pierres fausses auprès des pierres incompar
2')4 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE cinq plaies de Notre-Seigneur y paraissaient admirablement gravées. Ce divin Sauveur, en me
able suggestion ; on tourne son imagination du côté de Satan, il va paraître . ' « Cinq ou six grands serviteurs de Dieu, écr
issaient mon confesseur d'être sur ses gardes par rapport à moi; il paraissait être de leur sentiment, quoi- qu'il cherchât to
sse, il me serait impossible d'en perdre le souvenir. L'entrée m'en parut comme une petite ruelle longue et étroite ou co
cou engoncé dans les cornes de deux diables, loin de me toucher, me paraît une hallucination quelque peu extrava- gante, q
t. La constatation de l'état mental infantile des tiqueurs nous a paru utile à signaler; elle est de nature à confirmer
eur et à ceux du psychisme inférieur. La pre- mière hypothèse ne me paraît pas admissible. Supposons par exemple un tic de
presque uniquement en une altération de la volonté. Ce cadre lui a paru bien étroit, c'est donc avec intérêt qu'il a en
- ment lié à la dégénérescence originelle. La volonté n'y a point paru altérée, au moins dans le principe. Il ressort de
n de tic associé à une démence précoce. Il s'agit d'une enfant, qui paraissait normale, fut vaccinée à quelques mois. L'érupti
de police de la rue d'Astorg, cet indi- 284 ' VARIA. , vidu, qui paraissait très exalté, a déclaré se nommer Léonard Blanc,
1..., quarante-huit ans. Clotilde, de dix ans la plus jeune, et qui paraît avoir été, au temps jadis, la plus gracieuse, fut
L'auteur de ces incendies est un irrespon- sable qui n'avait jamais paru dangereux. Il assistait à tous les désastres qu
ibilité est obtuse aux membres inférieurs, les réflexes patellaires paraissent normaux. G... n'accuse aucun phénomène douloure
vroglie, surtout au niveau de la périphérie. Les cellules nerveuses paraissent dimi- nuées en nombre. Le protoplasma des grand
e non aiguë de méningo- encéphalite. » . Cette observation nous a paru intéressante à plusieurs points de vue. Une pre
er ; on laisse seulement échapper quelques soupirs, qui bien qu'ils paraissent faibles et languissants, ne laissent pas au fon
ctérisés, consti- tuant des faits de transition. Les obsessions qui paraissent le plus SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 susceptibles d
hafaude un roman criminel imaginaire, dont l'auto-accusateur r veut paraître le héros intéressant, pour en devenir indirecteme
l'état du fond de l'oeil chez les paralytiques généraux nous ay ant paru man- quer de précision, nous avons essayé de dé
tique par du tissu conjonctif et névroglique proliféré. (Ce mémoire paraîtra in exlenso avec les figures.) Les lésions his
es grains. Il n'y a pas de différence histologique, que le cervelet paraisse atrophié primitivement ou secondairement. Le sy
n de con- crétions dont les aspects etles réactions colorantes nous paraissent devoir être identifiés avec ceux des grains psa
uelles de la compression lente, un volume tellement exagéré qu'elle paraissait avoir doublé ses dimensions dans tous les sens.
Dans nos cas, nous n'avons pu découvrir aucun fait histologique qui parût justifier cette dénomination ; en effet, par to
proposons pour cette affection néoplasique, parce que le terme nous paraît bien mettre en lumière et l'existence des noyau
nges, plutôt embryonnaires dans la moelle dont les éléments nerveux paraissent plus refoulés que détruits, ces tumeurs sont à
hélium, endothélium vasculaire). Si l'on s'appuie sur ces faits, il paraîtra bien difficile de séparer radicalement les endoth
erai que la très intéressante observation de MM. Raymond et Cestan, parue dans le dernier numéro .des Archives de Neurolo
que souvent l'escroquerie, le vol. l'abus de confiance ou le faux, paraîtront déterminés parles besoins d'argent du coupable
ctérise le signe de Babin : ki. - L'intérêt de ces observations m'a paru résider : : 1° dans la cor- rélation existant e
rans- versales, les petits îlots défibres grêles en jeu de patience paraissent le résultat de la division répétée d'une seule
es de cette dégénérescence au point de vue mental. Aussi lui a-t-il paru intéressant de relater l'une d'elles, la démence.
Trois semaines plus tard, Jeanne et Clotilde, revues seules, ont paru en voie de guérison. « Si nous entendions quelque
nte dans l'attitude d'un mé- 416 CLINIQUE MENTALE. lancolique. Il paraît profondément débile et ne répond que lente- men
a sollicitude que méritent ces petites manoeuvres préparatoires qui paraissent indif- férentes et sont, en réalité, capitales
étés celles qui ont trait à la santé et à l'existence de l'individu paraissent les plus fréquentes ; vien- nent ensuite celles
sile d'aliénés de Maréville. L'observation que nous publions nous a paru intéressante à plusieurs points de vue : l'état
es prolongements des fibres des racines sensitives postérieures, et paraissent servir à conduire les sensations'de position, d
505 celle-ci non constante. Pas de névrite optique. Ces symptômes paraissent s'être manifestés soudainement, il y a quelques a
tte classe comporte des enfants névropathes, qui, au premier abord, paraissent lui appartenir soit par leurs actes, soit par l
s enfants chez qui le pouvoir d'attention fait absolument défaut ne paraissent susceptible^ d'aucun progrès dans aucune de leurs
ceux qui relèvent de l'anémie cérébrale. Les observations cliniques paraissent con- lirmer ces vues a priori. Dans t'insutILan
ATHOLOGIE MENTALE. et la folie. Toutefois la manie et la mélancolie paraissent les deux formes les plus communément en' rappot
, comme l'a montré Feré. Dans la très grande majorité des cas, elle paraît être le développement d'un état analogue ayant
vis, de l'auto-intoxication. L'évolution des troubles céré- braux a paru subordonnée à celle de l'auto-intoxication : le p
érison, et l'autre par une amélioration. Les cas de folie choréique paraissent avoir quelques symptômes communs : le changemen
tions sur une ou plusieurs valvules. mais on a publié des faits qui paraissent démontrer que l'endocardite est souvent consécu
it avoir été très faible, et ses sentiments à l'égard des femmes ne paraissent pas aller au delà des satisfactions de l'amitié
is et demi, tous les signes d'une méningite tuberculeuse classique, parut complètement guéri pendant deux ans. Il lit a
maines, fut encore suivie d'un retour à l'état normal ; la guérison paraissait donc de nouveau obtenue, lorsque l'enfant mouru
- lai2l une myopathie. Le diagnostic de myopathie ayant cependant paru douteux, la radiographie permit d'établir celui d
91 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e les suivre et de compléter leur observation. Ces faits nous ont paru devoir rentrer dans le cadre DE L'OBSESSION DEN
es serait devenu tabétique. C'est la thérapeutique morale qui lui paraît la plus efficace. Pour M. Laborde, les individu
ier l'articulation ( ? ). Pendant quinze jours ou trois semaines il parut à la malade qu'elle dormait mieux, mais au bout
'elie est en proie à ces obsessions, ses facultés in- tellectuelles paraissent n'avoir subi aucune atteinte. La malade me raco
tait fait accompagner d'un dentiste de son pays; celui-ci, instruit paraît -il, et dans tous les cas se rendant un compte e
l'examinai avec la plus grande attention. Tout d'abord, et cela me parut caractéristique, Mue de X... étala sous mes yeu
longs services. Tout d'abord, et pendant quelques jours, le succès parut devoir légitimer le parti si radical qu'on avai
ouvait produire des accidents - d'hystéro-épilepsie, ce qui ne nous paraît pas exact. Un choc opératoire peut modifier dan
le mal. nerv., 1886, 355. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 27 liéné, me paraît avoir été bien étudié par Buccola. Il rencontra
ieur ». Voici les thèses de Herzen, dont la portée m'a tou- jours paru très grande, et que Buccola avait admises : 1°
ompliqués et qui s'accompagnent de la cons- cience la plus intense, paraîtront un jour fort sim- ples à nos descendants et dev
va- riations de la circulation cérébrale pendant le sommeil leur paraissent également être l'effet, et non la cause du somm
Schiff : elles mènent plus loin et, entre voies nou- velles, elles paraissent bien avoir ouvert celle qui re- lie directement
multiplie dans les subdivisions variées du ceu- tre général. Et il paraîtra qu'il y a une beaucoup plus grande différenciat
és avec le galvano-cautère. Il fut aussitôt laissé détaché, mais il paraissait effarouché et ne voulait pas quitter sa place.
les deux plis courbes étaient détruits. Les premiers jours, ranimai paraissait tout à fait aveugle, mais la vision revint gra-
ces, ne pouvait pas trouver sa nourriture, excepté en tâtonnant, et paraissait insensible à un jet de lumière projeté à ses yeux
ut avec toute la m'ain et tombant en deçà ou au delà ou de côté. Il paraissait voir les objets tenus en haut, en bas et de chaqu
les résultats obtenus par Gilman, Thompson et Sanger- Brown 2, qui paraissent tout à fait en désaccord avec ceux de Munk, Gol
troubles de la vision à la suite de lésions des régions occipitales paraissent avoir été presque invariablement associés avec
cles, les choses qui l'en- vironnent habituellement, cependant cela paraît dû plutôt à un affiuement de ses autres faculté
rve de la cyanose du visage et des extrémités : cette action dis- paraît aussitôt que l'on supprime l'administration du mé
3° l'excrétion de l'acide phosphorique, de la chaux, de la magnésie paraît ne pas être influencée par le sommeil. P. K.
une série d'observations de folie circulaire et périodique qui ont paru subir une influence de certaines lacunes dans l'o
vertébrés. Ses fibres sont partout myéhniques, et la myéline y ap- paraît plus tôt que dans la plupart des autres systèmes.
cules quadrijumeaux inférieurs ceux-mêmes, comme d'autre part il paraît établi que le lobe temporal gauche préside à l'in
ant restés inaperçus jusqu'alors de la pathologie mentale. En 1843, parut le travail sur la stupidité. On croyait alors q
liées déjà dans l'Union médicale. Elles font suite à celles qui ont paru en 1881 dans la Gazette hebdomadaire de médecin
et de physiologie normales et pa- thologiques de Bordeaux. Vient de paraître le tome X, rédigé sous la direction et par les
ent notre employé, « à des hauts et à des bas ». Ses recrudescences paraissent avoir pour origine la recrudescence du vice alc
opinion, pour ce qui a trait à l'atrophie musculaire saturnine, me paraît pouvoir s'appliquer, non seulement à la névrite p
érieure de la formation go- dronnée dans le ventricule. Ce qui me paraît devoir être invoqué en faveur de cette anologie
; leur développement est en raison inverse l'une de l'autre'. Il me paraît cer- tain, en tous cas, que ces deux éléments o
; c'est ensuite parce que ses émanations, grise et blanche, qui me paraissent indéniables, ont les relations les plus intimes
anches de la racine serait très apparente chez les osmatiques; « il paraît probable dès lors qu'elles 200 ANATOMIE. z so
e quelques auteuis décrivent aujourd'hui sous le nom de cingulum me paraît être l'ourlet de Foville. Mais, en raison des des
PPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 20H de l'ourlet. Elles nous paraissent en conséquence appartenir au système des commis
considérable. » Chez le chien, l'abaisse- ment de la température a paru plus marqué encore; il a une fois atteint huit
rouver ce fait bien extraordinaire. De nouvelles expériences nous paraissent nécessaires à cet égard '. 'Dans une critique d
a une fois qu'un des animaux pouvait entendre, une autre fois qu'il paraissait sourd du côté gauche, et une autre fois encore
paraissait sourd du côté gauche, et une autre fois encore qu'il ne paraissait pas réagir aux sons aussi rapidement et aussi c
licable entre les résultats de Schaefer et ceux de Yeo et les miens paraît exister. Si chez ces animaux l'ouie n'était pas a
ite. Le jour suivant et progressi- vement à partir de ce moment, il paraissait quant à l'ouie à tous égards pareil comme avant
dant qu'on le veillait et que son attention était ainsi occupée, il paraissait tout à fait inconscient des sons qu'on faisait po
partie de la troisième, il ne survient aucun trouble de l'ouïe, qui paraît en effet quelquefois plus fine que d'habitude. Ce
ependant, quant à celui-ci et aux autres centres sentitifs, Luciani paraît combattre pour une forme de localisation qui n'
montent vers le cerveau. Les expériences de Ludwig et Woroschilotf3 paraissent 1 Sitzungsb. Acad. d. 1 Visse iiscibafie)z zu B
e l'équilibre suivent l'opération. Ceux-ci cependant tendent à dis- paraître avec le temps. Les expériences de Bechterew sont
pas la méthode employée. Dans un cas, on dit que le sens musculaire paraît être normal des deux côtés, sans autres détails
rvation de la sensibilité tactile. Dans un cas3, le sens musculaire paraissait perdu dans la jambe paralysée, mais dans ce cas
s, mais bien plutôt de] l'instabilité du tronc. Cette instabi- lité paraissait elle-même être la conséquence de la perte du sens
pathologique du sys- tème nerveux central ; - 2° leurs altérations paraissent être ho- mologues à celles qui ont été observée
naires des nerfs crâniens. Ce sont les noyaux des nerfs moteurs qui paraissent le plus éprouvés. P. K. XXXVII. DE la genèse
parties dans les deux moitiés de la moelle épinière, de sorte qu'il paraîtrait irra- tionnel de rattacher l'atrophie des muscl
s du bras gauche sont fortement atrophiés; ceux du membre inférieur paraissent sains à la simple inspection. Cécité presque co
sations douloureuses. Parole et voix normales. Les réflexes cutanés paraissent intacts; les réflexes patellaires sont exagérés
ette tumeur présentait une surface bosselée, de couleur grise; elle paraissait légèrement congestionnée et adhérait à la dure-
lement. Dans la moelle épinière, la configuration des cornes grises paraît très régulière; de même, rien d'anormal dans le
ctéries spécifiques, ni bactéries de Nicolaier; par contre, le sang paraissait avoir subi des altérations chimiques. Paul Bloc
oudriez nous dire en ce moment : je vous entends : Tout cela vous a paru bien naturel et bien simple FAITS DIVERS. 307
e temps des signes évidents d'aliénation mentale. Hier soir elle ne parut pas à l'heure du dîner et son mari la rechercha d
e, mardi dernier, une jeune fille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt clinique. Vous vous s
eurs, avec ces notions quelque peu arides d'anatomie, mais elles me paraissaient indis- pensables comme introduction à l'étude c
donc en cause ? Oui, très certainement, quelque invraisemblable que paraisse cette hypothèse. Je dis invraisemblable, parce
succès du reste ? Cette paralysie qui avait respecté la face dis- parut peu à peu, spontanément, après avoir duré plus
pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie motrice était, paraît -il, accompagnée d'une hémianesthésie tellement
st à l'état d'isolément. Je sais bien que, quelque singulière que paraisse tout d'abord cette dissociation, la para- .ysie
M. Gilles de la Tourette', a parfaitement mis en évidence et qui paraît particulier au blépharospasme hystérique'. Nous
ir est fille d'un réfugié polonais, fort buveur et très alcoolique, paraît -il. L'al- coolisme du père constitue le seul fa
enfermé raz Bicêtre et à Charenton; il s'évada un beau jour, dis- parut et, depuis vingt ans, on ignore ce qu'il est de-
prolongée. Le résultat en a été publié en résumé par M. Ségl, mais, paraît -il, sans l'autorisation de leur véritable auteu
mique. Ce que j'ai chaud ! Charles, je sue sur la poitrine... Ça te paraît drôle ; c'est que je suis extraordinaire... Ce
uite par son idée domi- nante. La parole n'a aucune action. Elle ne paraît pas entendre même les mots les plus simples, te
r la couleur de sa toilette. Verre vert clair (carreau de vitre). paraît regarder au travers d'une fenêtre et assister à
elle. Etant donné la notoriété scientifique des deux auteurs, il me paraît indispensable d'examiner le bien fondé de celte
tteints et les autres indemnes ? Il est évident que certains sujets paraissent doués d'une prédisposition spéciale. A quoi cela
res a gauche. L'ouïe était intacte des deux côtés, la vue cependant paraissait un peu obscure quoique peu abolie vers la droit
inor. Cet animal était très anesthésique du côté opposé, mais il ne paraissait pas y avoir une analgésie absolue. Cependant to
ns du corps calleux et de l'hippocampe. Quoique le gyrus fornicatus paraît être une région purement sensitive et que par s
ort de la racine interne avec la circonvolution du corps calleux me paraît être seulement superficiel et probablement cett
as par la commissure antérieure. Anatomiquement le tractus olfactif paraît Archiv. sur Psychiatrie, BanrlIIX. ! Fig. 33.
eut n'en trouver qu'une (n° 2, planche 4) où l'extrémité antérieure paraisse complètement enlevée. Dans toutes on peut toujo
trouva en bonne santé et assez vigoureux, quoique un peu abruti; il paraissait avoir perdu toute tendance à manger sponta- ném
s après l'opération, on plaça une pincée d'aloès dans sa bouche. 11 paraissait indifférent et ne manifesta aucun signe de dégo
férant, par exemple, les pommes aux pommes de terre bouillies et il paraissait aimer le sucre et le riz, mais je ne pus détermin
'ai déjà mentionné que les symptômes de l'hémianesthésie hystérique paraissent montrer que l'olfaction comme les autres centre
; lorsque les centres sont détruits dans les deux hémisphères. II paraîtrait , d'après les recherches de Frank et Pitres', d'Ex
motrice. Les données sur lesquelles ces conclusions sont basées me paraissent très peu satisfaitantes. Les lésions ont été ou d
puis corroborer ce fait par mes expériences chez les singes. Ce qui paraît comme une altération de la vision du côté oppos
des aliénés dans les asiles, on pourrait placer quelques cas cités paru . leD·Gtraud, de Rouen, de condamnations inl1lg-
lire et reconnaître une responsabilité partielle ponr les faits qui paraissent y être étrangers ? Il faut re- connaître que ce
de la peine, dans les cas où la responsabilité est limitée, n'a pas paru suffisante au législateur italien qui ment d'é-
- tions, apportant ainsi un ensemble de quatorze observations qui paraissent établir nettement que, contrairement à l'assertio
és pauvres sur les échafauds ? Vive la République ! » o Il nous a paru intéressant de reproduire ce passage en raison de
92 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
compte ¡i vous-même. Cependant deux petits articles de vous, qui ont paru dans le journal, àpropos do vos f^ôances du mercr
vase qui ne se laisse pas traverser. Donc, — et mon paradoxe va vous paraître tout à l’heure une vérité à la façon de M. Lapali
, de rûtiona/isme, ûebioiogime et A'eniran-sisme, et chaque jour voit paraître un livre nouveau, créer un journal pour propager
une école toute spéciale, en la faisant reposer sur des bases qui me paraissaient bien solides, c'est-à-dire en lui donnant des loi
s’endormir un homme qui était pour le moins septuagénaire , le cas me parut intéressant. Aussi, après avoir terminé avec ma m
évenir ou au nioins à re-tai'jjer pour quelque temps une chute qui me paraissait cependant imminente. (c Je n’ai point, on effet
Morin, intiniié,; Du Magiiélitttie.ct.det Stietires o«'iVi«,j,yientde paraître à ta librairie de Germer Baillière. 1 vol. in-8°.
rète Chasles, dressait le catalogue des diver-sfis prophéties qui ont paru , depuis déjà plusieurs siècles, touchant l’Eglis
squ’à votre oreille. L’hypnotisme n'est point une science, comme vous paraissez le croire ; c’est tout simplement un état de somm
meil magnétique. « Mesmer, l'un des premiers magnétiseurs qui aient paru en France, produisait le somnambulisme au moyen d
ut simplement son vrai nom de sommeil magnétique, d’autant plus qu’il paraît assez difficile de concevoir un sommeil quelconqu
ns et à accueillir le même phénomène sous le nom d’hypnotisme. « 11 paraît que, vers 1855, un dictionnaire de médecine, publ
choics possibles f/ii'on ne le croit commu-n nément. » « Ce qui mo paraît presque surnaturel, c’est qu'en plein dix-neuvièm
ut ces divergences, empêchent pour moi toute certitude. « Ce qui me paraît hors de Joute, et déjà les médecins convertis à l
. Azam, Broca, Velpeau et quelques autres médecins ou chirurgiens. 11 paraît aussi que les expériences d’hypnotisation des mal
e peuvent comprendre. Tout dans le domaine de la science n’a-t-il pas paru impossible au com-mencemenl? Les grands génies se
z-vous forcer le monde à devenir aveugle, lorsque la lumière lui ap ■ paraît ? Est-ce quelanature vous a choisis pour vous dir
de taüt de mondes qui passent silencieux au-dessus de nos lêtes, leur paraissent des chimères, par cela sml que ces sciences dépa-
. Les milliards de soleils, les ¡ilanètes avec leurs satellites, leur paraissent comme des jioinls suspendus au firmament pour écl
Je n’eus pas l’air d’y faire attention s mais tout en m’efforçant de paraître indifférent à leui-s railleries, j’étais vivement
dernier fât, c’est-à-dire l’écoulement si rapide d’un sang extravasé, paraîtra peut-être incroyable ; mais bien des téraoÎDs son
qui 3è reproduit assez souvent, quel est le phénomène qtrl doit notis paraître le plus èsthioidinaire, de la vue ré-irbgpective
i particulier qu’on nomme la catalepsie. Un Américain, îM. Grims, qui paraît avoir ignoré les expériences de M. Braid, découvr
r à son auditoire, surmonter une indisposition assez sérieuse, car il paraissait être obligé de faire effort pour émettre la parol
avec les précédents, k La poule, (lit-il, étant dégagée de ses liens, paraîtra dans une sorte d’étonnement ; elle restera immobi
hui presque prouvées , bien des choses devieiment possibles qui ne le paraissaient point ; que la raison dise non quand la nature di
e sont idéalisées avec une ponctualité remarquable, elles ne nous ont paru s'appliquer qu’à des actes ou à des lésions de le
agoétisme avec la jurisprudence et la médecine légale. Ce travail m’a paru d’autant plus nécessaire que depuis quelques anné
aupi-ès de njoii père, je dus inter-rompreuDtrailementdoiula réussite paraissait très-prochaine. Je ne lardai pas à entreprendre
ce, tâchez d’apercevoir, au passage, un de ces mondes non décrits, il paraît même que cela n’est pas très-difficile, vous aure
El/B HENRI ROGER. Dans le numéro du 2 mars dn Constitutionnel, il a paru un insolent article sur le magnétisme et l’hypnot
ndant je fus poursuivi par l'Université de Montpellier ; deux fois je parus devant un tribunal. Les savants voulaient absolum
s caractères sacrés qui s’y trouvent. Baron du Pot£t. 11 vient de paraître un intéressant petit ouvrage, dont l'auteur a gar
ner à la pathologie, et nient tout le reste, c'est-à-dire tout ce qui paraît en dehors des lois constatées de la physique. La
ilité à personne. « Nous ne pensons pas que cette digression puisse paraître superflue ; nous avions à nous prononcer sur le c
d’une manière régulière et permanente. C.’est la seule voie qui me paraisse rationnelle, si l’on veut arriver à la vulgarisat
s naturellement débiles, j'invitais l’un des incrédules, celui qui me paraissait le plus doué de forces physiques, à lutter contre
, convaincu... Je renouvelais CCS diverses épreuves sur tous ceux qui paraissaient éprouver encore quelques doutes, et tous se retir
tion dc médailles et de récoin penyrs. BIBLIOGRAPHIE. Il vient de paraître un peiit roman intéressant inlilulé : Siiuou la D
vertu de changer leur sommeil naturel en uD coma étrange, où on voit paraître tous les phénomènes do l’anesihésie et de la cata
s et les mouvait comme s'il eût été éveillé), ma responsabilité ne me paraissait courir aucun risque ; on voit par là que ce jeune
dant un article de M. Ch. Piireyra sur Je Tphrénolo-magnclisme, qui a paru dans le numéro du janvier IKRO, pafrr 21 rt wiiv.
us pefsnstODS plus qné jiMiais, àu iontraire, à repousser oe qui nous paraît indigne d’une attention sérieuse. Cependant, co
c-^iae qui, nous en demandons pardon à ses défenseurs, nous atoujours paru excessivement fragile, nous recueillons tous les
re ; car, après la première serre de la gêne qu’on lui eut donnée, il parut dormir aussi tranquillement que s’il eût été dans
oiqu’on lui eut ôté ce papier, il ne laissa pas d'être ou au moins de paraître insensible aux tourments, parce que, lorsqu’on l’
Je citerM à l’appui de cette assertion quelques «xpériences qui me paraissent concluantes. mUlÈB& EXPéRlEHCE. Ainsi, je
. On pourrait penser qu'il devait être difilcile do gouvener ce qui paraissait être un toliu-bohit ; il n’en a été rien pourtant
udraient les aborder. Voici ses paroles : J’étais loin du projet de paraître à cet anniversaire : on n’aborde pas une fête ave
mentfaible et comime fatiguée. Aubout d’un certain temps, après avoir paru se complaire daus un bien-être général, il me dit
ques? Le livre de M. Alcide .Won’n, intitulé Tènihrei, est ce qui a paru jusqu’ici de plus savant, de plus hardi et de plu
es ont trouvé leurs maîtres. J0D4RU. Ud journal humoristique, qui paraît à Moscou sous le titre de Dûtrnciion, publie un f
du 19 ventôse an xi, Ü65 et i83 du Code pénal ; 1 Attendu que s’il paraît constant aujourd'hui, par la jurisprudence de la
s de ma fille. Les règles à peine prononcées le mois précédent, ont paru le 2â, plus de moitié de ce qu’elles étaient avan
èle exécution du programme. La pauvre femme, pétrifiée de surprise, paraissait en proie à d'étranges sentiments. Je magnétisai
plus les mômes difficultés chez les étrangers ici établis, mais qu’il paraît , d'après ce qui m’a été dit par des gens très-sér
vrage sur le merveilleux, et surtout le troisième volume qui vient de paraître sur le magnétisme animal, ne pouvait manquer d’at
siion mentale, ou (le Ja PÉAÉTRATiON DBS PENSÉES par le sommimbuUsine paraissent maniléates, éclatants chez les énergu-mèi)es.....
fond du sac. Tout cela, au point de vue de la logique ordinaire, peut paraître , à quelqu’un qui ne regarderait que l’apparence,
me couleur, on le verra parfaitement bien éclairé et sa couleur rouge paraîtra fort brillante i mais si on tient à la même place
vert dans la chambre en sera parfaitement éclairé el sa couleur verte paraîtra fort vive. Il en esl de même de toutes les autres
ajouter même que, dans certaines cir-cmislances, lamortdepliisioui-s paraissait réelle, et pourtant la vie esl reveoiie. Je ne
autre temps. Les grandes figures de quelques anciens personnages nous paraissent si supéi-ieures à celles de nos princes de la sci
s trouvera tous coDsignés dans mon ouvrage sur le magnétisme qui doit paraître prochainement. Ici, je me bornerîd à rapporter
ulle part, et qu’elle me remerciait bien. Comme le sang n’avait pas paru , je lui dis de revenir le lendemain à la même heu
ce même travail, une réponse aux critiques dont il a été l’objet, qui paraîtra dans le prochain numéro. AVIS A.UX ABONNÉS. L
à certain fakir, je passe mon temps k contempler mon ombilic, el vous paraissez surpris de voir un champion, jadis si intrépide,
ère tout à fait indirecte, c’est-à-dire dans les livres. M. Warlomont paraît ignorer encore les notions les plus élémentaires
oir dire que j’ai suivi une marche diamétralement opposée k celle qui paraît avoir été adoptée par M. Warlomont. J'ai peu lu l
qui n’avaient jamais élè soumises aux procédés magnétique», mais qui paraissaient Halurellemcnt impressionnaLles. Ainsi, soit dans
triple, j’obtiens le somnambulisme parfait. Cette expérience ne vous paraît -elle point concluante ? D’un autre côté, si je
t l’une avait une grande pratique en magnétisme ; celte fois le sujet parut ressentir légèrement l’action des courants auxque
st vrai, plus long-temps que la première fois, et cette diiTérence me parut suffisante pour rendre raison des résultats oppos
ses existent dans cer- laines parties du corps, où Je Uuide nerveux paraîtrait s'être accumulé, j’ai ponr principe de ne pninl r
e magnétiser de la main droite à distance j cette manière de procéder paraissait bien m’offrir quelques bons résultats, mais ne co
nétique ne présentaient pas une sensibilité égale, et même plusieui’s paraissaient ne rien éprouver ( seul le magnétisme paraissait
et même plusieui’s paraissaient ne rien éprouver ( seul le magnétisme paraissait agir d'une manière insensible) ; alors pour ces p
Le mode de galvanisation par influence du D' Seiler, dç Guiiève, paraît oiïi'ir à cc praticien d’innirenx résuUals ; la p
ipe ? Nier la possibilité, la réalité des faits, si difficiles qu’ils paraissent , ne serait-ce pas, logiquement, anéantir la virtu
e, on qualitie d’op^ruiion du SaiTtl-Eti-ril ? Marie, à ce qu'il peut paraître , n aurait eu ces exiases qu'à l’occasion de son p
animales, le plus en plu» pciTcclionnées dans leur organisme, qui ont paru à la surface tlu rIom, sont les filles les unes d
rpris, le lendemain, de comprendre parfaitement ce qui, la veille, me paraissait entouré d’épais nuages. > François Arago. ( ¡¡
esmérieu par certains auteurs. Cette dénomination est la seule qui me paraisse rationnelle. M. le D'Ordinaire formule l'opinio
ait; en regardant en iiaut, on n’y « verrait rien du tout, et le ciel paraîtrait noir comme pendant la nuit;» car tout est obscur
qu’il ne faut point rejeter à priori ce qui, au premier abord, pe\it paraître surhumain. 11 se trouve bien par-ci par-là des
l’cspacc de cinq secondes, une telle rigidité des muscles que le bras paraissait Ctre de fer plutôt que de chair et d’os. Pendant
i étaient présentés, il reculait épouvanté; la volonté et larôflcxion paraissaient aniaii-ties. Je me décidai alors d’aborder la cla
ent plus lOt au lieu destiné, je lui commandai d’accélérer le pas. Il parut alors s'arrêter au milieu de sa course imaginaire
ire, puis le mouvemcntdes épaules et du thorax devint plus rapide, il parut essoufflé, il sua. Arrivé au village et dans l'a
es. On la nommait Etephantiaiit, peut-être à cause de l'éléphant, qui paraissait y être sujet. En peu de temps cette nouvelle mala
auteur présente comme historique, peul, aux yeux de bien des gens, ne paraître qu’une rêverie, l'our nous maintenant, d’après no
gnes et de la contemplation où lui sont venus les secours du ciel, il paraît à Persépolis, frappe d’admij-ation le souverain,
l’intérêt des magnétiseurs, je crois devoir faire à un article qui a paru dans le n' 7, 2' année, 1” octobre, du journal le
ublie M. Ch. Lafontaine. J'ose espérer (pie vous voudrez bien faire paraître ce petit article dans votre savante publicatiou.
uves qui ont trait à la/ifctc/iié avec quelque chance de succès. S’il paraît embarrassé, s’il hésite le moins du monde, vous n
re des personnes présentes à la séance se trouvait nne jeune dame qui paraissait vivement préoccupée. Cette dame, après avoir hési
corps. — Je vais faire ce que vous me commandez. La jeune paysanne parut se consulter en elle-même ; il s’écoula ainsi que
somnambule se livra pendant qnelques minutes à un travail mental qui paraissait mettre en jeu toutes ses facyltés. Sa pbydQ-nomie
paysanne. La somnambule, qui ne s’attendait pas à ces démonstrations, parut toute décontenancée. Madame B... se leva de des
dre. La voilà 1 La porte du salon s’ouvrit en effet, et madame B... parut . Tous les faits signalés par la jeune paysanne se
Potet qu’il s’est trompé, et à démontrer au docteur Gérard, qui nous paraît être un observateur de mérite en magnétisme et en
’avoir jamais rien éprouvé des souffrances de ses malades : ceci nous paraît exagéré; car nous doutons fort qu’il n’ait jamais
vant toute liberté aux écrivains, de dire mou sentiment sur ce qui me paraîtra hasardé et contraire & une saine pratique.
embrasse la défense d’un nouveau principe n’en a jamais, — je n'aurai paru m’arrêter ;ui instant que pour chercher les moyen
93 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans la 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. , résolution complète; de plus, il paraissait y avoir une légère dimi- nution de la sensibili
faire ressortir, en quelques lignes, les quelques points qui nous paraissent dignes d'intérêt. La tumeur que nous avons obse
oit dans la cavité cranienne. Quant à la marche clinique, elle nous paraît trop classique pour que nous la reprenions ici;
e ou du délire, nous avons suivi la méthode que voici et qui nous a paru la plus certaine. Le choix de la veine étant fa
un microbe d'une façon nette et certaine. Deux tubes de gélatine ne paraissent pas avoir poussé malgré l'aspect trouble et lou
emencés avec ces deux bouillons ; au bout de trois jours, on y voit paraître des grains arrondis, jau- nâtres le long de la
ertains auteurs'. - 'L'opium et ses dérivés, surtout la morphine, paraissent cal- mer pour un moment les accès. Mais le morp
t-on pas en faire usage. La belladone ou son alcaloïde, l'atropine, paraît surtout être efficace dans une manifestation ép
lacer. Mais dans la majorité de nos observations la picrotoxine n'a paru amener aucune amélioration. Dans quelques cas m
a conscience au cours de ces crises, l'auteur cite deux cas qui lui paraissent probants, destinés à démontrer qu'une attaque épi
logie; par le Dr IREND. L'auteur commence par déclarer qu'il ne lui paraît pas justifié de faire dépendre les obsessions e
ge microscopique de la genèse (vibration) d'une sensation. Un corps paraît à l'oeil être en mouvement quand son image couvre
s de l'arcade zygo- matique ; main droite immobile; les deux lèvres paraissent plus volumineuses que normalement; à droite la
rniers doigts. z Elle fut de règle dans 14 cas sur 20 malades. Elle paraît propre . à la sclérose des cordons postérieurs.
e simple ou prolongé sous forme d'état de mal ; l'attaque de spasme paraît avoir surtout le privilège. Encore, semble-t-il
attention toute particulière; on y trouve en effet des preuves qui paraissent indiscutables de l'identité de l'hystérie et de
sur des statistiques bien faites, et sur des inter- prétations qui paraissent légitimes, l'auteur conclut dans le sens de l'a
us apprendre à ce sujet, le médecin qui l'a soignée : les os ne lui parurent pas intéressés par la bles- sure ; les lèvres d
vidence, à le nier jusqu'à la fin. Mais si l'hystérie ne nous a pas paru avoir joué un rôle direct et pré- pondérant dan
la marche indiquée par la nature elle-même. Les labiales (b, p, f,) paraissent tout indiquées pour com- mencer la série, leur
exercer une sans en mettre une autre en mouvement ? Bien que cela paraisse prétentieux, après l'adjectif nous pas- ho THÉR
mots, et cela par le seul commerce avec leurs semblables, mais ils paraissent ne pouvoir construire une phrase si courte soit
aient pas avec lui, et quelques semaines ont suffi. D'autres idiots paraissent ne pas avoir de souffle. Ils hachent leur conve
n du bromure de potassium avec le bromure d'ammonium et de sodium a paru à M. Ball et à Charcot produire de meilleurs ef
itation ou de trouble mental consécutifs aux accès. Ces lavages ont paru produire d'heureux effets chez Soliv... en part
nt déjà com- mencés et dans l'état de mal que cette médication nous paraît devoir être employée. Hydrothérapie el fricti
partielles de réflexes, lésion récente des cordons postérieurs qui paraît plutôt purement fortuite : Observation I. Gli
'agit d'un cas d'amputation intra-utérine; la cicatrice aurait dis- paru avec le temps ( ? ). - C. XXI. Deux cas d'herma
rvations (comtés de Cumberland et deWest- morland), la mélancolie a paru plus fréquente chez les femmes que chez les hom
érant. Les autres causes (trauma- tisme, hérédité névropathique) ne paraissent avoir joué qu'un rôle secondaire ou incertain.
ment, la période infantile, et que les règles n'avaient pas encore paru , ou n'avaient paru qu'une ou deux fois. La durée
nfantile, et que les règles n'avaient pas encore paru, ou n'avaient paru qu'une ou deux fois. La durée de la mélan- coli
ent à ce que la femme peut garder un certain degré de passivité. Il paraît certain que l'inversion sexuelle fait de nombre
ce point trente ans avant que le travail d'Esmarch et de Jessen ne parût . (Revue neurologique, mars 1895.) E.B. XXXIII
ovoque une dénomination étiologique. Et cependant tous les toxiques paraissent agir un peu comme l'alcool. Si, dans les autres
comme l'alcool. Si, dans les autres cas, les psychoses éveillées paraissent les mêmes, c'est qu'on n'a pas encore différencié
de l'excitation venue des nerfs bronchiques et pulmonaires, ne nous paraît pas exacte. Raymond range les myélites capabl
ons, elle allait, avançait comme à l'ordinaire, mais ses jambes lui paraissaient lourdes; une promenade un peu longue, le fait d
hérie, un îlot de leucocytes qui s'amoindrit et finit même par dis- paraître entièrement à mesure que l'on descend. Sur les
par aucun accident mental. Même, l'intégrité actuelle des facultés paraît répondre de leur intégrité passée. Cependant, e
cette perte, très triste, mais sans que son état de tris- tesse ait paru morbide aux personnes de son entourage. Cependant
a préparé le terrain pour l'éclosion du délire dans ce cerveau qui paraissait jusque-là solide. Jusqu'en 1891, en effet, notr
res nous sont inconnus. Il faut cependant remarquer que sa fille ne paraît pas indemne au point de vue mental. - En somm
comme dans la précédente ; et ces faits, par leur netteté, nous ont paru assez intéressants pour mériter d'être ajoutés
- taux peuvent être, même chez le vieillard, très fugaces et dis- paraître sans laisser plus de trace que chez les dégénérés
des facultés, bien que le malade ne soit pas en démence. 6° Cela paraît d'autant plus probable que chez les vieillards à
post-opératoire ou à l'atro- phie partielle du corps thyroïde et il paraissait exister entre ces deux états d'une part (ralent
yer cette théorie. Bien que, en l'état actuel des choses, elle nous paraisse la moins inacceptable de toutes celles qui ont
phtal- mique, malgré quelques observations de M. Jules Voisin qui paraissent favorables à l'injection ou à l'ingestion du suc
ps thyroïde dans la maladie de Basedow. Au contraire, l'agitation a paru diminuer, et même dans les jours qui suivirent
- sion de certains réflexes, le rétrécissement du champ visuel me paraissent le démontrer. L'analyse de l'urine, qui a été fai
n gonflement de la tumeur thy- roïdienne. Tous ces phénomènes ont paru connexes, l'évolution du goitre semblait liée à
et tabes combinés. Le goitre exophtalmique semble lié au tabes qui paraît lui-même comme la paralysie générale être d'ori
(8,40), alcool de betteraves de 2° distillation (9,78). La toxicité paraît augmenter un peu avec le vieillissement. Cette
La syphilis n'a pas été rencontrée. Les excès de bière et de cidre paraissent jouer un -certain rôle dans son développement.
vie commune ; lorsque le retour à la raison et à la vie commune ne paraîtra pas possible. Le pa- ragraphe 150 spécifie que
ventre donnés aux malades. Le personnel de la maison a l'habitude, paraît -il, de prendre les fous à la gorge dès qu'ils f
épigastre; ils appellent cette brutalité a donner un apéritif ». Il paraît que même le pasteur de Bodelschwing donnait l'e
Pas de troubles de la sensibilité ni des sens, sauf de l'odorat qui paraît alfaibli. Les pupilles puncti former égaies, ne r
de la moelle. Néanmoins les coupes colorées par 'la méthode de Pal paraissent moins foncées que des coupes de moelle saine; c
s, dont l'interne est de nouvelle formation. La moelle elle-même ne paraît pas avoir souffert de la lésion de ses vaisseau
re et fortement atrophié; le droit a perdu son aspect nacré mais ne paraît pas sensiblement 'diminué de volume. - Les hémi
gnés par l'altération intersti- tielle, mais leurs tubes nerveux ne paraissent pas lésés. Sur leur trajet les méninges sont fo
'y a pas eu de paralysie oculaire. L'état mental et le caractère ne paraissent pas altérés. Evolution ultérieure. - Pendant to
rieures. Les racines du renflement cervical sont grisâtres, mais ne paraissent pas avoir bien notablement diminué de volume. L
ne veinule à parois fortement infiltrées; mais les tubes nerveux ne paraissent nullement atteints par cette lésion purement in
e en l'appuyant sur l'étude d'une disposition anatomique qui nous a paru n'être qu'un artifice de préparation. Mais nous
encontre enfermé dans la gaine de la carotide.interne à laquelle il paraît adhérer; on rompt les adhé- rences et on met à
et promptement. Immédiatement après l'opération les douleurs dis- paraissent , ainsi que tous les autres symptômes qui ont été
par le Dr 1<foNaoosnao. Dans un premier cas, la diplégie faciale paraît avoir eu une ori- gine spécifique et céda à un
yroïde, tandis que les sujets dgés, dans les cas de M. Bourneville, paraissent avoir été surtout influencés. M. Bourneville
ir compte de sa valeur fonc- tionnelle. C'est cette notion qui nous paraît expliquer les effets en apparence contradictoir
fection cardiaque. Vers la même époque il s'adonne à l'onanisme. Il paraissait très intelligent et donnait des espérances aux
action ou réaction très faible; au contact du doigt, la sensibilité paraît conservée; les objets froids (comme un verre re
rinage national, se traînant .péniblement avec des béquilles. Il paraissait dans l'impossibilité de se tenir debout. Mais, ap
e Griesinger eurent, entre autres, un grand retentissement. En 181, parut la première édition de son Traité des maladies
l'active sollicitude dont les aliénés sont l'objet, l'émulation qui paraît régner entre les divers États pour procurer à c
e de se prononcer sur les effets curatifs de cet alcoloïde, mais il paraît présenter des qualités sédatives. Il a paru mod
et alcoloïde, mais il paraît présenter des qualités sédatives. Il a paru modifier avantageusement les convulsions hystér
ération et l'atrophie ? Les deux observations relatées par l'auteur paraissent en faveur de celte hypothèse rationnelle, la qu
bres sensitives, motrices et de fibres de la couche optique, et qui paraissent avoir leur appareil moteur propre. Tels le centre
particulier par la disparition des réflexes patellaires. La moelle paraissait normale et cependant, par la méthode de colorat
s symp- tômes cliniques et des lésions, il tire les conclusions qui paraissent s'en dégager tout naturellement. Nous ne pouvon
très colorées, très peu ou moyennement colorées. Ces différences ne paraissent pas tenir seulement au rapport qui existe entre l
s, - les affections psy- chiques secondaires, y compris l'idiotie - paraissent être sous la dépendance d'une atrophie des fibr
oduction d'accès convul- sifs hystériques. L'hystérie traumatique paraît plus fréquente chez les' buveurs. Chez les alco
iode mensuelle a varié entre 4 jours 1/2 et 5 jours 1/2. Les règles paraissent avoir une influence dans environ 20 ou 25 cas p
des dizaines d'années sans modifications. L'auteur en a observé qui paraissent devoir rentrer dans la forme décrite par Krajpe
ons qu'il donne pour vanter et justifier de telles exhibitions nous paraissent au contraire constituer d'excellentes raisons pou
s'arrête brusquement par moments pour lancer des éclats de voix qui paraissent la fatiguer. Il semble que ces spasmes se produis
sion à elle que l'on pourrait écrire tout en plein. Ces trois mots paraissent lui servir à donner plus de foi ce à son idée et
pasmes persistent. Octobre. Suspension de l'élixir. - Les spasmes paraissent avoir pris une nouvelle expression. A tout bout
de ses cama- rades ; par moments, expressions risquées dont le sens paraît lui échapper.- Très capricieuse à l'atelier de
s redoublent et réciproquement. Véritables poussées génitales qui paraissent inconscientes. Elle nous appelle « son amoureux »
atrophie. Ce fait, survenu en pleine épidémie d'influenza, nous a paru , en raison des premières manifestations du début
s, sur le nerf radie culaire, au voisinage du ganglion et qui lui a paru être la caus- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 473
e atteint les deux racines antérieure et postérieure. En résumé, il paraît exister, dans les portions de racines com- pris
occipitaux. La dégénérescence accusée du bourrelet du corps calleux paraît correspondre à la cécité corticale observée en
symbolie : ce malade tient énergiquement ce qui lui est donné, sans paraître avoir notion de l'usage de l'objet. Avec la dis
t également un pronostic favorable. Les hallucinations et l'anxiété paraissent , dans cette forme clinique, être dans un rappor
i déments, mais chez lesquels l'analgésie par son degré accentué ne paraissait pas en rapport avec l'étal psychique, les troub
tement en rapport avec des alté- rations vasculaires. Ces dernières paraissent provoquées par l'alcool. M. 1\oNIG. - Quelques
és chez elle. Elle est âgée de 60 à 65 ans. Depuis quelque temps, paraît -il, elle donnait des signes d'aliénation mentale.
ait des signes d'aliénation mentale. Cette femme vivait seule; elle paraissait être dans une certaine aisance. ' It. Chaparte.
94 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
elui-là. C'est seulement dans la vie dite éveillée, cl entre gens qui paraissent n'exercer aucune action magnétique l'un sur l'aut
i annonce que c'est de l'eau claire, respirer de l'ammoniaque sans en paraître gêné le moins du monde. Une étrangeté analogue
is croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il croit ou paraît croire? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas toujours
re? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas toujours vouloir ce qu'il veut ou paraît vouloir? On ne commande pas une-invention, on ne
9, jour de la première séance d'hypnotisme, le commerce homo-sexuel a paru à cet homme, âgé de vingt-huit ans. être le seul
à autre, ce ne sont que des actes intérieurs et passagers. Ce qui me paraît être concluant, c'est que le trouble nerveux, qui
ui m'a toujours conservé une affection passionnée. Ces entrevues me paraissent plutôt un devoir moral qu'un besoin intérieur. Le
a toujours plus parfaite aussi sous d'autres rapports. Une rechute me paraît tout-à-fait impossible; ce qui distingue peut-êtr
chute supposerait une transformation totale de ma vie psychique et me paraît , en un mot. tout-à-fait impossible. Votre tout
otre tout dévoué, R... » Le changement de l'instinct sexuel de R... paraît être complet. Les circonstances extérieures, la n
époque tout semble rentrer dans l'ordre, et la santé de la malade lui paraît assez rétablie pour qu'elle se marie. L'état sa
age, et te 19, sans cause connue. A la fin du mois, les règles ne paraissent pas; une grossesse étant possible, pas de suggest
ue écrit et agit, pour obéir à sa passion. C'est une femme qui veut paraître a tout prix et qui n'est même pas rebutée par l'i
de discussions de la plus haute importance. Aucune occasion ne nous paraît meilleure pour soumettre au contrôle du monde méd
a été condamné à quatre mois de prison. Pourquoi ? Est-ce parce qu'il paraissait moins atteint au point de vue men-tal? Les nuance
, l'amour morbide est un véritable état (1) Extrait du livre qui va paraître prochainement: L'amner morbide, par le Dr E. Laur
surviennent que par accès et dans l'inter-valle des accès les malades paraissent jouir d'une santé mentale parfaite. Il est souv
tées à leur extrême puissance dans les grands centres urbains, telles paraissent être les deux influences pathogénîques de la para
t le pauvre patient. D'après certaines expériences physiologiques, il paraîtrait que l'animal sur lequel fond un carnassier ne sou
riez-vous qu'on attachât de l'importance à des conseils auxquels vous paraissez ne pas tenir vous-même ? Il ne faut céder que dev
he ses malades, que du bout des doigts et sa principale préoccupation paraît être d'éviter toute souillure à son vêtement neuf
ppelle pour les opérations graves et les cas sérieux. Il n'est pas, paraît -il, de grand homme pour son valet de chambre, et
tre suivante que nous nous empressons d'insérer: Monsieur, « Il a paru dans le n° d'avril de la Revue de l''Hypnotisme n
ut de pen de jours, lorsque le diagnostic de paraplégie hystérique me parut rigoureusement établi. L'impotence durait depui
stérie. Parmi les observations que nous avons recuellies, plusieurs paraissent mériter une mention spéciale à cause de la rapidi
stion. Nous nous bornerons à citer l'observation ci-dessus qui nous a paru très caractéristique. Nous devons faire remarqu
és par la sug- gestion, environ cinq ou six autres dont l'état nous a paru trop grave pour que l'emploi de la suggestion fut
fait partie d'un ouvrage sur les maladies du système nerveux qui doit paraître pro- chainement. mais n'y était restée que
ions avec un jeune homme du voisinage ; très froissée ces propos qui, paraît -il, ne reposaient sur aucun fondement,elle avala
appeler votre attention, je repousse le soupçon de supercherie qui me paraît invraisemblable jusqu'à l'absurde, et je déclare
ypnotisme en Allemagne et en Angleterre, la deuxième édition vient de paraître presque en même temps. Le livre de Moll (Der hy
en que Tuckey. est partisan de l'école de Nancy. Le docteur Luys fait paraître depuis le mois de janvier dernier une « Revue men
te son ouvrage : « De l'origine des effets curatifs de l'hypnotisme » paru en 1887. Ce second travail est intitulé f De l'ét
le docteur Gariel. professeur de physique à la Faculté de médecine de Paru et secrétaire du Conseil de ladite association. u
se inerte envel >ppée de couvertures. Au bout d'un instant, ce qui paraissait être un cadavre s'agita et se leva : c'était le m
, ces femmes, ont, parait-il, une indifférence absolue. Et comme j'en paraissait surpris, mon interlocuteur se servit de cette com
anches et entourerait cette opération-de difficultés qui quelque fois paraissent insurmontables, l'inertie utérine factice créée p
oint encore fourni d'exemple, mais les observations recueillies il me paraît permis de croire que s'il n'en supprime pas tout
ovines, j'ai souvent employé, pour la contention , un moyen qui, pour paraître banal, n'en est pas moins efficace. Il consiste a
dernier chapitre de son livre Sur le sommeil et les états analogues, paru en :û66. il écrivait les lignes suivantes, dans l
leurs bagues des doigts. défaire leurs chaussures, etc., sans qu'ils parussent se douter de quelque chose ou qu'ils fissent la m
sistance; l'isolement dans lequel je les avais mis était cause qu'ils paraissaient n'avoir conscience de rien. Que d'abus graves de
du sommeil morbide. qui peuvent objectivement lui ressembler, ne nous paraît pas moins instructive que celle du sommeil lui-
ait aisément en cherchant à ouvrir la bouche du malade. La sensiblité paraissait abolie : il n'y avait aucune réaction lorsqu'on s
ar la narine et on versai! du lait dans le tube digestif. L'opération parut être to't desagréable i G... 11 exécuta des mouve
comme figurant à l'Eden et aux Folies-Bergères. Le caractère de G... paraît étranger lises tribulations, car il est doux et t
les maxillaires fortement serrés l'un contre l'autre. La sensibilité paraissait obtuse. » Sauf la raideur des membres, c'était, o
ovoqué, parlent d'eux à la troisième personne. Au premier abord, cela paraît être une bizarrerie sans importance: en réalité,
religieuse.... (i) tu*- HiP*Xûl: JtutU ,1 aûi'*:«» il U ptntnêlili, ParU 184;, p. 4j. M Gaucili. La ?«??1«??« du mot, ?»
un tremblement rapide et rythmique de tout le corps. Ce tremblement paraissait nettemet être de nature hystértque. Le lendemain,
gastralgiques qui persistèrent au point que la malade ne perdant plus paraissait néanmoins exsangue et ne pou- vait plus se leve
est médecin et s'occupait depuis longtemps de l'hypnotisme. Il a fait paraître sur ce sujet, à New-York, un livre qui aurait eu
vient d'être achevée : le troisième des volumes dont elle so compose, paraît en ce moment à la librairie F Alcan. Sous n'avo
la condition seconde, sans être pour cela unie autre personne. « Elle paraît avoir deux vies, dit M. Azam: en réalité, elle n'
chez quelques malades dont l'histoire est analogue à celle de Félida, paraissent dépendre d'une forme particulière du somnambulism
our qu'Albertine avait son délire post-convulsif habi-tuel et qu'elle paraissait s'entretenir avec son ancien amant, j'essayai de
par les écrits des professeurs de l'Ecole de Nancy. Lorsque son livre parut . M. le professeur Liégeois avait déjà communiqué
, en première ligne, les expériences de M Bottey, c'est qu'elles nous paraissent avoir acquis une valeur considérable, parce qu'el
Je crains que la matière ne suit un peu plus difficile qu'elle ne le paraît à première vue. Je crois même que. en ceci comme
en décadence, et des concours de médecine qui, tels qu'ils sont, lui paraissent aboutir à l'immobilisation des intelligences el a
e nous aurons à discuter. Voici, pour commencer, les réformes qui lui paraissent les plus urgentes : L — dans les hôpitaux : 1°
les donne plus longs que ceux de cristal de roche, plus courts encore parurent celles du spath calcaire, toutes ces pierres étan
prisonnière. Son état mental devait dés les premiers interogatoires, paraître suspect à M. le juge d'instruction. « Tout était
tait les détails avec une indifférence complète cl sans remords, elle paraissait sans conscience de la valeur morale des actes qui
rime par suggestion. (1) Dans un article du Temps (29 janvier l891), paru depuis la composition du présent Bulletin, il. Be
thérapeutiques de l'hypnose. Il est vrai que cet applications doivent paraître bien timides à M. Bernheim, qui guérit la dysente
magnétisme el fit même un rapport favorable, en 1784, l'année même où paraissait le livre de Pdtelin sur celle question. Petelin é
er l'exactitude des conclusions de ce travail, puisqu'au moment où il paraissait , j'essayais sur des maniaques l'influence du somm
re à celle du mémoire qui a provoqué ce travail. Ces analyses m'ont paru présenter cet avantage sur celle du mémoire de MM
e dégageait de la Lohée d'aspect bleuâtre. — Un aimant à cinq plaques paraissait comme recouvert d'une gaze bleuâtre au pôle négat
la tète. Ainsi partout, même en plein jour, la Lohée od-positive a paru rou-geàtre, l'od-négativo bleuâtre. RAYONNEMENT
tre la conscience et la science, que la nolion du libre arbitre avait paru séparer par un gouffre infranchissable. 11 y a au
2° Il faut que la personne, cause de l'acte incriminé, soit restée ou paraisse être resiée identique à elle-même. S'il n'y a p
peines. A ce propos, M. Tarde proposo encore quelques réformes qui paraissent assez facilement réalisables. 11 voudrait, avec M
« Dans cet état, qui n'est qu'un état de seconde conscience, il m'a paru présenter une certaine exaltation nerveuse se tra
nces dans le bas-ventre et dans la région lombaire. Les douleurs, qui paraissaient assez fortes, revenaient toutes les trois ou quat
etites manœuvres de dilatation du col que je faisais avec le doigt ne paraissaient pas l'incommoder, alors qu'auparavant elles avaie
reconnaissance, elle a eu assez d'énergie, de force, de volonté pour paraître ne pas souffrir et nous laisser croire ainsi que
. Cela dura trois ou quatre heures. Le mari encourageait sa femme qui paraissait souffrir beaucoup, mais se taisait. A la dernière
dont je relate l'observation une différence énorme. Celle dernière ne paraissait guère souffrir et devenait de plus en plus calme,
peu trompeur. Il parait bien difficile de dissimuler les douleurs, de paraître sommeiller en un moment si cruel. Mais il esl d
de causer avec M. Henrijeau sur le cas de votre servante, et il « m'a paru important de rectifier de suite un malentendu don
de ce traitement a été ce que l'on observe d*ha-« bitude. Ce qui m'a paru particulier, c'était la disparition de la douleur
ec une acuité qui répondait à leur sensitivité plus grande. Tout leur paraissait plus net, plus grand, plus coloré, plus développé
joue le séjour des villes sur la détermination de cette névrose nous paraît très exacte. Le surmenage nerveux de tout ordre,
été oubliés, de faire remarquer que MM. I.evillain et Vigouroux nous paraissent avoir une certaine défiance et en tout cas accord
je lui dis de continuer à dormir tranquillement et je le laisse. H parut dormir jusqu'à midi. Vers midi et demi, il eut un
és rapidement. L'hystérie mâle, contrairement à ce qu'on a dit, m'a paru , en général, très justiciable de la suggestion
certaine passion, sous laquelle il présentait ses expériences, nous a paru nuire à la rigueur scientifique de son argumentat
s d'une demi-heure se passa sans qu'elle exécutât la suggestion. Elle paraissait môme n'y plus penser et causait tranquillement av
notiseur. Les démons qui opèrent aux abords de la Salpêtrière lui ont paru d'assez bons diables, mais il se défie beaucoup d
fête remarquable, Cbers convives 1 Peu de fêtes de ce genre m'ont paru revêtir un caractère aussi remarquable, aussi exc
ation des cahiers publiés jusqu'à ce jour par la Section de Berlin et paraîtront k la librairie Ambr Abel, à Leipzig. L'Administ
95 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
graine ophlhallnique fruste. Noire malade avant la période actuelle paraît avoir eu des accès de ce genre. Ce n'est que asse
par exemple; dans les quelques cas que j'ai observés il ne m'a pas paru exister des symli- 8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
elle n'en mérite, et, si je l'ai développée, c'est parce qu'elle me paraît rendre raison d'un certain nombre de faits, et
ajouter que l'excitabilité galvanique et faradique du sous-épineux paraissait un peu faible, comparativement à celle des autres
e 4 mois. Elle a un deuxième enfant, actuellement âgé de 2 ans, qui paraît se hien porter et n'est pas paralysé. Vers rage
i (janvier 1895) la trépidation spinale a presque complètement dis- paru ; toutefois les 2 membres inférieurs sont toujour
on répétée des mouvements' physiologiques de flexion et d'extension paraissent avoir été éga- lement fort utiles. Ons. II. E
ers le 4" ou 5° mois, étaient' peu à peu devenus raides. L'enfant paraissait intelligente, mais elle bégayait à peine et ne pa
êlée de tristesse, la nutri- tion générale est satisfaisante. Elle' paraît intelligente bien qu'elle bégaye à peine quelqu
l'enfant est né à G mois 1/2 ; la mère a eu un deuxième enfant qui paraissait sain et est mort à 2 ans, du croup ; puis elle
es opinions ont été fort bien exposées par M. Marie, dans une étude parue dans la Gazette des hôpitaux (1G janvier 1894).
es de la marche peu accusés. En particulier l'occlusion des yeux ne paraissait exercer aucune influence sur la station débout no
'ulcérations, ou bien encore comme au niveau du lobe temporal elles paraissent amincies 36 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ongestionnée il sa surface. Les racines antérieures et postérieures paraissent saines, elles ont partout conservé leur volume
particulièrement le volume normal des racines pos- térieures qui ne paraissent pas altérées. Sur les coupes on remarque la con
gestionné et présentant l'aspect du foie muscade.-4'"1' Les reins paraissent atteints de dégénérescence graisseuse. EXAMEN I
e présentent aucune lésion. Les racines antérieures et postérieures paraissent saines. Les méninges sont épaissies sur tout le
eau pyramidal n'est ~pas plus altéré que le reste. Les racines ne paraissent pas altérées ; il n'y a nulle part d'épaississe-
les autres régions examinées. Les vaisseaux sont très altérés, ils paraissent plus nombreux, sont con- gestionnés, présentent
nfluence de l'atrophie cérébrale les noyaux de la substance blanche paraissent plus abondants. Dans celle observation nous voy
loureuse, que je vous ai signalés du côté du quadriceps fémoral, me paraissent être l'ex- pression d'une hypere : rcitaliilité
ques semaines d'intervalle, dans un bassin d'eau froide. Ces chutes paraissent avoir été tout à faitacciden- i i telles; d'a
tait singulièrement l'intensité de la douleur. La pression profonde paraissait plutôt l'atténuer. Dans les conditions où se pr
tions de la queue de cheval, vous avez pu voir que la syphi- lis ne paraît jouer qu'un rôle restreint dans ce domaine encore
rects ou indirects de la syphilis. Le traite- ment spécifique ne me paraît avoir des chances sérieuses de succès qu'au- ta
t utile. Pour qu'il en soit ainsi, trois condi- tions préalables me paraissent devoir être réalisées. Il faut d'abord qu'une o
l'hystérie et rapprochée de l'oedème sous la dépendance duquel elle paraît être. Elle constitue l'une des manifestations l
ien étudiées par Brodie. Wilis(2), à la fin du dix-septième siècle, paraît avoir le premier noté cette manifestation. Une
Qu'on veuille bien se reporter au Traité de chirurgie le plus récent, paru en 1892 (2), et l'on y verra mise en doute l'ex
n.i.nam; la 'rouacTTr., Traité de l'hystérie, t. II, ch. IX (vient de paraître ). 116 NOUVELLE ICONOGR 1PQIE DE LA SALPÊTRIÈRE
artistique de l'homme en mouvement par le Dr Paul Richer, qui doit paraître prochainement à la libraire 0. Doin. DE LA FORM
TRIÈRE Cette contraction de l'antagoniste toute faible qu'elle soit paraît évidente sur nos séries chronophotographiques (
pondantes, tout en ne provoquant également aucun phénomène réflexe, parut produire, surtout pour la 8e racine anté- rieur
ici intra-spi- nale et occuperait le cône terminal. L'hypothèse me paraît fort plausible, mais je tiens il l'appuyer sur
avoue qu'une semblable sélection de la part d'une lésion brutale me paraît invraisemblable, encore qu'elle soit possible.
ale qui se présente avec un tel carac- tère de générafité qu'il m'a paru intéressant de la signaler. - Mes recherches on
e scoliose dorso- lombaire gauche. Les quelques sujets qui nous ont paru la présenter avec le plus de netteté font parti
eau. Annales de derm. et de syph. l8ll-l815. (2) Le travail complet paraîtra incessamment en langue russe sous le nom du DI' :
exemple, dont le Louvre ne possède qu'un ta- bleau encore douteux, paraît -il, le Bénédicité (2), se reconnaît, dans ses n
lace (là Dordrecht. . ^-r ? En flngleterre,'oiI van. Hoogstraaten paraît avoir séjourlréwssez long- temps, plusieurs tab
ALPÊT1UÈRE figuration de démoniaque selon le type classique, il m'a paru que Le Con- vive indigne pourrait être placé à
deux fois nous avons rencontré dans la moelle des lésions qui nous paraissent mériter l'attention des observa- teurs. Leur de
49 ans exerçant la profession de mégissier, chez lequel l'affection paraissait avoir débuté, huit ans auparavant, par la jambe
systolie, n'avait révélé rien de particulier. Le cervelet, le bulbe parurent également normaux. La moelle épinière avait été
parurent également normaux. La moelle épinière avait été enlevée et parut saine à un examen macroscopique. Une partie cle
te qu'un bon nombre des fibres nerveuses à myéline, des régions qui paraissent malades à l'oeil nu, ne fixant pas d'une façon
lique. Les cornes antérieures sont intactes. Les colonnes de Clarke paraissent saines. Les racines antérieures et postérieures
périendonévrite). Le bulbe, la protubérance et l'encéphale nous ont paru sains. Quelle est maintenant la signification d
couleur ; plus souvent, ce sont de simples changements de tons qui paraissent tenir à la sécheresse des che- veux (3). J'ai
ne sont le siège d'aucune sensation morbide, mais la sensibilité y paraît normale ; toutefois il faut noter que l'état ment
olide. - Dans les deux jours qui ont suivi, les plaques occipitales paraissent s'être légèrement étendues, surtout celles qui
rs la malformation corpo- relle. Il concorde avec celui de Page que paraît conserver le corps : légè- reté, naïveté, pusil
t de Vénus est à peine dessiné. D'ailleurs, les règles n'ont jamais paru . Cette femme-enfant était hystérique, sujette à
gé du rôle d'un sot naïf et pusillanime. La locution remonterait, paraît -il, aux romans du roi Arthur. Cette explication
lades, soit les praticiens de son temps. \ Beaucoup de ses tableaux paraissent la reproduction d'hallucinations maladives, et
ns les compositions de Jérôme Bosch ne se retrouve plus ici. Le cas paraît vraiment grave. Le patient porte au front une ent
ge opératoire, et les accessoires de l'opérateur. Le personnage qui paraît tomber en pamoison a aussi son intérêt. - ' P
mis cette particularité en relief, dans un travail très documenté, paru il y a trois mois (1). Il faudrait donc éviter
NTES 2R'; Elle a eu 5 enfants. Il lui en reste deux : Un fils qui paraît très fort mais a souvent des accès de toux sèche.
contre les céphalal- gies tenaces. Le chirurgien d'1. Botll, qui paraît un fin matois, avait sans doute ajouté à l'une
en- tations de 'St-Antoine, dont les répliques 'sont si nombreuses, paraissent avoir été inspirées par les compositions fantas
confiée à une femme, et même que, dans ce document, c'est elle qui paraît jouer le rôle principal. Un opérateur du sexe f
z rapidement dans le tissu médullaire environnant. Ces leucocytes paraissent avoir une action directe sur les éléments ner-
ées dans leur forme ; leursprolongements sont peu nombreux et elles paraissent globuleuses dans leur ensemble ; leur protoplas
ur les pieds et à la partie inférieure des jambes; ces marques, qui paraissent avoir été ecchymotiques, d'après la descriplion
te contraction, particulièrement à droite. Le volume des muscles ne paraît pas diminué. Le sphincter anal, est complètemen
sauf un léger dépoli de l'épendyme du 4° ventricule. ' Le cerveau paraît complètement sain. Aux poumons on remarque une
rès faible dis- tance du foyer morbide. Il faut remarquer qu'ils ne paraissent exercer aucune action de voisinage sur le tissu
ulations péri-vasculaires à moitié fibreuses. Ce sont les nerfs qui paraissent être les plus atteints ; tout l'espace dans leque
la corne posté- rieure est altérée et qui ne remonte pas plus haut, paraît devoir être mise sur le compte de la virgule de
on dynamique considérable ; les vaisseaux, quoique leur musculature paraisse intacte, sont forcés et nous assistons à tous les
nécrobiotique, suivant la dénomi- nation de Gilbert et Lion qui me paraît fort juste. On ne saurait trop insister sur ce
tomi- que de certains accidents aigus de la syphilis médullaire, me paraît donc être, clans un certain nombre de cas, parf
e si rarement observée dans la névrose. A ces divers titres il nous a paru mériter d'être publié. Résumé : Atrophie musc
sous-scapulaires sont normaux des deux côtés. Les muscles du tronc paraissent également indemnes, il n'y a pas de déviation m
extérieure du corps humain. Depuis le travail de Charcot et Vulpian paru dans la Gazette hebdoma- daire en 1861, on s'es
de M.-le Dl' Raymond, entrée depuis 3 ans à la Salpêtrière, nous a paru représenter le schéma clinique presque parfait
rime la maladie au système musculaire tout entier. Tous les muscles paraissent contractés. Ils offrent les formes spéciales ca
emblement dont elles n'ont point le synchronisme. Mais elles nous paraissent être la cause de la rigidité continue carqcté-
ue, l'examen mor- phologique auquel nous venons de nous livrer nous paraît confirmer l'o- pinion émise par Vulpian et qui
au moins à ce dernier point de vue, si l'on songe qu'ils eus- sent paru , tout au contraire de ce qui nous semble, il n'y
rale se rencontrant chez un grand nombre de sujets bien portants », paru dans le n° 3 de cette année, était accompagné d
96 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
sans guides, excitant l’étonnemcnt et l'enthousiasme partout où elle paraît , mais toujours dédaignée par les gens de qui un j
prix peu élevé favorisera nos projets. Différent de tous ceux qui ont paru jusqu’à ce jour, il no contiendra rien de superll
tructive et lui donner un puissant attrait. Le 20 de chaque mois il paraîtra trois feuilles d’impression, ou quarante-huit pag
d’être utile. Nous ferons cependant nos observations sur ce qui nous paraîtra erroné ; mais nous laisserons les magnétiseurs ad
ête comme s’il y souffrait. Il tomba enfin dans un assoupissement qui paraissait être un sommeil naturel assez léger; et quelqu’un
interrompre, bien qu’il dépérissait à vue d’œil; cependant ce sommeil paraissait moralement lui être favorable. Il avait alors plu
hose de fébrile ; une sueur froide couvrait sa peau, et cc sommeil me parut si singulier, si différent de ce que j’avais vu j
l’existance et l’utilité de ce moyen dans tous les genres de maladies paroît être suffisamment constaté depuis plusieurs année
ndrier comme les siècles proprement dits. Alors des opinions qui nous paraissent aujourd’hui ou bizarres ou insensées seront des
lier entre eux, s’il n’est déjà au milieu de nous, ne tardera pointa paraître . Et sur quoi fondons-nous cette opinion? Sur l’hi
ivedirigéesur l’organe de la vision, les pincements et les piqûres ne paraissaient faire aucune impression. Le magnétisme appliqué p
cantes. Les règles, très-difficiles et irrégulières chez cette fille, parurent un matin pendant que je la magnétisais; elles cou
avait défendu de leur répondre. « La santé de cette jeune personne paraît parfaitement rétablie maintenant. Elle n’a pas eu
se calmèrent, et la circulation se rétablit. Le soir, un hoquet ayant paru , j’exécutai quelques passes, et immédiatement le
, a quelquefois triomphé complètement. Abandonnant tous les cas qui paraissent surnaturels, nous ne parlerons que de ce qui peut
er superposé, un gros livre, par exemple, est le seul corps qui m’ait paru . faire dévier les courants magnétiques, qui fini
isme. • Analyse des ouvrages remarquables sur le magnétisme qui ont paru dans ces derniers temps, etc., etc. AVIS. Com
e au prochain numéro.) PRÉVISION SINGULIÈRE. Quelque étranges que paraissent les faits de révélation du somnambulisme lucide,
comme devant lui être salutaires; j'adoptai ses prescriptions,-qui me parurent , en effet, convenables. Elle est main- tenant i
qu’il pro- posa, lurent obstinément repoussés par la malade ; ¡1 ne paraissait plus possible de tenter de nouvelles saignées, à
était exécutée par M. C..., premier prix du Conservatoire, n’a point paru agir d’une manière appréciable sur les expériment
ce invincible à parler, à faire quelque chose; toutes les figures lui paraissaient ridicules. « Jusqu’alors M. B... s’était entret
ereau suit avec le plus grand soin le développement des symptômes; il* paraît constant que M. B... n’a que des sensations agréa
me de douleur ne s’est manifesté pendant l’expérience ; ces personnes paraissaient , au contraire, parfaitement heureuses, et elles n
. A l'homme qui a celte croyance, le magnétisme animal, loin de lui paraître un phénomène incompréhensible, lui paraît, au con
tisme animal, loin de lui paraître un phénomène incompréhensible, lui paraît , au contraire, la chose la plus naturelle du mond
beaucoup de violence ù ma raison présente. Quoi qu’il en soit, il me paraît évident que l’expérience perfectionne chacun dans
ter aux yeux, je n’avais qu’à y penser dans l’obscurité; je la voyais paraître comme un fantôme; et, par une conséquence apparem
qu’il rapporte doivent, pour les incrédules outrés, cesser d’ôtre, de paraître incroyables, et pour les chrétiens timorés, super
celle importante question. M. Trousseau, professeur de thérapeutique, parut bientôt. Un silence comme jamais je n’en ai vu
nt, elle s’en alla sans se ressentir en rien de celte attaque; ce qui paraissait surprendre beaucoup l’individu qui l’accompagnait
e avec attention, et je regrette de ne pouvoir y donner suite. Il m’a paru que le magnétisme animal, n’étant pas encore parv
i désiraient ou savaient choisir les aliments et môme les remèdes qui paraissaient leur ôtre véritablement utiles, avec une sagacité
d’autant plus étrange que la dame Monnier, âgée d’environ trente ans, paraissait jouir d’une excellente santé, et que la cause qui
sachons gré à Dieu de no nous avoir point donné l'habileté qui peut paraître redoutable. Les gens éclairés qui nous disent : N
ces favoris de la fortune et du beau monde ; sa science dédaignée lui paraît au-dessus de tous les prix. On dira aux artistes
rès-mal portante, tandis que son fils était entièrement rétabli. Il paraîtrait donc résulter de ce qui précède que dans son étal
elle s’ordonne des bains et ahhonce sa guérison prochaine; les règles paraissent ; ëllé prévoit aussi la fin des douleurs de sa ina
st beaucoup plus sûr. Enfin le jour arrive où les crises cessent de paraître ; plus de troulile de la raison ; les deux malades
référablcmenten plein air que dans un courant d’air. Les hommes qui paraissent avoil' profondément réfléchi sur le magnétisme, l
je fus surpris de voir un vieillard qui avait fort de mon air. Il me parut fort studieux et. fort inquiet, assis sur une cha
e crainte, qu’ils ne croyaient ni aux esprits ni aux revenants, et me parurent persuadés que la scène de la easerne n’élait pas
magnétiseurs ne sont pas plus heureux que tous les novateurs qui ont paru depuis que le inonde existe. Un rude travail les
hkine, à la suite d’une magnétisation avec le sommeil, n’a plus voulu paraître et se soumettre à d’autres magnétisations. Il e
ecueillis, souvent tronqués, et des livres bien inférieurs à ceux qui parurent du temps de Mesmer et de Puységur, les Annales de
iner sur de petits signes à peine sensibles. Ainsi vos magnétisations paraissent sans importance, le malade n’éprouve rien d’appar
es siens en avaient conçue. Mais voici une autre histoire qui ne vous paraîtra pas moins surprenante, et qui est bien plus horri
1 on prêtait l’oreille avec plus d’attention, un bruit de chaînes qui paraissait d’abord venir de loin et ensuite s’approcher. B
, était suivie de la mort; car pendant le jour, quoique le spectre ne parût plus, l’impression qu’il avait faite le remettait
retournèrent comme ils étaient venus. I.e lendemain, lorsque le jour parut , 011 le trouva rusé, comme on avait trouvé l’autr
de connaissances oubliées? Nous répondrons, nous, qnf> cette idée paraît assez vraisemblable pour qu’un puisse s'arrêter à
ui dormait, et l’emporta sans s’occuper de la jeune Élisa. « Ce qui paraîtra bien extraordinaire, quoique nous le tenions de s
enquête vers la métaphysique et d'autres directions. On vil d’abord paraître l'angélisme, dont les adeples cherchaient à forme
acile .lue l’homme possède de rentrer péniblement eu possession d’une parue des biens qu'il a perdus; mais auprès de ceux aux
ser, peuvent être les médecins de leurs enfants. Il est des cas qui paraissent devoir être rebelles, comme les affections de poi
tions séniles où la faiblesse est extrême, et où cependant les règles paraissent , la nature, aidée par le magnétisme, les supprime
roit où il avait reçu le coup, qui était dans les reins, d’où le sang paraissait encore couler. Après ccla, le fantôme disparut, e
s que nous 11e leur connaissions pas. Or, le somnambule lucide nous paraît doué, au suprême degré, d’un sixième sens, sensus
ion dos motifs donnés par l'honorable el célèbre magnétiseur, qui m’a paru montrer la plus grande bonne fui dans l’exercice
dans la station verticale, mais ils ne le peuvent. Les articulations paraissent disloquées. Elle est en outre couverte d’une tran
amis de l’humanité, tous les amis de la vérité. Le magnétisme nous a paru en quelque sorte abandonné dans ce moment solenne
is que de transes, que d’angoisses jusqu’au moment où notre sauveur a paru ! «Nousnous attendions avoir quelques-uns de ce
autres avaient de 5 à 10 centimètres, et les boutons étaient loin de paraître . Enfin, 1e premier fleurit le 20 mai, et donna su
tin. ■ Saint-Qucntin, 26 août 18/|5. BIBLIOGRAPHIE. Il vient de paraître simultanément quatre ouvrages nouveaux que nous a
c fait magnétiser par des magnétiseurs différents, quoique le sommeil paraisse en tout semblable. C'est un maître nouveau qui es
u’il s'est vu modifié par l’a- gent qu’il avait lui-mâme émis. Cela paraît singulier, inexplicable, mais cela est ; et sans
e pouvait agir sur lui. On le saigna, le baigna sans succès; son état paraissait alarmant; le délire n’avait pas diminué. Je fus a
la valeur. Aucun raisonnement ne restait sans réfutation, rien ne lui paraissait inconnu; il .se réjouissait de l’étonncment qu’il
unier dans son jardin, il y a quatre à cinq v ans; mais le nuicor n’a paru que depuis deux ans. « Jai besoin de palper la
ort; elle retomba sans vie sur son lit. « Le lendemain, JI1'® G.... parut fort triste devant I)....., qui la pria de lui
r aux idiots une somme d intelligence el une certaine instruction, ne parut nullement étonné de ce que je lui disais ail suje
manifestent quelquefois spontanément, et sans que l’agent magnétique paraisse en cire la cause. Mais des effets identiques rele
alesherhes, sur « l’échafaud. — Ah! Dieu soit béni, dit Roucher, il « paraît que Monsieur n’en veut qu’à l’Académie; il « vien
jamais. LÉSIONS TRAl’VIATIQUES. De toutes les lésions, celles-ci paraissent les plus difficiles à guérir, et pourtant presque
ns les croyances; des ouvrages remplis de faits et d'aperçus nouveaux paraissent chaque jour; la presse ne nous est plus hostile,
e nombre ne peut que s’accroître maintenant, Je Journal du Magnétisme paraîtra désormais deux fois par mois par cahier de deux f
97 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l vous rappeler, à l'appui de ce que j'énonce, les nombreux travaux parus récemment sur ce sujet ? Qu'il me suffise de vo
pas, tant s'en faut, au même degré, aussi s'y prend-on quelquefois, paraît -il, CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. H à douter de l
rique, dont l'existence, jusque dans .ces derniers temps, m'avait paru fort problématique. La paralysie, qui porte sur l
ues et comment, jusque dans ces derniers temps, cette affection qui paraît , quoi qu'il en soit, être un fait assez rare, a
à l'heure la raison de cette distribution de j'anesthésie qui peut paraître singulière au premier abord. Il n'existe poin
e déjà un certain degré d'asy- métrie. La commissure labiale gauche paraît légère- ment tirée en haut et en dehors, tandis
ère gingivale, que le buc- cinateur a été autrefois paralysé. Il ne paraît donc y avoir que deux muscles atteints : le buc
c une paralysie faciale bien constatée chez un hystérique et qui me paraît bien dépendre de l'hys- térie. Il me faut maint
ut d'a- bord elle est en général très peu accentuée. De plus elle paraît toujours s'accompagner d'anesthésie des parties
autant que possible, convenablement en valeur et de noter ceux qui paraissent avoir eu une. influence prépondérante. Tout d
à des habitudes alcooliques par- faitement caractérisées. Cela est, paraît -il, inhérent à la profession. Il buvait cinq à
ne voyons pas en somme que l'abus du vin et de l'eau-de-vie puisse paraître CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. 19 moins honteux à
er accident traumatique. Mais les temps n'étaient pas encore venus, paraît -il, et il put recevoir à la nuque un violent co
ns les tempes, vertiges, scotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première attaque a duré environ une h
onnalité, je me bornerai à mettre en relief l'une des causes qui me paraissent avoir le plus contribué à sa production. Le d
de la langue. » Les deux observations que je viens de vous lire me paraissent des plus nettes à ce même point de vue. Le prem
ouvais suivre ces fibres dans le pédoncule, et de plus, elles ne me paraissaient pas avoir une im- portance en rapport avec les
présentait les pédoncules du cerveau terminés par des éminences qui paraissaient être les couches optiques et les corps striés.
ieur de la couche optique est-il une station olfactive ? Cela ne me paraît pas douteux si on tient compte de ses relations
mblait naître du centre de l'une des couches optiques. » Ce fait me paraît très intéressant à noter : un seul nerf olfac-
alade présente un état névropathique assez mal défini mais qui nous paraît proche parent de l'hystérie, malgré l'absence de
lle eut lieu pendant le traite- RECUEIL DE FAITS. 95 meut et tout paraissait rentrer dans l'ordre, quand la malade quitta l'
par conséquent impossibles. Notre diagnostic d'astasie-abasie nous paraît donc bien établi; il se confirme chaque jour, à
retours à l'état normal. Les deux observations qui précèdent, nous paraissent devoir être considérées comme deux cas types d'
érité, qu'une manière de parler, car toute lésion fonction- - Belle paraît bien impliquer une altération de la nutrition des
naient de la tête contre les obstacles, se heurtaient aux objets et paraissaient en proie à des hallucinations terrifiantes. Dan
sphère sensitive ou « sensitivo-motrice » de l'écorce cérébrale. Il paraît bien, toutefois, que les lésions pathologiques ou
accès, un rétrécissement visuel ; les sensa- tions chromatiques ne paraissent pas influencées; les pupilles, de grandeur tant
ions de cocaïne à la dose de z à 0,18 provoquent chez le chien, ont paru à Feinberg être in- dubitablement. d'origine co
sions cloniques, qui suivent l'excitation de l'écorce, elles dis- paraissent du tableau symptomatique de l'épilepsie avec l'ex
; un an après un traumatisme, la trépanation, longtemps différée, paraissait nécessaire, quand, par le repos au lit, l'applica
effet d'annihiler les phénomènes d'arrêt. - La convulsion tétanique paraît ré- sulter de l'irritation des ganglions infra-
ance. C'est ainsi qu'on peut expliquer la guérison des maladies qui paraissent déterminées par des lésions organiques et qui e
i que ma pre- mière argumentation, pour spécieuse qu'elle pouvait paraître , n'avait abouti qu'à des conclusions erronées e
arrivait que considérées à un autre point de vue, les choses nous parussent tout autres ? Cela n'est peut-être pas impossib
e leur côté l'expectation. - La médication la plus rationnelle leur parut être les pansements anti- septiques et les inje
t deux points noirâtres, de même forme, de même dimension, et qui paraissent la continuation des précédents. Du reste, sur le
s la partie dorsale. Du moment que ce fait est indiscutable, il m'a paru intéressant d'éclaircir premièrement, à quel ni
rieur près du quadrilatère perforé » d'après P. Berger. Ce noyau me paraît devoir être rattaché au crochet de l'hippocampe
l'ont constatée, je dirai que pour moi, cette racine m'a toujours paru s'attacher très nettement sur la muraille alvéo
e au-devant de la commissure blanche, tantôt derrière (ce cas m'a paru le plus fréquent), et va à la rencontre d'un fa
arité, que je n'ai rencontrée qu'une fois, il est vrai, mais qui me paraît prouver la solidarité des différents éléments d
ne' petite agglomération de grains sans forme déterminée » qui me paraît avoir beaucoup de parenté avec la couche granuleu
u moins je l'espère, l'indication restera. Ce qui est certain et me paraît de nature à préciser le carac- tère olfactif du
e centre cortical de l'olfaction limité à la formation godronnée me paraît être en rapport avec l'importance de la fonctio
pas abuser des proverbes et des dictons, bien qu'ils contiennent, paraît -il, le fond du livre de la sagesse des nations.
six à huit semaines. D'après une expérience, l'action du médicament paraît être plus sûre dans les cas d'épi- lepsie noctu
de 22 observations où le diagnostic reste en suspens, mais qui nous paraissent un peu trop sommaires pour pouvoir éclairer uti
ule peut-être pourrait la trancher fait défaut, et la clinique nous paraît insuffisante dans l'étude d'affections où la lé
expose les arguments tirés de l'histologie patholo- gique, qui lui paraissent infirmer la théorie de l'encéphalite inters- ti
ient le moins avancées, les lésions intersti- tielles lui ont alors paru peu accentuées, tandis que l'altération parench
les, on voit des établissements délaissés, où les conseils généraux paraissent tout-puissants aussi, mais pour ne rien faire o
alées (de 0,002 à 0,01) présente des avantages. Les inconvé- nients paraissent nuls. L'augmentation des globules marche paral-
de l'opération du trépan, grâce à l'antisepsie, toutes ces raisons paraissent justifier ces tentatives. M. RÉViLLET (de Canne
e et l'aération de ces quartiers sont satisfaisantes, il n'en a pas paru de même des moyens de chauffage et de l'install
luxe de grillages en fer forgé, disposés autour des poêles, n'a pas paru une innovation très heureuse, et la disposition d
e verticale à large tirage. L'installation matérielle des douches a paru pleinement satis- faisante, ainsi que la pressi
infirmières telles qu'il en existe à Paris. La tenue du personnel a paru particulière- ment correcte et le costume sévèr
es quartiers de classement). Le person- nel entièrement religieux a paru avoir une bonne tenue; son éducation profession
ligieux a paru avoir une bonne tenue; son éducation professionnelle paraît être satisfaisante et même au-des- sus de la mo
filé dans les jardins et les dortoirs coquets dont le confortable a paru ne rien laisser à désirer; mais d'une façon gén
late forme une aile, qui s'éloigne de 4 centimètres du tho- rax, et paraît en même temps déplacée autour de son axe vertical
r, la structure de quelques-uns des prolongements commence à dis- paraître ; la chromatine, à laquelle est due la striation,
n. Les traumatismes de la tète, qu'on a rencontrés dans sept cas, paraissent constituer tout d'abord une donnée pathogénique i
ades en deux catégories, les uns épileptiques, les autres non, peut paraître excessive, et l'on est tenté d'étendre à tous l
e sujet en rap- portant une très remarquable observation. Ce fait parut si nouveau que dans la discussion qui suivit, S
(I, p. 306); mais encore dans son Traité des maladies mentales, qui parut en 1860. C'est là qu'il signale (p. 266) « les
' Dans son article sur les persécutés génitaux à idées de grandeur, paru en mai 1890 dans les Ann. méd. psychol., M. Doutr
ourraient pas tous rentrer dans ce cadre si régulier. Il ne m'a pas paru démontré que le délire de persé- cution aboutis
S IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 329 Enfin, dans un travail paru dans les Ann. méd. psychol.1, M. Dagonet va môm
quoiqu'elles manquent plus rarement que celles de l'ouïe. Ce qui me paraît tout à fait spécial au per- sécuté, ce que l'on
rrive fatalement comme troisième période du délire chronique. Il me paraît important d'étudier avant tout ce délire ambiti
la fuite de leur mère; les fils de la duchesse de Berry ont dis- paru après l'assassinat du duc, et ainsi dans chaque c
nfin, beaucoup de persécutés n'ont pas d'idées de gran- deur, et ne paraissent pas susceptibles d'en avoir jamais. a). - MÉGAL
mois à l'hôpital. C'est dans la convalescence de cette maladie que paraissent s'être montrés les premiers symptômes de dérang
t. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE. de ces démarches que la maladie parut évidente, et que B..., après avoir passé par le
rs. En même temps, l'oeil gauche s'était enfoncé dans son orbite et paraissait diminué, les cheveux avaient blanchi à la parti
du gauche. Il y a quatre ans que dans la région temporale droite parut un enfoncement qui tantôt disparaissait pour quel
et aus- sitôt : c Où est mon bras »,cela veut dire que son bras lui paraissait absent, séparé du corps, n'existant plus pour l
presque aussitôt. - La nuit est bonne, il dort, et le lendemain il paraît seulement un peu fatigué. 23.- Il travaille dan
t très obtus, surtout sur la moitié droite de la langue. - L'odorat paraît normal. . 1 29. - A été renvoyé plusieurs fois
utes les maladies ner- veuses. Pour appuyer cette opinion, qui nous paraît peu con- testable, nous n'avons pas sous la mai
che d'agir sûrement. Sa tenue est bonne, sun langage convenable. Il paraît qu'à Berck on le poussait à boire pour résister
de rappeler les cas que nous avons publiés antérieurement. Ils ont paru soit dans le Progrès médical, soit dans les Arc
s'est abaissée de 14 dixièmes de degré; la température de la peau a paru s'abaisser également; mais ce dernier résultat
t ce mé- dicament à des doses variant de 1 à 4 grammes, et il lui a paru présenter à ces doses une activité comparable à
on. Quant au ganglion lenticulaire, les altérations de ses cellules paraissent avoir une grande valeur. Les troubles du ganglion
re joue un faible rôle. · Ces causes spéciales, déterminantes, ne paraissent pouvoir être attribuées qu'au genre de vie et l
chiat. XXII, 1.) . Le suicide n'est pas si volontaire qu'il le peut paraître , notam- ment quand la vie dure. Il existe des c
à Paris. Moi-même, j'ai expo- sé 1l cette époque les raisons qui me paraissaient militer en faveur de cette modification, ou tou
d'idiots que les avocats. De telles déductions statistiques nous paraissent être trom- peuses et contraires à la science au
n morphinomane et la femme d'un pharmacien, rendue morphinomane. Il paraît , d'ailleurs, que la morphinomanie à deux n'est
98 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n physiological Psycho- logy, séries d'articles de M. IeD''Sanford, parus dans l'Am. Journ. Psych. (vol. IV et V) ; et, d
a croire enceinte, d'autant plus, qu'après une médecine, son ventre parut diminué. Une soeur infirmière raconta bien que
avec des intervalles de sept à huit mois. Deux autres religieuses parurent citer des faits plus signi- ficatifs en apparen
tées depuis la même date, et qu'à la der- nière saignée, les règles parurent (ce dont Marguerite Jamain témoigna grande joie
·,i1 »n y v1 41 ''ü- ', ? M. Vorster ! Non. D'autant plus 'qu'il'me paraît difficile que l'on puisse dépenser une énergie'
oint de départ dans le nerf optique. i, ' M. Charpentier. Ce qui me paraît bizarre dans l'observation, c'est que, comme to
à se plaindre de douleurs dans les reins. Il y a dix-huit mois, il paraît avoir une attaque épileptiforme sans perte de c
rissait énormément sans tousser. Il transpirait beaucoup la nuit et paraissait avoir de la fièvre. Sa peau était brûlante. Pas
t sont moins fournis qu'à l'état normal et les tubes qu'ils forment paraissent très grêles. Dans la substance blanche et au ni
de l'atrophie simple et çà et là des boules hyalines dont l'origine paraît être l'altération des gaines de myéline. 3° P
préciser. Les cellules à cylindre d'axe ascen-, dant de Martinotti paraissent également lésées. Dans la même coupe et dans un
, et tout ce qu'il y a d'esprits raison- nables, si la collusion ne paraît pas tout entière en faisant causer une fille su
epter une luy ont ' Voir la note précédente. BARBE BUVÉE. z lui paru avoir le don de l'intelligence des langues, en ce
t du secret de la pensée, quand elle leur a esté adressée, ce qui a paru particulièrement dans les commendements intérie
rapporter. 6. Qu'au simple commandement de l'exorciste elles ont paru quelquefois dans une insensibilité prodigieuse, e
en esprit et disoit tout ce qu'elle y avoit veu. 7. Qu'elles ont paru ietter souvent du fonds de l'estomac, après plu
ir par la voye des exorcismes en la présence du Saint-Sacrement ont paru donner des signes surnaturels et convainquants,
s, dont elles sont agitées pendant l'exorcisme, quelques unes ont paru si extraordinaires qu'elles ont esté iugées passe
que la soeur de la Résurrection a faict la mesme chose, elle y a paru quelquefois prosternée tout le corps plié comme u
entre elles, entre autres la soeur Catherine dans l'exorcisme avoit paru la teste renversée, les yeux ouverts, en sorte
s en dévoient estre offencées avec effusion de sang, sans qu'il ayt paru n'y meurtrissure, n'y contusion, n'y marque. Qu
ignements pourraient bien être en majorité des fumeurs d'opium, ils paraissent avoir plaidé leur propre cause. Dr A. Marie.
on , ni curative, ni même temporairement suspensive ; 5° Elle n'a paru jusqu'ici être influencée que par la médication
odère ; ' 6° Elle appartient à l'époque tertiaire de la syphilis et paraît même n'en constituer qu'une manifestation tardi
n les voit se développer. Quelquefois cependant, les vergetures ont paru n'avoir aucun rapport avec une distension exces
Bouchaud qui a pu observer plusieurs cas d'algidité vient de faire paraître un travail où il étudie la question del'hypoter
nés. Après un historique où il rappelle tous les travaux antérieurs parus sur le'sujet, travaux surtout nom- breux à l'ét
ée, par le médecin traitant qui devra, en outre, déclarer qu'ils ne paraissent pas susceptibles de rechutes. La sortie ne sera
errucktheit, peu importe le nom qui, comme l'a montré M. Werner, ne paraît point fixer exac- tement la modalité pathologiq
temps des villes manufactu- rières. 'Linfluence la plus défavorable paraît être exercée par les hôtelleries et les cabaret
autres un contrôle. » Toi est le but que s'est proposé l'auteur qui paraît l'avoir atteint. Après avoir exposé des renseig
de toute clinique, dont le programme vrai est d'être, plutôt que de paraître . Tel se montrait M. Falret, quand M. Baillarger
, dans des états hypnotiques, des souvenirs disparus. Il m'a donc paru intéressant de publier l'histoire d'une malade at
fois et troublait le repos de ses camarades de salle, et qu'elle ne paraissait pas avoir toute sa raison, car' elle ne recon-
te et peu communicative et manquait d'éner- gie ; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun trouble nerveux ni mental appa
ses amies la trouvèrent dès ce moment complètement changée. Elle paraissait perdue, ne sachant pas trop ce qu'elle faisait, g
relever, c'est que sa mémoire était manifestement diminuée; elle en paraissait tout hébétée. Cependant elle pouvait encore se
isait ressembler à une aliénée. Mais le choc moral de l'incendie ne paraît . pas avoir agi à la façon des chocs traumatique
mental principal que présentait Mme B... était donc une amnésie qui paraissait causée par l'émotion de l'incendie de sa maison
e changement notable dans l'état de sa mémoire, si ce n'est qu'elle paraît s'affaiblir pro- gressivement plutôt que tendre
ouleur de tête, se prête mal à ces investigations minutieuses. Elle paraît sentir avec un léger retard apparent, ce qui ti
jet est trop élevée, dépasse par exemple 50°. Le sens musculaire ne paraît pas troublé. 1-1 B... indique la position de se
is des nuances qu'elle ne peut me désigner. Les images des couleurs paraissent mieux conservées que les images verbales corres
saveurs sucrées, salées et amères (quinine) ; l'acide acétique lui paraît salé. En somme, il n'existe pas de troubles bie
lumineuses. Ceci cadre assez avec ce fait que les images visuelles paraissent chez elle avoir été mieux conservées dans sa mémo
rlant vague- ment de vilaines choses que je lui avais faites..11 me paraissait extraordinaire que cette amnésique se, rappelât
sure qu'elles sont perçues. Cependant celles liées à un état émotif paraissent être susceptibles d'une plus longue durée. 9' f
la plupart des observations publiées jusqu'à ce jour, cette névrose paraissait en cause, puisque les,malades présentaient des
r 1862, cet établissement fonctionnait. Cette rapidité .d'exécution paraît absolument anormale, mais'elle s'ei- plique nat
oit point senty; on luy dit de monstrer encore son autre bras, elle parut être surprise d'y voir la marque notable du feu
bras droit, ne parroissant point au gauche; quelque temps après il parut au gauche, et cessa d'estre au droit, et il rep
he, et cessa d'estre au droit, et il repassa du gauche au droit, et parut alternativement tantost à l'un, tantost à l'aut
deux frères de onze et dix-huit ans. Tous les membres delà famille paraissaient quelque peu retardés dans leur développement ph
<6<. f. Ncr- ,venheiIA-. N. F., IV, 1893.) Suite au mémoire paru dans le même journal en 1881 (t. Vil), prouvant
et folie, l'un s'appliquant à une maladie psychique dont il ne me paraît pas impossible de donner aujourd'hui une définiti
ou de ses annexes. Mais cette notion, quelque bien établie qu'elle paraisse , ne lève pas la difficulté qu'on éprouve a donn
aux il convient de citer ceux de M. Pierre Janet. C'est un fait qui paraît aujourd'hui avéré et établi que le trouble ment
pasme, à une idée fixe, à l'attaque ou au délire, tous ces troubles paraissent résulter ,non d'une simple représentation menta
iments affectifs, de l'activité et . des habitudes. Les hystériques paraissent inquiètes, jalouses, soup- çonneuses, tristes.
ent une variété bien à part), qu'ils soient provoqués ou spontanés, paraissent se rattacher à l'hystérie. Pour l'établir il es
déchirent, menacent. Ils sont exigeants, ont des accès de colère et paraissent toujours conserver la conscience de leurs actes
osition héréditaire et la dégénérescence, mais cette distinction me paraît bien subtile. « L'hérédité, dit-il, ne se manifes
ux. Mais les hystériques n'ont pas la spécialité de ces délires qui paraissent dépendre de rêves. Le délire des alcooliques, c
de la lucidité, du retour brusquement possible à l'état normal, qui paraissent ne jamais se perdre, pour ainsi dire, dans l'hy
service plusieurs malades atteintes de manie hystérique. Ce qui me paraît caractériser cette affection et ce qui la diffé
ai pour défendre cette conception ne sont pas nombreux, mais ils me paraissent devoir emporter la conviction. Personne ne cont
sions des nerfs périphériques eux- mêmes, quelque intenses qu'elles paraissent , elles ne présentent peut-être pas toute l'impo
dans le rapport de · SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 M. Alglave. Celles-ci paraissent avoir donné en Suisse, par exemple, d'excellent
uite que les polynévrites alcoolique, saturnine ou diphtéritique ne paraissent pas capables de donner naissance à la maladie d
est Christ, il va bouleverser l'ordre social, réformer l'Église. Il paraît bien, en effet, le représentant du délire partiel
NNEVAL. 287 ' Régime alimentaire. Il est satisfaisant. Au risque de paraître trop minutieux, je dois entrer dans quelques dé
prit garde à toutes les circonstances du dedans et du dehors, il paraît que non seulement l'on n'aperçoit aucune marque s
ie faict en elle le principe de tout ce que nous y,voyons '. » Il paraît à peu près établi, attendu qu'aucun acte de nou-
ails devant un auditoire souvent aussi borné que crédule. Il nous paraît oiseux d'insister longuement sur tous ces phéno
wallé- rienne. L'intensité de la névrite et sa marche ultérieure paraissent dé- pendre, entre autres choses, de la dose du
ecteur de l'asile de Dijon. Je viens encore une fois, dussé-je vous paraître en proie à une idée fixe, vous convier à quitte
ut dans les cas où le canal de Fallope présente une fissure, ce qui paraît fréquent. J'ai observé plusieurs cas démonstrat
nnu de Vogt ; les dix suivantes au remarquable mémoire de Giacommi, paru en 1890 ; les planches XV à XXI sont tirées du
332 SOCIÉTÉS SAVANTES. mémoire de M. Miquel Bombarda, qui vient de paraître . Les microcéphales de M. Giacomini avaient un e
diqués par AI. Brissaud sont très intéressants et aucun d'eux ne me paraît être en contradiction avec les idées actuelles
in l'auteur signale des formes particulières des lèvres qui lui ont paru constantes. DE la nature ET DE la forme DE la f
e professeur Grasset avec la quatrième édition qu'il vient de faire paraître , en collaboration avec M. Rauzier. Ne pouvant,
rite à tous égards. C'est la meilleure oeuvre et la plus com- plète parue jusqu'ici sur la matière. Elle représente incon-'
ixation. Il y a de la dyschromatop- sie : les violets, bleus, verts paraissent uniformément tantôt bleus, tantôt roses, suivan
'un tableau pendu au mur qu'elle regarde longuement et sans qu'elle paraisse ensuite en avoir retiré autre chose qu'une noti
s complets, des renseignements sur nombre de faits que notre malade paraissait ignorer. Ces mêmes procédés nous ont permis de
tement avant l'expérience, ne nous avait rien présenté qui nous eût paru différent. Il nous semble donc résulter de notr
ment trouvé des peptones. L'intensité de la peptonurie lui a même paru proportionnelle à l'acuité de la maladie et à l
les moyens de dégager cette responsabilité, si infimes qu'ils nous paraissent ? Pour ceux que toucheraient peu les considérat
aladie de Basedow REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 395 est celle qui paraît actuellement s'appuyer sur les raisons les plus
qui jouissent d'une pleine liberté en dehors de l'établissement. Paraissent encore indiquées les visites auprès des convalesc
s les visites auprès des convalescents, à moins qu'elles aient déjà paru suspectes ; elles sont au contraire contre-indi
utres malades. M. Kirs. De l'anthropologie criminelle. Ce mémoire a paru ili extenso dans l'Allg. Zeitsch.1. Il conclut
agricole pour les travailleurs avec les ateliers in- dustriels qui paraissent bien organisés puisque la plupart des fournitur
llules sontboisées, non capitonnées, sans tinettes, et le personnel paraît en nombre suffisant et bien éduqué, puisque le
omplexe et sujet à de fré- quents dérangements. Les distractions ne paraissent pas man- quer ; les pianos sont assez nombreux
et, avec les périodes de son délire de persécution. Au début, il ne paraît songer qu'à éviter ses ennemis. Un malade démén
ont en excellente santé physique et cérébrale. Elle-même a toujours paru bien équilibrée, et si elle manque d'instructio
t, leur suscite des ennemis. Arrivée à Paris en 1886 (35 ans), elle paraît jouir pendant deux mois d'une certain repos; pu
pesanteurs dans le périnée et la face interne des cuisses qui dis- paraissent dès que la vessie est vidée. Il est souvent oblig
s vaisseaux nourriciers impor- tants de la moelle. Le traitement ne paraît avoir aucune action sur elles. Remarque sur l
ue sur le pronostic de la syphilis médullaire en général. - Il nous paraît bien établi que les accidents médul- LA 11Z&
émorragique exclusivement situés dans la substance grise. Il nous a paru que le lieu d'élection de ces petits foyers éta
vement, dans l'espèce, d'anomalies de l'idéation. M. Neisser. Il me paraît important de faire observer que les éléments cl
ification en sous-oeuvre d'une bonne pa- thologie générale. Il me paraît , pour terminer, utile de présenter quelques court
démences la loi de régression de la mémoire. Les faits récents dis- paraissent avant les faits anciens. L'amnésie des faits réce
nérale où se trouvent condensés et coordonnés les multiples travaux parus sur le sujet. Il serait superflu d'insister sur
99 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ves : c'était même là, pour Lasègue, un critérium qui, aujourd'hui, paraît moins certain. Les folies systématisées religie
e 21, pendant la marche léger affaissement du côté gauche. Le 16, paraît mieux, mais de temps en temps écoute des voix q
éables. Le malade conserve un état général assez ^satisfaisant et paraît tirer profit des piqûresde sérum ioduré. Les sign
signes somatiques restent les mêmes et l'évolution de la maladie paraît devoir garder une marche assez lente. Du sens g
ant : DU SENS GENITAL DANS LA PARALYSIE GENERALE. 20 1er et il ne paraît pas que l'étiologie ait une influence bien marq
ique ont quelquefois affecté de ne relever que d'elles-mêmes et ont paru dédaigner l'anatomie, ces velléités d'indépenda
r nature, qui est le propre de l'inconnais- sable. Edinger laisse paraître une critique plus pénétrante lorsqu'il se détou
ci avec une force qui est pour nous l'évi- dence même. En somme, il paraîtrait aujourd'hui certain qu'un grand nombre de phéno
iges. Le troisième mois l'affola : non seulement la menstruation ne parut pas davantage, bien que l'époque fût écoulée de
ce trouvent difficile d'admettre la folie partielle parce qu'ils ne paraissent pas se rendre compte que la responsa- bité ne d
oire de M. Mercier, qui est une réplique à l'article de M. Whiteway paru dans l'avant- dernier numéro du Mental Science,
ions ne servent pas seule- ment à désennuyer les malades, elles ont paru utiles à leur état mental 1. A la fin de l'anné
qui surpassent les avantages qu'on leur attribue : ces systèmes ne paraissent pas devoir se gé- néraliser dans notre pays ave
où il avait reçu des soins. Alors même que le domicile de secours paraissait établi dès l'épo- que à laquelle la mesure d'as
tes les complexités, tous les écueils; et le seul effort qui trans- paraisse , est celui qui a tendu à dire tout ce qui est uti
f-d'oeuvre est la Pédagogie générale déduite du but de l'éducation, parue en 1806. Pour bien comprendre les théories émis
ne s'ensuit pas nécessairement qu'il en sera toujours ainsi ; il ne paraît pas trop audacieux de concevoir des cas où l'ag
en nourrice. La pauvre petite est morte sur le coup. Angèle Chemin paraît atteinte d'aliénation mentale. Elle a tenté, hi
auteurs s'accordent à signaler la plus grande fréquence. Il nous a paru cependant intéressant de relever le cas suivant
connus. Ici pourtant, il faut signaler deux erreurs grossières qui paraissent bien relever de l'amnésie ; pour lui F. Faure a
t aussi dans une certaine limite être réveillées, mais le malade ne paraît pas en avoir une conscience nette en tant que s
lexes isolés dont le mécanisme anatomique est fort connu. Il nous paraît juste et équitable de rappeler que Huxley, en c
résume d'ordinaire le concept vulgaire d'instinct. Un individu qui paraît pourvu d'associa- tions réflexes innées semblab
luence de causes nouvelles, naturelles ou provoquées. Edinger ne me paraît pas assez frappé de la complexité de ces proces
ologiques. Cette tâche ne serait point aussi' difficile qu'elle l'a paru . 11 faudrait d'abord observer sans préjugés, en
-dessus de la racine du nez. La sensibilité qui était très émoussée parut se réveiller avec l'apparition de l'écoulement;
ion élec- tive directe du virus morbilleux sur le vague. Il ne nous paraît pas utile ni surtout exact d'invoquer l'intermé
La question n'a pas encore reçu de solution. Quelques observations paraissent cependant démon- trer qu'il en est ainsi. L'aut
me temps que l'état stationnaire de la maladie depuis un an lui ont paru des raisons suffisantes d'admettre qu'il s'agit p
sur des statistiques bien faites, puisées aux bonnes sources et qui paraissent bien interpré- tées : il se termine par des con
le rendirent peu heureux, que Littré a toujours défendue, mais qui paraît bien avoir trompé le philosophe : d'ailleurs ce
le bleu. Même pendant la men- suration du champ visuel l'enfant ne parut pas s'apercevoir qu'elle voyait avec l'oeil gau
orbait par jour depuis, avariéentre 10 et20 litres. En même temps a paru la polyure ; l'urine était claire et la quantit
ensité et de la durée de la polynévrite. Les lésions incontestables paraissent être surtout dues aux formes à prédominance sen
le poignet, le tiers inférieur de l'avant-bras et qu'il a fait dis- paraître en vingt minutes par la suggestion. M. Hikmet (
de lui seul aux textes sacrés, pour ôter à cette parole ce qu'elle paraît avoir de trivial et même d'un peu ridicule et pué
ectales, peuvent rendre des services en alié- nation mentale. Elles paraissent agir de deux façons : 1° En éli- minant les tox
es sont alors indiquées dans tous les cas où les troubles men- taux paraissent liés à des infections, à des auto-intoxications,
outre la réglementation et la sanction dans les conditions où elles paraîtront pouvoir s'exercer. 2° Installation dans ces loc
a passé la journée à l'asile pour assister au bal du soir, faisait paraître dans le Radical du lendemain un arti- cle des p
est un excellent ouvrier, de conduite irréprochable, mais la mère, paraît -il, était alcoolique. (Le Progrès de l'Lzcre, 7
us rare. A ce titre, l'observation que nous allons rapporter nous a paru intéressante, et c'est pourquoi, sur les conseils
ère, qui est morte il y a un an, à l'âge de trente-sept ans, était, paraît -il, asthmatique et devint phtisique. C'était un
r un spasme du ciliaire gauche. Divers objets vus par l'oeil gauche paraissent quelques fois plus grands, mais généralement pl
araison. Interrogée il ce sujet, Marthe répond que ces couleurs lui paraissent blanches, sans l'être cependant nettement, et q
rticularités au moment de la discussion. La plupart de ces troubles paraissent sous la dépendance d'une hypoesthésie rétinienn
'une question de plus ou moins de jours. Cette observation nous a paru intéressante à rapporter en son entier, pour un
efois abolie dans l'hys- térie ; - 2° Dans un deuxième examen, il paraît évident au pre- mier abord, que Marthe possède
on monoculaire alternante (2° examen). La première proposition nous paraît justifiée ; nous revien- drons plus loin sur la
r, elle existe même, puisqu'on en connaît plusieurs cas e t il nous paraît admissible d'accepter la réalité de cette anest
'une im- pression quelconque, reçue par un appareil sensoriel qui paraît normal au point de vue anatomo-physiologique, peu
es trois théories ou qu'on les accepte toutes les trois, il ne nous paraît pas indispen- sable pour expliquer ces phénomèn
er lieu à une enquête sur l'attitude des agents de l'auto- rité. Il paraît en effet, aujourd'hui, établi que c'est par suite
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. g;21) Les lésions de la paralysie de Landry paraissent toujours récentes en raison même de la rapidité
n vain fantôme. D'autre part, à mesure que le mobile de nos actes a paru relever clairement d'un déterminisme réfléchi ou
ur voix, qui devient rauque, enro 'e5-nasillarde ; par moments, ils paraissent tomber en stupeur. Des symptômes somatiques imp
leuse et jaune globulaire (Colucci) ainsi que les prolongements qui paraissent alors segmentés. Cette dégénérescence granuleus
e particularité qu'elle est extrêmement mobile et variable, pouvant paraître et disparaître plusieurs fois dans la même jour
le premier (thèse Delmas) des streptocoques peu virulents qui dis- parurent au moment de l'amélioration; dans le second, où l
le tronc et les membres. L'étendue des téguments occupée par elles paraît au moins égale à l'étendue de'la peau restée norm
rs, 10 ou 12 maximum. Les accès auxquels elle a succédé n'ont point paru plus violents que d'ordinaire. Les accès surven
Dans les affections du système nerveux, son action thérapeu- tique paraît porter beaucoup plus sur la nutrition générale qu
ous avons dans l'hédonal un hypnotique inoffensif. A dose égale, il paraît moins actif que le chloral et le sulfonal. Mais,
prendre leurs caractères antérieurs de faiblesse. Ces lois nous ont paru à peu près constantes : les observations con- t
n moindres que celles observées dans la rachicocaïnisation. Il nous paraît difficile d'établir leurs lois. On peut affirme
mbécillité ou d'arriération intellectuelle. Ces considérations nous paraissent expliquer le nombre très restreint des cas d'id
tableaux dans le Compte rendu de notre service pour 1900, qui doit paraître prochainement. dût SOCIETES SAVANTES. Au poin
intellectuelle et la théorie physiologique. Les deux théories nous paraissent également insuffisantes pour expliquer cet état m
erthermie, l'agonie, la décomposition cadavérique peuvent réaliser, paraissent devoir être rencontrées dans les cas où une tox
s l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la mémoire a paru se développer et les progrès en toutes choses s'e
ères. Un père de famille nommé Blondeau, qui, depuis quelque temps, paraissait souffrant, a été pris subitement 366 VARIA. d
sorielle qu'il produit 6. J'ai refait quelques expériences qui me paraissent bien propres à montrer l'action de l'alcool sur
n doulou- reuse ne s'est produite, avons-nous déjà dit et il nous a paru impossible de rattacher le phénomène à une hype
rouvé alors que tout d'abord nous ne l'avions pas constaté. Il nous paraît donc établi par ces résultats qu'il ne s'agit p
té, au niveau de la partie mé- diane et supérieure. A part cela, il paraît sain, ainsi que la protu- bérance et le bulbe.
créer en Angleterre une institution pour les idiots. La même année paraissaient dans la British and Foreign Archives, 2° série,
ontrer la folie associée à l'épilepsie, celle-ci ayant probablement paru la première pendant la puberté : ces malades ont
ou infirmières. M. Bourneville déclare qu'il s'attendait, ce qui paraissait logique, à une discussion générale, mais puisqu
n de 60 lits, M. Dan- nemann expose le programme et le plan qui lui paraissent répondre au but qu'on s'est proposé. Il a dispo
ici sommairement deux observations cliniques qui, entre autres, me paraissent particulièrement favorables à mon opinion. Ob
nostic de psychose urémique suraiguë qui nous z asiles d'aliénés. paraît justifié ou si l'on préfère, de délire aigu d'ori
des chances pour qu'elle relève de l'urémie latente, et tel nous paraît avoir été le cas de notre malade. ASILES D/ALIÉ
ur, construire deux pavillons séparés ou simplement accolés. Il m'a paru plus économique, mais aussi plus scien- tifique
tudes importantes, qui nous ont beaucoup servi dans ce travail, ont paru dans deux revues de psychiatrie ita- lienne : l
THOLOGIE NERVEUSE. ' Riccie. Enfin, blondio=, tout récemment a fait paraître un article sur la question. . Malgré ce nombr
L'idée délirante s'estompe, s'affaiblit ; toutefois elle ne dis- paraît pas de suite totalement : elle reste subconscient
plutôt qu'ils sont exécutés au commandement. Et en fait, le malade paraît se les commander. On l'entend constamment répét
qui finissent à la longue par les remplacer. Les faits do ce genre paraîtront moins exceptionnels si l'on réfléchit que la st
que sont peu nombreux puisque Lemoine, qui ignore le cas de Mendel, paraît n'en avoir pas rencontré dans la littéra- ture
la divinité dans cette guérison, si extraordinaire puisse-t-elle paraître . Le paysan Gilbert était très vraisemblablement
yeuse des cures imprévues et extraordinaires. Même dans les cas qui paraissent les plus invétérés, une émotion morale vive, un
bronner a prolongé ses recherches, plus le nombre^ des formes lui a paru s'accroître. Jamais il n'a trouvé une seule esp
également dans la substance blan- che et dans la substance grise et paraissent aussi nombreuses dans le cerveau que celles de
nérale du cerveau. Dans certaines condi- tions pathologiques, elles paraissent exercer une action phagocy- tique. Elles fourni
L'écorce cérébrale sous-jacente colorée par la méthode de V. Giesen paraissait exempte de grosses lésions. b) Au microscope, l
eur composée de tissu analogue à la névroglie ordinaire; ce type ne paraît pas être le plus commun. Payne signale la possi
lions de la base étaient normaux. La tumeur n'était pas enkystée et paraissait plonger librement dans la substance blanche. La
mplète de compression médullaire. La moelle qui, microscopiquement, paraissait normale, de même que ses enve- loppes, était en
oché de ce que nous savons sur la bactériologie du canal intestinal paraît légèrement paradoxal. Le bacillus coli existe i
ites doses ; on donnera aussi l'extrait de coca. La caféine n'a pas paru rendre de services. L'insomnie est difficile à co
koff, 543. Soudard, 250. Pactet, 538, 542. Pailhas, 313, 314. Paru au , 276. Pau de Saint-Martin, 161. Paul, 2
100 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
atiquée en Allemagne et préconisée surtout par M. Gustave Simon, nous paraît n'être qu'une variété de la méthode française, de
d'incisions libéra-trices; M. Sims s'en sert quand une des lèvres lui paraît tiraillée ; seulement il les fait superficielles,
ique le spéculum, petit modèle, dans le déciibitus latéral; la suture paraît enfoncée dans les chairs ; avec une pince tenue d
sical dont se plaignent beaucoup d'opérés. Ces assertions ont d'abord paru étranges, et l'on a pu se demander si les succès
risons ne sont pas moins nombreuses ; l'utilité de la sonde à demeure paraît donc aujourd'hui très-contes-table, au moins dans
'accouchement, quel que soit d'ailleurs le procédé qu'on em-ploie. 11 paraît aussi bien démontré qu'une seconde opération fait
suivant e procédé de M. Sims, la guérison et l'oblitération du col paraissaient aussi complètes que possible; cependant la femme
ulière du périnée, dont le bord antérieur fait une telle sailHe qu'il paraît oblitérer le vagin. Ajoutons que souvent les mala
et le traitement est alors terminé. Ce procédé, malgré ses lenteurs, paraît très-satisfaisant au D'' ChurchUl. Lisfranc, qui
en-gorgement que produit l'accouchement s'est dissipé, cette éten-due paraît beaucoup plus petite, et les fonctions sexuelles
c soutient le premier, et le spéculum est retiré. Cette opération lui paraît le meilleur traitement des granulations fongueuse
ns bientôt. Cette dilatation ne doit pas être omise même quand le col paraît assez large, parce qu'il ne faut pas oublier que
te, car celle qui est bornée à la cavité du col, l'endo-cervicite, ne paraît pas constituer une contre-indication aussi formel
i-même ne reste pas dans l'axe qu'il doit avoir normalement et cela a paru un obstacle à l'action du pessaire pour la guéris
térismes de quatre à cinq minutes. La sonde employée comme redresseur paraît moins dangereuse que les redresseurs proprement d
spend la dilatation pendant les époques des règles; quand la guérison paraît certaine, il est encore utile de survedler l'état
s; ainsi les crises cessent, les forces renaissent et des malades qui paraissaient vouées à une mort imminente reprennent l'as-pect
jours induré, circonstance peu favorable à la dilatation. L'occlusion paraît avoir été causée dans quelques cas par l'inflamma
ler que l'atrésie n'est pas rare chez les vieilles femmes, et qu'elle paraît due chez elles à l'atrophie sénile du parenchyme
conique, l'orifice externe en particulier est souvent si petit qu'il paraît complètement fermé ; si la sonde peut le franchir
culaire du col ; ajoutons qu'une incision aussi consi-dérable ne nous paraît nullement nécessaire. On a fait un métrotome de S
franc dans un cas cité dans sa clinique de la Pitié ; cette opération paraît avoir été ensevelie dans un profond oubh, ainsi q
outefois laisser de tampon de coton sur la plaie; et si ces bourgeons paraissent de mauvaise nature il faut les dé-truire avec le
a perdu deux malades ; les accidents auxquels elles ont suc-combé ne paraissent pas se rattacher directement à l'opéra-tion. M. C
e tissu, soit par un amincissement considérable; ces altérations, qui paraissent être l'œuvre du polype fibreux lui-même, ont lieu
uis qu'il se contente d'inciser l'orifice et le col de l'utérus, nous paraît avoir prononcé lui-même la condamnation de son pr
avec les deux ovaires dégénérés ; l'opérée succomba à un accident qui paraît étran-ger à l'opération. Le premier succès fut ob
au ras des nœuds qu'il abandonne dans le bassin ; cette pratique peut paraître téméraire, nous verrons cependant qu'elle a donné
a séreuse à elle-même prés des lèvres postérieures de la plaie ? Il paraît plus prudent de faire passer les fds juste au-des
s qui surviennent dans la région opérée; si des injections détersives paraissent utiles, on pourra les faire, soit avec de l'eau t
ande incision, et elle peut gêner beaucoup l'o-pérateur; mais elle ne paraît pas ajouter beaucoup aux dan-gers de l'opération.
du péritoine s'accroissent aussi par leur base, de telle sorte qu'ils paraissent aplatis. Cette disposition n'est pas le résultat
on ou recourir simplement aux moyens hémostati-ques? Ce dernier parti paraît le plus sage, mais les faits ne permettent pas en
ougie passée dans ce tube. La forme la plus convenable pour ce but me parut être une flexion brusque à l'extrémité de la sond
'abandonnent pas la canule. On survedle l'écoulement, et si la malade paraît menacée d'une syncope, on arrête momenta-nément o
Atlee. Cette guérison n'arrive qu'après des ponctions répétées : elle paraît due au développement d'une inflammation de la par
ns sa vascula-rité et ses fonctions de sécrétion ; quelquefois elle a paru résul-ter d'une espèce de dessèchement et d'atrop
péciale, elle ne développe ni douleur ni inflammation adhé-sive, elle paraît plutôt tarir la sécrétion ; les kystes guérissent
78 on compte encore d'assez bons résultats pour que cet âge avancé ne paraisse pas une contre-indication. Nous venons d'expose
nsi Scanzoni combat la méthode avec une certaine vivacité ; M. Courty paraît croire que les accidents auxquels elle a donné he
culairedont le liquide était filant et visqueux. Ces témoignages nous paraissent de nature à faire cesser les préventions que l'on
des parois du kyste, les fistules consécutives. La fièvre hectique a paru avantageusement combattue par l'alimentation pres
mollients ont triomphé de la constipation ; la rétention du liquide a paru due le plus sou-vent à l'obstruction de la canule
voir laissé le kyste se remplir. Quant au ramollissement du kyste, il paraît ne s'être produit que dans les cas où l'on avait
le tort de vider le kyste d'un seul coup. En résumé, ce traitement paraît convenir aux kystes unilo-culaires à liquide fila
dications sont très-limitées de l'aveu même de ses partisans. Elle ne paraît applicable qu'aux kystes uniloculaires, à parois
r cet accident en maintenant solidement le kyste. Quelque sim-ple que paraisse de prime abord l'incision du kyste, on peut voir
-mémorial, mais son extension à la guérison des kystes de l'ovaire ne paraît pas remonter plus loin que Schorkopff (i685) et S
r alors il est pro-bable que le kyste n'est pas aussi simple qu'il le paraît , soit que les parois soient épaissies, soit qu'il
des présomptions; les adhérences peuvent exister même quand la tumeur paraît mobile dans tous les sens. Quand d y a des doutes
à des péri-tonites, et l'obstacle qu'elles apportent à l'opération ne paraît pas devoir être ordinairement bien considérable.
rve sa grande utilité. La statisti-que de M. Kœberlé lui-même ne nous paraît pas justifier com-plètement sa répulsion pour les
-portant de ne pas faire trop d'efforts, surtout si la paroi du kyste paraît peu épaisse, parce qu'on pourrait déchirer ces pa
ir s'il n'y reste pas un vaisseau béant; toute portion d'épiploon qui paraîtra altérée par les manœuvres de l'opération sera ret
hui, sauf dans les cas oii il existe une douleur vive ; l'opium lui a paru être la cause du malaise fatigant, des vomissemen
tant par l'incision ou par l'excision partielle. Cette con-duite nous paraît préférable à celle dans laquelle on fait la su-tu
si les adhérences entre le kyste et la paroi abdominale antérieure ne paraissaient pas assez solides, on commencerait par réunir à l
ang dépasse i,ooo grammes, la mort est presque certaine. La mortalité paraît exactement proportion-nelle à la durée de l'opéra
deux heures, la mort est presque inévitable. Le poids des tumeurs ne paraît pas sensiblement influer sur la terminaison, jusq
nostic est favorable. Complications après C opération. — Celles qui paraissent plus particulières à l'ovariotomie sont l'ébranle
c le bout du doigt. L'emploi du cautère actuel, au lieu de ligatures, paraît un bon préservatif de l'hémorrhagie. Plus raremen
nt la tympanite marque le début de la péritonite ; d'autres fois elle paraît due à un obstacle mécanique à la sortie des gaz p
es gardes permettent assez bien d'obtenir ce ré-sultat; si ces moyens paraissent devoir être insuffisants, on administre delà morp
fétides du péritoine, que si les moyens dont nous venons de parler ne paraissent pas les entraîner complètement au-dehors, il faut
giques dont les caillots se décom-posent, et que ces hémorrhagies ont paru produites par les vomissements chloroformiques, L
ste, ou bien on n'essaya même pas de le détacher, tant les adhérences paraissaient nombreuses et résistantes ; on se contenta de fai
uments dans les planches 12 et 13 ; nous ajouterons ici ceux qui nous paraissent les plus importants. Figure x. Trocart de Kœber
d'une croûte de substance brune de 5 millimètres d'épais-seur, et qui paraissait avoir été déposée par couches successives ; dans
t M. Nélaton, dans le sens transversal par rap-port à la plaie. Il me paraît plus prompt et plus simple de la faire dans le se
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