iques; les troisièmes, des préparations d'anatomie comparée. L'auteur
paraît
avoir donné beaucoup plus de soin à l'anatomie de
nique • Tordre anatomique, suivi d'ailleurs par mes modèles, m'a donc
paru
préférable. En conséquence, nous classerons les a
et des faits isolés qui en appellent d'autres du même genre, lesquels
paraîtront
dans les livraisons subséquentes. (36) Utile at
itre de Cours d'études anatomiques? et dont les deux premiers volumes
paraîtront
dans le cours de cet hiver. Paris, le 3o septem
itié, dont la description détaillée et la représentation fidèle m'ont
paru
propres à jeter quelque jour sur la théorie de ce
ue de semblables injections ne peuvent pas réussir sans rupture. Il
paraîtrait
même que dans l'état normal il existe, à une cert
j'ai pu tout récemment, dans un cas obscur, porter un diagnostic qui
paraissait
bien hasardé aux praticiens étrangers à de sembla
urt trajet, se renfle pour former une tumeur triangulaire 2G, qui m'a
paru
représenter le ganglion cervical moyen. Cette tum
nt en devant des nerfs de la huitième et de la neuvième paires, m'ont
paru
leur envoyer «quelques filets pour pénétrer ensui
lamens nerveux qui s'éparpillent, revêtent de nouvelles combinaisons,
paraissent
quelquefois se perdre dans la substance grise pou
ervée dans les calices, comme elle pénétrée de vaisseaux sanguins qui
paraissaient
de nouvelle formation. Le rein gauche devait donc
rine avait continué dans le rein. Cette dernière circonstance, qui me
paraissait
inexplicable au moment où je recueillis ce fait,
e flanc droit, tumeur que j'eus occasion de constater pendant la vie,
paraissait
aux uns appartenir au foie, aux autres occuper le
adavérique va tout éclaircir. L'abdomen ouvert, le péritoine nous a
paru
parfaitement sain. Le foie, la rate, l'estomac, l
st destinée à représenter cette coupe. Ici le ramollissement du tissu
paraît
dans tout son jour. La plus légère pression, la p
uffisaient pour le morceler, et ce morcellement, cette dif-fluence me
paraissent
très-bien rendus par la figure. L'altération étai
aient le diagnostic. Je dois y joindre un mode d'exploration qui me
paraît
propre à jeter un grand jour sur le diagnostic de
à interprêter qu'on ne le croit communément : et cette difficulté me
paraît
surtout très - grande pour le rein, qui devient p
parties : Fig. i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l'extérieur,
paraissait
dans l'état normal. L'artère aorte A A présente s
rganes agisse également sur d'autres systèmes ; et si les altérations
paraissent
au premier abord si disparates, cela tient bien s
trajet sans communiquer entre eux. Le vaisseau VL, VL ( fig. 3 ) m'a
paru
le plus remarquable; il longeait le bord adhérent
ur des valvules conniventes. Tous ces vaisseaux parallèles, qui m'ont
paru
s'anastomoser rarement entre eux, venaient se ren
Réflexions. — Sous le rapport anatomique et physiologique, ce fait me
paraît
prouver le mode d'origine des vaisseaux lactés. C
aisseaux, mais sans ampoule, sans valvules distinctes; mais, comme il
paraît
n'avoir pas observé les vaisseaux lactés pleins d
s montrer à William Hunter. La cavité spongieuse de Lieberkuhn ne lui
parut
être autre chose que le tissu cellulaire qui unit
loppé., né avec des mains et des pieds-bots, dont Fexamen détaillé me
paraît
jeter le plus grand jour sur le mécanisme de la p
lequel aurait dû se trouver appliqué contre le radius. Le périnée P
paraît
énorme dans son diamètre antéro - postérieur : po
lléole externe, TC tubérosité antérieure du calcanéum dont la saillie
paraît
dans tout son jour; TA tubérosité de nouvelle for
on corps. Les autres os du tarse sont parfaitement distincts et m'ont
paru
dans l'état naturel. Ce cas prouve manifestement
ie de figures contenues dans les planches n, m, iv (ne livraison), me
paraît
établir d'une manière positive i° les causes, 2°
inférieure du cubitus, triple vice de conformation par défaut qui me
paraît
le résultat exclusif de la compression; il y a là
il n'existait pas sur les enfans pieds-bots que j'ai examinés. Il me
paraît
probable que, dans le cas actuel, ce ligament éta
ne difformité incurable après une certaine époque; et cette époque me
paraît
celle où les muscles atrophiés sont aptes à ressa
l'article de la thérapeutique, parce qu'en effet les tendons nous ont
paru
dans le plus parfait état d'intégrité. Nous ne co
t caractérisé par le stade de sueur : mais la rongeur de la langue me
paraît
une contre-indication au tâtonnement méthodique q
ite a-t-elle été la cause, a-t-elle été l'effet de la fièvre? Elle me
paraît
cause au même titre que la pneumonie l'est de la
ont des gouttes d'eau jetées au milieu de flammes ardentes ; si elles
paraissent
un instant diminuer la violence de m^^dio , r,'es
toujours par doses minimes qu'on procède : on avance, on recule; tout
paraît
un écueil; le soir on trouve une contre-indicatio
arge main, et le succès a souvent couronné cette pratique qui pouvait
paraître
hardie, mais qui était justifiée par le défaut de
iendent, sir. gomm. ; cataplasmes et lavemens émolliens. — Les règles
paraissent
le soir. Pouls moins fréquent le i5; nulle doul
matin. Le 18, le mieux est manifeste. L'indication du quinquina me
paraît
évidente : forte décoction de quinquina; un verre
x onces d'eau; une cuillerée d'heure en heure. La vie de la malade me
paraît
dépendre de la possibilité d'administrer cette do
face cadavéreuse, hoquet que j'entends pour la première fois, et qui
paraît
s'être montré à de longs intervalles les jours pr
e. Le défaut d'efficacité des sangsues, les mauvais effets qu'avaient
paru
produire la première et la troisième applicatio
tomac n'a pu rien supporter. L'altération essentielle, celle qui me
paraît
avoir dominé la maladie, c'est le ramollissement
prochaine de l'inflammation : j'avoue que de semblables questions me
paraissent
encore prématurées ; mais ne peut-on pas se rendr
s. Je terminerai ces réflexions par une observation pratique qui me
paraît
de la plus haute importance, c'est que les évacua
étallique de l'argent mat ou d'une per|P rîp la plua belle eau : elle
paraissait
sortir du ventricule moyen, dont les parois étaie
t cependant la nutrition était parfaite. Les facultés intellectuelles
paraissaient
n'avoir été troublées que depuis deux mois; et le
re l'identité absolue qui existe entre ce fait et le précédent. PA me
paraît
la coupe de la protubérance, reconnaissable à ses
s du matin. Ouverture du cadavre. Machis. Le prolongement rachidien
paraît
peu volumineux, surtout à sa partie inférieure. C
ue l'intérieur de certaines coquilles. Coupée « dans son milieu, elle
paraît
formée de couches concentriques, unies entre elle
la « partie la plus externe de la tumeur; sa substance dans ce point
paraît
légèrement ramollie, comparati-« vement au côté o
ire, la cuisse gauche de la moelle allongée et le bulbe rachidien; il
paraît
même que la protubérance comprimée avait subi un
dans les couches cérébrales adjacentes, précipite le terme fatal. Il
paraît
que, dans le cas actuel, c'est au ramollissement
circonscrite. La malade ne se croit pas dans un état grave. Elle nous
paraît
à toute extrémité. Traitement. Malgré l'insensi
l présentait un prolongement FGC (fig. 3), également anfractueux, qui
paraissait
d'une date plus récente que le foyer principal FG
ONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA GANGRÈNE DU POUMON. ¦ Ce cas m'a
paru
pouvoir servir de type pour la gangrène du poumon
maladie antérieure du poumon,une cause quia agi sur tout l'organisme,
paraissent
le plus ordinairement une prédisposition nécessai
eur extrêmement fétide, adhérent encore au tissu du poumon et qui m'a
paru
formé par les couches superficielles de cet organ
issait exactement les limites entre le mort et le vif, en sorte qu'il
paraissait
n'y avoir aucune communication entre les bronches
quelquefois blancs. L'expectoration fétide et l'hémoptysie réunies me
paraissent
caractériser autant que possible la gangrène du p
rte et belle constitution, s'étant livré a toutes sortes d'excès, vit
paraître
il y a deux ans, sans cause connue, une tumeur à
ais la respiration devient de plus en plus fréquente, bruyante; il me
paraît
évident que la trachée est comprimée. Pouls misér
une lame mince, fibreuse dans l'étendue de quelques lignes NI; il m'a
paru
qu'il était complètement interrompu, car je n'ai
ofonde ; cette cavité était revêtue par une membrane fibreuse qui m'a
paru
se continuer avec le ligament costo-claviculaire
e des tubercules concrets blanchâtres, également enkystés. Rien ne me
paraît
prouver davantage l'analogie qui existe entre la
GÉNÉRALES SUR LES ANÉVRYSMES DE LA CROSSE DE L'AORTE. Ce cas m'a
paru
pouvoir servir de type pour les anévrysmes en gén
ténacité, leur adhésion aux parois artérielles avec lesquelles elles
paraissent
faire corps, et surtout le pus qu'on rencontre qu
isent. Le pus qu'on voit quelquefois au milieu de ces concrétions, me
paraît
le produit d'une sécrétion des parois, produit qu
anger, pourrait donner lieu à l'inflammation des parois; niais il m'a
paru
que ce sang ne s'altérait que consécutivement à l
pouls peu fréquent, naturel ; la respiration suspirieuse ; le malade
paraît
sans communication aucune avec les objets extérie
te dans le kiste fibreux d'enveloppe, l'aspect rugueux des parois, me
paraissent
le résultat de l'accroissement du kyste, graduell
la tête et par les fonctions internes, et cependant il sourit, et ne
paraît
susceptible que d'impressions gaies. Il se croit
rée au niveau du bulbe rachidien et de la région cervicale, ce qui me
paraît
s'expliquer par la position déclive donnée au cad
e ces fibres ; et les filets des racines antérieures, teints de sang,
paraissent
réduits à leur névrilème, ou du moins on ne leur
Thorax. Le cœur et les poumons sont parfaitement sains. Ces derniers
paraissent
exempts de l'engouement cadavérique. Abdomen. L
et la membrane propre qui pourra elle-même se déchirer. C'est ce qui
paraît
avoir eu lieu en partie pour le foyer FAP (fig. i
moelle que pour mieux protéger cette substance grise: la conséquence
paraîtrait
naturelle; car, chez notre sujet, la substance bl
lle du cerveau, assez généralement admise dans ces derniers temps, me
paraît
une grave erreur physiologique fondée sur d'ingén
sous la pie-merc, qu'il peut érailler et même déchirer; c'est ce qui
paraît
avoir eu lieu pour le foyer FAP (fig. i ), FAA (
e fonde sur une observation tout-à-fait semblable de M. Dance, qui me
paraît
pouvoir servir de type pour l'arachnitis ou plutô
7. Ouverture du cadavre. L'abdomen ouvert, l'estomac et le duodénum
paraissent
parfaitement sains à l'extérieur. Leur paroi anté
couleur rosée. Examinées sous l'eau et à l'aide de la loupe, elles
paraissent
formées (fig. i) par une innombrable quantité de
une matière gélatineuse mêlée à une matière puriforme, lesquelles me
paraissent
des débris d'acéphalocystes. Réflexions. — Tous
ane muqueuse était primitivement affectée. Les membranes muqueuses me
paraissent
essentiellement constituées par une trame vascula
la déchirure des aréoles et des vénules distendues. Au fond, il me
paraît
résulter de mes recherches, que les cancers, comm
its tubercules cancéreux VLC, WC, quelques-uns de ces vaisseaux m'ont
paru
gorgés de la même matière cancéreuse. L'estomac
ur , me portent à admettre que ce sont des artères ; les veines m'ont
paru
l'élément organique qui est le premier désorganis
côté du thorax. Commémoratifs. La maladie, qui date de huit jours,
paraît
due à un travail excessif, au passage subit du ch
te les jours précédens, est manifeste. Le météorisme et la douleur me
paraissent
annoncer une péritonite très-aiguë, peut-être par
jusqu'au niveau de la troisième côte, en sorte que la suffocation m'a
paru
le résultat mécanique du soulèvement du diaphragm
couleur a été parfaitement rendue sur la figure 1, IGP, IGP; elle ne
paraîtra
forcée qu'à ceux qui n'auront pas vu ce genre de
dehors, on voit une espèce de gerbe de concrétions plâtreuses CS qui
paraissent
formées aux dépens d'une gerbe de franges synovia
euses, elles étaient parsemées de concrétions blanches, dont les unes
paraissaient
déposées à leur surface interne et les autres con
ÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA GOUTTE. Les deux faits qui précèdent me
paraissent
remplir en grande partie la lacune qui existe dan
attaque de goutte? se renouvelle-t-elle à chaque attaque? Cela ne me
paraît
pas douteux. La formation de l'urate et du phosph
aquant plus particulièrement aux grandes. Les deux faits ci-dessus me
paraissent
établir la loi qui préside au développement et à
qu'avait pu se loger la queue de cheval. Les nerfs qui la constituent
paraissaient
comprimés et moins volumineux que de coutume ; il
ranglement qu'ils avaient éprouvé au niveau de la luxation, les nerfs
paraissaient
reprendre leur volume naturel. Du reste, les os
deux vagins. Cette observation de Boehmer, dans laquelle la division
paraît
plus considérable encore que dans le cas représen
g du vagin. A cette dépression extérieure répondait une cloison qui
paraissait
formée par l'adossement des parois de deux utérus
, développé comme il doit l'être au quinzième jour de l'accouchement,
paraît
également sain à l'extérieur. Les ligamens rond
s les veineà utérines latérales, on voyait cette progression, qui m'a
paru
constante dans toute phlébite : i° concrétions sa
su de cet organe. J'ai trouvé un petit foyer purulent superficiel qui
paraissait
le résultat de la déchirure d'une veine suppurée.
épaisses, à liquide trouble et opaque, qu'une hématocèle! Il m'a donc
paru
de la plus haute importance de présenter dans une
léger effort suffisait pour les dissocier. La tumeur inférieure E m'a
paru
formée par fépididyme; la tumeur supérieure T, pa
tie supérieure de la tumeur, il existe une bouillie blanchâtre qui me
paraît
le résultat d'une altération du tissu fibreux. J'
ans infecter la masse, et tantôt l'infectent immédiatement. Ce qui me
paraît
certain, c'est que tous ces produits nouveaux, to
. Le canal déférent était sain. Les tubercules les moins développés
paraissaient
formés aux dépens du tissu cellulaire qui entoure
re sous-jacent, et nulle part accumulé en foyer. La membrane muqueuse
paraissait
elle-même comme imbibée de pus, et ce n'est que d
le cas de notre malade. Je dois faire à ce sujet une remarque qui me
paraît
importante. Lorsqu'une membrane devient le siège
Le malade effrayé , les yeux égarés , appréhende une suffocation qui
paraît
en effet inévitable. Son pouls est presque insens
ail que depuis quinze jours; d'ailleurs, point de fièvre, les poumons
paraissent
sains : seulement caverne sèche et extrêmement so
ute lésion pulmonaire? J'ai recueilli quelques faits cliniques qui me
paraissent
le démontrer de la manière la plus positive. Mais
a syncope qui accompagne souvent une déplétion subite. La fluctuation
paraissait
moins obscure aux régions ombilicale et iliaques
ltipliées, surtout dans quelques points. La disposition aréolaire qui
paraît
être le type de ce genre de productions organique
nkystée de l'ovaire se voit souvent sans ce dernier symptôme. Il me
paraît
impossible de distinguer, dans l'état actuel de l
cu-laire gélatineux du kyste uniloculaire séreux ; la fluctuation m'a
paru
la même dans les deux cas : mais je crois qu'on p
est à peine marquée ; celle d'un kyste uniloculaire gélatiniforme m'a
paru
la même que celle du kyste uniloculaire séreux. L
s liées à des différences d'organisation du cerveau? L'observation me
paraît
répondre par l'affirmative, et la saine métaphysi
rapports essentiels, l'idiotie congéniale et l'idiotie acquise m'ont
paru
devoir être réunies dans la même classe de maladi
. Guersent. contraire, bien qu'il ait le même volume que le gauche,
paraît
transformé dans sa presque totalité en un kyste à
nérale, la lenteur dans la perception des impressions extérieures, me
paraissent
un effet constant et en quelque sorte pathognomon
complètement au niveau de cette ouverture, la pie-mère elle-même, qui
paraît
s'enfoncer dans l'hiatus, cesse brusque-quement.
tion était un peu accélérée, le pouls un peu fréquent; l'état général
paraissait
d'ailleurs le même. Je pronostiquai la mort dans
tant la malade n'accuse aucune douleur. Les jours suivans l'érysipèle
paraît
diminué ; mais un oedème indolent persiste. Le 2
ivans, l'état du malade ne présente rien de particulier; seulement il
paraît
dans un état de torpeur qu'on attribue à la pléth
, d'insolite dans les manières, les attitudes et les réponses, qui me
paraissent
pathognomoniques de l'affection de la séreuse ven
intelligence est parfaite. Mais la petite malade ne demande rien et
paraît
insensible a ses besoins. Plus de mauvaise humeur
u moindre contact comme les jours précédens : la maladie cérébrale me
paraît
confirmée. (Demi-bain.) — Le 22, on vient me cher
e 26, petits mouvemens convulsifs dans les extrémités supérieures. Il
paraît
que l'enfant entend encore, car elle frappe dans
l'attention des praticiens sur l'inégalité de la respiration, qui m'a
paru
un symptôme caractéristique de cette maladie, mêm
endant la dilatation des pupilles et l'injection de la conjonctive me
paraissent
le résultat de la compression des nerfs optiques
peau fraîche ; pouls très-lent et un peu inégal : la respiration m'a
paru
égale. Je l'ai vu bâiller une fois. 11 répond trè
. Les deux pupilles sont très-dilatées. L'extrémité supérieure gauche
paraît
affaiblie dans sa myotilité, car lorsqu'on la pin
eurs anfractuosités de la voûte (fig. 2 ) plusieurs tubercules TT qui
paraissent
logés dans l'épaisseur de la substance cérébrale
de spinale. Le crâne ayant été ouvert, la convexité du cerveau nous a
paru
dans l'état le plus parfait d'intégrité, seulemen
retardés dans leur développement. La substance grise ne commençait à
paraître
qu'au voisinage du bulbe raehidien. En outre la p
neuse remplissait l'intervalle. La comparaison des figures 3 et 4 nie
paraît
établir que le développement des vertèbres est pl
ibreux qui constituaient les parois du kyste. La matière contenue m'a
paru
être constamment soit un liquide qui conserve enc
elles, soit produites par l'art dans les opérations de chirurgie, m'a
paru
d'un grand intérêt pour la science et le compléme
VI, VIe LIVRAISON.) L étude approfondie des maladies du placenta me
paraît
devoir jeter un jour tout nouveau sur les vices d
toujours plein de zèle pour les progrès de l'art des accouchemens, me
paraît
un exemple remarquable d'atrophie du placenta qui
, dans un ouvrage qui fut accueilli avec défaveur dans le temps où il
parut
(1804), décrivit assez exactement les caractères
à l'innocuité des vomitifs, des purgatifs, et même l'avantage qu'on a
paru
en retirer dans un grand nombre de cas ; de là le
orme gangreneuse : 5° l'inflammation des ganglions mésentériques, qui
paraît
n'être qu'accessoire, consécutive dans le plus gr
ntre des cas dans lesquels l'inflammation des ganglions mésentériques
paraît
la lésion principale, l'inflammation folliculeuse
la lésion locale; quant aux secondes, dans lesquelles l'état général
paraît
au contraire dominer l'état local, on leur a rése
je ne pouvais obtenir de réponses qu'en lui parlant de chimie, et il
paraissait
plein de vie à ma dernière visite ; observé par l
observé par l'interne (M. Sestié), à dix heures du soir, son état lui
parut
à peu près le même qu'à la visite du matin. Il mo
a pression abdominale, soit antéro-posté-rieure, soit latérale, ne me
paraît
que d'une valeur très-secondaire, et je n'attache
été souvent donné de le constater : la génération de cette maladie me
paraît
recevoir un jour tout nouveau de l'étude du typhu
se comme les facteurs : ainsi dans les raisonnemens par chiffres, qui
paraissent
inattaquables au premier abord, combien de fois n
ns la partie élevée que dans la partie basse de la ville ; les causes
parurent
agir de deux manières différentes, et sur la peau
cet égard. Toutefois je ferai remarquer que le dévoiement ne m'a pas
paru
avoir une influence avantageuse sur la marche de
forte dose (je veux dire un grain le matin et un grain le soir), m'a
paru
, dans quelques cas particuliers, triompher du dél
diverses parties du corps, des vésicatoires volans ou à demeure m'ont
paru
, dans un grand nombre de cas, influer avantageuse
nt sous la main qui le presse avec force et dans tous les sens; il me
paraît
un peu volumineux. — Pour commémoratifs, je recue
Continuation de l'eau de veau tamarinée. — Quelques selles. Le malade
paraît
mieux ; il a recouvré toute sa raison. — Le 29, a
que des selles copieuses.—Le 3o, même état ; la région iliaque droite
paraît
douloureuse. Dix sangsues. — Le Ier octobre , le
exions. — A la forme gangreneuse de l'entérite folliculeuse aiguë m'a
paru
constamment répondre la forme ataxique. La rapidi
deux applications de sangsues, l'une sur la base du poumon gauche qui
parut
s'indurer, l'autre sur la région iliaque droite q
tit. Le malade n'accuse aucune douleur; mais la pression de l'abdomen
paraît
douloureuse. ( Sinapismes ; potion calmante qui c
oujours sous la forme ataxique. L'observation qu'on vient de lire m'a
paru
être le type de cette forme de maladie. Ces pustu
, sans diminution correspondante des forces musculaires, m'a toujours
paru
annoncer une mort extrêmement prompte. La ligur
le 18, il bat la campagne et reconnaît à peine ses parens. — Le 19 il
paraît
mieux. —Le 20, il est apporté à la Maison royale
suraiguë produite par le passage des matières fécales. Ce passage ne
paraît
pas avoir eu lieu chez ce sujet. Entérite folli
ce des symptômes. —Hallucination.—Mort. — Les ganglions mésentériques
paraissent
le siège principal de la maladie. — Traces d'une
isole. Je diagnostique une entérite folliculeuse aiguë : le délire me
paraît
sympathique. (Saignée.) Le délire tombe, la fièvr
aires. Le 21, à la suite d'une sueur extrêmement abondante, le malade
paraît
mieux; le pouls est à peine fréquent; la langue h
ectés; plusieurs offrent des points blancs à leur surface ; plusieurs
paraissaient
transformés en une poche fibreuse contenant une m
L'intestin nous a présenté plusieurs espèces d'altérations qui m'ont
paru
difficiles à analyser : i° le gros intestin, le c
C, aux dépens de cette valvule se voit un aspect ridé, plissé, qui me
paraît
indiquer une cicatrisation antérieure. On ne saur
l'abdomen. Les cas dans lesquels cette disposition s'est présentée me
paraissent
des cas anormaux. (1) Archives de médecine, t.
e le développement normal de l'ongle abandonné à lui-même, mais il me
paraît
constituer un état morbide qui est la conséquence
t chez les vieillards qui gardent le lit depuis longues années. Il me
paraît
infiniment probable que, dans ce cas, le poids de
curables, tandis que les fongus de la dure-mère, proprement dits, lui
paraissent
marqués au coin de l'incurabilité. (*) Mémoires
ervateurs s'y sont mépris. Or ces tumeurs careinomateuses du crâne me
paraissent
formées aux dépens du tissu adipeux médullaire de
ne chute, d'une commotion. Le virus vénérien, le vice scrophu-leux ne
paraissent
avoir aucune influence sur leur développement. Le
ongueuses qui compriment les circonvolutions antérieures ne m'ont pas
paru
porter plus particulièrement sur les facultés int
a portion du crâne qui leur a donné naissance. Les faits suivans me
paraissent
propres à jeter quelque jour sur l'histoire encor
ence. Le malade prenait quelques alimens. La violence des douleurs me
parut
indiquer des potions calmantes et des linimens ca
ou de queue de faire saillie dans la vessie. Cette portion du calcul
paraissait
avoir été brisée, Ce calcul occupait le centre du
à peine tenir sa tête en équilibre. L'extrémité inférieure gauche me
paraît
plus faible que l'extrémité inférieure droite. La
eai qu'on levât cette malade tous les jours. Les premiers jours, elle
paraissait
mieux; à chaque visite, je la trouvais assise sur
ent en avant comme une masse inerte. L'extrémité inférieure gauche me
paraît
toujours un peu plus faible que l'extrémité infér
ou de queue de faire saillie dans la vessie. Cette portion du calcul
paraissait
avoir été brisée, Ce calcul occupait le centre du
toute la durée de cette attaque, qui fut de demi-heure environ, il ne
parut
pas y avoir eu perte de connaissance. Depuis cett
a langue est repoussée hors de la bouche par une tumeur dont le siège
paraît
être la glande maxillaire. M. Guersent constate u
son attention par des questions rapides et articulées avec force; il
paraît
également insensible aux pincemens les plus forts
tes et dont lui-même exprime ses désirs, ses facultés intellectuelles
paraissent
entières. Il jouit de l'usage de tous ses sens, e
u lobe antérieur gauche. La dure-mère ayant été incisée, l'arachnoïde
paraît
saine; mais les circonvolutions de l'hémisphère g
qui remplissait les mailles du tissu cellulaire sous-arachnoïdien me
paraissent
l'effet et nullement la cause de l'atrophie, et d
la marche, il fallait la porter d'un lieu dans un autre. L'olfaction
paraissait
nulle, ou plutôt la jeune idiote était insensible
anatomiques 5 anatomie descriptive, t. 1, p. 4^2. chronique, il me
paraît
démontré (*) que les deux opinions, émises à ce s
dans les lobes moyens, que dans les lobes postérieurs. La malade ne
paraissait
pas jouir de l'olfaction, et cependant les nerfs
ses à travers lesquelles passe le cerveau dans son évolution? Cela me
paraît
infiniment probable, car les ventricules ne sont
est sans contredit celle représentée fig. 1 et 2. C'est celle qui m'a
paru
succéder constamment aux maladies ixe livraison.
dies du corps du testicule, tandis que les maladies de l'épididyme me
paraissent
le plus souvent marquées au coin de la curabilité
donne issue à un pus épais, comme tuberculeux ; mais ces petits abcès
paraissent
indépendans du corps de la tumeur et le produit d
ère tuberculeuse, laquelle se dépose dans les mailles du tissu, et me
paraît
susceptible de résolution. Je fais saupoudrer les
este; d'ailleurs, point de douleurs, point d'élancemens; la tumeur ne
paraît
incommoder que par son poids. L'expérience acquis
int de vue du mode, en aiguë et en chronique. Les tumeurs blanches me
paraissent
consister essentiellement dans une inflammation c
e, l'avant-bras et la main vus de profil du côté radial. L'avant-bras
paraît
beaucoup plus court que de coutume ; il forme un
e coupole fibreuse qui reçoit la tête TR du radius. Cette coupole m'a
paru
formée aux dépens du muscle anconé et de l'aponév
ne maladie de l'articulation radio-cubitale supérieure, mais qu'il me
paraît
plus probable d'admettre qu'il y a eu luxation in
dans l'estomac d'un cadavre. Un commencement d'altération cadavérique
paraît
nécessaire; aussi ce ramollissement s'observe-t-i
e que le malade oublie de retirer. (Saignée au bras de huit onces qui
paraît
soulager.) Le 3o, le malade est mieux. iel mai.
la glace sur la tête pendant le jour, une potion calmante le soir me
paraissent
remplir les indications. 2 mai. Tranquillité ,
e ce que j'ai à dire sur le ramollissement par une observation qui me
paraît
de la plus haute importance : c'est que les malad
s physiques ou chimiques des altérations vitales. Cependant ce qui me
paraît
positif dans l'état actuel de la science, c'est q
re, dans le cœcum, dans l'intestin grêle; mais nulle part elle ne m'a
paru
aussi fréquente que dans l'estomac, par la raison
mitif de la lésion. L'altération de la membrane fibreuse m'a toujours
paru
précéder celle de la muqueuse; c'est ce qu'on voi
la ligne blanche, un peu au-dessus de l'ombilic, une tumeur dure qui
paraissait
superficielle, vu la maigreur du sujet, et qui se
sseaux VL, VL, VL, le long de la grande courbure de l'estomac GC ? Il
paraît
donc démontré que la matière du cancer aréolaire
ls été les seuls symptômes de la maladie. L'observation suivante me
paraît
un des types du cancer latent de l'estomac et du
rvenue à la suite de longues courses à cheval : cette infiltration me
parut
tenir à un affaiblissement général. Je conseillai
t encore, avec le cancer, l'ulcère simple chronique de Vestomac ne me
paraît
pas avoir fixé l'attention des observateurs comme
e l'organe se trouvant dans un état parfait d'intégrité? Voilà ce qui
paraît
bien difficile à expliquer. V. Il n'est pas trè
alité et leur quantité. La température très-chaude ou très-froide m'a
paru
convenir beaucoup mieux que la température tiède.
de ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L'état aigu me
paraît
démontré : i° par le caractère de l'ulcération, d
à un régime adoucissant qui produisit les meilleurs effets. Le malade
paraissait
rétabli, lorsqu'un soir, en tirant ses bottes ave
. de Médecine, tome 11e, p. 388. Obs. publiée par M. Rullier. — Il me
paraît
évident que ce fait doit être rapporté à l'ulcère
vaux , il se livra de nouveau à sa funeste habitude sans que sa santé
parût
en souffrir notablement. Le i5 avril i83o, chal
seaux lymphatiques et le cœur qui contenaient du pus, m'ont également
paru
, dans beaucoup de cas, exempts des caractères dit
lus long-temps « après que les premiers accidens de la résorption ont
paru
, des inflammations et des abcès ensemble, tantôt
plus souvent dans le foie, et quelquefois dans le cerveau -, d'où il
paraît
que les abcès qui se forment à la suite d'une rés
son impuissance en présence d'un pareil phénomène. Une phlegmasie qui
paraissait
n'avoir aucun trait à celle qui nous occupe ici,
, une série nombreuse d'expériences que j'ai publiées en 1826 (**) me
paraît
avoir établi d'une manière rigoureuse cette propo
ais l'analogie porte à penser qu'il en doit être ainsi, car ces abcès
paraissent
être de même nature et doivent suivre partout la
vent y faire pénétrer du pus en nature. Reste donc la phlébite qui me
paraît
, comme à M. Dance, l'unique source de tous les ac
éraux, l'intégrité ordinairement parfaite des parties voisines, ne me
paraissent
pas des objectionspéremptoires contre l'inflammat
ombre de cas de l'observation de ce viscère dont les lésions leur ont
paru
rendre un compte suffisant des phénomènes. XXXI
. L'humérus était intact, les vaisseaux et nerfs principaux du membre
paraissaient
également avoir été respectés. Le repos au lit, l
s, concurremment avec une phlébite des grosses veines, m'ont toujours
paru
le résultat d'une phlébite des veines d'un ordre
uefois très-grande dans la dissection. Les conséquences de ce fait me
paraissent
très-importantes sous le point de vue chirurgical
y eut plusieurs recrudescences. VIII. L'oblitération des veines me
paraît
la terminaison du plus grand nombre des phlébites
e dans le cas où cette phlébite, qu'on pourrait appeler primitive, ne
paraît
pas exister, il faut briser les os qui ont été fr
ement après une hémorrhagie consécutive à la délivrance, m'a toujours
paru
caractériser soitune inflammation des veines, soi
prélude de l'affection pulmonaire. Du 15 juillet au 3 août, la malade
paraissait
marcher à la guérison, lorsque tout-à-coup survie
rs qui soulèvent la plèvre, leur disposition à facettes, dont chacune
paraît
formée par un lobule, les diverses nuances de cou
d'une hémorragie interne mortelle. Le cas représenté planche iv m'a
paru
pouvoir servir de type pour la gangrène diffuse d
uqueux qui naissent du tissu même de la membrane muqueuse dont ils ne
paraissent
être qu'un développement hypertrophique circonscr
tte altération du foie que les anciens, et Baillie en particulier, me
paraissent
avoir désignée sous le nom de tubercules du joie
té de matière colorante, variable dans les diverses granulations, m'a
paru
en raison directe de leur volume. Les vaisseaux S
stifs, attestait une lésion plus ou moins profonde. IV. L'ascite me
paraît
donc consécutive : elle peut tenir, ib à l'extens
, ont été sans résultat : les alcalis, les ferrugineux, qui m'avaient
paru
d'abord produire de bons effets, ont complètement
ïdale et se creuse en godet au centre : cette dernière disposition me
paraît
s'expliquer par la densité qu'acquiert le tissu c
s un grand nombre de cas, l'ascite symptomatique du cancer au foie me
paraît
moins l'effet d'une compression des veines porte
lesquels se présentent les cancers du foie par masses disséminées, me
paraissent
devoir se rapporter à deux variétés principales q
dois dire que, dans beaucoup de cas, ces phénomènes consécutifs m'ont
paru
reconnaître pour cause l'irritation du péritoine,
n jusqu'à son développement complet; 4° bien que la tumeur cancéreuse
paraisse
, au premier abord, complètement isolée et sans au
une masse plus ou moins considérable de granulations contiguës. Il me
paraît
donc démontré que le siège du cancer du foie est
ément anatomique primitivement affecté. Or, cet élément anatomique me
paraît
être le système capillaire veineux; et voici les
urs impossible de poursuivre au-delà de quelques lignes, parce qu'ils
paraissent
s'anastomoser entre eux. Dans ces cas, il est vra
ai cet orifice et je parvins dans un vaisseau très volumineux, qui me
parut
être une des ramifications de la veine porte. Alo
exactitude sur une autre pièce pathologique tout-à-fait semblable, me
paraît
au-dessus de toute objection. On a opposé à cette
natomique affecté dans le cancer? L'objection tirée de l'injection me
paraît
un argument en faveur de l'opinion que je soutien
s la région du foie, sentiment qu'il attribuait à des glaires, et qui
paraissait
d'ailleurs jouir delà meilleure santé. Quatre moi
froid pour toute nourriture passant mieux que les autres alimens, me
paraît
convenir; infiltration légère des extrémités infé
elles émergent du grain glanduleux lui-même. Mais cette discussion me
paraît
dénuée de toute espèce d'intérêt. IV. Les calcu
J.-L. Petit, à la présence de calculs biliaires dans la vésicule, me
paraissent
tenir uniquement aux accidens inflammatoires dont
queuse ; la vésicule tout entière est transformée en un kyste qui m'a
paru
complètement fibreux. Le péritoine seul a conserv
e do ce licrùido : doux foio j'ai rencontré ce cas. Le ÛSSU du foie
paraissait
plus humide que de coutume. Il était mou, peu gra
éterminer une rétention complète de bile. Le fait représenté Pl. 5 me
paraît
d'ailleurs confirmer cette proposition précédemme
erte de villosités très prononcées. Cetétatdela membrane muqueuse m'a
paru
constituer une simple hypertrophie. Il est donc c
ait une hypertrophie considérable de la membrane musculeuse. Il m'a
paru
évident que la maladie avait débuté par la membra
ent plutôt par induction que par démonstration directe, ne m'a jamais
paru
considérable. Sur la figure 1, l'utérus est vu
'ovaire. Inférieurement se voit une petite masse jaunâtre, OE, qui me
paraît
le corpus luteum des auteurs. Au milieu du tissu
la présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques. I. Au risque de
paraître
paradoxal, j'affirme que la phlébite utérine est
mpagnées de la présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques, m'ont
paru
plus fréquemment suivies de pleurésie que les pér
rivé de ne rencontrer du pus que dans un seul vaisseau. Le pus ne m'a
paru
franchir que dans un seul cas les ganglions qui s
ervice de M. Dupuytren (i), un fait remarquable qui dans le temps, me
parut
mettre hors de doute l'absorption du pus : il a p
s sensible que le matin ; pouls grêle, très fréquent. Cette malade me
paraît
perdue. Le 25. Abdomen tendu, excessivement et
atigue. Les injections utérines ont été faites avec grand soin et ont
paru
soulager; le soir, le pouls était toujours très f
avait pas été donné le soir. Le 13, à la visite du matin, la malade
paraît
mieux; Pabdomen n'est presque plus sensible à la
ites et gauches. L'injection purulente des vaisseaux lymphatiques m'a
paru
plus rare du côté gauche, que du côté droit. De
1851, de son second enfant; la montée du lait s'effectue. Son état ne
paraît
avoir aucune gravité; le 9 seulement, la malade p
aisonnement, et cependant il n'existait aucune cause particulière qui
parût
s'opposer à la réduction du vagin renversé. La
-petites tumeurs sont la source des plus grandes incommodités. Il m'a
paru
que les tumeurs situées sous le péritoine, sont c
d'intensité du choléra le plus manifestement épidémique (1). Il ne me
paraît
exister entre le choléra sporadique, que nous obs
chutes avec ou sans cause, l'estomac ou le gros intestin, qui avaient
paru
intacts jusque là, manifestaient leur participati
ant dans une période avancée, et résistant aux moyens accoutumés, m'a
paru
d'un très mauvais augure. VIL Irritation du gro
estin grêle : elle s'est manifestée par un dévoiement bilieux, et m'a
paru
en général moins difficile à détruire que les pré
nneuses. Il est même des choléras dans lesquels la sécrétion biliaire
paraît
augmentée dans la même proportion que l'exhalatio
sanguinolentes avec épreintes, comme dans la dyssenterie. Ce cas m'a
paru
grave; il exige de la part du médecin une surveil
ents et des boissons. La température des lavements et des boissons me
paraît
un point fondamental dans le traitement. Les lave
as eu besoin de recourir à ces moyens dont les avantages ne m'ont pas
paru
suffisamment démontrés dans ce cas. XII. Le dév
régime ne semblent exercer sur eux aucune influence ; i° en ceux qui
paraissent
n'être que les symptômes précurseurs du choléra q
urs dirigée vers les boissons froides et abondantes. Les vomissements
paraissent
avoir été provoqués par des boissons prises en tr
tres. L'exploration du thorax me démontre l'intégrité des poumons. Il
paraît
, d'après les commémoratifs, que la malade tousse
e lavement avec diascordium 1/2 gros. Du 1er au 9 mai, la malade me
paraît
dans un état désespéré : face très altérée, typho
espiration fréquente ; extinction complète de la voix : la malade qui
paraît
dans un coma profond , répond très bien aux quest
es. IX. desselles manquent très rarement. Leur absence m'a toujours
paru
de mauvais augure , parce qu'elle dénote, non une
e de la matière colorante de la bile dans les vomissements ne m'a pas
paru
d'un aussi bon augure que dans les selles. Les vo
ent : le hoquet même persistant pendant plusieurs jours ne m'a jamais
paru
dénoter un grand danger. XL La suppression d'ur
it des vomissements, c'est-à-dire que la gravité de la maladie ne m'a
paru
nullement mesurée sur ce symptôme. Les crampes dé
ue. XVI. La dépression du pouls est un phénomène constant et qui me
paraît
mesurer beaucoup plus exactement que tous les aut
lement sous l'influence d'une gastrite et entérite chroniques. Il m'a
paru
également qu'une thérapeutique échauffante trop l
apeutique échauffante trop long-temps continuée, pouvait, après avoir
paru
ressusciter la vie, favoriser ce genre de termina
accouchement. Guérison rapide. L'avortement ou l'accouchement m'a
paru
le plus souvent exercer sur le choléra une influe
is au monde tantôt un enfant vivant, tantôt un enfant putréfié. Il me
paraît
bien difficile qu'un choléra intense qui suspend
idité de l'amélioration après la cessation des premiers accidents m'a
paru
remarquable. Souvent ce n'est qu'à travers une sé
gros intestin et dans l'intestin grêle ; chez d'autres, la maladie a
paru
siéger tantôt dans le gros intestin seulement, ta
inutes ; la respiration est accélérée à 50. Agitation ; soif; la face
paraît
moins profondement altérée. A l'agitation succè
i ayant résisté au choléra, sont accouchées d'un enfant mort; et il a
paru
que l'époque de la mort de l'enfant coïncidait av
, influe avantageusement sur la terminaison. Trois femmes à terme qui
paraissaient
très gravement atteintes du choléra, ayant été pr
l était sauvé; il était couvert d'une sueur visqueuse et chaude qui
paraissait
de bon augure; mais la petitesse toujours croissa
injection qui n'est pas uniforme est si considérable, que l'intestin
paraît
avoir augmenté beaucoup d'épaisseur; et qu'examin
stin grêle, le siège de cette fluxion si rapide et si intense, qui me
paraît
le fait culminant de la maladie. XXIII. J'avais
puis deux jours un dévoiement auquel elle était assez sujette. Le cas
parut
si peu grave, que M. Clarens se borna à conseille
rauque ; soif vive ; crampes,, dans l'intervalle desquelles la malade
paraît
assoupie, mais cet assoupissement n'est qu'appare
uche épaisse très adhérente de mucosités. La muqueuse gastrique m'a
paru
en général moins fréquemment et moins vivement af
ntensité de la rougeur est en raison inverse de son étendue. Il m'a
paru
résulter de tous les faits soumis à mon observati
endue par une bile très épaisse et comme poisseuse. Les reins m'ont
paru
dans l'état naturel; la vessie est aussi contract
s ont fixé l'attention de tous les observateurs. Ces propriétés m'ont
paru
à peu près les mêmes, et sur le cadavre, et sur
les du sang des cholériques, soumis à l'inspection microscopique, ont
paru
aux uns identiquement les mêmes que ceux du sang
ment les mêmes que ceux du sang le plus .naturel; aux autres, ils ont
paru
offrir une disposition un peu différente. Enfin
raux, les nerfs pneumo-gastriques, le système nerveux tout entier m'a
paru
, dans les cas nombreux où je l'ai examiné, dans l
e des phénomènes qui ont lieu dans l'empoisonnement par l'arsenic, me
paraît
jeter le plus grand jour sur le choléra : à peine
, se voyaient des cas beaucoup moins graves, dans lesquels la maladie
paraissait
bornée à une sécrétion surabondante de la peau, e
particulière de cette action. Du reste, l'anatomie pathologique me
paraît
avoir amplement démontré que le choléra-morbus ne
ui existe entre les membranes séreuses et les membranes muqueuses, me
paraît
repousser toute analogie. L'anatomie et la phys
otre système planétaire a été mis en jeu; et quelques épidémies ayant
paru
à la suite de la conjonction de plusieurs planète
re de là dans diverses directions. Souvent, dans sa propagation, il a
paru
suivre la direction des vents, des grandes routes
is encore pouvoir le nier : l'encombrement des hôpitaux ne nous ayant
paru
exercer aucune influence sur le développement du
née par des bois, des montagnes, etc. ; voilà ce que l'observation me
paraît
avoir démontré. C'est en ce sens, mais en ce sens
rvatif doit consister dans 1 eloignement de toutes les causes qui ont
paru
favoriser son action. Or, il est incontestable qu
cool camphré ou la teinture de kinkina animée par l'ammoniaque, m'ont
paru
remplir les principales indications à cet égard.
ode de réaction, que la muqueuse intestinale. La formule suivante m'a
paru
utile dans la période asphyxique: Eau de cannel
malades. Donné à fortes doses dans la période de concentration, il a
paru
s'opposer à la réaction , ou plonger les malades
le diascordium administrés, soit par le haut, soit par le bas, m'ont
paru
la préparation d'opium la plus convenable. Je n'a
cas de vomissements opiniâtres. Le musc, le camphre, le castoréum, ne
paraissent
pas avoir répondu à l'attente des praticiens, U
ssons prises très-chaudes, à la manière du thé ou du café ; et il m'a
paru
que la réaction se faisait plus promptement que l
n est encore en litige. En général des boissons trop abondantes m'ont
paru
favoriser le vomissement. Cependant, plusieurs pr
ur cette muqueuse du gros intestin à l'aide des lavements. Or, il m'a
paru
que les lavements très chauds, à 36°, devaient êt
solution dans les veines d'un cholérique bleu, sans pouls, et qui ne
paraît
pas avoir deux heures de vie, que le pouls se rel
cette méthode trois malades sur cinq. L'état désespéré du malade me
paraît
seul justifier de pareilles tentatives qui ne pre
, que les livres n'apprennent pas, amèneront à bon port un malade qui
paraissait
voué à une mort certaine. Trop souvent, néanmoi
enfant mort le cinquième jour après sa naissance. Un enfant qui ne
paraît
pas tout-à-fait à terme, après avoir pris le mame
valétudinaire. Le peu de volume du foie? dans les deux observations,
paraît
une conséquence de la présence de la sérosité dan
lques points l'épaississement était tel, que le calibre de l'intestin
paraissait
complètement effacé. Le pancréas induré avait tou
l'accouchement. La plupart des enfants asphyxiés des accoucheurs, me
paraissent
des enfants apoplectiques. Une remarque important
endue. Mort. Enfaut nouveau-né, venu naturellement par les fesses^ il
paraît
faible, et reste faible jusqu'au moment de la mor
la base : elle consiste dans une induration rouge-noire, humide, qui
paraît
être une infiltration de sang et de sérosité; on
s joulmonaires sont imperméables. Catarrhe pulmonaire. Cet enfant qui
paraissait
vivace, présenta pour toute lésion, quelques lobu
adie syphilitique constitutionnelle? C'est une question grave, qui me
paraît
trop légèrement résolue, dans le plus grand nombr
e. Depuis quinze jours, il était sous l'influence d'une stomatite qui
paraissait
seule entraver son rétablissement; je lui conseil
un enfant nouveau-né; mais lui prescrire des médicaments m'a toujours
paru
un contre-sens. xve livraison 1 Inflammation
as de membrane hymen; les » grandes lèvres étaient d'un rouge vif, et
paraissaient
avoir été fréquemment irritées: les ovaires et »
présence de la sérosité dans ces fosses : voilà les arguments qui me
paraissent
militer en faveur de l'existence du cervelet et d
autre part, les conditions d'organisation du cerveau proprement dit,
paraissent
avoir des rapports plus immédiats avec l'intellig
centa n'est exposé qu'à un petit nombre de lésions, dont plusieurs ne
paraissent
pas avoir été bien interprétées. M. le docteur Mu
t autres observateurs, cas dans lesquels le volume du placenta leur a
paru
hors de proportion avec celui du fœtus et la caus
e la surface correspondante de l'utérus. Les lésions du placenta me
paraissent
devoir se rapporter aux chefs suivants : i° Hyp
aient comme d'un centre une foule de vaisseaux radiés. Ces tubercules
paraissaient
le résultat d'une agglomération de granulations.
ses observations ont prouvé que dans des cas où aucune veine libre ne
paraissait
enflammée, les veines des os, les veines du tissu
urs phases ou périodes : i° taches sanguines brunâtres, dont le siège
paraît
être dans les grains glanduleux eux-mêmes; i° inf
nalogues aux tubercules préexistants. Chaque grain glanduleux du foie
paraît
isolément pénétré de pus et quelquefois une granu
cerveau et à la membrane qui revêt les ventricules. Un fait qui m'a
paru
constant, c'est la présence, au niveau de la prem
son de roulage où il fut employé à faire des courses. Depuis 1826, il
paraît
que les varices sont restées stationnaires ; en 1
ans l'abdomen une tumeur très volumineuse, bosselée, dont le siège me
parut
être l'ovaire ou l'utérus. La peau des parois abd
ion supérieure à l'ombilic était plus épaisse, jaunâtre et opaque, et
paraissait
être la veine ombilicale elle-même. Un second f
ordinaire, mais on n'a pas pu constater la mobilité des iris. La tète
paraît
bien conformée, avec cette différence que le coro
n état complet d'idiotisme : rien de ce qui se passe autour de lui ne
paraît
l'occuper. Cet état contraste singulièrement avec
parties latérales, la dénomination de lobe moyen, admise par Home, me
paraît
propre k donner une fausse idée de la disposition
était au col de la vessie; la prostate explorée par le rectum m'avait
paru
volumineuse. Il était donc probable que l'obstacl
rs jours de la vie on sentait à l'hypogastre une tumeur très dure qui
paraissait
formée par la vessie. Le malade s'éteignit. Ouv
ui a été dépouillée de sa membrane xvnc livraison. 2 interne et qui
paraît
de nature musculeuse. De cette bride partait une
un obstacle. Je cherche à le tourner ; vains efforts. Un peu de sang
paraît
. Le doigt introduit dans le rectum reconnaît une
tait de forcer l'obstacle ; que le cas étant insolile et grave, il me
paraissait
convenable d'avoir un consultant. M. Dupuytren ap
eu des muscles déchirés. Les muscles grands droits de l'abdomen m'ont
paru
sur-tout exposés à cette altération , que j'ai re
, et se croit en voie de guérison; narines pulvérulentes. Cet état me
paraît
excessivement grave. Sinapismes ; potion avec sul
érieur et qui me parait indélébile. Ces faits et ces expériences me
paraissent
jeter le plus grand jour sur une maladie aiguë qu
rganes et en particulier dans le système musculaire. Aucun cas ne m'a
paru
plus frappant que celui que M. Guéneau de Mussy,
e caractère de l'inflammation du même ordre. Le siège de la douleur
paraît
être, soit dans les gros cordons nerveux libres (
umatisme puerpéral le rhumatisme des femmes grosses, qui m'a toujours
paru
plus rebelle que celui qui survient hors l'état d
me avec l'œdème douloureux des femmes en couches, lequel m'a toujours
paru
l'effet de la phlébite. Une triste expérience m
, le rhumatisme s'est manifesté en même temps que la péritonite et ne
paraît
avoir eu qu'une faible part dans la maladie et da
rs très grave et toujours le même. Le genou et le membre inférieur me
paraissent
le point de départ. La difficulté de faire mettre
vant-bras. La malade y ressent des élancements douloureux ; l'abdomen
paraît
en très bon état, et cependant le mouvement fébri
et de la capsule surrénale. La substance de l'un et de l'autre organe
paraît
transformée en une bouillie diversement colorée.
oit, douleur que son médecin avait rapportée à une néphrite. Celle-ci
parut
céder complètement au traitement qui fut mis en u
baire bien mieux encore que par la région antérieure de l'abdomen, me
paraît
permettre d'établir assez positivement le diagnos
ur rien dans les maladies cancéreuses, tandis que le système artériel
paraissait
y prendre une part importante, on aurait dû tirer
ltiples dans le cas de phlébite, attestent l'infection générale et me
paraissent
s'expliquer par la même théorie que les abcès du
l n'en est pas de même de la masse tuberculeuse du lobe droit LDG qui
paraît
formée par la substance même du cervelet, dont il
; ses camarades le jugeaient idiot et le négligeaient entièrement. 11
parut
toujours étranger aux désirs vénériens. Son appét
rnée au mouvement. Le sentiment avait conservé toute son intégrité et
paraissait
même exalté; irritabilité très grande, impatience
uiétude; que, pendant les 4 mois intermédiaires, l'enfant n'avait pas
paru
aussi bien portant que par le passé ; qu'on avait
mois avant l'invasion des nouveaux. Mais le coup qu'il s'était donné
parut
trop léger pour en tenir compte et on ne fit rien
actuels, de même que ceux moins graves observés 4 mois auparavant, me
parurent
le résultat de l'inflammation des couches cérébra
l'ovaire. Le kyste antérieur, très petit, fait suite à la trompe et
paraît
formé aux dépens du pavillon de cette trompe. Ce
ion osseuse appartenait à l'os maxillaire supérieur ; l'échancrure DO
paraît
être le trou sous-orbitaire. Les deux dents sont
: les dents étaient implantées dans deux alvéoles bien distinctes qui
paraissent
avoir appartenu au maxillaire supérieur. Consid
ir brunâtre et fétide. Cette altération qui peut n'être que partielle
paraît
tenir , non à la matière grasse elle-même, mais à
aché dans l'épaisseur des parois du kyste; et ce fragment osseux, m'a
paru
, dans quelques cas, appartenir à l'os maxillaire
ne se produisent de toute pièce. Les conceptions extra-utérines me
paraissent
seules répondre pleinement à tous les faits connu
s'accompagne de la destruction plus ou moins complète du fœtus, ne me
paraît
possible que dans les premiers temps de la concep
ius nous a tracé l'histoire, a été trouvé sur une femme de 70 ans qui
paraissait
grosse depuis 18 au s. L'observateur dit que le f
ai était excellent. Les commémoratifs apprirent que la tumeur avait
paru
7 à 8 ans auparavant et sans cause connue : elle
lus grand nombre avait celui d'une noisette ou d'un pois. Ces tumeurs
paraissaient
formées aux dépens de la peau. Plusieurs étaient
aniques, du volume d'une aveline. Elles étaient pédiculées. Plusieurs
paraissaient
prête à se détacher. Quelques tubercules occupaie
à la paralysie. Elle était logée dans l'épaisseur du cerveau, mais ne
paraissait
pas formée aux dépens de sa substance. Cette tume
érus. Ce fut six mois après cette extirpation qu'elles commencèrent à
paraître
. Le malade accusait des douleurs lancinantes dans
n traçant l'histoire de la mélanose (Auscult. médiate}. Laennec ne me
paraît
avoir eu sous les yeux que le cancer noir ou méla
euf. C'est à la forme tuberculeuse du cancer mélanique que Laennec me
paraît
avoir donné le nom de mélanose enkystée. 19 Liv
pongieux des os courts et des os larges. Le tissu compacte ne m'a pas
paru
susceptible de cette altération en tant que tissu
ertains os, et plus particulièrement dans les os maxillaires où elles
paraissent
avoir leur siège dans le tissu gingival intra-alv
chexie cancéreuse, la diarrhée, l'augmentation de volume du foie, qui
parut
affecté de dégénération cancéreuse, éloignèrent d
tout le même caractère : elles étaient parfaitement circonscrites, et
paraissaient
contenues, sans y adhérer, dans une espèce de coq
assait le niveau des parois du crâne. Le développement de ces tumeurs
paraissait
surtout se faire du centre à la circonférence. Le
le bras droit, et perdit la faculté de le mouvoir. A la même époque,
parurent
plusieurs tumeurs, deux sur les parties latérales
upart des autres os, et surtout les fémurs et les tibias, bien qu'ils
parussent
sains à l'extérieur, présentaient à l'intérieur u
eux, admis par quelques-unes des personnes qui virent la pièce, ne me
parut
nullement constaté; d'ailleurs l'état graisseux d
fice extérieur de la rupture corresponde quelquefois à la cloison, et
paraisse
même parfois empiéter un peu sur le ventricule dr
s grand nombre. Les circonvolutions occipitales sont celles qui m'ont
paru
les plus susceptibles de ce ratatinement atrophiq
d'un grand nombre de lamelles; la substance blanche de quelques-unes
paraît
avoir subi la même altération. Poumons.—Tout le
e 23 août i833, de paralysie de la langue : en même temps la bouche
paraît
déviée à gauche; le bras droit est dans un état d
une atteinte : la malade peut marcher, et les deux membres inférieurs
paraissent
ne présenter aucune différence sous le rapport de
émétique, 2 grains; 2 sinapismes.) Après la saignée, la respiration
parut
moins gênée, les raidissemens convulsifs des memb
ntes; il y avait affaiblissement général, mais point de paralysie. Il
paraît
que, dans son dortoir, on était obligé de la traî
ques. Je me fondais aussi sur ce que la paralysie du membre inférieur
parut
nulle le premier jour, circonstance qui paraissai
sie du membre inférieur parut nulle le premier jour, circonstance qui
paraissait
établir une sorte de progression dans les symptôm
ouvemens convulsifs; point de rigidité. Elle revient un peu à elle et
paraît
entendre les questions; elle porte la langue hors
mbres gauches sont paralysés, tandis que la paralysie du membre droit
paraît
tenir à l'absence de volonté. La déglutition est
u sentiment alternait avec celle du mouvement, et qui dans un instant
paraissaient
complètement hémiplégiques ou paralysés partielle
s des faits consignés dans la xe livraison, en même temps qu'elles me
paraissent
jeter un nouveau jour sur les questions pratiques
adies chroniques, » commencées à une époque de la vie où l'horizon ne
paraît
pas encore limité, avaient été con-çues sur un pl
ode de recherches, s'étaient accumulés en grand nombre, si bien qu'il
parut
indispensable, à un moment donné, de les coordonn
différence qu'il té-moigne à l'égard de l'état local. Ce point de vue
paraîtrait
singulièrement exclusif si l'on oubliait les cond
convention, et ne répondant en rien à la réalité des choses. Il me
paraît
inutile, messieurs, d'insister longtemps sur 1.
e carrière ne doivent pas nous faire oublier que de certaines limites
paraissent
lui être imposées. L'expérimentation réussit à pr
ent. Les maladies constitutionnelles et diathésiques, en particulier,
paraissent
lui être inacces-sibles 1 ; et comment pourraît-i
illamment représentée à Vienne par Rokitansky. Mais déjà Mûller avait
paru
avec la physiologie, et bientôt il créait l'histo
r Medicin, p. 332. Stuttgard, 1859. cette fièvre de travail, qui ne
paraît
pas encore près de s'éteindre, a enfanté déjà plu
llemagne ; on doit à cet auteur le premier traité, dogmatique qui ait
paru
sur les maladies des vieillards (2). Malheureusem
ntradiction fort remarquable, et dont la raison physiologique ne nous
paraît
pas encore suffi-samment établie, le cœur et les
ui s'observent si fréquemment chez les vieil-lards, alors même qu'ils
paraissent
jouir d'une bonne santé. Enfin les parois des a
r profondément des formes habituelles de l'atrophie sénile. Celles-ci
paraissent
être le résultat d'un processus purement passif,
le résultat d'un processus purement passif, celle-là, au con-traire,
paraît
consister, dans la première phase de son évo-luti
rganes semblent vivre et souffrir isolément, leur sphère d'activité
paraît
plus restreinte.......................On ne dev
ande partie du parenchyme pulmonaire en suppuration.» Ces récits ne
paraissent
-ils pas bien étranges ! Est-ce à dire cependant q
symptôme qui puisse faire pressentir la gravité du mal. Ici, le pouls
paraît
nature ou peu s'en faut, la langue est nette, la
Nous voyons, en effet, la chaleur du corps s'élever dans des cas qui
paraissent
étrangers à toute création pyrétique : dans le té
qu'ils ont au moins semé de nombreuses vé-rités sur leur chemin. On «
paraît
l'avoir enfin compris tant en France qu'en Anglet
ais on observe assez fréquem-ment chez lui un mode de terminaison qui
paraît
être exceptionnel dans l'âge moyen de la vie : au
remière de ces deux opinions ; ou pour parler plus exactement, ils ne
paraissent
jamais s'être doutés qu'il y eût là un problème à
outte ab-articulaire, on voit se manifester des accidents variés, qui
paraissent
liés aux mêmes conditions, car l'analyse révèle l
imique. Mais cette partie de la question est encore assez obscure. Il
paraît
établi cependant : 1° Que la proportion des glo
ion de la matière qui constitue ces dépôts. Examinée à l'œil nu, elle
paraît
amor-phe et ressemble à du plâtre de Paris; mais
r-phe et ressemble à du plâtre de Paris; mais vue au microscope, elle
paraît
entièrement formée de cristaux aciculaires; il es
e simple complication ? C'est là une question dont la solution nous
paraît
devoir être ajournée. Enfin l'ankylose peut rés
rustation des cartilages est inséparable de la goutte articulaire, et
paraît
exister dès le premier accès. 2° Chez un sujet
es qu'on ne le suppose en général. Mais il est d'autres lésions qui
paraissent
se rattacher à cette affection et qu'on a rencont
s faits de pathologie comparée et de pathologie expérimentale, qui me
paraissent
de nature à éclairer d'une vive lumière les quest
aire contient beaucoup d'acide urique. Le cerveau et ses enveloppes
paraissent
en être complète-ment exemptés. Pour ce qui tou
ette excursion sur le domaine de la pathologie comparée puisse vous
paraître
un peu étrangère à la clinique, il ne faut point
te sur un autre point, le genou, par exemple. Les causes traumatiques
paraissent
jouer ici un rôle important; comme pour le rhumat
oubles nerveux ; c'est aussi sous l'influence de cette altération que
paraît
se dessiner la tendance à certaines affections vi
quelles sont les limites cpi'il convient de lui assigner. Il ne me
paraît
pas nécessaire, au point où nous en sommes arrivé
clinique pour aborder la description des faits particuliers, il nous
paraît
indis-pensable de préciser autant que possible le
ieurs observations. Dans les cas de ce genre, l'affection viscérale
paraît
consister en un trouble purement dynamique ; tout
s. Ces affections offrent un caractère essentiellement mobile : elles
paraissent
et disparaissent subitement ; elles peuvent coexi
u-laires. Ces lésions, lorsqu'elles se rencontrent chez les goutteux,
paraissent
surtout reconnaître pour causes l'alcoolisme ou l
lieu, on trouva un racornissement delà moel-le; mais cet exemple nous
paraît
peu satisfaisant. Il ne faut point oublier d'aill
ri-facial, pendant le cours de la goutte. Elles ont pour caractère de
paraître
brusquement et de s'évanouir de même, et d'al-ter
Affections concomitantes de la goutte. Sommaire. — Accidents qui
paraissent
liés à la diathèsc goutteuse. — An-thrax urique.
laires ne m'a pas permis de vous entretenir de certains accidents qui
paraissent
égale-ment relever, d'une manière plus ou moins d
e genre, lorsqu'ils sur-viennent dans le cours même de cette maladie,
paraissent
se rattacher à la diathèse goutteuse. Ledxvich et
i soudaine que violente, qui prend rapidement le type adynamique. Ils
paraissent
exposés,d'ailleurs, aux formes graves de l'éry-si
st probable que le problème est plus complexe que l'auteur anglais ne
paraît
le supposer ; la erase du sang doit y jouer un gr
-tique de la goutte ( 1 ). A une époque plus rapprochée, Prout, qui
paraît
avoir en-trevu toutes les questions de ce genre,
tent (Prout). Je pourrais citer des faits dans lesquels la guérison a
paru
coïncider avec le retour de la gravelle ou de la
urs » Sydenham, Murray, Morgagni, ont signalé cette affinité qui nous
paraît
incontestable. Mais il existe en même temps un
s, d'é-tudier l'ensemble des conditions climatériques et sociales qui
paraissent
y prédisposer l'espèce humaine. Envisager une mal
es conditions qui en favorisaient autrefois le dévelop-pement, et qui
paraissent
avoir cessé d'exister aujourd'hui. — La lèpre sub
te en font foi. Mais, c'est sous le règne des premiers Césars qu'elle
paraît
avoir atteint son apogée ; nous possédons, à cet
atiques de cette affection. Du ine au vi6 siècle, l'état des choses
paraît
être resté le même, si nous en jugeons par les éc
idérable de leurs travaux. que ce mouvement rétrograde de la goutte
paraît
s'être mani-festé. Les documents recueillis par C
ses a beaucoup changé. Voilà pourquoi, sans doute, les écrits qui ont
paru
sur ce sujet, depuis soixante ans, sont en si pet
en placés qui méprisent les prescriptions du Coran : mais les fellahs
paraissent
jouir d'une immunité complète à cet égard. Enfi
articulaire se comporte à cet égard d'une façon bien différente : il
paraît
exister dans tous les climats, et se rencontre so
d'apprendre (pie l'usage et même l'a-bus des liqueurs distillées, ne
paraissaient
pas exercer la moindre influence à cet égard. E
e. » Le cidre lui-même, cette boisson peu dangereuse en appa-rence,
paraît
favoriser aussi le développement de cette affec-t
aralysie; ce fait a été constaté chez des saturnins non goutteux, qui
paraissent
ne point avoir été albuminuriques ; car on a exam
e par Vale et le porter, sur le développement de la goutte, qu'il m'a
paru
nécessaire de présenter ici quelques renseignemen
ue nous venons de signaler, l'époque des connaissances positives nous
paraît
remonter aux recherches de Garrod, en 1848. Cet o
uve qu'en proportions bien minimes chez les mammifères, tandis qu'ils
paraissent
manquer complètement chez les oiseaux et les rept
t de cette dernière substance. Jusqu'ici, les déductions théoriques
paraissent
assez bien s'accorder avec les données que nous f
érapeutique de l'arsenic ; l'acide lactique introduit dans les veines
paraît
aussi porter son action sur les jointures (Richar
médecins de l'antiquité, comme nous vous l'avons déjà fait observer,
paraissent
avoir confondu le rhumatisme articu-laire avec la
les surfaces osseuses rendent l'analogie plus frappante encore; elles
paraissent
, dans certains cas, participer au travail phlegma
dans l'état actuel de la science), la fièvre est moins intense; elle
paraît
plus exacte-tement subordonnée au nombre des join
réquence excessive, en dehors de toute interven-tion artificielle. Il
paraît
donc bien démontré que les lésions de l'endocarde
constaté. Rappelons enfin que, chez plusieurs sujets, le rhumatisme
paraît
lié à la diathèse hémorrhagique. En résumé, nou
de l'aorte, des traces évidentes de l'endocardite an-cienne. Il me
paraît
donc évident, d'après les faits que je viens de r
v. compl. t. vu. Maiad. des Vieillards. i5 un logement très humide,
paraît
avoir eu une attaque, de rhu-matisme articulaire
t c'est peu de temps après cette époque que l'oppression a commencé à
paraître
. Au début de l'affection pulmonaire, elle était r
dont les rapports, avec le rhumatisme aigu sont si bien démontrés, ne
paraît
pas exister dans le rhumatisme chronique ; du moi
des tissus fibreux, se faitsentir en ce moment. Enfin l'on voit alors
paraître
les dé-formations osseuses, suivant certaines loi
es doigts de la main Fig. 19. — Première variété du premier type.
paraît
excavé à partir de la tête saillante des métacarp
guments que j'ai autrefois exposés, renforcés de ceux de M. Crocq, me
paraissent
avoir péremptoirement démontré que c'est bien ain
xistait quatre fois plus de phosphate de chaux qu'à l'état normal. Il
paraît
que le taux normal de l'acide urique n'était pas
s intéressent plus spécialement. A. Le rhumatisme chronique partiel
paraît
succéder quel-quefois au rhumatisme articulaire a
soit à gauche. Il existe deux nodules au niveau de la jointure, qui
paraît
, en outre, un peu élargie. Dans l'articulation ma
ne prédisposition à la goutte : et la réciproque de cette proposition
paraît
être également vraie. 1. Pathologie historiqu
rôler les observations recueillies dans des régions loin-taines. Il
paraît
cependant établi que le rhumatisme articulaire ai
de, en France, en Allemagne, et dans toute l'Europe centrale. Mais il
paraît
exister aussi dans les pays chauds. Aux Indes, Ma
de la même affection. Pour le rhumatisme d'Heberden, l'hérédité me
paraît
éta-blie, d'après mes observations personnelles :
a lieu surtout pour l'arthrite déformante. Les nodosités d'Heberden
paraissent
être plus fréquentes dans le sexe féminin ; mais
rées la population vit encore dans des habitations souterraines, sans
paraître
en éprouver de grands inconvénients. C'est ce qui
ville, le vin d'Anduran, les pilules de Lartigue, etc., etc. Or, il
paraît
établi que ces prétendus spécifiques doivent pour
mènes inflammatoires du côté du tube digestif : d'ailleurs son action
paraît
être d'autant plus efficace, que les effets visib
emps l'emploi du médi-cament; car chez certains individus, ses effets
paraissent
s'ac-cumuler. On peut alors avoir à craindre l'im
serais dis-posé à croire que plusieurs cas dans lesquels la goutte a
paru
rétrocéder sous l'influence du colchique, et déte
se quelquefois de prolonger les accès; mais souvent, au contraire, il
paraît
abréger la durée du mal (Goupil, de Rennes). 5°
d (1). Mais il est une substance encore peu connue, la lithine, qui
paraît
l'emporter à tous égards sur la potasse et la sou
s. Quant aux sources alcalines (Vais, Vichy, Carlsbad, etc.), elles
paraissent
avantageuses, au début de la maladie, chez les su
s de goutte ancienne, avec dépôts tophacés, et les résultats nous ont
paru
favo-rables. Enfin les eaux ferrugineuses (Pyrmon
au contraire, suivis d'effets facilement appréciables : l'expérience
paraît
en avoir démontré l'utilité. Quand il s'agit d'un
lland et quelques autres auteurs. Mais c'est là une question qui nous
paraît
encore loin d'être résolue. F. Régime diététiqu
dit, à propos de la goutte ; au contraire, les ma-lades m'ont souvent
paru
avoir une certaine tendance à en-graisser. Par ce
emps. Dans le se-cond, les résultats ont été constamment négatifs. Il
paraît
donc assez probable que ces deux méthodes n'agiss
ns cherché à mettre en lumière les moyens thérapeutiques qui nous ont
paru
doués de l'efficacité la plus réelle : mais, il f
7 ans, nous ont déterminé à ce choix qui, au premier abord, pour-rait
paraître
singulier. Messieurs, il est facile de constate
ma se tiennent à un taux relativement inférieur, la proposition ne me
paraît
-elle pas parfaitement exacte. Tout au plus pourra
pendant à un petit nombre d'éléments principaux. Le point de départ
paraît
être une rapide métamorphose, ou mieux, une com
et les arguments que ces méde-cins ont fait valoir en sa faveur, nous
paraissent
dignes d'être pris en sérieuse considération (Med
tres à l'aide de certains caractères, et, vu leur fréquence, elles me
paraissent
assez mé-riter l'attention pour que je leur consa
32°, S, persistant pendant plusieurs semaines, sans que la nutrition
parût
souffrir notablement. L'un de ces malades était a
et Frese auteurs de ces expériences. (Centralblatt, 1869, n° 2). Il
paraît
donc établi que la plupart des substances septiqu
ent les résultats que nous avions obtenus à cette époque. Il pourra
paraître
singulier, au premier abord, de voir des phlegmas
du délire. L'impulsion du cœur est faible et irrégu-lière, les bruits
paraissent
sourds et éloignés, ; le pouls est filiforme, tan
ls s'accélérera encore, et le râle laryngo-trachéal ne tar-dera pas à
paraître
. 2° Si au contraire, en môme temps que les symp
culier (1). 1. Ces leçons, recueillies par M. le Dr A. Jokkroy, ont
paru
dans la Gazette hebdomadaire en 1869. (21 mai, 19
s en usage pour les combattre, quelquefois dès le début, n'ont jamais
paru
entra-ver leur marche. Enfin l'autopsie ne nous a
mais elle nous a mis à même de reconnaître des lésions profondes, qui
paraissent
de nature inflammatoire. La plupart des médecin
vent, elle occupe en même temps le corps des membres ; et alors, elle
paraît
résider soit dans les extrémités osseuses, soit d
époques que nous aurons à déterminer ; elle n'est pas mobile, elle ne
paraît
pas sous forme d'accès vérita-bles et ne se trans
it ma-nifestement. Douleur musculaire. La variété de la douleur qui
paraît
résider dans les muscles se montre ordinairement
t le trajet des nerfs. Dans ces deux cas, c'est le nerf sciatique qui
paraît
avoir été atteint. Nous ne pouvons donner plus de
efois accompagné ou précédé d'une véritable hydarthrose, que M. Adams
paraît
considérer comme à peu près constante à une certa
ont les têtes viennent faire saillie sous les tégu-ments amaigris, et
paraissent
quelquefois au point de les percer. Les jointur
Dans tous les cas que nous avons observés, la rétraction des mus-cles
paraît
avoir eu la plus grande part dans la production d
même fort souvent, subluxation des os du carpe en avant, ce qui fait
paraître
le dos de la main comme excavé et raccourci, d'au
le dos de la main, une saillie considérable; par suite, les phalanges
paraissent
raccourcies et leur dos semble excavé. La subluxa
xion de la pha-langette sur la phalangine, et alors le dos de la main
paraît
excavé à partir de la tête saillante des métacarp
maginé des fourchettes armées de manches de deux pieds de long et qui
paraissent
faites sur le même modèle, bien que les inventeur
ême à une époque avancée de la maladie. La rétrac-tion des muscles me
paraît
la principale causede la flexion per-manentede ce
ations des mem-bres et de leurs extrémités, ne nous ont pas seulement
paru
Charcot. Œuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillar
distincte de la douleur qui siège dans les jointures, ou de celle qui
paraît
siéger dans les extrémités osseuses. 2° C'est c
prononcées, un certain nombre seulement des articula-tions déformées
paraissent
avoir été le siège des lésions in-flammatoires.
, soit dans son cours, aux époques des exacerbations ; leur intensité
paraît
toujours assez bien en rapport avec le nombre de
et semble faire corps avec les tissus sous-jacents ; leurs jointures
paraissent
énormes, par suite de l'atrophie qu'ont subi les
ue, qui précède les rétractions quelques circonstances dont il nous a
paru
utile de tenir compte ; car elles seraient de nat
es sont parvenues, lorsque les pre-miers symptômes se manifestent, me
paraît
avoir laplus grande influence sur la durée de l'é
ts, la fièvre nulle, l'appétit intact). Au bout de quinze jours, tout
paraissait
rentré dans l'ordre. A vingt-deux ans, elle retou
âge très avancé (soixante et douze, soixante et dix-sept ans). 11 ne
paraît
pas que la mort sur-vienne souvent sous l'unique
econde de 40 à 60 ans. Aucun tempérament, aucune constitution n'ont
paru
avoir d'influence particulière sur le développeme
uchaient. 27 fois donc, sur 41, l'influence prolongée du froid humide
paraît
avoir contribué à la production de la maladie.
ayons notée ; toutes les autres causes invoquées par les malades nous
paraissent
pu-rement excitatrices, et elles se distinguent d
e que dans le cas précédent ; les cavités médullaires du corps des os
paraissent
plus grandes que de coutume, leurs parois sont am
'autres fois, elles étaient vé-ritablement ossifiées, et alors, elles
paraissent
d'une texture spongieuse et comme vermoulues. En
nent souvent très exactement des replis de la membrane synoviale, qui
paraissent
moulée sur elles. Les ulcérations de la deuxième
es jointures déviées. Les ligaments péri-articulaires ne nous ont pas
paru
altérés ; il n'en est pas de même des ligaments i
des productions nouvelles (corps étrangers, bourrelets osseux); elle
paraît
n'amener jamais, à moins de circonstances étrangè
s'est dé-veloppé des douleurs sourdes, et d'un caractère spécial, qui
paraissaient
avoir leur siège dans les muscles, et qui s'accom
va-tions beaucoup plus nombreuses et plus suivies que les nôtres nous
paraissent
nécessaires pour résoudre ces questions que nous
e, la goutte ne saurait être nettement séparée du rhumatisme. 11 nous
paraît
indubitable, d'après ce que nous avons lu, que pa
athèse urique et productions tophacées dans les join-tures. Il nous a
paru
peu convenable de reproduire ici, sans avoir pu l
'émotion que cet événement causa à la malade, les règles ont cessé de
paraître
pendant deux mois. Les urines, assure-t-elle, n'o
tète, le cou est tout à fait roide ; les jointures scapulo-humérales
paraissent
anky-losées (elles n'ont jamais été douloureuses)
fle-ment cette fois. Lors de son entrée à l'hôpital, cet homme nous
paraît
d'une constitution entièrement détériorée ; il es
ils, et en particulier du gros orteil. L'articulation tibio-tarsienne
paraît
déformée, c'est-à-dire que les enfoncements natur
arsienne paraît déformée, c'est-à-dire que les enfoncements naturels,
paraissent
remplis, et quand on en palpe les contours, la mo
res articulations du pied, et dans celles des orteils, les mouvements
paraissent
conservés ; les. différentes pièces du tarse para
es mouvements paraissent conservés ; les. différentes pièces du tarse
paraissent
cependant soudées entre? elles. Au pied droit,
nflées, déformées, mais sans rougeur pour le mo-ment ; la déformation
paraît
tenir à un gonflement des tissus, osseux mêmes, o
uement des surfaces articulaires, mais sans ankyloses ; les phalanges
paraissent
en outre déformées un peu en avant de la tête des
mouvements provoqués ou spontanés sont tout-à-fait nuls. L'ankylose
paraît
complète ; elle remonte, dit-il à une dizaine d'a
voquer la supination, on ne peut y parvenir, car aussitôt les muscles
paraissent
agir violemment, et des cordes correspondant à le
espondant à leurs tendons se dessinent sous les téguments. Ces cordes
paraissent
dues aux tendons des muscles long supinateur, gra
eurs ou difficulté. Le biceps brachial et le brachial antérieur ne^
paraissent
jouer aucun rôle dans l'obstacle à l'extension. A
ême temps, la texture du cartilage lui-même ait changé de nature ; il
paraît
s'être ajouté à la substance cartilagineuse, du t
pratique pour y servir aux dissections. Ces fragments de cartilage
paraissaient
infiltrés d'une ma-tière d'un blanc mat, d'aspect
avant, de nombreux cristaux de formes très variées, mais qui nous ont
paru
pouvoir être rapportés^ pour la plupart, à l'une
trait jamais dans l'intérieur des cellules. Celles-ci ne nous ont pas
paru
présenter d'altérations, alors même qu'elles étai
compacte ou friable, qui formait ces dépôts, examinée au mi-croscope,
paraissait
composée en partie d'une matière gra-nuleuse, amo
pendant ces dernières années un certain nom-bre d'observations qui me
paraissent
propres à éclairer plu-sieurs points de l'histoir
eté de la craie. Si l'on emporte un fragment sous le microscope, elle
paraît
quelquefois composée d'une infinité d'aiguilles c
De son mari, elle avait eu dix enfants; cet homme, dont la conduite,
paraît
-il, laissait beaucoup à désirer, disparut, en 181
condyles du fémur, les surfaces articulaires du tibia et de la rotule
paraissent
également recouverts par un vernis blanc opaque,
ilages diarthrodiaux. Sur une coupe de ces cartilages, le dépôt blanc
paraît
limité du côté de la face pro-fonde par une ligne
ux d'acide uriquc,"u ; en c" la membrane de la cellule cartilagineuse
paraît
, tandis que son noyau reste encore incrusté ; enf
d experiment). Les fils qui avaient été déposés au sein de ce mélange
parurent
, au bout de trois jours, recouverts d'un certain
ns bosselures ou granulations. Sur une coupe, la substance corti-cale
paraît
manifestement épaissie; elle est d'une coloration
inés sur des coupes minces, à un faible grosisse-ment (80 diamètres),
paraissent
légèrement opaques. Ces tubes, plus larges que da
s aux autres, et réunis en fais-ceaux. Quelques-unes de ces aiguilles
paraissent
s'attacher, par une de leurs extrémités à la mass
lancs est contenue dans l'intérieur même des tubes urinifères où elle
paraît
exister à l'état de masse amorphe, tandis qu'une
orphe, tandis qu'une autre partie du dépôt située en dehors des tubes
paraît
, au moins pour la majorité, composée d'aiguilles
le rein, l'auteur que nous analysons les a notés deux fois, mais sans
paraître
leur attacher une grande importance, dans une de
ie, communément plus larges dans le rein que dans les cartilages, lui
parurent
plusieurs fois situés dans le tissu cellulaire, p
riode avancée de la maladie où étaient mort ses malades. C'est ce qui
paraît
résulter de l'analyse de l'observation très intér
les éléments qui entrent dans la structure du car-tilage, l'auteur ne
paraît
pas avoir une opinion bien arrêtée. « Cependant
avant, de nombreux cristaux de formes très variées, mais qui nous ont
paru
pouvoir être rapportés pour la plupart, à l'une q
trait jamais dans l'intérieur des cellules. Celles-ci ne nous ont pas
paru
présenter d'altérations, alors même qu'elles étai
ncrustées (fîg. 19, c1). Puis, la membrane des cellules com-mençait à
paraître
, et les urates contenus dans son intérieur étaien
l'artère pulmonaire. Dans cette artère, ils ne sont pas adhérents et
paraissent
partout formés sur place pendant l'agonie. Les
yer) ; les reins présentent des traces de dépôts d'urate de soude. Il
paraît
bien probable que, dans ce cas, le passage à dive
s ont été recueillies les observations qui leur servent de fondement,
paraîtront
passibles d'objections. A Londres, en effet, la p
n et l'abus de certaines bois-sons fermentées ; s'il en est ainsi, il
paraîtra
bien difficile de démêler, au milieu d'éléments é
artenant aux autres professions mécaniques, et cette cir-constance ne
paraît
guère pouvoir s'expliquer autrement que par l'inf
ive. Tout ce qu'il est permis de dire, quanta présent, c'est que s'il
paraît
acquis que l'intoxication satur-nine, — ainsi que
our marcher; au-jourd'hui les grandes chaleurs et les premiers froids
paraissent
également propres à ramener les accès ; dans les
ujourd'hui sur l'oreille externe. Etat actuel le 14 octobre. — S...
paraît
avoir été d'une très forte constitution ; il a en
court; les cheveux noirs et abondants commencent à gri- sonner. Il
paraît
être très intelligent, vif; il s'exprime avec vol
ve seulement un état scléreux de la peau qui, surtout au gros orteil,
paraît
faire corps avec les tissus sous-jacents. Les art
uée, on perçoit une sorte de crépitation à petits grains, Les hanches
paraissent
complètement libres. Extrémités supérieures. —
au qui les recouvre est sclérosée, pâle, comme polie à sa surface, et
paraît
soudée aux tissus sous-jacents. Les mains, par su
lors des accès. Il éprouve également, en pareil cas, des douleurs qui
paraissent
siéger au niveau de l'insertion des cartilages co
portées les médecins anglais, une signification particulière et qu'il
paraît
superflu de faire ressortir. 1. On sait qu'à l'
emps, il a eu sous les yeux deux goutteux chez lesquels l'hérédité ne
paraît
avoir joué aucun rôle, mais tous deux ont eu des
p. 336. et au dire des personnes qui sont à même de l'observer, il
paraît
que sa face devient violacée, turgescente, et qu'
d'un des nerfs laryngés, au même titre que le ver-tige dit de Ménière
paraît
se rattacher à une affection du nerf auditif dans
nflement.cette fois. Lors de son entrée à l'hôpital, cet homme nous
paraît
d'une constitution entièrement détériorée; il est
utres articulations du pied et dans celles des orteils,les mouvements
paraissent
conservés; les différentes piè-ces du tarse parai
les mouvements paraissent conservés; les différentes piè-ces du tarse
paraissent
cependant soudées entre elles. Au pied droit, pas
onflées, déformées, mais sans rougeur pour le mo-ment. La déformation
paraît
tenir à un gonflement des tissus osseux mêmes, ou
quement des surfaces articulaires, mais sans ankylose ; les phalanges
paraissent
en outre déformées un peu en avant de la tête des
mouve-ments provoqués ou spontanés sont tout-à-fait nuls. L'ankylose
paraît
complète ; elle remonte, dit-il, à une dizaine d'
voquer la supination, on ne peut y parvenir, car aussitôt les muscles
paraissent
agir violemment et des cordes correspondantes à l
pondantes à leurs tendons se dessinent dans les téguments. Ces cordes
paraissent
dues aux tendons des muscles long supinateur, gra
ême temps, la texture du cartilage lui-même ait changé de na-ture; il
paraît
s'être ajouté à la substance cartilagineuse propr
verses affections pathologiques. Or, quelques-unes de ces altérations
paraissent
devoir être rapportées au rhuma-tisme articulaire
te. Paris, 1802, p. 7), l'affection a occupé le côté droit. La goutte
paraîtrait
avoir, d'après cela, une certaine prédilection po
hronique. Sur un bon nombre de jointures, les surfaces articulaires
paraissent
recouvertes d'une couche d'un blanc mat, semblabl
un même agent, à savoir, la rétraction spas-modique des muscles, qui
paraît
jouer le rôle principal dans la production des dé
les recouvre, distendue et luisante, fait souvent corps avec elles et
paraît
alors tachetée de plaques arrondies, d'un blanc m
rès la méthode de M. Garrod. Les fils déposés au sein de ce mélange
parurent
, au bout de trois jours, recouverts d'un certain
al et fondamental dans le processus de l'arthropathie goutteuse. Elle
paraît
avoir lieu dès la lre attaque (p. 240 du Traité),
aux aciculaires qui pénètrent la substance fondamentale du cartilage,
paraissent
implantés par une de leurs extrémités dans les ch
peu étudiées, les altérations concomitantes du tissu rénale et, rénal
paraissent
devoir être rapportées tantôt à la néphrite inter
nce de l'usage des bières fortes sur la production de la goutte. — Il
paraît
certain qu'à Londres, l'usage habituel et trop so
leurs ; c'est là du moins une opinion à laquelle les médecins anglais
paraissent
aujourd'hui se ratta-cher tous d'un commun accord
s de cette revue rétros-pective, de même que les témoignages récents,
paraissent
favo-rables à la thèse soutenue par M. Garrod. Il
er, au moins en partie, pourquoi la goutte est chez eux fréquente. Il
paraît
, par conséquent, fort difficile, au milieu d'élém
après cela, je crois qu'il est permis dédire, dès à présent, que s'il
paraît
acquis que l'intoxication saturnine— ainsi que le
rde) sont parsemées de plaques blanches qui, examinées au microscope,
paraissent
composées de noyaux uratiques amorphes, autour de
l'extrait musculaire. 9° Constamment le cerveau et ses enveloppes ont
paru
exempts de dépôts uratiquos. 10° Pour ce qui touc
simples, qui, comme la bière et le vin, augmentent cette production,
paraissent
, au contraire, contri- NOTES SUR LA GOUTTE 537
pathologique du corps humain (planche 3, 4e livraison), et qu'il m'a
paru
intéressant de rappeler ici. « La lésion matériel
de soude a-t-elle lieu dès la première attaque de goutte ? Cela ne me
paraît
pas douteux. La formation de Turate est un phénom
« La grande différence qui existe entre la goutte et le rhumatisme me
paraît
principalement con-sister dans la sécrétion de Fu
fait — dont la raison nous échappe d'ailleurs quant a présent — nous
paraît
être établie aujourd'hui sur un assez grand nombr
eur Potton, de Lyon (De la goutte, etc., p. 46,61. Paris, 1860), nous
paraissent
en particulier, pouvoir se prêter à cette interpr
ut de quinze jours environ de ce traitement, les concrétions avaient,
paraît
-il, complètement disparu (Virchow's Archiv et Gan
ouet dans la gouile. — Quoi qu'il en soit, les muscles et les tendons
paraissent
subir assez souvent, dans la goutte, des modifica
lle épinière et des nerfs qui en partent. J'ai observé un fait qui me
paraît
très instructif sous ce rapport. Des douleurs art
dans la forme chronique du rhumatisme articulaire. Cela, du moins, me
paraît
résulter des observations assez nombreuses que j'
érentes. Tantôt,— et cela s'applique surtout à l'endocardite, — elles
paraissent
s'être produites pen-dant le cours d'accès de rhu
halangette sur la phalan-gine, et alors le clos des doigts de la main
paraît
excavé à partir de la tête saillante des métacarp
maginé des fourchettes munies de manche de deux pieds de long, et qui
paraissent
faites sur le même nio- dèle, bien que les inve
est lisse, luisante, comme parcheminée. En même temps, les join-tures
paraissent
énormes et les stalactites osseuses soulèvent for
rtilage articulaire et par la mem-brane synoviale que les altérations
paraissent
débuter. Celle-ci devient rouge, vivement injecté
e surface lisse, luisante, comme éburnée; au-dessous, le tissu osseux
paraît
raréfié, friable, imbibé de sang. Mais en même te
eux et migraine. — Il faut citer la migraine parmi les affections qui
paraissent
avoir une certaine relation avec le rhumatisme no
pendant lesquels les join-tures deviennent douloureuses, chaudes, et
paraissent
tuméfiées plus que de coutume, en même temps qu
imité à la tête qui fait alternativement oui et non. Ce tremblement a
paru
en 1869, à la suite d'une peur déterminée par un
n'a pu réunir que deux malades : Alten... et Cour... Un premier fait
paraît
donc acquis : la rareté de la chorée dans la viei
chorée a débuté il y a 12 ans. — Cour... a le même âge ; la chorée a
paru
à 60 ans. — Ces deux exemples mettent hors de dou
de la tempé-rature. La plupart des vieillards affectés de chorée ont
paru
à M. Charcot, être dans un état de démence plus o
u de l'étiologie de la chorée des enfants. Chez les vieillards, il ne
paraît
pas y avoir de relation entre la chorée et le rhu
n'a pas constaté de lésions du cœur. La chorée, chez le vieillard,
paraît
être une maladie émo-tionnelle, comme le sont tan
'urate de soude. — Ces tophus, au dire du malade, auraient commencé à
paraître
trois ans après le premier accès de goutte articu
ITIÈME LEÇON AFFECTIONS CONCOMITANTES DE LA GOUTTE. Accidents qui
paraissent
liés à la diathèse goutteuse. — Anthrax urique.
ment est chez elle un phénomène hystérique : cela, sans doute, vous
paraît
déjà fort vraisemblable ; mais il nous reste enco
ous phénomènes connexes au bâillement. Je dirai même que, souvent, il
paraît
y avoir une sorte d'antagonisme entre les phénomè
tout un côté de la famille qui échappe à notre étude. — Rien à noter,
paraît
-il, chez la mère, en fait de phénomènes nerveux.
hystéro-épilepsie. Une affection^ désignée sous le nom de chorée, a
paru
également vers cette époque et elle a occupé la s
wischen Ischias und Scoliose ». Un second cas du même genre se trouve
paraît
-il, dans le même journal 1S87, n° 39. La note de
ur nous un intérêt pratique très particulier ; c'est qu'en effet elle
paraît
appartenir en propre à certaines formes d'une aff
e spéciale du corps que je signalais tout à l'heure à votre attention
paraît
n'être qu'une attitude instinctive dont le but es
ent avoir en commun. C'est ici que l'intervention de Lasègue (1) me
paraît
avoir été décisive au 1. Ch. Lasègue. Considéra
e troubles trophiques de siège musculaire ou cutané et où l'affection
paraît
devoir être rattachée non plus cette fois à des l
ît perdre immédiatement connaissance. La durée de l'inconscience fut,
paraît
-il, de dix minutes environ. Une plaie verticale,
s de relever. Il se plaint de souffrir constamment de la tête qui lui
paraît
enserrée comme dans un casque de plomb, surtout d
affection assez bien déterminée aujourd'hui symptomatiquement, et qui
paraît
, enfin, définitivement installée dans les .cadres
ien loin de notre point de départ; au premier abord, notre homme nous
paraissait
placé uniquement sous le coup d'une sciatique gra
sez maintenant que la situation est beaucoup plus complexe qu'elle ne
paraissait
l'être, et je ne suis pas fâché de vous faire rem
mplète et plus ou moins généralisée. La chorée paralytique d'ailleurs
paraît
ne pas appartenir particulièrement aux cas où les
ar le fait de l'action du sulfure de carbone et parmi les auteurs qui
paraissent
avoir les premiers reconnu ces accidents, il faut
carbone, survint l'accident qui l'amène aujourd'hui devant nous. Il
paraît
qu'il n'est point rare de voir survenir semblable
un mot sur le pronostic et sur le traitement. Pronostic sérieux, cela
paraît
être la règle dans l'hystérie mâle des adultes. L
partie supérieure du tronc, à la base du cou, un coup de couteau qui
paraît
avoir pénétré profondément. Vous pouvez encore re
s les observations de Joffroy et Salmon et celles de Viguès. ce qui
paraît
être la règle. Ceci et certains détails de l'obse
urgie, dirigé par M. le professeur Richet. C'est là seulement qu'il
paraît
avoir perdu conscience, et il y a dans ses souven
st-à-dire dégagée de toute complication. Quoi qu'il en soit, ce qui
paraît
bien établi, c'est qu'à son réveil le membre infé
ection latérale de la moelle épinière. Défait, aujourd'hui encore, il
paraît
fort au courant des caractères du syndrome introd
rquer en passant que ce phénomène de dysesthésie, autant qu'on sache,
paraît
appartenir exclusivement aux lésions organiques s
tout cas non appréciable pour nos moyens actuels d'investigation qui
paraît
être le substratum des symptômes hystériques. -
les les membres restent parfaitement mous et flexibles ; ce cas, même,
paraît
être le plus commun. Un caractère plus important
é signalé par mon collègue, M. Jules Voisin, et qui dans l'espèce, me
paraît
constituer une anomalie ; ce fait du moins je ne
les. Il est venu nous retrouver ces jours-ci et nous l'avons engagé à
paraître
devant nous, une fois de plus, ce matin. Ce n'est
rien absolument. Cette apparence tient évidemment, du moins cela nous
paraît
être, au défaut d'action des muscles tenseurs de
aginée par Vulpian, que j'ai depuis longtemps adoptée et soutenue, me
paraît
applicable â l'interprétation de toute la série d
giques.D'ailleurs, ¦quoi qu'il en puisse être, la théorie en question
paraît
être aujourd'hui fondée autrement que sur des ana
;la grand'mère maternelle a été paralysée du côté droit du corps et,
paraît
-il, aphasique à l'âge de 46 ans. — Un oncle mater
iges, il me semble que je suis en mer, et quelquefois les croisées me
paraissent
monter au plafond. M. Charcot : Avez-vous donc
ment son affaire. Le diagnostic, certes, après ce colloque, ne vous
paraîtra
pas difficile. Il s'agit du vertige ab aure lissa
ur, offrent, je le disais tout à l'heure, des traits communs. Elles
paraissent
toutes anatomiquement caractérisées par une lésio
ent donné permanente. Les premiers symptômes de la paralysie actuelle
paraissent
remonter à sept ou huit ans. L'atrophie des membr
ge dont les blanchisseuses arrivent chargées. C'est un rude labeur,
paraît
-il, car il s'agit souvent de lourds fardeaux. Il
éjà on a pris l'absinthe et l'usage de cette substance en particulier
paraît
être très répandu au lavoir de la rue de Charento
ui lui fut refusée par sa famille. Le chagrin qu'il en éprouva fut,
paraît
-il profond,et c'est à la suite de libations auxqu
es de la flexion dorsale des pieds. Ainsi, je le répète, il ne nous
paraît
pas impossible de reconnaître chez notre homme, m
inale dont les vestiges sont encoreparfaitementreconnaissables,ilnous
paraît
intéressant de rechercher actuellement si nous ne
tantes, et trois frères. L'un de ceux-ci est un délinquant. Il a été,
paraît
-il, arrêté dans le bois de Vincennes commettant u
ital Laënnec ; elles subsistent encore, dans toute leur intensité. Il
paraît
au moins fort vraisemblable que l'affection à laq
un vrai chagrin. A ce propos, pour bien établir la situation, il nous
paraît
nécessaire, désormais, de mettre en lumière chez
hystériques; à cet égard, vous le voyez, les preuves abondent, et il
paraît
inutile de pousser plus avant. Je ne veux pas o
a paralysie faciale était absolue. L'application du froid dans ce cas
paraît
avoir contribué à provoquer l'apparition de la pa
les douleurs de l'oreille et des dents n'ont pas été intenses; elles
paraissent
s'être développées presque en même temps, peut-êt
ée comme bénigne, facilement guérissable. Eh bien, messieurs, cela ne
paraît
pas être tout à fait le cas chez notre malade, ca
et ne se terminer - que par une guérison incomplète. » Ces cas qui
paraissent
échapper aux règles posées par M. le professeur E
de douleurs derrière l'oreille du côté droit. La paralysie faciale a
paru
deux jours après. Impossibilité de fermer l'œil d
on début jusqu'à ce jour. Les premiers mouvements involontaires ont
paru
dans les bras et dans la tête vers le 5 novembre,
se rendre compte exactement de son état mental. Toujours est-il qu'il
paraît
comprendre les questions qu'on lui adresse ; sur
le pouls est à 120, régulier. Samedi ^novembre. — Le malade n'a pas
paru
agité cette nuit : mais son état ce matin n'en es
ts divers de la face; les gesticulations sont encore atténuées. Il ne
paraît
pas reconnaître les gens qui l'en- tourent. Quo
Hélas ! non, il n'y a là qu'une apparence trompeuse; la chorée molle
paraît
être généralementbénigne, tandis que, actuellemen
du groupe. Or la comparaison de ces faits apprend ce qui suit : Il ne
paraît
pas et je m'appuie ici sur les chiffres rassemblé
bord, dans la France médicale (n°7,19 janvier 1886). Cette fille nous
paraît
avoir succombé à la chorée, par la chorée. Les ph
ardite ancienne relevés chez elle lors de l'autopsie, ne nous ont pas
paru
expliquer à eux seuls la terminaison fatale. Le d
nale de 41 degrés : Malheureusement l'autopsie a été refusée. Il ne
paraît
pas que l'existence antérieure du rhumatisme arti
mille. Messieurs, c'est cet élément-là qui, dans le drame morbide, me
paraît
devoir occuper sur la scène la place prépondérant
dit il y a un instant, se montraient tous les huit jours, n'ont plus
paru
qu'une fois par mois, pendant toute la durée du t
ont manifestées dès les premières attaques et que jamais celles-ci ne
paraissent
sans en avoir été précédées. Elles ne sont marqué
, mais encore souvent pendant plusieurs mois avant que celle-ci n'ait
paru
, autrement dit, dans la période précomi-tiale. Le
e fois de plus, et quelle que soit la cause occasionnelle qui la fait
paraître
, elle reste toujours la même foncièrement, partou
; diplopie monoculaire, pas de dyschromatopsie. L'odorat et l'ouïe ne
paraissent
pas sensiblement modifiés. Le goût au contraire e
nsibilité et ceux des mouvements, fort remarquable assurément, et qui
paraît
appartenir aux seules paralysies hystériques ; no
e cuillère. Ce phénomène n'est donc pas l'apanage, comme quelques-uns
paraissent
l'avoir supposé, des chorées chroniques. Rien a
ocomotive qui le croisait perpendiculairement et littéralement broyé,
paraît
-il, en mille pièces. Il ne saurait trop dire ce
cé à s'accentuer. Parmi les autres symptômes neurasthéniques qui me
paraissent
devoir être signalés encore à propos du cas, je r
hui par quelques mots relatifs au pronostic; eh bien, le pronostic me
paraît
sérieux, non pas en ce qui concerne la vie bien e
bien entendu, elle n'est nullement menacée : mais en ce sens qu'il me
paraît
douteux que notre malade puisse jamais reprendre
¦!). Je me bornerai ici à relever quelques tableaux de famille qui me
paraissent
significatifs. Voici d'abord l'histoire de la d
s ; je me bornerai pour le moment à exposer un dernier tableau qui me
paraît
être fort instructif. COTÉ PATERNEL Sœur du p
à se produire dans le membre paralysé des douleurs extrêmement vives
paraît
-il, et qui ont occupé à peu près le trajet du ner
nsi que je le faisais remarquer en commençant, la paralysie infantile
paraît
évoluer sans s'accompagner de phénomènes douloure
ent parfois cinq ou six mois après, ainsi que l'a vu M. Seeligmîiller,
paraissent
être relativement plus fréquentes, lorsque la mal
eur gauche a été pris à son tour. Enfin, le quatrième jour, la fièvre
paraît
-il était tombée et néanmoins, ce jour-là, la para
r pendant six jours ; fait anormal dans l'espèce vous le savez et qui
paraît
être relativement moins rare lorsque la paralysie
n expresse dans ses Leçons de 1879. « L'hystérie, dit-il, (p. 246) me
paraît
exercer une influence sur la production de l'atax
e de la ménopause. Les premiers symptômes d'hystérie, en effet, ont
paru
à l'âge de cinquante-deux ans et déjà à cette épo
également disparu. C'est à l'âge de dix-huit ans qu'ont commencé à
paraître
les crises hystériques bien formulées. D'abord re
je vous ai fait remarquer que la paralysie véritablement choréique ne
paraît
pas avoir de gravité. (A la mère) : Cet enfant
Pendant son séjour à la ChWte' elle contracta une fievre typhoïde qui
paraît
avoir été assez sérieuse et qui t? tenue au lil P
a strychnine donnée à contretemps. Ainsi, messieurs, les sujets qui
paraissent
guéris d'une paraplégie par compression ne saurai
ns les plus extraordinaires, sans que la moelle soit intéressée. Il
paraît
établi, actuellement, que dans un certain nombre
ulté de médecine. Paris, 1888, p. 110. telle sorte que la moelle ne
paraît
en général comprimée que sur une partie de la fac
t guère, chez elle, que la rachialgie et les douleurs en ceinture qui
paraissent
devoir être rattachées exclusivement à l'élément
ir, d'après ce qui précède, que le pronostic est moins grave qu'il ne
paraissait
l'être au premier abord, car, en somme, ainsi que
elle par la voie nautique. Ces préliminaires qui, au premier abord,
paraissent
étrangers à la cause, sont destinés cependant à e
fert d'une grande maladie dont le nom sonne mal à l'oreille ; c'était
paraît
-il une pleurésie double. La durée en a été de six
de Pott ; et cette opinion, qui fut du reste bientôt abandonnée, vous
paraîtra
incontestablement fort soutenable pour peu que vo
région lombaire, qui semblent commander cette attitude. Ces douleurs
paraissent
très vives; elles se font sentir spontanément, et
nifestée chez notre homme. Ce sont les douleurs rachialgiques qui ont
paru
en premier lieu, et vous savez comment elles ont
la production de cette hypéresthésie exquise des organes génitaux qui
paraît
jouer un rôle si important sur la scène morbide ;
nts d'ailleurs jusqu'à ce jour, que ce traitement nous a donnés. Il
paraît
à peine utile de vous rappeler qu'en matière d'at
. Nous mettrons celle-ci à profit dans un instant. C'est le hasard,
paraît
-il, qui a fait naître chez notre confrère d'Odess
rmés, c'est à peine si le malade oscille. Par contre, le traitement
paraît
n'avoir eu aucune influence sur les réflexes rotu
t diminuées. Le pouls devient plus fréquent et la pression artérielle
paraît
plus élevée qu'à l'état normal. Nous avons lais
r de nos propres recherches dont la mise en œuvre d'ailleurs, ne nous
paraît
plus avoir besoin de justification après ce que v
montré que les séances quotidiennes étaient moins favorables. L'heure
paraît
importer peu. Lorsque le nombre des minutes fixé
ment de pesanteur qui existait dans les membres inférieurs; la marche
paraît
être un peu plus facile. Après la huitième séance
rs mais j'éprouve quelquefois encore une espèce de chatouillement qui
paraît
les remplacer. J'urine presque comme autrefois.
us soutenues. Les réflexes rotuliens font toujours défaut. Il ne me
paraît
pas nécessaire maintenant,messieurs,d'entrer dans
eil, fréquemment, est devenu meilleur, circonstance qui ne nous a pas
paru
devoir être uniquement attribuée à la disparition
douleurs fulgurantes. Après tout ce qui précède, messieurs, il vous
paraîtra
sans doute évident comme à moi, que le traitement
indications de la suspension dans le traitement du tabès. 11 nous a
paru
que les ataxiques frappés par la maladie lorsqu'i
qu'on pourra retirer ultérieurement de la suspension ; toutefois, il
paraît
certain qu'une amélioration qui se prononce rapid
eur dure, paraissant occuper l'épaisseur de la peau, mobile, qui nous
paraît
être constituée par un tofus, bien que l'on ne vo
a description de la colique néphrétique,bien qu'il n'y ait jamais eu,
paraît
-il, expulsion de calculs. Quoi qu'il en soit, v
ans le but de s'adapter aux oscillations imaginaires que celui-ci lui
paraît
subir à chaque instant. » Ainsi, l'attitude du
iste en quelque sorte, toujours en puissance: il est imminent, prêt à
paraître
sous l'influence des causes occasionnelles; mais
ourd'hui, 22 janvier, ils n'ont pas reparu. Le résultat obtenu nous
paraît
satisfaisant et conforme à nos prévisions. Sans d
n question, étudié aux mains, avec le secours de la méthode graphique,
paraît
constitué par une série d'oscillations.de trépida
société particulièrement voué aux études neuropathologiques, laisser
paraître
, à l'égard du diagnostic des « maladies à tremble
de Basedow en l'absence de goitre et d'exophthalmie.La communication
paraît
avoir été accueillie avec quelque scepticisme et
ez ce malade l'affection qu'il a le premier décrite. L'argument ne me
paraît
pas d'une valeur absolue : il est fort à présumer
remarquée qu'en novembre et c'est vers la même époque que le goitre a
paru
. Les palpitations de coeur, revenant par accès, s
prédisposition héréditaire. Les premières palpitations du cœur ont
paru
chez Duf...che quelques semaines avant la célébra
nt des sueurs profuses répandues principalement sur le tronc. La peau
paraît
chaude, le pouls varie de 100 à 150. (La malade e
signe d'une lésion viscérale quelconque; les poumons en particulier,
paraissent
parfaitement libres. Il n'en a pas été tout à fai
nous hantaient lorsque nous avons rencontré dans un travail récemment
paru
, un certain nombre d'observations qui nous ont se
. Une des observations de M. Bertoye, celle qui porte le n° 1, nous a
paru
surtout intéressante : elle est relative à une fe
à désirer. Un fait signalé par M. Bertoye dans cette observation nous
paraît
mériter d'être relevé parce que nous le trouvons
roduites à peu près tous les mois. La maladie de Basedow a commencé à
paraître
chez elle, il y a 2 ans, peu de jours après une s
cédé rapidement et en même temps, les crises hystériques ont cessé de
paraître
. La tachycardie a été très 1. Leçons du mardi,
me une lutte pour la prééminence, l'une cédant le pas lorsque l'autre
paraît
, et inversement. C'est là un incident de notre ob
ît, et inversement. C'est là un incident de notre observation qui m'a
paru
mériter d'être mis en relief. L'hystérie est repr
venu. Le goitre qui, à un moment donné, est devenu très volumineux, a
paru
dès la première année. En 1883, s'est produite un
n amaigrissement notable. C est vers la même époque qu'ont commencé à
paraître
les symptômes paraplégiques, s'accusant d'abord d
que placés sur le second plan par rapport aux symptômes cardinaux. Il
paraîtrait
même que, dans l'espèce, ce syndrome n'est pas tr
n sortit non guérie; depuis lors, en effet, les attaques continuent à
paraître
fréquemment et l'état mental est resté à peu de c
de manie hypnotisante active. J'ai cité un exemple du genre qui me
paraît
bien frappant et que je vous demanderai la permis
d'hypnotisme, et il y a lieu de s'étonner qu'elles n'aient pas encore
paru
assez convaincantes pour faire adopter en France
ne est douloureuse. Vous remarquerez que cette plaque hypéresthésique
paraît
répondre à la partie du membre qui a été, pendant
; il n'a pas fait la noce, et il n'a été victime d'aucun accident. Il
paraît
d'ailleurs qu'il est plutôt impassible, apathique
œil gauche. Il avait de la diplopie ; les barreaux de son échelle lui
paraissaient
doubles. Était-ce déjà la diplopie monuculaire qu
en dehors de la bouche, difficulté qui existe encore actuellement. Il
paraît
que cet organe n'a pas été dévié soit à droite so
che ; mais il tire très difficilement et incomplètement la langue qui
paraît
contrac-turée; celle-ci n'est déviée nia droite n
x : il voit surtout des couleuvres, des cra pauds ; ces animaux lui
paraissent
avoir leur couleur et leur grosseur naturelle. Qu
Rien n'est plus frappant que l'aspect et l'allure de cet homme. Il
paraît
, passez-moi le terme, « complètement ahuri et abr
essayer de cesser la compression ovarienne sans crainte de voir re
paraître
soit le sommeil, soit les crises convulsives. Vou
op de gêne et le redescendre plusieurs fois. La rigidité a commencé à
paraître
seulement vers le soir et elle s'est installée pr
versée par un bœuf. Il s'ensuivit une perte de connaissance qui dura,
paraît
-il, à peu près huit heures, sans convulsions. A
ment,je commis l'imprudence delui adresser quelques questions qui lui
parurent
sans doute indiscrètes : il fit mine d'accepter l
dans les maisons de refuge ou de réclusion, un sujet d'étude qui. me
paraît
digne d'exciter leur zèle, et qui promet, si je n
s autres symptômes se sont amendés, et bien qu'actuellement encore il
paraisse
pas mal abruti, on ne retrouve plus chez lui cett
« syncopes » comme on les appelle encore, dont l'interprétation peut
paraître
difficile. Ce ne sont là le plus, souvent, suivan
qu'on se puisse figurer, d'autant plus que ce fils était de sa part,
paraît
-il, l'objet d'une affection profonde. Aussitôt il
ent précède l'hystérie et lui prépare en quelque sorte le terrain. Il
paraît
, en d'autres termes, qu'en pareil cas pour deveni
e à terre Au bout d'un quart d'heure, il est revenu à lui un instant,
paraît
-il, puis il est redevenu inconscient, cette fois
avait été malade jusqu'à l'époque où, il y a deux ans, commencèrent à
paraître
, sans cause appréciable, les crises nerveuses don
lement rares. Une autre anomalie est que l'automatisme ambulatoire ne
paraît
être chez notre homme précédé par aucun des phéno
s bien être allé jusqu'à la porte de la maison où j'avais affaire. Il
paraît
que je n'y suis pas entré. J'ai oublié tout ce qu
e fois-ci encore il a conservé un lambeau de souvenir, et ce souvenir
paraît
très précis. Il affirme avoir passé par un bourg,
au bord de la Seine sous le pont d'Asnières auprès d'un pêcheur qui a
paru
fort étonné de me voir là. J'étais fort sale, il
nsulter. Nous vous avons dit, messieurs, plus haut, comment il nous a
paru
que le cas devait être considéré, et la thérapeut
joue et peut à peine ouvrir l'œil droit. Elle s'étend sur le lit et
paraît
s'assoupir. Au bout d'une heure, elle se lève. La
le rappeler, voilà qui parait extraordinaire. » Oui, sans doute, cela
paraît
être extraordinaire, quand on n'est pas familiari
de notre malade Men.. s qui, par suite de ce rapprochement même, vous
paraîtra
, en quelque sorte, moins étrange, moins inattendu
fondamentale. L'état mental, considéré comme syndrome, comme épisode,
paraît
être essentiellement le même chez les deux sujets
au restaurant ; il apprend qu'il a mangé, qu'il a payé, qu'il n:a pas
paru
indisposé et qu'il s'est remis en marche vers son
s au choc physique qui leur a donné naissance et surtout, après avoir
paru
immédiatement après l'accident, elle ne se reprod
rition d'attaques d'hystéro-épilepsie qui, jusque-là, n'avaient point
paru
et qui se perpétueront par la suite : on peut aff
i cesse de sembler prodigieuse, étonnante, comme elle pouvait vous le
paraître
lorsque je vous la présentais à l'état d'isolemen
urs. Nous rappellerons seulement, parmi les faits qui, dans l'espèce,
paraissent
le mieux établis,que le somnambulisme naturel s'o
que des résultats de ce genre peuvent se produire « en petit », il ne
paraît
pas invraisemblable que, dans certaines circonsta
nir soit de l'intérieur, soit encore de leur propre fonds,ou du moins
paraître
telle, car il est impossible souvent de saisir l'
rois premières années, les médecins consultés se sont invariablement,
paraît
-il, crus en présence tantôt du cancer gastrique,
titue jamais. Je viens de signaler, Messieurs, des questions qui me
paraissent
dignes de tout votre intérêt ; je me propose de m
t-être, à la période de la maladie où l'ataxie motrice n'a pas encore
paru
et que j'appelais, à l'époque, la « période des d
. Les vomissements noirs, couleur de marc de café sont véritablement,
paraît
-il chose fort rare. Après le cas de notre malade
ls à la description qui vient d'être donnée. Les symptômes spinaux ne
parurent
qu'en 1832, c'est-à-dire quatre 1. T. Buzzard,
es crises, et non dans les intervalles que les Vomissements noirs ont
paru
? Le malade : Oui, monsieur, c'est bien cela. Le
; après cela je suis tombé,m'a-t-on dit, dans un état très grave. Il
paraît
que je suis resté sans connaissance pendant près
ue avec persistance pendant une longue période de trois années. Il me
paraît
, que cette assertion est déjà en grande partie ra
e chronique et aussi chez quelques asthmatiques. L'arthritis en somme
paraît
être en jeu dans la plupart de ces cas (1). Mai
eaux détails. L'incoordination motrice, ainsi que je vous l'ai dit, a
paru
seulement au commencement de 1886, c'est-à-dire i
un état déplorable et fut reçu à l'hôpital anglais où il resta traité,
paraît
-il, pour un « rhumatisme » à l'aide de l'électric
ôté droit du corps : ce sont là, en effet, des circonstances qui nous
paraissent
avoir joué un rôle important dans le développemen
ci (1). Cette contracture spasmodique du membre supérieur droit date,
paraît
-il, des premiers jours qui ont suivi la journée d
n instabilité, à sa manie des voyages. Ses récents malheurs ne l'ont,
paraît
-il, nullement guéri, car il se propose aussitôt q
acrée, pas de confusion de l'esprit, pas de vertiges, etc. L'hystérie
paraît
être chez lui primitive ; pour le moins c'est ell
n homme âgé de 41 ans, nommé Ro...el, employé dans une imprimerie. Il
paraît
bien constitué et d'apparence assez vigoureuse, u
. Donc, tout ce qui est relatif aux mouvements dans cette exploration
paraît
être absolument normal. Pas de rigidité, pas de c
age, etc., etc., fussent aussi indépendants les uns des autres qu'ils
paraissent
l'être d'après ce qui précède, et aussi indépenda
de plus en plus petits. Ce désordre moteur relatif à l'écriture nous
paraît
différer complètement de l'agraphie aphasique : d
e contact de la plante du pied sur le sol. Cette interprétation ne me
paraît
pas tout à fait fondée et je crois même que les c
r dans son travail sur les convulsions statiques réflexes, lesquelles
paraissent
se rapporter au sujet qui nous occupe (5), e)t au
mment, ces jours-ci même, M. le professeur Grasset a commencé à faire
paraître
dans le Montpellier médical, sur un cas d'hystéri
sie isolée, indépendante de l'astasie, ne font pas défaut,bien qu'ils
paraissent
rares, et justement notre cas d'aujourd'hui peut
tation, et les-avant bras se fléchissent à leur tour sur les bras. Il
paraît
clair que ce sont ces mouvements de flexion exagé
lieu dans une des observations recueillies par M. Blocq. Le sexe mâle
paraît
être affecté presque aussi fréquemment que le sex
ophiques concomitants de l'existence de névrites périphériques. Elles
paraissent
se terminer à peu près toujours par la guérison d
après l'accident qui a déterminé l'asphyxie, à une époque où le sujet
paraissait
avoir complètement récupéré sa santé. On voit alo
us allez le voir. Son père s'est suicidé par pendaison. Cela a été,
paraît
-il, un suicide par amour. Il était adonné aux boi
étendu sur le dos et regardait avec étonnement cette muraille qui lui
paraissait
énorme, lorsque tout à coup par-dessus la crête i
erie. C'est un original, vivant assez retiré. Il est célibataire et
paraît
n'avoir jamais eu l'envie de se marier. Malgré
it, un seul des incidents, quelque insignifiants qu'ils aient pu vous
paraître
, qui se sont produits chez notre homme à partir d
nt un rôle considérable, à des variations à peine accentuées qui nous
paraissent
représenter des nuances fort délicates, répondron
rendre témoins, de visu, d'un syndrome fort original et qui du reste
paraît
être assez rare. C'est qu'en effet, il s'agit ici
le pronostic de la paralysie alcoolique d'après ce qui a été dit vous
paraîtra
plutôt favorable; je crois qu'il l'est en réalité
tes réserves. Ce n'est pas qu'il mente, à ce que je suppose, et il me
paraît
au moins fort vraisemblable que les « gros faits
ssus-bord et se trouve par suite con-damnéàmort.Sa peine fut commuée,
paraît
-il, en dix ans de travaux forcés : en conséquence
ssin d'un homme « en costume de mousquetaire » destiné à représenter,
paraît
-il, le gouverneur de la colonie pénitentiaire, et
dépensés en orgies de boisson. C'est à cette époque que commencent à
paraître
les délires surtout nocturnes où il voit des anim
te encore la cicatrice. C'est vers la même époque qu'ont commencé à
paraître
des crises nerveuses convulsives, qui n'ont pas c
ières années c'est surtout, dans le rôle « de l'homme sauvage » qu'il
paraît
dans les foires des environs de Paris. Là*, on le
ves qui se reproduisent chez lui de temps à autre, assez fréquemment,
paraît
-il,depuis six ou sept ans. Il en a eu trois ou qu
l cultive spécialement — c'est une autre affaire ; cela va tout seul,
paraît
-il, et sans accrocs. Il est donc abasique, si vou
e pas de battre sa femme et ses enfants. La pauvre malheureuse était,
paraît
-il, très nerveuse. Elle est morte pendant le sièg
son influence que, la prédisposition héréditaire aidant, l'hystérie a
paru
. Elle est représentée chez notre malade sous se
nt-bras droit, surtout sur la cuisse et la jambe du môme côté, et qui
paraît
s'être développée très rapidement. Il y a sur la
hemin faisant,l'intérêt du cas que nous venons d'étudier ensemble, me
paraît
consister surtout en ceci : il montre bien, si je
individu que celui dont l'étude, faite par M. le Dr Rémond de Metz, a
paru
récemment dans le Progrès médical (12 janvier 188
t-bras est beaucoup moins atrophié que celui de l'autre côté. La main
paraît
à peu près normale. Telles sont les principales
A la face, pas le moindre signe d'atrophie musculaire : les lèvres ne
paraissent
pas grosses ni allongées en museau ; siffler est
cutifs à la tephromyélite antérieure aiguë, Thèse de Paris,1888, 11
paraît
bien difficile, après ce qui vient d'être exposé,
que cela a eu lieu justement dans l'observation de M. Raymond ; elle
paraît
n'avoir pas eu de tendance à se généraliser. Mais
ndance à se généraliser. Mais cette théorie « de l'épine morbide » me
paraît
tout à fait inacceptable, au moins comme élément
savez comment, après sa fièvre typhoïde, il est devenu hystérique. Il
paraît
qu'au début il a souffert d'une hypéresthésie trè
qu'ils se sont montrés le lendemain même de l'orage du 7 mai ; ils ne
paraissent
pas, j'y insiste, avoir subi depuis lors la moind
lorsque, au mois de décembre dernier, l'exercice de sa profession qui
paraît
-il, est assez pénible déjà en temps ordinaire, l'
tronc et même de la tête. Les parties où j'ai ressenti le choc m'ont
paru
aussitôt lourdes, pesantes, comme engourdies. M
ion. Elle se dérobait sous moi ; je ne la sentais plus guère, elle me
paraissait
gonflée ; je ne savais pas si, oui ou non, elle p
toujours sur le même point ; puis il se mettait à pleurer. Enfin il a
paru
s'endormir et je l'ai quitté. Le lendemain matin,
t ce qu'on savait de positif, à l'époque toute récente encore où il a
paru
. Du résultat de la comparaison que nous allons fa
et tourbillonnant qu'il a vu, après l'éclair et le coup de tonnerre,
paraître
à quelques pas de lui. N'oubliez pas également
pourra encore rappeler que, plusieurs fois, la foudre globulaire a pu
paraître
presque au contact de l'homme et le toucher même,
n faire remarquer que la distance à laquelle, par rapport au sujet, a
paru
la masse lumineuse, deux mètres environ, à ce qu'
ur qu'on puisse relever un certain nombre de caractères cliniques qui
paraissent
propres à ce genre de paralysies. Il suffit, pour
nographie de Sestier (4). Ces paralysies d'ailleurs, dans l'espèce,
paraissent
être un fait commun. Il est rare qu'un individu f
ie de la vessie et du rectum, non plus que des eschares. En somme, il
paraît
s'agir là, à peu près toujours, ainsi que l'indiq
tificiellement produites chez les animaux par l'étincelle électrique,
paraissent
identiques. Il nous faut rechercher maintenant
n marche se dérobait sous lui ; il ne la sentait plus guère, elle lui
paraissait
gonflée : « Je ne savais, dit-il, si oui ou non e
. 115. c'est que, au lieu de s'atténuer progressivement, comme cela
paraît
être la règle, elle est allée, au contraire, en s
le choix des moyens de recherche clinique. Il espérait se convaincre,
paraît
-il, et convaincre tout le monde, à l'aide d'une e
roître chaque jour à mesure que l'ignorance recule. Entre nous, il me
paraît
avoir grand besoin de quelques bonnes leçons de d
îner le membre après lui à la manière d'un corps inerte : sa boiterie
paraît
tenir surtout à un défaut d'énergie dans les mouv
ose traumatique, cemme vous voudrez l'appeler — dans l'espèce cela me
paraît
être parfaitement indifférent, — est présente dan
u moment où,à la suite d'un grand coup de tonnerre, le globe de feu a
paru
sur la route, un choc électrique, local, immédiat
x ans après, pendant qu'il travaillait de son métier, son marteau lui
parut
lourd et bientôt se reproduisit, comme la premièr
n, je vous demande la permission de formuler deux propositions qui me
paraissent
résumer ce qu'il y a de plus important à retenir
onvulsifs appelés tics, quelque complexes et bizarres qu'ils puissent
paraître
, ne sont pas toujours, 1. Leçon du mardi 23 oct
aurez accumulé des caractères cliniques tellement particuliers qu'ils
paraissent
devoir permettre de distinguer, à coup sûr, la ma
ncessants, généralisés, que présentent les deux sujets, les analogies
paraissent
fort étroites entre les deux cas. L'une de ces fe
a dit, âgée de 21 ans seulement, et chez elle les tics ont commencé à
paraître
à l'âge de 12 ans. Ils se sont présentés d'abord
e pense, pour vous permettre de reconnaître que les ressemblances qui
paraissaient
au premier abord les rapprocher étroitement, sont
à ce propos, que chez notre homme, elle dure déjà depuis 8 mois et ne
paraît
pas prête à s'amender. Le plus souvent, autant
chant à la diathèse hystérique ; mais le plus communément, à ce qu'il
paraît
, elle se présente là à titre de manifestation iso
nous avons en notre possession,et sur l'application desquels il nous
paraît
inutile d'insister à nouveau , pour le moment.
t pas cessé d'exister tels que nous les retrouvons aujourd'hui. Il ne
paraît
pas qu'à cette époque aucun incident soit surve
st ce brave homme, âgé de 75 ans, nommé Cr...t, que je viens de faire
paraître
devant vous. Il est d'aspect vigoureux, vous le v
un nerveux et n'a jamais donné de signes d'émotivité maladive. Il ne
paraît
présenter, à l'heure qu'il est, aucune marque de
remiers désordres relatifs aux mouvements de la marche ont commencé à
paraître
chez lui il y a six ans, sans cause connue, progr
ouffre en effet depuis tantôt cinq ans, d'une façon permanente ; elle
paraît
s'être plutôt aggravée dans ces derniers temps et
oseraî-je d'admettre que ce brave homme est,sans le savoir et sans le
paraître
, un névropathe, sujet comme tel à l'action des au
es, en ce qui concerne les effets des lésions des cornes antérieures,
paraissent
à peu près définitivement fixées. Il semble en ef
iser et à étendre singulièrement nos connaissances à cet égard. Elles
paraissent
montrer, en effet, conformément aux assertions de
elles montreraient enfin, si l'on en croit certaines observations qui
paraissent
parfaitement authentiques, que les éléments nerve
du tirage à part. 2. Berlin, klin. Woch. n°3, 1889. Roth (1). Ils
paraissent
occuper le plus souvent le dos d'une des mains qu
lt, dans la séance de la Société médicale des hôpitaux du 8 mai 1889,
paraît
peu favorable à la doctrine unitaire (2). 2° Un
pent soit les cornes antérieures, soit les cornes postérieures, il ne
paraît
pas qu'on doive les y localiser. Il y a quelques
maladie, son pronostic, son étiologie et enfin le diagnostic. Elle
paraît
être plus fréquente chez l'homme que chez la femm
exercé autrefois la profession de passementière. Chez elle la maladie
paraît
avoir débuté en 1879, c'est-à-dire il y a 10 ans
est de ce côté littéralement absent. Le grand pectoral, au contraire,
paraît
respecté, et l'on peut dire que,d'une façon génér
faiblesse générale, avec quelques douleurs passagères à la nuque qui
paraissent
avoir peu fixé son attention. Au bout de six mois
ébut des accidents actuels remonte à trois années; ils ont commencé à
paraître
deux ou trois mois après la mort de son enfant.
des crises convulsives avortées. En même temps que les attaques ont
paru
, il s'est manifesté dans les deux flancs, surtout
élicates sont conservées. Les notions du sens musculaire au contraire
paraissent
notablement obnubilées dans les doigts de la main
a solution française s'est accentuée dans le mémoire de M. Strümpell,
paru
en 1888, et, dans son dernier travail sur la mati
ité d'esprit, l'entrain, qu'il avait autrefois, mais son intelligence
paraît
intacte. Par contre sa mémoire est affaiblie; il
ontracture spasmo-dique hystérique. Mais voici le point commun qui me
paraît
motiver le rapprochement que nous allons établir
rvention chirurgicale, ou du moins une intervention du même ordre, me
paraît
actuellement nécessaire pour compléter la guériso
s les muscles de la main, sans espoir de guérison ; c'est pourquoi il
paraît
inutile d'essayer de modifier chirurgicalement la
Mais il est enfin un troisième ordre de faits, qui dans l'espèce me
paraît
assez fréquent, et dans lequel, cette fois, l'équ
ture névropathique, des accidents qu'elle appelle des syncopes et qui
paraissent
bien avoir été des crises hystériques, une paraly
est bientôt arrêté brusquement par un obstacle purement mécanique qui
paraît
être surtou le tendon d'Achille raccourci, mais q
tique, 25. . Imp. de la Soc. de Typ.— Noizette, 8, r. Campagne-lre,
Paru
. — Bandelettes externes des fais-ceaux postérieurs ; leur altération
paraît
constante dans l'ataxie locomotrice. Sclérose f
la sclérose symétrique des cordons latéraux, par exemple. La question
paraît
aujourd'hui définitivement résolue, et personne n
ture irritative de l'altération. Mais il est un point sur lequel il
paraît
impossible de se pro-noncer, quant à présent, d'u
, p. 74.) acquis, bien qu'imparfaits encore à quelques égards, nous
paraissent
cependant dignes de vous être présentés. Ils sont
collatéraux postérieurs, et les racines sensi-tives les plus internes
paraissent
en émerger (Voyez Planche I, Fig. 2). Sur les cou
lésion des faisceaux de fibres qui composent les cordons mé-dians ne
paraît
pas avoir cet effet. La relation qui existe ent
ou moins généralisée. La raison anatomique de cette complication nous
paraît
se révéler dans le fait suivant : il s'agit du ca
de me demander quelques explica-tions relativement à la connexion qui
paraît
exister entre les filets nerveux radiculaires int
festement vers l'extrémité anté-rieure de la corne antérieure, où ils
paraissent
entrer en connexion avec les filets radiculaires,
ngements of the nervous System, p. 238.) L'auteur, qui, le premier,
paraît
avoir été frappé des faits de cet ordre, est, si
membres inférieurs, une paralysie temporaire. Quoi qu'il en soit, il
paraît
bien difficile d'expliquer, par une action de ce
raits essentiels qui ne font jamais défaut d'une façon absolue. Il me
paraît
utile, avant d'entrer en ma-tière, de rappeler en
e 1 ont appelé l'attention sur une forme de paraplégie qui s'observe,
paraît
-il, assez fréquemment à Londres, chez les femmes,
oolique. Un des traits les plus saillants de cette forme pathologique
paraît
être l'exis-tence de douleurs revenant par accès,
te réelle-ment entre les crises gastriques et l'ataxie locomotrice me
paraît
avoir été signalée, pour la première fois, par M.
bisme qui date de l'époque où les douleurs fulgurantes ont commencé à
paraître
. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements des
et fréquemment aussi le front, l'occiput, la nuque, ont comrflencé à
paraître
à l'époque où la cécité s'est déclarée. Elles son
en 1855. Les troubles de la vue, accompagnés de douleurs de tête, ont
paru
en 1850. D'abord limités à l'œil gauche, ils ne t
rappelle à tous égards, celui de la sclérose fasciculée spinale. Elle
paraît
, en règle générale, débuter par l'extrémité périp
ne certaine dis-tance dans l'épaisseur de la papille, sur laquelle il
paraissent
être simplement appliqués. Rien d'ailleurs qui s'
lle se produit dans près de la moitié des cas (Friedreich et Ladame),
paraît
reconnaître le plus souvent pour causes la neuro-
aient de l'exagération de la pression à l'intérieur du crâne. Mais il
paraît
prouvé qu'en outre de la papille, le nerf lui-mêm
cité acquise par le nerf optique, les capil-laires et la teinte rosée
paraissent
effacés. Les vaisseaux sont tortueux, sinueux, su
de désigner sous ce nom tout un groupe d'affections arti-culaires qui
paraissent
être sous la dépendance directe de certaines lési
ulter l'an passé, l'arthropathie, occupant égale-ment le genou, avait
paru
plus tôt encore — dès les premiè-res crises de do
vrai, ne tarde pas en général à se mon-trer lorsque l'arthropathie a
paru
. Ainsi celle-ci, vous le voyez, a sa place marqué
jointure atteinte d'arthrite sèche. Or, cette augmentation de liquide
paraît
constante dans notre arthro-pathie. 2° Quelquef
aître les symptômes particuliers qui la révèlent durant la vie, il me
paraît
tout à fait indispen-sable de comparer, sous le r
aux dépens de l'enveloppe conjonctive des nerfs et dont la structure
paraît
faite sur le modèle du réseau muqueux de la gélat
e champignon forme un anneau parfait, de telle sorte que la moelle ne
paraît
comprimée que sur une partie de sa surface extéri
était des plus prononcées. (Yoyez Planches II et III.) La névroglie
paraît
transformée en un tissu conjonctif dense et résis
leux. — Beaucoup de cylindres axiles ont persisté ; quelques-uns même
paraissent
avoir subi une augmentation de volume. II. My
inq ou six faits semblables. En pareille circonstance, la guérison me
paraît
due à l'intervention de l'art : c'est à la suite
microscopique, était le siège de lésions tellement profondes qu'elle
paraissait
litté-ralement interrompue sur un point de son tr
ère en possède un grand nombre. Ce n'est pas tout encore. La moelle
paraît
jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibilité da
égion plus ou moins limitée ; tantôt, au contraire, le trajet nerveux
paraît
affecté dans toute l'étendue de son parcours. A
mi M. Cazalis. C'est lui, je le répète d'autant plus volontiers qu'on
paraît
l'avoir oublié dans un article récent, qui a fait
ité des fibres nerveuses. Quoi qu'il en soit, Messieurs, la réalité
paraît
être que tan-tôt les troubles moteurs (parésie de
e à peu près jamais d'exister à une certaine époque de la maladie qui
paraît
devoir être rattachée, elle aussi, à la lésion sc
soit suivie, au bout de quelque temps, d'une sensa-tion analogue qui
paraît
siéger symétriquement dans un point du membre opp
mo-dification nutritive appréciable. Mais la vitalité de ces organes
paraît
rapidement se modifier sous l'influence de certai
moelle capable de déterminer l'hémiparaplégie avec anesthésie croisée
paraît
être une conséquence fréquente des lésions du cen
e la moelle est poussée si loin que les deux feuillets de la pie-mère
paraissent
accolés l'un à l'autre ; au contraire, la moitié
tant de l'entre-croisement des conducteurs des impressions sensitives
paraissent
ne pas s'éloigner notable-ment du plan médian anl
ivement ses dimensions normales. L'affection osseuse, chez ce malade,
paraissait
occuper la dernière vertèbre cervicale et les tro
blement en relief, et, à ce pro-pos, il cite une observation qu'il me
paraît
utile de vous faire connaître au moins sommaireme
'une moitié de la moelle épinière chez cer-tains animaux, l'épilepsie
paraît
être, chez l'homme, un résultat comparativement a
aillant. D'un autre côté, les affections musculaires dont il s'agit
paraissent
devoir être rattachées toujours à une altération
ve, je le répète, chez la plupart des enfants ; toutefois, elle peut,
paraît
-il, faire absolument défaut '. Quoi qu'il en so
tôt ou tard le membre paralysé. De même que l'atrophie, ce phénomène
paraît
s'accentuer plus dans la paralysie spinale infant
infirmité plus ou moins pénible qui, suivant la remarque de Heine, ne
paraît
pas avoir d'influence directe sur la durée de la
fs 1. Je n'insisterai pas plus longtemps sur ces faits anormaux qui
paraissent
, d'ailleurs, assez rares. Je n'ai pas cru devoir
is, c'est là, je le répèle, un fait plutôt exceptionnel. En somme, il
paraît
constant que les lésions irritatives prédo-minent
musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont il s'agit
paraissent
s'accuser de bonne heure; M. Damaschino, d'après
s les intervalles qui les séparent ; de telle sorte que ces dernières
paraissent
comme autant de centres ou foyers, d'où le proces
es, quant à l'intensité, aux lésions de la substance grise. Il nous
paraît
évident, d'après tout ce qui précède, que les c
ous reportez à la description de la para-lysie infantile, pourra vous
paraître
constituer, dans l'espèce, une anomalie frappante
al de Dublin {Quaterly Journ. of Medtc. Science, may 18o9, p. 471) me
paraît
devoir être, comme les précédents, rattaché à la
l, presque à la même distance du précédent et de la crête iliaque. Il
paraît
certain que ce zona ne s'est pas accompagné de do
octobre que la paraplégie s'est produite. Le malade fut recouché. Il
paraît
bien établi que, ce jour-là, il n'avait plus de f
'occasion de signaler et de mettre à profit plnsieurs travaux qui ont
paru
sur ce sujet, depuis la publication des premières
veuses et produit l'épaississement fibroïde du tissu interstitiel qui
paraissent
être un caractère constant de la lésion spinale p
les foyers primitifs du mal, car, si la lésion s'étend au delà, elle
paraît
rayonner autour du groupe cellulaire comme autour
st. — Société de biologie, séance du 14 avril 1872. sérieuse ; elle
paraît
d'ailleurs, aujourd'hui, assez générale-ment répa
ailleurs qu'une sorte d'épiphénomène de la myélite aiguë centrfde. Il
paraît
certain que, à peu près toujours, l'épanchement d
de fibres atrophiées, plus la fai-blesse est grand-e, et celle-ci ne
paraît
guère dépendre que de la diminution du nombre ou
oi de le rappeler, en ce que la peau, qui recouvre le muscle atteint,
paraît
tout à coup soulevée par de petites cordes très f
tant qu'élément étiologique de l'atrophie musculaire progressive, me
paraît
, d'après la critique des textes à laquelle je me
trophie primitive, le rôle écolo-gique de la transmission héréditaire
paraît
très important. Il a été relevé par tous les aute
r rappe-ler encore une fois, que la moelle épinière peut, a l'œil nu,
paraître
tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveu
idérons, en premier lieu, ce qui se passe dans la pelle en passant,
paraissent
appartenir au même système que les faisceaux laté
nflammatoire de la lésion dans la sclérose latérale amyotrophique m'a
paru
plus accentué. Ainsi, l'hyperplasie du périmysium
te trémulation, dans les deux derniers cas comme dans le pre-mier, me
paraît
relever de la sclérose latérale, trait commun ent
il est variable ; mais c'est le renflement cervical de la moelle qui
paraît
être, en quelque sorte, le lieu d'élection. 1 S
de deux couches : l'une externe, l'autre interne. Cette dernière, qui
paraît
de formation nouvelle, est constituée, par un tis
tation des symptômes '. 1 La participation des racines postérieures
paraît
être une condition néces-Ciiarcot. Œuvres complèt
éruptions huileuses et pemphlgoïdes. b) Les symptômes qui précèdent
paraissent
, vous l'avez compris, relever surtout de l'irrita
on, la contracture des membres inférieurs, dans la pachyméningite, ne
paraît
se compliquer d'aucune atrophie musculaire. Il
ar contre, la par-ticipation du bulbe, fort rare dans cette dernière,
paraît
au contraire — nous l'avons dit — être un des élé
l'adulte, car elle se montre surtout vers 35 à 40 ans. L'hérédité ne
paraît
jouer aucun rôle dans sa pro-duction, mais quelqu
lons que les racines spinales, tant antérieures que postérieures, ont
paru
également parfaitement saines. Après avoir reco
venant des nerfs sciatiques, o-édians et radiaux, que ces nerfs m'ont
paru
offrir, dans toutes leurs parties, les apparences
gicale de Lon-dres, un fait qui, sous le rapport anatomo-pahologique,
paraît
être en contra-diction formelle avec celui qui pr
des muscles, de telle sorte que les lésions spinales, dans ce cas, ne
paraissent
avoir été, en quelque sorte fortuites : il ne me
phique. Je crois devoir, à ce propos, faire une remarque qui pourrait
paraître
banale, si le fait auquel elle s'applique n'avait
est à noter qu'en pareil cas, la substitution graisseuse des muscles
paraît
se rattacher quelquefois à une lipomatose général
quelques détails empruntés à mon travail {loc. cit.), et qui ne vous
paraîtront
pas, sans doute, dénués d'intérêt. Ce qui frapp
ertrophique, d'une manière fatale, au moins dans quelques muscles, me
paraît
constituer, dans l'espèce, un caractère vraiment
s les amyotrophies d'origine saturnine, au contraire, l'amyotrophie
paraît
se produire en conséquence d'une lésion des nerfs
partielles rhumatismales ou de cause traumatique, en ce sens qu'elle
paraît
dépendre, elle aussi, d'une lésion des nerfs péri
lle aussi, d'une lésion des nerfs périphériques, et ce rappro-chement
paraîtra
d'autant plus légitime que, dans les deux cas, l'
une étroite connexion, la clinique et l'anatomie pathologique. Il me
paraît
opportun de vous montrer dans un bref aperçu, pui
adiculaires antérieures (trajet intra-spinal des racines antérieures)
paraissent
être les seules ré-gions de la moelle épinière qu
a clinique avait, pendant la vie, révélé l'existence de symptômes qui
paraissent
aujourd'hui pouvoir se rattacher au type tabès do
emier rang, vous ne l'avez pas oublié, et bien longtemps avant que ne
paraisse
l'incoordina-tion motrice d'où l'affection tire s
situation en disant qu'ils se fatiguent vite, que leurs membres leur
paraissent
lourds et qu'en mar-chant ils traînent la jambe.
parer qu'à la suite d'efforts où les muscles qui s'insèrent au bassin
paraissent
jouer le rôle principal et dans lesquels le tronc
ar une excitation périphérique cutanée. Il a combattu dans ce qu'elle
paraît
avoir de trop abso'u l'opinion de M Erb. Il recon
oudrais compléter la description par quelques traits nouveaux. Elle
paraît
se manifester surtout entre 30 et 40 ans. Je suis
tion scléreuse descen-dante consécutive des faisceaux latéraux. Il me
paraît
inutile d'insister pour faire ressortir que les t
vif, passionné parfois de part 1 Cette leçon, faite en juin 1870, a
paru
dans l'ancien Mouvement Médical, en 1872. et d'
mais il faut l'avouer, malgré tout, les ques-tions qu'il a soulevées
paraissent
même aujourd'hui, en partie du moins, enveloppées
r-tout préoccupé les médecins qui ont pris part à ce débat. Il leur a
paru
plus particulièrement intéressant de rechercher p
myélites consécutives. Rare chez les femmes, cette sorte de myélite
paraît
être, en revanche, assez commune chez les hommes.
nts fournis par l'au-topsie. Il est des cas où, à l'œil nu, la moelle
paraît
ne pré-senter aucune altération ; si alors, ainsi
'est pas sans intérêt de faire remarquer que la lésion dont il s'agit
paraît
siéger, originellement du moins, un peu au-dessus
centre gônito-spinal, et d'où parlent les nerfs de la vessie. Il me
paraît
suffisamment établi par ce qui précède que la 1
étude publiée récemment, se rattache M. Leyden ', et celte opinion me
paraît
fort vraisem-blable. J'ajouterai qu'elle n'est pa
ucocytes. La partie du nerf com-prise entre les deux foyers purulents
paraissait
parfaitement saine. Tel est, à ma connaissance,
s qui témoi-gnent dans ce sens sont peu nombreux encore ; mais ils me
paraissent
assez significatifs pour que nous leur accordions
1 Gazette hebdoma laire, 1866, p. 51, 67, 84. 2 Voici un cas qui me
paraît
devoir être considéré comme un exemple de névrite
tion très accentuée. laire et les troubles variés de la sensibilité
paraissent
être des phénomènes constants1. III. Les fait
ection dont il s'agit ne met, par elle-même, la vie en danger ; il ne
paraît
pas que jamais elle ait abouti à la myélite, et d
z peu explicites où l'autopsie a été pra-tiquée, la moelle a toujours
paru
exempte d'altération. A la vérité, quant à présen
rs vives sur le trajet des deux nerfs sciatiques. Les cas de ce genre
paraissent
rares, je le répète, contrairement à l'opinion de
ar-oxystiques du vertige, qui constituent des sortes d'accès. Ceux-ci
paraissaient
être caractérisés surtout par la sensation d'un b
sont progressivement accentués et rapprochés ; mais dès l'origine ils
paraissent
avoir présenté, en raccourci, il est vrai, les ca
ux exemples de gué- 1 Cette leçon a été faite en janvier 1874, et a
paru
pour la première fois dans ie Progrès médical (no
e d'ailleurs chez beaucoup d'au-tres malades du même genre, — simule,
paraît
-il, jusqu'à s'y méprendre, le bruit strident d'un
remplacé par un bruissement tout différent dans son caractère, et qui
paraît
devoir être rattaché à l'action de la quinine. En
non sans de grands efforts, deux ou trois pas rendus très difficiles,
paraît
-il, par une sensi-bilité excessive de la plante d
d'une attaque apoplectique avec perte de connaissance et accompagnée,
paraît
-il, de vomisse-ment. Revenue à elle, elle présent
nt sans cesse agités de mouvements cho-réiformes, auxquels la face ne
paraît
point participer, et qui sont exagérés par l'acco
mais très habituel au moins de Yhérnichorée post-hémiplégique. Or, il
paraît
établi que cette forme particulière d'hômianesthé
le côté droit du corps : à l'heure qu'il est, la sensibilité spéciale
paraît
s'être partout rétablie, et quant à la sensibilit
elles a figuré la roséole. Le traitement de la maladie à cette époque
paraît
avoir été régulièrement dirigé et continué pendan
e à l'occiput sans abandonner toutefois jamais son foyer primitif. Il
paraît
bien établi que les exacerbations ont lieu habitu
me à la bou-che, urines involontaires, etc. L'invasion, je le répète,
paraît
avoir été littéralement soudaine, inopinée, et le
ement sur le membre supérieur d'abord, puis sur la face. Cet ordre ne
paraît
êlre presque jamais inter- 1 II est remarquable
gommeuse circonscrite, avec participation des membranes subjacentes,
paraissent
être le substratum anatomique le plus habituel de
latées me frappèrent très vivement : l'influence de la syphilis ne me
paraissait
plus méconnaissable et j'étais désireux de regagn
ôté était considérablement tuméfiée', le membre, sur ce point, avait,
paraît
-il, presque doublé de volume. Cette enflure ne s'
n sont remarqués pour la première fois ; de temps à autre, les objets
paraissent
doubles : des étincelles passent parfois devant l
les mouvements. Le reste de l'humérus est sain. L'avant-bras gauche
paraît
légèrement raccourci ; il présente une augmentati
nce appréciable sous ce rapport entre les deux membres inférieurs. Il
paraît
manifeste, toutefois, qu'au niveau des pieds, la
fait valoir à plusieurs reprises1. 1 Sur quelques arthropathies qui
paraissent
dépendre d'une lésion du cer-veau ou de la moelle
laryngé, comparable a certains égards, au vertige de Ménière, qui lui
paraît
se rattacher à une affection des nerfs du labyrin
tous les cas précédé la chute et la perte de la conscience. Celle-ci
paraît
être un caractère con-stant de ce que l'on pourra
ssemblance. Dans les observations qui précèdent, le vertige laryngé
paraît
s'être produit comme une conséquence plus ou moin
cautérisations pharyngées, l'administration du bromure à dose élevée,
paraissent
avoir été couronnées du succès, — en dehors des f
e de deux centimètres environ, a donné les résultats suivants : il ne
paraît
exister aucune altération appréciable des élément
pas de granulations graisseuses isolées, au contraire les myélocites
paraissent
sensiblement plus volumineux qu'à l'état normal.
du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la substance grise n'ont
paru
présenter au-cune altération appréciable. Obs.
nflement lombaire. Ce renflement, de même que le renflement brachial,
paraît
à l'œil nu n'avoir subi aucune alté-ration appréc
n accès de dyspnée. La maladie, chez celte femme, se serait déclarée,
paraît
-il, sans prodromes. La malade assurait toutefois
au noyau. Ce dernier, toutefois, ainsi que le nucléole, ont toujours
paru
présen-ter les caractères de l'état physiologique
sidérées seulement comme des curiosités d'histologie pathologique. Il
paraît
au contraire très vraisemblable que ces altératio
sclérose enplaques. Paris, 1869, pp. l! et 13. tion dont il s'agit
paraît
être, on le voit, avec quelques varian-tes, commu
s tuméfiés qui, examinés sur des coupes lon-gitudinales de la moelle,
paraissent
inégaux, bossues à leur surface et sillonnés tran
er avec des stries rouges moins nombreuses. — Les sterno-mas-toïdiens
paraissent
à peu près sains, de même que les muscles des rég
t d'un beau rouge et remarquables par leur épaisseur, ceux du la-rynx
paraissent
également normaux. La langue a son volume normal,
a pas trace de substitution graisseuse. — Les différents viscères ont
paru
sains. Examen hislologique. — Région cervicale.
e a subi un épaississement très notable. Quand à l'endothélium, il ne
paraît
pas manifestement modifié. Malgré un examen atten
atrophie considérable. Les phé-nomènes qui président à cette atrophie
paraissent
, dans ce cas, identiques à ceux qui se produisent
e peut siffler, souffler, simuler l'acte de don-ner un baiser. Elle
paraît
très intelligente et semble comprendre parfaiteme
posent habituellement presque inertes ; ce mouvement d élévation, qui
paraît
exiger de grands efforts, ne peut être tenu longt
les ge-noux, qui sont demi fléchis, et dans l'adduction ; les hanches
paraissent
être également un peu rigides. La puissance muscu
, ni crampes, ni four-millements. La sensibilité électro-musculaire y
paraît
également normale, tandis qu'elle paraît être plu
ibilité électro-musculaire y paraît également normale, tandis qu'elle
paraît
être plutôt exagérée aux membres supérieurs. Un
sains. — Le cœur pesait 185 grammes. Son tissu était rouge, ferme, il
paraissait
entièrement sain. 11 n'y avait aucune lésion valv
ésentaient rien d'anormal. 2° Au cou. Les sterno-cléïdo-mastoïdiens
paraissent
sains. Les muscles de la région sus-hyoïdienne so
Les intercostaux sont assez minces et un peu jaunâtres. Le diaphragme
paraît
sain, du moins à l'œil nu. 5° Aux membres infér
et le pneumogastrique ont été l'objet d'un exa-men spécial; ils n'ont
paru
offrir aucune altération. d) Nerfs rachidiens.
s deux nerfs phréniques, celui du côté droit principalement, nous ont
paru
renfermer un certain nombre de tubes nerveux atro
aux commissures antérieures et postérieures : là, les noyaux nous ont
paru
nom-breux, surtout au voisinage du canal central.
ux noyaux. — Les cornes postérieures de la substance grise nous ont
paru
offrir toutes les conditions de l'état sain. Ré
re-nue ; enfin le noyau de l'hypoglosse, considéré dans son ensemble,
paraissait
avoir perdu ses contours arrondis ; il présentait
nférieures du facial ; toutes ces cellules étaient saines et nous ont
paru
en nombre normal. Plus en dehors encore, on ren
rigine du facial, du moteur oculaire externe et de l'auditif nous ont
paru
présenter tous les caractères de l'état normal.
ignements fournis par son fils. L'affection dont elle est atteinte ne
paraît
par avoir débuté brusquement. — Au mois de juin d
taine distance de sa bouche. —Le mouvement de diduction des mâchoires
paraît
impossible. — La contraction des muscles masticat
'introduction de la substance alimentaire, son entrée dans l'œsophage
paraît
se faire avec une grande lenteur, et quel- ques
sement nota-ble, étendu à tout le membre ; aucun groupe de muscles ne
paraît
plus spécialement atteint que les autres. Ils peu
grande que les supérieurs. L'orbiculaire des lèvres, en particulier,
paraît
très sensible à l'excitation électrique. Mais la
al, à une certaine distance de leur lieu d'origine. La névroglie ne
paraît
prendre aucune part au processus mor-bide, elle a
de plus à remarquer, que, du moins à la région cervicale, les lésions
paraissent
être arrivées à une période plus avancée de leur
publiés jusqu'à ce jour. C'est à ce point de vue surtout qu'elle m'a
paru
di-gne de fixer un instant l'attention du lecteur
nt un état d'anxiété extrême : durant plus de cinq minutes, la malade
paraît
menacée de suf-focation ; elle ne tousse pas en g
ne médiane et elle n'est pas pendante à l'excès : le voile membraneux
paraît
se contracter d'ailleurs d'une manière à peu pr
énergique et l'attitude de celle-ci est tout à fait normale. Il ne
paraît
pas exister de troubles de la vision; les orifice
dente de leur consistance. Au larynx, tous les muscles intrinsèques
paraissent
sains à l'exception des aryténoïdiens, des crico-
ir subi d'altération appréciable. La tunique musculeuse de l'œsophage
paraît
être de volume et de consistance normaux. — Les d
exa-minée à l'extérieur et sur des coupes faites à diverses hauteurs,
paraît
, elle aussi, tout à fait saine. Les filets d'or
ut, sont grêles. Quant aux troncs nerveux éma-nés de ces racines, ils
paraissent
être un peu moins volumineux que dans l'état norm
ut appliquer la même re-marque aux muscles du pharynx qui, eux aussi,
paraissent
sains à l'œil nu. Quant aux muscles du larynx, ce
t-bras, ceux de la main (émi-nences thénar et hypothénar), quoiqu'ils
parussent
à l'œil nu, tout à fait sains, quant à la colorat
tout entremêlées. Les petites cellules des cornes posté-rieures n'ont
paru
présenter aucune trace de la dégénération jaune.
tre les vaisseaux y sont-ils plus volumineux qu'à l'état normal ; ils
paraissent
en tous cas gorgés de globules sanguins. La maj
lésées en grand nombre. Les cellules d'origine du pneumogastrique ne
paraissent
pas aussi profondément altérées. Entre le noyau d
que L. Clarke rattache au noyau du facial. Les cellules de ce groupe
paraissent
remarquablement petites et peu nombreuses. Elles
es, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérieures ne
paraissent
pas être affectées. On la rencontre dans toutes
En quoi consiste cette altération? L'accumulation de pig-ment jaune
paraît
y jouer un grand rôle ; il semble qu'elle soit le
riques, que l'examen du bulbe a fait reconnaître dans notre cas, nous
paraît
rendre compte de ces troubles cardiaques qui n'on
me les pectoraux, les sacro-lombaires, où l'évolution de l'altération
paraît
plus avancée, les noyaux et les cellules ont dimi
és par les travées considérablement épaissies du perimysium internum,
paraissent
, au premier abord, avoir conservé à peu près tout
-là, toujours du plus petit diamètre, — dont la substance muscu-laire
paraît
divisée en fragments où la striation en travers e
ou bien elle joue un rôle évidemment accessoire. Cette première phase
paraît
répondre à la première période clinique signalée
s racines spinales, tant anté-rieures que postérieures, ont également
paru
parfaitement saines. Je ne crois pas devoir ins
raphique. Je crois devoir à ce propos faire une remarque qui pourrait
paraître
banale, si le fait auquel elle s'applique ne semb
l est à noter qu'en pareil cas la substitution graisseuse des muscles
paraît
se rattacher quel-quefois à une lipomatose généra
venant des nerfs sciatiques, mé-dians et radiaux, que ces nerfs m'ont
paru
offrir, dans toutes leurs parties, les apparences
la moitié gauche de la face; ce sont les muscles des commissures qui
paraissent
surtout agir. — Au cou, les troubles moteurs semb
s moteurs, une analogie dans les conditions de développement, et cela
paraît
suffire pour faire penser que Vathétose n'est qu'
l. — Bandelettes externes des faisceaux postérieurs ; leur altération
paraît
constante dans l'ataxie lo-comotrice. Sclérose
tés, celle qui correspond à la face profonde du derme. Ces follicules
paraissent
en outre distendus par un liquide, et l'emportent
rassait le sommet de cinq ou six folli-cules pileux qui d'ailleurs ne
paraissaient
pas plus volumineux ou autrement altérés que ceux
1853, salle Sainte-Anne, n° 19, service de la Clinique. Cette femme
paraît
robuste ; elle assure jouir habituellement d'une
elle assure avoir eu, vers l'âge de 11 ans, le chicken-pox; mais cela
paraît
peu probable, car, d'après son récit, les pustule
e. Elle n'a été réglée qu'à 18 ans; depuis cette époque, les règles
paraissent
habituellement d'une manière régulière et durent
il s'est mani-festé une salivation abondante. L'affection variolique
paraît
avoir duré en tout dix-sept jours. L'éruption est
deur fétide. Mais, en raison de la macération prolongée à laquelle il
paraît
avoir été soumis, son épiderme s'enlève avec une
disséminées; une de ces pustules, très large (7 millim. en diamètre),
paraît
formée par la réunion de plusieurs pustules secon
ents de déglutition simulée. Toutes les parties du voile du palais ne
paraissent
pas, d'ailleurs, égale-ment affectées ; ainsi, pe
tique. Examen du voile du palais. —- Les muscles du voile du palais
paraissent
, examinés à l'œil nu, plus pâles que dans l'état
erveux qui sépanouissent dans cette membrane, ont été examinés et ont
paru
entièrement sains. 1. Il est possible que les f
les salles {Arch. génér. de Méd., t. I, 1853, p. 507). Ces résul-tats
paraîtront
, sans doute, peu favorables à la doctrine delà co
et, confinés dans un local étroit et mal aéré ; c'est du moins ce qui
paraît
établi par les belles recherches du docteur Piedv
laissant déposer un sédiment grisâtre qui, à l'examen micros-copique,
paraît
composé de cellules d'épilhélium rénal et de cail
raphîe mé-dicale, t. IIF, art. 3, § V). — Le professeur de la Charité
paraît
y avoir dit son dernier mot, relativement à sa ma
, rougeur de la face et des con-jonctives, agitation extrême. D. Il
paraît
aujourd'hui bien démontré que le sulfate de quini
e de traite-ment, il ne doit pas durer plus de huit ou dix jours ; il
paraît
convenir surtout aux cas de fièvre intense avec c
ve-ment fébrile, à la congestion cérébrale, etc. En tous cas, l'opium
paraît
devoir être préféré à d'autres médicaments, tels
e, employée d'abord par les professeurs Graves et Stokes (de Dublin),
paraît
avoir été en France deux ou trois fois cou-ronnée
s de l'épi-glotte et du larynx qui ont été trouvées par M. Louis nous
paraissent
être des complications purement accidentelles. »
fet, très rarement dans cette circonstance. Un seul auteur français
paraît
avoir accordé une impor-tance réelle à la laryngi
plus commun des fièvres continues, dans le climat que nous habitons,
paraît
être une combinaison du genre synocha et du genre
éjà, en 1837, cherché à établir que le typhus fever d'Amérique, — qui
paraît
être en tous points identique au typhus d'Irlande
e pareille distinction nosographique. C'est là un point sur lequel il
paraît
à peine nécessaire d'insister. Le typhus fever, p
celte dénomination est très impropre, car la fièvre de famine (1422)
paraît
mériter de constituer une maladie bien distincte.
La langue est recouverte d'un enduit d'une coloration très foncée, et
paraît
comme grillée. — Vers la fin de cette période, il
oires, principalement sur les parties les plus déclives du corps, qui
paraissent
, en outre, uniformément congestionnées. — En même
laisser de traces; pendant ce temps, de nouvelles taches continuent à
paraître
tous les jours ou tous les deux jours, jusqu'à la
ment plus ou moins prononcé. Les sujets âgés de plus de cinquante ans
paraissent
seuls faire exception à cette règle (Jenner). La
docteur Jenner, chez un huitième des sujets. La rigidité cadavérique
paraît
être ici plus hâtive et disparaît plus rapide-men
ctions sont ou ne sont pas le produit d'une même cause spécifique, ne
paraissent
avoir donné jusqu'à ce jour que des résultats peu
t, sous forme de maladie populaire, dans le nord de l'Amérique, où il
paraît
être fréquemment importé par les émigrants irland
est extrait du tome IV des Eléments de Pathologie médicale de Requin,
paru
en 1863. — Nous rappelons que dans les différents
médicale allemande des documents vraiment scientifiques, et qui nous
paraissent
de nature à dissiper les doutes concernant le vér
fièvre de sept jours), mild yellow fever (fièvre jaune bénigne). Elle
paraît
avoir été Dans un article communiqué au Berline
présent, sur l'épidémie de Saint-Pétersbourg; à ce titre, elle nous a
paru
digne d'être signalée à l'attention des lecteurs
pier annonce de Berlin, en date du 5 avril, qu'une maladie inconnue a
paru
dans la vallée de la Vistulc, et surtout à Elbing
jours au moins, dix au plus); puis, au mo-ment où tous les symptômes
paraissent
avoir atteint leur plus grande violence, ils s'am
ient un sentiment de bien-être. Le malade, faible encore et anémique,
paraît
cependant entrer en convalescence. Mais ce n'est
li-nique, depuis le début de l'épidémie. La fièvre à rechute était,
paraît
-il, inconnue à Saint-Péters-bourg, avant le dével
eur Botkin.) A. en juger par la description qui précède, l'identité
paraît
complète entre la maladie de Saint-Pétersbourg et
maladie. C'est ainsi que la léthalilé plus grande de l'épidémie russe
paraît
devoir être rapportée surtout à la prôdominence d
sixième ou septième jour de la maladie, alors que tous les symptômes
paraissent
avoir atteint leur plus grande violence, ils s'am
ation des glandes de Peyer ou des follicules isolés. Cette maladie ne
paraît
avoir été observée, jusqu'à ce jour, qu'en Anglet
ent de l'Aca-démie médico-chirurgicale de Saint-Pétersbourg. C'est,
paraît
-il, la réponse faite officiellement par le gouver
roscopique de la fièvre à rechute, parce que cette description nous a
paru
être de tous points conforme à celle qui a été pr
ouvernement de Novgorod, particulièrement sur la ligne ferrée où elle
paraît
être apportée de la capitale. Mais c'est surtou
ndaires que peut revê-tir la peste, quelque variées qu'elles puissent
paraître
. Nous distinguerons trois formes principales, sav
térieur une ardeur excessive, et cepen- dantla température du corps
paraît
à peu près naturelle, si ce n'est à la région pré
tuellement décou-vertes, sur les bras, les jambes, le cou ; la fièvre
paraît
seule- (53, E.) pendant laquelle, dans les cas
anatomique apparent. Par le fait môme de cette fièvre prodromique qui
paraît
ne faire défaut que dans des cas infiniment rares
ances au milieu desquelles il se développe, le charbon de la peste ne
paraît
posséder aucun caractère qui lui soit vraiment pr
ification profonde survenue dans la crase du sang. — On peut les voir
paraître
sur presque toutes les parties du corps, la face
s séreuses et en particulier les plèvres, le péricarde, le péri-toine
paraissent
couvertes d'ecchymoses d'une couleur plus ou moin
tout: communiquée à l'homme par voie de contagion, ou, ainsi que cela
paraît
avoir lieu quelquefois, développée chez lui primi
nombre où elle ne s'éteint peut-être jamais complètement, et où elle
paraît
trouver les éléments d'une re-production pour ain
aver presque toujours sans danger. Quant à la peste sporadique, il ne
paraît
pas qu'elle soit ja-mais contagieuse. — Il n'est
de huit jours; dans les foyers épidémiques, la durée de l'incubation
paraît
être, en général, beaucoup plus courte. — Enfin,
bien communiquer la maladie à un certain nombre d'individus; mais il
paraît
certain que cette peste importée ne pourra pas, e
rconstances relatives aux climats, aux diverses saisons de l'année ne
paraissent
pas avoir eu une influence décisive sur la marche
r les températures et sous les latitudes les plus diverses (1754). Il
paraît
en être autre-mentà l'égard des pays que l'on s'a
es populations, nous dévoilent un certain nombre de circonstances qui
paraissent
favorables au développement et à l'extension de l
re. La transmission contagieuse de la peste, restreinte, comme elle
paraît
l'être, dans des limites assez étroites (B, ê.) n
oduire sur les lieux qu'elle avait déjà rava-gés. Ainsi, en 546, elle
parut
en Allemagne; en 564, elle éclata de nouveau en L
mme les pré-cédentes, l'Afrique pour berceau1. Quoi qu'il en soit, il
paraît
certain qu'elle ravagea d'abord, dans le cours de
agna l'Angleterre, l'Ecosse, l'Irlande et les Flandres; en 1350, elle
parut
en Allemagne, en Hongrie, dans le Danemark et en
an 1363. Dans certains lieux, à Florence, par exemple, la peste noire
paraît
avoir été, dès le début de l'épidémie, caractéris
ar l'existence fréquente de la toux et des cra-chements de sang. Elle
paraît
d'ailleurs s'être développée dans les lieux mêmes
pour qu'il faille avoir recours aux émissions sanguines. Mais il nous
paraît
pe u utile d'entrer, à ce propos, dans de plus lo
inutiles (Aubert-Roche). Les bubons et les charbons pestilentiels ne
paraissent
pas réclamer d'autres soins que ceux qu'on dirige
s émissions sanguines. — Dans la forme congestive, l'action du poison
paraît
être, dès l'origine, portée à un tel degré, qu'el
symptôme qui puisse faire pressentir la gravité du mal. Ici, le pouls
paraît
naturel ou peu s'en faut, la langue est nette, la
-tres fois elle existe par places seulement, et la surface de section
paraît
alors comme marbrée ou semée de taches jaunes, go
ches jaunes, gomme-gutte, oranges ou rouges. Les tons les plus clairs
paraissent
correspondre aux degrés les plus avancés de l'al-
te sujets morts à la suite de la fièvre jaune qui a régné en 1838. Il
paraît
certain, toutefois, qu'elle peut faire défaut et
tenant quelles sont les conditions lopographiques à tous les lieux où
paraît
la fièvre jaune, on remarque que cette maladie ne
atières animales ou végétales s'opère sur une grande échelle. Elle ne
paraît
jamais dans un pays situé à plus de 2.000 mètres
sixième ou septième jour de la maladie, alors que tous les symptômes
paraissent
avoir atteint leur plus grande violence, ils s'am
ous rémittent fever, mild yellow fever (fièvre jaune bénigne). — Elle
paraît
avoir été remarquée pour la première fois à Dubli
ion des glandes de Peyer ou des follicules isolés. — Celte maladie ne
paraît
avoir été observée jusqu'à ce jour, qu'en Anglete
c. cit., p. 311), à la fièvre rémittente bilieuse des pays chauds qui
paraît
avoir régné en Grèce et sur les côtes d'Asie dans
i la fièvre jaune n'est point con-tagieuse, ce qui d'ailleurs ne nous
paraît
nullement démon-tré, il n'en est pas moins vrai q
d, âgé de 42 ans, (hôpital de la Pitié, salle Saint-Benjamin, n° 24),
paraît
d'une assez forte constitution et n'a éprouvé auc
a-ladie grave jusqu'à l'époque du début de la maladie actuelle. Il ne
paraît
pas, en particulier, que dans son enfance il ait
oins prononcés qu'à gauche. Enfin, depuis quelque temps, l'anesthésie
paraît
gagner vers la racine des deux membres, si bien q
ui correspondent aux divisions du nerf qu'on sup-pose comprimé, il me
paraît
bien évident que l'explication donnée par M. Brow
art., Affections cutanées. 12 les deux cas, l'éruplion cutanée nous
paraît
devoir être consi-dérée comme une expression des
uque, la région sus-claviculaire du côté droit. Ces douleurs, qui ont
paru
pour la première fois dans les premiers jours d'o
nues, mais présentent des exacerbations pendant les-quelles la malade
paraît
souffrir atrocement et pousse des cris. La pressi
st surtout prononcée à la région cervicale. Ici la colonne vertébrale
paraît
tuméfiée, molle, flexible, fortement incurvée du
senté aucun changement de coloration ou de consistance ; la moelle ne
paraissait
pas avoir subi la moindre compression. On s'est a
Baeruns-prung. Seulement, dans ce dernier cas, l'affection des nerfs
paraît
s'être développée spontanément, tandis que, dans
roduisirent, les faits dont je vais donner la relation. Le prisonnier
parut
avoir, pour la première fois, conscience du dange
traits, et, bien qu'il répondit aux questions qu'on lui adressait, il
paraissait
véritablement stupéfié par la peur. Or, sous nos
igner ici les principaux d'entre eux, non seulement parce qu'ils nous
paraissent
, en général, assez peu connus, mais encore et sur
ue. Les articulations des mains sont comme soudées ; les pha-langes
paraissent
raccourcies ; l'ongle a prodigieusement dis-paru,
des rayons éclai-rants? Non, ou du moins l'intensité de la lumière ne
paraît
jouer en ceci qu'un rôle secondaire. En effet, da
e. Restent les rayons dits chimiques; c'est cet ordre de rayons qui
paraît
être l'agent principal, essentiel des accidents.
ications. On n'aperçoit pas distinctement la substance médullaire qui
paraît
avoir pris les mêmes caractères que la substance
gements multiples, soit des éléments fusiformes allongés qui nous ont
paru
faire partie des éléments normaux du derme. Le pi
ulé : Ichthyose cornée congénitale chez un veau. Voici ce qu'il m'a
paru
renfermer de plus intéressant pour le sujet qui n
telle queNuman (d'Utrecht) l'a décrite et représentée. Les crevasses
paraissent
s'être faites au niveau de ces plis, à une époque
st en effet, dans quelques points, d'une épaisseur de 2 lignes, et il
paraît
composé de plusieurs couches stratifiées. Au fond
e dans sa texture. Les follicules et les bulbes pileux qu'il contient
paraissent
tout à fait normaux : mais la tige de la plu-part
nne était la plus épaisse et la plus opaque ; celles des plus petites
paraissaient
composées de deux feuillets. Le liquide contenu d
uisit sur son doigt jusqu'au point où les enveloppes de la tumeur lui
parurent
le plus minces et y pratiqua cinq ou six inci-sio
autres développés dans le tissu cellulaire sous-péritonéal du bassin,
paraît
difficile, sinon impossible, pendant la vie. Vo
'est développée dans le tissu cellulaire sous-périlonéal, le doute me
paraît
le partj le plus sage. L'observation de M. Cruv
le tissu CELLULAIRE SOUS-PÉRITONÉAL DU PETIT BASSIN. John Hunier
paraît
avoir attaché beaucoup d'importance à une observa
versé la paroi.de l'abdomen singulière-ment épaissie par ces tumeurs,
parurent
libres et exempts d'altéra-tion ; il n'y avait pa
rapporté la plupart des détails de cette autopsie, parce qu'il nous a
paru
intéressant de montrer comment ces kystes hydatiq
se à la pression. Elle est d'ailleurs séparée net-tement du foie, qui
paraît
entièrement sain. Quand on percute la tumeur, il
serait bien de nature à mettre sur la voie du diagnostic, puisqu'elle
paraît
être la règle, et la non-coïncidence de l'ex-cept
t ce fut par ces incisions qu'il fit pénétrer un doigt avec lequel il
paraît
avoir déchiré les parois du kyste: c'était explor
re par l'examen du côté gauche de la poitrine. Les poumons et le cœur
paraissent
complètement exempts de lésion. Aucun phénomène d
duits biliaires. Le canal cholédoque est extrêmement volumineux; il
paraît
distendu par une substance ayant la consistance d
on rencontre encore : 1° Une poche hydatique, de moyen volume, qui
paraît
avoir pris naissance dans l'épaisseur du lobe d
de certains organes, et en particulier dans celles du foie? Il peut
paraître
assez singulier, au premier abord, de ren-contrer
cules calcaires chez quelques-uns de ces cestoïdes. Ce fait cependant
paraîtra
moins inattendu, si l'on se rappelle que des cris
n soit, l'organe et le tissu dans lesquels se développe une hydatide,
paraissent
avoir une influence très réelle sur la génération
soit chez les animaux, dans la cavité des membranes séreuses, et qui
paraissent
s'y être dé-veloppées primitivement, n'ont jamais
ste ; elle sont à nu dans la membrane séreuse qui les renferme et qui
paraît
leur en tenir lieu. Les kystes pédicules, au cont
ance cérébrale, au pourtour de la cavité, n'est point ramol-lie; elle
paraîtrait
plutôt avoir augmenté de consistance et être comm
nt dans un état d'intégrité parfaite. Organes thoraciques.— Le cœur
paraît
être un peu augmenté de volume, principalement da
'une des colonnes charnues de la valvule mitrale, colonne charnue qui
paraît
avoir triplé de volume. La tumeur consiste dans u
on d'une lentille, l'autre plus petite, dont la paroi très amincie ne
paraît
guère être cons-tituée que par l'endocarde. A l
s vermicules. Parmi celles qui contenaient encore du liquide, l'une a
paru
renfermer quelques débris d'une membrane germinal
-ment des kystes séreux ou des cysticerques. Neuf cas seule-ment nous
paraissent
authentiques : dans la plupart de ces cas, comme
aussi des tubercules ramollis ou en voie de ramollisse-ment, mais ils
paraissent
en moins grand nombre. Le cœur est sain. Les
ratiquer; le foie et les reins ne sem-blaient pas malades ; l'estomac
paraissait
le siège d'une dou-leur fixe et continue qu'exasp
lade avait rejetée par le vomissement la veille de sa mort. Le foie
paraît
sain, d'un volume normal ; il est remarquable-men
les vomissements cessent alors complètement d'exister ; ils n'ont pas
paru
une seule fois pendant le dernier mois de la vie.
adhère intimement à la face inférieure du foie par des adhérences qui
paraissent
de très vieille date ; il en est de même de l'ori
aladies très diverses et dans lesquelles les viscères intesti-naux ne
paraissent
pas avoir été autrement intéressés. Pour nous, no
leurs assez peu profondément dans l'épaisseur du tissu splénique, qui
paraît
sain au voisinage. En écartant les bords de cette
bdomen était rempli, chez ce fœtus, prove-nait de la rate ; cela nous
paraît
peu contestable. Mais quelle a été la cause de la
. a donné l'histoire. Mais ici se présente une difficulté qui ne nous
paraît
pas pouvoir être résolue. La pre-mière chute a eu
émoigner de la puissance de la thérapeutique. C'est là une vérilé qui
paraît
avoir été reconnue de tout temps ; il ne faut pas
ey \ publiée en Angleterre, vers la fin du XVIIe siècle, que le terme
paraît
avoir reçu, pour la première fois, une acception
e que l'esprit est ainsi porté à admettre à priori, l'observa-tion ne
paraît
pas l'avoir démenti jusqu'à ce jour. La plupart d
est, en effet, alors le seul but de l'art. VIL Certaines maladies
paraissent
jusqu'à un certain point liées aux révolutions de
al. Les principaux buts que cette expérimentation peut se proposer me
paraissent
pouvoir se rattachera trois chefs principaux. 1
'expectation pure, il n'y a qu'un pas. C'est dans ce sens que Valleix
paraît
modifier son opinion, lorsqu'il examine dans les
point exagérer la gravité du pronostic de la pneumonie ; rien ne lui
paraît
démontrer pé-remptoirement que la pneumonie, aban
ans les salles par les boissons émollientes et les cataplasmes, et il
paraît
que sa mortalité fut très peu considérable ; on s
[en 1849 (Der Adcrlass in der Lnngenentzùndung. Wien, 1849), a fait
paraître
un travail basé sur des documents plus étendus da
publiées par les partisans de la médecine active. De ces faits, il
paraît
résulter que la pneumonie abandon-née à elle-même
airement à une terminai-son funeste : loin de là, sa marche naturelle
paraîtrait
la diri-ger, en général, vers la guérison. La mét
plus rapidement la pé-riode de fonte purulente, résultats qui ne nous
paraissent
rien moins que définitivement établis ; il convie
c-tive ; mais il y a en même temps des questions soulevées, et qui ne
paraissent
pas encore définitivement résolues. Nous l'avons
fréquemment à des doses fort élevées, et qu'il supportait ce-pendant,
paraît
-il, sans en éprouver d'inconvénients notables.
l'influence de l'emploi prolongé des pré-parations arsenicales, nous
paraît
établie suffisamment par tout ce qui précède, et
ans la série des symptômes de Yarseni-cisme chronique, l'anaphrodisie
paraît
devoir être comptée au nombre des plus tardifs :
es cautères sur la région dorso-lombaire et la faradisation elle-même
paraissent
avoir eu parfois ce résultat. On voit donc combie
commencement de restauration. C'est là une interprétation qui nous
paraît
très naturelle 1 ; mais, quand même elle serait c
gauche que dans le droit ; mais même du côté gauche, la contractilité
paraît
bien inférieure au degré nor-mal. Les membres sup
adie, il faut signaler encore une salivation très abondante qui avait
paru
presque dès le début, et une suspension de la men
e. La contractilité musculaire, examinée à l'aide de l'électricité,
paraît
un peu affaiblie. La faradisation des muscles est
s la voyons, pour la première fois, elle n'a plus quitté le lit. Elle
paraît
, d'ailleurs, pendant cette période de deux ans, n
nuit. — La sensation habituelle de froid dans les mem-bres inférieurs
paraît
avoir tout à fait disparu. — La station et la mar
elques pas dans la salle, soutenue par une aide. Ce petit exercice ne
paraît
pas produire de fatigue. — On a continué sans int
nouveau à l'hôpital où elle subit trois applications de cautères qui
paraissent
avoir produit une ag- gravation très notable. U
s ont en commun, et d'in-diquer les principaux enseignements qui nous
paraissent
découler de leur étude. Dans ces cinq cas, ains
un fauteuil. La sensibilité de contact, de température, de douleur,
paraît
presque intacte ; cependant elle est légèrement o
s ; la malade se plaignait d'un redouble-ment de ses douleurs, ce qui
parut
devoir être attribué à l'action des pilules. Le
marquée des symptômes dans des paralysies des membres inférieurs qui
paraissaient
liées à la myélite. On comprend, d'après ce qui
on de l'argent dans la thérapeutique: car les propriétés de cet agent
paraissent
avoir été inconnues aux médecins de l'antiquité,
oup à des résultats que l'expérience devait confirmer plus tard. On
paraît
cependant avoir attribué, dans le principe, aux s
occupé la première place au point de vue thérapeutique. Angelo Sala
paraît
avoir été l'un des premiers qui aient fait usage
es choses ne se passent pas ainsi. Chez cet animal, en effet, la mort
paraît
résulter, non d'une asphyxie par écume bronchique
mort a pu être attribuée dans le cas précédent. Cette expérience nous
paraît
démontrer que ce n'est pas uniquement par un effe
s pouvoir agir avec celles de derrière. En même temps, la sensibilité
paraît
fort émous-sée ; on peut lui marcher sur les patt
d'irritation intestinale. Enfin, l'usage prolongé de cette subs-tance
paraîtrait
amoindrir l'intensité de la vie végétative; il y
, se diviser en trois périodes distinctes. 1° Au début, les malades
paraissent
supporter à merveille l'ingestion du nitrate d'ar
trate d'argent, dont le minimum, d'après nos propres recherches, nous
paraît
devoir être fixé à deux gram-mes, le sujet présen
guet, alors interne à la Salpètrière, est d'une haute importance : il
paraît
marquer l'instant où les organes ulté-rieurs comm
tion de 160 grains (8 grammes) de ce médicament : mais ce fait ne lui
paraît
pas suffisamment authentique pour entrer en ligne
même préconisé les vésicatoires (Biett). Mais aucun de ces remèdes ne
paraît
jouir d'une véri-table efficacité. On a proposé
urtour des follicules sébacés et des glandes sudorifiques. Les dépôts
paraissaient
s'être formés autour des points les plus riches e
ffectés. Dans les cas de paraplégie hystérique, le nitrate d'argent
paraît
avoir été quelquefois utile ; mais nous ne posséd
rmi les maladies les plus rebelles à toute espèce de traitement. Il
paraît
, au premier abord, impossible d'admettre l'action
z les enfants (Rueff). Dans la dyspepsie flatulente et le pyrosis, on
paraît
quelquefois en avoir retiré de bons effets, d'apr
fièvre typhoïde, ni dans le cas où la diarrhée est peu abondante : il
paraît
offrir alors plus d'in-convénients que d'avantage
qu'ici beaucoup de prosélytes. Dans le choléra sporadique, ce moyen
paraît
avoir été em-ployé avec quelques succès ; il semb
nde intensité de tous les symptômes. Or, dans tous ces cas, il nous a
paru
que la durée totale de la maladie avait été très
ques particularités observées pendant la durée du traitement qui nous
paraissent
dignes d'être relevées. Au bout de douze, vingt
trois jours après la cessation du traitement. La sécrétion cutanée ne
paraît
subir dans sa quantité aucune mo-dification appré
huit ou dix jours, un précipité blanc, floconneux, léger, qui nous a
paru
composé presque exclusivement d'urate de soude am
s montré exempt des dangers ou même d'inconvénients sérieux, et qu'il
paraît
digne, à tous égards, d'être soumis au contrôle d
s ardues, de questions d'autant plus redou-tables qu'elles avaient pu
paraître
un moment résolues, et qu'après mûr examen, il a
ard Schultze dans un des travaux les plus justement estimés qui aient
paru
sur la matière 2. Cette planche (Fig. 2) représ
s qui le constituent. Au milieu d'une gangue conjonctive embryonnaire
paraissent
creusés des conduits, sans paroi propre bien dist
ue. Un résultat acquis par M. Kùtlner dans ses recherches et qui me
paraît
mieux démontré que le précédent, c'est que, chez
mplet et très régulier. Il n'y manque pas une cellule et celles-ci ne
paraissent
pas avoir augmenté no-tablement de volume. On ign
r M. Friedlander, 26 sont morts spontanément du 1er au 18° jour. Il
paraît
bien établi, ainsi que Traube l'avait avancé, que
faitement caractérisée, sa charpente de fibres élastiques. Ces parois
paraissent
tapissées par un revêtement continu de cellules q
altération me semble être beaucoup plus fréquente que les auteurs ne
paraissent
l'admettre; j'ai eu, 1 Thaon. — Recherches anat
laissant écouler à peine une petite quantité d'un liquide clair. Elle
paraît
habituellement, quand on l'examine avec attention
remarquable dans l'histoire de la bron-cho-pneumonie chronique, vous
paraîtra
sans doute encore plus digne d'intérêt lorsque je
stoire anatomique des boncho-pneumonies chroniques. Mais le fait vous
paraîtra
, sans doute, plus digne Fig. SO. — Schéma d'une
ans, dans mon exposé et sur les pré-parations du cours pratique. Elle
paraît
être, dans l'histologie du petit rein rouge, un c
e attention et la cirrhose broncho-pneumonique. Le rapprochement vous
paraîtra
peut-êLre plus saisissant si je vous remets en mé
e leur côté, dans l'épaisseur du mésoblaste. Le mode de développement
paraît
être le suivant: de la partie anté-rieure de chaq
faits qui permettront d'éta-blir le parallèle que j'ai en vue, il me
paraît
indispensable de rappeler quelques traits de la s
ations bien profondes, les parois des grosses artères en particu-lier
paraissent
saines. Quant aux glomérules de Malpighi, il es
sons de multiplier et de varier cette expérience que le cochon d'Inde
paraît
très bien supporter. L'anatomie comparée permet
e qui forme l'épithé-lium dont il provient. C'est sur ce modèle que
paraissent
se former certains can-cers, —- tous les cancers
iguë. Telle est aussi la pneumonie chronique inter-lobulaire qui me
paraît
devoir être rattachée à l'inflammation des lympha
de la clinique et de l'anatomie pathologique. Une autre remarque me
paraît
encore nécessaire. Quelques auteurs frappés des c
llissement, a succédé l'induration; on a noté aussi, dans les cas qui
paraissent
correspondre à des phases un peu plus avancées de
ant çà et là les granulations sont effacées^ et la surface de section
paraît
lisse et plane. La substance exsudée est plus abo
longuement. Nous ferons remarquer seulement que l'induration jaune ne
paraît
pas exiger, pour se constituer, plus de temps qu'
nt, qu'une très petite quantité de liquide séreux. — Un caractère qui
paraît
avoir frappé tous les auteurs, et qu'ils ont pour
ie du tissu lamineux qui sépare les grands et les petits lobules. Ils
paraissent
être surtout marqués dans les cas d'induration pl
ssant après eux des amas pigmentaires. Alors le parenchyme pulmonaire
paraît
presque complètement composé de tissu conjonctif
s altérations pulmonaires dans la pneumo-nie chronique simple ne nous
paraissent
pas pouvoir être résolues quant à présent d'une m
cas de gangrène du poumon observés par cet auteur, il y en a neuf qui
paraissent
avoir succédé à une pneumonie chronique avec indu
ueillie par nous, il y a plusieurs années, à l'hôpital de La Charité,
paraît
établir que la gangrène pulmo-naire peut se dével
al pendant un mois. La maladie en question a été désignée, à ce qu'il
paraît
, sous le nom de bronchite. Le malade est sorti in
que le soir. Le 25, les crachats sont redevenus très abondants, ils
paraissent
muco-pu-rulents, verts, arrondis et présentent à
l'ouverture de la poi-trine, les parties antérieures des deux poumons
paraissent
forte-ment distendues par l'air et d'une colorati
environ moitié moins volumineux qu'à l'état normal, il est pesant et
paraît
à l'extérieur d'un brun rouge foncé. Une coupe es
lumineux, au milieu de ce tissu condensé, dans l'épaisseur duquel ils
paraissent
comme sculptés. Les premiers ne sont nullement di
cules, soit dans les poumons, soit dans les autres organes. Il nous
paraît
infiniment probable, d'après l'ensemble des faits
sein même des parties in-durées. 6. Avenbrugger et Gorvisart1 nous
paraissent
avoir décrit sous le nom de squirrhe du poumon, c
ent anfractueuses, irrégu-lières, dénuées de fausses membranes; elles
paraissaient
for-mées par le tissu pulmonaire lui-même, on y v
matière mélanique. On voit les bronches aboutir à ces cavités qui me
paraissent
évi-demment formées par la suppuration et le ramo
une fonte gangreneuse (obs. I). Enfin, dans d'autres cas, la gangrène
paraît
être pri-mitive et précéder l'ulcération. Les rel
lle débute avec des commencements obscurs, insi-dieux. Le premier cas
paraît
être le plus fréquent ; telle est du moins l'opin
e, ou encore l'expectoration soudaine d'une grande quantité de pus *,
paraissent
seuls pou-voir la révéler. Il n'en serait pas de
res circonstances, la durée de la maladie est beaucoup plus longue et
paraît
pou-voir dépasser une année (obs. I). Les malades
les poumons (obs. III). — Cependant, la pneumonie chronique ulcéreuse
paraît
être plus rapidement fatale que les autres formes
uffle bronchique mêlé de râle sous-crépi tant. Le murmure vésiculaire
paraît
affaibli au niveau de la partie postérieure du lo
partie postérieure du lobe inférieur; on le perçoit cepen-dant et il
paraît
mélangé de râles muqueux fins. Réaction fébrile d
t disposées. Il ne s'en écoule qu'un peu de liquide jau-nâtre, lequel
paraît
venir surtout des bronches. Celles-ci ne sont nul
notique. Les derniers cloisonne-ments, visibles seulement à la loupe,
paraissent
marqués non plus par des tractus fibreux seulemen
respiratoire, normal ou anormal, s'observe quelquefois, ce phénomène
paraît
en général dépendre de l'obstruction des tuyaux b
monies chroniques. Celte opinion à été souvent reproduite, mais il ne
paraît
pas qu'elle ait été justifiée par des observation
ue, déterminé pardes maladies antérieures ou même en pleine activité,
paraît
avoir aussi une certaine influence. Ainsi, suivan
ou hépatiques, avec ou sans hydropisie et dégénération rénale. Bright
paraît
avoir rencontré quelquefois la pneumonie chro-niq
eu-monie chronique. Dans ces deux cas, les symptômes thoraci-ques ont
paru
être influencés favorablement par le traitement s
à présent, cette maladie a été observée surtout chez l'adulte ; elle
paraît
être très rare dans l'enfance (Barthez et Rilliet
lesse qu'à toute autre époque delà vie; cela est possible, mais il ne
paraît
pas encore démontré qu'il en soit réellement ains
les corroborants pourraient trouver leur application. — Si la maladie
paraissait
liée à la syphilis, un traitement spécifique sera
M. Lagneau, et auquel nous avons déjà fait allusion, ce traitement a
paru
avoir une influence réelle. — Nous avons parlé dé
rhale. Bans l'autre cas, les premiers accidents thoraciques avaient
paru
quatre ans avant la mort. Il s'agit d'un enfant d
ronique décrite par Corrigan, sous le nom de cirrhose du poumon, nous
paraisse
un peu hypothétique, nous en avons tracé les prin
ement dilatées. Tels sont les caractères cl is fi actifs qu'il nous a
paru
important de faire ressortir. Dans des cas sans
ion VIe du travail de M. Earth offre un exemple de ce genre : il nous
paraît
probable que dans ces cas, le travail phlegmasiqu
et l'augmentation de consistance des tissus qui existe en pareil cas,
paraît
reconnaître principalement pour causé l'accumulat
Beale et Bennet(d'£din-burgh)2, les lésions du parenchyme pulmonaire
paraissent
être le résultat d'un travail d'exsudation et ell
que les pneumonies se multiplient. Du reste, la rareté de ces faits
paraîtrait
sans doute moins grande, si l'observation de la v
mphangite pulmonaire. Or, dans tous ces cas, le tissu de la plèvre ne
paraît
pas sérieusement affecté: faut-il admettre qu'il
t et communiquées à M. Charcot, par M. Tapret, in-terne des hôpitaux,
paraissent
aussi appartenir à ce genre de pneumonie chroniqu
et les alvéoles péribronchiques avec leur contenu !. 1 Ce travail a
paru
dans la Revue mensuelle de médecine et de chirurg
formes sui-vantes : 1° Pneumonokonioses anthracosiques. — La lésion
paraît
ici surtout produite par l'introduction de partic
a lame, la surface ou la pointe de divers instruments métalliques. Il
paraît
que la profession n'est devenue insalubre que dep
oniques. Dans bon nombre de cas, il faut bien le dire, l'état général
paraît
lié à d'autres conditions encore plus ou moins dé
antes ne reconnais-sent pas ce mode de formation ; mais cette origine
paraît
être fréquente, surtout dans le tubercule, et l'a
tde 40° le soir. Une angine diphléritique survenue vers le 12e jour
paraît
avoir déterminé la terminaison fatale. L'autopsie
part confluents. Dans l'intervalle de ces nodules, le tissu du poumon
paraît
aéré par places, sain ou seulement congestionné,
il y a lieu d'y distinguer deux régions: 1° Région centrale; celle-ci
paraît
constituée par une substance homogène, translucid
broncho-pneumonie vulgaire. Ainsi, sur certains points, les alvéoles
paraissent
comblés par des cellules épi-théliales pulmonaire
la dégénération caséeuse des produits d'exsuda-» tion pneumonique me
paraît
tout à fait compromise ; je » pense, en d'autres
oit, dit M. Charcot, en terminant cette » série de leçons, rien ne me
paraît
mieux établi que l'exis-» tence de la tuberculose
nte, d'un aspect lout-à-fait spécial. Ces formations, il est vrai, ne
paraissent
pas appartenir en propre au tubercule : du moins,
culisation miliaire aiguë, simu-lant le typhus, et dans lequel on vit
paraître
sur le tronc et sur les membres de nombreuses pét
titre de maladie primitive et indépendante, sont peu communs, et ils
paraissent
devenir chaque jour de plus en plus rares, à mesu
e, par exemple, mais surtout du foie, ces organes dont les fonc-tions
paraissent
avoir sur la constitution du sang une influence s
istaient en un tissu solide, difficile à écraser, cassant, élastique,
parurent
à l'examen microscopique constituées par une mati
hent cependant, par plus d'un trait, de celle qui nous occupe. Il m'a
paru
que, dans les cas où les douleurs se sont montrée
lli, dans ces derniers temps, un certain nombre d'observations qui me
paraissent
propres à établir que, dans ces mêmes circonstanc
iellement de celles qui ont été antérieurement publiées ; elle nous a
paru
surtout intéressante en ce qu'elle fait bien conn
ou. Malgré l'altération qu'a évidemment subie la nutrition, le malade
paraît
encore fort et assez vigoureux. H répond nettemen
ux. H répond nettement à toutes les questions qu'on lui pose, mais il
paraît
d'une irritabilité excessive. Il parle sans cesse
rouver au malade qu'un senti-ment de gêne, dont nous avons parlé, qui
paraît
dû à son poids, et qui est surtout remarquable pe
s 19, 20 et 21, le malade mange d'un bon appétit; pendant le jour, il
paraît
calme, et ne donne aucun signe d'aliénation men-t
à Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 21 demi coagulé, qui ne
paraît
pas beaucoup comprimer le cerveau. Le cerveau est
, ou plutôt rouge brique, très singulière, il est fluide, trouble; il
paraît
mélangé de petits corpuscules blan-châtres, presq
du siège et de l'étendue des lésions. Ces lésions et ces symptômes ne
paraissent
pas devoir constituer une maladie primitive et ay
ent, elles s'agglomèrent au nombre de 2 ou 3, ou même plus encore, et
paraissent
alors enveloppées d'une substance hyaline, transp
me et de l'absence habituelle d'un noyau distinct, ces corpuscules ne
paraissent
avoir avec les cellules proprement dites que des
parenchymes, par exemple, ou dans les intervalles des cellu-les, que
paraissent
siéger surtout les corpuscules pigmen-taires qui
ndes lym-phatiques, les membranes muqueuses, le poumon ; mais elle ne
paraît
pas y exister jamais à un degré très marqué. 1
et d'autres encore dont l'exposition nous entraînerait trop loin, ont
paru
suffisants pour faire admettre que les cor-puscul
te des maladies les plus diverses, et dans lesquelles la mélanémie ne
paraît
avoir joué aucun rôle ; mais les faits de ce genr
ravages1. L'action directe du poison morbide sur les centres nerveux
paraît
suffire à elle seule pour produire les désordres
1 Torti. — Therapeutice apecialis, p. 128. Venise, 1743. celles qui
paraissent
dépendre d'une sorte d'apoplexie séreuse et sur l
que. Les troubles cérébraux dépendraient-ils, ici, ainsi que l'auteur
paraît
disposé à l'admettre, d'une atrophie delà substan
même qu'elle date de loin et quelle est très pro-noncée, n'engendre,
paraît
-il, que bien rarement des modifica-tionsunpeuprof
s pigmentaires du cerveau et des reins sont à peu près les seules qui
paraissent
pouvoir se révéler par des symptômes particuliers
ent dans la rate et dans les vaisseaux lymphatiques reste, à ce qu'il
paraît
, toujours latente. — L'ob-struction des vaisseaux
ronzée de la maladie oV Addison: celle-ci serait-elle, comme celle-là
paraît
l'être, sous la dépendance d'une altération pigme
u explicite des auteurs: la coloration anormale, en cas de mélanémie,
paraît
être uni-formément répandue sur toute l'étendue d
signalés. Aucun détail ne doit être négligé: telle particularité qui
paraît
aujourd'hui de mince valeur deviendra peuL-être p
s tout à fait blancs et décolorés. — Les reins, assez volumi-neux, ne
paraissent
pas altérés. — Les ganglions lymphatiques, exa-mi
re heures après la mort, le cadavre est encore chaud : la température
paraît
élevée, surtout au moment où. la main est introdu
pparents, et en les contractant un peu. Les granulations des noyaux
paraissent
devenir aussi plus accentuées. b) Globules blan
res ou très légèrement colorés par le reflet des globules rouges; ils
paraissent
, au premier coup d'œil, être constitués par des t
celles des globules blancs. Ces cristaux, quoique assez résistants,
paraissent
avoir cepen-dant une certaine fragilité. Il arriv
nt, à cause de la matière granuleuse qui remplit les cellules, et qui
paraît
aussi très abondante dans la cavité des tubuli. O
oser les résultats pré-sente deux particularités principales qui nous
paraissent
avoir un certain intérêt : l'une est relative à l
forme ces cristaux est, eneffet, en dissolution dans le sang, et elle
paraît
demander un temps assez long pour passer à l'état
de bruit de fluctuation thoracique; pectoriloquie. Le poumon gau-che
paraît
sain dans toute son étendue. Volume normal du cœu
Rien à noter du côté des intestins ; pas-dedévoiement. Les deux reins
paraissent
d'égal volume, mais tous deux semblent avoir subi
rouve pas de fièvre le soir; il n'a pas de sueurs-tiocturnes. Sa peau
paraît
, quand on la touche, au-dessous de la température
ur ou de consistance. Le ventricule droit qui, avant d'être ouvert,
paraissait
un peu distendu, est rempli par une concrétion po
res. Aucune des tumeurs appendues aux parois ventriculaires ne nous à
paru
pleine, mais dans quelques cas, la matière conten
on remarque qu'elle est com-posée : 1° d'une substance amorphe qui ne
paraît
être autre chose que de la fibrine désagrégée; 2°
concrétions avec matière puriforme de notre deuxième catégorie qu'il
paraît
avoir rencontrées le plus souvent. Il ne donne pa
egré en général très avancé (excavalion). Le cas rapporté par Laënnec
paraît
seul faire exception, car ici les tubercules étai
oncrétions cardiaques dites suppurées. Mais cette dis-tinction pourra
paraître
assez importante peut-être, si l'on considère que
la Soc. de Biol., avril 1851, p. 46), les petites veines des méninges
paraissent
comme remplies de pus; elles ne contenaient cepen
au moins par l'aspect, à du pus phlegmoneux. Cette deuxième variété
paraît
correspondre à un degré plus avancé de la maladie
tracture et qui fré-quemment la précèdent ou lui succèdent. — Il nous
paraît
pro-bable que la lésion organique du cœur n'a pas
uquel nous avions cru devoir nous arrêter. Ces lésions multiples nous
paraissaient
pouvoir expliquer tous les symptômes observés pen
que n'a pas été fait. La rate est normale. L'estomac et les intestins
paraissent
sains dans doute leur étendue; leur mem-brane muq
ormal. Il n'a pas contracté d'adhérences avec le péricarde. Sa pointe
paraît
arrondie, obtuse et présente une coloration d'un
e aucune particularité dans sa forme extérieure. Les ca-vités gauches
paraissent
seulement un peu globuleuses et comme distendues.
s globules graisseux y prédominent. Les parois du ventricule gauche
paraissent
légèrement épaissies fig. 44 et 45. — Eléments
et l'endocarde, elles ont à peine 3 millimètres d'épaisseur. Là elles
paraissent
uniquement constituées en dedans par l'endocarde
ions que dans les points où il est en contact avec le kyste auquel il
paraît
uni dans certains points par des lamelles cellule
numérale, mais, à mesure qu'il s'éloignait du centre circulatoire, il
paraissait
moins organisé et de formation plus récente. Dans
s aisément, mais la déglutition se fait avec lenteur. L'intelli-gence
paraît
très nette, il n'y a pas de surdité. Elle nous fa
r son séant, comme pour mieux respirer. L'œil est hagard et la malade
paraît
en proie à une vive anxiété. La peau n'est pas ch
s les jambes. Le pouls est toujours insensible. La matité précordiale
paraît
plus étendue encore que les jours précédents. Les
avec les caillots et l'origine des artères. L'augmentation de volume
paraît
appartenir exclusivement au ventricule gauche;
ue par une incision parallèle au sillon intervenlriculaire, la cavité
paraît
alors très vaste, et comme globuleuse; la plus gr
seur (1 cent. J/2) ne présente plus du tout l'aspect musculaire; elle
paraît
constituée par un tissu fibrineux, résis-tant, na
centimètre. La face interne est recouverte de plaques calcaires; elle
paraît
, du moins en certains points, re-couverte d'une m
Ces végétations examinées au micros-cope par M. Lebert et M. Davaine,
paraissent
essentiellement composées de fibrine à l'état amo
t aussi larges qu'une pièce de un franc. De ces ulcérations, les unes
paraissaient
en pleine activité et étaient entourées d'une aur
ie, 1861, p. 205. — En collaboration avec M. Vclpian. s Cette forme
paraît
correspondre à Yendocardite gangreneuse de M. Bou
tutifs de l'endocarde, cellules plasmatiques et tissu in-termédiaire,
paraissent
d'abord, dans une étendue variable, infiltrées d'
enfin en un détritus de consistance pultacée qui, sous le microscope,
paraît
opaque, finement grenu, résiste à peu près absolu
le peut en expliquer le développement et à laquelle conséquem-ment il
paraît
se rattacher à titre d'affection secondaire. Le
céreuse typhoïde, il nous reste à faire remarquer que cette affection
paraît
se développer surtout chez des sujets débilités,
enant chez des individus cachectiques 2; que quelquefois, enfin, elle
paraît
s'être établie d'emblée, sans avoir été précédée
litz. Le 6. Même état à peu près que la veille. Le bruit de souffle
paraît
bien plus faible que la veille. On n'a pas conser
ade ne se rappelle pas s'il a uriné, s'il a été a la garde-robe et il
paraît
cependant qu'il a uriné et qu'hier il a eu une se
arde-robes, malgré l'eau de Sedlitz qui n'a pas été vomie; la rate ne
paraît
pas avoir un volume consi-dérable ; on avait déjà
sée de petits mamelons gris blanchâtre, assez faciles à dé-tacher qui
paraissent
constitués surtout par des dépôts de fibrine, et
tion, la cé-phalalgie, le météorisme abdominal sont des symptômes qui
paraissent
prédominants; ils semblent indiquer une fièvre ty
avers du canal congenial de communication interventriculaire. Mais il
paraît
certain que la perforation d'une des valves de la
oumons. C'est du moins là le mode de production de ces abcès qui nous
paraît
le plus probable. Malgré l'incontestable analogie
aillots, dans les veines situées loin du centre circulatoire, il nous
paraît
bien difficile de l'in-voquer, du moins à titre d
lungen zur Wissenchaft. Mcdicin, p. 219. Frankfurt, 1856. 2 II nous
paraît
inutile de rappeler ici que c'est à M. le docteur
térante. Une étude complète et régulière de ce genre d'accidents nous
paraît
être encore à peu près im-possible dans l'état ac
l'organe ont 9 centimètres d'épaisseur environ. Le tissu de l'organe
paraît
d'ailleurs tout à fait sain. La membrane muqueuse
du ligament large, être prise, tout à coup, à un moment où la maladie
paraissait
en voie de guérison, sans l'interven-tion d'une c
i avait été affectée d'un œdème douloureux fort grave ; les symptômes
paraissaient
s'amender depuis quelques jours, lorsque, en voul
, réaction fébrile intense. Au bout de trois jours, la maladie locale
paraît
rétrograder, mais le pouls reste très fré-quent.
servés du 12 au 25 juillet ; du 15 juillet au 3 août, la malade avait
paru
marcher vers la conva-lescence. Le 3 août a lieu
caillots fibrineux, sans altération primitive des parois artérielles,
paraît
devoir être observée, à la suite des affections l
re rheumatique. Il se plaignait de douleurs dans la cuisse droite qui
paraissaient
avoir leur siège dans les parties molles. Pouls u
caillot veineux. L'affection primitive, dans les cas qui précèdent,
paraît
avoir été la phlébite ; dans l'observation suivan
— Garçon de vingt-quatre ans. Fièvre typhoïde assez grave. Le malade
paraît
convalescent depuis quelques jours. Il a bien dor
par des con-crétions fîbrineuses est indiquée comme un fait isolé, on
paraît
avoir négligé d'explorer attentivement les divers
mp-son sur la mort subite dans l'état puerpéraldeux observa-tions qui
paraissent
contraires à la proposition dont il s'agit ; mais
fut facile el naturel. Tout alla bien jus-qu'au 30; elle marchait et
paraissait
en bonne sanlé : ce jour-là, en s'habillant, elle
peu volumineux. Il y a des calculs dans la vésicule biliaire. Le cœur
paraît
sain ; cepen-dant le tissu musculaire de ses paro
naire des fibres-cellules: mais elles sont si peu dévelop-pées, qu'il
paraît
douteux qu'elles possèdent un certain degré de co
illaires, renferment des éléments contractiles plus développés. 11 ne
paraît
pas que des recherches spéciales aient été faites
r un caillot sanguin ; il faut remar-quer toutefois que ces symptômes
paraissent
être, jusqu'à un eertain point, communs aux cas o
n-naissance commençaient à se manifester. L'état de la malade ne leur
parut
pas moins des plus alarmants et tout à fait déses
sance n'a guère dépassé douze à quinze minutes, bien que ce temps ait
paru
beaucoup plus long aux assistants. Dans l'hypothè
i dans « le bassin, aucun indice sensible d'une phlébite obturante, »
paraîtront
sans doute peu favorables à cette hypothèse. N'es
—Dans les cas bien avérés de celte maladie, les conditions suivantes
paraissent
avoir présidé à son développe-ment : 1° l'impress
quent de rencontrer à l'intérieur de l'aorte. Traitement. — 11 nous
paraît
inutile d'insister ici sur les moyens thérapeutiq
s sont si sou-vent liés aux affections valvulaires du cœur qu'il nous
paraît
bien difficile de reconnaître par l'auscultation
singulière propriété des tumeurs ané-vrismales ; la nutrition des os
paraît
être, en pareil cas, profondément altérée: ce n'e
odification dans la nature etles symptômes de la maladie. Mais ce qui
paraît
plus extraordinaire, c'est que l'ou-verture peut
qui intéressent les muqueuses {trachée, bronches, œsophage, intestin)
paraissent
assez souvent résul-ter d'une gangrène partielle,
le. Bien que plusieurs des distinctions admises par Walshe puissent
paraître
un peu subtiles, nous avons tenu aies re-produire
ent fondées sur des observations personnelles à l'auteur et il nous a
paru
utile de montrer, par cet exemple, combien de nua
ouvements, les im-pressions morales, le travail digestif, etc. Elle
paraît
atteindre son maximum d'intensilé lorsque la tume
thèse, des cas emprun-tés à Yalsalva et Santorini. Mais celte opinion
paraît
peu fon-dée. W. Turner a deux fois observé l'obli
connues. L'âge, le sexe, les professions, les climatsr les habitudes
paraissent
exercer une influence incontestable à cet égard.
dépôts alhéromateux ou calcaires. Cette dernière lésion, en effet,
paraît
être la cause la plus générale et la plus efficac
euvent seuls le caractériser avec certitude, est un problème qui nous
paraît
insoluble, malgré tous les efforts qu'on a tentés
isme de la crosse aortique. Il en est de même de la dysphagie, ce qui
paraît
étrange au premier abord ; mais il faut tenir com
on athéromateuse plutôt que d'un véritable anévrisme de l'aorte. 11
paraît
cependant démontré que des guérisons ont été opér
re dans les cas d'anévrisme de l'aorte. Si ce mode de traitement ne
paraît
donner aucun résultat dé-finitif, il semble obvie
e l'emploi de la médecine Leroy, chez un de leurs malades. Ces moyens
paraissent
rentrer dans la théorie géné-rale du système débi
ment, qui n'ex-cluent pas au besoin la saignée, à titre de palliatif,
paraissent
avoir quelquefois réalisé des succès bien constat
olongé la vie du malade pendant treize jours. Quoique cette opération
paraisse
, au premier abord, assez conlraire à la logique,
onnées, que Nicholls appliquait au développement des anévrismes faux,
paraissaient
suffisantes pour expliquer la formation (d'ailleu
ans la veine cave supérieure. Ceux qui pénètrent dans les oreillettes
paraissent
occuper de préférence la crosse de l'aorte. L'o
ptée par Peacock, et par la majorité des auteurs allemands. Elle nous
paraît
aussi la plus satisfaisante de toutes. Figure 5
n anévrysme disséquant. Dans tous les autres cas, la cause de la mort
paraissait
étrangère à ce vice de conformation. On doit do
ations suivantes, qui ne sont pas mentionnées par Forstcr, ou qui ont
paru
depuis la publication île son ouvrage.— 53. Walsh
cules granuleux et des gouttelettes huileuses en grande abondance. Il
paraît
donc démontré, d'après ces faits, que la bouillie
plus d'un titre, qui fait l'objet de la présente communication, nous
paraît
pouvoir être rap-prochée des cas de claudication
audication permet de cons-tater les phénomènes suivants ; ces membres
paraissent
être le siège principal de la douleur, autant du
u-dessous de la partie oblitérée par la voie des collatérales, telles
paraissent
être, en résumé, les seules conditions nécessaire
uis en 1830, en Afrique, où il reçut une balle qui pénétra à ce qu'il
paraît
, dans le flanc droit, et ne put être extraite. De
ésentent à peu près les rapports de 1 état nor-mal, mais leur calibre
paraît
très manifestement rétréci, si on les compare, so
. — Les muscles de la cuisse et de la jambe droites ne nous ont point
paru
présenter d'altérations no-tables. En résumé, u
audication intermittente. Mais déjà, à l'époque où ces phénomènes ont
paru
pour la première fois, c'est-à-dire huit mois ava
question ailleurs. Quoiqu'il en soit, tout af-faiblis qu'ils puissent
paraître
, les traits essentiels et caractéristi-ques de l'
sie intermittente. Mais celte interprétation, déjà si vrai-semblable,
paraîtra
tout-à-fait légitime, si l'on remarque que toute
essous de la partie oblitérée, par la voie des collatérales. Telles
paraissent
être les seules conditions nécessaires à la. prod
ur toutes les parties du corps, à l'excep-tion de celle où elle avait
paru
déjà pendant la vie. Mais j'en reviens à la cla
. Rien à noter dans le péri-carde. Les poumons, palpés et percutés,
paraissent
tout à fait sains ; seulement ils sont emphysémat
e attentivement, au niveau des tâches jaunâtres, la substance du rein
paraît
conservée, en ce sens qu'on y observe à la loupe
r. Or, au microscope, les dépôts plastiques du rein et de la rate ont
paru
composés d'une matière amorphe conte-nant une fou
n cancéreuse de ces deux organes. Elle était sourde; son intelligence
paraissait
altérée, elle ne pouvait, en un mot, donner aucun
pen-dant une de ces syncopes qu'elle mourut. A Y autopsie, le foie
paraît
, à la coupe, semé d'une vingtaine de points noirâ
e sombre, est mar-bré de grandes taches verdâtres, dont quelques-unes
paraissent
contenir à leur centre du pus rassemblé en foyer.
s en différant, sous beaucoup d'autres (pyoïdes). Ces deux cas nous
paraissent
appartenir à un même groupe pathologique. La mult
s organes n'y fait reconnaître aucune lésion importante. Le cœur seul
paraît
volumineux; on y entend un double bruit de souffl
reuses. Les deux artères fémorales, examinées dans l'espace inguinal,
paraissent
1 Extrait des Mém. de la Soc. de Biol., 1855, p
uand on pince la peau de ce membre, la douleur accu-sée par la malade
paraît
très vive, plus vive même que par le passé. Insom
consistants et adhérant assez intimement aux parois de l'artère, qui
paraît
fortement distendue. En certains points, l'adhére
dhé-rents, on aperçoit, par transparence, des plaques blanchâtres qui
paraissent
sous-jacentes, mais pas de véritables plaques cal
ute probabilité, n'étaient autres que des globules blancs du sang. Il
paraît
que ces globules résistent beaucoup plus longtemp
es sont loin d'avoir la valeur que le docteur Bochdalek leur prête. U
paraît
, en effet, bien démontré aujourd'hui, et les expé
véoles du poumon pour constituer l'infarctus hémorragique. Dittrich
paraît
surtout guidé, dans son étude de l'apoplexie pulm
ur des branches de deuxième, troisième et quatrième ordre. Mais il ne
paraît
pas l'avoir directement observée sur des vaisseau
rtain nombre. Cetle induration spéciale du parenchyme pulmonaire, qui
paraît
dépendre à la fois d'un travail d'exsudation et d
ment pro-pre aux affections organiques du cœur, de longue durée. Elle
paraît
exister constamment dans les cas où l'on rencontr
reconnaître les particularités suivantes : les cellules épithéliales
paraissent
très volumineuses ; elles renferment habituelleme
s élastiques ont conservé leur structure normale; les vaisseaux seuls
paraissent
quelquefois distendus par le sang. A ces caractèr
tivement à la pathogénie del'infarctuà hémoptoïque du poumon; mais il
paraît
être du moins le fruil d'études consciencieuses,
la dilatation. Cette altération scléreuse des artères de l'encéphale
paraît
être indépendante de l'athérome artériel ; elle p
, mais même de la majorité de ces hémorrliagies. Gull(l) ; ils nous
paraissent
avoir la plus grande analogie avec des dilatation
re qu'il a observé, mais il n'y voyait qu'un fait exceptionnel qui ne
paraît
pas avoir fixé son attention sur les conséquences
mplication d'une périartérite, périartérite diffuse dont l'étude nous
paraît
devoir précéder celle des anévrysmes miliaires eu
ux, plus nettement ovoïdes, qu'on observe quelquefois avec eux et qui
paraissent
appartenir àl'épithélium de la gaîne. Les premier
ans les capillaires vrais (capillaires du premier ordre de M. Robin),
paraît
être beaucoup moins intense que celle de l'advent
ow, ectasie qui a de si grandes analogies avec nos anévrysmes qu'elle
paraît
n'en différer que par le siège et par le rôle pal
a source de l'hémorrhagie sont tous défectueux. Le procédé qui nous a
paru
fournir les meilleurs résultats est le suivant. A
sme. On aperçoit par transparence le sang dont les éléments normaux
paraissent
mélangés à des amas granuleux. Si l'on presse sur
de la base sont athéromateuses. Le cœur un peu surchargé de graisse,
paraît
à peu près sain. L'aorte présente quelques plaque
très petits; ils ne pèsent ensemble que 125 grammes, mais leur tissu
paraît
normal. Obs. XIV. Salpêtrière, Saint Luc, 5. —
me. Les reins pèsent ensemble 205 grammes et leur substance corticale
paraît
un peu atrophiée. Obs. XXIV. Salpêtrière, Saint
supérieur gauche. Le lendemain seulement, le membre inférieur gauche
paraît
un peu paralysé. La malade meurt le 18 septembre
oix, dans l'hémisphère gauche du cervelet : son origine hémorrhagique
paraît
évidente. On découvre des anévrysmes miliaires ra
ils pèsent ensemble 140 grammes, mais ils ne sont pas granuleux et ne
paraissent
pas atteints cle néphrite interstitielle. Obs.
upture d'anévrysmes des troncs artériels de la base du cerveau, et il
paraît
l'avoir mis sur la voie d'une généralisation appl
pas été recherchés, nous avions trouvé autrefois (2) que les artères
paraissaient
saines 18 fois pour 100. La proportion des cas ou
rhagie cérébrale, une seule, en raison de sa présence constante, nous
paraît
mériter d'être considérée comme la cause véritabl
tissu feutré, sec, de couleur brune; au dessous le panicule graisseux
paraissait
partout imbibé de sang noir. Plus profondément, d
liquide abondant qui baignait de toutes parts les fibres musculaires,
paraissait
sous le microscope assez fortement coloré en roug
dice précurseur d'une mort très prochaine (1). L'ecchymose fessière
paraît
quelquefois deux jours, l'eschare quatre ou cinq
gnalerai comme un fait remarquable que l'eschare fessière unilatérale
paraît
propre à l'hémiplégie récente. Les eschares qui s
, p. 538-559.) 3. Loc. eil. dans les cas de convulsions Ioniques,
paraît
donc concorder avec la théorie. Que se passc-t-
horée alcoolique. De retour chez elle, cette femme, nous assure-t-on,
paraissait
jouir d'une bonne santé, lorsque, le 5 septembre
avec perte de connaissance et tomba lourdement dans son escalier. Il
paraît
que, quelque temps auparavant, dans la journée mê
iller un peu et à lui faire proférer quelques plaintes ; mais elle ne
paraît
pas comprendre ce qu'on lui dit, regarde en face
u n'est pas complètement abolie, car, lorsqu'on pince la malade, elle
paraît
éprouver de la douleur ; seulement, son attention
e ; la somnolence, toutefois, semble un peu moins profonde. La malade
paraît
entendre les questions qu'on lui adresse, et elle
en haut. Il n'y a pas d'écume à la bouche ; la perte de connaissance
paraît
être absolue ; la face devient légèrement violacé
Du 10 au 15 septembre, les accès ne se sont pas reproduits. La malade
paraît
se réveiller un peu ; cependant, elle ne peut pro
Le 15 septembre, sans qu'il y ait eu de nouveaux accidents, la malade
paraît
plus affaissée que les jours précédents. Pour la
ayant été enlevée, la surface extérieure de la dure-mère, mise à nu,
paraît
d'une teinte violet-foncé, surtout du côté droit,
es caillots qui y adhèrent faiblement ont été détachés par le lavage,
paraît
recouverte, dans tous les points qui corresponden
es unes des autres sans grand effort. La plus externe de ces lamelles
paraît
simplement accolée à la dure-mère ; on ne peut ce
étacher sans tirailler, puis déchirer de nombreux et fins tractus qui
paraissent
constitués par des ramifications vas-cufaires trè
ure-mère elle-même, soit à droite, soit à gauche de la grande faux,
paraît
dans l'état normal; seulement, elle semble plus v
, est prise, le S septembre, d'une nouvelle attaque, après avoir été,
paraît
-il, maltraitée assez gravement. Cette nouvelle at
l'hôpital ; à la suite de cette attaque, quia été très courte, il ne
paraît
être resté aucun phénomène de paralysie, du moins
l'hémorrhagie des derniers jours. Ainsi, voilà deux faits qui nous
paraissent
entièrement certains : l'un, c'est que l'hémorrha
ranes et de l'épanchement observés dans le cas actuel, que les choses
paraissent
se passer comme nous l'avons admis dans la majori
2° que l'hémorrhagie méningée, d'après un grand nombre de recherches,
paraît
devoir être considérée, le plus souvent, comme un
ui nous est propre, des cristaux d'hématoïdinc ; mais ce dernier fait
paraît
assez rare. Si ces cristaux proviennent incontest
l de même, dans tous les cas, des granulations colorées? Cela ne nous
paraît
pas démontré. De pareilles granulations, en effet
minent, concernant le mode de développement des néo-membranes ne nous
paraît
plus guère pouvoir être soutenue, au moins d'une
lumières de l'histologie pathologique. Le travail de M. Brunet nous
paraît
surtout remarquable à ces deux derniers points de
ant il contient, sur quelques faits de détails, des opinions qui nous
paraissent
discutables. Ainsi, pour M. Brunet, le sang, dans
; car, dans ces cas-là, le sang épanché au sein de la cavité séreuse
paraît
provenir de la rupture de vaisseaux nombreux et à
e prévoir. Les cas cle ce genre d'ailleurs relativement peu nombreux,
paraissent
être indépendants de la pachyméningite et ne rent
ici l'hémorrhagie. la relation entre les symptômes et les lésions ne
paraîtra
pas, ce nous semble, très difficile à établir : l
ce travail, l'histoire des hémorrliagies intra-arach-noïdiennes nous
paraît
conduire à certaines déductions thé-rapeuthiques
, elle peut être séparée très Facilement de la dure-mère, et celle-ci
paraît
tout à Fait saine; elle ne semble même pas conges
uosités, se sépare assez facilement de la substance cérébrale, qui ne
paraît
point ramollie ù sa surface. Sur ['hémisphère d
ines avant son entrée à l'hôpital, après sa dernière attaque, il a vu
paraître
une diminution de la sensibilité dans le côté dro
ible; le travail dure trois jours. L'enfant est mort, et même sa mort
paraît
dater de plusieurs jours avant l'accouchement. Qu
tainement été l'affection du pariétal. Sous quelle influence a-t-elle
paru
? L'absence de toute manifestation syphilitique a
du foyer de ramollissement par des parties de substance nerveuse qui
parurent
être à l'état sain. La pièce anatomique a été mis
a question à débattre, elle provoque M. le docteur Auburtin à laisser
paraître
quelque peu d'inexpérience en matière d'histologi
sés chez les individus atteints de ramollissement ancien, ce symptôme
paraît
devoir être rattaché à une lésion consécutive de
bose artérielle par inopexie. XII. Sur quelques arthropathies qui
paraissent
dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle
outefois, souffre, comme sa mère, de migraines. La matadie actuelle
paraît
avoir débuté vers l'âge de 48 ans. Avant cette ép
et s'accompagnaient habituellement de vomissements. Ils ont cessé de
paraître
vers l'âge de 48 ans. Jamais d'habitation humide
ons. Les douleurs fulgurantes, cependant, n'avaient jamais cessé de
paraître
à des intervalles assez courts ; vers le commence
articulaire. La peau était blanche, luisante ; la seule rougeur qui y
parut
était celle que déterminait l'application prolong
Un traitement mercuriel fut institué. Depuis cette époque, M. B... ne
paraît
pas avoir éprouvé d'accidents qu'on puisse rappor
. B... éprouvait des accès de douleurs fulgurantes, lesquels étaient,
paraît
-il, à peu près toujours suivis d'un peu de fièvre
ouleur en ceinture; parfois seulement un peu de rachialgie. La vision
paraît
n'avoir jamais été troublée; il n'existe pas de d
caractères que nous lui avons reconnus jusqu'à présent. Toutefois, il
paraît
s'y être adjoint quelques phénomènes qui s'écarte
à peine accusée. L'absence de fièvre, de rougeur et de douleur (1)
paraît
être un caractère à peu près constant ; et si dan
es des maladies spinales. L'arthropathie des ataxiques, au contraire,
paraît
être toujours postérieure en date à l'altération
8. pathie des ataxiques, le rapprochement pourra, au premier abord,
paraître
singulier ; mais il ne faut pas oublier que les t
u corps, une perturbation plus ou moins profonde des actes nutritifs,
paraissent
cependant se rapprocher foules par un caractère c
st encore à peine accusée. Mais c'est surtout le tégument externe qui
paraît
être le siège le plus habituel des accidents sur
aux et des nerfs périphériques dont quelques auteurs ont parlé, il ne
paraît
pas qu'elle ait jamais été régulièrement constaté
intensité exceptionnelle. Les douleurs, qui étaient vraiment atroces,
parurent
fixées pendant plusieurs jours sur le trajet des
e, car il lui manque encore l'appui de preuves décisives. Elle nous a
paru
cependant mériter d'être soumise, au contrôle d'o
ours. Ces douleurs sont surtoutintenses au membre supérieur, où elles
paraissent
occuper principalement les articulations. L'é-pau
rigidité proprement dite, pas de contracture. La douleur articulaire
paraît
être d'ailleurs à peu près continue, et elle exis
ent presque continues, occupent les parties intermédiaires du membre,
paraissent
suivre principalement le trajet des gros troncs n
e, il lui était devenu tout à fait impossible do parler, bien qu'elle
parût
avoir conservé la connaissance. On constate le ma
euse ; respiration précipitée, irrégulière. La température de la peau
paraît
très-élevée : une sueur visqueuse couvre tout le
dre, dans l'articulation du genou droit. Les cartilages diarthrodiaux
paraissent
avoir conservé le poli, la consistance et la colo
njection vasculaire. (PL IV, figure 7, A. B.) Les muscles du bras ont
paru
présenter des deux côtés les caractères normaux.
de ses membres; de plus, elle était de date récente à l'époque où ont
paru
les douleurs articulaires, puisqu'elle ne remonta
aminées comparativement offrent le contraste le plus frappant ; elles
paraissent
relativement très pâles et présentent d'ailleurs
exécuter à ce membre des mouvements passifs, la malade, bien qu'elle
paraisse
plongée dans un sommeil profond, donne des signes
roles inintelligibles. Ce sont surtout les mouvements de l'épaule qui
paraissent
douloureux. Ceux du coude et du poignet provoquen
e de l'hémisphère. Les circonvolutions sont élargies et de plus elles
paraissent
aplaties les unes contre les autres comme tassées
meur, qui a le volume et à peu près la forme d'un gros œuf de pigeon,
paraît
assez nettement délimitée. Elle est d'une consist
'examen hisiologique donne les résultats suivants : partout la tumeur
paraît
composée de cellules fusiformes, dites flbro-plas
ndantes dans les parties centrales et même, en certains points, elles
paraissent
s'être complètement substituées aux éléments cell
rations de cette dernière substance, colorées à l'aide du carmin, ont
paru
présenter des noyaux de la névroglie en plus gran
s diarthrodiaux présentent une coloration grise toute particulière et
paraissent
comme imbibés de matière colorante du sang. Ces d
l'état général était devenu des plus graves lorsque ces douleurs ont
paru
. Déjà une plaque ecchymolique, puis bientôt une e
vives dans les membres paralysés; de plus, elle a perdu l'appétit et
paraît
avoir la fièvre. En raison cle ces circonstances,
ations métacarpo-phalangiennes du pouce, de l'index et de l'annulaire
paraissent
surtout douloureuses. Au niveau de ces deux derni
l'articulation du genou sont douloureux. Cette jointure d'ailleurs ne
paraît
pas tuméfiée. Les autres articulations du même me
contour arrondi, comme dans l'état normal. Les noyaux clu sarcolemme
paraissent
dans les intervalles des faisceaux plus nombreux
ève aisément avec le dos du scapel et qui, portée sous le microscope,
paraît
en grande partie composée de minces filaments fib
suivants: En premier lieu, les douleurs articulaires ont commencé à
paraître
, dans ce cas encore, à l'époque môme où se déclar
tés intellectuelles; selles involontaires. Le membre supérieur gauche
paraît
un peu plus faible que le droit; la malade peut c
che à sa tête. Les articulations du bras et de l'avant-bras gauche ne
paraissent
pas être le siège de douleurs. Le 16 février 1867
vagues et embarras notable dans la prononciation. La face et les yeux
paraissent
constamment dirigés vers le côté droit; rigidité
oqués dans les diverses articulations du membre supérieur paralysé ne
paraissent
occasionner que de légères douleurs. Cependant, l
gue sèche, pouls 108, peau chaude; soif. T. R. 38°, 4. — La malade ne
paraît
pas souffrir lorsqu'on meut les diverses jointure
aucoup plus rares (Pl. IV, fîg. h et o). Les deux nerfs médians ont
paru
présenter le même volume et la même coloration.
ets frappés d'hémiplégie, en conséquence d'une lésion cérébrale, nous
paraît
suffisamment établie, et nous pouvons essayer act
. Ilï). Les cartilages diarthrodiaux, les parties ligamenteuses n'ont
paru
présenter jusqu'ici aucune lésion concomitante, d
ment du cerveau qu'à l'hémorrbagïe infra-encéphalique, cette arthrite
paraît
se développer de préférence à une époque assez bi
Leçons sur les maladies des vieillards, etc. Paris, 1890, p. 186), me
paraissent
relever surtout de l'influence de l'immobilité lo
à les classer suivant leur effi cacilé relative. Ces tentatives ne
paraissent
pas, d'ailleurs, avoir eu de retentissement dans
proposée. Je me bornerai à indiquer quelques-uns des arguments qui me
paraissent
pouvoir lui être opposés. Je relèverai d'abord
is de l'embonpoint. Ses attaques n'ont pas disparu complètement, mais
paraissent
avoir diminué de nombre et d'intensité. Mais le p
la plupart, par divers observateurs, mais dont l'étroite connexité ne
paraît
pas avoir été jusqu'ici suffisamment relevée? M.
s, les malades entrent en catalepsie; les yeux restent ouverts, elles
paraissent
absorbées, elles n'ont plus conscience de ce qui
., sur foule la moitié droite du corps, je puis faire des piqûres qui
paraissent
monstrueuses aux gens non initiés à cette étude,
ur le disque de Newton que nous projetons sur cet écran. Le reste lui
paraît
gris ou blanc. Plaçons sur sa tempe droite un ban
Rivista sperimentale di Freniatria. Reggio, 1881). 3. A l'époque où
parurent
les premiers travaux de la Salpêtrière, le seul t
ux d'une appréciation beaucoup plus délicate, qui, pour le moment, ne
paraissent
se rattacher par aucun lien saisissable aux faits
t se montrer doués de leurs attributs les plus caractéristiques. Il a
paru
plus philosophique des'arrêter tout d'abord aux t
r l'élévation des paupières. — Le sujet cataleptisé est immobile ; il
paraît
comme fasciné. Les yeux sont ouverts, le regard f
mêmes les plus difficiles à maintenir, qu'on leur a communiquées. Ils
paraissent
d'une grande légèreté lorsqu'on les soulève ou le
nt sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet état
paraît
correspondre plus particulièrement à ce qu'on a a
t en généra] agitées de frémissements; abandonné à lui-même, le sujet
paraît
endormi, mais même alors, la résolution des membr
la Salpêtrière en 1878 (1). Grâce à elles, un certain nombre défaits
paraissent
aujourd'hui bien établis, entre autres : l'influe
rences cliniques, à l'hospice de la Salpôtrière, dont le compte rendu
parut
à cette époque dans plusieurs journaux : Progrès
le service de l'un de nous (Gharcot) à la Salpôtrière, a depuis fait
paraître
plusieurs travaux sur ce sujet : Revue scientifiq
grande partie à l'étude de l'hypnotisme et dont quelques extraits ont
paru
dans le Progrès médical, n"° 14 et 15, 1881, et d
agne et en France, au sujet de l'étude de l'hypnotisme. A l'époque où
parurent
les premiers travaux de la Salpôtrière, le seul t
ant les sujets, mais qui, malgré ces variétés individuelles, nous ont
paru
un des caractères les plus constants du sommeil a
ssez étendu de la jambe et à oscillations multiples. Ces oscillations
paraissent
produites par des contractions alternatives des m
ussitôt les modifications suivantes. En outre que le réflexe rotulien
paraît
plus intense, qu'il s'obtient à l'aide d'une exci
en opposition avec la loi de la symétrie. D'un autre côté, voici qui
paraît
conforme à la loi de l'irradiation : nous avons
propre du pouce. Ce dernier muscle, en raison de sa masse musculaire,
paraît
même devoir l'emporter. En résumé, l'excitation
ître. Nous ajouterons qu'au sujet des points d'élection dont le siège
paraît
indiqué d'avance par la topographie nerveuse de l
nt d'élection marqué pour l'excitation électrique, le résultat obtenu
paraît
, de prime abord, en opposition avec les données d
rs de la phalange sur le métacarpien. Cette anomalie apparente nous
paraît
s'expliquer assez facilement par la présence, sur
tères du phénomène dans son plus haut degré de développement, il nous
paraît
utile d'insister un peu sur les variations qu'il
ulsion des globes oculaires. On y arrive cependant, mais le regard ne
paraît
pas bien fixe et au bout de peu d'instants les pa
sses des bras, analogues à celles du début de son attaque. La crise
paraît
imminente. Nous nous empressons alors de la révei
nts. La physionomie est impassible et expressive à la fois, la malade
paraît
absorbée. Ce visage est très vraisemblablement ce
e ; 3° Les membres gardent les positions qu'on leur communique. Ils
paraissent
d'une grande légèreté, lorsqu'on les soulève ou q
ro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui
paraît
tenir des deux à la fois, et qui compte au nombre
les. 11 ressort des faits que nous avons pu étudier que cet état, qui
paraît
tenir à la fois et de la léthargie et de la catal
tate un degré de strabisme plus ou moins accusé, ou bien si le regard
paraît
direct, il est sans fixité et les paupières ont u
ble caractère d'hyperexcitabilité et d'état cataleptiforme. Il nous
paraît
facile de saisir de quelle manière l'état catalep
au phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Le membre qui
paraît
cataleptique n'est, en somme, qu'un membre contra
les cas de mouvements volontaires de certains groupes de muscles, me
paraît
avoir son point de départ dans la moelle. Il est
que de la fibre musculaire en continuité avec la fibre tendineuse, ne
paraît
pas devoir prévaloir contre celle de M. Erb et de
ptique, soit même alors qu'il est en état de contracture. Ce qui nous
paraît
indiquer que ces divers troubles de la fonction m
la respiration est légèrement stertoreuse, le sommeil chlorofor-mique
paraît
profond. — L'excitation mécanique, aussi bien à l
logique — du phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire nous a
paru
mériter une étude à part. — Les deux autres phase
iré l'attention sur des phénomènes de contracture hypnotique qui nous
paraissent
devoir rentrer dans la catégorie des contractures
lente, et le début n'en est marqué par aucun phénomène convulsif. Tel
paraît
être le but cherché par les magnétiseurs, dont la
iques motrices pendant l'état de léthargie hypnotique. Ce fait nous
paraît
d'autant plus intéressant qu'il vient s'ajouter a
: soit 720 fois en tout. C'est là, dans l'espèce, un chiffre qui peut
paraître
considérable. En me fondant sur ces résultats, co
es, les secousses provoquées par l'excitation galvanique du crâne ont
paru
propres à l'état hypnotique. Pour ce qui est de
s obtenus dans celte série de recherches, tout contradictoires qu'ils
paraissent
, offrent cependant, je crois, quelque intérêt. Il
des communiquées complètement en rapport avec un sentiment donné nous
paraît
être relativement restreint. Aussi nous avons e
oduit. Le sourcil se contracte énergiquement, par exemple, et la face
paraît
courroucée, mais le reste du corps par son immobi
, par la manœuvre de M. Erlenmeyer, puisse être raccourci (ce qui lui
paraît
douteux), les résultats de l'expérience citée plu
de détails et nous renvoyons le lecteur à la note que nous avons fait
paraître
à ce sujet. Il nous suffit pour le moment d'attir
imentales les résultats sont différents et l'expérience suivante nous
paraît
particulièrement intéressante. Si pendant que n
vons laissé durer les contractures artificielles ; cela je le répète,
paraît
paradoxal et contraire à toute physiologie. Nous
lle. 11 n'existe pas chez lui de stigmates hystériques. Comme lecas
paraît
léger, nous espérons que, sous l'influence de l'i
la suite d'hypnotisations mal faites, inopportunes. Ces accidents me
paraissent
être surtout fréquents, chose remarquable, non pa
une machine de ce genre qui va fonctionner devant vous ; elle nous a
paru
s'adapter au plus grand nombre de cas ressortissa
un amendement plus ou moins du rable et quelquefois définitif. Ceci
paraît
conforme, vous le voyez, au principe de la métall
sieurs, que l'électricité statique, en dehors de l'hystérie, nous a
paru
apte à rendre de grands services dans une foule d
acture existait déjà, elle l'a fait disparaître. Une autre action qui
paraît
propre à l'électricité statique se voit dans la p
é pour la faradisation et la galvanisation, la plupart des alcaloïdes
paraissent
avoir une fâcheuse influence, lorsqu'ils sont adm
possibles ; la catalepsie est, dans cette forme, la période qui nous
paraît
manquer le plus souvent. — Dans d'autres cas, les
les hypnotiques qui présentent des propriétés somatiques; ces sujets
paraissent
ètreparfois aussiimpressionnables àlasuggestion q
-il, ils ne sont que l'œuvre de la suggestion: pour ce motif, ils lui
paraissent
sans importance et ne méritent pas d'arrêter long
enés à un état d'hypnotisa-tion plus parfait. Mais ces sujets ne nous
paraissent
pas assez sûrs pour servir à des expériences rela
liquer. La thèse de M. Bernheim a eu beaucoup de succès ; cela nous
paraît
facile à comprendre. Elle a, par-dessus tout, le
un soin et une sévérité tout particuliers. M. Bernheim, en effet, ne
paraît
guère prendre comme critérium de l'hystérie que l
e une observation qu'il a publiée en 1881 (3). Cette observation nous
paraît
capitale. 1. Rummo. — Riforma medica, 1888, n *
alpêtrière reposent, au contraire, sur des preuves positives qui nous
paraissent
absolument inattaquables. J'arrive maintenant à
rmes de l'hypnotisme sont sous la dépendance de l'hystérie,dont elles
paraissent
être une émanation. En ce qui concerne les form
........................... 156 XIV. Sur quelques arthropathies qui
paraissent
dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moell
vaisseau avait été intéressé, mais les vaisseaux principaux examinés
parurent
sains : le sang viendrait-il des os fracturés? Ce
nd trochanter. Comment se rendre compte de l'hémorrhagie à laquelle
paraît
avoir succombé notre malade? En examinant la disp
3° il y a déplacement suivant la circonférence, et ce déplacement m'a
paru
, au moins dans un certain nombre de cas, le résul
ant les sexes. L'angle d'inclinaison du col sur le corps du fémur m'a
paru
presque identiquement le même chez la femme et ch
à Fautre fragment, tissu qui naît des cellules de l'os divisé, et qui
paraît
un développement de la membrane qui les tapisse.
'un ramollissement du cerveau : l'état d'hébétude et de somnolence me
parut
purement symptomatique. La malade ne pouvait être
fibreuse. Indépendamment de ce déplacement d'avant en arrière, qui me
paraît
expliquer la déviation en dedans, il y avait un d
tère fémorale sensibles à l'aine : l'existence de ces flexuosités m'a
paru
constante, et résulte du raccourcissement de la c
ne sais si je m'abuse , mais la fracture du col du fémur m'a toujours
paru
plus facile à reconnaître à l'aide des signes fou
iliaque antérieure et inférieure est sensiblement augmenté, ce qui me
paraît
tenir à ce que l'ancienne cavité cotyloïde s'étan
tié supérieure de la capsule fibreuse est de nouvelle formation et me
paraît
en partie constituée par les fibres du petit fess
oit récentes, soit anciennes, et dont je n'avais lu aucun exemple, me
parut
favorable à l'hypothèse d'une fracture du col du
à travers la peau, au niveau du grand tro chanter des inégalités qui
paraissaient
appartenir à une fracture. A l'ouverture, on trou
ueux. Ces pièces qui ont été présentées à la société anatomique ont
paru
à quelques membres établir l'existence d'une luxa
plète en bas l'ancienne capsule, qui, bien loin d'être atrophiée, m'a
paru
plus épaisse encore que dans l'état naturel, ce q
soumise, lui donne cette disposition fasciculée cireulairement qui me
paraît
exister constamment dans les luxations du fémur e
ne fût que comprimée et non altérée dans son organisation, la mort me
paraît
avoir eu lieu par asphyxie, par la diminution d'a
re, je trouvai, pour la première fois, la malade inondée de sueur; il
paraît
que ce phénomène existait depuis plusieurs jours,
n appartenant à un autre sujet, affecté de la même maladie et qui m'a
paru
présenter à son maximum les altérations qui sont
re du corps, ces concrétions d'urate et de phosphate de chaux, qui me
paraissent
le caractère pathognomonique de la goutte. Les
uelques-uns étaient à l'état de vestige. La rigidité articulaire me
paraît
devoir être étudiée ex professe- à côté de l'anky
pas nécessaire d'une force égale à celle de quatre chevaux, ainsi que
paraît
l'être celle du levier employé par ce médecin, po
isposition. Réflexions.—L'altération dont la description précède me
paraît
appartenir à la classe des dégénérations cancéreu
aient dans la tumeur de la fosse iliaque interne. Réflexions. Il me
paraît
résulter du fait précédent et de faits analogues
u étaient anévrysmatiques, se présenta incontinent à mon esprit et me
parut
le type du cas soumis à mon examen. Plusieurs de
l'état ci-des3us. Sur la fin de juin, une nouvelle tumeur pulsatile
parut
à l'épaule gauche, précédée et accompagnée de dou
soit qu'elles fussent implantées sur les os aux dépens desquels elles
paraissaient
formées, soit qu'elles fussent étrangères au syst
plus ou moins profondément cariée, ces tumeurs sanguines, dis-je, me
paraissent
devoir être rapportées à cette catégorie. 33^Li
osé dans les cabinets de la Faculté par M. le docteur Ménière. Il m'a
paru
curieux de rapprocher deux anomalies aussi parfai
e avec le cinquième métatarsien et avec un petit os rudinientaire qui
paraît
le vestige du quatrième métatarsien. Enfin M. M
nis, que présente l'ankylose congèniale. Uankylose congèniale ne me
paraît
pas encore avoir été étudiée d'une manière généra
unies. Le développement des arcs latéraux des vertèbres lombaires m'a
paru
moins avancé que de coutume, et les pariétaux pré
, il était relevé et cachait une ouverture infun-dibuliforme, qui m'a
paru
être l'orifice anal. Un stylet, introduit dans ce
ne petite saillie, qui a pour support un os. Cette petite saillie m'a
paru
sans importance. Les figures 4, 5 et 6, grandeu
ces membres supérieurs une direction perpendiculaire au tronc. Il me
paraît
donc positif que, si cet enfant eût vécu, il aura
ssait à deux canaux divergens, qui occupaient la base du crâne et qui
paraissaient
être un vestige des narines. • Quant à la dispo
e cloison complète entre la cavité crânienne et la cavité spinale. Il
paraît
constant que toute la partie cervico-dorsale de l
n'a présenté, dans le cours de sa grossesse , aucun phénomène qui ait
paru
digne d'être noté. Le fœtus est de petites dimens
: seulement à leur place, petit tubercule, en forme d'ergot, qui m'a
paru
être le vestige du clitoris. Les deux pieds se re
té supérieure au gros intestin , à l'aide de filamens fibreux, et m'a
paru
un vestige d'utérus ou mieux de demi-utérus gauch
, en forme d'ergot CR,seul vestige des parties génitales externes, me
paraît
un clitoris rudimentaire , auquel aboutissent les
partie de ces muscles qui est située au dessous de l'anus, et qui me
paraît
correspondre à celle qui s'insère aux ligamens sa
illée et des faits représentés planches 5 et 6, xxxiil6 livraison, me
paraît
devoir compléter l'histoire anatomique de la syré
. Ce fait vient à l'appui de la théorie que j'ai adoptée, et qui me
paraît
devoir prévaloir plus tôt ou plus tard dans l'exp
était fendillée, comme rôtie et souillée de sang ; et comme la malade
paraissait
être aussi bien que de coutume, la veille de l'in
glande sous-maxillaire était parfaitement saine, bien que la parotide
parût
empiéter sur elle. La veine jugulaire externe éta
nt. Les veines contenues dans l'épaisseur de la parotide ne m'ont pas
paru
enflammées. L'estomac et les intestins étaient da
arche de la maladie une influence salutaire, et en symptomatiques, me
paraît
en opposition avec les faits. Pour ce qui me rega
l propre à lever l'étranglement dans une maladie où l'étranglement me
paraît
jouer un rôle des plus im-portans. Dans tous les
ence une masse très considérable, spongieuse, pénétrée de pus, qui me
paraît
constituer la plus grande partie de la parotide.
u un seul exemple de parotide suppurée sans gangrène ; la gangrène me
paraît
le résultat de la structure extrêmement serrée de
les intrinsèques de la moitié droite du larynx, et cette atrophie m'a
paru
si complète et si remarquable, que j'ai cru devoi
ur résoudre cette question quant au cas actuel. Toujours est-il qu'il
paraît
démontré qu'il existe des rétrécissemens de l'œso
ntaire qui n'était pas rejeté par cette régurgitation non interrompue
paraissait
pénétrer, quelque temps après leur ingestion, à t
us particulièrement encore au duodénum , dont la première portion m'a
paru
prédisposée aux ulcérations chroniques. Dans le
e sorte dans la cavité péritonéale, prolongemens dont l'accroissement
paraissait
la conséquence d'un travail nutritif exagéré fixé
partenaient évidemment à une lésion identique. Ces taches noires me
paraissent
n'être autre chose que des cicatrices d'ulcératio
nt complètement étrangères à la formation de ce polype. Ces polypes
paraissaient
d'ailleurs formés par un épaissi ssementj une hyp
le duodénum. Ce cas a été recueilli dans le service de M. Husson ; il
paraît
que les accidens de rétention des matières dans l
omie pathologique que je considère ici cette altération ; mais il m'a
paru
intéressant de présenter parallèlement des lésion
gies de Vestomac. Les hémorrhagies de l'estomac (gastrorrhagies) me
paraissent
un point de médecine pratique, encore fort imparf
nombre de praticiens , tout le temps que le vomissement noir n'a pas
paru
, il y a doute sur le caractère cancéreux de la ma
eux, considérablement développés. Vus à la loupe, ces cryptes muqueux
paraissent
troués à leur centre. Quelques-uns sont entourés
s étaient creusées d'une cavité centrale, remplies d'un mucus qui m'a
paru
de même nature que le mucus tapissant les intesti
ation en kystes des follicules du tube digestif. Ge mode d'altération
paraît
n'avoir point encore été observé dans ces organes
culeux. « Depuis l'époque à laquelle cet article a été rédigé, il a
paru
dans le Journal des connaissances médico-chirurgi
t du développement des follicules de l'estomac et des intestins ne me
paraît
pas démontrer une relation de cause à effet entre
la malade me dit de suite qu'elle avait un cancer de l'estomac : elle
parut
peu satisfaite lorsque, dans l'espérance d'agir s
de cire qui se seraient aplaties : les tubercules et les taches m'ont
paru
développés au-dessous du péritoine. Le grand ép
et d'une autre part, à la présence d'une ascite. L'état de la malade
paraît
d'ailleurs désespéré. Douleurs abdominales, fièvr
on avec l'enfant. « Le fœtus n'est point renfermé dans un kyste; il
paraît
au premier coup-d'œil libre d'enveloppes (fig. i
du nez; l'oreille gauche est parfaitement dessinée, et son cartilage
paraît
ossifié; l'oreille droite est à peine visible. La
é, et qui vont s'insérer d'autre part au colon ascendant; elles m'ont
paru
organisées, car j'ai pu y constater la présence d
ec la graisse humaine. « Je dois faire observer cependant qu'il m'a
paru
renfermeren outre une petite quantité de cette ma
, ses ligamens, ses trompes T et ses deux ovaires O. — La vessie V ne
paraît
contenir aucun liquide. 70 Les membres supérieu
longs que ceux d'un enfant à terme, sont plus épais, leur consistance
paraît
plus grande; les épiphyses, quoique n'étant pas r
tonéale consécutive , il doit nécessairement y avoir un kyste, lequel
paraît
être constitué par le péritoine lui-même, doublé
euse. Les fibres circulaires de la tunique musculeuse du rectum m'ont
paru
également atrophiées dans toute la portion invagi
l, qui est très certainement consécutive au déplacement du rectum, me
paraît
devoir être une cause de la persistance de ce dép
sentait le point de réflexion du péritoine, point de réflexion qui me
paraît
fondamental dans ce cas, j'ai fait le sacrifice d
d'intégrité. Réflexions. — Les abcès du foie, dont la formation me
paraissait
si difficile à expliquer au moment où j'ai observ
eaux et tout prêt à recevoir les circonvolutions intestinales. Il m'a
paru
que, chez un certain nombre de sujets, le resserr
toute la ligne blanche, l'ombilic se maintient et résiste, « alors il
paraît
deux hernies, l'une au-dessus et; l'autre au-dess
urante à l'Hôtel-Dieu. Elle offrait à l'ombilic une tumeur énorme qui
paraissait
formée aux dépens de la plus grande partie des vi
Dupuytren n'ose pas tenter d'opération, tant l'état de la malade lui
paraît
désespéré. Elle mourut la nuit suivante. Avant
s hernies ombilicales multiloculaires et sur la correspondance qui me
parut
exister entre la tumeur droite et la tumeur gauch
oup plus difficile et toujours incomplète. La hernie inguinale gauche
paraissait
exclusivement formée par l'intestin grêle. La f
ie ombilicale ou plutôt une éventration congéniale dont l'histoire me
paraît
offrir le plus grand intérêt. L'enfant qui en e
. Il n'y a que la portion la plus ex-« térieure de ses enveloppes qui
paraît
avoir été frappée de gangrène. a Le 5, le pouls
t dans l'épaisseur même des parois de la poche. Cette disposition m'a
paru
constante dans toutes les éventrations congéniale
stérieure de la membrane, sans pouvoir en être séparé. Du reste, il
paraît
qu'un travail de séparation entre la poche et la
oisin, de Limoges, m'a remis un fœtus, dont l'éventration congénitale
paraissait
reconnaître cette cause; car cette éventration, q
creusée en quelque sorte dans l'épaisseur du cordon « ombilical ne me
paraît
pas démontrée d'une manière positive ; qu'il est
nt à la membrane muqueuse. Les mamelons que présentent ces tumeurs me
paraissent
formés aux dépens des papilles ou villosités : le
se sont concentrées dans un point fixe au-dessous de l'ombilic et ne
paraissaient
qu'au moment de la digestion. Elles étaient d'aut
a les deux extrémités de l'intestin parfaitement cicatrisées. « Elles
paraissaient
avoir été coupées en bec de flûte, et s'être ajus
. 4° Sur dix-neuf cas qui ont eu une terminaison funeste, la mort a
paru
onze fois la (1) Edinburgh médical and surgical
tion suivante, que j'ai recueillie en 1820 à l'hôpital de Limoges, me
paraît
propre à éclairer quelques-unes des questions rel
cularité assez remarquable, c'est que les deux portions d'intestin ne
paraissaient
pas naître immédiatement de l'anneau, mais bien d
nt incomplètement pourvues du sac herniaire. cours des matières, me
paraissait
une des causes de la persistance de l'anus contre
de l'intestin grêle sont généralement de peu d'éten-« due : elles ne
paraissent
avoir aucune gravité, et il serait même difficile
une d'inflammation, qu'on rencontre si souvent sur le cadavre, et qui
paraissent
le résultat de la perturbation dans le mouvement
Auguste Bérard et Hourman. Elle était superficielle, en sorte qu'elle
paraissait
siéger dans le tissu cellulaire sous-cutané : mai
vîmes alors que la cause de la sensation d'emphysème, qui nous avait
paru
si inexplicable, était dans l'accumulation d'une
doute, dans le plus grand nombre des cas; mais des faits positifs me
paraissent
établir qu'il n'en est pas toujours ainsi, et que
gus de ce canal. Un individu, affecté d'entérite folliculeuse aiguë ,
paraît
convalescent : il se lève, il prend des alimens l
reuses ulcérations que présentait l'intestin grêle. Ces « ulcérations
paraissaient
dater d'époques bien différentes : il y en avait
ans les salles cette malade, accouchée douze jours auparavant, qui me
parut
dans l'état le plus grave : elle était exsangue,
ueur abondante et d'une douleur vive aux fosses iliaques, douleur qui
parut
indiquer l'emploi de deux onces d'onguent napolit
Sur le corps d'un enfant de cinq à six ans, mort d'une maladie qui
paraissait
avoir été très aiguë, j'ai trouvé que la partie i
n grain d'abord, puis de plusieurs grains; la fièvre tombe. Le malade
paraît
bien, très bien et je le crois hors de danger. Le
petites végétations polypeuses du volume d'un pois, et dont le tissu
paraît
sain. Toutes les fois que dans les altérations
erficielle, mais occupe toute l'épaisseur de la membrane; cet état me
paraît
être de la gangrène, bien que le tissu coloré ait
la suite de quinze selles à peine sanguinolentes, mieux notable, qui
paraît
se maintenir jusqu'au dernier moment. La mort, qu
corrugation, qui lui donnait la consistance d'un gésier de dindon. Il
paraissait
plein et comme tendu , et cependant il ne contena
sur les malades guéris ou convalescens, il y en a eu deux dont l'état
paraissait
aussi grave que celui des malades qui ont succomb
de plus en plus grande; altération de la face, qui, le 11, au matin,
parut
mériter l'épithète de cholérique. Selles toujours
muqueux isolés, d'ailleurs parfaitement sains. La surface de ces plis
paraît
rugueuse, ce qui résulte de la présence de petits
orme dysentérique de la phlegmasie de la muqueuse du gros intestin me
paraît
essentiellement liée à son siège dans le rectum.
aitement cicatrisés ou en voie de cicatrisation, à côté d'ulcères qui
paraissaient
en voie d'accroissement. C'est surtout dans le re
'elle est bien appliquée dans certaines irritations de l'estomac, m'a
paru
nuisible, au moins dans le plus grand nombre des
es douleurs sans produire aucune évacuation. Plusieurs fois le malade
parut
prêt à succomber, mais aussitôt que les évacuatio
. Depuis quelque temps, l'obstacle à la sortie des matières fécales
paraissait
diminué; les crises de rétention étaient moins cr
urs aucune espèce d'hypertrophie; de telle sorte que la cicatrisation
paraissait
aussi complète que possible. Du reste, point de t
stuleux le plus éloigné de l'anus , il le fit arriver à celui qui lui
parut
le plus proche, et,ayant substitué au stylet une
lens du foie et des poumons, et l'altération qu'elles représentent me
paraît
devoir être classée dans la même catégorie. La
ège de l'inflammation, et ce qu'on appelle hypertrophie de la rate me
paraît
n'être, dans bien des cas, que la conséquence d'u
. A cela je réponds que le sang, infecté par son mélange avec le pus,
paraît
traverser plus aisément le réseau veineux de la r
une cavité. Ses parois étaient extrêmement épaisses , fibreuses , et
paraissaient
formées de plusieurs couches superposées. Le tiss
avait été ouverte. Le lobe gauche était très considérable, ce qui me
paraît
tenir, non à une véritable hypertrophie, mais bie
tre aussi à certaines lésions du foie: à l'époque où la fièvre tierce
parut
, il devait y avoir long-temps que le foie, que la
loïde du foie (fig. i), 2° des foyers ou kystes gélatiniformes qui me
paraissent
la conséquence de kystes acéphalocystes du même o
e à leur vascularité: ainsi les unes sont couleur blanc de lait et ne
paraissent
contenir aucuns vaisseaux dans leur épaisseur, le
lement établi par l'atmosphère séreuse dont le foie est environné, me
paraissent
expliquer en partie l'isolement des lésions orga-
habituellement pour diagnostiquer les lésions du foie en général, m'a
paru
parfaitement applicable au cancer du foie, qui ne
nombre de points à-la-fois; de telle sorte que toutes ces altérations
paraissent
le résultat d'une infection générale de l'économi
ire veineux; que, de même que les abcès consécutifs à une phlébite me
paraissaient
le résultat d'une phlébite purulente consécutive,
ébite purulente consécutive, de même les foyers ou abcès cancéreux me
paraissaient
le résultat d'une phlébite cancéreuse consécutive
t à une femme qui a SLiccombé par suite d'un cancer mammaire : il m'a
paru
remarquable par son défaut de développement qui c
he. Leur tissu criait sous le scalpel à la manière des cartilages, et
paraissait
essentiellement fibreux; et cependant la pression
pés à pic, une cicatrice de bonne nature couvre sa partie interne. Il
paraît
en voie de guérison. Tout autour règne une indura
uc cancéreux qui sort à la manière du vermicelle. Bien que la mamelle
parût
adhérente aux parois osseuses du thorax, cependan
sible d'exprimer une seule goutte de suc cancéreux. Leur nature m'a
paru
entièrement fibreuse. Il en est de même d'une ind
r cas, la plèvre ou plus exactement le tissu cellulaire sous-pleural,
paraît
le siège de la maladie. Ces plaques, qui sont d'a
ai trouvé qu'un seul tubercule cancéreux : deux ou trois granulations
paraissaient
sur le point de subir la dégénération cancéreuse.
es caractères de l'infection cancéreuse portée au plus haut degré. Il
paraît
que la cicatrisation de la plaie, suite de l'opér
si elle avait été observée chez un individu non cancéreux, aurait pu
paraître
dénature tuberculeuse. Le poumon présentait çà et
tuberculeuse. Le poumon présentait çà et là quelques indurations qui
paraissaient
tenir le milieu entre la matière tuberculeuse et
jamais vu dans ce cas les concrétions d'urate et de | ' chaux, qui me
paraissent
caractéristiques des maladies goutteuses. XXIII
comme autant de rayons d'un centre occupé par une matière jaune, qui
paraît
avoir servi de noyau au calcul, attestent assez q
une escarre circulaire, située à une petite distance du calcul, m'ont
paru
répondre au nombre des crises éprouvées; et comme
es cataplasmes, des lavemens, la diète, des boissons adoucissantes me
parurent
seuls indiqués. Je fus appelé de nouveau le Ier
te pour servir de filtre. Le volume du foie reste stationnaire, et il
paraît
évident qu'il se fait, dans cet organe, un travai
g fétide ne s'écoulant qu'après un séjour plus ou moins long? Cela me
paraît
probable, et je suis fondé à admettre que la caus
forte ne développe aucune sensibilité. Les jours suivans, la malade
paraissait
en voie d'amélioration et même de guérison. L'ict
droit, au niveau de l'attache numérale du deltoïde. Cette tumeur, qui
paraissait
n'exister que depuis un an, était très sensible à
ce. Vain espoir, il ne sortit que quelques gouttes de sang. Le malade
parut
insensible à cette opération, laquelle n'exerça a
située au côté externe. Ces tumeurs, du volume d'un gros pois, m'ont
paru
développées aux dépens de la choroïde. Réflexio
eloppées aux dépens de la choroïde. Réflexions__Le cancer mélanique
paraît
avoir, à un degré bien plus considérable que le
explique parfaitement comment le cancer développé dans un point où il
paraît
primitivement local envahit successivement les di
peuse, sans fluctuation, sans bosselures, peu mobile sous la peau, et
paraissait
indépendante du corps thyroïde. Je crus à une tum
et abcès occupent la région de ce corps. Ce fait bien positif ne me
paraît
pas sans importance et sous le rapport physiologi
cette singulière altération ? Sans entrer dans cette question, qui me
paraît
insoluble, au moins quant à présent, je me conten
ait superficielles. Les lignes blanches qu'on voit à sa surface ne me
paraissent
autre chose que des vaisseaux lymphatiques oblité
ches les plus superficielles des poumons avaient été envahies. Il m'a
paru
que l'altération de la plèvre était consécutive.
les dans les fastes de l'art, et parmi ces observations, plusieurs me
paraissent
appartenir à des cas d'empyème circonscrit commun
pénible. Il ne se fit point d'exfoliation : les côtes frac-ce turées
paraissaient
n'avoir éprouvé aucune déperdition de substance.
e produit d'une ossification accidentelle. La première supposition me
paraît
plus probable. mécanisme de l'effort et son inf
taient situés immédiatement derrière l'ouverture du sac herniaire, et
paraissaient
prêts à se déplacer. L'ouverture de communicati
Reflexions. — La formation de ces hernies intercostales abdominales
paraîtra
toute naturelle, si Ton considère : i° que la par
ens échouent en général, je dois dire que, dans quelques cas, ils ont
paru
opérer, chez des malades qui paraissaient à toute
ire que, dans quelques cas, ils ont paru opérer, chez des malades qui
paraissaient
à toute extrémité, une sorte de résurrection. Mon
ie a été consécutive à la formation de cette caverne, dont une partie
paraissait
n'avoir pour parois que la plèvre épaissie. La
es granuleuses à leur surface. Examinées à la loupe, ces granulations
paraissent
n'être autre chose que des vaisseaux contournés s
résente des globules appréciables à l'œil nu. Ces trois tumeurs m'ont
paru
formées aux dépens de la substance cérébrale. R
ieurs, lors même qu'elle se termine par suppuration circonscrite , ne
paraît
exercer qu'une influence très indirecte sur la fi
as tardé à être amoindri et à être enfin complètement résorbé. Il m'a
paru
dans quelque cas que la circulation se rétablissa
scle brachial antérieur, était un foyer sanguin considérable, qui m'a
paru
pénétrer dans l'articulation; 2° derrière l'artic
sse qui remplit l'intervalle des aréoles. Quelques fibres tendineuses
paraissent
avoir échappé à la dégénération, et leur aspect c
irecte n'a pas confirmé ces prévisions de la théorie. Les valvules ne
paraissent
pas jouer un rôle bien prononcé dans la formation
e d'Apoplexie capillaire de la peau et du tissu cellulaire, et qui me
paraît
mieux dénommé phlébite capillaire hémorrhagique.
onchiques. Rien dans les autres organes. La muqueuse du gros intestin
paraît
comme truitée, chaque follicule présentant une co
ensité de la douleur, la chaleur de la peau et le volume du membre me
parurent
indiquer l'utilité d'une saignée au bras, qui don
le reste de la jambe présenta une légère tuméfaction jaunâtre : tout
paraissait
tendre à une guérison plus ou moins prochaine, lo
cipalement à son côté antérieur, le long des muscles extenseurs. Il
paraît
que depuis quelques jours cette malade accusait,
ute la circonférence du vaisseau. L'artérite latérale de l'aorte ne
paraît
avoir eu aucune part à la gangrène dans un cas pr
renées elles-mêmes, douleur que la moindre pression exaspère, elle me
paraît
le résultat, non de l'inflammation, mais d'une so
mittent, si bien que l'indication de l'administration du quinquina me
parut
évidente. Cette douleur, qui précède la gangrène
rcée sur le membre augmente les souffrances Le cinquième jour,le pied
paraît
complètement gangrené. Les douleurs se concentren
e plus en plus dur à mesure qu'on l'observait plus inférieurement. Il
paraissait
comme fibro-cartilagineux et confondu avec les pa
s sans succès. Les douleurs atroces qui accompagnent cette maladie me
paraissent
nécessiter l'emploi de l'opium que Potta, le prem
eines des membres supérieurs ont été injectées. Cette injection ne me
paraît
pas d'ailleurs d'une grande utilité dans ce genre
on ne pouvait le retirer sans déchirure. Le tissu propre du cœur m'a
paru
intact. Artère du membre supérieur gauche ( Côt
on putride, d'aucun changement de couleur. Celui de cadavérisation me
paraît
plus convenable. J'ai admiré dans ce cas la rapid
ur l'une de ces artères, incomplète sur l'autre : la membrane interne
paraissait
détruite ; la membrane moyenne était en débris cr
Je viens de faire la dissection d'un anévrysme de l'aorte , qui me
paraît
résumer la plupart des caractères des tumeurs ané
rd quelque rapport avec la membrane interne des artères, mais qui m'a
paru
n'être autre chose qu'un caillot sanguin condensé
oût, la tumeur anévrysmale durcit, et, bien loin de s'accroître, elle
parut
diminuer de volume. En même temps, diminution not
satile par soulèvement d'une tumeur pulsatile par ampîiation, elle me
paraît
levée par cette circonstance, que, dans la premiè
appliquée sur la tumeur, est fortement soulevée par un mouvement qui
paraît
être une percussion plutôt qu'un mouvement d'ampl
r était accessible, est très fortement soulevée par une impulsion qui
paraît
être une percussion. L'oreille constate dans la t
nnaître une tumeur anévrysmale, et ce diagnostic une fois posé, il me
parut
évident que la tumeur était formée aux dépens de
as l'idée qu'elle pouvait provenir de la crosse de l'aorte ; car elle
paraissait
circonscrite du côté de la clavicule, dont elle é
euse, dont les caractères attestaient son peu d'ancienneté, et qui me
paraît
ici la conséquence de l'altération des parois du
ar une ouverture plus ou moins rétrécie. Le fait représenté pl. iv me
paraît
l'interprétation toute naturelle des faits publié
évrysmal dans le cas actuel, et à sa présence dans les autres cas, me
paraît
tenir à l'étendue de l'altération, et peut-être a
he surajoutée au cœur lui-même; d'une autre part, cette altération ne
paraît
pas appartenir à une époque aussi avancée de la m
il morbide ? L'anévrysme vrai partiel ou circonscrit des artères me
paraît
jeter un grand jour sur cette question : lorsqu'u
iège d'une inflammation aiguë ou chronique; (et cette inflammation me
paraît
, dans un grand nombre de cas, reconnaître pour ca
consécutive à l'inflammation; voilà le double travail morbide qui me
paraît
amener la dilatation partielle. Un grand nombre d
ésion au péricarde. Le cœur représenté planche vi, fig. i et 2, m'a
paru
pouvoir servir de type à la dilatation avec hyper
réunion de la première avec la deuxième pièce du sternum. Ce bruit me
paraît
exister au deuxième temps. Sauf ce bruit sourd, l
rax, l'aphonie des mouvemens du cœur, les phénomènes d'ondulation, me
paraissent
appartenir plus particulièrement à l'épanchement,
oduit fut un sang très séreux. La bouffissure et l'oppression m'ayant
paru
un peu diminuées sous l'action de la saignée , j'
n de la saignée , j'en prescris une seconde le i5 octobre. Le sang me
parut
tellement séreux , que je désirai connaître la pr
une hydropéricardite, que je combats par les mêmes argumens qui m'ont
paru
établir, dès le principe, l'existence d'une dilat
malade est brusquement réveillé par le besoin de respirer; l'angoisse
paraît
extrême dans le moment qui précède le réveil : on
ur, à l'aide d'un tissu cellulaire bien organisé. Ce cœur, qui aurait
paru
notablement volumineux chez un adulte, était à pl
l'aorte. Le léger épaississement des valvules sygmoïdes de l'aorte me
paraît
l'explication suffisante du bruit de marteau de f
spectacles. Diagnostic. Hydro-péricarde. Pronostic. La suffocation
paraît
imminente, et cependant, fondé sur des cas analog
se croit guérie, et en effet, vers la fin du mois, le rétablissement
paraît
complet. Les mois de juin et juillet se passent à
mes: or, le catarrhe chronique, l'asthme catarrhal m'ont bien souvent
paru
la point de départ de l'asthme symptomatique des
; car l'orthopnée, c'est une réaction. La cyanose et l'algidité me
parurent
venir de la gêne de la respiration ; mais l'état
e de la Salpêtrière sur laquelle je n ai aucun renseignement : il m'a
paru
remarquable en ce qu'il établit que des'épancheme
ette coloration jaune de bois s'alliait à une grande fragilité. Il me
paraît
raisonnable d'admettre que cette coloration avec
la couleur blanc-jaunâtre maculée de rouge du tissu du cœur, qui m'a
paru
en outre extrêmement fragile. J'ai cherché à re
ée comme la cause formelle de la rupture, dont la cause occasionnelle
paraît
avoir été dans des efforts de défécation. Mais
sée du caillot, ni complètement séparée des parois du cœur, dont elle
paraît
former la couche la plus interne. Cette couche se
u lente, suivant la rapidité de l'hémorrhagie. Les faits suivans me
paraissent
établir pour le cœur l'existence d'un anévrysme f
bord gauche du cœur, je répondrai par les deux faits suivans, qui me
paraissent
établir la connexité qui existe entre l'apoplexie
ante qui doit être tenue en ligne de compte, et dont l'application ne
paraît
pas avoir été faite aux deux cas mentionnés : c'e
e, péricarde plein de sang. Une perforation de l'oreillette droite me
parut
d'abord en être la source, car une déchirure avai
ois dire cependant que la tunique interne et la tunique moyenne m'ont
paru
plus fragiles que de coutume. L'orifice aortique
nternes ; j'avoue que je ne comprends pas cette explication, et il me
paraît
évident que la rupture doit commencer par les fib
héorie de la formation des caillots sanguins purulens dans le cœur me
paraît
expliquée par celle de la formation des caillots
irmative et soutenue avec beaucoup de talent par M. Bouillaud, qui me
paraît
avoir rendu un grand service à la science, en éta
e. La formation de ces petits sacs, en manière de doigt de gant, me
paraît
facile à expliquer par l'inégale résistance des d
peau est réchauffée. Le 8 janvier, à ma dernière visite, la malade ne
paraissait
pas plus mal que les jours précédens : elle mouru
s denses, du volume d'une aveline, autour desquels le tissu du poumon
paraît
très sain. Infiltration séreuse d'un certain nomb
rand nombre de ganglions lymphatiques que la veine cave, bien qu'elle
paraisse
quelquefois comme ensevelie au milieu de ces gang
xillaire présentait avec les parois de cette veine des adhérences qui
paraissaient
le fait d'une inflammation adhésive accidentellem
auche ; d'ailleurs, pouls toujours misérable et irrégulier, qui ne me
paraît
pas comporter la moindre évacuation sanguine. Tra
ofondes. Un grand nombre présentent l'aspect de zones incomplètes, et
paraissent
suivre la direction des vaisseaux. La fin de l'in
Le fait suivant, que j'ai observé en même temps que le précédent, me
paraît
propre à éclaircir l'histoire de la péricardite.
tat intellectuel. Du reste, la constitution est loin d'être forte, et
paraît
d'ailleurs détériorée par une mauvaise nourriture
Le 3o juin et les jours suivans jusqu'au 6 juillet, l'état du malade
paraît
meilleur ; la douleur et la tuméfaction articulai
r lieu dans le lointain. L'idée d'une péricardite avec épanchement me
paraît
extrêmement probable; mais je suis ébranlé dans m
ses membranes, qui étaient denses, élastiques, et dont l'existence ne
paraissait
pas remonter à plus de quinze jours, la surface c
atisme articulaire, ou coïncidant avec le rhumatisme articulaire, m'a
paru
tout aussi fréquente que la péricardite survenant
diète, des boissons chaudes et le temps, voilà le traitement qui m'a
paru
le meilleur dans le traitement de cette maladie.
s principales l'artère pulmonaire ; mais , dans d'autres cas, l'œdème
paraissait
indépendant de toute oblitération des vaisseaux p
. La distinction entre l'œdème actif et l'œdème passif des poumons me
paraît
fondée sur des faits nombreux et irrécusables. L'
ée de son point d'origine. Les deux nerfs de la cinquième paire m'ont
paru
altérés et gris au sortir du ganglion de Casser.
té fig. 4, a pu facilement en être séparé, en sorte que la tumeur m'a
paru
naître moins de l'os que de la portion de dure-mè
ère par sa face plane et était libre par sa surface convexe. Elle m'a
paru
formée aux dépens de la dure-mère avec laquelle e
issement manger-blanc du cerveau avec coloration jaunâtre; lésion qui
paraît
dépendre d'une fluxion chronique ou subaiguë, aya
a substance cérébrale avec la sérosité. C'est à ce ramollissement que
paraît
avoir succombé notre malade; et c'est à ce même r
ait à une lésion du tissu même de la moelle. Jusqu'à ce moment, il ne
paraît
pas exister de caractères différentiels, évidens,
ntractions douloureuses, qui devinrent de plus en plus fréquentes, me
parurent
devoir être l'objet d'une indication spéciale,
e avec la plus grande facilité : bien que , au premier abord, elle ne
paraisse
pas vasculaire, cependant,examinée à la loupe, el
omprime seulement les nerfs de la queue de cheval. Le fait suivant me
paraît
, sous ce rapport, digne d'être noté (i) et mis à
on exercée par la fracture, et l'aspect de la moelle dans ce point me
paraît
le type des cicatrices du tissu médullaire par su
eumonie aiguë, parvenue à sa dernière période. L'état de la malade me
parut
désespéré : elle refusa de se mettre sur son séan
dorsale, saignées répétées. Pendant huit à dix jours, la malade nous
parut
être entre la vie et la mort. La respiration étai
e de médication qui trouvait peu de faveur parmi les assistans et qui
paraissait
contraster avec une maladie, en apparence asthé-n
la douleur marchent toujours simultanément. La paralysie du mouvement
paraît
être l'effet de la douleur musculaire, et c'est l
t le caractère essentiel de la paralysie par méningite rachidienne me
paraît
consister dans l'impossibilité du mouvement à cau
nt la faculté de se mouvoir volontairement, en sorte que la paralysie
paraît
subordonnée à la douleur. La sensibilité douloure
on de la moelle. L'induration avec ou sans atrophie de la moelle me
paraît
une cause de paraplégie beaucoup plus fréquente q
reste est un peu plus blanc que de coutume. Les racines des nerfs me
paraissent
atrophiées. Le bulbe rachidien supérieur est sain
qui s'accompagnait, dans quelques points, de ramollissement et qui me
paraît
due à l'inflammation, se voyaient plusieurs kyste
quefois pour cause une lésion des reins(i). La question réciproque me
paraît
bien plus importante; car, s'il est douteux qu'un
r sur l'idée que j'avais eue d'abord au sujet de cette malade , et me
parut
militer en faveur d'une vraie paraplégie : c'est
égion dorsale, la moelle épinière est renflée, molle, fluctuante , et
paraît
convertie en une poche contenant un liquide. Du
ères années de sa vie, où elle a été soumise à mon observation, et il
paraît
d'ailleurs qu'il était resté identiquement le mêm
formation grise. La protubérance est d'ailleurs extrêmement dense, et
paraît
en quelque sorte racornie, atrophiée. L'origine d
comme le ruban optique qui lui fait suite. La couche optique droite
paraissait
, au premier abord, avoir subi la transformation g
de sa face supérieure. Cependant, en examinant avec attention, il m'a
paru
qu'il y avait seulement destruction de la couche
donna un écoulement, pour lequel on lui fit prendre une liqueur, qui
paraîtrait
être la liqueur de van Swiéten. Il y a trois ans
plète et avec altération profonde du tissu de la moelle, m'a toujours
paru
s'accompagner des phénomènes d'irritation du cord
e à une arachnitis spinale. Le 11,1a malade accuse un symptôme qui me
paraît
à-peu-près constant dans les affections de la moe
ose faire mettre la malade sur son séant pour l'explorer, son état me
paraît
d'ailleurs sans espérance.— Eschare considérable
ans les méninges rachidiennes. Au premier abord , la moelle elle-même
paraît
saine et offrir sa consistance naturelle; mais,av
squels la distinction des faisceaux, fibres et lamelles du cerveau ne
paraît
être que d'une importance bien secondaire. La m
niveau des deuxième et troisième vertèbres de cette région, la moelle
paraît
saine au premier abord ; mais, ayant voulu écarte
rtébrale. — Les douleurs des épaules étaient des douleurs spinales et
paraissaient
avoir coïncidé avec l'invasion de la carie. Quel
du volume d'une noix et plusieurs granulations blanchâtres qui m'ont
paru
le premier degré de la dégénération cancéreuse.
grise était remplacée par du tissu filamenteux. La substance blanche
paraissait
avoir moins d'épaisseur que de coutume. MALADIE
également tous les deux; ils sont d'ailleurs immobiles. La volonté ne
paraît
exercer aucun empire ni sur les uns ni sur les au
fréquent et dur; chaleur de la peau : cet état fébrile consécutif me
paraît
indiquer un travail inflammatoire autour du foyer
gauche, que le pharynx a de la peine à fonctionner. L'intelligence
paraît
pleine et entière; son regard scrutateur semble d
te des gâteuses. Bien qu'elle se servît des membres gauches, il m'a
paru
que ces membres ne jouissaient pas, à beaucoup pr
émiplégie. Les deux hémisphères étaient parfaitement sains. Il nous a
paru
que la substance grise de quelques circonvolution
des plaques calcaires. Ce cas d'anévrysme vrai partiel des artères me
paraît
devoir être comparé à l'anévrysme vrai partiel du
rs apoplectiques; tantôt elles sont sans couleur, circonstance qui me
paraît
établir que ces kystes sont le résultat d'un ramo
té fig. 3; car, vue à sa surface, la moitié droite de la protubérance
paraissait
beaucoup plus gravement affectée que la moitié ga
ronc soit vertical. S'il arrivait qu'on le mît au lit au moment où il
paraissait
profondément endormi, il se réveillait immédiatem
au, et ici la tumeur plongeait au sein de la substance blanche. Il me
paraît
donc raisonnable d'admettre que la tumeur s'est f
vulsions épileptiformes auxquelles la face ne participait pas, et qui
parurent
moins fortes à gauche qu'à droite. Insensibilité
l'hémisphère droit était occupé par une volumineuse tumeur ovoïde qui
parut
développée dans son épaisseur et qui s'étendait j
sin, logés dans les anfractuosités, adhérens à la substance grise qui
paraissait
intacte. La cavité dite digitale avait à elle seu
térieur; SS, scissure de Sylvius. La cicatrice qu'elle présente m'a
paru
le type des cicatrices du cerveau, suite d'apople
le bord postérieur du poumon et la gouttière des côtes. Le sang, qui
paraissait
pur, sauf sa liquidité, avait une couleur noire,
ue les recueils d'observations sont pleins d'exemples d'individus qui
paraissaient
doués de toute leur intelligence, bien qu'ils eus
quence. Voici une autre observation de cicatrice du cerveau, qui me
paraît
appartenir au ramollissement. Cette observation v
aux pincemens les plus forts, ou plutôt, quand on la pince, la malade
paraît
avoir une sensation vague, légère, sans comprendr
rts, intelligens; la malade répond aux questions qu'on lui adresse et
paraît
conserver ses facultés intellectuelles. L'articul
ment à l'invasion d'une apoplexie ou d'un ramollissement m'a toujours
paru
un phénomène fort grave. En outre, un symptôme fi
t pas la suite d'une douleur perçue, et les phénomènes de contraction
paraissent
se passer dans le membre par suite d'une action d
abdomen avec axonge camphrée, amènent une détente telle que la malade
paraît
à-peu-près guérie de sa péritonite, si bien qu'el
contractent ; les traits se tirent et expriment la douleur. La malade
paraît
entendre; mais elle ne répond pas. La respiration
ralysie présente de notables variations. Ainsi, par momens, la malade
paraît
insensible aux pincemens les plus forts, d'autres
e encore : l'intelligence résiste. Le 23, la moitié droite du corps
paraît
paralysée de même que la moitié gauche. L'intelli
u corps paraît paralysée de même que la moitié gauche. L'intelligence
paraît
conservée; la malade entend, ouvre les yeux quand
d pas. La déglutition se fait bien. Le pouls est filiforme. La malade
paraît
insensible aux pincemens les plus forts. Mort le
de la même époque ou appartiennent à des époques différentes. Tous me
paraissent
contemporains. Plusieurs circonvolutions de la
la scissure de Sylvius présentent des cicatrices peau de daim, qui me
paraissent
appartenir à d'anciens ramollissemens guéris ; de
lexie capillaire, la tuméfaction des circonvolutions ramollies ne m'a
paru
plus évidente que dans l'observation précédente.
les pédoncules cérébraux et les pédoncules cérébelleux,lesquels m'ont
paru
parfaitement sains. Les tubercules mamillairesTM
heveux, était plissé sur lui-même, surtout à la région occipitale, et
paraissait
avoir été destiné à recouvrir un crâne de dimensi
st toujours assoupie ; mais on l'éveille facilement. La vue et l'ouïe
paraissent
conservés. Mobilité des pupilles. Les membres son
nellement encore moins développé que le cerveau. A l'extérieur, il ne
paraît
exister dans le cerveau aucun vice de développeme
jet était très court,jet que la tête, fortement renversée en arrière,
paraissait
implantée aux deux épaules et à la partie supérie
ieu du tissu cellulaire. Quelques-uns des cysticerques enkystés m'ont
paru
morts depuis un temps plus ou moins long; car j'a
plusieurs crochets, au centre desquels est une petite trompe qui m'a
paru
perforée. Quant aux symptômes par lesquels ces
à ses membranes. Dans tous les cas, le traitement antiphlogistique me
paraît
seul indiqué. Saignée. Le 3o,au matin, diminuti
cavité du crâne. Ici, la dure-mère était intacte, au moins elle m'a
paru
telle; et le pus de la caisse du tympan était com
ion suivante que j'ai recueillie avec un soin tout particulier pourra
paraître
intéressante. Je l'ai déjà rapportée ailleurs dan
ance. Le i3 , le malade, qui s'est constamment levé tous les jours,
paraît
un peu mieux : application d'un séton à la nuque.
ient des points blancs phosphatiques, qui, examinés à la loupe, m'ont
paru
formés par des vaisseaux ossifiés. Tumeurs de l
ui avaient laissé un affaiblissement notable dans la locomotion: elle
paraissait
d'ailleurs jouir de la plénitude de ses facultés
de moyens d'expression. Les pupilles sont à peine mobiles. La malade
paraît
y voir de l'œil gauche, mais non de l'œil droit.
s dorsal immobile; pleurs continuels à toutes les questions , qu'elle
paraît
comprendre; articulation des sons difficile, cepe
gement ouverts. Pupilles immobiles, insensibilité générale. La malade
paraît
ne pas entendre. Flaccidité des membres; déglutit
du rocher, en dehors du canal auditif interne. Cette tumeur, qui m'a
paru
carcinomateuse, était supportée par un noyau osse
infiltrés dans les cellules pulmonaires. lie'flexions. La malade me
paraît
avoir succombé par suite de l'infiltration séreus
divisions de l'arbre dévie, offrait une disposition flexueuse qui me
paraît
s'expliquer de la manière suivante : les lobules
à celles de l'albumine fortement concrétée. Cet état du cerveau m'a
paru
appartenir, non à une dégénération, mais à une in
t qu'on est obligé dé lui mettre les alimens dans la bouche ; elle ne
paraît
pas avoir le sentiment de la faim, et pourtant el
re toujours la présence d'une grande quantité de matières fécales, me
paraît
normale. Les artères utérines étaient ossifiées.
nce de la gélatine. ce Les alcalis caustiques (soude ou potasse) ne
paraissent
pas agir autrement que l'eau à la température ce
tation. Des topiques émolliens et opiacés furent prescrits : la corne
parut
ébranlée et mobile sur la peau, et le lendemain m
profondément à travers le tissu cellulaire, l'aponévrose lombaire, et
paraissait
« prendre fin au point de naissance des fibres ch
n fond de consistance ravoïde semé çà et là de poins ramollis qui lui
parurent
être les premières traces d'une transformation mé
te et avoisine la tumeur (fig. 4), la dégénérescence cancéreuse ne me
paraît
pas démontrée, et je croirais plutôt à la transfo
comme dans les fig. 3 et 3', mais des faisceaux bien distincts et qui
paraissent
unis entre eux par une matière glutineuse. Plusie
et, était circonscrite par des tumeurs et par des ulcérations qui lui
parurent
de nature cancéreuse; et il apprit plus tard que
s le crâne et se continuait avec la substance cérébrale. Ce fait me
paraît
expliquer la timidité, je dirais presque la terre
gien; ce qui fut exécuté facilement et sans douleur avec une scie. Il
parut
bientôt une nouvelle production, qui fut sciée de
s'en est convaincu en pinçant le pédicule de la production cornée qui
paraissait
très mobile. Vicq-d'Azir fait observer avec un gr
res régulièrement et parallèlement disposées. Cette production cornée
paraissait
un intermédiaire entre le pus desséché et le tiss
la corne ne fût adhérente au périoste et à l'os. Le fait suivant me
paraît
jeter une grande lumière sur le mécanisme de la f
e de cornes qui naissaient de la peau à la manière de verrues, et qui
paraissaient
avoir une racine analogue, quoique leur extrémité
tronc présente une multitude de tubercules et de tumeurs dont les uns
paraissent
développés dans l'épaisseur de la peau, dont les
ces tumeurs présentent un grand nombre de différences, lesquelles me
paraissent
se résumer dans les nuances suivantes, qui sont a
u'on pourrait appeler ponction de la vessie a travers la prostate, me
paraît
bien préférable à la ponction de la vessie par le
ette glande. Sous ce rapport, le dépresseur de M. Leroy d'Etiolles me
paraîtrait
très rationnel si son action pouvait être plus lo
ane musculeuse de la vessie, jointe à la capacité de ce réservoir, me
paraît
établir que l'incontinence d'urine dont ce malade
I. La fig. i représente un cas d'hypertrophie de la vessie qui m'a
paru
pouvoir servir de type pour ce genre de lésion. C
explique la gangrène des bourses et du périnée, à laquelle le malade
paraît
avoir succombé. Les rétrécissemens sont fibreux,
e de la même vessie. On y voit un plan musculaire superficiel qui m'a
paru
constant, mais qui est trop mince dans les vessie
dont les voies urinaires sont susceptibles. Les auteurs modernes me
paraissent
avoir gratuitement multiplié les altérations orga
la longueur de ce canal partaient deux trajets: l'un gangreneux, qui
paraissait
conduire directement dans la vessie, il contenait
aison, sur la maladie à laquelle cet individu a succombé; mais il m'a
paru
curieux de conserver dans un dessin l'image fidèl
bien qu'il ne puisse pas être considéré comme une lésion morbide, m'a
paru
digne d'être représenté. Cette pièce a été trou
na rien du côté du cerveau, et la céphalalgie extrêmement intense lui
parut
un résultat et non point une cause. Cet état se p
le se leva pour aller à la selle, et, jusqu'à ce moment, la parole ne
paraissait
pas altérée. A neuf heures et demie, elle ronfle
contenterai de dire que, chez la femme Laberthe, cette transformation
paraissait
subordonnée à la présence d'un calcul dans le bas
le des urines. D'après ce qui précède, le diagnostic était facile, il
parut
évident à M. Perrot que le siège de la tumeur et
in peut être excessive, et cette distension produire des accidens qui
paraissent
nécessiter la ponction : c'est ce qui a eu lieu p
haut et la convexité en bas; fluctuation obscure. Cette tumeur, qui
paraissait
formée par l'agglomération de plusieurs tumeurs p
du sang en circulation se transforment en globules purulens, cela me
paraît
infiniment probable; mais admettre que le caillot
un développement adipeux. Fig. 3. Le rein représenté figure 3 m'a
paru
remarquable par le développement de la substance
urs proprement dites. Aucune cause connue, ni morale, ni physique, ne
paraît
lui avoir donné naissance : la malade était commi
, atrophiée, reléguée sur un des côtés de la tumeur. Le tissu adipeux
paraissait
également étranger à sa formation. La tumeur es
les autres tumeurs mammaires, les kystes exceptés. Du reste, il m'a
paru
que ce n'est pas ordinairement aux dépens de la g
ingué, chez une jeune fille de vingt-quatre ans. Cette mamelle ne m'a
paru
être rien autre choseque le tissu mammaire hypert
deux tumeurs qui furent remplacées par une bonne cicatrice. La malade
parut
guérie. L'état général était excellent. Deux peti
r l'existence de l'une et de l'autre de ces phlegmasies. La fièvre me
paraissait
suffisamment expliquée par l'érysipèle. Le foie
pour remédier à des accidensimminens de suffocation. Notre malade me
paraît
avoir succombé à la pleurésie chronique purulente
chronique purulente, et non directement au cancer, dont la marche m'a
paru
singulièrement ralentie par les accidens inflamma
et même à la peau qui revêt la mamelle gauche. Cette dernière mamelle
paraît
atrophiée, et à son côté externe, au-devant du cr
même temps ou presqu'en même temps que la mamelle chez un autre, qui
paraît
être dans des conditions analogues. Pourquoi, dan
s. Toujours est-il que l'opportunité de l'opération dans le cancer me
paraît
devoir être restreinte dans de bien étroites limi
tumeurs fibreuses, aucune circonstance appréciable , en - un mot, ne
paraît
exercer la moindre influence sur le développement
ût saccadée, la malade rendait très bien compte de ses sensations. Il
paraît
qu'à l'Hôtel-Dieu, trois semaines auparavant, ell
parfait d'intégrité. La tumeur qui était de nature encéphaloïde me
paraît
avoir été développée aux dépens de la substance c
es libres, toutefois après l'ablation des caillots sanguins qui m'ont
paru
circonscrire parfaitement en tous points le suc c
. Plusieurs kystes muqueux se voyaient entre ces colonnes. L'utérus
paraissait
se terminer à un pouce au-dessus du museau de tan
même plus de matière calcaire que les plus volumineuses; il m'a donc
paru
raisonnable d'admettre que la présence du phospba
mment hypertrophiées, parce que l'ensemble de toutes ces fibres ne me
paraît
pas à beaucoup près représenter la totalité des f
sur le tissu propre de l'organe. Au reste, cette altération ne m'a
paru
s'annoncer par aucun symptôme particulier autre q
ment progressif et sans douleur notable, l'utérus vu par le bassin me
parut
très volumineux, de trois à quatre fois plus cons
ubstance considérable qu'il avait essuyée, perte de substance qui m'a
paru
comprendre, à peu de chose près, la totalité du c
cautérisa néanmoins trois fois avec le nitrate acide de mercure. Il
paraît
que depuis ce moment la malade s'affaiblit prodig
quelque raison de croire que la cautérisation, qui, au premier abord,
paraît
si bien adaptée à la gangrène humide de l'utérus
Cette femme, qui appelait de ses vœux une fin prochaine, mais qui me
paraissait
devoir prolonger son existence quelques mois enco
dans lesquels l'allongement était tel que, vu par le bassin, l'utérus
paraissait
occuper sa place accoutumée. Quelque peu résistan
la vessie proprement dite devait servir à bien peu de chose, car elle
paraissait
exactement moulée sur la volumineuse pierre, à la
rapport de coïncidence, mais non de dépendance. Cette observation me
paraît
établir que les vaisseaux lymphatiques sont susce
collatéraux, y a été transporté par l'absorption , le second fait me
paraît
établir positivement le contraire. nous avons vu
l'ovaire ; d'un autre côté, une sorte de renflement creux T, qui m'a
paru
représenter le pavillon de la trompe; mais dans l
cette perche. Quelque xxxive livraison. I temps après, une hernie
parut
: c'était l'utérus qui augmenta de volume jusqu'au
pâle , flasque et présentant à son fond des lambeaux membraneuK, qui
paraissaient
résulter du détachement de Fépiploon. Lallemant
té et comprimait contre le pubis la vessie urinaire, dont la capacité
parut
moindre que de coutume. La partie supérieure de c
à la manière de cordons, et par une disposition anatomique, qui ne me
paraît
pas avoir fixé l'attention des observateurs. Cett
Nuck et sa persistance, même chez quelques femmes avancées en âge, me
paraissent
expliquer en partie non-seulement la fréquence de
ncilier avec l'intégrité de toutes les fonctions. L'état du rein me
paraît
digne de fixer l'attention. J'ai eu occasion de r
aspée, sans pouvoir en déterminer le véritable caractère. Ici, il m'a
paru
évident que cette altération xxxviie livraison.
invasion subite des symptômes les plus graves au milieu d'un état qui
paraissait
compatible avec une vie plus ou moins prolongée,
de la menstruation , ni dans les fonctions digestives. L'état général
paraissait
excellent. Les sangsues appliquées le long du tra
on de tissu. Cependant la partie inférieure et postérieure du col m'a
paru
plus dense et plus blanche que les parties vois
cancéreuse par niasses disséminées; mais son tissu incisé ne m'a pas
paru
offrir d'altération manifeste. Réflexions. Quel
ai trouvé que l'utérus, vu à l'extérieur, avait son volume naturel et
paraissait
dans son état d'intégrité. Mais ayant incisé cet
eut l'obligeance de me l'adresser; probablement parce que ce cas lui
parut
fort remarquable et douteux, quant à la nature de
été remis, et qui l'ont été dans des conditions où cette extirpation
paraissait
indiquée : i° Chez une jeune femme affectée d'h
émorrhagie continuelle dont le museau de tanche mou, spongieux, avait
paru
de nature cancéreuse; la portion extirpée présent
actères du tissu cancéreux; le ramollissement du tissu de l'utérus me
parut
l'effet d'une irritation chronique, d'une fluxion
is le succès; l'opération réussit en effet comme opération. La malade
parut
guérie; mais six mois après, la végétation se rep
atière tuberculeuse dans la trompe et même dans la cavité utérine m'a
paru
un fait assez important pour mériter de figurer i
est singulièrement hypertrophiée à son extrémité utérine, au point de
paraître
la continuation de l'utérus lui-même : elle conto
double. L'état embryonnaire du fœtus et surtout l'état de l'ovaire me
paraissent
des argumens sans réplique en faveur de la grosse
l'un ni l'autre de ces jumeaux n'ont donné signe de vie. Cependant il
paraît
que le premier vivait au moment de la sortie de l
nchant. La coalition des foies dans les adhésions sus-ombilicales a
paru
à M. Serres un caractère tellement important, que
ec un cancer de l'estomac. Je voulais aussi constater ce fait qui m'a
paru
constant, savoir que, dans le cas de dégénération
par l'épiploon. Il existait à peine vestige du sae herniaire, lequel
paraissait
avoir été, pour ainsi dire, absorbé par la dégéné
de l'intestin. Le cancer primitif ne se révèle que par l'ascite qui
paraît
en être la conséquence inévitable; le cancer cons
cancéreux était contenu dans de petites ampoules ou poches qui m'ont
paru
n'être autre chose que des veines dilatées. Le
parfaitement sains. Réflexions. Le point de départ de la lésion me
paraît
être la masse cancéreuse contenue dans l'excavati
isseuse et que le suc cancéreux suintait par points isolés, qui m'ont
paru
être les orifices des vaisseaux divisés. Le suc c
re liv., p.j. AVORTEMENT. La transformation vésiculeuse du placenta
paraît
une cause constante d'avortement. lre liv., pl. i
cence des symptômes; hallucination; mort; les ganglions mésenlériques
paraissent
le siège principal de la maladie. Traces d'une en
éritable nature des hydatides du placenta. Les hydatides placentaires
paraissent
une cause constante d'avorlement. lre liv., pl. i
ion du sang, lie ijv. . pj, J} „ j m,^. iy. —L'obltéraiion des veines
paraît
la terminaison du plus grand nombre des phlébites
lacenta à l'état normal, m La transformation vésicu-leuse du placenta
paraît
une cause constante d'avorlement. lre liv., pl. 1
tion où nous sommes, je crois la méthode fort recommandablc. 11 ne me
paraît
pas douteux, en effet, que ces grands épisodes, m
rsalité, puisque ces variations, quelque nombreuses qu'elles puissent
paraître
, se rattachent toujours logiquement au type fonda
e, fourni à l'appui de la thèse que vous défendez, des preuves qui me
paraissent
de nature à entraîner la conviction des plus re-b
e rendu du Pro-grès médical, n° 51, 1878, et ma thèse de doctorat qui
parut
quelques mois après (avril 1879), ainsi que les a
mé-thode. J'appelle l'attention sur un mode de traitement nouveau qui
paraît
résumer les propriétés curatives des agents aesth
repris leur cours régulier, richer. Hystéro-cpilepsie. 1 n'ont pas
paru
. A partir de la même époque, elle se sent plus fa
deux yeux. Toutes les couleurs deviennent du « blanc », seul le bleu
paraît
« blanc fané ». — Elle dit voir par instants les
ces sans raison et nullement provoquées l. Le plus souvent elles ne
paraissent
chercher la dispute que pour satisfaire à un beso
ent de plusieurs jours l'apparition des phénomènes dou-loureux. Ils
paraissent
constants. La malade a de l'inappétence, ou bien
au sommet ou i la nuque. Ces douleurs sont parfois d'une violence qui
paraît
lépasser toute imagination et les malades n'ont p
43 juillet 1878 et sont consignées tout au long dans un mémoire qui a
paru
dans le numéro de septembre 1878 de la Revue mens
te et même ne pas exister du tout, il n'en est pas moins vrai qu'elle
paraît
spéciale à l'hystéro-épilepsie et que son extensi
ig. 22. Phase tonique. Attitude tétanique. Telle est l'attitude qui
paraît
la plus commune, mais elle peu varier beaucoup.
ateur, et qui, au temps des convulsionnaires de Saint-Médard, avaient
paru
tellement au-des-sus des ressources de la nature,
me ». Quoi qu'il en soit de la véracité de ces assertions, il ne nous
paraît
pas douteux que pendant cette attitude de l'arc d
coup elle supplie; ses mains sont jointes, ses bras tendus en i.Il
paraît
qu'une fois entré dans la chambre où la pauvre pe
on expression de physio-nomie se rapproche de celle de l'extase, elle
paraît
comme fas-cinée et attirée par la vision qui vien
elle s'écrie : « Mon Dieu! secourez-moi! » Sa prière ne laisse pas de
paraître
édifiante; mais bientôt elle reprend ses propos i
qui rappellent la décla-mation du théâtre. Un semblable délire doit
paraître
étrange, et l'on peut se de-mander si l'on a bien
que touche à sa fin, à peine le premier indice de connaissance a-t-il
paru
, qu'elle est immédiatement rendue cata-leptique p
rine comme pour embrasser la vision qui la ravit. Puis elle se calme,
paraît
rêver, converse à voix basse ; ses paroles sont i
t son expression devient radieuse. Enfin elle recouvre ses sens, et
paraît
confuse en reconnaissant les assistants. Questi
u de l'amende. » Après un long instant de silence pendant lequel elle
paraît
en proie à l'indécision : « Mais non... une poign
d'un coup elle frappe du poing en criant : « Elle est tuée! » Elle ne
paraît
cependant pas délivrée; car son inquiétude croît.
tes. Il est 7 heures 20, Ler... est toujours agitée, mais l'attaque
paraît
bien terminée. Ces phénomènes de la fin des att
n, elle demande à boire, avale un verre d'eau d'un seul trait et tout
paraît
finid. » C'est pendant cette période de l'attaq
s près d'elle tout le temps qu'a duré son attaque. Gl... n'a pas même
paru
dans la salle. Tous nos efforts n'arrivent pas à
es hysté-riques dont les séries sont fréquentes, la santé générale ne
paraît
pas altérée; plusieurs ont de l'embonpoint. La
Si l'on veut me permettre une comparaison un peu banale, mais qui me
paraît
devoir bien faire comprendre ce qui se passe ici,
oints d'analgésie, irrégu-lièrement distribués à la surface du corps,
paraissent
prédominer à l'entour des grandes articulations.
! qu'il est beau ! » Elle reste en contemplation, joint les mains,
paraît
réciter quelques prières, car on voit ses lèvres
uand tu seras officier... Après tout je m'en moque pas mal, va. (Elle
paraît
redoubler d'attention.) Les chevaux sont, encore
t que par la période des hallucinations et du délire, dont la variété
paraît
inépuisable. En voici un échantillon : 11 heure
ions et des grands mouvements, la période des attitudes passionnelles
paraît
faire complètement défaut. Cependant la mère de l
exten-sion. La période épileptoïde s'arrête là. Quelquefois même elle
paraît
man-quer complètement. 2° La deuxième période e
les grands sauts déjà signalés. Cette fois, la période épileptoïde a
paru
faire complètement défaut. Les grands mouvement
stionné. — Nouvelle attitude de menace. — Terreur. — Plus calme, elle
paraît
préoccupée d'une vision qui se trouve en haut et
erreur se peint sur ses traits, elle veut fuir. — Peu à peu la vision
paraît
devenir moins terrible, sa physionomie revêt une
non.,. » elle veut. fuir. Elle se tient la gorge de ses deux mains et
paraît
en proie à une violente suffocation; le visage es
lle souffle encore. Elle persiste à vouloir le faire envoler, mais il
paraît
qu'il résiste, car son impatience se traduit bien
ttributs de l'état cataleptique, et que nous étudierons plus loin, ne
paraît
pas exister ici. La piqûre sur différents points
, oh! ces queues!... » 10 h. 25 m. 30 s. Le délire cesse, la malade
paraît
calme dans le décu-bitus dorsal; mais de nouveau
ularise, les yeux sont toujours fermés, la face sans expression, elle
paraît
dormir. —• On voit encore de temps à autre quelqu
use avec les personnes qui l'entourent. Son regard devient fixe, elle
paraît
absorbée, et tout d'un coup : a). La malade se
t fermés, la face se congestionne, les dents grincent, la respiration
paraît
suspendue comme dans le phénomène de l'effort. Au
Bien que les visions de rats noirs ou colorés, de chats et de vipères
paraissent
être les plus fréquentes, chaque ma-lade conserve
ariété de ses mani-festations. Eh bien! ces raretés pathologiques qui
paraissent
des exceptions et ne semblent soumises à aucune r
ons de la deuxième période, suivis d'une agitation et d'un délire qui
paraissent
ren-trer dans les troubles intellectuels qui cara
e, une crise de plusieurs heures. Le refus absolu de toute nourriture
parut
à madame X... la solution la plus rapide pour sor
r des hallucinations de la vue et principalement de l'ouïe. La malade
paraît
endormie, mais tout à coup elle se met brusquemen
tivité, etc. Une médication assez variée et le séjour à la campagne
parurent
améliorer la malade; mais bientôt les symptômes n
ontrant l'espace. Durant cette période, la perte de connaissance ne
paraît
pas complète; il nous a même été donné de constat
des voix d'anges se font entendre l'appelant au ciel. Alors la malade
paraît
en extase et chante des cantiques. Puis apparaît
iption. Nous n'avons voulu consigner ici que les faits qui nous ont
paru
les plus complets. On comprendra qu'ils soient as
a face reste pâle, la tête s'incline vers l'une ou l'autre épaule; il
paroît
rarement des mouvemen s convulsifs; les membres c
ussi cependant lors de l'écoulement des règles que le premier accès a
paru
. Elles couloient imparfaitement Lcians les périod
ées; elle eut peu d'accès jusqu'à treize ans. L'écoulement mentruel
parut
à cette époque, accompagné de beaucoup de maux d'
e violence qu'auparavant. Elles cessèrent enfin, et la jeune personne
parut
bien calme; seulement elle se plaignait d'un gran
présenta des phénomènes qu'on n'a-vait pas observés jusque-là et qui
paraissent
se rapporter aux atti-tudes passionnelles : « ell
cablant de caresses, tantôt cherchant à la frapper et à la mordre, me
paraissent
devoir rentrer dans les troubles mentaux qui cara
IÈME OBSERVATION. M. Baillarger parle d'un cas d'épilepsie qui nous
paraît
bien plutôt rentrer dans les faits de grande hyst
ongation de ce jeûne, sa figure et sa c institution ne nous ont pas
paru
sensiblement altérées. Dès son entrée dans la m
a vingt-quatre heures, avec perte de connaissance. La seconde attaque
parut
un mois après. Les suivantes se rapprochèrent, et
ment du côté gauche, la figure se convulsé et devient livide, l'écume
paraît
à la bouche, la perte de connaissance et de sensi
eptoïde et de la période de clownisme, bien que l'ordre de succession
paraisse
interverti. TREIZIÈME OBSERVATION l. D... (Fa
es avec perte de la connaissance; jusqu'à l'âge de dix-neuf ans, cela
paraît
avoir été de l'épilepsie pure (chutes, morsures d
é de l'épilepsie pure (chutes, morsures de la langue) ; à cet âge ont
paru
de longues attaques avec cris et grandes convulsi
nt de repos, la malade s'agite et l'accès recommence sans que l'écume
paraisse
jamais à la bouche. Après ces accès, elle s'agite
Ce matin elle a des halluci-nations et répond à un être invisible qui
paraît
la tourmenter. Toutes les questions qu'on lui adr
s renseignements, parce que sa mémoire s'est affaiblie beaucoup; elle
paraît
avoir été intelligente. La première attaque convu
yeux fermés bien entendu, a des hallucinations de la vue; autant elle
paraissait
heureuse tout à l'heure, autant maintenant elle e
e. Nous insis-tons sur cette particularité, parce que nous la verrons
paraître
dans le som-meil provoqué. Enfin elle revient d
e souvent cet état tétanique. La respiration semble abolie, la malade
paraît
étouffer, et porte par des mouve-ments brusques e
e- ment. Jamais il n'y avait extase ou délire, et cette attitude ne
paraissait
dé-terminée ni par de la religiosité ou de l'émot
e de crucifiement. Quant au traitement, la compression ovarienne ne
paraissait
pas abréger les paroxysmes épileptiformes de M.M.
ncore : « Au moment où le cri hystérique se produit, la suffocation
paraît
à son summum; il y a une sorte de spasme tonique
nd souvent parler ou répondre à des êtres qu'elles aperçoivent ou qui
paraissent
con-verser avec elles, ou bien elles se plaignent
dessein. L'étude des variétés de l'attaque hystéro-épileptique nous
paraît
être la partie la plus intéressante de notre tâch
, et relier à la grande névrose nombre de faits pathologiques qui ont
paru
isolés et dont le lien qui les rattache à la gran
nnaissance revient tout d'un coup au milieu d'un état dont la gravité
paraissait
au-dessus de toutes les ressources de l'art. Malh
r. La température rectale est de 38% 5, le pouls est régulier et ne
paraît
pas augmenté de fréquence. Mais la compression
t à gauche, cachent sous la paupière su-périeure leur pupille, qui ne
paraît
pas dilatée. L'écume vient aux lèvres. Les bras s
lo-giques de janvier 1844, une observation fort intéressante qui nous
paraît
devoir être classée parmi les faits de grande hys
oismout, Des hallucinations, p. 308. gonflé, tendu ; La respiration
paraît
suspendue; l'immobilité du corps entier est pour
es. Elle n'a pu lui répondre, tant elle était émue. » Elle gémit et
paraît
regretter de ne plus avoir ses visions K L'obse
dans le cours d'une gros-sesse à la suite d'une émotion morale, nous
paraît
rentrer dans les faits que nous étudions en ce mo
conceptions dé-lirantes se sont dissipées, elle 16 juin 1857, Ch...,
paraît
complètement gué- rie; elle esl rcdcvenne calme
e de l'œil gauche. A ce moment aussi je la pinçai avec force; elle ne
parut
rien sentir; je lui enfonçai dans la main une for
r recommencer quelque temps après les mêmes mouvements. La malade a
paru
fatiguée des diverses épreuves que je lui ai fait
Iionneur à sou imagination. Et, en effet, éveillée, cette fille ne me
parut
que simple, douce, timide, assez bornée, et par c
e et pousse un cri très fort, elle tressaille légèrement. ))La peau
paraît
insensible aux piqûres,aux pincements. Notons cep
des maladies mentales. Traduction du D'- Doumic, p.. 215. coovulsif
paraissent
s'éloigner de la grande névrose, j'ai divisé en d
e regarde h mon arrivée dans la salle avec des veux étianges. Elle ne
paraît
pas me reconnaître. Puis tout d'un coup, sans mol
verse avec son amant, le rassure au point de vue de la police, car il
paraît
inquiet. « Écris toujours à l'adresse que je t'ai
essayer la compression des testicules : celle du testicule droit nous
parut
beaucoup plus douloureusement sentie que celle du
s dans les auteurs. J'en choisis quelques-unes parmi celles qui m'ont
paru
le plus dignes d'intérêt. Obs. L Nous lisons da
aversée par aucun accident. Vers la fin, alors que mademoiselle X....
paraissait
complètement remise, des accidents nerveux se man
Elle a été soignée à l'hôpital Sainte-Eu-génie par M. Barth. Elle ne
paraît
avoir eu ni péricardite ni endocardite. Ce rhumat
e fille de service. Elle a été sujette à des attaques d'hystérie, qui
paraissent
avoir coïncidé avec la première mens truation, à
ations vagues delà vue et de l'ouïe. Abandonnée à elle-même, M.... ne
paraissait
avoir aucune conscience de son état; cependant, s
, se plaignant qu'on l'étrangle ; au moment où l'accès va finir, elle
paraît
privée de tout sentiment, fait quelques gri-maces
ues gri-maces et puis revient à elle ; quelques minutes après, il n'y
paraît
plus. Un mois environ avant son admission à la
toutes leurs pa-roles trahissent le désordre de leur esprit, qu'elles
paraissent
sub-juguées par des convictions délirantes, des h
e qui caracté-rise les troubles psychiques de l'hystérie, l'idée fixe
paraît
un contre-sens. Pour être d'une rareté relative,
ystérie, que cette névrose, dont les dehors sont si effrayants et qui
paraît
jeter dans les fonctions cérébrales un trouble si
erverais, je l'étudierais, j'en contrôlerais l'exactitude, et s'il me
paraissait
réel, il aurait beau donner de l'autorité à des i
que les expériences ont été répétées un grand nombre de fois. Eufm il
paraîtrait
que dans cet état nerveux certains muscles font e
s, les malades entrent en catalepsie, les yeux restent ouverts, elles
paraissent
absorbées, elles n'ont plus conscience de ce qui
avant et les deux mains levées à hauteur des oreilles. La cata-lepsie
paraît
plus intense qu'habituellement, ses membres se la
expériences reproduites plus haut. Dans cette expérience, la malade
paraît
être plongée d'emblée dans l'état léthargique, sa
par le sou- lèvement des paupières supérieures et le somnambulisme
paraît
plus parfait. Pendant ce deuxième état de somme
accomplissent certains actes de somnambulisme. Nos malades nous ont
paru
alors dans le même état que celui que nous pou-vi
élèves du service. trouverons là un certain nombre de faits qui me
paraissent
de nature à aider à la compréhension de la grande
s du foyer, les y remet, etc.; un parapluie, elle l'ouvre aussitôt et
paraît
sentir l'orage, car elle frissonne, etc.. Vient
» pour qu'aussi-tôt le concert imaginaire se fasse entendre. Bar...,
paraît
fort satisfaite, elle est attentive, bat la mesur
s nausées, en lui disant qu'elle a mal au cœur et qu'elle vomit. Elle
paraît
même tellement souffrir que nous n'osons prolonge
e. Nous disons à Bar... qu'elle est sur le haut d'une tour. Elle en
paraît
fort contente, elle regarde en bas, décrit le pan
il y a quelques mouvements de déglutition et sous des apparences qui
paraissent
1. On a pris soin de placer un écran entre sa m
ains, on lui affirme que c'est un couteau, elle en convient de suite,
paraît
reconnaître l'instrument au toucher, a peur de se
our elle, dans cet élat, qu'un goût désa-gréable de terre, qui ne lui
paraît
pas très mauvais. Un mot suffit pour qu'eUe y tro
nd avec beaucoup de sens aux questions qu'on lui pose, l'intelligence
paraît
même plus éveillée qu'à l'état nor-mal. Nous ne l
se heurter aux accidents de terrain ou aux meubles, bien que ses yeux
paraissent
fermés. Nous avons même pu nous assurer que, malg
tat spécial d'attraction de la malade pour certaines personnes et qui
paraît
résider dans une hyperes-thésie du tact. Ce fait
us grande facilité, ils obéissent de suite aux diverses impulsions et
paraissent
d'une légèreté extrême. Mais il peut exister un
stion (Obs. 1,1'" série). Tels sont les signes de cet état qui nous
paraît
présenter les ca-ractères de la catalepsie, à ce
ts, qui, tout en présentant une certaine analogie par le dehors, nous
paraissent
de nature différente quant au fond. (Voy. pag. 42
servir à les différencier, l'hyperexcitabilité neuro-mus-culaire m'a
paru
un des plus constants. La distinction est facile
ropriété dont ils sont doués, ils se sont contractures. Le membre qui
paraît
catalep-tique est un membre contracture. En effet
bilité. « Il est des sujets, dit-il, chez lesquels la catalepsie ne
paraît
pas s'établir d'em-blée, c'est-à-dire que les mem
à un certain degré, y compris celui de la vue (même lorsque les yeux
paraissent
complètement fermés) et permettent à l'observateu
ix ou de celle des assistants, celui de la rue, le moindre son enfin,
paraît
affecter cruellement la sensibilité de l'ouïe; un
attaques de som-meil, de coma et de léthargie, parce qu'elles ne lui
paraissent
être que des degrés de la même modification patho
ielles ou générahsées. — L'attaque de coma, décrite par Briquet, nous
paraît
rentrer dans ce cadre. h. De l'état cataleptiform
c se creuse en arrière. Telle est la phase tonique qui, à elle seule,
paraît
représenter la période épilep-toïde. Puis l'arc d
le système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbide,
parut
aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparavan
qu'auparavant. Pendant son état léthargique, où toutes les fonctions
paraissaient
suspendues, les forces se concentrèrent sur l'ou'
, et durant plusieurs heures. Une seule année, les mêmes accidents ne
parurent
pas; elle était enceinte. Depuis, les accidents
et chercher à se soustraire, en se plaignant, à cette compression qui
paraissait
lui être douloureuse; j'insistai, elle fit quelqu
autre provoquait infailliblement un redoublement de la crise. Ce fait
paraissait
si extraordinaire que l'on parlait de simu-ktion.
d'avoir lieu, prouvaient bien que, quelque extraordinaire que puisse
paraître
la spécificité en quelque sorte du moyen employé
p de faits rapportés par les auteurs sous le,nom de ca-talepsie, nous
paraissent
bien plutôt devoir être considérés comme des cas
r, est donc pour le moins fort rare. Quoi qu'il en soit, il ne nous
paraît
pas indispensable pour la compréhension du plus g
pré-hension de ce dernier mode de combinaison qui de prime abord peut
paraître
étrange. Nous étudierons successivement les cas
semblable à celui décrit au début. On la réveille brusque-ment. Elle
paraît
désappointée, « oh! c'était si joli!... » dit-ell
nter la vision qui occupe son esprit. Dans les instants où son visage
paraît
im-passible, ce qui arrive parfois, elle dit très
touche du bout du doigt, les paupières clignent et se ferment. La vue
paraît
perdue. Un flacon d'ammoniaque placé sous l'une
affection hystérique. A mesure que son oppression diminuait, ses yeux
paraissaient
plus fixes; en même temps qu'elle cessait, il lui
rties de son corps lorsqu'on la soulevait; en lui élevant un bras, il
paraissait
léger comme une plume, et il demeurait dans la si
moins il n'en est pas parlé), les accidents singuliers qu'on observa
paraissent
se rattacher à la grande névrose. L'accès de cata
it par les pieds à ce qui la portait, pour l'empêcher de tomber. Elle
paraissait
insensible, on la secouait, on la pinçait, on la
is suivants se montre l'anurie; et les vomissements, qui avaient déjà
paru
l'année précédente, redoublent et deviennent quot
te excita-tion semble la réveiller; elle ouvre les yeux, mais elle ne
paraît
point voir et les yeux sont fixes; elle ne peut p
lle parle en riant et en plaisantant à son persécuteur invisible, qui
paraît
être une de ses compagnes de la ferme. Pendant ce
la face et du cou se contractent convulsivement, et cette convulsion
paraît
si douloureuse, qu'elle arrête la malade au mil
itation; quelques paroles incohérentes. Le 10. Au matin la malade a
paru
se réveiller. La somnolence persiste. Anesthésie
e attaque hystérique. Ces derniers symptômes, pour secondaires qu'ils
paraissent
parfois, ne doivent jamais passer inaperçus, car
taient du reste conservées pendant de.^ beures entières sans qu'il en
parût
résulter, au moins immédiatement, une fatigue app
enseurs... (p. 46). Enfin, bien que d'une façon éloignée, voici qui
paraît
avoir quelques analogies avec f hyperexcitabilité
années consécutives, et dont le terme, d'après les signes antérieurs,
paraissait
plutôt éloigné, qu'immédiat. CHAPITRE VIII VA
laquelle il fait ren-trer tous les cas de sommeil magnétique, ne nous
paraît
autre que le somnambuhsme naturel, avec cette dif
iolentes convulsions hystériques sans transi-' tion, et, par là même,
paraissent
remplacer la troisième période des attitudes pass
de la statique, sans qu'elle bronchât le moins du monde ou qu'elle en
parût
fatiguée. Elle répétait d'elle-même, exactement,
i tressaillement; si je lui parle, elle ne répond pas ; tous les sens
paraissent
abolis. 10 h. 15 minutes. —La scène change, la
goût et l'odorat, qui dans l'état de veille sont tout à fait absents,
paraissent
intacts et peut-être même exagérés. En effet, si
ent bien; la mère a un caractère très vif et emporté; un second frère
paraît
atteint d'une maladie du cœur. La malade, dans so
n-fants par les sulfureux et les amers.....A dix-sept ans, les règles
parurent
; elles ont toujours été difficiles et irréguliè
r qu'elle tomba subi-tement sans connaissance. Cette première attaque
paraît
avoir duré plusieurs jours; les suivantes se répé
st peint sur la figure de la malade; ses yeux sont ouverts, mais elle
paraît
ne rien distinguer de ce qui l'entoure, elle ne r
s dont la tempé-rature n'a cependant pas varié. Toute la journée elle
paraît
épuisée et de-meure plongée dans un état extatiqu
uis, au réveil, les yeux s'ouvrent, mais la malade ne dit rien ; elle
paraît
ne rien voir et cherche à rassembler ses idées ;
ade a ouvert les yeux dans son état habituel, sans fatigue aucune. 11
paraît
qu'il a eu plusieurs crises de ce genre déjà, et
cou, perte de conscience, après quoi le somnambulisme com-mence. H
paraît
qu'autrefois, à l'origine, les crises épileptoïde
es expériences intempestives, tentées dans le but de magnétiser Lise,
paraissent
avoir déterminé les crises de somnambulisme. Ce
hébété, à pupille dilatée et immobile. La vue, l'ouïe, la sensibilité
paraissent
abolies. » Enfin la reprise du traitement ferru
auve-t-elle,si elle est levée, jusqu'au moment de notre départ : elle
paraît
fort peu disposée, à l'inverse de beau-coup de su
chamaillent » et échangent déjà « des gifles », lorsqu'un cousin qui
paraît
jouer un certain rôle dans le cœur de notre malad
vait distraire, car elle n'enten-dait rien de ce qu'on lui disait, et
paraissait
ne pas voir autre chose que ce qu'elle regardait.
cousses et un léger tremblement qui n'ont été que passagers. » Elle
paraissait
endormie du sommeil naturel; coloration ordinaire
rfois en léthargie. L'observation suivante, empruntée à Bourdin, nous
paraît
être un exemple de somnambulisme succédant à la c
n fréquence et en durée sur celles-ci. Ici le côté som-bre du tableau
paraît
s'accuser encore davantage et les impres-sions de
ctale; elle est de 39°8. Au bout détruis à quatre minutes, l'animal
paraît
inquiet, agité; il gémit, se plaint un peu. La re
sent et on voit apparaître les petites convulsions du début. L'animal
paraît
revenir un peu à lui. Il a toujours les pupilles
he à se redresser, il ne peut d'abord y parvenir, mais à mesure qu'il
paraît
reprendre connaissance, on voit se manifester d'a
nt d'être agité la nuit et de ne pas dormir; dans la conversation, il
paraît
par moment distrait, comme s'il songeait à autre
sque plus, recherchant des aliments vinaigrés et fortement épicés. Il
paraît
avoir été frappé, en 1870, d'une attaque convulsi
ues personnes, après avoir savouré cette pâle délicieuse, car elle me
parut
détestable, mais après l'avoir avalée avec quelqu
dai à la bonne de ne pas le prendre aussi jaune que sa figure, qui me
paraissait
couleur orange. Je passai subitement mes mains
e que je voyais s'était passé dans un temps éloigné; cependant ils me
paraissaient
là. Qu'éprouvais-je donc? Mais ce fut un bonheu
elle est de règle, de telle façon que son intensité ou son extension
paraît
en rapport avec la gravité de l'affection. L'an
peu la teinte gagne de la périphérie au centre, et bientôt le papier
paraît
uniformément coloré, comme il l'est en réalité. A
oscillations sont également plus ou moins longues (les oscil-lations
paraissent
d'autant plus rapides qu'elles se produisent plus
ndant, au repos, les deux disques, en vertu de son achroma-topsie lui
paraissent
exactement semblables. 1. Voyez la note de la p
*, fait judicieusement observer que cette division dichoto-mique peut
paraître
arbitraire, attendu qu'il existe entre les cas de
spontanément, et, dans les cas que nous avons eus sous les yeux, elle
paraissait
devoir persister si nous ne l'avions pas détruite
peu de roideur musculaire. En même temps la contracture du bras droit
paraît
moins intense. Peu à peu les mêmes phénomènes s'a
de la réalité de l'anesthésie. Je n'ajouterai qu'un mot, mais qui me
paraît
décisif. Si, par un rare degré d'énergie, la volo
mptomatologie de la grande hystérie, la santé générale des malades ne
paraît
pas souffrir. La grande attaque, les longues séri
iques dont nous avons parlé dans le cours de ce travail et que ce cas
paraît
se rattacher à la grande hystérie. Je n'en veux p
Tant que dure la compression ovarienne, l'attaque est éloignée, pour
paraître
aussitôt que cesse la compression. On peut ainsi,
ccidents hystéro-épdeptiques disparaître presque tout d'un coup. Elle
paraît
aujourd'hui complètement guérie. Mais l'hystéro
fesseur à l'université de Rome, dans deux ouvrages, dont le premier ^
parut
1. Progrès médical, 35, 36 et 39, année 'J878.
ie en particulier ^. Mais il est encore un autre agent physique qui
paraît
surpasser les aimants par la sûreté et la puissan
ers résultats, d'accord avecles inductions légitimes du raisonnement,
paraît
devoir occuper dans la thérapeutique des affectio
en indiquant pour chacun d'eux le procédé d'électrisation qui nous a
paru
le plus efficace. 1" Anesthésie cutanée et sens
ul, les signes prémonitoires familiers à la malade n'ayant pas encore
paru
. Les effets généraux de l'électrisation sont d'
vu plusieurs cas de ce genre et le dernier chez un homme. Il nous a
paru
que l'afTectiou est plus tenace lorsqu'elle n'est
tion que nous en avons faite en suivant la voie tracée par M. Charcot
paraît
s'éloigner, par certains côtés, du type jusqu'ici
s et beaucoup d'autres villes delà Belgique, ces danseurs frénétiques
parurent
avec des couronnes sur la tête, et le ventre ento
t une aversion maladive pour les souliers pointus, si bien qu'un édit
parut
défendant de porter d'autres souliers que ceux à
ns des attaques de convulsions : à la suite des paroxysmes, sa raison
parut
égarée et on l'entendait délirer sur les matières
ages suivants : « Dans des instants où elles (les nonnes d'Uvertet)
paraissaient
jouir d'un calme parfait, il leur arrivait de tom
lecon-« naissait à l'affection qu'elle avait pour lui et que ainsi il
paraît
bien que cela « n'était pas naturel. ^ » D'aill
ternement, elle ne répliquait pas; la contradiction de ses paroles ne
paraissait
pas l'em-barrasser. Tous les détails que nous v
la possédée « que la voilà qui pousse des hurlements épouvantables et
paraît
agitée des convulsions les plus violentes *. »
rait la langue hors de la bouche, avait les joues fort enflées, il ne
paraissait
des yeux quasi que le blanc ; a été assistée dura
vulsions comme à la ma-tinée de ce jour; en l'une d'icelles ses pieds
paraissaient
crochus. Lui a ledit Barré fait plusieurs exorcis
étrange en ses plus grandes convulsions, est qu'après iceiles elle ne
paraissait
guère plus haute en couleur ni plus émue. Les gra
la grille, et s'informant à elles-mêmes de leur état, la sœur » Agnès
parut
un peu troublée, fit quelques frémissements, qui
che, livide et sèche » à tel point, que le défaut d'humeur la faisait
paraître
toute velue, sans être )) cependant aucunement pr
porte : « Que l'un des six démons qui la possédaient, nommé Astarot,
parut
incontinent, » et la troubla; que son exorciste a
et la rendit dure comme du bois : queMon-» sieur ayant désiré de voir
paraître
tous les diables qui possédaient cette fdle, î l'
sa difformité différente : que quand on eut com-» mandé à Astarot de
paraître
, on remarqua au-dessus de l'aisselle gauche une »
it aussi » tellement desséchées, qu'elles se pelaient, et que la peau
paraissait
toute blanche » et soulevée i On voit en somme
) «... que la mère Prieure étant venue sur les rangs, le démon Balaam
parut
d'abord; mais qu'aussitôt il fit place à Isaacaru
elle le malheureux exorciste devait succomber ^. La catalepsie nous
paraît
parfaitement décrite dans les extraits qui sui-ve
ire de Sazilli) en sa présence : que le démon, l'ennemi de la vierge,
parut
selon le commandement que lui en fit le père Éliz
vec une épingle, sans qu'il en sortit du sang, ou que la fille en fît
paraître
aucun sentiment : que Sabulon parut ensuite, qui
u sang, ou que la fille en fît paraître aucun sentiment : que Sabulon
parut
ensuite, qui la roula par la chapelle, et lui fit
Ces questions furent encore beaucoup étendues, et à la fin Isaacarum
parut
enragé, faisant des hurlements effroyables, et de
sur un banc, et après quelques oraisons, il ordonna à Isaacarum, qui
paraissait
pour Béhémot et qui fut pris pour lui, de se pros
te religieuse... Je laisse à part tous ces hommes et ces fantômes qui
paraissaient
, la persécutaient, et après lui avoir donné beauc
ettrait jamais un crime si énorme et si manifeste. :.) La forme qui
paraissait
l'appeler plusieurs fois inobédiente et attachée
» Une nuit, étant couchée, lorsque chacun reposait, un jeune homme
parut
tout nu dans notre cellule. Je faisais des signes
e dis est vrai, je serai à une partie de l'hostie, et celte partie te
paraîtra
infailliblement noire. » Cela arriva comme il ava
a peine à me communier, il me montra bien vingt hosties, et toutes me
paraissaient
à moitié noires. A la fin, je produis des actes d
à présent dans le procès qui en a été fait; et telles qu'aussi elles
paraissent
encore maintenant durant leurs intervalles à tous
examen cinq des fdles prétendues possédées. Les deux premières qui
paraissent
d'abord absoluutent saines d'esprit et de corps t
en cette occurrence) elles furent délivrées de cette vexation, elles
parurent
gaies, saines, vigoureuses sans ressentiment de l
uses sans ressentiment de lassitude, sans perdre d'appétit sans faire
paraître
aucune marque de faiblesse ou d'altération, ce qu
s efforts furent modérés et relâchés, elle se releva en un moment, et
parut
comme devant saine et gaillarde, mais pourtant to
r les assistants, et cela sans témoigner aucune douleur et sans qu'il
paraisse
ni sang, ni contusion. » L'état du corps dans u
erte, les yeux égarés et les prunelles ren-versées au point qu'il n'y
paraissait
plus que le blanc, tout le reste demeurant caché
lentes dont elles sont agitées pendant l'exorcisme, quelques-unes ont
paru
si extraordinaires, qu'elles ont été jugées passe
air; que la sœur de la Résurrection a fait la même chose; qu'elle y a
paru
quelquefois pros-ternée tout le corps plié comme
quelques-unes, entr'autres la sœur Catherine, dans l'exorcisme avait
paru
la tête renversée, les yeux ouverts, en sorte que
pas : car encore qu'il se soit humihé, c'est en cela que sa grandeur
paraît
, je le dis â ma confusion : une petite imper-fect
ont été témoins ont regardé comme une chose extraordinaire, et qui le
paraît
en effet, d'autant plus que leur corps est pour l
erre serrées l'une contre f autre, et on les transporta sans qu'elles
parussent
s'en apercevoir. Après une heure environ, Marie
'hystéro-démonopathie, en 1861, du Dr Constans. Paris, 1863. lettre
paraissait
leur faire tantôt un grand plaisii-, tantôt leur
, ces mouve-ments deviennent plus rapides, ensuite plus amples, et ne
paraissent
bientôt plus qu'une exagération des mouvements ph
ents généraux. A ce moment, les malades dont l'aspect avait d'abord
paru
exprimer la frayeur entrent dans un état de fureu
sions de Loudun )u de Louviers, aucune idée erotique ne se mêle ou ne
paraît
s'ajouter à 'idée démoniaque. » Aucune ne dit l
il est très rare qu'elles ne les rabattent presqu'aussitôt. » Il ne
paraît
donc point qu'il y ait ici lésion de la sensibili
es organes des sens, l'ouïe, la vue, loin de perdre de leur activité,
paraissent
quelquefois acquérir une finesse, une impressionn
leurs chez les hystériques en général. » Le goiàt et l'odorat m'ont
paru
à leur état normal; deux ou trois malades seu-lem
n nouvelle. « A peine eut-on interdit l'entrée du saint lieu que Dieu
paraissait
avoir choisi pour y opérer ses prodiges, dit Carr
Des convulsions bien plus surprenantes que toutes celles qui avaient
paru
jusqu'alors prirent tout à coup une multitude de
ent tous les mois et quelquefois plus souvent et dans lesquelles elle
paraissait
goûter à longs traits toutes les horreurs de la m
t plusieurs jours dans une faiblesse léthargique pendant laquede elle
paraissait
morte, n'ayant aucun sentiment et ne faisant aucu
gue sortit de sa bouche de quatre pouces de long toute violette, elle
parut
souffrir les plus vives douleurs, ses bras se rai
par bosses et se retira vers le front, sa bouche se tourna, ses yeux
parurent
tout égarés, tous ses membres se raidirent d'une
t duré environ un bon quart d'heure, pendant lequel temps elle nous a
paru
sans connaissance : puis ladite demoiselle Fourcr
pied était atteint d'une ankylose absolument incurable. Il ne nous
paraît
pas difficile aujourd'hui d'établir un diagnostic
ur de ses lèvres desséchées devient noirâtre ; ses yeux à demi fermés
paraissent
tout à fait éteints ; sa tête, ne pouvant plus se
sur ce qui les occupe. Ils sont eu quel(|ue sorte transfigurés ; ils
paraissent
tout autres. Ceux mêmes qui en dehors de cet état
farouche, qu'on ne pouvait tirer d'elle une seule parole, et qu'elle
paraissait
presque imbécile. Cependant, aussitôt qu'ehe étai
x qui ont été faits dans les derniers temps, n'ont été, du moins pour
parue
, que la production d'une imagination éctiauffee.
ements, pressions, coups modérés sur diverses parties du corps, et il
paraît
que la satisfaction des instincts lubriques y ent
e les sentiments. A l'égard de petits secours dont quelques-uns ont
paru
avoir quelque indécence, ou quelque danger pour l
, si énormément multipliés, que des hommes, souvent jeunes (car il ne
paraît
point que les filles convulsion-naires les appréh
et les os des jambes pour les redresser, dit-on, par ce moyen. 11 ne
paraît
pas que cela les redresse beaucoup, mais ils en s
Quelques-uns s'enfoncent des épingles dans la tête sans aucun mal, et
paraissent
avoir le dessein de se précipiter par la fenêtre,
saint Paris. J'observe que les cicatrices de ses mains, qui m'avaient
paru
récentes au mois d'octobre dernier, sont aujourd'
ère la main droite, qu'on mouille ensuite avec la môme eau. Françoise
paraît
souffrir beaucoup, surtout de la main droite; mai
l'importance et sur la puissance de la prière. Le revival irlandais
paraît
avoir été provoqué par certains prêtres irlandais
ommencement de ce siècle dans le Kentucky et le Tennessee, les sujets
paraissaient
s'évanouir, et après être restés dans cet état qu
ières et de deoaander leur pardon. » Lesfdles des moulins (millgirls)
paraissent
y avoir été prédisposées d'une façon spéciale : u
nes et des femmes qui ont présenté des exemples de cette maladie : il
paraît
que, hormis le premier malade, une femme depuis l
qu'elle allât en s'af-faiblissant, n'était point encore éteinte. Il
paraît
que l'on eut beaucoup de peine à persuader aux ha
de la grande attaque hys-térique sont si saisissantes, que celles-là
paraissent
être l'expression la plus parfaite et la plus éle
ur s'aperçut que quelquefois elle ne répondait pas à ses questions et
paraissait
hors d'elle. Les personnes qui assistaient la jeu
tact sûr et délicat qu'elle possède sait écarter tout ce qui pourrait
paraître
inconvenant. Quand elle est avec des amis, elle p
quelques renseignements bibliographi-ques sur ces leçons. Après avoir
paru
dans différents journaux de médecine, elles ont é
ssentiellement d'une influence du système nerveux. La contradiction
paraît
formelle ; elle n'est qu'apparente. Je vais essay
rotégé (1). 3° En ce qui concerne maintenant la mo die épinière, il
paraît
démontré que sa section transversale complète ou
èrent normalement; les fonc-tions delà vie organique dans ces membres
parurent
s'exécuter suivant les conditions physiologiques
Die trophischen Nerven. Leipzig, 1860, p. 61. lapin, Meissner a vu
paraître
dans l'œil,qui avaitconservé d'ail-leurs sa sensi
9e, 10e et 11e racines dorsales. Bien que les lésions de la dure-mère
parussent
aussi prononcées à droite qu'à gauche, cependant
ard, Vulpian, et il faut ajouter que les résultats qu'elles ont donné
paraissent
, du moins pour les points essen-tiels, tout à fai
cordants. Nous allons vous rappeler les principaux incidents qui nous
paraissent
mériter d'être relevés dans ces expériences. Le
e la disparition du cylindre de myéline, tandis que le filament axile
paraît
, lui, au contraire, persister à peu près indéfini
l'exis-tence de ce filament axile au bout de plus de six mois. 11 me
paraît
bien proba-ble qu'il persiste au-delà de ce temps
uire très lentement et se montrer peu accusées. C'est en effet ce qui
paraît
avoir lien : la plupart des auteurs semblent s'ac
ectrique des muscles de la face est déjà remarquablement amoindrie et
paraît
même quelquefois tout à fait éteinte (1). Vous
euse des faisceaux musculaires se rencontre rarement en pareil cas et
paraît
être tout à fait acci-dentelle (1). 1. Voici, e
liniques, observés cependant avec le plusgrand soin, sont, ou dumoins
paraissent
être,en opposition chschneidung in Schmuit's Ja
ie fonctionnelle de celles qui succèdent à l'irritation des nerfs. Il
paraît
démontré, en effet, que ces dernières se produise
nés sont nécessairement frappés d'inertie fonction-nelle; mais ils ne
paraissent
pas subir d'autres altérations que celles qui, à
s Charcot. Œuvres complètes, t. i. 4 au-dessous du point lésé. Il
paraît
certain que les contractions des muscles, détermi
les animaux, sont mises en parallèle avec les faits pathologiques, me
parurent
, au premier abord, devoir ruiner tout l'édifice.
, bien que, d'une manière indépendante, par MM. Ziemssen et 0. Weiss,
paraissent
avoir été conduites avec le plus grand soin. Nous
résister, bien plus qu'à l'état normal, à la dilacé-ration. Il nous
paraît
rationnel d'admettre que, dans ces expériences, c
ont le siège retentissent jusque surles muscles. A la vérité, il peut
paraître
difficile de concevoir qu'un nerf ayant subi les
e, mais très lentement ; ce n'est qu'au bout deplusieurs mois qu'elle
paraît
abolie,et non plus du cinquième au quatorzième jo
ement chez un lapin. Dans le premier cas, la contractilité faradi-que
paraît
éteinte, dès le 12e jour après l'opération ; par
ans les muscles des membres frappés de paralysie, est un symptôme qui
paraît
constant. Il a été constaté quatorze jours après
ans les intervalles qui les séparent, dételle sorte que ces dernières
paraissent
comme autant de centres ou foyers, d'où le proces
arge graisseuse qni s'observe quelquefois, dans les cas très anciens,
paraît
être un phénomène purement ac-cidentel (1). L''
et des diverses formes de l'amyotrophie de cause spinale, ce rôle ne
paraît
pas douteux. Son influence est certainement moins
ux qui, par leur réunion, forment les faisceaux blancs. Ces faisceaux
paraissent
presque entièrementcomposésde fibres qui, nées so
s pustuleuses : leurs relations avec les douleurs fulgurantes ; elles
paraissent
relever de la même cause organique que les douleu
t les jointures dés membres paralysés. — B. Formes chroniques : elles
paraissent
dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale
intensité exceptionnelle. Les douleurs, qui étaient vraiment atroces,
parurent
fixées, durant plusieurs jours, sur le trajet des
pénétrer dans les cornes postérieures de la substance grisé. Il ne
paraît
guère possible de rattacher la production des dou
végétante, qui siégeait sur l'une des valvules sigmoïdes de l'aorte,
paraît
avoir été le point de départ de tous les acci-den
-lance de la Salpclrière (service des fiévreux). — Il était en proie,
paraît
-il, à une fièvre intense depuis deux ou trois jou
n, il est d'autres cas encore à la vérité très exceptionnels, où elle
paraît
se produire sans l'in-tervention de la moindre pr
ogie, t. II, p. 285. mélastatiques dans les viscères; ce second cas
paraît
assez rare (1). Nous signalerons aussi les embo
yeux. Les commissures labiales ne sont point déviées; la sensibilité
paraît
très émoussée sur tous les points du corps. Pas d
, un peu au-dessous du genou, dans un point où le genou gauche fléchi
paraît
avoir, pendant la nuit, exercé une pression un pe
ouvements spasmodiques, de soubresauts.— Au contraire, la sensibilité
paraît
, sur ce même membre, exagérée dansla plupart de s
urvint le treizième jour. A l'autopsie, les bords de la plaie spinale
parurent
tumé-fiées, d'une coloration rouge brun; elle éta
veloppé au voisinage immédiat de la plaie (i), Cela étant admis, il
paraîtra
légitime, en se fondant sur les 1. Dans un autr
Vhêmatomyêlic qui d'ailleurs, dans un certain nombre de cas au moins,
paraît
n'être qu'un accident de la myélite centrale^ tém
ves de la moelle épinière sur le développement du décubitus aigu nous
paraît
mise hors de doute. M. Samuel cependant a avancé
nt les parties les plus fréquemment affectées. Gette forme d'arthrite
paraît
se montrer surtout dans les cas où l'hémiplégie e
viale. Les cartilages diarthrodiaux, les parties liga-menteuses n'ont
paru
jusqu'ici présenter aucune lésion conco-mitante,
7. (Noie de M. Charcot.); 1 Charcot.—Sur quelques arthropathies qui
paraissent
dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle
fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6. Paris, 1868.) — L'arthropathie dont il s'agit
paraît
ne devoir pas être confondue avec l'affection art
llules nerveuses descornes antérieures de la substance grise spinale,
paraît
être le point de départ de l'amyotrophie dans la
Schiff et de Brown-Sé-quard: observations personnelles. — Ces lésions
paraissent
dépendre de la paralysie vaso-motrice: elles doiv
le. — Irritation des nerfs vaso-moteurs; l'ischémie qui en résulte ne
paraît
pas avoir d'influence; marquée sur la nutrition l
ales. (Compt. rendus de la Soc. de Biologie, 1851, t. Ilf. p. 146).
paraissent
être d'un ordre à part. En revanche, les affectio
C. Carville. Paris, 1875. (Note de la 2e édition.) tempéraLure, qui
paraît
résulter uniquement de l'afflux d'une plus grande
re en relief— l'accomplissement des actes inti-mes de la nutrition ne
paraît
modifié en rien d'essentiel. Ainsi, dans les expé
onditions où elles déterminent ordinairement les troubles trophiques,
paraissent
s'accompa-gner plutôt d'un abaissement du chiffre
physiologiste célèbre a tirées de ses expériences, ces conclusions ne
paraissent
pas avoir été ébranlées. Je vous demande la permi
entrant dans la glande (2). D'après l'ensemble de ces résultats, il
paraît
évidentquel'in-fluence du système nerveux sur la
laire con-comitante se trouve annihilés. Comme d'un autre côté, il ne
paraît
pas qu'on puisse, expérimentalement, supprimer is
la glande à l'état de repos. Les cellules anciennes, dites muqueuses,
paraissent
, en effet, après l'irritation, rempla-cées par de
f semble s'y rattacher lorsqu'il reconnaît que « la dilatation active
paraît
être étrangère aux tuniques propres des vaisseaux
'avenir, des faits, inconnus dans le temps où le livre de M. Samuel a
paru
, et qui mettent hors de doute l'influence des lés
ement exposée a été presque naturellement accueillie. Il m'a toujours
paru
que, malgré ses imperfections, elle était digne d
ies, en aussi grand nombre, des femmes chez lesquelles le tremblement
paraît
constituer le symptôme prédominant ou tout au moi
p d'oeil superficiel, le phénomène tremblement chez toutes ces femmes
paraît
identique ou peu s'en faut; une seule chose frapp
tion apppa-rente de la force musculaire. Les mouvements sont lents et
paraissent
faibles, bien que l'expérience dynamométrique dé-
ntre que cette diminution n'est pas réelle. Cette impuissance motrice
paraît
tenir en partie, nous le verrons, à la rigidité d
orte que le rebord muqueux n'estplus visibleet que la surface cutanée
paraît
plissée (1). Iln'y a pas d'embarras réel de la pa
à une sorte de contrac-tion des muscles sourciliers, contraction qui
paraît
être habituelle et exagère les plis du front. Lor
t et ne peut pas la maintenir ouvcrle pendant quelques mi-nutes. Elle
paraît
se rendre compte de cet accolemcnt ordinaire, per
de générale, fait que les malades, comme recoquevillés sur eux-mêmes,
paraissent
se déplacer tout d'une pièce ; que leurs jointure
en être le siège, Elle n'a pas à tout moment la même intensité. Elle
paraît
attein-dre son maximum à la suite du paroxysme de
ante et dans quelques cas de chorée avec agitation excessive nous ont
paru
mettre ce dernier point hors de doute (1). A ce
, que cet auteur a transcrite du reste de seconde main, il y avait,
paraît
-il, une augmentation de volume, avec induration d
ou 4 à 5 par minute. Parmi les faits pathologiques qu'il cite, trois
paraissent
relatifs à la paralysie agitante (2 femmes âgées,
qui nous a été communiqué par M. Duchenne (de Boulogne) (1).—hesexene
paraît
exercer au-cune action pathogénique : la paralysi
ue quelques-uns. La strychnine, vantée pavTwu$seau.( Journal de Beau),
paru
m'a plutôt exaspérer le tremblement que le calmer
il existe deux faits, au moins, dans lesquels ce mode de traite-ment
paraît
avoir été heureux. Le premier appartientà Remack,
10, d'après Frommann), plus ou moins allon-gés (3). Les prolongements
paraissent
faire corps avec les trabé-cules du réticulum qui
essus de cette cellule, les petits faisceaux se poursuivent. Il ne me
paraît
pas dou-teux, ajoute M. Ranvier, que cet ensemble
cte, par suite de l'épaississement des trabécules ; les tubes nerveux
paraissent
plus distants les uns des autres ; en réalité, il
atière amorphe, qui recouvre de toutes parts les fibres du réticulum,
paraît
plus abondante que dans l'état sain (2). b) Les
ns les zones périphériques ; ils se sont rétrécis dans tous les sens,
paraissent
comme ratatinés et ne prennent plus sous l'influe
étamorphose fibrillaire, est, — remarquez-le bien, — un caractère qui
paraît
appartenir en propre, à la sclérose en pla-ques ;
olorent pas parle carmin. — Çà et là, noyaux disséminés. Quelques-uns
paraissent
en connexion avec les fibrilles conjonctives ; d'
a gaîne de Schwann qui, d'après les recherches les plus récentes (1),
paraît
ne pas exister sur les tubes plus grêles des cent
urait être fortuite, et tenant compte de tout ce qui précède, il nous
paraît
légitime de conclure que les cor-puscules médulla
que les gaines lymphatiques sont distendues à l'excès ; les vaisseaux
paraissent
alors avoir acquis un volume double ou triple de
rais-seuse des tubes nerveux. Le véritable caractère de ce phéno-mène
paraît
avoir été soupçonné par Gull (1 ) et par Billroth
éressant, du reste, de sclérose cérébro-spinale, mais oùletremblement
paraît
avoir fait défaut, ainsi que cela se voit quelque
inées dans toutes les parties de l'axe cérébro-spinal. L'ob-servation
paraît
avoir été recueillie avec une grande fidélité: il
x femmes, que la tête ne prend point part au tremblement, ou, si elle
paraît
agitée par des oscillations, celles-ci lui sont é
bres et le torse sont le siège. L'absence du tremblement delà tête me
paraît
être un fait à peu près général dans la paralysie
erroger avec le plus grand soin les malades chez lesquels ce symptôme
paraît
faire défaut. Il est de règle que le tremblemen
és intellectuelles et affectives émoussées dans leur ensemble. Ce qui
paraît
dominer chez les malades, c'est une sorte d'indif
mbres inférieurs est affecté en premier lieu et seul tout d'abord. Il
paraît
lourd, difficile à mouvoir ; le pied tourne dans
s ^Yoirpag Après les détails dans lesquels je viens d'entrer, il me
paraît
inutile d'entreprendre la description particulièr
eloppementde la sclérose en plaques se réduit à fort peu de chose. 11
paraît
établi toutefois, dès à présent, que la maladie e
On l'a observée chez des sujets âgés de 14, 15, 17 ans (1). Mais elle
paraît
débuter le plus souvent entre 20 et 25 ans. Rare-
ce héréditaire, nous n'aurions à citer qu'un seul exemple où elle ait
paru
jouer un certain rôle. Cet exemplenousaélécommuni
n général, peu favorables. Le chlorure d'or et le phosphure de zinc
paraissent
avoir plutôt exaspéré les symptômes. La strychnin
autant du nitrate d'argent. Dans plu-sieurs cas que j'ai observés, il
paraît
avoir eu sur le tremble-ment et sur la parésie de
ur résultat d'exaspérer ces symptômes. Vhydrothérapie, dans un cas,
paraît
avoir produit un amen-dement passager ; dans un a
ar. —Depuis la publication de la première édition de ces leçons, il a
paru
un certain nombre de travaux ou d'observations su
iqu'il en soit, tant que s'effectue cette élimination, les animaux ne
paraissent
guère souffrir, et c'est seulement lorsqu'ils s'a
victime de l'imposture doit être un médecin. Dans l'espèce, il ne me
paraît
pas démontrôqùe la parurie erratique des hysté-ri
icile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette attaque
paraît
avoir été d'une violence extrême: la malade est t
nter de vous présenter à cet égard une hypothèse qui, peut-être, vous
paraîtra
plau-sible, mais que je vous prie, en tout cas, d
action très prononcée de ces mêmes canaux (1). L'analogie, à son tour
paraîtrait
étayer cette présomption : chez les hystériques,
observation qui, toute insuffisante qu'elle soit, à certains égards,
paraît
devoir être rattachée à l'ischurie hystérique. —
er le bout inférieur au bout supérieur. J'avoue que la comparaison me
paraît
forcée, du moment surtout où l'on pose en princip
ue des diverses parties de l'encé-phale, toute rebutante qu'elle nous
paraisse
, en raison de la multiplicité et de la singularit
on sens il joue dans la clinique de certaines formes de l'hystérie me
paraît
mériter toute votre attention. Je veux parler de
plusieurs fois, de transfixer l'ovaire. Cette situation de l'ovaire
paraît
d'ailleurs avoir été implici-tementreconnueparM.
rfois complètement défaut ; d'autres fois, il est peu prononcé, et il
paraît
assez vraisem-blable que la tuméfaction dont l'ov
e nouveau le plus douloureux. Il ne faut pas oublier que lovaralgie
paraît
être un phéno-mène constant, permanent par excell
t la doctrine ancienne (2). Un de ses compatriotes Monardès,procédait,
paraît
-il,plus résolument (3) : ilplaçait,pen-dant l'acc
aires et des affections hystériques chez la femme, publié en 1858, ne
paraît
pas avoir eu d'ailleurs un bien grand retentissem
quelque fût d'ailleurs leur mode d'administration, étaient toujours,
paraît
-il, suivis d'un grand soulagement. Hecquet, méd
ntor-sions) ; dans ce temps la malade prononcedesparoles bizarres, et
paraît
être en proie à un délire sombre ; — e) pleurs, r
tilité faradique y est amoindrie. Depuis plusieurs années, l'hystérie
paraît
complète-ment épuisée chez cette femme, et il est
ière année, à plusieurs reprises; mais, depuis près de deux ans, elle
paraît
définitive (juin 1870). Plusieurs des muscles d
es-uns des traits de l'épilepsie. C'est de cette façon, du reste, que
paraissent
l'entendre la plu-part des auteurs modernes. L'hy
2° D'autres fois, l'épilepsie succède à l'hystérie. Cette condi-tion
paraît
être beaucoup plus rare que la précédente. M. Bri
à M. Briquet surtout cette description de Val laque-accès. Elle me
paraît
concorder de tous points avec les résultats démon
uelle prédomine uneraideur semi-tétanique du tronc et des membres. Ne
paraît
-il pas d'après cela vraisem-blable déjà que la fo
rvelet, isthme, rien à noter. Moelle. La substance grise à l'œil nu
paraît
un peu déformée. Thorax. Congestion assez forte
côté droit, sont sans cesse agités. Au premier aperçu, ces mouvements
paraissent
désordonnés ; il semble difficile de les soumettr
osé d'appeler ovarienne, alors que la menstruation n'avait pas encore
paru
. L'apparition des règles, qui a eu lieu il y a 2
surtout : l'harmonie, la régularité des mouvements choréiformes ; il
paraît
attacher une certaine importance diagnostique à c
rousseau, les mo-dérer ou les arrêter par un effort de volonté. Il me
paraît
inu-tile de multiplier ces exemples. Avant de t
gé de l'y porter sur un brancard. — La propulsion et la rétro-pulsion
paraissent
avoir disparu ; mais il est difficile d'affirmer
nstipation opiniâtre, s'accomplissentrégu-lièrement. — La température
paraît
augmenter; la température moyenne de 3 jours a ét
nt vérifier l'exactitude. Néanmoins, Ja conviction n'est pas faite,
paraît
-il, dans tous les esprits et, en particulier, on
utre, que chez elles latêteneprend pas part au tremblement ou si elle
paraît
agitée par des oscilla-tions, celles-ci lui sont
res et le torse sont le siège. L'absence du tremblement de la tête me
paraît
être un fait à peu près général dans la paralysie
Salpêtriôre, nommé Guill..., et chez laquelle le tremblement n'avait
paru
que quatre ans après le début du mal. M. Charcot
?) que la maladie actuelle aurait débuté. Le premier symptôme observé
paraît
avoir été ce que M. R... appelle une faiblesse du
à peine pris une Charcot. Œuvres complètes, t. i. 27 attitude qui
paraît
favorable aa repos qu'il la faut changer, en rais
était agitée par un léger tremblement. Je le lui fis observer. 11 en
parut
fort étonné, et m'assura, une fois de plus, qu'il
la moindre trace de tremblement. « Toute ma maladie, ajouta-t-il, me
paraît
con-sister en ce que ma volonté, d'ailleurs aussi
umatisme articulaire aigu ; un peu plus tard, une fièvre typhoïde qui
paraît
avoir été assez grave ; en dernier lieu une pneum
d'une écriture très fine, mais très lisible et dont les caractères ne
paraissent
nullement trem-blés, même quand on les examine à
e des malades diminue sou-vent de grandeur {Fig. 30 et 31) et parfois
paraît
normale au Fig. 30. premier abord. Mais, si,
ans d'intervalle, l'écriture, après a'voir un peu diminué de hauteur,
paraît
être devenue plus grosse. (B.) Sclérose en plaq
ne dessinent pas nettement leur image ; les draps du lit et le papier
paraissent
gris, les caractères d'un livre ne sem-blent pas
encore: « Au moment où le cri hystérique se produit, la suffocation
paraît
à son summum; if y a une sorte de spasme tonique
. Enfin, on voit sou- vent dans l'intervalle des accès épileptoïdes
paraître
un lambeau des autres périodes qui vient s'interc
e très fréquemment, écritBrodie, que les symptômes locaux d'hysté-rie
paraissent
devoir être rattachés à l'action d'une cause ex-t
fi Davis d'après une esquisse attribuée à Rubens et qui, en effet, ne
paraît
pas indigne du maître] En examinant ce tableau
rimé au niveau de ces plaques. Les nerfs émergeant de la protubérance
paraissent
sains. e, Plaques de sclérose, occupant irrégul
buée. — f, Quelques points restés sains. Les nerfs émergeant du bulbe
paraissent
sains. Fig. 2. — Coupe horizontale du cervelet,
au niveau de ces altérations. Les nerfs émergeant de la protubérance
paraissent
sains. e, Plaques et îlots de sclérose occupant
nt elle y est irrégulièrement distribuée Les nerfs émergeant du bulbe
paraissent
sains. g, Sclérose, au début, dans le tissu qui
eaux devenus de plus en plus apparents dans la substance blanche, qui
paraît
saine à mesure que la coupe est laissée à Pair.
pustuleuses : leurs relations avec les douleurs fulgurantes ; elles
paraissent
relever de la même cause organique que les doul
t les jointures des membres paralysés. - B. Formes chroniques : elles
paraissent
dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale
chiff et de Brown-Sé-quard : observations personnelles. — Ces lésions
paraissent
dépendre cle la paralysie vaso-motrice; elles doi
s Conditions patlìogéniques de Valbuminurie, publiées par Brissaud, a
paru
en 1882. Nous avons incorporé la lin de cette deu
aire consacrée à l'enseignement de l'anatomie patho-logique, il ne me
paraît
pas nécessaire d'entrer dans de longs développeme
ivant, agissant, etc., etc., » l'auteur en question ajoute : « Tel me
paraît
ètrele véritable esprit de l'anatomie pathologiqu
et assez originale de la membrane interne. Jusque-là, cette membrane
paraissait
percée de pertuis plus ou moins volumineux, origi
ue, en ce sens que, sous celte in- fluence, la périphérie du lobule
paraîtra
plus foncée que la partie centrale. Vous voyez
arrangement, M. Hering, (Mé-moire cité) a imaginé un schéma qu'il me
paraît
utile de vous mettre sous les yeux, avant d'arriv
seuse. De plus, elles contiennent habituellement des granulations qui
paraissent
constituées par la matière colorante de la bile.
ne et de tyrosine. Ces cristaux sont souvent en quantité telle qu'ils
paraissent
oblitérer la lumière de vaisseaux volumineux. La
e et de la tyrosine, au lieu et place de l'urée et de l'acide urique,
paraît
être un phé-nomène vital. En effet, pendant la vi
one moyenne du lobule. Les cellules hépatiques, altérées de la sorte,
paraissent
plus volumineuses, leurs contours sont arrondis,
ement à la forme hypertrophique, les canaux biliaires interlobulaires
paraissent
plus volumineux (et peut-être plus nombreux) que
dire, de cellules épithéliales dans les canaux intra-lobu-laires, me
paraît
assez difficile à comprendre et si la disposi-tio
ération du sang, liée aux maladies palustres, dont le point de départ
paraît
être dans la rate et qui consiste dans la présenc
mphomes occupent en premier lieu les espaces où la capsule de Glisson
paraît
tout entière transformée en un tissu réticulé au
, dans le foie de même que dans bien d'autres parties de l'organisme,
paraît
se déve-lopper soit dans le calibre même (Schuppe
ulté, nous avons observé le même phénomène chez le cochon d'Inde, qui
paraît
très propre à ce genre d'expérience et supporte a
Pl. xxn, fig. 2. 2° Ces notions, relativement à la veine porte, me
paraissent
suffisantes, je vais donc maintenant vous dire un
jet de discussions et de contradictions, les princi-pales difficultés
paraissent
aplanies depuis les travaux de fetrecker (1848).
près cela, viennent en proportion beaucoup moindre, des principes qui
paraissent
plus particulièrement destinés à être éliminés du
roportion que la Cholesterine. Son rôle physiologique, d'ailleurs, ne
paraît
pas être, dans le produit de la sécrétion, beauco
i n'aurait pas lieu pour l'hématome. b) Dans la bile, la bilirubine
paraît
être tenue en dissolu-tion par les acides biliair
nte de la bile semble devoir offrir un grand intérêt. A priori, il ne
paraît
guère douteux que, de même que les (1; Vulpian.
sur ce sujet, cepen-dant, quelques données qui, je l'espère, ne vous
paraîtront
pas dénuées de valeur et suffiront probablement à
e urique. En ce qui con-cerne, par exemple, la première substance, il
paraît
établi (1) Klebs, loc. cit., p. 481. que cert
ons du même organe en déterminent la diminution. M. Meissner, lui, ne
paraît
con-naître que les faits du second groupe. Quoi
aigu ou subaigu. Dans ce cas, l'abaissement du chiffre de l'urée vous
paraîtra
d'autant plus intéressant que l'affection hépatiq
vaisseaux avant de le soumettre à l'analyse. Le foie par cela même
paraît
donc être un foyer important, le principal peut-ê
je dois entrer dans quelques détails relativement à l'in-fluence que
paraissent
avoir certaines lésions hépatiques sur la formati
hologiques et d'après quelques faits de l'ordre expérimental, le foie
paraît
être le principal laboratoire où s'effectue le
ignalé sa présence dans la rate ; mais, c'est dans le foie seul qu'il
paraît
se trouver en assez forte proportion et d'une faç
races d'acide urique. a. Dès maintenant, vous constatez que le foie
paraît
dési-gné comme l'un des principaux foyers de la p
ce qui a lieu pour la leucine, n'existe pas dans le foie normal. Elle
paraît
être décidément un produit de désassimilation pat
ns le sang et la saturation qui se produit ainsi, à un mo-ment donné,
paraît
contribuer à provoquer le développement de l'accè
de la goutte chez les satur-nins (1). s. S'il est vrai, comme cela
paraît
démontré par les considé-rations qui précèdent, q
t de le modifier profondément. La réalité des faits de ce genre ne me
paraît
guère douteuse , toutefois, elle n'a pas été jusq
ou striée des calculs. Les calculs de cholestérine pure, en effet,
paraissent
composés d'aiguilles pyramidales, rayonnant autou
e moule interne des petits conduits biliaires intra-hépatiques et qui
paraissent
avoir joué le rôle de centre de formation de ces
jaune ; une écorce noirâtre, épaisse de plusieurs millimètres, qui a
paru
formée d'une agglomé-ration de masses pigmentaire
qui a été pour la première fois consta-tée par Bramsen, la bilirubine
paraît
se comporter comme un acide faible. Si on mélange
question de savoir, nous l'avons déjà dit, d'où vient cette chaux. Il
paraît
évident que, dans certains cas, au moins, elle es
tre consulté. La théorie à laquelle cet auteur semble se rattacher me
paraît
plus que les autres s'appliquer sans trop de diff
ut, tour à tour, l'anatomie et l'expéri-mentation. Toutefois, il me
paraît
utile de dire un mot de la structure des parois d
s individuelles dans la constitution ana-tomique des parois biliaires
paraissent
correspondre des diffé-rences dans les propriétés
is en relief par ces mêmes expériences est la sensibilité extrême que
paraît
posséder la membrane mu-queuse des conduits bilia
0. (3; Klinische Vortrœge, p. 109. raison de cette distension qui
paraît
constituer un phénomène prodromique et préparatoi
commence à se dessiner seulement quand la douleur hépatalgique a déjà
paru
. L'in-tensité du mouvement fébrile n'est pas d'ai
, de manière à circonscrire parfois le lobule dans toute son étendue,
paraît
être la conséquence nécessaire et rapidement prod
de granulations hépatiques. C'est là une différence dont la raison me
paraît
assez difficile à donner, mais qu'il importait de
à coup en cul-de-sac. (Frerichs, loc. cit., fig. 45). La dilatation
paraît
affecter surtout les canaux de calibre, ceux qui,
nduit. D'autres fois, l'oblitération est occasionnée par un magma qui
paraît
composé de muco-pus et de pigment biliaire. D'ail
icot. On les a encore appelés abcès biliaires, parce que leur contenu
paraît
souvent constitué par un mé-lange intime de pus e
ours naissance auprès de la paroi d'un canalicule biliaire auquel ils
paraissent
comme accolés. Quelques auteurs, Cru-veilhier en
cholite suppurative, la phlébite. Ces renseignements, Messieurs, me
paraissent
amplement suffire sur l'anatomie pathologique de
, résultant de la digestion incomplète ou nulle de ces substances. Il
paraît
certain que la rétention biliaire est capable, à
la suite de la liga-ture du canal cholédoque. D'autres hémorragies
paraissent
relever de l'altération de la crase du sang ou to
a condition anatomique la plus favorable à l'éclosion de cette fièvre
paraît
être la présence, dans les voies biliaires (1)
d'odeur ammoniacale, fétide et, en somme, cette altération de l'urine
paraît
être dans l'espèce, un élément constant. Les re
l, pour en revenir à la fièvre uréthrale, que l'altération de l'urine
paraît
ici, comme l'altération de la bile dans le cas de
es. En pareille circonstance, la présence de calculs dans la vésicule
paraît
en favoriser la rupture. Cela est arrivé, entre a
jusqu'au canal cholédoque. Il existe quelques exemples où ce dernier
paraît
avoir été affecté isolément, sans participa-tion
) fait remarquer que, dans la plupart des cas, l'apparition du cancer
paraît
avoir été cliniquement précédée de symptômes en r
nde catégorie de faits ; dans la première, au contraire, il pourra ne
paraître
que d'une façon tardive, ou même man-quer complèt
cédée d'une hypérémie très ac-centuée. L'exsudation interstitielle ne
paraît
pas jouer, dans ces conditions, un rôle très impo
rrhose hypertro-phique avec ictère ont été de 2,850 gr., 2,920 gr. Il
paraît
pro-bable que jamais le volume du foie, dans cett
ie, le tissu fibreux qui les entoure ne se rétractant guère ; le foie
paraît
donc transformé « en un bloc de tissu fibreux, fa
ées rayonnantes, dans l'intervalle desquelles les cellules hépatiques
paraissent
apla-ties. Ces traînées sont d'ordinaire caractér
ment, à un degré avancé, les vaisseaux portes ont perdu leur paroi et
paraissent
comme sculptés dans le tissu conjonctif de format
gique sur les préparations in-jectées bien réussies. Seulement, ils y
paraissent
beaucoup plus multipliés. Un examen attentif, d
ils sont plus contournés, plus sinueux, quelquefois moniliformes. Ils
paraissent
avoir une paroi plus distincte ; ils sont pourvus
. Donc il y a péri-angiocholite. Et cette inflammation de voisinage
paraît
s'étendre progressivement de la périphérie vers l
près aussi avancée dans toute l'étendue du foie et, de plus, qu'elle
paraît
affecter systématiquement les voies biliaires int
que nous avons faite de la cirrhose hyperlrophique avec ictère, vous
paraîtrait
peut-être aride, nous présentera, je l'espère, d'
ause principale, fon-damentale, de l'altération du foie dont je parle
paraît
être l'abus des boissons alcooliques. Afin de vou
il s'agit ne doit pas être prise au pied de la lettre. Toutefois, il
paraît
établi que l'alcoo-lisme intervient beaucoup plus
dans quelques consi-dérations historiques, qui, je l'espère, ne vous
paraîtront
pas hors de propos. C'est incontestablement Laenn
génient à faire ressortir, c'est le rôle pathologique prédominant que
paraît
jouer le système porte hépatique dans la producti
aire, le foie passe souvent par une période d'hypertrophie. R. Bright
paraît
être un des premiers promoteurs, le premier proba
e petites masses ovoïdes ou sphériques, de dimensions diverses et qui
paraissent
entourées de toutes parts par une enveloppe fibro
bre correspondant de granulations secondaires. Dans d'autres cas, qui
paraissent
répondre aux phases avancées, ra-rement atteintes
terstitielles où l'altération systématique des canalicules billiaires
paraît
être le fait primitif. Ainsi: a) dans la cirrhose
sez mal déterminées cliniquement, mais dont quelques-unes cependant
paraissent
relever de la syphilis. Telle est en particulier
e des notions très confu-ses et très imparfaites jusqu'au moment où a
paru
son travail présenté à Y Académie de médecine et
ryonnaires ; ils sont en d'autres termes, privés de paroi propre; ils
paraissent
creusés dans le tissu de jeunes cellules ou déjà
uvelle. Il y a lieu de remarquer à ce propos que le système lacunaire
paraît
être en communication très large avec les artères
e à se substituer partout au système veineux intra-hépatique et qu'il
paraît
remplir, en quelque sorte jusqu'à la dernière lim
, ils ne se développent pas comme dans la cirrhose hypertrophique. Us
paraissent
cependant pouvoir s'hypertrophier accidentellemen
des perturbations appor-tées dans les fonctions diverses dont le foie
paraît
chargé d'après les recherches nouvelles. Je fais
la plus grande partie des tubes urinifères, les parois de ces canaux
paraissent
constituées par une membrane anhyste. Cependant M
rations faites par M. le Dr Renaut dans le laboratoire de M. Ranvier,
paraît
être la principale cause de l'aspect sombre et gr
s, il en est d'autres, non moins importantes, dont le point de départ
paraît
être dans la gangue conjonctive qui réunit les un
ous le nom de glomérulo-né-phrite (1). Les glomérules, en pareil cas,
paraissent
exsan-gues, et lorsqu'on les examine au microscop
n'accorde peut-être pas, en gé-néral, toute l'importance qu'elles me
paraissent
mériter au point de vue théorique aussi bien qu'a
s papillaires ; mais ils sont rarement très nombreux; pourtant, il ne
paraît
pas impossi-ble que, lorsqu'ils occupent une gran
tère de la pneumonie, de la pyémie, etc.) La formation des cyilindres
paraît
tenir, dans ces cas, à l'action des acides biliai
on 8 grammes d'une masse jaune-orange qui, à l'examen micros-copique,
parut
constituée par un grand nombre de cylindres jaune
propor- \1, Ces mômes vues ont été soutenues dans plusieurs écrits
parus
depuis l'époque où ces leçons ont été faites : Lé
u connues ; l'influence de la goutte, du saturnisme, de l'al-coolisme
paraît
cependant bien démontrée. Évolution très lente
ès dans le Progrès médical. Depuis cette époque, plusieurs écrits ont
paru
sur le même sujet : nous nous bornerons à citer c
médullaire. Par suite de la diminution de volume du rein, le bassinet
paraît
plus ou moins considérablement dilaté. Recherch
on cherche tout d'abord en vain les canalicules contournés ; ceux-ci
paraissent
remplacés par une zone d'une teinte rouge, produi
nisé; les glomérules de Malpighi qui marquent les limites des lobules
paraissent
, en raison de l'atrophie subie par les tubes cont
aux dépens des gloaié raies de Malpighi: figurés par Dickin-son. ils
paraissent
aussi appartenir à la classe des kystes par réten
a tunique interne et surtout de l'adventice. Les parois des vaisseaux
paraissent
relativement très épaissies, alors que la lumière
coup exercé la sagacité des physiologistes, mais dont la raison ne me
paraît
pas avoir été donnée encore d'une façon très sati
ion d'urée peuvent encore s'effec-tuer dans le rein, alors même qu'il
paraît
très altéré, c'est que quelques parties glandulai
tance, s'accumule dans le sang, sous forme d'urate de soude, et telle
paraît
être, au moins pour une part, la raison des dépôt
turnins. Ce fait, mis en relief chez nous par Ollivier et Lancereaux,
paraît
bien établi par les statistiques anglaises ; ains
in, Bucquoy, etc. La goutte des saturnins, d'après ce que j'ai vu, ne
paraît
différer de la goutte ordinaire que par la plus g
e parfois des accidents comateux mortels, probablement urémiques ; il
paraît
agir surtout dans ce cas en limitant la sécrétion
). Mais, d'autre part, toutes ces appellations consacrent un fait qui
paraît
bien éta-bli, c'est que dans l'affection dent il
ues, qui ne font intervenir aucune hypothèse, et ma prédilection vous
paraîtra
sans doute justifiée, lorsque vous saurez que, su
ait été mouillé, et rapidement, l'hydro-pisie était survenue; la mort
paraissait
avoir été la suite d'ac-cidents pulmonaires. A
degré de l'altéra- lion. Ces groupes de tubuli, devenus graisseux,
paraissent
opaques relativement aux autres et forment même q
séparation établie entre les deux formes pourrait, au pre-mier abord,
paraître
arbitraire. On désigne quelquefois, sous le nom
. L'atrophie consécutive, dans le cas de la néphrite parenchymatease,
paraît
s'effectuer par le mécanisme suivant : les épithé
n très grand nombre dans les publi-cations françaises. Tous ces cas
paraissent
avoir pour caractère commun de se développer sous
les observations de maladie de Bright parenchyma-teuse, à début aigu,
paraissent
faites à peu près sur le même modèle. (i) Cases
roid, et abs-traction faite aussi de l'influence de la scarlatine qui
paraît
n'avoir rien de -commun avec le développement du
ition, constant chez ces malades toujours plus ou moins cachectiques,
paraissent
suffire à expliquer ce fait. L'excrétion de Vac
araissent suffire à expliquer ce fait. L'excrétion de Vacide urique
paraît
n'éprouver aucune modification appréciable. Val
is beaucoup plus rarement que dans la néphrite insterstitielle ; elle
paraît
alors survenir sou-vent dans les cas où on soustr
contraire d'une néphrite interstitielle à développement rapide. Il ne
paraît
pas que la néphrite scarlatineuse ait jamais abou
issus préexistants ? Dans l'état actuel de la science, cette question
paraît
être absolument insoluble ; je me contente de la
canaliculi contorti sont affectés; et quant aux anses de Henle, il ne
paraît
pas qu'elles soient jamais alté-rées. C. En deh
r l'objet de nombreuses discussions Mais avant d'en venir là, il me
paraît
indispensable de vous rappeler en quelques mots c
nt dans le cul-de-sac terminal dilaté de chacun des tubes urini-fères
paraît
adapté, par sa structure qui ne se rencontre dans
ant dans la sécrétion urinaire. D'après ces mêmes travaux, ce rôle ne
paraît
pas important pour ce qui concerne la sécrétion d
oient pas dans la capsule. Mais, relativement au glycose, la question
paraît
jugée, au moins pour ce qui se passe chez la gren
epose pas sur des assises aussi solides qu'on pouvait le croire. Il
paraît
simple et facile, en effet, de rapporter, comme l
et albuminurie), il y a toujours intervention d'un autre élément qui
paraît
jouer le rôle capital. — D'un autre côté, il est
Ici, la stase veineuse dans le glomé-rulc, sous faible pression, nous
paraît
pouvoir être invoquée comme la cause de l'albumin
e le répète, je ne peux actuellement parler que d'une façon sommaire,
paraît
déjà bien peu sou-tenable en présence de tant de
l'écriture impossible, et une grosse incoordination motrice que ne
paraît
pas exagérer l'occlu- sion des paupières, rend
rticulier à signaler ; existe-t-il une lé- gère scoliose ? Il ne me
paraît
pas, mais il est vrai que l'on ne peut appré- c
me sur la question dans un article du dictionnaire ency- clopédique
paru
en 988u ; plus tard, en 1893, je l'éludiais dans
héréditaire et familiale une vérita- ble anomalie de développement,
parut
séduire au début, mais elle ne put tenir tête a
mon laboratoire. Dans la névrose des deux sujets la sclérose leur a
paru
bien différente de celle qu'on a l'habitude de
rdons postérieurs, la sclérose des cordons an- téro-latéraux leur a
paru
plus jeune, moins accusée dans son évolution,et
tive; elle marche, se promène volontiers, bien que ses petits pieds
paraissent
mal proportionnés avec le volume du corps et de
n- ger (Soc. anatomique, 1900). xvm 3 34 SCIIERB Ce signe m'a
paru
vrai dans toutes les directions, en avant et laté
n deux temps. - Ce dernier signe n'est pas évident chez D... Ce qui
paraît
dominer chez lui, c'est l'impossibilité, étant
vure on lui montre un chien. C'est un « sien », un « toutou ». Elle
paraît
très heureuse d'avoir trouvé et répète plusieurs
isphère gauche, alors que d'autres étaient localisés à droite. Cela
paraît
peu admissible. Aussi, croyons- nous, quelque t
t sur les oscillations du bassin dans le pas. Si singulier que cela
paraisse
, l'accord n'est pas fait sur la question de sav
alement ce qui a lieu dans certaines altitudes banchées. Il ne me
paraît
pas douteux que ce qui se passe dans l'os- cill
bord, c'est la diminution de hauteur de la région abdominale ; elle
paraît
se produire surtout aux dépens de la partie supér
ndent aux indices tibio-fémoraux les plus faibles. Les déformations
paraissent
donc inverses étant donné la valeur de ces indi
ombre de fémurs examinés (sept furent à notre disposition) nous ont
paru
normaux, d'autres ont présenté entre leur longueu
e sénile..... La se- conde de ces affections est une hypoplasie qui
paraît
nettement liée à l'involu- tion sénile régressi
clairur- gie de Peyrelhe, dont les deux premiers volumes ont seuls
paru
, le 3° est un manus- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA S
fai t le plus grand honneur à ses sentiments d'humanité, mais elle
paraît
bien hardie dans la bouche d'un catholique s'ad
ient à mort pour la Religion. » Il est vrai que cette anecdote dis-
paraît
. dans les éditions suivantes ; il nous en donne l
ytren, Il est d'ailleurs aujourd'hui des guérisons miraculeuses qui
paraîtront
à NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPLTRIFRE, T. XV
uelle-humidité putréfiée produit de telles bêtes. » Ce prodige vous
paraît
aujourd'hui difficile à admettre. Et cependant
une chambre à cet usage », puis, les rece- vaient chez eux s'ils ne
paraissaient
pas dangereux. On employait pour eux « la distr
ryptique qu'à l'hôpital. Cette plus grande richesse de détails nous
paraît
mieux s'allier, étant donné Memling, avec une s
de l'écorce cérébelleuse, un processus d'atrophie dégénérative qui
paraît
en pleine évolution. Ce proches- sus ne s'accom
niveau des noyaux dentelés ; ceux-ci ainsi que la région adjacente
paraissent
sains et riches en fibres myéliniques) portant
ruction décrite plus haut. Le faisceau longitudinal inférieur (Fli)
paraît
être doué d'une résistance toute particulière,
ns laquelle on voit difficilement les cellules nerveuses. Celles-ci
paraissent
par endroits entourées d'un espace péricellulai
jusqu'aux environs du maximum de la tumeur des altérations qui nous
paraissent
caractéristiques, du moins ne les avons nous ja
mes qui relient les circonvolutions au centre ovale. Ce détail nous
paraît
très important ; en effet : l'exagération des p
e blan- che a une zone sclérosée. C'est dans le corps calleux qu'il
paraît
y en avoir le moins. Ces phénomènes disparais
érée à proximité immédiate et en avant de la tu- meur. Les cellules
paraissent
atrophiées, perdues dans de gros espaces péri-
tructure corticale. Dans le reste du cerveau l'écorce ne nous a pas
paru
présenter d'anomalie. Il en est de même par le
ns-nous maintenant que K... n'était point paralysé et que sa moelle
paraît
normale. Nous sommes tentés d'attribuer son ataxi
eau à la couche sclérosée qui borde l'espace périvas- culaire, nous
paraissent
indiquer que ce travail de dissection s'est fait
donner beaucoup d'indications ni à nous préserver d'erreurs. 1° Il
paraît
y avoir un courant lymphatique de la circonférenc
e démence. 60 Dans la substance blanche les faisceaux d'association
paraissent
souf- frir plus que ceux de projection. La dila
espaces périvasculaires, la formation d'hémorrha- gies dans ceux-ci
paraissent
accompagner régulièrement le développement des
e, car dans nos trois faits le tronc de la troi- sième paire nous a
paru
normal ; au surplus nos cas ne nous permettent
anément il existait des troubles de la sensibilité; de ces faits il
paraît
donc résulter que les trou- bles vaso-moteurs a
s. Les orteils et les pieds sont volumineux. Les autres segments ne
paraissent
pas augmentés. On constate une parésie complète
éreuses ; le pouls est fort, un peu hypertendu. Les autres viscères
paraissent
normaux. Il n'existe dans les urines ni sucre n
l'oeil nu, les surrénales, bosselées et criblées de points jaunes,
paraissent
remplies d'adénomes. Sur les coupes microscopiq
s amas cellulaires à noyaux très fortement colorés. La médullaire
paraît
normale. En résumé, hypertrophie parenchy- ma
le de cellules épithéliales. En dehors de ces corpuscules, les plexus
paraissent
normaux. Dans les houppes nulle part on ne trou
accumulations de noyaux, que l'on voit en quelques rares points, ne
paraissent
être qu'une réaction inflammatoire banale et légè
mètres ; largeur maxima : 15 ; minima : 6. Larynx. - Le larynx ne
paraît
pas augmenté de volume. Le. chaton du cricoïde
se considérable des espaces périvasculaites. Celle observation nous
paraît
intéressante à plusieurs points de vue. Après a
rapporté des exemples. Il s'agit de tumeurs malignes. Ce fait nous
paraît
suffire expliquer ] 'apparente contradiction de l
ologique, encore moins de pathogénie. Se placer sur ce terrain nous
paraît
beaucoup plus suret plus clair que de faire ren
aux autopsies ne sont pas constantes ; quand elles existent, elles
paraissent
toujours être l'aboutissant d'un pro- cessus d'
our l'apparition des changements squelettiques, un rôle im- portant
paraît
dévolu à certaines glandes, comme la thyroïde don
nts de vue : urticaire, oedème de Quinke, trophoedème de Meige nous
paraîtront
comme des différentes ma- nifestations d'une mê
, de cou- leur rose, de la grandeur d'une pièce de cinq francs, ont
paru
il y a deux jours et lui donnent une démangeais
ui donnent une démangeaison assez supportable. Les oedèmes ont dis-
paru
partout sauf dans les paupières. La constipation
toraux droits semblent un peu diminués de volume. L'é- paule droite
paraît
projetée en avant. En arrière, la scoliose vert
thorax ayant les mêmes dimen- sions. Les muscles du bras droit ne
paraissent
pas atrophiés. Palpation. Vibration très atténu
THORACIQUE PRÉCOCE 213 Le matin, au réveil, tout le côté droit lui
paraît
raide. Il n'a pas maigri : n'a jamais eu d'hémo
le traitement prophylacti- que des crampes des écrivains». En 1887
parut
dans le Wrnlch un second tra vail du même auteu
cès de la douleur entraînait une violente agitation. Ici, l'opéré ne
paraît
pas attaché à la chaière, mais il semble bien q
service qui contient un grand nombre de ces malades et qui nous ont
paru
particulièrement suggestives, nous essaierons d
nous terminerons par quelques conclusions d'ordre général qui nous
paraissent
découler de cette étude. (1) Travail du service
ralysie générale. L'opinion,qu'exprimait CI. Philippe (4.) en 1902,
paraît
être encore celle de la majorité. « Nous croyon
et du système lymphatique posté- rieur de la moelle (3) ». Il nous
paraît
évident que Crouzon n'ajoute pas là un nouveau
de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Les cellules nerveuses
paraissent
normales. A la région dorsale, on ne trouve les
antéro-externe des faisceaux pyramidaux croisés. La région lombaire
paraît
normale. Les vaisseaux des racines sont très di
(pl. XXXIII, fig. 1). Au Nissl, les cellules des cornes antérieures
paraissent
altérées. Elles sont peu déformées, mais un trè
llules des cornes antérieures. Les cellules de la colonne de Clarke
paraissent
moins touchées. Moelle lombaire. L'infiltration
« plané ». La force musculaire est normale. La sensibilité cutanée
paraît
peu altérée. Les pupilles sont inégales et ne pré
'avant-bras. Ces régions sont d'une teinte livide, la sensibilité y
paraît
abolie. Le pouls radial est absolument impercep
AUX 217 Bulbe, - Il existe de la méningite ; les cellules nerveuses
paraissent
nor- males. Ecorce cérébrale. Les méninges, p
globu- leuse. Beaucoup ont pris une coloration diffuse. Le bulbe
paraît
à peu près uormal dans son ensemble. Les pyramide
s aux autres, atrophiés dans leur ensemble. Les cordons postérieurs
paraissent
gris et translucides. Les poumons sont sains,
issl, les cellules pyramidales sont inégalement altérées ; les unes
paraissent
saines, les autres ont une coloration diffuse de
cellulaire. Au Weigert, vues par simple transparence, les pyramides
paraissent
beau- coup plus claires. Au microscope, on voit
us grosses qu'à l'état normal est frappante. La substance réticulée
paraît
également présenter une'diminution de ses fibres
tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules des cornes antérieures
paraissent
normales. A l'inspection de la moelle cervicale
ait levé ; après son diner on s'aperçoit qu'il était très rouge, il
paraît
faible et a perdu toute conscience ; il est alité
tout en lui, c'est la vaso-dilatation intense de tout son corps ; il
paraît
écarlate. Pas de signes pulmonaires. Le soir
ubs- tance sous-épendymaire. Au Weigert, les faisceaux pyramidaux
paraissent
plus clairs. Moelle. Méningomyélite discrète da
e est partout contem- poraine et diffuse, l'unité du processus nous
paraît
évident. Dans Ie4°cas(llau....) il y a à la foi
ite comme dans certains cas de Nageotte. Interpréter ces faits nous
paraît
aujourd'hui moins difficile que naguère. A la c
s de dé- viation des yeux. La sensibilité au tact et à la douleur
paraît
conservée sur tout le corps. La piqûre de la pe
tête. Les diverses sensibilités spéciales ont été examinées. Toutes
paraissent
abolies. L'animal ne voit pas. Un obstacle pl
vant l'oeil gauche ou l'oeil droit. Les bruits les plus violents ne
paraissent
pas perçus ; l'animal continue à tourner en cer
aucune satisfaction. Le chien, qu'il soit au repos ou en mouvement,
paraît
être dans un état de stupeur absolue. Il ne rép
e dans un état de stupeur absolue. Il ne répond pas à son nom et ne
paraît
sensible à aucune caresse ; il se laisse examin
aux autres circonvolutions voisines. Le lobe médian et le lobe droit
paraissent
normaux. Examen llISTOLOGIQUE. Cerveau. Nos r
es parties du cortex très diminuées de nombre; les fibres radiaires
paraissent
normales. La névroglie est hyperplasiée ; elle
ires sur bien des points. Les mouvements de manège et de ro- tation
paraissent
provoqués surtout par la lésion du cervelet et de
s trois jours la période comateuse cesse progressivement, la malade
paraît
s'intéresser à ce qui se passe autour d'elle ;
t encore très nette. Quand cette malade a repris connaissance, elle
paraissait
souffrir beaucoup de son côté droit, les contra
lleurs imparfaitement. Las de garder auprès d'eux une malade qui ne
paraissait
pas s'améliorer et qui ne semblait pas devoir g
tance corticale. Les capsules surrénales entourées de tissu adipeux
paraissaient
intactes ; de même le corps thyroïde, pesant 20
par suite de la faiblesse de la main, invocation a la Vierge, mais,
paraît
-il, avec moins de succès. Cependant la malade peu
ne amie l'émeut beaucoup, mais elle ajoute qu'elle n'en laisse rien
paraître
, car elle est très énergique el a beaucoup de v
rticolis mental ; l'origine mentale de la crampe des écrivains nous
paraît
aussi bien éta- blie. Ledébut a été d'une bru
volumineux, incurvés en avant et en dehors. La crête tibiale a dis-
paru
, remplacée par une surface mousse. Les mains et
rsque mon grand'père est mort. Il avait une tête très forte, et qui
paraissait
grossir : en effet il faisait faire ses casquette
blanchisseur (1) pendant la plus grande partie de sa vie, il nous a
paru
que l'hypothèse d'une intoxication chronique par
à l'intoxication par les acides. Chez les autres,cette étiologie ne
paraît
pas pouvoir être retrouvée. En voici le détail.
z la malade d'autre tare organique : l'examen du fond d'oeil nous a
paru
normal ; peut-être y a-t-il sur la rétine quelque
râne de Jules B... Mcisson et C ? Editeurs ('hototYPI8 fiert6aud,
Paru
DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 307 su
n fardeau, la tête de l'humérus se subluxe en avant et en dedans et
paraît
n'être arrêtée que par son contact avec l'apoph
s cas plus anciens que nous avons pu découvrir, bien qu'il nous ait
paru
utile cependant de réunir dans un même tableau
rs semblent ignorer totale ment ses conclusions ; quelques-uns même
paraissent
découvrir l'affec- tion et'vouloir décrire à no
es au- teurs. C'est à la même époque et à propos de cet article que
paraît
l'excel- XVI1l 21 Fig. 1. Malade de Pinard et
(de San Francisco) publie une observation semblable. Le dernier cas
paru
semble être celui de Gross (de Kiel) ; c'est un
décrite. 2° Le signe qui, à côté de l'aplasie claviculaire, nous a
paru
le plus constant est le retard de. la suture de
es distinctions, fondées sur l'étendue des lésions destructives, nous
paraissent
à l'heure actuelle tout à fait dépourvues d'imp
me, l'anencéphalie ou la pseudencéphalie, quoique]peu fréquen- tes,
paraissent
être cependant les moins rares des productions co
pant toute la région médio-dorsale, dans le canal rachidien, et qui
paraît
être de même nature que la tumeur elle-même. Qu
ncéphalie, en décrit et représente deux au moins sur lesquels il ne
paraît
y avoir aucun doute possible. Tous deux possèdent
reconnaître dans une bandelette osseuse qui bordée¡i pariétal ; il
paraît
difficile de contester ou de confirmer cette mani
rès fréquente. Cette disposition, notée par la plupart des auteurs,
paraît
d'ailleurs en relation avec un phénomène plus gén
re inférieur. Sur les squelettes, en effet, le maxillaire inférieur
paraît
démesurément grand (fig. 7), et quelques auteurs
phalie. J'ai déjà signalé la fissure palatine, en indiquant qu'elle
paraissait
être un effet direct du processus pseudencéphal
naire. Néanmoins, et c'est le point important semble-t-il, il ne me
paraît
pas démontré que la situation en varus, qui est l
on postérieur (v. fig. 10); la pénétration est peu importante; elle
paraît
tout à fait accessoire dans l'ensemble du phéno
rragiques toute l'importance qu'ils méritent. Cette importance nous
paraît
au contraire considérable ; de concert avec la
ent du canal par les globules sanguins. L'interpréta- tion, en soi,
paraît
répondre aux faits observés. La seule rectificati
rois revenues sur elles-mêmes s'était accolées (Pl. XLV-D). Rien ne
paraît
autoriser à croire que cette disposi- tion soit
ânienne. Sur elle, 384 RABAUD l'action du processus inflammatoire
paraît
être surtout d'entraver son develop- pement. Ma
e j'ai examinés, l'inflammation est toujours très limitée; il ne me
paraît
pas contestable, cependant, que l'inflammation fu
uniquement à établir l'état d'intégrité des faisceaux blancs, nous
paraissaient
des recherches vaines. En effet, l'en- vahissem
e toujours moins atteints que les tissus environnants ; mais ils ne
paraissent
pas en dehors, masqués qu'ils sont par la moell
oi en une masse homogène de tissu conjonc- tif. Chez l'un d'eux, il
paraît
persister encore, dans la partie centrale, une ce
ois assez différents ; mais ces différences, aussi grandes qu'elles
paraissent
, se réduisent en somme, histologiquement, à for
faisceau pyramidal, dont l'un héréditaire. Mais, là encore, un seul
paraît
pur ; dans les autres, la sclérose d'autres faisc
ment dans les mus- cles où la contraction volontaire est abolie, me
paraît
être la suivante, qui n'a point encore été prop
r de mouvements d'élévation de l'épaule, et inversement. 11 ne me
paraît
pas illogique d'admettre que, dans le cas particu
iquité des côtes en effet est plus grande que d'habitude, le thorax
paraît
plus long et se continue en ligne oblique avec l'
es épaules étaient enflés. Une semaine après, l'inflammation a dis-
paru
, mais les douleurs étant devenues encore plus for
un aplatissement des os, assez accentué. Le crâne proprement dit
paraît
grand, comparativement à la face.La circon- fér
uite des rétractions tendineuses. La résistance musculaire est dis-
parue
entièrement, il y a seulement une nuance quand on
duit à l'état normal ». Mais ces faits, déjà rares chez l'adulte, z
paraissent
tout à fait exceptionnels chez l'enfant, et dans
que quelconque, produit de merveilleux effets : la contracture dis-
paraît
comme par enchantement, l'articulation retrouve t
e la malléole externe. Mais à l'inspection, à la palpation, rien ne
paraît
gonflé, tout est souple. L'enfant se plaint de
ans les os » et en effet au pre- mier abord la pression sur le pied
paraît
mal supportée. Mais un examen un peu circonstan
normale, les sens spéciaux probablement de même, car si l'olfaction
paraît
obtuse, des végétations adénoïdes en semblent l
rte de méningite tuberculeuse. Quant à notre malade elle-même, nous
paraissons
être en face de sa première manifestation hysté-
ion de la tête. L'épaule droite ne présente rien d'a- normal ; elle
paraît
cependant un peu plus élevée que la gauche. En
aies étaient en voie de cicatrisation, alors que toute complication
paraissait
devoir être écartée, que la tête s'inclina du c
454 BROCA ET HERBINET emporté, quoiqu'assez doux habituellement. Il
paraît
aimer beaucoup sa mère, il est très caressant,
chute. Pas de morsure de langue, pas d'émission d'urine, l'enfant,
paraît
-il, se débat, il a de l'écume aux lèvres. Ces c
cevait que la tête était inclinée sur l'épaule droite, les douleurs
paraissaient
toujours aussi vives, ce qui détermina une visite
ère est bien portant, que la mère est morte d'accident ; elle avait
paraît
-il, craché à plusieurs reprises du sang, elle é
n mois après le début des accidents. L'enfant est grande, forte, ne
paraît
avoir aucunement maigri, ses muscles s sont'fer
as plisser, l'état général est excellent, d'ailleurs l'appétit n'a,
paraît
-il, jamais changé, il n'y a jamais eu la moindre
lètement par la suspension cervicale. Au premier abord, l'enfant ne
paraît
pas nerveuse. Elle rit et pleure facile- ment,
e surtout, et l'on voit la difformité s'atténuer, parfois même dis-
paraître
. Cette courbure est parfois énorme, souvent mal
contestons pas la possibilité de ce mécanisme : seu- lement il nous
paraît
erroné de le généraliser et il ne s'applique pas
ort de tuberculose pul- monaire,la mère est en bonne santé, elle ne
paraît
pas nerveuse, dit-on,elle n'a jamais eu d'attaq
nsiblement diminué, le réflexe cornéen est nor- mal. La sensibilité
paraît
normale sur la plus grande partie du corps, sauf,
précises ; l'enfant est très intelligente pour son âge, elle aime,
paraît
-il, beaucoup la lecture. Malgré ses protestatio
achet démoniaque qui, même chez cette population arriérée n'eût pas
paru
spontanément (A Montriond près Morzine, il n'y
veloppement du tissu osseux. Toutefois, malgré les travaux multiples
parus
sur ce sujet, un grand nombre de ces dystrophie
s et boudinés ; par leurs fractu- res multiples leurs petits sujets
paraissent
rentrer dans la catégorie des pseudo- achondrop
res dont les portraits nous ont été conservés. La même année voit
paraître
les importants travaux de Kircbberg et Mar- cha
et rapprochent ces malades de certains peuples nains. Les articles
parus
sur l'achondroplasie sont actuellement trop nombr
«d'Augustes». Synonymie ET division. - L'affection qui nous occupe
paraît
avoir aujour- d'hui acquis sa place spéciale da
un travail 5 à 6 fois plus considérable que l'autre. Les membres
paraissent
d'autant plus courts, plus ramassés qu'ils sont,
les associations qu'elles peuvent réaliser entre elles, aussi nous
paraît
-il encore prématuré d'établir un. diagnostic ferm
ropliiques. 2° Enfants. Lorsqu'ils survivent, les achondroplases ne
paraissent
pas souffrir des troubles de leur ossification.
ni des crétins. Si parfois quelques-uns, comme Claudius et Anatole,
paraissent
à cet égard demeurés un peu au-dessous de leur
fig. 1 avec la fig. 2 concernant un enfant normal] les os longs ne
paraissent
que par leurs diaphyses qui sont courtes, épais
les unes des autres (Bouchacourt). Toute- fois, ces altérations ne
paraissent
pas constantes. Enfin les os, d'une façon gé- n
e l'humérus, et chez Anatole, à 40 ans, la soudure des épiphyses ne
paraît
pas encore complète (P. Marie). Par contre elle
normalement conservée. Tête. La face est en retrait, rétrécie et
paraît
d'autant plus petite qu'elle se cache sous un c
la face postérieure devient verticale, tandis que la fosse occipitale
paraît
plus profonde (Regnault). Regnault propose le t
surfaces articulaires élargies. Les diaphyses, dures et compactes,
paraissent
plus épaissies qu'elles ne le sont en réalité.
l'individu. Les coudures occupant la continuité des diaphyses nous
paraissent
relever, ainsi que nous l'avons dit plus haut, d'
com- pliquer la lésion primitive. Dans le rachitisme, les lésions
paraissent
porter avec une prédilection toute spéciale sur
, du tibia, du péroné, de l'humérus et du cubitus nous ont toujours
paru
offrir les alté- rations les plus typiques. L
une surabondance de mucine, as- sez translucide chez le nouveau-né,
paraît
parfois, à l'oeil nu, traversé par un réseau de
d'adénome, si ce terme pouvait être employé pour du cartilage, nous
paraissent
assimilables à d'énormes colonnes de rivulation
est insuf- fisante et défectueuse, autant l'ossification périostale
paraît
active et se rappro- che en général de la norma
égale- ment réparties sur les différents points de l'os. Il ne nous
paraît
pas impos- sible qu'elles soient en rapport ave
n Allemagne par des auteurs qui, en présence de cas où le cartilage
paraissait
normal, se refusaient à admet- tre les dénomina
ticulière. Le terme d'osteogelzesis impcrfecta souvent employé nous
paraît
trop vague pour être opposé à celui d'achondrop
uoique moins hypertrophiées que dans l'achondroplasie, mais peuvent
paraître
énonnes par rapport à certaines diapliyses très
tent sous formes d'épaississements ou de viroles saillantes faisant
paraître
d'autant plus mince la portion de l'os qui les sé
d'ossification (Millier, Paltauf, Porak et Durante). Ces formations
paraissent
indépendantes de l'af- fection osseuse et répon
fections et particulièrement du rachitisme et du myxoedème, qui ap-
paraîtront
d'autant plus facilement chez ces petits malades
e petitesse du maxil- laire supérieur avec conformation spéciale ne
paraît
pas pathologique, et carac- térise l'ensemble d
que nous avons décrits plus haut, que dans l'achondroplasie vraie et
paraît
être une lésion pathognomonÙ/lte de cette affec
plus probables. L'existence d'un nanisme simple accidentel ne nous
paraît
plus être ac- tuellement soutenable. Les peti
sant à poser que, chez le myxoedéma- teux, le traitement thyroïdien
paraît
heureusement efficace, tandis qu'il ne donne qu
sives, renflées aux extrémités ; l'observation III au con- 4 traire
paraît
être un rachitique congénital. Silberstein a exam
e affection. Quelque incomplets que soient ces caractères, ils nous
paraissent
se rappro-1 cher beaucoup du rachitisme dont no
e hypothèse ne réunit plus que peu de partisans et l'achondroplasie
paraît
avoir acquis ses droits à l'individualité. Tout
s comme le point de départ de la dystrophie osseuse. L'achondroplasie
paraît
indépendante du système nerveux et semble relev
chez le foetus (auto-intoxication), quelque t satisfaisante qu'elle
paraisse
, manque encore de vérification anatomique. Les
présence. Toutes deux sont possi- bles ; cependant la première nous
paraît
, jusqu'à preuve du contraire, plus probable vu
er l'étiologie première de cette affection, et cette hypothèse nous
paraît
confirmée par la présence des lésions congestiv
t spécifique de l'os em- bryonnaire. De même, quoique le rachitisme
paraisse
pouvoir être réalisé par le nouveau-né spécifiq
entrent dans la catégorie des troubles trophiques . Ces altérations
paraissent
cytologiquement détermi-' nées par une déviatio
rophie vraie, et ses analogies évidentes . avec les myopathies nous
paraissent
utiles à relever. Il n'y a rien d'étonnant, du
Porak et relevée, aujourd'hui, dans un grand nombre de cas, ne nous
paraît
contredire en rien l'étiologie et la pathogénie
de même dans les affections congénitales. Tantôt tous les systèmes
paraissent
intéressés. |Telle est, par exemple, la syphili
rticulièrement épiphysaire. Cette susceptibilité morbide du cartilage
paraît
pouvoir être héréditairement transmissible au m
la cause de telle systématisation nerveuse ou myopathique. Il nous
paraît
inutile de reproduire ici les diverses hypothèses
nt les supérieures. La voûte palatine est très ogivale. Le malade
paraît
très bien musclé. 11 est difficile d'apprécier
ble du troisième doigt. Très intéressant aussi le sixième doigt qui
paraît
formé par trois phalanges dont la dernière est ap
parole n'était presque pas embar- rassée. Son trouble manifeste a'
paru
quelque temps après et plus exactement, trois m
analogue et ajoutait que le rôle pa- thogénique de la syphilis lui
paraissait
indiscutable. (1) Graves, Clin. Lectures on Pra
cependant un cas où la syphilis, prise par son sujet à 20 ans, lui
paraissait
la cause de l'altéra- tion vasculaire de la moe
on. Il en sortit un peu amélioré, prit régulièrement de l'iodure et
parut
d'abord aller mieux. Mais bientôt la gêne redev
très apparente, plus marquée du côté. Côté droit. Epaule. - Il ne
paraît
pas y avoir d'atrophie marquée du grand dentelé
ze, du sous-épineux, etc. L'angulaire de l'omoplate et le rhomboïde
paraissent
légèrement atteints. C'est surtout au niveau du d
phie complète du testicule gauche : à sa place, un petit paquet qui
paraît
vasculaire et un noyau épididy- maire. Il n'a p
des lésions osseuses, avoir été déterminée par elles ? Gela ne nous
paraît
pas vraisemblable, car chronologiquement l'atro
SUS MÉNINGITIQUE. La nature méningitique de la pseudencéphalie nous
paraît
suffisamment établie par les descriptions précé
ésions inflammatoires dont elle est le siège. Toute discussion nous
paraît
oiseuse à cet égard. Il importe davantage de
jaksonien. Les tendances que traduisent de pareilles considérations
paraissent
au moins déplacées, étant données la nature et
udencéphaliens.Par contre, la croissance du maxillaire inférieur ne
paraît
pas modifiée, de sorte qu'au bout d'un certain
évidentes sous forme d'une lame plus ou moins large. Les cas qui
paraissent
à première vue les plus embarrassants sont ceux o
e choeur de l'église de Gueber- schwihr, le le Martyre du saint, me
paraît
superflue et téméraire. L'artiste a recueilli l
embres supérieurs et des membres inférieurs. Les membres supérieurs
paraissent
très courts, alors que les membres infé- rieurs
order légère- ment à la face externe du cou-de-pied. Le pied gauche
paraît
normal et pour- tant la radiographie montre la
t l'hypertrophie de l'extrémité supérieure du péroné. Le pied droit
paraît
normal. Pourtant, sur la radiographie, on voit
e paternel mourut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mourut,
paraît
-il, de paralysie cardiaque. (1) WALTER, Trattat
e de la tumeur embarrasse un peu le marcher de la petite fille, qui
paraît
un peu boiteuse. - La 17", au bord inféro-externe
soi-même l'intumescence aurait-elle disparu par né- crose, comme il
paraît
être arrivé dans l'exostose du scapulum du cas
entes, lesquelles, précisément en raison de leur caractère spécial,
paraissent
d'une nature assez suspecte. En aucune des troi
Pie-mère mince et peu injectée.Les artères de la base non sclérosées,
paraissent
vides de sang, alors que les veines en sont gor
cte- ment périvasculaire. b) Lorsque l'infiltration augmente elle
paraît
complètement dissocier la paroi du vaisseau. On
de sang ; quel- ques-uns prennent une coloration rouge spéciale et
paraissent
thrombosés. La moelle allongée. Est plus grosse
CQUIN dant l'apparition de fièvre, de symptômes pleuro-pneumoniques
paraît
tout expliquer. Survient une rémission qui dure
lorsqu'ils sont entourés de pus sont fort peu infil- trés. Il nous
paraît
en ressortir que, dans ce cas, leur fonction n'a
rente ; elle a été mariée à un homme de santé assez chancelante qui
paraît
être mort d'une tuberculose pulmonaire à évolutio
duré pendant plusieurs années. Il n'était point grand buveur et ne
paraît
pas avoir eu de manifestations syphilitiques qu
sa soeur ; elle présenterait de plus des troubles de la parole qui
paraissent
ressortir au bégaiement. Le troisième enfant, fil
èbres. Cette cyphose attribuée à un vague traumatisme de l'enfance,
paraît
, en raison de son siège, de l'époque de son appar
c'est un nouvel argument, dont la valeur pour n'être absolue, nous
paraît
néanmoins considérable contre l'hypothèse de l'
ire ou autre. C'est là un argument qui pendant longtemps en effet a
paru
péremptoire pour établir le siège des 666 ' CUA
e nucléaire. Cependant dans les cas d'ophtalmoplégie congénitale il
paraît
établi par quelques autopsies que l'affection r
autant que l'amplitude de l'excursion de l'angle du scapulum, fait
paraître
le sujet ailé. Les omoplates sont ailées. Chaqu
ales sont déjà manifestement constituées. En tout état de cause, il
paraît
difficile d'admettre une relation directe entre l
e pas à pas les destructions successives qu'il opère ; on voit dis-
paraître
peu à peu les diverses parties de la peau, à l'ex
ndaires, les autres sont (ou peuvent être) primiti- ves. Il ne nous
paraît
persister aucune incertitude sur ce point. CHAP
sant hernie au-dessus du crâne ; le cerveau, quoique mal développé,
paraissait
indemne à l'oeil nu. L'auteur considère ce cas
iser, tandis que le cerveau est absolument intact. L'hémicé- phalie
paraît
être alors primitive ; elle a pour conséquence un
e cérébral ou médullaire. Ce rôle du sympathique après la naissance
paraît
incontestable ; seul ce sys- tème est capable d
a Sorbonne. (1) Depuis que ce mémoire est imprimé, deux travaux ont
paru
: G. F. COS\fETTAT05. - L'oeil des Anencéphales
5, 2° série, t. II. e Il s'agit de l'examen d'un seul cas et qui ne
paraît
pas avoir été fait dans les meil- leures condit
renvoyer à tout ce qui précède. Les photographies que je publie me
paraissent
de nature à convaincre autrui, comme elles m'on
YA 705 vient d'éternuer violemment. A sa droite, divers spectateurs
paraissent
se moquer de lui ; derrière eux, un homme à che
eur CHARCOT Leçons du Professeur, Mémoires, Notes et Observations
Parus
pendant les années 18S9-90 et 1890-91 et publiés
réunissant en un recueil. C'est le premier volume de ce recueil qui
paraît
aujourd'hui. J.-M. CHARGOT. Mars 1892. De l
es. En un mot, s'il existe une altération des centres nerveux, ce qui
paraît
bien possible, étant donnée la symétrie des lésio
nez est aminci, effilé, pincé. Les yeux sont excaves profondément et
paraissent
volumineux. Au pourtour de l'orbite, il existe un
que (cas de Monod et Reboul, cas de Gom-bault). Mais cette névrite ne
paraît
pas isolée, périphérique dans l'acception vulgair
simple vertige de Ménière avec lésions scléreusesde l'oreille, qui ne
paraît
pas avoir de rapport avec l'affection qui nous oc
e un athlète. Les réactions électriques des muscles de la main, qui
paraissent
seuls atrophiés, sont normales et identiques des
Il n'existe pas de troubles trophiques sur le membre ; la température
paraît
seulement un peu inférieure à celle du côté sain.
; leurs rapports avec les autres espèces de tremblements, dont ils ne
paraissent
être que des imitations plus ou moins parfaites;
. Marie, mon chef de clinique d'alors, qu'un do ses caractères est de
paraître
éminemment variable, si on l'envisage comme une u
ien d'essentiel de celle (l) Le travail de M. Dutil est aujourd'hui
paru
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière,
hystérie et simulant le tremblement hydrargyrique. La réalité du fait
paraît
établie et la possibilité, constatée par M. Letul
crit, il y a 2 ans, dans les Leçons du Mardi (1). Et le rapprochement
paraîtra
d'autant plus légitime que, dans un cas (l; Leç
quissent les prodromes de l'attaque convulsive. Après tout cela, il
paraît
inutile d'insister davantage : le fantôme de la s
un neurasthénique des mieux caractérisés. Notre homme au contraire ne
parut
se ressentir, d'abord, en rien de la collision qu
ies organiques de la moelle épinière (th. Paris, 1891) et son travail
paru
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière,
, accepter sans réserves cette prédiction optimiste. La migraine ne
paraît
pas constituer une entité, une unité; elle compre
que l'cphthalmoplégie se produit. L'ophthalmrplégie chez ce sujet n'a
paru
que dans un petit nombre d'accès. Ce cas met en
est remarquable que le second, le troisième et le quatrième accès ont
paru
chaque année au mois d'août. 2° Cas de Marie et
des accès migraineux sans paralysie oculaire. Ce genre de migraine
paraît
surtout fréquent chez les femmes ; chez l'homme o
as. Il est des cas, comme celui de Marie et Parinaud, où la maladie
paraît
tendre à la guérison, mais je ne crois pas qu'on
raver progressivement semblent beaucoup plus communs que ceux où elle
paraît
, au contraire, tendre à s'amender. Les premiers a
uestion plus haut. Le premier accès de migraine ophthalmoplégique a
paru
chez elle en 1885, il y a 5 ans ; elle était alor
ée par des accès de céphalée, revenant une ou deux fois par mois, qui
paraissent
avoir présenté les caractères de la migraine vulg
senté les caractères de la migraine vulgaire et qui, ayant commencé à
paraître
vers l'âge de 15 à 16 ans, ont cessé d'exister à
ns doute, à peu près à la même époque de l'année, en mars. La crise
paraît
avoir été provoquée par une émotion morale. La ma
ccommodation est redevenue absolument normale. La médication bromurée
paraît
donc avoir agi suivant nos prévisions ; elle sera
t un mois. Au bout de ce temps, la douleur ayant cessé tout à coup de
paraître
, survient une chute de la paupière droite avec di
empreinte du doigt, de coloration bleu-clair. Un chirurgien, croyant,
paraît
-il, à une affection du périoste, fit deux longues
à 10 et 12 degrés centigrades. C'est aussi au membre supérieur qu'a
paru
l'œdème bleu chez les deux malades que je vais vo
ligne circulaire caractéristique. Ici la filiation des accidents me
paraît
claire comme le jour. Il s'est produit tout d'abo
, vous trouvez chez votre malade la dissociation de l'anesthésie, qui
paraît
être un des carac- (1) J.-M. Charcot. — Leçons
olacé et refroidissement du dos de la main et du poignet. Il y avait,
paraît
-il, à cette époque, une anesthésie complète des p
orme, les yeux fermés, pendant lequel elle répondait aux questions et
paraissait
sensible à quelques suggestions. Mais cet état, q
es précédentes observations d'œdème bleu chez des hystériques, il m'a
paru
intéressant de placer la relation des deux cas su
ar les mouvements de flexion qui sont cependant possibles. La peau ne
paraît
pas douloureuse, mais seulement la pression profo
du sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial postérieur nous
paraît
, si nous en jugeons par le nombre des cas publiés
conférence du mollet). Le pied est inerte et complètement tombant. Il
paraît
y avoir un certain degré de rétraction des muscle
est due, si l'on veut bien admettre les conclusions de l'auteur, qui
paraissent
parfaitement conformes à la vérité, non plus à
enues, toutes deux basées sur l'ana-tomie du sciatique, mais l'une ne
paraît
pas beaucoup plus satisfaisante que l'autre. M. L
a crise qu'elle se redresse. Etat actuel (31 mai 1890). — La malade
paraît
assez forte, sans obésité ni maigreur exagérées.
s territoires normaux, telles que celles que nous avons données, nous
paraissent
parfaitement suffisantes Fig. 26,— Distribution
sparaître. Trois ans après, les douleurs s'étendent à la cuisse. Il
paraît
donc établi que la douleur a été en remontant. Le
la région antéro-ex-terne surtout, mais aussi les muscles du mollet,
paraissent
amaigris notablement. Le pied est tombant ; et
ner, nous croyons que Ton peut tirer quelques conclusions qu'ils nous
paraissent
légitimer de tous points : 1° Il existe une com
rminée par l'usage exagéré de la machine à coudre ( 1 ) ; Il nous a
paru
intéressant de publier l'observation d'une malade
de l'ordinaire ainsi qu'un élément étiologique spécial : l'affection
paraît
(1) Par MM. J.-B. Charcot, interne du service e
nte notre malade semblerait consécutive à l'abus de la machine nous a
paru
intéressant, les observations de ce genre étant r
ed dans une position vicieuse. Nous insistons sur ce phénomène qui ne
paraît
point encore avoir été signalé dans la sciatique.
e cent ans, par Cotugno, étudiée avec soin par Valleix, cette maladie
paraissait
désormais classée, lorsque Lasègue découvrit qu'i
nt le travail de M. Landouzy. Les choses en étaient là et la question
paraissait
épuisée, lorsqu'en 1886, je remarquai, pour la pr
vous avez pu remarquer le jour de son arrivée à la consultation. Il
paraissait
alors frappé de paraplégie, vous disais-je tout à
; elle l'est, à mon avis, dynamiquement. Je m'explique. La moelle me
paraît
avoir été ici l'intermédiaire obligé entre la sci
, d'après les recherches auxquelles je faisais allusion plus haut, il
paraît
établi que, contrairement à l'opinion ancienne, c
en faveur de cette solution. M. Dufour (de Lausanne) dans un travail
paru
récemment dans les Annales d'oculistique (1890) n
s antérieures. Ce rapprochement entre les deux paralysies bulbaires
paraît
d'autant plus légitime que l'on voit parfois les
tes périphériques. En réalité, à côté des névrites périphériques, qui
paraissent
constituer des lésions secondaires et d'une impor
blement par la mort. Chez le second de nos malades, le pronostic me
paraît
moins sombre. Il semble qu'on assiste à une tenda
viens, Messieurs, d'appeler votre attention sur un ordre de faits qui
paraît
devoir, quelque jour, tenir dans la clinique une
ure. On ne saurait dire quelle est l'explication de ce phénomène, qui
paraît
cependant exister le plus souvent dans les cas de
n propre poids. Les muscles de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne
paraissent
pas atrophiés, sont le siège de secousses fibrill
atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier abord elle
paraît
se répartir à peu près également, et le segment d
des pouces. Les membres inférieurs, la moitié inférieure du tronc,
paraissent
au premier abord absolument indemnes. Les cuisses
e qui concerne la paralysie bulbaire supérieure, aucun autre noyau ne
paraît
avoir été envahi. Les mouvements de la face s'exé
ent, qu'elles étaient lourdes; ce fut d'abord la jambe gauche qui lui
parut
faible, puis ce fut le tour do la jambe droite. U
tié supérieure du bulbe, l'ophthalmoplégie externe. Cette association
paraît
peu fréquente, il est vrai, mais elle n'est cepen
'association du faciès d'Hutchinson et du faciès myopathique. Ces cas
paraissent
rares, il est vrai, mais il convient néanmoins de
réactions puissent manquer complètement, bien que des cas semblables
paraissent
devoir être extrêmement rares. Pourquoi en est-il
vation rapportée dans la thèse de Mme Déjerine-Klumpke, et où il nous
paraît
bien difficile d'établir un diagnostic posi-tif (
la polynévrite généralisée. Mais dans certains cas, et le nôtre nous
paraît
être de ce nombre, bien que le malade ait été aut
elever tout entière des lésions spinales de la syringomyélie. Cela me
paraît
être désormais une querelle vidée. Il n'y a pas d
s tout à l'heure, représente seulement, tout originale qu'elle puisse
paraître
cliniquement, une forme atypique de la maladie sy
m mit en évidence les lésions classiques de la syringomyélie. Il ne
paraît
pas nécessaire, je pense, de pousser plus loin la
omadaire, 1890, n° 53, p. 504), un intéressant travail tout récemment
paru
de M. Bernhardt : Lieber die sogennante Morvans'c
abétique est l'expression d'une auto-intoxication, d'autre part, il
paraît
vraisemblable que ces monoplégies dont nous parli
emblable que ces monoplégies dont nous parlions tout à l'heure et qui
paraissent
produites par des foyers de ramollissement multip
par les auteurs, au fur et à mesure qu'on les découvrait. Mais il me
paraît
vraisemblable d'après ce que j'ai vu, qu'il s'agi
unis un à un et rapprochés les uns des autres, ces troubles divers me
paraissent
réaliser un type nosogra-phique défini, dont le t
e dynamique? La première hypothèse, dans le courant actuel des idées,
paraîtra
naturellement plus vraisemblable. En tous cas,
aquelle j'ai proposé d'appliquer le nom de démarche de stepper et qui
paraît
tenir à ce que la paralysie musculaire dans les m
ien qu'il n'ait que 37 ans. Aujourd'hui, je ne veux pas dire qu'il ne
paraît
pas plus que son âge, mais son teint est plus fle
-il vous rappeler, à l'appui de ce que j'énonce, les nombreux travaux
parus
récemment sur ce sujei? Qu'il me suffise de vous
e pas, tant s'en faut, au même degré, aussi s'y prend-on quelquefois,
paraît
-il, à douter de la légitimité cependant parfait
hystérique, dont l'existence, jusque dans ces derniers temps, m'avait
paru
fort problématique. La paralysie, qui porte sur l
iques et comment, jusque dans ces derniers temps, cette affection qui
paraît
, quoi qu'il en soit, être un fait assez rare, a p
ut à l'heure la raison de cette distribution de I'anesthésie qui peut
paraître
singulière au premier abord. Il n'existe point
arque déjà un certain degré d'asymétrie. La commissure labiale gauche
paraît
légèrement tirée en haut et en dehors, tandis que
e gingivale, que le buc-cinateur a été antérieurement paralysé. Il ne
paraît
donc y avoir que deux muscles atteints : le bucci
onc une paralysie faciale bien constatée chez un hystérique et qui me
paraît
bien dépendre de l'hystérie. Il me faut maintenan
te. Tout d'abord elle est en général très peu accentuée. De plus elle
paraît
toujours s'accompagner d'anesthésie des parties p
e, autant que possible, convenablement en valeur et de noter ceux qui
paraissent
avoir eu une influence prépondérante. Tout d'ab
déjà des habitudes alcooliques parfaitement caractérisées. Gela est,
paraît
-il, inhérent à la profession. Il buvait cinq à si
us ne voyons pas en somme que l'abus du vin et de l'eau-de-vie puisse
paraître
moins honteux à avouer que ne le seraient les e
mier accident traumatique. Mais les temps n'étaient pas encore venus,
paraît
-il, et il put recevoir à la nuque un violent coup
dans les tempes, vertiges, scotodinie, il tombe sans connaissance. Il
paraît
que cette première attaque a duré environ une heu
t s'exposer de nouveau à retomber dans les écarts qui sont inhérents,
paraît
-il, à la profession de tonnelier. XV. Sur un
terne, mardi dernier, une jeune fille de dix-huit ans dont le cas m'a
paru
offrir un certain intérêt clinique. Vous vous sou
sieurs, avec ces notions quelque peu arides d'anatomie, mais elles me
paraissaient
indis- pensables comme introduction à l'étude c
le donc en cause? Oui, très certainement, quelque invraisemblable que
paraisse
cette hypothèse. Je dis invraisemblable, parce qu
qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie était,
paraît
-il, accompagnée d'une hémianesthésie tellement pr
is est à l'état d'isolement. Je sais bien que, quelque singulière que
paraisse
tout d'abord cette dissociation, la paralysie de
que, M. Gilles de la Tourette1, a parfaitement mis en évidence et qui
paraît
particulier au blépharospasme hystérique1. Nous s
voir est fille d'un réfugié polonais, fort buveur et très alcoolique,
paraît
-il. L'alcoolisme du père constitue le seul facteu
aujourd'hui beaucoup plus rares. Le père est un émigré polonais qui,
paraît
-il, n'a jamais été malade. C'est un grand buveur
sis de la paupière gauche et l'asymétrie des sourcils. Ce ptosis est,
paraît
-il, plus ou moins marqué suivant les jours; parfo
ntrerai que ma première argumentation, pour spécieuse qu'elle pouvait
paraître
, n'avait abouti qu'à des conclusions erronées et
'il arrivait que considérées à un autre point de vue, les choses nous
parussent
tout autres? Cela n'est peut-être pas impossible;
rrondie, régulière, visible surtout dans l'extension du doigt, et qui
paraît
être formée soit par un cul-de-sac de la synovial
mate syphilitique à peu près univoque. J'ajouterai que cette atrophie
paraît
être un des attributs de la syphilis héréditaire
tre est mort aliéné à l'asile Sainte-Anne. Ces faits d'hérédité m'ont
paru
intéressants à souligner. En effet, n'a pas la sy
s le tableau est si différent dans les deux cas que le contraste vous
paraîtra
frappant. Chez l'un deux, c'est encore l'épilepsi
nstaté un cas chacun de leur côté. Quelque singulière que puisse vous
paraître
cette variété, il est cependant aisé de la concev
heures du matin. Lorsqu'elle fut replacée dans son lit, « bientôt il
parut
évident — c'est toujours M. Féréol qui parle — qu
lle est atteinte ? Au premier abord on est assez aisément dérouté. Il
paraît
évident qu'il existe un foyer quelconque dans la
sion nucléaire, portant sur les noyaux d'origine ? Cette hypothèse ne
paraît
pas-vraisemblable. On sait en effet que la destru
ser tout de suite à une tumeur, et c'est en effet cette hypothèse qui
paraît
la plus plausible. Nous voyons, d'autre part, que
'une anomalie relativement aussi rare. Cette hémiplégie droite nous
paraît
justiciable d'une explication beaucoup plus simpl
is n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Les grands-parents maternels ne
paraissent
pas avoir eu d'antécédents nerveux. Une tante, âg
'âge de quatorze ans. Son développement, pendant la première enfance,
paraît
avoir été régulier jusqu'à l'âge de trois ans. De
régulières jusqu'au début des accidents actuels, mais elles n'ont pas
paru
depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant auc
cas semblable que l'expression « bâiller à se décrocher la mâchoire »
paraîtrait
justifiée. Ce bâillement convulsif diffère enco
et la cadence sont des éléments différentiels de premier ordre qui ne
paraissent
pas exister dans les bâillements épileptiques jus
itude de l'inspiration constitutive de ces bâillements simulés nous a
paru
se rapprocher beaucoup plus de l'amplitude du bâi
; leurs rapports avec les autres espèces de tremblements, dont ils ne
paraissent
être que des imitations plus ou moins parfaites ;
es années précédentes. En voici l'énumération qui, croyons- nous,
paraîtra
très instructive aux yeux des personnes compéte
les encourager à mieux se conduire et si le repentir même passager
paraît
sincère, la puni- tion est supprimée en partie
sence de la glande thyroïde. D'où il suit, d'après ces faits, qu'il
paraît
y avoir une ' Cette étude sur l'idiotie crétino
l'asile, elle fut atteinte d'un premier érysipéle; son intelligence
parut
plus déve- loppée à la suite de cette affection
moplate ; ils n'étaient/ pas enkystés. La graisse qui les composait
paraissait
, au micro^ cope, formée de tissu connectif et d
n, fut également atteint d'érysipèle, mais son état intellectuel ne
parut
nul- lement modifié par cette maladie intercurr
omme correctement divers objets qu'on lui présente. Il estpropre et
paraît
susceptible d'affection (Fiq. 4 .) La tête est
d'extraordinaire; né à terme. - A la naissance, il était gros, mais
paraissait
difforme; la tête surtout était « horrible voir
en arrière, on détermine une vive douleur. La sensibilité cutanée
paraît
normale dans ses différents modes. 0 ? -gaiesde
86. L'état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la mémoire
paraît
meilleure, il semble un peu plus vif, surtout e
CHYDERMIQUE. 25 La bouffissure de la face, mentionnée ci-dessus, ne
paraît
pas avoir existé toujours au même degré; il sem
- Th... à l'âge de 21 ans (mai 1882). Aujourd'hui, la face bouffie
paraît
avoir perdu beaucoup de sa mobilité et les rare
d'un blanc mat, assez résistante sous le doigt, comme infiltrée et
paraît
recouvrir une épaisse couche de tissu cellulair
a transpiration est insensible et l'excrétion de la matière sébacée
paraît
complète- ment suspendue. Au niveau des régio
st très marquée. Quant aux sensibilités spéciales, la vue et l'oUle
paraissent
égales des deux côtés. Le goût semble intact. T
ure ou des bonbons. Une poupée qu'il a eu pendant quelques semaines
paraissait
lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est
aude, état saburral des premières voies digestives. 24. - Le malade
paraît
un peu abattu, la rougeur s'est étendue ainsi q
selle depuis quatre jours (il ne mangeait pas depuis deux jours et
paraissait
souffrir), est amené à l'infirmerie. Lavement.
ganglions semi-lunaires, la partie inférieure du grand sympathique
paraissent
absolument normaux; les parties supérieure et d
o à '<6 ? de largeur et 1 centim.de hauteur; il est assez épais;
paraît
sensiblement hypertrophié. Lorsqu'on enlève le ce
uche optique, sont normaux. Cervelet. - Les hémisphères cérébelleux
paraissent
normaux. Analyses de la peau. - Nous avons fait
de la scissure sous-pariétale gauche. 3° Enfin le corps pituitaire
paraissait
sensiblement hypertrophié. Nous reprenons mai
achydermique publiés par les auteurs. Voici un cas de M. Bouchaud',
paru
en 1884, et que nous reproduisons complètement
dénué de sentiments affectueux, il ne s'at- tache à personne et ne
paraît
pas reconnaître ceux qui lui don- nent des soin
Les sens sont intacts ; il voit et il entend ; l'odorat et le goût
paraissent
cepen- dant peu développas. - Il est faible et
e cette peau n'a pas été pratiqué et que la présence de la mucine a
paru
faire défaut dans un certain nom- bre de cas de
dans le service de Legrand du Saulle. Nous le relatons tel qu'il a
paru
à cette époque.' Observation VIII. - Oncle pate
nstata enfin une obnubilation générale de l'intelligence. Il nous
paraît
inutile d'insister sur les symptômes présentés
t souvent du froid. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Rien ne
paraît
l'intéresser plus longtemps que quelques secondes
ate du début de l'atrophie de la glande thyroïde; toutefois, il lui
paraît
vraisemblable que, dans son cas, on avait affai
tignolles. L'un de nous a eu l'occasion de voir ce malade qui lui a
paru
être un bel exemple d'idiotie crétinoïde avec c
ïde avec cachexie pachydermique. La véritable nature de l'affection
paraît
avoir échappé à M. Bail. Une circonstance parti
; elle était née à terme, était bien conformée, intelligente et ne
paraissait
que son âge, contrairement à ce qu'écrit M. Bal
égétative s'accomplissent avec régularité. Tous les sens spéciaux
paraissent
être à l'état normal et la sensibilité tactile
ous suffit de citer ces quelques lignes pour montrer que M. Bail ne
paraît
pas être au courant des travaux publiés sur l'i
pplique les méthodes d'enseignement dus à Edouard Seguin. M. Bail
paraît
ignorer les résultats très sérieux obte- nus da
normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon état
paraissait
être dû à un excès de la graisse sous-cutanée s
inoïde avec cachexie pachydermique. Le diagnostic de myxoedème nous
paraît
cependant devoir être posé assez clairement, si
able du corps thyroïde, etc. Aux cas de crétinisme avec myxoedème
paraîtrait
aussi devoir se rapporter l'observation de M. A
distincte ; l'enfant était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il
paraît
plutôt s'agir d'un myxoedème opératoire; nous a
th, Bail, Goodhart, etc., et que nous avons rap- portées plus haut,
paraissent
en fournir la démonstra- tion2. Il ressort de
s idiots crétinoïdes, l'absence ou l'atrophie de la glande thyroïde
paraît
constante. Les quelques autopsies de sujets att
M. Brandes, il s'agit d'un homme de quarante ans dont le myxoedème
paraissait
remonter 1 La question de crétinisme mériterait
ux oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde
paraissait
nor- mal. - Dans l'autopsie du cas de Ord, fait
lement dimi- nuée de volume. 80 IDIOTIE CItCTINO1D1's. glande a
paru
douteuse (Goodhart, Ilidel-Saillard, Ord, Gowan
sence de la glande thyroïde a été constatée ou dont l'existence a
paru
très douteuse, semblent établir une relation évi-
tance corticale. Le tissu de l'arachnoïde et surtout de la pie-mère
paraît
fortement épaissi, mais en intensité variable, à
lia brièvement deux nou- veaux cas. Il faut noter que la cachexie
paraît
d'autant plus à craindre que l'opéré est dans l
re est plus favorable que celui du myxoedème médical dont la marche
paraît
fatalement progressive, si l'on en juge par les
s sur les animaux, les plus concluantes et les mieux conduites nous
paraissent
être celles de M. Horsley, tant à cause de l'es
rches de M. Horsley, entreprises sur le chien, le chat et le singe,
paraissent
démontrer que la glande thyroïde est d'autant p
pect ordinaire, mais ses circonvolutions sont un peu maigres, et il
paraît
un peu en retrait sur les parties environnantes
étant mort, la mère malade, il a souffert de la misère. Sa mère,
paraît
-il, no le laissait pas s'asseoir. Pendant 15 jo
la petite fille, retournée aujourd'hui dans- le pays de sa mère qui
paraissait
l'affectionner assez, et notre malade qu'elle n
te et lui a enlevé l'enfant pour le faire placer à Sainte- Anne. Il
paraît
qu'un jour sa mère le laissa enfermé seul toute
, de diarrhée. L'abdomen est un peu gros. - Le foie, la rate, etc.,
paraissent
normaux. Pas de bave, de succion, d'onanisme, n
TUBERCULOSE GÉNÉRALISÉE. 133 on constateque l'enfant se ralentit et
paraît
de plus en plus souffrant. On l'envoie à l'infi
e d'un cancer de l'utérus. Les antécédents personnels de l'enfant
paraissent
indi- quer que jusqu'à 5 ans, il était intellig
vril, on remarque que l'enfant travaille de moins en moins et qu'il
paraît
souffrant. Ces phénomènes s'accusant, il est en
QUES : CONVULSIONS. les crises, il ne reprenait pas connaissance et
paraissait
être mort. Ces convulsions ont été attribuées à
ines après les précédentes. En juin, les troubles intellectuels ont
paru
s'améliorer et l'attention paraissait plus faci
uin, les troubles intellectuels ont paru s'améliorer et l'attention
paraissait
plus facile à fixer. Les convulsions ont reparu
gr. ; le foie, 570 gr. Tête. A l'ouverture du crâne, la dure-mère
paraît
adhé- rente aux os; le sinus longitudinal supér
substance cérébrale. Le cervelet se décortique avec faci- lité ; il
paraît
plus dur au toucher qu'à l'ordinaire. Hémisphèr
, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancées, et
paraissent
avoir mar- ché du centre à la périphérie. En ef
Purkinje sont admirablement conservées. En résumé, les lé- sions
paraissent
plus marquées sur les régions postérieures de l
petites, cubiques, non granuleuses, remplissent les culs-de-sac et
paraissent
revenues à l'état indifférent. I. L'existence d
loro- formisation.-A la naissance, l'enfant n'était pas asphyxié,
paraissait
normal. Elevé au sein par sa mère, il a été sev
re les deux arcades dentaires. A droite, au point correspondant, il
paraît
avoir existé une môme lésion ac- tuellement cic
lète du tissu adipeux sous-cutané. Les différentes parties du crâne
paraissent
symétriques. Le trou occipital, les fosses occi
ifférentes scissures delà face interne assez profondes et sinueuses
paraissent
normales, b) Face convexe. La première circonvo
rement chagrinée. Le lobule orbi- taire est sinueux; le gyrusrectus
paraît
normal ; les autres circonvolutions de ce lobul
ité postérieure est comprise dans le kyste temporal. Le corps strié
paraît
normal, ainsi que la couche optique. Le ventr
aît normal, ainsi que la couche optique. Le ventricule latéral ne
paraît
pas en connexion avec le kyste. L'hémisphère cé
e désir de man- ger ; il ne prend que des aliments, légers et il ne
paraît
pas savoir mâcher. Ni vomissements, ni ruminati
ts à sa situation normale. D'une manière générale, les contractures
paraissent
avoir augmenté, les pupilles réagissent mal à l
grise. Sur des coupes colorées, on constate que la vascularisation
paraît
normale; les cellules nerveuses sont nombreuses
re part, les cellules interstitielles à petits noyaux sphériques ne
paraissent
pas multipliées dans la subs- tance grise, mais
retrouve dans la plupart descerveaux en voie d'atrophie ; ils nous
paraissent
constitueruneébauche, un début microscopique, d
à rencontrer la ; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne
paraît
pas altérée. La lèvre inférieure de la scissure
oup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles
paraissent
abondan- tes ; à part cela, l'aspect est égalem
ravées nesont pas modifiées. Les faisceaux musculaires eux-mêmes ne
paraissent
pas altérés. I. Nous n'avons pu recueillir que
rents degrés ; dans la moelle, encéphalite. 177 le même processus
paraît
plus avancé encore, et l'atrophie des éléments
; 2° sur l'épaule droite et le thorax. L'enfant est maussade et ne
paraît
pas souffrir localement. 20 août. L'éruption es
cule latéral, la couche optique, le corps strié et la conie d'Ammon
paraissent
normaux. Lobe orbitaire. Les scissures sont peu
lle est amaigrie et mamelonnée et offre uno surface irrégulière qui
paraît
être due à l'état chagriné poussé à l'extrême e
oupées de sillons transversaux, su- perficiels,assez nombreux,et il
paraît
, à cause de cela,cou- vert de hachures. Les sil
s les directions. Le nombre des éléments 188 EXAMEN HISTOLOGIQUE.
paraît
sensiblement accru, et il existe une série de poi
lules motrices en ce point (1). RÉFLEXIONS.- Cette observation nous
paraît
justifier les réflexions suivantes : I. Un mo
ie rosée. (Fig. 18, Il,) Membre inférieur droit. La hanche droite
paraît
normale; toutefois ses mouvements sont un peu l
aucun vestige ; la capsule surrénale gauche existe. Le rein droit
paraît
normal, mais son uretère est très sinueux, dilaté
me existe chez un aïeul maternel et aucun membre de la famille ne
paraît
avoir été atteint d'affections nerveuses graves,
ux et des muscles, non intéressés par la tumeur. Cette ectromélie
paraît
être due à la tumeur; nous ne pouvons être plus
tées ; testicules volumineux et durs. La racine de la bourse droite
paraît
plus grosse que celle de la gauche. Pas d'onani
urds et mal frappés; pouls, 112 par minute. - Sensibilité générale,
paraît
normale. Sen- sibilité spéciale, d'une explorat
e. Pas d'emphysème du cou. A l'ouverture de l'abdomen, le péritoine
paraît
sain ; un peu de liquide rougeâtre dans le peti
n antérieure à l'angle supérieur de la plaie sont gonflées^ mais ne
paraissent
pas avoir été atteintes.- Pharynx et oesophage
fonds. La scissure de Sulvius est . normale. La frontale ascendante
paraît
assez bien déve- loppée, elle est sinueuse et i
siège plus fréquemment sur les 6°, 7° et 8« cartilages, ce dernier
paraît
être plus souvent atteint que les autres. Le ch
ic. Aucun des traités de pathologie,de neu- rologie, de psychiatrie
parus
, certes, en abondante quantité, dans ces derniè
coup plus com- plet, est antérieur au travail de M. Crichton Browne
paru
seulement dans le cours de 1873 (The West Ridin
, normal dans toutes ses parties, scissures et circonvolutions ; il
paraît
plus large dans son ensemble que celui du côté
fre à sa partie moyenne une sur- face en retrait et chagrinée; ello
paraît
un peu moins déve- loppée qu'à gauche. Les scis
nnel. Exagérons l'erreur encore : voi là un enfant de seize ans qui
paraît
n'avoir que dix ans. Cette fois il n'y l'infant
une ca- chexie progressive, au vrai sens de ce mot. Il nous a donc
paru
rationnel d'assimiler les infantiles à des myxo
cuper d'autres malades,il fondait en larmes. Tous ces enfantillages
paraissaient
même disproportionnés avec son âge apparent. Ma
près sa naissance. A partir de cette époque ses règles ces- sent de
paraître
; ses seins se modifient, diminuent de volume ; s
avons pu suivre pendant plusieurs années, et dont l'histoire nous a
paru
présenter plusieurs particularités intéressantes.
aujourd'hui, sont normaux'; les masses musculaires sont flasques et
paraissent
amoindries ; les jambes, en particulier, sont p
ne couche épaisse de plusieurs centimètres. La plupart des viscères
paraissent
engainés, comme la colonne vertébrale elle-même
sont sains, il n'en est pas de même des disques intervertébraux qui
paraissent
partiellement ossifiés surtout dans leur partie
nissant les corps vertébraux; les articulations costo-verté- brales
paraissent
normales. Les lésions des articulations coxo-fé
tte, il existe un épaississement diffus de l'endocarde. Le myocarde
paraît
normal ; cependant, au niveau des zones sous-endo
de l'organe : cette zone, examinée à un grossissement suf- fisant,
paraît
formée par des amas pigmentaires d'origine hémati
tissu périvasculaire est épaissi, sans que les vaisseaux eux-mêmes
paraissent
lésés. La glande ne présente pas d'altération n
être chez un sujet normal. La pituitaire, dans sa partie nerveuse,
paraît
absolument saine. Dans sa partie glandulaire, l
un certain degré de sclérose interstitielle, sans que la cap- seule
paraisse
notablement épaissie. L'examen histologique des
né- gatifs. L'écorce, examinée au Nissl, au Marchi, et au Weigert,
paraît
absolu- ment saine ; les grandes cellules pyram
fférents niveaux (renflements cervical et lombaire, moelle dorsale)
paraît
tout à fait saine : les grandes cellules radicu
as de sclérose périvasculaire. Sur le second morceau, les lésions
paraissent
plus avancées. Le fibro-carti- lage du ménisque
Brouardel-Gilbert (fascicule VIII), écrivent cette phrase, qui nous
paraît
mettre tout à fait les choses au point : « Sans
pte de l'évolution si particulière des acci- dents : mais elle nous
paraît
conforme aux idées qui ont actuellement cours s
, du grand pectoral. Le trapèze, les muscles sus et sous-épineux ne
paraissent
pas atteints. L'impotence fonctionnelle de ce m
vite lorsqu'elle les fait agir. Les muscles du bras et de l'épaule
paraissent
intacts. , On note quelques secousses fibrillai
t l'impotence des membres supérieurs persistent 48 . LONG mais ne
paraissent
pas progresser. La malade s'est plainte au début
tif, est proportion- nellement moins lésé que les nerfs mixtes ; il
paraît
presque normal sous un faible grossissement.
s mixtes les faisceaux qui vus à un faible grossissement (PI. V, B)
paraissent
, comme le nerf brachial cutané interne, peu altér
après traitement par l'acide acétique, la potasse ou la soude elles
paraissent
plus lisses et homogènes, moins foncées et elles
ées pour montrer combien l'observa- tion que nous rapportons aurait
paru
difficile à classer il y a quelques années enco
rs vieillards la présence d'un aspect cli- nique particulier qui ne
paraissait
répondre à aucun des types morbi- des connus. I
us larges qu'à l'état normal et que les circonvolutions à ce niveau
paraissent
amin- cies, réduites d'épaisseur. Cet amincis
ère ne sont pas réduites de vo- lume : leur conformation extérieure
paraît
normale. Le cervelet, a été, par une coupe sagi
seau des fibres myéliniques qui se trouve dans la couche des grains
paraît
être dans les mêmes points un peu raréfié. Il est
on, mais pas une diminu- tion d'épaisseur, la couche moléculaire ne
paraît
pas atrophiée. Enfin on trouve distribuées parm
s et tassés que ceux d'un cervelet normal, la couche moléculaire ne
paraît
présenter, pas plus que celle des grains, une r
on embryonnaire ou de multiplication des noyaux. Les vaisseaux ne
paraissent
pas malades. Noyaux centraux. - Le noyau dentel
x ne paraissent pas malades. Noyaux centraux. - Le noyau dentelé ne
paraît
pas avoir subi une atrophie : il est bien dével
t que l'épaisseur de la coupe permet d'en juger on peut dire qu'ils
paraissent
être bien développés et contenir de nom- breuse
de nom- breuses cellules. Les noyaux du toit sont bien visibles et
paraissent
aussi être bien développés el contenir des cell
nous pouvons nous borner à dire que les noyaux de Deiters nous ont
paru
bien riches en cellules et que le segment interne
culée de la calotte, la substance grise de la protubérance nous ont
paru
aussi contenir des cellules aussi nombreuses qu
e, réduite en largeur et en longueur. Cette réduction ne nous a pas
paru
exister dans notre cas, tout au moins elle n'étai
ubit pas le traitement mercuriel. Un mois plus tard la vision réap-
paraît
progressivement dans les deux yeux; dès lors la m
fficile et hésitante, en raison des douleurs. Mais la démar- che ne
paraît
pas ataxique. Elle se conduit bien dans l'obscuri
ont dou- loureux à des degrés divers ; d'une façon générale elle ne
paraît
pas sensible 86 CHARTIER ET DESCOMPS ment dim
presque nulle. Et il en conclut que « ce bienfait partiel et léger
paraît
indiquer que le corps thyroïde n'est pas seul res
sont des indices chez lui d'une lésion de la glande pituitaire. Il
paraît
rationnel d'admettre dès lors que la polysarcie s
notions morphologiques eussent évité cette bévue. L'année suivante,
parut
encore dans cette revue un article de Paul Bich
rches sur plan ascendant ou descendant, sur escalier,etc.), qui ont
paru
ici même (1), comprenant non seulement l'exposé
ar la thérapeutique employée. » Plus récemment, l'année dernière, a
paru
un livre du Dr Bruandet, professeur suppléant à
médecins les services les plus immédia- tement pratiques, vient de
paraître
sous forme d'un manuel conçu et réalisé encore
ensibilités olfactives et gustatives sont intactes. L'acuité visuelle
paraît
conservée ; pas de dyschromatopsie ni de modifi
et des temporaux sont au contraire à peine appréciables ; elles ne
paraissent
pas nulles toutefois, car on obtient un certain
je le crois, ce fait n'a rien de surprenant,car l'ophtalmo- plégie
paraît
avoir débuté : l'envahissement du noyau masticate
Strümpell et Pierre Marie, combattue ensuite par quelques auteurs,
paraît
avoir aujour- d'hui rallié beaucoup de suffrage
sclérosées ou présenter un aspect microgy- rique. Leur disposition
paraît
normale. Le cerveau dans son ensemble parait un
développée que la moitié droite. Cette asymétrie, même à l'oeil nu,
paraît
être due à une atrophie plus ou moins forte sui
Sur des préparations au Weigert et au Pal la corne antérieure gauche
paraît
en totalité plus faiblement colorée que la droi
même pour les pyramides bulbaires qui sont très bien colorées et ne
paraissent
pas atrophiées (PI. XXVIII). Ces pyra- mides bu
us pouvons ajou- ter foi aux renseignements fournis par la mère, il
paraît
bien qu'il ne s'a- git pas ici d'une paraplégie
hémiplégie cérébrale infantile. En effet, les travaux anatomiques
parus
depuis lors sur la poliomyélite aiguë de l'enfa
scarlatine, variole, oreillons, etc. Très souvent encore, lorsqu'elle
paraît
être indépendante d'une maladie infectieuse que
Fischl, Raymond (1), Batten (2)], (3). En présence de ces faits il
paraît
d'autant plus logique de penser, comme Oppenhei
stitue-t-il une entité bien distincte ? la réponse positive ne nous
paraît
pas douteuse, et cette affirmation est basée sur
evenant plus ou moins rapidement enva- hissante. i . Ces faits me
paraissent
permettre la compréhension du mécanisme éta- bl
névrose est épaissie et la travée intermusculaire encore plus (elle
paraît
sur la coupe comme formée par des piliers de tiss
ctés. Le début a été fébrile. Douleurs et éruption vésiculeuse dis-
paraissent
. La tuméfaction n'en persista pas moins. Elle ne
ette glande. Ces lésions sont incons- tantes et cette pathogénie ne
paraît
pas s'appliquer à tous les cas. Quant à l'effic
ependant, il semble exister une certaine raréfaction des fibres qui
paraissent
plus espacées et moins nombreuses qu'à l'état nor
niveau du bulbe, soit complète. Ce fait qui pourrait de prime abord
paraître
anormal, n'a rien cependant qui doive nous surp
1° Clinique. - Chez un homme, syphilitique, âgé de 32 ans, est ap-
paru
, 5 ans après le chancre, dans l'espace de 10 jour
de Reil latéral et du corps genouillé interne, formations qui sont,
paraît
-il, en rapport intime 206 ROSSI ET ROUSSY ave
s'est accompagné de douleurs continues aux endroits où elle est re-
parue
. A la limite entre l'anesthésie et la sensibilité
ère ligne, les cordons postérieurs et puis les cordons latéraux. Il
paraît
que les artères nourricières (Van Ge- huchten)
difficile en ce cas, je me bornai à celle de la douloureuse, qui me
parut
diminuée dans la main droite. Les réactions élec-
e s'appuyant aux objets, ou murs voisins; les réactions électriques
paraissaient
être normales; l'atrophie de l'éminence thénar
INFANTILE 223 L'amyotrophie de la polynévrite, qui, selon Dejerine,
paraît
être plus précoce, est susceptible de s'amélior
n à la Société Médicale des hôpitaux de Pa- ris (2). Mais il nous a
paru
intéressant de revenir sur quelques points de s
molles que la clavicule se déforme facilement à la pression. Il ne
paraît
pas qu'il y ait articulation de la clavicule avec
s'articule avec le sternum par un tissu fibreux très lâche. Elle ne
paraît
pas s'attacher à l'acromion, mais s'ar- rêtera
n peu grosses, légèrement hippocratiques, et cette déformation nous
paraît
relever des troubles de l'hématose dus à la défor
dont la dentition était très peu developpée. De ce court aperçu il
paraît
bien que les troubles de la dentition sont un s
alement trouvé signalés en Amérique deux cas qui,d'après leur titre
paraissent
également concerner des luxations du radius congé
examen histologique permettrait d'en résoudre l'origine. Aussi nous
paraît
-il difficile d'admettre avec Apert (3), que la dy
du corps étaient bien proportionnées et à un examen superficiel il
paraissait
être un gar- çon de 12 à 14 ans, il avait conse
e alors qu'il avait 7 ans ; il n'avait ni frère ni soeur. Sa mère
paraît
bizarre et peut être soupçonnée d'éthylisme. Lui-
57, le gauche pèse 2 gr. 6 centigrammes. La glande thyroïde : elle
paraît
peu atrophiée relativement, les deux lobes pèse
pha- lo-rachidien pas très abondant. Hémisphères non décortiqués,
paraissent
extérieurement normaux. Sur la face inférieure
petite noix muriforme, blanchâtre, de consistance crétacée. Elle ne
paraît
pas augmentée de volume. L'ensemble est conserv
ération de cellules épithéliales et de cellule. Le tissu conjonctif
paraît
peu augmenter. Le testicule : est le siège d'un
mydriase paralytique . maximale, dont la nature hystérique ne nous
paraît
pas douteuse. La rareté des faits analogues et
haut et en dedans, ce qui peut être considéré comme nor- mal. Elle
paraît
ne pas réagir à la lumière du jour ; avec un écla
sion verte qui s'est manifestée après l'instillation d'ésérine nous
paraît
être un phénomène de même nature ; on ne sait q
chich en Egypte empirerait probablement l'état des choses. L'alcool
paraît
aussi avoir une action plus délétère, spé- cial
nt amené à leur suite une surdité progressive. ! La maladie .actuelle
paraît
avoir débuté d'une manière insidieuse vers l'âge
omparaison avec le côté opposé, mais d'une manière abso- lue. Il ne
paraît
guère, toutefois, exister d'atrophie musculaire e
minués. Par contre, les muscles de la paroi ab- dominale antérieure
paraissent
bien se contracter ainsi que le diaphragme et l
ns s'accompagner de symptômee cutanés carac- téristiques. Il nous
paraît
donc inutile de prolonger le diagnostic différent
dus à des lésions d'otite catarrhale chronique et la huitième paire
paraît
bien indemne. Il existe encore chez ce malade d
ômes que l'on observe chez F...; le maximum des lésions médullaires
paraît
siéger en C., elles se prolongent probablement
us soit avant tout intra-médullaire, la pachyméningite cervicale ne
paraît
jouer aucun rôle (absence de douleurs, de raide
douleurs, de raideur de la nuque, etc.). Dans la moelle, la lésion
paraît
atteindre avant tout la corne postérieure (trou
superficielles, troubles trophiques), mais le cordon postérieur ne
paraît
pas indemne (sensibilités profondes presqu'a- 2
ne de Babinski), enfin, la corne antérieure à la ré- gion cervicale
paraît
légèrement atteinte (parésie flasque du bras), ma
électriques sont peu troublées au ni- veau des muscles malades, ils
paraissent
surtout des troubles secondaires, incapables d'
u radius droit est plus volumineuse que celle du côté gauche. Il ne
paraît
pas y avoir de lésions articulaires. Les os off
due à l'augmentation de volume des parties molles, sans que la peau
paraisse
prendre une très grande part au pro- cessus.
les. A... ne peut marcher que si on le soutient. A droite l'ouïe ne
parut
jamais altérée, elle sembla parfois diminuée à ga
trabisme divergent de l'oeil droit. Les moitiés droites des rétines
paraissent
insensibles. Le strabisme s'accentue, disparaît,
. 2. mais touchant également le pied de Fa. et Pa. G. s. m. et T. 3
paraissent
li- bres. Résultats macroscopiques. - Le cerv
es ventricules, puis débité en coupes sériées. L'hé- misphère droit
paraissait
plus volumineux que le gauche. Cela fut confirmé
é au néo- plasme (Icotogr., n° 2, 1905). Vaisseaux. Il y en a qui
paraissent
intacts. D'autres ont une intima for- tement ép
nt laissé dilacé- rer par la pression du sang ». Cette hypothèse me
paraît
difficilement ad- missible, la présence du néop
l- térés, ce qui explique l'hémianopsie, car c. g. e. et le tractus
paraissent
in- tacts ou peu touchés. L'hémianopsie fut don
d antérieur et médian de l'hémisphère droit du cevelet. Ce kyste ne
paraît
pas communi- quer avec le IVe ventricule et s'ê
à sa partie inférieure un très petit lobule, de forme arrondie, qui
paraissait
être un doigt rudimentaire. IL Enfant de deux a
tte articulation. Le bras est long de 7 a 8 centimètres, et il ne
paraît
pas y a avoir de diffé- rence de longueur ni de
309 deux petits tubercules réunis pas plus gros qu'une noisette, ne
paraissent
constitués que par des parties molles ; cependa
avec la partie externe du 2" métacarpien. ' . Le grand os anormal
paraît
résulter de la fusion du pyramidal, du grand os
ge de l'auriculaire. Pour les deux doigts extrêmes, la 1'° phalange
paraît
à peu près normale, tan- dis que les deux derni
partie interne et antérieure, et externe et postérieure du bras ne
paraissent
qu'ébauchés. Le biceps qui était le seul à la r
ême trajet des artères sous-scapulaires, et la cinquième enfin, qui
paraît
être la continuation du tronc, descend tout le
de 3 ans. La monstruosité porte tout entière sur l'avant-bras, qui
paraît
amputé à l'union du tiers supérieur avec les de
eu moins nombreuses du côté de l'hémimélie. Mais, en somme, il nous
paraît
qu'il s'agit surtout d'une atrophie en masse de l
Sujet mâle, 39 ans. Le fémur se termine par une masse arrondie, qui
paraît
mamelonnée. La surface articulaire est située s
ne de la cuisse. Le talon regarde en haut et en avant; le calcanéum
paraît
très irrégulier. On ne peut distinguer les os du
orteils. Leur autre extrémité, au contraire, n'est pas distincte et
paraît
se souder à une masse osseuse irrégulière, form
iste un petit os pisiforme, isolé des précédents. Ces différents os
paraissent
être l'ébauche du premier cunéiforme, du scaphoïd
ur son bord interne. Le carpe n'est représenté que par trois os qui
paraissent
être le trapèze, le grand os, le pyramidal, le
e radius, à part son incurvation, semble avoir une forme normale et
paraît
complet ; le cubitus, au contraire, n'est pas nor
ie que l'on pourrait appliquer à ce cas d'hémimélie. Les avant-bras
paraissent
d'autant plus courts qu'ils restent fléchis à ang
ras, la main et les doigts forment comme un Z allongé ; deux doigts
paraissent
en partie fusionnés." Les radiographies montr
xtrémité inférieure du radius et en bas avec l'os du métacarpe ; il
paraît
correspondre à la fois au scaphoïde et au tra-
en partie soudés. L'os qui s'ar- ticule avec la tête du métacarpien
paraît
formé par la fusion de la 1 ? phalange du pouce
gt semble être l'index ou le médius. L'avant-bras extrêmement grêle
paraît
ne pas présenter de carpe. Le bras gauche possède
ot de sclérose sénile dans la substance blanche, c'est qu'il nous a
paru
doublement instructif. En effet la sclérose de
let d'un paralytique. Si on veut bien se reporter il un travail qui
paraît
en même temps que celui-ci dans l'Encéphale (1
diminution de l'odorat, cons- talée par le malade lui-même, et qui
paraît
nette et bilatérale. La motilité est normale, l
et, si on le lâche, en imminence de tomber en arrière. La force ne
paraît
pas plus diminuée dans une jambe que dans l'ant
'en arrière, et contenue dans la corne postérieure droite. Sa paroi
paraît
être constituée par une bande de tissu névrogliqu
igment est abondant, les prolongements grêles. Ces altérations nous
paraissent
devoir être mises moins sur le compte de la gli
i nous reste à résoudre est particulièrement délicate et il ne nous
paraît
pas qu'on puisse lui donner, actuellement, une so
mégalie que l'apparition des arthropathies par exemple. Ce qui nous
paraît
à retenir, c'est l'importance prise dans notre ca
onjonctif, peau) réagissent différemment, elle reste cachée et nous
paraît
à chercher moins dans la localisation elle-même d
r un agent morbide défini. Après la présentation de ce travail, est
paru
un important mémoire de M. Karl. Petreu ; nous
Nancy. L'observation suivante d'ecchymoses zoniformes spontanées me
paraît
. constituer un type morbite dont je n'ai pas en
isant défaut comme il arrive souvent également pour le zona. Elle
paraît
cependant fort probable dans la deuxième observat
revue générale de Porak et Durante sur les Micromélies congénitales
parue
ici même en 1905 : on y trouvera l'historique c
rt pas du mystère où se cachent ses semblables, cependant il nous a
paru
intéres- sant à relater à cause de la multiplic
t d'une double spatule (PI. LXXII) ; la malléole interne manque. Il
paraît
unique- ment constitué par du tissu spongieux,
ale et s'ar- ticule comme il convient ; sou extrémité supérieure ne
paraît
pas défectueuse au point de vue anatomique, mai
ur arriver graduellement à l'angle droit; la face supérieure du col
paraît
d'ailleurs comme usée par les frottements et les
ent différenciés que ceux décrits dans notre cas ? La question nous
paraît
tout au moins dou- teuse et mérite d'être posée
rpe, et termi- née par des tubercules, en partie cartilagineux, qui
paraissent
des rudi- ments du squelette métacarpo-phalangi
es par absence de la tige ou rayon radial ; l'avant-bras et la main
paraissent
mieux représentés dans leur ensemble ; généraleme
tés de l'ectromélie et plus spécialement celles de l'hémimé- lie ne
paraissent
pas devoir reconnaître une pareille origine; elle
des arrêts de développement et des monstruosités dont le mécanisme
paraît
être de même nature que celui que nous invoquon
ux central est en pleine période de développement, où ses fonctions
paraissent
nulles encore et où il ne se trouve pas en conn
t, une origine endogène est possible, mais une origine exogène nous
paraît
plus probable ». L'origine du processus est, ai
onstruit d'après les indications de Warren Harmon Lewis, combien il
paraît
logique de penser qu'il s'agit, dans notre cas
yenne, d'une constitution délicate et d'une phy- sionomie agréable,
paraît
avoir joui d'une bonne santé jusqu'à l'âge de q
r, de 6 kilogrammes 1/2 pour la droite, et de 7 pour la gauche, qui
paraissait
un peu plus développée. La peau, qui recouvre c
ent dans la constitution normale du sein), la peau, disons-nous, ne
paraissait
en aucun point avoir subi aucune altération, au
le tableau, une seule représente la malade après l'opération ; elle
paraît
, à peu de jours près, contemporaine de la peint
s et Barbé) Masson et Cire, ] : ,Ittctllq PhOI01YP ! 11 BrrLhauJ,
Paru
UN CAS DE P011ENCÉI'.IL[L ? CHEZ UN HYDROCÉPHAL
- lier, pour la distinguer de la porencéphalie vraie. Ce cas nous a
paru
in- téressant à rapporter tant à cause des part
que se localise la lésion principale Mais con- trairement à ce qui
paraît
exister chez l'achondroplasique, les os du tronc,
des maladies de la moelle épinière : avec la déformation du visage
parurent
d'abord l'aménorrhée et les altérations des os,
duraient 3 jours. Mais depuis l'âge de 18 ans les douleurs ont dis-
paru
et la fonction menstruelle se répète régulièremen
unication à la Société de Neu-. rologie de Paris et dans un travail
paru
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
tronc de ce nerf. Après cette intervention une amélioration réelle
paraît
se dessiner. Elle persiste pendant environ 3 se-
eux. Il est sensible, impression- nable, mais il ne le laisse point
paraître
. Fils de cultivateurs robustes, d'une famille o
vie paisible, exempte de chagrins et de préoccupations. Cependant,
paraît
-il, dans son intérieur, il ne trouve pas toujou
ois. Dès lors, les nuits sont devenues mauvaises, le sommeil a dis-
paru
presque complètement : impossible de trouver une
parente du sterno-mastoïdien droit était d'ailleurs plus accentuée,
paraît
-il, il y a quelque temps et elle a tendance à dé-
s que cependant aucune sensation de dou- leur soit éprouvée, et qui
paraît
dépendre de l'effort que fait le ma- lade pour
tat vibratoire, variable d'ailleurs - suivant les moments, mais qui
paraît
bien'témoigner d'un certain trouble du contrôle
aux extraits de cetle auto-ob- servation. Certains détails pourront
paraître
oiseux. En les supprimant, j'ai craint d'établi
ade de remarques destinées à mettre en évidence les faits qui m'ont
paru
se re- produire dans la plupart des cas de tort
arche en avant. 3° L'exacerbation que 'je viens de vous signaler me
paraît
due à une recru- descence des contractions des
it le progrès le plus manifeste et dont j'étais le plus heureux; il
paraissait
même durable, car il persistait dans les journé
plus maî- tre. J'avais obtenu (je m'exprime ainsi parce que cela me
paraît
bien rendre ma pensée) « l'équilibre dans la dé
ïque, jusquiame et valériane. Ainsi, la crise dure encore, et ne me
paraît
pas près de finir; c'est la plus douloureuse qu
ogrès réalisables. Je prolongerai mon isolement,si le résultat m'en
paraît
bienfaisant,aussi longtemps que vous lejugerez né
nuire à la régularité des immobilisations et des mouvements ; cela
paraîtrait
devoir favoriser la création de l'automa- tisme
mon nouvel état et me préparer à recommencer la lutte. 2° Il m'a
paru
que les crises que j'ai traversées jusqu'à présen
gauche que sont surtout les con- tractions ; les points de traction
paraissent
être : le côté latéro-postérieur du cou sous l'
droite la tête fléchie; la posi- tion ainsi prise demi à droite me
paraît
très favorable à la découtraction et j'y réussi
aître cette influence fâcheuse en m'abstenant pendant huit jours de
paraître
devant le miroir ; pas de change- ment. Une seu
de me séparer d'eux et je le regrettais d'autant plus que l'aîné me
paraît
avoir besoin d'une surveillance assidue. Extrêm
ormé; il était bossu ; bien qu'il fît tous ses efforts pour ne pas le
paraître
, la difformité était même considérable; et, quoiq
un acromion à l'autre, est de 0m,42. Examiné latérale-ment, le thorax
paraît
peu développé à la partie inférieure, relati-veme
ètre (partie moyenne), 0'n,18. Genou complètement déformé. Le tibia
paraît
luxé sur le fémur. En dehors et en arrière, le co
Jambe. On ne sent pas la crête du tibia, évidemment émoussé. La jambe
paraît
un peu plus grosse que la cuisse. Les muscles du
t ceux qui ne se remuaient pas, par la seule volonté, ne nous ont pas
paru
plus sensibles par l'électricité. Ainsi, égalemen
Tours) a employé le Hachisch pour combattre l'épilepsie ; mais il ne
paraît
pas en avoir retiré des avantages bien marqués. M
et extrêmement hçureux : il semblait jouir de la suprême fécilité et
paraissait
extra ordinairement gai* Après un trai-tement de
é, il dit qu'il ne l'avait pas eu depuis longtemps : toutes ses idées
paraissaient
en même temps confuses ; ses pupilles étaient trè
al Sainte-Eugénie. Un an après environ, à l'âge de 15 ans, les règles
parurent
pour la première fois. A 16 ans, elle eut encore
dissipèrent spontanément, et vers le milieu du mois d'août la maladie
parut
entrer dans une phase plus favorable. — La voix r
le diamètre ne dépasse pas 0mm,010. — Les glo-bules rouges discoïdes
paraissent
normaux, mais au milieu des es-paces vides ménagé
l que dans la forme même des symptômes, quelque chose d'étrange qu'il
paraît
tout à fait impossible de classer sous une ancien
s le cadre nosologique à côté de la leucocythémie, avec laquelle elle
paraît
avoir de grandes analogies? C'est ce que décidera
es deux ou trois heures pendant deux ou trois jours). Cette tolérance
paraît
dépendre beaucoup du degré de la congestion du ce
contribu-tion chez les deux tiers des malades. Le sulfate de quinine
parut
exercer : 1° une action sédative sur le système n
l'avait envoyée. A la fin de sa maladie, il s'est formé un abcès qui
paraît
avoir eu pour point de départ le périoste alvéolo
tôt ou tard le membre paralysé. De même que l'atrophie, ce phénomène
paraît
s'accentuer plus dans la paralysie spinale infant
ifs1. Je n'insisterai pas plus longuement sur ces faits anomaux qui
paraissent
, d'ailleurs, très-rares. Je n'ai pas cru devoir t
loc. cit., p. 8. le répète, un fait plutôt exceptionnel. En sommeil
paraît
constant que les lésions irritatives prédominent
musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont il s'agit
paraissent
s'accuser de bonne heure : M. Damaschino, d'après
ns les intervalles qui les séparent; de telle sorte que ces dernières
paraissent
comme autant de centres ou foyers, d'où le proces
s, quant à l'intensité, aux lé-sions de la substance grise. Il nous
paraît
évident,d'après tout ce qui précède,que les cellu
véritable dissociation ; les cas de M. Da-maschino établiraient même,
paraît
-il, qu'on peut, sur les points de la moelle le pl
ompa-gnant d'une sensation de fourmillement et de picotement. La tête
paraît
chaude, lourde ; il y a des bourdonnements d'orei
ut les exprimer (Schroff) ou qu'elle les exprime de façon à les faire
paraître
confuses et incohérentes. Un autre phé-nomène psy
onvulsifs (Gri-maux), dans lesquels l'action des muscles fléchisseurs
paraît
pré-dominante (Moreau, de Tours). Les animaux eux
considère comme un des caractères de cette sub-stance. Elles ne nous
paraissent
pas douteuses d'après les renseigne-ments qui nou
idus ont l'aspect stu-pide ou farouche, quelquefois mélancolique. Ils
paraissent
indiffé-rents au monde extérieur : ordinairement,
nterroge, souvent ils ne sem-blent pas entendre; s'ils entendent, ils
paraissent
ne pas compren-dre ce qu'on leur demande. Il n'y
frissonnements, et l'ani-mal meurt dans un état d'affaiblissement qui
paraît
être le résultat de l'absence d'alimentation. R
'ils devenaient secs et se brisaient en grand nombre. Le cuir chevelu
paraissait
sain.*. La maladie semblait résider exclusivement
n fila-ments multiples finissait par amener la rupture du cheveu, qui
paraissait
s'être tuméfié par suite du développement dans so
ps cette dame, presque chaque jour, coupe un à un tout cheveu qui lui
paraît
devenir malade. Sous l'influence de ces coupes pa
sées, dont quelques-unes étaient légèrement saillantes et qui lui ont
paru
n'être que des petites tumeurs au début. Le malad
rioliforme de Bazin); II. Af-fections sarcomateuses (cas de Hardy qui
paraît
être une tumeur à cytoblastions d'après Verneuil
t affecté d'un torticolis d'ancienne date. C'est à l'âge de deux ans,
paraît
-il, que remonte le début de sa maladie. Il est au
'une manière absolue, di-sons qu'une affection osseuse primitive nous
paraît
ici invraisem-blable. La déformation du squelette
La région hypothénar, non-seulement n'offre plus aucun re-lief, mais
paraît
creusée. Une saillie marque encore la région th
. Par la dissociation, les tubes du nerf cubital, avant la cicatrice,
paraissaient
normaux ; on distinguait le cylindre-axe entouré
s hommes célèbres, indiquant une série de no-tices semblables, nous a
paru
, après lecture, un peu ambitieux dans l'espèce. L
xclusivement usage ou plutôt abus de vin blanc, et ce liquide n'avait
paru
porter aucune atteinte à l'intelligence ; la moti
aration entre lés parties supérieure et inférieure qui, vues de loin,
paraissent
se continuer. Voici comment est composée cette pa
des vertèbres cervicales et des six premières vertèbres dorsa-les. 11
paraît
donc y avoir une analogie bien réelle entre l'enc
avités ventriculai-res (hydrencéphalocèle), cette raison mécanique ne
paraît
pas être la véritable cause, des hernies congenia
ernies congeniales de la substance nerveuse. La méningo-encéphalocèle
paraît
donc être due à une anomalie de développement ain
mettaient manifestement à la paroi thoracique ; son extrémité externe
paraissait
seule susceptible de REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES
élévation de la température à la suite de la thora-centèse. Il nous a
paru
utile de mettre ces faits en regard. Repre-nons m
ible d'isoler les parties préposées à l'une et à l'autre fonction. 11
paraît
y être arrivé; voici la démonstration : « Lorsq
vent plus épicier que pharmacien. Leur préparation et leur pu-reté me
paraissent
offrir peu de garantie, lorsque le pharmacien n'a
s besoin d'entrer dans de plus grands détails sur ce travail qui nous
paraît
éminemment utile, et qui sera consulté avec bea
à une question de fait, et, si les observations de M. Armaingaud nous
paraissent
un peu insuffisantes pour la trancher, nous croyo
nce brusquement, à 10 centimètres au-dessous de l'arcade cru-rale, et
paraît
manifestement implantée sur le corps de l'os ; de
L'os fut scié, un peu au-dessus, et bien que la surface de section ne
parût
pas tout à fait saine, il fut impossible de remon
ces muscles sont complètement recouverts par l'a-ponévrose, qui nous
paraît
épaissie en certains points, principa-lement au n
e une épaisseur de 0m,05. D'ailleurs, à la coupe le tissu de la paroi
paraît
blanchâtre, fibreux, dur, et criant sous le scalp
, dur, et criant sous le scalpel ; sur plusieurs points ce tissu nous
paraît
ramolli, et semble avoir subi une dégénérescence
-mateuse que l'os lui-même. Les ligaments sont simplement amincis, et
paraissent
avoir perdu beaucoup de leur force; les ligaments
par places par des nodules, jaunâtres, transparents, qui, àla coupe,
paraissent
plus durs que les autres points de la tumeur et f
nt ces nodules sont en voie de prolifération. Certains de ces nodules
paraissent
complètement isolés au sein du cartilage, tandis
le répète, la tunique glissait facile-ment sur la tumeur. —Le cordon
paraissait
sain, les ganglions voisins n'étaient pas engorgé
e, la glande pré-sente en tous les points une coloration uniforme, et
paraît
com-plètement envahie par une substance jaunâtre.
e, rien de spécial, si ce n'est que les altérations des points envahi
paraissent
plus profondes. Les canaux déférents sont norma
séminifères et qui, d'après lui, est la caractéristique de l'orchite,
paraît
n'être que du tubercule. Cependant il est peut-
connexions varient beaucoup. Chez le 1 C'est vers cette époque que
parut
le travail de M. Chapot; voilà pourquoi l'observa
prend le mot typhoïde dans son sens étymologique, l'appel-lation nous
paraît
exacte ; mais si, poussant plus loin l'analogie,
ien, ni dans les symptômes, ni dans l'a-natomie pathologique, ne nous
paraît
justifier cette manière de voir; c'est là du rest
plupart des membres de la savante compagnie se sont ralliés; ce nous
paraît
être une entérite épizootique de forme spéciale.
lié deux observations intitulées: Ramollissement de la rate, qui nous
paraissent
être unevéritable congestion de cet organe. Dans
l'anatomie pathologique, vient l'étude de certains abcès utérins qui
paraissent
être simplement des vaisseaux dilatés. Les abcès
qu'il en soit, tant que s'effectue cette élimination, les animaux ne
paraissent
guère souffrir, et c'est seulement lorsqu'ils s'a
ictime de l'imposture doit être un médecin. Dans l'espèce, il ne me
paraît
pas démontré que la parurie erratique des hystéri
icile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette attaque
paraît
avoir été d'une violence extrême: la malade est t
nter de vous présenter à cet égard une hypothèse qui, peut-être, vous
paraîtra
plausible, mais que je vous prie, en tout cas, de
ontraction très-prononcée de ces mêmes canaux L'analogie, à son tour,
paraîtrait
étayer cette présomption : chez les hystériques,
bas-sinets et des artères rénales. L'affection générale n'avait pas
paru
influencer, dans son sens, celte anomalie (les re
très-bien par l'inspection : toutefois les surfaces ar-ticulaires ne
paraissent
pas déformées. ha jambe droite est notablement
de cet angle. (Voy. planche XVIII.) On sent le tibia incurvé, mais il
paraît
plus volumineux et donne la sensation du cal d'un
un peu en dehors, on arrive sur le péroné. Les deux os de la jambe
paraissent
avoir subi une sorte de torsion et, autant qu'on
ue très-difficilement apprécier l'état du squelette. Cepen-dant il ne
paraît
pas exister plus de trois métatarsiens. Les ortei
cher la sage-femme, qui examina les parties génitales avec attention,
parut
fort décon-tenancée, partit et ne revint plus.
nue dans le langage vétérinaire sous le nom de vieille courbature, ne
paraît
pas devoir être rattachée à la tuberculose, car l
ches de MM. Cornil et Trasbot, communiquées à la Société de biologie,
paraissent
établir que les granulations du poumon, et les gl
ysme artério-veineux. Dans un certain nombre de cas, les observateurs
paraissent
avoir méconnu la lé-sion et l'avoir confondue ave
rvations à l'appui de cette opi-nion. De l'ensemble de son travail il
paraît
bien résulter qu'il existe réellement une conge
e n'a eu cl autre but que d'indiquer les côtés de la question qid lui
paraissent
plus particulièrement intéressants, soit par leur
te la liqueur titrante, en agitant chaque fois. Quand le précipité ne
paraît
plus augmenter, on essaye, après chaque nouvelle
ant continu, on n'obtient plus qu'une seule contraction; et, fait qui
paraîtra
étange et qui recevra tout à l'heure son explicat
lleur antiphlogistique. Un bandage silicate bien ouaté, puis fenêtre,
paraît
à M. Ollier constituer le meilleur appa-reil. M
duits sont impuissants. L'action des courants continus sur les tissus
paraît
être différente de l'action des courants induits.
et de l'anode. Au lieu de nous égarer dans des hypothèses, il nous
paraît
plus profitable de ne considérer que ce fait, qui
rge d'un tiers environ que celle du tibia du côté opposé. Et le tibia
paraît
à la vue évidemment plus long du côté malade que
n peu à droite, une excroissance qui diffère des autres en ce qu'elle
paraît
plus ferme, plus ridée. Au milieu, on voit une pe
du malade est bon, toutes les fonctions s'accomplissent bien; il ne
paraît
pas se douter du danger qu'il court et attend ave
prépuce, si ce n'est cepen-dant le manque des soins de propreté, qui
paraissent
assez inconnus au malade, à en juger par les bala
ions impossibles et dysurie. Quelle décision prendre? Une opération
paraît
bien difficile. — M. llicord, consulté, pense qu'
rande quantité des parties environnantes. Celte manière de faire nous
paraît
avoir deux avantages : Io dans ces tissus friable
est. dis-tendue, la muqueuse est épaissie etrougeâtre. — La prostate
paraît
saine ainsi que le bulbe. —La muqueuse de Vurèihr
e beau-coup plus considérable que d'habitude. Le stroma ganglionnaire
paraissait
sain. En résumé, on se trouve ici en face d'une
ermes mêmes de la dénomination mise en usage — hystéro-épilepsie — il
paraît
ne pouvoir exister aucune équivoque. Cela veut di
es-uns des traits de l'épilepsie. C'est de celte façon, du reste, que
paraissent
l'entendre la plupart des auteurs modernes. L'hys
2° D'autres fois l'épilepsie succède à l'hystérie. Cette condition
paraît
être beaucoup plus rare que la précédente. M. Bri
te à M. Briquet surtout cette description de l'attaque-accès. Elle me
paraît
concorder de tous points avec les ré-sultats de m
lle prédomine une roideur semi-tétanique, du tronc et des membres. Ne
paraît
-il pas d'après cela très-vraisem-blable déjà, que
ants continus, que lorsqu'ils se contractent très-facilement. Ce fait
paraît
étrange au premier abord, et je me hâte d'ajout
barrés, illisibles. Loin de se rétablir, la fonction du langage écrit
paraîtrait
donc s'affaiblir, car il y a dans cet extrait plu
ose pas l'âme et encore moins le libre arbitre. Et toujours il nous a
paru
bizarre de voir les plus ardents défenseurs de l'
s premiers à signaler. Le mal est reconnu de tous aujourd'hui et l'on
paraît
disposé à le combattre. Mais, comme dans toute ba
datives ont été utilisées dans le tremblement mercuriel, et elles ont
paru
donner de bons résultats, ainsi qu'on peut s'en a
a de nouveau disparu. On suspend toute médication sans que le malade
paraisse
s'en apercevoir pendant trois jours. Cependant de
et25mars. L'état reste sensiblement le même. —26 mars. Le tremblement
paraît
diminué.—27 mars. On constate une amé-lioration t
us n'insistons pas sur ce cha-pitre qui, après avoir été développé, a
paru
ici même (1872, pages 452 et 199). Ce mémoire c
plus facile-ment qu'à tout autre. La peau du pavillon de l'oreille
paraît
plus chaude au toucher que celle de l'oreille dro
ot, tous les détails. On ne se figure pas combien ces conditions, qui
paraissent
insignifiantes, sont au contraire d'une réelle im
re malade atteinte d'atrophie musculaire progres-sive, le résultat ne
paraît
pas bien satisfaisant au premier abord, mais néan
at, éburnés, moulés l'un sur l'autre, et toute tentative de réduction
paraît
devoir alors être rc-jetée, à moins que l'acciden
une végétation s'y déve-loppa. Pendant les premières années, elle ne
parut
point augmenter de volume. Plus tard on s'aperçut
naires à différentes périodes de leur dé-veloppement. — Le» vaisseaux
paraissent
être assez rares. — L'ensemble des pièces démontr
urtes, communi-quées à l'auteur et surtout trop peu discutées par lui
paraîtraient
l'indiquer. Viennent ensuite les paralysies des
us nombreux et plus empressé. Dans le pre-mier fascicule qui vient de
paraître
, la grossesse simple, la môle vésiculaire et la g
e, aux-quelles on n'accorde d'habitude qu'une simple mention, lui ont
paru
mériter une description détaillée, justifiée du r
séeuse. 11 en résulte, qu'à l'œil nu, la face externe de la dure-mére
paraît
recouverte par une couche de pus concret ou de ma
traces de scrofule. La femme est petite, rachitique, mal conformée et
paraît
avoir un ré-trécissement du bassin, dont le diamè
ieu ou la fin du septième mois. Aucun accident de cause extérieure ne
paraît
avoir provoqué cet accouchement avant terme. Le
terme. Les eaux sortirent en une seule fois, dit la sage-femme, qui
paraît
cependant n'en être pas bien certaine. Une fille
par son volume et sa longueur avec le cordon de. l'autre pro-duit. Il
paraissait
d'ailleurs situé plus en arrière. Nous ne pouvons
elle au bout de dix jours. Le monstre, considéré dans son ensemble,
paraît
à première vue formé d'une partie sous-ombilica
e normale, surmontée d'une grosse poche molle, presque fluctuante. Il
paraît
tout de suite évident que la tête manque et que n
autres. Vue parla partie postérieure, cette portion sous-ombilicale
paraît
normale en tous points. Au-dessus du cordon, no
che qu'à droite, de telle sorte que la partie gauche du haut du corps
paraît
, comme dans les membres inférieurs, un peu plus d
mètres i /2 au-dessus de l'ombilic. De chaque côté de ce sil-lon, qui
paraît
produit par labifiditô du sternum, se trouvent de
cavité thoracique ; le droit plus volumineux que le gauche. Tous deux
paraissent
dé-pourvus de capsules surrénales. Les uretères s
masculin, pesait 2,900 grammes. D'après son développement, cet enfant
paraissait
bien de 8 mois 1 /2. Voici, du reste, ses dimen
ir, n L'histologie du cerveau, du bulbe, du mésocéphale, etc., nous
paraît
trop complète, et quoique l'auteur ait puisé ses
d'identité. — Depuis la solution du problème, plusieurs mémoires ont
paru
, traitant de la digitale et de la digita-line à d
entrale, soit périphérique. A doses toxiques, tout le système nerveux
paraît
atteint. 2° La digitale et la digitaline produi
ns l'interne de M. Marrolte, et l'énergie de ce médicament nous avait
paru
telle qu'on ne pouvait, sous aucun rapport, la co
Nativelle commence à faire son apparition dans le commerce et qu'elle
paraît
être fournie en quantité sérieuse. Ne serait-il d
es chroniqueurs, les historiens et les savants. Pour lui, l'ergotisme
paraît
avoir fait son apparition vers la sixième année d
-menter la pression artérielle dans les gros troncs ; 5° cette action
paraît
se manifester même après la section des nerfs vas
t se manifester même après la section des nerfs vaso-moteurs; 4° elle
paraît
s'étendre môme aux vaisseaux pulmonaires, dont la
de anatomo-clinique ce problème qu'on ne se posait même pas, car il
paraissait
alors impossible de confondre la distribution d
embryo- logique si obscur encore de la formation des membres, nous
paraît
-il pré- férable dans le cas présent d'employer
e car bientôt après survient une phase de réparation cellulaire. Il
paraît
donc possible a priori par des sections de nerf
erreur ne se retrouvent pas dans la poliomyélite infantile qui nous
paraît
être plus particulièrement capable de donner la s
ment. Tous les mou- vements de la main et des doigts existent. » Il
paraît
donc assez vraisem- blable que la paralysie s'é
t par la VIF et la VI11° racines cervicales. Au cas de notre malade
paraît
le mieux s'appliquer le tableau d'Edin- ger, de
gauche fut frappé de paralysie dans sa totalité. Les autres membres
paraissent
avoir présenté aussi dans les premiers temps un p
tion étroite à un seul membre ; les autres membres, en effet, s'ils
paraissent
avoir été un peu affaiblis et douloureux pendan
riphérique à dispo- sition radiculaire, car les racines antérieures
paraissent
sortir directement de la corne antérieure. Cepe
de l'enfant est intelligente et éveillée. Les mus- cles de la face
paraissent
normaux. La poitrine est aplatie ; les pectorau
myopathie atrophique progressive. Ce cas en apparence anormal nous
paraît
venir à l'appui d'une théorie soutenue par plusie
areil visuel sont survenus depuis quelques mois des troubles qui ne
paraissent
pas être en relation avec l'atrophie musculaire ;
ervés à la clinique de notre maître le professeur Raymond, nous ont
paru
re- marquables d'abord à cause de l'intensité e
out par le caractère familial de ce pro- cessus, fait qui ne nous a
paru
jusqu'ici signalé par aucun auteur. 1 NOUVELLE
étraction des chefs externes du trapèze, de telle sorte que la tête
paraît
enfoncée entre les deux épaules et que les clav
de l'inspection de nos deux malades et en particulier de l'aîné qui
paraît
rigide, comme soudé, recroquevillé sur lui-même
out très mar- quée au niveau des muscles fléchisseurs rétractés qui
paraissent
former ainsi de véritables cordes. Mais, en réa
é à la piqûre n'est pas partout pareille, dans certains points elle
paraît
plus obscure que dans d'autres. Aux pieds la piqû
type décrit par 58 SOCA MM. Charcot-Marie. Trois grands symptômes
paraissent
caractériser la forme Charcot-Marie, et en marq
rieurs à une époque plus ou moins éloignée du début de la maladie,
paraît
jusqu'à présent, être une loi du développement de
transition, encore incom- plètement développés. Celle façon de voir
paraît
très arbitraire, car je ne vois pas pourquoi l'
égrité défi- nitive des membres supérieurs, car en effet la maladie
paraît
immobili- sée dans les membres inférieurs, elle
out (ce sont ses propres paroles) depuis un temps fort long. Ce cas
paraît
donc prouver que l'en- vahissement des membres
ion des recherches et de revue littéraire, est dû à Hoffmann (1) et
parut
dans le recueil jubilaire d'Erb. Tous ces tra
e beaucoup de commun avec la dystrophie progressive musculaire ; il
paraît
plus juste d'attribuer l'une et l'autre à une l
dis. Parmi les figurations symboliques des Vices, deux images m'ont
paru
dignes d'être signalées, en raison de leur ress
soit contusion médullaire. Au contraire les altérations constatées
paraissent
de nature secondaire, consécutives à une lésion d
substance blanche cérébrale. Il existe encore un centre nerveux que
paraissent
affectionner les lacunes et qui est cependant a
longements inattendus se rencontrent sur les bords d'une cavité qui
paraissait
de forme a peu près régulière : tels sont par exe
ard dans quel état on les aper- çoit. Mais à première vue la cavité
paraît
remplie d'une substance plus ou LACUNES DE DÉSI
sseaux. Ces vaisseaux sont coupés perpendiculairement à leur axe et
paraissent
émerger directement du tissu nerveux sans qu'on
sseaux sont encore apparents, mais au- tour d'eux le tissu cérébral
paraît
un peu affaissé et grisâtre laissant ainsi sur
. Autour d'elle dans un rayon assez variable le parenchyme cérébral
paraît
raréfié, c'est-à-dire que les mailles névrogliq
n par des cellules jeunes. Le seul fait un peu anormal est qu'elles
paraissent
s'accentuer à mesure que l'on gagne la périphérie
une circu- lation abondante. Tout autour des artérioles, le tissu
paraît
aussi dense qu'ailleurs et se co- lore de la mê
ntinue à s'éloigner on arrive insensiblement dans une région qui ne
paraît
pas altérée. Les cellules ner- veuses elles-mêm
seul noyau très fortement coloré par les couleurs basiques. Ce noyau
paraît
homogène et ne laisse pas apercevoir de nucléol
N CÉRÉBRALE 119 de leucocytes polynucléaires, seuls les lymphocytes
paraissent
envahir les tissus. Du reste nous pouvons dir
différentes de celles que nous signalent ces auteurs. Elles nous ont
paru
siéger indifféremment dans toutes les lacunes,
riques, ce qui nous explique que souvent sur des coupes ces cellules
paraissent
manquer de noyau. Il C'est qu'en raison de le
essés, sauf l'acide osmique. Mais sur toutes les coupes colorées il
paraît
un peu jaunâtre, grenu, -dis- tendant l'envelop
té lacu- naire et prendre l'aspect des corps granuleux ? Le fait ne
paraît
pas impos- sible. Nous trouvons encore quelqu
es miliaires et que les vaisseaux qui tra- versent les lacunes nous
paraissent
réaliser les meilleures conditions possibles po
Mais les faits publiés en France se comptent encore. Aussi m'a-t-il
paru
in- téressant de vous en soumettre un exemple,
Celle-ci, en effet, offre l'anomalie suivante : la clavicule droite
paraît
plus saillante que la gauche, et au-dessous d'ell
st élar- gie, formée par les muscles grand rond et grand dorsal qui
paraissent
hyper- trophiés.La figure photographique ci-joi
r les cinq ou six premières côtes, mais les faisceaux claviculaires
paraissent
faire défaut, de même que les faisceaux sternaux.
osophique. » Comment M. Claparède peut-il affirmer que ces idées ne
paraissent
pas avoir été très bien saisies par les membres
lons par le terme « sens musculaire », c'est là un terme qui nous a
paru
meil- leur que tous ceux qui ont été proposés j
rticle sur la topographie des atrophies musculaires myélopatliiques
paru
dans le dernier numéro de la Nouvelle Iconographi
ap- puyant sur des cas que nous avions pu observer et qui nous ont
paru
très typiques. Nous avons rappelé accessoiremen
ieure aigué de l'enfance et rapporté deux observations qui nous ont
paru
particulièrement intéressantes, d'un côté par l
phérique à disposition radiculaire, puisque les racines antérieures
paraissent
provenir par un trajet direct des cellules motr
segmentaire. Mais, comme nous l'avons dit, cette constatation nous
paraît
pouvoir s'accorder avec les résultats fournis p
up encore nos connaissances dans cette voie. Pour l'instant il nous
paraît
résulter de nos faits, comme il résultait de ce
Etat mental. II n'y a pas de perte de la mémoire. L'intelligence ne
paraît
pas très affaiblie. Le malade donne surtout l'i
entimètres. Cette tumeur sessile, qui à la surface et par ses bords
paraît
indépendante de la substance des hémisphères, f
très analogues à celui qui constitue la masse néoplasique, et ceux-ci
paraissent
s'être formés de préférence autour des petits v
a celloïdine, après colora- tion à l'hématoxyline-éosine, la tumeur
paraît
constituée d'un stroma d'appa- rence counectif,
rondies ou polygonales, mais elles sont toujours plus abondantes et
paraissent
en voie de prolifération plus riche dans les poin
- ment des os de la voûte crânienne de cette région ; l'oeil gauche
paraît
plus 208 BALLET ET ARMAND DELILLE enfoncé que
de la sensibilité subjective consistent en crises douloureuses, qui
paraissent
être de la névralgie de la branche ophtalmique du
a tête, et accuse une sensation de lourdeur du bras gauche, qui lui
paraît
plus pesant, que le droit. 23 oct. Ce double
matières. Le malade présente un certain degré d'ahurissement, il na
paraît
pas comprendre ce qu'on lui dit. Le même jour,
ND DELILLE répond que lentement aux questions qu'on lui pose. Il ne
paraît
pas souffrir, mais quand on lui demande s'il a
e de l'hémisphère est bien visible, on peut constater que la tumeur
paraît
tout à fait indépendante de la substance cérébr
et des troubles trophiques au niveau du cuir chevelu, troubles qui
paraissent
relever beaucoup plus de conditions mécaniques
pparition des premières crises, les fil cesser complètement, ce qui
parut
à cette époque confirmer le diagnostic de mal c
ulement se fasse lentement et progressivement. Un autre fait nous
paraît
intéressant, c'est que le sarcome par sa situat
le malade dit voir les objets comme dans un brouillard. L'odorat
paraît
un peu plus faible à gauche qu'à droite. L'acui
s rides du front sont plus marquées à droite qu'à gauche. La langue
paraît
un peu déviée du côté paralysé. La luette est é
Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel, et l'acuité visuelle
paraît
peu diminuée. Ouïe. Le malade n'éprouve pas d
lésion méningée récente ou ancienne, la surface des circonvolutions
paraît
nor- male. La base semble également indemne,
ormés. Dans les régions où les altérations sont le plus intenses et
paraissent
le plus anciennes, on ne voit qu'une accumulati
le a été la cause du développement de cette tumeur ? Le traumatisme
paraît
avoir joué un rôle important dans l'étiologie, ca
ux cris de l'enfant un large cloaque naso-bucco-pharyngien. La face
paraissait
plus monstrueuse encore par la présence d'une s
oppant comme tout autre enfant. Mais le 8 juillet, sans cause, elle
parut
déprimée, s'alimenta moins, et sans qu'on eût pu
le est, dans son ensemble ab- solument informe. A première vue elle
paraît
constituée par une masse de chair molle qui l'a
ère. La Ire partie (droite), d'une largeur de 1 centimètre environ,
paraît
être la 230 UAUSUALTER ET BRIQUEL partie vomé
s décrits par M. IIaslconec, en particulier chez le second qui nous
paraît
tout à fait identique à notre malade et chez le
iné. Vous voyez que les choses sont bien plus complexes qu'elles ne
paraissent
être, et qu'il ne s'agit pas d'une simple amnés
chez Liao-Toun-Chen. Les organes géni- taux sont bien développés et
paraissent
normaux. Au point de vue anthropométrique voici
tion à la main permet également de formuler une conclusion qui nous
paraît
tout il fait manifeste et assurée. La température
ut il fait manifeste et assurée. La température de Liao-Sienne-Chen
paraît
toujours et d'une façon très évidente supérieure
provoque le sens de ces modifications tandis que, Liao-Sienne-Chen
paraît
les subir plus. fatalement. Peut-être faut-il v
même observation pour le champ visuel. La zone interne de la vision
paraît
légèrement rétrécie. Il semble y avoir là une inf
r. Ajoutons encore que nos jeunes chinois étaient très craintifs et
paraissaient
exagérer l'interprétation de leurs impressions
os du bassin, à la palpation, sous l'épaisseur des parties molles,
paraissent
également développés des deux côtés. D'ailleurs l
miné par un petit moignon du côté gauche; du côté droit, le scrotum
paraît
inhabité. Les hanches du malade ne sont point t
pologiques habituels des eunuques sont en somme esquissés ; il nous
paraît
appartenir à un type d'eunuchisme assez fruste.
ns se servir des objets usuels. En outre, depuis cinq jours, Rap...
paraît
avoir perdu la vue ; il serait, à de certains mom
ammatoire interstitiel que Nageotte a décrit en cette région, lui a
paru
être l'aug- mentation de nombre des fascicules.
tes à la gaine de Schwann revenue sur elle-même, dont les noyaux ne
paraissent
pas sensiblement multipliés. Cette atrophie est
ux plus nombreux ; sur quelques-uns de ces ganglions, les vaisseaux
paraissent
plus nombreux et sont gorgés de sang. Les racin
glion- naire et se poursuit jusqu'au pôle central du ganglion. Elle
paraît
même plus accentuée, pour les 10e et ]le racine
ition de tissu conjonctif. Sur des coupes longitudinales les fibres
paraissent
à ce niveau un peu plus grêles. Les enveloppes
s nombreux. Dans les racines antérieures au contraire les vaisseaux
paraissent
indemnes. En résumé l'atrophie des fibres rad
e gan- glionnaire dont il semble qu'ils aient pris la place. Ce qui
paraît
justifier cette déduction c'est que parfois au
dent et qui sont représentés sur la planche XLII (fig. B). Il nous
paraît
probable d'après l'examen d'un grand nombre de co
qui persistent sont extrêmement rê- les, quelques-unes au contraire
paraissent
hypertrophiées, parmi celles-ci il en est, qu'a
de Schwann, sur laquelle se détachent des noyaux allongés ; ceux-ci
paraissent
beaucoup plus nombreux sur la racine postérieur
hidien ne présente pas d'altérations importan- tes ; les cellules y
paraissent
un peu plus petites, comme atrophiées, et même
tient moins de fibres à myéline, et, sur quelques coupes, celles-ci
paraissent
même moins nombreuses il l'entrée dans le gangl
rochés de la moelle, et par place les noyaux de la gaine de Schwann
paraissent
plus nombreux et plus tassés. Dans le pôle péri
ns de périnévrite font défaut. Dans le ganglion, plusieurs cellules
paraissent
petites, atrophiées, quel- ques capsules péri-c
e des fibres radiculaires. A côté, les racines antérieures saines
paraissent
beaucoup plus pâles. On note quel- ques infiltr
ues capsules sont sclérosées. Malgré cela les cellules nerveuses ne
paraissent
pas en général sensiblement atrophiées. Les r
salement et par série. Sur toutes les coupes, la racine postérieure
paraît
nettement atrophiée. Dans LÉSIONS RADICULAIRES
ormale, et dans son trajet sous-ganglionnaire la racine postérieure
paraît
à peu près saine. Dans la portion sus-ganglionn
; ils le sont également autour des vaisseaux. La racine antérieure
paraît
également infiltrée de noyaux du tissu conjonctif
entent pas de dé- générescence ; quant aux cellules, leur structure
paraît
normale ; leur taille et leur nombre ne semblen
- régulière bordure; elles ont perdu toute orientation régulière et
paraissent
s'entrecroiser en tous sens. Malgré l'énorme co
t vers le ganglion. Une quantité assez notable de gaines de Schwann
paraissent
vides : il en est plusieurs qui sont extrêmemen
paroi n'est pas sensiblement épaissie. Le parenchyme ganglionnaire
paraît
absolument sain, les cellules et les capsules p
ntent pas d'altérations manifestes. Dans le ganglion les cellules
paraissent
plutôt un peu petites, et dans le 2e ganglion l
des symptômes de négativisme. Au congrès de Carlsruhe, en 1897 (1),
parurent
deux communica- tions d'ensemble sur ce sujet,
ment considérable, cyanose et refroidissement des extrémités. Il ne
paraît
pas anesthésique, mais il ne réagit aux excitatio
milieu : Il ne regarde jamais ce qui se passe autour de lui, et ne
paraît
pas même faire attention à ce qu'on lui dit. Il c
ssagère. La coexistence de trou- bles sensitifs très marqués nous a
paru
rendre plus insoluble encore le problème cliniq
avouer que nous n'avons pu la trouver. Quoi qu'il en soit il nous a
paru
que ce fait, qui a été de notre part l'objet d'
de même, chez nous les lycanthropes et les possédés du diable dis-
paraissent
à mesure que s'élève la mentalité des classes pau
la crainte de la possession par les renards que, lorsqu'ils voient
paraître
leur maître, te- nant à la main, un pot de saké
ticulière à cette forme dé- lirante. Déjà dans un nô, nous avons vu
paraître
sur scène, l'halluci- nation et de délire de ja
mons, en deux tableaux synoptiques, ce qui, dans chaque cas, nous a
paru
essentiel pour cette étude, Les photographies d
a moelle, 1894, p. 329. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 389
paraît
conservée, et cependant la station debout et la m
miliale, et chez un homme présentant la même affection. « Il nous a
paru
intéressant, disent ces auteurs (1), de signaler,
e à droite, Vig. applique sa main gauche sur la joue gauche, ce qui
paraît
illogique. Nous pouvons nous-même maintenir la
é l'intégrité de leur force, seule, la flexion du pied sur la jambe
paraît
un peu affaiblie, surtout à gauche. Quand on tire
ortement appuyé. Nous devons insister sur un dernier point qui nous
paraît
devoir être rap- proché de ce fait que, à une p
passage de forts courants faradiques, notée dans notre observation,
paraît
être la règle dans le Friedreich.« La sensi- bi
erches au point de vue des réac- tions électriques, tant elles nous
paraissaient
anormales. Toujours les mêmes résultats ont été
usque là groupés et compacts sont de la sorte mieux déli- mités, et
paraissent
accrus de nombre, mais leur multiplication n'est
ent souvent anhystes, réfringentes; et dans quelques cas les fibres
paraissent
plongées dans une sorte de ciment qui provient
ures est donc un processus segmentaire. C'est un processus qui nous
paraît
être beaucoup plus fréquent, dans les maladies du
LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 423 térieures nous
paraissent
trop exclusives, pour avoir laissé dans l'ombre
Dans la plupart des ganglions que nous avons examinés les cellules
paraissent
normales : dans quelques-uns et plus particulière
es des arguments, qui, quoique en grande partie théoriques, ne nous
paraissent
pas cependant dénués de valeur. mais elle soulè
deçà de la moelle, il ne s'agisse d'une atrophie rétrograde, ce qui
paraît
très in- vraisemblable : en effet des maladies
cés ; toutefois, dans certains cas, les altérations interstitielles
paraissent
relativement récentes alors que l'atrophie des fi
atrophie radiculaire. Les arguments que nous venons d'indiquer nous
paraissent
suffisam- ment décisifs pour refuser à la lésio
spinale : dans la sclérose des cordons posté- rieurs, elle ne nous
paraît
pas davantage devoir être considérée comme un é
1898 (1) des recherches expérimentales faites sur les chiens qui me
paraissent
de nature à éclairer cette action excitante des f
issé dans le travail de M. Sainton sur un cas d'eunuchisme familial
paru
dans le numéro précédent, p. 216 : Au lieu de :
aux extrémités supérieures. Les cas que nous rapportons ici ne nous
paraissent
ni assez probants, ni assez démonstratifs pour
e aux membres inférieurs, si rationnelle que cette hypothèse puisse
paraître
. Le cas publié par le professeur Soca vient com
d'art peintes ou sculptées, n'y figurent. Pour cette raison il m'a
paru
inté- ressant de signaler, aux lecteurs de cet
deur ; elle atteint maintenant jusqu'à l'os. La lésion pulmonaire
paraît
être en voie de rétrocession, à en juger par le
les mouvements d'extension. Les mouvements d'adduction des cuisses
paraissent
être intacts. Au con- traire, les contractions
st atténuée et qu'il a maigri. Le malade est, en effet, maigre, pâle,
paraît
très faible, ce qui s'explique du reste fort bi
e et à la partie inférieure de la cuisse; à la face, la sensibilité
paraît
émoussée des deux côtés d'une ma- nière à peu p
s réflexes 494 BABINSKI ET NAGEOTTE tendineux du membre supérieur
paraissent
un peu plus forts à droite qu'à gauche. Du cô
es propriétés physiques des tissus dans lesquels ils se sont formés
paraissent
avoir eu sur leur forme et leur extension une i
is le faisceau céré- belleux direct, qui passe très tôt en arrière,
paraît
lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le f
t du trijumeau. Parmi ces fibres, celles desti- nées au noyau grêle
paraissent
être les plus nombreuses'. S'agit-il de fibres
en soit aperçu. La présence des lésions méningées généralisées nous
paraît
être la règle dans la syphilis nerveuse en voie
n être la seule manifestation, et que, par conséquent, la méningite
paraît
être le premier stade des lésions du système ne
de vue de la sensibilité, la disposition anatomo-patlrologique nous
paraît
s'adapter aux particularités cliniques. Nous av
ve dans les lésions du sympathique cervical. Toutefois ces troubles
paraissent
être moins accentués que lorsque le sympathique
, ou plutôt non encore décrite, de cellules cérébelleuses ? Il nous
parut
tout d'abord qu'il s'agis- sait bien de cellule
les séparer. En arrière du chiasma il existe une petite plaque qui
paraît
surtout formée par de la substance grise et eng
es cérébelleux. - Ce fragment avait été prélevé sur un point qui ne
paraissait
pas comprimé par le pseudo-kyste et dans le but
vait t à la rigueur dire primitive : dans le premier, la lésion qui
paraissait
nettement limitée au vermis et aux parties médi
it en nourrice. Depuis elle a toujours pris des crises. Celles-ci
paraissent
assez fréquentes : la soeur qui l'accompagne en a
leurs peu intelligente ; elle ne sait ni lire ni écrire, sa mémoire
paraît
défectueuse. Elle est incapable de tout travail
ésions apparentes au niveau de l'isthme : la protubérance notamment
paraît
aussi développée d'un côté que de l'autre. Le bul
e son manteau gris seulement sur une de ses faces, l'axe médullaire
paraît
comme déplacé du côté atrophié : il n'est plus co
lutôt leur réseau chromatique étant moins serré, moins compact, ils
paraissent
comme un peu poussiéreux. Ils sont aussi plus v
es cellules atteint son plein développe- ment, est le mieux isolée,
paraît
le plus fournie en cellules. Nous n'avons pas e
re du cervelet, nous.avons constamment retrouvé une lésion qui nous
paraît
absolument caractéristique. Dans les folioles et
lésions diverses du système nerveux. Les lésions cérébelleuses nous
paraissent
donc assez nettement comme ayant un caractère s
t les différentes espèces de sensibilité ; ces cellules, à ce qu'il
paraît
, non seulement reçoivent des excitations, partant
ne note donc que de petites tailles. Mais un oncle paternel avait,
paraît
-il, plus de 2 mètres de haut; et on a toujours pe
aux enfants ; son titre de « seul géant Parisien » lui, aussurait,
paraît
-il, de grosses recettes. Depuis quatre ans, il
ite n'est que de 68 milli- mètres.- Le maxillaire inférieur n'ap-
paraît
pas très augmenté de volume ; la bouche est nor
nt de l'appareilgéni- tal est tout à fait incomplet : si la verge
paraît
bien conformée, elle estde dimen- sions minimes
liques et supporter leur propre poids. L'ensemble du système osseux
parut
être en état d'ostéoporose ; un simple attoucheme
phie testiculaire et j'hypertrophie hypophysaire. Aussi nous a-t-il
paru
intéres- sant de généraliser nos recherches et,
r langue; ils craignent les représailles des paotred ar zabat, qui,
paraît
-il, n'aiment pas que l'on se moque d'eux, et c'
bandes en faisant un vacarme d'enfer. Mais leur occupation favorite
paraît
être de jouer les plus mauvais tours à la race
zabat n'aiment pas qu'on se moque d'eux, ils n'aiment pas non plus,
paraît
-il, que l'on mette en doute leur puissance, et vo
nez avec une bande de ces diaboliques danseurs. Ceux-ci n'ayant pas
paru
remarquer sa présence, au lieu de s'éloigner tr
faits ressemblent fort aux histoires de possession du moyen-âge et
paraissent
dus, soit à des hallucinations, soit à des mani
aujourd'hui à Florence. Cette statue de dimensions colossales fut,
paraît
-il, désignée pendant un certain temps sous le n
-je rencontréjusqu'à présent aucune figuration gigan- tesque qui me
parut
se rapprocher davantage de la vérité naturelle,
nte, le visage du saint gigantesque se rapproche de celui que m'ont
paru
avoir un certain nombre de géants. Je me gard
sacrés à saint Cristophe, et sauf les deux précédents, aucun ne m'a
paru
pouvoir donner matière à la critique médi- cale
eur CHARCOT Leçons du Professeur, Mémoires, Notes et Observations
Parus
pendant les années 1889-90 et 1890-91 et publiés
alysie de la face. » Et nous ajoutions : « Pour le moment, il ne nous
paraît
pas possible de préciser davantage. Nous ne penso
ance à la symptomatologie que je viens de mettre en relief? Ce qui me
paraît
ressortir de recherches faites, à la vérité, un p
Koch. J'ajouterai que la moelle, sectionnée de distance en distance,
paraît
saine macros-copiquement, mais un examen microsco
t devant les yeux. C'était comme s'il s'agissait d'elle, mais elle ne
paraissait
pas participer par elle-même à l'action. » Pend
so battre. Alcool. — Elle joint les mains, lève les yeux au ciel et
paraît
prier. Les diverses excitations des deux autres
agents d'excitation employés. En revanche elles étaient très vives et
paraissent
correspondre à des hallucinations bien nettes et
s mouvements d'accommodation nécessités par les diverses distances où
paraissaient
se trouver les objets qu'elle semblait regarder.
e sur sa robe, qu'elle frotte entre ses deux mains, puis brosse. Elle
paraît
désolée de voir que la tache persiste malgré ses
si on bat du tambour avec les doigts sur une table ou une vitre, elle
paraît
regarder un spectacle agréable dans le lointain (
aut sur quelque objet sonore, un triangle, par exemple, elle sourit, {
paraît
satisfaite, puis prenant sa robe dans ses mains,
e rhythme et qu'on joue une valse, par exemple, elle cesse de polker,
paraît
un peu étonnée et se met à valser fort correcte
ntraire, bien que sa rétine soit évidemment sensible à la lumière, ne
paraît
pas voir les objets qui l'environnent et semble i
prolongée. Le résultat en a été publié en résumé par M. Ségal, mais,
paraît
-il, sans l'autorisation de leur véritable auteur
comique. Ce que j'ai chaud! Charles, je sue sur la poitrine... Ça te
paraît
drôle; c'est que je suis extraordinaire... Ce qu'
conduite par son idée dominante. La parole n'a aucune action. Elle ne
paraît
pas entendre même les mots les plus simples, tels
a couleur de sa toilette. Verre vert clair (carreau de vitré). — Il
paraît
regarder au travers d'une fenêtre et assister à u
commander à ses sphincters. Et comme celui-ci sans doute se fâche, il
paraît
ennuyé de lui avoir fait de la peine. Phosphore
rniches et les toits. Parfois, les actes accomplis pendant le sommeil
paraissent
moins précisément déterminés ; nous nous rappelon
r un délire dans lequel le malade, par ses paroles et par ses gestes,
paraît
être sous le coup d'hallucinations de diverse nat
e et de catalepsie, par de légers frottements sur le vertex. Le sujet
paraît
alors se réveiller; mais, en réalité, i n'en est
t ce qui se passait tout autour de lui semblait lui être étranger. Il
paraissait
enfermé dans l'unique idée qui le faisait agir et
de son chemin, lui résister jusqu'à le renverser à terre, sans qu'il
parût
s'en émouvoir, ni s'en étonner. Pour le rendre se
re sensible il fallait entrer dans son idée et s'adresser au sens qui
paraissait
le plus éveillé, c'est-à-dire le toucher. S'il vo
t lui en présenter une assez près pour lui brûler les cils sans qu'il
parût
la voir. En la lui mettant dans les mains il al
dans ce groupe, il est une forme, pas très fréquente à la vérité, qui
paraît
mériter une mention spéciale.Cette forme est cara
hum...,c'était du jus de fumier... Froycinet se mêle de tout ça... Il
paraît
qu'il fait porter aux soldats le sac sur le devan
la description longue et détaillée que nous en avons donnée, il nous
paraît
inutile de revenir sur les caractères de cette at
ne de ses filles, âgée de 28 ans, boite depuis l'âge de 10 ans ; elle
paraît
avoir eu une coxalgie). Sa mère est morte à 35
cile de la maintenir et de la faire aller où l'on désire, quoiqu'elle
paraisse
complè- tement étrangère au milieu où elle est
omique... Ce que j'ai chaud! Charles, je sue sur la poitrine... Ça te
paraît
drôle; c'est que je suis extraordinaire... C'est
l'objet de cette impression. On place devant elle une chaise, elle ne
paraît
pas la voir ou la tourne si elle est en travers
r. On lui présente un fruit, des clefs, une montre, un livre, elle ne
paraît
pas les voir, toute à l'idée dans laquelle elle e
Lariboisière. Admis là, dans le service de M. 0. Paul, il aurait eu,
paraît
-il, de la fièvre (39°, 40°), un point de côté trè
ières largement ouvertes, le corps incliné en avjmt, le cou tendu, il
paraît
suivre avec une attention très vive quelque chose
façon... » On réveille le malade, en lui soufflant sur les yeux. Il
paraît
ne pas se rappeler qu'on l'ait endormi en lui met
rempli de rouleaux de louis formant une somme de dix mille francs. Il
paraît
étonné tout d'abord et accepte avec peine nos aff
opie, sans qu'il s'en occupe le moins du monde. Le champ de la vision
paraît
rétréci et limité exclusivement à son papier. On
ntinuer à écrire. Si on exécute cette soustraction, il s'en aperçoit,
paraît
étonné ou s'écrie : « Quelle mauvaise blague !...
manuscrit qu'il vient de composer. Il reconnaît bien son écriture et
paraît
fort étonné d'avoir écrit tout cela en une heure.
a veille de ce qui se passe pendant le somnambulisme. * * Il nous
paraît
inutile de revenir sur les analogies qui rapproch
aussi à ce point de vue le second malade de M. Mesnet. Deux périodes
paraissent
avoir fait époque dans sa vie. Il a été soldat et
d'une intensité et d'une durée différentes suivant les cas. Il nous a
paru
qu'à ce point de vue elles étaient d'autant plus
ou noctambulisme, que nous citions quelques lignes plus haut, il nous
paraît
bon de faire remarquer que, dans un certain nombr
èvement les caractères dis-tinctifs du somnambulisme hypnotique. Il
paraîtra
difficile de confondre deux états aussi dissembla
d'hypnotisme que s'arrête M. Forel. Cette interprétation, qui ne nous
paraît
pas exactement conforme à la réalité, n'étonnera
l nous soit permis maintenant de résumer en quelques mots ce qui nous
paraît
ressortir de cette étude. La phase passionnelle d
s'étendent violemment..., etc. C'est une esquisse d'attaque, et tout
paraît
rentrer dans l'ordre, mais désormais nous allons
d'une attaque d'hystérie transformée. Ces états de vigilambulisme me
paraissent
tout à fait analogues à ces phases délirantes (so
occasion de vous'présenter des arguments et des faits nouveaux qui me
paraissent
plaider éloquemment en faveur de cette manière de
u sens strict des mots, qu'il y a dédoublement de la personnalité. Il
paraît
, en effet, exister deux vies distinctes chez le s
s aux autres sans interruptions, est véritablement délirante. Elle ne
paraît
pas avoir conscience du lieu où elle se trouve ni
s l'hypnotisme. Les expériences de Gurney, de Pierre Janet, de Binet,
paraissent
à cet égard assez décisives. D'autre part, j'ai m
e dédoublement de la personnalité, tel que nous l'entendons ici, elle
paraît
absolument normale, vivant de la vie ordinaire, s
eul fait que l'oubli existe toujours au réveil (2). » D'autres signes
paraissent
exister à peu près constamment, ainsi qu'on le ve
troisième personne, comme s'il s'agissait d'un autre individu. Il ne
paraît
point en être jamais ainsi dans le dédoublement d
ituellement une myopie assez prononcée. Dans cet état nouveau, elle
paraît
beaucoup plus active et ses sens semblent doués d
même dans le cas dû à M. Bo-namaison (1). Chez sa malade les facultés
paraissaient
plus affinées dans l'état second que dans l'état
, des attaques de sommeil. Trois mois après le début de ces dernières
paraît
la première crise qualifiée par M. Bonamaison de
présentes : « Bonjour 1 » ou bien encore : « Ah ! vous voilà ! » puis
paraît
se souvenir et reprend la conversation ou le trav
ues de somnambulisme précédentes. « Quelquefois cependant la malade
paraît
avoir oublié, pendant l'état second, les faits qu
; elle essaye, mais en vain, de boire ; un spasme de l'arrière-gorge
paraît
être la cause qui s'oppose à la déglutition du li
, battu par sa mère et vagabondant. Il aurait eu déjà à cette époque,
paraît
-il, des crises d'hystérie, marquées par des hémop
étaient plus toujours fermés mais bien ouverts, et cependant l'enfant
paraissait
indifférente à tout ce qui se passait autour d'el
l'aspect d'une personne normale. Sa physionomie est expressive; elle
paraît
tout à fait à son aise et exempte de toute souffr
élida (la malade de M. Azam dont l'observation est résumée plus haut)
paraît
de beaucoup préférable et doit passer dans l'usag
stions précises àluiadresser, et aussi parce que la transformation ne
paraît
pas s'être brusquement faite en un jour.paraît co
ossibilité absolue de répondre. « Je ne sais pas, » dit-elle. Elle ne
paraît
d'ailleurs pas autrement étonnée de cette ignoran
n ville avec leur famille. Elle les connaît donc parfaitement bien et
paraît
les aimer beaucoup. Elle connaît également les su
avec sa physionomie éveillée et expressive de tout à l'heure. Elle ne
paraît
d'ailleurs pas bien à son aise dans cet état. Ell
s choses encore qui changeraient. Ainsi, la dernière fois, à ce qu'il
paraît
que je ne savais pas que Louis (un de ses parents
qui s'est passé antérieurement à une période assez mal délimitée qui
paraît
comprendre la seconde moitié de 1884 et la premiè
dée ? Peut-être; en tous cas, nous constatons ici un phénomène qui ne
paraît
pas habituel chez les vigilambules. En effet, san
rie H..., nous dispenseront d'entrer dans d'aussi longs détails. Il
paraît
certain que l'établissement de l'état second s'es
ersonnalités distinctes absolument ignorantes l'une de l'autre. Il ne
paraît
pas en être ainsi dans la majorité des cas, tout
ondément différenciées l'une de l'autre ? Une pareille distinction ne
paraît
point nécessaire et il en est de même en ce qui c
serions capables de bien peu de choses. L'action de marcher, qui nous
paraît
si simple, continuerait d'être pour l'homme un su
lètement ignorée de la première que la première de la seconde, ce qui
paraît
vrai, puisque dans nombre de cas celle-ci a une n
ar do courtes périodes d'état normal, A cette objection la réponse me
paraît
facile, en ayant recours aux faits et rien qu'aux
t concentrée lorsqu'elle se trouvait en état B, n'entendait pas ou ne
paraissait
pas entendre ce qui se passait autour d'elle, ne
ipant à la fois des caractères de l'un et de l'autre. Le fait ne nous
paraît
pas impossible et peut-être sera-t-il quelque jou
s pendant six semaines ont été comme balayés ; ils n'existent plus ou
paraissent
ne plus exister. Remarquez, je vous prie, cette r
ais que les souvenirs accumulés dans cette période n'existent plus ou
paraissent
ne plus exister. En vous parlant de la période an
r, Messieurs, la situation est moins grave foncièrement qu'elle ne le
paraissait
tout d'abord. Nous n'avons pas affaire ici à une
ns de famille ; elle est morte d'ictus apoplectique. Son père serait,
paraît
-il, un homme violent, ivrogne et débauché, qui s'
onnée, elle les a complètement oubliés. Et cet oubli profond, absolu,
paraît
irrémédiable. Mais rassurez-vous, ces souvenirs n
poitrine, autour de son cou, comme pour les dégager. Elle se tordait,
paraît
-il, se débattait au point qu'on était obligé de m
é cette amnésie actuelle si rapide et si prononcée, Mme D... vaquait,
paraît
-il, très convenablement aux soins de son ménage e
inconscient, dans la mémoire de la malade, de tous les faits qu'elle
paraissait
oublier aujfur et à mesure de leur production. Ce
elle, renvoyant pour cela à une communication de M. Pierre Janet, qui
paraîtra
prochainement dans la Revue générale des Sciences
sur ce sujet en rapportant une très remarquable observation. Ce fait
parut
si nouveau que dans la discussion qui suivit, Sén
chapitre le plus important en raison de l'oubli dans lequel on avait
paru
la laisser jusqu'ici. Les observations que nous a
sénile ; il avait des hématuries. Sa mère est morte âgée; elle était,
paraît
-il, coléreuse et emportée. Il a eu six frères ou
une sorte de nodule saillant. Celui-ci a une coloration brunâtre qui
paraît
due à l'hyperémie de la substance épendymaire, pl
ette, le second est plus petit, et gros comme un noyau de cerise. Ils
paraissent
dépourvus de membrane d'enveloppe, et leurs conto
appartenant au noyau du moteur oculaire externe droit. Il en est qui
paraissent
gonflées, granuleuses, privées de prolongements,
ée récemment dans le travail que nous citions plus haut (1), et où il
paraît
s'agir aussi d'un tubercule protubérantiel, mais
t notée également dans l'observation de Graux, analogue à la nôtre, a
paru
difficile à interpréter à ce dernier auteur. Il p
postérieur et inférieur. 4. Bec du calamus. Cette hypothèse nous
paraît
malaisée à défendre d'une façon générale, car on
. Charcot et à notre travail précédemment cité. La démonstration nous
paraissait
suffisante pour établir des conclusions basées su
de plus de dix centimètres de la crête épineuse. Son angle supérieur
paraît
remonté; à droite, l'angle supérieur est écarté d
forme une ligne à concavité interne. A droite l'articulation du genou
paraît
subluxée. Il existe un notable degré de pseudo-
du malade dans le service. Les deux articulations tibio-tarsiennes
paraissent
augmentées de volume. Le pied est tombant. MENS
du même côté du corp3, de façon que le moignon de l'épaule de ce côté
paraît
être porté en haut et en avant. Lorsqu'il se sait
lement la polioencéphalomyé-lite (2). La variabilité cle ce phénomène
paraît
donc (1) Bédard et Rémond. — Note sur un cas de
est peut-être plus facilement discutable (les lèvres des myopathiques
paraissent
, dans la plupart des cas, pseudo-hypertrophiées,
ntion n'a pas été appelée d'une façon particulière, bien qu'elle nous
paraisse
mériter une mention spéciale. On la constatera fa
i ne semble pas avoir attiré jusqu'ici toute l'attention qu'elle nous
paraît
mériter. Cependant l'un de nous l'avait, dès 1885
ils ont publié l'observation dans la Revue de médecine (3). Elle nous
paraît
être assez fréquente puisque, sur cinq myopathiqu
s, revêtent toutes sortes de formes, quelquefois celle du délire. Ils
paraissent
beaucoup moins fréquents que l'aura véritable. Le
interroge des épileptiques, au premier abord, c'est le contraire qui
paraît
la règle : l'aura semble rare. Mais si l'on pouss
plupart du temps aux dires du malade qu'il faut se conformer, ne nous
paraissait
pas assez digne de confiance, étant donné l'état
de plus dans les livres de Russell Reynolds (1) et de Sieveking (2),
parus
en 1861, ni guère davantage dans celui d'Echeverr
'hystérie, et dans bien des cas d'épi-lepsie pure la sensation perçue
paraît
exactement la même que le globus hystericus (4).
une sensation d'étouffement. Les manifestations de l'aura céphalique
paraissent
manquer beaucoup plus fréquemment. Nous les avons
uffant et portant les mains à la région épi-gastrique et au cou. Elle
paraît
à ce moment souffrir de sensations de douleur et
peu de temps après. L'existence des phénomènes de l'aura hystéroïde
paraît
bien avérée dans ce cas, bien que la malade ne se
De pareils cas peuvent cependant se rencontrer, mais à la vérité ils
paraissent
peu fréquents, car nous n'en avons observé qu'un
lques-uns de ceux que nous avons déjà considérés. Cette combinaison
paraît
d'ailleurs se faire indépendamment de toute espèc
rs se faire indépendamment de toute espèce de règle. Tel phénomène ne
paraît
pas attirer spécialement tel autre. C'est ainsi q
Nos recherches ont donc porté en apparence sur 71 cas. Mais il nous
paraît
naturel de déduire de ce total 4 cas à accès excl
ues mots, il ressort de cette étude que l'aura de l'accès épileptiquo
paraît
être encore un peu plus fréquente que ne l'ont di
les diverses formes de l'aura, il en est une, l'aura hystéroïde, qui
paraît
particulièrement fréquente, bien qu'elle n'ait pa
ctitude, cela tient sans doute à ce que bien des phénomènes, qui nous
paraissent
ici pas très rares en raison du grand nombre de n
ion plus ou mois répétée de sons laryngés plus ou moins bruyants, qui
paraît
quelquefois constituer à elle seule toute la mala
volume des Maladies du système nerveux de M. Charcot. L'une d'elles a
paru
récemment dans les Archives de Neurologie (n° 67)
ives et délirantes dans lesquelles l'attitude en arc de cercle s'est,
paraît
-il, plusieurs fois manifestée de la façon la plus
e fini que la série reprend comme de plus belle. Un effort de volonté
paraît
n'avoir aucun effet inhibitoire. Cependant la r
, puis d'inappétence et de divers accidents qui ont été caractérisés,
paraît
-il, par le médecin, sous le nom d'embarras gastri
faut. Voici d'ailleurs l'indication des points qui, à cet égard, me
paraissent
surtout intéressants à signaler. On peut dire d'u
ulgaire, chorée de Syden-ham, comme je l'appelle volontiers, — ce mot
paraît
avoir fait fortune, — et aussi dans le paramyoclo
térêt pratique, car les accidents de la maladie des tics, bien qu'ils
paraissent
subir des amendements temporaires, ne sont que ra
aussi d'une gravité beaucoup moins grande ; ce qui, dans l'espèce, ne
paraîtra
certes pas motivé. Quelle est donc la nature de
rébrale? On ne peut guère incriminer la syphilis, puisque le malade
paraît
n'avoir jamais présenté aucune manifestation syph
la production des troubles nerveux que présente notre malade? Cela me
paraît
vraisemblable. Je pense que, chez un sujet préd
nt au point de vue que je viens d'indiquer. Un autre fait important
paraît
se dégager de notre étude, c'est que, en raison d
hamp visuel) ; intelligence très nette ; un peu de bégaiement ; il ne
paraît
pas y avoir le moindre embarras dans les idées. L
e combinée avec l'alcoolisme ? La plupart des faits que j'ai lus me
paraissent
se prêter à cette interprétation, et je puis aujo
r en sémiologie qu'une place de second ordre. Ce que je dis là vous
paraîtra
sans doute exact si vous songez à la diversité
éphalée à un état neurasthénique ou hystéro-neurasthénique ; ce qui
paraissait
venir à l'appui de cette idée, c'est que cette
donc d'un grand intérêt. Mais encore faut-il que leur authenticité
paraisse
fondée. J'en arrive ainsi à un chapitre sur leq
ire, dans le but d'obtenir quelque avantage matériel, et mythomanie
paraissent
devoir être écartés. Ce que je me propose de vo
Chaillous, un grand nombre d'hystériques et le champ visuel nous a
paru
sensiblement normal chez ceux d'entre eux qui,
attitude, on attendra pour procéder à l'excitation que les muscles
paraissent
bien relâchés. Il n'est pas indifférent d'excit
de l'hémi- plégie étaient très faibles. L'extension des orteils m'a
paru
même ordi- nairement plus marquée dans l'hémipl
affections du système nerveux dans lesquelles le signe des orteils
paraît
faire défaut. Je ne l'ai jamais observé dans l'
que l'extension du gros orteil, et il est parfois très marqué. Il m'a
paru
surtout très développé dans les paralysies spas
rit sur ce sujet. Mon but est de mettre en lumière les faits qui me
paraissent
essentiels, et de réunir, à cette occa- sion, l
osseux, en insistant plus particulièrement sur cinq réflexes qui me
paraissent
constants : zut. - Réflexe rotulien ou du trice
isolément, sont peut-être appe- lées à subir quelques corrections,
paraissent
tout à fait exactes relative- ment à l'ordre de
constituer la seule manifes- tation de l'affection ; pourtant cela
paraît
beaucoup plus rare que dans le tabes. Contraire
socie une sclérose des faisceaux pyramidaux, les réflexes tendineux
paraissent
toujours abolis ou affaiblis. Si, dans les névrit
éflexes au-dessous de la zone atteinte Les phénomènes de shock dis-
parus
, on voit réapparaître les réflexes tendineux, lor
issait, très souvent, de lésions portant sur le cervelet. Ces faits
paraissent
explicables, d'après Jackson et Bastian, par le r
dans des développements circonstanciés sur ce sujet c'est qu'il me
paraît
d'une grande importance pratique ; qu'il est enco
ire à sa partie externe ou à sa partie interne ; 2" dans un travail
paru
en 19°1 C), où je me suis occupé des perturbation
s relations étroites avec l'exagération des réflexes tendineux, qui
paraît
en . être la condition nécessaire, ce qui, bien
a été enregistré aucun fait infirmant mon opinion. La question me
paraît
donc définitivement jugée. Au point de vue clin
e s'est déve- loppée. Ce sont ces derniers caractères auxquels on
paraît
généralement atta- cher le plus d'importance. V
ation décisifs. C'est à l'exposé des caractères intrinsèques qui me
paraissent
propres à différencier les deux espèces d'hémip
as d'hémiplégie, la face n'est que très légèrement atteinte et peut
paraître
même absolument nor- male ? En ce qui concern
ion de spasme asso- cié du peaucier, qui, toute réflexion faite, me
paraît
défectueuse ; je crois en effet qu'il ne s'agit
issure qui était manifestement d'origine spasmodique ; ces faits me
paraissent
exceptionnels. Chez les sujets atteints d'hém
endineux, qu'on l'observe, mais je l'ai constaté aussi, ce qui peut
paraître
surprenante) dans quelques cas d'hé- miplégie a
gie hystérique. D'après mes observations, l'opinion de Rosenbach me
paraît
juste ; je ne crois pas que l'hystérie puisse,
xe du côté sain, n'est pas rare dans l'hémiplé- gie organique et me
paraît
avoir plus de valeur, au point de vue du dia- g
émiplégie organique, l'autre d'hémiplégie hystérique, qui tous deux
paraissent
dans l'impossi- bilité de faire exécuter un mou
est-il atteint de para- lysie hystérique ? Deux interprétations me
paraissent
soutenables. On peut supposer que le malade a p
ation epileptoïde du pied fait défaut. 7° Les réflexes cutanés ne
paraissent
pas troublés. Le réflexe abdominal et le réfl
ons qu'il n'y en ait pas un seul qui soit absolument décisif. Il me
paraît
du moins certain que quand plusieurs de la même e
rébrale, et qui consiste dans ce fait F que les malades ignorent ou
paraissent
ignorer l'existence de la para- lysie dont ils
ralysée. » Chez cette malade, l'anesthésie était profonde ; elle ne
paraissait
pas percevoir les déplacements passifs du membr
t l'hypothèse que l'on accepte, il s'agit là d'un phénomène qui m'a
paru
digne d'être signalé, et crue je me propose d'étu
ique, n° 3. mars 1915. Les phénomènes dont nous allons nous occuper
paraissent
avoir été t mentionnés pour la première fois en
'affirmer qu'on a affaire à un état morbide. Ce signe à lui seul me
paraît
donc décisif; c'est le criterium de l'état path
s rapports avec le signe des orteils, puisque ces deux phéno- mènes
paraissent
bien caractéristiques d'une perturbation de la vo
controverses entre neurologistes. Les phénomènes que nous étudions
paraissent
avoir été mentionnés pour la première fois en 1
(Revue Neurologique, t. XXVIII, p. 225), Pierre Marie et Foix font
paraître
à leur tour un mémoire sur « les Réflexes d'aut
vu précé- demment. Ce fait que les réflexes de défense m'avaient
paru
dès mes premières observations particulièrement
les qui, après avoir présenté une paraplégie plus ou moins marquée,
paraissent
complè- tement rétablis : la motricité est rede
r lesquelles, à l'état physiologique, les réactions motrices qui me
paraissent
ressortir aux réflexes de défense s'effectuent
cée sur le jambier antérieur par l'aponé- vrose jambière. Il nous
paraît
inutile d'analyser le mouvement conjugué d'extens
longé. 2° Le territoire de l'anesthésie organique qui, il est vrai,
paraît
parfois soumis'à des variations analogues, prés
ec Chauvet (voir Revue neurologique, igi3, n° 12, p. 857)' .Il nous
paraît
inutile de transcrire ici cette observation; nous
ns le territoire des dernières racines sacrées, où la sen- sibilité
paraît
absolumeut normale. La sensibilité tactile est
ntraire très marqués à droite. Les muscles de la paroi abdominale
paraissent
parésiés du côté droit. Des 2 côtés lé réflexe
rovoquées par des excitations déter- minant de la douleur, laquelle
paraît
se manifester en particulier par les grimaces,
des excitations douloureuses, soit un phénomène volontaire. Il nous
paraît
donc incontestable qu'il s'agit là d'une réacti
ne par- vient pas au centre encéphalique. Les réflexes de défense
paraissent
conditionnés par une perturbation de la voie py
le même aspect, particulièrement au point de vue de sa durée et ne
paraît
pas exposée à la variabilité qui appartient aux
la pupille de l'oeil resté ouvert, dont le réflexe à la lumière m'a
paru
alors manifestement amoindri, non seulement d'u
la syphilis héréditaire, par Erb ("), qui déclare que ce signe lui
paraît
indiquer que le système nerveux central est tou
es que l'on observe dans la clinique humaine ; toutefois, il nous a
paru
indispensable de mettre largement à profit les
arcation entre les fonctions de ces deux organes. Aussi nous a-t-il
paru
naturel de rap- peler d'abord les résultats de
ce d'une observation isolée de Hup- pert(') lorsque nous avons fait
paraître
notre mémoire en mai 1909. Notre attention étai
toutes ses formes, explorée avec les divers moyens dont on dispose,
paraissait
complètement intacte chez les malades de ce gen
le à la démarche asynergique que nous avons décrite. Il nous a donc
paru
indispensable, pour désigner ce trouble, de lui
récédemment. L'inter- prétation de ce trouble de la déambulation me
paraît
donc légitime. Elle semble encore plus fondée q
s de même pour les membres. Ceux-ci sont bien plus souvent qu'on ne
paraissait
l'admettre autrefois le siège de perturbations
? STIIIUL211RL 211 EXPÉRIMENTATION SUR LE PIGEON L'animal qui m'a
paru
réunir les conditions les plus favorables dans
- circulaires produirait des mouvements différents ; or la réaction
paraît
être la même, que l'on excite l'un des trois ca
se traduit par l'hyper- excitabilité électrique. Cette hypothèse me
paraît
d'autant plus accep- table que dans l'observati
é l'atten- tion. D'après ce que j'ai vu, il est assez commun; il me
paraît
mériter d'être recherché systématiquement et d'
s mois d'une névrite des deux jambes. La réaction de dégénérescence
paraît
complète par l'explo- ration classique. Le nerf
oyenne ; la malade, du reste, n'est pas menstruée. L'intelli- gence
paraît
normale, mais la mémoire a diminué beaucoup depui
es abdominaux sont en bon état. Pas d'albumine. Pas de sucre. Il me
paraît
impossible de porter un diagnostic précis avec ce
scie, et l'on luxe en bas le lambeau osseux ainsi formé. La dure-mère
paraît
normale; il y a les battements habituels du cer
chez la malade que je présente, à la période menstruelle ; elle me
paraît
comparable à l'effet produit par la saignée dans
la cécité complète, et du mauvais état général, la crâniectomie me
paraît
contre-indiquée. Le malade succombe peu de jour
et en atteignant presque le volume ; sa surface est bosselée ; elle
paraît
s'être développée dans les méninges molles ; elle
lle est remontée à go de ce côté. La céphalée et la torpeur cependant
paraissent
augmenter. On décide une intervention chirurgic
ite capillaire généralisée, pas d'hépatisation. Les autres viscères
paraissent
microscopiquement sains. Hémisphère gauche : Au
n constate une petite hémorragie méningée. Le reste de l'hémisphère
paraît
indemne ; pas de tumeurs. , Hémisphère droit
dantes de la dure-mère et de l'écorce cérébrale qu'elles refoulent,
paraissent
développées dans les méninges molles. La tume
sont comme lobulées à la surface, d'aspect nacré à la coupe, elles
paraissent
constituées par des faisceaux entrecroisés en t
dian du corps. L'hémisphère droit auquel sont appendues les tumeurs
paraît
ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBRALES ET
même dans les néoplasies nullement syphilitiques, l'état du malade
paraît
quelque peu s'améliorer sous l'influence de cet
ente à la Société un malade atteint d'hémispasme, dont j l'étude me
paraît
jeter quelque lumière sur la pathogénie du torti-
t tailleur sur acier pour bijoux. Pendant son travail, il est obligé,
paraît
-il, de porter presque constamment la tête en ro
généralement plus intenses et plus fréquents dans la station et il
paraît
que les émotions les accentuent, mais les alterna
organique présumée siège-t-elle dans le système pyra- midal, comme
paraissent
l'indiquer les modifications des réflexes tendi-
l'existence d'aucune excroissance osseuse. La selle turcique nous a
paru
normale. En résumé, le malade que nous présento
ation de la Société, peut tenir sa tête absolument immobile et elle
paraît
tout à fait guérie. Le retour à l'état normal n
d'hui que le résultat thérapeutique est remar- quable et ce fait me
paraît
intéressant au point de vue pratique. Mais il o
le trapèze DÉGÉNÉRATION ET RÉGÉNÉRATION DU STERNO-11ASTOÏDIEN 26g
paraissent
soumis à un régime privilégié au point de leur ap
le passage suivant : « Les deux autres sujets à section bilatérale
paraissent
, au contraire, avoir maintenu leur bénéfice opé
omme cela a lieu aussi chez la malade guérie depuis 17 ans. Il me
paraît
impossible de ne voir dans cette série d'observat
range un peu son intérieur, tantôt elle reste presque immo- bile et
paraît
dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit sa
aine de la parole et des mouvements de la bouche que les variations
paraissent
particulièrement prononcées et que les troubles
un effort pour exécuter l'acte commandé. Certains procédés nous ont
paru
faciliter le déclenchement de la parole : l'exc
et n'a jamais commis aucun acte déraisonnable ; son intelli- gence
paraît
absolument intacte et par signes ou par écrit, el
ans, chancre qui ne fut pas suivi d'accidents secondaires, mais qui
paraît
toutefois avoir été considéré comme de nature s
actuel (novembre t 8gg). Aspect extérieur. L'état général du malade
paraît
satisfaisant, il a un embonpoint moyen. Ce qui
lité olfactive est émoussée du côté droit. La sensibilité gustative
paraît
à peu près abolie à droite ; l'amertune de la qui
H. M..., atteint d'une lésion cérébello-protubé- rantielle, qui me
paraît
particulièrement digne de fixer votre attention.
ilibre volitionnel statique, non seulement n'est pas affaibli, mais
paraît
même plus parfait qu'à l'état normal. Aux mem
atténuée et qu'il a maigri. Le malade est, en effet, maigre, pâle,
paraît
très faible, ce qui s'explique du reste fort bien
achilléens sont normaux. Les réflexes tendineux du membre supérieur
paraissent
un peu plus forts a droite qu'à gauche. Du cô
fois le faisceau cérébelleux direct, qui passe très tôt en arrière,
paraît
lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le fai
palpébrale, ainsi qu'en une rétropulsion du globe ocu- laire et qui
paraissent
semblables à ceux qui résultent de la section des
e prononcer. Ce sont les troubles vaso moteurs et thermiques qui me
paraissent
constituer la particularité curieuse de ce fait
nsion ; les réflexes tendineux, difficiles à explorer, à la vérité,
paraissent
normaux. La sensibilité au tact des membres sembl
tendons ro- tuliens ne provoque aucun mouvement réflexe, ce qui
paraît
dû à l'intensité de la contracture. Il se dével
émer- gence ; dans ce diverticule se trouve un plexus choroïde qui
paraît
avoir été l'origine de la tumeur. Par son dével
let une loge dont le fond est constitué par la substance blanche et
paraît
continuer la surface du pédoncule céré- belleux
'ai observés, je dois chercher à faire ressortir les notions qui me
paraissent
s'en dégager. Considérons d'abord le premier de
la contracture et l'état des réflexes ten- dineux qui n'ont jamais
paru
exagérés, quelle que soit la période de la mala
e début de sa maladie jusqu'à sa mort, un malade dont l'histoire me
paraît
fort instruc- J tive au point de vue de la symp
que j'ai avec lui me montre l'exactitude de ses déclarations; il me
paraît
, en effet, doué d'une intelligence normale, mai
ne contient ni sucre ni albumine. Le diagnostic le plus probable me
paraît
être le suivant : artérite céré- PARALYSIE PAR
rt les syncopes susmentionnées, et en raison des conditions qui lui
paraissent
rendre facile l'extraction de la tumeur, le chi
x espèces de paralysies et, pour mettre ce trait en évidence, il me
paraîtrait
juste de dénommer, jusqu'à nouvel ordre, la paral
e grandes probabilités. Dans ce cas particulier, ce qui m'a surtout
paru
un argument capital contre l'hypothèse de paralys
a malade que je viens de présenter et dont les réflexes tendi- neux
paraissent
presque abolis. Mais cela n'est pas constant; dan
e dernier symptôme, l'hypothermie et la parésie du membre inférieur
paraissaient
dépendre d'une lésion encéphalique. Une explica
tif de lésion des cornes antérieures ou de la voie pyramidale, elle
paraît
liée, au moins pour une grande part, à la vaso-
es rami-communicantes. On peut aussi, et c'est l'hypothèse qui nous
paraît
la plus vraisemblable, admettre que la lésion p
out phénomène d'irritation pyramidale entre les crises. ' Il nous
paraît
impossible de ne pas tenir compte dans l'étiologi
la moelle, produite par la néoformation gliomateuse. Cette idée me
paraît
concorder fort bien avec les données que nous p
els le réflexe du tendon d'Achille est seul affai- bli ou aboli, me
paraissent
aussi nombreux que ceux où la perturbation dans
x sujets est lui-même atteint de tabès. Le diagnostic de tabès me
paraît
certain chez ces deux jeunes filles ; elles pré
imposer à l'es- prit, et les dénégations du père, qui, du reste, me
paraît
sincère, mon- trent seulement une fois de plus
e nerveux. S'agirait-il d'une simple coïncidence fortuite ? cela me
paraît
peu probable. Serait-ce, comme l'a supposé Iore
e mari qui avait le premier subi l'infection et la syphilis n'avait
paru
manifester son action chez la femme que par des
sain; c'est, du moins, ce que j'ai constaté plusieurs fois et cela
paraît
montrer que le signe de Robertson est sous la d
'inflammation vertébrale au niveau des trous de conjugaison. Il m'a
paru
légitime d'appliquer aux faits de ce genre la d
ouches. Son premier mari est mort d'une maladie de la moelle qui l'a,
paraît
-il, fait (1) J. Babinski, Exposé des travaux sc
ui enlevaient tout appétit, la rendaient inapte à tout travail et lui
paraissaient
abso- lument intolérables ; sa figure exprimait
s donc pu connaitre toute l'évolution de cette affection. Il nous a
paru
intéressant de rapprocher notre observation de ce
lesquelles nous croyons devoir insister, car elles ne nous ont pas
paru
avoir été signalées jusqu'ici : Nous avons ét
s qui apparurent après le stade de paraplégie complète. Il nous a
paru
net que l'excitabilité réflexe cutanée prédominai
ment un peu oblique de la sensibilité (distribution radiculaire) il
paraît
y avoir, du moins pour d'autres fonctions, une
naissance au moins, signalé dans des cas analogues aux nôtres, nous
paraît
digne de fixer l'attention, et nous en supputer
médullaire. De l'ensemble des faits dont l'exposé précède, il nous
paraît
légitime de tirer les conclusions suivantes :
où il semble parfois faire défaut ; la percussion de l'omoplate ne
paraît
pas provoquer de contraction du deltoïde mais e
éterminent plutôt une impression douloureuse. La sensibilité profonde
paraît
intacte. La malade se plaint de douleurs dans l
dartérite). Il est certains côtés de cette observation qui nous ont
paru
particulière- ment intéressants et sur lesquels
itoire atteint, l'anesthésie présente d'habitude les caractères qui
paraissent
appartenir plus particu- lièrement aux compress
iste même pas du tout et voici ce qu'on observe : un territoire qui
paraissait
atteint d'anesthésie complète peut, si l'on prolo
n intra- médullaire et une compression extra-médullaire ? Cela nous
paraît
vraisemblable; quoique nous ne soyons pas encor
que avec abcès par congestion. C'est cette der- nière idée qui nous
paraissait
la plus probable, malgré l'absence d'alté- rati
'opération. Dans cette observation il y a plusieurs points qui nous
paraissent
parti- culièrement dignes d'attention. 1° D'a
avait fourni, de son côté, une figure qui, jointe à la précédente,
paraissait
représenter comme la photographie d'une tumeur
les de pro- voquer les complications en question et dont la plupart
paraissent
impos- sibles à éviter, il n'en est pas d'autre
bservations recueillies par M. Sicard, la présence de l'huile iodée
paraît
n'avoir aucune action nocive. (1) M. de Martel
proposer une laminectomie à notre malade. Toutefois, il nous avait
paru
rationnel d'avoir encore recours à l'épreuve de
tude de M. Jumentié. Nous rappellerons seulement les faits qui nous
paraissent
essentiels au point de vue de l'in- terprétatio
qui occupent la moelle dorsale. C'est à ces dernières lésions que
paraissent
liés les troubles sensitifs au niveau de l'abdo
instabilité constitue une de ces particularités : un territoire qui
paraissait
atteint d'anesthésie complète peut, si l'on prolo
llaire, soit à une pachymé- ningite limitée, où le tableau clinique
paraissait
semblable à celui des (') J. Babinski et J. Jar
ou médullaires (Obs. II) au niveau même de la compression. Si elles
paraissent
faire défaut dans les tumeurs juxta-médullaires
emme, dont l'histoire pathologique, ) d'ailleurs assez complexe, me
paraît
digne d'être rapportée. i Il y a dans cette obs
on quelques faits qui sont rigoureuse- ment établis et qui nous ont
paru
assez intéressants pour être relatés, quoiqu'il
ons méningées aiguës, si la méningite hémor- ragique fibrineuse qui
paraît
aujourd'hui guérie n'étaient pas aussi sous la
rosseux, en particulier, sont presque toujours respectés. Il nous
paraît
essentiel de faire remarquer que, en ce qui conce
a pas manqué de signaler dans ses leçons. Or, s'il en est ainsi, il
paraît
vraisemblable que l'inégale participation des mus
galités nettement appréciables. Un foetus de cinq mois environ nous
paraît
être, au point de vue qui nous occupe, un objet
que nous désirons mettre en évidence. Laissant de côté ce qui nous
paraît
accessoire dans son histoire clini- que, nous n
lui accorde pas dans les traités classiques l'importance qu'il nous
paraît
mériter. C'est un symptôme cardinal de la myopath
l'espèce d'une altération propre de la fibre musculaire ; cela nous
paraît
d'autant plus probable qu'il n'existe aucun sig
et de disparaître sous l'influence exclu- sive de la persuasion me
paraissent
être des caractères de ce genre. Mais avant de
e la langue française, par Littré). Dans le sens médical, ce mot me
paraît
exprimer l'action par laquelle on cherche à fai
é cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hystérique,
paru
en 1891 dans les Archives de Neurologie. 46o
eux, comme MM. Dutil etLaubry, au- teurs de l'article « Hystérie »,
paru
dans la deuxième édition du Traité de Médecine
de médecins ne sont même pas si exigeants ; quand un symptôme leur
paraît
difficile à interpréter et ne peut être rangé,
un grand nombre d'hysté- riques et le champ visuel nous a toujours
paru
sensiblement normal chez ceux d'entre eux qui,
je viens de l'exposer, d'être reproduits par suggestion et de dis-
paraître
par persuasion ; il n'en est pas de même des idée
urement, frappé par certaines constatations avec lesquelles elle me
parurent
difficiles à concilier, je fus amené à douter d
pendant, sont jeunes, n'ont aucun signe d'affection car- diaque, ne
paraissent
pas syphilitiques, ont, du côté paralysé, de l'an
fs que j'ai découverts depuis. Dans un premier travail sur ce sujet
paru
en 18c3, et ensuite à maintes reprises, dans de
tériques sont sou- vent réfractaires à la psychothérapie, ce qui me
paraît
inexact. De plus, parmi ces hémiplégiques il de
DITIONNELLE 49r Sur des raisons d'ordre moral. De plus, ce qui peut
paraître
paradoxal, j'estime que l'échec de la psychothé
auxquels je donne l'épithète de pithiatiques se développent et dis-
paraissent
le plus souvent sous l'influence de chocs moraux
ie ; cela s'observe surtout si le chef de service ou ses élèves ont
paru
s'inté- resser à ces phénomènes et y ont donné
urra guère rester indifférente. Les idées que je viens d'exposer me
paraissent
dignes d'être méditées, non seulement parce que
me les yeux et semble ne plus pou- voir les ouvrir, que ses membres
paraissent
inertes et insensibles, etc., on a l'habitude d
mait qu'il est impossible de simuler ces caractères. La volonté lui
paraissait
impuissante à reproduire la griffe cubitale ou la
es atteints de ces ma- nifestations pathologiques. Cette conception
paraît
absolument rationnelle, une fois admises les ba
pnotisme constitue une farce n'est pas absurde. Le problème ne me
paraît
pas comporter une solution catégorique. Mais il
exécuter à un individu placé dans cet état des actes singuliers qui
paraissent
déraisonnables et qu'il n'a pas l'habitude d'ac
utique. Si l'hypnotisme ne crée ni n'augmente la suggestibilité, il
paraît
sans objet. Autrefois, il est vrai, on a guéri
ue j'ai rapportés, mais, même au point de vue théorique, elle ne me
paraît
pas fondée ; j'ai cherché à la réfuter dans mon t
s troubles d'origine lésionnelle. » D'autre part, dans un travail
paru
dans le n° 3, 2 septembre 1928, de la Revue neu
nes psycho-somatiques explique bien des erreurs. « La question nous
paraît
d'ailleurs moins insoluble qu'on ne le pense ;
ache par quels caractères cliniques ils se dis- tinguent). Il ne me
paraît
pas nécessaire de faire la description de l'hémi-
amen je ne crains pas de dire qu'ancun de mes relevés anciens ne me
paraît
aujourd'hui échapper à la critique et, depuis f
des maladies chroniques ». Ainsi un sixième des cas de maladies lui
paraissait
imputable à l'hystérie ! Et pour voir à quel poin
veux de toute autre nature. C'est ainsi qu'au début de la guerre on
paraissait
avoir oublié complètement l'existence de ces pa
uestion est plus complexe. Les associations hystéro-organiques nous
paraissent
en effet communes à la suite de traumatismes de
elatés dans son livre, avec figures, où le réflexe cutané plantaire
paraissait
aboli, les muscles étaient également en état de
un seul cas bien établi d'oedème hystérique. La conception ancienne
paraissait
donc bien avoir pour origine des erreurs de diagn
raits des mani- festations hystériques : la lésion qui les a causés
paraît
parfois minime, hors de proportion avec les dés
résulte des types cliniques divers qui, malgré leurs dissemblances,
paraissent
constituer une même famille et repré- senter un
rophie ou à la paralysie amyotrophique. L'exal- tation des réflexes
paraît
un symptôme commun à ces divers modes de troubl
articulaire ou ab-articulaire suivant l'expression de Dutil, qu'ils
paraissent
souvent hors de proportion avec la lésion qui l
ie ne décèle aucune lésion arti- culaire. Le réflexe rotulien droit
paraît
un peu plus fort que le gauche ; mais l'asymétr
actions tendineuses. Pour résoudre cette dernière question, il nous
parut
bon de soumettre ce malade à la chloroformisati
pport avec une disposition constitutionnelle. Leurs conséquences ne
paraissent
pas les mêmes que lorsqu'il s'agit de troubles
spect légèrement infiltré, surtout à la face dorsale de la main qui
paraît
« succulente ». Parfois même, c'est un oedème v
lité mécanique des nerfs, tout comme la surexcitabilité musculaire,
paraît
assez étroitement liée aux troubles vaso-moteurs
n métacarpienne ou des doigts, ou encore les essais de mobilisation
paraissent
souvent provoquer des dou- leurs assez vives. N
iatique et encore leur réalité dans les cas d'hystérie pure ne nous
paraît
-elle pas prouvée. Si l'opinion contraire a été
orsque la main est tenue en ex- tension. Les troubles réflexes nous
paraissent
aussi s'associerfréquemment aux formes douloure
r la lésion périphérique est bien transmise à la substance grise et
paraît
impressionner, d'une certaine façon, les élémen
ce trouble : s'agit-il d'une paralysie ? C'est une hypothèse qui ne
paraît
pas conciliable avec les faits observés. On sait,
excitabilité mécanique des muscles et la lenteur de la secousse, ne
paraissent
en être qu'une conséquence indirecte. Enfin, il
bles vaso-moteurs très caractérisés. Les deux mécanismes, du reste,
paraissent
souvent (') Ch. Richet, Chaleur, lu Dictionnair
oi, entre autres faits nombreux, où le traitement hydrargyrique m'a
paru
donner des résultats satisfaisants, je crois devo
ntes : de plus, le phénomène des orteils que j'ai constaté chez lui
paraît
montrer qu'aux lésions radiculaires était adjoint
du mercure et l'arrêt dans la marche de la sclé- rose, mais cela me
paraît
bien vraisemblable, et ces deux faits, particuliè
baire exerce une action sur le labyrinthe. Du reste cette action ne
paraissait
pas surprenante, la pression du liquide labyrin
La lenteur de la régression et ce fait qu'elle n'est que partielle
paraissent
dus à la longue durée et à l'intensité de la co
t être appelée paraplégie spasmodique, type extension-flexion. Elle
paraît
comporter un pronostic moins sévère que la para
s et à la partie inférieure du tronc ; mais, à d'autres moments, elle
paraît
nor- male et, en définitive, le trouble sensiti
passifs, mais ceux-ci sont très limités. D'autre part le malade qui
paraît
bien plus contracturé que paralysé, est en mesu
relaté encore un cas de mal de Pott sur lequel les rayons X avaient
paru
exercer une influence heureuse, et je disais que
être émise dans la plupart des affections organiques, mais elle me
paraît
peu probable ; en effet, la malade n'a jamais pré
ent. De l'ensemble de ces observations, il résulte que les rayons X
paraissent
avoir une action curative sur la sciatique acco
initivement, dans son article du Manuel de médecine Debove- Achard,
paru
en 1894. En 1901, Schwenn (2) a pratiqué l'auto
oncernant le trajet des racines postérieures prises en bloc, il m'a
paru
intéressant de placer l'étude comparative d'un
DES CORDONS POSTÉRIEURS 25 relativement à la bandelette externe, il
paraît
sain, mais si on le compare à l'état normal, on
Pal et par la coloration au carmin. Il faut ajouter que la sclérose
paraît
être déjà ancienne si l'on en juge par la réact
dogènes fines, 2° fibres endogènes grosses. Cette distinction ne me
paraît
pas avoir été encore faite par les auteurs qui
a région sacrée, contient un grand nombre de fibres semblables, qui
paraissent
provenir de la commissure postérieure ; à la ré
'intensité de la lésion des cordons postérieurs; par contre, elle m'a
paru
être en rapport avec la lésion du réticulum for
ises ; dans le grand nombre de fibres qui, de cette zone marginale,
paraissent
(1) P. FLECHsiG, Die Leitungsbalanen im Gehirn
nitiale du tabes. Dans l'observation relatée plus haut, les lésions
paraissent
au contraire presqu'absolument limitées aux systè
tème élémentaire de fibres et affection systématique (1). Ce qui me
paraît
important à plusieurs points de vue, c'est de bie
s. Toutefois tous les systèmes de fibres qui passent par cette zone
paraissent
avoir pour propriété commune de résister pendant
postérieure est de nature endogène. G. Les colonnes de Clarke ne
paraissent
pas recevoir de fibres des racines postérieures
ins d'une façon complète. Les deux observations qui précèdent ne me
paraissent
donc pas nette- ment systématiques. Je crois qu
pe des scléroses combinées pseudo-sstémrctiues dans le ta- bes nous
paraît
bien plus important que le précédent. L'apparence
niveau de la décussation des pyramides. Le faisceau pyramidal lui a
paru
un peu dégénéré dans la région bulbaire. Les pédo
umé, sur les sept observations anatomiques qui précèdent, cinq nous
paraissent
nettement expliquées par la théorie lymphatique e
anti-crural. Mieux encore qu'à l'état normal, cette décom- position
paraît
justifiée, car elle est'rendue plus nette par l'h
en flexion et extension successive avec prédominance de l'extension
paraît
être le type habituel dans les affections spasmod
IGNEL-LAVASTINE. Les tableaux qui représentent des syphilitiques ne
paraissent
pas avoir encore attiré beaucoup l'attention de
- moin le Pulcinella des farces italiennes. - Le nez syphilitique
paraît
avoir tenté beaucoup moins les artistes. Dans l
ndance caricaturale d'une assez grande fréquence. Tout autre nous
paraît
être la signification de la déformation nasale du
courbe à concavité antérieure. Le ventre est dur à la palpation et
paraît
en état de contraction permanente. Pendant la r
t. Ces différents types de grandes cyphoses forment des groupes qui
paraissent
se relier par quelques inter- médiaires. (1)
embre sain, en l'absence de paralysie motrice du coté malade, ne me
paraît
pas suffire pour penser au syndrome de Brown-Se
t qu'elle s'amincit, commencent en outre, dans la plupart de cas, à
paraître
aussi des épaississements peu marqués au commen
ade -résiste très bien aux mouvements passifs. Réflexes rotuliens
paraissent
diminués. Pas de troubles nets de la sensibilit
par son asymétrie faciale très nette : la moitié gauche de la face
paraît
diminuée, abaissement de l'arcade sourcilière, dé
emporal droit et surtout à la face interne des lobes frontaux elles
paraissent
plus épaisses et lactescentes : l'on note en ce d
ne présentent aucune anomalie d'aspect ni de consistance. Artères
paraissent
normales. Pas d'hémorragies. Cervelet. - Le cer
res paraissent normales. Pas d'hémorragies. Cervelet. - Le cervelet
paraît
diminué de volume dans son ensemble et l'hémisp
ion est légèrement plus foncée que normalement; l'aspect à la coupe
paraît
moins humide. ' TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCIl
bulbe et du peu de saillie de l'olive de ce même côté. Moelle. Elle
paraît
asymétrique, vue sur des coupes transversales fai
e étant d'ailleurs resté sans résultat et d'autre part la malade ne
paraissait
pas avoir eu d'habitudes alcooliques. Le diagnost
réflexes exagérés des deux côtés, ni anesthésie, ni hémiplégie) et
paraissent
justiciables d'une même explication pathogéni-
live bulbaire droite. Ces lésions observées dans notre cas nous ont
paru
intéressantes au moins comme condition étiologiqu
O-PARALYTIQUE 128 serait constatée plus souvent si on la cherchait,
paraît
confirmer l'idée - d'une toxi-infection. Au fai
arythmie eu salves. Une injection de caféine faite la veille a bien
paru
améliorer le malade. Tou- tefois ce matin : per
e montre un second ramollissement occupant la couche optique et qui
paraît
n'empiéter que très peu à l'oeil nu sur la capsul
postérieures 132 PIC ET BONNAMOUR sont nettement altérées, elles
paraissent
moins nombreuses qu'à l'état normal ; ellles so
ue, au- tant qu'il est possible de l'apprécier sur la radiographie,
paraît
grande. Si l'on ajoute à ces différents signes
toutefois à gauche, profondément dans le canal, un testicule qui ne
paraît
pas minuscule. Le malade assure que ses testicu
t scléro-adipeux, lequel s'arrête nettement au pli du poignet, nous
paraissent
analogues à celles de la maladie de Dercum (adipo
ble menton bien rempli, les mamelles plus volumineuses ; mais il ne
paraît
pas, à son dire, qu'il y ait jamais eu de myxoedè
TE, CROISSANCE TARDIVE, DIABÈTE 177 cosurie et la polyurie ont donc
paru
notablement diminuer par le traitement pancréat
embre inférieur gauche, les mouvements sont à peu près conservés et
paraissent
semblables à ceux du côté droit. Cependant si la
décrit par M. Dide (1) dans la démence précoce à forme catatonique,
paraît
un phénomène à peu près constant si on observe
cas dans son travail fondamental : « Le pseudo-eedéme catatonique ,
paru
récem- ment dans l'Iconographie de la Salpêtriè
main) qui produisent ses impulsions. Les hallucinations auditives,
paraissent
moins nettes qu'au moment de son entrée à l'asi
l'allure incohérente des conceptions et des actes de notre ma- lade
paraît
bien s'expliquer par l'influence de cet état obsé
us aurons l'oc- casion de revenir plus loin, mais elles ne nous ont
paru
alors ni cons- tantes, ni même très fréquentes,
aire,et nous devons avouer que les altérations cellulaires nous ont
paru
plus intenses et plus fréquentes que ne nous l'
elles-mêmes. Le tissu interstitiel-est très épaissi et les capsules
paraissent
creusées dans du tissu fibreux ou hyalin. La pa
hose à signaler dans le 1 er ganglion cer- vical droit, les racines
paraissent
saines ; toutefois on y trouve quelques cel- lu
que nous désirons revenir, les alté- rations cellulaires nous ayant
paru
avoir, au cours de nouvelles investigations, pl
contiennent des boules de graisse colorées en noir. Le tissu hyalin
paraît
un peu plus abon- dant. OBs. VIII. Viv..., âg
l n'est pas sensiblement épaissi. Les vaisseaux sont sams, mais ils
paraissent
plus nombreux et dila- tés ; par conséquent il
stitiel et des vaisseaux sont variables. Dans certains cas,ce tissu
paraît
normal ; dans d'autres cas,il se distingue par
tissu conjonctif et des vaisseaux ganglionnaires nous ont toujours
paru
sans importance en ce qui concerne le point qui
plus longtemps que la gaine de myéline, et que dans des racines qui
paraissent
complètement atrophiées, l'examen histologique pa
elui de la physiologie expérimentale, mais il est un point qui nous
paraît
indiscuta- ble, c'est leur existence, leur fréq
des cellules malades. Il y a des cellules qui sont gon- flées, qui
paraissent
agrandies et dont le protoplasma est transparent,
as quelques cellules nerveuses en voie de désintégra- tion. Le fait
paraît
même plus accentué chez les vieillards. Mais cela
l s'agissait là d'une lésion cadavérique. Cette interpréta- tion ne
paraît
pas devoir s'appliquer aux cas que nous venons de
les données de l'anatomie et de la physiologie qu'ils pourraient le
paraître
au premier abord : l'étude de l'anatomie et de
HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245 rieur au niveau des IV" et Va segments,
paraît
résulter d'une rupture d'une des branches horiz
visibles dans les racines du Vle segment. La réaction inflammatoire
paraît
évidente aussi au niveau du canal épendy- maire
croyons inutile d'insister beaucoup sur les remarques qu'elle nous
paraît
comporter. L'hypéresthésie en bande que nous
des lésions, à la vérité en partie réparables, mais diffu- ses, qui
paraissent
devoir être mises sur le compte de la destruction
, et s'éteignent totalement avant d'arriver à vingt ; les réactions
paraissent
normales clans les autres muscles. Le rectum et
s muscles élévateurs oculo-palpébraux, mais aussi l'orbiculaire, me
paraît
très efficace. Il suffit de donner au patient u
sies oculaires hystériques, très rares, des mouve- ments conjugués,
paraissent
se réduire aux mouvements volontaires, et non a
être rejetée pour les mêmes raisons. L'histoire de ce malade nous a
paru
valoir la peine d'être rapportée. Elle est inté
ux, rouge, vasculaire et la lame de tissu compact périphé- rique ne
paraissait
pas épaissie. L'étendue de la résection paraiss
malades provenant de la même famille furent déjà publiées. Il nous
paraît
donc d'un certain in- térêt de leur en addition
ée surtout dans le diamètre antéro- postérieur. Les racines minces,
paraissent
atrophiées, les méninges de la moelle épaissies
jambes en marchant, mais ne les projette pas, ne les traîne pas, il
paraît
plutôt les lancer un peu par un mouvement du ba
us du croisement des pyramides qu'il devient perméable, et alors il
paraît
élargi et entouré d'une couche formée de plusie
réfaction des fibres très forte. C'est surtout les fibres fines qui
paraissent
faire défaut. Substance blanche de la moelle. -
oeil dans la substance blanche, c'est que même dans les régions qui
paraissent
tout à fait respectées par la dégénérescence, l
s'approche immédiatement de l'angle médian de la corne antérieure et
paraît
sortir de cet angle. L'élargissement latéral de
e elle semble renvoyer une forte quantité des fibres sclérosées qui
paraissent
subir ici un entrecroisement avec les fibres anal
roubles musculaires et ces lésions des cellules ganglionnaires nous
paraissent
être beaucoup plus fréquentes qu'on l'admet gén
hes suivantes : 308 LORI pas uniquement ; sur une coupe elle peut
paraître
assez notable alors que le nerf ne contient plu
en plus grand nombre. Il y a là une relative indépendance qui nous
paraît
intéressante à signaler pour la re- cherche de
ètement (yeux de llelin ? Rossign..), et remplacés par des amas qui
paraissent
être formés des cellules arron- dies et qui son
de que la couche intergra- nuleuse. Les vaisseaux de la rétine ne
paraissent
pas sensiblement modifiés de nombre ni de volum
sensiblement modifiés de nombre ni de volume ; cependant leur paroi
paraît
assez souvent épaissie ; les vaisseaux de la ch
paroi paraît assez souvent épaissie ; les vaisseaux de la choroïde
paraissent
épaissis, et certains sont complète- ment obtur
ffet que, cliniquement, il existe en général une première phase qui
paraît
présenter certains caractères d'irritation, d'inf
instantanés reproduisent des scènes identiques. (1) Il existait,
paraît
-il, autrefois, un autre tableau représentant troi
hors d'haleine, et restaient ainsi longtemps inanimés. Leur ventre
paraissait
gonflé, et ils portaient une ceinture avec laqu
s grandes attaques (9 ). Mais, si la grande épidémie du XIVe siècle
paraît
avoir été la plus étendue et la plus grave, ell
célébrées à Rome rappellent les Dionysiaques d'Athè- nes d'où elles
paraissent
avoir été importées. Il semble cependant qu'avant
s des Dionysiaques et des Bacchanales dont le caractère païen lui i
paraissait
détestable. On allumait, à ces dates annuelles,
re supérieur, on observe des bigar- rures blanchâtres anormales qui
paraissent
dues au développement considéra- ble du tissu f
u fibreux. Tous les muscles que nous avons pu examiner à l'autopsie
paraissent
parti- ciper à l'atrophie, mais celle-ci n'est
normalement, envoyant des diverticules dans son intérieur. Certains
paraissent
à première vue à peu près- normaux, leurs fibres
de 20 et même de 10 de diamètre (PL LVI11. A). Certains faisceaux
paraissent
exclusivement composés de fibres normales, d'au
marquée, à tel point qu'en certains endroits la fibre hypertrophiée
paraît
située en plein tissu graisseux. De plus, il n'
cutai1'e. - Le tissu interstitiel est excessi- vement augmenté ; il
paraît
en certains points enserrer les fibres musculaire
ont malades; la gangue qui entoure les fais- ceaux neuromusculaires
paraît
épaissie. Toutefois, il faut signaler l'altératio
tions anatomiques que nous avons fartes au niveau des muscles, nous
paraissent
expliquer les caractères cliniques assez parti-
ogique sur lesquels nous désirons retenir l'attentions, car il nous
paraissent
soulever d'intéressants problèmes. Nous avons s
portant sur des fibres isolées et que jamais le muscle au total ne
paraissait
hypertrophié ; au contraire, il était toujours
ment de noyaux entre ces fibrilles ; la striation transversale dis-
paraît
et dès lors apparaissent des aspects de longues c
es étaient atrophiées, dans les deux autres les portions dégénérées
paraissaient
très irrégulièrement disséminées. Leber (1) Len
uvelles idées émises sur la pathogénie du tabes dor- sal, il nous a
paru
justifié, pour élucider la pathogénie de l'atroph
sma n'était pas encore coupé : dans ces cas l'épaississement nous a
paru
le plus souvent très net. Il était certainement
né- rale avec amblyopie très prononcée. Le second fait qui nous a
paru
digne de remarque dans l'examen ma- croscopique
se plisse (nerfs de Besna..., par exemple). Dans le crâne les nerfs
paraissent
surtout diminués de haut en bas, plus aplatis e
ûr des lymphocytes ; elles en présentent tous les caractères. Elles
paraissent
for- mées uniquement d'un noyau plus ou moins s
lymphocytes, mais comme d'une part les lymphocytes ne nous ont pas
paru
pénétrer loin dans le nerf au pourtour des vais
arition des fibres nerveuses qu'elles contiennent, mais ce qui nous
paraît
indiscutable, c'est l'épaississement parfois co
formé, sclérosé, épaissi et obturé. Mais au premier abord il peut
paraître
surprenant de voir disparaître les bandes fibre
ubsistent dans le nerf ; beaucoup de cellules de leur paroi interne
paraissent
avoir subi une dégéné- rescence hyaline. Assez
division en faisceaux de la portion orbitaire, les modifica- tions
paraissent
à première vue moins intenses. Normalement, en ef
hologique dans la portion orbitaire du nerf. Pourtant les vaisseaux
paraissent
souvent augmentés de nombre et leurs parois épa
rmal et leur situation n'était pas modifiée; dans ce cas les fibres
paraissaient
vidées et la coupe avait un aspect finement vacuo
yper- trophie vasculo-conjonctive est des plus manifeste et il nous
paraît
im- possible de prétendre que le tissu conjonct
Ces considérations et ces conclusions initomo-pithologiques nous
paraissent
cadrer parfaitement avec un certain nombre de rem
antérieurement. Nous avions noté en effet, que l'amaurose tabétique
paraît
dans le plus grand nombre des cas évoluer suiva
rtour des effilochures, des inégalités, des dépôts pigmentaires qui
paraissent
être le résiduel l'indice d'une inflammation né
a deux ans, la relation clinique et histologique d'un cas qui nous
parut
établir un nouveau mode patliogénique de certaine
on postérieur du même côté un prolongement qui un peu plus haut ap-
paraît
isolé et comme détaché de la lésion de la corne.
himidues tranchent vivement sur le tissu nerveux au sein duquel ils
paraissent
comme inclus. Telle est la lésion fondamentale :
le sur une grande étendue, sans que les éléments nerveux voisins en
paraissent
en rien altérés; leur tissu est fort mince mais
logique est considérable. Sur cer- taines coupes la fente elle-même
paraît
n'être formée que par la lumière d'un vaisseau,
le processus à divers niveaux. C'est ainsi que en des points où il
paraît
en voie d'expansion il se montre sous l'aspect d'
ance, à peu près vide, il n'y a nulle réaction névroglique, et elle
paraît
creusée à même le tissu nerveux (PI. LIV, fig.
de ces lésions et de retrou- z ver les étapes du processus. Il nous
paraît
acquis que la lésion fondamentale, malgré les d
tre eux dont elle détermine la disparition, la résorption ; il nous
paraît
que c'est ainsi que peu à peu doit se morceler le
r tout le reste. Mais quel est le primum movens de ce processus qui
paraît
se limiter, nous l'avons vu, au trajet des gros
ur les tissus nerveux voisins forment un complexus histologique qui
paraît
distinct de celui qui est regardé habituellemen
coupes on peut conclure que la grande cavité de la région cervicale
paraît
n'être que l'épanouissement d'une fente primitive
arche et la filiation. Si dans d'autres cas il est plus difficile, il
paraît
même impossible de rétablir l'évolution, c'est
autre. Un premier groupe comprend ceux où la cavité syringomyélique
paraît
née autour du canal central, du fait d'une végé
isse faire croire à sa participation directe. 'Le début des cavités
paraît
plutôt se faire dans une corne postérieure et l
nique externe. Il est même certai- nes observations où cette lésion
paraît
dominante, tandis qu'en d'autres c'est la dégén
en revanche l'importance attribuée à l'hyperplasie névroglique nous
paraît
quelque peu usurpée. Ni la qualité ni la quanti
nflammation et la tumeur, comparable en cela à l'adénome. Si elle a
paru
quelquefois caractériser spécialement soit une in
ractus ou membranes, dont l'action irritative sur la névroglie nous
paraît
suffisamment dé- montrée par notre première obs
ut être regardé comme le p1'imum mouette du processus, surtout s'il
paraît
être d'autres fois commandé directement par une l
ignée, et pratiquée ? Hippocrate, il est vrai, l'ignorait ; mais il
paraît
avoir pratiqué une manoeuvre tout aussi délicat
ne sais rien. » Toutes ces perturbations que décèle la lecture vous
paraîtront
plus évidentes encore chez ce malade âgé de 9 a
normale, surtout dans les régions cervicale et dorsale. Les racines
paraissent
avoir dans l'ensemble un petit volume. La ménin
. - Dans sa partie supérieure et dans sa partie inférieure le bulbe
paraît
tout à fait normal. Peut-être cependant la moitié
petites, allongées et aplaties, ou globuleuses ; leurs granulations
paraissent
rejetées en cou- ronne.à leur pourtour. - Dan
et une coloration sensiblement normaux. Ire dorsale. - La moelle
paraît
normale à première vue, sauf qu'elle est notabl
marquée ; volume de la moelle normal. Les gaines périvasculaires
paraissent
plus vastes et il semble y avoir au ni- veau de
euse plus prononcée encore. , ' , , Nerf tibial antérieur gauche. -
Paraît
extrêmement grêle, composé pres- que d'un seul
e prit plus ou moins l'aspect d'un hémiplégique gauche. L'affection
parut
dès lors tout il fait arrêtée, elle laissait le s
s débris de fibres variqueuses. . Pour prédominantes qu'elles aient
paru
, ces lésions n'étaient pas les seules ; dans to
ement. Seuls, le groupe inter- médio-latéral et le groupe de Clarke
paraissaient
à peu près intacts, mais le réseau fibrillaire
à tous les niveaux. Le point de départ des lésions en foyers nous a
paru
être manifeste- ment dans les vaisseaux, nous n
art des foyers. D'ailleurs en dehors même des foyers, les vaisseaux
paraissaient
très mul- tipliés et entourés d'une gaine large
algré cette constellation négative les lésions vasculaires nous ont
paru
tout à fait patentes. Cette existence de lésion
omaine de ces artères. . Quoi qu'il en soit, cette observation nous
paraît
démontrer d'une façon évidente l'existence poss
substance grise et à son voisinage, ces gaines diminuaient et dis-
paraissaient
vers la périphérie de la moelle; la syphilis n'av
hérie de la moelle; la syphilis n'avait pas été recherchée. Un fait
paraissait
incontestable à l'examen des coupes, c'est que,
Thomsen fruste avec atro- phie musculaire. Les faits de ce genre me
paraissent
mériter d'être publiés pour deux raisons : la p
s marquée si on regarde les mollets : c'est leur partie interne qui
paraît
aplatie. Il y a encore un contraste très manife
t-bras, mais moins accusé qu'aux membres inférieurs : l'avant- bras
paraît
plus petit qu'il ne devrait être, mais sans local
substance musculaire diminue, quand la libre s'atrophie, ces noyaux
paraissent
proportionnellement augmentés de nombre. On voit
e associée. Il est revenu sur ce sujet dans un mémoire très complet
paru
dans le recueil jubilaire de Erb. Kornhold (3
z, une grande hystérique dont l'histoire, extrêmement chargée, nous
paraît
présenter quelques points intéressants à reteni
ur dans sa « Séméiologie des affections mentales » (3). Cet emprunt
paraîtra
d'autant plus justifié que cette étude, absolumen
jarde est aujourd'hui démontrée ; seules les lésions tendineuses ne
paraissent
pas transmissibles. Les défectuosités du boul
mes somatiques qui, dans quel- ques cas (tics et stéréotypies), ont
paru
liés à des troubles psychiques. Il importe donc
égénérescence. 2. Activité réflexe. - L'étude de l'activité réflexe
paraît
peu avancée en pathologie animale. Des recherch
(M. L. Bianchini) Masson & CI. Éditeurs Pbotot)ple 13,tha.d
Paru
LE DENTISTE 491 L moment où l'instrument qu'i
tre à nu l'abdomen des malades; cette exhibition ne laissait pas de
paraître
choquante dans un tableau religieux, et l'on sa
- cle) qui a fait l\)bje(d'une intéressante étude de M. Jean Heitz,
parue
dans ce recueil (1). : On y voit « un homme b
IONS DE LA PUBLICATION La NOUVELLE ICONOGRAPHIE de la SALPÊTRIÈRE
paraît
en six fascicules annuels PRIX DE L'ABONNEMENT
presque tout à fait détruit par le ramollissement, de même que ia
parue
interne au lobe lusitorme et la partie intérieure
hydatiques se vider par l'orbite et par les fosses na- sales. Il
paraît
exceptionnel que les hydatides cérébrales puissen
uellement les foyers emboliques sont, comme ici, corticaux. Ce fait
paraît
être en rapport avec une dis- position anatomiq
être signalés (paralexie et perle de la compréhension des mots lus)
paraissent
devoir relever de l'interruption des voies d'as
se, celle-ci manque encore de caractè res précis; aussi nous a-t-il
paru
intéressant de faire connaître l'observa- tion
ire droite, que notre homme attribue au refroidis- sement, mais qui
paraît
plutôt être en rapport avec l'attitude vicieuse d
st de 33 à droite et de 34 et demi à gauche. Enfin la température
paraît
un peu abaissée de ce côté ; et le pied droit t
e supérieur, etc.) et le système musculaire du reste de l'organisme
paraissent
absolument sains (pas de craquement, pas de déf
mine. Le diagnostic de la déformation présentée par notre malade ne
paraît
pas devoir prêter à une longue discussion. Il s
athogéniques. Les exemples de genu recurvatum survenus du côté sain
paraissent
être très rares, puisque nous n'avons pu en rel
t, cette dé- formation qui s'impose à la vue dès le premier examen,
paraît
être, on ne peut le nier, d'une rareté extrême
ndant la durée du traitement au lit. La raison de cette discordance
paraît
résider surtout dans la nature différente des f
ligamenteuse), que l'on pourrait concevoir, les deux premières nous
paraissent
insoutenables. La théorie osseuse a contre elle
s disent qu'Abisag fut véritablement femme de David et saint Jérôme
paraît
être de ce sentiment, d'autres, qu'elle ne fut de
coup de l'espérance de la pousser au delà de cent ans. De là il me
paraît
évident que si nous nous tenons seulement en gard
omposition élégante et riche de l'Hermipus redivi- vus. L'ouvrage
parut
en 1742 à Francfort-sur-le-Mein (4). En voici le
se de l'ouvrage en insistant çà et là sur les passages qui nous ont
paru
dignes d'être mis en relief. Cohausen nous donn
itaphe lui sont matière à développement. Une semblable méthode nous
paraît
aujourd'hui fastidieuse. Nous préférons une cri
toutes les huiles essen- tielles. » Cette vertu du souffle humain
paraîtra
moins étrange quand on saura qu'il est capable
e tous côtés on s'agite autour de cette question.M. J. Fi- not fait
paraître
son livre si intéressant La philosophie de la lon
gements. Les premières recherches de ce genre venaient à peine de
paraître
que certains critiques avaient déjà compris tou
s possédés jusqu'à ce qu'ils se tinssent tranquilles. Rien n'était,
paraît
-il, plus désagréable au diable que de recevoir le
e du volume de la moelle a attiré notre attention. Il ne nous a pas
paru
possible de l'expliquer uniquement par les lési
ans le 4° segment dorsal. Ici la tête de la corne antérieure droite
paraît
comme décapi- tée (fig. 5) par suite de la disp
s de Geoffroy Saint-Hilaire, dans le genre des hémimèles, Il nous a
paru
intéressant et digne d'être décrit ici non seulem
aille moyenne. La tête, la face, le tronc et les membres inférieurs
paraissent
bien constitués et ne présentent pas d'anomalies
et Infroit). Masson & Ci, Editeurs z Pholot\illl tbilltauil,
Paru
DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN nÉMIMÈLE 129 mus
que l'on pourrait appliquer dans ce cas d'hémimélie. Les avant-bras
paraissent
d'autant plus courts qu'ils restent fléchis à ang
ses cô- tés, on voit des saillies musculaires bien développées qui
paraissent
correspon dre comme forme et comme disposition
rpe et le mé- tacarpe et 6 centimètres pour le doigt. Les phalanges
paraissent
sensiblement normales comme forme et comme volu
totale d'environ 30 centimètres sur la radiographie. La tète numérale
paraît
normale comme forme et comme volume ; la diaphy
extrémité inférieure du radius et en bas avec l'os du métacarpe, il
paraît
correspondre à la fois au scaphoïde et au trapè
ésente une assez grande ressemblance avec un métacarpien normal. Il
paraît
correspondre au premier métacarpien, bien qu'il s
ant bien que le doigt existant est un pouce ; mais cet os sésamoïde
paraît
unique et il est notablement plus gros que dans
igts surnuméraires. L'os qui s'articule avec la tête du métacarpien
paraît
formé par la fusion de la première phalange du po
squelette de l'épaule est normalement conformé; l'humérus également
paraît
normal à son extrémité supérieure et dans une gra
t extrêmement réduit et n'a que les dimensions d'un petit pois ; il
paraît
formé par l'épiphyse de la première phalange sé
rive pas jusqu'à placer l'avant-bras à angle droit sur le bras ; il
paraît
moins limité par le mode d'articulation du coude
mérus à la partie supérieure et externe de l'os de l'avant-bras ; il
paraît
corres- pondre soit au court supinateur, soit p
é- mité inférieure de l'humérus à la partie externe du poignet ; il
paraît
bien correspondre au long supinateur ; il se co
e l'avant-bras, extenseurs et fléchisseurs des doigts (ou du pouce)
paraissent
très peu développés ; les cubitaux antérieur et
ion por- tée sur le trajet habituel du nerf cubital au bras n'a pas
paru
éveiller de sen- sations dans l'extrémité du me
upérieur gauche. - Comme à droite la musculature de l'épaule gauche
paraît
normale. Les mouvements de l'articulation scapulo
la dernière pha- lange du doigt. Les autres muscles de l'avant-bras
paraissent
soit faire défaut, soit être très rudimentaires
être très rudimentaires. A la main les muscles de l'éminence thénar
paraissent
bien développés, leur action se manifeste surto
i à droite, ni à gauche. Autour du coude, également, la circulation
paraît
assez peu active ; pendant les derniers froids
l'examen rapide et superficiel que nous avons pu en faire, nous ont
paru
bien conformés, assez petits cepen- dant. La ba
n générale de l'os de l'avant-bras et de l'état de la main. Il nous
paraît
bien plus vraisemblable d'admettre que le radiu
la palpation l'extrémité supérieure de l'os unique de l'avant-bras
paraissait
ressembler à l'olécrane ; mais, comme ni l'exam
phique n'ont pu être faits et qu'aux deux mains les doigts existant
paraissaient
être des pouces, il nous semble bien plus proba
rs présentent des difformités. A droite les deux os de l'avant-bras
paraissent
faire complètement défaut et la main s'ar- ticu
de trois phalanges, le troisième externe n'a que deux phalanges, il
paraît
correspondre au pouce. Le cubitus semble faire
les par absence de la tige ou rayon radial, l'avant-bras et la main
paraissent
mieux représentés dans leur ensemble ; générale
une condition particulière qui puisse être incriminée : ses parents
paraissaient
jouir d'une bonne santé; sa mère est restée bien
ement ont été jumeaux, circonstance qui dans le cas présent ne nous
paraît
pas avoir grande importance; parmi ses autres p
iétés de l'ectromélie et plus spécialement celles de l'hémimélie ne
paraissent
pas devoir reconnaître une pareille origine ; ell
ux central est en pleine période de développement, où ses fonctions
paraissent
nulles encore et où il ne se trouve pas en connex
une origine en- dogène est possible, mais une origine exogène nous
paraît
plus probable. DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET
, cependant moins impor- tant que les autres, tout étrange que cela
paraisse
, est le stade auquel se trouve la maladie. Le s
ns mercurielles, pratiquées sur lui chez le professeur Panas; et il
paraît
assez vraisemblable de songer, en l'occurrence, à
be, le protubérance, ,1e cervelet et la moelle. Les nerfs optiques
paraissent
relativement libres, mais réduits de volume ; l
sujet, hanté par son rêve, évolue avec ai- sance dans un milieu qui
paraît
à la fois complètement étranger à son attention
unes n'y manquent pas. Le nombre relativement restreint des travaux
parus
sur cette question, l'insuffisance documentaire d
llement une figure rappelant un de ces globes, et le contraste nous
paraît
assez important t pour le noter au passage. Du
roi- sième stade, on la voit se combler par des masses amorphes qui
paraissent
pro- venir du gonflement des cellules les plus
le les distingue des vaisseaux. Cependant leur nature vasculaire ne
paraît
pas douteuse, puisqu'elles sont remplies de globu
re, la prolifération de l'endothé- lium des vaisseaux. Mais il peut
paraître
exclusif de ne pas tenir compte, dans le dévelo
ue ; c'est une diminu- tion d'épaisseur de la substance grise; elle
paraît
tassée et comprimée par le 196 DUPRÉ ET DEVAUX
analogues à celles de la zone paracentale, d'au- tres au contraire
paraissent
normales, quant aux trois variétés de corps leur
des cellules en achromatose également gonflées. Ces deux faits nous
paraissent
plaider contre l'idée qui fait du gonflement un m
tes; pour les autres, ce rôle revient aux cellules névrogliques. Il
paraît
pos- sible, d'après ce que nous venons d'expose
il importe de faire une place à part au dermographisme, . qui ne me
paraît
pas être très rare si on prend la peine de le rec
rtié se produit et se dessine on voit la rougeur s'atténuer et dis-
paraître
à la fois à la périphérie et au centre, dans l'es
icielles. L'intensité et la durée de l'éruption nous ont d'ailleurs
paru
en rapport avec l'intensité de l'ex- citation.
ais ne parvint jamais à les faire disparaître complètement. Il nous
parut
avoir aussi une influence sur le dermographisme q
emme dans un état particulier qui autorise la supposition. Et il me
paraît
bien que c'est à la présence des oxyures qu'il fa
es de ver (sans doute deux individus), mais pas de tête. Ses crises
parurent
moins nombreuses et la malade sortit le 23 décemb
le côté droit. A la main les régions thoracique et scapulo-humérale
paraissent
plus chaudes à gauche qu'à droite. Mais c'est le
La pupille gauche plus dilatée que la droite. La tonicité de l'oeil
paraît
plus élevée à gauche. Si l'on présente au mal
lternativement avec l'oeil gauche et avec l'oeil droit, l'objet lui
paraît
plus éloigné et situé à deux centimètres plus à d
employé ce procédé expérimental. Cette hypoesthésie oscillante me
paraît
due à l'hyperamiboïsme des neurones de sensatio
ffisantes. J'ai montré en effet, dans un tra- vail qui doit bientôt
paraître
, qu'il existe pour les êtres monoplastidaires e
quer la coïncidence de l'hyperalgésie et de l'hy du même côté. Cela
paraît
être dû à ce que les neurones des sensations ta
ons auditives. La diminution de la sensibilité auditive à gauche me
paraît
due égale- ment à une lésion, peut-être puremen
nts oscillants des champs chromatiques que présente notre malade me
paraissent
dus à l'hyperamiboïsme des neurones des sen- sa
contigus de ce groupe. La pathogénie générale de la contracture me
paraît
assez simple. Des ondulations nerveuses qui rés
ntracture. La contracture du muscle ciliaire et du droit interne me
paraît
donc due à l'existence de neuro-diélectriques a
assez normal, le réflexe idio-musculaire. Les réflexes vaso-moteurs
paraissent
normaux. L... a toujours été émotive et peureus
e reste sans changement jusqu'au moment où la couche inter-olivaire
paraîtra
. Les cordonspostérieurs se séparent de la moell
ie pyramidale. La fissure dans les parties latérales a presque dis-
paru
. Les racines postérieures sont presque invisibles
rieure de la moelle de la partie postérieure, ont complètement dis-
paru
. Dans la partie postérieure de la moelle nous ren
tténue à me- sure que l'on atteint l'extrémité distale. Les membres
paraissent
comme tassés sur eux-mêmes et le parfait dévelo
e présente une transparence normale, l'épiphyse au contraire nous a
paru
plus opaque et surtout on ne voit pas cette ligne
chiens bassets » (Belgique méd., 1900, p. 737). Ces raisons ne nous
paraissent
pas péremptoires, nous avons même essayé de dém
ations squelettiques fort mar- quées. Trois autres enfants nous ont
paru
à peu près indemnes. Leur mère, bien qu'elle ne
ouchée, et d'après les renseignements que nous avons pu obtenir, il
paraîtrait
que, sur trois enfants, une soeur échappa seule
ans, ouvrière, travaille à la journée. Antécédents : Les parents ne
paraissent
pas, d'après les renseignements que nous avons
s, le squelette a subi des altérations nota- bles. Les deux membres
paraissent
s'entrecroiser comme les branches d'un X. A don
ccentuée. Le fémur droit s'incline davantage sur l'ho- rizontale et
paraît
du reste un peu plus long que le gauche (26 cent.
du péroné participe à l'épaississement épiphysaire. Comme le bassin
paraît
s'enfoncer entre les deux fémurs, il en résulte
tisme, chez Berthe, n'offre pas de nombreux stigmates et l'atteinte
paraît
avoir été légère. On n'observe guère que des bo
e dorsale offrent une courbure compensatrice. Mais ces déformations
paraissent
tenir à une luxation en haut de la tête fémoral
, a marché il l'âge de 20 mois. Sevré à la même époque. L'enfant ne
paraît
présenter aucun signe de rachitisme. On remarqu
réditaire du rachitisme, théorie qui, dans l'observation ci-dessus,
paraît
entièrement justifiée. La répétition du rachiti
ts. Ajoutons que cette théorie de l'hérédité (directe ou indirecte)
paraissait
trouver une réelle confirmation dans les faits
Resterait à expliquer la pathogénie du rachitisme intra-utérin qui
paraît
se trouver en contradiction avec la théorie ali
tres de profondeur. De plus, la main gauche vue par sa face dorsale
paraît
plus large que la droite et de fait, la mensura
pas congénitale, comme la malformation des doigts ; elle n'existe,
paraît
-il, que depuis un an et demi. Les artères radia
su compact et de tissu spongieux normaux. De même, les cartilages
paraissent
sains. Les articulations sont saines aussi, mai
gistrées : devant le tambour enregistreur les périodes ont toujours
paru
régulières et synchrones et ces irrégularités ont
les soupçonne pas si une serviette est jetée sur les épaules. Elles
paraissent
continues d'abord et sans relation avec le spas
s », mais dont le tremblement n'est pas exclus. Si les oscillations
paraissent
moins fré- quentes c'est que W... écrivait plus
eu de 60. Stigmates physiques de dégénérescence. - La physionomie
paraît
il la fois in- dolente, inquiète et distraite.
une seule fois, néanmoins le spasme rythmé cesse aussitôt et ne re-
paraît
pas de la journée, mais il y a du tremblement par
nt et divers ». C'est un état de conscience qui peut laisser trans-
paraître
les singularités patentes et latentes de chaque c
vi dans cette série un peu longue d'excitations de l'odorat qui ont
paru
les plus inoffensives. On peut reprocher aux subs
s à une sorte de démence précoce (3). En dehors de ces troubles qui
paraissent
liés à une susceptibilité parti- culière, l'abu
e d'un parfum employé à hautes doses et dont l'essence d'héliotrope
paraissait
constituer l'élément principal, fut justement l
nomènes dont il ne faut pas faire totale- ment abstraction. Il nous
paraît
certain que certains troubles visuels, les amau
très vague. La tunique interne et moyenne des vaisseaux, épaissie,
paraît
macérée en beaucoup de points. La tumeur est donc
éflexes sans exception sont abolis. Parole. La gêne de la phonation
paraît
surtout provenir de la dyspnée : la parole est
I, C et D). , Les cellules de la substance grise de la protubérance
paraissent
être en nom- bre normal et intactes. Le ruban d
eaux sensitifs et moteurs. D'une façon générale les premiers nous ont
paru
assez bien conservés, alors que nous constation
externe ou de l'extrémité supérieure de l'hypoglosse, dont lesnoyaux
paraissent
sous le plancher ventriculaire et rapprochés de
e l'aspect du kyste qui remplaçait la boîte crânienne ne nous a pas
paru
de prime abord et avant l'autopsie complètement d
isait pour faire disparaître la sensation d'étranglement. Elle ne
paraît
pas avoir jamais pris de grandes crises, mais lor
servant d'expres- sions médicales estropiées et risibles... Elle ne
paraît
pas avoir de troubles psychiques. Elle a des
ouver blanc, rouge ou violet et c'est à cette manière devoir qu'il me
paraît
légitime de se ranger avec Gilles de la Tourett
nons de passer en revue les plus frappantes manifestations. Il me
paraît
superflu d'insister sur l'intérêt que présente le
on le verra, les lésions du système nerveux central ne nous ont pas
paru
assez spéciales et assez localisées pour que no
t que rarement pour se traîner péniblement d'un lit l'autre. Elle
paraissait
fort affaissée, et ne prononçait que de rares par
ble à la région cervicale, ni dans l'aisselle gauche. Le crâne ne
paraissait
pas déformé, c'est à peine si les bosses frontale
10 grammes. Les capsules surrénales, ainsi que le corps pituitaire,
paraissent
normales à l'examen macroscopique. Les organe
mens tant radiographiques qu'histologiques. La lésion ne nous a pas
paru
sous-périostée, comme le pense M. Béclère, mais
ures apparaissent en nombre nor- mal, sans qu'aucun des groupements
paraisse
atrophié. Un bon nombre de ces UN CAS D'OSTÉITE
nterstitiel ne semble pas pris. Quelques gaines de myéline çà et là
paraissent
vides. Sur un petit filet détaché, ou note, très
écrit comme névrite d'origine vasculaire. Quant aux muscles, ils ne
paraissent
pas très atteints. Il n'y a pas de pro- liférat
petits rameaux. En tout cas, ces constatations presqu'unanimes nous
paraissent
être d'imporlance capitale,.si nous nous plaçon
mes lésions de moelle sénile que L. Lévi, et elles ne nous ont pas
paru
, non plus qu'à cet auteur, pouvoir expliquer le
lis. Les modifications des réflexes, dans la maladie de Paget, nous
paraissent
dépendre de la localisation des lésions vascula
rmation et le bou- leversement complet de l'architecture qui nous a
paru
le trait dominant des lésions osseuses. Pour tr
sont enflés, tendus; la peau bleuâtre, violacée. L'enfant pleure et
paraît
souffrir. En dehors de ces symptômes, aucun sig
le ait éprouvé plusieurs crises douloureuses dans la nuit, l'enfant
paraît
être un peu mieux ; les téguments sont moins tend
mbes. A part cela, tout va bien. 18. Convalescence franche; le bras
paraît
avoir repris son volume nor- mal. Depuis ces
la mère remarqua que le membre inférieur gauche, la cuisse surtout,
paraissait
plus volumineux que le droit. Ce fut l'inégalit
dont l'enflure nous avait si fort inquiété l'année précédente, nous
paraît
être tout d'abord dans des conditions physiologiq
n dehors de la thèse de Collette, dit l'auteur, ni dans les travaux
parus
récemment, soit sur les atrophies mus- culaires
iation ou son engraissement, ses déviations partielles ou générales
paraissent
avoir aussi peu préoccupé les physiologistes que
comprenant une certaine étendue en bloc de la substance grise. Ils
paraissent
être plutôt l'expression de lésions éparses, fr
par quelques preuves directes, à établir l'étroite parenté qui nous
paraissait
exister entre le cas que nous avons observé et
us aurions donc là l'exemple typique d'un trouble de nutrition cité
paraît
avoir été plus particulièrement altérée aurait éc
ssus sous-jacents est lisse et d'ail- leurs normale. Les muscles ne
paraissent
pas hypertrophiés ; les os de longueur normale
fesseur Debove, parmi les antécédents de la malade. Dans un travail
paru
ici même (2), M. Henry Meige décrit une affec-
and développement. La peau est blanche, douce au toucher et partout
paraît
normale. L'on ne remarque aucun vaisseau sa surfa
ue celle du côté gauche dans tous ses diamètres. L'os maxillaire ne
paraît
pas épaissi ; les dents sont généralement mauva
cuisse. La tuméfaction s'est ensuite étendue au pied. En même temps
paraissaient
les taches vineuses. Depuis lors, le mal a prog
uche fermée. La langue n'est pas hypertrophiée ; au contraire, elle
paraît
plutôt mince et allongée. Sur le bord correspon
ésie est surtout périphérique. De même, la sensibilité au contact
paraît
émoussée; mais, fait particu- lier, la sensibil
joue droite est charnue, plus grosse que la joue gauche, la peau y
paraît
plus épaisse, mais il n'existe aucune différenc
rmaux. A la palpation les os du crâne et le maxillaire inférieur ne
paraissent
pas plus développés d'un côté que de l'autre.
profonde, les os des membres infé- rieurs (fémur, tibia et péroné)
paraissent
réellement plus volumineux du côté gauche et il
te. A ce premier examen, les mouvements des membres droits nous ont
paru
avoir une amplitude un peu plus grande que ceux
lors les yeux roulent dans leur orbite, le corps se raidit, elle ne
paraît
pas entendre les questions qu'on lui pose : ell
à d'autres causes ; ainsi, à notre deuxième examen,la peau nous' a
paru
beaucoup moins épaisse que la première fois, auss
e pronostic de cette singulière difformité moins sombre qu'il ne le
paraît
tout d'abord. Nou\ l'LI ICONOGHAPH1E DE LA SALP
r avoir pu faire quelque temps les écritures du service. Le' bassin
paraît
complètement ankylosé et sans mouvement possible
'ankylose vertébrale dans cette posilion et en outre l'affection ne
paraît
pas congénitale chez notre malade. Je ne vois p
que nous avons trouvés dans la littérature médicale, un seul nous a
paru
pouvoir être rapproché du nôtre. C'est celui qu
0. ' 522 E. APERT Muscles et tendons. - Tous les muscles nous ont
paru
sains, il n'y avait nulle part d'altération, ni
l'enseignement et aux exigences du progrès scientifique. IV Il me
paraît
inutile de développer plus longuement cette apolo
dans tous les sens, est-il vraiment aussi difficile que quelques-uns
paraissent
le croire, de discerner la symptomatologie réelle
le malade resta au lit, mais sans fièvre. Les médecins qui le voient
paraissent
étonnés du contraste qui existe entre l'arthrite,
ns la direction du traitement. La plupart des auteurs contemporains
paraissent
d'ailleurs fixés sur ce point de théorie : l'affe
sont dans l'état de torpeur que nous supposions tout à l'heure ? Cela
paraîtrait
vraisemblable, d'après quelques autres faits anal
qu'à présent sont encourageants pour l'avenir. L'étincelle électrique
paraît
avoir joué déjà un rôle remarquable, en ramenant
drez tout à l'heure pourquoi je fais cette réserve. Il s'agit ou il
paraît
s'agir d'un tic non douloureux de la face ; mais
ur le tabouret électrique, les paupières à découvert, la jeune malade
paraît
se fatiguer visiblement ; au bout d'un quart d'he
ade paraît se fatiguer visiblement ; au bout d'un quart d'heure, elle
paraît
haletante, son corps se couvre d'une sueur froide
rtant toutefois, de façon à déterminer le sens de la déviation. Il ne
paraît
pas s'agir ici d'une contraction intentionnelle o
née par voie réflexe ; et de mettre en relief, enfin, la relation qui
paraît
exister entre ces deux ordres de faits, en appare
de la fesse droite, qui est très remarquable. Non seulement la fesse
paraît
à première vue très amaigrie, mais par la palpati
eu du côté gauche; en outre, vous voyez que le grand trochanter droit
paraît
beaucoup plus saillant, ce qui tient à l'atrophie
chronique. — Dessin de M. P. Richer. que variées qu'elles puissent
paraître
, à deux types fondamentaux auxquels peuvent être
lement affectées. Tels sont, Messieurs, les divers arguments qui me
paraissent
établir que, dans le rhumatisme articulaire chron
cas dans lesquels la dépression fonctionnelle de la cellule nerveuse
paraît
se développer primitivement d'emblée : ainsi para
cellule nerveuse paraît se développer primitivement d'emblée : ainsi
paraissent
se passer les choses dans les exemples d'amyotrop
rras de la parole. L'intelligence reste obtuse pendant 24 heures ; il
paraît
se remettre complètement, en apparence; mais il e
ue complètement libre. J'ajouterai que la tendance à la contracture
paraît
ne plus exister chez notre malade, car l'applicat
rs d'entre vous ont eu déjà l'occasion d'examiner. Ces deux cas m'ont
paru
dignes de vous occuper un instant; ils ont entre
vécu trois ans ; la maladie qui a motivé son admission dans cet asile
paraît
avoir été la paralysie générale progressive, si o
ns le présent, des phénomènes de l'hystérie con-vulsive. Notre malade
paraît
ignorer absolument la boule hystérique, les spasm
ement hystérique. Et vous voyez qu'en somme ce qui, au premier abord,
paraissait
irrégulier, bizarre, rentre par celte voie dans l
ns, un homme atteint de la même affection. Ce chiffre, je l'avoue, me
paraît
un peu fort ; toujours est-il que M. Klein, l'aut
ois, beaucoup plus fréquemment, on peut dire, que la contracture, qui
paraît
avoir été rarement rencontrée. Mais vous ne dev
t-bras et le dos de la main. L'accident n'a pas causé trop d'émotion,
paraît
-il. D'autre part, la contracture n'a pas suivi im
qu'il exerce la profession de menuisier, il vit avec sobriété. Il ne
paraît
pas qu'il ait eu la syphilis; très certainement,
e suite qu'il s'agit d'une maladie accidentelle, pour ainsi dire, qui
paraît
reconnaître souvent pour cause l'influence du fro
arrêté par une résistance mécanique en quelque sorte, dont le siège
paraissait
êlre dans le creux poplité ; nous avons pensé que
le du tissu fibreux, formant une masse non circonscrite, dure, et qui
paraît
le principal obstacle au redressement du membre.
t la région frontale droite, un peu au-dessus du sourcil ; b) elle ne
paraît
pas s'accompagner de troubles de la vision; il ne
s égards, mais que je ne fais que signaler en passant, parce qu'il ne
paraît
pas se rattacher très directement aux accidents q
de sa main droite. Les notions fournies par ces mouvements des doigts
paraissent
indispensables pour donner de la valeur, de la pr
aisse, les autres restant intactes. C'est un fait qui doit maintenant
paraître
simple, n'exiger aucune explication, puisqu'il ré
a constamment fait défaut à M. X... ou tout au moins elle n'a jamais
paru
chez lui que sur le second plan. Il n'a jamais eu
un an et demi, à propos de créances importantes dont le paiement lui
paraissait
incertain. Il perdit l'appétit et le sommeil; l'é
laïujue et des lèvres pour comprendre les lignes qu'il lit. M. X...
paraît
avoir très bien analysé tout le mécanisme nouveau
fixer par le dessin. Lorsqu'elle est ainsi développée, celte faculté
paraît
être, suivant M. Gallon, un don de famille, et, d
blier, enfin, qu'en ce qui concerne le mécanisme du rappel du mot, il
paraît
exister des variétés individuelles assez tranchée
raire, l'absence de l'élément visuel, dans la constitution de l'idée,
paraît
être un dommage désormais difficilement réparable
en général indemnes de toute atrophie. C'est l'atrophie «en effet qui
paraît
le fait caractéristique: l'hypertrophie est rare,
, bien qu'avec quelques réserves, par M. Erb, dans son travail qui me
paraît
jeter une vive lumière sur la question qui nous o
uchenne? Non Messieurs, ni dans l'une, ni dans l'autre exactement. Il
paraît
s'agir, en somme, non pas d'espèces morbides dist
Cette forme, d'ailleurs, ne s'éloigne pas sensiblement, à ce qu'il me
paraît
, de l'amyo-trophie juvénile d'Erb, et il est bien
provoquer à coup sûr par certaines manœuvres. L'électricité statique
paraît
avoir produit l'amendement qui s'est fait dans ce
s dans ma description générale. Quand le début est spontané, la crise
paraît
sans autre aura, qu'un battement de la paupière d
le pénitencier, depuis 3 ans 1/2, est actuellement âgé de 43 ans ; il
paraît
assez intelligent, bien qu'il ait parcouru la car
agnie. Désireuse d'interroger l'âme d'un certain personnage laquelle,
paraît
-il, était sœur de la sienne, elle emmena Julie ch
pas établies en permanence; malgré ce que nous a appris la mère, elle
paraît
avoir un caractère doux et tranquille. Dès les pr
ccès qui durent rarement plus d'un quart d'heure. % Ces faits m'ont
paru
mériter une attention particulière. Ce ne sont pa
ces enfants : Julie est malade depuis quatre mois, et, si l'isolement
paraît
avoir un peu calmé ses crises ainsi que celles de
vis, qu'une seule chance de succès ; c'était qu'ils s'éloignassent ou
parussent
s'éloigner au plus vite, ce qui revenait au même.
e M. le Dr Olivier, a pu réunir 80 cas de cette affection. Depuis ont
paru
les importantes publications de M. Bourneville et
déraillement, devenir hystérique, au même titre qu'une femme, voilà,
paraît
-il, qui dépasse l'imagination. Rien n'est mieux p
décrite, et qui mérite une place à part. Une erreur de ce genre me
paraît
avoir été commise par MM. Oppenheim et Thomsen (d
fréquemment. Il en a compté dans le temps jusqu'à 4 ou 5 par mois. Il
paraît
que, à cette époque, dans plusieurs accès, il a u
remière fois constatée. Les attaques alors fréquentes et considérées,
paraît
-il, dans le service comme relevant du mal comitia
uit : L'état général, en ce qui concerne les fonctions de nutrition
paraît
assez satisfaisant. 11 mange bien et n'est pas an
t à l'âge de 48 ans, alcoolique avéré, et sa mère encore vivante, qui
paraît
n'avoir jamais souffert d'affections nerveuses. I
sœurs ; un seul de ses frères est vivant : il n'a jamais été malade,
paraît
-il, et n'est pas nerveux. Vers l'âge de 12 ou 1
ls le privaient naturellement du sommeil nécessaire. Cependant ils ne
paraissaient
, pas le fatiguer beaucoup, car le lendemain, il s
nouveau à l'Hôtel-Dieu, dans le service de M. le professeur Panas. Il
paraît
qu'on craignit alors l'existence d'une fracture d
1 est, vous le savez, assez bien musclé, vigoureux ; son état général
paraît
satisfaisant. L'é-Charcot. Œuvres complètes, t. n
r M. Georges Guinon, interne du service. Mais, chez lui, la maladie
paraît
douée, vous allez le voir, de ce caractère de per
ux, avant l'âge de la puberté. A cet âge, c'est là du moins ce qui me
paraît
résulter des observations nombreuses que j'ai eu
uvaise plaisanterie imaginée par un malade couché dans la même salle,
paraît
avoir décidé la situation, car, à partir de cette
vient la phase des attitudes passionnelles pendant laquelle le malade
paraît
en proie à un délire sombre ou furieux. Ainsi, de
re l'accès dans les diverses phases de son évolution. Au réveil, L...
paraît
étonné, comme stupide, et il assure ne se souveni
était devenu faible. Il alla alors consulter un médecin qui reconnut,
paraît
-il, une parésie de tous les mouvements du bras ga
gauche. La phase des attitudes passionnelles se développe ensuite; P.
paraît
en proie à un délire furieux : il injurie, provoq
d'attaques de nerfs, probablement de nature hystérique. Il n'y a pas,
paraît
-il, d'aliénés dans la famille. Parmi les antécé
du palper, une pièce de 5 rancs d'une pièce de 10 centimes; elles lui
paraissent
toutes deux également légères. En résumé, impui
paule, et un certain nombre des phénomènes observés chez notre malade
paraissent
, à première vue, pouvoir s'expliquer tout naturel
lètement séparé du corps. Puis survint une perte de connaissance qui,
paraît
-il, dura trois heures. Lorsque Deb.,. re- i. To
l'épaule étaient conservés. Quant aux troubles de la sensibilité, ils
paraissent
avoir été, dès ce moment, tels que nous allons le
e mode de répartition de l'anesthésie cutanée sur laquelle j'insiste,
paraît
donc être, en somme, l'expression classique des l
té tactile, sensibilité à la douleur, sens musculaire, etc.). Mais il
paraît
établi, néanmoins, par ces mêmes observations que
n dehors même de l'absence de ces causes, la polyopie des hystériques
paraît
, je vous l'ai dit, se distinguer par des caractèr
ttes. De plus, au moment où le crayon est placé tout près de l'œil il
paraît
démesurément gros, tandis que tenu à une distance
ément gros, tandis que tenu à une distance de 15 à 20 centimètres, il
paraît
deux fois plus petit que cela ne devrait être dan
t rester douteuse. Tels sont, Messieurs, les arguments, et ils nous
paraissent
péremptoires, qui nous conduisent à affirmer que,
uer que le malade ayant succombé ces jours-ci inopinément (il aurait,
paraît
-il, ingéré tout d'un coup un dose énorme de chora
endant à relever, sur un point, une différence qui, au premier abord,
paraît
bien profonde. Elle est relative, vous l'avez com
éveil, pour peu que l'hypnose ait été profonde, les sujets hypnotisés
paraissent
le plus souvent ignorer absolument les phénomènes
la description de Brodie : 1° l^e membre inférieur du côté affecté
paraît
raccourci, par suite de la contracture musculaire
résultant de la contraction du grand fessier ; la gauche au contraire
paraît
plus large, aplalie, flasque ; ces caractères se
a hanche et du genou, tandis que les autres situées plus profondément
paraissent
siéger soit dans la synoviale, soit dans la capsu
réditaires nuls. A 6 ans et à 14 ans, crises nerveuses nombreuses qui
paraissent
avoir été des accès d'hystérie à forme d'épilepsi
degré de déformation qui ne cède pas à l'action du chloroforme et qui
paraît
relever de la production du tissu fibreux. Mess
par la chute d'un corps lourd — à savoir une moitié de bœuf, pesant,
paraît
-il» environ 300 kilos, — sur celte partie du corp
l, fait d'excès de boisson ; il a, comme la plupart de ses camarades,
paraît
-il, l'habitude assez répugnante de boire tous les
nerveux qu'il a éprouvé là a été assez profond, car, actuellement, il
paraît
exister, chez notre sujet, un certain degré d'amn
es à l'accident, mais, môme aussi sur les choses présentes ; et il ne
paraît
pas qu'il y ait, à cet égard, simulation ou dissi
ù celui-ci s'est produit, il a entendu un bruit de craquement qui lui
paraissait
avoir pour siège son avant-bras gauche, mais il a
mouvement volontaire n'y était possible. D'après ce qui précède, il
paraît
, pour le moins, très vraisemblable que les phénom
en soit chez notre malade, les phénomènes du choc local (Local shock)
paraissent
avoir été très accusés, puisque non-seulement la
t la fracture s'est opérée sans douleur, mais que, de plus, le membre
paraît
avoir été frappé d'anesthésie complète dans toute
e-là rattaché sans réserve, — que les paralysies motrices hystériques
paraissent
être régulièrement marquées par l'existence d'un
ails sur lesquels j'appellerai votre attention dans un instant, il me
paraît
légitime d'admettre que la contracture en questio
gts chargés de plaques et anneaux de cuivre, qu'il n'a guère quittés,
paraît
-il, depuis l'époque où il nous a échappé. Voici q
alade. Dans le membre supérieur gauche, la sensibilité a reparu; elle
paraît
même exaltée, surtout sur la face palmaire de la
, Messieurs, que, dans de certaines circonstances, la simulation peut
paraître
très vraisemblable, alors qu'un examen plus atten
s effort pour parler plus haut, mais vous continuez le même jeu et ne
paraissez
pas comprendre davantage qu'auparavant. Il arrive
ellement le syndrome mutisme hystérique, par voie de suggestion, nous
paraît
désigner suffisamment Je point de départ de tous
. 1. Le malade hystérique qui avait assistée une partie de la leçon
paraît
avoir été vivement impressionné par tout ce qu'il
d on lui touche légèrement la tête et qu'on frôle le cuir chevelu, il
paraît
vivement souffrir. Il dit avoir la nuit des flamm
ls de son accident tels qu'il les a imaginés. Sa mémoire, d'ailleurs,
paraît
considérablement affaiblie. De l'accident lui-mêm
pu en juger depuis 8 mois qu'il est dans le service, l'imagination ne
paraît
pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne paraît pa
vice, l'imagination ne paraît pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne
paraît
pas qu'aucune maladie nerveuse ait existé dans la
onséquence d'une diffusion de la lésion de ces centres. C'est ce dont
paraissent
témoigner et la perte des mouvements automatiques
mouvements volontaires. Les quelques passages qui vont suivre m'ont
paru
suffisamment caractéristiques pour montrer l'idée
gie, trad. franc., p. 447), » le siège des sensations de mouvement ne
paraît
pas être clans les muscles, mais bien dans les ce
Maudsley (Physiolog. de l'Esprit, trad. A. Herzen, p. 249-250), « il
paraît
que c'est dans la partie frontale des circonvolut
es moteurs, où qu'ils soient situés, sont des parties dont l'activité
paraît
absolument libre de phases subjectives concomitan
ace de contusion. Toutefois ses règles, qu'elle ne s'attendait à voir
paraître
que quelques jours plus lard, survinrent dans le
Ce caractère négatif a été élevé à la hauteur d'une loi et un médecin
paraît
être fondé à rejeter du cadre de l'hystérie tout
y a pas de secousses fibrillaires ; 3° l'excitabilité idio-musculaire
paraît
normale ; 4° la contractilité électrique est dimi
es phénomènes dits trophiques. Une pareille assertion peut pourtant
paraître
étrange; car, 1. Voir la Leçon XX. est-il pos
ui devenait aphasique régulièrement tous les jours; l'intelligence ne
paraissait
nullement altérée. L'accès se terminait par une a
observés en môme temps sont publiés dans un mémoire fort intéressant
paru
dans la Revue de la Suisse romande. J'ai pu rec
ment ses réponses. Ce phénomène dure un temps plus ou moins long, qui
paraît
en rapport avec la violence de l'attaque ; la dur
ur où il a perdu la parole ; il prononce a, é. Les jours suivants, il
paraît
présenter de l'amnésie motrice ; on écrit devant
t plus ses mouvements de rotation sur son axe. La corde vocale gauche
paraissait
plus courte que l'autre, à cause de sa laxité et
hors des troubles laryngiens et de la douleur ovarienne, la malade ne
paraît
présenter rien d'anormal. La paralysie laryngée
degré de déformation qui ne cède pas à l'action du chloroforme et qui
paraît
relever de la production du tissu fibreux........
er,qui,grosses de conséquences au point de vue de la physique pure,
paraissent
devoir présenter en ce qui concerne les applica
phie à travers les corps opaques, si invraisemblable qu'elle puisse
paraître
au premier abord, correspond néanmoins 1 la réali
ont par être traversés et seul le système os- seux restera. Il nous
paraît
inutile d'insister sur l'intérêt de cette sorte d
es cordons posté- rieurs, elle se présentait sous forme d'îlots qui
paraissaient
être indépen- dants de la masse centrale. Opp
se, un dénouement fatal à brève échéance est à craindre, et cela me
paraît
malheureusement trop certain. 1 . Ce qu'il me
enne, la moelle présente, à la coupe, des cornes et des cordons qui
paraissent
absolument normaux à l'oeil nu ; on ne voit pas d
rter en bas, il se dévie énergiquement en dedans et en bas ; ce qui
paraît
dû à la prépondérance d'action de l'abaisseur (dr
chaud. Il faut noter cependant qu'à un premier examen la malade ne
paraissait
plus avoir la notion du froid. A chaque fois qu
à un certain point établir le pronostic de ce cas particulier. Tout
paraît
prouver que nous sommes en présence d'un tabes
ion est la plus considérable et va ensuite en s'atténuant pour dis-
paraître
complètement en allant se confondre au niveau de
é, que l'écoulement est tari, les muscles des membres inférieurs ne
paraissent
nullement « se refaire » elle contraire même se
détails de la forme et plus séduits par les impressions d'ensemble,
paraissent
les pré- curseurs d'un Art tout à fait contempo
hique de la lésion : d'une façon géné- rale, les membres supérieurs
paraissent
exclus de la paraplégie ; le ma- lade remue les
turés ainsi que ceux de la nuque ; les sternocléi- do-mastoïdiéns
paraissent
indem- nes. La musculature faciale fonc- ti
st seulement plus rouge dans ces régions. Les masses musculaires ne
paraissent
pas atrophiées. ' En présence de ce tableau cli
ales de l'axe gris : la corne antérieure gauche a complètement dis-
paru
; son siège correspondrait au centre même de la t
ent, envahiesparle processus infectieux, alors que certaines veines
paraissaient
à peine atteintes. - . 1 Si nous abordons mai
oisine et la pie-mère sous-jacente ; la tunique moyenne de l'artère
paraît
en général respectée par l'infiltration nucléaire
ables petites gommes miliaires. A ce niveau, les cellules nerveuses
paraissent
saines, leur noyau est normalement coloré, leur
inflammatoires; leur dilatation, jointe à ce fait qu'aucun d'eux ne
paraît
obstrué par un processus endovasculaire, témoigne
ie AG. Toute cette conception physiologique, pour théorique qu'elle
paraisse
, n'en est pas moins acceptable ; elle a déjà tr
nus dans le cordol;lde Goll, les autres (thenni- que et douloureux)
paraissent
constitués exclusivement par la substance grise
sologique que nous allons tenter semblera-t-il prématuré. Il nous a
paru
cependant utile, ne fût-ce que pour encadrer les
par Gubler dans la syphilis congé- nitale. l ' « Les cerveaux ne
parurent
pas altérés, ils offraient la consistance molle
tance molle habituelle à cet âge. La moelle de l'un des deux foetus
paraissait
être à l'état normal, on reconnaissait très bie
stitielle. Macroscopiquement, le cerveau et les méninges cérébrales
paraissent
sains mais on trouve, au microscope, une infilt
rdon latéral droit et empiétant [sur les racines posté- rieures qui
paraissent
grisâtres. En résumé, si la syphilis congénital
ange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes cérébraux
paraissent
prédominer : avec les troubles des fonctions in
re compartiments oùsont enchâssés quatre masca- rons grimaçants qui
paraissent
se rapporter à des types d'aliénés. La figure d
- tion. L'appétit est bon ; les organes thoraciques et abdominaux
paraissent
sains. ` ? ° catégorie. Cas dans lesquels la sy
n de la moelle était consécutive aux lésions cérébrales, lesquelles
paraissaient
elles-mêmes, sous la dépendance d'une lésion va
ns siègent dans la moelle et sont de même nature. » Ces conclusions
paraîtront
peut-être trop précises en l'absence d'inves- t
e compression brusque, de plus l'exagération de la courbure dorsale
paraît
postérieure d'un an à l'apparition de la paraplég
n il noter aux yeux, aux oreilles, au nez. Les dents sont bonnes et
paraissent
régulièrement conformées, toute- fois une épais
regarde en avant, en dehors et en haut. Le siège de cette déformation
paraît
être à la fois dans les articulations tibio-tar
voûte du pa- lais, surtout il gauche, une série de dépressions qui
paraissent
bien être d'ori- gine cicatricielle. - . 1 Tr
des membres inférieurs « qu'il ne pouvait marcher », Ces accidents
paraissaient
nettement attribuables à la syphilis, mais on pou
Dans ce cas, comme clans le précédent, la syphilis héréditaire nous
paraît
indéniable : polyléthalité se jugeant par 17 mo
t qu'il aurait fallu lui tirer fortement les jambes pour faire dis-
paraître
cet engourdissement. Elle ne suivit aucun traitem
cicatrice. Elle n'a été réglée qu'à l'âge de 17 ans ; depuis, elle
paraît
l'avoir été régu- lièrement,sauf à partir de 18
pourrions citer d'autres observations de môme ordre où la syphilis
paraissait
également faire défaut. Aussi ne nous avancerons-
l'enfant touché congénitalement survit, les symptômes cliniques ap-
paraissent
. Ceux-ci sont le plus souvent dominés par les phé
du reste gardé sa forme biconcave habituelle ; sa partie supérieure
paraît
ne pas avoir été touchée ; son corps, peut- êtr
it ainsi dans le cas de Riehl, où l'atrophie du premier métacarpien
paraît
avoir été due à l'éli- mination gommeuse de son
tout à fait normale au-dessus des hanches. Les différents muscles
paraissent
à peu près conservés. Le malade se redresse ass
el que celui-ci nous apparaît vu par le gros bout d'une lunette, ne
paraît
pas exister dans la nature, et les exemples qui
tion précé- dente comme de rarissimes exceptions. Il en a existé,
paraît
-il, quelques-uns. , On accoutume de citer, comm
mmodait, à moins qu'il ne fût chaud ; on le promenait au soleil qui
paraissait
le ranimer ; mais à peine pouvait-il faire cent
le (-1). On ignore ce qu'est devenu ce curieux document qui servit,
paraît
-il, de modèle à des Bacchus et à des Silènes. J
proéminente, à gros nez, à lèvres épaisses, leur dos voûté jusqu'à
paraître
bossu, leurs mains en battoirs et leurs pieds dém
intéressant par sa très petite taille et l'énormité de sa tête qui
paraît
appartenir à un adulte de belle pres- tance, di
e pres- tance, disposition fréquente dans les cas de nanisme. Il ne
paraît
pas douteux que le rachitisme ajoute à sa diffo
elles, ayant cependant entre elles un certain air,de parenté. Il ne
paraît
pas douteux que le fa- cies des bossus, surtout
qui a été publié en France sur le borax dans l'épi- lepsie,et qui a
paru
dans ce recueil,avait pour but de signaler un acc
itement par le borax à la dose de 3 grammes par jour, le médicament
paraissait
assez bien supporté, lorsqu'au bout de six sema
attention sur les tractus olfactifs. ' Le corps mammillaire gauche
paraît
être plus mince que le droit; mais la différenc
erres. Peu après elle fut prise de vomissements et ce qu'elle vomit
parut
être de l'urine avec encore des pierres, « gros-
rent en- core de se révolter. La dénonciation de ce subterfuge leur
parut
« un outrage qui criait vengeance et où la pati
e l'ignorance, et il qui il faut s'adresser dans tous les faits qui
paraissent
surpasser les forces de la nature ». Ces louang
e dents, raidissements de tous les membres, et autres symptômes qui
paraissaient
épileptiques. . LA MALADIE DE LA FILLE DE SAINT
dait qu'elle ne le dirait jamais ; pendant ce temps, quoiqu'elle ne
parût
pas souffrir, elle ne pre- nait aucune nourritu
aré des accidents d'une autre espèce que tous ceux qui avaient déjà
paru
. Geneviève Martin, tourmentée de douleurs qui d
anasarque fut surtout considérable il la région lombaire, la malade
parut
menacée de devenir hydropique : cet état était ac
6 août, dans un accès de transport, elle en a rendu encore une, qui
paraît
différente des autres, mais qui ne l'est point ré
ide ; elle me serra plusieurs fois la main dans les siennes, qui me
parurent
suantes, et me lais- sèrent une odeur d'urine s
i laborieuses que celles qu'elle a subies. Ses mains et ses bras me
parurent
assez maigres, et marqués de cicatrices qu'on d
e jour, et que vers les quatre ou cinq heures du soir, les douleurs
paraissent
se réveiller, et durent jusqu'à dix ou onze heu
; lorsqu'ils furent cessés je touchai le pouls de la malade, qui me
parut
seulement plus fréquent, . mais point élevé.
ation marquée dans le canal de l'urèthre, elle ne m'a pas cependant
paru
telle que je l'aurais imaginée et telle que tout
rter chez moi pour en faire l'examen. Ce que la malade avait vomi
parut
être du vin .qu'on lui avait donné de temps en
au matin, je ne pus juger des urines de la malade, ses règles ayant
paru
. Sur les 11 heures, j'eus l'honneur d'accompagn
pressée de la question- ner indiscrètement sur ce mauvais bruit qui
paraissait
se renouveler ; Gene- viève en était fort chagr
moiteur qui* couvrait ses mains,-et qui depuis deux ou trois jours me
paraissait
plus supportable. Le 19, la malade a été dans
omme si elle eût séjourné ; après l'avoir laissée reposer, elle m'a
paru
la môme que celle qu'elle avait rendue le 16, ave
temps attaquée d'une affection hystérique, et que les coliques qui
paraissent
aujourd'hui sa seule maladie, sont hystériques] e
decins à tirer le voile mystérieux qui peut en imposer ». Il nous
paraît
impossible de juger plus sainement le cas de la F
ent du cas de Geneviève Martin. La Fille de Crémone est celle qui
paraît
avoir le plus de ressemblance avec la Fille do
» que l'on appelle vulgairement « hommes squelettes » ; celui-ci me
paraît
plu- tôt devoir être appelé un c homme momie ».
intéressant de la question ; mais dans l'espèce, ce point de vue me
paraît
secondaire, parce qu'il reste obscur, et que ce
s n'apporte aucun document nouveau pour l'éclairer. Le « sujet » me
paraît
bien plus intéressant, comme représentant un sy
tose au niveau de l'apophyse gau- che. Déplus, les fontanelles nous
paraissent
mal ossifiées. Les membres supérieurs sont dans
épiphyses juxta-pltalangiennes, un épaississement c) lindroïde qui
paraît
anormal, et que nous n'avons qu'a enregistrer,
ace palmaire. Dans son ensemble, la main maintenue en demi-flexion,
paraît
immo- bilisée dans une position de repos. Cepen
'une légère dimi- nution de l'ouïe, qui ne date que de deux ans, et
paraît
devoir être rap- portée il la sclérose de l'ore
mais ne possédai que quatre dents il 14 mois. A 2 ans la dystrophie
parut
plus manifeste parce que le développement génér
ivre de quelques remarques à propos des manifestations qui nous ont
paru
dignes d'attirer l'attention. Observation. B...
CALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 279 Les organes qui
paraissent
le plus fréquemment, frappés par la syphilis hé
crites par Gubler dans la syphilis congénitale. « Les cerveaux ne
parurent
pas altérés, ils offraient la consistance molle h
sistance molle ha- bituelle à cet âge. La moelle de l'un des foetus
paraissait
être à l'état normal, on reconnaissait très bie
est de constitution normale, un peu épaissie peut-être : la moelle
paraît
tuméfiée. Après avoir ouvert la dure-mère, on v
postérieures. Les racines des renflements lombaire et cervical qui
paraissent
plus libres sont engaiuées aussi par une étroite
ice, ou encore ces parois sur de fines coupes en travers ou en long
paraissent
hyalines, sans structure et prennent d'une façon
tes masses nucléaires qui végètent entre eux, ils se contournent et
paraissent
se désagréger. Certaines places des cornes anté-
s- seaux de l'axe spinal, mais à côté de cette congeslion, qui peut
paraître
n'être qu'un phénomène d'ordre banal, nous avon
ù circule normalement le liquide céphalo- rachidien nous a toujours
paru
absolument libre sur les coupes de moelles de f
que nous formulerons en parlant des cellules de la moelle, nous ont
paru
conserver leurs caractères nor- maux, elles for
erveau et ses enveloppes d'apparence normale. La moelle à l'aeil nu
paraît
saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope :
arence normale. La moelle a conservé sa forme normale, la dure-mère
paraît
très épaisse, l'espace extradural est rempli pa
régu- lière, à contours festonués ; les tuniques interne et moyenne
paraissent
saines, mais l'adventice considérablement épais
confondue avec les tissus voisins. Les vaisseaux spinaux antérieurs
paraissent
ici moins atteints que dans la région cervicale
envahi tous les espaces laissés libres entre elles. Les ganglions
paraissent
moins infiltrés que dans les coupes précédentes.
d'autre part. La substance nerveuse n'est pas refoulée du reste et
paraît
n'avoir subi de ce fait aucune atteinte. Obse
n- gestionnés.. Le bulbe et ses enveloppes, sauf la dure-mère qui
paraît
un peu épaisse, ont macroscopiquement l'apparen
d'un blanc mat, différant peu de celle de la moelle, sa consistance
paraît
également être à peu près celle du tissu nerveux.
deux côtés de la scissure interhémisphérique. La moelle à l'oeil nu
paraît
saine ainsi que ses enveloppes. Au microscope :
aires. L'arachnoïde est reconnaissable seulement par endroits, elle
paraît
peu at- teinte, mais elle disparaît au milieu d
, qu'un nombre relativement considérable de cellules rondes isolées
paraissent
errer librement-entre les racines sans toutefoi
par les cellules rondes qui infiltrent leurs parois. Les racines
paraissent
normales dans les régions cervicale et dorsale, l
jour quelque malade dont la physionomie disproportionnée lui avait
paru
réunir tous les éléments nécessaires à la const
t loin d'avoir récupéré leur force normale. Les muscles' extenseurs
paraissent
avoir été touchés dans une mesure prépondérante
déjà cité, M. Imhert-Courbéyre rapporte, d'après un mémoire anglais
paru
en 1787, l'histoire de deux garçons de neuf et de
'empoisonnement arsenical à l'instar de l'empoisonnement alcoolique
paraît
être apte à provoquer des attaques épileptiformes
é, pèse 2320 grammes. Organes viscéraux, d'aspect normal. Encéphale
paraît
sain. Moelle, région cervicale : distension de
sé de vastes cavités anfractueuses. Remarquons ici que les méninges
paraissent
saines et que le processus est ainsi limité à l
ue. Non macéré. Organes viscéraux d'apparence normaux. Le cerveau
paraît
sain. Moelle absolument normale. Rien à signale
en est envahie pres- que tout entière par un tissu blanchâtre qu'il
paraît
difficile au premier abord de rattacher à une f
e même des racines postérieures, celles-ci cependant n'ont pas dis-
paru
tout entières, quelques fascicules ont été repous
drait répéter la même description. Disons seule- ment due la moelle
paraît
encore plus atteinte, il est impossible de distin
compacte dans laquelle les racines sont absolument englobées, sans
paraître
pénétrées du reste par les noyaux. La pie-mèr
ent sur elle. Les vaisseaux sont facilement reconnaissables, ils ne
paraissent
pas mala- des. Région lombaire. Le processus
eux très serré, sans infil- tration cellulaire. L'espace extradural
paraît
presque sain. Région dorsale. L'aspect est sens
altérées, la dégénérescence des faisceaux blancs, rarement étendue,
paraît
plutôt sous la dépendance des lésions directes
MARE Externe de la Clinique des Maladies du Système nerveux. Il a
paru
intéressant de réunir et de publier à la suite le
nerveux (hystérie, maladie de Raynaud), parce qu'elles montrent ou
paraissent
montrer les divers stades évolutifs d'un même p
s d'aspect, de coloration, etc. de ces 3 ongles sont minimes et ils
paraissent
bien présenter une lésion univoque. , Ces 3 ong
es, plus durs que les ongles correspondants de la main droite ; ils
paraissent
plus épais. Leur surface libre, très lisse, app
qu'il est fort mince, terne et grisâtre. Le fait, de prime abord,
paraît
singulier et, en contradiction avec l'épaissis-
le a des crises et un rétrécissement très net du champ visuel. Elle
paraît
avoir abusé du café et surtout du vulnéraire. E
rent ces 2 cas d'onychotrophose. Z) La relation entre les 2 lésions
paraît
moins évidente : il semble bien cepen- dant qu'
le titre de Polecenellrt. » Il faut avouer que pareille étymologie
paraît
bien romanesque. Certains auteurs pensent que P
la même époque, vers la fin du règne des Stuarts, que Pulci- nella
parut
en Angleterre et devint d'abord Punchinello, et e
etites pièces qu'on jouait le matin avant la grande pièce. Maccus y
paraissait
dans toute sa gloire ; mais, comme à tous les c
nt prétendu même confondre ces deux peuples. » Le'Maccus des Latins
paraît
donc être le père du Pulcinella italien. On sai
de Dodone, ville de l’Epire, celles de Jupiter-Ammon, dans la Lvbie,
paraissaient
agitées d’un somnambu- (I) Uëcjv. tuur., |. Y,
. Ils peuvent môme distinguer les objets à travers les corps qui nous
paraissent
opaques, ce qui prouve que l’opacité dans les cor
dernier état. Le sommeil magnétique, analogue au sommeil ordinaire,
paraît
être le résultat d’une intermittence de toute sur
nt et ne voit pas, son intuition est plus parfaite. Cet instinct, qui
paraît
appartenir à l’appareil du système nerveux gangli
l’on observe communément chez les somnambules. L’explication nous en
paraît
bien simple : dans cette autre vie, où la dissimu
’elle et je veux lui appliquer ma main sur l’épigastre : ses douleurs
paraissent
plus vives, les contorsions du visage augmentent.
du matin le ventre à diminué ainsi que les douleurs : les époques ont
paru
très-abondantes, après une interruption de près d
les jambes sont généralement moins enflées, excepté le soir ; le cœur
paraît
être dans le même état; quand il est douloureux,
emplit presque le vase, quoique jusqu’à ce moment la vessie n’ait pas
paru
être distendue. i*r,mai. — La céphalalgie est s
t qui n’a pu l’être et dont on ne peut affirmer la véracité. Postolet
paraissait
absorbé par un rêve, quand tout à coup il se lève
guéris, et dont le plus long traitement a été de cinq mois. Il m’a
paru
que le directeur prescrivait généralement l’usage
qui a porté bonheur à l’artiste. Le portrait est fidèle; Mesmer nous
paraît
dans son image morale, tel que le verra l’avenir,
is au nombre îles fables tous ces merveilleux récits, sur lesquels me
paraissait
déteindre la brillante et poétique imagination de
des effets du somnambulisme; c'est au moins ce que l’opinion publique
paraît
supposer. J’espère que ces considérations suffiro
ière bonne occasion. Cette brochure n’est pas étendue, mais elle me
paraît
avoir une grande portée dans la science; personne
n’avons pas, quant à nous, à trancher. « En résumé, l’art. ¿79 nous
paraît
généralement inapplicable. 11 a été édicté pour u
le pourra toutes les fois que l’on saura le vouloir. Cette assertion
paraîtra
peut-être téméraire à quelques-uns ; mais elle se
sir. Réduit à des conjectures, nous cherchons les faits où son action
paraît
bien déiërfmiiuif, nous rassemblons les phénomène
de sarcasmes pour accabler l’homme qui nierait leur réalité. Ce qui
paraît
mensonge est souvent vérité, et comme nous sommes
l’exercice, préviennent, autant que possible, les abus. I.a chose me
paraît
d’autant plus importante, pi au fond,de quoi s’ag
ndividu, et pas du tout la conservation de l’espèce, qui m’a toujours
paru
fort étrangère auxdits actes. Ces deux points de
dont il s’y agit, quelque singuliers ou inexplicables qu’ils puissent
paraître
encore, n’en sont pas moins des faits; tous me so
le à la raison d’uu enfant de six ans, de la classe moyenne. “2° 11
paraît
que les coups mystérieux ont aussi passé l’Atlant
is cependant dire à Votre Grandeur que les expressions qui pourraient
paraître
avoir été placées là par ostentation, à quiconque
des malades par le magnétisme ne semble pas avoir les proportions que
paraîtrait
vouloir lui attribuer le mémoire. Ce point se réd
comme dans l’autre hypothèse, l’intérêt et le but d’une interdiction
paraissent
donc manifestes, et, s'il en est ainsi, il semble
pratique de faire servir cette faculté, à guérir des malades, il peut
paraître
douteux que la faculté de guérir ne se soit pas t
naux pour le magnétisme animal. Il est peut-être temps que l’on fasse
paraître
aussi chez nous une publication régulière qui nou
assez répandus, et, après quelques années d’essai, nous cesserions de
paraître
. Mais nous espérons que les choses se passeront a
oir, malgré vous, forcer votre conviction sur des phénomènes qui vous
paraissent
si étrangers... 11 est de la croyance au magnétis
t véritable, et très-véritable , quelque peu vraisemblable qu’il vous
paraisse
. Ce phénomène a des témoins par centaines, par mi
es, de toutes les religions, de tous les pays ! ! ! Un fait nouveau
paraît
extraordinaire, prodigieux! Faut-il, parce qq’on
it est que depuis une quinzaine de jours, pas une de ces annonces n’a
paru
. » — Le feuilleton du Journal des Débats, du 13
qui accompagnait l’envoi que vous me fîtes de votre Magie, vous avez
paru
désirer que je vous communiquasse mes travaux et
oigts..... Pas de vision ; seulement la partie centrale du miroir lui
paraît
plus blanche : elle y distingue, dit-elle, comme
e je ne m’attendais guère. Du sein de ce foyer de lumière, une tète
paraît
surgir, les traits s’accentuent, et elle distingu
e, qu’elle croit voir double ; seulement la physionomie du disque lui
paraît
plus sévère, et les yeux sont fixes et lumineux ;
tome IX , p. 550. moment, et de plus, que ces phénomènes singuliers
paraissent
se lier trop étroitement au magnétisme pour qu’il
intéressants qui se trouvent dans les derniers numéros du Journal, il
paraît
que les «coups» commencent à se faire entendre su
nte de son pays, nous a amené ici un de ces médiums, dont la présence
paraît
être la condition indispensable de la production
ont eu à supporter presque seules le poids du nouvel apostolat. Il
paraît
donc que la faculté de faire produire ces «coups»
qui doit servir d’instrument de communication entre eux et nous. Il
paraît
aussi que la diversité des intermédiaires serait
roduisant partout. C’est-à-dire que partout où il ya un medium (et il
paraît
qu’il y en a énormément, et que beaucoup de gens
teries beaucoup plus convaincantes qu’agréables, mais que les Esprits
paraissent
trouver'infiniment amusantes, une foule de person
es croyants persécutés ; car, disons-le en passant, la persécution ne
paraît
pas devoir faire défaut aux illuminés; leurs adve
disent sur d’autres sujets, tout comme les savants de ce monde, ils
paraissent
généralement tenir à peu près les idées précitées
èrement punis par les « moniteurs » (sorte de police dont l'office ne
paraît
pas devoir être une sinécure), et dont les «bons»
omme son maître au séjour et aux privilèges de l'immortalité. Ce fait
paraît
être rare, la plupart des animaux terrestres se t
er la facidté de clairvoyance à un degré presque miraculeux (et il ne
paraît
pas qu’elle la possède du tout), n’a pu être pour
ment, en terminant ma lettre déjà beaucoup trop longue, que les Coups
paraissent
excessivement contents du succès de leurs efforts
e presque toutes les familles. Mais je veux parler sérieusement. Il
paraît
que l’organisme humain dégage un fluide impondéra
érable, de l’existence duquel on ne s’élait pas douté jusqu’ici. Il
paraîtrait
, de plus, qu’en plaçant le corps humain dans cert
pétées et variées, que j’écrivis, lundi soir, les quelques lignes qui
parurent
dans Y Union de mardi. Pour moi, le phénomène é
ns auxquelles je ne pensais pas, a fait des contre-épreuves qui m’ont
paru
, à moi, décisives. 11 ne m’appartient pas de dire
n plein succès, dans une société où il y avait des dames, ce qui est,
paraît
-il, une garantie de plus prompte réussite. Lu d
Avis général. '— Un numéro supplémentaire du Journal du Magnétisme
paraîtra
dans quelques jours, pour tenir scs lecteurs au c
les idées et à tous les dévouements. Toute étude consciencieuse nous
paraît
respectable, et nous considérons comme un devoir
ns également, et plus d’une fois, constaté ces surprenants effets. Il
paraît
établi que l’association des sexes différents pro
résistance. L’âge et la disposition d’esprit ou de volonté de ceux-ci
paraissent
être aussi pour quelque chose dans la reproductio
es. Avec sa vivacité et son énergie de volonté, la première, jeunesse
paraît
beaucoup plus apte à produire les effets désiFési
es tables mouvantes, ont dû convertir les plus sceptiques et vous ont
paru
, ii vous aussi, de nature à ne plus laisser l’omb
as d’illusion possible, et c’est sur elle surtout que l’expérience me
parut
concluante) ; d’un côté, on ne pouvait la souleve
y laissa pénétrer un à un les curieux. Cet immense concours de monde
parut
flatter l’esprit frappeur; il se proposa, en cons
progressive et constante des sciences sœurs fera une réalité. Un jour
paraîtra
la terre promise, où ira, comme dans un port fort
ici la fable dont nous avons parlé; en la disant, M. Jobard avait, il
paraît
, magnétisé l’auditoire, car tout le monde l’enten
très-douloureux et la voix presque éteinte. Cet état alarmant, qui
paraissait
déterminé par une quantité d’émétique cinquante f
ouls, au lieu de se relever, disparut entièrement , et la respiration
paraissait
connue suspendue, ce qui, joint à l'immobilité de
le bonheur qu’on éprouve en voyant revenir à la vie une personne qui
paraissait
vouée à une mort certaine, car si c’est pour nous
t tous les moyens conseillés par le I)r Jouënne, son médecin, avaient
paru
plutôt augmenter le mal que le diminuer. Deux s
es ou même isolants, et les agents de destruction les plus énergiques
paraissent
avoir peu d’influence sur les objets qui en sont
ps, il en était peu, quelque ridicules et même extravagantes qu'elles
paraissent
, qui ne pussent être considérées comme le reste d
, etc., employés par M. du Potet, sont les éléments de phénomènes qui
paraissent
obéir à des lois spéciales. O11 donne à l’eau l
n’ont jamais vus. Dans ces faits merveilleux, le fluide magnétique
paraît
être le véhicule de notre pensée, qui s’individua
ées. . Vous parlez avec sympathie de ces faits surnaturels qui vous
paraissent
d’une haute importance, et auxquels se rattachent
charité et l’amour , un médiateur entre Dieu et les créatures, que me
paraît
appartenir en propre le secret et la puissance de
ces considérations, et partant du point de vue que les phénomènes qui
paraissent
aussi subitement n’ont point un but assez élevé n
’intelligence s’abaisse et s’éteint; comme celle des vieillards, elle
paraît
tomber en enfance et elle se passionne pour des n
es qui tournent ou que l’on essaie de faire tourner. « Les convives
paraissaient
entraînés par cette conviction et applaudissaient
Bruxelles, M. Jobart, qui, malgré son nom, ne manque pas d’esprit et
paraît
s’amuser beaucoup des opérations magnétiques. Il
ité que la cause en soit dans la nature; quelque « étrange qu il vous
paraisse
, il ne peut être hors de la na-« ture : cherchez-
oient les phénomènes du somnambulisme , quelque variables qu’ils nous
paraissent
el quel que soit l’agent de ces phéno r.ènes, sur
r quand nous ne les avons pas vus, sous le banal prétexte qu’ils nous
paraissent
inexplicables. En effet, nous sommes si loin de c
avec une attention et une constance d'autant plus grandes qu’ils nous
paraissent
plus étonnants et plus difficiles à admettre. On
as sur ce point. Le phénomène de la rotation , s’il était seul, ne me
paraîtrait
pas entière-rement concluant. Je suis défiant, qu
n voyage aux Pyrénées. » Inutile de dire que toutes ces prescriptions
paraissent
parfaitement adaptées à l’état et au besoin de la
s-nous au rôle modeste qu’il nous a assigné dans ce monde. « Ce qui
paraît
aujourd'hui surnaturel, impossible, sera sans dou
ce mystérieuse, et enseignons-le aux autres. Quelque étrange que cela
paraisse
, les magnétiseurs sont préparés à le vérifier ; i
our moi, la position de sa femme était très-grave, que l’opération me
paraissait
imminente, et que ses chances étaient de beaucoup
je le sais; mais comme vous avez trouvé en moi un beau cas, ça vous a
paru
digne de rester. Ah ! c’est que je vois tout, moi
lance des notables habitants. Le compte-rendu de scs démonstrations a
paru
, il y a quelque temps, dans un journal de la loca
et uniforme de ces lois, une foule de faits qui autrefois lui avaient
paru
nécessiter l’action de divinités secondaires : ai
t la discussion. Quant aux faits, plusieurs, nous le reconnaissons,
paraissent
d’une authenticité irrécusable ; tels sont les av
sseur de philosophie au grand séminaire de Versailles, vient de faire
paraître
un ouvrage intitulé : Théorie des relations consi
evoir pour lui de dire ce qu’il a vu, quelque paradoxales que doivent
paraître
ses assertions ? Ce mémoire, rédigé sous l’impr
on générale se manifestèrent au bout de quelque temps. Le jeune homme
paraissait
avoir plus de vivacité qu’à l’ordinaire; un vésic
eux. Le petit-lait, les bains, sont employés sans succès; les bains
paraissent
même donner plus d’agitation au malade qui refuse
tive ou de rejeter leur témoignage, ou de croire à des phénomènes qui
paraissaient
en opposition avec les lois de notre économie phy
ses. Le malade, marchant les yeux fermés, flairait continuellement et
paraissait
sentir les objets qui étaient sur son passage et
s, certaines personnes qu’il voyait habituellement. La chose 11e me
paraît
pas impossible, mais je n’ai pas été à portée de
tait naturel et la santé généralement bonne. L’attaque terminée, M***
paraissait
aussi calme que s’il n’avait rien éprouvé et ne c
qu’ils ne sont ni des imposteurs ni des sots? M. le doyen Lordat me
paraît
avoir parfaitement répondu à ces questions. Les c
itement répondu à ces questions. Les considérations qu’il présente me
paraissent
aussi justes qu’elles sont ingénieuses, et sans a
une autre surface ? Je ne le pense pas, et une telle conclusion ne me
paraît
pas légitimée par les règles d’une saine logique.
; mais il s’agit de se bien entendre sur le sens du mot image, qui me
paraît
avoir ici une double signification. 1. L'image
aiser la main, Fatma a consenti à s’unir en mariage au chapelier, qui
paraissait
épris de ses charmes. Ce dernier, évoquant peut-ê
ressée de questions, avoua sa culpabilité. « La décision du jury ne
paraissait
pas devoir être douteuse, même en mettant de côté
e). Ensuite il tire sur les soldats sa carabine. « Enfin le brigand
paraît
en justice, nie des assassinats commis ; avoue av
rand nombre de réponses formant un système concordant. Comme le sujet
paraît
fatigué, nous mettons fin à ces exercices au bout
ence au collège de France. Paris, 1845. « Or, si les magiciens font
paraître
les fantômes, s'ils évo-« quent les âmes des mort
pourraient la tenir un moment suspendue comme par enchantement : cela
paraît
impossible, mais moi qui le vois, je vous assure
le célèbre violoniste devait se faire entendre. « Lorsque M. Sivori
parut
tenant son violon, tous les cœurs battirent vivem
cieuse du corps médical. La pièce lui fut courtoisement exhibée. Elle
paraissait
parfaitement en règle ; mais le commissaire conce
ire une traduction allemande du Petit Catéchisme magnétique, qui doit
paraître
incessamment à Berlin. Le môme ouvrage a été tr
e ouvrage a été traduit en anglais par M. le docteur Bergevin , et va
paraître
à New-York. Ainsi, grâce à ces traductions, la pr
faite intégrité. Avant son arrivée à Divonne, les accès hystériques
paraissaient
tous les huit jours environ, et étaient ainsi car
incues, en outre), et qui ne se font guère obéir. « Ce fait, qui me
paraît
de nature à renverser beaucoup d’hypothèses expli
happer à 1 ordre des faits naturels, il s’agit d’en introduire un qui
paraît
impossible, parce qu’il est nouveau. Tout fait no
peu, et les Académies lui feront sa place, et, une fois casé, il nous
paraîtra
le plus simple du monde, aussi simple que le cont
s cette première impulsion surtout que le mode d’expérimentation nous
paraît
défectueux. « Lorsqu’on cherche à suivre le mou
Ampère et son interprétation d’un phénomène exactement comparable. Il
paraît
qu’à l’époque, cette découverte des mouvements d’
ie pour cela : je respecte toutes les opinions, môme celles qui ne me
paraissent
pas raisonnables. » — Nous avons vu ci-dessus l
er avec les autres. Disons, pour terminer cet aperçu, que l’ouvrage
paraît
destiné à recommander une somnambule qui sert de
e fort difficile de hasarder quelques explications. Néanmoins il nous
paraît
certain que le magnétisme animal joue ici un gran
politique, qui transpirent de^ ces réunions secrètes, dont la police
paraît
s’inquiéter assez pour avoir envoyé des inspecteu
ais nous n’avons jamais pu obtenir douze tours à la minute : cela m’a
paru
exagéré. 11 faut, pour avoir quelques résultats,
oment où l’on désespérait du succès des moyens employés, que la fille
parut
respirer. Des larmes de joie et d’espoir coulèren
ectrisés, ni les aiguilles, comme les aimants. Une observation nous
paraît
utile à faire ; c’est que cette jeune personne et
t l’existence même d’un agent aussi perceptible que le magnétisme, me
paraissent
insensés ! Ils ont donc amoindri, altéré chez eux
notre foi était plus vive, beaucoup de choses merveilleuses, qui nous
paraissent
impossibles à produire aujourd’hui, seraient faci
melles, elles se combattent sans pouvoir se détruire. Lorsque le jour
paraît
, la nuit se retire ; bientôt celle-ci regagne le
aveur de leurs théories, viennent de se produire coup sur coup et ont
paru
mériter la sérieuse attention de la justice. «
, car malheureusement le contraire arrive presque constamment, nous a
paru
mériter d’être mentionné, en ce que c’est pour la
’honneur de me demander mon opinion sur cet intéressant phénomène, il
paraît
que beaucoup de gens tournent encore. J’en suis f
ensée des autres, il change bientôt de direction lorsque la chaîne ne
paraît
pas satisfaite et quand elle dît: Ah! voilà..., a
d elle dît: Ah! voilà..., alors le mouvement s’accélère. La rfoigsitp
paraît
complète, à moins qu’on n’appuie le pouce et l'in
pour produire certains actes et converser avec nous. L’auteur, qui ne
paraît
pas avoir suffisamment étudié cette branche si cu
d’autant plus nécessaire, que le dentiste, qui riait déjà sous cape,
paraissait
ne pas croire à la possibilité de produire l’inse
oir que le magnétiseur ou le somnambule n’ont pu vouloir. » Il nous
paraît
, facile de faire justice de ces étranges paradoxe
je n’avais pas d’autre idée à ce sujet, le diagnostique du médecin me
paraissait
fondé. Quel fut pourtant mon étonnement lorsque j
t rouges et enflammés, tandis que le nez, prenant une couleur livide,
paraît
s’applatir ou rentrer dans les chahs; le bas de l
e, j’interrogeai le pouls, il était naturel; la chaleur de la peau ne
paraissait
point être augmentée, et les crises nerveuses dit
que l’autre; les ongles sont pâles, la peau froide, en un mot, la vie
paraît
l'abandonner totalement. Tous les malins, vomis
avaient décidé, avant que la maladie ne gagnât l’épaule, lorsqu'elle
paraissait
circonscrite aux environs du poignet, de couper l
ssource nouvelle et d’une certaine importance. Si mon offre ne vous
paraît
point acceptable, votre refus ne diminuera en rie
eur pour les rédacteurs du Constitutionnel, auquel le discret docteur
paraît
ne pas être abonné, car il aurait vu que ce journ
lé : Ridicules des rêveurs magnétiques , signé Delaage, article qui a
paru
dans le Pays du 24 courant, il y a une assertion
argentins. Parmi les types présentés par l’auteur, un surtout nous a
paru
mériter l’attention de nos lecteurs : le Dépisteu
picacité, il avait très-bien pu deviner ce qu’il m’a dit. « — Ça me
paraît
fort I « — Non, c’est au contraire très-simple
e l’on ne peut saisir, puisque le sujet, malgré la force physique qui
paraît
l’enlever, ne sent presque pas l’impulsion des do
amusé h ce jeu, porteur ou porté, et je puis affirmer que ses effets
paraissent
surprenants à tous ceux qui l’exécutent, car ils
parfaite virginité ! Cette comparaison, toute hyperbolique qu’elle
paraisse
, était cependant nécessaire pour empêcher qu’on n
nant, que dites-vous, lecteur, de ce passage ? Le movimus'tandem vous
paraît
-il clair? En faut-il davantage pour prouver que l
our la manière d’agir, ni pour le résultat qu’on peut en attendre. Il
paraît
que certaines dispositions sthéniques contre-indi
n archevêque même, les tables tournent — après le dîner, s’entend; il
paraît
même qu’on les interroge dans les palais. Que f
Ne rien négliger de tout ce qui pourrait éclairer cette question nous
paraît
être aujourd’hui un devoir. Lecteurs déjà habit
ouvant supporter cette lumière divine ! Mais aussi quelle grandeur va
paraître
dans les conceptions nouvelles ; et si quelques n
e borne à présenter, sans les imposer à personne, les raisons qui lui
paraissent
de nature à faire soupçonner dans l’air des puiss
tant en Angleterre qu’en Amérique et à Paris. Voici celle qui nous a
paru
la plus curieuse, et sans la gravité du caractère
ent le type clinique. En France et en Italie les premiers travaux
paraissent
avoir passé inaperçus; mais, en 1902, Bournevil
trophie double des nerfs optiques (1). A peu près à la même époque,
parurent
plusieurs travaux d'ensemble sur cette question
us (3), el surtout le travail d'Enslin (4). Enfin la thèse de Patry
parue
en 1905 (5) mérite une citation toute particuli
re considérée avec raison comme le travaille plus documenté qui ait
paru
sur celle question avant le mémoire de Mellzer
un caractère dégénératif. Il est très adroit dans sa profession et il
paraît
doué d'une intelligence assez vive. Pas de cons
is à un allaitement mercenaire très mauvais et très insuffisant. Il
paraît
, par les renseignements des parents que, à l'âge
était énorme, c'était une véritable tête d'enfant rachitique et il
paraît
que la soudure des os de la calotte s'est accom-
tées par notre petit sujet. Les membres supérieurs minces et grêles
paraissent
très longs en comparaison du tronc. Le thorax p
s sont vivants et bien portants ; pas de consanguinité chez eux. Il
paraît
que le père n'est ni alcoolique, ni syphilitique,
ontafe, où l'on sent une encoche assez profonde. Les autres sutures
paraissent
bien individualisées. La forme extérieure du cr
il nous a été plus difficile d'évaluer le degré d'intelligence. Il
paraîtrait
, d'après les renseignements fournis par son ins
sme. Le père et la mère de l'enfant ne sont pas consanguins. ' Il
paraît
, d'après les renseignements qu'on m'a donnés, que
suite d'une indisposition maternelle elle fut envoyée en nourrice. Il
paraît
que l'enfant a beaucoup souffert pendant l'alla
tous les réflexes sont normaux. L'intelligence de la petite fille
paraît
assez bien éveillée. 18 BERTOLOTTI Observatio
mère ne pouvant se charger du petit, il fut mis en nour- rice et il
paraît
qu'il a souffert beaucoup pendant l'allaitement,
ours affligé de troubles gastriques et de diarrhée. Les altérations
paraissent
n'avoir commencé qu'à cet âge. Etat présent.
n de la ré- gion frontale susjacente peut contribuer encore à faire
paraître
l'oeil plus saillant (PI. VIII). ' Enfin je s
face, surtout dans la portion sous-nasale. La déformation du nez ne
paraît
pas avoir retenu beaucoup l'attention des auteu
l'em- preinte des circonvolutions cérébrales. )-, dans un Li-avail
paru
dans Il A ce propos, j'ai publié en 1910 (1), d
paru dans Il A ce propos, j'ai publié en 1910 (1), dans un travail
paru
dans la Presse médicale, quelques remarques qui
hie. Spiller qui avait publié son travail un mois après mon mémoire
paru
dans la Presse médicale n'avait pas eu assuréme
date de 1905, et elle est peut-être le Ira- vail le plus documenlé
paru
sur l'oxycéphalie. Palry a fait un travail d'en
côté droit. Les réflexes sont normaux, exceptés les rotuliens qui
paraissent
un peu diminués. Sensibilité parfaite. Il f
n assez bien connue depuis les travaux de Quincke (2). Ces cas nous
paraissent
d'autant plus intéres- sants qu'ils offrent un
, vol. XXXIX, 1910. 60 MARINESCO ET GOLDSTEIN plus probable qu'il
paraît
que les méninges sont atteintes même dans les c
nte et un oncle paternels morts de vieillesse; la grand'mère avait,
paraît
-il, de façon intermittente, une démarche chance
t de son affection nerveuse n'a pu être déterminé, un fait du moins
paraît
établi, c'est qu'à vingt ans, au moment du tirage
ni troubles vésa- niques d'aucune sorte ; cet état démentiel simple
paraît
être primitif, en ce sens qu'il doit être rappo
iste des extenseurs. Les membres sont sensiblement amaigris, ce qui
paraît
tenir autant la la disparition de la graisse qu
. Seul dans les cordons de la moelle le faisceau cérébelleux direct
paraît
avoir un volume inférieur à la moyenne sans pré
l, ils avaient constaté l'abolition du phénomène du genou (3), il a
paru
, en effet, de nombreuses statistiques apportant
tuliens manquent, le nombre de cas publiés où ils étaient conservés
paraît
somme toute bien faible ; la proportion de 13 0/0
sions nettes. Appareil digestif. Rien à l'oesophage. L'estomac ne
paraît
pas dilaté. Même rempli d'eau, il ne se distend p
e zone rarliculaire moyenne de Flechsig (1), La zone de Lissauer ne
paraît
pas intéressée ; la zone d'entrée des racines d
eures. Dans la question suivante, également controversée, notre cas
paraît
fa- vorable à l'opinion de Nageotte. D'après De
s, à propos duquel M. Nageotte (1) écrivait les lignes précédentes,
paraissait
présenter le signe de Westplial ; l'observation a
et leur relation avec l'encéphale demande quelque réserve. Il nous
paraît
, malgré cela, infiniment probable que, chez les
t ne saurait convenir intégralement. L'influence du traitement nous
paraît
, somme toute, assez simple. Il a pu se développ
sur le sympathique de tabétiques à lésions radiculo-médullaires qui
paraissent
très avancées et étendues d'après le compte rendu
trouvera l'indication et l'analyse des prin- cipaux travaux qui ont
paru
sur ce sujet et une revue critique de MM. To- l
ter (I), serait moins rare qu'on ne le croit communément. Enfin, il
paraît
possible, d'après les données de la phy- siolog
re, un certain nombre de troubles cérébraux intéressants, il nous a
paru
mériter d'être décrit. Le 17 août 1911 aux exer
centre optique du manteau et les ganglions a été interrompue. Il ne
paraît
point probable que la scissure calcarine soit a
le copie lente- ment certes, mais avec une facilité relative, et il
paraît
se rendre partiel- lement compte de la forme de
centre cénestésique pour les mouvements des bras et des mains nous
paraît
aussi plausible que l'existence d'un tel centre p
ymptômes d'aphasie sensorielle^ que nous avons pu souvent constater
paraissent
être d'un caractère passager et de peu d'import
, encore trop ignoré, de la pathologie. L'observation suivante me
paraît
digne d'attirer l'attention. Observation (PI. X
les traces sous forme de cicatrices profondes). Son intelligence
paraissait
normale ; elle ne fut soumise d'ailleurs à aucuue
re des dessins très simples (un carré par exemple). Son état mental
paraît
donc avoir évolué formellement ; les gestes et le
uciante, instable et incapable de se livrer à aucun tra- vail. Elle
paraît
d'ailleurs satisfaite de son internement à l'hôpi
en sortir. Elle ne se préoccupe pas davantage de sa famille, qui ne
paraît
pas s'en préoccuper non plus ; il a fallu employe
a radiographie, qu'il s'agit là d'une fracture; la totalité de l'os
paraît
ossifiée. Cependant la clavicule, comme d'aille
lie obtuse au niveau de la septième vertèbre cervicale. La vertèbre
paraît
plus proéminente que d'ordinaire, en raison surto
érable : elle est capable de renverser un infirmier ro- buste. Elle
paraît
très habile à se servir des mains et des doigts',
chitisme. L'achondroplasie a donné lieu à des travaux considérables
parus
au cours de ces dernières années,et la majorité
Chez MICROMÉLIE RH)ZOMÉL1QUE PARTIELLE 145 Khéroufa, le physique
paraît
n'avoir pas eu beaucoup d'influence sur son mor
s, avec exhibitionnisme, qu'elle a présenté au moment de sa puberté
paraît
avoirévolué sur un fond de dégénérescence, qui
due pour que son histoire fût définitivement complétée. Elle nous a
paru
ce- pendant assez intéressante pour être rappor
es, bru- nâtres, se rejoignant assez vite et la coloration présente
paraît
être stationnaire depuis longtemps. Mais tout c
t bien, et entend bien ; pas de troubles de son intellectualité qui
paraît
avoir toujours été assez rudimentaire. Il répond
u Traité de la Lumière dont il n'est d'ailleurs que la suite. Il ne
parut
pour la première fois en français, qu'en 1664,
2) ». Et celle physiologie de la pensée fondée sur le réflexe, nous
paraît
singuliè- rement proche par quelques-unes de se
nce à grandir d'une façon anor- male, de sorte qu'à cinq ans, il en
paraissait
sept. Développement intel- lectuel précoce, il
uites orientées dans tous les sens indifféremment. Chaque particule
paraît
se mouvoir indépendamment de ses voisines et si e
colorées seulement sur une partie de leur contour, ce qui les fait
paraître
sembla- bles à un croissant lunaire. Dans quelq
ne dissolution rapide de leurs granulations, elles gonflent et dis-
paraissent
rapidement par cytolise; d'autres, dont les granu
du cytoplasma en diminuant par conséquent sa viscosité, nous voyons
paraître
les mouvements browniens et leur intensité est du
chien, examinè d.ms le sérum animal à l'obj. no 6. Les granulations
paraissent
assez grosses précisément à cause de l'objectif
ès le premier examen, on est frappé par l'aspect du malade : Le cou
paraît
supprimé; la tète est immédiatement appliquée sur
médecin qui a proposé une opéra- tion. A ce moment, il présentait,
paraît
-il, outre l'absence de cou, une forte déviation
dura jusqu'à l'âge de 12 ans, époque à laquelle peu à peu elle dis-
parut
. t.. - Examen du malade (PI. XXIX). Le malade e
onne vertébrale semble déviée vers la gauche ; l'hémi- thorax droit
paraît
de ce fait plus grand que celui du côté gauche.
cher et à se réunir vers la partie supé- rieure du thorax.Ces côtes
paraissent
s'attacher régulièrement sur les 12 vertè- bres
u'avoir des présomp- tions sur leur trajet et leurs rapports, elles
paraissent
avoir une disposition normale et se trouver en
ommet. Les poumons remontent en avant au-dessus de la clavicule, et
paraissent
atteindre en projection une ligne ho- rizontale
cupée en- tièrement par les deux poumons, dont les lobes supérieurs
paraissent
venir se mouler sur le sommet de la cage. C'e
nne vertébrale étendue de l'occipital au sacrum ; le reste nous ayant
paru
normal. Les courbures. Faces latérales : Vue
trajet. FfG.6. 236 KLIPPEL ET Fenil Cette dernière partie nous
paraît
donc répondre à la colonne cervicale fu- sionné
variations (1). » Voici quelques mensurations parmi celles qui nous
paraissent
les plus intéressantes : Dimensions de la col
ème de IoseuaGm. Un anatomiste allemand, Rosemberg, ad- met, ce qui
paraît
exact, que la partie moyenne de la colonne vertéb
verlébrale, qui possède avec lui des rapports intimes. Cependant il
paraît
difficile de faire jouer un tel rôle au système n
malade ne s'était jamais plaint de sa difformité ; et, ce qui nous
paraît
plus intéres- sant, cet homme s'était présenté
'est aussi celle qui nous semble mériler le plus d'attention et qui
paraît
la plus rapprochée de la vérité. Il est plus
dans la maison cinq ans sans interruption. Avec cette femme, qui me
parut
honnête et intelligente, je pus avoir une convers
s, elle peut lire couramment, et raconter ce qu'elle avait lu, elle
paraissait
d'une intelligence normale, se rappelait sa fréqu
i, toutefois, ne dépassait pas les mesures. Malgré ses 49 ans, elle
paraissait
jeune encore, grâce à son ! eint rose sans ride
raordinaire. Lorsque la conversation tombait sur ce sujet, Caroline
paraissait
plus renfermée et moins affirmative. Elle n'ava
le nerf tibial antérieur. A l'examen macroscopique, ces nerfs ne
paraissent
pas augmentés de volu- me, mais les plus volumi
avancé dans la destruction des éléments nerveux : ceux qui restent
paraissent
dissociés, les uns encore myélinisés, les autre
s membres : les modifications si considérables que l'on y trouve ne
paraissent
pas conserver la même intensité dans les rameau
'agit, tantôt d'une raréfaction diffuse des fibres nerveuses qui fait
paraître
le tractus moins coloré par la méthode de Weige
ibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres supérieurs ; les bras
paraissent
hypertrophiés. La soeur de ce ma- lade ne prése
YPE ARAN-DUCHENNE 293 type Charcot-Marie, tandis que la seconde lui
paraissait
être d'origine spinale.- . Hoffmann (1) fait
que constantes ; on com- 304 LONG prend que sur cette base il ait
paru
difficile à d'autres auteurs (Dejerine, P. Mari
de la maladie, et sont toujours d'intensité variable. Si donc, ils
paraissent
devoir être attribués aux lésions des nerfs périp
n réciproque, sans organisation conjonctive, sans vaisseaux ; il ne
paraît
pas s'agir d'un lipome, d'un fibro-li- pome, ni
LI, fig. 4). Sur les coupes passant à ce niveau, la substance grise
paraît
intacte, les faisceaux des cordons antéro-latérau
oelle ; elle se continue avec l'enveloppe fibreuse de la tumeur qui
paraît
formée par elle. Les vaisseaux médullaires sont
eux qui entoure la tumeur et lui forme une coque, cette dernière ne
paraît
qu'être un dédoublement de la pie-mère. Les vai
LIII Fio. 9. - Coupe passant sur S2, partie supérieure. La moelle
paraît
intacte à droite, complètement détruite il gauche
des deux côtés, mais lors de l'émission des sons, la voûte palatine
paraît
plus rétrécie à gauche, qu'à droite. La mâchoir
l'extrémité des pieds est tournée en dehors : la cuisse et la jambe
paraissent
ne faire qu'un et décrivent ensemble un arc de
us opaque. Lors de notre premier examen, la radiographie nous avait
paru
pré- senter aussi quelques dissemblances avec l
uble contour et explique qu'un os gros et trapu sur la photographie
paraît
plus ou moins mince et grêle sur la ra- diograp
genre, surtout à des troubles trophiques d'origine vasculaire, que
paraissent
pouvoir se rattacher la plupart des scléroses h
de lésions nerveuses ou vasculaires qu'il détermine. Notre cas nous
paraît
être tout à fait analogue. Un fait pourtant en
lication un peu moins simple, c'est que le tiers inférieur du fémur
paraît
atteint aussi. En 1910, ia radiographie nous av
férieure du fémur était hypertrophiée, mais cette hypertrophie nous
paraissait
due seulement à une hyperossification partielle
n appelle le « délire onirique » ; les émotions dou- loureuses nous
paraissent
avoir joué un rôle important dans l'étiologie d
lare souvent aux in- z firmières qu'il voit le Diable. , 23. - Il
paraît
plus calme. Ce matin il est monté au haut d'une é
giment pour entrer à l'Arsenal. Il était d'une sobriété exemplaire,
paraît
-il. Seize mois après son retour des colonies, i
Les vaisseaux sont très épaissis, et, au point maxima, les cellules
paraissent
diminuées de nombre. Elles sont en général ce
absolue des cordons blancs. Au premier abord, la corne poslérieure
paraît
saine. A un examen un peu plus attentif, l'on v
au myélinique de la corne postérieure est presque complètement dis-
paru
. Les vaisseaux ont leurs parois très épaissies et
eur à celui des cordons blancs du côté sain, mais en même temps ils
paraissent
plus fortement colorés par la méthode de Weiger
l frappait les éminences thénar et hypothénar. A l'autopsie, moelle
paraissait
saine,les nerfs également, macoscropiquement du
ainsi qu'aux raisons de sa localisation spéciale, il ne nous a pas
paru
possible de l'élucider dans ce cas. Des quatr
constatations semblables, elles végé- tations conjonctives lui ont
paru
suffisamment accentuées dans certains cas, pour
graphié un certain nombre de détails, dont la repro- duction nous a
paru
indispensable pour la démonstration. En examina
ent pas également sur toute leur étendue. Les membranes papillaires
paraissent
plus solidement attachées, par les pinceaux név
ulaires, constituer la lésion fondamentale, tandis que le gliome ne
paraissait
avoir joué qu'un rôle secondaire dans l'édifica
ements méningés du sillon antérieur et du sillon postérieur ne nous
paraissent
subordonnées l'évolution du gliome. SYRINGOMY
e plus souvent associés. Dans le cas rapporté ci-dessous, il nous a
paru
cependant que le trau- matisme crânien avait un
des méfaits imaginaires. Des hallucinations de la vue et de l'ouïe
paraissent
également exister, chez le malade, pendant la n
ension. Ebauche de Romberg. La force musculaire est conservée, mais
paraît
plus accentuée du côté gauche. Pas de perle du
t traumatisme crânien dont les conséquences psychiques immé- diates
paraissent
bénignes malgré la gravité de la fracture - Huit
à l'âge de 41 ans. Les troubles mentaux s'accentuent rapidement et
paraissent
aboutir à un état démentiel de plus en plus mar
s convulsifs et des troubles mentaux relevés chez notre malade nous
paraît
essentiellement déterminée par le violent traum
é- formant la circonférence en plusieurs endroits. La partie gauche
paraît
être le plus comprimée, à savoir la partie post
e. Les pupilles ne sont pas parfaitement égales : la pupille droite
paraît
un peu plus grande. Les réflexes à la lumière, et
bjet placé devant ses pieds : le mouvement de la colonne vertébrale
paraît
tout à fait libre, normal. On peut dire la même c
embres interosseux. Pas d'autre atrophie musculaire. La main gauche
paraît
normale. Les ré- flexes du poignet sont très di
e hypolhéuar et les interosseux. La main gauche, un peu amaigrie,
paraît
respectée à l'examen fonctionnel et à l'examen
abondants et moins volumineux que du côté droit, la substance blanche
paraît
intacte. La destruction de la corne antérieure
e la main. En particulier, les articulations du carpe et des doigts
paraissent
saines. Les coudes sont un peu raides, mais tou
xion bilatérale. Réflexes abdominaux abolis. Les ré llexes du coude
paraissent
abolis également. Les réflexes du poignet cubit
muscles de l'éminence thénar, notamment l'abducteur et l'opposant,
paraissent
complètement détruits. Il en est de même de l'émi
raction se fait normalement. Les muscles de l'avant-bras et du bras
paraissent
égaux des deux côtés.Le sous-épineux paraît un pe
ant-bras et du bras paraissent égaux des deux côtés.Le sous-épineux
paraît
un peu atrophié à droite. Le sterno et le trapè
mitée au côté droit. A l'autopsie, la moelle et les centres nerveux
paraissent
macroscopiquement indemnes, sauf que les 7e et
iquement indemnes, sauf que les 7e et 8e racines cervicales droites
paraissent
un peu plus FIG. 10. Obs. IV. Névrite interstit
e thénar droite (PI. LXI). L'éminence hypothénar et les interosseux
paraissent
complètement respectées et égales d'un côté à l'a
résultats suivants : Les réllexes du coude et les réflexes cubitaux
paraissent
abolis. Le réflexe radial très diminué du côté
e est pris comme le court abducteur et l'opposant. ' La main gauche
paraît
indemne ainsi que les membres supérieurs et infé-
eux sont également touchés, mais moins, enfin l'éminence hypothénar
paraît
égalemeut quelque peu atro- phiée. L'avant-bras
des deux dernières phalanges. Réflexe du membre supérieur : coude,
paraît
aboli des deux côtés. Poignet, cubital, paraiss
e supérieur : coude, paraît aboli des deux côtés. Poignet, cubital,
paraissent
abolis des deux côtés. Radial paraît aboli à ga
côtés. Poignet, cubital, paraissent abolis des deux côtés. Radial
paraît
aboli à gauche. L'ou n'observe pas de mouvement,
e, dont la peau mince laisse voir les digitations du grand dentelé,
paraît
appartenir à un adolescent, tandis que le train
l'ébauche du bourrelet fessier et l'épais capitonnage des téguments
paraît
d'une femme après la ménopause. Pour fixer les
'agit d'une adipose segmen- taire des membres inférieurs , qui nous
paraît
être un exemplaire exagéré jusqu'à l'infirmité,
urol., p. 138. ADIPOSE SEGMENTAIRE DES MEMBRES INFÉRIEURS 481 m'a
paru
que l'épaississement adipeux remontait jusqu'à la
a avec le syn- drome de Basedow auquel goitre simple et trophoedéme
paraissent
avoir été antérieurs. Pour en revenir à notre
nsuite associé l'opothérapie ovarienne. L'opothérapie associée ne
paraît
pas avoir mieux agi que la simple. Pour situer
sont occupées par du tissu graisseux. Les deux régions scapulaires
paraissent
notablement hypertrophiées ; de chaque côté les
enormand et Verdun, à propos d'un cas d'adéno-lipo- matose qui nous
paraît
être celui de notre malade lui-même. Schéma tir
n du 6° Congrès international d'éleclroloie et de radiologie il m'a
paru
intéressant de rappeler l'histoire des premiers e
et des apophyses épineuses (ligne pointillée). Ceuedispositionnous
paraît
en rapport avec le développement des masses mus
MIE MORPHOLOGIQUE. 23 Celle-ci, en dehors de l'accident initial qui
paraît
avoir été mal observé, se manifesta d'abord par
la face interne des joues, en même temps que la corona Yeneris ap-
paraissait
sur le front. De 1880 à 1884, la syphilis reste
de réac- tion nerveuse pathologique; cependant l'affection actuelle
paraît
avoir débuté à la suite et à l'occasion de caus
Olympe est une femme de forte constitution, pres. que obèse, et ne
paraît
pas avoir beaucoup soulfert des troubles gaslro-i
e névropathique ; des accidents qu'elle appelle des syncopes et qui
paraissent
bien avoir été des crises hystériques ; une par
ssage : ce dernier mode de traitement mis en oeuvre pendant un mois
paraît
avoir produit une notable amélioration. La flex
bientôt arrêté brusquement par un obs- tacle purement mécanique qui
paraît
être surtout le tendon d'Achille raccourci, mai
it intéressant de sortir de l'ombre notre ancien croquis. Il nous a
paru
bien à sa place dans le premier numéro de la No
yllabes et sa prononciation est largement scandée. Son intelligence
paraît
peu développée ; son instruction est très bornée
a eu, vers l'âge de trente ans, plusieurs attaques convulsives qui
paraissent
être de nature hystérique. Pas d'antécédents ne
e sa maladie, elle a eu la rougeole; à ce moment, le tremblement ne
paraît
pas avoir augmenté. État actuel, aoùt 1885. - L
s'est aperçu que l'écriture devenait tremblée. Cependant l'écriture
paraît
s'être améliorée, ainsi qu'il résulte de l'insp
on de la voûte plantaire avec saillie du tarse; ces phénomènes dis-
paraissent
dans la station debout. L'épaule droite est plu
. L'écriture est irrégulière. Les organes thoraciques et abdominaux
paraissent
sains. Ons. IV. - Aub..., dix-huit ans, institu
ait de se livrer aux rudes travaux des champs. L'affection actuelle
paraît
avoir débuté chez Aub... vers l'âge ;lc quatorze
s la circonstance par une saillie exagérée de la région dorsale qui
paraît
bombée, surtout lorsqu'on la regarde de profil, e
es orteils. Leurs muscles, de même que ceux des membres inférieurs,
paraissent
avoir con- servé leur force normale. Les orga
s et vésicales sont normales; les organes thoraciques et abdominaux
paraissent
sains. p FIG. 2t. - Empreinte du pied d'Aub, (O
rmir étant assis. On note aussi un strabisme de l'oeil gauche, qui.
paraît
-il, est congénital. Il n'existe pas de nystagmu
s et les yeux fermés, est impossible (signe de Romberg). Le trouble
paraît
augmenté par l'occlusion des yeux. La sensibili
semble résulter de phénomènes complexes; dans tous les cas, elle ne
paraît
pas être sous la dépendance d'altérations dans
te à ce niveau un épaississement considérable de tissu fibreux, qui
paraît
le prin- cipal obstacle au redressement du memb
jusqu'àses dernières limites lèvera tous les doutes en faisant dis-
paraître
complètement la contracture spasmodique, en resta
base. D'après ces données, dans la majorité des faits, les lésions
paraissent
être exclusivement tendineuses. Or, sont-ce les
orsque, dans un cas de contracture, l'élément spasmodique aura dis-
paru
et qu'on sera assuré que la déformation est le ré
nte sujets par catégories, nous obtenons le tableau suivant, qui me
paraît
assez instructif : 1. Bull. Soc. de biologie, 1
odiques de la respiration, et en particulier de l'expiration, m'ont
paru
intéressants a signaler, parce qu'ils semblent
l1'S. Au niveau de l'ancienne bande d'anesthésie, la température ne
paraît
pas inférieure à celle des parties voisines. Ex
mité supérieure du péroné pourrait être invoqué ou défendu; il nous
paraît
rationnel d'admettre un mécanisme hybride, méla
'artiste de Santa Maria Formosa, en quête d'un type-grotesque, nous
paraît
l'avoir rencontré sur son chemin, vu de ses yeux,
eu tom- bantes, ont un aspect féminin. Phimosis. , La sensibilité
paraît
égale des deux côtés. Le malade est gaucher : f
ns nos observations (pl. XI). La direction de cette scoliose nous a
paru
variable. Elle peut s'ac- compagner de cyphose
scoliose du reste et sa fréquence, bien plus que sa direction, nous
paraissent
caractéristiques dans l'espèce. Il est difficil
ment été noté par les observa- teurs étrangers, le plus souvent ils
paraissaient
être au-dessous de leur âge. Ce faciès coïnci
e. La main n'est nullement contrefaite, l'avant-bras seul découvert
paraît
bien musclé; ici, pas-trace d'atrophie musculai
xion du poignet absolument caractéristique. Toute simple que puisse
paraître
cette, attitude, elle offre un aspect si spécial
en dehors de toute autre cause connue chez un ataxique avéré, nous
parurent
devoir être rapprochées des lésions osseuses ci
la réserve relativement à la nature intime de l'affection qui nous
parut
provisoirement désignée suffisamment sous le no
evoir insister sur ce travail, parce qu'il est le pre- mier qui ait
paru
sur la question, et que celle priorité est souven
médecine; de même M. Page, dans The Lancel. En 188, M. Boyer fit
paraître
dans la Revue de médecine un cas de pied tabéti
ériode du tabes. La même année, à la Société médicale des hôpitaux,
parut
un cas de pied tabétique observé par M. Féréol.
- 13G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. gour et de douleur
paraît
être un caractère il peu près constant. » (Char
sont en relâchement, la contracture spasmodique s'amoindrit, dis-
paraît
même complètement et alors tous les mouvements de
plète que nous avons entreprise sur la maladie de Friedreich et qui
paraîtra
ulté- rieurement. I. Pag... Alexandre, dix-hu
pour son âge. Il pèse 9 livres, est de taille moyenne, brun, pâle,
paraît
assez bien nourri : pas de pannicule adipeux sous
e, et son instruction est en rapport avec sa condition sociale. Il ne
paraît
avoir aucun vice dangereux. Il ne fume pas : il
sait vers l'âge de seize ans. Depuis lors, son état est, à ce qu'il
paraît
, sensiblement le même qu'à cette époque. C'est ai
parler, écrire, des mouvements divers apparaissent. Il est inquiet,
paraît
agité : il remue conti- nuellement soit ses bra
tendue, de vrais petits mouvements de salutation. Ces mouvements me
paraissent
rappeler, d'une manière bien lointaine, ceux d'
nquille. Les paroxysmes se présentent sous la forme de vertiges qui
paraissent
se bor- ner à de simples éblouissements sans ch
r dans sa main les objets qu'on y place. Pendant une demi-heure, il
paraît
suivre du regard des objets imaginaires. Au bou
re ni à compter; il est très difficile de fixer son attention et il
paraît
avoir fort peu de mémoire; il reconnaît pourtant
pneumographe de Marey, m'a fourni quelques tracés qui ne m'ont pas
paru
dépourvus d'intérêt. On y voit, par exemple, qu'e
ies. Elles ont un accent d'originalité bien particulier et qui nous
paraît
puisé dans une juste observation de la nature.
e; pommettes sail- lantes ; orbites creux au fond desquels les yeux
paraissent
plus brillants; nez écrasé à sa racine, élargi
articulations noueuses, le tibia droit légèrement incurvé. Il nous
paraît
difficile d'accuser plus directement, tout en r
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE L'ACROMÉGALIE Dans un travail
paru
en 1886 (Revue de médecine), j'avais cherché à
nt échappé dont j'ai eu depuis connaissance'. Plusieurs travaux ont
paru
en outre récemment sur cette question, . parmi
sens antéro-postérieur semblent cependant augmentées. L'os hyoïde
paraît
être aussi d'un volume supérieur à la normale.
de dégénérescence; les réactions élec- triques, au contraire, m'ont
paru
normales. Les phénomènes vaso-moteurs sont repr
mineux, trop vo- lumineux peut-être. Pourtant l'instinct génital ne
paraît
pas s'être développé encore. Quoique d'un âge o
ne trouvons presque rien de ce côté, si ce n'est l'arthritisme dont
paraît
être entachée la famille de sa mère. 186 NOUVEL
résie constante ou très fré- quente des chances d'exactitude qui me
paraissent
considérables. Du reste, la notion de la contra
ies si remarquablement conduites et si concluantes de Rütimeyer. Il
paraît
bien probable que le cordon latéral est touché
'ai appelée tabéto-cérébello-parétique : la dernière épithète ne me
paraît
pas être la moins importante. D'autres observat
les cas, la faiblesse de l'ataxie dans la maladie de Friedreich me
paraît
tenir à la parésie, et à rien autre chose, malg
SALPÊTRIÈRE. pareils dans aucune autre maladie. En tout cas, il m'a
paru
curieux et intéressant de les relever. Le pie
nque de la sensibilité est relevé. Sur soixante et un cas qui m'ont
paru
utilisables à ce sujet, j'en ai trouvé trente-d
tal. Beaucoup d'auteurs disent bien le contraire, mais cela ne nous
paraît
pas juste. Il ne paraît pas y avoir un seul cas
disent bien le contraire, mais cela ne nous paraît pas juste. Il ne
paraît
pas y avoir un seul cas d'impuissance par maladie
lates sont presque au contact sur la ligne médiane. L'épaule gauche
paraît
abaissée. , Lorsqu'on dirige maintenant son exa
nous bornerons à signaler le mouvement expressif des yeux qui nous
paraît
admirable- ment rendu. Ces yeux inégalement ouv
A MOELLE, EN PARTICULIER DANS LES FRACTURES DU RACHIS I Il nous a
paru
intéressant d'étudier/chez quelques malades qui s
us les mouvements sont possibles, mais sans force. L'im- potence ne
paraît
pas prédominer notablement sur un ou plusieurs gr
toutle membre inférieur droit; 2° sur les cordons postérieurs, qui
paraissent
avoir été le siège d'une sclérose ascendante. Les
peu prononcée, saillie qui se prolonge en bas dans une étendue qui
paraît
correspondre aux deux premières vertèbres lombair
néanmoins très net. Il n'y a pas de déviation latérale. Celle lésion
paraît
pou- voir être rapportée à une fracture ancienn
n refroi- dissement local intense et prolongé. Cependant il ne nous
paraît
pas 228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
survenue cliez D... à de vingt-trois ans, cinq mois après sa chuter
paraît
relever nettement du traumatisme. Mais par quel
ie symptomatique.... En résumé, et pour nous en tenir aux faits qui
paraissent
hors de contestation, nous trouvons chez D...,
e ; il est notablement diminué de volume ; les cartilages du larynx
paraissent
un peu volumineux, sans que l'on puisse affirme
es d'eau ; depuis assez longtemps cette soif n'existe plus, mais il
paraîtrait
qu'elle se montre encore quelquefois à intervalle
parties molles. Les côtes ont bien un pouce et demi de largeur, et
paraissent
même en quelques endroits déborder les unes sur l
ttaquées d'un gonflement, comme on dit, à pleine peau. Les jambes
paraissent
à la première inspection ne point cadrer avec le
poser sur la partie supérieure du sternum, de manière que le sujet
paraît
n'avoir point de cou. Le jeu des articulation
, grosse comme un pain d'une livre, mollasse et emphysémateuse, qui
paraissait
et disparaissait suc- cessivement... « L'enfl
ique au bout d'un an après avoir eu la variole ; la menstruation re
parut
à l'âge de seize ans, et continua très abondante
1881. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lion de volume
paraît
être survenue partout en même temps. La circonfé-
vérité élargis, mais, en comparaison avec les doigts du malade, ils
paraissent
plutôt petits. Les phalangettes sont d'ailleurs c
écartées l'une de l'autre (moins en avant qu'en arrière); et cela,
paraît
-il, beaucoup plus qu'auparavant ; elles sont de g
ermétropes mais d'une acuité visuelle normale. Les globes oculaires
paraissent
augmentés de volume. Léger arc sénile. La sensibi
de Colmar, en Alsace. Il représente 1. En même temps que ce numéro
paraît
à la librairie Lecrosnier et Babé le livre de n
croire aussi quelepeintreacopié son sujetsorlamm ? car les lésions
paraissent
figurées avec une grande vérité. H y a {«mit- ê
s alors par Pierre Marie présentaient un aspect très spécial, et il
paraissait
tout à fait justifié de faire du syndrome cli-
a part de J. Teissier, de Mayet, de Forestier, etc., et comme il ne
paraissait
se (1) Exanten du Rachis dans un cas de Spondyl
renforcé, soit assez puissante pour empêcher les mouvements.il nous
paraissait
donc lo- gique d'émettre « jusqu'à nouvel ordre
re colonne vertébrale n'étaient pas osssifiés,mais que nous avaient
paru
ossifiés surtout ceux qui occupaient la convexi
quelle nous tenons à n'engager aucune responsabilité, car elle nous
paraît
encore trop manquer de tout appui solide ; et c'e
enté au Congrès de Liège et que nous publions aujourd'hui : il nous
paraît
absolument con- firmatif de nos hypothèses anté
t justifier ce diagnostic. Le ligament vertébral commun antérieur
paraît
presque sain ;.il existe ce- pendant dans toute
térieur. Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales supérieures
paraissent
très allongées par une ossification partielle d
uleur grisâtre des apophyses normales. Les apophyses articulaires
paraissent
toutes entièrement soudées, les cervi- cales et
ment des dernières portions de parties molles. Les ligaments jaunes
paraissent
beaucoup moins atteints que dans notre première
ôtes. Les têtes des côtes et la partie voisine des corps vertébraux
paraissent
très poreuses et sans doute très vasculaires. L
tes ne présentent pas d'articulation costo-transversaire. Les côtes
paraissent
particulièrement étroites et minces. c) Bassin.
fémoral, par un interligne linéaire, inégal et sinueux, qui tantôt
paraît
au sommet de la saillie, tantôt s'enfonce vers sa
cette coupe, faite à la scie, a été des plus aisées et l'os nous a
paru
particulièrement mou. Une seconde coupe, passant
pubis et du fémur : sur cette coupe les branches du pubis nous ont
paru
très friables et dépressibles à la simple press
étaient rugueuses et recouvertes de saillies, mais ces rugosités ne
paraissaient
pas assez importantes pour immobiliser l'articl
d'anormal au niveau du genou droit. , Cette nouvelle autopsie nous
paraît
très confirmative des deux hypothè- 44 PIERRE M
e primordiale et capitale au niveau de la hanche nous a précisément
paru
être l'ossification du bourrelet cotyloïdien. Il
de son ménisque n'est pas une preuve contre la pathogénie qui nous
paraît
très vraisemblable ; car aucune ostéo-arthropat
de pou- voir faire la coupe, a pu constater avec nous combien l'os
paraissait
friable, presque sectionnable au couteau. Loi
Toutes ces ossifications, localisées dans une seule et même région
paraissaient
bien être la conséquence de ruptures ligamenteuse
ement, de frac- ture ou de destruction. , 3° Un seul procédé nous
paraît
recommandable sans hésitation ; c'est celui qui
18 ans. Jante : Est venue au monde d'un accouchement gémellaire. Il
paraît
qu'elle était assez développée, et qu'elle marc
our retomber dans l'excitation maniaque sans transition, à ce qu'il
paraît
, d'un état normal ; et il se trouvait encore ex
nt même quelques réserves nécessaires, ce bienfait partiel et léger
paraît
indiquer que le corps thyroïde n'est pas seul res
t, à mes yeux, nier l'évidence même. L'augmentation de la taille me
paraît
donc être subordonnée, dans une large mesure, à
ntre eux de grandes affinités, des rapports très intimes, puisqu'il
paraît
, jusqu'à plus ample informé, qu'ils tiennent de l
ppement supérieur à celui qui corres- pond avec l'âge. La spongiose
paraît
contenir moins de substances calcaires. Au radi
découvert pendant quelque temps pour un examen électrique exact. Il
paraît
donc justifié de parler de douleurs rhumatismales
que je voudrais considérer la ma- ladie do notre garçon. Quoiqu'il
paraisse
étrange qu'une des localisations les plus const
l le pancréas ou particulièrement les îlots de Langerhans .le sucre
paraît
dans l'urine, mais la glande thyroïde s'agrandit
au lit, en des points où les couvertures n'avaient aucun contact II
paraît
rationnel d'attribuer pour la plus grande part la
r sa fonction visuelle pour les activités dans lesquelles la vue ne
paraît
pas en jeu. L'utilité des appareils adjuvants d
nvexe de l'oeil sur les statues de femmes, également éclairée, fait
paraître
toute la figure douce et tranquille. Simultan
, fonction d'un affai- hlissement général de l'organisme. Il nous a
paru
intéressant de rapporter un cas de scoliose de
rtantes (1). C'est un cas de ce genre que nous rapportons ; il nous
paraît
intéres- sant à cause des phénomènes du côté du
naires (pleurésie, bronchites répétées) dont l'ori- gine bacillaire
paraît
probable. Sa mère, âgée de 48 ans, offre les stig
ise ; elle y met une lenteur toute particu- lière et ses jambes lui
paraissent
toute raides. Cette raideur diminue lorsque la
: il faut ajou- ter que ce clonus constaté à plusieurs reprises ne
paraît
plus exister actuel- lement. Le signe de Babins
ces dernières années ; comme chez ces malades, la lésion cardiaque
paraît
bien être congénitale et ne s'être révélée que
aux pyramidaux ? L'hypothèse d'une sclérose acquise et récente nous
paraît
la moins sédui- sante,la bacillose légère prése
n état géné- ral fut excellent ; elle consommait toute sa ration et
paraissait
n'éprouver au- cune souffrance, puis, du jour a
t qu'un seul kyste et pesait 70 grammes. (Les lésions rénales ne me
paraissent
avoir aucun rapport avec les nombreu- ses tumeu
réaction réflexe. Mais certains sujets atteints de troubles mentaux
paraissent
agir sans excitation locale préalable ; j'ai dé
urent la peau en se grattant. Chez nos sujets la trichotilloma- nie
paraît
être un phénomène rélléchi et non pas spontané.
n générale du pulvinar. Un peu en avant, le corps genouillé interne
paraît
légèrement pâle en raison de la dégé- nérescenc
miques ne reconnaissant aucune distribution particulière. Cela nous
paraît
quelque peu exagéré ; qu'il en soit ainsi au ni-
ement sur la considération des fibres d'asso- ciation ; cela nous a
paru
indispensable à l'élucidation d'un sujet fort com
érinévrite et de l'endonévrite ; les fibres de la racine antérieure
paraissent
intactes, tandis que la racine postérieure a perd
plus inférieures ; les racines qui pénètrent au niveau de la coupe
paraissent
absolument saines ; la moelle n'est pas atrophi
sitives varie tellement que, dans certains cas, les fibres motrices
paraissent
com- plètement intactes, tandis que dans d'autr
peut sortir lésée du foyer inflammatoire, même dans des cas où elle
paraîtrait
avoir résisté d'une façon absolue, si l'on s'en
ique, où Ramon y Cajal les a décrites comme des organes auxquels il
paraissait
diffi- cile d'assigner une fonction précise. Ce
ces trois modes d'origine, celui qui se fait au niveau du glomérule
paraît
être le plus fréquent; la naissance des fibres di
ncipiens (obs. III) les fibres nouvelles naissent isolé- ment et ne
paraissent
pas se ramifier beaucoup (Pl. XXXVI, fig. 6). D
m'a pas été possible d'y déceler de neurofibrilles ; leur substance
paraît
homogène ou granuleuse. Certaines d'entre elles
us rappro- chée du ganglion; mais, bien que les espaces conjonctifs
paraissent
libres, aucune ne traverse le foyer de névrite
ir là une influence qui les arrête complètement, et cette influence
paraît
être la même que celle qui a produit la destruc
éalité chez l'homme nor- mal ou tout au moins dans des cas où elles
paraissent
complètement indé- pendantes de l'affection don
hien, dans certaines circonstances, sans que le tissu de cet organe
paraissent
autrement lésé (Cajal). Il est donc certain que
ur établir définitivement le bien-fondé de cette hypothèse, qui m'a
paru
être suffisamment étayée par des commencements
i se présentent sous des aspects divers assez faciles à distinguer,
paraissent
être toutes en régression. Nulle part, en dehors
A l'asile on le considéra d'abord comme paralytique général, ce qui
paraissait
justifié par le status et les anté- cédents (ga
us particulièrement des faisceaux d'association. Ceux de projection
paraissent
avoir peu perdu. Le corps calleux est fortement
u pôle frontal. Thaï, opt., noyaux caudés et noyaux lenticu- laires
paraissent
normaux. Le nombre des cellules nerveuses de l'
sions et une partie des symptômes corpo- rels présentés par B... me
paraît
hors de doute. 1. Par obstruction de l'aqueduc
rfois en dehors et sa pupille est dilatée. La réaction à la lumière
paraît
abolie des deux côtés, mais l'examen est fort dif
lanche sont seules régulièrement entourées d'une zone vacuolée, qui
paraît
augmenter avec les dimensions du cancer et son
nées. Ecorce (Coloration au carmin en bloc et rouge de Magenta). Ne
paraît
pas altérée jusque vers le maximum d'extension
de la substance blanche sont notablement plus étendues que là. //
paraît
logique d'admettre que les néoplasmes se développ
eaux de projection par rapport à ceux d'association ? 2. L'épendyme
paraît
réagir à l'augmentation de pression par un. épais
ssons aucun exemple dans le sexe masculin), cette affection ne nous
paraît
pas avoir beaucoup attiré l'attention des médecin
avons pratiquées chez le vieillard dont, cliniquement, les muscles
paraissaient
sains, nous portent à penser au contraire, que
ent plus ou moins grossièrement atrophiés. De plus, et ce fait nous
paraît
primordial, on peut observer des vieillards attei
ffaiblissement et limitation de l'activité intellectuelle) si elles
paraissent
être des conditions importantes au développement
es, les omoplates déchar- nées. Sur les membres les articulations
paraissent
énormes, relativement au reste du membre.Cela n
atiques épaissies. En de certains endroits, chaque fibre musculaire
paraît
isolée, entourée qu'elle est par une lame conjo
propos. Quanta l'infiltration adipeuse si souvent rencontrée, elle
paraît
résulter de la transformation adipeuse des élém
mais on ne trouve d'infiltration embryonnaire périvas- culaire,nous
paraissent
devoir être remarquées, car elles n'arrivent jama
tées, ligamentaires et capsulaires surajoutées. La densité osseuse
paraît
dimi- nuée ; elle le serait moins, d'après M. F
des membres supérieurs sont également exagérés. Les sensibilités
paraissent
absolument intactes (nous devons dire que le ma-
bles psychiques s'accentuent dans le sens de la démence et le genou
paraît
se dévier davantage quand le malade est debout.
use fut un prodrome. Dans ces deux cas, les arthropathies nerveuses
paraissent
bien avoir évolué, non parce que les malades ét
n'en est pas de même dans notre observation dont la pathogénie nous
paraît
encore fort obscure. xix 19 SOCIÉTÉ DE NEUROL
no-cléido-mastoïdien gau- che : cette tumeur sonore à la percussion
paraît
être due au poumon fai- sant hernie pendant les
ditaires. - Père imparfaitement connu : était officier de marine et
paraissait
jouir d'une santé robuste. Mère nerveuse, impre
ciété de biologie (5) nos premières constatations, et simultanément
paraissait
la thèse de Koster sur les (1) Joseph, loc. cil
ins nombreuses que du côté opposé ; coupées transvei salement elles
paraissent
noimales (même technique, obj. 4, ocul. 2). F
par Van Gehuchten (1), par Nissl, par Marinesco (2). La même année
paraissait
la thèse de Bonne (3), qui, au bout de 9, 30, 42,
ace occupée par les cel- lules disparues, et l'ensemble du ganglion
paraissait
légèrement réduit de vo- lume. Quant aux fibres
sions véritables doit être fixé seulement au quatrième mois, où ap-
paraît
la diminution générale de la grandeur des cellule
me de volume réduit dans son ensemble. Les lésions, par contre, lui
paraissent
toujours être restées diffuses, sans localisation
du tissu conjonctif. Le nombre des cellules, enfin, nous a toujours
paru
compa- rable des deux côtés, et nous n'avons ja
du chat V, survie 338 jours). Les cellules ganglionnaires nous ont
paru
bien conservées, sans diminution de leur volume
usement juger de l'état du cylindraxe, mais la gaîne protoplasmique
paraissait
en différents points augmentée. Ces lésions, ta
ois, nous nous trouvons en face de cette question et le moment nous
paraît
venu de chercher à la résoudre. Etat du bout
erfs périphériques. ' Les fibres régénérées du bout médullaire nous
paraissent
succéder aux fibres fines, que nous avons vues
médicale, 18 avril 1906. (2) Voir à ce sujet l'article de NAGEOTTE,
paru
dans le numéro précédent de la Nouv. Icon., art
° mois, dans le bout ganglionnaire des racines sectionnées. Il nous
paraît
très probable que certaines des dégénéres- cenc
vent-elles être expliquées de la même manière ? C'est ce qu'il nous
paraît
difficile d'admettre. On comprendrait mal, en e
n grand nombre de fibres motrices dans les troncs mixtes doit faire
paraître
les autres fibres moins nombreuses, et d'autre
fets doivent être également différents. Une conclusion ferme nous
paraît
prématurée, mais nous croyons cependant que les
régénératif, enfin des altérations cellulaires du tabes. Elle nous
paraît
s'exercer non seulement sur l'ensemble du proto-n
écrites, à cette époque, comme partiellement atro- phiées, nous ont
paru
rester normales en nombre et en dimension. 5° U
acine anté- rieure, pour chacune des racines sectionnées lesquelles
paraissent
aboutir aux 3e, 4e et peut-être aussi aux 2° et
li- niques, n'ont pas eu encore le loisir de se tasser, ce qui fait
paraître
les fais- ceaux plus volumineux, et par suite l
rent du pôle périphérique de ces ganglions. Les racines sectionnées
paraissent
avoir été celles des 2eue et peut-être 2e et 5e s
e la sensibilité de la main droite et de la jambe gauche. Enfin ap-
parurent
une contracture dans la jambe droite, le clonus d
is l'observation qui a fait le sujet de la thèse de M. Long ne nous
paraît
pas suffisamment concluante pour en dé- montrer
puis ont reparu de temps à autre. L'histoire de sa maladie actuelle
paraît
remonter à 1891. A cette époque il éprouva de f
mes nerveux. La critique que Rumpf fait à cette observation ne nous
paraît
pas détruire sa valeur fondamentale. La symptom
entendit et comprit très bien la musique jouée devant lui. En 1885
parut
le livre de Stricker (3) sur le mécanisme psych
le de reconnaître les sons et les mélodies qu'il entend, et qui lui
paraissent
n'être plus que des bruits dépourvus de tout cara
musie senso- rielle, et bien qu'elle perçoive les sons musicaux, il
paraît
qu'elle les apprécie plutôt comme des bruits qu
protubérantielles sont loin d'être très communes, aussi nous a-t-il
paru
intéressant d'en présenter deux exemples. Ces cas
e l'os a subi une prolifération d'origine périostique. Souvent il
paraît
se joindre à ces déformations des irrégularités d
es articulations par du tissu dur. Mais le type de P. Marie et Léri
paraît
surtout caractérisé cliniquement par des subluxa-
et de l'oligurie. Ces symptômes sont survenus progressivement mais
paraissent
avoir été exagérés par un refroidissement ces jou
re est en rapport avec l'âge du sujet, les facultés intellectuelles
paraissent
être adéquates à sa situa- tion sociale. Le m
cerveau, la moelle et les nerfs périphériques étaient intacts. Il
paraît
donc logique d'invoquer une fois de plus un troub
à l'écart d'une semblable manifesta- tion. C'est pourquoi il nous a
paru
opportun de reproduire ici l'oeuvre d'art exécu
n médecine qui concourait alors pour l'in- ternat et dont le succès
paraissait
certain (il fut effectivement nommé le troisièm
de la moelle, décri- vant ainsi une sorte de capuchon.Ensuite, elle
paraît
étranglée au niveau de sa partie moyenne là où
ues, représentent des espèces de fibroblastes, d'autres fois, elles
paraissent
rondes, on ne voit alors que le noyau, enfin elle
de volume,de sorte que les deuxième et quatrième segments lombaires
paraissent
confondus au premier abord. Par suite de cette
- 436 ' MARINESCO ET MINE A cile.Les méninges sont normales et ne
paraissent
pas épaissies. Rien à noter du côté des racines
continuent leur trajet plus ou moins oblique, mais un grand nombre
paraissent
coupés transversalement. Ces faisceaux isolés o
s entre les cellules de cet épithélium. Les fibres sont fines et ne
paraissent
pas suivre un trajet régulier et se rami- fient
strabisme, les réactions pupillaires sont normales. L'intelligence
paraît
intacte par rapport à l'âge de l'enfant. L'exam
ulaires sont difficilement perçues; aux mollets, par exemple, elles
paraissent
complètement disparues et remplacées par un tis
e d'apnée qui nécessite la respiration artificielle. 15. L'enfant
paraît
plus vif, et les mouvements des orteils ont acqui
imple très marquées. Il existe quelques fibres d'aspect normal, qui
paraissent
saines, mais la presque totalité présente des m
u muscle jumeau interne, mais sur les coupes examinées, ces lésions
paraissent
encore plus marquées. Il n'existe aucune fibre sa
le malade s'étant refusé à toute investigation biopsique, il nous a
paru
intéressant de rapporter l'histoire clinique de c
s appareils fonctionnent normalement. Motilité. La force musculaire
paraît
assez bien conservée dans les différents segmen
ré- senté. La crise est annoncée par de courts prodromes : le chien
paraît
anxieux, piétine quelques instants, puis brusqu
dales et l'accolement à ces cellules de petites cellules rondes qui
paraissent
être des lymphocytes. Pas de lésions méningées.
niques et intellectuelles. ' La malade que nous présentons nous a
paru
rentrer dans le groupe des dystrophies acquises
s ac- tuellement stationnaires et datant probablement de l'enfance,
paraissent
être dues, comme l'augmentation de volume du cr
ombreuse des documents médico- artistiques pour la grande part déjà
parus
dans cette revue. Un distique latin, qui s'éten
x pieds sont nettement atrophiés ; pour les interosseux, l'atrophie
paraît
moins prononcée. Les muscles des deux jambes 48
ble de celui de l'état ordinaire et très durs' la palpation. Ils ne
paraissent
cependant pas sensiblement plus douloureux à la
veux,des muscles et des nerfs. , Examen macroscopique. Le cerveau
paraît
absolument normal. Ce qui frappe le plus, quand
e), il existe tous les intermé- diaires. Par contre quelques fibres
paraissent
augmentées de volume, hyper- trophiées ; enfin
autres, sans entrelacement : le tissu conjonctif inters- titiel ne
paraît
pas manifestement proliféré. Sur d'autres groupes
nes antérieures depuis la moelle jusqu'à la péri- phérie, il nous a
paru
intéressant de diviser une racine en deux segment
ue des racines de tabétiques, si ce n'est que les gaines de Schwann
paraissent
plus grosses, les noyaux plus gros et plus nomb
amas de gros noyaux ou de tissu con- jonctif ; plusieurs faisceaux
paraissent
constitués par une fibre nerveuse entou- rée de
tou- rée de tissu conjonctif. ' En résumé,les fibres radiculaires
paraissent
souvent engainées dans un man- chon de tissu co
les mêmes considérations que pour les nerfs, moteurs ; les lésions
paraissent
d'autant plus jeunes qu'on se rapproche davantage
u de la deuxième et de la première sacrées, les racines antérieures
paraissent
plus volumineuses dans leur trajet médullaire e
nuent en remontant vers la racine des membres et, leur distribution
paraît
appartenir à la topographie périphérique. Nous di
tion paraît appartenir à la topographie périphérique. Nous disons «
paraît
» car chez la soeur de ce malade, examinée en 189
s que nous avons observés jusqu'ici, la domaine du facial supérieur
paraissait
encore intact. Nous ajouterons enfin que chez t
scence wallérienne n'a été constatée nulle part et les gaines vides
paraissent
plus épaisses que dans les dégénérations de ner
de 506 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS C'est qu'en effet dans un travail
paru
en 1894, Marinesco ('1) a soutenu que la névrit
L'étude des racines antérieures et des nerfs, après la compression,
paraît
avoir été négligée jusqu'ici. Enfin, rarement,
des cylindres-axes, épaississe- ment de la névroglie,' lésions qui
paraissent
pouvoir aller jusqu'à la myélomalacie, indépend
des traces dou- teuses d'oedème cortical : toutes ces lésions nous
paraissent
dues à la néphrite et à l'artério-sclérose plut
ts nécrosés : plusieurs sont comme enchâtonnées dans la moelle, qui
paraît
s'être gonflée. La moelle est atteinte de myélo
t les auteurs, pouvoir être rapportées à l'oedème de la moelle, qui
paraissait
net dans l'observation VI. D'ordinaire, les esp
l'observation X). A l'autopsie, en effet, l'englobement des racines
paraît
tout aussi marqué dans l'observation XI, pour l
pigmentation, lésions d'apparence banales; les racines antérieures,
paraissent
saines. Comment expliquer la réaction de dégéné
ce pour les zones radiculaires. En dehors de la moelle, les racines
paraissent
intactes. Cas. XIV (n° 870). Tuberculose vertéb
s les cas, mais, le plus souvent, les Irons de conjugaison nous ont
paru
sains, pas notablement rétrécis par des fongosité
vé, englobées dans le foyer épidural, des racinesqui, cliniquement,
paraissaient
indemnes ; dans l'observation VIII, les signes
ar le plexus sacré. Pour les racines postérieures qui, cependant,
paraissent
, d'ordinaire plus atteintes que les antérieures
a moelle avec déformation accentuée. Hormis ces cas, elles nous ont
paru
saines, lorsque le processus tuberculeux seul e
conservée. Les pupilles égales réagissaient normalement. L'audition
paraissait
dimi- nuée des deux côtés. Quelques jours ava
le système visuel central. Le second grief émis contre nous ne nous
paraît
qu'une adroite redite de la part du distingué p
en une seule cou- che mal différenciée. Cette explication nous a
paru
nécessaire, car il est fait mention de « seg- m
ations thalamiques et faisceau longitudinal inférieur). » Cela nous
paraît
très important, car nous savons que certains ra-
sectionnait pas les couches sagittales de la région. » Ce cas nous
paraît
fort précieux et nous rappelle la lésion assez an
re plus précis encore, nons ajouterons la formule inverse, qui peut
paraître
dogmatique mais qui n'en est que plus utile : « à
'ap- pui de notre thèse, quelques considérations nouvelles qui nous
paraissent
dé- montrer que le faisceau optique central pos
n° ` ? ` ? et Nouvelle Ico- nog., 1906, n° 2, p. 201), et elle nous
paraît
encore suffisamment claire. Il ressort nettemen
n (Rev. Neurol., 1905, no 22, p. 1064-1065). Mais tout cela ne nous
paraît
pas indispensable, car bien que nous n'admetton
it comparable au centre moteur cortical. Cette manière de voir peut
paraître
étrange, mais il faut bien dire.que les noyaux
faisceau optique central est sensiblement moins volumineux qu'il ne
paraît
. La configuration de l'hémisphère prête à l'illus
outefois négliger d'indiquer le lien de parenté qui les unit et qui
paraît
leur mériter, sinon' une place à part dans les ca
ubital. Dans notre observation II, on est frappé de la relation qui
paraît
exister entre le début de l'affection paralytiq
asionnées, elle n'a pas souffert. La peau des mêmes doigts est lisse,
paraît
épaissie et rétractée. Les ongles sont sains. I
sont sains. ' ' z -' Dans le cas qu'on vient de lire le traumatisme
paraît
avoir-joué'un rôle prépondérant quoique indirec
on- tant à trente-quatre ans. L'influence de ce traumatisme m'avait
paru
, a priori, très contestable : il est peu admiss
guments décisifs, nous établirons toutefois les inductions que nous
paraît
autoriser la seule étude clinique sur la nature
ammations chroniques des nerfs. De plus, quelque peu acceptable que
paraisse
ci priori l'hypo- thèse de névrite symétrique p
affecté symétriquement. C'est pourquoi, quelque caractéristique que
paraisse
le tableau clinique si uniforme dans chacune de
née est souvent altérée. Dans un cas (observa- tion I) l'anesthésie
paraissait
nettement limitée aux filets descendants du fém
es lésions que les malades attribuaient à l'action du froid, et qui
paraissaient
être en effet des gelures, mais celles-ci avaient
(fig. 19). - Le malade est de moyenne grandeur (104 centimètres),
paraît
anémique, se trouve dans un état de nutrition s
triation longitudinale nette ; en comparai- son avec les doigts ils
paraissent
un peu petits. Les avant-bras paraissent auss
son avec les doigts ils paraissent un peu petits. Les avant-bras
paraissent
aussi un peu épaissis, quoique a une lapon moins
ui est plus pro- noncée dans les parties périphériques. Les cuisses
paraissent
tout à fait nor- males ; les jambes présentent
es et du palais par- tout hypertrophiée. Les cartilages du larynx
paraissent
peut-être un peu volumineux, surtout FIG. 20 (O
a partie moyenne, la langue étant tirée. ' Le palais et la luette
paraissent
manifestement volumineux, cette dernière 1"1(;.
es extenseurs à l'avant-bras, muscles dont le volume est exa- géré,
paraissent
plutôt affaiblis. - Dynamomètre à droite 12°; à g
ate, de fer, extrait de quinquina. Lorsque la malade sortit, elle
paraissait
notablement améliorée, elle se- servait plus ai
ance, oui et non, et cela se comprend. ' , . La science de Mesmer
paraissait
en effet si merveilleuse, les effets qu'il obte
à l'argent qu'aux faveurs de ses clientes. Quelques jours plus tard
paraissait
un autre rapport de la Société royale de médeci
démasqué. De la main droite il magnétise la lune, ce qu'il s'était,
paraît
-il, vanté de pouvoir faire. La lune, à son tour
uvrir. , Derrière le fauteuil sur lequel il s'appuie, un spectateur
paraît
beaucoup plus s'intéresser aux tentations du sa
un phlegmon de la main, dont l'ouverture au bistouri ne causa pas,-
paraît
-il, de douleur apparente. Elle tomba à ce momen
es yeux couverts d'un bandeau qn'elle maintient avec sa main ; elle
paraît
terrifiée et nous avoue qu'elle a vu depuis tro
ent. Il n'existe d'ailleurs ni contracture, ni raideur. L'attention
paraît
jouer dans le phénomène un rôle important, car
et qui, dans les circonstances où elles se sont produites, ne nous
paraissent
pouvoir être considérées que comme des troubles
89, par M. Gilles de la Tourette, chef de clinique. - Cet article a
paru
dans le Progrei médical, n° du 19 janvier 1889.
ignement et la difficulté de se faire conduire à l'hôpital nous ont
paru
surtout à invoquer. Les quatorze autres ont res
néral s'améliore, le sommeil devient meilleur, ce qui ne nous a pas
paru
devoir être uniquement attribué à la disparitio
és ont été améliorés à des degrés divers, l'amélioration nous ayant
paru
en rapport avec la durée du traitement Un seu
cas, le traitement peut être institué avec confiance, car il nous a
paru
toujours, lorsqu'il est convenablement appliqué,
les séances quotidiennes étaient plus nuisibles qu'utiles. L'heure
paraît
importer peu; la régularité dans les séances es
t, « le traitement peut être institué avec confiance, car il nous a
paru
toujours, lorsqu'il est ' convenablement appliq
atalement sur le vivant. Quand aux ano- malies musculaires elles ne
paraissent
pas avoir attiré l'attention même sur les cadav
crises convulsives qui n'ont pu être observées, et 34 vertiges qui
paraissent
varier considérablement, tan- tôt il tourne sur
avant par aucune saillie,- par1aucÍ.lli tendon.' Le -grand pectoral
paraît
donc absent. Cependant il est représenté par un f
édius droit a 8 millimètres de plus que le gauche. Les deux cubitus
paraissent
égaux. La demi-envergure mesurée de la ligne mé
e par le maxillaire inférieur, fait, par ses dimensions colossales,
paraître
le crâne proprement dit trop petit, elle est fo
sont assez maigres, les mollets sont flasques. La région du bassin
paraît
plus large que normalement. Le mont de Vénus tr
e un certain Mondor et la belle Agiaé auprès de laquelle ce dernier
paraît
devoir être supplanté par un jeune abbé fort ga
ent magnétisés ! Et les effets qui se produisaient alors n'étaient,
paraît
-il, guère plus anodins que ceux que l'on observ
de la gorge eut complètement disparu, on put de nouveau faire dis-
paraître
l'aphonie par suggestion pendant l'état hypnotiqu
uscles antagonistes, le rele- veur de la paupière et l'orbiculaire,
paraissent
intéressés par suite d'un trouble complexe diff
nos efforts aidés surtout par la suggestion ont bien pu faire dis-
paraître
momentanément le spasme, mais jamais d'une façon
ourcissement n'est qu'appa- rent. t. Les muscles du cou il gauche
paraissent
raides et tendus sans que cette contracture occ
sure de faire un examen complet; toutefois cette observation nous a
paru
digne d'être signalée, parce qu'il s'agit d'une
ient complètement abolies, puis tout rentra dans l'ordre, et la santé
parut
être aussi parfaite qu'avant l'accès. A trois
ble digestif. La nuit, en dehors des accès, la phase d'exci- tation
paraît
se calmer et il dort d'un profond sommeil. Peu
aît se calmer et il dort d'un profond sommeil. Peu dt peu les accès
paraissent
diminuer de fréquence, et ils ne se montrent bi
ce de poils que sur le thorax. Le muscles y sont bien développés et
paraissent
puissants; cependant la pres- sion d'un dynamom
volume égalait à peine celui d'une petite noix. Le testicule droit
paraît
être plus élevé et situé sur un plan plus antér
nibles dont il s'acquitte parfaitement. Quant au sens génésique, il
paraît
complètement aboli. Jamais d'érection en dehors
l rit continuellement et sans cause. Aura. Au moment de l'accès, il
paraît
avoir de l'hyperacousie, il prétend qu'il enten
us antérieurement en rêve à la suite d'accès. Aujourd'hui le malade
paraît
ne pas être certain de ce qu'il avance ; il rép
'anomalie la plus intéressante chez ce malade, est une anomalie qui
paraît
exceptionnelle. Demar- quay, dans son Traité de
verge très petite. Notre malade est microrchide. Cette anomalie ne
paraît
pas exister à l'état d'isolement, elle est par
volume que présentait extérieurement le crâne. Tandis que celui-ci
paraissait
volumineux et allongé dans le sens du diamètre an
d'habitude d'avant en arrière, de sorte que les fosses occipitales
paraissent
être presque au même niveau que les fosses ANAT
rt, par J. M. Charcot (de l'Ins- titut) et Paul Richer qui \ient de
paraître
à la librairie Lecrosnier et Babé. 2. Nous avon
nous assure ( de la réussite de l'opération. Le patient d'ailleurs
paraît
peu inquiet; - : . il lui abandonne son bras dr
femme assise présente son bras au médecin qui lui tâte le pouls et
paraît
fort perplexe. Jan Steen, pour aider au spectat
i attend avec anxiété le résultat du remède. C'est d'un cordial que
paraît
avoir besoin la malade, dont les traits sont bien
es plus au temps où l'histoire de la paralysie générale des aliénés
paraissait
faite et parfaite, où ce groupe symptomatique p
es aliénés paraissait faite et parfaite, où ce groupe symptomatique
paraissait
nettement constitué en une maladie à types fixes
faits suivants où on trouve quelques troubles trophiques qui m'ont
paru
dignes d'intérêt, mais dont la cause anatomique
aits : une observation de Biture et Bonnet a eu la bonne fortune de
paraître
très démonstrative à cet égard; mais ce n'est pas
r. » Pendant près d'un an les symptômes ne changent pas, la maladie
paraît
rester stationnaire. 1,t mai 1887. Le malade
11 juin. Le délire mélancolique continue toujours; l'état de sa santé
paraît
surtout le préoccuper, il se plaint continuelle
ectiforme, cependant, depuis quelques jours, il fait sous lui et ne
paraît
pas avoir conscience de son état. Poids riz Idi
ucune douleur. 23 avril. Le faciès du malade exprime l'hébétude, il
paraît
indifférent il tout ce qui se passe autour de l
uche est plus petit que le droit, la pommette est moins saillantect
paraît
aplatie. Le nez est dévié vers la gauche, le fr
notre malade, l'examen de la sensibilité est presque impossible. Il
paraît
cependant réagir à la douleur lorsqu'on le pique
tactile, au goût, à l'ouïe, on ne sait s'ils sont altérés. L'odorat
paraît
notablement affaibli ; un flacon d'ammoniaque p
notablement affaibli ; un flacon d'ammoniaque placé sous le nez ne
paraît
occasionner aucune sensation pénible. On ne peu
st absolument sèche. Les masses musculaires des cuisses et des bras
paraissent
diminuées de volume, même à l'état de contracti
t de contraction, elles présentent un certain degré de mollesse. Il
paraît
y avoir un léger degré d'atrophie. L'articulati
tion, mais un empâtement de la région. Cette augmentation de volume
paraît
porter sur les extrémités articulaires des deux o
'étais chargé de la consultation externe,, suppléant M. Falret, m'a
paru
digne d'être rapporté tel qu'il a été résumée par
on externe do la Salpêtrière. Le début de la maladie de Mme II...
paraît
remonter il un an. A celte époque la malade dit
n léger tremblement lorsque le bras est étendu. La force musculaire
paraît
conservée. Les pupilles sont également et moyen
complète et une aphasie complexe. Il ne pouvait proférer aucun son,
paraissait
écouter ce que l'on disait, se retournait au brui
ars 1888, le membre inférieur gauche fut affecté à son tour. Il lui
paraissait
lourd et comme engourdi, dès lors elle commença à
E LA SaLl'1 : 'l'I.IÈIiE. La sensibilité cornéenne et conjonctivale
paraissent
normales ; la langue est insensible dans sa tot
de la face, et très probablement sous sa dépendance. Ces faits nous
paraissaient
intéressants et nous allions àla recherche d'au
auche est large et souple. La com- missure gauche est normale, elle
paraît
toutefois légèrement entr'ouverte, mais par opp
la courbe appelée Cycloïde ou Roulette. Un jour, sa névralgie dis-
paraît
subitement, mais les maux de tête reprennent de p
is ou si c'en avait été l'effet. A l'ouverture de la tête, le crâne
parut
n'avoir aucune suture si ce n'est peut-être la
lement légèrement dé- jetée du même côté. « Les globes occulaires
paraissent
égaux et également saillants; mais l'arcade orb
lies de la partie gauche du visage. Il faut ajouter que le front ne
paraît
avoir subi aucune déformation et que son développ
lle sentit une douleur intense dans la hanche droite. Cette douleur
paraît
avoir persisté plusieurs jours. Pendant qu'elle g
ysmes épileptiques sous toutes leurs formes. Le fait suivant nous a
paru
mériter quelque intérêt. OBS. - Le nommé Arthur
II, 1" 3U. SUR UN CAS D'ÉPILEPSIE. 215 C'est en 188 que le malade
paraît
avoir ressenti pour la première fois une aura p
simple. Il est donc permis de n'omettre aucun détail, au risque de
paraître
fastidieux. Face externe du crâne. Les sutures,
ouronneau le diagnostic d'hémiplégie hystérique. Toutefois, il nous
paraît
nécessaire d'insister encore quelque peu pour écl
pas de secousses fibrillaires,. 3° l'excita- bilité idio-musculaire
paraît
normale ; /in la contractilité électrique est d
258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. jours, sans pour cela,
paraît
-il, se griser outre mesure; travaille régulière-
Des médecins, on en a vu des malins, qui se disent t malins, ou qui
paraissent
l'être... Il y en a un... on pent bien le nommer
blement le godet de l'oedème. Le tissu aréolaire de la jambe gauche
paraissait
plus ferme que celui de la jambe droite. On l
r dans l'espèce : c'est un gonflement dur; mais l'ex- pression nous
paraît
consacrée par l'usage qui a force de loi. La pe
stérique semble devoir se limiter. La station debout prolongée ne
paraît
pas l'augmenter : dans notre observation III (C
age. Sa durée peut être fort longue (deux ans et plus, obs. I) elle
paraît
surtout subordonnée à la marche de la paralysie
vec anesthésie géné- rale. L'amaigrissement de la malade ne m'a pas
paru
beaucoup plus grand que lorsque vous l'avez vue
hronologique dans lequel ont été faites nos observations, il nous a
paru
intéressant de donner tout d'abord l'analyse d'
dure 3 jours et se rapproche à un tel point du précédent qu'il nous
paraît
inutile de donner le détail des analyses. Elle ma
t. , Pour toutes ces raisons, disons-nous, cette observation nous a
paru
intéressante et mériter d'être publiée. Schwe
IONS DE LA PUBLICATION LA NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
paraît
en six. fascicules annuels PRIX DE L'ABONNEMENT
surtout remarquables et caractéristiques. Tandis que l'olive droite
paraît
tout il fait normale et ne ren- ferme peut-être
tre les deux côtés. Le nombre de celles qui vont de gauche à droite
paraît
toutefois un peu plus petit que celui des fibres
(noyaux vestibulaires) à droite et à gauche. Les stries acoustiques
paraissent
mieux développées à gauche qu'à droite dans les
e les restes du pédoncule cérébral, qui sont normalement conservés,
paraissent
former la partie basale de la protubérance en a
nterne et externe à droite ne renferment pas de foyers primaires et
paraissent
normaux. Le faisceau Bath de Forel est diminué
e entre les noyaux des couches optiques à droite et à gauche. Il ne
paraît
donc pas qu'une lésion homolatérale du thalamus
de 7 centi- mètres sur le plan de la région sternale supérieure qui
paraît
normale. Le ver- NOUV. Iconographie DE la SALP$
issu musculaire. A l'oeil nu les masses musculaires ne nous avaient
paru
modifiées ni comme forme ni comme couleur, ni c
uvelles observations ont été rapportées dans la thèse de Lucien Tapie
parue
récemment. (26 décembre 1899) et inspirée par M
ucun changement dans l'état de S... pendant ces quelques mois, il a
paru
plus clair de ras- sembler tous les résultats.
olongée, ont provoqué le tympanisme. La condition la plus favorable
paraît
être un travail de couture un peu prolongé. Le
si fortement accusés chez notre sujet. Le seul diagnostic qui nous
paraisse
mériter discussion dans le cas pré- sent est ce
stif par l'une ou l'autre extrémité, du gaz dont la tension pouvait
paraître
pathologique et à l'aire accepter des diagnosti
l'intérêt du malade, comme l'intérêt du fait rapporté ne nous ont pas
paru
légitimer ces manoeuvres qui peuvent devenir no
l apporterait à la circulation veineuse. Toutes ces hypothèses nous
paraissent
s'accorder insuffisamment avec la rapidité de l
ves très serrées. D'une façon concluante, les boyaux serpentins qui
paraissent
à peu près isolables sont constitués par un mél
es relèvent de l'histoire et de la critique médicales. Au risque de
paraître
trop osé, on peut donc les aborder,, avec toute
- Ses antécédents héréditaires sont à peu près inconnus. - Elle ne
paraît
avoir fait aucune maladie avant celle qui l'amè
un mois avant son entrée à l'hôpital, cette fille était, à ce qu'il
paraît
, tout à fait bien porlante. C'est alors qu'un b
. Mais à part ces réveils provoqués, elle en avait de spontanés qui
paraissaient
produits par la faim, cardans ces cas elle dema
ensibilité sensorielle n'est pas intacte partout tant s'en faut. Il
paraît
y avoir un certain degré d'anosmie droite,mais c'
iminuée. Elle se sert tou- jours delà main et du bras gauche ce qui
paraîtrait
indiquer une paralysie du côté droit. A l'exame
e note pas de différence considérable des deux côtés, mais le droit
paraît
bien le plus faible. A la face, rien. Jamais de
t quelque peu rejetés des deux côtés surtout le droit ; mais ils ne
paraissent
pas altérés. Les nerfs optiques à leur naissanc
NGÉ PENDANT SEPT MOIS 105 mais il n'y a aucune adhérence, les nerfs
paraissent
absolument intacts et ne sont pas même déviés d
Le malade est difficilement ré- veillé ; quand on le réveille il ne
paraît
recouvrer sa conscience. Il ne re- devient pas
e sommeil. Cependant les paroles de M. Ballet en commentant le cas,
paraissent
in- diquer qu'il s'agissait bien de coma. Du re
nts héréditaires, ni personnels impor- tants. Vue en 1896 la malade
paraissait
souffrir depuis 6 ou 7 ans. Pendant les quatre
la proposition de Leclerc.De toutes façons l'histoire de ma malade
paraît
la contredire. Un mois avant l'examen pra- tiqu
errasrtr (îe m¿rÙ- cine de Bordeaux de 1887 (5). En juillet 1886,
paraissait
aussi dans la Revue de mérlecine'. le traira EX
ées dorénavant sous le nom de cas de Pitres et Vaillard. En 1888,
paraît
, en Allemagne, un second mémoire de G. Kroenigf/)
us cer- tains que l'observation de Gombault et Malle ! . En 1891,
paraît
la thèse inaugurale de Monsarrat sur les scoliose
Au- ché : il rapporte même in extenso l'analyse de cette dernière,
parue
dans la Revue des sciences médicales de 1887. I
son formé par la réunion de ces deux vertèbres. Enfin tous ces os
paraissent
avoir subi de profondes modifications dans leur
s saillies sous la peau. Au- dessous, la région sacrée est plane et
paraît
enfoncée. 'Au-dessus, la cyphose se continue en
ndres divi- sions jusqu'à l'intérieur de la substance cérébrale qui
paraît
comme injectée. A la face interne de l'hémisphè
n osseux. Les bords de la cavité articulaire manquent de netteté et
paraissent
le siège d'altérations qui ont atteint les région
d'un tissu osseux compact. La seconde, de dimensions plus grandes,
paraît
formée de lamelles osseuses irrégulières que l'
relati- vement clair, de 2 ou 3 centimètres de largeur moyenne, qui
paraît
occupé par un tissu osseux raréfié, ou bien par
hilitique de voisinage qui l'englobe ou le comprime ? tette théorie
paraît
bien vraisemblable pour la paralysie faciale qu
nt M. Gaucher a apporté des observations de névrite cubitale qui ne
paraissent
pas expli- quées par ces divers mécanismes, mén
i disparaît bientôt toute seule. Les injections solubles de mercure
paraissent
améliorer la paralysie de la main droite qui ré
iodo-mercuriel intensif et au régime lacté. En résu- mé, le malade
paraît
être très sérieusement syphilisé. Du côté du sy
es extenseurs propres de l'index et du petit doigt. Elle avait dis-
paru
dans le long supinateur ne laissant plus que de t
ussitôt, la diversité telle du tableau décrit par les auteurs qu'il
paraît
difficile d'écrire la symptomatologie de 102 U.
e la Tourette), dans un troisième groupe enfin les polynévrites qui
paraissent
exclusivement causées par la syphilis (2 cas pe
gravité particulière de la syphilis. Cependant notre premier malade
paraît
avoir été singuliè- rement infecté par le virus
te multiple syphilitique, nocive dans la névrite hydrargyrique nous
paraît
être la véritable pierre de touche du diagnosti
vations sont très rares dans la littérature médicale. Aussi il nous a
paru
intéressant de rapporter brièvement ce cas clin
et appuie. Il s'agit en somme de vaisseaux dilatés dont les parois
paraissent
épaissies. La palpation de ces tumeurs ne révèl
. Il n'existe aucune vibration anor- male. Les artères du membre ne
paraissent
avoir subi aucune modifica- tion puisqu'on perç
partielle et incomplète de l'oculo-moteur gauche.' La sensibilité
paraissait
intacte. Les réflexes rotuliens n'étaient ni exa-
oteurs oculaires communs sont respectés. Les cellules du côté droit
paraissent
cependant moins volumineuses que celles du côté
considérable et réduit à la vision centrale. La vision des couleurs
paraissait
intacte; les pupilles étaient égales sensibles
à rapprocher du goitre exophtalmique. Si tentante qu'elle puisse
paraître
au premier abord, l'hypothèse de Madelung ne ré
ces deux affections peut être telle que le diagnostic différentiel
paraît
presque impossible (voir au chapitre du diagnos
plus importante : Tels sont parmi les tableaux de ce genre qui nous
paraissent
dignes d'être mentionnés. Un arracheur de den
client à la figure épouvantée se trouve entre deux .opérateurs qui
paraissent
le maintenir étroitement ; celui de droite tien
avec un certain nombre d'autres à la fin de notre travail). En 1863
paraît
une observation, discutable d'ailleurs, de Sonrie
e passant par le trou sous-orbitaire. Au bout de quelques jours ap-
paraissait
l'hémiplégie (ce cas dont l'observation appartien
de 4 à 2 centimètres suivant les segments du membre. Le pied gauche
paraît
plus petit que le droit à cause de la traction op
tine. Il y a bien un cas où le choc a porté sur le sourcil, mais il
paraît
bien devoir se ranger au nombre des cas d'hysté
éflexes'ne présentent pas de modifications spéciales, les tendineux
paraissent
le plus souvent augmentés, les musculaires sont
sible d'y réussir; les parents nous ont seulement ré- pondu qu'elle
paraissait
se développer dans des conditions normales. Dan
I. Schéma VII. 224 RENÉ MARTIAL Les altérations du champ visuel
paraissent
être de celles qui rétrocèdent t avec le plus d
droit. De plus il était dans l'impossibilité absolue de parler. Il ne
paraît
pas avoir eu de fièvre : les médecins qui l'ont
oint de vue du développement ultérieur, l'hémiplégie traumatique ne
paraît
donc pas être un événement trop grave dans ces de
er, de même pour les diverses couleurs. Chez cet homme le caractère
paraît
avoir été moins atteint que chez d'autres sujets,
la satisfaction qu'ils éprouvent à ennuyer autrui. D'autres encore
paraissent
quelque peu enclins à la persécution et ils for
mptement excitahles. Cependant chez l'un d'eux, les accès de gaieté
paraissent
naître aussi facilement que ceux de colère. Ce
mps après. Les lésions se font dans la profondeur sans que l'écorce
paraisse
lésée, du moins grossièrement. Sur 47 cas d'hém
tion des membres est altérée notablement. La parole, très troublée,
paraît
-il, au début, puisque le malade parvenait diffici
rmalement. L'intelligence et la mémoire sont peu cultivées, mais ne
paraissent
pas avoir été altérées. Le malade sait lire et
cile. Inutile d'ajouter qu'aucune intervention opératoire ne nous
paraît
indi- quée » Dans cette dernière observation
générale, 1 IL les symptômes sont plus accusés et l'issue fatale
paraît
plus fréquente que dans la forme immédiate. D
portion antérieure le néoplasme a une forme assez régulière : il ne
paraît
que vaguement lobulé. La peau n'a pas subi d'al-
linge non ami- donné. X... est un homme fortement musclé, qui me
paraît
très vigoureux. La tumeur pour laquelle est ven
culant normalement avec le trapèze ; en revanche ses deux phalanges
paraissent
peu développées et soudées l'une à l'autre en lé-
e ; puis la deuxième est épaisse et fort courte, enfin la troisième
paraît
assez développée. Les métacarpiens intermédiaires
mpression manuelle des régions endolories; ce- pendant les gencives
paraissaient
normales; les dents étaient saines, blanches, s
battant 72 fois par minute, de tension moyenne. Coeur et vaisseaux
paraissent
normaux. Accentuation du second bruit aortique.
asonnée. Cette femme a conservé toute sa luci- dité d'esprit ; elle
paraît
même malicieuse. Elle rêve fréquemment la nuit,
hes avec sa jambe gauche : à ce moment, il ressentit nette- ment,
paraît
-il, un craquement dans sa colonne lombaire. Il
re davantage. Plusieurs apophyses épineuses des vertèbres lombaires
paraissent
épaissies et plus saillantes, on les sépare dif
acente. Le reste du segment lombaire se laisse facilement palper : il
paraît
être porté en totalité d'arrière en avant. Da
s de M. Brissaud. Elle figure aussi dans le travail de M. IIallion,
paru
dans la Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtriè
remière est plus accentuée, la seconde plus étendue; cette dernière
paraît
constituer simplement une courbure de compensat
'un souci pour elle. C'est à la suite de ces chagrins multiples que
paraît
avoir débuté la maladie de Marie M... En 1886,
forces, elle essaya d'abord de la masturbation pour les faire dis-
paraître
, sans aucun succès d'ailleurs, la fatigue seule é
En 1892, surviennent les premiers troubles de la marche. Le sol lui
paraît
moins résistant, ses jambes moins fortes. Desce
olonté, par une action musculaire quelconque. La colonne vertébrale
paraît
soudée sur presque toute sa hauteur et tous les
alade se plaint beaucoup de la raideur de ses jambes, ses pieds lui
paraissent
serrés comme avec une corde. Il marche, les y
particulier. Les vertèbres qui correspondent à cette déformation ne
paraissent
pas avoir un volume exagéré ou une situation an
ombaire : à ce niveau les articula- tions des vertèbres entre elles
paraissent
plus souples et les mouvements plus étendus qu'
épineuses des vertèbres correspondantes sont épais- sies. Le tronc
paraît
raccourci, par rapport aux membres inférieurs, et
génitaux. Etal actuel le 24 novembre 1899. La physionomie du malade
paraît
assez intelligente, le front est découvert, sil
, La sensibilité cutanée au contact, à la température, à la douleur
paraît
dimi- nuée il gauche, mais très légèrement. On
e. La colonne vertébrale est examinée de face, la ligue apopbysairo
paraît
peu saillante, elle est assez apparente pour offr
oliose dorso-lombaire s'accentue notablement. La colonne vertébrale
paraît
soudée sur toute sa hauteur : tous les efforts du
et là dans la science,aucun travail d'ensemble ou de détail n'avait
paru
en 1886, sur ce chapitre de pathologie. En outre
ont été décrites sous le nom de « dégénérescence de Nissl » et qui
paraissent
prendre une importance de plus en plus grande d
nte, indiquée par M. Van Gehuchten (1) et dont les résul- tats nous
paraissent
très satisfaisants à tous égards. Nous y avons
(1). Nous allons exposer maintenant les modifications qu'il nous a
paru
utile d'apporter au procédé du savant professeu
eprendre avec succès la coloration des coupes. La coloration nous a
paru
réussir beaucoup mieux quand nous passions nos
le s'étire, s'allonge dans le sens de migration du noyau, ce qui me
paraît
témoigner en faveur du déplacement actif de celui
s occupée par un élément nerveux totale- ment disparu. Ces cellules
paraissent
être des éléments conjonctifs de néofor- mation
ares cylindres-axes courent au milieu de ces mailles. Les vaisseaux
paraissent
normaux : ni prolifération vasculaire,ni épaissis
ans son ensemble; comparé au noyau dentelé d'un cervelet normal, il
paraît
petit, mais les fibres de sa toison et celles d
es- sion d'un organe malade, les fibres médullaires et les cellules
paraissent
en aussi grand nombre que sur un noyau sain, ce
antérieur et le tiers postérieur sont plus faiblement colorés, ils
paraissent
partiellement dé- générés. A ce confluent about
faisceau unique, circulaire. La substance réticulée de la calotte
paraît
moins riche en cellules et la dimi- nution des
de dégénérescence ; mais, mal- gré leur intégrité apparente, ils ne
paraissent
pas aussi volumineux que des pédoncules normaux
et du corps resti fornze. Les pyramides et les pédoncules cérébraux
paraissent
plus petits que normalement, mais sans trace de
lleuse et à la maladie de Friedreich. Lorsque le mémoire de Marie a
paru
, il n'existait que deux cas suivis d'autopsie,
et les cornes antérieures, particulièrement dans la moelle dorsale,
paraissent
atrophiées. Dans la région moyenne de la moelle d
s symptomatiques et de quelques particularités cliniques, il nous a
paru
intéressant de la reproduire. En résumé la cl
nt plus rares; la maladie est plus accessible à la suggestion, elle
paraît
parfois plus affectée que naturelle. Nos observ
rain, on peut voir les troubles moteurs s'accentuer et s'étendre. Il
paraît
difficile d'expliquer ce processus, on pourrait
u par armes à feu, ne dépend que de l'étendue de la lésion et il ne
paraît
pas possible de diagnostiquer les lésions parti
du champ visuel, huit sont dus à des bles- sures pénétrantes. Tous
paraissent
dus à la lésion de la bandelette optique. Nous
es méninges ni trace de méningite suppurée. L'hémisphère droit nous
paraît
absolument sain, quant à l'hémisphère gauche, il
veau et le blessé reprend ses occupations et sa vie habituelle sans
paraître
aucunement souffrir de la présence de ce corps ét
'une façon générale les tendances ac- tuelles. Dans certains cas il
paraît
sage d'attendre traumatismes par balles de revo
au laboratoire du service de clinique de la Salpêtrière. 11 nous a
paru
intéressant de faire connaître ces documents icon
attire immédiatement l'attention. Pieds nus, il mesure 2 m. 12. Il
paraît
avoir atteint cette taille depuis l'âge de 21 ans
usse couche et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la syphilis ne
paraît
pas exister dans les an- técédents héréditaires
reconnut pour la première fois l'existence d'un diabète sucré, qui
paraît
, d'ailleurs, de date assez récente. L'examen de
ils se sont faits peu à peu. Les troubles fonctionnels du diabète
paraissent
remonter seulement à 9 se- maines. A cette époq
de liquide dans la journée. Très gros mangeur de tout temps, il ne
paraît
pas avoir un appétit plus développé qu'autrefoi
qu'à l'époque où la taille achevait de croître. Enfin le diabète
paraît
être une particularité intéressante de notre cas.
dont je rapporte ici l'observation présente un type clinique qui me
paraît
unique jusqu'à présent dans les annales de la méd
peine au moment où cette photographie a été faite (PI. LX, M) et elle
paraît
en avoir au moins lui-5. Les traits sont fatigu
n exagérer d'ailleurs l'importance, c'est que cette excitabilité ne
paraît
pas normale, il quelques exceptions près. Aussi b
t une rue, il fait un effort pour marcher plus vite et aussitôt ap-
paraît
la sensation d'une boule dure comprimant l'abdome
nt; i, ils se perdent en arrière dans la région lombaire. La taille
paraît
petite, le corps disproportionné, les hras déme
ment agréable à l'oeil. A l'égard des Arracheurs rfe dente, Teniers
paraît
cependant s'être mon- tré moins libéral qu'enve
us, d'Archelaûs, de Lucrèce. Le jeune Petronius en prend aussi pour
paraître
du bel air et galant homme, comme disent les Fr
rapidement en lVestphalie, en Hollande et en Allemagne, et en 1720
paraissait
à Leipzig la traduction allemande faite par un pr
erses idées déli- rantes, souvent entrecoupées. Ensuite, commença à
paraître
une faiblesse mus- culaire très marquée et une
un point noir (une nucléole ? ). 482 SOUKHANOFF ET GEIER Comme il
paraît
, de pareilles cellules ne sont pas en liaison ave
la région antérieure des cordons postérieurs se trouve, à ce qu'il
paraît
, en liaison avec un petit foyer de désagrégatio
e Basedow est la fois effet et cause de l'hystérie ». Cette théorie
paraît
d'ailleurs être acceptée par les auteurs qui se s
minante des deux syndromes. C'est à cet égard que le cas actuel m'a
paru
présenter quelqu'intérêt. Observation. Hystér
ourcine pour une affection qu'elle ne décrit pas clairement; mais qui
parut
avoir été un écoulement vaginal. En tout cas on
sme. * A 40 ans elle a eu une attaque de rhumatisme articulaire qui
paraît
avoir duré 6 mois environ. Depuis cette époque
est sujette à des bouffées de chaleur et à des crises de sueur qui
paraissent
prédominer du côté droit. Il existe du côté dro
ntérieure ne présente aucun changement de volume; le corps thyroïde
paraît
aussi normal d'un côté que de l'autre. Le pouls b
ué à droite. Le malade a suivi divers traitements; ceux qui lui ont
paru
le plus favora- bles ont été l'hydrothérapie et
miques et cliniques de tout genre. Si l'observation suivante nous a
paru
digne d'être publiée, c'est qu'elle apporte à l
w uns des autres, et à des distances diverses de l'articulation. Il
paraît
en exister dans l'interligne articulaire d'une
le moindre effort sont des preuves grossières, mais elles nous ont
paru
suffisantes. De même, nous n'avons pas pratiqué d
uelques faits démontrés et sur de nombreuses hypothèses : elle nous
paraît
logique, ce sera notre excuse de l'avoir for- m
st trau- matique. Mais l'existence de l'épanchement de ce genre qui
paraît
d'abord se concilier avec l'interruption de la
mené une vie agitée, s'alcoolisant et faisant divers excès. C'était
paraît
-il un cerveau mal équilibré, les bizarreries de s
solument flasque et retombait inerte quand on le soulevait, la face
paraissait
légèrement déviée à gauche, la température était
s de surdité verbale, car au commandement il sortait la langue, qui
paraissait
lé- gèrement déviée à droite. Les membres infér
à ce jour. On retira du crâne des morceaux de charbon, mais l'os ne
paraît
pas avoir été fracturé. Cependant on constata dan
presque complètement enveloppé d'une bouillie molle et grisâtre qui
paraît
très fondante. Cet état se rencontre l'intérieur
t le sens stéréognostique est conservé. La sensibilité à la douleur
paraît
exagérée du côté droit, mais le malade lo- cali
Il ne peut souffrir la moquerie. La mémoire des faits en gé- néral
paraît
être conservée, mais il semble être embarrassé po
ures. Réflexes tendineux, patellaire exagéré à gauche, crémastérien
paraît
aboli (hernie inguinale double). Cubital du poi
outre à partir du même moment un rétrécissement de Foesopbage, qui
paraît
être d'origine purement nerveuse car il cessa b
i trouvé que la plupart des réactions inflammatoires avaient dis-
paru
. Il n'y avait qu'une légère in- filtration de l
des toxines des streptocoques ? C'est cette dernière opinion qui me
paraît
la plus vraisemblable. En effet, j'aurais la tend
originaux. Déjà en 1883 M*J. P. Richter (2) (de Londres) avait fait
paraître
en deux gros volumes plus de 1500 extraits des oe
et en arrière autant qu'il se peut, et de même en avant; et s'il te
paraît
bon de le faire de plusieurs façons, la fonction
ins, Sabba de Castiglione et le sculpteur BaffalledeMonleluppo qui,
paraît
-il, écrivaient à sa manière de droite à gauche «
ite déchiffrable pour quiconque y prête attention. L'hypothèse nous
paraît
tellement inadmissible que nous ferions plutôt l'
aussi l'opinion de M. Eugène' 614 GILBERT BALLET Müntz : « il me
paraît
difficile nous écrit l'éminent historien, d'admet
Puis vient une observation de Raehlmann (1878). Heuck (1878) fait
paraître
un travail très intéressant sur la question des
r est moins profond que d'habitude. Rien cependant dans l'orbite ne
paraît
soulever ce sillon et le petit doigt introduit
et surtout au vent. La mobilité des paupières et celle des yeux ne
paraît
pas s'être sensiblement améliorée : cependant,
Hirschberg, (1) Ce chapitre que nous avons fait en collaboration a
paru
intégralement dans la thèse précitée (de Barnef
usclés. Dans notre obser- vation, la petite malade âgée de zig mois
paraissait
à peine avoir 18 à 19 mois. . Évolution.-On i
usifs de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire. Elle nous
paraît
aussi la plus ra- tionnelle et la plus scientif
e jambe ; on lui fit gar- der le lit, la jambe en élévation, ce qui
parut
diminuer l'oedème, mais ne le fit pas disparaît
laires. Ni sucre, ni al- bumine dans l'urine. s Le corps thyroïde
paraît
normal ; on sent nettement le lobe gauche. Bien
lobe gauche. Bien qu'à cette époque le diagnostic le plus probable
parût
être le myxoe- dème, il est bien spécifié dans
it que les urines avaient de l'albumine. Celle-ci a d'ailleurs dis-
paru
actuellement. Après la scarlatine, l'oeùème red
nt l'un, âgé de 5 ans, a des convulsions qui d'après la description
paraissent
bien comitiales (rappelons que le grand-père ét
n'ai cependant pas hésité à la rapprocher des autres, car il ne me
paraît
pas que l'on doive limiter l'apparition de l'oedè
localisation spinale de la fibro- matose, cette observation nous a
paru
mériter d'être rapportée. Observation. F. M...
Les dessins et les reproductions photographiques de préparations ne
paraissent
laisser aucun doute à cet égard. Aussi avons-nous
ultiplié nos mesures pour contrôler nos premiers résultats qui nous
paraissaient
en trop nette contradiction avec les affirmations
la coloration différente des cellules en chromatolyse les fait-elle
paraître
plus volumi- neuses ? Quoi qu'il en soit, nou
L'auteur y a condensé sous une forme excellente les documents déjà
parus
sur ce arracheurs DE DENTS 663 Je me contente
run de Scribonius Largus, l'acaathobolos de Paul d'Egine, etc., re-
paraissent
plus ou moins modifiés dans les livres d'Ambroise
mâchoire. Cette cavalière extraction,si elle n'est pas sans danger,
paraîtra
du moins ingénieuse.Elle rappelle un peu le pro
ts ne servent qu'à favoriser l'extraction. Ces manoeuvres violentes
paraissent
aujourd'hui excessives.Les chirur- giens ne con
e de la dent, qu'il empoigne ensuite avec l'instrument qui luy aura
paru
le plus con- venable » (4 ).. En somme, on pr
ement musclé. Les réactions électriques des muscles de la main, qui
paraissent
seuls atrophiés, sont normales etidentiques des
ence d'une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ne
paraît
nulle- ment justifié. Rien dans* l'histoire du
deux malades se ressemblent jusque dans certains traits qui peuvent
paraître
accessoires au premier abord, mais qui ont cepend
. sens; intacts,- sauf un léger- degré' de surdité, dé date récente
paraîtrait
-il/ Il n'y a non' plus aucun trouble de la sensib
' , ... : - Les réflexes tendineux sont pourtant abolis; mais cela
paraît
tenir surtout à l'état morbide des articulation
u; tant aux membres supérieurs qu'inférieurs, le système musculaire
paraissait
en voie de régénération, et les têtes osseuses
N EXTÉRIEURE DU CORI'S HUMAIN [Presque en même temps que cc numéro,
paraîtra
chez Pion, Nourrit et Cie l'important ouvrage d
n`. » Nous n'avons pas à faire ici l'analyse de cet ouvrage, qui va
paraître
1. Leçons du mardi, 30 uet. 1888. 2e année, 2L
ns les mémoires de MM. Oppenheim et Thomsen quelques faits qui nous
paraissent
être des exemples indéniables de tremblements d
nerveuse. Ce sontlà, en effet, les deux données capitales qui nous
paraissent
se dégager de l'examen comparatif des cas que n
ous les modes de début des tremblements hystériques, celui qui nous
paraît
être de beaucoup plus fréquent. Au lieu de se m
la névrose hystérique (Observ. d'Armandine Roug...). Ces faits nous
paraissent
particulièrement intéressants au point de vue du
rveux présente, au point de vue pratique, une importance qu'il nous
paraît
inutile de faire ressortir. C'est en lui que se
ent de la prise du tracé. Le caractère indiqué par M. Marie ne nous
paraît
donc pas suf- fisant pour différencier le tremb
er que, bien que sa femme et les membres de la famille de sa femme,
paraissent
être indemnes de toute tare nerveuse hé- rédita
isa le fourgon d'un train de marchandises. Dans ce fourgon qui fut,
paraît
-il, mis en pièces,' se trouvait un employé. Relev
ers jours du mois de novembre 1888 il remarqua que sa be- sogne lui
paraissait
plus pénible. Bien qu'aucun surcroît de travail n
le constituent, et il existe à ce niveau un infundibulum cutané qui
paraît
jouer un rôle dans la pathogénie de quelques tu
e de quelques tumeurs sébacées de cette région1. Cette infundibulum
paraît
correspondre à l'extrémité postérieure du sillo
n générale, reproduisent presque exactement les formes humaines, ne
paraît
pas susceptible d'une interprétation autre que
les ecchymoses spontanées des hystériques, c'est que celles-ci nous
paraissent
avoir un grand intérêt au point de vue médico-l
part de la dégénérescence, cette notion de la suggestibilité nous a
paru
être la caractéristique cherchée et trouvée. Si n
spiration de notre maître, nous avons donné la description. Elle ne
parut
cependant que moyen- nement incommodée à la vue
ées par M. le pro- fesseur Guyon il l'hôpital Necker. La guérison
paraissait
obtenue, lorsque huit mois plus tard de nouveau
particulier au niveau de la face antérieure du sternum, mais qui ne
paraissent
pas relever de la même cause. La malade a notab
représenté sur le dessin et les photogra- phies ci-jointes nous ont
paru
mériter d'arrêter spécialement l'attention à ca
de rotation ou d'abduction dont la localisation n'est pas précisée,
paraissent
coïncider avec d'autres mouvements des membres.
as non plus d'asymétrie bien nette, cependant les saillies osseuses
paraissent
moins accentuées du côté gauche ; l'apophyse or
, la langue ne présente aucune déviation, aucune asymétrie, et elle
paraît
mobile dans tous les sens; cependant ses mouvem
sultat, peut-être en raison de l'insuffisance des doses. Les crises
paraissent
avoir diminué de moitié sous l'influence du trai-
e malade est devenu triste, soucieux ; son intel- ligence toutefois
paraît
n'avoir subi aucune atteinte, non plus que sa mém
tre disposition. Ce dessin, nous le croyons inédit, et son histoire
paraît
être intime- ment liée aux deux toiles de Brauw
et se gausse des cris arrachés au malheureux par l'opération car il
paraît
que, cette fois, celle-ci ne s'est pas faite sa
Vienne et Munich ? Cela est très vraisemblable. Mais ce qui nous
paraît
plus probable encore c'est que le dessin sert d
'a jamais eu d'at- taques de nerfs. Les grands-parents maternels ne
paraissent
pas avoir eu d'antécédents nerveux. Une tante,
ES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES. 99 pement, pendant la première enfance,
paraît
avoir été régulier jusqu'à l'àge de trois ans.
gulières jusqu'au début des accidents actuels, mais elles n'ont pas
paru
depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant a
ude de l'inspiration constitutive de ces bâillements simulés nous a
paru
se rapprocher beaucoup plus de l'amplitude du b
it ans, il a fait connaissance d'une femme plus âgée que lui. Il ne
paraît
pas avoir fait d'excès vénériens et ne s'est jama
être retenu sous les drapeaux, prit un autre amant. Emile J... n'en
parut
pas trop contrarié, car il songea à se marier dès
mobile, urinant dans son lit. - - Quand il vit ses parents, il ne
parut
pas les reconnaître, ne leur adressa pas un seu
semblable que 1 l'expression « bâiller à se décrocher la mâchoire »
paraîtrait
justifiée. \ Ce bâillement convulsif diffère en
la cadence sont des éléments différentiels de premier ordre qui ne
paraissent
pas exister dans les bâillements épileptiques j
es. En réalité, la volonté, ou pour mieux dire lé défaut de volonté
paraît
jouer un rôle important dans ces phénomènes. On
ces hallucinations, si tant est qu'elles existent actuellement, ne
paraissent
pas de nature terrifiante, car on ne surprend j
cataleptoïdes analogues. Chez notre malade, cet état mélan- colique
paraît
être primitif. L'exploration de sa sensibilité, s
la rupture d'une corde. En tout cas, cette méthode de traite- ment
paraît
donner de meilleurs résultats dans le tabès que t
es lorsqu'on procède avec prudence. Les menaces de syncope nous ont
paru
surtout se montrer, - les cardiaques étant élim
nnaire. Dans ces cas, un repos d'un mois et demi à deux mois nous a
paru
favorable, la reprise de la suspension ayant am
r celui de contracture hystérique. Le pied et le reste du membre ne
paraissent
pas, en effet, diminués de volume si on les com-
pinale aiguë. L'un de nous a combattu cette opinion dans un article
paru
il y a quelques mois dans le Bulletin médical*.
comportait certaines considérations sur la controverse actuelle. Il
paraît
avéré, et l'une de nos observations en fait foi,
us reproduirons d'abord deux cas de paralysie spinale aiguë, qui ne
paraissent
pas jusqu'à présent avoir été mis en valeur, du m
glie sont aussi infiltrées de leucocytes. Ces dernières altérations
paraissent
n'être que secondaires et sont une conséquence
Alphonsine Prev.... est une jeune fille de dix-huit ans et demi qui
paraît
à première vue bien plus âgée, vingt-cinq ans au
ions, et à cause de leur allon- gement même, les extrémités doivent
paraître
moins élargies. Dans l'acromégalie, la cécité e
ux extrémités, y est moins étroitement cantonnée ; 3° L'affection
paraît
revêtir alors une marche plus rapide. ' Dr IL S
ns l'hystérie et dans la grossesse, mais dans des conditions qui ne
paraissent
pas nettement déterminées. Mais c'est surtout dan
e de l'extrémité céphalique. L'ovale est nettementexagéré. Le front
paraît
fuyant et cette apparence est rendue ONOORAPHIT
tition. " La voûte palatine présente une étendue considérable. Elle
paraît
fortement allongée d'avant en arrière et légère
, et elle a beaucoup de cheveux blancs pour son âge (sa mère était,
paraît
-il, toute grise à 35 ans). La voix a baissé, et
en effet, dans bon nombre de troubles de l'articulation, la langue
paraît
capable d'exécuter normalement tous les mouveme
thorax. La connaissance des défauts des mouvements les plus simples
paraît
en effet indiquer la voie du traitement de ces
des épileptiques et en particulier leurs troublespostparoxystiques
paraissent
à un examen superficiel avoir une grande analog
arghilé. On la rencontre du reste fréquemment dans le tabagisme. Il
paraît
que c'est à peu près le même mécanisme qui la fai
n d'anormal. J'ai rencontré deux cas d'angine de poitrine qui m'ont
paru
essentielles, sans aucune complication vasculai
gère ancsthésio du territoire de la 2° branche. La lésion nucléaire
paraît
invraisemblable. 1. MoelJius, Ueber die Localis
s avaient conservé leurs mouvements normaux et l'accom- modation ne
paraissait
pas avoir souffert. Le 24, les yeux étaient tou
s globules rouges au milieu d'une substance granuleuse claire qui
paraît
être de la fibrine. Région lombaire. Bien que t
on, et nous ne rappellerons que celles d'entre les observations qui
paraissent
affecter une certaine parenté avec la nôtre.
ansport à l'hôpital. A son entrée à l'hôpital, son état présentait,
paraît
-il, tout à fait les caractères de l'ivresse. C'
ssance, et qu'elle cessa de se souvenir de ce qui s'était passé. Il
paraît
qu'elle eut beaucoup de délire et que l'emploi de
est plus paralysée, est très oedé- matiée. 11 est des jours où elle
paraît
très chaude, d'autres où elle est froide, et où
i de volume. A la coupe, la substance grise se dessine très bien et
paraît
un peu injectée, en les diverses régions de l'o
qu'à l'état normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au bras les muscles
paraissent
un peu atrophiés, ils ne présentent pas de modi
naler, des sortes de cylindres hyalins d'une sub- stance foncée qui
paraissent
provenir de la dégénérescence hyaline de globul
us chaud que l'autre; au bout de trois semaines la tuméfaction dis-
parut
. Les mêmes symptômes se reproduisirent peu de tem
ellent ce que l'on a décrit sous le nom de pied tabétique. Le tabes
paraît
donc indéniable. Une semble pas que jusqu'ici o
e est atteinte ? Au premier abord on est assez aisément dérouté. Il
paraît
évident qu'il existe un foyer quelconque dans l
r tout de suite à une tumeur, et c'est en effet cette hypothèse qui
paraît
la plus plausible. Nous voyons, d'autre part, q
'une anomalie relativement aussi rare. Cette hémiplégie droite nous
paraît
justiciable d'une explication beaucoup plus sim
vement depuis son départ de la Salpêtrière ont pour ainsi dire dis-
paru
; elles sont de plus en plus rares et ne reparais
met en colère sans raison et que son humeur est assez mobile. Hier,
paraît
-il, il avait été gai toute la journée; le soir
ou moins rétrocédé ultérieurement, phénomènes dont le groupement
paraît
, même aujourd'hui, caractéristique à un premier e
névritique '. Quant aux oedèmes relevés dans notre observation, ils
paraissent
avoir été cachectiques. Les troubles qui ont ét
dans le tableau de cette variété de polynévrites amyotrophiques, ne
paraît
-il pas rationnel de supposer que ces cas ressor
phiques s'accompagnant de troubles psycho-moteurs). 5" Il ne nous
paraît
pas possible, actuellement, de fixer d'une façon
permet l'impression du doigt et la formation d'un godet lent à dis-
paraître
. Pas de réseauveineux superficiel, pas de cordo
Ces douleurs se calment lorsque la malade reste immobile, sans dis-
paraître
cependant. Elles sont continuelles quoique atténu
ns et du trochléaire. Le fait est inté- ressant en ce que la lésion
paraît
localisée et éteinte depuis longtemps. » Dans c
Lariboisière, où il est électrisé. Pendant quelques jours son état
paraît
s'améliorer, il avale plus facilement, quand so
baires. Mort (Bresgen 1). Marguerite K..., âgée de vingt-cinq ans,
paraît
bien constituée et n'a jamais été malade. - -
x ans; la troisième phase bulbaire est en général fort courte et ne
paraît
pas dépasser une année (Bresgen). Quelquefois,
rantielle qu'on a donné le nom de poliencéphalomyélite. Rosenthal
paraît
avoir signalé lepremier lacoïncidence de l'opbtha
bel Allas do uos collabo- rateurs 11H. P. nIuC ! 1 et A. Londe, qui
paraîtra
proch,linementchez )Iasson, Nous adressons tous
ons- nous, n'avaient pas attiré l'attention jusqu'alors et qui nous
paraissent
devoir faire partie de la réaction myotonique.
rait pas gênée ; les muscles des paupières, ceux du globe de l'oeil
paraissent
aussi indemnes. Tous les troubles que nous veno
latoires. Les réflexes cutanés sont normaux. Les réflexes rotuliens
paraissent
abolis à un examen rapide ; mais, si l'on prend
ant dans ces conditions d'application du courant faradique, ne nous
paraissent
pas avoir été suffisamment distingués des effet
ulement di- minué, et après quelques secondes (5, 10, 15) le muscle
paraît
complète- ment libéré du spasme myotonique, qui
ne sont pas les mêmes pour les fibres des différents systèmes. Ceci
paraît
improbable à première vue. Il paraîtrait que la
des différents systèmes. Ceci paraît improbable à première vue. Il
paraîtrait
que la lésion étant la même, l'ac- tion devrait
éveloppement retardé. Elle avait 17 ans et ses règles n'avaient pas
paru
encore, lorsqu'au mois d'août 1885, après quelq
apparurent aux bras et il la jambe gauche. L'appareil digestif ne
parut
pas altéré, si nous exceptons l'anorexie complète
la forme fébrile que l'hystérie avait pris chez cette malade, ' il
paraîtrait
qu'il fut facile de faire le diagnostic des deux
les craintes, en laissant cependant des doutes inquiétants qui dis-
parurent
seulement avec l'apparition de l'urine. Il n'y a
mouvements de la face : « Un fait rare dans l'hémi-athétose et qui
paraît
beaucoup plus fréquent dans l'athétose double,
s de chorée, ni coqueluche. Il a marché avant un an, marchait bien,
paraissait
intelligent, parlait aussi très bien et apprena
s facilement étant déshabillé et nu-pieds que chaussé, la marche ne
paraît
pas être influencée parce qu'on le regarde. Ecr
le soil, où on cherche à les fixer. Au premier abord les mouvements
paraissent
très compliqués, mais l'ob- servation attentive
uent de fréquence et d'intensité, jamais cependant au point de dis-
paraître
complètement pendant l'état de veille. Rapidité
élevée. Ni la menstruation, ni les maladies fébriles ou autres, ne
paraissent
pas modifier les mouvements à en juger d'après
ements ou actes volontaires des conséquences sur lesquelles il nous
paraît
inutile d'insister en ce qui concerne les mouve
- core bien plus accentuée qu'aux membres supérieurs. Le côté droit
paraît
plus raide que le côté gauche. Les mouvements
'athétose double. La surdité verbale ainsi que la cécité verbale ne
paraissent
jamais avoir été rencontrées, quelques- uns de
qui comprend l'én1llné- ration des malades, chez qui l'intelligence
paraît
être restée bonne on avoir été relativement peu
tions du courant. La cause réelle, dans ces deux derniers cas, nous
paraît
être la même que précédemment, des courants for
dement le muscle. Les mouvements ondulatoires une fois produits re-
paraissent
avec la plus grande facilité, même avec des coura
ns la journée, soit les journées suivantes. La saison froide nous a
paru
, aussi, causer l'apparition plus facile des mouve
urs jours, mais encore pendant une ou plusieurs semaines. Il nous a
paru
que cette plus grande facilité dans la produc-
es ataxique à son début. Avant d'entrer dans l'exposé des cas il me
paraît
nécessaire, pour le bien mettre en valeur et vo
s se portât davantage sur ce point. La lordose est une rareté, elle
paraît
se localisera la région lombaire. « La cyphose
très notable, plus marquée M droite, sauf pour les interosseux, qui
paraissent
plus atrophiés -Il la main gauche, il en juger
tout instant de le faire choir. 5 avril. L'état de la difformité ne
paraît
pas avoir notablement changé (non plus d'ailleu
s et surtout sans force. Los doigls présentent des déformations qui
paraissent
tenir à des lésions des articulations interphal
'un côté à l'autre. Les mouvements d'inclinaison latérale du rachis
paraissent
s'exécuter avec une force sensiblement égale da
nneté, ni au degré ou à l'étendue de la paréso-analgésie... Elle ne
paraît
pas en rapport avec l'existence de lésions artl
tic était-il, dans ce cas, assez suspect. Enfin certaines déviations
paraissent
résulter d'une inclinaison vicieuse du bassin.
oenig sont plus complètement étudiés au point de vue clinique ; ils
paraissent
ressortir a des cas de fractures vertébrales, com
l'exploration. Le reste du segment lombaire est facile à sentir ; il
paraît
être porté en totalité d'arrière cu avant. Da
quel on sent une boucle (Spanye) dirigée en haut et à droite et qui
paraît
représenter un fragment vertébral détaché, ayant
rent clans la syringomyélie ou dans la maladie de Friedreich et qui
paraissent
s'étendre uniformément il toute la colonne vertéb
t auteur. A part la sclérose en placlues, dans laquelle la scoliose
paraît
d'ailleurs être au moins fort rare, les affecti
t saillante, et, par suite de l'inclinaison totale du tronc droite,
paraissait
plus élevée que la droite... Mais le phénomène
coup, près d'une année plus lard ; les interventions thérapeutiques
paraissent
n'avoir eu dans ce résultai qu'une part minime,
mple, ou un degré plus prononcé dans l'altération des muscles, nous
paraissent
aussi avoir une influence manifeste sur leur pr
itatives : Sous le rapport de la quantité l'excitabilité galvanique
paraît
un peu augmentée. Des courants d'une intensité
vers, les facultés percepti- ves. Enfin, deux ou trois observations
paraissent
établir nettement l'inté- grité du sens muscula
sans déformations avec des troubles intellectuels en plus haute. Il
paraît
d'après cela qu'il n'y a pas un rapport bien net
vent difficile à appliquer chez les malades de ce genre. .... Lange
paraît
avoir atténué la lassitude musculaire dans le cas
avoir été négatif. Aujourd'hui les progrès de la chirurgie moderne,
paraissent
nous encourager à la dis- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'
e approche de la bouche. A bien examiner les choses la confusion ne
paraît
pas possible entre ce tremblement et les mouvem
quelques scarifica- tions préalables. La malade tout attentive n'en
paraît
pas autrement émue. Elle est',vêtue de 'riches
e simulation ; d'autre part, on trouve dans les auteurs des cas qui
paraissent
beaucoup se rap- procher de celui que nous avon
s cas de ce genre. On sait aujourd'hui que la déformation peut dis-
paraître
complètement dans ces conditions ; le phénomène i
n a débuté et dis- DES DÉVIATIONS VERTÉBRALES NÉVROPATHIQUES. 207
paru
en même temps que la douleur elle-même. Il est lé
ituelle. Mais il n'en est pas toujours ainsi, et souvent (cela nous
paraît
même être la règle chez les hémiplégiques ancie
n du rachis à l'atrophie osseuse unilatérale. En somme, ce qui nous
paraît
digne surtout de remarque, c'est le faible degr
et aussi des déviations du rachis. Les déviations les plus communes
paraissent
être des scolioses; la cyphose n'est pas rare ;
mation à la faiblesse des muscles extenseurs du tronc, mais elle me
paraît
due plutôt à ce que, en marchant et dans l'attitu
tamment de pratiquer l'examen histologique de la moelle, qui nous a
paru
altérée. Le durcisse- ment des pièces est encor
isseurs latéraux lombaires. d) Scolioses des hémiplégiques. Elles
paraissent
être la conséquence de la paralysie d'un membre
ure est en cause. Pour toutes ces raisons, l'action musculaire nous
paraît
insuffisante pour expliquer la scoliose de Balt
ttre que la pleurésie a suscité, sinon l'hypertrophie elle-même qui
paraît
antécédente, du moins l'exagération de cette di
citait récemment un exemple ob- servé dans sa pratique privée. Il
paraît
donc bien établi que cette association n'est pas
ter quelque intérêt. Deux d'entre eux, M. Beh. et Mme Ot., nous ont
paru
mériter de prendre place à côté des cas décrits p
d'ordinaire; c'est surtout à ce titre que cette observation nous a
paru
présenter quelque intérêt. OBS. III. Rab. Léon,
courant d'une intensité de 4 milliampères les secousses de PF dis-
paraissent
alors que celles de NF restent encore assez forte
négatif. Elles nous montrent que les secousses du pôle négatif ap-
paraissent
plutôt que celles du pôle positif, que celles-là
le travail de Erb, des cas de maladie de Thomsen, et cette réaction
paraît
de plus en plus réellement spéciale à cette aff
ps (de 5 à 30 secondes) suivant l'intensité du courant, et qui dis-
paraît
graduellement. Sur le malade que nous avons obser
ès de IIeidelber de septembre 1889 (2). Ces mouvements ondulatoires
paraissent
être provoqués plus facilement lorsque l'électrod
uefois au cours d'une maladie quelconque, ataxie ou autres, il nous
paraît
certain qu'il existe certaines différences entr
IEF D'ALFRED -BOUCHER - TOBIE RENDANT LA VUE A SON PÈRE Il nous a
paru
intéressant de faire une incursion dans le domain
rches. Il n'en fut pas de même de M. M. Granville qui dans un livre
paru
en 1883 (2) nous fait connaître les résultats d
ocure un grand soulagement Sauf dans un cas, le tremblement n'a pas
paru
être sensiblement influencé. Ce bien-être se fa
pour employer l'ex- pression alors consacrée. Le trémoussoir eut
paraît
-il un grand succès, Voltaire en vante les bien-
r tirer les déductions suivantes (1) : 1° « La méthode vibratoire
paraît
avoir surtout des indications précises dans les
nous bornerons à dire que l'action du casque vibrant nous a toujours
paru
être éminemment sédative et qu'il nous a donné
rès être restée sans manger pendant quelque temps, l'appétit a dis-
paru
, j'ai été pendant plusieurs mois sans avoir faim
douleur, de parésie et de troubles vaso-dilatateurs. Ce cas nous a
paru
intéressant à rapporter, en raison de la comple
de même taille, de même âge et cle profession similaire, ces mains
paraissent
énormes. Cette augmentation de volume a surtout
contemporaines ? Pour l'hyper- trophie des extrémités, elle ne nous
paraît
pas pouvoir être mise sur le compte de l'hystér
tysie foudroyante. Il a eu vingt-cinq frères ou soeurs qui étaient,
paraît
-il, tous forts et vigou- reux ; ceux qui vivent
déformations portent symétriquement sur les deux pieds et les font
paraître
raccourcis mais c'est un raccourcis- sement app
esseur Charcot ont établi cette doctrine unitaire sur des bases qui
paraissent
inébranlables. A. SOUQUES, Ancien interne, mé
s il nous faut citer en particulier le traumatisme dont l'influence
paraît
très évidente dans les observations de Ross et
ble une espèce de chorée dont la nature n'est pas encore fixée, qui
paraît
souvent liée, comme l'hémiathétose, à l'atrophi
ifférentes hauteurs dans les régions cervicale, dorsale et lombaire
paraît
absolument saine. L'examen microscopique de ces c
nue ou à peine entrevue. A placer à côté des chorées chroniques qui
paraissent
être dans le même cas, sans vouloir préjuger de l
xion est peu marqué il gauche ; de ce côté les mouvements spontanés
paraissent
plus rares et plus limités qu'à droite. A droit
ont une coloration générale, un peu couleur hortensia ; les sillons
paraissent
assez profonds : les bords des circonvolutions so
IQUE SUR L'ATUËTOSE DOUBLE. 307 CONCLUSIONS. 1° L'athétose double
paraît
être une affection autonome, sur les lésions de
artistique préconçue et en mettant à contribution tous les travaux
parus
jusqu'à ce jour offrant les meilleures garantie
ues, sur lesquels s'appuie M. Duhousset pour'la justifier., ne nous
paraissent
pas absolument probants. Car ces mesures sont p
e torse long. Dans certaines familles, ces variétés de conformation
paraissent
héréditaires (1). D'autre part, que deviennent le
moindres, et ce n'est que pro- portionnellement il ta taitte qu'il
paraît
plus court. Le canon de Gcrdy, qui a suivi à pe
faits qui découlent des recherches des anthropologistes et qui nous
paraissent
de nature à intéres- ser les artistes. Il rés
nt un âge qui, réunissant bien les caractères propres à l'en- fant,
paraît
avoir particulièrement attiré l'attention des maî
e France. ... . Dix-huitième année. 1893 La REVUE PHILOSOPHIQUE
paraît
tous les mois, par livraisons de 6 à 7 feuilles g
que le Traité clinique et théra- peutique de l'hystérie de Briquet,
paru
en 1859, marque décidément une phase nouvelle d
viron 300 pages, rempli de faits curieux et intéressants, méritait,
paraît
-il, la faveur de ses con- temporains. Or, beauc
de M. Paul Richer sur le même sujet (1885) et la thèse de Peugniez,
parue
la même année. Une mention spéciale est due ai la
ainement celle de ne pas être dépassés à l'étranger par les travaux
parus
sur l'hystérie chez les enfants. En Allemagne,
erreurs probables, en forçant 'parfois la pensée des auteurs, nous
paraît
au moins aussi singulier que d'accepter sans rése
hésitons pas à regarder son travail comme le plus important qui ait
paru
sur l'ensemble de la ques- tion, quand bien mêm
ation de M. Babinski est des plus intéressantes à cet égard (4). Il
paraît
donc démontré actuellement que si l'hystérie peut
e sa grand'mère, avant l'époque de sa maladie, et son imagina- tion
paraît
encore frappée de ces mouvements dont il a été le
nal est plus accentué à droite qu'à gauche et le membre tout entier
paraît
remonté. Le pied droit est en varus-équin ; les o
eux membres que l'impossibilité de les mouvoir. La force musculaire
paraît
d'ailleurs peu modifiée à droite ; mais, de même
nclusions. Cette observation qui peut sembler un peu longue, nous a
paru
néan- moins comporter tous ces développements,
à cette manipulation élec- tro-thérapeutique. Cela ne nous doit pas
paraître
étonnant : 1° parce que l'excitation du grand s
ndrai plus loin sur la pathogénie de cet amendement énorme qui peut
paraître
incroyable et je passe maintenant il d'autres par
t l'a- mendement de la douleur du bassin ? Ma simple explication ne
paraîtra
pas étrange, parce qu'il est établi depuis long
vaso-motrices qui remontent au cerveau et à la tête en général, il
paraît
rationnel de le faradiser là où il s'agit d'une
rchais un autre point pour l'application du rhéophore actif. Il m'a
paru
qu'il serait plus avantageux de le poser entre
morrhagie. Je sais très bien que ce traitement de l'hémiplégie doit
paraître
étrange et je vais m'expliquer. Une hémorrhagie
de la région claviculaire dans la première phase de la phthisie me
paraît
due, en partie du moins, à l'évacuation des bronc
édiat d'une séance sur les mouvements des membres infé- rieurs peut
paraître
étrange et j'ajouterai quelques mots pour expliqu
disparaître même là où elle était très prononcée. Cela ne doit pas
paraître
étrange après l'explication précédente. Leprocess
optiques... ni enfin de la substance cor- ticale du cerveau.... il
paraît
qu'on peutconclure, que le corps calleux est le
u côté gauche étaient seulement di- minuée. Quant au reste l'animal
paraissait
complètement normal. L'étude anatomique entrepr
les soient suivies d'un dérangement psychi- que quelconque, il nous
paraît
évident que tout ceci indique, en'compre- nant
bral qui sont enflammées. La première partie de la proposition nous
paraît
vraie, prise absolument dans le sens général, mai
es maladies de la moelle, 1892, p. 24. 30 NOICA Jusqu'ici il nous
paraît
qu'on peut résumer les travaux que nous avons e
e contracture et d'exagération des réflexes tendineux. Les choses
paraissaient
bien établies quand Bastian est venu démontrer
lade, s'il vit encore, présente delà paraplégie flasque. Alors tout
paraît
tomber, et la clinique ancienne, et la physiologi
on que le cerveau a sur le tonus, et qui dans la contracture a dis-
paru
. C'est ce que les anciens, Charcot, etc. ont vu a
néré. Il peut se faire en effet qu'une dégénération secondaire, qui
paraît
peu impor- tante dans une certaine région, soit
her dans cette dernière la dégénérescence de la voie pyramidale qui
paraissait
faire défaut plus haut. Inversement, de l'étendue
pliquer à cette atrophie partielle du membre supérieur gauche avait
paru
incertain et dans les notes de nos prédécesseurs
mond et Gougerot) Masson & Cie, Editeurs Phototypte Berthaud,
Paru
NOUVELLLE Iconographie DE la SALPËTRÎERE T. X
nt de cinq mois. - ' 60 RAYMOND ET GOUGEROT Auriculaire. Ce doigt
paraît
normal d'aspect, pourtant il est le siège de do
e. L'artère radiale qui ne bat plus se sent mal, les troncs nerveux
paraissent
normaux à la palpation. Membres inférieurs Le m
LLEMONT sance et ne frappe qu'un seul membre de la famille. Ce type
paraît
le plus rare de tous (cas de Rapin-Long, observ
roportions moindres que la jambe. Tandis que le cylindre d'oedème
paraît
se terminer brusquement au cou-de- pied au nive
ntales, parallèles, alternativement noires et blanches ; ces bandes
paraissent
bien correspondre à une couche fibre-adipeuse d
voir, de travailler, de faire,de défaire ; dû dé- ment, désireux de
paraître
solennel ; le militarisme rappelle les idées du
sont également grotesques. Mais, pendant que le grotesque du dément
paraît
inconscient de soi-même, chez le maniaque, il e
hogenèse de la dysostose cléido- crânienne, avec aperçu historique,
paraîtra
dans un prochain numéro de la Zeitschrift fiir
saux du même sujet). Masson et Cie, Éditeurs Phototypie Dorthaud,
Paru
LES ALTÉRATIONS DU CRANE DANS LA DYSOSTOSE CLÉI
e de la région occipitale est plus variable : le plus souvent, elle
paraît
aplatie dans la partie supérieure et bombée dans
e que Voisin, de Lépinay et Infroit ont jointe à leur communication
parue
dans le dernier Tolume de ce journal (1). Il es
- telles et sans liaison intime avec les caractères typiques. Il me
paraît
ce- pendant probable que la fréquence de ces an
ent dans les extrémités de ce côté du corps. Les réflexes rotuliens
paraissent
égaux et normaux, ainsi que les achilléens. Il
) Orrevurm, Arch. f. Psych., 4885. xxi U 126 LAIGNL~L-LAVASTINE
Paraît
avoir plus d'importance l'unilatéralité des troub
, dans les polynévrites dites parenchy- mateuses. C'est en 1886 que
parut
le travail de Pitres et Vaillard qui fait époqu
'état précis de leur structure qui, à un premier examen, nous avait
parue
complètement normale. Les méthodes utilisées on
uble coloration à l'hématoxyline-éosine. Ces deux méthodes nous ont
paru
suffisantes à démontrer que les vaisseaux, les
ans quelques traits cependant les cylindraxes ont complètement dis-
paru
. Méthode de Van Gieson et double coloration à l
autres cas. Ce phénomène de propagation de la contractilité nous a
paru
subir une certaine règle, et non pas seulement
ajouter : d'un segment médullaire à un autre. Pour nous, il nous a
paru
que la propagation se fait avec plus de facilit
s troubles graves de la motilité volontaire du côté malade. Il nous
paraît
inutile de charger notre travail en publiant comp
rêver aux psychologues. Encore l'association des idées ! ce qui nous
paraît
prouver apertement que, même dans les assez rar
ez rares moments de sa vie où l'imagination de M. X... (lui-même) a
paru
dévier, il n'a jamais perdu l'excel- lente habi
Derrière lui est vaguement indiqué le le portrait de T..., qui nous
paraît
ressembler vaguement à Sarah Bernhardt et que M
). (Observation 1) Masson et Ce, Éditeurs Phototypte ilerllmud,
Paru
DESSINS ET MANIFESTATIONS D'ART CHEZ DEUX .ALIÉ
ier quelques-unes de ces oeuvres. Celles que j'ai reproduites m'ont
paru
s'identifier plus spécialement avec la personna-
es et derrière les genoux. A la palpation légère toutes ces parties
paraissaient
fermes ; mais en exerçant avec le doigt une press
t debout avec difficulté et elle ne pouvait presque pas marcher. Il
paraît
toutefois vraisemblable que cette faiblesse appar
par devant et de pouces par derrière, entourait le mollet droit et
paraissait
beaucoup plus chaud au toucher que la peau avoi
que des « atta- ques aiguës » soient survenues. Par conséquent il
paraît
clair que les « attaques aiguës » sont plutôt des
des maintenues en permanence. Les « attaques aiguës » bien qu'elles
paraissent
dangereuses disparais- sent toutes seules en qu
atteints. CONCLUSIONS La famille dont nous avons donné l'histoire
paraît
comparable, bien qu'il y ait quelques différenc
s de rougeur bien nette ; au, toucher, la température du bras droit
paraît
un peu plus élevée que celle du bras gauche, mais
r est égale des deux côtés. La force musculaire est considérable et
paraît
égale à droite et à gauche pour la pression de
et la face. Le simple contact du doigt est partout bien perçu ; il
paraît
cependant un peu moins bien perçu sur le bras d
ain et le cas qu'ils présentaient était d'origine mixte. Il ne me
paraît
pas douteux que les lésions d'ostéite jouent ici
roubles psychiques, qui fréquemment s'observent dans ces syndromes,
paraissent
eux aussi L liés à une insuffisance thyroïdienn
modifications habituelles de l'état psychi- que des basedowiens ne
paraît
plus contestable. Sa démonstration s'appuie sur
faveur du nervosisme produit par l'intoxication basedowienne qu'ap-
paraissent
occasionnellement chez ces malades les phénomènes
SYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 221 des basedowiens et qui
paraît
sous l'influence d'une hyperthyroïdation ; la c
ntoxication endogène thyroïdienne, aussi bien qu'elles auraient ap-
paru
sous l'influence de l'intoxication exogène alcool
ause d'erreur qu'il ne faut jamais oublier, la suggestion. Son rôle
paraît
évi- dent dans un cas de Rattner, où l'antithyr
tent que quelques-uns des caractères du syndrome et qui néan- moins
paraissent
s'y'rattacher par une série d'intermédiaires. 2
rba lions de la thyroïde. Pour eux donc la thèse que je soutiens me
paraît
démontrée. D auh'e part, il est des troubles ps
yndrome basedowien et de la psychose ; mais dans certains cas il me
paraît
démontré par la clinique et l'opothérapie que l
s avons numérotées pour la commodité de la description : elles nous
paraissent
toutes représenter des t5pes pathologiques et n
auxquelles il faut les rattacher. Les mains numérotées 1 et 3 nous
paraissent
devoir être rapprochées l'une de l'autre ; de mêm
ne tendance à la flexion, seuls l'index et le pouce sont étendus et
paraissent
avoir conservé la totalité des mouve- ments. C'
contracture des deux derniers doigts qui est nette ici et elle nous
paraît
un stade de début de la main en" pince. On pour
tre de rétraction de l'aponévrose palmaire,,mais ce diagnostic nous
paraît
devoir être écarté en raison de la persistance
Ainsi donc sur les quatre mains représentées par Holbein, deux nous
paraissent
reproduire des types de mains syringomyéliques, d
araissent reproduire des types de mains syringomyéliques, deux nous
paraissent
se rapporter à des variétés de rhumatisme chroniq
des variétés de rhumatisme chronique. Et celle étude de mains nous
paraît
autant remarquable par l'exactitude et la fidé-
is une superbe édition de la traduction latine de Guido Guidi. Elle
parut
en 1544. Le manuscrit latin de Guido Guidi est
L'ÉPAULE (Pl. XII). Masson et Cie, EJuel1l5 Phototyplt Bert6wd,
Paru
Nouvelle Iconographie de la SALPÉTRIÈRE. T. X
ALIEN (Pl. XXXII). Masson et Ci», Editeurs Phototypie Barthaui,
Paru
Nouvelle Iconographie de la SALP$TRI8R8. T. X
quette et de s'en aller (Pl. XLV). Cette attitude déjà bizarre, le
paraît
encore davantage lorsqu'on sait à la suite de q
il en soit, cette succession de deux phases aussi distinctes nous a
paru
intéressante à signaler. En effet il est admis qu
e dit des délires de préjudice préséniles, dans lequel notre malade
paraissait
, au début tout au moins, devoir prendre place,
(Brissaud ci Gy). Masson & Cie, Éditeurs Phototypie Berthaud,
Paru
UN CAS DE POL1ENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE 255 liè
ements de latéralité sont fortement diminués, 'mais le dex- trogyre
paraît
un peu moins atteint que le levogyre. ' ' Les m
a lèvre supérieure. ' ' 256 BRISSAUD ET GY L'ouverture buccale ne
paraît
pas horizontale, mais suivant une ligne légère-
est presque nulle, l'abduction partielle. En bas, les mou- vements
paraissent
normaux, mais la diplopie persiste dans le regard
e lever, se diriger vers sa baignoire. 29. Les mouvements oculaires
paraissent
normaux ; ils sont limités un peu dans l'abduct
alisation exacte de la lésion, l'origine infectieuse de l'affection
paraît
évidente. La nature intime n'en a pu être décelée
ures qui les divisent (PI. XLVIII, A, B). Aussi les circonvolutions
paraissent
-elles divisées en un plus grand nombre de plis
pu observer un certain nombre de cas d'ankylose vertébrale. Il m'a
paru
que deux d'entre eux étaient assez intéressants p
ngle ouvert en avant et très obtus. Le ligament vertébral antérieur
paraît
presque sain ; il existe dans toute la région d
sques. * Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales supérieures
paraissent
très allongées par une ossification partielle d
couleur grisâtre des apophyses normales. Les apophyses articulaires
paraissent
toutes entièrement sou- dées. Les ligaments jau
aires paraissent toutes entièrement sou- dées. Les ligaments jaunes
paraissent
beaucoup moins atteints que dans la première au
sains, mais il n'en est pas de même des disques intervertébraux qui
paraissent
par- tiellement ossifiés, surtout dans leur par
unissant les corps vertébraux ; les articulations costo-vertébrales
paraissent
normales. En résumé, ankylose mixte de la colon
unit les corps vertébraux à leur partie périphérique et a fait dis-
paraître
en grande partie la ligne de démarcation qui les
que des lésions limitées des racines et de la moelle ; ces lésions
paraissent
rester sous la dépendance des altérations rachi
is. Pas de troubles visuels, pas de scotome. Les membres supérieurs
paraissent
intacts. Par con- tre, l'ankylose des hanches p
supérieurs paraissent intacts. Par con- tre, l'ankylose des hanches
paraît
avoir diminué depuis 18 mois, la hanche gauche
apparut petite et plutôt faible, mais apparemment normale. Elle ne
parut
pas souffrir du mauvais allaitemeut, augmenta d
assez net sur le visage ; aucune trace de rugosité au visage qui ne
paraît
pas vieillot. OHSERV. I. Marg. S. CONTRIBUTIO
omalie du côté du thymus qui n'est pas visible ; le volume du coeur
paraît
normal en proportion du développement du corps ;
age mimique est très riche ; pas de tics, pas de grimaces. Les yeux
paraissent
légèrement enfoncés par la prominence du front
et normalement mobile. . Le volume du coeur et des grands vaisseaux
paraît
, à l'examen clinique et radioscopique, normal e
ormation osseuse très grêle, de formes pointues, très maigre, il ne
paraît
pas plus de 13 à 14 ans. Le crâne est bien conf
x un change- ment de niveau très évident. L'implantation dentaire
paraît
normale. Vertèbres cervicales, dorsales et lomb
visible à l'extrémité proximale du premier métacarpien. Le carpe
paraît
normalement ossifié. Radius et cubitus.- Très é
eurs Ser... La main de la soeur ainée normale de 22 ans, Henriette,
paraît
in loto nor- male ; seulement si l'on compare l
C'est pour cela qu'une contribution il l'étude de cette maladie ne
paraîtra
pas superflue ; il s'agit d'ailleurs de cas qui
veloppement exagéré de son visage, de ses mains et de ses pieds. Il
paraît
qu'au bout d'un an ce dé- veloppement anormal s
une légère saillie de la bosse occipitale, les arcades sourcilières
paraissent
bien plus proé- minentes à droite qu'à gauche,
e son bras droit est un peu plus long que le gauche. Les deux mains
paraissent
lourdes, grosses et larges, avec des doigts épais
ulierdu côté des cordes vocales ; le cartilage aryténoide de droite
paraît
plus gros et comme empiétant vers la gauche.
nnée à l'âge de la pa- tiente. Les menstruations n'ayant pas encore
paru
, c'est à ce détail qu'on attri- bua tout. La
remarqué de particulier. Les acromégaliques, outre qu'asthéniques,
paraissent
être des sujets en proie à une intoxication qui
it se répéter pour ce qui concerne les altérations du rein; j'ai vu
paraître
l'albuminurie, généralement légère cependant, par
r trop longuement dans le champ des hypothèses, même lorsqu'el- les
paraissent
vraisemblables. Je serais peu enclin à admettre q
choire très larges et épaisses. Quelques parties de la calotte ont
paru
épais- sies, d'autres amincies ; mais c'est à l
ntré une selle turcique normale. L'examen radiographique de ces cas
paraissait
devoir être le plus intéressant vu que la moiti
graphique des mains et des pieds le développement du tissu osseux a
paru
des deux côtés nor- mal, quoique un peu fort et
de l'os. De plus l'articulation de la clavicule droite à l'acromion
paraît
plus amincie que celle de gauche. Il n'est pas
gnes de tu- meur endo-crânienne, sauf céphalée, la^ selle turciquea
paru
normale, tandis que le crâne était énorme, avec
itées dans les périodes de bien-être, où l'on peut même, à ce qu'il
paraît
, avoir une rétention d'azote ? Les travaux de M
res raides ; les pas petits et hésitants. Le membre inférieur droit
paraît
un peu plus difficile à mouvoir. L'examen des r
ls ne pourraient relever d'une même cause cérébrale : les symptômes
paraissent
être purement oculaires. OBSERVATION Il (PI. LV
erveau qui tend à se développer (Hanotte). La déformation du nez ne
paraît
pas avoir beaucoup retenu l'attention des auteu
un certain nombre d'autopsies leur donnent raison. La syphilis ne
paraît
pas probable (Patry). Dans un seul cas elle paraî
. La syphilis ne paraît pas probable (Patry). Dans un seul cas elle
paraît
bien établie. Deux malades ont contracté la syp
ujet dont l'histoire clinique n'a pu être reconstituée, mais qui ne
paraît
pas avoir été atteint du côté de la vue. - En
aississement osseux là où la tension est la plus forte. » Il nous a
paru
intéressant de rapporter ces deux cas et de résum
centués, moins au coude, encore moins à l'épaule. La sensibilité ne
parut
pas altérée d'abord. Cela parlaiten faveurd'un
l'ai décrit précédemment, l'écorce et les masses grises de la base
paraissent
avoir peu souffert de la pression. Même dans les
lu- les araignées et les masses colloïdes. Voici un exemple qui m'a
paru
frappant, d'une tumeur restée longtemps latente
lasticité, prirent le moins de place possible. Ces masses colloïdes
paraissent
se former d'abord autour des vaisseaux; c'est e
té sensoriel. Dès le mois d'octobre 1906, Mme C... très somnolente,
parut
atteinte de cécité complète, car elle ne réagis
seaux y ont leur paroi d'une épaisseur extraordinaire. Le néoplasme
paraît
avoir eu son point de départ la la base, régions
es cellules araignées gonflées. Puis le tiers supérieur de la coupe
paraît
normal ; mais ce n'est qu'immédiatement en arrièr
a quelques années, la synthèse de tous les états névrosiques aurait
paru
impossible, parce que, en inventant les stigmates
un jeune enfant vêtu d'une robe de drap d'or. Ces deux figures nous
paraissent
représenter Louise de Savoie, veuve depuis 1490 d
utre, le frère et les soeurs du malade sont mentalement sains et ne
paraissent
pas,du moins à première vue, faibles d'esprit.
faut lui répéter à plusieurs reprises les mêmes phrases, pour qu'il
paraisse
en avoir la compréhension nette et qu'il y répond
406 RÉGIS Il le fait d'ailleurs de façon peu précise. Ce phénomène
paraît
résulter d'une diminution de l'attention et d'i
t la plume de la main gauche, entre le pouce et l'index. L'écriture
paraît
impossible de la main droite vu la disposition
nous donner par écrit de ces radiographies. Main droite. Le carpe
paraît
normal. Le troisième métacarpien, qui paraît s'
Main droite. Le carpe paraît normal. Le troisième métacarpien, qui
paraît
s'articuler en arrière avec le grand os, suivan
au côté gauche qu'au côté droit. Réflexions. Trois points nous
paraissent
surtout à relever dans l'observation qui précèd
ur la plupart, à l'intégrité psychique des syn- dactyles. Il nous
paraît
qu'il y a lieu de réviser cette affirmation et de
l'angle droit. Ceinture thoracique. Les clavicules et les omoplates
paraissent
nor- males, mais les muscles qui s'y insèrent s
me, et par ses connexions avec les quatre méta- carpiens à la fois,
paraît
représentera la fois l'unciforme, le grand os et
normaux ; la malformation n'est le plus souvent pas héréditaire et
paraît
due à une amniotite accidentelle. Toutefois ell
ent évidenls chez tous les autres membres de la même famille. Il ne
paraît
pas que chez aucun de ces individus il y eût de s
ique également à mon troisième cas : ce grand garçon de 22 ans n'en
paraît
pas plus de 14, il est svelte et délicat, angul
e comme classique par la pi us grande partie des auteurs et il nous
paraît
en conséquence utile de nous arrêter un peu CON
a théorie polyglandulaire de De Sanctis. Un telle conclusion nous
paraît
la seule acceptable quoique selon des mémoires
der de dix ans tout autre symptôme : la lésion des nerfs opti- ques
parut
seulement plus tard. Axehfeld a depuis 1903 mis
nature ; le premier sujet, Max D. 456 ETTORE LEVI de 16 ans n'en
paraissait
que 12 ; pendant plusieurs années elle ne pré-
ore plus démonstratif : il s'agissait d'un homme de 20 ans qui n'en
paraissait
que 10 et dont la taille était de 123 cent- mèt
selle turcique : ce fait aussi parle contre l'hypothèse qui nous a
paru
d'abord si séduisante. En pensant aux cas de Na
r gaine est infiltrée de cellules rondes. Le cervelet ne nous a pas
paru
présenter de lésion importante. A la moelle les
e la motilité (1). A l'hôpital, sous une surveillance très étroite,
parut
la troisième poussée de gangrène cutanée au côt
ue. La lésion initiale très douloureuse et l'émotion du traumatisme
paraissent
avoir une' influence sur le psychisme malade du
e constater. » Si l'observation citée par M. Valobra avait toujours
paru
probante à M. Dejerine, il l'aurait sans doute
recueillant avec détail et les décri- vant longuement, au risque de
paraître
méticuleux. C'est qu'en toutes choses il avait
ondant sur la nature essentiellement mobile de ses accidents - elle
paraît
avoir été considérée jusqu'à présent comme inca
on des tissus ; l'absence de trou- 1 Un résumé de ce travail a déjà
paru
dans le Progrès médical, an- née 1886, no 6. -
rs le milieu de 1884, il reçoit à la tempe. gauche une blessure qui
paraît
avoir été superficielle, et dont il reste encor
uver la moindre fatigue. Ajoutons que quoique le début de l'attaque
paraisse
absolument brusque et que quoique le malade sem
du membro inférieur gauche n'est plus appréciable; les deux jambes
paraissent
avoir la même force. Mais la paralysie et l'ane
omène au point de vue du diagnostic. Quant à l'amyotrophie, il nous
paraît
de toute évidence qu'elle doit être rattachée à
atismales siégeant dans le côté gauche, dont la sensibilité cutanée
paraissait
émoussée et qui, de plus, était plus faible que
même niveau à droite le périmètre est de 22 centimètres. L'atrophie
paraît
porter davantage sur les muscles épitrochléens
Son état général est toujours le même. Le membre supérieur gauche
paraît
un peu plus fort qu'autrefois, mais il est toujou
s dans son travail sur les monoplégies hysté- riques ; la paralysie
paraît
donc en rapport intime avec l'anesthésie et cel
éjà émise en 1882 dans la thèse'de mon ancien interne Brousse, me
paraît
jeter un grand jour sur ces questions. . Il n'y
c'est une myélite mixte. - Cette manière de concevoir les choses me
paraît
correspondre aux faits et, en même temps, perme
r le terrain clinique. Cela posé, arrive uue autre question, qui me
paraît
secondaire, mais dont je ne veux pas cependant
nte-trois cas (suivis d'autopsie) qui figurent dans nos tableaux me
paraissent
établir l'existence d'un type clinique, distinc
m- bèrent malades. L'évolution, identique, comme type, chez tous,
parut
plus atténuée et moins longue chez les aliénés; e
ment, il était entièrement aphasique. L'attention, la perception ne
paraissaient
pas altérées; il différait même sensiblement en
nça à s'améliorer, il ne répon- dait que par oui ou par non; encore
paraissait
-il craindre d'em- ployer ces deux mots mal à pr
ne des circonvo- lutions pariétales ascendantes : ce ramollissement
paraissait
lié à une thrombose veineuse résultant d'une ob
B envisage cinq familles dans lesquelles la perturba- tion mentale
paraît
produite moins par l'hérédité que par des cause
arachnoïde. L'hémis- 90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. phère gauche
paraissait
plus volumineux que l'hémisphère droit, mais on
n- tation de volume de la substance cérébrale ; ce phénomène dis-
paraît
quand l'on éloigne l'amylnitrile, il y a aussi au
uel im- 96 'REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. possible. L'âge et le sexe ne
paraissaient
exercer aucune influence. b. De l'influence q
onstance égale des altérations de la sensibilité qui finit par dis-
paraître
par tout le corps, y compris les muqueuses ; on n
citabilité électrique disparaît quand survient la paralysie, et re-
paraît
quand la circulation est rétablie. M. REMAK pré
cation du timbre (grosse). Paralysie générale, la parole nasonnée a
paru
sous ladépen- dance du voile du palais ; la voi
x observa- tions qu'elle contient avaient été plus explicites. Elle
paraît
ex- primer l'opinion de M. Christian, qui s'est
imitant le pro- cédé de la nature (suppurations) aient quelquefois
paru
provoquer des rémissions au début. Cil. F. V.
sence de la glande thyroïde. D'où il suit, d'après ces faits, qu'il
paraît
y avoir une relation évi- dente entre l'abseuce
l'asile, elle fut atteinte d'un premier érysipèle; son intelligence
parut
plus déve- loppée à la suite de cette affection
omoplate ; ils n'étaient pas enkystés. La graisse qui les composait
paraissait
, au micros- cope, formée'de tissu coritiectif e
n, fut également atteint d'érysipèle, mais son état intellectuel ne
parut
nul- lement modifié par cette maladie intercurr
mme correctement divers objets qu'on lui présente. Il est propre et
paraît
susceptible d'affection. (Fig. 5) La tête est g
u d'extraordinaire; né à terme. A la naissance, il était gros, mais
paraissait
dil- forme ; la tête surtout était « horrible à
en arrière, on détermine une vive douleur. La sensibilité cutanée
paraît
normale dans ses différents modes. Organes des
(inguinale droite) et des douleurs aussi du côté opposé. La hernie
paraît
réductible. Bain d'une heure. Soir : T. R.37»,7
86. L'état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la mémoire
paraît
meilleure, il semble un peu plus vif, surtout e
e la motilité du côté de la face ; le pharynx et le voile du palais
paraissent
d'ha- bitude très bien fonctionner, mais parfoi
es pendant plusieurs jours et parfois sa langue est contracturée et
paraît
tordue sur elle-même, de telle sorte que la fac
eigne- ments provenant d'autres sources et dont la réalité nous a
paru
certaine; c'est pour ce motif que dans les antécé
ntait rien de particulier, elle n'était pas déviée, mais la vue lui
paraissait
plus trouble à gauche qu'à droite. Le membre su
publions pourtant cette observation, car ce qui y est consigné nous
paraît
absolument suffisant pour établir rigoureusemen
on dynamique des centres nerveux. Quant à l'hémianesthésie, il nous
paraît
tout naturel de la rattacher à la même cause qu
che. La sensibilité gustalive semble diminuée à droite. Les yeux
paraissent
normaux des deux côtés. Le malade n'a jamais eu
du membre supérieur gauche paralysé depuis l'épaule jusqu'à la main
paraissent
atteints; le bras est plus atrophié que l'avant
sente des caractères dignes d'intérêt. Le début de cette atrophie
paraît
être généralement rapide. Dans l'Ob- servation
atrophie musculaire, celle-ci, comme nous l'avons dit plus haut, ne
paraît
pas dépasser certaines limites; ce fait tient s
phénomènes dits trophiques. Une pareille assertion peut pourtant
paraître
étrange; car est-il possible de comparer l'atro
jection fondamen- tale contre l'hypothèse d'hystérie, et qui aurait
paru
suffisante à beaucoup de médecins pour la rejet
e. Sauf l'impotence absolue du bras droit la malade était valide et
paraissait
bien portante. Cependant elle était depuis six
de cette monoplégie brachiale et des antécédents de la malade il me
parut
évident que j'avais affaire à 204 RECUEIL DE FA
d'avril dernier, c'est-à-dire quatre mois après celte guérison, qui
parut
miraculeuse aux assistants, j'ai eu des nou- ve
ve. Malade en traitement. Le diagnostic émane de l'âge auquel ap-
parurent
les premierssymptômes, de la localisation de l'at
urol. Central6l., 1885.) L'auteur résume les propositions qui lui
paraissent
émaner de treize observations suivies avec le p
e ; intégrité des faisceaux blancs, quoique le cordon latéral droit
paraisse
atrophié au niveau de la partie supérieure de la
considérable des noyaux du sarcolemme; la stria- tion transversale
paraissait
plus fine et souvent un peu moins nette. Il. IL
nds parents des malades présentés, bien que cousin et cousine, ne
paraissent
pas a\oir souffert de cette maladie; les parents
a moelle épinière. La femme qui fait l'objet de cette observation
paraissait
, selon la nomenclature deFried. Schultze, en proi
aterait de l'âge de trois mois; à l'âge de six mois, les mouvements
parurent
maladroits; l'enfant ne présentait pas cette al
diminuait les attaques, mais le petit mal redoublait. Le borax a
paru
donner quelquefois de la diarrhée, mais il ne pro
os divergences ne sont pas aussi profondes, en réalité, qu'elles le
paraissent
au prime abord et que, dans le problème si com-
, il lui a élé impossible de lever les bras, une légère timbale lui
paraissait
lourde comme un broc en zinc et les membres eux
pent de l'obtenir. Il faut dire que les administrations n'ont pas
paru
jusqu'ici se faire une idée exacte des besoins, e
e point de vue, votre tâche, parfois si dure et si répugnante, vous
paraîtra
légère et vous l'accomplirez avec plaisir, en v
paralysie a disparu sans laisser de traces ; la rétention d'urine
paraît
et disparaît sans avoir de cause; il en est de
her facilement, mais après il revenait au même état. Moralement, il
paraissait
abattu, parfois la tristesse s'emparait de lui
cas était causé par la paralysie des cordes vocales; celui du 3"
paraissait
être dû à un défaut d'énergie pour articuler le
s. Celle du pharynx mérite une attention particulière parce qu'elle
paraît
constante (7 cas sur 11); on ne l'a pas observé
d'un blanc mat, assez résistante sous le doigt, comme infiltrée et
paraît
recouvrir une épaisse couche de tissu cellulair
st très marquée. Quant aux sensibilités spéciales, la vue et l'ouïe
paraissent
égales des deux côtés. Le goût semble intact. T
ure ou des bonbons. Une poupée qu'il a eu pendant quelques semaines
paraissait
lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est
On l'exerce à marcher, ce qu'il fait, tenu par la main. La mémoiie
paraît
exister; il reconnaît les personnes qui fréquen
selle depuis quatre jours (il ne mangeait pas depuis deux jours et
paraissait
souifrir), est amené à l'infirmerie. Lavement.
isse, se décortique facilement (quelques étoiles de Verrheyen) ; il
paraît
au toucher plus dur que d'habi- tude, sans qu'o
ganglions semi-lunaires, la partie inférieure du grand sympathique
paraissent
absolument normaux ; les parties supérieure et
a 15 a 16mm de largeur et 1 centim. de hauteur; il est assez épais;
paraît
sensiblement hypertrophié. Lorsqu'on enlève le ce
iculaire interne (Se. p. i.) est très profonde, béante. Le coin (C)
paraît
peu développé. La fissure calcarine (F. ca), dé
uche optique, sont normaux. Cervelet. ' Les hémisphères cérébelleux
paraissent
normaux. Analyse de la peau. Nous avons fait fa
de la scissure sous-pariétale gauche. 3° Enfin le corps pituitaire
paraissait
sensiblement hypertrophié. Nous reprenons mai
hydermique, publiés par les auteurs . Voici un cas de M. Bouchaud',
paru
en 1884, et que nous reproduisons complètement
lation est saine. - Le père, âgé actuellement de quarante-cinq ans,
paraît
très intelligent; il est d'une consli- tution r
Les sens sont intacts ; il voit et il entend ; l'odorat et le goût
paraissent
cepen- dant peu développés. Il est faible et tr
e cette peau n'a pas été pratiqué et que la présence de la mucine a
paru
faire défaut dans un certain nom- bre de cas de
dans le service de Legrand du Saulle. Nous le relatons tel qu'il a
paru
à cette époque. Observation VIII. Oncle paterne
nstata enfin une obnubilation générale de l'intelligence. Il nous
paraît
inutile d'insister sur les symptômes présentés
ate du début de l'atrophie de la glande thyroïde; toutefois, il lui
paraît
vraisemblable que, dans son cas, on avait affai
tignolles. L'un de nous a eu l'occasion de voir ce malade qui lui a
paru
être un bel exemple d'idiotie crétinoïde avec c
ïde avec cachexie pachydermique. La véritable nature de l'affection
paraît
avoir échappé à M. Bail. Une circonstance parti
e; elle était née à terme, était bien conformée, intelligente et ne
paraissait
que son âge, contrairement à ce qu'écrit M. Bai
égétative s'accomplissent avec régularité. Tous les sens spéciaux
paraissent
être à l'état normal et la sensibilité tactile
ous suffit de citer ces quelques lignes pour montrer que M. Bail ne
paraît
pas être au courant des travaux publiés sur l'i
pplique les méthodes d'enseignement dus à Edouard Seguin. M. Bail
paraît
ignorer les résultats très sérieux obte- nus da
normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon état
paraissait
être dû à un excès de la graisse sous-cutanée s
inoïde avec cachexie pachydermique. Le diagnostic de myxoedème nous
paraît
cependant devoir être posé assez clairement, si
able du corps thyroïde, etc. Aux cas de crétinisme avec myxoedème
paraîtrait
aussi devoir se rapporter l'observation de M. A
ndistincte; l'enfant était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il
paraît
plutôt s'agir d'un myxoedème opératoire; nous a
th, Bail, Goodhart, etc., et que nous avons rap- portées plus haut,
paraissent
en fournir la démonstra- tion. Il ressort des
s idiots crétinoïdes, l'absence ou l'atrophie de la glande thyroïde
paraît
constante. Les quelques autopsies de sujets att
M. Brandes, il s'agit d'un homme de quarante ans dont le myxoedème
paraissait
remonter 1 La question de crétinisme mériterait
ux oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde
paraissait
nor- mal. - Dans l'autopsie du cas de Ord, fait
nuée de volume. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 353 glande a
paru
douteuse (Goodhart, Ridel-Saillard, Ord, Gowans
sence de la glande thyroïde a été constatée ou dont l'existence a
paru
très douteuse, semblent établir une relation évi-
é sur la face), et surtout aux parties latérales du tronc. Le corps
paraît
atteint d'anasarque généralisé moyen. l'ig. 23.
tance corticale. Le tissu de l'arachnoïde et surtout de la pie-mère
paraît
forlement épaissi, mais en intensité variable, à
lia brièvement deux nou- veaux cas. Il faut noter que la cachexie
paraît
d'autant plus à craindre que l'opéré est dans l
s sur les animaux, les plus concluantes et les mieux conduites nous
paraissent
être celles de M. Horsley, tant à cause de l'es
rches de M. Horsley, entreprises sur le chien, le chat et le singe,
paraissent
démontrer que la glande thyroïde est d'autant p
n des aliénés de l'hospice de la Salpêtrière, un épisode qui nous a
paru
mériter une courte analyse. Nous ne nous arrête
lement. Samedi 28. Le gonflement est à peu près complètement dis-
paru
; la respiration est devenue normale, la voix res
mes propos qu'avant sa tentative; néanmoins, les idées de sui- cide
paraissent
disparues. A partir du 16 septembre, à la suite
eau que l'on peut ensuite rabaisser comme le couvercle d'une boite,
paraît
maintenant évident, puisque d'un seul morceau,
tumeur était beaucoup plus dure que la subs- tance du cerveau. Elle
paraissait
large seulement de douze milli- mètres ; mais,
-la collection Ziemssen (2e édition, 1880). J. Quand M. Schuele fit
paraître
cet IIandi)uch, il nous souvient d'avoir entend
Vin. — N" Si. — 10 JANVIER 1 au collège dos chirurgiens. Il nous a
paru
intéressant, sous ce rapport, de conserver les fa
fr. par\'r. BIBLIOGRAPHIE. Un nouveau volume des Arcanes vient de
paraître
, c’est le second fruit d’un arbre dont les rameau
avions nos raisons pour cela. M. Cahagnet, excellent homme du reste,
paraît
être d’une susceptibilité excessive à l’égard de
avions-nous « tondu de ce pré la largeur de notre langue » , qu’il a
paru
à M. Cahagnet que c’était une témérité punissable
ons point, le temps y échouerait lui-méme. Nos observations actuelles
paraîtront
dictées par un sentiment malveillant et injuste,
s miasmes paludéens en sont la cause; « 2° Ces fièvres commencent à
paraître
au printemps, et durent ordinairement jusqu’en au
ier chez le docteur William une scène de magnétisme bien amusante. 11
paraît
que ce médecin peut faire qu’un homme s’imagine o
merai mes observations sur l’ensemble du livre. A. Forme. — Elle me
paraît
essentiellement défectueuse; mais, je me trompe p
ue, car il est naturel que le principe devance les conséquences. 11
paraît
que vous n’avez pas cru cette marche applicable à
n rôle de demain. Je vous confesse que cette façade de l’édifice me
paraît
avoir besoin d’être badigeonnée. Autre chose.
, quoique l’opération eût parfaitement réussi. Votre explication vous
paraîtra
peut-être inexacte, surtout si vous réfléchissez
a figure. Cet emblème est assez bien choisi, mais la forme ne nous en
paraît
pas heureuse. Pourquoi une main de femme? Celle d
sant que probablement la poche s’était crevée durant son sommeil ; il
parut
accepter cette solution vraisemblable du problème
rejetés sur le lit sans aucun signe de mouvements volontaires. Il ne
parut
pas non plus éprouver d’émotion lorsqu’on le piqu
frais, on le réveilla non sans quelque difficulté. Questionné, il ne
parut
pas avoir conscience de ce qui lui était arrivé;
que. On la magnétisera une heure et demie chaque jour. Le 3o elle
parut
être profondément cntrancée. Ses membres étaient
ement flexibles, et on la secoua presque avec rudesse sans qu’elle en
parut
émue. On lui enfonça une épingle dans le bout du
s un de nos précédents numéros, écrit dans le Constitutionnel. « 11
paraît
que la population de la commune de Guillonville,
e anecdote remonte à près de six siècles; mais depuis lors ce procédé
paraît
s'étre beaucoup perfectionné; on dit que lorsque
é au bras cToù il est extrait. Quelque temps après, quand Fad-hérence
paraît
être suffisamment établie, le chirurgien coupe le
rer cette conséquence que les ombres des trépassés qu’on voit souvent
paraître
aux cimetières sont naturelles, étant la forme de
vers l’abdomen, sans l'éveiller. Le 20. On le secoua fortement, il
parut
le ressentir, et en conséquence 011 fut obligé de
le mes-mériser une heure de plus que le temps ordinaire. Après qu’il
parut
profondément entrancé, la tumeur fut secouée plus
cela excitât le moindre mouvement dans tout son système. Le 21. Il
parut
être profondément entrancé, c’est pourquoi il fut
ans. Il sera mes-mérisé tous les jours pendant une heure. Le i5. Il
paraît
dormir du sommeil naturel» Le 16. Ses bras sont
lui piqua plusieurs fois le mamelon droit. Cette dernière expérience
paraît
l’avoir éveillé. En voyant sa main tachée de sang
peau d’environ le volume d’une fève française (un haricot). Cet homme
parut
aussi agité vers la fin de l’opération ; mais il
jambes, oh! cela brûle! Qu’avez-vous mis sur moi, Dr Sahib? » lit il
parut
éprouver une vive souffrance. Je le fis aussitôt
troisième fois, et je lui arrachai un poil de sa moustache sans qu’il
parût
s’en apercevoir; j’eus beaucoup de peine à l’évei
impondérable, le biomagnétique compris, et sur la forme élipsoïde qui
paraît
être la grande loi naturelle du mouvement, depuis
st susceptible. Je ne dirai pas jusqu’à quel point ces prétentions me
paraissent
fondées; mais, ce qu’il y a de certain là-dessus,
s ont affaibli sa vue; quand elle regarde dans un livre, les mots lui
paraissent
ne former qu’une seule ligne. TOME vin. — N° 89
esque à volonté, étendre et plier l’avant* bras. Du iq mai. Le bras
paraît
parfaitement droit ; le mouvement en est redevenu
il est calme et tranquille. Le moral est abattu, et ce malheureux ne
paraît
disposé à aucun genre d’exercice. 11 a une douleu
. — La pretnière partie de l’ouvrage annoncé, de M. Ollivié, vient de
paraître
à Toulouse; nous en aurons dans quelques jours à
n de cet ouvrage, par le Dr Mure, lie passage suivant : « 11 nous a
paru
urgent d’acquérir à l’homéo-palhie une notion déj
’eau transformée ainsi par un pur acte de la volonté; el cela ne nous
paraît
pas plus extraordinaire que l’odeur du soufre dév
c tous d’assertions hasardées, fausses ou douteuses, de peur qu’elles
paraissent
mensongères ; nous avons bien assez d’ennemis nat
mer, de chérir les grands hommes ? Les intentions de M. Gentil nous
paraissent
meilleures que l’explication qu’il donne des phén
aturel avec tout ce que la science a révélé. En somme, M. Gentil nous
paraît
être rempli de son sujet; ce qui lui manque , c’e
ité de la prophétie d’Orval , re-. produite par nous l’an dernier. Il
paraît
que c’est une pure invention , composée dans un b
se est la même que celle des épidémies qui, sous différents noms, ont
paru
sur la terre, décimant les populations et dispara
la réaction commencera à s’établir, que la transpiration commencera à
paraître
, on la favorisera par l’administration à petites
ent offrir les organes aux forces vives qui, dans cette circonstance,
paraissent
quintuplées. Et ce que l’on voit dépasse de bien
uatre jours a soumis Anne Chaigncau à un traitement magnétique qui ne
paraît
pas avoir produit encore d’heureux résultats bien
x qui décorent la cellule du bienheureux Laforgue. Jamais joie ne m’a
paru
plus vive que celle exprimée par les traits de l’
vait aussi, depuis sept mois, une extinction de voix. La catalepsie
paraît
héréditaire dans Còlte famille, car une tante dés
A la i3®, point d’accès, ni toux, ni vomissement. Les menstrues ont
paru
; la malade se trouve bien. De la ¡4' à la 17e
ite â nia ferme, où elle décrivit mes récoltes écourtées, quoiqu’elle
parût
, à l’occasion, embarrassée de distinguer les plan
magnétisme. Il est écrit partie en français , partie en allemand, et
paraît
avoir été composé vers 1820. — M. Charpignon no
n emparer et répéter le« prodiges, c’est autre chose. M. Morin nous a
paru
pénétré d’une conviction profonde; mais nous ne c
es. — Nous avons déjà dit un mot d’une découverte physiologique qui
paraît
devoir venir en aide au mesmérisme. Elle a été of
une lettre de M. de liumboldt, dont voici un extrait: i II vient de
paraître
ici (Berlin) des recherches sur l’électricité ani
s spontanées et de tumeurs enkystées, le traitement par le magnétisme
paraît
offrir quelques inconvénients; à part aussi certa
i aussi une manière de ne faire que de bons somnambules; mais cela me
paraît
si simple, que je n’ose dire que c’en soit une :
euxième livraison de l’ouvrage de M. 01-livier, de Toulouse, vient de
paraître
, et la troisième doit la suivre de près. Nous fer
l’action vitale qui semble s’éteindre. La position de. ce malade me
paraissait
fort grave. Mon esprit inquiet travaillait sans c
mbes et surtout des mollets. Vers neuf heures du soir, même jour , il
parut
y avoir chez mon malade une amélioration sensible
. Un des moyens qu’elle indique pour combattre ce terrible fléau, m’a
paru
neuf, et mériter peut-être quelque attention. Vou
Magie magnétique. (Suite.) Je n’ai point pour auxiliaire ce qui
paraissait
indispensable dans l’antiquité : le silence des s
je participe en quelque sorte à ce qui se passe ; mon organisation me
paraît
quelque peu enchaînée, je puis croire être une pi
atiente : Je ne vois point son pied, dit-il. Il tourne, se penche, et
paraît
contrarié; mais le pied de la charmante femme app
attentifs; vous ne connaissez point l’agent dont vous vous servez; il
paraît
avoir des affinités avec d’autres agents plus sub
n tour la dérivation d’une aiguille librement suspendue. La déduction
paraissait
claire et évidente; mais M. Arago sourit de son s
rants électriques dans les contractions des muscles ; seulement il me
paraît
difficile, comme le fait observer judicieusement
rant la mesmérisation ; mais aucun symptôme spécifique n’ayant encore
paru
le 12 août, je perdis patience, et résolus d’essa
sécutive d’un hydrocèle qui vint lui-même à la suite d’une fièvre qui
paraissait
deux fois par mois, au changement de lune. Du 7
ns son Facts in Mesmer ism, de l’action habituelle des sens, l’esprit
paraît
acquérir de plus justes notions des choses pureme
imulent pas leurs sentiments réels au moment où ils les éprouvent. Il
paraît
exister chez eux un éloignement instinctif pour t
umission; son orgueil, humilité ; et en proportion exacte de ce qu’il
paraissait
en savoir davantage, il se croyait lui-même plus
rette profondément! » Rendu à son état de veille , il rit, parla , et
parut
tout indifférent que de coutume. » /^T'v Un éta
ce mis dans la main du sujet y fondit promp-toment, sans que celui-ci
parût
en ressentir la moindre incommodité; et au moment
yées, et toutes offrirent les mêmes résultats. De telle sorte qu’il
paraît
que, par l’excitation de cet organe, si le calori
argée dans l’intention de produire des décharges électriques. Elle ne
parut
pas très fortement chargée, car les étincelles n’
ébilitée par un jeûne forcé. Cette pensée est déplorable!... lille ne
paraît
pas avoir souifert. Elle est grasse, rosée, causa
la soustrait, dans l’irritation, au moyen d’électro-moteurs, et cela
paraît
fort rationnel ; car si l’électricité se trouve e
envoyer au Musée britannique; et comme, en même temps, l’occasion lui
paraissait
belle pour s’assurer du pouvoir tant vanté des ch
reptile, en lui poussant un chilfon rouge au bout d’un bâton, ce qui
parut
grandement l’irriter, à en juger par scs siffleme
résolution. Une fois, un vigoureux gaillard saisit le fils aîné, qui
paraissait
exercer sur la famille une grande influence, le J
fille, à l’hôpital de Saint-Clpude. La jeune fille, à qui ce mutisme
paraissait
peser davantage, répondit effectivement à quelque
équemment constater rien de positif. Mais, du peu que j’ai vu, il m’a
paru
résulter, d’une part, que le magnétisme n’est pas
je lui jetai de l’eau froide sur les yeux, qu’il ouvrit enfin. « Il
paraissait
éveillé. Je lui demandai qui j’étais, 11 me répon
ne entière différence entre les plaintes d’un dormeur magnétique, qui
paraît
souffrir, et celles des patients ordinaires, sous
prit est troublé, la vie volontaire, dont la conscience de la douleur
paraît
dépendre, n’est point incitée, et le cerveau semb
ait courbé sous le poids des souffrances les plus atroces, ses forces
paraissaient
épuisées; elle accusait une violente douleur à
lendemain, à neuf heures du matin, elle ne s’était pas réveillée, et
paraissait
jouir de la béatitude la plus complète; je la rév
e Vendôme, des scènes où tonies les lois ordinaires du monde physique
paraissaient
renversées. «Au milieu d’une grande salle, auto
s esprits sur ce qu'on devait penser de cette nouvelle découverte qui
paraissait
destinée à renverser toute la médecine , et peut-
contradictoires dans la forme, mais d’accord sur le fond, et la chose
paraissait
tout-à-fait terminée, lorsque M. le docteur Ducro
es expériences qu’ils rapportent, comme un amusement théâtral; et tel
paraît
être, en effet, le caractère des séances en quest
Van Helmond avait une grande confiance dans l’onguent armaire, qu’il
paraît
distinguer de l’onguent de Paracelse. Il s’appuie
à rendre le monde meilleur, à moraliser les relations sociales, cela
paraît
incontestable, et le fait suivant en fournirait a
agnétisme est donc insuffisant pour la peindre. « C’est elle qui va
paraître
tout à l’heure dans les œuvres que vous aurez à r
uperstitions, 1.1, p. 561. (2) Hist. tri part. (3) De Demoniac.
paraissaient
s’écarter des lois de la nature par la singularit
Perses; le principe du mal était appelé Satan par les Arabes, et Job
paraît
être le premier qui ait employé ce terme. Enfin,
ette médication la plupart des cures du célèbre thaumaturge, qui nous
paraissent
appartenir à la médecine de l’imagination ; car e
entes. 11 exigeait une foi vive chez les malades, cette condition lui
paraissait
indispensable à scs succès. 11 (1) Voyez PAnti-
Ils recevaient de violents coups sur toutes les parties du corps sans
paraître
s’en apercevoir ; des hommes leur marchaient sur
ibitions déconsidèrent le magnétisme, ce qui n’est pas douteux, elles
paraissent
aussi servir à sa propagation, en appelant sur lu
tteinte portée à sa réputation ; mais il a été débouté. Le tribunal
paraît
reconnaître, par ce jugement, que les révélations
mme dans les plus terribles de ces opérations, rien que le succès! 11
paraît
qu’en donnant l’insensibilité, le magnétisme pénè
palpable, mais personne ne l’appliqua, si même quelqu’un y pensa. Il
paraîtrait
que les choses les plus simples sont les plus len
noncé au bénéfice de l’anesthésie, lorsque l’insensibilité magnétique
parut
. Née à l’Hôtel-Dieu de Paris, durant les mémorabl
de Paris, durant les mémorables expériences de M. du Potet, sa venue
parut
providentielle. Georget fit voir par quels caract
et morale de la femme , dans lequel il traitera du magnétisme, qu’il
paraît
devoir considérer comme un produit de l’imaginati
mais, offrons-en quelques autres : Que ce jeune homme blond, et qui
paraît
joyeux de la scène qu’il vient devoir, entre auss
r dès le début de cet article : des êtres providentiels surgissent et
paraissent
inspirés; ils tracent le chemin que doit suivre l
, la vérité; après la nuit, le jour; mais la lumière est bien lente à
paraître
! Celle qui jaillit en cet instant ne peut éclaire
mois, la santé était redevenue parfaite, et nulle trace d’enflure ne
paraissait
plus. Depuis cette époque, bien des années se son
dans la région de l’estomac et dans les intestins , dont le caractère
paraissait
nerveux. Les digestions étaient très-difficiles,
ont fait revenir à la conviction que de9 assertions qui nou9 avaient
paru
hétéroclites, portaient le germe de principes tou
ruisons tous les systèmes, et nous avons devant nous des édifices qui
paraissent
inébranlables. C’est donc une œuvre colossale, im
octobre publie la note, assez méchamment rédigée, que voici : « Il
paraîtrait
que Mesmer aurait été devancé par quelques illumi
elle prouve combien peu vous avez souci des vivants : les morts seuls
paraissent
occuper vos pensées. Correspondance. — Notre sa
e succès des expériences; mais leur récit est plein d’une emphase qui
paraît
commandée. — Le Temps du 8 octobre, publie une
t simple à l’état de veille. Appeler cela une vision corporelle, nous
paraît
prodigieux. Risum teneatis, amiei! Si nous acco
is seulement qu’on m’endort; voilà tout ce que je sais. La prévenue
paraît
en proie à une violente émotion. D. Vous étiez
Onéirapoles, prêtres somnambules de l’antiquité, 162. — L’art médical
paraît
avoir son origine dans les révélations somnambuli
ires et par avis inséré aux deux numéros du Journal du Magnétisme qui
paraîtront
Immédiatement avant la réunion. Abt. ts. Lors d
illes non fortunées. Or, les riches étant les moins nombreux, il nous
parut
que c’était vers les classes laborieuses et souff
Notre journal d'abord mensuel, comme tous ceux qui l’avaient précédé,
parut
par quinzaine, la deuxième année; donnant ainsi,
restée rebelle à tout traitement. Après quelques renseignements, qui
parurent
nécessaires à notre confrère, le magnétisme fut p
Paris, 1848 ; prix:t> fr. Cet ouvrage si impatiemment attendu a
paru
hier; nous ne l’avons pas encore lu, mais voici,
; et franchir d’un seul bond la distance qui nous sépare de Dieu peut
paraître
hasardeux. J'aimerais à voir un homme aller du co
constatai que les muqueuses étaient tellement enflammées que les yeux
paraissaient
pleins de sang; la mère me déclara que cet état d
s apercevons les objets, peut-être tout ce que nous venons de dire ne
paraîtra-t
-il plus aussi étrange qu’il peut l’avoir paru d’a
venons de dire ne paraîtra-t-il plus aussi étrange qu’il peut l’avoir
paru
d’abord. S’il n’y a aucun rapport réel entre les
bien, voici qu’elle sort de chez elle. Dans une heure vous la verrez
paraître
. A moins pourtant qu’elle ne j>orte en ce mome
ards se tournèrent vers la porte, qui était restée ouverte. Une femme
parut
; une femme jeune, blonde, et d’une assez jolie fi
a plaidé de la manière la plus spirituelle cette cause étrange. Sans
paraître
croire à toutes les merveilles du magnétisme, il
oici maintenant la Porte Saint-Martin qui, dans La fin du monde, fait
paraître
une somnambule toute éveillée. Nous savons, de pl
te éveillée. Nous savons, de plus, que la censure a refusé de laisser
paraître
, sur la scène de Beaumarchais, une véritable somn
il a qualifiée de la itins lucide de Paris. Il annonce qu’il va faire
paraître
à ce sujet une brochure intitulée : Confessions d
ée bien longtemps avant que des événements arrivés de nos jours aient
paru
l'accomplir. Charles XI, père du fameux Charles
reté pour celte princesse eut, dit-on, hâté sa fin, il l’estimait, et
parut
plus touché de sa mort qu’on ne l’aurait attendu
nversation qui s’épuisaient tous à la seconde ou troisième phrase. 11
paraissait
évident que Sa Majesté était dans une de ses hume
ette salle semblaient en ce moment éclairées d’une vive lumière. Cela
parut
étrange au roi. Il supposa d’abord que celle lu
t remplacé l’antique tapisserie à personnages. Le long des murailles,
paraissaient
disposés en ordre, comme à l'ordinaire, des drape
s étaient habillés de noir, et cette multitude de faces humaines, qui
paraissaient
lumineuses sur un font sombre, éblouissaient tell
un maintien grave et austère, revêtus de longues robes noires, et qui
paraissaient
être des juges, étaient assis devant une table su
ots articulés ; puis le plus âgé des juges en robes noires, celui qui
paraissait
remplir les fondions de président, se leva, et fr
llot, qu’il regarda avec un dédain superbe. En même temps, le cadavre
parut
trembler d’un mouvement convulsif, et un sang fra
é mesmérienne, et de sa propagation, comme pour toutes choses, a fait
paraître
une profonde sagesse en ne permettant pas, jusqu’
este je vous soumets, vaudrait la peine d’être examinée, car elle m’a
paru
renfermer plus d’un enseignement utile; et c’est
e monopole, de privilège, est synonyme d'injustice, de spoliation; et
paraître
s’en faire le défenseur, suffit pour attirer sur
e j’ai pris la plume pour vous exprimer ces quelques idées, qui m'ont
paru
avoir leur utilité, si elles obtenaient votre app
en lui faisant respirer de l’ammoniaque liquide et carhonatée, ce qui
parut
le déranger un peu, mais il dit qu’il ne flairait
sensible aux piqûres un certain temps après avoir été couché et qu’il
paraissait
seulement très-ivre; mais quand je re-.tournai au
é de ces deux hommes eût pu être opéré presque sans limites, non sans
paraître
le sentir, mais sans en avoir connaissance après;
à ce moment qu’il lui arriva un fait assez curieux. Deux fois il vit
paraître
, quoique fort bien éveillé, mais ayant les yeux f
ésorption de cesglandes. Cette crise n’eut pour résultat que de faire
paraître
une nouvelle dent au fond de la bouche. A son r
ans avoir pu arrêter la progression de son mal. Tous les 5 ou G jours
paraissait
une crise qui durait plusieurs heures, et laissai
ces se développèrent des crises si énergiques dans l’hypogastre qu’il
paraissait
en proie aux plus violentes convulsions, puis tou
heure il me dit qn’il avait bien senti quelque effet, mais que ce lui
paraissait
être peu de chose; je l’engage à se lever et à es
ans s’en apercevoir, à l’engourdissement de voluptueuse extase qu’ils
paraissent
éprouver. » Cette walse lente et continue, guid
semblaient se soulever d’eux-mèmes, car les mains qui les touchaient
paraissaient
impuissantes et débiles. Le fer même était rompu,
toutes les hallucinations du sommeil extatique. Des êtres surnaturels
paraissent
au milieu de nuages légers, tenant des harpes, de
vieillard endormi, assis dans un fauteuil, entouré de personnages qui
paraissent
être la famille. Placé à l’extrémité de la grande
du docteur Poeti, que le docteur Dugnani nous annonçait comme devant
paraître
à Turin. C’est un volume in-8°. Il traite de l’ho
e de l’homœopa-thie et du magnétisme. Plusieurs observations nous ont
paru
assez importantes pour être traduites; aussitôt q
e heure du matin, elle serait réveillée en sursaut, et que ses règles
paraîtraient
pour durer cinq jours avec abondance, et qu’elles
ailleurs, en dehors même de leur talent de prévision, m’ont toujours
paru
raisonner plus juste des affaires de la vie ordin
Providence éternelle! manifeste ton pouvoir et la loi, hâte-toi de
paraître
dans cette confusion des esprits; parle à la foul
res, pendant leurs expéditions au pôle nord. Une partie du lac Iluron
paraît
être également le centre d’une attraction magnéti
t les magiciennes fameuses de 1 antiquité. Cir-cée des déserts, il me
parut
que les doctrines religieuses de lady Esther étai
e la révolution de février s’est chargée d’accomplir, el qui nous oui
paru
trop remarquables pour ne pas être signalés. «.
votre lettre à A. G. — Sous n'enverrons plus par V. Hébert. — Il n’a
paru
, irrégulièrement, de la R. M. que ce que vous ave
de verre l'effet est attribué à d’autres causes. Un mot d’explication
paraîtra
à cet égard. Caen. — M. 1’.....r. — Envoyé à Vi
science possède sont encore peu nombreux, mais très-précis. Ils m'ont
paru
de nature à intéresser tous ceux qui s’occupent d
sommes toujours heureux d’enregistrer 1111 acte d'acquittement qui a
paru
fondé à la justice, lorsque surtout elle a double
beaucoupde choses, mais non la république.Cette mauvaise plaisanterie
paraît
inspirée par une pensée de critique des somnambul
s faudra Plus d'un jour pour ca! — Il va, nous assurc-t-on, bientôt
paraître
un opuscule mystique dont l’auteur, M. Morin, se
assura que, pour aucun prix, il ne recommencerait l’épreuve. La vache
paraissait
fort irritée, et elle m’aurait, je crois, éventré
.suffrages des électeurs pour la représentation nationale, il nous a
paru
bon de faire connaître à nos amis son opinion mag
phrénoménographi-ques et littéraires de mesniérologie. Cette feuille
paraîtra
tous les mois. » Tous les dimanches, k trois he
isse pour souffler sur le centre épigastrique où des désordres graves
paraissaient
exister, la mère éprouve un tel effet, que nous l
point, s’en va quand on voudrait la retenir. C’est ainsi qu’on a vu
paraître
les prophètes, sibylles, devins, etc., traduisant
non, Physiologie, médecine et métaphysique du magnétisme, vient fie
paraître
. Nous l’analyserons très-prochainement. — On ve
lie, les presses gémissent, les journaux se multiplient, et l’on voit
paraître
plus de livres dans une année qu’il n’en était au
ercevoir les choses qui lui échappent. Bien que dans ce dialogue tout
paraisse
arrangé de manière à faire penser que le somnambu
endre sourire, et quoiqu’on proie à des douleurs physiques aiguës, il
parut
, moralement du moins, tout à fait heureux à mon a
s arguments primordiaux du héros incrédule du livre. En résumé, il me
parut
évident que le raisonneur n’avait pas même réus
magnétique. Sa respiration devint immédiatement plus aisée, et il ne
parut
plus souffrir aucun malaise physique. La conversa
s par un pur effet de volonté; habitant non plus les étoiles qui nous
paraissent
les seuls mondes palpables, et pour l’emmagasinem
le vis la première fois : son intelligence semblait être éveillée; il
paraissait
comprendre ce qu’on TOSB VI. — Ri" 71. — 10 JUI
sa mère. Ceci est à la lettre, et, quelque invraisemblable que doive
paraître
mon récit, j’atteste qu’il est vrai. » Chroniqu
magnétisme n’y est pas complètement étranger. La Mouche a cessé de
paraître
; c’est une grande perte pour le magnétisme dont
es de diamètre et pesait 7 onces. J’appris en outre que ce fait avait
paru
si extraordinaire que pas moins de deux cents per
uire, que nous trouvâmes sous le poids d’une de ses crises, et qui ne
parut
pas s’apercevoir de notre présence, malgré les pa
milieu de laquelle il est sage de choisir ; l’énumération complète en
paraîtrait
d’autant plus longue qu’elle offrirait moins l’ét
qu’on présentait à cet égard. Cette théorie, au fait assez simple,
paraissait
pourtant avoir pour elle une grande raison, l’ana
i mixte, si violé, si incompréhensible et si indéfinissable qu’il eût
paru
. Dès son origine, le magnétisme animal a préten
raffinements. " Toutefois cette assimilation, si frappante qu’elle
paraisse
, n’est pas juste. D’abord l’action du magnétise
« Quant à l’anti-magnétisme ou seconde vue des prestidigitateurs, il
paraît
d’après ce que vous médités qu’à Paris l’opinion
agnétisme. — La nouvelle loi sur la presse empêche le Révélateur de
paraître
désormais. -Ses numéros 2 et 3contien-nent divers
rouver place dans cette revue, sauf la critique des opinions qui nous
paraîtraient
en opposition avec les vérités que nous avons cru
ait abandonner. Ce luxe prodigieux de doctrines médicales qui ont
paru
comme rivales «le la médecine hippocratique est d
mal qu’a causé au genre humain le nombre immense des médecins qui ont
paru
depuis eux, il deviendra évident qu’il aurait été
t conséquents, el la dose des médicaments, quelque minime qu’elle pût
paraître
, était néanmoins pondérable et appréciable physiq
evenu à travers tous les éléments. Au milieu de la nuit, le soleil me
parut
briller d’une lumière éclatante. J’ai été en prés
ubstance. Voici ce que dit le docteur Jahr : « Quelque absurdes que
paraissent
au premier aspect les atténuations infinitésimale
ous la bannière du vitalisme, le problème de la curalion des maladies
paraissait
simple, et consistait à trouver le moyen de prése
— La Mouche, dont nous avons annoncé la cessation de publication, a
paru
pour la dernière fois le 29 juillet. Dans ses adi
être pas la seule que nous puissions observer. On voit des hommes qui
paraissent
jouir de facultés vraiment aromales dans un certa
éjudice aux somnambules consultants; le salaire qu’ils reçoivent doit
paraître
modique à celui qui sait apprécier les fatigues q
nt avec la maladie? Maiscc n’est pas tout; cette Explication pourrait
paraître
spécieuse, partant contestable. Quelle partie dn
nconnus, se manifestèrent sous l’application des procédés, la théorie
parut
sanctionnée par la pratique, et gagna des discipl
ades, une cause de mort. Combien donc la profession de médecin doit
paraître
sublime à celui qui l’a comprise ! quels travaux
s rendue cependant presque croyable, tant les discours de ces malades
paraissent
serrés de logique et empreints de vérité. C'est q
terprète, M. Lassaigne magnétisa sa somnambule. La plupart des Arabes
parurent
étonnés de voir le sujet succomber si promptement
s procès-verbaux constatent que toutes ces religieuses sans exception
paraissaient
avoir le don des langues, en ce qu’elles avaient
que de sa délivrance, jeta par la bouche un taffetas plié dans lequel
parut
écrit en lettres rouges le nom de MARIE et les qu
démons chassés de son corps dans le commencement de l’exorcisme, fit
paraître
dans un instant sur son bandeau, en gros caractèr
sentence ecclésiastique entre plusieurs autres, parce qu’elle nous a
paru
donner une idée assez exacte de ce qu’on entendai
mon domicile. Ce fut pour moi une véritable tyrannie, et chose qui me
parut
de prime abord fort inconcevable, c’est que les g
ait facile de le reconnaître, car sa voix qui le premier jour m'avait
paru
si faible, puisque j’en appréciais le timbre tout
sépare la maison que j’habite de celle qui se trouve vis-à-vis, et il
paraîtra
surprenant que je pusse dans un tel éloignement i
de était changée. La voix ne me semblait plus partir du même point et
paraissait
au contraire venir d’un côté diamétralement oppos
là, il me faisait défaut même pour soutenir son regard; enfin, il me
parut
d’un abord si dur et si repoussant, qu’au lieu de
reconnus plus tard la fausseté de cet argument qui de prime abord me
paraissait
fort juste. D’ailleurs je ne pouvais en faire l’a
rès d’une heure, durant laquelle l’influence de mon magnétiseur ne me
parut
nullement s’affaiblir, et comme ce recueillement
cle, n'étant en substance (pie le type anticipé de celui qui vient de
paraître
, loin de trouver eu vous un patron avoué, fut acc
me; il n’en parle que par incidence. Cette abstcusion de sa part peut
paraître
partiale, car l’historien d’une science ne doit r
MAGNÉTISME. Deuxième observation. (Suite.) Cependant mon ennemi
paraissait
vivement contrarié de mon obstination à le poursu
ples impressions qui pour toute personne ignorant mon état pourraient
paraître
vagues, j’attendais pour plus de certitude qu’il
première fois et avec la persuasion que la puissance de mon ennemi me
paraîtrait
plus insupportable, puisque pendant quelque temps
ire part dumotifde ma visite, je lui exposai brièvement inon état qui
parut
l’intéresser; cherchant à rappeler ses souvenirs,
voir réfutées victorieusement. Cependant il est un point qui leur a
paru
contestable et sur lequel quelques-uns d’entre eu
ommuniqué par un de nos abonnés, M. Leroyj nous le ferons graver pour
paraître
dans le Journal avec une note biographique de ce
lle sans cesse à notre conservation. Le système nerveux ganglionnaire
paraît
être le siège habituel de ses fondions. A l’éta
des effets de f intuition médicale. §1. L’intuition somnambuliquc
paraît
se modifier suivant l’idiosyncralie des sujets. J
des malades, soit par une sorte d’efllux de matières morbifiques qui
paraîtraient
se dégager du corps ou des vêtements de la person
par des moyens différents, et guéries d’une manière inattendue. Tout
paraît
individuel dans les intuitions des somnambules. »
deuxième édition de The Nighi siile of Nature, par M. Crowe, vient de
paraître
à Londres, la première ayant été épuisée en moins
seur qui a beaucoup pratiqué. Le somnambulisme et l’extase nous ont
paru
savamment étudiés. Des faits du plus haut intérêt
n jour perdre quelques fleurons! M. Charpignon vient aussi de faire
paraître
, en brochure, son Mémoire sur les Doctrines médi
s d’un ouvrage qui, d’après quelques pages que nous avons lues , nous
paraît
devoir être plein d’intérêt. Nous pensons qu’il j
l n’obtint aucun eifet. M. Maitland le prit alors; et, quand l’enfant
parut
dormir, il lui étendit le bras qu’il massa, dans
qu’on peut produire un état comateux dont le magnétisme animal ne lui
paraît
point être la cause. « M. Rumball s’adresse'ens
oses, comment admettre qu’elle fût insensible à la douleur (i)? II ne
paraît
pas que les lois de la nature puissent être enfre
il, contrarièrent la nature, et ce ne fut que le mois suivant quelles
parurent
. Depuis lors elle s’est portée à merveille. » L
i. M. Poeti examine, dans le chapitre xii, les cas où le magnétisme
paraît
impuissant. Il pense que : i° Chez les person
ercer une action occulte. Sa pensée eût été erronée, mais elle eût pu
paraître
vraisemblable. Voilà donc encore un cas qui pro
ntra dans les détails les plus circonstanciés, et ayant une suite qui
paraissait
fort raisonnable. Ce n’était plus des magnétise
a au pape ; nous ne connaissons pas la réponse qu’il lui fit, mais il
paraît
qu’elle n’en fut pas satisfaite, car, dernièremen
rien dans les faits de ces récits, y est tout à fait étranger. Ce qui
paraît
évident est l’action de l’individu sur lui-même;
ner, et s’éveilla bientôt après spontanément, dit-il. « Le 6, il me
parut
en état d’étre opéré. « Le 7, j’invitai beaucou
ucun. « Le 3 mars, il fut sourd aux bruits les plus forts ; mais il
parut
souffrir teste compresso. k Le 4, il fut très-p
que jetais prêt à le faire s’il ne s’y opposait pas : son silence me
parut
un consentement. • Le 5, les mêmes essais furen
aduellement par l’usage approprié de laxatifs et de quinine. La plaie
paraît
en bon état, et se ferme rapidement. 11 s’assied
une erreur grossière. Sans doute, la théorie d'unicité causale peut
paraître
simple et séduisante, mais les théories les plus
peut se faire longtemps attendre. Ces considérations générales nous
paraissent
devoir assombrir, d'une manière indirecte, il e
évropathiques » qui présentent le plus d'analogies, encore qu'elles
paraissent
tout d'abord si éloignées. Toutes les deux, en
clérose en plaques. Les observations que nous allons rapporter nous
paraissent
décisives; elles montrent avec une évidence par
un d'eux, garçon de quatorze ans, actuel- lement chez son oncle, a,
paraît
-il, très mauvaise tête, il est méchant pour ses
ncontre dans la sclérose en plaques. La langue est tremblante; elle
paraît
au malade raidie, comme collée dans le fond de
es telles que le malade me- nace de tomber. L'occlusion des yeux ne
paraît
pas augi-nen ter l'instabilité. Pendant la marc
l'influence des émotions. Quand le malade esl debout, tout le corps
paraît
animé de petites oscilla- lions dont le centre
au de l'ataxie locomotrice. En outre, chez cet homme, tous les sens
paraissent
plus ou moins affectés, sauf celui de l'ouïe : la
ensibilité n'est pas prati- cable à cause de son état psychique. II
paraît
certain « scheint es sicher » qu'il n'y a pas.d
pouvait lire. La pupille gauche ne réagissait pas à la lumière. Il
paraît
que deux ans avant, elle avait des engourdisser
propre poids. Les muscles de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne
paraissent
pas atrophiés, sontle siège de secousses fibril
rophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier abord elle
paraît
se répartir à peu près également, et le segment
des pouces. Les membres inférieurs, la moitié inférieure du tronc,
paraissent
au pre- mier abord absolument indemnes. Les cui
t, qu'elles étaient lourdes; ce fut d'abord la jambe gauche qui lui
parut
faible, puis ce fut le tour de la jambe droite. U
re, des tendons fléchisseurs des deux derniers doigts. « Il ne nous
paraît
pas nécessaire de discuter l'existence d'une infl
baissement de la température de la main droite. Ce symptôme ne nous
paraît
infirmer en rien l'interprétation que nous venons
ction, il n'estplus le même homme; il est devenu triste, songeur et
paraît
très préoc- cupé de son état. ,Motilité. Moye
e malade attire volon- tiers l'attention. Cette hyperhydrose locale
paraît
continue; nous n'avons pu en observer des varia
tous les caractères de cette affection. Mais trois points nous ont
paru
devoir être mis en relief. 1° La coloration s
devant les yeux. C'était comme s'il s'agissait d'elle, mais elle ne
paraissait
pas participer par elle-même à l'action. » Pe
provoque un sourire, puis le geste d'envoyer un baiser. Enfin elle
paraît
honteuse et confuse de ce qu'elle vient de faire.
SALPÊTRIÈRE. Alcool. Elle joint les mains, lève les yeux au ciel et
paraît
prier. Les diverses excitations des deux autres
ents d'excitation employés. En revanche elles étaient très vives et
paraissent
correspon- dre à des hallucinations bien nettes
mouvements d'accommodation nécessités par les diverses distances où
paraissaient
se trouver les objets qu'elle semblait regarder
sur sa robe, qu'elle frotte entre ses deux mains, puis brosse. Elle
paraît
désolée de voir que la tache persiste malgré se
n bat du tambour avec 'les 'doigts sur une table ou une vitre, elle
paraît
regarder un spectacle agréable dans le lointain
ut sur quelque ohjet sonore, un triangle par exemple, elle .sourit,
paraît
satisfaite, puis prenant sa robe dans ses mains,
ythme et qu'on joue .une valse, par .exemple, elle cesse de polker,
paraît
un peu étonnée et se met à valser fort correcte
raire, bien que sa rétine soit évidemment sensible à la lumière, ne
paraît
pas voir les objets qui l'environnent et semble
oppement de l'encéphale. On sait qué cette doctrine séduisante, qui
paraissait
expliquer à merveille certaines formes spé- cia
rachitisme. Les états morbides qui, dans une certaine mesure, m'ont
paru
pou- voir être modifiés par la craniectomie son
Les fonctions corticales motrices, pour n'envisager que celles-là,
paraissent
si peu développées à la naissance qu'on compren
noncée de cette membrane et dans quelques cas ces altérations m'ont
paru
partielles. Dans une autre circonstance, je fus
ées, de saillies anormales, sera un indice impor- tant surtout s'il
paraît
en harmonie avec les signes qui dépendent des l
a. Une des dernières craniectomies linéaires que j'ai pratiquées me
paraît
mériter d'être signalée à part. Il s'agissait d
s, d'ailleurs, je l'ai réséqué et l'examen de ces sujets ne m'a pas
paru
présenter de différence avec ceux où je ne m'en é
dant cet effort de fixer ses regards sur son bras, et son attention
paraît
forlement concentrée sur ce qu'il exécute. En m
anormale, le malade peut aller et venir, parler, boire, etc., sans
paraître
le moins du monde incommodé et cela pen- dant u
ibles. Il semble y avoir un fonction- nement assez singulier et qui
paraît
presque anormal de l'appareil respiratoire. L
normal de l'appareil respiratoire. L'histoire de ce malade nous a
paru
digne d'être rapportée à plu- sieurs points de
du côté dc la respiration pendant l'immo- bilisation du thorax nous
paraissent
aussi dignes d'attention. En pre- mier lieu le
sujet qui pouvait conserver cette situation antiphysiologique'sans
paraître
éprouver la moindre'gêne, si ce n'est au bout d
ents res- piratoires, mais réduits à une si faible amplitude qu'ils
paraissent
tout à fait insuffisants pour maintenir aussi l
a paralysie générale progressive, de la maladie de Basedow), nous a
paru
devoir être distrait des autres formes de tremb
à l'occa- sion des mouvements volontaires. C'est pourquoi il nous a
paru
mériter la double qualification de rémittent-in
i revient « à l'idée » dans la genèse de ces tremblements. Ils nous
paraissent
être on ne peut plus significatifs. Ils ont été
es mouvements alternatifs de flexion et d'extension; ces mouvements
paraissent
avoir pour centre l'articu- lation du poignet;
mi fléchis ou étendus sont entraînés dans le mouvement, mais ils ne
paraissent
pas être animés de secousses actives et qui leu
ès alcoo- liques. En présence de cet ensemble de symptômes qui me
paraissaient
, je l'avoue, ne pouvoir être expliqués que par
izct, s'en déclarèrent partisans, mais le mémoire de M. Chédevcrgne
paru
en lSGcJ la fit rentrer dans l'oubli. En Angle-
isses sont amaigries : excepté la goutte qui le tient aux pieds, il
paraît
qu'il marche bien. Réflexes patellaires normaux
les adducteurs ont conservé leurs réactions électriques normales et
paraissent
encore fermes. Les fessiers sont flasques et pe
s fessiers sont flasques et peu excitables faradiquement. Le visage
paraît
amaigri. La mastication est longue, s'accomplit d
céleste, et qu'à mesme instant Lancinet se trouva guéri, sans qu'il
parût
aucune cicatrice. Le Roy s'estant levé plus joy
é l'odeur de l'encens. D'après un traité attribué à Raban Maur, qui
paraît
n'avoir pas eu le don de prophétie, « vers le f
barbiers les. visitaient à l'arrivée, et renvoyaient : ceux qui ne
paraissaient
pas sérieusement atteints. Les autres étaient ran
l blêmissoit un peu, ajoute-t-il, mais il ne le voulut jamais faire
paroître
, et ne voulut pas prendre de l'écorce de citron `
é- rieure du thorax, où elle est froncée et plissée et, par places,
paraît
encore le siège d'une infiltration oedémateuse.
présentent autre chose digne de remarque. Ils sont bien portants et
paraissent
l'âge qu'ils ont. Armandine a eu deux frères qu
gs. Elle était gaie, joueuse, aimant beaucoup ;i s'amuser. C'était,
paraît
-il, uneenfant très gentille et d'un visage très a
aurait eu une série de poussées. Ces boutons étaient assez espacés,
paraît
-il, laissant entre eux des espaces de peau sain
dure des bords palpébraux, au niveau des com- fissures, ce qui fait
paraître
les yeux bridés et assez petits. Le nez est effil
n'avons personnellement rencontré aucun fait de cet ordre. Il nous
paraît
intéressant de rapprocher de ce fait si bien obse
té d'esprit, l'entrain qu'il avait autrefois, mais son intelligence
paraît
intacte. Par contre, sa mémoire est affaiblie;
secondes. El si on l'examine un peu superficiellement, cette malade
paraît
trembler d'une façon incessante. Ce tremblement
ra quinze jours. En février 1889, à la suite d'une attaque qui fut,
paraît
-il, par- ticulièrement violente, le malade vit
orte surtout sur les muscles. L'éminence thénar a complètement dis-
paru
. Il s'agit d'atrophie simple sans réaction de dég
qui tremble, le bras restant au repos, et vice versa. Chaque membre
paraît
trembler pour son compte, séparément. Il arrive c
seignements inté- ressants, quelque contradictoires qu'ils puissent
paraître
. On sait qu'il est de règle de constater dans l
ème, après avoir pour ainsi dire sommeillé pendant quatre ans, elle
paraît
se réveiller aujourd'hui; la paralysie glossola
lbe inférieur au compo. bide. Malgré tout, l'avenir de notre malade
paraissait
bien sombre; et pouvait-il en être autrement en
supérieure du bulbe, l'ophthalmoplégie externe. Cette association
paraît
peu fréquente, il est vrai, mais elle n'est cepen
ociation du faciès d'Ilutctlinson et du faciès myopathique. Ces cas
paraissent
rares, il est vrai, mais il con- vient néanmoin
réaction puissent manquer complètement, bien que des cas semblables
paraissent
devoir être extrêmement rares. Pourquoi en est-
on rapportée dans la thèse de 111 ? Déjerine-Klumpke, et où il nous
paraît
bien difficile d'établir un diagnostic positif.
poly- névrite généralisée. Mais dans certains cas, et le nôtre nous
paraît
être de ce nombre, bien que le malade ait été a
igine de la 6- paire, lésions très prononcées. Le processus initial
paraît
être une sclérose vasculaire; secondairement se s
s 4° et 5° nerfs sacrés, la lésion débordait les cordons de Goll et
paraissait
derrière les cordons postérieurs jusqu'au niveau
aires du noyau de l'ocnlo- moteur commun; la substance fondamentale
paraissait
intacte. Dans la partie supérieure du noyau de
ires sont clairsemées, groupées en certains endroits, quelques-unes
paraissent
ratatinées, dépourvues de prolongements; le rés
toute fortuite et rappelle à ce propos les nombreux travaux qui ont
paru
sur cette question. Polioencéphalite aiguë et
ions arti- culaires oupéri-articulaires. Ces lésions articulaires
paraissent
dues principalement à un épaissis- sement des c
ns une leçon qui vient d'être récemment publiée '. « La querelle me
paraît
être désormais vidée, dit-il; il n'y a pas deux
tout à l'heure, représente seulement, tout originale qu'elle puisse
paraître
cliniquement, une forme atypique de la maladie
uit ans, il eut un chancre de la rainure balano-prépuliale qui dis-
parut
, sans laisser de trace, sous l'influence d'un tra
rachiale se cicatrisa peu à peu; à la fin d'octobre elle avait dis-
paru
, mais les autres, et surtout le panaris, restaien
ées sont un reste des phlyc- tènes qui, à plusieurs reprises, y ont
paru
et se sont rompues. L'ongle est bosselé, élargi
u lit. On ne provoque pas la trépidation réflexe. L'épaule droite
paraît
un peu tombante, surtout quand on examine le ma
e de corps granuleux. Toute la partie restante des couches optiqnes
paraissait
être intacte et on ne trouva rien non plus d'anor
us d'anormal dans les autres parties du cerveau. La moelle allongée
paraissait
aussi en bon état, mais dans le quatrième ventr
entaient ces paralysies oculaires. Rappelons en passant que Uhthoff
paraît
avoir publié une des premières observations, sino
nt importantes au point de vue étiologique et pathogénique nous ont
paru
dignes d'être relevées. Voici donc son observat
ure de la conque un contrefort peu saillant et le fond de la conque
paraît
plan. Chez certains sujets, cette racine de l'h
rd de l'hélix. Pour la majorité des auteurs, le tubercule de Darwin
paraît
constituer une déformation atavique rappelant l
sure inlertragienne disparaît et que le bord inférieur de la conque
paraît
suivre une ligne régulière. Dans ces cas la rac
i je vous con- seillerai de ne le faire que dans les cas où il vous
paraîtra
indis- pensable et alors même de le pratiquer a
engourdissement et des fourmillements dans sa jambe droite, qui lui
paraissait
« endormie ». Néan- moins, il travailla encore
douleur vive vers le milieu du dos, surtout et même exclusivement,
paraît
-il, du eôté gauche. On assure que cette douleur
sant sur les dernières fausses côtes du côté gauche. Cette attitude
paraît
amener un sou- z lagement. Dans l'examen de la
assez manifestes et semble menacée de tomber. La gêne de la marche
paraît
déterminée par la douleur autant que par la rig
qui était à la veille de se produire. Notre chère malade, poussée,
paraît
-il, par un rêve qu'elle avait fait la nuit, a p
exagérés; la trépidation est très manifeste, mais la raideur a dis-
paru
. On constate aussi que l'hyperesthésie qui exista
rations capables de tout expliquer. C'est une objection qui ne nous
paraît
pas valable. La malade était manifestement hyst
1889. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 319 nerfs
paraisse
déterminer rien de spécial. Les membres inférieur
outeux ; que tout chez elle relève de la névrose, c'est ce qui nous
paraît
à peu près certain. Nous n'oserions l'affirmer
lui sont inférieurs. Ils sont en quelque sorte « moins nature » et
paraissent
faits d'après une tradition ou, pour mieux dire,
ale la malformation de ses trois malades. Le thorax en entonnoir ne
paraît
pas entraîner de troubles fonction- nels sérieu
ux cas où le thorax en entonnoir ne s'est révélé que plus tard, ils
paraissent
dus à l'influence d'une maladie à localisation
Richer sur les Paralysies et les contractures hystériques qui doit
paraître
très prochainement chez Doin, éditeur. N. D. L. I
qu'au poi- gnet. Cet état augmente sous l'influence du froid, et il
paraît
prédisposer aux engelures : un de mes malades a
it dont ses compagnons n'avaient nullement souffert. Cette asphyxie
paraît
encore augmenter, toutes choses égales d'ailleu
t état se soit montré généralisé; aussi l'observation suivante m'ai
paru
présenter un certain intérêt. Epilepsie. Asphyx
dans la nuit, a un accès caractérisé par une raideur tétanique qui
paraît
avoir duré plusieurs minutes, avec perte de conna
nifestations épileptiques et les troubles de la circulation cutanée
paraissent
s'être développés vers la même époque, et ils p
er vers quatorze mois; dix mois plus lard, il cou- rait et parlait,
paraît
-il, comme tous les enfants de son âge.' Jusqu'à c
e plus faciles, au moins plus excusables, lorsque l'apophyse est ou
paraît
plus saillante, ou lors- qu'elle est déviée lat
ef a consacré sa thèse inaugurale ! . Mais il en est un qui ne nous
paraît
pas avoir éveillé l'attention des observateurs, e
u tabes. L'hystérie n'est pas niable dans ce cas, mais elle ne nous
paraît
pas seule en jeu; il s'agit bien plutôt d'une a
re en vue d'un concours, était déjà ter- miné lorsque cette leçon a
paru
. Nous voulons aujourd'hui réparer cet oubli inv
cette époque qu'elle entra à la Salpêtrière ; elle marchait alors,
paraît
-il, très difficilement, appuyée sur une canne, je
pitalière. Déjà Vulpian, en 18793, pouvait dire : « L'hys- térie me
paraît
exercer une influence sur la production de l'atax
'hystérie sont par nature fugaces et mobiles; on peut les voir dis-
paraître
et reparaître tour à tour sous la même forme ou s
ude de cette question et en fit l'objet du premier travail original
paru
sur la matière. Le 27 novembre 1885, M. Féréol
as de secousses si brillaires; « 3° L'excitabilité idio- musculaire
paraît
normale; « 4° La contractilité électrique est d
tence que l'hypothèse de troubles trophiques du côté des nerfs nous
paraît
défendable. Cette hypothèse est du reste en rap
nérales a ce sujet. A priori, l'atrophie avec réaction dégénérative
paraît
plus grave que l'amyotrophie simple. Mais les o
ent. Dans tous les cas, elle se serait fortement amendée, puisqu'il
paraîtrait
que, àl'àe de seize mois, lorsque sa fille a com-
ues d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. Néanmoins, il ne nous
paraît
pas qu'ici l'hystérie puisse expliquer les convul
ndemain, ses parents le trouvèrent paralysé du côté gaucho. La face
paraît
être restée intacte. Cette hémiplégie est resté
de syphilis. Il n'a jamais eu d'attaques de nerfs avant 1888. Il ne
paraît
pas avoir un caractère particulièrement irritab
isé; le buccinateur est aussi atrophié. L'orbiculaire des lèvres ne
paraît
pas participer à cet état, quoique le malade ne p
le du mamelon, la portion inférieure manque et la partie supérieure
paraît
moins épaisse que celle du côté opposé. Tous le
onne 41 à la main gauche et 35 à la droite. La sensibilité au froid
paraît
encore plus obtuse du côté droit que d'ordinair
é. L... accuse de lui-même une difficulté de la respiration qui lui
paraît
plus marquée du côté droit, mais ce fait n'a pa
droit le petit pectoral manque complètement (fig. 79). Ce fait m'a
paru
digne d'être signalé en raison de cette circonsta
de la moelle épinière. Cependant les observations de Lombroso ne me
paraissent
pas démonstratives. En effet en suspendant les la
ous ses discours, il est sérieux, parle peu : sa tête en tout temps
paraît
chargée de grandes pensées. » A droite, Antoine
plus saintes, les plus parfaites, étaient celles qui, dans cet état,
paraissaient
au chœur pour y recevoir l'Eucharistie, etc., etc
tradition qui assurait que son corps , lorsqu’il fut tiré de ce lieu,
paraissait
plein de vie, et que du fond du puits il vomit pe
hénomènes les plus curieux que j’ai obtenus jusqu’alors, aucun ne m’a
paru
aussi étrange que celui que je vais vous décrire,
e Jésus-Christ, le vin, devenu sang, ruissela jusqu’à terre; que Pieu
parut
, selon son humanité, la très-sainte Vierge à ses
ilèges ; qu’un jour, pendant matines, il tomba dans l’église et qu’il
parut
alors effroyable; qu’il se tordait en se (1) Vo
par M. Auguste Le Prévost, c'est une apologie de Mathurin Picard que
paraît
avoir beaucoup consulté Dibon. L auteur de cetto
davantage que ne l’ont fait ceg messieurs, car mon expérience, qui me
paraît
plus concluante que la vue à distance, c’est le t
dans sa main. J'ai renouvelé plusieurs fois cette expérience qui me
paraît
, à tort ou à raison, prêter moins à l’illusion qu
aide de miroirs magiques, semble amener l’image devant le sujet et ne
paraît
pas exiger de déplacement de sa part ; elle est d
e sur la mer Noire dans un miroir magique, les vaisseaux de ligne lui
paraissaient
tout petits, comme si la vision s’opérait de très
à distance, et je livre aux réflexions de vos lecteurs ces faits qui
paraissaient
incroyables à d’autres qu’à des magnétistes.
choses, il est nécessaire d’exposer certaines idées-princi-pçs qui me
paraissent
dominer toute cette discussion et sur lesquelles
gnes, les formes, les images existent indépendamment de la matière et
paraissent
la contenir. Les forces se combinent avec la mati
spontané : l’esprit ne s’appartient plus en quelque sorte, ses actes
paraissent
irréfléchis ; il ne raisonne pas, il perçoit et s
e son corps matériel tranquillement assis dans un fauteuil. Cela nous
paraît
prouvé non seulement par l’assertion des esprits,
s prend les proportions d’un fait qu’il est impossible de nier, et il
paraît
plus sage de désirer vivement l’explication de ce
ls nous présentent une réfutation, ou plutôt une négation qui ne nous
paraît
rien moins que concluante; mais de preuves, aucun
us du coup. De discuter sur la lumière Avec un aveugle entêté, Me
paraît
une absurdité. De tous les arguments contre la
onnelles et veuve d’un des plus célèbres hommes d’Etat de l’Amérique,
paraissait
ne compter que des hommes d’un parfait savoir-viv
ne pouvaient dissimuler à la susceptibilité nerveuse du médium. Il me
parut
tout d’abord en proie à un grand malaise et comme
ive, avec le même insuccès. Là se termina une séance dont le médium
paraissait
très-peu satisfait, mais qui, bien que ne me prés
ger les conditions de l'expérience, par deux ou trois fois des lueurs
parurent
sur la table auprès de M. Willis. Elles allaient
renaient de l’intensité dans l’obscurité, mais les nerfs de M. Willis
paraissaient
en être affectés désagréablement, et il pria qu’o
ai cité de fort remarquables. Ce principe de la médecine intuitive me
paraît
donc certain, et je le proclame encore comme autr
age, ouvrage publw en 1841, tandis que depuis, en 1848, j'ai fait
paraître
cette Physiologie, Médecine et Métaphysique du ma
ts où es spectateurs, électrisés par la contemplation de l’exta-ique,
paraissaient
partager les sentiments qu’elle savait ai )ien ex
e, au lien de dans la flotte. A la dertiitti'B ligne de la jnie *e,
paraîtraient
au lieu de paraissaient. A l’anlé-pénultièmc lign
otte. A la dertiitti'B ligne de la jnie *e, paraîtraient au lieu de
paraissaient
. A l’anlé-pénultièmc ligne de la page 47, les au
eil. Voilà en résu né l'état dans lequel je le trouve. Ses jours me
paraissent
compromis si une nouvelle médication ne vient sur
clut toute intervention d'êtres invisibles. Une des circonstances qui
paraît
la plus probante à l’auteur, c est qu’une table a
ou moins frappeurs, par l’intermédiaire des meubles ou autrement, me
paraissait
très-imparfait et manquant tout à fait de la grav
mborgienne ; Voltaire, pécheur repentant chez M. Ca- rion, nous a
paru
déiste et persévérant dans l’œuvre de sa vie terr
es analyser, de les repro- (luire par extraits. C’est ce qui nous
paraît
avoir été fait avec un certain soin. Mais alors p
ssi admettre qu’il eilt dédaigné de tirer vengeance d’un fait qui lui
paraissait
sms importance, et que, plus tard, lorsque Laubar
d’ailleurs d’adopter les tendances rétrogrades : M. de Mirville nous
paraît
avoir donné un sens assez vrai à cette affaire; e
Sullivan fut complet. « Je remarquai, dit M. Crocker, que le « cheval
paraissait
terrifié chaque fois que le charmeur le « regarda
eux du poulain se calmèrent : il devint immobile, puis il trembla. Il
paraissait
prendre uu vif plaisir à l’épreuve qu’il subissai
euf fois, la centième je me tromperai et vous perdrez tout. Mais il
paraît
qu’on ne saurait se borner quand on est en veine
nou ; d’autre part, s’il est médium, ce qu’on ne dit pa*, mais ce qui
paraît
probable, il pouvait être assez sensitif pour rec
té du bon sens. Les données du bon sens se composent des opinions qui
paraissent
raisonnables à chacun, il est donc néJ cessaireme
illisibles et étranges, tracés sur des morceaux de papier, et qui ne
paraissaient
pas provenir du médium, l’auteur a voulu constate
lait dominé par une impression profonde, et dont les forces physiques
paraissaient
en quelque sorte sommeiller. Cet état particulier
ofondi nous mette à même de les apprécier. Les deux numéros qui ont
paru
contiennent des dissertations intéressantes, quel
comme l’œuvre des esprits qui les ont dictés aux médiums. Les auteurs
paraissent
animés d’une conviction parfaite et d’un zèle ard
its, fut invité à voir le malade. Il lui prescrivit un médicament qui
parut
produire le bon effet de diminuer la violence des
affections relatives ou morales ; que ces fonctions et ces affections
paraissent
dépendre d’une cause invisible, insaisissable, et
gistes aient pu observe*1.' , « Les opérations de l’intelligence ne
paraissent
pas commencer en même temps que celles de la forc
tent point, au début de la vie, avec le même degré d'énergie ; ils ne
paraissent
point subordonnés à la môme loi générale. « Pen
u’il en a, au contraire, été maintes fois la victime lui-même. « 11
paraît
qu’il y a plus d’un mois que ce manège a commencé
propre intelligence que les résultats obtenus jusqu’à ce jour sont ou
paraissent
si incohérents, si contradictoires, si absurdes o
rtions de M. Girard, M. Morin se livre à des suppositions qui ne nous
paraissent
pas trè&-probantes, surtout celles contenues
autant du spiritualisme , quand ce serait plutôt le cas. M. Girard ne
paraît
pas se douter qu’il n’est autre chose qu’un possé
ège au musicien invisible, lin autre de ses exploits, qui, à ce qu’il
paraît
, étonne beaucoup les gens qui ne sont pas habitué
ain appelé reconnaît notre homme. C'était tout simplement, à ce qu’il
paraît
, un somnambule du voisinage; il fallut aller ■che
s considérables , et que la science actuelle ne peut déterminer. Elle
paraît
adhérer moins fortement là où elle existe en plus
ou de (1) Re'vei et RialUit, par madame Blanchccolte. ne faire
paraître
de leur caractère que ce qui est nécessaire pour
ier comme les siècles proprement dits. Alors, des opinions , qui nous
paraissent
aujourd’hui ou bizarres ou insensées, seront des
cculte exercée par un individu sur un autre et dans ces conditions me
paraissait
impossible. Petit à petit, la lumière s’est faite
; celle consacrée entièrement au magnétisme; le spiritualisme, s’il a
paru
pour la première fois dans ce banquet, s’y est mo
ts, dut apprendre que ses désirs étaient ceux de toute l’assemblée.
Parut
alors M. le docteur Ordinaire, ce vieil athlète d
Si bien que cette pauvre bête, Perdant et la piste et la tète,
Parut
enragé tout à fait. Sur lui la canaille se rue
».nier mordiieui- A son point de mire, l'échafaudage de son plaidoyer
paraît
d’autant plus plausible quo les imprudents Tyrlée
s, tableaux, elc., qui garnissent l'établissement. La Société a bien,
paraît
-il, quelques petites dettes, par ci, par là ; mai
M. Ch. Lévêque, professeur à la Faculté des lettres de Paris, a fait
paraître
dans la Revue des Deux-Mondes (15 avril dernier)
avancés que vous dans le temps présent. Cette courte exorde nous a
paru
indispensable pour oser dire que nous voulons déf
11 s’était décidé à composer cette œuvre de démence, et qui fait bien
paraître
la fragilité des plus grands esprits, en voyant b
ussion, la conviction des dissidents et des indécis. M. Cahagnet ne
paraît
pas s’être livré lui-même à des opérations de ce
és. Sur la production des tempêtes, M. Ricard (Cours de magnétisme)
paraît
disposé à reconnaître l'influence du fluide humai
nception de l’idée d’esprit due aux nouveaux spiritualistes, ils nous
paraissent
donner la main, sans s’en douter, aux démonograph
t sur la table, et je recommençai à chanter la même chanson ; mais il
paraît
que Jinn n’est pas professeur de guitare, car son
s’aperçut que ce n’était pas le sien, maiscelui de sa sœur. Ainsi, il
paraît
que Jinn et ses amis avaient changé les souliers
ovembre dernier, chez le nommé C..., exerçant à Marseille, à ce qu’il
paraît
, la profession de guérisseur parle magnétisme. Ch
s par lesquels on les explique. Le Spiritual Telegraph du 1" mai nous
paraît
surpasser en merveilleux tous les récits de ses c
ent pas se dépouiller d’opinions préconçues. Homme de savoir, il nous
paraît
avoir voulu montrer aux ministres du culte que, n
nt beaucoup moins explicables ici que là. Quant à vous, docteur, vous
paraissez
voir, dans le premier cas, un fait purement psych
oup le silence, et s’adressant à k de L... — Monsieur, dit-il, vous
paraissez
résolu à ne croire au-cnn des faits qu'on vous ra
un volume de M. Louis Ulbach, sur les Secrets du Diable, qui »¡ent de
paraître
chez MM. Michel Lévy. l’automne dernier, piqu
t que la dame châtelaine, morte en ÜOO, qui, depuis cinquante ans, ne
paraissait
plus à New-Ebersteiïï, s’était montrée deux fois
crus entendre un bruit violent qui partait au-dessus de ilia tôle, et
paraissait
s’avàn-cer rapidement vers moi. J’étais dans un a
très-subtils, et l’àme humaine, considérés dans tous leurs rapports,
paraissent
jouer ici le rôle principal. Préjugés. Dans tou
lacés. Ces phénomènes sont dus à différentes causes, dont la première
paraît
être un agent très-subtil, et connu clans la scie
nature nous échappe, mais dont on ne peut guère nier l’existence, qui
paraît
produire entre deux individus une influence récip
s, et peut-être la mort. L’ouïe, l’odorat, le goût de ces somnambules
paraissent
doués de la même impressionnabilité. Les somn
plus fortes, ne font aucun effet sur ces sujets; le corps, en un mot,
paraît
tout à fait insensible à la violence du fer et du
n. Nous extrayons ce récit d’un ouvrage intitulé : la Mystique, qui a
paru
, eii 1854, chez M. Poussielgue-Rusand, libraire.
s, ne mettent en doute l’existence et les tintamarres des esprits. 11
paraîtrait
donc qu’il y a plus de deux siècles, les hommes é
anima, ses prunelles rayonnèrent comme deux charbons ardents ; ¡1
parut
faire un violent clFort, et d’une voix sourde et
et redescendit au salon. Quand il y entra, aucun signe d’émotion ne
parut
sur son visage. 11 se mêla à la conversation, et,
res, ni la prudence, ni la probité, et qui. quoique inexplicables, ne
paraissent
pas sortir de la classe des faits physiques et ps
ces deux étais, ne leur pas supposer les mêmes causes ? 2° 11 nous
paraît
difficile à expliquer et dangereux de prétendre q
l faudrait nécessairement accorder à un bon nombre d'électriseurs qui
paraissent
plonger dans le somnambulisme et en retirer à leu
ait est une vérité, et d’autant plus importante, que le fait lui-même
paraît
sortir davantage de la vulgarité, il suit que la
sculaires. Enfin, en dirigeant spécialement son action sur la tête où
paraissait
s’être concentrée mon influence beaucoup plus que
entrée mon influence beaucoup plus que dans le reste du corps, on vit
paraître
quelques signes de sensibilité. L’opérateur ayant
étrangère une volonté confuse et non encore bien «* arrêtée ; l’ouïe
parut
peu à peu se rétablir. La malade ne pouvait pas e
es maux ! L’ignorance des savants, ainsi que celle des médecins, vous
paraîtrait
trop manifeste ; mais je rabaisse volontairement
s, sa clairvoyance n’eût été en défaut ; les dix minutes annoncées me
paraissaient
d’une longueur désespérante ; mon impatience, mon
quoi, (.’est d ailleurs une femme de beaucoup d’intelligence, et elle
parut
enchantée de l’effet produit. Le lendemain, je lu
'entendre, qu’il n’en demanda pas davantage pour être convaincu. 11
paraît
qu’elle a surtout le don de lire dans la pensée e
ue sa conversation avait lieu à haute voix ; toutefois, son organisme
paraissait
complètement changé, son état d’extase était tel,
mpte ; nous attendions que la lumière se (it, mais la lumière tarde à
paraître
, seulement une longue polémique s’est engagée ; o
endre même à ce que de nouvelles visions, toutes semblables, car cela
paraît
être une épidémie, viendront troubler l’esprit de
rdes. Mais la Publicité nivernaise ne l’entend pas ainsi, et ne veut,
paraît
-il, pas laisser entrer le Nivernais en concurrenc
siques dussent s’altérer sans recevoir aucune réparation, sa santé ne
paraissait
pas plus mauvaise, rien n’indiquait qu’elle eût f
ente la peau, il produit une sorte de chatouillement qui est loin, il
paraît
, d’être désagréable. La réalité de cette circulat
epuis si longtemps ne pouvait rien avaler, en but trois verres ; elle
paraissait
alors revenir à un état plus naturel. Ici, le méd
dans une brochure imprimée en petit texte. Cependant l'expérience ne
parut
pas complètement satisfaisante ; la somnambule ne
par conséquent tout ki fait curieuic de ces choses, dont l’aspect me.
paraissait
plus soleuaiel qu'étrange : ce cerveau a pensé, m
ond déluge, cet instant adù être bien court. Les habitants à ce qu’il
paraît
, n’ont vu dans tous ces faits rien de diabolique
elle pensa que c’étaient sa femme et ses deux fils. Cette prédiction
parut
fort étrange , car M. X... était d’une constituti
ment réveiller les dormeurs magnétiques, lorsque leur sommeil m’avait
paru
infiniment trop prolongé, c’était en vain ; il y
t la perpétuité, parce qu’ils se trouvent bien dans cet état qui leur
paraît
infiniment plus supportable que la veille. On les
ôt elle éprouvait des convulsions extrêmement violentes ; tantôt elle
paraissait
être en somnambulisme, parlait, répondait aux que
clara qu’elle se portait bien, qu’elle ne souffrait pas du tout, et a
paru
étonnée qu’on se fût alarmé à cause d’elle. A.
qui prouve combien sont maintenant vulgarisées des idées qui naguère
paraissaient
si étranges. Dans l’opéra bouffon, intitulé : Orp
its merveilleux qu'il attribue au (lamine Sempronius, 11e doivent pas
paraître
étonnants à ceux qui savent que les magnétiseurs
llyer exécuta les gestes connus en agissant sur son fils Frédéric qui
parut
plongé dans le sommeil. Plusieurs personnes e
sujet remua la tête et les épaules et se réveilla ; il souriait et ne
paraissait
qu’à demi redevenu maître de lui-même. Il resta a
succès du magnétiseur. Ce‘même individu, magnétisé par M. Gregerson,
parut
s’endormir. Quand il fut réveillé, 011 lui demand
ne puis mouvoir ni les yeux ni les membres. Une minute après, iJ
parut
plus maître de lui-même, et il fit le récit suiva
Commence à agir à h heures AO minutes.. Sept minute», après, le sujet
paraît
endormi. Le magnétiseur applique' ses; mains au-d
s mystères du sommeil, j’inscris ici un de ces rêves bizarres qui m’a
paru
mériter de figurer dans le journal. Do Potet.
v trouvaient assis sur un banc..., leur costume différait du nôtre et
paraissait
remonter à une époque plus reculée et d’un autre
, je fis de même en allant à leur rencontre, et alors un fait, qui me
parut
extraordinaire, se passa. Nous fûmes tous confo
anchait sur cette assistance vulgaire. La somnambule ne tarda pas à
paraître
. Elle avait la mine dure et maussade , une toilet
ayant sa source partie dans l'aimant, partie dans l’organisme humain,
paraissait
s’adresser à la fois au physicien et au physiolog
oute antiquitté. 11 y a donc aussi un lien entre ces phénomènes qui
paraissent
de prime-abord si distincts : — l’élévation de te
n français, et dont le Journal du Magnétisme a parlé lorsqu'elles ont
paru
. Depuis , ce savant professeur a publié deux volu
es sciences, du 14 novembre , annonce qu’une dernière brochure, qui a
paru
à Vienne cette année , sous le titre : le Monde d
ct sont de même nom ou de noms contraires. Jusqu ici les phénomènes
paraissent
spéciaux à l’organisme humain, et ne se rattachen
e avait été très-bonne, toute douleur avait cessé; ses règles avaient
paru
, avec une avance de deux jours, ce qui n’était ja
, elle était très-bien, avait bien dormi et les règles continuaient à
paraître
; mais si je m’approchais d'elle, les mouvements
e du roi, son oncle, me disait que, seulement lorsque la conversation
paraissait
languir, il avait soin de pousser quelque plat ve
énistes, la chose était indubitable; mais, selon ma conscience, il me
paraissait
que non. Toujours craintif et flottant dans cotte
anchement ;'i l’opinion (les finalistes, parce que leurs arguments me
paraissent
sans réplique et cadrent parfaitement avec mes ob
plus fortes ne font aucun effet sur ces sujets ; le corps, en un mot,
paraît
tout à fait insensible à la violence du fer et du
ont assises autour d’une table, et l'on entend retentir des coups qui
paraissent
venir de dessons la table ; ces coups, par leurs
j'ai reçu de vous. FRANÇOIS LEURET. AVIS DE L'ÉDITEUR. Lorsque
parut
, en 1839, le premier volume de Y Anatomic du syst
en compléter l'anatomic comparée du système nerveux. Personne ne nous
paraissait
, en effet, dans des conditions meilleures pour ex
ombre qui aient résisté à ce genre d'épreuve. Lorsque des faits m'ont
paru
incomplètement observés ou en trop petit nombre,
j'ai pris les autres, parce que la probité en matière de science, m'a
paru
aussi nécessaire qu'en toute autre chose. Les c
'hygiène publique et de médecine légale ne tardèrent pas, en effet, à
paraître
, et la promesse de M. Esquirol fut tenue. L'activ
rve, il s'acquitta de ce double devoir avec une' telle activité qu'il
paraissait
toujours exclusivement occupé d'un seul. L'admini
évation philosophique des idées et des sentiments qui s'y produisent,
parut
en 1834. Après l'abus qu'on avait pour ainsi dire
ls, et qui peuvent servir de preuve; mais ni M. Oken, ni M. Carlis ne
paraissent
s'en être occupés. M. Brachetqui adopte comme vra
férens nerfs. Je n'ai pu apercevoir d'œil quoique la figure de Phipps
paraisse
en indiquer un, ni aucun organe particulier des s
e ceux qui vont aux muscles ou aux organes nutritifs. Chaque ganglion
paraît
avoir des fonctions spéciales, le ganglion céphal
Le ganglion céphalique et les nerfs qui en émanent directement m'ont
paru
se rapprocher, plus que les autres, de l'organisa
e nom de ganglion céphalique , sous lequel il a été désigné et qui me
paraît
le plus convenable, particulièrement en ce qu'il
du défaut de développement du nerf olfactif des cétacés, où l'odorat
paraît
être très peu développé ; celui que l'on pourrait
t nombre. Ils ont la sensibilité générale, ou le sens du toucher, qui
paraît
s'exercer par toute la surface de leur corps, non
autres insectes, il y a des nerfs intermédiaires aux ganglions et qui
paraissent
tirer leur origine des cordons inter-ganglionaire
pu distinguer, à ces raci' nés, de fibres transverses; elles m'ont
paru
se continuer seulement dans les fibres longitudin
gement rachidien, des ganglions et des nerfs; et les diverses parties
paraissent
avoir les mêmes attributions physiologiques que d
and on approche une chandelle allumée du vase où elle se trouve; elle
paraît
manquer entièrement de l'ouïe, de l'odorat et de
que qu'ils agissent de concert ; leurs actions instinctives pour tous
paraissent
isolées, individuelles ou imitatives. Les ancie
le tarentisme, en considérant que l'époque à laquelle cette maladie a
paru
, est précisément celle où des convulsionnaires de
ussi venimeux que la tarentule, et les piqûres faites par ces animaux
paraissent
aussi avoir été suivies d'accidens très graves. L
ux araignées qui établissent leur demeure au-dessus des ruisseaux; il
paraît
que prévoyant la crue des eaux, elles élèvent leu
s facultés instinctives. Ces chenilles se dessèchent, ou plutôt elles
paraissent
se dessécher, et dans leur état de mort apparente
it çà et là sur le nid ; elle revenait constamment à la même place et
paraissait
avoir un dessein marqué, car elle travaillait ave
squ'une fourmi arrivée sur la place, après avoir visité ces ouvrages,
parut
être frappée de la même difficulté, car elle comm
rs placées en sentinelles à l'entrée de la fourmilière ; si le soleil
paraît
, ces sentinelles vont trouver leurs compagnes qu'
ectivement, elles ne tardèrent pas à s'y replacer. Leur premier soin,
parut
être de chercher leur femelle; elles étaient enco
rcle contre la cellule, avec quelques particules de cire. Ce qui nous
parut
alors fort singulier, c'est que celte femelle ren
oit la cause qui lui ait fait choisir celte altitude, les abeilles en
paraissaient
affectées, toutes baissaient alors la tête et res
les particularités. Lorsque la reine vient à manquer, les abeilles
paraissent
fort tourmentées de cet événement, pendant vingt-
ue tout rapport, tout désordre même, pourvu qu'il soit constant, nous
paraît
une harmonie dès que nous en ignorons les causes,
cet organe chez l'homme et chez les animaux, j'ai créé un mot qui m'a
paru
nécessaire pour rendre cette comparaison exacte e
s'en rapportait à la simple vue, l'analogie que l'on a voulu établir
paraîtrait
fondée ; mais si l'on étudie la structure comparé
sont doubles comme chez les hauts vertébrés. 10. Les renflemens qui
paraissent
sur la moelle épinière de l'anguille, n'indiquent
vu n'est pas le résultat de la macération ? Quelque vicieux que m'ait
paru
tout d'abord le procédé de M. Bauer, je l'ai mis
examiné que des portions séparées de la substance nerveuse, et il ne
paraît
pas que l'on ait songé à pla- (i) Op. cit., p,
e prolonge forl loin dans le canal vertébral. Cette différence, qui
paraît
capitale à beaucoup d'anatomistes, me semble à mo
e poisson-lune, aussi bien que la baudroie, tout exceptionnels qu'ils
paraissent
sur ce point, ne font que répéter d'une manière e
oelle épinière des poissons, en plus grande quantité que M. Serres ne
paraît
en admettre; ensuite, puisque les fibres de la mo
substance nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres des nerfs
paraissent
-elles plus régulières que celles de l'encéphale o
nt sous deux aspects différens : les unes sont comme granulées, elles
paraissent
de couleur jaune paille ; les autres sont blanche
ubule nerveux. 9e expérience. —Carpe. Nerf olfactif. A l'œil nu, il
paraît
fibreux ; au microscope, on découvre une infinité
es animaux, je ne croirais pas devoir renoncer à cette opinion, comme
paraît
être tenté de le faire, M. Langenbeck. En effet,
in d'en faire leur pâture. Tous marchent de concert, et les petits ne
paraissent
en aucune manière redouter les plus gros: c'est l
écailles dont la peau est couverte pourraient le faire soupçonner; il
paraît
être plus délicat sous le ventre, que partout ail
il se précipite de préférence sur les premiers qu'il sent à ce qu'il
paraît
d'assez loin, à cause de l'odeur qu'ils répandent
tomac avec l'hameçon; sinon, il flaire, s'approche, puis s'éloigne et
paraît
hésiter. Alors que l'on feigne de retirer l'appât
es et des rivières. On dirait que sa faim est insatiable, car elle ne
paraît
pas satisfaite par la grande quantité de poissons
or, n'éprouvant jamais aucune résistance, ils n'ont pas l'occasion de
paraître
cruels, et quand les gros poissons viennent les m
du corps. On en a retiré qui étaient ainsi enfoncés et dont les sens
paraissaient
entièrement émoussés; ils ne voyaient ni n'entend
'encéphale ou des différentes parties de cet organe, m'avait toujours
paru
singulière* Pour peser le cervelet, par exemple,
ards s'approchent des endroits habités par l'homme ; ils le voient et
paraissent
se plaire à le regarder, quelquefois ils semblent
au cerveau. 2epaire. Nerfs optiques. L'existence des nerfs optiques
paraît
n'être pas constante chez les reptiles. Tréviranu
tébrés existent chez les reptiles; cependant il existe un reptile qui
paraît
être dépourvu de nerfs optiques. 7. La comparai
encéphaliques ; les unes et les autres ne m'ont pas aussi évidemment
paru
canaliculées que les autres. Je dois eu termina
rations psychiques des animaux, n'est pas aussi impénétrable qu'il le
paraît
au premier abord; sur ce sujet nous nous regarder
ribuer leur fuite dès qu'ils entendent quelque bruit. Un besoin qui
paraît
être, chez eux, plus impérieux qu'aucun autre, es
se tenait ordinairement sous un escalier; il se laissait prendre, et
paraissait
même attendre qu'on le prît pour le placer sur un
es tortues de mer, en nombre parfois très considérable. Mais elles ne
paraissent
pas se rendre des secours mutuels; elles ont le s
met plus d'un mois à achever. L'amour est la seule passion qu'elles
paraissent
vivement ressentir ; la tortue jaune, muette en t
dents canines ou crochets. Toutes les vipères sont venimeuses, et il
paraît
qu'elles le savent, car souvent elles se cachent
ité. Il n'y aurait d'exception que pour un petit nombre d'animaux qui
paraissent
vivre partout ou presque partout, encore, pour ce
rédécesseurs de toutes les parties composant l'encéphale des oiseaux,
paraît
regarder les lobes cérébraux comme les analogues
ermé dans ces limites, le nombre plus ou moins grand des lamelles m'a
paru
être en raison directe du volume du cervelet. De
mineux viennent seulement des lobes optiques, et les couches optiques
paraissent
être complètement étrangères à leur production ;
d nombre dans les fibres de la moelle épinière ; particularité qui me
paraît
devoir être attribuée à ce que, dans la préparati
usoires s'agiteraient sur tous les points du globe, que le globe n'en
paraîtrait
pas moins plongé dans la torpeur; il serait morne
es, pas de reconnaissance des enfans aux géniteurs. Que les oiseaux
paraissent
, et la grâce de leur forme, l'éclat de leur pluma
tement jointes les unes aux autres. (2) (1) L'ouïe des gros oiseaux
paraît
être plus fine que celle des petits, car ils fuie
usieurs, car, chez les oiseaux comme chez l'homme, et même à ce qu'il
paraît
en plus grande proportion que chez ce dernier, il
es trouve jamais que réunis par grandes troupes , et leur attachement
paraît
s'étendre aussi bien sur tous les membres de la c
inolte, le martin, le serin el le rossignol. Quelques-uns d'entre eux
paraissent
attacher un sens à nos paroles, et souvent on a v
assurer que cette ressemblance n'est pas aussi grande qu'elle nous le
paraît
au premier coup-d'œil. Ceux qui les connaissent b
qui sont nouveaux pour nous et qui ont de l'analogie entre eux, nous
paraissent
, par cela seul et après un examen superficiel, êt
l. Le langage du corbeau, pour nous si monotone et si uniforme, lui a
paru
composé de vingt-cinq mots, très rapprochés les u
ait froid, elle reste des heures entières dans la même attitude, sans
paraître
animée par aucun instinct. Mais il faut remarquer
acilement à parler, qui retiennent le mieux ce qu'ils ont appris, qui
paraissent
attacher quelque sens aux mots qu'ils disent, et
à gorge jaunes. L'antipathie que les perroquets ont pour les enfans
paraît
avoir pour cause la jalousie. Les perroquets aime
par les passagers. Ainsi que plusieurs autres animaux, les perroquets
paraissent
avoir des rêves, car on a entendu ces derniers pa
s en devint tout maigre et mourut de chagrin. Une amitié réciproque
paraît
réunir tous les pétrels d'une même troupe, et qua
s la série animale, le développement des circonvolutions m'a toujours
paru
en rapport direct avec le développement du cervea
directe avec chacune de ces propositions. Le fœtus humain, dès qu'il
paraît
des circonvolutions à sa surface, a des (1) Op.
x encore, si on les met en présence d'un cerveau de lion ou de tigre,
paraîtront
avoir été imaginées tout exprès pour offrir un dé
t vrai, par les mammifères qui sont le moins inlelligens, et je terme
paraît
encore au-dessous de celui de Spurzheim, pour la
mmissure anléro-poslérieure de quelques mammifères, développement qui
paraît
d'autant plus considérable, que les autres commis
et par moi, indique à peine une tendance vers le résultat qui nous a
paru
assez clairement donné par les oiseaux, savoir, q
ânes d'hommes et d'animaux châtrés jeunes, la place du cervelet, elle
paraît
comme ratatinée; elle est beaucoup moins large et
ement; les ventricules, le corps calleux, les corps cannelés, lui ont
paru
d'une grande perfection, et c'est à leur conforma
ables par leur grande largeur; au premier aspect, celui de la baleine
paraît
aussi riche en circonvolutions que celui de l'élé
ans notre jugement, les adopter ou les rejeter, suivant qu'elles nous
paraîtront
justes ou erronées. L'autorité de Fréd. Cuvier, c
re ces deux points, j'ai coordonné les cerveaux de la manière qui m'a
paru
la plus favorable à leur description. La nettet
nt, non-seulement les choses qui sont à leur usage, mais celles qui y
paraîtraient
les plus étrangères, et l'éducation qu'ils reçoiv
ue le loup; en captivité et dans les climats tempérés, leur caractère
paraît
s'adoucir, on peut en apprivoiser quelques-uns et
fer. Le lion placé près de la loge du tigre et qui jusqu'alors avait
paru
assez inoffensif quand on ne l'approchait pas de
e que le mâle ; ceux-ci dévorent souvent leurs petits. » Le guépard
paraît
être, d'après la conformation de ses pieds qui so
la transition entre les carnivores et les frugivores ; cependant ils
paraissent
, à certains égards, plus cruels que les premiers
le chasse de la même manière et fait aussi des provisions. Son odorat
paraît
être exquis. Buffon en avait apprivoisé une, à fo
amponnent après elle, jusqu'à ce qu'ils soient en état de voler. Il
paraît
que toutes les localités entre lesquelles nous n'
rs ; un rat du nord, né sur les bords de la mer glaciale, le lemming,
paraît
être encore plus prolifique que le rat de Montfau
aux, avec des débris de plantes aquatiques. Il se nourrit, à ce qu'il
paraît
, d'herbes et de grains. (1) D. Sarigue, cayopol
qui le nourrissait et le caressait. Chaque fois qu'on le prenait, il
paraissait
effrayé et se cramponnait partout à l'aide de ses
eoffroy Sainl-Hilaire et Fr. Cuvier, 1.1. ne le défend pas, elle ne
paraît
pas s'en apercevoir. Toutefois, le bélier n'est p
; mais il ne peut jamais compter sur leur docilité. Leur intelligence
paraît
être inférieure à celle de l'âne; je dois ajouter
la détente d'un pistolet chargé, et a fait partir ce pistolet sans
paraître
surpris de la détonnation; il est même revenu exa
e si on a enlevé un phoque, ses compagnons pleurent sa perte : ce qui
paraît
certain, c'est que les phoques se connaissent, et
Les marins disent avoir vu des troupes nombreuses de ca chalots qui
paraissaient
commandés par le plus grand et le plus fort de la
en donne. Toutefois son obéissance n'est pas aussi passive qu'elle le
paraît
. U voyait du foin dans une] enceinte fermée par u
it l'habitude de le battre. L'éléphant, auparavant d'une humeur gaie,
parut
taciturne et l'on crut qu'il était malade : ses j
s émotions fortes en entendant la musique, quoique assez générale, ne
paraît
cependant pas constante, et elle a été niée par q
rêter peu d'attention à ce qui se passait autour d'eux, et les singes
paraissent
les regarder comme n'étant pas de leur espèce. Fr
its ne reçoivent aucune éducation. 27. La tendresse pour les petits
paraît
être plus durable chez les singes que chez les au
'est pas heureusement coi sie ; la brebis vit en troupe, mais elle ne
paraît
avoir d'attachement pour aucune de ses compagnes;
oint se sont bornés à choisir çà et là, quelques observations qui lui
paraissaient
en harmonie avec des idées conçues à priori. Il s
'analyse anatomique des cerveaux, et en voyant que les phrénologistes
paraissaient
sentir l'importance d'études précises faites sur
ntal de l'organe est de procurer des moyens d'alimentation comme cela
paraît
certain. » Mais , pour répondre à Broussais et
as une loi. La présence ou l'absence des circonvolutions cérébrales
paraît
avoir une valeur beaucoup plus grande que la plup
de la chèvre. Le cerveau du moufflon est aussi subdivisé, mais il m'a
paru
un peu moins ondulé que celui du mouton ; celui d
ux chez les carnivores et chez les herbivores, des différences qui me
paraissent
dignes de fixer l'attention des anatomistes. La
ême au niveau de la plupart des ruminans. A cette objection, qui me
paraît
sans réplique, j'en ajouterai une seconde qui ne
s de localisations cérébrales: ce qu'un certain nombre de faits avait
paru
démontrer est démenti par un nombre plus grand. P
e l'orang-outang mettez celui du chien et celui du mouton : le mouton
paraîtra
, d'après cette règle, de beaucoup supérieur au ch
ans ce cas, elle est généralement plus tardive ; la résistance vitale
paraît
plus grande, parce qu'elle est moins concentrée.
e affection en partie différente et profonde. Cette distinction ne me
paraît
pas complètement en rapport avec les faits. Con
re, soit sur les parties latérales ; on cite même un cas où il aurait
paru
à la partie antérieure de la poitrine, en contour
sque jamais rencontré dans les autopsies. L'étendue de la matité nous
paraît
causée plutôt par la présence du pus ou des tuber
cas de ce genre, les ganglions se mortifier par la présence du pus et
paraître
au dehors sous la forme de champignons. L'orifice
sale. Après avoir été traité pendant plusieurs années, ce jeune homme
parut
guéri; il ne ressentait plus de douleurs et tous
, en dormant, était pris subitement d'accès de suffocation. Peu après
parut
au cou une petite tumeur qui fut prise d'abord po
ait être saine dans une partie de son épaisseur. Cette explication me
paraît
plus probable que celle d'Ollivier (d'Angers), qu
ébral. Vers la fin du siècle dernier, dans la même année, en 1779 ,
parurent
deux opuscules, qui traitaient du mal vertébral.
acides concentrés. La cautérisation produite par ce moyen ne m'a pas
paru
préférable aux précédentes; elle ne produit pas,
ant de mal vertébral, tous les moyens avaient échoué, lorsqu'un abcès
parut
sur le côté du cou ; à dater de ce moment, la par
ances, l'enfant allait mieux. Il marchait avec hésitation ; mais cela
paraissait
plutôt dû à un reste d'affaiblissement général, à
je lui montrai cette malade ; il l'examina, et me dit : Le cas ne me
paraît
pas clair ; je n'opérerais pas. J'ai suivi son co
ur et publiée par M. Séguin comme un cas de torticolis musculaire, me
paraît
un exemple de synovite sous-occipitale guérie par
des os en rendant aux parties leur attitude normale. Ce principe m'a
paru
vrai dans certains cas de maladie sous-occipitale
est aujourd'hui un fait bien constaté. L'explication de Dupuytren me
paraît
encore la plus plausible, et si l'on admet des ps
. A cette obliquité vient s'ajouter un certain degré de rotation. Ici
paraît
la première erreur de Du-puytren. Suivant ce chir
les sujets rejettent le corps du côté opposé ; la hanche de ce côté
paraît
s'élever. De là une claudication à double mouveme
ation, l'attitude, les mouvements de la cuisse. Cette condition ne me
paraît
point indispensable, et il est en effet bien plus
de réduire le déplacement clans ces circonstances, et ces tentatives
paraissent
avoir été un peu plus fréquemment couronnées de s
semblera incroyable, tant c'est véritablement prodigieux, — tout cela
paraît
le produit d'une illusion, d'un mirage, et, pour
illeurs aucune circonstance complètement défavorable à la réussite ne
parût
s'y opposer, vous pourriez tenter de reconstituer
. Vous ne nierez pas la persistance de la claudication, parce qu'elle
paraîtra
un peu diminuée. Vous ne méconnaîtrez pas une têt
e erreur. Cette enfant, atteinte de luxation congénitale double, me
paraît
présenter la complication que j'indique : la flex
nystagmus, c'est-à-dire d'oscillations fréquentes et peu étendues; il
paraît
jouir d'une abduction complète. VIe cas. — Nous
ème image est toujours située à sa droite. Le mouvement d'abduction
paraît
à peu près égal des deux côtés. IXe cas. — Ce j
ment la conjonctive. Malgré les reproches qu'on lui a adressés, il me
paraît
encore, comme méthode générale, préférable à tous
es. Les choses se passent différemment dans les muscles de l'œil ; il
paraît
que les deux bouts ne se réunissent jamais ; du m
jonclival. Le cas dans lequel M. Bonnet a cru voir celle réunion nous
paraît
prouver le contraire; et quant aux observations f
lement, le défaut de convergence dont je viens de parler; l'abduction
paraît
complète comme l'adduction. VIe cas. — Cette ma
il gauche retournait à sa position vicieuse. En lisant, l'enfant ne
paraissait
regarder que de l'œil droit, l'œil gauche restant
'extenseur-adducteur du pied. Le long fléchisseur du gros orteil ne
paraît
concourir à l'exten-sion-adduction que dans des c
frant des exemples de pieds plats à différents degrés, qui la plupart
paraissent
être congénitaux. Ier cas. — Chez l'un, pourtan
ne peut nier que, dans certains cas, la pression des membres du fœtus
paraisse
réellement donner lieu à des inclinaisons permane
d bot équin varus à droite, survenu à la suite de convulsions qui ont
paru
à l'âge de dix-huit mois. On fît, dès l'âge de de
un exemple qui se voit au musée Dupoytren; sur cette pièce, le tib;a
paraît
avoir éprouvé une torsion, et la rotule ne répond
cause du renversement en dehors du calcanéum, et l'adduction exagérée
paraît
résulter de la contraction des fléchisseurs des o
tenir compte de la direction opposée de la déviation. L'ankylose ne
paraît
pas très-rare dans le valgus ; vous en voyez ici
i le pied équin est-il habituellement un pied creux. Le long péronier
paraît
êlre l'agent principal de cette déformation ; ce
e de son inclinaison et de la pression du tendon d'Achille; tout l'os
paraît
allongé et se termine en arrière par une extrémit
li très-pofond à la piaule, et un grand élargissement du talon. 11 ne
paraît
pa , aujourd'hui, y avoir de valgus avec cette dé
des Indiens, il avait imaginés pour les fractures, et cette méthode a
paru
chez nous assez importante pour devenir l'objet d
à chaque coussin est fixée aux boutons de la semelle ; si le pied ne
paraît
pas suffisamment fixé, on peut ajouter d'autres c
'extérieur. Mais l'un de vous me fait remarquer que la section ne lui
paraît
pas complète, qu'il trouve sous le doigt une brid
peu fait connaître les détails et les résultats de ces opérations; il
paraîtrait
môme qu'on n'a pas toujours bien su ce que l'on c
uand j'ai eu à la pratiquer dans la première année, son innocuité m'a
paru
la même que dans un âge plus avancé. Cependant il
nocuité m'a paru la même que dans un âge plus avancé. Cependant il me
paraît
sage, en général, d'attendre quelques semaines ou
elle aussi? Glisson le croit: le rachitis, d'après cet auteur, aurait
paru
dans certaines contrées occidentales de l'Anglete
d'altération propre au rachitisme. La graisse des os rachitiques ne
paraît
pas différer de celle des os normaux; elle est so
par les pressions que les os peuvent y subir, fractures dont les unes
paraissent
récentes, tandis que d'autres sont en voie de con
enfants rachitiques. Réciproquement, le défaut de résistance du crâne
paraît
influer sur le développement du cerveau, ainsi qu
utant qu'on peut en juger à cet âge, le développement intellectuel ne
paraît
pas aussi avancé que chez un autre enfant. Le r
fontanelle ossifiée ; le thorax est déprimé latéralement ; le rachis
paraît
infléchi, il y a une déviation dorsale latérale d
téralement, avec chapelet bien marqué. Le rachis est droit; le bassin
paraît
régulier. Les membres supérieurs n'offrent pas de
exemples de rachitisme rassemblés par cet excellent observateur ne me
paraissent
pas assez nombreux pour renverser l'ordre établi
i un cas où la courbure est aussi anguleuse que dans une fracture. Il
paraît
naturel d'attribuer cette (1) Buffon, Histoire
orax ajoute à la gêne de la respiration. D. Les viscères abdominaux
paraissent
volumineux ; mais le développement de l'abdomen e
a muqueuse intestinale, l'engorgement des ganglions mésentériques, ne
paraissent
pas plus fréquents dans cette affection que dans
ne époque de la vie, et le rachitisme à une autre époque, comme elles
paraissent
, dans des cas exceptionnels, produire à la fois l
u trop âgés, donnent des produits semblables, l'influence héréditaire
paraît
incontestable. Le rachitisme congénital ne peut d
trumeuses, qui attaquait les porcs de Westphalie. Le régime animal ne
paraît
pas agir sur ces quadrupèdes comme sur les petits
t, était maigre, débile en sortant de nourrice, à neuf mois ; mais il
paraît
qu'elle avait encore les membres droits. Aujourd'
rrière, perd complètement cette convexité dans l'extension. Le bassin
paraît
bien fait. Les membres inférieurs sont courbés en
Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et
paraît
lié à la période de ramollissement des os. C'est
igu est accompagné d'une fièvre d'abord passagère. puis continue, qui
paraît
coïncider avec le moment du plus grand ramollisse
uvé ce souffle que dans le rachitisme (3). De nouvelles recherches me
paraissent
nécessaires pour fixer la valeur de ce signe. Les
es, tour à tour vantés et proscrits dans le traitement du rachitisme,
paraissent
depuis quelque temps reprendre faveur. Je ne conn
e cas. — Voici une petite fille âgée de trois ans et quatre mois, qui
paraît
forte et bien portante. Elle n'offre qu'une dévia
e, aussi bien que le sens qu'on lui a attribué. Et, en effet, ce sens
paraît
avoir varié chez les GreGs mêmes : SxoXiWiç désig
des épaules sont saillants ; ils tendent à se rapprocher, ce qui fait
paraître
la poitrine comme rentrée et plus étroite ; le ve
a gymnastique , est particulièrement applicable lorsque les exercices
paraissent
insuffisants à cause de la résistance des parties
yen ne serait indiqué que si la contraction et la tension des muscles
paraissaient
de nature spasmodique , et si elles persistaient
dirai, en terminant, quelques mots de la lordose congénitale, qui me
paraît
rentrer dans la même catégorie. A. La-contractu
En un mot, ce n'est qu'une courbure par flexion ; mais cette flexion
paraît
dépasser les limites de l'état normal, et elle po
uteiller, il y avait de plus transposition des viscères. Le cerveau a
paru
normal, mais la pièce était trop altérée pour qu'
direction des os coxaux. Ainsi voilà toute une série de désordres qui
paraissent
dériver d'une même cause, d'une pression mécaniqu
lle témoignages l'attestent ; il me suffirait de citer Ésope, s'il ne
paraissait
démontré que la difformité du célèbre fabuliste n
te que ne le croyait Sabatier, surtout si l'on tient compte, comme il
paraît
le faire lui-même, des cas où elle n'est représen
ure se bombe légèrement du côté convexe de la courbure vertébrale, et
paraît
légèrement aplatie du côté concave. L'épaule, à s
ulevée du côté où leur excès de courbure les rend plus saillantes, et
paraît
plus déprimée de l'autre côté. C'est là la vérita
es exemples de courbure latérale normale : Ier cas. —Ce garçon, qui
paraît
avoir seize ans, bien qu'il n'en accuse que quato
roite; il en est résulté une très-légère voussure dorsale gauche, qui
paraît
plutôt due à une flexion latérale physiologique q
nfin, voici un dernier exemple où la compensation et même l'équilibre
paraissent
avoir été impossibles. Le cou, en totalité, est p
us un peu plus minces d'un côté que de l'autre. Cette déformation m'a
paru
moins prononcée que celle des noyaux osseux. 2°
'un effet de la déformation des vertèbres, et la rotation totale me
paraît
due à l'inégalité de la pression supportée par le
ièces. D'autres fois, exceptionnellement, le rétrécissement du bassin
paraît
dépendre de la courbure dorsale et siège du même
ure dorsale est prédominante. Somme toute, les déformations du bassin
paraissent
dépendre de la manière dont le poids du corps est
uvent racourcie, et c'est alors uniquement son étroitesse qui la fait
paraître
plus longue. Cette tête d'une jeune fille gibbeus
aux individus gib-beux des membres longs et grêles ; leur longueur ne
paraît
excessive qu'en raison de la brièveté du tronc ,
nfiguration nouvelle du thorax. Son sommet et sa base, moins réduits,
paraissent
renflés parce qu'ils correspondent à la concavité
'ils supportent en commun. Aussi sa configuration, ses dimensions, ne
paraissent
-elles pas altérées sur la plupart de ces dessins
à se loger dans l'étroit espace que lui laissait le poumon, et qu'il
paraissait
fortement appliqué contre les deux parois thoraci
2). Il est quelquefois en partie graisseux ; mais cet état ne m'a pas
paru
plus fréquent chez les sujets gibbeux que chez le
es pl. 12, fig. 2; 13, fig. 1 et 2. Vous remarquerez que l'aorte ne
paraît
pas toujours située à la gauche des vertèbres dor
rres. Vu en avant, vers sa partie moyenne et sa face convexe, le foie
paraît
peu s'éloigner de l'état normal, ainsi que vous l
ngenitis circa thoracem et abdomen. Erlangœ, 1810, pag. 6. bures ne
paraît
pas ici aussi générale qu'après la naissance ; el
u rachis et même des gibbositês; mais d'autres déviations vertébrales
paraissent
se rapporter plutôt à la scoliose par simple flex
e. La contracture des muscles du tronc, si rare après la naissance,
paraît
plus fréquente chez le fœtus, et certaines scolio
u'ils ne tordent pas deux fois le rachis en sens inverse , comme on a
paru
l'admettre? Vous voyez bien que cela est impossib
la scoliose se montre ou qu'elle se prononce davantage, si elle avait
paru
auparavant. On comprend, d'après ces considérat
de débilité générale. En résumé, la scoliose spontanée, régulière,
paraît
généralement produite par l'action de l'aorte sur
r degré. Voici cependant une petite fille de trois ans et demi qui me
paraît
atteinte d'une scoliose pleurétique commençante.
emi. Il y a encore des traces de vésicatoire de ce côté. La déviation
paraît
récente, et n'existait pas, au dire de la mère, i
se antérieure et postérieure du polichinelle. Les organes thoraciques
paraissent
gênés ; il y a des palpitations et de l'anhélatio
, cette énorme courbure dorsale que vous avez sous les yeux, qui nous
paraît
évidemment primitive, ne serait qu'une suite de c
nd des symptômes insolites persistent sans cause connue ; mais il m'a
paru
bien rarement démontré que les accidents de ce ge
général de la jeune fille. Les irrégularités, dans les autres cas, ne
paraissent
pas liées à l'existence de la scoliose. Rien n'
de l'autre côté; le bassin est abaissé à gauche; cette attitude fait
paraître
davantage la bosse, et fait passer la scoliose du
fin de la deuxième période ou au commencement de la troisième. Elle a
paru
spontanément, longtemps après une attaque très-lé
oumon anère et celle des corps vertébraux tournés à gauche. Le cœur
paraît
atsez gros; ses battements sont forts; quoique si
, ne présente pas de lésion fonctionnelle sensible; tous ses viscères
paraissent
dans l'état naturel. Le foie ne dépasse pas les f
u toucher la crête iliaque gauche, beaucoup plus élevée qu'elle ne le
paraît
à la vue. Le développement général de cette enf
nce n'est nullement compromise, au moins pour le moment. Celte enfant
paraît
même assez vivace. Elle était entrée dans le serv
prend pour la guérison d'une vraie scoliose. La méthode dynamique a
paru
quelquefois suffire pour rendre la déviation stat
ment sur une » espèce de planche un peu matelassée (2). » Ce précepie
paraît
avoir été le point de départ de l'usage des lits
rticulière, et lorsque l'état de station droite qui les accompagne ne
paraîtra
pas devoir détruire l'effet des moyens de redress
quoique employée dans les palestres comme exercice préparatoire, elle
paraît
avoir été peu usitée dans les gymnases. Les pierr
on horizontale, accompagnées de pressions sur la [gibbosité (3). Cela
paraît
concerner plutôt la cyphose que la scoliose; mais
ès-grande souplesse. "Werner, médecin allemand que j'ai déjà cité, me
paraît
avoir confondu l'effet direct de la pression, qu'
e à gauche. Cela change tout l'aspect du tronc: la courbure dorsale
paraît
beaucoup diminuée et la lombaire augmentée; la dé
e dorsale plus prononcée. Cette enfant porte un appareil à levier qui
paraît
bien fonctionner. Il n'y a pas de douleurs, et l'
est-à-dire l'ostéite : Il a une ostéite de la tête de l'humérus. Il
paraît
doué d'une très-bonne santé, et il semble que ce
est fait, c'est par le sous-scapulaire. La première fistule qui ait
paru
, je la nommerai deltoïde, parce qu'elle est creus
l est bien à nu en ce point, et je crois qu'il l'est plus qu'il ne le
paraît
. Mais ce n'est pas tout encore. Il faut savoir
a pas ici de physiono¬mie syphilitique. Les ostéites de cette nature
paraissent
brusque¬ment, et puis elles s'arrêtent, elles res
restituerons une partie de la mobilité de son membre. L'opération me
paraît
parfaitement justifiée. Je vais d'abord faire u
ouleurs seu¬lement dans les petites mamelles. Depuis sa grossesse a
paru
une tache pigmentaire sur la ma¬melle axillaire g
es possèdent un mamelon peu coloré, une très-petite auréole ; le lait
paraît
sourdre en une goutte unique. Le 7 octobre, la
s frictions stibiées dans le traitement des ncevi. Ces frictions, qui
paraissent
avoir été d'abord employées par Young etCumming1,
diffère pas beaucoup de celle de M. Ziessl. Mais tandis que celui-ci
paraît
conseiller l'emplâtre stibié seulement contre les
ustation des cartilages est inséparable de la goutte arti¬culaire, et
paraît
exister dès le premier accès ; 2° chez un sujet g
ongueurs,de digressions inutiles, habituelles à^certains auteurs, qui
paraissent
surtout désireux de fabriquer de gros volumes.
de l'induration de leurs parois : les testicules et leurs annexes ne
paraissent
pas être al¬térés; il y a une hernie inguinale ga
par nous s'il n'avait pré¬senté plusieurs particularités qui nous ont
paru
dignes d'être re¬levées. Nous ferons suivre notre
ngle, c'est-à-dire vers le milieu de la région dorsale. Cette portion
paraît
répofldre aux vertèbres cervicales et à quelques-
-moratifs que ceux d'un refroidissement, l'abcès idiopathique pleural
paraît
plus probable que l'abcès idiopathique pulmonaire
tivement au mode de pénétration de l'épi, une seule supposi¬tion nous
paraît
admissible, c'est que le malade aurait eu cet épi
e dans lesquels il n'a pu constater aucun battement, mais qui lui ont
paru
avoir le caractère d'anévrysmes miliaires ; l'aut
rtiale sincérité dans nos appré¬ dations pour féliciter ce qui nous
paraît
digne d'éloges et pour blâmer ce que nous n'appro
s ou moins actifs. Nous avons réuni, nous ne disons pas tout ce qui a
paru
sur ce sujet, mais au moins un certain nombre de
ntervalle il contracte une blépharile (15 ans) qui persiste encore et
paraît
due plutôt aux poussières qu'il fait en travailla
on en avant, perte de connais¬sance, chute, cyanose de la face : " il
paraît
que j'étais tout noir, » écume à la bouche. A-t-i
large et se terminait par un petit renflement qui, h la loupe, nous a
paru
être la tête. Nous avions mis cette partie de côt
it un peu d'excès et le len- 1 Le choc du marleau sur l'enclume lui
paraissait
double. - M. Hardy était alors en vacances. dem
ique donné par l'auteur à son ouvrage. La région du larynx vient de
paraître
; le cerveau est en prépara¬tion. M. Witkowski no
s-succinctement nos trois volu¬mes, et signaler les mémoires qui nous
paraissent
être les plus remarquables : pour être juste, il
decine légale, par M. Yeknois1.) Il y a un certain nombre d'années,
parut
dans un journal américain une note conçue à peu p
times dans l'esprit. Les expériences auxquelles je me suis livré me
paraissent
donc peu favorables à l'opinion émise par le doct
quel-ques circonstances, mais fort rares et sollicitées, l'impression
paraît
pouvoir durer quelques minutes. La loi de la pers
nues avec les deux planches, certaines lettres et certaines lignes ne
paraissent
pas sortir du plan du papier. C'est là le moyen l
trument, et l'on recherche si dans l'image résultante tous les traits
paraissent
être dans le même plan. On devra appliquer la p
t Grenet, une nouvelle espèce de taenia dont la description aurait dû
paraître
dans son entier. Mais par erreur la fin de cette
uvelle (Bulletin de la Société médicale de l'Aisne, 1866, p. 88) nous
paraît
susceptible d'être rangée dans la même catégorie.
résisté au sulfate de quinine et ils ont au contraire tout à fait dis¬
paru
sitôt que le parasite a été expulsé l. Aux symp
rétablit, et l'aphasie, de même que les phénomènes paralytiques, dis¬
parut
. L'auteur ne s'est pas borné à cette simple con
s, Jackson, Lancereaux, Minich, Munck, Gior, Dumolel, Bussel, Leared,
paraissent
appuyer cette manière de voir.) La seconde caté
sur le Monstre double monocéphalicn, répondant aux planches XI et Xll
paraîtra
dans le prochain numéro. Le Gérant : a. de mont
t des grumeaux fibrineux. Après chaque exploration avec le stylet, ap¬
paraît
un léger écoulement sanguin dû à la déchirure de
raitement trouvé par Bertolus dans ses expériences sur les animaux a,
paraît
-il, une efficacité réelle. " Un jour, écrit M. Lo
mment cette deuxième dose suffit. Les enfants, au dire de M. Podesta,
paraissent
plus rebelles à l'action des semences de ci¬troui
e par la sonde. Le quatrième jour, la réunion des bords de la fistule
paraissait
par¬faite. Deux fils d'argent furent enlevés le h
t que la fixation des dents par des fils métalliques. L'appareil nous
paraît
hors de cause. La pointe métallique de Malgaign
qu'a d'insolite une pareille thérapeutique: mais si insolite qu'elle
paraisse
, dès lors qu'après avoir essayé toutes les méthod
iciles et graves, elle sauvera quelques membres qui jusque-là avaient
paru
condamnés à l'amputation ; et l'enjeu est assez b
mique, le 12 mai 1870, par M. Gripat, interne du service. Le malade
paraissait
devoir guérir parfaitement de cette lésion, lorsq
augmentation de la paralysie du train postérieur, où les convulsions
paraissent
avoir leur maxi¬mum. Larmoiement très-prononcé: l
araissent avoir leur maxi¬mum. Larmoiement très-prononcé: l'animal ne
paraît
plus voir. — 10h35-40 : l'animal est couché sur l
étude aussi approfondie. II. Analyse de la pulsation. — Si le pouls
paraît
simple à la main qui le touche, il n'en est plus
it survenue à la suite d'une couche ; elle toussait beaucoup, mais ne
paraît
pas avoir eu d'hémoptysie. Elle était sujette à d
extrémité unguéale arrive à peine à leur ligne d'implantation. Il ne
paraît
plus formé que par la phalangette et la phalangin
ppellerons l'attention sur quelques particularités cliniques qui nous
paraissent
ressortir de cette observation. — La fin au pro
s inguinales continuent, et la contracture est revenue assez forte et
paraît
plus générale.— Temp. 37°,5—Six grammes de chlora
ts grammes en vingt-huit jours, enfin d'une action réelle et prompte,
paraît
exempt des inconvénients qu'on pourrait reprocher
upe de préférence les régions cru¬rales lombaires. Le liquide contenu
paraît
être de la sérosité du sang, renfermant quelques
premier lieu, un mémoire de M. Charcot sur quelques arthropathies qui
paraissent
dépendre d'une lésion du cerveau et de la moelle
ce qui a été dit plus haut. La sensibilité à la douleur et au contact
paraît
conservée aux cuisses. Le froid produit une sensa
sont plus saillants qu'autrefois; les pupilles, moyennement dilatées,
paraissent
peu contractiles. La faiblesse de la vue a encore
aleur et le froid, mais, pour les diverses espèces de sensibilité, il
paraît
y avoir un assez long retard dans la perception.
sont saillants. La cavité glénoïde de l'omoplate, facilement sentie,
paraît
moins creuse qu'à l'état sain; son bord an¬térieu
ie sem¬blait considérablement augmenté à la percussion, et cet organe
paraissait
dépasser de deux travers du doigt le rebord infér
ésultant de l'examen des urines, dans les cas de calculs rénaux, peut
paraître
extraordi¬naire. Il n'est pas très-rare cependant
n succédèrent bientôt à la perte de l'appétit, et la vie de la malade
parut
en danger aux membres de sa famille. C'est à ce
sidérable que les autres. Il résulte de cette discussion qu'il nous
paraît
clairement dé¬ montré qu'aucune des opinions pr
s, P. 126; T. R. 40°,2. Le malade est somnolent; la contracture a dis¬
paru
. A 9 heures, le malade s'est un peu affaibli ; le
u affaibli ; le pouls a perdu de sa force. La toux et l'expectoration
paraissent
gênées. On prescrit une dose de chloral pour la n
rs bien. Soir : P. 64; T. 30",5. ~~ La fièvre, dans ce cas, ne nous
paraît
attribuable qu'à la montée du lait, car l'auteur,
itexiste-t-elle réellement? Les faits que nous venons de relater nous
paraissent
indiquer d'une manière catégorique la réalité de
certaines pyrexies (cette cause n'est mentionnée qu'avec réserve; il
paraît
beaucoup plus rationnel, en effet, d'admettre que
été remis en honneur dans ces der¬niers temps, et des faits nombreux
paraissent
attester d'une manière incontestable l'influence
ôtés de la rotule et dans le creux poplité. Les pieds, les hanches ne
paraissent
pas malades. Membres supérieurs. Ni déformation
ntité d'ophthalmies que l'on observe sur les bords du Nil, et il nous
paraît
nécessaire d'invoquer d'autres causes. Suivant no
ndre les moyens de se préserver de leur contact. Ce dernier fait peut
paraître
très-surprenant : il est cependant l'expression d
des doses variant de 30 à 60 grains. Une ou deux fois, comme le coma
paraissait
être une contre-indication, on ne donna pas le mé
ade prend un second bain à la suite duquel les convul¬sions cloniques
paraissent
augmenter d'intensité et de fréquence. P. 128 ; c
otre seconde observation nous fait voir, de plus, que la tempé¬rature
paraît
s'élever progressivement dans les cas qui se term
s services généraux, cuisine et dépendances, hydro- thérapie, etc.,
paraissent
combinés en vue de l'asile seu- lement, mais de
nt la position paralyse d'ailleurs un espace très important, et qui
paraîtrait
pou- voir être mieux placée par une interversio
ations profondes et par consé- quent coûteuses. Du reste l'auteur
paraît
n'avoir pas en lui-même une confiance entière d
Les bâtiments désignés sous la rubrique de Pavillons agricoles ne
paraissent
pas bien déterminés dans leur ob- jet et devrai
long et abondant, surtout les premiers. - La sensibi- lité générale
paraît
physiologique. La parole n'est pas tout à fait
xtrait du procès verbal de la séance du 30 juin du Conseil général,
paru
dans le Bulletin muni- cipal officiel du 1er ju
es, surtout chez les enfants. Le salicylate de chaux, dans ces cas,
paraît
très efficace. Il aurait Diarrhée chronique ET
ou bord externe. Intelligence : très peu développée, pourtant I'...
paraît
rccon- naitre les personnes qui le soignent; du
nt de succomber à la suite de tuberculose pulmonaire. - Les accès
paraissent
avoir diminué de fréquence. 3 décembre. - Chute
décembre. T. R. 39-, 2 ? Soir : 40". 2. 30 décembre. - La sonorité
paraît
un peu revenue à droite, respiration soufflante
ments, l'hérédité serait peu chargée et la cause de l'idiotie, qui
paraît
congénitale, aurait échappé. II. Notons au poin
jour, et après chacune léger écoulement sanguinolent; les selles ne
paraissent
pas douloureuses ; a rendu un ver. On a combatt
tandis que les épileptiques qui reviennent vite à la connaissance
paraissent
conserver longtemps, sinon toujours, leur intel
reste de la journée, un certain degré d'obttcsio7t intellectuelle,
paraissent
frappés plus promptement de démence. III. La
la potion précédente, on a eu recours au ratanhia et les selles ont
paru
devenir plus épaisses. Le malade est plus gai,
st indifférent « elle ne connait que son biberon » ; autrefois elle
paraissait
reconnaître son père, plus maintenant. Quelquef
présente une fine vascularisation. Les nerfs optiques et olfactifs
paraissent
égaux, mais la bandelette optique gauche est d'
mois et demi. 'Toutes les causes que nous venons d'énumérer nous
paraissent
suffisantes' pour démontrer la congé- nialité d
ides progrès. ' 26 février. - L'enfant qui tousse depuis la veille,
paraît
très abattue, et a de la diarrhée. T. R. 37", 8
petit haricot aplati. - Les différentes parties de la base du crans
paraissent
symétri- ques. - Le liquide céphalo-rachidien e
e. - Les nerfs optiques et les bandelettes optiques sont maigres et
paraissent
atrophiés iL un degré inégal, plus à gauche. Il
oujours, pour la prote- bérance et la pyramide bulbaire. Les olives
paraissent
égales. Cerveau. - En juxtaposant les deux hé
mêmes lésions que nous avons signalées sur la face oxterne, elles
paraissent
même un peu plus étendues que du côté droit. No
ation précédente (V. p. 54). Les deux faisceaux pyramidaux nous ont
paru
intacts, à tous les niveaux, sans sclérose ni a
bien développés, ne présentant rien d'anormal ; cependant l'enfant
paraît
avoir moins de force dans ç le membre gauche. M
jours son pouce. Membres inférieurs bien développés, le côté gauche
paraît
très légèrement plus petit que le droit. L'enfa
lle boit avec avidité. - L'odo- rat et le goût existent; la musique
paraît
impressionner agréablement son oreille. 1896.
un véritable centre de ralliement où toutes les circonvolu- tions
paraissent
s'être donné rendez-vous. Ce n'est pas tout : s
nt être regardée comme étant toujours un arrêt de formation; elle
paraît
tout au contraire dépendre d'un processus patho
rique et régulier de leurs parois les tuniques, externe et moyenne,
paraissent
plus spécia- lement sclérosées. Ainsi constitué
ut-être plus grêles qu'a l'état normal ; si quelques-uns ont dis-
paru
, c'est le petit nombre. On ne constate pas de g
par le procédé de Vei- gert-Pal. Les zones les plus prises nous ont
paru
occuper surtout la moelle dorsale et la moelle
; examen microscopique. 81 ou moins sclérosés. Là encore, la lésion
paraît
être de date ancienne. Par contre, si les fai
ate ancienne. Par contre, si les faisceaux blancs et les méninges
paraissent
altérés il des degrés divers, dans toute la hau-
affirmer l'existence de lésions médullaires déjà anciennes, qui ne
paraissent
plus en train d'évoluer. Ces lésions consistent
lus profondes de la méninge révèle un autre aspect. Là, les lésions
paraissent
être en pleine activité : les amas cellulaires
es altérations qui ont causé cet épaississement des méninges molles
paraissent
être constituées sur un type assez spécial. A l
sissement des méninges molles dans le cas actuel, ce processus nous
paraît
résulter surtout d'une néoformation vasculaire
ges molles. Lésions corticales. - Les lésions corticales nous ont
paru
se présenter suivant deux types principaux. - Dan
es dans lesquelles on rencontre des fibrilles cassées, éparses, qui
paraissent
avoir perdu toute colorabilité, comme si elles
dans toute la hauteur du poumon droit; râles fins. Le poumon gauche
paraît
indemne. La per- cussion, douloureuse, donne un
n'était plus la même : « son regard n'était plus le même, elle ne
paraissait
plus avoir sa connaissance ». Pendant les deux
s normales. Larynx légère- ment saillant, mais le corps thyroïde ne
paraît
pas très- développé. Membres supérieurs bien
her les mains. L'enfant ne dit que quelques mots inintelligibles et
paraît
ne rien comprendre à ce qu'on lui dit lorsqu'on
tait sur ses aliments. - Le 1 septembre, elle cessa de manger, mais
paraissait
très altérée. - Pas de fièvre. L'auscultation,
relle, sont assez grosses, sauf les circonvolutions occipitales, et
paraissent
tassées les unes contre les autres. - Les sillo
nt, l'épilepsie, la « bête noire » des idiots. V. L'épilepsie n'a
paru
qu'au début de la huitième année et durant les
d'une hypothermie dans les derniers jours, hypo- thermie qu'il nous
paraît
utile de mentionner ici : Température rectale.
a infantile. Elle a eu des convulsions au moment de la mort. Elle
paraissait
devoir bien venir. - La troisième, 7 ans, est bie
ement en colère. Jusqu'à l'âge de dix mois, nous répète- t-on, elle
paraissait
absolument normale. - Pas d'autres maladies, ni
au palais, au gosier. Pas de réflexe pharyngé. Le goût et l'odorat
paraissent
nuls. - Menton moyen et régulier. - Oreilles gr
de Sylvius, béante, laisse l'insula faire saillie. Cette région ne
paraît
pas altérée. Les circonvolutions frontales et P
pas entravé le développement physique et cérébral de l'enfant qui
paraissait
intelligent, riait et reconnaissait un peu son
u coté droit de la face. Enfin les convulsions cloniques terminales
paraissent
égales des deux côtés. Pas de bave ni de rondem
puis de vertiges épileptiques. IV. Ici, l'idiotie et l'épilepsie
paraissent
concomit- tantes et reconnaître la même origine
1397. 10 1 Hi . ÉPILEPSIE : cerveau. Cerveau. Les circonvolutions
paraissent
assez dévelop- pées et les sillons assez profon
syphilis héréditaire. Notre malade et deux frères, venus aprèslui,
paraissent
avoir été exempts de l'infection syphilitique.
é exempts de l'infection syphilitique. La syphilis héréditaire ne
paraît
pas exercer, d'ailleurs, un rôle important dans
minué surtout depuis deux ans. Aujourd'hui, il ne dit plus rien, ne
paraît
plus rien comprendre. « Il ne me reconnaît même
ns tous ses modes, en raison de l'état intellectuel de l'enfant. Il
paraît
tout h fait inintelligent, ne semble pas compre
il faut crier tout près des oreilles pour qu'il entende. Le toucher
paraît
normal. -Aucune notion scolaire, ne sait pas te
, dans toute sa longueur, est rempli par un caillot noir. - La base
paraît
symétrique; toutefois la fosse temporale gauche
et du pli courbe dont une partie des circonvolutions, très grêles,
paraissent
atteintes de sclérose, alors que les circon- vo
Conde de Ferreira (Porto). Quelque curieux et déconcertant que cela
paraisse
, on peut avancer que les géants et les enfants
er à une lésion du corps thyroïde ; et, en effet, cet organe nous a
paru
sensiblement atrophié, à la palpation. Mais la
es petits et de taille moyenne. et la chose n'est plus douteuse, il
paraît
au premier abord que l'hyperfonction du corps p
ue. 6° L'état morphologique et dystrophique du gigantisme infantile
paraît
être essentiellement dû à l'hypertrophie de l'h
s ; parmi elles les myélocytes amphophiles et les hématies nucléées
paraissent
tout particuliè- rement nombreux ; par contre l
ain en avant », Made- lung en 1889 nous avait donné dans un article
paru
clans les « Archiv fiir klinische Chirurgie » l
re rappor- tés à la Presbyophrénie des auteurs allemands. Il nous a
paru
intéressant d'entreprendre, à l'aide de ces doc
, se trouvent associés deux ordres d'éléments bien distincts, qu'il
paraît
difficile de ré- unir dans une même affection :
l a un grand ruban à son cll3- peau ; il ne sait pas s'arranger; il
paraît
10 ans de ! plus que son âge.C'est très importa
ter d'autres ; je n'en suis pas à un rideau près.» Ses affirmations
paraissent
sincères; elle ne s'indigne pas de l'accusation
voir volée, et appuyait ses affirmations de récits imaginaires, qui
parurent
tout d'abord vraisemblables; une autre accuse u
ces médico-légales, son principal intérêt théorique etpratique nous
paraît
donc résider, en défi- nitive, dans l'élude des
ppliqué au membre fracturé l'extension continue. L'état du malade a
paru
s'améliorer au début, tant au point de vue local
la néoformation spécifique, formée aux dépens du tissu osseux, qui
paraît
épaissi, se distingue par une zone plus claire,
est l'érosion de l'os fail 1 par celui-ci, qui est très nette, l'os
paraît
comme rongé par la néoplasir, qui faisant une b
ement de celui-ci en haut vers la fosse iliaque. La tête de fémur
paraît
atrophiée, ne se voyant presque pas dans la cav
de sclérose très accusée. Les nerfs périphériques (médian, radial)
paraissent
infiltrés de graisse. Le tissu cellulaire sous-
tention ; une fois cela obtenu, F. voit et reconnaît les objets. Il
paraîtrait
ensuite permis d'admettre qu'une part très import
ne table, s'attira un décollement de la rétine gauche.-En 1905 sa fin
parut
imminente, mais à peine sorti de son état comat
s'emboîtent les unes dans les-autres. En dehors de cela, le cerveau
paraît
peu comprimé, sauf dans les régions occipitales.
urs, tandis que le type paranoïde y est plutôt rare; enfin, il nous
paraît
démontré par l'anamnèse que.1. était déjà «pers
e en partie être alimenté par sécrétion des plexus choroïdes, il me
paraît
certain également que ce liquide céphalo-rachid
rce verres de vin ou de liqueurs. Depuis un an environ, sa conduite
paraissait
anormale. Il accomplissait avec irrégularité so
sentant une fête des fous sous Henri III. Comme nous le verrons, il
paraît
bien s'agir d'une fête des fous, mais d'une esp
elli. Le sous-titre de la partie du poème qui a trait à nos images,
paraît
bien indiquer que la mascarade eut réellement l
ibuées pendant la marche du cor- tège par certains figurants : cela
paraît
presque prouvé d'après une phrase (1) Astruc, T
mot Scorra ? Le hibliophile Jacob est tenté de l'admettre,mais cela
paraît
peu justifiable au pointde vue linguistique. C'
lles, de l'autre, une fiole à demi pleine. Elle lève cette fiole et
paraît
l'examiner à la façon des Médecins aux Urines (
des Retordeurs (2) et des Faiseurs de nouveau CIl ! }I' qui ne nous
paraissent
pas être comme le veut Montaiglon, des médecins,
out au con- traire des premières années. Les pustules, lorsqu'il en
paraît
, sont plus sèches, et les douleurs, lorsqu'il e
s récents et contemporains. Par contemporains, je n'entends pas ap-
parus
au même moment ; j'entends apparus à la même époq
re est plus marquée à gauche qu'il droite et les réflexes tendineux
paraissent
normaux. Le malade élève cons- tamment le membr
immobilité, le plus souvent flexion légère. Les réflexes rotuliens
paraissent
égaux des deux côtés. Dans les urines, grande qua
lques jours que le malade est sorti de la torpeur, il est gâteux et
paraît
très affaibli intellectuellement. On voit au ni
de tout petit calibre, et une hypertension arté- rielle permanente
paraissent
les conditions principales de ces hémorragies à
ù l'aqueduc est oblitéré, les gaines radiculaires des nerfs spinaux
paraissent
, autant, du moins qu'on en peut juger à l'oeil
ective. - La sensinilité tactile est conservée sur tout le corps et
paraît
normale. La sensibilité à la piqûre est conserv
e ; il apprenait lentement. Il y a deux ans G. a été très malade,
paraît
-il, pour avoir entendu crier une dame qui accou
il s'était presque trouvé mal). Lui qui aimait beaucoup sa mère, il
paraissait
l'avoir prise en aversion. Le sommeil devient m
'anesthésie il la piqûre. Léger dermographisme. Le testicule gauche
paraît
plus sensible que le droit. Vari- oocèle peu pr
20 septembre 1908 il est opéré d'un varicocèle. Le surlendemain il
paraît
bizarre. Le 24 on le conduit dans le service du d
t de deux mois sa femme le reprend, et pendant douze jours son état
paraît
se modifier très fa- (1) Ces renseignements sur
né ? R. - 1874. D. En quelle année sommes-nous ? Zen 1900. Il
paraît
faire une grimace de douleur. D.- Où souffrez-v
- bout ou assis, immobile,en faisant ses gestes particuliers qui ne
paraissent
pas être toujours les mêmes. Depuis environ un
est venue hier et j'étais un peu content d'avoir de ses nouvelles.
Paraît
que ça a été dur pour toi et que tu a souffert
moi. Est-elle gentille ? » 22 juillet. Mutisme absolu, négativisme.
Paraît
de temps en temps s'in- téresser à quelqu'objet
. Il mange souvent avec ses doigts n'importe ce que l'on sert; mais
paraît
préférer ce que sa mère lui apporte. Lorsque
as parmi les 500 aliénés de notre service. Quoi qu'il en soil, il
paraît
assez naturel, a przori, d'admettre qu'une caus
sée par une automobile. Cette chute et le procès qui s'en est suivi
paraissent
avoir, sur un terrain de dégénérescence, favorisé
santes à expliquer la situation de ces différents placards : ils ne
paraissent
pas occuper des surfaces correspondant à des de
occuper des surfaces correspondant à des dermato-métaméres ; ils ne
paraissent
pas exactement localisés selon les lignes frontiè
alcooliques ». Cette malade présente un noevus vasculaire, qui nous
paraît
remarquable par son étendue et sa localisation
t situées en dehors et en bas de la précédente. Cette malade nous
paraît
également intéressante, à cause de la disproporti
ux ostéo ? ypertrop)jique. Dans le cas qui nous occupe, les varices
paraissent
faire défaut; ceci peut tenir à ce que le noevu
tous les troubles que nous venons de dé- crire ; c'estelle qui nous
paraît
la plus acceptable et ceci pour plusieurs raiso
lusivement les 7e et Se racines cervicales ainsi que la lre dorsale
paraissent
avoir été moins atteintes par ce processus toxi
s et il en ajoute encore d'autres. Après le travail de Dimitrova, a
paru
en outre une communication de xxiv z 1 238 tC
blement des éléments cellu- laires d'une autre nature. En 1905, a
paru
un grand travail sur « les organes pariétaux » de
ires qui seront men- tionnées plus loin, parce que ces cellules ont
paru
être les plus communes dans un cas où le parenc
- tif produisent différents types de glandes : 1) Les glandes qui
paraissent
les plus normales montrent sur les cou- pes des
271 .10',%NESCO Altérations de l'appareil nucléolaire. Il nous
paraît
indispensable pour la compréhension des lésions f
homogènes; 3° ils sont toujours situés au voisinage du nucléole et
paraissent
même faire partie de l'appareil nucléolaire car
tcléolaire. - Le passage du nucléole dans le protoplasme cellulaire
paraît
être une des questions les plus délicates et le
laire au tran- chant du rasoir. Telles sont les conditions qui nous
paraissent
nécessai- res pour faire accepter l'issue mécan
âche et Marinesco) finement granuleuse qui délimite ce dernier sans
paraître
contracter aucune relation avec sa périphérie. On
chevêtre- ment se dégagent deux, trois ou même quatre filaments qui
paraissent
s'attacher contre la périphérie du nucléole en
uefois même diamétralement opposés. Cet éloignement des corpuscules
paraît
tout à fait spécial car, comme nous l'avons vu
té impossible de constater sa pré- sence ; dans d'autres, il nous a
paru
que les petites plaquettes de basichro- matine
pour le moment à attirer l'attention sur elle ; 2" cette migration
paraît
être en rapport avec l'étal de la cellule car t
ore en rouge et quelquefois en rouge violet ; ces deux nuances nous
paraissent
dépendre de la façon d'employer le réactif, car
'on trouve en même temps avec le nucléole dans le pigment jaune, ne
paraît
pas certaine, vu les arguments invoqués, il reste
le n'est que relatif car les formes ne varient pas a ! 'infini mais
paraissent
bien subordonnées à l'état de la substance chro
les de César Bianci, les corps de Negri etc...; certaines analogies
paraissent
exister entre cette formation et le corps énigm
late gauche est éloignée de la ligne médiane, le creux sus- épineux
paraît
amaigri. A l'état dynamique la déformation s'ac
0 centimètres à peine. VOG : la malade ne sait pas lire. Son acuité
paraît
normale, IIRDiISYNOROME BULBAIRE PAR LÉSION PÉR
, Maixner, Jolly, etc. Elles sont donc loin d'être rares. Il nous
paraît
cependant impossible de penser chez notre malade
ce signe ajouté aux considérations que nous avons déjà exposés nous
paraît
éliminer le mal de Pott. Reste la syphilis sous
que. Malgré l'absence de lymphocytose cette dernière hypothèse nous
paraît
la plus vraisemblable. Notre malade qui présent
r la possibilité d'une tumeur en surface des méninges, cette malade
paraît
justiciable d'un traitement qui restera prudent
chez le père ou chez la mère. Quant aux trois avortements, ils ne
paraissent
pas dus à la syphilis. Au point de vue personne
rieurs robustes, pieds énormes. Les membres supérieurs au contraire
paraissent
plus grêles. 318 MOSSÉ Les bras, les avant-br
st pas perceptible la palpation. Tête. La tête qui au premier abord
paraît
petite, présente néanmoins des dimensions qui n
poils au niveau de la lèvre supérieure et du menton. La langue ne
paraît
pas trop augmentée de volume et la prononciation
sence de traces d'albumine, mais pas de sucre. Les organes génitaux
paraissent
bien développés : la région sus-pubienne est re
r. Il nie la syphilis et la blennorrhagie. Son appareil digestif ne
paraît
rien présenter de particulier. Jamais de vomiss
n'avait pas toujours mangé ô'sa faim les jours précédents. Le foie
paraît
de dimension normal. La rate n'est pas percutab
ît de dimension normal. La rate n'est pas percutable. Le coeur ne
paraît
présenter aucune lésion. La respiration est nor
sibilité générale est intacte. Les réflexes rotulieus et achilléens
paraissent
normaux. La force musculaire au dynamomètre don
jour le jour comme un vagabond. Il est également très insouciant et
paraît
avoir peu d'affection pour les divers membres d
er un trouble' dans les glandes à sécrétion interne. L'hypophyse ne
paraît
pas hypertrophiée, le corps thyroïde est, il es
et n'ayant aucune dilformité quel- conque dans leur squelette,elle
paraît
être un peu supérieure à la moyenne. Les os du
soupçonner que le malade est ataxique. S'il est debout, le malade
paraît
au début un peu gêné dans cet appareil qui lui
ire. Voici comment cet auteur s'exprime à ce sujet dans son travail
paru
en 1863 (Die gratte Degeneralion der hinteren Rü-
grande inégalité de la tonicité musculaire, et celle inégalité nous
paraît
être la cause de l'incoordination motrice. » Ce
ff et d'autres. Cependant le cas d'atrophie que nous présentons ici
paraît
unique dans son genre. Il reconnaît une tout au
nsité reconnue dans notre cas. Après ce que nous allons ajouter, il
paraîtra
évi- dent que, dans le fait étudié par nous, la
ui ne vécut que 2 mois. Il faut noter que ces 2 enfants nés à terme
paraissent
avoir été hydrocéphales, car elle déclare qu'il
aucun trouble. Il n'y a pas trace de myxoedème ; le corps thyroïde
paraît
normal. Les différents appareils fonctionnent r
nds-parents de notre sujet qui se les rappelle très bien. Une soeur
paraît
avoir été scoliotique. Elle-même déclare que se
ndication au point de vue pathogénique ? Tout caractère héréditaire
paraît
devoir être éliminé chez notre sujet. Mais ce n
ège, au lycée des jeunes gens qui, en seconde ou même en troisième,
paraissent
déjà de petits hommes : précocement barbus, il
nel des glandes à sécrétion interne, régulatrices de la croissance,
paraît
être la cause immédiate de l'achondro- plasie,
'occasion d'examiner après autopsies d'achondropiases, ont en effet
paru
avoir une constitution normale; cet argument n'
ine de la dystrophie elle-même. Cette manière de voir est simple et
paraît
très vraisemblable à notre esprit, c'est peut-
mnés » (Dutil) (1). Voilà donc une maladie pour laquelle il n'a pas
paru
étrange d'expliquer les troubles psychiques par l
es conteurs et des gens du monde. Nous ne voudrions pas cependant
paraître
attacher une trop grande importance à ce systèm
ette dystrophie. Si toutes les raisons que nous en avons données ne
paraissent
pas également convaincantes, il y en a une au moi
pulmonaire. Il a un frère, âgé de cinq ans, dont la santé générale
paraît
bonne, mais qui a une otorrbée. En décembre 190
oduit une tache blanche, qui demande dix à douze secondes pour dis-
paraître
. Les diverses sensibilités sont normales et la te
s. Malheureusement ces couleurs sont très photogéniques et elles ne
paraissent
pas sur notre photo- graphie. Nous avons vu q
du triiodure d'arsenic (gouttes païdophiles de Guiraud), qui nous a
paru
avoir une influence favorable sur ia marche de
nes (deux cas) d'une abondance étrange, des céphalées tenaces, nous
paraissent
encore plus difficilement explicables : l'hypop
omiquement l'intervention pluriglandulaire est certaine. 2° Mais il
paraît
excessif de vouloir ranger dans ce groupe si comp
sclérose intersti- 422 CORDIER ET REBATTU tielle très marquée. Il
paraît
donc certain qu'en pareil cas la dysthyroïdie a
avait un peu de myxoe- dème, le corps thyroïde pesait 15 grammes et
paraissait
normal ; en re- vanche les ovaires étaient très
re- vanche les ovaires étaient très scléreux, et l'origine génitale
paraissait
plus probable. Notons aussi l'absence complète
on d'une anorchidie. Cette distinction a plus d'importance qu'il ne
paraît
au premier abord. Ces réserves faites, il faut
hyper- fonctionnement ou en hypofonctionuement. Cette répercussion
paraît
des plus capricieuses et sa marche ne peut être
ité, s'amollissent, diminuent de vo- lume d'une manière graduée, et
paraissent
se dessécher. Le plus ordinaire- ment l'altérat
de troubles intellectuels ni vocaux. Le corps thyroïde et les seins
paraissent
normaux. Pas de troubles du squelette. Urémie
la région pubienne (divertissement très en honneur chez les marins,
paraît
-il), les poils ne repous- sèrent pas. Enfin ses
i existe entre la longueur des membres et celle du tronc. Assis, il
paraît
d'une taille très ordi- naire ; quand il se lèv
ctobre 1911) : Homme de 34 ans, qui, soit debout, soit au lit, n'en
paraît
que 18. L'aspect un peu âgé qu'il avait encore il
(1). Elle a été développée dans deux Mémoires des mêmes auteurs (2)
parus
dans le « Journal de physiologie et de patholog
sie affirment l'hypothyroïdie ; à la palpation, le corps thy- roïde
paraît
atrophié. Hypothyroïdie, mais non myxoedème car l
atrophiées, pèsent chacune 5 grammes. L'hypophyse dont la capsule
paraît
épaissie, fibreuse, pèse 0 gr. 30 (on se souvie
era fait mention ultérieurement, la micromélie humérale congénitale
paraît
avoir échappé ci l'observation médicale. Les fa
ux d'un individu normal. La mus- culature de la ceinture scapulaire
paraît
bonne et elle ne présente rien de par- ticulier
ouvements sont parfaitement libres. Les articulations des épaules
paraissent
normales à l'inspection ; mais on note que, lor
e sorte qu'une modification dans l'articulation huméro-glénoïdienne
paraît
possible. En outre une crépitation fine, mais dis
s. Les arti- culations du poignet sont quelque peu élargies ; elles
paraissent
comme molles et pâteuses et elles permettent de
t exacte de la réalité. Le pied est court et trapu ; en même temps il
paraît
, si l'on peut dire, épaissi. Nous avons l'impre
osable à celui qui avait été recueilli six mois plus tôt, il nous a
paru
inutile de le reproduire. '0 RÉSUMÉ DE L'OBSERV
s symptômes accusés par le blessé, douleurs, perte des forces, nous
paraissaient
très exagérés. En effet, la palpation était peu
é accuse des sensations douloureuses et une perte des forces qui ne
paraissent
pas justifiées par les signes objectifs, qu'il
esque textuellement les conclusions de la thèse de Sans; elles nous
paraissent
résumer l'état actuel de la question : to On
s surpris de voir que le malade, ne faisait pas cette chose, qui me
paraissait
à moi si simple. Alors il me répondit qu'il vou
est im- possible de marcher avec les yeux fermés. Si le malade, qui
paraît
sincère, nous dit la vérité, ce phénomène resse
n'ont pas trouvé place dans les chapitres que j'ai traités; il m'a
paru
, pour le moment, suffisant de les mentionner .
IE EXPÉRIMENTALE FAISCEAUX NEURO-MUSCULAIRES En 1886, j j'ai fait
paraître
dans les Bulletins de la Société de Biolo- gie
ÈS SECTION DES NERFS QUI S'Y RENDENT D'un travail (8) que j'ai fait
paraître
sur ce sujet en ]88, j'extrais les passages sui
ne disposition particulière des fibres musculaires altérées, qui me
paraît
propre à faire comprendre la nature des lésions q
e, six semaines après la section du nerf qui leur correspond, m'ont
paru
un bon objet d'observation parce qu'on peut y t
ats de mes,reclierches. « Cette hyperplasie du sarcoplasme, dit-il,
paraît
bien être, en effet, le pro- cessus primordial
s lapins atteints de la maladie pyo- cyanique des arthropathies qui
paraissent
se développer de préférence dans les membres pa
r sémiologique de l'inversion du réflexe du radius. » ..... « Il ne
paraît
pas douteux que le 5° segment en particulier est
attitude, on attendra pour procéder à l'excitation que les muscles
paraissent
bien relâchés. « Il n'est pas indifférent d'e
hémiplégie étaient très faibles. L'exten- sion des orteils m'a même
paru
ordinairement plus marquée dans l'hémiplégie ré
deux réflexes ne sont pas incompatibles. b. Dans un travail (106)
paru
en igo4, et relatif aux perturbations des réfle
omène des orteils », non plus que des diverses publications qui ont
paru
sur ce sujet en France et à l'étranger; autrement
e l'extension du gros orteil, et il est parfois très marqué. 11 m'a
paru
surtout très développé dans les paralysies spasmo
système pyramidal ; néanmoins, quand il est très accentué, il me
paraît
avoir une FiG. 4. - Abduction réflexe des ort
FIG. 5. - Abduction associée des orteils. Dans une deuxième note
parue
quelques mois plus tard (102), je disais : «
les observations que j'ai faites depuis que je le recherche, il me
paraît
plus commun dans l'hémiplégie infantile que dan
The Journal of Mental Science, July 1900). Erb dit que ce signe lui
paraît
indiquer que le système nerveux central est tou-
upés de la question ont confirmé l'opinion de cet auteur. » Il me
paraît
inutile de faire d'autres citations. L'idée que j
de surréllectivité tendineuse ou cuta- née. 08 SÉMIOLOGIE Elle
paraît
due à une irritation des cellules des cornes anté
, tandis que dans les cas étudiés par ces auteurs la polynu- cléose
paraissait
liée soit à des raptus congestifs survenant au co
p. 126). \I ? RT'fl; SCIATIQUE Scoliose sciatique. J'ai fait
paraître
, il y a 25 ans, un travail inspiré par mon maître
du nerf. « Ce signe, comme en général tous les signes objectifs, me
paraît
avoir une grande valeur diagnostique ; sa prése
ar l'électrisation des branches du nerf facial. Or, à priori, il me
paraît
déjà difficile d'admettre qu'une excitation d'u
ublication sur ce sujet (177), plusieurs travaux confir- matifs ont
paru
. Souques, dans la séance du 12 janvier igi2 de
plement que les réflexes tendineux n'étaient pas exagérés et qu'ils
paraissaient
même affai- blis. » Dans la séance du 6 mars
ropathies dites « tabétiques » avec le tabes, je disais qu'il ne me
paraissait
pas prouvé qu'elles fussent sous la dépendance de
njugale ». J'ai soutenu aussi que le tabès hérédo-syphilitique, qui
paraissait
exceptionnel sans doute pour des raisons sembla
iété de Biologie (18). Mais, ce qui semblait alors une exception me
paraît
aujourd'hui chose assez commune. Je connais des
nflammation verté- brale au niveau des trous de conjugaison. Il m'a
paru
légitime d'appli- quer aux faits de ce genre la
rique d'un nerf sectionné, en admettant qu'elle intervienne ici, ne
paraît
être qu'accessoire. Les cellules de la névro- g
chez l'homme, disais-je, est encore loin d'être démontrée. Il nous
paraît
, certes, très vraisemblable que, lorsque les cy
tion de la même façon que dans les nerfs périphériques. Ce qui nous
paraît
douteux, c'est que la régénération puisse about
ui semble la plus favorable à cette hypothèse et elle ne nous a pas
paru
tout à fait démonstrative. « Ainsi, en admettan
que l'on pourrait dire qu'il s'agit surtout d'arachnitis ; il nous
paraît
préférable de désigner ces lésions sous le nom
acksonienne à droite, la nécropsie a décelé, sous la dure- mère qui
paraissait
saine, la présence d'un vaste caillot sanguin de
tabétiques, quand elles viennent s'ajouter aux lésions pyramidales,
paraissent
ne pas le mo- difier. Hypotonicité musculaire
ndineux, qu'on l'observe ; mais je l'ai constaté aussi, ce qui peut
paraître
surprenant, dans quelques cas d'hémiplégie anci
de la commissure, d'origine manifestement spasmodique; ces faits me
paraissent
exceptionnels. Mouvement combiné de flexion de
is faire remarquer qu'à l'état normal l'immobilisation de la cuisse
paraît
être plus ou moins parfaite suivant les sujets, c
'un axe longitudinal passant par le côté paralysé ; ce mouvement me
paraît
être le résultat de l'action, limitée à un côté d
iplégie organique, l'autre d'hémiplégie hystérique et qui tous deux
paraissent
dans l'impossibilité de faire exé- cuter un mou
chirurgie cérébrale en France. La craniectomie, malgré les travaux
parus
à l'étranger sur ce sujet. ceux de I-Iorsley en p
ue à ma connaissance qu'après ma première publication sur ce sujet,
paraît
avoir échappé à l'atten- tion des neurologistes
nt s'accom- plir. L'interprétation de ce trouble de déambulation me
paraît
donc légitime. Elle semble encore mieux fondée
liner, elle se porte en arrière. D'autres fois enfin, l'inclination
paraît
se faire exclusivement du côté sain, comme dans
Laryngologie, iyo2). Dans son Traité d'Électrothérapie clinique,
paru
en y6 (Masson et Cie, édi- teurs), Zimmern cons
ici, extraite de mon article sur le traitement du vertige auriculaire
paru
en 190/i, une phrase, entre autres, qui ne lais
e exerce une action sur le labyrinthe. Du reste, cette action ne me
paraissait
pas surprenante, la pression du liquide labyrin
tagmus par les mouvements rapides de la tête, mais les malades n'en
paraissaient
plus vraiment gênés. » J. J. Putnam (« The Babi
signe des orteils était le témoignage. C'est l'opinion qui m'avait
paru
la plus vraisemblable. En igoi, j'ai rapporté u
on organique présumée siège-t-elle dans le système pyramidal, comme
paraissent
l'indiquer les modifications des réflexes tendi
malades atteintes de paraplégie spasmodique familiale. « Il nous a
paru
intéressant, disent ces auteurs, de signaler, che
ent dans l'impossibilité de se livrer à un travail quelconque, elle
paraît
absolument désespérée. La section du spinal a p
, comparés à ceux des membres inférieurs ou des membres supérieurs,
paraissent
sou- mis à un régime privilégié leur conférant
auteur moyenne; du reste la malade n'est pas réglée. L'intelligence
paraît
normale, mais la mémoire a beaucoup diminué dep
seuls toute la maladie, et cela pendant un temps très long, il nous a
paru
légi- time de donner à cette association la dén
régnantes sur ce sujet il y a une vingtaine d'années, à l'époque où
parut
mon premier travail de revision. L'hystérie é
mmunications sur ce sujet abondaient. A partir de yogi, époque où a
paru
mon premier travail d'ensemble sur la délimitat
et expériences comparatives je retiens seule- ment celles qui m'ont
paru
décisives et m'ont permis d'atteindre le but vi
ue du système nerveux, on obtient souvent une reproduction qui peut
paraître
parfaite à un observateur peu attentif. Mais il n
des maladies chroniques». Ainsi un sixième des cas de maladies lui
paraissait
imputable à l'hystérie ! Et pour voir à quel po
dans son livre : «Eléments de sémiologie et clinique men- tales »,
paru
en l()'2, termine ainsi l'article consacré à l'hy
ique il se développe une déformation particulière du tronc qui nous
paraît
avoir échappé jusqu'à présent à l'attention des
frant la même attitude (Cas. 1). Le rapprochement de ces deux cas
paraissait
bien montrer qu'il y a entre la sciatique et la
le malade, il éprouve de la douleur et l'on sent une résistance qui
paraît
difficile à vaincre. Dans le lit, la déviation
elle s'est développée après le début de la sciatique, et il ne nous
paraît
pas discutable qu'elle doive être mise sur le c
intime avec lui. Il s'agit donc là d'un caractère constant qui nous
paraît
avoir une assez grande importance. Archives,
rs que les souffrances devenaient plus fortes, la déformation ap-
paraissait
. Dans l'OBSERVATION III il est noté que le lend
ffé- rentiel de la déformation que nous venons d'étudier. Il nous
paraît
inutile d'établir un parallèle entre cette défo
très rare, n'a été vue jusqu'ici que chez les hystériques, et elle
paraît
tenir à l'exagération de - ' Voici un extrait,
sparaît lentement ou brus- quement et est sujet à des récidives. Il
paraît
en rela- tion avec la diathèse hystérique. Il n
e rétablir. Les efforts dirigés dans ce but dépassent la mesure, il
paraît
y avoir défaut dans l'action antagoniste normal
rouge. Elle repose dans le décubitus latéral droit ou gauche, elle
paraît
éviter d'être tout à fait sur le dos. Elle a un
is ses jambes faisaient avec son corps une sorte de plan incliné et
paraissaient
comme disloquées. Il avait la bonne volonté de
2 : à cette époque survinrentdes attaques hystéro- épileptiques qui
paraissent
avoir eu la forme classique (arc de cercle, att
sibilité, existe de plus des troubles de la station et de la marche
paraissent
indépendants de ces ces altérations. re- pos, l
de deux cannes, les yeux fixés constamment à terre : les mouvements
paraissent
plutôt maladroits que désor- donnés tout en pré
d'une à deux minutes dans la sudation du côté paralysé. Les sueurs
paraissent
aussi persister un peu plus longtemps de ce côt
dont le compas de Weber montre l'exactitude. A la main droite, D...
paraît
sentir aussi bien sur la sphère du cubital que
es ni au-dessus ni au-dessous du ganglion. Cette observation nous
paraît
être la seule dans laquelle, avec les symptômes
mum, il y avait hypérémie de la région. Chez ce malade, l'affection
paraissait
être héréditaire : la soeur en était atteinte,
que. Dans quelques cas, l'éphidrose DE l'épilepsie PROCURSIVF. 75
paraît
n'être qu'une détermination locale du nervo- si
aît que longtemps après le début de l'épilepsie et chez lesquels il
paraît
être un accident isolé indépendant de l'accès,
'étiologie héréditaire de l'épilepsie, tandis que l'hérédité réelle
paraît
être beaucoup plus rare. La peur qui avait été
u exhibe ses organes génitaux à la première invita- tion, mais sans
paraître
y mettre d'intention immorale. 11 était nécessa
ns l'établissement. Les repas sont réguliers et suffisants; Mistral
paraît
préférer les légumes à la viande, mais, en somm
u sabbat. On l'enferma dans une chambre; aussitôt elle se coucha et
parut
morte : on la remua, elle ne le sentit point; o
concernant les faits analogues relatés dans les différents ouvrages
parus
au xviiie siècle. Toutefois, nous devons accord
dans une espèce de collapsus. Les fonctions du coeur et des poumons
paraissent
suspendues ; le pouls est insensible et la chal
ne attaque convulsive.-Les mouvements limités d'abord au tronc, qui
paraissait
par des efforts de torsion fuir sous la pressio
température s'élève à 37°,8. Les organes thoraciques et abdominaux
paraissent
sains; la percussion indique que la vessie est
médecine. Quoi qu'il en soit, tous ces désordres, si graves qu'ils
paraissent
, peuvent s'effacer et 's'évanouissent souvent q
vêtement cutané; il ne présentait aucune paralysie motrice. Mais il
paraissait
complètement aveugle, bien que la sphère visuel
ance blanche; absence d'hydropisie ventriculaire. La région motrice
paraît
principalement étriquée; il en est de même, mais
e granuleuse, formation de cellules granuleuses. Les cylindraxes ne
paraissent
pas subir d'hyperplasie. On constate simplement
e si l'aliéné interné possède des ressources suffisantes pour qu'il
paraisse
légitime de lui imposer une quote-part dans le
phe dans l'intervalle des deux délibérations. M. le Président. Vous
paraissez
être d'accord, messieurs, sauf SÉNAT. 145 une
e la République prenne personnellement les renseigne- ments qui lui
paraissent
nécessaires pour s'éclairer à ces ditré- rents
rts récents de la commission supérieure pour remédier à ces défauts
paraissent
être bien dirigés, et on ne peut que re- grette
ernier. H y a eu 2-10 admissions, sur lesquelles, 40 cas p. 100 ont
paru
curables à l'entrée. La proportion des guérison
d'excès vénériens; onanisme modéré à l'adolescence. Vers Noël 1883,
parut
pour la première fois et se répéta depuis, de t
au plus haut degré ; au palper ils semblent avoir disparu; la peau
paraît
comme collée sur l'os; pourtant l'existence des
uche); le muscle trapèze est conservé dans sa portion supérieure et
paraît
atrophié dans les autres. Les res- tants des mu
re ne présentent pas d'atrophie notable et le muscle pectoral droit
paraît
même hyper- trophié en comparaison du gauche. L
elet solide proéminent (hypertrophie); du côté gauche les muscles
paraissent
ne pas être atrophiés. Les muscles de la face, au
e augmenta sur le thorax; une raie de Lher- mo-anesthésie profonde,
parut
nettement limitée en haut par le niveau de l'om
étrangère, il y éprouvait une certaine sensation qui la lui faisait
paraître
plus lourde. En été 1884, durant deux, trois se
e. Le sens de la pression examiné sur la paume et le dos de la main
paraît
égal des deux côtés ; le malade est assez inatt
la sécrétion sudorale. Antécédents du malade. - L'époque à laquelle
parut
la therma- nesthésie du membre supérieur droit
douleur se diri- geant vers le pouce le long de l'avant-bras droit
parut
pour dispa- raître bientôt après. Cette douleur
anté. La malade jouissait en général d'une bonne santé ; les règles
parurent
à l'âge de dix-sept ans; dès cette même époque,
e des parties périphériques diminua, mais les douleurs montèrent et
parurent
dans la région scapulaire, près de la clavicule
étaient encore parfaitement normaux, mais depuis l'été, commença à
paraître
une crampe dans la première et la deuxième phal
di- vers mouvements contradictoires et incoordonnés : les jambes
paraissent
comme disloquées et s'embarrassent l'une dans l
'influence de l'occlusion des yeux est inconstante; toutefois, elle
paraît
d'habitude aggraver le désordre. Les réflexes t
z une femme de cinquante-deux ans. La cause immédiate des accidents
paraît
être le plus souvent une émotion plus ou moins
normal. Nous em- pruntons d'abord à M. Mosso un passage qui nous
paraît
approprié au but que nous nous proposons d'atte
beau- coup de nos faits, l'existence d'influences psychiques qui
paraissent
avoir présidé soit au développement, DE l'astas
un mécanisme du même ordre dans le cas même où l'influence émotive
paraît
1 Leçons sur les maladies du système nerveux, t
bord s'adresser. Et en effet, même dans les cas où l'etlcé- phale
paraît
présider à l'apparition d'une éphidrose, le rôl
se concomitante. Les fibres excito- sudorales et irido-dilatatrices
paraissent
donc nette- ment séparées. De même., il y a d
mydriase. La question est toutefois plus complexe qu'elle ne le
paraît
au premier abord. En effet, outre que, comme no
hénomènes morbides qu'il a observés. Ces lésions des ganglions ne
paraissent
pas cepen- dant être toujours en rapport avec l
ort avec leurs habitudes; tel est le cas de la malade de Herpin qui
paraissait
imiter un joueur de guitare, quoique n'ayant ja
nde circon- volution frontale. La troisième circonvolution frontale
paraît
assez bien développée.-La circonvolution fronta
deuxième scissure et la deuxième circonvolution temporo-occipilales
paraissent
assez bien con- formées, toutefois la partie mé
ucune anomalie. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique
paraissent
nor- maux. Il en est de même du lobule de l'ins
sa position ordinaire et observer que le plus souvent les pupilles
paraissent
normales ou dans un état variable decontraction
sement con- sidérable. Cet amaigrissement, toutefois, ne nous a pas
paru
être en rapport direct avec la longue durée du
la sécrétion urinaire difficilement appréciable à la vérité, nous a
paru
presque toujours ralentie; notre malade urinait
ses sécrétions pendant l'attaque de sommeil; toutefois elles nous
paraissent
ralenties. Ce ralentissement tient-il à la diffic
n de vapeurs irritantes; quant au goût et à la vue leur sensibilité
paraît
également abolie. Toutefois, il ne faudrait pas
e système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbide,
parut
aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparav
auparavant. Pendant son état léthargique, où toutes les fonc- tions
paraissaient
suspendues, les forces se concentraient sur l'o
une malade cependant, dit Briquet (p. 422), l'attaque léthargique a
paru
avoir épuisé la source des accidents, car il y
façon. A l'inverse donc de Briquet, MM. Bourneville et Regnard nous
paraissent
avoir donné la note exacte : « Tantôt, disent
des lèves, des pleurs, de l'excitation. Les malades sont étonnées,
paraissent
ne plus se sou- venir du lieu où elles se trouv
de ces états prête à l'étude sé- méiologique. Ici encore il nous
paraît
indispensable d'établir quelques distinctions e
as accentués, le ma- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade
paraît
plongé dans un véritable état apoplectique d'orig
tefois aussi loin que M. Achard, qui nous dit (p. 52) : « Il nous
paraît
impossible d'admettre que les agents esthésio-
encore là, du reste, des cas sur la pathogénie desquels les auteurs
paraissent
mal fixés. Rappelons de plus, que certains déli
ur le tronc ou sur les membres 'si la circulation ou la respiration
paraissaient
se faire trop faiblement. » Nous ne serons pa
onsidérant l'insuffi- sance valvulaire. M. R1CHTER. Le patient ne
paraissait
pas atteint de surdité ver- bale, car celle-ci
oscillations dans les symptômes psychiques. ' Aujourd'hui le malade
paraîtra
d'une lucidité étonnante; demain, ce sera un vr
es à établir; à propos de plusieurs d'entre elles, où le diagnostic
paraissait
fixé, on obtint cependant une guérison durable.
iénés à Paris, dont les asiles étaient en piteux état, et qu'il ait
paru
accomplir dans la capitale delà France une réform
e la sensibilité. Quant aux zones hystérogènes des muqueuses, elles
paraissent
très fréquentes puisque sur onze cas l'auteur t
mon travail : « De la curabilité de la sclérose en plaques-», qui a
paru
dans les Archives de Neurologie, n° 28, 1885, j
les scléroses des cordons de Goll et les névrites périphériques ne
paraissent
pas devoir fournir l'expli- cation de tous les
sistaient depuis une di- zaine d'années. Ils étaient si nombreux et
paraissaient
si précis que tous les médecins qui ont vu le m
lle que soit l'interprétation qu'on veuille donner à ce fait, il me
paraît
assez curieux et assez imprévu ' Lcvat-Piqueehe
fluence de ce traitement, les douleurs rachialgiques et la polyurie
parurent
s'atténuer. Pur...reprit son travail, souffrant
libre. Ses pieds étaient le siège d'une sensation bizarre ; ils lui
paraissaient
tou- jours enflés. Un peu plus tard, il lui sem
c'est seulement après avoir subi cet enfoncement que le pied lui
paraissait
solidement fixe sur un plan résistant. Les troubl
dinale de la dure-mère, on aperçoit les méninges rachi- diennes qui
paraissent
tout à fait saines. Pas d'épaississement 350 CL
ieurs. Les substances blanche et grise sont bien distinctes ; elles
paraissent
inaltérées. Plusieurs ganglions rachidiens, enl
autres par la dissocia- tion. Les nerfs de l'estomac et du coeur
paraissent
également altérés.' Les quelques fibres rnyélin
est le résultat d'un simple trouble fonctionnel. Les accidents qui
paraissent
relever le plus sûrement des lésions organiques
héréditaire. Les 17 cas rapportés dans notre travail nous avaient
paru
suffisamment démonstratifs pour entraîner notre
mois environ. En 4883, trois ans après le début de la syphilis, ont
paru
les pre- mières douleurs fulgurantes, se manife
te ans, qu'à toute autre époque de l'existence. Quant au sexe, il
paraît
avoir une influence plus marquée et l'ensemble
tre du bord interne du sourcil; de ce fait les arcades sourcillères
paraissent
proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas
conformés, le droit est un peu plus élevé que le gauche. Le malade
paraît
se masturber pendant l'examen ; il se frotte le
es de la base sont symétriques; toutefois, la cérébrale postérieure
paraît
un peu plus volumineuse à droite. Les tuber- cu
interne), la décortication est facile. Le pédoncule cérébral gauche
paraît
plus petit que le droit; il en est de même de l
ure calcarine, le corps calleux, le corps strié, la couche optique,
paraissent
normaux. Hémisphère gauche. La scissure de Sylv
lons qui les découpent. Le lobe occipital, dont lés circonvolutions
paraissent
un peu grêles, est également très sillonné; il
er; pendant une tempête qui a duré deux jours, son chien n'a plus
paru
; il resta dans un coin du bateau bien triste,
che progressivement ascendante du début à la mort. Les maladies qui
paraissent
se rapprocher le plus de l'athé- tose double, s
ecliformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques ne
paraissent
pas se rencontrer dans l'athétose double. Les
ite plus ou moins rapidement; dans l'athétose double le tremblement
paraît
atteindre son maximum d'intensité et d'étendue
s. Les symptômes et l'évolution de la maladie, dit M. Séglas, nous
paraissent
ressembler assez àce qui a été dit du délire ch
face, si elle existe, n'est guère appréciable et que la malade m'a
parue
intelligente ; c'est aussi, d'ailleurs, l'avis
e revêt ce phénomène sub- jectif l'mporlance donnée au chiffre 3 me
paraît
devoir être si- gnalé. Son état de débilité men
ar suite d'examens répètes et faits par dif- férentes personnes, me
paraissait
indiscutable. D'ailleurs, qu'importe leur exist
comme le délire chronique est très rare chez ces derniers, il ne
paraissait
guère probable que {'hypochondriaque persécuté am
e plus médical. Quant au mot « phase », je le répète, il nous avait
paru
suffisamment clair. Nous l'avions pris dans le
ous n'avions pas cru qu'il pût prêter à l'équivoque ; il nous avait
paru
évident que le médecin ne pourrait pas tomber s
at ne présentant aucun danger pour la société. Le Dr R... fit alors
paraître
une brochure intitulée : Observations sur la ma
u successi- vement et sans danger tous les muscles du corps, nous
parut
devoir être accepté, sinon définitivement, au m
t il MALADIE BLEUE. violacé. L'oreillette droite, très distendue,
paraît
ainsi que le ventricule correspondant, beaucoup
s de tronc brachio-céphalique. Réflexions. Cette observation nous a
paru
intéres- sante à divers titres. Les anomalies c
e tel que nous l'avons décrit dans l'observation précédente, nous
paraît
être un cas unique. Nous réunissons ici, comme
rminaison heureuse que nous avons rapportée plus haut (Obs. XXII)
paraît
, d'autre part, nous autoriser à penser que : dans
Courancelle (Meuse). Elle ne porte aucune trace de goitre et il ne
paraît
pas que le goitre ni le crétinisme soient endé ?
peut néanmoins fermer la bouche quand il le veut, mais un effort
paraît
nécessaire pour cela et il ne ne le fait guère
it persistent en avant des dents définitives correspondantes. Il ne
paraît
pas exis- ter d'asymétrie de la voûte palatine
it assez exacte- ment ses sentiments : aujourd'hui, la face bouffie
paraît
avoir perdu beaucoup de samobilité et les rares
a transpiration est insensible et l'excrétion de la matière sébacée
paraît
complètement suspendue. Au niveau des régions s
maine depuis octobre 1879. La sensibilité générale est conservée et
paraît
un peu émoussée; le chatouillement n'est généra
t très marquée. Quantaux sensibi- lités spéciales, la vue et l'ouïe
paraissent
égales ciels deux côtés. Le goût semble intact
re ou des bonbons. Une poupée qu'il a eue pendant quelques semaines
paraissait
lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est tr
grâce à un traitement tonique et à une meilleure hygiène, ne nous
paraît
laisser aucun doute à cet égard. L'aspect de no
- sives médianes sont implantées obliquement. - La voûte palatine
paraît
symétrique; elle est profonde légèrement ogival
rs sont très incomplètes, et l'on conçoit facilement qu'elles aient
paru
jusqu'ici insuffisantes pour HTSTRO-IsPILI : PS
es pleurs. Pas de folie ; les nuits sont calmes ; l'intelligence ne
paraît
pas s'être modifiée. Pas de kleptomanie. Sentim
respiratoire, circulatoire et génito-urinaire. Tous les orga- nes
paraissent
normaux et les diverses fonctions s'accom- plis
des, parfois très fugaces et presque insaisissables. Il nous a donc
paru
préférable, pour fixer les idées et éviter les
e état se représente dans les intervalles des atta- ques ; l'enfant
paraît
alors comprendre ce qu'on lui dit, mais il ne r
ste intacte à gauche, abolie à droite. Les zones hystérogèncs n'ont
paru
subir aucune modification pendant l'expérience.
(Ann. d'hygiène publique. Paris, 1833 ; tome X, p. 1;); ia maladie
paraît
donc avoir exercé une influence assez fâcheuse
soumis ainsi à une série d'oscillations de près d'un mill. ; il ne
paraît
donc y avoir à cet égard rien de constant. - La
nt chez la plupart des malades. L'urine, dont la quantité n'a pas
paru
varier 11'a jamais contenu ni sucre ni albumine.
e; dans d'autres cas, la durée et l'in- tensité des convulsions ont
paru
diminuer; quelquefois enfin, la médication n'a
té, des deux côtés. Lèvres volumineuses; la supérieure très épaisse
paraît
t avoir été coupée à plusieures reprises., soit
. La voûte palatine, le voile du palais, les arcades dentaires ne
paraissent
pas présenter d'asymétrie. La physionomie prése
comme des pièces d'un franc. Du côté du cuir chevelu, la rougeur ne
paraît
pas dépasser la région temporale. Il y a, en pl
t très apparente à la vue. Du côté gauche, la scissure de Sylvius
paraît
se prolonger en arrière plus loin que sur l'hémis
rconvolutions fron- tales, que nous avons mentionnées plus haut. Il
paraît
au moins exagéré de persister à considérer comm
corticales et méningées qu'on observe chez les épileptiques, et qui
paraissent
se rapprocher singulièrement de celles de la pa
e. L'accouchement a eu lieu à terme et sans difficulté ; l'enfant
paraissait
fort, mais on aurait remarqué dès le moment mêm
ou moins violentes et espacées de plusieurs secondes. Les secousses
paraissent
avoir été absolument distinguées des secousses
but de modifier la marche des accès épileptiques. Cette médication
parut
avoir sur lui une influence marquée : il y eut
ent ternes, les dents fuligineuses, le faciès décomposé : la mort
paraissait
imminente. Des applications de sinapismes aux c
ns de sinapismes aux cuisses et de ventouses sèches sur la poitrine
parurent
faire sortir un instant le malade de sa torpeur
a face interne de l'écaille du temporal. Les fosses céré- belleuses
paraissent
de dimensions égales. Pas de rétrécis- sement n
la manière d'un voile rosé, épais d'un peu plus d'un millimètre et
paraît
sil- lonné de vaisseaux nombreux. Sur les. conf
ne de cet hémisphère et sur l'hémisphère droit, les circonvolutions
paraissent
normales. Le volume des noyaux gris paraît un p
les circonvolutions paraissent normales. Le volume des noyaux gris
paraît
un peu diminué du côté, gauche. Cervelet. Pas d
résente rien de particulier. RÉFLEXIONS.I. Cette observation nous a
paru
offrir quel- que intérêt, surtout au point de v
plus souvent limitées. Or, le centre des mouvements de ce membre ne
paraissait
point lésé. Enfin, on a noté des mouvements du
te probabilité à la vie intra-utérine. Quant à son origine, elle ne
paraît
pas, d'après les renseignements fournis par la
ns incessantes. Nous devons insister sur ces lésions qui nous ont
paru
avoir un caractère assez spécial. Les membres in-
ue les escharres fessière et sacrée, dont le processus anatomique
paraît
être identique, sont'ni1àpportées aux lésions cér
ion d'une 72 1',\CH"Drtxli\C : TE riÍ,;\,¡ ? i'.ALrSÍm. lentille,
paraissent
situées de préférence sur le trajet des vaissea
GNARD. Iconographie photographique de la Salpêtrière. Cet ouvrage a
paru
par livraisons de 16 pages de texte et 4 photo-
, E. Teinturier, R. Vigouroux, collabo- rateurs du Progrès médical.
Paraît
tous les ans, pendant le courant du mois d'avri
rattacheraient selon les auteurs à des types divers, mais qui nous
paraissent
se' subordonner mieux à une rubrique générale, co
du D' Jayme Rosado, Estudo 1'adiologico de sella turcica, qui doit
paraître
dans quelques mois. (2) Traduction : Droit à la
ce sont des façades - Quand (elles) sortent dans la rue - Beaucoup
paraissent
des Marquises Selon ce que j'ai-entendu (dire)
de la base. Le 30 décembre, après une assez longue période où elle
paraissait
obnubilée, la malade recommence à s'agiter ; le
nienne ne conserve pas exactement sa forme ; c'est pourquoi il nous
paraît
utile de décrire brièvement le moulage de la cavi
tes par rapport à leur largeur ; les circonvolutions tempo- rales y
paraissent
atrophiées. Sur les coupes sagittales, le lobe oc
' tout présente des circonvolutions très nombreuses et minces, qui
paraissent
t entassées dans un espace trop petit. Ventri
tuer à mesure qu'on appro- che du pôle frontal. L'hypophyse, -qui
paraît
agrandie sur le radiogramme, ne présente rien de
és au centre des circonvolutions, les fibres tangentielles ont dis-
paru
à la périphérie. , , Comme signes de l'oxycépha
qu'à droite. Pour l'oculo- moteur commun, c'est l'inverse; ce fait
paraît
difficile à expliquer, à moins d'admettre qu'il
nie en spondylite hystérique et spondylite organique. Ce terme nous
paraît
être sujet à la critique, étant donné que sous le
lonne vertébrale avec mobilité normale du rachis. Les mouvements ne
paraissent
pas être très douloureux, ils ne provoquent qu'
aitement symptomatique, le corset plâtré conseillé par M. Sou- ques
paraît
le meilleur moyen de redressement et de suggestio
ès différentes. En premier lieu ce sont les agonistes qui, souvent,
paraissent
très peu accessibles à l'impulsion nerveuse. Ce
est pas t'hypertonie musculaire qui doit être accusée : les muscles
paraissent
temporairement inaccessibles au courant nerveux
ité mécanique des muscles du bras, de l'avant-bras et de la main ne
paraît
pas modifiée sauf pour le long supinateur où el
nous avons vu que ces phalanges, surtout pour le médius et l'index,
paraissent
boursouflées. Les particules de plomb vues à la
disparition a une certaine valeur. La disparition de la contracture
paraît
plus rapide quand celle-ci est d'origine psychiqu
cas de poussière métallique de Léri (VII), tantôt l'hyper- myotonie
paraît
secondaire à une évolution irritative d'une lésio
C'est pour éviter des erreurs de diagnostic ana- logues qu'il nous
paraît
intéressant de les rapporter ; c'est aussi pour s
ongles est épaissie et saillante. La peau est froide, violacée, et
paraît
amincie (PI. XXVIII, B). Mains et doigts sont c
t, toute pres- sion, surtout tonte, tentative de mouvements passifs
paraissent
être très dou- lourez. ' Aucun trouble de mot
i ne sont qu'ébauchées (PI. XXVIII, 0). Passivement, les mouvements
paraissent
douloureux, mais on arriye à flé- chir à peu pr
u repos, mais tout contapt ou toute pression des 3,e ! Jt 46 doigts
paraît
partiçuljèrenieiit dou : Ignreux. Pas d'anesthé
édi- cales, notamment avec des bandes de tarlatane mouillée^ nous a
paru
mé- riter d'être signalée, étant donné surtout
erniers troubles (1), Les quelques faits que nous reproduisons nous
paraissent
venir à l'appui de cette hypothèse. 1 (fig. A
lacées, froides, effilées ou plus ou moins succulentes, alors qu'il
paraissait
bien peu vraisemblable qu'un gros vaisseau ait pu
aires plus que du vaisseau lui-même ; plu- sieurs interventions ont
paru
lui donner raison, et M. Meige et Mme Bé- nisty
us avons observées,où cliniquement une lésion vasculaire importante
paraissait
bien peu vraisemblable et où opératoirement on
uts écartés ; dans ce cas exceptionnel, la genèse des douleurs nous
paraît
actuellement fort mal explicable. Inversement
hé sur le dos ou de préférence sur le ventre. 136 LÉRI Le talon
paraît
à la fois rétréci et effilé ; au lieu d'être plus
plante. Donc, dans son ensemble, et par toutes ses parties, le pied
paraît
rétréci et comme effilé. Ce « pied effilé » e
général plus ou moins propor- tionné à l'intensité des douleurs, il
paraît
en effet tout à fait sans rapport avec le degré
yés pour expertise médico-légale à la suite de douleurs qui avaient
paru
anormalement persistantes ; il suffisait pourtant
ves, à caractère plus ou moins causalgique ; cette fréquence nous a
paru
très grande ; il est bien 138 - - LÉRI' < -
'à l'épaule. Les nerfs, notamment' le cubital dans la gouttière, ne
paraissent
pas gonflés ni épaissis. Les déformations et les
lésions, rétraction de l'aponévrose et nodo- sités digitales, nous
paraissent
en faveur des théories qui leur attribuent même
articulations qui les présentent, le fait que nous rapportons nous
paraît
en faveur de la théorie, soutenue notamment par
tographies et radiographies. Depuis, aucune nouvelle observation ne
paraît
avoir été publiée, au moins en France. Une revu
ouver huit autres personnes atteintes de cette malformation, nous a
paru
à ce sujet digne d'être rapporté. Grâce à la ra
et que dans, le cas précédent. Il y a d'abord un 6° métatarsien qui
paraît
indépendant jusqu'à sa base où son ombre se sup
le du 5" orteil. La phalangine et la pha- langette bien constituées
paraissent
en synostose. Peut-être n'est-ce là, d'ailleurs
que les auteurs ont, croyons-nous, passé sous si- lence et qui nous
paraît
cependant assez remarquable. Il est d'ailleurs
semblablement aux lois établies par Mendel, touchant l'hérédité, et
paraît
bien présenter le ca- ractère d'une affection d
t depuis lors accentués progressivement, jusqu'à l'état actuel, qui
paraît
au malade être relativement stable depuis quelq
de Méd., t. Il, 8«il année, Syndrome de M. Raynaud et sclérodermie,
paraît
songer à des lé- sions de ce genre : « Il sembl
t suflisamment diminué, le bras fut placé dans une gouttière. Il ne
paraissait
pas y avoir de paralysie des troncs nerveux. Le
ciel, si Allah veut, tu ne seras pas blessé. » Ce fatalisme sublime
paraît
moins admirable quand on est auprès d'eux devan
e vitupéra violemment. Mais l'interprète, comme tous les auditeurs,
parut
ne pas saisir le sens. Il avait compris voler l
ur la réalité d'une infériorité mentale qui à l'heure actuelle peut
paraître
incurable. - L'influence à laquelle ils semblen
ement sexuel et l'engraissement. Cette augmen- tation de la graisse
paraît
être, dans notre cas, postérieure à l'arrêt sexue
u'à ce jour. Il est nécessaire, avant tout, d'éclairer un point qui
paraît
contradic toire dans les faits antérieurement é
raction idio-musculaire. La force musculaire des membres supérieurs
paraît
intacte. Le réflexe cubital est peu marqué à droi
nie à gauche. Le malade urine spontanément. La force musculaire
paraît
intacte dans les membres supérieurs. 18. - Trép
ets mous ; atrophie musculaire. Réflexes rotuliens vifs. La maladie
paraît
avoir évolué en deux temps, avec une période doul
t à une section d'infirmiers dont les relations avec cette division
paraissent
éloignées. L'épidémie paraît donc assez concent
es relations avec cette division paraissent éloignées. L'épidémie
paraît
donc assez concentrée, moins étalée qu'il n'est s
nt remplacée. D'autre part, des renseignements que j'ai reçus il ne
paraît
pas en avoir été constaté d'autre cas parmi les t
la fréquence est notée par M. Netter; dans l'observation I, elle ne
paraît
cependant pas provoquée par l'hyper- tension, l
vation I un paradoxal abaissement du pouls, à 54. La période d'état
paraît
surtout caractérisée par l'apparition des acci-
fait la plus grande partie de leur évolu- tion sans que l'attention
paraisse
avoir été attirée sur le système nerveux, et no
'a été attirée que vers les troubles douloureux ; les mouvements ne
paraissaient
pas plus modifiés qu'au cours d'une mala- die g
té notamment nette à cet égard ; chez ce malade, les contrac- tures
paraissent
avoir été remarquablement précoces ; presque dès
lée a été absente dans les observations IV et VI. Cette céphalée ne
paraît
pas en rapport avec l'état du liquide céphalo-
de l'existence connue de cas dans les milieux observés, rien ne me
paraît
pouvoir fixer l'attention sur la myélite aiguë,
la suppression du traitement mercuriel, tous ces symptômes ont dis-
paru
. Quand on prend en considération même les autre
heure après, douleurs et engourdissement avaient complètement dis-
paru
. Le malade n'y pensa plus ; à aucun moment il n'e
sorte de rotation du pouce autour de son axe ; mais cette rotation
paraît
se produire uniquement dans l'articulation carp
et avec force. Dans la flexion de l'avant-bras, le long supinateur
paraît
aussi fort que du côté sain. L'atrophie du bras
es de l'épaule et du dos et tous les autres muscles de l'éco- nomie
paraissent
tout à fait indemnes, et tous les mouvements de l
ucune anesthésie, et, trois mois après, l'atrophie progressive a pu
paraître
véritablement le phénomène primitif ; le malade
s. En ce temps de traumatismes si fréquents et si divers, il nous a
paru
256 LÉRI intéressant d'appeler l'attention su
nature. C'est à ces deux points de vue que cette observation nous a
paru
mériter d'être rapportée. 260 - LÉRI III
uelle on ne sent pas les tendons péroniers ; cette saillie anormale
paraît
due surtout à l'atrophie des péroniers latéraux
ntensité du trauma- tisme et avec son ancienneté relative quand ont
paru
les troubles. De plus, il nous a été facile de
e un peu excessive et le ventre proémine. Ces déformations du tronc
paraissent
dues à une sorte de bascule autour des articula
. niveau des jambiers antérieurs ; les sciatiques poplités internes
paraissent
inexcitables au creux puplité, les sciatiques p
ologie est donc celle de l'amyotrophie Charcot-Marie, le diagnostic
paraît
s'im- poser. Le malade déclare du reste qu'il a
! ) Bien que l'interprétation que nous avons donnée de notre cas nous
paraisse
de beaucoup la plus plausible, nous ne pouvons
eumonie aiguë ; trois frères et une soeur vivent en bonne santé. Il
paraît
avoir eu une enfance et une première jeunesse san
ble à frigore datant de trois 'mois. Dans ces conditions, il nous a
paru
intéressant de rapporter l'observation suivante :
t colle ses lèvres contre les arcades dentaires. Les buccinateurs
paraissent
se contracter. Grimace uni et bilatérale possible
ervicale. Nous reviendrons plus loin sur ce point. Les buccinateurs
paraissent
se contracter, mais les orbiculaires des lèvres
acquis les propriétés motrices. Les explications de ce fait ne nous
paraissent
pas très satisfaisantes., Faut-il, pour qu'un n
Cette théorie est séduisante (1). Elle est inadmissible. Il nous a
paru
intéressant de la signaler en passant. Mais que
rement dit, passer de la morphologie à la morphogénie. Il ne nous
paraît
donc pas inopportun de contribuer à la documenta-
culaires, à chacune desquelles se rapporte un os métacarpien, ce qui
paraît
le désigner comme os crochu. Au-dessus de celui
juge de la faiblesse d'un homme et de là vient que ceux qui veulent
paraître
faibles parlent extrêmement bas. La faiblesse est
ne (2) et par ses élèves, Bernheim, Toulouse et Marchand. Il nous a
paru
intéressant à ce point de vue de comparer l'histo
de la Maternité (le 14 février) 3.30 grammes. La première dent a
paru
à 4 mois. L'enfant a eu une crise de convulsions
peine à lui faire dépasser l'arcade dentaire. Le voile du palais ne
paraît
pas être touché, la voix n'est pas nasonnée, co
n. Cependant, une cerlaine partie du tissu nerveux de la bandelette
paraissait
intacte. L'hémorragie ne paraissait pas avoir dép
tissu nerveux de la bandelette paraissait intacte. L'hémorragie ne
paraissait
pas avoir dépassé la région de la bandelette op
antérieur^droit, dont nous avons déjà parlé. Le pédoncule olfactif
paraît
macroscopiquement intact. Le trigone olfactif e
nt son triage des cas semble être tant soit peu arbitraire. Il nous
paraît
impossible de décider sans l'évidence indubitable
Le tonus de l'oeil droit est un peu diminué. L'ouverture palpébrale
paraît
élargie. T. A. à gauche : 18-1O ? 4. à droite
à droite (ralentissement de 21 au lieu de 16). Ce ralentissement
paraît
liéà la phase d'exaltation vagotonique produite
e (ralen- tissement à la minute de 12 au lieu de 10 pulsations) qui
paraît
paradoxal, de même d'ailleurs que l'abaissement
nt ? , 10, 11, 1-3, 17 mois après le traumatisme, et les blessés ne
paraissaient
pas à ce moment s'orienter vers la guérison. L'
nsion sont bons. Pour la main, les mouvements de flexion des doigts
paraissent
très diminués de forcp, particulièrement pour l
ureux à la pression digitale. Au niveau du point d'Erb, la pression
paraît
même intolérable. Il existe en outre une légère
e en position cadavérique. Pouls : 116. - 20 septembre. L'aphonie
paraît
s'améliorer un peu et il semble qu'il y ait une
e oculo-cardiaque est intense à droite : à gauche, 2 pulsations ont
paru
seulement retardées malgré une compression prol
deux côtés, de même que le nerf crural. Certains segments du tronc
paraissent
plus épaissis que d'autres sans présenter jamai
craque- ments intra-articulaires et surtout de gros frottements qui
paraissent
dus à des \ altérations synoviales ; on ne perç
relationne avec les modifications somatiques dans ce type, il nous
paraît
digne de noter que l'appareil circulatoire présen
urant toujours la lésion essentielle. Un certain - nombre d'auteurs
paraissent
cependant envisager notre hypothèse comme plaus
la lésion testiculaire soit primitive, consécutive ou simultanée, me
paraît
(1) Henuy Meige, op. cit., p. S. (2) Souques.
revenir à cette citation et de lui donner l'interprétation qui nous
paraît
logique. ~ ' 1 Pour corroborer l'inclusion de
ortant à cette façon de penser, fait la réflexion suivante qui nous
paraît
raisonnable : « Sur la base de ces faits, Falta a
un jeune homme (ils sont jeunes et semblent vieux ; quand vieux ils
paraissent
jeunes) conservant le secret de cette jeunesse
t l'adipose caracté- ristique fait défaut. Dans ces cas, il ne nous
paraît
pas exact d'accepter la dénomination d'eunuchoï
premier jour, et pendant 21 mois, des troubles urinaires, qui ont,
paraît
-il, nécessité un sondage régulier deux fois par j
plaie ni ecchymose. A l'ambulance où il a été transporté, on a dû,
paraît
-il, le sonder pendant deux jours. Dans les no
, si l'on en juge par certaines images d'art, la médecine empirique
paraît
s'être mêlée de la guérison des affections ment
ne ville de Phocide, située sur le golfe de Corinthe où l'ellébore,
paraît
-il, poussait en abondance. Un proverbe conseill
ur 100 lits. Cette dernière proposition, qui est urgente, ne nous
paraît
pas pouvoir être tranchée, si on n'est préablemen
ie, le pavillon des contagieuses, le pavillon des cellules, ne nous
paraît
pas il sa véritable place. Ce n'est pas à l'ent
laisser échapper très facilement toutes ses buées. G" Les ateliers
paraissent
être prévus dans le sous-sol des écoles, ce qui
des bâtiments du futur asile doivent avoir deux étages, ce qui nous
paraît
déplorable. Et, comme il s'agit de placer dans
Bicétre et qui consiste il placer un lit entre chaque fenêtre nous
paraît
de beaucoup préférable. Et nous ne sommes pas s
d'agrandissement des services généraux de la Fondation Vallée ne me
paraissent
pas comprises dans ce projet. Or, il est éviden
nt été construits à l'Asile de Villejuif (1). II. Tout le monde a
paru
d'accord pour placer l'entrée de l'asile sur la
0 lits n'est que de 30.800 métrés carrés. Une étendue de 3 à 35.000
paraît
suffisante à notre collègue. Là sous-commission
tration avait soutenu un projet de bâtiment à deux étages qui, seul
paraissait
pouvoir répon- dre à ce programme; mais étant d
er et pleure. i Multiplier ces exemples serait aisé. Ceux-ci nous
paraissent
suffire pour démontrer, aux personnes qui en do
tions par des sillons antéro- postérieurs ; seul le tiers inférieur
paraît
bien développé. FA est très volumineuse. Rien à
ssez nombreuses au niveau du lobe orbitaire. Les couches optiques
paraissent
un peu rétrécies. RÉFLEXIONS. 9 Les ventricul
a pas fait la moindre amitié à ses parents à leurs deux visites; ne
paraissait
pas les reconnaître. Poids : 8 kilog ; taille :
n à lalumière et à l'accommodation, conjonctive sensible. La vue ne
paraît
être le siège d'aucun trouble. Nez légèrement c
e normal. Oreilles bien ourlées, implantées régulièrement. L'ouïe
paraît
saine. Cou : circonférence, 27 cm. Pas de goitr
i indé- niable : l'asphyxie à la naissance, intense et prolongée,
paraît
en être la première conséquence. Rappelons que
la verge. Les testicules, de la grosseur d'un petit oeuf de pigeon,
paraissent
égaux. 1890. Janvier. - Traitement : élixir P01
souvent de ses prières et du bon Dieu. A l'ate- lier de couture, il
paraît
un peu en progrès et fait bien mieux les coutur
r en même temps qu'apparaissait l'athétose, Le diagnostic méningite
paraît
exact, car, à l'autopsie, nous avons trouvé un
e végétative, si l'on peut appeler ainsi l'état d'une enfant qui ne
paraît
même pas éprouver le besoin de manger et de boi
re compte de l'état de la sen sibilité. La sensibilité à la douleur
paraît
abolie au niveau des jambes; elle semble existe
faire couper la tète. » Il s'échappa de l'asile et pendant 18 mois
parut
à peu près raisonnable. 11 revint en France, de
uche saburrale, rouge à la pointe. Palais absolument pâle. L'enfant
paraît
distinguer et Bourneville, Bicêtre, 1892. G 8
A la naissance, pas d'asphyxie; l'enfant était en excellent état et
paraissait
vigoureux et bren constitué. - La mère le nourr
ctuel (21 mai 18 ! J'2¡. - L'enfant est développé physi- quement et
paraît
bien portant; Pas d'adipose. Le faciès est abso
lpébrales' sont dirigées en haut et en dehors. Les globes oculaires
paraissent
mobiles dans tous les sens. Il y a du strabisme
liquides. DOUBLE porencéphalie vraie. 95 Les sentiments affectifs
paraissent
nuls; les caresses le laissent complètement fro
de particulier. Le quatrième ventricule est iiot-iiiiil. - Le bulbe
paraît
être complet ; macroscopiquement on lui disting
les paralysies et les contrac- tures sont le cortège habituel d'un
parus
cérébral. La lecture de nos observations suffir
issées par la réflexion des circonvolutions voi- sines. Il nous a
paru
bon d'examiner aussi sur les calottes crânienne
ines, ni de fièvre typhoïde. C'était un homme très vigoureux, il ne
paraissait
pas avoir eu, la syphilis et n'a jamais eu aucu
ition temporaire complète. - L'enfant 110 Antécédents personnels.
paraissait
intelligent, connaissait bien ses parents. On ne
et cela sur chaque hémisphère. - Les artères, les nerfs de la base
paraissent
tout,il,fait symétriques. Les tubercules mamill
l n'y a pas de déviation de la cloison et la fonc- tion de l'odorat
paraît
normale ! ? ). -La bouche est grande et horizon
oryza, ni conjonctivite. Il dort couché sur le côté droit. Hier : a
paru
une éruption de taches lenticulaires et rosées. C
re augmente très rapidement et durant l'examen de l'en- fant, elles
paraissent
se multiplier. La face externe du bras droit es
e gauche. métrique ; elle est beaucoup plus développée iL droite et
paraît
tordue autour de son axe antéro-postérieur, qui
lièrement avec V induration du côté opposé. Les lobes du cervelet
paraissent
sains, mais le gauche est plus volumineux que l
l'affirmer, faute de renseignements précis. Quoiqu'il en soit, il
paraît
avoir contracté cette maladie, à laquelle il a
, 9. Son père est venu ce malin et, à sa vue, Ter.. a pleuré puis a
paru
content. - Soir : 'l'. R. 39°, 4. 15G TUBERCU
normale. 15 août. - La djfervesconco s'est faite lentement : elle
paraissait
complète le 10 août, mais le lendemain, la tempé-
de suffocation qui a duré 15 minutes. Les inhalations d'oxygène ont
paru
le soulager. Vers 4 heures, il a mangé du potag
tuberculose des poumons et des méninges. Ces tares ancestrales nous
paraissent
avoir joué un rôle prépondérant dans la prépara
en fonctionnel de l'cril impossible. - Nez petit et droit. L'odorat
paraît
normal. - Pommettes peu saillantes, symétriques
Le liquide État DU crâne ; méningite. 169 cépha.lo-1'achidien ne
paraît
pas sensiblement augmenté. La pie-mère est part
es et à la partie antérieure des lobes temporaux. Ces infiltrations
paraissent
un peu plus prononcées sur la face convexe gauc
a bru n'y est venue qu'une fois en 6 mois; de plus, elle n'a jamais
paru
ivre ou déraisonnable pendant ces visites, qu'e
ités de quelques mouvements, durant trois ou quatre secondes. Il ne
paraissait
pas y avoir syncope. Ces crises se sont renouve
naire. Amygdales assez petites. Réflexe pharyngien normal. L'enfant
paraît
aimer les substances sucrées. Elle fait la grim
embre. Après avoir été un jour encore dans un état inquiétant, G...
paraît
aujourd'hui absolument remise. Elle réclame de
excès de boisson. Elle est morte à 58 ans d'une maladie du foie qui
paraît
avoir été une cirrhose atrophique. - Grand-père
et. Les sinus sont gorgés de sang coagulé. Les cavités de la base
paraissent
symétriques, le trou occipital est normal. Corps
ourvus de tissu graisseux sous-cutané. Les mouvements des deux bras
paraissent
possibles. Ongles minces. MÉNINGITE. 203 Me
tion céxébrale. Un autre frère de la mère a un fils paralysé et qui
paraît
être hydrocéphale. Un autre frère de la mère en
uillet. - Ce matin il n'y a plus que 37°, 5. L'enfant est pâle mais
paraît
assez éveillé, s'assied même sur son lit Il ne
ndre compte de l'état des sutures et des fontanelles. Ces dernières
paraissent
comblées. Le visage est plein et arrondi. Les a
ilaté, la couche optique, le corps strié ainsi que la corne d'Ammon
paraissent
normaux. Hémisphère droit. - La pie-mère s'enlè
as dilaté. La couche optique, le corps strié et la corne dam- mon
paraissent
normaux. Même vascularisation de la pie- mère s
ur cet hémisphère que sur l'autre. Les deux hémisphères décortiqués
paraissent
très iné- gaux. ! 22 RÉFLEXIONS. Réflexions
percussion ni l'auscultation. Abdomen en bateau. Le foie et la rate
paraissent
de dimen- sions normales. Puberté et organes
ère de la suture, de petits îlots osseux très petits et isolés, qui
paraissent
provenir d'un travail partiel de synostose de c
la région temporo-sphénoidale, la circonvolution du corps calleux
paraissent
pas altérés. Il en est de même des noyau»; gris
laté qu'à droite. Les noyaux gris cen- traux, les pédoncules, etc.,
paraissent
normaux. Le cervelet offre de nombreuses adhére
n est de même du bulbe et de la protubérance. La moelle épinière ne
paraît
pas asymétrique, on ne remarque sur sa coupe, à
ents survenus au moment de la conception et durant la grossesse, ne
paraissent
pas devoir être pris en considération, car jusq
Notre malade. Au moment de la conception, le mari buvait beaucoup,
paraît
-il. Pendant la grossesse, il adonné quelque- fo
e pituitaire est un peu élargie, aplatie. Les fosses sphénoïdales
paraissent
symétriques. La fosse occipitale gauche est un pe
s mamillaires sont tout-à-fait aplatis. Les autres nerfs de la base
paraissent
à peu près normaux. - Les artères sont symétriq
laisse apercevoir le lobe de l'insula formé de 6 digitations qui ne
paraissent
pas altérées. Le sillon de Rolando, superficiel
normale. Le lobule de l'insula est formé de cinq digitations et ne
paraît
pas altéré. Fi, F2 et F3 sont bien contournées
ots. 252 Réflexions : Hydrocéphalie. sorte que cette membrane qui
paraissait
homogène sur le kyste à l'oeil nu, s'étale en u
ux qu'on peut qualifier de septico-pyohémie. Ces complications nous
paraissent
être d'origine tro- 254 Réflexions. phique. C
riculaire. Tandis qu'à l'entrée de la malade le 19 mai 1888, les os
paraissaient
réunis sans intervalles donnant la sensation d'
ve pas de dégoût pour la teinture de coloquinte. L'odorat, l'ouie
paraissent
normaux. L'examen de la vue est impossi- ble.
ar minute. Les derniers tours sont encore plus rapides, après il ne
paraît
pas étourdi, s'assied ensuite, la tète entre le
lacés à une cer- taine distance de lui. Ses pupilles, peu dilatées,
paraissent
être plus sensibles à la lumière qu'à l'accommo
ns la rue, elle se trainait dans la boue, faisait ses ordures, sans
paraître
en avoir conscience. Elle bavait z constamment,
peu développé, elle mangeait de tout indifféremment, pourtant elle
paraît
avoir certaines préférences, aime beaucoup la s
.. ne parle pas mieux maintenant qu'avant l'opération. Ses idées ne
paraissent
pas plus claires ; elle n'est pas plus suscepti
, sous-cloisons un peu saillan- tes ; cloison non déviée. L'odorat
paraît
présenter un certain développement. - Bouche tr
. Ongles très grands, bombés transversalement. Sensibilité : elle
paraît
assez obtuse sur les différents points de la su
trace de tubercules. La configuration extérieure de cet hémisphère
paraît
assez régulière. Le cervelet est normal ainsi q
ales agglutinées par des fausses membranes. il) Son observation a
paru
dans notre Compte rendu de 1890, p. 41. '304 Su
; la droite (25 mm.) est moitié plus grande que la gauche. La voùte
paraît
symétrique (Voir PL. III, IV, V et VI.) OBS.
sistance du trou de Botal. Lésions pulmonaires. Crâne. La calotte
paraît
légèrement asymétrique, mais cette asymétrie es
n cérébrale. Un autre frère de la mère a eu un fils paralysé et qui
paraît
être hydrocéphale. - Un autre frère de la mère
partie des malades morts depuis un an dans notre service, nous ont
paru
suffisants. Ce n'est pas que nous soyions absol
-t-elle ? Les crânes des malades des observations IV et XII, nous
paraissent
en fournir l'explication. Ces malades ont succo
organe des faits magnétotliérapiqires et niagnétolo-giques va bientôt
paraître
. « L*administration recevra toutes les communic
er, seulement par la force attractive de ses mains. En marchant, elle
parut
avoir les yeux fermés, mais sa démarche était nat
ntinuelle par la vue n’est pas empêchée. * La seule chose qui m’ait
paru
nouvelle dans toutes ces expériences magnétiques,
tre heures. Après l’avoir magnétisée deux ou trois fois, je l’ai fait
paraître
dans une séance publique, et je l’ai congédiée le
oman de M. Paul Féval, intitulé le Paradis des Femmes, dans lequel il
paraît
devoir se trouver plusieurs scènes de somnambulis
ir: les caries, le marc de café, la chiromancie, etc., tout cela leur
paraît
un misérable attirail de jonglerie digne du mépri
ir: les caries, le marc de café, la chiromancie, etc., tout cela leur
paraît
un misérable attirail de jonglerie digne du mépri
onnues. » Le second renferme plusieurs propositions dont l’évidence
paraît
incontestable ; ainsi, en parlant de la compositi
haîne, l’auteur dit : « De petits enfants et des personnes âgées ne
paraissent
pas aussi propres, attendu qu’il n'ont ni assez
nomène, une autre explication des résultats qui l’accompagnent, et il
paraît
nécessaire de rechercher I une et l'autre dans l’
accidents dont le détail forme son chapitre V : « Comme les tables
paraissent
être mises en mouvement par le fluide magnétique,
’a rendu témoin feu le bon I)' Despine, faits dont la relation a déjà
paru
en partie dans le Journal du magnétisme (1), et q
s elle n’était pas dans cette maison la première fois! » Comme cela
paraissait
la fatiguer, je m’empressai de la rassurer. Je la
ne heure des efforts inouïs pour lire le cahier de la petite, qui lui
paraissait
si joli, et entendre ce que l’on disait et qui lu
y a toujours un moment de repos, ce ne fut qu’à ce moment là qu’elle
parut
revenir à nous répondre en commençant par nous di
iiez-vous, et cent personnes vous servaient d’écho. Eli bien ! ce qui
paraissait
ne devoir durer qu’ un instant est devenu inaltér
vue matériel qu’au point de vue moral.' E. V. LÉGEH. II vient de
paraître
chez Dentu : 1° Une brochure de l’abbé Almignan
laire, par lequel tous nos mouvements volontaires sont guidés ; et il
paraît
assez croître en acuité pour remplacer complèteme
ns d’hésitation qu’ils ne le feraient pendant la veille. De fait, ils
paraissent
n’avoir aucune conscience du danger couru, et tou
ès presque invariable qu’elle a entre les mains de il. Braid lui-même
paraît
en partie dû à la condition mentale du patient qu
réalité et l’imposture. La production du somnambulisme mesmérien nous
paraît
pleinement explicable par les faits rapportés p
up d’égards, identiques à ceux de Xhypnotisme, excepté en ceci, qu’il
paraît
exister une relation particulière entre le somnam
de la rotation des tables, non par désœuvrement, mais parce qu’il m’a
paru
présenter des effets dignes d’étude. Je ne préten
tenir le phénomène nouveau, sans oser croire à sa réalité, tant il me
paraissait
en dehors des lois naturelles connues. Il avait d
u des êtres en dehors de nos relations pour expliquer ces faits ne me
paraît
en aucune façon nécessaire, dès que les facultés
u temps le confirment, les hommes des temps qui ont précédé le Christ
paraissent
donc avoir eu sur l’ordre naturel et divin des co
nées fournies en même temps par la science, la raison et la foi, nous
paraissent
indispensables pour étudier et expliquer convenab
très-subtils, et l’âme humaine, considérés dans tous leurs rapports,
paraissent
jouer ici le rôle principal. » Nous croyons sur
s, ni la prudence, « ni la probité, et qui, quoique inexplicables, ne
paraissent
« pas sortir de la classe des faits physiques et
ue « des remèdes propres à soulager ou à guérir les maladies ; « il
paraît
même savoir des choses qu’il ne savait pas dans «
munications que j’ai eues avec l’esprit d’Abdallah-Me-Cani, et qui me
paraissent
mériter d’être répandues parmi les hommes. Vous t
s qui remuaient, changeaient de place et s’effaçaient pour en laisser
paraître
de nouvelles. La tête seule était visible dans ce
midable ce qu’il lui voulait, qu’il en avait été d’abord terrifié. 11
paraît
que c’était, au dire du cabaliste, un habitant de
yer une troisième fois ; je n’obtiens pour résultat qu’une nausée. 11
paraît
que le vomissement n’était plus nécesssaire, car
gatif et m’a parfaitement guéri. Si ce que je viens de dire ne vous
paraît
pas sortir des limites de votre Journal, je ne me
re suivante qui, quoique rapportée sous le titre de Superstition, m’a
paru
mériter d’être traduite. « Il y a quelque temps
recouvrant chaque jour de plus en plus la santé. » Bien que cc fait
paraisse
étranger au magnétisme, je suis disposée à l’y ra
seur, lorsqu’elle frappe l’oreille du somnambule acquiert, à ce qu’il
paraît
, un volume proportionnel à la lucidité de ce dern
’osait sortir de chez elle qu’en tremblant, n’avait plus d’appétit et
paraissait
dans un dépérissement complet. M. le curé l’avait
lité du public devant lequel l’expérience a lieu entraîne, à ce qu’il
paraît
, comme conséquence forcée, la frivolité de l’expé
t, c’est toujours le même système, la négation absolue de tout ce qui
paraît
passer toute possibilité, système dont la formule
vant de s’être informé si elle vivait encore. « Tout secours humain
paraissait
inutile ; une amie conseilla à la jeune malade de
uxième, aussi dangereux que le premier, est rare ; déclaration qui me
paraît
peu consolante pour les malheureux atteints de ce
la même force, je préfère dire à M. Masson, qui n’a point, à ce qu’il
paraît
, l’habitude de voir des cures dans le genre de ce
ages de la Perse et parles initiés aux grands mystères, le magnétisme
paraît
ne l’avoir été que sous le rapport médical. Il es
ystème tout entier. Mais nous avouons que, pour nous, ce sujet nous
paraît
sentir un peu trop le fagot, et bien qu’aujourd’h
ourrait être autrement de celui qui, franc-maçon lui-même, à ce qu’il
paraît
, et probablement un des grands dignitaires de l’o
., ETC. Le magnétisme animal gagnant journellement du terrain, nous
paraît
mériter l’examen des hommes de science. Je compre
u peau et l’état des yeux qui sont convulsés vers le haut, ce sommeil
paraissait
tout à fait naturel. Le 8 au soir, je trouvai la
ouveau très-distendue, mais il n’y a pas de miction involontaire ; il
paraît
, au contraire certain que la malade s’est levée l
u ; il existe, donc il peut exister ; et qnelque absurde qu’il puisse
paraître
, il a dans son existence même la preuve de sa non
ue du> thaumaturge. L’enthousiasme est à son comble, le magnétisme
paraît
devoir triompher ; un gouvernement ami du progrès
à sa fin, elle a resserré les liens qui nous unissent. Chacun de nous
paraissait
être au milieu de sa famille. N’est-ce pas le plu
du défenseur de M. et de M™' Mongruel, M” Pezzani, que tout lui avait
paru
vrai dans les déclarations de la somnambule ; mai
cheveux noirs, etc. La description faite par la somnambule lui avait
paru
d’une application si facile, qu’elle hésita un in
magnétisme. Une formule aussi absolue et qui, à première vue, peut
paraître
choquante en rappelant les idées fantastiques de
lendemain. Permettez-moi cependant, quelque présomption qu’il puisse
paraître
y avoir en cela de ma part, de vous parler d’un f
partements, viennent s’immiscer quelques contrariétés qui, à ce qu’il
paraît
, sont la conséquence inévitable de toute création
a voir se briser entre nos mains. — Pour si épouvantable que cet état
paraisse
, il n’y a point à s’en alarmer, il n’est pas dang
t un travail beaucoup trop long. Les observations sont consignées, et
paraîtront
plus tard dans un journal. Je vous ferai savoir
e toute sorte qui lui furent prodigués à cet eflet; au contraire elle
parut
s’aggraver. Elle siégeait tout autour de l’articu
able qu’on les emploie à tour de bras : la raison n’ayant, à ce qu’il
paraît
, rien à faire dans ce débat. Mais vous vous tromp
court, par le seul acte de la volonté de l’expérimentateur. Ce fait
parut
si extraordinaire à Mgr, que S. G. s’adressant
sme. Vous connaissez, vous discutez très-bien les premiers, mais vous
paraissez
ne pas connaître les seconds. 11 est facile d’en
eulement la vision exercée sans le secours des yeux, pour laquelle il
paraît
avoir une si profonde répugnance, mais encore un
s, subdivisions, catégories, sections et sous-sections cérébrales lui
paraissent
assez confuses, et nous ne pouvons dire qu’il ait
e technique fait, il s’eu va magnétisant, et bientôt il n’a plus qu’à
paraître
pour que telle personne éprouve une émotion profo
éloignés, plus ou moins inconnus, de telle sorte que les distances ne
paraissent
plus exister ..i pour le temps ni pour l’espace ?
apeutique), afin de me consacrer, en terminant, à la première, qui me
paraît
offrir un véritable intérêt. » Qu’en dites-vous
pensé ici de tout commentaire. » Ainsi M. Segond, qui d’abord avait
paru
vouloir demeurer stationnaire à son année de préd
. Les uns ont attribué à une action spéciale de Dieu tout ce qui leur
paraissait
s’écarter des lois naturelles, pendant que d’autr
e vérité. » Malgré ces restrictions, l’aveu de ces messieurs nous a
paru
bon à enregistrer. On voit poindre par là l’opini
nir ma malade de loin. Je résistais à tenter une expérience qui ne me
paraissait
pas sans danger; je m’étais fait une loi, dont je
questions ordinaires. Réveillée quelques instants après, la malade
parut
tout étonnée de me voir à côté d’elle, et me dema
restriction, les hommes agissent sur leurs semblables par un mode qui
paraît
mixte, tenant à la fois du mode moral et du mode
ulées, la bénédiction, tout en conservant un caractère familial, n’en
paraît
pas moins étendue ni moins générale. — Ce caractè
nifiance apparente pour ceux qui connaissent la matière médicale, ont
paru
guérir des cas désespérés. — N’auraient-ils pas é
s, d’un calcul de la vessie d’un assez gros volume, dont la formation
paraissait
remonter à quelques années. Plusieurs fois la m
ette nature, ainsi que dans un grand nombre d’autres dont la guérison
paraît
, sinon impossible, du moins difficile, et qui, en
lairvoyance qu’elle présente pendant le sommeil som-nambulique nous a
paru
très-incertaine, ce qui tient sans doute à la mau
tir la formule de bénédiction traduite en français, —où bénissez peut
paraître
adressé à Dieu, — la bénédiction doit être donnée
s gens ?i mine sensuelle; et tous ceux dont elle accepte le ministère
paraissent
rayonnants de foi et de volonté dans l’acte de la
, d’une gastrite chronique et d’une maladie du cœur. Tous les organes
paraissaient
attaqués à la fois; il allait s’affaiblissant, en
rouver l'origine «les préjugés ou des superstitions (1). Le sai.bat
paraît
avoir été la réunion de certaines sociétés secrèt
ent nécessaires pour résoudre ce problème; mais les sources anciennes
paraissent
épuisées. Le haschish et le chloroforme, qui ont
toiles. » Dans un désert parfaitement aride, cette hallucination me
paraît
trouver son rudiment dans l’engorgement sanguin d
s ouvert, ces objets prennent une apparence différente. Les images ne
paraissent
souvent pas éloignées de l’œil de plus de cinquan
les maisons et tous les objets qui présentent un*' sulace vertical»'
paraissent
pins élevés qu’ils ne le sont, sans cependant par
ont, sans cependant paratlr- plus large«: ainsi une maison d’un étage
paraît
un r,\oi: ai* moins deux. « Le rudiment de tout
ce d’arriver à temps pour arracher ce voyageur à la mort, lui faisait
paraître
la route bien longue. Préoccupé du moment où il v
mmes « montés à dos de dromadaire envoyés à ma recherche. Ce « qui me
paraissait
le plus extraordinaire, c’est que toutes « mes im
ation. Le contact de cet air qui, pour nous eût été chaud, devait lui
paraître
, à lui, trës-i'rokl; il devait confondre ces aspi
arle succès de sa première publication, M. de Mirville vient de faire
paraître
un second ouvrage dans lequel il ajoute de nouvea
rquant que tout était dans le même état que lorsqu’elle s’assit, elle
parut
déroutée, bien que, d’après les manières de M. Tu
t reproduit l’ar- . ticle du Zoist ; le (lutin nu ni's Messenger, qui
paraît
à Paris, l’a accueilli dans ses colonnes. Une aus
alepsie qu’à toute autre affection, et que si par intervalles on voit
paraître
quelques phénomènes hystériformes ou autres, bien
le il désirait lui-même vivement prendre part. Pendant son délire, il
paraît
suivre avec anxiété toutes les phases de cet exer
vons dans le numéro du 15 mars dernier la lettre suivante, qui nous a
paru
digne d’intérêt : « Je vous ai déjà adressé une
rticle que je vous ai adressé à ce sujet est le premier que j’ai fait
paraître
, et j’espère qu'il ne sera pas le dernier, persua
ertain nombre de vibrations indiquant le nombre de pieds. Ce qui peut
paraître
étrange, c’est que j’ai plus souvent obtenu l’ind
Qu'on ne nous taxe plus d’exagération, quelque nouvelle que puisse
paraître
cette manière d’envisager ces grands faits histor
guérir prouve « qu’il n’y avait là ni miracle ni influence divine. 11
paraît
« qu’il s’échappait de son corps une émanation ba
tir le point de départ des croyances au sujet des phénomènes qui nous
paraissent
extraordinaires, et avoir raison des erreurs de d
honorable rédacteur en chef de X Union médicale, ces paroles : « Il
paraîtrait
que l’organisme humain, placé dans cer-« taines c
émontrer, ni les compter, ni les calculer... Cela est savant, mais me
paraît
un peu hasardé et ne me fait pas mieux comprendre
là après y être venue accidentellement? Cette dernière hypothèse nous
paraîtrait
bien hasardée. Pourquoi surtout la malade donne-t
e vit encore! Elle annonce ses règles pour le 12 février, et elles ne
paraissent
pas : cela est déjà arrivé à bien des femmes non
ux qui 11e savent se donner la faculté de voir, ce que je rapporte ne
paraîtra
que l’excentricité d’un conte, d’une hallucinat
que compliqué, quelque surabondant, quelque bizarre même qu’il puisse
paraître
, j’assure que, pour mon compte, je m’y soumettrai
vertissement invariable : « Jeannette te trompe. » Jeannette pourtant
paraissait
honnête; c’était une chambrière rebondie* faisant
s pièces ont été reconnues pour appartenir à divers auteurs; d’autres
paraissent
être originales. On donne comme échantillon des v
oi, mais à un étage supérieur. Le lendemain matin, en me voyant, il
parut
me considérer avec un air d’inquiétude. — J’ai
ait uniquement au soin des malades. Il passa une année à Londres et
parut
s’ennuyer d’occuper de lui le public. 11 retourna
ion pour objet, et cependant, dans son ouvrage de Miracu/is qu’il fit
paraître
en 1776, il semble porté à croire qu’il faut cons
1 commence par se livrer à des discussions métaphysiques qui nous ont
paru
manquer de netteté et de clarté. Aiusi, selon lui
tats sardes, l’application de cet agent merveilleux. Les statuts nous
paraissent
sagement conçus. L’institution compte pour se sou
s autour de la salle, se livrent ii toutes sortes de plaisanteries et
paraissent
s’amuser beaucoup de tout ce qui se passe. Les
qu’en donne l’auteur au moyen de la polarisation des forces, ne nous
paraît
pas satisfaisante. Quant à son spirod, nous lui f
e. En conséquence, et quoique les morceaux détachés fussent froids et
parussent
ne conserver aucune étincelle de vitalité, je les
réponse a toujours été affirmative. Une fois, les portions rajustées
paraissaient
prêtes à se détacher, mais on m'assura que ça n’a
ent perdu l’appétit et qu’elle était privée de sommeil; les règles ne
paraissaient
qu’un jour et en petite quantité ; le sang était
u obsession, et a reproduit des extraits étendus d’une brochure qui a
paru
en 18/i0, et ayant pour titre : Observation de ma
emples d’aberration se sont produits assez fréquemment, et qu’il nous
paraît
important de dégager la cause du magnétisme de fa
passes ni manipulations. Le don de voir vint instantanément. Elle ne
paraissait
être ni dans l’état magnétique ni dans l’état bio
liberté et de facilité qu’avant le commencement de l’expérience. Elle
paraissait
aussi susceptible d’éprouver tous les sentiments
ions dans l’état de clairvoyance que dans son état normal. Quand elle
paraissait
s’affaiblir et qu’elle donnait quelques signes d’
e distance, ou nous les liâmes à la hauteur de sa tête; les positions
parurent
produire une certaine différence; cependant elle
auteurs aient possédé une véritable science. Le chapitre 13 nous a
paru
mériter une mention particulière. L’auteur nous a
e, la prétention de faire oublier une perte irréparable-, mais il a
paru
utile aux éditeurs et aux amis de M. Leuret de co
seraient comblés, si son œuvre, ajoutée à celle de son devancier, ne
paraissait
pas absolument indigne d'elle. La marche que j'
Vicq-d'Azyr, de Reil, de Gall, de Burdach, d'Arnold et de M. Foville,
paraissait
à peu près délaissée pour des sujets, à coup sûr,
issée pour des sujets, à coup sûr, moins importants ; cet abandon m'a
paru
résulter de deux causes principales, à savoir : d
sification des plans fibreux qui composent le centre ovale du cerveau
paraîtront
aux philosophes, être un véritable acheminement v
le des idéologistes; mais si l'on juge que j'y ai réussi, peut-être
paraîtrai
-je avoir à mon tour payé mon tribut à la noble sc
llules sont accumulées comme des grains dans une masse de sable, sans
paraître
communiquer soit avec les fibres nerveuses qui tr
pas à la même « face du corps que la moelle épinière. » Dugès ne me
paraît
pas avoir rempli sa promesse de résoudre cette di
énoncé la même théorie dans ses cours, en se l'attribuant, elle ne me
paraît
ni mieux conçue ni mieux établie. Ainsi, cette
ce qu'on a appelé le nerf sympathique dans les animaux vertébrés, me
paraît
avoir encore aujourd'hui toute sa force. En vain
s les commissures qui unissent les deux moitiés du ganglion inférieur
paraissent
manquer, et l'anneau est divisé par le milieu de
postérieur. Voilà une première division. Le grand cordon antérieur
paraît
à son tour subdivisé en deux faisceaux secondaire
leur correspondent, du moins au point de vue de leurs propriétés. Il
paraît
toutefois qu'on s'est trop hâté de généraliser, e
funicules blancs dont l'existence est constante, mais dont le nombre
paraît
varier. Dans certains points, on peut en compter
oelle; elle est également constante dans l'enfant nouveau-né, mais il
paraît
quelquefois oblitéré chez l'adulte. Au-devant d
ellules contiennent un pigment coloré le plus souvent en brun ; il ne
paraît
pas d'ailleurs que la coloration de toutes les ce
ion de toutes les cellules soit exclusivement due à ce pigment ; elle
paraît
tenir, dans certains cas, à leur manière de réfra
e temps que ces recherches fastidieuses m'ont coûté, si elles peuvent
paraître
de quelque utilité pour l'histoire philosophique
moitiés de l'axe encéphalique, l'ouverture supérieure de cette cavité
paraîtra
divisée par le pont transverse de la commissure m
ou antérieur ; c'est au genou postérieur que sa plus grande épaisseur
paraît
correspondre. Le corps calleux n'est point cour
, dans le Callithrix moloch, dans le Pinche et dans les Ouistitis. Il
paraît
donc exister dans tous les singes inférieurs, mai
de vérifier l'exactitude; mais j'aime mieux avouer que la chose m'a
paru
impossible, ce qu'on pourra aisément concevoir;
n dans tous les animaux justifient cette dénomination. Ces lobes ne
paraissent
point avoir, dans l'ordre des organes de l'intell
es moyennes elles-mêmes sont très-difficiles à établir, parce qu'il a
paru
plus commode d'apprécier la totalité du poids ou
entés par Rolando, par M. Arnold et par M. Foville. Le lobe central
paraît
particulier à l'homme et aux singes, peut-être vo
aux postérieurs échappent seules à cet arrangement. Cette structure
paraît
au premier abord toute différente de celle de la
des physiologistes. La réalité des analogies que nous discutons ici
paraît
confirmée par un autre fait. C'est de cette doubl
ts grossissements, la paroi de la bourse et de ses noyaux accessoires
paraît
formée de petits ganglions gris que séparent les
du type, on arrive à le retrouver aisément sous des dissemblances qui
paraissent
, au premier abord, établir une différence totale.
lent aux rayons de la couronne de Reil. Quelques-unes de leurs fibres
paraissent
se terminer dans le corps strié externe, d'autres
rijumeaux. Ces tubercules, qu'on a aussi appelés lobes optiques, ne
paraissent
pas avoir, dans l'ordre des organes intellectuels
s passent horizontalement sur la surface du cerveau, et ces fibres ne
paraissent
pas en connexion avec celles des autres couches.
es grises sont : 1° une cellule arrondie fort petite qui ne m'a point
paru
émettre de prolongements. Le noyau et le nucléole
tre leur analogie avec celle du ruban fibreux de l'ourlet. Elles nous
paraissent
en conséquence appartenir au système des commissu
de direction des fibres dans l'expansion cérébrale du nerf optique me
paraît
un fait très-important, et digne d'être signalé d
s. D'ailleurs, elle n'est pas chez tous également apparente. Elle m'a
paru
plus considérable, en général, dans les Carnassie
e; la première s'épanouit immédiatement dans l'hémisphère, la seconde
paraît
y tendre, mais n'y va pas en droite ligne, et s
ir: les lobes optiques et les corps genouillés internes. Voilà ce qui
paraît
hors de doute. Serait-il dès lors imprudent d'app
destinée aux lobes optiques s'accroît proportionnellement; ces faits
paraissent
hors de doute. Pour en tirer des conclusions ce
lancher du quatrième ventricule, ou bien dans le corps restiforme, me
paraissent
avoir émis une assertion que ne sauraient légitim
ecroisent sur la ligne médiane avec celles du côté opposé. Ces fibres
paraissent
être en série avec celles du facial. 6. Deuxièm
rtaines connexions de la cinquième paire avec le cervelet, de même il
paraît
y avoir, par la racine que nous venons de décrire
par cette expression Vésale désigne le nerf pathétique. Cette opinion
paraît
fort probable à Niemeyer et nous la partageons ég
loin que le demanderaient les besoins de la physiologie actuelle. Il
paraît
en effet que si le nerf acoustique agit sur le ce
rieurs, mais dans l'homme et dans les mammifères les plus élevés elle
paraît
assez évidente au premier abord, et l'on se décid
âniens réunis, ne pourrait rendre raison de la quantité de fibres que
paraît
comprendre un seul hémisphère. Mais on ne pourrai
n deux moitiés distinctes les deux lobes des hémisphères futurs. Il
paraît
qu'au début de la vie il n'y a aucune adhérence e
s régions postérieures de la masse encéphalique. Ces réflexions m'ont
paru
nécessaires, car certaines figures de Tiédemann,
cette époque, par de petites scissures rayonnantes. Ces scissures ne
paraissent
point être le résultat accidentel de certaines ci
ière absolument symétrique. Ainsi, le développement des plis frontaux
paraît
se faire plus vite à gauche qu'à droite, tandis q
rfectionnant dans le sens d'une complication toujours croissante, ils
paraîtront
, en généra', d'autant pius semblables au premier
sinus caverneux. Vaisseaux lymphatiques. — La substance du cerveau
paraît
en être dépourvue, mais ils sont, d'après Arnold
Ces différences ne sont point à coup sûr un effet du hasard. Elles ne
paraissent
dépendre ni du climat, ni des habitudes des peupl
u s'étend à la fois dans le domaine de ces deux vertèbres. Mais il ne
paraît
pas que cette extension se fasse indifféremment d
qu'il en soit, les moyennes des observations de M. Van der Hoeven me
paraissent
fort exactes, sauf pour le frontal dont la largeu
nforme aux principes de la crânios-copie moderne; or celle-ci ne nous
paraît
pas beaucoup plus certaine que celle des anciens.
glion postérieur, qui correspond au cervelet et à l'organe de l'ouïe,
paraît
être le siège des instincts des passions et de la
Quant à nous, nous le répétons, si le développement du frontal nous
paraît
plus significatif en faveur de l'intelligence que
naire qui longe la grande scissure cérébrale. Ainsi cette région nous
paraît
-elle mériter de fixer plus particulièrement l'att
ussi elle est un conducteur d'impressions et de réactions, et ce rôle
paraît
appartenir surtout à ses fasciculations blanches.
hait comme dans l'état normal. Les parties postérieures à la blessure
parurent
alors plus sensibles que les antérieures (2). A l
à s'en tenir à de pareils résultats, la physiologie expérimentale ne
paraîtra-t
-elle pas mériter une place distinguée dans les éc
it, volait, se mouvait comme auparavant, sauf un peu de faiblesse qui
parut
d'abord dans ie côté gauche et qui bientôt Ce p
V, p. 399. , .,, cervelet. La section de l'un des pédoncules moyens
paraît
en effet équivaloir à l'ablation de l'une des deu
mis à des piqûres superficielles tout le côté droit du cervelet; il a
paru
sir-le-champ une faiblesse assez marquée du côté
rveau. Thèses de Paris, 5 janvier 1856. Ces observations pourraient
paraître
, au premier abord, aussi favorables à l'hypothèse
a matière des corps. Quelle que soit l'hypothèse que l'on préfère, il
paraîtra
fort difficile d'admettre que ce qui connaît son
ient fort bien compris, aussi affirmaient-ils nettement que les bêtes
paraissent
sentir, mais qu'elles ne sentent pas (1). Parmi
èrement la réalité d'une autre vie, déclarent néanmoins qu'il ne leur
paraît
pas contradictoire d'accorder que la matière ou l
n nous. Celle de notre âme est donc certaine, et celle de notre corps
paraît
douteuse, dès qu'on vient à penser que la matière
atius. De itiimortulitate animœ, cap. iv, p. 9. Vâme d'Àristote ont
paru
à bien des gens justifier cette opinion d'Àverroë
prendre la création, nous l'assimilons volontiers à une émanation. Il
parut
ainsi naturel à des âmes extatiques de se considé
l'intérêt de la philosophie, et indiqué quelques expériences qui nous
paraissent
jeter un nouveau jour sur cette importante questi
re n'est-ce là qu'un jugement, mais ce jugement est si immédiat qu'il
paraît
inséparable de sa cause. Nous allons essayer d'en
tes de celles du contact proprement dit; en effet, le même corps peut
paraître
chaud ou froid, bien qu'il soit jugé le même par
« aucune idée des distances. Sans le toucher, s tous les objets nous
paraîtraient
être dans nos yeux, parce (( que les images des o
Mûller ont invoqué en faveur de la théorie que nous combattons, nous
paraît
plus spécieux que solide. Quand tout est renversé
out est renversé, disent-ils, (1) La célèbre expérience de Lecat ne
paraît
point concluante, la voici: « Mettez une lumière
ineux en rêvant, c'est-à-dire, l'œil relâché ou dilaté. Ce point vous
paraîtra
plus gros et rayonné ; alors, si vous placez votr
le voir unique, tous les objets placés en deçà ou au delà de ce point
paraissent
doubles. L'accord physiologique des deux yeux est
ommençait à voir, n'appréciait pas les distances, tous les objets lui
paraissaient
également rapprochés. C'est par un long usage de
mples. C'est ainsi qu'une chose qui nous cache un autre objet, nous
paraît
plus rapprochée de nous. Cette observation est un
5 secondes, suivant Plateau. Cette image, lumineuse sur un fond noir,
paraît
noire sur un fond éclairé. Quoi qu'il en soit, pe
nt une feuille de papier d'une couleur A. Lorsque cette couleur lui
paraît
s'obscurcir, il se porie immédiatement sur une fe
se concentrer, et toujours en sens inverse du mouvement dont la spire
paraissait
animée. Semblait-elle se dérouler, la tête se con
est souvent multiple pour plusieurs observateurs dont le point de vue
paraît
être le même. Ce rôle immense de l'esprit dans la
chaque cellule est un centre nerveux complet. Cette manière de voir
paraît
trouver un point d'appui dans les curieuses expér
dmirable. Si l'hypothèse que nous proposons ici est fondée, rien ne
paraîtra
plus automatique que la mémoire. Cependant l'inte
tes, sinon les sensations imaginaires. Il y a un troisième état qui
paraît
résulter d'une excitation excessive des organes e
cent graduellement sous les yeux de l'homme qui s'endort, après avoir
paru
doublées. On sait par expérience que pendant la
assez mauvais sujet; il lit une chute, et pendant plusieurs jours il
parut
comme mort. Au bout de ce temps il s'éveilla de
iculièrement sur quelques rêves que j'ai eus, et où cette proposition
paraît
assez prouvée. Il y a quelques années, qu'occup
, pouvant influer sur la détermination d'un homme, il pourra aisément
paraître
prophétique, mais surtout dans la sphère naturell
allucinations de l'ouïe. Cela est d'autant plus nécessaire qu'il nous
paraît
y avoir à cet égard quelques incertitudes chez le
gorie d'hallucinations sensoriales, acceptée par quelques auteurs, me
paraît
devoir être complètement rejetée. 11 n'y a pour
nalogues aux sensations actuelles. Une proposition pareille ne pourra
paraître
hardie qu'à ceux qui n'auraient pas l'habitude de
à remarquer que ces apparences se font impérieusement regarder. Elles
paraissent
suivre le mouvement des yeux, mais il ne s'ensuit
disparaît; dirige-t-on les yeux sur le lieu où on l'a vu d'abord? il
paraît
de nouveau. Par quel autre procédé un homme de se
ouvé que cet endroit pur dans « Rome. Il invoqua son démon afin qu'il
parût
; mais à sa « place on vit paraître un dieu qui n'
Rome. Il invoqua son démon afin qu'il parût; mais à sa « place on vit
paraître
un dieu qui n'était point à l'ordre des « démons.
en général une altération do l'intelligence. Les illusions de la vue
paraissent
par leur fréquence l'emporter sur toutes les autr
Souvent, grâce à ces modifications singulières, ce qui était immobile
paraît
se mouvoir; l'homme ami qui veille pieusement aup
ts dans l'histoire des mystiques. D'autrefois, le corps est oublié et
paraît
comme mort. Tel était cet Hermotime si célèbre ch
toutes celles qui lui sont imposées. D'ailleurs, les cataleptiques ne
paraissent
pas absolument étrangers au monde, mais les facul
(1) Des hallucinations, dans les Mémoires de l'Académie de médecine,
Paru
, 1846, t. XII. quement le centre ovale, celui-c
Monsieur, rendez-moi encore un service. Ces cordes qui me lient ne me
paraissent
pas très-solides ; je suis si fort que je pourrai
extatiques devenues célèbres sous le nom de Stigmatisées du Tyrol. Il
paraît
, en effet, désormais certain que le pouvoir de l'
développé sont surtout guidés par leurs instincts; mais l'expérience
paraît
en certains cas en modifier les résultats. Toutef
e entière , officiers et cava-« liers (1). » A côté de ce fait, qui
paraîtra
incroyable, je citerai l'histoire de deux oursons
nt persistant et distinct de personnalité; or, dit Wolf, les bêtes ne
paraissent
point avoir ce sentiment. Il est certain, ajoute-
oment, le coati, qui grimpait dans la partie supérieure de la cage et
paraissait
d'abord indifférent à cette scène, descendit en t
i, irrité, se retourne pour mordre, un des « camarades du corbeau qui
paraissait
avoir été aposté pour cela, saisit cet « instant,
puissance modificatrice de l'homme sur les espèces domestiques. 11
paraît
d'ailleurs que ces éclairs de science qui étincel
frémissements sympathiques des peaussiers, et le langage d'expression
paraîtra
d'autant plus intelligible, qu'il est éminemment
ble, et son ornière est éternelle. Dans certains cas, cependant, il
paraît
se modifier et recevoir quelque variété de la div
par leurs vêtements. Ce langage implique déjà plus d'intelligence, il
paraît
fort en usage parmi les animaux qui vivent en soc
ion exaltée par les sollicitations de l'instinct. Mais les animaux ne
paraissent
pas s'instruire entre eux, quant à ces faits exce
hommes ont-ils un culte? Certains sauvages sont si abrutis qu'ils ne
paraissent
pas avoir la moindre idée oe Dieu; et, quant à l'
ité d'action ; en un mot, les hémisphères demeurent unis. Cette union
paraît
dépendre de la commissure antérieure, et peut-êtr
erveau est divisé en deux moitiés parfaitement distinctes, de même il
paraît
y avoir en chacune d'elles des départements disti
distincts, non pour l'intelligence, mais pour les sensations. Cela
paraît
assez prouvé pour les nerfs olfactifs et gustatif
evons les examiner avec une attention d’autant plus scrupuleuse qu’il
paraît
plus difficile de les admettre. • Nous n’avons
oques conductrice, à d’autres isolante. » Ces explications nous ont
paru
nécessaires pour faire sentir à nos adversaires l
on ennemi lui a fait avaler. Qu’on me pardonne ces détails, ils m’ont
paru
nécessaires pour qu’on puisse se rendre compte de
ec vingt-cinq grains d’assa-fœtïda. Le 17, les crises continuent et
paraissent
même se prolonger davantage. La peau est encore c
nnons peu d’articles sur la magie : en voici la raison. Les faits qui
paraissent
supérieurs à la nature, exaltent quelques-uns des
prochent une exaltation dangereuse. Le magnétisme cesse dès lors de
paraître
ce qu’il est réellement, il devient une chose abs
Médecine magnétique. (Suile.) F.-A. Mesmer, médecin allemand, fit
paraître
, en 1766, une thèse (1) dans laquelle il soutient
élec- trique, à sc mettre en équilibre dans les corps. L’homme seul
paraît
posséder la faculté de le mettre en mouvement.
ntre non seulement dans les matières indispensables à la vie, mais il
paraît
être répandu par tout l'univers, et imprimer le m
ment à la génération, l’être aux corps organisés. » Ce langage doit
paraître
étrange dans la bouche 4’j*n ardents détracteurs
te à (’Académie des Sciences , au mois d’avril 1819 : « Il vient de
paraître
ici des Recherches sur l’électricité animale, par
, le fluide magnétique est brillant et jaune comme du paillon. Il lui
paraissait
d’un jaune pâle, lorsque son magnétiseur était so
lié plusieurs faits semblables, et nous en avons encore d’inédits qui
paraîtront
bientôt. « ie i8 juin t84g> a minuit, un de
nd'-Fardêl qtii est chargé d« la rédaction de l’article Magnétisme v»
paraître
dans le supplément au Dictionnaire de mé-de«w4>
mmencer l’étude de la question qu’il doit traiter. Son travail devant
paraître
au commencement de juillet, il y a tout lieu de s
teur, fit irruption dans l’arène philosophique ; et l’on vit aussitôt
paraître
les oracles de Zoroastre, du Pxmandre, de YAsclép
é du mélange des éléments qui devant constituer le RalhoUçiswe. Pnis,,
parurent
Pompy^^i, Cesalpini, Bruno, Cajp-panefla, Vanini.
; et prouver, parconséquent, que Swedenborg le connaissait. Il nous
paraît
curieux de produire ici d’autres extraits qui mon
au fait des déceptions?» Quoique cette réflexion inductive ne nous
paraisse
pas très-solide, on doit savoir gré au professeur
in. Le défi suivant, inspiré sans doute pdr une jalousie de métier, a
paru
dans la Patrie du i3 février. Il est rèsté sans r
a été publiée avec la signature de Monpas. En même temps qu’elle m’a
paru
être une réclame en votre faveur, elle m'a semblé
endon du muscle. L artificielle de même nom se conçoit aisément. Il
paraît
donc qu’en considérant les éléments des fibres mu
de trois enfants, appartenant à U. Michael Jones, de cette ville, qui
paraissent
être sous une influence mesmérique permanente. De
ité de l’âme. A peine au quart de son programme, M. Hébert a cessé de
paraître
; M. Gouré, médecin homéojpatf»e, qui ? dans un op
pas. « Et je commençai. A peine avaii-je montré au doigt (ce qui
parut
à tout le, mondé ê,tre l'effet du hasard, bien en
trop favorablement pour lui. Il est bien vrai que certains faits nons
parurent
dépendre d’un rapport magnétique; mais tous ne fu
ét^it réi^ii^ tyt répétésans aucune hésitation. La jeune comtesse me
parut
, plup q^ie les autres personnes, frappée de parei
demoiselle pût répéter le nom de la fleur que j’avais écrit» mais il
paraîtrait
que je suis possesseur d’une dose considérable de
, on en prépare uné nouvelle édition, considérablement augmentée, qui
paraîtra
avant un moi». " ■ • Le Gérant • HÉBËRT (do G*r
ise, voici l’explication qu’elle en a donnée. Tout étrange que peut
paraître
cette explication , je n’hésite pas à la faire co
r se donner l’air inspiré. Il tient â la main une grosse Bible, qu’il
paraît
lire avec attention. Il exhale une odeur d’ail et
alades. C’est sa panacée universelle. Il est fort modestement vêtu et
paraît
blessé d’un pied. L’auditoire s’étonne que Guéril
. Le père veille jusqu’à trois heures du matin et se couche. L’enfant
paraissait
mieux; le lendemain matin , elle était plus mal,
de fumer. Pichon, c’est le mari de la somnambule; il est chauve et
paraît
très-chétif. C’est une espèce de crétin. Le témoi
ions qu’il leur a faites. Les femmes Pichon et Fourier, qui avaient
paru
comme témoins à la première audience, sont poursu
s de besoin. Tel est, Monsieur, l’ensemble des mesures qui nous ont
paru
propres à donner à celle cérémonie l'éclat que
ons pas éloignés de nous entendre, malgré la dissidence d’opinion qui
paraît
exister aujourd’hui entre nous au sujet du fluide
exposer comment le fluide traverserait les cent lieues; mais il ne me
paraît
pas plus facile de comprendre et d'expliquer comm
observations que j’ai consignées dans le Journal du Magnétisme. Il me
paraît
en résulter invinciblement ceci: les somnambules
sa générosité aux dépenses courantes de l'hôpital. « Les indigènes
paraissent
plus généralement affligés que les Européens, des
’année d’essai de cet établissement étant écoulée, aucune décision ne
parût
avoir été prise pour sa continuation. « Nous av
été appliqué avec succès à diverses maladies. Et nous exposons qu’il
paraît
insignifiant qu’un plus ou moins grand nombre de
ême en somnambulisme, et écrit des ouvragas dont un volume va bientôt
paraître
. Une polémique très-ardente se suit sur l’origine
e son trône, l’excitait de sa harpe d’or. Tout-ù-coup Urbain Grandier
paraît
; les gra- cieuses danseuses disparaissent, et l
ins d’un mouvement social et moral qui se prépare dans la nation, ils
paraissent
résolus à n’y prendre aucune part. Semblables à d
estiné, instrument de la Providence, de par monsieur Swedenborg ! U
paraît
, décidément, que c’est un mal contagieux, et que
ces choses sont réellement à eux. » Nous puiserons un fait qui nous
paraît
avoir une grande similitude avec celui que rappor
ui fut révélé? Savez-vous que dans ces temps de ténèbres la lumière a
paru
, et que ce que votre souffle empoisonné éteignit
royen de se faire représenter par une députation à la fête de Mesmer,
parut
à tous une heureuse innovation, et chacun fit des
c’est moi senl qo'il entend ; II enlr’ouvre son cœur quand il me sent
paraître
; Je parle dans la voix dont s'inspire le prêtre,
mai prend sa robe de fleurs : Sous ce chaume bruni Mesmer vient de
paraître
. Au berceau déjà grand, enfant et déjà maître,
le regret de ne pouvoir honorer Mesmer en commun. Celle de M. Govi a
paru
mériter une attention spéciale ; elle devait être
er à la poussière des tombeaux la pensée qu’on ne lui accorde pas, me
paraît
chose complètement absurde. Restons dans les limi
sirée. Considérée sous ce point de vue, la noie de RI. Almignana nous
paraît
avoir un droit puissant aux méditations des inves
s phénomènes, que plus de cent personnes ont pu constater, nous ayant
paru
de nature à être consignés, nous avons rédigé et
magnétisme ! Vous verrez le sujet le plus extra-lucide qui ait jamais
paru
!.... » Et la foule d’envahir les bancs. Après
our ses 10 centimes, m’a dit avoir regardé dans un miroir et avoir vu
paraître
une grosse brune en déshabillé un peu négligé...
Paris. — On a beaucoup parlé récemment d’un événement inattendu; il
paraît
que le Dr Th. Léger, de magnétiseur est devenu so
imbre nous oblige à changer de mode de publicalion ; notre Journal ne
paraîtra
plus que mensuellement, mais les cahiers contiend
magnétisme soit un élément pour les âmes distinguées; et M. Ordinaire
paraît
doué d’une des qualités sans lesquelles on ne peu
me qu’il parle de merveilles, tant on craint d’opposer des doutes qui
paraissent
malveillants. C’est la force qui confond la faibl
ste est évidente , et si, comme nous n’en doutons pas, ses actes vous
paraissent
devoir être encouragés, nous nous chargerons de l
isté, eût été par tous jugée digne du plus bel encouragement. Il nous
paraît
qu’en accordant la médaille de bronze à son auteu
arrêtera. Ce redoublement de procès a quelque chose de surprenanl, et
paraît
résulter d’un plan habilement concerté. La suite
eulement sont présentes. L’une d’elles est jeune et jolie; les autres
paraissent
avoir beaucoup souffert de l’état extatique qui l
que qui leur est habituel. Elles ont toutes l’air somnolent, et elles
paraissent
endormies tant qu’il ne s’agit pas de l’affaire s
rveilles du magnétisme avec M. Adolphe Didier et MK* Sarah. Le public
paraît
moins empressé que naguère pour ce genre d’amusem
fonctions de la vie humaine. Ces phénomènes, tout insolites qu’ils
paraissent
, sont inhérents à la nature de l’homme; ils doive
’un haut intérêt, sans doute, mais que je ne puis examiner ici. Il me
paraît
évident que l’homme peut étendre hors de lui son
ssi longuement d'un fait peut être ordinaire pour vous , mais qui m’a
paru
prodigieux et surtout bien con- cluant en faveu
é des phénomènes contestés — quelque incompréhensible qu’ils puissent
paraître
— ne suffiraient pas à soustraire le magnétisme à
st qu’il ne faudrait pas fournir à l’autorité le droit de sévir, s’il
paraissait
y avoir organisation et solidarité pour soutenir
sdreub jeupe. Peu de jours après la publicalion de eet écrit, il on
parut
une variété, sans changement de date ni indicatio
gruel, non pas sur un trépied, mais assise dans un bon fauteuil; elle
paraissait
en extase , et près d’elle se trouvait le grand p
me ClaudePonsignon; l’instruction lui donne quarante-six ans, mais il
paraît
en avoir davantage. Il est de taille élevée, et s
plus loin son odieuse entreprise. A son retour, la femme Ponsignon
parut
.1 peine s’apercevoir du trouble de l’enfant qui
é la publication du précédent numéro et de celui-ci, mais le prochain
paraîtra
régulièrement. Avis général. — A partir du proc
d’erreurs ; mais, pour le plus grand nombre, la nouvelle doctrine ne
parut
être qu’une extravagance ou une insigne jonglerie
endues et complètement inexplicables. Toutes les conditions de la vie
paraissent
changées, et il se produit des actes qui excitent
écrire, calculer, dessiner, faire de la musique, etc. ; en un mot, il
paraît
être, à quelques exceptions près et sur quelques
erme. A peine pus-je obtenir ce que je demandais, tant ma proposition
paraissait
peu sé rieuse, extravagante même. Quelle ne fut p
ra, sans doute, jamais. Il est sensible que lous ces mystères doivent
paraître
tout à fait incroyables aux matérialistes, et pou
à l’égard des maladies et des moyens propres à les combattre, ils ne
paraissent
avoir que des notions bien incomplètes ou même to
de l’allouche-nient, et qu’on nomme des passes magnétiques ; mais il
paraît
bien démontré qu’elle sort directement de la 15
es qu’on imprime à la main ou au bras , en disant : Éveillez-vous. Il
paraît
que le concours de deux volontés est nécessaire,
vent dans les mêmes circonstances que le somnambulisme, et qu’on voit
paraître
à la suite des passes magnétiques et suivre l’act
s se montrent ordinairement chez les sujets nerveux et mobiles, et ne
paraissent
être autre chose que des excentricités de l’actio
précédé de l’avis éditorial qui suit : « Un genre de phénomène qui
paraît
avoir augmenté, depuis quelques années, le nombre
pelé, et que M. et Mmc Mongruel ont fait opposition. Ils doivent donc
paraître
devant les mêmes juges, pour s’entendre reprocher
nelle portée par lui, el avec cela vous prétendiez le guérir? — R. Il
paraît
; je n’en sais rien; je ne fais cela qu’à l’état d
n répondre, je ne sais rien ; une séance subséquente a été donnée, il
paraît
que j’ai affirmé n’avoir point nommé M1'® Dubuiss
puissance ou donner un nom. — R. Je ne puis m’expliquer là-dessus; il
paraît
que j’ai indiqué qu’elle était blonde, et elle es
resse, nous recevons une nouvelle communication de M. Ordinaire; elle
paraîtra
suivie de réflexions par M. du Potet. indépenda
s donnons la préférence à la médecine magnétique , c’est qu’elle nous
paraît
d’une supériorité incontestable dans le traitemen
clinique de M. le professeur Bard, j'ai pu suivre un cas qui nous a
paru
, de toute évidence appartenir à cette dernière
s, livides ; il l'affirme catégoriquement. En même temps, elles lui
paraissent
engourdies : il a de la peine à les fermer; il
les avant-bras devenaient plus petits. Les jambes et les cuisses ne
paraissent
pas atrophiées. ' Le malade se plaint toujours
certaines observations produites sous le nom de maladie de Raynaud
paraissent
reproduire le tableau de l'acro-cyanose hypertr
nt spécialement leur action sur les os des extrémités. La né- vrite
paraît
devoir être mise en cause. Les altérations digita
la voûte palatine et du voile du palais est manifeste; la luette ne
paraît
pas déviée. Pour être complets, terminons en no
sant, de nous expliquer sur certaines questions de mé- thode qui ne
paraissent
pas encore être claires à quelques biologistes.
167) de tous les termes le moins convenable. De plus en plus il me
paraît
que 11. Bonnier ne connaît, de cette vaste ques
à l'article de 111. .Armand Gautier (de l'Institut) sur « la Vie »,
paru
dans la Revue générale des sciences du 30 juin
deux contacts ; elles peuvent être objectivement très éloignées et
paraître
subjectivement très rapprochées. Il est bien in
u'il est imposssible de savoir, et toute discussion sur ce point me
paraît
stérile; comme je l'ai dit, nous ne parlons pas
orté pendant trois jours consécutifs. Tout d'abord, les objets vous
parurent
renversés, mais bientôt le sujet eut l'impressi
ns de M. Bonnier ne sont donc pas si sûres et si positives qu'il le
paraît
à première vue. LES UROLOGUES (Documents comp
mentaires). PAR HENRY MEIGE. Dans une étude sur le Mal d'amour,
parue
en 1899 dans ce recueil, j'ai déjà eu l'occasio
obe de chambre à ramages, un foulard autour du cou. L'urinai a dis-
paru
: le ballon rond au col évasé, symbole respecté,
abié, et du moins, ici, la recherche de la déformation pathologique
paraît
évidente. Il n'en est peut-être pas absolument
plaignant de douleurs abdominales avec gonflement du ventre. On a,
paraît
-il, diagnos- tiqué une péritonite tuberculeuse.
ir de tractus de dégénération. Le faisceau de Ilelweg ne nous a pas
paru
dégénéré. Les coupes de la moelle épinière mont
fois nous ferons remarquer que les lésions médullaires observées ne
paraissent
avoir aucun rapport avec l'hémiplégie infantile
x. Ses vaisseaux satellites comme ceux du reste de la colonne grise
paraissent
seulement dilatés, sans modifica- tion sensible
ées à la base, à forme d'exsudat épais, que nous avons notées, nous
paraissent
aussi très éloignées des petites lésions d'appare
te droit, la zone dégénérée est moins étendue. Les corps genouillés
paraissent
peu altérés; leurs grosses cellules paraissent
Les corps genouillés paraissent peu altérés; leurs grosses cellules
paraissent
saines. Les nerfs optiques et la rétine sembl
ion. Les autres parties du squelette, explorées avec soin, nous ont
paru
indemnes. 11 est très rare d'observer des défor
ture localisées à un seul os. Lannelongue, dans son premier mémoire
paru
en 1881, relevait les chiffres suivants d'os in
qui présente des malformations congénitales multiples, qui nous ont
paru
mériter une des- cription détaillée. Ernest F
ste du pourtour de la coupe, à gauche et en arrière, la pie-mère ne
paraît
pas modifiée. Au centre de la coupe, là où l'on
artie droite de la moelle, la corne antérieure et la corne latérale
paraissent
confondues dans une autre masse plus homogène q
ure, de la corne gauche, l'entoure en avant et il gauche. La tumeur
paraît
développée ici dans la moitié gauche de la moelle
ommissure et en dedans de la corne gauche. Le reste de la moelle ne
paraît
pas considérablement modifié ; on distingue assez
sversale, les cellules sont égale- ment coupées transversalement et
paraissent
arrondies; les fibrilles intermé- diaires forme
eint le poids de 250 grammes. La glande thyroïde, sur le vivant, ne
paraissait
pas extrêmement dévelop- pée. Achard et Loeper
'a pas montré de lésions bien caractéristiques. Toutefois il nous a
paru
intéressant de résumer les différentes constata
galement à l'intérieur des veines et dans leurs parois. L'épididyme
paraît
normal. Corps thyroïde. - Les vésicules, assez
orne postérieure, quelques grosses cellules isolées, arrondies, qui
paraissent
être des cellules névrogliques. A la région lom
avec celles du corps pituitaire normal et la seule dénomination qui
paraît
convenir à la tumeur est celle à' épithélioma p
t de mettre en valeur quelques-unes des particularités qui nous ont
paru
les plus intéressantes. La première et non la m
la splanchnomégalie, le diabète qui existait chez notre géant nous
paraît
être encore une conséquence directe de la tumeur
S, Chef de clinique. Interne. Dans son travail Sur le Gigantisme,
paru
en 19U,141. Henry Meige (2), a donné une descri
a semblé indiqué de faire des radio- grammes Rôntgen, cette méthode
paraissait
dénature à nous donner quel- ques renseignement
nt. 204 HENRY MEIGE « Comme elle fut sur le point d'accoucher, il
parut
qu'il y avait deux jumeaux dans son sein. Et lo
spontané de ce bras, et l'issue de l'autre jumeau avant le premier
paru
. La gravure en question extraite d'un Ancien Te
; il est accompagné d'autres phénomènes ca- ractéristiques qui nous
paraissent
importants. D'une famille névropathique, cet ho
ltoïde, .le brachial antérieur ainsi que les autres muscles du bras
paraissent
intacts, sans atrophie, ils se contractent bien
os, saillant; il n'y a pas de hernie ombilicale. Les règles ont ap-
paru
assez tard, faiblement, irrégulièrement ; elles c
, et se serait développée assez lentement; étant jeune, elle était,
paraît
-il, petite, lourde, de figure bouf- fie. Actuel
tions. Si de ces ob- servations se dégagent déjà quelques types qui
paraissent
bien définis, il reste à côté d'eux divers cas
érieur du pé- dicule et formant son axe, un cordon tendineux qui ne
paraît
s'insérer sur aucun os par l'une ou l'autre de
ts fournis permettent de porter une appréciation, le cas de Dolbeau
paraît
être assez semblable au nôtre. L'anomalie porte
erminaux. De l'ensemble des observa- tions actuellement connues, il
paraît
ressortir, en effet, que l'absence totale du ra
e, dans le cas particulier, l'anomalie de gauche et celle de droite
paraissent
liées entre elles, non point par une relation d
us n'observons rien de pareil. Les corps charnus faisant défaut, il
paraît
contradictoire d'admettre que les ten- dons aie
ement indiquer que le proces- sus particulier dont il s'agit ici ne
paraît
pas être le processus de toutes les formes dési
nt indiquer que l'ensemble des observations actuellement connues ne
paraissent
pas démontrer, au contraire, que les anomalies
nt marqués par des grosses lignes de confin, de façon qu'il ne nous
paraît
pas trop inexact de lui donner l'appellation de
r le même liquide, sans fragments osseux ; puis, peu à peu, le pied
parut
se disloquer, mais sans causer de grandes douleur
une intervention conservatrice, avant de songer à l'amputation qui
paraissait
s'imposer tout d'abord. Opération, le 17 févrie
canéum ; deux véritables remparts osseux, remplaçant les malléoles,
paraissent
ainsi s'être reconstitués; Juin 1903. Le mala
iers jours, il y eut quelques signes d'infection, et le résultat ne
parut
pas tout d'abord très brillant; mais, au bout d
in temps, les phénomènes locaux allèrent en s'améliorant, la cavité
parut
s'être réduite ; les mouve- ments étaient plus
pose douloureuse. En attendant de nouvelles observations, il nous a
paru
intéressant de faire connaître cet exemple d'ad
des décrits par M. Haskowec, en particulier chez le second qui nous
paraît
tout à fait identique à notre malade et chez le
é. Vous voyez que les choses sont bien plus com- plexes qu'elles ne
paraissent
être, et qu'il ne s'agit pas d'une simple amnésie
ouvrir les yeux ni manifester aucun désir, de manière que lui aussi
paraissait
totalement malade et innocent, sans pouvoir utili
st attribuée à Jean Wave ou Waw, ou Wouven, sculpteur sur bois, qui
paraît
être d'origine anversoise. Le volet gauche de l'é
ésentent rien de pathologique (Voy. pl. LXII, fig. A, c). La moelle
paraît
normale. Les mensurations, faites après un séjo
le impliquer l'existence d'anastomoses péri- phériques. Tous deux
paraissent
en opposition formelle avec la doctrine du Neuron
le Pal et par l'encre d'anthracène ils deviennent parfois noirs et
paraissent
alors comme un trait couleur encre de Chine au
s disposés à l'in- térieur de larges faisceaux. Les tubes nerveux y
paraissent
plus nombreux que sur les coupes longitudinales
, et chargés de noyaux ovoïdes assez également disposés. Ces noyaux
paraissent
répondre, surtout dans le centre des faisceaux, s
de rares stries rouges bien limitées mais relativement courtes, qui
paraissent
des segments de cylin- draxe. Le Pal fait res
re d'opinion certaine. Enfin, quelques-unes de ces fibres homogènes
paraissaient
, déplace en place, interrompues par une gouttel
idérable de l'endonè- vre. A un faible grossissement, ces faisceaux
paraissent
formés d'un tissu fibreux compact dans lequel l
esque jamais celle d'une fibre normale (Voy. pl. LXIV, fig. J). Ils
paraissent
formés d'une substance non diffé- renciée pour
la myéline ni ceux du cylindre-axe. Quoique toute différen- ciation
paraisse
faire défaut à ce niveau, il en existe cependant
ryonnaires se reconnaissent mieux sur ces coupes transversales et y
paraissent
plus nombreuses que sur les coupes longitudinales
que les coupes sont les plus intéressantes à étudier, car on y voit
paraître
, à côté des fibres em- 330 DURANTE .bryonnair
extrémité arrondie bien limitée. Tantôt les deux segments adjacents
paraissent
lâchement unis par une traînée protoplasmique r
reconnaissable seulement à un très fort grossisse- ment. Tantôt ils
paraissent
nettement indépendants et sans lien entre eux ;
s-ci, et particulièrement les moniliformes (voy. pl. LXII, (ig. G),
paraissent
formées d'une bande protoplasmique recouverte d'u
différentes est souvent très nette. Les cylindres noirs par le Pal
paraissent
, du reste, les plus parfaits,tandis que les rou
LXIV, le nombre des éléments nerveux est assez grand. Les faisceaux
paraissent
formés de fibres plus serrées que ne le faisaie
s de différen- ciation. Les segments interannulaires, très espacés,
paraissent
souvent presque indépendants les uns des autres
évrome. En faveur du lipome, nous avons l'infiltration adipeuse qui
paraît
carac- téristique. Mais le lipome, tumeur conjo
ls Elzholz a attiré l'attention. Cette hypothèse, toutefois, nous
paraît
renversée : par là présence, sur les coupes lon
de tissu plexiforme, ces tubes en voie de néoformation active nous
paraissent
caractéristiques du névrome myélinique vrai. Ce
les ganglionnaires pour leur donner naissance. Celte objection nous
paraît
de peu d'importance si, comme le veulent les trav
mêmes, l'interprétation que l'on en donne n'a jamais été démontrée et
paraît
même controuvée par tout un ensemble de travaux
démontrée et paraît même controuvée par tout un ensemble de travaux
parus
dans ces dix der- nières années. En embryolog
che- chement pour adopter la conception de chapelet cellulaire, qui
paraît
plus exacte, qui est, en tout cas, plus conform
disparaître ailleurs aussi passagèrement. Ces oscillations ne dis-
paraissent
qu'à la longue. On pourrait les interpréter par l
cylindraxe très net, parfois avec renflements fusiformes. D'autres
paraissent
privées de cylindre-axe. Quelques-unes ont une di
n cylindraxe plus ou moins net au milieu de la myéline, d'autres en
paraissent
privées et présentent parfois un aspect annelé. D
ux et plus larges que dans le bout central (comparer la fig.E). Ils
paraissent
tantôt vides, tantôt occupés par un grêle cylindr
t très petites et dépourvues de cololïde. Quelques-unes des grandes
paraissent
résulter de la coalescence de deux vésicules. E
pied et le dos de la main. Si par ailleurs, les membres et le tronc
paraissent
épaissis, c'est que là le tissu graisseux est a
que justice d'attacher le nom de Henry Meige et dont la réalité me
paraît
incontestable. Les femmes sont beaucoup plus pr
sant facilement et n'influençant pas la san- té générale. Or, il ne
paraît
pas douteux que dans ce cas, l'atrophie mus- cu
te, pendant les halles (Symbole et Rasoir) ; la présence du mors ne
paraît
pas incommoder le lécheur et l'accès est alors
L Les réflexes généraux (1) sont normaux; seul le 1'éflexe lombaire
paraît
modifié, exagéré chez Symbole avec irritation t
éservée ; ces malfor- mations peuvent être congénitales, mais elles
paraissent
plutôt « l'in- dice de lésions anciennes » (3).
ls aux tics ou aux stéréoty- pies ? Le diagnostic différentiel peut
paraître
délicat. N'observe-t-on pas, en effet, chez nos
les accidents de même nature observés chez l'homme. Mais il ne nous
paraît
pas défendu de supposer que ces mouve- ments so
, une observation que nous avons recueillie récemment et qu'il nous
paraît
utile de relater ici avec détails : Observation
athologie comparée. Les recher- ches sur les psychopathies animales
paraîtront
peut-être prématurées alors que nous sommes enc
(russe) de Psychiatrie, 1903, n- 3. DÉLIRE ALCOOLIQUE CONTINU 399
paraît
être tout autre chose que le délire alcoolique co
ouve aussi bien en Russie qu'en Allemagne, en Espagne qu'en Italie,
paraît
avoir été de tout temps employée; sans remontera
sédés, aux convulsionnaires et aux extatiques. Bientôt après (1887)
paraissait
l'ouvrage de Charcot et Paul Bicher sur Les Dém
893, aux travaux personnels de son Rédacteur, M. Henry Meige. Ainsi
parurent
: le Juif Errant ci la Salpêtrière, les Possé-
i se sont déjà occupés de la question. C'est qu'en effet ce livre a
paru
en l'année 1903, alors que, depuis un temps déj
Un remarquable volume du Dr Paul Ricber, tôt et la Médecine (1),
paru
au mois de mars 1902, était venu donner le plus é
assez singuliers : « Pendant la publication de mon livre, dit-il, a
paru
L'Art et la Mède- cine, du Dr Paul Bicher, une
STIQUE de Tours : Les Leçons d'Anatomie et les Peintres Hollandais,
paru
en 1897. Quand l'auteur allemand arrive aux scè
ui s'occupent d'Histoire ou d'Iconographie médicales, dans Janus, a
paru
en 1901 un article intitulé : La Triple Allianc
se. Les puits, creusés déjà à une profondeur de près de G mètres,
paraissent
faire douter de la réalité de cette hypothèse (
ion de M. le Dr Bourneville. 2° Le plan du pavillon à construire ne
paraît
pas admettre que, dans l'avenir, les pavillons
une porte. Il y a une galerie- extérieure, ouverte, qui m'a toujous
paru
sullisante. M. Le Roux. L'emplacement affecté a
urtout à gauche, d'où un léger degré d'asymétrie. La coupe du crâne
paraît
presque ronde, elle est en général mince de 2 o
iétale ascendante. LI'. lobe pariétal. 1,0, lobe occipital. 1',
parus
, sr, sillon de Rolando TRAITEMENT CHIRURGICAL
e (95 mm.) est moitié plus grande que la gauche (Fia. 50). La voûte
paraît
symétrique. Les Fia 21. '2'2, "3 et 54 permette
pen- dant l'enfance (2 fois), migraines de 16 à 23 ans ayant dis-
paru
par le mariage. - Grand'mère maternelle, paralyti
deux procédés pathologiques de la distension des sutures, ils nous
paraissent
donner une idée du procède -physiologique et mé
e ou l'an dernier, sauf ceux de Bourg... Clut... et Ber... Ils nous
paraissent
démontrer d'une façon péremptoirc que chez les
eux ; il lui était impossible de se tenir debout. La « jambe gauche
paraissait
un peu plus faible que la droite. On Il notait
Messieurs, de multiplier ces exemples (1). Ceux qui précèdent nous
paraissent
de nature à apporter la conviction dans vos esp
3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intelligente ; ;- 7° Fille, 13 mois,
paraît
intel- ligente, bien portante, turbulente. No
uide céphalo-rachidien. Les différentes parties de la base du crâne
paraissent
symé- triques. Le corps pituitaire est petit, d
droit adhère à celle du lobe frontal gauche. Les circonvolutions
paraissent
simples et les sillons sont moyennement profonds.
nant quotidiennement du cinquième mois à la fin du huitième, qui
paraissent
avoir retenti sur l'enfant, puisque, dès le sec
la permission de lui donner des pots de graisse et de lard, qui lui
paraissent
pré- férables aux travaux de la classe, de l'at
l intérêt, ainsi qu'on le constatera dans l'avenir, mais dont on ne
paraît
pas encore avoir compris l'importance en dépit
ui est né après n'ont rien présenté d'anormal jusqu'à présent. Il
paraît
donc s'agir d'une maladie accidentelle. Or, la
. Température. 113 Les cas d'hétérotopie de la substance nerveuse
paraissent
être assez rares. Récemment M. Mate lien, a pub
temporal. - La Ire circonvolution temporale, assez bien développée,
paraît
normale à sa partie postérieure, mais à sa part
n développée surtout son cap. - Le cap et le pied de la 3e frontale
paraissent
atteints légèrement de méningo-encépha- lite. L
découpé ; il en est de même du lobule pariétal inférieur qui, lui,
paraît
avoir été atteint de méningo-encéphalite superf
ses frères, il a subi l'influence héréditaire d'autant plus qu'il
paraît
avoir été conçu alors que son père avait eu déjà
al ses aliments il cause de sa mauvaise dentition. La première dent
parut
à un an, les autres n'ont poussé que très lente
pupilles égales, pas de strabisme, ni de paralysie oculaire; la vue
paraît
normale ( ? ). Lèvres charnues. Bouche petite,
ntion obstétricale quelconque. A la naissance, l'enfant était beau,
paraissait
régulièrement conformé, n'avait pas de circulai
e l'on enlève en coupant la calotte circulai-, re'iÚcl1t à sa base,
paraît
nager dans le crâne comme dans un : lac.'Il'off
ance cérébrale. On peut constater sur la base des dépressions qui
paraissent
l'origine de la sci.'jsure de Sylvius. - Les pédo
bleus, pupilles très dilatées, égales, pas de strabisme, la vision
paraît
normale; néanmoins l'enfant sem- ble désagréabl
au-dessus des arcades sourcillières qui ne sont pas saillantes et
paraissent
symétriques. - Yeux n'offrant aucune lésion, ni
iminué notablement le nombre des crises. (Voir le tableau.) Sa mort
paraît
avoir été déterminée par asphyxie durant un acc
e suite, mais il avait un circu- laire du cordon autour du cou ; il
paraissait
bien portant. Nourri au biberon avec du lait de
licale ; le jour même de cette constatation l'enfant se plaignit et
parut
congestionné : le lendemain vers une heure du soi
entimètres de diagonale transversale. Pas de strabisme, les yeux ne
paraissent
point percevoir la lumière, les pupilles, moyen
ns sont le siège d'une certaine raideur. Le malade, - étant couché,
paraît
avoir un léger raccourcissement du mem- bre dro
67 ans, fait quelques excès de vin, mais les supporte très bien, ne
paraît
jamais ivre, est calme et ne présente aucun tro
urnée immobile et sans prendre de nour- riture ? 1 cet âge le crâne
parut
devenir plus résistant. Vers 4 ans, Vign... éta
soins, il glissait sur sa chaise. Son sommeil était régulier. Il ne
paraissait
doué d'aucun sentiment affectif. Par- fois il é
st nettement plus accentuée que la droite. La fontanelle antérieure
paraît
oblitérée, tandis que l'on sent très nettemeut
Pas d'exophtalmie. Iris bleu ver- datre. Pupilles égales. L'enfant
paraît
voir normalement ( ? ) Nez, écrasé il la racine
crasé il la racine, petit ; narines écrasées, horizontales. Vign...
paraît
sentir les odeurs. Bouche petite, entrou- verte
xion, on ne peut les amener dans l'exten- sion complète. Les tibias
paraissent
légèrement concaves en dedans. Les pieds plats
utréfaction n'a pu être décrit). - Le cervelet, le bulbe, la moelle"
paraissent
normaux; le canal de l'épendyme n'est pas dilat
ut marquée au niveau de l'os fronto- pariétal où la voûte crânienne
paraît
avoir son maximum de solidité. Les os ont une c
nt les côtés de la fontanelle postérieure. L'écaillé de l'occipital
paraît
peu développée relativement au reste de la voût
olé au feuillet pariétal, s'en détacherait un peu plus loin. Ce qui
paraît
confirmer cette apparence, c'ast que : 1° en ce
eux, en tout ana- logue au liquide céphalo-rachidien avec lequel il
paraissait
communiquer ; nous devons dire toutefois que, a
tante, mais est nerveuse, impressionable et pleure facilement. Elle
paraît
intelligente. [Famille de la 7zzèz'c. -Père , m
bservation d'un travail {Contribution à l'étude de t'idiotie) qui a
paru
dans les Archives de neurologie (1880, t. I, p. 6
tir des sillons irréguliers. Palais très ogival. Le voile du palais
paraît
déprimé par des végétations adénoïdes. Les amyg
bulbe, la protubérance, le quatrième ventri- cule, ni la moelle ne
paraissent
pas, macroscopicluemeut, être le siège d'une lé
ssion existe au-dessus des ar- cades sourcilières qui, par ce fait,
paraissent
saillantes. Pas d'asymétrie faciale. Fentes pal
La cicatrice ombilicale fait saillie. Les organes de l'abdomen ne
paraissent
le siège d'aucun trouble perceptible à la palpa-
te à 14 mois, on ne sait de quoi. Elle n'a pas eu de convulsions et
paraissait
intelligente. Notre malade. - La conception par
econnaissant, mais est fort susceptible. La sensibilité et les sens
paraissent
normaux. 26 juin. Moq... mange avec la cuillère
et le résultat' négatif d'une enquête à cet égard, ces accidents
paraissent
d'origine syphilitique. 1889. Durant toute l'an
Au début de son mariage, il aurait eu quelques douleurs de tête qui
paraissaient
avoir les caractères attenués de la migraine. A
sont les points d'accumulation de ce liquide. La substance nerveuse
paraît
lavée par le séjour dans ce liquide. Les ventri
eine par la couleur de la substance nerveuse avec laquelle elles ne
paraissent
pourtant pas se continuer. De chaque côté du bu
une parti- cularité, à part un certain degré de vascularisation qui
paraît
un peu plus considérable qu'à l'état normal. Il
s mamillaires sont tout-à-fait aplatis. Les autres nerfs de la base
paraissent
à peu près normaux. Les artères sont symétrique
que la piqûre, que les parties exposées à l'air, telle que la face,
paraissaient
un peu moins sensibles. 6° Organes des sens.
. 6° Organes des sens. L'ouïe, l'odorat, le goût, ne nous ont pas
paru
très profondément modifiés. Il n'en est pas de
me de la vue. Les hydrocéphales les plus accentués, tels qu'Ess...,
paraissent
être complètement aveugles. Presque tous ont la
n portante, intelli- gente ; elle a une petite fille qui a 29 mois,
paraît
forte et intelligente. Aucun autre antécédent p
la cornée normale. Iris châtain foncé, pupilles inégales (la gauche
paraît
plus dila- tée que la droite, mais à un nouvel
aît plus dila- tée que la droite, mais à un nouvel examen l'inverse
paraissait
se manifester) ; réactions pupillaires normales
Marche DE l'hydrocéphalie, 339 Lle;cewLne. - Les règles n'ont point
paru
ce mois. Aucun progrès n'est à constater. Le gâ
ent ces temps derniers sont moins fréquents. Les règles n'ont point
paru
cette année. Caractère plus doux, mais aucune a
igente et jouir d'une bonne mémoire. La physionomie de la mère, qui
paraît
intelligente du reste, 1'cssem}¡le un peu à cel
e se plaint actuellement (1893) de douleurs de l'oreille gauche qui
paraissent
dues à sa den- tition défectueuse. Elle est fai
cin lui demandant de le pardonner. Dans cette lettre, le repen- tir
paraît
nettement tenir à ce qu'il « s'ennuie de trop dan
mptant correctement, Peti ? qui jadis travaillait bien à l'atelier,
paraît
abuser de ses troubles oculaires pour ne plus t
ent une grande place. Dans une de nos observations, l'hydrocéphalie
paraît
nettement déterminée par la variole de la mère
le reproduire, et l'opération, jugée à ce simple point de vue, nous
paraît
tout au moins inutile. Le traitement médical
d'accidents méningitiques, après une rougeole. Cette enfant, qui
paraissait
intelligente, n'avait eu ni convulsions, ni para-
ins salés par semaine. La tête, toujours couverte de transpiration,
paraît
avoir légèrement diminué. 9 octobre. La mère
plus de dix centimètres de la crête épineuse. Son angle supé- rieur
paraît
remonté ; à droite, l'angle inférieur est écarté
rme une ligne à concavité interne. A droite l'articulation du genou
paraît
subluxée. Il existe un notable degré de pseudo-
du malade dans le service. Les deux articulations tibio-tarsiennes
paraissent
augmentées de volume. Le pied est tombant. ME
peut- être plus facilement discutable (les lèvres des myopathiques
paraissent
, dans la plupart des cas, pseudo-hypertrophiées
'avril, les contractures signalées précédemment ont à peu près dis-
paru
, quand se manifeste un strabisme interne de l'oei
ouble passager, qui disparaît au bout de 3 ou si jours et qui réap-
paraît
pour moins de temps. C'est sur ces entrefaites
'épilepsie partielle dans lesquelles le sys- tème cérébro-spinal ne
paraissait
pas atteint d'affection grave. M. IIu- chard (3
parfaite. Le diagnostic d'hystérie porté à la Salpètrière et qui a
paru
évident à tous ceux qui ont vu l'enfant ne peut
e. A commencé à parler vers un an ; son langage et son intelligence
paraissaient
même précoces. S'est développée d'une façon nor
e qui s'étaient probablement trouvée en défaut de surveil- lance ne
paraissait
pas en savoir davantage ou du moins ne voulait pa
Je vois depuis plusieurs années, de temps en temps, deux hommes qui
paraissent
parfaitement guéris du tabes par la faradisation.
en somme possible, et dès lors probable, quoique ce nerf n'ait pas
paru
touché lors de la suture de la plaie, le lendem
(1). Messieurs, cette digression sur le terrain de la médecine m'a
paru
né- cessaire pour vous mettre en garde contre d
ère opé- ration. Mais chez notre blessé d'aujourd'hui, la cicatrice
paraît
adhérente; il nous faudra évidemment disséquer
le du médius a repoussé : toute trace de troubles trophiques a dis-
paru
, et l'on ne voit plus qu'une petite cicatrice ter
92. Depuis qu'il a été déposé à l'imprimerie, plusieurs travaux ont
paru
sur le même sujet, entre autres deux communicat
e a été peu étudiée jus- qu'à ces dernières années. A l'époque où
parut
en France sur ce sujet le travail de MM. Charcot
une quantité considérable de travaux sur la syphilis de la moelle a
paru
dans ces dernières années. Depuis l'article d'IIe
au. En l'état actuel celle distinction rigoureusement comprise nous
paraît
difficile à faire : nous verrons par la suite q
u de localisation de celui-ci. Mais avant d'aborder cette étude, il
paraît
tout indiqué de jeter un coup d'oeil d'ensemble
n seulement ont été examinés histologiquement, le cerveau qui avait
paru
sain à l'oeil nu n'ayant malheureusement pas ét
celles qui ont envahi les tuniques veineuses ; leur lumière cependant
paraît
restée libre et on y aperçoit des globules sang
94 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gulum amorphe. Elles
paraissent
occuper l'espace périvasculaire des capillaires
t la commissure et les deux cornes, surtout les antérieures : elles
paraissent
constituées par une substance vitreuse ou collo
cornes antérieures au contraire, la ma- tière colloïde en question
paraît
s'être infiltrée au sein même du tissu fonda- m
par les réactifs, ait envahi la moelle par ce sillon. Bien qu'elle
paraisse
amorphe quand on l'examine avec un objectif fai
oplasie a envahi la moelle de cette manière (tu) ; leur destruction
paraît
avoir été beaucoup plus brutale que dans les te
cupés par une substance colloïde teintée en rose par le carmin, qui
paraît
absolument identique il celle dont nous avons sig
ence dans la substance grise. Ici, comme dans la substance grise elle
paraît
avoir pour siège non seulement les gaines lymph
nerveux dans les régions où cette matière colloide s'est infiltrée,
paraissent
sains pour la plupart. Quant aux altérations mé
la pau- pière est intact des deux côtés, la fente palpébrale droite
paraît
même plus éle- vée que la gauche, il cause de l
it dans une pension où on l'occupe à des travaux manuels et où elle
paraît
fort s'ennuyer. Antécédents personnels. Fièvre
mais il n'y a la rien de patho- logique. Quand on l'interroge, elle
paraît
ennuyée de répondre et manque de franchise. L
raît ennuyée de répondre et manque de franchise. La petite malade
paraît
très abattue ; son faciès est coloré et rouge. El
que par monosyllabes aux questions qu'on lui pose ; son intelligence
paraît
au premier abord assez obtuse. Elle se plaint p
est un groupe de gens attirés par la curiosité et le plaisir et qui
paraissent
fort tentés de prendre part à la danse. En avant
nt tribut ci l'affection. L'hiver dernier (1892), une phlyctène ap-
paraît
à l'extrémité de l'auriculaire. Une ulcération lu
ts; les artères ne sont pas athéromateuses. Les deux nerfs cubitaux
paraissent
un peu plus volumi- neux que normalement, mais
us- 128 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cles interosseux
paraissent
atrophiés. Le pouce a relativement conservé sa
spect gélatineux. Le fond de l'excavation est rouge, anfractueux et
paraît
constitué par les muscles de la région plantair
moins l'argument qu'on pourrait tirer de l'âge auquel a débuté ou a
paru
débuté l'affection est des plus spécieux ; en e
nchent sur les régions voisines. Cependant, en dehors des noevi qui
paraissent
d'ailleurs plus fréquents chez eux (2), on peut
ution pour des hypertrichoses symptomatiques. L'exemple suivant m'a
paru
di- gne de remarque. B..., 28 ans. Antécéde
épaisses. Ces troubles de la circulation augmen- tent l'hiver; ils
paraissent
avoir légèrement diminué depuis que le ma- lade
ttaque de rhumatisme a été intense et prolongée, mais aussi qu'elle
paraît
avoir touché le coeur si l'on prend en considérat
Par contre les troubles de la sensibilité aux membres inférieurs ne
paraissent
pas fréquents dans ces cas. Nous ne les avons rel
fisance aortique chez les alaxiques, le rhumatisme articulaire aigu
paraît
avoir été bien rarement relevé (1). Il faut don
ulaire dans le cordon latéral. L'existence deces petits foyers nous
paraît
s'expliquer tout naturellement de la façon suivan
de centres d'infiltration. Dans la substance grise, « le tissu, qui
paraît
raréfié est infiltré çà et là par une matière a
ment donné. Enfin le fait t de Siemerling, notre observation I nous
paraissent
de nature à donner une (1) LANCEREAUX, Leçons d
elques heures emporta le malade en moins de mois. La moelle fraîche
paraissait
saine à l'oeil nu. Mais le microscope montra des
tate aucune altération du canal rachidien ; les enveloppes spinales
paraissent
saines il l'oeil nu, les vais- seaux qui serpen
moelle sont gorgés de sang. Sur les cou- pes, la substance grise a
paru
seulement congestionnée dans toute la hauteur.
e; sa configuration sur la coupe est méconnaissable. La consistance
paraît
augmentée ; il existe manifestement une sclérose
la partie inférieure du renflement lombaire. Cette dernière région
paraît
absolument saine, à part la double dégénération
, dorsale inférieure et lombaire. Le bulbe, le cerveau, qui avaient
paru
sains à l'oeil nu, n'ont pas été conservés. Cou
re est peu touchée ; elle est modéré- ment épaissie ; en outre elle
paraît
plus adhérente qu'à l'état normal au tissu médu
érieure ne présente pas une seule grande cellule, on peut dire, qui
paraisse
normale sur les coupes. Les unes sont situées e
foyer, qui présente il l'oeil nu les dimensions d'une tête d'épingle
paraît
jig. z Une partie périphéri- que du petit foy
e très avancée, au point que tous les éléments nerveux avaient dis-
paru
. Les auteurs font remarquer à ce propos qu'il est
E. Imp. Vve LOURDOT, 33, rue des BallgDolies. Paris. Au moment de
paraître
nous apprenons la mort subite de notre cher et
de la parésie du muscle élévateur de la paupière en sorte qu'il me
paraît
impossible d'expliquer les parésies mi- miques
l des impulsions irrésistibles qui les (1) M. le D Dutil doit faire
paraître
prochainement une étude sur la pathologie des J
t qu'offrent ces cas au point de vue neu- ropathologique, il nous a
paru
curieux de comparer l'histoire de ces mala- des
et modernes qui ont popularisé le type du Juif-Errant. Et il nous a
paru
intéressant de rapprocher les anciens récits dans
mplainte. Et Gustave Doré qui en a fait de vastes illustrations, ne
paraît
pas avoir compris la figure du Juif-Errant avec l
t intéressant de connaître l'auteur de ce type primitif sur. lequel
paraissent
calqués tous les autres. Cependant, tout en conti
e grise a sa configura- tion normale. Les cordons postérieurs seuls
paraissent
avoir souffert : ils pré- sentent une coloratio
toute la région, les cellules nerveuses qui com- posent ces noyaux
paraissent
peu nombreuses et diminuées de volume relative-
vaso-vasorum sont oblitérés en grand nombre. La tunique musculaire
paraît
normale; l'élastique est comme tendue, et ne décr
icale à ce sujet, on trouve un certain nombre de faits publiés, qui
paraissent
, pour ainsi dire, calqués sur le précédent jusq
t remarquer il ce propos que la syphilis, dans les centres nerveux,
paraissait
suivre fréquemment une marche descendante. Nous
DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 217 Jusqu'ici tous les accidents
paraissent
être en relation avec une poussée de méningite
laire. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 221 L'histoire suivante
paraît
copiée, pour ainsi dire, sur la précédente, en
l'apparition d'accidents syphilitiques du côté des centres nerveux
paraît
avoir été déterminée par un traumatisme moral,
ans les différents segments des membres inférieurs ; cependant elle
paraît
diminuée à droite. Au niveau du pied, du genou,
ue la paralysie de l'oculo-moteur gauche n'est pas tout à fait dis-
parue
. Les mouvements du cou sont parfaitement libres
plégies syphilitiques le plus communément observées en clinique lui
paraissaient
présenter des caractères assez spéciaux pour être
légie vulgaire. Mais les événements antérieurs à sa paraplégie nous
paraissent
assez caractéristiques pour justifier il eux seul
le, peu vigoureux, mais sans aucune lésion viscérale. L'étal mental
paraît
normal aujourd'Ini : il ren- seigne bien sur le
ie signale expressément cette particularité dans une récente leçon,
parue
dans la Semaine médicale (1893). Notre maître M
pendance les symptômes cardinaux de l'ataxie locomo- trice. Mais il
paraît
en être très rarement ainsi : et, au point de vue
intérêt de remarquer à ce propos que l'action du virus syphilitique
paraît
s'exercer de très bonne heure sur les centres ner
térations des méninges et des parois vasculaires. Un premier fait
paraît
acquis, c'est que les lésions des veines spinales
état déplorable et fut reçu à l'hôpital anglais où il resta traité,
paraît
-il, pour un « rhumatisme », à l'aide de l'électri
té droit du corps. Ce sont là, en effet, des circonstances qui nous
paraissent
avoir joué un rôle important dans le développem
ontre pas de symp- tômes neurasthéniques bien accentués. L'hystérie
paraît
être chez lui pri- mitive : pour le moins c'est
physique et moral de ce malade. Mais ses récents malheurs ne l'ont,
paraît
-il, nullement guéri de sa manie des voyages, ca
ent tous les membres, etc., etc. Toutes ces impressions, le sujet
paraît
les avoir observées, analysées et mé- ditées lo
l énu- mère en répondant tous les chapitres de la thérapeutique. Il
paraît
avoir expé- rimenté la médication révulsive sou
enise 1583 et 1605, in-folio, divisé en 7 livres. Le même ouvrage a
paru
en latin sous le titre de Ghir1trgiæ universali
ste, si l'au- teur vénitien connaît Bérenger de Carpi, il ignore ou
paraît
ignorer le tra- vail de Paré, à peu près contem
se manifeste par une augmentation du pigment, au milieu duquel ap-
paraît
la couleur blanche de la sclérose. La réaction
27. La température du corps est normale. Les tâches bleuâtres dis-
paraissent
sans laisser de traces. Quand on mesure avec un r
u 4° jour; dans la région fémorale les lâches bleu-pourpre ont dis-
paru
. 21 juillet. Les métatarsiens el les articulati
chymoses et les stases e trauma commencent à disparaître. Il nous a
paru
nécessaire de nous étendre sur tous ces détails
ne resta que quinze jours, les médicaments qu'on lui prescrivit lui
parurent
absolument inef- ficaces, car elle eut trois at
s la langue du pays (1) ». Quoi qu'il en soit, l'origine germanique
paraît
indéniable; peut-être tous sont-ils alle- mands
l dit dans la complainte, et plus loin : A voir votre visage Vous
paraissez
fort vieux Vous avez bien cent ans Vous montr
ant, à tomber sous le coup de la police. Or, l'hystéro-neurasthénie
paraît
chose vraiment fréquente parmi les miséra- bles
e. Paris, 9 juillet 1840. « Mon très-honoré confrère, « Vous me
paraissez
avoir une vénération si vraie, si profonde, si pl
me parait une prétention hardie, une espérance irréalisable. 0 Vous
paraît
!... Ainsi, à vos yeux, ma prétention de réforme
répondant à M. Bouillaud, s’exprimait à ce sujet; ses arguments nous
paraissent
sans réplique ; il adressait ses réflexions à un
lus petits, même les plus cachés... Tous ses sens, et surtout le tact
paraissaient
dédoublés. _ « Voilà les caractères qu’elle ava
re nous a fait connaître le résultat des séances de ce personnage qui
paraît
être resté bien au-dessous de son programme. Il
pas prendre sur moi de statuer dans cette affaire ; il faudra qu’elle
paraisse
devant les assises. M. Lewis. — Il n’y a aucune
avec l’alcool la troisième trituration. Des liomœo-palhes, qui m’ont
paru
en cela parfaitement logiques, reconnaissent que
rieuses de faits observés à des points de vue très-différents, et qui
paraissent
indiquer que les substances matérielles seraient
n amour mutuel. De ce moment, le somnambulisme, de plus en plus rare,
paraissait
devoir bientôt disparaître entièrement. Mais le
e littéralement la salle d’audience se portent sur Mlle Bressac. Elle
paraît
émue, et, pour se rassurer, elle cause avec son a
n, jadis chef suprême de la religion Saint-Simonienne, vient de faire
paraître
un volume intiluléSWwic« de Chomme : il y reprodu
eule m'a rendue plus calme, u En effet, quelques minutes après , elle
parut
soulagée. u Immobile de surprise, je m’informai
ors de ces phénomènes. D’ailleurs ses idées sur cette matière ne nous
paraissent
pas bien fixées. La principale autorité qu’il inv
orts; 6° songes qui offrent des visions diverses. Ces catégories nous
paraissent
peu rationnelles. Un grand nombre d'autres aute
res d’Artémidore, le grand devin des songes, le seul passage qui nous
paraisse
digne d’attention est le suivant, dont le sens ré
dont ma femme avait fait preuve : le résultat obtenu et constaté m’en
paraît
être une suffisante confirmation. « Veuillez ag
et je me réserve de vous signaler par la suite tous les faits qui me
paraîtront
utiles à la science magnétique. (i Recevez l’as
n s’appuyant sur des faits nombreux et d’un contrôle facile, pourrait
paraître
digne de soutenu-l’examen des hommes de la scienc
en tirer un parti convenable, à une série d’actes physiologiques qui
paraissent
surnaturels. » L’auteur décrit les effets variés
aurait pu les croire super-ducs et intempestives, tant la démonologie
paraissait
frappée de discrédit ; les possessions n'étaient
érieusement des faits de possession calqués sur ceux du moyen âge, et
paraissent
s'inspirer de la Fleur des saints et de la Légend
moyen de contrôler l’exactitude des pharmaciens. Cette exactitude lui
paraît
douteuse lorsqu’il s’agit de faire vingt, trente
d rôle et qui peuvent fournir tant de lumières à la psychologie. Elle
parut
comprendre qu’il était de son devoir de ne pas re
observait fort bien notre maître à tous, M. le baron du Po-tet, il ne
paraît
plus d’ouvrage important de médecine qui au moins
rce herculéenne; après l’avoir magnétisé si\ minutes, benqu il no
parut
point sensible, je le priai de se lever, puis, me
e ; elle en suivait la lecture avec autant d’intérêt que moi-même, et
paraissait
contente d’apprendre les diverses péri pitiés d’u
vais sens ; la vision sans l’intermédiaire de l’organe externe ne lui
paraît
pas impossible ; et, s’il n’accepte pas lès faits
psychologique qui n’est ni pensée claire, ni acte libre, et qui nous
paraît
être, par excellence, le fait de sens intime plei
on et l’affaiblissement de la vie ordinaire, noire âme et notre corps
paraissaient
transparents, lumineux, pleins de force et de sér
cette école, pour refuser d’accepter les épreuves des concours ou de
paraître
devant les commissions d’examen ; ils ajoutent au
est celui où nous nous trouvons le plus souvent (et c’est pourquoi il
paraît
au sens commun J’-état normal), l’âme est en rela
touche et ne rend des sons que par son impulsion. De là, ce qui nous
paraît
fortuit, capricieux, bizarre, dans ^inspiration d
de la nécromancie. Mais ces sentiments étroits, tout naturels qu’ils
paraissent
, n’en sont pas moins étrangers, assure-t-on, au c
avisés, les spiritualistes n’en trouvent que deux dont l’abaissement
paraisse
indispensable, savoir, l’autorité de l’Eglise cat
rien au-delà de ce qu’il y trouve écrit. Mais cette explication, qui
paraît
bien simple, est pourtant sujette à de graves dif
(1) 1657, page 233. font enfoncer des sabres dans le ventre, qui
paraissent
insensibles à la douleur, etc. M. Iloudin, après
dispensa- (I) Nous avons déjà donné du même auteur un article qui a
paru
dans le n* 5S du 10 mars 1859, page lîl. Cet arti
aron du Polct de l'insertion de ses deux prudentes relations qiii ont
paru
dans le numéro du Î5 m«rs, n. 54. « Craignant
t et s’enquérir des résultats qu’il obtient. Si étranges que puissent
paraître
ses affirmations à des personnes étrangères à tou
teurs semble se reposer sur ses conquêtes ; aucun travail sérieux n’a
paru
cette année. Le spiritualisme a partagé le monde
plutôt contre M. Laurent et Mlle Prudence. Cette critique nous avait
paru
des plus faibles et aller presque à rencontre de
. La seconde expérience, dans laquelle il commit une erreur, nous a
paru
des plus curieuses, précisément à cause de cette
is que les opinions, que Deleuze ne regarde pas comme probables, nous
paraissent
à nous non-seulement probables, mais même certain
as relever un défi, c’est s’avouer battu, et que M. Mabru pourra bien
paraître
comme un géant Goliath qui n’a pas encore rencon-
à la perception des sons est peu parfait chez les serpents, et ils ne
paraissent
pas avoir l’ouïe très-line. La couleuvre était d’
es, et dont. 011 vante la lucidité : l’ouvrage qu'elle vient de faire
paraître
prouve qu’elle est également distinguée par les q
ns mon ouvrage intilulé : Du Magnétisme e( des sciences occultes, qui
paraîtra
prochainement. ceux qui, ne jouissant d'aucun
s communs consiste dans les coups mystérieux ; ce sont des bruits qui
paraissent
n’être dus ni à une action humaine, ni à aucune d
ourne-broche ; ils étaient suspendus à la volonté de la jeune fdle et
paraissaient
avoir leur siège dans les muscles de la région lo
t tenu de manière à ne pas être vu du médium. Une première expérience
parut
favoriser l’hypothèse spiritualiste : une réponse
lum. — Dans le dernier numéro de la Revue spiri-lualiste qui vient de
paraître
, M. Matthieu, auteur de plusieurs ouvrages estimé
dit qu’un courant magnétique s’échappait de son abdomen, courant qui
paraissait
fuir en ligne droite. Si alors je tenais la main
rencontrait le courant, il pouvait presque en mesurer le diamètre qui
paraissait
avoir 5 ou 6 pouces. Comme je viens de le dire, l
netteté à toutes les questions qu’on lui adressait. Seulement il m’a
paru
que ses réponses étaient beaucoup moins justes, q
il fut revêtu. Dans tous ces phénomènes, le rôle du miroir 11e nous
paraît
que d’une importance secondaire : ce n’est guère
onde fois que le mot de commissaire de police a été prononcé, ellem’a
paru
se réveiller spontanément. Je crois, sans pouvoir
de grandes et publiques calamités. La forme parfaite d’un arc indien
parut
dans l’air à New-Plymouth, il fut considéré par l
ARIÉTÉS. TRIBUNAUX. — AFFAIRE BERNEY. Dans le com pte-rendu qui a
paru
dans notre dernier numéro d’une affaire d’escroqu
populations, l’ignorance et le superstition. Mais ces faits leur ont
paru
fort peu graves, et ils les ont classés parmi les
mèdes propres à soulager et même guérir les mala-« dies du corps ; il
paraît
savoir des choses qu’il ne savait ■( pas et q
incapables dans leur état ordinaire. Voici un nouvel exemple qui nous
paraît
surpasser tout ce que l’on connaît dans ce genre.
h I voilà la lune qui se cache. » Et elle continua de travailler sans
paraître
gênée le moins du monde. Quand elle avait répon
e moins du monde. Quand elle avait répondu à quelque question, elle
paraissait
oublier, un instant après, qu’il y eût du monde d
ux ont ôté tant de fois témoins? A ces dernières paroles, mes sœurs
parurent
s’émouvoir. Elles se consultèrent, se levèrent et
erre, et si nous osons la mettre un instant en doute, si parfois nous
paraissons
même la combattre avec assez de force , ce n’est
nous avons lu sur ce sujet dans les magnétistes spiritualistes nous a
paru
si faible, que nous n’avons pas même cru devoir l
dernier argument, que nous ne craignons point de produire nous-même,
paraîtra
au premier coup d’œil une arme très-forte dans la
s pour faire taire les intérêts engagés dans les messageries et faire
paraître
la vapeur? Combien de temps pour convaincre les i
n, pour un soulagement qu’elle avait demandé en vain à la Faculté. Il
paraît
que ses médecins s’étaient complètement trompés s
euve que c’était bien elle qui revenait chercher son fils, en faisant
paraître
le nombre 13 dans l’époque de sa mort et le vendr
a peu de temps après. >» PUBLICATIONS NOUVELLES. 11 vient de
paraître
un nouvel organe du magnétisme. M. Lafontaine, ma
urnal de M. Lafontaine se publie à Genève, quai des Bergues, 1 Zi, et
paraît
le 15 de chaque mois, sous ce titre : Le Magnétis
chée avec l’enfant le plus petit. Ses yeux se remuaient pt ses lèvres
paraissaient
parler, mais elle ne disait rien. La bonne se mon
des Songes de M. Conrot, nous publions aujourd'hui la suite qui nous
paraît
toujours avoir un grand intérêt, et comme l’écriv
e retour chez moi, je considérai attentivement mes enfants; l’aîné me
parut
souffrant. « Où as-tu mal? Au ventre? Y sens-tu d
cle de nos connaissances, et que les expériences de M. Tréfeu doivent
paraître
, au premier abord, chose à peu près incroyable, j
dans les mômes conditions que le médium de M. Mathieu, peut faire
paraître
sur le papier quelques mots écrits. Un membre d
t ainsi un ou deux mots qu’on peut même, avec un peu d’adresse, faire
paraître
quatre fois, aux quatre coins du papier. Divers
ntenant pareillement édifié sur la seconde manifestation, qui m’avait
paru
, je dois le dire, tout aussi suspecte que la prem
la science soit pur? et sans souillure. B°" du Potet. Nous ferons
paraître
prochainement les observations qu’a suggérées à M
tel est élevé sur le devant de la porte du temple. « Enfin le bokle
paraît
. Il s'avance gravement au milieu des acclamations
violentes du système musculaire succéda un état de calme complet; il
paraissait
endormi, ses yeux étaient fermés, et pourtant, so
t venu eu plein midi et en pleine veille. Les passes magnétiques me
paraissent
être la cause de l’état actuel de l'enfant : je n
60).-Ge«mer Baiu.ièrb, éditeur. Cet ouvrage important, qui vient de
paraître
, mérite un examen approfondi : nous nous proposon
frayant, une création ex nihilo... Voilà ce qu’on apprend, à ce qu’il
paraît
, sur les bancs de l’école. Vertu admirable du dip
voyait rien. Il fit de son mieux pour rassurer son camarade. Le jour
parut
, et avec le jour des occupations assez sérieuses
possédé en criant : Voilà que j’aperçois un enfant comme moi, qui me
paraît
avoir quelque chose d’angélique. Et il en donna u
descendait l’escalier et embrassait un autre de ses frères. Cela
parut
alors impossible aux assistants, parce que ce mêm
es frères qui était mort encore jeune : l'enlant le vit en effet ; il
paraissait
gai et content, ce qui fit penser qu’il était dan
des artères dans leur gaines communes avec les veines; ces causes ne
paraîtront
jamais suffisantes à ceux qui exigent, pour se re
pouvait dire au règne de quel souverain appartenaient ces pièces. 11
paraît
même que cette malade réussit à épeler le mot com
oignis ce que les adeptes appellent pusses magnétiques. Le sommeil me
parut
profond, et toutefois la malade répondait à mes q
eurs centimètres de profondeur, et, depuis un an qu’elle existait, ne
paraissait
pas devoir se cicatriser. J’eus recours à des inj
expériences, ayant remarqué dans tous les ouvrages que vous avez fait
paraître
jusqu’à ce jour, que votre désir sincère est le b
nstrations étaient réellement sincères, et quelques expériences enfin
parurent
offrir quelque intérêt. Le silence était complet.
er une main, puis l’autre sur scs yeux, pour combattre, à ce qu’il me
parut
du moins, un commencement de sommeil. Un léger Ir
son sujet. i Je l’avais vue combattre un sommeil naissant qui me
parut
sinon naturel au moins assez étrange ;et, ne pouv
ptions des lieux enchanteurs qu’ils parcouraient et dans lesquels ils
paraissaient
entrer en rapport direct avec des êtres de beauco
à l'examen consciencieux des spiritualistes une révélation qui nous a
paru
tant 6oit peu moins illusoire que les autres, et
seront utilisés avec fruit. Son explication de la lucidité 11e nous
paraît
pas heureuse. A propos d’un cas où une somnambule
. AVIS. A dater du 10 janvier prochain, 1 e Journal du Magnétisme
paraîtra
illustré de gravures au trait représentant des sc
AVIS. A dater du 10 janvier prochain, le Journal du Magnétisme
paraîtra
illustré de gravures au trait représentant des sc
r- Peu ^ temps auparavant, et avau fait des prières pour elle ; et il
paraît
qu’il lui avait persuadé que les guérisons par le
culents, puis elle revint chez elle. En quelques jours, le cancer
parut
être délogé de l’estomac et fut expulsé en morcea
ups avec la conviction qu’il faisait un acte de bonne justice ; aussi
paraît
-il très-étonné de se voir traduire devant la cour
t celle de l’avenir. L’auteur repousse certaines explications qui lui
paraissent
déraisonnables, et il avoue qu’il n’en a aucune a
; pour l’étranger, 10; pour les pays surtaxés, 12. Le second numéro a
paru
. Baron dd POTET, propriétaire-gérant. AVIS.
AVIS. A dater du 10 janvier prochain , le Journal du Magnétisme
paraîtra
illustré de gravures au trait représentant des sc
IMAL. « Le magnétisme auimal, gagnant journellementdu terrain, nous
paraît
mériter l’examen des hommes de science. Je compre
peau, etl’état desyeux qui étaient convulsés vers le haut, ce sommeil
paraissait
tout à fait naturel. « Le ÿ au soir, je trouvai
’insecte lui fait mal. — M. Gros essaye de la démagnétiser; la malade
paraît
en souffrir, et il me faut beaucoup plus de t
, la menstruation s’établit sans accidents. «Le 12 mars, les règles
paraissent
plusabondantes que depuis bien des années. «P.
procédés, il est facile de faire varier les bruits de manière qu’ils
paraissent
venir de diverses directions et produits par diff
ons. «Les bruits que fait entendre le médium par le jeu des muscles
paraît
quelquefois venir de loin : c’est une illusion pr
ppose ordinairement, mais il en gradue l’intensité de manière à faire
paraître
le son plus ou moins éloigné ; il dissimule en mê
, l’attention des auditeurs vers les endroits d’où il veut que le son
paraisse
provenir. Chez les frappeuses de Rochester, le ge
cent alors la jambe en contact avec une partie de la table, les coups
paraissent
venir de dessus la table. Mais si le membre n’est
table. Mais si le membre n’est en contact qu’avec le parquet, le son
paraît
venir d’en bas. Quelquefois les frappeuses , dans
touchent avec leur jambe ou si elles se tiennent tout auprès, le son
paraît
venir de la porte, et l’on peut la sentir vibrer;
vibrer; si elles se tiennent à quelque distance de la porte, les sons
paraissent
venir d’en bas. En réalité, les coups ne paraisse
a porte, les sons paraissent venir d’en bas. En réalité, les coups ne
paraissent
jamais venir d'une grande distance, à moins que l
ient invariablement entendre quand ils étaient demandés ; les sons ne
paraissaient
jamais venir de la porte, à moins que mademoisell
r toucher de son pied le pied de la table; mais généralement les sons
paraissaient
venir du parquet, dans le voisinage du médium, bi
elà salle, il arrivera, comme pour le cas de ventriloquie, que le son
paraîtra
venir de là. C’est une chose bien connue que cett
de variété dans l’intensité des sons et dans les directions d’où ils
paraissent
venir. Et personne n’est en droit de dire qu il n
lus heureux ; je frappai trois coups sur le mur d’où les sons avaient
paru
venir, et je dis d’une voix impérieuse : «Qui es-
nftiqitc, bien que, d’après les statuts que nous avons reçus, elle ne
paraisse
pasconsacrée spécialement à la magnétisation des
, M. A. S. Morin, intitulé : du Magnétisme et des Sciences occultes ,
paraîtra
à la fin de ce mois, à la librairie de Germer Bai
vais donner au journal une partie des gravures destinées d’abord à ne
paraître
que dans mon ouvrage de la Thérapeutique divine e
omme 011 le verra par la lecture d un article de RI. Jos Barthet, qui
parut
dans le journal en octobre 1851, pages 520 à 574
ait à ce disque une action directe électrique ou galvanique ; mais il
paraît
que sa composition est indifférente, et qu’il ser
que si les effets suggérés et commandés, dont le sommeil puységurique
paraissait
être la condition, s’obtiennent dans l’état de ve
nsmouvcmenlapparenl cI qu’on peu! mémo les modifier de manière qu'ils
paraissent
venir de différentes directions, et personne ne p
enté par M. l'Archi- tecte, et dont je viens de vous entretenir, me
paraît
entraîner des modifications tellement important
que se conformer à la loi. Tout autre genre d'intervention ne nous
paraîtrait
pas justifié. M. 13AILLY. Ce n'est pas au point
RVICE médical. LXXXVII surveillance de l'Assistance publique nous a
paru
trou- ver naturellement sa place ici. M. RISL
pour les enfants gâteuses au réfectoire. Cette énumération nous a
paru
utile, car elle mon- tre comment il a été possi
u niveau de la base du crâne, les fosses moyennes et cérébelleuses,
paraissent
un peu moins développées à droite qu'à gauche.
sérieuse sur le foetus. V. L'imbécillité, qui était très prononcée,
paraît
d'origine congénitale et avoir été aggravée par
envoyé sans succès à l'école et loin de s'améliorer, sa situation
paraît
s'être empirée : sous l'influence des moqueries
as de lésions oculaires,pas de strabisme ou de nystagmus. La vision
paraît
être normale. Le nez est droit, un peu épaté ma
a mère. Il n'aurait jamais eu de convulsions et son - développement
paraissait
se faire normalement. - A 6 mois on remarqua qu
er à côté de lui. Les yeux étaient hagards. Il riait quelquefois et
paraissait
s'intéresser un peu aux ' jouets qu'on lui donn
et que son soulier était usé davantage de ce côté ; , 1 en outre il
paraissait
plus maladroit de la main droite que de : la ma
à l'hôpital. Il y resta 15 jours. A sa sortie le gâtisme avait dis-
paru
. Il fit après cela un séjour de 2 mois à l'hôpita
Autopsie : Sarcomes DU ceryelet. ' nerveuse avec laquelle elles ne
paraissent
cependant pas se continuer. De chaque côté du b
n nourrice. Il était bietï portant à-ce moment et son développement
paraissait
se faire normal lement. Sa mère ne le revit qu'
. Pas de déformation de l'hélix, de l'anthélix ou du lobule. L'ouie
paraît
normale. Les membres supérieurs ne présentent n
braux ne sont pas dilatés. La quantité de liquide céphalo-rachidien
paraît
normale. Au point de vue morphologique, les cir
terne des hémisphères. Les noyaux gris centraux, le corps calleux
paraissent
normaux à l'examen macroscopique. La glande pin
enfin les troubles vaso-moteurs, ensemble symptomatique qui nous
paraît
de nature à conduire, pendant la vie, au diagno
. 6 : , ) cas là, il est facile de voir que la déviation oculaire
paraît
correspondre à un trouble nerveux unilatéral :
Nous avons dit que ce strabisme s'exagérait par instants. Il nous
paraissait
donc lié à un trouble nerveux de l'appa- reil d
n de phosphate de chaux. 9 juillet. - On supprime les douches qui
paraissent
être douloureuses. État actuel. 10 Juillet. T
se ma- nifester pendant la nuit. 27 Le malaise a cessé. L'enfant
paraît
reprendre un peu. 22 juillet. L'enfant est faib
tem- poral semble normal, mais d'une façon générale tout ce lobe
paraît
légèrement atrophié, et un peu chagriné. Il se tr
ns la continuité de la scissure calloso-marginale. Le corps calleux
paraît
atrophié, surtout dans sa moitié antérieure ; i
ofonde. Ses bords écartés laissent voir le lobule de l'insula. Elle
paraît
se continuer en arrière avec un sillon ascendan
illons et des circonvolutions nor- males, mais dans son ensemble il
paraît
un peu atrophié et en retrait à sa partie infér
circonvolutions du lobe temporal, surtout à sa partie supé- rieure,
paraissent
un peu chagrinées. Le cervelet a son lobe droit
Tête : voûte, très-légèrement asymétrique : toute la moitié droite
paraît
reportée en avant; la bosse frontale droite est
es, pré- domine cependant sur celles du côté gauche. L'anesthésie
paraît
plus marquée aussi à ce niveau (froid, piqûre). D
ale : -Rien du côté de la vision, de l'ouie, de l'olfaction.Le goût
paraît
plus délicat à droite qu'à. gauche. DESCRIPTION
e douleur dans les testicules et au niveau des anneaux, les parties
paraissent
être d'une 11y17crcsthèsie notable au toucher q
Série d'attaques, comme celles décrites ci-dessus. Bien des choses
paraissent
exagérées dans ces ac- cidents : témoin ce fait
de localisation. Du côté gau- che, môme état de la sensibilité qui
paraît
seulement un peu obtuse sur la cuisse, sauf à l
ité générale : Notablement diminuée des 2 côtés ; dans le dos, elle
paraît
inégalement développée des 2 côtés, des zones m
de la salle : pas d'achromatopsie ni de dyschroma- topsie. L'odorat
paraît
plus développé à droite; l'ouïe, de même. - Le
les mois. 1886. Janvier. Poids : 56 k. 20 février. La sensibilité
paraît
plus développée à gauche qu'à droite. Déformati
eau et qui entraîne, comme (11 Ce mémoire et le suivant auraient dû
paraître
dans le Compte rendu de 188). Mais il a été imp
siré et ce n'est qu'au mois d'octobre que le volume du Congrès a pu
paraître
. De là, aussi, le retard de notre Compte rendu de
ataviques et dès lors, d'autres caractères moins déci- sifs m'ont
paru
plus vraisemblablement de nature (1) Ibid., p.
la femme de son frère, et de la Paria indoue, de Schort, qui eut
paraît
-il, un enfant mort-né. « Peut-être, ajoute- t-i
rconférence. Ses testicules avaient le volume d'une olive, le droit
paraissait
être un peu plus volu. mineux que le gauche.
aient pas déviés, mais déjà ils remuaient presque constamment. « Il
paraissait
ne rien voir. On ne pouvait fixer son attention
peu souples et étendus dans l'axe de la jambe : au premier adord il
paraît
exister un pied-bot, ce qui doit tenir à ce que
réguliers. Toutes les articulations sont assez souples; les genoux
paraissent
volumineux, en raison de la maigreur des membre
ultat. La canule a été introduite sans difficulté. La respiration a
paru
d'abord se rétablir avec facilité, puis elle es
lotte crânienne a été enlevée et la pie-mère incisée, le cerveau ne
paraissait
en retrait, par rapport au cerve- let, que de d
l gâtait, mais sa mère lui apprenait les prières, les 1 et 1res (il
paraît
avoir oublié cela ici 136 Microcéphalie. au d
ture de valériane (faible il est vrai) lui parait agréable. Le goût
paraît
peu délicat : Jan. recon- nait le sucre et le s
ndait, il cessait. Il n'était pas méchant, mais colère, boudeur. Il
paraissait
aimer sa tante, mais il avait l'air de la crain
dorat est obtus : l'ammoniaque, la valériane, l'eau de Cologne ne
paraissent
faire sur lui aucune impression. En ce qui con-
gâteux; il lui était impossible de se tenir debout. La jambe gauche
paraissait
un peu plus faible que la droite. On notait che
nique avec le ventricule latéral. Enfin dans notre dernier cas, qui
paraît
calqué sur le précédent sous le rapport anatomo
re pas ; parfois pousse de petites plaintes. Pas de vertiges. Il ne
paraît
pas-savoir se servir de ses mains. Tel qu'on le
l'extrémité postérieure, on trouve une circonvolution sinueuse qui
paraît
répondre au lobul pariétal supérieur. En arri
dilaté ; il est plutôt étroit. La couche optique et le corps strié
paraissent
réguliers. Hémisphère droit. L'une des photogra
e en avant et incomplètement par un sillon longitudinal de ce qui
paraît
être la circonvolution de l'hippocampe. Il présen
ascendantes, frontale et pariétale. Cette masse longitudinale nous
paraît
répondre à une partie de la circonvolution fron
e voit une masse de substance blanche, volumi- neuse, arrondie, qui
paraît
correspondre aux ganglions céré- braux. En avan
emporale qui est irrégulière. z Le corps strié et la couche optique
paraissent
sains, normaux. - Le ventricule latéral n'est p
développé, avec des sillons très superficiels. Le corps opta-strié
paraît
normal. - Le ventricule latéral n'est pas dilat
n passait en- suite deux ou trois semaines sans en voir revenir. Il
paraissait
y avoir une aura, car Paul s'écriait quelques s
nt aucune saillie et le pubis étant glabre. La glande thyroïde ne
paraît
pas exister. Au-dessus des clavicules, il y a d
he en se dandinant un peu. Elle se sert de ses mains. Tous les sens
paraissent
normaux, mais la perception est bien lente. La
guration de la tête ne présente aucune anomalie, et les fontanelles
paraissent
fermées ( ? ). Lourdeur prononcée de la partie
e pénil est glabre ainsi que les aisselles; les règles n'ont jamais
paru
. Les mains sont courtes, larges, bouffies et fr
ous avons relevés chez nos malades. Mais il en est quelques-uns qui
paraissent
faire défaut, par exemple, l'alopécie partielle
eveux, secs à la racine, assez soyeux à 5 ou 6 centimè- tres de là,
paraissent
plus gros en arrière; ils sont longs, noirs, av
ès prononcée. Les dernières côtes sont saillantes. Ces déformations
paraissent
plus accentuées lorsqu'on exa- mine la malade d
ique. La sensibilité générale, ainsi que la sensibilité spéciale,
paraissent
conservées. Voici quelles son tics principales di
trop multipliés, la canule de Pellier, adoptée par M. Malgaigne, nous
paraît
préférable aux autres. 4° Enfin plusieurs chirurg
riser la plaie. Aucun accident n'est survenu. — Pour un cas qui lui a
paru
semblable, M. Malgaigne a pratiqué la perforation
érieur, et a laissé le fil à demeure jusqu'à ce que le trajet lui ait
paru
assuré. Le malade a guéri sans larmoiement, quoiq
convenable. Le procédé de Pellier, qui agit de dehors en dedans, nous
paraît
donc encore le meilleur. Appréciation. En réc
Laforest. Sous ce rapport le ca-théter et la sonde de M. Gensoul nous
paraissent
les meilleurs et ceux dont l'emploi est le plus f
t le trajet normal, est préférable aux autres; mais dans le cas où il
paraîtrait
inapplicable, la perforation de l'os unguis perfe
îtrait inapplicable, la perforation de l'os unguis perfectionnée nous
paraît
devoir rester dans la science. ORGANES PROTECTE
se et la conjonctive sont intéressés, la peau étant intacte, qui nous
paraît
ressembler le plus à celui des anciens décrit dan
vec soin et s'assurer de l'effet produit. Si la rétraction de la peau
paraît
suffisante pour corriger l'introversion delà paup
ce, à cautériser légèrement la surface de la plaie. Mais si le cancer
paraît
avoir envahi dans l'épaisseur de la paupière, il
d'aucun homme en particulier, l'ingénieuse opération de la cataracte
paraît
avoir être l'un de ces produits des efforts combi
une opération qui n'est pas actuellement nécessaire. Ce conseil nous
paraît
devoir être suivi. Quand le malade voit encore d'
des cas nombreux où la sortie d'une certaine quantité de ce liquide a
paru
concourir plutôt que nuire au succès de l'opérati
en venir à broyer le corps opaque, le kystotriteur de M. Furnari nous
paraîtrait
trop faible; nous avons dû le rem-placer par des
e, un des plus grands inconvéniens du procédé de Scarpa. Mais il nous
paraît
également douteux que le recollement puisse être
t l'incision de la cornée suivant la modification de M. Walther, nous
paraît
devoir être préféré. C. Décollement. Exposant m
die à une simple dif-formité qu'en en produisant deux autres, ne nous
paraît
, ni par son but ni par ses résultats, devoir être
u simple stylet coudé à angle de i35° (pl. i , fig. 2). Sa forme nous
paraît
plus conve-nable que celle donnée aux autres cath
en bouchant préalablement par un tampon son orifice pharyngien, nous
paraissent
ce qu'il y a de plus convenable. Pour l'extract
du cautère actuel, les médecins qui lui ont succédé dans l'antiquité
paraissent
avoir toujours préféré les caustiques. Philoxènc
l'invention même d'un porte-liga-ture. Cet instrument, du reste, nous
paraît
offrir l'inconvénient d'être trop large à son ext
dont les trois branches s'écartent et se rappro-chent à volonté, nous
paraît
préférable sous ce rapport, l'instru-ment pouvant
ain, et faisant renifler le malade parla narine du côté malade, l'air
paraît
traverser avec facilité la fosse nasale, c'est un
dedans. Ce procédé, qu'on pourrait appeler pro-cédé d'élection, nous
paraît
réunir tous les avantages : i° on at-taque le sin
veilhier ont trouvé que les lèvres, dès quelles commencent i poindre,
paraissent
entières, et qu'à aucun âge fœtal elles ai sont f
a plaie; mais on ignore comment la suture était pratiquée. Les Arabes
paraissent
avoir employé celle du pelletier. Heuerinann, Oll
s dans les premiers temps avec ce procédé par MM. Mott et Mighels, il
paraît
néanmoins que l'on n'a pu tou-jours éviter les ré
ntels en travers, il les dirige de haut en bas; modification qui nous
paraît
avan-tageuse, le peu d'éloignement du muscle mass
ns que, malgré le résultat expérimental sur lequel on s'appuie, il ne
paraît
nullement probable que la liga-ture , bien plus e
n. Ce moyen, proposé par M. Velpeau, n'a pas en-core été essayé, mais
paraît
assez rationnel. Son auteur indique de comprendre
e mince feuille d'or fixée par une mouche de poix de Bourgogne. Il ne
paraît
pas déraisonnable de penser que ce moyen, très si
tules parotidiennes, le vésicatoirc, comme étant le plus simple, nous
paraîtrait
devoir être essayé d'abord; et s'il était sans ef
hève de la détacher soit par déchirement, soit par excision : si elle
paraissait
tenir encore par quelque prolongement vasculaire,
use ou purulente, des calculs, etc ; mais comme le siège delà maladie
paraît
peu varier, il en résulterait que, dans la plupar
. Reste à indiquer le procédé proposé par M. Maingault, et qui nous
paraît
fort rationnel. Pour éviter de pratiquer une plai
petit malade guérit parfai-tement. Toutefois cette première tentative
paraît
être restée com-plètement dans l'oubli. Il en est
le système de M. de Pierris, et opère l'avivement d'un second coup, a
paru
d'abord vouloir trop exiger d'un instrument; déjà
striction, les serre-nœuds de MM- Grafe, Colomba! et Donigès ne nous
paraissent
pas apporter un secours assez effi-cace pour qu'o
nouvelle, et qui n'a point encore essayé toutes ses chances, il nous
paraît
tout-à-fait convenable de préférer les procédés,
aiguës de mauvais caractère. Ligature (pl. 23, fig. 5). Ce procédé
paraît
avoir été leplusgé-néralement adopté au moyen âge
un peu modifié par MM. Ricord (pl. ig, fig. 46) et Velpeau (fig 45) ?
paraît
prévaloir en France. C'est la combinaison des deu
M. Velpeau, avec la fourchette de pré-hension de M. Ricord, qui nous
paraîtrait
devoir constituer le meilleur instrument. Procé
la rencontre des deux anses tranchantes. C'est ce mécanisme qui nous
paraît
le plus convenable, parce que la branche mobile v
première opération n'aurait pu enlever. Sétons. L'usage de ce moyen
paraît
remonter à la renais-sance, mais sans avoir beauc
chée artère, et se vit contraint de renoncer à l'extirpation, qui lui
parut
impossible sans un danger imminent. Extirpation
tout temps, les difficultés et les dangers. A quelle époque a-t-elle
paru
dans l'antiquité ? On l'i-gnore. Asclépiade paraî
elle époque a-t-elle paru dans l'antiquité ? On l'i-gnore. Asclépiade
paraît
être le premier qui en ait fait usage. C. Aurélia
age. C. Aurélianus, Arétée la condamnent comme téméraire; pourtant il
paraît
qu'elle s'est soutenue chez les Romains, car Anty
ions réputées légitimes par leur nécessité, ce chiffre néanmoins peut
paraître
faible. Toutefois, on y trouvera un résultat enco
torisé à conseiller la trachéotomie dans le croup, lorsque la maladie
paraît
grave; l'essentiel est de ne pas perdre de temps,
e ciseaux mousses ou du bis-touri boutonné ; mais cette manœuvre nous
paraît
une perte de temps inutile, l'inclinaison du bist
l'hémorrhagie moins à craindre et la plaie plus superfi-cielle , nous
paraît
devoir être préféré. Telle est, en substance, l
de larges inspirations pour faire cesser l'hémorrhagie veineuse, nous
paraît
d'autant moins raisonnable que , si l'on est pres
assez facile, on a tout le temps de lier les vaisseaux. Ce parti nous
paraît
donc le meilleur et le plus sûr. Toutefois, après
che, dont les lèvres s'appliquent sur tout l'orifice tra-chéal , nous
paraît
bien supérieure à l'introduction d'une sonde , qu
canule, en excisant de chaque côté un hémicycle cartilagineux. Andrée
paraît
avoir employé ce moyen , qui a été recommandé par
a lésion en travers des cordes vocales du côté de l'incision, ne nous
paraît
pas offrir d'avantage réel. Du reste , cette obje
r mois de traitement, en avaient éprouvé beaucoup d'améliora-tion, il
paraît
que, continué pendant tout le temps convenable, i
elques tentatives suivies de résultats va-riés. D'après ces faits, il
paraît
que la cautérisation avec un causti-que solide, e
d'où il implique que l'opération est formellement indiquée, quand il
paraît
être le produit local d'une cause accidentelle. L
de la tumeur, sa fixité , la largeur de sa base, l'ulcération même ne
paraissent
pas suffire encore pour s'abstenir d'opérer, si d
contentant d'écarter le nerf : telles sont les manœuvres cpi'il nous
paraîtrait
convenable d'employer, et qui sont celles dont na
a fait, la torsion , qui, vu la difficulté d'isoler l'artère, ne nous
paraîtrait
pas devoir offrir une assez grande sécurité. EM
z les Romains, les mêmes procédés continuèrent à être suivis; mais il
paraît
que les résultats de l'incision n'étaient pas fav
se de celle précédem-ment admise peut surprendre, et en tout cas nous
paraît
admet-tre une restriction. La conséquence inévita
ion atmosphé-rique; et si le poumon est adhérent, la piqûre ne lui en
paraît
pas grave. Nous n'oserions pas, nous l'avouons, c
d'i-voire, peut servir. Un tuyau de plume que l'on a indiqué, ne nous
paraît
pas convenir; son calibre est trop petit et il s'
nner lieu à la lésion du lobe pulmonaire aminci en auricule, comme il
paraît
être arrivé à Desault. Ces conditions pathologiqu
un kyste, et que le bord du poumon avait été lésé. Ce procédé ne nous
paraît
pas convenable. Le lieu de la piqûre est trop déc
s loin ces deux opinions, et les raisons qui, d'une manière générale,
paraissent
militer plutôt en faveur de la première. Quant à
n cas étant donné d'une tu-meur du foie, dont, après consultation, il
paraît
nécessaire d'ob-tenir l'évacuation, à notre avis,
et d'une pro-fondeur suffisantes. Si au contraire la paroi abdominale
paraît
encore intacte, il applique en forme de couronne,
roi abdominale avant d'ouvrir ce viscère. Mais cette question ne nous
paraît
même pas raisonnable. Les cas où il est indispens
la section de l'estomac , pour extrac-tion de corps étrangers, nous a
paru
une opération à peine pro-posable par impossibili
corps étranger placé dans l'intérieur de l'in-testin. Pourtant il ne
paraît
pas que le procédé des quatre-maîtres ait obtenu
que suture. Le moyen imaginé par M. Reybard est ingénieux, mais il ne
paraît
pas que l'application en ait encore été faite à l
affermies au besoin en les trempant dans des huiles siccatives, nous
paraîtraient
réunir toutes les conditions désirables. Procéd
lière des fils n'est pas assez certaine. Le procédé de M. Denans nous
paraît
supérieur sous tous les rapports. Les bouts d'int
striction des fils ait été suffisante ; enfin ce procédé , quoiqu'il
paraisse
complexe, est cependant le seul dont la manœuvre
s de Richter et de Scarpa résumèrent les faits et les doc-trines , et
parurent
avoir fixé la science pour un certain temps. Mais
, ainsi que cela arrive lorsqu'une hernie s'étrangle aussitôt qu'elle
paraît
; tantôt l'ouverture devient relativement trop ét
trophiées , tantôt elles sont devenues plus minces, transparentes, et
paraissent
avoir changé de nature. En certains cas, on trouv
t l'ouverture qui donnait issue aux intestins. Les chirurgiens arabes
paraissent
ne s'être pas occupés de la manière de contenir l
doit ici suppléer aux préceptes : mais néanmoins, à une époque où on
paraît
être enclin à beaucoup compter sur les avantages
ans le petit nombre de cas où cette particularité s'est présentée, il
paraît
qu'on a pu reconnaître l'intestin à sa tunique ch
ooper, Hessel-bach, M. J. Cloquet et par quelques autres chirurgiens,
paraît
avoir été opérée par Garengeot et plus récemment
loigner des points où doit passer l'aiguille. L'opération de M. Gerdy
paraît
avoir été pratiquée déjà une soixantaine de fois;
uer deux fois l'opération ; enfin chez un assez bon nom-bre la cure a
paru
définitive, même plusieurs mois après l'opé-ratio
procédé. Chez l'un des malades , homme adulte, aucun accident n'avait
paru
jusqu'au vingt-cin-quième jour et tout était term
aux matières. Cette indication, toute différente de la première, nous
paraît
devoir être plus con-venablement désignée sous le
exigeait une ou deux se-maines. Lorsque le calibre de l'intestin lui
paraissait
suffisam-ment augmenté pour donner un libre passa
dont on le comprend aujour-d'hui, à déprimer l'éperon intestinal. Il
paraît
pourtant, comme ce nous semble, que ce dernier ef
pour placer l'anus artificiel plutôt à droite qu'à gauche, elles nous
paraissent
fondées, mais avant de se prononcer, il nous semb
es. M. Velpeau rejette cette dernière manœuvre dont l'uti-lité ne lui
paraît
compensée par les difficultés d'exécution qu'elle
oir recours, de l'anus périnéal ou de l'anus abdominal. Le se- cond
paraît
bien le plus sûr, mais peut-on, à cet âge, appele
'elle accompagne et complique fréquemment ces diverses maladies. Il
paraît
donc bien que la connaissance de la fissure est,
arde comme la cause première de la fissure. M. Velpeau, au contraire,
paraît
croire que, dans cette concomitance des deux affe
des matières fécales ^ produit la constriction du sphincter. Il nous
paraît
bien clair que ces deux opinions sont également v
l songea à guérir la fissure anale par la section du sphincter, et il
paraît
bien que cette opinion était fondée en fait, puis
e l'excision sur le nœud après l'avoir liée. L'opinion de J. L. Petit
paraît
avoir entraîné celle de la plu-part des chirurgie
e raison physiologique qu'il importe de rechercher. Cette raison nous
paraît
avoir sa base dans laconstitution et le climat de
nt les chefs des fils, il les noue par autant de sutures séparées. Il
paraît
que ce procédé a été fréquemment mis en usage et
e volume. Si malgré la succession méthodique des manœuvres, la tumeur
paraît
irréductible, soit en totalité , soit dans une po
heures ou le lendemain. Mais au contraire, si la tumeur se gonfle et
paraît
disposée à s'enflammer, c'est le cas de pratiquer
l'orifice rectal, si l'on peut choisir le lieu de l'incision, il nous
paraît
convenable, pour les suites, de préférer la secti
sus du mal, en comprenant même dans la dissection tous les tissus qui
paraissent
malades. Cette dissection est longue, difficile e
indiqué, disent les uns, par Lanfranc, les autres par /Franco;mais il
paraîtrait
que Galien en avait dit quelques mots. Ge procédé
s inconvéniens , l'injection d'iode et la méthode de M. Baudens, nous
paraissent
incontestablement celles dont on doit préférer l'
endommager la peau, aussi inventa-t-il un instrument qui, ci priori,
paraissait
remplir ces conditions, mais que la prati-que a c
rt fut-elle ou non la conséquence de l'opération, c'est ce qu'il nous
paraît
difficile de décider. Malgré cela, cependant, nou
continué. Mais lorsque la tumeur a acquis un volume considérable, il
paraît
bien prouvé que le seul moyen thé-rapeutique qu'o
is d'enlever la totalité des tissus malades. Une circonstance, quia
paru
embarrassante, a été la longueur des cordons ; ma
eaux courbes sur le plat et bien tranchans. Si la première échancrure
paraît
insuffisante il en pratique plusieurs dans des po
l est vrai qu'immédiatement après l'opération, les lèvres de la plaie
paraissent
grosses et tuméfiées ; mais après la guérison , l
sent peu à peu-le-gland et les corps caverneux en arrière au point de
paraître
occuper le corps même du pénis quand il n'y a, en
osition des artères caverneuses renfermées dans leur intérieur et qui
paraissent
proéminentes à sa surface, ou enfoncées dans son
r une extrémité renflée appelée gland ; vu extérieurement son vo-lume
paraît
aller en décroissant depuis son origine jusqu'à s
ion de sa sécrétion. La vessie est « revenue sur elle-même, sa cavité
paraît
presque effacée, et le « bec de l'algalie, après
la taille elle-même étaient beau-coup plus difficiles qu'elles ne le
paraissaient
exécutées par des mains habiles. Mais lorsqu'on e
e sur l'urètre qu'on peut sentir le point malade. Souvent la muqueuse
paraît
saine , et l'indura-tion a son siège dans les tis
ouvent les fausses routes, tandis que les rétrécissemens spasmodiques
paraissent
affecter plus spécialement le point d'union de la
ns que les mentionner ici. Du reste quelque ingénieux cpie puissent
paraître
tous ces instrumens ils laissent encore beaucoup
er d'un nouveau genre de dilatateur imaginé par M. Perreve et dont il
paraît
que l'auteur a obtenu de grands avan-tages. Mais
ui-même. Le procédé de Ducamp pour la cautérisation de l'urètre qui
paraît
, au premier abord, si ingénieux et si séduisant,
pporte, ait essayé trois (ois avec succès de cette méthode, elle nous
paraît
trop dange-reuse et trop susceptible de conduire
tude d'in-strumens que nous avons énumérés, serait fort difficile. Il
paraît
néanmoins qu'en général on préfère l'urétrotome,
iquer une seconde et même une troisième. Si, lorsque le jet d'urine a
paru
, il se suspendait de nouveau, il serait à présume
s non-seulement les choses ne se passent pas tou-jours ainsi, mais il
paraît
même que les accidens sont moins communs qu'on ne
es méthodes dont nous avons déjà parlé suffi-sent le plus souvent, il
paraît
néanmoins que l'incision avait été abandonnée tro
uction d'une sonde au périnée, en raison de ses inconvéniens, ne leur
paraît
admissible que dans trois cas, i° lorsque l'urètr
e (Pl. S'], fig-4)- Cette opération n'est pas très ancienne , et ne
paraît
guère antérieure à la fin du xvii6 siècle. Méry
e aux urines sans le secours des sondes. Les modifications qui nous
paraîtraient
devoir être apportées à ce procédé si l'on voulai
inion des chi-rurgiens, sur l'extrême gravité de l'opération, ne nous
paraît
pas suffisamment justifiée, car la ponction de la
a eu foi que dans des médi-castres spéciaux. Quoi qu'il en soit, il
paraît
certain que la lithotomie était pra-tiquée habitu
udgère dont le bec est introduit dans la sonde. Ce dernier moyen nous
paraît
mériter la préférence, et il est tellement effica
multiples ont été rencontrés chez certains malades dans un nombre qui
paraît
incroyable. Beau-coup de chirurgiens en ont trouv
s à ce sujet à propos de malades chez lesquels le cathétérisme leur a
paru
alternativement prouver ou infirmer l'existence d
mière n'ayant pas encore produit de résultats assez positifs, il nous
paraît
que le temps n'est pas encore venu de lui accorde
dée de dissoudre les calculs dans la vessie, par des agens chimiques,
paraît
avoir été aussi ancienne que la médecine. Cette p
de nos jours l'énoncé des substances dont il faisait usage peut nous
paraître
ridicule, du moins l'absence de toute notion sur
issoudre (utaturpatiens medicinis fran-gentibus lapidem). Mais s'il
paraît
bien qu'Azzabravi, ou, si l'on veut, Albucasis, n
ent courbe à trois bran- ches (Pl. 61, fig. 10). Cet instrument qui
parut
en 1828 pour la première fois, a la même courbure
mé-thode par brisement direct, dontnous parlerons plus tard, avaient
paru
dangereuses à quelques praticiens , par plusieurs
le plus souvent avec succès. Lorsque les pierres étaient petites, il
paraît
qu'elles se broyaient sans que l'opérateur s'en a
ux comme sur le calcul entier. Appréciation. Lorsque cet instrument
parut
, il souleva contre lui de nombreuses préventions^
bord , dit M. Bégin « (JDict. de Méd. et Chir. prat.), cet instrument
paraît
effective-« ment trop grêle, et manquer d'une sol
l'in-strument à l'étau du lit qui l'accompagne, ou bien, ce qui nous
paraît
préférable parce qu'on ne cause pas plus d'ébranl
ble, imagina un lit particulier au-quel était adapté un étau. Il nous
paraît
bien inutile de donner la description de cet appa
é de la force comprimante. \" Pression avec la main. Ce moyen ayant
paru
suffire dans les cas où le calcul était petit ou
dans le système de Touzay, Clot-Bey et Sirhenry, lorsque la pression
paraissait
suffisante et même dangereuse, on ne pouvait pass
atifs pour servira leur engrenage. Mais cette disposition n'ayant pas
paru
favorable à la saisie des petites pierres, et au
mètres de diamètre à laquelle M. Civiale conseille de s'arrêter, nous
paraît
trop forte; nous croyons qu'en général il serait
ur des chances de succès que présentent ces organes à l'état sain, il
paraît
donc décidé par l'expérience que c'est dans l'âge
85 individus de la seconde sé-rie, chez lesquels la lithotritie avait
paru
difficile ou impossible, 88 ont été taillés, et 9
ls il n'en est mort qu'un seul, et 37 ont parfaitement guéri; mais il
paraît
que cette appréciation est exagérée, du moins, d'
erre; toute-fois on n'a aucunes données certaines sur son origine; il
paraîtrait
, d'après ce qu'en dit Prosper Alpin, que les Egyp
t traversé par l'urètre qu'il soutient dans sa partie membraneuse. Il
paraît
aussi destiné à résister à la pression des viscèr
peu-à-peu par des progrès lents et gradués. Au reste, quoique Romani
paraisse
avoir généreusement démontré la taille médiane, c
le il retourna à Besançon où il mourut, dit-on, le 6 décembre 1714- Û
paraît
, d'après Normand, qu'il ne serait mort qu'en 1720
, qu'on s'est accordé à assi-miler les deux manières d'opérer; car il
paraît
que Raw n'a jamais rien écrit sur ce sujet. Voi
lame de « l'instrument au-delà du n' 11, quelque volumineuse que me «
paraisse
la pierre, et le plus ordinairement je ne l'ouvre
rés. Bien que ce nombre de soixante-dix soit très restreint et puisse
paraître
insuffisant à quelques per-sonnes , pour juger de
atiquée. Sur une centaine environ d'opérations de cette nature, il ne
paraît
pas qu'il y en ait été pratiqué plus d'une trenta
pour mettre la vessie à découvert. Historique. Personne, à ce qu'il
paraît
, n'avait conçu l'idée de la taille hypogastrique
a proposa comme méthode générale. Quoiqu'il l'ait beaucoup vantée, il
paraît
néanmoins qu'il n'eut jamais l'occasion de la pra
r en même temps des redites et des longueurs inutiles, il nous a donc
paru
convena-ble de décrire d'une seule fois la méthod
ont si peu précis qu'on ne sait trop comment ils l'exécutaient; et il
paraît
même que l'intention chirurgicale et la manière d
du malade. D'après l'inventeur ce moyen réussirait fort bien, mais il
paraîtrait
qu'il n'aurait pas eu autant de succès entre les
donnant issue à l'urine, comme il est arrivé à M. Kirby et à ce qu'il
paraît
aussi à M. Amussat; ce qui démontre bien plus cla
en puisse jamais devenir nécessaire , et ajoutons aussi qu'il ne nous
paraît
pas sans danger. a0 Ouverture du péritoine. La
par le diagnostic. Si le calcul est très volu-mineux, et surtout s'il
paraît
adhérent ou enchatonné, il est évident que l'on n
ile à exécuter, n'est accompagnée d'aucun danger, mais seulement elle
paraît
être assez fréquemment suivie de fistule vésico-v
mble redouter au point de préférer la taille hypo-gastrique , ne nous
paraît
pas établie sur un assez grand nombre de faits, p
e proportion, qui est beaucoup moins satisfaisante que la précédente,
paraît
tenir à l'incision périnéale qu'il ajoutait. M. S
ts sur g opérés. Que croyez-vous donc, dira-t-on ? je crois ce qui me
paraît
raison-nable. Je prends la moyenne entre les asse
out temps, leur na-ture n'était pas bien reconnue avant Levret. Bueff
paraît
être le premier qui en ait parlé dans son traité
cilement la convexité de la sonde, et si les tissus intermédiaires ne
paraissent
pas présenter plus d'épaisseur que les parois rec
lques gaz ; mais suivant les témoignages de MM. Rampon et Velpeau, il
paraît
cependant que la fistule aur aitpersisté chez plu
lui de M. Colombat. Celui de madame Roivin, un des premiers qui ait
paru
, se compose de deux demi-cylindres dont les bords
um porte une branche à glis-sement destinée au même usage. Mais il ne
paraît
pas que ces in-strumens soient susceptibles d'êtr
re, qu'on est souvent obligé de recommencer plusieurs fois, ne nous
paraît
pas exempte de danger, et nous préférons suivre l
e, que l'on guide sur le doigt indicateur ou sur le petit doigt, nous
paraît
encore ce qu'il y a de mieux, dans le cas de fist
ec des succès variés. Dans la plupart des cas cités qui, au reste, ne
paraissent
pas tous authen-tiques, on voit qu'elle n'a pu su
-rences. Ce procédé, mis en usage une seule fois, a échoué. Il nous
paraît
mériter devoir être essayé de nouveau. Dans le ca
enfoncée dans l'un des bords avivés du vagin, jusqu'à ce que le chas
parût
entre les lèvres de la plaie ; l'anse fut dégagée
crétions calcaires, le temps pendant lequel la ci-catrice a existé ne
paraît
pas assez long pour qu'on puisse se prononcer pou
parle rétrécissement de la vulve. 1" Cautérisation. M. R. Gérardin
paraît
être le premier qui en ait exprimé l'idée dans de
ur. Les malades, que M. Bérard a opérées de cette manière ont d'abord
paru
guéries, mais bientôt il y a eu rechute. Procéd
lève les sutures. Chez deux malades opérées de la sorte, la maladie a
paru
guérir d'abord, mais a récidivé après un à trois
re-ce tiré aucun fruit non plus ( Méd. opérât., t. iv, p. 366 ). » Il
paraît
aussi que la guérison ne s'est pas maintenue chez
éro - postérieur du bassin. Historique, Cette espèce de déplacement
paraît
avoir été connue, d'Hippocrate, ainsi que l'indiq
s tard, en sorte qu'on peut les enlever avec succès, lor. même qu'ils
paraissent
arrivés à un état de complète dégénères cence.
s, puis par Moschion, chez les Arabes. Mais parmi les modernes, il ne
paraît
pas que, avant Levret, elle eût jamais été appliq
t possède, beaucoup de chirurgiens hésitent encore à la pratiquer, il
paraît
néanmoins qu'elle aurait été l'une des plus ancie
é de l'utérus. Mais, loin que son exemple soit suivi, cette opération
paraît
abandonnée des chirurgiens du dernier siècle, tou
es sciences en i83/i, résume, en cinq propositions, les cas où il lui
paraît
convenable d'opérer : i° lorsque le cancer est bi
les tractions nécessaires pour le faire saillir dans le sens qui lui
paraît
con-venable. SECTION DU COL DE LA MATRICE SANS
centre de la matrice. Le spéculum n'a pas une grande utilité. Il nous
paraît
même qu'il est souvent plus gênant qu'utile, et q
(pl. 74, f. 2). Quant au procédé à suivre, celui de M. Lisfranc nous
paraît
mériter la préférence dans la ma-jorité des cas.
. Le pro-cédé fondé sur l'emploi de l'instrument de M. Colombat, nous
paraîtrait
plus facile à pratiquer que les autres, si ce n'é
spéculum et cautériser ou tamponner. D'après M. Pauly , l'hémorrhagie
paraît
être un des accidens les plus redoutables de l'op
ites du vagin ; enfin , que le plus grand nombre de personnes opérées
paraissent
d'abord vou-loir très bien se rétablir, et ne suc
éreuse, et la communication de sa cavité interne avec l'air extérieur
paraît
avoir une influence notable sur les phlegmasies c
ont soutenu la possibilité de l'exécuter avec avantage. Toutefois, il
paraît
que personne n'avait osé l'entreprendre avant 180
quer l'opération en deux temps; mais sa ma-nière de faire n'ayant pas
paru
convenable, on proposa de faire une très petite i
te consolida-tion se fait mal, ou même ne se fait pas; après tout, il
paraît
qu'elle n'est pas indispensable pour que les femm
-utérines. Quoique cette opération ne porte pas sur l'utérus, il nous
paraît
que l'on doit la ranger au nombre des opérations
ique usuelle. Nous ferons à cet égard, pour chacun d'eux, ce qui nous
paraîtra
indispensable, mais nous n'irons pas au-delà. S
re qu'imparfaitement après avoir été redressé. Du reste tel strabisme
paraît
simple avant l'opération, qui cependant est doubl
erne, concave, étant plus court que son bord externe convexe; d'où il
paraît
que ses fibres internes con-couraient avec le mus
nstater le fait général et la théorie qui en résulte : que la myo-pie
paraît
souvent produite par rallongement du diamètre ant
l ou circulaire-ment en diagonale, et qu'elle peut guérir, à ce qu'il
paraît
, en faisant cesser la pression, ou, en d'autres t
mieux et, heureusement, les plus nombreux. La contracture musculaire
paraît
être caractérisée par la tendance de l'œil à rest
e, dû à la contracture spasmodi-« que de l'un des muscles droits, lui
paraissait
curable par la « section de ce muscle. Malgré mes
Guérin a signalé dans « ses conférences le procédé opératoire qui lui
paraissait
le plus « convenable. Il voulait appliquer à la s
m'avait accordée, en lui demandant « le motif d'une opération qui me
paraissait
parfaitement inutile, « pour ne pas dire dangereu
le bon et le mauvais qu'ilsvont semer partout. Quoi qu'il en soit, il
paraît
incontestable que quelque chose de l'opération du
on du strabisme, si vivement agité depuis deux ans en Europe, il nous
paraît
résulter incontestablement les trois propositions
ption inutile qui sépare les deux temps. Une autre objection qui nous
paraît
plus grave, est de n'employer aucun moyen pour at
e la piqûre. Tel est celui des deux procédés de M. Guérin auquel il
paraît
se tenir définitivement et qui constitue particul
traces; mais d'un autre côté, ce mode opératoire comparé aux autres a
paru
complexe et difficile. Il exige des instrumens pa
roduction .Un autre reproche que l'on a fait à ce procédé et qui nous
paraît
bien plus fondé, c'est le tiraillement excessif q
ssent encore beaucoup à désirer, du moins, comme résultat général, il
paraît
bien que la myotomie du strabisme doit être admis
ent infirmer. Au reste, pourvu que l'opération soit bien faite, il ne
paraît
pas qu'entre des pro-cédés si peu différens, le c
rticulier de l'un d'entre eux ait une grande importance, puisque tous
paraissent
également réussir dans une même proportion. Parmi
un signe d'inflammation. C'est cette dernière circonstance qui nous
paraît
extraordinaire et sur laquelle nous craignons que
frottement de l'œil en sens opposé par des compresses graduées, nous
paraît
donc bien préférable. 8° Strabisme inverse cons
blique amène le redressement complet de l'œil. Ici les trois sections
paraissent
avoir été nécessaires; mais dans ce cas, connue d
nus par M. Baudens. Delà comparaison des cas qui précèdent, il nous
paraît
res-sortir cette observation générale qui peut se
uelque brusque accès nerveux allait se déclarer. Cet état maladif m'a
paru
se rencontrer surtout dans les cas où l'opération
es manœuvres qui ont rapport aux sections nous étant déjà connues. Il
paraît
bien que c'est M. Phillips qui, dans sa lettre à
et sous-muqueux, et sans doute à d'autres muscles de la langue, comme
paraissent
lé prouver des observations récentes. Causes ac
e réapparition de la même doctrine, à de longs intervalles, elle a pu
paraître
nouvelle, comme l'illusion en dure encore dans le
avons plus que quelques mots à ajouter. Après Fabrice de Hilden, il
paraît
que l'opération continue à rester dans la pratiqu
de la lecture des trois derniers auteurs que nous venons de citer, il
paraît
résulter qu'au milieu du siècle dernier, l'opé-ra
es procédés anciens et qu'elle forme la base de ceux de nos jours qui
paraissent
devoir être conservés. Après avoir tracé l'histor
que, la section transversale de toute la mus-culature de la langue me
parut
une entreprise digne d'être tentée et aussi infai
La largeur de la plaie faite par l'entrée et la sortie du bistouri ne
parut
pas dépasser celle de l'instrument, ce qui proven
section de la langue n'a eu aucune influence sur le sens du goût, qui
paraît
cependant être moins subtil dans les premiers tem
où l'on avait pu croire que la langue était trop longue ; mais il ne
paraît
pas que cette étiologie ait subi l'épreuve des fa
si elle ne peut y arriver facilement, il enlève encore les fibres qui
paraissent
s'opposer à ce mouvement. Pendant quelque temps a
suffit, et le patient prononce avec assez de facilité. Si le résultat
paraît
satisfaisant, l'opérateur remet à quelques jours
é antérieure des glandes sublinguales , quoique cette circonstance ne
paraisse
avoir donné lieu à aucun accident. Mais ce qui es
fut appliqué, et, chose remarquable ! pendant cette opération le sang
paraissait
jaillir sur les côtés du cautère avec plus de vio
mens causés par une difficulté dans les mouvemens de la langue, lui a
paru
très marquée passé 3o ans. Les bègues qu'il a opé
pratique de ce dernier; mais l'opé-ration, comme il la pratique, nous
paraît
louable, et, par les résultats que nous en avons
s, de manière à en tracer des monographies iconologiques qui nous ont
paru
d'autant plus nécessaires que les livres spéciaux
rop étroit; ce'te opinion, soutenue par Glisson, Camper et Chaussier,
paraît
, à M. Bouvier, sans fon-dement dans certains cas.
s, les pieds sont dans une ex-tension complète quand ils commencent à
paraître
et, lorsqu'ils viennent à former un angle avec la
es dénominations vagues de premier, second, troi-sième degré, il nous
paraît
plus convenable d'en donner l'énu-mération d'aprè
d'amélioration possible. Quant à la ténotomie du pied-bot, il nous
paraît
inutile d'en-trer, à cet égard, dans des descript
vec violence pour obtenir un effet instantané. Michaëlis, en 1809-10,
paraît
être le premier qui ait fait la section de quelqu
; mais s'il n'en est pas survenu d'accidens très graves, du moins il
paraît
bien que le bénéfice de l'opération a été nul, po
au même degré; tantôt le premier l'est beaucoup plus que l'autre, et
paraît
seul soulevé et tendu. J'ai vu le contraire dans
se rendent au point de jonction en S, de deux courbu-res inverses, et
paraissent
être en même temps la corde de l'arc inférieur et
pourtant que nous avons vu , chez M. Guérin, des malades où il nous a
paru
qu'il y avait une rétraction bien manifeste des m
tions de ténotomie, dans ses nombreuses publications de i838 à 18/40,
paraît
con-tent du résultat obtenu, lorsque la guérisonn
idens les plus graves résultant de l'inflammation, dont la venue leur
paraissait
inévitable, mais on n'avait pas supposé qu'une se
in et enlever ses débris et ceux de sa capsule. Lekystotriteur nous
paraît
très incommode à l'usage, la main qui le l'ait ag
recoupée, en avant une suture en-tortillée, de part en part, qui nous
paraît
nécessaire pour combattre la rétraction déterminé
maintînt oblitéré avec le pouce. La sortie des viscères de l'abdomen
paraît
avoir lieu entre les vaisseaux épigastriques et l
A. Cooper. — 19, 21. A trois branches (le n" 21, qui est courbe, nous
paraît
le meilleur et le plus efFicace). — 18. De M. Cha
t laissa retomber successivement le bras qui tenait le poignard, sans
paraître
avoir la conscience de ces mouvements et comme mu
vaut encore pour nos actrices se risquer sans maîtres, dussent-elles
paraître
invraisemblables. En somme, les Cheveux de nui fe
tôt, la clarté, de plus en plus, illumine la terre et enfin le soleil
paraît
avec éclat. Si cet astre brillant paraissait tout
la terre et enfin le soleil paraît avec éclat. Si cet astre brillant
paraissait
tout à coup avec la force qu’il a dans le milieu
par la nature matérielle, se répète dans la spiritualité. L’aurore a
paru
sur la terre, et Dieu s’est servi de moi pour com
rou recouvert de papier, le décolle et se précipite dans la cheminée,
paraissait
doué d’une certaine intelligence. On en peut di
me numéro de son journal avec un autre magnétiseur, M. Allix, ne nous
paraît
donc pas d un bien bon goût, et nous eussions pré
Cependant nous hésitions à ajouter foi à cet événement, tant il nous
paraissait
extraordinaire. J’avais entendu parler de faits
point de vue qui semblera puéril à beaucoup de gens, bien qu’il nous
paraisse
grave. M. du Potet, en effet, est avant tout ce q
le mouvement très-précipité du langage alphabétique : — La tète me
paraît
étrange dans ses dissemblances harmoniques. La pr
stion : les jours te semblent-ils pareils, quand en toutes choses ils
paraissent
semblables? Béponds ! La science et l’esprit se s
ériter toujours une courtoisie telle, que l’attente qu’il impose doit
paraître
aimable. L’esprit attendra le jour et l’heure de
ache si elle pioduira l’effet voulu : car enfin, si bizarre qu’elle
paraisse
, si elle guérit, elle a atteint le but; le malad
et, ma foi, notre sièqe est fait. y Les somnambules ont, à ce qu’il
paraît
, un tort bien grave, c est de ne s’assujettir dan
avons inséré dans notre dernier numéro la relation de phénomènes qui
paraissent
contradictoires ou opposés au spiritualisme, que
mouvements étaient généralement connexes, en Amérique les deux ordres
paraissent
se diviser d’une façon plus tranchée : ici l’on a
se, la constatation en est fort peu régulière, et surtout leur portée
paraît
souvent d’une puérilité extrême. Quant aux comm
souvent d’une puérilité extrême. Quant aux communications, elles ne
paraissent
pas dépasser la limite des forces intellectuelles
nt elles restent au-dessous de la médiocrité. Seulement leur ensemble
paraît
avoir une tendance assez remarquable. En Amériq
ion du phénomène , et cela se conçoit. L’enthousiasme et l’exaltation
paraissent
être les conditions nécessaires pour qu’ils prenn
indre que son ignorance et sa niaiserie. Nous avons vu un journal qui
paraissait
à toutes les nouvelles lunes, dont le rédacteur a
z maître. Nous avons beaucoup insisté sur ce point parce qu’il nous
paraît
capital, et que nous ne saurions trop mettre en g
même quand il s’agirait de détails et de circonstances qui pourraient
paraître
de peu de valeur. Puis, au fur et à mesure que
ils se produisent spontanément ou à la demande des assistants ; s’ils
paraissent
pour tous les observateurs partir du même point.
rieux a bien sa cause médiate ou immédiate dans le corps même d'où il
paraît
provenir. Nous avons indiqué un mode d’expérien
pourtant fixé des conditions assez sévères, et bien qu’elles ne nous
paraissent
pas probantes, beaucoup de spiritualistes n’en on
entier attend qu’il ait une opinion.» Ces réflexions judicieuses me
paraissent
renfermer en peu de mots la solution de la questi
urs que la science officielle reconnaisse le magnétisme ? La question
paraîtra
étrange à bien des gens, et si nous la résolvions
parlais tout à l’heure, M. E. P...., m’a raconté une anecdote qui me
paraît
bien faire ressortir cette distinction. Il avai
sse en allant du Midi vers le Nord, tandis que les facultés mystiques
paraissent
plus développées dans les climats extrêmes et moi
elle cacha si bien la clef qu'il fut impossible de la retrouver. Cela
paraît
d’autant plus extraordinaire, qu’on ne l’avait pa
-t-on la clef de l’armoire tout le jour suivant; M“* *** elle-même eu
parut
vivement contrariée ; elle dut se passer de plusi
détails curieux offerts par cette observation et les rapports qui ont
paru
exister entre les phénomènes de somnambulisme et
tinuation du travail de M. le Dr Clevers de Maldigny, qui n’aurait pu
paraître
que par trop minimes fractions ; ce travail repre
re Les résultats se dessinèrent en raison des idiosyncrasies. L'effet
parut
nul chez M. Alexandre, où domine l'activité sangu
était consommé. » par c- C"““L • -net*. dipuli cU ta Scint, «le.
Paru
, 18M-J'aurais pu pui*r de ce. r.il.l m. propre *,
ener ù la pathologie et nient tout le reste, c’est-à-dire tout ce qui
paraît
en dehors des lois constatées de la physique. La
ilité à personne. « Nous ne pensons pas que cette digression puisse
paraître
superflue; nous avions à nous prononcer sur le ca
vocations les plus agaçantes, auxquelles il résista obtinément. Alors
parurent
une autre femme et trois hommes qui furent bientô
a manifestation : les âmes ayant quitté nos conditions, et revenant y
paraître
semblables sous un organisme d’emprunt, doivent-e
e ses cures extraordinaires ; fort du témoignage de sa conscience, il
paraît
avoir prédit son acquittement. Avant de broder su
sser en Lombardie. Les débats ont entièrement roulé sur des faits qui
paraissaient
surnaturels, en sorte que l’avocat Borio, l'un de
roient à l’immortalité. les phénomènes que je viens d’exposer doivent
paraître
conformes à la nature des choses. Je terminerai c
ations sont en tout conformes à celles du prophète suédois (1). Elles
paraîtront
bizarres à ceux dont elles contrarieront les conv
e seul l’infini ! Pour nous, créatures visiteuses de la terre, ce qui
paraît
indubitable jusqu’ici, c’est uniquement la perspe
fait pass;r à sa famille le gué de Jaboc, y fut demeuré seul : « Il
parut
en même temps un homme qui lutta contre lui jusqu
. « Et il lui dit: Laissez- moi aller, car l’aurore commence déjà à
paraître
. Jacob lui répondit : Je ne vous laisserai point
de courriers partis du champ de bataille mémo. o Un fait Identique
paraît
se produire en ce moment. « I.es lettres de Cal
is que nous avions pris la direction effective du journal les numéros
paraissent
dans leur ordre, et que déjà nous avions regagné
q années, d’une maladie aussi singulière que cruelle, et qui pourra
paraître
bien invraisemblable, quoiqu’elle ne soit pas san
’un souille extrêmement léger, presque imperceptible. « Mais ce qui
paraîtra
le plus extraordinaire, et ce fait rencontrera pl
embonpoint remarquable : sa figure est pleine, fraîche et rose ; elle
paraît
jouir d’une excellente santé, et elle avoue ne re
ait bien et dûment atteinte de tumeur cancéreuse intestinale. Mais il
paraît
que ces médecins, qu’on nous dit tn's-éelairés, n
de cette urbe inclyte. Ici nous avons la thériaque qui, à ce qu’il
paraît
, est une espèce d’opiat fort compliqué dans le ge
assister à quelque séance magnétique, qu’il retienne le tour qui lui
paraîtra
le plus surprenant, et que, rentré chez lui, il c
aux envois qu’ils veulent bien nous faire. Il Mesmerisla, qui nous
paraît
être la continuation, sous un autre format, du Ma
ce universelle. E. de MALHERBE. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay).
Paru
. — Imprimerie de Powumi cl Moumg, 17, qnoi des Au
it parfois sous des formes étranges, merveilleuses, insolites, et qui
paraît
appelé à modifier profondément les opinions relig
ffluves magnétiques, la gaieté et la bienveillance sympathiques qu’il
paraît
avoir reçues de la nation bénie qui le féconde.
madame F.... entendit à son oreille une voix très-distincte qui lui
parut
parfaitement naturelle, et qui lui dit : * Tu la
au plancher et ramené à son siège. Et, pendant tout ce temps, il nous
parut
ne remuer aucun de ses muscles. 11 nous fut impos
e. Nous entendîmes des coups très-forts dans cette table, et d’autres
paraissaient
venir des différents côtés de la chambre. Moi et
me sera permis d’assister que d’esprit et de cœur. « Si je n’ai pas
paru
à vos séances, cher maître, je ne me suis pas fai
ame au nom de ces messieurs, je ne fais que dégager ma parole. « Il
paraît
que — comme les livres — les lettres et les médai
able, le médium, un jeune homme, tombe spontanément flans un état qui
paraît
être le somnambulisme très-lucide, et que c’est a
lucide, et que c’est alors qu’ont lieu les phénomènes en question. Il
paraît
que la lucidité de ce médium est bien grande. A l
ue cette malade a eu des visions dont elle me parla souvent, mais qui
paraissaient
ressembler à des songes. Mais il y a six ans, éta
u personnage qui a la parole. Voici quelques-uns de ceux qui nous ont
paru
les plus piquants : VARIÉTÉS. LE MAGNÉTISME
ut avec une orthographe à faire frémir une plume d’auberge. Le crayon
paraissait
enfin, accomplir sa tache avec assez de mauvaise
trop précieuse; puis, comme s’il se lut aperçu que sa sortie pouvait
paraître
quelque peu inconvenante, il crut la réparer en a
’un de* assistants. Ln instant aprèS, et ne trouvant pas suffisant,
paraît
-il, le enipérament donné à sa brusquerie première
pour obtenir des guérisons qui semblaient être miraculeuses et qui le
paraîtraient
encore aujourd’hui si nous ne connaissions celles
vous proposez de donner au Journal du Magnétisme? Puis, comme vous
paraissez
accepter avec une certaine préférence l’opinion d
élations sur les Ames des morts et les apparitions d’esprits, ne vous
paraissent
-elles pas écrites d’hier tant elles sont applicab
nt, se faisaient entendre en divers endroits de la chambre. «Redman
paraissait
effrayé, et il craignait quelque mauvais tour lor
e je l’avais arrangée, de même que ses mains et ses pieds ; le médium
parut
sortir d’une sorte de sommeil dès que je l’eus to
, avec une décoloration complète de la peau, les règles n’avaient pas
paru
depuis plus d’un an , le docteur Leger prescrivit
er les restrictions logiques quand bien môme, énoncées, elles peuvent
paraître
par trop évidentes. Ainsi nous n’avons pas la p
exercer sur eux une action par influence mentale. Celle conclusion
paraît
théoriquement probable. Mais du moins, eu ce qui
te eu lui que l’appétit, et qu’il déchire sa rate à belles dents sans
paraître
percevoir d’autre sensation que la satisfaction g
satisfaction par les admirateurs et les adeptes de la dame D..., qui
paraissent
professer pour elle un véritable enthousiasme. Dé
s , la chose a été accueillie par eux avec faveur, et l’auteur leur a
paru
digne du prix. Applaudissons à leur sentence : qu
de faits où intervient la liberté humaine et dont la prévision ne me
paraît
pas incompatible avec le libre arbitre. 1“ Souven
sque-là été tremblante et glacée, se réchauffa sensiblement : le sang
parut
revenir en bouillonnant dans les veines de la jam
t longuement causer l’ancien malade sur tout ce qui s’était passé, et
parurent
extrêmement intéressés par son récit et surtout p
vais vu dans mon rêve, et la « montre était auprès. » « Ce récit me
parut
contenir tous les éléments d’une lucidité détermi
vent réussi : la plupart des magnétiseurs les ont faites. Mais il m’a
paru
utile de montrer un échec, afin de garantir contr
e mon somnambule. Cette transition involontaire d’idées anciennes m’a
paru
un fait assez remarquable pour mériter d’être not
ceptionnelles , ce qui distingue en propre la méthode américaine (qui
paraît
appartenir à M. Buchanau), c’est l’emploi de la p
Il lui arriva plusieurs fois d’écrire en se servant de caractères qui
parurent
n’appartenir à aucun alphabet connu, mais qu’elle
e trouvent rapportés certains faits de lucidité som-nambulique qui me
paraissent
de nature à intéresser nos lecteurs, et dont je c
personne étrangère. « Maintenant ce phénomène de vision, qui pourra
paraître
extraordinaire à quiconque n’a pas étudié le somn
: on verra avec étonnement que la tête disparaît et d’autres figures
paraissent
. Si on désire voir un des siens, même des personn
iens, même des personnes qui sont mortes, les images de ces personnes
paraîtront
sur la demande de l’opérateur : il est bien enten
est dans le rapprochement des dates. La première édition du Manuel a
paru
en 1848, et la publication en est môme plus ancie
te précisément ce fruit défendu dont la possession serait, à ce qu’il
paraît
, un don funeste? Quand le magnétiseur parvient à
dans laquelle on remarque cette phrase : « Lorsque Mesmer venait à
paraître
, tenant en main la baguette magique dont tous av
oit ainsi tourmentée 1 II est vrai que parmi les hommes qui ont voulu
paraître
servir le magnétisme, un trop grand nombre a semé
re les désirs qui leur sont exprimés, tout autant que ces désirs leur
paraissent
justes et convenables, et notamment de se déplace
dant le sommeil magnétique. Ce docteur Simpson, qui est, à ce qu’il
paraît
, un des éditeurs du journal des Sciences d’Édimbo
rt, comme si un obstacle insurmontable lui coupait la parole,.et elle
parut
incapable d’articuler aucun mot. Le lendemain, à
s en vertu de lois immuables. Avec ce commentaire, le mot voyant nous
paraît
admissible. Maintenant, quels sont les faits qu
rofondément minée dans ce pays qu’on ne le suppose généralement. Elle
paraît
encore presque intacte ii la surface ; mais, à la
cle, aux côtés et aux bouts de la taille. Lorsque ces organisations
parurent
à cette séparation des •Utiles, elles semblaient
s une position horizontale, et l'extension en était telle que ce qui1
paraissait
de la jambe était presque en ligne droite avec le
nétique, avez-vous été à même déjà de le constater ; pour moi, il m'a
paru
digne d’«bservation. « 11 y a eu deux ans au mo
Ce Paramelle des esprits frappeurs ne se prodigue pas , il n’a encore
paru
que dans trois ou quatre maisons, dont le mobilie
de solides arguments. Il est tellement pénétré de son sujet, qu’il ne
paraît
pas même s’inquiéter si ses assertions devront êt
Elle est de la (aille de M™ 11. — C’était à peu près cela. — Elle me
paraît
âgée de quarante-cinq ans. — Elle les avait quand
on à elle avec les matériaux qu’elle trouve en nous. Tout cela nous
paraîtra
'bien bizarre, bien incroyable j mais après vérif
louie soudain par une vive clarté ; l’église, qu’elle apercevait, lui
parut
illuminée : Jeanne, tombant à genoux avec recueil
a dernière ressource, crut devoir profiter du courage d’une fille qui
paraissait
avoir l'enthousiasme d’une inspirée et la valeur
on sexe, séduisant les princes et les peuples , etc., etc. » Jeanne
parut
sur le bûcher le 30 mai avec la même fermeté que
it eu aussi pour effet immédiat de la faire sortir du sommeil où elle
paraissait
plohgée. Ne sont-ce pas là des preuves certaines
fois avant de l’adopter. Dans les diverses publications qui ont déjà
paru
sur le phénomène des tables parlantes, elle a été
Galilée. Les découvertes de ce grand homme importunaient 1*Eglise et
paraissaient
inconciliables avec l’orthodoxie ; aussi on les a
nnes prises au hasard, on en compose une troisième des sujets qui ont
paru
les plus remarquables, dont on développe davantag
périence fut en tout identique à la précédente. Au second essai, il
parut
ii M. Sicmelink qu'on avait essayé d’ouvrir les y
mais pas excessif ; le vaisseau n’a pas encore passé la ligne ; il me
paraît
qu'à présent il est à 10 degrés de latitude septe
re de l’étudiant magnétiseur. La petite brochure qu’il vient de faire
paraître
est destinée à donner les notions les plu» élémen
Nous ne pourrions répondre dr une manière complète à tout ce qui nous
paraît
contestable, sans faire un travail plus étendu qu
anctuaire de la conscience d’autrui (page 36). 'Cette solution nous
paraît
beaucoup trop radicale. Il importe avant tout de
nos forces. Parmi les objets de recherche énumérés, il y en a qui ne
paraissent
pas avoir été atteints, d’autres qui l’ont été ce
ectement à M. lo baron du Potet. (Affranchir.) Un nouveau programme
paraîtra
dans le premier numéro de janvier 1857 ; Il Indiq
ns de l'intoxication saturnine. C'était en 1862; à celte époque, il
paraît
avoir éprouvé une première attaque de coliques.
aperçoit que tout tourne autour de lui. Les objets environnants lui
paraissent
rouges verts, et il voit passer devant ses yeux
etin médical de 1888. , Dans un récent et très intéressant mémoire,
paru
dans la Revue de médecine (1889-1890), Lemoine
e tiqueuse. C'est là une maladie de description récente, dont il me
paraît
intéressant de relever et d'analyser un,nouvel
e de leur histoire, en lisant les articles de Letulle et de Guinon,
parus
en 1885 et 1887 dans les deux Dictionnaires. Ma
s sont sclérosées. La névroglie, de même que le tissu conjonclif,
paraissent
épaissis. Les cellules des cornes antérieures p
par le carmin ammoniacal et le violet de gentiane aniliné, on fait
paraître
ces éléments à REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
nt, la substance blanche change de couleur, s'émiette, les contours
paraissent
cre- vassés. rongés, infiltrés de boulettes ou
tal Science, avril 1888.) L'auteur conclut : 1° que des actions qui
paraissent
être le résultat d'une grande intelligence peuv
agereausuicideehex les imbéciles se pré- sente avec des allures qui
paraissent
caractéristiques, et à ce point de vue, l'auteu
e découverte peu après la Pentecôte. Le soir, ses articulations lui
parurent
si raides qu'il lui fut difficile de retourner
la bio ? 1 osso -pliat-y iizée, et d'en autopsier trois, il nous a
paru
utile d'en faire une communication. Ils appar-
ui a fait ses preuves; des experts dont l'o- pinion aune valeur.-Il
paraîtrait
que cela ne suffit pas et que le besoin d'une n
âteaux à l'étalage d'un pâtissier. Celui-ci porta plainle; l'enfant
parut
au tribunal correctionnel accompagné de son pèr
u sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial postérieur nous
paraît
, si nous en jugeons par le nombre des cas publi
érence du mol- let). Le pied est inerte et complètement tombant. Il
paraît
y avoir un certain degré de rétraction des musc
st due, si l'on veut bien admettre les conclusions de l'auteur, qui
paraissent
parfaitement conformes à la vérité, non plus à
erritoires normaux, telles que celles que nous -avons données, nous
paraissent
par- faitement suffisantes pour conclure à la l
la région antéro-externe surtout, mais aussi les muscles du mollet,
paraissent
amaigris notablement. Le pied est tombant; et l
, nous croyons que l'on peut tirer quelques conclusions qu'ils nous
paraissent
légitimer de tous points : 1° Il existe une c
CS ET TREMBLEMENT. 195 notre cas. Bien au contraire, la trépidation
paraît
dans l'espèce, s'exagérer quelque peu sous l'in
s ou moins étendus, de sclérose périvasculaire. Ces lésions ne me
paraissent
pas aussi banales qu'à De- mange. Je verrais vo
j'ai relevé trois cas où le rapport du tremblement avec l'hystérie
paraît
absolu- ment incontestable. On peut dire, par c
a azotés et phosphatiques. Dans la paralysie agitante, les choses
paraissent
aussi se' 206 ' CLINIQUE NERVEUSE.' r. passer
pratique. i> Le même auteur apprécie les travaux, simultanément
parus
, d edeux grands neuro-pathologistes contemporai
cas, on a signalé des troubles paralytiques fugaces qui ont dis-
paru
dès que les conditions hygiéniques ont été modi
it est rare. Des sensations d'engourdissement et de fourmillement
paraissent
toujours précéder le retour de la motilité. Tro
es symptômes de paralysie ascendante aiguë. Le cerveau et la moelle
paraissaient
intacts (l'examen histologique ne fut pas fait)
eux. Remar- quons, d'ailleurs, à ce sujet, que l'oxyde de carbone
paraît
se comporter comme le plomb : jamais Gom- baut
ait à une paralysie des exten- seurs, cette origine périphérique ne
paraît
pas pou- voir être mise en doute. Les tubes ner
ce : guérison en un mois. Ici l'origine nerveuse des accidents nous
paraît
très probable. Il est certain que l'oxyde de ca
un coup d'épingle à cheveux; la pointe pénètre assez profondément,
paraît
-il, à la face dorsale de la main, au ni- veau d
uand du reste, à la suite d'une seule percussion, plusieurs muscles
paraissent
réagir, il ne s'agit pas le moins du monde de l
s sur la fréquence et l'étiologie de la paralysie générale, qui lui
paraît
augmenter de fréquence, bien que le nombre de s
facement des images sensorielles diverses, des images visuelles qui
paraissent
avoir tou- jours été prédominantes dans ce cas
er le malade, le premier ayant intérêt à s'en débarrasser dès qu'il
paraît
plus calme, et le second dès qu'il s'agite un p
uze fois par mois en moyenne diminuèrent de moitié en 1889 et elles
paraissent
encore devoir s'effacer en 1890. L'au- teur con
troubles caractéristiques de la parole, alors même que le délire
paraîtrait
celui de la paralysie générale vraie. ' M. COST
s de recensement ont eu trait à l'hérédité indirecte. Mais il ne me
paraît
pas heureux d'en appe- ler à la question de l'h
illé le germe. Chez deux paralytiques généraux, l'affection mentale
paraissait
avoir été produite par l'influenza ; il s'agiss
ou épileptiques atteints d'influenza. Cette maladie ne nous a point
paru
avoir d'action sur l'état mental ou sur les accès
fulie. Le banquet annuel n'a pas eu lieu. 1 Erratum. - La séance
parue
dans le n° 58, p. 111, avec la date du 28 avril
ion plus nette des différents procédés employés. -L'ordre adopté ne
paraît
pas toujours très logique. - Pourquoi décrire d
on des rédacteurs du Progrès Médical et des Archives de Neurologie.
Paraît
tous les ans. Douze volumes sont en vente (1878-
igou- reuses. C'est ainsi que la grande attaque d'hystérie, qui
paraissait
autrefois caractérisée par une succession de co
n stigmate hystérique. En pareil cas, le diagnostic d'hystérie peut
paraître
difficile à soutenir. Toutefois, si on se repor
iques ; à l'un appartiennent les troubles auxquels l'hystérie seule
paraît
capable de donner naissance ; ce sont en quelqu
Quoi qu'il en soit de ces hypothèses la distinction pré- cédente me
paraît
justifiée jusqu'à nouvel ordre. Nous venons de
ois après, d'un spasme du cou; or il s'agit là de deux états qui ne
paraissent
pas avoir de con- nexions intimes. Aussi l'argu
ument précédent nous DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 31 S
paraît
-il surtout démonstratif, lorsque les deux phéno-
btient souvent une repro- 316 CLINIQUE NERVEUSE. duction qui peut
paraître
parfaite à un observateur peu attentif. Mais il
à se faire une opinion motivée. Les considérations précédentes ne
paraîtront
pas déplacées, je le suppose, ni étrangères au
çons de mardi, 1887, 1888, p. 101. 3 Un résumé de ce travail a déjà
paru
dans les Bulletins de la Société de Biologie, 1
ade peut percevoir à ce moment les objets environnants, mais ils ne
paraissent
pas en place; par exemple les arbres d'une aven
des équivalents morbides; or, comme le mutisme, par ses caractères,
paraît
manifestement de nature hystérique, il doit en
ne sont accompagnés de manifestations nerveuses dont la nature nous
paraît
incontestable ; les battements dans les tempes,
en partie à cause du rôle important que les excitations psychiques
paraissent
jouer dans l'apparition et la disparition des a
ès de migraine ophthalmique ; mais quelque satisfaisants qu'aient
paru
les résultats de ces expériences nous croyons n
à l'hystérie n'est pas déterminée d'une façon indiscutable. Il nous
paraît
très vraisemblable que la migraine relève de l'
- mique hystérique et en particulier du scotome scin- tillant, ne
paraît
pas présenter, d'après les observa- tions que n
et l'hémiopie une parenté étroite, et que, d'autre part, l'hémiopie
paraît
étrangère à l'hystérie. On sait en effet que da
nnaître aussi que, malgré l'opinion de quelques auteurs, l'hémiopie
paraît
indé- pendante de l'hystérie, puisque, comme no
nostic, si on s'en rapporte en particulier aux Observations 1 et II
paraîtrait
bénin. En ce qui con- cerne le traitement, comm
le siège est identique; l'OBSERVATION 1 dans laquelle la migraine
paraît
être comme un équivalent du mu- tisme plaide da
xpérimentale qui, seule, aux faits dont la solidarité anatomique me
paraît
aujourd'hui très nettement éta- 1 En raison du
urs les plus consciencieux se laissent entraîner à voir ce qui leur
paraît
devoir exister, au lieu de s'en tenir à ce qui
s, entre autres celle de l'arc direct C. b. et les rapports qu'il
paraît
avoir avec le nerf olfactif et son lobe. Lobes
e du moins. Les raisons embryogéniques et histologiques n'ont pas
paru
suffisantes pour en faire une « expansion du cer-
interne de l'espace perforé. En dehors de cette disposition qui m'a
paru
être la règle, je citerai celle dans laquelle l
i parlé plus haut. . Quant à la circonvolution externe, quoiqu'elle
paraisse
se continuer quelquefois très loin, elle ne dép
cessus morbide; 2° cas négatifs où la perceptibilité différentielle
paraît
ne pas être at- teinte par la maladie. Bien ent
même divergence se constate aussi dans l'oeil malade. Ce fait nous
paraît
être d'une im- portance capitale pour la psycho
on périphérique et la perceptibilité différentielle. Ce fait nous
paraît
important au point de vue diagnostique. La mani
ait bien plus rapidement que celle pour le noir et le blanc. Aubert
paraît
être arrivé au même résul- tat pour le centre d
Le milieu dans lequel elle a vécu depuis cette époque, nous ayant
paru
de nature à influencer l'état mental de la malade
uelle sont assez difficiles à préciser, mais quoiqu'il en soit, ils
paraissent
intimement liés au dernier accouchement de la m
les poignets, dans les jambes et dans les pieds. Mais ces douleurs
paraissent
avoir augmenté car elle disait dans son délire
soirs : ne me quitte pas, tu vas coucher avec moi. » Le soir, elle
paraissait
éprouver des terreurs et, quoique l'on allu- mâ
orce de crier sa voix était devenue toute éteinte. Cette excitation
parut
se calmer un mois environ avant l'entrée. Elle
tellectuelles de notre malade, et parti- culièrement la mémoire, ne
paraissaient
pas se rétablir, et que d'un autre côté elle ne
nt perdus à gauche, très obtus à droite. Les sensibilités spéciales
paraissent
conservées. Le champ visuel n'est pas rétréci e
dit à propos de la marche en est du reste la confirmation. Elle ne
paraît
pas d'une intelli- gence élevée, et, au premier
n résumé, le délire est peu accentué chez cette malade et les idées
paraissent
même un peu incohérentes. C'est la raison de ce
encore à l'appui de cette opinion. Quant aux accidents actuels, ils
paraissent
nettement s'être développés à l'occasion de l'a
n effet qu'une notion très inexacte du temps. Le temps actuel lui
paraît
long, et cela, non pas parce qu'il est rempli par
llement sont les images visuelles, ce sont à celles-là qu'il nous a
paru
bon de s'adresser tout d'abord, en lui recomman
en l'épelant. Les images visuelles, qui sont les moins atteintes et
paraissent
toujours d'ailleurs avoir été prédomi- nantes,
uérison, etc. Pour assurer la reviviscence des souvenirs, il nous a
paru
souvent préférable de nous adresser en même tem
différence observée par Steiner était que les poissons sans cerveau
paraissaient
plus impulsifs et moins prudents que ceux qui n'a
e activité variable sous les mêmes causes apparentes extérieures)
paraît
annihilée. Son expérience passée est envolée; et
l'abondance. Cepen- dant les expériences plus récentes de Schræder1
paraissent
démon- trer que l'ablation des hémisphères ne p
particulier par Longet et Vul- pian.. Longet trouva que les animaux
paraissaient
voir assez pour suivre les mouvements d'une fla
tiré près d'eux; et, d'après leurs mouvements et leurs gestes, ils
paraissaient
ressentir les im- pressions faites sur les nerf
nt ils évi- taient les obstacles sur leur route dans leur vol, mais
paraissaient
capables de voler d'une place à une antre en to
iture quand on la plaçait au coin habituel de sa cage, cependant il
paraissait
ne pas pouvoir la trouver quand on la changeait
et ne montrait aucune crainte à aucune sorte de menaces. Quoiqu'il
paraissait
complètement .aveugle, cependant des expérience
hloroforme, et il aurait mangé une pièce de bois comme un os. Il ne
paraissait
pas être influencé par le voisinage d'un autre
. f. Nervenheilh. 1888.) Résumé du travail de l'auteur américain,
paru
dans l'American Jonrnal of medic. Sciences, 188
la maladie se ralentit Ceci prouve que, si périphérique qu'elle le
paraît
, la névrite multi- loculaire retentit simultané
iote. Depuis trois jours on ne les avait pas vus. Cette disparition
parut
étrange aux voisins; on voulut savoir ce qu'ils
s d'aliénés de l'Amérique. Depuis la publication de cet ouvrage, il
paraîtrait
que rien n'a eté changé dans le système de trai
ine de l'établissement où il est employé. Il ne se rappelle rien et
paraît
très surpris de l'acte insensé qu'il a commis.
on des rédacteurs du Progrès Médical et des Archives de Neurologie.
Paraît
tous les ans. Douze volumes sont en vente (1878-
t surtout la laïcisation. Celle seconde partie de notre réponse a
paru
dans le 7 mai (Ibid., p. 37t ! ). XLII ASSISTAN
mes de leurs impru- dentes taquineries. » Toutes ces raisons nous
paraissent
démontrer d'une façon irré- futable, la nécessi
e, -I8SS7. 1 2 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. lésion encéphalique qui
paraît
à peu près constante déjà macroscopiquement.
SIVE. 5 ments de manège, soit des mouvements irréguliers. Il nous
paraît
intéressant de rapprocher de ces cas ce que nou
emples de musculation in- volontaire ou de spasmes coordonnés, nous
paraissent
se rapporter plutôt à la paralysie agitante qu'
u traitement, le malade fut parfaitement guéri. Cette observation
paraît
plutôt appartenir à un cas de chorée; seuls la
ué, depuis le 21 février jusqu'au 20 mars, à doses ascendantes ; il
parut
un exanthème miliaire et des furoncles au bras
suivit. Cette observation, qui se rapproche delà précédente, nous
paraît
concerner un cas de chorée avec accidents procu
ursifs concomitants. Nous l'aurions même écartée s'il ne nous avait
paru
intéressant de la mettre en regard de celle d'l
r Roth dans son chapitre sur la Musculation irrésistible, ne nous
paraissent
pas se rapporter à l'épilepsie procursive et no
s ne retiendrons, pour l'instant que, les phénomènes procursifs qui
paraissent
avoir été occasionnés par ) ? o ? 7 ? e ? 'o/Me
nte-sept et à gauche quarante- cinq. Les facultés intellectuelles
paraissent
assez bien conservées ; Grand... est très peure
rêté, ce qui a lieu DE l'épilepsie procursive. 33 brusquement, il
paraît
étonné, se remet de suite et continue ce qu'il
ate de pilocarpine. 4 Cette première partie de l'observation a déjà
paru
sous le titre d'É- pilepsie procursive dans la
ch... porte une cou- damnation. J'ai chargé votre employé, qui ne
paraissait
pas se rendre un compte exact de la gravité des
nnent presque aussitôt à leur état normal. Cette variété d'accès,
paraît
-il, se rapproche de l'accès ordinaire : cette r
à partir de DE l'épilepsie PROCURSI'E. 57 1878 ; cette déchéance
paraît
être due exclusivement à l'accroissement progre
cte; celui-ci s'est aperçu que l'enfant avait des absences, mais il
paraît
qu'alors, elles étaient peu fréquentes. A quato
ation ni de salacité. Alép... est peu caressant, très turbulent; il
paraissait
très intelligent jusqu'à trois ans.. On attribu
aît que longtemps après le début de l'épilepsie et chez lesquels il
paraît
être un accident isolé indépendant de l'accès.
ort avec leurs habitudes; tel est le cas de la malade de Herpin qui
paraissait
imiter un joueur de guitare, quoique n'ayant ja
nde circon- volution frontale. La troisième circonvolution frontale
paraît
assez bien dévc)oppée.La circonvolution frontal
euxième scissure et la deuxième circonvolution lempú1"o-occipitales
paraissent
assez bien con- formées, toutefois la partie mé
une anomalie. - Le corps calleux, le corps strié, la couche optique
paraissent
nor- maux. Il en est de môme du lobule de l'ins
ètre dubord interne du sourcil; de ce fait les arcades sourcillères
paraissent
proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas
conformés, le droit est un peu plus élevé que le gauche. Le malade
paraît
se masturber pendant l'examen ; il se frotte le
s de la base sont symétriques ; toutefois, la cérébrale postérieure
paraît
un peu plus volumineuse à droite. - Les tuber-
ure calcarone, le corps calleux, le corps strié, la couche optique,
paraissent
normaux. ,Hémisphère gauche. - La scissure de S
lons qui les découpent. Le lobe occipital, dont lés circonvolutions
paraissent
un peu grêles, est également très sillonné ; il
la cérébrale antérieure du même côté. - Le pédoncule cérébral droit
paraît
plus étroit que le gauche. La pyramide droite e
ongue et plus large d'un tiers que la gauche. Les nerfs cl'd- niens
paraissent
normaux. Cervelet, bulbe et protubérance, 150 g
quantité de liquide et sont dilatés. La moitié gauche de la moelle
paraît
atrophiée et le cordon latéral de ce côté est u
ns son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie postérieure,
paraissent
atrophiés. Hémisphère droit. - La scissure de S
ormales. On retrouve un certain nombre des gros blocs graisseux qui
paraissent
dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerv
t, examinées comparative- ment avec celles du côté gauche n'ont pas
paru
présenter de différence sensible. - Les coupes
hères cérébelleux étaient sensiblement égaux, toutefois le gauche
paraissait
un peu plus petit. C'est aussi lors de l'appari
llectuel de ces malades; tant qu'ils existent seuls, l'intelligence
paraît
, en effet, peu atteinte et la mémoire semble bi
- naire et par conséquent sont très variables. Le diagnostic nous
paraît
facile. Les accidents pro- cursifs, vertiges ou
ve. Disons de suite que la propriété de coordonner les mouvements
paraît
devoir être exclusivement réservée à son lobe m
stés inefficaces, seuls les accès consécutifs d'épilepsie classique
paraissent
justiciables d'un traitement amenant parfois un
adie nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnostic précis nous
paraît
offrir quelque dif- ficulté. Observation I. -
OUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 16î La vue est bonne. La vision monoculaire
paraît
un peu trouble pour l'oeil gauche ( ? ). Les pu
s, il reviendra comme il est parti. » Les soins matériels du voyage
paraissent
avoir été assez bien entendus, à part ce fait q
s nus. On constate alors que le talon gauche, qui avec les souliers
paraissait
quelque- fois toucher le sol, reste élevé et qu
s ou quatre mois, premières convulsions; jusque-là il était fort et
paraissait
bien venir. Les convulsions portaient sur les y
ts lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes cboréiformes ne
paraissent
aucunement modifiés. 16 février. - A la suite d
des mouvements dans les doigts, des grimaces de la face : la bouche
paraît
serrée, comme s'il y avait une contraction per-
s labiales s'abaissent, le menton se plisse, les yeux s'ouvrent. Il
paraît
qu'il en est ainsi chaque fois qu'il est contra
S D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. Les sens sont normaux. Lem...
paraît
connaître les couleurs, bien qu'il ne puisse pa
che progressivement ascendante du début à la mort. Les maladies qui
paraissent
se rapprocher le plus de l'athé- tose double, s
ctiformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques, ne
paraissent
pas se rencontrer dans l'athétose double. Les
ite plus ou moins rapidement; dans l'athétose double le tremblement
paraît
atteindre son maximum d'intensité et d'étendue
lic. Aucun des traités de pathologie, de neurologie, de psychiatrie
parus
, certes, en abon- dante quantité, daus ces dern
uelles sont celles qui sont prédo- minantes ? voilà ce qu'il nous a
paru
intéressant de re- chercher. Nos observations,
lie. C'est dans ce cas seulement que nous l'avons noté et il nous a
paru
beaucoup plus fréquent que chez les in- dividus
oins d'anomalies que les idiots simples. Leurs aptitudes génésiques
paraissent
20 Í CONCLUSIONS. être, malheureusement, moin
sien, et possède un petit onglo, déformé et écailleux, qui était,
paraît
-il, pour la malade une cause de douleur, par suit
épatico-duodénal, ou plutôt hépa- (1) Le grand et le petit épiploon
paraissent
parfois contribuer également à la formation de
nements sur la température, chez un pendu ramené à la vie, nous ont
paru
mériter d'être connus. DE LA DENTITION DES ID
première fois traitée dans deux mémoires anglais, celui de Ballard,
paru
en 1860 et celui de Langdon Down, paru en 1861.
s anglais, celui de Ballard, paru en 1860 et celui de Langdon Down,
paru
en 1861. - Mais c'est à M. Bourneville qu'on do
précis qui ait été écrit jusqu'à présent sur ce sujet, travail qui
parut
en 1862 et dans lequel l'auteur signala la plup
ux de folie de l'en- fance que nous avons observés, le suivant nous
paraît
mériter, à des titres divers, l'attention du le
A aucune époque il n'a eu de convulsions. Les premières dents ont
paru
à sept mois. - A4 ans 1/2, rougeole et coqueluc
auvais coup. Son père ré- pondit qu'on le lui renvoyât, mais, ayant
paru
mieux à ce moment, on le garda. Deux jours aprè
usations relativement à la mort de sa petite soeur. Celle-ci, qu'il
paraissait
aimer beaucoup, était morte quand il avait à pe
re était probable- ment d'accord avec sa mère. De temps en temps il
paraît
triste, se tient à l'écart des autres enfants,
tend-il qu'il ne dort pas, mais il n'aurait pas de visions. Il ne
paraît
pas avoir d'hallucinations de la vue ni de l'ouïe
. Dans une lettre à ses parents datée de la veille, il écrit : a Il
paraît
que j'ai de l'argent ici, mais je demande à l'a
Le médecin m'a ordonné des douches. On ne va pas en promenade. Il
paraît
que j'ai de l'argent ici, mais je demande à l'avo
il arrive, se laisse embrasser par elle mais l'embrasse à peine, et
paraît
peu touché de sa venue. Il n'a plus écrit de le
pas de mémoire comme autrefois et qu'il riait encore beaucoup. Il
paraît
moins sombre, moins sournois, et travaille bien.
ré, qui a pris possession du service des adultes le ter février. Il
paraît
que ses parents refusaient de le re- cevoir, et
par son patron. A la suite d'une accusation d'indélicatesse, qui ne
paraît
pas justi- BOURNEVILLE, 1887. 17 i 258 mélanc
la paralysie. Les faits cliniques que nous venons de relater nous
paraissent
suffisamment démonstratifs pour mettre en lumiè
mit de son émotion en prenant un petit verre d'eau-de-vie auquel il
paraissait
accoutumé. Il avait de ces accidents plus ou mo
le dirai plus loin, la douleur abdominale chez l'homme. Cela ne me
paraît
pas démontrer du tout que la douleur ne siège p
hez l'homme elle se fixe, dans les plexus de l'abdomen. Tout cela
paraît
assez simple. Ce sont des phénomènes qui se pro
des faits extraordinaires, de choses dites inex- plicables, qui ont
paru
si étranges qu'il a semblé sou- vent plus simpl
s dans le même ordre d'idées, j'ai vu quelques phénomènes qui m'ont
paru
24 pathologie NERVEUSE. avoir échappé à d'aut
ieuses. La raison principale de tous ces faits extraor- dinaires me
paraît
tout simplement que ces races sont plus faciles
lait le chloroforme. Ils acceptaient bien les opé- rations qui leur
paraissaient
devoir leur rendre service, mais à la condition
joue un rôle important. Les Aissaouas appartiennent à une secte qui
paraît
avoir réduitle principal de sesmanifestations r
sorte de cierge placé à côté du chef des musiciens. Cette flamme
paraît
jouer un rôle important dans le développement d
1, hystérie CHEZ L'HOMME. 31 Mais d'autres éléments de préparation
paraissent
en- core se joindre aux précédents. Des matière
ai vus quelquefois mani- fester de la douleur. C'est celui qui m'a
paru
en général le plus mal supporté et j'ai vu plus
s- cience. - Cette conservation de la conscience au premier abord
paraît
complète puisque ledanseur s'in- terrompt, choi
avant et en arrière. Mais le mouvement de circumduction de la tête
paraît
être le mouvement capital; ceux qui essaient de
au son. J'ai remarqué à plusieurs reprises une manoeuvre qui m'a
paru
être propre à ajouter à l'anesthésie. L'ac- teu
tance. La longue durée des mou- vements de la tête et de la musique
paraît
un élément important pour la perte de la sensib
t égard des renseigne- ments très complets. Le résultat obtenu me
paraît
assez simple à analy- ser. Après ces exercices
ue veine superficielle, car il se mit à saigner. Ces évé- nements
parurent
leur être désagréables; ils les dissi- mulèrent
elle mesure les scorpions avaient été rendus inoffensifs. Cela me
paraît
rentrer dans ce qui fait la part de l'acrobatie.
que nécessaire explique comment, la séance terminée, l'Ais- saoua
paraît
calme et comment, le lendemain, il peut être re
pas que l'on ait attiré l'attention sur ce point. Ce petit fait me
paraît
jeter un grand jour sur la physiologie patholog
e leurs exercices déterminent une certaine excitation génésique. II
paraît
certain qu'au cours de ces exercices il se prod
ntraînement religieux ne présente pas une grande intensité et qui
paraissent
agir ainsi pour le plaisir des sens. Si on cher
ts ceux des Ais- saouas. Les séances religieuses où le magnétisme
paraît
jouer un rôle important, se terminent par des c
a conquis déjà depuis bien longtemps. Ces préliminaires nous ont
paru
indispensables pour l'intelligence des faits qu
mouve- ments de manège, soit des mouvements irréguliers. Il nous
paraît
intéressant de rapprocher de ces cas ce que nou
emples de musculation in- volontaire ou de spasmes coordonnés, nous
paraissent
se rapporter plutôt à la paralysie agitante qu'
u traitement, le malade fut parfaitement guéri. Cette observation
paraît
plutôt appartenir à un cas de chorée; seuls la
ué, depuis le 21 février jusqu'au 20 mars, à doses ascendantes ; il
parut
un exanthème miliaire et des furoncles au bras
ensuivit. Cette observation qui se rapproche delà précédente nous
paraît
concerner un cas de chorée avec accidents procu
ursifs concomitants. Nous l'aurions même écartée s'il ne nous avait
paru
intéressant de la mettre en regard de celle d'I
r Roth dans son chapitre sur la musculation irrésistible, ne nous
paraissent
pas se rapporter à l'épilepsie procursive et no
ola, dans une lettre qu'il nous adressa il ce sujet le 28 mai 1882,
paraît
ignorer complètement la publication que fit son
s ne retiendrons, pour l'instant que, les phénomènes procursifs qui
paraissent
avoir été occasionnés par t'M ! on'a'e ? 'oe ?
n faisait mention dans ses leçons. La première élude sur ce sujet
paraît
cependant appartenir légitimement à Landry quipub
la pensée et tout dernièrement enfin dans une longue revue critique
parue
dans le journal Brait en avril 1887. Pour plus
s enjeu. D'après Wundt, « le siège des sensations de mouvement ne
paraît
pas être dans les muscles mais bien dans les cell
ellement sen- sitif. Lotze (Medicinische psychologie, 1852, p. 293)
paraît
avoir été le premier à soutenir que les sensati
roubles du langage produits par une lésion du lobule de l'insula ne
paraissent
pas différer de ceux qui résultent de la destru
ce cas, au contraire, les accidents sont survenus spontanément et
paraissent
devoir être attribués au froid, la malade travail
océder à cet examen mi- croscopique ; l'observation lui a cependant
paru
intéressante à rapporter, précisément à cause d
our ma part, je serais heureux d'applaudir sans réserve, si elle me
paraissait
actuellement réalisable, celle de grouper d'une
te raison qu'il n'aura pas à subir les mauvais traitements que l'on
paraît
redouter pour lui. Je sais bien qu'on fait une
endre que le procureur de la République, dans le cas où un fait lui
paraîtrait
délictueux ou coupable, pourrait demander l'app
ade, pourrait provoquer le placement d'office de ce malade s'il lui
paraissait
être dans des conditions où il ne re- cevrait p
r ces deux hypothèses profondément distinctes en elles-mêmes, on me
paraît
avoir eu tort de les rassembler dans un seul pa
eilde famille, le droit de provoquer lui-même cet internement. Il a
paru
à la commission que ce cas pouvait se présenter,
que cet article, tel qu'il a été rédigé par la commission, m'avait
paru
trop vague. J'en trouvais la preuve en ce que,
ou l'attribuer à quelque sortilège. Il me semble que tout cela me
paraît
bien invraisemblable et n'est pas de ma com- pé
singulièrement instructif. Voici des cas où le traumatisme initial
paraît
avoir eu une certaine importance. DES MONOPLÉ
dducteur du pouce droit. Comparé à son congénère du côté opposé, il
paraît
un peu aminci, moins épais, comme s'il avait su
description qui précède, car les faits parlent d'eux-mêmes. Il ne
paraît
pas douteux que chez Mlle V..., la para- lysie
connaissance d'un mémoire du professeur Adamkiewicz (de Cracovie),
paru
le 5 juin dernier dans le Wiener Medizinische P
compatible avec la paralysie hystérique, et d'ailleurs cette lésion
paraît
avoir été transitoire chez le malade d'Adamkiew
mois de traitement, et après que plusieurs fois l'amputation avait
paru
indispensable; un troisième avait été criblé de
marins, qui ont été dans les pays chauds. A cette influence, qui ne
paraît
pas douteuse, on peut com- parer, dans une cert
lus grand nombre de cas. Cette distinction bien éta- blie, il ne me
paraît
pas impossible cependant que la paralysie génér
faitement géré ses affaires, menait une vie très régu- lière, et
paraissait
jouir d'une excellente santé. A cette époque, i
er fréquemment dans les antécédents des paralytiques généraux, ne
paraissent
au contraire exercer qu'une influence très modé
bliées, et l'on a cherché à cette complicationune explication qui a
paru
toute naturelle : l'ataxie tenant à une scléros
s en haut. Je me suis déjà élevé contre cette théorie', qui ne me
paraît
justifiée en aucune façon. Cliniquement d'ail-
nd cependant, tous ces faits ne sont pas si dissemblables qu'ils le
paraissent
de prime abord, et en y regardant de près, il m
'ils le paraissent de prime abord, et en y regardant de près, il me
paraît
possible d'en tirer une donnée générale, de fai
sition à la paralysie générale. Or, à cet'égard uu premier point me
paraît
à noter : lorsque l'on étudie les paralytiques
paralysie générale depuis qu'elle est connue. Cette augmentation me
paraît
réelle, car, si les causes que j'ai examinées n
C'est ainsi que le nombre des surmenés augmentant fatalement, il me
paraît
que le nombre des paralyti- ques généraux doit
cte; celui-ci s'est aperçu que l'enfant avait des absences, mais il
paraît
qu'alors, elles étaient peu fréquentes. A quato
rs et épais ; les diffé- rentes parties de la calotte et de la base
paraissent
symétri- ques, le trou occipital est normal. Le
ation ni de salacité. Alép... est peu caressant, très turbulent; il
paraissait
très intelligent jusqu'à trois ans. On attribue
ait M. Gaillard, qu'un homme est atteint d'aliénation mentale, nous
paraîtrait
insuffisant et nous laisserait tout le diagnostic
négociant témoigne en effet, que de temps en temps 1 e banquier lui
parut
très agité, qu'il changeait constamment d'humeu
son de santé en accusant des malaises psychiques mal déterminés. Il
paraissait
vouloir qu'on le considérât comme aliéné. Mais
nt pas sont ramenés dans l'asile fermé. Ici aussi les expé- riences
paraissent
favorables quant à l'action des soins de famille
rvations publiées par M. Joffroy en 1869, la thèse de M. Gom- bault
parue
en 1877, enfin le remarquable travail inséré par
coïncidant avec des troubles cérébraux, car ceux-ci peuvent dis-
paraître
par le simple traitement de l'affection gastrique
t d'autres ont étudié la suggestion avec un soin tout spécial. Il a
paru
alors à ces mé- decins que les caractères somat
et est commandé par elle. La malade dont nous allons parler nous
paraît
pou- voir éclairer le débat. Son histoire nous
tisme; 3° enfin que la nature de ces caractères somatiques fixes,
paraît
, au moins dans les cas semblables au nôtre, dom
pas d'obéir, bien que personne ne lui rappelle cet ordre et qu'elle
paraisse
l'avoir com- plètement oublié. Son action, dans
plètement oublié. Son action, dans ce cas semble inconsciente et
paraît
analogue à celles qui se produisent dans le somna
lle accuse une fai- blesse particulière dans le côté droit, côté où
paraissent
prédo- miner les points hystérogènes; mais il n
muscles de la tête échappent seuls à cette contracture. Les sens
paraissent
éteints ; mais l'ouïe est conservée, ainsi que
de toutes ces formes symptomatiques. Ces courtes réflexions nous
paraissent
démontrer que déjà la névrose spontanée de notr
acuité visuelle. Etant donné qu'un objet, pris dans son ensemble,
paraît
sous un angle visuel plus grand que ses parties
te. Mais la technique présente ici de telles dif- ficultés, qu'il a
paru
nécessaire de mesurer au photo- mètre chacun de
avec grand étonnement et avec une incrédulité cette déclaration. Il
paraît
que le temps de pareilles surprises n'est pas e
dans la moitié des cas, sinon davantage, le premier symptôme qui
paraît
n'est pas même de l'analgésie toujours plus fac
ntécédents. - Les parents sont vivants, se portent bien. A ce qu'il
paraît
ils n'étaient pas atteints de syphilis. Cependant
l sera question plus bas. La moitié gauche du corps est frileuse et
paraît
plus froide au palper que la droite. Les organe
'idiotie avec accès épileptiques présumés. Cette dernière affection
paraît
douteuse; les mouvements irréguliers dépendraie
ux membres et à la face ? La vue est bonne. La vision monoculaire
paraît
un peu trouble pour l'oeil gauche ( ? ). Les pu
s, il reviendra comme il est parti. » Les soins matériels du voyage
paraissent
avoir été assez bien entendus, à part ce fait q
re les deux côtés. Il en est de même de la sensibilité générale qui
paraît
plutôt un peu exagérée : « La moindre des chose
s nus. On constate alors que le talon gauche, qui avec les souliers
paraissait
quelque- fois toucher le sol, reste élevé et qu
. ou quatre mois, premières convulsions; jusque-là il était fort et
paraissait
bien venir. Les convulsions portaient sur les y
ts lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes choréiformes ne
paraissent
aucunement modifiés. 16 février. A la suite des
qui séparent l'affec- tion dont ils sont atteints, des maladies qui
paraissent
s'en rapprocher le plus : la chorée, la.scléros
al du cerveau ; 40 les fibres radiculaircs des cordons anté- rieurs
paraissent
chez les individus microcéphales moins volumineus
e système de la loi de 1838. La suppression de l'action du préfet
parut
devoir entraîner comme conséquence la suppressi
adoptées, disait M. Vivien pour justifier la suppression, nous ont
paru
ôter toute son utilité à la commis- sion ; il n
runté à l'expérience acquise en Angleterre et dont les résulats ont
paru
décisifs à tous ceux qui ont examiné de près le
éné, le fils était chargé de l'ex- ploitation de ses biens, et l'on
paraissait
trouver dur de le dépos- séder, en fait, de cet
t en ligne oblique, tantôt transversalement. Toutes ces modifications
paraissaient
si essentielles à observer, que les médecins de c
s recoinmandables, se soit arrêtée tout a coup dans sa marche! Mesmer
parut
en France, et cette méthode se trouva reléguée au
t les dates, c’est tout ce que j’ai voulu. Cette histoire abrégée m’a
paru
essentielle, je le répète, sans cela je no l’euss
rent dans la carrière magnétique; mais une chose me préoccupait et me
paraissait
plus importante : produire d’abord des œuvres pro
e convaincre de l’utilité des sciences ; les savants que je voyais me
paraissaient
faits comme les autres hommes. Je comprenais le c
un bonheur pour lui au monde : voir ses idées partagées. I.a mort lui
paraît
douce, lorsqu’il aperçoit le triomphe. Sa lâche,
C’était donc un troisième degré d’initiation à subir ; j’allais voir
paraître
devant moi tous les ministres de la mort, tous ce
squ’à la faiblesse, obligé de corriger ma nature, ou tout au moins de
paraître
résolu; me voilà, moi, enfant encore, en présence
relativement au diagnostic des maladies par le somnambulisme (1). Il
paraît
qu’il avait produit alors assez de faits remarqua
rémonies religieuses et les exorcismes. Cette médecine d’attouchement
paraît
appartenir aux pratiques mystérieuses des Brames,
très-probablement ; il donne à réfléchir. « Une conclusion pareille
paraîtra
peut-être un peu faible, mise en regard «le l'arg
taient les mêmes dans tous les pays; et qu’en France, où les préjugés
paraissent
plus sérieusement combattus que partout ailleur
d’un auditoire assez peu bienveillant. Je voulais ressusciter ce qui
paraissait
mort, bien mort; et j’étais un jeune homme n’ayan
aire quelque tentative pour en obtenir parmi tous les jeunes gens qui
paraissaient
déjà avides de saisir au moins quelques traits. C
nt. Tous les magnétologistes me manquèrent à la lois lorsqu’il fallut
paraître
, mais ils me promettaient toujours cependant que
n article, puis un autre : de vraies ébauches , mais je continuais de
paraître
. L’œuvre dura toute une année; épuisé, endetté, j
des procureurs sera terminée, un de nos collaborateurs, avocat, fera
paraître
un travail sur l’ensemble des faits, de manière à
lles , à Romainville. A cette industrie utile, mais peu lucrative, il
paraît
qu’elle a juge à propos d’adjoindre la profession
emier témoin entendu est le sieur Rridaut, cultivateur à Bagnolet. Il
paraît
d’abord vouloir se montrer beaucoup moins explici
Comment ! est-ce qu’on adoptait un costume particulier ? Marie. Il
paraît
, Monsieur le président, puisqu’elle passa une rob
moi avec un garde républicain, sur le compte duquel elle m’avait, il
paraît
, interrogée; ils m’ont menacé de me dénoncer si j
ur l'honnne singulier qui, jusqu’au milieu de nous, n’a pas craint de
paraître
et de justifier en partie l’existence d’un agent
ant de dieux d’origine différente, je restais ébahi; comment ce qui
paraissait
ici vérité , se traduisait ailleurs par mensonge
Quoique tombée dans le domaine des lieux communs, cette doctrine nous
paraît
bien exposée et donne une idée avantageuse du tal
vironnaient, moins j’en étais capable; jusqu’à ce que chaque lieu qui
paraissait
m’attacher au monde extérieur eût été entièrement
refroidi l’ardeur de magnétisme qui régnait à cette époque, mais qui
paraît
se ranimer de nos jours. Il y avait cependant enc
tomba ensuite sur Tacite, Tite-Live, Salluste, Puffendorf, que le roi
paraissait
avoir lus. On passa bientôt à la médecine. Quelqu
mière visite, a éprouvé pendant quelque temps une douleur de tôle qui
paraissait
avoir le même siège que chez moi, et sa vue se tr
u un non. Je n’y prêtai aucune attention. Les propos de cette dame me
parurent
fort indécents. Je n’en ai rien retenu, sinon qu’
ls, la correspondance de l’intimité, les notes qui ne devaient jamais
paraître
sous d’autres yeux que les nôtres, surprenne ains
t, n’a pas eu pour but de prendre adroitement des renseignements pour
paraître
deviner ce qu’elle avait appris, et donner ainsi
droit de vous dire que nous avons prescrit de bonne foi ce qui nous a
paru
le plus convenable dans l’intérêt des malades ; r
ours de corriger ou même de répudier les indications qui lui auraient
paru
contraires à celles de la science, comme il est a
aire de fait, usurpe les fonctiens notariales. Ces deux exemples me
paraissent
propres à compléter la démonstration sur l’inviol
vous aurez retiré de l’eau n’aura rien perdu de son poids, l’eau ne
paraîtra
avoir éprouvé aucune modification dans sa composi
emme m’a tiré par ma robe, jusqu’à ce qu’elle ait obtenu la faveur de
paraître
comme témoin devant le tribunal ; elle attesta qu
sans , il fallait nécessairement frapper un grand coup afin de ne pas
paraître
systématiquement hostiles, et tuer encore une foi
me temps il annonça que sir John Franklin se portait bien, mais qu’il
paraissait
amaigri, et qu’il reviendrait sauf. Notre corresp
uvoir se dégager de leur situation dans peu de jours, ce dont l’autre
paraissait
douter. Les rations de l’équipage venaient d’être
à épeler le nom l'Erèbe. Il vit aussitôt le capitaine, et dit qu’il
paraissait
très-malade, et avait l’air abattu ; il avait u
r au vaisseau. Deux d’entre eux étaient affaiblis par la fatigue , et
paraissaient
incapables d’aller plus loin; mais les autres ne
t des provisions, et sc procuraient des oiseaux sauvages. Le vaisseau
paraissait
être à une distance considérable du rivage de la
mondes auxquels ils attribuèrent un axe et deux pôles. Cette opinion
paraît
tirer son origine des effets de l’aiguille aimant
lui donnons la préférence dans beaucoup de cas, parce qu’elle nous a
paru
plus efficace après des épreuves comparatives. No
tes les choses extérieures. Le pouls devenait faible , la respiration
paraissait
presque suspendue, el tous les sens étaient entiè
mme au point de vue du mesmérisme. Cependant les résultats ne nous en
paraissent
que peu satisfaisants. Après un examen conscienci
ritualiste. Aujourd’hui, nous savons qu’il ne suit aucun culte, qu’il
paraît
n’avoir aucune croyance. Une autre nuance très
qu’à la manifestation de sa taculté auto-extatique. Ainsi, le premier
paraît
vouloir exploiter le privilège naturel d’un état
emme Ilarrault a toujours protesté de son innocence, et lorsqu’elle a
paru
il y a quelques jours devant le jury , elle a com
l’un à Mézières, l’autre à Epernay; la fin de ce long compte-rendu
paraîtra
dans notre prochain numéro, avec des commentaires
’on lui apprit que son sommeil avait duré deux semaines , elle rit et
parut
très-étonnée. Elle déclara, en outre, ne plus épr
ces Lits que comme des exceptions , quoique la pratique du O1 Esdaile
paraisse
inürmar les idées régnantes sur ce point. « Nou
tre contestée dans le traitement des maladies aiguës ; mais elle nous
paraît
être entièrement problématique dans la cure des m
tion palmaire est insuffisante, et surtout pour les cas où les crises
paraissent
indispensables. On renforce les courants magnét
pareil banquet a lieu. A ces mots, chacun regarde, et, dès qu’on voit
paraître
le représentant des magnétiseurs du No«-ycau-Mond
er, et à indiquer brièvement les points sur lesquels la jurisprudence
paraît
s’être éta~ blie avec quelque certitude. Une lo
ons prononcées contre fies somnambules sc disant assislés de médecins
paraissent
s’élever contre cctlc théorie. II est bon de rema
i, pressé de demandes, il a donné des consultations? Le doute ne nous
paraît
pas possible. Le principe éternel qu’il n’existe
connu. II. La seconde question toucheau magnétisme pur ; elle nous
paraît
d’une solution facile. Nous n’hési- Ions jias à
des instruments et costumes servant à l’exercice du métier de devin,
paraissent
prouver d’une manière certaine que c’est aux seul
rer des inductions merveilleuses pour tous, très-simples pour lui, et
paraître
un devin quand il n’est qu’un logicien; sous cett
incrédulité des assistants, considérée comme cause morale d’insuccès,
paraissait
devoir amoindrir, paralyser même les résultats qu
fet, sont abandonnées, pour laisser continuer l’action sur celles qui
paraissent
devoir être plus influencées. Quand l’épreuve est
er de la contagion, que les médecins appellent fièvre imitative. 11
paraît
que dans les séances où on magnétise peu, les suj
puissance de l’harmonie! Eh bien! le père, devant ce tableau, ne me
parut
pas plus ému que s’il eût été statue.... Sic 3
e cette solennité a provoqués ; mais, si l’on en croit les on dit, il
paraît
que la fable de M. Jobard a été généralement admi
mme de simples mortelles. « Quant à ¡Messieurs les magnétiseurs, ii
paraît
qu’ils ne sc sont pas encore avises do mettre leu
ivé de proposer à des médecins de les en rendre témoins, mais ils ont
paru
craindre de voir leurs théories en défaut. Nous n
, que des circonstances indépendantes de notre volonté ont empêché de
paraître
. Oh! sans doute, M. J. I»., Hahnemann n’a pas p
cela parce qu’on tire de ce livre des citations qui 11e nous ont pas
paru
utiles pour appuyer les réformes homéopathiques q
mbre : l'un parle, dit M. J. B., l autre agit. Cette distinction nous
paraît
futile ; le magnétisme est un moyen thérapeutique
ccouchement. Nous avons déclaré cette somnambule parfaite, le mot
paraîtra
exagéré à certains......... Je p/ace hors de ce
a; mes lettres étaient déjà en grande partie imprimées, et elles vont
paraître
dans quinze jours. Je vous dis cela, afin de vous
j’ai eu l’intention d’écrire sur le magnétisme. Les ouvrages qui ont
paru
en Angleterre n’ont pas, pour la plupart, été écr
fait le miroir magique. Je vous avoue que cette réticence ne m’a pas
paru
suffisamment motivée. Depuis quatre à cinq mois
s, et non pas tant de discours. Mais chez vous c’est différent, et il
paraît
que le Journal va bien, ce qui prouve que je me t
t , et que vous connaissez bien vos compatriotes. Votre Manuel, qui a
paru
d’abord dans le Journal, est excellent, surtout d
pour vous dire que l’ouvrage annoncé dans ma dernière lettre vient de
paraître
, et que j’ai dit aux éditeurs, à Londres, de vous
sait à ce disque une action directe électrique ou galvanique; mais il
paraît
que sa composition est indifférente , et qu’il se
que si les effets suggérés et commandés, dont le sommeil puységurique
paraissait
être la condition, s’obtiennent dans l’état de ve
ttentivement : soit le bouton du ressort d’une boîte à allumettes. Il
paraît
que la fixité du regard dans celte position incom
du sang, etc. Ce soir, il doit parler de Vac-quiswitè, organe qui me
paraît
devoir être fort développé chez lui. Je vous reco
magnétiseurs à aller voir M. Fiske, parce que ses expériences ne nous
paraissent
pas devoir rien leur apprendre ; quant aux person
dit de 1 'Electro-Biologie. Les personnes sur lesquelles il a opéré
paraissaient
avoir perdu toute force physique, el la volonté s
ui, à Armory-Hall. Quelque merveilleuses que ces expériences puissent
paraître
, nous sommes parfaitement convaincus qu’il n’y a
ion démesurée dans ceux sur qui l’expérience fut faite, el l’un d'eux
parut
se faire violence pour résister au désir de lui d
heureux, j’en vis un qui venait d’être amené par un icatch man; il me
parut
réunir les conditions demandées par le Dr Fiskc,
ment ivre, qu’il fallut quatre hommes pour le faire monter. Lorsqu’il
parut
dans la salle, le Dr Fiske fit observer que ce n’
BUMPO-BIOLOG\ (i). — Le professeur l’oans est arrivé, et va bientôt
paraître
au salon de Cassedy. Il essaiera d’expliquer, d’a
t parfait. La porte du Cercle cria sur ses gonds et Timolhée Tilmarsh
parut
sur la scène. Son esprit était absorbé par les me
lusions et des hallucinations dans un état de veille, ou du moins qui
paraît
tel, où le rapport niagnélique est très-intime.
à terre au milieu de la foule, saisi d’une atlaque d’épilepsic, et il
paraissait
en proie à l’agonie do la morl. Il y avait là q
es articles seront fort courts, afin d’étre lus par tout le monde, et
paraîtront
à plusieurs jours d’intervalle, pour ne pas fatig
sque la sensation avertit le cerveau que l’ordre est exécuté. Ce fait
paraît
bien simple ; il ne trouve pas un incrédule, et p
, avait enfin trouvé un remède contre les névralgies ! Ce remède, qui
paraît
être le fer rouge, est assurément fort commode :
pe... » Nous la magnétisâmes quatre fois par jour, tant que cela nous
parut
nécessaire, et dès le second jour on put constate
il, convient aussi dans ces cas, etc. >» Puis soudain, pour ne pas
paraître
exclusif, vous consentez à l’intervention des sec
érôme Bonaparte, et une séance de magnétisme. « Le prince Jérôme ne
parut
pas, ce dont nous noua consolâmes. « Mais le ma
exis, et toujours les faits somnamhuliques donl j'ai élé témoin m’ont
paru
de nature à dompter les esprits les plus incrédul
bourgeois de Calais... » « Celle prédiction, si singulière qu’elle
parût
, s’accomplit de point en point, et le chien fut d
envoya sa volonté sons la forme d’une lumière toute brillante; elle
parut
sous la ligure d’un homme. L’hérésiarque Simon
nt en l’exposant sur des tréteaux aux regards de la foule. Rien ne me
parut
jamais si méprisable. Et je me dis : que serail-c
ravaux de M. Reichenbach sur l’aimant et autres agents dont la nature
paraît
analogue au magnétisme animal. Ce livre, que nos
ar le rédacteur en chef du Canadien. » Loblinière, 5 mai 1851. 11
paraît
, j’en suis même certain, que plus de la moitié de
sans frais, sans remèdes et sans danger. Cette assertion peut et doit
paraître
extraordinaire ; chacun cependant peut s’assurer
celles dont le siège m’était inconnu. Cette manière de guérir ne me
paraît
point une science, c’est un sixième sens dont l’h
reil phénomène. La science viendra sans doute bientôt éclairer ce qui
paraît
encore mystérieux et prouver que je ne suis pas u
l à sa belle lucidité en somnambulisme, lucidité si naturelle qu’elle
paraît
soumise à sa volonté, je ne doute pas, dis-je, qu
ans la tête ; ! « grande oppression nerveuse que je ressentais a di-«
paru
, et avec elle les noirs pressentiments. L’ouït «
cela, à notre insu, non officiel, mais correct. » Aussi n’en a-l-il
paru
qu’un fragment dans un des tionné : BANyl ET
toute circonstance, d’ailleurs, où l’usage de la chaîne communicative
paraît
indispensable, nous lui préférerons la magnétisat
al. 4° Par diverses substances. La plupart des corps inertes nous
paraissent
être d’excellents réservoirs magnétiques, mais no
ement des effets avantageux. Alexandre Ier, sous le pontificat duquel
paraît
re- (1) Nombres, chap. 19. (i) Antiquités rom
a musique au nombre des accessoires du magnétisme, c’est qu’elle nous
paraît
exercer de puissantes déterminations sur la cure
s sur le système de l’innervation ne sont pas douteux pour nous; elle
paraît
produire sur nos organes un ébranlement qui favor
les prophètes faisaient leurs prédictions au bruit d’instruments qui
paraissaient
les plonger dans les transports d’une sainte fure
années, de nombreuses expériences sur des idiots; leur intelligence a
paru
se développer sous le pouvoir de cot agent. Comme
Eugénie Morel, de Grainville-Ymauville. Yoici un fait nouveau qui m’a
paru
mériter de faire suite aux autres et d’être porté
espèce d’oreiller, un gros coussin bourré de grosse laine et qui m’a
paru
devoir peser deux ou trois kilogrammes. Ce coussi
core connu; nous le publierons aussitôt qu'il nous sera parvenu. Il
paraît
que, outre les traitements, cette société s’occup
e somnambule. Celui-ci mêlait les cartes avec une grande dextérité et
paraissait
jouer avec toute l’habileté d’un joueur consommé.
obie du regard écrite en allemand, « Dans un journal de Budapest, â
paru
aujourd'hui un article sur "votre travail de la
ise au jour et l'adoption d'un certain nombre de mesures qui à tous
paraissaient
, à juste raison, être très délicates, puisqu'el
et extra-professionnelles, de plus en plus longs, alors qu'ils nous
paraissent
cependant deve- nir de plus en plus inutiles. ,
en plus inutiles. , Avec l'organisation ancienne, un stage pouvait
paraître
raisonnable, parce que jusqu'en 1888 le recrute
pagné dans celle visite par le médecin-adjoint Il nous a toujours
paru
à tous qu'une telle manière de faire consacrait
és. Les décrets et règlements actuels, la loi môme de 1838, ne nous
paraissent
pas appliqués suivant les mêmes règles dans tou
poitrine ; il accuse la lourdeur de ces extrémités. Ses jambes lui
paraissent
également fléchies sur lescuisses et violemment
ivité plus intense et plus productive. 3. La complexité de la forme
paraît
donc être le reflet et la condition de la compl
uand les coupes sortent de la seconde opération de coloration elles
paraissent
totalement noires et couvertes de bourbe, cette
bromure a été invariable.) Au premier abord, cet insuccès clinique
paraît
devoir servir d'argument contre la théorie path
ssion du Conseil supérieur de l'Assistance publique, de laquelle il
paraît
résulter que l'Administration de l'Asile reste
t la situation faite aux asiles de pro- vince ; je dis mieux, il me
paraît
qu'un jugement équitable ne peut être porté sur
, entourées parfois de restrictions,comme dans le Finis- tère. lime
paraît
aussi que les asiles s'honoreraient de porter,non
lique une action sur l'autre. Deux faits - ou qui semblent tels -
paraissent
conduire à la conclusion que la main droite est
cette affection est très rarement citée.Dans la thèse de Dufour (1)
parue
en 189G, sur les lésions de la queue de cheval,
en 1901 par Cestan et Ba- bonneix (2). Bartels (3) dans son travail
paru
en 1903 sur les lésions de la queue de cheval,
plus que par une paresie véritable ; toutefois la force musculaire
paraît
être diminuée dans tous les seg- ments des deux
ésentent aucune adhérence avec la face interne de la dure-mère, qui
paraît
lisse, d'aspect normal, sauf une légère congest
uscles postérieurs de la cuisse. Au contraire, les muscles fessiers
paraissent
atrophiés ; ils présentent une notable diminuti
re et . au-dessus encore, la zone d'entrée des racines postérieures
paraît
absolument intacte de chaque côté. Les racine
cellules étudiées par la méthode de Nisslsontbien conservées et ne
paraissent
pas diminuées de nom- bre. Les cellules radic
points de sortie des ra- cines sacrées et lombaires inférieures. Il
paraît
qu'ici la dure-mère, comme il arrive dans la ma
a réagi en s'épaississant, et l'épaississement de la dure-mère seul
paraît
ici être la cause des lésions d'in- tensité var
radiculaires présentes ou d'en produire de nou- velles. Ce cas m'a
paru
digne d'être publié par ce qu'il se rapporte à
de la circulation, les troubles gastro-intesti- naux. Mais le foie
paraît
être atteint en premier lieu. Dans la mélancoli
et des signes cliniques, qui attestent bien que le foie est lésé et
paraît
être le premier atteint. II. Parallélisme entre
e chez beaucoup d'autres malades, ce hâle, cette teinte bistre, qui
paraît
se rattacher à une pigmentation due à une hémat
lange d'une grande quantité de sang. La prééminence des lymphocytes
paraît
plus accentuée chez t'épitcptiqueque chez le pa
pelvienne et la région antérieure (le la cuisse. Celte amyotrophie
paraît
avoir débuté vers l'âge de 16 ans au moment d'u
lui-même devant le public, il en arrive à re- douter précisément do
paraître
en public, et le trac est ainsi constitué, cons
ptomatiques de quelque affection déterminée ». Si celte formule a
paru
excessive à notre distingué collègue Deny, delà
cessive à notre distingué collègue Deny, delà Salpétriero, si cllea
paru
incomplète à MM. Régis et Brissaud, il n'en est
ditions alors que, d'autre part, je réclamais des interventions qui
paraissaient
inutiles au premier abord. Je ne rappellerai
ions personnelles et inédites que j'ai choi- sies parce qu'elles me
paraissent
particulièrement nettes, trois se rapportent à
tés avec hallucinations de l'ouïe, la quatrième à une malade qui me
paraît
ne rentrer exacte- ment dans aucun des cadres c
alhogénique, on est mal renseigné sur ces faits. En particulier, il
paraît
paradoxal que les réac- tions électriques soien
rant cette incubation, parfois si longue, aucun symptôme morbide ne
paraît
révéler cette imprégnation lente,continue, asce
ité, et de la trophicité des régions atteintes. La deuxième étape
paraît
caractérisée par le rayonnement et la diffusion
dant à l'amputation que du côté opposé. Celte variabilité ne nous
paraît
guère conciliable avec l'idée d'une simple lésion
taires, soit d'épaississements sclé- reux. Ces constatations nous
paraissent
intéressantes en ce que la méningite explique p
querait l'étape périphé- rique de l'affection : ce syndrome ne nous
paraît
donc pas obligatoire. Peut-être y aurait-il l
re entre la lésion pé- riphérique et la lésion médullaire ; il nous
paraît
logique de supposer que les lésions méningées p
'axe. J'ai recherché de combien je devais incliner, pour qu'elle me
parût
verticale, pendant la rotation : 1° une tige que
dans aucune autre occasion. Dis- cussion du cas. Un trouble émotif
paraît
bien être à la base du trouble vaso-moteur, ind
OGISTES. de paralysie générale tardive sont assez rares ; il nous a
paru
intéressant de publier le cas suivant : 11 s'
(de Villejuif). Dans ses recherches, le sé- rum marin de Quinton a
paru
influer heureusement sur les accidents convulsi
masqué. Contrairement aux prescriptions de Fuchs et Schultze, il ne
paraît
pas agir sur les convulsifs aux doses expérimen-
ant, emportèrent le délire dans l'es- pace de deux mois. Les règles
parurent
alors et la malade fut entièrement rétablie." E
de Boismont), les seuls faits peuvent répondre ; tou- tefois, il ne
paraît
point que soustraire, à intervalles variables,
mi- nistrer elles-mêmes les douches (1). Nos confrères de l'armée
paraissent
s'intéresser au traile- ment hydrothérapique et
. C'est l'inter- ruption brusque de la nutrition de l'encéphale qui
paraît
en cause, comme pour les convulsions succédant
x inhalations d'oxygène pendant des cri- ses menaçantes. Nos essais
paraissent
très encourageants et sont poursuivis attentive
que l'emploi des inhalations d'oxy- gène (emploi qui, bien entendu,
paraît
tout à fait inoffensif), l'ait rapidement cesse
ou moins hallucinatoires sans é\o- lution démentielle. 11 nous a
paru
intéressant de rechercher quelles différences p
s veines sont dilatées et tor- tueuses. Les artères ne nous ont pas
paru
présenter de modi- fication appréciable. 2° M
du ma- lade n'est pas forcé. La surveillance officielle et médicale
paraît
suffisante. Si on considérait Gheel non comme u
u'ils avaient soigné avec dénuement. Aussi, dès que Fernand Dijon
parut
guéri, ses parents s'empressèrent-ils d'aller le
s surtout par'les temps orageux que nous traversons. Avant-hier, il
parut
à nouveau très exalté. Toutefois, son état n'in
gramme son arrestation à Trésigny-sur-Orge. L'état de Mme Di- jon
paraît
désespéré. Drame de la folie. - Vendredi dernie
troubles de la perception externe : les personnes et les objets lui
paraissent
changés, différents de ce qu'ils étaient autref
hésiopathie, suggéré par M. E. Dupré, tous les psycho-syndromes qui
paraissent
liés à une al- tération a, hypo, hyper ou para
ychiatrie (3° édition, collection Testai) qui va très prochainement
paraître
. LES PSYCHOSES DES INFECTIONS AIGUËS. 209 ai
crépusculaire de l'es- (1) Cette confusion des couches de cellules
paraît
être des plus importantes au point de vue de la
(2). Parmi elles, les voies conductrices des sensations organiques
paraissent
les premières, puis viennent celles des sensati
'ailleurs que le commencement de cette formation histologiquc qui
paraît
indispensable à la propagation de l'influx nerv
conscience. - V. Nous avons dû, pour discuter les points qui nous
paraissaient
obscurs de la psychologie du nouveau-né et pour
un modo spé- cial. Je tiens.avant de développer les argument"qui me
paraissent
plaider contre cette façon de faire, a bien dir
sais pas avoir été surpris par la pauvreté, je dis pauvreté pour ne
paraître
pas méchant, des raisons alléguées par nos coll
n'étouffe pas la notion supérieure de l'intérêt général », il avait
paru
que le concours institué en 1902 offrait le maxim
es distingués et craintifs, mais s'ils sont très distingués, ils me
paraissent
avoir d'autres débouchés, qu'ils se présententà G
, qu'on leur donne des places de mé- decins-inspecteurs. Et cela me
paraît
très beau pour eux, car après tout il y a en Fr
tir les étranges désirs de nus collègues de la Seine,mais il nous a
paru
qu'il était de l'intérêt de tous do ne paspasser
n delà maladie. L'auteur cite plusieurs observations où la blessure
parut
intervenir principalement pour localiser la név
dès l'amélioration confirmée des malades, chaque fois qu'il nous a
paru
possible de les confier à. leurs familles. Nous
, mais à être des auxiliaires des méde- cins. M. le 1)1' Dubourdieu
paraît
être décidé à faire cet enseigne- ment : nous l
17 mois. Propreté iL 18 mois. Les premiers accidents convulsifs ont
paru
à 9 ans et demi. Alors B.. était trèsimpression
e allait mourir ; elle voyait tout le monde en noir, « les gens lui
paraissaient
tout noirs. » Elle avait peur, ne sachant de qu
causeuse, un peu triste de nature. Le début de la maladie actuelle
paraît
dater de G mois. Il s'est manifesté par de l'in
qui parlent d'elle et la font passer pour aliénée. Les autres sens
paraissent
respectés. Dans la mélancolie anxieuse alcooliq
é, avec l'indi- canuric ou avec l'albuminurie. La glycosurie nous a
paru
plus fréquente chez les mélancoliques stupides.
lanco- lie que nous avons observés, les troubles du foie ont dis-
paru
en premier lieu ; la cholémie a diminué avant qu'
830 a 1858 et qua-i IIuhliÚ, Il'111' hi ? loil'e paLlwjogique ayaut
paru
cloe dl'pui plu- ,le '10 au-. On les cOII,idÚmi
heilllunde XXTI. 1. F. XIV. 1903.) Répétition de l'article russe
paru
dans l'Oboréni psichiatrii. VIL 1902. Ana)\se i
était par conséquent incapable de le sortir. sa naissance, l'enfant
parut
en excellente santé. Il fui nourri au sein jusq
l'aihlies el les membres pas par- lindii'reJ1lpn L "euilde". L'oujp
paraissait
être quelque peu défec- tueuse car, s'il se pro
pique très difficile (ait avec une lampe à l'huile, les cristallins
parurent
atropines. Je regrette, beaucoup que durant ili
e fut amené à l'âge de 18 mois. Antérieurement, il m'avait toujours
paru
quelque peu affecté ; et, connaissant comme je
s et \'aillanl ont permis d'admettre que ces névrites périphériques
paraissent
dues à l'action des toxines tuberculeuses. L'in
a lésion dclamoellc n'était prut-etre pas aussi complète qu'elle le
paraissait
microscopique- mou. Les A. n'en furent nas moin
u dehors, une des peli les -veines (.missail'l's. Ce 111{'l'ani'3m(
paraît
asl'Z It'{'qu('nt Lorsque l'abcès rslpérisinusi
re son doigt en place avec le pouce de l'autre main. Les muscles ne
paraissent
pas atrophiés. Il présente aussi une contractio
el g,)I1cOln'. C'est un livre qui vient bien a son heure, puisqu'on
paraît
enlin se décider faire quel- que chose pourles
rage consiùérahle quP- .\1.'1. Launois el P. lloy viennent de faire
paraître
sur les géants constitue une étude anthrololn-
s mouvemeiils. Très excité, d'une force lLerculéenne,Descouleurs ne
paraissait
pas disposé à se lais- ser emmener par deux hom
sprit, Crimes et délits dans la folie, le ^[onde des J ? ces. etc.,
parus
pendant sa période d'exercice, a a publié, dans s
la compression exerce sur les éléments du tissu nerveux. Enfin, il
paraît
aussi indéniable que, dans certains cas, l'irri
nt mécanique, un rôle dans la production de l'oedème médullaire, ne
paraît
pas être universellement acceptée ; en effet, c
dullaire sur lequel Schmaus et Fickler ont attiré l'attention. 11
paraît
, en effci, ne pas s'agir ici d'une conception pur
ison, une fois que la tuberculose s'est propagée au périnévrc. Il
paraît
toutefois qu'on peut faire quelques réserves (1
t dilaté que rétréci remplis de sang, surtout les reines : aucun ne
paraît
thrombose, aucun ne présente d'infiltration emb
oelle. - , Dans notre cas, en résumé, la péri-pachyméningite nous
paraît
avoir agi de deux manières : d'une part en comp
latéraux, soit au-dessous ou au-.dessus de la lésion, et qui dis-
paraît
complètement quelque segment après l'interrup-
s el dans le cordon antérieur ; dans ces régions, la névroglie ne
paraît
pas lvrolilér(·e : dans la partie antérieure des
xerce sur la partie médiane de a périphérie antérieure de la moelle
paraît
, ici, avoir plutôt agi en provoquant un oedème
lle; en outre, la circulation de la moelle lombaire ne nous a pas
paru
oll'rir d'altérations appréciables. La conserva
d'être complète. Troisième cas. M. L., 77 ans. Déhul de la maladie,
paraît
-il, il 1'11ge de 70 ans, par des douleurs si es
1'I111'P les méninges et la dure. ,,La moelle, de volume normal, ne
paraît
en aucun point al7lali·, ni déformée. 7Yt))it
on, mais ils restent encore largement perméables, et aucun d'eux ne
paraît
thrombose. Les espaces 1)("I'i\llSCulaj¡'eOIlt di
proéminent et la cyphose cervicodorsale ne manquait pas. Le front
paraissait
bas et faisait ainsi contraste avec les dimen-
dans le sang des épileptiques la présence d'un microcoque qui me
paraissait
devoir être considéré comme étant vraisem- blab
'agent pathogène du mal comitial. Quel- ques mois après, un article
paru
dans la Revue neurolo- gique (2) complétait cet
ns cette courte note aux auteurs précités, mais leurs objections me
paraissent
, en somme, porter sur trois points principaux :
pileptiques ayant des accès en série ou du délire, un seul examen a
paru
posi- tir : « En quelques points, il semble y a
ement arrondis comme s'ils provenaient de globules parasités dis-
parus
. ' ( '1">. 1 La figure schématique ci-dessus
la suspension des attaques déterminée par les bromures alcalins ne
paraît
pas due à une action mi- crobicide. b) Résist
comme dans les infections du sang en général, de fréquents insuccès
paraissent
dus à ce processus fibrineux. La culture dans l
sous peu appuyer ces faits. J'ajoute que d'expériences en cours, il
paraît
résulter que les cultures du neurocoque favoris
s systématique et persévérante une série de mesures palliatives. Il
paraît
indispensable, en tout cas, d'enregistrer scrup
malade est décédé en 1902 d'entérite tuberculeuse. Ce qui nous a
paru
intéressant dans cette pièce, c'est la réfec- t
monographie sur la Démence précoce qui fut un des premiers travaux
parus
en France sur cette ques- tion. Interne de M.
uis quelques jours, à l'hôpital, pour une affection de poitrine. Il
paraissait
fort calme, mais, ce soir, comme l'interne approc
e ce principe nouveau, en ne m’a coûté, aucun sacrifice ne m’a jamais
paru
mé-er une considération, et, joyeux de mon entrep
politique, r«ligieuse et sociale, où la partie animique de l’homme ap
parut
dans toute sa force, tendant à s’épancher au deho
Helmont, des Jacob Bœlim, de Cardan, des Campanella, des Del Rio, qui
parurent
dans ce siècles, il faut ajouter les écrits moins
IÈRE CAUSERIE MAGNÉTIQUE. Patience et persévérance. Le magnétisme
paraît
souvent lent dans sa marche, obscur dans son acti
vous ; les visages sont mornes; votre assurance à vous, magnétiseur,
paraît
téméraire ; votre parole ne trouve point d’écho.
rir la cause qui produisait les coups ; on ne put y parvenir ; le son
paraissait
partir du médium et être dirigé vers l’interrogat
que les coups n’étaient pas produits par ceux-ci, que même les coups
paraissaient
quelquefois venir d’une armoire à livres ou d
de remèdes matériels. Procéder en médecine autrement que le médecin
paraît
déraisonnable, et pour arriver à guérir, il n’y a
les jours, ni les mois, ni les années. Pour que la moindre végétation
parût
sur les masses de granit sorties du sein de la te
n’en prendre qu’une connaissance superficielle, rire de ceux qui lui
paraissaient
surnaturels et ne point chercher par de profondes
l pas réservé à notre fin terrestre? Dans tous les cas, ces vues nous
paraissent
bien supérieures, quoique antérieures, à celles d
giques et scientifiques. Cette analyse, quoique fort sommaire, a pu
paraître
longue à raison de la date déjà ancienne du livre
et les voies nouvelles de spiritualisme positif dans lesquelles nous
paraît
, entrer le monde nous ont semblé lui donner aujou
avons cependant à faire quelques réserves sur des citations qui nous
paraissent
détournées de leur vrai sens. Voir dans l’histo
sur Moïse, sur Daniel, sur saint Paul, est fort bien pensé et nous a
paru
présenter souvent des aperçus nouveaux. Les pages
is esprits qui vous assaillent. I)u reste, l’influence astrale nous
paraît
quelquefois singulièrement exagérée par les astro
oici dans quelles circonstances : M. le curé de Levis est, à ce qu’il
paraît
, fort habile dans l’art de rebouter, c’est-à-dire
s livré qu’à de simples reboutages, et que toutes les fois que le cas
paraissait
grave, il faisait appeler un officier de santé. C
ux observations que nous venons de recueillir, en même temps qu’elles
paraissent
offrir un caractère physique commun, attestant le
de se coucher. « Je fais les passes comme je l’ai déjà fait ; il me
paraît
, an bout de dix minues, que la malade dort réelle
les conquêtes de la science. Dans le petit livre qu’il vient de faire
paraître
et qui n’est que le prélude d’un ouvrage plus éte
s purement et simplement à titre de faits, quelque discordants qu’ils
paraissent
avec les notions les plus certaines de la physiol
s et recherchent avec avidité un regard rie cet homme pour lequel ils
paraissent
éprouver une vive affection , bien qu’il ne s’occ
’eux. » M. Bonnemère, dans l’excellent ouvrage qu’il vient de faire
paraître
, intitulé Histoire des Paysans, rapporte l’anecdo
e le Précurseur d’Anvers appelle une prétendue marquise ; mais ce qui
paraît
certain, c’est que cette somnambule avait l’avant
onnages fort éminents. On termine par quelques anecdotes qui nous ont
paru
propres à jeter de la lumière sur le rOle des méd
à l’aide de moyens renouvelés des siècles « du paganisme, sans qu’ils
paraissent
se rappeler ni même u savoir qu’ils commetten
s articles subséquents, a parlé en termes plus sérieux des médiums et
paraît
disposé à croire àleur existence ; l’autre s’est
me. Les faits contenus dans ces articles, tout extraordinaires qu’ils
paraissent
, n’en sont pas moins reconnus comme étant très-vé
i-ci et où commence l’autre. La réponse à une pareille objection nous
paraît
facile ; en admettant qu'on ne puisse1 déterminer
t produit dans ce monde est naturel , quel qu’il soit, et s’il ne lui
paraît
pas tel au premier abord, c’est que son défaut de
rme, toute frivole qu’elle se montre , toute scabreuse qu’elle puisse
paraître
à certaine critique, n’en est pas moins une voie
ouvrent dans le langage ce qui est banal et ce qui est senti ; ce qui
paraît
partir d’idées arrêtées et d’une bouche convaincu
l n’y avait personne dans la maison que moi, ma femme et ma fille qui
paraissait
prête à rendre le dernier soupir. Ma femme et moi
ui m’accompagna, mais aussi celle de ma fille, bien que celle-ci nous
parût
près d’expirer ; elle chanta avec autant de force
vers la personne magnétisée, j’enlevai le fluide des oreilles , elle
parut
réfléchir un instant, comme si elle écoutait parl
r, et pour sc désaltérer, je lui fis boire un demi-seau d’eau qui lui
parut
de la bière. I.e lendemain, les coréligionnaires
. Qu’ils nous permettent de leur en signaler une application qui nous
paraît
d’une certaine importance. Les enfants sont par
s justifiables pourtant en présence d’ennemis, mais qui, là, auraient
paru
déplacées. Nous allons donner en substance les
tait réservé, et j’en remercie la Providence. « Si mes paroles vous
paraissent
téméraires, j'ai en moi ce rayon de feu divin déc
btenu ces résultats salutaires, tandis qu'ils ne sont dus (à ce qu’il
paraît
) qu’au diable qui a la modestie de ne pas se mont
naître ! Ne serait-il pas sage de chercher les lois d’une science qui
paraît
destinée à cesser d’être occulte? L’Amérique en c
r, je dois tout saisir, tout voir, tout entendre etrépéter ce qui m’a
paru
vrai,, sans cela des reproches pourraient m’attei
courtoisie ses \dées, tâchant toujours de les asseoir sur ce qui lui
paraît
le plus probable. H respecte la sincérité des pen
pose le critérium de l’analogie, l’audace de ces sublimes conjectures
paraîtra
probablement s’élancer jusqu’à la témérité. Préte
g reprend plus promptement sa circulation normale. M. Louyet, ayant
paru
croire , d'après le traitement indiqué pour les s
iste, le sang ne jaillit jamais des piqûres faites au patient ; il ne
paraît
que lorsque la sensibilité est revenue. Evidemmen
urche sans hésiter, mais il ne peut s’empêcher de dire : « Allons, il
paraît
que ma dernière heure a sonné ! » et se rue sur l
uverte en Europe, qui n’ait été faite antérieurement par la Chine. Il
paraît
que ni l’Europe, ni même l'Amérique, ne sont fond
e pas que Satan (2), l’esprit trompeur, est te Prince de l’air ? Il
paraît
évidemment, par le texte de Moïse, que cet écriva
es.) Eh bien ! cette correspondance cachée (terranée-atmosphërique)
paraît
exister pour tous, moralement et physiquement.
derniers vestiges de leur fluide. Et l’existence de ce corps aérien
paraît
être longue, puisque, en 1851, Eliphas L6vi, d’ap
èle, les yeux clos et les paupières agitées de secousses convulsives,
parut
prononcer quelques mots à voix basse, en m’annonç
dernièrement sur les médiums. Si tous les faits qui y sont relatés ne
paraissent
pas également acceptables, attendu que le narrate
t la donner en raccourci, c’est-à-dire en me bornant aux faits qui me
paraîtront
les plus dignes d’intérêt, car je ne veux pas abu
; les feuilles mêmes se faisaient remarquer, quoique plus mates. Tout
paraissait
dans une délicate incandescence ; les parties sex
ont à une silhouette sur un fond faiblement éclairé; enfin les doigts
paraîtront
avec leur propre lumière ; ils auront l'apparence
les motifs de cette détermination, que nous avons combattus, nous ont
paru
légitimes et respectables au point de ne pas nous
pas tout à fait étranger aux lecteurs de notre journal, dans lequel a
paru
de lui un discours remarquable prononcé à un de n
n'eùt-ceélé qu'à titre dubitatif : Des modifications d«l’état nerveux
paraissent
amener des perceptions insolites, qui semblent na
ns devenir pour cela tout à fait étrangère à ce monde. Et les visions
paraissaient
beaucoup mieux-à la clarté du soleil (■) ou de la
us témoigner de leur souvenir cl de leur affection? Voilà ce que me
paraissent
, dans leurs principaux caractères, les merveilles
L’esprit réside en notre âme. C’est le principe incompréhensible qui
paraît
posséder et développer les formes. Le corps, il n
e quelque émanation de l'âme avec « les facultés intellectuelles, que
paraissent
résulter cessons inestimables « du vrai, du juste
s (les plexus et leurs ganglions, la moelle épinière et i’cncéplialc)
paraissent
être des condensateurs, des magasins d’approvisio
fut impossible de découvrir la moindre fraude. Les caractères nous n
parurent
faire partie de la feuille, comme les veines et l
sincérité de notre re-« talion. « L'arbre des dix mille images nous
parut
très-vieux; son tronc, que trois « hommes pourrai
s, si l'on n'oublia pas que la parole est une principialion. (3) Il
paraît
que, pources phénomènes d’insensibilité, l'âme ag
isposé à croire; il nefaisait pas la moindre objection, aussi Home ne
paraissait
nullement le redouter. Le comte Georges est un cr
'homme. Malgré les citations pompeuses empruntées à des écrivains qui
paraissent
n’avoir pas lu la Bible, le premier point est l’a
longtemps complète, ni quant à l’arc-en-ciel qui n’aurait commencé à
paraître
qu’après le déluge, etc. Et quand môme le récit d
bruits étranges et mystérieux. « C’était étrange, mais ce qui nous
paraissait
bien plus étrange, c’était la foi que les personn
qu'il y a clairement vu les choses les plus étranges, mais ce qui lui
paraissait
plus étrange encore, c'était la foi (pie les pers
le spiritualisme, repose principalement sur trois faits généraux qui
paraissent
surabondamment établis par les expériences d’une
à tour manifester leurs opinions sur une foule de questions qui leur
paraissent
compétentes. Parfois aussi l’esprit de quelque gr
ribles et d’une efficacité qui n’était point douteusfc, mais qui leur
parut
telle alors, ils se croyaient dans cet instant co
rent qu’on doit obéir aveuglément. Cet argument tiré des auteurs leur
paraît
très-puissant, bien qu’ils reconnaissent qu’à cet
entendre sur le mur éloigné; ils devinrent de plus en plus forts, et
parurent
se rapprocher de nous. Je levai la tète pour tâch
t, se faisaient entendre en divers endroits de la chambre. Redman
paraissait
très-effrayé, et il craignit quelque mauvais tour
n’existent plus pour moi, puisque je les ai parcourues, les objets me
paraissent
être aussi près de moi que ceux que je puis touch
licures de ce mode de traitement, les menstrues, qui n'avaient point
paru
depuis vingt-trois mois, jaillirent avec abondanc
issement de laquelle je travaillais énergiquement, ne tarderait pas à
paraître
. Le 2 septembre, la malade se sentait déjà si b
jeter sa pelisse sur ses épaules, sans pouvoir se réchauffer. Home
paraissait
endormi dans l’angle d’un divan. En réalité, il é
état qui, sans être une maladie comme les affections convulsives , me
paraît
devoir y prédisposer singulièrement. Chez Home, c
’épaule droite six cercles qui conseï valent leur couleur de chair et
paraissaient
d’autant mieux tranchées sur la peau noirâtre. Ce
t eu lieu effectivement ; mais nous contestons les conséquences qu’on
paraît
vouloir en tirer. CONTROVERSE. Nous ne repr
me et du corps ; nous rappellerons seulement cette objection qui nous
paraît
sans réplique, que le somnambule, pendant qu’il d
le dernier numér«par M. Lamothe, sur un système intermédiaire , nous
paraissent
nécessiter une réfutation : ce sera le sujet d’un
ons magnétiques et spiriualistes, et c’est le premier en ce genre qui
paraît
dans ce pays des brouillards et des marécages, où
e nous traduisons du Ilandelsblad du 13 août 1857 : « Prochainement
paraîtra
un ouvrage du sieur Siemelink, magnétiseur en vil
ent traité du magnétisme dont nous avons rendu compte, vient de faire
paraître
en français un Cours théorique et pratique de mag
ts qui se produisent par de là l’Atlantique et même chez nous, et qui
paraissent
au premier coup d’œil devoir être rangés parmi ce
ite quelques beaux faits de sa pratique, produits par ce qu’il nomme,
paraît
-il, magnétisation de la matière. M. Ordinaire t
gros ou le polir davantage. Libre à eux de polir aussi celui qui leur
paraît
ne pas l’être assez . je dirai même que c’est en
ue nous employons; et qu’enfin ces faits, tout extraordinaires qu’ils
paraissent
, sont, au contraire et si l’on y réfléchit, bien
dant à M. de Mirvillc, consiste à attribuer au démon tout ce qui leur
paraît
inexplicable ; c’est vraiment vouloir déraisonner
é comme d’ordinaire, le succès a été complet, et Satan n’a pas laissé
paraître
le plus petit bout de queue... Nos démonolâtres d
ission de tels êtres n’a donc rien de contraire à l’orthodoxie. Telle
paraît
être l’opinion de M. de Résie, qui a un faible po
es, ni âmes de décédés, et disposés, sous certaines conditions qui ne
paraissent
pas contraires au salut, à être utiles à l’homme
t avec un semblable instrument. Mais si vous sortez de ce cercle, qui
paraît
tout physique, vous perdez bientôt pied , vous en
de certitude à des faits que l’on n’osait avouer tout haut, tant ils
paraissaient
extraordinaires et surnaturels. Voilà pourquoi,
incomplète, mérite d'ètre rapportée cause de certains faits qu’il m’a
paru
intéressant de faire connaître. Ils pourraient êt
à peu. Les jours qui suivirent, tout allait pour le mieux, rien ne
paraissait
l’incommoder. Le sommeil était revenu, ainsi qu’u
nt des passes du cou au bassin. Le septième jour, — le malade avait
paru
insensible jusque-là, — la douleur se déplaça et
mbulisme ; nous allons seulement rendre compte de celles qui nous ont
paru
remarquables. 1° Le sujet est posé à terre, cou
es recevoir. Mon voisin adressa les premières questions; les réponses
parurent
le confondre, et je trouvai qu’il y avait de quoi
is, semble indépendante des qualités sonores de l'objet d’où ils nous
paraissent
procéder, car, bien qu’ils frappent l’oreille com
ic à venir observer les phénomènes surprenants auxquels leur présence
paraît
donner lieu, et se soumettent de bonne grâceà tou
ce point. Mais voilà que les sons, de plus en plus forts et pressés,
paraissent
se rapprocher de nous par degrés, et enfin l’inst
brassèrent respectivement mon bras et s’y appuyèrent fortement. Il me
paraît
impossible que, dans des conditions pareilles, ce
la fréquentation habituelle de la meilleure compagnie ; son éducation
paraît
avoir été soignée, et il possède l'instruction sé
s bienfaits du magnétisme, je lui en citai plusieurs exemples qu’elle
parut
croire; je lui proposai d’en essayer, ce qu’elle
, malade depuis plusieurs mois, et privée de ce qui avait habitude de
paraître
régulièrement. Je lui dis de se rappeler l’époque
sans moyen physique appréciable, etc. On cite aussi des guérisons qui
paraissent
être dues à une action magnétique, et de prodigie
s suivants : « Je sens que j’ai bien peu de temps à, vivre; et prêt à
paraître
devant Dieu, je suis incapable d’altérer la vérit
plaindre d’un mal erratique qui lui prend tous les muscles, mais qui
paraît
avoir son siège dans le ventre et à la tète, et d
s son larynx ; elle commençait à ressentir un tremblement général, et
paraissait
en proie à de fortes douleurs. J’ai eu pitié de l
e Béranger se trouve l'Uisloire d'une idée. Le couplet suivant nous a
paru
avoir tant d’à propos, qu'on le dirait fait à l'a
me qu’il vient de publier est la reproduction des leçons qui ont déjà
paru
par fragments dans son journal. C’est un petit ma
it décrit déjà trois degrés de l'inflammation périostique. En 1839,
paraît
dans les Archives de médecine un extrait d'un mé-
ère de chronicité sur lequel ont tant insisté les auteurs. En 1855,
paraît
dans les Archives le mémoire de Gerdy sur la pe-r
et les condyles du fémur, aussi bien que les tubérosités du tibia, ne
paraissent
pas usées à un haut degré. Outre ces symptômes,
abolie. La sensibilité à la douleur est notablement émoussée ; il ne
paraît
pas y avoir de retard dans la perception. Pince-t
ur que de souffrance. La sensibilité au froid, loin d'être affaiblie,
paraît
un peu exagérée. Le B... perçoit le chatouillemen
e a du délire. Relevons, en passant, que les pan-sements n'ont jamais
paru
si peu pénibles que depuis le début du tétanos.
cette revue, déjà trop longue, par les quelques conclusions qui nous
paraissent
en ressortir. Le premier cas, observé à la Rama
grande efficacité aux injections intra-utérines, efficacité qui nous
paraît
avoir été démon-trée d'une façon évidente dans un
ues. On les voit surtout au tibia ; une incision prompte et large lui
paraît
donner les résultats les plus favorables. » Il ne
s supérieurs ou, en d'autres termes, l'incoordination ne faisait qu'y
paraître
, quand l'arthropathie est survenue. 1 Voy. hevu
n à la base du thorax, ont été les premiers symptômes; puis elle a vu
paraître
l'anesthésie et de l'affaiblissement des membres
arville et par moi. n'a été suivie d'aucune douleur, l'articulation
paraît
mieux fonc-tionner. 24 février. Une nouvelle po
Il existe donc une luxation intra-coracoïdienne. La tête de l'humérus
paraît
plus petite qu'à l'état normal. La luxation se
ce genre d'éruption. Peu élevées au-dessus des téguments, ces plaques
paraissaient
avoir une épaisseur égale; les grandes plaques ét
topsie2. —L'arthropathie observée chez la malade précédente ne nous
paraît
différer par aucun symptôme important de celle de
rougeur, ni chaleur, etc. ; et, de plus, la lésion de la moelle nous
paraît
la môme , à savoir ; lésion des cellules de la pa
aupières sont ouvertes également et les globes oculaires, au toucher,
paraissent
avoir le môme volume. Les pupilles sont nor-males
— 18G8. ... 21 — — 1871. . . . 5 — D'après ce tableau, les accès
paraîtraient
diminuer. — La suite au prochain numero. — TÉ
ppement qui n'in-téresse que l'avant-bras. En effet, les deux bras ne
paraissent
différer ni dans leur volume ni dans leur configu
que extrémité osseuse. La dépression interne qui correspond au radius
paraît
plus excavée ; cette apparence est due à la longu
us.—La dilatation du col est plus grande que pendant la vie. Le fœtus
paraît
à terme. 11 est considérablement œdématié, et sur
ande quantité d'albu-mine, 10 heures. Après la saignée, la malade a
paru
un peu éveillée: nous n'avons obtenu d'elle aucun
eur E. Rœckel. Voici les conclusions d'un travail intéressant qui a
paru
dans les derniers numéros des Archives de physiol
formation, qui d'ailleurs n'amène par elle-même aucun trouble visuel,
paraît
devoir persister définitivement. La vue devient
e brun foncé, qui se dirige vers le côté opposé de la pupille où elle
paraît
se perdre derrière l'iris. (Voy. Planche XIV, fig
han-tilly, elle est venue à Paris à l'âge de onze ans. Ses règles ont
paru
pour la première fois à dix-huit ans. Elle n'a ja
par-faite dans les muscles coraco-huméral et biceps ; ce dernier même
paraît
envoyer une expansion musculaire au mamelon qui e
s Yéclampsie puerpérale1 nous a fourni divers renseignements qui nous
paraissent
d'autant plus utiles que souvent on a établi entr
ille circonstance. « La température du corps, dit M. W. Roberts, ne
paraît
pas: élevée dans l'empoisonnement urémique. Il y
as de maladie deBright chronique que j'ai vu récemment, ce point me
parut
même plus frappant, car plus d'une quinzaine avan
che. — Les plis du front sont marqués et égaux. — Les plis palpébraux
paraissent
moins accusés à droite qu'à gauche, mais à un fai
nalée, ne sont pas dus à la répétition des accès d'épilepsie, car ils
paraissent
, au contraire, devenir de plus en plus rares. Le
e tumeurs que l'on trouve chez la femme. — Jusqu'en 1859, le squirrhe
paraît
être la seule variété de cancer décrite et observ
et enveloppe le mamelon; elle a environ les dimensions d'une noix et
paraît
légèrement nodulée. Le système lymphatique n'est
parente...» «Les cris aigus se répètent à chaque instant et le malade
paraît
à peine en avoir conscience. La moindre pression
ce la thérapeutique hydrominé-rale de ces affections. Quelques-uns ne
paraissent
citer les eaux mi-nérales que pour être complets,
flammation ait débuté par l'un des tissus de l'ovaire, ainsi que cela
paraît
dé-montré par plusieurs observations rapportées p
1/2. L'aspect général de ce membre rappelle ceux du phoque. Le fémur
paraît
ne pas exister ou être réduit à l'état rudimentai
sez li-mités. Membre inférieur gauche. — Le membre inférieur gauche
paraît
avoir une conformation normale ; il a 57 centimèt
semble qu'il existe une luxation du pied en dehors; cette disposition
paraît
être congénitale. Une particularité importante
nerfs crâniens, grand hypoglosse, spinal et facial. 11 n'y a rien qui
paraisse
étrange dans cette diffusion des lésions ; c'est,
postérieures a été plusieurs fois expressément signalée. L'altération
paraît
se développer souvent sous l'influence de lésions
« fièvre muqueuse, » qui la confina au lit pendant quatre mois. Elle
paraît
avoir eu, en même temps, ou dans le cours de la c
ses cheveux tomber en abondance, les a fait couper. Actuellement ils
paraissent
repousser avec assez de rapidité. Elle a des adén
ue le malade ne réagisse plus et laisse presser la partie malade sans
paraître
s'en apercevoir. Je ne connais pas de ces faits,
que et se coa-gule par la chaleur. Les kystes hydatiques de la rate
paraissent
être plus fréquents que les kystes séreux ; ils s
me et onzième racines dorsales. Bien que les lé-sions de la dure-mère
paraissent
aussi prononcées à droite qu'à gauclie, cepen-dan
r le calcul. L'instrument n'est pas encore terminé; aussitôt qu'il me
paraîtra
parfait et que j'aurai obtenu un succès avec lui,
nguinolent par la plaie, la torpeur a beaucoup diminué, et les forces
paraissent
plus grandes que la veille, quoique le blessé soi
onclusion à laquelle est également arrivé C. Schmidt. Depuis lors ont
paru
divers travaux intéressants à différents titres,
à tout âge ; mais elle est surtout fréquente de 20 à 30 ans ; l'homme
paraît
y être plus sujet que la femme (87 hommes, 57 fem
hommes, 57 fem-mes , d'après les cas relevés par Fehr). L'altération
paraît
plus fréquente en Allemagne et en Angleterre; mai
yens thérapeutiques mis en usage contre cette dernière, bien peu nous
paraissent
offrir quelque valeur. Les succès connus jusqu'
ucture des divers organes? 1° Où et comment se forme le pigment? Il
paraît
bien prouvé que le pigment se développe dans la r
le pied qui est dévié. — Les muscles extenseurs, fléchisseurs, etc.,
paraissent
avoir conservé leur contractilité. — Point hypere
ombreuses extravasations foncées à l'origine de la trachée. Le foie
paraît
tout à fait normal ; la rate peu gonflée, rouge b
quelques-unes des con-clusions de l'auteur : L'érysipèle épidémique
paraît
tenir à la septicémie, et doit être classé, par c
iers inférieurs du muscle sterno-cléido-masloïdien. — En un mot, elle
paraît
complètement limitée aux ganglions qui avoi-sinen
ache laiteuse large comme une pièce de deux francs. La ca-vité droite
paraît
un peu distendue ; à la percussion elle présente
de la rate est grisâtre, friable ; le pa-renchyme est plus serré, il
paraît
comme infiltré de sang noirâtre coagulé, et déjà
e 7 ou 8 jours ; la fièvre tombe, la douleur disparaît. Cette, époque
paraît
coïncider avec la réunion du pus en foyer ; alors
son égard. Le fait dont nous allons entretenir nos lecteurs nous a
paru
réunir les divers caractères propres au goitre ex
is-sance aveugle e! de servilisine absolu. Si, par hasard, l'un d'eux
paraissait
vouloir faiblir dans l'accomplissement de ses dev
e sans laisser après lui aucune fatigue. L'année suivante, en 1845,
parut
le livre de M. Moreau (de Tours), (du Hachisch et
mouvements, elle se déplace assez bien avec l'enveloppe cutanée. Elle
paraît
être très-vasculaire. Dans la moitié supérieure d
la fré-quence excessive del'ataxie locomotrice, ce chiffre devra vous
paraître
bien peu considérable. La statistique m'avait f
'arthropalhie, on a noté la coïncidence de ces troubles viscéraux qui
paraissent
se développer à la suite de l'affection médullair
parti du membre affecté, d'autant plus que les lésions de ce genre ne
paraissent
pas en général suivre une marche progressive. Enf
nné sous forme d'extrait gras (damawesc) à onze individus dont l'état
paraissait
désespéré : sept guérirent. Ces derniers avaient
rent ; elle entra enfin en pleine convalescence. L'action du hachisch
parut
consister chez elle dans une sorte d'agi-tation e
ns donner aucun détail précis sur les faits observés. Ce médicament
paraît
cependant avoir été administré avec avan-tage par
on iodée. On ne sent aucune tumeur dans la cavité abdominale. Le foie
paraît
peu volumineux. Les bruits du cœur semblent norma
niveau de l'hypochondre et du flanc gauches, une sorte de plaque qui
paraît
confondue avec la paroi abdominale. A droite, au
.. est venu de temps à autre à l'hôpital Saint-Louis. Sa condition ne
paraissait
pas changer notablement. Toutefois on avait remar
trouve englobée dans la cuirasse cancéreuse. Son tissu un peu ramolli
paraît
, d'ailleurs, sain. — Épanchement considérable de
r l'achèvement du quartier des enfants idiots. Cette assertion peut
paraître
au premier abord paradoxale, et pourtant elle e
France ASSISTANCE DES ENFANTS IDIOTS. XLVII où, jusqu'ici, on ne
paraît
pas se rendre compte de l'urgence de ces réform
s insignifiante. La tem- pérature a été prise du 29 au 31 mai. Elle
paraît
avoir subi un abaissement assez marqué sous l'i
ité d'âge d'un an. Un seul enfant, notre malade. - La conception ne
paraît
pas avoir eu lieu pendant l'ivresse. « Mon mari
reux à l'anus, pas d'onanisme avoué. Les facultés intellectuelles
paraissent
assez développées; toutefois la mémoire semble
ès. 1888. 4 jazzvie7·.- Bronchite légère. 28 février. - Le malade
paraît
devenir violent. Il riposte par des coups de po
uvant expliquer le développement du myxoe- dème, La première dent a
paru
vers le 6e mois ; les pre- mières tumeurs du co
omme des crins, en même temps que les croûtes du cuir chevelu ont
paru
. La coloration jaune de la peau de la face se ser
s grande lenteur. Elle reconnaît tout le monde, est très pu- dique,
paraît
affectueuse. Elle n'est pas jalouse. Elle est trè
, surmontée d'un méplat. Les bosses pariétales, assez volumineuses,
paraissent
égales. Le front est un peu carré, étroit ; il
chevelu est toujours envahi par une éruption eczémateuse. Le ne :
paraît
encore plus écrasé, les paupières, les joues, les
; il n'a jamais marché seul. - La parole est à peu près nulle. Il
paraît
comprendre assez bien ce qu'on lui dit, semble af
cicatrices de vaccin sur le haut des bras. La sensibilité générale
paraît
être conservée dans ses dif- férents modes. Il
e faire durcir (I). Cou.- Les glandes sous-maxillaires et linguales
paraissent
normales. Elles Mont entourées de petites boule
ant. Tandis que le dos et la région lombaire sont larges, le bassin
paraît
rétréci. La fossette coccygienne est couverte d
e. - Taille : 56 cm. ; poids : 4 kil. 800. 31 juillet. - L'enfant
paraît
venir assez bien. La peau est sèche et a, parto
et ne se tient pas sur les jambes. Son sommeil est prolongé. Elle
paraît
très sensible au froid. Les cheveux sont secs,
a voûte du crâne (2). - La quantité de liquide céphalo-rachidien ne
paraît
ni augmentée, ni dimi- nuée. La pie-mère n'offr
ntricule latéral n'est pas dilaté, sa surface est lisse; les noyaux
paraissent
normaux. 2° Hémisphère gatcche. -a) Face conv
Cervelet.- Les deux lobes latéraux sont symétriques, le lobe moyen
paraît
petit; la protubérance, le bulbe et les olives so
protubérance, le bulbe et les olives sont également symétriques et
paraissent
normaux. IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 97 Cou. Un e
s névrogliques sont relativement abondantes. La substance blanche
paraît
parsemée de corps granuleux, mais cet aspect es
e du long séjour de la pièce dans l'alcool. Le stroma névroglique
paraît
nettement fibrillaire, surtout dans les portions
les ; les grandes cellules de Pur- kinje sont très nombreuses et ne
paraissent
pas non plus altérées. En tout cas, elles ne so
et mère, mais chez les 2 grand'- mères. La tuberculose pulmonaire
paraît
jouer un rôle im- portant. Nous l'avons rencont
sinon dans tous, arrêtés dans leur développement. Les testicules
paraissent
descendre tardivement et restent petits. Les gr
sensibilité au froid. La sécrétion urinaire et la miction nous ont
paru
normales. La sécrétion sudorale, au contraire,
poils. Les règles n'apparaissent pas ou se sus- pendent après avoir
paru
une ou deux fois ; les seins ' IDIOTIE MYXOEDÉM
ue chirurgicale, ainsi que les expériences des physiologistes, nous
paraissent
confirmer la]3ai/io- clénie que nous avons donn
pour les rachitiques ». Cette dégéné- ration, au contraire, nous a
paru
fréquente chez les idiots myxccdémateux. Le c
soixante ans ou au delà. Sous ce rapport, les idiots myxoedémateux
paraissent
ressembler aux cré- tins ; mais il convient de
rise. Sur des coupes colorées, on cons- tate que la vascularisation
paraît
normale ; les cellules nerveuses sont nombreuse
l'écorce. On les trouve dans la plupart des cerveaux d'idiots; ils
paraissent
un début microscopique, de ce qu'ont décrit MM.
d à rencontrer là; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne
paraît
pas altérée. La lèvre inférieure de là scissure
oup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles
paraissent
abondantes ; à part cela l'aspect est le même q
ées ne sont pas modifiées. Les faisceaux muscu- laires eux-mêmes ne
paraissent
pas altérés. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTA
en partie à l'oeil nu par la prolifération scléreuse. Ce processus
paraît
s'être fait d'une façon chronique pour l'ensemb
s signaler. Le rôle des vaisseaux dans ces lésions déjà anciennes
paraît
peu considérable. Nous verrous chez des idiots
, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancées, et
paraissent
avoir marché du centre à la périphérie. En effe
e Purkinje, sont admirablement conservées. En résumé, les lésions
paraissent
plus marquées sur les régions postérieures de l'h
éterminant une irritation assez forte. On a dit que les vaisseaux
paraissaient
plus nom- breux à cause de l'atrophie du cervea
e réseau vasculaire tel que nous l'avons vu et fait dessiner nous
paraît
en grande partie néoforme. Observation III. - V
dérable dans les autopsies des maternités que cette opinion nous
paraît
très plausible. On peut voir sur ce sujet la th
olycycliques, réfringents, ressemblant à des corps amyloïdes et qui
paraissent
résulter de la fusion d'anciens corps granuleux
les dont les noyaux sont très gros et dont les corps cellulaires ne
paraissent
pas distincts les uns des autres. La moelle cer
normales. On retrouve un certain nombre de gros blocs graisseux qui
paraissent
dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerv
it, examinées comparativement avec celles du côté gauche, n'ont pas
paru
présenter de différence sensible. - Les coupes du
fallait sabrer et tuer tout ce qui se trouvait sur son passage. Il
paraît
qu'il voyait un chien rouge. 21 août. - Il se c
u'il tenait serrés. Les paupières s'abaissent t légèrement, mais il
paraît
se réveiller. 11 semble imiter les yeux de l'ex
des cheveux qui passent. Sa vue se brouille. Les règles n'ont pas
paru
le 22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars
rions voulu avoir des renseignements plus détaillés,. mais elle ne.
paraît
pas avoir de parents à Paris, car. son corps n'a
oule, s'apla- tissanl par la pression et contribuant encore à faire
paraître
le cou plus court. On dirait que la tête s'enfo
de la Suisse romande, lév. et août 1884). Bien que ce travail ait
paru
dans le na des Archives de Neurologie du 1" fév
e, qu'aucune description en règle n'avait été tracée jusqu'au jour où
parut
la thèse de Bravais (1). L'idée vraiment origin
st légèrement tirée à gauche. La voûte et le voile du palais nous ont
paru
symétriques. L'ouïe, le goût et Yodorat sont no
coup plus considérable que chez toutes nos autres malades et que nous
paraît
pouvoir expliquer la vive émotion éprouvée par sa
emblent plus épaisses à gauche qu'à droite ; les os malaires nous ont
paru
les mêmes. La moitié gauche du palais est légèrem
naso-labial droit, seul, est moins accentué que le gauche. Gela nous
paraît
tenir à ce qu'il existe un certain degré de contr
e verre. » La menstruation devient très-irrégulière. Les règles ont
paru
le 10 octobre dernier ; il y avait dix mois qu'el
t rien vu. En novembre etdécembre(1874),elles ont manqué. Elles n'ont
paru
que 10 fois en 1875. Durant les six premiers mois
que 10 fois en 1875. Durant les six premiers mois de 1876, elles ont
paru
deux fois et ont cessé définitivement en juin 187
du second groupe, dans lesquels la vie persiste plusieurs jours, nous
paraissent
autoriser à croire qu'il s'agit là d'une lésion d
che. — Les plis du front sont marqués et égaux. — Les plis palpébraux
paraissent
moins accusés à droite qu'à gauche, mais à un fai
signalée, ne sont pas dus à la répétition des accès d'épilepsie, qui
paraissent
, au contraire, devenir de plus en plus rares. 4
que), elle aurait été opérée au Bureau central, par Vincent Duval; il
paraît
que l'opération aurait eu pour avantage de faire
Avant 6 ans, les accès étaient surtout diurnes ; après 9 ans, ils ont
paru
de plus en plus durant la nuit. En ce qui conce
comme profondeur, mais il y en a 4 à gauche et 5 à droite. — Les yeux
paraissent
égaux. Les pupilles sont normales. Il y a un pli
auche. — Ni roideur, ni craquements dans les jointures. Toutefois, il
paraîtrait
que le pied deviendrai t un peu roide « quand le
et a été élevée au sein par sa mère. Elle a marché vers un an ; elle
paraissait
bien venir; peut-être, cependant, avait-elle quel
le a pissé au lit, de temps en temps, jusqu'à 9 ans. — Les règles ont
paru
à 12 ans ; elles ont été régulières dès le débu
ue ; les arcades sourci-lières sont assez saillantes. Les os malaires
paraissent
égaux, mais les parties molles de la joue gauche
e les aliments soient coupés par morceaux. Les fonctions digestives
paraissent
régulières.—Lepouls, compté dans la station verti
Circonférence du thorax.......... 32 33 Au palper, les seins ne
paraissent
pas différer de volume. Le droit est peut-être pl
générale est conservée dans ses divers modes. — UoiCie, la vue, etc.,
paraissent
intactes. — La parole est embarrassée, peu dévelo
tremblante. M.., a toujours été affectueuse pour ses compagnes et ne
paraît
pas avoir des habitudes d'onanisme. Relevons, c
rès le premier. — Les règles, qui se sont établies sans accident, ont
paru
quelques mois plus tard, vers 13 ans et demi. Leu
et remontait à la gorge ; elles ont été longtemps irrégulières et ne
paraissent
avoir exercé aucune action sur l'épilepsie. P..
sler-tor).1. V. 37°,7. (L'exploration a été faite sans que la malade
paraisse
en avoir conscience.) — • Vingt minutes plus lard
rs n'ont point participé à cette sorte d'accès incomplet. — Il nous a
paru
que, sous l'influence de l'extension de la main s
de spécial durant les neuf premiers mois. Octobre. — Les règles ont
paru
hier. Du 25 au 30 septembre, pas d'accès. Le 1or
on ne peut obtenir aucune réponse sérieuse. Le plus souvent, elle ne
paraît
pas être à ce qu'on lui dit. — Contracture habitu
sente ainsi qu'il suit : 1° Le menton s'incline en avant, la tête qui
paraît
s'enfoncer entre les épaules, se renverse en arri
premières formes. Les observations que nous avons rapportées, nous
paraissent
mettre hors de doute la réalité de Yépilepsie par
mettre hors de doute la réalité de Yépilepsie partielle ; elles nous
paraissent
montrer aussi, que, dans ce groupe même, il est p
vre une thérapeutique appropriée (1). (l) Les règles, chez P..., ne
paraissent
pas exercer d'action Lien notable sur les accès,
re d'abcès et de clous. A 14 ans et demi, elle était grande, forte,
paraissait
avoir 47 ou 18 ans. Elle fut placée dans une fami
se l'a produit, c'est ce que nous n'avons pu savoir. Les règles ont
paru
à 16 ans ; leur établissement a été pénible; V...
avec précaution et à petite dose. Les attaques cessent. V... mange et
paraît
revenue à sa condition normale. T. R. 38°,3. A
ui suit : A gauche, le jaune, le violet, le bleu, le vert, le rouge
paraissent
d'un blanc sale. A droite, Y... distingue toutes
ournées avec son frère, Antonio, moins âgé d'un an, qui, très avancé,
paraît
-il, lui apprenait beaucoup de choses qu'elle aura
s-vite, comme si elle manquait d'air. 3 septembre. — Les règles ont
paru
le 10r; le 2, elle a eu des attaques, et aujourd'
s ; X... n'en avait pas eu depuis le 6. 7 février. — Les règles ont
paru
le 4; elles ont coulé assez bien jusqu'à ce matin
jusqu'à 8 heures ce matin, même état ; pas d'attaques. Les règles ont
paru
hier. — De 8 à onze heures, 30 attaques. Disparit
; arrêt définitif par le nitrite d'amyle. 20 mars. — Les règles ont
paru
hier. — Accès de colère, à la suite d'une contrar
des accès oVépilepsie, nous n'avons aucun souvenir d'avoir vu l'écume
paraître
dès le début de l'accès : c'est là, croyons- b)
verse avec son amant, le rassure au point de vue de la police, car il
paraît
inquiet. « Ecris toujours à l'adresse que je t'ai
a! Continue (Air et ton impératifs). Dis-le moi tout de même. » (Elle
paraît
écouter attentivement ce que lui raconte son frèr
ns lequel elle parle de son escapade et des scènes un peu légères qui
paraissent
avoir eu lieu. Puis, elle revient sur sa mère, su
it pas.. . Je te dis que Monsieur est parti (ter). .. Elle regarde et
paraît
voir quelqu'un : « Je t'aime bien (ter).. . 11 se
s toutes les périodes qui constituent les attaques complètes. Il nous
paraît
inutile de revenir sur ce sujet, afin de pouvoir
Yéther est administré aux hystériques, en dehors des attaques, il ne
paraît
déterminer que l'hystérie gaie. (2) Démon de se
« ... La Mére Prieure étant venue sur les rangs, le » Démon Balaam
parut
d'abord, mais qu'aussi-tôt il fit » place à Isaac
u 16 décembre. Les accidents convulsifs, maniaques, etc., n'ont point
paru
influencés d'une façon particulière par les menst
it pour déterminer des tressaillements ou des mouvements du corps qui
paraissent
involontaires, mais qu'on peut ordinairement fair
jà; elle était frappée de sa ressemblance avec Camille, mais cela lui
paraissait
impossible. 20 octobre. — M. X... n'est pas ven
efois, n'a plus de battements de cœur aussi violents.— Les règles ont
paru
du 9 au 10 novembre et du 26 au 27. Les visites
j'étois au Ménil-Iourdain : » Boullé (le vicaire) et sa grande amie y
parurent
, et » nous estions auprès du cadavre de Picard, o
ffroyable grande comme vn cheval; et je » croy que c'est la mesme qui
parut
après en l'air vers » la Court de la Maison de Lo
s les mains ; à se rendre dans cet état à la cathédrale de Cordoue, à
paraître
sur un échafaud dressé pour la cérémonie de son a
ution de la corne d'Ammon, dit-il, la substance grise corti- cale
paraît
quitter la surface de l'hémisphère pour devenir
la corne d'Ammon. » «... Mais avant de dis- LA CORNE D'AMMON. 11
paraître
elle se met en rapport avec une traînée de subs
e loi générale, à savoir que sur ce cerveau lisse, c'est-à-dire qui
paraît
sans circonvo- lution quand on n'examine que se
manière accessoire et avec diverses lacunes, de sorte qu'il nous a
paru
nécessaire de reprendre cette étude à notre poi
les suivants d'après des encéphales de rongeurs; mais la série nous
paraît
avoir été, dans ces conditions, suffisamment dé
figure 17 (lapin à terme) ce stratum est apparu (en b), et il nous
paraît
inutile de donner de cette figure toute autre d
écédemment citée, rédigée en juin der- nier par le malade, celui-ci
paraissait
absolument esclave de ses appétits anormaux ; c
bleau symptomatique complet du myxoedème. De son côté, Thaon fait
paraître
dans la Revue mensuelle un travail d'ensemble i
nt épaissie et le corps thy- roïde à peine marqué. La peau du tronc
paraît
fine, d'un blanc mat, résistante sous le doigt,
e. Partout la peau est absolu- ment glabre; la sensibilité générale
paraît
émoussée; le ^chatouillement n'est pas ordinair
attiréesur le myxoedème, de nouvelles observations ne tardent pas à
paraître
. Le z5 septem- bre 1880, Thomas Inglis1 publie
ne expression d'hébétude et perd même toute expression. La laugne
paraît
trop grande pour la bouche, sans cependant qu'i
ne renferme pas d'albumine (d=10 t 5). Le coeur bat lentement, mais
paraît
sain. La surface du corps est toujours froide a
PATHOLOGIE NERVEUSE. dessous de 60. Mais tous les organes internes
paraissent
sains. La malade a un appétit capricieux, des n
Il lui semblait marcher sur un coussin, et l'extrémité des doigts
paraissait
serrée comme par un dé à coudre. Elle éprouvait
démontrait l'existence d'une neuro- rétinite bilatérale. Les objets
paraissaient
tachés et en- tourés d'une ombre. Les pupilles
ardait fixement, une minute entière, celui qui l'in- terrogeait, ne
paraissait
pas comprendre la question ou du moins ne sacha
çon cli- nique de M. le professeur Charcot que M. de Ranse a fait
paraître
dans la Gazette médicale, de Paris (n° 51, 1880
e supérieur ou inférieur droit, on voit la face grimacer; le malade
paraît
donc sentir la douleur à droite; la même expéri
'symptômes attribuables'à'la syphilis céré- t brale. Si étrange que
paraisse
le fait; en effet, diverses observa- 'tions ont
ppuration qui succède à la; lésion.'Plusieurs malades, dont,,l'état
paraissait
1 désespéré, Ont été sauvés par ce traite- ment
les divers âges que l'hémorrhagie cérébrale pro- prement dite. Elle
paraît
avoir été observée plus souvent chez les hommes
aires cérébrales, prédisposent à l'hémorrhagie cérébrale ordinaire^
paraissent
devoir prédispo- ser également'à l'hémorrhagie
iège mêmedel'hémorrhagie, lesphénornènes anatomo-pathologiques ne
paraissent
présenter aucun caractère, qui leur soit exclusif
s cette masse plus ou moins homogène, les cellules gan- glionnaires
paraissaient
gonflées et,comme i;énipliés déliquide : ,r, da
e second avait manifestement franchi les bornes de la normale, et
paraissait
atteint de faiblesse mentale. Le tribunal ayant d
Lorsque la première édition, des "Leçons sur- les^ phrénopa- thies
parut
en 1852, l'accueil qui lui fut fait, montra en qu
du phénomène dans son plus haut degré de développe- ment, il nous
paraît
utile d'insister un peu sur les variations qu'i
ui dure qnelques minutes. La paralysie du côté droit n'a pas dis-
paru
. Le sommeil persiste avec les mêmes caractères qu
e a mené jusqu'à l'âge adulte une vie très active. Son intelligence
paraissait
vive et sa parole était rapide, à tel point que
émoussée, au moins d'une façon appréciable. Les organes internes
paraissent
sains. A l'auscultation du coeur, on trouve un
e de potassium. Mais ce traitement, loin d'amener une amélioration,
paraissait
augmen- ter la faiblesse générale. Aussi, et co
e un inter- valle de temps assez notable, sont des faits qui nous
paraissent
mériter une attention spéciale. D'autre part l'
n l'amélioration qui se trouve notée dans plusieurs observations ne
paraît
nulle part aussi mar- quée que chez notre malad
xie pac7aderrzz jue » , créée par 31. Charcot, parce qu'elle nous
paraît
de beaucoup la meilleure. L'état de cachexie qu
étacher. La langue est habituellement large, épaisse et peut môme
paraître
trop grande pour la bouche. La mu- queuse bucca
e s'accomplissent toutes les fiteuliés intellectuelles. Les malades
paraissent
indifférents à ce qui se passe autour d'eux. Pe
lésions portant sur ce système ? L'exis- tence de ces lésions peut
paraître
très vraisemblable, mais il ne faut pas oublier
dermique. Dans l'étal actuel de la science, cette opi- nion nous
paraît
la plus vraisemblable. La marche de l'affection
ent appeler l'attention sur une manifestation cutanée qui ne nous
paraît
pas avoir été encore signalée, nous voulons par
ocalisation du DF 1,'HYSTRO -ÉPI 1,EPSIF. 169 zona, et ce dernier
paraît
avoir eu une action suspen- sive sur les manife
avons observé une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui nous
paraît
intéressante au point de vue de l'étude de l'in
it en apparence : le malade allait et venait, ne toussait pas et ne
paraissait
pas avoir d'oppres- sion ; sa voix restait fort
s 1 Extrait d'un ouvrage sur les 1\cvnosLS, qui doit incessamment
paraître
. f88 revue critique. ? r long les manifestati
telle heure ; elle convie ses amies à des danses, donne des fêtes,
paraît
gaie, animée, pleine' d'entrain ; le soir elle
r l'opium ; un jour elle force la serrure d'un placard, fait dis-
paraître
un flacon renfermant deux grammes de morphine p
rsonnes qui les entourent, et surtout les médecins, lorsque ceux-ci
paraissent
s'occuper d'elles et s'intéresser scientifiquem
si une grande mobilité d'humeur et des bizarreries de caractère qui
paraissent
étranges; coquettes et maniérées, elles éprouve
ts en faveur de la conclusion que le système des replis cérébraux
paraît
témoigner bien plus d'un excès que d'un défaut d'
d il y a dilatation pupillaire chez le tabétique; l'observation lui
paraît
plus difficile quand les pupilles sont étroites
uatre minutes. Absence d'écume à la bouche. Cet incident, qui avait
paru
provoqué la première fois par le contactd'une c
oqué par l'excitation portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui
paraît
distinguer ce réflexe cutané du réflexe tendineux
ois seulement il s'agissait de femmes. La nature du liquide injecté
paraît
sans influence, mais il n'en est pas de même de s
de la région précordiale et de la partie postérieure du thorax. Il
paraît
certain que les caillots trouvés dans le coeur
cent à l'Université de Berlin. Ce journal, dont le premier numéro a
paru
le 27 janvier, est bimensuel. Il comprend des t
upait le siège habituel ; elle avait à peu près complètement dis-
paru
le cinquième jour, et n'existait plus lorsque le
ériques, au lieu d'offrir une diminution de la sensibilité cutanée,
paraissent
présenter au con- traire une exagération de la
bilité spéciale de l'oeil et la sensibilité de la conjonctive, nous
paraît
encore trouver une preuve dans une observation
par un spasme de l'accommodation'. En somme, c'est un point qui ne
paraît
pas avoir été le sujet d'une étude bien détaill
n et de rétrécissement qui varient avec l'attitude du sujet, et qui
paraissent
dues à la nécessité du mouvement d'accommodatio
r la sen- sibilité oculaire et par l'état de la pupille, qui nous
paraissent
avoir une grande importance, pour établir l'abs
me à l'état d'isolement. En outre, ces phénomènes oculo-pupillaires
paraîtront
tout à fait caractéristiques dans l'hystéro-épi
lus profonds et par conséquent moins faciles à bien limiter ; ils
paraissent
à peu près symétiiquement placés à G centimètres
s. La physionomie est impassible et expressive à la fois, la malade
paraît
absorbée. Ce vi- sage est très vraisemblablemen
; 3° Les membres gardent les positions qu'on leur communique. Ils
paraissent
d'une grande légèreté, lorsqu'on les soulève ou
-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui
paraît
tenir des deux à la fois, et qui compte au nomb
s. Il ressort des faits que nous avons pu étudier que cet état, qui
paraît
tenir à la fois et de la léthargie et de la cat
degré des tra- bisme plus ou moins accusé , ou bien si le regard
paraît
direct, il est sans fixité et les paupières ont
e caractère d'hyperexcitabiiité et d'état cataleptiforme. Il nous
paraît
facile de saisir de quelle manière l'état catal
hénomène de l'hyper- excitabilité neuro-musculaire. Le membre qui
paraît
cataleptique n'est, en somme, qu'un membre cont
sures, les cordons de substance blanche, les cornes postérieures ne
paraissent
pas altérées. La corne postérieure gauche est u
ses modes, à droite comme à gauche. L'observation qui précède nous
paraît
remarquable à plusieurs titres. L'hémiplégie sp
mes ; les artères de la base, les nerfs, le chiasma, les pédoncules
paraissent
symétriques. Les hémisphères ne paraissent pas
chiasma, les pédoncules paraissent symétriques. Les hémisphères ne
paraissent
pas égaux; du côté droit les lobes frontal et occ
sphère droit ne me- sure que 17 c. dans sa plus grande longueur, et
paraît
moins large aussi que le gauche qui mesure 17 r
é opposé. La corne d'Ammon est aussi indurée, le ventricule latéral
paraît
normal. Le corps calleux et les corps ohto-stri
ts de ramollissement, rapportés par MM. Curcshmann et Westphal nous
paraissent
sur- tout péremptoires, et démontrent nettement
e rectilignes sont on- dulées. Il existe des fibres, très fines qui
paraissent
naître des cellules pigmentées de la substance
ne pas leur reconnaître de type spécial. Quelque asymétrique que
paraisse
être la disposition de l'écorce dans les deux h
sieurs heures. Leur apparition n'est soumise à aucune règle ; elles
paraissent
cependant plus fréquentes pendant le jour; elle
homme mort à quarante ans a eu une enfance très tourmentée et ne
paraissait
pas devoir vivre longtemps. Il se fit cependant r
e, irritable, et depuis une fièvre tpliolde n'a jamais été ce qu'il
paraissait
être auparavant. Ces faits justifient parfaitemen
ent toujours et fatalement ces troubles. A pre- mière -vue, il peut
paraître
singulier qu'un territoire cortical soit, suiva
endice. Qu'est devenu le projet d'un cha- pitre dont le titre avait
paru
fort original : « De l'hystérie dans l'art ? »
a cause la plus fréquente de la paralysie générale, mais même qu'il
paraît
incapable de l'engendrer de toutes pièces. L'er
ramenant la température de 42 à 40 puis de 40 à 38 en faisant dis-
paraître
le coma. Plusieurs exemples de guérison maintenue
r mériter la préférence. Et de fait, les arguments présentés nous
paraissent
rationnnels. P. K. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Ense
es accès; mais on n'y réussissait pas constamment, et le peu de sucés
paraissait
lié le plus souvent à une préoccupation d’esprit
erveuse, comme l'aphonie, le délire, le tremblement, les convulsions,
parurent
à diverses époques, et presque toujours à la suit
1 a dislauce et on découvre la plante au pied d’un chêne-vert. « Il
paraît
, au surplus, que les objets qui constituent la qu
ns le système vital. C’est un développement nouveau d’un travail déjà
paru
. Voici en quels termes il résume sa synthèse :
ciaire a eu lieu, dont, le résultat a été la saisie d’un poignard qui
paraîtrait
avoir quelque similitude avec celui dont le sieur
res et les regarde. Etant tombé sur un petit volume dont le titre lui
paraît
nouveau, il l’ouvre, (1) El traite de La tuile
foulards sur foulards qui lui couvraient les yeux. Une addition ayant
paru
l’embarrasser, une personne du parterre demauda à
ies, doivent aussi participer aux bienfaits du magnétisme. La société
paraît
décidée à maintenir ses traitements gratuits, mai
ôt attiré dans ce plan, dont il ne peut franchir les limites, qui lui
paraissent
comme des murailles contre lesquelles il se heurt
un enfant de quatre à cinq ans. Quoique voilée, suivant l’usage, elle
paraissait
âgée de quarante ans. Elle alla droit à 1 émir en
mes, jeunes et vieux, se présentèrent successivement. Quelques-uns ne
paraissaient
pas malades; d'autres, au contraire, la tête tris
u désintéressement avec lesquels ils remplissaient leur ministère. Il
parut
flatté de ma prévenance et de la bonne opinion qu
a nature aurait accordé à quelques-uns un si grand privilège; il uous
paraît
plus naturel d’accuser notre ignorance. C’est pou
n? Essayons encore, dit M. du Potet; et, prenant un nouveau sujet qui
paraît
sûr de lui, il le place sur l’étoile X comme les
la crainte de les produire. » Mais ce n’est pas aussi étonnant qu’il
paraît
à messieurs les gallicans. La crainte naît de l'i
ois des jours heureux!....» En effet, toutes les personnes de la noce
paraissent
, et les deux premières qui se trouvent en présenc
ntre ; nous.verrons. _ M. Thuillier de Saint-Marceau vient de faire
paraître
la Planète Leverrier, chansonnette qui contient d
iser; c’est son premier écrit. Nous l’analyserons aussitôt qu’il aura
paru
. —11 n’est plus question de l'affaire Cuny. Nou
Tribunaux; ce n’était par conséquent qu’une égratignure. Au reste, ¡1
paraît
qu’il est tout k fait remis, car il s’est marié,
de santé du 31 janvier; ils se convaincront que, tout âpres qu’elles
paraissent
, nos attaques sont modérées k côté des injures qu
rtain J'an Raymond, son 'feuilletoniste, d’attaquer le magnétisme. Il
paraît
que la Mouche ne s’est pas Itonvée le seul Hmcote
cette représentation soit contrebalancée par des intérêts opposés qui
paraissent
plus forts. Pour prévenir cet égarement do la v
peines devant être un remède, doivent avoir un terme, et ce terme ne
paraît
pas devoir se prolonger au delà de cinq ans : 1
es ordres que je lui intime mentalement. Fatiguée par un hoquet qui
paraît
avec le sommeil et disparaît au réveil, elle dema
aient aucun accident fâcheux. Celte raison est possible, mais ne nous
paraît
pas la seule; car l’éthérisation est une intoxica
, il le déclare souverainement impuissant à les guérir; mais, et cela
paraît
contradictoire, il le proclame supérieur à tout a
atin. Dénier aux écrits des magnétiseurs toute espèce d’autorité nous
paraît
, de la part d'un homme aussi éminent que M. Simon
hérapeutique, critiquant l’article du Médical Times, le premier qui a
paru
sur l’éther, dit que c’est.pour contrebalancer le
ut s’accoutumer à ce régime; elle se fit magnétiser, et tous scs maux
parurent
se dissiper. Veuve et jeune, elle se remaria; m
ns le foyer brûlant quelques verres d’eau. Chaque jour le terme fatal
paraissait
se rapprocher. Erreur 1 Dix jours se passent ains
leine cl entière, la face avait perdu sa couleur bleuâtre, et rien ne
paraissait
la troubler dans ce bienheureux repos; les al-lan
plus étonnants que, depuis six mois qu’elle était à la cour, il avait
paru
assez indifférent pour ces pâmes charmes qui, dan
ssion; son élection à la couronne de Pologne, loin de le llalter, lui
parût
un exil; et quand il fut dans ce royaume, l’absen
les gémissements; et lorsqu’ 1 fut obligé de se montrer en public, il
parut
dans le plus grand deuil. Il y avait déjà plus
était écrit fort lisiblement : 23 juin 184..., avec des initiales qui
paraissaient
effacées, et qu’il ne put reconnaître. Une tell
le magnétisme. Ainsi peu à pcn nos idées pénètrent dans les pays qui
paraissent
leur être les plus inaccessibles, ceux où le chri
eusement dans son numéro du 31 mars. — M. Lafontaine vient de faire
paraître
son Art de magnétiser à la librairie Germer-Baill
n et de l’expérimentation, comme nous le voyons, est immense, et ne
paraît
pas stérile pour le médecin attentif qui tournera
e cl qui mérite un sérieux examen. C’est que le fluide magnétique 11e
paraît
pas doué chez tous de propriétés identiques. M. L
ualité dominante du sien, adoptera la spécialité à laquelle la nature
paraîtra
l’avoir appelé. Ainsi, ceux qui posséderont l’h
guérir son enfant. Cette manière d’improviser la science médicale lui
parut
absurde, impossible, et elle s’y refusa. Mais le
lle celte séance parce que lant de lucidité en un premier sommeil m’a
paru
si surprenant, que je suis encore à me demander s
qoi s’avancait vers moi. Elle me « prend la main, l’ouvre, regarde et
paraît
surprise. « Qu’a-t-ellc d’extraordinaire? deman
e « Français laisse son héritage à ses enfants; quant aux « miens, il
paraîtrait
que leurs vertus deviendraient un «jour leur plus
la fièvre intermittente, la benoîte naît au moment où ces affections
paraissent
d'ordinaire, et donne sa graine à l’époque où ell
sition d’un ordre à l’autre et nouent les fils de la trame. L’unité
parut
Lien plus belle dès lors, puisque l'on pouvait ai
age, muet témoin, quoiqu’animé par le ciseau, le burin et le pinceau,
paraissait
joyeux comme les conviés.... Voyez comme les plus
puis, dans nos heures de repos, étudions toutes ses ressources, elles
paraissent
infinies. C’est ainsi que nous parviendrons à nou
e sur les champs de bataille, et que les assassinats de septembre lui
paraissaient
déshonorer la liberté. „ — Vous êtes trop jeune
ion, apporter à son acte de constitution tous les changements qui lui
paraîtront
utiles. Art. 36. — Le présent acte de constitut
a septième paire, des muscles du visage, et dans toutes celles qui ne
paraissent
pas liées à une affection grave de la moelle, c’e
, si ce n’est dans certains cas, où d’après l’exposé qu’on en fit, il
paraissait
quelque chose de contraire aux bonnes moeurs. A
1847. — Sous le modeste titre de Mesmer and Swedenborg, il vient de
paraître
à New-York un volume qui traite des rapports exis
s, les trémoussements le saisirent, il était sept heures un quart; il
paraissait
en proie à des souffrances extrêmes, et revenu
aule droite, où l’on peut pincer ou piquer la peau sans que la malade
paraisse
s’en apercevoir. La muqueuse nasale du côté droit
côté gauche. Du reste, à l’exception de ces phénomènes, la malade ne
paraît
pas dans un très-mauvais état : elle est gaie ; s
t la discussion sur l’intéressant chapitre de l’unité vitale, et nous
paraissent
devoir faire abandonner les épithètes restrictive
e les travaux des séances, et le tout ainsi que les circonstances lui
paraissent
l’exiger. Il porte la parole au nom de la Socié
dent et un censeur peuvent traduire les membres dont la conduite leur
paraît
répréhensible. Les peines que ce conseil peut p
es imiter, peut, sans grand labeur, produire des œuvres qui le feront
paraître
supérieur. Au contraire, lorsque nul son ne fra
assistants, elle leur dit : Vous m’écoutez tous en silence Et vous
paraissez
tres-surpris ; Vous admirez mon éloquence Et vo
ment!) Permettez : j’en demande bien pardon à MM. les savants, qui me
paraissent
bien pressés; nous le sommes un peu moins, nous,
ien. — M. le vicomte Adalbert de Beaumont se propose aussi de faire
paraître
incessamment un écrit sur la magie. Il a, comme M
il peut souvent suffire dans les deux premiers cas. « Son action ne
paraît
contrarier en rien celle des médicaments homœopat
que la présomption d’homicide est ici plus que légitime. Ce fait, qui
paraît
simple an premier abord, est cependant l’histoire
dit vulgairement Fraufel; je me retirai moi-même à la campagne. lime
parut
par notre correspondance que son séjour en Suisse
et évêque de Constance, et de défunte Thérèse Euderin , comme il nous
paraît
par son certificat de vie et mœurs, h lui délivré
au moment où l’aurore (1) Traité de la cessation des oracles. va
paraître
, comme nous l’apprend Moschus dans son Idylle de
une crise nerveuse des plus violentes et fut remise à ses maîtres. Il
paraît
que cette jeune fille allait, pendant son sommeil
ire l’état intense de sommeil puységurique, dans la majorité des cas,
paraît
très-défavorable à l’introduction générale du mes
rs mesmériseurs furent successivement employés, et le résultat nous a
paru
corroborer l’assertion du docteur Esdaile. « La
nent successivement de plus en plus accessibles à cette influence; il
paraît
que leur système nerveux est amené à un état d’im
moins ne fût faisable. Cependant, dans notre époque de doute, il me
parut
qn’nne seule conviction ne suffisait pas, ot qu’i
ue par conséquent on pouvait exiger de lui.tout ce qu’on voudrait. Il
paraissait
effectivement, au milieu de son sommeil, en proie
nant des consultations en cette qualité, et indiquant des remèdes. Il
paraît
que, depuis quelque temps, M. Mochez lui avait de
a quelques mois, sera exhumé pour en faire également l’autopsie ; il
paraît
qne la femme W... a traité aussi cette dame. Cett
en parlerons d’une manière plus explicite. PETITE CORRESPONDANCE.
Paru
. — ./toi* général. — La reprise de nos conférence
-il rien d’extraordinaire que les magiciens de Pharaon aient pu faire
paraître
au bout d’un bâton tout à coup un serpent, d’auta
Moi, penchant pour ces derniers, je me fais ce raisonnement : Ce qui
paraîtrait
s’opposer à ce que Dieu se serve d’une pythonissc
ns se soient ouvertes pour en recevoir un salaire, doit se justifier,
paraître
devant la justice. Qu’a-t-il donc fait? Hélas! ce
toutes les inflexions de force «et de sentiment dont la voix humaine
paraît
snscepti-« ble; mais, au grand étonnement de tous
i l'examinaient ne lui refusèrent pas le bonnet doctoral !... ail a
paru
, et il se publie Ions les jours, une foule d’ouvr
lui est un grand homme et l'esculape-somnamhule sans pareil. L’auteur
paraît
animé des meilleures intentions, et les sentiment
ité de pensée sur le magnétisme parmi des ministres de cultes opposés
paraîtrait
quelque chose de providentiel qui nous indiquerai
st qu’en me servant du simple bon sens qui me reste, les prophètes me
paraissent
aussi évidents, aussi nécessaires dans les premie
ême à la maison. Ce qui n’est pas le moins étrange, c’est que cela me
paraissait
tout simple dans le moment. Celte inconcevable pr
ps. On medii.au resle, que j’élais un faux prophète, car il venait de
paraître
un ordre du jour excellent pour la garde national
de Fontgibu! annonça un laquais d’une voix éclatante. Et un étranger
parut
entre les deux battants de la porte. « Nou9 éti
adressée dans un but confidentiel, mais le fait qu’elle relate nous a
paru
trop utile à connaître, et nous en avons résolu l
de vouloir bien l’admettre un dimanche à l’une de vos conférences. Il
paraissait
enchanté, et me quitta brus- quemcnt en me disa
BIBLIOGRAPHIE. Nous* avons parlé, page 160, d’un ouvrage qui doit
paraître
sous, le titre des : Arcanes de la vie future dév
our connaître si le démon intervient dans les opérations magnétiques,
paraissaient
tant soit peu gênants, il y en a encore un autre
de nouveau et la tumeur enlevée aux deux tiers sans qu’elle remuât ou
parût
sentir; mais alors elle s’éveilla et sembla recou
sible aux piqûres que je lui fis en différents endroits; le moment me
parut
favorable, et je me mis en devoir de l’opérer.
ant familière, comme on peut le voir dans mon Maniérisme in India, il
paraîtra
surprenant que je ne me sois pas mieux tenu en ga
s en pareille occurrence. On lui montra ensuite sa plaie blanchie; il
parut
à l'instant en souffrir grandement, comme tous ce
ant qui fait jaillir le feu d’un caillou, mon faible esprit aura fait
paraître
une étincelle, qui suffira, cependant, pour pénét
ans les rayons de l'intelligence les germes des facultés .mimiques ne
paraîtraient
point et ces phénomènes si brillants que nous pou
is et collaborateurs, M. Meade, nous écrit de Londres, qu’il vient de
paraître
à New-York un ouvrage fort extraordinaire dont un
-» Jluxes fromwelt. » — Le K. P. Hillarion Tissot va sous peu faire
paraître
un journal hostile au magnétisme. Les RU. PP., de
ce à MAcon de magnétiseurs el somnambules ambulants dont la sincérité
paraît
plus que douteuse. M. Ordinaire fait ressortir ce
re. Elle parle en s’agitant el chacun peut entendre des phrases qui
paraissent
sans suite, mais qui pour elle sont l’expression
t en médecine, el, de là, nous tâcherons d’émettre l’opinion qui nous
paraîtra
la plus conforme au vrai. » 1" Histoire du Magn
un rôle, son rôle, nécessaire à la perfection de l’ensemble. Et il me
paraît
, pour me servir d’une image propie à rendre ma pe
mais bientôt après tous ces commencements d’effets cessèrent, et elle
parut
de nouveau être insensible. Le troisième mois s’é
e. Le troisième mois s’écoula sans décourager mon ami, mais sans voir
paraître
les prémices du résultat qu’il poursuivait. Ali!
uniquer ces quelques idées; je ne m’y suis résolu que parce qu’il m’a
paru
qu’elles pourraient être aujourd’hui de quelque u
à cessait tout ce qui esi physique, et qu’un ordre moral commençait à
paraître
. Comme le soleil qui chasse devant lui les ombres
lu parais sans vie; dans la personne comme dans les discours rien ne
paraît
sacré ; ion sacerdoce esl devenu un inélier, el l
ntrent dans ce lieu ne semble posséder le feu sacré, el son cerveau
paraît
avoir clé desséché par l’aridilé de ses études. C
me provoquer. Le calme reparait sur son visage, elle change d’aspect,
paraît
honteuse et devient confuse. Elle a conscience de
ntenant 88 souscripteurs ; l’impression en est commencée et l’ouvrage
paraîtra
vers la mi-janvier. — Nous avons reçu les Divin
Hilarión Tissot, dont nous annoncions dernièrement la publication, a
paru
le 15 novembre, sous le titre de Journal de la Mé
mençai mon traitement magnétique; au bout de huit jours les objets me
paraissaient
plus distincts, el le brouillard que j’avais su
mènes qui éclatent dans tous les degrés de l’échelle animale et qui
paraissent
être produits par l’action de mômes organes, depu
ez quelques individus, sont rectifiées par des impulsions dont ils ne
paraissent
pas avoir la conscience. Je crois qu’il est fac
’instinct. Si la masse encéphalique se partage en circonvolutions qui
paraissent
présider à autant de modifications de l’intellect
uit n’est pas encore venu. En attendant ce moment opportun, il nous a
paru
qu’on ne lirait pas sans profil ni plaisir l’anal
ue habituels, ne présentent pas de détails importants à signaler et
paraissent
de structure normale. L'examen microscopique de
e. Il n'en était pas de même de la parésie faciale passa- gère, qui
paraît
d'ailleurs n'avoir consisté qu'en un léger abais-
être non plus rapportée à l'irritation du triju- meau, elle n'a pas
paru
avoir été unilatérale; elle présentait bien le
parésie qui aurait existé au début. Pour conclure, notre cas nous
paraît
jusqu'à un certain point remplir le desideratum
s sur lesquelles nous insisterons plus loin. Mais ces phénomènes ne
paraissent
avoir joué vis-à-vis du délire qu'un rôle effac
rochement. On remarquera encore que les hallucinations en général
paraissent
rares (du moins elles n'ont guère été enregistrée
s, etc.), qui sont transformées en hallucinations ? «Notre malade
paraît
rentrer dans la catégorie de ces prédisposés et s
de percevoir des bruits assez faibles; bien mieux, il entendait et
paraissait
comprendre un certain nombre de paroles simples
ionale des sourds-muets de Paris. III. L'exemple du jeune D... nous
paraît
justifier, dans cer- tains cas, l'admission d'e
ans, fille d'un marchand (le frère souffre d'asthme). Les règles
parurent
à douze ans ; jusqu'à onze ans elle jouissait d'u
sa voix s'affaiblissait et devenait nasillarde. Au mois de février
parut
une faiblesse des lèvres et tout ces symptômes
rrassée et la faiblesse des membres augmenta ; le strabisme interne
parut
, la malade ne pouvait pas tenir sa tête droite
'exprime par cela, que M. Eguier, en se courbant préalablement fait
paraître
, une contraction des muscles abdominaux et repous
e diaphragme dans un état d'affaiblissement; alors les entrailles
paraissent
aspirées dans la cavité thoracique et le mur abdo
et replacer ses entrailles conformément à cela de manière, que cela
paraît
qu'un grand globe se roule du haut en bas sous
avec les autres, se rencontre assez souvent; l'impulsion volontaire
paraît
se diriger de l'écorce cérébrale tout droit vers
. En 1892, il eut une gomme à la langue. En octobre de l'année 1894
parut
une névralgie intercostale du coté droit; la mê
neuses, plus de saillies ni d'enfoncements ; les veines elles-mêmes
paraissent
comme voilées ; l'impression que produit cette
inée comme la sclérose médullaire elle-même. Voilà les faits qui me
paraissent
établir nettement qu'au moins, dans certains ca
n on change son diagnostic. La vraie interprétation de ces faits me
paraît
être d'ad- mettre dans le tabes et la paralysie
t une maladie surtout caracté- risée par sa lésion, le désaccord me
paraissait
avoir un cer- tain retentissement doctrinal sur
ernier, et n'y reviendrais pas sans la critique de Huchard, qui m'a
paru
mériter une réponse. Je vous ai montré pour div
23 Tout récemment encore, dans un livre que nous avons déjà cité,
paru
depuis ces leçons, Brault étudie, dans une séri
ère grand amateur de lecture et souvent il prenait des livres qu'il
paraissait
lire aveè intelligence; mais sa mère avait rema
e a été décrite par ce professeur jusqu'à celui de sa mort, et elle
paraît
également être restée stationnaire les quatre p
de ce foyer on voit que celui-ci est beaucoup plus étendu qu'il ne
paraissait
l'être avant cet enlèvement. Il s'enfonce en effe
, le bulbe ne présentent pas de lésions macroscopiques. Ce qui me
paraît
intéressant dans cette observation, c'est le dé
gt-un ans, auquel a débuté l'aphasie, la longue durée de la maladie
paraissaient
deux conditions très favorables pour déterminer
t à de simples troubles circulatoires. Dans celle observation il ne
paraissait
pas y avoir de surdité verbale, bien que la pre
rd de très fréquentes rechutes à début brusque alors que la maladie
paraissait
évoluer favorablement; une rigi- dité musculair
l'égard des événements qui sont survenus au moment où la stu- peur
paraissait
absolument complète, et même des faits anté- ri
de la fibre. Les extrémités remar- quablement épaissies des fibres
paraissent
être souvent placées contre une cellule de la n
rations observées dans le= enveloppes du cerveau chez les alié- nés
paraissent
devoir être attribuées en grande partie à des ano
s de mariage émises par le malade : ce dernier, quelque guéri qu'il
paraisse
, rete sujet à des rechutes qui, au lieu de fair
al doit être prescrit à la dose de 1 gramme. Enfin ce médicament ne
paraît
avoir aucun effet secondaire fâcheux : si l'hél
si l'on admet la division en crétins sporadiques et endémiques. Il
paraît
s'être fort bien trouvé du traitement thy- roïd
ée d'une vue et d'un plan, de ce vaste et magnifique asile, où l'on
paraît
avoir réalisé tous les progrès récents et rempl
ification de ces recherches, quoique de prime abord, elles puissent
paraître
minutieuses et d'ordre bien technique. Nous fer
dants, suivant la situation même de leur tache scléreuse. Il nous
paraît
inutile d'entrer dans de plus longs détails pou
ulaires. Pour bien faire comprendre leur mode de formation, il nous
paraît
utile d'étudier d'abord le trajet d'une racine
des fascicules indi- vidualisés et compacts ; leur importance nous
paraît
donc secondaire. Ainsi toute racine postérieu
rs travaux faits avec la méthode des dégénérations secondaires nous
paraissent
démontrer que cette continuité est assurée par
es fascicules à chaque étage de la moelle. Chaque fascicule nouveau
paraît
prendre naissance, au moins pour les régions ce
, des fibres courtes, des fibres moyennes et des fibres longues qui
paraissent
intimement mélangées les unes aux autres, quel
la moelle. Le faisceau endogène ascendant des cordons postérieurs
paraît
moins nettement topographié que le précédent. Ses
asciculation, exogène et endo- gène, des cordons postérieurs nous a
paru
nécessaire pour appuyer notre topographie des l
ées, au prorata même de leurs altérations. Ce procédé nous a donc
paru
le procédé de choix, pour notre étude topographiq
e faisceau compact. radiculaire. Au niveau des racines, il nous a
paru
impossible de systématiser la lésion : les fibr
tuées à ce niveau, appartiennent aux fibres dites moyennes. Il nous
paraît
donc logique de conclure que les fibres radicul
'origine des racines postérieures. Les lésions interstitielles nous
paraissent
avoir une im- portance secondaire ait cours du
en- contré une légère leucocytose périvasculaire ; mais elle nous
paraît
suffisamment expliquée par la phase agonique ou p
es, les cellules (embryonnaires ou conjonctives) ne nous ont jamais
paru
en nombre suffisam- ment considérable pour pouv
ure. Elle eut ses partisans déclarés. Mais actuellement les auteurs
paraissent
être d'accord pour lui refuser toute action dir
renchymateuses sont surtout primitives. - Voyons les faits qui nous
paraissent
entraîner cette conclusion. Nos recherches on
phie considérable du tube nerveux. Le processus atrophique nous a
paru
passer par plusieurs phases. Au début, la myéline
e moléculaire de la myéline voisine. - Le tissu interstitiel nous a
paru
sain ; il n'y a pas de sclérose vraiment import
t dans le tabes médullaire. Cependant, quelques pro- babilités nous
paraissent
en faveur de la longue persis- tance du cylindr
le du tube nerveux). Les cellules des ganglions vertébraux nous ont
paru
remar- quablement intactes, même dans les cas d
stèmes cellulaires (corne postérieure, colonnes de Clarke) nous ont
paru
intacts ; dans toutes ces zones, nous n'avons c
nous permettra cependant d'exposer ici quelques faits qui nous ont
paru
ressortir de ces recher- ches cliniques. Dans
nients du système adopté par la Commission de la Chambre et qu'il a
paru
surpris de l'inter- prétation que je donnais et
t interne d'un côté avec le noyau du droit externe de l'autre côté,
paraissent
occuper les parties latéro-antérieures du faiscea
stinées à la face dorsale des deux dernières pha- langes des doigts
paraissent
courir simultanément n'importe où dans les raci
ent à dégénérer ou lorsqu'ils n'ont pas terminé leur évolution, ils
paraissent
être à l'abri de la périencéphalite chronique d
ale augmente de fréquence dans les campagnes; cette augmentation ne
paraît
pas être le fait du développement de l'alcoolis
t établis de bonne heure, et signale la forme épidémique. Peu après
paraît
la thèse de 111 ? Hélène Goldspiegel, Contributio
en les phases de la question et le point où elle était au moment où
parut
cet impor- tant travail. Troisième période. -
parut cet impor- tant travail. Troisième période. - En mars 1880
parut
la thèse de Paris, ins- pirée par J. Simon « su
t sou- vent à des troubles psychiques et digestifs. En avril 1880
paraît
la thèse de Giraud, inspirée par J. Simon. Elle
est fréquente à treize, quatorze, dix-sept et dix-neuf ans. En 1889
paraissent
les cliniques d'Ollivier, qui mettent en vue l'ur
érie simulatrice des maladies de l'encéphale chez l'enfant. A Nancy
parut
en février 1894 la thèse de Fischer « sur l'hys
lamment sentir les épines; mais que m'a-t-il répondu ? Il m'avait
paru
exorbitant qu'un collègue, occupant une situa-
mardi 29 avril dernier cette fille disparut subitement. Comme elle
paraissait
s'ennuyer à Nimes., M. Prompt supposa qu'elle s
dico-psychologique et le Congrès des médecins aliénistes. Il nous a
paru
que dans une discussion de cette nature, qui to
la fillette reprend connaissance, elle entend quand on lui parle et
paraît
comprendre ce qu'on lui dit, mais l'aphonie per-
anches. Claudication qui s'est 3110 () CLINIQUE NERVEUSE effacée,
paraît
-il, au bout de deux mois environ. Je dis : paraît
NERVEUSE effacée, paraît-il, au bout de deux mois environ. Je dis :
paraît
-il, car on avait cessé de m'appeler malgré les
te soif ardente et contrôler l'exactitude des renseignements qui me
paraissaient
tout d'abord taxés d'exa- gération, tant le chi
paralysie survient en deuxjours sans que l'état général de l'enfant
paraisse
s'aggraver, il marche en traînant la jambe. Ane
nale que l'enfant avait absorbé d'un seul Irait 1 litre de vin sans
paraître
incommodé, sans donner aucun signe d'ivresse. J
ésent, mais dans le sérum sanguin lui-même. Les résultats obtenus
paraissent
diminuer l'importance des pro- duits excrétoire
aliénés les troubles qui pourraient correspondre à ces lésions qui
paraissent
assez fréquentes. M. Sabrazès pense qu'il faut
x, soit dans, soit autour de la gaine péri- vasculaire. La moelle
paraît
légèrement atteinte dans les faisceaux descen-
italité de nature à accentuer les états hypcrsthéniques, aux- quels
paraît
se rattacher essentiellement l'hystérie, et à ame
pertrophie des pieds. En revanche le prognathisme et la cyphose ont
paru
amoindris. Du côté des urines, les auteurs ont
e et l'enveloppe. Cette tumeur est reliée par un large pédicule qui
paraît
s'enfon- cer dans l'encéphale. Privée de tout m
s sutures sont larges ; les fontanelles antérieures et postérieures
paraissent
faire défaut ou sont remplacées par l'hiatus d'où
rmale (un peu violacée le premier jour). Les fonc- tions digestives
paraissent
normales, l'enfant telle avec avidité. Les réfl
nique mentale, en médecine légale, en anthropologie. La plupart ont
paru
dans les Annales médico-psychologiques et les A
l'analyse substantielle des travaux de neurologie et de psychiatrie
parus
en France et à l'étranger. Membre de la Société
novembre 1741 : « L'évêque de Saintes marque que les femmes qui ont
paru
, il y a quelque temps, dans les assemblées reli
s fonctions de ministres et de prédicantes, continuent toujours à y
paraître
et y font la même impression. On ne crut pas de
es mêmes femmes qui y faisaient personnages continuent toujours d'y
paraître
de la même manière. En ce cas vous pourriez m'e
'urine de la journée chez un enfant de cet âge, d'autant plus qu'il
paraissait
avoir une intelligence trop obtuse pour qu'on p
crise venait de se terminer, et je trouve un beau bébé qui, certes,
paraissait
nullement souffrir, il s'amusait. Je réserve mo
ce qu'il a vu, si extraordinaires, si invraisemblables que puissent
paraître
les phénomènes offerts à son observation, surto
ontient trois, les deux autres sont plus petites, j'en.vois une qui
paraît
mieux que la grande. » Elle donna ensuite .d'au
réputation et elle est méritée : six à huit litres de vin par jour
paraît
une dose très raisonnable au paysan Archives, 2
ou maladie nerveuse dans la' famille. Cette négation ne nous a pas
paru
sincère, elle est suspecte. D'un autre côté, co
rachycéphalie d'une part, et la direction des sillons d'aulre part,
paraît
également fondé à Lugaro ; mais, comme la raiso
s heures nocturnes : la dépression est plus grande, les obstacles
paraissent
plus insurmontables et le pouvoir de résistance a
s ganglionnaires spinales. Nous avons ainsi noté des faits qui nous
paraissent
intéressants au point de vue de la pathologie g
tion du noyau. Cette chromatolyse partielle initiale ne nous a pas
paru
avoir une répartition topographique régulière et
insi lésées ont subi un certain degré de tuméfaction ; leurs noyaux
paraissent
intacts et gardent, en général, leur posi- tion
e de Basedow. Quelle est la cause de celte accélération ? Elle peut
paraître
ou bien après la paralysie du centre ou de l'ap
e alors moins étroite, quand les traitements spécifiques antérieurs
paraissent
avoir été- suffisants, parce qu'on n'est jamais
lument certain de l'absence de toute syphilis antérieure. Or, il me
paraît
absolument difficile d'avoir une certitude de c
s cas; dit Bouchard, où les névrites primaires du tabes « m'avaient
paru
être toxiques et relevaient' d'une auto- intoxi
avement, un gramme parjour, dans une infusion de valériane. Il me
paraît
, comme à Rauzier, légitime de placer le nitrate
aire, mais un phénomène secondaire. Deux processus morbides surtout
paraissent
être la cause de cette modification secondaire
ux, dans cette dégénérescence ascendante des faisceaux sensitifs,
paraissent
être de l'atrophie simple et correspondent aux mo
llait rigoureusement écarter de la construction tout ce qui pouvait
paraître
superflu. Il n'est pas inutile de noter en pass
s cas, son facteur étiologique, le plus constant dans les autres, a
paru
être la grippe. Au reste, la pathogénie de cette
, éditeur. Voici les titres des travaux relatifs au système nerveux
parus
dans cet important recueil durant l'année 1897
, de direction et de longueur normales. Par comparaison, les ongles
paraissent
petits; ils sont aplatis, élargis, striés dans le
rmulée par M. Ballet à la Société médi- cale des hôpitaux, en 1890,
paraît
par trop exclusive. M. Jof- froy, à la Société
cation anti- syphilitique, qui est basée sur une théorie qui ne lui
paraît
pas absolument certaine. SOCIÉTÉS SAVANTES..
s des faits cliniques que nous avons rencontrés dans notre pratique
paraissaient
approuver cette manière de voir, mais un seul d
ant, parce qu'il contribue à donner plus de poids à la doctrine qui
paraît
s'affermir, dans la science, sur le rôle accord
comme sur celle de l'occipital. Nous savons que le girus angulaire
paraît
intervenir dans la fonction du sens de la visio
es névroses en général dépendent de la névrose de l'estomac et dis-
paraissent
avec elle Cas de maladies cérébrales dans lesqu
lle manque dans un tiers des cas. Certains délires de per- sécution
paraissent
s'arrêter, s'améliorer et même guérir. La malad
par le Dr CHRISTIAN. Réponse à un article de M. Marandon de Montyel
paru
dans les Annales médico-psychologiques (l'Open
nément, car une nouvelle correction fit disparaître com- plètement,
paraît
-il, sa manie de gifler. Bourneville. Comité DE
avait constaté l'in- telligence paresseuse, l'esprit obtus, qui ne
paraissait
songer qu'à boire, manger et dormir, a réalisé
lication d'un certain' nombre d'appareils mécaniques dont l'utilité
paraît
fort dou- teuse en tout cas et qui présentent a
nel enseignant toute incertitude. Si, pour cette enquête, il vous
paraissait
nécessaire d'adopter une autre classification,
s enfants frappés d'imbécillité proprement dite. Ces classes nous
paraissent
devoir être consacrées aux enfants atteints : 1
ance, nous nous associons complètement à cette réclamation qui nous
paraît
justifiée. » Le Journal de médecine de Paris, l
ires. - Père, cinquante-cinq ans, homme de peine dans un lavoir. Il
paraît
plus vieux que son âge. Il a la lèle- conique e
u pied et des orteils ont peu d'amplitude. Les réflexes tendineux
paraissent
normaux ( ? ). Organes génitaux. - Bourses pend
r les autres doigts et à la paume de la main, les épais- sissements
paraissent
dus à la profession. Très souvent, le pouce, pa
eux ans et qui auraient duré chaque fois deux ou trois heures, nous
paraissent
expliquer d'ailleurs l'hémiplégie qui existe du
Il s'y joignait une perversion des instincts assez prononcée, qui a
paru
s'exagérer par périodes durant lesquelles, entr
rtir de leur apparition, La tête, qu'elle se cognait contre le lit,
paraissait
à cette époque proportionnellement plus grosse
mouve- ments de la tête du fémur dans la cavité cotyloide droite
paraissent
très douloureux. L'enfant dessine des mouvements
- vie camphrée. Au bout de deux jours, ces accidents avaient dis-
paru
et l'enfant revenait à son état antérieur. 16 a
s mamillaires sont sensiblement égaux. Le pédoncule cérébral gauche
paraît
plus large et plus épais que le droit. - La pro
e lui on note une atrophie et un aplatissement du lobe frontal, qui
paraît
même déprimé et concave au niveau du pied de la
ui avaient été le point de départ de notre travail. Nos dires ont
paru
vous intéresser. Aussi, afin de vous mettre mieux
ansver- salement. La postérieure pa- rait fermée. Les autres os
paraissent
soudés. Les bos- ses pariétales sont assez sa
les anneaux de la tra- chée et les cartilages du la- rynx. Il ne
paraît
pas y avoir de traces du corps thyroïde. Le c
chez les autres myxoedé- mateux. Thorax. En avant la poi- trine
paraît
comme carrée et bombée au niveau des régions
un bruit de souffle très intense iL la base. Ce bruit de souille
paraît
couvrir les deux temps. l'as d'accès de cyano
ntrac- ture. - La sensibilité est un peu obtuse. - Les réflexes
paraissent
normaux. Membres inférieurs. - Ils sont remar
reuse du reste du corps. Les pieds offrent les mômes changements et
paraissent
également moins oedéma- teux. La langue ne tend
quelques gouttes de sang au niveau de la vulve, dont l'ori- gine
paraissait
être interne. 14 mai. - Un gramme de glande thy
regard est en grande par- tie éteint. A la percussion, la sonorité
paraît
conservée sauf en arrière au niveau du poumon g
don. Sa mère l'a nourri jusqu'à 15 mois ; c'est vers 13 mois qu'ont
paru
les premières dents. D... commencé à parler à 1
inférieur de la même côte. Les vaisseaux huméraux droits et gauches
paraissent
nor- maux : même couleur, même calibre, etc., a
t est en retrait en avant et en arrière de l'hémisphère droit qui
paraît
bien conformé. Pas d'adhérences. Le ventricule la
e cérébral gauche, la moitié, gauche de la protubérance et du bulbe
paraissent
moins déve- loppées qu'à droite. Il en est de m
lus saillante que la droite. Par contre la fosse tem- porale gauche
paraît
un peu plus profonde et plus étroite que la dro
fosse pituitaire est normale. - Les différentes parties de la face
paraissent
symétriques ainsi que le maxillaire inférieur.
iaclue parait plus relevée que la gau- che. La fosse iliaque droite
paraît
un peu moins profonde que la gauche. Le maximum
rabisme, ni nystagmus, pupilles égales à réactions normales. La vue
paraît
bonne ( ? ). Nez mince, pas de déviations de la
u pendant un an, à de nombreuses reprises, des vers intestinaux qui
paraissent
avoir été des asca- rides. Aucune espèce d'acci
cache, a peur, ses paupiè- res battent. Quand on lui parle elle ne
paraît
pas comprendre, regarde avec hébétement. Les
tes deux moitiés de la protubérance, les pyramides et les olives
paraissent
égaux et symétriques. - La glande pinéale n'offre
terne des hémisphères la vascularisation est générale. Les sillons
paraissent
comme fermés, accolés les uns aux autres jusqu'
sont lisses et régulières. Les couches optiques et les corps striés
paraissent
normaux. Les deux lobes du cervelet, ainsi que
un groupe de six idiots avec cachexie pachy- dermique ne nous avait
paru
de nature à vous inté- resser et à vous permett
mijxoedémateuse, 1888, 1889,18 ! )0, 1801, 1805. Tous ces travaux,
parus
dans le l'roltrcs indilical ou dans les chiues
filles (vingt ans et quatorze ans neuf mois) les règles n'ont point
paru
; les seins sont rudimentaires ; les appétits s
aucun de nos six malades. La sensibilité générale est naturelle. Il
paraît
en être de même de la sensibilité spéciale, aut
M. Ferrant ! a insisté sur ce fait que la glande don- née en nature
paraissait
plus efficace que les préparations pharmaceutiq
rectal. On n'a pas remarqué d'hémorroïdes. La mère dit que l'enfant
paraissait
souffrir en urinant, qu'elle tousse parfois, es
ues différences : la langue s'est épaissie et sortait de la bouche,
paraît
-il. On ne peut préciser le début de l'épaississ
très sensible au froid, répugne à tout mouvement. L'acuité visuelle
paraît
normale, ainsi que l'audition. Il est impossibl
pproche du feu. La colo- ration jaune, cireuse, de la peau n'aurait
paru
qu'au mois de mars de cette année ( ? ). On n'a
e chute du rectum. L'attention est très difficile a fixer. L'enfant
paraît
affec- tueuse. Depuis son arrivée à Paris, elle
t retourne, ne veut pas rester couverte. 2 février. - L'enfant, qui
paraît
souffrir, pleure presque toute la journée et ne
out les personnes qui la soignent; elle est de meilleure humeur, ne
paraît
ressentir aucun malaise, dort bien; propre le j
e 1890. ;, Médication thyroïdienne. 173 colère s'éloignent. Kr...
paraît
contente de marcher seule, cherche à se faire c
ulement que le chiffre clos leucocytes éosino- philes ne nous a pas
paru
présenter de modifications, Examen du sang. 185
aire d'en tirer des conclusions définitives. Il y a des faits qui
paraissent
acquis et que nous avons signalés au cours de c
ingite. Il a pensé que les accidents étaient dus à l'alcool, car il
paraît
que l'enfant avait l'habi- tude de boire les re
mal convulsif. II. Les accidents aigus observés chez cet enfant
paraissent
s'être développés sur un état alcoolique antéri
mmeil bon; pas de cauchemars. c) Etat psychologique. L'intelligence
paraît
être norma- lement développée. L'attention el l
e poing. On ne peut l'approcher. Par moments son corps se raidit et
paraît
agité de mouvements convulsifs. 11 ne s'arrête
ue ses forces furent à bout. Il resta un quart d'heure immobile, il
paraissait
essou- né. Nous nous approchâmes de lui en l'in
, il nous écouta, se leva et nous suivit. Il resta une heure sans
paraître
faire attention iL ce que nous lui disions. 11 se
oreille gauche a persisté, mais les douleurs que l'enfant éprouvait
paraissent
avoir disparu. Juin. Même traitement : les in
nt, d'hémichoréc, d'athétose, d'épilepsie, etc. Ces travaux qui ont
paru
dans le Progrès médical, clans les Archives de
suivante, exemple typique de paraplégie spasmodique infantile, nous
paraissent
offrir un réel intérêt. SOI111AIR1 ? Père, cé
rises nerveuses de 3 à 15 ans; elle a eu quatre enfants, dont trois
paraissent
être morts de convulsions. - Rien iL noter dans
. Il continue, à- déployer une activité physique plus grande que ne
paraît
le comporter son infirmité : il affectionne les
e s'est éclairée, l'expression du regard est vague, tantôt les yeux
paraissent
normaux, tantot au contraire, ils se por- tent
t atteint d'imbécillité avec paraplégie spasmodique, dont l'origine
paraît
être congénitale. Nous allons donc relever ce q
ssant l'influence magnétique,-s’ôtaient profondément endormis. « Il
paraît
que le sieur L... voulait chèrement vendre sa déf
a de différentes parties du corps de M. L..... Chaque fois celui-ci
parut
en éprouver une commotion pénible, comparable à
algré la peine que se donnait le magnétiseur pour l’apaiser. Le sujet
paraissait
souffrir extrêmement, car il frottait ses membres
té : le cerveau ne sait rien de ce qui a lieu en nous-même, et ce qui
paraît
de notre volonté et d’un choix réfléchi, est exci
eurs qui croient que l'antiquité connaissait presque tout ce qui nous
paraît
nouveau. Le Siècle publie un feuilleton intitulé
er sa chambre, lorsqu’il aper- çut qu’elle avait les yeux fermés et
paraissait
profondément endormie. «La jeune somnambule, ca
er agréablement sur les petits incidents des toumements de tables. 11
paraît
croire de la meilleure foi du monde qu’il a fait
n. Les mensambules se trouvent dans un état singulier dont les uns ne
paraissent
point frappés particulièrement, et qui cause à d’
me, dont la conduite n’a jamais été l’objet d’aucun reproche sérieux,
paraît
digne d’indulgence, que c’est donc le cas de lui
onté énergique. Alais les attouchements, les gestes, les paroles leur
paraissent
de puissants auxiliaires : la doctrine du chevali
ce problème. L'intervention des esprits dans cette question ne nous
paraît
pas sérieuse. Si Dieu, dans sa sagesse, avait per
vangile. «Si nous avons combattu, Y T. C., des observances qui nous
paraissent
pleines de dangers, il ne faut pas conclure de là
huit, douze, quinze jours à l’avance; et pourtant leur nom n’a jamais
paru
dans les journaux : c’est la reconnaissance qui p
ns mes élèves celui qui Toiie XIII. _ NO 183. _ 10 Mins |g., 5 me
paraissait
le plus capable de mener à bien mon projet; M. Hé
moins de densité. Cette idée, sur laquelle il revient sans cesse, m'a
paru
digne de fixer l’attention des magnétiseurs ; et
pas de chez eux sans avoir enlevé le mal de tête à leur fille, ce qui
parut
les surprendre beaucoup. Je fondais mon espérance
un verre de fort vinaigre pour augmenter sa clairvoyance. Rien ne me
paraît
plus rationnel que ce moyen, la chimie ayant démo
dont 011 s’est tant occupé l’année dernière ; et ce qui du moins nous
paraît
incontestable, c’est que consulter sérieusement l
tate des faits vraiment surnaturels, je dirai même des phénomènes qui
paraissent
absurdes à la raison sévère. Non-seulement les ta
on. 1 Le sujet, dit encore M. Bégué, malgré la force physique 3ui
paraît
l’enlever, ne sent presque pas l’impulsion des oi
tre savant confrère attribue ici à une action mflalloilifrapique nous
paraît
tout simplement dû à une soustraction de caloriqu
-mêmes cette science qui produit les prodiges dont la peinture leur a
paru
si séduisante; ils ont fait quelques pas de plus,
prix de ses travaux. A. s. MOBIN. M. J. de Rovère vient de faire
paraître
à Dunkerque une brochure destinée à populariser l
fait périr plusieurs. Elle était malade depuis un jour, et son état
paraissait
désespéré. .le la magnétisai ; elle s’est ranimée
bruits consistent en partie dans certains tapotements mystérieux qui
paraissent
indiquer la présence d’une intelligence invisible
nce de concours humain ou d’aucun autre agent visible. Ces phénomènes
paraissent
se produire, quant à ce qui a rapport à leur émis
int rassemblé, accumulé les agents qui les attirent et les forcent à.
paraître
. — Mais où sont-ils donc ces agents? — D’abor
et mèn e 011 le fait cesser. L’esprit, chez la plupart des dormeurs,
paraît
frappé de la même torpeur que le corps : quand il
, une explication qui a quelque analogie avec celle-ci, mais qui nous
paraît
avoir de plus le mérite de la simplicité, en ce q
couvrant de sa responsabilité, les magnétiseurs non médecins qui lui
paraissent
dignes de son appui. Il serait superflu d’appuy
distinction que nous sollicitons pour M. du Planty ; ceux-ci nous ont
paru
plausibles, et nous espérons que vous lui décerne
ancien et si fréquent, que tout d’abord la prétention de M. Clapier a
paru
exagéré, et un long examen a dû s’ensuivre. Maint
enir deux fois en France sans pouvoir se guérir. En résumé, il nous
paraît
évident que, quoique l’on se soit souvent servi d
ars. Elle vient en outre de fonder un journal, dont le premier numéro
paraîtra
le 15 mai. Si vous croyez que pour montrer les
aisser et à prendre, » (Paroles d’un somnambule.) ( Cette assertion
paraîtra
téméraire, sans doute, en présence des savantes d
’insu des personnes qui expérimentent, tombe devant ce fait. Celle-ci
paraît
plus sérieuse, mais n’est pas moins facile à détr
intitulé: Comment l’esprit vient aux tables (1) ? 11 n’a encore fait
paraître
que le premier numéro de son recueil. L’extérieur
forme le mot Dieu. C’est neuf, mais peu ingénieux. Le recueil doit
paraître
aux nouvelles lunes : cette formule indique-t-ell
rt de les regarder comme magiques. S’il en était ainsi, le titre nous
paraîtrait
mal choisi, et l’auteur se servirait de termes im
la littérature sur cette matière ; car il n'y a pas de mois qu’il ne
paraisse
un ouvrage soit en français, en allemand , en ang
ésulte un état particulier, l'état dans lequel les facultés de l'être
paraissent
modifiées. C’est ce qu’admet aussi M. Babinet, da
nt. (La plupart des expériences ont été faites à deux.) Ainsi Moïse
paraissait
avoir adopté la réforme orthographique de M. Mari
outenu ce rôle qui 11e me semble pas sans difficulté. Salomon, lui,
paraissait
très-porté à s’occuper des affaires privées ou do
Uc lumière cl d'amour sympathique élément, Elle impose sa loi sans
paraître
sévèro ; Quiconque en cet état la prend pour co
cience, ils nous révèlent de merveilleux phénomènes ; ils ne font que
paraître
, et déjà ils nous dépassent! Que ces précieux a
e-même, Ou l'agent de ses flots divers. Or, en ce vingt-trois mai
parut
Un homme qui dès son enfance Recherchait de toute
omme, plusieurs guérisons remarquables, mais que l'imagination créole
paraît
avoir singulièrement exagérées. A croire certaine
pour l’étude, ceux qui l’ont précédé s’empressent de l’aider : tel a
paru
M. Cahagnet, et ainsi sa venue a été accueillie.
édition de ma Physiologie, qui n’était que l’ébauche de la deuxième,
parue
il y a quelque deux ans. En 1843, j’envoyais à l’
ter, je m’abstiendrais d'en parler ici ; mais, comme 011 le verra, il
paraît
qu’elle est tout à fait indispensable. « C’étai
’entre eux, déjà un peu étourdis par ce balancement, ne se lèvent; il
paraît
qu’ils ont très-chaud, ils se débarrassent de leu
emble d’action et l’équilibre des forces. » Cette proposition ne me
paraît
pas hasardée, et je suis disposé à croire qu’elle
i qui est soumis à sa puissance. Je suis certain que ce rapprochement
paraîtra
impossible. 11 ne l’est pas pourtant, car, en réf
part n’étaient de bonne compa- Eie que dans la mauvaise, et eussent
paru
de la mauvaise as celle véritablement bonne, si e
vec soin avant son départ pour l’Egypte; ce fut sans succès, et il en
parut
inconsolable. i Que de faiblesse dans un person
e ne m’en décidai pas moins à essayer encore ce dernier moyen, qui me
paraissait
être désespéré. Nous arrivâmes à Paris au mois de
emps de vingl-et-une semaines. » u Quelque incroyable que cela nous
parût
alors, il me faut néanmoins lui donner ce témoign
comtc de Szapary. 1 vol. in-8. Paris, 1855. La deuxième édition doit
paraître
dans quelques jours. qu6 les organes intérieurs
nous étions restés au-dessous de ce que nous devions faire. Il nous a
paru
devoir aller de pair avec les Elliotson, Es-daile
ussitôt. Le 23 février, la partie externe de la cornée transparente
parut
s’éclaircir : c'est le seul point où la malade pe
tée d’une tumeur abdominale depuis 1842, laquelle tumeur a commencé à
paraître
au-dessus du pubis et s’est propagée graduellemen
région dans le bas-ventre. Depuis notre visite du lt>, la tumeur
paraît
moins volumineuse, moins dense et un peu mobile.
A part cette considération restrictive, la conduite de M. Houlet lui
paraît
(ligne d’éloges; en conséquence il le porte candi
communications avec les esprits, au moyen du fluide magnétique ; ils
paraissent
croire que tout n’est pas chimérique dans les phé
s. Il analyse parfaitement ce qu’il sait; mais comme plusieurs choses
paraissent
lui être inconnues, il arrive qu’il marche parfoi
iracle dans ce cceur simple- ! ! ! Quoique l’infusion du don divin me
paraisse
uu peu dure, je ne puis m’empêcher d’admirer les
Un fait qu’on n’a pas expliqué jusqu’ici, et qui maintenant va nous
paraître
bien simple, c’est la mortification spontanée de
n’ait un effet réel indépendant de l'imagination de l’un des deux; il
paraît
assez clairement que ces effets sont dus A une co
à un maître sorcier. Suivant tes lois absolues de la création.... U
paraît
que la création a des lois absolues et d’autres q
ôme tracer entre chaque ligne le chiffre menaçant. ;i Enfin le jour
parut
. Le colonel, se trouvant un peu mieux, sortit pou
C’est bien simple. Pour les uns, la chose est si étonnante, elle leur
paraît
si monstrueuse, qu’ils ne conçoivent pas que cela
’étant irrités, 011 eut recours à l’opium et à ses succédanés. Le mal
parut
céder un instant sous l’empire de cette médicatio
Une troisième affection compliquait ces divers états, dette dernière
paraissait
, à mon avis, la plus grave, parce que l’œil, qui
furenteontinuées deux fois par jour, jusqu'à ce que la convalescence
parut
bien s’établir. Après que les sueurs eurent dispa
ant. Les médecins, qui n’avaient point discontinué leurs visites, 11e
parurent
nullement, étonnés de la réaction qui s’était opé
tomatique; on la rencontre quelquefios à l'état de veille, où elle ne
paraît
être que de l’imitation exagérée. MM. Hébert et B
amille, qui ont voulu empêcher que d’autres ne s’en emparassent. Elle
paraît
avoir été brûlée il v a longtemps. «La somnambu
un mur; niais le lait est certain. On remarquera que ceci ne doit pas
paraître
plus merveilleux que lorsque le sujet voit la mai
r de leur corps jusque dans ses plus petits détails. L’organisme leur
paraît
transparent, brillant de lumière, plein de vie et
le pendant un temps très-court, il éprouve différentes visions qui me
paraissent
dues à la contemplation et que je regarde comme u
et encore elle disait que quand elle le tenait dans sa inain, ça lui
paraissait
comme une brillante lumière et que ça augmentait
z pour nous assurer qu’elles se rapportent à des événements réels. 11
paraîtrait
, d’après ce que j’ai vu, que la lucidité produite
t honoré confrère, Je vous transmets la relation d’une cure qui m’a
paru
digne de fixer l’attention, tant sous le rapport
jeune enfant, âgé de huit à neuf mois. Cependant, deux fois elle a
paru
faire attention à ce qui se passait autour d’elle
a) s ; il parle mieux que le précédent, mais écrit moins bien, ce qui
paraît
tenir à ce qu’il a moins d’intelligence. « Enfi
vention des esprits, et quoique les diverses évolutions des tables me
paraissent
rentrer dans le clercle des phénomènes magnétique
busdam œliise. A cette école appartient M. de Morogues. Son œuvre
paraît
le résultat d’études sérieuses et consciencieuses
et ascendant si le contact est donné par du cuivre. Le pied gauche
paraît
à M. de Morogues jouer le même rôle que la main d
eur entre dans peu de détails à ce sujet ; mais l’eau et les minerais
paraissent
rentrer dans cette catégorie. Ces corps n’ont plu
e cours d’eau produit toujours un même effet, et que la différence ne
paraît
due qu’à la distance. Ceci est hors d’analogie av
e avec toutes les lois physiques que nous connaissons; car les effets
paraissent
toujours fonction composée des masses et des dist
resque continuelle ; fièvre peu prononcée. Les fonctions ordinaires
paraissaient
se conserver assez bien. Depuis deux ans environ,
Magnétisée une demi-heure tous les jours, du 18 au 22 juillet, elle
parut
insensible à l’action magnétique ; pas le plus lé
attendue la jeta: dans un trouble extrême , à tel point que sa raison
parut
un instant compromise. Depuis ce moment se déclar
lui, l’entretint de sa famille et lui dit beaucoup de choses qui lui
parurent
fort étranges. Le ministre remarqua que son père
tait bien son père qu'il venait de voir, et qu’il ne lui avait jamais
paru
en meilleure santé. Il lui lallui un temps un peu
L’écriture est illisible pendant quelques minutes, mais bientôt elle
paraît
en lettres fort nettes, qui peuvent être tout la
uffrances les désespéraient. C’étaient surtout les anges gardiens qui
paraissaient
le préoccuper d’une manière plus spéciale. Interr
e front une flamme ; tandis que la physionomie du second est dure, il
paraît
méchant et me fait peur : c’est le démon, c’est m
térêt que les personnes qui avaient assisté à ces diverses opérations
paraissaient
y prendre, les engagèrent à donner dans la soirée
ions, injections et applications sur les parties affectées. Cette eau
paraissait
avoir pour les malades une certaine saveur aigrel
s pour les rhumatismes et les refroidissements. Le jeune somnambule
paraissait
insister beaucoup pour l’usage des fumigations de
rdinier. Le malheureux Julien venait de tuer son père. Pierre D...,
paraîtrait
-il, était somnambule; il se levait la nuit, et co
t, fait imprimer en ce moment à Toulouse un Manuel du magnétisme, qui
paraîtra
vers la fin du mois d’octobre. j. BÉGUÉ. Le G
ie formé. Les détails de cette organisation, plusieurs fois ajournés,
paraîtront
en entier dans notre prochain numéro. Chacun alor
cultés intellectuelles. Je dois néanmoins dire que jamais elles ne me
parurent
excéder les bornes de l’intelligence que je lui c
die, que je considérai dès le principe comme un cas de catalepsie, me
parut
fort grave. Je craignis pendant longtemps pour ce
ys chauds n’avaient produit aucun changement en lui; au contraire, il
paraissait
plus jeune, mieux portant et plus frais. Ce qui n
rveuses des langues, et les détours capricieux des rivières. Tout lui
parut
disposé dans une progression mathématique : les c
état de somnambulisme, état qui lui était habituel, lors môme qu’elle
paraissait
éveillée. Tout ce qui va suivre a été observé et
’œil droit de plusieurs animaux, elle a vu une flamme bleue qui lui a
paru
être un rayon de la conscience d’eux-mêmes. Elle
ement et renouvelées de semaine en semaine. L’honorable M. Capern m’a
paru
s’acquitter de ses fonctions avec une grande inte
ait ponctuellement les ordres du comité dirigeant. Les hommes m’ont
paru
plus attentifs que les dames, aussi obtenaient-il
que les médicaments indiqués par les clairvoyants sont inutiles, m’a
paru
exagéré; je crains même qu’on néglige l’applicati
es par une personne placée à l’intérieur, et l’on entend des voix qui
paraissent
sortir, tantôt d’une des trois loges, tantôt de t
hose que lui. Cet agent merveilleux est toujours avec'moi, à ce qu’il
paraît
; et dans les travaux des cures, il met mes membre
peu de distance un grand arbre, et au-dessous le corps d’un homme qui
paraissait
mort. « Gela, dit M. Barlett, ressemble à une s
oi on se fonde pour affirmer qu’un fait, si extraordinaire qu’il nous
paraisse
, n’a pu Cire produit ni par le jeu régulier et
large élimination, 011 se trouve en présence de faits importants qui
paraissent
bien avérés et qui s’écartent des lois connues ;
dispositions principales et renferment quelques innovations «pii nous
paraissent
heureuses. Nous regrettons que, par une dérogatio
i, dans l'après-midi, environ deux heures plus tôt que d’habitude. 11
parut
entrer par la porte de face, puis se promener dan
le D' Nicolas, rédacteur de Y Union médicale de la Louisiane, a fait
paraître
, dans le n° 2 de ce journal, un article très-favo
qu’elle avait caché la veille, et quand elle ne le trouvait pas, elle
paraissait
péniblement affectée; elle faisait des efforts po
les autres personnes, il les entend également; la transmission du son
paraît
produire sur lui la même impression que dans l’ét
Le début rappelle que tout ce qui n’est pas habituel au vulgaire lui
paraît
incroyable, et que les savants n’acceptent les ph
’ai dit, foudroyer un bœuf par son moyen. Eh bien ! là dedans rien ne
paraît
maintenant extraordinaire, inimaginable, incroyab
u courant qui l’a déjà mise en mouvement, et obeisse à la volonté. 11
paraît
même qu’une seule volonté suffit, sous la conditi
ître la pensée qu’une même cause agit dans les deux cas ; mais ce qui
paraît
si simple, maintenant qu’on a la comparaison sous
nitaire. Cette composition n’a de magnétique que le titre; l’auteur
paraît
avoir eu en vue un autre objet même que le spirit
demandent qu’à croire. Cette légitime colère apaisée, l’hésitation me
paraissait
un crime. En effet, ne pas sauver un homme en pér
erses personnes honorables, dont le caractère et l'éducation nous ont
paru
une garantie suffisante en attendant que la scien
l’ai fidèlement tenue et je n’y manquerai point. Ces Mémoires, s’ils
paraissent
, ne verront le jour qu’à une époque où la postéri
pe une autre. Je fus d’abord étonné de cette ren-« contre; puis il me
parut
que tout le côté qu'il touchait « presque se refr
ns les cas les plus difficiles. Doué d’une grande puissance, son rôle
paraît
être de produire des faits physiques ; il excelle
ette femme la puissance d’arracher un élu du Paradis pour la forcer à
paraître
sur cette terre. « — Ce n’est pas à cette femme
ripteurs recevront, en compensation des trois numéros qui restaient à
paraître
pour compléter l’année, l’analyse de l'ouvrage de
l'Institut de Radiologie médicale. Dans ces derniers temps on a vu
paraître
des nombreux travaux sur le gigantisme et la li
t un véritable géant, il mesurait au moins 1 m. 95 de hauteur et il
paraît
qu'il était un homme assez vigoureux et bien po
remarquable existant entre les dimensions de la boîte crânienne qui
paraît
petite en comparaison du développement de la pa
u à ma connaissance se rapporte au cas de MM. Franchini et Giglioli
paru
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
s, celte question n'est pas élucidée et que dans le dernier travail
paru
sur cet argument, celui de Franchi ni el, Gigli
la conclusion qui se dégage du travail de MM Thibierge et Gastinel
paru
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière d
stant à la Clinique Médicale Générale. Une note que M. Bauer a fait
paraître
tout récemment dans la Presse Médicale (4 décem
assez largement dans mon mémoire sur l'Infantilisme du type Lorain,
paru
en 1908 dans le numéro h de la Nouvelle Iconograp
ujets dont il rapporte l'histoire, des conclusions auxquelles il me
paraît
difficile de souscrire. Nos trois infantiles, d
ionomie de cette jeune fille ne semble pas celle d'une enfant, elle
paraît
même porter plus de 15 ans. Son corps ne semble
du pied. Autrement on ne remarque rien de pathologique, sauf qu'il
paraît
atteint de tuberculose, vu son abcès froid et s
ètres, la longueur du pied = 13 cm. 5. , Les épiphyses des os longs
paraissent
assez volumineuses ; les diaphyses, n'offrent p
ait beaucoup rire par ses plaisanteries ses spectateurs chinois. Il
paraissait
mener une existence indépendante, du moins les
ntérieure delà cuisse droite. (Quant aux douleurs du ventre qui ap-
parurent
quelques années auparavant, on ne peut pas fixer
a tumeur médullaire au niveau des VIlle-IX" segments dorsaux nous a
paru
le plus probable. Nous avons cru devoir faire u
d'hémiplégie organique dans le membre inférieur paralysé. Peut-être
paraît
-il inutile d'insister sur ce sujet de- puis que
le diagnostic de lèpre parce que le cubital, ordinairement atteint,
paraît
intact, tandis qu'une paralysie typique in- diq
me on peut en juger parfaitement par la photographie (PI. XI) où il
paraît
à côté de sa mère. Je dois dire qu'il est très
int pendant une semaine. Après une huitaine, cet état fiévreux dis-
parut
, mais la mère s'aperçut que l'enfant présentait e
bas de la montagne. Selon les renseignements donnés par la mère, il
paraît
que les phénomènes d'atrophie musculaire, début
nts, etc. L'examen du goût a été pratiqué d'une façon sommaire ; il
paraît
pourtant qu'elle soit encore capable de disting
s soeurs. L'examen de la sensibilité dans le domaine de la Ve paire
paraît
normale. Marguerite réagit à la piqûre de même
tion des épaules est normal. Les mouvements inspiratoires du thorax
paraissent
aussi tout à fait normaux. La respiration se fa
aucun degré d'anesthésie thermique. - La sensibilité à la douleur
paraît
encore bien conservée. Pour ce qui a trait à la
lation artérielle et veineuse. L'action des muscles sphinctériens
paraît
assez bien conservée ; à l'examen des urines, o
normale (lu-15 à la minute). La sensibilité subjective n'a jamais
paru
altérée. Examen des réactions électriques. Nous
en un peu relâchés ; la sensibilité dans le territoire du trijumeau
paraît
normale. Le réflexe massétérin est très exagéré
que sa soeur lui donne de temps en temps. Son affectivité pourtant
paraît
encore un peu conservée. Elle se met à pleu- re
ns les pieds d'Aurélie. Sur la photographie (V. PI. XII), les pieds
paraissent
très volumineux, mais ce fait, qui ne correspon
it la sixième de la nichée. Elle aussi fût allaitée par sa mère. Il
paraît
que Elisabeth aurait montré un développement phys
r que l'ouïe chez nos trois malades a été complètement épargnée. Il
paraît
de même que le goût et l'odorat sont assez bien
partout l'état des sensibilités superficielles et profondes nous a
paru
absolument normal. La sensibilité subjective au
re importance à une dépense excessive d'énergie (surmenage). Il m'a
paru
dans cet état des choses pouvoir ranger cette mal
bjective. 9. La main droite est violacée ; toutes les articulations
paraissent
gonflées. La température de la main est normale
s se sont accentués. Les articulations des doigts de la main droite
paraissent
ankylosées ; la peau des doigts est luisante, lis
ais sa flexion est limitée. L'articu- lation métacarpo-phalaugienne
paraît
normale. Comme autre déformation, on note la fo
uccession des divers symptômes et la lenteur de leur évolution nous
paraissent
plutôt en rapport avec une lésion de nature inf
tes inférieures. Dans ces régions la sensibilité douloureuse a dis-
paru
; depuis les dernières côtes jusqu'aux VA et IVe
ses néoplasiques qui entourent la dure-mère sont peu graves et dis-
paraissent
tout à fait. t. En effet dans le cas décrit par
ue-là que peu d'éléments pathologiques. Citons les nombreux travaux
parus
sur la rage expérimentale, sur la fatigue prolo
ie d'altérations de la subs- tance corticale. Parfois les lésions
paraîtront
minimes et ne seront bien mises en évi- dence q
phisme rouge et seulement deux avec le dermographisme blanc, ce qui
paraît
indiquer la rareté relative de ce dernier phénomè
2 ( ! ). Les auteurs (2) qui ont écrit ultérieurement sur ce sujet,
paraissent
ignorer la coexistence des deux dermographismes
n, à la longue, de rétractions fihro-tendineuses, cette contracture
paraît
impossible à celui qui ne pré- sente pas une pr
ade de l'étendre en vous opposant à ce mouvement; lorsque le malade
paraîtra
donner tout son effort, lâchez brusquement; sur
mais peu entreprenants quoiqu'on les trouve volontaires. L'un d'eux
paraît
lymphatique, un autre a traversé heureusement u
u de la vie pèsent-ils sur son attitude ? Si logique'que cette idée
paraisse
, elle supporte deux objections. Il faudra d'abo
que la III". Les phalanges sont normales. L'ombre osseuse nous a
paru
peu modifiée.Cependant,sur les deux radiogra- p
n trajet ascendant sur les dos du pied (lig. 1). Le deuxième orteil
paraît
« s'enclaver comme un coin entre le gros orteil e
AIRE 259 Le front est haut, énorme et saillant en avant ; le visage
paraît
petit, quoi- qu'il ne le soit pas, en comparais
ières il forme des proéminences très accentuées. Cette accentuation
paraît
encore plus grande à cause de la forte lordose
une tubérosité. Le chapiteau huméral, dans l'articulation radiale,
paraît
moins développé que de coutume. Il en résulte u
ent réfutées dans une belle monographie de M. le Dr Lévi, récemment
parue
dans cette Revue même ; l'auteur, en dernière a
our des causes mécaniques résul- tant de sa conformation même. Il
paraît
désormais acquis que des troubles digestifs peuve
utres qui ont été oubliés dans la bibliographie de M. Lévi, ou sont
parus
après J APERT. Nouvelle Icon. de la Salpêtrière
s, d'autant plus que deux importants mémoires sur ce même sujet ont
paru
, il y a à peine quelques mois, dans ce même pério
aractères intrinsèques qu'elle présente à notre observation ne nous
paraissent
pas ceux absolument typiques de la maladie de P
étiques s'améliorèrent beaucoup. Une quinzaine de jours après réap-
parurent
de nouveau ensemble la céphalée et les douleurs o
gauche de la face reste presque immobile, La langue, à sa place, ne
paraît
pas déviée ; elle ne peut pas bien sortir et alor
sclérose initiale ; dans le second cas, quatorze mois après. Il me
paraît
superflu de devoir démontrer que dans les deux
lo-rachidien déposent sûremenl en faveur d'un tel diagnostic. Il me
paraît
au. contraire plus utile de rechercher les facteu
'ennuis, un individu atteint de syphilis. Un soupçon de ce genre ne
paraîtra
pas puéril, si l'on pense que Nonne lui-même, apr
firmer que le membre gauche fut plus touché que le droit. Il nous
paraissait
pourtant étrange que les troubles sensitifs fusse
niveau le groupement des cellules nerveuses redevient normal. Elles
paraissent
pourtant très pâles (pathologi- quement ? ).
ée alors dans notre service où elle est restée pendant trois mois. Il
paraît
que sous l'influence du traitement (bains, mass
IÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 347 Quelque temps après la malade,
paraît
-il, a perdu complètement et tout d'un coup la p
moelle épinière. 348 FLATAU Certains symptômes pourtant nous ont
paru
assez étranges, et surtout la- perte rapide de
sont moins denses que dans la pariétale ascendante, où les cellules
paraissent
plus serrées et plus nombreuses. En effet, la s
ténuant progressivement leur coloration. Ces deux derniers systèmes
paraissent
dépendre, le premier des rameaux récurrents du
sibilité à la peau de la partie inférieure de la fesse. Le deuxième
paraît
ressortir au réseau d'épanouissement des branches
tous les derniers inter- costaux, est plus régulière qu'elle ne le
paraît
à première vue ; elle correspond précisément su
antérieurement rapportées. Le type névritique continue donc à nous
paraître
le plus fréquent au thorax, de même qu'à la fac
a topographie névritique, de sorte qu'une portion seulement du nerf
paraît
intéressée ; c'est le cas notamment pour les bran
ant (n° VI) nous parait plutôt d'origine myétitique. Sa disposition
paraît
bien recouvrir la partie interne des deux zones
on des anastomoses des intercostaux voisins). Et cette origine nous
paraît
interpréter la très intéressante observation 6 de
mations, dont le cas le plus remarquable,absolument schématique, me
paraît
être la neuro-fibromatose observée par MM. Si-
ent vasculaire, mais qui d'après les considérations ci-dessus, nous
paraissent
pouvoir relever aussi du développement de deux
marcher, les troubles recto-vésicaux, etc. Ce qui, au contraire, me
paraît
digne d'une démonstration plus pé- remptoire, c
sent avoir une'impor- tance particulière. Un dernier fait, qui me
paraît
présenter quelque intérêt, est la possi- bilité
Le bassin est infantile, étroit et haut. Les- membres supérieurs
paraissent
longs ; les épiphyses sont un peu grosses. Le
s cheveux sont noirs ; la peau est foncée : ses parents sont aussi,
paraît
-il, 'très bruns. L'amaigrissement déjà grand il
ra- tion est faible. Les battements du coeur sont normaux. Ce qui
paraît
dominer actuellement c'est la cachexie tuberculeu
as, à ce degré léger un fait pathologique (PI. L). 440 CHEVALLIER
parut
après trois semaines. Nourri au sein, le bébé eut
sens. La tête du deuxième méta- carpien est aussi élargie, la glène
paraît
plus étroite que normalement. A la main droite,
courts. Le maximum des lésions osseuses (modifications de l'ombre)
paraît
siéger au niveau du métacarpien le plus court.
uatrième ; les tètes sont très claires, à fines cellules; les bases
paraissent
creusées de larges alvéoles mal remplies de tra
es grandes articulations prennent plus d'amplitude. Peu à peu réap-
paraît
la sensibilité (du côté droit dans le sens descen
r dorsal. On ne constate pas de tumeur extramé- dullaire. La moelle
paraît
large. L'absence complète du liquide céphalo-rach
. ' Dans une monographie bien connue sur les affections médullaires
parue
en 1874, Leyden a émis l'opinion que lorsqu'il
ration se faisant au sein du tissu nerveux ramolli). Un fait nous
paraissait
assez étrange, à savoir que dans certains cas,
retrouvera dans la collection de ce recueil, d'intéressants travaux
parus
sous son nom, tels que : Héartatomyélie du cône
e pseudo-bulbaÏ1'e, la Gangrène des extrémités, etc., ont également
paru
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
temporalis supel'iol' est normal ; l'operculum rolandicum est dis-
paru
. Une partie des fibres de l'ol)ei-c ? tl2tîîi des
"- dans la répétition des mots de trois syllabes et davantage. Il
paraît
donc que la répétition des monosyllabes et des
rbent en haut, s'enchevêtrent avec les radiations calleuses et dis-
paraissent
dans la zone sous-corticale. Le faisceau sous-cal
à comprimer fortement la région pariétale sous-jacente. Le cerveau
paraissait
quelque peu augmenté de volume, et les circonvo
sur l'agénésie du corps calleux est celui de Arndt et Sklarek (1),
paru
en 9903. Le cas rapporté par ces au- teurs est
hisme sont normaux ; somatiquement et psychiquement ces in- dividus
paraissent
leur âge réel. xm 35 S2( ! ` E7'TORE LEVI .
t avoir des caractères sexuels et un psychisme normal, et comme eux
paraître
leur âge réel,mais,'dans leurs tares physiques,
. Ce point que M. von Hansemann considère comme essentiel ne nous
paraît
pas acceptable, car il est toujours très difficil
icrogyries et toutes les scléroses atrophiques assez éten- dues, il
paraîtra
rationnel d'admettrequel'amoinflrissement du déve
174H, de Rensis publiait l'observation d'une femme de 30 ans qui en
paraissait
10. Elle n'était pas rachitique, mais son bassin
(ici, plus qu'en tout autre cas, cette expression de M. Meige nous
paraît
parfaite). Notre nain se différencie du sujet de
relative, est parfait. Examens locaux. - Crâne. La tête,vue de face,
paraît
absolument nor- male ; en la regardant de profi
nis ; les moustaches sont fortes et la barbe qui est rasée de près,
paraît
abondante et point clairsemée. L'expression du
est allongé et rond. La glande thyroïde est facilement palpable et
paraît
normalement développée. On ne palpe pas de glande
Etloic Levi) LA MICROSOttlË ESSENTIELLE HÉRËDO-PAMiLlALË 559 fait
paraître
les membres plus minces qu'ils ne sont, cependant
peux très réduits ne cachent aucunement le dessin des mus- cles qui
paraissent
très bien conformés ; leur tonicité et leur énerg
apparaît comme une enfant normalement déve- loppée, quoiqu'elle ne
paraisse
pas plus d'un an ; elle a l'air un peu chétif san
nue plus haut avec la racine motrice de la IIIe paire. Les cellules
paraissent
aussi nombreuses qu'à l'état normal (PI. LXIV, C)
ns on voit des lymphocytes. Sur les coupes les bandelettes optiques
paraissent
normales ; les diverses couches myéliniques du
es diverses couches myéliniques du tubercule quadrijumeau antérieur
paraissent
assez mal colorées (méthode de Pal), mais les c
IIIe paire, dans son trajet intracranien quelques très rares libres
paraissent
manquer. Les nerfs optiques et le chiasma sont
'intégrité des cellules. Les méthodes que nous avons employées nous
paraissent
cepen- dant suffisantes, et il serait bien surp
'une façon différente. Cepen- dant la morphologie de la tête nous a
paru
présenter des altérations moins marquées. Nou
oit un peu augmen- tée ; parfois elle est diminuée : ce fait nous a
paru
plus fréquent aux pieds. On peut même observer
le pas d'iné- galité entre les os d'un même segment ; les épiphyses
paraissent
norma- les. Les attributs de la puberté (qui ne
s mélapodianx entre eux. La longueur du deuxième métacarpien nous a
paru
la plus constante; le quatrième au contraire, n
ujet de l'achondroplasie : « La susceptibilité morbide du cartilage
paraît
pouvoir être héréditaire- ment transmissible, a
acarpiens (l).Bardenheuer (2) l'admet. Mais les auteurs français ne
paraissent
pas du même avis. Le cas de Malgai- gne (3) est
lique du troisième métacarpien a légèrement glissé de côté; la tête
paraît
aplatie; l'os est un peu raccourci (lésion réce
la maladie exostosique par exemple, la brachymélie métapodiale nous
paraît
avoir une origine endogène. Il n'est pas imposs
ndable par la radiogra- phie ; cet accroissement - insuffisant nous
paraît
certain au moins chez les jeunes enfants, et le
on rencontre parfois de petites pla- ques de sclérose arrondies qui
paraissent
être situées eu pleine substance blanche et ind
membrane épendymaire elle-même, qui recouvre la couche de sclérose,
paraît
par endroits comme détachée, ayant perdu son adhé
de la plaque de sclérose pro- prement dite, de petites plaques qui
paraissent
répondre, macroscopiquement, à un tissu différe
des coupes pratiquées au voisinage du ventricule, on constate qu'il
paraît
exister plusieurs variétés de plaques de scléro
arge du tissu myélinisé : ils présentent de petits noyaux denses et
paraissent
être vraisemblablement d'origine et de nature név
ez sa malade. Dans notre cas, il n'existe rien de sem- blable et il
paraît
bien difficile de savoir quelle part peut prendre
e plaques de sclé- rose au point de vue de la structure, qu'il nous
paraît
intéressant de dif- férencier. Les unes nette
ne cérébral qui en occupe environ la moitié inférieure. Ce faisceau
paraît
légère- ment atrophié bien qu'il se colore fort
ns médianes et vers le bord supérieur de l'hémisphère. 1.'avant-mur
paraît
anormalement large et se confond au-dessus avec l
xus choroïdien ou de l'épendyme. Les couches sagittales pro- fondes
paraissent
indemnes, sauf que dans quelques endroits, surtou
par une incisure et plus en dehors par un septum vasculaire qui ne
paraît
être qu'un prolongement de la toile choroïdienn
s la partie correspondante de la capsule interne. La glande pinéale
paraît
plutôt volumineuse et a été très nettement dévi
notable. La corne sphénoïdale a acquis ses dimen- sions normales et
paraît
indemne de toute altération épendymaire. En revan
le stratum calcarinum ne se détache pas avec son relief habituel et
paraît
être situé plus bas qu'à l'état normal. Le fais
curieux et plutôt intrigant. Alors que la couche sagittale externe
paraît
bien développée et normalement disposée, la cou
rien d'anormal, sauf que le tubercule cendré et le corps mamillaire
paraissent
plutôt volumineux. On note de nombreuses altérati
rée des sillons de la face inférieure de l'hémisphère, mais il nous
paraît
être plus logique de les considérer comme des î
e segment homolatéral, anormalement disposé, du corps calleux, nous
paraît
être un fait absolument incontestable. Au-dessu
'écorce au niveau des régions atteintes de microgyrie ne nous a pas
paru
différer sensiblement de celle de l'écorce normal
ues, lespotticlues, l'appareil génital est normale- ment développé,
paraît
même proportionnellement exagéré et les carac-
rmer mot par mot ce. que nous avons avancé dans notre dernière note
parue
sur cette ques- tion dans le numéro de janvier
hez les individus appartenant aux pre- mières catégories, et ils ne
paraissent
jamais leur âge réel. IV. Aussi bien la microso
surnuméraire presque normal, coïncident; une maladie intra-utérine
paraît
avoir existé au cours de ladeuxième grossesse. Ic
u XVIIIe siècle, quelques grosses fautes d'anatomie, mais il nous a
paru
intéressant de les signaler. (1) Dr E. HOLLANDE
cette constatation que Lancereaux (4) dit que « le système nerveux
paraît
jouer un rôle important dans la pro- duction de
s trois cas où les nerfs ont été étudiés liistologiquement, ils ont
paru
malades (leur cas ; celui de G. de la Tourelle
nous avons faites sur des os secs. Parmi les résultats qui nous ont
paru
intéressants, nous voulons signa- ler aujourd'h
de 1 centimètre à 3 ou 5 centimètres de diamètre, irrégulières, qui
paraissent
fermées ou communiquent entre elles (pli. V et
cin du village. Elle resta alitée pendant trois jours, sans lièvre,
paraît
-il, avec la sensation d'une gêne douloureuse da
ol. XII, 1899. (4) L. FBIIRIO, Stillh ptogi. del c.ipo.Ce mémoire a
paru
dans un recueil des travaux publiés en 19d4 dan
u livre de René Cruchet sur les torticolis spasmodiques (39)*, nous
paraît
devoir s'appliquer avec autant de justesse aux cr
aux névroses d'occupation ; mais sa classification nouvelle nous a
paru
obscure et ne nous a point semblé englober tous
utres, tant par leurs manifestations que par leur nature, il nous a
paru
intéressant de re- prendre l'étude de cette que
même en lui disant que son affection est incurable ; il nous a donc
paru
utile de grouper en un long chapitre les différen
étiologie, le terrain spécial sur lequel elles évoluent. Aussi nous
paraît
-il avantageux d'étudier en un seul chapitre l'éti
perturbation règne dans l'acte nerveux central. Cette hypothèse me
paraît
justifiée par la cli- nique. » « Existerait-i
ombre de cas de crampes professionnelles dont la cause provocatrice
paraît
bien être ainsi que le démontre le trai- tement
n rétrécissement aorti- que. Le foyer d'intensité maxima du souille
paraissait
mitral, mais cependant un peu interne par rappo
é, ne présentait aucune autre affection, et tous ses autres organes
paraissaient
normaux. Le sujet prenait depuis quelque temps de
ez les psychasthéniques; depuis quelque temps aussi son travail lui
paraissait
mal fait, ridicule, honteux ; quand elle se met
utres phénomènes enfin, les troubles vaso-moteurs et trophiques, ne
paraissent
plus avoir avec l'hystérie les liens intimes qu'o
ans le livre du Dr Portigliotti sur les Fous dans l'Art, où elle me
paraît
tout à fait à sa place. Mais, lorsque l'auteur
sairement une démoniaque ? - Il y a quelques années, le doute m'eût
paru
impossible ; aujourd'hui, il me semble inévitable
imites de son intellec- tualité sont restreintes, mais il en a été,
paraît
-il, toujours ainsi. Pas de troubles des sphinct
s à un quart d'heure, le malade demeure abattu, mais bientôt il n'y
paraît
plus. Après la crise, il n'y a pas de tristesse
l est triste, c'est qu'il a pleuré involontairement (3). Son spasme
paraît
bien sous la dé- pendance d'une lésion capsulai
st voilée, enrouée, les lèvres, les joues se contractent, le ma.ade
paraît
faire un gros effort pour parler. Lorsque l'i
UD ET ANGLADA La voix est faible, par moments presque éteinte, elle
paraît
arrêtée par une constriction delà glotte. « La
de limiter les grandes lignes de cette courte dis-' cussion, il ne
paraît
pas que la contracture intermittente présentée pa
ntée par le malade ait une allure quelconque professionnelle, il ne
paraît
pas non plus qu'il soit légitime de la considér
onc légitime de cataloguer spasme ce qui à un examen rapide pouvait
paraître
un tic, et le spasme est aussi bien facial que ce
liographie de ce mémoire qui ne comprend, en effet, que les travaux
parus
après 1905 ; il nous a semblé inutile de faire
à-dire l'abondance de l'enveloppe cutanée des mains ; celles-ci ap-
paraissent
en effet toutes ridées comme si la peau était en
légen- daires. Dans l'excellent mémoire de MM. Porak et Durante,
paru
dans ce même journal en 1905, tout ce qui regar
ent traité ce sujet dans mon mémoire sur l'infantilisme de Loi'ain,
paru
sur ce même journal (1908, nO' 5 et 6) et tout en
'ADULTE 151 BIBLIOGRAPHIE. La bibliographie comprend les ouvrages
parus
sur l'achondroplasie après 1905. ApERT. - Une
qu'il a pu en avoir. Du court exposé qui pré- cède cependant, il me
paraît
résulter qu'à une même époque, on peut observer
èce conduit celle-ci à un stade d'évolution supérieur. A priori, il
paraît
même vraisemblable de penser le simple réflexe
it qu'elle soit liée à un degré d'excitation déterminé. Mais il m'a
paru
que les choses se passaient comme s'il existait
les, lorsqu'on les rencontre chez l'homme ; non seulement il nous a
paru
apte à produire,par une complication et une exten
s. Le mécanisme réflexe suffit pleinement à cette tâche et il ne me
paraît
pas qu'il y ait lieu d'en chercher un autre. Re
manifestation de la vie intellectuelle, à tel point que celle-ci ne
paraît
pas possible sans lui. S'il fallait un acte de
on du méca- nisme cérébral, pour autant qu'elle ait quelque valeur,
paraîtra
peut-être facile et naturelle, mais n'ayant pas
être révoquée en doute, le fait, malgré l'évidence, pouvait encore
paraître
incroyable, parce qu'il était impossible de con
es qu'aux femmes de donner la vie. Voilà certai- nement un fait qui
paraîtrait
incroyable, si nous n'en avions pas chaque jour
tre assis sur une chaise en présence d'une machine intelligente qui
paraît
fonctionner d'elle-même, suivre du regard les t
tissu spongieux moins dense, à larges mailles. Les articulations ne
paraissent
pas modifiées : « Il s'agit, dit l'auteur, d'un
s, pour étudier ensuite successivement les altérations qui nous ont
paru
notables, au niveau du genou, de l'épaule et du
dans la position assise : il tombe en avant ou en arrière. La face
paraît
épargnée. Les réflexes ne peuvent être obtenus.
ent arrondie, comme émoussée. Dans cette épiphyse, le tissu compact
paraît
énormément diminué, et remplacé par du tissu sp
, oblique aussi^des plis de l'abdomen. Les quatre dernières côtes
paraissent
soudées entre elles. A droite elles ont subi un
contraire il a de l'aplatissement marqué. La muscula- ture du tronc
paraît
relativement conservée. L'abdomen comprimé entr
rement épaissis à leur partie inférieure. Les avant-bras, arrondis,
paraissent
d'un volume nor- mal ; les mains sont larges, a
ieure du radius. Les doigts de la main sont volumineux, mais il n'y
paraît
pas d'hypertrophie localisée manifeste. L'emp
raphique des myopathies ; on peut la rapprocher de celle de Raymond
parue
en 1907 dans l'Iconographie, HOPITAL MAJEUR DE
u sain. Dès l'enfance il a toujours joui d'une excellente santé. Il
paraît
toutefois que, à l'âge de 8 ans, il a été attei
rt. Etal actuel. C'est un homme de petite taille, un peu bossu, qui
paraît
plus que son âge. A l'examen on est frappé pa
ns le bassin. Le dos est très voûté, la taille est petite, les bras
paraissent
très longs et les mains descendent jusqu'aux geno
externe. Comme il a été remarqué, le raccourcissement du tronc fait
paraître
les bras beaucoup trop longs ; toutefois ils ne
le malade. L'abdomen est un peu douloureux à la palpation, le foie
paraît
augmenté de volume, en effet ses limites supéri
ET BERTOLOTTI Après les observations qui, dernièrement encore, ont
paru
sur l'ostéite déformante de Paget, nous ne croy
et nous nous bornerons à souligner les quelques points qui nous ont
paru
les plus intéressants dans cette observation en
breux partisans notamment en France où des thèses intéressantes ont
paru
à ce sujet. Nous avons soigneusement analysé le
aus). Le trouble vasculaire, la dégénérescence des petits vaisseaux
paraissent
être la cause des modifications du tissu con- j
n. Quinze ans plus tard le redressement du petit doigta cet endroit
parut
embarrassé. En 1902, la dépression parut plus m
u petit doigta cet endroit parut embarrassé. En 1902, la dépression
parut
plus marquée, les mouvements furent plus limité
gressa surtout pendant ces trois dernières années. Deux gonflements
parurent
, l'un à l'articulation phalango-phalangienne, l'a
s suivants : les appa- reils circulatoire, respiratoire et digestif
paraissent
ne présenter aucun trouble. Les urines ne conti
des. Les muscles des membres inférieurs sont atrophiés ; l'atrophie
paraît
résul- ter de l'inertie même de la malade. Le
t le tissu cellulaire sous-cutané sont distendus par un liquide qui
paraît
être entraîné dans les parties les plus déclive
. cit. INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHALGIE 287 Il
paraît
arriver très rarement que les côtes cervicales dé
e la côte cervicale ou de l'apo- phye prétendue telle, notre malade
parut
s'être rétablie complètement. Les douleurs et l
s méthodes que nous décrirons, en insistant sur celles qui nous ont
paru
le plus fidèles ; et nous nous contenterons de
sique, ou externe 1° S'il existe une lésion périphérique locale qui
paraisse
être la cause provocatrice de la crampe, un tra
d'appliquer d'une façon générale leurs méthodes spéciales ; il nous
paraît
plus logique de n appliquer ces thérapeutiques lo
ampe des ouvriers employant la pédale. La crampe des automobilistes
paraît
être la dernière venue. Mais en réalité toute p
des lé- sions scléreuses prédominantes de la capsule surrénale, il
paraît
secondaire au néoplasme de l'estomac, malgré le
se d'une embolie cérébrale, d'origine anévrysmatique. Ce diagnostic
paraissait
être corroboré parla coexistence d'une hémiplég
e redresse- ment du pied droit est impossible. ' Tous les muscles
paraissent
atrophiés. Le signe de Babinski n'existe pas. L
'infection rétrocède, les troubles névritiques s'amendent puis dis-
paraissent
. Dans ces conditions, il devient impossible de
septembre. La malade est dans un état de prostration profonde. Elle
paraît
indifférente à tout ce qui l'entoure et ne peut d
inférieurs les nerfs crural et sciatique ainsi que leurs bran- ches
paraissaient
légèrement diminués de volume. Ces nerfs ne pré
Les segments cervicaux, dorsaux et les premiers segments lombaires
paraissaient
absolument normaux, exception faite de quelques c
blocs de Nissl bien dis- tincts. Toutes les cellules motrices ne
paraissent
toutefois pas être également at- teintes par le
en nette ; lorsque l'état spumeux atteint un haut degré, la cellule
paraît
être frappée à mort (fig. I, il) ; dans ce cas la
pée à mort (fig. I, il) ; dans ce cas la structure fibrillaire dis.
paraît
complètement ; et les prolongements cellulaires s
° Racines antérieures et postérieures. - A première vue les racines
paraissent
complètement normales. A un examen plus minutieux
s de faits ontprobablement existé et ont surajouté leurs effets. Il
paraît
d'ailleurs certain que les théories de Saenger
traux. La névrite parenchymateuse limitée aux cellules à myéline
paraît
être assez rare : elle se manifeste tout partic
voisinage immédiat des lésions inflammatoires, dont la présence ne
paraît
même pas nécessaire pour leur production, certa
tre pratiquée quelques heures après lamort. Les principaux viscères
paraissent
absolument sains, à part une congestion récente
oma- lacie récente, datant au plus de quelques semaines. Les tissus
paraissent
nécrosés,le plus grand nombre des fibres nerveu
upe actuellement. Certes le trouble circulatoire existe, mais il ne
paraît
pas suffisant pour expliquer à lui seul les lésio
el que nous le présentent ces travaux et un grand nom- bre d'autres
parus
dans divers pays ? C'est ce que nous essayerons d
exactement la pression sous laquelle le liquide se trouve. Il nous
paraît
que c'est en Allemagne une méthode généralement
moelle étudiés par l'observation clinique et anato- mique où il me
paraissait
probable, étant donné la nature de la maladie,
douteuse pour les cas XXVII et XXIX. L'histoiredu cas XXVIII nous a
paru
parler, lors de l'entrée à la clinique, aussi hie
esseur Gil- bert Ballet et dans lequel les lésions musculaires nous
paraissent
parti- culièrement remarquables. Observation.
où survenaient les accidents que nous venons de décrire, la malade
paraissait
à son entourage à peu près normale et elle pouvai
demander ce qui lui est indispensable. Quand nous l'examinons, elle
paraît
demeurer indifférente à ce qui se passe autour d'
ui est unie aux organes voisins par du tissu cellulaire lâche et ne
paraît
exercer aucune compression. Son poids est de 36
int. Le coeur est petit, contracté en systole ; les cavités droites
paraissent
un peu dilatées ; elles ne contiennent que du s
aires de nerfs crâniens. Les cellules de tous ces noyaux nous ont
paru
absolument normales, tant en ce qui concerne le
Légère sclérose inter-fasci- culaire. La graisse interstitielle ne
paraît
pas augmentée. Sur les coupes colorées à l'héma
ille sous-mamelonnaire mesure 0 m. 93. La circonférence des membres
paraît
partout normale. Les mains sont volumineuses, p
t exercer sa profession de serrurier, dit y être assez habile et ne
paraît
pas faire seulement l'ajustage des pièces. Il e
e la puberté les caractères sexuels secondaires se ma- nifestèrent,
paraît
-il ( ? ), normalement, mais notre patient n'avait
de famille, la syphilis. Après la publication des cas de Bechterew,
paraissent
les observations de Strümpell et de Marie, dans
se tenait courbé ; les muscles du cou ainsi que ceux de l'omoplate
paraissaient
atrophiés ; il n'en était pas de même pour le m
ême temps qu'une gêne dans les mouvements de la colonne vertébrale,
parurent
des douleurs dans cette région. L'année dernièr
forme demi-circulaire, sont plates et, confondues toutes ensemble,
paraissent
constituer un seul os. Région dorsale. La premi
nt atrophiées, diminuées de volume, aplaties laté- ralement ; elles
paraissent
triangulaires et forment une scoliose. Quant à
le, les fentes intervertébrales n'existent plus ici ; les vertèbres
paraissent
devant plus ou moins polies et forment latéraleme
avec les vertèbres). La direction des côtes est irrégulière ; elles
paraissent
incurvées et comme tordues autour de leur axe.
ndis que les épines transversales de toutes les autres vertèbres ne
paraissent
former qu'un seul os. Il faut donc se demander,
res et des articulations, que « les articulations coslo-vertébrales
paraissent
normales ». Ces auteurs n'ont pas trouvé d'exos
vertébrale, im- possible à délimiter d'une façon précise, mais qui
paraît
certainement être deux fois plus grosse que le
t il souffre également et qui néanmoins, il un examen ordinaire, ne
paraîtraient
pas avoir eux-mêmes une très grande importance,
avant de l'articulation tibio-tarsienne. Cette néoformation osseuse
paraît
, dans son ensemble, être grosse comme la moitié
imètres. A cause de cela la bosse frontale et tout le frontal droit
paraissent
beaucoup plus saillants. Les tissus voisins ne so
es et incurvées. Presque tous les os du tronc, y compris les côtes,
paraissent
augmentés de volume à la palpation ; les mains
ssin, les mem- bres supérieurs qui, vu l'abaissement de la slature,
paraissent
d'une longueur disproportionnée, la courbure en
ndue considérable. D'autre part, l'histoire de notre malade ne nous
paraît
pas dénuée d'intérêt au point de vue clinique.
race de sen- timents affectifs. Il n'est pas négativiste. B... ne
paraît
avoir ni idées délirantes ni troubles sensoriels.
d'une façon normale. J'ai déjà insisté sur ce fait dans un travail
paru
en suédois (80). 1° La première fois que je l'a
fections. Bibliographie La bibliographie est limitée aux mémoires
parus
après la publication de la monographie de MM. L
« non encore éprouvés». Le nombre des femmes tatouées augmenterait,
paraît
-il, rapidement dans cette société spéciale. Que
ui mériter le nom d'atrophie olivo-rzsbro-céré- belleuse. Il nous a
paru
intéressant de montrer quelle place elle doit occ
altérations macroscopiques appréciables, et les méninges cérébrales
paraissent
saines. Les vaisseaux de la base de l'encéphale
moitié gauche de la protubérance. Les nerfs optiques et le chiasma
paraissent
intacts macroscopiquement. Les hémisphères cé
age assez dense. Noyaux centraux. Les noyaux du toit à l'oeil nu ne
paraissent
pas sen- siblement atrophiés ; ils sont égaux e
lement décelable. 608 LEJONNE ET LHERMITTE Les fibres blanches ne
paraissent
pas très altérées ; il semble que par endroits
- dante en noyaux. Noyaux dentelés accessoires. Les deux bouchons
paraissent
avoir leurs dimensions normales; les cellules n
x du toit ; il y a peu de réaction névroglique. - Globules. - Ils
paraissent
également normaux tant au point de vue des cell
E OLEUSE 609 par le Van Gieson. Au niveau du foyer les vaisseaux ne
paraissent
pas malades. Les fibres du noyau dentelé semb
fibres bien colorées, mais peu nombreuses ; beaucoup de ces fibres
paraissent
normales, plusieurs sont qioiiilifortiies ; dans
aire. Les pédoncules cérébelleux supérieurs, toujours très réduits,
paraissent
cependant posséder plus de libres que dans les
tourées de noyaux névrogliques abondantes ; d'ailleurs la névroglie
paraît
légèrement proliférée. On n'observe toujours pa
erve toujours pas de lésions vasculaires. La capsule du noyau rouge
paraît
à peu près normale du côté droit ; du côté gauche
nes coupes, particulièrement dans la région supérieure, l'olive ap-
paraît
comme une masse arrondie, décolorée, dans laquell
interne du pédoncule cérébelleux inférieur (corps juxta-restiforme)
paraît
intacte; les fibres semi-circulaires internes son
c celles des pédoncules inférieurs. Radiations de la calotte. Elles
paraissent
tout à fait normales ; il n'y a aucune différen
e paroi un peu épaissie. Jamais en tous cas le tissu environnant ne
paraît
réagir. Syndrome de Weber. Foyer d'origine. Nou
nous occupe. L'atrophie olivo-rubro-cérébelleuse au contraire nous
paraît
mériter une étude plus approfondie. Nous avons
gine interstitielle ou vasculaire. Ces deux classifications ne nous
paraissent
point suffisamment compré- hensives ; de plus e
trop sommaire. La classification de MM. Dejerine et Thomas ne nous
paraît
pas- tenir un compte suffisant de la genèse des
opique. Le bulbe et la protubérance examinés par leur face ventrale
paraissaient
considérablement augmentés de volume, au point
es par le développement interstitiel d'un néoplasme. La tuméfaction
paraissait
beaucoup plus intense dans la moitié bulbo-prot
son aspect macroscopique seul permettait d'identifier à un gliome,
paraissait
gonfler le bulbe et la protu- bérance sans parv
ques des différentes étapes de l'évolution clinique de ce cas. Il
paraît
certain que le début du processus gliomateux se f
nt le tissu graisseux et les organes génitaux. Ces malades nous ont
paru
intéressants précisément à cause de ces dystro-
encontre chez des enfants, n'offrent pas de grandes altérations. Il
paraît
plutôt présenter un arrêt de développement. L
ficilement examinée à cause de l'état men- tal de la malade. La vue
paraît
être normale, de même que l'ouïe, la malade rép
qui a joué le premier rôle dans la production de la dystrophie. Il
paraît
plus probable que le trouble produit dans la st
et, petit à petit, atteint un grand nombre de muscles, de manière à
paraître
comme une atrophie musculaire généralisée, ordi
agirait de maladies d'une nature identique. Dans un autre travail
paru
quelques années plus tard (1891), Strüm- pell m
i travaillé et si intéressant sur les 1VIICROAfÉf.IES congénitales,
paru
il y a quelques années dans ceRecueil (1), MM.
sont rac- courcis. Dans tout le reste de son organisation, le sujet
paraît
absolument nor- mal ; la tête, le cou, le tronc
ni de la nature du processus (1). (1) Dans une note tout^récemment
parue
(Bulletins de la Société anatomique, juil- let
'on examine le fonctionnement des idées ou celui des organes, il me
paraît
ressortir de cette étude que tout se fait par v
eux qui ressortissent ultérieurement au domaine de la conscience et
paraissent
volontaires, se rencontrent déjà en partie à la
Après cette découverte dont l'authenticité n'est plus con- testée,
paraît
-il, il faut reconnaître que l'importance du réfle
'étonne ni ne surprend. Le Professeur E. BRISSAUD Au moment où va
paraître
le dernier fascicule de la Nouvelle Iconographi
il n'y a aucun danger et le rassurer d'une façon absolue. S'il laisse
paraître
la moindre appréhension, ne pas insister et atten
ête et vous a attrapée sur le nez. Vous vous rappelez bien ! » — Elle
paraît
d'abord un peu étonnée. Je répète la chose une se
moignage vrai et le témoignage faussé par la suggestion : 1° Il m'a
paru
que les témoins ou accusateurs faussés comme il v
professeur a l'université de liège L'étude dont l'indique le litre
paraîtra
prochainement dans les Bulletins de l'Académie ro
alors piquer avec une épingle le bras de la malade sans que celle-ci
parût
ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés
eux profonds soupirs et quelques 'mouvements, Mme B... se réveilla et
parut
étonnée de voir tant de monde dans sa chambre. El
embrasser ses enfants. Il y eut alors un temps de silence ; Mme B...
paraissait
indécise, regardait son mari, puis les assistants
l pendant laquelle je renouvelai énergiquement les suggestions qui me
parurent
opportunes. Depuis cette époque, près de deux a
. A peine étendu, M. D... poussa un profond soupir, ferma les yeux et
parut
s'endormir. Je procédai alors par voie de suggest
fants, puis s'écria : « Ah ! mes amis, j'ai été bien malade. » Il
parut
reconnaître chacun des assistants et sembla étonn
Environ une demi-heure après, je fus averti que l'excitation morbide
paraissait
revenir et qu'il semblait voir des objets imagina
e recommençai, mais sans l'endormir, les suggestions précédentes : il
parut
écouter avec intérêt les détails concernant la cr
, il reprit la conversation, s'informant de quelques livres récemment
parus
et de quelques faits musicaux, et pendant près de
rui, puisque des expériences comme celles que je viens de rappeler ne
paraissent
pas décisives; et enfin, en montrant la grosseur
le souffre trop, qu'il faut l'accoucher avec les fers ! Elle nous a
paru
, à partir de ce moment, souffrir autant que toute
e se frotte les paupières, les ouvre, s'étonne qu'il fasse déjà jour,
paraît
surprise qu'on soit près d'elle à une heure si ma
us n'avons plus eu d'action sur elle, et dès lors les souffrances ont
paru
, d'après son attitude, ses cris, ses gestes. ses
ui lui donna le premier éveil de son accouchement. Bien qu'elle eût
paru
ressentir vivement les dernières douleurs de la p
Par M. le Docteur Auguste VOISIN medecin de la SALPÊTRIÈRE I! m'a
paru
intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
ains prolongés avec ou sans affusions froides sur la tête ont surtout
paru
utiles dans les cas où il y avait de l'insomnie e
e portée à deux ou même trois années. La gravité de la dipsomanie a
paru
tellement grande aux médecins de l'Angleterre et
demande a présenter quelques observations. Un des arguments qui me
paraît
le plus favorable à cette prétendue nécessite de
édecine, chirurgien de Lourciae. » II est en effet fréquent de voir
paraître
dans la presse des nouvelles ayant trait à certai
r M. Paul COPIN Dans un remarquable ouvrage de Sociologie récemment
paru
(1). le docteur Bordier, étudiant les causes mult
fonctions de la vue et de leurs anomalies, dont la seconde édition a
paru
en 1878;— enfin, un gros volume de près de mille
un gros volume de près de mille paces sur la vision et ses anomalies,
paru
en A un moment donné, il s'était beaucoup occup
n moment donné, il s'était beaucoup occupé d'hypnotisme et avait fait
paraître
, en collaboration avec Demarquoy, des pages intér
allant jusqu'à un état de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine
paraît
avoir une action stupéfiante plus intense. Présen
ourru et Burot. dans le livre si intéressant qu'ils viennent de faire
paraître
(1 vol. in-12 de la Bibliothèque scientifique int
ordonner les mouvements des doigts, mais la sensibilité de la peau ne
paraissait
pas modifiée ; ces phénomènes disparurent peu i p
onditions fréquentes dans l'hystérie, l'hypnotisme, le somnambulisme,
paraissent
les meilleures pour exalter et mettre en évidence
massage dans le traitement des lombagos, mais ce n'est qu'en 1868 que
parut
la thèse d'Estradère, magnifique travail d'ensemb
revue. M. Forel a publié des cas dans un excellent article qui a
paru
le 15 août 1887 (1). Le savant professeur de Zuri
, prés de trente jours après, car elle eut une rechute. La guérîson a
paru
, depuis lors, définitive: voila plus d'une année,
is; c'est plutôt une véritable impulsion. L'hérédité et l'imitation
paraissent
être les deux principaux facteurs de cette névros
oindrir l'excitation réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a
paru
le moyen le plus sûr pour arriver à ce résultat,
ain sur ses parties. Celte enfant est très forte pour son âge, elle
paraît
avoir quinze ans ; ses membres, son ventre présen
5 août 1887.— La guérison est complète. La lenteur des résultats m'a
paru
tenir à ce que l'enfant n'était pas plongée dans
la pensée du malade sur l'idée qu'il lui suggère. En résume, il m'a
paru
intéressant de présenter à l'Association cette no
l a publié sur la gymnastique es certainement le plus complet qui ait
paru
sur cette matière. Mais il semble que dans le rec
réveil seulement, il lui demanda ce qu'elle éprouvait. La suggestion
paraissait
devoir être exclue. M. Focachon conservait cepend
e correspondait à l'action réelle du médicament. La question nous a
paru
jugée, pour ce qui concerne l'action médicamenteu
on de satisfaire sa passion fatale. La séquestration dans un-asile me
paraît
ici absolument nécessaire. La suggestion ne pourr
eants et confirment pleinement les leurs. La suggestion hypnotique me
paraît
donc un moyen éprouvé pour lutter contre le vice
e de l'Hypnotisme (juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque,
parue
depuis notre première communication, il déclare q
estion hypnotique, nous devons ajouter, quelque paradoxale que puisse
paraître
notre opinion, que ce traitement trouve aussi son
nt croire qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on n'a pas vu
paraître
de phlyetènes. M. Voisin a obtenu un résultat p
ion supprimée. M. Beaunis a vu que l'on peut, par suggestion, faire
paraître
une hyperémie limitée en un point. J'ai pu vérifi
pas dans la critique des diverses interprétations proposées. Elles me
paraissent
insuffisantes. Je veux seulement répéter que l'hy
en essayer l'action. Ce n'est qu'en répétant les expériences qui nous
paraissent
difficiles à admettre que nous jugerons de leur c
s'est d'abord servi d'alcool, le flacon étant débouché, — ce qui m'a
paru
incorrect, les émanations pouvant prévenir la per
généralement lorsque le sujet cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas
paru
concluant. Il ne saurait être question d'ivresse
enticité des faits énoncés. L'émotion du public extra-médical ne me
paraît
guère justifiée jusqu'à nouvel ordre; il y a d'ai
« Quand elle était jeune fille, » me dit une de ses cousines, il n'y
paraissait
pas trop, mais elle était » drôle (sic). » Ce qu'
articularités de mes fonctions cé-» rébrales. Etre utile m'a toujours
paru
le but le plus beau de la vie; je » désire être u
Des hommes très éclairés et très honorables ont observé des faits qui
paraissent
concluants. Le docteur Giben, du Havre, M. Pier
ar le même souci. Ses caractères ne sont qu'ébauchés, ses personnages
paraissent
à peine jetés; mais ils font partie du monde réel
entes expériences relatives a l'action des médicaments à distance. 11
paraît
que M. Constantin Paul s'était trop hâté d'interp
r d'écouter. M. C Paul ht venir dans son cabinet une femme qu'il me
parut
alors connaître ton peu, sortie je ne sais d'où,
ait on mène grand tapage! Pour tout critique sérieux et impartial, il
paraîtra
dénué de toute signification. Je regrette. Mons
es coups légers d'abord, puis plus violents, ainsi que les grattages,
paraissaient
être produits contre le panneau de bois du lit qu
leux et les plus faits pour déconcerter la raison? Si les accidents
paraissent
exciter !a curiosité, ils s'accentuent et l'on as
approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l'état normal, mais elle
paraissait
tout à fait hébétée et ne pouvait coudre. Cependa
salon, puisque vous m'appeliez. » Cette expérience est celle qui me
paraît
avoir le plus de valeur. Elle m'a donné cette imp
eût certes été très intéressant de réussir dans ces conditions qui me
paraissaient
excellentes; car assurément nulle expectant atten
istance . Le hasard est une hypothèse très simple : mais elle ne me
paraît
pas acceptable, car il faudrait admettre une séri
c assez de soin par M. Gibert, par M. Janet et par moi, pour qu'il me
paraisse
au plus haut degré absurde de supposer qu'elle a
tte conclusion que, si mes expériences sont mauvaises, et elles ne me
paraissent
ni irréprochables ni tout à (ait mauvaises, c'est
ferions, sous une appellation générique. Ce que nous allons dire va
paraître
un peu paradoxal, mais nous semble assez juste :
de les suivre: du côté du bulbe, leur terminaison est moins nette et
paraît
varier suivant les sujets: sur les uns, ces faisc
rande frayeur à la vue d'un incendie. C'est à la suite de cette peur,
paraît
-il, qu'elle devint somnambule. Elle se souvient t
gle. Je la réveillai par suggestion, mais non sans difficulté. Elle
paraissait
égarée à l'instant du réveil, elle avait peur et
étention scientifique. Le secret des expériences du Belge Donato, qui
paraissent
si merveilleuses aux yeux d'une portion du public
'encéphale, une sensation de fatigue, du vertige, des nausées; les os
paraissent
se briser; le cœur bat en dehors du rythme normal
les mêmes que ceux des autres individus, seulement ils sont creux et
paraissent
vides. Les Circassiens considèrent aussi une cert
oader, vous avez dû être hypnotisé. — Aussi étrange que cela puisse
paraître
, c'est la seule explication de ce vol étonnant, r
u les premiers numéros d'un nouveau journal médical et littéraire qui
paraît
à Madrid sous le titre: La Hipnoterapia. Le direc
rmes vagues, par exemple, qu'il n'est pas naturel. Cest bien là. me
paraît
-il, cette condition seconde si curieuse, décrite
la condition normale. Quant à cette dernière identification, elle me
paraît
aujourd'hui indiscutable. Il y aurait peut-être
s nécessaires. Cependant, ni ce jour-là, ni les suivants, l'amant n'a
paru
, et voilà la femme complètement abandonnée. Jeann
au succès de l'hypnotisme comme anesthésique. » 7° L'hypnotisme ne
paraît
pas avoir d'influence nette sur la marche du trav
s phénomènes observés, quel que fût le tube dont on se servir, ce qui
paraît
résulter de la symptomatologie très limitée provo
erture des plis cachetés. Elle constata alors qu'aucune relation ne
paraissait
exister entre les symptômes manifestés et le tube
par des médicaments placés a distance chez des sujets hypnotisables,
paraissaient
dépendre plus des caprices de la fantaisie et du
t prodigieuse. Depuis cette époque, excepté pendant un mois, il avait
paru
chaque jour et chaque soir, devant un public nomb
ent des sciences (session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment où
paraîtront
ces lignes, le Congrès d'Oran sera en pleine acti
e de suicide. Son mari est venu plusieurs fois la voir et ses visites
paraissent
lui être très pénibles, d'autant que deux fois il
ement depuis cette époque et présenter quelques considérations qui me
paraissent
nouvelles. C'est la première fois que cette malad
oindre étendue. Enfin, en Amérique, le professeur Ladd vient de faire
paraître
un volumineux traité qui, malgré des tendances mé
ent. Cette analyse, que je ne puis qu'indiquer très grossièrement, me
paraît
bien l'oeuvre propre de notre pays. Je ne vois du
ui se prête â des perversions plus étranges, même cher les sujets qui
paraissent
sous tous les autres points de vue avoir conservé
édacteur en chef (1). Vous avez appris que je prépare un livre, qui
paraîtra
le mois prochain, chez M. Octave Doin, éditeur à
a plupart, confirmé les vues de l'Ecole de Nancy, qui avaient d'abord
paru
si aventurées et si hardies. En présence du nom
i les endormirent tous deux. J'ajouterai ici une observation qui me
paraît
avoir une certaine importance. Il m'a semblé dé
dans le seul but de les montrer au public comme des animaux. 11 m'a
paru
intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
tenons encore bien ceci qui est capital. En le supposant empêché de
paraître
devant le public, l'hypnotisme ne cessera pas de
our interdire les spectacles en question. Les autorités communales ne
paraissent
pas aujourd'hui suffisamment armées pour réprimer
il n'y a aucun danger et le rassurer d'une façon absolue. S'il laisse
paraître
la moindre appréhension, ne pas insister et atten
ête et vous a attrapée sur le nez. Vous vous rappelez bien ! » — Elle
paraît
d'abord un peu étonnée. Je répète la chose une se
moignage vrai et le témoignage faussé par la suggestion : 1° Il m'a
paru
que les témoins ou accusateurs faussés comme il v
professeur a l'université de liège L'étude dont l'indique le litre
paraîtra
prochainement dans les Bulletins de l'Académie ro
alors piquer avec une épingle le bras de la malade sans que celle-ci
parût
ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés
eux profonds soupirs et quelques 'mouvements, Mme B... se réveilla et
parut
étonnée de voir tant de monde dans sa chambre. El
embrasser ses enfants. Il y eut alors un temps de silence ; Mme B...
paraissait
indécise, regardait son mari, puis les assistants
l pendant laquelle je renouvelai énergiquement les suggestions qui me
parurent
opportunes. Depuis cette époque, près de deux a
. A peine étendu, M. D... poussa un profond soupir, ferma les yeux et
parut
s'endormir. Je procédai alors par voie de suggest
fants, puis s'écria : « Ah ! mes amis, j'ai été bien malade. » Il
parut
reconnaître chacun des assistants et sembla étonn
Environ une demi-heure après, je fus averti que l'excitation morbide
paraissait
revenir et qu'il semblait voir des objets imagina
e recommençai, mais sans l'endormir, les suggestions précédentes : il
parut
écouter avec intérêt les détails concernant la cr
, il reprit la conversation, s'informant de quelques livres récemment
parus
et de quelques faits musicaux, et pendant près de
rui, puisque des expériences comme celles que je viens de rappeler ne
paraissent
pas décisives; et enfin, en montrant la grosseur
le souffre trop, qu'il faut l'accoucher avec les fers ! Elle nous a
paru
, à partir de ce moment, souffrir autant que toute
e se frotte les paupières, les ouvre, s'étonne qu'il fasse déjà jour,
paraît
surprise qu'on soit près d'elle à une heure si ma
us n'avons plus eu d'action sur elle, et dès lors les souffrances ont
paru
, d'après son attitude, ses cris, ses gestes. ses
ui lui donna le premier éveil de son accouchement. Bien qu'elle eût
paru
ressentir vivement les dernières douleurs de la p
Par M. le Docteur Auguste VOISIN medecin de la SALPÊTRIÈRE I! m'a
paru
intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
ains prolongés avec ou sans affusions froides sur la tête ont surtout
paru
utiles dans les cas où il y avait de l'insomnie e
e portée à deux ou même trois années. La gravité de la dipsomanie a
paru
tellement grande aux médecins de l'Angleterre et
demande a présenter quelques observations. Un des arguments qui me
paraît
le plus favorable à cette prétendue nécessite de
édecine, chirurgien de Lourciae. » II est en effet fréquent de voir
paraître
dans la presse des nouvelles ayant trait à certai
r M. Paul COPIN Dans un remarquable ouvrage de Sociologie récemment
paru
(1). le docteur Bordier, étudiant les causes mult
fonctions de la vue et de leurs anomalies, dont la seconde édition a
paru
en 1878;— enfin, un gros volume de près de mille
un gros volume de près de mille paces sur la vision et ses anomalies,
paru
en A un moment donné, il s'était beaucoup occup
n moment donné, il s'était beaucoup occupé d'hypnotisme et avait fait
paraître
, en collaboration avec Demarquoy, des pages intér
allant jusqu'à un état de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine
paraît
avoir une action stupéfiante plus intense. Présen
ourru et Burot. dans le livre si intéressant qu'ils viennent de faire
paraître
(1 vol. in-12 de la Bibliothèque scientifique int
ordonner les mouvements des doigts, mais la sensibilité de la peau ne
paraissait
pas modifiée ; ces phénomènes disparurent peu i p
onditions fréquentes dans l'hystérie, l'hypnotisme, le somnambulisme,
paraissent
les meilleures pour exalter et mettre en évidence
massage dans le traitement des lombagos, mais ce n'est qu'en 1868 que
parut
la thèse d'Estradère, magnifique travail d'ensemb
revue. M. Forel a publié des cas dans un excellent article qui a
paru
le 15 août 1887 (1). Le savant professeur de Zuri
, prés de trente jours après, car elle eut une rechute. La guérîson a
paru
, depuis lors, définitive: voila plus d'une année,
is; c'est plutôt une véritable impulsion. L'hérédité et l'imitation
paraissent
être les deux principaux facteurs de cette névros
oindrir l'excitation réflexe et renforcer la volonté L'hypnotisme m'a
paru
le moyen le plus sûr pour arriver à ce résultat,
ain sur ses parties. Celte enfant est très forte pour son âge, elle
paraît
avoir quinze ans ; ses membres, son ventre présen
5 août 1887.— La guérison est complète. La lenteur des résultats m'a
paru
tenir à ce que l'enfant n'était pas plongée dans
la pensée du malade sur l'idée qu'il lui suggère. En résume, il m'a
paru
intéressant de présenter à l'Association cette no
l a publié sur la gymnastique es certainement le plus complet qui ait
paru
sur cette matière. Mais il semble que dans le rec
réveil seulement, il lui demanda ce qu'elle éprouvait. La suggestion
paraissait
devoir être exclue. M. Focachon conservait cepend
e correspondait à l'action réelle du médicament. La question nous a
paru
jugée, pour ce qui concerne l'action médicamenteu
on de satisfaire sa passion fatale. La séquestration dans un-asile me
paraît
ici absolument nécessaire. La suggestion ne pourr
eants et confirment pleinement les leurs. La suggestion hypnotique me
paraît
donc un moyen éprouvé pour lutter contre le vice
e de l'Hypnotisme (juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque,
parue
depuis notre première communication, il déclare q
estion hypnotique, nous devons ajouter, quelque paradoxale que puisse
paraître
notre opinion, que ce traitement trouve aussi son
nt croire qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on n'a pas vu
paraître
de phlyetènes. M. Voisin a obtenu un résultat p
ion supprimée. M. Beaunis a vu que l'on peut, par suggestion, faire
paraître
une hyperémie limitée en un point. J'ai pu vérifi
pas dans la critique des diverses interprétations proposées. Elles me
paraissent
insuffisantes. Je veux seulement répéter que l'hy
en essayer l'action. Ce n'est qu'en répétant les expériences qui nous
paraissent
difficiles à admettre que nous jugerons de leur c
s'est d'abord servi d'alcool, le flacon étant débouché, — ce qui m'a
paru
incorrect, les émanations pouvant prévenir la per
généralement lorsque le sujet cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas
paru
concluant. Il ne saurait être question d'ivresse
enticité des faits énoncés. L'émotion du public extra-médical ne me
paraît
guère justifiée jusqu'à nouvel ordre; il y a d'ai
« Quand elle était jeune fille, » me dit une de ses cousines, il n'y
paraissait
pas trop, mais elle était » drôle (sic). » Ce qu'
articularités de mes fonctions cé-» rébrales. Etre utile m'a toujours
paru
le but le plus beau de la vie; je » désire être u
Des hommes très éclairés et très honorables ont observé des faits qui
paraissent
concluants. Le docteur Giben, du Havre, M. Pier
ar le même souci. Ses caractères ne sont qu'ébauchés, ses personnages
paraissent
à peine jetés; mais ils font partie du monde réel
entes expériences relatives a l'action des médicaments à distance. 11
paraît
que M. Constantin Paul s'était trop hâté d'interp
r d'écouter. M. C Paul ht venir dans son cabinet une femme qu'il me
parut
alors connaître ton peu, sortie je ne sais d'où,
ait on mène grand tapage! Pour tout critique sérieux et impartial, il
paraîtra
dénué de toute signification. Je regrette. Mons
es coups légers d'abord, puis plus violents, ainsi que les grattages,
paraissaient
être produits contre le panneau de bois du lit qu
leux et les plus faits pour déconcerter la raison? Si les accidents
paraissent
exciter !a curiosité, ils s'accentuent et l'on as
approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l'état normal, mais elle
paraissait
tout à fait hébétée et ne pouvait coudre. Cependa
salon, puisque vous m'appeliez. » Cette expérience est celle qui me
paraît
avoir le plus de valeur. Elle m'a donné cette imp
eût certes été très intéressant de réussir dans ces conditions qui me
paraissaient
excellentes; car assurément nulle expectant atten
istance . Le hasard est une hypothèse très simple : mais elle ne me
paraît
pas acceptable, car il faudrait admettre une séri
c assez de soin par M. Gibert, par M. Janet et par moi, pour qu'il me
paraisse
au plus haut degré absurde de supposer qu'elle a
tte conclusion que, si mes expériences sont mauvaises, et elles ne me
paraissent
ni irréprochables ni tout à (ait mauvaises, c'est
ferions, sous une appellation générique. Ce que nous allons dire va
paraître
un peu paradoxal, mais nous semble assez juste :
de les suivre: du côté du bulbe, leur terminaison est moins nette et
paraît
varier suivant les sujets: sur les uns, ces faisc
rande frayeur à la vue d'un incendie. C'est à la suite de cette peur,
paraît
-il, qu'elle devint somnambule. Elle se souvient t
gle. Je la réveillai par suggestion, mais non sans difficulté. Elle
paraissait
égarée à l'instant du réveil, elle avait peur et
étention scientifique. Le secret des expériences du Belge Donato, qui
paraissent
si merveilleuses aux yeux d'une portion du public
'encéphale, une sensation de fatigue, du vertige, des nausées; les os
paraissent
se briser; le cœur bat en dehors du rythme normal
les mêmes que ceux des autres individus, seulement ils sont creux et
paraissent
vides. Les Circassiens considèrent aussi une cert
oader, vous avez dû être hypnotisé. — Aussi étrange que cela puisse
paraître
, c'est la seule explication de ce vol étonnant, r
u les premiers numéros d'un nouveau journal médical et littéraire qui
paraît
à Madrid sous le titre: La Hipnoterapia. Le direc
rmes vagues, par exemple, qu'il n'est pas naturel. Cest bien là. me
paraît
-il, cette condition seconde si curieuse, décrite
la condition normale. Quant à cette dernière identification, elle me
paraît
aujourd'hui indiscutable. Il y aurait peut-être
s nécessaires. Cependant, ni ce jour-là, ni les suivants, l'amant n'a
paru
, et voilà la femme complètement abandonnée. Jeann
au succès de l'hypnotisme comme anesthésique. » 7° L'hypnotisme ne
paraît
pas avoir d'influence nette sur la marche du trav
s phénomènes observés, quel que fût le tube dont on se servir, ce qui
paraît
résulter de la symptomatologie très limitée provo
erture des plis cachetés. Elle constata alors qu'aucune relation ne
paraissait
exister entre les symptômes manifestés et le tube
par des médicaments placés a distance chez des sujets hypnotisables,
paraissaient
dépendre plus des caprices de la fantaisie et du
t prodigieuse. Depuis cette époque, excepté pendant un mois, il avait
paru
chaque jour et chaque soir, devant un public nomb
ent des sciences (session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment où
paraîtront
ces lignes, le Congrès d'Oran sera en pleine acti
e de suicide. Son mari est venu plusieurs fois la voir et ses visites
paraissent
lui être très pénibles, d'autant que deux fois il
ement depuis cette époque et présenter quelques considérations qui me
paraissent
nouvelles. C'est la première fois que cette malad
oindre étendue. Enfin, en Amérique, le professeur Ladd vient de faire
paraître
un volumineux traité qui, malgré des tendances mé
ent. Cette analyse, que je ne puis qu'indiquer très grossièrement, me
paraît
bien l'oeuvre propre de notre pays. Je ne vois du
ui se prête â des perversions plus étranges, même cher les sujets qui
paraissent
sous tous les autres points de vue avoir conservé
édacteur en chef (1). Vous avez appris que je prépare un livre, qui
paraîtra
le mois prochain, chez M. Octave Doin, éditeur à
a plupart, confirmé les vues de l'Ecole de Nancy, qui avaient d'abord
paru
si aventurées et si hardies. En présence du nom
i les endormirent tous deux. J'ajouterai ici une observation qui me
paraît
avoir une certaine importance. Il m'a semblé dé
dans le seul but de les montrer au public comme des animaux. 11 m'a
paru
intéressant d'appliquer la suggestion hypnotique
tenons encore bien ceci qui est capital. En le supposant empêché de
paraître
devant le public, l'hypnotisme ne cessera pas de
our interdire les spectacles en question. Les autorités communales ne
paraissent
pas aujourd'hui suffisamment armées pour réprimer
dans les deux dictionnaires de médecine, ensuite du mémoire que fit
paraître
à la même époque Jules Faire ! sur la folie cir
des maladies mentales, complètement différente de celle qui avait
paru
dans les éditions précédentes. Je vous ai déjà
12 CLINIQUE MENTALE santé au premier abord ; cependant, elle nous
paraît
trop absolue et parlant inadmissible ». Pour
e peut révéler des lé- sions alors que toute le reste de l'économie
paraît
intact. Parfois, au contraire, la cellule céréb
nnements accompagnés ou non de troubles mentaux appréciables. 11 ne
paraît
pas possible, ac- tuellement, de classer tous c
au) correspondant il une lésion cellulaire ré- parallle, qui leur a
paru
liée, d'une parla a l'état cuto-toxiqne ré- ARC
ns des réflexes palellaires. Le diagnostic de paralysie générale ne
paraît
pas douteux pour l'auteur, bien qu'il ne fasse
- mènes qui la déterminent, les tendances. La tendance directrice
paraît
à Masselon intacte ou à peu près chez les mélanco
iques se ramène à un trouble d'évo- cation des idées. Ce trouble ne
paraît
pas toujours, comme pré- tend Schule, la conséq
es 58 VARIA. du foie). De sorte que la conception de 31. Jonroy
paraît
la plus réelle : la mélancolie affective ou ess
nt relativement assez rares. Celui que nous rappor- tons ici nous a
paru
digne d'être publié malgré l'absence d'examen m
e. Le noyau rouge droit est difficile à distinguer il l'oeil nu, et
paraît
, en fout cas, 1-11(tAGI;NÉSII's CÉRÉBELLEUSE.
a- phiques avec la région de l'insula. L'hypothèse la plus simple
paraît
donc être celle qui est indiquée par la notatio
a-marginal) et l'opercule pariétal. Mais, dans cette hypothèse, qui
paraît
pourtant la plus plausible, le pli courbe ne pr
es du trijumeau droit et de l'acoustique gauche ; la protu- bérance
paraissait
extraordinairement réduite dans ses dimen- ,
me ner- veux basée sur l'unité même de ce système nerveux. Il m'a
paru
utile d'affirmer et de développer cette pensée,
n discours l'honneur que vous lui avez fait en le désignant, il m'a
paru
bon d'essayer de démontrer une fois de plus dev
en lésions scléreuses des vaisseaux. Ces trois sortes de lésions ne
paraissent
pas, en général, dépendre l'une de l'autre, mai
D'une façon générale, la substance blanche de chaque circonvolution
paraît
beaucoup plus diminuée que la substance grise.
dilatations périvascu- laires (état criblé ou dilatations isolées)
paraissent
tenir au retrait du parenchyme cérébral atrophi
pigmentaires qui ont été décrites sous le nom de « pigment jaune »
paraissent
dériver l'une de l'autre et représenter les pha
ibres tangentielles de Tuczek : cette dernière lésion est celle qui
paraît
avoir été surtout constatée dans les démences,
ion de corps granuleux. Des corps amyloïdes sont assez fréquents et
paraissent
résulter de la segmentation de cylindraxes vari
myéliniques explique pour- quoi l'atrophie de la substance blanche
paraît
beaucoup plus considérable que celle de la subs
à la sclérose des petites artères. 4° Toutes les lésions en foyer
paraissent
déterminées surtout par les altérations vascula
mollissement et à'hémorrhagie cérébrale. 5° Les lésions diffuses ne
paraissent
, au contraire, pas être sous la dépendance dire
gie lacu- naire bilatérale. Les véritables paraplégies lacunaires
paraissent
rares ; elles restent généralement plus ou moin
ntégration non lacunaire ou par la cérébro-sclérose lacunaire. Elle
paraît
pouvoir recon- naître aussi pour cause détermin
n, il y a tou- jours eu de l'épilepsie sénile. L'épilepsie sénile
paraît
donc plus fréquemment sym- ptomatique que l'épi
ments ; l'irresponsabilité est évidente chez les déments, elle peut
paraître
douteuse ou limitée chez les simples affaiblis,
la démence simple, avec ou sans idées délirantes vagues et isolées,
paraissent
devoir s'expliquer par l'atrophie et la dégénér
iqués chroniques, notamment des alcooliques. Les épisodes délirants
paraissent
résulter d'une intoxication ou toxi-infection s
les des altérations par intoxications prolongées ; cette étude nous
paraît
être un argument en faveur delà théorie qui fai
cette superposition, très tentante au premier abord, ne lui a pas
paru
réalisable pour l'ensemble de l'étude du cerveau
as primitive et, en tous cas, il insiste sur ce fait qu'elle ne lui
paraît
pas être la cause constante des lacunes de dési
ication correspondante de la loi. Or, scientifiquement, la chose ne
paraît
pas douteuse. Quelle est actuellement la base m
ponsabilité ? La normalité des neurones psychiques. Dès lors, il me
paraît
impossible de se borner à classer l'humanité en
TES ET NEUROLOGISTES. part de l'hystérie et de la simulation. Il me
paraît
difficile de distinguer, à cet égard, le rôle r
démontré.), ce sont certainement des faits exceptionnels. Il noqs
paraît
donc que, sous le nom de « crise laryngée », on
1<J(> REVUE D'.\i\A1'Oj[1E ET DU PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
paraissent
naître de cette façon se réduisent à une associat
élevée ; et encore est-il à observer que la dépression du malade
paraît
moins marquée. Dans le courant de décembre, nou
onné. - D'un autre côté, la cessation brusque de la bromura- tion
paraît
, ainsi que l'a remarqué Icgrand du Saule, révei
tion brusque de la prise de bromure pour enrayer cette intoxication
paraît
être dangereuse. Par contre, lorsque l'on se
TEMENT DE L'ÉPILEPSIE. 105 la bromuration antérieure de l'organisme
paraissait
nécessaire pour que l'institution d'un régime s
le bromure dans ses combinaisons albuminoïdes, le rôle capital nous
paraît
revenir aux phénomènes d'osmose et aux phénomèn
pas échap- per complètement à ce dernier reproche, mais il nous a
paru
cependant que ses éléments constitutifs étaient a
pe d'un préceptorat chez la comtesse V ? et c'est àcette époque que
paraît
débuter le délire plus net qui constitue le point
de ma famille, « de ma mère, de ma pauvre mère » ; ses questions me
paraissent
indiscrètes. « 2" A X ? dans l'intimité de la c
nt halluci- nations auditives impéralives, etc ? n'avait pas encore
paru
nu milieu de mes représentations. Il ne se mont
asard, lorsque le délire est déjà constitué et de même elles dis-
paraissent
sans déterminer l'apparition d'un état nou- vea
né a tous les droits de bâtir des conceptions déli- rantes, il nous
paraît
que celui qui ne l'est pas en a beaucoup moins
peut se procurer de renseignement. A partir de cette époque, ap-
parurent
des crises convulsives Se produisant assez irrégu
enfoncée ; mais il n'y a pas de cavité à proprement parler et il ne
paraît
pas y avoir perle de substance. La périphérie,
le cadre de cette affection en- core imparfaitement connue. Il m'a
paru
intéressant de le faire connaître pour grossir
conjonctive, etc., étaient décolorées, anémiques, chose qui dis- -
paraît
peu de jours après il l'aide des ferrugineux, ain
me très légèrement, leur per- met d'entreprendre un chemin qui leur
paraissait
impossi- ble. Enfin, le même sujet, qui semble
s d'appui qu'il est assuré de rencontrer (toujours à la même place),
paraît
frappé d'im- mobilité complète, lorsqu'il se tr
tout à coup dans un passage où la conservation de son équilibre lui
paraîtra
diffi- ficileou dangereuse, peut, si elle est u
de toutes pièces la paralysie géné- rale. Désormais la question lui
paraît
résolue. Au point de vue médico-légal, le traum
t affirmer que les crânes de myxoedémateux ont une transparence qui
paraît
en relation avec une moindre densité. Suture
'animal. La malade a eu une desquamation généralisée. La scarlatine
paraît
seule expliquer l'évolution morbide. La tubercu
ne, et, de plus, qu'il ne préexiste pas dans le sérum sanguin, mais
paraît
naître sous l'action des réactifs et par un pro
oculations du bulbe de la malade. Or, les premières expériences ont
paru
donner des résultats positifs.Les lapins sont m
énorme de dégénérés une affection caractérisée par un nystagmus qui
paraît
être congéni- tal, ou du moins que se manifeste
t et conslatant que la cécité ou la surdi-mutité est complète et ne
paraît
pas curable; que l'enfant a été vacciné avec su
oudraient la faire dériver. Il est expliqué dans le dernier ouvrage
paru
sur la question ! volume signé de deux aliénist
n autre aliéné comme lui avec le- quel il vit, car le phénomène lui
paraissait
bien étrange et contraire à ses observations, a
cin assistant à la clinique psychiatrique de Moscou ; son mémoire a
paru
en 1900. Il est partisan convaincu et enthousia
oué d'une érudition considérable,il connait à fond tous les travaux
parus
non seulement dans son pays, mais encore àl'étr
antécédents héréditaires, tandis que chez les autres, la généalogie
paraît
absolument irréprocha- ble au point de vue de l
aux lourdes tares vésaniques, dont elles étaient frappées. La mère
paraissait
absolument normale, bien douée en tous les poin
. Dans le second cas, au contraire, les doses plus grosses de brome
paraissent
t avoir une influence modératrice sur la percep
tié de la recherche, est encore plus petit que dans la première. Il
paraît
donc que la fatigue, imminente après 20-30 minu
copié, et cela probablement parce que la fatigue des muscles à fait
paraître
plus petite l'opération de l'addition qu'elle n
disposition momentanée. D'après les résultats de N. I et N. III, il
paraît
que, pour Je sujet L, la fatigue pour les addit
s psychiques comparables : artificiellement provoqués. Or telle a
paru
être, de l'avis de Krmpelin, la mémorisation des
principe de la colonisation du travail pourles aliénés chro- niques
paraît
clairement adopté par la majorité desaliénis- t
ien peu par rapport à ce qui reste à faire. La salle à manger lui a
paru
jolie, le parc superbe, oui, mais sait-il que,
ui y consentiront, les malades convalescents ou amélio- rés qui lui
paraîtront
susceptibles de bénéficier de celte mesure. « 2
t retenir trop longtemps à l'asile les alcooliques, même lorsqu'ils
paraissent
guéris. C'est qu'en effet la guérison n'est qu'
ckoere nue nous devons l'envoi de celle con- férence, qui a d'abord
paru
dans les Archives de Psychologie de MM. Flourno
décembre 1903, - D ? était très bien ce jour là, n'avait pas bu, ne
paraissait
pas drôle, après avoir passé la journée comme d
et au membre inférieur droit en arrière. La sensibilité musculaire
paraissait
également altérée, aussi D ? ne percevait-il pa
aux. Dans la main droite, ces deux pièces successivement placées ne
paraissent
pas de diamètre différent au malade, mais il re
é opposé. 20 septembre. Depuis quelques jours, la céphalée a dis-
paru
. 5 octobre. Elle réapparut passagèrement celte
droite cet attouchement est douloureux. A gauche, l'acuité auditive
paraît
généralement bonne, le tic-tac d'une montre est
iste de la dyschromatopsie, le vert est vu normalement à gauche, il
paraît
gris à droite; le jaune paraît plus pâle à droi
vert est vu normalement à gauche, il paraît gris à droite; le jaune
paraît
plus pâle à droite, le rouge également, cette d
au niveau de 'l'articulation gléno-humérale dont les mouve- ments
paraissaient
limités. Tous les autres mouvements de l'avant-
aine de jours pour une tuberculose au premier degré, et la réaction
paraît
se conserver d'autant plus longtemps que les lé
omprise entre l'omoplate et la colonne; le rhomboïde et l'angulaire
paraissent
sous-cuta- nés ; atrophie du stemo- mastoidien.
ple, ou compliqué transiloirement ll'exci tation ou de turbulence,
paraît
devoir rester dans le domaine particulier de l'As
- sant mécaniquement, à l'instar d un massage excitant, il nous a
paru
indiqué de renoncer à la douche froide généraleme
ion avec Al. le Dr Raviart, médecin-adjoint, abondamment illustré,a
paru
dans l'Echo médi- cal du Nord du 17 décembre 19
ines dans le muscle légèrement alcoolisé ? Une seule explication me
paraît
possible, et elle est conforme aux données phys
ntres nerveux que se produit l'action excitante sur le muscle. Il
paraît
donc certain que la caféine ne peut être considé-
e l'inertie grandissante du muscle. Après cet exposé, qui peut-être
paraîtra
bien long, j'ai peu de chose à dire relativemen
ssures de Sylvius, les nerfs, les artères de la base de l'encéphale
paraissent
symétriques. La protubérance est petite, ainsi
e, contient un peu de liquide alimentaire. Le pancréas pèse 35 gr.,
paraît
normal ; la rate, assez consis- tante, ne prése
disséminés dans tout l'organe ; le reste de la substance corticale
paraît
normale ; le rein droit pèse 85 gr., il présent
onjonctif IMJ : ÉCILLI 1 PRONONCÉE COGI ? i 1 \LE. 4 : 5 : 1 ne
paraît
pas épaissi ; en outre, la coupe intéresse dans s
revue générale sur la curabilité des méningites ologè- nes il leur
paraît
légitime de tirer cette conclusion que l'interven
l'interné. Mais il suffira que l'opportunité de la sé- questration
paraisse
douteuse pour que le Parquet n'hésite pas à pré
s'arracher la muqueuse. Sauf la vue, qui est nulle, les autres sens
paraissent
normaux. L'enfant s'affaiblit de plus en plus,
s. Les nerfs optiques sont très atrophiés, gris, vitreux, durs; ils
paraissent
égaux. Les bandelettes optiques sont encore plu
es psychiques tantôt éphémères, tan- tôt durables, qui très souvent
paraissent
n'être liés à l'af- fection goitreuse que par d
s accidents dont elle souffre al1joUl'd'hui. Les troubles men- taux
paraissent
les' premiers en date et seraient survenus à l'oc
t dans celte région des sensations de constriction ; la respiration
paraissait
gênée et la phonation modifiée. De même que les
a symétrie des formesnor- males. A la palpation, la glande thyroïde
paraît
beaucoup plus développée à droite ; elle donne
taux (2) ; Voilà les gros arguments abusifs que les promoteurs me
paraissent
destinés à se voir reprocher ; il y en a d'autres
pas de personnalités. Du reste la note ministérielle ci-après, nous
paraît
devoir trancher la question au moins pour le mo
de l'origine vasculaire primitive de la paralysie générale qui lui
paraît
rendre mieux compte de la marche. du pronostic
e de brandy qu'elle avait bu à la sollicitation d'un ami. Cet homme
paraissait
trouver que par suite du long sacrifice qu'il s
binet des consultations médicales. Mais le médecin de ce cabinet ne
parut
pas partager l'enthousias- me des pèlerins. Il
e le choix de ce pre- mier aliment était plutôt contestable. Il lui
parut
en particulier que des pommes frites en cette o
n. Depuis la deuxième édition du Manuel bien connu de M. Ré- gis,
paru
en 1892, il s'est produit, en psychiatrie, dans t
pas une troisième édition du Manuel pratique des maladies mentales
paru
pour la première fois en 1884, mais un livre en
ibuée à la démence précoce dans le groupe des confusions. Il nous
paraît
inutile d'insister sur les critiques qu'il serait
le a été traitée et guérie, les hallucinations auditives ont dis-
paru
; elles se sont atténuées quand la maladie a dimi
nt des complications méningitiques : la forme pseudo-tuberculeuse
paraît
la plus bénigne. La ponction lombaire, les bains
devient subitement pâle, chancelle sans tomber, fait quelques pas,
paraît
absolument étrangère à cequi l'entoure, puis s'
est très diminué au niveau de Fa. L'aspect du ce dernier hémisphère
paraît
, du reste, peu modifié quant à la formegénérate
ses bas que nous avions fait enle- ver pour l'examen, il a d'abord
paru
très mal habile et les doigts étaient raides ;
, on peut même affirmer que ce n'est pas un ouvrier ordinaire. Il
paraît
timide ; n'a jamais de maux de fête ; ne se plain
isses dans le cerveau ; b) de l'état criblé de DlIl'and-Ful'del qui
paraît
dû surtout à une rétraction -en masse du parenc
elles-ci vont l'une vers l'autre quand on approche le doigt ; elles
paraissent
l'('poussées parle doigt. Même chose a lieu qua
ue les électricités du même nom se repoussent ; l'électros- cope ne
paraît
pas chargé. Place-t-on alors les doigts sur le pl
érie, 1906, t. XXI. 10 14G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. serve,
paraît
-il,un cas où à la sialorrbée étaient associés tle
deux cas de démence précoce communiqués par M. Doutrebentene lui
paraissent
pas devoir entrer dans le même cadre. L'un lui
st moins démonstra- tif ; c'est néanmoins un enfant malingre et qui
paraît
souffrir. Chose étrange, la mère se préoccupe b
lle rencontrait sous sa main. La réaction terminée, la femme P ? ne
paraît
plus se souvenir des injures qu'elle a proférée
es annonces après le Sommaire.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Vient de
paraître
: L'Encéphale (Journal de psychiatrie), publié
un de ceux-ci qui occasion- nerait la sitiophobie. Il nous a plutôt
paru
que tous ces symptômes pouvaient se trouver réu
rme chez celte malade en stéréolypie. , Cependant celle nouveauté
parut
avoir lait sur Madame D ? une grande impression
s couver- tures et ne laissant dépasser que l'extrémité du chignon,
paraît
somnoler et rester indifférente. Quand on ouvre
is cependant, bien que sa tête soit sous ses couvertures et qu'elle
paraisse
dormir, elle n'eslaucunemenl in- différente à c
out soit rentré dans l'ordre'. Pendant le mois de mars 1905, elle
paraît
s'améliorer un peu. Ace moment elle refuse touj
river ainsi à substituer une stéréotypie à une autre. Comme elle
paraissait
à ce moment plus éveillée etmoins négativiste, on
es potages et des oeufs. Il nous semble que ces deux observations
paraîtront
au lecteur suffisamment probantes pour entraîne
symptômes sont étroitemement associés. La seconde observation nous
paraît
tout aussi nette : la sitiophobie s'installe ch
és par le sort, eussent continué à être suffisamment normaux pour
paraître
tels il leur ambiance ; mais qui. sous l'influenc
-maçons, et dans ses con- versationsil il fait tousses efforts pour
paraître
simplement eu qu'il est un brave homme de comme
RE DITE DE DEUX ANS. 195 rendu impossible : en effet, ce choix nous
paraît
d'abord enlevé désormais aux directeurs et aux
2.) Les troubles cliniques déterminés par les fumeurs cérébrales
paraissent
liés non a leur volume, mais bien au degré de gên
ubstance blanche que sur l'écorce, et les faisceaux d'associa- tion
paraissent
souffrir plus que ceux de projection. Au cas de
inal postérieur ainsi que de quel- ques libres radiculaires du 111,
paraissent
aux auteurs pu argu- ment probant en faveur de
physaires et par là de produire le syndrome. Mais un rôle important
paraît
dévolu à certaines glandes (thyroïdes, surrénal
, le système artériel cérébral montre des lésions histologiques qui
paraissent
être le point de départ du processus anatomique
rois cas qu'ils ont vus évoluer et où les symptô- mes délirants ont
paru
imprimer il. la maladie une allure parti- culiè
dans la joue un avant des masséters; dans la fosse temporale il ne
paraît
plus exister de tissu cellulaire ni du muscle.
OLOGIE NERVEUSE. ture de cette maladie, dont l'origine thyroïdienne
paraît
admise aujourd'hui sans conteste. Il rapporte s
s antécédents personnels. Il en est d'autres, au contraire, où elle
paraît
, par l'absence de toute lare nerveuse héréditai
e la suggestion armée ; au bout du quelques séances, ils ont dis-
paru
pendant la journée, mais persistent lanuit ; fina
mensuels enregistrant les progrès. Photographies et cahiers ne nous
paraissent
devoir laisser subsister aucun doute, même dans
à 676). Traitement \IÉDICO-l'1 ? D.1GOGIQL'E des idioties. 2j7
paru
. De notables progrès sont à signaler à la classe,
rappant fortement. La compré- hensioa est pour ainsi dire nulle. Il
paraît
être affectueux, mais il est méchant pour les a
ui et obtenu un calme relatif; les premiers exercices scolaires ont
paru
l'intéresser et il s'est mis à tra- vailler ave
un chuintement prononcé. Lucien, beaucoup plus dépourvu qu'il ne le
paraît
, ne possédait aucune notion sco- ]dlre à son en
ait de petits exercices de grammaire, dictées, analyses, verbes; il
paraît
toutefois réfrac- taire au calcul; l'écriture l
s l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la mémoire a
paru
se développer et les pro- grès en toutes choses
de peine et de temps, car il est beaucoup plus dépourvu qu'il ne le
paraît
de prime-abord. 1901. La lecture devient plus c
ne d'urine, accompagnée souvent de ga fisme complet. La physionomie
paraissait
beaucoup plus expressive que ne le comportait l
faire appel à sa raison et réveiller les heureuses dispositions qui
paraissent
être à l'état latent dans son coeur; enfin comm
le obtiendra son diplôme à la fin de l'année sco- laire. Marguerite
paraît
très satisfaite de J;es succès, elle espère à j
on passage. Loin d'érrou- vfci un regret de ces actes brutaux, elle
paraît
en ressentir du contentement;' elle rit aux écl
distinctifs. 1\1, Christian, à qui on doit une synthèse des travaux
parus
sur la question, repousse cependant l'étiquette
l'adjonction du chirurgien 30S CLINIQUE MENTALE. au psychiatre
paraît
ici indispensable pour résoudre ces premiers po
épicrâne en témoignaient; mais, dates et anté- cédents vérifiés, il
parut
que les premières chutes rele- vaient d'excès a
t sa carrière de jo- key. Il est tombé souvent sur la tète, mais ne
paraît
pas avoir eu de fracture du crâne ; il ne prése
e du malade, hormis ce qu'il lui en a dit. Le début de la maladie
paraît
remonter à quatre ans : à la suite d'ennuis ( ?
sse, cause vraie de - l'accident). Le point culminant du problème
paraîtrait
donc sur- tout résider dans l'examen des dates
z loin pour que la période préparalytique l'ait pu suivre, le doute
paraît
permis. Dans la pratique, en revanche, le pos
eurs de sorte qu'il n'est pas rare que les extrémités su- périeures
paraissent
à cet égard indemnes. Dans la névrite- mulLi- p
son intrapsychologie, Tarde,quoique adversaire du darwinisme, a pu
paraître
sauvegarder les lois de l'évolution ; en outre,
l'idiotie et la surdi-mutité, par ILard (1). Le troisième volume,
paru
en 1895, intitulé : Rapport et mémoires de Bégu
ts spéciaux dont il s'agit existant dans voire département, il vous
paraîtrait
possi- lile d'opérer la transformation en insti
en chef des Asiles (1). Deux cas observés dans le service nous ont
paru
/cor- respondre à des troubles mentaux développé
à un traumatisme accidentel datant de deux ans environ. L'amnésie
paraît
persistante et définitive ; dilatation pupil- l
où, après les symptômes immédiats plus ou moins graves, le blessé
paraîtra
revenu et définitivement revenu à son état nor-
er peu après un certificat d'aliénation mentale. L'entrée à l'asile
parut
être un moyen d'obtenir une pièce importante po
et descend les escaliers en se tenant des deux mains à la rampe et
paraît
fière de pouvoir faire cet exercice sans l'aide
isant des gri- maces et des excentricités pour les faire rire, elle
paraît
alors très satisfaite d'elle-même. Le caractère
battue ou battant. Elle était complètement nul}§ pour la classe, ne
paraissait
rien comprendre .de ce qu'on ensei- gnait, rien
puis finissait toujours par les taquiner et les faire pleurer et
paraissait
satisfaite quand elle arrivait à son but. Elle po
lleur; elle se faisait détester de toutes ses compagnes. La mémoire
paraissait
très faible pour les leçons classiques, l'enfan
ela, elle avait la physionomie assez expressive et, de prime abord,
paraissait
TRAITEMENT DiI : DICO-P1 : DAGOGIQI : li DES
début, elle TRAITEMENT MliDICO-PIsDAGIOGIQUE DES IDIOTIES. 411
paraissait
toujours triste et préoccupée, répondait à peine
cer des bâtons sur l'ar- doise. Ajoutons encore que cette enfant ne
paraissait
avoii aucune aptitude pour ce qui était enseign
pour les travaux de couture, ni aucune notion de la gymnastique,
paraissait
même avoir pour ce dernier exercice des difficult
tteint de double ré- traction de l'aponévrose palmaire. Ce syndrome
paraît
être lié à la pellagre et être un trouble troph
z des sujets n'ayant point d'autres signes comitiaux, néanmoins ils
paraissent
constituer dans certains cas des équi- valents
le tableau de quaranle-six observations, où le diagnostic de labes
paraît
certain. Ils ajoutent une observation personnel
roubles de la parole : mais, au cours des études, les blésités dis-
paraissent
on partie, de telle sorte qu'il ne reste que 6.8
e de parler et de se faire comprendre. Il y a trois ans environ que
parurent
les troubles mentaux à la suite d'une accusatio
cranien que le malade a dit avoir subi un an avant sa maladie,il
paraît
avoir été bien léger etdetrop peu d'im- portanc
maladie. J'ai vu dans mon cabinet, en mai 1905, un malade qui m'a
paru
être atteint de sclérose latérale amyotrophique
). Il avait aussi des hallucinations de l'ouïe. En ce moment, il ne
paraît
plus délirer. A l'examen physique. G ? est un i
ste, bien développé, sans infirmités apparentes. Tous les organes
paraissent
normaux, à part le coeur, où l'on constate les si
eut plus prononcer que la syllabe « si ». La plupart du temps il ne
paraît
pas comprendre les questions qu'on lui pose et
globalc, sorte d'idiotie acquise. Le fait que le dernier ma- lade
paraît
être atteint de paralysie générale ne saurait ê
chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa faible intelligence
paraissait
tout à fait impropre à l'étude. Actuellement
repasse comme une grande personne. Il fal- lait à cette nature qui
paraissait
indomptable, de l'affection et beaucoup d'exerc
aient posées. Elle était très craintive, restait inerte, sa mémoire
paraissait
très faible; elle était nulle pour la classe. E
ansformation, cette enfant raisonne bien, se rend compte de tout et
paraît
avoir un cer- tain jugement. On prend plaisir à
ans ses mouvements. En classe, elle ne connaissait aucune lettre et
paraissait
insou- ciante de s'instruire. Mise aussitôt e
fant. Elle commença à prendre du goût à l'étude; son attention, qui
paraissait
nulle, s'éveilla, et elle ne tarda pas à connaî
n somme, ses progrès en classe ont été rapides. Cette enfant, qui
paraissait
si indifférente, s'intéresse à tout maintenant,
Son caractère, autre- fois sombre et sournois, est devenu gai. Elle
paraît
très affec- tée si on lui fait une réprimande e
r- sonne qui fera effectuer le placement; mais cette réserve peut
paraître
une faible garantie contre certains ahus possible
décisives, de procéder à une enquête ap- profondie sur les cas qui
paraîtront
douteux. Aucun médecin ne Se plaindra d'une tel
eut substituer au mot bienveillance celui d'al- truisme morbide qui
paraît
mieux désigner les dispositions habi- tuelles d
uefois une position qui se prolonge un peu plus longtemps, et qui m'a
paru
être celle d’un marin cherchant à prendre la haut
our ceux qui croient fermement à l’apparition des Esprits, ce fait ne
paraîtra
point extraordinaire ; mais je voudrais au moins
en si bonne voie. Je vous tiendrai au courant du résultat, qui ne me
paraît
pas devoir être douteux. Je suis, avec un profo
enir aucun phénomène de transmission de pensée. Cette expérience nous
paraît
décisive. Elle s’accorde d’ailleurs parfaitemen
idèle exécution du programme, la pauvre femme, pétrifiée de surprise,
paraissait
en proie à d’étranges sentiments. » A ces détai
Bien que nous ne connaissions cet auteur que par ses écrits, il nous
paraît
un savant trop consciencieux malgré ses erreurs,
i plusieurs objets posés sur une table, puis, me plaçant au piano, je
parus
jouer différents airs, bien quelle ne les entendi
ois directement. Nous allons donner l’explication de ce phénomène qui
paraît
surprenant à M. Clever de Maldigny, uniquement pa
réagir sur elles sans leur consentement, et relu à distance. Cet aveu
parut
les impressionner vivement. Comme nous étions alo
ous racontèrent alors ce qui avait eu lieu pendant la nuit, et ils ne
paraissaient
pas trop rassurés au sujet de notre visite noctur
indication, ne voulant point, ou n’osant pas avancer dans ce qui nous
paraît
pourtant si vrai mais trop haut placé au-dessus d
e le mis immédiatement en pratique, et bien que l’état de ma femme me
parût
, ainsi qu’aux médecins, désespéré, je ne laissai
e lendemain. Devant donc passer la nuit au château et ne voyant pas
paraître
le soi-disant seigneur du lieu, chose qui l’intri
!) Il est à regretter que cette personne ne veuille point que son nom
paraisse
ici. Cependant, quoiqu'elle craigne aujourd'hui d
s trop ignorées de nous; ils s’étaient acquis des certitudes qui nous
paraissent
des fables ; ils possédaient une énergie, une fer
e que cela parait facile. Ces œuvres communes toutes petites qu’elles
paraissent
, étonnent et confondent la raison des savants, ca
sères humaines et leur soulagement n’en offrent pas moins; qu’il nous
paraissait
d’ailleurs prudent de nous assurer la conquête du
s, Venez des voûtes éternelles, Nous effleurer avec vos ailes ;
Paraissez
à nos yeux épris ! XI Arrêtez un peu votre co
nt peut-être que le costume toujours symbolique du prêtre égyptien ne
parût
étrange à vos lecteurs : Il s’est mépris à cet ég
ssin. Ses figures, vues de profil, offrent les yeux comme ils doivent
paraître
, tandis que, traditionnellement, l’artiste égypti
emme ou le jeune homme qui esta côté et debout, a les bras étendus et
paraît
implorer du secours pour le mourant, en s’adressa
le vrai, sous le titre : Antiquité Étrusque que la gravure aurait du
paraître
. La figure de Y Univers pittoresque à laquelle
nir, rue de l’École-de-Médecine, 17. Cette seconde édition vient de
paraître
et l’on y remarque de notables additions : d’abor
ssaise, miss II., qui passait pour avoir le don de seconde vue et qui
paraissait
, il faut en convenir, très-peu flattée de la facu
uvait se rendre compte, et qui la forçait à parler. Au reste, elle ne
paraissait
attacher aucune importance à ce don : bien loin d
res diables de visiteurs, comme témoignage de leur reconnaissance. Il
paraît
queM. le curé, en pasteur sage et intelligent, a
Yonne), élevait un jeune chien de chasse. Cet animal fit ses dents et
parut
beaucoup souffrir. Touché de ses gémissements, so
Magnétisme et de ses effets, etc...., par le Dr Cornet. Ce volume a
paru
par livraisons, et il y a déjà quelque temps que
les de la vie intérieure ou organique, quoique l’inlluence du cerveau
paraisse
secondaire , comparée à celle de l’organe rachidi
historiques et scientifiques de la savante Allemagne, vient de faire
paraître
, dans ses numéros du 31 mai et du 15 juin, une Ét
savant précédant l’époque actuelle ; mais, comme dans la romance, il
paraît
qu’un vent venu de la montagne a rendu fous nos l
nciens. Cette publication nous promet d’autres documents. Ils doivent
paraître
par livraisons de 25 pages, et la publication doi
emples, loin des yeux du vulgaire? ne croit-on pas aujourd’hui, et ne
paraît
-il pas positif que la magie était le premier myst
quelque part que le fluide magnétique vu par des somnambules lucides
paraît
bleuâtre. L’eau, d’après Reichen-bach, imprégnée
Cette manière-ci est, à ce qu’on voit, le nazar-boundjek naturel. Il
paraît
que l’homme a toujours été inspiré à lancer, pour
uvant ainsi plonger dans l’intérieur de l’œuf, la matière albumineuse
paraît
enveloppée d’une lueur très-faible, et le jaune d
quelque action sur la marche des événements de ce monde pourra-t-elle
paraître
désormais exagérée? cette croyance, jadis univers
nous. Cette façon de procéder n’entre pas dans l’usuel de tous : en
paraîtra-t
-elle plus défectueuse pour cela? Chacun, autant q
e proposition, quelque hazardéc que l’opinion qu’elle comporte puisse
paraître
au premier abord, il est à présumer qu’elle sera
n serait un crime. » Oui, les magnétistes doivent aider tout ce qui
paraît
offrir une chance de vérité, tant petite qu’elle
* Cependant il sortait des ténèbres une autre voix inarticulée, elle
paraissait
être la voix delà lumière. Ce verbe saint était p
n d’une opinion contraire à la logique ou des appréciations qui ne me
paraîtront
pas être mûrement étudiées, ou du moins qui ne se
enne maladie puriforme des poumons, qui a emporté le malade. . « Il
paraît
donc avéré qu’il n’était pas atteint de la fièvre
t provisoirement déposé dans la prison des Madelonnettes. Cet bomme
paraissait
avoir recouvré le calme, et on s’élait un peu rel
frappe le tyran l frappe! et garde toi bien qu'il en revienne ! * Il
paraissait
assister à cette scène, et pousser résolument le
uel motif il posait à deux fois cette question, dont l’opportunité ne
paraissait
pas bien pressante, en effet, à des tempéraments
ainsi tout à fait insensible. On le piquait, on le brûlait sans qu’il
parut
(•) Jérôme Cardan, savant médecin do xvi* siècl
bilité de se transporter au loin ? Plusieurs l'assurent, et les faits
paraissent
appuyer leur affirmation. Ce soi-disant transport
tes : si je ne me trompe, jamais leur caractère de psychisme n’aurait
paru
plus évidemment démontré. Mais, écrit M. d’Arba
catalepsie en amateur, bien qu'il lui plaise de pérorer en maître, ne
paraît
pas différencier cette grave afT-ction de celle d
, ou Y Art Je guérir les inuladtes par le magnétisme. Cette œuvre
paraîtra
sous la couverture du Journal, imprimée sur très-
r sur les doctrines ou les systèmes qui se trouvent dans les ouvrages
parus
. Nous traiterons de notre pratique seule, et auss
pour Paris; lâ fr. pour les Départements; 16 fr. pour l’Étranger. Il
paraîtra
par livraisons de deux feuilles d’impression : il
. On reçoit dès fi présent les souscriptions. La première livraison
paraîtra
le 1" janvier 1862. Baron Du Potet. Baron Du
ire atmosphérique, les vibrations d’un mouvement communiqué : rien ne
paraît
plus ordinaire. Mais deux âmes terrestres, l’une
ndance. « Il prie avec tant d'ardeur, écrit le témoin oculaire, qu'il
paraît
de temps en temps prêt à tomber en faiblesse. » D
mes appréciations diffèrent de celles du magnétiseur de Caliors, qui
paraît
ne pas connaître le procédé de magnétisme nommé «
à leurs théories. J’ai gardé le plus souvent le silence sur ce qui me
paraissait
des contradictions et même des erreurs; j’ai préf
t que le navire eut repris sa route, M. Bruce dit au capitaine : — Il
paraît
que ce n’est pas un Esprit que j’ai vu aujourd’hu
si les Grecs l’otit-lls assimilé à Esculape. La personnalité de Chons
paraît
avoir été envisagée sÔUs deux faCës! d'une part l
ection. Ce nom désignait la première forme de Chons, sous laquelle il
paraît
avoir été conçu comme se reposant dans sa grandeu
ssi en raison de la nature mystique du texte, une analyse complète me
paraît
bien difficile, sinon impossible. Je ne me propos
but étant d’expliquer seulement un petit nombre de passages qui m’ont
paru
particulièrement remarquables. « Le premier de
obablement quelque lumière sur la question. Quoi qu’il en soit, il me
paraît
vraisemblable que les opérations magiques, reproc
t, toutefois, ma tâche n’est pas terminée. Le 15 août dernier, il a
paru
dans Le Magnétiseur de Genève, un article très-ma
it ce praticien, il faut que je fasse encore mention de celui qui m’a
paru
exercer le plus d’action sur les somnambules (2).
ne sauraient jamais rendre prisonnière dans leurs appareils. » « 11
paraît
, dit encore M. Millet (1), que la mer à une influ
convenu qu’en général, lorsque j’aborderai des questions qui peuvent
paraître
ardues, je ne citerai aucun fait personnel ; j’ai
articulier en cinq catégories seulement, c’est que celle division m’a
paru
plus que suffisante; et que si l'ordre que j’ai s
les livres, traitent aujourd’hui de celte question qui, nnguôre, leur
paraissait
indifférente : C’est ainsi qu’en fort peu de temp
iés des uns et des autres, dans les Journaux ; un petit diurne, qui a
paru
dans la Revue des deux Mondes, intitulé le Drak,
anquera même pour achever des travaux dont les commencements ont déjà
paru
dans le Journal. On le voit, jamais on ne s'est
euses, les critiques augmentaient. Peu de jours avant que d'Eslon fit
paraître
ses Observations sur le magnétisme animal (1780),
ppli-« quer un de ses doigts sur le front de ceux ou celles qui lui «
paraissaient
avoir besoin d’un secours si puissant et si proie
taient les procédés du Mesmérisme (2). » Quelque chargée que puisse
paraître
cette description du baquet magnétique, elle n’en
laquelle il ne faut pas prêter grande foi. Néanmoins, ces faits me
parurent
assez carieux : ils s’accordaient d’ailleurs trop
on réussissait souvent. Jean Fernel (3) nous dit notamment qu’il a vu
paraître
dans un miroir diverses figures qui exécutaient s
rle dans la première opération magique exécutée par Achined vit aussi
paraître
en premier lieu un soldat turc balayant une place
en magnétisant et dont nous ne tenons aucun compte, soit qu’ils nous
paraissent
trop simples, soit qu’ils aient été rapportés par
gnétique humain se fasse par l’un de ces modes. Cette transmission me
paraît
se produire par l'émission ou le rayonnement, qui
là ni vibrations ni ondulations; car ces vibrations ou ondulations me
paraissent
hypothétiques, tandis que 1 émission me paraît se
ou ondulations me paraissent hypothétiques, tandis que 1 émission me
paraît
seule possible. Le fait que j’ai rapporté moi-m
érapeutique magnétique, ouvrage auquel il met la dernière main et qui
paraîtra
par livraisons, sous la cou- verture du journal
l'expérience, les lapins ont le regard inquiet. b). Cobayes. Ils
paraissent
inquiets et font des mouvements de mastication
vite, ce que la malade rattache à un refroidissement; des douleurs
parurent
dans différents endroits et persistèrent jusqu'
elà thermanesthésie diminua au membre inférieur droit, mais ensuite
parut
une zone d'anesthésie ther- mique plus profonde
satisfaisant. Dans le courant des deux dernières années, la maladie
paraissait
avoir progressé ; on me communi- qua que l'état
e distinguait la différence entre 17 et 19°, mais cette température
paraissait
tiède, peut-être sous l'in- fluence de la tempé
esse gagna les trois autres doigts et, huit jours plus tard encore,
parut
un léger engourdissement et une certaine faible
ès les travaux et les observations de SI. Wernicke9, qui le premier
paraît
avoir étudié le phénomène connu sous le nom d'a
e altération de l'os ni du périoste ; les vaisseaux du pied ne nous
parurent
pas présenter d'altérations. REMARQUES. - On no
s rencontré d'altération des vaisseaux du pied. Notre observation
paraît
plutôt se rapprocher de celles que M.J.Christia
n'est pas une -explication : mais c'est la seule opinion qui nous
paraît
pouvoir être formulée dans l'état actuel de la sc
s phénomènes qui caractérisent la maladie et qui, au premier abord,
paraissent
si différents, sont de la même famille et qu'on
tissu modulaire ou de la graisse ; une partie des tubes nerveux ont
paru
en voie de désintégration. D'autre part, la moe
relevé, produisant un certain degré d'acrocéphalie ». Or, ce qui me
paraissait
visible sur la photographie de profil, n'est po
munications, a rapporté l'une d'elles in extenso et que l'autre n'a
paru
que résu- mée. SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 na mèt
: par exemple les grandes cellules multipolaires de la moelle n'en
paraissent
pas susceptibles. Le mémoire est publié eu déta
ment qu'à la condition d'en élaguer certaines dispositions qui leur
paraissaient
la rendre inacceptable. Nous ne pouvions pas
l'amendement qui vient en délibération, nous avons du prévoir qu'il
paraîtrait
à plusieurs d'entre vous une innovation un peu
vrai, dans toute son étendue, au projet de loi primitif. Elle avait
paru
si décisive et si convaincante, que votre commi
ces maladies. Sans vouloir ici discuter ces conclusions, il nous
paraît
que la seule affirmation de M. Bourelly ne saurai
aient, la plupart du temps, hystériques. Mais où l'auteur, qui nous
paraît
déjà peu prudent, dans son inter- prétation des
pouvoir être dirigé sur l'asile de Sainte-Gemme. Ce malheureux, qui
paraissait
un dément, inotfensif et dont l'indigence était
commune paieront, si le malade est ou non dangereux, questions qui
paraissent
plus importantes que la question d'assistance,
lé : Considérations sur l'hygiène des pêcheurs d'épongés et qui a
paru
dans les « Annales d'hygiène publique et de méd
autopsie à notre chapitre d'Aîîatomie pathologique. En 1882, il a
paru
un travail intéressant et original de M. Nicola
mais très diffi- cilement ; il traînait ses jambes, dit-il, qui lui
paraissaient
lourdes et raides comme de véritables barres de
moindre qu'à droite. La sensibilité examinée sous tous ses modes
paraît
annihilée (douleur, température contact) au mem
-Rien aux membres supérieurs. Les autres fonctions de l'organisme
paraissent
s'effectuer régulièrement. Observation II. - Ac
ont physiologiques. Aucun symptôme céphalique. Les autres organes
paraissent
bien fonctionner. OBSERVATION III. Accident pro
oite pour pouvoir déta- cher du sol le membre correspondant qui lui
paraît
long à cause de l'impossibilité où il est de fl
es génitaux. Pas de symptômes céphaliques. Les autres appa- reils
paraissent
bien fonctionner. Observation IV. Accident occa
uilles; il frotte moins le sol ; il traîne moins ses jambes qui lui
paraissent
moins lourdes et moins rigides; le tremblement
; il continue à commettre des excès alcooliques. Les autres organes
paraissent
bien fonctionner. Observation V. Accident provo
à ce moyen, et après une immersion, rarement deux, le prurit dis-
parut
. Observation VI. Accident survenu à la cinquièm
quelques pas en s'appuyant sur une corde du caique. Ses membres lui
paraissaient
, dit-il, extrêmement lourds, et souvent, ils ét
ans la même direction. Une légère flexion du pied suffit pour faire
paraître
l'épilepsie DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAP
rande quantité de pus et de mucus. Les fonctions des autres organes
paraissent
bien se faire. Il n'y a rien du côté du rectum
lement, et en boi- tant d'une manière très visible. Ses membres lui
paraissent
très lourds, ils étaient souvent agités d'un tr
s sont normales. Pas de symptômes céphaliques. Les autres appareils
paraissent
bien fonc- tionner. Observation X. Accident p
pris d'étourdissements; il ressent un malaise; tous les objets lui
paraissent
se mouvoir. Pas de troubles aphasi- ques ou sen
quelques progrès; en effet, il marchait sans bâton, ses membres lui
paraissaient
plus 180 CLINIQUE NERVEUSE. légers, les érect
la face. Aucun symtôme céphalique. Les fonctions des autres organes
paraissent
se faire régulièrement. Je lui ai conseillé :
. - A. Groupe de symptômes céphaliques. Les symptômes céphaliques
paraissent
occuper une place importante parmi les symptôme
erte de connaissance a une incommodité qui fait que tous les objets
paraissent
se mouvoir. A propre-, ment parler l'étourdisse
t. C). Groupe DE symptômes gastriques. Les symp- tômes gastriques
paraissent
occuper en raison de leur fréquence un rang imp
rès fugitif ; il n'a duré que cinq minutes. a). Soif. Ce symptôme
paraît
souvent tourmenter les malades. Parmi nos obser
ce blanche, ils constituent plutôt une complication accidentelle et
paraissent
habituelle- ment à une période plus tardive. No
tôt que l'anesthésie n'arrive qu'à la région du nerf trijumeau et
paraît
être comme distribuée suivant les nerfs (nerf o
s perceptions de la chaleur et du froid s'élargissaient, mais ils
paraissaient
s'éloigner davantage tantôt de l'une, tantôt de
ajoutée à la thermanesthésie partielle qu'après quatorze ans. Il
paraît
qu'une apparition semblable d'analgésie con- sé
du sens du tact et du lieu, tantôt ne s'observe pas du tout, tantôt
paraît
par-ci, par-là, en occupant une région peu cons
vident. La continuité des douleurs est différente ; parfois elles
paraissent
par accès pour quelques moments, quelques heure
e symptômes, observés chez ses malades. Les troubles vaso-moteurs
paraissent
être la source de quelques paresthésies et joue
gtemps, comme le démontrent nos OBSER- vations III et VII. Une fois
parue
, elle se développe très lentement, et ne montre
t à cette sorte de symptômes accidentels de la maladie, qui peuvent
paraître
dans des combi- naisons les plus variées, si le
aisseaux du bulbe, d'où les troubles circulatoires et respiratoires
paraissent
avec des vomissements ou s'ag- DU VERTIGE MARIN
e la cérébrale antérieure du même côté. Le pédoncule cérébral droit
paraît
plus étroit que le gauche. La pyramide droite e
longue et plus large d'un tiers que la gauche. Les nerfs crd- niens
paraissent
normaux. Cervelet, bulbe et protubérance, 150 g
quantité de liquide et sont dilatés. La moitié gauche de la moelle
paraît
atrophiée et le cordon latéral de ce côté est u
toute son étendue. Le lobule paracentral, relativement assez gros,
paraît
peu lésé, sauf dans sa partie la plus postérieu
r. La scis- sure perpendiculaire interne est très profonde. Le coin
paraît
un . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 243 3 peu grê
ns son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie postérieure,
paraissent
atrophiés. Hémisphère droit. La scissure de Syl
lques traces d'adhérences ; la coloration de la substance cérébrale
paraît
à peu près normale. Le lobe occipital, sans êtr
ormales. On retrouve un certain nombre des gros blocs graisseux qui
paraissent
dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerv
t, examinées comparative- ment avec celles du côté gauche n'ont pas
paru
présenter de différence sensible. Les coupes du
dante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne
paraît
un peu plus volumineuse que celle du côté oppos
hères cérébelleux étaient sensiblement égaux, toutefois le gauche
paraissait
un peu plus petit. C'est aussi lors de l'appari
la paralysie progres- sive. Car les cornes antérieures de la moelle
paraissent
être avec les zones radiculaires antérieures (t
vons trouvé à la par- tie externe et postérieure du cordon latéral,
paraissent
se réu- nir en anatomie pathologique pour révél
tripètes externes de l'étage inférieur. D'autres fibres centripètes
paraissent
oc- cuper l'étage supérieur (PL. II, fig. 1, ro
une erreur de mise en pages, les séances de décembre et janvier ont
paru
dans les Archives à la suite de celle de SOCIÉT
fonctionnaires médicaux de la Fruste à Bei,lin; le 10 juillet 1886
parut
un décret gouvernemental pour le district de Po
cins en chef ou directeurs-médecins dans toute la France. 1 Il nous
paraît
difficile qu'il n'y ait pas de vacance d'emploi d
e partie de sa carrière, lorsque l'autre éclate; jamais ils ne sont
parus
exactement à la même époque. Il en est un qui a
I DES SCAPHANDRES. 349 2. Période paralytique OU paraplégique. Il
paraît
que pour la plupart des cas, l'explosion de la
sion (OBS. III, IV, V, VI, VII, IX, X, XIII). Pour quelques cas, il
paraît
qu'il faut à la paraplégie un certain temps pou
vation XII ont commencé à se dissiper le quinzième jour pour dis-
paraître
tout à fait, quelques jours après. Examinons ma
t 5° douleurs aux lombes. 1). Symptômes sensilifs. La sensibilité
paraît
être constamment altérée ; au moins sur les tre
et, le malade frotte bien moins et traîne moins ses membres qui lui
paraissent
moins lourds et moins rigides ; son tremblement
mal. Pas de symptômes céphaliques. Les fonctions des autres organes
paraissent
t se faire régulièrement. Nous lui avons ordonn
faire quelques petits pas à l'aide de deux bâtons ; ses membres lui
paraissent
très lourds et s'agitent souvent comme d'un tre
'uriner qui rarement survient au malade. Les fonctions de la vessie
paraissent
se faire régulièrement. Rien du côté du rectum
r- ganes génitaux sont normales. Les fonctions des autres organes
paraissent
se faire régulièrement. Observation XVIII. Acci
taux; pas de symptômes céphaliques. Les fondions des autres organes
paraissent
régulières. DES ACCIDENTS PAR 1,'E)IPLOI DES SC
dégénérescence. Dans d'autres cas, on observe la dégénérescence qui
paraît
se faire en bloc d'une certaine partie sans alt
r sur cette supposition s'il n'y avait des faits anatomiques, qui
paraissent
parler en sa faveur. Dans certains cas d'anesth
éclarée entre dix-sept et vingt-cinq ans; chez un autre malade elle
parut
à quarante-neuf ans et chez un autre encore ell
les panaris, surtout lorsque ces der- niers se répètent souvent ou
paraissent
être peu dou- loureux ; 2) dans les fractures d
ns à l'onguent gris chez un sujet qui avait eu jadis la syphilis,
parurent
nuisibles. Les vésicatoires, les pointes de feu
syphilis, parurent nuisibles. Les vésicatoires, les pointes de feu
paraissent
être utiles. Bien entendu que l'expérience clin
llectuel de ces malades; tant qu'ils existent seuls, l'intelligence
paraît
, en effet, peu atteinte et la mémoire semble bi
- naire et par conséquent sont très variables. Le diagnostic nous
paraît
facile. Les accidents pro- cursifs, vertiges ou
ve. Disons de suite que la propriété de coordonner les mouvements
paraît
devoir être exclusivement réservée à son lobe m
stés inefficaces, seuls les accès consécutifs d'épilepsie classique
paraissent
justiciables d'un traitement amenant parfois un
eux sont enfoncés IDIOTIE AVEC C : 1CHL.lIE PACHYDERMIQUE. 433 et
paraissent
petits. Le regard est sans expression. I\le : : c
non corticaux. L'apparence clinique d'après laquelle l'état tonique
paraît
résulter de la confusion des contractions cloni
ES. 45t asile ne sont pas aussi défavorables qu'elles le pourraient
paraître
au premier abord, par un simple rapprochement d
Elle pourra, par exemple, si les cer- tificats des médecins ne lui
paraissent
pas décisifs, faire appel aux inspecteurs génér
fficultés sérieuses. La seule difficulté qui pouvait exister a.dis-
paru
daus la rédaction nouvelle de votre commission. I
oute de Souvigny et arrivait, vers neuf heures, dans sa famille. Il
paraissait
très calme et rien dans ses allures ne pouvait fa
à quelques ré- ponses d'une laconicité extrême et au plaisir que
paraît
lui procurer la vue d'une parente. L'agitation,
rce normale. Toujours les deux membres supérieur et inférieur m'ont
paru
affaiblis. Mais il arrive quelquefois, que, con
s malades au lit, le membre inférieur du côté opposé à l'hémiplégie
paraît
normal : les malades peuvent le fléchir, l'éten
que pour les membres supérieurs. La motilité des membres inférieurs
paraît
être sous la dépendance moins immédiate et moin
'impressionnent vive- ment ; son sommeil se trouble, le travail lui
paraît
plus pénible et plus fatigant, et sentant ses f
tristesse, il se montrait sombre, taciturne, méfiant; ses facultés
paraissaient
oblitérées et ce n'est qu'à la longue, au bout
is de placer sous les yeux de nos lecteurs plusieurs faits qui nous
paraissent
propres à éclairer cet intéressant sujet. Toute
t à minuit). Le lendemain il ne restait qu'une grande fatigue. Cela
paraît
avoir été un accès d'épilepsie. Telle est l'ori
né a5 son travail à midi et demi jusqu'à deux heures et demie, mais
paraissait
pré- occupé ; ensuite il est allé à la cantine
part, l'existence d'accidents iîév2,opatlii- ques de l'autre, nous
paraissent
avoir exercé une action sur la condition cérébr
pression est peut-être diminuée à droite. Les pièces de monnaie lui
paraissent
moins lourdes dans la main droite; mais il n'y
s'agit ici moins d'une revue que d'une analyse, celle d'un travail
paru
il y a déjà plus d'un an. Peut-ùtrela trouvera-t-
la périphérie, fibres des nerfs opti- ques et peut-être olfactifs,
paraissent
traverser la couche optique avant de gagner la
stance grise (cornes posté- rieures, surtout la base de ces cornes)
paraissent
spécialement affectées à la conductibilité (Rec
cé de faire, en mettant à profit un procédé de préparation qui nous
paraît
appelé à rendre de réels services. Quand nous
ux seraient situées en dedans des premières. Cette hypothèse nous a
paru
d'autant plus plausible que, en étudiant anatom
ar les auteurs qui précèdent et d'après d'autres analogues, qui ont
paru
en France dans ces derniers temps, que la cécit
u visuels dans les points indiqués par Ferrier. Bien plus, ils nous
paraissent
très propres à établir que le pli courbe n'est
et que la thrombose du sinus s'est produite secondaire- ment ; cela
paraît
ressortir de ce fait qu'on trouva dans les bron
iore peu à peu; la langue se nettoie, la fétidité de l'haleine dis-
paraît
, l'appétit renaît rapidement; les selles reprenne
jour, les règles qui avaient cessé depuis l'automne de 1877, réap-
parurent
sans douleur. Le 20 février on injecta trois cent
évacuations alvines spontanées. Au 2 février, le myosis avait dis-
paru
, et, le 10, il n'y avait plus que des traces d'al
ganisé et fait à domicile. Toutes ces conditions, sauf la dernière,
paraissent
bien fondées. Il est en effet fort difficile, s
nsformés, jusque pendant la convalescence. La même cause, du reste,
paraît
donner la raison du délire asthénique qui peut
rette de ne pas voir de médecin en permanence à la colonie ; il lui
paraît
au moins indispensable que les travailleurs ali
econnaître ces différences. II. Cela posé en physiologie, il nous
parut
intéres- sant, et même nécessaire d'étudier ces
ésultats de nos recherches; bien que sommairement exposés, ils nous
paraissent
suffire à dé- montrer l'importance qu'a la déte
dans ce mémoire, d'exposer une évolution délirante spéciale, qui me
paraît
appartenir à un assez grand nombre de ces mélan
ue le côté moral. Il en est de même de la plupart des auteurs et il
paraît
étrange qu'une lésion intellectuelle aussi cara
délires mélancoliques, confondus par la plupart des auteurs. Marcé
paraît
l'admettre implicitement; il ne signale, dans l
is il n'insiste pas autrement sur cette distinc- tion, qui du reste
paraît
trop absolue, puisque certains persécutés prése
lade ne perçoit plus la réalité que d'une manière confuse; tout lui
paraît
transformé. A - mesure que l'état maladif devie
au contraire examine soigneusement ses aliments, cherche ce-qui lui
paraît
bon, rejette ce qui lui semble suspect ; quand
l'hypochondrie du début; elle l'est aussi dans le cas où le mal ne
paraît
pas évoluer au delà de cette forme ébauchée.
ode moyenne de la vie, des personnes dont la santé mo- rale avait
paru
jusque-là correcte; quand elle gué- rit, la gué
ie est devenue continue. Je veux seulement signaler un point qui me
paraît
établir une différence entre les négateurs et d
posées aux irrégularités et suppressions mens- truelles, ce qui lui
paraît
toutefois trop exagéré (loc. cit., p. 301). Mar
mentale, en prenant les chiffres à peu près égaux, on voit qu'il ne
paraît
pas y avoir une tendance plus prononcée chez le
ladies sexuelles. En résumé, les résultats de mes recherches me
paraissent
être les suivants : La complication de la folie
d'abord examiner en détail toutes les causes, si minimes qu'elles
paraissent
. Or, c'est précisément dans cette série de caus
dans les délires dépressifs aigus, quoiqu'eucore possibles, ils ne
paraissent
pas se montrer dans les délires partiels, du mo
e do la surface articulaire. L'épine de l'omoplate est épaissie, et
paraît
plus dense que celle du côté opposé. Sa face su
uvelle au traitement. Si bizarre et si peu physiologique que puisse
paraître
au premier abord une pareille idée, M. Mortimer
du rachis une petite quantité d'eau froide (dans quelques cas, il a
paru
utile de sinapiser la colonne vertébrale dans tou
e a été trouvée dans six cas seulement. La déviation de la langue
paraît
rare. La difficulté ou l'impossibilité de la dé-
de mise en piges a reculé la publication de cette séance qui devait
paraître
dans le dernier numéro des Archives de Neurologie
Traité des Névroses, d'Axen- feld, M. Henri Huchard vient de faire
paraître
une oeuvre personnelle importante. C'est le sor
que les exigences du lecteur, qui demande à un livre nou- vellement
paru
de n'ignorer aucune des récentes acquisitions d
chard n'a négligé aucune des ressources que les travaux ré- cemment
parus
aussi bien à l'étranger qu'en France pouvaient lu
apidement et profondément con- promis. Chez la femme, l'absinthisme
paraît
rendre la ménopause plus précoce et prédisposer
scléreuse ; le labyrinthe d'ap- parence normale ; la fenêtre ronde
parut
bombée en dehors. Ce court aperçu montre des lé
E DES NÉGATIONS (Suite)1; ParM.COTARD. Si le délire des négations
paraît
se rattacher, dans bien des cas, aux vésanies i
délire des petitesses signalé dans cette maladie par le D' Materne
paraît
fort voisin du délire des négations et peut coe
IV. Mm0 M..., âgée de cinquante et un ans, mariée, mère de famille,
paraît
avoir toujours été bien portante jusqu'à l'anné
son caractère commença à s'altérer, il devint sombre, irritable, et
parut
s'absorber dans une pro- fonde tristesse. Il ex
situation est toujours la même; cependant les idées de persécution
paraissent
prédominer de plus en plus, M ? G... accuse les
yeux desquels ont passé des individus essentiellement vicieux, ont
paru
jusqu'ici peu disposés à attribuer à la maladie
nsibles, quelque contraires à la nature et à la raison que puissent
paraître
les actes de pédérastie, ils ne sauraient échap
défunt qui passait tous ses loisirs à s'amuser avec eux. . ' Or, il
paraît
que deux mois auparavant, on avait tué le chien
s qui 'c'ouraient'paraHelement à la surface de la coupe, les noyaux
paraissaient
plus rares'parce qu'ils étaient disséminés'le l
talement ou obliquement,'les n'6'yaux'se'pr'é saient sur la couplet
paraissaient
plus nombreux, faute d'é perspec- live ? Tous c
irconférence de la tumeur et 'un peu en delibrs de son '-dfltre;'Il
paraissait
blanc a la lumière incidente et noir la lSjtto'èt
ance blanche c'est le cordon latéral qui avait le plus souffert. 11
paraissait
réduit à un mince filet logé entre la tumeur et
pparition d'escarres et d'hémorrhagies abondantes. Ces lésions nous
paraissent
devoir être rapprochées des gan- grènes localis
branches vasculaires convergent vers l'axe médian. Cette conception
paraît
d'adord séduisante : mais elle est spécieuse, s
du sillon ne diffère pas essentiellement de la nôtre, quoiqu'elle
paraisse
entrer dans des détails plus nombreux. Nous disio
0/'MM ! latérales, nos artères radiculaires postérieures : 3o il ne
paraît
pas com- prendre l'importance des artères radic
des artères radiculaires, comparée à celle de l'auteur allemand,
paraîtra
d'ze7e plus grande clarté : «Les artères radicula
cette suture, plus ou moins oblique suivant l'âge. Le ptérion lui a
paru
toutefois, quant à ses rapports avec les circon
. Ces explications physiologiques, toutes satisfaisantes qu'elles
paraissent
, ont néanmoins, comme le fait remarquer l'auteur,
respiration stertoreuse. Dix-huit heures après la chute, le malade
parut
posséder la faculté d'articuler nettement les m
phasique, et, même après le retour com- plet de la connaissance, il
parut
avoir complètement perdu la faculté de traduire
et arythmie). L'âge et la condition de santé habituelle des malades
paraissent
être pour quelque chose dans le mode de réponse
ne pouvant, disait-il, remuer les jambes en aucune façon. Celles-ci
paraissaient
du reste com- plètement normales : la peau avai
erait au contraire cette valeur. Dans cette dernière hypothèse, qui
paraît
à M. Gasquet beaucoup plus vraisemblable que la
tte de n'avoir pu jusqu'ici l'expérimenter dans des cas aigus. Il a
paru
à l'auteur que l'action de l'atropine était moi
trée à l'asile, elle a eu une attaque de rhumatisme articulaire qui
paraît
avoir été subaigu; les troubles mentaux datent
gressive, mais lente ; elle a une grande diffi- culté à parler, qui
paraît
due à un défaut de coordination des muscles qui
hèque et des jeux; mais l'administration impériale a tout fait dis-
paraître
.' (B.) ' 394 le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
it la jambe gauche, et d'un certain degré d'hyperesthésie qui avait
paru
exister sur les membres du côté droit. L'état d
tate également que la deuxième circonvolution temporo-sphénoïdale
paraît
être plus atteinte que la première dans les cas q
livrer à ses études depuis plusieurs années. Cette affection nous
parut
curieuse et nous fîmes des recherches pour trou-
u quartier. Mais cette hydrothéra- pie, loin de soulager le malade,
parut
aggraver son état. Il fallut, au bout de trois
au baccalauréat ès sciences. Mais le travail des mathématiques lui
parut
trop pé- nible ; il eut peur d'une rechute et,
on recourut à l'hydrothé- rapie. Mais, cette fois, la médication ne
parut
pas réussir. Au bout de deux mois, le mal avait
oides aussitôt que la guérison du 8 CLINIQUE NERVEUSE. genou nous
parut
suffisamment consolidée. Le résultat de ce seco
t dans un gymnase. Mais il dut renoncer à ce mode de traitement qui
parut
aggraver ses douleurs. On lui donna alors un pr
jour, tout en suivant son traitement. Enfin, au mois de mai, l'état
parut
si satisfaisant au Dr Bucquoy, qu'il consentit
'souvent : da : çls)no.tre1s.ociété, Joutât lutte pour l'existence,
paraît
1 atteindrc S09.lS1- Mum; 1 le 'Prédisposé, suc
avo ! ! s,¡pu,1 r : e,cueilllr¡ surf., ce, 1 point, ((ce fait.nous¡
paraît
, être,, une /vérité., essentielle- ment'cliniqu
matériaux à\l'édifica' tioir du 'délire : inais'eux[, non plus lie
paraissent
point é'sséntiels'dansla vét : anie ;1' à/notre
s apparents,, quant aux raison- nements,qui ? chez chaque^ aliéné,^
paraissent
justifier ,cette. succession-.de. sentiments, f
ette ambition, -encore ^-inconscients,' et ! qui. -n'osent- encore ^
paraître
auijour. Comme fait second, comme conséquence,
léments simples que nous av6ns<pu dégager jusqu'ici, et qui nous
paraissent
ca- ractériser d'évolution du délire dans la vé
ut assombrissait l'avenir. Je me suis opposé à l'isolement qui me
parut
devoir être préjudiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t
dp coeur et ne se sent plus le même. Le lendemain tout avait dis-
paru
. Huit jours après, retour des mêmes troubles, il
uissance à les dominer. -Lors. de; la première crise, la conscience
paraît
, aussi, avoir été conservée, car, d'après les
hallu- cinations ; revêtirent un, caractère terrifiant. M110 Es...
parut
effrayée, elle eut le facies anxieux, l'oeil in
oire ;, quand 1 intellect, est,, .entier surexcité ou déprimé ? il)
paraît
, difficile que da .cons- cience'puisse'se scind
: du).'mot ? ce qu'elle'éprouvait était subjectif.-iL'intelligence
parut
s'affai- blir assez rapidement ? 1 si exl , i ,
lit6 (,générale et du 1 sens ,¡génésique : , Le jour, q les,- gens -
paraissent
lui, faire la grimace, l'a montrer du doigt., E
1 ? 1 ? 1" prr f'1 : JC"fTf ? f) ! Jl.f9 , t TY1J ? f ï religieuses
paraissaient
germer dans son esprit ? D après une note'qu'a
'homrne 9crpd` fia a9(dira` ! t - fil XXVIII.'Les'foHes conscientes
paraissent
se montrer -'de préférence chez la-femme a'la)
t '111'" l ¡.J..JI) ? I. "dt J ? ...]0 .. - 9jXXXI. mégalomaniaques
paraissent
exclu- sivestdejJa conservation1 de- la 'consci
qu'après de nombreuses tentatives ? « Ce développement rudimentaire
parut
d'aitteurst l'instigateur - 'd'une sorte de rév
femme de son frère,'et' de la Paria indoue;' de Sh'o'ru : 1quï'eui;
paraît
-il, un enfant' mort-né ». L'état et le fonétion
des symptômes observés. -1' "f -Ilf . , ' Plus récemmènt'encore a
paru
un travail fort intéressant de notre'ami'G. Bal
1 particulier, la panse .présentes des groupes de-diverticules qui
paraissent
destinés à servir de ré- servoir aux boissons;'
de relever dans, ! quelques : unes'' certains 'points qui ¡ : nous
paraissent
ne pas correspondre à la réalité 'dés faits ? 1'
. ,'met Maintenant que nous avons insisté sur ce point qu'il nous
paraissait
important d'élucider, nousJtermineronst en donnan
mérycisme/ Celles del,Percy ? de ! Littré et Robin/de Cambay nous !
paraissent
«bien dépeindre ce'phéno- mène; mais' la plus n
que'iet ,du trij umeau avec : le cervelet. Un résumé lde5'.travauxr,
parus
.sur ces' divers points'termine cette partie'. ?
\ tHP') ! ' rt° : J,1 a. ? IQ"" -i1 ? cipation de la conscience lui
paraissent
être concluantes, au cas même où les faisceaux
'( 'wÜ1 ! l1q L'observation qui sert de fondement à ce travail nous
paraît
mériter ]plpeineid'uiie apal3=se : ahs'a'it=d'u
. 6" Les personnes dont on instruit l'affaire ou dont l'état mental
paraît
douteux à l'époque de l'acte délictueux, peuven
pouls; alternative de congestion et-de pâleur. Aussi, le pronostic
paraît
-il défavorable. ? Mais il 'n'en est. rien'; la
publié sous les auspices de la Medico-legal Society de New-York , a
paru
en juin 1883. Le rédacteur-gérant, Bourkevill
es inégalités d'humeur et de caractère, et c'est ainsi, qu'il avait
paru
tantôt emporté, menaçant et violent, et tantôt
n'a pas dormi un seul instant; il a constamment pleuré et gémi. Il
paraissait
désespéré. Le 11 mai, il entre très pâle dans m
de l'accès délirant après cinq, dix, quinze ans et môme davantage,
paraissent
protester contre l'hypothèse d'une lésion absol
sera simplement le sentiment de satisfaction, de béati- tude dont
paraîtra
pénétré le dément. Nous avons là DU DELIRE DANS
e pré- sente à l'esprit. Tel est le mode d'explication qui - nous
paraît
le plus vraisemblable; nous ne le présen- tons
vidualités morbides qui auront cha- cune leur histoire propre, nous
paraît
être un singu- lier artifice pour démembrer la
ent indiqués. A l'examen macroscopique tous les nerfs périphériques
paraissent
sains Les racines postérieures de la région dor
s fibres nerveuses, le tissu conjonctif interstitiel, les vaisseaux
paraissent
tout à fait normaux. Sur des coupes trans- vers
. 187 Réflexions. L'observation que nous venons de rapporter nous
paraît
extrêmement- instructive. Elle nous montre plus
et sacrés avec les racines correspondantes. Aucun de ces organes ne
paraissait
altéré; ils n'étaient ni rouges, ni tuméfiés, n
tes. L'altération principale y est figurée par les types 2 et 3 qui
paraissent
exister en égale proportion et à côté desquels
bres de structure normale sont en majorité; quelques-unes cependant
paraissent
être en voie d'altéralion manifeste et présente
erne n'est que faiblement et partiellement atteint ; le sciatique a
paru
intact aussi bien sur les préparations à l'acide
n cer- vicale, étudiées par comparaison avec les précédentes, ont
paru
absolument normales. RÉFLEXIONS.Malgré son appa
évrites qui coexistent avec les alté- rations trophiques de la peau
paraissent
se développer de la périphérie vers les centres
naler le fait sans chercher à l'expli- quer. Notons cependant qu'il
paraît
avoir une certaine fréquence, car il est encore
extrémités et disparaître totalement dans les troncs nerveux; elles
paraissent
ainsi avoir une marche ascendante centripète. M
marche ascendante centripète. Même dans les cas où ces né- vrites
paraissent
liées à des altérations primitives des centres
la sensibilité. Telles sont les conclusions principales qui nous
paraissent
ressortir de l'étude de nos observations. Nous
o- nomie. Le diagnostic différentiel de cette affection ne nous
paraît
pas difficile à établir. Aucun de nos malades ne
en certainement des causes complexes ; mais la plus évidente nous
paraît
être celle qu'a signalée M. le professeur Bou-
qu'une seule de nos observations con- cernait une fille. La maladie
paraît
, en effet, n'atteindre que rarement ce sexe. Pl
et celle qui remplira ces conditions le plus avanta- geusement nous
paraît
être l'hydrothérapie. Par la complexité de son
nous venons de rapporter se ressemblent toutes tellement qu'il nous
paraît
su- perflu de démontrer que, dans tous ces cas,
sin- gulière qui est peut-être moins rare qu'elle ne pourrait le
paraître
au premier abord, puisque, dans notre seule pra
sive qu'elle a présentée dans l'ensemble des autres cas et qui nous
paraît
devoir être la règle. RECUEIL DE FAITS ENCÉ
térations anatomiqucs qui seront l'objet de notre étude, elles nous
paraissent
présenter certaines particu- larités qui nous a
irconvolutions du côté droit et du côté gauche. Du côté droit, elle
paraît
être plus pâle, plus épaisse que de l'autre côt
d du sillon, en passant ensuite insensiblement dans les parties qui
paraissent
être saines. Dans la direction occipitale, la d
lules, beaucoup plus nombreuses que les précé- dentes, l'altération
paraissait
poussée à un degré beaucoup plus avancé, la tum
ne prolifération des noyaux très abondante (de sorte que les parois
paraissent
en être presque totalement 'tapissées), et acqu
quantité de globules rouges, des leucocytes et des granulations qui
paraissaient
consister dans l'agglomération des noyaux de la
nt en dehors de la gaine lymphatique des vaisseaux, ces dernières
paraissaient
pénétrer dans le corps des cellules voisines en
euse. Ils insistent encore sur ce que cette lésion ne leur a jamais
paru
s'étendre jusqu'au fond des sillons et des scis
ifférence bien connue des personnes compétentes, ce rapprochement
paraîtra
au moins singulier. Notre aperçu bibliographiqu
omisse- ments ; ventre volumineux, souple, non douloureux; le colon
paraît
distendu; diarrhée jaunâtre, glaireuse. - A la
matique, que l'on a coutume de désigner sous le nom d'idiotie, nous
paraît
beaucoup plutôt comparable à la démence paralyt
la rumination commence. Les aliments en revenant dans la bouche ne
paraissent
avoir subi aucune altération dans l'estomac et
s sexuels avant son mariage. Les troubles fonctionnels de l'estomac
paraissent
aussi jouer quelquefois le rôle de causes occas
aminer. Causes prédisposantes. - L'âge, avons-nous dit plus haut,
paraît
n'être qu'une cause de faible importance, car le
mmes de bromure. Les crises ont cessé tout à coup sans que l'enfant
parut
épuisée; elle dansait même le surlendemain. M
ctives dans un but de déception. Aucune de ces deux alternatives ne
paraîtra
admissible à un savant de bonne foi, fut-il inc
n dehors de toute autre cause connue chez un ataxique avéré, nous
parurent
devoir être rapprochées des lé- sions osseuses
la réserve, relativement à la nature intime de l'affection qui nous
parut
provi- soirement désignée suffisamment sous le
cuboïde, le scaphoïde, les trois cunéiformes et les os du métatarse
paraissent
augmentés de volume, et ou peut les mouvoir l'u
is il y a huit ans environ, et chez la- quelle l'évolution du tabes
paraît
avoir été précipitée depuis quatre ans, par une
n effacement à peu près complet de la voûte plantaire. Le métatarse
paraît
porté en dehors,comme s' 1 I était luxé; cette
e l'articulation tarso-métatarsienne. Ces parties sont indolores et
paraissent
l'avoir toujours été, ou peut s'en faut; il n'y
cou-de-pied jusqu'à la racine du membre. Depuis un an les douleurs
paraissent
avoir beaucoup dimi- nué, mais il est survenu d
sible de faire un pas. Du côté droit, la partie inférieure du fémur
paraît
augmen- tée de volume et les condyles font sail
l'examen de la moelle épinière, l'origine de l'affection du pied ne
paraît
pas pouvoir rester douteuse. Il peut, comme o
ique semble courante et facile, tandis que la parole du second type
paraît
embrouillée, confuse. Or, en réalité, aucun des
anifeste pas d'emblée dès la naissance de l'enfant, mais il n'ap-
paraît
que graduellement. L'appareil vocal est le pre-
s'est améliorée sous l'influence du traitement, le délire chronique
paraît
devoir suivre sa marche progressive pour abouti
if, CLINIQUE MENTALE. chez tous les trois, nous voyons commencer à
paraître
quelques idées ambitieuses. Pourquoi, dans l'
tuel, et il mit en avant la théorie mixte ou psycho-sensorielle qui
paraissait
répondre à toutes les exigences. Cette théori
- mités et en partie dans ceux du tronc. Anamnèse. - Le malade ne
paraît
présenter aucune prédis- position aux maladies
lle eut étéhyperémiée. A l'oeil nu, les racines des nerfs spinaux
paraissaient
être nor- males ; il faut excepter les racines
es étaient très amincies à la suite de la diminution de la myéline,
paraissait
-il; dans d'au- tres, la gaîne de myéline était
irconstance pourrait- elle expliquer certains cas pathologiques qui
paraissent
con- tredire la règle générale des localisation
couvert en partie par les cheveux. Les lèvres sont volumineuses et
paraissent
plus saillantes encore, grâce à un mouvement de
aucun phénomène d'effort. Mais, en définitive, ces agents ne nous
paraissent
pas suffisants, et nous croyons que le principal
mois. A cette époque, il commença à marcher et ses premières dents
parurent
, la dentition était complète à deux ans; pour le
'on observe chez les aliénés. Voici les particula- rités qu'il nous
paraît
intéressant de mettre en relief. Les sensations
Le premier, tout à fait au début avec ses accrocs qui commencent à
paraître
, un deuxième avec de l'hé- sitation intermitten
s périphériques avec la genèse des hallucinations sont multiples et
paraissent
par- fois contradictoires. C'est ainsi qu'on co
on constate des- tentatives de suicide de leur part sans qu'elles
paraissent
préparées. Ce travail sera publié in extenso 1.
sa pathogénie particulière. Aujourd'hui une pareille tentative nous
paraît
prématurée. » La deuxième partie de ce travail
nément curables, qui surviennent sans autre symptôme cérébral et
paraissent
dues à l'action directe du virus syphilitique sur
oisième paire, par son voisinage de l'artère cérébrale postérieure,
paraît
tout particulièrement exposée à cet accident. O
si l'on a affaire à une thrombose ou à une hémorragie : la première
paraît
un peu moins soudaine, s'accompagne le plus sou
cérébrale prend le masque de la paralysie générale ne nous ont pas
paru
se rattacher à la syphilis des artères plutôt q
ble de la déglutition. Réflexe pharyngé normal. Le facial supérieur
paraît
intact; l'orbi- culaire des paupières se contra
e lésion; la pie-mère est normale; les vaisseaux de la convexité ne
paraissent
pas altérés. L'encéphale étantretiré, on examin
e facial était assez loin de l'artère dilatée, et macroscopiquement
paraissait
sain. Nous sommes donc déjà amenés à admettre u
tatistique que nous rapportons plus loin, les troubles tro- phiques
paraissent
assez fréquents dans laparalysie générale. Cett
la destruction, l'usure du tissu dur de la dent. Cette abrasion ne
paraît
pas résulter t' d'une défectueuse articulation
côté du trijumeau, et les troubles fonctionnels pouvant en résulter
paraissent
plutôt de nature à créer un terrain, c'est-à-di
puis Bird ; d'ailleurs, nous n'insisterons pas sur cette tumeur qui
paraît
être plutôt un trouble de circulation2, et, « s
. L'un de ces malades, pourtant, a des pigments apparus subitement,
paraît
-il, sans éruption bulleuse. En voici d'ail- leu
réflexes tendineux. En général, l'angle de réflexion de la cuisse
paraît
moindre chez .l'enfant, les individus musclés, su
on maxillaire ; 2° La partie postérolatérale du faisceau de Burdach
paraît
( ? ) être en rapport avec l'innervation de la pu
Dans ces deux dernières observations le décours des contractions ne
paraîtras
modifié. P. KERAVAL. VIII. Contribution A l'éti
fréquemment des sensations désagréables ou douloureuses, qui leur
paraissent
siéger dans les parties du corps qu'ils ont perdu
la ramener d'ailleurs presque aussitôt à sa position première. Il
paraît
vraisemblable d'admettre que, dans ce cas, l'ense
suivis de succès ; non seulement l'exopththalmie a toujours dis-
paru
, mais les autres symptômes ont au;si rétrocédé en
ent généralement le soir, et le sommeil les fait disparaître; elles
paraissent
s'être atténuées par le fonction- nement normal
ns le palais mou même on parvint à l'aide du courant induit à faire
paraître
des contractions, quoique faibles ; quant aux m
anesthésie plus ou moins étendue ne dorment pas ou presque pas sans
paraître
en éprou- ver aucune fatigue. Bien que signal
crédit sur les biens des Célestins. L'archevêque répondit qu'il lui
paraissait
« peu possible de prendre, sur la caisse des Céle
s et à l'intolérance gastrique, soit à la dénutrition excessive qui
paraît
sous la dépendance des lésions de l'écorce et r
écorce par l'encéphalite spécifique. Dans les cas plus bénins où il
paraît
sous l'influence d'une simple poussée congestiv
rou- bles et souvent de la photophobie. Actuellement, la céphalée
paraît
extrême et se reflète sur la physionomie par un
anisation. Les vaisseaux sont à peine visibles sur ,Ja papille; ils
paraissent
se~ perdre à quelque distance de son bord ; pas
infiltration gommeuse diffuse à limites indécises. Ces deux formes
paraissent
pou- voir être réunies dans le même tableau sym
urs reprises elle présenta des rémissions pendant lesquelles elle
paraissait
complètement guérie ; au moment où nous écri- v
vaisseaux font un crochet notable à leur entrée sur la papille, et
paraissent
se perdre un instant. Il n'y a pas d'exsudats i
gèrement strié suivant la direction des fibres nerveuses. Ses bords
paraissent
flous et se délimitent mal de la région péripap
ait tout dans son lit, s'en barbouille les mains et la figure, sans
paraître
en souffrir. Elle ne manifeste ni joie ni souff
rectement. Il n'y a pas de paraphasie. Les ^réponses qu'on obtient,
paraissent
uniquement réflexes. Aussi est- il très diffici
eaux font encore un léger coude. L'état mental est bien meilleur et
paraît
au premier abord presque normal. Cependant on o
isonnants au début, persécutés hallucinés par la suite, ces malades
paraissent
hésiter au seuil de la phase mégatomaniaque, sa
eut être le mobile d'actes qui, quoique non pathologiques , peuvent
paraître
punissables ou immoraux. Elle peut donner naiss
consécutivement de l'aphasie et de l'hémiplégie droite qui ont dis-
paru
au bout de plusieurs mois. Syphilis ? J... Alph
émission; il n'a plus ni idées ambitieuses, ni idées de richesse et
paraît
s'intéresser à sa situa- tion. La mémoire est s
ques de la paralysie générale., La paralysie déclarée, l'alopécie
paraît
marcher à grands pas ; elle atteint l'apogée au
le muscle court abducteur du pouce l'étaient déjà. Les métacarpiens
paraissaient
décharnés par suite de l'atrophie des interosse
dre au début et la suivre. Nous ne l'avons pu faire, mais il nous a
paru
que les chiffres obtenus par l'observation de n
L'alopécie a été comptée 26 fois sur 57 cas, mais ce chiffre nous
paraît
exagéré. Dans le nombre de nos malades, plu- si
fanfaron, alors que sa .taille gigantesque semblait en imposer. Il
paraissait
avoir des hallucinations visuelles non terrifia
l'arrêt de développement de ses organes génitaux. Un caractère qui
paraîtrait
plus corrélatif de l'atrophie de son système gé
isse produire des symptômes du fait de sa locali- sation. Ce fait a
paru
longtemps établi en raison de la coïnci- dence
inférieure symétrique. Ce symptôme persiste depuis dix-huit mois et
paraît
devoir être définitif. Pas de lésions de la pap
tions visuelles. Mais au bout d'un mois ou deux, celte obsession .a
paru
s'évanouir pour faire place à une autre préoccupa
ires ne disparaissaient que dans le hulbe. Les racines rachidiennes
paraissaient
intactes. En somme, la maladie a présenté les p
doit contenir 1.200 malades sans compter le personnel et qui doit,
paraît
-il, abriter 500 alcooliques ! ! 1 Le conseil gé
mmission, nous avons appelé l'attention sur deux questions qui nous
paraissent
d'une réelle importance pour tous nos confrères
égal qui, lui, fait partie du dossier du parquet et qui, à ce qu'il
paraît
, doit rester inconnu de tout le monde. Médicale
orygmes ont pour siège l'estomac. Les conditions de leur production
paraissent
être : la présence de gaz dégluti ou provenant
, comme la plupart des névropathies et des psychopathies ', elles
paraissent
plus fréquentes qu'autrefois, c'est peut-être par
un certain nombre d'exemples, et il est possible que la rareté qui
paraît
indiquée par la pauvreté de la littérature médi
s ne sont .suivies d'aucune obnubilation, d'au- cune fatigue, et ne
paraissent
pas avoir affaibli l'intelligence. A ces 282 CL
a sensibilité ni de la motilité, son intelligence est normale; elle
paraît
d'une grande indifférence sexuelle, mais ne manif
prétexte pour écrire une lettre au moins chaque soir. Son amie, qui
paraissait
lui rendre son affection, lui écrivait très rar
plusieurs heures, on vit succéder une atti- tude de résignation qui
parut
de bon augure; la jeune fille déclara que, puis
e famille qui a toujours vécu à la campagne et composée de gens qui
paraissaient
sains au point de vue mental : son père est mor
de sécré- tion lactée, ni aucun gonflement des seins. Les organes
paraissaient
assez volumineux, mais en réalité la graisse re
éra infantile. Elle a eu des convulsions au moment de la mort. Elle
paraissait
devoir bien venir. La troisième, sept ans, est
rement en colère. Jusqu'à t'âge de dix mois, nous répète-t-on, elle
paraissait
abso- lument normale. Pas d'autres maladies, ni
léger strabisme divergent. 1.'oeil gauche a l'iris gris foncé et
paraît
sain. La lumière amène la téaction pupillaire. 11
au palais, au gosier. Pas de réitexe pharyngé. Le goût et l'odorat
paraissent
nuls. Menton moyen et régulier. Oreilles grande
te de la paralysie gauche et des troubles de la vue. L'hydrocéphale
paraît
, dans cette observation, être la résultante de
à un obstacle foncier : toute oeuvre antialcoolique est, à ce qu'il
paraît
, entachée du vice protestant, sans doute parce qu
énergique appel est adressé au clergé subalterne. Or, ces messieurs
paraissent
jusqu'a- lors avoir perdu leur temps. La pres
es espérances de réalisation. Conclusions. Deux faits capitaux me
paraissent
devoir résumer l'impression des congressistes.
dance des abstinents à généraliser leur doctrine, doctrine qui peut
paraître
exagérée et même absurde à quiconque ne connaît
on- daires. Dans certains cas, les symptômes secondaires pourront
paraître
prédominants au premier abord, mais un examen att
uns ont à la section un aspect néoplasique; d'autres, au contraire,
paraissent
contenir une substance caséeuse. Les ganglions
ersion, forceps. etc. ; particulièrement les présentations du siège
paraissent
amener les hémorragies ménin- 3^0 0 REVUE DE PA
es principaux travaux relatifs à la neurologie et à la psychiatrie,
parus
en Amérique au cours de ces trente dernières anné
ent à l'investiga- tion scientifique de faits qui peuvent même leur
paraître
des impos- tures qu'ils veulent dévoiler. N'est
ges se sont manifestées dès le premier âge, alors que l'hystérie ne
paraissait
pas devoir être mise en cause, et doivent être
bservent guère que chez des faibles d'esprit, mais leur exis- tence
paraît
hors de doute. En dehors de ces différences d'é
aient la priorité, même si la nomina- tion d'un serviteur ordinaire
paraissait
préférable à un titre quel- conque : ce devrait
tain nombre d'observations, signa- lées seulement dans leur mémoire
paru
dans les Archives de Neuro- logie. 21. La Sor
idoiries in-extenso. Rédacteur en chef : Me B. Monteux. Cette revue
paraît
du 15 au 20 de chaque mois ; chaque livraison c
nte. Par le côté affectif et émotionnel, les objets extérieurs ne
paraissent
plus les mêmes qu'autrefois, les impressions sont
rale ; les membres semblent engourdis et endoloris; les vis- cères
paraissent
plus pesants ou, au contraire, rétractés et dim
rger appelait des hallucinations psychiques, qui eux, au contraire,
paraissent
de règle chez les malades qui nous occupent.
63 d'eux et de leur participation volontaire. Ces opérations leur
paraissent
d'autant plus étrangères qu'ils sentent que la di
s'altère par les lésions psychomotrices, comme le milieu extérieur
paraît
se modi- fier et s'altérer sous l'influence des
ques complets dont le délire systé- matisé secondaire de possession
paraît
le type. Aux formes frustes et à l'état faible
semblable, mais qui a un autre accompagnement : les deux peuvent
paraître
miens quoique se contredisant ; selon que la sc
rveux auraient pu avoir lieu sans un tel luxe de ramifications, qui
paraît
à l'auteur vraiment excessif dans certaines rég
nts répétés se prolonge aussi parfois des mois entiers, et rien n'a
paru
plus surprenant que de voir une fois de plus la
observés chez les per- sonnes atteintes de lésions en foyer, il ne
paraît
pas inutile de rappeler, en terminant, que l'am
, spécialement sur les cellules des cornes antérieures. Ces lésions
paraissent
détermi- nées par les substances toxiques qui c
un, d'autre part de l'oculo-moteur externe : L'oculo-moteurcommuu
paraît
venir du lobe pariétal (pli courbe); de là les
ie de ses muscles, ensuite par leur contracture. Or l'inhibition ne
paraît
être qu'un effet de contracture, et partant d'i
ée éphémère. Puis il créa, seul, les « Archives of Medicine qui ont
paru
de 1859 ' Voir la notice sur E. Séguin, le gran
nsibilité ; enfin au point de vue histologique, cette tumeur nous a
paru
intéressante par sa structure assez parti- culi
ro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Aux membres supérieurs, il
paraît
y avoir une diminution de force notable du côté
acliidien est ouvert de l'occipital à la deuxième sacrée. La moelle
paraît
déjà augmentée de volume au niveau de la région
itième cervicales antérieures gauches sont beaucoup plus déviées et
paraissent
sortir du sillon médian anté- rieur ; elles son
raissent sortir du sillon médian anté- rieur ; elles sont minces et
paraissent
atrophiées. La première dor- sale antérieure ga
ance assez ferme, sans aucune adhérence à la dure-mère; ses bords
paraissent
soulevés, décollés, non adhérents à la moelle, co
des onzième et douzième dorsales, parce qu'en ce point la pie-mère
paraissait
à nouveau envahie. Enfin, de la même façon fut
s de pigment ocre. Cer- tains lobules, les plus étendus en général,
paraissent
dépourvus de noyaux et de cellules et ne plus ê
réparties dans tous les autres faisceaux. Cette observation nous
paraît
intéressante au triple point de vue du diagnost
profondes. Les premières étaient complètement abolies, les secondes
paraissaient
au contraire exaltées. Les contacts et les piqû
450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les sensations profondes au contraire
paraissent
rester du même côté : dans le syndrome de Brown
ation des sensibilités profondes et du sens musculaire, ce qui nous
paraît
impossible à rechercher. La recherche des sensi
lement même des cordons postérieurs. Dans notre observation ceux-ci
paraissaient
en effet les moins altérés des faisceaux blancs
os coupes aient porté, d'excavations, ni même de zones où la tumeur
parût
dégé- nérer ou se ramollir ; elle est partout d
« Ce n'est pas une rose ! » L'idée et le mot lui restent, mais lui
paraissent
, en quelque sorte, vides de leur contenu, selon
iques à idées de damnation. Ces phénomènes d'articulation mentale
paraissent
même le substratum essentiel des délires de pos
avoir une influence capitale ; les observations qui suivent nous
paraissent
le démontrer. Une de nos malades, en proie à un
ire exorciser. Ses sensations sont changées, la lumière du jour lui
paraît
terne, verte ou brune. Il n'y a plus de Dieu, l
r l'évolution du langage considérée au point de vue de l'aphasie »,
paru
dans le numéro du 29 décembre 1897 de la Presse
qu'une simple exaltation personnelle non suffisante pour faire dis-
paraître
la responsabilité de leurs actes. Elles furent mi
a distinction en épilepsie dite idiopathique et épilepsie partielle
paraissait
créée tout exprès pour les chirurgiens et sembl
uée par l'existence de symptômes initiaux précis, sans que l'écorce
paraisse
altérée à l'eeil nu. Ces opérations n'ont pas e
mitivement soignés. Au même établisse- ment le patronage familial a
paru
moins convenir aux imbéciles qu'aux idiots. Les
un monument d'i- gnorance et d'inexcusable légèreté. Pas une ligne,
paraît
-il, qui ne contienne une erreur : rien n'y vaut
rillon, etc. Ces auteurs tirent de ces faits des conclusions qui me
paraissent
bien graves Archives, 3' série 1907, t. 11. 2
n'attache pas de signification aux hallucinations unilatérales qui
paraissent
au contraire très significatives à d'autres. Aujo
Janet ajoute « En tous les cas ». Aujourd'hui comme hier. M. Janet
paraît
bien comme à l'époque où il écrivait 1' « Autom
ries de faits s'observent dans la formation des or- ganès, les unes
paraissent
provenir d'une ébauche simple et deve- nir doub
eaucoup d'autres naissent et restent doubles. Un au moins, la rate,
paraît
naître et rester simple. Rappelons au lecteur m
naissent doubles serait beaucoup plus longue que celle de ceux qui
paraissent
naître sim- ples. La règle serait avec les prem
seconde et plus importante observation est que tous les organes qui
paraissent
naître d'une ébauche simple sont placés sur la
mé ; et j'expliquais cette inicité secondaire, d'une façon qui a pu
paraître
simpliste à M. Bonne qui est lui, toujours sava
deux moitiés latérales, les deux co-êtres. Mais, puisque M. Bonne y
paraît
tenir, étudions le tube digestif en ses origine
e. Je suis partagé entre la crainte d'abuser du lecteur et celle de
paraître
esquiver un argument de M. Bonne. C'est ainsi q
ître esquiver un argument de M. Bonne. C'est ainsi que mon critique
paraît
m'incriminer à propos du thy- mus que je signal
Enseignée en Amérique par S. Minot, en Russie par Kowalewsky, elle
paraît
avoir en France les préférences de Prenant, Sui
Chabry ou des individus complets à quelques organes près, M. Bonne
paraît
y attacher de l'importance. Nous aussi, car nou
ition rigoureusement symétrique ; il est souvent très irrégulier et
paraît
s'être fait au hasard. Enfin chez les espèces (
faits de production d'un animal complet par un seul blastomère me
parurent
z - et me paraissent encore enlever toute force a
on d'un animal complet par un seul blastomère me parurent z - et me
paraissent
encore enlever toute force aux considérations p
xe cérébro-spinal dans son ensemble. L'observation suivante, nous a
paru
digne d'intérêt comme contribution à l'élude cl
nsion qu'on imprime au membre.Par cnnfre,la sensibilité à la piqûre
paraît
obtuse du côté correspon- dant à l'oedème. Le c
tait beaucoup plus lente du côté opéré que du côté sain. Ce fait ne
paraît
actuellement comporter qu'une seule explication :
très légère, qui échappe au Pal, tandis que les cordons postérieurs
paraissent
sains. L'auteur remarque que dans les cas I et
ves de la sensibilité, mais ce résultat, contraire aux vuesde l'A.,
paraît
à ce- lui-ci sans valeur parce que la sensibili
on (février à mai) et chez certaines catégories d'in- dividus qui y
paraissent
particulièrement sujets, notamment les tailleur
rupulo-inquiet) ; de plus.la psy- chose qui éclôt sur ce terrain ne
paraît
pas être de la mélancolie vraie, mais bien un é
de l'hystérie ou de l'épilepsie avec la dé- mence précoce ; mais il
paraît
certain que celle-ci peut à elle seule revue de
et VOIVENEI, ; dans la plupart des cas cette opothérapie cérébrale
paraît
avoir donné des résultats satisfaisants. Le pla
de la douleur ; dépouillés de l'un ou l'autre deces phénomènes ils
paraissent
s'évanouir. Or il existe des états affectifs, s
dans l'état d'hypnotisme chez des sujets qui à l'état de veille en
paraissaient
dépourvus. A la culture du réflexe de l'obéis-
de Paris. Oct. Doin éditeur,Paris, 1907. Cet ouvrage est le second
paru
des volumes de la « Bibliothèque de neurologie
s citations, aussi courtes que possible, tirées de ces écrits, nous
paraissent
nécessaires. En voici quelques-unes : « Décembr
u'avec des tensions élevées (au-dessus de 600 volts , fait qui peut
paraître
paradoxal au premier abord. Les crises cloniq
ntraîner comme sanction l'atténuation de la peine, la seule qu'elle
paraisse
logiquement comporter ; or, si de tous côtés on
decin peut s'en rendre compte ». 3. Aux raisons précédentes, qui me
paraissent
déjà bien justifier l'intervention du médecin d
ac- cidentés du travail ou des tuberculeux, et ce devoir ne dis-
paraît
pas parce que le malade psychique aura commis un
it laisser indifférents les juristes et les magistrats. » Ceci ne
paraît
-il pas écrit au moyen âge ou même plus an- cien
s ces questions de responsabilité, alors que le progrès social me
paraît
être intimement lié au développement croissant et
enfants ? Je ne liens pas plus à ce terme qu'à un autre, mais il me
paraît
évident qu'à une notion directrice nouvelle doi
e de considérer la question bien en face. L'experf-médccin,quand il
paraît
comme témoin rélri- (1) Nous publions le texte
hénomènes de même nature à des intervalles plus ou moins réguliers,
paraît
être une loi qui régit tous les phénomènes de l
La conception de Kraepelin a soulevé diverses objections, qui ne
paraissent
pas essentielles ; elle a par contre rallié un
im- ples, non récidivantes,de ces affections. Cette proportion me
paraît
considérable ; elle est en tout cas de beaucoup s
ologiques normaux. C'est à cette seconde ma- nière de voir que l'on
paraît
se rallier. M. Bernheim a insisté fout à l'heur
toujours de recourir aux originaux. Aussi comme tous les fascicules
parus
, de la Revue générale d'Histo- logie, celui-ci
s, Mais cette division adoptée par Pichon dans son travail (2) nous
paraît
toute conventionnelle en ce qui concerne les si
ion clinique pou- vait avoir de hardi et de discutable. Il nous a
paru
intéressant.dans un travail d'ensemble, de résu
ssl, Weigert, et Ramon y Cajal. Au point de vue topographique, il
paraît
difficile de tirer des conclusions absolument p
il 1893 (les départements n'ac- ceptaient pas leurs retenues), il a
paru
indispensable de leur accorder un délai pour se
écu moins longtemps que les témoins. Les sels de calcium nous ont
paru
avoir au contraire une action sédative. La plupar
thérapie n'a que peu d'action dans ces cas. Les ma- lades qu'elle a
paru
améliorer ou guérir ont bénéficié en réalité so
pas des consanguins, et comme la syphilis ou tout autre infection
paraît
devoir être écarté, pour expliquer l'origine de c
oment du passage du courant (pendant quatre secondes) le cerveau me
paraissait
pâlir (un des deux collègues qui assis- taient
ssent normaux le cul-de-sac dorsal, exploré au doigt, est souple et
paraît
sain. L'intervention ne produisit aucun changem
s avez monté leur calvaire, vous avez vu souvent que ce qui pouvait
paraître
au premier abord de la mauvaise vo- lonté, le d
ortie il y a quelques jours de l'asile d'aliénés de Montreuil. Elle
paraissait
guérie et l'adminis- tration de l'hospice lui a
t, depuis quelques jours, le théâtre de bizarres manifestations qui
paraissent
a,oil' leur origine dans une exaltation religie
rré où il se serait dissimulé sentant venir une crise ? Une enquête
paraît
s'imposer. (L'Aurore, 8 septembre). varia. 253
est le sentiment du dégoût, c'est le « dégoûtant » en général qui
paraît
ici «le fétiche », sous la dépendance exclusive
e impression. Dans cette pièce un acteur et une actrice ligotés ont
paru
sur la scène ; à cette vue le malade a cessé co
es aliénés. Mais l'intérêt des malades n'est pas aussi simple qu'il
paraît
au premier abord. Seules, des personnes ne sach
e aucune ressource au point de vue de l'enseignement médical, il me
paraît
naturel que les médecins traitants con- tinuent
e n'est pas en général recommandable pour le médecin d'asile, il me
paraît
juste néanmoins, pour des raisons d'ordre génér
médecins de l'asile seront.au contraire, dans l'organisation qui me
paraît
la meilleure, non seule- ment autorisés, mais i
sion de s'instruire qu'une source de bénéfices importants, et il me
paraît
dès lors peu légitime,de la part du législateur
être exercée sans l'expérience de celle-ci ? Ces raisons, qui me
paraissent
plaider en faveur du libre exercice de la médec
stant privés de toute instruction était insignifiant. Par suite, il
parut
alors au Gouvernement qu'en fait les prescripti
et de l'Instruction publique va-t-elle s'établir sur les bases que
paraît
avoir approuvées le Parlement ; les questions c
on dont il a été parlé plus haut ; leur nombre est considérable, il
paraît
atteindre 20.000 et il à remarquer qu'on n'a pa
on d'étu- des constituée ainsi qu'il a été dit plus haut, il nous a
paru
Archives, 3' série, 1907, L. II. 19 290 LÉGIS
s de supprimer une partie de ces inconvénients : on exigera si cela
paraît
nécessaire que la classe annexée à l'école comm
fectionnement qu'on se propose d'organiser et celui dont l'adoption
paraît
indis- pensable. En fondant ces écoles de perfe
traste de leur facies et de leur dysarthrie a\ec leur mentalité,qui
paraît
normale pour leur âge. Méningite chronique sy
uvelle que vient de faire sur la question le professeur Mairet.Elle
paraît
à un moment où la responsabilité est plus que j
rès de dois. Depuis, les choses en sont restées là ; de temps autre
paraissent
dans les journaux spéciaux les doléances de que
taux uniforme de 4000 fr. Le mot de spoliation ne m'avait même pas
paru
exces- sif pour caractériser la mesure, très li
imum avant la retraite. La solution que j'apportais m'avait alors
paru
concilier à la fois nos intérêts et ceux de l'E
e notre situation avec celle des commissaires de police, elle ne me
paraît
ni heureuse, ni désirable. Veuillez agréer, mon
et, qui est resté depuis lors introuvable. En 1889, 11 ? Granet vit
paraît
-il entièrement seule, puis vend ses meubles et
suffocation et de lar- mes durant parfois « un jour entier ». Elle
paraît
avoir traversé, il y a quinze ans, une période
malade pour ses lésions. Elle marche, enlève et remet ses bas sans
paraître
au- cunement souffrir. La piqûre est à peine pe
faites spontanément, dès les premiers mots de l'entretien, nous ont
paru
dénués de toute hypo- crisie. Motivé sur le mom
ies d'une reprise du même thème. Ce thème Jui-même,à chaque reprise,
paraît
devoir subir des additions et suppressions tell
sa soeur, de lui annoncer l'avenir. Cette nouvelle « épreuve » lui
paraît
suffi- sante et elle quitte sa place. Au cour
ment. D'autres gestes, outre ceux que nous venons de décrire, lui
paraissent
suspects : celui de se prendre le menton, celui d
je me jetterai sous une automobile ». Ces tendances au suicide nous
paraissent
actuellement plus fré- quentes,au cours de l'ex
sions constatées sont responsables des phéno- mènes hystériques. Il
paraît
probable que souvent les accidents hystériques
RBAK. (L'Encéphale, 1907, n° 5.) Travail faisant suite à un premier
paru
dans l'Encéphale 1907, n° 3 et où l'auteur expo
f. Raymond rapporte deux observations, l'une de pem- phigus qui lui
paraît
authentique, l'autre d'oedème hystérique dia- g
n traumatis- Chen-Neurosen. Quelques remarques sur les névrose tr.;
paru
.- HELrr-SPECHr, deTubingen. (Ctrbl. f.Nervenhei
deux côtés et si du côté ou les réflexes sont les plus faibles, ils
paraissent
égaux ou supérieurs à la normale, on pourra dir
qui sont au nom- bre de trois principales : 10 Le réflexe existe et
paraît
aboli par con- traction permanente consciente o
te consciente ou inconsciente du biceps sural ; 2° le réflexe aboli
paraît
exister, on constate même parfois le ré- flexe
r jour. 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. deux membres inférieurs
paraît
être due à un affaiblissement ou à une paralysi
ènes de lévitation). Les rapports entre l'hystérie et la médiumnité
paraissent
aujourd'hui accessibles ; et le Dr Dupouy parle
mment de la constitution des autres centres. Cette démonstration ne
paraît
pas possible, tant que nous ne pourrons pas ima
ui étaient restées dans la boîte ou- verte la veille. Les conserves
paraissaient
être bien fraîches et étaient assez agréables a
leur toxicité on tous cas s'est accrue considérablement. A ce qu'il
paraît
, même le premier jour les conserves étaient res
e de traumatismes cé- phaliques. Elle est grande, bien portante, et
paraît
intclli- gente. S'est mariée à 20 ans ; n'a jam
sme, pas cl'écholalie, pas de pyromanie. Les sentiments affectifs
paraissent
limités à sa mère ; elle ne connaît qu'elle et
t réapparus depuis quelque temps. La vue, l'ouïe, l'odorat, le goût
paraissent
normaux, l'intelligence est nulle, il en est de
cède pas à ses caprices. Si on la caresse elle sourit. La malade ne
paraît
pas souffrir, elle ne grince pas des dents, et
est assise elle remue perpétuellement ses bras et jambes. Sa vue
paraît
bonne mais elle présente un strabisme très pronon
paraît bonne mais elle présente un strabisme très prononcé. L'ouïe
paraît
normale, l'enfant semble entendre avec satis- f
iculier à la palpation, ni à la percussion. La sensibilité générale
paraît
intacte, Puberté : les aisselles sont glabres,
ien de particulier dans les sinus.Les différentes fosses de la base
paraissent
symétriques. La pie-mère du cervelet est un peu
régulièrement sans grand succès. Toute- Ibis, ce dernier médicament
paraît
avoir eu une action sur les vertiges qui sont
n, adopté assez fréquemment autrefois, a été fortement critiqué; il
paraît
, en effet, mieux convenir à la rigueur . GRL'N'
est de la famille du lézard de M. Richelot,dont la postérité vient ,
paraît
-il, de s'enrichir d'une salamandre. Une né- vro
Importante revue critique mettant à contribution tous les tra- vaux
parus
sur la question et sur les questions connexes, tr
es habi- tudes alcooliques. On sait maintenant (c'est à ce qu'il me
paraît
, ici, le seul résultat de la campagne contre l'
nt pas attiré l'attention de l'admi- nistration de la Seine avaient
paru
excellents au Conseil général du département de
e de la journée était prise en deux fois. Les effets physiologiques
paraissent
avoir été nuls; nous n'avons remarqué aucun cha
ité à nouveau par les douches avec le même succès. (L'observation a
paru
cinq mois après ce nouvel accès). Fleury a pu
résentait rien d'extraordi- 14 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. naire,
paraissait
intelligent, mangeait seul et savait s'habiller,
donne à droite : 25. à gauche : 25. Les facultés intellectuelles
paraissent
intactes; on n'observe pas d'embarras de la par
ce matin, par exemple, il n'a fait, sui- vant son expression, « que
paraître
tomber; » dans cette caté- gorie d'accès les co
est peut-être pas tout à fait symétrique ; l'ar- cade du côté droit
paraît
un peu moins large que la gauche ; il semble qu
ue ; pas de miction involontaire ; - durée 5, 6, 7 minutes; Dog...,
paraît
avoir une aura ; d'après son père, « quand il a
e est bien conformée, sans exagération des parties postérieures qui
paraissaient
dévelop- pées, parce que la partie antérieure e
ession que, à ce point de vue particulier, l'hydro- thérapie avait [
paru
exercer autant d'action que le bro- mure de pot
r les accès sont plus que douteux, mais leur action sur les crampes
paraît
réelle. 7° (Obs.XLVI). L'épilepsie tardive et p
s a fourni aucune donnée ; la fréquence, le rhythme ne nous ont pas
paru
sensiblement modifiés; seul un de nos épileptiq
de 79,mais on a relevé 106 vertiges au lieu de 7. Ce malade avait
paru
amélioré pendant les premiers temps du traite-
l'onanisme. Enfin Pap..., ma- lade que nous avons déjà signalé, qui
paraissait
avoir une aura cardiaque, n'a eu que 108 accès
fice. Sur les 7 malades soumis au traitement par les armures, 2 ont
paru
améliorés. On a relevé chez Lan..., pendant les
accès ; en 1881, il en avait eu 12 et en 1880, 9. Les armures ont
paru
produire la disparition des crampes au quelles ét
marché comme d'habitude, on ne s'est aperçu de rien. L'évolution a
paru
continuer : à deux ans et demi il prononçait to
nvulsions; elles ont duré vingt-cinq minutes, elles étaient fortes,
paraissaient
générales et égales (cyanose,, écume, pas de mo
ès également; parfois les mou- vements convulsifs, durant les cris,
paraissent
plus accusés à gauche. Pas de grincements de de
involontaires et abondantes. T. R. 38°. Dans la journée, l'enfant a
paru
prendre son lait et son bouillon avec moins de
les jours précédents, sont devenus intermittents; quand la douleur
paraît
devenir trop forte, l'enfant pousse un cri lége
bateau. T. R. 39°, 8. - Soir : T. R. 39°, 6. 11 mai. L'affaissement
paraît
encore plus grand. La tête est animée d'un mouv
sont pas descendus complètement dans les bourses. Tête. - Le crâne
paraît
symétrique en avant, mais asy- métrique en arri
Nous avons vu que l'enfant se servait des membres supérieurs, qui
paraissaient
plus vigoureux et plus habiles que les membres
volutions étaient plus arrondis ; enfin la substance blan- che ne
paraissait
pas avoir perdu de son épaisseur. Nous ne pouvo
rne du radius. Rien au cubitus. Membre inférieur droit. - La cuisse
paraît
un peu plus incurvée en dedans que celle du côt
al. Dans la soirée, sa mère en venant le voir s'est aperçue qu'il
paraissait
souffrant : il pleurait, contrairement à son ha
sque méconnaissable, les faces antérieure et postérieure ont dis-
paru
et sont remplacées par des bourrelets osseux couv
ais de nombreuses aspérités, d'aspect cartilagineux, qui ont dis-
paru
par la macération- HO PATHOGÉNIE DES EXOSTOSES.
une deuxième circonvolution pariétale ascendante. II. Le cas nous
paraît
fournir un beau type de ces exos- toses multipl
ns ont déjà été publiées (1) ; parmi celles dont l'histoire n'a pas
paru
, nous choisis- sons la suivante, qui nous sembl
elquefois pourtant, et. durant 2 minutes environ après un accès, il
paraissait
égaré, sem- blait chercher, se frappait le fron
s et muqueux en avant et en arrière. Membres inférieurs. L'enfant
paraît
très faible, mais peut se tenir assis ; il est
sement. L'appétit est médiocre ; les selles régulières. La parole
paraît
devenir plus embarrassée. 18 août. La parole es
normal. Sensibilité spéciale (odorat, goût) obtuse. Vue bonne ; ne
paraît
pas connaître les cou- leurs. Parole libre po
eu la marche suivante : PARALYSIE TOXIQUE. 141 1 La paraplégie
paraît
s'être développée progressive- ment, et avoir a
isseuse, présente un enchondrome de la région parotidienne droite ;
paraît
intelligente ; peut- être un peu faible, mais e
ntal est saillante, la gauche déprimée ; la bosse frontale droite
paraît
plus saillante que la gauche, ce qui peut tenir a
à la température prise immédiatement après le réveil, elle n'a pas
paru
varier sensiblement. 1er mars. L'agitation re
M. Vix (1) et Volkmann, qui ont rapporté des faits où ces exostoses
paraissaient
liées au rachitisme. M. Virchow,qui avait bien
ar malade. Avec de la patience et de la méthode, il nous a toujours
paru
aisé d'obtenir, si- non dès les premières séanc
ues, et numérotées, et nous ne publie- rons que celles qui nous ont
paru
* les plus caractéris- tiques pour chacun des ca
3 heui es. -Le 31 octobre. Le champ est étendu, bien que la malade
paraisse
déprimée, elle s'agite le tende main. Le 5 nov.
is sur 12 épileptiques en dehors de l'accès. Toutefois leur étendue
paraît
être en rapport avec les troubles de l'activité
'observations complètes), l'éten- due du champ visuel ne nous a pas
paru
être fonction de la névrose elle-même, mais bie
ond de l'oeil (staphylome postérieur), lorsque res lésions nous ont
paru
absolument indépen- dantes de toute affection m
à l'accommodation; mais lente- ment et incomplètement. Il nous a
paru
que le signe d'Argyll Robertson se ren- contre
pourraient n'avoir rien d'anor- mal. Dans un cas, la papille nous a
paru
uniformément décolorée ; généralement, cette pâ
bablement que des lésions d'artérite syphilitique. La vision nous a
paru
le plus su- vent conservée ; dans 50 % des cas,
ière ou à l'accommodation, ou à l'un et à l'autre réflexe, nous a
paru
fréquente. Nous l'avons constatée dans 39 % des
apille, qui CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIÉNÉS. 31
paraît
tantôt hyperhémiée, tantôt décolorée dans son s
partie plus ou moins large de la circonférence. Il ne nous a jamais
paru
s'étendre plus loin que deux ou trois diamètres
oedème d'origine névritique. D'ail- leurs, ce signe nous a toujours
paru
très fugace ; il nous est arrivé de ne pas le r
as tout à fait nets. Si dans plusieurs cas le rétrécissement nous a
paru
fugace, susceptible de se modifier entre deux e
fois à l'un et à l'autre. Le fond de l'oeil du maniaque ne nous a
paru
présenter rien de caractéristique de même que c
le bord flou de la papille dans un certain nombre de cas. Il nous a
paru
cependant que le fond de l'oeil du maniaque éta
prétante et délirante ; y avec stupi- dité. Les pupilles nous ont
paru
généralement étroites ; dans 17 % des cas, elle
c- lion. L'oeil des aliénés, pris d'une façon générale, ne nous a
paru
normal que dans la moitié des cas. L'amé- tropi
es impulsions épileptiques : l'incons- cience et l'amnésie. Il ne
paraît
pas qu'il faille rien modifier à ces conclu- si
faut avouer qu'on n'en peut retenir aucun. En effet, les auteurs
paraissent
avoir une conception extrêmement vague de la si
tement la moitié de l'ouvrage. Elle se rapporte il un malade qui
paraît
être un hystérique et que M. Tissié définit ainsi
ces malades deviennent né- cessairement des vagabonds, Heilbronner
paraît
être de cet avis : d'après lui, les fugues se p
gue en rien du tabes vulgaire si ce n'est que la période ataxiqe
paraît
assez précoce. Les accidents spécifiques n'ow rie
e bactérienne. Il faut noter d'abord que la voie buccale a toujours
paru
nettement préférable à la voie sous-cuta- née.
a dans l'un d'eux, où elle est demeurée, sans que l'état normal ait
paru
jamais reprendre sa place. En terminant, le r
ladie destructrice des cellules cérébrales. Plusieurs faits publiés
paraissent
indiquer que le point le plus important du trai
s C. Bruce (1) se fondaient surdes investigations indépendantes qui
parurent
dans le même numéro du journal médical anglais.
En admettant l'existence de cas aigus dans lesquels les délu- sions
paraissent
organisées et systématisées et dans lesquels pour
organisées et systématisées et dans lesquels pour- tant la guérison
paraît
se produire, beaucoup de ces cas ne sont que la
urie, avec appui sur les mangeoires, le bat-flanc, etc. Les animaux
paraissent
se transmettre ce vice par hérédité et aussi pa
e du cerveau, terminent l'ouvrage du professeur Fore ! , qui nous a
paru
une excellente oeu\ re de vulgarisation de princi
aladies mentales ne s'appelleront plus « asiles » mais hôpitaux. Il
paraît
que l'avantage est réel, et il était pro z clam
ment du servi- ce intérieur. La question des médecins-adjoints me
paraît
avoir été supérieurement traitée par M. Lefort,
onfrères partagent mon opinion, l'unification des placements : il
paraît
peu démocratique, en un temps où ce mot est si
à pour montrer que tel aliéné, devenu criminel, avait jus- que-là
paru
inoffensif. L'art. 14, devenu l'art. 13, appell
mémoire, el répond au hasard. Quelques mois après, en rémission il
paraît
avoir un vague sjuvenir de ces fugues, mais ne
ET LES DEMENCES. 133 telle que l'étude de nos malades nous la fait
paraître
, abstraction faite des caractères concomitants
ce et la mémoire sont à peu près nettes ; en elle-même, la fugue ne
paraît
pas tou- jours l'acte d'un affaibli : cependant
grand nombre d'affections où soit la somno- lence, soit l'insomnie
paraissent
liées à des troubles de font. tionnement de l'h
s sous-corti- caux ; les cellules de l'écorce sont gonflées mais ne
paraissent
pas altérées. Parfois ces lésions sont suscepti
res. A l'autopsie, prédo- minance de lésions Illúnin) ! iliques qui
paraissent
avoir été pri- mitives, avec, névrite hyperlrop
rtout chez de vieux tuberculeux à lésions fibreuses et ces troubles
paraissent
être en raison directe de l'étendue et de l'int
guérison de la maladie mentale survient : même' : dans les cas qui
paraissent
désespérés ; mais il ne faut pas perdre de vue
e, atteinte de sclérose en plaques et de troubles intellectuels qui
paraissent
liés aux lésions du cerveau. M. LAPOINTE pense
joutent-ils.s'occupe de leur faire obtenir l'indemnitéàlaquelle ils
paraissent
avoir droit. Les auteurs estiment que le médecin
pellier.l)é,jà. Al. Parant, en une critique courtoise, mais sévère,
parue
dans les - inti. méd. psych. de mai-juin 1906,
le degré 1. 24 dans le degré Il, 28 dans le degré Ill. (Ce dernier
paraît
trop chargé). Chez les petits, il y aura au pla
a législation qui régit la surveillance, des maisons d'aliénés nous
paraît
insuffisante. Des faits récemment portés devant
de trente-cinq ans, ancienne institu- trice en Savoie. Son état ne
paraissait
pas dangereux et il avait été laissé libre de s
e sur J.-J. Rousseau, sur Goethe, Scliopenhauer, Nietzsche. En 1905
parut
une importante élude sur la vie et les travaux
rillon (Paris 1884) représente le travail le plus important qui ait
paru
jusqu'ici sur la question ; celle-ci y est réso-
es ; les« faits d'atten- tion multiple ». Aucun de ces arguments ne
paraît
aujourd'hui probant, et quelques-uns paraissent
cun de ces arguments ne paraît aujourd'hui probant, et quelques-uns
paraissent
difficiles à accorder, mais leur SUR La SYMÉTRI
ions imposées par le milieu ? Cette question, quelque vaine qu'elle
paraisse
,l'Auteur ne pouvait se dispenser de la résoudre
seaux ? Hélas ! « Les organes, dit l'Auteur de la préface, qui nous
paraissent
uniques dans l'individu ar- rivé à son complet
e » (p. XII). Et l'Auteur du livre ne trouve que deux organes qui «
paraissent
non doubles ... la colonne vertébrale et le tub
liques qui sont presque toujours nettement indiqués avant qu'ap-
paraisse
la moindre dépression médiane ; les hémisphères c
ar ses prédécesseurs venus de l'un et de l'autre côté. Cette fusion
paraît
même nécessaire à la création des signes locaux
saris cerveau, sans même que s'es caractères psychologiques propres
paraissent
sensiblement altérés. L'absence d'un hémisphère
veaux frais. Les formes actuelles sont plus simples,et par suite me
paraissent
préférables. Les art. 3S et 39 sont ceux qui tr
e pratique des sorties provisoires. La mesure m'avait long- temps
paru
merveilleuse,l'expérience m'en a fait rabattre;
demander la sortie au Préfet, dès que ['amélioration du malade lui
paraîtrait
suffisante, que le placement soit volontaire ou
travail élail terminé lorsqu'on me communique une série d'articles
parus
dans" la Ui'p('che »11l' Toulouo.;p SUI' le nttio
ière co- lonne dans laquelle sera notée la boisson habituelle qui
paraît
la plus directement responsable de l'état du mala
sur l'hyperexcitabilité mécanique du nerf facial,ce symptôme nous a
paru
assez fréquent dans les états toxiques aigus (a
t, une congestion pulmonaire double. , Début. -Le premiers troubles
paraissent
en 1894, l'âge de 22 ans. Ce sont des phénomène
, tout l'or- (1) Une intéressante observation d'apraxie unilatérale
parue
le 1 : mars 1907) nu cours de la correclion de
e le 1 : mars 1907) nu cours de la correclion de nos épreuves, nous
paraît
devoir être brièvement mentionnée ici ainsi que
galement cité d'après Ribot qui l'a- vait emprunté à Dumontpallier,
paraît
beaucoup plus caractéristique : la mimique de l
t. s (p. 96 et 97). Mais si, dans tout le reste du livre.l'Auteur
paraît
véri- tablement oublier son sujet, la démonstra
droite ? Si elle ne le fait pas toujours, elle peut le faire ; elle
paraît
même agir le plus souvent ainsi,d'après les der
la vie du moi que celle du coêtre. Enfin, les rêves où la personne
paraît
dédoublée en deux individus qui s'opposent l'un
garantie de la liberté individuelle a dominé le débat. Il nous a
paru
intéressant de comparer les garanties contre de
pneu- mogastrique. L'intensité et la durée de la première période
paraissent
être en raison inverse de la dose d'alcool admi
ariabi- lité. En somme, l'étude des chiffres et de leur répartition
paraît
justifier les conclusions suivantes : les agglo
és par la faiblesse mentale congénitale, l'im- bécillité, l'idiotie,
paraissent
être surtout les résultats d'une toxé- mie mate
par une représentation ? Les partisans de l'hystérie psy- chique ne
paraissent
pas avoir vu toutes les questions psychologique
e localisation ne sem- ble encore possible ni même probable, et qui
paraît
pré- parée aux fonctions psychiques les plus él
es possibles. Elle leur sert de base et de justification au lieu de
paraître
livrées à l'arbitraire de l'observateur. Et,
terroger. Charcot avait déjà montré que certaines hystériques qui
paraissent
éveillées, dorment en réalité et sont plon- gée
c qu'à de certaines occasions, rares et courtes, comme l'Au- teur
paraît
quelquefois vouloir le laisser comprendre, par
ent donc quelque chose de commun Si cette manière de s'expri- mer
paraît
dépasser en originalité le duplicisme même l'Au
iment de liberté et dans les- quelles les idées les plus abstraites
paraissent
souvent intervenir seules,on passe par une séri
nt : fléchir le doigt ou ne pas le fléchir ; le motif détermi- nant
paraît
être dans plus d'un cas la prédominance de l'imag
pourquoi elles sont ainsi. La notion de cause à effet (sic) va lui
paraître
d'un intérêt croissant » (p. 126). . On voit
ar le conseil de fa- mille ou la Commission de surveillance qui lui
paraîtrait
de nature à nuire aux intérêts de l'aliéné. A
é ainsi, mais dans deux au- tres il est à remarquer que la gliose a
paru
envahir les tissus de de- hors en dedans, avec
l'égard des agents irritants. Les grandes cellules pyramidales ont
paru
être les dernières à dégénérer et à disparaître
e texte publié ici étant lui-même un résumé. 1 1 Les statistiques
paraissent
démontrer que la paralysie générale augmente de
période initiale des symptômes de folie aiguë. Plusieurs de ces cas
paraissent
répondre à la description de la démence précoce
é et de l'incohé- rence paraphasique. Le diagnostic de katatonie ne
paraît
avoir ici aucune signification étiologique. L'a
is désarmer vis à-vis d'elle. L'auteur indique les moyens qui lui
paraissent
les plus utiles pour combattre efficacement la
es indiquant à leur place. En vérité, aucune de ces dispositions ne
paraît
injus- tifiée ; la lecture des courhesen estsim
qui sont décrits chez les auteurs. Quant aux troubles mentaux, ils
paraissent
offrir un pronos- tic plus sombre chez les Juif
SOLLIER. La définition suivante, que j'ai proposée de l'hystérie,
paraît
donc répondre aux différents points de vue aux-
es accidents qu'il présente successivement et dont l'enchaînement
paraît
incohérent si on ne tient pas compte de cette no-
t de la sen- sibilité. Ce qu'on pourrait me reprocher,c'est d'avoir
paru
donner une importance trop grande et une délimi
mmeil naturel, du moins compris'à sa manière. Or cette conclusion
paraît
bien singulière quand on le voit ensuite me rep
investiga- tions sociologiques » (p. 141). A. La Morale. L'Auteur
paraît
méconnaître les sys- tèmes de morale basés sur
(p. 104). La base fournie à la morale par les systèmes de l'intérêt
paraît
pourtant bien aussi solide. Ces « principes »
périence qu'on puisse tenir pour absolu. Les quelques principes qui
paraissent
généralement acceptés ne sont que relatifs » (p
nt d'autrui. L'énoncé assez obscur de ce principe et son importance
paraissent
nécessiter la cita- SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE
approfondie des conditions du fonc- tionnement du cerveau. Mais il
paraît
incontestable que la tendance actuelle est de r
sans les mots qui les expriment, la collaboration des hémisphères
paraît
également nécessaire, collaboration effective et
misphère, dont l'intervention a été suppo- sée secondaire ; mais il
paraît
probable qLe le réveil de quelques-uns des rési
., Leipzig, W. Engelmann, t. I, 1902. La partie de ce mémoire qui a
paru
dans le numéro d'avril n'a pu être revue qu'une
: Elle n'a pas été mesurée z pour 24 heures; 2° Couleur : l'urine a
paru
être plus foncée au mo- ment de l'entrée, c'est
orsque le système moteur instinctif est atteint, les instincts dis-
paraissent
dans l'ordre inverse de leur développement, c'est
othèse de sugges- tion ou d'imitation doit être écartée*. Aucun n'a
paru
obéir à une sensation subjective préalable, mai
a conduite des infirmiers et des infirmières envers les malades ont
paru
. Nous citerons, après les chapitres de notre Ma
train de s'opérer. La possibilité d'instruire le personnel nous ap-
paraît
d'ores et déjà comme hors de conteste. A l'heure
e. 11 meurt à 58 ans, en laissant les matériaux du 5e livre, qui ne
parut
que 11 ans plus tard. - L'histoire de Rabelais mo
La question de l'éducation, base du traitement de l'idiotie, ap-
paraît
déjà dans le livre de Séguin, le point d'appui du
rté, le jugeant définitivement guéri. Les bles- sures du docteur ne
paraissent
pas devoir être mortelles ; mais l'état général
t à un examen superficiel, la paralysie du facial supérieur n'ap-
paraît
pas. Pour la mettre en évidence il faut user d'ar
perte de l'occlusion isolée de l'oeil, du côté sain, ne nous a pas
paru
aussi fréquente qu'à Simoneau et Pugliese. Cepen-
lésion anatomique n'étant pas encore connue. Les centres nerveux
paraissent
absolument indemnes. On note parfois des troubl
origine, la cause de cet état de dépression de l'activité cérébrale
paraissent
dus à une altéra- tion soit vasculaire. soit es
actérisée entre autres symp- tômes par une angoisse précordiale qui
paraît
due à une irri- tation du pneumogastrique; une
nt la marche du délire ou l'état d'angoisse. Les organes des sens
paraissent
souvent pervertis dans leurs fonctions; ainsi l
de la rétine. La papille est normale comme coloration, elle n'a pas
paru
excavée. LES MÉLANCOLIQUES. 33 Le pouls est
la douleur est un peu diminuée et retardée. La sensibilité spéciale
paraît
bonne, mais l'état mental du malade ne permet p
s. Rien à noter du côté des autres organes, excepté les poumons qui
paraissent
suspects. Le patient mange bien, sans modifier
cer aucun mot. Elle répond difficilement aux questions posées, elle
paraît
réfléchir longtemps à la réponse et c'est seule
ltés intellectuelles et sur sa mémoire. La mé- moire pour le calcul
paraît
bonne, il est en état de faire des petits calcu
la première fois, en exceptant pourtant les états catatoniques, qui
paraissent
cette fois beaucoup moins accentués; les autres
llement ils se continuent avec la peau voisine, de même l'hélix qui
paraît
s'insérer directe- ment à la surface cutanée.
, gémit, soupire et est prête à pleurer; les yeux s'humectent. Elle
paraît
ne pas comprendre, ou au moins comprendre diffi
le pique. L'odorat et le goût sont normaux. Les ganglions inguinaux
paraissent
engor- gés de deux côtés, mais pas bien classiq
i-même si on ne cède pas à ses caprices. Les fonctions digestives
paraissent
se troubler, indigestions avec douleurs de tête
ances pyromaniaques. Etal à l'entrée. Etat physique. La physionomie
paraît
intel- ligente c futée » ; les cheveux sont châ
ents les plus étendus. Les fonctions respiratoires et circulatoires
paraissent
normales ; les fonctions digestives ne sont pas
e colères, soit des accès de mélan- colie. Les sentiments affectifs
paraissent
disparus. Volonté négative énergique. Sens mora
ues. Les parties des racines rachidiennes comprises dans les coupes
paraissaient
normales. Ces lésions, très prononcées au nivea
a mort, dans tous les cas funestes, tandis que ce symptôme a dis-
paru
au bout de quelques jours, dans tous les autres c
démateuses, gros, clairsemés et rudes. Les sécrétions de la peau ne
paraissaient
pas altérées et même, au niveau des zones myxoe
98.) Les réflexes cutanés, notamment abdominaux et épigastriques,
paraissent
dans les périodes de début du tabes, notablement-
rcuter sur la cellule germe et modifier son caractère. L'hérédité
paraît
reposer sur ce fait que la cellule-germe pos- s
eur Raymond (3° série). Doin, éditeur. Le professeur Raymond fait
paraître
la troisième série de ses leçons cliniques, pro
vée pour le toucher, la tempé- rature et la douleur (cette dernière
paraît
même un peu exa- gérée); mais le malade ne peut
es organes sont sains. Les ganglions inguinaux pris des deux côtés,
paraissent
spécifiques. Les tibias et clavicules sont régu
à répondu à d'autres docteurs ce que nous lui demandons. La mémoire
paraît
conservée. L'idéation et le raisonnement sont p
trépidation épileptoïde. La marche normale. La sensibilité générale
paraît
relardée pour le. toucher et pour la douleur; n
tible. La mémoire de quelques rares réponses que nous recueil- lons
paraît
conservée. Elle exécute ce que nous disons de fai
près avoir rêvé la nuit une tête d'enfant. Les sentiments affectifs
paraissent
diminués, parce que, en lui demandant si elle veu
taire est aboli. La sensibilité générale au toucher et à la doulenr
paraît
conservée, quoique la malade ne puisse pas préc
avortement, elle a eu deux accou- chements gémellaires. La mémoire
paraît
diminuée pour le pré- sent et le passé. Les sen
té générale conservée pour le toucher et la douleur, toutefois elle
paraît
un peu retardée. Elle n'a pas de plaques anal-
l'idée et l'image du crime lui sont toujours présentes. La mémoire
paraît
conservée, elle se rappelle les noms de ses enfan
s de zoopsies, nie les abus alcooliques. Les sentiments affectifs
paraissent
conservés, la malade désirant voir ses enfants
ni de diplopie monoculaire. Le sens chromatique est normal. Le goût
paraît
un peu diminué. Il y a des tremblements de la l
res a connaissance qu'un indigent résidant dans son district est ou
paraît
être aliéné, il en donne avis au commissaire des
t et le fait visiter par un médecin ; après telles enquêtes qui lui
paraîtront
convenables, s'il est convaincu de la folie de
xperts. Disons, en passant, que l'utilité de ce double certificat a
paru
si contes- table qu'il ne figure plus dans le p
es sans ordre et sans discipline. Loin de là, nulle part l'ordre ne
paraît
plus réel ; seulement les obstacles matériels o
ons spéciales. La substance achromatique, plus difficile à étudier,
paraît
représentée par les fines travées qui se voient d
ésion organique en sorte que les altérations cellulaires constatées
paraissent
nettement se rattacher au processus patholo- gi
e chromatique a disparu : sous l'influence de la colora- tion il ne
paraît
ni homogène, ni granuleux, mais finement et in-
symptômes qu'elles déterminent sont la somnolence et le coma. Il
paraît
probable que ces modes d'altération des cellules
yroïde augmente toujours de volume au cours de la grossesse, ce qui
paraît
indiquer que l'éco- nomie a alors grand besoin
grand besoin de suc thyroïdien. La femelle grosse ' Mais il ne nous
paraît
pas que l'opération le soit... au moins comme m
e. La paralysie de la partie supérieure du bras a totalement dis-
paru
, mais il n'en est pas de même de celle de l'avant
ce seul fait, à savoir que les lésions- de la paralysie générale
paraissent
procéder d'une toxine et je prends acte de cette
e myxoedé- maleuse, 1888, 1889, 1SJ0, 1891, 1895. Tous ces travaux,
parus
dans le Progrès médical ou dans les Archives de
nous désignons sous le nom d'imbéciles moraux. Cette classification
paraît
faire suppo- ser que parmi les anormaux il exis
es et cliniques, démontrent pourtant qu'une intoxication existe, et
paraît
être la cause quoique secondaire mais réelle de
s expériences, d'après lesquelles le sérum sanguin des épileptiques
paraît
être moins toxique que celui de l'homme sain. C
z l'homme sain. Nous avons au contraire constaté que cette toxicité
paraît
toujours supérieure à celle de l'individu bien
rès peu suffisantes ne nous le disent pas. Le sang de l'épileptique
paraît
toxique, mais nous ignorons encore à quelle dos
périences comme précédant immédiatement l'attaque. Pourtant ce sang
paraît
assez toxique, plus toxique que chez l'homme bi
Ainsi, d'après ces quelques expériences, le sang des épi- leptiques
paraît
toxique. Et c'est ici que nous ne sommes pas d'
portant n'ont absolument rien provoqué. Le sang des épileptiques
paraît
donc plus toxique en géné- ral, même chez ceux
etour des fourmillements qui se généralisèrent par tout le corps et
parurent
influencer l'état mental, car le malade passait
MM. Bail et Régis qui dans le journal l'Encéphale, 1883, ont fait
paraître
une série d'articles sur le môme sujet. PREMIÈR
mnésie; ils sont ordinaire- ment sans motifs et si impulsifs qu'ils
paraissent
avoir une ori- gine réflexe. La question se p
ières) sur les rap- ports de la maladie du sommeil et du myxoedème,
paru
dans le numéro du 7 septembre 1898, de la Press
. Gaide a été amené à l'utiliser par l'analogie frappante qui lui a
paru
exister entre les symptômes de cette affection
saire de continuer long- temps le traitement, même si les résultats
paraissent
nuls; car souvent l'amélioration est tardive. A
travail ont été publiées dans le même journal (Semaine Médicale) où
parut
plus tard le travail du M. Marinesco. En outre,
. Car un fait à noter, c'est qu'à l'heure actuelle, les régions qui
paraissent
pro- duire des aliénés mystiques, sont précisém
eurs et sensoriels exis- tent souvent, mais leur ordre d'apparition
paraît
d'une im- portance considérable en ce que de lu
de croire que toujours le démoniaque se transforme en théomane, il
paraît
au contraire y avoir deux ordres de systématisa
uses du délire chronique de M. Magan. Les hallucina- tions motrices
paraissent
le lien unissant ces deux groupes opposés, et l
an. Archives de Neurologie. 270 CLINIQUE MENTALE. Bien que cela
paraisse
une assertion paradoxale au pre- mier abord, c'
énérale. Chez les paralytiques généraux un des caractères du délire
paraît
fourni, dit Cotard, « par la prépondérance des
démontrer qu'ils n'existent pas en dehors d'elle ; or le contraire
paraît
établi. D'ailleurs l'hystérie n'exclut pas les
on logique et métho- dique des conceptions délirantes systématisées
paraît
en raison inverse de l'état dégénératif congéni
observations de cette catégorie. La durée d'évolution dela'psychose
paraît
en raison inverse des tares; plus celles-ci son
tion logique et méthodique des conceptions délirantes systématisées
paraît
en raison inverse de l'état dégénératif congéni
Il résulte en effet de tous les travaux, sans exception, qui ont
paru
sur la matière, que les psychoses des auto-intoxi
si violente dans certains cas que ce sont ses paroxysmes mêmes qui
paraissent
créer le délire et en tout cas le précédent imm
. dire que les intoxiqués, les hystériques, les délirants fébriles,
paraissent
avoir des rêves de caractères spéciaux, en ce s
lire des intoxications un délire de rêve, qui au premier abord peut
paraître
étrange, n'a rien au fond que de très logique e
Délire .aigu : .' « Le malade presque toujours assoupi, somnolent,
paraît
rêver (le mot est souligné par Georget lui-même
ré de plus l'incohérence est telle que deux images successives ne
paraissent
plus avoir de relations entre elles. La suite est
rangers et malgré notre peu de confiance dans ce moyen, qui ne nous
paraissait
guère appli- cable en raison de l'agitation, no
épileptique qui avait été soumis à la sympathec- tomie. L'épilepsie
paraît
avoir été en rapport avec l'atrophie céré- bell
si fortement établie par Charcot et son école commence cependant à
paraître
incomplète. Et pourtant il faut reconnaître que
droite. Après une immobilisation de trois mois, la conso- lidation
paraît
parfaite et notre malade en état de marcher. Vain
ire six jours avant son admission à Sainte-Anne, qu'elle commence à
paraître
étrange; elle s'attribue les faits divers ou le
o- santes viennent agir sur la malade ; car le délire actuel dis-
paru
, nous resterons évidemment en présence du fond dé
tat mental. Il y a, par exemple, des journées entières où la malade
paraît
complètement sauvée, causant de choses et d'aut
sensibilité; mais les importantes et nouvelles expériences de Mott
paraissent
renverser cette théorie, qui du reste ,a été re
Les affections les ovaires, du col utérin et de la muqueuse utérine
paraissent
donc avoir dans la production des troubles ment
rapidement la vie d'Aubanel, c'est à contre-coeur ; car rien ne me
paraissait
plus facile à faire que l'éloge du savant, de l
ogique et une élude'sur les'travaux scientifiques d'Aubanel, elle a
paru
en 1863 dans les Annales médico-psycho- logique
s, à nous appuyer et à rendre possible une tâche qui, tout d'abord,
paraissait
au-des- sus de nos forces. La plupart d'entre
l'association de troubles cérébraux et d'une lésion polynévritique
parut
singulière, mais bientôt la réa- lité de cette
, une porte d'entrée de la dégénérescence. Toutes les deux du reste
paraissent
êlre la con- séquence d'une même cause dyscrasi
de l'arthrite tuberculeuse et de la lésion médullaire. Ce fait leur
paraît
une démonstration nette de l'origine infectieuse
ire. On peut être surpris au premier abord, que cette affection ait
paru
assez grave à l'autorité mili- taire pour justi
olie systématique. Voici d'ailleurs un exemple entr'autres qui me
paraît
bien démonstratif. X... est un jeune homme de
ur les autres comme pour lui-même, se sentant froissé lorsqu'ils ne
paraissaient
pas manifester soit à son égard, soit encore en
APERÇU GÉNÉRAL DES VICES DE LA PAROLE. 451 1877, que nous voyons
paraître
l'ouvrage classique de Kussmaul qui, malgré bie
garçons : l'aîné, mort à dix- sept ans, de croissance ( ? ), avait
paraît
-il, 2 m. 10 de taille; le second a été emporté
, P... reste chez ses parents, fréquen- tant,l'école primaire où il
paraît
avoir été un de ces élèves moyens dont on ne di
e lui dire qu'il est dans un hôpital ; ses facultés intellectuelles
paraissent
obnubilées. La respiration, la circulation, la
é notre observation hys- térie mâle; ce diagnostic,' en effet, nous
paraît
s'imposer. Notre homme était porteur de stigmat
sons et dans les corps d'épreuve ? Quatre hypothèses seulement nous
paraissent
admissibles : 1° La première serait que les réf
tômes qui justifient le titre de notre publication et ce qui nous a
paru
intéressant, c'est que les symp- tômes urinaire
elle que nous avait fournie la main d'une personne vivante. 11 nous
paraît
donc difficile de voir dans ce phénomène dont nou
Lustgarten (Paris, 1898) donne les indications les plus récentes,
paraissent
dépendre non du gonocoque, mais des infections se
ui n'ont pas soigné ou qui ont mal soigné leur vérole parce qu'elle
paraissait
bénigne. La maladie ne s'était manifestée que p
antage, il en est d'autres de controuvées qui, toutefois, pouvaient
paraître
légitimes à l'époque où elles ont été émises, é
onsistant dans la reproduction des mouve- ments habituels au malade
paraît
intimement liée à l'émission des mots orduriers
donnent lieu à quelques considérations d'ordre géné- ral, qui nous
paraissent
importantes au point de vue du dia- gnostic et
organique. Chez la pre- mière malade, le diagnostic de tuberculose
paraissait
s'imposer par ses antécédents, par son amaigris
algie et de la crise, à la suite de laquelle ces phénomènes avaient
paru
. Enfin l'étude de l'évolution des symptômes ne
r de nos observations une conclusion d'ordre thérapeutique qui nous
paraît
très intéres- sante. C'est que dans tous les
demment les raisons pour lesquelles ce moyen de diagnostic ne nous
paraît
pas utilisable dans la pratique courante. La pr
aumatisme dont Bo... avait été victime vingt ans auparavant ne nous
paraissait
pas admissible pour les raisons suivantes. Le t
ilen- cieuse, un silence de vingt ans, comme dans notre cas, nous
paraît
à vrai dire un peu trop prolongé. Puis, l'hémiplé
ravail, qu'il nous soit permis d'ex- primer une conclusion qui nous
paraît
s'en écouler tout logi- quement. C'est que dans
n particulier, les malades gravement atteints dans leur état mental
paraissent
avoir une hypotoxicité constante (voir tableau
spaces intercalaires. Ces deux phénomènes sont donc concomitants et
paraissent
être sous la même dépen- dance. Cette corrélati
tête était intense, et une fois il y eut perte de connaissance. Il
parut
alors se remettre. Au bout d'un semaine ou deux
al (ventro-latéral) ; la partie supérieure ou dorsale de cet organe
paraît
être en relations avec les racines des paires c
t la seconde phase, entrant ensuite dans la phase mégaloma- niaque,
paraît
presque calquée sur la description classique; de
rviennent les accidents et aujourd'hui elle serait guérie. Il ne me
paraît
pas que la guérison soit très complète, puisque
e part, nous n'hési- tons pas à dire que l'opinion de M. Régis nous
paraît
bien plus conforme à la réalité des faits qui n
n examen. Cette mesure, appliquée dans plusieurs pays étrangers, ne
paraît
pas avoir encore appelé l'attention des doyens
tendait. Les agents s'aperçurent alors que le cocher fantaisiste ne
paraissait
pas jouir de ses facultés mentales, et ils se dis
myélite antérieure est isolée, tandis que dans l'autre maladie elle
paraît
être consécutive ou tout au moins associée à un
ne téphro-myélite aiguë, l'idée n'est pas plus sou- tenable etil me
paraît
inutile d'y insister. Serait-ce une de ces myél
cep- tions ; cependant il admet aussi la théorie ordinaire. Il me
paraît
inutile d'insister davantage ; ces citations pui-
ion sur la marche ou la station, les yeux étant fermés ; mais il me
paraît
démontré que là n'est pas la théorie physiologi
ut atteindre la ligne médiane. Les rhomboïdes semblent avoir dis-
paru
. Les sus ou sous-épineux sont très bien conservés
ors une concavité posté- rieure, de telle façon que le pli du coude
paraît
convexe et saillant. SUR UN CAS DE .MYOPATHIE P
des départements musculaires, qui lors des premiers examens avaient
paru
presque indemnes. A la face, les yeux restent l
foncée, que l'on est habitué à voir chez les sujets vigoureux ; ils
paraissent
même d'une apparence plus saine, que l'on ne se
eaux de l'extenseur commun. Tous les autres muscles de l'avant-bras
paraissent
sains. · Les muscles des éminences thénar et hy
de même des nerfs musculaires dont les plus fines ramification.')
paraissent
normales en leurs diverses parties : myéline, cyl
rendre compte, jusqu'à un certain point, de la signification qu'ils
paraissent
avoir. On y voit, en effet, parfois, des fibres
nous avons dites et dont on peut s'autoriser actuellement, il nous
paraisse
légi- time jusqu'à plus ample informé, de consi
erveux comme l'idiotie, l'épilcpsie. - Cette manière de voir nous
paraît
toutefois difficilement acceptable, et cela pou
Roth -- qui serait prise la première; et c'est, aussi, ce qui nous
paraît
résulter du fait que nous avons observé. Toutef
GRESSIVE. 20ï que de proposer, à notre tour, la conception qui nous
paraît
actuellement la plus admissible sur ce point dé
avagante, « Elle était comme un homme, . - Le grand-père pale1'1lel
paraît
avoir été diabétique. La grand'mère maternelle
ve pas de dégoût pour la teinture de coloquinte. ]/ odorat, l'ouïe,
paraissent
normaux. L'examen de la vue est impossible. 2
ar minute. Les derniers tours sont encore plus rapides, après il ne
paraît
pas, étourdi, s'assied ensuite la tête entre le
. Les testicules sont de la srosseur d'un oeuf de pigeon, le gauche
paraît
un peu plus gros que le droit. - Ros... passe a
placés à une certaine distance de lui. Se= pupilles, peu dilatées,
paraissent
être plus sensibles à la lumière qu'à l'accommo
BEVUES analytiques, nous publions le résumé de tous les travaux qui
paraissent
dans les journaux con- sacrés à /'aliénation me
en France qu'on rencontre de l'encom- brement dans les asiles : il
paraît
qu'en Amérique la situation est encore pire. On
excès de tabac, etc.; 2° par contre, le tremblement dit sénile, ne
paraît
pas exister; 3° le rôle do l'arté- rio-sclérose
dans le collapsus le plus profond. Généralement, le collapsus, qui
paraît
si grave, cesse soudain, après avoir duré quelque
n'a pas été plus sérieuse au point de vue des résultats. 11 nous
paraît
donc impossible de dresser une statistique fidèle
he, s'est trouvée tout à coup dans l'opulence, ce qui ne leur a pas
paru
naturel. Sir William Abdy a démontré qu'aux dif
rbe appartement du quartier de l'Europe. Elle ne se contentait pas,
paraît
-il, de dire le passé, le présent et l'avenir; m
cteurs. A partir du -1 CI' mai prochain, les Archives de Neurologie
paraîtront
tous LES mois. Le rédacteur-gérant, 1l0un : OE\
ment à ses doigts d'abord. Le massage de la région, qui fait dis-
paraître
l'oedème bleu semble être une circonstance adjuva
ptée, on comprendra aisément pourquoi le mouvement du coude a re-
paru
rapidement sous l'influence d'un traitement psych
ovarie. Résultat du traitement. La paralysie hystérique peut dis-
paraître
spontanément sans aucun traitement, mais plus sou
tel point, nous a-t-il été répété, que les os semblaient avoir dis-
paru
en grande partie. Une de ses soeurs, sans enfan
autres parties du;corps sont atrophiées; en outre, la jambe gauche
paraît
légèrement plus amaigrie. De chaque côté 360 CL
le soutenir. La mastication, et les autres actes de la digestion ne
paraissent
pas troublés. Au niveau du dos, nous trouvons l
tion opposée; mais cette déviation est si faible qu'elle ne nous
paraît
pas bien mériter qu'on s'y attache, et qu'on trou
nne vertébrale, du bassin, et de la cage thoracique ne nous ont pas
paru
offrir des altérations pro- fondes comme cela a
on irrégulière. Malgré la déformation vertébrale, la respiration ne
paraît
pas trop gênée. Il en est de même de la digesti
n, fait qui, d'ailleurs, a été noté par quelques auteurs. Il nous a
paru
nécessaire de rechercher du côté des ascendants
, en premier lieu, au rachitisme. Néan- moins, cette hypothèse nous
paraît
susceptible d'être écartée, d'abord, parce que
faits ont été presque entièrement passés sous silence qui cependant
paraissent
expliquer la plupart des autre phé- nomènes et
es sans suite et se livre à des actes souvent incompréhensibles qui
paraissent
reliés plus ou moins aux hallucinations. Sur cet
. 1° Etats maniaques. - L'attaque cholérique a toujours fait dis-
paraître
l'état maniaque quelle que fût l'intensité, quell
e frayeur de la mort. 5° Idiotie, débilité mentale, - Les idiots ne
paraissent
pas avoir une grande sensibilité, mais deux déb
on profonde des sentiments affectifs et mo- raux. Ses conversations
paraissent
raisonnables, mais la vie quoti- dienne la mont
membres, ne peut plus bouger. Les bras obéissent si vite qu'ils en
paraissent
légers, il semble qu'il y a aide de la part du
uf aux membres infé- rieurs, où la sensibilité au chaud et au froid
paraissent
se confondre. Les troubles trophiques qui sont
malade ? Ces deux affections se sont développées parallèlement sans
paraître
s'in- fluencer mutuellement. Peut-être pourrait
t quarante-cinq ans; elle est plus fréquente chez la femme, où elle
paraît
pouvoir peut-être se rattacher à la méno- pause
démontré que sur quatorze prisonniers qui, dans cet établissement,
paraissaient
absolument réfractaires à toute obéissance aux
e peuvent se résumer de la façon suivante : la chorée de Huntington
paraît
être une des mala- dies les plus héréditaires q
une des mala- dies les plus héréditaires que l'on connaisse ; elle
paraît
frapper les hommes plus fréquemment que les fem
ion de la communication de M. Lefiliâtre le travail de M. Liondimov
paru
dernièrement dans le Messager de Psychiatrie, d
M. Luys) un recueil intitulé {'Encéphale, etc. Il a également fait
paraître
les Leçons de M. Charcot sur les maladies des v
ur maniaque, signalé parles auteurs comme phénomène paroxystique,
paraît
être directement en rapport avec le traitement, c
s ? Et comment supposer la permanence de l'émotion, quand le malade
paraît
tout à rait calme et indifférent ? Néan- moins,
BLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. Un grand nombre d'accidents hystériques
paraissent
dé- pendre de certaines idées fixes, de certain
é toutes les complications que ce symptôme peut pré- senter, nous a
paru
le seul caractère constant et essentiel du somn
iel du somnambulisme. Le plus souvent, les souvenirs perdus réap-
paraissent
quand le sujet se retrouve de nouveau dans l'état
nce, mais des états de durée très courte pendant lesquels le malade
paraît
marcher ou agir au- tomatiquement, ces fugues d
, il ' Autam, psycho., p. 455. = Les rêveries et les extases nous
paraissent
plus fréquentes et plus importantes dans l'hyst
plus affaiblie, profite de la moindre occasion pour la terrasser et
paraître
au grand jour'. » Un grand nombre d'études psyc
conceptions médicales de l'hystérie. M. Laurent, dans un tra- vail
paru
d'abord dans les Archives cliniques de Bordeaux 2
des est sans contredit l'article de MM. Brener et Frend récemment
paru
dans le Neurologisches centmlblatt 4. Nous sommes
des actes intentionnels, ils diminuent sensiblement d'éten- due et
paraissent
cesser complètement si, par exemple, le maladu
mé- moire et des céphalalgies violentes avaient complètement dis-
paru
. 452 revue DE thérapeutique. De ces trois cas
tère vertébrale fut préconisée dans le traitement de l'épilepsie et
parut
d'abord donner quelques résultats heureux ; mai
très accusé. Dans les cas d'hys- térie avec hallucinations, elle a
paru
plutôt nuisible; dans la dépression mentale, el
nce sur la possibilité de sa seconde guérison. La cocaïne cependant
paraissait
avoir pour elle encore plus de séductions que l
par la relation détaillée de l'observation de cinq malades qui ont
paru
à l'auteur d'autant plus intéressants qu'on a p
traiter. Mais il s'empresse de reconnaître que si le milieu ambiant
paraît
agir défavorablement sur l'état mental, si les
: 1 Tout d'abord comment peut-on accorder les contradictions qui
paraissent
exister entre l'école de la Salpêtrière et l'écol
antages très res- treints. Quant aux dangers de l'hypnotisme, ils
paraissent
négligeables, pourvu que l'emploi de ce moyen r
cylindres hyalins. Coeur normal. En quelques mois, l'oedème dis-
paraît
et l'état mental se guérit. 6° Mélancolie avec
°, avec 20 planches et 6 cartes.) Voilà déjà bientôt trois ans qu'a
paru
la première partie de cet ouvrage considérable
et aux trajets visuels. Disons tout de suite de la deuxième partie,
parue
l'été dernier, qu'elle continue dignement la pr
n Valroff à cinq ans de réclusion. D'après les journaux de Nice, il
paraît
que Valroff va se pourvoir en cassation. , FA
re du malade, pris après le décès : l'en- semble de ces documents a
paru
attirer assez vivement l'attention de la Sociét
Lemass., E. Armand, 13 ans : Imbécillité; bégaiement ; onanisme. Il
paraît
avoir eu trois fois des rapports avec l'in- fir
ne éruption papuleuse ;-que la date d'inoculation de cette syphilis
paraissait
remonter à trois ou quatre mois ; -) - que D...
ne peut avoir de renseignements précis sur l'état de l'odorat,- il
paraît
con- tent lorsqu'on lui frotte la tête, mais do
noyau, ni sur la couche optique. Réflexions. Cette observation nous
paraît
digne de remarques à différents points de vue.
devons signaler la rareté de cette affection. Quatre cas seulement
paraissent
avoir été publiés jusqu'ici : le premier a été
s ; les artères de la base, les nerfs. le chiasma, les pé- doncules
paraissent
symétriques. Les hémisphères ne pa- raissent pa
phère droit ne mesure que 17 c. dans sa plus grande lon- gueur et
paraît
moins largo aussi que le gauche qui me- 24 IDIO
es convulsives. Du- rant cette phase, les facultés intellectuelles,
paraît
-il, n'au- raient été que médiocrement affaiblie
t à minuit). Lclendemain, il ne restait qu'une grande fatigue. Cela
paraît
avoir été un accès d'épilepsie. ' MICROCÉPHAL
lis, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A première vue, Cher...
paraît
assez intelligent ; ses yeux sont vifs et parfo
é à son travail à midi et demi jusqu'à deux heures et demie, mais
paraissait
préoccupé ; ensuite, il est allé à la cantine d
une part, l'existence d'accidents né- zoopathiques de l'autre, nous
paraissent
avoir exercé une action sur la condition cérébr
après de nombreu- ses tentatives. « Ce développement rudimentaire
parut
d'ailleurs l'insti- gateur d'une sorte de révei
vacillant, une proportion plus exacte. Pour le cerceau, après avoir
paru
très longtemps étranger au mécanisme de sa marc
Voici d'ailleurs leur marche de 1850 à 1860 : microcéphalie. 41
paraissent
moins pointus en avant que ceux de la négresse.
du sillon prérolandique entre lesquelles elle passe. Cette incisure
paraît
avoir pour analogue à gauche une petite bifurca
nvolution, anastomosée large- ment avec la deuxième circonvolution,
paraît
fusionnée en avant avec la troisième circonvolu
en haut et en arrière, longue à gauche, rudimentaire à droite, qui
paraît
être la branche ascendante de Sylvius. D'ordina
er la femme de son frère et de la Paria indoue, de Shortt, qui eut,
paraît
-il, un enfant mort-né. » L'état et le fonctionn
pendant la guerre de 1871 ; -4° garçon âgé de 7 ans, bien portant,
paraît
moins nerveux que le précédent; -5- garçon mort
ensibilité générale, dans ses divers modes, est con- servée et elle
paraît
égale des deux côtés. Il n'en est pas de môme p
tes à une heure. 16 avril. Douches. 21 mai. Les points hystérogènes
paraissent
un peu atté- nués et se montrent moins sensible
pression. Au niveau de la zone dorsale, la sensibilité à la chaleur
paraît
diminuée à droite. . 1 CI' décembre. Pendant
aucun doute sur leurs principaux caractères. La période de rigidité
paraît
avoir été toujours assez courte ; toutefois, so
nous avons déjà mentionné et sur lequel l'attention des auteurs ne
paraît
pas s'être fixée. La période des contorsions, l
rieures. Les prolongements de l'axe gris central au niveau du bulbe
paraissent
entièrement gains. 72 ATAXIE LOCOMOTRICE ; EPIL
notablement affaissé depuis cette même époque, et il s'est produit,
paraît
-il, un amaigrissement considérable. A part l'ét
leur marche de 1871 1 à 1881. ATROPHIE DES CIRCONVOLUTIONS. 85
paraissait
pas avoir d'oppression; sa voix restait forte ; r
l. Le 9 avril, elle a eu trois'accès. Le 10, elle s'est levée, mais
paraissait
souffrante, ne mangeait ni ne parlait. L'examen
itué tout entier à droite de la colonne vertébrale ; le lobe gauche
paraît
manquer, la face inférieure est devenue presque
coccyx, laquelle est à peu près hori- zontale. Les trous sacrés ne
paraissent
pas sensiblement dé- formés. La face externe
airement prédisposée à des accidents ner- veux. L'intelligence ne
paraît
pas avoir jamais été bien déve- loppée ; toutef
état. T. R.' 39°,4. Soir : T. R. 40°,4. 15 janvier. L'exanthème a
paru
ce matin; il se montre surtout à la face ; il e
'iode). 6 Février. Le souffle à l'expiration du côté droit a dis-
paru
; à gaucho, au contraire, il est devenu très inte
es sous-crépitants abondants dans toute la poitrine. L'état général
paraît
satisfaisant. La température oscille régulièrem
i- vite persiste ; la langue reste saburrale ; la diarrhée a dis-
paru
. Respiration très soufflante à gauche; à droite,
n physique (1880). Arrêt dedéveloppement : l'en- fant, qui ail ans,
paraît
en avoir 4 ou 5 à peine. Taille 0 ? J ! i ; poi
le tronc et le visage ; elle se dispose en corymbes ; elle n'a pas
paru
sur les membres. L'enfant cause et est assez ga
andes dans l'aisselle. Rien au pli de l'aine. 8 février. L'enfant
paraît
complètement guéri, est gai, mange de bon appét
n du tube digestif, comme d'ailleurs l'estomac et le gros intestin,
paraît
saine. Tête. Calotte crânienne régulière et sym
ts de fièvre typhoïde.] Mère, 25 ans, couturière, de taille petite,
paraît
intelli- gente. Elle est un peu nerveuse et aur
s latérales de droite. La voûte palatine, très plate et très large,
paraît
symétrique; les amygdales sontvolumineuses. La
pyramides antérieures et les olives sont en partie confondues, mais
paraissent
de dimensions égales. Le cervelet et l'isthme p
s'est brûlé la fesse en s'asseyant sur le couvercle d'un poêle ; il
paraissait
insensible à la brûlure et ne criait pas. La ci
iait pas. La cicatrisation s'est faite en cinq jours sans qu'il ait
paru
souffrir. D'autres fois, il saisissait à la mai
pées : toutefois la partie antérieure des circonvolutions frontales
paraît
un peu plus petite. En résumé, cette rougeole a
d donc pas au maximum de l'éruption qui, nous le répétons, nous a
paru
coïncider avec le maximum thermique, dans les c
rte de la laryngoscopie. Il suffit aujourd'hui de lire les ouvrages
parus
en Allemagne, en Russie, en Angleterre, en Amériq
presque complète de la cornée : dans toute la partie centrale l'iris
paraissait
à nu; c'est seulement à la périphérie que l'on
vait été pris de pneumonie lobaire, et qui en est mort, l'anthrax m'a
paru
être pour quelque chose dans cette terminaison fu
i de l'air. Le malade est au douzième jour de sa ponction, et l'abcès
paraît
en voie de guérison. Un abcès de la région du foi
larynx et de la bifurcation de la trachée. Le parenchyme pulmonaire
paraît
insensible. La toux est considérée comme un des s
evoir faire subir au procédé de Roux.— Une de ces observations a déjà
paru
dans l'Union médicale, la. deuxième sera livrée à
urs des fils métalliques ne provoquât celle de la suture cutanée, qui
paraissait
d'ailleurs parfaitement réunie. Ces fils enlevés,
ffet. On visita la suture muqueuse, et comme de ce côté les fils ne
paraissaient
provoquer aucune irritation, on jugea prudent de
ient qu'un eczéma. Il passa un mois et demi à Saint-Louis, sans qu'il
parût
d'éruption sur un autre point du corps. Pendant
ons cutanées auquel il a donné le nom de mycosis-fongoïde, et qui lui
paraît
n'être que l'expression d'une diathèse également
même, à côté de l'altération qui nous occupe, on voit de l'eczéma qui
paraît
se confondre avec elle, et il insiste surtout sur
surtout de son deltoïde et son grand dentelé droits, ce dont elle ne
paraît
pas se douter. On retrouve aussi chez elle de gro
enne de Boulogne (i). Les observations que nous venons de donner nous
paraissent
présenter un tableau suffisamment exact de la mal
ns répétées et confirmées avec la coralline elle-même (i). « Il m'a
paru
curieux de pousser plus loin les investigations,
ue, les autres cicatrices et les autres ulcérations situées plus haut
paraissent
être des récidives du chancre, les plus inférieur
de quelques poils rares et courts, de sorte qu'au premier abord elle
paraît
avoir été rasée. Cette particularité de la peau r
des condyles ; là on sent encore la trace de ces apophyses, mais l'os
paraît
se terminer d'une manière brusque par un léger re
s. Le bras se termine par un moignon parfaitement arrondi; ce moignon
paraît
composé de l'extrémité numérale recouverte par un
ccepté comme certains ou infiniment probables que les faits qui m'ont
paru
tels, car la sincérité et l'exactitude peuvent se
Lyon médical, d'après Archives de méd.) BIBLIOGRAPHIE Il vient de
paraître
un livre intitulé Traité des affections de la p
es doctrines de M. Bazin, médecin de l'hôpital Saint-Louis. — Il nous
paraît
évident que ce livre soit la fidèle interprétatio
ment un aspect monstrueux. La peau et le tissu cellulaire sous-jacent
paraissent
intéressés tout d'abord; ils sont comme confondus
e inférieur gauche l'emportait en volume sur le droit ; ce gonflement
paraît
s'être produit peu à peu, atteignant à peu près e
s en une masse de consistance presque ligneuse. A la cuisse la lésion
paraît
moins avancée, ou du moins présente des caractère
i alcoolisme du côté du père, ni vice de conformation ; l'hérédité ne
paraît
pas avoir joué un grand rôle. Mais il n'en est pa
eils. Ces orteils doubles ont une enveloppe cutanée commune et qui ne
paraît
pas avoir été double. Chacun de ces orteils prése
lions qui lui correspondent; pendant un certain temps il constitue ou
paraît
constituer l'expression unique par laquelle se tr
s vaisseaux rétiniens, on ne distingue guère que les plus gros qui ne
paraissent
ni flexueux ni modifiés dans leur calibre. Ils pr
mesure cinq à six centimètres. La main, appliquée sur la tumeur qui
paraît
ovoïde, perçoit des battements assez forts, répon
avec la paroi de la poche. Cette petite vésicule assez dure, opaque,
paraissait
contenir dans son intérieur un petit corps jaune
t les plonger dans des milieux différents, leurs œufs ne perdent pas,
paraît
-il, malgré cela, leurs propriétés germinatives. I
de Cayenne), fauves, blanches, se répandent sur tout le corps ; elles
paraissent
et disparaissent plusieurs fois avant de rester s
fection intus et extra. On le soumet à cette nouvelle médication, qui
paraît
rendre les tubercules plus rouges. Enfin, dans ce
spores rappelant celles du trichophyton, de telle sorte que l'auteur
paraît
avoir eu quelque velléité de désigner cette nouve
ine de Paris, chirurgiens des hôpitaux (i). Foucher avait déjà fait
paraître
la première partie de ce livre lorsqu'une mort pr
. La prédilection de Desault pour la section du cartilage thy-roide
paraît
donc bien justifiée; mais déjà l'exercice sur le
s Archives générales de médecine (1), nous lésa fait connaître, et il
paraît
résulter de la pratique des quatre dernières anné
ées de toiles supportées par une charpente. Le meilleur type à suivre
paraît
être la tente militaire prussienne qui mesure 20
'infirmerie, pour accoucher (22 ans). La grossesse, la parturition ne
paraissent
avoir présenté rien de particulier. — Le sein dro
ueviller sur la paume de la main. D'une façon générale la sensibilité
paraît
normale à droite. Par le chatouillement de la pla
este, la possibilité de l'infection tuberculeuse par le tube digestif
paraît
avoir attiré l'attention il y a déjà plusieurs an
nullement athéromateuses. Les hémisphères cérébraux, étant en place,
paraissent
à peu près aussi volumineux. — L'hémisphère droit
guliers; elle présente cette particularité qu'en certains points elle
paraît
comme rasée, c'est-à dire dépourvue de papilles.
a poitrine tant qu'on le croit nécessaire ; lui donner accès, si cela
paraît
utile, dans la mesure que l'on juge convenable; f
ssus des puissantes arcades sourci-lières sur lesquelles il s'appuie,
paraît
normale, car elle se fond insensiblement, et pour
a figure est plus altérée. La malade n'a pas dormi : la veille elle a
paru
s'assoupir un peu dans la journée; mais bientôt e
e a déliré toute la journée ; cependant, elle n'est pas agitée ; elle
paraît
entendre quand on parle, mais ne répond pas. Elle
ié et utilisé par tout le monde. L'ouvrage, comprenant 72 leçons, a
paru
en [cinq fascicules qui répondent, pour ainsi dir
2. Aux faits anciens, nous allons en ajouter quelques-uns qui nous
paraissent
de nature à encou- rager les médecins praticien
après. La nuit a été bonne. Cet accès, le premier, depuis l'entrée,
paraît
avoir été provoqué par une indigestion. Tempé
ant passer les petites lèvres brunes. Les règles n'ont point encore
paru
.. , ' . ' 1896. Juin. Ptt&e ? Quelquesrares
1898. Janvier. Puberté. Seins, 16 sur 18. L'orifice de l'hy- men
paraît
un peu large et permet facilement l'entrée de l'i
l'entrée. 16 THÉRAPEUTIQUE. ' son caractère avant de tomber. Elle
paraissait
calme. Immédiate- ment avant la chute, étant à
plus longs sur le pénil. Pas, d'autres changements. Les règles ont
paru
, pour la première fois, , du 12 au 19 juillet,
bles, tant qu'on n'a pas affaire à un agent spécifique. Après avoir
paru
efficace dans un grand nombre de circonstances,
ace dans un grand nombre de circonstances, le même' médicament peut
paraître
tout à fait inutile. De son inutilité, dans un
le sang les formes parasitaires type- 1 ques du sang comitial. Il
paraît
s'agir, en somme, d'un streptocoque qui, par ses
tée dans un herbage, ti commit sur elle un attentat à la pudeur. Il
paraît
, de son propre;, aveu, que c'est le troisième f
que dans ce dernier côté. Vers la fin, les deux sixièmes paires ont
paru
parésiées ; il a donc semblé qu'il existait à c
ès durcissement dans les réactifs habituels, cette tumeur, nous , a
paru
solitaire dans un examen minutieux macroscopique
a rien montré d'anormal ; enfin les cellules néoplasiques nous ont
paru
un peu différentes des cellules épendymaires qu
ans notre cas, la voie pyramidale examinée par la méthode de Marchi
paraît
intacte ; en outre, nous avons maintenant en no
nsi les mouvements ataxi- formes présentés par notre malade ne nous
paraissent
pas être sous la dépendance d'une perturbation
voie cérébelleuse médullo-cérébelleuse, ou cérébello-médullaire ne
paraît
pas s'entrecroiser, il est natu- rel que les tr
un véritable syndrome clinique plus ou moins complexe qu'il nous a
paru
intéres- sant d'approfondir. L'observation d'un
on entre le tremblement héréditaire et le tremblement sénile nous
paraît
injustifiée et nous estimons qu'il y aurait tout
ITAUX '108 nerveuse semble influencer sa production. La dentition
paraît
avoir un effet prédisposant ainsi que certaines m
à fait étrangère au tremblement essentiel infantile dont la durée
paraît
être indéfinie. En outre il y a dans cette derniè
clonus que nous n'avons pu obtenir qu'à la première épreuve nous a
paru
cependant indéniable. Devons-nous donc considér
rencontrer dans nombre d'affections céré- brales sans que la lésion
paraisse
avoir de territoire spécial; .pourtant dans auc
une lésion systématisée. Néanmoins et pour spécieuse qu'elle puisse
paraître
, cette conception nous permet d'envisager les t
ts incoordonnés des membres. Plus élevés dans la série morbide nous
paraissent
être les nystagmus avec symptômes surajoutés sp
à un délire ' maniaque très violent. D'après les renseignements, il
paraissait
alors avoir des hallucinations effrayantes, ten
dû se rendre lui-même au commissariat de police de son quartier et
paraître
là assez souffrant pour être transféré 124 RECU
TÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 131 I A ces écrits dont les quatre premiers
parurent
de son vivant, il faut ajouter ses lettres (Las
tte : A certains moments, le mal L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135
paraît
si grand, la mort paraît si imminente que si la c
le mal L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si grand, la mort
paraît
si imminente que si la cure dite miraculeuse a
atte- ments faibles et lents du coeur qui persistaient, la malade
paraissait
en effet à l'article de la mort ; après avoir mis
ure n'étant plus placées dans le sens habituel; mais à ma visite il
paraissait
toujours comme un cadavre et nous ne pûmes obte
les moyens employés pour la réveiller sont res- tés sans succès. Il
paraît
que depuis quelques années, à diverses reprises
mal et peu distinctement. Le protoplasma se colore à peine ; elles
paraissent
représenter les cellules de la névroglie envahi
-trois ans, atteinte de manie chro- nique : la gravité de la lésion
paraît
ici en désaccord avec la vio- lence du traumati
, leurs habitudes étaient presque identiques. Les crises délirantes
paraissent
avoir été spontanées chez toutes deux et s'être
ux sont demeurées dans le même état depuis leur entrée à l'asile et
paraissent
marcher vers la mélancolie chro- nique. li. DE
al Science, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et de tableaux, qui
paraissent
judicieuse- ment établis et puisés a bonne sour
té la cause unique de l'amélioration, mais il est certain qu'elle a
paru
nettement utile chez deux d'entre eux et que la
veau du même membre. Les faits analogues à l'observation ci-dessus,
paraissent
à tort exceptionnels; ils seront plus fréquemme
surie alimentaire, qui leur servait de pierre de touche quand dis-
paraissaient
les troubles mentaux (confusion mentale, délire o
s fonctions psychiques de ces malades. Les réflexes tendineux lui
paraissent
bien, par contre, en général exagérés, surtout ch
es laissant errer leur regard vaguement fixé dans le lointain. Cela
paraît
surtout net chez les catatoniques. Il semblerai
e blâme à Le Bechec en termes très vifs. Le Bechec, qui avait fait,
paraît
-il, de longues stations dans un cabaret situé d
laire sur laquelle je désire appeler l'attention, parce qu'elle m'a
paru
nettement établie, très spéciale quant à sa nat
trique. Le' 4 septembre, toute altération de la cornée avait dis-
paru
. D'autre part, la malade se montrait, à partir
une émotion un peu vive (celle résultant de la visite de sa mère) a
paru
stimuler favorablement son activité cérébrale. ,-
par une sorte de rêvasserie agitée, au cours de laquelle le malade
paraît
en proie à des hallucinations pénibles. Son langa
t toujours l'objet de soins d'infirmerie, bien que son état général
paraisse
meilleur ; sa physionomie devient plus normale;
tro- phiques profondes (abcès indolents, kératomalaxie, xérosis),
paraît
plus directement en rapport avec les centres trop
que constituerait le ganglion de Gasser. 4° Dans tous les cas, il
paraît
résulter des observations qui précèdent, que, q
moins trois fois plus volumineux qu'à l'état habituel et la malade
paraissait
éprou- ver une douleur assez vive de ce côté. ·
e inférieure et externe. Les ma- melons, loin d'être hypertrophiés,
paraissent
, au contraire, rétrac- tés, enfoncés dans la ma
quelques céphalalgies. Pas de zones hystérogènes. Les sens spéciaux
paraissent
normaux (odorat, ouïe, olfaction, gustation) ;
éclat surpassaient tout ce ' qu'on peut imaginer; ce que je voyais
paraissait
bien encore tenir de l'image, néanmoins je conn
e quand il s'agit de choses surnaturelles ; les diamants ne pouvant
paraître
que pierres fausses auprès des pierres incompar
2')4 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE cinq plaies de Notre-Seigneur y
paraissaient
admirablement gravées. Ce divin Sauveur, en me
able suggestion ; on tourne son imagination du côté de Satan, il va
paraître
. ' « Cinq ou six grands serviteurs de Dieu, écr
issaient mon confesseur d'être sur ses gardes par rapport à moi; il
paraissait
être de leur sentiment, quoi- qu'il cherchât to
sse, il me serait impossible d'en perdre le souvenir. L'entrée m'en
parut
comme une petite ruelle longue et étroite ou co
cou engoncé dans les cornes de deux diables, loin de me toucher, me
paraît
une hallucination quelque peu extrava- gante, q
t. La constatation de l'état mental infantile des tiqueurs nous a
paru
utile à signaler; elle est de nature à confirmer
eur et à ceux du psychisme inférieur. La pre- mière hypothèse ne me
paraît
pas admissible. Supposons par exemple un tic de
presque uniquement en une altération de la volonté. Ce cadre lui a
paru
bien étroit, c'est donc avec intérêt qu'il a en
- ment lié à la dégénérescence originelle. La volonté n'y a point
paru
altérée, au moins dans le principe. Il ressort de
n de tic associé à une démence précoce. Il s'agit d'une enfant, qui
paraissait
normale, fut vaccinée à quelques mois. L'érupti
de police de la rue d'Astorg, cet indi- 284 ' VARIA. , vidu, qui
paraissait
très exalté, a déclaré se nommer Léonard Blanc,
1..., quarante-huit ans. Clotilde, de dix ans la plus jeune, et qui
paraît
avoir été, au temps jadis, la plus gracieuse, fut
L'auteur de ces incendies est un irrespon- sable qui n'avait jamais
paru
dangereux. Il assistait à tous les désastres qu
ibilité est obtuse aux membres inférieurs, les réflexes patellaires
paraissent
normaux. G... n'accuse aucun phénomène douloure
vroglie, surtout au niveau de la périphérie. Les cellules nerveuses
paraissent
dimi- nuées en nombre. Le protoplasma des grand
e non aiguë de méningo- encéphalite. » . Cette observation nous a
paru
intéressante à plusieurs points de vue. Une pre
er ; on laisse seulement échapper quelques soupirs, qui bien qu'ils
paraissent
faibles et languissants, ne laissent pas au fon
ctérisés, consti- tuant des faits de transition. Les obsessions qui
paraissent
le plus SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 susceptibles d
hafaude un roman criminel imaginaire, dont l'auto-accusateur r veut
paraître
le héros intéressant, pour en devenir indirecteme
l'état du fond de l'oeil chez les paralytiques généraux nous ay ant
paru
man- quer de précision, nous avons essayé de dé
tique par du tissu conjonctif et névroglique proliféré. (Ce mémoire
paraîtra
in exlenso avec les figures.) Les lésions his
es grains. Il n'y a pas de différence histologique, que le cervelet
paraisse
atrophié primitivement ou secondairement. Le sy
n de con- crétions dont les aspects etles réactions colorantes nous
paraissent
devoir être identifiés avec ceux des grains psa
uelles de la compression lente, un volume tellement exagéré qu'elle
paraissait
avoir doublé ses dimensions dans tous les sens.
Dans nos cas, nous n'avons pu découvrir aucun fait histologique qui
parût
justifier cette dénomination ; en effet, par to
proposons pour cette affection néoplasique, parce que le terme nous
paraît
bien mettre en lumière et l'existence des noyau
nges, plutôt embryonnaires dans la moelle dont les éléments nerveux
paraissent
plus refoulés que détruits, ces tumeurs sont à
hélium, endothélium vasculaire). Si l'on s'appuie sur ces faits, il
paraîtra
bien difficile de séparer radicalement les endoth
erai que la très intéressante observation de MM. Raymond et Cestan,
parue
dans le dernier numéro .des Archives de Neurolo
que souvent l'escroquerie, le vol. l'abus de confiance ou le faux,
paraîtront
déterminés parles besoins d'argent du coupable
ctérise le signe de Babin : ki. - L'intérêt de ces observations m'a
paru
résider : : 1° dans la cor- rélation existant e
rans- versales, les petits îlots défibres grêles en jeu de patience
paraissent
le résultat de la division répétée d'une seule
es de cette dégénérescence au point de vue mental. Aussi lui a-t-il
paru
intéressant de relater l'une d'elles, la démence.
Trois semaines plus tard, Jeanne et Clotilde, revues seules, ont
paru
en voie de guérison. « Si nous entendions quelque
nte dans l'attitude d'un mé- 416 CLINIQUE MENTALE. lancolique. Il
paraît
profondément débile et ne répond que lente- men
a sollicitude que méritent ces petites manoeuvres préparatoires qui
paraissent
indif- férentes et sont, en réalité, capitales
étés celles qui ont trait à la santé et à l'existence de l'individu
paraissent
les plus fréquentes ; vien- nent ensuite celles
sile d'aliénés de Maréville. L'observation que nous publions nous a
paru
intéressante à plusieurs points de vue : l'état
es prolongements des fibres des racines sensitives postérieures, et
paraissent
servir à conduire les sensations'de position, d
505 celle-ci non constante. Pas de névrite optique. Ces symptômes
paraissent
s'être manifestés soudainement, il y a quelques a
tte classe comporte des enfants névropathes, qui, au premier abord,
paraissent
lui appartenir soit par leurs actes, soit par l
s enfants chez qui le pouvoir d'attention fait absolument défaut ne
paraissent
susceptible^ d'aucun progrès dans aucune de leurs
ceux qui relèvent de l'anémie cérébrale. Les observations cliniques
paraissent
con- lirmer ces vues a priori. Dans t'insutILan
ATHOLOGIE MENTALE. et la folie. Toutefois la manie et la mélancolie
paraissent
les deux formes les plus communément en' rappot
, comme l'a montré Feré. Dans la très grande majorité des cas, elle
paraît
être le développement d'un état analogue ayant
vis, de l'auto-intoxication. L'évolution des troubles céré- braux a
paru
subordonnée à celle de l'auto-intoxication : le p
érison, et l'autre par une amélioration. Les cas de folie choréique
paraissent
avoir quelques symptômes communs : le changemen
tions sur une ou plusieurs valvules. mais on a publié des faits qui
paraissent
démontrer que l'endocardite est souvent consécu
it avoir été très faible, et ses sentiments à l'égard des femmes ne
paraissent
pas aller au delà des satisfactions de l'amitié
is et demi, tous les signes d'une méningite tuberculeuse classique,
parut
complètement guéri pendant deux ans. Il lit a
maines, fut encore suivie d'un retour à l'état normal ; la guérison
paraissait
donc de nouveau obtenue, lorsque l'enfant mouru
- lai2l une myopathie. Le diagnostic de myopathie ayant cependant
paru
douteux, la radiographie permit d'établir celui d
e les suivre et de compléter leur observation. Ces faits nous ont
paru
devoir rentrer dans le cadre DE L'OBSESSION DEN
es serait devenu tabétique. C'est la thérapeutique morale qui lui
paraît
la plus efficace. Pour M. Laborde, les individu
ier l'articulation ( ? ). Pendant quinze jours ou trois semaines il
parut
à la malade qu'elle dormait mieux, mais au bout
'elie est en proie à ces obsessions, ses facultés in- tellectuelles
paraissent
n'avoir subi aucune atteinte. La malade me raco
tait fait accompagner d'un dentiste de son pays; celui-ci, instruit
paraît
-il, et dans tous les cas se rendant un compte e
l'examinai avec la plus grande attention. Tout d'abord, et cela me
parut
caractéristique, Mue de X... étala sous mes yeu
longs services. Tout d'abord, et pendant quelques jours, le succès
parut
devoir légitimer le parti si radical qu'on avai
ouvait produire des accidents - d'hystéro-épilepsie, ce qui ne nous
paraît
pas exact. Un choc opératoire peut modifier dan
le mal. nerv., 1886, 355. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 27 liéné, me
paraît
avoir été bien étudié par Buccola. Il rencontra
ieur ». Voici les thèses de Herzen, dont la portée m'a tou- jours
paru
très grande, et que Buccola avait admises : 1°
ompliqués et qui s'accompagnent de la cons- cience la plus intense,
paraîtront
un jour fort sim- ples à nos descendants et dev
va- riations de la circulation cérébrale pendant le sommeil leur
paraissent
également être l'effet, et non la cause du somm
Schiff : elles mènent plus loin et, entre voies nou- velles, elles
paraissent
bien avoir ouvert celle qui re- lie directement
multiplie dans les subdivisions variées du ceu- tre général. Et il
paraîtra
qu'il y a une beaucoup plus grande différenciat
és avec le galvano-cautère. Il fut aussitôt laissé détaché, mais il
paraissait
effarouché et ne voulait pas quitter sa place.
les deux plis courbes étaient détruits. Les premiers jours, ranimai
paraissait
tout à fait aveugle, mais la vision revint gra-
ces, ne pouvait pas trouver sa nourriture, excepté en tâtonnant, et
paraissait
insensible à un jet de lumière projeté à ses yeux
ut avec toute la m'ain et tombant en deçà ou au delà ou de côté. Il
paraissait
voir les objets tenus en haut, en bas et de chaqu
les résultats obtenus par Gilman, Thompson et Sanger- Brown 2, qui
paraissent
tout à fait en désaccord avec ceux de Munk, Gol
troubles de la vision à la suite de lésions des régions occipitales
paraissent
avoir été presque invariablement associés avec
cles, les choses qui l'en- vironnent habituellement, cependant cela
paraît
dû plutôt à un affiuement de ses autres faculté
rve de la cyanose du visage et des extrémités : cette action dis-
paraît
aussitôt que l'on supprime l'administration du mé
3° l'excrétion de l'acide phosphorique, de la chaux, de la magnésie
paraît
ne pas être influencée par le sommeil. P. K.
une série d'observations de folie circulaire et périodique qui ont
paru
subir une influence de certaines lacunes dans l'o
vertébrés. Ses fibres sont partout myéhniques, et la myéline y ap-
paraît
plus tôt que dans la plupart des autres systèmes.
cules quadrijumeaux inférieurs ceux-mêmes, comme d'autre part il
paraît
établi que le lobe temporal gauche préside à l'in
ant restés inaperçus jusqu'alors de la pathologie mentale. En 1843,
parut
le travail sur la stupidité. On croyait alors q
liées déjà dans l'Union médicale. Elles font suite à celles qui ont
paru
en 1881 dans la Gazette hebdomadaire de médecin
et de physiologie normales et pa- thologiques de Bordeaux. Vient de
paraître
le tome X, rédigé sous la direction et par les
ent notre employé, « à des hauts et à des bas ». Ses recrudescences
paraissent
avoir pour origine la recrudescence du vice alc
opinion, pour ce qui a trait à l'atrophie musculaire saturnine, me
paraît
pouvoir s'appliquer, non seulement à la névrite p
érieure de la formation go- dronnée dans le ventricule. Ce qui me
paraît
devoir être invoqué en faveur de cette anologie
; leur développement est en raison inverse l'une de l'autre'. Il me
paraît
cer- tain, en tous cas, que ces deux éléments o
; c'est ensuite parce que ses émanations, grise et blanche, qui me
paraissent
indéniables, ont les relations les plus intimes
anches de la racine serait très apparente chez les osmatiques; « il
paraît
probable dès lors qu'elles 200 ANATOMIE. z so
e quelques auteuis décrivent aujourd'hui sous le nom de cingulum me
paraît
être l'ourlet de Foville. Mais, en raison des des
PPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 20H de l'ourlet. Elles nous
paraissent
en conséquence appartenir au système des commis
considérable. » Chez le chien, l'abaisse- ment de la température a
paru
plus marqué encore; il a une fois atteint huit
rouver ce fait bien extraordinaire. De nouvelles expériences nous
paraissent
nécessaires à cet égard '. 'Dans une critique d
a une fois qu'un des animaux pouvait entendre, une autre fois qu'il
paraissait
sourd du côté gauche, et une autre fois encore
paraissait sourd du côté gauche, et une autre fois encore qu'il ne
paraissait
pas réagir aux sons aussi rapidement et aussi c
licable entre les résultats de Schaefer et ceux de Yeo et les miens
paraît
exister. Si chez ces animaux l'ouie n'était pas a
ite. Le jour suivant et progressi- vement à partir de ce moment, il
paraissait
quant à l'ouie à tous égards pareil comme avant
dant qu'on le veillait et que son attention était ainsi occupée, il
paraissait
tout à fait inconscient des sons qu'on faisait po
partie de la troisième, il ne survient aucun trouble de l'ouïe, qui
paraît
en effet quelquefois plus fine que d'habitude. Ce
ependant, quant à celui-ci et aux autres centres sentitifs, Luciani
paraît
combattre pour une forme de localisation qui n'
montent vers le cerveau. Les expériences de Ludwig et Woroschilotf3
paraissent
1 Sitzungsb. Acad. d. 1 Visse iiscibafie)z zu B
e l'équilibre suivent l'opération. Ceux-ci cependant tendent à dis-
paraître
avec le temps. Les expériences de Bechterew sont
pas la méthode employée. Dans un cas, on dit que le sens musculaire
paraît
être normal des deux côtés, sans autres détails
rvation de la sensibilité tactile. Dans un cas3, le sens musculaire
paraissait
perdu dans la jambe paralysée, mais dans ce cas
s, mais bien plutôt de] l'instabilité du tronc. Cette instabi- lité
paraissait
elle-même être la conséquence de la perte du sens
pathologique du sys- tème nerveux central ; - 2° leurs altérations
paraissent
être ho- mologues à celles qui ont été observée
naires des nerfs crâniens. Ce sont les noyaux des nerfs moteurs qui
paraissent
le plus éprouvés. P. K. XXXVII. DE la genèse
parties dans les deux moitiés de la moelle épinière, de sorte qu'il
paraîtrait
irra- tionnel de rattacher l'atrophie des muscl
s du bras gauche sont fortement atrophiés; ceux du membre inférieur
paraissent
sains à la simple inspection. Cécité presque co
sations douloureuses. Parole et voix normales. Les réflexes cutanés
paraissent
intacts; les réflexes patellaires sont exagérés
ette tumeur présentait une surface bosselée, de couleur grise; elle
paraissait
légèrement congestionnée et adhérait à la dure-
lement. Dans la moelle épinière, la configuration des cornes grises
paraît
très régulière; de même, rien d'anormal dans le
ctéries spécifiques, ni bactéries de Nicolaier; par contre, le sang
paraissait
avoir subi des altérations chimiques. Paul Bloc
oudriez nous dire en ce moment : je vous entends : Tout cela vous a
paru
bien naturel et bien simple FAITS DIVERS. 307
e temps des signes évidents d'aliénation mentale. Hier soir elle ne
parut
pas à l'heure du dîner et son mari la rechercha d
e, mardi dernier, une jeune fille de dix-huit ans dont le cas m'a
paru
offrir un certain intérêt clinique. Vous vous s
eurs, avec ces notions quelque peu arides d'anatomie, mais elles me
paraissaient
indis- pensables comme introduction à l'étude c
donc en cause ? Oui, très certainement, quelque invraisemblable que
paraisse
cette hypothèse. Je dis invraisemblable, parce
succès du reste ? Cette paralysie qui avait respecté la face dis-
parut
peu à peu, spontanément, après avoir duré plus
pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie motrice était,
paraît
-il, accompagnée d'une hémianesthésie tellement
st à l'état d'isolément. Je sais bien que, quelque singulière que
paraisse
tout d'abord cette dissociation, la para- .ysie
M. Gilles de la Tourette', a parfaitement mis en évidence et qui
paraît
particulier au blépharospasme hystérique'. Nous
ir est fille d'un réfugié polonais, fort buveur et très alcoolique,
paraît
-il. L'al- coolisme du père constitue le seul fa
enfermé raz Bicêtre et à Charenton; il s'évada un beau jour, dis-
parut
et, depuis vingt ans, on ignore ce qu'il est de-
prolongée. Le résultat en a été publié en résumé par M. Ségl, mais,
paraît
-il, sans l'autorisation de leur véritable auteu
mique. Ce que j'ai chaud ! Charles, je sue sur la poitrine... Ça te
paraît
drôle ; c'est que je suis extraordinaire... Ce
uite par son idée domi- nante. La parole n'a aucune action. Elle ne
paraît
pas entendre même les mots les plus simples, te
r la couleur de sa toilette. Verre vert clair (carreau de vitre).
paraît
regarder au travers d'une fenêtre et assister à
elle. Etant donné la notoriété scientifique des deux auteurs, il me
paraît
indispensable d'examiner le bien fondé de celte
tteints et les autres indemnes ? Il est évident que certains sujets
paraissent
doués d'une prédisposition spéciale. A quoi cela
res a gauche. L'ouïe était intacte des deux côtés, la vue cependant
paraissait
un peu obscure quoique peu abolie vers la droit
inor. Cet animal était très anesthésique du côté opposé, mais il ne
paraissait
pas y avoir une analgésie absolue. Cependant to
ns du corps calleux et de l'hippocampe. Quoique le gyrus fornicatus
paraît
être une région purement sensitive et que par s
ort de la racine interne avec la circonvolution du corps calleux me
paraît
être seulement superficiel et probablement cett
as par la commissure antérieure. Anatomiquement le tractus olfactif
paraît
Archiv. sur Psychiatrie, BanrlIIX. ! Fig. 33.
eut n'en trouver qu'une (n° 2, planche 4) où l'extrémité antérieure
paraisse
complètement enlevée. Dans toutes on peut toujo
trouva en bonne santé et assez vigoureux, quoique un peu abruti; il
paraissait
avoir perdu toute tendance à manger sponta- ném
s après l'opération, on plaça une pincée d'aloès dans sa bouche. 11
paraissait
indifférent et ne manifesta aucun signe de dégo
férant, par exemple, les pommes aux pommes de terre bouillies et il
paraissait
aimer le sucre et le riz, mais je ne pus détermin
'ai déjà mentionné que les symptômes de l'hémianesthésie hystérique
paraissent
montrer que l'olfaction comme les autres centre
; lorsque les centres sont détruits dans les deux hémisphères. II
paraîtrait
, d'après les recherches de Frank et Pitres', d'Ex
motrice. Les données sur lesquelles ces conclusions sont basées me
paraissent
très peu satisfaitantes. Les lésions ont été ou d
puis corroborer ce fait par mes expériences chez les singes. Ce qui
paraît
comme une altération de la vision du côté oppos
des aliénés dans les asiles, on pourrait placer quelques cas cités
paru
. leD·Gtraud, de Rouen, de condamnations inl1lg-
lire et reconnaître une responsabilité partielle ponr les faits qui
paraissent
y être étrangers ? Il faut re- connaître que ce
de la peine, dans les cas où la responsabilité est limitée, n'a pas
paru
suffisante au législateur italien qui ment d'é-
- tions, apportant ainsi un ensemble de quatorze observations qui
paraissent
établir nettement que, contrairement à l'assertio
és pauvres sur les échafauds ? Vive la République ! » o Il nous a
paru
intéressant de reproduire ce passage en raison de
compte ¡i vous-même. Cependant deux petits articles de vous, qui ont
paru
dans le journal, àpropos do vos f^ôances du mercr
vase qui ne se laisse pas traverser. Donc, — et mon paradoxe va vous
paraître
tout à l’heure une vérité à la façon de M. Lapali
, de rûtiona/isme, ûebioiogime et A'eniran-sisme, et chaque jour voit
paraître
un livre nouveau, créer un journal pour propager
une école toute spéciale, en la faisant reposer sur des bases qui me
paraissaient
bien solides, c'est-à-dire en lui donnant des loi
s’endormir un homme qui était pour le moins septuagénaire , le cas me
parut
intéressant. Aussi, après avoir terminé avec ma m
évenir ou au nioins à re-tai'jjer pour quelque temps une chute qui me
paraissait
cependant imminente. (c Je n’ai point, on effet
Morin, intiniié,; Du Magiiélitttie.ct.det Stietires o«'iVi«,j,yientde
paraître
à ta librairie de Germer Baillière. 1 vol. in-8°.
rète Chasles, dressait le catalogue des diver-sfis prophéties qui ont
paru
, depuis déjà plusieurs siècles, touchant l’Eglis
squ’à votre oreille. L’hypnotisme n'est point une science, comme vous
paraissez
le croire ; c’est tout simplement un état de somm
meil magnétique. « Mesmer, l'un des premiers magnétiseurs qui aient
paru
en France, produisait le somnambulisme au moyen d
ut simplement son vrai nom de sommeil magnétique, d’autant plus qu’il
paraît
assez difficile de concevoir un sommeil quelconqu
ns et à accueillir le même phénomène sous le nom d’hypnotisme. « 11
paraît
que, vers 1855, un dictionnaire de médecine, publ
choics possibles f/ii'on ne le croit commu-n nément. » « Ce qui mo
paraît
presque surnaturel, c’est qu'en plein dix-neuvièm
ut ces divergences, empêchent pour moi toute certitude. « Ce qui me
paraît
hors de Joute, et déjà les médecins convertis à l
. Azam, Broca, Velpeau et quelques autres médecins ou chirurgiens. 11
paraît
aussi que les expériences d’hypnotisation des mal
e peuvent comprendre. Tout dans le domaine de la science n’a-t-il pas
paru
impossible au com-mencemenl? Les grands génies se
z-vous forcer le monde à devenir aveugle, lorsque la lumière lui ap ■
paraît
? Est-ce quelanature vous a choisis pour vous dir
de taüt de mondes qui passent silencieux au-dessus de nos lêtes, leur
paraissent
des chimères, par cela sml que ces sciences dépa-
. Les milliards de soleils, les ¡ilanètes avec leurs satellites, leur
paraissent
comme des jioinls suspendus au firmament pour écl
Je n’eus pas l’air d’y faire attention s mais tout en m’efforçant de
paraître
indifférent à leui-s railleries, j’étais vivement
dernier fât, c’est-à-dire l’écoulement si rapide d’un sang extravasé,
paraîtra
peut-être incroyable ; mais bien des téraoÎDs son
qui 3è reproduit assez souvent, quel est le phénomène qtrl doit notis
paraître
le plus èsthioidinaire, de la vue ré-irbgpective
i particulier qu’on nomme la catalepsie. Un Américain, îM. Grims, qui
paraît
avoir ignoré les expériences de M. Braid, découvr
r à son auditoire, surmonter une indisposition assez sérieuse, car il
paraissait
être obligé de faire effort pour émettre la parol
avec les précédents, k La poule, (lit-il, étant dégagée de ses liens,
paraîtra
dans une sorte d’étonnement ; elle restera immobi
hui presque prouvées , bien des choses devieiment possibles qui ne le
paraissaient
point ; que la raison dise non quand la nature di
e sont idéalisées avec une ponctualité remarquable, elles ne nous ont
paru
s'appliquer qu’à des actes ou à des lésions de le
agoétisme avec la jurisprudence et la médecine légale. Ce travail m’a
paru
d’autant plus nécessaire que depuis quelques anné
aupi-ès de njoii père, je dus inter-rompreuDtrailementdoiula réussite
paraissait
très-prochaine. Je ne lardai pas à entreprendre
ce, tâchez d’apercevoir, au passage, un de ces mondes non décrits, il
paraît
même que cela n’est pas très-difficile, vous aure
El/B HENRI ROGER. Dans le numéro du 2 mars dn Constitutionnel, il a
paru
un insolent article sur le magnétisme et l’hypnot
ndant je fus poursuivi par l'Université de Montpellier ; deux fois je
parus
devant un tribunal. Les savants voulaient absolum
s caractères sacrés qui s’y trouvent. Baron du Pot£t. 11 vient de
paraître
un intéressant petit ouvrage, dont l'auteur a gar
ner à la pathologie, et nient tout le reste, c'est-à-dire tout ce qui
paraît
en dehors des lois constatées de la physique. La
ilité à personne. « Nous ne pensons pas que cette digression puisse
paraître
superflue ; nous avions à nous prononcer sur le c
d’une manière régulière et permanente. C.’est la seule voie qui me
paraisse
rationnelle, si l’on veut arriver à la vulgarisat
s naturellement débiles, j'invitais l’un des incrédules, celui qui me
paraissait
le plus doué de forces physiques, à lutter contre
, convaincu... Je renouvelais CCS diverses épreuves sur tous ceux qui
paraissaient
éprouver encore quelques doutes, et tous se retir
tion dc médailles et de récoin penyrs. BIBLIOGRAPHIE. Il vient de
paraître
un peiit roman intéressant inlilulé : Siiuou la D
vertu de changer leur sommeil naturel en uD coma étrange, où on voit
paraître
tous les phénomènes do l’anesihésie et de la cata
s et les mouvait comme s'il eût été éveillé), ma responsabilité ne me
paraissait
courir aucun risque ; on voit par là que ce jeune
dant un article de M. Ch. Piireyra sur Je Tphrénolo-magnclisme, qui a
paru
dans le numéro du janvier IKRO, pafrr 21 rt wiiv.
us pefsnstODS plus qné jiMiais, àu iontraire, à repousser oe qui nous
paraît
indigne d’une attention sérieuse. Cependant, co
c-^iae qui, nous en demandons pardon à ses défenseurs, nous atoujours
paru
excessivement fragile, nous recueillons tous les
re ; car, après la première serre de la gêne qu’on lui eut donnée, il
parut
dormir aussi tranquillement que s’il eût été dans
oiqu’on lui eut ôté ce papier, il ne laissa pas d'être ou au moins de
paraître
insensible aux tourments, parce que, lorsqu’on l’
Je citerM à l’appui de cette assertion quelques «xpériences qui me
paraissent
concluantes. mUlÈB& EXPéRlEHCE. Ainsi, je
. On pourrait penser qu'il devait être difilcile do gouvener ce qui
paraissait
être un toliu-bohit ; il n’en a été rien pourtant
udraient les aborder. Voici ses paroles : J’étais loin du projet de
paraître
à cet anniversaire : on n’aborde pas une fête ave
mentfaible et comime fatiguée. Aubout d’un certain temps, après avoir
paru
se complaire daus un bien-être général, il me dit
ques? Le livre de M. Alcide .Won’n, intitulé Tènihrei, est ce qui a
paru
jusqu’ici de plus savant, de plus hardi et de plu
es ont trouvé leurs maîtres. J0D4RU. Ud journal humoristique, qui
paraît
à Moscou sous le titre de Dûtrnciion, publie un f
du 19 ventôse an xi, Ü65 et i83 du Code pénal ; 1 Attendu que s’il
paraît
constant aujourd'hui, par la jurisprudence de la
s de ma fille. Les règles à peine prononcées le mois précédent, ont
paru
le 2â, plus de moitié de ce qu’elles étaient avan
èle exécution du programme. La pauvre femme, pétrifiée de surprise,
paraissait
en proie à d'étranges sentiments. Je magnétisai
plus les mômes difficultés chez les étrangers ici établis, mais qu’il
paraît
, d'après ce qui m’a été dit par des gens très-sér
vrage sur le merveilleux, et surtout le troisième volume qui vient de
paraître
sur le magnétisme animal, ne pouvait manquer d’at
siion mentale, ou (le Ja PÉAÉTRATiON DBS PENSÉES par le sommimbuUsine
paraissent
maniléates, éclatants chez les énergu-mèi)es.....
fond du sac. Tout cela, au point de vue de la logique ordinaire, peut
paraître
, à quelqu’un qui ne regarderait que l’apparence,
me couleur, on le verra parfaitement bien éclairé et sa couleur rouge
paraîtra
fort brillante i mais si on tient à la même place
vert dans la chambre en sera parfaitement éclairé el sa couleur verte
paraîtra
fort vive. Il en esl de même de toutes les autres
ajouter même que, dans certaines cir-cmislances, lamortdepliisioui-s
paraissait
réelle, et pourtant la vie esl reveoiie. Je ne
autre temps. Les grandes figures de quelques anciens personnages nous
paraissent
si supéi-ieures à celles de nos princes de la sci
s trouvera tous coDsignés dans mon ouvrage sur le magnétisme qui doit
paraître
prochainement. Ici, je me bornerîd à rapporter
ulle part, et qu’elle me remerciait bien. Comme le sang n’avait pas
paru
, je lui dis de revenir le lendemain à la même heu
ce même travail, une réponse aux critiques dont il a été l’objet, qui
paraîtra
dans le prochain numéro. AVIS A.UX ABONNÉS. L
à certain fakir, je passe mon temps k contempler mon ombilic, el vous
paraissez
surpris de voir un champion, jadis si intrépide,
ère tout à fait indirecte, c’est-à-dire dans les livres. M. Warlomont
paraît
ignorer encore les notions les plus élémentaires
oir dire que j’ai suivi une marche diamétralement opposée k celle qui
paraît
avoir été adoptée par M. Warlomont. J'ai peu lu l
qui n’avaient jamais élè soumises aux procédés magnétique», mais qui
paraissaient
Halurellemcnt impressionnaLles. Ainsi, soit dans
triple, j’obtiens le somnambulisme parfait. Cette expérience ne vous
paraît
-elle point concluante ? D’un autre côté, si je
t l’une avait une grande pratique en magnétisme ; celte fois le sujet
parut
ressentir légèrement l’action des courants auxque
st vrai, plus long-temps que la première fois, et cette diiTérence me
parut
suffisante pour rendre raison des résultats oppos
ses existent dans cer- laines parties du corps, où Je Uuide nerveux
paraîtrait
s'être accumulé, j’ai ponr principe de ne pninl r
e magnétiser de la main droite à distance j cette manière de procéder
paraissait
bien m’offrir quelques bons résultats, mais ne co
nétique ne présentaient pas une sensibilité égale, et même plusieui’s
paraissaient
ne rien éprouver ( seul le magnétisme paraissait
et même plusieui’s paraissaient ne rien éprouver ( seul le magnétisme
paraissait
agir d'une manière insensible) ; alors pour ces p
Le mode de galvanisation par influence du D' Seiler, dç Guiiève,
paraît
oiïi'ir à cc praticien d’innirenx résuUals ; la p
ipe ? Nier la possibilité, la réalité des faits, si difficiles qu’ils
paraissent
, ne serait-ce pas, logiquement, anéantir la virtu
e, on qualitie d’op^ruiion du SaiTtl-Eti-ril ? Marie, à ce qu'il peut
paraître
, n aurait eu ces exiases qu'à l’occasion de son p
animales, le plus en plu» pciTcclionnées dans leur organisme, qui ont
paru
à la surface tlu rIom, sont les filles les unes d
rpris, le lendemain, de comprendre parfaitement ce qui, la veille, me
paraissait
entouré d’épais nuages. > François Arago. ( ¡¡
esmérieu par certains auteurs. Cette dénomination est la seule qui me
paraisse
rationnelle. M. le D'Ordinaire formule l'opinio
ait; en regardant en iiaut, on n’y « verrait rien du tout, et le ciel
paraîtrait
noir comme pendant la nuit;» car tout est obscur
qu’il ne faut point rejeter à priori ce qui, au premier abord, pe\it
paraître
surhumain. 11 se trouve bien par-ci par-là des
l’cspacc de cinq secondes, une telle rigidité des muscles que le bras
paraissait
Ctre de fer plutôt que de chair et d’os. Pendant
i étaient présentés, il reculait épouvanté; la volonté et larôflcxion
paraissaient
aniaii-ties. Je me décidai alors d’aborder la cla
ent plus lOt au lieu destiné, je lui commandai d’accélérer le pas. Il
parut
alors s'arrêter au milieu de sa course imaginaire
ire, puis le mouvemcntdes épaules et du thorax devint plus rapide, il
parut
essoufflé, il sua. Arrivé au village et dans l'a
es. On la nommait Etephantiaiit, peut-être à cause de l'éléphant, qui
paraissait
y être sujet. En peu de temps cette nouvelle mala
auteur présente comme historique, peul, aux yeux de bien des gens, ne
paraître
qu’une rêverie, l'our nous maintenant, d’après no
gnes et de la contemplation où lui sont venus les secours du ciel, il
paraît
à Persépolis, frappe d’admij-ation le souverain,
l’intérêt des magnétiseurs, je crois devoir faire à un article qui a
paru
dans le n' 7, 2' année, 1” octobre, du journal le
ublie M. Ch. Lafontaine. J'ose espérer (pie vous voudrez bien faire
paraître
ce petit article dans votre savante publicatiou.
uves qui ont trait à la/ifctc/iié avec quelque chance de succès. S’il
paraît
embarrassé, s’il hésite le moins du monde, vous n
re des personnes présentes à la séance se trouvait nne jeune dame qui
paraissait
vivement préoccupée. Cette dame, après avoir hési
corps. — Je vais faire ce que vous me commandez. La jeune paysanne
parut
se consulter en elle-même ; il s’écoula ainsi que
somnambule se livra pendant qnelques minutes à un travail mental qui
paraissait
mettre en jeu toutes ses facyltés. Sa pbydQ-nomie
paysanne. La somnambule, qui ne s’attendait pas à ces démonstrations,
parut
toute décontenancée. Madame B... se leva de des
dre. La voilà 1 La porte du salon s’ouvrit en effet, et madame B...
parut
. Tous les faits signalés par la jeune paysanne se
Potet qu’il s’est trompé, et à démontrer au docteur Gérard, qui nous
paraît
être un observateur de mérite en magnétisme et en
’avoir jamais rien éprouvé des souffrances de ses malades : ceci nous
paraît
exagéré; car nous doutons fort qu’il n’ait jamais
vant toute liberté aux écrivains, de dire mou sentiment sur ce qui me
paraîtra
hasardé et contraire & une saine pratique.
embrasse la défense d’un nouveau principe n’en a jamais, — je n'aurai
paru
m’arrêter ;ui instant que pour chercher les moyen
dans la 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. , résolution complète; de plus, il
paraissait
y avoir une légère dimi- nution de la sensibili
faire ressortir, en quelques lignes, les quelques points qui nous
paraissent
dignes d'intérêt. La tumeur que nous avons obse
oit dans la cavité cranienne. Quant à la marche clinique, elle nous
paraît
trop classique pour que nous la reprenions ici;
e ou du délire, nous avons suivi la méthode que voici et qui nous a
paru
la plus certaine. Le choix de la veine étant fa
un microbe d'une façon nette et certaine. Deux tubes de gélatine ne
paraissent
pas avoir poussé malgré l'aspect trouble et lou
emencés avec ces deux bouillons ; au bout de trois jours, on y voit
paraître
des grains arrondis, jau- nâtres le long de la
ertains auteurs'. - 'L'opium et ses dérivés, surtout la morphine,
paraissent
cal- mer pour un moment les accès. Mais le morp
t-on pas en faire usage. La belladone ou son alcaloïde, l'atropine,
paraît
surtout être efficace dans une manifestation ép
lacer. Mais dans la majorité de nos observations la picrotoxine n'a
paru
amener aucune amélioration. Dans quelques cas m
a conscience au cours de ces crises, l'auteur cite deux cas qui lui
paraissent
probants, destinés à démontrer qu'une attaque épi
logie; par le Dr IREND. L'auteur commence par déclarer qu'il ne lui
paraît
pas justifié de faire dépendre les obsessions e
ge microscopique de la genèse (vibration) d'une sensation. Un corps
paraît
à l'oeil être en mouvement quand son image couvre
s de l'arcade zygo- matique ; main droite immobile; les deux lèvres
paraissent
plus volumineuses que normalement; à droite la
rniers doigts. z Elle fut de règle dans 14 cas sur 20 malades. Elle
paraît
propre . à la sclérose des cordons postérieurs.
e simple ou prolongé sous forme d'état de mal ; l'attaque de spasme
paraît
avoir surtout le privilège. Encore, semble-t-il
attention toute particulière; on y trouve en effet des preuves qui
paraissent
indiscutables de l'identité de l'hystérie et de
sur des statistiques bien faites, et sur des inter- prétations qui
paraissent
légitimes, l'auteur conclut dans le sens de l'a
us apprendre à ce sujet, le médecin qui l'a soignée : les os ne lui
parurent
pas intéressés par la bles- sure ; les lèvres d
vidence, à le nier jusqu'à la fin. Mais si l'hystérie ne nous a pas
paru
avoir joué un rôle direct et pré- pondérant dan
la marche indiquée par la nature elle-même. Les labiales (b, p, f,)
paraissent
tout indiquées pour com- mencer la série, leur
exercer une sans en mettre une autre en mouvement ? Bien que cela
paraisse
prétentieux, après l'adjectif nous pas- ho THÉR
mots, et cela par le seul commerce avec leurs semblables, mais ils
paraissent
ne pouvoir construire une phrase si courte soit
aient pas avec lui, et quelques semaines ont suffi. D'autres idiots
paraissent
ne pas avoir de souffle. Ils hachent leur conve
n du bromure de potassium avec le bromure d'ammonium et de sodium a
paru
à M. Ball et à Charcot produire de meilleurs ef
itation ou de trouble mental consécutifs aux accès. Ces lavages ont
paru
produire d'heureux effets chez Soliv... en part
nt déjà com- mencés et dans l'état de mal que cette médication nous
paraît
devoir être employée. Hydrothérapie el fricti
partielles de réflexes, lésion récente des cordons postérieurs qui
paraît
plutôt purement fortuite : Observation I. Gli
'agit d'un cas d'amputation intra-utérine; la cicatrice aurait dis-
paru
avec le temps ( ? ). - C. XXI. Deux cas d'herma
rvations (comtés de Cumberland et deWest- morland), la mélancolie a
paru
plus fréquente chez les femmes que chez les hom
érant. Les autres causes (trauma- tisme, hérédité névropathique) ne
paraissent
avoir joué qu'un rôle secondaire ou incertain.
ment, la période infantile, et que les règles n'avaient pas encore
paru
, ou n'avaient paru qu'une ou deux fois. La durée
nfantile, et que les règles n'avaient pas encore paru, ou n'avaient
paru
qu'une ou deux fois. La durée de la mélan- coli
ent à ce que la femme peut garder un certain degré de passivité. Il
paraît
certain que l'inversion sexuelle fait de nombre
ce point trente ans avant que le travail d'Esmarch et de Jessen ne
parût
. (Revue neurologique, mars 1895.) E.B. XXXIII
ovoque une dénomination étiologique. Et cependant tous les toxiques
paraissent
agir un peu comme l'alcool. Si, dans les autres
comme l'alcool. Si, dans les autres cas, les psychoses éveillées
paraissent
les mêmes, c'est qu'on n'a pas encore différencié
de l'excitation venue des nerfs bronchiques et pulmonaires, ne nous
paraît
pas exacte. Raymond range les myélites capabl
ons, elle allait, avançait comme à l'ordinaire, mais ses jambes lui
paraissaient
lourdes; une promenade un peu longue, le fait d
hérie, un îlot de leucocytes qui s'amoindrit et finit même par dis-
paraître
entièrement à mesure que l'on descend. Sur les
par aucun accident mental. Même, l'intégrité actuelle des facultés
paraît
répondre de leur intégrité passée. Cependant, e
cette perte, très triste, mais sans que son état de tris- tesse ait
paru
morbide aux personnes de son entourage. Cependant
a préparé le terrain pour l'éclosion du délire dans ce cerveau qui
paraissait
jusque-là solide. Jusqu'en 1891, en effet, notr
res nous sont inconnus. Il faut cependant remarquer que sa fille ne
paraît
pas indemne au point de vue mental. - En somm
comme dans la précédente ; et ces faits, par leur netteté, nous ont
paru
assez intéressants pour mériter d'être ajoutés
- taux peuvent être, même chez le vieillard, très fugaces et dis-
paraître
sans laisser plus de trace que chez les dégénérés
des facultés, bien que le malade ne soit pas en démence. 6° Cela
paraît
d'autant plus probable que chez les vieillards à
post-opératoire ou à l'atro- phie partielle du corps thyroïde et il
paraissait
exister entre ces deux états d'une part (ralent
yer cette théorie. Bien que, en l'état actuel des choses, elle nous
paraisse
la moins inacceptable de toutes celles qui ont
phtal- mique, malgré quelques observations de M. Jules Voisin qui
paraissent
favorables à l'injection ou à l'ingestion du suc
ps thyroïde dans la maladie de Basedow. Au contraire, l'agitation a
paru
diminuer, et même dans les jours qui suivirent
- sion de certains réflexes, le rétrécissement du champ visuel me
paraissent
le démontrer. L'analyse de l'urine, qui a été fai
n gonflement de la tumeur thy- roïdienne. Tous ces phénomènes ont
paru
connexes, l'évolution du goitre semblait liée à
et tabes combinés. Le goitre exophtalmique semble lié au tabes qui
paraît
lui-même comme la paralysie générale être d'ori
(8,40), alcool de betteraves de 2° distillation (9,78). La toxicité
paraît
augmenter un peu avec le vieillissement. Cette
La syphilis n'a pas été rencontrée. Les excès de bière et de cidre
paraissent
jouer un -certain rôle dans son développement.
vie commune ; lorsque le retour à la raison et à la vie commune ne
paraîtra
pas possible. Le pa- ragraphe 150 spécifie que
ventre donnés aux malades. Le personnel de la maison a l'habitude,
paraît
-il, de prendre les fous à la gorge dès qu'ils f
épigastre; ils appellent cette brutalité a donner un apéritif ». Il
paraît
que même le pasteur de Bodelschwing donnait l'e
Pas de troubles de la sensibilité ni des sens, sauf de l'odorat qui
paraît
alfaibli. Les pupilles puncti former égaies, ne r
de la moelle. Néanmoins les coupes colorées par 'la méthode de Pal
paraissent
moins foncées que des coupes de moelle saine; c
s, dont l'interne est de nouvelle formation. La moelle elle-même ne
paraît
pas avoir souffert de la lésion de ses vaisseau
re et fortement atrophié; le droit a perdu son aspect nacré mais ne
paraît
pas sensiblement 'diminué de volume. - Les hémi
gnés par l'altération intersti- tielle, mais leurs tubes nerveux ne
paraissent
pas lésés. Sur leur trajet les méninges sont fo
'y a pas eu de paralysie oculaire. L'état mental et le caractère ne
paraissent
pas altérés. Evolution ultérieure. - Pendant to
rieures. Les racines du renflement cervical sont grisâtres, mais ne
paraissent
pas avoir bien notablement diminué de volume. L
ne veinule à parois fortement infiltrées; mais les tubes nerveux ne
paraissent
nullement atteints par cette lésion purement in
e en l'appuyant sur l'étude d'une disposition anatomique qui nous a
paru
n'être qu'un artifice de préparation. Mais nous
encontre enfermé dans la gaine de la carotide.interne à laquelle il
paraît
adhérer; on rompt les adhé- rences et on met à
et promptement. Immédiatement après l'opération les douleurs dis-
paraissent
, ainsi que tous les autres symptômes qui ont été
par le Dr 1<foNaoosnao. Dans un premier cas, la diplégie faciale
paraît
avoir eu une ori- gine spécifique et céda à un
yroïde, tandis que les sujets dgés, dans les cas de M. Bourneville,
paraissent
avoir été surtout influencés. M. Bourneville
ir compte de sa valeur fonc- tionnelle. C'est cette notion qui nous
paraît
expliquer les effets en apparence contradictoir
fection cardiaque. Vers la même époque il s'adonne à l'onanisme. Il
paraissait
très intelligent et donnait des espérances aux
action ou réaction très faible; au contact du doigt, la sensibilité
paraît
conservée; les objets froids (comme un verre re
rinage national, se traînant .péniblement avec des béquilles. Il
paraissait
dans l'impossibilité de se tenir debout. Mais, ap
e Griesinger eurent, entre autres, un grand retentissement. En 181,
parut
la première édition de son Traité des maladies
l'active sollicitude dont les aliénés sont l'objet, l'émulation qui
paraît
régner entre les divers États pour procurer à c
e de se prononcer sur les effets curatifs de cet alcoloïde, mais il
paraît
présenter des qualités sédatives. Il a paru mod
et alcoloïde, mais il paraît présenter des qualités sédatives. Il a
paru
modifier avantageusement les convulsions hystér
ération et l'atrophie ? Les deux observations relatées par l'auteur
paraissent
en faveur de celte hypothèse rationnelle, la qu
bres sensitives, motrices et de fibres de la couche optique, et qui
paraissent
avoir leur appareil moteur propre. Tels le centre
particulier par la disparition des réflexes patellaires. La moelle
paraissait
normale et cependant, par la méthode de colorat
s symp- tômes cliniques et des lésions, il tire les conclusions qui
paraissent
s'en dégager tout naturellement. Nous ne pouvon
très colorées, très peu ou moyennement colorées. Ces différences ne
paraissent
pas tenir seulement au rapport qui existe entre l
s, - les affections psy- chiques secondaires, y compris l'idiotie -
paraissent
être sous la dépendance d'une atrophie des fibr
oduction d'accès convul- sifs hystériques. L'hystérie traumatique
paraît
plus fréquente chez les' buveurs. Chez les alco
iode mensuelle a varié entre 4 jours 1/2 et 5 jours 1/2. Les règles
paraissent
avoir une influence dans environ 20 ou 25 cas p
des dizaines d'années sans modifications. L'auteur en a observé qui
paraissent
devoir rentrer dans la forme décrite par Krajpe
ons qu'il donne pour vanter et justifier de telles exhibitions nous
paraissent
au contraire constituer d'excellentes raisons pou
s'arrête brusquement par moments pour lancer des éclats de voix qui
paraissent
la fatiguer. Il semble que ces spasmes se produis
sion à elle que l'on pourrait écrire tout en plein. Ces trois mots
paraissent
lui servir à donner plus de foi ce à son idée et
pasmes persistent. Octobre. Suspension de l'élixir. - Les spasmes
paraissent
avoir pris une nouvelle expression. A tout bout
de ses cama- rades ; par moments, expressions risquées dont le sens
paraît
lui échapper.- Très capricieuse à l'atelier de
s redoublent et réciproquement. Véritables poussées génitales qui
paraissent
inconscientes. Elle nous appelle « son amoureux »
atrophie. Ce fait, survenu en pleine épidémie d'influenza, nous a
paru
, en raison des premières manifestations du début
s, sur le nerf radie culaire, au voisinage du ganglion et qui lui a
paru
être la caus- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 473
e atteint les deux racines antérieure et postérieure. En résumé, il
paraît
exister, dans les portions de racines com- pris
occipitaux. La dégénérescence accusée du bourrelet du corps calleux
paraît
correspondre à la cécité corticale observée en
symbolie : ce malade tient énergiquement ce qui lui est donné, sans
paraître
avoir notion de l'usage de l'objet. Avec la dis
t également un pronostic favorable. Les hallucinations et l'anxiété
paraissent
, dans cette forme clinique, être dans un rappor
i déments, mais chez lesquels l'analgésie par son degré accentué ne
paraissait
pas en rapport avec l'étal psychique, les troub
tement en rapport avec des alté- rations vasculaires. Ces dernières
paraissent
provoquées par l'alcool. M. 1\oNIG. - Quelques
és chez elle. Elle est âgée de 60 à 65 ans. Depuis quelque temps,
paraît
-il, elle donnait des signes d'aliénation mentale.
ait des signes d'aliénation mentale. Cette femme vivait seule; elle
paraissait
être dans une certaine aisance. ' It. Chaparte.
elui-là. C'est seulement dans la vie dite éveillée, cl entre gens qui
paraissent
n'exercer aucune action magnétique l'un sur l'aut
i annonce que c'est de l'eau claire, respirer de l'ammoniaque sans en
paraître
gêné le moins du monde. Une étrangeté analogue
is croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il croit ou
paraît
croire? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas toujours
re? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas toujours vouloir ce qu'il veut ou
paraît
vouloir? On ne commande pas une-invention, on ne
9, jour de la première séance d'hypnotisme, le commerce homo-sexuel a
paru
à cet homme, âgé de vingt-huit ans. être le seul
à autre, ce ne sont que des actes intérieurs et passagers. Ce qui me
paraît
être concluant, c'est que le trouble nerveux, qui
ui m'a toujours conservé une affection passionnée. Ces entrevues me
paraissent
plutôt un devoir moral qu'un besoin intérieur. Le
a toujours plus parfaite aussi sous d'autres rapports. Une rechute me
paraît
tout-à-fait impossible; ce qui distingue peut-êtr
chute supposerait une transformation totale de ma vie psychique et me
paraît
, en un mot. tout-à-fait impossible. Votre tout
otre tout dévoué, R... » Le changement de l'instinct sexuel de R...
paraît
être complet. Les circonstances extérieures, la n
époque tout semble rentrer dans l'ordre, et la santé de la malade lui
paraît
assez rétablie pour qu'elle se marie. L'état sa
age, et te 19, sans cause connue. A la fin du mois, les règles ne
paraissent
pas; une grossesse étant possible, pas de suggest
ue écrit et agit, pour obéir à sa passion. C'est une femme qui veut
paraître
a tout prix et qui n'est même pas rebutée par l'i
de discussions de la plus haute importance. Aucune occasion ne nous
paraît
meilleure pour soumettre au contrôle du monde méd
a été condamné à quatre mois de prison. Pourquoi ? Est-ce parce qu'il
paraissait
moins atteint au point de vue men-tal? Les nuance
, l'amour morbide est un véritable état (1) Extrait du livre qui va
paraître
prochainement: L'amner morbide, par le Dr E. Laur
surviennent que par accès et dans l'inter-valle des accès les malades
paraissent
jouir d'une santé mentale parfaite. Il est souv
tées à leur extrême puissance dans les grands centres urbains, telles
paraissent
être les deux influences pathogénîques de la para
t le pauvre patient. D'après certaines expériences physiologiques, il
paraîtrait
que l'animal sur lequel fond un carnassier ne sou
riez-vous qu'on attachât de l'importance à des conseils auxquels vous
paraissez
ne pas tenir vous-même ? Il ne faut céder que dev
he ses malades, que du bout des doigts et sa principale préoccupation
paraît
être d'éviter toute souillure à son vêtement neuf
ppelle pour les opérations graves et les cas sérieux. Il n'est pas,
paraît
-il, de grand homme pour son valet de chambre, et
tre suivante que nous nous empressons d'insérer: Monsieur, « Il a
paru
dans le n° d'avril de la Revue de l''Hypnotisme n
ut de pen de jours, lorsque le diagnostic de paraplégie hystérique me
parut
rigoureusement établi. L'impotence durait depui
stérie. Parmi les observations que nous avons recuellies, plusieurs
paraissent
mériter une mention spéciale à cause de la rapidi
stion. Nous nous bornerons à citer l'observation ci-dessus qui nous a
paru
très caractéristique. Nous devons faire remarqu
és par la sug- gestion, environ cinq ou six autres dont l'état nous a
paru
trop grave pour que l'emploi de la suggestion fut
fait partie d'un ouvrage sur les maladies du système nerveux qui doit
paraître
pro- chainement. mais n'y était restée que
ions avec un jeune homme du voisinage ; très froissée ces propos qui,
paraît
-il, ne reposaient sur aucun fondement,elle avala
appeler votre attention, je repousse le soupçon de supercherie qui me
paraît
invraisemblable jusqu'à l'absurde, et je déclare
ypnotisme en Allemagne et en Angleterre, la deuxième édition vient de
paraître
presque en même temps. Le livre de Moll (Der hy
en que Tuckey. est partisan de l'école de Nancy. Le docteur Luys fait
paraître
depuis le mois de janvier dernier une « Revue men
te son ouvrage : « De l'origine des effets curatifs de l'hypnotisme »
paru
en 1887. Ce second travail est intitulé f De l'ét
le docteur Gariel. professeur de physique à la Faculté de médecine de
Paru
et secrétaire du Conseil de ladite association. u
se inerte envel >ppée de couvertures. Au bout d'un instant, ce qui
paraissait
être un cadavre s'agita et se leva : c'était le m
, ces femmes, ont, parait-il, une indifférence absolue. Et comme j'en
paraissait
surpris, mon interlocuteur se servit de cette com
anches et entourerait cette opération-de difficultés qui quelque fois
paraissent
insurmontables, l'inertie utérine factice créée p
oint encore fourni d'exemple, mais les observations recueillies il me
paraît
permis de croire que s'il n'en supprime pas tout
ovines, j'ai souvent employé, pour la contention , un moyen qui, pour
paraître
banal, n'en est pas moins efficace. Il consiste a
dernier chapitre de son livre Sur le sommeil et les états analogues,
paru
en :û66. il écrivait les lignes suivantes, dans l
leurs bagues des doigts. défaire leurs chaussures, etc., sans qu'ils
parussent
se douter de quelque chose ou qu'ils fissent la m
sistance; l'isolement dans lequel je les avais mis était cause qu'ils
paraissaient
n'avoir conscience de rien. Que d'abus graves de
du sommeil morbide. qui peuvent objectivement lui ressembler, ne nous
paraît
pas moins instructive que celle du sommeil lui-
ait aisément en cherchant à ouvrir la bouche du malade. La sensiblité
paraissait
abolie : il n'y avait aucune réaction lorsqu'on s
ar la narine et on versai! du lait dans le tube digestif. L'opération
parut
être to't desagréable i G... 11 exécuta des mouve
comme figurant à l'Eden et aux Folies-Bergères. Le caractère de G...
paraît
étranger lises tribulations, car il est doux et t
les maxillaires fortement serrés l'un contre l'autre. La sensibilité
paraissait
obtuse. » Sauf la raideur des membres, c'était, o
ovoqué, parlent d'eux à la troisième personne. Au premier abord, cela
paraît
être une bizarrerie sans importance: en réalité,
religieuse.... (i) tu*- HiP*Xûl: JtutU ,1 aûi'*:«» il U ptntnêlili,
ParU
184;, p. 4j. M Gaucili. La ?«??1«??« du mot, ?»
un tremblement rapide et rythmique de tout le corps. Ce tremblement
paraissait
nettemet être de nature hystértque. Le lendemain,
gastralgiques qui persistèrent au point que la malade ne perdant plus
paraissait
néanmoins exsangue et ne pou- vait plus se leve
est médecin et s'occupait depuis longtemps de l'hypnotisme. Il a fait
paraître
sur ce sujet, à New-York, un livre qui aurait eu
vient d'être achevée : le troisième des volumes dont elle so compose,
paraît
en ce moment à la librairie F Alcan. Sous n'avo
la condition seconde, sans être pour cela unie autre personne. « Elle
paraît
avoir deux vies, dit M. Azam: en réalité, elle n'
chez quelques malades dont l'histoire est analogue à celle de Félida,
paraissent
dépendre d'une forme particulière du somnambulism
our qu'Albertine avait son délire post-convulsif habi-tuel et qu'elle
paraissait
s'entretenir avec son ancien amant, j'essayai de
par les écrits des professeurs de l'Ecole de Nancy. Lorsque son livre
parut
. M. le professeur Liégeois avait déjà communiqué
, en première ligne, les expériences de M Bottey, c'est qu'elles nous
paraissent
avoir acquis une valeur considérable, parce qu'el
Je crains que la matière ne suit un peu plus difficile qu'elle ne le
paraît
à première vue. Je crois même que. en ceci comme
en décadence, et des concours de médecine qui, tels qu'ils sont, lui
paraissent
aboutir à l'immobilisation des intelligences el a
e nous aurons à discuter. Voici, pour commencer, les réformes qui lui
paraissent
les plus urgentes : L — dans les hôpitaux : 1°
les donne plus longs que ceux de cristal de roche, plus courts encore
parurent
celles du spath calcaire, toutes ces pierres étan
prisonnière. Son état mental devait dés les premiers interogatoires,
paraître
suspect à M. le juge d'instruction. « Tout était
tait les détails avec une indifférence complète cl sans remords, elle
paraissait
sans conscience de la valeur morale des actes qui
rime par suggestion. (1) Dans un article du Temps (29 janvier l891),
paru
depuis la composition du présent Bulletin, il. Be
thérapeutiques de l'hypnose. Il est vrai que cet applications doivent
paraître
bien timides à M. Bernheim, qui guérit la dysente
magnétisme el fit même un rapport favorable, en 1784, l'année même où
paraissait
le livre de Pdtelin sur celle question. Petelin é
er l'exactitude des conclusions de ce travail, puisqu'au moment où il
paraissait
, j'essayais sur des maniaques l'influence du somm
re à celle du mémoire qui a provoqué ce travail. Ces analyses m'ont
paru
présenter cet avantage sur celle du mémoire de MM
e dégageait de la Lohée d'aspect bleuâtre. — Un aimant à cinq plaques
paraissait
comme recouvert d'une gaze bleuâtre au pôle négat
la tète. Ainsi partout, même en plein jour, la Lohée od-positive a
paru
rou-geàtre, l'od-négativo bleuâtre. RAYONNEMENT
tre la conscience et la science, que la nolion du libre arbitre avait
paru
séparer par un gouffre infranchissable. 11 y a au
2° Il faut que la personne, cause de l'acte incriminé, soit restée ou
paraisse
être resiée identique à elle-même. S'il n'y a p
peines. A ce propos, M. Tarde proposo encore quelques réformes qui
paraissent
assez facilement réalisables. 11 voudrait, avec M
« Dans cet état, qui n'est qu'un état de seconde conscience, il m'a
paru
présenter une certaine exaltation nerveuse se tra
nces dans le bas-ventre et dans la région lombaire. Les douleurs, qui
paraissaient
assez fortes, revenaient toutes les trois ou quat
etites manœuvres de dilatation du col que je faisais avec le doigt ne
paraissaient
pas l'incommoder, alors qu'auparavant elles avaie
reconnaissance, elle a eu assez d'énergie, de force, de volonté pour
paraître
ne pas souffrir et nous laisser croire ainsi que
. Cela dura trois ou quatre heures. Le mari encourageait sa femme qui
paraissait
souffrir beaucoup, mais se taisait. A la dernière
dont je relate l'observation une différence énorme. Celle dernière ne
paraissait
guère souffrir et devenait de plus en plus calme,
peu trompeur. Il parait bien difficile de dissimuler les douleurs, de
paraître
sommeiller en un moment si cruel. Mais il esl d
de causer avec M. Henrijeau sur le cas de votre servante, et il « m'a
paru
important de rectifier de suite un malentendu don
de ce traitement a été ce que l'on observe d*ha-« bitude. Ce qui m'a
paru
particulier, c'était la disparition de la douleur
ec une acuité qui répondait à leur sensitivité plus grande. Tout leur
paraissait
plus net, plus grand, plus coloré, plus développé
joue le séjour des villes sur la détermination de cette névrose nous
paraît
très exacte. Le surmenage nerveux de tout ordre,
été oubliés, de faire remarquer que MM. I.evillain et Vigouroux nous
paraissent
avoir une certaine défiance et en tout cas accord
je lui dis de continuer à dormir tranquillement et je le laisse. H
parut
dormir jusqu'à midi. Vers midi et demi, il eut un
és rapidement. L'hystérie mâle, contrairement à ce qu'on a dit, m'a
paru
, en général, très justiciable de la suggestion
certaine passion, sous laquelle il présentait ses expériences, nous a
paru
nuire à la rigueur scientifique de son argumentat
s d'une demi-heure se passa sans qu'elle exécutât la suggestion. Elle
paraissait
môme n'y plus penser et causait tranquillement av
notiseur. Les démons qui opèrent aux abords de la Salpêtrière lui ont
paru
d'assez bons diables, mais il se défie beaucoup d
fête remarquable, Cbers convives 1 Peu de fêtes de ce genre m'ont
paru
revêtir un caractère aussi remarquable, aussi exc
ation des cahiers publiés jusqu'à ce jour par la Section de Berlin et
paraîtront
k la librairie Ambr Abel, à Leipzig. L'Administ
graine ophlhallnique fruste. Noire malade avant la période actuelle
paraît
avoir eu des accès de ce genre. Ce n'est que asse
par exemple; dans les quelques cas que j'ai observés il ne m'a pas
paru
exister des symli- 8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
elle n'en mérite, et, si je l'ai développée, c'est parce qu'elle me
paraît
rendre raison d'un certain nombre de faits, et
ajouter que l'excitabilité galvanique et faradique du sous-épineux
paraissait
un peu faible, comparativement à celle des autres
e 4 mois. Elle a un deuxième enfant, actuellement âgé de 2 ans, qui
paraît
se hien porter et n'est pas paralysé. Vers rage
i (janvier 1895) la trépidation spinale a presque complètement dis-
paru
; toutefois les 2 membres inférieurs sont toujour
on répétée des mouvements' physiologiques de flexion et d'extension
paraissent
avoir été éga- lement fort utiles. Ons. II. E
ers le 4" ou 5° mois, étaient' peu à peu devenus raides. L'enfant
paraissait
intelligente, mais elle bégayait à peine et ne pa
êlée de tristesse, la nutri- tion générale est satisfaisante. Elle'
paraît
intelligente bien qu'elle bégaye à peine quelqu
l'enfant est né à G mois 1/2 ; la mère a eu un deuxième enfant qui
paraissait
sain et est mort à 2 ans, du croup ; puis elle
es opinions ont été fort bien exposées par M. Marie, dans une étude
parue
dans la Gazette des hôpitaux (1G janvier 1894).
es de la marche peu accusés. En particulier l'occlusion des yeux ne
paraissait
exercer aucune influence sur la station débout no
'ulcérations, ou bien encore comme au niveau du lobe temporal elles
paraissent
amincies 36 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ongestionnée il sa surface. Les racines antérieures et postérieures
paraissent
saines, elles ont partout conservé leur volume
particulièrement le volume normal des racines pos- térieures qui ne
paraissent
pas altérées. Sur les coupes on remarque la con
gestionné et présentant l'aspect du foie muscade.-4'"1' Les reins
paraissent
atteints de dégénérescence graisseuse. EXAMEN I
e présentent aucune lésion. Les racines antérieures et postérieures
paraissent
saines. Les méninges sont épaissies sur tout le
eau pyramidal n'est ~pas plus altéré que le reste. Les racines ne
paraissent
pas altérées ; il n'y a nulle part d'épaississe-
les autres régions examinées. Les vaisseaux sont très altérés, ils
paraissent
plus nombreux, sont con- gestionnés, présentent
nfluence de l'atrophie cérébrale les noyaux de la substance blanche
paraissent
plus abondants. Dans celle observation nous voy
loureuse, que je vous ai signalés du côté du quadriceps fémoral, me
paraissent
être l'ex- pression d'une hypere : rcitaliilité
ques semaines d'intervalle, dans un bassin d'eau froide. Ces chutes
paraissent
avoir été tout à faitacciden- i i telles; d'a
tait singulièrement l'intensité de la douleur. La pression profonde
paraissait
plutôt l'atténuer. Dans les conditions où se pr
tions de la queue de cheval, vous avez pu voir que la syphi- lis ne
paraît
jouer qu'un rôle restreint dans ce domaine encore
rects ou indirects de la syphilis. Le traite- ment spécifique ne me
paraît
avoir des chances sérieuses de succès qu'au- ta
t utile. Pour qu'il en soit ainsi, trois condi- tions préalables me
paraissent
devoir être réalisées. Il faut d'abord qu'une o
l'hystérie et rapprochée de l'oedème sous la dépendance duquel elle
paraît
être. Elle constitue l'une des manifestations l
ien étudiées par Brodie. Wilis(2), à la fin du dix-septième siècle,
paraît
avoir le premier noté cette manifestation. Une
Qu'on veuille bien se reporter au Traité de chirurgie le plus récent,
paru
en 1892 (2), et l'on y verra mise en doute l'ex
n.i.nam; la 'rouacTTr., Traité de l'hystérie, t. II, ch. IX (vient de
paraître
). 116 NOUVELLE ICONOGR 1PQIE DE LA SALPÊTRIÈRE
artistique de l'homme en mouvement par le Dr Paul Richer, qui doit
paraître
prochainement à la libraire 0. Doin. DE LA FORM
TRIÈRE Cette contraction de l'antagoniste toute faible qu'elle soit
paraît
évidente sur nos séries chronophotographiques (
pondantes, tout en ne provoquant également aucun phénomène réflexe,
parut
produire, surtout pour la 8e racine anté- rieur
ici intra-spi- nale et occuperait le cône terminal. L'hypothèse me
paraît
fort plausible, mais je tiens il l'appuyer sur
avoue qu'une semblable sélection de la part d'une lésion brutale me
paraît
invraisemblable, encore qu'elle soit possible.
ale qui se présente avec un tel carac- tère de générafité qu'il m'a
paru
intéressant de la signaler. - Mes recherches on
e scoliose dorso- lombaire gauche. Les quelques sujets qui nous ont
paru
la présenter avec le plus de netteté font parti
eau. Annales de derm. et de syph. l8ll-l815. (2) Le travail complet
paraîtra
incessamment en langue russe sous le nom du DI' :
exemple, dont le Louvre ne possède qu'un ta- bleau encore douteux,
paraît
-il, le Bénédicité (2), se reconnaît, dans ses n
lace (là Dordrecht. . ^-r ? En flngleterre,'oiI van. Hoogstraaten
paraît
avoir séjourlréwssez long- temps, plusieurs tab
ALPÊT1UÈRE figuration de démoniaque selon le type classique, il m'a
paru
que Le Con- vive indigne pourrait être placé à
deux fois nous avons rencontré dans la moelle des lésions qui nous
paraissent
mériter l'attention des observa- teurs. Leur de
49 ans exerçant la profession de mégissier, chez lequel l'affection
paraissait
avoir débuté, huit ans auparavant, par la jambe
systolie, n'avait révélé rien de particulier. Le cervelet, le bulbe
parurent
également normaux. La moelle épinière avait été
parurent également normaux. La moelle épinière avait été enlevée et
parut
saine à un examen macroscopique. Une partie cle
te qu'un bon nombre des fibres nerveuses à myéline, des régions qui
paraissent
malades à l'oeil nu, ne fixant pas d'une façon
lique. Les cornes antérieures sont intactes. Les colonnes de Clarke
paraissent
saines. Les racines antérieures et postérieures
périendonévrite). Le bulbe, la protubérance et l'encéphale nous ont
paru
sains. Quelle est maintenant la signification d
couleur ; plus souvent, ce sont de simples changements de tons qui
paraissent
tenir à la sécheresse des che- veux (3). J'ai
ne sont le siège d'aucune sensation morbide, mais la sensibilité y
paraît
normale ; toutefois il faut noter que l'état ment
olide. - Dans les deux jours qui ont suivi, les plaques occipitales
paraissent
s'être légèrement étendues, surtout celles qui
rs la malformation corpo- relle. Il concorde avec celui de Page que
paraît
conserver le corps : légè- reté, naïveté, pusil
t de Vénus est à peine dessiné. D'ailleurs, les règles n'ont jamais
paru
. Cette femme-enfant était hystérique, sujette à
gé du rôle d'un sot naïf et pusillanime. La locution remonterait,
paraît
-il, aux romans du roi Arthur. Cette explication
lades, soit les praticiens de son temps. \ Beaucoup de ses tableaux
paraissent
la reproduction d'hallucinations maladives, et
ns les compositions de Jérôme Bosch ne se retrouve plus ici. Le cas
paraît
vraiment grave. Le patient porte au front une ent
ge opératoire, et les accessoires de l'opérateur. Le personnage qui
paraît
tomber en pamoison a aussi son intérêt. - ' P
mis cette particularité en relief, dans un travail très documenté,
paru
il y a trois mois (1). Il faudrait donc éviter
NTES 2R'; Elle a eu 5 enfants. Il lui en reste deux : Un fils qui
paraît
très fort mais a souvent des accès de toux sèche.
contre les céphalal- gies tenaces. Le chirurgien d'1. Botll, qui
paraît
un fin matois, avait sans doute ajouté à l'une
en- tations de 'St-Antoine, dont les répliques 'sont si nombreuses,
paraissent
avoir été inspirées par les compositions fantas
confiée à une femme, et même que, dans ce document, c'est elle qui
paraît
jouer le rôle principal. Un opérateur du sexe f
z rapidement dans le tissu médullaire environnant. Ces leucocytes
paraissent
avoir une action directe sur les éléments ner-
ées dans leur forme ; leursprolongements sont peu nombreux et elles
paraissent
globuleuses dans leur ensemble ; leur protoplas
ur les pieds et à la partie inférieure des jambes; ces marques, qui
paraissent
avoir été ecchymotiques, d'après la descriplion
te contraction, particulièrement à droite. Le volume des muscles ne
paraît
pas diminué. Le sphincter anal, est complètemen
sauf un léger dépoli de l'épendyme du 4° ventricule. ' Le cerveau
paraît
complètement sain. Aux poumons on remarque une
rès faible dis- tance du foyer morbide. Il faut remarquer qu'ils ne
paraissent
exercer aucune action de voisinage sur le tissu
ulations péri-vasculaires à moitié fibreuses. Ce sont les nerfs qui
paraissent
être les plus atteints ; tout l'espace dans leque
la corne posté- rieure est altérée et qui ne remonte pas plus haut,
paraît
devoir être mise sur le compte de la virgule de
on dynamique considérable ; les vaisseaux, quoique leur musculature
paraisse
intacte, sont forcés et nous assistons à tous les
nécrobiotique, suivant la dénomi- nation de Gilbert et Lion qui me
paraît
fort juste. On ne saurait trop insister sur ce
tomi- que de certains accidents aigus de la syphilis médullaire, me
paraît
donc être, clans un certain nombre de cas, parf
e si rarement observée dans la névrose. A ces divers titres il nous a
paru
mériter d'être publié. Résumé : Atrophie musc
sous-scapulaires sont normaux des deux côtés. Les muscles du tronc
paraissent
également indemnes, il n'y a pas de déviation m
extérieure du corps humain. Depuis le travail de Charcot et Vulpian
paru
dans la Gazette hebdoma- daire en 1861, on s'es
de M.-le Dl' Raymond, entrée depuis 3 ans à la Salpêtrière, nous a
paru
représenter le schéma clinique presque parfait
rime la maladie au système musculaire tout entier. Tous les muscles
paraissent
contractés. Ils offrent les formes spéciales ca
emblement dont elles n'ont point le synchronisme. Mais elles nous
paraissent
être la cause de la rigidité continue carqcté-
ue, l'examen mor- phologique auquel nous venons de nous livrer nous
paraît
confirmer l'o- pinion émise par Vulpian et qui
au moins à ce dernier point de vue, si l'on songe qu'ils eus- sent
paru
, tout au contraire de ce qui nous semble, il n'y
rale se rencontrant chez un grand nombre de sujets bien portants »,
paru
dans le n° 3 de cette année, était accompagné d
sans guides, excitant l’étonnemcnt et l'enthousiasme partout où elle
paraît
, mais toujours dédaignée par les gens de qui un j
prix peu élevé favorisera nos projets. Différent de tous ceux qui ont
paru
jusqu’à ce jour, il no contiendra rien de superll
tructive et lui donner un puissant attrait. Le 20 de chaque mois il
paraîtra
trois feuilles d’impression, ou quarante-huit pag
d’être utile. Nous ferons cependant nos observations sur ce qui nous
paraîtra
erroné ; mais nous laisserons les magnétiseurs ad
ête comme s’il y souffrait. Il tomba enfin dans un assoupissement qui
paraissait
être un sommeil naturel assez léger; et quelqu’un
interrompre, bien qu’il dépérissait à vue d’œil; cependant ce sommeil
paraissait
moralement lui être favorable. Il avait alors plu
hose de fébrile ; une sueur froide couvrait sa peau, et cc sommeil me
parut
si singulier, si différent de ce que j’avais vu j
l’existance et l’utilité de ce moyen dans tous les genres de maladies
paroît
être suffisamment constaté depuis plusieurs année
ndrier comme les siècles proprement dits. Alors des opinions qui nous
paraissent
aujourd’hui ou bizarres ou insensées seront des
lier entre eux, s’il n’est déjà au milieu de nous, ne tardera pointa
paraître
. Et sur quoi fondons-nous cette opinion? Sur l’hi
ivedirigéesur l’organe de la vision, les pincements et les piqûres ne
paraissaient
faire aucune impression. Le magnétisme appliqué p
cantes. Les règles, très-difficiles et irrégulières chez cette fille,
parurent
un matin pendant que je la magnétisais; elles cou
avait défendu de leur répondre. « La santé de cette jeune personne
paraît
parfaitement rétablie maintenant. Elle n’a pas eu
se calmèrent, et la circulation se rétablit. Le soir, un hoquet ayant
paru
, j’exécutai quelques passes, et immédiatement le
, a quelquefois triomphé complètement. Abandonnant tous les cas qui
paraissent
surnaturels, nous ne parlerons que de ce qui peut
er superposé, un gros livre, par exemple, est le seul corps qui m’ait
paru
. faire dévier les courants magnétiques, qui fini
isme. • Analyse des ouvrages remarquables sur le magnétisme qui ont
paru
dans ces derniers temps, etc., etc. AVIS. Com
e au prochain numéro.) PRÉVISION SINGULIÈRE. Quelque étranges que
paraissent
les faits de révélation du somnambulisme lucide,
comme devant lui être salutaires; j'adoptai ses prescriptions,-qui me
parurent
, en effet, convenables. Elle est main- tenant i
qu’il pro- posa, lurent obstinément repoussés par la malade ; ¡1 ne
paraissait
plus possible de tenter de nouvelles saignées, à
était exécutée par M. C..., premier prix du Conservatoire, n’a point
paru
agir d’une manière appréciable sur les expériment
ce invincible à parler, à faire quelque chose; toutes les figures lui
paraissaient
ridicules. « Jusqu’alors M. B... s’était entret
ereau suit avec le plus grand soin le développement des symptômes; il*
paraît
constant que M. B... n’a que des sensations agréa
me de douleur ne s’est manifesté pendant l’expérience ; ces personnes
paraissaient
, au contraire, parfaitement heureuses, et elles n
. A l'homme qui a celte croyance, le magnétisme animal, loin de lui
paraître
un phénomène incompréhensible, lui paraît, au con
tisme animal, loin de lui paraître un phénomène incompréhensible, lui
paraît
, au contraire, la chose la plus naturelle du mond
beaucoup de violence ù ma raison présente. Quoi qu’il en soit, il me
paraît
évident que l’expérience perfectionne chacun dans
ter aux yeux, je n’avais qu’à y penser dans l’obscurité; je la voyais
paraître
comme un fantôme; et, par une conséquence apparem
qu’il rapporte doivent, pour les incrédules outrés, cesser d’ôtre, de
paraître
incroyables, et pour les chrétiens timorés, super
celle importante question. M. Trousseau, professeur de thérapeutique,
parut
bientôt. Un silence comme jamais je n’en ai vu
nt, elle s’en alla sans se ressentir en rien de celte attaque; ce qui
paraissait
surprendre beaucoup l’individu qui l’accompagnait
e avec attention, et je regrette de ne pouvoir y donner suite. Il m’a
paru
que le magnétisme animal, n’étant pas encore parv
i désiraient ou savaient choisir les aliments et môme les remèdes qui
paraissaient
leur ôtre véritablement utiles, avec une sagacité
d’autant plus étrange que la dame Monnier, âgée d’environ trente ans,
paraissait
jouir d’une excellente santé, et que la cause qui
sachons gré à Dieu de no nous avoir point donné l'habileté qui peut
paraître
redoutable. Les gens éclairés qui nous disent : N
ces favoris de la fortune et du beau monde ; sa science dédaignée lui
paraît
au-dessus de tous les prix. On dira aux artistes
rès-mal portante, tandis que son fils était entièrement rétabli. Il
paraîtrait
donc résulter de ce qui précède que dans son étal
elle s’ordonne des bains et ahhonce sa guérison prochaine; les règles
paraissent
; ëllé prévoit aussi la fin des douleurs de sa ina
st beaucoup plus sûr. Enfin le jour arrive où les crises cessent de
paraître
; plus de troulile de la raison ; les deux malades
référablcmenten plein air que dans un courant d’air. Les hommes qui
paraissent
avoil' profondément réfléchi sur le magnétisme, l
je fus surpris de voir un vieillard qui avait fort de mon air. Il me
parut
fort studieux et. fort inquiet, assis sur une cha
e crainte, qu’ils ne croyaient ni aux esprits ni aux revenants, et me
parurent
persuadés que la scène de la easerne n’élait pas
magnétiseurs ne sont pas plus heureux que tous les novateurs qui ont
paru
depuis que le inonde existe. Un rude travail les
hkine, à la suite d’une magnétisation avec le sommeil, n’a plus voulu
paraître
et se soumettre à d’autres magnétisations. Il e
ecueillis, souvent tronqués, et des livres bien inférieurs à ceux qui
parurent
du temps de Mesmer et de Puységur, les Annales de
iner sur de petits signes à peine sensibles. Ainsi vos magnétisations
paraissent
sans importance, le malade n’éprouve rien d’appar
es siens en avaient conçue. Mais voici une autre histoire qui ne vous
paraîtra
pas moins surprenante, et qui est bien plus horri
1 on prêtait l’oreille avec plus d’attention, un bruit de chaînes qui
paraissait
d’abord venir de loin et ensuite s’approcher. B
, était suivie de la mort; car pendant le jour, quoique le spectre ne
parût
plus, l’impression qu’il avait faite le remettait
retournèrent comme ils étaient venus. I.e lendemain, lorsque le jour
parut
, 011 le trouva rusé, comme on avait trouvé l’autr
de connaissances oubliées? Nous répondrons, nous, qnf> cette idée
paraît
assez vraisemblable pour qu’un puisse s'arrêter à
ui dormait, et l’emporta sans s’occuper de la jeune Élisa. « Ce qui
paraîtra
bien extraordinaire, quoique nous le tenions de s
enquête vers la métaphysique et d'autres directions. On vil d’abord
paraître
l'angélisme, dont les adeples cherchaient à forme
acile .lue l’homme possède de rentrer péniblement eu possession d’une
parue
des biens qu'il a perdus; mais auprès de ceux aux
ser, peuvent être les médecins de leurs enfants. Il est des cas qui
paraissent
devoir être rebelles, comme les affections de poi
tions séniles où la faiblesse est extrême, et où cependant les règles
paraissent
, la nature, aidée par le magnétisme, les supprime
roit où il avait reçu le coup, qui était dans les reins, d’où le sang
paraissait
encore couler. Après ccla, le fantôme disparut, e
s que nous 11e leur connaissions pas. Or, le somnambule lucide nous
paraît
doué, au suprême degré, d’un sixième sens, sensus
ion dos motifs donnés par l'honorable el célèbre magnétiseur, qui m’a
paru
montrer la plus grande bonne fui dans l’exercice
dans la station verticale, mais ils ne le peuvent. Les articulations
paraissent
disloquées. Elle est en outre couverte d’une tran
amis de l’humanité, tous les amis de la vérité. Le magnétisme nous a
paru
en quelque sorte abandonné dans ce moment solenne
is que de transes, que d’angoisses jusqu’au moment où notre sauveur a
paru
! «Nousnous attendions avoir quelques-uns de ce
autres avaient de 5 à 10 centimètres, et les boutons étaient loin de
paraître
. Enfin, 1e premier fleurit le 20 mai, et donna su
tin. ■ Saint-Qucntin, 26 août 18/|5. BIBLIOGRAPHIE. Il vient de
paraître
simultanément quatre ouvrages nouveaux que nous a
c fait magnétiser par des magnétiseurs différents, quoique le sommeil
paraisse
en tout semblable. C'est un maître nouveau qui es
u’il s'est vu modifié par l’a- gent qu’il avait lui-mâme émis. Cela
paraît
singulier, inexplicable, mais cela est ; et sans
e pouvait agir sur lui. On le saigna, le baigna sans succès; son état
paraissait
alarmant; le délire n’avait pas diminué. Je fus a
la valeur. Aucun raisonnement ne restait sans réfutation, rien ne lui
paraissait
inconnu; il .se réjouissait de l’étonncment qu’il
unier dans son jardin, il y a quatre à cinq v ans; mais le nuicor n’a
paru
que depuis deux ans. « Jai besoin de palper la
ort; elle retomba sans vie sur son lit. « Le lendemain, JI1'® G....
parut
fort triste devant I)....., qui la pria de lui
r aux idiots une somme d intelligence el une certaine instruction, ne
parut
nullement étonné de ce que je lui disais ail suje
manifestent quelquefois spontanément, et sans que l’agent magnétique
paraisse
en cire la cause. Mais des effets identiques rele
alesherhes, sur « l’échafaud. — Ah! Dieu soit béni, dit Roucher, il «
paraît
que Monsieur n’en veut qu’à l’Académie; il « vien
jamais. LÉSIONS TRAl’VIATIQUES. De toutes les lésions, celles-ci
paraissent
les plus difficiles à guérir, et pourtant presque
ns les croyances; des ouvrages remplis de faits et d'aperçus nouveaux
paraissent
chaque jour; la presse ne nous est plus hostile,
e nombre ne peut que s’accroître maintenant, Je Journal du Magnétisme
paraîtra
désormais deux fois par mois par cahier de deux f
l vous rappeler, à l'appui de ce que j'énonce, les nombreux travaux
parus
récemment sur ce sujet ? Qu'il me suffise de vo
pas, tant s'en faut, au même degré, aussi s'y prend-on quelquefois,
paraît
-il, CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. H à douter de l
rique, dont l'existence, jusque dans .ces derniers temps, m'avait
paru
fort problématique. La paralysie, qui porte sur l
ues et comment, jusque dans ces derniers temps, cette affection qui
paraît
, quoi qu'il en soit, être un fait assez rare, a
à l'heure la raison de cette distribution de j'anesthésie qui peut
paraître
singulière au premier abord. Il n'existe poin
e déjà un certain degré d'asy- métrie. La commissure labiale gauche
paraît
légère- ment tirée en haut et en dehors, tandis
ère gingivale, que le buc- cinateur a été autrefois paralysé. Il ne
paraît
donc y avoir que deux muscles atteints : le buc
c une paralysie faciale bien constatée chez un hystérique et qui me
paraît
bien dépendre de l'hys- térie. Il me faut maint
ut d'a- bord elle est en général très peu accentuée. De plus elle
paraît
toujours s'accompagner d'anesthésie des parties
autant que possible, convenablement en valeur et de noter ceux qui
paraissent
avoir eu une. influence prépondérante. Tout d
à des habitudes alcooliques par- faitement caractérisées. Cela est,
paraît
-il, inhérent à la profession. Il buvait cinq à
ne voyons pas en somme que l'abus du vin et de l'eau-de-vie puisse
paraître
CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. 19 moins honteux à
er accident traumatique. Mais les temps n'étaient pas encore venus,
paraît
-il, et il put recevoir à la nuque un violent co
ns les tempes, vertiges, scotodinie, il tombe sans connaissance. Il
paraît
que cette première attaque a duré environ une h
onnalité, je me bornerai à mettre en relief l'une des causes qui me
paraissent
avoir le plus contribué à sa production. Le d
de la langue. » Les deux observations que je viens de vous lire me
paraissent
des plus nettes à ce même point de vue. Le prem
ouvais suivre ces fibres dans le pédoncule, et de plus, elles ne me
paraissaient
pas avoir une im- portance en rapport avec les
présentait les pédoncules du cerveau terminés par des éminences qui
paraissaient
être les couches optiques et les corps striés.
ieur de la couche optique est-il une station olfactive ? Cela ne me
paraît
pas douteux si on tient compte de ses relations
mblait naître du centre de l'une des couches optiques. » Ce fait me
paraît
très intéressant à noter : un seul nerf olfac-
alade présente un état névropathique assez mal défini mais qui nous
paraît
proche parent de l'hystérie, malgré l'absence de
lle eut lieu pendant le traite- RECUEIL DE FAITS. 95 meut et tout
paraissait
rentrer dans l'ordre, quand la malade quitta l'
par conséquent impossibles. Notre diagnostic d'astasie-abasie nous
paraît
donc bien établi; il se confirme chaque jour, à
retours à l'état normal. Les deux observations qui précèdent, nous
paraissent
devoir être considérées comme deux cas types d'
érité, qu'une manière de parler, car toute lésion fonction- - Belle
paraît
bien impliquer une altération de la nutrition des
naient de la tête contre les obstacles, se heurtaient aux objets et
paraissaient
en proie à des hallucinations terrifiantes. Dan
sphère sensitive ou « sensitivo-motrice » de l'écorce cérébrale. Il
paraît
bien, toutefois, que les lésions pathologiques ou
accès, un rétrécissement visuel ; les sensa- tions chromatiques ne
paraissent
pas influencées; les pupilles, de grandeur tant
ions de cocaïne à la dose de z à 0,18 provoquent chez le chien, ont
paru
à Feinberg être in- dubitablement. d'origine co
sions cloniques, qui suivent l'excitation de l'écorce, elles dis-
paraissent
du tableau symptomatique de l'épilepsie avec l'ex
; un an après un traumatisme, la trépanation, longtemps différée,
paraissait
nécessaire, quand, par le repos au lit, l'applica
effet d'annihiler les phénomènes d'arrêt. - La convulsion tétanique
paraît
ré- sulter de l'irritation des ganglions infra-
ance. C'est ainsi qu'on peut expliquer la guérison des maladies qui
paraissent
déterminées par des lésions organiques et qui e
i que ma pre- mière argumentation, pour spécieuse qu'elle pouvait
paraître
, n'avait abouti qu'à des conclusions erronées e
arrivait que considérées à un autre point de vue, les choses nous
parussent
tout autres ? Cela n'est peut-être pas impossib
e leur côté l'expectation. - La médication la plus rationnelle leur
parut
être les pansements anti- septiques et les inje
t deux points noirâtres, de même forme, de même dimension, et qui
paraissent
la continuation des précédents. Du reste, sur le
s la partie dorsale. Du moment que ce fait est indiscutable, il m'a
paru
intéressant d'éclaircir premièrement, à quel ni
rieur près du quadrilatère perforé » d'après P. Berger. Ce noyau me
paraît
devoir être rattaché au crochet de l'hippocampe
l'ont constatée, je dirai que pour moi, cette racine m'a toujours
paru
s'attacher très nettement sur la muraille alvéo
e au-devant de la commissure blanche, tantôt derrière (ce cas m'a
paru
le plus fréquent), et va à la rencontre d'un fa
arité, que je n'ai rencontrée qu'une fois, il est vrai, mais qui me
paraît
prouver la solidarité des différents éléments d
ne' petite agglomération de grains sans forme déterminée » qui me
paraît
avoir beaucoup de parenté avec la couche granuleu
u moins je l'espère, l'indication restera. Ce qui est certain et me
paraît
de nature à préciser le carac- tère olfactif du
e centre cortical de l'olfaction limité à la formation godronnée me
paraît
être en rapport avec l'importance de la fonctio
pas abuser des proverbes et des dictons, bien qu'ils contiennent,
paraît
-il, le fond du livre de la sagesse des nations.
six à huit semaines. D'après une expérience, l'action du médicament
paraît
être plus sûre dans les cas d'épi- lepsie noctu
de 22 observations où le diagnostic reste en suspens, mais qui nous
paraissent
un peu trop sommaires pour pouvoir éclairer uti
ule peut-être pourrait la trancher fait défaut, et la clinique nous
paraît
insuffisante dans l'étude d'affections où la lé
expose les arguments tirés de l'histologie patholo- gique, qui lui
paraissent
infirmer la théorie de l'encéphalite inters- ti
ient le moins avancées, les lésions intersti- tielles lui ont alors
paru
peu accentuées, tandis que l'altération parench
les, on voit des établissements délaissés, où les conseils généraux
paraissent
tout-puissants aussi, mais pour ne rien faire o
alées (de 0,002 à 0,01) présente des avantages. Les inconvé- nients
paraissent
nuls. L'augmentation des globules marche paral-
de l'opération du trépan, grâce à l'antisepsie, toutes ces raisons
paraissent
justifier ces tentatives. M. RÉViLLET (de Canne
e et l'aération de ces quartiers sont satisfaisantes, il n'en a pas
paru
de même des moyens de chauffage et de l'install
luxe de grillages en fer forgé, disposés autour des poêles, n'a pas
paru
une innovation très heureuse, et la disposition d
e verticale à large tirage. L'installation matérielle des douches a
paru
pleinement satis- faisante, ainsi que la pressi
infirmières telles qu'il en existe à Paris. La tenue du personnel a
paru
particulière- ment correcte et le costume sévèr
es quartiers de classement). Le person- nel entièrement religieux a
paru
avoir une bonne tenue; son éducation profession
ligieux a paru avoir une bonne tenue; son éducation professionnelle
paraît
être satisfaisante et même au-des- sus de la mo
filé dans les jardins et les dortoirs coquets dont le confortable a
paru
ne rien laisser à désirer; mais d'une façon gén
late forme une aile, qui s'éloigne de 4 centimètres du tho- rax, et
paraît
en même temps déplacée autour de son axe vertical
r, la structure de quelques-uns des prolongements commence à dis-
paraître
; la chromatine, à laquelle est due la striation,
n. Les traumatismes de la tète, qu'on a rencontrés dans sept cas,
paraissent
constituer tout d'abord une donnée pathogénique i
ades en deux catégories, les uns épileptiques, les autres non, peut
paraître
excessive, et l'on est tenté d'étendre à tous l
e sujet en rap- portant une très remarquable observation. Ce fait
parut
si nouveau que dans la discussion qui suivit, S
(I, p. 306); mais encore dans son Traité des maladies mentales, qui
parut
en 1860. C'est là qu'il signale (p. 266) « les
' Dans son article sur les persécutés génitaux à idées de grandeur,
paru
en mai 1890 dans les Ann. méd. psychol., M. Doutr
ourraient pas tous rentrer dans ce cadre si régulier. Il ne m'a pas
paru
démontré que le délire de persé- cution aboutis
S IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 329 Enfin, dans un travail
paru
dans les Ann. méd. psychol.1, M. Dagonet va môm
quoiqu'elles manquent plus rarement que celles de l'ouïe. Ce qui me
paraît
tout à fait spécial au per- sécuté, ce que l'on
rrive fatalement comme troisième période du délire chronique. Il me
paraît
important d'étudier avant tout ce délire ambiti
la fuite de leur mère; les fils de la duchesse de Berry ont dis-
paru
après l'assassinat du duc, et ainsi dans chaque c
nfin, beaucoup de persécutés n'ont pas d'idées de gran- deur, et ne
paraissent
pas susceptibles d'en avoir jamais. a). - MÉGAL
mois à l'hôpital. C'est dans la convalescence de cette maladie que
paraissent
s'être montrés les premiers symptômes de dérang
t. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE. de ces démarches que la maladie
parut
évidente, et que B..., après avoir passé par le
rs. En même temps, l'oeil gauche s'était enfoncé dans son orbite et
paraissait
diminué, les cheveux avaient blanchi à la parti
du gauche. Il y a quatre ans que dans la région temporale droite
parut
un enfoncement qui tantôt disparaissait pour quel
et aus- sitôt : c Où est mon bras »,cela veut dire que son bras lui
paraissait
absent, séparé du corps, n'existant plus pour l
presque aussitôt. - La nuit est bonne, il dort, et le lendemain il
paraît
seulement un peu fatigué. 23.- Il travaille dan
t très obtus, surtout sur la moitié droite de la langue. - L'odorat
paraît
normal. . 1 29. - A été renvoyé plusieurs fois
utes les maladies ner- veuses. Pour appuyer cette opinion, qui nous
paraît
peu con- testable, nous n'avons pas sous la mai
che d'agir sûrement. Sa tenue est bonne, sun langage convenable. Il
paraît
qu'à Berck on le poussait à boire pour résister
de rappeler les cas que nous avons publiés antérieurement. Ils ont
paru
soit dans le Progrès médical, soit dans les Arc
s'est abaissée de 14 dixièmes de degré; la température de la peau a
paru
s'abaisser également; mais ce dernier résultat
t ce mé- dicament à des doses variant de 1 à 4 grammes, et il lui a
paru
présenter à ces doses une activité comparable à
on. Quant au ganglion lenticulaire, les altérations de ses cellules
paraissent
avoir une grande valeur. Les troubles du ganglion
re joue un faible rôle. · Ces causes spéciales, déterminantes, ne
paraissent
pouvoir être attribuées qu'au genre de vie et l
chiat. XXII, 1.) . Le suicide n'est pas si volontaire qu'il le peut
paraître
, notam- ment quand la vie dure. Il existe des c
à Paris. Moi-même, j'ai expo- sé 1l cette époque les raisons qui me
paraissaient
militer en faveur de cette modification, ou tou
d'idiots que les avocats. De telles déductions statistiques nous
paraissent
être trom- peuses et contraires à la science au
n morphinomane et la femme d'un pharmacien, rendue morphinomane. Il
paraît
, d'ailleurs, que la morphinomanie à deux n'est
n physiological Psycho- logy, séries d'articles de M. IeD''Sanford,
parus
dans l'Am. Journ. Psych. (vol. IV et V) ; et, d
a croire enceinte, d'autant plus, qu'après une médecine, son ventre
parut
diminué. Une soeur infirmière raconta bien que
avec des intervalles de sept à huit mois. Deux autres religieuses
parurent
citer des faits plus signi- ficatifs en apparen
tées depuis la même date, et qu'à la der- nière saignée, les règles
parurent
(ce dont Marguerite Jamain témoigna grande joie
·,i1 »n y v1 41 ''ü- ', ? M. Vorster ! Non. D'autant plus 'qu'il'me
paraît
difficile que l'on puisse dépenser une énergie'
oint de départ dans le nerf optique. i, ' M. Charpentier. Ce qui me
paraît
bizarre dans l'observation, c'est que, comme to
à se plaindre de douleurs dans les reins. Il y a dix-huit mois, il
paraît
avoir une attaque épileptiforme sans perte de c
rissait énormément sans tousser. Il transpirait beaucoup la nuit et
paraissait
avoir de la fièvre. Sa peau était brûlante. Pas
t sont moins fournis qu'à l'état normal et les tubes qu'ils forment
paraissent
très grêles. Dans la substance blanche et au ni
de l'atrophie simple et çà et là des boules hyalines dont l'origine
paraît
être l'altération des gaines de myéline. 3° P
préciser. Les cellules à cylindre d'axe ascen-, dant de Martinotti
paraissent
également lésées. Dans la même coupe et dans un
, et tout ce qu'il y a d'esprits raison- nables, si la collusion ne
paraît
pas tout entière en faisant causer une fille su
epter une luy ont ' Voir la note précédente. BARBE BUVÉE. z lui
paru
avoir le don de l'intelligence des langues, en ce
t du secret de la pensée, quand elle leur a esté adressée, ce qui a
paru
particulièrement dans les commendements intérie
rapporter. 6. Qu'au simple commandement de l'exorciste elles ont
paru
quelquefois dans une insensibilité prodigieuse, e
en esprit et disoit tout ce qu'elle y avoit veu. 7. Qu'elles ont
paru
ietter souvent du fonds de l'estomac, après plu
ir par la voye des exorcismes en la présence du Saint-Sacrement ont
paru
donner des signes surnaturels et convainquants,
s, dont elles sont agitées pendant l'exorcisme, quelques unes ont
paru
si extraordinaires qu'elles ont esté iugées passe
que la soeur de la Résurrection a faict la mesme chose, elle y a
paru
quelquefois prosternée tout le corps plié comme u
entre elles, entre autres la soeur Catherine dans l'exorcisme avoit
paru
la teste renversée, les yeux ouverts, en sorte
s en dévoient estre offencées avec effusion de sang, sans qu'il ayt
paru
n'y meurtrissure, n'y contusion, n'y marque. Qu
ignements pourraient bien être en majorité des fumeurs d'opium, ils
paraissent
avoir plaidé leur propre cause. Dr A. Marie.
on , ni curative, ni même temporairement suspensive ; 5° Elle n'a
paru
jusqu'ici être influencée que par la médication
odère ; ' 6° Elle appartient à l'époque tertiaire de la syphilis et
paraît
même n'en constituer qu'une manifestation tardi
n les voit se développer. Quelquefois cependant, les vergetures ont
paru
n'avoir aucun rapport avec une distension exces
Bouchaud qui a pu observer plusieurs cas d'algidité vient de faire
paraître
un travail où il étudie la question del'hypoter
nés. Après un historique où il rappelle tous les travaux antérieurs
parus
sur le'sujet, travaux surtout nom- breux à l'ét
ée, par le médecin traitant qui devra, en outre, déclarer qu'ils ne
paraissent
pas susceptibles de rechutes. La sortie ne sera
errucktheit, peu importe le nom qui, comme l'a montré M. Werner, ne
paraît
point fixer exac- tement la modalité pathologiq
temps des villes manufactu- rières. 'Linfluence la plus défavorable
paraît
être exercée par les hôtelleries et les cabaret
autres un contrôle. » Toi est le but que s'est proposé l'auteur qui
paraît
l'avoir atteint. Après avoir exposé des renseig
de toute clinique, dont le programme vrai est d'être, plutôt que de
paraître
. Tel se montrait M. Falret, quand M. Baillarger
, dans des états hypnotiques, des souvenirs disparus. Il m'a donc
paru
intéressant de publier l'histoire d'une malade at
fois et troublait le repos de ses camarades de salle, et qu'elle ne
paraissait
pas avoir toute sa raison, car' elle ne recon-
te et peu communicative et manquait d'éner- gie ; cependant elle ne
paraissait
atteinte d'aucun trouble nerveux ni mental appa
ses amies la trouvèrent dès ce moment complètement changée. Elle
paraissait
perdue, ne sachant pas trop ce qu'elle faisait, g
relever, c'est que sa mémoire était manifestement diminuée; elle en
paraissait
tout hébétée. Cependant elle pouvait encore se
isait ressembler à une aliénée. Mais le choc moral de l'incendie ne
paraît
. pas avoir agi à la façon des chocs traumatique
mental principal que présentait Mme B... était donc une amnésie qui
paraissait
causée par l'émotion de l'incendie de sa maison
e changement notable dans l'état de sa mémoire, si ce n'est qu'elle
paraît
s'affaiblir pro- gressivement plutôt que tendre
ouleur de tête, se prête mal à ces investigations minutieuses. Elle
paraît
sentir avec un léger retard apparent, ce qui ti
jet est trop élevée, dépasse par exemple 50°. Le sens musculaire ne
paraît
pas troublé. 1-1 B... indique la position de se
is des nuances qu'elle ne peut me désigner. Les images des couleurs
paraissent
mieux conservées que les images verbales corres
saveurs sucrées, salées et amères (quinine) ; l'acide acétique lui
paraît
salé. En somme, il n'existe pas de troubles bie
lumineuses. Ceci cadre assez avec ce fait que les images visuelles
paraissent
chez elle avoir été mieux conservées dans sa mémo
rlant vague- ment de vilaines choses que je lui avais faites..11 me
paraissait
extraordinaire que cette amnésique se, rappelât
sure qu'elles sont perçues. Cependant celles liées à un état émotif
paraissent
être susceptibles d'une plus longue durée. 9' f
la plupart des observations publiées jusqu'à ce jour, cette névrose
paraissait
en cause, puisque les,malades présentaient des
r 1862, cet établissement fonctionnait. Cette rapidité .d'exécution
paraît
absolument anormale, mais'elle s'ei- plique nat
oit point senty; on luy dit de monstrer encore son autre bras, elle
parut
être surprise d'y voir la marque notable du feu
bras droit, ne parroissant point au gauche; quelque temps après il
parut
au gauche, et cessa d'estre au droit, et il rep
he, et cessa d'estre au droit, et il repassa du gauche au droit, et
parut
alternativement tantost à l'un, tantost à l'aut
deux frères de onze et dix-huit ans. Tous les membres delà famille
paraissaient
quelque peu retardés dans leur développement ph
<6<. f. Ncr- ,venheiIA-. N. F., IV, 1893.) Suite au mémoire
paru
dans le même journal en 1881 (t. Vil), prouvant
et folie, l'un s'appliquant à une maladie psychique dont il ne me
paraît
pas impossible de donner aujourd'hui une définiti
ou de ses annexes. Mais cette notion, quelque bien établie qu'elle
paraisse
, ne lève pas la difficulté qu'on éprouve a donn
aux il convient de citer ceux de M. Pierre Janet. C'est un fait qui
paraît
aujourd'hui avéré et établi que le trouble ment
pasme, à une idée fixe, à l'attaque ou au délire, tous ces troubles
paraissent
résulter ,non d'une simple représentation menta
iments affectifs, de l'activité et . des habitudes. Les hystériques
paraissent
inquiètes, jalouses, soup- çonneuses, tristes.
ent une variété bien à part), qu'ils soient provoqués ou spontanés,
paraissent
se rattacher à l'hystérie. Pour l'établir il es
déchirent, menacent. Ils sont exigeants, ont des accès de colère et
paraissent
toujours conserver la conscience de leurs actes
osition héréditaire et la dégénérescence, mais cette distinction me
paraît
bien subtile. « L'hérédité, dit-il, ne se manifes
ux. Mais les hystériques n'ont pas la spécialité de ces délires qui
paraissent
dépendre de rêves. Le délire des alcooliques, c
de la lucidité, du retour brusquement possible à l'état normal, qui
paraissent
ne jamais se perdre, pour ainsi dire, dans l'hy
service plusieurs malades atteintes de manie hystérique. Ce qui me
paraît
caractériser cette affection et ce qui la diffé
ai pour défendre cette conception ne sont pas nombreux, mais ils me
paraissent
devoir emporter la conviction. Personne ne cont
sions des nerfs périphériques eux- mêmes, quelque intenses qu'elles
paraissent
, elles ne présentent peut-être pas toute l'impo
dans le rapport de · SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 M. Alglave. Celles-ci
paraissent
avoir donné en Suisse, par exemple, d'excellent
uite que les polynévrites alcoolique, saturnine ou diphtéritique ne
paraissent
pas capables de donner naissance à la maladie d
est Christ, il va bouleverser l'ordre social, réformer l'Église. Il
paraît
bien, en effet, le représentant du délire partiel
NNEVAL. 287 ' Régime alimentaire. Il est satisfaisant. Au risque de
paraître
trop minutieux, je dois entrer dans quelques dé
prit garde à toutes les circonstances du dedans et du dehors, il
paraît
que non seulement l'on n'aperçoit aucune marque s
ie faict en elle le principe de tout ce que nous y,voyons '. » Il
paraît
à peu près établi, attendu qu'aucun acte de nou-
ails devant un auditoire souvent aussi borné que crédule. Il nous
paraît
oiseux d'insister longuement sur tous ces phéno
wallé- rienne. L'intensité de la névrite et sa marche ultérieure
paraissent
dé- pendre, entre autres choses, de la dose du
ecteur de l'asile de Dijon. Je viens encore une fois, dussé-je vous
paraître
en proie à une idée fixe, vous convier à quitte
ut dans les cas où le canal de Fallope présente une fissure, ce qui
paraît
fréquent. J'ai observé plusieurs cas démonstrat
nnu de Vogt ; les dix suivantes au remarquable mémoire de Giacommi,
paru
en 1890 ; les planches XV à XXI sont tirées du
332 SOCIÉTÉS SAVANTES. mémoire de M. Miquel Bombarda, qui vient de
paraître
. Les microcéphales de M. Giacomini avaient un e
diqués par AI. Brissaud sont très intéressants et aucun d'eux ne me
paraît
être en contradiction avec les idées actuelles
in l'auteur signale des formes particulières des lèvres qui lui ont
paru
constantes. DE la nature ET DE la forme DE la f
e professeur Grasset avec la quatrième édition qu'il vient de faire
paraître
, en collaboration avec M. Rauzier. Ne pouvant,
rite à tous égards. C'est la meilleure oeuvre et la plus com- plète
parue
jusqu'ici sur la matière. Elle représente incon-'
ixation. Il y a de la dyschromatop- sie : les violets, bleus, verts
paraissent
uniformément tantôt bleus, tantôt roses, suivan
'un tableau pendu au mur qu'elle regarde longuement et sans qu'elle
paraisse
ensuite en avoir retiré autre chose qu'une noti
s complets, des renseignements sur nombre de faits que notre malade
paraissait
ignorer. Ces mêmes procédés nous ont permis de
tement avant l'expérience, ne nous avait rien présenté qui nous eût
paru
différent. Il nous semble donc résulter de notr
ment trouvé des peptones. L'intensité de la peptonurie lui a même
paru
proportionnelle à l'acuité de la maladie et à l
les moyens de dégager cette responsabilité, si infimes qu'ils nous
paraissent
? Pour ceux que toucheraient peu les considérat
aladie de Basedow REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 395 est celle qui
paraît
actuellement s'appuyer sur les raisons les plus
qui jouissent d'une pleine liberté en dehors de l'établissement.
Paraissent
encore indiquées les visites auprès des convalesc
s les visites auprès des convalescents, à moins qu'elles aient déjà
paru
suspectes ; elles sont au contraire contre-indi
utres malades. M. Kirs. De l'anthropologie criminelle. Ce mémoire a
paru
ili extenso dans l'Allg. Zeitsch.1. Il conclut
agricole pour les travailleurs avec les ateliers in- dustriels qui
paraissent
bien organisés puisque la plupart des fournitur
llules sontboisées, non capitonnées, sans tinettes, et le personnel
paraît
en nombre suffisant et bien éduqué, puisque le
omplexe et sujet à de fré- quents dérangements. Les distractions ne
paraissent
pas man- quer ; les pianos sont assez nombreux
et, avec les périodes de son délire de persécution. Au début, il ne
paraît
songer qu'à éviter ses ennemis. Un malade démén
ont en excellente santé physique et cérébrale. Elle-même a toujours
paru
bien équilibrée, et si elle manque d'instructio
t, leur suscite des ennemis. Arrivée à Paris en 1886 (35 ans), elle
paraît
jouir pendant deux mois d'une certain repos; pu
pesanteurs dans le périnée et la face interne des cuisses qui dis-
paraissent
dès que la vessie est vidée. Il est souvent oblig
s vaisseaux nourriciers impor- tants de la moelle. Le traitement ne
paraît
avoir aucune action sur elles. Remarque sur l
ue sur le pronostic de la syphilis médullaire en général. - Il nous
paraît
bien établi que les accidents médul- LA 11Z&
émorragique exclusivement situés dans la substance grise. Il nous a
paru
que le lieu d'élection de ces petits foyers éta
vement, dans l'espèce, d'anomalies de l'idéation. M. Neisser. Il me
paraît
important de faire observer que les éléments cl
ification en sous-oeuvre d'une bonne pa- thologie générale. Il me
paraît
, pour terminer, utile de présenter quelques court
démences la loi de régression de la mémoire. Les faits récents dis-
paraissent
avant les faits anciens. L'amnésie des faits réce
nérale où se trouvent condensés et coordonnés les multiples travaux
parus
sur le sujet. Il serait superflu d'insister sur
ves : c'était même là, pour Lasègue, un critérium qui, aujourd'hui,
paraît
moins certain. Les folies systématisées religie
e 21, pendant la marche léger affaissement du côté gauche. Le 16,
paraît
mieux, mais de temps en temps écoute des voix q
éables. Le malade conserve un état général assez ^satisfaisant et
paraît
tirer profit des piqûresde sérum ioduré. Les sign
signes somatiques restent les mêmes et l'évolution de la maladie
paraît
devoir garder une marche assez lente. Du sens g
ant : DU SENS GENITAL DANS LA PARALYSIE GENERALE. 20 1er et il ne
paraît
pas que l'étiologie ait une influence bien marq
ique ont quelquefois affecté de ne relever que d'elles-mêmes et ont
paru
dédaigner l'anatomie, ces velléités d'indépenda
r nature, qui est le propre de l'inconnais- sable. Edinger laisse
paraître
une critique plus pénétrante lorsqu'il se détou
ci avec une force qui est pour nous l'évi- dence même. En somme, il
paraîtrait
aujourd'hui certain qu'un grand nombre de phéno
iges. Le troisième mois l'affola : non seulement la menstruation ne
parut
pas davantage, bien que l'époque fût écoulée de
ce trouvent difficile d'admettre la folie partielle parce qu'ils ne
paraissent
pas se rendre compte que la responsa- bité ne d
oire de M. Mercier, qui est une réplique à l'article de M. Whiteway
paru
dans l'avant- dernier numéro du Mental Science,
ions ne servent pas seule- ment à désennuyer les malades, elles ont
paru
utiles à leur état mental 1. A la fin de l'anné
qui surpassent les avantages qu'on leur attribue : ces systèmes ne
paraissent
pas devoir se gé- néraliser dans notre pays ave
où il avait reçu des soins. Alors même que le domicile de secours
paraissait
établi dès l'épo- que à laquelle la mesure d'as
tes les complexités, tous les écueils; et le seul effort qui trans-
paraisse
, est celui qui a tendu à dire tout ce qui est uti
f-d'oeuvre est la Pédagogie générale déduite du but de l'éducation,
parue
en 1806. Pour bien comprendre les théories émis
ne s'ensuit pas nécessairement qu'il en sera toujours ainsi ; il ne
paraît
pas trop audacieux de concevoir des cas où l'ag
en nourrice. La pauvre petite est morte sur le coup. Angèle Chemin
paraît
atteinte d'aliénation mentale. Elle a tenté, hi
auteurs s'accordent à signaler la plus grande fréquence. Il nous a
paru
cependant intéressant de relever le cas suivant
connus. Ici pourtant, il faut signaler deux erreurs grossières qui
paraissent
bien relever de l'amnésie ; pour lui F. Faure a
t aussi dans une certaine limite être réveillées, mais le malade ne
paraît
pas en avoir une conscience nette en tant que s
lexes isolés dont le mécanisme anatomique est fort connu. Il nous
paraît
juste et équitable de rappeler que Huxley, en c
résume d'ordinaire le concept vulgaire d'instinct. Un individu qui
paraît
pourvu d'associa- tions réflexes innées semblab
luence de causes nouvelles, naturelles ou provoquées. Edinger ne me
paraît
pas assez frappé de la complexité de ces proces
ologiques. Cette tâche ne serait point aussi' difficile qu'elle l'a
paru
. 11 faudrait d'abord observer sans préjugés, en
-dessus de la racine du nez. La sensibilité qui était très émoussée
parut
se réveiller avec l'apparition de l'écoulement;
ion élec- tive directe du virus morbilleux sur le vague. Il ne nous
paraît
pas utile ni surtout exact d'invoquer l'intermé
La question n'a pas encore reçu de solution. Quelques observations
paraissent
cependant démon- trer qu'il en est ainsi. L'aut
me temps que l'état stationnaire de la maladie depuis un an lui ont
paru
des raisons suffisantes d'admettre qu'il s'agit p
sur des statistiques bien faites, puisées aux bonnes sources et qui
paraissent
bien interpré- tées : il se termine par des con
le rendirent peu heureux, que Littré a toujours défendue, mais qui
paraît
bien avoir trompé le philosophe : d'ailleurs ce
le bleu. Même pendant la men- suration du champ visuel l'enfant ne
parut
pas s'apercevoir qu'elle voyait avec l'oeil gau
orbait par jour depuis, avariéentre 10 et20 litres. En même temps a
paru
la polyure ; l'urine était claire et la quantit
ensité et de la durée de la polynévrite. Les lésions incontestables
paraissent
être surtout dues aux formes à prédominance sen
le poignet, le tiers inférieur de l'avant-bras et qu'il a fait dis-
paraître
en vingt minutes par la suggestion. M. Hikmet (
de lui seul aux textes sacrés, pour ôter à cette parole ce qu'elle
paraît
avoir de trivial et même d'un peu ridicule et pué
ectales, peuvent rendre des services en alié- nation mentale. Elles
paraissent
agir de deux façons : 1° En éli- minant les tox
es sont alors indiquées dans tous les cas où les troubles men- taux
paraissent
liés à des infections, à des auto-intoxications,
outre la réglementation et la sanction dans les conditions où elles
paraîtront
pouvoir s'exercer. 2° Installation dans ces loc
a passé la journée à l'asile pour assister au bal du soir, faisait
paraître
dans le Radical du lendemain un arti- cle des p
est un excellent ouvrier, de conduite irréprochable, mais la mère,
paraît
-il, était alcoolique. (Le Progrès de l'Lzcre, 7
us rare. A ce titre, l'observation que nous allons rapporter nous a
paru
intéressante, et c'est pourquoi, sur les conseils
ère, qui est morte il y a un an, à l'âge de trente-sept ans, était,
paraît
-il, asthmatique et devint phtisique. C'était un
r un spasme du ciliaire gauche. Divers objets vus par l'oeil gauche
paraissent
quelques fois plus grands, mais généralement pl
araison. Interrogée il ce sujet, Marthe répond que ces couleurs lui
paraissent
blanches, sans l'être cependant nettement, et q
rticularités au moment de la discussion. La plupart de ces troubles
paraissent
sous la dépendance d'une hypoesthésie rétinienn
'une question de plus ou moins de jours. Cette observation nous a
paru
intéressante à rapporter en son entier, pour un
efois abolie dans l'hys- térie ; - 2° Dans un deuxième examen, il
paraît
évident au pre- mier abord, que Marthe possède
on monoculaire alternante (2° examen). La première proposition nous
paraît
justifiée ; nous revien- drons plus loin sur la
r, elle existe même, puisqu'on en connaît plusieurs cas e t il nous
paraît
admissible d'accepter la réalité de cette anest
'une im- pression quelconque, reçue par un appareil sensoriel qui
paraît
normal au point de vue anatomo-physiologique, peu
es trois théories ou qu'on les accepte toutes les trois, il ne nous
paraît
pas indispen- sable pour expliquer ces phénomèn
er lieu à une enquête sur l'attitude des agents de l'auto- rité. Il
paraît
en effet, aujourd'hui, établi que c'est par suite
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. g;21) Les lésions de la paralysie de Landry
paraissent
toujours récentes en raison même de la rapidité
n vain fantôme. D'autre part, à mesure que le mobile de nos actes a
paru
relever clairement d'un déterminisme réfléchi ou
ur voix, qui devient rauque, enro 'e5-nasillarde ; par moments, ils
paraissent
tomber en stupeur. Des symptômes somatiques imp
leuse et jaune globulaire (Colucci) ainsi que les prolongements qui
paraissent
alors segmentés. Cette dégénérescence granuleus
e particularité qu'elle est extrêmement mobile et variable, pouvant
paraître
et disparaître plusieurs fois dans la même jour
le premier (thèse Delmas) des streptocoques peu virulents qui dis-
parurent
au moment de l'amélioration; dans le second, où l
le tronc et les membres. L'étendue des téguments occupée par elles
paraît
au moins égale à l'étendue de'la peau restée norm
rs, 10 ou 12 maximum. Les accès auxquels elle a succédé n'ont point
paru
plus violents que d'ordinaire. Les accès surven
Dans les affections du système nerveux, son action thérapeu- tique
paraît
porter beaucoup plus sur la nutrition générale qu
ous avons dans l'hédonal un hypnotique inoffensif. A dose égale, il
paraît
moins actif que le chloral et le sulfonal. Mais,
prendre leurs caractères antérieurs de faiblesse. Ces lois nous ont
paru
à peu près constantes : les observations con- t
n moindres que celles observées dans la rachicocaïnisation. Il nous
paraît
difficile d'établir leurs lois. On peut affirme
mbécillité ou d'arriération intellectuelle. Ces considérations nous
paraissent
expliquer le nombre très restreint des cas d'id
tableaux dans le Compte rendu de notre service pour 1900, qui doit
paraître
prochainement. dût SOCIETES SAVANTES. Au poin
intellectuelle et la théorie physiologique. Les deux théories nous
paraissent
également insuffisantes pour expliquer cet état m
erthermie, l'agonie, la décomposition cadavérique peuvent réaliser,
paraissent
devoir être rencontrées dans les cas où une tox
s l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la mémoire a
paru
se développer et les progrès en toutes choses s'e
ères. Un père de famille nommé Blondeau, qui, depuis quelque temps,
paraissait
souffrant, a été pris subitement 366 VARIA. d
sorielle qu'il produit 6. J'ai refait quelques expériences qui me
paraissent
bien propres à montrer l'action de l'alcool sur
n doulou- reuse ne s'est produite, avons-nous déjà dit et il nous a
paru
impossible de rattacher le phénomène à une hype
rouvé alors que tout d'abord nous ne l'avions pas constaté. Il nous
paraît
donc établi par ces résultats qu'il ne s'agit p
té, au niveau de la partie mé- diane et supérieure. A part cela, il
paraît
sain, ainsi que la protu- bérance et le bulbe.
créer en Angleterre une institution pour les idiots. La même année
paraissaient
dans la British and Foreign Archives, 2° série,
ontrer la folie associée à l'épilepsie, celle-ci ayant probablement
paru
la première pendant la puberté : ces malades ont
ou infirmières. M. Bourneville déclare qu'il s'attendait, ce qui
paraissait
logique, à une discussion générale, mais puisqu
n de 60 lits, M. Dan- nemann expose le programme et le plan qui lui
paraissent
répondre au but qu'on s'est proposé. Il a dispo
ici sommairement deux observations cliniques qui, entre autres, me
paraissent
particulièrement favorables à mon opinion. Ob
nostic de psychose urémique suraiguë qui nous z asiles d'aliénés.
paraît
justifié ou si l'on préfère, de délire aigu d'ori
des chances pour qu'elle relève de l'urémie latente, et tel nous
paraît
avoir été le cas de notre malade. ASILES D/ALIÉ
ur, construire deux pavillons séparés ou simplement accolés. Il m'a
paru
plus économique, mais aussi plus scien- tifique
tudes importantes, qui nous ont beaucoup servi dans ce travail, ont
paru
dans deux revues de psychiatrie ita- lienne : l
THOLOGIE NERVEUSE. ' Riccie. Enfin, blondio=, tout récemment a fait
paraître
un article sur la question. . Malgré ce nombr
L'idée délirante s'estompe, s'affaiblit ; toutefois elle ne dis-
paraît
pas de suite totalement : elle reste subconscient
plutôt qu'ils sont exécutés au commandement. Et en fait, le malade
paraît
se les commander. On l'entend constamment répét
qui finissent à la longue par les remplacer. Les faits do ce genre
paraîtront
moins exceptionnels si l'on réfléchit que la st
que sont peu nombreux puisque Lemoine, qui ignore le cas de Mendel,
paraît
n'en avoir pas rencontré dans la littéra- ture
la divinité dans cette guérison, si extraordinaire puisse-t-elle
paraître
. Le paysan Gilbert était très vraisemblablement
yeuse des cures imprévues et extraordinaires. Même dans les cas qui
paraissent
les plus invétérés, une émotion morale vive, un
bronner a prolongé ses recherches, plus le nombre^ des formes lui a
paru
s'accroître. Jamais il n'a trouvé une seule esp
également dans la substance blan- che et dans la substance grise et
paraissent
aussi nombreuses dans le cerveau que celles de
nérale du cerveau. Dans certaines condi- tions pathologiques, elles
paraissent
exercer une action phagocy- tique. Elles fourni
L'écorce cérébrale sous-jacente colorée par la méthode de V. Giesen
paraissait
exempte de grosses lésions. b) Au microscope, l
eur composée de tissu analogue à la névroglie ordinaire; ce type ne
paraît
pas être le plus commun. Payne signale la possi
lions de la base étaient normaux. La tumeur n'était pas enkystée et
paraissait
plonger librement dans la substance blanche. La
mplète de compression médullaire. La moelle qui, microscopiquement,
paraissait
normale, de même que ses enve- loppes, était en
oché de ce que nous savons sur la bactériologie du canal intestinal
paraît
légèrement paradoxal. Le bacillus coli existe i
ites doses ; on donnera aussi l'extrait de coca. La caféine n'a pas
paru
rendre de services. L'insomnie est difficile à co
koff, 543. Soudard, 250. Pactet, 538, 542. Pailhas, 313, 314.
Paru
au , 276. Pau de Saint-Martin, 161. Paul, 2
atiquée en Allemagne et préconisée surtout par M. Gustave Simon, nous
paraît
n'être qu'une variété de la méthode française, de
d'incisions libéra-trices; M. Sims s'en sert quand une des lèvres lui
paraît
tiraillée ; seulement il les fait superficielles,
ique le spéculum, petit modèle, dans le déciibitus latéral; la suture
paraît
enfoncée dans les chairs ; avec une pince tenue d
sical dont se plaignent beaucoup d'opérés. Ces assertions ont d'abord
paru
étranges, et l'on a pu se demander si les succès
risons ne sont pas moins nombreuses ; l'utilité de la sonde à demeure
paraît
donc aujourd'hui très-contes-table, au moins dans
'accouchement, quel que soit d'ailleurs le procédé qu'on em-ploie. 11
paraît
aussi bien démontré qu'une seconde opération fait
suivant e procédé de M. Sims, la guérison et l'oblitération du col
paraissaient
aussi complètes que possible; cependant la femme
ulière du périnée, dont le bord antérieur fait une telle sailHe qu'il
paraît
oblitérer le vagin. Ajoutons que souvent les mala
et le traitement est alors terminé. Ce procédé, malgré ses lenteurs,
paraît
très-satisfaisant au D'' ChurchUl. Lisfranc, qui
en-gorgement que produit l'accouchement s'est dissipé, cette éten-due
paraît
beaucoup plus petite, et les fonctions sexuelles
c soutient le premier, et le spéculum est retiré. Cette opération lui
paraît
le meilleur traitement des granulations fongueuse
ns bientôt. Cette dilatation ne doit pas être omise même quand le col
paraît
assez large, parce qu'il ne faut pas oublier que
te, car celle qui est bornée à la cavité du col, l'endo-cervicite, ne
paraît
pas constituer une contre-indication aussi formel
i-même ne reste pas dans l'axe qu'il doit avoir normalement et cela a
paru
un obstacle à l'action du pessaire pour la guéris
térismes de quatre à cinq minutes. La sonde employée comme redresseur
paraît
moins dangereuse que les redresseurs proprement d
spend la dilatation pendant les époques des règles; quand la guérison
paraît
certaine, il est encore utile de survedler l'état
s; ainsi les crises cessent, les forces renaissent et des malades qui
paraissaient
vouées à une mort imminente reprennent l'as-pect
jours induré, circonstance peu favorable à la dilatation. L'occlusion
paraît
avoir été causée dans quelques cas par l'inflamma
ler que l'atrésie n'est pas rare chez les vieilles femmes, et qu'elle
paraît
due chez elles à l'atrophie sénile du parenchyme
conique, l'orifice externe en particulier est souvent si petit qu'il
paraît
complètement fermé ; si la sonde peut le franchir
culaire du col ; ajoutons qu'une incision aussi consi-dérable ne nous
paraît
nullement nécessaire. On a fait un métrotome de S
franc dans un cas cité dans sa clinique de la Pitié ; cette opération
paraît
avoir été ensevelie dans un profond oubh, ainsi q
outefois laisser de tampon de coton sur la plaie; et si ces bourgeons
paraissent
de mauvaise nature il faut les dé-truire avec le
a perdu deux malades ; les accidents auxquels elles ont suc-combé ne
paraissent
pas se rattacher directement à l'opéra-tion. M. C
e tissu, soit par un amincissement considérable; ces altérations, qui
paraissent
être l'œuvre du polype fibreux lui-même, ont lieu
uis qu'il se contente d'inciser l'orifice et le col de l'utérus, nous
paraît
avoir prononcé lui-même la condamnation de son pr
avec les deux ovaires dégénérés ; l'opérée succomba à un accident qui
paraît
étran-ger à l'opération. Le premier succès fut ob
au ras des nœuds qu'il abandonne dans le bassin ; cette pratique peut
paraître
téméraire, nous verrons cependant qu'elle a donné
a séreuse à elle-même prés des lèvres postérieures de la plaie ? Il
paraît
plus prudent de faire passer les fds juste au-des
s qui surviennent dans la région opérée; si des injections détersives
paraissent
utiles, on pourra les faire, soit avec de l'eau t
ande incision, et elle peut gêner beaucoup l'o-pérateur; mais elle ne
paraît
pas ajouter beaucoup aux dan-gers de l'opération.
du péritoine s'accroissent aussi par leur base, de telle sorte qu'ils
paraissent
aplatis. Cette disposition n'est pas le résultat
on ou recourir simplement aux moyens hémostati-ques? Ce dernier parti
paraît
le plus sage, mais les faits ne permettent pas en
ougie passée dans ce tube. La forme la plus convenable pour ce but me
parut
être une flexion brusque à l'extrémité de la sond
'abandonnent pas la canule. On survedle l'écoulement, et si la malade
paraît
menacée d'une syncope, on arrête momenta-nément o
Atlee. Cette guérison n'arrive qu'après des ponctions répétées : elle
paraît
due au développement d'une inflammation de la par
ns sa vascula-rité et ses fonctions de sécrétion ; quelquefois elle a
paru
résul-ter d'une espèce de dessèchement et d'atrop
péciale, elle ne développe ni douleur ni inflammation adhé-sive, elle
paraît
plutôt tarir la sécrétion ; les kystes guérissent
78 on compte encore d'assez bons résultats pour que cet âge avancé ne
paraisse
pas une contre-indication. Nous venons d'expose
nsi Scanzoni combat la méthode avec une certaine vivacité ; M. Courty
paraît
croire que les accidents auxquels elle a donné he
culairedont le liquide était filant et visqueux. Ces témoignages nous
paraissent
de nature à faire cesser les préventions que l'on
des parois du kyste, les fistules consécutives. La fièvre hectique a
paru
avantageusement combattue par l'alimentation pres
mollients ont triomphé de la constipation ; la rétention du liquide a
paru
due le plus sou-vent à l'obstruction de la canule
voir laissé le kyste se remplir. Quant au ramollissement du kyste, il
paraît
ne s'être produit que dans les cas où l'on avait
le tort de vider le kyste d'un seul coup. En résumé, ce traitement
paraît
convenir aux kystes unilo-culaires à liquide fila
dications sont très-limitées de l'aveu même de ses partisans. Elle ne
paraît
applicable qu'aux kystes uniloculaires, à parois
r cet accident en maintenant solidement le kyste. Quelque sim-ple que
paraisse
de prime abord l'incision du kyste, on peut voir
-mémorial, mais son extension à la guérison des kystes de l'ovaire ne
paraît
pas remonter plus loin que Schorkopff (i685) et S
r alors il est pro-bable que le kyste n'est pas aussi simple qu'il le
paraît
, soit que les parois soient épaissies, soit qu'il
des présomptions; les adhérences peuvent exister même quand la tumeur
paraît
mobile dans tous les sens. Quand d y a des doutes
à des péri-tonites, et l'obstacle qu'elles apportent à l'opération ne
paraît
pas devoir être ordinairement bien considérable.
rve sa grande utilité. La statisti-que de M. Kœberlé lui-même ne nous
paraît
pas justifier com-plètement sa répulsion pour les
-portant de ne pas faire trop d'efforts, surtout si la paroi du kyste
paraît
peu épaisse, parce qu'on pourrait déchirer ces pa
ir s'il n'y reste pas un vaisseau béant; toute portion d'épiploon qui
paraîtra
altérée par les manœuvres de l'opération sera ret
hui, sauf dans les cas oii il existe une douleur vive ; l'opium lui a
paru
être la cause du malaise fatigant, des vomissemen
tant par l'incision ou par l'excision partielle. Cette con-duite nous
paraît
préférable à celle dans laquelle on fait la su-tu
si les adhérences entre le kyste et la paroi abdominale antérieure ne
paraissaient
pas assez solides, on commencerait par réunir à l
ang dépasse i,ooo grammes, la mort est presque certaine. La mortalité
paraît
exactement proportion-nelle à la durée de l'opéra
deux heures, la mort est presque inévitable. Le poids des tumeurs ne
paraît
pas sensiblement influer sur la terminaison, jusq
nostic est favorable. Complications après C opération. — Celles qui
paraissent
plus particulières à l'ovariotomie sont l'ébranle
c le bout du doigt. L'emploi du cautère actuel, au lieu de ligatures,
paraît
un bon préservatif de l'hémorrhagie. Plus raremen
nt la tympanite marque le début de la péritonite ; d'autres fois elle
paraît
due à un obstacle mécanique à la sortie des gaz p
es gardes permettent assez bien d'obtenir ce ré-sultat; si ces moyens
paraissent
devoir être insuffisants, on administre delà morp
fétides du péritoine, que si les moyens dont nous venons de parler ne
paraissent
pas les entraîner complètement au-dehors, il faut
giques dont les caillots se décom-posent, et que ces hémorrhagies ont
paru
produites par les vomissements chloroformiques, L
ste, ou bien on n'essaya même pas de le détacher, tant les adhérences
paraissaient
nombreuses et résistantes ; on se contenta de fai
uments dans les planches 12 et 13 ; nous ajouterons ici ceux qui nous
paraissent
les plus importants. Figure x. Trocart de Kœber
d'une croûte de substance brune de 5 millimètres d'épais-seur, et qui
paraissait
avoir été déposée par couches successives ; dans
t M. Nélaton, dans le sens transversal par rap-port à la plaie. Il me
paraît
plus prompt et plus simple de la faire dans le se
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